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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Acte 1 - Le Trajet
Il est temps, que les mots deviennent des actes. Un peu d'appréhension, mais cela ne m’empêchera pas de prendre ma voiture et monter sur Lyon. Un arrêt a la station d'essence et direction l'A7 jusqu'au centre commercial de la confluence à Pérache. La route est fluide, même si la vigilance est de mise, avec ces camions fous qui déboîtent et mettent leurs clignotants après. Plus je m'approche de Lyon, plus je ressens quelques inquiétudes, pourtant je ne les laissent pas me distraire.
Tous ces mots, échangés depuis plus d'un mois maintenant... ou j'ai découverts cette belle personne, d'une richesse impressionnante. J'ai tant de respect pour elle, et d'admiration, même si je ne le lui dit pas trop. Sensible, connaissant les énergies, pratiquant l'ésothérisme, passionnée des pierres... ce ne sont la que quelques exemples qui me séduient.
Mais ce qui nous a rapproché c'est un tout autre domaine. Mes connaissances du coté obscur depuis 10 ans font que j'aime de temps en temps parcourir des forums de discussions sur ce sujet. Je me souviens encore de ces années ou je m'étais investi pour mettre en garde sur les règles de sécurité, comme faire la première rencontre dans un lieu public, bien prendre le temps avant, de connaitre l'autre, afin de savoir si nos univers s'accordent ; bref cela me fait sourire, car tout cela était en veille depuis un certain temps. Mais en revenant un peu sur ce site, j'ai vu son profil et j'ai eu envie d'échanger avec elle. Après une réponse positive, nous avons d'abord échangé des mails, puis nous sommes passé sur Messenger afin de pouvoir se parler plus facilement lorsque nous étions disponible.
Il y a eu des mots, puis des rapprochements, parfois intimistes, parfois coquins, mais toujours dans la courtoisie. Ce respect auquel je porte tant d'importance, était la. Un détail qui me fait sourire, c'est ce vouvoiement que l'on emploi tous les deux. Nous avons su exploré aussi nos natures joueurs, a en avoir des crises de rires en créant ou imaginant des situations bien tordues. Plus nous avancions dans le temps, plus ses confidences montraient sa soif de découvrir ce qu'est ce monde D/s, tout en ayant la tête sur les épaules. Et c'est ça qui m'a touché, car elle ne le sait peut-être pas encore, mais c'est elle qui m'a choisie pour trouver des réponses.
J'arrive sur Lyon, ou la circulation devient plus dense, il me reste un quart d'heure environ avant d'arriver au point de rendez-vous. Je sens que je vais être un poil en retard, ce que je déteste, mais tant pis, et cette circulation dans cette ville est stressante. Mais arrivé au parking, ni une, ni deux, je prends l’ascenseur et je vais au 2e étage au point de rendez-vous.
Acte 2 - Les premiers Regards
J'avance dans les allées puis arrivé pret de l'UGC, je la reconnais de suite. Grande, avec une belle robe à fleurs, ses long cheveux noir et son regard un peu intimidée. Ces premières secondes sont magnifique, ou on se regarde sans se regarder, se tournant autour discretement... Rapidement un sentiment d'apaisement s'est installé et au fur et à mesure de notre conversation, quant bien même simple, je l'ai senti de plus en plus à l'aise.
Après avoir essayé de trouver un bar on s'est résigné a prendre une boisson au Macdo et nous somme descendu dans cette sorte de petite marina au pied de la Confluence. La, nous avons commencé à parler comme on se parlait au téléphone ou par mail. Nous nous étions retrouvé, avec toute cette authenticité, et j'ai ressenti un plaisir immense. C'était elle, oui elle, cette femme aussi belle a l'intérieur qu'a l'extérieur. Evidemment, nous nous sommes un peu titillé l'un et l'autre et nous avons rit. Je me souviens quand je lui ai demandé de se rapprocher un peu de moi, elle a rougi mais l'a fait, de même quand je lui ai demandé de poser sa main sur la mienne. Ce premier contact de peau est difficile à décrire par des mots, car c'est beaucoup de ressenti. J'ai senti qu'il y avait beaucoup d'émotions, et j'ai libéré sa main après un cours instant.
Après deux heures de discussions, la nuit tombant, l'appétit se faisant entendre, nous reflechissions pour un bon restaurant, mais... cela ne s'est pas du tout passé comme cela. L'idée que l'on prenne quelques chose à emporter et trouver un lieu plus intimiste était ce que nous voulions tous les deux, sur l'instant. En effet, pour moi, rien n'était prévu, et je pensais repartir en fin de soirée après un bon repas. Car même si mon désir pour elle était énorme, s'il devait se passer quelque chose, cela ne pouvait se faire que si elle me montrait son désir que cela se réalise. Nous avons donc trouvé cette endroit, dans la périphérie de Lyon, ou nous nous sommes retrouvé après avoir pris de quoi manger.
Acte 3 - Voyage des sens
Arrivée dans la chambre, nous savions tous les deux pourquoi nous y étions, et je lui ai bandé les yeux avec un tissu de soie. Plus je la déshabillais, plus les sens s’éveillaient, entre les odeurs, les effleurements sur sa peau douce par endroits, fermes à d'autres, j'avais cette sensation que son corps se dessinais sur les paumes de mes mains. Ce sentiment, qu'elle s'offrait à moi, pour découvrir, était intense.
Lorsqu'elle fut mis a nue, avec simplement ce bandeau, nous avons commencé cette séance découverte. Cela fut d'une force, d'une douce heure (même plusieurs) entre des douces fessées, ces caresses qu'on aimerait encore, en corps... ou elle m'a offert ce plaisir de jouissance au gout si particulier. J'ai pu lui montrer que, contrairement à ce qu'elle a l'habitude, cette fois ci elle n'avait pas de contrôle, et que mon plaisir était le sien. Et lorsque je lui ai détaché le bandeau, j'ai pu lire son bien être à ses expressions jusqu’à l'explosion de son plaisir.
Femme qui s'abandonne un court instant, découvrant les plaisirs de guidances, jusqu'a la jouissance, fut un moment si beau. Car ce n'est pas que le corps mais l'esprit qui vit ce moment. C'est une porte qui s'ouvre, vers l'abandon, mais en douceur, sans violence. Pour une première expérience, j'ai été touché de sa confiance et son premier pas vers l'abandon.
Acte 4 - Le temps
Le lendemain, balade dans cette belle ville qu'est Lyon, des rires, des échanges encore et toujours, des émotions aussi, des pierres de protections, un grignotage sur les bords de Saône, et mon retour vers le sud.
C'est la beauté d'une rencontre, sans anicroche, dans les règles de l'art. Parfois c'est éphémère, parfois c'est les prémisses d'une future relation. Devenir Maître cela prend du temps, pour que le Lien soit bien construit et solide. Et quand c'est le moment, alors on se pose et on décide ensemble si c'est la ou nous voulons aller.
C.O
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Clarisse est mariée à Jeanot depuis 10 ans, beacoup de boulot, d'amour et pas de gosses. Jeanot a pris du poids, le mariage rend lourd, balourd, un peu, beaucoup....1m80 pour 120 kg, un fessier énorme. Pas facile de faire l'amour à Clarisse avec une masse pareille. Les petites cuillères, l'amour sur le coté, mais même dans cette position, c'est pas facile. Clarisse aussi a grossi...se porte bien et porte très bien ses splendides grosses fesses encore bien fermes. L'amour xxl, entre gros et lourds, pas toujours facile d'atteindre les trous, mais beaucoup de générosité et de fantasmes.
C'est clarisse qui a eu l'idée, lors d'un voyage en Suisse en regardant des vaches dans un pré. Le soir elle a dit à son jeanot:
-fais moi meuh
-meuh meuh a fait jeanot en riant.
-viens je vais te traire ma belle noiraude.
Jeanot -Noiraude se met à quatre pattes, nu, son gros cul en l'air. Clarisse enfile une jupe de fermière et passe par derrière, s'assoit sur un tabouret, prend un brock et commence la traite du gros pénis flasque qui durcit sous ses doigts boudinés mais experts. Le "lait" ne tarde pas à venir, mais Clarisse continue encore et encore. Elle vide bien les grosses couilles mamelles de sa Noiraude.
- bon t'a plus de lait ma belle vache, alors viens me brouter le gazon.
Et sa Noiraude s'execute. Clarisse jouit très vite et en redemande.
La réalisation de ce fantasme est devenu le petit jeu du soir, après le boulot, pour bien se détendre. Jouer à la vache et à la fermière délurée. Sauf que Clarisse a aussi envie de jouer à la vache. Deux soumis en couple, il manque quelque chose. Il faut trouver un domi pour compléter. Clarisse propose de chercher un taureau, avec une grosse, encore bien svelte pour qu'il puisse atteindre les trous. Ils trouvent vite kurt, monté comme il faut, très bi et toujours en rut. Les gros culs de Clarisse et Jeanot sont vite à disposition et bien remplis tous les soirs. Mais notre domi en veut plus. Il décide d'agrandir son harem de vaches à traire et engrosser. Il trouve vite deux autres gros culs de soumis avec des choses pendantes à traire dessous.
Les parties du soir sont une belle détente pour tous. Clarisse qui adore jupes courtes fleuries et jupons , remplit facxilement son pot de bonne fermière trayeuse avec ses trois vaches bien grasses. Kurt joue à merveille son rôle de taureau . il essaie d'engrosser ses femelles qui broutent dans le salon, ruminent et ont beaucoup de plaisir à se faire monter. Elles portent des clarines bien sonores et font :
-Meuh meuh.
Même Clarisse adore meugler de plaisir.
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Elle était la plus belle du collège, aucun garçon ne pouvait l'approcher. Elle devint la plus belle du lycée et refusa tous les baisers. A l'université elle envoya ballader tous ses soupirants. Aucun ne méritait de lui toucher la peau. Elle était Belladona, la plus belle c'est à dire la plus vénéneuse.
Comme des hommes riches voulaient l'épouser, elle devint maitresse et se fit entretenir par ses fortunés soupirants. Comme elle donnait si peu et qu'elle prenait tout, elle devint vite fort riche. Ses prétendants se ruinaient pour elle, pour embrasser ses bottes, faire son ménage tout nu et bien fouéttés jusqu'au sang. Belladona était impitoyable. Un prétendant ruiné par elle était aussitôt jeté. Plus elle était garce et immorale, plus des hommes puissants tombaient sous son charme et voulaient devenir les prochaines victimes.
Intouchable, protégée, adulée. Sa vie était un plaisir permanent. Toujours vierge. Elle savait qu'elle devait refuser tout contact charnel. Comme une reine d'angleterre vierge, son pouvoir reposait sur une adoration.
Sauf que voilà, Belladona finit par tomber amoureuse. Cela arriva sans crier garde. Son choix ne se porta ni sur le plus beau, ni sur le plus riche, ni sur le plus intelligent, non, il se porta sur celui qui sentait si bon qu'elle voulu le toucher. De maitresse elle devint d'un coup esclave. Son maitre, elle pouvait le reconnaitre entre tous, c'est celui qui sentait si bon.
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Lia vivait avec Obio, le grand chasseur, au fond d'une vallée perdue, au pied de hautes cimes enneigées. Lia et Obio avaient deux beaux garçons et vivaient heureux. Le gibier était abondant, les eaux pures, les forets regorgeaient d'abondance en baies et plantes. Ils étaient heureux, complices dans la chasse et dans l'amour sous les épaisses fourrures. Puis vint la bête, la terrible bête qui poussait des cris qui glaçaient le sang de toutes les bêtes et de tout ce qui rampait dans la vallée. Obio, le grand chasseur voulu voir la bête et la combatre. Lia le supplia de ne pas y aller. Mais obio n'écoutait rien. Il avait beaucoup de muscles, un courage sans bornes mais peu de cervelle. Il ne revint pas. Lia retrouva ses os au printemps. la bête l'avait dévoré et elle était partie comme elle était venue, pour terroriser d'autres vallées, chercher d'autres proies. Une bête chasseuse qui aimait dévorer les guerriers intrépides?
Lia vécu longtemps seule ave ses deux beaux gosses qui devinrent d'excellents chasseurs et partirent se chercher une femelle dans d'autres vallées auprès d'autres clans. Après un an de solitude complète dans les montagnes arrivèrent d'autres hommes, plus petits, plus rusés, plus habiles de leurs mains. Des hommes redoutables avec de grands arcs. elle les croisa plusieurs fois lors de chasses. ils n'étaient pas hostiles. ils devaient la trouver belle, avec son sein gauche toujours à l'air et bien ferme, ses longs cheveux noirs et sa tresse de perles de pierres de couleurs. Une fière amazone pour eux. Ils l'invitèrent à venir diner un soir, dans leur grotte, plus bas dans la vallée.
Lia arriva avec un gros cuisseau de phacochère fumé. On lui fit la fête. Les hommes la trouvaient belle et fière. Elle appartenait à une race en train de s'éteindre doucement. Après un repas joyeux, ce fut les jeux. Les hommes se defiaient à la lutte, nus, le corps enduit de graisse d'ours. Un guerrier les surclassait tous.il n'était pas le plus fort, loin de là, mais celui qui savait se battre. Il avait appris seul dans les bois, en observant les animaux et peut être guidé par les génies obscurs des grandes forets, les genies aux grandes ailes que les japonais, bien plus tard, appelèrent les Tengus. Lia défia ce guerrier habile et mordit plein de fois la poussière. Elle ne faisait pas le poids, n'avait aucune chance face à ce guerrier habile qui la projetait dans tous les sens, comme une brindille de paille. Elle écumait de rage. Elle prit son lasso avec des pierres et le jetta contre les jambes du guerrier qui tomba lourdement aussitôt. Impossible pour lui d'enlever le lasso. C'est triché, hurlait il. Un deuxième lasso autour du cou le fit taire. Elle ne serra pas trop. Se contentant de l'immobiliser. Elle posa son pied sur sa poitrine en signe de victoire et tout le clan éclata de rire. Puis elle sortit de son pagne un petit lacet de cuir et lia les couilles du guerrier et lui enfonca un batonnet dans le cul. Elle fit clairement comprendre au guerrier que si elle voulait, elle pouvait l'émasculer définitivement d'un seul geste. Le guerrier était blanc de peur. Et si cette folle mettait sa menace a execution? Il opta pour la prudence et se mit à obeir à cette folle de Lia en tout et pour tout. Tout le clan riait de plus belle. Finalement lia le détacha et s'excusa.C'est toi le vainqueur, mes lassos c'était de la triche. Et tous burent plus que de coutume l'alcool des plantes amères, celui qui arrache la tête.
Au petit jour, lia se reveilla le crane en bouillie. Sous sa fourrure un corps tendrement lové. Un homme, une femme? Elle ne savait pas bien. Sa peau était douce et chaude, ses cheveux comme ceux d'une fille et pourtant....Elle glissa sa main. Un petit pénis qui devint vite dur. Cela faisait si longtemps qu'elle n'avait pas baisé. Elle l'enfoucha et se donna du plaisir. L'homme femme se laissa faire. Elle ruisselait sur lui, l'inondait de sa cyprine onctueuse de femme de néanderthal.
Lorsque tout le clan fut reveillé, le chef de clan vint la voir.
-tu vis trop seule dans tes montagnes. Nous t'offrons pour compagne cet homme femme. Fais en ton épouse dévouée.
Lia accepta avec plaisir. Son homme femme était très joli, jolie?. Il avait un superbe cul bien ferme et un petit pénis qui restait bien dur très longtemps. De quoi bien s'amser sous les fourrures épaisses. Le chef lui offrit en cadeau un grand arc avec douze flèches. Les fêtes du mariage durèrent une bonne semaine. Le petit cul de son homme femme ne resta pas lontemps vierge. Question sexe, Lia avait faim et savait y faire.
Le couple partit vers les montagnes et la demeure de Lia. Ils vécurent très heureux. Son homme femme etait la plus parfaite des épouses. Puis la bête revint, encore plus terrifiante dans ses cris, encore plus glaçante. Lia prit le grand arc et partit la combattre. La grande bête l'attendait sur un rocher, noire, avec des griffes et de dents luisantes, un regard de feu. Une crétine cette bête. elle se mit debout pour hurler et offrit sa poitrine découverte. Lia tira ses douze flèches.
Le crane de la bête orne sa hutte et sa peau immense couvre son toit....
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Nawa est obsédé, le mot est faible, par le sexe des femmes. Il leur voue une admiration sans borne. Plus de quarante ans et encore puceau. Jamais il ne pourra penetrer un vagin, non jamais. D'ailleurs il ne bande plus. A t'il même bandé un jpour, il ne s'en souvient plus. Il est trop en adoration du sexe des femmes. C'est pire qu'une religion pour lui, pire qu'une idolatrie, pire qu'un totalitarisme, même plus une folie, non, une sorte de dévotion extrême. Il ne se souvient même plus lorsque cela a commencé. La vue d'un sexe de femme, en photo, peinture, reproduction, c'est déjà l'extase. Alors contempler un vrai sexe de femme tout à loisir, c'est le paradis. Il peut rester des heures à contempler une femme qui écarte les cuisses pour lui et lui dévoile son intimité. Il ne touchait pas au début. Il se contentait de regarder pieusement. Puis une femme l'a obligé à des caresses et il a connu son premier orgasme, sans même bander, tout rouge d'avoir fait dansson pantalon. Une simple caresse sur l'objet de son adoration la plus folle. Depuis il est devenu expert en caresse de minous. Aucune femme ne voudrait vivre avec lui à cause de cette folie obsetionnelle qui lui ronge le cerveau, mais aucune après avoir été caressée par lui ne pourrait se passer des orgasmes divins que lui seul sait leur prodiguer par des caresses qui tiennent de la magie. Et puis une femme a voulu être embrassée sur sa chatte dégoulinante de plaisirs a répétitions, une maitresse qui voulait se faire nettoyer. Ah ce goût de la cyprine céleste. La divine ambroisie n'est que pipi de chat à coté. Nawa devint encore plus fou après avoir goûté ce nectar sacré pour lui. Cela devint encore plus extrème. Il lui fallait sans cesse de nouveau minous à déguster. Tous avaient un goût différent, unique, mystérieux.
Un jour il rencontra Pemba le magicien, plus sombre que blanc dans ses conaissances occultes. Nawa aurait du se méfier lorsque pemba accepta de l'aider sans se faire payer, sans contre partie...un contrat de dupe. Mais Nawa voulait bouffer des minous et Pemba lui expliqua les techniques secrètes.
-Tu presses ce point précis chez une femme et tu l'immobilises complètement. Elle reste consciente mais ne peux plus bouger, même un petit doigt. Après tu lui enlèves sa culotte, tu presses avec tes deux mains ici et là, en appuyant bien avec tes pouces ces deux points et d'un coup, la chatte de la femme va s'ouvrir en grand et son clito se tendre à l'extrème. Voilà, tu n'auras plus qu'à déguster et recueillir dans ta bouche les orgasmes en sacades. Une vraie source de cyprine. Pui tu rabilleras la dame et tu appuieras ici. Elle retrouvera l'usage de ses mouvements mais ne se souviendra de rien. Sauf d'une délicieuse sentation entre ses cuisses. Ne fait cela quune seule fois avec la même femme et ne révèle jamais ce secret.
Dawa n'y crut pas sur le coup mais il ne put s'empecher d'essayer. Une ravissante jeune femme, jambes nue, jupe courte et flottante, venait de passer. Il la suivit. Il sentait l'odeur de sa chatte, comme un chien en chasse. Il l'aborda dans un endroit discret et pressa là ou Pemba lui avait montré. Et tout se passa comme le magicien sombre lui avait décrit. Il bu à la source même de la vie le divin nectar. Il devint encore plus fou. Il passa sa journée à chasser du minou frais. Les jours passaient. Dans la grande ville, sa collection devint vite impressionnante.Aucune femme ne porta plainte car aucune ne se souvenait s'être fait bouffer la chatte par un fou.
Sauf que voilà, Nawa tomba sur le minou des minous, celui qui le rendit encore plus fou que fou. Le minou d'une belle noire aux longues jambes bien galbées et musclées. Le minou qui sentait si bon que ce parfum n'existait que là et uniquement là, sous cette petite toison noire et polissonne. Et après y avoir gouté, Nawa voulu recommencer. Il oublia la mise en garde de Pemba. Dès le lendemain, après une nuit d'ivresse a respirer la petite culotte de la jeune noire, c'est la première fois qu'il en volait une, il voulu la boire jusqu'à plus soif. Il l'attendit des heures, la suivit et voulu presser le point secret. Mais voilà, rien se passa comme prévu. La jeune noire ne s'immobilisa pas et se retourna en lui envoyant une giffle terrible.
-ah c'est toi le voleur de culotte!
Il ne pu répondre. La giffle se propageait dans son corps comme une onde de choc. Il comprit aussitôt qu'il était devenu l'esclave à vie de cette jeune noire. Elle claqua des doigts et il l'a suivit. Il n'existait plus, il était sa chose, son objet. Il ne savait plus faire qu'une seule chose, lui obéir. D'un coup sa folie des minous avait disparu. Il était libéré. Il était la propriété du minou de sa maitrese, son serviteur et adorateur. Il trouva enfin la paix. Finalement Pemba s'était bien moqué de lui. La cyprine délicate du minou de sa maitresse avait fini pour le dissoudre pour l'eternité des eternités. Une etrenité d'extase, de nirvana, celle dont parle une religion secrète des indes....La religion des adorateurs de Yoni.
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La Rhumerie, Mardi 28 aout, 21h30
La journée a été parfaite, Maître est là face moi. Il est rayonnant de Sa virilité juste. Son Charisme de Maître est tellement beau à voir et s’exprime. De temps à autre, de Son regard, Il évalue les femelles qui nous environnent.
Par cette soirée chaude, elles sont belles et apprêtées : robes, talons hauts et maquillage. En tenue adéquate pour le déménagement du jour, je ne me sens tellement pas à la hauteur de Maître et de ce qu’Il mérite ...
Il aime cet endroit, la musique antillaise, Son cocktail est délicieux. Je L’admire et Le dévore des yeux.
Plus tôt, nous parlions de ma soumission et de notre relation M/s, nous progressons, j’en suis fière. Je suis fière de moi, Maître a des projets pour nous.
Même si les autres femmes sont si jolies ce soir, et que mon jean me fait me sentir mal à l’aise et enlaidie, j’ai un magnifique secret : Ce bel Homme est mon Maître et je m’abandonne à Lui dans un amour et un don absolu pour notre plus grand épanouissement !
Alors, à ce moment là, je me tiens prés de Lui, sûre et confiante, fière ....
Boulevard Saint Germain, à l’angle de la rue de la montagne Ste Geneviève, 22h15
Il n’a fallu qu’un quart de seconde et trois lettres pour que tout bascule .... « Non ».
Alors que nous marchions paisiblement pour retourner à notre voiture, à l’angle de la rue de la Montage Ste Geneviève, Maître avait aperçu un petit endroit derrière un étal de fruits et légumes, propice à un test de ma soumission. Il m’a emmenée à cet endroit et m’a demandé de me mettre à genoux, à Ses pieds.
Ma réponse a été immédiate. Je le regrette, mais elle a jailli de ma bouche sans contrôle. « Non ». Nous étions dans une rue, en plein Paris... Je saurais après coup, que Maître avait pris la peine de vérifier que nous n’aurions aucun problème, mais ma « bonne éducation » m’empêchait de faire cela en pleine rue : me mettre à genoux devant mon Adoré ...
Maître a alors du élever la voix. À cet instant, je me suis mise à genoux, mais il était trop tard ! Il a attrapé mes cheveux et m’a confronté à ma faute puis m’a rappelé la règle : « quand Je te dis quelque chose, Êve, tu obéis !! ». Il m’a relevée, et nous avons repris notre marche, mais tout à l’intérieur de moi était effondré : mélange de dépit et de découragement à propos de moi-même. J’avais de la difficulté à sentir le mécontentement de Maître, que je comprenais totalement.
Pourquoi ne suis-je donc pas capable d’accepter et de vivre réellement que Maître sait toujours ce qu’Il fait, que Ses demandes sont toujours ok et justes ???
Je me dis soumise, mais dans les faits, au moment de faire l’honneur à Maître de Lui montrer comme mes actes sont en cohérence avec mes mots : « Maître est seul juge et décideur de mes actes et de mes comportements », je Le trahis ... et je me trahis.
Dans la voiture,
J’ai le regard et la tête baissée. Je suis tellement attristée de cette faute, de la déception que je cause à Maître.
Je voudrais pouvoir revenir en arrière dans le temps :
Alors ayant entendu Sa demande, je Le regarderais avec un sourire. Rien ne serait plus important que Lui à ce moment là. Rien n’aurait plus d’importance, le monde n’existerait plus. Docilement je me mettrais à genoux devant Lui, avec dans le cœur cette phrase : « Maître, je Vous appartiens. Dans la confiance et le don total je Vous montre ici dans cette rue, que je suis réellement Votre soumise dévouée ». Alors j’aurais pu lire dans Son regard de la fierté ... Si seulement...
Je n’ai pas pleuré. Je n’allais pas lui infliger ça en plus !
Devoir garder les yeux baissés, ne pas pouvoir Le regarder ni sonder son cœur, ne pas pouvoir Lui parler, ni entendre Ses mots représente déjà un début de punition. Les yeux sur mes mains qui se tordent, mes pensées tournent en boucle et je me sermonne sans m’arrêter.
Maître n’est pas content de ma désobéissance et de mon manque de cohérence entre mes paroles et mes actes.
Comme Il est un bon Maître, Il se conduit comme tel et me donne une autre occasion pour me « racheter » un tant soit peu. Et Il me pousse dans mes retranchements et mes paradoxes...
Et deux désobéissances de plus !!
Et je me retrouve à nouveau face à mes démons. Il y a juste une demi-heure, je voulais faire autrement et obéir, et alors que j’en ai l’occasion, je recommence à faire l’exact contraire !!!!
Cette fois je fais ce que Maître me demande mais à nouveau je trainasse ! Je parlemente ... Et j’accumule trois désobéissances coup sur coup, tout en voulant faire autrement !
Sur une aire d’autoroute, Maître s’est arrêté. Il est sorti de la voiture, l’a contournée, a ouvert ma portière et m’en a fait sortir doctement. J’étais très apeurée, me demandant ce qu’il prévoyait. Dans la pénombre de la nuit, Il m’a emmenée un peu à l’écart, dans un endroit qu’Il avait remarqué. Alors qu’Il appuyait sur mon dos, pour me pencher, et appuyer mes mains sur la poubelle, je commençais déjà à tenter de négocier, arguant qu’un grand nombre de camions stationnait là, que l’on pouvait nous voir. Cela eut pour effet d’accroître, justement, l’agacement de maître, qui n’était pas dupe de mes tentatives d’échapper à l’accomplissement de ma soumission. Puis Il a baissé mon pantalon, puis ma culotte et a introduit dans mon petit anus mon rosebud. Je ne disais rien de plus, mais à l’intérieur de moi se mélangeaient la peur et l’excitation de ce moment « hors normes ».
Ensuite Il m’a fait retourner à la voiture.
Fortement agacé de cette nouvelle désobéissance, Maître m’a ordonné d’enlever mon haut. La lumière du plafonnier était encore allumée et tardait à s’éteindre et les camions étaient toujours aussi près de nous selon moi et j’imaginais quelques chauffeurs de réjouissant du spectacle ! Et alors que Maître avait bien dit avec autorité « Enlèves ton haut Immédiatement », je pris la liberté d’attendre ... d’essayer d’attendre que la lumière du plafonnier se soit éteinte. Maître du donc à nouveau me sermonner avec sévérité, sur mon manque de promptitude à obéir. Ce que je fis tardivement, donc. Je ne portais plus que mon soutien-gorge et Il m’a demandé de sortir mes tétons. La lumière de la voiture encore un peu allumée.
Puis nous avons repris la route dans l’obscurité de la nuit, mes seins à l’air. Je Le caressais pendant qu’Il jouait doucement avec mon téton.
Il s’est ensuite arrêté sur une autre aire d’autoroute, à l’écart. Il m’a fait sortir de la voiture ainsi, la poitrine à nue, m’a emmenée plus loin. Je marchais dans l’herbe haute, autant déstabilisée par mes pas sur le sol inégal en pleine nuit, que par le fait de me retrouver à marcher quasi nue, sur une aire d’autoroute. Après une ou deux minutes, nous sommes arrivés près d’une table de pique-nique. Il m’a fait m’appuyer sur la table, puis Il a à nouveau baissé mon pantalon et ma culotte. Ainsi dénudée, j’étais à l’affût de tous les bruits, tous les mouvements, toutes les odeurs. Maître se tenait derrière moi et j’ai entendu qu’Il ouvrait Sa ceinture, déboutonnait Son pantalon et ouvrait Sa braguette. Je reconnus le bruit du préservatif dont Il se saisissait. Alors qu’Il l’enfilait, je sentais monter en moi une excitation très importante. Je savais qu’Il allait me baiser et je me trempais d’excitation imaginant que Sa colère augmenterait la « brutalité » avec laquelle il me baiserait. Ce fut le cas ! Son sexe était dur et bien érigé et Il me pénétra sans ménagement, ce qui me fit déjà « grimper aux rideaux ». Il me baisa puissamment, Ses coups de reins s’enchainant rapidement, profondément et vigoureusement. Je savourais chacun d’eux car ils créaient en moi des vagues de plaisir de plus en plus fortes. Comme à chaque fois, lorsqu’Il joui, j’ai écouté et savouré chaque milliseconde de Son orgasme... je suis encore excitée en écrivant ceci maintenant.
Qu’est-ce qui cloche chez moi ?
Ai-je été orgueilleuse au point de croire que je pouvais vivre notre amour de cette manière là, alors que je n’ai pas le dixième du courage et de la capacité nécessaire pour être une vraie soumise ???
Comment puis-je faire passer mes habitudes et mes anciens repères de petite blonde vanille, bien policée, alors que je prétends que je peux donner à Maître l’intensité et l’implication qu’Il mérite ??
Je suis capable d’être sa chienne dans notre intimité, mais quand il s’agit d’en être fière et de l’assumer hors de notre chambre, je suis et je fais moins que rien ...
Punition
À Sa demande, j’ai proposé à Maître 3 fois 10 coups de badine, et l’interdiction de jouir pendant les 5 ou 10 prochaines séances d’amour. Ceci sera un minimum.
Je me suis consolée un peu de Lui avoir fait le plaisir de L’avoir attendu en position lorsque nous avons été de retour à la maison (Mais je suis obligée de reconnaître que cela ne me demande aucun dépassement de moi-même ...). Maître, m’a dit combien Il appréciait cette vue de ma croupe toute offerte à Lui, et combien Il aime ma croupe dont les formes lui plaisent tant. Fort heureusement, Il n’en a pas perdu de vue, son rôle de Maître : Ainsi offerte à Lui, dans un ressenti de profond respect et de repentir, j’ai entendu Sa ceinture glisser hors des passants. Je savais ce que cela signifiait. J’aime particulièrement ce geste (lorsqu’Il ôte Sa ceinture) et ce bruit, évocateurs du plaisir de la morsure du cuir sur la peau de mes fesses qui en rougissent de plaisir. Maître m’honora donc de quelques coups de ceinture, prélude aux futures punitions rudement nécessaires à la poursuite de mon éducation ...
Ressenti
Aujourd’hui, je me sens encore attristée de mes fautes répétées, de la déception que j’ai causée à Maître et à moi-même. Je crains qu’Il n’ait même plus envie de s’occuper de mon dressage.
Je suis en questionnement sur mes capacités personnelles et cependant, j’ai profondément envie qu’Il continue mon dressage. Je veux cesser d’être si hautaine, je veux cesser de résister, d’être indisciplinée. Je veux qu’Il me permette de devenir celle que je suis profondément : Sa femelle dévouée, disciplinée en TOUTES circonstances, totalement confiante en Lui. Une bonne chienne à la maison et en dehors. Je veux faire Sa fierté à chaque instant. Je veux gagner sur « mes démons » et mes anciens « formatages » et me conduire constamment en soumise afin de retrouver en même temps, la paix en moi-même.
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Je suis assise à califourchon, mes jambes de chaque côté de son torse. Un animal plus si fougueux que ça entre mes cuisses, immobilisé, encordé, impassible, curieux de ce qui va advenir. Mais qui n'en bande pas moins. Je le sens pointer entre mes fesses, dans mon dos. Mais pour l'heure j'observe ma proie dans les yeux, j'essaie de deviner l'excitation, ou pour le moins, l'intérêt. Je n'arrive pas à savoir s'il me regarde d'un air goguenard, ironique, de défi. Ou si, l'instant d'après, il a fermé les yeux pour mieux s'abandonner. Je caresse les épaules et je lèche la joue, je mords le menton, j'empoigne sa peau, je vrille les tétons entre mes doigts, je guette un halètement, un gémissement. En cet instant précis, je le domine, je l'emprisonne, je le surplombe, je me frotte sur son corps houleux. Il est mon jouet. Je l'enduis de ma cyprine. Marquage olfactif, animal. Domination primale. Je me déchaîne alors sur lui. Je griffe et je plante mes dents dans la chair offerte. J'enserre sa queue dans ma paume pour la sentir palpiter, pouls contre pouls. Je saisis cette barre droite, dure, pour la faire gonfler davantage. Une cordelette autour, nouée, serrée. Le gland rougit de plus belle, cramoisi, violacé. Cela va exploser en jets crémeux. Mais pas maintenant, pas tout de suite, plus tard. Pour l'heure, je l'encapuchonne et je le chevauche, lentement, je le cale bien au fond de mon ventre. Vissée à lui, je plonge mes doigts dans la bouteille noire. J'encre son visage, ses pectoraux, ses bras. J'en fais de même sur moi, avant de me coller, joue contre joue, poitrine contre poitrine, mélangeant nos signes, nos traces dans un cérémonial symbolique. Je m'empale plus vite sur lui, toujours plaquée contre lui. L'accélération me coupe la respiration, le plaisir monte.
Je me réveille en sueur, l'entrejambe humide, le cœur battant. Comme souvent d'un rêve érotique...
Dédicace spéciale à celui qui se reconnaîtra ;)
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La main se referme sur le manche court couleur sang. Je ferme les yeux pour ne pas voir. Juste imaginer, juste ressentir, juste savourer.
La lame frôle et caresse de son éclat froid, s'enhardit et imprime quelque part un sillon aigu. Cela vibre et creuse en surface. Et c'est comme si la peau criait en silence, comme si elle grinçait et gémissait, comme si elle suppliait à la place de la bouche.
La lame grave et strie, droit. Le couteau au bout de la main trace méthodiquement un plaisir rectiligne qui s'évade en ondulations, en creux et en vagues douces, fausse blessure qui fleurit et sourit à l'intérieur. Le frisson gagne la chair, à cœur.
Le tranchant de glace souffle un vent chaud, un sirocco qui liquéfie tout sur son passage. La fonte des glaces, les eaux affleurent, culotte pour seul rempart. Le ventre soupire de tous ses pores traversés, zébrés, entaillés.
J'ouvre les yeux pour m'accrocher à son regard. Je me colle au bleu intense, je m'y emprisonne, je m'y réfugie. Je fixe son iris où je finis par couler à pic. Je bascule sans réserve, je lui laisse voir ma flottaison, le débord sous la paupière, l'envahissement du plaisir dans mon œil qui chavire. Je le laisse lire tout mon désir. Si nue dans cette vérité-là, sans barrière, sans fard, sans faux-semblant. Je ne sais en cet instant ce qu'il devine, s'il voit mon émotion, mon glissement lent, mon abandon.
Je glisse ailleurs, mais vers lui, toujours.
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Clara jeune, jolie, trop intelligente et trop belle, bref, Clara seule. Les hommes en ont peur? Dans sa boite, c'est vite elle qui s'est retrouvée aux commandes. une cinquantaine de mâles, des secrétaires, tous à devoir lui obéir et ça commander elle sait faire. Sauf que, lorsqu'elle rentre le soir, après avoir trop bossé, jusqu'à ne plus compter les heures, son lit est froid et vide. Pas le temps, jamais le temps. Un bon whisky. Pas même envie de lire , de regarder la télé, d'écouter quelques vinyles démodés, trop fatiguée. juste un peu de vaseline sur son clito, quelques caresses, un orgasme, et dodo...et nouvelle journée de boulot, nouvelle journée de combat, de compétition. Ses patrons à elle vont bien finir par l'user complètement.
Parfois Clara se met à rêver qu'elle n'est que la femme de ménage, mariée à Paulo, le plus con de ses subordonnés, le plus gros tas de muscles et cervelle vide, de Vladivostok à Brest.. Ah n'avoir rien à penser, préparer le repas, torcher les gosses et au pieu avec Paulo. Le devoir conjugal, écarter les cuisses et supporter toute la masse de ce pachyderme velu. C'est que Paulo doit en avoir une grosse à voir la bosse de son pantalon. Clara se demande comment elle pourrait supporter cela. C'est l'odeur qui doit être le pire. Paulo n'est pas du genre à aller souvent sous la douche. Combien de marmots avec ce crétin?
Un peu de vaseline. Clara se fait jouir en pensant à toutes ces histoires d'amour vide auxquelles elle a échappé. Se marier, Être avec un homme? Quelle horreur! Elle préfère être seule et libre. Elle pisse debout comme les Égyptiennes adoratrices d'Isis.
C'est lors d'un voyage au Japon que Clara a découvert la gynarchie, le bondage, l'art des liens et du fouet. Elle est vite devenue une experte. Finie la solitude, le boulot jusqu'à l'épuisement, le plaisirs furtifs en solo sous la couette. Elle règne...
Ses sujets dorment à tour de rôle au pied de son lit. Ils servent de vespasienne avec interdiction de perdre la moindre goutte de son liquide doré. Ils n'ont même le droit de lécher. Si les mâles bandent c'est une impitoyable séance de fouet pour leur apprendre le respect. Clara est divinement belle. Elle se promène nue chez elle. Les sujet doivent baisser les yeux pour ne pas entrer en érection. Un calvaire, un supplice, le suprême plaisir pour eux lorsqu'ils sont zébrés au rouge par le terrifiant fouet arabe de Clara.
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Etre obligé de baiser sa femme, de troncher son trou glauque et humide, une vraie corvée. Peu de plaisir. Bon j'orgasme, je gicle, mais c'est pas le pied. Et ces connes qui croient avoir un joyaux entre les cuisses. Tu parles d'un joyaux. Bof, on dit le con de ces pisseuses, leur baveux. En plus faut qu'il soit propre et question propreté, les femmes....
Très souvent la branlette c'est plus jouissif que de se taper le baveux de madame. Au début on se fait prendre. Mademoiselle était jolie. On ne savait pas trop. l'amour rend aveugle. Mainytenant, c'est presque une corvée. Bon je me force, comme un sport. Rien à foutre des humeurs de madame, je pratique le devoir conjugal pour rester avec une bite bien droite et bien tendue. Faut pas écouter les meufs aux seins qui pendent et à la libido en berne comme leurs hormones. Faut pas les écouter. cesont des castratrices par impuissance programmée. Rien à foutre , je la tronche tous les jours. je lui ramone le baveux et après, très souvent je me branle pour bien jouir comme j'ai envie, sans écouter les commentaires d'une meuf.
Le Bdsm, oui, si la meuf est baillonnée et à quatre pattes, tous les orifices ouverts. disponible en permanence pour son devoir conjugal d'obeissance totale à son maitre.
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Ceci est le jeu du portrait québécois.
Si vous cliquez sur "j'aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors :
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné ;
2) me dédicacer le titre de la manière suivante "x choses sur moi pour Oriane" ;
3) le publier dans la section "articles" ;
4) me le faire savoir.
1) j'ai un franc parlé qui choque depuis mes 5 ans du coup vive les bras de fer familiaux
2)J'étais le chevalier servant de ma mère du coup je n'avais pas le temps de penser à moi
3)je me suis fait botter le cul à l'âge de 8 ans et j'y ai pris plaisir au point que c'est devenu un jeu entre mon bourreau et moi, du coup il à été mon coup de coeur... les amours de jeunesses...sourire
4)Je me prenait des coups et des insultes à la place de ma mère... là par contre je ne prenait pas de plaisir
5) J'étais privée de loisirs et les punitions était mon quotidien parfois je ne savait même pas pourquoi j'etais punie du coup je m'en foutais
6) Dés mes 8 ans j'ai été accroc à la lecture, lire des livres était une drogue, ils me permettaient de me sentire libre
7) C'est mon père qui m'as appris à me sortire des pires situations auxquelles j'ai été confrontées et j'en suis fière
8) je n'étais pas une romantique contrairement à la majorité j'étais loin du ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants, je voyais plus l'amour comme un outils de manipulation qui asservit les plus faibles, les crédules, les naifs, les romantiques
9)Mon premier petit ami m'as quittée parce que j'étais vierge, ça ne m'as pas déboussolée plus que ça
10) Mon 2eme plan à trois dus à ma bissexualité et mon jemenfoutisme était avec un couple bdsm une domina et un soumis, j'avais 17 ans. Je n'étais pas choquée juste curieuse
11) Par la suite j'ai pris un sexfriend qui était dominateiur sauf que je ne le savait pas. Il avait la réputation d'être un salop mais je l'ai trouvé adorable. Il est le premier à m'avoir appris à dépasser mes limites pour son plaisir... et pour le mien
12) c'est un grand nounours de plus de 40 ans aux griffes acérées qui m'as initiée aux griffures, je l'ai provoquée et il m'as fait mes premières griffures brûlantes, j'en étais folle et d'ailleurs nous sommes restés amis... c'est ainsi que je me suis rendue compte que j'aimais vraiment ce genre de choses et que c'était naturel pour moi
13) il m'as fallut du temps pour accepter mon corps du coup j'ai fais des photos dénudées sur un forum pour lesbiennes et bi fan de manga et surtout de yuri
14) Les photos ont tellement bien marchée qu'une canadienne est venue en France pour qu'on soit ensemble...
15) Cette relation n'a pas marchée car Tara était trop douce et gentille pour moi. Même si l'appréciait il me manquait une certaine force et je la bouffait à petit feu.
16)J'ai toujours eu une attirance très prononcée pour les hommes plus âgés que moi. J'avais plus en communs avec eux qu'avec les garçons de mon âge dont j'avais l'impression d'être la mère
17) Je suis maladroite parfois et il m'arrive de blesser les gens sans le vouloir que ce soit par mes gestes ou par mes mots
18)j'ai l'habitude de tout controler dans ma vie y compris ma famille, mes amis mais pas mon Maitre... sourire, ce qui fait que je suis tombée sous son charme
19) J'ai fais de mon attirance pour mon Maitre un jeu qui a duré 2 ans et pendant ce temps il n'a eu de cesse de me surprendre ce qui n'est pas une mince affaire
20) Je fais tourner en bourrique mon entourage avec mon honnêteté et mes penchants qu'ils ont du mal à comprendre
21) Je refuse de me cacher ou de faire semblant d'être quelqu'un que je ne suis pas.
22) La relation que j'ai avec mon Maitre est récente ça fait 3 mois que nous sommes ensemble ce qui fait peu
23)J'ai l'impression que mon Owenn et moi on se connait depuis toujours et juste un regard peu me faire frissonner ou sourire selon son regard
24) J'ai été plusieurs fois soumise mais je n'ai jamais reussie à me donner de façon aussi entière qu'avec Owenn car j'ai du mal à faire confiance.
25) Je m'ennuis facilement et je ne suis pas de tout repos
26) le shibari est un art qui me fascine, on m'en a fait trop peu à mon goût et j'espère avec le temps que ça arrive plus souvent car ça me mets en trance je me sens plus sereine
27) Je suis une voyeuse
28)j'adore être exhiber du moment que je ne suis pas à coté de chez moi... pas envie qu'on m'embête
29) Je suis une femme très fière, et je prends plaisir à ce qu'on sache que j'appartiens à Owenn tout comme je suis fière d'être soumise
30) J'aime les défis que mon adoré me donne régulièrement
31) j'aime les pervers autoritaire...Owenn ;)
32) La brutalité et les contraintes m'excite
33) je suis sensible à un tout...Les bruits, le goût, l'odeur, la vue, le toucher, je jouis de cette ensemble plus d'un état d'esprit
34) J'ai du mal à me canaliser au quotidien il n'y a que quand je suis soumise que je suis vraiment à l'aise, je n'ai pas à me soucier de comment je suis sensé réagire, ce que je suis sensé dire ou faire
35) J'aime les mots crus et dans l'intimité ça echauffe ma tête et mon corps
36) Je ne me juge pas intéressante et ce jeu n'est pas facile pour moi
37) Je suis maman
38) Je ne vouvoie pas mon Maitre et je le regarde dans les yeux car pour nous c'est important... Les règles habituelles ne nous correspondent pas et nous créons nos propres codes
39)Mon Maître à voulut me relire et valider avant que je l'envois... sourire
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Aimer la femme au point de fantasmer à être contraint de vivre une transformation humiliante . Phase première , se mettre à poils ,et chausser des chaussures de femmes ,se munir de cette accessoire féminin ,à lui seule ,le plus fantastique ,le SG, sentir les bretelles sur ses épaules ,1ère excitation. enfiler robe ,mi jupe ,chemisier, enfin bref,parfaire sa tenue et sentir le bout rose de son organe intime frotter sous le tissu . Ensuite place au fantasme à l'imagination de l'acte suprème : "Prendre une chaise ,en s'asseyant à l'envers dessus ,donc,face au dossier, relever le devant de la robe pour dégager le pénis et à l'aide d'une ficelle nouée derrière le bourrelet du gland ,serrer très fort en tendant le lombric au maximum par devant en nouant la ficelle au bois du bas de dossier de chaise .le gland gros et raide ,dépasse bien de l'autre côté et la tension extrème fait souffrir ;c'est très bon!!! Prendre une paire d'escarpins à talons aiguille et ficeler un, de chaque aux extrémités du dossier et scotcher 1 punaise à l'envers sur les reposes talons ,car escarpins à brides , En l'occurence ; avec robe à manches courtes ,retrousser les brassières sur les épaules ,cela est déjà excitant,car fait penser à une sorte de viol ,enfin je n'aime pas ce mot ,forced,humiliation,; tout cela pour dégager le SG ,qui devra être à son tour retroussé ,mais par le bas ,pour dégager les tétons ,ce qui les fait gonfler vers l'avant . Régler la hauteur de la punaise en face le centre des tétons . les bras comme attachés derrière le dos et les jambes en arrière avec les pieds dressés sur le bout des sandales . Pencher le torse en avant ,et griffer les tétons sur les punaises ,c'est vraiment excitant !!!! le fantasme ressenti ,est d'être humilié ,forcé à devenir une femme en détruisant les parties intimes du mâle ; (du porc) . Transformer un brave porc en génisse ,c'est lui faire éprouver le plaisir à détruire ses parties érotiques et génitales afin de devenir femme .(excusez j'emploie des termes choc (porc) et autres pour le ressenti uniquement) . options fantasme à la scène décrite : enfoncer une tige de fer dans l'urètre du lombric en situation d'arrachement ,et planter carrément la pointe de la punaise dans les tétons ,afin de crever l'alvéole canalaire ,en faisant peser tout le poids de son torse sur les repose talons .La déchirure de l'alvéole va enfin faire juter ce gland dure . Option 2 : se prendre un collier de femme autour du coup et une autre paire d'escarpins pointus et s'enfoncer les deux bouts pointus bien au fond de la gorge ,le soumis bave ,c'est sublime !! une alliance dans le nombril et une gourmette nouée autour des couilles . Viens ensuite ce que j'appelle l'étalonnage des tétons d'homme soumis au sacrifice ; choisir une paire d'escarpins à talon et les rentrer dans le ST ,en tournant la pointe des talons sur les tétons et s'allonger au sol ,en faisant peser le poids de tout son corps . l'Ecrasement des tétons par l'accéssoir fétiche est un régal d'humiliation pour enfin exprimer son désir mammaire ,avoir des vraies mamelles au lieu de ces ridicules petits boutons
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Août 2018
Impatience, le mot est faible. Depuis que nous avons bloqué ce week-end ensemble, l’envie mutuelle monte de jour en jour. Hâte de prendre ce nouveau départ après cette mauvaise période. Hâte d’être à tes côtés, de voir tes mimiques, tes « miaulements ». Tout simplement te retrouver, toi ma Maitresse Samantha.
Histoire de me mettre en condition, tu m’as demandé de mettre ma cage en place avant de partir. Je dois reconnaître qu’elle a fait son effet, à chaque fois que je songeais à ce que nous allions faire, quand bien même je ne connaissais que partiellement le programme. Y a pas à dire, c’est un parfait prolongement de ton emprise sur moi, pour ainsi dire de ta « poigne ». Après plusieurs heures de route, je pose enfin mes affaires dans ta tanière. L’heure est venue de mettre une autre de tes marques, ton collier. Un vrai plaisir de me retrouver là près de toi, de te voir toute souriante, voire même prête à bondir sur ton nounours. Tu me laisses me reposer jusqu’au lendemain.
Dès la sortie de la douche, le body promis m’attend sur le lit. J’avoue m’être demandé pendant quelques secondes comment l’enfiler. L’idée même me fait de l’effet. Ca n’aide pas à caler des « choses » pas prévues pour être couvertes par ce modeste bout de tissu. Je comprends vite ton choix : mon dos est totalement découvert, fesses y compris. Autant dire que tu as prévu de ne pas être gênée pour cette après-midi de flagellations en tous genres. Il faut dire que ta panoplie s’est récemment enrichie. Taquine, tu me dis que ce body me va à merveille.
Mais avant de mériter cette « récompense », je dois faire de mon mieux pour refaire le book de ma Maitresse. Loin d’être une corvée, c’est plutôt un sympathique moment de complicité. Allez trouver un photographe simplement paré d’un petit body blanc et d’un collier .... Les résultats sont plutôt biens dans l’ensemble. En tout cas, cette séance photo m’a émoustillé. Prêt pour passer à la suite, après avoir repris des forces.
Confortablement installé sur le lit, je me retrouve vite bloqué dès que tu t’assoies sur mon dos pour être parfaitement à portée de mes fesses. Et l’averse commence, il pleut dru des doigts à un rythme soutenu. J’imagine que je dois être en train de prendre des couleurs si j’en juge la température qui monte. Tu essaies de continuer par côtés, façon joueuse de tam-tam mais tu reviens rapidement à la position d’origine. Tu abandonnes vite les gants qui, bien que protecteurs pour tes mains, nuisent à toute sensation pour chacun de nous.
Une fois à la bonne température, tu maintiens la « cuisson » à l’aide de la nouvelle tapette. J’avais bien en tête son look avec son cœur ; j’ignorais sa structure à deux lamelles. Mes fesses comprennent presque immédiatement la nouveauté. C’est comme le deuxième effet kiss cool de la fessée. Pas inintéressant du tout. Malgré sa taille limitée, elle se révèle bien efficace sans être trop dure, juste ce qu’il faut. Et encore, j’imagine qu’elle doit pouvoir être plus mordante.
Entre chaque série de flagellation, je suis étonné mais ravi, accro que je suis, de découvrir que les griffes deviennent la touche de douceur. Si, si ! Bon Elles ne le sont pas tout le temps. Elles semblent même parties dans un véritable tourbillon qui ne laisse que peu de portions apparentes de mon corps épargnées. D’ailleurs, tu sembles bien t’amuser à strier le haut de mon dos. Je devine que tu dois être en train de préparer ton terrain de jeu pour la partie de morpion que tu m’avais promise. Sauf que tu joues toute seule tandis que je sers sagement de damier. Tant qu’à avoir sorti tes feutres, tu en profites pour laisser quelques mots sur le haut des fesses. Tu sais que c’est une chose que j’apprécie, quand bien même je ne vois rien. Cela doit faire partie de mon côté exhib de montrer des parties de mon corps portant des mots, souvent avilissants ou humiliants, sortis de l’imagination fertile de ma Maitresse.
Tu choisis aussi d’essayer ce flogger à nombreux brins qu’on t’a prêté. Étonnamment, de la soirée, c’est celui qui a le moins marqué mon esprit, non pas qu’il ne soit pas efficace mais peut-être une question d’intensités relatives, et probablement d’attente de ma part à cet instant-là. Pour sûr, il ne laisse pas indifférent avec ses nombreuses lanières. Impossible de l’oublier ou de ne pas le reconnaitre. Changement de format pour la suite. Depuis le temps que tu en rêvais, tu vas enfin pouvoir me faire goûter aux joies du fouet, tout récemment ajouté à ta panoplie de fouetteuse avertie. Par la même, je deviens petit à petit un fouetté averti ;-) . Peut-être un peu moins mordant que le mono-lanière, il se révèle en revanche beaucoup plus lourd au contact. Il me semble que j’en courbe l’échine, j’imagine pour profiter au maximum de ses effets.
Une nouvelle journée qui me laisse aux anges à tes côtés.
Mais pas la dernière. Pour nos retrouvailles, tu as prévu des « petites » choses tous les jours. Je t’adore. Toujours autant.
L’après-midi suivante se déroule sur un autre thème. Tu voulais en apprendre un peu plus, et aussi te rassurer, sur l’usage des cordes et l’art du shibari. Nous recevons donc un couple Maitre-soumise pour faire quelques démonstrations de base avant que tu ne passes aux travaux pratiques sur moi. Je n’appréhendais pas plus que ça. Encore que ce fût la première fois que je me retrouvais nu devant d’autres personnes que ma Maitresse. Finalement, cela ne m’a causé aucun blocage ou réticence. Maintenant, il ne reste qu’à faire nos propres réalisations. Et les idées commencent à germer. Croissance rapide même ;-).
Au cours de cette agréable rencontre, je me délecte une nouvelle fois de ta connaissance parfaite de ton nounours. Si je n’avais jamais réussi à trouver les bons mots pour l’exprimer, toi en revanche, tu décris tout naturellement le pourquoi du port de quelques pièces de vêtements féminins : des sous-vêtements de ma Maitresse, et souvent portés en total contraste avec le contexte.
Suite à cette mise en bouche bien appréciable, tu décides de passer à des choses un peu différentes dans l’intimité de ta chambre qui constitue notre donjon à nous. Pour cela, tu me fais mettre à genoux sur le lit, la tête enfoncée dans la fourrure et la croupe bien tendue vers le haut. Limite un appel à la flagellation !
La nouvelle roulette avec ses trois rangées de piques se fait invasive. Elle est beaucoup plus efficace que sa petite sœur. Il semblerait qu’elle veuille visiter à peu près toutes les parties apparentes, depuis l’arrière des cuisses jusqu’aux flancs en passant par le dos, mais surtout en s’attardant longuement sur mes bourses parfaitement exposées vu ma position.
Afin de mieux apprécier la suite, il faut d’abord en passer par une phase de préchauffage, selon tes termes. Quoi de mieux qu’un flogger, avant de t’essayer à une florentine. Une vraie climatisation : chauffage et ventilation en même temps ! Tu en termines avec le gros flogger à multiples lanières. Y a pas à dire, c’est du lourd à tous points de vue. Pas forcément le plus mordant mais il s’impose avec sa masse.
Mes fesses sont désormais à point pour recevoir une série de coups de canne. Mon cerveau se souvenait que l’effet était très rapidement électrisant. Mon corps s’en souvenait un peu moins. Tu alternes entre deux baguettes de diamètres sensiblement différents. La plus petite est encore plus incisive. Avec le rythme plutôt élevé, je finis par avoir la sensation que les baguettes se multiplient. C’est comme une vague qui m’enflamme le postérieur.
Je ressens alors la mise en place du fameux nœud papillon que tu viens d’acheter tout spécialement pour moi. Comme je m’y attendais, il n’allait pas finir à sa place normale. Tu préfères en orner mes couilles avant de recommencer une petite série de roulette histoire de rajouter un peu de piquant. Mais cela ne dure pas, les baguettes font leur retour. Et la nouvelle série est encore plus mordante, toujours avec cet effet de morsure continue…
Tu poursuis avec ce nouveau fouet qui te met en joie dès que tu l’as en main. J’ai l’impression que tu t’entraines à viser droit, long de ma colonne. C’est toujours aussi plaisant que la veille. Tu réussis même à le faire claquer de la bordure de la fesse, sensible à souhait, jusqu’aux omoplates, ce qui me fait lâcher à plusieurs reprises un petit couinement de surprise. A la fois, j’aime ça et j’en courbe l’échine de satisfaction et de plaisir.
La cravache fait un retour remarqué entre tes mains. Si tu t’en sers pour flatter rapidement mes fesses, c’est surtout au milieu que tu t’attardes. Je ne sais pas comment tu t’y prends mais la sensation varie du chatouillement à la décharge électrique, sans que je ne sache à chaque instant à quoi m’attendre. Le résultat ne se fait pas attendre et je couine à nouveau ce qui semble t’amuser et t’invite à continuer de plus belle.
La conclusion est apportée par ta dernière création. Quand tu m’avais parlé de ceinture à transformer, je m’attendais bêtement à une large lanière de cuir. J’avais tout faux. C’est à un chat à huit queues que ressemble la tienne. Les nœuds aux extrémités des lanières se font lourdement sentir. Encore une sensation différente. La flagellation est un mot bien limité quand on découvre les multiples sensations qui peuvent être provoquées. Et jusqu’à présent, aucune ne m’a déçu. L’éventail en terme mordant est vraiment large. Tu es un peu comme une musicienne qui choisirait ses notes.
Les jours se succèdent sans que le charme de nos retrouvailles ne se rompe. Vivement demain. En attendant, je devrais encore faire de beaux rêves …
J’ai envie de savourer plus encore cette dernière journée entière à tes côtés. Faiblement motivé, je passe une bonne partie de la matinée tel le bulot sur son rocher, collé à toi, la tête posée sur ta cuisse. Un paisible et agréable moment câlin, vaguement entrecoupé de quelques photos dont les idées surgissent soudainement.
L’après-midi laisse place à la réalisation de mon délire. Il eut été dommage de ne pas profiter d’avoir une panthère en peluche et un nounours pour mettre en scène quelques scènes réelles ou purement imaginaires. Un bon moment de rigolade, et une imagination débordante. Presque cela pourrait donner des idées à nous les humains ;-).
Petit à petit s’approche le clou du séjour, quand bien même, tu m’as précisé que c’était surtout un galop d’essai pour voir si ça nous branche (c’est le cas de le dire) et aller plus loin le cas échéant. Pour une fois, je savais globalement ce qui m’attendait, mais j’avais évité de l’imaginer avant, histoire de profiter à fond de l’instant. Tes préparatifs me font penser à une infirmière, un peu de matériel par ici, des gants par là, des flacons non loin. Et une crainte qui se confirme. J’avais cru deviner que tu avais parlé d’une sonde, puis je l’ai aperçue dans un sac, et voilà que tu la sors. Tu as donc décidé de t’en servir dès ce soir. J’ai beau faire une totalement confiance à ma Maitresse, je dois reconnaitre que ce pieu me parait démesuré. J’angoissais même que tu t’en serves direct avec l’électricité. Cela me troublait pour une première.
Mais finalement, chaque chose en son temps. Tu me fais installer sur le dos les cuisses les plus écartées possibles et tu t’attèles à la pose des quatre patches de l’appareil d’électrostimulation. Deux sur les couilles, deux sur la queue. A ma grande surprise, ils semblent rester en place assez longtemps. Rien à voir avec les précédents essais. Les effets sont plus marqués. Je retrouve la sensation des aiguilles qui oscillent du chatouillement au picotement ainsi que l’effet de martèlement. En revanche, tu arrives à générer des sensations nouvelles : une sensation d’anneaux au niveau du pénis qui viendraient le serrer en cadence et à différents niveaux. En extrapolant, ce serait presque comme une masturbation. Au niveau des couilles, c’est plutôt la sensation que tu es en train de les arracher en tirant dessus avec tes griffes. Assez étonnant et pas inintéressant du tout ! Je vois dans tes yeux que mes réactions te rassurent. Tu vas pouvoir aller plus loin.
Arrive le moment fatidique, celui que j’appréhendais. Tu me demandes si je suis partant pour la tige urétrale. Ma confiance en toi est telle que je ne peux pas refuser. Ca ne coûte pas grand-chose d’essayer surtout entre les mains d’une Maitresse bienveillante comme toi. Les premiers instants ne sont pas faits pour me rassurer …. Je préfère ne pas regarder et me fier à mon ressenti. Une fois lubrifiée, je sens la tige se présenter à l’entrée de ma queue. Je commence à compter une à une les billes qui rentrent. Sauf qu’au bout de quatre ou cinq, plus rien. Et c’est là que tu me dis que la tige est rentrée entièrement. Force est de constater en tournant la tête que c’est vrai. Finalement, je m’inquiétais pour rien. A posteriori, cela aurait été dommage de passer à côté. Ma queue a repris de la vigueur, envahi par ce tuteur démesuré. Tu t’amuses à me masturber avec. La présence des billes à l’intérieur ne se fait pas forcément sentir. En revanche, j’ai l’impression de plus rien maitriser, que des fluides pourraient jaillir à tout moment sans contrôle. Etonnante sensation de lâcher prise. Tu parviens facilement à la faire coulisser. C’est comme si tu me pénétrais la queue : une sensation toute nouvelle et plutôt plaisante que je n’aurais pas soupçonné quelques minutes plus tôt. Comme quoi, une fois de plus, j’ai bien fait de me reposer sur ma totale confiance en toi.
Voici venue l’heure de la cerise sur le gâteau. Là encore sous forme d’une découverte. Cette fois je ne te verrai plus, vu que tu me fais mettre à quatre pattes sur le bord du lit. Je sens d’abord un doigt ganté s’immiscer lentement pour préparer le terrain. C’est déjà une sensation nouvelle et agréable. Tu peux alors présenter ton nouvel appendice qui rentre facilement sans douleur ni contraction. Tu fais de ton mieux pour me faire plaisir et je t’en remercie énormément. J’aime quand tu m’agrippes les hanches, quand nos corps se trouvent au plus prés. Je finis par haleter sous tes coups de boutoir… Quelle apothéose pour cette soirée ! Une expérience que je n’espérais pas et que tu m’as offerte.
MERCI MILLE FOIS
En rentrant, seul dans ma voiture, je me rends compte que le simple fait de repenser à tous ces instants me donne d’agréables frissons dans le dos, la sensation que le gode serait encore là à faire son œuvre, que la tige en ferait de même. Je suis envouté …. Mais un envouté heureux et comblé.
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"Messieurs, ce chapitre vous est tout particulièrement destiné. Alors ne le survolez pas. Lisez-le lentement. Je sais que chacun de vous croit être passé maître dans l’art de lécher et, même si c’est effectivement le cas pour certains, la plupart d’entre vous êtes toutefois toujours perfectibles.
La plupart des hommes se conduisent comme de grandes brutes. Ils mordent plus qu’ils ne lèchent, frottent leur menton rugueux contre le clitoris de leur partenaire et ne se rendent même pas compte qu’une barbe, même rasée, reste agressive.
Nos chers compagnons commettent une autre erreur, tout à fait désastreuse. Depuis que l’on parle beaucoup de clitoris et d’orgasme clitoridien, ils se précipitent sur ce petit bouton. Ils le tètent à « bouche que veux-tu », quand ils ne le mordillent pas.
Ils oublient une fois de plus, qu’en amour, il faut toujours varier ses caresses et son rythme. C’est de ces variations que vient le plaisir.
Et si vous voulez qu’on vous mette les points sur les « i », cunnilingus est un mot latin. Cunnus signifie vulve et lingere lécher, il s’agit donc de lécher toute la vulve.
Enfin, dernier conseil avant de passer à l’action, messieurs, je vous en supplie, prenez votre temps.
Pour une femme, le cunnilingus n’est pas une simple préparation au coït. Bien gamahuchée, une femme peut atteindre plusieurs fois l’orgasme, et, contrairement à vous qui ne pouvez éjaculer quatre ou cinq fois de suite, plus une femme jouit, plus elle est excitée et prête à recommencer.
Alors oubliez vos habitudes. Après quelques petits coups de langue, ne lui sautez pas dessus parce qu’elle est toute mouillée : pour elle, le plaisir ne fait que commencer !
Laissez votre Maîtresse s’installer comme il lui convient le mieux pour pouvoir se relâcher et prendre tout son plaisir, glissez vos mains sous ses fesses et pétrissez-les. Vous devez vous trouver entre ses cuisses ouvertes.
Dans cette position, les grandes lèvres s’ouvrent, mais pas suffisamment pour une bonne séance de cunnilingus. Ecartez-les davantage à l’aide de vos deux mains. Approchez votre bouche. Attention ! Laissez passer l’air ! La muqueuse rose de la vulve est bourrée de nerfs que le moindre souffle excite.
Pointez votre langue sur le tour de l’anus. Revenez le long du périnée. Commencez alors à lécher rapidement et d’une langue légère la vulve de haut en bas. Une langue agile et qui vibre est plus efficace qu’une langue molle et lourde.
Lorsque vous approchez du clitoris, ne le mordez pas, ne le sucez pas ! Assouplissez votre langue qui doit accomplir un mouvement tournant et enveloppant autour du clitoris. Il est particulièrement sensible. Comme il se trouve à la commissure des petites lèvres, en tiraillant délicatement celles-ci vous l’exciterez par la même occasion.
Le grand art du cunnilingus consiste à retarder le plus longtemps possible l’orgasme de votre partenaire. Quand votre Dame commence à gémir et à se tordre, écartez-vous de son clitoris.
Enserrez les petites lèvres de vos lèvres buccales (n’oubliez pas que ce sont en fait les lèvres les plus longues). Pendant ce temps, votre langue couvre en mouvements amples, le pourtour de la fente, du périnée, de l’anus. Elle effleure le méat urinaire, puis frôle l’ouverture du vagin. Enfin, dardée, elle y plonge comme un pénis miniature. Ensuite vous pouvez retourner vous occuper de son clitoris.
Le plus important est de savoir jouer avec sa langue. Elle doit devenir tour à tour : large, souple, dure, tendre, raidie, pointue. C’est un muscle que l’on peut durcir à volonté ou au contraire relâcher. Profitez-en !
Jusque là vous pratiquiez le cunnilingus dans le sens de la fente : de bas en haut ou de haut en bas. Je vous propose d’essayer une variante qui ravira votre Maîtresse.
Mettez votre tête latéralement entre ses cuisses. Vos cheveux exciteront la face interne d’une de ses cuisses, votre menton l’autre. Dans cette position, vos lèvres se poseront exactement sur les siennes. C’est le moment d’affiner votre technique et de découvrir le « bouche à bouche » de face.
Cunnilingus impérial
A être Reine, on n’en est pas moins Femme… et amatrice de cunnilingus ! La seule différence c’est qu’on peut adapter la loi ou l’étiquette à son bon plaisir. C’est ce que fit l’impératrice Wu Hu de la dynastie des Ts’ang.
Trouvant que la révérence ne lui rendait pas suffisamment hommage, elle exigea que tous les dignitaires, ou hommes d’un certain rang admis en sa présence, saluent son impériale personne par un savant cunnilingus. De vieilles estampes la représentent, robe retroussée, en train de se faire lécher le sexe par un noble agenouillé à ses pieds.
En voilà une qui savait ce que dominer les hommes veut dire. Heureusement pour les chefs d’état occidentaux que la Chine a changé de régime !"
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Lyon. Restaurant Les Comédiens rue E. Herriot. Juin 1994. Je me souviens de tous les détails de cette scène. Les personnes présentes, l'endroit exact où se situe notre table, la température plutôt chaude pour la saison, ce qu'elle porte, la façon dont elle entre dans ce restaurant où je dîne avec des amis, ce que je ressens en la voyant pour la toute première fois. Ce que je me dis aussi : "c'est exactement elle, je veux cette fille". Lise. Grande. Mince et bien faite. Etudiante en Droit. Une grande robe bleue, un grand chapeau de paille élégant. Des yeux bleus hypnotisants.
Une semaine plus tard, je la croise de nouveau dans une fête sur les pentes de la Croix-Rousse. Guitare. Elle chante. Bien. Clapton et "Tears in heaven" qui achève de m'ensorceler. Je la raccompagne, tard. Premier baiser sur les quais du Rhône, elle traversant vers la Guillotière, moi rejoignant St-Georges. Je la voulais et je l'embrasse dans la chaleur de la nuit. Tout est allé vite. Nos amis communs sont passés par là, sans aucun doute. Je n'ai pas cherché à cacher mon trouble, mon état d'hébétude totale disons la vérité. Un sourire béat sur mon visage. Subjugué.
Elle souffre à l'époque d'alopécie nerveuse. Aussi porte t-elle toujours un chapeau, une casquette ou un bandana noué sur son crâne. Crâne que je la persuade rapidement de raser totalement. Elle assume parfaitement cette tête lisse en public, d'un érotisme qui aujourd'hui encore, à mes yeux, ne se dément pas. C'est l'été. Une bande d'amis, pas grand chose à faire si ce n'est profiter de la vie. Pique-niques, virées en 2CV, "Allons à la campagne" de Kent hurlé à pleins poumons. Des rires, des discussions, des soirées arrosées. Période magique.
Nous sommes restés ensemble quelques semaines Lise et moi, mais notre relation n'est jamais devenue sérieuse. Pas de sexe pour cette première période. Première, oui, car il y en aura d'autres. Une présentation à ses frères, quelques jours chez ses parents en Savoie, puis la séparation car elle ne ressentait pas ce qu'elle avait espéré. Fin du premier épisode. Je me souviens en détails de mon retour en stop et des heures passées au péage de Chambéry, à attendre une bonne âme.
Poursuite de mes études, direction Paris. 2 ans se passent. Retour à Lyon pour travailler quelques mois dans un hebdo local. Et nouveau contact avec Lise. Nous nous remettons ensemble. Elle est plus mûre me dit-elle, regrette d'avoir rompu. Pas de sexe, enfin pas vraiment. Elle aime que je la masturbe avec la paume de ma main bien à plat sur son mont de Vénus, elle allongée sur le dos, cuisses ouvertes, ou bien sur le ventre, fesses relevées, ma main glissée sous son ventre, entre ses cuisses. Elle ne me suce pas mais me caresse. J'attends plus bien sûr. Mais je ne sais sans doute pas l'y amener. Départ au service militaire. Deux ans dont un en opération extérieure. Nous nous retrouvons à chaque permission. Toujours pas de pénétration. Puis vient la nouvelle rupture. Plus dure pour moi cette fois. Je suis amoureux, du moins je crois l'être. Elle, elle est désolée mais elle ne peut pas, n'est pas assez amoureuse. Bref.... je l'oublie, enfin non, je ne l'oublie pas mais je vis ma vie. Rencontre, mariage, enfants, carrière.
Presque 20 ans s'écoulent avant que je ne la recroise. Je n'ai pas passé toutes ces années en l'ignorant. J'ai suivi sa vie, du moins ce qu'elle en a laissé voir sur les réseaux sociaux. Pourquoi ? Je m'interroge encore. Nostalgie sans doute. Ou autre chose. Elle a trouvé l'amour me semble-t-il, est devenue maman. Je ne sais rien d'autre. Il aura suffi d'une terrasse de café. Elle lisant Barjavel. Moi prenant une bière avec un ami. Elle est redevenue brune, une magnifique chevelure. Presque dommage, j'aimais son crâne lisse. Regards échangés... Est-ce elle ??? J'en suis sûr. Oui, c'est elle. Aussi belle, plus "femme" avec les années. Magnétique, toujours. L'ami prend congé et Lise se lève.
"Bonjour Victor... cela fait longtemps." "Bonjour Lise.... oui, 19 ans exactement. Tu es... radieuse je dois dire. Que deviens-tu ? Je t'en prie, assieds toi."
Elle me raconte ces années. Son mariage, son divorce, la garde de sa fille puis le choix de cette dernière de vivre avec son père. Je lui raconte mes années. Mariage, paternité, lassitude mais pas de divorce. Elle habite juste à côté, m'invite à poursuivre la conversation chez elle. Son charme opérant toujours sur moi, plus que jamais devrais-je dire, je la suis, trop content de respirer son parfum, admirer ses courbes et entendre sa voix.
"Tu sais" me dit elle une fois la porte de son charmant appartement refermée "J'ai bien changée. La Lise un peu prude que tu as connue, elle n'existe plus... j'aimerais, disons, me faire pardonner de t'avoir largué, deux fois..."
Je reste sans voix, me demandant si je suis en train de bien comprendre ce qu'elle me dit, si elle me propose bien ce que je crois... "Ca m'a fait mal tu sais, à l'époque. Surtout la deuxième rupture, j'étais amoureux, moi. Dis-moi, comment pourrais-tu te faire pardonner ? Et bien... peut-être comme ceci..."
Lise s'approche et me prend la main. "Viens..." Elle me conduit dans une petite pièce. Son boudoir me dit-elle. Un grand miroir, allant du sol au plafond. Ambiance feutrée, tentures, fauteuil et méridienne, légère pénombre. Je m'attends à un baiser, pour commencer. Mais elle s'agenouille, ses yeux dans les miens. Pas un mot. Je suis subjugué, anesthésié par la surprise. Elle me libère, déjà dur et tendu. Petits baisers, coups de langues sur mon gland, le long de ma hampe. Ses doigts qui m'enserrent, sa langue sur mes testicules. Une fellation divine. Elle m'avale presque entièrement, joue de ses lèvres qui m'effleurent, m'embouche à nouveau. Jusqu'au bord de l'explosion. Puis elle se redresse, me tenant toujours entre ses doigts. Elle relève sa jupe, ne porte rien dessous. Une main en appui sur le dossier de la méridienne, reins cambrés, cuisses qui s'écartent... son regard toujours vissé au mien : "Viens... baise-moi". Je ne me fais pas prier davantage. Aucun homme n'y résisterait, surtout pas moi. Lentement d'abord. Savourer cette possession, mains sur sa taille toujours aussi fine. Je m'enfonce en elle. Elle est trempée, me désire. Je la prends jusqu'à la garde, me retirant lentement pour mieux m'enfoncer, de plus en plus brutalement. Elle apprécie, me le dit. "Encore.... baise moi bien, baise moi bien fort... vas-y... je suis ta salope.... ". Je ne la reconnais effectivement plus, mais pour l'heure, pour l'instant je devrais dire, j'en profite pleinement. Les questions viendront plus tard, après la jouissance. Ses mains ouvrent ses reins, me les offrent. Elle tourne la tête, me regarde et..." Encule moi,... j'aime être enculée comme une chienne. Vas-y, enfonce ta queue, baise moi le cul..."
Il est des jours où vous vous pensez béni des dieux, enfin de celui de la luxure pour ma part. Je la sodomise, lui claque les fesses, la défonce aussi fort que possible en regardant ce tableau sexuel dans le grand miroir... Tableau d'une beauté sauvage, animale. Elle répète qu'elle est ma pute, ma salope, qu'elle veut que je la remplisse, que je lui donne mon foutre... Ce que je ne tarde pas à faire, en hurlant mon plaisir alors qu'elle atteint elle aussi le nirvana des sens. Nous sommes trempés de sueur, souffle court. Nous restons ainsi de longues minutes avant que je ne me retire. Je l'ai baisée sans capote. Folie pure, je le sais. Mais une autre folie, plus puissante encore que le risque, s'est emparée de moi. Et puis.... il s'agit de Lise... MA Lise... et j'avais un compte à régler avec notre passé. Elle s'agenouille à nouveau et me nettoie, longuement. Elle ne semble pas rebuter par cette queue qui vient de sortir de ses reins.
"J'espère que tu as aimé" me dit-elle..... "C'était..... inouï, et inoubliable. Je te remercie, sincèrement. Il y a longtemps que je n'avais pas joui aussi fort." "De rien, nous n'oublierons pas non plus, rassures toi. Tu m'a bien baisée et j'ai joui très fort moi aussi." Elle ne me laisse pas le temps de rajouter quelque chose et m'embrasse à pleine bouche...."A très vite, à très très vite" me murmure t-elle en me glissant un petit bristol avec son numéro dans la main.
Retour à la rue, nuage sur lequel je flotte, jambes coupées par le plaisir, interrogations multiples. Incompréhension totale. Retour en arrière et rediffusion du film. "Nous n'oublierons pas non plus....".
Nous ? Mais c'est quoi ça ? Une erreur ou bien ??? Réflexion à vitesse supersonique. Evacuation des hypothèses fumeuses. N'en reste qu'une seule, qui douche instantanément mon euphorie : le miroir.
Chapitre Deux
Des heures à me morfondre et à me perdre en conjectures. Je passe une mauvaise nuit. Puis vient le matin, et enfin seul, de retour au bureau. Hésitations, encore, puis j'ose. Sonneries, elle décroche, fébrile est un mot faible pour décrire mon état. J'ai décidé de ne pas la laisser parler. Il faut que je sache.
"Bonjour Lise. Je vais être direct. Hier tu as dit, nous n'oublierons pas non plus. Pourquoi ce nous ? Ta langue a fourché ou.... "
"Quand peux tu être libre aujourd'hui ?"
Sa question me désarçonne. Je m'attendais à une réponse, pas une question sans rapport... "Euh... 12h30 ?"
"Alors à tout à l'heure. Tu connais l'adresse, la porte sera ouverte. Tu auras ta réponse. Je te conseille de ne pas être en retard".
Nouvelles heures à me torturer l'esprit. Fébrilité accrue. Je ne tiens plus en place. Je décide d'y aller en avance, à pieds, pour essayer de me vider l'esprit. Mais les questions m'assaillent de plus belle après cette courte conversation. Pourquoi son conseil ? Si elle ne m'a pas répondu, c'est que le "nous" n'était pas une erreur de sa part. J'imagine le pire sur ce nous. Chantage, extorsion, enfer et explosion de ma vie. Après tout, que sais-je de la sienne sauf ce qu'elle a bien voulu m'en dire ou ce que j'ai trouvé sur le net ? Encore une fois, j'ai laissé ma queue me diriger, j'ai été faible.... Je me console en me disant que cette séance de cul était sublime. Mais c'est maigre face aux conséquences que j'imagine. Reste qu'il est trop tard et que je ne peux reculer le temps. 12h29, je monte les deux étages. 12h30, je pousse la porte effectivement entrouverte. Des voix, le boudoir. Je m'y dirige et reste figé sur le seuil. Statufié par ce que je vois. Incapable de bouger, de réfléchir, de parler.
Lise, à genoux. Le crâne à nouveau lisse. Collier de cuir à son cou, bas et gants de latex noir, mains dans le dos. Une autre personne. Féminine. Grande, belle me semble t-il. Bustier noir sur sa peau caramel, jupe longue, noire également, talons aiguilles. Etrange créature envoûtante et effrayante qui se tient dans une relative pénombre. Entre les deux, la source des voix. Un écran et un film. Notre film, celui d'hier, vu de l'autre côté du miroir. Du porno trash dont les deux acteurs sont parfaitement reconnaissables. Je suis fasciné, hypnotisé par ce que je vois. Et la créature ne me laisse pas le temps de sortir de ma torpeur.
"Avant que tu ne réagisses, mal sans doute, sache que tu visionnes une copie. La version originale est en lieu sûr, sur le cloud. Alors ravale ta dignité, ton éventuelle colère, et écoute. Ecoute moi bien : tout d'abord, si Lise a agi de la sorte, c'est sur mon ordre. Oh bien sûr, c'est elle qui a proposé ta candidature, mais c'est moi qui ai fait ce choix. Ensuite, elle n'a fait que m'obéir. Tu as bien entendu: m'obéir. Je suis sa Maîtresse. Maîtresse Inès, comme toi aussi tu vas m'appeler à partir de maintenant. Je crois que tu es un homme intelligent, tu imagines aisément ce qu'il adviendra de ce film. Sûr qu'il sera très apprécié de ta femme, de ta famille, de tes collègues. Et je ne doute pas de son succès sur le net. Je te laisse 5 minutes pour y réfléchir, mais je ne veux pas entendre le son de ta voix. Pas un mot et aucun geste déplacé. Tu n'es pas en position de négocier".
Elle a débité sa tirade d'une voix calme, mais froide et déterminée. Nul doute qu'elle ne bluffe pas. Je suis anéanti et mon cerveau tourne à vide. Aucun choix. Sauf celui d'obéir à cette femme, cette Maîtresse. Lise garde le regard baissé. J'aimerais tant pouvoir croiser le sien, y lire quelque chose... mais non.
"Bien, je pense que tu as réfléchi. Maintenant, à poil. A POIL TOUT DE SUITE !!!"
Elle ne souffrirait aucune contestation, alors j'obéis.
"Mains sur la tête, tu ne bouges pas. Lise, explique lui maintenant".
"Je suis la soumise de Maîtresse Inès depuis 2 ans. Je ne t'ai jamais oublié, quoi que tu en penses. Depuis toutes ces années. J'ai suivi ta carrière, et un peu de ta vie. Je t'ai même suivi, parfois, dans la rue. Une obsession secrète. Tu dois te demander pourquoi, pourquoi j'ai fait ça alors que je t'ai largué, par deux fois. Moi même j'ai du mal à répondre à ça. Quand Maîtresse m'a ordonné de lui trouver un soumis pour avoir un couple à son service, je ne sais pas pourquoi, mais j'ai repensé à toi immédiatement et j'ai soumis ta candidature à Maîtresse. Ensuite, nous avons mis au point ce piège. Rien n'est arrivé par hasard. Je t'ai piégé, sur ordre de ma Maîtresse. Qui est maintenant la tienne aussi. Tu vas être éduqué, comme je l'ai été, dressé comme j'ai été dressée. Tu vas te rebeller, tu seras puni puis tu accepteras. Tu n'as pas le choix. Alors ne complique pas les choses. Tu apprendras à aimer cela. Moi j'ai appris. J'en avais envie, vraiment. Depuis toujours je crois. Maîtresse m'a révélée à moi-même. Aujourd'hui je suis fière de lui appartenir. Fière de mon statut de soumise, d'esclave de Maîtresse Inès. C'est un honneur. Et tu vas le partager".
"C'est bien ma petite chienne... je crois qu'il a toutes les informations dont il a besoin. Sauf une, mais il la découvrira plus tard. Pour l'instant, ce petit film m'a bien excitée. J'en veux encore.... recommencez, maintenant".
Crâne rasé, collier de cuir, latex gainant ses bras et ses longues jambes toujours aussi sublimes... Lise est un fantasme vivant. Mon fantasme de toujours. J'ai taché tant de draps en l'imaginant dans cette tenue, depuis toutes ces années. Mon imaginaire sexuel a toujours été riche et s'est souvent, peut-être même toujours, aventuré du côté de l'univers BDSM. Moi en soumis bien plus qu'en Maître. J'ai même tenté, sans grand succès, de vivre ces désirs en réel et d'assouvir mes fantasmes de soumission. Reste que Lise a largement été là lorsque mes doigts me faisaient jouir, et encore aujourd'hui, je veux dire "avant" que cela ne devienne réalité.
Je me laisse faire, incapable d'agir, happé par le désir, brutal. Lise se lève et plonge son regard dans le mien. Elle s'approche lentement et une main de latex se pose sur mon torse, l'autre sur ma nuque pour attirer ma bouche à la sienne. Sa langue me fouille et son ventre se presse contre ma queue dure. Je sens cette femme se rapprocher et tourner autour de nous. Mes mains sur les hanches de Lise se montrent peu entreprenantes. Pas assez au goût de sa Maîtresse. Une douleur fulgurante traverse mes reins et m'arrache un cri.... la cravache... "J'ai dit que je voulais vous voir baiser MAINTENANT ! Alors bouge toi PETITE MERDE !!!
Quelque chose se passe. Je me déconnecte. Enfin mon esprit se déconnecte de mon corps. Je ne suis plus qu'un animal guidé par son instinct primaire : jouir. Baiser et jouir. Je ressens chaque contact avec le corps de Lise avec une puissance inconnue de moi. Je suce, lèche, baise, perfore, embrasse, sens et ressens, je m'enfonce, je m'ouvre, je bois, je crie, je hurle, j'encule, je m'offre. Lise est assise sur ma bouche et m'abreuve de son champagne pendant que je lèche son clitoris. Je suis à quatre pattes et elle me branle sans ménagement en enfonçant sa langue dans mon petit. Elle est empalée sur ma queue et me chevauche pendant que je suce ses seins. Enculée en levrette, enculée dans toutes les positions, reins offerts à pleines mains. 69 détrempé. Doigts qui ouvrent, masturbent, cherchent une bouche, une langue. Sueurs et fluides mêlés. Cris, râles, halètements, gémissements. Sa Maîtresse qui nous harangue, plus vite, plus fort. Final sur sa langue. Je crois que jamais autant de sperme n'est sorti de moi, comme si je m'étais retenu pendant 20 ans. Lise me renverse sur le dos et plonge sa langue gluante de foutre dans ma bouche. Elle s'empale une dernière fois sur ma queue restée dure. Elle se frotte de plus en plus vite, au rythme de la cravache qui cingle ses reins. Cri. Jouissance. Elle s'effondre sur moi.
Il me faut de longues minutes pour me reconnecter. Reconnecter mon esprit et prendre conscience de mon environnement. De ce qui vient de se passer, comme si j'y avais été étranger. Je tourne la tête et découvre une image que je n'ai pas imaginée un seul instant. Sa Maîtresse est assise sur la méridienne, jupe relevée et cuisses largement ouvertes. Elle se masturbe avec frénésie. Entre ses doigts, une queue énorme au gland luisant, prêt à éclater. Un claquement de doigts. Lise se précipite. Cri. Jouissance. Elle avale et nettoie.
Et moi je suis fasciné.
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(Réédition du 06/08/2018 -> 24/03/2024 - 1237 Vues)
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Aussi jouissif que dégageant beaucoup d'énergie à entretenir, les "Cum-Slave" oscillent entre la débauche et le masochisme.
Qu'est ce qu'une/un "Cum-Slave" ?
Une/Un "Cum-Slave" est une personne aimant se donner corps, fluide, et âme à plusieurs partenaires, qu'importe le contexte, que les participants soient inconnu ou non.
Une mise à disposition pour devenir le parfait support à recevoir fleuve de souillures dans une indécence et une "générosité" totale à satisfaire la pluralité masculine.
Comment devient une/un "Cum-Slave" ?
Comme beaucoup de pratiques BDSM, la recherche d'intensité dans le plaisir est du à un passé marquant, le plus souvent d'avoir ressenti, vu, exécuté un acte de plaisir où ses propres pulsions ont pris l'avantage sur sa propre maturité pour les comprendre et les maitriser.
Ce qui amène à vouloir reproduire ces excitations et actes, sans volonté à vouloir en prendre conscience (aspect candide à se déflorer dans l'extrême) et entrevoir les répercussions (Plaisir tabou).
Bref, une autre mentalité que la femme se portant sur le côté "vanille" du BDSM, voulant se faire éjaculer sur les seins, le ventre et les fesses dans un désir d'appartenance envers son mâle du moment.
Quel est l'alimentation d'une/un "Cum-Slave" ?
L'idée d'être offerte, devenir un buffet ou chaque partie de son corps est propice à être utilisé sans aucune limite.
Un désir d'abondance à servir et à "traire" le jus des hommes à sa source.
Une reconnaissance d'avoir bien servi, à avoir pu satisfaire sans concession, et se réduire à cette simple expression "l'outil ultime pour accéder à la jouissance" (Et non à être une femme objet).
Amour et "Cum-Slave" ?
Les débauchées insatiables et les masochistes dit "brat" sont les femmes les plus difficiles à aimer de par leurs pulsions dévoreuses d'énergie.
Passant de la femme enfant à la femme entêtée/Rebelle, à aller où bon lui semble en exprimant leur malice de pouvoir leur être dépendant.
L'amour qu'en à lui, appelle à la stabilité, ce qui détruit une bonne partie de leurs plaisirs.
Une métaphore à appréhender : Il faut considérer que leur plaisir est devenu leurs gouvernails dans leurs vies, et plutôt que d'en prendre la barre, c'est à Un Maître expérimenté de faire en sorte que les éléments que l'on invoquent et provoquent, poussent leurs embarcations dans une direction qui nous soient confortable.
Les Femmes débauchées et Masos sont toujours en mouvement, donc n’espérez pas le calme après la tempête.
Comment aimer et se faire aimer d'une "Cum-Slave" ?
Lui faire ressentir quel se révèle un bon "outil" aussi bien pour son plaisir que son bien être.
Etre un bon logisticien ; Avoir su créer/maintenir un cercle et avoir des contacts pour pouvoir veiller à l'alimentation de sa/son "Cum-Slave".
Et lorsque l'on parle logistique, c'est avoir un œil sur l'hygiène de vie, les disponibilités, la diversité, et les plaisirs de ses contacts pour qu'ils soient des valeurs sûr à satisfaire les besoins de sa/son "Cum-Slave".
Une effervescence à savoir ce que l'on fait, pourquoi on l'a donne, et ce que l'on en retire. Un savoir-faire indispensable qui vous préservera également de la concurrence des autres Dominants puisque vous passerez Maître en la matière.
(Ce qui sous entends également que vouloir éduquer/dresser/baiser par tous les trous à en perdre haleine/Proposer à un de ses amis de participer/Trouver une autre Soumise pour enjoliver sa relation... seront inadaptés, et propice à une fuite en avant de sa/son "Cum-Slave")
En définitif, ce qu'il faut prendre en considération pour avoir une relation suivie et durable avec une/un "Cum-Slave", c'est de lui faire atteindre ce qu'elle désire en un claquement de doigt : Le votre.
Et que vous avez besoin de son amour pour lui procurer ce bien être et contrer cette demi culpabilité à qu'elle fasse plaisir au premier venu.
C'est à ce prix que les forces en présence vous seront favorable, et que vous veillerez à sa sécurité, tout à ce qu'elle vous reste totalement dévouée.
Comment Acquérir et Rompre avec une/un "Cum-Slave" ?
Sachant qu'"Un mec lambda" faisant éprouver son plaisir à lui gicler dessus, à beaucoup plus de pouvoir qu'un Maître à vouloir la recadrer à ses fins personnels, les relations avec les "Cum-Slave" peuvent se révéler aussi bien intense que très courte.
Vous ne vous accaparez pas une "Cum-Slave", vous êtes sur son chemin.
Les queues sur pattes étant légion, pourquoi aurait elle besoin de vous plus qu'un autre ?
Son intérêt ira vers Le Maître expérimenté mentionnant ses expériences sur ce sujet, et non pas ce qu'il voudrait faire d'elle.
Son appétit est tel que les frustrations sont également des plus pénibles, et elle/il sait pertinemment lorsqu'il est temps de prendre sa dose, et si la personne où elle place son dévolu est un bon parti à court/moyen/long/terme.
Seul votre travail à la satisfaire pourra faire la différence, pas la faire évoluer par un égocentrisme et un idéalisme mal placé.
Des concessions peuvent être faite lorsque vous lui aurez prouver votre savoir-faire, et si la rupture est inévitable, vous n'en aurez que plus de fierté à ne pas avoir succombé à être un de ses multiples partenaires lambda.
Un respect mutuel mettra en évidence votre personnalité à faire les choses proprement, un digestif qui vous permettra de mieux faire le deuil à votre relation.
En conclusion ;
Explorer la mentalité "Cum-Slave" se révèle très riche, mais indispensable pour l'épanouissement de ce "couple" BDSM.
Les récompenses sont à la portée de votre investissement, et de votre travail.
Si vos pulsions se complètent à la livrer dans la débauche, et qu'elle vous aime pour cela, n'allez pas contre nature (Si je puis dire :b)
Vous saurez lui mettre un collier au cou seulement après avoir rassasié complètement son appétit, se réconfortant et savourant vos bras vils et protecteurs.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle.
https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
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Depuis près de cinq ans, je rencontre périodiquement une Maîtresse pour des séances de domination.
Cela a commencé suite à une annonce proposant des séances de soumission. J’arrive dans un appartement, une blonde à l’air sévère m’ouvre puis me fait étendre sur son lit. Je lui demande de me goder pour me faire jouir, ce qu’elle accepte.
Devant la facilité avec laquelle elle m’a pénétré et le plaisir que cela m’a procuré, elle me fait miroiter la possibilité de me faire subir d'autres séances de soumission.
Au cours de ces séances, elle m’a fait subir une multitude de soumissions, godage avec gode ceinture, léchage de son anus, enculade par un soumis lui-même sodomisé par elle, fellation de soumis, travestissement, domination et sodomie devant une autre Maîtresse, recruter un soumis pour elle et le sucer sur son ordre, sodomie par un soumis, léchage d’un gode.
Une complicité s’est installée entre nous au fil du temps et ce sont des relations Maîtresse-soumis, elle m’introduit toujours un gros gode ceinture dans le cul pour commencer. et je jouis en hurlant en me branlant.
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Tu es des petites tiges métalliques,
Reliés gracieusement par des points,
Donnant une forme magnifique,
Composé de deux pour former qu’un.
Discrète, tu sais rappeler ta présence,
Élégante, tu embellis l’une de mes vulgarités,
Tolérante, tu acceptes les complaisances,
Éducative, tu sais où tu veux m’emmener.
Discrète et tolérante,
Notre rencontre est fusionnelle,
Parfois, nous somme en désaccord,
Notre réconciliation en est de plus belle,
Car nous formons qu’un seul corps.
Élégante,
Tu ornes pour Son désir et mon plaisir,
Une partie intime, comme un bijoux,
Tu sculptes l’anatomie avec coquetterie,
Sigle d’engagement à Votre joug.
Éducative,
Tu me prives de certaines sensation,
Tu m’en combles de bien des possibilités,
Cette découverte m’a été une révélation,
Tu m’as envoûté et sublimé de ta beauté.
Nous scellons notre lien par une tierce partie,
Trop souvent à notre guise, nous nous unison,
Nous rêvons de nous abandonner à Elle,
Connaître d'autres plaisirs au rythme de ses envies,
Elle qui saura nous guider dans notre soumission,
Nous offrir à qui acceptera notre dévotion éternelle.
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"Lèves toi je veux te sucer". je me levais et elle se mit à genou devant moi, avalant ma bite et commençant une pipe tout en passant ses mains sur mes fesses, ce qui m'excitait encore plus. elle me suçait tout en douceur.
Ses caresses se rapprochaient de mon anus et je la soupçonnais de vouloir y glisser quelques doigts. Elle joua ainsi un peu et bien sur je sentis qu'elle commençait à tourner ses doigts tout autour de mon cul. Elle profitait du moment où ma bite était entièrement dans sa bouche pour passer ses doigts sur mon petit trou. Je les sentais appuyer doucement, n'osant pas encore se glisser en moi. Ses caresses se faisaient plus pressentes, elle avait ralenti sa pipe pour observer mes réactions.
C'est moi qui capitula en disant dans un souffle, " Mets tes doigts dans mon cul". Elle sortit ma bite de sa bouche et me regarda "Redis-moi ça petite salope! " " j'ai envie de tes doigts dans mon cul". Elle savait qu'elle avait gagné et son sourire moqueur près de ma bite le montrait bien. "Tournes toi et mets toi à genoux, tu mouilles pas du cul, je vais devoir te lubrifier avec ma langue."
Bien que trouvant très humiliant de me placer ainsi devant elle, je me positionnais, bras croisés , serrant même un peu les fesses, honteux de lui montrer mon cul. Elle colla son bassin contre mes fesses et je sentis ses seins dans mon dos, chose qui m'excitait.. "Écartes tes fesses avec tes mains, je veux voir ton trou du cul bien exposé, petite salope".
J'hésitais encore à le faire mais je plaçais mes mains sur mes fesses. "Tu a l'air d'aimer ça. Allez écartes tes fesses que je te bouffe le cul avant d'y fourrer mes doigts."
Aussi gêné qu'excité, la queue bien dure, j'écartais lentement mes fesses, courbant le dos pour mieux les montrer. "C'est bien petite salope, je vais m'occuper de toi".
je sentis quelques instants plus tard sa bouche se poser entre mes fesses et sa langue commencer à parcourir mon sillon anal. N'ayant connu qu'une fois ce plaisir, je dois dire que ma honte fit rapidement place à un plaisir incroyable. La sensation de cette langue tournant sur mon trou et s'y glissant de temps en temps était électrisante.
Elle s'occupa ainsi de moi pendant un petit moment, enfonçant toujours plus loin sa langue qui fut rejointe par quelques doigts qui pénétrèrent sans mal dans mon cul.
Son autre main saisit ma bite et commença un mouvement de va et vient. Elle voulait me faire jouir et ça n'allait pas être long. Elle recula sa tête et glissa 3 doigts dans mes fesses. Elle me baisait littéralement le cul, ses mouvements synchronisés avec ceux de sa main tenant ma queue. Je ne pouvais m'empêcher de gémir maintenant et elle me le fit remarquer "Tu couines comme une trainée avide de sexe...Tu aimes que je te défonce le cul avec mes doigts n'est ce pas". Entre 2 gémissements je ne pu que dire "oui j'aime trop ça que tu m'encules avec tes doigts".
Elle accéléra ses mouvements et ne pouvant plus me retenir je laissais le plaisir couler de ma bite dans sa main. Sans retirer ses doigts de mon cul, elle plaqua sa main pleine de sperme sur ma bouche en disant "Lèches ton jus petite salope, je veux que tu avales tout. Et dépêches toi, j'en ai pas finis avec toi..."
Dans un instant, je vais me faire enculer par une femme et vivre un fantasme que je rêve d'assouvir depuis longtemps. Je cambre et remue mon cul devant ma Maitresse. Je sens alors le gode forcer l'entrée de mon cul.
Elle le pousse doucement entre mes fesses qui s'élargissent un temps pour le laisser rentrer. Mais le gode est très gros, 25cm sur 6.5cm me dira-t'elle plus tard, et mon cul résiste à cette pénétration. J'ai mal, mon visage se crispe. Je dois être un peu maso, car j'aime cette douleur quand je suis pénétré, c'est à ce moment qu'elle pose ses mains sur mes hanches.
Ses ongles se plantent sur mes hanches et elle commence à pousser le gode en moi, sans s'arrêter. Je sens l'action du lubrifiant en moi et j'ai l'impression que le gode déchire quand même mon conduit anal.
Lorsqu'elle marque un arrêt, j'ai l'impression de devenir une vraie salope. Pourtant je ne sens rien contre mes fesses, donc elle n'a pas tout entré. Elle passe alors ses mains sur mon dos et mes fesses, me caressant doucement. "On fait une petite pause pour que ton cul de salope s'habitue à la taille du gode".
La gêne et la douleur du gode se mêlent avec le plaisir et l'excitation que je ressens, et c'est presque inconsciemment que je me met à reculer mes fesses.
Elle sent le mouvement et replace ses mains sur mes hanches. "Regarde moi cette petite pute qui en veux plus. Elle replante alors ses ongles et je sens le gode reculer presque entièrement puis replonger encore plus en moi, m'arrachant un râle de douleur/plaisir. Elle me pilonne le cul pendant plusieurs minutes, par des mouvements amples mais peu rapides, faisant toujours un peu plus rentrer le gode.
La douleur se mêle a plaisir , sachant manier le gode et ne manquant pas de temps en temps à bien le frotter contre ma prostate. Je me sens vraiment salope et je veux qu'elle me défonce encore plus. Entre deux gémissements je lui réclame "Maitresse, s'il vous plait enculez moi plus fort, je veux sentir tout le gode en moi".
Elle n'attendait que ça et accélère ses va et vient, alternant profondeur et vitesse. Je commence à gémir comme une truie, ma bite laisse couler son jus, je perds pied et je réclame d'autres bites "Oh Maitresse c'est trop bon, baisez moi jusqu'au fond", "Maitresse je veux d'autres bites dans mon cul et dans ma bouche", "Maitresse je suis votre putain".
Le gode rentre alors entièrement en moi, je sens ses cuisses contre moi. "maintenant je vais te finir petite pute" me dis-t-elle en me relevant vers elle. Et là elle se déchaine, sortant et rentrant presque tout le gode ou me pilonnant les entrailles. Elle me traite de salope, de trainée, de lopette.
Chaque coup de gode me fais couiner, puis gémir et enfin râler. Je sens un plaisir inconnu monter en moi, je ferme les yeux et j'arrive à prononcer "je jouis...". Elle me donne l'estocade en me plantant le gode au plus profond de mon cul, lâchant ma tête et me laissant ainsi m'écrouler de plaisir sur le lit, l'entrainant avec moi.
Je crois que pendant quelques minutes je suis resté presque inconscient sur le lit. Je ne me souviens pas d'elle retirant le gode ou du fait de me mettre sur le dos.
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"Quand on y a gouté, on ne peut plus s'en passer.
Maitresse Fréderique m'a présenté à Maitresse Anita & Maitresse Vera......
- Tu aimerais qu'on te domine un petit peu ? Je crois que tu aimes ça ?
- Oui, pourquoi pas !
- Tu n'as pas peur ?
-Non.
- Non qui ?
- Non maîtresse !
- Tu vas être mon esclave !
- Oui maîtresse !
- Et tu sais ce que je leur fait à mes esclaves ?
- Non maîtresse !
- Ben essaie de deviner ! Et retire donc ton pantalon et ce que tu as en dessous, ça va t'aider à réfléchir !
Je m'exécute.
- Et mets-toi à genoux ! Ou plutôt non, attend un peu que je regarde ton petit cul !
Elle ne se contente pas de le regarder, elle le malaxe, le tripote, le triture.
- Qu'est ce tu en penses, Véra ?
- C'est un joli petit cul de tapette !
- On t'avait déjà dis que tu avais un petit cul de tapette ?
- Peut-être pas en ces termes là,
- Je suppose que vous allez me sodomiser avec un gode !
- Et puis ?
Je ne sais pas, maîtresse !
- Mes esclaves, je leur fais sucer des bites !
(Moi je n'ai pas l'habitude et surprise Maitresse Vera est une Trans)
- Non pitié pas cela.
- C'est moi qui décide et toi qui es soumis.
- C'est comme vous voulez, maîtresse !
- Tiens, je suis sûr que là, maintenant, tu aimerais bien sucer la bonne bite de Véra !
- Oui maîtresse !
- Dis-le mieux que ça !
- Oui maîtresse, j'aimerais bien sucer la bonne bite de Véra !
- Et après quand tu l'auras sucé, on fera quoi ?
- Je suppose que je me ferais sodomiser ?
- Que tu te ferais quoi ?
- Sodomiser, maîtresse.
- C'est quoi ce mot là ? On n'est pas chez le sexologue ?
- Alors… que je me ferais enculer !
- Bon mets-toi à genoux devant Véra et commence par lui tripoter la bite.
- Caresse-la jusqu'à temps qu'elle bande.
Ça demande tout de même un certain temps.
- Voilà et maintenant tu vas passer ta main là-dedans et le tripoter à travers son slip.
Voilà qui est autrement agréable,, je libère ce membre de taille honorable, et le caresse, sa texture en est soyeuse, la situation a eu raison de ma propre bite bandée comme un arc.
- T'aimerais bien la voir de plus près, maintenant ? Hein, esclave ? Demande Anita
- Oui maîtresse !
- Bon, tu la suceras quand je l'aurais décidé… Mais pour l'instant tu vas finir de te foutre à poil.
Maitresse Anita me dis alors,Écarte bien tes fesses de putes avec tes mains, je veux voir ton trou du cul.
J'obéis!
Anita précise à Véra qu'elles vont me prendre "chacune leur tour" Je sens quelque chose de froid sur mon anus, sans doute du gel, un gode est en train de forcer l'entrée, je m'ouvre, ça entre, et Véra peut alors imprimer des aller et retour à l'objet dans mon conduit anal. Après les premiers instants toujours un peu difficile à appréhender en ce qui me concerne, une sensation très bizarre, mélange de trouble, de douleur et de bien-être m'envahit. J'adore finalement cette pratique.
T'aime ça te faire enculer, hein salope ?
- Oui, maîtresse !
- Dis-le !
- J'aime me faire enculer maîtresse !
- Dis le que tu es une salope !
- Je suis une salope, maîtresse !
- La prochaine fois, on essaiera un gode plus gros !
- C'est comme vous voulez maîtresse !
- Ou alors, mieux que ça, je te ferais enculer par une vraie bite !
- la prochaine fois, tu vas prendre une vraie bite d'homme dans ton cul d'enculé !
- Heu… Là votre maîtresse ?
- Une bite d'homme, je t'ai dis… moi je ne suis pas un homme, je suis une une femme à gode.
- Je ne sais pas, maîtresse, si je suis prêt à cela !
Suis un moment de flottement quand subitement Maitresse Vera m'introduit profondément sa queue dans la bouche...
je la suce, je la lèche, je me l'engloutis dans la bouche, je la fais cogner contre l'intérieur de mes joues, je donne des savants coups de langues autour de la couronne.
- Mais c'est qu'elle suce super bien, cette petite salope !
Vera a été chercher une capote et du gel
Maitresse Anita m'enduit le trou,entre doucement, puis se met à s'agiter. Des ondes de plaisir me parcourent le corps, je prends vraiment un plaisir intense à me faire prendre ainsi.
Elle m'encule ainsi pendant une dizaine de minutes et finit par m'offrir avec jubilation a Maitresse Vera!
Vera me caresse gentiment les fesses, puis devient plus hardi, Vera me les triture, m'écarte les globes et je sens son doigt s'aventurer très près de mon petit trou.
Tends bien ton cul de pédé !
Je m'exécute !
Elle fait des va-et-vient pas trop rapides, elle n'a pas envie de jouir maintenant, de plus en plus elle accélère me donne des grand coups de boutoir, j'hurle mais accepte tout je suis un soumis totalement passif.
Elle à quand même bien dû me limer pendant dix minutes avant qu'elle ne daigne arrêter.
-Alors c'était comment ?
Difficile à dire, cela fait quand même mal et je n'ai jamais été soumis et humilié de cette manière, maîtresse !
C'est parce que tu n'as été assez souvent enculé, mais je vais t'apprendre à aimer cela.
Maitresse Anita est repassée derrière moi m'encule encore en m'introduisant le gode ceinture avec ardeur, Maintenant je veux que tu te branles, mais d'abord nettoie-moi bien la bite de Vera.
Je gobe littéralement la verge de la transsexuelle, tandis que je me masturbe de ma main droite.
- Bon ça va, jouis, maintenant !
Alors ça t'as plu ?
- Oui, maîtresse.
- Il n'y a plus de maîtresse, la séance est finie, si tu veux de nouveau m'appeler maitresse, il faudra revenir, tu reviendras ?
- Je crois, oui!"
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Ainsi les cordes étaient venues, vous étiez là, à même le sol, dans cette position d’’exhibition encore essoufflée de l’instant précédant.
Poignets attachés à un bambou de fort diamètre, passant le long de vos bras, les cordes en serpent constricteur, vous y ont immobilisées : Crucifiée. Vos jambes, repliées, obligées à garder la position par le chanvre en d’esthétiques circonvolutions se terminant à vos chevilles. Un dernier brin, pure contrainte perverse, liant le bambou à vos chevilles, vous ouvrant délicieusement, offerte à ma vue dans cette pose impudique : Ecartelée.
Oh… ce n’est pas là une recherche affolante dans les nœuds, pas même dans les passages de cordes, ou les figures, non… Tout cela a été très vite. Un corps à corps tendu, farouche, ou vous ne vouliez céder ni par désir ni par devoir, mais par abandon après avoir lutté, sans vous rendre, me demandant de gagner pied à pied votre corps, votre nudité, vous n’aviez que faire de l’état dans lequel vous seriez, que faire que je dusse pour cela déchirer vos vêtements, pas plus d’attention aux marques de mes mains sur vos poignets, sur votre corps, qu’importe cette lutte, ces traces, vos cris… A vous abandonner, vous ne vouliez pas vous offrir, je devais vous conquérir pour vous posséder.
Votre souffle est encore court, vos yeux fermés. Assis là, entre vos jambes, je profite de la vue, mettant à mal les derniers remparts de votre pudeur de mon index explorateur savourant le satin de votre peau et cette douceur humide entre vos lèvres. Il vous reste encore quelques forces sans doute, vous tentez de vous y soustraire, balbutiant des « non » et autres suppliques dont vous savez très bien qu’ils n’ont pas lieux ici…
Un cri de surprise mêlé de douleur vient contraster avec les murmures que vous aviez juste avant, ma main s’est abattue à plat sur votre pubis, pour vous intimer cette fois l’ordre de votre reddition sans concession. L’exploration reprend alors doucement, séparant lentement vos lèvres, agaçant votre clitoris, le pinçant, le malaxant doucement, cherchant ce bouton sous capuchon, faire éclore le bouton de rose, le sentir doucement gonfler, et voir vos ondulations revenir, mais cette fois sans chercher à fuir mes gestes. Des soupirs naissent alors que je grogne aux plaisirs grandissants.
Vos joues s’empourprent, et là une autre chaleur vient à vous et commence à vous inonder. Continuer lentement cette découverte, ce corps que vous m’abandonner pour la 1ere fois. Je suis le chemin tracé par le trouble naissant, jusqu’à sa source, pour la fouler, la pénétrer un peu plus, plus profondément. Vous sentir vous contracter pour emprisonner mes deux doigts inquisiteurs, vous relâcher aussitôt, comme pour mieux les avaler en vous, cherchant de votre bassin à accompagner leur mouvement, ou à le refreiner, m’offrant ainsi une carte au trésor pour y trouver ce point précis…
« Venez »… « Venez »… D’abord à peine audible, ce mantra roule dans votre bouche, entre incantation et supplique… votre demande de plus en plus pressante, de plus en plus impérieuse… « VENEZ ! »
« Chut… Pas encore », je veux profiter de ces caresses, tour à tour, mes doigts vous fouillent, puis vous écartent, vont et viennent, accélèrent ou s’arrêtent un bref instant… …avant de s’enfoncer comme un coup de poignard se plantant dans votre sexe jusqu’à la garde. Votre corps se tend, se crispe, vos poings se serrent, votre appel ne vient plus de votre bouche, les mots n’ont plus de sens, vous vous évadez dans un ailleurs, vous vous êtes enfin rendu entièrement.
Soyez mienne, maintenant que vos défenses ne sont plus là, je vous possède enfin, ma bouche est avide de vous, elle coure sur votre peau, elle avale vos seins, elle les mord, les suce, les étire, je vous dévore, je m’enivre de vous, et sans plus de façon me plante en vous, sans même avoir pris le temps de me dévêtir. Vagues de plaisirs, elles montent, marée aux parfums âcres de nos effluves. Notre corps à corps n’est plus un combat, nous dansons, portés par cette transe. Vos mots confus, inaudibles, insensés, ne sont plus que des cris animaux, félins, feulement, primal exutoire du plaisir d’avoir perdu pied de ne plus être vous, de me sentir en vous.
Nos chairs mêlés, nos esprits égarés, à bout de force je me suis perdu en vous, nos folies sont venues à bouts de notre résistance à la fin de notre endurance. Allongé sur vous, agonie délicieuse, je cherche l’air, apnée impossible, je sens votre cœur raisonner dans ma poitrine, le mien explose dans mes tempes...
Aujourd’hui, vous et moi devons nous…
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Comment cette maîtresse, m'a imposé la bisexualité ?
Lors de 69, il m’arrivait de tenter de lui introduire un doigt dans l’anus mais elle n’appréciait guère. En revanche, croyant peut être me punir de cette attitude elle a voulu faire de même. Non seulement je n’ai pas refusé mais mon attitude l’encourageait à poursuivre. Cette situation a fini par se reproduire régulièrement. le moment est venu où je lui ai suggéré de se mettre contre mon dos au prétexte de pouvoir mieux m’introduire son ou ses doigts et d’utiliser un lubrifiant. Cette position lui permettait de prendre de plus en plus d’ascendant sur moi au point qu’elle s’est mise à me caresser les seins, à les pincer, à forcer l’écartement de mes cuisses avec un genou et a commencé à me traiter de « pédé ».
Le jour où son gode a remplacé ses doigts elle a conclu que c’était avec un homme que je devrais assouvir complètement la sodomie.
Ces évocations revenaient régulièrement sans que je puisse imaginer, malgré un certain désir, que cela devienne réel. Jusqu’au jour où elle m’a annoncé avoir invité pour la soirée un ami que je ne connaissais pas. Elle lui chuchotait plusieurs fois dans l’oreille des propos que je n’entendais pas. Il a finit par acquiescer à ce qui semblait être une proposition en disant « bien sur, je suis là pour ça ». Alors ma maîtresse a dit qu’elle me faisait porter des sous-vêtements féminins et que son ami aimerait bien me voir avec. Face à cette révélation, très gêné, rougissant, j’ai compris que je ne pourrais pas me dérober et suis allé me travestir avec un string, des porte jarretelles et de bas résille. Quand je suis revenu, debout devant eux je ne savais plus que faire. Alors, il m’a demandé de me rapprocher. Prétextant de tester l’effet cela faisait, il s’est mis à me caresser les jambes, puis l’entrecuisse, puis les fesses. Enfin il a posé une main sur mon string et a constaté mon début d’érection. S’adressant à ma maîtresse, il lui dit « il a l’air d’aimer ce genre de caresses. Il me plait assez. Je sens que je vais le baiser avec plaisir ». Constatant un léger recul de ma part, ma maîtresse me dit « tu ne vas pas faire ton difficile maintenant. C’est ce que tu voulais. Mon ami est d’accord et j'ai très envie de voir te faire sodomiser. Viens nous rejoindre dans le lit » J’étais tétanisé, incapable de réaction, et en même temps troublé au maximum de voir ma maîtresse dans cet état et de penser que j’allais être sodomisé par un homme.
En arrivant dans la chambre,j’ai pu voir qu’il disposait d’un sexe de très belle taille. Voyant que j’avais les yeux rivés dessus, il m’a dit de m’approcher et de venir le caresser. En présence de ma maîtresse, je n’osais pas utiliser autre chose que mes mains. Mais pour me montrer l’exemple (et aussi pour se faire plaisir) elle me dit « regarde comme il faut faire » et elle englouti le membre dans sa bouche sous mes yeux et a commencé une magistrale fellation. Subjugué je lui caressais les cheveux, le dos. Puis elle m’a ordonné de prendre sa place. En insistant, elle me dit « suce le bien, à fond … » Et pour conforter ses propos elle appuya ma tête d’une main et se branla le clito de l’autre. Peu après, tout en continuant à sucer, j’ai senti un contact frais et humide entre mes fesses. Elle était entrain de m’enduire l’anus de gel. Puis son premier doigt est entré profondément dans mon fondement, puis un second, puis un troisième, puis, enfin, son gode. J’ai eu un petit gémissement. « Depuis quand te plains-tu ?» dit-elle.
Je sentais que le sexe de cet ami devenait de plus en plus dur. Enfin, il se dégagea de ma bouche, changea de préservatif et demanda « par qui je commence ? » « Par lui » dit ma maîtresse en me montrant du doigt. « Il en a envie et il aimera ça. Cela le fera bander et je pourrais profiter de le voir se faire mettre ».
Positionné en levrette, tenu par les hanches, ma maîtresse appuyant sur mes épaules pour me faire cambrer le dos au maximum, il s’est présenté contre mon anus et a progressé en moi par pressions successives. Quand le gland a forcé le sphincter, je n’ai pas pu, réfréner un gémissement. Ma maîtresse, de plus en plus salope, me traitait de pédé, d’enculé.
Enfin, les premières douleurs dissipées, complètement pénétré, « envahi », je me sentais vaincu, dominé, cela me procura peu à peu un bien être et mon érection était telle qu’elle en était presque douloureuse. De temps en temps, il ressortait son sexe puis le réintroduisait en laissant son gland à la hauteur du sphincter pour reproduire cette douleur que j’avais connue au début de sa pénétration. Il voulait me soumettre complètement à son emprise, sous les yeux de ma maîtresse, en me faisant souffrir et il y réussissait. Je m’abandonnais complètement, formulant des propos à peine audibles tels que « oui, encore, encule moi bien, vas au fond, … » Et ma maîtresse surenchérissait en continuant de me traiter d’enculé, de salope, de lopette…
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Des jours, des heures à échanger et c’est ainsi qu’une envie de plus en plus présente s’installe.
L’envie de rencontrer l’autre dans son être tout entier et pas seulement à travers des mots … des photos … Mais la peur, le doute, la distance … autant d’éléments qui freinent … nous freinent .
Puis un jour, au détour d’un échange et d’un heureux hasard mêlant rendez-vous annulé et autres joyeuses libertés. Il propose … une rencontre de dernière minute. Pas le temps de s’y préparer, juste aller au plus important, la tenue, le maquillage … Ne pas vraiment le connaitre mais déjà avoir envie de lui plaire.
L’heure tourne et c’est le moment. Il me propose de le rencontrer sur le vieux port de pêcheur qui n’a qu’un seul bar. Difficile de se louper.
Je laisse ma voiture au parking et commence à me diriger vers le lieu de rendez-vous. Rester zen, ne pas montrer son appréhension, à ce moment toute mon attention est dirigée vers le point d’arrivée.
Tellement que mon cœur sort de ma poitrine quand je sens une main serrée mon bras et ressens la présence d’un corps derrière mois. « Ne bouges pas ». Je m’exécute incertaine et fébrile.
« Très jolie robe ». Je suis aux aguets. J’ai envie de courir mais cette voix est tellement douce, comme ensorcelante. Je me laisse prendre au jeu.
Il sort de sa poche un bandeau et me demande si je l’accepte. Je n’arrive pas à répondre et fais un simple hochement de tête comme signe d’acquiescement. Une fois le bandeau posé et vérifié, il me prend la main. Je le sens vigilant et consciencieux dans sa guidance. Ca voix devient de plus en plus chaude et tendre.
Puis nous nous arrêtons, il me guide pour enjamber ce qui me semble être un obstacle puis de l’autre côté, une drôle de sensation m’envahit. Mon équilibre est modifié. Je comprends que je me trouve sur un bateau. Je cherche à analyser le peu de donner que j’ai. Si je ressens le mouvement de l’eau c’est qu’il n’est pas très grand donc si je me déplace de trop je risque d’être au bord. Se calmer et ne pas bouger. A peine mes idées fusent dans ma tête, que je sens sa main sur mon poigner.
« Ne te tracasse pas autant, tu risques rien ». Un soupir de soulagement sort de ma poitrine. C’est étrange la manière dont il me rassure.
Il m’installe dans un confortable fauteuil. « Ne touche pas au bandeau, je te l’enlèverai. Encore un peu de patience ». Je le sens aller / venir … Je suis un peu désorientée, quand je le sens à nouveau derrière moi. Ses mains se posent sur mes épaules. Et il commence à retirer doucement le bandeau. « N’ouvre pas encore les yeux » dit-il en retournant s’asseoir.
C’est alors que je le découvre dans une tenue décontractée et un sourire immense qui illumine son visage. Je reste silencieuse et un peu timide face à lui et mes yeux commencent à parcourir le lieu où nous nous trouvons. Un petit bateau, très loin des yachts mais très chaleureux et aménager pour l’occasion. Une décoration sobre mais ponctuée de douce attention.
Nous sommes à quai et très proche des badauds. Je vois qu’il s’est souvenu que j’apprécie le côté invisible des choses, même et surtout, quand c’est sous le nez des gens.
Je reviens peu à peu à moi, à mon état « normal » et on commence à discuter, de la journée, de comment on se sent … De tout et de rien. Parfois, il revient dans son côté dominant en ponctuant d’une note d’humour. Comme pour me signifier qu’il est pas loin et peut surgir à tous instants, j’en frissonne.
L’air est doux et souffle parfois sur mes épaules. Agréable sensation dont je me délecte en quittant pour quelques secondes mon hôte qui me regarde d’un air amusé.
Nous commençons à trinquer et déguster quelques mets toujours dans la simplicité, en échangeant des regards complice et parfois lourd de sens. Nous sommes rassurés car l’alchimie de derrière nos écrans est toujours présente.
La soirée est déjà bien avancée et d’un coup, il me tend la main. Je la regarde d’un air surpris comme si je ne comprenais pas ce qu’il voulait. Pourquoi me tendre la main ?? Mon côté blonde qui arrive au galop …
Son regard se fait plus sombre face à mon manque de réaction. En le croisant, je ressens comme un électrochoc et m’en saisie immédiatement.
Nous nous déplaçons à l’avant du bateau et il me place devant lui pour venir doucement resserrer ses bras autour de moi. Nous restons là immobiles pendant quelques instants à contempler l’eau et l’horizon.
Puis il approche ses lèvres de mon oreille « comment te sens-tu ? », « Très bien Monsieur ». Une de ses mains commence à explorer mon corps mais de manière délicate et pleine de pudeur comme pour poser ses premiers pas de possession sur moi. Il est en marche. Involontairement et de manière incontrôlé, mon corps donne des signes de faiblesses face à ses caresses. J’essaie de me ressaisir, de ne pas lui montrer à quel point je suis déjà sienne mais ma défaite est cuisante. Mon égo part boudé dans un coin et je deviens de plus en plus pantin entre ses mains.
Je sens se dessiner un sourire sur ses lèvres. Oh non, ne pas penser à ses lèvres …
Victorieux de cette première bataille, il range ses mains autour de moi et me serre contre lui.
Puis me prend la main pour me guider vers la table. Il relance la discussion d’une manière si aisée que je suis un peu désarçonnée.
Puis d’un coup, il se fait sérieux. « Retire ta culotte ». Je rougis et regarde partout autour de moi. La soirée est assez avancée pour qu’il reste moins de monde mais toujours un peu. Je m’exécute doucement et avec le plus de discrétion possible en ressentant la gêne qui s’empare de moi.
« Je préfère ainsi » Mon dieu, moi qui avait oublié tout se protocole me voila servis. Il se rapproche de moi et me signifie clairement la présence de l’autre … L’autre c’est celui qui veut s’emparer de moi, me posséder, que je lui appartienne dans tous les sens de tu terme. Sentant une peur soudaine dans mon regard, il m’invite à me lover contre lui. Il le sait, il me fait céder … petit bout par petit bout.
Je suis là, à sa merci et complètement déculottée sous les yeux de tous. Ma tête bouillonne et m’ordonne de fuir mais je me sens tellement bien dans ses bras. Soudain il me prend par le menton et vient déposer un baiser sur mes lèvres. « Tu es à moi ». L’écho de ces mots me parcourt le corps. Comme si ils s’imprimaient en moi. « Mais il est temps de rentrer. Je vais te raccompagner à ta voiture ».
Il joue encore avec moi … Mais je cède au plaisir d’être encore en suspension, de ne pas encore être totalement sienne et de m’endormir avec le sourire béat des premiers rendez-vous qui vous laissent rêveuse en pensant au prochain.
M
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Animal rebelle, prédatrice... elle se promène, cherche sa proie, la repère et devient joueuse, féline... telle une succube qui use de ses charmes. Danse lassive, jeu de séduction, la femelle attire... Désir animal, le mâle ne resiste pas, il s'approche... la femelle s'éloigne, garde une certaine distance, tout en se pavanant.
Jeu de regard, lutte silencieuse... moment de trouble, chacun savoure cet instant un peu particulier. La femelle se veut Maîtresse... devient soumise? Ne soyons pas dupe, c'est Son plaisir qu'elle choisit de prendre... d'un bon, sa proie est entre ses giffres, elle prend, se sert...
L'homme est au sol, la femme sur lui, ses griffes sur sa poitrine... son pieu en elle, elle choisit Son rythme, Son envie, Son plaisir.
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La nuit livre le décor rouge de la chambre
D'étranges ombres aux cravaches et plumeaux
Elle imprègne d'ondes tout mon corps qui se cambre
Martinets et fous désirs d'un badine en roseau ==
Mon regard s'est voilé d'une étoffe d'envies
Mains et pieds entravés comme l'est un forçat
Je connais la sentence et me vois asservie
Sous le joug d'un fouet qui fustige mes bas ==
Soudain un bâillon mors est posé sur ma bouche
Puis des picotements légers se font sur ma peau
Une roulette de Wartenberg peu farouche
Trace des arabesques se formant tel un sceau ==
Son haleine, doucement, épouse mon derme
Mes seins se sont tendus, mes tétons aux auguets
Guettent la morsure d'une pince qui se ferme
Et durcit un peu plus, mes mamelons coquets ==
Dans la noirceur du bandeau qui m'ôte la vue
Mes sens à l'affût, mes envies misent à nue
J'alloue mes lèvres et mon bouton en revue
A l'obélisque vibrant qui s'offre au menu ==
Je bois à l'outrance le plaisir qui décuple
Je me vêts de cette volupté qui me prend
Et me fouille tels feraient des doigts aux centuples
Je frémis, je feule, à cet instant en suspens
Le 18 06 2018
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Le lendemain matin, et à condition qu'il ne fut pas trop tôt, j'adorais aller vous rejoindre dans votre lit, me glisser sous les draps comme ça l'air de rien. Vous sentiez alors que je vous caressais délicatement.. Oh ! ...je savais que vous m'aviez entendu et que vous faisiez mine de dormir encore. Alors je plongeais sous les draps et d'une langue délicate je descendais le long de votre poitrail pour finir au saint des saints !! Bien souvent elle réagissait avant que je ne l'eue atteinte !! Ce qui me ravissait...alors je m'appliquais du mieux que je pouvais. C'est alors que vos mains rejoignait ma tête, et que votre respiration se faisait lente et plus profonde comme si vous vouliez retenir en vous toutes ces émotions que vous ressentiez. S'en suivait un petit déjeuner où votre soumise vous appelez Hervé et où le voile n'avait pas sa place.
Une fois la douche prise c'était une toute autre histoire !
La météo déterminait comme bien souvent la suite que nous donnerions à cette journée !
Il pleuvait ? Nous restions chez vous et j'étais totalement à votre disposition...
Il faisait beau ? Nous nous baladions ou nous restions sur votre terrasse et là encore votre soumise était votre objet de plaisir !
Notre histoire se forgeait ainsi mois après mois et le socle de notre relation devenait de plus en plus solide. Ce que je pouvais vivre avec vous était unique. Vous étiez et êtes toujours un subtil mélange délicieux d'attention, de douceur mais aussi d'autorité et de charisme. Je me souviens que lorsque je goutais à ce genre de relation pour la première fois, j'avais rencontré un homme qui lui aussi dégageait cette particularité. J'avais beaucoup aimé ce trait de caractère. Ce qui me plu d'emblée chez vous.
Avec vous, je me rendais compte que j'étais en train de redécouvrir ou plutôt de découvrir les plaisirs que mon propre corps pouvait m'offrir.
Je vous faisais don de mon corps et vous en extirpiez votre plaisir tout en transcendant le mien.
A chaque innovation vous étiez là à guetter la moindre désapprobation le moindre désagrément que je pouvais exprimer...c'était important pour vous comme pour moi. De cela il fallait absolument que nous le partagions. Votre plaisir ne pouvait passer que par l'expression du mien. J'étais votre soumise et paradoxalement je détenais les clefs de votre ou plutôt de notre plaisir. Vous aviez semble t'il une idée assez précise de ce que vous vouliez... J'avais admis la fessée, vos claques sur mon corps que vous pratiquiez couramment, et ce pilier qui était devenu maintenant un compagnon...un de mes 3 ou 4 accessoires. J'aimais m'y retrouver vous offrant mes fesses ou mes mamelles que vous honoriez à votre convenance. En guise de prélude, vous m'offriez un de vos baisers profonds tandis que votre sexe ne pouvait s'empêcher d'essayer de s'insinuer en moi. S'en suivait l'expression d'un plaisir crescendo.
Et puis il y eu cette première fois où vous avez voulu expérimenté le fouet. Pour cela vous avez voulu marquer l'évènement et aviez misé sur un bel endroit ....neutre !
Vous aviez réservé un gite de charme à 200 kms de Paris :
- Dis moi... tu es disponible le week end prochain n'est-ce-pas ? Aviez-vous lancé comme ça l'air de rien alors que nous dissertions sur les conditions de la femme, si mes souvenirs sont exacts !
-J'aimerais t'emmener à la campagne... vois si tu peux prendre ton lundi...d'accord ?
- oui bien sur maitre...où m’emmenez-vous my dear master ? vous me direz ce qu'il faut que j’amène... ?
- tu le sauras ...mais plus tard... pour le moment demande ta journée !
Evidemment, vous avez voulu entretenir le mystère et sur la destination et sur ce qui m'attendait.
Je dois dire que vous aviez réussi votre coup. Mon imaginaire fonctionna à plein régime durant toute la semaine précédent ce week end...Impossible de vous arracher le moindre détail !
Le mercredi de la fameuse semaine vous avez consenti à me donner ces quelques consigne vestimentaire :
- tu prendras une tenue habillée, tes accessoires évidemment. 1 jupe et un jean si tu veux, une et une seule petite culotte. Il est évident que lorsque je te récupérerais samedi matin à 10h tu seras en jupe sans dessous ! !
Vous prononciez ces derniers mots sur un ton presque narquois avec j’imagine des yeux plein de malice. Je soupçonne même qu'à ce moment précis vous vous imaginiez la scène où je découvrirais la véritable raison de ce déplacement.
Comme toujours nous en avions discuté et je savais que vous y viendriez un jour sans pour autant en connaitre le moment exact.
Tout autant curieux par nature que moi vous aviez choisi ce bout de province où il y fait bon vivre et qui de surcroit regorge de trésors historique et culturel ! Il était évident que nous ne resterions pas enfermés tout le séjour !!
Par chance, la météo avait annoncé du beau temps à peu prés partout.
Je dormis la veille de ce grand jour, d'un sommeil agité pour finalement me lever sur le coup de 7h ! Petit déjeuner et toilette soignée...il me fallait être imberbe, parfumée et maquillée légèrement. Mon sac était prêt et c'est fébrilement que je vous attendais.
9h55 le téléphone sonna :
- dans 5 mn je suis en bas de chez toi, j'espère que tu y seras également! Nous partirons immédiatement...
- humm ... mon maitre arrive vous avais je répondu sur un ton suave et légèrement moqueur ... Humm .. oui je serais là fidele au rendez vous !! Poursuivais-je !
- oui ..oui. c'est ça...fait ta maligne...en attendant je serais là dans 3 mn.. et tu as intérêt à y être !!
- humm...je n'sais pas ...à y réfléchir je crois que je ne viendrais pas ..!! A près tout je ne sais même pas où vous m'emmenez, disais je en souriant,...et si vous aviez l'intention de .. je n' sais pas moi...euh... abusez de moi ou me trucider... vous avez pensé à ça ??
Vous saviez que je plaisantais... Et tout en vous parlant je m'étais rapproché du trottoir et y fut bien avant votre arrivée!
Vous m'avez souri tout en me saluant d'un simple baiser sur mes lèvres !
Sitôt le sac embarqué nous prenions l'autoroute du sud...direction...l'inconnu !
Assise sur mes fesses, les jambes entrouvertes et la jupe légèrement remontée sur les genoux nous dissertions comme à votre habitude sur nos petites tracasseries du moment.
La destination finale devait rester un mystère jusqu'au bout !
Il commençait â faire faim et vous avez cédé aux demandes incessantes de votre soumise..
Déjeuner correct dans l'auberge du coin et enfin découverte du lieu de villégiature...
Une magnifique maison d'hôte au bout d'une allée bordée de tilleuls. Cela vous ressemble bien... vous aimez tellement les belles choses !!
Le propriétaire nous attendait sur le seuil et nous fit visiter les lieux :
2 chambres à l'étage, une superbe salle de bain..
Au rez de chaussée une belle terrasse donnait sur un jardin fleuri et un petit cours d'eau ..au salon deux grand canapés trônaient en son milieu.
Il vous en confire les clefs et disparu.
La porte refermée notre séjour pouvait débuter.
Nos diverses activités nous avait tenu éloignés l'un de l'autre depuis plus de 3 semaines ...et l'appel des sens commençait à réclamer son dû !
- eh bien soumise ! ...on a déjà oubliée les bonnes habitudes...même ici tu les respecteras ... Allez...commence par me saluer ..!
- bien sur maitre... avec plaisir ! un sourire illumina mon visage...je m'agenouilla et commença à déboutonner son pantalon afin de le saluer comme il le voulait !
Encore une fois je remerciais mon maitre pour ce week end en cette belle demeure.
- Va enfiler ta tenue et rejoints moi ici ..tu as 10mn.
Pas le temps de flemmarder .. Et 9 mn plus tard je fus devant lui.
- remonte ce voile .... approche toi ...écarte les jambes !
Vos invectives n'avaient alors qu'un but ..faire monter, comme s'il en était besoin, ce désir de vous qui déjà me brulait intérieurement !
En l'espace d'une fraction de seconde votre main était sur mon sexe et contrôlait la netteté de l'endroit !
Constatant mon etat d'excitation flagrant :
- eh bien soumise .. c'est bon de te savoir ainsi !
Ce à quoi je repondis :
- merci maitre ... vous savez que j'ai toujours envie de vous ...ce n'est pas un scoop !!
Vos yeux délicieusement pervers et un grand sourire eclairait votre visage ...puis :
- tourne toi..penche toi et écarte tes fesses !
Là encore un doigt ferme s'aventura et fit quelques aller retour !!
- bien soumise ..tu es comme j'aime...mouillée et prête !! maintenant assis toi là et offre toi .. que je vois bien tes trous ... salope !!!
Je remerciais mon maitre pour son inspection et m'asseya juste devant lui !
- cet apres midi, commença t'il, nous irons faire du tourisme et avant de rentrer nous irons peut être visiter une cave ... Ca te va ?
- vous savez que j'aime ça, en plus je ne connais pas la région ...tout va bien donc ....le temps de prendre mon appareil photo et je suis à vous .euh...jupe ou je peux mettre mon jean ?
- mets ton djean si tu veux ! Je t'attends ...tu as ...allez on va dire 15 mn !
-20 ? tentais je de négocier en souriant ..
- non 15 .. Allez depeche toi
- bien maitre ..à tout de suite ..je m'eclipsa et m'habilla !
Nous partimes pour une belle ballade : ... le joli château de l'Islette logé au coeur d' un écrin de verdure ... puis nous nous dirigions vers la cave que vous vouliez visiter également !
durant le trajet votre main alla souvent flâner ....allant et venant du genou à l'entrecuisse. Ma main quand à elle, avait pour consigne de se tenir sur votre sexe. Votre desir etait toujours là. Ses soubresauts m'indiquait son desir de s'affranchir de toutes les barrieres qui le tenait encore enfermé!
Soudain ce petit chemin là à gauche, où vous vous etes soudain engouffré :
- tient ma belle ..vas y suce moi ..maintenant que tu m'as bien excite . ..allez salope ..allez vas y .. tu le sais que tu es une salope ..hein !!! oui comme ça bien au fond ..oh oui hummm que c'est bon et quelques instants plus tard nous étions à l'extérieur du véhicule
- tourne toi et baisse ton djean petite pute ...écarte tes fesses .. !!
Connaissant mon maitre depuis maintenant plus de 2 ans je savais ce qu'il aimait entendre dans ces moments là :
- oh oui maitre enculez moi ... enculez votre salope !
- penche toi alors et ecarte bien tes fesses ..salope !!
Et puis tandis qu'allongeais sur le capot de la voiture je vous offrais mes fesses :
- merci maitre !! et je sentais son membre dur me pénétrer doucement d'abord puis plus vigoureusement
Juste avant de jouir je devais me retourner et recevoir votre précieuse semence que j'eue soin d'étaler sur mon visage pour mieux vous affirmer ma soumission et donc votre domination.
Ce fut un moment tellement intense que ce plaisir m'avait une fois de plus transperce le corps
- merci maitre vous remerciais je encore
Puis nous repartimes en direction de la cave que vous vouliez visiter. Je remarquais ce petit sourire persistant. Votre regard me racontait combien vous etiez fier et content d'avoir marqué votre territoire !
Durant toute cette visite vous n'avez pas arrêter de me sourire, heureux de savoir que je portais sur mon visage votre marque d'appartenance..j'en fus fière et honorée..vous me faisiez quelques clins d'oeil entendu !! Je vois repondais par mon sourire !
Sur le chemin qui nous menait sur le lieu de notre séjour vous m'avez dis d'un ton ferme mais cependant bienveillant :
- en arrivant tu monteras te changer bien sûr ! et je veux que tu mettes, ta nuisette noire avec tes belles mamelles à l'exterieure,..tu sais celle que j'aime bien et ton string noire!
- bien maitre ..repondis je sans plus me soucier de ce qu'il adviendrait plus tard ..
Sitôt arrivée, je montais me changer et réapparu dans la tenue exigée !
- bien. .assis toi là ..allez ...offre toi à ton maitre .. soumise ..!.puis quelques instants plus tard, alors que vous me tendiez un verre ..
- je voudrais expérimenter une nouvelle chose avec toi .. Je te sens prête pour cela .. Es tu d'accord pour essayer quelque chose de nouveau ?
- euh ...oui maitre, l'air tout de même un peu inquiète
- tu sais que nous discutons beaucoup de ton éducation et que je ne ferais rien contre ta volonté ou du moins rien que l'on est pas discuté !!
-oui maitre acquiesçais je .. ça je le sais et vous avez toute ma confiance maitre
- bien ... j'aimerais donc tester le fouet ! .nous en avons parlé et tu n'etais pas contre me semble t'il !...nous dinerons avant ..puis tu te prépareras ..tu mettras un voile recouvrant pour ton dos ! Tu t'installeras face au canapé ..tu commenceras par te caresser puis je te fouetterais ..tu es d'accord ?
- oui maitre ..bien sur ..je sais que vous vouliez cela depuis un bon moment ..merci maitre !
Je vous repondais d'un ton pas tres assuré , cette annonce m'avait immédiatement remplie d'inquiétude !
On sonna à la porte. Mon maitre alla ouvrir apres m'avoir demandé de m'en tenir à l'ecart.
Notre diner arrivait ..
Un beau chandelier ...une bouteille de ce que mon maitre venait d'acquérir pour arroser notre repas..
Je fus légèrement tendue et angoissée connaissant la suite que vois alliez donner à cette soirée !
Puis vint le grand moment !
Comme à son habitude mon maitre commença a m'embrasser amoureusement puis m'invita à prendre place en me désignant le canapé !
- va ma belle .. ! Ne t'inquiete pas je serais doux ...tu me connais et tu sais que je ne suis pas une brute !
- oui oui je sais ça ...maitre mais vous savez en meme temps que je ne suis pas mazo non plus !!
- aaaahh mais qui te parle de ça ...enfin ! tu me connais quand meme !! bon assez parlé ....je ne fouetterais que tes fesses .. !
Face contre le dossier du canapé .. mes mains étaient mointes et mon coeur battait à tout rompre !
J'attendais la première morsure de la lanière... au lieu de cela je sentis une main chaude caresser mon fessier. J'avais commencé à me masturber et cette main inattendue m'avait détendue ..sans me prévenir mon maitre m'assena le premier coup !
J'etais saisi ..j'avais ressenti une vive morsure ! Je me concentrais sur mes caresses ..puis vint le second ..d'une meme intensité et toujours aussi mordant ..mon maitre vint me voir et passa sa main sur mon dos et sur mes fesses suppliciées :
.. Ça va soumise ? Es tu contente que ton maitre te fouette ?
- euh ..c'est à dire cher maitre que je ne dirais pas que je suis contente, vous avais je alors repondu sur un ton malicieux et éprouvée .. Euh ...disons plutôt que je suis contente que mon maitre me fasse connaitre une nouvelle chose ! Mais vous n'avez fait que me caresser ..là cher maitre ...trouvais je alors intelligent de rajouter...
Je le reconnais cela etait quelque peu inconsideré
-ah bon ? m'avez vous repondu affichant un sourire jusqu'aux oreilles ...ah bon ..es tu sûr de cela soumise ?
-euh ...non pas du tout !
Mais il etait trop tard et vous avez enchainé les troisiemes et quatrieme coups à la file. Ils furent plus marqués mais sans etre non plus trop appuyés !
Fiere et forte je ne laissais entendre qu'un simple cri dû à la surprise de l'enchainement de ces deux derniers coups ! Je redoublais d'intensite dans mes caresses pour me laisser envahir par un orgasme intense pendant que vous m'asseniez un cinquieme et dernier coup
Il me fallu tout de meme quelques minutes pour me remette de mes emotions ....et je me retourna. Je devais alors constater que vous ne portiez plus votre pantalon et que de surcroit votre queue affichait fièrement son contentement !
J'eue grand plaisir alors à la prendre en bouche l'avalant goulument pour en extirpez tout votre plaisir. Il ne me fallut que quelques secondes à peine..vos mains réconfortantes caressaient mon fessier apaisant ainsi les morsures du fouet ! Vous etiez heureux et moi plus encore
Je su qu'il me faudrait désormais compter avec ce nouvel accessoire!
Pour marquer ce baptême vous avez débouché cette bouteille de champagne que vous teniez jusqu'alors cachée !
Nous finissions la soiree sur le canapé à discuter moi caler contre vous ! Je fus extraordinairement bien comme à chaque fois que nous connaissions un moment si fort.
Puis chacun regagna une chambre et je m'endormis d'un sommeil de plomb.
Le lendemain vous fûtes levé plus tot que moi et m'avez fait la surprise d'un café au lit.
C'était la première fois que vous vous adonniez à cet exercice.
Exercice réussi !
(vous recommencez quand vous voulez cher maitre!)
Café...une petite fleur dans un soliflore et un baiser sur chacune de mes mamelles ..un vrai réveil romantique !! vous m'avez gâté .très cher maitre!
S'en suivait un petit déjeuner sur la terrasse au soleil puis la douche et je reprenais mon rôle de soumise. Votre sollicitude m'avait beaucoup touchée ce matin là et c'est ainsi que je pus prendre le soleil revetue de la nuisette et du plug inséré entre mes fesses ...vous pouviez contempler ainsi à loisir les marques laissées par votre oeuvre !
La matinée se déroula ainsi tranquillement !
L'après midi nous faisions une expo sur des artistes peintre contemporains ! Beau bâtiment et belle expo ..jupe sans dessous et decolleté furent de sortie.. Nous poursuivions par la visite du cloitre de la Psalette et sa cathédrale attenante. ! J'aime ces endroits là ..ils dégagent de la sereinité et force l'humilité face à l'oeuvre accomplie par la main de l'homme !
Je vous faisais remarquer que cela n'était guère décent ... moi en jupe sans dessous me promener dans un endroit aussi pieux !! Vous m'avez répondu par un sourire . Je vous ai senti à cet instant très amoureux ..vous me teniez par l'épaule .. des petits bisous venaient se poser sur mes lèvres ... . Plus tard vous m'avouerez que cela vous avez bien excité et j'aime vous voir ainsi !
Le soir vous m'avez demandé de revêtir ma tenue habillée toujours sans dessous ! En effet nous sortions !
Vos activités professionnelles vous avez amenées par ici et vous aviez gardé quelques contacts.
Vous aviez choisi de m'emmener chez l'un d'eux !
Ce petit manoir qui se dessinait au bout d'une belle allée allait nous accueillir pour cette soirée .. je sentais qu'elle serait particulière ....une impression ...rien qu'une simple impression..!
Un majordome vint nous ouvrir la porte puis un peu plus tard vos amis nous accueillaient enfin !
Un couple la cinquantaine ..à peine grisonnant ..elle .. feminine distinguée sans en faire trop, lui elegant et de surcroit bel homme !! tres sympatique, pensais je !!.
Durant cette prise de connaissance je sentais les regards sur moi ...me scrutant .. me déshabillant presque !!
Cela me mettait mal à l'aise .. j'avais un tres mauvais pressentiment .plus les minutes passaient plus mon impression du départ se confirmait.
Une ambiance assez spéciale s'installait .. J'avoue que je ne comprenais pas et n'avais qu'une envie ... partir loin de là avec quelques explications !!
Une chose me tenait ...vous êtes pas homme à dévoiler votre intimité et j'étais donc sûre que vous n'aviez pas revelé ce qui nous unissait..
Me voyant désemparée et tendue vous vous êtes adressé discrètement à votre ami et vous m'avez prise a part :
- ma belle, avez vous commencé par me dire, t'ais je deja decu ?
- non maitre, non bien sur .. mais là je ne comprends pas pourquoi vos amis me dévisagent ainsi ..j'ai un truc qui ne va pas ? Je dépareille dans le paysage ? La il faut que vous me disiez parce que je n'aime pas ça du tout !!
- oui c'est vrai tu as raison j'aurais dû t'en parler et te prie de m'en excuser ..voilà .. Marc était une relation de travail au départ..nous avons sympathisé et nos conversations nous ont poussé parfois a nous raconter intimement c'est comme ça que je sais que sa femme Isabelle a parfois des aventures avec des femmes. Je me suis dis que cela te plairait peut être ... en plus c'est une belle femme ... tu en as toujours envie .. n'est ce pas ?
- j'en dis que vous auriez pu effectivement m'en parler ..là j'ai l'impression d'être une bête curieuse et ce n'est pas tres agréable Hervé ! D'autant que vous avez dû le dire à votre ami .. qui lui en a parlé à sa femme !! En fait je suis la seule idiote à ne pas être au courant !! Vraiment là je vous en remercie !! moi qui pensait finir ce week end en apothéose ..
- encore une fois excuse moi ma belle. !!
- et donc qu'est il censé se passer ce soir ?? je vais passer à la casserole ??
- mais non ...bien sur que non ...nous faisons juste connaissance ...voir si toi et elle ça pourrait coller ... !
- ah oui ? Et puis apres ?? Vous avez deja tout planifié si je comprends bien .. Vous avez peut être déjà la date et l'heure de fixer ??Ais je mon mot à dire ?
- ah mais oui et j'y compte bien !! tu sais que rien ne se fait si tu n'es pas d'accord. ..je ne t'ai jamais rien imposé !
- bien maitre ..retournons voir vos amis ..ils vont s'inquiéter et nous en reparleront ailleurs quand nous serons seuls !! Sur le principe je suis tjs d'accord ..sur la méthode employée ...non ! Repondis je sur un ton emporté mais discret.
- bien... merci ma soumise ..tu as raison retournons voir nos amis !
De retour vous m'avez tendu une coupe de champagne vous m'avez souri et nous avons poursuivi la soirée !
Vous sentant coupable de ce contretemps vous vous êtes montré plus que prévenant
A table je fus à vos coté et je dû m'assoir comme à l'accoutumé sur mes fesses .. laissant votre main vagabondee sur mes cuisses et parfois jusque mon entrecuisses ..vous savez que cela m'excites ..je vous laissais faire ...je ne voulais pas gacher votre plaisir !! nous discuterions de cette soiree plus tard !! Pour l'instant je ne voulais pas rendre vos retrouvailles désagréable !! Je me montrais donc agreable souriante et disponible. Je pense que vous avez su apprécier cela !
Il se faisait tard et nous prenions congés de vos amis !
Sur le trajet vous m'avez demandé si gentiment de vous caresser que je n'eu pas la force de vous le refuser ..je m'exécutais et sans que vous n'ayez eu besoin de le demander je me penchais vers votre sexe le suçant sur toute sa longueur. Votre main soudain me maintint la tête alors que votre sexe était au fond de ma gorge ...je sentis votre chaude semence m'envahir la bouche tandis que vous poussiez un râle de satisfaction !
J'avalais toute votre substance, je nettoyais du mieux que je pouvais votre membre et me relevais!
Ce soir là nous dormions ensemble et vous me faisiez l'amour.
J'aime ces instants .. si rare et si précieux. Ils me dévoilent alors une autre facette de votre être : le mâle dominant fendant l'armure. Vous vous faites alors si doux. Votre regard pétillant, vos gestes tendre et votre attention constante me raconte ce que vous ne me révélez pas autrement.
Oh oui ! je les connais ces sentiments ...ils sont la pierre angulaire de notre histoire sans laquelle rien de tout cela n'existerait !
Merci maitre pour tout cela !
Lundi ..jour de retour sur Paris ..pas très envie de rentrer mais il le fallait bien. Nous n'avions pas reparler de la soirée de la veille .."laissons les choses s'apaiser" avez vous dit ..et j'étais assez d'accord avec cela..
Il nous fallu faire nos sa sacs et partir pour midi après avoir restitué les clefs !
J'avais adoré ce week end provincial...et j'en espérais bien d'autre !
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Ceci est l'interview d'un addict du fétish, de son amour pour le latex et le cuir, de la scène fétichiste colombienne et de ce qui l'inspire à fabriquer son propre équipement et à créer son propre look fétish.
"J'ai commencé à faire du kink quand j'avais 18 ans et je sortais avec un homme qui me présentait officiellement dans le monde du fétish, mais j'avais toujours été curieux. Fétish pour moi signifie voir au-delà du sexe conventionnel et se retrouver, faire des choses que vous aimez et vous amuser avec elle. Encore et encore du fun.
Ce qui m'attire chez les autres fétichistes, c'est l'ouverture d'esprit. J'ai beaucoup de fétish, mais la plupart d'entre eux sont enclins à l'équipement. J'aime le latex et le cuir. Le premier équipement que j'ai acheté était une chemise et un pantalon en cuir, avec quelques gants en latex courts. Je suis un créateur de mode et j'ai utilisé mes antécédents pour commencer à concevoir mon propre matériel il y a environ 3 ans. Il était assez difficile de trouver le type d'équipement que je recherchais en Colombie, ce qui était l'une des raisons pour lesquelles j'ai commencé à fabriquer des vêtements en caoutchouc et en cuir selon mon goût et mon style. Je peux facilement acheter du cuir ici en Colombie, mais je dois acheter du caoutchouc en ligne et le faire expédier.
Mon inspiration pour faire du matériel vient de partout - des films, des livres, des jeux vidéo. J'aime créer l'esthétique du bizarre sexy et jouer avec différents éléments, tels que des cornes et des lentilles de contact pour créer un look qui est en accord avec mes créations et mon équipement. J'ai quelques modifications corporelles - quelques piercings et tatouages. Ma langue attire le plus l'attention des autres - tout le monde veut savoir ce que l'on ressent lorsqu'on embrasse, lèche et rase. Je leur fais juste savoir que deux langues valent mieux qu'une haha.
J'aime jouer avec d'autres équipements non conventionnels comme les corsets, les talons et les grosses bottes. La plupart des gens parlent du mot corset et des talons à l'idée de l'utilisation féminine, mais si vous regardez en arrière, ils ont été utilisés par les hommes pendant des centaines d'années. Personnellement, j'aime les utiliser pour l'esthétique extrême qu'ils créent. J'utilise un corset de 18 " (= 45 cms) et des talons de 10" (25 cms) pour me donner de l'assurance et manipuler mes proportions et ma stature, me rendant puissant et sexy. La première fois que j'ai essayé un corset il y a 3 ans, j'en possède maintenant 12.
J'aime expérimenter et essayer de nouvelles choses et profiter du processus de création de choses à partir de rien. J'aime faire des harnais et des sous-vêtements. Avec les harnais, vous pouvez travailler avec autant d'éléments différents en matière de conception et de fabrication, qu'il s'agisse du matériau que vous utilisez, de la couleur ou de la façon dont il s'adapte à votre corps. Le temps qu'il faut pour faire une pièce d'équipement dépend; Je passe généralement une journée à faire une pièce, mais si j'ai l'impression de ne rien avoir à porter, je peux créer quelque chose en environ 2 heures.
J'aime travailler avec du latex et du cuir et infuser des éléments fétish dans l'usage quotidien. J'espère à l'avenir étendre ma petite entreprise et commencer à vendre dans le monde entier, mais je le fais pas à pas. Je voudrais en savoir plus sur les vêtements gonflables en latex et sous vide - Je suis très curieux du processus de fabrication et je veux en ressentir le sentiment sur mon corps.
Les médias sociaux sont une excellente plate-forme pour montrer mon amour du fétish, et l'équipement que je fabrique. J'aime mon corps, et mon apparence, et pour moi le fétish est une partie très importante de mon identité. C'est incroyable d'avoir différents médias pour montrer mon travail et ma créativité, non seulement dans un contexte sexuel mais aussi d'une manière artistique et axée sur la mode
La scène fétish colombienne n'est pas énorme, il y a quelques endroits où on peut porter des vêtements et rencontrer d'autres gars. J'ai rencontré beaucoup d'autres fétichistes et je me suis fait des amis grâce à mon travail. Beaucoup de gens m'ont demandé de leur confectionner des tenues et m'ont chargé de les fabriquer sur mesure - ça me fait toujours plaisir de voir quelqu'un qui aime vraiment porter une de mes créations. Les gars ici sont plus dans le cuir que dans le caoutchouc, car c'est plus accessible, mais la scène fétiche en Colombie est en train de changer - c'est déjà très différent de ce qu'il était il y a quelques années et ça grossit. Il y a plus d'endroits et d'événements qui répondent aux kinksters - nous avons même une semaine fétiche à Bogota.
Je n'ai pas eu beaucoup d'occasions de voyager pour assister à des évênements fétish, je prévois cependant un voyage en Europe plus tard dans l'année - j'espère pouvoir assister à Folsom Europe en septembre et peut-être faire un petit tour fétichiste en Europe."
Traduction : Olivier
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je me suis déjà fait enculer par des femmes avec des godes ceinture,mais le plaisir ne doit pas le même qu’avec une vraie bite. Pourrais je donc prendre du plaisir avec des trans. Mais jusqu’où ? Il fallait que je le sache…
J’entrepris donc de poursuivre mon exploration du genre, et de mes limites.
Je consultais donc des sites de trans à la recherche de celle qui me plairait le plus.
A l’heure dite, je me présente au domicile de la belle avec un peu d’excitation et beaucoup d’appréhension.
Elle m’ouvre la porte. Première bonne surprise, elle est belle, très féminine et très sexy.
Passé les formalités d’usage, elle me donne une serviette de toilette propre et je me dirige vers la douche.
Douche finie, je noue la serviette autour de ma taille et sors de la salle de bain.
Elle est allongée sur le lit, tallons aiguilles, bas, et belle lingerie. Elle me fait signe de venir la rejoindre.
Je lui explique que c’est la première fois avec un trans, elle me rassure aussitôt avec des mots doux. Puis elle m’allonge sur le lit, se penche sur moi.
Très vite, elle glisse sa main sous la serviette, mon sexe est déjà dur, elle m’excite.
Presque machinalement, je descends ma main vers son string pour la caresser. Elle ne bande pas encore mais je sens son sexe qui commence à durcir. J’imagine que d’avoir à faire à un novice doit l’exciter un peu.
Elle retire son string pour libérer sa queue puis se place en 69. Elle commence à me sucer. Mon excitation ne fait aucun doute, mon sexe est dur et sa bouche l’engloutit sans difficulté, elle sait y faire.
Je me retrouve avec sa queue sous les yeux. Machinalement, je commence à la branler doucement.
« Suce moi » me dit-elle…
J’obéis. J’avance ma bouche, met ma main à la base de sa queue et commence à la sucer. Je suis plutôt excité d’avantage. Passé les premiers va et vient, je prends confiance et pousse plus loin son sexe dans ma bouche. Elle apprécie visiblement. Sa queue devient toute dure, elle guide ma tête de sa main, sans arrêter de me sucer.
Puis je sens un de ces doigts caresser mon anus, d’abord doucement, avant qu’elle ne l’enfonce lentement pour me préparer à la suite.
Je ne peux plus lâcher sa queue. La sentir grossir dans ma bouche m’électrise. J’accélère le mouvement de ma main comme si je voulais la faire jouir.
Mais ce n’était pas encore le moment. Avant il fallait passer à la casserole…
Après quelques minutes de ce 69 excitant et surtout qu’elle m’ait bien ouvert le cul avec deux doigts, elle m’allongea sur le dos et passa un coussin sous mes fesses.
Je ne contrôlais plus rien, j’étais son jouet.
Elle a relevé mes jambes, enfilé une capote, placé sa queue à l’entrée de mon cul et m’a pénétrée doucement.
Dire que je n’ai pas eu mal serait mentir, mais c’était aussi jouissif. Tout en s’enfonçant en moi, elle branlait ma queue. Et elle rentra toute sa queue dans mon cul.
Voilà, je l’avais fait, pour la première fois, je me faisais enculer.
Elle resta quelques instant figée au fond de moi avant d’entamer un lent va et vient. La douleur s’estompa , le plaisir prenant la relève au fur et à mesure qu’elle allait et venait dans mon cul.
Après que minutes dans cette position, elle se retira, me retourna sur le ventre et me pénétra à nouveau. Plus fort, plus violemment, plus vite… Je me laissais faire, je ne réfléchissais plus. Sa queue me faisait du bien. J’en voulais encore.
Elle me pilonna pendant de longues minutes en me susurrant des mots crus :
« Tu aimes que je t’encule . Tu aimes que je défonce ton petit cul serré »
Je ne répondais même plus, j’étais submergé par le plaisir.
Elle se retira, s’allongea sur le dos et me fit s’asseoir accroupi sur sa queue. Dans cette position, elle m’a possédé encore plus loin. Sa queue me provoquait un plaisir intense, je la voulais encore plus loin dans mon cul.
En même temps quelle me prenait, elle branlait ma queue qui était gonflée comme jamais.
J’allais de plus en plus vite sur son sexe, je sentais que j’allais exploser, et elle aussi.
« Vas y , bouge, je vais jouir »
Elle a eu en un spasme puissant, elle jouissait dans mon cul.
Cette sensation m’a fait jouir violemment, d’autant qu’elle me branlait toujours. Je me suis vidé sur son ventre puis écroulé sur elle.
Je suis resté comme ça plusieurs minutes sans bouger, je ne pouvais plus. " Tu l’as fait… Et tu aimes ça. Tu es une vraie petite lopette et je vais t'enculer tous les semaines pour que tu deviennes une vraie salope.."
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C'est mon truc. Tout est dans le titre. C'est ainsi. Lorsque j'ai enfilé ma première jupe, j'ai senti des picotements dans les doigts, l'envie de tenir un fouet, et j'ai beaucoup aimé cette sensation. Je me suis senti femme, une gynarchiste impitoyable.
Ma mère voulait une fille. Elle a eu un garçon, mais ce besoin de féminité est resté profondément ancré en moi, comme pour beaucoup de travestis occasionnels.
Mon premier orgasme a été celui d'une femme. Au judo, avec un beau jeune homme, fort séduisant, mon professeur, fier de sa ceinture noire. Nous étions seuls dans le dojo. Je n'étais que ceinture blanche et parfaite débutante, ce crétin a eu provisoirement le dessus. Il m'a projettée au sol, m'a immobilisée et a glissé sa jambe entre les miennes et a appuyé sur mon bas ventre. J'ai joui très fort, pas en éjaculant comme un homme, non, comme une femme au clito très très sensible. Des orgasmes à répétition. Il se frottait lorsqu'il a vu qu'il me faisait jouir très fort. Mal lui en a pris, car je l'ai retourné, j'ai défait sa ceinture, j'ai baissé son pantalon blanc et il a reçu une fessée monumentale. Il avait les fesses si rouges qu'il s'est mis à pleurer de plaisir. Je me suis servi de sa ceinture pour lui attacher les mains dans le dos.
Fessé sur mes genoux, ce crétin m'a jouit dessus. J'avais sa semence sur mes jambes. Je l'ai obligé à me lécher. Il était aux anges, tout tremblant, tout en excuses.
Sous la douche, je lui ai redonné une sévère correction et j'ai eu un nouvel orgasme, différent du premier, totalement cérébral cette fois. C'était si jouissif de voir les jolies petites fesses bien rouges et bien musclées de celui qui était censé être mon professeur de judo. j'aurais pu le sodomiser, mais j'ai préféré en rester à cette jouissance de femme.
C'était le pied. J'étais une vrai fille à l'intérieur et j'adorais cela. Le beau jeune homme aux fesses bien rebondies avait envie de se faire prendre. Rien, je ne lui ai même pas donné mon gros clito à sucer. J'ai voulu le Frustrer, histoire d'en faire un chien docile. Il me regardait avec des yeux grand ouverts, comme en adoration. il a reçu une bonne baffe et il a couiné.
Depuis, c'est ainsi, chaque fois que je passe une jupe, je me sens dominatrice impitoyable jusqu'au bout des ongles. J'adore attacher, et infliger de très sévères correction. Implorer ma pitié ne sert à rien. Avec une jupe, je deviens terrifiante. Je veux voir des fesses bien rouges et des larmes, celles du plaisir de mes soumises et soumis, en proie à l'extase. Travesti et dominatrice, c'est vraiment le pied.
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Lisa est une bonne chienne, une pisseuse qui a toujours envie. Faut toujours qu'elle aille pisser cette chienne. Pas besoin de la chercher comme la Mirza de Nino ferer, non, on sait toujours où la trouver avec son besoin de se vider. En fait elle ne le fait jamais complètement, comme cela elle peut vite y retourner. Elle aime garder sa chatte bien humide.
J'en ai eu marre de ses petits pipis à répétition. Je l'ai prise par surprise et je l'ai bien ligotée, au sortir des toilettes, culotte encore baissée. je suis un expert en cordes et noeuds. Lisa ne pouvait plus bouger d'un millimètre. J'avais pris soin de lui croiser les jambes, pour bien lui fermer sa chatte pisseuse. Malheur m'en a pris. Son clito si sensible était coincé entre ses cuisses bien fermes. Les entraves faisaient affluer le sang. Au bout de quelques minutes, elle a voulu gigoter. Impossible! Je l'ai entendue râler, encore et encore. Elles jouissait toute seule en contractant ses cuisses.
J'ai voulu la suspendre. Encore une mauvaise idée. Lisa jouissait encore plus fort. Alors j'ai sorti le fouet.
- tu vas arrêter de bramer.
Et ce fut la pire de mes idées ce jour là. A chaque coup, une contraction des cuisses et un orgasme. J'ai pris la cadence. lui laisser le temps de redescendre entre chaque coups. Par terre déjà une belle flaque jaune et mousseuse. Elle a commencé à supplier:
-arrête, j'en peux plus. arrête.
Non mais elle se prenait pour qui cette chienne à me tutoyer. Des larmes coulaient sur ses joues. La cadence, comme à l'aviron, tout est dans la cadence, celle qui rend fou.
-arrêtez Maitre, arrêtez, je vous en supplie.
Et elle a encore pissé malgré ses entraves, jambes serrées, clito en feu.
La j'en ai eu marre. Comme elle était bien suspendue, je l'ai tirée vers mon sexe bien tendu. Je l'ai sodomisée d'un coup. Bizarre, elle s'est tue. Pas un mot. Je ne sais pas si elle a aimé mais je me suis rependu en elle. Un orgasme violent. j'ai hurlé mon plaisir.
Une fois détachée, une fois le ménage fait, a quatre patte et fesses en l'air, nue comme il se doit, une fois tout propret et bien essuyé, Lisa en bonne chienne est venue se lover à mes pieds. Je ne lui ai même pas donné une caresse. Cette pisseuse ne le méritait pas.
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Dérouillons ce vermeil que tu as aux joues petite joueuse
Fais pas ta plume à l'oeil d'ivoire face au corbeau de mon âme
Tu n'as aucune horizon de lune ni oraison de lutte
Ton sort est en accomplissement le con déplissé
Exhibons ce lustré qui m'éclabousse le toucher
Ma très chère enchainée du bout de ma chaire
Mon trésor de finistère au goût de terre outrancière
Mienne hôtesse amarée au quai de mes orfèvreries !
Quoi tes mains attachées
Quoi s'il Te plait Maitre
?
Mais puisqu'il me plait d'être injuste amant
Pour t'apprendre à tenir ta place justement
!
Non tu ne jouiras pas
Aphrodisiaque môme agaçante
Tu obéiras à la bouche qui te commande
Tu te débattras peut-être dans les cordes
Mais il n'y aura nulle miséricorde
Pleures-tu maintenant mais de quels pleurs ?
De ceux qui hurlent de frustration ?
De ceux capricieux qui supplient ?
De ceux d'une dignité déchirée ?
De ceux trop longtemps endigués ?
De ceux qu'une magie éparpille ?
De ceux qui apaisent un feu cul tanné ?
De ceux qui explosent comme une bulle ?
De ceux de la libération des cellules ?
Pleures-tu ta liberté ma désormais délivrée ?
Rivée-là comme tu es, fragile et contrainte
Avec ton petit coeur de fer fondant
Avec ton petit volcan palpitant
Privée de l'éruption de ton Vésuve
Tu t'accroches aux pulsations de ta vulve
Qui se réduisent comme rides sur un lac
Ou pleures-tu ton ego sacrifié dans l'évasion ?
Déverrouillons à présent ces pupilles
Le bandeau t'aidera à entendre pulsatile
La trille d'or de ton silence central
Ce phénix spirituellement indestructible
Miracle existentiel jailli de ta reddition même
Une sérénité t'emporte enfin en un souffle
Plus rien ne compte en toi les secondes
Et tu flottes sur les débris de tes peurs
Si légère d'être toi sans ton « Moi »
Si légère d'être devenue cette inconnue
Qui s'oublie en offrant son sourire nu
Et Moi je vois et je sais à ton visage
Que dans ce grand plaisir tout à l'heure interdit
Tu as trouvé par bonheur ton trésor inédit
Mais toi, tu ne peux voir mon sourire...
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Je publie ce texte datant de 2003, car je le trouve extrêmement bien expliqué et précis : sans doute, certaines évolutions seront à relever, alors n'hésitez surtout pas à apporter vos commentaires : merci à vous
nb : pour les puristes de l'écriture, il est écrit "Maitre" et "soumise" et jamais "Maitresse" et "soumis" : juste une facilité de langage mais tout se comprendra pour tous les genres
"Pour le grand public les fouets sont, avec la cravache, le symbole sulfureux d'une relation BDSM. Certains Maîtres les réduiront a l'état de triste substitut phallique d'une libido vacillante alors que d'autres sauront leur donner vie pour en faire les catalyseurs de cette alchimie entre douleur et plaisir.
Signal whip
Les single-tail , ou simple lanière
http://mehere.free.fr/alamut/photos/fouets/le_squale/single_tail.gif
Les single-tail sont les fouets mythiques du BDSM. Qui n' a pas rêvé devant l'image de la soumise attachée sur la croix de St André le dos zébré par les assauts répétitifs du single tail de son Maître. Mais ceux ci, comme une formule 1, sont les plus beaux les plus racés, les plus puisant entre des mains expertes, entre des mains inexpérimentées ils devient approximatifs et dangereux.
Qu'entend-on par single tail ?
Comme leur nom de simple lanière l'indique, ceux ci, a la différence des martinets, se terminent par une seule lanière. Ils sont constitués de 4 parties :
La poignée : soit en bois, soit une tresse de cuir et qui fait la différence entre les différents types de fouets.
Le corps : est une tresse d'étroites lanières de cuir, 8 ou 16 en général, entourant une âme centrale constituée, pour les fouets de qualité d'un fouet de 4 ou 8 lanière et de simple papier journal dans les fouets de basse qualité. Plus le nombre de lanières est élevé plus le fouet est nerveux et précis.
La queue : ou tombant, simple lanière de cuir fichée dans le corps (australian fall) ou en continuité avec la tresse externe du corps (american fall).
Le cracker : plumeau en nylon ou sur certains fouets en kevlar, c'est lors de son passage du mur du son que se produit le bruit caractéristique du fouet.
Ces fouets sont en général en peau de vache, les meilleurs étant en peau de kangourou. Mais d'autres cuir peuvent être utilisés en fonction des pays. La fabrications des single-tail est complexe; elle demande temps et savoir faire et ne supporte pas la médiocrité - ce qui en fait des objets de prix.
La grande famille des single-tail
Fouets de travail a l'origine leur forme et leur structure a été déterminée par l'usage auquel ils étaient destinés comme par la région où ils étaient fabriqués.
Bullwhips : A l'origine utilisé pour le bétail, ou par les planteurs Texan sur leurs esclaves, c'est le fouet d'Indiana Jones. Ceux-ci ont un manche rigide en général entouré par la tresse externe du corps. La queue est soit de type américain soit de type australien . Le cracker est le plus souvent attaché a la queue par un noud, ce qui permet un remplacement facile.
On différencie donc plusieurs types de bullwhip : australian bullwhip et american bullwhip (des différences existant entre les american bullwhip faits aux USA et en Australie ). Ces fouets très puissants sont souvent trop long pour pouvoir être utilisés en intérieur.
Shock whip : Le fouet australien par excellence, pour le bétail a l'origine. Constitué par un manche rigide assez long sur lequel est noué le corps de fouet. La queue est évidemment une lanière de cuir sur laquelle est noué le cracker. Ceux ci ne sont pas sans similitudes avec les fouets de chasse a cours ou le perpignan. Là aussi leur longueur les réserve plutôt a l'extérieur. Ces fouets sont beaucoup trop longs (environ 2,5m) pour être utilisés autrement qu'en extérieur.
Signal whip : Ce fouet, utilisé a l'origine pour les courses de chiens, est le fouet le plus utilisé en bdsm. . Le Blacksnake en est une variation d'un diamètre supérieur et légèrement plus long utilisé sur des animaux plus importants . Son manche, tressé, est souple et sans discontinuité avec le corps. De même il n'y a pas de réelle transition entre le corps et la queue - le cracker est épissé dans la tresse de queue. Les modèles les plus fréquents font 1,2m de long, les plus réputés sont fabriqués par Joe Wheeler.
Sjumbock
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Sjumbock : ce sont des fouets redoutables, utilisés, entre autre par la police Sud Africaine a l'époque de l'apartheid. Ceux ci sont constitués d'un manche rigide auquel est fixée une tresse qui se termine par une lanière sans cracker. Si les Sjumbock en cuir de girafe sont déjà très puissants et ne doivent être utilisés qu'avec circonspection, ceux en cuir de rhinocéros sont des pièces de musée et ont la réputation de pouvoir casser un avant bras. La police sud-africaine est équipée des modèles en plastique extrudé d'un prix dérisoire!
Quirt : autrement appelés dog quirt. Le manche et le corps sont comparable a ceux d'un signal whip, la queue et le cracker étant remplacés par une lanière de cuir d'environ 2 cm de large, ils sont donc assez courts 80 cm. Ces fouets sont difficiles a faire claquer et peuvent faire très mal.
Flogger
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Les fouets à plusieurs lanières
Ce sont les martinets achetés chez le droguiste du coin qui servaient a corriger les enfants pas sages, ce sont les chat a neuf queux en usage sur le Bounty comme dans toute la marine de cette époque.
Ceux-ci sont constitués d'un manche ( en général rigide) sur lequel s'implantent les lanières, le nombre et la forme des lanières permet de les classer. Même s'ils sont infiniment plus facile a manier que les single-tail il est impératif, pour pouvoir les utiliser correctement, que le poids du manche soit équilibré par rapport aux lanières. Même si leur fabrication est moins complexe que celle des single-tail, un gadget tel qu'on en trouve dans les supermarchés du BDSM ne pourra pas donner plus qu'il ne vaut, c'est a dire rien.
Le martinet, cauchemar des enfants pas sages, plaisir des soumises obéissantes
Les martinets et apparentés, floggers en américain, ont plusieurs lanières simples en cuir ou en d'autres matériaux. Les martinets a lanières de cuir sont ceux qui permettent la plus grande variété de sensations tant par le choix du cuir des lanières (du très doux daim a des cuir plus lourds comme le bison) que par la façon de les utiliser. Les martinets a lanière en latex, a l'opposé, permettent peu de subtilités, provoquant une douleur incisive difficilement dosable. D'autres matériaux peuvent être utilisés comme le crin de cheval ou la fourrure de lapin. Les « mops » sont une variété de martinets comportant 150 lanières en cuir léger comme du daim. Plus le nombre de lanières sera élevé et plus celles-ci seront larges, plus on obtiendra une sensation de masse en profondeur comme une vague enveloppant la soumise. A l'inverse, moins il y aura de lanières et plus celles-ci seront fines (l'extrême étant le martinet a 15 lanières latex) plus l'effet sera cinglant, mais la sensation ne pourra jamais atteindre celle provoquée par un single-tail ou un chat à neuf queux.
Cat'o nine tails
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Le chat à neuf queux, un air vieille marine
Dans la marine à voile le châtiment du fouet était administré à l'aide d'un chat a neuf queux que confectionnait le condamné a partit d'un cordage détoroné (3 torons, eux-mêmes composés de 3 brins). A la fin de la punition les chat à neuf queux étaient, entre autre pour des raisons d'hygiène, (en ces temps-là les matelots étaient fouettés au sang), jetés a la mer. Pas la peine donc de chercher chez un antiquaire l'authentique fouet du Bounty : ce serait une escroquerie. Les chat à neuf queux (cat O nine en anglais) actuels ont leurs 9 lanières tressées de section ronde de façon à garder l'effet cinglant des chat originels. Les lanières sont soit terminées par un nœud soit par deux petites langues en cuir. Ces sont des fouets très puissants, plus encore s'ils sont terminés par un nœud, même s'ils sont plus légers à qualité égale que des martinets. Leur effet est essentiellement cinglant. Un hybride entre chats et martinets est le « flat braid » dont les lanières - souvent 9 - sont tressées plates
Quel fouet choisir ?
Chaque type de fouet a un effet différent, du cinglant superficiel pour les single tail au pesant profond pour les martinets les plus lourd. Dans une même famille de fouets la nature du cuir aura une incidence, du daim extrêmement sensuel, au lourd cuir de bison pour les martinets. Il est donc impératif de choisir son fouet en fonction des sensations que l'on désire provoquer mais aussi de l'expérience de sa partenaire. Un fouet de qualité coûtant cher, il faudra procéder par étapes pour s'équiper.
Choisir son premier martinet :
Le martinet est le premier fouet qu'il est judicieux d'acheter, celui-ci étant le plus facile à manier. Apprendre leur maniement est assez simple et rapide et un entraînement minimal permet de les avoir bien en main, hormis pour les modèles les plus lourd ou un entraînement quasi quotidien est souhaitable. Même si le ridicule ne tue pas il est fortement déconseillé d'acheter un des pitoyables ersatz si souvent vendus dans les supermarchés du bdsm, ceux-ci étant au mieux médiocres voire dangereux, sans parler du grotesque combiné gode-martinet. Le premier point à vérifier lors de l'achat d'un martinet est que les lanières soient biseautées à leur extrémité et que leurs bords ne soient pas coupants afin de ne pas risquer de blesser sa partenaire. Il faudra ensuite s'assurer du bon équilibrage entre le manche et les lanières, gage d'une bonne prise en main et de mouvements fluides et seul moyen d'éviter une tendinite du coude. Il faudra enfin veiller à la bonne fixation des lanières au manche dans lequel elle devront s'emboîter, celles-ci devant former un bouquet harmonieux en cercles concentriques ou éventuellement en spirale afin de rester bien groupées lors de l'impact. Pour le choix du cuir, on consultera a profit l'excellent site de Janette Heartwood.
Passer au single-tail , le grand saut
Acquérir un single-tail, fouet roi du bdsm tant par les connotations qu'il véhicule que par l'intensité des sensation qu'il procure, c'est quasiment changer de dimension. L'improvisation et l'approximation ne pardonnent pas s'il n'y a que quelques millimètres entre une caresse et une coupure profonde, il y a des heures de pratique entre un bouffon et un artiste. « Adopter » un single-tail , c'est s'entraîner au moins trois mois sur un oreiller avant de pouvoir songer à l'utiliser sur sa partenaire, c'est encore s'entraîner un minimum d'une demi-heure par jour (les plus grands Maîtres de la scène américaine s'entraînent en moyenne 2 heures par jour), c'est à ce prix qu'il prendra vie et fera corps avec son maître. Les seuls fabricants étant aux Etats-Unis et en Australie, il faudra passer par Internet pour en faire la commande.
Le signal whip est le plus couramment choisi, moins puissant qu'un bullwhip, c'est quasiment le seul a pouvoir être utilisé dans un intérieur classique, une longueur de 4 pieds est un bon choix. Un 8 brins sera moins précis mais aussi moitié moins coûteux qu'un 16 brins, le choix est donc très personnel. Les plus réputés sont les 16 brins fabriqués pas Joe Wheeler.
Quelques principes de sécurité
Ne pas blesser sa partenaire
Les fouets principalement, les martinets et les chats a 9 queux, n'ont pas qu'un effet sur la peau, plus ceux ci sont lourd plus l'onde de choc se propage sur les tissus et les structures sous jacentes. Il faudra donc se limiter aux parties charnues recouvertes par des tissus musculaires ou des structures osseuses comme le haut du dos, les fesses, la poitrine et les cuisses. Il faudra absolument éviter l'abdomen ( foie et rate ) ainsi que les lombes (reins). Si chez la femme un fouetter léger de l'entrecuisse peut être très érotique, chez l'homme on s'expose a des lésions graves testiculaires. Ceux dont la main n'a pas encore une précision parfaite pourront avantageusement faire porter un serre-taille a leur partenaire, celui-ci recouvrant justement les zones à éviter. Même si certains experts du single-tail s'autorisent a caresser le visage de leur partenaire, ce sont, à moins d'une parfaite maîtrise, des pratiques particulièrement à risque à ne pas imiter. Lorsque vous vous servez du fouet sur plusieurs partenaires n'oubliez pas de désinfecter les lanières (le sang peut s'incruster en profondeur dans le cuir) ou les crackers.
Ne pas se blesser
Lors des débuts avec un single-tail il est important de se protéger les yeux et les oreilles des retour malencontreux. Avant de pratiquer dans une pièce il faut s'assurer que le single-tail dans son mouvement ne pourra s'accrocher à aucun objet, aucun lustre. Non seulement cela abîmerait le cracker mais le risque de recevoir l'objet n'est pas négligeable. Lorsqu'un single queue touche lors de sa course un objet ou un mur celui-ci a la fâcheuse manie de revenir sur son utilisateur, souvent au visage."
Extraits du site de KHAYYAM ALAMUT, texte signé Le SQUALE (2003)
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La bougie goutte à goutte, perle en larmes de cire.
La grande pièce est éclairée par un seul projecteur.
Cercle de lumière pour distiller la cire avec ferveur.
Comme une offrande, je suis votre point de mire.
Prosternée à genoux, seins écrasés au sol.
Mains écartant mes lombes, la croupe relevée.
J'offre mes orifices au feu du chandelier.
Qui petit à petit dispense son obole.
La bougie goutte...
Le 27 05 2018
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Je ne donnais pas cher de ce rendez-vous. Près de quatre mois sans rien, hormis quelques messages, quelques photos. Mais je n'avais plus le goût aux jeux à distance. Je voulais des regards, de la peau, des nerfs, des gémissements. Je voulais voir de près, toucher, sentir, goûter. Pas un succédané de plaisir on line ou on the phone. Du vrai, pas du semi caché.
De contretemps en annulations, j'étais frustrée de frustrations. J'avais décidé qu'il serait pleinement à mon service cette fois, sans savoir quelles envies naîtraient au-delà de ces petits plaisirs de femme. Cela m'amusait de le voir dans un rôle inconnu. N'avait-il pas proclamé "je suis tout à votre plaisir, Madame." ?
Une fois le thé servi, trop chaud pour être bu d'emblée, je lui tendis un flacon de vernis à ongle rose nacré. Une première naturellement. Pour débuter, il serait testé sur les ongles de pieds.
"Appliquez-vous, sans déborder."
Les orteils, trop facile. Je lui demandai donc de peindre les ongles des mains. Un peu plus délicat. Il allait falloir qu'il s'entraîne avant de poser un rouge flamboyant ou un grenat sombre !
Le thé coula en petites goulées chaudes au fond des gorges, avant que je ne lui demande de me brosser les cheveux, de les caresser. Je fermai les yeux, savourant le plaisir de ses doigts aux abords de ma nuque, frôlant les oreilles, la joue, descendant dans le haut du dos. Je me gardai bien de retenir mon souffle plus saccadé et quelques gémissements, je savais qu'il bandait dans mon dos. Je lui susurrais au passage "Savez-vous que les cheveux peuvent être une zone érogène ?". D'un regard en coin, je le vis rougir un peu. Il continua avec autant de douceur et de délicatesse que possible.
"Notre thé doit être moins chaud maintenant".
Après quelques gorgées, je lui fis face et tamponnai ma bouche, lui tendant un crayon et un rouge à lèvres. Je m'amusai de son air interdit. Il ne savait pas s'il devait commencer par l'un ou l'autre. Là encore, une première... Il suggéra le crayon de lui-même et traça le contour de ma bouche avec une grande attention et un trouble croissant, délicieux. Puis, il peignit mes lèvres du bâton de rouge, gras, tentant de ne pas déborder. Je ne regardai même pas le miroir, je savais que sa main avait tremblé, que le geste avait glissé à la commissure ou sous la lèvre inférieure.
Il s'excusa, précisant que cela s'uniformiserait si l'on tapotait ses lèvres.
"Allez-y"
Il fit un mouvement incongru, appuyant sa lèvre inférieure contre la supérieure.
"Pas comme ça ! Les vôtres sur les miennes !"
Il obtempéra alors et frotta ses lèvres sur les miennes afin d'unifier la couleur, de lisser la texture.
"Regardez-vous, vous en avez autant que moi ! Il ne vous reste plus qu'à essuyer."
Penaud, il commença à frotter ses lèvres.
"Pas vous ! Moi. Nettoyez ma bouche avec votre langue."
Il ne se fit pas prier et fondit sur ma bouche comme l'assoiffé du désert sur une oasis. Il lécha ma bouche entrouverte, la baisa. Il bandait de plus belle.
Il ôta ses vêtements à ma demande, gardant son boxer. Je restai habillée mais relevai ma jupe et tendit une pince à épiler. Encore une première. Je lui montrai donc le geste, puis resserrai les dentelles noires à l'intérieur de mon sexe afin de dégager les grandes lèvres, dans un premier temps, avant d'écarter le tissu sur le côté.
"A vous de jouer, sans pincer la peau, n'est-ce pas ?"
Il était un peu décontenancé, se mit à transpirer davantage,mais esquissa vite un sourire, il avait compris le vice de la situation. Lui mettre ma chatte ainsi sous le nez, sans préavis, juste pour me servir d'esthéticien. Je le vis sourire. La frustration attendue, la vraie était là, dans cette activité incongrue.
Il commença à arracher les poils, un à un. Je sursautais parfois, je mouillais sous ses yeux. Je lisais le désir grandir dans son regard. Il scrutait mon plaisir, l'attendait.
" Si vous me faites mal, il vous faudra me masser".
La douleur de la pince se mêla alors à ses caresses. Frôlement de chair, frottement de clitoris. Il faisait attention mais je le soupçonnais vaguement de pincer plus fort la peau fragile pour avoir le privilège de me toucher.
Il marqua un temps d'arrêt. La séance d'épilation était-elle terminée ? Etait-il satisfait de son travail ? Il le lui semblait, il argua de la douceur, joignant le geste à la parole. Son regard se fit provoquant.
"Il faut passer un baume, désinfecter et adoucir"
"Comment, Madame ?"
Cet air faussement innocent...
"Mon cher O, sachez que la salive est un très bon antiseptique"
Sa bouche soulagea de son eau fraîche le feu douloureux du sexe, l'esthéticien se transforma ainsi en masseur puis en praticien buccal.
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Beaucoup de libertins et de libertines se revendiquent d’Epicure alors même que la philosophie épicurienne considère la sexualité comme étant un désir naturel, non nécessaire. Non nécessaire ?! Vivre pleinement sa sexualité contribue pourtant à l’équilibre psychologique et favorise une certaine sérénité de l’esprit. Quel antagonisme, par méconnaissance sémantique, ces derniers au nom des plaisirs de la chair feraient-ils l’apologie de la vie monacale ou d’Eunuques ? Préférence accordée à Eschyle pour qui « il est agréable, d’être agréable à quelqu'un » ou Sophocle qui préconise « être fou de joie, dans les plaisirs, au milieu des plaisirs » .
L'hédoniste considère le plaisir comme le bien unique et suprême dans la vie, et professe la recherche du plaisir, et même des plaisirs multiples, en tant que fin idéale de toute conduite. Alors que pour Epicure, le but ultime est l'atteinte de l’ataraxie. Donc sortons de notre léthargie épicurienne pour entrer dans les folies hédonistes.
La vie est une succession de souffrances et de petits instants de bonheur. Les plaisirs y sont trop éphémères. Cueillir le plaisir du moment, sans dol ni préjudice pour autrui, est de bon conseil pour agrémenter sa vie. Mettre ses sens en exubérance et son esprit en harmonie avec les saines forfaitures des corps.
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Nous sommes un couple "normal", sans posture liée à un statut dans le quotidien. L'un comme l'autre peut être à l'initiative de moments d'intimité, sexuels ou tendres, selon nos désirs - pas de décalage. Quelques gestes ou usages ont été instaurés dans ce quotidien, mais ils ne sont que des clins d’œil, des jeux, des friandises sans implication ni commune mesure avec ce qui se passe dans l'intimité.
Le premier décalage évident apparaît après le déclenchement par l'un ou l'autre d'intimité. Elle me domine ou pas, non pas par convention mutuelle, mais parce qu'elle le peut, quand elle le veut. Dans les faits, ce que j'initie, tendresse ou sexe, reste tel quel (vanille) ou je me retrouve dominé ; ce qu’elle initie est de la tendresse ou de la domination.
Sa domination est sexuelle, sa sexualité est dominante, dans le sens où ces deux désirs sont liés, indissociables, se nourrissent l'un l'autre, se comblent l'un l'autre (plaisir).
Ma sexualité est sous contrôle, dominée. Mon désir sexuel se retrouve lié à sa domination, il est exacerbé par sa domination, utilisé par sa domination, comblé ou pas dans sa domination. Mon plaisir sous sa domination et mon plaisir sexuel sont par contre très dissociés et ne sont jamais comblés au même moment (ou frustrés).
Ces différences entraînent le deuxième décalage, le plus difficile, celui de l'après. certains appellent cela la descente mais je le ressens personnellement comme une remontée, quand elle ne me domine plus, ne me subjugue plus, ne me piétine plus, ne me soumet plus, ne m'enfonce plus (sub c'est en bas :)).
Il y a l'après immédiat, ses désirs comblés face à mon éventuelle frustration sexuelle et mon plaisir de soumission jamais rassasié (pas de phase réfractaire). Cette frustration fait encore partie de sa domination et j'ai "appris" à l'apprécier...
Et il y a l'après après. C'est de plus en plus compliqué avec le temps (7 ans) et la profondeur toujours plus grande de ma descente, de remonter complètement. Frustration, contrôle et emprise entraînent un état de désir sexuel ou de soumission quasi permanent, alors que ma compagne est légitimement "repue". Je me sens en attente, en demande, avec ce paradoxe dérangeant d'avoir envie d'imposer ma soumission, c'est à dire de faire ce qui me semble le plus artificiel dans les témoignages que je lis - deux individus se reconnaissant leur statut de soum et dom, et se mettant d'accord et respectant les désirs et besoins de chacun. Ce n'est pas ma conception de la domination mais dans ces moments là, j'aurais presque envie de brandir ma liste de courses et la charte des droits du soumis. Bref je me foutrais des baffes!
Avec le temps, ces moments difficiles sont donc de plus en plus forts. Parallèlement mon engagement progresse également, et me permet de résister tant bien que mal... avec comme conséquence de voir mon "appartenance" déborder hors du cadre intime et envahir mon esprit constamment. Troisième décalage ou emprise?
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Tout était prêt.
Elle était entièrement nue, si l'on excepte le collier d'esclave qu'elle arborait fièrement autour de son cou gracile : un bandeau de cuir naturel épais et large, muni d'un solide anneau et de rivets en forme de clous tapissiers assortis en laiton ancien.
Et bien sûr cette fine couche d'huile de massage parfumée à la fleur d'ylang-ylang dont je l'avais enduite et qui faisait luire de reflets soyeux sa peau déjà dorée par les premiers rayons de soleil de cette fin de printemps.
J'avais pour ma part mis ce pantalon de cuir noir 'wet look' que j'affectionne, surmonté d'une chemise blanche "pirate" sans boutons mais lacée aux emmanchures et au col, et avais décidé de rester pieds nus.
Je parcourais la pièce d'un dernier regard circulaire pour vérifier que je n'avais rien oublié. Les accessoires étaient disposés à leur place respective.
Au milieu, la table basse de salon en teck massif naturel cérusé de blanc aux larges pieds bombés. Tout autour de la pièce, une multitude de chandelles aux couleurs chatoyantes l'éclairaient de leur lumière vacillante et chaleureuse... Et plusieurs cônes d'encens commençaient à diffuser leur parfum ambré et musqué aussi exotique qu'érotique ...
Sur le canapé de cuir fauve à côté de la table basse, les ustensiles de plaisir qu'elle avait sélectionnés pour ce défi : un gode en verre 20x4 cms strié en spirale, un gode chapelet formé d'une succession de six sphères de diamètres successifs de 2,5 à 5 cms en silicone noir, un plug anal gonflable en silicone noir également, deux doigts chinois en TPR transparent aux nombreux picots , un double dong 45x3,5 cms en silicone transparent, un gode-phallus géant 30x4,5 cms en latex noir, un stimulateur clitoridien multi-vitesses, son vibromasseur vaginal Rabbit, et bien sûr son Magic Wand préféré ! Sans oublier bien entendu un tube de lubrifiant anal...
Sur le côté, disposés sur une étroite mais longue console haute en bois adossée au mur de pierre, les instruments de "torture" que j'avais choisis pour cette séance : une grande bougie de cire rouge, des pinces à seins à vis de serrage et chaînette de liaison, une trentaine de pinces à linge en bois, une fine cordelette de chanvre, une roulette de Wartenberg, une canne en bambou, ma cravache de cuir noir, un martinet aux multiples lanières épaisses de cuir noir, et bien sûr mon fouet arabe préféré de cuir tressé noir d'une longueur de deux mètres...
Satisfait de mon inspection, je lui dis "Je te rappelle les sept règles de notre jeu d'aujourd'hui :
- tu peux utiliser tous les accessoires que tu as choisis et disposés sur ce canapé ;
- tu ne dois pas quitter l'espace de cette table de salon, sur laquelle tu es libre de tous tes mouvements et positions, sauf si je te donne une instruction spécifique pour accéder à telle ou telle partie de ton corps ;
- tu ne dois pas chercher à esquiver mes coups ;
- tu peux gémir, crier, hurler, râler, geindre sans retenue, de douleur ou de plaisir, personne ne peut t'entendre ;
- le jeu commence à la première note de la musique, et se termine à la dernière note : cette musique pour aujourd'hui est le Boléro de Ravel, dans la version de Charles Munch avec l'Orchestre de Paris, d'une durée de 16 minutes et 54 secondes ;
- tu seras la gagnante si tu parviens à jouir avant la dernière note, et cette jouissance devra être visible sous la forme d'un jet fontaine ; dans le cas contraire, si je parviens à t'empêcher de jouir par la douleur infligée avant cette limite de temps, c'est moi qui serai déclaré vainqueur !
- et le vainqueur pourra disposer à sa guise du corps de son partenaire pendant le reste de la journée !
Sommes nous bien d'accord sur ces règles du jeu ? Une question ?"
Elle plongea vers moi son regard si profond et langoureux, et murmura de sa voix douce et sensuelle :
"Oui, bien sûr, pas de question, je suis prête".
"Bien, le jeu peut donc commencer", répliquais-je.
Et je me dirigeais vers la chaîne hi-fi, posais le disque de vinyle sur la platine tandis qu'elle s'asseyait sur la table basse, saisissait les deux doigts chinois et les enfilait prestement sur le majeur de chacune de ses deux mains. J'appuyais sur la touche 'Play', le bras de la platine se leva et vint se poser doucement sur le bord de la surface noire, et les deux enceintes Jean-Marie Reynaud Grand Opéra commencèrent à égrener les premières notes de la musique à la mélodie diatonique et au rythme à trois temps si envoûtant de Ravel...
https://youtu.be/CJRE1y5uxOM .
Croche-triolet, croche-triolet, croche-croche...
Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (pianissimo)
Le tambour caisse claire en pianissimo... Les altos et violoncelles en pizzicato... La flûte qui entame la ritournelle en sourdine et en solo...
Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam...
Elle était assise, le torse rejeté en arrière, les yeux mis-clos, et n'avait pas perdu de temps : elle se caressait les tétons de ses deux embouts aux picots caoutchoutés... Je me saisis pour ma part de la pince à seins... Ses tétons étaient déjà érigés, ce qui facilita leur pose : je les serrais sur chaque mamelon, et elle ne put retenir une grimace de douleur, mais simultanément ses deux mains s'étaient dirigées vers son entrejambe, où elle commençait à masser sa vulve et son clito en lents mouvements circulaires et de va-et-vient verticaux... Je me munis alors du petit panier de pinces à linge et de la cordelette de chanvre, et commençais à les appliquer sur son corps, tout en enserrant la fine corde dans les arrondis du bois : deux pinces sur chaque sein, puis en descendant le long de son torse, de son ventre, pour finir sur ses cuisses un peu au-dessus du genou... Elle haletait de douleur contenue, mais je pouvais observer qu'en même temps ses lèvres vaginales étaient déjà toutes humides de désir...
.
Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (pianissimo)
La 2ème flûte, la 1ère clarinette, la harpe, suivies du basson entrent dans la danse... Le son est plus appuyé, en mode 'mezzo piano' et 'piano'... Les 2ème violons en pizzicato et la contrebasse en alternance avec les bassons...
Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (piano)
J'avais fini de poser la dernière pince. Elle venait de prendre le tube de gel anal, s'était mise à quatre pattes les fesses en l'air, et commençait à enduire sa fente anale, puis à élargir son petit orifice par des massages circulaires, avant d'y introduire un index, puis deux doigts, dont le majeur toujours encapuchonné de son doigt chinois... Je ne pouvais résister au plaisir d'administrer dans le même temps sur ce cul offert de façon si indécente à ma vue une série de claques magistrales et résonnantes au rythme de la musique : Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (piano) La petite clarinette en mi bémol fait entendre son timbre nasillard, tandis que les 2ème violons en pizzicato scandent le rythme en alternance avec la contrebasse et les bassons... Elle saisit le plug anal, l'enduit de gel, et commence à le presser contre sa rondelle déjà ouverte... Par de lents mouvements de va-et-vient, il s'enfonce doucement dans l'évasure frémissante, jusqu'à disparaître, entièrement happé par les constrictions du sphincter... Seuls le petit tuyau et la poire dépassent encore à l'extérieur, et elle commence alors sans perdre de temps à presser la poire... J'entends le suintement de l'air comprimé qui s'engouffre vers l'insert anal, et je vois sur son visage le sourire de plaisir qui l'envahit... Je me dirige alors vers la console, attrape la grande bougie et l'allume...
Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (mezzo piano)
Le hautbois d'amour reprend la mélodie en solo... Les 1ers violons donnent de la voix en pizzicato... Le 1er cor se fait entendre...
Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (piano)
Elle s'est emparé de son gode en verre spirale, et vient en caresser ses lèvres vaginales... Je verse une première goutte de cire rouge sang qui vient s'écraser entre ses deux seins, elle tressaille brusquement, et accélère le mouvement avec son gode spirale, dont l'embout ovale commence à s'insérer dans sa vulve humide... Je continue à verser le liquide chaud et rougeoyant... Sur ses tétons emprisonnés dans la gangue des pinces à seins, sur son ventre ondulant entre plaisir et douleur, sur ses cuisses aux muscles tendus par la morsure lancinante des pinces...
Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (mezzo piano)
La 1ère trompette avec sa sourdine et la 1ère flûte à l'octave mêlent leurs timbres harmonieux... Suivis des flûtes, de la 2ème trompette et des 2èmes violons pizzicato... Puis du majestueux saxophone ténor en vibrato... Et à nouveau la 1ère trompette, le hautbois, qui accompagnent l'entrée du cor anglais, avec les 1ers violons pizzicato en soutien...
Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (mezzo piano)
Le gode spirale en verre a fait son office... Il a pénétré de toute sa longueur dans l'orifice vaginal... Elle l'extirpe et se saisit maintenant du gode chapelet à six sphères, dont elle masse à nouveau sa vulve... La première des sphères, la plus petite, s'introduit sans difficulté dans son antre de plaisir, et ressort, rentre à nouveau, s'extrait et se réintroduit d'un mouvement lancinant calqué sur le rythme de la musique. Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (mezzo piano)... Puis la deuxième, un peu plus large, et la troisième, déjà d'un bon diamètre... Je continue à verser les gouttes de lave chaude qui font frémir sa peau et qui lui arrachent des gémissements plaintifs... La 4ème sphère, puis la 5ème disparaissent à leur tour... Je fais couler la cire de façon drue pour lutter contre le plaisir évident qui prend possession d'elle... Mais la sixième sphère, la plus large, de 5 cms, est maintenant entrée également, et les mouvements d'aller-retour s'amplifient sur toute la longueur du gode, sortant jusqu'à découvrir la 1ère sphère avant de s'enfoncer à nouveau jusqu'à la garde, au son du saxophone sopranino qui inaugure sa partition, avant de se faire couvrir par le saxophone ténor... La cire recouvre désormais abondamment son corps, tandis que j'étire ses tétons en tirant sur la chaînette de ses pinces à seins, générant une complainte rauque de sa part...
Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (mezzo forte)
Rupture d'intensité et de volume sonore avec la 1ère flûte, la clarinette basse, les bassons, le 2ème cor et la harpe qui unissent leur force pour emplir la pièce de leurs harmoniques... Puis les flûtes piccolo, le 1er cor et le celesta, cet instrument si particulier et rare au son si pur... Et voilà les 3 trompettes qui s'ajoutent à la folle farandole, ainsi que le 4ème cor avec les arpèges de cordes en fond sonore... Puis viennent s'entrelacer les 2 hautbois, le cor anglais, les 2 clarinettes et le hautbois d'amour...
Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (mezzo forte)
Elle s'est séparée de son gode à sphères, et a desserré la petite vis de la poire du plug anal qui se dégonfle, laissant échapper un petit 'pschitt' qui pourrait ressembler à une flatulence gâchant l'harmonie musicale du moment, mais qui en réalité s'apparente plutôt à une douce vesse en consonance avec le contrebasson... Elle s'empare alors de son double dong, dont elle introduit fébrilement l'embout le moins large dans l'orifice anal ainsi libéré et palpitant du plaisir d'accueillir ce nouvel hôte qu'elle fait coulisser au rythme de la caisse claire dont l'intensité a monté d'un cran... Pour ma part, devinant le danger d'un orgasme imminent, j'abandonne la bougie et part me saisir de la roulette de Wartenberg. Je lui demande de se mettre allongée sur le dos, les pieds dépassant de la table basse... Et je commence alors à faire rouler les griffes métalliques sur ses tétons, lentement, de façon légère d'abord, puis de plus en plus appuyée, jusqu'à ce qu'elles marquent la peau de petits points rouges espacés régulièrement... De son côté, elle courbe le double dong à 180°, et introduit le second embout, le plus large, dans sa chatte maintenant brûlante et assoiffée de plaisir... Les deux embouts sont enfoncés de 5 cms dans chacun des deux orifices auxquels ils sont destinés... Elle se saisit alors à deux mains du corps cylindrique courbé et entame des mouvements rythmés... Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (mezzo forte) La 1ère flûte, le contrebasson, les clarinettes, le 2ème cor animent et accompagnent ses manœuvres... Le double dong s'enfonce jusqu'à 10 cms de chaque côté... Je fais glisser la roulette vers son ventre, ses cuisses, ses mollets... Elle frémit... Puis je m'agenouille devant ses pieds, que je maintiens d'une main solide... Et l'applique brusquement et fermement sur la plante de ses pieds... Et, simultanément avec le suraigu sostenuto du 1er trombone qui éclate à ce moment précis, elle laisse échapper un cri de douleur et agite frénétiquement ses jambes pour échapper au diabolique instrument... Mais rien n'y fait, je continue à meurtrir la chair si tendre à cet endroit, tandis que, impuissante, pour compenser son tourment, elle engloutit le double dong de 45 cms jusqu'à la garde en des mouvements éperdus...
Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (forte)
Rupture d'intensité à nouveau, on entre dans le 'forte'... J'abandonne la roulette, il est temps de passer aux choses sérieuses ! La 1ère trompette, le 4ème cor et les tutti de cordes font sonner leur puissance... Les bois font entendre leur souffle... Les bassons, contrebasson, cors et timbales font éclater leur vibrations dans un joyeux tintamarre !
Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (forte)
Je lui demande de se mettre de nouveau à quatre pattes maintenant. A mon regard déterminé, elle sait ce qui l'attend... Elle extirpe le double dong de ses tréfonds, et s'empare du gode-phallus géant, sur laquelle elle s'empale résolument, tandis que je saisis la badine de bambou et la fait siffler dans l'air pour en apprécier la souplesse... Un premier coup, léger, s'abat sur son joli fessier... Puis un deuxième, plus dru, vite suivi d'un troisième; qui lui arrache un mugissement rebelle... Elle active le gode géant en elle pour faire monter le plaisir, mais la badine de bambou cingle au rythme de la musique... Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (forte) Les piccolo, flûtes, hautbois, clarinettes et 1ers violons résonnent bruyamment... Ses fesses s'enrichissent de zébrures roses, puis rouges vermillon, puis rouge carmin... Elle tressaute sous les coups, tandis qu'elle ondule simultanément sous l'effet des ondes de plaisir du gode-phallus... J'échange la canne de bambou pour la cravache, je sais qu'elle déteste cet instrument, dont les percussions la font maintenant sursauter au rythme des caisses claires et au son des bois, des violons et de la 1ère trompette, puis du 1er trombone...
Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (fortissimo)
On approche de la fin... Elle le sait aussi... Il nous reste trois minutes pour gagner ou perdre la partie... Nouvelle rupture d'intensité sonore... Les bois aigus, les cors, les cordes s’époumonent, et la 2ème caisse claire amplifie la cadence... Les piccolo, flûtes, saxophones, petite trompette, 3 trompettes, et 1ers violons reprennent la mélodie en l'amplifiant...
Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (fortissimo)
Je pars reposer la cravache et prends le martinet. Elle profite de ce court moment de répit pour abandonner le gode-phallus qu'elle laisse rouler à terre, et s'emparer simultanément de son stimulateur clitoridien multi-vitesses et de son vibromasseur vaginal Rabbit... D'une main, elle enfourne le Rabbit dans sa fournaise vaginale et actionne le bouton 'On'... De l'autre main, elle met en route le stimulateur clitoridien et l'applique résolument sur son petit bouton de plaisir... Je sens que l'orgasme peut éclater à tout moment... Je fais cingler énergiquement les lanières du martinet sur ses fesses, sur son dos... Elle crie, elle fulmine, elle glapit, elle grogne... Elle actionne le bouton d'intensité de ses deux vibros... Je dirige les lanières vers la plante de ses pieds, que je sais si sensibles, au rythme envoûtant de la musique... Elle rugit, s'égosille, vagit, vocifère ! Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (forte) Les 4 trompettes, le 1er trombone et les 1ers violons font entendre toute leur force ! L'hallali est proche, à peine plus d'une minute... Le temps est venu pour le dernier instrument, le plus puissant, le plus redouté, le plus impitoyable, le plus cinglant : le fouet !
Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (fortissimo)
On approche de la fin... Elle le sait aussi... Il nous reste trois minutes pour gagner ou perdre la partie... Nouvelle rupture d'intensité sonore... Les bois aigus, les cors, les cordes font vibrer l'air de façon presque papable, et la 2ème caisse claire amplifie la cadence... Les piccolo, flûtes, saxophones, petite trompette, 3 trompettes, et 1ers violons reprennent la mélodie en l'amplifiant... La modulation en mi majeur de tous les instruments simultanés annonce le grandiose finale...
Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (fortissimo)
Elle m'a vu saisir le fouet. Alors elle laisse à son tour tomber les deux vibros, et empoigne son Magic Wand, le branche et l'applique vigoureusement à deux mains sur sa vulve trempée et dégoulinante... Je devine à son regard vide aux yeux révulsés en arrière et à sa bouche grande ouverte essayant d'aspirer l'air à grandes goulées dans une respiration haletante qu'elle est au bord de la jouissance... Alors, j'administre sans tarder les coups de fouet, au rythme et avec l'intensité maintenant surpuissante de l'interprétation de Munch et de l'Orchestre de Paris... La lutte est féroce, entre l'instrument magique de plaisir, et l'instrument prodigieux de supplice !
Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (fortissimo)
Ce sont les dernières dizaines de secondes... La première série des répétitions de grosse caisse, de cymbales, de tam-tam, des glissandos de trombones...
Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (fortissimo)
Je sais qu'il ne faut pas laisser d'espace libre ni de temps mort, que le Magic Wand est irrésistible, que le moment est venu de jouer ma dernière cartouche ! Je la fais asseoir au bord de la table... Je saisis les deux brins de la cordelette enfilée dans les 30 pinces à linge apposées sur son corps... Elle comprend immédiatement mon intention, me regarde d'un air de défi, et pousse son Magic Wand sur le cran le plus élevé de vitesse de rotation...
Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (fortissimo)
Le grand accord de tous les instruments simultanés résonne, celui qui précède de quelques secondes l'écroulement final...
Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (fortissimo)
Je tire brutalement sur les deux cordelettes, arrachant en un éclair toutes les pinces... Les dernières notes retentissent et au même instant un hurlement strident s'exhale de sa gorge, tandis qu'un jet liquide puissant jaillit de sa vulve et se projette à plus d'un mètre, inondant au passage mon pantalon de cuir !!! Puis elle s'écroule en avant, à genoux, contre moi, enserrant mes jambes de ses bras, pantelante, tremblante de tous ses membres, agitée de soubresauts spasmodiques, le regard vitreux et le souffle court...
Et, dans un murmure à peine audible mais que le silence retrouvé rend perceptible, elle dit "Merci !"...
A mon tour, je lui réponds "Merci, aussi".
Et nos deux regards se croisent, vibrionnants de plaisir et de désir...
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Le voyage en train n'est pas franchement long, mais à force de voir le même paysage défiler, il devient lassant. Bien que la journée eut été remplie, Il a hâte de rentrer ... et le plus tôt sera le mieux.
Le paysage, comme celui de hier, continuer de défiler sous ses yeux. Non, il n'a pas changé et même si, aujourd'hui, il fait beau, le paysage est toujours le même.
En scrutant de loin sans plus d'attention une ligne à haute tension sur une montagne, Son regard la suit descendre dans ce vallon, passer ensuite la crête, remonter la pente, survoler la falaise et, au final, se cacher sur l'autre versant pour finir quelque part, tout comme elle a démarré : quelque part.
L'imagination prend le relais pour voyager ailleurs ....
Enfin, la porte s'ouvre et Il peut rentrer chez eux. Elle est déjà accaparée dans la cuisine; Il la rejoint et dépose un baiser sur sa nuque.
Un petit sourire accompagné d'un petit gémissement Lui répondent.
" Veux-tu prendre un verre avant de manger ?
- Volontiers, lui répond-il."
S'asseyant dans le divan, Il attend qu'elle vienne lui servir ce verre de Muscat qu'Il savoure de temps à autre. En cette fin de journée, ce n'est pas pour lui déplaire, au final. Pour elle, elle se choisit un jus de fruit.
Quand elle vient avec les verres, Il sort un oreiller assez large qu'Il dépose devant Ses jambes et lui débarrasse ses mains.
"Installe-toi ici, devant Moi".
Une petite hésitation mélangée à de la surprise, puis elle se met à genoux. Il lui rend son verre. Passant Sa main pour lui caresser sa nuque et la joue, chose qu'elle apprécie grandement, Il lui dépose un baiser sur le front et un autre sur la bouche.
" A la tienne, Hestia
- A la vôtre, Maitre".
Un tchine et les verres se dégustent. Mais il n'est pas encore vide qu'Il se lève, en laissant Sa main sur son épaule de manière à ce qu'elle ne bouge pas et s'éloigne.
Docile, et curieuse de cette tournure des événements, elle patiente.... pas très longtemps.
De retour, Il s'est débrouillé pour revenir en cachant ce dont il était parti prendre.
En s'asseyant à nouveau en face d'elle, Il lui dépose un nouveau baiser sur le front.
" Voulez-vous passer à table ? C'est prêt.
- Non, je préfère passer directement au dessert."
Sur ces mots, Il lui dépose un bandeau sur les yeux ainsi qu'un nouveau baiser sur la bouche. Puis, avec les 2 mains, Il lui caresse à nouveau le côté de la tête et la joue.
Le Voyage débute ...
Un tintement d'objet plus ou moins familiers et confus résonnent dans ses oreilles, mais très vite, elle devine ce qui a été sorti sur le canapé.... et fixé à ses poignets. Les attaches en cuir s'enroulent comme des prédateurs de plaisir et se lient intimement l'un avec l'autre.
A nouveau, les mains, plus fermes, passent dans ses cheveux. Mais cette fois, la réalité sous le bandeau devient volupté et celle-ci se transforme. Ce qui devait être un classique dîner entre 2 amoureux devient .... Son esprit prend son envol...
Les baisers qu'Il dépose sur ses lèvres et son front migrent vers son cou, décuplant les effets de plaisir. Ceux-ci restent de moins en moins emprisonnés et s'échappent via des petits soupirs et des rictus si particuliers et si amoureux.
Une surface fraîche sur ses lèvres, c'est son verre qu'Il dépose afin qu'elle continue son apéritif. Il est devenu dérisoire au regard de ce qui va arriver, mais boire le verre aveuglément que lui donne Son Maitre fait partie de ces gestes si intimes, et si symboliques à la fois....
Elle boit tranquillement, jusqu'à la fin. Mais à peine terminé, une Main saisit toute sa tête et la dirige vers le bas, sur Sa cuisse. Se réajustant, elle y prend position pendant que Son Maitre savoure son verre .... bien que ce ne soit pas le verre en lui-même qu'Il apprécie particulièrement.
La tête de Sa soumise sur Sa jambe. Si enfin le Lacher Prise pouvait survenir et Les Libérer ... De Sa main, des petites caresses parcourent la joue de Hestia qui répond par des petits soupirs apaisés, et gourmands pour certains.
Il prend son temps, tout comme Il lui fait prendre le sien.
Les 2 verres terminés et reposés, Il joint Ses 2 mains pour lui caresser toute la tête, comme il lui plaît. Les gémissements et les petits mouvements de plaisir ne se font pas attendre.
Puis, Il lui redresse la tête.
" Qui es-tu ?
- Je suis Votre soumise, Maitre"
Un autre tintement métallique familier résonne et une sensation de frais entoure le cou de celle qui se laisse d’avantage glisser vers la Liberté : son collier de séance.
Aussi noir que le bandeau, la suite des événements est toute autant imprévue. La soirée ne fait que commencer....
Le collier est à peine fixé que Sa main saisit sa mâchoire pour forcer son ouverture; une large boule est fourrée dans sa bouche, les lanières sont bien serrées, ses bras sont libérées et elle doit se lever.
Contrastant avec l'extrême douceur d'il y a quelques minutes, les vêtements sont retirés assez rapidement. Puis, une main ferme la fait asseoir là où Il était assis.
Cette fois, c'est pour habiller son pied d'escarpins qu'elle connaît aussi très bien. Les charmes ou les avantages d'avoir son Homme et Maitre fétichiste de ces accessoires...
Quoi qu'il en soit, elle retourne à nouveau sur son coussin, face à Lui, les yeux bandés, bâillonnée et les mains attachées.
"Ma soumise se tient droite". Ces mots sont prononcés alors que 2 mains la saisisse pour la redresser.
Posture droite, peut-être pas la plus confortable des positions, mais il y a le coussin.
Posture droite, offerte, surtout. Peut-être des cordes auraient parcouru son Corps afin d'être bien présentée. Mais Il avait décidé de faire ainsi.
Posture droite, c'est ainsi qu'Il la regarde, l'admire, la savoure. Confortablement assis dans le canapé, Il goûte à ce moment unique de Partage et d'Abandon à la fois.
Elle sait qu'Il est fier d'elle. Très fier. Alors, elle soigne sa posture autant pour satisfaire Son exigence et Plaisir que pour son propre plaisir monté en flèche.
Celui-ci grimpe d'avantage quand elle ressent des bouts de doigt titiller le bout de ses seins. Mais c'est sans commune mesure quand c'est Sa langue qui vient englober le téton et le lécher avec une envie passionnée. Là, plus question de faire attention à sa posture.
Une main lui saisit la tête la forçant à rester droite, tandis qu'une autre parcourt son Corps pour qu'il reste droit. Les gémissements augmentent au grès des torsions de son Corps qui ne parvient finalement pas à rester droit. Les tétons sont devenus durs sous l'effet de cette langue qui ne laisse aucun répit.
Si elle cesse un moment, c'est pour recommencer de plus belle sur l'un ou l'autre téton. Gauche ou droite, il est loin le moment où il fallait rester droite...
La baillon retiré lui laisse enfin la possibilité de respirer à fond. Ses seins, léchés, titillés, caressés lâchent tout un flot de sensations parcourant tout son Corps, plié et torsadé de Plaisir.
Un autre cliquetis métallique familier résonne au niveau de cou et sa tête est alors tirée vers l'avant, soutenu par une Main. Ce qui est aussi son objet de Plaisir s'enfonce dans sa bouche. Le sexe de Son Maitre est déjà bien en forme; il a eu tout le temps d'être excité par ces précédents préliminaires.
A présent, seule la laisse la retient. A genoux, elle s'affaire sur Son Membre et, à son tour, peut déguster les gémissements lâchés par Son Maitre. Plus discret qu'elle, Il n'en éprouve pas moins de Plaisir et lui fait savoir par les caresses plus ou moins contrôlées qu'Il lui fait sur la tête et par les ondulations de son Corps lui-même.
Paradoxalement, sans mains, le Plaisir est tout aussi au rendez-vous. C'est un Voyage de Partage, Echanges, chacun jouant de ce qu'il lui appartient chez l'autre en s'offrant d'avantages pour fait grimper d'avantage ce Plaisir déjà très haut.
Déjà trés haut, presque trop pour voyager encore plus longtemps.
D'un geste de main, Il arrête son va-et-vient de sa tête ce qui lui permet de reprendre son souffle.
Que fait-Il ? La regarde-t-il pour mieux la Dévorer ? La contemple-t-il ? La savoure-t-il ? Ou prend-il juste le temps avec sa soumise devenue Son Plaisir, Son Jouet.... Des 2, l'esprit est tout autant embrouillé par les vapeurs de Plaisir entrée en ébullition pendant cette fellation.
Une simple pause pour faire retomber la pression et mieux ré-attaquer après. Qu'est-ce que va suivre ....
D'un coup, 2 mains lui plaquent la tête contre Ses jambes. Il s'est relevé et la ainsi pénètre sans crier gare. Cette fois, c'est Lui. La tête est maintenue fermement, subissant les va-et-vient rapides de cette queue devenue aussi large que dure. Il ne lui laisse aucun répit. Le Plaisir est encore monté d'un cran quand Il la relâche enfin, laissant sa bouche tranquille après cette baise.
Elle reprend sa respiration, mais c'est de courte durée. Ses tétons sont pincés pour la forcer à se redresser et à libérer son sexe. Il est très mouillé quand Il loge un doigt sous les lèvres et chatouille le clitoris. Un coup de fouet de sensations parcourent son Corps devenu ainsi très sensible et elle lâche un nouveau gémissement. Il est de courte durée, une main ferme la rebaillonne à nouveau. L'autre main continue de caresser le clitoris et soudain... un des tétons reçoit l'assaut d'une langue bien connue et trés gourmande. Le chemin vers l'orgasme se réduit, la fin n'est plus bien loin.
Subir de plaisir, parce que le Voyage n'est pas terminé....
Enfin la position à genoux est terminée. Son Maître la relève et elle peut dégourdir ses genoux. Mais tout son Corps est en extase et aimerait bien ne pas rester debout....
Une pression sur sa laisse l'amène peu à côté et attend. Pas très longtemps, un autre cliquetis très familier la fait frissonner. Ses mains sont attachées devant cette fois, ne laissant plus aucun doute sur la suite du programme.
Le "claque" si caractéristique et si excitant résonne dans toute la pièce. Son sexe ne peut plus retenir toute l'humidité à ce niveau d'excitation.
Le second "claque" est plus proche. Il n'y aura pas de 3ème mais une piquante sensation zèbre ses fesses, suivie d'une autre, plus bas. Fouettée, elle reste docile, se contraignant à l'immobilité et savourant cet autre instant plus qu'unique. Elle aurait préféré être totalement attachée à une croix de St-André ou un autre support pour savourer d’avantage du Serpent, mais il n'y en a pas ici.
De toute façon, ça n'empêche pas la lanière de cuir de zébrer sa peau sur un côté puis un autre, inscrivant des marques rouges piquantes. De l'autre côté, Il prend un Plaisir tout aussi intense, différent, de diriger ce Serpent sur elle, infligeant toutes ces marques de Plaisir. Il le fait durer. Le Corps de sa soumise tressaille de douleur bénite et de Plaisir à chaque coup de fouet. Plus il rougit, plus il devient sensible et meilleur c'est. Elle est en plein voyage, Il le devine par ces petites mimiques de son Corps et ces gémissements. Il s'arrête. Il s'approche d'elle et fait serpenter le fouet sur sa poitrine, ses hanches, vers son cou... Petit à petit, il prend possession de ce Corps qui n'appartient plus à sa soumise, elle même partie en Voyage dans un monde de volupté, Liberté.
Ce spectacle, Il aime le contempler. C'est contre Lui que son corps, chauffé par ce fouet, s'abandonne, couvert de sueur et d'une multitude de marques. Après avoir joué avec ses seins, Il repart jouer à nouveau du Serpent. D'autres zébrures se rajoutent, accompagnés d'autres gémissement de Plaisir. Il n'existe plus de temps, ni d'horloge. Seul le claquement du fouet sert de repère; le Corps rougit d'avantage, devenant brillant par la sueur discrète.
Il préférerait d'avantage la voir encore plus libre de ces gestes si une structure lui permettait d'attacher sa soumise. Elle pourrait se laisser aller librement à chaque claque. Mais ce Cadeau, Sa soumise qu'Il fouette, Sa soumise qui s'offre à Lui est déjà inestimable qui n'a aucun équivalent. Tout comme un joyau sacré, Il prend soin de magner le Serpent pour apposer uniquement ces marques et douleur de Plaisir. Chose qu'elle lui rend bien par ces gémissements et ces torsions.
Nouvelle pause, Il la saisit à nouveau pour l'accroupir face à Lui. Une nouvelle fellation est imposée, plus brute. Jouant avec son propre "feu", Il est proche de l'orgasme. C'est un défi de Plaisir. Puis, à nouveau, sa langue part taquiner les tétons, à présent bien plus que sensibles. Elle manquerait de perdre l'équilibre parcourue par cet électricité de Plaisir. Malgré ces gémissements, ces frémissements, Il continue à jouer de ces seins, et encore plus.
Pourquoi s'arrêter ainsi ......
Il fait partie de ces moments uniques. Celui où le Corps est en ébullition, l'Esprit embrumé dans des vapeurs de volupté et de bien-être. Sans atteindre le « Sub-space », ils sont tous les 2 dans leur Univers, leur coquille. L'une s'abandonnant à Lui, Lui menant la danse, les 2 savourant et échangeant le moindre fait, son, le moindre contact ou odeur, le moindre …. tout pour prendre son pied et en offrir autant voir plus à l'autre.
Le Graal n'est plus bien loin.
L'Esprit n'est en mesure que de subir pour Elle. Quant à Lui, il lui reste une portion de lucidité pour la suite du programme. Enfin..... quel programme....
Tout ne s'est pas passé franchement comme prévu.
Comme Il l'avait voulu, elle s'est bien mise en position « Offerte » et Il avait pris le temps de savourer ce moment. Moment trop rare à Son goût.
Ensuite, il devait y avoir les cordes. Mais si celles-ci devaient sublimer le Corps de sa Fierté, elles allaient gêner les morsures du Serpent. Et, aujourd'hui, sur le coup, le Serpent avait gagné sa faveur.
C'est très fréquent que le programme change en cours de route. Ce n'est pas pour déplaire. Cela donne l'impression d'être devant un immense et magnifique buffet auquel on veut goûter à tout..... sachant que cela ne sera pas possible d'un coup et que le choix du meilleur est à faire.
Pratiquement rassasié « de force », Il s'offre une pause. Une pause aussi pour elle, en Voyage quelque part au 7e Ciel. Il la contemple. Quelle beauté de voir sa soumise en extase, lâchant prise de tout.
Quelle sensation étrange parcourt son Esprit... La volonté d'emmener encore plus loin sa soumise dans ce monde merveilleux, et plus longtemps en utilisant des manières, des accessoires violents, quitte à violenter son Corps. Cet extase qu'Il lui offre ne serait-il pas assez puissant comme cela ?
Ce sont pourtant ces sensations, ces envies si puissantes, paradoxales qui font ce qu'ils sont et de dont ils se sont rencontrés. Moment trop rare de séances et de sueur, le Graal est très proche, mais l'atteindre signifierait la fin de la quête, toute aussi jouissive que le décrocher.
Une pause.... qui cesse enfin.
Jetant un plaid épais par terre, Il dispose Sa soumise par terre, à 4 pattes, accompagné de quelques fessées. Les quelques zones restées encore blanches rougissent entre 2 marques de fouet. Tout est pratiquement rouge sur ce Corps à nouveau offert.
« Tu vas pouvoir crier » et s'installe derrière elle. Au comble de l'excitation, Il n'a aucun mal à s'installer en elle au son d'un fort gémissement. A Lui, elle s'offre aux coups de bassin. Son intimité déborde de Plaisir, assoiffée de ce Sexe attendu, voulu et enfin au rendez-vous. Instant magique de bouillonnement des esprits et corps déjà brûlants.
Les va-et-vient s'accentuent, accélèrent, les mains glissent sur la peau. Vite, attraper les épaules et s 'enfoncer d'avantage dans cette Chatte des Plaisirs, le Graal approche, des cris, le cœur s'emballe, les gémissements …
Le train s'est immobilisé le long du quai. Un trou du c.... heuu, passager tente de forcer le passage encombré par le vélo qu'il suffit juste de sortir pour dégager la voie...
Arriver à la maison est très rapide.
Enfin, la porte s'ouvre et Il peut rentrer chez eux. Elle est déjà accaparée dans la cuisine; Il la rejoint et dépose un baiser sur sa nuque.
Un petit sourire accompagné d'un petit gémissement Lui répondent.
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Madame ferma les yeux, s’étira langoureusement dans le fauteuil. La tête reposant sur le coussin, elle écoutait le bruit de la maison, intérieurement, elle souriait. Elle ne l’entendait pas, même couché à quelques centimètres, il ne bougeait pas, il était là, si insignifiant dans sa présence et pourtant, si absolument fondamental. Il ne le savait pas, jamais il ne le saura. Madame voulait sa présence, elle portait en elle ce besoin vital de le posséder, mais son plaisir résidait justement dans cette distanciation entre sa nécessité intérieure et l’image qu’elle dégageait d’elle. Son indépendance, sa froideur, sa déité niaient, en apparence, sa joie de le posséder jusqu’au fond de son esprit, dans les abysses de son âme. Elle ne jouait pas, elle ne s’amusait pas. Madame désirait être démiurge et ce corps, cet esprit blotti à ses pieds, étaient la quintessence de ses années de recherche, de sa quête de l’être qu’elle voulait façonner et qu’elle avait enfin pu modeler à sa guise. Madame savait que la clarté, l’obscurité, le froid, le feu, la pluie et le vent, la cage ou le grand air, la faim, la soif, la peine, la joie, les pleurs, les rires, ne voulaient plus rien dire pour lui. Madame le savait parce qu’elle l’avait éduqué pour qu’il ne puisse plus réagir qu’à une seule appréhension, qu’une seule crainte, ne plus être en sa présence, ne plus entendre sa voix, ne plus sentir son parfum, ne plus être auprès d’elle. L’abandon était sa seule crainte. Il n’était plus qu’un petit chien sans autre attache que celle qu’il portait à la maîtresse. Pour lui, le monde se résumait à la présence rassurante, bienfaisante de celle qu’il considérait comme l’âme de son existence. C’est ainsi qu’elle l’avait voulu, c’est ainsi qu’il était devenu.
Pourquoi penser par soi-même quand un être supérieur pense pour toi ? Pourquoi choisir sa vie, quand la vie ne dépend plus de toi, mais de la main qui te frappe, qui te cajole, qui te nourrit, qui te guide ? Pourquoi lutter contre soi, quand Madame t’offre d’être sa créature ? Petit à petit, Madame franchit les barrières psychologiques qu’il le retenait encore parmi les êtres libres, puis un jour, il s’agenouilla complètement, il renonça à lui totalement et ne fut plus que la pensée en chair de la volonté de la maîtresse. Il pleura. Les larmes de sa libération se répandirent sur les escarpins vernis de madame, sur les mains bénies de la maîtresse. Elle l’autorisa sans mot à lécher et embrasser les extrémités de son corps. Ses dernières paroles, ses derniers mots furent pour renoncer à dire ou être, il avoua son attachement viscéral à madame et puis il se tut pour toujours. Dorénavant, il ne parlait plus, ne pensait plus, ne mangeait, ne buvait plus que sur ordre de la maîtresse. Elle lui était devenu bien plus indispensable que l’air qu’il respirait.
Son pied taquina un peu le corps étendu sous elle. Il ne bougea pas. Seule parfois la clochette accrochée au piercing de son périnée pouvait annoncer sa présence, seule la laisse en petits maillons d’acier pouvait tintinnabuler, mais ce n’était que des bruits d’appartenances, les sons du recueillement de son entière soumission. Madame posa son pied gainé de soie sur la bouche, il baisa l’offrande sans excitation, sans précipitation, avec la componction et la douceur exigée de lui. Madame se souvint des étapes de l’apprentissage, des efforts qu’elle déploya pour le mener jusqu’au renoncement total à lui-même. Bien sûr, il portait en lui cette structure mentale prête au renoncement absolu, mais le travail d’éducation fut long et douloureux. Il n’est jamais facile de perdre l’habitude de penser par soi et pour soi. La présence d’un esprit fort, aussi intensément ancré en soi que le lierre à la pierre peut inquiéter les plus dociles, mais quand le renoncement final survient, le soulagement est d’autant plus apaisant. Car ce renoncement est une étape vers la quiétude intérieure. Le soumis ne porte plus en lui la crainte de ne pas appartenir, il n’éprouve plus que la crainte de l’abandon. Madame inculqua dès le début de sa prise en main, la crainte dans son esprit. Craindre le mépris de madame, craindre la colère froide de madame, craindre l’oubli de madame, elle le nourrit de sa propre main, le frappa de sa propre volonté, le punit avec intransigeance, le consola avec douceur, le provoqua avec orgueil, l’éloigna sans pitié, le rappela avec mansuétude, toutes ces étapes, toutes ces actions instillaient en lui la crainte de ne pas être à la hauteur des exigences de madame et surtout de ne plus pouvoir être à ses pieds, dans ses grâces, dans sa magnificence.
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Il y a du rouge et du blanc dans la pénombre.
Il y a du plaisir et de la douleur tour à tour mêlés.
Il y a des os qui tremblent, de la peau qui chante.
Il y a des des nerfs qui frissonnent, de la chair qui palpite.
Il y a des morsures dans mes baisers, des griffures dans mes caresses.
Il y a des songes dans mes cris, des mots dans mes silences.
Il y a des offrandes sous voile, des aveux bien cachés
Il y a des espoirs dans mes yeux levés, des secrets derrière mes paupières closes
Il y a des hiers ivres et des demains à boire. Encore.
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(Ecrit sur la musique : moment in love / Art of Noise)
Soleil absent d'une douce nuit aux pieds des vagues, bien après que la rage et l'amour se soient livrés en duel sur ton corps. De cette berceuse à la mélancolie des flots, tu t'éveilles... Esprits encore embrumés, les images défilent, muettes, passage furtif entre nos regards éperdus : Moment in Love.
Les nuages arrivent au loin sur la mer grise.
Allongés, les yeux perdus dans l'autre, nous les laissons venir à nous.
Voilà les gouttes qui tombent une à une, traçant les ronds sur l'écume mourante après leur chevauchée. Perles Cristallines, elles sont là, frappant notre peau. Les voir ainsi s’échouant sur toi, comme tes larmes à la fin de nos plaisirs. Apaisantes, elles effacent un instant ces brûlures nocturnes. Froides, elles te dessinent les frissons, alors que tes seins tendus au ciel en réclament encore. De mes doigts suivre la danse de ton corps, ondulations perverses aux éclaboussures sensuelles.
Renaître en ce matin.
La pluie redouble, venir sur toi abri dérisoire, pour nous réchauffer, raviver les désirs. Au rythme des vagues qui nous portent, venir en toi. T'habiller de mes mains oppressantes, rendant ton souffle impossible, ne libérant que les cris. Ranimer la chaleur de la nuit, et de ces chemins suivre les traces laissées, couleur de souffrances en nuances de jouissances. Leur donner plus de forces, plus d'éclats. Aiguiser tes sens tout autant que mon appétit. Chercher, encore plus profond, en toi l'obéissance, les peurs, gardant le défi dans ton regard. Mouvement brutaux, tendresses arides, les caresses raisonnent en claque, les baisers se mêlent aux morsures. Te sentir te débattre, sans vouloir me fuir. Appeler une dernière fois par tes suppliques, la venue de nos plaisirs.
L'averse est passée, la pluie s'est tue, se lève ce doux sourire sur ton visage...
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On attire pas les coeurs en montrant ses fesses, ses seins, son corps, tu peux alors faire venir à toi des sexes, des envies, des mouvements mais tu ne sentiras jamais le frôlement des âmes sur ta vie, celui qui ondule sur tes heures, tu pourras y prendre du plaisir, en donner aussi mais pour quelques instants seulement puis tu te réveilleras le lendemain sans rien ni personne, moi je suis comme le vent, je n'ai pas besoin de montrer quoique ce soit pour prouver ma force, avec mes mots je peux protéger, caresser, aimer, faire l'amour à toute heure, je sais embrasser d'une lettre, faire deviner dans l'invisible, poser un désir dans la distance juste avec des mots. Ton corps peut être beau il se flétrira un jour, il sera creux, ridé de tout ce rien que tu auras emmagasiné, le mien vieillira aussi mais il aura gardé l'effleurement de ces âmes, cet échange qui aura tout changé, l'encre éternelle.
Carole Riquet.
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L’orgasme masculin serait plus complexe qu’on ne le croit…
« Point culminant du plaisir sexuel, l’orgasme est une expérience subjective de quelques secondes de plaisir intense, altérant l’état de conscience »1. Cette étude française confirme qu’il fait appel à des mécanismes psychophysiologiques complexes et à un contexte psychosocial spécifique. L’orgasme et l’éjaculation ne semblent pas opposables, et l’orgasme ne serait pas comme évoqué précédemment dans la littérature la réponse physiologique à l’éjaculation.
Pourquoi est-ce important ?
Investiguer le vécu et le discours sur l’orgasme masculin peut contribuer à apporter des informations sur les troubles rencontrés, aider les patients à aborder leurs difficultés sexuelles, offrir des éléments diagnostiques et favoriser au besoin l’alliance thérapeutique. L’orgasme masculin reste peu exploré par la recherche, qui lorsqu’elle s’intéresse à la sexualité masculine focalise principalement sur l’éjaculation.
Principaux résultats
Les ressentis de l’homme ne se résument pas au processus éjaculatoire physiologique, mais intègrent le contexte relationnel de l’orgasme.
Les auteurs indiquent que l’analyse des interactions entre troubles psychologiques, sexuels et vécu orgasmique indique que les dysfonctions sexuelles et les troubles psychologiques se potentialisent pour donner sens au vécu orgasmique masculin.
Les sujets interrogés se sont inscrits dans la temporalité du processus éjaculatoire pour en distinguer deux phases : l’émission (accumulation de tension conduisant à l’irréversibilité de l’orgasme) et l’expulsion spermatique (avec une phase de contraction expulsive et une phase de passage du liquide séminal le long de l’urètre).
En plus de ce processus physiologique, l’orgasme masculin intègre le contexte relationnel de l’orgasme. Le ressenti complexe oscille entre l’amplification de la sensation de force et de puissance et l’abandon de soi par fusion avec la partenaire.
Méthodologie
Les données ont été recueillies lors d’une enquête nationale explorant la sexualité masculine à partir de 923 témoignages de sujets francophones.
Les thématiques abordées ont été croisées avec des indicateurs socio-démographiques et avec les difficultés sexuelles et psychologiques auto-rapportées.
Quelques questions de fond liées à cette étude : L’orgasme masculin se confond-il avec le mécanisme physiologique éjaculatoire ? Le vécu orgasmique masculin est-il commun à tous ou peut-on mettre en évidence des variabilités interindividuelles ? Et si elles existent, peuvent-elles être mises en relation avec les caractéristiques sociodémographiques, avec les potentiels troubles sexuels ou encore la présence de troubles psychologiques ?
Principales limitations
Les données ayant été recueillies par internet, il est peu probable que les sujets interrogés soient représentatifs de la population générale masculine.
références :
Gouvernet B et al. L’orgasme masculin est-il complexe ? Étude exploratoire des discours sur l’orgasme de 923 hommes en couple. Sexologie 2018, disponible en ligne 12 mars 2018. https://doi.org/10.1016/j.sexol.2018.02.014.
1-Alwaal A, Breyer BN, Lue TF. Normal male sexual function: emphasis on orgasm and ejaculation. Fertil Steril 2015;104(5):1051-60,http://dx.doi.org/10.1016/j.fertnstert.2015.08.033.
parution : Univadis Nathalie Barrès Lecture critique 24 avr. 2018
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Je suis nue, comme toujours dans nos tête-à-tête. Madame aime exacerber mes sens, alors un de mes bas sert de bandeau. De toute façon je ferme les yeux, concentrée sur sa voix, ses mouvements, son parfum.
Je suis contrainte par cette corde rouge que je connais si bien, la position de mes bras est inconfortable, mes jambes liées sont écartées pour me maintenir disponible. Une chaîne relie mon téton le plus sensible à mon piercing intime, un plug est planté dans mon sexe. L'amplitude de mes mouvements est très limitée. Madame joue avec moi comme un fauve avec sa proie. Elle se sert, elle m'utilise, elle dispose à sa guise. Je vis chaque sensation et chaque douleur avec cet indicible plaisir de me soumettre et de m'offrir à cette femme dont je connais aussi bien la douceur que le sadisme. Je suis en nage et inondée de désir. J'entends le petit "pop" du capuchon du feutre. Madame écrit sur ma peau.
Je m'abandonne sans réserve. Je suis sa propriété, sa chose, sa chienne. Le temps s’écoule au rythme de ses pulsions et de ses caresses, mon cerveau sécrète en alternance de la dopamine et des endorphines, mes terminaisons nerveuses sont à vif, mon ventre est en feu.
Madame finit par enlever le bandeau et délie la corde. La chaine et le plug restent en place. Je lis ses mots sur mon corps. *M's precious slut*. Le rouge de l'émotion me monte aux joues, violent.
Madame me fait face et s'allonge à moitié. "Ne bouge plus". Je suis à genoux. Immobile. Le silence envahit la pièce.
Elle me regarde. Longtemps. Il y a beaucoup, dans ce regard.
#BMOM
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Le collectif @Pandemonium est une petite équipe de passionnés qui "sévit" dans le Vaucluse, fait notable tant ce département est "sinistré" ^^
Ils en étaient hier soir à leur treizième soirée, un vendredi 13, à Monteux. Inauguration d'un nouveau site, hébergé par une boîte libertine, aménagée pour l'occasion. L'endroit est entièrement de plain pied, ce qui change des salles plus intimistes de Bédarrides, dispersées sur plusieurs étages. Evidemment, un avantage certain pour l'équipe qui installe avant chaque soirée le mobilier et le matériel dédié : croix de St André, "balançoire" (swing), tables de jeu ou de massage, cachot, latexarium et son vaccum bed... Hier c'est @ENZOlatAix qui organisait la visite guidée, préambule à la soirée. Vestiaire, bar, je retrouve des amis, des connaissances, je découvre de nouvelles personnes.
Plus voyeuse que joueuse, observatrice de scènes qui s'offrent à mon regard. Un couple organisateur entame le bal, démarre les supplices, elle à la porte d'un genre de cage chromée, ouverte, une barre en son centre, baignée de lumière rouge. La mise en scène est douce, sensuelle. Il lève sa jupe et commence les flagellations au martinet et au fouet. Dans la foulée, un autre couple se joint. Elle est nue, attachée à la croix de St André pour une séance d'électro-stimulation qui fait discussion au sein de notre petite groupe d'amis. Envie ? Phobie ? La lumière blanche, irisée, qui frôle le corps et le visage est hypnotique. Le son l'est tout autant, ce grésillement électrique incessant me vrille agréablement et odieusemement les oreilles. Ambivalence. L'intensité monte et la femme gémit. Le premier couple laisse la place à un autre avec d'autres flagellations au martinet, à la cane, d'autres divers instruments, genre de paddles...
De l'autre côté, dans le latexarium, essais du vaccum bed, tandis que l'espace privé voisin résonne des coups de boutoir du baiseur de la soirée. La première femme à essayer au moment où j'y suis, panique, ne parvient pas sans doute à réguler sa respiration. La seconde a un instant de flottement, mais elle reste dans le sac, entièrement, sans en sortir la tête, en gardant le tube de respiration dans sa bouche. Elle finit par se calmer, à force de caresses apaisantes. La musique aide, la partie de baise à côté sans doute moins, mais elle a du faire abstraction sous ce voile épais de latex. Enzo commence alors l'aspiration. L'air se vide dans le sac, le latex s'imprime comme une seconde peau sur le corps entier, le visage invisible, impassible. Tout va bien, tout est sous contrôle. Elle est détendue, respire doucement. Trois personnes sur le matelas caressent son corps, c'est très beau, tactile, lenteur, langueur... Le latex décuple les sensations, m'explique-t-on. L'homme sort un vibrateur et commence à l'activer sur son corps, puis concentre les vibrations sur son entrejambe. le corps bouge à peine emprisonné dans la matière mais on sent la tension provoquée par le plaisir. La contrainte est ultime tout comme les privations sensorielles, les sensations tactiles sont d'autant plus amplifiées. Plus tard, on m'expliquera que les vibrations ne se contentent pas de rester sur le sexe mais qu'elles se propagent le long du latex dans tout le corps. Cela donne envie d'essayer...
Retour dans le premier espace, beaucoup de jeux là encore, les couples se succèdent, domina-soumis, dominant-soumise, encordeur, jeux d'impact, d'autorité, de cire... Pour l'anniversaire d'un soumis, à défaut de souffler ses bougies, nous sommes conviés à les faire couler sur son corps nu. De nombreuses femmes, dominantes et soumises, jouent le jeu. Il règne ici un excellent esprit, serein, au jeu ou au voyeurisme, à l'échange, au plaisir...
Mon plus joli moment reste une femme entièrement vêtue de latex, en combinaison, grande, longue, joliment galbée, encordée à la "cage" métallique, caressée et jouissant sous les vibrations d'un Wand. Tellement belle dans son abandon et sa jouissance, son corps habillé de latex dans lequel joue et flamboie la lumière rouge.
Prochaine soirée en juin. Peut-être l'occasion de tester le vaccum bed (ou pas), après avoir déjà testé les masques à gaz afin d'habituer ma respiration...
Pour en savoir plus et suivre l'annonce des soirées etévénements : https://www.bdsm.fr/https-www-soireepandemonium-fr/
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La manipulation est l'un des pièges majeurs des relations dans le SM... Elle est majoritairement le fait des hommes, la femme étant de ce fait la cible.
Découvrir que l'on est manipulé ou bien qu'on l'a été est particulièrement pénible à gérer; autant prendre quelques précautions.
J'attire l'attention des membres féminins du site, novices ou non car personne n'est à l'abri, sur cet article que je trouve intéressant :
CINQ façons de désarmer un manipulateur
Rédactrice : Claire C.
Vous êtes sous l’emprise de cette personne toxique, et peut-être même que, l’air de rien, vous en faites toujours un peu plus dans l’espoir de le/la satisfaire, de vous acheter un peu de répit, un peu de paix sociale? Peut-être même que plus cette personne vous dévalorise, plus vous vous acharnez à tenter de lui faire plaisir…
Il est temps de regarder les choses en face : vous êtes en relation avec un manipulateur, un vrai, voire un magistral, un pathologique.
Voici des erreurs classiques dans les relations excessivement empreintes de manipulation qui sont autant de stratégies d’échec et de véritables moyens de s’enfermer dans la spirale sans fin de la dévalorisation, de la perte d’estime de soi, des mauvaises relations, et de vous transformer en brebis à la merci du prédateur :
Laisser faire
Croire qu’il ou elle “changera”
Jouer les Sauveurs
Lui trouver des excuses
Essayer de lutter
Pour vivre une vie heureuse, il est très important de conserver un réseau d’amis et de connaissances, solidaire et influent. Néanmoins, parfois nous confondons les influenceurs et les manipulateurs et il peut être difficile de faire la différence.
Il est rare de trouver ceux qui consacreront du temps et de l’énergie dans quelque chose qui ne leur apportera rien personnellement. Tout comme dans les affaires, nous calculons le retour sur investissement dans nos relations, cela ne se passe pas forcément de cette façon, mais ça arrive.
Les manipulateurs savent comment obtenir ce dont ils ont besoin au détriment des autres. Ils trouvent des moyens de contourner le système (ou vous) à leur profit, donc même si votre retour sur investissement est faible, vous prenez toujours un moment pour investir dans la relation.
Les manipulateurs passent beaucoup de temps et d’énergie à créer un environnement où ils peuvent contrôler le résultat, pour que leurs besoins soient constamment comblés par d’autres. Le plus gros problème d’une relation manipulatrice, c’est que souvent nous ne savons même pas ce qui se passe, et nous la laissons continuer.
Voici 5 façons de désarmer un manipulateur :
Voici quelques caractéristiques des manipulateurs :
* Leurs besoins priment sur tous les autres.
* Ils s’attendent toujours à ce que vous soyez disponible d’un moment à l’autre.
* Ils sont souvent dans une crise qui nécessite une action immédiate.
* Autre indicateur clé d’une relation manipulatrice : quand d’autres amis commencent à remarquer le déséquilibre entre les concessions mutuelles avec quelqu’un d’autre. Faites attention aux gens qui vous entourent et à leurs remarques. Il est souvent plus facile de voir les choses avec un regard extérieur.
* Dites non et restez ferme
Vous pouvez seulement contrôler vos actions. C’est important car vous ne pourrez pas changer le comportement d’un manipulateur, mais vous pouvez arrêter d’être leur victime. Cela se produit quand vous commencez à dire « non. »
On nous manipule parce qu’on laisse faire et refuser d’être manipulé est la première étape pour rompre le cercle. Les manipulateurs sont bons dans ce qu’ils font, donc faites attention à leur réponse. Ils sont susceptibles de dire ou faire des choses pour vous toucher. Nous devons rester fermes dans notre « non », sachant que c’est le premier pas pour nous libérer de leur influence.
* Reconnaissez le problème
Personne ne devrait être étonné d’apprendre que l’on doit reconnaître qu’il y a un problème avant de pouvoir le résoudre. Le premier signe qui indique un problème, c’est lorsque l’on sort d’une rencontre avec quelqu’un et que l’on ne se sent pas tout à fait bien et que l’on s’interroge sur les résultats. Si vous vous posez des questions et que vous avez des doutes sur quelque chose que vous avez promis ou accepté, il serait peut-être temps de commencer à remettre en question les motifs de la demande.
* Posez des questions
Dans une relation manipulatrice, il y a les exigences sans fin qui pèsent sur vous. Elles sont généralement formulées de sorte à ce que nous nous sentions privilégiés d’avoir la possibilité d’aider.
Comme un manipulateur se nourrit du contrôle, il est utile d’enlever une partie de ce contrôle en vous recentrant sur eux en posant des questions. Le type de questions peut aider à les sensibiliser à la valeur unilatérale de la demande et peut signaler que vous êtes conscient de leur comportement. Par exemple :
Je vois à quel point cela t’aide. Mais peux-tu m’aider à comprendre ce que cela m’apporte ?
Dois-je dire un mot concernant la tournure que cela prend ?
Est-ce que pour toi cela ressemble à une demande raisonnable ?
Est-ce que tu trouves juste de me demander de faire… ?
Lorsque vous posez des questions d’approfondissement, vous mettez la lumière sur la vraie nature de leur demande. S’il existe une conscience de soi, alors en principe ils verront la situation pour ce qu’elle est et modifieront leur demande ou la retireront complètement.
* Utilisez le temps à votre avantage
Les manipulateurs sont bons dans ce qu’ils font et auront toutes sortes de réponses à nos objections. Ils savent aussi qu’ils ont plus de chance de nous faire accepter leur projet s’ils ne nous laissent pas le temps de réfléchir. Au lieu de répondre immédiatement à leur demande, utilisez le temps à votre avantage.
« Laisse-moi te rappeler. »
Cette déclaration nous permet d’avoir la situation à notre avantage. Elle nous donne la possibilité de vraiment évaluer la situation et nous permet de trouver une façon raisonnable et respectueuse de refuser si c’est ce que nous voulons.
Nous restons dans une relation pour toutes sortes de raisons, mais nous devrions y rester seulement si elle nous est bénéfique.
* Une des choses à faire pour améliorer nos relations est de nous rendre mutuellement service.
Ainsi, alors qu’une personne importante pourrait avoir besoin de plus d’attention et d’aide en raison d’un changement important dans la vie, avec le temps la relation honore les besoins de chacun.
Inutile de dire qu’un manipulateur n’adhère pas à cette philosophie. Rappelez-vous qu’il est normal de créer des limites et de dire « non » pour notre bien-être. Après tout, nous sommes mieux préparés pour aider les autres lorsque nous nous faisons passer en premier.
Claire C.
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Je t’attends, comme à mon habitude devant la porte d’entrée. Il est à peine 18h15 et tu n’arrives uniquement à 18h30. Je suis impatiente de te retrouver mon maître adoré, mon corps entier rentre dans le désir les plus charnel. Je me mets un coussin sous les genoux, et me mais a quatre pattes comme tu aimes, avec le collier sur le cou, et la laisses dans la bouche. Je me répète sans cesse les règles que tu ma fais apprendre.
• « Toujours attendre le maître devant la porte avants qu’il n’arrive. »
• « Ne jamais regarder le maître dans les yeux. »
• « Ne jamais parler sans en avoir l’autorisation donnée. »
• « Toujours avoir les yeux baissés quand le maître nous regarde. »
• « Toutes les punitions, j’accepterais sans broncher. »
• « A chaque punition, je remercierais le maître de ce plaisir. »
• « Au plaisir du maître, je me plierais. »
Il est l’heure, je vous entends arriver devant le hall d’entrée, j’écarte mieux les jambes pour vous montrer à quel point je vous et désiré. Vous ouvrez la porte et prenez un ton plutôt sec à mon égard, je comprends alors que je n’allais moins faire la fière. Vous tourner aux tours de moi, palper mes fesses avec envie, et prenez bien le temps de vérifier à quel point mon vagin, c’est humidifier pendant que je pensée a vous.
« Tourne-toi, dépêche-toi ma chienne. » M’ordonna le maître.
J’acquis en baisant la tête et les yeux, tout en me tournant vers vous. Vous me prenez la laisse, et vous l’attachassiez à mon collier, que vous prenez soin de bien resserrer. Vous me faites marcher à quatre pattes jusqu’à la chambre, ou vous avez disposer tout les jouet dans le placard bien fermer pour que la petite soumise que je suis ne puisse y accéder. Je vous attends assise les fesses sur les talons, pendant que vous ouvrez le placard pour prendre la cravache en cuir que vous adorez tant.
« Cambre-toi, que j’admire t’es fesses rosir sous mes coups. » M’ordonna le maître.
Je me cambre donc bien, le visage touchant le parquet les fesses relever pour vous mon maître, j’attends avec désire tous vos coups, je prends plaisir à compter comme vous l’aimais le nombre de fois ou la cravache rebondie sur mes fesses. Ce que vous voulez sait me marquer, j’adore ça quand le maître me marque de son envie. Je sens mes fesses chauffer sous la cravache, vous riais et prenez un malin plaisir à m’entendre beugler de plaisir.
« Tu aimes ça ma chienne, dit le que tu aimes ça. » M’ordonnât le maître.
« J’aime ça maître, merci maître de me donner tant de bien » rebondi-je.
Vous me faites me relever pour monter sur le lit, ou vous me mettais le baillons en cercle, pour que vous puissiez insérer votre doux membre au fond de ma gorge. Vous savez que j’aime ça et ne vous retenez pas, plus je bave et plus vous aimer mon maître, que j’aime me voir à votre service. Vous prenez mes cheveux et les attacher, pour mieux les agripper, de façon a ce que mon visage balance bien le long de vôtre verge. Je deviens de plus en plus excitée, et ma cyprine commence a humidifier l’intérieur de mes cuisses.
« Tourne toi, que j’admire ton sexe remplie de mouille a mon égard. » M’ordonna le maître.
Je me tourne et montrai avec les jambes bien écarté à mon maître a quel point lui servir étais pour moi un plaisir fou et exquis. Je sens les doigts du mètre caresser les contours de mon vagin, pour aller directement aux grandes lèvres pour remonter jusqu’à mon joli bourgeon gonflé de plaisir. Je sens votre doigt le titiller de droite à gauche et de haut en bas ce qui me fait mouiller encore plus. Le maître fait des mouvements de plus en plus vite et je gémis de plus belle.
« Ta gueule, et écarte donc plus t’es cuisse. » M’ordonna le maître.
Je le fis aussitôt dit, il me met le vibro coller au clitoris attaché d’un scotch bien adhésif, avants de rentrée bien au fond de mon vagin, vous agrippez mes cheveux pour me cambrer de plus belle. J’entends vos testicules claquer contre moi, vous me donnez des fessées en même temps, vous adorez quand je gémis de plus en plus fort sous le rythme de son sexe.
« Je te sens jouir sur ma queue salope, je vais donc te remplir la chatte. » Me dit-il.
Effectivement, mes parois vaginales ce serré contre sa verge, alors que mon corps tremblé du plaisir qu’il me donnait. Mes yeux tournent de plaisir, et je sens le maître ce vidé a l’intérieur de mon vagin, puis le maître se retira pour en faire couler sa semence.
« Merci maître pour tout ce plaisir que vous m’avez apporté. » Dit-je.
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Je préviens, avants d'avoir un masse de critique concernant l’orthographe.
Que je suis Dyslexique et fait donc déjà de mon mieux.
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Carole avait vecu 2 conseils d’administration surprenant pour elle . Decouverte, vibrations tout étaient en symbiose avec ses vibrations .
Il lui a donné sa connaissance du kung fu . Prise comme jamais .
Il lui avait fait avouer qu’elle voudrait vivre comme lui de nombreux conseil d’administration
D’ailleurs ,Carole a en elle, ses boules de geisha pour lui montrer son desir de lui plaire et de leur donner autant de plaisir à tous les deux .
En arrivant au moulin theatre des precedents conseil d’administration , elle s’interrogeait . Pourtant elle savait ce qui l’attendait , tout était ecrit ,mais elle frissonnait :desir , impatience , curiosité ???
Déja la roulotte , hommage à son amour de l’equitation , de chevaucher ses amants ?Pourquoi ?
AU fond d’elle-même , Carole savait . Elle savait qu’elle commencait à avoir une certaine addiction à l’amant qui l’attendait et que c’était contraire a ses principes , mais un doux frisson dans ses reins lui fait accelerer le pas .
Elle savait aussi que d’avoir reclamer le programme à l’avance, elle ne pouvait que l’accepter, quelque soit le prix !le prix du plaisir multiple !!
Il est la , la regarde , la roulotte est petite , le lit accueillant ouvert sur 3 cotés vers la nature .
Voulait’il l’exhiber ?
Il lui fait signe de ne pas dire un mot .
Elle savait que si elle disait un mot la sanction serait dure , qu’ilne la prendrait pas avec son dard lors de ce conseil , tout juste si elle avait le droit de gemir de plaisir .
Elle savait que si elle lui donnait ce qu’il voulait , il la libererais de son silence en l’appelant.
Carole s’approche , se deshabille, les yeux dans les yeux .
Elle frissonne , il la prend doucement dans ses bras et l’allonge sur le lit , les pieds vers les fenetres la tete dans le vide . Il l’embrasse doucement , Carole sent les vibrations traversez son corps
Il lui attache les 2 mains en croix et lui fait basculer les jambes au dessus de son corps et fixe ses douces chevilles a ses poignées .Carole offerte attend sa bouche sur ses levres , son clitoris déjà humide . Il veut voir son desir et l’encourage physiquement ,il caresse ses cuisses , son cou , ses seins Carole n’en peux plus , masi elle est bloquée . pascal se deshabille , son pouls s’accelere , va t’il la prendre dans sa bouche, son vagin , son anneau etroit ? Non elle a a voulu savoir et elle sait qu’elle va souffrir de plaisir.
Il a soif et viens se servir à sa source d’amour , carole tresaille ,defaille de plaisir, il a tres soif et va de plus en plus vite , Carole secoue la tete et ne doit pas pas parler , elle est punie d’avoir exigée de connaitre à l’avance ce CA . Elle gemit , il la regarde et …….. lui baisse la tete et introduit son dard dans sa bouche avide , il la prend dans sa bouche comme s’il s’agissait de son vagin .
Carole ne peut plus gemir , seulement le satisfaire .Pascal la boit ,lui mord son intimité , essaie de la faire parler , mais comment pourrait t‘elle ? son bouche ,sa gorge est envahie par sa virilité …
Mais elle jouis , jouis sous la langue de son amant .
Et là , elle obtient sa recompense , Pascal lui offre son nectar , il se redresse et la regarde , elle est belle tremblante encore de desir , silencieuse , le souffle court
Il la reajuste sur le lit sans la delier , lui cale la tete et l’embrasse longuement , doucement , leurs langues s’entremenellent .
PREMIERE ETAPE A SUIVRE
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Nouvelle création en ce jour du printemps : un hommage à la poésie des mots et à celle du corps féminin, en les mariant de façon dynamique, dans ce court-métrage, que j'ai réalisé avec Cléo (Silva) :
.
Elle est devant sa page blanche comme face à un miroir vide.
Elle est la page blanche.
Puis elle prend les mots, et les regarde dans les yeux pour y lire ce qu’elle a à dire. Les premières lettres esquissent l’ombre trop pacifiée de son visage. Elles se laissent déposer là, et semblent d’une docilité affligeante. Alignées comme des petits soldats, elles s’endorment tout contre leur fusil, en attendant le signal. La discipline les tuera.
Elle voudrait les voir se cabrer sous sa plume, crisser contre le papier kraft, elle voudrait qu’elles se débattent, farouches aux politesses, elle voudrait voir pousser des dents entre chaque syllabe, et que surgissent des gueules de loups aux pieds des paragraphes.
Alors d’un geste franc elle ramasse tous les mots trop doux pour n’être que des agneaux, et les fourre dans sa culotte, sans réfléchir aux conséquences. Voilà qu’ils remuent et couinent quelques sons sans ortographe. Elles serre ses cuisses en s’enfonçant un peu plus dans son fauteuil, laissant agir l’alphabet improbable qui s’invente au creux de ses lèvres. Elle sent les consonnes se tortiller sous sa croupe, et se faisant lui chatouiller le clito. La moiteur s’installe, chaque pore de sa peau suinte d’encre chaude, chaque voyelle transpire d’une indécence trop longtemps contenue.
Elle se frotte tout contre les virgules, frénétiquement, sa ponctuation halète, elle s’imagine courir nue dans les herbes hautes de son petit champ lexical, comme la gamine qu’elle était du temps où la honte n’était qu’une planète lointaine. Attraper les idées au lasso, ligoter l’impossible en un tour de main, jusqu’à faire ployer le silence sous le poids des naïvetés. Les plans sur la comète étaient toujours les meilleurs, puisqu’il suffisait d’y croire.
Elle profite d’un saut de ligne pour reprendre sa respiration.
Les années ont déjà jauni quelques livres, ouvert d’infinies parenthèses, et ont laissé tant de points en suspension, qu’elles rôdent dans le bas-ventre comme anguilles sous roche. Les fantômes de tous les palimpsestes narguent la virginité des dernières feuilles.
En interligne, elle se point d’interroge : le défi serait-il alors de rendre les jouissances kamikazes ?
Alors elle s’acharne à nouveau, à nourrir le monstre, elle s’évertue à imprimer l’illisible, à se branler sur le souvenir de son instituteur. Aujourd’hui elle lève le doigt et demande l’autorisation pour jouir, le lendemain elle se fout la grammaire au cul pour s’infliger elle-même le plaisir d’une bonne punition, et puis elle entasse au fond de son vagin tout ce qu’il lui reste comme vocabulaire, pour qu’enfin,
enfin, il restitue ça sous forme de langage absolu.
À chaque fois, après l’orgasme intellectuel tant attendu – et quelque fois décevant, elle reste hagarde, les hémisphères encore palpitants, le stylo parcouru de frissons. Elle regarde sa main s’arrêter dans son mouvement, enrouler ses derniers e muets, semer en quelques spasmes les circonflexes oubliés, et finir sa course en bas de page.
Ses doigts caressent le grain du papier, à l’endroit du nombril.
Elle aime faire de la lecture un voyeurisme.
Pousser l’œil au pied de la lettre.
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Séance de dressage.
Ôjade attaché et suspendue est travaillée avec un gode Electro Gode.
Elle doit apprendre à maîtriser ses orgasmes.
Ojade arrive pour la première fois chez Le Maître.
Elle L'a choisie Lui et pas un autre.
Après un long entretiens elle a dû emplir sa check-list,
Sur son vécu, son expérience, ses désirs,
Faire la différence entre ses envie et ses fantasmes
Sa motivation, son envie d'obéissance.
Le Maître lui ordonne de se dévêtir nue
IL la passe à la toise. (prise de mensurassions)
Ojade Soumise fait sa promesse d'obéissance
Son noviciat commence alors.
Le Maître lui ordonne de se vêtir
d'une guêpière seins libre, de bas noir a couture et escarpin à talon.
Le Maître l'installe entre les Chaînes
Et l'attache suspendu écartelée.
Le Maître lui met le bâillon pince à téton.
La séance première de dressage peux commencer.
Le gode Electro masse les chaires intimes de soumise
Élargi l'orifice humide entre les grandes lèvre de son sexe
Puis progressivement entre elle jusqu'à entrer entièrement
Sous de fort Vas et Viens Soumise Ojade commence à jouir
Il lui est interdit de jouir, si elle le fait se sera un punition.
Soumise Ojade ne résiste pas sous les décharge intenses des vibration et de l'électro
qui foudroie tout son corps au plus profond d'elle
Son corps se cabre et se tort de tous sens sous les jouissance intense.
La punition devra être appliqué 50 coups de fouet.
Le Maître alors prend le fouet
IL le met entre les dents de Soumise
"" Mors le bien avant que ce soit LUI qui morde ton corps""
LUI dis le Maître.
Ainsi Soumise se prépare au fouet.
Elle ne le connais pas.
Le Maître sent, sa peur l’angoisse se ressent
Avec le vent du fouet qui cherche le corps qui lui est offert.
Le fouet Clac effleurant seulement la blanche peau
Encore et encore et encore,
Soumise est fébrile, son corps se cabre
vers le fouet, cherchant à mettre fin à l'attente
du premier contact avec ses chaires.
Avec Maîtrise et dextérité Le Maître continue
à éviter les contacts avec les chaires qu'IL ne consent.
Soumis Ojade cherche a comprendre
Cherche le fouet, Soumise Ojade désir le fouet de plus en plus
Alors qu'elle ne ressent que le vent qu fouet qui effleure ses chaires
Elle veut mettre fin à l'angoisse de la douleur, déjà elle a ses douleurs
qui parcourent son corps sans que les mèches du fouet n'aient eu le contact.
Le Maître SAIT. Alors....! Alors....! Enfin...!
Le fouet clac sur les chaires humide du sexe d'Ojade
Le fouet clac, clac, clac encore et encore avec précision
Sur les lèvres du sexe d'Ojade
Ses jambes cherchent à s'ouvrir encore,
Elle se cabre recherche enfin le contact plus profond du fouet
sur sa chatte largement écartelé par le gode électro
l'humidité s'écoule le long de ses cuisses
Ojade gémie, mélange de douleur et de jouissance....
Toujours sans autorisation de jouir
La punition continue....
Cette fois sur les reins et les fesses ainsi que l'anus
que ce dernier le Maître va dépuceler un peu plus tard.
Le Maître SAIT
Ojade suspendue reste là sans plus réagir
que dans ses gémissements de jouissance extrême
l'orgasme se déchaîne en elle
la secoue au rythme du fouet
le fouet clac, le fouet clac encore et encore.
Le Maître SAIT
Le fouet se calme et s'arrête enfin
Ojade est en transe dans un orgasme non maîtrisé
Suspendue attaché.
Le Maître SAIT
Le Maître détache Soumise Ojade
qui lui tombe dans ses bras
Ojade épuisé se confie Corps et Âme a SON MAÎTRE
Celui qu'ELLE a choisie.
Première Séance pour Ojade
PS: Ôjade est depuis 6 ans ma Slave.
Maître-C78 Maître Charles.
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Ce petit article concernant l'éjaculation féminine et les femmes "fontaines".
En bleu, mes commentaires......
Il ne faut jamais dire fontaine, je ne boirai pas de ton eau....
Un jour cela peut vous arriver et c'est bon.....!!!
Rien à voir avec la performance du ou de la partenaire.....
Je ne suis pas meilleur qu'un autre....mais une mise en condition et une approche très cérébrale avec patience et dans la confiance est plus que nécessaire......
Protégez votre couette et vos draps......ça va jaillir....!!
Non ! Ce n’est pas un mythe ...
On appelle "femmes fontaines" les femmes qui émettent pendant l’orgasme un ou plusieurs jets d'un liquide différent de la lubrification vaginale habituelle et de l'urine, c’est ce qu’on appelle l’éjaculation féminine.
Ces sécrétions proviennent de petites glandes placées de chaque coté de l'urètre, appelées « glandes parauréthrales » ou périurétrales (parauréthrale signifie simplement "près de l'urètre"), ou encore "glandes de skène". Elles sont plus ou moins développées chez chacune d’entre vous, ce qui explique pourquoi, en apparence, toutes les femmes ne sont pas fontaines.
Mais je suis persuadé que vous pouvez toutes le devenir.....!
Vous êtes toutes constituées de la même façon....alors pourquoi certaines et pas les autres..!!
Au moment d’un orgasme intense, ces petites glandes se contractent et expulsent un liquide qui ressemble à de l’eau ou à de l’urine. Cette ressemblance fait croire à certaines femmes qu’elles urinent pendant l’orgasme, ce qui provoque une gêne qui bloque le plaisir. Dommage....!!!
Au début, la plupart des femmes éprouvent une honte face à ce phénomène et hésitent même à en parler à leurs médecins ou à leurs amies intimes. La plupart des femmes qui consultent le font parce que ça leur pose un problème dans leur couple. Certains hommes étant complètement ignorants de ce phénomène, ils perçoivent très mal la fontaine au moment de l’orgasme et prennent ça comme une insulte … Mais dès que l’homme découvre que la fontaine est due à l’intensité du plaisir féminin, il en est très fier et prend ça comme un « cadeau ».
L’éjaculation féminine est due à l’excitation du Point G. Le Point G a été découvert dans les années 50 par un Gynécologue allemand nommé Ernst Gräfenberg qui publie une étude sur l'apport de la stimulation de la paroi antérieure du vagin dans l'excitation sexuelle des femmes. Il en vient à la conclusion qu'il existe sur cette paroi, le long de l'urètre, un endroit qui se gonfle quand on applique une stimulation et une pression constantes. La sensation provoquée devient très plaisante, au point qu'elle peut mener à l'orgasme.
Remarque préliminaire : Prenez votre temps, en règle générale et à l’inverse de l’homme, le sexe de la femme prend une 15aine de minutes pour être réceptif à vos caresses : pour que la vulve et les glandes parauréthrales soient engorgées, que le vagin soit dilaté et produise de la Cyprine , et pour que le clitoris soit en érection. Il ne sert donc à rien de courir , il faut juste partir à temps ( La Fontaine :-) )
Rechercher le point G :
Une fois en état d'excitation, vous allez explorer la face antérieure du vagin à la recherche d'une surface de la taille d'une pièce d'un euro, légèrement rugueuse et gonflée (à l'aspect d'une langue de chat), cette surface se situe approximativement entre 3 et 7 cm de l'entrée du vagin. Restez toujours très délicat, cette partie est très sensible et il faut la masser progressivement.
Messieurs soyez patient.....!
Comment le stimuler :
Avec les doigts : En exerçant des mouvement alternés (lents, rapides, appuyés, doux) du bas vers le haut et de l’arrière vers l’avant.
Pendant la pénétration : Plusieurs solutions possibles pour le massage du point G par le pénis …
- En levrette, en prenant soin d’insister sur le point G avec le pénis.
- L’homme est allongé sur le dos, la femme à califourchon en faisant basculer son bassin d’avant en arrière.
- La femme est allongée sur le dos les genoux pliés, l’homme est agenouillé entre ses cuisses, et sans la pénétrer complètement, l’homme se balance rapidement pour que son pénis ne bouge que de quelques centimètres sur le point G.
Il y a bien évidemment d’autres positions, celles-ci sont données à titre d’exemple, laissez libre cours à votre imagination ;)
Toutes les femmes éjaculent-elles ?
Je suis intimement persuadé que toutes les femmes sont des fontaines potentielles, même si elles ne s’en rendent pas compte. J'en suis persuadé aussi......!!!
Il suffit juste de connaître le mode d'emploi :-) Messieurs, je vous invite à lire et à relire ce site et à vous en inspirer.
L'importance de la stimulation clitoridienne !
Le clitoris détient probablement la clef de l'éjaculation féminine chez la plupart des femmes. Si le clitoris n'est pas stimulé une femme a moins de chances de devenir sexuellement éveillée. Si elle n'est pas sexuellement éveillée, ses glandes parauréthrales ne se rempliront pas de liquide prostatique. Si ses glandes parauréthrales ne sont pas engorgées elle peut ne pas avoir de point G. Si son clitoris n'est pas stimulé elle a moins de chances d’atteindre l'orgasme, empêchant les contractions rythmiques des muscles pelviens qui expulsent et libèrent l’éjaculat. Avant que vous ne puissiez aller explorer le point G, vous devez maîtriser la stimulation clitoridienne.
Petite remarque : L’anatomie féminine n’est pas une mécanique, il ne suffit pas de pousser sur un bouton pour faire démarrer une femme au quart de tour.
A bon entendeur.....!!
A l’inverse des hommes, les femmes ont des orgasmes diversifiés qui tiennent compte du développement sexuel de chacune. Le premier organe sexuel chez la femme est le cerveau, .....Tout commence à ce niveau pour moi aussi....
Ce sont donc les fantasmes et la mentalisation de l’acte qui vous permettront d’atteindre l’orgasme ...
Il est évident pour moi qu'un climat de confiance est nécessaire pour vraiment "se lâcher" si ce genre de recherche et d'objectif se fait avec un partenaire.
Exploration intéressante à deux.....non ?
Extrait de mon blog (Blog de steeve erog)
Maître Steeve.
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A quatre pattes, nu, ma langue lèche la trace de tes pas.
Lentement derrière toi, je remonte le long de tes talons vertigineux et commence l’ascension de tes jambes par le haut de tes chevilles et l’arrière de tes mollets.
Toujours plus haut vers le creux de tes genoux, puis l’intérieur de tes cuisses fabuleuses, j’atteins sous la jupe corolle, la divine frontière de tes bas.
A quatre pattes ensuite, sortant du crissant plaisir de la soie, ma langue touche enfin ta peau nue, un carré merveilleux à la fois chaud, vivant, sec, goûtu.
Je m’y attarde, passe de l’une à l’autre de tes cuisses, enfoui ma tête entre tes jambes, prend plaisir au goût de ta peau.
A genoux enfin, ma tête se relève et je plonge entre le divin pli de tes fesses. Ma langue darde vers ton oeillet, ma bouche en ventouse sur ton orifice. Je titille, je lèche, j’aspire. Froid et serré, peu à peu il s’ouvre à moi, se réchauffe, se mouille, et tu commences à bouger. Je passe autour, dessus, dedans enfin ; je goûte et je sens tes fesses et ton trou magnifique. Mes mains en corolle, joue avec ton entre-jambe.
Longtemps tu résistes, enfin tu te donnes, vibres, bouges, serres, m’écrases, m’étouffes.
Longtemps je suis à toi, généreux et tendu, docile et écrasé.
Le plaisir croît et nous laisse enfin, toi tendue puis lourde, moi écrasé et etouffé sous tes fesses divines.
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Voici un texte que j'ai écrit il y a quelques temps déjà, mais que je souhaiterais corriger, modifier, parce que je suis sûre qu'il y a des petites choses qui ne vont pas. A force, je suis incapable à l'heure actuelle d'en voir les erreurs, ni les fautes d'orthographe.
Alors n'hésitez pas, si vous passez par ici, à me faire part de vos remarques en commentaires. Je verrais si oui ou non elles permettent d'améliorer ce texte sans le dénaturer.
Voici donc :
>>> L'Escalier
Les talons de la belle claquaient sur les pavés encore mouillés de cette matinée. La pluie avait cessé depuis peu. Le soleil réapparaissait derrière les nuages, et sa clarté illuminait les façades des immeubles à colombages. Elle avançait d'un pas lent, ses cheveux longs et roux, libres de toutes attaches, flottant au vent, et serrant contre sa poitrine le manteau noir, coupé trois-quart, dont elle était vêtue.
Plus elle marchait, plus elle angoissait.
Si elle était dans cet étroit passage, c'est parce que Son Maître le lui avait ordonné. Il lui avait fixé un rendez-vous en lieu inconnu, avec l'un de ses amis, tout aussi inconnu pour la jeune soumise. Lorsqu'elle vit l'escalier au fond de la ruelle, qui donnait sur une porte en sous-sol, elle sut que c'était là le lieu de rendez-vous. D'un pas qu'elle voulut calme, elle descendit les marches une à une, essayant de ne penser qu'au bonheur de servir Son Maître, y compris en cet endroit, y compris avec cet autre homme.
Au bas de l'escalier, elle remarqua que la lourde porte d'acier avait été entrouverte, conformément aux instructions qu'elle avait reçues. Comme convenu, elle entra, et referma la porte derrière elle. D'un coup, il fit beaucoup plus sombre. Et beaucoup plus frais. Grâce à la torche suspendue sur le mur à gauche d'elle, la pénombre n'était pas totale. Alors elle défit son manteau, qu'elle posa sur un petit banc laissé à cette attention.
La jeune femme n'était vêtue... que d'un collier aux multiples anneaux, auquel pendait une courte laisse, dont la poignée de cuir noir tombait au niveau de son intimité, joliment dépourvue de pilosité. Entre le contact de l'acier sur sa peau, et la fraîcheur de l'endroit, son corps était parcouru de frissons. Pour se donner une meilleure contenance, elle recoiffa ses cheveux de ses mains, les aérant et les plaçant dans son dos, afin que nulle mèche ne vienne cacher ses seins, où ses petits tétons s'exhibaient indécemment. Puis elle s'agenouilla, se pencha en avant pour se mettre à quatre pattes, jambes légèrement relevées en arrière afin de ne pas abîmer ses escarpins. Elle ferma les yeux, entrouvrit la bouche, y placa la poignée de la laisse et attendit...
Après quelques longues minutes, des bruits de pas se firent entendre. Quelqu'un approchait. L'homme.
La femelle avait toujours les yeux fermés. Il était arrivé à son niveau, elle sentait le parfum boisé de celui à qui elle appartiendrait durant ce moment voulu par Son Seigneur et Maître, son Propriétaire. Elle sentit des mains puissantes poser sur ses yeux un bandeau noir, serré fermement. Elle ne verrait plus rien, devrait se laisser guider maintenant.
Il fit passer sur son dos les longues lanières carrées d'un martinet, prenant tout son temps, pour caresser ainsi l'espace compris entre sa nuque et le creux des reins, s'attardant parfois sur une parcelle de peau. Soudain... la morsure du cuir, cinglante, entre ses cuisses, sur sa chatte. Et le mouvement brusque de la laisse qu'on tire en avant... La chienne avança, gardant tête baissée. Ce lieu, qui devait avoir servi d'entrepôt ou d'autre chose, n'était pas adaptée à la promenade d'une femelle, ses mains, ses genoux, étaient meurtris par les graviers et les irrégularités du sol. Mais elle savait ne pas devoir faire attendre cet homme, ami de Son Maître, et veilla à suivre son rythme.
Ils passèrent un long corridor, étroit, sombre, car les seules torches présentes étaient celle se trouvant à l'entrée, et l'autre, dans la salle vaste et sphérique, où ils se dirigeaient. Bien que le couloir soit étroit, l'homme gratifia la femelle d'un nouveau coup de martinet, dont les lanières s'abattirent sur son cul. Il se pencha vers elle et vérifia par lui-même l'effet de sa présence, de ses coups, sur la chatte humide de la chienne à ses pieds. Satisfait, il enfonça ses doigts mouillés dans la bouche toujours entrouverte de la belle et elle les lécha avec application, avant qu'ils ne continuent leur chemin.
L'homme guida la chienne au centre de la pièce, jusqu'à un matelas posé à même le sol. La chienne monta sur l'épais matelas, et exhiba à ce Maître d'un moment ses orifices lubrifiés de sa mouille, et les traces du martinet. L'homme claqua le cul de la femelle offerte ainsi à ses désirs, quels qu'ils soient. Il claqua, doucement tout d'abord, puis de plus en plus fort, jusqu'à ce que le cul rosisse, puis rougisse, que les halètements se fassent geignements. Une dernière claque, retentissante, un cri de la chienne, Puis le silence.
Une pression sur sa tête, l'ordre était donné de rester agenouillée, silencieuse, respecteuse, dans une position d'attente. Elle l'entendit se diriger vers un ailleurs inconnu. Mais déjà il revenait. Il était presque aussi discret qu'un chat, mais des outils d'acier semblaient s'entrechoquaient. Sûrement devait-il avoir apporté une sacoche, contenant divers matériels.
L'homme sortit effectivement de sa sacoche un écareur tout en acier, et le posa dans la bouche de la femelle, Elle avait l'impression qu'elle allait se décrocher la mâchoire, et eut une pensée pour Son Maître, qui la bâillonnait souvent... mais cet écarteur, c'était nouveau pour elle.
Ensuite, il sortit des cordes, et savamment, bondagea la chienne... mamelles emprisonnées, corde passant entre ses grandes lèvres plus qu'humides... L'homme amena la femelle jusqu'à une croix en T, postée derrière le lit, l'installa sans ménagement : bras et poignets liés sur le montant horizontal, jambes passées de chaque côté du montant vertical, et liées elles-aussi. Après qu'il lui ai mis un bandeau sur les yeux, l'homme s'empara de son martinet, et commença à flageller la femelle, sur la chatte, le ventre, les mamelles... de plus en plus fort, toujours. Que la peau de la chienne soit rouge, comme la passion, le désir... voilà quel était l'objectif de l'homme. Et il s'en donna à cœur joie. Elle versa quelques larmes, cela ne l'arrêtait pas et même l'excitait. Aussi il continua un long moment avant de changer d'instrument. La femelle était épuisée, trempée... sa mouille dégoulinait le long de ses jambes, elle sentait les pulsations dans son corps, comme un appel aux plaisirs... elle en voulait plus, elle se voulait toute emplie de l'homme, elle s'imaginait toute emplie de Son Maître, bien loin de cet endroit, Son Maître, qui lui avait fait l'immense honneur de sa confiance en l'envoyant s'offrir à celui-ci... elle devait être fière d'avoir ses envies lubriques, de se sentir femelle et chienne, objet d'un inconnu.
Soudainement, ses voeux furent exaucés en partie... un épais sextoy venait de lui être fourré dans la chatte. Il avait glissé à l'intérieur facilement. Des vibrations furent déclenchées, et le plaisir de la femelle fut décuplé, tandis que la cravache s'abattait sur sa chatte, violemment. Entre douleurs et plaisirs la femelle sombrait, disparaissait... partie dans une dimension faite de plaisirs, uniquement... au-delà de toutes douleurs... l'homme se plaqua contre elle. tiraillant ses tétons, les vrillant, les pinçant, et même les mordillant. Il prenait les mamelles à pleine bouche, les marquait de l'empreinte de ses dents, alors que la salive de la femelle glissait sur son corps... elle le sentait excité, son membre était raide et gros à travers le tissu de son pantalon...
Et brusquement... il détacha les liens de la croix.
Elle tomba dans les bras de l'homme, qui la renversa, ventre sur le lit... Il ouvrit son pantalon et vint se positionner au-dessus de la femelle, qu'il prit ainsi, enserrant le cou de celle-ci d'un bras. Elle avait toujours l'écarteur, le collier, la laisse, couverts de salive... elle était trempée, mouillée, marquée... salie, excitante. Il la baisa rudement, violemment, profondément, doigtant le petit orifice entre ses fesses, le dilatant... pour s'y engouffrer vigoureusement, en une unique poussée. Les couilles de Son Dominant claquaient sur son cul, sur son con, et la femelle n'en pouvait plus, elle ne devait pas jouir, même si elle le désirait. Le faire c'était ne pas respecter les ordres de Son Maître, c'était lui faire honte... Elle se fit défoncer avec rage, et elle adorait ça, elle, la chienne lubrique, esclave des plaisirs.
Avant qu'il ne jouisse, l'homme s'arrêta, et tira sur la laisse de la chienne. Celle-ci se remit à genoux, face à lui... elle était si belle avec cette bouche grande ouverte, inondée de salive... elle l'accueillerait jusqu'au fond... et c'est ce qu'il fit, il s'enfonça, dépassant la luette. Il était tout entier dans sa bouche, ses couilles au bord des lèvres. Il n'allait plus tenir très longtemps, aussi, c'est au moment où il allait lui gicler sa semence au fond de la gorge, tout au fond, bien profond, qu'il lui enleva le bandeau...
La chienne n'en crut pas ses yeux... elle eut d'abord un peu de mal à y voir, vue la pénombre... mais rapidement, quand la semence sacrée coula en elle, épaisse, elle Le reconnut... Son Maître, Son Seigneur... Son Propriétaire. Pas un inconnu, mais Lui, le Seul, l'Unique. Les dernières larmes qu'elle versa étaient des larmes de joie, d'avoir su avoir confiance en Lui, pour s'offrir ainsi.
Fin
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Je n'ai pas apporté mes cordes, je sais qu'il en possède quelques-unes et j'étais déjà bien chargée pour cette virée amicale et kinky. Elles sont un peu trop grosses, un peu trop longues à mon goût mais cela ne m'empêchera pas d'encorder comme je l'entends.
J'enserre ses poignets posés sur sa poitrine, ses bras, elle se laisse faire. Je la regarde avec un petit sourire et je passe la corde entre ses lèvres. Elle ne s'y attendait pas. Elle me regarde interloquée. Un éclair troublé passe dans son regard qui me colle des frissons. Le bâillon fait son effet, des deux côtés de la corde...
Je couche la poupée sur le dos et je lie fermement chacune de ses jambes repliées, fixées à deux anneaux au-dessus du lit. Je m'assieds entre ses cuisses. Je la regarde, je ne dis rien, je ne fais rien. Je me penche juste et j'appuie mon pubis contre son sexe, comme si je la plaquais un peu plus, l'écartelais davantage.
Je la dévisage, elle aussi. La proie et la prédatrice. Tout se joue dans cet échange-là, ce contact oculaire. C'est comme un miroir inversé, l'étrange abyme d'un puits d'émotions qui se mêlent, brouillent les images, floutent le décor.
Il est là, derrière moi, je le sais mais c'est comme si nous étions seules en cet instant, accrochées l'une à l'autre par le regard.
Je pose ma main sur son sexe, j'agrippe les poils, les tire comme je l'ai fait de sa chevelure, elle couine de façon plus aigue. J'ouvre son sexe, je contourne de mes doigts les chairs offertes, je déplisse et je commence à toucher, découvrir, branler. Ses yeux supplient, elle gémit à travers les cordes. Je mène cette danse du plaisir en l'entraînant sur les pentes de l'orgasme avant de stopper mes atouchements, juste au bord du gouffre. Trop tôt, pas encore, pas tout de suite. Mon plaisir est de la voir se tordre, sonder dans ses yeux l'interrogation, la supplique, l'abandon, le défi. Je lis la force et la fragilité, je vois la femme et l'enfant, je devine l'appétence et une curiosité insatiables. Petit animal que le plaisir affole, petite chose avide...
Lorsque ses pupilles disparaissent dans un halo blanc ou, à l'inverse, lorsqu'elles s'agrandissent, exorbitées, je relâche ma pression sur son clitoris. Je laisse le flot se calmer, le frisson s'adoucir sous la peau, avant de l'effleurer à nouveau, juste un peu, puis d'agacer et de frotter encore, en l'emmenant au point de non retour, où je stoppe une fois de plus mes caresses. C'est un jeu que j'aime, les montagnes russes dans son corps, l'excitation renouvelée, le plaisir qui monte et qui descend, l'impatience contenue, la frustration...
Les mots s'oublient. Mots superflus dans une atmosphère taiseuse et moite, hormis ses râles et miaulements de plaisir. Seules des bribes juste murmurées fusent de temps en temps « pas encore » ou, plus tard, « lèche-moi ». J'ôte alors une partie de la corde et que je la bâillonne de mon sexe à la place. Ses yeux deviennent plus flous, se teintent de vice, de cette tentation de me contrôler à son tour, de se dire que même contrainte, c'est elle qui tient mon orgasme entre ses lèvres. Cette expression fugace que j'ai décelée m'amuse et m'émoustille tout à la fois.
Puis le jeu se modifie. Il est toujours là et s'impatiente, demande si elle a enfin le droit de jouir, son apanage tacite, son rôle de mâle dominant. Je lui cède la place entre les cuisses de la jeune fille qui plante ses yeux dans celui qui s'apprête à la posséder pleinement. Il prend son temps puis la baise plus fort, sans retenue. Sa bouche est libre de toute entrave, elle gémit. Je saisis ses cheveux, caresse son visage, me rapproche. Ses yeux vont et viennent, roulent entre lui et moi. Il a disparu entre ses cuisses pour la faire jouir, enfin, et ses hurlements vrombissent puis claquent dans la nuit.
Petite fille apaisée que je libère de ses cordes...
Pour l'illustration, c'est chez Abyme
https://www.bdsm.fr/photo/437054/dom-lullaby-nina/userid_14770/
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Je suis toujours surpris qu'une femme s'abandonne à mes désirs. C'est pour garder cet émerveillement devant cette offrande que je me suis arrêté pendant des années. Car dominer C'est aussi savoir donner à sa soumise, de son temps, être créatif, empathique, l'amener à aller au delà de ses limites en respectant ses intimes frontières. C'est aussi se connaître et savoir que dominer n'est pas que hurler des incantations. Et le sourire d'une soumise épanouie...
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Cet article est destiné aux soumis et, plus particulièrement, à ceux qui aiment la femme.
Massage du clitoris : Techniques de Base
Le massage du clitoris est une excellente technique à avoir à votre disposition quand vous faites l'amour à une femme. Tandis que la plupart des couples commencent probablement par une petite caresse de la vulve et du clitoris avant les rapports sexuels, peu penseraient à le faire principalement. Si vous voulez vraiment impressionner votre partenaire, envisagez d'en faire le centre d'attention en lui massant le clitoris.
Le massage du clitoris peut être employé par les couples ayant des incapacités physiques temporaires ou permanentes. Les femmes enceintes peuvent éprouver un désir accru pour le sexe et l'orgasme mais se trouver dans l'impossibilité d'engager un rapport sexuel vaginal. Les partenaires ayant des paralysies peuvent ne pas être capables d'accomplir les gestes nécessaires lors d'un rapport sexuel. Les hommes qui sont impuissants peuvent encore vouloir donner à leur partenaire un plaisir sexuel et l'orgasme. Il est important de réaliser que les relations sexuelles peuvent avoir lieu en l'absence d'érection et de pénétration.
La première exigence du massage du clitoris est de savoir où se trouve le clitoris de votre partenaire, à quoi il ressemble et la sensation ressentie lorsqu'il est flasque et en érection. La seule façon d'apprendre ces choses est d'explorer. Avec les lumières allumées, faites dévêtir votre partenaire (il se peut qu'elle veuille garder une chemisette confortable). Elle devrait alors se coucher sur un lit, s'asseoir sur une chaise, ou s'asseoir sur le lit, redressée par quelques coussins. Soyez sûr d'avoir un accès facile à sa vulve, mais aussi qu'elle soit dans une position confortable. Assoyez-vous ou agenouillez-vous en lui faisant face. Si elle est assise sur une chaise ou au bord du lit, il se peut que vous aimiez vous asseoir dans une chaise ou vous agenouiller sur le sol. Elle peut aussi être assise sur vos genoux, vous faisant face. Vous devez êtes assez proche pour avoir le clitoris à portée de main. Vous pouvez très bien avoir l'envie qu'il y ait une proche source de lumière, comme une lampe de poche, pour éclairer sa vulve afin de pouvoir tout voir clairement. Il en va de même pour un petit miroir de façon à ce que votre partenaire puisse voir sa vulve et son clitoris, et ce que vous faites.
Commencez par observer sa vulve tandis qu'elle est au repos ainsi que les lèvres externes. Doucement, examinez tout avec vos doigts. Préférez la douceur des caresses. Notez la douceur de la peau et des poils pubiens. Si votre partenaire a beaucoup de poils pubiens, il se peut que vous vouliez les couper correctement avec des ciseaux. Il n'y a pas besoin de raser la partie pubienne. Puis, écartez doucement les lèvres externes avec vos doigts, et examinez ce qui s'y trouve. Identifiez les petites lèvres, le clitoris, et ses orifices vaginal et urinaire. Elle peut aussi vous aider en retenant ses lèvres externes ouvertes avec une ou deux mains.
Si vous ne pouvez pas identifier son clitoris, demandez lui si elle sait où il se trouve, et de vous le montrer. A cause des immenses variations de la structure génitale, certaines structures individuelles peuvent ne pas être immédiatement identifiables. Certaines femmes n'ont pas de petites lèvres, ou seulement une. Un clitoris bien développé sera facile à voir, mais certains clitoris sont si petits et cachés qu'une femme peut le savoir seulement en sachant où c'est le plus sensible au toucher, où elle se frotte en se masturbant. Si vous avez tous les deux du mal à situer le clitoris, allez voir les illustrations dans les pages Anatomie.
Une fois que vous avez situé son clitoris, essayez d'identifier toutes les différentes parties : le corps du clitoris/tige, la glande, et le capuchon/prépuce. Etant donné que cela dépend de la taille et de l'étroitesse de son capuchon, il se peut que vous ne puissiez pas l'écarter assez pour exposer sa glande clitoridienne. Si c'est le cas, vous pouvez le sentir sous le capuchon. Si sa glande est petite, il se peut que vous détectiez le corps de son clitoris quand elle est en érection mais non la glande elle-même. Certains sont très minces et difficiles à détecter. Dans ce cas, vous ne pourrez peut-être que l'identifier quand vous la sentez en érection à l'extrémité de vos doigts. Elle peut peut-être vous dire quand vous avez atteint sa glande clitoridienne si vous ne pouvez la sentir. Soyez très délicat lorsque vous examinez son clitoris. Beaucoup sont très sensibles.
Le pas suivant pour les débutants, ou en tant qu'échauffement pour ceux qui ont de l'expérience, est pour votre partenaire de se masturber jusqu'à l'orgasme. Elle doit aller lentement d'abord, décrivant ses différentes caresses, et la répartition de ses caresses. Cela, afin que vous puissiez comprendre ce qu'elle aime et ce à quoi elle est le plus sensible. Cela demandera beaucoup de pratique et de séances répétées de masturbation avant que vous ne deveniez aussi bon qu'elle à la masturber et il se peut même que vous ne deveniez jamais aussi bon qu'elle. Sa masturbation jusqu'à l'orgasme avant que vous ne commenciez les massages contribue à la mettre d'humeur et la rendre plus sensible à la stimulation sexuelle supplémentaire. Certaines femmes trouvent leurs organes génitaux très sensibles juste après l'orgasme, c'est pour cette raison qu'il pourrait être nécessaire de masser doucement les autres parties de son corps, poitrine et cuisses, pendant plusieurs minutes avant que vous ne commenciez le massage du clitoris. Il y a des femmes qui ne peuvent avoir qu'un orgasme au début, alors allez-y doucement et essayez seulement de lui faire se sentir bien si vous découvrez que cela est vrai pour votre partenaire. Si votre partenaire est réticente à la masturbation en votre présence, c'est parfaitement normal, ce n'est pas une nécessité. Suggérez-le mais ne mettez aucune pression sur elle à le faire.
Aux femmes qui lisent cela, soyez assurées que se masturber face à votre partenaire est parfaitement normal, beaucoup de femmes le font. La masturbation n'est pas seulement un acte solitaire. Les femmes sont très belles quand elles se masturbent et partagent leurs orgasmes avec leur partenaire. Vous ne pouvez pas le faire mal ni vous couvrir de ridicule. Vous ne perdrez rien de l'intimité que vous éprouvez lorsque vous vous masturbez seule. Je pense que la plupart des gens savent que leur partenaire se masturbent, alors vous n'allez pas le choquer en l'admettant, il est plus probable qu'il se masturbe aussi. Si vous maintenez le contact visuel avec votre partenaire pendant la masturbation je pense que vous serez emportée par l'expérience.
Vous savez où se trouve son clitoris, alors maintenant que demander ? Eh bien, premièrement, je dois souligner la sensibilité du clitoris et il peut être nécessaire d'ajouter un lubrifiant. La sensibilité du clitoris d'une femme varie grandement d'une femme à une autre. Certaines femmes éprouvent de la douleur si leur clitoris est touché directement, d'autres ne trouvent leur clitoris pas sensible du tout. Certaines réclament un très léger toucher au début, mais ont besoin d'un toucher plus ferme plus elles sont près de l'orgasme. Donc il est mieux de commencer avec un très léger toucher, puis doucement d'augmenter la pression tandis que vous la voyez devenir de plus en plus excitée. Regardez les mouvements de son corps et écoutez les bruits qu'elle fait pour voir si vous appliquez une pression trop grande ou au contraire, pas assez forte. Soyez prudent, vous ne presserez pas le clitoris fortement, peut-être fermement, mais presque jamais agressivement. Peu de femmes apprécient une pression ferme au point de l'orgasme, mais parlez lui en avant d'essayer réellement. Soit elle verra des étoiles, soit elle vous décochera une gifle.
Etant donné que cela dépend de la sensibilité du clitoris de votre partenaire et de la quantité de la lubrification naturelle, il se peut que vous ayez besoin d'appliquer une lubrification supplémentaire avant de commencer le massage. Essayez sans d'abord, mais si elle vous repousse ou rapporte qu'elle est trop sensible, ou ne sent rien, appliquez une couche généreuse de lubrification sur toute la surface de sa vulve. N'utilisez que des lubrifiants à base d'eau comme le K-Y Jelly. (L'utilisation de lubrifiants à base de pétrole peut entraîner une infection). Quand vous essayez au début le massage du clitoris, ayez un lubrifiant à proximité, juste au cas où. Faites attention à ne pas toucher la glande clitoridienne directement sans avoir lubrifié votre main, (mais ceci ne doit en aucun cas faire partie du massage). Il se peut aussi que vous envisagiez de porter des gants en latex ou en caoutchouc. Cela rendra vos doigts très lisses, ce qui sera utile si le clitoris de votre partenaire est très sensible, ou si vous avez une peau rugueuse sur les doigts. Ils seront également utiles si vous insérez votre/vos doigt(s) dans le vagin durant le massage, les ongles peuvent érafler les parois vaginales. La plupart des pharmacies vendent des gants en latex ou en caoutchouc.
Observation à propos du massage du clitoris. Gardez toujours un contact physique avec la personne qui reçoit le massage, une fois que vous avez commencé. Il est très perturbateur, de par le lien physique qui se développe, que vous enleviez vos deux mains du corps en même temps, et les remettiez. Ce peut être une sorte de choc. Avec de la pratique, il se peut que vous preniez conscience de l'énergie sexuelle qui circule entre vous et votre partenaire. Cela paraît étrange, mais c'est vrai. Ayez tout ce dont vous avez besoin à la portée de votre main libre. C'est aussi une bonne idée de toucher son genou, puis glisser votre main à l'intérieur de la cuisse, et finalement jusqu'à la vulve, de façon à ne pas pénétrer ses parties intimes trop vite. Placer votre main froide directement sur sa vulve peut être un choc et gâcher l'humeur. Chauffez tout lubrifiant que vous utilisez avant de l'appliquer sur sa vulve.
Vous masserez son clitoris en utilisant 1, 2 ou 3 doigts. La taille et la proéminence de son clitoris détermineront combien de doigts vous utiliserez. Si vous pouvez situer et sentir le corps du clitoris avec vos doigts, vous utiliserez le pouce et l'index. Si elle a un clitoris très développé, vous pouvez utiliser votre pouce et votre index. Si vous ne pouvez attraper le corps et la glande de son clitoris du fait qu'elle soit trop petite ou cachée, vous utiliserez juste le bout de votre index.
Si vous pouvez attraper son clitoris avec deux ou trois doigts, vous voudrez sûrement faire ce qui suit. Très doucement, attrapez le corps de son clitoris avec le pouce et l'index. Doucement, faites glisser la peau lâche couvrant son clitoris autour, principalement par aller-retour, afin de percevoir la forme et la fermeté de son clitoris. Déterminez de combien la peau s'étend le long du corps. N'attrapez pas la glande en premier si possible, si son clitoris est petit vous ne pourrez pas l'éviter. Tandis que vos doigts vont et viennent, le capuchon doit aussi aller et venir, stimulant sa glande. Allez doucement, observez votre partenaire pour savoir si elle aime ce que vous faites. Si possible, essayez de maintenir le contact visuel avec elle, ou du moins, le plus possible. Si vous ne pouvez pas le dire avec le langage du corps, alors demandez-lui si elle aime ce que vous faites. Demandez-lui si vous devriez aller plus vite ou plus lentement, ou appliquer un toucher plus ferme ou plus léger. Si elle ne sait pas, expérimentez.
Si vous ne pouvez attraper son clitoris, placez le bout de votre index au dessus de son corps clitoridien ou "tige". L'essai indiquera ce qui est le plus sensible. Bougez doucement la peau sous votre doigt en de petits cercles, ou en faisant des allers-retours pour stimuler son clitoris. Si tout va bien, vous sentirez les structures fermes de son clitoris sous le bout de votre doigt, quand il est excité et en érection, même si son clitoris est vraiment petit et caché.
Continuez à caresser son clitoris. Si elle aime ce que vous faites, continuez à le faire. Tandis qu'elle est de plus en plus excitée, vous pouvez lentement et doucement augmenter la pression que vous appliquez, mais toujours être doux. La rapidité de vos caresses peut varier ; très lent au début, puis peut-être plus rapide lorsqu'elle se trouve près de l'orgasme. Vos doigts doivent toujours tenir la peau lâche couvrant le corps du clitoris, de façon à la glisser d'avant en arrière du corps du clitoris. Continuez jusqu'à ce qu'elle atteigne l'orgasme. Dès qu'elle a un orgasme, revenez à des caresses très très légères, car il est fort probable que le clitoris soit très sensible. Après quelques minutes, vous pouvez recommencer ou arrêter. N'arrêtez jamais le massage brusquement, à moins qu'elle ne vous dise que son clitoris est trop sensible au toucher, dans ce cas, caressez sa vulve ou les lèvres internes pendant quelques minutes. L'idée étant de maintenir le contact physique après qu'elle ait atteint l'orgasme.
Elle peut l'avoir rapidement et facilement, mais ce ne sera pas toujours le cas. Cela demande de la pratique et du temps pour tous les deux avant que vous soyez à l'aise avec cette technique. Vous limiterez sûrement les périodes de massage à 15-20 minutes si elle n'a pas d'orgasme au début. Faites-la se sentir bien, mais n'irritez pas son clitoris et ne vous en fatiguez pas. Vous avez besoin d'être tous les deux relaxés. Si votre partenaire apprécie vraiment mais n'atteint pas l'orgasme en 15-20 minutes, vous pouvez continuez le massage pendant encore 10 à 25 minutes, tant que vous vous sentez tous les deux à l'aise. Faites attention à ne pas en faire un acte fastidieux, si l'un de vous se sentait mal à l'aise ou frustré, cela gâcherait le moment et lien sexuel nécessaire pour que cela soit une expérience agréable pour chacun de vous. Si elle n'a pas d'orgasme tout en étant très excitée, passez à une activité sexuelle que vous savez aboutissant à un orgasme. Si elle est seulement capable d'avoir un orgasme en se masturbant, permettez-le-lui de le faire, même si vous devez quitter la pièce. Si elle est heureuse juste par un échange de caresse, c'est bien aussi.
Durant le massage il peut être nécessaire pour la femme de fantasmer sur quelque chose de sexuel. Il se peut que cela soit meilleur si elle ne pense pas au massage en lui-même. Si elle trouve vraiment qu'elle a besoin de fantasmer, elle devrait essayer de penser au même fantasme pendant qu'elle se masturbe seule. Elle aura probablement besoin de fermer les yeux pour cela car la présence de son partenaire pourrait la distraire. Ce sera plus facile à faire si le massage est très agréable, sinon il faudra qu'elle guide son partenaire jusqu'à ce qu'il découvre une technique qui fonctionne pour elle.
Etant donné que cela dépend de la sensibilité de son clitoris, vous pourrez le stimuler directement, ou indirectement à travers le capuchon. Si son capuchon couvre la glande du clitoris, vous pouvez doucement attraper la glande au travers du capuchon avec votre pouce et l'index. Certaines femmes ont la glande clitoridienne toujours pleinement ou partiellement découverte. Comme cela dépend de sa sensibilité, vous pourrez peut-être appliquer le bout de votre doigt directement sur la glande, le faisant glisser de part et d'autre de sa surface, en ayant un toucher très léger et en utilisant beaucoup de lubrification. Si le capuchon ne couvre pas sa glande, masser le corps de son clitoris en attrapant la peau lâche peut ne pas apporter une stimulation suffisante à la glande. Dans ce cas, essayez une stimulation directe. Certaines femmes ne peuvent pas retirer le capuchon qui expose la glande, mais si vous placez votre doigt à l'ouverture de son capuchon et massez la glande, elle peut avoir une bien plus grande stimulation.
Vous pouvez faire un massage vaginal en même temps qu'un massage clitoridien. Pendant qu'une main stimule son clitoris, l'autre peut être utilisée pour stimuler son vagin. En insérant votre doigt dans le vagin, et en stimulant le fond de ses parois vaginales, dirigeant votre doigt vers l'os pubien, vous pouvez stimuler son point G, éponge urétrale. Le mouvement du doigt pour la stimulation du point G est le même que lorsque vous voulez demander à une personne qui est dans la pièce de venir vers vous, la paume de la main vers le haut, créant ainsi un crochet avec votre index. Cela peut produire de très forts orgasmes et des éjaculations prononcées de fluide provenant de l'urètre. Vous pouvez explorer et situer les endroits qui sont sensibles par une stimulation digitale, ou elle peut simplement apprécier la sensation de quelque chose se trouvant dans le vagin, sans bouger du tout, ou lentement. Vous pouvez insérer plus d'un doigt selon sa flexibilité et son désir d'être emplie. Vous pouvez aussi insérer votre main entière dans le vagin, en un poing (le "fisting"), ce qui peut avoir pour résultat une réponse sexuelle très forte de sa part. Cela est beaucoup plus facile pour les couples de femmes du fait qu'elles aient en général de petites mains. Le fisting demande beaucoup de savoir-faire, de pratique et de sensibilité.
Vous pouvez aussi inclure un massage anal. Cela nécessiterait tout d'abord un massage extérieur de l'anus, sans pénétration. Certaines femmes acceptent plus volontiers un massage anal que vaginal, d'autres trouvent que la combinaison des deux est très intense et agréable. Après avoir massé son anus pendant plusieurs minutes, vous pouvez insérer le bout d'un doigt, le faisant lentement aller et venir. Une fois que son anus est détendu, vous pouvez insérer votre doigt en entier, puis plusieurs doigts si elle le désire. Le doigt utilisé pour stimuler son anus ne devrait jamais être utilisé par la suite pour la vulve et le vagin à cause des bactéries présentes dans le rectum. L'utilisation d'un préservatif ou de gants en latex vous permettront de permuter les massages devant et derrière pour peu que vous changiez les gants lorsque vous passez de l'anus à la vulve.
Une bonne façon de commencer un massage du clitoris est de donner un massage complet du corps. Cela aidera à stimuler et réveiller les nerfs et contribuera à relaxer les deux partenaires. N'utilisez qu'un léger toucher coulant pour ce type de massage. Appuyez doucement avec le plat de votre main, vos doigts façonnant la forme de son corps. Ne jamais compresser (ce que fait la plupart des gens en faisant un massage). Si vous trouvez une zone de raideur, appliquez une légère pression en bougeant vos mains en un geste circulaire de va-et-vient. Même si vous voulez doucement et lentement dissiper la pression, ne passez pas trop de temps à essayer de la relâcher durant un massage érotique. Commencez par la face arrière du corps, puis par la tête et longez jusqu'aux pieds. Faites-la se retourner de façon à lui faire face, et continuez le massage des pieds à la tête, sans jamais briser le contact physique. Attendez la fin pour masser sa poitrine ou ses parties génitales. Après avoir massé son visage et les muscles faciaux, longez son corps jusqu'à la vulve, en s'arrêtant au niveau de la poitrine et des tétons. Puis, commencez le massage du clitoris. Pour le massage, augmentez le chauffage et mettez de la musique relaxante. Si elle s'endormait, cela indiquerait qu'elle est fatiguée et qu'elle a besoin de repos. Laissez-la faire une sieste ou dormir une nuit. Si cela survient un vendredi ou samedi soir, continuez le massage le matin suivant.
Ce que j'ai présenté ici sont des conseils basiques pour aidez un couple à entreprendre le massage du clitoris. Le but du massage du clitoris est de faire de son clitoris le centre d'attention. Etant donné que son clitoris est plus probablement son premier organe sexuel, excepté le cerveau, il est plus probable qu'elle trouve ce massage très favorable au plaisir sexuel et à l'orgasme. Etant donné que la constitution du corps et du mental varie grandement, il est impossible pour moi d'expliquer le "comment-faire" pour chaque couple. La seule façon sûre pour les couples de comprendre comment donner et recevoir le massage du clitoris est l'ouverture d'esprit et la pratique. J'ai eu des réponses de femmes très favorables à cette technique de massage en quelques minutes, mais cela peut ne pas être le cas pour toutes. La pratique amène à la perfection.
From the book "Masters and Johnson on Sex and Human loving"
Copyright 1982, 1985, 1986 By William H. Masters, M.D.,
Virginia E Johnson, and Robert C. Kolodny, M.D.
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Je me voyais dans cette chambre, la porte entre ouverte, attendant patiemment votre arrivée. Au bruit des pas timides dans le couloir, je devine votre fébrilité. La porte de referme et vous saisissez le bandeau posé près de l'entrée. Privée de la vue, il vous paraît presque naturel de vous mettre à quatre pattes pour avancer prudemment. Votre demarche maladroite reste féline et vous m'entendez approcher de vous.Je vous redresse en passant ma main sous votre menton, puis entreprends de vous dévêtir. Chaque morceau de tissu ainsi ôté donne lieu à un contact electrisant. La caresse d'un sein, le pincement d'un téton, le mordillement de votre nuque, le contact humide de ma langue sur votre nombril tremblant, la chaleur des mes doigts écartant vos lèvres et titillant votre bouton gonflé.Vous voilà nue et vous sentez mon souffle parcourir votre corps. Des jambes jusqu'en haut des cuisses, dansant autour de vos fesses, remontant votre taille et contournant vos seins, vous sentez désormais mes lèvres frôler votre cou, quand ma voix murmure soudain à votre oreille l'ordre indécent de vous agenouiller.A nouveau au sol, vous entendez le froissement de mon pantalon qui tombe, et mes doigts viennent explorer votre bouche. Flirtant d'abord avec vos lèvres, puis se mêlant à votre langue.Puis, plus rien. Seulement le silence, votre repiration, et votre coeur battant.Vous vous voyez ordonnée de sentir mon sexe, vous percevez son odeur, sentez sa proximité, vous l'effleurez de la joue et ressentez sa chaleur. Votre bouche s'ouvre spontanément mais il est pas encore temps. Pour l'heure, il faut vous laver, et ma main saisissant vos cheveux vous tire sans réplique vers la salle de bain... Arrivés dans la salle de bain, totalement nue, vous vous glissez à ma demande dans la baignoire et je vous arrose d'une eau chaude et bienfaisante. Je vous savonne alors avec soin en n'oubliant aucune partie de votre corps. Tous les endroits, même les plus intimes , sont exposés, visités de mes doigts, mes yeux, mes lèvres.Durant toute cette toilette vous obéissez à mes directives en vous baissant, vous relevant, vous tordant dans toutes les postures dictées par ma voix. Écartant les jambes, les fesses, ouvrant la bouche, baissant la tête, cambrant vos reins.Puis, je vous sèche soigneusement avant de vous reconduire vers le lit, où vous vous asseyez. Les fesses sur le rebord, la tête timidement baissée, je reprends le ruban pour vous nouer les poignets dans le dos.Mes mains remontent ensuite le long de vos bras, effleurant vos épaules, pétrissant votre nuque avant de plonger dans vos cheveux et les saisir avec une fermeté qui vous surprend. Je me défait du reste de mes vêtement, sans vous lâcher, et vient m'empalet au fond de votre gorge, lentement, mais fermement.Chaque centimètre de chair qui vous pénètre la bouche vous fait davantage suffoquer. Votre langue s'agite et vos yeux perlent de larmes tandis que vous manquez de vous étouffer. Alors que je me retire, votre salive s'écoule du coin de vos lèvres en quantité, et innonde votre poitrine. C'est obscène et excitant;Je reprends mon va et vient quelques minutes, vos cheveux sont tirés, votre tête emprisonnée entre mes mains et votre corps tout entier ne bouge plus qu'au rythme de ce mouvement, dont le bruit indécent résonne dans la pièce.Au bout de quelques minutes, je vous redresse avec douceur, vous embrasse même le front et vous invite à vous cambrer, à quatre pattes sur le lit, la tête enfoncée dans le matelas. Ainsi offerte, vous vous sentez si exposée, et mes doigts viennent rapidement danser sur votre peau nue. A chaque contact, vous frémissez. A mesure que mes doigts s'approchent de votre intimité, vous tréssaillez davantage.Un doigt vient maintenant écarter vos lèvres, chaudes et mouillées d'excitation. Caressant votre bouton rose; votre corps répond par des spasmes électriques. Un autre vient glisser entre vos fesses, et vos muscles se contractent. Après plusieurs passages, votre anus détendu est prêt à l'accueillir, et vous vous sentez pénétrée. Une onde de douleur et de plaisirs entremêlés vient parcourir votre entrejambes, s'étendant vers les cuisses, et repontant votre bassin.Les sensations sont décuplées maintenant que vos deux orifices sont explorés, et vos gémissements se font plus forts.Soudain, je me retire et recule d'un pas, vous laissant sur la faim; j'admire le tableau et reprends un moment pour vous admirer, pour scruter sur votre visage le produit de mes caresses, la rougeur de vos joues, la sueur sur votre dos, et ce regard implorant où se lit la honte et l'envie.
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Oui, j'aime terriblement fister
Délicatement, doucement, profondément ...
On parle souvent du plaisir de la personne fistée, on parle plus rarement du plaisir de la personne qui fiste
Dommage !
Car en termes de plaisir, j'en ressens vraiment lorsque je m'introduis dans ce ventre offert .
Je lui donne un ordre : déshabille toi
Son corps m'apparait, une peau douce, chaude, ferme.
Un corps sensuel
Un cul superbe, attirant, un cul demandeur
Il prend place sur le lit : il aime s'exhiber ainsi, presque ouvert déjà, en attente de caresses indécentes et profondes
Ses bras retiennent son front, son buste tendu frôle le drap, son dos se creuse sous la tension qu'il imprime à son corps , ses cuisses en appui et son cul tendu
Je le palpe, le découvre, le caresse, l'apprends
Mes mains vont et viennent , mes doigts se dirigent naturellement entre ses fesses
Impatiemment
Je suis désireuse de le posséder intimement : nous en avons longuement parlé, nous aimons ces jeux là, nous en avons besoin autant l'un que l'autre
Je le lubrifie et le pénètre d'un doigt : je découvre sa souplesse anale, je teste sa résistance, j'accompagne ses gémissements, je cherche sa sensibilité prostatique, la titille et la masse .
Je le quitte puis me présente de nouveau en ce cul demandeur : je place mes doigts à l'entrée de son orifice puis l'invite à s'empaler : son cul me prend, m'avale, m'absorbe : je me sens invitée, aspirée : j'aime ça ....
Ma main entre, doucement, sans forcer, j'entends ses gémissements de mâle devenir plaintes de ce plaisir femelle
Je le baise de ma main , il réclame plus de lubrifiant,
Je force son intimité à me recevoir, il se recule plus encore, poussant un peu plus en me suppliant d'entrer plus loin
Il se referme su mon poignet , m'enferme en lui et cette sensation est fabuleuse pour moi : cet instant où je me sens prisonnière de ce cul fouillé , où son sphincter s'est serré autour de mon avant-bras, cette force m'oblige à orienter ma présence pour gagner de la place
Son ventre est à moi : cette caresse est d'une intimité redoutable
Ma main tourne, mes doigts massent ses parois trempées, je frôle la zone si sensible, j'avance et recule, ses gémissements deviennent cris de plaisir, je veux m'enfoncer plus loin encore
Il me demande de ralentir pour ne pas jouir encore, son corps semble trembler de l'intérieur
Je pose mon autre main sur son dos pour le creuser plus encore et le voir prendre cette posture de femelle en chaleur
Le plaisir monte au creux de son ventre sans que je puisse savoir quand il explosera
Je suis en lui, je le tiens délicatement du bout des doigts, je le dépossède de sa maitrise, je lui offre mon plaisir, je brise sa résistance , ma main devient poing, j'aime cette sensation , je me fais dure et douce , pénétrante et sortante .
Il crie, se donne, il prend
Il en veut plus . Encore
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J'ai bientôt 50 ans. Je ne suis plus une jeune femme, je suis ce qu'on appelle une "femme mature", plus juste une "femme", pas encore une "vieille femme". C'est cette heure de la vie entre chien et loup où le corps sait encore se faire désirer en dépit des traces que le temps a impactées. Vergétures, cellulite, peau qui plisse, grains de "beauté" qui en sont moins, tâches brunes, rides, cheveux blancs... Ces imperfections sont légion, parfois on ne voit qu'elles. Et il y a aussi ces marques invisibles, ces douleurs traîtres, ces petites douleurs musculaires, ligamentaires, vertébrales qui prennent parfois par surprise. De plus en plus souvent.
Je suis magnanime, parfois tendre à l'égard de ces traces de temps, de vie, d'amour. Je le suis avec les signes extérieurs, je le suis bien moins avec les réactions plus invalidantes de mon corps. Mais il faut faire avec...
J'ai su apprivoiser et accepter tôt mon corps, en dépit de ses imperfections et des diktats, des canons de beauté que nous renvoie notre société. J'ai su en tirer partie, le ménager, le chouchouter, le caresser dans le sens du poil mais aussi l'emmener plus loin, dépasser certaines limites. Il a parfois été brisé mais il a résisté. Il m'apporte du plaisir, souvent, notamment sexuel, mais pas que. La sensualité est un élément clé de ma vie, pour appréhender ce qui m'est donné de beau à voir, d'agréable à toucher, à humer, de bon à goûter.
Les plis et replis ? Des vagues sur la peau, des langueurs chaudes, moelleuses, un confort pour poser une joue, une tête, un sexe, enfermé dans les bourrelets, qui ne sont que volupté et douceur. Je les cache parfois, je garde souvent un vêtement autour de la taille pour les dissimuler, je masque cette nudité-là. Mais on se demande bien pourquoi...
nb le texte fait suite à "10 faits que chaque femme devrait connaître..." signé Austin Blood Amy Schumer qui circule actuellement sur les réseaux sociaux, mais la photo ci-dessous a été prise avant. Signe des temps...
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L'état fantasmatique prend le pas sur le descriptif, Linsoumise, je viole ton âme et ton corps s’essore à genoux, lovée, agrippée encore à lustrer mes pieds comme une chienne..
Tu trépanes mes repères.. ma folie pulsionnelle te parle en ces mots sombres:
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Ma perte sublime, l'abandon de mon contrôle aux perversions sombres abyssales, sales et humiliantes: sadiques.. là où ta dignité ne réside qu'en l'absence du "Toi". Livrant ta carcasse désincarnée à ma nature profonde crépusculaire, sauvage, avilissante et habitée .
L'usage même de paroles devient l'expression de dégoût, t'avilissant. Te retranchant au delà de ce que le seul sens non isolable pourra transmettre à tes oreilles. Sons perçus étouffés par tes tourments, tes maux, ton épuisement, MA possession.
Asile psychologique certain, te réfugiant dans ton subspace bienveillant, salvateur, laissant libre le désinvestissement corporel que j'entreprendrai, méthodiquement sur toi. Devenant un corps mou duquel j'extrairai à coups de griffes le reflet cinglant des morsures du fouet de mes envies, m'exprimant sur ton corps et ton âme. Te soustraire ... te laisser quelques secondes de conscience, peut être d'éveil, marquer au fer rouge ce que tu es devenue entre mes mains. Hum ... images et émotions: langage subliminal. Marquage de l'inconscient, ton cerveau reptilien dans le panier de mon emprise, ondulations hypnotiques aux fréquences Dominantes.. Tu seras loin. Enfermée dedans. Ressentir paradoxalement à/a peine les assauts démoniaques, extrêmes et avilissants qu'un statut d'esclave t'aurait simplement épargné. Gardant possession psychologique d'une situation physique dont tu serais pourtant coupée. Laisse tomber , va, abandonne... Comprends bien, qu'Il me sera alors jouissif autant de te voir résister pour te contraindre un peu plus, que de te ramener en pleine conscience pour te révéler à toi-même ce statut de déchet sexuel: MON déchet sexuel. Perspective Jetable?... je salive d'anticipation.. Replongeant ensuite dans ta boîte crânienne, Subspace, salvateur/trice, me laissant pleinement exprimer en et sur toi, mes allégories passionnantes et expressives. Déversoir de ma folie sexuelle démente, réceptacle de mes fluides corporels avilissants et marquants. Perspective durable? Trace indélébile de l'incroyable et démesurée emprise que ma Domination exprime sur Toi : MON Objet sexuel.
Tu ne seras ni la pire des salopes rêvées, Ni cette femelle fantasmatique à prendre comme une chienne, horizon salace; Ni même Esclave, statut seXuel permettant toutes les disponibilités... non, non, non, non , non...mon expression réside là où la dignité même de la personne est touchée; Là où la dilatation n'a plus de fin qu'en l'expression du vide, cercle sans objet, ni d'objets même à t'enfiler laissant béant tes orifices. Là où même les réflexes naturels de fermeture n'opéreront plus. Tu ruissèleras de liquides mélangés, ton souffle presque inconscient, catatonique, faisant mentir le cadavre sexuel gisant sans dignité que j'aurai créé, besogné, vidé de sa vie. Prisonnière de ton corps comateux, le déséquilibre manichéen basculera dans une monochromie sombre où tu ramperas à mes pieds pour obtenir le pardon du simple fait que j'en arrête avec ton corps et ton âme, forme de peur de l'abandon.... tu l'auras compris qu'ici, réside mon expression. En la perte temporaire et entière de ta résistance... quel paradoxe sans injonction, processus circulaire dans lequel l'énergie de la réponse est fournie par ta réaction et non pas par l'élément déclencheur... perversions, sublimes de tortures psychologiques par le vecteur de ton corps ...
Alors... Me suppliant encore de te souiller de toutes les manières de mes perversions et mon sadisme mêlés, graal unique de mes quêtes fantasmatiques, de crainte que j'en ai fini avec Toi.. supplier... me supplier de te prendre sans limite, en tout cas m'abandonner les tiennes... concept si éloigné de ton orgueil... de ta fierté.
Insoumise?
Ainsi je t'exposerai aux hyènes impropres, essentiellement libidineuses, s'exprimant, de leur seule turgescence, assoifées de viande pas encore assez morte. Charognes. elles te baiseront aux limites de l'évanouissement jusqu'à ce qu'elles s'épuisent elles-mêmes, vidées autant que de leur pauvreté fantasmatique m'inspirant tant de dégoût ! Je les bannirai d'incompétence à t'user de baise, les humiliant pour ma satisfaction narcissique et par condescendance perverse.
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Prête de ce préliminaire sexuel, essuyant tes larmes d'abandon, j'exercerai alors ma Domination sur Toi.
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Mon déchet, déshumanisée, état subconscient , cloîtrée au fond de toi même, je saurai encore te ramener à la conscience pour te montrer ce que tu es. Pour moi... Objet.... mon objet, par delà tes limites: mon objet dans mes limites. Tes trous devront rester béants d'avoir servis et prêts à servir, et resservir .. sans quoi je n'aurai de cesse que de les éprouver jusqu'à ce que mon sperme entre ou sorte par simple gravité de tes bouche, vagin et anus suivant la position dans laquelle je te baiserai encore. Et encore. Et encore sans aucune attache, limite, résistance molle, pantin fantasmatique, receveur unique pour des heures indélébiles dans chacune de nos mémoires... de notre chair.
Tes ultimes étincelles résistantes d'insoumission articuleront mes perversions à te faire lâcher ton contrôle par ma Domination systémique. Jeu des derniers soubresauts d'orgueil abattus par l'implacable détermination à te faire lâcher prise. Menottes, bracelets, Cordes, scotchs et strapps t'immobiliseront pour subir.
Baillons, écharpes, scotchs, cordes ceintures étoufferont tes lamentations. Ceintures, martinet, canne, cravache, fouets et autres caresses éveilleront ta colère pour mon plus grand plaisir.
Mais c'est Ton état passif et abandonné, qui transcendera enfin l'état dans lequel je cherche à exprimer ma jouissance. Tu ne pourras alors recevoir mon offrande en calice, qu'aux signes de ton abandon.
Alors surement alors, performant de ma Domination sur la carcasse épuisée de ton corps, me redressant de toute ma taille pour jauger mon empire. Haletant et triomphant, dans un geste narcissique je te pisserais dessus ou plutôt dans un de mes trous béants ... afin de marquer d'avantage mon territoire, mon emprise, ma démesure. Souillant encore un peu plus mon Objet seXuel, t'entraînant sur les pentes obscures de ma volonté de te dépersonnaliser, te déshumaniser, pour t'imprimer sur le disque, alors formaté de ta conscience, les premières marques de ton appartenance définitive. Tu m'appartiendras à vie, quoi qu'il en soit, et j'opérerai sur ta volonté perdue pour un instant, l'étendue saline de ta dépendance envers moi, dans une forme de résignation absolue, indiscutable.. Assemblée à mes pieds, genoux cédant, prostrée à cette place qui est la tienne, mes mots anciens reviendront à Ta mémoire comme un soleil de T/ta nuit:
"Prépares ton enveloppe insoumise,
Tu n'as pas perdu ces heures à attendre.
Patience, répends toi dans ton silence,
oublie ces jours vides, enracinée que tu étais, à espérer t'évader à mes côtés, ivre de dépenses d'énergies, de maux torturés, attachés à mes pensées tourmentées....
Que feras-tu, après tel abandon?
Le souffle court, jetée dans la masse,
dans le mouvement, agissant jusqu'aux extrêmes
Insoumise, ton doigt pointé se tordra suppliant,
scrutant en moi la moindre faiblesse.
Ici, tout le corps se donne.
Cherchant à épuiser ses possibles.
Ma main s'ouvre et se ferme, puissante
étreinte au support de ta tête rebelle.
Fou de Vie, et d'envies, îvre d'idées abissales,
mon demon animal te ploiera par le col,
jusqu'à ce que tu aies compris.
Brassant et déchirant tes chairs,
te voulant saisie, te soufflant ma divine amertume.
M'abandonnant ton corps, et par toi, ainsi
devenant celui que je veux être.
Mon corps instrument de l'esprit,
Cependant auteur de toutes tes idées.
Alors, Soumise alors, tu saisiras de tes bras
meurtris mes jambes dressées.
Plongeant ta tête aimante,
tu m'aimeras tel ton soleil.
Tout s'éclairant alors pour moi
Je serai celui par lequel
Tu te soumets..." Dominée.
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Parloire.
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Bonjour Lady Gabrielle .
Saint Valentin
Vous m'avez interdit de Vous souhaiter la saint Valentin . Bien ! Mais laissez moi Vous dire mon amour .
Vous m'avez pris , ce fameux matin d'août 2005 et depuis je suis devenu enfin moi même . J'étais au crépuscule d'une vie terne , Vous en avez fait un lever de soleil , un petit matin de juin après une nuit d'orage .
Vous , seule , savez changer l'ouragan que je sais être , que je puis être , en doux alizé .
Vous seule savez , aimez me faire trembler comme un champ de blé sous les brises de juillet .
Vous seule savez manier le Fer et le Cuir comme le Ciel et l'Orage martyrisant La Terre .
Vous seule avez su voir ,dans ce brouillard nébuleux , la lueur qui présage les grands matins du monde .
Vous seule avez transformé mes ténèbres en aurores boréales .
Et , pour que notre ciel flamboie Vous avez Marié , Unis , Epousé , le rouge que Vous êtes au noir que j'étais en ce treize octobre 2012 .
Alors , je ne Vous souhaite pas une bonne saint Valentin mais laissez moi Vous dire que je vous aime .
Mais pour moi ces années de bonheur n'ont pas commencées le jour de notre mariage . En fait , elles ont commencées ce jour d'août 2005 quand Lady Gabrielle me demanda si je voulais être son soumis .
Et , récemment , il m'est venu à l'esprit que mon acceptation est le dernier acte volontaire que j'ai accomplie . Oh , bien sûr il m'est arrivé d'acheter un fer à repassé ou un aspirateur sans autorisation mais pour ce qui est des grandes étapes de notre vie , c'est bien Lady Gabrielle qui tient la barre et moi qui hisse la voile .
Il en est de même pour notre mariage . ELLE aurait voulu que je fasse ma demande en bonne et dû forme . Je crois que j'ai , à peu près , réussi cette demande . Mais , honnêtement ce n'était pas à moi de faire cette demande . C'était à ELLE . C'est moi qui possède le côté féminin dans la psychologie de notre couple . Si Si . . .
Certaines et certains d'entre vous qui nous connaissent se disent que je suis devenu fou de dire des trucs pareils . Mais non . . . Jamais je n'ai réfléchi avec plus de lucidité .
Je pense définitivement qu'ELLE aurait dû me demander en mariage . comme ELLE m'a demandé de devenir son soumis en 2005 .Parce que Je crois que la psychologie de couple traditionnelle , judéo-chrétienne est inversée chez les couple D/S ,sado-maso , BDSM . De cela , je suis quasiment convaincu .
Il faudrait demander à des philosophes BDSM éminemment plus doués que moi en philosophie ce qu'ils en pensent . Toujours est il que ces gars là devront se donner du mal pour me faire admettre une autre théorie .
Mais bon , le sado-masochisme n'étant pas la tasse de thé des philosophes , je me garderais bien d'aller dévaliser la maison LIPTON .
Redeviens sérieux berny : que croyez vous qu'aurait été ma réponse si Lady Gabrielle m'avait fait sa demande en mariage ? Comme je sais que personne ne répondra à cette question , je vais vous dire ce qu'aurait été ma réponse :
Cela aurait été : OUI OUI OUI ! ! ! évidemment .
Se sentir aimer par sa Maîtresse ? C'est mon cas . Tenez pas plus tard que dimanche dernier , j'ai dû réviser mon emploie du temps de la soirée en raison d'un brusque débordement d'amour de la part de Lady Gabrielle .
Dimanche fin d'après midi , nous rentrons d'une sortie raquettes ( il y a beaucoup de neige dans notre région et n'allez pas croire que parce que nous rentrons et sortons , nous habitons la maison des courants d'air ) nous sommes un peu fatigués , je prépare un thé reconstituant accompagné de petit gâteau de la marque ""Lefèvre Utile"" plus connu sous le nom de ""LU"" (et oui on s'instruit toujours en lisant les posts de berny ) . Je pose le plateau avec théière , tasses et biscuit devant Lady Gabrielle , je prends place à ses côtés me réjouissant de regarder "" Question pour un champion "". Quand my Lady me dit "" tu sais de quoi j'ai envie ( alors déjà Elle n'attend pas ma réponse ) d'une soirée BDSM . ""
Heu. . . oui . ah bin non Maîtresse . . . là va y avoir """ Question pour un champion ."""
Mais voyons berny , je ne veux pas te priver de ton émission , tu te met nu , à genoux , ta tête sur mes genoux à moi et tu écoutes .
J'aime beaucoup la formule """ tu sais de quoi j'ai envie """ Comme si Lady me demandait mon avis . ELLE ne me demande pas mon avis Elle me donne un ordre . Et je m'exécute . Cela fait bizarre d' être privé de voir Juju Leperse courant autour de son pupitre ou jetant ses fiches en l'air .
Enfin . . . à défaut de me concentrer sur cette émission je me suis préparé mentalement à ce qui allait suivre , et croyez moi cette préparation fut nécessaire .
Bon alors donc . . . je suis à genoux ,nu devant Lady Gabrielle , j'écoute "" Question pour un champion ""
ne me demandez pas ce qui s'est passé durant l'émission , je n'en ai aucun souvenir .
A la fin de celle ci Maîtresse m'ordonna de rester en position pendant qu'Elle préparait notre soirée .
Sa tenue hérotiquement BDSM revêtue , ses jouets préférés disposés à portée de sa main gantée de cuir , Dame Gabrielle alluma les bougies sans lesquelles , Elle considèrerait que toutes séances bdsm ne seraient pas abouties .
Figé dans la position qu'il m'était interdit de changer je commençait à greloter . j'en faisais part à Lady .
Pour me réchauffer ELLE m'administra , illico , 30 coups de fouet assenés avec une certaine hargne.
Mouvement d'humeur provoqué par le dérangement dans ses préparatifs .
L'impréparation de mon corps ne m'aida certainement pas à supporter la douleur , je me tenais donc coi , attendant calmement le bon vouloir de ma Maîtresse . Cette flagellation expresse avait , cependant , contribué considérablement à rétablir mon confort calorifique .
Quand , enfin , Lady prêta attention à l'objet de son désir , mon corps en l'occurrence , j'étais prêt psychologiquement . ELLE mit des pinces sur mes seins , un bandeau sur mes yeux , m'ordonna la position debout au milieu de la pièce , main derrière le dos . Et c'est dans cette tenue que j'écoutais l'énoncé des griefs que Lady avait à me reprocher depuis notre dernière séance . Naturellement , enfin pour ELLE , chaque grief était ponctué d'un coup de cravache sur une partie différente de mon épiderme .
Est ce que Lady Gabrielle a oublié des griefs ? Il y a de fortes probabilités . Mais , franchement , ce n'est pas important car j'ai ,tellement , été sévèrement châtié que les fautes oubliées et même celles que je n'ai pas commises ont été prises en compte .
"""Tellement châtié""" """Sévèrement """ n'exagérons rien . Je n'ai pas subis ,quoi que ce soit qui
m'aurait mené au point de rupture .
Je ne me souviens pas de la chronologie des actions mais entre deux flagellations à la cravache je reçu une fessée magistrale qui m'oblige à me poser la question suivante : """Comment Lady Gabrielle a t-elle pu me l'administrer sans avoir mal aux mains .""" Pour ce faire ELLE était assise sur mon dos , moi à quatre
pattes . ELLE utilisa mon postérieur comme d'un tamtam . Je ne crois pas que les sons obtenus par ces mains expertes , étaient destinés à envoyer quelque message obscure . Quelles oreilles auraient ils atteint?
Si tant est qu'ils purent dépassés les murs de la maison . Non . . . je crois que la musique des coups de main s'abattant sur mes fesses , depuis longtemps rougies , était destinées à charmer l'ouïe de ma Maîtresse . Tout simplement .
Naguère , Lady Gabrielle m'a avoué aimer le bruit des claquements sur mon corps . Elle possède un fouet vipère terminé par deux mèches de tissu assez longues . Quand ce fouet est utilisé correctement seules les mèches viennent frapper , provoquant un bruit sec et agréable à l'oreille De ma Dame . Moi je dois avoué que ce fouet n'engendre pas des douleurs insupportables ce qui me le fait apprécié . Fait qui n'a pas échappé à la sagacité de Lady car Elle alterne l'utilisation de ce fouet avec celle d'un autre qui est beaucoup plus silencieux et beaucoup plus méchant . Un fouet terminé par une très fine tresse de cuire . Une horreur .
Insupportable mais que je suis bien obligé de supporter . Larmes aux yeux .
Par ce soucis d'alternance , Lady Gabrielle tient à me signifier que si nos séances BDSM sont des parties de plaisir ce ne sont quand même pas des réunions de jardin ( garden-party si vous préférez ) bucoliques .
ELLE tient à ce que soit bien défini , la position de Chacune et chacun de part et d'autre du fouet .
Soyez sans crainte , Lady Gabrielle , je connais parfaitement le bout du fouet avec lequel j'ai le plus d'affinité .
Il convient de terminer le récit de cette soirée . Bien que d'autres aussi intenses émotionnellement ont eues lieu depuis .
Après cette flagellation et cette fessée Lady Gabrielle utilisa quelques bougies non plus pour éclairer le lieu où je subissais ses tortures mais pour les prolonger . Elle fit couler la cire de ces complices momentanés et complaisants sur toute la surface de mon corps . Sachant que la stature de ce corps est imposante , je compatis à la peine qui a été celle de Lady Gabrielle pour accomplir cette tâche .
Cette dernière phrase ne révèle pas la stricte vérité , au regard du sourire qui illumine son visage , je ne pense pas que Lady Gabrielle , trouve la tâche très pénible . Et que dire de ce sourire quand ELLE arrache à grand coups de martinet , la cire collée aux poils de ce corps velu comme celui d'un ours .
Ce supplice est horrible . Cela m'apprendra à désobéir à Lady . Je devais me passer le peigne rasoir pour raccourcir les poils en question . En effet Lady a renoncé à exiger mon épilation. Vous avez déjà vu un ours épilé VOUS ?
Ah que n'ai-je donc pas obéi ? Les poils eurent été plus courts , la cire de bougies eut été moins adhérante donc les coups de martinet moins nombreux .CQFD .
Berny
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2 ans. Cela faisait deux années que la vie les avaient séparée. Comme deux univers parallèles, ils avaient repris le cours de leurs vies. Et en ce jour pluvieux, ils se retrouvaient et retrouvaient leur monde comme deux voyageurs qui rentrent chez eux après une longue absence.
Son dernier échange expliquait minutieusement les consignes qu’elle devait suivre. D’un simple « Entendu », elle avait répondu laissant entrevoir toute son appréhension et son excitation. Il se délectait déjà de la savoir dans cet état car il savait, les mille et une saveurs que ce mot transportait.
Elle se présentait à l’adresse. Flageolante et remplie de désir, elle remontait la longue allée. Au fur et à mesure, une vieille demeure se dessinait. De loin, elle paraissait superbe mais, plus elle s’en approchait et plus elle comprenait que la maison avait perdue depuis longtemps sa superbe. Les questions commençaient à fuser dans son esprit déjà ébranlé à l’idée de le retrouver. Le vent qui jouait avec ses cheveux la faisait, par moment, frissonner.
A présent, un escalier qui montrait le chemin d’une imposante porte se dressait devant elle. Elle marqua un arrêt comme si c’était sa dernière chance de faire demi-tour. « Je ne suis pas venue jusqu’ici pour rebrousser chemin » se disait-elle comme pour retrouver un peu d’aplomb et de courage. D’un pas hésitant, elle commença à gravir l’escalier pour se retrouver devant la porte et entrer. Il était 9h45.
La nuit avait été longue. Il se repassait en boucle le scénario qu’il avait en tête. C’était son plaisir. Il aimait imaginer les réactions qu’elle pourrait avoir car ils savaient qu’il ne pourrait jamais vraiment la prédire. Il avait tout organisé afin de laisser de place qu’au plaisir. Il voulait des retrouvailles marquantes et dans tout les sens du terme. Arrivant à trouver le sommeil à peine quelques heures, il se préparait déjà pour aller à une ultime réunion avant de la rejoindre. Le trafic était fluide malgré la pluie et son esprit vagabondait dans la direction de l’objet de son désir. La bosse de son pantalon lui sommait de se reprendre. Il était déjà 9h.
Timidement, elle faisait ses premiers pas dans cette maison, scrutant le moindre recoin. Le froid d’une maison sans âme et abandonnée la saisissait. Pour reprendre son calme, elle se remémorait les consignes qu’il lui avait été données. Elle devait se presser. Ne faisant peu de cas de la grande pièce qui s’offrait à elle, elle se dirigea vers l’escalier central. Les bruits la faisaient sursauter, chaque marche était une épreuve de plus à surmonter. S’enfonçant de plus en plus dans la demeure, elle arrivait au premier étage. Sa consigne était de se déshabiller et de laisser ses affaires bien en vue pour qu’il n’ait aucun mal à l’imaginer habillée. Elle avait choisi sa tenue avec beaucoup de précautions. Une jupe droite noire avec un chemisier rosée, un ensemble de lingerie en dentelle blanche et des bas noirs. Le tout porté sur des talons de 12 cm, escarpins à lacé qui lui donnait un air salope sans trop en faire. Il n’était pas encore 10h05.
Le regard en direction de la fenêtre, il distinguait seulement le brouhaha des voix qu’ils l’entouraient. Pensif mais lace d’être ici. Il voulait la rejoindre. Comme si il c’était coupé du monde pour déjà n’être que dans le leurs. Il espérait ne pas avoir poussé le jeu trop loin. De temps en temps, il revenait à lui en répondant à une question de ses collaborateurs mais lorsque que son regard croisant les aiguilles de l’horloge triomphante, il retournait avec elle, comme pour l’accompagner dans le périple qu’il lui avait concocté. Il savait qu’elle venait de franchir la porte et qu’elle devait entamer la montée des escaliers. Il aimait la contrôler. La réunion avançait point par point et se fut bientôt au sien quand, il se rendit compte qu’il était 10h45.
Elle continuait son ascension avec pour seul compagnon ses talons qui à présent ne laissaient pas juste deviner son côté salope mais l exposé entièrement. La transition entre le premier et le second étage lui paraissait interminable. Elle essayait de se donner une contenance car, le connaissant, elle savait qu’elle était observée d'une manière ou d'une autre. Difficile de garder une allure sensuelle lorsque vous êtes dans le plus simple appareil, devant lutter contre le réflexe de mettre ses bras autour de sa taille ou d enjambait les escaliers 2 à 2, elle prenait des grandes respirations afin de se décontractée. La dernière marche se dessinait et elle apercevait une couverture placée au milieu de celle ci. S'installant timidement dessus et jetant un ultime coup d œil aux alentours, elle s'appliquer à effectuer la consigne qu’il lui avait été ordonné. Assise au sommet de cet endroit lugubre, elle commençait à écarter ses jambes pour y glisser sa main. Elle fut surprise de sentir a quel point son sexe était gonflé et mouillé déjà abondamment. Il lui fallu peu d effort pour recouvrir ses doigts de sa mouille. Elle se saisit du téléphone qu’il lui avait envoyé. Prit une photo de sa chatte bien humide avec pour preuve ses doigts inondés et l envoya au numéro donné. Le feu lui montait de plus en plus aux joues. Reprenant ses esprits, elle se relevait pour se diriger vers l immense couloir qui s étirait devant elle. Il était à peine plus de 11h.
La réunion touchait à sa fin quand son téléphone vibra dans sa poche. Lentement il l extirpa. C était un message "Parfait". A la lecture de se simple mot, un sourire un coin se dessinait sur sa bouche tandis qu’une lueur pervers allumait ses yeux. Une stagiaire l observa et quand il croisa son regard, elle commençait à se dandiner sur sa chaise. L’objet de son désir l occupait tellement qu’il ne s en aperçu même pas. Alors que chacun retournait à son bureau, lui se dirigeait vers la sortie en faisant bien comprendre à sa secrétaire de ne le déranger sous aucun prétexte. Lui, si professionnel en toutes circonstances d habitudes, laissait quelque peu transparaître son émoi. Son corps était en mode automatique, aller au parking, appuyer sur le bouton de déverrouillage de sa voiture, s asseoir, mettre le contact et conduire jusqu' à l endroit où se trouvait l objet de son désir. Son esprit était déjà ailleurs, parfois avec elle et parfois entrains de réciter les quelques règles qu’il c était fixé. Un regard sur le tableau de bord qu’il lui indiquait l’heure : 11H20
Ce couloir lui donnait la chair de poule. L obscurité était total par endroit. Elle rassemblait toutes ses forces pour continuer son chemin. La nudité dans laquelle elle se promenait ne lui posait plus de problème et elle déambuler pour atteindre son but ultime. " Vas jusqu’a la porte qui se trouve à la fin du couloir", on aurait pu croire que cette phrase était anodine, mais revêtue de la perversion de son Maître, elle devenait une torture. Plus elle se rapprochait et plus ses pas devenaient facile. Au moment où elle fit face à la porte, son esprit commença à bouillir, est il là ? Que vais-je devoir affronter ?
Quand sa main se posa sur la poignée, son corps entier tressaillit. Elle l ouvrir avec prudence comme pour ne pas réveiller le grand méchant loup qui se trouvait derrière. Passant de l obscurité a une lumière tamisée mais chaleureuse, il fallut a ses yeux quelques instants pour s ajuster. La pièce était spacieuse. D un côté un grand lit a baldaquin orné de voiles dont on ne distinguait pas la matière. Ils avaient l air fin et solide à la fois. De l autre côté, un petit boudoir confortable, meublé d un canapé et de 2 fauteuils clubs. L espace d un instant, elle aurait aimé avoir le temps de parcourir la chambre, toucher les tissues mais elle devait s afférer aux directives qu’il lui avait dicté. Elle savait que c était lui qui avait organisé ce nid spécialement pour leurs retrouvailles. Cette pensée la réchauffa. A mi-chemin entre le lit et le salon, elle se mit à genoux, les cuisses bien ouvertes, le dos bien droits et le regard baissé. Elle était en position d’attente et l heure fatidique se rapprochait.
Alors qu'il entrait dans l allée, son cœur commença à s accélérer et son pantalon commençait à devenir étroit. Doux mélange entre l envie de retrouver son amour et le besoin de tourmenter sa soumise. Ne voulant pas gâcher son effet de surprise, il laissa sa voiture au milieu de l allée pour rejoindre la maison à pied. Il connaissait chaque parcelle de cet endroit. Cela faisait des mois qu’il en avait fait son refuge et son terrain propice à la rêverie. Il y avait passé des heures à réfléchir au choix de la pièce, la mise en scène et tous les détails que seul lui connaissait. Son pas était tellement léger qu'il en devenait inaudible. Il entra, se dirigea vers l escalier, arriva au premier étage et pris son temps pour apprécié la vue des vêtements qui y était disposés. Il l imaginait vêtue ainsi et marchant dans l'allée. Cette pensée le troubla et instinctivement, il continua sa route. En passant devant la couverture, il ne put s empêcher d arborer un large sourire. Le couloir s’offrait à lui et très vite il se retrouva devant la porte. Il ajuste son costume, calme les battements de son cœur et entre.
C était l heure. La rencontre de deux univers pour en faire qu’un. Il referma la porte et tout en s approchant d’elle, la fixait comme pour graver cette vision à jamais dans sa mémoire. Elle tremblait légèrement luttant pour ne pas lever les yeux. La tension était palpable. D un côté ils mourraient d envie de se sauter dans les bras l un de l autre et de l autre de rester dans cette scène hors du temps. Il prit un fauteuil et le plaça face à elle mais en gardant une bonne distance. Il s’y installa pour la contempler. Accoudé, il passait sa main sur ses lèvres comme pour l’aider à réfléchir. Elle sentait son regard sur elle et rougissait a l idée de sa chatte exposée et humide. Le silence était pesant, presque électrique. Les minutes semblaient des heures. D un coup, il se dirigea vers la grande cheminée pour allumer le feu. Puis marcha vers elle. Il lui tournait autour pour se figer et s accroupi afin de vérifier par lui même l état scandaleux de son sexe. Il aimait son odeur et son gout. Se rapprochant de son oreille, il lui dit " à 4 pattes" d un ton froid. Elle s exécuta. Le cul bien offert et donnant toute commodité pour subir l’inspection dont elle allait faire l’objet. Elle sentait un regard de plus en plus intense se poser sur elle et sa main commençait à remonter de ses échines au haut de sa colonne vertébral.
D’un coup, il ne put s’empêcher de lui octroyer une fessée des plus stimulantes. Elle se raidie. Son souffle s’accélère mais il reprend son inspection. Il prend une grande inspiration comme pour s’enivrer de son parfum et lui caresse les cheveux. Il aimait tout chez elle. La perfection dans ses imperfections. Sa main se fait plus dur sur ses cheveux jusqu’à les empoigner vivement la forçant à redresser la tête. Une deuxième claque tombe, plus dur que la première. Il caresse son cul rond pour commencer à parcourir les quelques centimètres qui le sépare de sa chatte bien ouverte pour recevoir la fouille de son Maître. Il s’amuse le long de ses lèvres gonflées pour aller s’engouffrer à l’intérieur de sa chaleureuse intimité. Des gémissements incontrôlables s’échappent de sa bouche alors que lui émet des grognements. Il accélère le mouvement jusqu’à la faire couler. Il la veut chienne, trempée et surtout à lui. Sa queue le somme de sortir. Il relâche la tension et se met face à elle pour lui ordonner de se mettre à genoux. Elle comprend de suite ce qu’il veut. Il avance son bassin vers son visage et dans le silence le plus total, elle commence à défaire son pantalon et à sortir son sexe. Elle se lèche les mains pour les rendre accueillantes et s’en saisie. Le portant doucement à sa bouche pour le faire languir et le déguster comme une friandise. Il sait qu’elle joue avec lui et cela l’excite encore plus. Sa queue est raide comme un I et il ne veut plus jouer. Il empoigne sa tête comme pour sonner la fin de la partie et lui dit « ouvres bien ta bouche de Salope ». La tension c’est transformée en pulsion animal. Il veut posséder chacun de ses trous comme pour reprendre un territoire qu’il avait autrefois conquit. Il fait des va et vient profond dans sa gorge. Le rythme s’accélère jusqu’à ce qu’il y déverse son jus. Elle l’accueil avec passion et ne manque pas de n’en laisser aucunes gouttes. Il se place derrière elle et lui ordonne d’aller se mettre au bord du lit. Perchée sur ses talons, elle place ses mains au bord de manière à avoir un bon appui et reste ainsi en silence. En rejoignant le fauteuil, il se sert un verre de vin. « Remue ton cul pour moi ma chienne » et dans un mouvement lascif, elle ondule son bassin de droite à gauche et de haut en bas. Se spectacle et les possibilités qu’il offre lui fait monter doucement l’excitation. Le temps ne compte plus. Il prend le temps de déguster tous les plaisirs qui lui sont offert. Reposant son verre de vin, il se dirige vers elle pour la placer sur l’un des piliers du lit à baldaquin. D’un mouvement agile, il se saisit d’un des voiles solidement attacher et lui lies les mains. Instinctivement, elle se cambre. Son corps est complètement tendu. Un bruit frappe l’air et sa ceinture s’abat sur ses fesses laissant une trace bien rouge. Des répliques ne tardent pas à se faire sentir. Le plaisir laisse un peu de place à la douleur lorsqu’il revient sur des zones déjà foudroyées. Malgré tout, son cul en redemandait inexorablement. Elle mouille et continue à mouiller. Ses tétons deviennent raides à vu d’œil. De temps en temps, un claquement vient se perdre sur son sexe ce qui la fait gémir encore plus fort. Lorsqu’il fut satisfait de la couleur, il laissa tomber sa ceinture pour s’emparer d’un bandeau en soie. Lui recouvrant ainsi les yeux, il peut enfin la contempler de face. Une émotion le prend aux trippes. Il secoue la tête comme pour reprendre ses esprits. Il veut être en elle. Les jambes bien écartées, il n’a aucun mal à la prendre. Il ne s’attarde pas sur la délicatesse et vient la pénétrer en profondeur. Il sent son sexe se refermer sur lui et très vite il entend « puis-je jouir Maître ». Il accélère le mouvement sans répondre pendant quelques seconds et lui dits « viens ma chienne, jouis pour moi ». A ces mots, elle part la tête en arrière, son corps et parcouru de violentes secousses la laissant pantelante. Il la prend dans ses bras tout en restant en elle et la sert comme pour ne faire qu’un.
Après le séisme passé, il reprend doucement une cadence plus calme et plus tendre. Il se retire avec lenteur de sa chatte dégoulinante pour aller chercher des pinces à tétons et lui placer méticuleusement. Détache ses liens et lui dit d’aller se mettre à genoux au milieu du lit. Son répit fut bref. Caressant son bras, il le prend et l’attache au voile du côté droit du lit et fait de même pour celui de gauche. Elle se retrouve à genoux et écartelée. Ne voyant rien de ce qui peut se passer. Un corps vient s’allonger à coté d’elle et lui fait comprendre de venir le chevaucher. Sans attendre, elle passe sa jambe de l’autre coté et marque une légère pause afin de venir s’empaler sur le sexe qui était dresser. Elle se faisait pénétrer doucement, ressentant chaque centimètre qui rentrait en elle. Sans qu’on ne lui demande rien, elle commence à onduler son bassin ne cachant pas son envie d’être baisée bien à fond. Ses mouvements tiraient légèrement sur la chaîne qui lui pinçait le bout de ses seins. Exquise souffrance qui lui donnait que plus envie d’être utiliser. Soudain, elle sentie le lit s’abaisser comme si une autre personne venait d’y être invitée. Une main vient se poser sur ses reins lui indiquant de se cambrer. La terreur l’envahit. Que se passe-t-il ? Lui, sentant son effroi, se penche à son oreille et lui dit « chut … Ton cul est à moi, ne t’inquiète pas. Profite de ce moment ma belle soumise ». Au son de sa voix, elle se calme.
Son petit trou commençait à s’ouvrir de plus en plus. A présent, ils étaient tous les deux biens ancrés en elle et pouvaient amplifier le mouvement. Elle se faisait littéralement pilonner. Transpercé par 2 lances qui venait faire exploser des bulles de plaisir au fond d’elle. A chaque coup de rien, elle criait de plus en plus fort. De temps en temps son Maître tirait sur sa chaine comme un rappel. Sa chatte, son anus tout étaient complètement offert. Les fessées qu’il lui donnait la transportaient dans un état second. Elle en voulait d’avantage. La découverte de se plaisir inattendue la rendait folle. Elle supplier qu’ils la baise encore plus fort. D’un coup, son corps devient mou comme si toute tension avait disparue. Elle venait de jouir dans un crie qui résonnait dans toute la maison. Mais ne lui laissant aucun répits, il lui dit « tu as supplié pour qu’on te baise salope, maintenant assume » et les coups de reins reprenaient de plus belle pour la faire basculer dans un autre orgasme. La chambre sentait le cul. Ses bras devenaient endoloris et la cadence commençait à ralentir jusqu’à s’éteindre.
L’homme qui lui avait pris sa chatte s’extirpa. Son Maître la détacha. « J’en ai pas fini avec toi ma belle ». Elle était à présent en levrette, la tête dans le matelas et lui qui revenait prendre son cul. L’autre homme sortit de la chambre pour se finir dans un endroit isolé. Les instructions était simple, nul n’avait droit de lui faire goutter son jus ou de la souiller à part lui. Quand il se retrouva bien au chaud au fond de son cul, une rage l’envahit. L’envie de lui donner une pluie de fessées lui prit. Comme pour la punir d’avoir eu du plaisir avec l’autre homme. Une poignée de cheveux dans ses mains et l’autre s’abattant sur son cul au rythme de ses aller retour, leurs corps entiers se tendirent et dans un râle ahurissant ils jouirent à l’uni son. Son corps vint s’écrouler à côté du sien et dans un ultime geste, il la prit dans ses bras pour sombrer dans un profond coma ...
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Vous savez que mon truc à moi c'est de raconter des histoires à ma façon . Imagées . Toutes réelles et inventées à partir de faits vécus à différents moments de mon existence .
Celle que je m'en vais vous conter maintenant je l'ai vécue ce matin même .
Je la regarde , elle est blottie dans mes bras . Elle est belle dans cet écrin de chaire tendre .
Je la contemple avec cette fascination , dont seuls sont capables , ceux qui ont rencontré Dieu .
Objet de mes désirs , de mes caresses , de mes plaisirs les plus doux . Je suis tombé sous sa domination . Qu'y puis je ? Qui suis je pour lui résister ? Je suis son esclave .
La douceur de ses lèvres gourmandes ! ! ! hummm . . .
Ces lèvres ourlées de cette toison soyeuse et douce que mes doigts effleure avec délectation . Ma main s'attarde interminablement sur son ventre . Elle remonte vers sa gorge , s'y oublie , s'y perd , s'y retrouve ivre de volupté . Elle revient sur les lèvres . Elle joue avec la bouche avide . Cette gueule tant aimée qui attrape mon doigt qui le rejette , qui le reprend pour le mordiller et ne plus le lâcher .
Bientôt du plus profond de sa poitrine s'échappe la douce mélopée si chère à mes oreilles .
Ses yeux s'ouvrent , se referment , m'admirent . Ils semblent dire . . . ils me disent
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Alors qu’elle est à genoux, devant lui debout, accroupie à ses pieds…
A moitié nue : c’est-à-dire troussée, dépoitraillée (ses seins pendent) :
– Je vais te dresser, dit-il.
Il y a confrontation des regards.
Elle va morfler. Elle le sait. Elle l’a compris.
Il n’est pas de ces Maîtres qui ordonnent de baisser les yeux.
Pourquoi se priver ?... Pourquoi se priver de sa beauté… Pourquoi se priver de la beauté, de l’éclat de ses yeux clairs. Et lire la crainte dans son regard. Ça le fait bander.
Il le lui dit :
– Ma queue est dure … J’aime te voir comme ça…
Cette envie de sortir sa queue ! Et de la lui foutre dans la bouche ! Au fond d’la gorge !...
Les deux mains sur la crâne de la fille, sa soumise, la maintenir, la contraindre… L’empêcher de déglutir, de respirer…
Qu’elle morfle ! Qu’elle morve ! Qu’elle bave ! Qu’elle chiale ! Qu’elle en pleure !
Qu’elle morfle et qu’elle en coule !
Qu’elle n’en puisse plus !
Mais non.
Il n’est pas encore temps.
Pour l’heure, c’est la cravache qu’il agite… Dans l’air… Qu’il fait siffler…
– Creuse les reins… Tends la croupe…
Il aime la voir ainsi : vulnérable… en attente… en attente de ses coups.
Elle aime ça. Etre ainsi… Corrigée, battue…
Et pourtant elle a mal, elle souffre.
Il ne fait pas semblant. Ne retient pas sa main.
Il frappe.
Fort.
Elle déguste.
Elle déguste. Glapit. Crie. Encaisse.
Chaque coup la saisit. L’envahit. L’habite. La brûle. Lui coupe la respiration. C’est trop fort… trop fort… insupportablement trop fort…
Et pourtant, à chaque fois, après chaque coup, elle reprend la position. Elle sait qu’elle le doit.
Les mains bien à plat sur le sol, les reins creusés, la croupe haute et offerte…
Et cela dure… Selon son bon plaisir… Son excitation, son désir…
La cravache tombe, cingle, frappe…
Les coups pleuvent, rapides ou espacés…
Il la frappe plusieurs fois, lui coupe le souffle… Ou au contraire lui laisse le temps de se reprendre, lui faisant croire, espérer : que c’est fini…
Mais non !... Il reprend, il continue.
Ses fesses brûlent… Son cul n’est plus que souffrance et douleur…
Elle se tord… bascule… hurle… revient…
Elle reprend la position. La cravache sur les reins, qui l’accompagne, la redresse , l’encourage…
Elle revient offrir son cul.
Doucement il frôle sa croupe de la cravache avant de frapper…
Il se déplace, bouge, la contourne… Pour que la claquette tombe : de chaque côté…
Vicieux, il glisse la cravache entre ses fesses… ouvre son con… lui dit dans quel état elle est…
Il constate :
– Ton cul est bien rouge… Tu es bien marquée… On pourra compter les coups…
Il constate :
– Mais tu en mouilles ?!... Tu aimes ça ?!...
– Oui, Monsieur…
Elle sait qu’elle doit répondre : dans ses larmes, sa morve…
Il l’enfonce dans sa honte… Caresse ses seins avec la cravache… Qu’il glisse soudain en travers de sa bouche, entre ses dents. Elle sait qu’elle doit la tenir.
Est-ce pour se saisir de son verre ? Allumer une cigarette ?... Aller chercher quelqu’autre instrument ? La badine ? Le martinet ? La canne ? Le fouet ?...
Ou venir s’agenouiller derrière elle pour la foutre… la baiser rudement… se réjouir de sa chatte trempée… l’utiliser pour son plaisir à lui… peut-être même l’enculer ?...
Ou promener la lame du cutter sur ses reins…
(...)
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alors même que je me remet de mes émotions, j’ai encore cette sensation a l’intérieur de se cul qui es le sien …..
elle me retire les menottes, je reste nu bien sur, sans la cage, la cagoule toujours en place….. elle m’enlève le baillon qui était déjà partiellement enlevé… je sens sa présence devant moi car je ne vois rien du tout mais PAS BESOIN DE VOIRE …. !!
elle me guide jusqu’a sa chatte déjà si chaude et ruisselante hummmm je comprends se que je doit faire ( hihiihiiii )
tout se que je vais faire est pour elle pour sont plaisir unique hummmmm…
ma langue contre son vagin à la servire …. tel est aussi ma place hummmm
je la lèche de longue en largue de haut en bas hummm, en cercle, j’entre même ma langue en elle, se n’est plus ma langue masi la sienne qu’elle dirige brillamment, j’entends alors « fait moi jouir petite salope !! « quel encouragement j’adore quand elle me le dit !!!
elle sais m'excité aussi hummmm…
au ton de sa voix de ses gémissements je sais que j’y suis presque ….
mes mains à présent sur ses têtons durcie elle me contrôle à nouveau !!! du mieux que je peux, je lui pince les tétons hummmm qu’elle sentiment d’être au service de la jouissance de sa Maitresse quel fierté ….
avec la place d’honneur … oui la langue entrain de léché la chatte de ma Maîtresse je me délecte même de son jus qui coule chaudement dans ma gorge!!!
elle re sert la tête contre sa chatte j’entend alors « fait moi jouir ou tu ne hummm … ne fera pas …. pas l’amour à ta femme …. hoooooo pendant 1 mois «
je réponds alors d’un geste sauvage un coup de langue plus vife au sein de sa chatte …. je m’étouffe mais c’est si bon … !!!! hummm je vais jusqu’au bout !!!!
je m’applique alors je boie de plus en plus de son jus qui dégouline sur se visage de petite salope !!!! je ressert dans les doigt les tétons de ma Maîtresse …. plus fort en tirant dessus !!!
hummmmm ouais elle vient !!!!! quel plaisir de la faire jouir !!!!! son crie me dit qu’elle y es !!!
sentiment d’accomplie de fierté à nouveau !!!!
suite a quoi elle guide la main de sa petite salope sur sa chatte encore hummm bien chaude ….
hooooo se n’est pas fini !!
encore une fois je comprends que je suis le pantin de ses plaisirs … j’enfonce directement 2 doigt …. hum je bouge dedans j’adore sa !!!
elle aussi elle me guide la tête sur ses tétons que je suce délicatement…. ou pas je les mordille les tien entre mes dent et les lèche en meme temps avec la langue !!!!! hummmmm entre temps j’ai maintement 4 doigts en elle, bientôt viens le 5eme doigt …
hummm je la sent très bien le fist n’est pas loin … j’essai de trouver la meilleur façon de rentré la main complet !!!
mais je n’y arrive pas …. (pas encore hihihi )
mais je vais la faire jouir !!! hoooo ouiiiii je joue alors de tout les doigts qui sont en elle a la rendre folle tout de même !!! je la sens venir elle me le dit !!!! avec mon autre main je joue de ses tétons durcie.
hummmm son souffle sa respiration augmente, la mienne aussi je ne comprends plus rien, à croire que son excitation me fait jouir aussi !!!!
elle joui si forte, elle m’empoigne de ses griffes que j’aime sentir !!!
elle appuie le corp de son petit soumis contre elle … le souffle chaud …
je lui fais un bisous brûlant dans la nuque … hummm
je luit dit Merci Maîtresse
j’entends Merci à toi petit soumis !!
je retire doucement la main de l’intérieur de sa chatte …
elle me dit de me redressé chose que je fais … ensuite elle m’ordonne de lècher la main ... hummmmm oui Maîtresse chose que je fais avec plaisir
( est se qu’elle sait que j’aime sa ??? , je pense que oui )
je me délecte les doigts après doigts tous passe par un coup de langue … je suce tout les doigts …
je ne sais même plus se que je fais le corps me répond plus je m’aperçoit que je suis partis loin très loin !!!!
se plaisir que j’ai eux a lui faire plaisir c’était uniquement POUR ELLE !!
Ma Maîtresse, et si sa lui a fait plaisir alors moi son petit soumis aussi !!!
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tout commence par un ordre …. un seul ordre tellement simple, mais si poignant ! je la regarde l’aire de dire « ouiiiii Maitresse «
( je devais tout préparer pour qu’elle puissent jouet de moi )
j’ai commencer par présenté tout les jouet sur les commodes, cela parait bisard mais c’est extrêmement excitent de faire sa …. préparé les jouet sans même savoir avec les quel elle va jouet sur son petit soumis.
J’allume toute les bougie dans la chambre, bougie après bougie l’éclairage se fait de plus en plus agréable, Hummmmm mon cerveau travail déjà a tout se qui pourrait arrivé.
puit j’enlève mes vêtement chose qui m’emprisonne … sans mes vêtement je me sent plus libre, pret à servir ma Maitresse ou plutôt prêt à se que elle se serves de moi comme elle le veux !!! ouiiiii a se moment la je me dit « hummmm je luis appartient !! «
je m’instale à 4 pates tel es ma place !!!
je doit l’attendre.
les chose s’accélère, mon coeur bat plus vite, j’ai des frisson, mon cerveau plane… pourquoi ?? car je sais que ma Maitresse va arrivé !!
je l’entend arrivé, je ne la regarde pas … je n’ose même pas la regardé, elle dégage une énorme prestance, une force, une intimidation !!!
elle se trouve alors assise devant moi, et même au vue de ceci je suis et je serait tout de même plus bas qu' elle !!
puit vien cette phrase qui déclenche se mouvement qui fait venir sont chien a ses pied !!! hummmmmm je l’entend encore !!!
« aller vien la « qu’elle me dit !!!!
je me retrouve attire par elle, se corps qui lui appartient s’exécute tout seul, elle commence a caressée se même corps.
j’aime telement sentir ses ongles hummmmmmm oui sa m’excite !!!
elle pose sa tête me demande de me redresser, et la moment fort !! elle me fait signe de saisir la clef, oui la clef de Sa queue !! qui se trouve en cage et me dit « enlevé la cage ! »
chose que je fait de suite …
elle dit « maintenant je vais prendre ma douche tu reste ainsi et tu ne bouge pas !!! «
wouaaaa je m’exécute bien que très difficile a résisté cette position fait mal a mes cheville, sa douche se passe bien je l’entend …
se corp qui lui appartient, lui ne peut plus pour longtemps avent de s’effondre faiblement … mai nonnnnn je veux être fort pour ma Maitresse !!!
elle fait une apparition d’une simplicité fulgurante elle me dit « Branle toi !! « hummmmm oui Maitresse.
cette fierté que je ressent !!
elle revient elle me voie … Sa queue toute dressée l’excitation monte …
j’entend « arrete de te branlé «
frustration, envie, chaleur, perte de toute notion ….. tout se bouscule dans ma tête !!!!
elle me fait signe de monté sur le lit toujours a 4 pattes bien equipé !!
bracelet menotte, bâillon boule, cagoule, rosebud dans le cul de son petit soumis.
je suis la le cul bien cambré.
et la elle me dit ….. « tu n’a pas été sage tu sais pourquoi et tu sais se qui t’attend !! «
( en effet la veille j’ai fait une bêtise qui l’a privé elle de ses envies )
gros sentiment …. par le marquage de ses fesse par la cravache se sont la les marque de ma bêtise qui seront « effacé « ouais car malgré tout au fond de moi j’ai aprit de cette erreur.
elle prend les menotte en métal celle bien solide !!! les main relié au pied me voila en position, je doit compté avec elle
CLAQUE …. 1
CLAQUE ….. haaaa 2
CLAQUE ….. 3!!!!
CLAQUE ….. hooooo 4
CLAQUE ….. 5…..
silence malgré moi me voila plongé dedans j’ai oublié de dire « merci Maitresse «
CLAQUE …… 6 ( pour l’oublie )
Merci Maitresse
hoooooooo hummmmm….
la je sent le martinée continué le travail !!!!! hummmmmm la douleur se transforme en excitation petit a petit
j’entend « tu voulait jouet avec celui la «
et la je sent son catonine fondre sur le cul de son petit soumis !!! hummmm je ne répond plus de se corp j’ai l’impression d’être l’instrument de son plaisir!!
et l’intrument ne se doute de rien mais il va bien servir !!!!!
je sent sa main sur le cul de son soumi se froid indique le lubrifiant !! elle m’enfonce des doigt !!!
la tout va très vite non pas en réel mais mon cerveau se déconnecte je suis …… je suis un pantin d’ont elle tire les ficelle !!!
elle me sent partir me demande si ça va … je répond que non plutôt moyen car j’ai la tete poser sur le coté elle me change de position … 4 pattes main toujours lié par les menottes en metal les cheville lié egallement…. je me cambre tout seul en me disent
« aller y Maitresse faites se que vous souhaitez de votre soumis « !!!!
hummmmmm quel excitation !!!
je sent la le gode en moi je ne sais pas le quel je ne penses que au SENSATION !!!! ouiiiiii les SENSATION d’avoir le cul plein !!
De sentir depuis l’interieur quelque chose touché les point de jouissance que je n’ai jamais senti !!
cette queue qui essaye d’être a la hauteur de cette même excitation …. mais impossible cette sensation nouvelle es bien plus fortes
Elle ENCULE bien fort son petit soumis elle le tien par les cheveux !!!
elle me dit « vas’y joui !!!!!! «
hum cette parole résonne en moi comme une goute qui fait débordé le vase ….
elle ENCULE son soumis plus vite, plus fort
hummmmmmm je vien !!!! je sais même plus parlez !!! je suis déconnecté de tout ceci !!!
mon corp n’est plus mien il lui appartient
ELLE CONTROLE TOUT !!!!
hummmmmm jouissance total !!!! heuuuuuu hoooooo hummmmm ouiiiiiiiiiiiiii hohohohhoooooo
elle se retire de moi …. je me sent tout legé tout chose !!!!!!
je suis perdu de la realité
mais je sais que se qui vient de se passer est simplement :
hummmmmmmm très bon.
elle le sais bien sur elle l’a lu …. interprété de se corp qui es le sien !!!!
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Mes talons claquaient sur le trottoir que je remontais rapidement pour me rendre au rendez-vous. Je me dirigeais vers l’appartement qui deviendrait peut-être mon prochain logement. Arrivée devant le porche, je sonnais. A son ouverture, je m’engageais dans un couloir encombré de vélos. N’ayant pas pris le soin d’enclencher la lumière et naviguant dans la pénombre, mon mollet droit heurtait une pédale que je n’avais pas calculé. La douleur me fit grimacer et je marquais une pause en bas des escaliers pour examiner la blessure. Cette satanée pédale m’avait entaillé sur 3 bons centimètres et ruiné définitivement mon collant, un filet de sang ruisselait sur le voile écartelé.
La rage au ventre, je montais les marches 2 par 2. Au troisième palier, je m’engageai par la porte entrouverte d’où s’échappait le son de pas perdus.
- Bonjour Madame, bienvenue
Je devinais à contre jour le sourire de l’agent immobilier qui me tendait la main. Je la saisie pour le saluer tout en remarquant immédiatement la lumière éclatante qui éclairait naturellement les lieux ; ce qui adoucit mon humeur.
- Comment allez-vous ?
- Pas très bien, cette visite commence mal, je me suis accroché sur un vélo en bas.
- Ah ! Oui, c’est le seul problème de cet immeuble, certains locataires ne font pas l’effort de les garer dans la cour à l’arrière, désolé, pourtant nous avons bien affiché un panneau et distribué une note à ce sujet dans les boites aux lettres, mais que voulez-vous… termina t-il dépité.
- Auriez-vous un mouchoir ou quelque chose de semblable, je saigne. Je lui indiquais mon mollet.
Il ouvrit grand le yeux en prononçant un « aie-aie-aie »
- Ne bougez pas
Il s’accroupit et sortie de sa sacoche un paquet de mouchoir en papier, en prit un, et tout en me maintenant la cheville d’une main, il commença à tamponner la petit plaie. Il leva les yeux pour trouver mon regard et me déclara - je reviens, il partit dans la cuisine humecter le mouchoir, revint et repris son entreprise de soin pour finalement exercer une pression ferme pour arrêter l’hémorragie.
- Voila, c’est propre mais il faudra vous soigner, par contre pour le collant, je ne peux rien faire mais il me semble qu’il y a une boutique, en face dans la rue, où vous en trouverez un neuf je pense.
S’en suivit une visite conventionnelle mais tout à fait professionnelle. J’étais séduite par les volumes et leur disposition, l’appartement correspondait à ce que je souhaitais et nous convenions d’un rendez-vous à l’agence pour compléter le dossier de location.
L’agent m’adressa un mot de compassion avant notre séparation lorsque je me dirigeai vers la sortie. Une fois en bas de l’immeuble, je trouvais effectivement quasiment en face ce qui semblait être une mercerie, je traversais la rue pour m’y rendre et une fois devant j’eu la sensation que les éléments se trouvant en vitrine étaient là depuis bien longtemps. Le délicat tintement d’une clochette marqua mon entrée.
- Bonjour, vous avez un rayon collant s’il vous plait ?
- Bonjour, oui, vous trouverez ça sur le tourniquet.
Je me dirigeais vers un présentoir à étagères rondes, le fit tourner jusqu’à ce que j’identifie une boite convenable. Taille 2, 15 deniers, voile de jour, teint gazelle, ça ferait l’affaire pour rentrer en bus. Je balayais du regard l’étagère se trouvant derrière le présentoir et mes yeux s’arrêtèrent sur un pile de boites blanches marquées au crayon « bas couture ». Bien que légèrement poussiéreuses, j’en saisie une et l’entrouvrit. Elle contenait des pochettes de bas Cornuel. La marque me parlait vaguement mais m’inspirait un sentiment de qualité.
- Il faut des jarretelles pour ceux là, vous savez ?
- Oui, je connais, ce sont des bas nylon, ce sont des vrais ?
- Oui, c’est tout ce qu’il me reste, la marque n’existe plus depuis longtemps, je vous laisse la boite complète pour 10 euros
Convaincue de tomber sur un véritable petit trésor, je n’hésitais pas deux secondes, refermait la boite, sous tirait les autres de la pile et posait l’ensemble avec le collant sur le comptoir
- Je prends le tout, vous me laissez la cabine d’essayage que je puisse changer mon collant ?
- Bien sûr, faites, c’est derrière vous, le rideau bordeaux.
Une fois enfilé et ajusté, je réglais la vendeuse et prenais le chemin du retour avec hâte pour essayer sans tarder ces bas nylon couture prometteurs, d’autant que Stéphanie m’avait convié le soir même à venir diner. Xavier, son amant, serait là avec un ami à lui m’avait t‘elle indiqué. J’espérai que ce dernier serait à mon goût.
A peine rentré, je posais sur la table les boites aux trésors et les ouvrait, j’en sortais pas moins de 10 pochettes par boite que j’ouvrais une à une. les bas était dans un état parfait, pliés, repassés et accompagnés d’une feuille les décrivant. J’adorais lire ces textes pleins d’emphase et légèrement surannés. Heureusement le lot comportait une belle variété de teintes. Il était déjà 18 h et je passais dans la salle de bain pour me préparer. J’en avais oublié ma blessure qui se révélait plus superficielle que je pensais. Après une chaude douche parfumée, je n’eu qu’à y appliquer un pansement fait de gélatine médicale pour masquer l’entaille. Je pouvais passer maintenant au choix de mes bas nylon. Je m’arrêtai sur la teinte « fumée », une couleur entre le marron et le noir, mais la finesse du voile ne faisait que teinter légèrement la peau en lui donnant un galbe et une brillance incomparable. J’allais dans mes tiroirs chercher un ensemble de lingerie assortie avec un serre-taille équipé de 6 jarretelles. Je le passais autour de ma taille et l’ajustait. Je m’emparai d’un premier bas que je fis délicatement rouler entre mes doigts pour ensuite le glisser sur la pointe de mon pied droit, j’emboitais le talon, et continuai de le dérouler sur ma cheville, mollet, genoux et finir de le tendre sur ma cuisse. Je contemplais le galbe brillant qu’il donnait à ma jambe. J’ajustai les jarretelles pour passer ensuite à ma seconde jambe. Je glissais mes pieds gainés de nylon dans mes escarpins à talon puis me dressait pour me regarder dans le miroir de plein pied. Je pivotais, fis passer mes doigts sur les coutures pour m’assurer de leur alignement sur mes jambes. Un sourire irradiait mon visage et un sentiment de joie m’envahit. J’étais trop heureuse d’avoir mis la main sur de véritables bas couture d’époque qui semblait n’attendre que moi. Je terminai de m’apprêter pour rejoindre Stéphanie et ses convives : jupe longue en polyamide aérien, légèrement brillant, chemisier beige semi transparent et lingerie marron glacé, le tout porté par des talons hauts mais pas trop. Je commandais un taxi.
J’arrivai alors dans de parfaites disposition. Je sonnais et Stéphanie m’accueillait avec un large sourire.
- Attends, je vais te débarrasser
Je pivotais pour qu’elle prenne mon manteau sachant également qu’elle me détaillerait du regard
- Oh, ils sont chouettes tes collants avec la couture, tu as trouvé ça où ?
- Ce ne sont pas des collants et ensuite il est hors de question que je te révèle ma source, répondais-je pleine d’espiéglerie
par contre j’ai ça pour toi, tu l’ouvriras plus tard.
Elle m’accompagna au salon où se trouvait Xavier et son ami qu’il me présenta. Gilles se leva pour m’approcher avec l’intention certaine de me faire la bise, je l’arrêtait en lui tendant la main. Cet abruti pensa que je lui indiquait de me faire un baise main, ce qu’il tenta maladroitement. Une fois encore je l’arrêtai en lui prenant totalement la sienne et l’agitai pour le saluer. Ça commençait mal, mais je n’ai rien contre les ahuris, bien au contraire, ils sont évidemment facile à diriger.
La table basse était garnie de nombreux amuses-bouche et je félicitais Stéphanie pour sa créativité. L’apéritif était lancé et nous nous racontâmes nos dernières journées. Chacun avait des épisodes cocasses à narrer sauf Gilles qui avait tendance à parler sport, ce qui était assez ennuyeux. Bien évidement je racontais pour ma part le fait d’avoir trouvé un appartement ainsi que l’épisode de l’accrochage, la découverte de la boutique et ses trésors. Gilles demanda où se trouvait le logement, et bien que je le trouvais bien indiscret, je l’invitai à me suivre sur la terrasse pour lui désigner approximativement le lieu de l’index . Sa proximité me révéla qu’il dégageait une odeur plutôt agréable, ce qui équilibrait sa lourdeur d’esprit. Il continuait de me questionner et passant du coq à l’âne me demanda si je portais des collants ou des bas en fin de compte.
- Vous êtes bien indiscret, vous rendez-vous compte ?
- C’est à dire que vous en parliez tout à l’heure alors je me posais la question
- Et bien gardez la pour vous. Par exemple moi je vois bien que vous bandez, alors est ce que je vous demande pour autant si vous avez une érection ?
Estomaqué, il se tût et se raidi, je devinais même une légère rougeur sur ses pommettes
- Parce que je la vois bien cette bosse qui s’est formée sur votre entre-jambe, pas besoin d’en parler pour le comprendre.
Sans hésiter je dirigeais mes mains vers sa braguette, la caressais de mes ongles et entrepris de l’ouvrir pour en dégager sa queue tendue. Il était pétrifié par mon audace, ce qui en était le but d’ailleurs. Excité comme un âne, je pris le contrôle de son plaisir sur le champ, encerclant d’une main la base de sa verge et de l’autre imprimant un savant mouvement du poignet. Je dégageai mon escarpin de mon pied droit, pour le rapprocher de ses narines afin qu’il hume le parfum du cuir mélé à celui de ma plante de pied. Continuant à le branler d’une main, je présentait maintenant la chaussure, tournée vers l’ouverture, devant sa bite. J’accélérai le rythme jusqu’a ce que l’abruti décharge sa semence qui atterrie dans la chaussure, comme je l’avait prévue. Tandis que Gilles, haletant, s’écroulait sur la chaise derrière lui, j’engluai mon pied de son foutre lorsque je l’engageai dans ma chaussure maculée. Je laissai Gilles pantelant et partais en quête d’une serviette pour essuyer mes mains, je traversais le salon étonnement désert et me dirigeai vers la salle de bain dont je poussai la porte. Je découvrais avec stupéfaction Stéphanie en appuie sur le baignoire en train de se faire pistonner le postérieur par Xavier. Ils ne m’avaient pas remarqué, tout en restant postée à l’entrée je tendais discrètement le bras pour me saisir d’une serviette et je m’essuyais lentement les mains sans perdre une miette de ce qui se déroulait devant moi. L’épisode précédent et l’actuel avait définitivement fait fondre mon abricot, je relevais ma jupe pour ensuite plonger mes doigts dans ma culotte et ressentir toute l’onctuosité de mes lèvres humides et stimuler mon bouton d’amour, mon corps se mit à vibrer au rythme de mes caresses. Le sixième sens de Stéphanie lui fit tourner la tête vers moi et entrouvrir les yeux qu’elle écarquilla en me découvrant me donnant du plaisir. Dans un râle, elle émis un « viens ». Sur ce, Xavier pensant recevoir un ordre s’écarta de Stéphanie pour lui arroser la croupe de toute sa semence en poussant à son tour des soupirs rauques. Stéphanie compris la méprise mais n’interrompra pas la jouissance de Xavier. Une fois terminée, elle déclara en riant :
- Quel nigaud tu fais, ce n’est pas à toi que je m’adressais.
Interloqué, Xavier tourna la tête pour me découvrir en pleine masturbation à laquelle je mis fin dans l’instant. Laissant retomber ma jupe sur mes jambes gainées, je me dirigeai ensuite vers le couple munie de la serviette que j’avais gardé en main. J’essuyais les fesses de Stéphanie puis le gland et la verge de Xavier encore dégoulinants de sperme puis jetais de coté la serviette imbibée. Nous rigolions tous les trois de la méprise cocasse.
De retour au salon, Gilles attendait sagement en picorant dans les plateaux disposé sur la table basse. Il ne pouvait ignorer totalement la nature des sons perçu hors de la salle de bains. Il souriait lui aussi.
- Après cet apéritif mouvementé, il serait peut être temps de passer à table. Déclara Stéphanie. « Béatrice s’assiéra en face de Giiles et moi en face de Xavier, une sorte de partie carrée si vous voulez » conclua t'elle d’un clin d’oeil tout en nous désignant la table de l’espace repas. Je rejoignis Stéphanie dans la cuisine pour l’aider tandis que les gars s’occupait des boissons. Nous disposions sur la table le gratin de poissons tout juste sortie du four ainsi qu’un accompagnement de riz parfumé. Les verres de vin blanc étaient remplis et nous portions un toast à cet agréable moment. Nous entamions le diner et les discussions reprirent autour de sujets nous concernant et Stéphanie voulu en savoir un peu plus sur ma découverte de l’après-midi. Je leur expliquait dans le détail comment j’avais pris possession de l’ensemble du lot de bas.
Gilles risqua une fois encore une remarque qui révéla son manque de finesse.
- tu portes donc bien des bas couture alors, asséna t-il avec assurance
- On se tutoie maintenant ? rétorquais-je, mais puisque tu en prends l’initiative je t’invite à le vérifier par toi même en venant me lécher la chatte. Une fois encore, l’audace de ma réponse crue le figea et après un instant de silence, Xavier hilare lui indiqua :
- Alors Gilles ? Je crois que tu viens d’avoir des instructions.
Tout en nous regardant d’un regard éberlué, il compris qu’il devait s’exécuter, c’est alors qu’il passa à quatre pattes sous la table. Le voyant disparaitre, j’entrepris de relever ma jupe puis de saisir ma culotte de chaque coté et tout en basculant le bassin pour la faire chuter sur mes chevilles. Je m’en dégageai en soulevant lentement chacun de mes pieds par alternance. Je savais que Gilles assistait au spectacle avec un point de vue imprenable et j’écartais doucement mes cuisses en espérant le mettre en rut. Je sentis ses doigts de positionner derrière mes chevilles sur les coutures de mes bas et remonter lentement sur mes mollets où il marqua une pose, sa bouche déposait de petits baisers sur l’intérieur de mes cuisses puis ses mains commencèrent à caresser mes jambes.
- Tu as trouvé réponse à ton interrogation Gilles ? Questionna Xavier sur un ton rigolard.
- Je suis sur le point de l’avoir. répondit Gilles qui avait le souffle court.
Je m’avançai sur ma chaise et basculait le pubis vers l’avant de sorte que Gilles puisse y avoir accès, il entama alorsl’exploration de ma vulve avec sa langue. Manquant clairement de finesse par le verbe, il se rattrapait par l’agilité d’une autre pratique orale. Je lui caressait la nuque et mon souffle devint court, je fermais les yeux pour me laisser emporter par des vagues de plaisir. Il fit une pause en embrasant mes cuises à travers le voile de nylon et me caresser le clito de son index. J’ouvrais les yeux pour découvrir à ma droite que Stéphanie engloutissait la bite de Xavier, cela me mis en appétit. Je me dressais, jambes tendus sur mes talons, fis chuter ma jupe, me tournais et me penchais de façon à offrir ma croupe à Gilles resté à genoux. Je pu ainsi me rapprocher de Stéphanie pompant le dard de Xavier, je le pris à sa base et Stéphanie me le laissa quelques instant. A mon tour, je le pris dans ma bouche et le serrant de ma main pour le faire gonfler plus encore, je remontais doucement afin de sentir ses veines irriguées. Tandis que je suçais Xavier, Gilles me lubrifiait en me léchant largement la fente et la raie du cul. D’un mouvement, Stéphanie réclamant le membre de son amant, je tournais le visage vers Gilles pour lui ordonner de me saillir sans tarder, il s’exécuta me prenant sans effort tant je dégoulinais. Je prenais appuie sur le torse de Xavier pendant que Gilles me burinait en m’emportant dans des vagues de plaisir semblant infinies. La salive m’envahissant la bouche j’eu une envie irrésistible de recevoir Gilles dans ma bouche, je me dégageais, me tournais et m’accroupissais pour me saisir de sa queue de la main gauche et de la droite je commençais un doux mouvement rotatif autour de son gland tandis que ma langue flattait son frein. Le salaud avait les couilles parfaitement rasées et lisses.
Autant sa bite était dressée et tendue, autant sa paire de boules pendait lourdement, miam ! Sans attendre, j’en gobait une, la faisant rouler dans ma bouche. Je passais à la seconde lui réservant le même sort, puis revenait à la première. Enfin, je m’amusais à les faire sautiller sur le bout de ma langue agile. S’en était assez, j’attaquais le braquemart, tout en prenant les grelots de ma main gauche. Je remontais sa queue en mordillant la hampe, puis fit glisser le gland rubicond entre mes lèvres goulues. Tout en suçant, j’ouvrais les yeux pour observer mes voisins. Stéphanie chevauchait maintenant Xavier en lui dictant le rythme, celui-ci m’observait également, je lui fit un clin d’œil auquel il répondit. J’adore ces instants de complicité. Je quittais le regard de Xavier pour observer Gilles. Les yeux révulsés, la bouche entre ouverte, il râlait de plaisir. J’étais déterminé à le faire jouir dans ma bouche, il vint, gicla dans celle-ci, sur ma langue, mes lèvres, sa semence dégoulinant sur mon menton. Gloups ! Elle avait un goût de noisette, ce Gilles recelait d’agréables surprises et je m’en régalais en lapant attentivement sa verge. Je me redressais et saisie la première serviette de table à ma portée pour m’essuyer. Entre temps, Stéphanie chevauchait toujours son Xavier et son corps se cambra pour manifestement vibrer, elle jouit ainsi de longues secondes, à son tour Xavier la rejoignit en poussant un intense râle de jouissance.
Chacun reprenait ses esprits pendant que moi je réclamais :
- Est ce qu’il reste y a un dessert ?
Tous sourire et Stéphanie gloussa :
- Tu n’as pas eu ta dose ? Ouvre le frigo, tu trouveras les pâtisseries que Gilles a apporté.
Décidément, ce mec remontait dans mon estime. Je restais ainsi, sans jupe, exposant mes dessous et mes bas nylon à couture au regard de tous, ouvrit la porte du réfrigérateur pour en ramener la boite affichant le nom d’un fameux pâtissier de la ville.
Il était tard et après s’être réajusté, avoir repris des forces, non sans commenter notre entrevue, nous échangions quelques politesses amicales avant de nous séparer sur le palier. Je demandais à Gilles de me raccompagner tandis que Stéphanie me fit cette requête :
- Te voir ainsi m’a donné envie de faire un après-midi shopping lingerie avec toi, tu me fourniras en bas nylon ?
- Faut voir, tu sais mon stock est compté. En vérité je disposais dorénavant de plusieurs dizaines de véritable bas nylon vintage dont la qualité et l’attrait n’avait pas fait défaut ce soir. Mais l’idée d’un après-midi avec Stéphanie ne pouvait que m’enchanter, je lui promettais de planifier cela dans le mois
Sur le chemin du retour Gilles se remit à me vouvoyer, et j’interprétais cela comme une victoire, celle d’avoir un nouvel amant soumis à mes exigences. Enfin, cela n’était pas non plus suffisant pour me satisfaire et me divertir totalement. Un homme avec une bonne queue mais sans cervelle était vite lassant, on verrait bien ce qu’il pourrait donner dans des situations demandant un minimum d’imagination et d’initiative...
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Oui allo, bonjour…
…
– Oui avec plaisir
…
– Quand ?
-…
– Vendredi prochain ? Le 6 c’est ça ?
-…
– Ha non je suis vraiment désolé je ne peux vraiment pas
-…
– Non je suis en congés vraiment désolé, s’il y a une autre date je peux m’arranger
-…
– Non ? Désolé, si jamais une autre date se libère n’hésitez pas à me rappeler, au revoir Madame.
… dingue je viens de refuser une invitation d’un grand DG tout ça parce que dans une semaine à la même heure j’ai prévu de me faire fouetter dans une cave déguisé en femme devant des gens que je ne connais pas….
…10 minutes plus tard on me propose un nouveau rdv pour le mercredi 11 ????
J-7 : j’avoue que je ne suis pas encore sûr à 100% d’avoir le courage de me présenter devant la porte, mais l’expérience est tellement tentante… et je n’ose plus faire machine arrière, Madame m’a gentiment relancé par mail. C’est décidé je ne peux plus faire machine arrière, alea jacta est…
H-6 : j’ai pris mon après-midi, mon sac avec mes affaires est prêt, j’ai du mal à me concentrer sur mon boulot, mélange de craintes, d’angoisse, de curiosité, et aussi d’envie contradictoire de dépasser tout ça
H-1 : je suis passé en voiture pour repérer l’entrée préalablement visualisée sur google street view, une petite porte renfoncée sans signe distinctif, est-ce bien là ? Je sens mon coeur qui s’accélère,… vraiment fort. Dans ma tête deux petites voix s’interpellent
– “tu vas voir ça va être incroyable comme sensations ! Tu as de la chance, tu ne trouveras pas mieux pour une première fois, elle est vraiment gentille douce et vraiment très belle ! Je t’assure je suis sûre que tu peux lui faire confiance ça se passera bien, en plus elle a dit qu’il n’y avait personne l’après-midi, tu t’inquiètes pour rien, en plus elle a déjà tout préparé, l’hôtesse qui doit m’accueillir est très sympathique parait-il”
et l’autre petite voix :
“Non n’y va pas il est encore temps de faire demi-tour, va faire un tour, il fait beau, tu ne te rends pas compte, tu t’es toujours fixé une règle, jamais en club, jamais en public, là tu cumules tout, la soumission, le public,..etc…”
Je gare ma voiture sous la mairie toute proche, il me reste une heure à attendre, trop de stress, je prends mon PC et vais travailler dans le bar en face de la Mairie, je crois que je n’ai jamais traité autant de mails en une heure !!
C’est l’heure, mon cœur s’emballe à nouveau, je retourne à ma voiture échanger mes sacs. J’avance doucement vers l’adresse, normalement une charmante hôtesse m’attend, je dois me présenter comme Camille, elle a des instructions… quelles instructions ???
“Bonjour Stéphanie, je suis Camille, je crois que vous avez des instructions me concernant.” “Bonjour Camille, je suis Stéphanie, je crois que vous avez des instructions me concernant”, non c’est pas ça, les mots se bousculent dans ma tête un peu trop irriguée d’adrénaline. Je ne sais pas si c’est moi qui marche trop vite ou si la porte se rapproche de moi toute seule mais je me retrouve d’un coup devant la dite porte tant attendue et crainte, je ne me rappelle même plus si j’ai sonné ou frappé. Rappelles-toi, “Bonjour Stéphanie, je suis Camille vous devez avoir des instructions me concernant”…
La porte s’ouvre, je m’apprête à réciter les quelques mots comme mécaniquement quand un géant à la barbe de Merlin ouvre, tout d’un coup Stéphanie est plus proche du bûcheron canadien que de la poupée Barbie imaginée.
Un petit court circuit cérébral m’arrête 2 secondes…
– “Euh…. bonjour,….. je suis Camille et….
– “Oui bonjour on est au courant, Stéphanie va venir s’occuper de vous, entrez…”
Finalement le grand gaillard à barbe est plus proche du gentil Père Noël que du bûcheron bourru.
J’aperçois Stéphanie en train d’encaisser un visiteur, diable je croyais qu’il y avait personne… m’aurait on menti ? Madame aurait elle voulu me rassurer en minimisant l’affluence ?
– “Bonjour Camille, je suis au courant j’ai quelques instructions, où préférez vous vous changer ? ici dans l’entrée ? Sinon il y a les toilettes”
Je ne me vois vraiment pas me changer dans cette entrée où commencent quelques va et viens bien trop denses à mon goût
-“Je préfère les toilettes”
– “Parfait, allez-y ensuite je vous donnerais vos instructions”
Je rentre dans les toilettes et ferme le loquet, frêle protection contre ce qui va arriver ensuite, comme dernier moment suspendu .
Je me change, difficile dans cette pénombre, le rouge blafard que diffuse asthmatiquement la lampe ne me facilite pas la tâche.
La clenche se baisse plusieurs fois comme pour mieux me presser, j’entends de nouveaux visiteurs, ça parle ça rigole dans le vestibule, j’ai l’impression que tout Paris s’engouffre dans cette petite entrée, chaque accessoire enfilé correspond l’arrivée d’un nouveau groupe de personne et dire que Madame m’avait assuré qu’il n’y avait personne le vendredi après-midi, ai-je finalement écouté les conseils de la mauvaise petite voix qui m’a guidé jusqu’ici ?
Ca y est j’ajuste ma perruque, mes affaires “civiles” sont au fond du sac, je regarde le loquet, dernier rempart protecteur contre mon futur proche, le bruit sec libère l’ouverture de la porte, Camille fait face au public qui est massé dans l’entrée, je sens quelques regards des hommes et des femmes qui attendent manteau à la main, les discussions continuent. Je baisse les yeux, je ne vois personne, me persuader qu’il n’y a personne autour de moi, non, non il n’y a personne.
Stéphanie me complimente sur ma tenue et me demande de la suivre, elle est charmante, de longues jambes fines mises en valeur par des talons aiguille. Elle me demande de descendre les escaliers, je descends doucement, trop doucement, vite, vite allons en bas il dois y avoir moins de monde, à chaque marche descendue la vision du sous-sol se découvre lentement à mon regard.
Mon Dieu, il y a des gens au bar, et assis à toutes les tables, mon cœur s’emballe à nouveau j’ai à peine le temps de prendre la mesure du piège dans lequel je suis tombée que Stéphanie me demande de m’agenouiller par terre au pied des escaliers juste à côté d’un groupe de trois personnes, un homme et deux femmes. je m’exécute, je suis à genoux, assise sur mes talons aiguille je baisse la tête pour ne pas voir les invités et me cacher moi-même par la même occasion.
Je vois les jambes de Stéphanie qui remontent l’escalier, j’ai l’impression d’être abandonnée,combien de temps dois-je attendre, est-ce déjà une punition ? Madame m’avait demandé d’être à l’heure, j’espère qu’elle ne va pas tarder. De la peur de rencontrer Madame, j’ai maintenant hâte qu’elle vienne me sauver, qu’elle me fasse n’importe quoi pourvu qu’elle m’extrait du regard des autres. Le pire c’est les bribes de conversation du groupe derrière moi je perçois un mot de temps en temps, les femmes posent beaucoup de questions, l’homme semble habitué à l’univers.
blabla…belles jambes pour un travesti…blabla…pourquoi à genoux…blabla…c’est comme un rite…blabla…montrer sa soumission…blabla…position d’attente…blabla…respect…blabla…
les mots se bousculent je sais qu’ils parlent de moi, j’ai les yeux baissés, je ne vois que mes cuisses. Je m’aperçois que les jarretières de mes bas ne sont pas tout à fait alignées, j’espère que Madame ne le verra pas… je ne sais pas depuis combien de temps j’attends j’ai l’impression d’une éternité… quand va elle arriver me sauver ??? Un visage, une voix déjà entendue me manque tout d’un coup.
Mes genoux commencent à être douloureux et à genoux sur mes talons aiguille n’arrange rien
derrière la conversation continue…blabla…cage de chasteté…blabla…
D’autres personnes continuent de descendre cet escalier, de plus en plus de monde, est-ce que ça va s’arrêter ? J’en entends encore d’autres, je ne vois que les chaussures, qui défilent sous mon regard, des chaussures d’hommes, des escarpins,…
Tout d’un coup je sens deux mains me prendre le visage comme on prend affectueusement le visage d’un enfant, une voix douce, me demande de me relever, je ne me rappelle même plus des paroles mais elles sont pour moi comme une libération, heureuse, enfin sauvée alors que ça n’a même pas encore commencé. Madame est toujours aussi belle, elle me présente à ses deux amis qui me paraissent charmants, je dois maintenant l’aider à se transformer, je deviens l’actrice de ma propre soumission.
Me voilà maintenant dans une alcôve bien accueillante et moins peuplée malgré quelques regards curieux, Madame commence à se dévêtir et je participe à cet effeuillage, elle sort ses bas, porte-jarretelles, chaussures, il fait sombre, j’adore cette ambiance tamisée qui laisse deviner les formes sans les dévoiler complètement.
Je suis accroupie pour mieux libérer Madame de ses vêtements, ses jambes se dévoilent, elles sont fines, magnifiques, le dernier rempart de la pudeur tombe au sol.
Elle s’assoit et tend ses jambes vers moi pour que je lui enfile ses bas, je sens un gonflement entre mes jambes, alors que je suis dans mon univers érotique préféré, étonnamment le réveil de ma partie masculine n’est que bref, ma concentration pour enfiler correctement les collants est telle que mon esprit masculin n’est pas capable de gérer les deux.
J’ai dû enlever mes gants afin d’être plus précis dans mes gestes, je remonte les bas doucement le long des longues jambes de Madame, je sens à la fois le nylon que j’adore et la peau si douce de Madame. Les deux bas sont enfilés, elle se lève mon visage est maintenant à la hauteur de son entrejambe, j’ai une envie irrésistible de déposer un baiser sur ce triangle à portée de lèvres. mais cela ne se fait pas, je ne veux pas faire honte à Madame, je remonte très haut ses bas et mes phalanges touchent doucement son entrejambe, elle ne dit rien et est attentive à mes mouvements.
Je dois maintenant attacher son porte-jarretelle, il fait noir je n’y vois rien, mes doigts essaient de trouver les minuscules crochets, les fesses rebondies de Madame sont magnifiques, que j’aurais envie de les embrasser, mais ça ne se fait pas. Je suis tellement concentrée que je ne bande même plus je n’ai même plus le temps d’y penser je veux juste que Madame soit fière de mon travail.
Ouuuppss, une petite erreur, il faut recommencer, je suis à la fois désolée de cette erreur et ravie d’avoir à recommencer et prolonger ainsi le plaisir. Je lui enfile ses talons, j’ai l’impression d’être dans un rêve, je l’aide à enfiler sa robe qui met en valeur sa poitrine ferme et qu’elle porte fière. J’ai envie de lui embrasser les tétons de jouer avec du bout de ma langue, mais ça ne se fait pas…
Il est temps de passer aux choses sérieuses, que va-t-il se passer maintenant ? Je suis Madame dans sa longue robe, elle est aussi belle et désirable qu’inaccessible et qu’impressionnante.
Nous arrivons dans cette salle qui me parait immense comparée à l’alcôve que nous venons de quitter. Madame enlève sa robe, elle a une poitrine vraiment magnifique, j’ai l’honneur de devoir l’attacher au niveau des poignets, son Maître me demande de la caresser je ne me fait pas prier, j’en profite pour caresser ses seins qui me font si envie je regrette d’avoir mes gants, je ne peux profiter de ce trop court instant comme suspendu dans le temps. On m’invite à m’asseoir en face. Des spectateurs commencent à faire un demi cercle pour profiter du spectacle, il y a une autre travestie qui assiste à la scène.
Je suis maintenant assise pile en face de Madame qui est passé en un instant de Maitresse à Soumise, elle a maintenant un bandeau sur les yeux, les bras en l’air, sa poitrine dégagée, la lumière rouge tamisée diffuse derrière et découpe la silhouette parfaite de Madame qui n’est plus que l’ombre de celle qui me demander de la vêtir.
Ses jambes sont légèrement écartées droites, magnifiques. J’ai une envie irrésistible de venir me mettre à genoux devant elle et de venir lui embrasser les jambes et remonter doucement vers son entrejambe pour goûter à ce fruit défendu. Alors même que ma partie masculine commence à se sentir à l’étroit entre mes jambes croisées, son Maître lui afflige un premier coup ce qui calme dans la seconde mes ardeurs masculines.
Mon cœur manque de sortir de ma poitrine sur 3 battements, les seins de Madame s’agitent sous les coups, Dieu que c’est beau de la voir s’abandonner, les coups vont crescendo, je n’arrive pas à décrocher mon regard de cette poitrine qui s’agite. Le bruit des coups m’impressionne, je ne réalise pas encore que je vais être à sa place, maintenant son Maître viens la caresser entre ses jambes j’aimerais encore venir l’aider, étonnement je n’ai même pas envie de lui faire l’amour juste de sentir ma langue s’enfoncer doucement pour son plaisir. Les coups pleuvent de plus en plus fort et de plus en plus vite même sur cette poitrine, on sent que la violence des coups s’approche de la limite de Madame mais elle a confiance, ça se sent, elle se donne en spectacle et elle a des spectateurs, je sais qu’elle aime ce théâtre. Les spectateurs passifs semblent hypnotisés par la scène et ils peuvent maintenant entendre la jouissance de Madame se libérer. Madame tient à peine debout et semble épuisée. On la détache, j’ai envie de la prendre dans mes bras pour la soulager et lui dire mon admiration. Mais il semble que c’est à mon tour, je passe de l’anonyme spectateur à l’actrice passive, il y a beaucoup trop de monde autour à mon goût, beaucoup trop, Camille est très timide.
Mais je suis là aussi pour connaitre cette nouvelle sensation alors je me laisse faire, j’ai pleine confiance en Madame et je la laisse m’attacher les poignets, il commence à y avoir du bruit autour de moi, des conversations, du mouvement.
Madame utilise un bas pour me bander les yeux, j’adore, je suis maintenant dans le noir, mon sens favori est annihilé. Madame me sussure des mots à l’oreille, sa voix est à la fois douce et ferme, étrange sentiment émotionnel.
Je sens maintenant de petits coups pas très agréables sur les fesses, le haut des cuisses, je m’attendais à un martinet mais ça doit être une badine, plusieurs petits coups rapides, j’avoue que je n’aime pas du tout, puis un blanc, j’attends, quelle va être la suite ? La même chose plus fort ? Je ne supporterais pas cette sensation.
Puis tout soudain je sens des lanières qui me caressent doucement le dos comme pour bien me faire comprendre de profiter quelques secondes de ce moment de fausse douceur.
Le premier coup est pour mon postérieur, je sens qu’elle relève ma jupe, le second est plus fort je serre les mains accrochées aux poignées qui pendent du plafond, je ne peux me libérer et reste prisonnière, le troisième coup est encore plus fort dans le dos, je sens une décharge dans toutes mes jambes, incroyable sensations jamais ressenties, mes jambes ne sont plus que du coton je serre les poignées de plus en plus fort et pourtant je cambre les reins pour présenter encore et encore mes fesses au supplice, les lanières me caressent maintenant le dos.
Madame vient me chuchoter dans l’oreille, je sens son souffle sur mon lobe, ses paroles sont denses comme un liquide qui entrerait dans l’oreille et iraient directement irriguer le cerveau, il n’y a plus de filtre, mes sensations sont directement connectées à la voix de Madame et aux coups qu’elle m’inflige, il n’y a tout d’un coup plus personne autour de moi mon cerveau a fait le vide, il y a Camille, Madame et son martinet.
Maintenant je sens sa main qui se glisse par derrière entre mes cuisses et qui s’agrippe fermement à mes bourses juste pour me rappeler ma condition masculine soumise. Je n’arrive pas à bander mais je sens la jouissance. Le coups reprennent, je n’entend plus rien autour de moi, je sens des mains qui me caressent les jambes, quelqu’un est à mes pieds et profite de mon corps sans que je ne puisse et ne veuille rien faire. Mon abandon est total, j’ai joui, sans jouir, une grande première pour moi.
On me détache, ça n’a pas dû durer très longtemps mais je suis épuisée, mes jambes me tiennent à peine ma respiration forcée a dû suroxygéner mon cerveau car mon esprit est complètement embrumé, suis épuisée mais heureuse d’avoir franchi le pas dans ce nouveau monde pour moi.
Madame a été parfaite, rassurante et ferme, elle m’a beaucoup apporté, j’espère qu’elle a eu elle aussi plaisir à m’accompagner dans ce parcours initiatique. Je mets plusieurs minutes à reprendre mes esprits. Ca y est je l’ai fait.
Nous descendons au bar, scène surréaliste, une femme nue sous sa robe largement ouverte sur son intimité, deux hommes qui discutent deux travestis autour de la même table… rien ne semble étonner les convives. Comme si cela ne suffisait pas une charmante jeune femme vient se joindre à nous avant de se faire dénuder, attacher et suspendre au plafond…
Je prends congés, le papillon se transforme à nouveau en chenille dans les mêmes toilettes, je rentre chez moi il semble que je sois seul encore 1/2h je ne peux résister de me caresser en rejouant la scène dans ma tête comme si j’était sorti de mon corps et assister à ma propre flagellation, je revois l’ombre chinoise de Madame, ses longues jambes gainées de nylon, sa poitrine fière qui s’agite, tout s’accélère dans ma tête, je jouis, étonnamment ma jouissance est légèrement douloureuse, est-ce dû à cette jouissance non aboutie tout à l’heure… mon dos me brûle tout d’un coup, tellement que je dois allais voir dans un miroir si il y a des marques dans le dos, je suis rassuré, aucune marque, Madame me l’avait promis.
Ca y est il y a maintenant du monde dans la maison, je redescends sur Terre, Madame m’a sorti de mon quotidien pour m’accompagner sur une autre planète, bien bien loin… et j’ai aimé ça…
merci Madame ????
Votre dévouée
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La porte s’ouvre sur l’univers qui, depuis fort longtemps, a alimenté silencieusement et secrètement mes fantasmes les plus beaux .
En cet après-midi d’automne, sous vos regards protecteurs et bienveillants, je me faufile dans les entrailles d’un univers qui d’onirique s’ ancre dans le réel.
Délicieuse ….l’anxiété au paroxysme qui décuple le désir de s’offrir,
Anesthésiant…. l’abandon à la confiance,
Caressant,….le fouet sur mon corps,
Sublimant,… le bandeau m’isole et m’expose.
Suspendue comme le temps, un après-midi d’octobre…
Vos mains expertes, vos lèvres, vos murmures à mon oreille …. me font frissonner, trembler, ressentir la moindre parcelle de mon corps
Qu’elles furent douces vos mains claquant sur mes fesses, musical, le tourbillon du fouet et cinglante, piquante, la badine….
Détachée des préoccupations du monde extérieur, je me délecte de la saveur de l’instant. Ce que je sens, ce que je vois, ce que je ressens n’est que plaisir, la roue s’affole et m’affole, en apesanteur, je sens m’envahir la paix intérieure.
…..Parcourant mes jambes, je savoure la chaleur de l’eau de la fontaine qu’il m’est si précieux de sentir jaillir…..
Qu’il fut merveilleux cet après-midi d’octobre.
« Cris et Chuchotements », lieu d’esthétisme et d’inspiration, est de ces bulles confidentielles où le temps se fige et d’où l’on ressort grandi
Tel le théâtre classique, l’unité de temps, de lieu et d’action s’illustrent magnifiquement; intérêt dramatique, concision et scène se conjuguent au 21ème siècle aussi savamment qu’au 17ème.
Premiers pas d’un parcours initiatique sur la scène des saveurs du corps et l’âme…. 48 heures sont passées, mon corps, encore, vibre de 1000 sensations mêlées, d’une légèreté qui m’emporte, me porte et me procure un bien-être inavouable!
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Un vendredi haut en couleurs et en découvertes !
4 couples pour le Déjeuners Coquin et que l’ambiance fut belle et chaude, un quatuor s’était donné rendez-vous pour jouer en toute tranquillité et nos deux autres couples ont vite sympathisé le sling s’en souvient encore…
Punkette et ses deux soumises nous ont ravis les yeux et les oreilles durant les Goûters, une dizaine de couple habitués ou découvrant le club se sont vite mis à l’aise de par l’ambiance conviviale et chaleureuse.
Des premières fois, des découvertes…
Melle I. très belle TV s’est régalée de l’ambiance retrouvée du Club.
Des gémissements et des claquements ont retentis tout l’après-midi.
Misungui nous a offert une belle séance de Shibari, DirtyVonp s’est occupé de Ryouko et des femmes seules présentes; toutes désireuses de goûter à la domination ferme des trop rares hommes présents. Messieurs ne soyez pas timides ! La sélection est certes pointue mais nous recevons toujours avec plaisir les hommes de talents. Et le prochain vendredi promet encore de belles énergies et un maximum de luxure…
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2 couples novices nous ont fait le plaisir de choisir le Kinky Club pour leur première sortie.
Olivia, notre travestie préférée s’est jointe à eux pour entamer les festivités.
Dès 15h, les joueurs se pressent à la porte, au total, 7 couples, 8 femmes seules et autant d’hommes se sont retrouvés pour partager un nouvel après-midi de jeux où les femmes étaient à l’honneur, dominantes expertes ou simplement joueuses.
Maitresse Alizée et Maitresse Pun se sont occupées d’H. pour son plus grand plaisir. La 1ere soumise de Mlle Calamity avait une correction de retard à rattraper, fessée, martinet et badine ont précédés un moment d’isolement dans la petite prison.
Nos complices Mlle M et Mr R jouaient avec Olivia et l’un des couples novices dont Madame D confessait une envie de s’initier à la domination. Ne perdons pas de temps ! Rdv dans la salle de jeux à l’étage pour une co-séance.
Mlle Calamity jouait de la badine sur sa deuxième soumise , attachée sur la croix de St André et avait prêté son autre soumise à Mlle M et Mme D sous le regard des nos voyeurs habituels toujours ravis d’assister au délicieux spectacle d’un corps ondulant sous les impacts.
Mr DirtyVonP attachait une amie dans la salle tandis que nos barmaids s’affairaient à préparer leurs cocktails et sortir le champagne, Mr O et Mme D voulant fêter cette première sortie. Attachée, tête en bas, seulement vêtue de ses chaussures, J goûtait les morsures du single tail et de la queue de Dragon.
Un couple Suisse nous a offert de magnifiques et bruyants orgasmes alors que Dirty Von P, toujours soucieux de bien recevoir, fouettait une autre amie de passage.
Mlle M a organisé ensuite un superbe tableau : dans l’alcôve câline, Olivia officiait comme matelas et bouche accueillante pour H, qui lui-même, offrait son plus intime repli au poing de Mlle M. Ensuite, bonne joueuse, elle a tenu à célébrer l’anniversaire de son complice, agenouillée au centre du salon Baroque, vêtue de son porte jarretelles et ses bas, une bougie fixée sur son dos.
Il est certain que des détails nous échappent mais voici un agréable résumé du vendredi 15 décembre au Kinky Club !
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Première visite à Cris et Chuchotements, un vendredi midi de septembre. Le dress code m’avait été imposé, précis et succinct : chaussures fines à talons, bas noirs, soutien-gorge en dentelle dévoilant et présentant mes tétons et mes seins, collier de soumise et bandeau noir sur les yeux.
J’avais préparé ma tenue avec attention, excitation et y avais ajouté, pour faire « plus habillé » une fine tresse noire en cuir à mettre autour de la taille. J’avais tenté de négocier de porter une culotte de dentelle, du moins au début le temps de me plonger dans l’atmosphère, mais j’avais été remise à ma place. Mon sexe devait être visible et disponible dès l’arrivée.
Sitôt la porte étroite franchie, mon mari D. me presse de me parer. Le lieu est sombre et exigu, nous nous glissons dans les toilettes. Je me dénude intégralement, enfile bas, chaussures et soutien-gorge. D. glisse le collier à mon cou, et y attache la laisse, puis noue le bandeau autour de ma tête. Je suis prête. D. me guide, me tenant en laisse vers l’escalier menant à une première salle en sous-sol. La jeune femme de la réception, plutôt amusée par la situation, se propose de m’aider à ne pas trébucher.
Je suis très tendue, mélange de peur et d’excitation ; les escaliers, les yeux bandés, l’odeur un peu âpre d’un sous-sol en pierres, la quasi nudité, ce qui m’attendait dans ce club inconnu… Ayant malgré tout envie de jouer et toute en confiance avec D., j’ai hâte de découvrir la suite des événements… Le temps s’arrête.
Arrivée sur la «terre ferme» de la salle en sous-sol, D. me conduit jusqu’à un canapé, sur lequel il me prie de m’asseoir, jambes écartées. Le tissus rugueux n’est pas très agréable au toucher. La douceur des baisers de mon mari, la chaleur de ses caresses sur mon corps et le vin blanc sur mes lèvres et mon palais me permettent de me détendre. Je ne sais pas combien d’hommes et de femmes étaient dans la pièce… Il me demande de me mettre à quatre pattes sur le canapé, la tête en contrebas pour marquer ma cambrure et faire saillir mes fesses. Il joue avec les lanières de son martinet en cuir, chatouillant ma peau jusqu’à me faire frissonner.
Je n’ai pourtant pas froid. Peu de temps après, je reconnais la voix de Mlle M., qui salue D. et le félicite, me semble-t-il, pour la soumission et la beauté de sa soumise, précisant qu’elle reviendra une fois parée. Je comprends à ce moment là que D. ne sera pas mon Maître aujourd’hui, ce serait Mlle M.. Aimant le contact des femmes, leur sensualité, la douceur de leurs lèvres, je m’en réjouis immédiatement. Une Domina, quelle belle première expérience! J’avais imaginé que Mr R. serait lui aussi présent.
Ne l’entendant pas, je suppose maintenant qu’il viendra dans un deuxième temps ou qu’il n’a pas pu se libérer. L’attente commence, me permettant de complètement déconnecter, de me concentrer et de m’imprégner du lieu, de ses bruits et de ses odeurs.
A son retour, Mlle M. caresse mon corps, me flatte, exprime ce que je ne vois pas et que je projette dans chacun de mes fantasmes, le spectacle que nous allons donner, et moi en particulier. Il me semble qu’elle me caresse avec un martinet différent de celui de D. , plus bruyant (et donc plus effrayant), aux lamelles plus larges, plus plates, plus froides qui me font penser à des ailes de chauve-souris.
Elle joue avec l’instrument avant de fouetter mes cuisses, mes fesses et mes reins, de façon crescendo. D. qui me donne ses doigts à mordiller et à sucer sent au fur et à mesure que les coups se font plus forts. Mes dents le mordillent puis le mordent franchement. Mlle M. me félicite et me récompense en m’embrassant avec gourmandise et douceur. Un encouragement pour la suite. Je suis invitée à me relever (ce que j’avais osé faire précédemment sans autorisation, ce que Mlle M. ne manqua pas de me rappeler) pour être accompagnée jusqu’à une sorte de podium sur lequel je suis montée. Mlle M. lève ma main droite pour l’accrocher à une menotte dans laquelle se trouve une poignée. Pareil pour la main gauche. Je me retrouve les mains liées, le corps exposé, chaque parcelle de peau offerte aux regards et aux coups de ma dominatrice. Elle me fait écarter les jambes pour mieux découvrir et exposer mon corps et mon sexe. Sentant ma tension et mon appréhension, M. me caresse avec un vibromasseur. Sensation immédiate de chaleur, d’excitation, d’envie d’aller plus loin en me cambrant et en exposant un peu plus mes fesses. Je reçois des coups de badine, sur mes cuisses, mes fesses, mon dos, sur mon ventre, sur mes seins que je sens durcir et gonfler immédiatement. Toute mon attention est focalisée sur ces quelques cm2 de peau, sentant la chaleur de mes tétons après chaque coup de bâton. J’entends Mlle M. reprendre le martinet, en jouer avant de m’appliquer des coups plus marqués que sur le canapé.
A la fois concentrée sur mon ressenti et en contrôle (crispation) de mon corps, j’attends anxieuse le crescendo des coups. Mlle M. me susurre à l’oreille qu’elle va passer la main à un expert, un Maître… Je comprends à ce moment là que Mr R. est présent. Depuis quand ? La présence et les mots de D. me portent. Je le sais fier de moi, excité par mon exhibition, sans limite cette fois-ci. Mr R. prend la main. Les coups de martinet pleuvent … Crispée, tendue, j’ai du mal à ressentir du plaisir. Pour autant, je suis très fière d’être là, de ne pas flancher et de respecter les règles du jeu. Je n’ai jamais été frappée de façon si violente. Et imaginer l’effet que je fais à D. et aux autres spectateurs (combien sont -ils ? des hommes ? des femmes ? que font-ils ? ) me permet de dépasser la douleur ressentie. Mr R. se rapproche de moi pour la première fois. Je suis immédiatement séduite par les traits de son parfum raffiné et puissant, mélange d’effluves rappelant la terre, le cuir et la forêt. Peut-être l’Habit Rouge de Guerlain ?
Ses mains chaudes caressent mon ventre, sa voix sensuelle se veut rassurante, le tutoiement créé une immédiate proximité. La « découverte » sensorielle de Mr R. me comble et me rassure. Ses conseils sont très précieux : "détends-toi", "lâche prise", une invitation à vivre le moment présent. On me pivote sur le podium (pour un jeu de lumière différent ? Une exposition de mon corps sous un autre angle ?), je relâche toute la pression que j’avais gardée au niveau des poignées auxquelles mes mains s’agrippaient et je laisse mon corps se détendre pour mieux profiter des coups de martinet. La morsure, large et à chaque fois amplifiée, la chaleur immédiatement dégagée par ma peau en réaction et le bien être que cela procure avant le renouvellement d’une morsure plus marquée.
Un homme en couple qui observe la scène commente l’appel à la fessée de mes fesses blanches. Je suis flattée… A la fin de chaque crescendo, les mots réconfortants de Mr R., la caresse de ses larges mains sur les parties de mon corps violentées et la douceur des gestes de Mlle M. concomitants aux coups m’amènent de l’excitation ; Mlle M. s’agenouille pour me lécher, Mlle M. m’embrasse, mon mari que je sens très proche caresse mes bras et m’encourage. Progressivement, je lâche prise dans se maelström d’impression sensorielles qui assaillent chaque infirme partie de mon corps, coups de martinet, fessées…
On me détache, j’ai la tête qui tourne. On me conduit vers un meuble sur lequel on m’attache, poignets, chevilles, ventre. J’ai l’impression d’être la femme de Vitruve! C’est une roue. Mon dos est en contact avec une partie froide, métallique qui me fait tressaillir. Assez rapidement, je pers le sens du haut et du bas en m’offrant aux regards, aux coups de martinet et aux fessées. Mr. R. alterne les coups avec des caresses qui réchauffent mes reins pour mieux recommencer.
La tête en bas, j’ai l’impression que les attaches sur mes chevilles vont glisser sans pouvoir me retenir. Je me plains. Le jeu s’arrête. On me libère. On me soutient et on me guide vers un meuble en cuir, me semble-t-il, sur lequel on m’allonge à plat ventre. Il y a un espace où placer mon visage pour une posture sans tension. Mes jambes sont joliment écartées, attachées par des cordes sur des sortes de jambières. Mlle M. m’embrasse voluptueusement,
Mr R. alterne les coups de martinet, les fessées et les paroles d’encouragement et de réassurance. Mes fesses se tendent, mon sexe s’ouvre encore un peu plus, se présente pour être mieux pénétré. Un godemiché y est enfoncé. C’est douloureux. Je crie. Immédiatement, l’objet est retiré et je sens très rapidement ensuite la chaleur d’une tige que je connais bien, celle de mon mari ce qui m'excite terriblement. Mr. R. porte des belles fessées sur le haut de mes cuisses qui en demandent encore pendant que mon mari porte ses assauts vaillants et rythmés. Je deviens chienne à l’envie, lâchant prise et n’écoutant que mon plaisir renforcé par l’exhibition que j’offre aux spectateurs dont j’entends la respiration haletante. Mr R. m’ôte mon bandeau. Le jeu, pour cette fois-ci est terminé. Nous retournons, Mlle M., Mr R, D. et moi sur le canapé où j'avais été présentée à Mlle M. au début de la séance. Je fais connaissance de Mr R. et de Mlle M. autour d'une planche de charcuterie et de fromage, accompagnée de vin rouge. Je suis encore en lévitation. Il me faudra très longtemps pour revenir vraiment sur terre en ce vendredi après-midi spécial.
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*C'est une histoire de fabrication, mettant en scène fétichisme des foulards, bondage et kidnapping. Je me suis inspiré des nombreux sites d’histoires du début des années 2000, comme les récits d’Entraves. Une version plus riche de l'histoire est disponible sur mon blog: https://marquis2bundy.wordpress.com/2017/06/25/histoire-de-bondage-voilee-baillonnee-et-finalement-kidnappee/*
Jennifer, une jeune femme de vingt ans aussi naïve que sûre d’elle, rêvant de pénétrer le monde de la mode. Pourtant, elle ne va pas tarder à apprendre que de répondre à n’importe quelle personne s’annonçant photographe de mode peut s’avérer dangereux.
Zula photographiait avec intérêt la jeune femme, face à la grande pyramide du Louvre, par une belle après-midi d’automne. La photographe portait un perfecto en cuir cintré, un T-shirt blanc, un jean slim et des Doc Martens montantes, alliés à des bijoux minimalistes ainsi que d’une coupe au carré noire corbeau.
Se faire photographier par une inconnue était une expérience nouvelle, mais le tempérament chaleureux de Zula avait rapidement mis à l’aise sa jeune modèle.
“Alors comme ça, tu voudrais faire carrière dans le monde de la mode.”
“Oui, c’est un monde tellement riche et intéressant! Je suis fan de toutes les grandes top modèles, je sens au plus profond de moi que je suis faite pour ça.”
“Voyons voir ça.” dit Zula en rangeant son appareil photo.
Elle s’approcha de Jennifer, et en bonne professionnelle, observa chaque parcelle de son corps. Elle toucha ses cheveux blonds comme pour s’assurer de leur texture, avant lui faire remonter le cou avec une légère pression de main, pour finalement terminer son auscultation sur son blouson en jean et son pantalon.
“Je t’avais dis que je travaillais pour Marc Jacobs?”, lança t-elle sans quitter son air sérieux et concentré.
Les yeux de Jennifer s’ouvrirent avec l’expression d’une enfant qui découvrirait un cadeau de Noël.
“Biensûr, je ne le mentionne pas dans ma bio, continua Zula, je n’ai pas envie de crouler sous les candidatures. Tu vois je suis sûre qu’avec quelques photos il te prendrait direct… Par contre il te faut un absolument un relooking, le blouson en jeans, on a vu plus élégant.”
Jennifer eut un pincement au coeur, elle qui pensait être une authentique fashionista! Aucun doute qu’elle allait devoir faire des efforts si elle souhaitait séduire une professionnelle comme Zula!
Zula prit un air pensif avant de reprendre de plus bel son monologue.
“Tu sais quoi, Jennifer, c’est ton jour de chance, il se trouve que j’ai justement tout ce qu’il me faut dans ma sacoche. Seulement il va falloir que tu te changes et il est hors de question que tu te déshabilles devant au milieu de tous ces touristes! Et je sais exactement où nous pouvons aller.”
Une fois posé, caché par les haies du Jardin des Tuileries, et s’être assuré que personne ne se trouvait dans les parages, Zula posa sa sacoche. Jennifer tenta de se pencher pour regarder ce qu’il s’y trouvait mais Zula tira la sacoche vers elle tout en la grondant : “On ne regarde pas, c’est une surprise!”
Intimidée, Jennifer recula, et attendit sagement que Zula lui tende un legging en vinyl aux reflets légers qu’elle enfila de suite. Elle troqua ensuite sa veste en jeans pour un superbe trench Burberry couleur camel.
Jennifer s’apprêtait à remettre ses converses quand Zula la coupa dans son élan.
“Mais nous n’avons pas fini, ma belle! Tu ne va pas garder ces chaussures!”
Elle tira de son sa sac une paire de magnifiques escarpins qui dépassait allégrement les 10 centimètres.
“Mais je n’arriverais jamais à marcher avec de tels talons!” s’exclama Jennifer.
“Tout cela s’apprend, ma belle.”
Zula s’agenouilla et se charga elle-même de chausser sa modèle. Elle commença à retirer unes à unes ses chaussettes qu’elle examina avec attention : “Dis-moi, tu as bien piétiné aujourd’hui!” Jennifer fut submergée par un sentiment de honte, tout en trouvant étrange qu’une photographe examine ses chaussettes sales.
Zula, après avoir terminé l’enfilage des escarpins, sorti un gigantesque carré de soie.
“C’est un Hermès. Je vais te le mettre à la façon orientale.”
“Mais ça ne risque pas de cacher mon visage?”
“Mais c’est pour te donner un côté mystérieux, ma belle.”
D’une main experte elle enroula le foulard autour de la tête de Jennifer, ne laissant visible que son visage. Chaque pli était calculé au centimètre, Zula ne semblait rien vouloir laisser au hasard.
“Porter un hijab est un art qui demande du temps à maîtriser, je l’ai appris au cours de mes nombreux séjours au Moyen-Orient.”
Jennifer buvait les paroles de Zula avec attention.
Quelle chance d’être tombée sur telle professionnelle! Pourtant la photographe était toujours pensive, comme si quelque-chose la gênait.
“Quelque-chose ne va pas?” demanda Jennifer.
“Hum, j’ai une idée mais j’hésite à te la proposer, ça ne va pas à toutes les femmes. Cela va uniquement sur les filles qui sont un peu rebelles.”
Sans même demander de quoi elle s’agissait, Jennifer sauta sur l’occasion: “Laisse-moi essayer!”
“Bon d’accord, mais c’est uniquement parce que tu m’es sympathique!” répondit Zula avec un sourire complice.
Elle sortit une large ceinture capitonnée, avec deux imposants bracelets sur les côtés, faits dans la même matière. Le cuir naturel donnait un cachet certain à l’accessoire, tout en rendant compte de sa grande solidité.
“Mais qu’est ce donc?” demanda Jennifer.
“C’est un carcan, mais on comprend beaucoup mieux son fonctionnement une fois porté.”
Zula installa la ceinture à la taille de Jennifer en prenant bien soin de positionner la boucle de la ceinture dans son dos. Elle enserra ensuite les mains de sa modèle dans les bracelets latéraux et sécurisa chaque sangle avec un petit cadenas.
“Ne t’inquiètes pas, ma belle, c’est juste pour s’assurer qu’il ne se détache pas tout seul.”
“Tu es sûre? Pourtant ça à l’air plutôt costaud comme harnais.”
En effet, ce dernier bloquait maintenant les poignets de Jennifer au niveau de ses hanches et après quelques gesticulations, semblait impossible à défaire sans l’aide de Zula, et ce, avant le positionnement des cadenas. De même, cette ultime contrainte l’empêchait d’atteindre ses nouvelles chaussures et son hijab, la rendant complètement soumise à sa nouvelle amie photographe.
“Mais tu es sûre que c’est une une bonne idée? Je ne sais, je ne me sens pas confortable avec le fait d’être photographiée comme ça, et puis tu ne m’a pas dis ce que tu allais faire de ces photos.”
“Mais tu es chiante, toi! Moi qui fait de mon mieux pour t’aider. Attends, j’ai quelque chose qui va te calmer.”
Zula se pencha sur les affaires que Jennifer avait posé au sol et pris une de ses chaussettes sales, la roula en boule, avant de l’agiter devant la bouche sa propriétaire.
“Mais qu’est ce que tu fais? Je ne comprends pas, je … Mphhhh!”
Les dernières paroles de Jennifer furent étouffées par la chaussette qui vint remplir sa bouche. Zula scella finalement son bâillon avec plusieurs bandes de Microfoam qu’elle appliqua soignement. Il ne restait plus de la belle Jennifer qu’une plainte quasi inaudible et des yeux paniqués.
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“Allez, il ne reste plus qu’à cacher ce jolie bâillon pour ton voyage en carrosse!”
Un voyage en carrosse? Mais de quoi parle-t-elle? se demanda Jennifer. Sa désormais geôlière pris le devant de son hijab et le remonta, masquant tout le bas de son visage jusqu’au nez, cachant complètement le bâillon de la pauvre Jennifer.
Zula pris ensuite sa victime par le coude, la guidant d’une main ferme vers la place du carrousel tout en passant un coup de téléphone, sans doute pour appeler ce mystérieux carrosse. La place était bondée de monde et Jennifer tentait vainement de signaler sa situation à cette foule anonyme. Après à peine quelques minutes, un mini-van noir aux vitres teintées arriva et Zula en ouvrit la porte. Jennifer tenta un ultime gémissement, vidant ses poumons pour un résultat qui fut couvert entièrement par le brouhaha de la place. Zula la poussa à l’intérieur du van, y rentra à son tour, et verrouilla finalement la porte.
Une fois avachie dans les sièges en cuirs, Zula sortie une mini bouteille de champagne ainsi qu’une coupe qu’elle remplit abondamment, sous le regard paniqué de sa victime.
“Ma belle, j’ai maintenant le plaisir de te révéler le programme de ta nouvelle vie. Ca se rapproche de la vie de modèle de haute couture, mais en plus actif. Plus précisément je fais partie d’une agence chargée de fournir de belles jeunes femmes à de riches clients. Et je ne devais pas te le dire, par réserve professionnelle, mais tu as tapé dans l’oeil d’un milliardaire du Moyen-Orient.”
Jennifer n’en croyait pas ses oreilles, et répondit aux paroles de Zula en agitant la tête de droite à gauche, pendant que cette dernière sirotait son champagne.
“Oh, mais ne t’inquiètes pas pour moi, pendant que nous te préparerons pour ta nouvelle vie, je serais en train de me délasser dans un palazzo italien pour quelques mois, à boire de bon chianti et à m’offrir un nouveau blouson en cuir fait sur mesure. Quand à toi, ma belle tu sera pomponnée, dressée, reprogrammée psychologiquement et sexuellement, le tout pendant plusieurs semaines, avant qu’on te présente enfin à ton prince charmant. Mais tout ça est très technique, et ne t’inquiètes pas trop, certaines ne se souviennent même plus de leur ancienne vie!”
Zula reposa sa coupe, pris un flacon qui se trouvait dans le rangement du siège, imbiba de son contenu un foulard plié en carré. Elle s’approcha lentement de sa prisonnière avant d’appliquer fermement le foulard sur son visage.
Jennifer tenta de se débattre, d’échapper à l’étreinte de Zula, mais ses gesticulations étaient vaines, et sa panique fit peu à peu place à la douceur d’une rêverie de soie.
Fin?
Je vous remercie de votre lecture et n’hésitez pas à commenter ou à m’écrire (marquis2bundy@gamil.com) si le récit vous a plu et si vous en souhaitez plus!
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Même à contre-vents mais au souffle près,
j’épouse une esquive vers un monde sans borne où cette nuit encore, comme un papillon nocturne je cède aux miroitements de mes encres insomniaques, qui prétextent de la pleine lune pour être encore debout à cette heure-ci, alors je rallume ma bougie sur les noires arabesques irisant le dos de mes paupières, sur ces épistolières en cavale qui se tressent d’étreintes méticuleuses en cette toile dont je suis la proie, ravie d’étoffer le nœud coulant que je t’invite à saisir entre les lignes de ma main somnambule, insatiable tisseuse de ces lettres qui se concoctent clandestines au creux de mon ventre quel encrier tant il a crié sous les assauts du tien, tant je le sens répondre de cet écho cette nuit à nouveau et se fendre d’une béance dont l’impatience ouvre des pages bruissant déjà de se livrer encore à l’étau de tes mains, et d’être tenues, légères, suspendues au temps de ton regard sur elles, alors oui, je cède quand elles se tournent et se retournent dans les beaux draps où je me suis jetée à ta rencontre, et bien sûr tu n’en doutes pas je ne résiste pas longtemps à ce que le velours de ma plume vienne en fourbe, titiller les susceptibilités du petit hérisson qui se trouve là, et se dandine tout bas dans la moiteur de son buisson, je laisse donc s’insinuer avec doigté ces mots dans la pulpe des souvenirs qui me retiennent heureuse prisonnière de tes bras ouverts à tout pour se refermer sur moi, et voilà qu’à présent je retrace à ton attention retenue la sinusoïde qui s’empare sournoise de mes lucidités et de mes facultés de scripte à toute épreuve, j’observe la douce tangente faire ployer mes graphies, les surprendre, comme prises de panique, dans le flot de ce qui va s’écrire à mon corps défendant, dans ces déferlantes utérines qui me montent au cerveau et risquent de faire péter les digues de la poésie, que dire quand c’est mon sexe qui à pleines mains mord la parole, qui circonvolutionne fou à lier dans les spires de mes déraisons, ma plume patine elle s’agrippe aux mots que la lune lui jette dans le goutte à goutte où je me distille essentielle, et filtre dans le filigrane qu’il reste de ma peau nue sur cette feuille érectile, où je me m’étends frissonne et retiens encore ce volcan qui se sent pris en traître, il rugit éructe irradie fait trembler ma terre torture ta lecture, il faut en finir avec ce qui m’emmure de plus lointain avec ce qui m’empêche de mourir pleinement je me donne ce plaisir qui me détruit me détrempe, découd mes lèvres et m’émancipe de leurs tragédies, me réduit en poussière d’or sous les décombres de ce corps, mon souffle s’écarquille mes yeux s’époumonent soudain mon sexe se saisit de ma main et je me souviens de la tienne, immobile et tendue sur laquelle je me frotte, une délicieuse paralysie m’emmitoufle dans les souvenirs que mon geste instille,
et je déborde diluvienne
de ce qui m’emporte et me violente en ces cris,
et m’apaise enfin,
enfin.
Je rouvre les yeux et pressens le rapt de ton regard sur mes nuits buissonnières, je me vois sculptée en cette lettre étourdie, qui te parvient à présent, comme portée par le souffle d’une brise matinale, t’offrant ces mots encore fumants, encrés de cette odeur qui papillonne en mon orbite, volute invisible dansant la démesure que tu sécrètes en moi, imparable messagère des stances qui s’y consument vives avant qu’elles ne daignent s’allonger enfin, s’étirer dans la pâleur de l’aube, serpenter leurs derniers soupirs,
sur cette feuille
qui en tremble encore.
Silva
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Je VOUS livre , ici , les perversions mentales de Lady Gabrielle , qui , sommes toutes , ne sont pas aussi perverses que l'on pourrait le penser mais quand même très cérébrales.
Personnellement ,je n'ai jamais manipulé ma Maîtresse pour obtenir des faveurs .
Il m'est bien arrivé , comme beaucoup de soumis , de demander des choses que je n'ai pas souvent obtenu , d'ailleurs .
Mais je l'ai toujours fais en direct , sans utiliser de subterfuge.
En revanche , Lady Gabrielle , a fait preuve d'une certaine habileté mentale . Dans son cas le mot perversion est un peu fort .
C'est l'histoire que je m'en vais vous conter maintenant .
Au début de notre relation , nous ne vivions pas ensemble , pire , nous étions séparés par 150 km de plaines et de montagnes , heureusement pas infranchissables puisque traversées par une autoroute des plus pratique que je n'hésitais pas à emprunter maintes et maintes fois .
Et puis nous n'étions pas dramatiquement éloignés comme dans les contes romantiques et moralisateurs des temps passés.
Nous nous sommes beaucoup servi de nos téléphones portables . Vous voyez , nous n'étions pas dans un conte de Perrault.
Mais c'était et c'est encore une très belle histoire .
Je disais donc que nous étions reliés par téléphone. En effet, Lady Gabrielle avait exigé dès les premiers jours de ma soumission envers ELLE , un SMS journalier .
Pour moi , cela n'avait pas constitué une contrainte mais au contraire une joie et une preuve supplémentaire de ma soumission à Maîtresse .
Pour la petite histoire , sachez que j'ai changé 3 fois de forfait téléphonique entre août et décembre 2005.
Avec le numéro deMaîtresse illimité la nuit ainsi que les SMS illimités 24/24 .
Sinon j' aurai considérablement contribué à enrichir les actionnaires d'ORANGE .
Tout ça pour dire que ,au début , notre relation était essentiellement téléphonique et seulement épisodiquement physique.
Un jour enfin une nuit , au cours d'une de nos conversation , Maîtresse m'a suggéré la chose suivante : ELLE me demandait ce que je pensais de me prosterner devant ELLE à chacune de nos retrouvailles .
Il faut savoir , avant toutes choses , que les suggestions de Maîtresse Gabrielle , émises sur un ton doux et souriant sont tout ce que vous voulez ,mais certainement pas des suggestions ! ! ! Ce sont des ordres impératifs et péremptoires que soumis berny serait très mal venu de transgresser.
Ma réaction première fut un silence interminable que l'on pourrait comparer à celui des cimetières s'il n'était pas déjà éternel .
Ma surprise passée , la réflexion et mon esprit, au pouvoir hautement analytique , ayant fait leur travail, je voyais cette suggestion tout à fait réalisable . Sauf que . . .
Sauf que je ne connaissais pas encore très bien Maîtresse Gabrielle .
Moi je pensais que je devrais me prosterner devant ELLE discrètement , dans des endroits retirés , dans des coins sombres de portes cochères . . . Que nenni : je devais accomplir cet acte de soumission en public ! ! !
Et si possible , large , le public .
Notre rencontre suivant cette suggestion péremptoire et impérative eut lieu deux jours plus tard , à la gare de la Part -Dieu à Lyon , Maîtresse Gabrielle étant venu en train , dans le grand hall , un samedi à 11heures .
Ce matin là ,une foule de valises à roulettes tentaient de retenir des voyageurs en perdition , semblant leur dire > ou Oui enfin bon . . .
Moi j'avais une suggestion à accomplir devant Maîtresse Gabrielle . Inutile de dire que durant les deux jours précédents, l'anxiété était monté en puissance dans mon esprit de soumis . Oserai je me prosterner , aurai je assez d'abnégation , aurai je le courage ?
Samedi matin , 11heures , octobre 2005. Il faisait beau ce matin là . Forcément je retrouvais ma Maîtresse .
Hall de la Part-Dieu à Lyon . Je suis planté au milieu , je domine la foule par ma taille , par mon épanouissement , par la force qu'ELLE me communique , parce que je suis à ELLE .
Voyageurs qui courrez , arrêtez de courir ! ! ! Cherchez LA avec moi ! vous verrez SA beauté .
Tout à coup ,une lumière . Ma tête se vide . ELLE apparaît en haut de l'escalier . ELLE est venue . Parce que la peur qu'ELLE ne vienne pas fait partie de mon anxiété , à chaque fois .
Parce que la peur qu'ELLE ne vienne pas fait partie de mon anxiété . Mais ELLE est là . Les pas -perdus de la gare ne la regarde même pas . ? . ? . ? Sacrilège . Pourtant ELLE est belle dans son tailleur façon Chanel , son chemisier blanc à col ouvert , ses escarpins noirs , avec ses cheveux blancs et courts , son visage rondinet , son petit nez à la retroussette , ses yeux toujours souriants , ses lèvres fines et sévères . ELLE est là , radieuse .
Et moi , dire que je suis heureux ne serait qu'un doux euphémisme . Mon esprit est envahi de . . . mon esprit ? quel esprit?
Mon cerveau est en ébullition . . . mon cerveau ? quel cerveau ? Ma tête . . .oui ma tête ! mais elle est vide ma tête et elle n'a qu'une chose en . . . tête : L'IMAGE DE MAÎTRESSE GABRIELLE descendant les escaliers du hall de la gare de la Part -Dieu par ce beau samedi d'octobre 2005 .
Et toi berny . . . hou hou berny ferme la bouche , et ne reste pas planté là comme un benêt va prendre sa valise .
Je monte quelques marches , à sa rencontre . Que dis je des marches : je gravis une montagne et comme je rejoins Maîtresse tout disparaît autour de moi . , le hall est une vallée noyée dans le brouillard.
Il n'y a plus que la montagne , Lady Gabrielle , le brouillard à nos pieds et le soleil .
A ce moment là je me suis mis à genoux , je me suis prosterné , j'ai embrassé SES pieds tour à tour . Enfin paraît il .
Car ce n'est que plus tard , bien plus tard que Maîtresse m'a affirmé que je l'avais fait . J'avais été à la hauteur . . .
de ses pieds en l'occurrence .
C'était la première fois que je me prosternais en public pour Maîtresse , et comme toutes """ les premières fois """ ce fut une charge émotionnelle extraordinaire . Je ne l'avais jamais fais avant pour personne . Et bien sur , depuis , je ne l'ai plus jamais fais pour quelqu'un d'autre sauf sur SON ordre .
Ce WE fut effectivement un beau WE plein de BDSM , CHACUNE et chacun de son côté préféré du fouet .
La fin de ces deux jours arriva très vite , trop vite . Je raccompagnais Maîtresse à la gare le dimanche soir . Nous allions nous quitter . Je n'avais pas de tristesse . Je savais que nous nous reverrions . Et puis un fil nous reliait ::: le
téléphone . . . sans fil .
Je montais dans le wagon sans compartiment avec un couloir central , je déposais la valise de Maîtresse dans le filet .
ELLE me tendait la main pour que je l'embrasse , ce que je fis , et sans qu''ELLE me l'ai demandé je me prosternais à nouveau et embrassais ses pieds .
Maîtresse fut surprise mais , sommes toute , très contente . Et imaginez la surprise des voyageurs et la promiscuité du lieu .
Depuis ce jour ; j'ai accompli cet acte de soumission dans maints endroits comme la terrasse de plusieurs restaurants , dans divers magasin , galerie marchande etc . . . Et toujours avec un immense plaisir décuplé par le fait que j'ai la possibilité de laisser entrevoir ma soumitude aux profanes .
Oui je sais ça devient compliqué . En un mot ce n'est pas une humiliation c'est une joie pour moi .
Voilà l'histoire de ce que j'appelle l'habileté mentale de Lady Gabrielle . J'espère qu'elle vous a plu .
Je m'en vais vous conter la perversion mentale qui a traversé le cerveau hautement dominateur de Maîtresse Gabrielle
hier à 16 H 37 .
Elle est très semblable à celle que je vous ai contée dans cette rubrique ( la première ) .
Allez c'est parti .
En ce moment le calme est plat sur la mer du BDSM entre Maîtresse et moi . Je suppose que cela arrive dans tous les couples . Et comme nous sommes nombreux à le dire nous ne vivons pas BDSM 24/24 .
Donc hier , nous faisions nos courses dans un supermarché du Pays de Gex , quand à 16 H 37 précisément il nous vînt l'envie de boire du café . Pour accomplir cet acte salvateur nous nous rendîmes dans un bar à café sis au centre de la galerie marchande du supermarché sus-cité .
je déposais nos achats nécessaires ,utiles et même les superflus ( ceux qui font le plus plaisir ) au pied du guéridon .(et si tu n'es pas guai ou guay ou gué part )
Je tirais la chaise afin que Maîtresse puisse y prendre place aisément puis je commandais les boisson caféinées .
Nous devisions calmement , amoureusement , enthousiasmement ( je vous laisse trouver tous les mots en ement que vous voudrez ) sur un projet qui n'a rien à voir avec le BDSM .
Quand , tout à coup et soudainement Maîtresse Gabrielle , qui peut être agacée par mon verbiage de bavard , me """suggéra """ de me mettre à genoux ! Là ! Tout de suite !
Je peux vous dire que ma température passa en une nanoseconde , de 36,9 degrés Celsius à 391 degrés Farenheit
Imaginez le trouble qui était le mien à ce moment là . Nous ne sommes pas sur le mode BDSM, nous parlons d'un sujet qui nous fait rêver , et cet ordre qui tombe abruptement . Je dois dire que Maîtresse Gabrielle a le secret de ce genre de revirement psychologique . J'oserais ,même dire qu'ELLE est redoutable dans cette pratique .
Bon mais que croyez vous que je fis ? Que je refusai ? Que nenni ! ! ! je n'ai pas intérêt . Je demandais seulement quelques instants de préparation psychologie ( aussi ) . Hé oui je ne suis pas ""SUPERSOUMIS"" je vous l'ai déjà dis .
Donc je m'exécutais après un silence intersidéral de plusieurs siècles . Alors évidement ,je me suis concentré sur le visage de ma Maîtresse , incapable de regarder ailleurs , je devais être rouge ou blanc ou peut être bien vert enfin je n'en sais rien ;. Toujours est il que je n'en menait pas large malgré la largeur de mes 107, 500 kg .
Quand à Maîtresse Gabrielle , tranquille , souriante , sereine , calme , détendue , heureuse en quelque sorte , ELLE regardais alentour . ELLE m'a dit par la suite que les têtes et les regards masculins , féminins et les autres ont tous convergé , en un instant vers nous .
Et ELLE m'avoua , si tant est qu'une Maîtresse puisse avouer quelque chose , avoir eu cette pensée pour les femmes
et pour les hommes >
Et là . . ."" pour un instant , pour un instant seulement "" je me suis senti dans la peau de """ SUPERSOUMIS """
Merci Lady Gabrielle , merci de me faire vivre des moments d'une telle intensité . Je dois dire que l' "" après immédiat"" puis le souvenir de cet acte me remplissent de fierté , de bonheur , de joie .
Fierté d'avoir osé pour la FEMME que j'aime , je dis bien pour la FEMME même si la Maîtresse fait partie intégrante de
cette FEMME .
En un mot j'aime la FEMME qu'est Lady Gabrielle . ( je crois que c'est plus simple exprimé ainsi )
Alors vous allez dire que ça ressemble à mon premier post sur cette rubrique ( je vous avais prévenu ) et vous avez raison mais la situation était différente .
Voilà , j'espère que vous aurez aimé cette petite histoire .
Berny
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Un rêve parfumé Après une folle soirée De stupre et de luxure Passée à vive allure, C'est divinement fatigué Que nous nous sommes assoupis Dans le théâtre de nos ébats : le lit... J'ai fermé les yeux Entre tes seins chaleureux Et, doucement, venant chatouiller mes sens, J'ai senti la voluptueuse et paresseuse essence Du parfum de tes douces mamelles, Du souffle de ma bouche sur elles, Raviver en mes inconscientes narines Un ressac d'ardeurs sous-marines Ouvrant la voie de rêves aphrodisiaques En des rivages paradisiaques... Sous mes yeux fermés et frémissants Des songes allument des feux d'illusions Qui se consument lentement Telle une fumée de tison, Son corps surgit alors du brouillard Gonflé d'un désir charnel Qui fait s'élever au ciel Mon phallus fier étendard ! Mes envies laissent libres leur cours Elle m'enlace - Je la possède Je me prélasse - Elle m'obsède Maintes fois nous faisons l'amour Sexes ou bouches - Enchevêtrés Sueurs et frissons - Embaumés Au solstice de la nuit Dans l'odeur chaude des ombres Où toujours plus je sombre, M'agitant dans le lit Savourant cet échange, Se produit soudain un évènement étrange... Dans la moiteur de mes rêves Je sens monter un vent de fièvres Jusqu'au bord de mes lèvres Mon membre semble proche d'exploser Telle une bouteille de champagne Trop agitée avant de servir Et de mon gland vient couler Sur la cuisse de ma compagne Quelques gouttes de plaisir... La fragance poivrée Animale De ce précieux miel Parvient jusqu'au nez De ma belle Et distille moultes phéromones mâles En ces sens qui bientôt s'éveillent !
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C’était peut-être la chose la plus idiote à faire, se donner à un pote de l’université. Nous avons un rapport simple, amical, sans mystère. L’accueil, chez lui à Lyon avait été des plus normaux. Sans mise en scène, gentil, habituel à croire qu’on allait jamais oser. Une double bise fugace comme seul contact.
L’appartement au rez de chaussée laissait entendre les bruits de la rue. Il se divisait en trois parties. Un salon de dalles blanches, assez froid, un petit coin d’eau fermé entre quatre murs et un mezzanine qui recouvrait tout, plus chaleureuse, avec des objets personnels. Rien d'un donjon travaillé.
A cause de la moquette qu’il y avait, et peut-être par effet de la hauteur, il y avait sur ce perchoir une chaleur plus tendre, comme dans une chambre d’enfant. La visite ne dura même pas une minute et il m’invita tout de suite à m’asseoir dans son petit salon.
Il disposa sur la table quatre verres dont il remplit le fond de crème fruitées différentes et termina par un vin blanc.
Je goûtais les quatre et pris celui à la pêche. On discuta un peu, puis il y eu un silence. Je ne sais pas ce que c’était pour lui, mais je commençais à ressentir une première gène. Il recommença à me parler simplement des choses de la vie courante ; puis il y eu un second silence. Il me souriait gentiment mais je ne sais pas pourquoi je baissais les yeux. Alors il m’a demandé ce que j’avais amené. Ce fut comme une délivrance et je comprenais que ce petit discours, qui devait nous réhabituer l’un à l’autre était aussi pour lui un moyen de faire monter une pression en moi. Il a repoussé sur le côté de la table les verres et les bouteilles et m’a regardé ouvrir mon sac avec attention. J’ai posé les menottes sur la table, puis le bâillon à boule, un pénis en plastique et puis j’ai hésité. C’était très étrange de me dévoiler de cette façon devant un ami. Le lui dis simplement « jai aussi ça » en posant le crochet anal sur la table. Il regarda cette brève panoplie avec sérieux, puis, en me regardant dans les yeux, il me dit « maintenant tu vas me dire vous. Tu vas m’obéir et m’appeler Maitre. » C’était un contraste fort avec l’homme que je connaissais mais son sérieux me mis en confiance. Je lui répondit « oui maître » pour la première fois.
Il alla baisser les stores et tandis que la pénombre envahissait tout, il alluma plusieurs bougies très épaisses qu’il monta en haut. L’espace, simple et presque enfantin s’était changé en un monde mystérieux. Il me demanda de retirer mes vêtements avant de venir le rejoindre avec mes outils. Je m’exécutait et ne gardait que mes bas, mon soutiens-gorge et ma culotte noire. Je les avais choisis pour l’occasion.
Il me regarda monter vers lui dans l’escalier et me fit signe d’aller sur une large couette bleue qui faisait un tapis épais et qui devait au fil de notre jeu se froisser et ajouter une sensualité visuelle simple et magnifique dans la lumière instable des bougies. Je me mis à genoux au milieu et il passa derrière moi. Il me bâillonna, en serrant plus que je n’aurais pensé. Il caressa ma peau, me baisa dans le dos et passa un cordon autour de mon cou qu’il en roula comme une écharpe et la fit pendre. Puis les menottes dans le dos. Avec douceur, il me pris contre lui pour me coucher sur l’épaule, la joue et les genoux, les fesses vers le plafond. Je sentais son regard sur moi. Ses doigt qui effleuraient les dentelles de mes derniers vêtements. Puis quelque chose, son pouce sûrement, qui passait sous l’élastique de ma culotte. « Cambre toi » me demanda-t-il et je le fis. La culotte glissa avec son pouce et découvrit cette partie de mon corps. Sa main se posa sur mon sexe, comme une coquille pour le protéger. Il m’étudiait, caressait pour sentir mon excitation et cette main, à dire vrai, m’excita plus encore. Je sentis ses doigt sur ma vulve, et bientôt leur glissement facile montrait que je commençais à juter de désir. Il le senti puisqu’il ne s’y attarda pas. Sa main remonta vers mon anus, le caressa en l’imprégnant de la liqueur qu"il avait sur les doigts. Il pressa un milieu, sans jamais entrer en moi.
Il fit le tour, se mit face à moi et me demanda si j’avais un regret. Je secouais la tête. Il dit « non maître » ; je répétais sa phrase sans pouvoir la dire à cause du baillon. Alors il posa sa bouche sur la boule. Contact indirect qui me donna une irrésistible envie de lui. Sa bouche, ses mains, quelque chose de vrai, un contact. Mais il repassa sur le côté et glissant sa main le long de mon dos, comme à son animal. Il prêtait une attention très particulière à mon anus. Il imprégnait ses doigts du jus de ma vulve pour le préparer, l’ouvrir doucement. Il commença à m’expliquer ses gestes, à me dire de cogner le sol « quand » j’aurais trop mal avec mon front.
Je sentis un doigt entrer en moi, tailler une place pour le crochet que je sentis bientôt entrer à la place du doigt, mais beaucoup plus profondément ce qui me provoqua d’abord une gène, pénible à cause du froid du métal, puis plus douce.
Il attrapa la corde autour de mon cou et la passa en symétrie sous mes bras, dans le dos, les croisant et me tissant un bustier. Il passa ensuite les ficelles derrière le baillon, m’ordonna de me cambrer plus et rattacha les deux bouts au crochet. Je ne pouvais plus bouger que des jambes et déjà je ressentais une envie de gémir de plaisir. J’avais aussi cette envie de lui, ce désir simple de la sexualité la plus innocente. Simplement sentir son sexe glisser en moi.
Je me souviens de ce désir intense car j’ai cherché dans le noir, pendant une bonne minute, à deviner s’il était en érection sous ses vêtements.
Je commençais à me tortiller, à onduler du bassin en soupirant, pour l’inviter à cet endroit.
Il y eut un claquement qui me provoqua une douleur très vive et une surprise. Il avait fouetté mes fesses avec une cravache, fort, me provoquant un sursaut qui tira sur le crochet. « ‘Ne bouge pas » disait il. Je serrai des poings de douleur, mais à peine commençais-je à m’en remettre, je commençais à désirer qu’il me frappe encore. Il recommença deux fois et je me sentis jouir à la dernière. Il remonta ma culotte par-dessus le crochet et il y eut un répit pendant lequel il vint s’asseoir par terre devant moi.
Sur la table en verre à côté il avait enroulé plusieurs choses dans une serviette. Il tira un opinel et commença, devant moi, à sculpter un morceau de gingembre. Il avait été attentif à ce qu’on s’était dit par messagerie.
Il demandait, en taillant une large pointe, si je me sentais bien. Je répondit « oui maître » sans pouvoir parler vraiment. Alors il se rapproche de moi, repoussa le bâillon sur mon cou, et tandis que je me couchais sur le côté je posais la tête sur ses cuisses. Il tailla longtemps le gingembre, temps pendant lequel il me demanda d’exprimer mes désirs. Je lui dit que j’avais envie de son sexe, de le contempler nu dans cette lumière étrange. Que je voulais lui donner du plaisir moi aussi. Je ne sais pas si j’aurais du lui confier cela. Il n’a rien répondu, mais tandis que je cherchais de la joue à tâter son érection il eut un mouvement de recul. Il me remit en position, comme sa construction, remis le bâillon et passa derrière moi. Il baissa la culotte, retira le crochet et tirant progressivement sur le cordage, enfonça le bâillon dans ma bouche. Quand il fut complètement retiré, je sentis les ficelles se desserrer. Après quelques secondes je sentis les liens se resserrer encore et le fer chaud pénétrer mon vagin. Sa main rejoua brièvement avec mon sexe pour son jus, et le sentis le gingembre entrer à la place du crochet dans mon anus préparé. Je sentis une brûlure, elle vint rapidement et s’intensifia jusqu’à être insupportable. Je cognait le sol de ma tête en serrant les poings mais il sentit que je ne voulais pas arrêter. Il joua à le retirer, le faire rentrer à nouveau. La douleur, continue, me faisait m’habituer à elle alors qu’elle semblait s’intensifier. C’est à ce moment qu’il baisa vraiment mon corps et que je sentis qu’il se passait une chose pour lui. Ses lèvres, posées sur mon dos, sur mes fesses, mes mains menottées et ses mains me caressant, témoignaient d’une forme d’amour pur pour moi, telle qu’il m’avait rendue, totalement soumise dans une douleur délicieuse.
Il me coucha sur le dos et le crochet me fit mal. Il retira ses habits pour n’être plus qu’en boxer. Il ^recommença à baiser mon corps. Sur le ventre cette fois, puis le sexe, et se coucha contre moi en me serrant à lui. Je me suis senti profondément heureuse à ce moment. La brûlure du désir, celle du gingembre, celle peut-être aussi d’une forme d’amour respectueux me prenait complètement. Il retira le bâillon à nouveau. Je voulu baiser sa bouche mais elle était trop loin. Nous sommes restés comme cela longtemps. Puis il a défait le cordage, retiré le crochet, retiré le gingembre et les menottes en dernier.
Je suis restée couchée dans ce plaisir, près de lui et en l’appelant Maître, je lui ai demandé s’il ressentait du désir pour moi et s’il voulait me prendre. Il affirma, mais semblait avoir quelques réticences. Je crois que c'était une suprise pour lui que je le veuille de cette façon. Il adapta. Je le suppliais, baisant ses genoux et ses pieds. Il me demanda alors de me déshabiller complètement et il m’observa nue avant de retirer son dernier vêtement. Je pris son sexe dans ma main, il était dur. J’ai demandé « puis-je Maître ?» et il a hoché de la tête.
La domination continuait, mais le rapport était devenu celui de la tendresse. J’ai joui très rapidement quand je l’ai reçu en moi, c’était finalement ce que j’attendais depuis des semaines. Il s’est alors mis sur le dos, allongé sur cette couette qui faisait comme les vagues d’un océan, et j’ai retiré le préservatif et pris son sexe dans ma bouche. J’en ai avalé la crème chaude.
J’étais un peu confuse quand il m’a raccompagné dans la rue. Le rapport intime avait été merveilleux. Mais peut-être n’avais-je pas su choisir entre l’absolu tendresse et la douleur gradissante. J’ai embrassé ce maître dans le cou. Je ne savais plus comment lui parler. Tu ? Vous ?
La seule chose certaine est que je n’oublierai jamais ce dimanche. Merci Delyb, maître adoré. Mille fois merci.
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Il était tard ce soir du 10 mai et sur le parking où nous nous quittâmes, déjà pointé comme une envie de se revoir..
Pas de suite ...non... la dictature des agendas n'en laissaient assurément pas le moindre espoir.
Heureuse et reconnaissante de pouvoir vivre ces instants si particuliers, je vous laissais un texto quelques jours plus tard afin de vous convier à un diner après la mi juin.
En attendant la vie avait repris son quotidien.
Le souvenir sensuel de nos derniers jeux m'accompagnait parfois lorsque je m’évadais en me caressant.Me revenait également en mémoire votre dernière proposition : celle de vous en maitre de cérémonie veillant sur votre soumise alors que je me ferais saillir par différents mâles. Je dois bien vous avouer que celle ci a le don de me faire encore un peu plus fantasmer. Evidemment comme toute chose nouvelle j'appréhende ce moment où vous me proposerez cette expérience. En attendant dans ma fantasmagorie cela tend à rendre la chose plus excitante encore.
En attendant les jours se succédaient presque égaux à eux mêmes.
Et puis un jour de semaine, un mardi, contre toute attente vers 16h un texto :
- « Voilà une proposition qui devrait vous plaire : Rdv ce soir vers 22h30 / 23 h devant la mairie du 17ème, lavement fait, collier et escarpins. J'attends votre réponse... »
puis :
- « Vous allez avoir du mal à vous concentrer pour cette fin de journée »
A la lecture de ce premier sms j'avoue n'avoir pas bien compris et il me fallut plusieurs lectures, être vraiment sûre de bien lire et de comprendre la signification de ce message avant de réaliser et de pouvoir vous répondre.
Comme par un fait exprès un cours ce soir là au conservatoire était annulé, et un ami qui revenait de province avait émis l'hypothèse de nous retrouver autour d’une table d'un restaurant.
Je déclinais son invitation et décidais de vous rejoindre, mon envie de vous fut plus pressante :
- « Bonjour cher maitre Gold, je serais au rendez vous ce soir »
et de rajouter :
- « En effet, votre proposition est tout à fait indécente et toute aussi excitante... à ce soir donc »
La surprise de votre proposition eut un effet immédiat et conformément à ce que vous prédisiez dans votre deuxième texto la fin de l'après midi fut plus laborieuse et cela se concrétisa par une moiteur qui déjà avait pris possession de mon intimité.
Vous étiez alors ravi de me savoir doucement excitée.
La douche prise, le lavement fait, le collier et les escarpins rangés au fond du sac, je programmais le GPS et pris la route. La circulation ne fut pas trop dense ce soir là et j' arrivais en avance au rendez vous.
Alors que je vous attendais un homme d'une trentaine d'années m'interpellais tandis qu'il me croisait :
- « Vous êtes très belle mademoiselle... »
Plutôt flatteur pour une femme de 50 ans et de rajouter sitôt que je l’eus remercié pour son compliment :
- « je peux vous parler ? » là je dû l'éconduire poliment.
Vous arriviez peu de temps après ..et je fus heureuse de vous voir...
Évidemment le lieu je le connaissais... mais c'est toujours un réel plaisir de vous sentir près de moi...j'aime votre proximité.. votre façon d'être à moi pour ces instants là...
Point de bandeau cette fois là. Il m'a été permis de cheminer là où vous portiez mes pas pour mon initiation...je devais donc découvrir certaines salles...
Plus que la surprise de cette soirée ce que j’allais alors vivre aller me marquer.
Tout commença alors que nous étions en train de nous déshabiller. Je n'avais pas encore complètement revêtue ma chère tenue de soumise, c'est-à-dire... nue ! quand la sonnerie de la porte d’entrée du club retentit.
Nous étions jusqu'alors seuls dans ce club et un homme venait de nous y rejoindre.
Des salutations de courtoisie passées, nous nous dirigions vers nos premiers jeux... toujours la croix de St André, comme un rituel, mais cette fois vous m'attachiez les chevilles. J'étais impatiente de sentir une nouvelle fois vos caresses... vos mains reprenant possession de mes tétons déjà tendus par ce plaisir à venir...et ce moment si particulier où votre soumise Alphée renait et vous abandonne son corps ... ma récompense à cette attente et une amorce pour les jouissances à venir...
Vous m'aviez prévenu et vous aviez raison .. sans le bandeau les sensations sont différentes. Je fermais les yeux et tentais de lâcher prise, d'oublier le monde du dehors. Installée sur cette croix les yeux fermés,tandis que vos doigts caressaient mon clitoris, je percevais le grincement des pas de cet autre homme sur le parquet il nous avait rejoint et il se voulait discret. Sans doute vous regardait t'il, il me semblait qu'il allait et venait.
Premiers émois, premiers plaisirs timide...et mes pieds entravés commençaient à fatiguer.
Deuxième mobilier, une sorte de cheval d'arçon sur lequel vous m'installiez. Une jambe de chaque coté de ses flancs et une ceinture qui me plaque sur son dos. Les mains quand à elles ont gardé toute leur liberté et par souci de confort personnel je décidais de les croiser sous ma tête. Les yeux toujours clos, je tentais de faire abstraction de cet autre que je savais là .... je voulais profiter un maximum de cet instant précieux avec vous, lâcher prise et jouir pour vous, pour nous.
La croupe bien offerte et lubrifiée vous me doigtiez largement, la chatte...le cul ! Oh oui je devais assurément mouiller ...Quelques fessées en prémisse histoire de me mettre en appétit puis bientôt les lanières d'un martinet qui rebondissaient sur mes reins.
D’abord doux puis allant crescendo au fur et à mesure que vous changiez d'instrument, les morsures devenaient plus forte presque à la manière d'une lanière d'un fouet. La douleur est l'amie du plaisir je le sais. Il me faut transcender cette douleur apprendre à la transformer en un plaisir et vous vous en assuriez..en ce domaine le chemin est à peine parcouru.
C'est alors, que surprise par une douleur plus vive, je portais mes mains sur mon dos. Vous me demandiez de les retirer... je les ôtais timidement et c'est alors que cet autre homme se joignit à nous. Il s'approcha de moi et d'un geste doux et assuré me retint mes mains tandis que le martinet avait repris le chemin de mes fesses. A cet instant précis j'eus la sensation que nous étions uni par un seul et unique but...le plaisir...le mien mais aussi le votre et le sien. Il les retira, mais un instant plus tard il recommença, toujours avec cette même bienveillance et cette même douceur.
Afin de le faire participer encore un peu plus à nos jeux, et à votre demande j'imagine, ses mains vinrent claquer, sur mes fesses puis les caresser pour de nouveau les claquer. Quelques instant plus tard il s'emparait de votre martinet et se mit à en jouer habilement. A des morsures plus vive se succédaient des lanières caressantes.
Dans l’entre fait vous aviez pris sa place et c'était maintenant vos mains que je serrais. Il semblait avoir lui aussi une certaine expérience en ce domaine.
Un jeu à 4 mains inattendu unique et précieux, un instant vraiment hors du temps, où sans nous connaître nous étions habité par le plaisir et la bienveillance .. merci maitre de m'avoir permis de connaître un tel moment.
Cet homme devait alors nous laissait mais nous devions le retrouver un peu plus tard dans la soirée.
Nous reprenions nos jeux et insatisfait de n'avoir pu obtenir une jouissance aussi forte que vous l'auriez voulu, vous m’installiez sur un lit les jambes bien écartées afin de pouvoir mieux profiter de ma chatte... vos caresses furent alors un vrai régal. J'ai toujours ce regret de ne pouvoir ou de ne pas encore savoir me lâcher si facilement malgré vos doigts ou votre langue si experte. Je m'en excuse cher maitre.
Un escalier plus bas nous nous retrouvions dans ce lounge si harmonieusement décoré... de belles statues... un canapé et des fauteuils dans le plus pur style BDSM. Le souvenir de notre dernière soirée passée en ce lieu me revint en mémoire.. notamment le souvenir de cet exécrable maitre qui tentait un exercice de bondage avec sa soumise pour qui le respect ne semblait pas transpirer.
Je vous suivais alors....vous teniez la laisse de votre soumise Alphée.
Nous retrouvions cet autre homme adossé au comptoir et devant le miroir où vous m’aviez installé il nous rejoignait. Vous vous teniez derrière moi tandis qu'il se tint debout devant moi .
Il se saisit de bâtons et comme pour une tenaille il enserra mes seins.. je voyais la peau de mes seins rougir. Je résistais un petit moment surprise par son initiative mais la douleur se fit plus forte et il déposa ses instruments... première expérience de bondage... peut être... je ne sais pas vraiment.
Cet exercice passé vous m'emmeniez alors vers la pièce du fond, celle où je me souvenais avoir pour la première fois goutée à une femme. Cette soumise si douce de ce maitre si minable .
Je pris place sur ce sling, les jambes et les mains fixées sur ces chaines, je fus une nouvelle fois exposée, ouverte, offerte au regard et plus encore... ma condition de soumise était de nouveau clairement énoncée et j'adore cela.
Une fois de plus il nous avait rejoint et étions donc trois et dans cette pièce étroite..
J'étais maintenant beaucoup moins intimidé par sa présence rassurée indubitablement par ses bonnes intentions. Tandis qu'il jouait avec mes tétons, les tirant, les pinçant, vous vous étiez installé entre mes jambes écartées et aviez commencé à me lécher le clitoris..je ressentais alors une explosion de sensations..
Cet autre homme nous laissa alors définitivement et nous devions finir cette magnifique soirée à deux.
J'affectionne tout particulièrement votre langue et vos doigts experts. Maintenant complètement à vous,vous m'emmeniez vers des sommets de jouissance que je devais alors dépasser à plusieurs reprises.
Cette soirée aussi inattendue fut un réel bonheur et plus encore.
Repue par toutes ces émotions je quittais ce sling et tout doucement nous retrouvions ce lounge où nous étions maintenant complément seul.
Toujours ce moment à deux si important et bien installé sur un canapé confortable nous discutions...une sorte de transition entre ce que nous venions de vivre et un retour à la réalité de la vie du dehors.
La soirée s'achevait et il nous fallait rentrer..
Merci maitre Gold pour cette soirée magnifique, surprenante.
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"Tu porteras un serre-taille et un shorty. C’est parfait pour ce que j’ai en tête". Comme toujours, Madame a donné sa consigne pour ma tenue. Inutile de poser la moindre question, je sais que je n’aurai aucune explication. Bien Madame est la seule réponse possible -et admise. Le moment venu, je me prépare avec soin, longue douche brûlante, maquillage un peu plus appuyé qu’en journée mais, c’est l’usage, pas de rouge à lèvres. Madame n’ayant pas précisé la couleur du serre-taille, j’en mets trois dans un sac. Je choisis aussi plusieurs shortys, j’ajoute deux paires de bas identiques et des bottines pointues à fin talon. En attendant, j’enfile une petite robe noire près du corps et des bottes montantes. Un chèche, un fin blouson en cuir ajusté, je suis prête.
A l’heure prévue, je passe chercher Madame. Son sac -*le* sac- est particulièrement lourd, cette fois. Il nous reste un peu de route à faire, moment pendant lequel s’installe une ambiance joyeuse. Je n’oublie jamais que la femme assise à côté de moi est une Domina sévère et exigeante, qu’elle a mon profond respect et que je lui appartiens, mais nos conversations en voiture ne sont pas très codifiées. Nous nous connaissons bien et j’ai le privilège, dans l’intimité, d’avoir une grande liberté de ton. La brat en moi fait surface, je plaisante, le tête-à-tête est léger. Madame est détendue, elle plaisante aussi, son rire est cristallin. Je trouve cette connexion parfaite.
Nous y sommes. Je prends ma place derrière Madame pour entrer. Soixante-dix personnes sont là, le cadre a été aménagé pour jouer dans toutes les pièces. Rapidement, nous allons nous changer. Madame désigne pour moi un serre-taille rouge et noir et un shorty en dentelle noire qui m’arrive à mi fesses. La tenue qu’elle a choisie pour elle-même me laisse sans voix. Son corset en cuir met ses épaules et son décolleté follement en valeur, sa jupe ample en voile laisse entrevoir juste ce qu’il faut de ses courbes, ses jambes sont impeccablement gainées dans des bottes à talons hauts. Je la trouve magnifique.
Le temps de déposer nos affaires au cellier transformé en vestiaire et je rejoins Madame. Elle croise amis et connaissances. Je suis le mouvement, à ses côtés mais toujours en retrait. Madame discute ici et là, embrasse des Dominants, salue des soumis. Je reconnais du monde et je découvre avec plaisir des personnes croisées uniquement en virtuel jusqu'à présent. Nous plaisantons un moment avec deux soumises de nos "dîners de filles" lyonnais, qui accompagnent leur Maître.
L’ambiance générale est agréable et respectueuse. Dans cette maison aménagée en donjon, la température monte doucement. Les soumis des deux sexes prennent leurs consignes pour le dîner de leurs Dominants. Madame s’installe dans un canapé. Je propose d’aller lui chercher une assiette au buffet. Inutile de demander ce qui lui ferait plaisir, je connais ses goûts. A mon retour, un regard bienveillant, un léger sourire : "Merci Lily, tu peux aller te servir". Je souris aussi, merci Madame. Comme d’habitude y compris lorsque nous sommes seules, je m’assois à ses pieds, position naturelle, évidente. Madame veille toujours à ce que j’ai suffisamment de place. Tandis qu’elle discute avec ses voisins, sa main se pose sur ma tête et joue avec mes cheveux. Un de ses gestes ordinaires de propriétaire.
Le dîner s'achève. Les soumis débarrassent et font circuler les cafés, puis les invités se répartissent dans toutes les pièces de la maison, aux lumières tamisées. Très vite, les premières frappes des martinets se font entendre, des mains claquent sur des peaux nues, des fouets se mettent à siffler. Des gémissements leur font écho.
Je surprends quelques regards qui m’amusent. Il est vrai que Madame passe rarement inaperçue, avec sa peau sombre et douce aux reflets satinés, son profil délicat et son autorité naturelle. Sa main glisse dans mon dos. La caresse devient griffure. Ses ongles, manucurés mais naturels ce soir, s’enfoncent dans ma peau. J’ai un hoquet de surprise. La pression s’accentue, elle s’étend à mes épaules et à ma nuque. La main de Madame se fait douce à nouveau et caresse mes seins nus, soulignés par mon serre-taille. Puis elle griffe encore, de plus en plus lentement mais aussi de plus en plus profondément, tandis qu’elle empoigne mes cheveux dans un ordre silencieux de ne pas bouger. La douleur naissante fait monter le plaisir, je m’entends gémir doucement à ses pieds. Madame laboure ma peau. Elle pince mes tétons, pince encore, de plus en plus fort. Son autre main se referme sur ma gorge. Elle serre, dans ce geste de Domination dont je raffole. Je ferme les yeux et je respire son parfum. Son souffle s’accélère dans mon cou.
Madame fait une pause, désigne le sac et se lève. "Suis-moi". Nous passons dans la pièce voisine. Un banc. J’y dépose le sac et j’attends. Le bruit de la fermeture éclair me fait frissonner, comme à chaque fois. "Penche-toi. Tes mains sur le banc". J’entends un petit rire, puis deux claques s’abattent sur mes fesses. Suivent deux autres, plus fortes. Encore deux, intenses. Les deux dernières sont magistrales. Ça fait mal mais j’aime. Quelques personnes passent discrètement dans la pièce. Moi, je ne vois rien à part ma Domina.
Madame plonge la main dans le sac et je comprends que cette petite fessée n’avait pour but que de sensibiliser ma peau, de la préparer pour la suite. Du coin de l’œil, j’aperçois ce qui m’attend. Je grimace et je me crispe. Non, pas lui. J’expire bruyamment. "Tu sais pourquoi". Oui Madame. "Je n’ai toujours pas mon dû". Mes comptes-rendus. Je suis horriblement en retard dans leur rédaction. La punition, je l’ai sous le nez : un paddle de cuir rouge garni de têtes de métal. Ce terrible paddle. Mieux vaut le chat, mieux vaut le fouet que le paddle. Je le déteste et je le dis. Madame s’esclaffe. "Mais lui, il t’aime beaucoup. C’est ton ami. En position". Résignée, je m'exécute.
En rythme, le paddle vient rougir mes fesses. J’essaie de retenir mes gémissements. La punition s'achève enfin et je sens la caresse d’une main douce et fraîche. Je bredouille merci Madame. "Ce n’est pas moi que tu dois remercier. Dis merci à ton ami". Je ne réponds pas. Son corps se plaque derrière le mien, sa voix chuchote à mon oreille, sadique et autoritaire. "Lily. Dis merci à ton ami". Je murmure, merci mon ami. Madame me retourne, me tient dans ses bras et me fait un sourire éclatant. Mon regard se verrouille au sien, je me détends. Comment ne pas sourire en retour ? Mes fesses cuisent mais je sais que la douleur s’estompera rapidement. Du moins jusqu’à ce que je m’assoie.
Avec soulagement, je vois Madame remettre le maudit paddle dans son sac. J’entends tinter. Des chaînes. Madame m’a enchaînée pour la première fois il y a quelques mois, bousculant mes certitudes, effaçant des années de crainte. Sans doute n’avais-je jamais été suffisamment en confiance pour repousser cette limite. J’ai eu mal. Mais j’ai aussi été dévorée par un plaisir cérébral autant que physique. Chaque fois que Madame sort ses chaînes, les sensations sont différentes, mais toujours intenses.
Ce soir, je trouve les chaînes particulièrement froides. Je frissonne tandis qu’elles s’enroulent autour de moi, un peu à la manière d’un karada, et passent entre mes jambes, compressant déjà mon sexe. Madame me fait légèrement pencher en avant puis sur les côtés pour donner du jeu et accrocher les mousquetons. Dès que je me redresse, les chaînes se tendent et je sens les maillons appuyer sur mes flancs, mes clavicules, dans la zone du sacrum et du coccyx. Me tenir droite -point sur lequel Madame ne transige pas- va rapidement devenir douloureux, je le sais. Des bracelets de cuir rouge se referment sur mes poignets et sont reliés par des mousquetons à la chaîne qui passe autour de mon bassin. Je ne vais plus pouvoir faire grand-chose de mes bras.
Madame recule et me détaille, comme elle le fait souvent. Les yeux plissés, elle semble satisfaite et prend quelques photos. Du monde continue à passer, on admire et on complimente respectueusement. Madame apprécie et remercie. Puis elle finit d'accentuer la tension en reliant deux maillons au-dessus de mon plexus par l'attache d’une laisse. Un coup sec sur la laisse et je suis à quelques centimètres, partiellement entravée, de cette femme à qui j’appartiens. Je pose ma tête dans son cou, je respire son odeur, j’embrasse sa peau. Madame me parle doucement à l’oreille. Je sens poindre une douleur sourde, surtout sur mes épaules, accompagnée d’une chaleur diffuse qui monte dans mon sexe pourtant écrasé.
Madame s’assoit sur le banc et m'enjoint de m’allonger sur le dos à ses côtés, ma tête sur ses genoux. Je repose sur les chaînes et mes fesses sont loin d'avoir récupéré de ma punition. Une main ferme mes yeux et j'entends le bruit d'un briquet. L'heure de la cire. Mais je n’imaginais pas que les premières gouttes allaient être pour mon front. C'est une bougie de massage, je sens une délicate odeur d’agrumes. La cire tombe et coule, sensation surprenante mais pas franchement douloureuse. Madame l’étale et masse mon visage. Je me sens glisser dans un bien-être à forte connotation érotique, les chaines scient mon corps, mes fesses font mal mais mon intimité palpite franchement. Comme pour me rappeler à l’ordre, Madame me griffe à nouveau, les bras, la gorge, les seins. J’entends son plaisir, qui décuple le mien. Elle malmène, elle tire, elle tord mes tétons et je gémis de douleur autant que d’excitation.
J’ai toujours les yeux fermés. Alors je sens couler une autre cire, cuisante cette fois. Des filets brûlants se répandent sur le haut de mon corps. Mes seins griffés et mes tétons, pincés à vif, sont peu à peu recouverts. Je peine à retenir mes cris, Madame exulte. J’ai l’impression que les maillons des chaînes sont incrustés dans mes os et que ma peau va bouillir. Le parfum de Madame me transporte, je suis trempée de désir. Écartant les chaînes, Madame glisse enfin une main dans mon shorty...
#BMOM
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Elle commence à le caresser, à l'embrasser, jusqu'à ce qu'il se dresse, droit comme un « i ». Elle le saucissonne alors, emprisonnant son sexe d'une ficelle de cuisine. Elle passe autour des testicules, elle serre la hampe figée de multiples circonvolutions. Puis elle passe un couteau sur son corps. Elle a pris soin de choisir un vieux, un peu émoussé. Benoît en a le souffle coupé. Contre toute attente, elle a choisi l'ustensile de cuisine plutôt que la nourriture, la surprise est réussie ! La lame froide frôle ses tétons, la pointe suit son ventre, trace des lignes obliques et des horizontales sur sa peau. Il frémit de peur autant que de plaisir. Il n'a jamais vécu une telle sensation. S'il ne savait pas que c'était Emma, il ôterait ce bandeau et s'enfuirait à toutes jambes. Mais il a confiance en elle. Il sait que c'est un jeu, qu'elle en a à l'avance mesuré tous les risques. Elle chuchote à son oreille.
- Ne bouge surtout pas.
Il ose à peine respirer quand le couteau passe sur la base de son sexe qui durcit de plus belle, qui l'eût cru ? La glace du métal est alors remplacé par la langue chaude d'Emma. Il soupire de soulagement. Mais la tranche effilée revient. Elle alterne ainsi dans un contraste de texture et de température, les caresses sur son amant, dont la bandaison ne faiblit pas. Il n'ose remuer, reste impassible en dépit de l'orgasme qui monte. (...)
Extrait d'une nouvelle "messy", histoire d'amour et de sexe kinky entre une jeune apprentie, commis de cuisine et le second du restaurant où elle travaille...
En lecture gratuite ici https://www.b-sensory.com/librairie/selections/paradise-boutik/la-femme-chocolat.html
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Ses mains touchent ma peau sensible
Doucement lentement la caresse un peu plus durement
Cette sensation de chaleur qui se propage me rend paisible
Mon corps commence à mouiller encore abondamment
Ce liquide qui lui permet de caresser cette zone interdite
Ce doigt qui rentre doucement se forçant un passage
Cet intrus inquisiteur qui devient de plus en plus intrépide
Mais j ai besoin de plus je ne veux pas être sage
Mon corps commence à bouger et danser sur les draps
Mais un claque tombe sur mes fesses
Ce désir monte pas à pas
Mon petit trou dilaté et stimulé sans cesse
Mes gémissements se font insistant
Une autre main chaude caresse ma croupe
Exigeantes conquérantes elles marquent le temps
Ce désir qui monte et me coupe
Une autre claque m oblige à calmer mon désir
Alors que sa main tire sur mes cheveux
Ses murmures intensifient mon plaisir
Ma peau commence à prendre feu
J ai besoin et envie de le sentir
Des mots durs et tendres
Un troisième doigt vient me faire frémir
Je suis à lui il est amené à exiger et prendre
Je le supplie pleure quémande murmure
Prends moi , comme ta chienne , fais moi tienne
Son sourire en dit long et me susurre
Je vais te baiser fort ma payenne
Son fer se présente à ma bouche
Je le déguste, l avale, le lèche je salive
Il s’enfonce jusqu’à la garde m interdisant que je le touche
Forte dure elle file telle une missive
Je la fais durcir de plus en plus
Que j’aime cette sensation de puissance
Ce pieu qui est mien met mes sens à l affût
Ce plaisir qui prend de plus en plus de croissance
Il me retourne d une main
D un coup son gland me transperce
Je le regarde qui pince mes seins
Son glaive me prends conquiert ma perse
...... la suite .... peut être
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Au bout de plusieur
minutes elle sort ma queue de son sex degoulinant. Elle se releve me fait un sourire plein de tendresse et me dit:
-” Allez belle bite à genou les mains sur les cuisses.”
Promptement et sans mot dire je m'exécute.
c’est bien me dit elle, avant d essuyer ses doigts plein de cyprine sur mon visage.
-”Ne bouge pas attend moi la.”
Je la voie nue remuant ses jolies fesses en allant chercher quelque chose dans la boite restée sur la table de la terrasse. Elle revient devant moi avec un drôle d’object dans les mains.
C’est une sorte de gode avec a l'autre extrémité une courbe qui forme un crochet au design se voulant ergonomique.
Je comprend son utilité quand je la voie s inserrer dans la chate la partie crochettée. La voila comme pourvue d'une bite en plastique bleue qui semble ne faire qu'un avec son corps. Elle s'avance d’un pas et je me retrouve avec la bouche
a quelque centimètres du gland de sa 'queue'. De deux doigts elle relève mon mentons pour que nos regard se croise et me dit un sourire au lèvres.
” Allez belle bite . tu sais ce qu'il te reste a faire. L'ultime soumission, tu m'en a déjà parlé c'est le moment de la vivre. Soumets toi.”
Mon regard quitte le sien pour se poser sur son sex. Je la regarde de nouveau avant de commencer à lui lécher le gode timidement. Un peu gêné et troublé par la situation que je suis en train de vivre.
“Allez ne sois pas timide me dit elle pour m’encourager. Suce moi! “
Je me détend doucement et me met à la sucer plus goulûment. Sa main passe dans mes cheveux. Je ferme alors les yeux et me laisse complètement aller à mes pulsions.
Je la suce goulument sans aucune retenue. Je prend ma queue en main toujours tendue par l'excitation et commence a me masturber. elle me dit. - “ Non pose tes mains sur mes chevilles. Allez, concentre toi et suce moi. Voilà c’est bien. Tu es une bonne salope.”
Je te conseil de bien bavé dessu. Elle va finir dans ton cul. Je vais te depuceller allonge toi sur le dos.”
Je m'exécute. Je sent qu'elle va me prendre mon coeur commence à battre à la chamade.
- “ Allez, tu sais ce qu'il te reste à faire. lève tes jambes”.
J'attrape alors les jambes sous mes genoux. Lève les cuisses. Mon cœur bat la chamade. Mon sexe est tendu d'excitation malgré la peur qui m'envahit. Je la vois prendre en main sa virilité. La poser sur mon anus.Me regardant dans les yeux elle me sourit tendrement et commence à exercer une pression. Ca queue commence doucement à s'enfoncer en moi. Toujours en me regardant elle rigole et dit -” Alors belle bite presque prêt à te faire dépuceler.”
Elle éclate de rire en s'enfonçant doucement dans mon cul. Je la sens s’enfoncer en moi, la sensation est étrange. N'est pas désagréable, quand elle commence à ressortir pour finir son premier va et vient j'ai un peu mal et ne peut retenir un petit cri. Elle se moque de nouveau de moi. - “ Tu cuines ma salope.”
Elle met deux doigts dans ma bouche entrouverte. ‘ “ allez, suce belle bitte j'ai vu tout à l'heure que tu aimais ça.” déclare-t-elle.
Totalement sous sous son emprise j'obéis sans poser de question. Me voilà par une belle après-midi de juin en train de me faire sodomiser par Sophie sur la terrasse de la maison. Elle commence à me sodomiser. Ses premiers va et vient lent et précautionneux commence à laisser place à une étreinte plus fougueuse. Entre plaisir et douleur je ne peux m'empêcher de gémir, de pousser des petits cris. Entre tendresse Et bestialité tantôt sophie me caresse passe une main dans mes cheveux tantôt me gifle et m’insulte. Elle s'enfonce maintenant de toute la longueur du gode en moi je sens son sexe humide sur mon bas-ventre, nos regards se croisent à nouveau. Son visage est transpirant,son souffle rapide. tout en continuant de me pilonne et elle me sourit. Je lui rends son sourire sans mot dire elle saisit mon sexe bandé et commences à me branler. Je n'en peux plus, je me laisse complètement aller sans aucune retenue. Je gémis en fermant les yeux. Elle continue de m’enculer,avec dans ca main ma queue. Sentant que je ne vais bientôt plus pouvoir me retenir, elle me dit. - ” Tu peux venir belle bite, dis-moi quand ça vient.”
Au bord de l'explosion je lui crie. - “ Je vais jouir Sophie!! ça vient! “
Presque instantanément une décharge de plaisir parcourt tout mon corps. jusqu'à mon sexe. Un grand jet de foutre sort dans une giclée, se répandant sur mon ventre jusqu'à mes pectoraux.
Elle aussi excitée par la situation et par la partie du gode insérée en elle est sur le point de jouir. Elle continue de m’enculer fougueusement en gémissant. Une de ses mains essuies le foutre sur mon torse et me barbouille mon visage. Ce dernier acte l’amene au paroxysme de l'excitation ses jambes se mette à trembler. Je sent le gode vibrer en nous. Elle jouit dans un long cri en s'effondrant sur mon torse une nouvelle foi.
Sa respiration est bruyante rapide, la sueur et les fluides de nos deux corps se mélange. Je lui caresse doucement le dos tandis que nous retrouvons peu à peu notre calme et nos esprit.
Nous restons ainsi quelques minutes avant qu'elle se relève debout elle me lance les mains sur les hanches.
-” Alors belle bite, ca y est tu es ma petite puputte ?” Son visage exprime la joie, et je lui rend son expression. Nous sommes maintenant sans aucune retenue en toute complicité. Toujours harnachée de son gode ceinture, Elle part vers la table de la terrasse et sa boîte aux merveilles en me lançant cette petite phrase.
- “ Allez une dernière humiliation pour aujourd'hui. Met toi face à la baie vitrée à genoux,
jambes ouverte, le buste contre le sol et ton cul bien haut! “
Sans poser de question je m'exécute. Elle revient avec quelques choses dans les mains, mais vu ma position je ne vois pas bien ce que c’est.
Elle passe derrière moi, pose une main sur mes fesses et je sent qu elle introduit de nouveau quelque chose dans mon cul. Je ne peux m'empêcher de gemir.
“calme toi belle bite, c’est bientôt fini. “ Me lance t elle.
elle pose son pied sur ma tête. et lance une phrase c’est un petit pas pour l homme mais un bon début pour ta soumission.
J’entend alors le bruit caractéristique de l'appareil photo de mon portable.
Ensuite son pied s'enlève de ma tête.
Elle ressort l’object de mon cul et me montre la photo.
On la voie le pied sur ma tête toujours harnachée de son gode ceinture, dans une pose de conquérant espagnol. Moi le cul en bombe la tête sous son pied vaincu, avec un “gode drapeau “ dans le cul sur le quel on peut lire : soumis de princesse sophie.
Après cette dernière épreuve, le reste de la journée est plus calme. Bien sur je continue de la servir et nous continuons notre petit jeu dans les rires et la bonne humeur, mais il n y
a plus d'événement marquant qui viennent ponctuer notre journée.
A la fin du repas du soir, quand toutes la maison est en ordre, Sophie me dit de la rejoindre dans la salle de bain. Bien que ce soit un ordre ca voix est douce et n’a aucunement un ton autoritaire. Quand j'entre dans la salle de bain elle me regarde nue et souriante.L’eau chaude de la douche coule déjà. Son sourire bienveillant s'accentue, et elle me tend la main pour que je la rejoigne. Je la saisi. Elle me conduit sous la douche, fait couler du gel douche dans ses mains et le fait mousser dans mes cheveux quel masse avec douceur. Elle colle son buste à mon dos,et commence à me savonner le corp tendrement. Elle me lave doucement. Me remercie pour la journée passée, me dit qu'elle s'est beaucoup amusée. Quand elle arrive a mes fesses et qu'elle lave mon anus.Elle me demande si je n aie pas trop mal. Je lui répond un peu mais ca va. C'est plus une gêne. Elle me remercie encore me dit que c'était super de jouer les dominas aujourhdui. Elle fini de me laveret m'essuie. Quand elle juge que je suis propre,elle me gratifie d un bisous sur la joue,me prend par la main et me dit:
“vient dormir avec moi, et profite en car demain tu seras mon chien et tu passeras la nuit dans ton panier . Elle me lance alors un clin d'oeil.
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Sur la route qui me conduit à son domicile, je suis étonnamment serein. Certainement parce que j’ai déjà eu un premier contact téléphonique très rassurant. J’ai senti Miss G bienveillante et à mon écoute. Bref, je suis calme mais je me pose principalement une question.
Comment vais-je l’aborder ?
Je suis totalement dans l’inconnu. Mis à part le traditionnel vouvoiement qui me semble naturel, je ne sais pas trop comment me présenter à Elle.
- Dois-je me comporter immédiatement comme un soumis et si oui, comment ?
- Dois-je l’appeler Miss G, Lady G, Maîtresse, Madame
- Dois-je lui baiser la main ou ne rien faire tout simplement. Je ne vais tout de même pas lui claquer la bise ou lui serrer la main
J’arrive devant son domicile, je ne pense plus à rien. La sérénité fait place à la fébrilité.
J’entre et Elle est là derrière la porte. Ma fébrilité est palpable, je n’ose la regarder. Instinctivement et après un simple bonjour, je décide d’être franc. Je lui avoue que je suis plutôt stressé et intimidé en espérant inconsciemment qu’Elle prenne rapidement les rennes et me montre la voie à suivre.
Une nouvelle fois, Elle se montre très rassurante et m’énonce le déroulement de la séance.
Il est temps de préparer la séance, nous nous retrouvons dans l’anti-chambre de son donjon. Elle me laisse ici, le rituel veut que je me déshabille complètement pendant qu’Elle prépare le donjon.
En cet instant, je n’ai même pas pensé « Mais qu’est ce que tu fous là ? Prends tes jambes à ton cou, c’est de la folie », je m’exécute simplement.
Une fois nu, je me présente à la porte du donjon et je frappe à la porte. D’un ton impérial, Elle me dit « Tu attends », je ne bouge pas. Peu de temps après, Elle me dit calmement « Tu peux entrer ».
J’entre dans le donjon, c’est une petite pièce avec un grand fauteuil où trône Miss G dont les jambes sont croisées. Elle porte une belle robe courte, noire et très près du corps. Je remarque un peu plus tard des tatouages sur ses jambes qui m’émoustillent. Miss G est ravissante !
Captivé par Miss G, je me rends compte à l’heure actuelle que je n’ai pas fait attention à grand chose dans la pièce à part une petite bougie devant ses pieds et une petite fourrure au sol.
Elle m’invite à m’installer sur la fourrure et sans réfléchir, je me place à genoux. Je baisse ensuite naturellement les yeux. J’ai toutefois une vue imprenable sur ses pieds chaussés de talons aiguilles et sur le début de ses jambes.
Afin de nous connaître un peu mieux, nous nous posons mutuellement des questions à commencer par « Pourquoi j’ai fait appel à Elle ? ». D’une voix tremblante mais sincère, je lui avoue que son annonce était très bien écrite, sensuelle et loin d’être prétentieuse, que sur les photos Elle semble très ravissante et élégante. Elle m’a tout de suite plu.
Miss G me raconte également quelques uns de ses traitements et j’ai du mal à masquer mon intérêt.
Une fois qu’on se connaît mieux, on passe à l’action.
Sur ses recommandations, j’accepte de me laisser guider au son de la voix de Miss G.
À sa demande, je me place face à une croix de Saint-André et Elle commence à m’attacher les poignées. Intérieurement, je suis un peu réticent à me faire attacher lors d’une première séance. M’ayant mis à l’aise depuis le début, je me laisse tout de même faire. Vient ensuite le bandeau sur les yeux. Je suis complètement à sa merci et dans l’inconnu.
Je suis maintenant attentif au moindre son, au moindre effleurement. Je sens beaucoup de caresses, de baisers et de mordillements. Un martinet vient me chatouiller l’intérieur de mes cuisses pour m’inciter à écarter les jambes suivi de quelques légers coups de martinet. Je sens ensuite de petits picotements chauds sur mon dos avec une sensation de liquide qui coule. Je comprends rapidement que j’ai eu droit à la caresse de la cire chaude :) Un peu fébrile et sur le coup de la surprise, je sursaute au moindre effleurement du martinet et de la cire, je commence à monter en pression. Miss G me libère une main afin que je puisse commencer à me masturber. La sensation est très jouissive.
Commençant à être très chaud, Miss G me propose un massage prostatique. Calmement, Elle m’informe qu’elle peut s’arrêter à tout moment si je ne me sens pas à l’aise, j’apprécie énormément sa bienveillance dans sa voix et je décide de me laisser faire. Entre le massage prostatique, le massage de mes testicules et de mon sexe, je ne sais plus où je me trouve, je suis au bord de l’explosion. Miss G décide alors de calmer le jeu et de finir le massage prostatique au sol. C’est intense et extrêmement jouissif, il est de plus en plus dur de me retenir. La libération vient enfin avec l’accord de Ma Maîtresse !
Nous passons ensuite à une séance de massage afin de me détendre. Je me couche sur le dos, Miss G me masse le torse et effectue par la même occasion de légère pressions sur mon cou comme si Elle souhaitait m’étrangler. Elle se couche ensuite sur moi, il me semble que sa poitrine est sur mon visage, inutile de vous dire comment je suis à ce moment :) Elle se place ensuite derrière moi et place ma nuque sur ces cuisses, Elle commence un massage de mon visage et finit par me pincer le nez et bloquer ma respiration. En cet instant, je lui fais assez confiance pour la laisser faire. Sur sa demande, je passe ensuite sur le ventre en calant mon visage au niveau de ces cuisses. Je suis encore une fois aux anges. Miss G se couche une nouvelle fois sur moi tout en me massant et me parlant avec des paroles très bienveillantes. Même si je suis de nature crispé et toujours aveuglé par le bandeau, je trouve cela très agréable.
Nous approchons de la fin du jeu, nous terminons avec une séance de relaxation pour revenir petit à petit à la réalité.
La séance finie, j’ai l’immense honneur de passer un moment privilégié avec Miss G afin de revenir sur mon ressenti. Il est vrai qu’on ne sait pas trop quoi penser quand c’est la première fois, je suis tout de même déboussolé depuis quelques minutes. C’est très rassurant de savoir qu’on peut parler avec notre Maîtresse.
J’apprends aussi que ces moments ne sont pas donnés à tout le monde, j’en suis d’autant plus fier :)
J’ai longtemps hésité à sauter le pas. Ce soir, je ne regrette pas d’avoir sauté le pas et de l’avoir fait avec Miss G.
Ce que je retiens de cette séance, c’est beaucoup de sensualité, de bienveillance, de chaleur, de domination avec une Maîtresse RASSURANTE. Je pense qu’Elle m’a plutôt bien cerné :)
La domination est restée soft pour une entrée en matière, elle sera peut-être plus forte la prochaine fois. Une chose est sûre, c’est Elle qui décidera. En venant à sa rencontre, je souhaite que les désirs et plaisirs de Miss G passent toujours en premier.
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Je fus sorti de mes rêveries par un jet d'eau qui avait pour butte de me laver le corps du vin séché.
Sophie m’a dit d’aller débarrasser, faire la vaisselle et de revenir ensuite. Ses ordres donné, elle est partie s'installer sur le transate avec son bouquin.
Moi de mon côté, je suis allé vaquer à mes tâches, comme un esclave du temps de rome.
Une foi celle si terminées, je suis retourné sur la terrasse me positionner debout les mains dans le dos à côté du transate de sofie toujours nu comme un verre.
“Voila Maîtresse sophie les tâches que tu m'a demandées sont accomplies.” Dis je.
Elle lève alors les yeux de son livre pour les poser sur moi.
“C'est bien belle bite” dit 'elle. Par contre tu va cramer avec ta peau blanche au soleil sans protection. -” attend.”
Elle se lève ,prend de la crème solaire dans ses mains et me dit de lever les bras .
Ensuite elle commence à tendrement me mettre de la crème sur le corp, les épaules,les bras, le torse,le visage. Nos deux corps sont très proche, presque l'un contre l’autre.
Cette situation n'en finit pas de m'exciter et je me met à bander bien dur.
Elle le voit. En me regardant dans les yeux elle se met à m'enduire les testicules de crème solaire.
Mon visage se déforme de plaisir mon corp est parcouru par un soubresaut.
Ensuite elle saisit ma queue et commence à l’astiquer doucement pour l'enduire elle aussi.
Mon souffle se fait plus fort. Elle me regarde dans le syeux et me dit : -” Tu n'en peux plus hein ? cela t'excite grave! “
On se retrouve front contre front et je m'entend lui dire ,oui sophie.
“Tu es ma chose.”
Me dit 'elle, en prenant mon menton dans sa main libre avant de m'embrasser intensément.Toujours front à front, elle me dit d'une voix,plus douce de m'allonger sur le ventre les bras en croix .
Je m'exécute. Je sent qu'elle fait couler de la crème sur le haut de mon dos. Elle est positionnée au dessu de moi. je vois ensuite tomber à côté de ma tête son haut et son bas de bikini.
Mon dieu elle est nue au dessu de moi. Cette idée me fait encore bander plus fort si il est possible. Mon sex est écrasé sur le carrelage de la terrasse.
Je la sent s'asseoir sur mes fesses.Elle passe ses mains dans mon dos, ma nuqe, pour étaler la crème .humm c'est divin...
Ensuite elle descend sur le bas de mon dos, mes fesses, l'intérieur de mes cuisses pour descendre doucement et langoureusement jusqu'au bout de mes orteille.
Une foi cette étalage de crème hautement excitant,réalisé
. elle se positionne devant moi et reprend son ton autoritaire - “A genoux, jambes ouverte esclave.”
Je prend la position et lève enfin les yeux sur elle. Les mains sur les hanches jambes ouvertes, elle me regarde de haut avec des yeux autoritaires.
Elle est magnifique. Elle me voit la contempler et me dit: -” Au lieu de te rincer l'oeil enduit moi de crème solaire.”
“Oui sofie.”
Je m'entend lui répondre.
Je commence par prendre de la crème solaire au creux de mes mains et j'enduis ses petits pieds,je remonte sur ses mollet ses cuisses, je m’appliques.
L'instant est troublant. Je crois que c'est la première fois que je la touche.
j'arrive à ses fesses, ses hanches son sex que je masse avec plaisir.Je sent bien qu'elle est excitée elle aussi. Sa respiration s'accélère.
“n'en profite pas trop belle bite, continue.”
Je continue de parcourir son corps pour l’enduire de crème solaire; son dos, ses bras , ses épaules. J’arrive à son coup et son visage, l'instant est troublant.
Nos regards se croisent de nouveau. Son corp m'attire.
paff je suis sorti de ma rêverie par une gifle monumentale.
-” A genoux.” Me crie telle.
Elle m'empoigne par les cheveux pour me traîner vers la table.
Bien que tous les deux nu, il n'y a aucun doute qu'en à la hiérarchie établi entre nous.
Pour commencer, je suis à quatre pattes, traîné par les cheveux d'une main ferme et mon cul est rougi par les fessées reçues alors que le sien est d'une perfection immaculée.
Ensuite à son attitude on voit qu'elle est à l'aise nue dans ce jardin, alors que moi j'ai la peur du débutant. La peur d'être surpris.
Sans lacher ma chevelure, elle atrape son telephone sur la table,et m'entraine vers le transate.
Elle s'installe confortablement me temps une de ses jambe de manière nonchalante.
” Allez. Leche mes pieds. Suce mes orteilles, masse moi.J'ai un coup de file à passer.”
M’ordonne t elle.
Me voila a ses pieds, à les lécher, les sucer, tendit qu'elle passe ses coups de fil. Elle appelle d'abord un ami, puis sa mère.
Elle était en grande conversation avec une amie quand à force de voir son sex nu devant moi,à quelques dizaines de centimètres de ma bouche, je ne pu résister à l'envie de la lecher.
Ma bouche remonte le long de sa jambe et arrive à l'entrée de son sex. Elle me jette un regard mais ne m'interrompe pas.
Je suis en trian de laicher son sex tandis qu'elle reprend la conversation.
Elle mouille abondamment, c'est un régal de la titiller alors qu'elle essaye de continuer ca conversation. Je sent sa respiration s'accélérer, son auditrice aussi.
Je l'entend lui demander.” sofie ca va? tu as laire essoufflée.” - “ oui ma chérie ca va je viens juste de descendre les escalier c'est pour ca.
jen profite pour accélérer mes coup de langue sur son sex.
je sent sofie s'emballer juste avant de dire à son amie d'une voix hésitante. - “ Je vais devoir te laisser. Je suis désolé mais je dois y aller, je suis déjà en retard.”
Elle lui raccroche précipitamment le téléphone au nez.
Elle m'atrappe par les cheveux,attire ma tête encore plus contre elle et pendant que je le lèche, frote son sex sur mon visage en gémissant.
Ca respiration se met à s'accélérer alors qu'elle écarte encore plus les jambes pour mieu me sentir. Encouragé par ses gémissements de plus en plus sonore je la lèche frénétiquement. Son corps se met à trembler de plus en plus fort jusqu'à son orgazme qu'elle acompagne d'un cri de plaisir. Totalement impudique, se moquant éperdument d'être entendue, alors que nous nous trouvons dans le jardin de la propriété.
En plein paroxysme de son plaisir, elle m'enserre avec ses jambes autour de ma tête,m'empêchant presque de respirer. Elle fini par me libérer au bord de l'asphyxie.
je suis a ses pieds en train de reprendre mon souffle.
Son regard se pose sur moi. Affalée dans son transate une jambe grande ouverte, elle me dit avec un regard coquin. - “ humm tu va être une bonne pute toi belle bite. Allez allonge toi sur le dos.”
Finit elle en me montrant le sol d'une main nonchalante.
Me voila nu sur le sol la queue raide comme un piquet.
Assise sur son transate, les coudes sur les genoux, la tête dans la paume des mains. Sophie apprécie le spectacle d'un regard félin
Elle se lève, vient se positionner au-dessus de moi les jambes écartées. Elle me sourit. descends doucement se mettre à genoux.
D'une main elle prend mon sexe bandé en l'attrapant par le gland entre un doigts et son pousse. Le Décalotte doucement avant de le faire entrer lentement en elle. Quand mon sexe rentre en contact avec le sien je sens un frisson de plaisir nous parcourir. Sa bouche s'ouvre doucement et elle enfonce lentement ma queue de toute sa longueur dans son sexe. Elle lâcher un petit souffle qui trahit son plaisir, avant de poser ses mains sur mon torse.
Elle commence à faire des va-et-vient sur ma queue. Je me fais littéralement chevaucher. Je sens notre excitation à tous les deux monter ses mouvements de rein accélèrent.
Quand j'essaye de poser mes mains sur son cul, une gifle monumentale me ramène à la réalité.
“ même pas en rêve belle bite. Me crie-t-elle d’une voie pleine d'excitation. Tu touchera mon cul quand je te le dirai.”
Elle continue à accélérer ses mouvements. Elle se met à gémir des gifles volent sur mes joues. En pleine frénésie, sans un mot elle attrape mes mains et les pose sur ses fesses. Je je les les Agrippent pleinement.
Cette action est comme un signal. Elle pose alors ses mains sur mon torse et accélère encore ses mouvements de hanches.
Je sent le plaisir monter en elle. Elle se met à respirer de plus en plus fort, à pousser des gémissement de plus en plus sonores.
Elle est au bord d'un nouvelle orgasme quand elle me dit hors d'haleine.-” Je t'interdis de jouir. Tu jouiras quand je te le dirai retient toi! ”
Je lui répond oui maîtresse sophie. Ces mots sont un déclencheur pour elle.Son corp est
parcouru de spasmes, ses ongles s'enfoncent dans la chère de mes pectoraux. Elle pousse un grand cri de jouissance,tout son corp se tend de nombreuses seconde et sa tête est tirée vers l'arrière.
Elle fini par s'effondrer sur mon torse. Je sens son soufle dans mon coup.Je lui caresse le dos doucement, ses mains caresse maintenant plus tendrement ma nuque.Ma queue est toujours en elle ,sensible sous l'exitation du moment.
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Si tu ne considères pas la Femme comme une jolie utilité. Si quand tu regardes Son corps, il ne te t'évoque pas le repos du guerrier. Si en voyant Ses seins il ne te vient pas l'idée de les pétrir comme pâte à pain. Si Son sexe n'est pas con, mais temple de vie, de plaisir, de dévotion. Si tu considères Son esprit à l'égal de celui des hommes et Son courage souvent supérieur au leur. Si pour toi la Femme est intelligente, courageuse, sublime et dans cet ordre uniquement, alors approche.
Si tu vois dans la Femme, l'émotion, le goût du beau, l'intense création. Si tu sais que Sa magnanimité pondère Ses jugements. Si tu peux lire dans Ses yeux l'honneur de Son sexe, né de la générosité de Son cœur. Si tu comprends la vérité de Sa colère par Sa patience mise à bout. Si tu connais Son dévouement à apaiser toutes les peines. Si tu entends Sa ferveur à offrir l'harmonie. Si pour toi la Femme est amour, dévouement, générosité et dans cet ordre uniquement, alors approche.
Baisse les yeux, viens vers Moi et écoute.
Tu le sais, tu es né de la Femme
Tu le sais, la Femme est ta quintessence
Tu le sais, la Femme te régénère
Si tu conçois la Femme comme Déesse, tu es prêt
Si tu considères la Femme comme unique créatrice, tu es prêt
Si tu acceptes l'autorité de la Femme comme un bien nécessaire, tu es prêt
Si tu estimes le désir de la Femme au-delà du tien, tu es prêt
Si tu entends la parole sacrée dans les mots de la Femme, tu es prêt
Si tu ne désires vivre que sous la loi de la Femme, tu es prêt
Si tu prends les injonctions de la Femme pour un vœu à réaliser, tu es prêt
Si tu peux obéir sans limite à la Femme, tu es prêt
Si tu peux servir la Femme sans répit, tu es prêt
Si tu dédies ta vie au bonheur de la Femme, tu es prêt
Si tu abandonnes ton âme pour l'âme de la Femme, tu es prêt
Si tu te nourris de la Femme, tu es prêt
Si tu t'abreuves de la Femme, tu es prêt
Si tes pensées naissent de la Femme, tu es prêt
Si tout ces mots ne sont pour toi que fadaises, vas, pars, fuis, l'indifférence de la Femme est ton oubli.
Si par contre, ces mots sont pour toi la vérité des cœurs en offrandes, pose un genou à terre, lève les yeux vers Moi et entend le bonheur qui s'annonce...
...Dans le tréfonds de ton âme depuis le premier jour, tu ressentais ce vide. Longtemps, tu cherchas le pourquoi, le comment, les causes réelles de cette souffrance indicible. Un jour la lumière fut. Dès lors, ta quête fut inlassable. Tu connus des moments de grâce. Tu pus vénérer et adorer, mais ces instants furent fugaces. Enfin, Elle parut. Dans Sa mansuétude, Elle t'éduqua, Elle t’apprit le comportement adéquat qu'un mâle doit t'avoir en présence d'une Dame. Comme toutes Celles de Son sexe, Elle fut généreuse, ne comptant pas Ses heures à t'offrir l'opportunité de grandir, de t'améliorer. Aujourd'hui encore, tu lui sais gré de toute cette énergie qu'Elle déploya pour faire de toi, autre chose qu'un homme. Bien sûr, tu rampais. Mais qu'est-ce ramper quand ramper c'est évoluer ? Bien sûr, tu obéissais. Mais qu'est-ce qu'obéir quand obéir veut dire rédemption ? Bien sûr, tu servais. Mais qu'est-ce que servir quand servir permet d'anoblir ? Bien sûr, tu t'avilissais. Mais qu'est-ce s'avilir quand s'avilir te rend unique ? Alors, d'homme, d'imparfait, d'improbable, tu te métamorphosas, sous Son égide, en un esclave accompli. Plus rien n'existait qu'Elle. Tu fis le deuil des autres, le deuil de toi-même. Ta respiration venait de Sa respiration. Ses pensées étaient les tiennes, Elle ensoleillait ton existence, Elle éclairait tes nuits, Elle te restituait ton âme, réparée, transcendée, parfaitement subtile, parce que simplement en harmonie, avec la Féminité. Esclave, tu respirais, esclave, tu vivais, et pour la première fois, ta vie avait un sens.
Un jour pourtant, Elle te congédia. Non pas qu'Elle fût mécontente, non pas qu'Elle fût lassée, mais le temps était venu pour toi de trouver la Dame de ta vie, Celle qui ferait de toi un esclave à demeure. Cette Femme généreuse t'éleva. Elle te porta en son sein telle une Mère. Une fois de plus, une fois encore, tu pus mesurer l'indéfinissable noblesse de la Femme. La munificence de Son sacrifice, Elle engendre, Elle modèle et offre à d'autres le fruit de Son labeur. Le cœur lourd, plein d'incompréhension, tu pleuras lorsque Son huis se ferma dans ton dos. Les larmes amères mirent longtemps à se tarir. Tes joues ne séchèrent pas avant des années. Qu’est-ce qu'un esclave sans appartenance, qu'est-ce qu'un esclave sans Maîtresse ? Une loque, une épave, un moins que rien, il n'est plus homme, il n'est plus assez faible pour se défendre dans la jungle de l'imbécilité machiste, il ne connaît plus que la douceur d'appartenir et de servir. Tu erras l'esclave, tu dépéris, l'esclave. Tu ne savais plus à quelle Sainte te vouer. Tu vendais ton âme pour des riens, dans des rencontres importunes. Tu passas des annonces dans les journaux spécialisés, tu courus sur les vagues de l'Internet. Tu t'inscrivis sur des sites nauséabonds. Au fur et à mesure, tu te redressas. Le temps efface toutes les peines. Tu pris conscience du legs de la Dame. Tu ne pleuras plus, tu bénis Son nom, la remercia de tout ton cœur pour cette éducation sans pareille. Ta capacité à t'assumer pour être digne de servir revint. Ta dignité naît de ta condition. Madame t’honora du titre d'esclave, tu te dois à cette éducation. Ta fierté est d'être esclave, un mâle prêt au service, à l'obéissance. L'Internet fut dompté, tu trouvas enfin des sites de rencontres et de dialogues convenables. L'esclave en toi parlait à nouveau. La solitude règne encore dans ta vie, mais déjà, ton attitude positive te permet d'envisager d'autres perspectives. Là preuve, Je t'écris ces quelques mots. Je prends la plume pour t'annoncer la grande nouvelle. Le temps est venu pour toi de réapprendre à dire : « merci, Madame.» Le temps est venu de rompre à nouveau devant les désirs d'une Dame et de t'oublier en Elle. Je suis là. J'arrive. Écoute-Moi, entends-Moi...
La Dame est une prière et tu es Son servant. Par tes gestes, ta dévotion, par tes silences, tes renoncements, tu La sublimes et tu exauces Sa volonté. La ferveur de ta servilité, de ton obéissance sont les étoiles de Son firmament. Elle te domestique afin qu'il y ait en toi une once d'humanité. Tu en as fini avec la sauvagerie. Ta part d'homme n'est plus, tu es esclave, tu es mâle, tu intériorises les besoins de la Dame comme étant les tiens et tu renais dans la beauté et la conscience du devoir. Le monde, Son monde est empreint d'une ineffable musique. Cette mélopée t'enveloppe d'une suavité jusque-là inconnue. La Dame te tend Sa main, tu la baises avec passion. Elle te présente Son pied, tu Le lèches tendrement. Elle t'ordonne de La servir, tu t'exécutes avec célérité. La Dame te fouette pour te garder vif et joyeux, tu La remercies avec empressement. Elle te sodomise pour Son plaisir, ton plaisir est immense.
Le bonheur est dans l'appartenance, tu le sais. L’effroyable temps de ta solitude, l’incommensurable abandon d'être sans une Déesse à adorer, t'a fait prendre conscience de la nécessité d'un collier autour de ton cou. Plus jamais sans une laisse, voilà ton credo, ta quête, plus jamais sans une Maîtresse pour te guider, toi petit esclave, sur le chemin de la rédemption de l'homme dans la servitude. Elle pourra tout demander, tu lui donneras tout, non pas par annihilation de toi, mais bien parce qu'à partir de Sa prise de possession, tu n'es plus toi, tu es une part d'Elle. Et comment pourrais-tu refuser quoi que ce fût à Celle dont tu émanes ?
Que sera-t-il de toi ? Ce qu'Elle voudra que tu sois ! Un esclave, oui ! Un mâle reproducteur ou de plaisir, oui ! Un chien, un animal quelconque, oui ! Un meuble, une chaise, un reposoir, une part de son mobilier, oui ! Tu seras dans l'inventaire de Ses possessions, un objet surnuméraire, cependant utile. Le temps n'a plus d'importance, tu n'es plus régit par la montre mais par la volonté de la Maîtresse. En appartenance, il n' y a de place que pour Ses exigences. Tu as tant de temps pour remplir ta tâche, tant de temps pour satisfaire à Son ordre, et pas une seconde de ce temps ne t'appartient. La durée provient de la Maîtresse, tu es la petite aiguille de Son horloge. Il te faut agir vite, mais jamais dans la précipitation. Il te faut agir, précautionneusement, mais jamais trop lentement. Le rythme de Sa musique doit être en toi, comme Son esprit est en toi. L'unisson ne naîtra qu'au prix de ton écoute totale, de ta totale soumission à Ses improvisations de vie. Il te faudra être d'une constante attention qu'Elle n'est qu'un geste à faire pour être satisfaite. Elle claquera des doigts et suivant le code, tu accourras, te prosternera, te coucheras, te lèveras, fera le beau, etc. Elle clignera de l'œil et suivant ce qui fut décidé, tu obéiras dans le millième de seconde.
Tu ne mangeras plus qu'à l'aube de son appétit. Elle te nourrira dans une gamelle, avec des aliments jetés au sol, dans sa main, directement dans la bouche après avoir pré-mâché la pitance que Sa magnanimité t'abandonne. Tu boiras Son champagne ou tout liquide qu'Elle te voudra voir ingurgiter. Ta vie lui appartiendra et tu seras heureux de cet abandon.
Si tu crois en ces mots, si tu veux que ces mots soient vie, viens à Moi. Récite la phrase suprême. « La Femme est une prière et je suis Son servant.» tu dois répéter, cette vérité, en faire une incantation. La Femme est une prière et je suis Son servant.
Viens esclave, entre dans Mon monde. Je te bâillonne ! Je t'aveugle ! Je t'assourdis ! A Ma merci tu es esclave.
Viens esclave, entre dans Mon monde. Je t'éprouve ! Je te flagelle ! Je t'insulte ! Sous Mon joug tu es esclave.
Et tu renais esclave, dans Mon monde. J'incarne la prière ! J'invite à l'admiration ! Je chante en ton oreille ! Mien, tu es esclave.
Et tu revis esclave, dans Mon monde. Je t'asservis ! J'exige ! Je règne ! En Mon appartenance, tu es esclave.
Et tu pleures de joie esclave, tu implores la chaîne esclave, tu quémandes l'autorité esclave, tu supplies de subir le supplice esclave, tu n'es plus rien en dehors de Moi et tu rayonnes, esclave.
Alors, dans l'immensité de cette nouvelle harmonie intérieure, tu lances l'invocation au ciel :
La Femme est une prière et je suis Son servant.
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prenant des poses obscènes et dégradantes pour un homme,tripotant mes parties génitales pour me rendre compte de leur nouvelle état.
-” Tu es bien excité dit moi belle bite. Allez met toi à genoux jambes ouvertes devant moi et branle toi. Je veux te voir jouir..”
Je sors un peu de mon état et suis un peu gêné à cette idée, mais la je me rend conte que sophie ah une main dans son maillot de bain et se caresse aussi.
Je me laisse aller en arrière m'apuyant sur une main offrand ainsi mon sex tendu dans la direction de sofie. De l'autre main, je saisi mon membre et commence à me masturber.
-” Allez belle bite regarde moi dans les yeux quand tu fais ça.” me dit 'elle. Me voilà en train de me masturber devant sofie, nu, à genou au pied de cette jeune fille autoritaire et magnifique...
Quand je la regarde sur son translate une main dans son bas de maillot à me contempler me rabaisser devant elle, quand mes yeux croisent les siens, je n'aie plus qu'une envie contenter le moindre de ses désirs.
“C'est bien belle bite demande moi l'autorisation pour jouir.”
Quand je sent le plaisir monter en moi je lui dit:” sophie je vais venir est que je peut jouir!”
-“oui belle bite” me dit 'elle, un sourire au lèvre.” Jouis ma salope!”
Je ne tien plus je joui et perd toutes notions de réalités et d'espace pendant un court instant.
Je reviens à moi, au moment ou sofie , toujours installée sur son transate m'asperge d'eau .
-”'T’endors pas belle bite. Tu dois me servir maintenant.”
Un peu confus je me ressaisi et déclare - oui sofie.
”aujourd'hui c'est Maîtresse sophie me lance t elle.”
je me corrige - “Oui maitresse Sophie.”
Le reste de la matinée nous voit , elle toujours dans son transate, moi la servant en esclave nu comme un verre. temps tôt lui amenant un verre d'eau, temps tôt lui servant de repose pied. Elle me gratifiant par moment d'une vulgarité,par d'autre instant d'une bonne claque sur les fesses, le tout dans la complicité et les rires...
Vient ensuite l'heure du repa,elle m'habille d'un tablier blanc de cuisine et me demande d'aller lui faire à manger.
je commence à lui cuisiner des spaghettis bolognaise, son repas préféré. Pendant ce temps là, elle s'installe sur la table de jardin et commence à faire ses contes.
Je peux la voir depuis la fenêtre de la cuisine, ne prêtant aucune attention à moi. Cela rajoute à mon humiliation d'être là, à cuisiner pour elle, excité par la situation tandis qu'elle vaque à ses occupations sans tenir compte de moi.
Quand le repas est prêt je lui signale.
Elle me dit depuis le jardin.
-”Enlève ton tablier et sert moi à manger.
je m'exécute. Me revoilà nu comme un verre mettant la table.Une foi qu'elle a fini ses contes je lui sert son repas et un verre de vin, attendant nu à côté d'elle la bouteille à la main et la queue de nouveau raide...
” Ca à l'aire bon belle bite.” Déclare t elle.
Elle porte la fourchette à sa bouche en me regardant dans les yeux.
Je peux voir de la satisfaction sur son visage.- ” C'est délicieux ma pute, bravo.”
Elle porte ensuite le verre de vin à ses lèvres mais dès qu'elle y goûte je comprend que quelques choses ne va pas...
” c'est le vin d'hier ça esclave. Non? ”
” Oui maîtresse ”
“Tu l'as gouté avant de me l'amener? “
Je perçois mon erreur
“ non sofie “
“ Il est éventé.” dit elle .
Elle pose le verre sur la table,claque des doigts en montrant la cuisine et me dit d'aller chercher un autr verre, et une autre bouteille de vin.
“Oui maîtresse.” Dis je, en courant lui chercher.
Je reviens bien vite lui sert un verre et me prosterne à ses pieds, lui demandant pardon.
Elle goûte le nouveau verre et semble satisfaite. Ensuite sofie d'une main me caresse les cheveux, d'une voix ferme et douce à la fois.
- “ allez viens t'asseoir on va manger maintenant”.
Nous commençons à manger tout les deux, je me détend un peu. On rigole, discute de tout et de ce que l'on est en train de faire.
“ Tu es vraiment givré! ” me dit t'elle en souriant.
“Tu te serrai vu courir cul tout nu me chercher une autre bouteille de vin.”
Tu étais ridicule.
Un peu honteux je rougi.
-” Oui je sais, c'est un peu bizarre. Je dois être pervers d'aimer cela.”
-” Ne t'inquiète pas. C'est bizarre mais ce n'est pas grave.Puis j'aime bien avoir mon petit esclave à la maison.Puis pour tout te dire, j'aime bien qu'on m'obéisse et soumettre un hommes et 'l'humilier Ca commence à me plaire.J'y prend goût. ”
Sur ces dernières paroles sont sourires s'élargit.
Le repas touche à sa fin quand sophie me dit :
- “ bon maintenant belle bite tu vas débarrasser et faire la vaisselle, mais avant il faut te punir pour ce mauvais vin servi lève toi! “
Je m'exécute, le coeur battant à la chamade de peur et d'excitation. Je me demande ce qu'elle va bien pouvoir inventer. Je sais qu'elle est pleine d'imagination...
Elle recule un peu la chaise sur laquelle elle est installée. Toujours assise elle me regarde dans les yeux et en claquant des doigts me montre ses genoux.
Je comprend directement ce qu'elle veut et ne me fait pas prier...
Silencieusement je m'installe sur le ventre en travers de ses jambes, mon nombril sur ses cuisses.
Elle me demande de passer les mains dans le dos. Elles me saisis les poignets et les emprisonnes. Le contactes de nos peaux qui se touchent et la situation commence à me faire bander.
Sophie doit sentir ma queue grossir contre sa cuisse.
Elle pose alors son autre main sur mes fesses et les caresse doucement en me susurrant.
“Ca t'excite belle bite hein? c'est ton grand fantasme de recevoir la fessée? “
“oui Maîtresse sophie ca m'excite beaucoup.”
Dit je d'une petite voix un peu honteuse.
“Allez belle bite, écarte un peu tes jambes.”
En silence je le fais. Je suis sur la pointe des pieds les fesse tendues vers le haut.
Elle en profite pour passer sa main entre mes cuisses à fin de me caresser doucement les testicules et la verge.
Tu sais belle bite, j'ai lu qu'il y a deux type de fessée, la petite fessée gentille pour faire plaisir... et celle pour punir.
Tout le long de son discours elle me mettait des petites fessées de plus en plus fort .
Je sentais mes fesses devenir chaude et picoter cela m'excitait doucement, mais sur le dernier mot la claque fut beaucoup plus forte m'arrachant un cri de surprise et de douleur.
Ensuite les coups se sont mit à pleuvoir sur mes fesses de plus en plus fort et douloureux, devenant rapide pour finir en rafale.
Mes fesses me brûle me font mal.Je la supplie d'arrêter. -”pitié sophie j'ai mal,arrête”.
Mais rien y fait.
-”J'arrêterai quand j’en aurai envie! ”
Me crie t elle en repartant de plus belle.
Je suis vaincu je couine à chaque coup je supplie, j'implore. Elle finit par arréter me repoussant en bas de ses genoux.
Je tombe à ses pieds vaincus et épuisé.
Elle se lève me temps un pied et me dit: - “ allez face contre terre, implore mon pardon. “
Je pose ma tête sur son pied et lui gémit pardon sophie,pitié je t'implore. J'implore ton pardon.
“A genoux les mains sur la tête. “ Me dit 'elle.
Je m'exécute,les fesses brulantes. Je la voit aller chercher mon téléphone portable sur la table.
Elle comprend que je suis inquiet.
“Ne t'en fait pas belle bite. je vais juste te faire une vidéo souvenir… “
Elle passe passe derrière moi. Je comprend qu'elle a dut commencer la vidéo...
j'entend ses commentaires. -” Voilà belle bite, et oui c'est ton nouveau nom . Voila je te fait une petite vidéo souvenir pour que tu puisses te branler quand je serais pas là pour t'humilier.. regarde l'état de tes fesses.Tu as le cul tout rouge.”
Elle passe ensuite devant moi le téléphone à la main, braque la caméra sur moi, à genoux les mains derrière la tête
”Alors belle bite,regarde la caméra et dit combien tu es content d'avoir reçu une fessée.”
Je lève la tête toujours dans la même position. Je vois son visage radieu et moqueur regarder le mien au travers de l'écran du téléphone.
”Merci sophie de m'avoir donné la fessée. ”
Dis je un peu honteux.
“Mais de rien ma petite pute. hein oui que tu es ma pute? “
“Oui maîtresse sophie. Je suis votre pute , votre salope male, votre esclave et votre chien. “
Elle se met à rire et me dit : - “ C'est bien ma salope, allez ouvre ta bouche que je la fourre.”
Je m'exécute et aussitôt elle m'enfonce plusieur doigts dans la bouche, et s’amuse à faire des va et vient dedans. Elle rigole toujours et me dit que bientôt c'est son gode ceinture que je vais sucer.Le vas et vient de ses doigts fini par me faire beaucoup saliver et baver.
Elle décide alors d'enlever ses doigts de ma bouche, de me mettre deux gifle et de s'essuyer la mains sur mon visage - “Que voilà une belle vidéo souvenir....” En coupant le téléphone elle me dit de mettre ma tête en arrière et de garder ma bouche ouverte.
Ensuite elle pose le portable sur la table et prend le verre rempli de mauvais vin.
Elle me dit de fermer les yeux et je sent le vin couler dans ma bouche et sur mon visage.
Il ruisselle sur mon corp .
“Allez avale ce mauvais vin que tu voulais donner à ta reine, voilà c'est bien salope.
Maintenant tu va rester un peu nu comme cela pour méditer sur ton erreur.”
Et c'est ainsi que je suis resté complètement nu à genou, les mains derrière la tête, du vin collant sur mon corps. Exposé pendant un temps indéterminé sur le sol de la terrasse.
Pendant ce moment j'ai eu le temps de penser à la situation. Au fait que j'étais en train de vivre mon fantasme après tout ce temps.
Au fait que; oh mon dieu. J'avais montré cette face cachée de ma personnalité à une amie proche. Que je n'étais plus en train de fantasmer derrière mon écran, à parler à des inconnus, mais que maintenant quelqu'un connaissait vraiment cette facette de ma personnalité.
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Je me lève d'humeur ronchonne. j'avale mon verre d'eau ,et ouvre le volet de la fenêtre de ma chambre.
Le ciel radieu de cette belle matinée de printemps,atténue un peu mon humeur. C'est donc avec un léger sourire au lèvre que je descend vêtu d'un unique boxer, pour prendre mon petit déjeuner sur la terrasse.
je descend les escaliers. Me sert un bolle de céréal et sort à l'extérieur pour aller m’installer.
Là quel n’est pas ma surprise de trouver ma coloc sophie étendue sur un transate, vêtue de son petit bikini à rayure blanche et rose.
Je ne vous aie pas encore décris ma coloc sophie. C'est une jeune fille de taille moyenne.
elle doit faire au alentour d'un mètre 65. ces cheveux sont blonds, sa silhouette est fine, et ses sein ont une jolie forme.
Elle possède aussi un joli sourire qui illumine un visage ou la joie de vivre se lit très souvent. Mais son atout majeur reste son postérieur.
Elle possède un cul magnifique. De belles petites fesses bien fermes.
La voyant se dorer au soleil les yeux fermé, je lui signale ma présence en l'interpelant.
-” Et bien alors tombée du lit!? qu'es que tu fais debout à cette heure ?”
Elle ouvre les yeux, me fait un petit sourire en voyant que c'est moi et me répond.
-“Les autres en partant mon réveillée et impossible de me rendormir.”
Elle jette un regard a mon bol de céréales: -” Ah c'est une bonne idée ça, va me chercher un verre de jus d'orange!”
je lui rétorque qu'elle est une grande fille et qu'elle peut se lever.
A cette instant, elle m'envoie d'un ton ferme - “ta gueule salope va me chercher un verre de jus d'orange!”
Je ne vous l’aie pas encore dit, mais sophie et moi sommes très complice.Je lui aie donc parlé de mes penchants pour la soumission.
Loin de trouver cela bizarre, elle s'est montrée très curieuses. Petit à petit au fil de nos conversations, je lui aie fait un peu découvrir cette univers nouveau pour elle. Elle y a vite pris goût.
De temps en temps comme ce matin, quand nous sommes seul tout les deux elle s'amuse à prendre un ton supérieur et à me donner des ordres. Elles les ponctue généralement d'un "salope". Sachant que cela me trouble énormément, et que je vais finir par céder en lui obéissant.
Ce matin n'étant qu'en pijama et sentant une érection naissante qui ne tarderai pas à faire gonfler mon boxer, je ne résiste pas longtemps.
je lui répond : -” oui sophie.”
Elle me fait un petit sourire complice et entendu avant que je file à la cuisine lui chercher son verre.
J'espérais que le temps de lui préparer mes pulsions se seraient calmées mais c'est plutôt l'inverse qui se produit. Ma queue ne fait que grossir dans mon boxer.
En revenant je ne pourrait pas nier que la situation m'excite.
C'est donc très gêné et le boxer prêt à exploser que je réapparaît devant elle.
J'essaye de ne pas me démonter et je rentre dans mon rôle. Je m'agenouille devant elle en lui tendant le verre. -“S'il te plait sofie.”
Elle prend le verre de mes mains, et me dit de me relever.
Je m'exécute. Elle regarde donc la bosse dans mon boxer et ensuite lève ses yeux sur moi.
“Ca t'excite vraiment de te faire traiter de salope?” me dit elle toujours l'aire amusée.
-”oui ça réveille la salope mâle qui est en moi lui répond je géné.”
prononcer ces mots me trouble, mais cela m'excite aussi énormément.
“Nous avons trois jours à passer tout les deux.” Dit elle.-”nos autres colocataires ne rentrent pas avant mardi, et je veux que tu sois mon soumis,cela te tente?
en la regardant dans les yeux, je lui répond -”oui.” D’une voix un peu timide.
Plusieur fois tu m'as dit que si je continuais de te chauffer, tu allais me supplier de te dominer comme une salôpe mâle déclare t'elle.
“J'ai envie de voir cela. Alors, fou toi à poil et offre moi ta soumission!”
Dit t elle d'un ton neutre toujours allongée sur son transate avec son verre de jus d'orange à la main.
Je la regarde. J'ai un peu peur, avant de m'exécuter, mais les mains tremblantes j'enlève mon boxer. à peine libérer ma queue bandée se dresse droite et dur, d'une de ses érections ou la queue est très sensible. Quand celui ci finit sur mes cheville, j'entend sophie avoir un petit gloussement et je vois son regard posé sur ma queue raide.
elle me dit - “Belle bite. Cela va être un plaisir d'en user et abuser.”
Son regard remonte sur le mien avant de déclarer. -”Cela te vas bien belle bite! Ce sera ton petit nom de soumis. Allez supplie moi maintenant belle bite !
Un peu gêné et le coeur battant, mais sous son emprise je me met a quatre pattes maintenant nu comme un verre sur la terrasse de la maison jambes écartées et face contre terre au pied du transate où sophie est affalée,elle vêtue de son petit bikini.
Je mes met à l'implorer t elle une déesse,
- “Je vous supplie sophie de me dominer.Je vous offre ma soumission. Je vous implore de faire de moi votre chose, je serai votre chien , votre esclave votre sex toy et votre petite pute mâle.Ma queue ma bouche et mon cul sont a vous! ”
ton cul et a moi s'esclaffe t elle. -” Alors pourquoi n'est il pas tourné vers moi “!?
Dans la seconde je me retourne face contre terre et derrière bien haut pour lui présenter mes fesses...
Quand j'y pense je devrai avoir honte. Mais au contraire sous l'excitation, j'y prend un plaisir perver.
Elle pousse un petit gloussement avant de déclarer-” Tu sais que je vais te le dépuceler ton cul n'est ce pas? Que je vais te baiser, que ca m'excite grave !dit le que tu le sait me crie t elle.”
Face contre terre, je lui dit oui sophie je le sais .-” Tu sais quoi? ” rétorque t elle. Je sais que tu va me baiser le cul...
-C'est bien belle bite. Maintenant met toi à genou jambes et bouche ouvertes ,mains derrière la tête...
Je m'exécute, totalement excité par la situation et bien décidé à essayer d'obéir à tous ses désirs...
-”Allez cambre toi un peu ma salope fait ressortir ton cul belle bite!!
Me voilà en train de bomber les fesses. Nu comme celà je sent le souffle de l'aire sur mes parties génital et le soleil sur des surfaces de ma peau qui n'en ont pas l'habitude. Cela me procure encore plus de plaisir...
Sofie daigne enfin se lever de son transate. Elle marche autour de moi fait le tour de mon corps en ricanant. Au passage elle me tapote les fesses. ce qui me surprend. je laisse échapper un petit cri de surprise.
Elle me tire alors les cheveux en arrière et me gifle la joue.
Ce n'est pa encore le moment de couiner belle bite s'exclame t elle.
Elle revient devant moi, regarde mes parties génitales et me dit: - “Il va falloir dépoiler tout cela mon cochon!”
Elle se dirige ensuite vers la table de la terrasse où ce trouve une grande boite que je n'avais pas encore remarquée.
Je me demande bien toute les choses qu'elle contient.
Elle en sort un rasoir et de la mousse à raser... elle me les jettes devant moi et elle me dit : - “Allez dépoile toi, je ne veux plus un poil sur tes couilles et ta queu dépeche toi.”
Et elle se rassoit sur le bord du transate, m'observent me raser les parties génitals avec précaution.
Quand je fini elle me dit de me remettre en position, les mains derrière la tête et m'asperge au jet d'eau pour me rincer. L'eau froide me coupe la respiration mais je tien la position. Elle rigole
“C'est bien belle bite allez maintenant remet toi en position face contre terre et cul en bombe comme tout à l'heure quand tu me l'as offert.
je m'exécute.Elle trouve que mes jambe ne sont pas assez ouvertes, et m'ordonne de les ouvrir plus :- “allez petite pute écarte tes jambes…”
Je ne la voit pas mais je l'entend se lever. J'ai un peu peur mais je l'entend le bruit de la bombe de mousse à raser. Puis ensuite en sent sur mon anus et le creux de mes fesses...
Elle pose une main sur l'une de mes fesses et je sent le rasoir commencer à passer sur ma peau.
-”Chut n'aie pas peur belle bite, je ne vais pas te faire mal.” Me chuchote t elle tendrement en me rasant.
- “je te prépare juste le cul pour son dépucelage n'aie pas peur.”
Tout en finissant de me raser elle me caresse les couilles doucement: “ Ca te plait tout ça hein ma petite pute? tu aimes être ma chose...
humm oui dis je en gémissant, j'adore cela sofie.
tu adores quoi mon soumis ?
-J'adore être ta petite pute ta chose sofie.
Elle rigole et me dit que je suis complètement givré.
“Mais moi aussi je commence à kiffer cela belle bite.” M'avoue t elle.
Quand elle finit par être satisfaite de mon “dépoilage” elle se redresse en me donnant une petite tape sur le cul.
Ne bouge pas belle bite...
La voilà qui se remet à me nettoyer au jet d'eau.
Ensuite elle me laisse comme cela et va se réalonger dans le transate.
- “Retourne toi” belle bite me dit elle.
elle me lance alor un flacon de gel douche au visage...
-” Allez lave toi! Fait mousser le savon et fait la salope. J'ai envie de me divertir.” M'annonce t'elle.
A ce moment la je n'aie plus aucune gène ou inhibition, me voilà faisant mousser le savon sur ma peau,
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Après quelques verres et discutions, notre hôte apparut et annonçait la suite....
Enfin, j'allais découvrir ce qui m'attendait....
Muriel à mon bras, je suivais la foule.
Non loin, j’aperçus Serge et Claire qui discutaient sur le chemin nous conduisant à une grande Salle....
La salle était assez vaste, pas grand meuble, ni décoration ne montrant guère l'utilité première de ce lieu...en dehors des jeux....
Au milieu de la pièce se trouvait une table juste assez large pour qu'une personne puisse s'y allonger et pas très longue non plus....
Elle était entouré de ces sièges de prière....donc l'assise était basse avec un petit coussin pour les genoux...et le dossier montant assez haut pour y poser les coudes....
Je souriais à la vue de ces derniers, me disant que les Saintes prières n'auraient certainement pas la même Sainte dévotion...
Il y avait une de ses chaises à la tête de la table et deux autres de chaque cotés....
Le reste de la salle comportait différents fauteuils qui entouraient cette Sainte Table...
Et la pièce était éclairée par de très grandes bougies disséminées ça et là...donnant une atmosphère très intimiste et de quiétudes fortes agréables...
Certaines personnes prirent directement la direction des fauteuils et s'y posant, faisant face à la Sainte attraction...
Je remarquais, ce qui m'amusa beaucoup, que seul les dominants prirent par dans les fauteuils...et les « possédés » restaient soit debout bien à la droite de leurs « Mains », soit directement entre leurs jambes....
Muriel m'indiqua le chemin directement vers la table....
Et je senti la pression monter, et cette gène d'être en spectacle devant d'autres personnes... enfin surtout autant...même si ce n'était pas la première fois...mais j'avoue que je n'ai jamais trop apprécié ce genre de situation avec autant de monde....
Une petite pancarte avec le numéro « 3 » se trouvait sur l'un des dossiers de chaises...
Muriel s'agenouilla dans une élégance féminine remarquable...prenant soin de sa robe...relevant légèrement celle-ci, tout en descendant...et me laissait pleine vue sur le dessin de cette vallée fort « attire l'œil »...
Elle m'invita ensuite à me mettre de l'autre coté de la chaise...vérifiant que la distance me séparant d'elle était suffisante pour œuvrer à son aise...
D'autres personnes prirent part autour de la table de supplice...certains accompagnés comme moi...d'autres seuls...
Quelques instant après, notre suppliciée arriva, toujours accompagnée de son bourreau encagoulé la trainant par sa chaine ...
Le brou-ha des conversations se tue...et tout le mode n'avait d'yeux que pour cette suppliciée guidée vers sa destinée...
Les personnes non accompagnées, au tour de la table, laissèrent libre place à ce convois, pour que la belle torturée puisse s'y installer...
Elle était nue, son dos toujours bien marqué de sa « mésaventure » précédente...
Son bourreau finit de l'installer en lui écartant ses jambes et ses bras, qu'il prit soin d'attacher aux pieds de la table....
Le Maître de cérémonie entra...Le silence fut total...
....
A ces mots, les hommes seuls ouvrirent leurs pantalons...et commencèrent cette danse des Sens de leurs Saint Graal...
Je me trouvais à la hauteur des Seins de la suppliciée. En fasse de moi, un homme très décontracté, buvait sa coupe de champagne pendant que sa compagne s'attardait de sa bouche à dresser cet étendard...
Je sentis les mains de Muriel déboutonner délicatement mon Pantalon, et plongea sa main pour en tirer sa convoitise...
Sa main était un peu froide au contact de ma peau. Mais très vite, je sentis cette « Fierté » être entourée d'une douce chaleur des plus agréable....
Sa bouche était un véritable délice ...
Muriel s'activait savamment dans un doux mélange de va et vient de sa main et des jeux de langue...
Tournant, cherchant le moindre recoin qui me serait sensible agréablement....en ce Graal dressé pour l'honoré de ses gestes des plus fort et surtout délicieux....
Mon esprit ne s'occupait plus des gens qui nous entouraient, ni même de la raison pour laquelle tout cela était fait...en fait je ne voyais même plus ce qui se produisait tout autour de moi, d'elle...
Je me laissais simplement prendre à ce tourment des Sens...
Je ne fus pas le premier à répandre cette sève de supplice... mais je ne me rendis compte que de ce fait...que lorsque je sentis l'instant fatidique...pointer
Muriel sentit ce moment de Moi....
Elle retira sa bouche...
Et en continuant à jouer de sa main, dirigea mon corps pour faire face à la suppliciée...
Cela ne fit qu'augmenter mon plaisir...
Étrangement alors que le changement de chaleur aurait put engendrer l'inverse....tout comme le fait d'être perturber du déplacement....
Elle s'activa encore plus rapidement dans ses gestes...mélange de relâche et serrage de ce précieux Graal en sa main...
Je commençais à trembler...le plaisir était là...ne faisant qu'augmenter...
Je voyais alors les autres hommes, certains ayant déjà sévis, d'autres étant, tout comme moi sur le point de livrer leur sentences....
Je me souviens avant de livrer ma propre sentence, que mon regard regarda furtivement tout autour...
Je voyais juste quelques personnes souriantes, d'autres discutant....
Mais la délicatesse, la dextérité et surtout le plaisir d'exploser ne me permirent pas d'observer plus avant....
L'explosion me fit presque tressaillir, je me retins au dossier de la chaise....Le Jet, dans des soubresauts, se répandit, par à-coup sur le corps de cette belle suppliciée, déjà bien « marquée » d'autres sentences....
Malgré le plaisir qui me fut bien présent, je remarquai que la belle torturée, en fait, ne bougeait quasiment pas....aucun son ne sortait de sa bouche....elle subissait tout simplement...
Mais seulement, lorsque la chaleur de cette Mâle liqueur venait toucher une partie de son corps...elle frissonnait et se contractait par la brusque présence de chaleur....Mais rien de plus....
Je me sentais totalement me vider....et quand, de mon « Don » de supplice il fut finit...Muriel, tout en me souriant, me fit me retourner vers elle....Et de sa bouche termina son œuvre jusqu'à la dernière petite goutte....Nettoyant ainsi cet arme de torture dont elle était l'usagée....
Elle se releva. Me déposa un tendre baiser sur la joue....
Murmura-t-elle à mon oreille....
J'en souriais....
Comment ne pas en être satisfait...Elle avait l'art et la manière de jouer de cette instrument....
Elle reboutonna mon pantalon....Pendant que le dernier finissait encore son œuvre....
Puis tout le monde applaudi de ce dernier livrant...
La suppliciée, que je puis alors vraiment détailler, était totalement recouverte de cette liqueur de Mâles....de la tête presque aux pieds....
Étrange vision de salissure...étrange composante de ce liquide assez visqueux sur le corps joliment nue et fait....
Le bourreau détacha la torturée....
qui une fois fait....s'agenouilla devant notre hôte
Tête basse, bras tendus vers lui...
Dégoulinante et nue....
Bien que j'y pris plaisir, grâce à Muriel, de cette scène étrange....je ne compris vraiment pas l'intérêt d'un tel acte....le plaisir même que cette « torturée » pouvait y trouver....n'est-il que de satisfaire les désirs et vils sévisse de son Possédant...
Mais de cette expérience, j'en garde le fait qu'il ne m'est franchement pas d'intérêt....
Que je le fasse seul sur le corps de celle qui me fait l'honneur d'être pour moi ...oui....et je trouve cela très plaisant...Mais là que cette personne en soit totalement recouverte....et par d'autres......je ne m'y ferai vraiment jamais....
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Histoire d'un passé....bien éloigné, d'un monde que j'ai connu, qui me fit "naître" et "Être"
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Je m’approchais du premier bocal.
La main un peu tremblante, j’y plongeai la main pour en ressortir un petit bout de papier plié en quatre….
Serge, mon « Mentor » en ce Jardin des Sens, se trouvait derrière moi….et je me souviens de son ricanement moqueur à mon sujet….
….
Je dépliais le papier…
En de belles lettres, dans un style d’antan, y était écrit…simplement…
Je montrai à Serge ce bout de papier, avec une petite fierté..
J’avais donc le droit de me présenter devant le deuxième bocal…
Je tendis le papier à notre hôte de « Cérémonie »…
A nouveau, je pris un papier…
Dans la même écriture, le mot « Bukkake » s’y trouvait….avec un nota bene…
Là, fut mon étonnement, je ne savais ce que c’était…
J’ouvris des yeux des plus étonnés, et me tourna vers Serge en lui montrant, alors que lui-même venait de tirer le même papier de « Participant »…
, me dit-il en rigolant….
Je déplaçais alors vers le troisième et dernier bocal, tendant, une fois encore ce papier de providence ou de malchance.. Peut-être…
Un simple numéro se trouvait présent…:
Étrange jeu de chance, mais, je savais que j’allais encore découvrir biens des choses en mes pas de ces jeux de Sens…
D’autant que, Claire et Serge avaient, tous deux, un malin plaisir de se jouer de moi en ne me dévoilant que peu de temps avant « l’évènement » ce qu’il allait se passer…
….
Je me retrouvai avec une multitude de questions quant à ce fameux « Bukkake »…
Une pratique ?
Un accessoire ?
Et puis, à quoi pouvait bien servir ce numéro…..
Mais l’heure n’était pas encore aux réponses…Je le savais…
Nous étions là, dans cette somptueuse demeure, avec d’autres convives depuis près de 2 jours…
Nous avions reçu l’invitation d’amis pour fête l’anniversaire de la Dame des lieux…
J’adorai ces petits week-ends, qui étaient pour moi, la découverte, à chaque fois, de ce Jardin d’indécence …et qui plus est, toujours dans des situations vraiment différentes de ce que j’avais pu vivre jusqu’alors…
Le thème de ce week-end, en sus de l’anniversaire de notre convive, était l’époque napoléonienne….
Et j’avoue, pour la gente féminine, les tenues de cette époque laissaient libre évasion du regard sur les belles robes d’époques…invitation à s’engouffrer sous cette longueur trainante….et laissant deviner les courbes, en de beaux balcons, des Monts de ces Dames…
Mais l’heure fut de se préparer pour l’apéritif….qui sonnait le début des « festivités » encore inconnues …. pour moi
Serge et moi, nous nous étions rendues directement aux bars. Vêtu comme des Nobles de cette époque...
En bottes de hussard, qui claquait à chacun des pas, un « pantalon » d'époque bien moulant, blanc, rehaussées sur le devant par des boutons dorés, disposés sur chaque flan, permettant de laisser l'ouverture facile pour l'accès à cet « instrument » fort utile quand le besoin physiologique se fait présent....(mais pas que...)...Une chemise tout aussi blanche et à l'encolure droite, qui donnait à la tenue de tête un aspect bien strict...Une veste des plus cintrée, dessinant bien le corps, très haut sur le devant, presque à hauteur de nombril, et très longue sur l'arrière, presque comme une queue-de-pie...Le col en était tout aussi droit que celui de la chemise...
Serge avait agrémenté sa tenue identique à la mienne d'un beau couvre-chef, et d'une belle canne, qui, plus tard, servit à ses fins sur sa belle Claire....
A l'arrivée au Bar, nous avions reçu une cocarde, que nous devions arborer sur notre veste...Chaque cocarde correspondait à un thème qui allait suivre...
La mienne avait juste une Lettre « B », certaines avec un numéro en plus, d'autres des lettres différentes....Certaines avec « S », je compris, plus tard signifiait « Spectateur », d'autres avec « F », signifiaient « Fouet ».....
Lorsque je reçus la mienne, en échange de ce fameux passe, on me dit que je devais également profiter pour trouver le « 3 » qui m'était associé....
L'ambiance était des plus conviviales près du bar. J'admirai les belles, mais aussi les messieurs dans ses tenues vraiment plaisantes.
Les discussions étaient des plus variées, allant de la vie de famille aux trouvailles nouvelles de certains à user dans ces Passions des Sens.
J'aimais me retrouver dans ces genres de rencontres, entre découvertes et vivre un jeu de rôle le temps d'un week-end grandeur nature...Un dépaysement total et des plus variés.
J’aperçus alors, une damoiselle, dans une belle robe d'un vert « Pistache », très élégante dans cette tenue qui arborait la fameuse cocarde que je devais trouver...
Elle n'était pas tellement à mon gout physiquement, certes, pas laid, mais loin de mes propres critères de la gente féminine....
Je m'approchai d'elle pour me présenter...et entamait la discussion lui indiquant qu'Elle devait être celle qui devait m'accompagner pour ce fameux « Bukkake », dont, encore je ne savais vraiment rien....
Je me souviens qu'elle fut très amusée que je ne connaisse pas cela....
Ce qui eut le mérite de me détendre ...car il faut bien le dire, malgré cette tenue que j'arborai avec fierté, je n'en menais guère large sur la suite des évènements...Je savais bien qu'il s'agissait là, d'un jeu de Sens....mais parfois, difficile d'appréhender les choses que l'on ne connait pas....
Elle prit soin de m'expliquer les rudiments de base de ce « terrible » tourment...
Elle ajouta simplement, que son rôle, serait qu'elle œuvrerait en lieu et place de ma personne, pour en « tirer » ma Sève, sentence appliquer à la personne tourmentée....et qu'elle s'y appliquerait des mieux qu'elle puisse en espérant satisfaire aussi ma personne dans ce plaisir manuel....
J'avoue que cela me déconcertait quelque peu, mais j'étais aussi présent pour découvrir tous les chants de ce Jardin de Luxure et que l'envie d'en savoir, de gouter plus m'était des plus présent...
Notre conversation fut coupée par notre hôte. Il nous invitait tous, une trentaine de personnes, à le suivre à l'extérieur, et que le début des supplices allait commencer ...Pour la tourmentée....
Une petite estrade était là, dans le jardin, déjà présent, une tribune de discours en son coin.
Une mise en scène d'un bourreau cagoulé trainant au bout d'une chaine la suppliciée s'avançait vers cette estrade.
Notre hôte, dans un grand discourt de juge, annonçait ce qui allait se dérouler....
...
Bien sûr, cela n'était qu'un jeu, ou tous étaient là pour participer, tous étaient volontaires dans ce scénario anachronique...
Mais il faut l'avouer, cela est des plus déconcertant...
Mais cependant, l'excitation, le plaisir subtil des jeux, de la mise en scène m'étaient là...et je n'allais pas partir sans profiter de ce sublime séjour d'en-temps...
Notre hôte continua en invitant à monter sur l'estrade les « bourreaux » affublés de cocarde « F ».
Mon numéro « 3 », qui se prénommait Muriel, était à mes côtés. Elle se « crocheta » à mon bras, un sourire plaisant se dessina sur mon visage, qu'elle me rendit, et nous continuions ainsi, sagement à écouter....
Ils étaient trois, chacun leurs tours, ils se présentèrent.
Montrant, et démontrant leurs matériels et arts particuliers du maniement d'un instrument qui n'est pas à la portée de tous.
L'un d'eux donnait des conseils sur les différentes techniques. (Je me souviens de son accent très prononcé Australien...qui donnait à la scène un côté particulier et très cinéma)
Un autre, au pied de l'estrade, invitait certains à user, dans le vide, de leurs instruments de torture....
J'aimais ces côtés aussi, de découverte et de pratiques. Un enrichissement vraiment plaisant sur les divers Pans de cette Passion. Et qui plus est, permettait aussi de savoir, comprendre, mesurer potentiellement les risques ou pas de certaines pratiques. Tout comme aussi savoir si l'on peut fléchir vers ses affres.
Après le temps des démonstrations et explications, notre hôte indiquait au bourreau encagoulé, qu'il était temps, à présent de se rendre vers la première sentence de la suppliciée.
Chacun emboîtait le pas à cette « funeste » tête de cortège. Il était amusant, de voir que malgré un côté lugubre, ce cortège était très joyeux, et quelque peu indiscipliné. Entre rires de certains, et les coupes de champagne qui claquaient, il avait plutôt l'air d'heureuses retrouvailles....et non de « funestes » suppliques prochaines pour notre tourmentée....
Au fond du grand Jardin de la propriété était disposé des lanternes-tempête qui formaient un grand cercle touchant cette « terrible » potence....
Lentement, l'ensemble des convives prit part tout autour du cercle, à l'extérieur, pendant que le bourreau cagoulé, œuvrait dans l'attache de la suppliciée...
Les trois compères désignés bourreau de la sentence, prirent part dans le cercle, déposant leurs attirails de tortures sur une table déposée là.
Chacun leurs tours, vérifiaient la distance séparant tant la foule amassée que celle de leur cible de choix....
Ce n'est pas parce que cela est une « torture » qu'il ne faut pas prendre de précaution quand même...
Puis l'encagoulé s'éloigna, le Maître de Séance, prit la parole.
Il annonça alors à la pénitente le sort qui lui était réservé et le nombre reçu de « Marque ».....En disant ces mots, il dénuda le dos de la Belle...En releva la chevelure longue, qu'il attacha soigneusement sur le haut de sa tête....
Se recula en sortant du cercle....
....
Et les premières marques apparurent rapidement.....
Des applaudissements venaient parfois ponctuer les prouesses gestuelles qu'effectuait le tortionnaire...
Parfois, l'on entendait une rumeur d'exaltation, parfois d'étonnement....
Cela m'était étrange voir étranger, mais j'avoue avoir plus apprécié la gestuelle dans le maniement de pareil instrument que de la scène en elle-même...
Encore aujourd'hui, même si je trouve parfois beaux ces actes, je n'en suis cependant nullement Friant dans l'acteur...et surtout pas du tout intéressé outre mesure....
J'admirai la capacité de la Belle ainsi torturée et j'étais des plus admiratifs des marques laissées....
La séance fut terminée dans un tonnerre d'applaudissements.
Puis le Maître de cérémonie invitait, qui le souhaitait, à mirer le résultat sur la Belle toujours attachée....
Puis après un temps de « dégustation » de cette Belle attachée...elle fut détachée...
Notre hôte recouvrit cette suppliciée...et nous indiquait qu'il fallait retourner à la demeure pour prendre encore quelques verres avant de passer à la suite....
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La douleur est un thème qui me tient à coeur .
La douleur et le marquage au fer rouge.
Je suis une personne travaillant dans le milieu médical. Je suis également une Dominatrice d'où le paradoxe entre l'idée de calmer la douleur professionnellement et de l'infliger pour le plaisir.
(le mien et celui de la personne que je domine).
Dans tous les cas, je ressent un immense plaisir.
Comme soignante, j'éprouve une grande satisfaction de voir les patients qui me sont confiés, éprouver du soulagement à la suite des soins que je leur prodigue. Il en est de même quand je domine mon soumis, quand je lui administre « les douleurs qu'il aime ».
Douleur : sensation pénible, désagréable ressentie dans une partie du corps : sens premier.
Pour moi soignante , une seule et unique définition : Une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à un dommage tissulaire présent ou potentiel, ou décrite en termes d'un tel dommage.
J'exerce ainsi ma profession dans le respect de la vie et de la personne humaine. Je respecte la dignité et l'intimité du patient et de sa famille. Ce qui implique que je dois reconnaître la personne et sa souffrance dans le respect de la vie.
Il y a aussi bien d'autres définitions de la douleur , moi j'en rajouterai une : sensation agréable et transcendante ressentie par certains êtres humains dans différentes parties du corps. Cette sensibilité que l'on ressent permet d'éprouver du plaisir. C'est la douleur en tant qu'objet de plaisir.
Celui ou celle qui subit la douleur a besoin de l'exprimer par des cris, des pleurs, des gémissements ou mêmes des rires. Cela constitue une décharge émotionnelle qui soulage le corps humain. C'est une nécessité d'exprimer l'émotion créée par la douleur . Le fait de pleurer crier ou autre , calme et apaise. Cela permet l'intégration de la douleur par le corps et la rend supportable .
Dans le cas des masochistes comme le sont la plupart des soumis, y compris le mien , la douleur est souhaitée admise, intégrée à leur mental, recherchée. Elle leur est indispensable. ATTENTION dans la limite de leur douleur et de leur préférence en cette matière. Mais toutes les Dominatrices de qualité savent cela. Cependant, nous les Dominantes savons toutes que les limites de nos soumis sont faites pour être dépassées; et nous les dépassons allègrement avec le consentement de nos soumis.
Il suffit pour obtenir ce consentement de leur laisser le choix « FRANCHIR CETTE FRONTIERE OU PAS ? ». Dans la majorité des cas , ce consentement nous est acquis, sinon au moment même ,du moins quelques temps plus tard. Car les soumis ont à coeur d'offrir ce « DON DE SOI » à leur Dominatrice . Ils ne subissent pas uniquement de manière égoïste.
Le Marquage au fer rouge de mon soumis berny nous a demandé des mois de préparation psychologique. A l'origine , je voulais qu'il porte un tatouage mais cela ne nous convenait pas vraiment .
Berny souhaitait quelque chose de plus définitif . Il pensait déjà au fer rouge tout en le redoutant. L'idée m'a séduite et franchement , MESDAMES, quel cadeau de la part de l'homme qui vous aime . J'ai rapidement accepté. Il a fallut faire fabriquer le fer et organiser la cérémonie. Cela a demandé du temps et de la persévérance. Le jour du marquage arriva , néanmoins lors de cette fête, berny a bougé au moment du contact du fer et gémit. Je n'avais pas appuyé ni gardé le contact avec la chair de berny suffisamment longtemps. Ma marque s'est estompé en quelques mois.
Lors de la cérémonie du renouvellement de son serment d'allégeance, le 12 JUIN 2010, chez Maître FARELL, je ne voulais pas qu'il bouge, ni qu'il crie ou gémisse. Je voulais qu'il soit fort , de cette force intérieure que les hommes savent éprouver et offrir quand ils sont amoureux.
Je voulais que cette douleur que je lui infligeais soit sienne, soit nôtre, qu'elle soit son amie , de par l'amour que nous éprouvons l'un pour l'autre. Je voulais que MA marque soit indélébile. J'ai donc appuyé et prolongé le contact du fer rouge sur la peau de berny.
Il a fallut 4 semaines de soins avant de laisser la brûlure à l'air libre. A chaque changement de pansement , berny me demandait de lui appliquer de l'alcool. (son côté maso) .Sa manière à lui de prolonger cet instant.
Durant le jours qui ont suivi, nous avons beaucoup parlé. Berny a analysé ce qui l'avait fait, pour me donner satisfaction .
Il a fait appel à sa force mentale , d'auto persuasion, d'auto hypnose.
Il s'est aidé de son stress qui a accéléré les battements cardiaques et de sa respiration, en profitant pour forcer le rythme de celle ci. Chacun sait que la respiration joue un rôle primordial dans le contrôle des émotions et des réactions physiques.
La présence du public, était influant aussi. Il ne voulait pas faillir .
Je terminerai en remerciant mon soumis pour l'offrande de son corps et de son âme.
White Lady
.
Je viens apporter mon témoignage sur le marquage au fer qui ne vaut que par ma vérité et ma réalité . En aucun cas je ne prétends que cela est LA vérité universelle . Ce n'est qu'une histoire vécue entre Maîtresse Gabrielle et moi . Mais quelle HISTOIRE . . . Il est certain que chaque couple D/s vivra cette aventure différemment .
Tout d'abord nous sommes , Maîtresse et moi des êtres humains , ce qui régit notre union (libre en l'occurrence pour l'instant) c'est l'amour . Ensuite nous sommes Dominatrice et soumis . Nous vivons comme tous les couples amoureux , des moments extraordinaires , d'autres qui le sont moins .Comme tout le monde .
Quand je dis (union libre ) Ce n'est pas exact , je me sens lié à Maîtresse , par l'amour mais aussi par quelque chose de plus , qui n'appartient qu'à nous autres , les gens du BDSM . Quelque chose que les profanes ne comprennent pas .
Les Dominatrices exigent plus de l'homme qu'ELLES aiment , les soumis donnent plus à CELLE qu'ils aiment .
Cocteau disait "" Il n'y a pas d'amour ,il n'y a que des preuves d'amour """ . Je ne suis pas d'accord avec ça : il y a les deux .
Quand on aime quelqu'un on veut le lui prouver .
C'est ce que j'ai voulu faire en même temps que faire mentir la désillusion contenue dans cette citation .
Un jour Lady m'a posé la question : < Que serais tu prêt à faire pour me prouver ta soumission > Je n'ai pas répondu , je ne savais pas . Nous étions au début de notre relation . ELLE m'a laissé du temps pour Lui apporter ma réponse .
ELLE souhaitait me faire tatouer , cela ne nous semblait pas assez fort .
Bientôt , l'idée du marquage au fer s'imposa dans mon esprit . En effet , quelle preuve d'amour est plus forte ? plus symbolique ? plus significative ?
Quand j'ai proposé cela à Maîtresse , ELLE fut horrifiée , puis séduite . Mais cela ne s'est pas fait en un jour . Il a fallut des mois de préparation psychologique .Moi aussi j'étais horrifié par le marquage au fer . La première fois où j'ai vu cette pratique remonte à mon enfance . C'était dans une bande dessinée "" Barbe rousse "" ( souvenez vous Pilote , Astérix ,) Eric son fils était marqué au fer avant de partir aux galères . Puis Jean Gabin alias Jean Valjean dans ""Les Misérables"" qui se brule lui même . Il y eut d'autres scènes de films ou de passages de livres qui m'ont marqué .J'étais fasciné .
Voilà l'origine de ma proposition à ma Maîtresse . Le cheminement mental a été long pour y arriver . Ma motivation première était "" le don de soi "" à une Personne bien précise . S'est ajouté à cela d'autres sentiments et évènements : amour , envie de vivre ce que je suis , séparation , ne plus perdre de temps , être vrai , accorder mes prétentions avec mes actes , aller au bout de mes choix . . .
La douleur n'a pas été si terrible que ce que l'on peut penser . Entre le moment où Ma Lady avait décidé de me marquer et le jour de la cérémonie , il s'est écoulé environ une année . Nous avons beaucoup parlé de cet acte . J'étais donc particulièrement bien préparé psychologiquement . Cela n'empêche pas ,cependant , l'appréhension , notamment durant les dernières heures avant l'instant crucial . J'ai été marqué deux fois , la première fois j'avais bougé , en raison de la peur , du stress , du manque d'assurance de Maîtresse peut être ( ça ne doit pas être évident de tenir le fer rouge et de l'appliquer sur un être vivant ).
La deuxième fois ,chez Maître Farrell nous étions mieux préparés . Maîtresse m'avait demandé de ne pas bouger ni crier ni gémir . Inutile de dire que j'ai dû faire appel à toute ma volonté pour lui donner satisfaction . Grâce à la volonté et à la détermination on peut TOUT .
La douleur que l'on ressent alors n'est pas la même que celle ressenti lors d'une brûlure involontaire . Et je sais de quoi il est question : je me suis brûlé très souvent au cours de ma carrière professionnelle ( chef de cuisine )
Là , elle est admise , souhaitée , offerte !!! La différence est fondamentale .
Pour moi, la douleur :
"La douleur est pour moi, un moteur. J'en recherche certaines comme j'en redoute d'autres. celles ressenties en périodes BDSM sont évidemment mes préférées. Cependant toutes les parties de mon corps ne réagissent pas de la même manière face à la douleur qu'on leur inflige. Mon sexe et mes côtés supportent difficilement les coups cinglants, alors que les pincements et broyages leurs conviennent parfaitement.
Je pense que chaque être humain est différent face à la douleur ainsi que le seuil de douleur est différent pour chacun. certains ont une résistance physique considérable alors que d'autres sont très douillets. Entre ces deux extrêmes , il y a certainement toute une échelle de valeur.
Les masochistes ont des préférences dans les pratiques SM dont ils ne sont pas responsables. Certains préfèrent les coups d'objets frappants, d'autres les pincements, d'autres les piqûres etc...
Outre les douleurs volontaires en BDSM, il y a celles qui sont provoquées par le hasard des accidents de la vie. Il est évident que les traumatismes imortants ne sont pas ma recherche, tels que fractures, entorses, plaies. Cependant après un tel évènement quand les soins appropriés ont été prodigués, mon esprit se libère de tout stress et la douleur devient exquise. Quand les calmants commencent à agir, le bien être envahit mon corps , alors je le regrette presque.
Il m'arrive souvent de pratiquer un exercice mental afin de canaliser la douleur dans l'attente de soins et de médicaments. J'essaie de l'apprivoiser par la manière de respirer, je me décontracte et j'isole la partie en souffrance du reste de mon corps, de séparer mon esprit de mon enveloppe corporelle. L'auto suggestion est très efficace.
Je me demande toujours ce que ferait une autre personne dans une telle situation. La réponse est invariablement positive, elle résisterait. Donc , moi, je ne peux faire moins, et je me pose une question fondamentale : suis je ou non Masochiste ? Alors, j'essaie de tranformer la douleur incapacitante en douleur plaisir. A partir de là, je rejoints mon état de masochiste et mon cerveau se met à fabriquer les endorphines qui vont aider mon corps à supporter la douleur.
Il y a un autre aspect de la relation à la douleur. Dans une période de souffrance, mon esprit me dicte l'attitude à avoir. Les connections de mon cerveau se mettent en action pour me dire que j'ai mal. C'est que j'existe, que je suis vivant , que j'ai un combat à mener. C'est dans l'adversité, la douleur , les échecs que je me sens le plus vivant, car mon nstinct m'oblige à réagir, à faire en sorte d'améliorer la situation. Je crois que cela s'appelle "l'instinct de survie".
Nous avons tous des méthodes personnelles pour apprivoiser la douleur. Pour ma part, j'en ai une qui consiste à penser à quelqu'un ou à quelque chose d'agréable. Là encore, le plaisir créé par les souvenirs va m'aider à atténuer les effets insupportables de la douleur. Les pensées érotiques ainsi que les fantasmes qui provoquent chez moi le désir sexuel et qui m'invitent à me masturber, et au final l'orgasme sont des moyens très éfficaces contre la douleur.
Je crois que tout être humain voire même tout animal a ses propres auto défenses. Car vivre pour MOI signifie obligatoirement souffrir et chaque être vivant se prémunie comme il le peut contre la souffrance.
La présence du public m'a également beaucoup aidé , je ne voulais pas faillir devant l'assistance . Je m'en étais refusé le droit .
Je terminerai en remerciant Ma Lady , cette marque est la sienne , la mienne . c'est pour ELLE que j'ai subi cette douleur , par ELLE je suis fier de cet acte .
berny
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(...)
Soudain le silence se fait dans la pièce.
Le doigt sur le balancier du métronome, il laisse filer le temps.
Sans même la regarder, il prononce sa sentence.
- Allez stop les caresses... Tout de suite... à l'instant.
Il se lève, boit une dernière gorgée de vin. Il range le métronome, passe à côté de sa soumise, d'une main frôle ses cheveux en bataille et quitte la pièce sans prononcer d'autres mots.
Hagarde, les mains posées sur le sol, la respiration saccadée, elle reste immobile. Elle n'a même pas eu le temps de protester.
Ses yeux fixent le carrelage comme si elle allait y lire une réponse, y trouver une explication.
Enfin son esprit se réveille, la colère monte de cette frustration brutale et injustifiée.
Ses pensées s'affolent, son sang bouillonne.
Elle veut sa jouissance, elle y a droit, elle en a besoin, peu importe les conséquences.
Ses mains s'approchent de son intimité pour finir ce qu'elle a commencé, mais sa conscience la raisonne.
Sa colère est sa force, elle va lui prouver de quel bois elle est faite. Il ne gagnera pas cette fois. Elle ne lâchera rien. Elle ne lui laissera pas entrevoir une once de faiblesse.
Elle tente de calmer son corps mais recommence à trembler. Le froid revient le long de son dos. Elle se recroqueville couchée sur le carrelage.
Son sexe brûlant ne cesse de la torturer.
Elle concentre son esprit sur les bruits qu'elle perçoit.
Les portes sont ouvertes, elle l'entend qu'il remue la vaisselle dans la cuisine.
Elle écoute ses pas qui reviennent dans sa direction.
Il entre dans la pièce, elle ne bouge pas et reste allongée, pour le défier.
Elle calme sa respiration mais fait suffisamment de bruit pour faire comprendre son humeur.
Il pose un plateau sur la table. Il a préparé de quoi la réchauffer et la nourrir.
Il s'installe dans le fauteuil. Il sourit.
-Approche toi, je t'ai préparé un thé chaud.
Elle ne bouge pas. Elle retient ses mots. Elle sait que sa colère, sa frustration peut lui faire prononcer des paroles qu'elle pourrait regretter. Elle rumine dans sa tête et fait un effort pour se contrôler.
Il attend patiemment. Il la connait parfaitement et sait ce qu'il vient de déclencher en elle. Il lui laisse le temps de réfléchir à la situation.
-Relève toi et viens à mes pieds. Tu dois avoir faim. Tu as froid. Viens te réchauffer.
Sa voix est douce, ce n'est pas un ordre, juste une invitation à s'approcher. Il l'apprivoise.
Elle entend cette voix, elle voudrait y résister, elle voudrait continuer à bouder et se montrer insolente.
Elle tremble de froid.
-Je n'ai pas faim, je veux prendre mon plaisir, ma jouissance que vous m'interdisez.
Mon excitation est à son comble, Monsieur.
Mes nerfs à vif. À deux doigts de prendre ma jouissance à ma guise...
Il sourit de l'entendre se plaindre.
-C'est comme ça que j'aime te savoir. Coulante et surexcitée, comme une petite pute.
À ce dernier mot, un frisson intense la fait frémir. Elle ne supporte pas ces termes crus qu'il utilise pour la désigner. Ces mots qui ne font que lui rappeler ce qu'elle devient entre les mains de l'homme à qui elle s'est offerte.
Elle soupire. Les minutes s'éternisent. Ses pensées défilent, elle ne devrait pas provoquer l'impatience de celui qui la possède. Elle a tant besoin de lui, de ses attentions, de sa force, de sa brutalité. Elle aime tant lui plaire, le rendre fier, le rendre amoureux, le faire jouir de plaisir.
-Viens à mes pieds.
Cette fois, le ton se fait plus dur.
Elle doit décider ; se rebeller ou s'abandonner entre ses mains.
Lentement, elle se redresse. À genoux, maintenant elle lui fait face. Il ne sourit plus, son visage est fermé
Leurs regards s'attisent un court instant.
Signe de reddition, elle baisse enfin les yeux, et doucement, à quatre pattes, elle s'approche de lui.
Elle pose enfin les armes. Elle se blottie entre ses jambes tout contre lui.
Il l'a couvre d'une douce couverture et d'une main il lui relève le menton pour la contraindre à le regarder.
- Tu es une belle putain. Un jouet délicieux.
-Merci Monsieur.
FIN
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On profite d'un moment pour s'envoyer en l'air, vive le télétravail! Une pause avant le prochain dossier...
Il arrive dans la chambre, me caresses pour commencer... On baise, il me plugue et me prend en levrette. Le téléphone sonne "Ne fais pas de bruit " il décroche, je mords l'oreiller pour ne pas faire de bruit, je m'active sur sa queue, la bille du plug bouge en moi. Il parle boulot, tandis que je m'empale en quête de mon plaisir. Il raccroche, me prends plus sauvagement
"Oh oui Mon Maître, baissez-moi comme Votre chienne"... j'ai murmuré ces mots, il ne m'a pas entendu...
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Samedi soir. Mon Maître me propose de faire une nouvelle séance de photos. Je prends une douche, me soigne, me parfume, me maquille et m’habille selon ses directives : un bustier, des bas et chaussures à talons aiguille. Lorsque je redescends, je découvre qu’une tout autre séance m’attend. Des cordes sont accrochées à une poutre, et pendent jusqu’au sol, un bâton de bois les relie à environ 1m80 du sol. Il a disposé des bougies, et fait le vide dans le milieu de la pièce. Je découvre sur la petite table l’appareil photo mais aussi la nouvelle badine, réalisée ensemble la veille (une baguette de noisetier ramassée ensemble, taillée, lissée, préparée pour l’occasion). De l’alcool à 70°. Le gel lubrifiant. Foulard. Menottes. Et mon collier. Le programme s’annonce « chargé ».
J’attends sagement, assise, qu’il termine de peaufiner son installation, face le point avec l’appareil photo. J’ai du mal à regarder les cordes en face. Je sens la peur me gagner, plus forte que l’excitation ce soir. On a parlé des dizaines de fois d’être attachée, d’être en croix, et tout cela me faisait terriblement fantasmer. Mais ce soir, je franchis le fossé entre le fantasme et la réalité. Et je réalise ce que cela implique. Je serai bientôt attachée là, je ne sais pas encore tout à fait comment, mais je présume les bras en l’air et les yeux bandés. Je vais réellement, « pour de vrai », être immobilisée et totalement livrée à son bon plaisir. D’ordinaire, cela me rend folle de joie. Mais là, je ne vais pas me livrer de mon plein gré tout le long, cette fois, je serai réellement entravée et sans possibilité de faire machine arrière. Pour un temps et des sévices indéterminés. Il va me falloir franchir un pas de plus dans la confiance.
J’ai un moment de panique : dans ma tête tourne en boucle « mais qu’est-ce que je fais là ??? Pourquoi j’accepte ça ? ». J’inspire profondément en me concentrant sur ma respiration, comme il me l’a appris. Est-ce que je ne fais tout ça que pour lui, pour être aimée de lui ? Est-ce que je veux vraiment tout ça ? La réponse tombe, calme, froide, implacable dans mon esprit soudain totalement vide et apaisé : « Non. Je le veux parce que j’aime ça. Parce que j’aime ce pouvoir de mon Maître sur moi, j’aime ce qu’il me fait subir, j’aime même la peur qui précède. ». Fais toi à cette idée, cocotte, t’aimes ça... Et tu l’aimes, lui. Je savoure cet apaisement et cette certitude. Je reste terrifiée par l’inconnu devant moi mais j’y prends plaisir. Cela fait déjà partie de ce « petit jeu » entre lui et moi. Il me demande de poser entre les cordes, pour choisir le cadrage et les paramètres de l’appareil photo. C’est en voyant les clichés plus tard que je réaliserai, amusée, mon visage tout de même passablement effrayé et ma posture « fermée ».
Tout est prêt. Il me demande de venir et d’amener mon collier. Je sens une bouffée de chaleur rassurante m’envahir et m’agenouille devant lui. Il passe le collier autour de mon cou. Tout mon corps se détend d’un coup, je ressens une joie et une gratitude immense. Je suis à ma place. Soudain, tout devient simple : j’abandonne tout libre arbitre, toute responsabilité, tout questionnement, toute peur, un sentiment de lâcher prise total et d’abandon. Je m’en remets à lui, sans réserve. Je n’ai plus rien à craindre, à faire, à penser, je suis à ma place, je deviens son jouet, son chef d’œuvre, je lui appartiens entièrement et il va disposer de moi à son bon vouloir. Difficile d’expliquer ce sentiment, ce soulagement. Quelque chose peut-être proche de la foi quand on s’en remet à Dieu, ou d’un enfant qui retrouve enfin la main de son parent dans la foule. Une sécurité totale, une confiance absolue. Le frisson de peur reste présent mais devient excitant. Je baise sa main, la place contre mon front. Les secondes sont suspendues et s’étendent à l’infini, je ressens un vide total, un calme que l’hyperactive cérébrale que je suis ne goûte que trop rarement.
Sur son injonction, je vais me placer entre les cordes. Il passe délicatement à chacun de mes poignets les bracelets menottes. Puis me bande les yeux. Soulève mon bras gauche et me fais saisir le bâton. Puis, pendant d’interminables secondes, rattache la menotte à la corde. Puis le bras droit. Le moment tant redouté est donc arrivé, me voilà enchaînée et aveugle. Je l’entends qui s’affaire. J’entends le bruit de l’appareil photo. Je me tiens bien droite, perchée sur mes talons très hauts. Je me dis que j’ai enfin l’opportunité de lui faire honneur. Je vais le rendre fier. Bon, ça part mal puisqu’il doit venir de son pied écarter les miens. M***, la position des jambes, pourtant je le sais ça ! Manifestement, le stress me l’a fait oublier :/
Arrive la badine. Pour une photo d’abord. Puis il parcourt tout mon corps très lentement avec. Je frissonne. Le contact est agréable et excitant mais je sais qu’il ne le sera plus très longtemps. Étrangement, j’ai peur d’avoir mal mais j’attends cela avec impatience. Je ne suis pas maso, je suis même du genre un peu douillette. Mais j’aime le plaisir d’éprouver mon corps, de le pousser dans ses limites. J’aime savoir le plaisir que mon Maître prend à me torturer. J’aime les caresses qui viennent me récompenser, me rassurer entre chaque série de souffrances. Et à la longue, mon corps a fini par imprimer au fond de moi l’association du plaisir et de la douleur.
Les coups de badine commencent à pleuvoir. Pas trop appuyés d’abord, puis un plus fort, qui claque plus sèchement sur mes fesses. Je respire profondément, bloquant l’information « douleur » qui remonte à mon cerveau. Je reste concentrée, je tiens à être forte et à ne pas laisser échapper de cris ou m’effondrer trop rapidement. Je me tiens droite. J’essaye de ne pas trop anticiper ou appréhender où et quand tombera le prochain coup.
La badine cesse, mon Maître fouille mon intimité, déjà très humide. Je me relâche sous ses caresses, le plaisir monte. Un coup de badine claque, je sursaute. Je ne m’y attendais pas. Les caresses reprennent. Je redoute le prochain passage de la badine. Il n’arrive pas, et le plaisir devient plus fort, je me laisse aller. Les caresses cessent brusquement. Un coup de nouveau. Les caresses reprennent. Je n’arrive plus à lâcher prise, trop inquiète. Je me demande si c’est juste pour me torturer qu’il fait cesser le plaisir et me cingle ou si c’est une leçon que je dois comprendre : ne gémis pas sous les coups et tiens toi bien, et idem sous les caresses ? Je ne sais que penser. Je ne peux plus pressentir le coup à venir, ils arrivent en même temps que les caresses. Je m’égare entre la jouissance, la douleur et l’appréhension. Le mélange est détonnant.
Les interruptions fréquentes, pour faire des photos, contempler sa réalisation ou juste me faire peur, me rendent hyper attentive, supra vigilante. Sans le secours de la vue, tous les autres sens sont en éveil. Je n’ai plus aucune notion du temps. Il revient, promène de nouveau la badine. Cette fois, les coups sont plus secs. Il explore des zones nouvelles, frappant sous mes aisselles ou sous mes bras, mes cuisses aussi. C’est nettement plus douloureux que les fesses et je commence à fatiguer, j’ai plus de mal à contenir des cris de surprise ou de douleur. J’ai atrocement mal aux pieds, des fourmillements affreux. Je demande la permission de légèrement rapprocher mes pieds l’un de l’autre, et je bascule le poids de mon corps sur les talons pour soulager la pression. Mes mains, crispées sur le bâton, s’engourdissent.
Il reprend les coups de badine, sur les fesses, et cette fois, les enchaîne sans interruption, à un rythme bien plus soutenu. C’est ce que je trouve le plus douloureux. Bizarrement, je suis plus trempée que jamais pourtant. Cette fois, je crie. Je sens que je perds le contrôle et que je suis épuisée, physiquement et moralement. Ses doigts s’aventurent de nouveau dans mon sexe. Comme chaque fois, et comme il l’avait fait après avoir caressé mon aisselle peu avant, il les porte à ma bouche ensuite. Étrange et voluptueux goût de son propre plaisir. Âcre et transgressif. Au beau milieu d’une caresse, sa main gifle sèchement mon sexe. Je fonds en larmes. Je ne sais pas si c’est la douleur, la surprise, l’épuisement : je suis submergée d’émotions, j’ai le sentiment de pleurer exactement comme on pleure quand on est petite fille. La peur, la frustration, le plaisir, l’épuisement, la gratitude, l’angoisse, l’amour inconditionnel, la fierté et l’envie de le rendre fier, tout se mélange et explose. Je n’ai plus les idées claires. Je me remémore mon safeword, comme une vérification. Je sens que cela me prend quelques longues secondes pour y parvenir. Je n’y ai jamais eu recours et je sais que cette fois non plus, je n’aurais sans doute aucun besoin de le faire. Mais cela m’aide à me replanter un peu dans la réalité.
J’ai du mal à retrouver le fil, l’ordre de succession des événements, comme à chaque fois. J’entends régulièrement l’appareil photo, parfois alors même que mon Maître a ses mains sur moi. Il a du poser l’appareil sur le pied. Il saisit ma gorge, ou m’embrasse. Je n’arrive plus vraiment à suivre. Mes bras et mes pieds me faisaient souffrir mais je ne les sens plus. Je me sens exténuée, je peine à me tenir droite.
À plusieurs reprises durant cette séance, mon Maître a pénétré mes fesses de ses doigts. Je sais que c’est la partie la plus intime de mon être, celle qu’il aime particulièrement posséder. Le tube de gel me revient en mémoire alors qu’il vient dans mon dos. J’appréhende toujours ce moment, terriblement douloureux au départ. J’ai l’impression que ce sera plus facile cette fois, mon corps est tellement ouvert et relâché. J’entends le bruit du tube, je sens la fraîcheur du gel. Je sens son corps contre le mien, son désir. Le mien explose, je me sens heureuse et fière. Ma récompense est là, dans cet instant, dans son envie de moi, dans le fait de sentir qu’il va prendre ce qui lui revient, qu’il va jouir de ce qu’il a construit. Je me sens fière et … complète. J’aime ce moment dans lequel je sens au plus profond de ma chair, dans la soumission totale qu’implique de lui abandonner cette part de mon corps la plus intime, ce moment où je lui appartiens, pleinement.
Je mesure un petit mètre 60 et mon Maître 20 cm de plus. Techniquement, dans cette position, les choses s’avèrent en fait encore plus douloureuses qu’à l’ordinaire. Cette fois, j’ai l’impression d’avoir hurlé de douleur. Mais pas question de safe word, inconcevable de le priver de ce moment et de m’en priver par la même occasion. Je sais qu’après l’intense douleur viendra un plaisir puissant, aussi charnel que cérébral. Un moment de communion, intense, de plaisir violent. Je lui donne tout ce qu’il me reste d’énergie, je prends tout ce qu’il a à m’offrir.
Je pends littéralement au bout de mes menottes, mes jambes tremblent. Mon Maître me décroche doucement et me soutient. Je ne tiens plus debout. Il retire le foulard, je n’arrive pas (et ne souhaite pas) ouvrir les yeux. Il me dépose doucement sur le canapé (heureusement à quelques centimètres, je n’aurais pas pu plus!). Je ne perds pas connaissance cette fois mais je sens que je suis complètement explosée. Caresses, verre d’eau (qu’il me fait boire à petites gorgées, mes mains sont si crispées que je ne peux le tenir moi-même), silence et apaisement. L’after care est comme toujours d’une grande douceur, un bain d’amour, de félicité et de partage. Les pensées s’enchaînent, me traversent, dans un grand et doux désordre. Je laisse filer, je ne cherche plus à avoir de prise sur quoi que ce soit, il y a déjà longtemps que je ne maîtrise plus rien. Je me laisse aller à ce moment qui s’étire à l’infini, avec cette impression d’avoir l’esprit vague et le corps qui flotte. Il m’a retiré mon collier, pour que je puisse mieux respirer, mais j’ai été prise de la panique de l’enfant à qui on retire son doudou. Je ne veux pas le retirer, pas comme ça, je refuse de le lâcher tout de suite. Je le garde serré contre moi, encore un peu. Juste le temps de revenir à moi.
Progressivement, je me sens revenir, comme après une prise de drogues. Le cocktail chimique en moi des hormones de peur, de plaisir, de douleur, redescend peu à peu. Il s’écoule longtemps avant que je ne parvienne à parler. Mes premiers mots seront pour expliquer le fou rire aussi incoercible que quasi hystérique qui m’a soudain saisie : je désigne les cordes et explique tant bien que mal à mon Maître qu’il a là un étrange filet à papillons (et Chrysalides ;) ).
Dès que mon corps l’a permis, je me suis jetée à ses pieds, emplie à ras bord d’amour, de gratitude, et je l’ai remercié. Jamais mots ne m’ont semblé aussi creux au regard de l’intensité du ressenti qui m’animait. Mais à cet instant, même si cette fois, il ne m’a pas imposé de faire face au miroir, je sais que l’éclat sauvage, animal au fond de mes yeux, ne mentait pas, ne trichait pas, ne transigeait pas. Le miroir brut de mon âme. Plus de filtre, je suis moi, face à lui. La Chrysalide de son Ombre.
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Comme il me l'a indiqué je suis montée pour me preparer. Choisir une tenue, rassembler nos jouets, parfaire mon épilation. Je l'entend qui monte, je m'allonge sur le lit, cache mon visage dans l'oreiller. Il pose quelque chose sur moi et me demande de ne pas bouger. J'attends.
Il revient, me bande les yeux, puis un plug. Il me guide, je descends, arrive au salon avant de retirer mon bandeau. La table basse recouverte d'un plaid, une musique un peu étrange, la pénombre, une bougie de part et d'autre de la table. Je me retrouve à 4 pattes sur la table, jambes écartées.
Une fessée à la main pour commencer, la position n'est pas facile à tenir, puis un gode... difficile de me laisser aller, entre plaisir et douleur... les choses s'enchainent gode, vibro, un autre plug... les coups sur mes fesses, l'intérieur de mes cuisses, mon sexe...j'oscille entre orange et rouge... moment de pause où je le suce, et il continue de me fesser.
Je suis allongée sur le dos, poignets attachés à un pied de la table. Les choses se poursuivent... par moment la cire tombe sur ma peau. La tête en arrière, une nouvelle fellation... des sensations... la bille du plug qui bouge, le gode en verre qui s'impose... ses doigts me font jouir à plusieurs reprises. Je reviens à 4 pattes, il me prend sauvagement, l'envie qu'il jouisse... la roulette à dent sur mes fesses... c'est bon...
Le vibro, je me débats intérieurement... c'est trop, je ne peux pas poursuivre... je dis rouge.
Il me détache, me prend dans ses bras, je ne pensais pas dire mon safeword... pourtant... On finit dans un bain, pour débriefer.
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Cafés…
Elle s’était posée sur le divan en cuir blanc de cette salle d’attente de l’hôtel, vraie libellule, sa robe rouge se détachait si intensément qu’elle semblait flotter dans l’air. D’où j’étais ses parfums m’avaient déjà rejoint. Senteurs de violette, de lavande... Chemisier noir et colliers qui dévalaient de son cou jusqu’à ses seins.
C’est à ce moment que j’ai senti la chaleur de sa monumentale poitrine… Je me suis avancé en face d’elle, me laissant glisser sur le canapé en vis-à-vis.
Quand ses yeux se posèrent sur moi elle semblait absente, absorbée dans ses pensées, son regard noyé dans son abondante chevelure blonde…
On a apporté nos cafés, et je me suis avancé vers la table en verre pour prendre un sucre; machinalement, sans pouvoir arracher mes yeux des siens je lui demandé si elle en désirait un; voix rauque pour me répondre "volontiers, un seul, s’il vous plait". Long frémissement dans mes reins, jusque dans mes cuisses. Le désir me prenait.
Je pris conscience des boutons dégrafés de son chemisier, son parfum m’a envahi plus profondément, réveillant mon sexe.
Impossible de la quitter des yeux, je la parcourais en la détaillant, mains fines aux longs ongles, griffes ornées de motifs pourpre et blanc, épaules larges, bras ouverts, jambes claires et lumineuses, cette robe fendue qui dévoilait maintenant une jambe charnue et tendre, un mouvement de son corps qui m’offrait soudain ses bas, et ses escarpins en cuir noir qui m’ont enflammé.
Ma main s’est posée sur ma cuisse, relevant la jambe de pantalon dont un pli brusquement me gênait. Son regard a suivi ma main, que j’ai follement déplacée et posée sur mon ventre tendu.
Sa bouche ourlée de rouge carmin se tordit, elle mordit sa lèvre inférieure, son désir a bondi jusqu’à moi. Je sentis, plus que je ne vis, ses mains se joindre sur sa ceinture en cuir et métal, puis se séparer, et ses doigts glissèrent vers la fente de sa robe.
Sans détacher nos regards figés l’un dans l’autre, dans un même mouvement sa main se faufila contre son ventre, glissant sur sa cuisse chaude, et j’ouvris mon pantalon, lui offrant la vision du désir qu’elle avait fait naître.
Ses doigts devaient certainement se frayer un passage vers sa fente, je reconnaissais maintenant des ondulations que mon regard la supplia de me faire découvrir. Elle écarta ses ses jambes et les pans de sa robe, se rejetant sur le dossier du canapé, m’abandonna ses caresses, ses yeux brûlant ma queue gonflée, que ma main massait lentement sans pudeur, sans vergogne. Je sentais les effluves de son plaisir, rejoignant le mien, je calquais mes ondulations sur celles de sa main, qui variait son rythme. Son souffle me guidait, mon regard se promenait de son visage à son sexe qu’elle avait libéré de son string rose pâle, écarté sur le côté, et je pouvais entendre les gémissements de sa fente mouillée et luisante; je sentais bouillir mon sang et je priais pour ne pas jouir avant elle.
Sa cadence s’accéléra, elle fermait parfois les yeux, elle se lâchait, surveillant parfois ma progression. Je grognais quelquefois, je lui exprimais mon désir, elle caressait ses seins gonflés sous son chemisier, elle décida de presser et de masser ses globes à travers le tissu, cela m’affola et elle s’en aperçut, alors elle planta de nouveau son regard dans le mien; hypnotisé, je la sentis à peine jouir, son corps agité par un tremblement terrible, une plainte arrachée à sa gorge, une secousse et un jet chaud dans sa main, sur ses doigts ruisselants, son poignet s’agita encore, faisant tinter ses bracelets dans cet immense silence, et elle comprit avant moi que j’arrivais au bout de mon plaisir…
Je me sentis brusquement paralysé, une crampe me terrassa, une chaleur intense irradia mon ventre, s’ouvrit un passage dans mon sexe, et allait s’échapper de mon corps.
Elle, je la vis à peine glisser vers moi, elle s’était levée, robe ouverte, respiration haletante, tasse de café à la main, sa main remplaça la mienne, quelques mouvements de va et viens.. Un râle dans mon orgasme, et elle me rejoignit avec un petit cri, mon jus s’échappa, elle guida mon gland et son café reçut ma crème chaude…
Dans mon regard bouillant je la voyais agenouillée devant moi, son bras appuyé sur ma cuisse, elle porta sa tasse à ses lèvres, et je la vis boire le contenu, ses yeux me parlaient, je ne sus que lui dire « Avale tout"… Sa voix rocailleuse et chaude me répondit "J’ai tout avalé, jusqu’à la dernière goutte"…
Sa langue passa sur ses lèvres avec une lenteur mordante, je sentais ses parfums et ses senteurs de femelle m’envahir, je ressentis un dernier soubresaut, sans savoir s’il venait d’elle ou de moi, peut-être même de nous deux.
Elle se releva, se retourna pour poser sa tasse, fit un pas en avant, remis en place ses vêtements que la tornade avait malmenés, le temps que je me redresse, que je me lève, elle s’était rajustée, elle prit son sac en bandoulière, rajusta ses lunettes sur ses yeux, se retourna.
« Au revoir, monsieur »….
Je n’avais pas encore rhabillé qu’elle avait disparu, me laissant seul avec l’odeur de notre plaisir.
Déjà elle me manquait.
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Ce texte est publié sous forme d'article avec l'aimable autorisation de sa rédactrice, Hamadryade.
"Parfois on me pose cette question, mais bien souvent, je croise des Dominatrices qui finissent par baisser les bras, par ne plus y croire, totalement désabusées et déçues par tout ce à quoi elles sont confrontées au quotidien.
Alors me concernant la réponse est simple, j'ai cru être Domina, mais le constat était sans appel, ça n'a jamais été le cas. Être autoritaire et indépendante dans le "civil" ne suffira jamais à faire d'une femme une dominatrice. Correction d'itinéraire en cours de route et aucune marche arrière envisagée ou envisageable. Sujet clos.
En revanche pour les Top-ines et les autres, pour ces FEMMES réellement dominantes et qui désespèrent de trouver le compagnon de vie qui saura se soumettre à leurs désirs à ELLES .... j'ai souvent de la peine et donc j'a eu l'envie de leurs prêter main forte et de leurs apporter tout mon soutien.
Du coup, suite à un post de Madame-L sur le mur général (https://www.bdsm.fr/murgeneral/wall/comment-id_17664/) et aussi à une question sincère d'un switch demandant où le bas blessait, je me suis amusée à tirer quelques fiches de soumis au hasard et à faire un petit (vraiment petit je vous le promets) florilège de tout ce à quoi ces femmes sont confrontées et qui finit par leur donner envie de rendre leurs cravaches.
Je n'ai trouvé aucune fiche n'exigeant pas, aucune fiche respectant les femmes auxquelles ces descriptions sont destinées. Parfois des profils totalement fermés ça oui, et alors ne vous étonnez pas de n'intéresser personne, mais pas une seule fois un profil qui sorte de l'ordinaire, qui donne envie d'en savoir + sur celui qui l'a rédigé. Bon je n'y ai passé que 15/20 minutes au max, et donc ma sélection n'est ni complète ni même objective, mais elles se rapprochent malheureusement énormément de cette triste réalité.
Alors voilà messieurs, pourquoi finalement vous ne trouvez jamais Domina à vos fantasmes. Vous ne vous concentrez que sur vous-même, oubliant systématiquement qu'avant d'être inscrite sur un site tel que celui-ci sous l'étiquette domina, celle que vous recherchez EST D'ABORD UNE FEMME. Avec des goûts, des envies, des attentes, des espoirs, des fantasmes de FEMME. Leur domination, ce n'est que la cerise sur le gâteau, que ce petit truc en plus qui pourrait transformer la relation que vous pourriez établir (avec beaucoup plus d'humilité pitié) avec l'une d'entre elles, en quelque chose de merveilleux pour vous 2.
Mais tant que vous ne fantasmerez que sur de la Dominatrix de papier glacé ou de pixel, alors vous aurez la garantie de devoir faire face à déceptions sur déceptions. Oubliez les récits fantasmés qui pullulent sur le net, les bandes dessinées érotiques, les images mises en scène, les livres gynarchiques etc. Oubliez tout ce fatras qui vous encombre les neurones et regardez avant tout en chaque Domina la FEMME. Tentez de la découvrir, de la séduire, de la faire vibrer émotionnellement, ne lui parlez pas de vos envies et autres exigences, apprenez à découvrir ses attentes à elle et je vous en supplie restez humble et oubliez toute l'obséquiosité dont vous croyez obligé de remplir les messages que vous lui envoyez. C'est insupportable. Stop les "divine Maîtresse", les "Oh ma Reine" et autres fadaises. Vous ne les connaissez pas et il n'y a qu'une minuscule chance qu'elles puissent devenir un jour VOTRE Maîtresse. La politesse ce n'est pas du léchage de pompe et du passage de la brosse à reluire, la politesse vous l'avez apprise enfant, c'est bête comme chou et ça change vraiment la donne.
Voici donc un petit florilège des passages que j'ai pu trouver sur vos profils et qui vous garantissent un échec en 2 secondes chrono :
La recherche tout zazimut, peu importe le flacon tant qu'il est sûr d'avoir l'ivresse
"La Maîtresse d'une vie ! ...ou une Maîtresse d'un moment... ou éventuellement une soumise..." / "relation bdsm, soumission avec femme, homme, couple" / "femme couple homme trans"
la recherche ultra ciblée (il sait ce qu'il veut mais qu'a-t-il a offrir en retour ???) dit aussi le soumis liste de courses
"Recherche réel suivi : contraintes, humiliation, punitions corporelles" / "A la recherche d'une dominatrice maniant douceur et sévérité qui saura prendre en compte mes divers goûts..." / "Fétichisme cuir et naturisme souhaité." /
"attache, enfermement, stage, obéissance, contrainte, services divers.. soirée privée, multi couples... chasteté et travestissement "léger" possible / "Soumis soft ! jeux humiliation !!! Fessés, gifles, uro" /.
Je souhaite rencontrer des femmes black, dominatrice, vêtue d'un uniforme. Des femmes très sévères impitoyables ne cèdent pas aux soumis, pour réaliser des jeux de rôle, basés sur la domination féminine. Des spectatrices pour humiliation, seront les bienvenues."
la recherche dont tu sais que tu vas te coltiner tout le boulot et que tu n'as pas intérêt à relâcher une fois la bride sinon ça serra la preuve que tu n'es pas une vraie domina
"soumis a éduquer par une femme autoritaire" / "une maîtresse qui me prenne en main qui me dresse" / "je cherche une maîtresse qui pourra éduquer le jeune novice que je suis."
la recherche qui te garantit que ta jouissance et la queue de ton gars, bah tu peux oublier tout de suite. T'es Domina merde, tu n'as pas le droit d'aimer te prendre un coup de bite, c'est indigne de ton rang.
" Je ne recherche pas de relation sexuelle (à proprement parler) mais une utilisation forcée et quotidienne au gré de la Volonté de la Maitresse." / "passif soumis je suis aux désirs et offre mon corps de soumis aux jeux de mes maitres".
la recherche qui te fait dire que le gars ne veut surtout pas devoir aller pointer à l'usine, toi tu fais bouillir la marmite, lui il attend que tu rentres pour le fourrer avant que tu ne fourres la dinde parce que "oh mais Maîtresse vous faites tellement mieux à manger que moi"
"Mariage gynarchique" / "très soumis, gynarchiste, âme d'esclave"
la recherche MOI JE (souvent chez les jeunots, ils viennent de quitter maman et z'ont peur tout seul le soir)
"Je recherche une domination de préférence suivi afin d'accroître mon expérience et découvrir de nouveaux plaisirs." / "je cherche une maîtresse qui pourra éduquer le jeune novice que je suis."
la recherche ethnologique
"Je suis a la recherche d'une Damme voulant bien me dresser et faire de moi son sujet d'expérience..."
la recherche cadrée dans le temps (Madame l'officielle part en vacances avec les enfants chez belle-maman, alors c'est maintenant ou tout de suite putain !!!)
"A disposition cet été pour être placé en soumission domestique et sexuelle"
Et tout ça n'est qu'un extrait minuscule de ce que l'on peut lire sur vos profils messieurs .... je suis certaine que les Dominantes de ce site ont du beaucoup plus lourd en stock.
D'ailleurs Mesdames si vous souhaitez partager tout ce qui vous insupporte (sans citer de pseudo, merci) ce post vous est offert. Et vu la masse de soumis en recherche de collier, même si seulement 2% d'entre eux évoluent un peu après cette lecture, ça fera déjà du monde ;)
Ajout de Team BDSM :
A lire également : https://www.bdsm.fr/annonces-dominatrices/
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Pour vous mettre dans l’ambiance.. Monsieur :
https://www.youtube.com/watch?v=NLzy84_TM58
L’automne approche. La nature se pare de couleurs féeriques : d’or, de rouge sang, de vert…
Je suis allongée chez moi, les fenêtres sont ouvertes, les volets fermés. Le vent caresse mon visage. Je m’enfouis dans les oreillers et je me suis emmitouflée dans la couette.
Dehors l’orage gronde. La pluie frappe sur le velux. Mon cœur palpite. J’adore cette atmosphère faite de tension et de sérénité. Au final cela me berce.
Je me réveille en sursaut. Je devine une ombre sur moi. J’ai tellement envie de crier que rien ne sort. Je sens une main qui s’abat sur ma bouche et un couteau sous ma gorge.
- Ne bouge pas ma belle. Si tu es sage et que tu écoutes, tout ira bien. Comprends -tu cela ?
Ma tête hoche machinalement un oui. Mon regard est apeuré. L’homme porte un masque noir, il est habillé de noir. Il m’attache solidement avec du scotch les mains et il fait de même avec ma bouche.
Puis il m’embrasse avec violence.
Il me sort du lit. Je suis nue. Je me sens honteuse dans cette tenue. Il prend mon peignoir situé à côté de mon lit. Il m’ordonne de le mettre. Sans ménagement il me pousse et me plaque contre le mur. Je vois son regard sombre plonger dans mes yeux. Il balade le couteau sur ma poitrine. Je me fais naturellement docile. Il m’empoigne, nous descendons les escaliers.
Il me pousse hors de chez moi. Je suis pied nu. Je sens le sol mouillé sur mes pieds et la pluie s’abattre sur mon visage. Je vois ce van garé non loin de chez moi à l’abri des regards. Il me pousse à l’arrière du véhicule. Il n’y a aucune fenêtre. Le sol est recouvert d’une sorte de tapis. Tout au fond de ce van, je vois une chaine et au bout un collier.
Je voudrais me débattre mais il me tient fermement par le bras. Il me jète au sol et m’enchaine avec ce collier. Il le referme avec un cadenas qu’il met dans sa poche. Il m’enchaine aussi les pieds. Il me met une cagoule sur le visage et me recouvre d’une couverture.
J’entend les portes se refermer. Le van démarre. Plein de questions dans ma tête, que va-t-il se passer ?
A bout de nerf, fatiguée. Je m’endors, quand le van s’arrête. Je l’entend monter et se saisir de mon bras pour me relever. Il enlève la chaine retenant mon collier.
- Avance. A partir de maintenant, tu seras une bonne petite chienne. Je vais t’éduquer en tant que telle. Si tu n’es pas sage tu seras punie, si tu ne fais pas d’effort tu seras punie, si tu n’es pas assez rapide à mon goût, tu seras punie.
Je marche pied nu, je sens le claquetis de chaines à mes pieds. Je marche avec difficulté. Le sol est froid. Il me tient très court. Je sens que ma difficulté à marcher l’excite. Je ne sais pas où nous sommes.
Une porte s’ouvre, puis nous descendons des escaliers. Ainsi privée de ma vue et entravée, je sais que je ne peux pas fuir.
Là il déchire avec le couteau mon peignoir. Je me retrouve nue. Je frisonne.
- A genou, tout de suite.
Comme je ne suis pas assez rapide pour lui, il me pousse encore plus rapidement sur le sol.
- Voila où est ta place. A mes pieds petite chienne.
Il enlève la cagoule qu’il m’a mise. La lumière m’aveugle. Je ne réalise pas où je suis. Tout est encore flou. Il s’amuse de cet état. Quand je vois une cage…
Il retira d’un coup net sur le scotch, caressa mes lèvres et m’embrassa.
Il me tire par la laisse et m’invite à m’y m’installer dedans. Je rechigne à m’y rendre. Alors il se saisit du martinet, et un coup s’abat si fortement sur ma croupe que j’accelère le pas pour m’y rendre.
- Il te fallait plus de motivation à ce que je vois.
Je passe mes mains à travers ma cage dorée. Il aime voir mes mains sur ces barreaux où seul lui détient la clé.
Il vaque à ses occupations et me laisse nue. Mon corps frissonne par les émotions que je suis en train de vivre. Je meurs de soif. Au sol une gamelle remplie d’eau.. Vais-je lui donner ce plaisir ?
Ma gorge est si sèche que je ne peux m’y résoudre. Je lape l’eau dans ma gamelle. Me voilà en chienne comme il aime.
Il s’approche de moi avec une bassine d’eau.
- Donne moi tes mains. Je les passe à travers les barreaux. Il me lave mes mains.
- Puis il me demande de lui donner un pied, puis l’autre pour les nettoyer.
Je veux que tu sois propre pour dormir. Demain je m’occupe de tes orifices.
Cela me fait frémir.
Il ferma les rideaux autours de ma cage et se coucha juste au dessus dans son lit.
Enchainée, prisonnière, je tentai de trouver le repos.
Puis il entre-ouvrit les rideaux et m’observa. Il aimait voir mon regard apeuré et résolu.
Il ouvrit ma cage et m’ordonna de toujours rester à quatre pattes. Je ne sentais plus trop mes jambes. Je voulais marcher. Il me conduisit aux toilettes afin que je puisse me soulager. Ce fût un des rares moments d’intimité où je me retrouvais avec moi-même. Il prenait le contrôle sur moi.
Puis tout commença. Il m’attira à la salle de bain. Il retira mes chaines et mon collier.
- Lave- toi et brosse toi les dents.
Il aimait m’observer, tous mes faits et gestes. Il prenait plaisir à voir comment je m’occupais de moi.
Sortant de ma douche, il me demanda de me mettre à quatre pattes sur une serviette qu’il avait mis au sol.
- Tu vois ma petite chienne royale, je prend soin de toi.
Il me secha et replaça mes chaines et mon collier.
Là Il plaça un doigt dans mon petit trou du cul. Je poussais un cri.
Pour continuer… https://www.youtube.com/watch?v=9x3meY7qKO0
D’un seul coup, il tira sur mes cheveux pour me relever.
- Alors on n’ aime pas mes caresses ?
- Si Monsieur.. Merci Monsieur.
Il me claqua les fesses pour mon manque d’éducation.
Il se mis à ma hauteur face à moi. Il me regarda :
- Vois tu, petite pute, je veux que tu sois totalement propre pour ce que je vais t’offrir.
- Je te veux calme et détendue.
Il saisit une poire de lavement. Il s’assura que l’eau était à bonne température. Il la plaça dans mon cul et commença à me remplir… Il me nettoya jusqu’à ce que l’eau soit claire. Je me sentais humiliée de me faire ainsi lavée.
- Voila qui est parfait… Rien ne vaut une petite chienne bien propre pour se faire enculer comme il se doit.
J’étais rouge de honte. Il disposait de mon corps. Je voulais protester, mais il plaça un mord dans ma bouche.
Il me replaça dans ma cage et referma le rideau. Il jouait avec mes nerfs, avec le temps.
Il revena avec mon petit déjeuner. Il me fit manger dans ma cage un plat assez léger.
Plus tard, Il me demanda de m’approcher des barreaux, d’ouvrir ma bouche et de sortir ma langue comme une bonne chienne en chaleur le ferait.
- Ouvre bien grand ta bouche de salope. Je vais te baiser. Je ne veux pas sentir tes dents.
A ma grande surprise je m’exécutais. Il sentait son sexe grossir dans ma bouche, butter contre ma gorge. Il travaille à ce que je devienne une bonne chienne suceuse.
- Allons te faire belle.
Il me sortit de ma cage.
- debout !
Il tourna autours de moi. Je baissai le regard. Droite, la poitrine redressée, il prit mes seins dans ses mains et les malaxa. Je souris. Il me gifla, tira mes cheveux en arrière. Je sentai ses crocs dans mon cou. Je sentais son parfum. Il me rendait folle de désir.
Là il entreprit de me bonder. Il aime voir les cordes comprimées mes seins, m’empêcher de me mouvoir complètement, de tendre une corde sur mon sexe.
Mes mains furent attachées dans le dos. Il me mis sur le lit, lia mes cuisses à mes jambes. Et me laissa ainsi sur son lit, les fesses relevées telle une putain prête à se faire prendre, impossible de pouvoir me mouvoir.
- Tu es une vilaine petite chienne. Pour ça tu vas être punie.
- Oui Monsieur, je vous remercie de me traiter ainsi.
Il me caressa avec les lanières du martinet, puis mis un coup sur mon dos.. Je râlais, alors il continua un second sur mes fesses. Il aima me voir soupirer, bouger pour essayer d’éviter les coups, il aimait me corriger, me remettre dans le droit chemin.
- Voilà des fesses bien rouges comme je les aime.
Puis Il se mit face à moi, il s’agenouilla et me regarda droit dans les yeux. Il mis un gant. Il vit mes yeux s’agrandir.
- Est-ce que tout ceci va rentrer ?
Je voulais me débattre.
- Il te faut te calmer, si tu ne veux avoir mal.
Là, il me caressa le visage, le dos. Je sentis sa langue s’abattre sur mon clitoris.
- Hum, comme tu mouilles petite putain.
Il titilla mon clitoris, l’aspira tout en mettant deux doigts dans ma chatte. Cette caresse me fit monter au plafond tellement c’était bon. Puis tout en continuant il mit un doigt ganté dans mon cul.
Je me pus retenir un cri de plaisir. Puis il continua et délaissa ma chatte. Il introduisit un second doigts.
- Hum ton fion est bien serré mais je compte bien en venir à bout. Et l’élargir pour qu’il soit autant accueillant que ta chatte, petite salope.
Là il fit des va et vient. Je sentais mon fion douloureux céder à la pression. Il en mis un troisième. Il prit son temps. Il tourna ses doigts, rajouta du lubrifiant…
- Un quatrième pour ma salope.
Il me fouilla. J’entendais le son de sa satisfaction.
J’avais mal, c’était très douloureux. Je sais qu’il veut y mettre son poing. J’en ai toujours rêvé, cela m’excite mais la douleur est là. Il continue à me caresser le clitoris.. Il me fouille le cul, si profondement.
- Eh bien petite salope, on y arrivera, ne t’inquiète pas. Nous avons tout le temps.
Puis il retira ses doigts. IL me fit sucer un gode. Il le plaça dans mon cul. Il me libéra les jambes, les bras et je me retrouvais à nouveau dans ma cage.
Un peu plus tard, il revient. Mes mains tenaient les barreaux. Je le regardais droit dans les yeux en pure provocation.
Il me regarda avec son regard bleu.
- Place moi ton cul au bord.
- Plus vite.
Il mit sa queue dans ma chatte et me bourra si fortement. Chaque coup était si fort, si bon.
- Tu n’es qu’une petite putain.
- Oui monsieur.
Puis il éjacula sur mes fesses à travers la cage.
- Ne bouge pas !
Il m’observa le cul avec sa semence.
- Quelle bonne petite chienne, c’est tellement bon de te baiser.
Puis il m’essuya le cul.
Le week end ne faisait que commencer…
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https://www.youtube.com/watch?v=E3VImQbeOsY
Je me réveille dans une pièce sombre, humide. Ma mémoire me fait défaut. Ma tête me fait mal, mes idées ne sont pas claires. Je suis assise sur un banc en métal froid. La lumière froide au plafond clignote provoquant un stress. Je pose un regard sur moi. Je porte une chemise blanche avec des sous vêtements en coton.
Je me lève pour ouvrir la porte. Elle est fermée. Je regarde à travers cette sorte de hublot pour voir où je suis. La tension monte. Je crie : « Est-ce qu’il y a quelqu’un ? ».
Je ne reçois aucune réponse. Je tourne en rond dans cette pièce. Quand je vois des yeux me regarder à travers ce hublot. La clanche s’abaisse.
- Bonjour Sujet 11.
Je regarde ces trois personnes pénétrant dans cette pièce. Ils portent des blouses blanches avec un masque sur le visage. Je ne peux que deviner leurs regards. Leurs voix sont graves, ne laissant filtrer aucune émotion.
- Qui êtes-vous ? pourquoi suis-je là ?
Je ne reçois aucune réponse. Deux des hommes s’approchent de moi. L’un me maintient fermement par les bras, tandis que l’autre arrive avec une camisole. Je me débats de toutes mes forces comme une furie. Mais en vain, ils sont bien trop fort. Je suis épuisée de lutter. Dois- je me résigner ?
L’homme au regard glacial s’approche de moi, plonge son regard dans le mien. Il me relève le menton avec sa main.
- Sujet 11, êtes- vous prête à vous laisser faire ? vous n’avez aucun échappatoire.
Résignée, je baisse les yeux et ma tête. Je sais que je ne peux lutter. Ils me sortent de la pièce et me jette sans ménagement dans une pièce toute capitonnée. Je devine que je suis dans un hôpital. Je suis prisonnière sans savoir comment je suis arrivée ici, ce qu’on attend de moi.
Je m’endors ainsi, complètement immobilisée, à la merci de ces personnes. Je me réveille en espérant que ceci n’est qu’un mauvais rêve. Je me sens observée. Je vois alors des caméras me regarder. Je crie.
- Mais qu’attendez vous de moi ?!!!! Ca vous plait de m’épier ainsi ? Espèce de pervers.
Deux hommes pénètrent rapidement dans cette pièce et me tire de là. Me tenant de part et d’autres par les bras, je ne peux que suivre le ryhtme. Nous pénétrons dans une pièce d’un blanc immaculé. Il me plaque contre un mur.
- Ne bouge pas.
Toujours ces regards sombres et ces masques. Ils m’enlève ma camisole.
- Enlève tes vêtements Sujet 11
J’ai tellement envie de ne pas obéïr mais à quoi bon. Quand soudain je sens des jets d’eau sur moi. Un des hommes me tend un savon.
- Lave toi !
Je m’empare du savon au sol. Je suis nue. Ils peuvent alors regarder mes seins s’être dressés au contact de l’eau, regarder mes fesses, mon corps. Je me sens humiliée, exhibée.
L’eau s’arrête, l’eau goutte de mes cheveux pour s’abattre au sol. Quand l’homme au regard bleu fait son apparition. Il s’approche de moi.
- Que me voulez-vous ? redis je encore une fois.
- Sujet 11, je ne t’ai pas autorisé à parler.
- Mais de quoi parlez- vous ?. Je suis ici contre mon gré.
Là il demanda à ses deux assistants de me tenir les bras. Il avait dans la main un collier en métal avec une boucle à l’avant.. Il me le passa autour du cou. Puis il fit de même avec mes poignets, des bracelets en métal, et ensuite avec mes pieds.
Je tremble, j’ai peur.
- Ne t’inquiète pas sujet 11. Il ne va rien t’arriver si ce n’est que de belles choses. Tu es destinée à servir au plaisir de ton Maître.
Je suis déconcertée.
- Nous allons procéder à quelques examens. Je te conseille vivement de ne faire aucune résistance. Accepte à présent ta nouvelle condition, Sujet 11.
- Mais arrêtez de m’appeler ainsi !
https://www.youtube.com/watch?v=hCpAdYrzlW8
Là il me saisit la gorge et serra.
- Ce n’est pas toi qui décide comment on t’appelle. Tu es le sujet 11. J’excuse ton écart puisque tu ne connais pas toutes les règles. A partir de maintenant, toute forme de protestation, de rébellion sera sanctionnée. Puis il me gifla.
- Est-ce bien clair, sujet 11 ?
- Oui ça l’est.
Il me re-gifla une seconde fois tout en me regardant dans les yeux. Je le regardai, interdite, je ne comprenais pas..
- Oui Monsieur est la réponse que j’attend.
Tout en baisant ma tête et les yeux
« Oui … Monsieur » dis- je à voix basse, résignée.
- Emmenez là dans la chambre des examens afin qu’on vérifie sa vulve et son anus. Nous devons inspecter chacune des parties de son corps.
D’un seul coup je frémis. Sans force, on me conduisit dans une autre pièce. Je levais les yeux, voyant les lumières défilées au dessus de ma tête. Là on m’installa dans une grande pièce sur un tabouret. On enchaina mes pieds à ce dernier et mes mains furent attachés au dessus de ma tête à une poulie qui descendait du plafond.. Je ne pouvais m’échapper.
Cet homme, au regard bleu s’y trouvait ainsi que d’autres personnes.
- Je vous présente le sujet 11. Elle vient juste d’arriver. Nous l’avons raflée dans la rue il y a 2 nuits. Cette femelle dispose de beaux attribus. Nous devons vérifier qu’elle est en bonne santé. Nous devons nous assurer que chacun de ses orifices est sain.
Il fit signe à son assistant sur sa droite. Puis il s’avança à moi.
- Ouvre ta bouche sujet 11.
Je montrai réticence.
- Ne fais pas de manière. Tu as deux options : soit la manière douce, soit avec plus de souffrance. C’est à toi de choisir.
J’ouvrai ainsi ma bouche. Puis l’assistant me posa un écarteur bucal.
- Voilà qui est bien, plus de protestation.
- Je vous propose que nous vérifions la qualité de cette bouche.
Tour à tour, chacun des hommes sortit son sexe. Le premier le planta sans ménagement dans ma bouche. Je voyais de la bave couler de ma bouche. J’étais si honteuse. Je devinais ce qui m’attendait dans ce lieu. J’allais devenir une putain à baiser.
Un second puis un troisième me baisa la bouche.
Quand le dernier stoppa, l’homme au regard bleu s’approcha de moi.
- Quel bon sujet d’étude… sujet 11.
- Ta bouche semble très accueillante d’après notre étude.
Il me caressa le visage du revers de la main. Il s’approcha de mon oreille.
- Ca ne fait que commencer, sujet 11. Tu vas te faire baiser de partout, tu m’entends. De partout. Tu es l’objet sexuel de ton Maître. Tu te plieras à toutes les règles. Quand ton éducation sera terminée, tu nous quémanderas d’être traitée ainsi.
Je le regardais avec une telle protestation, que je devinais un sourire sur son regard. Je ne voyais toujours pas son visage. Tous portait un masque. Tous me voyaient entière, nue. Eux semblaient anomynes.
Puis il me regardait dans les yeux. Il pris dans chacune de ses mains mes seins. Il les caressa, en faisait le tour, les sous-pesa. Puis d’un seul coup pris mes tétons dans les mains et les pinca. Je poussai un cri tout en essayant de me défaire de ce supplice.
- Hum voilà comme ils doivent pointer. Notez que le sujet 11 réagit parfaitement aux stimulis sur les tétons. C’est très prometteur.
On me détacha les poignets, les bras. Toujours sous bonne garde des hommes, on m’avança vers une chaise gynécologique. Là je me débattais. Je refusais de subir ce que je devinais. Je ne leur laisserais pas ce plaisir.
Je me débattais, mais comment lutter. Je voyais bien que l’homme au regard bleu s’amusait de tout cela.
- Rien ne sert de se débattre, sujet 11. Ton examen gynécologique t’attend.
Je ne pouvais rien dire, j’avais toujours cet écarteur dans ma bouche, et ma bave qui en sortait.
On me força à m’asseoir sur le fauteuil. Un des hommes me tenaient les poignets au dessus de la tête, tandis qu’on m’attachait les jambes écartées sur cette table d’examen.
Je sentais les gants claqués sur la main de l’homme au regard bleu. Il s’avança. Il regardait mon sexe. Il prit chacune de mes lèvres, les écarta, les pinca.
- Hum.. voila qu’elle commence à mouiller. A noter que le sujet 11 réagit parfaitement aux stimulis de la vulve.
Messieurs, je vous invite à découvrir l’examen du Sujet 11. Nous allons étudier si Sujet 11 est étroite ou non, ses capacités à dilater sa vulve et son anus. Vous pourrez bien sur toucher le sujet et passer aux travaux pratiques.
- Speculum
- Levez la tête de sujet 11.
Il faut qu’elle comprenne ce qu’il va lui arriver. Il faut qu’elle soit calme. Il mit le spéculum devant mes yeux.
- Sujet 11. Nous allons vous écarter la chatte. Nous voulons voir à l’intérieur si tout est en ordre. Nous ferons la même chose avec votre anus. Maintenant que tu sais ce qui t’attend. Nous ne voulons rien entendre.
Je fermais les yeux. Je sentais le froid du métal à l’entrée de ma chatte. Puis je sentis le bec me pénétrer, puis tout doucement je sentais qu’elle s’écartait, s’écartait. Ma respiration s’accelerait, ma poitrine se gonflait.
- Messieurs je vous invite a regarder l’anatomie de Sujet 11.
Je les voyais s’amuser à rentrer des doigts dans ma chatte.
- Sujet 11 est belle ainsi, ne trouvez-vous pas avec sa vulve écartée.
Puis, il mis un doigt en même temps dans mon cul. Je sursautais.
- Sujet 11 a le cul bien serré. Nous allons procéder à l’écartement de son anus.
Ainsi il me pénétrait l’anus, sans que je ne puisse rien dire. J’étais le Sujet 11.
C’était assez douloureux de se faire écarteler ainsi le cul. Il n’insista pas trop.
Il se leva et regarda ce qu’il avait fait. J’avais à la fois la chatte et le cul ouverts à leur exploration.
- Messieurs, n’hésitez pas à inspecter Sujet 11. Elle est maintenant docile.
Puis tout doucement, il retira le speculum anal.. Puis vaginal.
- Je suis fier de toi Sujet 11. Merci pour ta coopération. Quel plaisir que de te regarder ainsi, sans défense avec tes trous écartés. Ta bouche, ta chatte, ton fion. Quelle belle prise nous avons fait avec toi.
Il retira aussi mon écarteur de bouche. Ma machoire me faisait mal. Il se plaça derrière moi et me massa les seins.
https://www.youtube.com/watch?v=6BOgIillznQ
- Vous, caressez lui la chatte. Un de ses assistants caressa mon clitoris pendant que lui me malaxait les seins. Alors sujet 11, n’est ce pas agréable comme caresse ?
Il nous faut désormais travailler un peu les seins de sujet 11.
- Apportez moi la pompe à seins. Nous allons faire gonfler les tétons de sujet 11.
Je sentais dans sa voix une certaine frénésie.
D’abord il plaça une première pompe sur mon seins gauche, puis il aspira, aspira. Il me forcait à regarder le spectacle de mon téton se faire aspirer. Puis il boucha cette pompe et renouvela l’opération sur l’autre téton. Puis il me les laissa, pendant que son assistant me léchait la chatte.
Je vous autorise, assistant, à la doigter.
- Nous devons nous assurez sur le sujet 11, mouille correctement.
Il introduisit deux doigts dans ma chatte, je le sentais faire des aller et viens, très fortement, très vite. Je ne pouvais me résoudre à l’excitation qui s’emparait de moi.
L’assistant dit :
- Sujet 11 est un vrai puits à mouille Docteur. Je pense que nous pouvons stimuler davantage pour voir jusqu’au Sujet 11 peut aller.
- Je vous autorise à la doigter davantage et à insérer davantage. Une chatte comme celle-ci est faite pour être bourrée et baisée.
Puis il inséra un quatrième doigt. Il faisait des va et vient si rapide que je n’arrivais plus à me retenir. Il stimulait tellement mon point G que j’éjaculais de partout. Un liquide s’échappa de ma chatte sans que je puisse le contrôler.
- C’est bien sujet 11. Tu es une belle putain. Continuez ainsi à la doigter.
Je criai de plaisir, je n’arrivais plus à me retenir.
- Je pense que sujet 11 est mûre pour la suite. Fistez la !
- Non non !! criais je.
- Doucement, nous allons le faire calmement. Toute bonne chienne doit être accueillante, remplie, baisée.
Je sentis l’assistant mettre plus de lubrifiant et d’essayer d’introduire son cinquième doigt. J’avais mal, je n’arrivais pas à supporter cela. Il se calma dans les va et vient et y aller avec douceur.
Docteur, ma main est peut etre trop grande pour sa chatte.
- J’ai une idée dit l’homme au yeux bleu.
Allons chercher Sujet 2.
Quelques minutes après, je vis une femme arrive. Elle portait des talons, et une blouse d’infirmière.
- Sujet 2, pouvez- vous vous occuper de fister la chatte de sujet 11. Nous rencontrons quelques difficultés.
Cette dernière sourit à cette idée. Elle s’approcha de moi, et mis des gants. Elle s’assit sur un tabouret face à mon sexe. Je ne voyais que le haut de sa tête.
Elle commença par introduire un doigt et de me caresser le clitoris de l’autre. Le Docteur libéra mes seins et les caressa.
- Tout doux sujet 11. Tu vas réussir à engloutir cette main.
Puis il me baillonna. Il me maintena le cou pour le forcer à le regarder.
Elle mettait son quatrième doigt, puis je sentais le cinquième arrivé. Sa main étaient assez petite.
Tout doucement, elle faisait quelques va et vient. Elle était en train de me baiser avec son poing.
- Quelle chienne, Sujet 11. Quel beau spectacle d’étude tu nous offres. Nous allons faire de toi une belle putain. Le sais tu. Objet de plaisir, objet sexuel soumis à mon désir.
J’étais épuisée par ce traitement. Je ne pouvais que me laisser faire et reconnaitre que tout ceci m’avait fait complètement mouillé. Ma chatte dégouillait de mouille. Avait il raison ? Suis-je une chienne ? une putain ?
Une fois la fouille terminée, on me détacha. On me leva et on plaqua mon ventre contre la banc gynécologique, on abaissa le dossier pour qu’il soit à plat. On m’attacha le ventre contre
- Messieurs, sujet 11 attend de se faire baiser. Ayant de l’indulgence pour sa chatte. Cela ne sera que par le fion. Baisez la profondement, avec vigueur comme elle le mérite. Vous pouvez en disposer comme bon vous semble. Sa bouche est également à votre disposition.
Sans que je puisse ne rien dire, un homme s’empara de ma bouche. Il me tenait la tête de ses deux mains. Il me baisait tellement fort que j’avais presque du mal à respirer, à déglutir. En même temps je sentais une queue à l’orée de mon fion. Je ne pouvais voir qui allait me posséder.
- Sujet 11 réclame encore nos queues.
Je refusais de la tête. Quand je sentis un coup s’abattre sur mes fesses.
- Sujet 2, en voila une belle initiative.
- Oui je le reconnais, elle n’est guère obéissante. Elle manque encore d’éducation cette petite -chienne. M’autorisez vous également à la baiser ?
- Mais avec grand plaisir. J’aime voir Sujet 11 remplie et par vous sujet 2 ce sera un réel plaisir à regarder.
Elle s’empara d’un gode ceinture. Elle s’approcha de ma bouche.
- Ouvre ta bouche de petite pute insolente.
Je refusais de subir cela. Quand je sentis une claque s’abattre sur mes fesses. Je lachais un cri.
L’homme aux yeux bleus arriva et me chuchotta
- Sujet 11, soit docile, soit ma fierté.
J’ouvris ma bouche et je sucais le code. Elle le tenait par la main. Elle me caressait les cheveux.
- Voila qui est mieux.
Elle se retira. On m’écarta les fesses puis elle commença à introduire le gode dans mon petit fion.
Elle me baisa pire qu’un homme aurait pu me baiser. L’homme au yeux bleu s’empara de ma bouche. Elle me claquait les fesses
- Quelle belle putain Sujet 11. C’est un plaisir de baiser un fion si accueillant.
- L’homme aux yeux bleu se retira et vint éjaculer sur mes fesses.
On me redressa, j’étais vidée, sans force. L’homme au yeux bleu me pris dans ses bras, releva ma tête.
- Sujet 11, tu es une fierté. Je suis ravie d’avoir une chienne comme toi
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C’était un mardi soir, comme tous les mardis soir, elle s’arrêtait au supermarché en rentrant du travail pour faire quelques courses. Elle ne l'avait pas remarquée lorsqu'elle s'était garée et qu'en descendant elle avait malencontreusement laissé tomber ses clés. Elle s'était penchée pour les ramasser. Sa petite jupe lui avait dévoilé un bien joli spectacle. Elle n'avait rien remarqué lorsqu'il s'était approché d'elle et qu'en souriant il lui avait juste demandé. "Bonsoir, je peux vous aider?". Elle avait sursauté et s'était relevé instinctivement, sans prendre même le temps de ramasser ses clés. Il l'avait fait pour elle et au moment de lui donner, avait juste précisé "Je pense que ceci vous appartient, comment pourriez-vous me remercier?". Elle avait rougit, lui disant juste merci, elle avait fermé sa voiture et était repartie chercher un caddie.
Elle n'avait pas remarqué qu'il était resté et avait commencé à griffonné sur un morceau de papier quelques mots et avait glissé ce papier sur son pare-brise.
Elle avait fait ses quelques courses et en revenant avait récupéré le morceau de papier.
Elle l'avait lu, chiffonné et mis dans sa poche.
Elle était rentrée et sous sa douche avait repensé à ces écrits interdits qui la mettait dans tous ces états.
Elle s'était couchée, finissant les quelques chapitres de ce livre qu'elle avait commencé quelques jours seulement auparavant et s'était endormie, sans même le refermé. Sa nuit avait été agitée, entre rêves perturbants, réveils chaotiques, elle s'était surprise à ouvrir les yeux une main entre ses cuisses. Elle n'arrivait plus à se souvenir de la dernière fois ou ça lui était arrivé. Elle avait laissé cette main continuer ce qu'elle avait commencé. Elle était encore plus mouillée que d'ordinaire, comment ses rêves pouvaient il la mettre dans un tel état, et surtout que contenaient ils? Elle n'arrivait plus à s'en rappeler mais elle se laissa bercer par le souvenir de ces quelques mots. Ses doigts s'activèrent de plus en plus vite, elle s'écartait de plus en plus, se cambrait sous ses pensées. Elle avait envie de jouir, une envie nocturne et tenace qui ne lui était pas arrivée depuis si longtemps. Juste ces quelques mots la mettaient dans cet état et son imagination était partie comme un cheval au galop. Un galop que ses doigts suivaient en s'activant sur son petit bouton, s'enfonçant en elle. Elle imaginait la suite de ces mots, elle essayait de voir ce que tout ça lui apporterait. Et ce livre qu'elle lisait n'était pas là pour l'empêcher de laisser son esprit divaguer, bien au contraire. Elle jouit rapidement, trop rapidement à son gout, elle en voulait encore elle avait envie de plus. Elle se laissa redescendre quelques instants puis se leva et alla ouvrir un tiroir de sa commode. Elle regarda mais n'hésita pas longtemps sur son choix. Elle en sorti le dernier jouet qu'elle s'était offert. Un joli god vibrant violet. Elle ne l'avait pas depuis longtemps mais elle ne comptait plus les orgasmes qu'il lui avait déjà donnés. Elle s'allongea sur son lit mais sur le ventre cette fois ci. Elle avait envie de l'imaginer derrière elle, elle releva doucement ses fesses et glissa son jouet au plus profond de sa petite chatte encore trempée. Elle remuait doucement les fesses, les relevait, se cambrait doucement au rythme des poussées qu'elle se donnait. Les vibrations mélangées à ces mouvements la firent vite atteindre un point de non-retour. Elle voulait se retenir, non pas encore si vite, mais c'était tellement bon, elle avait la tête perdue dans son oreiller, gémissant et mordillant le tissu. Elle essayait de résister, de se garder encore du temps pour elle pour se sentir remplie et complétement à la mercie de ce petit morceau de plastique qui lui faisait tant de bien. Et elle ne put résister plus et se laissa entrainer dans une farandole qui éclata par son orgasme. Elle se laissa retomber sur le lit, retirant d'elle son amant infatigable, passa sa langue dessus et en retira les traces de son plaisir.
Elle le posa sur sa table de nuit et le regardant s'endormit de nouveau.
Elle se réveilla encore toute perturbée de ce que sa nuit lui avait réservée, mis un peu de temps à se l'admettre, mais finit par l'accepter en regardant son jouet posé sur la table de nuit.
Le réveil n'avait pas encore sonné, le mercredi elle partait plus tard, elle avait moins de circulation pour aller travailler. Elle profita donc de ce petit moment pour repenser à tout ce qui lui était arrivé. Comment quelques simples mots avaient-ils pu la mettre dans cet état. C'est vrai que cela faisait quelques mois qu'elle n'avait pas eu d'homme avec elle, elle avait seulement partagé ses jouissances avec ses jouets, ses amis toujours présents pour elle lorsqu'elle en avait besoin, eux qui ne lui posaient jamais de question. Elle décida enfin à se lever, cette nuit l'avait vraiment perturbée. Petit déjeuné avalé, salle de bains visitée, elle retourna dans sa chambre pour s'habiller, choisit une petite robe bleue ciel, une petite paire de chaussures à talons, enfila sa veste noire qu'elle affectionnait particulièrement, prit les clés de sa voiture et sorti de l'appartement en claquant la porte pour la fermer. Elle passa sa journée au travail à moitié concentrée, à moitié dans ses pensées. Qui était-il pour lui avait laissé ce mot, et comment savait-il ce qu'il lui avait écrit ?
Elle allait reprendre sa voiture pour rentrer chez elle et essayer d'oublier cette étrange journée. Elle remarqua de nouveau une enveloppe posée sous son essuie-glace. Elle la prit en pensant que c'était une nouvelle pub pour ce centre commercial qui avait ouvert récemment. Mais la texture n'était pas du tout la même et elle senti une petite bosse à l'intérieur. Elle s'assit au volant, hésita à l'ouvrir et déchira finalement le bord de l'enveloppe pour en sortir une feuille de papier.
Il n'y avait que quelques mots. "Si vous avez aimé mon précédent message, je vous attends. L'adresse de l'hôtel est notée sur la clé qui est dans cette enveloppe. Le numéro de la chambre y figure aussi. Ce soir 19h, je vous attendrai."
Rien d'autre, aucun nom, aucun signe de reconnaissance, elle savait pourtant qui lui avait remis cette lettre, il ne pouvait être plus clair. Elle regarda longuement cette clé, jouant avec elle entre ses doigts. Qu'allait-elle faire? Etre inconsciente au point de se rendre à ce rendez-vous avec cet homme qu'elle ne connaissait même pas. Elle réussit à rentrer chez elle, posa la clé sur la table et la regardant. Elle ressortit la première lettre, la relut, une fois, une seconde et fila dans la salle de bain prendre une douche. Il était déjà dix-huit heures et si elle ne se dépêchait pas, elle ne serait jamais à l'heure. Elle irait, elle l'avait décidé. Elle sorti de la douche, un peu de maquillage, passa sa brosse dans ses cheveux, retourna dans sa chambre et laissa tomber la serviette par terre. Elle sorti de sa commode ce petit porte jarretelles noir qu'elle s'était offert quelques mois avant, enfila une paire de bas noirs qu'elle y fixa. Elle hésita quelques instants et sorti une petite robe rouge assez moulante, l'enfila et se regarda dans le miroir de sa penderie. Elle avait l'impression d'être une adolescente excitée par son premier rendez-vous. Elle sorti de la chambre, enfila la paire de talons qu'elle trouvait la plus sexy pour aller avec sa robe, prit une veste blanche et sorti. A peine avait-elle claqué la porte, qu'elle fouilla dans son sac pour trouver la clé et rouvrir la porte de son appartement. Dans sa précipitation, elle en avait oublié la clé de la chambre.
Elle entra l'adresse de l'hôtel dans son GPS et démarra. Elle avait juste le temps pour être à l'heure.
Elle se gara sur le parking de l'hôtel, entra en trombe, chercha du regard les ascenseurs. Mais ou diable pouvaient-ils se trouver. Elle les remarqua enfin, là-bas au fond du hall d'entrée. Elle y couru presque, regarda sa montre, 18h57. Elle appuya sur le bouton du 3ieme étage. Elle espérait simplement que cet hôtel respecte les conventions en ayant mis la chambre 319 au 3ieme étage.
Les portes s'ouvrir et elle s'engouffra dans le couloir de l'étage. Chambre 319, la voilà, elle y était.
Elle ne réfléchit pas et ouvrit la porte et rentra dans la chambre. La chambre était spacieuse, un grand lit, il y avait même une petite mezzanine ou semble-t-il, il devait y avoir au moins un autre lit. Elle ouvrit machinalement la porte de la salle de bain et lâcha presque un waouh de surprise en découvrant la grande baignoire ainsi que la douche qui était à côté. Elle referma la porte et s'arrêta net. Il manquait quelque chose dans cette chambre. Elle regarda de nouveau sa montre 19h05. Non elle n'avait pas été en retard, elle était sure qu'elle avait franchi la porte de la chambre à 19h comme il avait été convenu dans la lettre. Elle fit le tour du lit, se demandant si elle allait attendre ou repartir. Elle avait une clé, elle avait une chambre, un parfait inconnu l'avait payée, et il n'était pas là pour en profiter. Était-il en retard ? Elle n'y croyait pas, vu le ton de la lettre, il avait dû attendre et repartir. Elle prit son téléphone, composa le numéro de l'horloge parlante, vérifia avec l'heure de sa montre. Elle était parfaitement à l'heure. Que s'était-il passé ? Elle s'assit sur le lit en se disant que de toute façon, s'il y avait personne d'ici dix minutes, elle repartirait chez elle. Elle fouilla dans son sac, ressortit les deux lettres, les relues plusieurs fois. Non, il devait vraiment y avoir quelque chose pour qu'il ne soit pas là. Elle n'avait pas encore fini le deuxième message, qu'on frappa à la porte. Elle hésita quelques instants, se leva et alla ouvrir. Elle s'attendait à voir son charmant admirateur, mais fut déçue en voyant un membre du personnel de l'hôtel. "Bonsoir, je suis désolé de vous déranger, mais la personne qui me l'a remise m'a dit que c'était très urgent, que vous comprendriez et que vous deviez absolument l'avoir avant 19h15" lui dit-il en lui tendant une enveloppe. Elle la prit en remerciant le garçon, referma la porte. Encore une enveloppe, encore une lettre, mais qu'est-ce que cela encore signifiait. Elle l'ouvrit précipitamment, sans prendre garde de ne pas la déchirée, sorti la feuille de papier et la lut presque à voix haute. "Bonsoir Véronique, vous pensiez me trouver dans cette chambre, ce n'est pas le cas. Je n'y serai que lorsque je saurai que vous m'attendrez, nue, juste avec la paire de bas que vous avez pris soin de mettre. Vous trouverez aussi dans le tiroir du bureau un foulard noir que vous passerez sur vos yeux. Attendez-moi à genoux, dos à la porte." Elle secoua la tête comme pour reprendre ses esprits et se dire qu'elle avait rêvé. Elle relut une nouvelle fois, mais le contenu n'avait pas changé. Elle s'assit de nouveau sur le lit, faisant crisser le papier entre ses doigts. Le ferait-elle ? Partirait-elle ? Rien ne l'obligeait, si ce n'est cette attirance et cette curiosité qu'il avait su éveiller dans la première lettre, si ce n'est qu'il connaissait beaucoup trop de choses sur elle. Comment connaissait-il son prénom, comme savait-il ce qu'elle portait ce soir ? Trop de questions, trop de curiosité et surtout trop d'excitation. Elle allait rester. Elle se releva, aller ouvrir le tiroir du bureau, et y trouva un foulard noir, comme il l'avait précisé. Elle se déshabilla, prenant soin de mettre ses affaires dans la penderie. Elle prit le foulard et hésita, regarda la porte, se demandant si elle devait vraiment continuer ou se rhabiller et se sauver. Après tout, c'était une folle histoire qui lui arrivait, et depuis combien de temps une folle histoire ne lui était-elle pas arrivée ? Et si elle ne faisait qu'une partie de ce qu'il lui avait demandé? Mauvaise idée, car vu les renseignements qu'il avait sur elle, elle était persuadée qu'il saurait si elle le faisait ou non. Elle se mit à genoux, dos à la porte, prit le foulard, le mit sur ses yeux, serra derrière sa tête et attendit.
Elle ne sut pas combien de temps se passa, elle était perdue dans ses pensées, cherchant des explications, des solutions, des raisons, son imagination lui jouait des tours, son excitation grandissait parallèlement, lorsqu'elle entendit la porte s'ouvrir. Elle ne fut même pas surprise en pensant qu'il avait une deuxième clé. Elle entendit la porte se refermer. Etait-il seul ? Etait-il là ? Elle ne savait pas et avait envie d'enlever ce bandeau pour regarder. Elle se ressaisit. S'il était bien là, elle pouvait lui dire adieu si elle faisait cette erreur, et elle n'en avait plus du tout envie. Elle se résigna donc et attendit, quelques instants qui lui parurent interminable, jusqu'au moment ou elle sentit une main passer sur sa nuque, caresser ses cheveux et une voix qui accompagnait cette main, une voix douce et ferme à la fois "Bien véronique, je vois que tu as suivi mes premières instructions. Les suivantes ne seront pas beaucoup plus difficiles pour l'instant. Te connaissant, je pense que tu en connais déjà certaines, aux vues de tes lectures, tu dois être au fait des règles de base ?". Elle resta bouche bée. Il savait vraiment beaucoup de choses sur elle et en fut presque effrayée. Connaitre son nom était une chose, avoir surement vu comment elle s'était habillée, en avoir déduit qu'elle avait mis une paire de bas et pas des collants avait surement été facile, mais de là à connaitre ses lectures. Comment faisait-il?. Elle sentit sa main se raffermir sur sa nuque. "Me serais-je fait mal comprendre ou faut-il déjà que je te répète ma question?". Elle ne réfléchit pas et laissa échapper un timide "Oui Monsieur". Il lui pressa encore un peu plus fort la nuque. "J'ai cru entendre quelque chose mais ce n'était qu'un sombre murmure". "Oui Monsieur, quelles sont vos instructions?" lui demanda t'elle d'une voix un peu plus assurée. Il passa devant elle, elle le sentit au déplacement de sa main, au frottement de son pantalon sur ses cheveux et il prit sa tête entre ses mains, se mettant accroupie en face d'elle, relevant sa tête doucement pour qu'elle soit à la hauteur de la sienne. Il passa ses doigts sur ses lèvres, les écartant doucement. Elle se laissait faire. Elle avait tant lu depuis quelques mois qu'elle pensait savoir ce qu'il attendait d'elle. Elle frissonna lorsqu'une main passa sur un de ces tétons qui pointait, mélange de froid et d'excitation. Il ne faisait pourtant pas froid dans cette chambre, bien au contraire et plus le temps passait, plus elle avait l'impression que la température montait. Elle émit un petit cri lorsqu'il lui pinça le téton, elle eut même un mouvement de la main pour le repousser. Mouvement qui fut immédiatement stoppé par son autre main accompagné d'un "Qui t'as dit de bouger? Faudra-t-il que déjà je t'attache pour que tu ne bouges plus?". Elle retira sa main et la reposa sur sa cuisse en laissant échapper un "pfff non Monsieur". Le pfff avait été de trop et elle cria lorsqu'il pressa encore plus fort sur ce petit bout de chair qui pointait déjà plus qu'il n'aurait dû. Il tira dessus et elle esquissa un mouvement de recul qu'elle reprit vite. Il pinça l'autre et les tira vers le haut, la faisant se dresser sur ses cuisses. "Bien, bien, je vois que tu apprends vite". Il déposa un baiser sur sa bouche puis sur son front en la laissant redescendre sur ses talons. Ses mains quittèrent ses seins, elle soupira de se sentir délivrée. Elle avait eu mal, mais cette douleur était presque plus intense une fois qu'il l'avait lâchée, douleur mêlée de plaisir. Elle venait de comprendre qu'elle ne pourrait pas se passer de tout ce qui commençait à se dérouler. Elle l'avait trop lu et relu, elle en avait même fantasmé, elle s'était caressée et avait jouis en lisant certains passages, s'imaginant dans la situation, et là aujourd'hui, elle vivait ses livres. Elle sentit un pied essayer de s'immiscer entre ses genoux qu'elle avait serrés. Le bout assez pointu de cette chaussure lui écarta, elle ne résista pas et accompagna le mouvement. Ce pied lui écarta encore plus les cuisses, elle en eu presque mal, puis plus rien. Elle ne sentit plus rien, plus de contact. Où était-il passé, qu'était-il en train de faire ?
Elle sentit son souffle sur son visage, sa bouche se posa sur la sienne, lui mordant les lèvres. Elle répondit à ce baiser. Elle sentait qu'il reculait en lui tirant les lèvres, elle l'accompagna en se relevant sur ses cuisses. Il choisit le moment où elle était le plus haut possible pour plaquer sa main sur sa chatte. Elle failli sursauter mais fut retenu par ces dents qui lui tenaient les lèvres. Un doigt lui écarta les lèvres, elle était trempée et il le sentit, et s'enfonça en elle puis ressortit et l'écarta doucement, remontant sur son clitoris, redescendant et pressant pour l'écarter. Elle commença à émettre quelques gémissements, relativement espacés mais assez audibles pour l'encourager. Il en enfonça un deuxième, la fit se dresser encore plus, elle était à la limite de ce qu'elle pouvait faire mais il continuait. Elle le sentait la fouiller puis ressortir lentement, juste un peu, elle n'osait pas redescendre pour accompagner ses doigts et les garder au fond d'elle. Il l'embrassait à pleine bouche, une main caressant sa nuque, passant dans ses cheveux, l'autre la tenant toujours par son intimité, la paume de sa main frottant contre son bouton qui durcissait de plus en plus. Elle se sentait couler sous ses doigts. Elle pensa un instant à la moquette qu'elle allait surement mouiller et qui garderait les traces de leur passage et chassa rapidement cette image pour se concentrer sur ces deux doigts, puis ce troisième qui la remplissait. Elle gémissait de plus en plus entre deux coups de langues qu'il lui donnait. Elle respirait plus vite. Elle avait envie de jouir, depuis combien de temps n'avait-elle pas connu une telle envie? Elle le voulait là, elle se sentait venir. Ses doigts qui allaient et venait, cette autre main qui lui pressait la nuque, cette bouche qui lui prenait la sienne et ses yeux qui ne voyaient rien, ses yeux qu'elle ne pouvait pas voir. Elle finit par se laisser aller sur sa main, l'inondant de son plaisir et retombant sur ses talons. Il accompagna son mouvement, retira doucement ses doigts et les lui fit lécher. Elle n'hésita pas. Ce n'était pas la première fois qu'elle goutait sa mouille, elle en aimait même le gout.
Il passa sa bouche sur la sienne, l'embrassa à pleine bouche et toujours sans lui retirer le bandeau passa ses doigts sur ses yeux, puis prit sa main et la passa sur son sexe tout dur dans son pantalon. Elle le caressa doucement à travers le tissu. Elle le sentait frémir sous ses caresses, glissa un doigt entre les boutons pour essayer de le toucher. Il ne dit rien et elle continua en les défaisant doucement, caressant le dernier rempart de tissu qui la privait de ce contact charnel. Elle fit sauter le dernier bouton et le pantalon tomba un peu sur ses jambes. Elle en profita pour glisser une main à l'intérieur et sentir enfin sa queue toute dure. Elle passa son autre main et fit glisser le caleçon le plus bas qu'elle pouvait. Sa queue se dressait devant lui et elle ne pouvait qu'imaginer sa taille. Elle le caressa doucement faisant aller et venir ses mains lentement sur cette colonne de chair qui frémissait, se tendait encore plus sous ses doigts. Elle essayait de l'imaginer. Elle sentait ses mains qui la poussaient lentement mais fermement pour que sa bouche vienne contre son gland. Elle se laissa aller et posa ses lèvres sur le bout du gland, les écartant légèrement pour sortir sa langue et la glisser ensuite sur toute la longueur, descendant jusqu'à ces boules qui pendaient, passa la langue dessus et remonta jusque sur le gland pour ouvrir ses lèvres et le glisser entre. Elle lui prit juste le gland, le branlant doucement d'une main, caressant ses couilles de l'autre, les pressant doucement. Elle titillait le gland avec sa langue, le pressant entre ses lèvres. Il lui poussait lentement la tête, elle ne résistait pas, le prenant de plus en plus, de plus en plus loin dans sa bouche. Elle calait sa respiration pour ne pas avoir à ressortir sa queue et il s'enfonçait en elle lentement, de plus en plus. Elle avait l'impression qu'il n'en finissait jamais, qu'il s'enfonçait encore et encore sans jamais s'arrêter, mais c'était plus cette lenteur qui lui procurait cette sensation, le fait de le garder comme ça au fond de sa bouche. Il poussa encore un peu et son nez buta contre son ventre. Elle savait qu'elle ne pourrait pas aller tellement plus loin et elle fut soulager de cette sensation. Il attrapa ses cheveux et la tira un peu en arrière juste pour la laisser reprendre son souffle, en gardant juste son gland dans sa bouche puis la repoussa plus rapidement sur sa queue. Il la fit aller et venir, lui imprimant son rythme en la poussant sur la nuque, la retirant par les cheveux, la faisant aller plus loin, plus vite, moins loin, restant planté au fond d'elle puis juste au bord. Elle caressait toujours ses couilles, elle voulait qu'elles se vident dans sa bouche, sur elle, elle en voulait, elle voulait son sperme pour elle, suprême récompense de ce qu'elle lui aurait donné. Il continua de lui baiser la bouche un long moment, elle le sentait se crisper par moment, bloquant ses mouvements, puis repartir de plus belle et alors qu'il était bien au fond d'elle, il se laissa aller, elle le sentit se contracter, son sperme couler au fond de sa bouche, elle faillit s'étouffer en le sentant mais ne bougea pas. Elle avait tellement peur de sa réaction. Elle avala tout ce jus qu'il lui déversait par saccades. Il se retira juste un peu, la gardant sur sa queue encore quelques instants avant de se retirer doucement. Elle passa sa langue sur le bout du gland pour récupérer les dernières gouttes qui perlaient. Il se recula, se pencha vers elle et lui dit simplement. "Très bien véronique. Ce sera tout pour aujourd'hui. Je vais m'en aller. Une fois que j'aurai passé la porte, tu pourras retirer le foulard, te rhabiller et rentrer chez toi, ou dormir ici. La chambre est réservée jusqu'à demain matin. Si tu ne te sens pas la force ou l'humeur de rentrer chez toi, tu peux y passer la nuit. Je ne t'oublierai pas, soit en sure et tu auras rapidement de mes nouvelles". Il l'embrassa sur le front et sorti rapidement de la chambre sans lui laisser le temps de réagir, encore sous le choc de ce qu'il venait de lui dire. Lorsqu'elle entendit le clac de la porte qui se refermait, elle retira vite son foulard, espérant qu'il était toujours là. Mais il était bel et bien parti. Elle se releva et s'assit sur le lit. Elle avait encore le gout de son sperme sur le bord des lèvres et une furieuse envie de jouir de nouveau. Elle voulait qu'il la prenne, là, maintenant, sur ce lit, elle en avait rêvé lorsqu'il l'avait caressée, lorsqu'elle l'avait sucé. Elle avait espéré qu'il la soulève et l'entraine sur le lit pour lui glisser son sexe dans le sien. Mais il n'était plus là, et seule son envie de jouir était présente. Elle ne savait pas s'il reviendrait dormir ici, elle ne savait rien au fond de lui. Elle regarda sa montre, et décida d'attendre pour voir s'il allait revenir. Elle s'étendit sur le lit en pensant à tout ce qui s'était passé. Elle se caressait machinalement, la main entre les cuisses, plus par habitude. Elle voulait cette queue et elle ne l'avait pas. Elle attendait, pensive, et finit par s'endormir sur la couette.
Sa nuit sembla agitée, elle se réveilla plusieurs fois, elle passait la main machinalement sur la place qui restait désespérément vide à côté d'elle. Elle n'avait pas le courage de partir, s'habiller et reprendre la voiture en pleine nuit, même si à chaque réveil, elle essayait de se motiver pour partir. Elle se rendormi une dernière fois et fut réveillée par une étrange sensation. Elle ouvrit les yeux, il faisait noir dans la chambre, et voulu passer machinalement sa main à la place vide mais elle ne put le faire. Elle cria de surprise, elle avait les mains menottées. Elle essaya de se relever mais son mouvement fut stoppé au milieu de sa course. Non seulement elle avait les mains menottées, mais elles étaient reliées au montant du lit semblait-il. Elle ne voyait rien, aucune lumière, aucun son, juste sa peur qui grandissait. Elle essaya de se calmer comme elle put, essayant de respirer calmement, voilà ou son inconscience l'avait entrainé. Personne ne savait ou elle était et qu'allait-elle devenir. Elle espérait au moins qu'une femme de ménage passe dans la matinée, mais elle n'allait pas rester la toute la matinée. Toute la matinée, heureusement que l'on était samedi et qu'elle n'avait pas à se rendre à son travail. Comment aurait pu elle trouver une excuse à son retard? Elle se perdait en conjonctures complétement inutiles, espérant quelque part que ces pensées l'aideraient à trouver une solution pour se débarrasser de ces liens. Elle essaya de défaire les menottes. Elle n'y parvint pas. Contrairement à ce qu'elle s'imaginait, elles étaient recouverte de fourrure, juste une petite chaine en métal les maintenaient l'une à l'autre, et à cette chaine était accrochée ce qui semblait être une autre chaine fine. Elle aurait pu surement la briser si elle l'avait voulu, mais elle tira juste un coup sec dessus pour sentir qu'elle ne se briserait pas comme cela. Fine, mais dure, elle sourit à cette pensée, fine et dure, elle pensa tout de suite à autre chose et se mit à rire nerveusement repensant au contraste que tout cela provoquait avec ses pensées. Ce qui lui avait rempli la bouche quelques heures auparavant n'était pas du tout fine, mais bel et bien dure. Ses pensées la calmèrent un peu et elle l'allongea pour réfléchir à sa situation. Il ne fallut pas longtemps avant qu'elle entende et aperçoive la flamme d'un briquet et le bout rougeoyant d'une cigarette. Elle frémit. Elle n'était pas toute seule. Depuis combien de temps ce fumeur était-il là ? Elle ne distinguait que le bout rouge qui variait d'intensité au gré de son propriétaire. Elle laissa échappé un "S'il vous plait, détachez moi, il faut que je rentre, vous avez eu ce que vous vouliez je pense? S'il vous plait." Pour toute réponse, elle vit juste la cigarette s'écraser dans ce qu'elle pensait être un cendrier et le bruit de tissu qui se défroisse. Il s'était levé. Elle espérait simplement qu'il n'allait pas la laisser ainsi. Avait-elle été assez convaincante ? Elle ne le savait pas et n'osait pas réitérer sa demande. La lumière de la table de nuit s'alluma soudain et quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle découvrit que ce n'était pas son mystérieux inconnu qui se trouvait devant elle mais sa voisine de palier. Elle laissa échapper un "mais, mais, mais" de surprise en la découvrant. Elle n'y avait jamais prêté trop attention. C'était une femme d'une quarantaine d'années, un peu plus petite qu'elle, assez jolie. Elle ne savait pratiquement rien d'elle, elle se faisait assez discrète, semblait vivre seule, jamais un mot plus haut que l'autre lorsqu'elles se croisaient, toujours polie. Elle la découvrait là devant elle totalement différente, elle portait une petite robe de cuir assez serrée, sans doute une paire de bas et une paire de talons vertigineux. Elle contrastait avec l'image qu'elle avait d'elle, souvent en jean et pull ample, elle ne l'aurait jamais imaginé ainsi. Elle était partie dans ses pensées et fut rattrapée rapidement par un "Alors véronique, se serait on mise dans une situation embarrassante ?". Elle avait passé ses mains devant elle et tapotait doucement le bout d'une cravache dans sa main. Elle ne réfléchit même pas à la réponse qu'elle allait donner et un "Oui Madame, je pense, mais sans doute pourrez-vous être assez aimable pour m'aider à m'en sortir?".
Sa voisine lui sourit alors qu'elle finissait sa tirade tout en passant le bout de sa cravache sur son ventre. Elle eut un mouvement de recul, mais se ressaisit bien vite, les menottes lui rappelant dans quelle position elle se trouvait. Sa voisine la regarda. "Eric m'a dit que tu avais semblé apprécier sa petite mise en bouche" lui dit-elle en remontant le bout de la cravache sur sa bouche. "Il va falloir me montrer tout cela, Eric ne fait que ce que je lui demande". Elle réalisa alors comment il avait pu savoir tous ces détails sur elle, comment il avait pu sans jamais la croiser. Elle hésita un timide "Et que pourrais-je faire pour vous être agréable Madame et me sortir de cette situation embarrassante?". Une petite tape sur le bout d'un de ses seins la fit sursauter. "Beaucoup de choses à vrai dire véronique, beaucoup de choses, mais pour le moment il va falloir écouter et te laisser faire". Elle fit descendre le bout de sa cravache le long de son ventre jusque sur son pubis, passa sur le haut de ses cuisses, se glissant à l'intérieur et en tapotant doucement lui fit les ouvrir. Elle écarta naturellement ses jambes, en y réfléchissant elle fut même surprise de pouvoir le faire et de ne pas être attachée aux chevilles. Elle sentit le bout de la cravache caresser ses lèvres, elle frémit, eu une envie contradictoire de les refermer et de les ouvrir encore plus. Elle commençait à être excitée par cette situation. Quand elle y repensait, sa voisine qu'elle croyait si coincée était encore plus vicieuse qu'elle, plus délurée et surtout elle avait su deviner, analyser et voir ce qu'elle était au plus profond d'elle, qu'elle était soumise et qu'il ne lui manquait plus que ce Maitre ou cette Maitresse, oh, elle avait rêvé d'un maitre, mais une maitresse, elle n'y avait même jamais songé. Elle avait bien eu quelques relations avec des femmes, mais aimais trop les hommes pour devenir lesbienne. Les petites tapes sur ses lèvres l'excitaient et elle commençait à mouiller terriblement tandis que Cathy, s'est ainsi qu'elle croyait qu'elle s'appelait, pour l'avoir lu sur la boite aux lettres continuait de lui parler doucement, mais d'une voix sure et décidée. Elle lui relatait en détails ce qu'elle savait d'elle, de ses penchants et elle buvait ses paroles cherchant de moins en moins à se rebeller. L'effet de la tapette se faisait sentir de plus en plus si bien qu'à un moment Cathy la retira et lui mis devant la bouche en lui disant "Je crois que tu as salis ma cravache, il va falloir la nettoyer non?" et elle sorti sa langue pour la passer sur le bout de la cravache et la lécher doucement, sentir le gout de sa mouille sur le cuir chauffé. Elle avait toujours aimé son odeur, et encore plus lorsqu'on lui faisait lécher. Ses dernières quarante-huit heures avaient été tout sauf reposantes, mais elles avaient été ce qu'elle connut de plus intense depuis qu'elle n'était plus vierge. Elle écarta encore plus les jambes, avala le bout de la cravache alors que Cathy s'approchait encore plus d'elle, frottant sa jambe contre la sienne. Elle lui demanda simplement "Vas-tu m'obéir en tout point, devenir mon jouet, ma chose ? Etre ma soumise, la mienne ?". Elle ne réfléchit même pas et laissa échapper "Oui Madame, je le ferai, je serai Votre soumise si tel est Votre désir." Elle ravala sa salive rapidement en réfléchissant à ce qu'elle venait de dire. Mais il était trop tard. Cathy releva sa robe et vint se placer au-dessus de sa tête, accroupie sur elle, elle avait sa chatte juste au-dessus de sa bouche. "Lèche moi, fais-moi jouir avec ta langue, j'en rêve depuis longtemps, alors ne te prive pas".
Elle sortit la langue, ce n'était pas la première petite chatte qu'elle léchait, elle aimait bien à vrai dire, surtout sentir l'autre se trémousser et la sentir venir, jusqu'à jouir pour elle. Mais cette fois c'était différent, elle savait qu'elle n'avait pas droit à l'erreur, alors elle s'appliqua encore plus que d'habitude, passa sa langue entre les lèvres, les écartant, remontant sur ce petit bouton qui pointait, elle repassait sa langue entre les lèvres et sentait qu'elle mouillait. Ce doux liquide l'encouragea encore plus et elle s'activa, tétant, mordillant. Cathy ondulait de plus en plus, elle avait pris sa tête entre ses mains et la poussait encore plus, la retenait la plaquait contre sa chatte pour qu'elle ne s'arrête pas. Elle respirait de plus en plus vite et se laissa aller dans un orgasme qui fut accompagné de tous les noms qu'elle put la traiter. Elle resta quelques instants comme cela, se releva et s'assit au bord du lit.
"Il y a des règles que tu vas devoir observée ma petite". Véronique secoua juste la tête en signe d'acquiescement. "Tu vas reprendre ta vie, je vais reprendre la mienne, si nous sommes amenées à nous croiser, tu devras agir comme avant, sans tenir compte de notre nouvelle relation. Tu devrais néanmoins rester à ma disposition et si tu suis ces simples petites règles je saurai te récompenser comme il se doit. Je vais te détacher, sortir de cette chambre et ce sera tout pour cette nuit. Ne sois pas inquiète tu auras de nos nouvelles rapidement". Elle l'embrassa sur le front en défaisant les menottes, détachant la chaine qui la tenait au lit et sans un mot de plus sorti de la chambre, la laissant perdue dans ses pensées et revivant ce qui venait de se passer.
Elle s'endormit difficilement mais réussi à trouver le sommeil et se réveilla peu avant midi, encore toute perturbée par ce qui venait de lui arriver. Elle passa à la salle de bain, prit rapidement une douche, elle avait envie de rentrer chez elle, oublier peut-être ce qui s'était passé ou au contraire, attendre des nouvelles de sa nouvelle Maitresse. Elle ne savait plus au fond d'elle ce qui prenait le dessus. Elle avait souvent rêvé d'une telle situation, même si c'était avec un homme qu'elle la voyait alors tout cela la perturbait, mais lui faisait envie aussi. Cette femme qui avait tout fait pour l'avoir, qui la désirait l'excitait profondément.
Elle rentra chez elle, s'allongea sur le canapé et commença à regarder ses messages sur sa tablette. De la pub, de la pub, tiens une adresse inconnue. Elle ouvrit le mail.
"Retrouve-moi ce soir, chez moi. Tu viendras me retrouver vêtue juste d'une paire de bas et de talons. Rien d'autre tu as bien compris. Tu sonneras et on t'ouvrira la porte. Aussitôt que tu seras à l'intérieur, je veux que tu te mettes à quatre pattes et que tu suives celui ou celle qui t'auras ouvert, que tu obéisses à toutes ces demandes, même si elle te semble les plus incongrues. Si tu désobéis, je le saurai et bien sûr, tu seras punie. Si tu souhaites rompre les vœux que tu m'as fait cette nuit, il suffira simplement que tu viennes habillée et je saurai que je ne peux plus te faire confiance pour la suite. Ta Maitresse Cathy".
Véronique, relut le mail, passant ses doigts sur l'écran de sa tablette comme pour y toucher les mots, passa et repassa sur cette signature, pensive, rêveuse et inquiète. Elle avait encore la l'après-midi pour réfléchir à ce qu'elle allait faire. Mais au fond d'elle, elle savait déjà. Il n'y avait que le couloir à traverser. Cathy ne lui avait pas donné d'heure. Elle attendrait donc qu'il fasse nuit, que ses autres voisins soient théoriquement endormis. Elle ne pensait pas que des personnes âgées restent éveillées bien tard. Elle ne risquerait pas d'être surprise.
Elle relut pour être bien sûr qu'elle n'avait pas manqué un mot qui lui indiquait une heure. Elle n'en trouva pas.
Elle passa l'après-midi à pianoter sur la tablette, recherchant des informations sur ce qu'une Maitresse pouvait faire à sa soumise, trouva de tout et de rien, certains choses qui la dégoutèrent et lui donnèrent envie de ne pas y aller. Mais elle n'imaginait pas Cathy lui faire subir cela. D'autres sites, d'autres récits et photos l'avaient totalement excitée et lui avaient donné envie de courir presque tout de suite à sa porte. Elle finit par se lever du canapé. Elle avait pris sa décision, elle irait ce soir, elle irait parce que c'est ce qu'elle voulait au plus profond d'elle-même, et elle n'allait pas décevoir Cathy. Elle passa donc dans la salle de bains. Il était presque dix-huit heures, elle avait encore un peu de temps pour se préparer.
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Elle avait reçu ce simple message alors qu'elle était encore au travail. Un seul message qui pourtant voulait en dire long.
"Je suis au travail depuis plus d'une heure et je n'arrive pas à me reveiller. Vous ne viendriez pas me reveiller en vous glissant sous mon bureau ? Si c'est le cas, je vous y veux en bas noirs et talons, à genoux sur votre coussin, votre collier au cou. Je rentrerai plus tard que vous aujourd'hui, et je veux vous y trouver à mon arrivée, lorsque je me glisserai sur mon fauteuil, vous aurez alors le loisir de me montrer ce que vous auriez pu faire ce matin. Vous aurez un message lorsque je partirai du bureau et vous aurez le loisir de vous glisser sous celui de la maison."
Elle avait lu attentivement et avait simplement voulu répondre qu'elle aurait aimé tout laisser pour venir se glisser sous le bureau de son Maitre, mais elle savait, tout comme lui qu'elle ne pourrait pas s'absenter si longtemps.
La matinée lui parue interminable, elle imaginait l'état dans lequel il pouvait se trouver, elle ne savait pas si ses pensées étaient toujours aussi volages ou si elles étaient redevenues sérieuses. Lui seul était capable de passer du sérieux de son travail aux vices de sa petite chienne sans le moindre effort et en si peu de temps. Elle avait toujours été surprise par la rapidité avec laquelle il était capable de changer de sujet.
Durant toute cette matinée, elle avait réfléchis à la paire de bas qu'elle allait mettre. Avec ou sans porte jaretelles? De simples bas ou une des paires qu'il lui avait offertes et qu'elle trouvait si jolis ? Lorsqu'elle sorti du travail, elle ne savait toujours pas. Il avait fait très chaud ce matin, et l'après midi risquait de l'être autant. Elle était certaine qu'il lui avait demandé de mettre des bas simplement pour la titiller un peu et voir si elle obeirait ou si elle trouverait une excuse.
Heureusement pour elle, l'appartement était bien isolé et la chaleur n'y était pas rentrée. Elle avait tout fermé le matin avant de partir. Elle déplaca la climatisation portative pour l'installer dans le bureau. Elle savait qu'elle risquait d'y passer un peu de temps, puis, dans la salle de bains, elle se déshabilla et glissa sous la douche.
La mousse du gel douche lui recouvrait le corps et cette douce odeur commençait à l'enivrer. Elle laissa l'eau couler sur sa peau pendant un long moment. Elle profitait de cette fraicheur. Ses mains parcouraient doucement les courbes de ses hanches, de ses seins, faisant même pointer ses tétons avant de glisser entre ses cuisses. Elle les écarta doucement, glissa un doigt entre ses lèvres puis se rappelant qu'elle devait être prête lorsqu'il arriverait, elle sorti de la douche et se sécha doucement. Elle passa encore de longs moments devant le miroir de la salle de bains avant de se regarder une dernière fois avec un grand sourire de satisfaction et se dirigea vers le dressing.
Elle avait passé cette paire de bas noirs, ces bas avec la large jarretière qu'elle appréciait puis son porte jarretelles, le noir, large qu'il lui avait offert il y a quelques temps. Elle se regarda dans le miroir du dressing, ajusta la lisière de ses bas et ouvrit le tiroir ou contenant tous ses jouets et ses accessoires. Elle prit son collier et le passa, prenant soin de remettre le petit cœur en métal qui le fermait bien droit devant elle. Ses yeux furent attirés par la dernière paire de boules de geisha qui étaient venues, il y a quelques jours, compléter sa collection. Il ne lui avait rien dit à ce sujet, et il ne lui avait rien interdit non plus. Elle eu un petit sourire aux lèvres lorsqu'elles glissèrent au plus profond de son intimité.
Elle se regarda de nouveau dans la glace, il ne manquait que la paire de chaussures. Elle couru presque jusqu'au placard de l'entrée ou trônait ses nombreuses paires. Elle n'avait pas à sortir ni marcher, alors elle choisit cette petite paire noire aux talons vertigineux. Elle savait qu'elle aurait du mal à marcher avec s'il lui prenait l'envie de la faire sortir. Mais tant pis, elle prenait le risque pour lui faire plaisir car elle savait qu'il les adorait.
Parfaite se dit elle alors qu'elle avançait doucement vers le bureau. Elle fit glisser le fauteuil à roulettes et s' assis en attendant. Combien de temps allait elle attendre. La fin de l'après-midi approchait et c'était quelque peu fébrile qu'elle regardait son téléphone, attendant qu'il ne vibre, lui annonçant l'arrivée d'un nouveau message.
Elle n'eut que quelques minutes à attendre, comme s'il savait le temps qu'elle prendrait pour se préparer. Un simple "Je pars" avait suffit à voir son coeur s'emballer. Elle se leva du fauteuil et allait se glisser son le bureau lorsqu'elle relu le message qu'elle avait eu le matin. Elle fit le plus vite qu'elle pu pour rejoindre la chambre et attraper le petit coussin qui trônait sur le lit avant de revenir dans le bureau pour cette fois ci, se glisser dessous.
Elle s'assit sur le coussin et attendit. Elle aurait le temps de se mettre à genoux lorsqu'il franchirait la porte d'entrée.
Combien de temps avait elle attendue sous le bureau ? Elle avait perdue la notion du temps depuis qu'elle s'était assise sur son coussin. Elle avait même perdu la notion de l'espace et tout ce qu'elle désirait c'était entendre la porte d'entrée s'ouvrir et entendre ses pas qui venaient directement dans le bureau.
Elle attendait, elle commençait à avoir les paupières qui se fermaient. Elle se sentait partir, et elle devait lutter pour ne pas s'endormir. Elle luttait et lorsqu'elle leva les yeux, elle ne vit plus aucune lumière à travers les interstices des volets. Quelle heure pouvait il bien être ? Que faisait il ?
Elle attendait, combien de temps encore ? Elle avait eu envie de se saisir de son téléphone et de lui envoyé un message pour lui demander ou il était, mais elle ne savait pas si il faisait exprès ou si quelque chose lui était arrivé, et dans le doute et avec sa nature optimiste, elle ne pouvait imaginer que ce soit autre chose qu'une mise à l'épreuve de sa patience.
Et pourtant, plus le temps passait et plus elle commençait à s'inquiéter. Même avec de la circulation, il aurait dû être rentré depuis longtemps. Elle ne percevait plus que les lumières des réverbères de la rue au travers des volets, envolée la lumière du jour, elle avait fait place à celle de la nuit.
Plus les minutes passaient et plus elle s'inquiétait. Ce n'était vraiment pas dans ses habitudes de la laisser ainsi.
Il n'avait pu fermé l'œil de la nuit, repassant dans sa tête tout ce qu'elle avait pu imaginer pendant qu'elle l'attendait, repensant aussi à tout ce qui l'avait retenu. Il n'arrivait pas à retrouver son calme, énervé de l'avoir fait attendre si longtemps et de savoir qu'elle avait du s'inquiéter pour rien au final. La technologie avait eu raison de lui hier soir, et il n'avait rien pu y faire pour une fois.
Il s'était assis sur le fauteuil, devant son bureau, l'avait avancé quelque peu, juste à la distance ou elle aurait du être et commencça à l'imaginée comme il l'avait trouvée.
Il ne mit pas longtemps à durcir et ne pu s'empécher de glisser ses mains sur la bosse que formait son pantalon.
Il savait que les conditions n'étaient pas les plus optimum depuis quelques temps et il appréciait encore plus de l'avoir trouvée endormie dans le bureau.
Tous les changements qui survenaient dans leurs vies depuis quelques mois n'étaient pas pour simplifier les choses et il savait qu'il devait faire attention encore plus à elle qu'auparavant.
Il se laissa glisser dans ses nouvelles pensées qui l'entrainaient avec elle, l'imaginant sous ce bureau, ses mains commnencant à le carresser sur le pantalon, carressant doucement son sexe dur à travers le textile, dégrafant ensuite très doucement sa ceinture, puis les boutons de son pantalon avant de sortir son sexe du calecon.
Il imaginait sa langue commencantà le lécher de haut en bas puis dansant autour de son gland, de le lecher, l'embrasser, redescendant le long de son sexe avant de sentir sa bouche le prendre entièrement et le sucer avec gourmandise, l'enfoncant tout au fond de sa gorge et le sucer, le lecher, l'aspirer, l'avaler entièrementen même temps que ses mains malaxaient ses couilles gorgées de ce jus qu'elle adorait.
Il savait qu'il ne pourrait pas se retenir encore longtemps à ce rhytme, il était tellement excité qu'il se retenait pour ne pas jouir alors qu'elle continuait de plus belle à jouer avec sa langue sur son sexe, ses couilles.
Il n'en pouvait plus et dechargea tout son jus au fond de sa gorge.
Elle aurait tout avaler, n'en perdant aucune goutte, nettoyant bien de sa langue avant de remettre ce sexe encore dressé devant elle dans le calecon et de refermer tant bien que mal les boutons.
Elle aurait posé la tête sur sa cuisse en attendant ses désirs.
Il ouvrit les yeux, il bandait tellement que son sexe lui faisait mal dans le pantalon.
Il secoua un peu la tête et se reponlgea dans la lecture de la documentation technique qu'il avait sous les yeux afin de faire disparaitre de son esprit ces pensées qu'il savait qu'il ne pourrait contenir.
Il avait encore passé du temps avant d'aller la rejoindre au lit, se glissant sous le draps et se collant contre elle. Il le fit assez doucement pour ne pas la réveiller et même lorsque sa main enveloppa son sein, elle ne se reveilla pas.
Il ne tarda pas à fermer les yeux et s'endormir profondément.
Elle se réveilla avec le soleil qui perçait à travers les lamelles des volets. Elle hésita quelques secondes avant de se souvenir que c'était lui qui l'avait couchée. Elle était toujours nue, avec ses bas et son porte-jarretelles, son collier ne l'avait pas quitté non plus. Elle tendit le bras à coté d'elle pour ne sentir que le drap. Avait il dormi ici ? Était il déjà levé? Elle ne le savait pas et n'avait aucun souvenir de sa nuit. Elle referma les yeux pour essayer de se remémorer sa soirée et sa nuit. Elle n'y arrivait pas et se souvenait juste avoir attendu, posé la tête sur le fauteuil et ensuite sentir ses mains la relever pour l'emporter sur le lit. C'était comme si elle avait perdu la notion de l'espace et du temps pendant ces quelques heures.
Elle glissa une main entre ses couisses pour sentir la petite ficelle des boules qui étaient toujours bien au fond d'elle. Elle les avait gardées toute la nuit et elle se sentait complétement trempée. Elle tourna la tête vers la table de nuit afin de prendre son téléphone pour regarder l'heure et vit, posé à coté, le petit verre dans lequel elle savait ce qu'elle trouverait. Elle n'avait pas eu ce qu'elle devait hier soir, il avait pensé à elle et elle l'aurait au matin. Elle savait aussi que s'il n'était pas là lorsqu'elle viderait le verre et qu'elle boirait tout son sperme, elle devrait lui envoyer une petite vidéo la montrant en train de tout boire. Il savait qu'elle n'en perdrait pas une goutte mais il aimait la voir à chaque fois.
Elle se redressa, prit son téléphone et enclencha le mode vidéo avant de saisir le verre et de le vider entièrement. Elle prit même un malin plaisir à passer sa langue à l'intérieur afin de récupérer les quelques gouttes qui étaient encore présentes. Elle préférait le boire à la source mais apréciait ce petit rituel qu'ils avaient tous les deux. Elle reposa le verre, vérifia que la vidéo etait correcte avant de la lui envoyer par mail.
Elle s'alongea de nouveau, les jambes écartées et légérement repliées. Elle avait le gout de son jus dans la bouche et elle aimait cela. Ses mains caressaient sa peau, passant sur ses seins et s'amusant doucement avec ses tétons qui commencaient à pointer. Elle descendit entre ses cuisses, caressant son petit bouton si sensible ce matin. Ses doigts écartèrent ses lèvres et elle pu vérifier qu'elle était vraiment trempée. Elle en profita pour frotter de plus en plus vite son clitoris et se laissa aller, lentement, ses doigts s'activaient de plus en plus, elle sentait les boules au fond d'elle à chaque mouvement de ses cuisses. Elle sentait son plaisir monter en elle, elle avait envie de jouir, elle en avait de plus en plus envie et elle sentait son orgasme venir pendant que ses doigts s'activaient entre ses cuisses et que son autre main pincait alternativement ses tetons. Sa respiration s'accélérait et elle soupirait de plus en plus fort. Elle ne tarda pas à se laisser aller dans un rale de plaisir, refermant ses cuisses sur sa main avant de les écarter d'un seul coup.
Elle resta un long moment sans bouger, profitant des ondes du plaisir qui venait de la submerger et décidé à regarder l'heure sur son téléphone.
Il fallait qu'elle se lève, elle allait finir par être en retard à son travail, et même si elle ne travaillait que l'après midi, il fallait qu'elle se prépare.
Elle se leva et se dirigea vers la cuisine ou elle aperçu son petit déjeuné préparé sur la table. Il ne restait que son café à réchauffer. Elle n'avait donc pas rêvé et il était bien revenu cette nuit, revenu la mettre au lit et était déjà reparti. Il avait du surement se lever à l'aube et repartir aussitôt.
Elle s'était assise sur le tabouret haut du bar de la cuisine, sa tasse de café entre les mains, elle avait fini son petit déjeuné et se demandait si elle allait lui envoyé un message pour le remercier d'avoir préparé son petit déjeuné lorsqu'elle entendis le bip significatif d'un message sur son téléphone. Elle le prit et regarda l'écran qui s'allumait. Elle eu juste le temps de voir sa photo disparaitre. Elle avait un message et c'était lui.
Elle lu lentement, il la remerciait pour la vidéo du matin et ce qu'elle lu à la suite la perturba au plus au point. Il ne pouvait pas faire cela, il n'en avait pas le droit de lui demander cela, elle n'y arriverait pas.
Et pourtant elle relu encore une fois la dernière phrase, posa son téléphone. Elle but lentement son café, ses jambes tremblaient. Elle ne savait pas comment elle allait réagir.
Elle regarda de nouveau son téléphone pour vérifier l'heure. Elle n'avait plus beaucoup de temps et il fallait qu'elle se prépare.
Elle avait repris son téléphone, remis le mode vidéo et avait commencé à retirer les boules, doucement, une à une, lui montrant bien qu'elles sortaient lentement puis les nettoya de sa langue l'une après l'autre avant de les prendre toutes les deux en bouche et de finir le nettoyage. Elle vérifia la vidéo et l'envoya.
Une fois sa douche prise, elle s'habilla, tel qu'il lui avait demandé. Elle savait qu'elle n'allait pas être à l'aise pour son travail mais elle avait néanmoins mis une autre paire de bas, elle avait aussi mis son rosebud. Elle n'aimait pas le mettre pour aller travailler, elle ne l'avait d'ailleurs jamais fait et elle avait peur que cela ce voit.
Mais elle le ferait quand même, elle n'en avait pas envie, mais elle voulait lui faire plaisir.
Elle finit de se maquiller, se coiffa et enfila une petite robe, une paire de chaussures, regarda l'heure, prit son sac et sorti de l'appartement. Elle avait le temps de s'arrêter en terrasse boire un café avant de commencer. Cela lui ferait du bien et la ferait décompresser un peu.
Elle s'installa à une table en terrasse, face à la place qui s'étendait devant le café. Lorsque le serveur arriva, elle commanda un café et un verre d'eau. Il connaissait ses habitudes, elle passait souvent et il avait même eu un petit faible pour elle avant qu'elle ne lui dise qu'il n'y avait aucun espoir. Depuis, ils avaient des relations amicales et il était aux petits soins pour elle.
Elle regardait les gens et les voitures passer et essayait de ne pas bouger pour ne pas sentr son rosebud au fond de son petit cul. Le décoletté de sa robe attirait les regards aussi bien des hommes que des femmes qui étaient installés à la terrasse. Elle regarda sa montre, elle avait encore un peu de temps mais demanda la note, paya et s'en alla vers son travail. Elle n'était pas très loin et en moins de dix minutes, elle était dans les vestiaires. Elle était un peu en avance et elle en fut soulagée car il n'y avait personne. Elle ouvrit son casier, enleva sa robe et se dépécha d'enfiler le pantalon blanc qu'elle avait préparé. Elle se sentait vraiment genée, se retrouver nue sous son pantalon au travail était une nouveauté pour elle et surtout avec son rosebud. Elle esperait que tout se passerait bien. Elle avait l'habitude de le porter, mais elle ne l'avait jamais fait au travail. Il lui avait demandé de garder son téléphone dans l'après midi et de ne pas le laisser dans son casier. Elle se doutait qu'il lui enverrait quelques messages avant la fin de sa journée pour lui donner des consignes qu'elle espérait pouvoir suivre.
Lorsque ses collegues arrivère, elle était en tenue et avait rangé ses affaires, fermé son casier et allait regagner l'acceuil. Elle discuta quelques minutes avec elles avant de rejoindre son service.
Elle vaquait à ses occupations, regardant régulièrement son téléphone car elle ne sentait pas forcément le vibreur et avait coupé la sonnerie pour ne pas déranger. Combien de temps devrait elle attendre encore, elle espérait qu'elle n'attendrait pas aussi longtemps que la veille.
Elle sentait le rosebud à chacun de ses pas, et chaque mouvement qu'elle faisait lui rapellait qu'il était au fond d'elle et qu'elle devait tout de même faire attention à ne pas le perdre. C'était sa plus grnade angoisse, de le perdre et qu'elle se retrouve avec une tache sur son pantalon blanc.
Il faisait chaud et ses bas commencaient à lui tenir vraiment chaud, elle aurait eu envie d'aller les retirer mais elle savait qu'il le saurait, elle ne pourrait lui cacher le fait qu'elle les ai retirer. Pourquoi avait il voulu qu'elle les mette alors qu'elle était en pantalon. Elle n'avait pas discuté ses consignes, elle n'avait pas à le faire d'ailleurs.
Elle était en train de monter à l'étage lorsqu'elle senti les vibrations dans sa poche. Elle regarda et fut surprise qu'il prenne simplement de ses nouvelles, savoir comment se passait son après midi, sans rien de plus. Elle lui répondit que tout allait bien même si les bas lui tenaient chaud.
Il n'y eu pas de réponse de sa part. Elle continua encore quelques heures avant d'avoir un nouveau message.
Lorsqu'elle le lu, elle ne sut pas si ce qu'elle allait dire et faire. Tout était pourtant clair, il fallait qu'elle trouve une chambre inoccupée, qu'elle fasse le lit et qu'elle lui envoie un message lorsque ce serait fait. Elle devrait ensuite attendre qu'il la contacte.
Elle avait trouvé la chambre, fait le lit comme il lui avait demandé et envoyé le message pour le lui dire. Puis elle avait continué son travail. La chambre qu'elle avait choisie était au bout du couloir, elle ne savait pourquoi elle avait choisi celle-ci parmi les quelques pièces qui étaient disponibles. Sans doute parce qu'elle pensait qu'elle serait plus tranquille, moins dérangée à l'autre bout du bâtiment qu'en plein au milieu.
Elle dut patienter de longues minutes avant d'avoir une réponse. Elle en fut encore plus surprise. Il était à l'accueil et il l'attendait, elle devait venir le chercher et faire comme si il venait voir quelqu'un. Elle se dépêcha de redescendre, aussi vite qu'elle le pouvait sans que cela ne paraisse bizarre et surtout en prenant garde à son rosebud.
Elle le vit dans l'encadrure de la porte, debout, attendant et elle s'approcha de lui. Comment allait elle l'aborder? Lorsqu'elle arriva à sa hauteur, elle le salua comme elle le devait puis lui demanda s'il voulait bien la suivre, ce qu'il fit sans un mot. Il la regarda monter les escalier et essayait de deviner le rosebud entre ses fesses. ils arrivèrent devant la porte de la chambre qu'elle avait choisi, elle sorti la clé de sa poche et l'ouvrit et l'invita à entrer avant de faire de même. Lorsqu'ils furent à l'intérieur, il lui demanda de refermer à clé puis de se déshabiller et de se mettre à quatre pattes sur le lit. Elle hésita quelques fragments de seconde et voyant qu'il ne semblait pas plaisanter, elle défit sa blouse blanche, retira son soutien gorge avant de retirer son pantalon et de tout poser sur le dossier d'une chaise. Elle le regarda espérant qu'il changerait d'avis, mais ce n'était pas le cas, et elle se mit en position sur le lit, son petit cul tendu vers lui, lui offrant la vue du rosebud bien en place.
Il passa derrière elle et lui caressa doucement les fesses, les cuisses, passa deux doigts sur sa petite chatte et écarta les lèvres avant de lui enfiler jusqu'au fond puis de les ressortir et de lui faire sucer. Elle aimait son gout et il aimait la voir lécher et sucer sa mouille. Il l'embrassa fougueusement avant de lui prendre la tête entre les mains et de lui dire qu'il était fier d'elle, que depuis hier elle avait été parfaite et qu'elle méritait d'être récompensée.
Il repassa sa main sur ses fesses, les pressant fortement, lui faisant presque mal. Elle gardait le cul tendu, même si elle avait envie de bouger, de le retirer sous la pression de ses doigts. Son autre main caressait ses seins, s'amusait avec ses tétons, les pressant doucement, les faisant rouler entre ses doigts.
Son autre main caressait son petit trou, la sentant frémir à chaque fois que ses doigts pressaient un peu à l'entrée de son petit cul.
Ils glissaient ensuite vers ses lèvres ouvertes et humides, il passa sa bouche sur ses fesses, déposant quelques baisers au endroits encore rougis par ses mains. Sa langue descendit entre ses fesses, elle frémit, voulu se retirer, même si elle aimait celà, elle en avait toujours honte. Elle passa sur son petit trou, s'arrêta quelques instants pour jouer avec avant de descendre vers sa petite chatte qui n'attendait que cette langue. Il lui écarta encore plus les jambes d'un mouvement sec de sa main et la fit se cambrer encore plus en lui appuyant sur le bas du dos. Sa langue pouvait désormais passer partout ou elle avait envie. Elle n'arrivait pas à se concentrer, elle en avait envie et pourtant la peur d'être surprise remontait dans ses penser. Elle sentait pourtant cette langue jouet avec son bouton, écarter ses lèvres, revenir titiller son clitoris tout dressé. Sa respiration s'accelerait sans qu'elle n'y prenne attention et lorsqu'elle l'entendit lui dire de se concentrer et de se laisser aller, de se laisser jouir, elle ne pensa à plus tien d'autre qu'à l'orgasme qu'elle allait avoir, à ce plaisir qui montait en elle, à ces vagues de bonheur qui lui faisaient onduler doucement les fesses.
Il continuait de la lécher, elle aimait sa langue, elle aimait lorsqu'elle pouvait la sentir et qu'il lui permettait de jouir ainsi.
Elle ne tarda pas à se laisser submerger par ces ondes de plaisir, elle voulu resserrer instinctivement les cuisses mais elle ne pu et elle se laissa aller sur sa bouche.
Il lui caressa doucement la chatte, les seins, la gardant encore quelques instants en position, le temps qu'elle savoure et qu'elle reprenne conscience.
Il l'embrassa longuement lui faisant de nouveau goûter son plaisir.
Il se releva, la regardant tendrement, elle avait encore les yeux dans le vide, l'embrassa de nouveau en lui disant qu'elle pourrait retourner travailler dans cinq minutes, après qu'il soit parti.
Elle était rentrée du travail ce soir là, s'attendant à le trouver à la maison, mais il n'y était pas. Il y avait juste un mot sur la table du salon lui disant qu'il était désolé mais qu'il avait du partir en urgence pour un client et qu'il serait absent pendant deux jours.
Elle relu le mot, triste, elle aurait voulu s'endormir contre lui, même s'il faisait encore chaud, elle avait envie de le sentir contre lui. Elle repensait à cet orgasme qu'elle avait eu quelques heures plus tôt. Jamais elle n'aurait imaginé un jour être capable de faire cela, et pourtant elle l'avait fait, elle n'avait pas rêvé non, elle s'était bien fait léchée par son Maître et avait jouis au travail.
Elle regarda le café couler dans sa tasse, elle était de nouveau perdue dans ses pensées lorsque son téléphone vibra, lui annonçant un message. Elle regarda, c'était lui, pour lui dire qu'il était désolé d'avoir du partir et qu'il l'appellerait dans la soirée.
Elle profita du temps qu'elle avait pour s'occuper d'elle, avant de manger et de se mettre en pyjama avant de se glisser sous les draps.
Elle aimait autant quand il était là qu'elle appréciait lorsqu'elle pouvait dormir toute seule, elle profitait ainsi de toute la place qu'elle pouvait avoir dans le lit.
Elle ne tarda pas à s'endormir, avant même d'avoir eu son appel. Appel qu'elle n'entendit pas lorsque le vibreur se mit en marche.
Elle passa cette nuit bercée par ses doux rêves et pensées de la journée, sans se réveiller.
Elle s'était réveillée encore plus fatigué que lorsqu'elle s'était endormie. Elle ne comprenait pas, elle avait pourtant eu plus d'heures de sommeil qu'à son habitude. Elle ne savait si c'était son absence qui lui procurait cette sensation.
Elle se leva doucement, flana un peu dans l'appartement avant d'aller prendre son café dans la cuisine.
Elle regardait sa tasse fumer, elle était perdue dans ses pensées. Elle revoyait la scène de la veille, et se disait qu'il était allé trop loin, et que si elle continuait à le laisser faire, elle ne savait pas ou tout cela la conduirait.
Pour la première fois depuis le début de leur relation elle commençait à prendre peur et à envisager de désobéir à ses prochaines demandes. Elle se ressaisit en réfléchissant à ce qu'elle venait d'imaginer.
Aurait elle vraiment la force et le courage de lui dire qu'il allait trop loin ?
Elle ne le savait plus. La fumée de son café lui piqua les yeux et la fit revenir à la réalité. Elle devait avancer un peu si elle ne voulait pas être en retard à son travail.
Elle regarda son téléphone, pas de message, elle fut surprise et étonnée, un brin inquiète aussi même si ce n'était pas dans son tempérament.
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Tic...
Tac...
Dans sa tête, ses pensées se bousculent.
A t'elle bien compris sa demande?
Rien de plus simple à réaliser pour elle, et pourtant le doute, toujours présent s'insinue en elle.
Que lui réserve t'il exactement ? Y a t'il un piège ?
Cette peur, cette appréhension font réagir son bas ventre qui s'éveille. Elle sent son intimité devenir humide.
_ Commence, maintenant.
La voix grave de son Maître qui ordonne, coupe court à ses réflexions.
Elle a oublié le froid sur son corps nu.
Ses mains commencent à se promener lentement sur sa peau fine et blanche. D'une main, elle prend son sein gauche, le plus sensible des deux et le caresse lentement. Son autre main glisse sur son ventre puis descend vers son sexe qu'elle effleure à peine et passe sur sa cuisse.
Ses yeux fixent son Maître dans un regard de défi et restent à l'affût du moindre de ses gestes, afin de pas se laisser surprendre.
Tic...
Tac...
Elle continue ses douces caresses, sur sa peau. Ses deux mains allant lentement de ses cuisses à ses seins en passant sur ses hanches et son ventre.
Ni très mince, ni très ronde, sa silhouette harmonieuse offre un spectacle plaisant.
De sa langue, elle humidifie ses lèvres, geste provocateur pour exciter l'homme voyeur et pervers.
Duel, yeux dans les yeux, plaisir contre plaisir.
Tout en soutenant son regard, il tend son bras vers la table basse.
Tic..
Tac..
Elle l'a vu manipuler le balancier du métronome.
Le rythme s'accélère.
Il boit une gorgée de vin et ne la quitte pas des yeux.
Une bouffée de chaleur la saisit.
Ses joues rougissent, elle fixe maintenant le balancier, continue ses caresses, plus rapidement maintenant. Sa respiration s'accélère.
Elle prend ses deux seins, fermement et avec application les malaxe. Elle bascule sa tête en arrière, et sa bouche entrouverte laisse échapper ses premiers ronronnements de plaisir.
Tic.
Tac.
Un nouveau changement de rythme vient la contraindre dans son plaisir. Son esprit s'affole. Il va trop vite.
Tic.
Tac.
La fièvre s'empare de la moindre parcelle de sa peau.
Elle change de position.
Maintenant à genoux, sur le carrelage, elle fait fi de la douleur sur ses articulations.
Elle cambre son dos et tout en le toisant elle malaxe son cul qu'il ne peut qu'imaginer en cet instant où ils se font face.
Puis ses mains reviennent dans des caresses plus rapides et appuyées sur son ventre et son sexe qu'elle commence à entreprendre avec vigueur.
Tic.
Tac.
Son humidité trahit son plaisir. Elle ne peut s'empêcher d'introduire ses doigts dans son intimité avide du plaisir final qu'elle compte bien obtenir.
Ses gémissements font écho au son du métronome, pour former une mélodie de jouissance douce et entêtante.
Ses doigts trempés viennent enfin prendre possession de son petit bouton dressé.
Tic.
Tac.
Elle est dans une bulle, le rythme imposé est son repère sensoriel.
Elle ferme les yeux et perd ses velléités de compétition avec son Maître en s'abandonnant à son plaisir égoïste.
Ses caresses sur son clitoris font monter en elle des frissons jusqu'à la racine de ses cheveux.
La transpiration commence à perler le long de son dos.
Tic. Tac.
L'esprit à vif, elle veut prendre son dû, sa jouissance à elle. Ses mouvements deviennent plus forts, plus rapides.
Sa respiration devient haletante.
Les genoux écartés, les fesses sur les talons, elle fait de son mieux pour contrôler sa jouissance et attendre le moment où il la lui accordera.
Elle ne peut pas ralentir, il lui a ordonné de caler son rythme sur le métronome, et attendre son ordre pour jouir enfin.
Ses gémissements sont de plus en plus forts, ses jambes tremblent d'excitation, tous ses muscles se crispent.
Tic.Tac.
Son clito dressé jusqu'à l'extrême.
Ses pensées se brouillent, elle voudrait le supplier. Le rythme rapide du métronome excite tous ses sens.
Elle veut jouir, maintenant, qu'il lève enfin sa contrainte et qu'elle puisse laisser son corps exploser de plaisir.
Il n'en fait rien. Il observe toujours en silence. N'en perd pas un instant. Elle est sa marionnette, son jouet.
La transpiration sur son front et son sexe durci trahissent sa propre excitation. Mais il ne bouge pas de son fauteuil. Il attend patiemment, son moment
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Des mains sur une peau douce comme un trésor
Descendant lentement sur tout le long du corps
Des mains longues, fines et affectives
Délicates, caressantes, imaginatives ==
Des mains découvrant avec délectation
Des courbes soyeuses en appréciation
Des creux, des arrondis, des dénivelés
Divins, voluptueux, sensuels et bombés ==
Des mains qui s'aventurent en sensualité
Vont et viennent vers ce mont adoré
Délicat renflement généreux, goûteux
Découvrant un corps offert, harmonieux ==
Des mains qui explorent tout en douceur
Dévorant avec ferveur cette offrande
Dessinant des ronds sur cette amande
Délivrant ainsi un plaisir dévastateur ==
Le 20 08 2017
fiction
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Pour commencer, je vous invite à me lire avec les musiques qui seront proposées au fil de cette petite nouvelle
https://www.youtube.com/watch?v=gIdOpzzjlXo
Je vous attend sur le quai de la gare, habillée avec une robe rose avec un col bardot, cette dernière descend sous le genou.
La hauteur de mes talons est vertigineuse, élançant ma taille.
De quelle rame allez vous descendre ? Mon cœur palpite..
Je sens soudain une main se poser sur mon bras droit.
- Ne vous retournez pas, me murmurez-vous à l’oreille. Avancez jusqu’à votre voiture sans vous retourner une seule fois. Vous me comprenez. Je marcherai derrière vous. Est-ce clair ?
- Oui, Monsieur ça l’est.
J’avance ainsi seule, me sentant observer, épier par votre regard. Je sens que vous me détaillez de la tête au pied. J’arrive à ma voiture. J’introduis la clef dans mon vieux roader vert anglais. Je vous devine derrière moi, je n’ose me retourner… Là vous plaquez mon corps contre la vitre du véhicule. Mon sac tombe de mes mains.
- Ne bougez pas.
Vous vous accroupissez. Je sens vos mains remonter tout doucement mes chevilles, mes jambes, franchir le tissu de ma robe et remonter mes cuisses. Vous approchez de mon oreille et me susurrez
- Quelles jambes splendides, quelle peau douce et votre parfum, envoûtant. Voici vos affaires chère amie.
- Allons voir si nos échanges feront de vous une bonne petite chienne, vous feront mienne.
- J’acquièse de la tête.
- Montez dans votre voiture.
Vous refermez la portière et placer votre bagage dans le coffre.
Quelques secondes après vous êtes face à moi côté passager. Nos regards s’entrecroisent, mes joues s’empourprent. Vous m’intimidez. J’en perds mes mots.
Puis vous me souriez pour me détendre.
C’est parti pour votre chambre d’hôte, située dans un quartier calme de Strasbourg. Je vous l’ai proposé, elle vous a intrigué, laissant libre court à votre imagination. Une chambre idéale pour lier des liens, des poutres verticales, horizontales, une tête de lit splendide.. Allons nous jouer.. ou pas ?
Voilà près d’une semaine que mon sexe, mes seins sont gonflés par le désir. Vous m’avez envoutée.
Comment va se passer cette soirée ?
Nous arrivons à cette chambre d’hôte, nous prenons nos affaires respectives. Nous découvrons cette chambre qui nous coupe le souffle. Vous avez mis la barre haute pour cette première rencontre… Je décide d’aller me rafraichir quelques instants pour retrouver mes esprits.
- Servons nous un verre, et mettons une bonne musique pour nous détendre. Je ne regrette pas d’avoir fait le chemin.
Nous trinquons sur ces splendides fauteuils bleu roi.
Le champagne est divin, les fraises et framboises succulentes. Je les amène à ma bouche avec délicatesse, j’entrouve mes lèvres et lentement je mange une fraise, je m’en délecte…pour vous provoquer. Vous souriez, et votre regard me dit que je vais peut- être le regretter plus tard.
Le temps passe, il est temps pour moi de me changer pour notre restaurant. J’ai ramené deux robes pour vous laisser le choix de ce que j’allais porter. Cette attention vous plait. Vous me laissez tranquillement dans cette somptueuse salle de bain de princesse. Cette baignoire sur pattes de lion, ce grand miroir et cette chaise en noir et or dont le dossier est comme du corail.. C’est splendide.
A votre tour vous vous changez, prenez le temps de vous rafraîchir.. En vous attendant je fais le tour de la chambre, puis je me rassois sagement.
Je vous découvre terriblement élégant, terriblement séduisant. J’aime votre regard. Je suis séduite, mais nous le savons tous les deux que nous sommes séduits. Une tension s’est installée. Nous le savons, pas besoin de mot pour se le dire.
Vous m’invitez à me lever pour y aller. Je me dirige pour ouvrir la porte. Là vous me bousculez contre. Vous saisissez mes poignets derrière mon dos.
- Vous êtes somptueuse ce soir.
Vous me libérez. Vous vous amusez de pousser mon excitation. Je n’arrive même plus à marcher correctement. Arrivée au restaurant commence une danse de séduction, de provocation.
Nous apprécions notre repas mais vous et moi n’avons qu’une envie, quittez cette table.
En regagnant la voiture, vous me tendez votre bras. Quel homme galant vous êtes. Je sais, je sens que mes moments de princesse vont s’arrêter mais vous seul détenez le moment où tout va basculer.
Une fois sur le parking, vous m’aidez à sortir, me tendant votre main. Je vous regarde droit dans les yeux. Mon cœur palpite. Nous passons le porte de la chambre. Je suis toute tendue. Je prétends aller à la salle de bain pour me refaire une beauté. Puis vous arrivez brutalement. Vous me plaquez contre le lavabo. Je mets des mains de part et d’autre comme pour lutter. Vos pieds écartent mes jambes.
- Ne bougez pas. J’ai rêvé toute la soirée de vous faire ceci…
Vous montez ma robe sans ménagement sur mes fesses. Vous abaissez avec brutalité Ma culotte. Vous reculez et admirez mes fesses..
- Qu’elles sont blanches…
- Cette culotte ne doit pas descendre. Elle doit rester à hauteur de vos genoux.
- On dirait une petite pute qui attend de se faire baiser.
Je frémis et je rougis à la fois.
Puis vous pressez votre sexe contre celles-ci..
- Regardez ce que vous provoquez petite chienne.
Vous tirez alors sur mes cheveux pour me redressez. Vous mettez sur ma gorge votre main, me maintenez fermement et me forcez à me regarder dans le miroir et vous regarder à travers lui.
- Alors n’êtes-vous pas une petite chienne ?
Ne répondant pas, une claque s’abat sur mon postérieur.. Puis une seconde.
- Alors ?
- Oui Monsieur.
- Je n’ai pas bien compris. Il n’est pas compliqué de répondre « Oui Monsieur, je suis une petite chienne »,
- Oui monsieur je suis une petite chienne.
Maintenant repoudrez vous le nez et faites vous présentable. Puis vous sortez.
En sortant, je découvre l’ambiance tamisée quelques bougies allumées. Je vous vois assis sur ce fauteuil bleu
- Avancez et mettez vous face à moi.
- Maintenant, danser langoureusement pour moi et retirer moi cette robe qui m’empêche de vous admirez.
Là, la culotte tombe au sol… Je vois que vous faîtes votre tête bougée de gauche à droite…
- Vous n’êtes pas très docile ma chère. Je vais devoir vous punir, et vous le savez…
Je danse avec une certaine pudeur mais aussi fierté. Je tiens à continuer à vous provoquer. Je n’ai pas rendu les armes, et vous en avez conscience. Vous découvrez ma lingerie, elle dévoile partiellement mes tétons. Un long collier de perles tombant jusqu’à ma poitrine, et mes seins décorés par des bijoux de peau font ressortir mes tétons..
Vous vous levez comme un félin. Je continue de danser. Vous arrivez à ma hauteur et prenez mes deux tétons dans vos mains. Vous tirez dessus.
- Continuez de danser très chère..
Mes seins sont douloureux, je n’y arrive pas.
- Je vois qu’il vous faut une motivation.
- Vos poignets de suite ! devant vous.
Là vous sortez de quoi les enchainer l’un à l’autre. Je me laisse faire. Obéissante.
Puis, vous me bandez les yeux. Avec la privation de la vue et sur les talons mon équilibre est précaire. Vous me tenez. Puis d’un seul coup je sens mes bras se lever. Vous êtes en train de m’attacher à cette poutre horizontale avec une corde.
Voilà qui est parfait. Tout à la disposition. Je sens une gifle arriver sur ma joue. Puis votre main de part et d’autre de ma bouche. Vous serez mienne ce soir, vous serez ma chienne, ma petite putain. Est-ce bien clair ?
- Oui monsieur.
De là vous passez votre main sur ma chatte, qui est trempée.
- Regardez- moi cela une vraie petite chatte en chaleur.
(pour poursuivre cette lecture https://www.youtube.com/watch?v=OsW9W61dsko)
De là, vous commencez à faire votre œuvre. Vous me bondez les seins pour les faire ressortir comme vous les aimez. Je devine votre sourire. Vous m’attachez les cheveux… et me demandez d’ouvrir ma bouche. Là je sens une boule de métal fois.
- Sucez ma chère. Montrez- moi vos talents de petite suceuse.
Je m’exécute à cette affaire et je devine ce qui va se passer, impuissante.
Vous passez ensuite cette boule sur ma chatte, et commencez à l’introduire dans mon petit cul bien serré. Je pousse un cri.
- Je ne veux rien entendre.
Subitement, vous tirez mes cheveux en arrière. Vous plantez vos crocs dans mon cou. Avec finesse, vous attachez le crochet anal à mes cheveux. Vous caressez mon corps, prenez mes fesses en main. Vous me donnez quelques coups de hanche.
- Ouvrez votre bouche
Vous faites couler du champagne dans ma bouche puis sur ma poitrine. Vous commencez à me lécher, à me caresser, à me maltraiter les seins, me claquer comme mes fesses, à me faire lécher vos doigts.
- J’aime que vous rougissez, Mademoiselle.
Je n’arrive pas à tenir en place, je lâche des soupirs.
Quand je sens le cuir sur ma peau, celui de la cravache. Vous la passez sur ma bouche, elle descend mon cou, caresses mes seins.. puis s’attarde sur ma petite chatte.
- Ecartez vous jambes.
- Mieux que ça !!!
J’ai du mal à tenir l’équilibre avec les talons, vous aimez que je ne sois pas à mon aise. Vous me tapotez sur mon sexe.
- Vérifions votre excitation. Vous introduisez deux doigts sans ménagement dans ma chatte tout en me regardant dans les yeux. Puis vous jouez avec la corde de mon crochet anal me faisant gémir et râler. Une gifle s’abat sur ma joue.
- Petite putain, je vais vous punir comme vous le méritez. Toute la semaine vous m’avez mis dans un de ces états.
Vous me faites danser avec des claques, des coups de cravaches jusqu’à ce que je sois rouge comme vous l’aimez. Aternance de douceurs, de caresses, de coups.
Vous me détachez la corde de mes cheveux et vous regardez avec délectation le crochet anal sortir de mon petit fion. Puis vous me libérer les mains.
- A genoux.
- Sans force, je m’exécute.
- Vous mettez mon collier sans ménagement. Vous le serez très fortement que mes mains ont envie de s’en défaire. Vous les rejetez au sol en me demandant ce que sont ces manières. Puis vous tirez sur la laisse.
- Avancez et suivez moi avec élegance.
- Au pied.
Vous vous asseyez, puis défaites mes cheveux, vous me caressez les cheveux, passer vos doigts sur mes lèvres. Ma tête se penche appréciant cette caresse des plus délicates.
Vous aimez garder ma laisse courte et ferme.
- Servez- moi un verre.
- Je m’empare du champagne et de la coupe et je vous sers.
- Savez vous que tout à l’heure vous m’avez provoqué en buvant votre champagne comme une petite princesse ?
Vous me faîtes m’allonger sur vous. Mes fesses sur vos jambes. Vous reposez le verre sur mes fesses. Vous prenez votre temps. Vous approchez le verre de ma bouche, vous tirez fort sur la laisse.
Maintenant je vous ordonne de le lécher dans cette coupe, comme une bonne chienne le fait.
- Sortez votre langue et lapez.
Vous n’en ratez pas une miette. Cela vous excite. Vous me faîtes descendre et me demander de venir entre vos jambes, de m’accroupir, les jambes écartées.
Vous défaites votre pantalon. Agenouillez, à vos pieds, je vous regarde dans les yeux.
- Vous savez ce qui vous reste à faire petite catin ?
Avec la laisse, vous m’approchez de votre jambe, puis mettez ma tête en direction de votre queue.
Je m’empare de votre sexe, je commence à le lécher tout d’abord, je vous regarde et met votre gland dans ma bouche, je l’aspire, je joue avec lui. Mes mains s’emparent de vos couilles, à quatre pattes entre vos jambes, me cambrant tout en vous suçant
J’entend vos cris de plaisir et vos mots crus. Vous mettez vos mains sur ma tête pour la maintenir et bloquer votre sexe dans ma bouche, si chaude.
Vous vous relevez, me tenez par la gorge et me baissez la bouche, rudement. J’en bave. Vous me tapotez même le visage avec votre queue, vous me giflez aussi. Vous me félicitez pour la bonne suceuse que je suis.
Puis vous jouissez sur mes seins.
- Dites-moi que vous êtes une putain.
- Monsieur, je suis une putain.
Vous m’attachez ensuite à cette poutre horizontale, les mains dans le dos, chaine courte, tout en me laissant au sol., les yeux bandés et baillonnée. Vous partez. Le temps passe… Je suis là à vous attendre.
Soudain, j’entend le son de l’eau couler dans la baignoire.
- Je vais vous laver. J’aime que vous soyez propre quand je vous utiliserai à nouveau.
Vous m’enlevez une chaussure, puis l’autre. Vous me guidez jusqu’à la baignoire.
La température de l’eau est exquise. Toujours les yeux bandés, vous êtes derrière moi. Vos mains saisissent mes globes et les serrer fortement, pour prendre ensuite mes tétons et les tirer.
Puis vous commencez à me laver. Vos mains sont douces, elles parcourent tout mon corps. D’abord les pieds, les jambes puis les cuisses, mon dos et mes seins.
- Relevez vous et mettez- vous à quatre pattes.
- C’est ainsi qu’on lave une gentille chienne.
Vos mains écartent mes fesses. Je me sens honteuse d’être ainsi. Vos mains passent sur mon sexe mettant quelques doigts dans ma petite chatte de salope. Vous lavez mes orifices. Vous aimez jouer avec le jet d’eau dessus. Vous me voyez me dandinez comme une petite chienne qui a envie de prendre son plaisir.
Vous me faîtes sortir de l’eau et me séchez. Je trouve ce moment très érotique et sensuel. Vous me faites asseoir sur cette chaise. Vous attachez mes mains dans le dos. Il faut dire que le dossier de cette chaise est pratique. Puis ma cheville droite au pied droit de la chaise et de même avec l’autre pied. Vous enlevez mon bandeau.
Vous me repeignez, me parfumez.
Quand je découvre les pinces sur le rebord du lavabo, je trésaille.
Vous me regardez droit dans les yeux. Vous prenez une pince et la mettez à hauteur de mes yeux. Ces derniers s’écarquillent. Vous prenez mon sein droit dans vos mains, et tirez sur le téton, et y mettez une première pince.. Je crie de douleur. Puis c’est au tour du second.
- Que serait une belle putain sans ses bijoux.
Il y renonça voyant que je ne pouvais les supporter.
- Il vous manque votre maquillage.
Vous prenez la bougie que vous aviez amené avec vous… Vous vous amusez à regarder les formes avec sa lumière, je ressens la chaleur de la flamme. Ma respiration s’accélère. Vous me caressez le visage avec une douceur puis faite basculer la cire sur mes cuisses. Assez haut pour que je m’habitue, puis sur mon ventre, sur mon mont de venus, sur mes seins.
Puis vous me laissez ainsi, vous me baillonnée dans le noir. Je ne sais pas combien de temps je reste ainsi.
Vous revenez. J’ai complètement perdu la notion du temps. Vous me détachez et nous sortons de la salle de bain. Là vous me poussez sur le lit, je me retrouve sur le dos. Vous me caressez tout en maintenant fermement les poignets. Je sens votre souffle dans le creux de mon cou. J’aime sentir vos doigts sur mon cou, cette étreinte si érotique.
D’un coup net, vous me dites de ne plus bouger. Vous m’immobilisez les mains et les pieds pour que chacun de mes trous soient à offert. Vous en profitez pour me claquer les fesses à nouveau.
Là vous mettez vos doigts dans ma bouche, puis avec ma mouille, vous insérez un doigt dans mon cul, déjà dilaté par le crochet anal et vous commencez à me fouiller sans ménagement. Je mouille encore plus. Puis me voyant si dégoulinante, vous ne pouvez vous empêcher de me doigter aussi ma petite chatte.
- Alors petite chienne, on aime se faire fouiller ? Dilater ? Baiser ?
- Oui Monsieur.
Je vois un sourire se dessiner sur vos lèvres.
Là vous me giflez, me tenez par le cou, vous le serrez.. le serrez.
- Suppliez moi de vous enculer comme une putain.
- Monsieur, je vous en supplie, baisez moi, enculez moi comme la putain que je suis.
Une fois votre queue introduite, vous me pillonnez, me frappez les seins, vous m’insultez. Vous me retournez , me placez le cul au bord du lit pour me prendre en levrette. Puis vous écartez mes fesses pour admirer votre queue sortir de mon cul et voir votre œuvre, pour mieux replonger dedans.
Vous me claquez les fesses, vous me chevauchez comme une pouliche. Vous tirez sur mes cheveux, puis pour mieux me prendre profondement, vous me relevez par le cou.. Je suis votre poupée.
- Quelle putain vous faîtes ! Je vous prendre plaisir à vous éduquer à vous montrer où est votre place de chienne.
Vous caressez mon clitoris en même temps. Je sens une vague arriver et je vous l’indique.
- Monsieur, je suis sur le point de jouir.
- Je vous l’interdis !!!
Vous vous arrêtez.
Vous commencez une fouille de ma chatte avec plusieurs doigts tout en goutant à ma chatte. Vous entamez des va et vient à une telle vitesse qu’un liquide jailli de ma chatte sans que je puisse le controler.
- Une femme fontaine.. hummm.. Petite salope. Vous êtes une vraie chienne, baiser à utiliser.
Je reste interdite, honteuse sur le lit. Vous me détachez. Je suis épuisée. Vous me prenez dans vos bras.
Reposez- vous quelques instants, puis allez- vous préparer pour la nuit. J’exige que vous portez votre collier.
Je reviens de la salle de bain, avec comme seule vêtement un deshabillé en soie.
- Enlevez moi ça, je vous veux nue à mes côtés.
- . Vous m’enchainez les jambes et me menottez les bras à la tête de lit…
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Besoin d'entrainement, de se tester... Une soirée spéciale, à trois pour mieux définir nos envies et nos limites.
Le paddle, le martinet et une ceinture; T a l'habitude, elle nous guidera.... et moi, le désir de trouver mes limites, le besoin de sensations.
Le paddle, le martinet je n'ai aucune crainte, plutot de l'envie, de l'excitation.
La ceinture... une appréhension, des craintes mélangées à du désir.
La soirée démarre doucement dans la bonne humeur. Toutes les deux, le haut du corps allongé sur la table, nos fesses à disposition, on se regarde sans savoir qui va commencer, moment de complicité, d'amusement et de désir. Un baiser, une étreinte, un premier coups, T gémit, demande plus fort. On s'observe, je percois son plaisir, je l'envie...
Les coups se poursuivent, T te guide... je m'impatiente, j'ai hate, mon corps excité par les gémissements... puis vient mon tour, un premier coup que je savoure, la chaleur se discipe et je réclame encore.
La suite se poursuit, le claquement sur nos fesses qui se colorent, les caresses, le plaisir monte en nous, tes doigts nous mène au bord de l'orgasme... la ceinture... une autre sensation, un plaisir fort... Tu t'arretes ton sexe gonflé... On se retourne, et nos langues ont vites fait de venir te lécher...
T se retrouve prise sauvagement sur la table, comme elle aime, son cul ne te résiste pas... et elle jouit fontaine. Je me caresse en vous observant. Tu m'as demandé de me faire jouir; exercice difficile, mais je m'applique... laisse le plaisir monter, grandir... je sens que j'y suis presque, je poursuis... un premier jet libérateur, qui m'invite à continuer.... une flaque se forme, nos regard se croisent.
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Ce matin-là, un œil curieux pouvait remarquer deux femmes chargées traverser, sous l'ombre bienvenue des arbres dans l'allée, le parc du Peyrou. Il les verrait passer près de l'Arc de Triomphe, murmurant peut-être déjà des insanités complices. Il les verrait glisser sur les pavés du vieux Montpellier et progresser à petit pas dans la descente vers la cathédrale Saint Pierre.
Le soleil cogne déjà impitoyablement, l'air est moite et promettrait presque un orage d'été, qui ne viendra pas...?S'il n'est pas allé à leur rencontre, c'est qu'il se prépare à subir les assauts sodomites de la domina. Mais il est prêt à leur arrivée.
Toutes deux retrouvent avec bien-être le domaine hétéroclite de l'homme qui leur sourit, torse-nu, dans l'entrebaillement de la porte. Rien n'a vraiment changé depuis un an. Les instruments de musique modernes et anciens, d'ici ou d'ailleurs n'ont pas quitté leur place. Ni les livres et les objets d'art.?Cela sent plus l'encens que le stupre, mais mon œil avise d'emblée une autre collection : des godemichés tous plus gros les uns que les autres. Les voir étalés ainsi à la vue dans un effet compact et dense nous laisse rêveuses.
?Elle a apporté ses fouets et son vibrateur, ainsi que deux ou trois autres jouets. J'ai mes cordes, ma boîte d'aquarelle, un livre érotique. Nous avons projeté, les uns les autres, certains scénarios mais il faut nous réapprivoiser tous les trois, ensemble.?Sonne l'Angelus. Grouillent les estomacs. Les premiers plaisirs sont de chère : bonne charcuterie, bons fromages, bon pain, bon vin augurent des agapes de chair à venir. Une belle façon d'entamer cette journée. Nous la finirons de même...?Il nous raconte, il nous enchante, en musique et en narrations. Nous sommes suspendues toutes deux à ses lèvres. Je la masse aussi, l'huile d'amande douce glisse sur ses épaules et son dos, sa nuque, comme glisse la voix mâle et suave entre nos oreilles. Préliminaires...??Passé l'instant de partage artistique et gastronomique, de sensualité douce, nous parlons de nos envies. J'évoque un jeu d'été, une sodomie filmée, et diverses autres fantaisies. On ne déflore pas tout. On laisse l'appétit grandir, le désir s'installer, palpable entre les murs ou sous la poutre où sont fixées des chaînes.
À ces chaînes pendent deux anneaux. C'est son jeu à lui, son choix. Il m'enfile les anneaux aux bras puis scelle un carcan enserrant poignets et cou.
Me voilà captive, maintenue à la poutre, oscillante-battante entre quatre mains curieuses et avides. L'une claque sur mes fesses, main d'homme longue, large, un battoir sur ma peau qui chauffe, tandis qu'une main féminine apporte son lot de plaisirs, doigtage et caresses pour contrebalancer la rudesse de la fessée.
Lui pose des aspire-tétons sur mes seins. Ma bouche hésite entre les gémissements plaintifs et les cris de jouissance. La badine remplace la main de l'homme, impitoyable, sèche, vive, mordante. Elle laissera son empreinte en hématomes violacés.
Lui se place contre mon dos. Sa queue raide prend mon cul sans ménagement. Je pousse un cri de surprise et de douleur, mais bientôt le plaisir poind son nez inévitable, envahissant. Elle pose un vibrateur sur mon sexe brûlant, le plaisir grandit, prend son envol.
L'orgasme, le premier, violent. Lâcher prise, pleurs. Je ne porte pas de baîllon pour bloquer mes bruits de voix, je me sens baver, en longs filaments. Jusque sur son visage, qu'elle essuie, hallucinée. Puis elle essuie ma bouche suintante.
Il s'est retiré. Un leurre. Il y revient plus tard, après m'avoir doigtée avec fougue. Il m'encule à nouveau énergiquement et elle me stimule. Combien ai-je eu d'orgasmes ? Trois, quatre ? ?Il me détache enfin et je retombe tout molle, inerte et repue sur le lit. Anéantie, ailleurs et ici pourtant, le corps démis, dégoncé, abandonné entre les bras de l'amant et sous le regard bienveillant de la domina. Instant de calme, de tendresse pour tous les trois. Nous sommes en sueur, lui surtout, d'avoir tant donné de sa personne.??La suite s'enchaîne sur des plaisirs buccaux en tout genre, avec beaucoup de sensualité. Et sur un godage en règle de celui qui goûte tant le plaisir anal. Doigté, godé, puis fisté par elle, très concentrée, les yeux agrandis par le désir, une lueur de gourmandise tellement palpable dans son regard. Il est à quatre pattes, offert et gémissant. J'écris le début d'un texte érotique sur son dos mais il transpire tellement que les lettres se brouillent dans la foulée. Je lis puis il doit prendre le relais tout en étant fisté, ardemment. Je me délecte des mots et de la vue. Il y est question de cunnilingus, entre autres. Je me place devant lui, ma vulve face à son visage. Comme il est troublant de le voir me lécher et se faire fister, et la voir, elle, son visage empreint d'une jouissance toute cérébrale. Délices de voyeuses démultipliés, agrandis par les sensations tactiles, les sons, les claquements de langue et les gémissements.
Les cunnilingus se suivront sur l'une ou l'autre au cours de la journée, des jeux d'exhibition et voyeurisme, des jeux uro, c'est un festival de chair et de peau, de regards et de mots, de cris et de feulements. Voir une femme jouir est si beau, regarder un homme lui apporter cette jouissance est si voluptueux. Je ne m'en lasse pas...??Puis, elle s'empare de ses trois serpents qui s'apprêtent à siffler sur nos peaux enlacées. Fouetteuse émérite, son geste est sûr, net et en même temps sensuel, quand parfois j'ose un regard vers elle. C'est une danse. Lui et moi serrés l'un contre l'autre d'un côté, tournant devant elle. Ses serpents et elle, qui tournoient avant de s'abattre. Cela claque, cela single. Stoïque face à la douleur, lui ne bronche pas, quand je pousse des cris aigus et formule des protestations. Mais aïeuuuu ! J'assume ce côté chochotte annoncé bien avant le début de la journée. Revendiqué même.
Il m'agace, cet impassible au sourire tranquille ! Sa maîtrise est parfaite et mes bavardages stériles contrastent de façon ridicule avec sa zénitude. Il m'entoure de ses bras protecteurs et sourit. La séance ne dure pas très longtemps, juste une découverte de ses talents. Merci Lady Spencer.
Et merci Abyme pour nous avoir accueillies chez toi pour cette journée mémorable. L'atterrissage a été long après une telle intensité.
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Je ferme les yeux et je me laisse remonter le temps : mercredi dernier, une journée chaude, très chaude ....
Un problème de voiture et Lullaby vient me récupérer : elle dort chez moi, ce qui nous offre cette complicité perverse de prévoir nos jeux : pourrons-nous tous les réaliser ?
Pas certaine, mais aucune importance : nous partons le lendemain chez Abyme, à deux pour jouer avec lui, sur lui et en lui : en nous aussi bien sûr
Je redis à Lullaby que je ne suis toujours pas bi mais mon voyeurisme est tel que j'apprécierai toutes scènes érotico-porno-orgasmo- et plus si affinités ....
Je veux voir, sentir, ressentir, je suis excitée mais je masque sans trop savoir pourquoi : mes désirs se font intenses, je me caresse sur le canapé alors que Lulla dort au 1er : je tais ma jouissance
Chez Abyme, la chaleur est lourde, il ferme les fenêtres pour éviter que les cris de plaisirs ne glissent vers la cathédrale : il aura raison .
Fin de matinée : nous arrivons déjà trempées par la chaleur mais Abyme nous rafraichit rapidement : il est fatigué de ses jeux de la veille, avec une femme rencontrée peu avant, son accueil s'en ressent .
Sans doute n'est-il pas simple non plus de naviguer entre une switch, Lullaby, et une domina, moi : qui veut quoi dans tout ça ?
Et toi, Abyme : tes désirs te portent vers quoi et vers qui ?
Lullaby joue à le provoquer : hmmm, est-ce bien prudent ?
Mes désirs sont clairs : je veux revivre "une fontaine" et je veux le cul d'Abyme : je veux le baiser et le fister : j'adore !
Lulla laisse couler une petite phrase : "oui, je vais prendre ton cul aussi, Abyme" .....
Déjeuner de belles et bonnes choses ouvrant nos appétits, je goûte un Gigondas délicieux, moi qui ne bois pas ....
Lullaby explique qu'elle a un gage ou plutôt, un "devoir" à remplir pour son parisien dominateur : avant la fin de l'été, elle devra comptabiliser 12 sodomies avec 12 hommes différents (tiens : une question ce soir : et aucune avec une femme ?), tout cela photographié ou filmé : je sens Abyme intéressé ....
Tenue maintenant appropriée et nous montons dans la chambre : Lulla sait qu'elle va être sodomisée, je ressens son excitation mais elle ne s'attend pas à être prise aussi vite et fort : elle aime les préparatifs, les caresses...
Abyme en a décidé autrement
Au-dessus du lit, une poutre où sont fixées des attaches : Abyme ordonne à Lulla de prendre place sous les attaches : il la bloque, place un carcan, je l'aide et cette situation est loin de me laisser indifférente entre les cuisses
Ses ordres tombent, secs, impétueux : il sait qu'un autre de mes désirs étaient de le voir DOMINER une femme : il va me donner satisfaction, oh combien !
En quelques instants, Lulla est bloquée, offerte, sa chatte et son cul à disposition, cette image est très troublante
Je ne saisis pas son émotion à ce moment mais je vois son expression lorsque Abyme écarte ses fesses, vivement
Il branle sa queue déjà raide et se frotte sur ce cul tremblant : d'un seul coup de reins, il la pénètre et elle crie sous l'assaut : elle geint, et demande déjà plus de douceur : "je ne suis pas comme tes amies aussi facilement enculables " ....
Abyme redouble de vigueur et baise ce cul à grands coups de bassin : ce cul ouvert et dilaté qui fait couiner Lullaby de ce plaisir douloureux qui monte dans ses reins
Il sort son dard pour le rentrer de nouveau, sans délicatesse, enculant plus fort encore le cul palpitant : il la lime, la baise, la viole presque, exige qu'elle dise aimer cela, et de sa voix entrecoupée de sanglots de plaisir, elle murmure aimer être prise ainsi
Je vois Abyme en Maître absolu de cette baise échevelée, sa queue dure amenant Lullaby à cette jouissance si puissante qu'elle en pleure, en bave comme sa chatte bave : je ne résiste pas au plaisir de la visiter, sa chatte, je la pénètre de deux doigts et je caresse le membre mâle contre la paroi tendue : je suis excitée, terriblement et en même temps, étonnée de vivre cela
Mon regard en sera témoin lorsque nous regarderons la vidéo plus tard : un étonnement de tant de plaisirs partagés sur ce cul sodomisé violemment
Abyme ne cesse ses va-et-vient, il redouble de force : elle jouit sous ses coups de butoir, lui se retient bien-sûr ...
Il reprendra son cul plus tard dans la journée, pour la faire gémir et hurler de plaisir, je branlerai sa chatte de nouveau, en pénétrant en même temps son cul : mes doigts pinceront la fine paroi, je masturberai aussi son clitoris, dur et sensible
Elle s'effondrera, tremblante, les bras marqués par les attaches, les cuisses pleines de mouille et de sueur, les cheveux collés sur son visage, les lèvres rouges de désir et de plaisir : ce plaisir brutal qu'elle a tant aimé !
Lorsqu’il la détache, elle s'effondre sur les draps trempés : tout se mélange : les liquides d'orgasmes, la sueur, les larmes, les bouches aussi .
Elle est secouée de spasmes et ses larmes donnent à son visage ce teint rosé la rendant belle en sa jouissance : Abyme lui dit ces mots là, la câline, la protège, la serre dans ses bras
Elle retient ma main qu'elle garde dans la sienne et murmure un "merci" pour cette complicité
Elle dira même en me regardant tendrement : "toi qui te dis non bi ...." et éclate de rire ....
La chaleur est presque insupportable, nos trois corps suent de plus en plus mais nous ne sommes pas rassasiés d'expériences et de sensations
Plus tard, Abyme, de nouveau dur, raide, avide de nous donner encore du plaisir, avide de m'offrir son cul également, rebaisera la chatte de Lullaby : une complicité charnelle entre eux qui les attire, les aimante dans ce se besoin de donner et de prendre .
Je sens ce besoin de fusion entre leur corps, je me mets en retrait mais je continue à jouer les voyeuses excitées : mon sexe est tendu, ouvert et plein de mouille chaude
Cette sensation de se sentir ouverte est prodigieuse : un appel à la queue véritable, ou aux doigts, ou un gode, qu'importe ...
Il ouvre ses lèvres et branle son clitoris, délicatement puis par des mouvements circulaires rapides : elle crie encore, se tord sous ses doigts qui la pénètrent puis ressortent : il la veut encore, il le sent car elle veut aussi sa bite en elle
Son ventre de femelle l'appelle, il la retourne sur le ventre et la sodomise de nouveau : elle le reçoit sans protester mais couine sans cesse.
Il veut la voir jouir encore et encore, moi je le veux aussi : je n'interviens pas entre eux mais avec eux, je glisse mes doigts dans chaque orifice à ma portée
En Lulla, je plonge 2 doigts dans son sexe et je la harponne de mes doigts recourbés dans sa chatte : ses cris de plaisir me font couler et excitent Abyme : il est dos à moi, je le veux à 4 pattes, j'appuie sur son dos pour qu'il m'offre généreusement son cul tendu
Mes doigts l'ouvrent et le dilatent : quel accueil dans ce cul !
C'est mou, c'est chaud et trempé : il mouille du cul, cette salope !
Il se contracte sur mes doigts, j'en glisse un 4ème puis le pouce : je me sens attirée dans cette antre, je veux le fister, je veux le posséder, je veux lui remplir le ventre , alors je force et je rentre en lui , je prends enfin son cul
Mon poing baise son cul, sans ménagement, je sais combien il aime sentir son cul baisé ainsi alors, je ne me retiens plus, ma main va et vient dans ce ventre affolé ...
Je veux me sentir prisonnière de son cul, que je pense ne plus jamais pouvoir en ressortir ......
Je mets encore et encore du lubrifiant m'autorisant tous les mouvements au fond de lui : je veux le faire jouir ainsi mais je le sens crispé et pas en phase avec mon envie
Je sors de ce cul que j'aime tant pour le reprendre plus tard
Les mains d'Abyme trouvent nos chattes et les masturbent , sa queue reprend sa place contre le vagin et tape le fond pour la replonger en jouissance: les cris de Lulla reprennent , elle ne peut plus se contrôler, elle jouit encore : pas forcément d'orgasme mais de plaisir orgasmique qui ne s'arrète plus ....
Une des plus belles images qui restera longtemps gravée en moi, sera de voir et d'entendre Abyme se lover contre Lulla et la câjoler pour la faire redescendre doucement, avec des mots tendres, il la calme, la rassure, l'aime à sa manière....
Plus tard en soirée, d'autres désirs nouent encore nos tripes : la pratique uro et la flagellation
Abyme installe tout le matériel au rdc : draps, couvertures... Questions techniques rapidement résolues : nous installons, nous nous préparons à vivre d'autres sensations, d'autres plaisirs
Abyme a un désir puissant : que nous urinions en lui et ce désir fait écho en moi : j'aime terriblement les jeux d'urolagnie : je les trouve indécents et j'aime ça !
Lullaby observe attentivement, n'ayant pas encore pratiqué : son regard brille tant elle veut offrir ce plaisir là à Abyme
Elle me suit dans mes envies également
L'installation demande quelques précisions : Abyme a besoin d'une excitation particulière : une caresse lui procurant cette érection est de lécher Lulla, assise les cuisses écartées
J'adore entendre Lulla gémir sous la langue d’Abyme : il l'aspire, il la mord, il écarte ses grandes lèvres, il tète son clitoris et la fait couler : le plaisir monte entre les reins de Lullaby, elle feule, elle couine, elle crie de nouveau ...
Abyme me demande d'ouvrir son cul d'homme excité : je place le speculum, délicatement, je l'installe au fond de son cul et j'ouvre.
Je le dilate doucement mais implacablement : de le voir ainsi ouvert fait mouiller mon sexe, mon jus d'excitation coule sur mes cuisses
Abyme s'allonge sur le dos et remonte son bassin pour nous offrir son orifice béant : nous venons à tour de rôle Lulla et moi tenter de vider notre vessie mais pour nous, ce n'est pas simple : se lâcher ainsi, ouvrir les vannes demande une capacité que nous ne trouvons pas : ce sera pour la prochaine fois : quel dommage !
Mais je veux redevenir fontaine et lui seul peut me procurer ce plaisir
Je m'allonge sur le dos, les cuisses largement écartées, je me sens enfin juste Femelle au bord de son prochain orgasme : je veux vivre de nouveau cette fontaine : Abyme se place face à moi, Lulla de côté et les doigts d’Abyme me pénètrent
Tout va vite, trop vite... je ne comprends toujours pas, je me contracte, une crainte de me laisser trop aller ..... Il me branle tellement fort que mon liquide sort et trempe son bras : je suis là et très loin à la fois, je me sens trembler, je suis prise par un orgasme très bref mais tellement puissant !
J'expliquerai le lendemain à Abyme pourquoi je n'ai pas tout lâché : cette jouissance est tellement nouvelle pour moi que je cherche encore à maîtriser et à garder le contrôle : il l'a ressenti au bout des doigts : la prochaine fois, Abyme, la prochaine fois, je lâcherai vraiment ....
Je reste allongée pour récupérer : suis-je Dominatrice à cet instant ? Oui, non, peu importe, je suis une femme pleine de désirs encore, pétrie de jouissance, je me moque de savoir si je suis dans une case comme je l'ai déjà lu ou entendu et ce qui va suivre m'excitera au plus haut point
Filo se place au-dessus de moi, embrasse Lulla, la doigte, puis il plonge sa queue dans ma bouche : je le suce et j'aime ça
Il se retire de ma bouche pour un autre jeu : il sait naturellement que j'aime ce qu'il va faire : il vise ma bouche et pisse dedans, par jets chauds et forts
Je le goûte, j'avale un peu, en laisse couler sur moi et j'adore cette sensation
Mais ce que je vais aimer plus encore, c'est cette urine chaude dont Filo remplit ma fente : il gicle en moi de longs jets ....j'adore !
Il pisse au fond de mon ventre, il me remplit , il me marque de ses phéromones urinaires ....et j'ai failli en jouir !
Et ça, Abyme ne le savait pas jusqu'à lire mes mots ce soir
J'imagine combien de femmes dominatrices réagiraient violemment en lisant ce récit : quoi ? de quelle espèce de domina, LS fait partie ???
Je n'en sais fichtre rien et je m'en fiche : je veux clôturer ce récit en remerciant Lullaby et Abyme pour la liberté de plaisirs vécus ensemble, pour ces éclats de rire, et pour cette perverse complicité d'homme et de femmes
Merci pour ces tremblements au plus profond de mon ventre en vous regardant tous les deux
Merci pour nos fous-rires avec Lulla
Merci pour cette fontaine si bien cachée au fond de moi : libère moi encore Abyme .....
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Pour rappel, quelques images de la séance sodo en carcan :
https://www.bdsm.fr/photo/394184/lullaby-seance/userid_14770
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-Aux pieds!
A ces mots, Flynn se dépêche de rejoindre Eva assise dans le canapé. Il prend soin de placer son coussin au plus près de sa Maitresse... Sa Maitresse! C'est la première fois qu'il songe à elle en ce terme. Sûrement parce qu'au fond de lui il ressent son emprise. Ce pouvoir invisible mais si perceptible lorsqu'elle use de lui comme elle l'entend. Alors qu'il se met à genoux, Eva lui tend son pied...
-Masses-moi le pied s'il te plait. Pendant que je vais regarder la suite de ma série... Voudras tu visionner un film ensuite?
-Oui Maitresse avec grand plaisir.
"... previously on The Walking Dead..."
Alors que le jingle de la série retentit, Flynn s'applique pour masser ce divin pied. Il le pétrit, le malaxe et lorsqu'il tente un chatouillement il reçoit derechef un coup de cravache dont d'ailleurs il n'avait pas remarqué la présence avant de la sentir s'abattre sur son bras droit.
-Tu réfléchiras la prochaine fois...
Flynn sourit intérieurement, qu'il est doux d'avoir la chance d'être utilisé de la sorte. Jamais il n'aurait crû que cela soit si libérateur alors qu'il ne fait que subir. Il se sent exister comme encore jamais il ne l'avait éprouvé. Le pied disparait pour faire place au second alors il lui réserve le même traitement avec la même attention mais sans le chatouillis.
-Quel genre de film aimes tu?
-Le genre policier...
-Arfffff j'ai une nette préférence pour le fantastique, la SF et l'épouvante... Bon policier peut me convenir mais si ce n'est pas un navet! Alors... qu'est ce que j'ai... As tu déjà vu Bus 657?
-Non jamais Eva...
-Ah voilà un super film plein de rebondissements comme je les aime! Assis toi à côté de moi sur le canapé s'il te plait.
Une fois assit, Eva lui tend une brosse à poils de sangliers.
-Brosses mes cheveux!
Elle défait alors sa queue de cheval, ses cheveux tombent en cascade sur ses épaules. Ils sont magnifiques! Il entreprend de passer la brosse dans cette soie noire qui encadre le visage rond d'Eva et elle se détend. Il constate que sa tête suit les passages de la brosse, il lui semble qu'elle ronronne. Eva se retourne, le regarde et l'embrasse langoureusement avant de placer sa tête sur la cuisse musclée. Elle positionne ses cheveux de telle sorte qu'il puisse encore la brosser et ainsi il regarde le film...
L'heure du coucher pointe à l'horizon...
La chambre d'Eva se décline en des teintes sombres allant du gris clair jusqu'au noir...
-Flynn, je ne fais pas dormir mon soumis par terre car je le souhaite au plus près de moi pendant mon sommeil. Je te laisse ton collier pour la nuit... Par contre, j'ai des consignes à te délivrer. Le matin j'apprécie à être réveillée gentiment... surtout avec un doigt!
A ces mots, Eva prend le majeur de Flynn et le lèche en une délectation gourmande qui fait poindre le membre, déjà si sollicité.
-Donc je souhaite des caresses tendres, puis des plus intimes... Et lorsque ton doigt me pénètrera je baiserai ta main. Bonne nuit mon charmant...
Ces mots sont ponctués par un tendre baiser, mélange d'endormissement et de languissement...
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L'année dernière, j'avais répondu sur le forum au sein d'un post où se disait un peu n'importe quoi sur le libertinage, par des gens qui apparemment ne savaient pas de quoi ils parlaient. Notamment les détenteurs du “vrai“ BDSM qui, je n'ai toujours pas compris pourquoi, méprisent les libertins.
Comme mon intervention s'est perdue depuis longtemps dans les méandres du forum et que j'avais archivé mon commentaire, je le publie aujourd'hui en article, à toute fin utile.
Comme le BDSM, le libertinage est très large et se décline librement, comme on le sent.
Mais il faut arrêter de confondre libertinage et échangisme. Et même libertinage et pluralité.
L’échangisme fait partie du libertinage, contrairement à ce que prétendent certains échangistes qui ne voient que par les œillères du couple et concluent que ce sont eux qui sont au centre et détenteurs du “vrai“ libertinage (encore un point commun avec le BDSM, tiens).
Le libertinage se définit d’abord par sa racine étymologique : liberté.
Donc pas question de jalousie, d’exclusivité et de règles, sinon celles de base comme le respect et l’hygiène.
Contrairement aux rencontres classiques (en vrai ou par le web, genre Meetic) ou adultères, les rencontres libertines se basent sur la liberté de jeux sexuels assumés, pris comme loisir, sans engagement ni cachotteries :- entre deux personnes d’abord, c’est la base,
- ou trois (trio),
- ou plus (partouze, bien que ce mot soit désormais trop connoté négativement),
- ou entre un couple et une personne (trio),
- ou entre deux ou plusieurs couples (échangisme ou mélangisme ou côte-à-côtisme),
- ou même entre un membre de couple et une ou plusieurs personnes devant l’autre membre (candaulisme),
- ou entre une femme et plusieurs hommes (pluralité, nommée aussi gangbang),
- ou encore entre un mix de couples et de célibataires.
Le libertinage ne se pratique pas qu’en clubs ou lieux dédiés et payants, selon un cliché, mais aussi chez soi ou ailleurs.
Un type qui voit plusieurs maîtresses en trompant sa femme n’est en général pas considéré comme un libertin, bien que dans les faits, il puisse l’être aux yeux de ceux qui ignorent sa vraie situation;
Mais en général les libertins sont des gens libres, ouverts, disponibles et respectueux, pour qui une relation de couple exclusive est ennuyeuse et insuffisante à réaliser un épanouissement ou une réalisation de fantasmes liés à la diversité et à la liberté. Ce sont donc des personnes célibataires, disponibles et ouvertes, ou bien des couples.
Pour les couples, certains sont des couples déjà constitués de façon classique qui se mettent un jour au libertinage (en général échangisme, mais ça peut être trio ou candaulisme, etc). Parmi eux, certains font l’essai et arrêtent lorsqu’ils s’aperçoivent qu’ils ne sont pas faits pour ça (jalousie en général, références culturelles trop empreintes d’exclusivité). Certains sont motivés surtout par la volonté d’un des deux, et l’autre suit pour lui faire plaisir, mais sans plus d’enthousiasme, et c’est bien dommage de voir ce genre de couples.
Les autres sont des associations de deux personnes déjà libertines à la base, et ceux-là arrivent mieux en général à gérer la situation, forcément.
Au sein de l’univers du libertinage, il y a ceux, comme moi, qui pratiquent également le BDSM, mais en général en se concentrant sur les jeux sexuels affiliés, pas pour une relation unique et exclusive incluant la D/S cérébrale. Mais il existe des exceptions, ou plutôt des associations, comme par exemple le cas d’un maître offrant sa soumise à des libertins de façon ponctuelle, ou une domina qui s’«offre» devant son soumis en un candaulisme forcé.
Au départ, le libertinage était gratuit et libre, mais comme pour le naturisme ou le BDSM ou tout ce qui devient (hélas) à la mode, il est devenu une logique commerciale exploitée juteusement par des clubs, boîtes, saunas, sites internet payants, etc… C’est pourquoi ceux qui y viennent depuis une ou deux générations croient qu’il ne se conjugue qu’avec un paiement, en général des clubs. Le Las Vegas incontournable de l’exploitation commerciale du libertinage (et même du BDSM ou du pseudo-naturisme) est dans ma région le Cap d’Agde, qui pour beaucoup constitue une référence. Personnellement je n’y mets pas les pieds car je ne cautionne pas cet esprit.
En conclusion, je dirai que le libertinage est ouvert à tous, et que c’est peut-être la raison pour laquelle il est devenu à la mode, et de plus en plus, et que c’est cela qui est en train de le discréditer, comme le BDSM finalement.
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!
Une petite histoire pour mon plaisir et celui de MA Maîtresse .
Il y a deux jours , j'ai demandé à Lady Gabrielle de me dire le premier mot qui lui venait à l'esprit . Ce mot était
"" Illusion ""
Voilà ce que cela m'a inspiré .
Clémentine vivait une relation quelque peu particulière avec son mari . Mais ce matin là , en arrivant à son cabinet , elle
pensait à tout autre chose qu'à son mari . La salle d'attente était pleine . Une dure journée l'attendait . Gastro et grippes étaient au menu du jour .
Clémentine en était à son dixième patient quand elle reçu un SMS de Yves son mari :>
Cinq minutes plus tard , elle en recevait un autre .> rajoutait un voile de coquinerie qui lui . . .humm
La journée se déroula désormais avec une lenteur de sénateur comme disait l'ami Jean de la Fontaine .
Les grippes , les arthroses et autres douceurs ne la faisaient plus compatir à la douleur de leur propriétaire .
Elle en était navrée , mais ce qui lui importait c'était la soirée que son mari avait concocté .
La salle d'attente se vida enfin . Clémentine fila aussitôt . Du seuil de leur maison à la salle de bain elle couru tout en parsemant le sol de ses vêtements . Douche , maquillage , coiffure lui prirent le temps qu'il faut pour être belle , irrésistible , rayonnante .
A 19 h35 elle attendait son mari sur le perron de leur maison , vêtue de sa petite robe noire de chez Coco d'une veste rouge , escarpins rouges et bas couleur chaire . Elle avait prit son grand sac " Lancel " rouge aussi , y avait fourré quelques objets et son nécessaire féminin .
Yves déboula au volant de leur BMW , pila au bas de l'escalier dans un jet de gravillon . Descendit , contourna la voiture pour venir ouvrir la portière côté passager . Clémentine s'installa telle une reine , lissant sa robe avec grand soin.
Notre galant homme revint derrière son volant . Après un long baiser , il tendit un bandeau à sa femme , lui enjoignant de le mettre sur ses yeux et de lui faire une absolue confiance quoiqu'il arrive .
Elle s'exécuta non sans une certaine appréhension car Yves ne lui avait encore jamais fait le coup du bandeau . Mais
elle était dans sa bulle de désir , ce sentiment disparu bien vite pour ne laisser place qu'à l'amour pour cet homme .
Ne voyant rien , elle ne pouvait deviner le but de leur voyage . Après avoir roulé un laps de temps de temps qui lui paru être d'une heure , la voiture s'arrêta dans une autre cour semée de gravillon .
Avant de redémarrer en trombe , Yves avait prit Clémentine dans ses bras , l'avait embrassé fougueusement et avait passé sa main sous sa robe ,s'assurant du bon suivi de ses consignes . Sa main s'attarda sur la peau nue , douce , au dessus des bas , sur le ventre nue , dans les plis de ce corps tant aimé . A chaque fois cette sensation dans ses mains , emplissait Yves de plaisir ,comblant son besoin de sensualité . Il aimait par dessus tout ce moment d'extrême douceur .
Un autre baiser , un compliment > Il redémarrait en lui enjoignant de ne pas parler .
A quarante deux ans , Clémentine , se sentait belle dans le miroir des yeux de cet homme qui était son mari depuis déjà . . . Elle l'aimait comme on peut aimé , à cet âge là , quelqu'un qui vous comble de ses attentions .
Cette mise en scène , sa tenue vestimentaire à laquelle elle n'était pas habituée , l'érotisme qui ce dégageait de tout ça l'excitaient au plus haut point . Elle était dans un état second , dans un monde de sensualité comme seul Yves avait su en créer dans sa vie .
Bientôt , la BMW ralentit , amorça un virage serré et roula sur ce qui semblait être du gravier puis s'arrêta .
> Lui murmura t'il à l'oreille .
Il fit le tour de la voiture pour lui ouvrir la portière et la guida jusqu'au perron d'un charmant manoir . Un homme en habit de major d'homme les accueillit .> .
Les yeux bandés , Clémentine marchait sur un tapis moelleux , entrainée par deux hommes dont un parfait inconnu . Une odeur de vielle boiserie encaustiquée emplissait ses narines . Elle percevait un endroit feutré , luxueux , agréable ,
raffiné . Son excitation était à son comble , les oreilles bourdonnantes , la respiration haletante , elle se sentait défaillir à tout moment . Rien de la sorte ne se produisit . L'homme les introduisit dans un petit salon aux murs tendus de velours grenat .
Notre gentil couple entra dans le salon GRENAT meublé d'une table dressée pour deux personnes , d'un fauteuil Voltaire et de plusieurs chaises garnies de velours . Aux murs étaient accrochés d'immenses miroirs faisant paraître ce boudoir plus grand qu'il ne l'était en réalité ainsi que des petits tableaux de maître de bon aloi .
Yves fit assoir Clémentine dans le fauteuil et ordonna au major d'homme de servir . Celui ci déboucha la bouteille de champagne de haute précision tirée d'un seau à glace en argent . La petite explosion puis le pétillement du divin breuvage arriva aux oreilles de notre belle DAME . L'homme lui prit, délicatement , une main pour y placer une flute en cristal , puis donna l'autre à Yves . Celui ci remercia et demanda à être servi dans quinze minutes .
L'homme parti , ils burent à leur amour , à cette soirée . Clémentine était ravie . Une fois de plus Yves était à la hauteur . Du moins jusqu'à présent . . .
Clémentine semblait trôner telle une Déesse , assise sur ce fauteuil au centre de ce charmant endroit . Yves vint s'agenouiller à côté d'elle pour lui dire doucement , à l'oreille : >
Elle eut un mouvement brusque de protestation que son mari avait prévu . Il la serra dans ses bras > Il trinqua avec sa femme qui vida son verre d'un trait .
Décidément , son homme avait vraiment le sens de la formule et de la surprise , pensait elle , plus amusée qu'intimidée . > .
> la taquina t-il en la resservant .
Il l'aida à se dévêtir . OH la tàche ne fut pas malaisée ni très longue . La veste rouge n'eut aucun mal à quitter les épaules de sa charmante propriétaire . Quand à la petite robe noire munie de sa petite fermeture "Eclaire", elle n'avait plus , depuis longtemps , de secret pour Yves .
Psyché n'était plus vêtue que de ses escarpins , de ses bas et de son bandeau .
Yves accompagnait sa femme pour quelques pas dans le petit salon la tenant par la main , bras tendue afin de se repaître de cette magnifique beauté sculptée à coup de longueurs de piscine quand le major d'homme frappa .
> Ce qu'il fit , appréhendant , nullement surpris , la situation , il proposa de revenir plus tard .
> > Là elle était un peu rosse quand même ,
elle avait bien profité du jeu ! Non ? Elle intima , à Yves , l'ordre de se mettre nu ,face au mur du fond et d'attendre tandis qu'elle sortait de son sac >.
Yves s'exécuta , il n'avait rien à refuser à sa Déesse , sa Maîtresse , sa Dame , sa femme . Elle actionna la petite sonnette en bronze . Quand le major d'homme entra , Clémentine assenait le dixième coup sur les fesses de son mari .
Mais schuuutt . . . la nuit n'est pas terminée pour ces deux là . . .
FIN
Cette histoire est totalement imaginaire . Elle n'est pas autobiographique .
J'espère qu'elle vous aura diverti . Quand à moi j'ai eu beaucoup de plaisir , comme à l'accoutumé , en l'écrivant .
berny
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Au début ; aux premières des tes apparitions ; tu étais jeune mais sans age . Tu n'avais pas de style non plus ou devrais je dire ; tu en avais plusieurs à la fois . Tu étais douce , sensible , un peu fragile peut être ............................. Bien sur tu n'avais pas de couleur de peau ou de cheveux ; tu étais floue et pourtant tellement belle et séduisante .
Tu étais soumise ; ah ça oui ; mais sans particularité précise ; sans rôle bien déterminé . Tu sortais tout droit des images caricaturales que l'on trouve lorsque pour la première fois on ouvre un livre ou un sujet sur le net parlant de " soumission " .
Enfin , tu me plaisais déjà beaucoup et j'étais enthousiasmé de faire ta connaissance .
Tu n'avais pas de nom .
Puis tu as grandit , avancé avec moi . Nous avons prit la route ensemble vers " Fantasme-city " . Tu as évolué quelque peu . Je t'ai vu apparaître en soubrette et même apprécier les premières flagellations . Oh ; rien de bien violent en ce temps là mais quand même . Tu n'avais toujours pas de couleur ni de style précis . Tu as vieilli un peu , oui , mais tu es resté toujours aussi belle et attirante . Ta soumission m'a charmée . Un peu moins fragile et plus aguerrie surement . Plus femme et plus soumise encore !
Tu n'avais pas de nom .
Et puis , je te l'avoue ; je t'ai trompé , oui trompé ! Oh non , pas avec d'autres images mais avec des soumises du monde réel ; oui , réel !! Oui , j'ai craqué que veux tu ! Je n'arrivais pas à sentir ton odeur , à toucher ta peau , à entendre tes soupirs alors lorsque l'occasion s'est présentée ; ben oui , j'ai craqué
Et tu sais quoi ; je ne m'en veux même pas ! Non , parce que je sais que tu me pardonne . Pourquoi ? Mais parce que tu sera toujours un peu là , quelque soit les circonstances et que personnes ne pourra te faire disparaître ! Tu le sais et je sais que tu le sais ! Oui , nous allons continuer à voyager ensemble dans " Fantasme-city "
Enfin , nous avons vieilli tous les deux ; jours après jours . Tu n'as toujours pas de style défini ni d'age précis . Pas de couleurs non plus et puis je m'en fous ! Tu es belle , attirante , désirable et surtout , tu m'es soumise comme jamais ! La soubrette est dévoué comme personne ! Tu sais m'offrir ton corps comme jamais ! Tu es devenue chienne et, masochiste !
Tu oses hurler tes douleurs et tes plaisirs ! Tu m'en demande plus , sans retenue ................... Il y peu , j'ai cru entendre le mot " esclave " sortir de ta bouche ................. Esclave , ce mot qui me faisait frissonner d'effroi il y a quelques années en arrière . Esclave ; je ne sais pas ; je ne suis pas sur .................
Bordel ; je tiens de plus en plus à toi !
Tu n'as pas de nom .
:wave::revolving_hearts::kiss:
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Les éclairs zèbrent le ciel sous une pluie battante qui semble ne jamais vouloir s’arrêter.
Je m’enfonce nue dans ce jardin que je ne reconnais pas, lacérée par les lames fraîches qui s’abîment sur mon corps. Je plonge dans la nuit torrentielle mue par un désir violent de toi. Mes pieds écrasent l’herbe qui fait comme un doux tapis. J’aimerais m’y rouler, m’y lover, renaître à la glaise chaude. Je m’allonge. Les yeux grands ouverts peinent à voir, devinent tout juste les ombres végétales, les immeubles voisins qui se découpent en silhouettes mouvantes, en lueurs vacillantes.
Je ne les vois pas en réalité, c’est toi que je vois. Penché sur moi quand ta main s’abat et agrippe, pince et fouille. Réminiscence. Soupir. Lumière floconneuse qui explose en moi. Allongée, jambes écartées, ma main posée sur mon entrejambe, glissant dedans dehors. Une double moiteur d’été. Mouillée dehors dedans.
Vois-moi, maintenant, portée par la puissance de mon désir. Les gémissements montent dans la nuit. A peine souillée de la terre comme d’un ciment, l’autre main caresse l’herbe et les feuilles de l’arbuste sous lequel j’ai élu domicile protecteur. La pluie coule sur mon visage, fuit sur mon corps, m’envahit toute. Comme le plaisir qui me tord et me tend, vers toi toute entière dirigée.
©Perle Vallens
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Tragédie . . . grecque bien sur .
Ulysse vivait seul depuis ce funeste jour de décembre 200 . . . . Sa femme était morte d'une longue maladie . Quel euphémisme idiot pour ne pas prononcer le mot cancer . Que l'on meurt d'un cancer ou d'une autre maladie , le résultat est le même . On est mort ! Non? Prévenez moi si ce n'est pas le cas . Je ne voudrais pas mourir complètement idiot .
Sa femme bien aimée . Cinquante ans de vie commune heureuse . Ils s'était connus en 1960 . A la sortie d'un bal de conscrits . Hélène de son petit nom , s'était rendue au bal accompagnée de sa cadette mais elles ne faisaient pas le poids face aux trois malfaisants imbibés de mauvais vin blanc . Leur cerveau d'abrutis leur commandait de ne pas rentrer bredouille . Leur """ rustrerie agraire """leur intimait l'ordre de vider
leur c. . . Ces deux jeunes filles feraient l'affaire .
C'était compter sans Ulysse qui rentrait tranquille du bal , lui aussi . Il cheminait , serein , son petit bonhomme , l' étui avec son accordéon bien calé sur le dos . Il était accordéoniste dans un petit orchestre de campagne . Il écumait les petits bals du samedi soir dans les villages environnants avec trois copains .
Les quatre amis n'avaient pas leur pareille pour faire danser vos grand parents sur les tangos , paso doble et autre valse musette de l'époque . Dans mon cas , ce sont mes parents qu'ils faisaient danser .
Ulysse allait son petit bonhomme de chemin , pensant au pot au feu de sa mère qu'il dégusterait le lendemain
en famille . Qu'il dégusterait tout à l'heure plutôt , la nuit était bien avancée. Quand soudain et tout par un coup il entendit les cris de celle qui allait devenir sa femme . Deux des trois malfaisants molestaient Hélène
alors que le troisième retenait sa petite soeur .
Ulysse avait des mains larges comme des batoires de lavandière , forcies dans le maniement du rabot et du marteau . Il était menuisier ébéniste quand il n'était pas accordéoniste . Il fabriquait moult armoires bressanes sous les ordres de son patron qui était aussi son père. Il accourut sur les lieux du viol en préparation . Le vaurien qui eu le fâcheux hasard de se trouver en première position sous la vindicte de notre tragédien reçut un coup de pied au cul si formidable que pendant quelques instants on eu pu croire qu'il s'envolait tant il se mit à battre des bras pour tenter de garder un semblant d'équilibre .
Le deuxième reçut une telle claque sur la joue gauche assénée par le batoire droit d'Ulysse qu'il dût porter une minerve durant les deux mois suivants . Le troisième larron jugea précipitamment qu'il était urgent de ne pas demander son reste . Il s'enfuit avec un empressement que n'aurait pas déjugé les turfistes du dimanche s'il avait été un cheval .
Il faut vous dire que Ulysse est un gars bâti comme les armoires bressanes qu 'il fabrique . Vous ne connaissez pas les armoires bressanes ? Vous avez déjà entendu parler des armoires normandes ?
Les bressanes n'ont rien à leur envier . C'est ainsi que nos trois imbibés rentrèrent chez eux
""" le cerveau en déroute et la bitte sous le bras """ Jacques Brel .
les trois vauriens avaient déchiré la robe d'Hélène laissant apercevoir par les déchirures des choses tout à fait agréables à contempler , Ulysse en parfait gentleman , sans connaître ce mot , lui passa sa canadienne.
Enfin . . . tout ça pour vous dire que au midi de ce jour Hélène dégustait le pot au feu de la maman de notre Ulysse et que un an , quatre mois et six jours plus tard ils étaient mariés .
Vous dire que ces deux là n'eurent jamais d'engueulade dans leur couple serait faux mais ils filèrent un amour que beaucoup de couples pourraient leur envier . Ils eurent des hauts et des bas comme tout le monde . Il faut vous dire que Hélène était née pourvue du nombre de connexions neuronales souhaité et même un peu plus . C'est bien pour ça que quand Hélène remplaça la mère d'Ulysse à la tête de l'entreprise
celle ci se développa considérablement . Mais je ne suis pas là pour vous parler de leur situation économique .
Notre patronne s'était rendu compte que son grand escogriffe lui mangeait dans la main . Et qu'il aimait ça . Elle aussi . Mais cet homme était un homme colérique et Hélène une femme à qui on ne la faisait pas.
Elle ne supporta pas la première colère de son atrabilaire ( vous n'avez toujours pas consulté vos dictionnaires ? je ne peux plus rien pour vous !!!!!! ) """"" Tu te calmes tout de suite ou je te donne des coups de trique """ La réponse du grand fusa sans détour . """ Et bien donnes les , ces coups de trique """
Hélène ne se fit pas prier . """ D'accord alors baisse ton pantalon """ .
Ce qu'il fit par défit . Il reçut les vingt premiers coups de trique de son existence . Qui furent suivis par bien d'autres au cours de leur vie . En attendant ,ils s'étaient révélés à eux même . Les mots Dominatrice , masochiste , soumis étaient peu usités à l'époque mais c'est bien ce qu'ils étaient . les sex shops n'existaient pas . Un certain général et une certaine Yvonne ne l'auraient pas permis . Toujours est il qu'ils avaient découvert une facette encore inconnue de leur personnalité . Hélène était bien une Dominatrice et Ulysse un soumis .
Les mauvaises langues disaient , dans leur dos , que c'étaient Hélène qui portait la culotte , chez eux . Les langues étaient mauvaises mais elles avaient raison . Pour leur plus grand plaisir de toute façon .
Voici la suite des aventures d'Ulysse et Hélène non pas surgis d'une quelconque guerre mais de notre belle province de Bresse ou le poulet est roi . Surtout pour nos portes monnaie .
Durant toutes ces années , ils ne furent pas rares , les moments où Ulysse vit sa femme débarquer dans son atelier , à peine vêtue d'une blouse largement déboutonnée sur ses jambes et sans rien dessous . Elle lui intimait l'ordre de se mettre en position . Il se dévêtait rapidement et se penchait sur son étau en bois .
Hélène lui pinçait les seins dans celui ci et les fesses cambrées il recevait un nombre considérable de coups de badine généreusement distribués . Il y avait beau temps que le nombre 20 avait été dépassé .
Leurs petits jeux les mettaient dans un état d'excitation tel qu' Hélène se retrouvait invariablement assise sur l'établi au milieu des copeaux de bois . Je vous laisse deviner la suite .
Tant et si bien que naquirent trois garçons de cette heureuse union . Rassurez vous aucun ne fut prénommé Télémaque . Une fille naquit en dernier . A six ans , on pressentait chez elle , le même caractère que celui de sa mère , elle menait ses trois grands frères à la baguette .
Ulysse repensait à ses 50 années de pure plaisir , sans beaucoup de bas . Il savait qu'il n'aurait pas pu être plus heureux . Ainsi c'était ça la rançon du bonheur avec Hélène ? Un chagrin incommensurable dans le veuvage . Bon Dieu : tu sais bien que le doux , le timide , le soumis se retrouve en enfer à la mort du sévère.
Souvant durant son veuvage , il revînt dans son atelier . Il revivait les séances de domination . Hélène était la seule femme qui savait et aimait le faire bondir jusqu'au 27 ème ciel sans passer par le 7 ème .
En lui pinçant les seins . Combien d'après midi avait il passé , nu, attaché à son établi , les fesses rougies sous la badine ou les orties cueillies dans le fond du jardin . Combien de fois avait elle joué avec son corps suspendu au palan , ses pieds touchant à peine le sol .
Il revivait ces moments délicieux en pleurant sachant que jamais plus il ne connaîtrait un tel bonheur . Jamais plus il ne reverrait Hélène , la seule femme qu'il avait jamais aimée , qu'il avait TANT AIMEE .
La femme qui était le sujet et le verbe et dont il était le complément .
Les enfants d'Ulysse et sa famille le voyaient décliner tous les jours un peu plus . Il tombait progressivement en dépression . Le goût de la vie le quittait plus surement que l'inéluctabilité du temps qui passe .
Une nuit , alors qu'il cherchait le sommeil et appelait avec une ferveur qu'il ne se connaissait pas , la mort qui le délivrerait de cet enfer , couché dans ce lit trop grand et trop vide il senti une douleur envahir sa poitrine , intense . . . . Cette douleur augmentait en un crescendo insupportable tandis qu'une lumière blanche éclairait sa chambre .
Une ombre floue apparut dans le halo éblouissant , marchant vers lui . La forme se précisait . Une femme , nue , belle , les seins lourds de quatre maternités mais qui avaient gardé toute leur douceur et leur majestuosité , un sexe aux lèvres tellement douces , tellement soyeuses , onctueuses : un corps de Déesse grecque . Une sensualité tellement généreuse . Le visage d'Hélène lui apparut .
Elle tenait une corde dans ses mains qu' elle nouât autour du buste d'Ulysse qui souriait , la douleur se changea en une impression oppressante . Enfin sa femme rejouait avec son corps , comme avant . Enfin il avait retrouvé sa bien aimée . Il était à nouveau heureux .Il riait presque quand soudain , dans un éclair éblouissant , Hélène et Ulysse furent projetés hors de la chambre et disparurent à jamais .
C'est ainsi que , quand on découvrit son corps le lendemain , son visage était emprunt d'un sourire absolument radieux .
Oui effectivement le mot tragédie ne convient pas . Il est vrai que la fin est un "" happy end "" malgré la mort .
En écrivant j'ai décidé de donner le prénom de mon père (véridique ) à mon héros et je n'ai pas osé appeler mon héroïne "" Pénélope "" Alors je lui ai donné le prénom d'Hélène pour rester dans la mythologie grecque . C'est à ce moment que j'ai pensé au mot """ tragédie""" car il y a la mort dans ce récit .
berny
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Il y a longtemps, très longtemps . J'étais jeune et beau. Un garçon me pris par la main et me fit goûter aux délices d'une soumission totale. Et quand j'y repense elle me semble avoir duré une éternité. Nous chapardions chacun de notre coté des vêtements à nos mères et surtout le fin du fin des collants. Pas ces collants de maintenant ! en lycra. c'étaient des collants des années fin 70 début 80 ayant pour but de s'habiller et non de les utiliser comme nous le faisions. Une paire de ciseaux et je pouvais enfiler un bas normalement et un haut en coupant l'entre-jambe. Déjà là, du plus loin que je me souvienne mon souffle se coupait, mes membres tremblaient de joie, mes forces disparaissaient au point de ne plus me porter. À ce moment il prenait possession de moi je devenais sa chose, sa femme, du pur plaisir entre chaque maille du nylon. Il m'attachait avec d'autres collants. Pas du shibari, ou je ne sais quoi ! Mais du truc efficace genre cow-boy , il prenait toujours soin de ma queue à bien la tordre, la serrer, la presser, pour la détacher d'un coup sec au moment de la jouissance si je pouvais jouir. La sienne d'abord ! De là me vient mon fétichisme des collants. De là me vient cet amour de la matière quand aujourd'hui encore je me pare de collants, ce n'est pas pour devenir femme mais bien pour devenir chose, poupée, objet, etc. Je mettrais plutôt des bas pour me rendre féminine. Mais les collants c'est vraiment une autre histoire. Une histoire à laquelle je ne pensais pas ce soir là. Et ce soir là, La fête se terminait, la nuit encore nuit tirait sur le matin, un apaisement sur chacun des convives glissait son baume. Rassasiés , repus de rires, de joie, de coups, de caresses, de sauvagerie et de douceur. Cette soirée bdsm s'achevait. Un ou deux chuchotis passaient par là, quand elle me demanda, - Tu me diras quand tu vas te coucher ! Je la regarde un peu ahuri. J'aime ces moments où quand elle me parle ainsi, directive, je perds pieds quelques secondes dans les méandres imaginaires d'un autre monde. -J'irais te border ! -Ah ! Oui oui... Mon imagination est en marche... Je pensais dormir dans mon canapé de la veille, mais elle me fait signe de monter dans « la salle des tortures ». Comme d'habitude je ne me déshabille pas assez vite, je me retrouve nu, debout comme un piquet. Elle essaye un projet bricolé en râlant sur ups qui n'a pas livré son jouet sonde prévu pour cette affaire. Elle adapte donc son idée, et pour moi commence un encasement en collant lycra rouge. Le fétichisme, plus ses caresses dirigées m’emmènent vers des sphères de plaisirs purs. Ma cervelle se liquéfie en noyant les circuits qui tournent court ! Elle tapote ma verge en érection et me demande si je suis content. Je réponds : Oui ! En effet je suis très heureux. Le nylon m'enserre, les multiples fibres tissées roulent sur ma peau, la masse, caresse, malaxe mon corps entier. Vient ensuite la deuxième couche. De la toile de jute, fine, qui par ses petits picots raides emplissent les mailles vides du collant et viennent exciter la peau chauffée par le nylon. Cela me gratte de partout des pieds au cou. Le tout tenu par un bon scotch bien solide, mes bras fixés comme dans une camisole ne me permettent aucun mouvement. Je sautille jusqu'au lit le plus proche et m'écroule dedans (j'aimerais dire avec souplesse mais je ne le crois pas). Elle s'assoit à mes cotés, pose sa main sur mon érection calfeutrée. Je suis aux anges, marionnette de toile. Sa marionnette. Son œuvre ! J'aime être une des matières des tableaux qu'elle fabrique. Elle me quitte en me souhaitant une bonne nuit. Nuit et liberté, liberté et moi, fini ! Je ne peux pas aller aux toilettes, je ne peux pas boire, je ne peux pas partir. Je ne peux pas courir, ou, marcher ! Et la fatigue l'emporte Peut-être marmonnais-je un merci, je ne me souviens plus. Je me suis endormi comme une masse, bienheureux. Je suis réveillé de temps à autre par des érections délicieusement compressées par les tissus, mais globalement je ronfle allègrement, sans aucun souci. Au matin, une fois détaché, je m'aperçois de l'état de fatigue de mon amie. Elle m'a veillé cette nuit, elle n'a pas dormi. J'ai envie de la serrer dans mes bras pour la remercier, je n'ose pas. Ça me peine ! Cela me ramène à une autre nuit, ou emprisonné par une autre matière elle à déjà veillé sur moi. Sa déception au matin de voir ma tricherie pour ne pas avoir à uriner devant elle....son bricolage de la veille était pour empêcher ça. Heureusement pour moi la nuit fut courte. Elle va enfin essayer de dormir. J'écris ce ressenti et je suis sûr que j'oublie de marquer une chose importante, mais ce n'est pas grave. Ça doit être une bêtise comme d'habitude !
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Depuis que j'organise pour des soumises consentantes des évènements comme gangbang, exhib, humiliation publique, etc, j'ai remarqué que seulement 50% viennent parmi les hommes retenus, avec qui le RDV est pris, et qui avaient pourtant l'air réglo motivés et fiables. C'est presque devenu une règle générale : je veux organiser un gangbang avec 5 hommes ? J'en prévois 10 ! Lors de l'annonce et de la sélection, il sont pourtant tous à fond, très motivés, morts de faim même, ils me harcèlent sans relâche, j'en sélectionne, en leur donnant bien des règles et consignes, et surtout en insistant sur la ponctualité, sur le fait qu'on compte sur eux, mais non rien n'y fait.
Il y a aussi les rigolos, ceux qui, de derrière leur écran, se prennent pour des étalons redoutables ou des adonis incontournables, ou des maîtres potentiels très respectables, etc. Mais une fois qu'on les rencontre évidemment ils ne font pas le quart du poids annoncé...
Bref, recruter pour du sexe sur un site spécialisé, comme chacun sait, ce n'est pas si facile, surtout lorsqu'on cherche des gens fiables.
Trouver une femme pour un homme, c'est le plus dur, car il doit y avoir une proportion disons de 100 hommes seuls pour 1 femme seule : les hommes sont comme des spermatozoïdes convoitant tous le même ovule, ou des mouches sur un morceau de viande.
Côté homo ou bi, très dur aussi pour un homme passif de trouver un homme actif, car la plupart sont passifs.
Mais lorsque je me suis inscrit en tant que "couple" sur le même site, pour organiser ce genre d'évènements pour ma soumise, je me suis aperçu qu'il suffit d'"offrir" sa soumise pour déclencher une ruée d'hommes s'improvisant dominateurs ou puissants étalons. Je n'ai donc jamais eu de mal à recruter. En revanche le jour du RDV, la moitié sont là, et les autres, pfft, plus de nouvelles soudain... Fantasmeurs ? Petits joueurs ? Hésitants et flippant au dernier moment ? Ou très irrespectueux de la parole donnée ? Peut-être un peu de tout ça.
Cette semaine j'organise pour Silva un gangbang original, dont elle m'a elle-même suggéré et même réclamé la teneur. Il se déroulera ce weekend, et j'ai déjà largement recruté le double de mecs nécessaires (pour en avoir donc le nombre requis). J'ai donc indiqué sur l'annonce que le recrutement était terminé et qu'il était inutile de me solliciter à présent.
Et c'est là que ça devient marrant (et pénible à la fois) : j'ai encore plus de demandes et sollicitations qu'avant l'arrêt du recrutement. Les mecs ne lisent pas, ou bien ils essayent quand même, en croyant faire une demande exceptionnelle, d'exception, de mise en réserve en cas de désistement, etc...
Au début, je réponds à tout le monde, poliment, patiemment ; puis de moins en moins, en insistant sur le fait que si c'est précisé sur l'annonce, en capitales en plus, c'est que c'est vrai ; puis peu à peu je perds patience et suis moins amical face à ce flot insistant voire harcelant.
Il y a ceux qui, malgré le fait que ce soit un profil couple, s'adressent à la femme directement, genre "slt la miss, tes trop belle, libre se soir"
Il y a aussi ceux qui repèrent les couples dom/soumise et proposent tout simplement d'emprunter celle-ci et se substituer à son dom, d'emblée, sans avoir vérifié la recherche du couple en question.
Et évidemment, avec un pseudo comme je l'ai choisi (Soumiseaoffrir), c'est l'avalanche de sollicitations parfois d'anthologie.
Voici la dernière en date, juste pour le fun :
__________________________________
D'abord voici l'annonce :
VIOL TOURNANTE SIMULÉ :
Samedi 15/07 19h, centre Montpellier, ma complice va se faire violer fermement par un groupe de mecs dominants (entre 6 et 10), et compte se défendre comme en réel. Donc les pieds tendres, les masseurs de shakras tantriques, les délicats, les soft, les “doux et respectueux“, SVP ne me faites pas perdre mon temps.
Je précise que c’est un fantasme maso qu’elle désire et a imaginé (voir la vidéo où elle l’explique).
Je sélectionne donc quelques hommes très fermes, voire brutes, qui sauront relever le défi en jouant sur l'équilibre entre respect et violence.
Cet évènement ne sera pas réitéré, il n'aura lieu qu'une fois, comme une expérience, un défi ponctuel.
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Voici ensuite le tchat avec un type qui sur son profil s'annonce comme un grand dominateur organisateur :
?
Bonjour, tout d'abord comprenez bien que je ne veux pas vous manquer de respect, vous déranger ou manquer de respect à la dignité de la femme.
J'ai pu constater que le scénario viol simulé était un fantasme pour certaines femmes, le viole et bien sûr un des pires crimes odieux, j'organise cependant depuis quelque temps des scénarios de ce type "viol simulé", pour celle-ci le désirant vraiment, dans la sécurité et le respect bien entendu, mais surtout avec beaucoup d'excitation et cérébralité.
J'ai pensé que peut être cela pourrait vous intéresser qu'en pensez-vous ?
?
Bonjour, je ne vois pas en quoi ça pourrait nous intéresser, puisque j'organise déjà la même chose pour ma soumise, et pas à perpette (nous sommes sur Montpellier et toi sur Avignon), et le plan se déroulera d'ailleurs ce samedi.
Je ne comprends pas ta requête, à moins que tu n'aies carrément pas lu notre fiche ni regardé la vidéo qui explique le plan.
? : Le scénario est à définir ensemble dans les grandes lignes, bien sur , il y aura une part d'inconnue ou pas pour votre plus grand plaisir. Le scénario peut se dérouler de plusieurs manières et dans plusieurs lieux différents. En extérieur je vous surprends dans votre voiture dans un coin tranquille, ou dans les bois marchant, ou entrain d'uriner d'arrière un bosquet. Possible aussi chez moi, ou chez vous, vous pouvez faire semblant de dormir et vous réveillez pendant la pénétration ou pas et être consentante ou pas, faire semblant d'être drogué ou soûle, je peux aussi vous surprendre sous la douche, aux toilettes, ou simplement dans votre salon/ chambre et vous forcez à avoir un rapport, voici quelque possibilité. Quelle idée vous plairez, on peut aller plus loin, plus hard ou plus soft plus cool.
? : heu, on dirait que tu n'as pas lu ma réponse précédente…
Tu ne devrais pas étaler tout ton baratin avant d'avoir eu une réponse au premier message, car là on dirait que tu t'emballes, à énumérer tous tes fantasmes
? : bref, bonne continuation, et à l'avenir tiens compte de ce que les gens marquent avant de les brancher
: vous pouvez disposer je vous bloque faux Maitre
? : non mais tu t’es relu? … mais LOL quoi ! je te bloque d’abord !
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Elle était revenue de deux semaines d'un voyage professionnel à l'étranger.
Et pendant le week-end de son retour, nous avions flâné dans les rues de Paris, comme deux amoureux, que nous étions, se retrouvant. Passant dans des endroits qui étaient chers à nos cœurs...
Des petits bars s'ouvrant à la nuit, à la douce nuit de l'été ou nous avions l'habitude de nous retrouver, aux folies des boîtes de nuits Parisiennes...ou encore sous les ponts parisiens regardant passer les bateaux-mouches éclairant à leurs passages les arches des ponts, nous dévoilant quelques peu aux regards des touristes...
Nous étions heureux de nous retrouver, simplement, et nous n'avions fait que de roucouler comme deux tourtereaux...
Au petit matin, de ce lundi...Elle partit à son travail, j'avais la chance de ne pas travailler ce jour.
Elle demeurait dans une belle chaumière, dans le sud de la région parisienne...
J'aimais me retrouver chez elle, il y avait un doux parfum d'ancien... Pierres apparentes, grandes et vastes pièces, qu'elle savait savamment décorer de meubles forts en prestance, ainsi que de beaux bougeoirs qu'elle adorait user à la place de la lumière électrique...
C'était pour moi, un havre de paix, ou j'aimais me retrouver, même quand elle n'y était pas.
Dans la journée, elle m'appela pour me faire part de son stress de la journée. Il semblait que sa visite à l'étranger n'avait pas apporté tous les fruits escomptés pour ses patrons... et ils lui faisaient la remontrance...
Après l'avoir quitté, triste de la savoir désappointée, je me mis alors en tête de lui changer les idées pour le soir venu.
Je l'appelais alors et lui dis qu'il fallait qu'elle soit rentrée pour 20 h... pile et pas de faux-fuyant.
Elle savait, dès lors, au ton de mon discours que la soirée serait... à Elle, à Nous.
Elle raccrocha, mais je sentis que le sourire lui était revenue et je fus rassuré de son bien-être.
Je préparais la table du salon sur le son de DM.
Recouvrant d'une nappe rouge le bois de ce divin meuble, qui fut parfois le spectateur passif de biens des émois ...
Puis je dressais la table comme si l'on recevait, mettant les petits plats dans les grands, cherchant l'harmonie des couverts et des verres.
J'y ajoutais un bougeoir en plein milieu, ainsi que quelques Roses rouges posées simplement à même la nappe.
Le vin décantait dans un beau Cristal, et je me hâtais de préparer un petit repas simple, mais frugal quand même.
Le champagne était au frais. Tout était presque près à la fin de l'après-midi.
Je préparais alors, les affaires de ma Belle, car je voulais qu'elle soit Belle
.
Je lui choisis une belle robe de soirée, rouge Sang, offrant, quand elle l'a portait, une vue si délicieuse sur la cambrure de son dos à nu.
Je la déposais sur le lit, délicatement, laissant tomber presque au sol le bas de cette étoffe.
Mais je ne préparais rien d'autre... si ce n'est ses chaussures à hauts talons assorties à sa parure future.
J'aime à savoir ma belle libre sous ses vêtements, et je savais qu'elle raffolait de ce petit vice que j'ai parfois... offrant bien des tourments des sens.
Je préparais également la salle de bain...
Cette dernière était des plus spacieuse. En son milieu se trouvait une baignoire, sur un promontoire que quelques marches permettaient d'y venir. Une fenêtre, aux drapés chaud en ornait le contour, donnait sur le jardin, certes pas très grand au regard de la grandeur de la maison, mais suffisamment pour que l'on ne puisse voir à l'intérieur. Une coiffeuse se trouvait dans le recoin de la pièce, ou s'amoncelait ses bijoux du quotidien, et d'autres, dans un coin secret, ceux du moins quotidien...
Je disposais, sur les marches menant à la baignoire, quelques petites bougies parfumées, ainsi que d'autres autour
Je préparais, aussi non loin, la serviette délicatement pliée sur la chaise de la coiffeuse.
Je pris le temps de me préparer aussi, revêtant simplement une chemise tout en noir et un pantalon tout aussi noir...
Pour finir, à l'entrée de la maison, je déposais, sur la petite table d'entrée un ravissant bouquet de Roses.
Tout était près...
Peu avant 20 h, elle m'appela...
« Je suis bientôt arrivée, à tout de suite » et je souris
J'allumais alors toutes les bougies que j'avais disposées ça et là et commença à faire couler le bain.
J'éteignis toutes les lumières, laissant la lueur si plaisante des flammes qui dansent.
Et mis en route, la musique, que j'avais également préparée en fond...
Après avoir arrêté l'eau du bain, je me rendis sur la petite terrasse, profitant de la douceur du soir en attendant la proche arrivée de la Belle.
J'entendis la porte d'entrée s'ouvrir, et ma Belle apparu rapidement, avec les fleurs que je lui avais laissé, dans les mains, le sourire plus que présent.
Elle me déposa un tendre baiser, comme je les aime tant...Passionné, enivrant, fou et apaisant...
Elle prit une chaise et nous parlions quelques peu de sa journée pas si rose que cela.
Je sentais ma Belle, à mesure de notre discussion, repartir dans une frustration certaine. Je l'invitais alors à aller se détendre en prenant le bain que je lui avais préparé.
Elle me sourit, et me remercia de penser à Elle et surtout de penser à lui faire oublier ses moments de tensions.
Je la laissais seule se rendre dans la salle de bain, et de profiter de ce petit moment de solitude intime dans cette atmosphère que j'y avais créé pour Elle.
Au bout de quelques minutes, et après l'avoir entendu pénétrer dans le bain, je servis deux coupes Champagne.
Et je me rendis doucement dans la salle de bain.
Elle était là, dans cette eau chaude, parfumé et brouillée de bulles et de mousse...
La lumière des bougies apaisait l'ambiance, et la Belle, les yeux fermés, se délaçait de sa journée.
Aux traits de son visage, je voyais aisément, que ce décor lui apportait le repos tant désiré.
Je m'assis sur le rebord de la baignoire. Ma présence ne fut pas de suite perçu par ma Belle, et je souriais de la voir se détendre...
Ma main vint caresser la surface de l'eau, doucement, et un petit sourire se dessina sur son visage et elle garda les yeux clos, quand les remous vinrent troubler ce repos tant mérité.
Ma main vint au ras de sa peau...que j'aime pouvoir caresser une peau, juste à la surface de l'eau d'une belle O détendue, calme....
Son sourire fut plus présent et ses yeux s'ouvrirent au même moment...
Son regard croisa le mien, souriant de son bonheur...
Je lui tendis sa coupe...
Elle en but quelques gorgées, puis me la rendis....
Voulant se lever, je lui fis signe de rester encore...
Je déposais les coupes sur la coiffeuse, et revenant vers la Belle, je relevais mes manches, pour qu'elles ne tombent dans l'eau.
Mes mains vinrent dans un premier temps, juste sur ses épaules, massant doucement la base du coup...
Sa tête suivait, avec satisfaction, le mouvement de mes mains....partant tantôt à droite, tantôt à gauche...
Je la massais avec douceur, et...au bout d'un moment, mes mains quittèrent ses épaules pour, effleurant la surface de l'eau, se diriger vers ses monts, émergeant toujours juste à la surface, auréolé de la mousse du bain...
Son corps se cambrant pour chercher la douceur des doigts...
Les yeux toujours fermés, ma Belle frissonnait de la rencontre tant désiré sur ses monts de mes mains...
Jouant de la mousse, ses dernières caressaient la courbe de ses formes généreuses et attendrissantes de désir.
Son souffle devenait plus doux et un peu saccadé...
Dessinant des cercles dans l'eau autour des monts de l'O, je jouais ainsi avec délice, par moment, tiraillant avec douceur le pic de chacun d'entre eux, ou effleurant juste des ongles ses pics qui grandissait.
Ce jeu dura un moment, quand nos bouches, n'en pouvant plus, s'unirent pour danser follement...mélange de chaleurs et de frais, de goût de la liqueur pétillante au goût de ma belle...c'était des plus enivrants...
Durant cette danse de langues et de bouches...mes mains quittèrent les rondeurs, pour se diriger vers un autre mont...celui de Venus...
M'attardant légèrement sur son ventre, le corps de ma Belle se cambrait d'avantage, pour m'offrir plus facilement la conquête de son mont qu'Elle désirait m'offrir dans le trouble de la mousse...
Mais...je m'arrêtais avec dans cette ascension...ainsi que cette danse folle.....
Je me redressais...
« Tu n'as pas faim ? » lui dis-je ...
Elle sourit, connaissant ce jeu que j'adore faire, un peu déçue...mais, me connaissant, elle savait qu'il y aurait une suite...et que ce n'était qu'un petit « apéritif »...elle poussa juste un « Pfff » assortie d'un sourire coquin....
Je l'enroulais dans la blanche étoffe de la serviette...à la sortie de son Bain....L'embrassant tendrement comme elle m'avait fait à son arrivée...
« Va te vêtir...je vais préparer la suite »
Un sourire taquin illumina mon visage, un sourire illumina le sien....
Sans mots dire, Elle referma la porte de la salle de Bain, plus instinctivement qu'autre chose, et je la laissais seule se vêtir et se détendre encore plus....
J'étais plongé dans mes pensées, le verre de champagne toujours en main...quand un parfum si plaisant vint chatouiller délicatement mes sens...
Elle était dans l'embrasure de la porte, une main posée, à hauteur de son visage, sur le chambranle de la porte...un sourire taquin illuminait son visage...et son regard ne me quittait pas...
Elle était resplendissante dans cette robe qui dessinait si bien ses formes. Elle avait agrémentée sa tenue, que je lui avais choisit, par un maquillage très soutenue, dont elle connaissait si bien l'effet sur moi...Dessinant ses yeux avec excès, tirant celui-ci vers l'extérieur, suivant la courbe relevé de ses sourcils finement préparés... Ses lèvres, assortis à la couleur de sa robe, brillaient comme des diamants.
Je me levai et lui tendis ma main, qu'elle prit avec délicatesse.
Je la conduisis vers sa place, tirant d'abord la chaise avant qu'elle s'y assoit.
Elle tira sur sa robe, légèrement pour lui faciliter son assise, m'offrant une vue remarquable sur son dos à nue...s'assoyant d'abord comme une amazone, puis ramenant dans une douceur affolante ses deux jambes sous la table...et je rapprochais la chaise....
J'aime voir ces petits détails si féminins dans la mouvance d'une femme....cette façon sensuel d'user de ce charme si naturel et si envoûtant pour l'œil qui observe...que parfois on en reste si muet et Béa....
Le repas fut un délice tant pour la bouche que pour les yeux...
Nous mangions nos mots, nous dévorions nos regards, nous nous envoûtions de ce simple repas...Les sourires fusaient de ci de là...et toutes nos phrases n'étaient que subtiles sous entendus et jeux d'éveil de nos sens...déjà bien a l'affût.
Puis, le désert pris, je l'invitais à quelques par de danses.
La musique était douce.
Sa main posée sur mon cœur, recouverte par la mienne, mon autre main jouait dans l'ouverture de son dos, tantôt des bout des doigts tantôt de mes ongles long.
Lorsque j'usais de mes ongles, sa peau se parait de frisons, juste le passage, et la peau se couvre de ses petits signes...si visible sur la peau
Puis, après quelques chansons...et de mélanges de bouches, de langues et de salives...
Je pris d'une main, son cou...et de mes doigts je cherchais ce nœud...libérateur...
Ils trouveraient le fil, tirant dessus...
Elle baissa la tête pour mieux m'y aider...
Rapidement son étoffe tomba à terre...
Elle était nue...et je l'enlaçais pour sentir la chaleur de son corps...
Nous dansions encore sur une chanson...
Et machiavéliquement, je menais notre couple proche de notre armoire à secret.
Je m'écartais de la Belle, et ouvrit les portes de l'armoire...
Je fis en sorte de prendre ma convoitise sans qu'elle puisse voir ce que cela fut...
Mains derrière le dos, je retournais vers ma victime volontaire...
Elle m'embrassa.
Je l'écartais à nouveau, passant ma main devant ses yeux pour les clore...
Son visage sourit...mais elle s'exécuta sans peine...
Je passais d'abord derrière elle...Pris son poignet et y posa un bracelet...puis sans lâcher ce poignet, je pris le deuxième et y posa le second bracelet...
Ces bracelets étaient de cuir, reliés entre eux, par une petite chaîne....
Elle avait toujours les yeux fermés...
Je passais devant elle, et sans fléchir, sans prévenir...à la hauteur de ses pics dressés par la douce température....j'approchais...son deuxième ornement...
En même temps, je refermais sur ses pics, les deux pinces sur ses hardant promontoire...
Elle se redressa brusquement par la pression des pinces...un petit bruit sorti de sa bouche....
Les pinces étaient reliées par une fine petite chaîne qui pendait entre ses monts
Il me restait plus que deux éléments à mettre en place pour la parer définitivement... et se sentir Belle et soumise en ma possession....
Je regardais un instant l'œuvre que je venais de faire...
Une main posée sur son épaule, j'écoutais religieusement son souffle saccadé mais apaisé...
Je déposais un baisé sur son épaule, puis la laissa un instant sans qu'Elle puisse sentir ma chaleur.
Je pris dans notre secrète armoire, la suite de son tourment. Et je revins près d'Elle, posant à nouveau ma main sur son épaule...Elle se redressa brusquement, surprise un peu de ma venu, les chaines qui la retenaient se mirent un peu à tinter...bruits métalliques si agréable de la prisonnière de mes désirs.
Une de mes mains passa alors, doucement de sa vallée vers son cou, puis passa doucement sur le cotés de ce dernier. Mon pouce vint sous sa mâchoire, et l'obligea à redresser la tête...
Elle se redressa fièrement au dictât de ce doigt.
Mon autre main apporta ce cuir qui transforme une Belle en Possession.
Elle sourit, joyeuse en voyant ce présent.
Mes bras enlacèrent son cou pour fermer ce présent.
C'était un collier de cuir grand recouvrant la quasi-totalité du cou, finissant en pointe sur le devant juste à la naissance de la vallée. En son centre était présent un anneau.
Puis je finissais ce délice de parure en accrochant une laisse à l'anneau du collier.
Quand le fermoir de la laisse se fit entendre, très légèrement, Elle ouvrit enfin les yeux...
Elle me sourit, et baissa la tête, attendant qu'à présent, je la dirige vers là ou mes plus vils envies pouvaient l'emmener.
Elle n'était plus, ni femme de caractère, ni joueuse des sens, Elle était à présent cette captive de mes sens, de mes désirs. Elle était que ma Possession, belle et délicieux instrument de mes envies où seule, ma volonté n'avait que Foi.
Je pris son menton entre mes doigts, pour lui faire redresser la tête.
Nos regards se croisèrent.
Elle, heureuse d'être ainsi possédée et Moi, fière de son abandon.
Je lui souris, et je déposais un baiser sur ses lèvres.
Tirant sur la laisse, je la dirigeais alors vers le fauteuil. Je m'y assis, et tirant à nouveau sur cet instrument, sans mots dire, je la fis s’asseoir au près de moi,l'aidant pour qu'elle ne tombe pas, sur le sol qu'un tapis moelleux recouvrait.
Elle avait les jambes recroquevillées vers elle, le corps droit. Elle était là tête baissée, à mes pieds. Je tirais encore sur ce lien si fort, pour l'approcher tout près de moi.
Son corps était contre ma jambe et j'en sentais, au travers de l'étoffe qui la recouvrait, sa douce chaleur.
Je pris une cigarette, puis la boîte d'allumette qui se trouvait sur la table basse, face à nous.
Je fis tourner la tête de ma Possession pour qu'elle puisse me regarder.
Ses yeux étaient illuminés de bien-être et elle était suspendue à l'attente de la suite des événements.
Je lui offris la cigarette, qu'elle appât délicatement.
Je frottais une allumette contre le boîtier. Elle suivait le moindre de mes gestes...
Je dirigeais la flamme vers sa destinée.
Penchant la tête, pour éviter que la fumée puisse lui brûler les yeux, elle tira une grande lampée, allumant de ce fait cette cigarette.
Je lui repris, doucement, et la porta à ma bouche. Elle se pinça les lèvres, elle aimait ma façon délicate parfois sexy au dire de certains de prendre et d'user de cet objet.
Je posais ma main sur sa tête et l'obligeant à la poser sur ma jambe. Et je continuais, jusqu'à la fin, sans rien dire, caressant avec délice la chevelure de ma Possession à mes pieds, collée contre moi.
J'écrasais la cigarette dans le cendrier. Tenant toujours dans le creux de ma paume, la tête de ma Belle.
Je pris une coupe de champagne non loin que l'un de nous n'avait fini.
J'en bu une gorgée.
Ma main releva la tête de la Belle.
Je présentais ce divin nectar à ses lèves, et je l'y aidais, attendris de la voir ainsi dépendante volontaire de mes gestes et de son bien-être.
Je reposais la coupe, et souris au geste délicat et sensuelle de la langue de ma Belle sur ses lèvres, ne gâchant rien jusqu'à la dernière goutte...
Je fis quelques tours de main sur la chaîne jusqu'au collier, puis tirant à moi cette divine créature, j'approchais mes lèvres des siennes.
Nos lèvres s'unissaient, et le balle de nos langues suivait la musique si présente.
Je voyais cependant les traits quelques peux fatigués et tirés... ainsi que l'heure qui tournait.
Je me redressais, et tenant toujours près de moi dans cette étreinte délicieuse ma demoiselle, je l'aidais à se redresser.
Nos lèvres ne se quittaient pas...
Ma main libre parcourait avec douceur la chevelure de ma « prisonnière ».
Puis, elle descendit doucement le long de son dos, juste effleurant des ongles cette peau de satin, suivant le dessin de la colonne, jusqu'à arriver à la naissance des Lunes.
Elle avait les yeux fermés, mais son corps ondulait comme une Chatte que l'on caresse. Suivant, cherchant en chaque instant la pression marquante de ces griffes qu'Elle aimait tant.
Puis, la main vint, dessinant une parallèle au sol juste au dessus d'une Lune, sur le devant.
Passant sur sa hanche, Elle se cabrât sur le cotés, souriant par l'effet de chatouillis que cela lui provoquait.
Puis, à hauteur de son triangle d'Or, elle prit la direction montante d'un seul doigt, vers ses délicieux monts, effleurant son nombril.
Arrivant à la chaîne qui tenait prisonnier ses pics, le doigt suivi cette chaîne vers l'une des étreintes. Et d'un coup, je délivrais le premier pic, lui arrachant un souffle de soulagement.
Puis je délivrais le deuxième....
J'embrassais alors, tour à tour, ses « douloureux » avec délicatesse, apaisant, de ce geste, l'étreinte provoqué...
Elle murmura un « Humm » de satisfaction, me faisant sourire...
Puis brusquement, je m'arrêtais.
Je me redressai, approchai vivement le visage de ma Belle pour engloutir ses lèvres.
Elle savait que ce n'était pas la fin de son tourment...Elle attendait avec une envie certaine d'une suite qu'Elle devinait plus sauvage...
Mais là ...est une autre histoire...
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Dans mon passé j'ai vécu, exploré, testé, goûté aussi tout les pans de ce Jardin des Sens avant d'en arriver à ce que je suis aujourd'hui...
On m'a souvent demandé...
"Mais pourquoi dis-tu que tu n'aimes pas ?"...
Et bien simplement parce que j'ai gouté...
Alors voilà un Pan de moi que vous dévoile....Et là je sais...que c'est vraiment pas pour moi... ;)..Peut-être certains seront surpris...Mais je suis ainsi ...
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(Gary Grant et Randolph Scott)
Il y a des années (pfff), alors que je ne savais si cette passion devait pleinement être le fil conducteur de ma vie, j’ai vécue une aventure je devrais dire plutôt une expérience différente.
A l’époque, je faisais mes études et je devais partir à l’armé.
Et oui je fais partis de ceux qui n’ont pu y couper. Je naviguais, en ce temps, entre les passions et une relation classique.
Cette dernière, j’en étais totalement fou amoureux…que voulez-vous…le cœur à sa raison que la raison ignore.
Puis vint le jour ou je dû me rendre à ce service d’intérêt que militaire. Et ce qui devais arriver arriva, celle qui faisait battre mon cœur me tournait sans raison le dos….
Comme si simplement elle attendait ce moment pour prendre la fuite…enfin
Coupé un peu du monde, même si j’étais sur Paris, je n’arrivais pas à l’oublier, même les passions que j’avais à l’époque avaient un gout âpre bizarrement.
C’est fou comment l’amour peut vous toucher si fort en vous.
Pendant près de 4 mois je tentais en vint de reconquérir sont cœur…
Désabusé par mes efforts, je décidais de tourner cette page.
Et je commençais à me poser moult question sur l’amour et mes relations avec les femmes.
Chaque soir, je sortais dans les rues Parisienne tentant d’oublier cette femme. Je résidais à l’époque dans le marais et de nouvelles et étranges pensées me traversaient l’esprit.
Pour ceux qui ne connaissent pas ce lieu très prisé et charmant, il est surtout réputé non pas pour la demeure de Victoire Hugo, mais pour sa couleur des plus gaies et étranges d’un monde très masculin aux relations très exclusivement…masculines
A force de me promener dans ce quartier avec une coupe de cheveux des plus évoquant pour cette population…je me fis mainte fois aborder
Il est des plus surprenant de constater, que ce milieu est très ouvert et n’hésite pas à vous aborder facilement par contre vous leurs dites simplement Non, ils n’insistent que très peu…Bon nombreux devraient en prendre bonnes graines ;-)
Un soir, plus sombre que d’habitude, je cédais à une invitation dans un petit bar près de la place des Vosges car la personne, déjà plusieurs fois croisé et charmant au demeurant, m’inspirait confiance dans sa démarche simple et sans « arrière pensée »….heu un peu naïf sur le coup, mais…la tentation d’être avec quelque et de parler simplement m’était plus important que ses éventuelles arrières pensées.
Nous parlâmes ainsi pendant la grande majorité de la nuit…
Il m’expliquait comment il avait découvert son homosexualité, je lui faisais part de ma vie un peu turbulente avec les femmes …
Tout se passait comme si nous avions été de vieux amis, rien ne transparaissait de ses intensions…un peu cachées…
Puis nous vinrent à parler de mon questionnement, plus précisément à mes déboires et le fait que je ne savais pas réellement ou j’en étais dans cette sexualité qui été la mienne…
Il m’écouta avec un grand intérêt…et me proposa d’aller prendre un dernier verre chez lui…
Je refusai sur le coup…lui indiquant qu’il était des plus tard pour moi, mais que le lendemain, je serai flatté, et ne verrai pas d’inconvénient à honorer sa proposition.
Il en fut des plus charmé, bien sur, et me donna son adresse en me donnant rendez-vous le lendemain soir.
Le lendemain, je me rendis donc à l’adresse indiquée, juste à cotés de la place des Vosges…
Son appartement était cossus mais pas extravagant comme je me l’attendais d’un homme de son bord, si je puis dire…
Il avait préparé un repas à mon honneur…un repas Japonnais….
Il fut très bon, enfin si je m’en souviens bien…
Puis nous terminâmes par un verre…heu que dis-je plusieurs verres Saké assis tout deux confortablement dans un canapé de son salon.
L’ambiance était des plus chaleureuses et conviviales…
A un moment donné…je ne me souviens plus exactement quand dans une conversation…mais… sa main venait de se poser sur ma jambe…
Avec l’autre il prit soin de déposer son verre, puis le mien sur la table basse.
Nos regards se croisèrent…une atmosphère différente venait de naître…
Sa main libre vint se placer derrière ma nuque...
Je restais impassible...
Il approcha sa tête de la mienne...
Des images me parcouraient l'esprit...mais je ne réagissais pas...
Ses lèvres se rapprochaient alors peu à peu des miennes.
Et je restais sans réaction, laissant aller l’instant, sans bouger.
Il me déposa alors un baiser, un simple baiser….
Je ne sais si c’était l’effet de l’alcool ou autre mais j’étais dans un brouillard, troublé aussi par l’instant, par ce qu’il venait de faire en toute simplicité…
Il écarta son visage, me souri, avec un petit sourire de coin…comme pour dire… « Et bien tu veux ou tu veux pas .. ?».
Je lui souriais alors en retour, son visage s’illumina…
Sa tête pris alors une direction plus descendante…et au passage, il prit le soin d’ouvrir mon pantalon…Sa main vint prendre l’objet de son désire, qu’il porta à sa bouche.
Je me laissais toujours faire, mais la réaction de sa quête lui indiquait bien l’émois que j’avais…c’est parfois mieux que des mots.
Il s’appliquait avec une dextérité redoutable…montant descendant lentement mais sûrement…j’avais rarement eu un délice aussi subtile, délicat…heureusement que depuis, certaines personnes féminines m’ont prodiguées pareil tourment…si non …rires
Puis, pour la première fois de ma vie, je sentis alors en mon endroit interdit, une entrée douce et délicate…un effet des plus étranges m’envahit alors…il assurait le rythme de cette entrée avec celui du tourment.
Étrange moment, je vous avoue, et encore aujourd’hui que cette endroit est pour moi des plus difficile d’entrée bien que j’en accepte parfois l’entrée…même un thermomètre y a une difficulté grande …Vive les nouveaux thermomètres qui n’empruntent plus ce chemin.
Mais également, je sais que j’adore le faire ‘subir’ à la gente féminine ce tourment, et je comprend que parfois cela est des plus difficiles, voir impossible…
L’homme a, en cet endroit, un point important et très sensible et qui lui procure un plaisir très certain parfois plus fort que le Saint Graal et les tourments que l’on puis lui faire subir.
Puis, il vint à y introduire un deuxième doigt…toujours avec une grande délicatesse…Un plaisir certain m’envahit, il le comprit. Il activa le tourment, les frissons m’envahissaient, les tremblements faisaient leurs apparitions…
Il tenta alors un troisième doigt…mais là…je l’arrêtai immédiatement…il n’insista pas, comprenant vite que cela était déjà bien…voir trop peut-être, heu…même sur.
Il arrêta donc ses tourments, comprenant que cela n’irait pas plus loin en ce qui me concernait.
Il m’offrit alors, un préservatif, qui mit délicatement sur ce mat dressé, je l’y aidais quelque peu. Il en profita alors pour retirer ses affaires.
Il se mit alors directement à califourchon sur moi…pris en main l’objet désiré et le présenta doucement à son antre…il était aussi très ‘tendu’, mais il se grandit encore plus lorsque peu à peu, il descendit sur ma ‘fierté’...j’étais des plus étonné que sans préparation cela pouvait avoir lieu…
Mais très vite ma réaction fut sans appel…pour lui, pour nous…
Le mat peu à peu dresser perdit de sa rigidité…
Comprenant que là c’était vraiment trop, en quelque sorte…il arrêta…nous arrêtâmes.
Nous continuions s cependant à discuter, à en discuter…le reste de la soirée
Mais une chose est sur et certaine…malgré cette expérience quelque peut délicieux…je ne suis nullement fait pour ce genre de rapport…
Et donc je pris conscience que l’homosexualité, même dans l’adversité du temps, ne serait pas du tout mon chemin. Et que malgré le cœur des plus blessé, les femmes auront toujours mes faveurs et ma préférence.
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Ils se sont appelés, elle l'a convié à la rejoindre chez elle...
Le loft d'Eva est vaste, luxueux et dispose d'une antre spécialement conçue pour s'adonner aux plaisirs hors normes. Elle est encore dans sa salle de bain entrain de se préparer à recevoir Flynn lorsque la sonnerie de son interphone retentit...
-Oui?!
-C'est moi Madame...
-Ascenseur... 7éme étage.
Eva appuie sur le bouton permettant l'ouverture et l'accès à son ascenseur privé.
Elle s'installe confortablement dans sa confidente, son bas ventre fourmille de papillons... Elle ne dit mot alors qu'elle entend le pas pressé, se rapprochait. Ce n'est pas l'envie qui lui manque mais elle veut jouer sur l'attente pour amener le désir à son paroxysme.
-Madame vous êtes superbe! dit Flynn tout en se mettant à genou devant elle.
-Non! Relèves toi, viens t'assoir à mes côtés dans la confidente.
-Bien Madame.
Alors il se retrouve yeux dans les yeux dans ce face à face entravé par l'accoudoir en esse. Ils échangent par leurs regards, elle est sensuellement parée d'une nuisette en résille, d'un porte jarretelle et de bas de même facture et chaussée de cuissardes en cuir à haut talons. Elle se drape dans la fumée de sa cigarette comme pour tisser un voile entre eux. Il est érotiquement masculin avec sa barbe de trois jours, ses reflets cuivrés dans ses cheveux, sa chemise noire ouverte laissant apparaître sa douce pilosité. Eva passe la main au dessus de l'accoudoir pour passer ses doigts dans cette soyeuse toison. Alors Flynn tend sa main pour caresser son bras inquisiteur.
-T'ai je dis de me toucher?
-Non Madame mais... j'en ai très envie...
-Alors retiens toi! Tu ne me touches que si je te le demande!
-Vous me rendez fou!
-Comprends Flynn... Tu as accepté les termes d'un contrat! Alors tu vas devoir aussi attendre mon bon vouloir. Pour le moment je souhaite prendre le temps alors tu vas le prendre avec moi. D'ailleurs à ce propos, as tu quelque chose de prévu sur ce week end?
-Non Madame rien de spécial à part un compte rendu mais que je peux transmettre par voie électronique donc aucune obligation physique.
-Parfait! Ton obligation physique c'est moi.
Elle se penche, ramasse quelque chose qu'il ne voit pas dû au dossier occultant.
-Mets ta tête sur l'accotoir s'il te plait.
Eva place alors son collier autour de son cou en un clic enfermant Flynn dans son appartenance. Elle se lève fait le tour du fauteuil, ses talons claquent sur le parquet noir, elle se courbe pour relier sa laisse au collier.
-Lèves toi, dit elle tout en tirant sur la laisse. Mets toi nu! Je veux ta nudité pour tout le temps à passer ensemble. Ainsi je pourrais disposer de ce que je veux quand je le veux!
Il est là dans son plus simple appareil, elle le voudrait déjà en elle. Cela serait si simple, il est si accessible et déjà au garde à vous seulement cela serait si fade. Fade au point qu'elle le consommerait vite et se lasserait tout aussi vite. En conséquence elle se maîtrise, cette faculté créée ce trouble qu'elle recherche et l'assoit dans son statut de Dame.
-Viens... Tu vois ce coussin carré bien confortable?
-Oui Madame.
-Dorénavant c'est le tien! Lorsque nous regarderons la télé ou que je m'installerais dans le canapé tu devras prendre place dessus assis ou à genoux suivant mes envies. Pour l'instant je te laisse le choix de la position, je souhaite juste discuter avec toi. Maintenant que tu es mien, je veux savoir qui tu es... Quel est l'homme qui se trouve à mes pieds. Veux tu un café? Alors elle sert le fumant breuvage dans deux tasses tandis qu'ils le consomme à l'unisson, enfin la découverte est à son comble.
... -Non mais je vous jure que c'est vrai!
Eva est toujours entrain de rire de Flynn, elle imagine la tête qu'il a dû faire lorsqu'il a ouvert sa valise. Alors que l'ambiance est à la rigolade, encore secouée par ses ricanements, elle se drape soudainement dans un silence lourd de conséquences. Flynn comprend de suite que l'atmosphère a changé.
-Nous allons dans la cuisine.
Sur ces mots Eva se lève tout en tirant sur la laisse transmettant ainsi l'ordre muet qu'il ne peut faire autrement que la suivre. Elle ondule devant lui, il se délecte de voir ses courbes, il s'enivre du parfum épicé qui dessinent dans leur sillage une trajectoire que même yeux bandés il pourrait suivre tant il a envie de cette femme. Cette femme qui ne s'est pas encore livrée, qui ne le fera peut être pas mais qui suscite en lui tant de désirs, de plaisirs défendus par la norme. De par son vécu et malgré son noviciat, il reste persuadé que son épanouissement ne peut se réaliser que dans une relation asymétrique. Alors qu'elle approche de la console centrale de la cuisine, Eva ordonne à Flynn de la seconder dans la préparation de leur déjeuner. Il s'applique à lui apporter légumes, viande, instruments de cuisine et tout ce dont elle va avoir besoin pour leur concocter un bon repas.
-Merci Flynn, je vais te lâcher... Tu vas chercher ton petit coussin... Et tu te places entre mes jambes.
Oh ses jambes! Interminables dans leur gaine de cuir noire. Rien qu'à l'idée qu'il va avoir un angle de vue qu'aucun autre homme à cet instant ne pouvait avoir d'elle. Pressant le pas, Eva le suit du regard et lui dit:
-Non! Fais le à quatre pattes mon tout doux.
Elle peut ainsi profiter largement de sa croupe tendue, de son anus ouvert dans l'effort. Elle jubile. Comme il lui tarde d'explorer ce précieux repaire, arracher à cet homme une jouissance hétéroclite la submerge. Son entre jambe perle de moiteurs stimulantes, elle s'astreint dans sa préparation, lucide de son excitation grandissante.
Flynn revient et s'installe entre ses jambes, le dos contre la console centrale. Il la voit en panoramique, en contre plongée. Son sexe exposé impunément, ses seins se dressant fièrement et dansant au rythme de ses mouvements. Il est là, il attend, il observe en silence. Sans crier gare cet havre de paix s'enveloppe dans une musique inconnue.
-Quelle est cette sensuelle mélodie?
-Du sex lounge mon tout beau. The call de Cantoma pour être précise.
https://www.youtube.com/watch?v=gdpfLGnmWIQ
-Mélange de tonalités zen Madame...
-... Il est vrai...
Les accords sensuels réveillent en Eva des instincts primaires...
-Donne moi ta main...
Alors que leurs mains se réexaminent, s'explorent de nouveau la main d'Eva guide celle de Flynn à son entre jambe, plie ses doigts pour qu'il ne reste que son pouce. Puis l'introduit dans la tanière de ses secrètes envies. Elle presse ce doigt en elle et bouge dessus. Elle va à l'encontre de son plaisir.
-Là Flynn je baise ton pouce...
Flynn à ses mots redouble en rigidité, son pénis le fait souffrir d'extensions à répétitions. Il se rend aussi compte que dans cette frustration il éprouve de la satisfaction. D'abord celle de donner du plaisir à Eva avant le sien mais aussi du fait qu'il n'est pas joui depuis la rencontre au bureau. Eva pourtant à redoubler d'ingéniosités, de mots crus l'amenant à la bandaison permanente lors de ses mots échangés par téléphone. Mais elle lui avait intimé l'ordre de ne pas se toucher, que dorénavant ses éjaculations étaient siennes. C'est alors que perdu dans ses pensées, il sent son pouce trempé devenir froid... Mue par son désir pour cette homme, Eva l'attrape par les épaules et le couche à terre. Elle l'embrasse en un baiser avide, symbole de son ivresse charnelle. Elle n'est plus que passion dévorante, elle brûle de le consommer. Et tel cet instinct primitif la poussant à explorer de sa langue cette bouche masculine, elle prend avec ses dents la lèvre inférieure de Flynn la mord tout en tirant dessus. Puis se relève d'un bond et dit:
-Mets la table s'il te plait nous allons manger.
-Maintenant, que tu as débarrassé la table, viens là...
Flynn s'approche d'Eva qui ferme sa laisse sur l'oeillet du collier. Elle tient la poignée fermement car son désir chocolat ne peut plus se contenir. Eva pousse alors une porte, allume la lumière il constate alors que la pièce dorénavant éclairée est équipée d'accessoires qu'il ne connait pas.
-Voici mon antre...
-Votre antre Ma Dame?
-Oui Flynn... Le lieu où je m'adonne aux plaisirs différents, c'est ici que je vais t'emmener là où je souhaite que tu te rendes.
Il ressent alors en lui une envie de fuir! Mélangé à l'envie de rester auprès d'elle... Il a confiance, pourquoi il ne le sait pas!
Eva place sur ses yeux un bandeau, il ne voit plus rien... Alors il entend une musique douce sûrement encore du sex lounge... Il entend le son de ses talons, des bruits de tiroirs lui semble t-il... Il sent la laisse l'emmener ver l'avant... Ses genoux butent sur ce qu'il pense la large banquette qu'il a vu en arrivant.
-Mets toi à genoux!
Flynn sent alors un coussin lorsqu'il se pli à son ordre.
-Mets le haut de ton corps à cheval sur la banquette! Que ton petit cul me soit offert à la vue, ouvert... S'est on déjà occupé de ton cul?
-Si peu Ma Dame... Juste un doigt lors d'une fellation.
Il sent alors comme une caresse sur son dos, son cul, le haut de ses cuisses. Ce n'est pas une main, car c'est froid et la zone de touche est plus petite.
-Sais tu avec quoi je te touche?
-Non Ma Dame...
-Ma cravache! Tu peux ainsi constater qu'une cravache peut aussi être agréable...
-Certes...
Alors un bruit sec fend l'air et s'abat juste à côté de son bras. Il sursaute.
-Je l'ai frappé sur la banquette pour que tu t'habitues au bruit. Souvent à tort, le bruit fait plus peur que la morsure.
Elle recommence alors les caresses à dos de cravache et la frappe à côté de cette cible qui lui donne tant envie.
Puis sa min se pose sur sa croupe, elle décrit de larges cercles, chauffe la région. Il sent qu'Eva s'assoit juste à côté de lui.
-Relèves le haut de ton corps... Bien. Maintenant pose ta poitrine sur ma cuisse.
Alors la main se fait dure. Elle accable la fesse gauche de Flynn d'abord lentement juste en de petites frappes espacées. Puis en foulée soutenue. Il ressent alors le mélange de l'excitation et de la douleur. L'obsédant élancement des pulsations de son derme le rend fébrile. Sa peau occasionne de pénibles tensions. Et d'un seul coup il s'abandonne. Il part là où les limites de la réalité s'estompent pour faire place à l'osmose. Où le sentiment de possession est plus fort. Il chavire.
Eva lui parle... Vu les réponses lentes, saccadées elle comprend qu'il n'est plus vraiment là avec elle. Comme elle est heureuse de s'apercevoir de son lâcher prise. Alors elle continue en prenant précautions des réactions de Flynn. Pour les initiés cette dérive mentale s'appelle le subspace, elle sait alors que sa vigilance doit s'accroître car en cet instant sans discernement il pourrait endurer trop sans qu'il perçoit le danger inhérent. Puis il revient, les premières fois ne perdurent pas longtemps. Elle s'arrête, s'allonge sur la banquette devant lui et soulève le bandeau.
-Salut... lui dit elle. Bienvenue de nouveau avec moi.
-Ma Daaame... Que c'est il passé?
-Rien d'affolant mon charmant Flynn. Juste que tu es parti bien loin. Mais même là bas j'étais avec toi. Tu ne cours aucun risque en ma présence.
Elle l'embrasse alors tendrement, leurs bouches s'unissent avidement. Il est temps pour Flynn de souffler alors elle lui offre en gardant à l'esprit que tout dorénavant n'en sera que plus délicieux.
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Il arrive que les gens mentent sur leurs vrai personnes..
J'ai toujours eut du mal avec cela...Et je comprend pas pourquoi certains sont ainsi...que cela soit dans les paroles, les actes, ou leurs vrai nature...
Est-ce un jeu, est-ce une façon de se faire mousser ?....
Je reste toujours assez incrédule lorsque cela arrive,
Que dire ?...Et que faire contre ?...
Enfin....Des discutions récentes m'ont ramenées à cette expérience...Étrange....d'un faux-semblant, ou devrais-je dire...sur le fait que l'on peut tromper les gens sur sa vrai nature...mais qu'à un moment le masque tombe...Et le résultat est forcément à l'opposé de l'attente première....
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C’était il y a 13 ans, je m’étais inscrit sur un site dédier à cette passion désirant renouer avec mon passé auquel j’ai tourné le dos pendant trop longtemps…
Très vite, je fis la connaissance d’une charmante personne…les échanges devenant de plus en plus plaisant, sans entrer dans les détails, ni interrogatoires habituelles dont j’ai une sainte horreur, surtout pour faire connaissance….
Je l’invitais alors à changer de moyen de communication pour que nos échanges soit plus plaisant.
Nous continuâmes ainsi, au travers de MSN, nos échanges toujours plus envoutant, où nous parlions aussi bien de notre vie de tout les jours, en bien comme en mal, que cette passion qui nous permis de nous connaître.
Bien sur nous en profitâmes aussi pour se présenter visuellement l’un à l’autre, par l’intermédiaire de nos photos.
Il est vrai que c’est quand même plus plaisant de mettre un visage sur une personne qui vous charme par ses mots et de voir si l’adéquation physique avait la même résonance que les écrits.
Et ce fût le cas également.
De fil en aiguille, le charme comme souvent agis, et de part et d’autre, l’envie de sortir de ce carcan protecteur de notre vie se fit ressentir. Il est vrai qu’après près de 2 mois de discussions quasi quotidiennes, il faut faire un pas vers ceux qui nous attirent ;-)
Je lui proposais alors de nous rencontrer en réel, dans un endroit publique, pour garantir, à nous deux, une certaine sécurité…on ne sait jamais réellement à qui on a affaire ;-).
Le rendez-vous fut pris dans un café parisien, échange de numéro de portable pour être sur de ne pas se rater.
Je fus le premier à arriver dans ce café. Il faut dire que j’étais en avance, et surtout je déteste faire attendre les gens, ce qui est des plus normal aussi.
Et puis aussi la galanterie est une chose important même si beaucoup l’oubli aujourd’hui…Il ne faut jamais faire attendre une femme, même si, nous le savons souvent, les femmes sont très souvent en retard.
(J’imagine mesdames qui me lisez, le dessin d’un sourire sur votre visage en lisant cela, mais nous, hommes, savons que c’est surtout une manière de nous séduire, et je vous l’avoue, nous l’adorons…heu cependant sans trop d’excès aussi …rire)
Je pris une place dans un recoin afin que nous puissions être des plus au calme…Et je commandais un café…
Mon téléphone sonna, c’était Elle, une voie douce et charmeuse, qui m’emplit le cœur d’un espoir sans retenu…
« Je serais là dans 5 minutes, je vous pris de m’excuser pour mon retard »…
« Je vous en pris, gente amie, le plaisir de votre rencontre vaut bien ce petit désagrément ».
Au bout de 5/dix minutes, je vis une femme élégante franchir le seuil de la porte de ce café.
Je la reconnue de suite, je me levais pour lui indiquer ou je me situais…
Elle était vêtue, je m’en souviens encore, d’une jupe-portefeuille, noir dessinant ses hanches avec délicatesse et d’un chemisier blanc, laissant entrevoir une belle dentelle, tout aussi blanc, mettant ses monts en valeur mais sans excès.
Elle avait les cheveux long d’un noir cendre qui recouvraient ses épaules délicieusement…Ainsi qu’un petit foulard, tout aussi blanc, qui recouvrait son cou.
Elle savait ma préférence en ce genre de tenue, mis à part le foulard, et je savais qu’elle l’avait fait pour moi….
Je lui fis signe de la main, un sourire illumina son visage, et commença à avancer vers moi.
Elle savait également que je faisais beaucoup attention à la démarche, un pécher mignon de ma part, et je remarquais un certain excès dans cela. Mais ce fut délicieux de la voir s’avancer doucement, le pan de la jupe laissant entrevoir des chaussures à talons et de jolie bas blanc…
Chaque pas était assurément mesuré, chaque pied, à mesure, passant toujours l'un devant l’autre, montrant un déhanchement bien contrôlé, mais des plus subtile…d’ailleurs, je m’amusais à observer la foule environnante…je n’étais pas le seul à mirer cette belle créature s’avancer…
Il est vrai que je suis très attaché, pour ne pas dire exigeant, tant à l’aspect de la personne que la démarche de celle –ci. C’est quelque part, en tout cas pour moi, une chose très importante, plantant ainsi le « décor » et séduit, éveille les sens…
Elle prit place face à moi, après avoir déposé les 4 bises délicatement sur mes joues, tout émue, comme je le fus aussi de pouvoir La voir en chair et en Os.
Elle commanda un thé au citron, qui lui fut servis rapidement, et nous commencions à parler librement, à faire réellement connaissance.
Sa voie était douce et envoutante, à mesure qu’elle discutait, elle jouait avec ce foulard autour de son cou, montrant ainsi une certaine émotion, timidité délicieuse…
Je remarquais encore, lorsqu’elle buvait ou parlait, avec des gestes toujours prononcés, voir trop féminin…ainsi qu’un maquillage certes délicieux, mais encore une fois un peu trop excessif.
Certes j’aime que la femme soit maquillée, les yeux bien mis en valeur, une bouche bien dessinée, mais là…
Au bout d’un moment, je lui fis remarquer…
Elle baissa les yeux, rougit…et baissa la tête…
Pris alors son foulard par un bout et tira doucement dessus.
Peu à peu, je vis alors apparaître son cou…
Je la sentais un peu déconcerté, voir effrayée…un peu tremblante…
Je la rassurais quelques peu…
Mais je compris alors, lorsqu’elle redressa la tête, le pourquoi de son tourment…
Une pomme d’Adam….
Et oui…Elle est en fait, ni plus ni moi qu'une "SheMale", une rencontre du Troisième Sexe....
Je fus des plus surpris, car nous avions tant parlé, partagé, ...
pourquoi m’avoir caché ce secret…
d’autant que justement nous évoquions que cette passion était toujours basée sur le respect et la sincérité….
les bases indispensables d’une belle relation…
Nous en parlions alors longuement, mais elle comprit que même si j’étais des plus charmé tant par ses mots, sa personne, sa plastique…. que cette relation ne dépasserait jamais le stade de l’amitié..
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Ma quête du Double Mâle-éfique...
Le dominant guide sa Soumise c'est bien connu... Mais certaines vous diront "oui mais pas queue!"
Pas queue quoi? Bah pas queue ça...
Car la soumise peut souminer... La soumise peut aussi guider... Mais oui Monsieur ! Ne vous en déplaise...
Car la vraie histoire se fait à deux...
L'un révèle l'autre...
L'un élève l'autre ...
L'un éveille l'autre...
Mais qui est l'un et qui est l'autre ?
L'un ne doit il être que Lui le Dom? et l'autre la soumise-élève qui s'élève grâce à Lui?
Mais qui a le Pouvoir?
Assurément le Dom! Voyons!
Mais certaines vous diront "Mais pas queue!"
Pas queue quoi? Bah pas queue ça encore une fois...
Car la soumise peut souminer... La soumise peut aussi dominer... Mais oui Monsieur ! Ne vous en déplaise...
Car le vrai Pouvoir du sexe s'exerce à deux...
L'un excite l'autre ...
L'un frustre l'autre...
L'un tient l'autre ...
Mais qui est l'un et qui est l'autre ?
L'un ne doit il être que Lui le Dom? et l'autre la soumise-élève qui sex-prime grâce à Lui?
Non... car si la Soumise connaît son pouvoir sexuel, cela ne l'empêche pas de se soumettre à son Dominant... lui même soumis à la tentation sexuelle dont se joue la soumise... Pas folle la guêpe ... Ils sont bien deux soumis!
Et ... #LeDomEstUnSoumisCommeUnAutre !!
Ce que cherche Dominant lui est propre... Mais chienne à son pied il aimerait... Soumise Sa-lope à lui, Bannir les freins d'une éducation judéo-chrétienne! typiquement féminine...
Ce que MOI soumise je cherche est clair: je cherche le Double Mâle-efique... Bannir les freins d'une éducation judéo-chrétienne! typiquement masculine...
Et c'est mon Pouvoir et mon jeu, Ma soumission et mes "vas-y", mes "tu peux" et mes "libère-toi" qui le déchaîneront!
Pourquoi lui et pourquoi ça?
Car il est l'exact contraire de son double... et parce qu'il est son contraire alors il me mérite.
Alors je pars en quête... je chasse... je teste... j'appâte... je ferre...j'attise.... Linsoumise en mode Lionne: tapis à l'agachon (terme sudiste je m'adapte à la faune locale...), j'observe mon espace de jeu et les mâles qui s'y présentent.
Choisir le bon endroit d'observation... toujours près du point d'eau... je les regarde faire pendant que JE ferre...
Il y a là les romantiques, il y a là les goujats, un peu plus loin les morts-de-faim, les beaux parleurs sortent leurs belles phrases.
Il y a ceux qui veulent m'apprendre la levrette et me faire des cunni pendant des heures... méprisables. Là je suis en mode snipper.
Moi je sais ce que je veux et surtout ce que je cherche...
Je cherche le metasex...pas de la baise! Ça c'est facile et quand je veux.
Pas besoin de me donner la peine de chercher... j'ai mes 06 de secours en cas de besoin.
Non.
Je cherche autre chose... bien plus subtil, bien plus profond, bien plus cérébral...
Mais surtout, je cherche un Dom qui s'ignore... car mon plaisir est aussi là.
Oui lui aussi doit se libérer et ce n'est pas forcément simple...
Le plaisir réservé aux dom? Alors je suis Dom sans l'ombre d'un doute...
Éveiller. Conscientiser. Ouvrir les champs des possibles. Viser ses carcans et les exploser en vol. L'observer baisser ses barrières, l'observer grandir et devenir le Dom que moi je vois...et que je veux faire éclore...
Dom mais en n'employant pas les mêmes chemins ni les mêmes armes... Car je cherche celui qui pourrait me soumettre... à terme. Et pour qui je ressentirai l'envie de...
En dehors d'un physique sportif et musclé inévitable pour moi, il me faut un intérieur riche: riche en fantasmes, riche en potentiel sadique, riche en coeur, riche en émotions... Mais aussi, sentir un orage contenu, opprimé, fait de tellement de défauts qui font les qualités d'un Dominant... du Dominant que je veux.
Oui que je VEUX.
Car personne ne peut entraver ma volonté.
Insoumise au fond? Ou soumise sur ce que je laisse à cet autre... et plus il est Dom et plus je lui laisse...
Celui que j'ai choisi ...Est protecteur, romantique, émotionnel, généreux, ouvert, réfléchis, tolérant, attentif... amoureux.
Mais j'ai senti autre chose... au premier regard. Et c'est cette dichotomie qui me passionne...
cette Division en deux champs opposés nettement en lui :
Dichotomie entre la raison et la passion,
Entre son Moi et son Ça,
Entre ce qu'il est et.. ce qu'il est.
Entre ce que l'on sait de lui et ce que je sais de lui.
Il est protecteur et a appris à me maltraiter,
Il est romantique mais peut aimer le sordide,
il est émotionnel et dévore nos émotions,
Il est gentleman mais bestialement possédé,
il est généreux et généreusement égoïste,
Il est doux mais tellement violent,
il est ouvert et sait me mener en m'écoutant,
il est respectueux mais m'irrespecte avec amour,
Il est réfléchis et intellectualise tout avant de fondre férocement sur moi,
il est tolérant mais s'impose intransigeant,
il est attentif toujours...
Il est amoureux de moi et de Sa soumise, mon double femell-éfique...
L'Ô-rage que je cherche est en lui... et savoir aller le chercher est un art... Pas trop vite, pas trop doucement mais aussi art instinctif...
Il m'aime alors viol-emment, nul besoin de consentement, il m'aime alors intolérablement, nulle tolérance à prêter, il m'aime alors bestialement, nulle femelle autre que moi, prétentieusement, nulle générosité à ce moment là, égoïstement, nul plaisir autre que le sien, impunément... tous les droits sur moi...
Et on a alors la rage au coeur et les tripes à vif.
Machistador de mes désirs, ce double Mâle-éfique me tsunamise, me transperce, me pénètre, me tétanise, me terrasse, pour mieux me chérir le calme revenu...
Il s'est pris au jeu, il a pris la main, et quand Dom prend... il EST Dom.
Je ne me suis pas trompée...
Il se révèle peu à peu, il se libère de tant de choses depuis que je le connais.
Lui me prend au jeu, il ne s'est pas trompé non plus en changeant de vie...
Je me révèle aussi peu à peu grâce à lui, je me libère lentement de mes carcans à moi...
Il a progressivement bouger ses limites ... et maintenant il a encore beaucoup à faire ...avec les miennes..
il a progressivement modifié ses angles de vues ... et veut m'emmener dans ses distorsions digressives à l'infini ...
Mais il a ma confiance et mon Amour pour qu'à nous deux nous trouvions le chemin de N/notre BDSM...
Aventure Clair-obscur pour deux êtres de sang mêlé...
Atypique? Piquez-moi!
Étonnant? Étonnez-moi!
Vicieux? Viciez-moi!
Surpris? j'en suis heureuse...
Je vous aime mon Dhom, vous et votre Double Mâle-éfique...
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A genoux sur le lit, Soane attend qu’il referme le collier autour de son cou. Ce geste, anodin pour certains, signifie qu’elle est à Lui. A cet instant, elle Lui appartient, corps et âme. Elle est là pour son plaisir, assouvir ses envies, les plus primitives, les plus animales, mais aussi les plus douces et les plus tendres.
« Retourne-toi »
Elle lui fait face maintenant. Il caresse sa joue à pleine main. Cette lueur … la voilà … celle qui lui fait savoir que ça peut tomber à tout moment. Que la caresse peut se transformer en gifle, le baiser en morsure, l’effleurement en empoignement …
Soane est innocente, candide, enfantine peut-être même parfois. Mais elle aime avoir mal … Surtout quand c’est Lui qui frappe. Quand Sa main s’abat sur ses fesses, ses joues. Que Ses doigts empoignent sa peau pour la marquer.
Le Maître aime la voir souffrir. Il aime quand son visage est déformé par la douleur, par la peur parfois aussi …
Alors elle accepte, elle subit. Elle aime ça, ne se l’avoue pas totalement, mais elle aime ça.
Aujourd’hui il sort le fouet … punition ou correction ?
Soane, couchée à plat ventre sur le lit, les poignets entravés dans le dos, attachés au crochet qui lui remplit le cul. Elle attend que le cuir pique.
Plénitude
Complétude
Attente
Impatience
Chaleur
Douleur
Plaisir
Jouissance
Subspace …
Soane tremble, son corps est traversé de spasmes. Le Maître frappe, sa main tombe sur sa fente, sur son clito, sur ses fesses. Les coups tombent et Soane tremble. Elle halète comme une chienne qu’elle est. Elle n’est plus là … Elle est ailleurs. Dans une dimension où la douleur n’est plus … Dans une dimension où le plaisir est un mélange entre spasmes, tremblements, chaleur intérieure.
Le collier lui serre le cou, elle suffoque presque, mais elle n’y pense pas. Ou plutôt y penser la fait mouiller, elle en aurait presque honte si elle avait conscience d’où elle est …
Enfin, la jouissance, intense, différente, les tremblements se font plus forts, les halètements plus rapides, son corps se crispe, se raidit, elle a froid, chaud, envie de pleurer …
Et les larmes coulent … et tout se calme …
Le Maître la prend alors dans ses bras et d’une simple phrase elle redescend sur terre.
« Je suis fier de toi »
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J'ai recu un mail, court mais explicite... "Repose toi, ce midi on joue..."
Une réponse à mes différents récits?
Je reste allongée, me détends dans un bain, me fais belle... impatiente de savoir ce que tu prévois.
Tu rentres, je t'attends à genoux dans l'entrée, un simple tee shirt large qui cache mes rondeurs, et mon collier devant moi. Tu accroches mon collier, retires mon vêtement et m'embrasses. "Attends moi, là"
Je t'attends, nue sur le carrelage froid... tu reviens avec un oreiller et une grosse serviette...
"Installe toi, confortablement sur la table basse, j'ai trouvé ton jouet en verre... et je veux te voir jouir et gicler..."
A tes mots, mon corps se bouillonne déjà d'impatience. Tu t'installes dans le fauteuil en face de moi, je m'installe... des coussins, l'oreiller, la serviette sur la table. Je commence à me caresser, faire glisser le verre entre mes lèvres, mes cuisses serrées pour plus de contacte... "Ecarte moi ça, que je vois bien ta chatte mouiller..." Mes cuisses s'ouvrent largement, et je m'applique à faire monter mon plaisir... quelques va-et-vient peu profond en moi....avant de venir frotter mon bouton... je gémis doucement, me laisse aller, lente caresse entre mes lèvres, je sens que ça monte, je m'attarde sur mon clitoris, mon corps se crispe et des premiers jets giclent... "Stop, arrête toi!"
Surprise, je relève la tête, ma main figée...
Tu te branles... j'ai encore envie, je me sens frustrée... Tandis que tu attaches mes poignets à mes chevilles... offerte, cuisses ouvertes, je ne peux plus me caresser... Tu te lèves, et te branles devant moi... je t'observe impuissante, mon sexe gonflé, je te supplie du regard, je mords ma lèvre. Amusé, tu continues à te branler, prends le gode et le fait glisser sur mon sexe... "Comme ça? " ... je tente de te guider, de me laisser aller... "oui, là... comme ça, continue..." Je ferme les yeux... "Oui, ici... ahh, oui..." je gémis, mon corps tout entier se crispe... j'explose de plaisir, je me sens ailleurs, je perçois les éclaboussures de mon jus sur mes cuisses, te supplie de ne pas t'arrêter, de continuer, j'en veux encore, plus... c'est trop bon... j'en mets partout... mais qu'importe...
Ta main trempée me caresse, glisse sur mon ventre, ma poitrine... j'ouvre les yeux, ton sexe gonflé dans ton autre main, tu cales mon visage sur ton entrejambe, je te lèche... avant que tu guides ton membre dans ma bouche... je te suce, lèche... ta main dans mes cheveux me guide...à ton tour de gémir...
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Je vous invite pour cette nouvelle à écouter : https://www.youtube.com/watch?v=Np_Y740aReI
J
Je caresse mes pieds contre les draps de satin de mon lit. Je suis emprise d'un désir qui me saisit le ventre, à me faire perdre l'esprit. Il me hante Je ferme les yeux, tout en me cambrant, j'ai envie de sentir ses mains sur mon corps, sur mon sexe, me serrer la gorge et qu'il m'oblige à le regarder et qu'il me fasse ressentir cette chienne qui est en moi. Mes mains s'aventurent sur mon sexe lisse. Voila plusieurs jours que je suis si trempée, comme une fontaine. Mes tétons se dressent fièrement. Mes doigts effleurent ma peau frissonnante, comme si c'était les siens. Ils saisissent mes seins avec rudesse me surprenant...
Arrivant dans le couloir de son immeuble, je suis habillée d'une façon provocante. Durant tout le trajet qui me mena à lui, j'ai éxecuté ses ordres, celui de ne jamais croisé les jambes, de les entre-ouvrir, et de remonter ma robe légèrement sur mes cuisses. Je lui appartiens et cela me rend terriblement humide. C'est comme si je sentais ses mains remontées ma robe. Je me tortille de désir sur le fauteuil de mon train. C'est comme si il me parlait avec télépathie.. "Bonne petite chienne".
Je pénètre son antre. Je ne dis plus un seul mot. Je n'écoute que sa voix. Il m'ôte la vue.. Ma respiration s'accélère. Que va t il se passer? Je suis là de mon plein gré avec cette peur de ne pas savoir ce qui va se produire. Je sens son parfum atteindre mes narines, je suis envoutée à l'idée de lui obéir, d'être sa poupée.
Je devine au son de ses pas qu'il me scrute. D'un seul coup je sursaute, il empoigne mes cheveux et me murmure à l'oreille. Prête à passer de la princesse à la chienne, à être ma putain, à faire ce que je veux?.
- Oui Maître.
Il m'envoute l'esprit tel un vampire.
Il descend lentement la fermeture éclair de ma robe en satin bordeaux, il fait tomber une à une les bretelles.
Elle tombe à mes pieds. Il me félicité sur le choix audacieux de ma tenue. Il en est fier.
Il découvre ma culotte ouverte montrant outrageusement mes fesses et lui laissant un accès à mon petit trou.
Le serre taille affinant ma taille, et ce soutien gorge de chez Cadoll rehaussant mes seins nus.
Il passe ses doigts sur mon épaule, mon cou.
- Ecarte tes jambes.
Je m'exécute. A ce moment là je suis si trempée, que j'en ai presque honte.
- Relève tes cheveux.
Prenant ma main gauche, je les rehausse avec élégance.
- Avec les deux mains!
Il m'orne de mon collier et le serre si fort qu'il maintient ma tête si droite.
- Donne moi ta main.
Je sens l'acier des menottes m'encercler le poignet. Puis il attache la seconde.
Il remonte mes mains vers mon collier, les attachants à celui ci.
Puis il s'attarde à mes chevilles. Il les enchaine. A ce moment là je me sens prise au piège de ce désir qui me consume.
Que va t il se passer? Je perd mes repères. Ma poitrine se soulève, mes lèvres sont gonflées par le désir.
- Il te manque une chose ma putain.
- Ma Laisse, Maître.
- Oui tout à fait.
Ainsi parée et entravée, il me baîllonne si fortement que ma mâchoire en est douloureuse.
Il me demande si je le supporte. je hoche de la tête à l'affirmative. Je ne veux pas le décevoir.
Là il tire sur ma laisse. C'est la première fois que je suis ainsi entravée. J'avance sur mes hauts talons noirs, avec une perte de l'équilibre provoquée par la privation de ma vue. J'en perd ma démarche de femme sûre d'elle et m'agrippe à ma laisse.
Je ne sais pas où nous allons. Il m'a parlé de sa pièce secrète, celle que je ne verrai jamais mais où je serai enfermée.
J'avance avec difficulté. Il me rassure que je ne tomberai pas, qu'il est mon guide.
Arrivée à destination, il me fait assoir sur un lit, puis me bouscule sur celui ci. J'entend des chaines.
Il se saisit de mon collier, enlève ma laisse. Là il me fait mettre sur le flanc gauche et m'enchaine très court à un pied ou à un tube de cette pièce . Je ne peux que supposer.
Mon coeur s'affole. Ma mâchoire est endolorie. Puis il m'attache les pieds au lit, mais me laissant un peu de mou.
Puis il part, me laissant ainsi. Dans mon esprit, je me pose mille questions. Je sens ses pas sur le parquet. Que fait il?
Ses mots raisonnent en moi. Il connaît ce désir noir qui m'envoûte.
Je ne connais pas encore mes limites. Je ne suis que novice.
Saurai je à la hauteur de ses attentes, des miennes?
Je n'arrive plus à ressentir le temps. Je suis devenue sa chose. Il fait de moi ce qu'il veut. Cela m'excite tellement. De lâcher prise. Je sais qu'il va arriver à me pousser dans des limites que je ne connais pas encore.
Puis je sens un courant d'air. Je devine sa respiration. Il est là à m'observer, à observer son oeuvre.
J'essaie de me défaire de cette chaine si courte qui me maintient.
Puis Il m'attache les jambes avec une grosse chaine et repars.
Il aime que je perde la notion du temps.
Il revient et me demande si je me suis calmée.Je hoche la tête par l'affirmative.
Là, j'entend son pantalon qu'il retire sa ceinture.
Ma respiration s'accélère. Je sais ce qui va m'arriver., mais quand?
Je suis certaine qu'il aime voir ma poitrine se soulever à cette idée, de me voir me trémousser avant que le coup ne soit porter sur ma croupe. Il me caresse les jambes, les seins, les fesses.
Dans mes pensées.. quand va t il frapper?
Les coups furent d'intensité différentes. Il toucha mes fesses en me disant qu'il ne sont que légèrement rougissantes.
Puis repartit à nouveau.
Mes yeux se ferment quand je sens soudainement qu'il enlève mon baîllon.
Je n'ai pas le temps de m'y faire qu'il a placé sa queue dans ma bouche. J'aime le sentir en moi, l'honorer avec ma langue, ma bouche.
Puis il se retire et me re-baillonne à nouveau.
- Quelle bonne petite chienne tu fais me raille t il.
Et il me laissa ainsi.
Je n'avais envie que d'une chose, enlever ce baillon qui me faisait mal. De la bave coulaient de ma bouche. Je ne voulais qu'une chose, déglutir, mais impossible.
Mais que se passerait il si je l'enlevais? Je devine alors la punition qui en ressortirai.
Le temps passe, mon esprit se demande ce qu'il va m'arriver.
Il entre et ressert à nouveau plus la chaine de mes jambes, puis en position de foetus, me fait sortir le cul.
Il me sodomise sans ménagement. Je sens son sexe dur en moi me pilonner avec force, comme une bonne chienne le mérite.
- Ton trou du cul est mon exclusivité. Je le prend quand je veux où je veux. Est ce bien clair?
- Je hoche de la tête à l'affirmative.
Il me culbuta ainsi avec violence, tirant mes cheveux en arrière. J'ai mal, mais mal de plaisir. Cette sensation m'excite terriblement. Je sens ma chatte dégouilline de désir.
Il se retira et reparti...
J'ai compris que je n'étais que l'objet de son plaisir.
J'ai confiance en lui. Il fait de moi une chienne, sa chienne.
Il est le premier à me faire vivre ces moments là.
Mes pensées s'égarent car il vampirise mon désir. J'ai peur d'en être consumée.
Je veux souffler mon désir, le sortir. Je veux jouir. Mes doigts s'accélèrent sur mon clitoris. Mon entrejambe est si chaud, si humide.
Ma mémoire se remémore sa voix, son parfum, ses mots, mes maux.. je soupire. je crie.. humm cette vague m'envahit. Je jouis si fort que des larmes coulent sur ma joue. J'aurai tant aimé qu'il me fasse jouir ainsi.
Une question me hante depuis. Pourquoi ne s'occupe t il pas de ma jouissance?
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-Jusque là Madame tout me semble cohérent et consensuel.
-En effet Flynn rien ne te sera fait si tu ne le veux pas, je souhaites te corrompre mais pas sans ton autorisation. Maintenant veux tu connaitre la liste des pratiques que j'affectionne?
-Avec plaisir et anxiété Madame mais je le souhaite. J'ai une question, puis je?
-Bien sûr.
-Tout ceci est très factuel mais dans la réalité y a t-il de la place à l'amour?
-Assurément! Il n'est pas rare Flynn que les protagonistes d'une relation BDsM tombent amoureux. Les sentiments ne sont pas proscrits! Ils se mettent en place ou ne se mettent pas cela est affaire de Cupidon. A la base, il y a l'attirance de l'inconnu, l'exploration de contrées encore vierges puis une attraction cérébrale qui peut entraîner des sensations puissantes. Donc l'amour peut surgir...
-Cela me rassure Madame, car pendant un moment je me demandais où l'humain intervenait...
-Mais tout ceci est très humain, de tout temps à jamais il existe des dominés et des dominants. Le BDsM n'est qu'un moyen de mettre en lumière nos côtés obscures de ce fait la clarté de nos existences enfin se dévoile.
"Liste des pratiques:
-Sodomie masculine: plugs, doigts, godes, gode ceinture, sex toys, anulingus.
-Bondage: bondage tape, spankies, menottes, liens, autres...
-Fessée: mains, cravache, martinet, fouet, autres...
-Contraintes: anneau pénien, liens, entraves, cires, bâillon, bandeau, autres...
-Asphyxie érotique: face sitting
La pratique la plus estimée de Smooth est le câlin tendre d'après empirisme...
(Rayez les mentions inutiles pouvant être utilisées ultérieurement suivant évolution)
La Maitresse pourra donc utiliser les pratiques non rayées à son bon vouloir en veillant à ce l'inconfort de son soumis n'aille pas au delà de ses limites personnelles. Pour se faire, elle ordonne que le mot "presque" soit prononcé par son soumis lorsqu'il sentira qu'il n'est pas à la lisière de sa possibilité mais assez près pour ne plus pouvoir endurer la douleur/plaisir ressentie. Ainsi la Maitresse pourra arrêter sa pratique, se renseigner sur l'état de son homme et prendre la décision de poursuivre ou d'arrêter complétement l'action entreprise. Il existe un mot de résolution pour mettre fin à ce contrat et donc à la relation. Il pourra être émis par le soumis lorsqu'il ne voudra plus que la relation perdure et y mettre un terme définitif, ce mot est "oméga". Lors de son affirmation Smooth n'exercera plus son emprise et se verra dans l'impossibilité de poursuivre la relation.
De mon plein gré et mû par le désir de servir Smooth, de lui prouver ma dévotion et d'exprimer ma confiance en elle. Moi -----Flynn---- je lui offre ma soumission à compter de ce jour le --28-- du mois ---mars-- de l'année --2015-- et se terminant au gré de nos envies respectives.
En retour Smooth accepte la soumission de ------Flynn----- à compter de ce jour où elle s'engage à respecter le desiderata de cet homme lui témoignant la confiance nécessaire pour la réalisation de cette liaison.
Signatures:
------Flynn------, Smooth."
Eva range alors le contrat puisqu'il a été discuté, expliqué et accepté en toute connaissance de cause. C'est alors que Flynn remarque qu'une lueur différente brille dans ses pupilles dorées, il se sent alors estimé peut être adoré allez donc savoir ce qui peut se tramer sous cette crinière brune. Ce dont il est sûr c'est que jamais encore il n'avait rencontré une femme si déterminée, certaine de ce qu'elle désire vivre et cela lui parait alors comme une évidence, c'est ce genre d'alter ego qui lui a fait défaut, conscient depuis longtemps que ce ne peut être que dans une relation asymétrique qu'il pourra se réaliser. L'aider à devenir plus fort dans sa position de mâle à dominance professionnelle enfin il aller pouvoir lâcher prise, s'oxygéner.
-Viens là mon tout beau!
Flynn sort alors de ses réflexions personnelles se lève, en contournant le bureau se place face à elle et attend.
-Mets toi à genou!
-Oui Maitresse.
Alors qu'il est là encore un peu abasourdi par la lecture de ce contrat il se sent excité comme jamais car il ne sait pas ce qu'Eva lui réserve et cela l'apaise aussi par la même occasion. Alors en un geste tendre, elle prend sa tête à deux mains et l'embrasse langoureusement à bouche que veux tu. Puis place sa tête sur sa cuisse. Enfin elle va pouvoir profiter des cheveux soyeux de Flynn, mettre sa main dans ses reflets roux, se délecter de son abandon. Alors ils restent là dans le silence de la tour d'ivoire, dans cette position de réelle soumission, lui à ses pieds, près à agir à sa guise.
-Je suis lucide Flynn que tout ceci est nouveau pour toi, je n'ai rien contre ton noviciat mais je peux t'assurer que j'irais progressivement. Je souhaite que tu te révèles, que tu explores le plaisir différent qui allie douleur et jouissance. Je te veux dans un bien être absolu et discordant.
-Je vous en suis reconnaissant!
-Alors maintenant allonges toi!
Une fois effectué, Eva se positionne au dessus de ses yeux, debout les pieds encadrant son visage.
-Regardes! Comme tu peux le constater je ne porte jamais de culotte...
Flynn saoul de désir pour elle ne peut s'empêcher de poser ses mains sur les chevilles d'Eva espérant pouvoir la toucher comme il en rêve depuis lui semble t-il une éternité. Il a envie de sentir le grain de sa peau sous la sienne, besoin de découvrir les moindres recoins secrets de cette sublime femme. A ce geste, Eva lui donne un coup de talons de son escarpin.
-T'ai je dis de me toucher? Je t'ai dis de regarder!
Les effluves de son parfum mêlé à celles de ses odeurs corporelles font basculer Flynn qui sent que sa queue lui fait mal tant elle est dure! Sans oublier qu'il sent que son pénis perle et qu'il ressent en cet instant une excitation encore jamais éprouvée.
-Ne bouge pas!
Eva se rend alors dans l'armoire encastrée de son bureau. Des bruits inconnus se font jour dans l'audition de Flynn, froissement de papier, bruit métallique il n'est pas très sûr de ce qu'il entend. Elle revient, se place de nouveau au dessus de sa tête, elle a retiré son tailleur.
Il peut ainsi constater qu'elle porte des bas, et un soutien gorge bustier noir. C'est alors qu'elle entreprend de se mettre à genou pour placer son sexe juste au dessus de la bouche charnue de Flynn. Lui n'en peux plus, il sent sa queue se contracter de désir, cette queue qui supplie maintenant que d'être soulagée. Alors qu'Eva est quasi assise au dessus de lui mais dans le sens où elle peut à loisir sortir sa queue pour s'en occuper, elle la délivre. Sortie du pantalon est gorgée de cet appétit dévorant cette queue sent tout de même que son heure n'est pas arrivée, Flynn sent alors les mains expertes enserrer sa protubérance ainsi que ses testicules, comme un lien se resserrant sur son intimité. Mais alors que les mains d'Eva se positionnent sur sa poitrine il ressent encore cette pression et comprendre alors que quelque chose s'enroule sur son pénis et ses testicules péniens! Etrange sensation jamais perçue encore... A ce moment d'intensité, elle lui dit: "Sors ta langue!" puis commence alors la danse de son clitoris sur sa langue, il s'en délecte, se réjouit même de pouvoir sentir qu'il donne ainsi du plaisir à Eva. Oh, comme il veut la satisfaire! Eva place l'entrée de son vagin sur l'appendice nasale de Flynn et ainsi alterne clitoris et vagin sur le visage de ce Flynn qui ne sait plus où il se trouve, qui se retrouve propulser loin très loin de la réalité. Elle joue avec ses tétons aussi, elle les serrent, les pincent, les étirent sans cesser sa danse érotique. Puis il commence à masturber Flynn surprit de ne pas ressentir l'éjaculation poindre alors que son excitation est à son paroxysme, il semble que le lien posé sur sa queue et ses couilles jouent un rôle retardant mais du coup c'est douloureux et plaisant. Comment peut on ressentir les deux en même temps? Eva se tord de plaisir en un gémissement sourd, elle s'immobilise. Flynn ressent alors le manque d'oxygène... Elle se relève légèrement lui permettant de reprendre son souffle. Un petit bruit sec... Il sent alors qu'elle lui pose un préservatif sur sa verge qui implore maintenant à être libérée. Cependant Eva bouge, gravite le long du corps de Flynn: "Tu ne bouges pas! Tu ne me touches pas! Restes ainsi!". Il obtempère pourtant il aimerait tant la toucher... Elle s'empale à ce moment précis sur sa queue, l'engouffrant complètement en elle. Ils ne font plus qu'un... Flynn est au bord du gouffre, il a envie d'éjaculer mais rien ne se produit. Eva quant à elle monte, redescend son vagin sur cette queue à l'agonie. Puis elle fond, elle jouit, elle s'éparpille en mille morceaux autour de Flynn, ses jambes sont prises de tremblements, elle ne touche plus terre, elle vient d'atteindre le point culminant de sa jouissance. Elle reste ainsi immobile sur la verge gonflée de désir. Elle en sort, défait le lien enserrant et masturbe Flynn qui explose en un volcan de jets chauds lui extorquant un râle de satisfaction qu'Eva emprisonne de sa main pour que ce cri de délivrance ne reste qu'entre eux deux.
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Eva est à son bureau ce lundi matin comme le veut sa rigueur professionnelle. Son week end fût cocooning malgré que son esprit ne faisait que penser à cet homme, ce Flynn cet inconnu dont elle a joui sur la bouche! Quelle perverse elle fait? Mais elle s'en fout, peu importe ce que chacun pourra penser d'elle...
Sonnerie du téléphone
-Mathilde?
-Oui Madame, excusez moi de vous déranger mais il y a un homme ici qui souhaite s'entretenir avec vous.
-Un homme? Qui est ce? Je n'attend personne ce matin.
-Un certain Monsieur Bourbon.
-Bourbon ça ne me dit rien... J'arrive dites lui de patienter s'il vous plait.
Monsieur Bourbon... Eva essaie de se rappeler si ce nom lui rappelle quelque chose mais non rien. Elle se regarde à la dérobée dans le miroir du bureau voir si son chignon est en place, réajuste son tailleur et sort. Alors que son pas est assuré dans le couloir menant à l'entrée de son directoire, elle entre-aperçoit avec le contre jour de la baie vitrée, la silhouette d'un homme robuste des reflets roux se parsèment dans sa chevelure brune... C'est lui! C'est Flynn!
Alors elle se fige lorsque leurs regards se jouxtent l'un à l'autre, les secondes paraissent s'étirer, elle n'en crois pas ses yeux! Quel toupet que de venir sur mon lieu de travail! Il ne perd rien pour attendre... Eva se ressaisit elle sait que des dizaines de paires d'yeux sont posés sur elle en cet instant.
-Monsieur Bourbon je présume! Eva dit ça sur un ton ferme et sa main qui se repli sur celle de Flynn n'en ai pas moins plus coriace.
-Madame Altones dit Flynn dans un souffle.
-Vous désiriez vous entretenir avec moi?! Suivez moi s'il vous plait.
Eva tourna les talons, a mi chemin du couloir elle se retourna et dit à Flynn: "Alors toi!". A ces mots il eu un sourire crispé, elle comprit qu'il est gêné... hé bien tant mieux! Je ne vais pas lui faciliter la tâche!
Elle ouvre la porte de son desk, fait entrer Flynn, entre à son tour, ferme la porte et sans le regarder ni lui parler elle tourne les manivelles de ses vasistas pour plus d'intimité.
-Non mais pour qui te prends tu?! Ses mots cinglants volèrent dans la pièce comme une rafale de coups de cravache qu'elle regrettait d'ailleurs de ne pas tenir dans sa main.
-Heu... Madame, je me permet de vous rappeler que vendredi soir notre proximité m'a fait envisager que... Mais vous êtes parie si vite...
-Quoi? Crois tu que sous prétexte d'un cunilingus cela fait de moi une sorte de possession? As tu à ce point le QI d'un panais pour le croire?
-Madame je ne prétend à rien! Juste que j'aimerais...
-... Que ça recommence?
-Oui en effet! Vous m'avez...
-Dis le avec simplicité s'il te plaît! Pas de fioritures.
-Je suis tourneboulé par ce qui s'est passé vendredi. Je ne fais que penser à vous... Je suis comme... Ensorcelé!
-As tu eu la clairvoyance de ce que cela entraine si jamais je fais de toi mon soumis?! Es tu conscient que tu vas perdre ta liberté?
-MA liberté?! Je vous l'offre! A ces mots Flynn se mit à genou, tête baissée.
Eva prit tout à loisir de savourer cet instant. Elle fixe alors ces reflets roux dans ses cheveux courts elle n'a envie que d'une chose y passer sa main. Mais bien sûr sa raison n'écoute pas son coeur alors elle reprit de plus belle.
-Que ce soit clair Flynn, je ne peux aller plus loin avec toi sans lire mon contrat d'appartenance. Que nous déterminions les termes ensemble pour que tu sois assurer que je ne te ferais rien que tu ne désires.
-Votre contrat? dit il tout en la regardant dans les yeux.
-Oui j'en possède un qui est de mon crû. Alors relèves toi s'il te plaît et assis toi.
Sans attendre avec un empressement mal dissimulé, il exécute l'ordre qu'Eva vient de lui donner. Quant à elle, elle s'assoit en face de lui, son bureau pour seul barrière entre eux. Elle décroche son téléphone, appuie sur une touche...
-Mathilde, que l'on ne me dérange sous aucun prétexte! Annuler mes rendez vous pour la journée s'il vous plaît.
-Bien Madame.
Une fois raccroché, elle ouvre un des tiroirs de son secrétaire en tire un dossier puis en sort des papiers, elle prend son Mont Blanc en main prête à écrire.
-Avant de commencer la lecture de mon contrat d'appartenance, veux tu bien me servir un café je te prie et si tu en veux un sers toi.
Flynn alors se lève pour se rendre jusqu'à la console murale où trône fièrement une cafetière dont le noir nectar est encore fumant.
-Vous prenez du sucre Madame?
-Oui un, merci Flynn.
Il versa le liquide chaud dans deux tasses et s'emploie à le préparer à leur convenance. Il revient pose une tasse près d'Eva et se rassoit.
-Es tu prêt?
-Oui je le suis Madame.
"Le contrat de Smooth n' a aucune valeur juridique, il n'a que valeur morale dans le consentement mutuel des deux parties suivantes: -----Flynn----- le soumis et Smooth la Dominante.
Ce contrat a pour but que le soumis explore sa sensualité et ses limites sans danger, en toute confiance conscient que sa Maitresse exercera son emprise en veillant aux besoins et au bien être de l'homme qui lui offre sa soumission. La Maitresse souhaite que son soumis s'exprime librement, qu'il conserve son intégrité d'homme tout en faisant preuve de respect envers celle qui l'accepte. Elle espère qu'il sera en mesure de se livrer corps et âme, sans aucun manque, pour que leur relation puisse s'exprimer en épanouissement.
La Maitresse veut que son soumis lui donne ses limites ainsi elle pourra louvoyer dans ce cadre et peut être qu'avec le temps elles évolueront pour être repoussées. A savoir, la Maitresse a aussi ses limites: pas d'urologie, de scatologie, de jeux d'aiguilles ou d'électro stimulation.
Elle désire aussi que son soumis lui livre ce qu'il aime sexuellement car la Maitresse préfère et de loin récompenser plutôt que punir... Evidemment il y aura punitions si elle n'est pas satisfaite des attentions de son soumis. Tout ceci ne visant qu'à perfectionner leur mode de fonctionnement mutuel. Pendant les périodes allouées au soumis, la Maitresse pourra l'utiliser comme bon lui semble pour son plaisir."
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On s'est retrouvé pour se découvrir... parcourir ta peau, comme tu caresses la mienne. Nos vêtements tombent au sol... Ma cuisse se cale entre tes jambes, pression subtile, intime. ..Tu es ma proie, et je compte bien jouer. .. pour te faire chavirer. Parsemer ton corps de baisers, lécher et mordiller. ... te faire sentir le frottement de mes seins sur ton torse.
Je glisse ma main entre tes cuisses, observe ta réaction. .. massage de tes couilles, ton membre se tend, se gonfle. ... mes cuisses s'écartent, lentement je m'agenouille... mon visage à bonne hauteur, ma langue vient te lécher, te gober... je branle ton membre... tout en dégustant tes couilles ... ma langue se faufile, mes dents mordillent. Je prends mon temps, te laisse savourer cet instant, mes ongles griffent tes fesses...
Ma langue vient enfin se poser sur ton gland, mes lèvres s' entrouvent, un baiser gourmand qui se poursuit, t'amène dans ma bouche. Effet de succion, caresse humide... douce fellation. .. tes râles trahissent ton plaisir. .. au bord du gouffre je m'arrête. .. t'invite à t'allonger. Je veux te chevaucher... mais pas tout de suite. .. envie de caresser ton corps, de le faire frissonner. .. Mon sexe contre le tien, tu percois son humidité, j'aime frotter ma vulve, contre ton sexe. Mes ongles t'éffleurent, moment calme où on s'observe... on se désir , tes mains me caressent, mes cuisses de part et d'autre de ton corps, tu t'arrêtes au niveau de mes hanches, en percois le léger mouvement de balancement, frottement ennivrant de nos sexes. Ta main dans mes cheveux, tu m'attires contre toi... un baiser qui se veut morsure... Je sens ton emprise, ton souhait de poursuivre... de prendre le contrôle, je me dérobe, mes mains dans les tiennes, ca t'amuse, tu me laisses poursuivre. Te guider en moi, glisser juste ton gland, pas plus... m'atarder ainsi, les yeux dans les yeux... avant de te plonger au fond de moi, et de poursuivre encore...
Tu profites de mon lâcher prise, t'empares de mes seins, je suis marionnette, me laisse aller...
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J'ai gagné le droit de jouer .... Le principe : si vous likez cette publication, je vous donnerai un chiffre et vous devrez en faire de même. Bon et bien je me lance... Nous verrons bien.
1/ humaniste et surtout optimiste, j'espère que la race humaine ne me décevra pas, même si cela n'a pas toujours été le cas par le passé.
2/ Je suis marié et ma famille est ma priorité .
3/ Si j'étais autre chose qu'un homme, pas possible, je ne serais plus moi.
4/Si je suis de nature a m'éparpiller, non, je suis fidèle, mon cœur est une forteresse imprenable, pour mon sexe c'est moins sur, lol.
5/Cartésien, ouvert, volontaire.
6/ Un café sans sucre mais avec du lait peut me suffir, si c'est bien servi, mais je peux me servir seul si on ne veut me faire ce plaisir, lol..
7/L'art, je n'ai pas choisi cette voie, aussi j'admire et je rêve de cette vie sans l'envier, je sais les sacrifices et renoncement que cela demande, et le manque d'objectivité de la discipline et surtout de certains juges, le vrai art n'est parfois pas reconnu du vivant, et il faut bien vivre, lol
8/Je suis dessinateur en mécanique, et père, ce qui prend du temps.
9/Je ne suis pas contrariant, conciliant, conciliateur, arrangeant, en discutant on peut, avec des compromis, satisfaire et combler au mieux possible,
10/La solitude, elle est au fond de nous, même au milieu d'une foule, il n'y a que moi dans mon cerveau, bienvenu dans mon monde, lol.
11/Le vertige est une peur irrationnelle que je combats, en hauteur il faut s'attacher ou s'accrocher, que la tête tourne ou pas, la vie et la sécurité d'abord.
12/J'aime observer les animaux, après tout nous sommes des animaux comme les autres.
13/Le don qui manque aux habitants de cette terre? le respect pour la terre elle même, et ses habitants, de mesurer tous les jours la chance que l'on a tous de vivre sur cette terre et d'en donner le meilleur à tous et pour tous.
14/Si je pouvais arrêter le temps, il serait 00h00... l'heure du crime, ne pas savoir quel jour on est, avoir le temps de profiter à l'infini des dons de la nature, des corps humains et des intellects qu'ils recèlent.
15/Je ne danse pas, je ne suis pas un bon danseur, même si j'ai besoin de musique et qu'elle m'inspire, la danse est trop frustrante, trop de faux semblant et de code, mais j'aime qu'on danse pour moi, mon coté plus voyeur qu'exhib sans doute, hihi.
16/Ma couleur préférée, le vert, relaxant, appaisant, naturel, sain.
17/Tant que faire les boutiques ou les courses reste un plaisir et pas une corvée. J'aime sans me presser.
18/Je veux choisir, mais les opportunitées franches et claires sont rares, j'aime quand c'est clair, affirmé, généralement le choix s'impose par mes critères et ma ligne de conduite, directrice, pour améliorer ou aider, tant que c'est bénéfique mais pas qu'à moi.
19/J'aime l'ordre même si j'ai du mal à ranger.
20/ Je ne met plus de sucre dans mon café, pas bon pour la santé, les dents et trop énergétique, faut que j'évite les excitants, je le suis bien assez naturellement (excité, excitant je ne peux me juger).
a+
Al
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Vous connaissez ce titre il as était à l'affiche il y a quelques années...
Voici ce que j'en dit.
C'est elle qui nous attire vers son centre, au creux de ses seins, entre ses jambes, c'est elle qui nous parle d'un temps qu'elle as connue puis aura demandée à ce qu'on en parle plus.
Elle fait le monologue nous n'avons même pas le besoin d'en dire plus.
Elle regarde de tous côté puis s'aperçoit qu'elle plaît toujours.
Comme tout à chacun elle fait son marché.
Elles prennent le temps, elles nous accordent de l'espace, puis elles disent que nous n'avons pas su y prendre place. Elles regardent de tous côtés, elles prennent le temps et mieux elles disent ne pas avoir vu... jusqu'à ce qu'elle disparaissent.
Elles donnent un sens nouveau, elles trouvent Monsieur attirant, elles trouvent en ces hommes, les autres..., elles cherches les défauts, elles disent avoir donner de l'intention, un réel manque d'attention.
Elles veulent du sentiment, de l'émotion... Lorsque l'un d'entre nous en éprouve il se fait fustiger, mettre de côté, elles veulent être pute, salope de celui qu'elles auront choisit.
Autant je met la femme au centre de mes intérêts qu'elles prennent un malin plaisir à me rendre invisible, indifférente, mal intentionnée, il y a encore quelques années j'étais le transitoire, la passade, le en attendant d'avoir mieux. Aujourd'hui ce que je ressent ce n'est pas du sentiment c'est de la solitude celle là qu'on appel l'absente, solitude, inexistante, malencontreuse, inespérée. Elles regardent de tous côtés et s'accorde du parfait, celui qui paraît, ceux qui quelques mois après disparaissent vite fait.
Elles se plaignent de ne pas avoir déméritées... Le vagin, bon ou mauvais, nous ont évoque qu'un trou c'est un trou mais c'est aussi et surtout le fait qu'elles ne s'exprime quasiment jamais, parce qu'en trois minutes c'est vite fait, les valises posées, les sacoches vidées. Y ajouter quoi ?? des crochets, des cordes, de la chaleur, de la douceur...
Ce qu'elles veulent c'est dominé bien plus que lorsqu'elles évoquent un accord dans le fait de se soumettre, elles veulent décider de tout.
Dans un jeu elles diraient pouvoir baisser les yeux, la femme domine le monde. Elle ont un sens que Monsieur n'as pas, celui là, le sixième. Elles ont le pouvoir de dialoguer et même plus... de tenir un monologue avec leurs vagin. Pendant que nous, nous ne faisions attention à rien.
Nous n'avons même pas la décence... Messieurs ??!!
Ce qu'elles veulent c'est que nous leurs donnions un sens. De la reconnaissance.
Maître Lasky
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Il me plait. Il me trouble.Il m'attire. Il m’inquiète. Il m’écoute. Il m'excite. Il m'intimide. Il me fait sourire. Il me parle. Il me bouscule, mentalement. Il fait renaitre le désir, d'un mot et puis Il me stresse d'un autre. Il me rabaisse et je ne sais pas si c'est a chaque fois volontaire. Rarement maintenant Il m'agace, trop sur de lui. Il m'enchante. Il m’étourdi. Il me fait obéir. Il me donne envie de dire non, et puis oui. Il est une douce chanson a mon oreille. Il lève le voile de mes envies. Il me contrôle, déjà, si vite. Il m’apaise parfois. Il fait battre mon cœur plus fort, plus vite. Il me pousse dans mes retranchements. Il me fait m'ouvrir. Il me fait sentir belle. Il me fait sentir gourde, sotte. Il me complimente. Il me rend femme. Il libère la salope. Il devient évident. Il me rend honteuse mais fière. Il me fait oublier. Il me force, a dire les mots, ce mot qu'Il affectionne tant et qui m’effraie tant il est puissant. Il me domine. Il me soumet. Il me traite en petite fille. Il échange avec une égale. Il m'impressionne. Il me presse. Il me dresse. Il s'impatiente. Il prend de plus en plus de place. Il me transporte. Il m’étonne. Il m'éblouie. Il me fait perdre mes mots. Il m'explique. Il impose. Il me charme.Il me fascine. Il fait sonner l'alarme dans ma raison. Il me prend a rebrousse poil. Il sait m’amadouer.
Il me fait peur
Non ! Pas Lui…ÇA ! Tout ça me fait peur, impression de tomber dans le vide, de renoncer sans savoir ce que je vais gagner.
La peur, toujours elle, compagne de route depuis maintenant si longtemps, et qui sent que je lui échappe, mais qui s'accroche et ne lâchera pas si facilement.
Parce qu'Il me libère en m'emprisonnant . Mais ça va vite, si vite qu'elle peut encore raisonner dans mon âme.
Alors il faut me sourire, il faut m'aider, me rendre libre, mais Il le sait…Il a gagné ! Il va me baiser, prendre mon corps pour son plaisir
SA soumise…
IL EST MON MAÎTRE.
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ECRIS EN UN
Je suis fatiguée, mes yeux se ferment mon esprit divague…
La marque, les marques en parallèle sur mes seins me ramènent a cette chambre d’hôtel…comme se remémorer un rêve, on ne sait plus ce qui est réel, l’ordre exact des choses, seul le ressenti est sur…
Stries violettes, sur mes vergetures, quelques points plus bleus, baignant maintenant dans un océan doré… au milieu de ma peau laiteuse…oui longtemps je m'en souviendrai, et pourtant pas, peu de douleur, je revois le geste, le mouvement de la main je ne ressent pas le coup !?
Je ne sais plus si j'ai bougé, si mon corps a vacillé.. Il n'a pas du y aller de main morte ! Mais jamais je n’aurais pensé marquer a ce point, lui non plus je pense…sa réaction le laisse penser…
Je regarde ma poitrine et repense a cette journée
Le stress, le trac, l'envie…
Le cœur qui bat la chamade a la sortie du métro, et ce trajet en voiture ou j’essaie de faire comme si de rien n’était…voit il que je panique presque ?...cet hotel introuvable…la réception, ou je passe en plein écran…je m’ecarte le laisse gérer, il semble si a l'aise, si sur de lui…j’aime ça
L’ascenseur, les portes se referment, enlève ton soutien gorge ! Ca cingle a mes oreilles ! Entre le stress, la brutalité du ton, mon énorme sac a main, je patine, je m'emmele les mains sur ces maudites attaches !! Dépêche toi ! La porte s'ouvre…de toute façons tu ne rentreras pas dans la chambre avec ! Il prend mon sac que j'avais posé pour essayer de me depatouiller de ce p….. ! De soutif, je le suis, dans le couloir une femme de ménage est sur le seuil d'une porte et mes mains enfin degrafent l'attache…j'entend du bruit derrière moi alors que je fais passer la bretelle gauche sous ma robe…elles sont deux !! Si la première n'a rien vu je ne jugerais pas pour la deuxième…mais je continu…je récupère cet incombant bout de tissus, 105D, ça ne tient pas au creux d'une main !! Je rougis, mais je souris…
Entrée dans la chambre.. Mon cœur bat vite…je pose mon soutien gorge sur la table, il me dit de me déshabiller, le ton est pressé, pressant, un peu brut, me déstabilise…j’ai l’impression d’être pataude, de mettre toujours trop de temps a réagir, il redemande, il insiste, je ne vais pas assez vite…il veut que j’enlève mon rouge a lèvre ! Surprise je me rend vers l’évier je frotte avec mes mains avec un peu d'eau, il en reste il attrape une serviette et me décape la bouche avec en demandant sur un ton dur et presque méprisant c’était nettoyé ça ? T'avait tout enlevé ? Plusieurs fois, maculant cette serviette, je balbutie...je n'avais pas osé salir une serviette je me maudis tout en m'excusant.
Est-ce a ce moment que je me retrouve a ses pieds ?
Non je crois qu'il y a eu les pinces avant, ces pinces a linge qu'il m'avait dit d’emmener et qu'encore une fois j'ai mis un temps fou a trouver quand il me les a demandé…encore une fois je me suis sentie gourde… excitation ou art de les poser, je n’ai pas eu très mal quand il les a mises..
Et me voilà a genou devant lui, empruntée encore une fois, pas sure de ce qu’il attend…
Je défais sa ceinture, son pantalon…il baisse lui-même son caleçon libérant ce sexe déjà un peu dur que j’attends.
Je l’appréhende avec ma langue ma bouche, je ferme les yeux et me concentre juste sur cette queue..
Après, après.. Ce n'est pas clair, j'ai des flashs, qui font palpiter mon ventre et mon cœur en y repensant…
La première claque sur mes fesses, déjà forte, et puis d'autres et cette sensation dans mon sexe qui réagi, face au miroir ou je n'ose regarder…j’essaie de ne pas crier, de me contenir, nous en avions parlé, je ne veux pas qu'il croit que je n’apprécie pas, que je suis une chochotte…pour autant parfois je trouve ça un peu fort, mais il demande…si ça va, si petite salope était bien venue pour ça…et je dis oui…oui maitre, ce « maitre » qui a parfois encore du mal a sortir…
A un moment il me fais regarder mon cul dans le miroir, demande si c'est assez rouge, c'est plutôt rose, mais certaines claques ont été fortes…alors je dit que je crois que c'est suffisant pour aujourd’hui, un peu plus aurait peut-être été, mais je ne veux pas l’interrompre au bout de deux claques en ayant dit qu'on continuait…je ne sais pas s'il apprécie ma réponse mais j'ai l’impression que son regard sonde le fond de mon âme.
Sommes nous passé par le lit avant la séance des seins ? Est-ce après ? Il y a eu plusieurs passages…
Sa queue entre mes seins, entre mes lèvres, au plus profond de ma bouche, de ma gorge, parfois un haut le cœur, les larmes aux yeux…
Flash ! Il tire sur mes tétons, pince fort, les tirent vers le bas, très fort, douloureux et il me pose une question, quelle questions ? Je n'arrive pas a répondre, ça va trop vite….et il tire de plus belle répétant inlassablement sa question…arretez s'il vous plait ! Et il s’arrête…m’attire sur son épaule, me laisse reprendre souffle et esprits, ce n’est pas le signal de fin, mais il a compris qu'il devait moduler un peu pour continuer…
Autre flash, ce geste incontrôlé de sa part…il n'a pas touché mon visage, je ne crois pas je n'ai pas senti, il s'est arrêté lui-même…s’excuse, me câline pour se faire pardonner ma surprise et ma peur, s'assure que je suis bien, que nous pouvons reprendre…
La séance des mamelles.. J'ai parfois reçu quelques claques, m'en suis mises aussi…mais plus sur la face du sein, le téton ou sur l’intérieur, lui avec de grands gestes sur l’extérieur de mes mamelles pendantes me donne un nouveau plaisir… c'est fort je le sens mais moins saillant que sur les fesses…mon antre coule, je crois que je souris…
Pourtant nous ne recommencerons pas, quelques temps après il regarde l'effet…c’est déjà piqué de trace violettes et bleues, peau trop vascularisée dit il, on ne le refera pas…je regarde, ha oui quand même !! Moi qui ne voulait pas de traces visibles…il me câline un peu, me dit qu'il va me donner ce qu’il faut pour soigner au mieux…
Son regard, son regard quand il me dit de me faire jouir.. Il dit de ne pas fermer les yeux, j'ose le regarder, laisser aller mon corps ma respiration…
Ce sont ses mains que je voudrais, sa queue, sa bouche s'il le souhaite, mais dame nature a gâter un peu notre premier moment…
Et puis ce regret, de ne pas avoir pu m'offrir totalement, lui donner accès à tout, j'en aurais pleuré ! Je me dis après que j’aurais du faire ceci ou cela, telle position….je voulais m'offrir sans réserve…
Une prochaine fois a-t-on dit, oui une prochaine fois être a lui sans réserve, totalement le laisser jouir de tous mes trous, de mon corps…encore sa bouche sur mes seins, ses mains qui serrent qui palpent qui prennent, une pression sur mes joues ma gorge, caresse ou prise en main ferme de mes cheveux…
Mon cœur s'emballe en y pensant, ma respiration s’accélère…
Il demande ou je veux, je dis ma bouche, moins de risques de salissure et surtout, surtout je veux connaitre son goût, vraiment, ardemment, au fond de ma gorge se répand ce miel amer…mon ventre brûle de sa jouissance.. Ne rien perdre, en douceur…
Il m'attire contre lui je me niche dans son épaule, cherchant a respirer son odeur, sa peau, il comprend mon besoin, ouvre grand sa chemise, je Hume et m'enivre
Il me parle me demande comment je vais, je suis bien !
Nous regardons les stigmates sur mes seins, il s'assure que je n'ai pas mal, après il fera un arrêt a la pharmacie pour moi…
Je me rafraîchi au lavabo, rince ma bouche, mais pas ma gorge, je veux garder un peu ce goût, je sais que l'amertume ressortira avec la première bouffée de cigarette…humm
Nous sortons de la chambre, moi un peu ailleurs, je crois qu'on a croiser quelqu'un a l’ascenseur…
Il me ramène s'assure que j'ai compris la posologie pour mes marques, badine un peu avec moi, me fait redescendre doucement…
Me dépose au métro, pile l'heure de l'appel a l'amie qui me sert de sécurité...pour elle ce ne sont que des rencontres d'une néo célibataire, sa première phrase, ça va petite cochonne ? Si tu savais ma chérie !! Oui ça va, petite cochonne, petite salope, petite soumise ravie, sur un petit nuage…
Nous avons beaucoup échangé depuis, il me dit qu'il aimerait un texte sur notre première séance, et puis il écrit : ECRIS EN UN
Oui mon maitre, puisque depuis je vous reconnait comme tel…
Le voici, peut-être un peu long, confus, mais preuve de mon don, pour mon dom
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(Réédition du 08/06/2017 -> 23/03/2024 - 518 Vues)
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A défaut d'avoir trouvé sa place en tant qu'Homme, il cherchera à plaire toute sa vie pour y être accepté.
Véritable "outil" forgé par toutes sociétés, il est tout aussi bien souple dans sa manière d'entrevoir les choses, que l'objectivité est pour lui de l'ordre de l'abstrait.
L'Homme Enfant se fit principalement à son ressenti ou aux principes qu'on lui a inculqué.
Un raisonnement qui fait de lui un rémora apte à se faufiler, s'inviter, et se coller aux sillages de celles ou ceux suivants leurs propres voies (Ou du moins l'a cherchant).
Véritable Faire Valoir de tous les instants, il gratifie dans la complaisance et l'admiration.
Pour autant, que cela soit d'êtres terre à terre, qu'éternels amoureux de l'inaccessible (Puisqu'ils ne travaillent pas sur eux même, mais bien à être choisi dans une image qu'ils veulent donner d'eux même), ils deviennent irrémédiablement d'un ennui et d'une frustration extrême lorsque l'on est amené à les côtoyer ouvertement.
Bien sûr, il n'en pas moins une force pour eux, que leur malléabilité qui intéresse un tant soi peu la gente féminine, férue de transmettre leurs propres frustrations sur ceux-ci... Ce qui en résulte des êtres aptes à rassurer quelque soit la situation, à désirer et à tomber amoureux de l'autre, son comportement, et ses actes (Même si l'on fait de la merde).
Aisément manipulable et aimant l'être par faiblesse, il n'en est pas moins le désir de systématiquement culpabiliser les femmes pour les ramener à leurs niveaux, ne pouvant s'élever dans l'introspection (Culpabiliser une femme étant le meilleur moyen de la faire arrêter de réfléchir de base... Car dans toutes Femmes il y une mère... et l'Homme Enfant est ce qu'il est).
La femme se rend donc dépendante de sa propre oisiveté et de son manque d'exigence dans son épanouissement, dans le bien être et le plaisir.
Ne survivant qu'avec très peu de récompense, l'Homme Enfant manque cependant cruellement de consistance, de développement dans son hygiène de vie, voulant la trouver chez les autres.
L'Homme Enfant écoute, mais ne sait traiter les informations, veut mais ne travaille pas pour, et ne sait pas anticiper pour le meilleur dans sa propre vie.... alors dans celle des autres...
Cette petite description fait émerger également que si celui-ci "existe" toujours, et est de plus en plus présent, est que la femme y est pour quelque chose à le faire espérer dans son utilisation, et qu'en définitive il trouvera sa place à vos cotés.
Ne pouvant justifier en rien leur manque de travail, et par ironie, ils ont le rôle ingrat de servir la Femme Enfant ne sachant attirer l'Homme.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/2703/Les-trois-chemins/ -> Les 3 chemins.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4265/Toujours-plus-vite-Toujours-plus-haut/ -> Toujours plus vite. Toujours plus haut.
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Pourquoi ressentons nous le besoin de nous soumettre, ou bien même de dominer ? L’un comme l’autre sont des situations courantes depuis l’enfance, rappelez-vous votre maitresse d’école, rappelez-vous vos instituteur, rappelez-vous la direction. La hiérarchie est au cœur même de notre raison d’exister, l’Homme et je parle bien de l’Homme avec un grand H, car que ce soit l’homme ou la femme les deux ont besoin de dirigé et d’être dirigé. Pour ma part, je suis le maitre et le chien à la fois, je vais vous raconter l’histoire de ma rencontre avec ma maitresse (si je puis l’appeler ainsi).
Depuis que je suis en âge, c’est-à-dire assez jeune enfaite quand on y pense, je ressens cette étrange attraction pour le coté sado maso de la sexualité, faire l’amour c’est bien, mais jouer à ce jeux c’est mieux ! J’ai rapidement remarqué que le coté de ma personnalité que je voulais exploiter étais celui du soumis. Je m’inscris sur plusieurs sites de rencontre mais étant mineur à l’époque il me fut impossible de trouver un maitre ou une maitresse en qui je pouvais avoir confiance (effectivement n’étant pas fou je n’allais pas me lancer dans une aventure dangereuse avec un malade mental, je préférais rester sur mes gardes dans mes contacts).
Après ça j’ai eu une petite amie, mais cette dernière n’appréciais guère ce genre de relation qu’elle trouvait mal seine (comme le pense la plupart des gens, alors qu’il ne s’agit ni plus ni moins que d’une plus large ouverture d’esprit). La rupture fut dure pour moi et pour oublier je me laissais aller à diverses aventures quand je trouvai enfin une fille avec les même penchants sexuel que moi, hélas elle voulait également être soumise ! Mince je n’avais pas de chance … Je fus donc contraint à endosser la peau du maitre (je tiens là à vous faire remarquer toute l’importance du verbe contraindre dans ma phrase, en effet quand on y pense j’ai été soumis à cette fille puisque c’est elle qui m’a forcé à devenir le dominant, les apparences sont parfois trompeuses !) et je dois bien l’avouer j’ai pris un malin plaisir à m’occuper de cette petite dévergondé.
Dès notre première séance elle s’est avérée ouverte à tous les niveaux, je lui ai forcé de venir avec une robe très serré qui plus est sans sous vêtement, et comme elle pratiquait l’équitation je lui avais demandé de rapporter ca cravache afin que je m’occupe d’elle comme une jument qu’il fallait dresser. Elle sonna a m’a porte, je l’embrassai et mis une main sous sa robe pour vérifier qu’elle avait bien respecté mes consignes, je fus agréablement surpris de voir qu’elle ne portait pas de dessous et que de plus elle mouillait comme une vulgaire chienne, puis nous montâmes à l’étage. C’est alors que je m’assis et que je la fis se placer sur mes genoux, elle portait une petite robe très serré verte à peine penché la robe courte laissais apparaitre son petit con bien mouillé et son cul tout séré qui n’avais encore jamais été violé. Je lui remontais alors la robe au-dessus de la ceinture et lui mis une belle fessé, je ne savais pas encore trop comment m’y prendre mais je la vis prendre du plaisir donc j’en ai conclu que la méthode était adéquate. Je lui remis de suite une fessé encore plus forte, celle-ci laissa une belle trace rouge sur sa petite fesse toute blanche, « Je n’ai rien entendu ! » lui dis-je, et une troisième puis une quatrième tombèrent, je lui maltraitais les cuisses et le fessier, ne lui laissant jamais le temps de parler, même mes mains commençait à me démanger, un parfais mélange entre le sadisme et la jouissance. J’étais tout excité et ça se voyais vue comme je bandais.
Elle était au bord des larmes et mouillai au point que ça coulais le long de sa jambe, je récupérai ce liquide et lui fit lécher une partie puis garda la seconde pour moi : « Hum c’est du bon jus de salope ça ! » lui dis-je, elle baissa encore plus la tête et me répondit d’une voix fluette : « Pitié maitre … ». Parfais on était arrivé à ce moment où le jeu se mettais en place tout seul, elle m’appartenait et je pouvais faire d’elle tout ce que je voulais. Je glissai alors un doigt dans sa chatte toute humide et je l’entendis pousser un petit cri, je me mis ensuite à agiter mon doigt à l’intérieur puis a en glisser un deuxième, elle se tortillais et régulièrement je récupérais un petit peu de sa mouille et la faisais glisser le long de ses fesses afin de lubrifier son petit trou. Je forçai alors l’entré de son anus qui fut légèrement raide au départ je dois l’admettre et lui dit : « Ne t’inquiète pas esclave, je prépare juste le terrain », pendant qu’elle poussait des cris de jouissance, je continuais de lui lubrifier l’anus naturellement.
Sans prévenir je me levai et la jetais sur le lit, d’abord elle se mit sur le dos, mais je lui lançai un regard sévère : « Qu’il y a-t-il monsieur ? » me demanda-t-elle. Je lui pris le bras et la retourna violement, « Une chienne, doit être prise comme il se doit, alors prépare toi à te faire enculer ma petite catin ! » et je pénétrai a l’intérieur de son petit cul tout séré mais l’ayant bien lubrifié ça rentrais comme … hum … papa dans maman (sans mauvais jeu de mot). Puis je l’a pilonnais pendant un long moment elle criait et hurlait comme une chienne : « Oh ouiiiiii, je ne suis qu’une salope, hannnnnn une vulgaire putain hummmm oh ouiiii », et c’était le cas. Mais vint le moment fatidique où je ne pouvais plus me contrôler, je sortis alors de son cul, j’enlevai la capote et lui dis : « Viens finir le travail esclave ». Elle se retourna tremblante, les larmes aux yeux d’avoir trop crié, et elle se jeta sur ma queue pour la lécher avec tant de ferveur que je ne la reconnaissais pas le temps de quelque minute elle s’était transformé en putain, ce moment étais tous simplement magique, lorsque le jeu deviens si réel que l’on arrive plus à le distinguer de la réalité (ce dont j’ai fait les frais pendant mon éducation avec ma maitresse, mais cette histoire viendra plus tard). Enfin ne pouvant plus me retenir, je répondis mon sperme dans sa bouche et la fit boire jusqu’à la dernière goute. Voici ma première expérience dans le domaine de la domination. La prochaine fois je vous raconterais la rencontre avec ma maitresse.
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Je suis une femme ordinaire.
Je le dis toujours… Je sais pourquoi je dis cela.
J’ai cru qu’aimer était penser aux autres plus qu’à soi. J’ai cru que tout faire pour le bien-être de l’entourage qui m’est cher, allait suffire à mon bonheur.
J’ai cru que c’était ma vie et que je serai ainsi toujours. J’ai donné toute ma vie…
Dans un modèle… ordinaire…
Et puis mon couple s’est déchiré… a perdu son intimité…
Au départ, un peu… puis de plus en plus… puis complètement….
Je suis une femme ordinaire qui se construit, qui veut plus, qui veut s’améliorer.
Je suis une femme de paroles, de valeurs… d’intégrité.
J’ai vécu 10 ans de désert sexuel. J’avais tout perdu de la femme que je suis. J’étais ailleurs… Je ne sais même pas l’expliquer aujourd’hui.
Et pourtant un jour, par instinct de survie, par respect pour ma vie de femme sensuelle, je me suis inscrite sur un site de relations extraconjugales. Je me suis dit… vivre le sexe ailleurs va me permettre de vivre ma vie d’épouse épanouie.
En mai 2015, ma vie de femme libre a commencé.
J’ai rencontré un homme d’abord… j’étais fidèle à mon amant. Un homme d’une sensualité incroyable… je pense qu’il pourrait être un Dom exceptionnel… mais c’est un looser. Dommage ! Si la confiance le gagne, il le sera. J’ai découvert le sexe sans complexe. Il était voluptueux, cru et respectueux… il m’a tout appris du sexe et ne m’a jamais fait jouir ^^
J’ai dû me séparer de lui…
Puis après quelques escapades insignifiantes, j’ai, un jour, liké un profil.
Un type. Un mâle… exposant sa liberté de vie, s’exposant cru et intelligent avec un martinet !!!
En quelques heures, nous sommes attractifs. Il m’évoque son monde. Je lui dis ne pas être attirée, mais…, je n’ai pas d’apriori au plaisir !
Il le sait, il le lit, je le répète… comme attirée irrésistiblement par cet homme, ce mâle, rugueux, distant, doux et fragile… Nous échangeons. Nous nous voyons pour un café. Il me dit vouloir tenter « l’aventure ». Je ne sais pas je ne connais rien. Je ne sais pas ce qu’est le BDSM, je n’ai jamais rien regardé de pornographique sur internet, ni ailleurs.
Je suis une femme ordinaire.
Je plonge dans ce monde sans apriori, me disant qu’il est un homme exceptionnel.
J’ai vécu 8 mois de découvertes absolues. Le don de soi pour se comprendre, et non plus pour étouffer ! J’ai joui comme jamais.
J’étais Mell, sexuelle, sensuelle, femme, pétillante…
J’ai fait don de moi, corps et âme.
Je suis devenue une soumise extraordinaire.
Je fonctionne sur le même modèle. Je donne tout.
Seulement, mon Maître me bichonne. Son regard sur moi me donne des ailes. Plus il a faim de moi, plus j’ai envie de le satisfaire. Plus je suis soumise et bonne, plus je me sens forte et belle.
A ce moment- là cependant, PF est dans la retenue. Je suis une femme mariée. Il ne veut pas être envahi dans sa vie qu’il protège. Je suis mise à distance. Nos sentiments nous dépassent. J’ai compris ensuite qu’il ne veut pas supporter les choix de vie que j’ai à faire moi-même.
Quand on quitte une vie, on est seul !
Mon mari prend conscience de ma vie extra-conjugale.
Je donne une chance à ma vie d’épouse et je rends mon collier.
J’étouffe à la seconde même où PF quitte ma vie.
Il reste en contact et est protecteur. Je suis convaincue que notre histoire n’est pas finie. Je me déchire de lui, et lui, affirme avoir tourné la page. Je n’en crois pas un mot.
J’ai depuis déjà quelques temps, un AmiDom. Il va m'aider à survivre.
Je ne sais pas où j'en serai sans Lui.
C’est un homme brillant, attachée à la femme que je suis. Lui met des mots sur mon fonctionnement quasi inné de femme de don.
Je comprends avec lui mes manques. Je comprends celle que je suis. Je comprends celle que je peux devenir si je fais le choix de vivre ma vie. Je sais qu’il aimerait de moi plus que cette amitié sans limite que nous avons, qui s’est avérée charnelle et respectueuse au plus haut point. Mais rien y fait…
Je suis empêtrée dans mon lien à PF.
Telle une soumise, j’entends, je lis, je comprends, non je ne comprends pas, j’accepte…
PF a tourné la page. Alors je survis.
Il me dit de me rouvrir au BDSM, me demande de revenir sur le site.
Je m’inscris.
Pseudo : Out-Of-Order (OoO).
Esthétique et significatif.
Tout ce que j’aime dans cette représentation que nous vivons ici.
Et là, je découvre qu’il croit en une autre femme, pour faire d’elle Sa soumise.
Je vis une descente aux enfers. Et je continue à survivre.
Et plus je survis plus je le respecte et plus je suis soumise.
Mon Ami veille sur moi, avec désirs. Il m'appelle Désirée d'ailleurs.
Je fais mes choix.
PF me suit aussi. Il est inquiet, présent et protecteur. Mais je n’ai rien à espérer.
Contre toutes attentes, je suis prête à faire sans lui.
Plus je suis prête à vivre sans lui plus je me sens à ses pieds.
Et puis, il y a eu 10 jours de ma vie.
J’ai quitté ma maison un dimanche, épuisée. J’ai enfin avoué à mon mari que je ne voulais plus de cette vie.
Je n’ai rien. Je n’aurai rien.
Mais je serai libre.
Je laisse ma vie facile de bourgeoise pour aller respirer mon oxygène. J’ai peur mais je suis forte.
PF me reçoit pour un café. Il est inquiet. Son regard sur moi n’a pas changé. Mais il le refuse. Je le sens. Je lui dis que jamais je ne m’appuierai sur lui pour vivre ma séparation. Je ne serai pas à la rue et si je le suis, je n’accepterai pas de venir envahir sa vie, même en amie.
Il me regarde partir.
J’ai une échéance.
Je dois soutenir mon mémoire de fin d’études deux jours après.
Je suis perdue, loin de tout ce monde professionnel. Je suis pleine d’émotions et pourtant consciente que je dois lutter contre moi-même.
Mon AmiDom est là.
PF est distant mais il est là, aussi.
J’avance. Je me traine. Je ne recule pas.
Je suis en formation en alternance.
Mes copains de classe ont 25 ans. Je suis leur copine, leur fantasme pour certains, leur maman d’école, et je suis charriée et respectée par ces jeunes que j’adore.
J-2. Mon ppt n’est pas abouti. Je suis incapable de me concentrer toute seule. J’ouvre mon cœur au plus jeune d’entre eux pour qu’il me donne de son temps pour « m’entrainer à la soutenance ». Il entend ma détresse et accepte.
D’un autre côté, ce même jour, j’ai RV avec mon AmiDom.
Il me fait don de lui, ce soir-là.
Il a dépassé ses sentiments, pour me donner uniquement ce dont j’ai besoin.
Il a joué. J’ai ris. Tellement ris.
J’ai pris égoïstement ce qu’il m’a donné sans limite. Et je savais que je ne serai jamais rien de plus pour lui, que cette Amie sincère et charnelle.
Il le savait aussi, mais j’ai la prétention de croire qu’il avait toujours de l’espoir.
Il m’a fait du bien. J’espère ne pas lui avoir fait trop de mal…
Tout était clair entre nous, mais je suis bien placée pour savoir que quand on croit en une histoire, on y croit jusqu’au bout.
Matin du J-1. Mon Ami part. Et je vais vivre la journée qui me fait basculer dans l’après.
Je suis à nu. Il est 9h. Je suis nulle. Mon discours est nul. Ma présentation est médiocre. Ma posture est mal assurée…
Mais je veux ! Je me fesserai s’il le faut ! Mais j’y arriverai.
Ils ont 25 ans. Je ne refuse rien de leurs remarques. J’écoute. Je corrige. Je me corrige.
Je recommence 3 fois. Je corrige encore.
21H. Je suis prête pour demain.
Je dors… enfin presque...
Jour J - 8h30. Je suis la première à passer. Je fais un carton plein.
PF m’appelle. Je suis légère.
Mon mari m’appelle. J’étouffe.
Ma vie s’inscrit…
Mon Ami est là aussi, toujours...
Les heures passent les nerfs tombent… Je commence à renaitre.
J'échange depuis quelques heures avec un Dom d'ici, un Dom d'ailleurs. Lunaire...
Il me propose de prendre l'air avec Lui.
J'accepte.
Les quelques jours que je m'accorde seule, pour me reposer de ces échéances de vie seront près de l'océan... avec un "inconnu" dont j'ai confiance.
Un autre évènement va me bouleverser.
Samedi matin, quasiment prête à partir, mon téléphone sonne.
PF me propose de déjeuner avec lui avant de prendre la route.
4h passées ensemble. Nous sommes des aimants. Lui s’en défend. J’ai des larmes qui montent dans mes yeux en lui disant que j’accepte la fin de notre histoire, mais que je n’y crois pas.
Pour lui reprendre une histoire à un goût de réchauffer.
Moi, je me sais une autre femme. Mais je serai digne. Je ne me vendrai pas. Je vaux mieux que ça !
Je le quitte et je trace ma route.
Il reste présent, mais me laisse vivre ma parenthèse de vie avec l'autre Dom.
Un autre grand moment de vie. Je me livre à cet homme.
Il dit de Moi que dans mon don il y a de l'amour. J'aime qu'il me dise ça.
Je vis mes rencontres ainsi avec respect, amour et sans faux-semblant. Je suis celle que je suis. Je sais ce que je vis et je n'ai pas d'apriori aux plaisirs. Je n'ai pas de filtres. Je ne juge pas un physique. J'aime l'intention sexuelle de l'homme. J'aime qu'il soit cru et respectueux. J'aime suivre ses désirs. Et laisser croire, que je me soumets sans concession pour lui, ne fait que me plonger dans l'excitation absolue.
Mes expériences me donnent raison.
Cette parenthèse s'écourte et je pars, par nécessité de vivre seule pour me retrouver moi, la femme qui quitte sa vie et qui a besoin d'être seule face à cette étape de vie.
PF reprend la main sur Moi et fuit à chaque fois que je me livre.
Je souffre... je souffre vraiment.
Et pourtant je reste convaincue par notre histoire. Mais je ne me vendrai pas. Je lui répète. Je ne veux pas le convaincre. Je joue comme il me le demande... il veut me voir. Il veut tester celle que je suis. Je m'exécute. Je lui écris mon désir... il reprend distance. Je suis résignée.
Mercredi matin.
Comme chaque jour, PF m'envoie un message. Depuis quelques jours, il me devance.
Je comprends qu'il a mal dormi, qu'il ne veux pas renouer...
Je lis ses mots.
Je suis meurtrie.
Je lui écris "C'est dommage. Mais je ne peux pas continuer. Je ne peux pas te persuader. Je suis fatiguée. J'arrête"
Je lis alors "ah bon? Je ne comprends pas.."
J'avais mal lu!!!!! Trop vite. Trop sure qu'il ne reviendrait pas.
Mais en fait... contre toute attente.... il m'ouvrait son cœur.
Depuis....
Je découvre un homme prêt à aimer sans concession. J'adore.
C'est un homme que je ne connaissais pas.
Je suis à Lui depuis cette minute.
Je n'ai pas de collier encore, parce que nous vivons cette nouvelle histoire qui est inédite. Nous avons besoin de savourer.
À Toi PF.
Aujourd’hui, je suis Ta Soumise. Je suis à Toi.
J’ai envie de te sentir dans ma chair chaque seconde.
Je suis une femme obsédée par Toi.
Le regard des gens qui me voient ôter ma culotte ne m’importent pas.
J’ai envie de cette vie BDSM/vanille pour entretenir cette passion infiniment.
J’ai envie d’être Ta chienne, élégante et raffinée.
Et, plus je vais maintenir cette exigence de moi, plus ton regard amusé me donnera des ailes. Plus je te désirerai, et plus je serai crue, impudique et libre.
Je suis belle de Toi.
Je suis Florence. C’est mon vrai prénom.
Je suis une femme que peu connaissent aujourd’hui.
J’ai une volonté de folle.
J’entraine tout sur mon passage, tu me le dis souvent.
Mon mari, que je quitte, dit lui, que je suis une comète dans sa vie. Nous avons gâché notre vie.
Je n’ai rien que ma vie de femme libre devant moi.
Je n’ai pas peur.
Toi et moi avons le temps de construire ce que nous sommes chacun et ensemble. Je ne veux pas gâcher.
J'espère qu'avant de sembler vanille, vous lirez de Moi que les belles rencontres existent.
J'ai envie d'être marquée de Lui. Nous ferons nos choix.
Je veux nourrir cette vie... absolument sexuelle et de sexe absolu...
Laissez moi jouir... ;-)
À suivre.
Flo@PF
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Je la vis à la sortie de la bouche de métro. Elle gardait une attitude neutre même si j'imaginais aisément les sentiments qui la parcouraient.
Je l'observe quelques instants profitant, de sa beauté et me préparant à savourer la rencontre. Je remarque qu'elle a attachée une importance toute particulière à son apparence. Tout est coordonnée jusqu'à la petite barrette dans les cheveux.
Elle se retourne et m’aperçoit. Je lui fait un petit sourire encourageant. Son visage s'éclaire et son regard s'allume. Je retrouve son caractère joyeux qui m'avait tellement plu lors de nos échanges. Nous nous installons autour d'un café sur une terrasse. J'admire le vent qui joue dans ses cheveux. Nous discutons de tout et de rien et je sens derrière ce jolie sourire quelques petites taquineries. Je fais semblant de ne pas m'en apercevoir en continuant à lui sourire gentiment. Mais je garde cela dans un coin de ma tête . Après avoir épuisé la météo et les petits ennuies du quotidien la conversation dérive vers le nœud de discussion. Je sens l'animal en moi se réveiller et plutôt que de grand discours, je plante mon regard dans le sien et lui chuchote ces quelques mots "es tu prête ?"
Je vois une légère frayeur passé dans son regard puis ses traits se détendre et sa bouche forme un léger sourire. Un simple hochement de tête me confirme son accord.
Je lui souris en retour et paye nos consommations.
En marchant en direction du métro je lui prend délicatement la main. Elle s'arrête à la fois surprise et heureuse.
Je lui bloque calmement le bras dans le dos. Elle a un léger mouvement de recul mais mon regard l'apaise. Je passe mon autre main dans ses cheveux puis la fait glisser le long de son cou. Je serre légèrement... Je sens son désire/besoin de lâcher prise.
Elle sent merveilleusement bon et j'ai très envie de la croquer cette jolie nuque. Je sens la bête sortir du coin sombre de mon âme. Elle m'envoie plein d'images excitantes pour faire vaciller la barrière. J'ai envie de la voir à genoux. J'ai envie de la sentir totalement abandonnée mais... ce moment n'est pas encore arrivé et l'endroit est mal choisi.
La barrière tient bon et je garde le contrôle de la situation.Je ne sais pas si elle a vu passer tout ca dans mes yeux mais ca n'a pas l'air de lui avoir fait peur.
Arrivé devant la station je lui plante un baiser sur la joue et lui murmure "prévois plus de temps pour notre prochain rdv"
La chambre d’hôtel est réservée. Je lui envoie la consigne "prend la chambre, bloque la porte, déshabille toi, à genoux et ferme les yeux".
J'aurais pu lui demander de porter un masque mais je préfère que la privation de la vue vienne d'elle même.
Je patiente quelques minutes le temps de la laisser se préparer. Puis je rentre à mon tour dans l’hôtel et me dirige vers ascenseur.
Je monte et me dirige à pas de loup jusqu'à la chambre. J'ai le plaisir de constaté qu'elle a scrupuleusement respecté les consignes.
Je sais comme cela la sort de sa zone de confort et je suis déjà fier d'elle. Elle ne m'a pas encore entendu. Je l'observe.
Sa peau est parcouru de légers frissons. ses paupière sont clauses mais sautille comme le signe du combat qu'elle mène contre elle même
Je m'approche d'elle sans parler. Elle m'a entendu. je vois son corps se tendre et la panique qui commence à monter. je m'approche et lui effleure la nuque.
Elle résiste merveilleusement bien à l'envie d'ouvrir les yeux et je vois ses épaules redescendre légèrement. Pas de doute elle m'a reconnu. Son intuition ne l'a pas trompée.
Je m'assoie sur le lit et lui passe la main dans les cheveux. Je lui caresse doucement la joue. Puis ma main se referme sur son coup
"ouvre les yeux à présent"
Elle a un regard magnifique et envoûtant. J'y vois exactement ce que j'attendais.
La peur s'est envolée , remplacé par la confiance et le désire...On va pouvoir commencer à jouer ...
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Bonjour, j’espère que vous allez bien, souvenons nous ! il y a plus d'un an maintenant une fessée m'était promise par Lady H et Myrina. Une fessée à quatre mains. Une fessée virtuelle tout d'abord . Le genre de promesse que l'on ne croit pas vraiment possible réellement. Et puis, contre toute attente ! Un jour, Je roule vers les monts du lyonnais, concentré sur la route, surtout ne pas perdre son permis, respirer, ne pas penser à ce qui m'attend et surtout, surtout ! Ne pas fantasmer. Je roule. Arrivé sur le lieu de rencontre, avec pour cadeau en guise de fleur, une dizaine d'orties (tellement puissantes que ma main est ankylosée). je vois uniquement des visages connus souriant . Derrière moi un couple de belges que je connais pas, chemine dans le désert agricole français ! Ils arrivent. On discute, on essaie de ne pas bourrer le frigo à coups de pieds, le pauvre est déjà trop plein, on se rabat sur le deuxième. Les Mojitos se fabriquent de main de Maître secondé par Daybe, la bratt de sa Reine s'active à placer une sorte d'apéro dînatoire, un jeune sauvage donne la main de ci de la. Et nos Dominas essayent de laisser faire et de profiter du service. Chacun prend ses marques quand nos belges arrivent. Après cinq harassantes heures de route. Ils sont trop fort ces belges. Mais ils ont quand même un drôle d'accent. On se re-bise, ce sont là les deux seules personnes que je ne connais pas invités pour l'occasion de cette fessée. Jacques et Angie. AH mais oui quelqu'un nous enduit d'erreur ils ne sont pas belges mais Suisses. Bon, je ne dirais pas qui ! On discute, on se pose, j'en oublie un moment le pourquoi de la réunion. Quand elle me regarde droit dans les yeux. tu as installé le tréteau ? Demande Myrina le tréteau ? Répète-je bêtement . Le tréteau ! Ah non ! je vais le chercher. un petit coup de transpiration me taquine, tandis que nous installons une chambre dédiée aux jeux. Un tréteau solide, des bambous, un énorme sac à malice, un carcan. Et des orties trônant dans un gros bocal. Elles arrivent ensemble dans la pièce, son regard étonné m'accroche. - tu n'es pas encore déshabillé ? - ….. ! surtout se taire et s'exécuter. Pour la première fois, complètement nu devant Lady H, qui de nous est le plus intimidé ? Nous nous sourions. Myrina me guide au tréteau. Installé par dessus le tréteau, mes fesses se tendent, je ne vois rien qu'une fenêtre aux volets fermés, mais mes oreilles se dressent à l'énoncé de leur programme. Et puis finalement la douceur des caresses s'installe. Un duo de mains se promène sur mon dos, fesses et cuisses. La première claque me fait sursauter, deuxième, troisi... ah non ! Faux départ elles rigolent comme des enfants, me donnent ordre de compter des séries de dix, enchaînent les « faux départs », je me trompe dans les comptes, on recommence, maintenant on compte en canon, elles ne claquent plus à l'unisson. Je me trompe, on recommence.... et ça chauffe, mais ça chauffe. Le temps n'existe plus. Le compte et les claquements du fol amusement de ces dames emplissent la pièce, emplissent le temps. J'entends des voix derrière moi, ça commente, et ça rit. Je ne vois rien, je ressens seulement ma peau s'amincir à chaque claques. Ça finira par se déchirer j'en suis persuadé. Comment peuvent-elles ne pas avoir mal aux mains ? Comment ? Mon cul me brûle, un instant de calme s'installe. Quand soudain je hurle, les orties remontent le long de mes jambes. C'est horrible ! Et on reprend la fessée tant que je suis « chaud » elles sont inventives et poétiques, elles trouvent sympa de finir les comptes par un « petit tambourin » et hop un petit tambourin par ci, par là etc ! Entrée en matière magique et douloureuse, un chariot de joie se déverse sur l'assistance. Nous y sommes ! Bienvenue à vous tous à « la fessée à quatre mains » imaginée et mis en scène par les célèbres Lady H et Myrina pour satisfaire l'insatiable apôtre /heyoka. Bienvenue et merci ! Je n'ai pas dormi plus de trois heures, comme un ange repu. Gavé de douleurs, d'attentions. À sept heures j'enfile un legging et pars marcher, mes fesses endolories se contractent à chaque pas, il pleut et l'air froid pose sa pommade sur mon corps. A mon retour Lady H me propose un café à l'eau. Délicieux ceci dit ! Et nous chuchotons nos vies, nos envies dans la maisonnée endormie. Nos réflexions à voix basse sont soudain entrecoupées par les ébats d'un couple. Témoins chuchoteurs d'une intimité si belle que nous l'admirons. Le matin n'en finit plus, tour à tour on déjeune, puis on mange, ou certains déjeunent après avoir mangé, bref la colonie s’éveille tout au long d'une joie communicative. Angie infatigable, continue inlassablement de nous servir une merveilleuse charcuterie et son fromage, entrecoupé de shibari tout doux en corde de fibres de coco, gloups !!!!! Je n'ai pas pu tout suivre de ce qui s'est passé durant ces moments, mais le jeu est partout, vivant dans les yeux de chacun, des pointes carnassières apparaissent aux prunelles de tous ces Doms présents. Des claquements, des soupirs, des cris, des chuchotements ponctuent les discussions plus communes dans le salon. Elle me regarde, je frémis. Son doigt se lève et me montre la salle de jeu. Mon esprit aussi rapide que l'ours sortant d'hibernation, comprend sans peine que mon tour revient. Je prie pour mes fesses douloureuses. Je monte. J’attends, - mais tu es encore habillé ? Allez dépêche-toi ! Me dit-elle en arrivant. - …... s'ensuit un instant d'intimité en rythme, elle tape avec des bambous... c'est avec le feu au cul que l'heure du grand repas arrive. Chacun se met à la tâche et à tour de rôle on envahit les salles de bain. Le but étant de coller au thème de la soirée « portez de la dentelle ». Quand nous nous trouvons réunis autour d'une table dressée de belle façon, nous sommes tous terriblement beaux et s'ensuit une séance photo digne de Cannes. Le service assuré par les soumises et les soumis ligotés de manière astucieuse est ponctué de punitions suivant les règles établis au début du repas. Mais globalement nos chers Doms restent sur leur faim. Les soum's sont presque trop performants. Gniark, gniark ! Après un jour et demi d'amusement et d'échauffement, cette soirée prend une allure d'apothéose, je connais bien cette sensation où la douleur s'ajoutant aux précédentes me dépose dans un état de grâce. Je m'assoie avec délectation dans la souffrance, plaisir égoïste, purement égoïste, pas de sexe, juste une lancinante envie de monter un cran encore plus haut. La douleur me pénètre doucement ; ma douleur est votre sexe qui s'enfonce en moi elle me vrille le ventre, me donne des sueurs, me rend animal, mon cerveau se perd entre mes cuisses et mes reins tordu par le mal que vous m'infligez..... Jusqu'au moment..... où nous retournons à la fessée à quatre mains ! Et oui plus d'un an que l'on attend tout de même. - non mais ce n'est pas vrai tu n'est toujours pas déshabillé !!!! -........... Tréteau ! Côpain...... Au bout d'un temps, mes fesses n'en pouvant plus, vos caresses pour m'apaiser trouvent l'intérieur de mes cuisses, ma réaction vous étonne, vous revenez.... je me dérobe ! - mais tu es chatouilleux ???? - ….. - Lady il est chatouilleux là ! - Ici Myrina ? - OUIIIIII !! je hurle de rire, c'est insupportable, elles me massacrent de chatouilles je n'ai plus de souffle je crois que j'arrive au bout de vie, comme disent les djeun's. Elles sont aux anges. Je m'écroule épuisé, vidé. A nos cotés les couples jouent. Le martinet de Jacques s'envole, chante et mord Angie. Alter aide Daybe à gravir leur sommet. Je m'agenouille épuisé, Lily prend place au tréteau, et j'admire. Lady pose sa main sur mon cou, je me mets à quatre pattes elle s'assoit sur mon dos. La soirée est magnifique ! En ce qui me concerne cette nuit, se finira par un encasement des plus délicieux, dont un jour, peut-être, je romancerais l'histoire. Les attentions de ce week-end se sont nichées dans mille détails, des détails absolument drôles comme le caquelon gratiné de blettes. La marmelade de blettes au petit déjeuner. J'ose aussi exprimer le regret de ne pas avoir vu L que j'embrasse bien fort, Mais je garde mon uniforme de majorette uniquement pour une prochaine fois. Mais surtout !!!!!!! MERCI A VOUS TOUS....
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La nuit avait été bien courte. Courte parce que le jour n'était déjà plus très loin quand tout le monde a fini par aller se coucher, investissant les multiples chambres de cette bâtisse plantée à flanc de colline. Courte aussi parce qu'en dépit de la fatigue, mon train était passé depuis longtemps, m'empêchant de sombrer dans le sommeil. Combien de temps ai-je réellement dormi ? Une heure, certainement, mais guère plus.
Le jour est levé. Sur le dos, le corps détendu, je garde les yeux fermés et j'écoute le silence. Un léger parfum flotte dans l'air. Discret, chaud et un peu sucré. Je le connais bien. Il lui va comme un gant. Dans le lit d'à côté, Madame se réveille doucement et s'étire. Les rideaux ne masquent pas complètement les fenêtres, une petite clarté a envahi la chambre. Je finis par tourner la tête et, à voix basse, bonjour Madame. "Bonjour Lily". Une fois de plus, je suis stupéfaite par sa fraîcheur et son teint, quel que soit le nombre d'heures de sommeil.
La cuisine est juste en-dessous. Je propose d'aller faire du café, d'en ramener une tasse. Madame ne répond pas. Un ange passe. Elle se lève, vêtue d'une nuisette qui met ses courbes terriblement en valeur, et se tourne vers moi. "Viens ici". Deux mots prononcés à mi-voix, calmement, et déjà ses yeux qui sourient. Deux mots qui déclenchent toujours chez moi la même réaction : le cœur qui accélère légèrement, un petit frisson le long de l'échine et un coup de chaud dans les reins. Mon esprit se vide immédiatement de tout ce qui n'est pas utile en cet instant : l'endroit où nous sommes, l'heure qu'il est, le peu de sommeil, les autres. Tous mes sens sont dirigés vers cette femme, sa grâce, son emprise.
Je me lève, nue, et j'approche sans avoir la moindre idée de ce qui va se passer. En ce sens, Madame est une énigme : elle ne laisse jamais entrevoir ses intentions. Mais j’ai appris que tout est envisageable. Une étreinte, mon nez dans son cou, un deuxième bonjour. Je fais un pas en arrière. Madame me détaille de la tête aux pieds, puis ses yeux plongent dans les miens. Son regard de propriétaire. Je suis un peu plus grande mais je me sens toute petite, proie volontaire, victime consentante, jouet disponible. La brat est aux abonnés absents. Je soutiens ce regard avec un mélange de respect et d'intimité. Madame repousse la couette et tapote le lit. "Sur le ventre". Mon interrogation muette reste sans réponse. Je m'allonge. Alors je percute : la tête et le pied de lit sont faits de barreaux. Et je vois les cordes dans la seconde qui suit. Une petite onde d'appréhension traverse brièvement mon cerveau. Les cordes et moi, ce n'est pas naturel. Madame le sait, alors elle invente régulièrement des jeux pour repousser mes limites, patiemment, lentement. Des jeux qui ancrent chaque fois ma confiance plus profondément dans cette femme aussi protectrice que sadique, aussi bienveillante qu'exigeante.
La corde rouge emprisonne très vite mes chevilles, les jambes aussi écartées que le permet la largeur du lit. Madame serre bien, pour s'assurer que je resterai en position et offerte aussi longtemps qu'elle le souhaitera. La noire s'enroule autour de mes poignets, tout aussi serrée. Le corps en croix, je sens le souffle de Madame dans ma nuque. Elle se redresse. Deux claques retentissantes s'abattent sans prévenir sur mes fesses. Je sursaute de surprise plus que de douleur et je sens immédiatement les liens qui se tendent. Dans mon dos, j'entends un soupir de satisfaction. Le ton est rieur. "Je vais chercher le sac".
Silence dans la pièce. Je suis concentrée sur mes ressentis : la lumière filtrée par les rideaux, la température confortable, la douceur du drap sous ma peau. Des cordes m'immobilisent, mais pas le plus petit signe de panique. Curieuse de savoir ce que Madame me réserve, je sens monter l'excitation intellectuelle. Dans l'air, ce parfum n'en finit pas de me troubler. Mes fesses cuisent un petit peu, juste assez pour que monte aussi une autre excitation.
Madame n'a pas été longue, j'entends qu'elle referme soigneusement la porte. Elle s’assoit à califourchon sur mes fesses, se penche et attrape mes poignets. La nuisette a disparu et je sens la chaleur de son corps avant même qu'elle s'allonge sur moi. Je pense à son grain de peau, doux comme de la soie. Je suis persuadée qu'elle affiche un sourire carnassier. "Maintenant, tu vas payer pour tous les sextos que tu m'envoies pendant que je travaille". Je suis soufflée : j'avais pensé à tout, mais pas à ça. Le rouge me monte aux joues. La facture risque d’être salée.
La première morsure est pour ma nuque. Je laisse échapper en une seule fois tout l'air que j'ai dans les poumons. J'ai juste le temps d'inspirer avant de sentir Madame me mordre à nouveau. Une épaule. Deux fois. L'autre. Deux fois aussi. Ma nuque à nouveau. Ses dents si blanches s'enfoncent dans ma chair, lentement mais de plus en plus fort, de plus en plus longtemps. Madame se fait plaisir et prend son temps. La douleur s'intensifie. J'ai du mal à contenir mes gémissements. Madame ne s'interrompt que pour labourer mon dos de ses ongles manucurés et chuchoter à mon oreille tout ce que j'ai à expier. Je dis oui à tout, j'avoue, je confirme et même j'en rajoute. Féline, elle bouge sur moi et révolutionne mon bas-ventre. Je me cambre et cherche à amplifier le contact avec sa peau. Madame esquive. D'une main autoritaire elle bloque ma nuque, de l'autre elle caresse mes épaules douloureuses. Puis mord encore. Et encore. Et encore. Mes omoplates, mes cotes, mes hanches, mes reins. En cet instant, je joue avec un fauve. Un fauve qui se maîtrise, mais un fauve quand même. J'essaie d'étouffer mes gémissements dans le matelas, mais c'est peine perdue. Au fond, ça m'est totalement égal. La fessée qui suit est une parenthèse d'une douleur différente, mais tout aussi mémorable.
Madame ondule à nouveau sur mon corps, pleinement consciente de son emprise érotique, de son pouvoir sexuel. Elle laisse échapper ce petit rire qui m'emporte. Je suis en nage. Mon excitation n'a fait qu'augmenter, en dépit des morsures qui ont repris et auxquelles n'échappent désormais ni mes fesses ni mes cuisses. Je n'ai pas compté mais, si cela avait été le cas, j'aurais perdu le fil depuis longtemps. Soudain, ses mains empoignent mon bassin, le soulèvent avec autorité. Mes chevilles et mes poignets tirent sur les liens. Mes sens s'affolent, je crains de comprendre. Je bloque ma respiration. Les mains de Madame glissent sur mes fesses et les maintiennent. Mes grandes lèvres. Une ultime morsure. A pleines dents. Cette fois, je crie.
Je tremble en retombant sur le ventre. Madame s’allonge sur moi avec douceur. Elle m’étreint, caresse lentement ma peau, chuchote à mon oreille. Je respire profondément son odeur. La douleur commence à s’éloigner, je la regrette presque. Elle ne laissera qu’une sensation résiduelle, de celles qui persistent encore quelques heures avant de s’évanouir. Mais en cet instant, mon ventre continue de brûler et mon excitation sexuelle a encore augmenté. A la façon dont Madame se colle à moi, je sais que les morsures n’ont pas tout assouvi. Je suis écartelée, mais pas sans ressources. Je me cale sur son rythme. Une odeur de sexe envahit la chambre. Madame a ouvert le sac. Puis branché son wand.
…….
Il parait que, plus tard, j’ai traversé pour aller à la salle de bain uniquement vêtue de mes traces de morsures. Mais de ça, je ne me souviens pas du tout.
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Il dit « aie confiance » il dit « je suis ton guide ton protecteur » il dit…
Comment lui dire, oui je veux ! Mais savez vous monsieur comme ce que vous demandez est dur !
Comme la confiance trahie fait souffrir et peu détruire.
Ma confiance, mon cœur, mon âme un autre les a déjà tenu entre ses mains.
Des années…belles et douces…construire ensemble, être a l’écoute, deviner ses désirs, ses besoins, ses envies, lui donner ce dont il a besoin, l'accompagner le faire grandir, faire ses choix en fonction de lui, de nous, d'abord sans renoncer à soi, et puis… sentir qu'il s’éloigne un peu, non pas loin…juste un pas de retrait, accepter un écart, un mensonge, un oubli
Et puis
Et puis
Et puis…
La douleur ! La brûlure ! Un coup si violent que le souffle est coupé, combien de minutes ? Combien de secondes ? Je ne le saurais jamais…c’est ce tout petit bout de vie dans mon ventre qui m'a fait revenir, ramené le souffle dans ma gorge , pour laisser s’échapper le sanglot…
Non il ne m'a pas touchée pas maltraitée, il m'a détruite
Adieu insouciance, adieu confiance, adieu amour, adieu la femme qui pouvait affronter le monde.
Et bonjour la peur, le doute, le regret le remords, la culpabilité alors que je n'ai rien fait, la culpabilité parce que je n'ai rien fait, rien vu, rien décelé.
Et puis l’humiliation, la pitié, le regard des proches qui change
Pour sauver trois vies j'ai oublié la mienne, le croire, le croire encore le croire toujours quand il dit qu’il m’aime encore, quand la dépression l'emporte… sauver son image pour ne pas qu'il sombre, accepter la responsabilité de ses choix a lui, le poids de ses fautes, devenir aux yeux des autres celle que je ne suis pas, devenir a mes yeux, juste le souvenir de moi
Avancer encore, encore…un pas et puis un autre , le porter comme un cadavre vers la résurrection et comprendre au final que j’ai donné ma vie pour la sienne, le diable ne rend pas une âme sans un échange.
Comprendre que le jeune homme doux et attentionné est devenu en 20 ans un pervers manipulateur.
Il dit « aie confiance » il dit « je suis ton guide ton protecteur » il dit…
Comment lui dire, OUI ! je le veux, c'est mon cœur qui a peur c'est ma peur qui ne veut pas !
Personne n'a jamais levé la main sur moi pourtant je connais le syndrome de la femme battue.
Je ne pourrais pas, pas encore une fois…
Esclave, meuble, serpillière je l'ai déjà été, je l'ai subi…et comprenne qui pourra c’est une manière d'assumer ma force et mon contrôle de moi qui me pousse a devenir soumise…mais par choix !
Il dit « aie confiance » il dit « je suis ton guide ton protecteur » il dit…
Ho mon ami, mon guide, je voudrais tellement m'oublier dans vos bras, pour mieux me retrouver, pour me renouveler, pour papillon ou phénix redevenir vraiment vivante.
Bien sur ce monde que je découvre m’inquiète, mais ce n’est pas cela qui me retient.
La douleur physique avec patience et pas a pas je saurai la gérer, dissocier nos parenthèses de ma vie personnelle je saurai le gérer…
Je suis née pour cela, je suis une femme qui gère qui organise qui supporte la responsabilité…
Mais la peur…la peur irrationnelle, diffuse, latente…et la peur de la peur !
Il dit « aie confiance » il dit « je suis ton guide ton protecteur » il dit…
Il dit que je suis belle, il dit que je suis chienne, il dit les mots qui chauffent mon âme, qui réveille l'animal en moi, la flamme, l’envie, la vie.
Ma raison dit sûreté, mon corps crie plaisir, mon âme réclame l'abandon, mon cœur rêve tendresse
Et puis ce besoin sourd, fort de me livrer, de m'exprimer de dire qui je suis, qui je rêve…
Oui lecteur tu es fatigué du coup de la femme bafouée, du énième coup du j'existe, peut-être même de la banalité, des mots et des idées, tu n’étais pas obligé de me suivre jusqu'ici…le calvaire est bientôt terminé.
Il dit « aie confiance » il dit « je suis ton guide ton protecteur » il dit…
Je dis je veux apprendre, je veux donner, je veux pleurer, je veux tout lâcher, je veux vos yeux dans les miens qui dictent, qui encouragent, je veux votre voix à mon oreille votre souffle dans mon cou…
Oui j'accepterai la souffrance s'il y a la tendresse oui je m'en remettrai a vous, oui mon corps sera votre objet, mais ne faites jamais de moi un meuble juste posé dans un coin de votre vie.
Il dit « aie confiance » il dit « je suis ton guide ton protecteur » il dit…
Sortez moi de la peur, sortez moi de l'oubli
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C’est un afterwork comme les autres : des gens papotent un verre à la main, de la musique en fond, ça fume, certains sont assis, d’autres debout…
Je te cherche du regard ; je sais que tu es là, dans cette foule bruyante. Après cette journée passée à m’envoyer des messages brûlants, tu m’as invitée à cette soirée en sachant que je mourrais d’envie de te retrouver seul, et surtout, chez toi. Connard un jour, connard toujours…
Mon regard finit par se poser sur toi, et je te vois en train de discuter avec une femme, jeune, jolie et mince. Vous êtes souriants, je te sens avenant, tu veux que je te voie en chasse… Je ne sais pas trop pourquoi, mais tu aimes le sentiment que cela provoque en moi. Tu aimes me sentir hésitante et tester ma potentielle jalousie, parce que tu sais que le plus jaloux de nous deux, c’est toi. Tu aimes jouer de mon manque de confiance en moi, mais ce que tu aimes surtout, c’est que je te désire, et que de mon désir et ma frustration naisse mon ressentiment. Très bien… Tu veux jouer ?
L’alcool et la chaleur aidant, je vide mon verre d’un trait, remonte ma jupe sur mes cuisses et baisse mon décolleté sur mes seins désormais pigeonnants. Dans ce genre de soirée, je suis plutôt de celles qui font déconnent avec leurs potes et font tranquillement connaissance avec les gens. Je laisse les danses lourdes de sous-entendus aux autres, à celles qui s’assument assez pour pouvoir entrer dans un jeu de séduction frontal.
J’ai suffisamment bu pour commencer à me déhancher sans aucune subtilité sur la musique qui passe. Tu me pousses dans mes retranchements et ça me rend furieuse... Entre toi et moi, il y a tout ce truc complexe autour du désir, du nôtre et de celui des autres. Tu voudrais que je me sente belle et bonne. J’en ai envie aussi, mais mon corps me bloque...
Des copines légèrement avinées - pour la plupart célibataires et en chasse viennent se joindre à ma danse. Nos amis ne tardent pas à nous rejoindre aussi. Nous formons un méli-mélo de gens à l’esprit échauffé par l’alcool, la musique, et la proximité des corps. Je sens un des mecs passer ses mains autour de ma taille et m’attirer à lui. Je me colle à lui… Il commence à me peloter sans aucune discrétion. Je ne sais pas trop ce que je fais, mais je me sens bien…
D’un coup, je suis brutalement arrachée à mon étreinte toute récemment nouée. Je te vois face à moi, hagard et rouge. Tu as l’air furax et je ne peux pas m’empêcher de réprimer un petit rictus : alors, qui est le plus jaloux d’entre nous deux ? Où sont passés ton self-control ainsi que l’homme souriant, avenant et charmeur de tout à l’heure ? Toi qui croyais pouvoir m’avoir à ce petit jeu malsain, tu t’es bien fait avoir.
Tu me prends par le bras et m’emmènes hors de la pièce centrale. Je te suis le long du couloir. Des pensées contradictoires se bousculent dans ma tête ; jouer sur la mauvaise image que j’ai de moi, est-ce une manière pour toi de garder le contrôle sur mes envies et mon désir ? Ou au contraire, cherches-tu réellement à me libérer ? Je peste, tu es un sale connard manipulateur et je t’en veux terriblement de chercher à appuyer là où ça fait mal, en tentant de vouloir jouer avec mes cordes sensibles... Et en même temps, j’ai envie de ton corps sur le mien depuis ce matin…
Mes réflexions sont coupées par ta main qui me tire vers une chambre inoccupée que tu as réussi à trouver au bout de plusieurs essais infructueux. Tu fermes la porte à clef, je fais face à ta colère, à tes sourcils froncés et à ta mine crispée. Je suis aussi en colère mais j’ai envie de toi ; je te saute dessus dans un mélange de frustration, d’agressivité et de désir.
Tu me repousses, saisis mes cheveux et me mets à genoux sur le lit. Tu sors mes seins de mon soutien-gorge. Comme je m’y attendais, tes claques ne tardent pas à tomber : tu les frappes du plat de la main, durement et sans pitié. Tu me bats les seins. J’ai envie que tu me laisses des traces, rouges et brûlantes… J’ai envie d’avoir mal, que ça claque et de sentir tes marques imprimées profondément dans ma chair, et tu en as pleinement conscience... Tu m’embrasses à pleine bouche. La douceur de tes lèvres contraste totalement avec la brutalité de tes mains sur ma poitrine. Tu tords mes tétons, je brûle d’envie pour toi…
J’imagine ton corps chaud sur le mien, j’ai envie d’empoigner tes cheveux, de sentir ton désir planté au plus profond de moi… J’ai envie de toi dans mon sexe, de ton torse collé au mien, de ta sueur mêlée à la mienne, d’avoir le souffle coupé à cause de ton poids sur mon corps… De haleter, d’entendre toutes sortes de bruits, ceux de l’amour… De sentir ta respiration s’accélérer et tes halètements s’intensifier… De voir tes yeux s’entrouvrir et se refermer… De te sentir te retenir, contenir et contrôler ton plaisir, pour finir par exploser en moi… J’ai envie que tu sentes à quel point je te désire, que tu voies ma chair de poule, mon sexe qui s’entrouvre et se prépare pour toi…
Je te le dis. Je te dis tout ça. Tu aimerais faire semblant de me punir pour avoir de telles pensées, mais je sais que tu en as trop envie aussi…
Mes seins sont écarlates et brûlants : tu as l’air plutôt fier de toi. Mon désir m’aide à supporter la douleur, mais je suis au bord des larmes… Tu me fais de plus en plus mal, et ton petit jeu de jalousie m’a mise hors de moi. Ce n’est pas seulement ma douleur que tu vois là : ce sont mes insécurités, mon manque de confiancei, mes doutes, et tout ce qui va avec.
Tu caresses doucement mon visage et finis par me coller une grosse baffe. Une deuxième tombe, puis une troisième. Et ainsi de suite. Tu ne t’arrêtes plus, tu me sais prête à céder à la douleur…
Les larmes tombent : tu as gagné.
Mes sanglots et gémissements t’excitent, tu me l’as toujours dit. Tu as toujours aimé me mettre dans des états d’inconfort extrême... Abaisser mes défenses, aller au-delà de mon caractère parfois volcanique, me voir à nu, dans tous les sens du terme. Tu me regardes longuement...
Tu finis par m’allonger sur le lit en m’embrassant. Tu embrasses chaque parcelle de mon corps, en partant de ma bouche jusqu’à aller vers mon sexe. Tu couvres ma poitrine endolorie de baisers, tu panses les douleurs que tu m’as infligées. Tu es douceur, caressant chaque centimètre de peau à pleine main. Mes larmes continuent de couler, mais ce ne sont plus des larmes de douleur et de peine...
Tu embrasses mon corps
Chaque cicatrice, chaque pli replet,
Chaque marque, chaque bourrelet…
Tu me chuchotes que tu m’aimes, encore et encore
Que je suis belle comme le jour
Que mon corps est ton abri
Et tu me fais l’amour
Ta douceur est infinie
Et petit à petit, ton désir me guérit…
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*Le kintsugi serait apparu lorsque, à la fin du xve siècle, le shogun Ashikaga Yoshimasa a renvoyé en Chine un bol de thé chinois endommagé pour le faire réparer. Le bol étant revenu réparé avec de vilaines agrafes métalliques, les artisans japonais auraient cherché un moyen de réparation plus esthétique. Cela découle d'une philosophie qui prend en compte le passé de l'objet, son histoire et donc les accidents éventuels qu'il a pu connaitre. La casse d'une céramique ne signifie plus sa fin ou sa mise au rebut, mais un renouveau, le début d'un autre cycle et une continuité dans son utilisation.
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le 1er mai, je posais le pied dans cet univers inconnu, effrayant, redouté mais pourtant si attirant, envoûtant.
Silhouette invisible au milieu de la foule, personnalité lisse sans aspérité, réputation de sainte nitouche, frigide et coincée, maman, épouse et fille dévouée, et là un autre moi profond sortait de sa réserve, sans crier gare.
Magie du web, et jeu du destin, sur ce site BDSM, je pose les cartes qui guideront mon chemin.
Les premiers échanges, les premières photos, je circule, je formule, je répond, je questionne, je ris, je râle.
De fil en aiguille, je tisse des liens, et puis dans ma liste d'amis, il vient.
Rapidement, il me conseille, puis il met mes sens en éveil.
Un petit jeu commence dont j'accepte les règles. Je prend plaisir à ces échanges et m'applique à mes écrits.
Puis vient la conclusion de ce jeu de séduction, le réel doit prendre place et matérialiser le fantasme.
Inconscience ou témérité, comment ai-je pu être si culotté? Aujourd'hui encore je m'en étonne.
Ai-je été portée, transportée, que dis-je téléportée?
En tête à tête, Il a osé me troubler un peu plus, moi déjà si tremblante. Sans fard, ni artifice, les mots si doux dans ma bouche sonnaient étrangement à mes oreilles. Ma raison m'alertait du danger imminent alors que mon corps et mon sexe brûlaient de voracité.
De toute ma volonté, je lui ai demandé de me montrer, il a accepté de prendre les rênes de ma nouvelle entité.
Depuis nous avons cheminé. Des hauts et des bas, nous avons traversés. Les étapes l'une près l'autre il me fait passer, mes barrières, il les fait exploser.
Je laisse enfin la place, à toutes mes personnalités, pour les uns je suis frigide, cul-serré, avec lui je suis devenue sa chienne, sa salope et sa putasse, qui ose dire oui avec envie.
Un an a passé et je me demande encore ce qui a pu m'arriver. J'ai découvert un monde nouveau, moins effrayant, moins redouté, mais toujours aussi envoûtant et attirant.
Ce que je retiens de cette première année, la peur et les doutes des débuts qui se sont envolés, pour laisser place à la confiance, le plaisir et l'envie d'en apprendre toujours plus.
Ce qui me marque le plus est que je n'imaginais pas une seconde que je goûtais là une drogue douce et insidieuse qui vous pénètre dans les veines et envahit votre cerveau. Aucune autre addiction ne me dicte sa loi. Mais je suis prise au piège, la bride au cou, aucune journée ne se passe sans qu'une pensée ne vienne s'insinuer au milieu de mon quotidien déréglé.
Dépendante de lui, vous n'y pensez pas!! et pourtant, si ! je dois bien l'avouer.
Un an a passé, mes deux mondes se croisent, je suis l'une, et puis l'autre, formant un équilibre nouveau.
Il me reste beaucoup de chemin à parcourir, et autant de personnes à découvrir.
Le jour où cela finira, je n'y pense pas, je prends ma dose tant qu'il est encore temps. Le temps du sevrage n'est pas encore là.
Merci mon Dom, de me supporter, de me guider, de m'encourager, de me préserver, de me protéger.
Merci mes amis de vos conseils, de vos sourires, de votre présence
Merci BDSM.fr
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Je t'attends, à genoux. J'ai preparé le salon, suivant tes instructions... une ambiance, des jouets allignés...
Je ferme les yeux, un peu d'appréhension... je laisse mes ongles glisser sur mes cuisses, une main s'attarde sur mon sexe... je me concentre sur mon plaisir, cherche à me détendre... j'aime ces caresses humides, chaudes... je m'aventure en moi, mes cuisses s'ouvrent...
Ta main se pose sur mon épaule, et je me fige... je ne t'ai pas entendu arrivé... ai je mal fait de me caresser?
"Continue" Je reprends un peu mal adroitement mes gestes... je sens le cuir autour de mon cou... mon collier... tes mains me caressent, s'emparrent de mes seins, ils ont pris de l'ampleur et tu t'amuses avec mes tétons... c'est sensible, j'aimerais me rebeller... mais.. . Je te laisse faire, je gémis par moment... je tente de me concentrer sur mes doigts, mon sexe... tes doigts s'ajoutent aux miens, m'ouvre un peu plus... me guide un peu, vers un orgasme.. mon corps contre ton torse mon sein emprisonné dans ta main... je cède, ruisselle...
Tu m'invites à m'appuyer sur la table, te présenter mes fesses blanches... les caresses doucement avant de me faire sentir le martinet.... alternant le dos, mes cuisses, mon cul... je gémis, s'avoure cet instant... Tu me demandes si ca va... je te réponds, encore.
Tu poursuis, ta main claque sur mes fesses, qui se réchauffent un peu plus... je me laisse aller... tes doigts me pénètrent, je gémis... je sens ton sexe forcer mon cul...peu à peu je t'accueille... je viens à ta rencontre... tes mains sur mes hanches m'impose ton rythme, provoque mes râles. Le plaisir nous envahit, tu y cèdes, te répends en moi... T'absente un instant, je reprends mon souffle doucement... Tu reviens glisser tes doigts en moi.... il ne faut pas longtemps pour que je coule, encore et encore...
Tu finis par me laisser révenir doucement à moi... avant de retirer mon collier, avec un baiser...
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Le noir. Rien que lui. La bouche ouverte et baveuse sur une boule de cuir attachée fermement autour de mon cou. Les mains menottées autour d’une tringle métallique. J’entendais Ses talons claquer le parquet ciré depuis un long moment désormais. Elle aimait m’abandonner piteusement, nu et encagé, dans un placard où flottaient Ses robes légères et Ses guêpières de dentelle noire. Son parfum m’envahissait, me faisait frémir. Dès que je l’entendais s’approcher, je pensais qu’Elle allait venir ouvrir la porte pour tourmenter un peu plus celui qui éprouvait une Frustration et un Plaisir difficiles à décrire.
Lorsqu’enfin Elle vint constater si je bavais toujours et si je coulais irrépressiblement, Elle se saisit de ma cage, l’entoura de Ses mains, et fit glisser Ses doigts pour effleurer un gland qui n’attendait que ça pour grossir et se frotter aux barreaux métalliques et froids. Elle aimait me voir couler. Deux semaines que je n’avais pas joui. Son sourire en coin, et Sa voix pour me dire que je n’étais pas prêt d’être libéré me faisait tressauter. Je n’étais pas au bout de mes peines. La porte se referma.
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Tu me regardes très complice
Attendant mes doux supplices
Ma badine caresse tes cuisses
Habillée de dentelles et cuir
Je t'attache et tu me souris
Je vais pourtant te punir
Une main dévouée à sévir
Te fesse, attise mes désirs
Jusqu'à te faire rougir
Te sentant bien mouillée
Vers ton sexe, je me suis penché
Pour aller vérifier cette humidité
Tes lèvres bien écartées
Je commence à flatter
Les contours du point G
Tu gémis et te tortille
Là, je saisis la torpille
Le gros gode qui t'émoustille
Entravée, à ma merci
Je suis plein d'envie
Alors que je te l'introduis
Avec douceur dans ta faille
Ce phallus de fort belle taille
Te remplit jusqu'aux entrailles
Je le laisse en toi planté
Je m'occupe avec doigté
De ton autre intimité
L'anneau est doux au toucher
Mon majeur vient le boucher
S'attarde à s'y enfoncer
Je vais, viens, te voilà prise
Toi la soumise si expressive
Tu excites ma gourmandise
Je te lime, tu prends plaisir
J'aime ainsi te faire jouir
Jusqu'à hurler de délice
Le 27 03 2017 fiction
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Pfuit ! Un sifflement, il est l'heure de sortir le chien. Celui-ci se redresse, il est grand et bipède ! Il me ressemble beaucoup, c'est normal, c'est moi ! C'est un chien qui porte, comme souvent, sa combinaison en résille (comme un p'tit fien qui ne doit pas prendre froid ! et c'est vrai, elle tient chaud), une combinaison ouverte à l'entrejambe.
Maîtresse siffle à nouveau, je me précipite, lui offre mon cou et elle n'a plus qu'à fixer la laisse au collier que je porte déjà. Je suis tout excité, car j'ai envie et besoin de sortir, et je remue la queue, comme je peux (Maîtresse ne m'a pas affublé d'un appendice caudal fixé analement, alors je tords des fesses et remue mon sexe, et n'étant pas un yogi, je dois être passablement ridicule - c'est ce que Maîtresse aime) !!!
Elle ouvre la porte et m'emmène dans le jardin. Dans ces circonstances, je me dois de me déplacer à quatre pattes dans l'herbe. Maîtresse aime bien me tenir en laisse, me tirer dans un sens ou dans l'autre et je m'efforce de suivre son rythme, ce qui n'est pas très aisé dans ma situation de quadrupède. Elle aime bien aussi me faire faire quelques exercices, des exercices de chien: assis, debout, couché ! Et il faut que je m'exécute parfaitement, sinon je reçois un petit coup de cravache (Maîtresse ne sort jamais sans sa cravache, un modèle simple pour l'équitation, avec une tête de cheval au pommeau et une petite main à l'autre extrémité, mmm cette main !).
Madame apprécie également de me voir gambader. Alors elle me détache et je pars au fond du jardin, vais dans un sens, puis dans l'autre, m'arrête un peu, puis repars. Puis tout à coup elle s'écrie: "pipi le chien !". Enfin ! Aujourd'hui cet ordre est arrivé bien tardivement et ma vessie est bien pleine; heureusement que j'étais en mouvement, sinon je n'aurais plus pu me retenir !
N'y tenant plus, j'avise une grosse pierre à proximité, je lève la patte et commence à me soulager. Mais avez-vous déjà tenté cette expérience de pisser comme un chien dans un corps qui n'est pas fait pour cela ? L'ergonomie n'est pas bonne, je n'arrive pas à bien orienter le jet et je commence à en mettre partout: soit mon urine rebondit sur la pierre et m'éclabousse, soit elle coule sous moi en abondance et forme une flaque dans laquelle je patauge ! Ces sensations ne sont pas pour déplaire à un uro-addict comme moi, mais la situation énerve vivement Maîtresse, qui s'approche en me traitant de tous les noms (de cochon même, ce qui est un comble pour un chien !), me rattache en laisse, me tire et appuie sur mon visage pour me mettre la truffe dans ma pisse.
"Reste comme ça, relève les fesses et écarte les jambes, sale chien !" Je comprends que je ne vais pas pouvoir échapper à une punition; je suis à la fois penaud et excité, je bande même un peu, m'attendant, vue ma position, à être sodomisé. Mais pas du tout, Maîtresse n'a pas envie de me donner ce plaisir; elle souhaiterait plutôt me donner la fessée, comme à un vilain garnement, mais comme risquer de se salir lui répugne, elle opte pour ce qui lui passe par la tête, ou plutôt pour ce qu'elle tient dans la main: la cravache ! Une bonne série de coups sur les fesses, entre les fesses, sur les testicules, sur le sexe, de quoi me faire réfléchir aux règles élémentaires de l'hygiène ! De quoi me faire sursauter également. De la douleur et des rougeurs pour moi, et du plaisir aussi. Et nous n'en avions pas encore fini ...
"Maintenant, allonge-toi dans ta pisse, sale chien !" Et me voilà à plat ventre, reposant dans ma flaque, et me demandant ce qui allait suivre. Le temps que mes parties rougies par la cravache se refroidissent un peu et qu'en échange l'humidité de mon urine remonte le long de mon ventre, une nouvelle sensation surgit. C'est chaud, liquide, ça s'écoule sur mon dos, puis jusqu'au sol pour faire grossir la flaque jaune. Maîtresse se soulage sur moi ! Interminablement. Puis elle s'essuie avec un petit mouchoir qu'elle vient placer dans ma bouche.
Il y a donc bien deux manières de pisser: celle du chien, maladroite, sale et punissable, et celle de la maîtresse, délectable. Maîtresse qui d'habitude verse l'intégralité de son urine dans ma bouche, m'a donné une bonne leçon et m'a doublement puni (rien à boire et un corps bien souillé); j'en suis bien conscient, mais je suis aux anges !!!
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Arrière pays méditerranéen, au printemps. Au deuxième jour d'un week-end de jeux, donc déjà après de bons moments de plaisirs partagés, avec une partenaire souvent sur la même longueur d'onde que moi.
La randonnée en moyenne montagne est très agréable, pas trop physique, avec de beaux paysages, de belles vues, un côté sauvage et hors des sentiers battus. Il fait plutôt chaud, je transpire, elle boit. Nous parlons de choses et d'autres, et pas seulement de sujets coquins !
Le temps d'une pause bien méritée arrive. Nous nous éloignons du chemin et gagnons un espace assez plat, recouvert d'une confortable épaisseur d'herbe. Nous nous allongeons côte à côte, au soleil, parés pour une petite sieste, et continuons à deviser un peu.
Soudain, elle se lève, et, ô surprise, enlève le bas. Elle se positionne au-dessus de moi, une jambe de chaque côté de ma tête, son sexe nu offert à mon regard, quel plaisir des yeux pour moi. Puis elle se baisse et s'accroupit lentement jusqu'à effleurer mon visage, je crois comprendre ce dont elle a envie. Je commence à la lécher doucement, puis de plus en plus ardemment; elle sait que j'adore cela et je sais qu'elle l'adore également; pour preuve son sexe est de plus en plus humide et je la sens et l'entends frémir.
Mais son désir de l'instant est tout autre, mon esprit concentré sur le cunnilingus ne l'avait pas envisagé ! Tout à coup, un liquide plus chaud, abondant et au goût prononcé se déverse sur moi; elle est en train de se soulager tout en prenant du plaisir. Cela n'interrompt pas mon excitation, bien au contraire; je bois autant que je le peux, tout en continuant de la titiller de ma langue. Son écoulement me semble durer une éternité, je n'avais pas saisi qu'elle avait tellement bu. Je poursuis mes caresses jusqu'à sa jouissance qui toujours me met en joie. Mon visage est aussi humide que son sexe, l'odeur et le goût de sa cyprine et de son urine s'y mêlent, je suis aux anges !
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Comme à son habitude, en cette fin de semaine, elle n'utilise pas son chauffeur pour se rendre à son travail. Elle choisit de déambuler sur le boulevard circulaire du quartier de la Défense. Croiser des gens qui errent, où se traînent tous ses destins pour qu'elle puisse enfin être seulement elle. Consciente de sa position sociale, responsable du sort de milliers d'âmes qui survivent sous sa coupe. Elle n'en reste pas moins une femme avec ses états d'esprits, ses défauts et ses qualités.
Ce qu'elle apprécie le plus dans ce pèlerinage c'est d'entendre claquer ses talons sur l'asphalte. Voir son tailleur se mouvoir dans les vitres glaces au rythme de ses hanches. Elle est une femme que l'on remarque, qui a de la prestance, elle est grande, "pulpeusement" ronde mais ce qui fait tout c'est son regard... Ses yeux sont dorés, son regard n'a pas besoin de discours, ils parlent et gèlent le sang de celui qui en fait les frais!
Elle passe la double porte de verre, remarque que le garde n'est pas à son poste. Commence alors la ronde des "Bonjour Madame" des têtes qui se penchent légèrement vers l'avant en pressant le pas. Intérieurement, elle jubile!
La nouvelle demoiselle de l'accueil est derrière son guichet, elle est entrain de papoter avec devinez qui? Le garde de la porte d'entrée...
-Cher Monsieur Merson comment allez vous?
L'homme en uniforme se retourne précipitamment tout en baissant les yeux...
-Bien merci Madame Altones et vous même?
-Je vais bien je vous remercie de vous en inquiétez! Mais j'aurais pu vous le dire il y a déjà au moins cinq minutes si vous aviez été à votre poste dès mon arrivée...
-Je vous prie de bien vouloir m'excu...
-Vous n'auriez pas à me présenter des excuses si... Alors ne m'en présentez pas lorsque vous pourriez vous en dispenser si vous n'aviez pas été en faute!
Sur ce le garde encore secoué presse le pas pour regagner son poste.
Elle est de celles qui pensent que s'excuser n'a pas de valeur lorsque cela aurait pu être éviter. Il suffit à bon nombre d'anticiper, de se poser les bonnes questions lors d'actions qui pourraient nuire à autrui. Son regard se porte sur la demoiselle qui s'est paré d'un rouge aux joues très révélateur...
-Mademoiselle, je comprends aisément que votre charme puisse faire tourner la tête de Monsieur Merson. En dehors des heures de bureau vos vies privées ne me regardent pas mais ici je souhaite que chacun accomplisse la tâche qui lui est dû. A l'avenir je vous pris de ne pas avoir peur de dire à Monsieur Merson que tous deux avez un travail à assumer. Puis affirmez vous devant les hommes! Conseil d'amie...
La jeune femme ne su que répondre et resta bouche bée devant ce ton ferme mais empli de bienveillance à son égard. Sans s'attarder Eva se dirige vers les ascenseurs, là, seule, dans la mâchoire d'acier qui la hisse dans sa tour d'ivoire, elle se perd dans le tourbillon de ses pensées. Son planning est chargé, sa secrétaire va sûrement lui annoncer à son arrivée que de nouveaux rendez vous ont été glissé à des horaires insupportables. Mais ce qui la rassure c'est que ce soir elle va pouvoir se prélasser. Dommage qu'elle n'ait pas un homme sous sa coupe actuellement pour palier à ses besoins... Car si elle a bien un défaut c'est celui de ne pas savoir lâcher prise. Elle en est incapable, depuis toute jeune la vie l'a forcé à tout maîtriser, à commencer par elle. Rien d'étonnant à ce que dans ses relations intimes cela soit pareil. Elle est une Dominatrice comme la nomme les initiés. Peu importe ce qu'elle est, elle est avant tout une femme hors normes, qui assume son plaisir différent en soumettant un homme. Pas pour qu'il devienne un homme à tout faire! Elle ne le supporterai pas mais un homme présent, une épaule sur laquelle se reposer et assez confiant pour lui remettre les clefs de sens envies perverses. Au delà de l'aspect sexuel divergent, elle souhaite un compagnon de vie mais sans la routine des vies vanille. Elle veut une coupe chocolat/vanille pour parfumer son existence d'effluves d'humidités palpitantes.
Les portes s'ouvrent et la sort de sa rêverie surtout lorsqu'elle aperçoit sa secrétaire pincer les commissures de sa bouche. Eva comprend que les nouvelles ne vont pas la satisfaire...
-Madame Altones, Richard a téléphoné... Je cite: "Si nous ne voulons pas que le marché avec Tokyo nous échappe, tu dois te rendre ce soir au dîner de bienfaisance de Monsieur Yan Tsong qui sera donné au Grand Palais, j'y serais pour vingt heures. Notre générosité sera récompensée!"
-Quoi?! Ah non pas ce soir! Appelez Richard, passez le moi dans mon bureau! Merci Mathilde...
Eva pose son sac, son attaché-case sur le fauteuil face à son bureau, regarde par la baie vitrée le manège des gens pressés de la Défense. A la première sonnerie de son téléphone, elle se précipite pour décrocher.
-Richard Madame, ne quittez pas!
-Allo ma grande comment vas tu?
-J'irais bien mieux si ce soir je n'allais pas à ce dîner de bienfaisance...
-Allons allons, tu sais bien que mes charmes ne sont pas à ta hauteur! Si nous voulons décrocher ce contrat tu vas devoir te parer de tes plus beaux atours!
-Oh Richard... Je suis fatiguée! Usée de devoir continuellement oeuvrer pour le bien de la société...
-Usée?! Tu ne peux pas l'être ma douce... Pas du haut de tes trente neuf ans! Puis une fois ce contrat décroché tu pourras t'éclipser si tu le souhaites. Aller zou! En piste!
-Je serais là vers vingt heures trente...
-Bisous à ce soir! Je suis ravi que tu viennes cela fait un bon petit moment que nous ne nous sommes pas vus!
-Bisous Richard...
Décidément Eva ne peut rien refuser à son ami Richard, il a toujours les mots pour la faire céder. Non pas ses mots, simplement leur amitié ancestrale qui la fait plier devant cet homme, ce confident de toujours, celui qui sait tout! Il n'y a jamais eu d'ambiguïté entre eux, puisque Richard aime les hommes et ne voit en Eva que la petite soeur qu'il n'a jamais eu la chance d'avoir.
Eva décroche son téléphone, appuie sur une touche.
-Mathilde, pouvez vous s'il vous plait appelez Linda, lui dire de me faire parvenir une tenue de soirée, je la veux noire et aussi une paire de talons aiguilles noir aussi... Qu'elle pense que c'est pour un dîner de bienfaisance, du japonisant fera bien l'affaire... Pour les accessoires je lui fais confiance mais pas outrageux s'il vous plait.
-Bien sûr Madame. Autre chose?
-Non ce sera tout Mathilde pour le moment. Merci.
Une fois raccrocher Eva retire ses escarpins car elle sait que cette journée va être éreintante.
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Accroché a tes lèvres, mon regard est médusé..
Comment fais-tu Insoumise ? Femme Soumise de cet instant
Scellée, ton corps sur ton âme, étirée dans ce film, isolée du lien.
Repousser tes limites, repousser.. un peu plus loin,
Un peu plus près, un peu plus serré… momifiée.
« Inspire à fond »
« HAAAAaaaaaaaaaaaPPpp !! …. »
Te voilà seule maintenant, je ferme ton cocon.. hermétique.
Respirer, respirer, respirer.. dans un sarcophage.
[…]
Les secondes trottent, pulsent dans ta tête, ton cœur défendant
Pas d’issue, pas d’air, pas de mouvements, sauf peut être
La trotteuse qui tourne et ta bouche qui aspire et souffle
Ma main posée sur ton crane, veille…
Inspire, expire,
Inspire… expire..
…. Inspire…
…. Expire….
[…]
…. Inspire…
[…]
…. Expire….
[…]
…. Inspire…
[…]
…. Expire….
[…]
Manque… tu manques… la buée sature le film
Ton corps veut vivre.. tu cherches à sortir, spasmes d’extraction..
Soumise tu es, Insoumise. Soumise au Lien.
Bouche grande ouverte.. 10 microns de plastique te séparent de ton appel d’air
[…]
Mon index vient caresser ta bouche, faisant le tour cyniquement
La peau infime et tendue, n’appelle que mon bon vouloir
Excitation perverse, d’un contrôle immoral
Mon ongle vient doucement cisailler sur tes dents
Mon doigt pénétrant, la membrane se déchire
INSPIRE !!!!!
Frénétiquement, l’air te redonne la vie..
Respire, Respire, Respire..
Ma bouche vient embrasser ta ligne rouge
Il est temps maintenant, que mon Objet cesse de me méduser.
Écartant tes lèvres, et passant ma main sur ta gorge
Je plonge ma queue dans cette bouche, cherchant la chaleur profonde…
Soumise j’ai dit !
Tu étouffais, je vais maintenant te noyer..
Abusant mon objet offert, jubilant de puissance
Envie bestiale arque bouté par ma conscience,
Je veille sur l’objet de mon plaisir… Inspire…
Avec mon plus profond respect,
Ma soum.. vous me médusez.
Parloire
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16 aime
Troublant, pressant
Ton corps me submergeant
M'envahit sans ménagement
Me rends agissant
Ardentes, brûlantes
Tes mains vives, caressantes
Chaudes et passionnées
Me font chavirer
Rouges, troublantes
Tes lèvres envahissantes
Baisent mon corps entier
Me font bien frissonner
Inquisitrice
Ta langue se glisse partout
S'invite avec malice
Dans tous mes interstices
Enfin lascive
Contre mon vît, salive
Ta bouche amatrice
M'avale et quel délice !
Provocatrice
Elle me délaisse, supplice !
Revient ensuite, complice
Sensuelle et protectrice
A mon plaisir
Elle se voue sans faiblir
Poursuivant son désir
Ainsi de me faire jouir
Oh ! c'est parti
La chaleur m'envahit
Et avec elle jaillit
Ma jouissance en sursis
Le 20 02 2017 fiction
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Encore une fois...
Je regarde ce spectacle saisissant où
ton corps se crispe et ta bouche souvre dans ce râle,
Instant sublime d'une effervescence emotionnelle,
Tes yeux vides, fixes tournés sur ta jouissance.
Meme masqués, je les vois figés,
Paroxysme de cette longue et lente ascension
D'un plaisir solitaire ... mais tellement partagé.
Tu me livres alors ouverte pleine et a moi
Entre douleur et liberation cet intense emotion exultante
Qui te fais tellement briller a mes yeux..
Plus tôt alors,
Je t'ai prise, Insoumise, en te regardant droit dans les yeux.
Ton regard se fait plus accueillant, mais ta façade ne me trompe plus.
Je sais que tu me cracherais a la gueule plutot que t'agenouiller sous ma demande.
La douceur ne fais que t'agacer d'avantage, t'expliquer où est ta place a mes pieds te fait doucement ricaner..
Face a face, toujours en attente de mon caprice, tu attends.
Je ne te demande plus de te mettre a genoux
Le temps s'etire trop et tu joues les vieilles douleurs
Ma main saisit, large et puissante, et puis te plie a ta place, pliée fermement.
Pas de place pour ta résistance, à mon injonction physique
Mon mot devient: a ta place! Et l'amour soujacent ne laisse place au doute.
par reflexe, tes genoux cedent, et tes jambes s'ecartent deja
assise sur tes talons tu te cambres, sexuelle..
Tes seins gonflés et provocants sous ton décolleté plongeant.
Tu places tes mains sur tes cuisses et ta tete reste fiere et dans l'attente .
comme j'aime te voir ainsi ma petite pute
Je tourne autour de toi et t'observe..
Les secondes tombent lourdement sur ta conscience..
"Tu vas devoir suffisement mouiller pour que je te baise,
Et tu sembles bien partie pour recevoir mes doigts plus que ma queue
Tu vas japer comme une chienne pour repartir la queue entre les jambes
Je veux voir la pire saloppe qui est en toi..
Alors, rompu d'avoir baisé mon trou,
Je te laisserai a ton jouet, si tu aura ete suffisement chienne,
et tu me regaleras d'un de tes orgasmes si fantasmatique."
Je posais les règles... tu saurais a quoi t'en tenir.
Je lis ton attente, ton envie d'en découdre
Approchant mon visage a quelques cm de toi
J'articule : "ouvre ta bouche et sort cette langue"
Toute ton insoumission se cristalise dans ton regard, ta façon de déglutir puis d'ouvrir la bouche et de tirer lentement ta langue
"Je t'emmerde, aurait été plus judicieux !"
Tu donnes le ton, petite pute!
Impulsant le rythme de ma reponse a ta demande
"Je vais te plier femelle, et tu vas mouiller pour t'en sortir!"
Une Sorte de rage sourde et sans eclats, me prends les trippes,
nos caracteres dominants s'affrontent, dans un combat immobile
Puissant jeu de pouvoir, tu ne te soumettras jamais de ta propre volonté!
Ma main saisissant ta gorge et mes yeux fambloyants
La force de ma poigne et l'impossibilité d'en echapper
Laissent glisser un hoquet de surprise
Tu as le don de faire sortir ce monstre en moi!
Ton visage rouge et te veines gonflées, tes mains crispent mon bras
Et lascerent de leurs griffes pour t'echapper veinement
L'air t'amplissant de nouveau, la tete te tourne et tu vascilles légèrement..
La main sur ton cou, je te redresse et scrute ton regard ..
Il en faudra beaucoup aujourd'hui pour que tu merites ton jouet!
Tes yeux s'etirent, et un sourrire esquisse le coin de ta bouche..
La femelle alpha ne plie pas comme ça...
Une gifle ferme mais douce vient marquer ta joue, et ton regard commence a craindre la suivante..
Ton arrogance fait basculer ma part complète.
Face a moi, non plus ma Soum, ma pute, mon amour?
Face a moi ma chienne qui veut Dominer..
alors... une seule chose ne peut qu'exister: Ma Domination
Seul objectif : ton corps reduit sous le mien exultant et ma gorge rugissante!
La tempete emotionnelle bat son plein entre nous,
Tu as fait sortir ce monstre Alpha, et tu jubiles d'envie
D'etre laminée comme cette fameuse coquille de noix
Traversant seule les 50emes rugissants!
Les minutes sont longues et intenses. Ta gorge subit sans menagement mes assauts..
Tu devras mouiller en abondance pour recevoir ma queue dans cette brutale penetration.
Ton bassin ondule d'envies, mes mains t'attrapent
Et te placent au grès de mes caprices, que tu suis, non docile, mais forcée
Contrainte... contrainte encore et encore
A faire entrer ton putain de caractère dans cette minuscule boite
Rhhhhhhaaaaa je rage de te baiser ma chienne
Te retournant vivement, sans ménagement mais en t'accompagnant,
Quelques gestes prompts et péremptoires t'imposent la bonne possition
Alors, d'un coup, et d'un seul profond, je te penetre avec violence..
Et baise ma chienne, déchainé de défi et de fureur dominante
Mes mains t'agrippent, t'etranglent avec force
Tu es devenu mon jouet, mon pantin a jouissance.
Soumise de force, et par plaisir d'etre dominée,
Je ressent alors tes barrieres ceder,
Alors...
Mon calice reçoit mon intense et bestial orgasme,
Rugissant vainqueur j'exulte mon rhale
Petrissant ton corps et mordant mon territoire..
"Tu es a Moi tu m'entends?"
Tous les deux haletants, je replie doucement mes bras pour epouser ton corps ,
Cape humaine, tu disparais sous mon amour qui appaise tes maux
Je susurre a ton oreille toute mon admiration pour ton abandon
Et je berce ta conscience, pourqu'elle retrouve sa place
Tu es loin.. si loin.. ma Soum..
Tu as si bien cédé ta place pour que j'exprime mes pulsions..
Caressant ton corps, je te prepare, pour ton moment de grâce
Encore une fois.. je vais regarder l'emotion pure animer ta carapace
Les spasmes de ton bassin vont animer mon envie
Tu vas degager tes phéromones et je vais figer cet instant intemporel
J'aime ce que tu me fais vivre ma Soum
Parloire
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Pour cette histoire, je vous invite à écouter : https://youtu.be/Y69nZWqsCy0
C'est la nuit. La voiture se gare dans une ruelle sombre. Les lampadaires éclairent le sol trempé par la pluie.
La réverbération des ombres jouent avec la lumière de la rue. Vous sortez de la voiture. Je reste assise.
Avec galanterie, vous m'ouvrez la portière et prenez ma main fermement. Le talon de ma jambe droite touche le sol, puis le gauche. Je me retourne pour me lever avec élégance. Avec force, vous me retournez contre la voiture.
Dans mon dos, vous vous agenouillez pour toucher mes chevilles. Vos doigts m'effleurent, je soupire.
Lentement vous remontez mes jambes, prenez le bas de ma jupe crayon et la faîte remonter jusqu'à ma taille.
Vous me lâchez pour regarder la lumière sombre mettre en avant un clair obscur sur mes fesses. De votre main droite, vous me fessez la fesse droite, puis la gauche. Vous m'agrippez. Je tends mes fesses. Vous feignez de me pénétrer. Puis d'un seul coup, vous stoppez. Vous me mettez un loup sur mes yeux faisant ressortir mon regard de tigresse que vous affectionnez.
- Otez votre jupe, elle ne vous sera d'aucune utilité.
- Retournez vous.
Là, vous déchirez mon chemisier. je vois quelques boutons rouler sur le sol et terminer leur course. Je sens votre puissance dans votre regard me pénétrer.
- Viens.
Je marche ainsi, les jambes couvertes de bas noirs, d'une lingerie complètement ouverte offrant à qui le veut mes orifices. Mes seins brillent sous les lumières et sont magnifiés par des bijoux de corps scintillants. Vous me faites porter d'une pare dessus d'épaule en plume d'autruche faisant ressortir mon collier que vous avez pris soin de bien serré.
Juste avant de rentrer, vous me demandez de remettre du rouge à mes lèvres.
-Voila vous êtes parfaite pour ce soir.
Je ne sais pas où nous allons. Nous passons dans un sous sol, puis derrière une porte où se tiennent deux hommes à l'entrée, vous me poussez à l'intérieur. Un homme m'inspecte du regard et soupèse mes seins.
- Retourne toi, le dîtes vous.
Vous faîtes de même avec ma croupe et me donner une bonne fessée.
D'une main,ce maître de cérémonie vous signifie de vous diriger vers une porte close. Une fois que cette dernière fût ouverte, je vis une pièce noire éclairée uniquement avec un jeux de lumière, faisant penser à des rayons de soleil passant à travers un volet. C'est magnifique. Vous me poussez à l'intérieur, tira sur ma crinière en arrière. La main en même temps sur mon collier, vous me murmurez à l'oreille d'être une belle chatte ce soir.
Bienvenue au bar à chattes, me dîtes-vous.
Le concept me fit sourire.
Vous me lachez la main et allez vous installez assis dans un fauteuil rouge, que la lumière laissait deviner. Je compris mieux pourquoi vous vouliez que mes lèvres soit encore plus rouges.
Là, vous m'ordonnez de pavaner comme une chatte de luxe le ferait Je devine l'ombre d'autres personnes assises laissant transparaître leur visage également masqué sur d'autres fauteuils.
Avec un côté très félin, j'avance au centre pièce, le sol est en moquette d'une douceur incroyable Je m'amuse avec lumières. Mes mains parcourent mon corps. Elles dessinent des courbes sur mes cuisses, puis sur mon ventre, mes seins, mon cou. Je me penche en avant, la tête contre le sol et remonte brutalement pour faire virvolter mes cheveux. Je m'amuse avec ma laisse, totalement libre.
Quand soudain, je sentis qu'on la prenaient. Je me retrouve ainsi à genoux, le cou relevé avec force et maintien. Des doigts forcent le passage de ma bouche pour entamer un va et vient. Naturellement je sortis ma langue.
Il me murmure à l'oreille, "viens à moi, lèche ma queue et mes couilles". J'avance jambe après l'autre avec une démarche de chatte de luxe. Mes cheveux noirs paraissent bleu et j'imagine le rouge de mes lèvres ressortir.
Agenouillée, je commençe à caresser les jambes, puis les cuisses de ce monsieur, faisant des allers et retours. Puis j'approche ma bouche, comme une chatte en chaleur. Il tiens sa queue dans sa main puis la plonge dans ma bouche. Il mis ses deux mains sur ma tête et m'imposa le rythme à prendre.
Quand tout à coup, je sens des mains parcourir mon sexe et mon cul. Je ne peux pas bouger. On me possède sur le champ rythmant ainsi ma fellation. Puis l'homme me rejète. On tire sur ma laisse. Là, un homme me redresse, mis ma laisse très courte me faisant monter sur la pointe des pieds. Avec le reste de la laisse, il me la mis entre ma bouche pour me baîllonnée tout en resserant son bras autours de mon cou. Il me demande de tenir mes seins puis de pincer mes tétons, puis de les donner à une autre chatte dans l'assistance. Je la vis s'approcher, se redresse pour ensuite me lécher les tétons langoureusement les seins, les mordiller.- Ecarte tes jambes, me dit l'homme tout en me maintenant fermement.
Je devine que je suis toute trempée. Elle écarte mes lèvres, les pinçent, et s'amuse ensuite avec mon clitoris. je suis toujours sur la pointe des pieds, il m'est difficile de tenir cette position. Elle me lappe la chatte comme si c'était du lait. Puis elle m'enfonce deux doigts dans la chatte tout en continuant à me masturber. Je suis toujours la pression du bras de cet homme sur ma gorge. Mes mains se tienne à son bras pour me permettre de tenir ainsi. De l'autre, Il engouffre son sexe dans mon cul. Je me fais lécher et sodomiser à la fois. La sensation est troublante et excitante.
Je n'en peux plus tellement c'est bon. Mes jambes ne tiennent plus, je tremble. J'avais une envie forte de jouir. L'homme le sens. J'ai envie d'hurler.
Puis je vous entends.
- Je t'interdis de jouir.
Hélas malgré moi, je n'ai pas réussi à résister. Mon corps vibre, frissonne. Je suis emportée par une vague de plaisir que j'en pleure. J'ai envie de crier la force de ma jouissance.
Là, je savais que j'avais desobéïs. Vous arrivez avec votre regard noir. Vous me jetez au au sol, mis ma main derrière mon cou.
- Relève tes fesses
Vous mains s'abattent sur mes fesses. Vous tirez sur ma laisse et me mis dans une cage destinée aux chattes.
Voilà où se retrouve les vilaines chattes.Vous m'enfermez dans la cage sans ménagement. Mes mains saisirent les barreaux. Appeurée
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Préambule
Je déambulais, voici quelques jours dans les sous-terrains de la science.
Dans cet environnement de travail, j’étais en quête, sans but précis.
Un objectif: Trouver quelque chose qui inspire mon BDSM...
Armoires débordantes de reliques scientifiques. L'oeil non averti
ne perçoit, ici bas, qu'objets industriels. Mon regard pervers cherche
et fouille de mes mains habiles ce vieux laboratoire d’expériences.
Docteur hyde cherche par mes yeux, ce qui va attiser mon inspiration lubrique,
doper ma perversion, de LA voir se plier à mes caprices.
Comme cette laisse collier en cuir servant à sangler un deward d'azote liquide
ou ce morceau de plexis, qui se transforma en Gode, ou encore..
Ce garde corps transformé en... et puis aussi les pinces.. et encore.. et encore..
Cherche, re-cherche.. les tiroirs s'ouvrent, se referment, mes mains fouillent, se referment,
mes yeux observent et mon BDSM trouve!..
Objet, mon bel objet, vintage, mais quel age as tu? tu sembles sortir
tout droit du fond des ages, quelle sorte de fonction as tu?
Étiquette des années 50 "testeur Haute fréquence" ... Humm...
"WARNING!
L'alimentation principale de ce testeur doit être branchée sur un fusible à 2 ampères,
reliez le rouge à la phase et le noir au neutre.
La sonde métallique ne doit pas être touchée par l'opérateur.
Indépendamment de la position de la commande du pouce.
Comme un léger choc peut être expérimenté"
...
Docteur Hyde frissonne.
Ce peut il?
Il se peut.
Un objet subtil et tant mieux.
Je ne sais pas, ce que c'est?.. ce que c'est..
J'entends tes cris Linsoumise,
J'entends tes cris..
Humm.. Douce perversion..
Mr Hyde ton sang mêlé me donne des visions torturantes,
où mes paroles inquisitrice créent le paradoxe de SES aveux coupables arrachés
par ses douleurs innocentes, suppliantes.. sombre perversions crépusculaires.
L'appareil sous tension, se met a grésiller. Nikola Tesla, quel génial inventeur fais tu..
Odeur de poussière brulée... des années de tiroirs..
il est temps d'une seconde vie pour toi, Objet du vice.
La recherche t'as mise au placard, je t'ai trouvé, je t'ai sauvé de la destruction..
Le curseur a moitié, j'approche la sonde métallique du bâtit de ta prison.
Un immense et magnifique arc électrique se crée... ma chair se hérisse:
... incroyables appréhensions ...
le champ des possibles est ouvert
[...] (silence)
Le curseur au minimum, j'approche à nouveau... de mon bras,
je dois savoir ce que cela fait pour pouvoir Infliger...
La décharge électrique se veut surprenante de part sa légende urbaine avérée.
Le picotement tend les muscles locaux comme la châtaigne électrique connue
sauf que l'Intensité est bien moindre même si elle court circuite les récepteurs nerveux.
Douleurs vive mais continue, supportable en détendant le muscle.
Première expérience: exercice difficile sous contrôle, déjà, l'angoisse est là.
Un sourire pervers découvre ma canine..Imposé? impossible...
Satisfait, rassembler les affaires pour une dimension particulière à ma prochaine séance,
Sceller le tout dans une mallette sobre et énigmatique que je stocke dans mon armoire...
Coup de foudre
Regardons nous ! Jusqu'au fond de l'âme en ce jour de pluie, mon Insoumise,
Enlaçons nous! Jusqu'au fond de l'âme et mêlons nos cœurs palpitants en face à face croisés.
lions nos jambes jusqu'à nos pieds sous la couette, et chauffons
de la moite chaleur irradiée par nos corps, humides entre nos cuisses..
L'âme ouverte, déversoir à envies, je sent ton appel et plonge déja dans ton corps animé.
Sourde tension dans ma poitrine, et remontant de mon sexe en mutation
je commence à psalmodier dans le creux de ton oreille des sévices
par un flot de paroles indociles et amorales. J'arque tes courbes
dans mes puissantes mains, et mes dents commencent a vouloir te posséder.
ma mâchoire comprimée d'envies, prête à chopper, la bride de ma conscience tient bon..
Envie de te soumettre à la question... te soumettre à la question...
... Maître a la question!.. Inquisition.
Hyde, prends sinueusement sa place et fait bouger mes lèvres pour émettre "un caverneux":
"C'est dommage... j'aurais bien aimé essayer cet objet improbable dans ma mallette..
Pour cela il faudrait que je t'attache et que je te bande les yeux..
tu n'entendras alors que mon activité et fantasmeras alors ce qu'il t'arrivera..
Assurément, une expérience que tu n'as jamais vécue, tu en auras peur..."
[...] (silence)
M’écartant, je te laisse seule avec mes mots. J'observe dans l'intrigue.
Insidieusement le méandre de mes mots d’abord tortueux prend le plus court chemin;
Les questions traversent tes yeux,
alors qu'imposer n'aurait mené a rien.
Mon Insoumise est curieuse.. et Insoumise veut savoir..
Insoumise, ne se soumet pas.
"c'est quoi?"
"tu ne saura pas"
[...] (silence)
"Attache moi"
"bien".. (la satisfaction lèche le coin de mes lèvres)
"ça fait mal?"
"oui .." (la satisfaction re-lèche le coin de mes lèvres)
Insoumise ne reviendra pas sur son engagement. Insoumise n'a qu'une parole.
[...] (silence)
Hyde jubile…”pas maintenant!” Doucement, ménage l'instant.. savoure ses angoisses
son appréhension.. Lis la saveur du doute.
Insoumise aussi, l’envie devient palpable, la tension en suspens
resserre les atome d’air. Inhaler demande un effort, hypoxie..
Espace trop confortable. La couette vole. Laissant place à ce terrain de jeu.
Tu t'es mise en attente ouverte, visuellement prête, indifférente d’un regard,
à mes sévices à venir. Prête a subir, te soumettre peut être? t'abandonner c'est sûr.
Tu mouilles déjà d'envie, petite salope, j’ai encore rien fait ...
Ton corps dénudé appelle les caresses, mes doigts lient et lacent tes membres.
Peau fraîche, la douceur de ton grain sur mes lèvres humides détache des gouttes de salives..
Les ancrages aux pieds du lit ne le quittent plus.
Tu vas prendre cette croix d'offrande et me la livrer, t'eXposer à moi , je te veux vulnérable
La courbure de tes formes ainsi contrainte provoque déjà mes mains indiscrètes,
Fouillant ton corps, 2 ou 3 doigts de dignité plus loin, je les enfonce dans ta bouche.
J’adore ce geste, comme cracher violemment dans ta bouche ouverte..
déposant la mallettes entre tes cuisses, je la déverrouille, mais ne l’ouvre pas..
J’observe… ton envie de savoir , de voir.. tu regardes puis te résigne..
Hum.. frustration.
Allant lentement chercher le foulard , enlevant le contenu de tes yeux.
mes yeux seuls maintenant.. voient!
La boite s’ouvre et laisse apparaître cet objet du fond des âges.
ma main touche et glisse de ta cheville, ton genoux, ta cuisse, ton haine, ta taille,
tes cotes, le galbe de ton sein, ton aisselle, ton bras, ton épaule , tes trapèzes
et vient saisir doucement et pleinement ton cou vulnérable…
ta bouche formule le plaisir en pincent ta lèvre inférieure,
fragile et forte, instant qui s’étire, l’attente .. Je savoure.
L'appareil sous tension, se met à grésiller. Ton visage se tourne vers ma main,
ton angoisse palpable.. “c’est quoi? j’aime pas ce bruit”
[...] (silence)
je n’ai pas encore bougé. Je t’observe. Hyde en moi. Tu commences ton bal.
“on dirait un epilateur”.. tu sourit effrontément..
Pas de poils à épiler, justes tes cils et sourcils, sous ton bandeau, protégés ...
tu te moques de moi.. quelle assurance! Insoumise..
je m’approche doucement. La mise à la masse est essentielle dans cette expérience;
je pose mon pied nu par terre et met toute ma cuisse en contact avec ta peau.
j’avais choisi de le faire sur tes lèvres, mais les pinces étaient trop douloureuses,
et puis peut être que c’est trop intense pour une entrée en matière…
je me ravise et tente une approche plus éducative.
“Je vais d’abord le faire sur moi...” tu accueilles mes mots..
La portée en est monstrueuse. Hyde tremble dans son sadisme, il reconnait ma perversion..
la décharge s’exprime sans même que je la ressente. mon esprit est ailleur, je t’observe..
“non! c’est électrique! je veux pas!” tu te débats..
[...] (silence)
ton angoisse a pris littéralement le dessus, tu as conscience de ta vulnérabilité..
[...] (silence)
j’ai conscience du caractère de la situation. Le temps se fige. il n’y a plus que toi et moi.
Tout ce passe là. Ton fantasme fait gonfler ton fantasme. ta respiration change.
[...] (silence)
je n’ai pas bougé. tu cherches a t’écarter de moi dans un geste futile de protection.
tu ne sais pas qd cela va arriver, tu ne sais pas ce que cela fait, tu ne sais pas,
tu as peur, tu paniques, tu sais que mon envie est perverse.. Sadique!
[...] (silence)
L’attente, déforme tes traits insoumise.. je t’observe avoir peur sous mes yeux.
je ne ferais rien qui te fera mal. Mais tu as deja mal. Tu souffres de ne pas savoir.
Ma main caresse ton corps, dans un geste rassurant. Au contact, tes questions fusent..
alors mes paroles sur ce que je fais, pour que ta cessité soit comblée sont accueillies.
“je vais m’approcher de toi, ne bouge pas...”
l’effort que je te demande est inhumain.. j’en ai conscience.. tu t’exécutes.
ton courage est incroyable. mais mon approche pas a pas, rend ta tension nerveuse difficile a supporter.
Tu gémis d’appréhension, tu me sent très proche et il ne se passe rien..
tu sent que les secondes s'étirent, et que la distance diminue...
Contrôle, essaie un peu? tu dois te contrôler dans ta peur en 4 dimensions..
Un coup de foudre claque sur ton sein..
La pièce s’emplit soudain de ton appréhension intense et cristalline
Se figeant en un cri de douleur et de surprise. AÏE ! rugit ta gorge!
Ta vague d'émotion prend dimension réelle. Le fantasme bat plein régime.
“J’ai peur, j’aime pas ça, j’aime paaaaas…”
Recule Hyde! Ce n'est pas ton moment ! Ne vois tu pas qu'elle a peur.
Il faut l'accompagner pour aller plus loin, si elle le souhaite, pas la torturer.
Je caresse ta peau. Mes mots rassurant, t’expliquant ce que je fais,
mes gestes, sont décortiqués, précisément, pour que ton bandeau ne te gêne pas.
je te propose de le retirer. Tu refuses. Tu te caches de quoi? derrière ce masque..
Je vais le faire sur moi en continu. Des impulsions brèves d’abord, puis longues.
Je te parles calmement.. Ton inconscient imprime: mon dom n’en souffre pas
je m'exécute sur ta main. Tu me laisses faire. Des impulsions brèves d’abord, puis longues.
Je te parles calmement.. Tes gémissement s'étirent comme ton aversion pour l'expérience.
tu ne veux pas continuer.
“arrêtes”
“si tu veux j'arrête”
[...] (silence)
Je reprends quelques impulsions, sur ton bras. Tu réagis au claquage de l’arc!
pas à la douleur. c’est ton angoisse irraisonnée.. non rationnelle.
Pas de marques, pas vraiment de douleur, juste cette sensation désagréable
d’une impulsion électrique et du claquage de l’arc. Juste?...
“je vais dire mon safeword..”
je fais une pause. J’aime pas arriver à cette limite sur une première expérience.
[...] (silence)
“Quel plaisir as tu?”
“J’aime te voir dépasser la limite qui est tienne. T’accompagner à le faire.
Je maîtrise les paramètres et les curseurs de l’outil et de son application.
Toi tu t’ouvres à tes émotions. On est en plein dedans, là!”
[...] (silence)
je t’observe réfléchir
mes mains te caressent
j’aime ta peau putain, j’aime ton corps ma chienne..
[...] (silence)
je pose l’objet et prends le wand.. Inutile de forcer, ce doit venir de toi.
L’air se met à vibrer, et je te vois te détendre. Tu mouilles instantanément..
Chienne de Parloire, tes réflexes aux stimulis sont intenses ! J’aime ça!
Basses fréquences, sur ton bouton, j’observe le ressac des vagues de ton bassin.
Tu ondules sur courant continu maintenant, l'électricité te dérange moins là.
Mais tes pensées sont ailleurs..
“Je ne comprend pas quel envie ça te procure de m'électrocuter?”
J’arrête le wand, réfléchis, à ta question.
[...] (silence)
“C’est un dispositif qui crée un arc électrique à haute fréquence. La différence de potentiel entre l’appareil et toi ne t'électrocutes pas, car nous jouons avec l’arc, cependant le courant se décharge en toi par dissipation. Je te l’accorde, si l’appareil était en contact avec ta peau, tu deviendrait un conducteur, et alors, tu serais électrocutée à la hauteur du curseur. On joue ici sur un fantasme urbain commun, qui est la décharge électrique. Sauf que la chaine de risque est maîtrisée. Je pilote tout l’aspect technique pour que tu n’ai à te concentrer et te consacrer qu’à ce que tu ressens. Pas d’amplifications, on est trop près de la limite. Cette expérience a l’incroyable possibilité de jouer sur une peur, avec une douleur assez faible et pas de traces. Mais je reconnais volontiers, que c’est très impressionnant, de sentir les muscles se raidir.. Maîtrisant ici ton environnement, mon envie est de te voir évoluer entre mes mains en toute confiance. De te laisser aller chercher les nouvelles limites de ton corps et/ou de ton esprit, de ta volonté, de ta résistance. Peut importe le niveau, ce qui m'intéresse c’est que tu le fasses Toi, parce que tu as confiance en moi, parce que tu veux le faire, pour mieux te connaître, pour faire reculer ton inconnu. Je pense qu’une forme de contrôle sur tes émotions va te permettre de t’isoler de ta peur, de la douleur, de l’angoisse, une sorte de bulle. J’ai envie que tu fasses de ce réflexe un stimuli que tu appelleras pour nos expériences de ce type. puis que tu relâcheras ensuite pour te laisser aller à ce que tu ressens. Tu es bien sûr libre d'arrêter. Je respecte tes choix, mon rôle et mon envie ici sont de t’accompagner et de te ramener là où tu iras…” Comment casser le verrou qui me dit: “ne vas pas plus loin elle a mal, accompagne la” pour glisser vers: “elle a mal, mais j'aime ça putain!” Mr Hyde aux portes de mes lèvres cherche à s’exprimer, mais je lui montre la voie: sa torture doit être accueillie, pas contre elle. Nous ne cherchons rien d'elle, d'autre, que le plaisir.. mes envies perverses et sadiques semblent étendues, mais dans quel but? La surenchère ne change rien au mécanisme dans lequel nous sommes. Le principe est là, l’intensité est forte, je ressens son émotion, nous avançons à deux. J’ai envie d’aller plus loin, mais pas sans toi. Mon envie principale réside dans le fait de partager avec toi. faisons un pas, et le suivant nous en ferons deux, la suite on verra..Met toi en marge, Hyde, pour l’instant je veux construire notre terrain de jeu. Ce chemin est plus important que tes expressions sadiques..
[...] (silence)
Ma main touche et glisse de ta cheville, ton genoux, ta cuisse, ton haine, ta taille...
[...] (silence)
..ta taille, ton haine, ta cuisse, ton genoux, ta cheville, ton pied puis remonte..
[...] (silence)
...alors qu'imposer n'aurait mené a rien.
Mon Insoumise est curieuse.. et Insoumise veut savoir..
Insoumise, ne se soumet pas.
“je veux le faire. mais j’ai peur.”
je pose le wand
“tu veux voir?”
[...] (silence)
“non, je garde le bandeau”
“bien..”
Je reprends position. Tu es courageuse.. tu m’impressionnes.
[...] (silence)
Ta respiration s’accélère, je caresse ta joue et remet ton bandeau,
Il est temps Mr Hyde, d’exprimer doucement maintenant …
Tu gémis et tu cries insoumise, tu dépasses ta limite.
Je te regardes avec plaisir, et je fantasmes le champs des possibles..
.. où mes paroles inquisitrice créent le paradoxe de tes aveux coupables arrachés
par tes douleurs innocentes, suppliantes.. sombre perversions crépusculaires,
attachée, le cœur en croix et la bouche ouverte, ma queue enfoncée, à la merci de tes dents,
je te soumettrais à la question.. et tu y répondras.. Soumise.
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Je me balade au son de la cacophonie de la rue, le bruit des voitures se mélant aux charrues tirées par ces pauvres petits ânes. La chaleur est pesante. Je sens quelques gouttes de transpiration perlées de mon front. Nous sommes partis le temps d'un week end en Turquie. Mon maître s'est absenté quelques heures et me laisser des moments de liberté que toute femme aime.. découverte, shopping... Voir tous ces étals avec ces couleurs, ces épices qui narguent mes narines, tous ces costumes, ces bijoux orientaux. Je dehambulai de ruelles en ruelles. J'aime m'y perdre, mais je dois me rappeler qu'en femme seule, je dois être prudente. J'ai déjà eu quelques mésaventures dans le passé.
Je cherchais un havre de paix, une sorte de jardin, des fontaines pour me couper de tout cela. Mon maître m'envoya un SMS pour que je me rende à une adresse de la villz. J'étais assez surprise. J'arrêtais le premier taxi arrivant et lui donnait l'adresse où je devais me rendre. C'était un peu à l'écart de la ville, je m'inquiétais un peu. C'était la fin d'après midi. La climatisation de la voiture était un pur bonheur. Au bout d'une demi heure, il s'arrêta face à une immense villa, ressemblant à un petit palais. Il y avait des grilles mais on devinait à la hauteur des arbres et à leur beauté qu'il se cachait un somptueux jardins.
Je ne puis qu'oberver le détail de cette magnifique porte orientale, tout en bois sculpté. Mes doigts passèrent sur les détails comme pour en deviner toute l'histoire. Puis d'un seul coup, je vis des caméras, la porte s'ouvrit. Là, une jeune femme ouvra la porte avec un magnifique sourire, vêtue, selon moi de costume traditionnel, avec tant de bijoux, du henné. Elles avaient des yeux d'un noir profond, une peau de miel et ses cheveux longs, épais que je la jalousais. Elle me prit la main, et me parlait en anglais. Elle me dit, tu dois être S.... on nous a informé de te visite. Nous allons prendre soin de toi.
Nous marchions dans une magnifique allée où des fleurs dont je ne pouvais connaître le nom, le chant des oiseaux me faisait penser à un eden perdu. Dans cette partie de paradis, nous entrèrent dans la villa. Les mosaïques dans les couleurs d'un bleu, et où les fenêtes était des moucharabieh laissant la lumière jouer à travers les petits trous, et me laissant deviner qu'une partie du tableau de ce jardin. Je voulu m'en rapprocher, mais elle me tenait par la main. J'entendis plusieurs femmes parler dernière cette grande porte face à laquelle nous nous trouvions.
Je la regarde intriguer : mais que fais je ici? qu'est ce que c'est que tout ça?
- Elle me regarda avec ses grands yeux, sont grand sourire. Elle me dit, ce soir est une soirée spéciale. Nous devons êtres les plus belles pour nos maîtres.
-Viens suis moi, me dit elle, nous allons nous occuper de toi.
J'avais l'impression de me retrouver dans ces atmosphères d'antan où j'entendais la musique traditionnelle turque. j'adorai le son du saz. Et là je me retrouvais avec une quinzaine d'autres jeunes femmes, toute vêtues avec des tenues plus ou moins légères mais aussi traditionnelles.
Nous étions dans une partie réservée uniquement aux femmes avec de nombreux bancs, des méridiennes, et un bassin avec de n pétales de fleurs, des voilages.. il y régnait une de ces atmosphères. J'étais hypnotisée. Qu'avait bien pu préparer mon maître. En tout cas je me sentais comme une princesse du passé.
Puis, elle me dit, allez profite et viens dans l'eau. Elle se déshabilla, je fis de même. La nudité ne posait aucun problème autours de toutes ces femmes. Je glissais un premier pied sur les marches descendantes du bassin. Mes rondeurs ne me gênaient pas plus que cela, je prie un pétale de rose et je m'amusai à jouer avec sa douceur sur mes lèvres. C'était si bon. Je regarde chaque recoin de ce lieu majestueux. Je ressortis du bain.
- Mais où sont passés mes affaires. J'étais en panique, plus aucun vêtement, ni mon sac, ni mon téléphone. Une panique m'envahissa.
Je rejoignis Samia, celle qui m'avait accueillit. Et elle brandissait un magnifique sourire.
- Ne t'inquiète pas, nous avons une tenue pour toi pour ce soir.
Elle voyait que je commençais à ne pas être à l'aise, et son sourire disparu et elle m'ordonna de me calmer.
Son ton froid me surprit d'un seul coup.
Elle me pris à nouveau par la main et me désigna une tenue pour la soirée. Je mis dans un premier temps une sorte de robe d'un vert émeraude avec de longues manches tombantes, puis rajouta par dessus comme un corset formant un rectangle juste au dessus de ma poitrine, et la remontant. Il faut dire que c'était magnifique. Puis on me coiffa avec des bijoux de tête, j'étais beaucoup fardée, puis on me voila le visage. Nous étions toutes les femmes habillées dans ce style traditionnel.
Puis la porte s'ouvrit, on nous demanda de nous mettre en file indienne et de ne plus parler. Tout mot sortant de notre bouche sera sévèrement punie. J'étais inquiète. Je n'avais pas vu mon maître depuis la fin de matinée, je n'avais plus de sac, plus rien. Quand je voulu parler pour poser une question, cet homme me regarda et en sortie un fouet. Le corset me comprimait un peu la poitrine, je me calmais doucement.
On nous confina dans un coin d'une grande pièce octogonal où sur des gradins se tenaient une trentaine d'hommes.
Nous entendions que le rire des hommes, les femmes avaient le regard baissés. je devinais en un seul instant ce que mon maître avait manigancé dans mon dos.. une vente.
Je le cherchais du regard, j'avais besoin de ressentir sa protection, sa présence. Je savais qu'il était là. Une première fut avancer au milieu de cette pièce. Elle fut présenter, déshabillée avec force. Des hommes descendaient des gradins pour venir tâter leur future esclave. Nous n'étions que des objets destinés à satisfaire leur plaisir.
Mon tour arriva. j'étais stressée, je ne voyais pas mon maître. Là deux hommes me menèrent de force au centre. Je ne me lassait pas faire. Je n'étais pas rassurée. Ils m'attachèrent les mains au dessus de la tête, et je sentie un coup de fouet s'abattre sur mon fessier. Je me débattais tellement cela me faisait mal. Puis un second.
- Alors calmée ma belle? et là je reconnus sa voix, c'était celle de mon maître. Instantanément je fus calmée et prête à écouter, à lui faire honneur, plaisir.
Il se rapprocha de moi, me tira ma tête voilée en arrière et me dit, je veux que tu sois la meilleure des esclaves.
On me retira le voile de mon visage, puis je sentie le regard des hommes sur moi.
Un homme assez grand s'approcha, ouvrit ma bouche pour regarder ma dentition. Parfait, une vraie bouche de suceuse.
En même temps un autre avait dégraffé mon corset pour mettre à nu mes seins. Je n'arrivais pas à savoir combien d'hommes m'avaient touchés. j'avais fermé les yeux.
Puis des enchères commencèrent. Je regardais mon maître avec un regard de défiance, en lui faisant comprendre que je ne me laissera pas faire si facilement. Il le savait, il connaissait mon témpérament un peu sauvage. Quoi que sa rudesse faisait que j'obtemperai facilement car il n'était pas tendre avec moi et les marques laissées sur mon corps.
Je n'ai meme pas vu qui avait gagner les enchères, on m'emmena de forces dans une chambres et on me demanda d'attendre à genou à l'entrée, mon maître pour la soirée.
Si mon maître pense une seule seconde que je vais me laisser faire, il se trompe bel et bien. J'attendrais ce nouveau maître assise sur cette chaise. La chambre était faite avec un lit à baldaquin et de longues tentures ornaient la pièce.
Le temps se faisaient attendre. Je voulus ouvrir la porte mais elle était fermée à clef. je devinai une terrasse, et je m'y rendit. Et là un moment de liberté à observer ce jardin que la pleine lune éclairait.
Quand soudain, j'entendis une voix sombre derrière moi.
- Est ce ainsi que tu as été éduqué, chère esclave?
L'homme faisait 1m95, assez imposant. A coté du haut de mon 1m70 je ne faisais pas la fière. Je me retrouvais un peu stupide.
- Non.. je.. enfin.. le temps était long et j'avais chaud... J'ai essayé de me dédouaner comme je le pouvais.
- Approche toi, m'ordonna t il.
J'allais vers lui. arrivée à quelques centimètres de lui, il me demanda de relever les yeux et de le regarder.
- Premièrement, tu vas être punie pour cet écart et tu le sais
- Deuxièmement, je veux que tu te deshabilles avec elégance et que tu me montres tout tes avantages.
- Troisièrement, je t'interdis de parler, de répondre. Est bien clair?
- Oui monsieur.
J'entrepris de m'effeuiller doucement en jouant à faire tomber sur le sol, une première partie de ma robe, puis je me cachait derrière les voilage en otant une partie de mon corset.
- Alors on veut se rendre intéressante?
- A genoux et viens à mes pieds.
J'étais nue, uniquement parés de tous ces bijoux, dont des chaines chacune rattachées à mes tétons. Je m'agenouillais, et m'avancait vers lui.
- Ne bouge plus, assied toi en ayant les jambes ecartés et redresse bien ton buste.
- Quelle belle poitrine, tu as. Ils sont si fièrement dressés. Il s'avanca et me pris chacun de mes tétons et les tira si fort que je ne pue m'empêcher de crier. Eh oui, figure toi que je connais tes limites, ton maître m'en a fait part. N'ai aucune inquiétude. Je sais que tu es très sensible des seins mais je devais te punir. A toi de t'assurer d'être une très bonne esclave digne d'un maître.
- Lève toi.
- Ecarte tes cuisses et cambre toi.
- Montre moi tes trous que je vais prendre plaisir à baiser.
Il revient avec une grande badine, et commença à me battre. Je voulus me défaire de ces coups là, mais je pensai à la fierté de mon maître. Mes fesses furent douloureuses, mais de temps à autre il passait sa main douce pour m'apaiser.
Puis il me banda les yeux, me guida et me jeter comme un objet sur le lit.
- Mets toi sur tes genoux
- Donne moi ton bras droit. Là il me serra une chaine autours très fortement que je ne pouvais pas trop le bouger et la rattacher aux crochet du lit.
Il fit de même avec l'autre.
J'étais ainsi, exposée, offerte sans vue et attachée à son bon vouloir.
Ainsi les bras en croix, jétais des plus vulnérables. Je sentais son excitation à me voir essayer de me débattre, à ne pas me laisser faire. Puis sa main me saisit par les cheveux, l'autre me saisit la gorge et la serra. Puis il m'embrassa avec une telle violence, et son étreinte se tranforma en une caresse. IL me caressa la peau, le visage, l'intérieur de mes cuisses. Je sentais son parfum gagner mes narines. C'était assez envoûtant.
Il me fit m'asseoir sur le rebord du lit. et attacha mes genoux également au lit de part et d'autres.
Et là il me pris par la chatte tout en serra ma gorge et en me pinca ma lèvre. Il me morda dans le cou. j'étais sa captive, son esclave, son objet.
Une fois qu'il eut jouis, il me laissa attachée ainsi et alla se coucher. Il me dit que c'était agréable d'avoir mon cul face à lui pour s'endormir. Cette position n'étaient si inconfortable. Il me pris encore deux fois, puis me détacha d'avoir les jambes, puis les poignets du lit. IL m'attacha les poignets ensembles, tout comme mes pieds.
Puis, Il me mis cette chaine autours de cou, qu'il attacha à sa taille et me serra ainsi toute la nuit.
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- Ne bouge pas me dit il.
Il me plaqua contre le mur, déchira ma culotte et m’ordonna de tendre mes fesses, de bien les écarter.
Sans ménagement, il y introduit un œuf vibrant dans ma chatte. Je me retournai ensuite à table parmi nos amis. Je n’aime pas ne pas avoir de culotte, je mouille tellement que cela en est presque désagréable.
Tout au long de la soirée il s’amusa, à l’insu de nos amis, à me masturber à distance. Il m’était très difficile de me concentrer sur la conversation que j’avais avec mon amie. Cette dernière me regardait avec un regard en me disant :
Mais est ce que tu m’écoutes ?
Pouvais-je lui avouer que j’étais en train de prendre mon pied pendant qu’elle me parlait de sa série qu’elle aimait regarder à la télé… Je regardais mon maître amusé par cette situation. Garder le contrôle. C’est si difficile quand c’est bon, de devoir se retenir. J’aime ce petit jeu, il ne paye rien pour attendre. Mon coté femme de tous les jours ne demande qu’à se venger en le provocant de plus belle.
La soirée se termina au rythme de ses assauts télécommandés. Nous repartîmes vers la voiture. Assiste sur le siège passager, il m’ordonna de mettre mes jambes sur le tableau de bord et de rester la robe relever. Je rougis à l’idée que quelqu’un puisse me voir.
-Mets toi deux doigts dans ton cul . Fais des va et vient.
Je m’exécute. Pendant ce temps il démarre, tout en continue à faire vibrer l'oeuf... Je mouille, je mouille..
Pensant que nous rentrons à la maison, il pris une autre direction.
Au feu rouge, il claqua mon sexe avec sa main. Je ne puis m’empêcher de refermer mes jambes.
- Ecarte, me dit il.
- Où allons nous, demandai je ?
- Un endroit où je peux montrer la belle salope que tu es.
Je me sens honteuse quand il me dit cela mais en même temps j’adore ça.
Nous arrivons dans ce club liberté allemand où j’étais allée dans le passé. Il sortit du coffre quelques affaires. Il m’avait choisit une tenue : un corset underbust ainsi qu’une jupe jarretelle et une culotte ouverte.
- Allez ma petite chienne... habille toi.
Nous passons de salle en salle pour découvrir les différents univers, ensemble.
Dans la partie bar, une superbe musique pour danser, de bons cocktails, puis des endroits plus intimistes où on peut s’amuser à faire l’oiseau dans sa cage dorée. Mon Maître m’ordonna d’aller justement danser dedans et de bien mettre en avant mes attributs. J’entrepris de danser comme j’aime le faire, avec sensualité, glamour sans jamais être vulgaire, en prenant soin de passer la main sur mes seins, puis de les caresser, de prendre mes tétons, de les pincer pour qu’ils se dressent fièrement. De passer mon majeur délicatement sur ma bouche, de mettre ma main sur mon cou, de caresser mes seins, de me retourner et remonter mes fesses, de jouer avec les barreaux de la cage… Mon Maître, assis dans un fauteuil, presque dans l'ombre, continue à me faire vibrer... me faisant stopper ma danse,.
Quelques hommes me regardent. Le fait de les voir me regarder m’excitent terriblement.
Puis mon maître m’ordonne d'un geste de le rejoindre.
Plusieurs hommes passent à notre hauteur et me prennent par la main. Une invitation à une partie fine à plusieurs.
Mon maître leur fait comprendre que c’est lui qui décide qui me défonce la chatte, le cul ou la bouche. Nous arrivons jusqu’au donjon SM du club. Là il décident de m’attacher les mains au dessus de la tête avec des chaînes. Puis il commencent à me gifler les seins, les malaxer. Il sort des pinces pour mes tétons. Et là j’ai envie.. d’hurler. Je suis tellement sensible des tétons. Je le regarde, suppliant de ne pas le faire.
L me serra tellement fort le téton tout en faisant vibrer l'oeuf dans ma chatte, que je ne sentie presque pas quand il me mit la pince. Il fit de même de l’autre. Les deux pinces sont reliées entre elle comme un bijoux. Il s’amuse à jouer avec les pinces et sa télécommande.
Des hommes et des femmes curieux passent, restent.. Il me met à la disposition des personnes voulant profiter du spectacle. Mon maître commence le travail sur moi, m'enlève l'oeuf et vérifie que je sois parfaitement trempée à souhait.
Plusieurs hommes se mettent à me caresser, une femme commence à me pincer les lèvres de mon sexe et à introduire quelques doigts. Je suis comme ivre de cette situation, en me demandant si ce qui se passe est bien réel.
Mon maitre met un fouet à disposer des personnes désireux de me punir. Je sens des claques, des coups de fouets, des caresses. C’est très particulier. Je ne comprend pas ce qu’on me dit, je ne parle pas allemand.
Un homme s’approche de mon maître, je vois qu’il hoche la tête à l’affirmative.. On s’approche de moi et on me détache. On me met ensuite sur une sorte de balançoire suspendue destinée à me faire baiser facilement.
L’homme avec qui discutait mon maitre, se munit d’un long sexe toy lié à un long bâton . Il commenca à me défoncer la chatte, Il y va de plus en plus fort. Puis au bout de quelques minutes, il s’approche et me doigte à une telle vitesse, que je ne peux me retenir d’en mettre partout. Une vraie fontaine. Puis il introduit sa bite dans ma chatte et me fourra bien profondement, encore et encore, cette balançoire suspendue en cuir lui garantissant de me remplir entièrement.
Les pinces que mon maître me mit sur mes seins n’arrêtaient pas de bouger et cet allemand aimant tiré dessus pendant qu’il me baisait.
Mon maitre me releva, je ne tenais presque plus debout, Je fis des cris de douleurs quand il m’enleva les pinces.
Une femme arriva pour me les lécher, ce qui apaisa ma douleur.
Il me metta à quattre pattes. Il me demanda de me tenir, de bien me cambrer,d’ouvrir la bouche et de sortir ma langue.
J’étais à la disposition de qui voulait me chevaucher par la chatte ou la bouche..
Mon maître se réservait mon fion. Il demanda ensuite de m’empaler sur un autre allemand, je me retrouvais à califourchon sur lui.
Il me claquait les fesses, les seins. IL prenait un malin plaisir à les malmener, il me serrait la gorge.
-Allez baise- le mieux que ça, dit mon maître
- Oui maître.
Je vois que tu n’écoutes rien, tu appelles ça baiser ?
Il m'empoigna par les cheveux et me dit :
- Vu que tu n'arrives pas correctement à écouter, on va te montrer ce que c'est que d'être baisée, petite putain.
Sans ménagement, comme un objet, il plaqua contre le torse de cet allemand qui se calma de baiser ma chatte.
L'allemand s'amusa à écarter mes fesses pour donner un accès facile à mon maître.
Ce dernier introduit sans ménagement un doigt dans mon cul, puis sans cérémonie, le remplaça par le bout de son gland. Il mis ses mains sur mes épaules afin que je m’empale sur lui et de pouvoir enfoncer son sexe bien au fond de mon petit fion.
-Allez pousse ma petite salope, pousse…
Maintenant on va te montrer ce que c’est que baiser. Je sentais les deux queues en moi. Me besogner, me maltraiter. Mon maitre se stoppa et admira, en sortant son sexe de mon fion, le trou laissé, puis me bourra à nouveau. Je sentai toute sa puissance.
Il éjacula sur mon cul. Un peu plus tard, l’allemand se retira et voulu éjaculer, lui dans ma bouche. Mon maitre sait que je ne peux pas et il invita l’homme à éjaculer sur mes seins.
Une fois arrosée ainsi, il me conduisit à la douche et commença ma toilette intime, pour que je sois à nouveau prête à être utilisée…
De retour dans la voiture, il me caressa et me réconforta.. et me laissant m'endormir de fatigue.
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Je suis allongée dans mon lit, la pluie joue de la musique contre la fenêtre de ma chambre. Je me prélasse telle une chatte sur mon lit. Je me dis souvent que dans une de mes vies antérieures j’ai dû être une chatte, indépendante mais dépendante à la fois.
Je ne peux bouger de mon lit, mon maître m’y retient, et je ne vais pas me plaindre, il sait parfaitement ce qui est bon pour moi. Mes jambes sont habillées de bas résille couture où sur mes chevilles, les cordes serrées m’obligent à avoir les jambes écartées. Mes mains elles sont attachées au lit par des menottes où le bruit métallique me rappelle que je suis sa captive. J’aime me sentir à lui, à sa disposition, à l’attendre, ne sachant quand il va venir.
Il s’est assurée de mon confort afin que je sois bien et que je ne meurs pas de froid. Il aime me savoir à sa merci, ouverte et à pouvoir abuser de chaque parcelle de mon corps. Il est si bon de se sentir ainsi, ne de plus avoir à penser, à ce que l’on s’occupe de moi. Ce moment de lâcher prise, où se mèle douceur, sensualité, caresse, fessée et jeux. Ces moments qui nous appartiennent, rien qu’à nous, ces moments où il me connaît intimement jusqu’à comprendre mes envies et mes désirs. Ce lien est si fort car pouvoir partager ce que l’on est est si précieux, si rare, si unique.
En femme totalement indépendante, il a réussi à me faire basculer dans ce monde, notre univers où juste un regard, un geste permet de comprendre si nous jouons ou non.
J’entend son pas dans les escaliers. Je suis presque endormie, je garde les yeux fermés. Je sens les battements dans ma poitrine s’accélérer, mon corps frissonne. Il se rapproche de moi, tel un félin, son parfum m’envoûte. Son pouce caresse ma lèvre inférieure avec une telle délicatesse. Naturellement j’ouvre ma bouche pour le prendre et le savourer. Il se retire et me dit : Chut, ne bouge pas, et ne fais rien.
Il passe sa main sur ma joue et naturellement je caresse mon visage contre sa main, comme la tête d'un chat cherchant la caresse de la main que vous tendez.
Je sens ensuite sa main descendre le long de ma jugulaire avec une certaine pression. J’adore sentir ce sentiment d’étranglement léger qui me fait sentir sienne. Puis en continuant sa route, il fait glisser le drap en satin sur ma peau jusqu’au sol. Je suis là, exposée à ses yeux, à ses mains. Il caresse une de mes chevilles, me masse le pied puis se met à resserrer l’étau et m’écarteler davantage, il faut de même avec l’autre jambe, Puis il continue sa route sur mes jambes, mes cuisses. Il prend soin de passer deux doigts sous mon bas pour le remettre en place. Il joue avec mes nerfs, je sens presque sa main sur mon entrecuisse sans presque me toucher. Je suis complètement frustrée.
Il se relève et revient avec mon éventail en plumes noires que j’avais laissé sur la commode, puis il commence à m’effleurer, le bas du ventre, puis il remonte et passe les plumes juste sur le bout de mes seins. Mes tétons se dressent et pointent avec une telle force. J’ouvre les yeux, et je souris tellement c’est agréable. Il joue ainsi en parcourant mon cou, mes aisselles, mon épaules. Il connaît chacune des mes zones où je suis chatouilleuse. Je ne peux m’empêcher de gesticuler. C’est tellement bon mais j’aimerai pouvoir aussi m'échapper car c’est presque intenable. Me voyant trop gesticuler, il se relève et m’écartèle, cette fois ci davantage les bras. Je suis ainsi au milieu du lit, les jambes écartés laissant libre accès à ma chatte et à mon cul.
Il s’empare de la bougie et à une certaine hauteur laisse couler la cire sur mon ventre. La sensation du chaud et du froid me saisit. Je sais qu’il a pris soin, comme c’est la première fois pour moi, à veiller à ne pas être trop proche. Puis il le fait sur mes seins, mes cuisses. Il a l’art à la fois d’être intransigeant tout en gardant ensuite cette douceur. Je me sens en confiance.
Il se relève et me regarde ensuite.
-Quelle belle petite chatte d’intérieur tu fais. Ainsi attachée, je ne risque pas d’être griffé, ni que tu puisses t’enfuir. Il est tellement bon de te voir docile, soumise et à ma merci.
J’ai envie de protester mais au vu de ma situation, je ne me peux que me soumettre pour son plaisir mais aussi le mien.
Il se saisit d’un fouet, dont il passe les lanières sur mon corps tout en me donnant quelques coups, il continue de titiller mon sexe, cela m’excite encore plus. Je le regarde en réclamant, en quémandant. Mais rien n’y fait.
Il me regarde et me dit que je ne suis bonne qu’à miauler pour me faire prendre. Il se saisit alors du baîllon avec l’anneau qu’il m’avait offert (voir ma nouvelle sur un plateau d’argent). Il me force la bouche.
- Voila, plus de miaulement, une vraie chatte en chaleur ma parole, se félicite t il.
- Je vais apprendre à te contenir.
Il ôta son pantalon, son boxer et en sorta son sexe en erection. Il se positionna debout au dessus de moi, chaque pied à coté de ma tête, puis il s’agenouilla.
Il plongea directement son gland dans ma bouche.
-Hum qu’il faut chaud là dedans, me dit il.
Il posa ses mains sur ma tête pour ne me laisser aucune liberté juste celle de sentir sa queue au fond de ma gorge et de me faire baiser. Il se stoppa brutalement :
- Mais c’est qu’elle est gourmande ma petite chatte, suffit maintenant. Rentre ta langue, m'ordonna t-il.
Il se releva et se dirigea vers mon intimité. Il y passe sa main sans aucune douceur. Ma mouille recouvre ses doigts…
- Tu es trempée, tu es vraiment en chaleur, en même temps tu es juste faite pour ça quand je te vois ainsi. Ne t’inquiète pas je vais m’occuper de toi.
Il me détacha et me retourna. Il mis sur mon ventre un cousin spécialement étudié et destiné à surélever mon fessier pour mieux lui donner accès à mes orifices. Il mis une barre d’écartement entre mes chevilles, me joignit mes mains pour les attacher vers l’avant. Il serra autours de ma taille une corde afin de m’immobiliser pour que je ne puisse pas bouger. Il partit, sans que je vois ce qu’il se passe. Il revient, se mit face à moi.
- Voila une belle position de soumise, agenouiller, le cul en l’air, prête à utilisation.
Il me prît à nouveau par la bouche et me baisa sans ménagement en me tenant toujours pas la tête. Puis il releva mes cheveux et les attacha en une queue de cheval. Puis il pris en main ce qu’il avait placé sur le lit sans que je puisse le voir : un crochet anal. Il le mit devant mes yeux. Il me vit frémi. Il ôta mon baîllon et me demanda de la sucer comme si c’était sa queue.
Il se place derrière moi et pénètre ma chatte avec trois doigts. Un filet de mouille s’échappe, Puis il la pénètre avec la boule du crochet, crache sur mon anus. Il y met un doigt puis deux… Il adore ça.
Il me tire la queue de cheval, me redresse :
- Si j’entends un seul cri quand je te l’enfonce sans ménagement dans ton cul de salope, je vais te punir très très sévèrement. As-tu compris?
- Oui Maître.
Il commence à introduire la boule dans mon cul, puis force le passage de mon petit trou étroit jusqu’à ce qu’il cède. J’ai mal mais je me retiens de ne pas crier. C’est très difficile et douloureux.
Il me dit, voila ce qui se passe pour les chattes qui se pavanent le cul à l’air.
Puis il attache le crochet à ma queue de cheval. Il me bande les yeux et me laisse ainsi, en me couvrant, pour ne pas que j’ai froid Je suis complètement frustrée sans savoir quand il va revenir
Je n’arrive pas à savoir qu’elle heure il est. Il revient, mais je sens qu’il n’est pas seul.
Il m’ordonne d’ouvrir la bouche, il me donne à boire. Il retire le drap qu’il a mis sur moi.
J’ai un cadeau pour toi ma petite chatte. Ta patience va être récompensée.
J’entend une voix d’homme à coté de lui, qui donne des ordres, à une autre soumise, à qui il a dit :
" Au pied, pas bougé".
Je sens que sa voix est rude et me fait presque frémir. Il présente mon cul et ma chatte à ce maître. Il en profite pour vérifier par lui-même mes orifices. Il joue avec le crochets dans mon cul et introduit quelques doigts pour vérifier que je sois humide comme il se doit. Puis il me claque les fesses avec une force que j’ai un cri qui s’échappe.
" Une belle chatte d’intérieur que vous avez là Monsieur" dit - il.
Mon maitre me redonne une autre fessée au même endroit. Je le sens furieux.
- " Alors on ne remercie pas Monsieur de vous complimenter ?"
- Je.. pardon Monsieur, je vous remercie de votre remarque à mon sujet, remerciai-je.
Monsieur demande à sa soumise de monter sur le lit et de me lécher la chatte.
Je ne suis pas bisexuelle, je n’ai jamais eu aucun rapport avec une femme, bien que cela m’attire. Mon maître le sait. Elle me lèche, aspire mon clitoris, me pénètre avec sa langue. Monsieur la force à maintenir sa tête dans ma chatte.
Mon maître ordonne à cette soumise de jouer avec la corde pour que je gesticule mon cul de salope. Je sens qu’elle prend plaisir à me violenter de la sorte.
Monsieur lui se met face à moi pendant que la soumise me redresse la tête et s’empare de mes seins, qu’il prend de pleine main.
Il demande à mon maître s’il peut me baiser par la bouche.
- Oui bien sur Monsieur, elle est faîte pour ça. Vous verrez comme sa gorge est profonde et chaude.
Je sens sa queue grandir sous ma langue. Puis il immobilise son gland dans ma bouche.
- Tout doux , quelle bonne suceuse tu es.Monsieur, que diriez vous d’écarteler la chatte de ma putain ?
-Ma chienne est tout à votre disposition pour cela rétorque t il.
Il demande alors à la soumise d’enfiler un gant et de me fister. Elle se met face à moi et introduit sa main gantée dans ma bouche. On voit qu’elle semble savoir y faire. Sa main est toute petite. Elle commence tout doucement par un doigt, puis un second avec des va et des vient, tout en me tenant le cul. Puis elle rentre un troisième doigt. Cela rentre comme dans du beurre. Un quatrième : ça rentre ça sort, ça rentre ça sort avec une certaine vitesse que je risque de gicler à tout moment. Puis elle met le cinquième. C'est beaucoup plus difficile. Puis je sens ma chatte lacher, elle est entrain de me fister. Mon maître s’amuse avec le crochet anal. Mon maitre me caresse la croupe, Monsieur tire sur mes cheveux pour que je me cambre et me dit:
-Sois sage et docile, sois la fierté de ton Maître.
Puis Elle s’immobilisa le temps que je me calme.
Monsieur lui ordonna de me défoncer la chatte. Elle commenca des va et des vient pour me défoncer. Mes jambes tremblent, je me sens défaillir. Je n’ai plus aucune force. Je ressens des émotions jamais ressentis jusqu’à présent entre douleurs et plaisirs. Je mouille tellement que j’ai peur d’être irritée.
Puis Monsieur ordonna à sa soumise de se stopper et de le sucer.
- Je vais te remplir de mes doigts et tu vas glicler, tu as la permission.
Je me mis à hurler, n'arrivant plus à me retenir. Je me sens honteuse, c'est tout nouveau pour moi.
Epuisée, mon maître ota le crochet de mon petit fion et dit à Monsieur : prêt à utilisation immédiate.
Il me détacha complètement les pieds, les mains et la taille. Je suis plus docile que jamais.
Nos maitres respectifs nous ordonne de nous mettre en positions 69 afin de profiter de la vue de leur queue en train de prendre l’autre soumise et d’être prêt également à être baiser par la bouche.
C’est ainsi que je me retrouvai sur le dos, une femme sur moi, ses lèvres sur mon sexe. De mon coté j’étais bien plus réservée et certainement pas prête à vivre cela. Je n’étais vraiment pas à l’aise. Il m’ordonna de sortir ma langue de chatte, et de lécher comme il se doit cette chienne.
Je m’exécuta, je sentie Monsieur me besogner comme un putain et mon maître en profiter pour enculer l’autre soumise sans aucune préparation. Elle semblait avoir bien plus d’expérience que moi. Un sentiment presque de jalousie s’empara de moi.
- Vous n’êtes bonnes qu’à baiser, dit Monsieur et mon Maitre. De sacrées putains, regardez- vous.
Elle s’était relevé à la demande de mon maitre afin que nous changions de position.
Son maitre lui mis un gode ceinture et il lui demanda de me baiser le fion et de parfaire un peu mon éducation anale. Soumise à une soumise. Je ne savais comment réagir.
Elle me tira par les cheveux sans aucun ménagement et me gifla.
- Ouvre ta bouche salope et suce.
J’étais complètement interdite. Voyant que je résistai mon maitre me cravacha jusqu’à coopération et soumission totale.
Elle me baiser par le bouche, puis me releva et pinca les tétons, puis malaxa mes seins.
- Retourne toi que je t’élargisse ton fion, prend une belle position de salope.
Je relevais mon cul, et placa mon visage au sol, comme une vraie chatte en chaleur montrant son cul pour être prise.
Puis elle me pilonna sans ménagement, me fessa. Je rougis honteusement. Puis mon maitre me releva et me baisa à nouveau la bouche. Quand à elle, Monsieur la cravacha pendant qu’elle me prenais par le cul.
Mon maitre éjaculera sur mes seins, quand à Monsieur, dans la bouche de sa soumise.
Nous finirons la soirée elle au pied de son maitre et moi sur les genoux de mon maitre comme la chatte d’intérieur que je suis
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Quand ton regard souris se teinte
D'éclat d'acier, de vert de gris
Quand ton regard sourit et feinte
Caresse en douces rêveries
Je sombre à la première étreinte
L'ivresse à ma bouche tarie
Amer que le plaisir éreinte
Goutte à goutte, douce euphorie
La fée verte en son empreinte
Glisse ses fantasmagories,
Des sortilèges que sans crainte
Je bois, je meurs et je survis
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Il n'y a pas plus sensuelle qu'une langue vivante
Qui s'aventure en caresses sur le duvet d'une peau
S'abreuvant de toutes les saveurs des mots
Humidifiant un épiderme aux odeurs enivrantes
Il n'y a pas plus motivant qu'une langue profonde
Qui s'engouffre dans l'intime de nos désirs
Et s'extasie en frissons pour notre plaisir
Là ou l'être de la femme se conjugue et abonde
Il n'y a pas plus jouissif qu'une langue articulée
Les mots se prononcent et s'affirment nettement
Aussi douce, aussi crue où le doigt sans gant
Va pointer sans hésitation, le sujet concerné
Il n'y a pas plus désirable que votre langue Monsieur
Même si elle ne ressemble pas à celle de Molière
Oubliez donc un peu toutes vos bonnes manières
Sachez vous lâcher, pour me monter aux cieux
Le 23 01 2017
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La lecture est à la fois source d’inspiration et de méditation. Elle réserve aussi d’autres plaisirs.
Je recherchais à Sarrebruck, la grande ville la plus proche de l’endroit où je vivais et travaillais, des ouvrages traitant de la Domination Féminine, ou de Suprématie Féminine, convaincu que nos voisins d’outre-rhin possédaient sur le sujet une littérature plus abondante et surtout plus riche. Je faisais le tour des librairies dans cette quête
C’est ainsi que j’entrai dans cette libraire modeste située près du pont de la Sarre au centre de la ville. Deux femmes tenaient la librairie, et me mis en recherche. J’étais accroupi à farfouiller les rayons, quand j’eus la sensation d’une présence à coté de moi. « Puis je vous aider ? ». Je relevai les yeux confus. Une femme se tenait devant moi, souriant. J’étais presque à genoux, elle était debout. Elle avait la grâce des femmes germaniques telles qu’ont les représente ou les caricature : blonde, grande, les yeux bleus, les hanches un peu lourdes.
J’étais bien trop intimidé pour lui expliquer ce que je recherchais véritablement, aussi répondis je que je ne recherchais rien de spécial. Elle sourit et rejoignit la caisse. Je décidai d’acheter néanmoins quelques livres, juste pour le plaisir de repasser près d’elle.
Quand je réglai mes achats, elle me remit un petit billet, que je lus aussitôt. Elle y avait écrit : « j’aimerais bien prendre un café avec toi ». Ma réponse fut immédiate : « maintenant ? ». Elle me répondit qu’elle devait se faire remplacer à la caisse et que je repasse la chercher trente minutes après. Ce que je fis, grillant nerveusement plusieurs cigarettes en attendant. Nous nous rendîmes dans la « vieille ville », à proximité du théâtre, qui est entouré d’un large parc. J’étais terriblement intimidé mais me sentais capable néanmoins de toutes les audaces.
Je ne me souviens plus très bien des termes précis de notre conversation. Nos regards étaient plongés l’un dans l’autre. La proximité de son corps , son odeur, sa chaleur me bouleversaient. Je lui dis que je me verrais volontiers lui masser respectueusement les pieds, ou être allongé devant son lit comme un ours qu’elle aurait capturé et domestiqué et sur lequel elle s’essuierait les pieds chaque fois qu’elle le voudrait. Elle a eu un léger sourire, puis m’a demandé sur un ton de reproche si c’’était uniquement du sexe que je recherchais avec elle. Je lui ai répondu du tac au tac que bien sûr que non, que je pouvais tout aussi bien faire pour elle la cuisine, la vaisselle et le ménage, sortir les poubelles, et même manger dans une gamelle, mais que je n’étais vraiment pas doué pour le repassage. Elle a rit. D’un air un peu grave elle m’a dit qu’elle ne connaissait pas du tout ce dont je lui parlais mais que cela semblait fort intéressant. Je citais alors cette phrase que je connaissais depuis peu, expliquant qu’il serait resté bien peu de temps aux romains pour conquérir le monde, s’ils avaient tous du d’abord apprendre le latin. Le temps de trouver une traduction, Michaela me prenait dans ses bras et m’embrassait avec une délicieuse « autorité ». Elle me dit simplement : « on va chez moi ! ».
Elle m’amena directement dans la chambre de son appartement et s’assit sur le bord du lit. Je m’agenouillai devant elle , lui défit ses souliers et posai ses pieds sur mes cuisses. Elle les rapprocha l’un de l’autre de manière à sentir ma verge tendue sous la plante de ses pieds… Elle me regardait fixement guettant mes réactions. Je me suis déshabillé devant elle et me suis remis à genoux devant elle, venant lui embrasser et lécher les pieds. Puis je lui montrai comment en balançant la jambe elle pouvait venir frapper mon sexe et mes testicules… Elle rougit, recommençant plusieurs fois le geste.
Puis elle s’est déshabillée, avant de se rassoir sur le bord du lit, maintenant ses cuisses entrouvertes devant moi. Ma tête est venue s’enfuir entre ses cuisses, et ma bouche s’est approchée de son sexe. Elle exhalait une odeur puissante qui m’enivrait. Ma langue est venue la lécher, elle a posé son pied sur ma verge tendue et s’est mise à l’écraser, la faisant rouler sous la plante. J’ai ressenti comme une brûlure, non à cause de son pied, mais du frottement sur le tapis… Ses cuisses se sont resserrées autour de ma tête, presque douloureusement. Sa jouissance fut aussi ma délivrance….
Je l’ai prise dans mes bras et j’ai commencé à la caresser, ma bouche s’est collée dans son cou puis s’est mise à descendre dans son dos. Ma langue a glissé entre ses fesses et s’est mise à nouveau à la lécher avec délectation. Elle m’a retourné s’est empalée sur mon sexe et m’a chevauché avec une vigoureuse intensité. Je me mordais les lèvres pour ne pas jouir. J’étais pris entre ses cuisses puissantes, la vue de ses seins ballotés par ses mouvements de reins m’éblouissait. Quand elle a joui je me suis glissé entre ses cuisses pour la lécher.
Elle s’est placée à quatre pattes sur le lit en position de levrette et m’a demandé de la prendre. Sa croupe était ronde et excitante. Je la saisis aux hanches et voulut la pris avec fougue. Hélas au bout de quelques saccades, je ne pouvais plus me retenir, mon excitation était à son comble …. Un orgasme violent m’a traversé le corps. Michaela en parut quelque peu déçue…
Je me suis allongé près d’elle dans le sens opposé et j’ai embrassé ses pieds. Son orteil s’est posé contre mes lèvres, et je me suis mis à le sucer docilement. J’ai cru qu’elle voulait enfiler son pied entier dans ma bouche. Elle paraissait beaucoup moins intimidée tout à coup. Elle prit mon sexe dans sa main et s’est mise à me masturber énergiquement. Chacun des mouvements de son poignet était comme un coup de poing dans mes testicules. S’en rendait elle compte ? Il me semblait que cela décuplait mon envie de lui sucer les orteils avec d’autant plus d’application… Si bien que j’éjaculais ainsi , le sexe broyé dans sa main, son orteil enfoncé dans ma bouche….
Nous avons pris un thé. Elle l’a préparé en me disant que la fois prochaine c’est moi qui le ferait. Elle m’a dit que je n’étais pas très fort avec ma queue, mais qu’avec la bouche c’était déjà mieux.
La seconde fois que nous sommes vus, elle avait acheté une paire d’escarpins à talons hauts de couleur rose « fluo »….Ils étaient bien en évidence sur le paillasson devant la porte d’entrée de son appartement. Elle m’a demandé si j’aimais …. Je lui répondis que tout dépendait ce qu’elle comptait en faire. Elle m’a rétorqué que je n’allais pas tarder à le savoir.
Nous sommes entrés dans l’appartement, elle s’est assise cette fois dans la pièce commune qui faisait office de salon. Sa voix était plus assurée quand elle me demanda d’aller chercher les chaussures sur le palier. J’eus une moue avant de m’exécuter. Elle me rappela à l’ordre : « non pas comme ça ! A quatre pattes, comme un chien ! ». Voilà bien une chose à laquelle je ne m’attendais pas. Faire le chien n’avait vraiment rien d’érotique. Mais constatant qu’elle faisait somme toute un effort, et qu’il n’était pas pour moi question de la décourager, je m’exécutai …inquiet cependant de me retrouver à quatre pattes sur le paillasson avec les souliers roses fluo dans la bouche, nez à nez si l’on peut dire avec un éventuel visiteur. Je rapportai donc les souliers aux pieds de ma Maîtresse….
Je dus la déchausser, la rechausser …. Autant de fois qu’elle l’exigea, déposant de furtifs baisers sur ses pieds, espérant qu’elle allait mettre fin à cette comédie, et débuter les « choses sérieuses »…. Je ne fus pas déçu. Elle avait du mettre les quelques jours écoulés depuis notre rencontre pour se documenter. Ses claques sur mes fesses ne furent pas feintes, et les chaussures roses furent bientôt baptisées avec du sang de ma verge dont le gland s’était mis à saigner tandis qu’elle l’écrasait en me faisant lécher ses fesses…. Je dus me masturber à genoux tandis qu’elle me fustigeait le derrière…. Et c’est moi qui préparai le thé cette fois là et bien des suivantes.
Notre liaison dura cinq ans. Je la rejoignais dès que le pouvais, j’étais déjà père de famille.
Les points d’orgue furent pour moi les quelques fois où nous sortions ensemble avec une ou deux de ses amies. Nous allions dans les bars de la ville, et nous rentrions chez elle. Je ne savais pas trop comment me comporter. Je me souviens de la première fois où je me retrouvai dans la cuisine au beau milieu de ces trois femmes. Il n’y avait que trois chaises. Michaela me demanda d’aller chercher le tabouret de la salle de bain. Je m’exécutai et vint m’assoir près d’elle. Elle me demanda de servir les bières, ce que je fis. Puis je repris ma place auprès d’elle. L’une des filles dit en riant que j’étais obéissant. Elles éclatèrent de rire. Je rougis en baissant les yeux.
Comme pour lui donner raison, Michaela me demanda de leur préparer une collation. Je dus aller me déshabiller dans la chambre et enfiler le tablier de cuisine qu’elle m’avait ordonné de prendre dans un des placards. Je revins seulement vêtu du tablier. Les filles pouffaient de rire. Je ne comprenais pas tous leurs commentaires mais je me sentais à la fois humilié, furieux et excité. Comme je plaçais les assiettes sur la table, Michaela me dit que pour ce qui me concernait, je mangerais dans la casserole à ses pieds. Les filles faisaient des plaisanteries sur les hommes ….
Michaela me fit signe que je devais lui masser les pieds….ce que je fis tandis qu’elle bavardait, fumait et buvait avec ses copines. L’une des filles dénoua l’un de ses souliers (des baskets blanches) et demanda si elle aussi pouvait être massée. Michaela me donna l’ordre d’aller remplir une cuvette, et de laver les pieds de toute la joyeuse assemblée….
Je dus faire la vaisselle : Michaela pris une cuillère en bois et m’en cingla les fesses plusieurs fois, avant de tendre la cuillère à la suivante. Elle expliqua que j’étais plus attentif et plus serviable ainsi. Les deux femmes ne se firent pas prier, et recommencèrent plusieurs fois. Puis elles m’abandonnèrent à la cuisine, à mes occupations ménagères et s’installèrent au salon pour discuter.
Je dus leur servi à nouveau des bières, Michaela me fit mettre à genoux et me gifla , parce que je n’avais pas pris de plateau. Les autres femmes paraissaient un peu gênées sur le moment , ne disant mot sur le coup…. J’étais assez furieux mais formulai des excuses à Michaela… Pourtant l’une deux encouragée par les circonstances, exigea également des excuses et me gifla à son tour. Je restai interdit mais Michaela me demanda de m’excuser encore et de lécher les chaussures de son amie, sans toutefois toucher les pieds. Je dus recommencer le service, c'est-à-dire aller chercher le plateau à genoux, reprendre les bières, les emporter à genoux à la cuisine et revenir, servir et m’excuser encore.
Les deux amies rentrèrent chez elles, je crois qu’elles étaient un peu saoules. Michaela m’attacha et me fouetta durement, à coups de ceinturon. Ma verge ne fut pas épargnée, Michaela avait pris la boucle métallique du ceinturon pour me frapper la verge qui resta entre le bleu et le noir pendant une bonne dizaine de jours. Je crois qu’elle connut l’orgasme le plus violent de notre histoire dans ma bouche cette nuit là… Elle me sodomisa avec un doigt l’enfonçant sans aucun ménagement. J’avais une sainte horreur de ça, mais la curieusement j’avais envie qu’elle me viole….Elle aurait pu me découper en pièces…. Elle m’entraina jusqu’à la salle de bain dans laquelle je dus prendre place et urina sur moi, toute la bière qu’elle avait ingurgité. Je dus ouvrir la bouche, mais je n’aurais jamais pu tout avaler. Du reste elle ne semblait guère s’en soucier, même si elle lançait des « avale ! avale ! avale ! « Cela me fit bander malgré les coups que j’avais reçus. Elle me prit ainsi sur le tapis de la salle de bain. Ce fut le coït le plus douloureux que j’ai vécu.
J’étais allongé sur le dos, le sexe tendu, couvert de bleus qui n’avaient pas encore pris leur teinte violacée. Elle avait garrotté ma verge prétextant qu’ainsi je ne risquerais pas de ‘spritzen », puis elle l’avait enfourchée et la chevauchait comme une furie.
Nous avons fait l’amour quatre ou cinq fois cette nuit là….au petit matin j’étais encore en train de la lécher..les mâchoires complètement tétanisées….
Notre relation dura cinq ans environ…. Elle prit fin pour deux raisons.
J’ai changé de travail et de région. J’étais père de famille et déjà bien engagé par ailleurs. Michaela me l’a assez reproché et aurait manifestement voulu que nous vivions ensemble. Nous ne nous sommes jamais revus…la petite librairie n’existe plus…. Son nom, Michaela Hilppert ne figure plus au 22 Pfadfinderstrasse à Saarbrücken.
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J'ai rêvé de connaître les cordes, je trouve cela très beau , , je voulais connaîtrelses sensations , 'occasion était là.
J'arrive place des cordes, j'entre dans cet endroit où je sais que beaucoup de mes amis BDSM m'en ont parler, je les enviais, mais me voilà dans cet endroit où tout le monde semble se connaître .. ceux qui se connaissent se serrent dans les bras s'embrassent, tout est fait avec un certain amour ..
Me voila assise face à la magicienne que certain ont connu se petit bout de femme a des mains magiques ..
Nous discutons, je la vois sortir ces cordes une à une, je tes touches, lui demande comment elles les préparent, elle me confit que c'est un ami qui s'occupe de l'entretient de ses cordes ..
Sans rien me dire elle commence a me positionner, les cordes s'enroulent autour de mes jambes , j’essaie de suivre ses gestes précis, je renonce, telle une araignée elle tisse sa toile sur moi, quand elle arrive à mes mains elle m'explique comment les positionner pour pas que les veines soient touchées , elle est attentive a mes réactions...
La corde remonte vers mon cou, mes bras, elle s'enroule autour de mon corps, je suis dans ma bulle avec ma magicienne, je l'entends chantonner, les personnes autour de nous sont très loin ..
Ses gestes sont précis , elle me frôle, m'encorde doucement .., parfois nos yeux se croisent, un sourire sûrement idiot de ma part je suis bien..
Un moment ou tout s’arrête ou un petit spectacle est donné, nous assistons a un moment incroyable entre un encordeur et sa partenaire, comment vous décrire cela ? c'est encore une fois magique, elle est liée suspendue, avec des gros morceaux de bambous, les cordes volent autour d'elle, la prennent, la possèdent , c'est encore un moment hors du temps ..
La magicienne n'a pas fini avec moi, la voila qui me suspend, moment très fort quand je la vois en dessous de moi allongée et moi un peut plus haut .. notre sourire notre plaisir en dit long ..
Expérience qui me semble réussie, je pense le refaire, servir de modèle encore une autre fois si l'occasion se présente ..
Voila cher lecteur, vous voila face à une Domina qui aime se faire encorder ..
Je ne sais si l'on peut dire que je deviens soumise à cette occasion la , jeme sens simplement bien
Clin doeil au soumis qui ma accompagner , silencieux et present , me regardant sourire une première rencontre entre lui et moi très spécial ..
Lady H
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1) Mon petit moi est un amas chose chaotiques et délicates. Je ne saurais vous garantir que vous puissiez me lire sans rire, pleurer ou saigner.
2) Je suis une personne très franche. J'estime avoir déjà trop perdu de précieuses minutes,de délicates secondes ou de savoureuses années pour continuer à mentir.
3) Enfant, j'avais beaucoup de rêves et on les a broyés dans un étau jusqu'à que juste la souffrance et l'aigreur reste accrochée comme des microbes, insensible à tout.
4) De l'âge de sept ans à celui de quatorze ans (ou à peu prés), je me prêtais à des jeux érotiques en rêve avec charlie : mon ami imaginaire. Je me souviens, il m'attachait à des arbres et me faisait des choses vilaines.
5) A l'heure où j'écris, je suis amoureux. Un amour si élaboré et si empli de bienveillance que j'en souffre presque.
6) Je ne parle plus à ma famille, ils m'ont fait trop de mal. J'éclate de bonheur aujourd'hui et je ne pense vraiment pas qu'ils aient droit à leurs parts.
7) Ma copine, qui connait mes besoins en câlins proche de la névrose, m'a offert un nounours cassé abandonné dans un bac. Je l'ai appelé abdenounours pour embêter ma belle mère raciste.
8) Je jouis beaucoup plus avec des mots plutôt qu'avec tout autre organe incongru
9) Ma copine et moi, on est des vrais gamins. On fait des danses bizarres et des grimaces rigolotes
10) Un jour, elle m'a dit qu'elle ne voulait plus de moi. J'ai explosé une bouteille contre un mur et l'ai blessé par mégarde. Je m'en veux beaucoup pour ça.
11) Je crois que malgré les cendres, les carnages et les regrets, je suis trés amoureux de ma copine. On a appris à se connaitre nous même et à arrêter de se faire du mal. Je crois que je tombe toujours amoureux de personnes écorchés et maladroites.
12) J'adore le terme "exhalaison du pire",je trouve ça très sensuel.
13) J'ai une addiction assez forte à l'houmous.
14) J'ai déjà vendu mon corps à des inconnus mais je ne vous dirais pas à qui, ni comment, ni pourquoi.
15) Quand il veut plaire aux gens mon aîné met sa joue sur son épaule nu, un peu comme une pin up. Je trouve ça très attendrissant.
16) J'ai l'esprit d'escalier. Ça fait de moi quelqu'un d'assez bordélique.
17) J'essaye toujours de protéger les gens qui me sont cher. Car cela est si rare.
18) Je baise volontiers avec quantité d'inconnus mais j'ai une sainte horreur qu'on vienne à me toucher sans MA permission. Beaucoup de gens trouvent ça bizarre.
19) Sexuellement j'aime bien me faire traiter de traînée ou de putain. Cela me pose quelques soucis éthiques.
20) Au final, je suis très fleur bleu.
21) J'aime quand un vêtement c'est comme une caresse ou même comme une cage, que je m'y sens protégé.
22) Je suis assez flippé comme garçon mais je l'assume plutôt bien.
23) Ma "soumise" me genre au féminin quand on fait des trucs de grands. Avec elle, étrangement, cela ne me gène pas.
24) C'est ma "soumise" qui m'a choisi, je n'ai jamais choisi une seule seconde de la dominer. C'est juste une manœuvre de séduction de sa part.
25) C'est bête à dire d'ailleurs mais je crois que je suis amoureux d'elle. Le fait de savoir que notre relation va s'arrêter bientôt ne rend tout ça que plus savoureux.
26) Je crois qu'on peut dire sans se tromper que j'ai de grosses carences affectives. Voir immense... Voir gigantesque...
27) L'enfer pour moi c'est quand les choses se répètent, se ressemblent un peu trop.
28) Avant de faire du BDSM, je crois qu la dernière fois que j'avais vouvoyé quelqu'un c'étais au lycée. Le vouvoiement a toujours été pour moi une forme de mépris mais j'apprend à corriger ça.
29) Je crois que si je n'avais pas été bisexuel et eu un accès aussi "facile" aux pratiques BDSM, j'aurais juste arrêté le sexe. Et fait autre chose comme de la programmation, c'est bête mais je trouve qu'il y a quelque chose de presque érotique dans l'architecture d'un code.
30) C'est bête à dire mais au début quand j'appelais mes partenaires "maître" dans mes jeux de domination, je ne pouvais m’empêcher de penser au film "young frankenstein" avec cet igor boiteux. Je me soigne mais j'ai encore du mal. Bon cela dit, après 45 minutes de sm je suis tellement en vrac que je peux appeler mon dom "maître", "courgette" ou les "girondins de bordeaux", dans mon processus mental c'est kiff kiff.
31) Oh que dire encore ? J'ai un peu de mal avec la définition générale que peuvent avoir les gens du sexe y compris dans le sm. Ma foi lécher un doigt, se faire caresser le fessier avec un martinet ou se chuchoter des mots étranges à l'oreille, est-ce que n'est pas plus du sexe que de se dire "Bon martine on commence, tu t'allonges ?".
32) J'ai trois enfants. Ils sont plutôt rigolos, je les aime bien.
33) Découvrir l'anal pour moi, ça m'a permis de comprendre un plaisir qui a effacé un peu tout le reste pendant quelques temps.
34) J'ai deux grandes passions dans la vie : le sexe et le jeu de rôle. Mais dans un cas comme dans l'autre, je n'ai pas l'impression de faire autre chose que de raconter des histoires.
35) Mes premiers moment sm c'étais avec mon ex. On étais vraiment trop cramé à l'époque, je me demande comment on s'est pas tué.
36) Je crois qu'on s'aimait et se haïssait à la fois. Le sexe n'étant qu'une manière très efficace d'exprimer cela. Je m'estime chanceux d'avoir haï et aimé comme cela. Merci à elle.
37) Il y a un peu plus de six ans elle s'est suicidé. Je détestais le monde à l'époque et c'étais mon seul soutien. Je me suis nimbé de cynisme et ai voulu affronté ça seul, comme un "vrai mec". Je ne peux m'empêcher de penser avec tendresse et hauteur à cet être fragile que je fus jadis.
38) Ma copine actuelle m'a souvent reproché de trop idéalisé ce fantôme d'autrefois. Je suis plutôt d'accord, c'est toujours dur de lutter contre un fantôme. Ce n'est plus le cas aujourd'hui mais je suis désolé de lui avoir imposé ça.
39) Je kiffe être étranglé c'est mon petit truc à moi. Ça et la sensation d'enfermement, de privation de liberté. Mon frère est claustrophobe et moi c'est un peu l'inverse.
40) Je n'aime pas mon frère. C'est un espèce de charle bovary en puissance. Je suis content de ne plus le voir.
41) Mes critères de beauté sont complètement éclaté. Cela rend mes échanges sociaux parfois compliqué.
42) J'étais un grand fan d'anne rice dans le temps. Je rêve encore que ma vie sexuelle ressemble à ce qu'elle dépeint dans ses chroniques de vampire.
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
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1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour David Arcas »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
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Je me contemple dans le miroir et regarde le reflet de mon désir s’afficher sur moi. Je pars avec lui en week-end. Il sait me surprendre, je veux aussi le surprendre. Ces moments sont des parenthèses de temps suspendu. Un refuge, un eden, tout un univers rien qu’à nous.
Telle une adolescente, mon cœur palpite, la pensée de le rejoindre me fait complètement mouillée.
Il m’a interdit de me caresser, mais cela ne me rendra que plus folle en sa présence.
Dans mon boudoir avec mon immense dressing, je passe de cintre en cintre pour choisir les robes que je porterai. J’aime la sobriété, l’élégance, sans aucune vulgarité.
Quelle atmosphère choisir pour ma lingerie, je prend entre mes mains ce soutien gorge sein nu que j’affectionne de Cadolle, puis je le repose. J’ai envie d’exotisme, d’orient. J’aime me costumer, certainement mon goût prononcé pour le burlesque.
Je ne pars que deux jours et on dirait que je pars pour la semaine. L’envie de lui être plaisante, de le surprendre est trop important. Je décide d’enfiler ces collants noirs et de mettre par-dessus ces chaussettes hautes où une, est accroché une rose rouge magnifique. Des chaussures à haut talons en noir verni, une jupe simple vert bouteille et un chemiser laissant entrevoir la naissance de mes seins.
Je l’entends arriver en voiture. Il sourit à la vue de mes bagages.
- Bonjour ma chatte, me dit-il.
J’aime cette alternance dans nos jeux. Ces moments de rire, d’échanges et de le voir d’un seul coup, sans crier garde arriver à me faire comprendre ma condition de soumise.
Nous prenons la route, le seul indice que j’ai, est que nous allons sur le Luxembourg. La route se fait longue. Arrivés dans cette contrée, j’aime ces vallonnements, cette nature. Le dépaysement est complet. Que m’a-t-il préparé comme surprise pour mon anniversaire ?
Je devine au loin une demeure, l’arrivée est spectaculaire dans cet endroit d’une beauté hors du temps. J’ai l’impression de me trouver dans cette campagne anglaise en passant sous ce porche. Un manoir, un petit Versailles, comme il est appelé. Le raffinement est à son comble, les sols en marbre, une immense cheminée en vieille pierre crépite. Quant à la chambre, elle est juste comme dans un conte de fée.
Bienvenue au Manoir de Lébioles, ma petite chienne.
Nous sommes un peu épuisés par le route. Je décide alors de m’occuper de mon maître pour le détendre et lui montrer ma reconnaissance quant à ce magnifique cadeau. Je vois que ses traits sont tirés. Il s’est assis sur le lit. Je décide alors d’enlever mon manteau, de mettre une musique douce pour l’inviter à se détendre. Une fois ce dernier posé, je m’agenouille en le regardant dans les yeux et je m’approche de lui. Il aime que je prenne ces initiatives et que je me comporte comme une bonne chienne.
Arrivée à quatre pattes à ses pieds, je lève mon regard vers lui pour avoir sa permission de continuer ce que j’ai envie de faire. Je commence par lui caresser ses cuisses, de redescendre sur ses mollets. Je prends une de ces jambes dans mes mains et enlève une de ses chaussures, je fais de même avec l’autre. Je lui masse les pieds. D’un seul coup, il m’attrape par les cheveux et me dit.
- C’est bien ma chienne, arrête- toi et reste à mes pieds.
Il enlève sa ceinture et me la passe autours de mon cou.
- Voilà qui est mieux ma petite salope.
Il fait tomber son pantalon puis avec sa ceinture, approche ma bouche de son sexe et me prend violemment.
- Quelle bonne putain tu es.
- Suffit maintenant ! tu es bien gourmande, gardons- nous des forces.
Le temps passe, je me rend vers la salle de bain, où se trouve cette somptueuse baignoire dans un style des années 30 que je rêverai un jour d’avoir chez moi. Je fais couler un bain. J’y dépose quelques pétales de roses que j’avais pris le soin d’acheter, et allume aussi ces quelques bougies rapportées. Je décide de mettre ce magnifique kimono de soie bleue, je me rends vers mon maître pour l’inviter à se joindre à moi. J’ai envie de prendre soin de lui comme il sait prendre soin de moi. Il m’autorise ces moments de détente et à prendre ces initiatives. Il sait que j’ai besoin de l’alternance des deux.
Alors que je voulais prendre soin de lui, il m’ordonne de laisser tomber mon kimono et de me mettre dans ce bain. La douceur du vêtement en train de tomber le long de mon corps me fait frissonner. Mes seins pointent.
- J’aime que ma chienne soit propre.
Assis sur le rebord de la baignoire, il me lave chaque partie de mon corps. Je suis son objet, il fait de moi ce qu’il désire. C’est un moment si érotique. Puis il me fait me relever et s’emploie à vérifier que mon sexe est bien lisse comme il aime.
- Ecarte tes jambes.
Il y passe ses doigts et m’enfonce brutalement ses doigts dans ma chatte.
- Je vais te dilater tes trous de chienne. Tu ne mérites que ça, être prise et baisée.
- Ca t’excite hein ? tu es déjà toute dégoullinante, regarde moi ça, mes doigts sont trempés par ton jus.
- Prépare toi pour le diner, met toi un plug dans ton cul.
Ma tête tourne tellement il m’a excitée. Je suis frustrée car j’ai tellement envie de jouir. J’aime quand il me fouille ainsi.
Je me prépare pour notre dîner. Je choisis cette robe fourreau grise et argentée, longue et fendue d’un seul côté. De part et d’autres des fins traits de strass, avec un coté légèrement asiatique.
Quand je sors je ne peux deviner que le feu dans le regard de mon maître. Il aime que je sois sa princesse que tout le monde regarde et d’être son esclave que seul lui possède.
- Mets toi contre le mur, je vais m’assurer que tu as bien vérifier mes instructions.
- Il lève ma robe sur mon dos, me demande de me tenir bien cambrer.
- Maintenant à mon tour d’apporter ma touche personnelle ! Un peu de rouge aux fesses ne fait pas de mal. Je ne veux pas t’entendre
Il en sort son martinet…
- Voilà tu es parfaite pour ce soir me dit- il.
Nous passons une excellente soirée dans ce lieu d’exception.
Arrivés dans le couloir de notre chambre, il me demande de m’agenouiller à son entrée et de marcher ainsi à ses pieds. Il me pare de mon collier et de ma laisse dorée.
- Deshabille- toi pour moi avec élégance, soit une chienne racée.
Je sais qu’il aime mes airs de ressemblance avec Dita, que j’aime l’érotisme de l’effeuillage. Je demande l’autorisation à mon maître de pouvoir mettre de la musique. Je ne peux pas m’en passer. Il acquièse du regard.
J’entreprend alors cette danse langoureuse pour lui. Je faire tomber un à un, quand il le décide du regard ou d’un mouvement de doigt, chacun de mes vêtements. Je me retrouve alors nue, avec mes bas et mes strass autours de mes seins.
Suffit maintenant. Il se lève, et prend subitement mes tétons et les pince fortement. Je gémis de douleur.
- Merci maître.
- Tes tétons n’étaient pas dressés comme il se doit.
Puis il les malmena, les gifla, et décida de les bonder. Parfait ! se félicite til.
Je sens dans son regard une lueur noire qui me fait frémir.
Il prend ma laisse et m’emmène sans ménagement sur le lit. Il me jète sur le dos, m’écarte les jambes.
- Reste comme ça, tes trous de salope offerts. Tu aimerais bien que des bites viennent te prennent, hein ?
- Oui Maître.
Il me place des attaches à mes chevilles et ensuite de les fixer au baldaquin du lit.
Mes Jambes sont relevées, et ma chatte, mon anus à son entière disposition. Puis il attache mes mains d au dessus de ma tête. Je suis complètement immobilisée. Les fesses posées juste en bordure du lit.
Voila une belle position de putain et je vais t’utiliser comme la catin que tu es.
Il s’asseoit sur ma poitrine, cravache à la main. Il pose sa main autours de mon cou pour m’éteindre avec fermeté. Il me gifle.
- Tu vas être docile et très obéissante. Je te veux la meilleure des chiennes.
- Oui, maître.
Ouvre ta bouche et sors ta langue. Elle doit être un écrin pour le sexe de ton maître.
Il dépose le bout de son gland sur ma langue.
- Lèche.
Je m’exécute. gourmande comme je le suis, je le prend dans ma bouche.
Il me donne alors un coup de cravache sur le sexe.
- T ai-je autoriser à me sucer pour le moment ?.
- Non, Maître
- Je t’ai dit d’être très obéissante et docile, ne sais-tu pas écouter ?. Je vais te rappeler ta condition de petite salope soumise.
Il me redonne un coup de cravache sur le sexe, une larme sort de mon regard.
Il se redresse pour observer la toile éphémère qu’il a fait de moi.
Je sens sa langue se poser sur mon sexe, et ses doigts effleurer l’intérieur de mes cuisses. Je brule de désir. Puis il prend dans ses doigts le bout de mon plug, qu’il m’a ordonné d’avoir dans mon cul. Il sait que ça me fait complètement bavé le sexe. Il joue avec, il aime le voir, entrer, sortir, entrer sortir, voir mon anus lâcher prise et se refermer.
Voila, ton anus est bien préparé, C’est parfait. Je vais te défoncer, te baiser partout, et par tous tes trous. Tu comprends. Est-ce que tu le mérites ?
- Oui maître.
Ah oui tu le mérites, qu’est ce que tu es ?
- Votre esclave, Maitre.
- Votre Chienne, Maitre
- Votre putain, Maitre.
Il plaça son sexe dans mon anus., attrapa de ses mains mes cuisses et me défonça le cul comme jamais.
J’en lâche même des cris de douleurs, tellement il me baise.
- Hum tu m’excites, petite garce.
Puis il se retira avant de jouir. Il veut garder le contrôle.
Comme tu cries un peu trop, je vais te faire taire. Il me plaça un baîllon.
- Hum c’est beaucoup mieux, dit- il fier de lui.
Pui il met un gant. Mes yeux s’écarquillent. Que va-t-il faire ?
Il s’agenouilla face à mon sexe, puis y introduit un doigt. Faisant quelques mouvements de va et vient.
- Hum c’est comme dans du beurre, un doigt ne te fait rien.
- Je vais t’en mettre un second, quoi que non trois.
- Que tu es ouverte, un vrai garage à bites. Tu sais ce qui t’attend ?
- Je ne veux aucune protestation. Tu as compris ?, sinon je serais bien plus sévère.
- Tout doux ma belle, ma main va rentrer, tu le sais. Aimes-tu cela ?
J’hoche la tête pour lui confirmer. Il sait que je ne l’ai jamais fait. Nous gardons toujours à l’esprit nos codes si les limites sont dépassées. Je veux qu’il soit fier de moi.
Il commence de plus en plus à me dilater la chatte, à faire des va et vient si rapide, que mon sexe devient presque fontaine.
Il se montre très doux d’un seul coup pour me rassurer. Il me demande de pousser
Je sens ma chatte s’ouvrir. C’est tellement excitant mais aussi douloureux.
- Hum quelle belle pute tu es, le sais tu ?
- Non, Maître
- Tu ne le sais pas, pourtant rien que de voir ta chatte ainsi devrait te le faire comprendre.
- Oui Maître.
Puis il retire ses quatre doigts en essayant de faire rentrer le cinquième. C’est éprouvant et difficile. Il n’insiste pas. Mais il rentre des doigts de son autre main et entreprend de m’écarteler. Puis il retente de passer toute sa main.
- Il faudra une main de femme pour te fister, petite putain.
- Cette idée te plait, avoue- le
Il enleva mon baîllon pour que je puisse répondre
- Oui Maitre
- Penses-tu que je t’enlève ton baîllon pour un simple, oui maître ?
- Non maître
- Alors je t’écoute
- Oui maitre, cela me plait l’idée de me faire fister par une femme.
- Voilà qui est mieux.
- Maintenant je vais te faire gicler ta chatte, lâche toi.
Il me caressa en même temps le clitoris. Je jouis avec une telle violence. Des spasmes me prennent sur tout le corps. Je frissonne. De sa main, il me tient par le menton pour que je jouisse en me regardant.
Je n’arrive pas à me contrôler, tellement c’est fort. Je suis épuisée par cette vague de plaisir. Il voit des larmes de bonheur se verser de mes yeux.
Joyeux Anniversaire, ma belle petite chienne.
Je suis son objet, son esclave, tout mon être lui appartient.
Ce soir tu seras attachée pour dormir dans mes bras. Je m’endormis contre mon maître en sentant toute sa chaleur, sa puissance et sa protection…
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Depuis le matin, nous étions affairés à tout préparer...
Elle, la matinée, à tout ranger, tout nettoyer, d'abord, entièrement nue, bien sûr, en dehors de ses talons hauts, de son collier et des quatre bracelets de cuir et d'acier qui ornaient son cou, ses poignets et ses chevilles, ainsi que de la petite chaînette d'argent qu'elle portait de façon permanente à sa cheville gauche comme symbole discret de son appartenance... Il faisait un peu frais, bien sûr, dans la maison, en ce début d'hiver, mais l'activité fébrile l'empêchait d'avoir froid. J'avais eu envie de la prendre, plusieurs fois, sauvagement, sans crier gare, basculée sur le dossier du canapé ou jambes écartées face au mur, à la voir ainsi, nue, désirable, la peau un peu humide de transpiration... Mais je savais qu'il fallait réserver mon énergie vitale - et la sienne - pour le soir ! J'étais donc sorti faire les courses prévues pour cette soirée à venir, et je m'étais ensuite occupé de mettre le champagne au frais, puis de mettre en place l'accueil prévu à l'extérieur...
Nous avions ensuite déjeuné rapidement, sur le pouce, et fait une petite sieste, afin d'être au mieux de notre forme ! Bien sûr, pour ce jour spécial, elle avait dormi attachée dans sa cage, sortie spécialement pour l'occasion, au pied du lit, un masque sur les yeux, afin de la mettre en condition pour l'évènement à venir... Puis nous avions continué nos préparatifs... Elle, en cuisine... Pour l'occasion, elle avait ajouté à sa panoplie un tablier de cuisine court, en coton beige écru festonné de feuilles d'oliviers, qui lui arrivait en haut des cuisses, laissait deviner largement le sillon de ses seins, et bien entendu la montrait entièrement nue de dos, en dehors des deux fines cordelettes nouées au creux des reins et autour du cou... Et tout l'après-midi, elle avait confectionné de petits plats pour le buffet du soir : un cake salé aux olives vertes et noires, de petits roulés de jambon cru au fromage frais de brebis, de petits pains suédois croquants en canapés au saumon et tomate cerise, des roulades de poivrons rouges au thon et à la feta, des boulettes d'aubergine au parmesan, et de petites barquettes de feuilles d'endive aux crevettes, coriandre et pointes d'asperges... Puis elle avait préparé un beau plateau de fromage, agrémenté de petites grappes de raisin blanc.
De mon côté j'avais utilisé ce temps pour vérifier le chauffage et les éclairages de la pièce, pour disposer les cordes, les plugs, la cravache, le fouet et autres accessoires à l'emplacement approprié, sur la petite console adossée au mur, et tester la solidité des anneaux d'acier noir vissés dans les poutres du plafond... J'avais aussi pris le temps de disposer plusieurs dizaines de bougies, toutes de couleur rouge, partout dans la pièce. Puis j'étais allé sélectionner les musiques qui agrémenteraient notre soirée, et les parfums d'encens qui lui donneraient cette atmosphère exotique et voluptueuse... Enfin, pour parfaire le tout, j'avais allumé un grand feu dans la cheminée, avec ce mélange si particulier et si odorant de chêne blanc et de ceps de vigne qui embaumaient la pièce d'un parfum de vendanges d'automne !
Le temps ainsi était vite passé... J'étais un peu frustré, car il ne se passait jamais une journée entière sans que je la prenne, la possède, sans qu'elle me fasse jouir ou que je lui procure un orgasme... Mais il était déjà dix-huit heures, et nous aurions le temps de nous rattraper plus tard dans la soirée, cela était certain ! J'appelais ma bien-aimée soumise : il était temps pour les derniers préparatifs avant de recevoir nos invités, nous habiller ! Elle savait ce que nous avions choisi et commandé ensemble pour cette occasion, je n'avais pas besoin de le lui rappeler... Elle savait aussi ce qu'il lui restait à préparer avant que je ne revienne avec les invités... Il était temps pour moi d'aller les chercher !
J'avais rendez-vous avec eux dans un bar du village voisin... Le temps d'un verre ensemble, et de m'assurer qu'ils avaient bien compris les instructions pour cette soirée... J'entrais dans ce bar que je connaissais surtout en terrasse au soleil, l'été... Une atmosphère paisible et un peu désuète y régnait, entretenue par une chaleur confortable, par une douce pénombre trouée de quelques halos de lumière chaude diffusés au travers de lampes à abat-jour et de spots harmonieusement répartis, par ces banquettes de cuir rouge surmontés de hauts miroirs encadrés de bois sombre vernis, et par cette musique jazzy de temps plus anciens... Il y avait peu de monde à cette heure intermédiaire entre les amateurs de thé de de chocolat chaud de l'après-midi et les premiers inconditionnels de l'apéro accoudé au bar de zinc. Vers le fond de la salle, dans un coin, un jeune quinqua à l'air encore fringuant, la peau hâlée et creusée d'un marin, le nez fin surmonté de lunettes rondes d'intellectuel un peu mystique, avec un cahier, un stylo et un livre que j'identifiais comme étant le Magellan de Stefan Zweig posés devant lui... Plus au centre, tournée vers la baie vitrée de la façade, une femme attablée devant un thé citron et qui semblait habituée des lieux, et habitée d'une vie intense, l’œil vif au regard malicieux et pétillant, et dont émanait une sensualité irrésistible, semblait plongée dans de profondes pensées, comme flottant dans un autre univers...
Et près de l'entrée, un couple attablé devant deux tasses de thé encore fumantes devisait tranquillement : je reconnus immédiatement mes deux visiteurs attendus, et m'approchais de leur table. Ils se levèrent pour nous saluer. Elle, dénommée V., une belle femme élancée et souriante, la quarantaine épanouie, emmitouflée dans un beau manteau au col de fourrure et doublé d'une longue cape évasée qui emmenait le regard jusqu'à ses bottes de cuir noir à talons hauts qui dépassaient au bas de la doublure... Lui, prénommé H., un beau métis élancé et musclé, la quarantaine affirmée, vêtu de façon très élégante sous son épaisse parka en mouton retourné gris anthracite et d'une longue écharpe de cachemire et soie aux discrets motif monogrammés dans une dominante violette foncée enroulée nonchalamment autour de son cou ... Je ne pus m'empêcher en le saluant de jeter un coup d’œil rapide sur la bosse qui tendait son pantalon de cuir noir au niveau de l'entrejambe, et qui semblait répondre aux promesses de nos échanges lors de la sélection que j'avais opérée !
Sophie, la jeune serveuse brune et accorte, aux fesses légendaires et à la voix gouleyante que je connaissais un peu, prit ma commande de thé aux épices, et nous nous avons discuté un petit moment avec mes deux invités du jour, pour faire connaissance, et m'assurer une dernière fois en réel et en face-à-face que l'impression était bonne, et qu'ils correspondaient à ce que nous attendions d'eux pour cette soirée si spéciale !
Il était près de 19h. La nuit était tombée. Un autre homme entra et vint saluer l'homme attablé au fond d'une bourrade amicale... Quelques habitués commençaient à s'agglutiner au zinc pour l'apéro. Il était temps pour nous de quitter les lieux, et de rejoindre Â, comme prévu. Mes deux invités me suivirent, et je les invitais comme convenu à l'avance à laisser leur propre voiture sur le parking et à monter dans ma voiture, après qu'ils eurent chacun récupéré dans leur véhicule un petit sac de voyage, dont je connaissais le contenu... Une fois installés, je leur tendis à chacun un petit foulard de soie noire. Ils en savaient la raison : notre destination finale ne devait pas être connue d'eux, et ils s’exécutèrent docilement en se bandant les yeux. Je leur dis avec un sourire malicieux : "Ce n'est pas tous les jours que deux Doms se font bander les yeux !", ce qui déclencha un petit rire collectif et mis une ambiance joyeuse dans la voiture pendant ce court trajet de retour !
Dix minutes plus tard, nous arrivions à la maison. Il était 19 heures précises, le timing était parfaitement respecté. Je garais la voiture sous le grand tilleul, comme j'en avais l'habitude, et leur dis : "Vous pouvez ôter vos bandeaux". Et nous sortîmes de la voiture. Les photophores éclairaient l'allée de cyprès depuis le portail de l'entrée jusqu'à l'entrée de la maison, dont le porche était encore entouré d'une guirlande de Noël à la douce lumière chaude et scintillante. Je les invitais à entrer dans la maison, et à se débarrasser de leurs manteaux. L'occasion de me rendre compte que V. ne portait pas juste des bottes ordinaires, mais de grandes cuissardes qui gainaient ses longues jambes jusqu'à mi-cuisse : j'appréciais la vision sensuelle et exquise !
C'était le moment d'entrer dans le lieu de nos réjouissances à venir ! J'ouvrais la porte, et les fis entrer devant moi. Et nous restâmes là tous les trois un instant à admirer le spectacle qui s'offrait à nous et à nous imprégner de l'ambiance, comme saisis par la magie de l'instant !
Le feu crépitait dans la cheminée, dégageant sa subtile odeur de bois et de vendanges qui se mêlait aux parfums d'ambre musqué des bâtonnets d'encens... Des dizaines de bougies rouges faisaient danser leurs ombres vacillantes sur les murs de pierres banches et les plafonds aux poutres apparentes... La musique de l'album 'Climax' de Molecule (https://youtu.be/hvxBsffzQr0) faisait vibrer l'air de ses harmonies sensuelles et charnelles... Dans un angle était dressé une joli buffet où chaque plat invitait aux plaisirs épicuriens de la gourmandise... Le long d'un grand mur était disposé une immense bibliothèque dont les étagères montaient jusqu'au plafond, munie d'une barre de laiton horizontale à laquelle s'accrochait une échelle de bois permettant d'accéder aux ouvrages les plus en hauteur... Deux profonds canapés de cuir nubuck et un grand pouf couleur fauves trônaient au centre de la pièce autour d'une table basse en teck massif aux formes asiatiques arrondies dans leur teinte naturelle imperceptiblement cérusée de blanc et imprégnée d'huile de lin... Le long d'un autre mur était disposé une longue console de fer forgé et verre, sur laquelle étaient étalés mes accessoires de jeu... Et, dans un espace vide de la pièce pendaient plusieurs cordes de chanvre épaisses, suspendues à autant d'anneaux d'acier noir fixés aux poutres du plafond...
Mais nos yeux étaient évidemment irrésistiblement attirés par un autre spectacle... Celui de Â, en position d'attente et de soumission, à genoux, cuisses écartées en V, bras croisés dans le dos, tête baissée... Et entièrement vêtue de rouge, de noir et d'argent : des escarpins ouverts aux talons vertigineux en peau façon croco, des bas couture de nylon noir, un serre-taille au fond rouge agrémenté de fines dentelles noires, lacé dans le dos, auquel étaient reliés les bas dans la partie inférieure par quatre porte-jarretelles de soie noire, et qui dans la partie supérieure soutenait ses seins entièrement apparents... Une fine tunique de tulle rouge transparente à deux pans brodée de motifs en forme d'arabesques orientales masquait partiellement son torse aux regards, laissant deviner plus que voir le serre-taille et ses formes sensuelles, et laissant les bras nus... Une chaînette de cheville en argent luisait à la lueur des bougies et du feu de bois, et deux larges bracelets en argent ciselé enserraient ses bras au niveau du biceps... Enfin, elle était nantie de quatre bracelets et d'un collier de cuir rouge munis chacun d'un anneau d'acier aux poignets, aux chevilles, ainsi qu'à son cou...
J'étais moi-même subjugué par la beauté de  à cet instant, et laissait mes invités absorber le choc émotionnel que visiblement cela leur procurait, si j'en croyais leur visage ébahi et leur silence éloquent - sans parler de la bosse du pantalon de H. que je voyais nettement prendre de l'ampleur ! Puis je rompis le charme :
"Je vous présente Â, ma soumise bien-aimée. Â, je te présente V. et H."
V. et H. saluèrent  de vive voix : "Bonsoir Â, vous êtes superbe", dit V. tout d'abord. "Bonsoir Â, je suis très heureux de faire votre connaissance ce soir", a ajouté H. Ensuite.  répondit sans lever les yeux, et en inclinant le buste vers l'avant : "Bonsoir Madame, bonsoir Monsieur, soyez les bienvenus".
Je continuai : "Comme vous le savez, cette soirée est spéciale. Mais avant toute chose, déposez ce que vous avez apporté avec vous sur la console, là-bas".
V. et H. se dirigèrent d'un pas commun vers l'endroit désigné, posèrent leur petit sac sur le sol, et en sortirent chacun un long fouet aux lanières de cuir qu'ils déposèrent sur la console, à côté du mien.
"Bien, vous pouvez maintenant vous installer confortablement dans les canapés. Â va nous servir le champagne, puis nous pourrons profiter du buffet dînatoire avant de commencer les festivités !"
 se leva pour aller chercher le champagne, un Laurent-Perrier rosé millésimé... J'échangeais un regard avec elle au moment où elle revint dans la pièce, portant un plateau avec la bouteille et quatre coupes de cristal Baccarat, et vis ses yeux refléter les milles lueurs des bougies de la pièce, mais aussi scintiller d'un mélange d'angoisse et d'excitation que je sentais monter en elle... J'étais fier d'elle, et je savais que la soirée serait la plus merveilleuse de notre relation jusqu'alors...
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Demain soir je prendrai le train... Où m'emmène-t-il ? Je feins de l'ignorer mais ne peut contenir plus longtemps le secret à mesure que mon visage s'illumine. Doucement, bravant le froid, la machine pourfend les rails et le vent dans ta direction : la pluie ne pourra me stopper. Je vais la retrouver, elle.
Vous en avez une vous aussi ? Votre "elle" à vous ? Si vous en avez un(e), vous comprendrez mon excitation.
Tu es là. Le quai, les gens te frôle et d'un courant d'air caressent tes cheveux châtains... D'un vif pas te retrouve dans mes bras et sans attendre nous nous esquivons vers chez moi. Tu t'en souviens n'est-ce pas ? Cette modeste maison, notre cocon caché, notre Eden à nous, où toi ma Ève, aime croquer dans cette pomme. Cette fois-ci tu ne peux t'empêcher de rougir, tu sais ce que je m'apprête à faire mais tu ne peux me repousser.
Tu le sens ? Oui, c'est nouveau, je t'avais prévenue ma jeune initiée. Ce n'est pas le même désir que d'habitude, n'est-ce pas ?
Te faisant dos, je décide de te regarder : comme tu es belle ma soumise aux yeux bandés... J'ai fais de toi ma sculpture et tu veux que je t'entretienne, mais avant laisse moi t'observer comme un artiste. Tes coudes surplombent tes tempes et ta cascade de cheveux recouvrent le reste de tes bras, soigneusement attachés aux poignets dans ton dos. À genoux, tes jambes écartées m'appellent mais te voyant gémir je commence à me délecter de ton désir : n'allons pas trop vite, savourons l'instant... N'est-ce pas ce que tu souhaites ?
Du bout de ma cravache, je rehausse ton menton pour voir l'expression de ton visage. Tu es impuissante, tu le sais mais tu l'adores. Je commence à te fouetter, les marques rouges sur ton corps frêle me fascinent... Mais voyant le sol mouillé sous ton bassin, l'envie de te goûter me vient à l'esprit... Mais il est trop tôt, tu ne l'as pas encore mérité. Je vais donc m'asseoir face à toi et tirer sur ta laisse pour te guider, faire de toi ma chienne pour mon plaisir uniquement. Tu sais ce que tu as à faire et tu le fais comme il faut, pour t'encourager je tire sur cette laisse d'une main et te cravache de l'autre : tes larmes se mêlent à ta salive...
Ayant apprécié tes avances, je dois te récompenser. Tu te cambres sur mes genoux et tu te laisses divaguer. Mes doigts sont rudes et s’immiscent dans tous tes orifices et je n'oublie pas de te faire goûter tes propres fluides, je sais que tu aimes ça..
Après t'avoir doigté, je te regarde à nouveau, mon index dans ta bouche. Tu m'excites et m’enivre, je ne peux y résister. Je me lève farouchement et me masturbe au dessus de toi. À mes ordres tu reçois ma semence sur les lèvre et t'abreuve de ceci comme d'un nectar sans pareil. Je retire ton bandeau et me plonge dans tes yeux.
En t'embrassant je remarque sur ta joue qu'il en reste : d'un doigt coquin tu récupères l’échappée et sur ta langue laissera fondre cette douceur enchantée.
Une seule goutte suffit...
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J'attends a 4 pattes les fesses relevées, la tête au sol, les mains dans mes cheveux.Je sens l'effleurement de la cravache qui glisse sur mon mollet avant de remonter mes cuisses, un tapotement sur ma fesse... j'attends. Un grand coups tombe, s'est fort... mes mains se crispent, le souffle coupé... la douleur vive...
Votre main a saisi mon cou pour me redresser, Votre voix au creux de mon oreille..."ce soir, ce n'est que Mon plaisir". Ma gorge se noue, j'ai peur, envie de fuire... mais c'est trop tard... aucun safeword... ma tête retrouve le sol... Votre pied plaque ma joue sur la surface froide. Les coups s'enchainent, se déchainent... les larmes coulent... je n'ai plus de souffle... tout n'est que douleur cuisante...et lorsque je pense que cela se calme... ce n'est que pour attacher mes poignets et les maintenir en extension vers le plafond.... "Ce n'est que le début, je m'échauffe juste; ma catin..." mes larmes redoublent, je tente de respirer... c'est le fouet qui prend la suite, je ne peux bouger... juste subir... mon corps se marque. Je finis par perdre connaissance.
C'est la brûlure de Votre jet de pisse sur mes plaies qui me réveille... je suis au sol dans cette flaque... je me sens sale, dégoutante... l'envie de vomir me prend.... c'est trop fort... je suffoque... sous Votre regard.... " Tu ne me mérites pas, dégage et ne reviens plus..." Vous détachez mes poignets et partez.
Mon dos me semble en lambeau, et mes fesses ne sont pas en meilleur état... chaque mouvement est douloureux, c'est a peine si je supporte l'eau fraîche de la douche... je ressors ruissellante décider a laisser l'aire me sécher. Vous m'attendez dans l'encadrement de la porte. "Tu sembles plus présentable, agenouille toi petite pute". Je tombe a genoux comme un pantin...Vos mains saisissent mon visage, m'intiment à ouvrir la bouche... Votre sexe se fraye un chemin... c'est trop... les hauts le coeur me submerge... Votre main saisit ma gorge pour me relever...."Même ça tu en es incapable. Tourne toi, penche toi , mains sur les genoux". Je Vous obéis, me mets en position le corps crispé, douloureux.. prête à subir une correction... C'est Votre sexe qui me transperce... qui s'enfonce douloureusement dans mon cul... je crie de douleur... "Tu peux crier ça m'excite, sale pute!". Vos assauts sont violent, le contacte de Votre peau sur mes fesses endolories est déja un supplice... et votre membre en moi est un couteau qui me transperce... Vous poursuivez à grand coups de rein, j'implore votre pitié... Vous poursuivez sans ménagement, avec plus de fougue... Vous vous videz rapidement en moi... en saisissant mes seins pour les écraser et pincer leurs pointes. La douleur redouble... et Votre foutre se déverse en moi. "En fait, c'est comme une chienne qu'il faut te baiser..." Je ne sais comment j'arrive à rester debout... je me redresse, mes ongles ont marqué mes genoux. Vous me tendez une liasse de billet que je décline... je tente de partir, mais Vous me retenez pour fourrer les billets dans ma chatte... je tombe au sol... brisée.
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Je me suis installée, mes seins contre la table... les jambes écartées... tu as caressé mon sexe, qui s'est gonflé de désir... j'ai senti l'insertion des boules de geisha... une première que tu as poussé en moi... puis la suivante. Puis un objet froid s'est posé à l'entrée de mon cul... ta main sur ma nuque, tu as introduit doucement le plug... il est imposant, c'est fort... tu t'amuses à le faire légèrement bouger en posant ta main sur le brillant... je me sens tellement remplie, pleine... Ta main vient claquer sur mes fesses, je gémis... tu poursuis sous mes gémissements... griffes mon dos par moment... le plaisir monte... les boules cognent en moi, chaque coup est un mélange de plaisir, de chaleur.... je me sens tellement bien... j'en veux encore, plus... je gémis, laisse le plaisir me submerger, savoure chaque claquement qui réchauffe mon cul, chaque claquement qui fait vibrer mon corps, qui résonne dans mon ventre, entre mes cuisses... je jouis, les boules tombent au sol, l'esprit un peu ailleurs, je te laisse me guider et glisser ton sexe entre mes lèvres.. je te lèche avidement... me délecte de ton gland... ta main dans mes cheveux, tu guides le va-et-vient de ton sexe dans ma bouche, ton membre est si gros, si dur.... j'ai glissé une main entre mes cuisses pour me caresser...on savoure tous les 2 ce moment de plaisir... je te suce, ma langue te caresse... se délecte de ton membre... Tes doigts pincent mes tétons, m'incitent à me relever... je quitte ton sexe... retrouve ta bouche, ta langue... ta main caresse mes fesses, tes doigts plongent en moi, me retournent pour me plaquer sur la table. Le plug me laisse étroite... mais je suis trempée. Ton sexe plonge en moi, ressort pour mieux revenir... c'est sauvage, torride... tu bloques mes mains dans mon dos, je te sens cogner, je jouis... tu retires le plug, pour plonger ton sexe... je te laisse t'abandonner en moi, porter tes coups dans mon cul...nous laisser à bout de souffle...
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Trois jours sans nouvelle. Je me languis. Je regarde à travers la fenêtre, pensive. Les femmes ont tellement tendance à se poser des questions et de trouver des réponses, qui le plus souvent ne sont pas la réalité.
Je ressens un manque, un abandon, mon coeur palpitant dans ma poitrine. Si difficile de rester en attente, car il m'a troublé, il a marqué son empreinte sur mon désir.
Je ferme les yeux, en revivant cet instant dans cette ruelle. C'est comme s'il était en moi, tel un envoutement. Je pense à lui. La passion de ce désir me consume. Le jeu a commencé, je le sais.
Le temps passe, je doute. Ai je fait quelque chose qui ne fallait pas? Au diable les questions, je me sens juste vulnérable, attirée, car mon ressenti a été très fort. La peur de ne pas ressentir cette intension ardente de désir.
Puis je reçois cette lettre manuscrite, où je découvre la beauté de son écriture.
Ma chère Scarlett
Envie de vertige, de vérité, de répère?
Laissez moi planter mes crocs dans votre être
Posez votre main en toute confiance dans la mienne
Laissez moi faire de vous ma chienne.
Mon corps palpite à cette lecture. Ce jeu de séduction et d'appartenance me procure une vague de désir. je sens mon sexe se gonfler d'une excitation.
La message se poursuit.
Vous devez récupérer votre culotte, qui fut d'un parfum des plus délicieux.
Rendez vous ce vendredi.
Il me laissa une adresse.
Pourquoi le temps paraît il si long dans cette attente. La migraine me monte, tellement je suis excitée, pleine de désir.
Le soir est enfin arrivée. Je me retrouve dans un quartier résidentiel. Mon corps tremble. Je n'ai jamais vécu de moments si troublants.
Sur un porte, un mot m'est laissé.
" Dès le franchissement de cette porte, tu es ma chienne"
Je sais qu'il est tant de faire demi-tour. Une pulsion me dit d'y aller, ma raison me dit, d'être prudente.
Il est temps de vivre mes envies et d'oser. Après tout, celui qui ne tente pas, ne peut pas savoir.
Après une longue inspiration, je toque.
La porte s'ouvre, nos regards se croisent, brulés par l'intensité de ce moment. Je cède. Je baisse mon regard.
En tant normal, je suis à le soutenir, mais sa personnalité, ses échanges, notre complicité naissante laisse place envie à la soumise qui est cachée en moi.
- "Entre et reste debout au milieu du salon" me dit il.
Il m'enlève mon manteau, il me découvre en sous vêtement, comme il me l'avait demandé.
Ses mains dessinent sur mon corps le désir.
- Ouvre ta bouche, m'ordonne t il.
Il y glisse une cravache qu'il me demande de maintenir.
- Mets toi à quatre patte et baisse la tête
Il tourne autours de moi puis s'asseoit sur son canapé, et sors de sa poche ma culotte.
Je sens qu'il me regarde. Je sens des frissons me parcourir.
- Alors ma belle, montre moi comment une chienne se déplace avec élégance jusqu'à son maître"
- "Apporte moi ma cravache"
A ce moment là, je me sens presque féline. Je m'avance à quatre pattes, la cravache tenue dans ma bouche. J'ose le regarder dans les yeux et lui jeter la cravache dans sa main, tout en cambrant mes fesses. Il me demande de m'asseoir sur mes jambres, de me redresser.
avec sa cravache, il me fait relever le menton pour le regarder, et je soutiens son regard comme une provocation.
Je sens le contact du cuir passé sur mes joues, mes lèvres, mes épaules. Puis il me fait écarter les jambes pour passer la cravache sur mon sexe. Il me donne quelques coups de cravaches qui me laissent échapper quelques cris.
Il la remet dans ma bouche pour me dire qu'elle servira plus tard.
Est ce clair, petit chienne.
- Oui Monsieur, c'est très clair, lui dis je.
Puis il me demande de m'allonger sur ses jambes et de lui offrir mes fesses.
Il est tant de voir comment j'arrive à te faire rougir. Je sens sa main me claquer les fesses. je ne peux me retenir de râler. Il me dit que si je fais tomber la cravache, ma punition sera pire.
Il m'ordonne d'aller me placer debout, les mains sur l'accoudoir du canapé, et de me pencher.
Suel beau cul tu as petite chienne, je vais prendre à plaisir à vous enculer.
Le compte à rebours des coups de cravache commence.
- 5 coups.
Le premier m'a fait mail, je n'arrive pas à dire 5.
- Je n'entends rien , me dit il. veux tu que je le refasse encore plus fort.
- Cinq, Monsieur.
- Voila qui est mieux, continuons.
- Quatre..
- Alors on ne me remercie pas? raille t il.
- Pardonnez moi, Merci, Monsieur.
- Trois
- Deux
- Un... je respire, j'aime ce sentiment d'être à sa merci mais la douleur me fait peur. Je sens sa main caressante sur ma croupe. cette douceur laisse place à de l'excitation. Il passe sa main sur mon sexe.
- Que tu es trempée ma petite salope... murmure t il.
Puis il me reclaque les fesses
Je le regarde surprise et interdite.
- Alors, on oublie le Zero?
Il me redresse, me tient par les cheveux, ma tête bascule en arrière et m'obliga à nouveau à m'asseoir sur mes jambes.
Met tes mains dans ton dos. Il m'attache les mains à mes chevilles. Je suis complètement à sa merci. Cela m'excite terriblement, et m'effraie.
- Supplie moi de t'enculer.
Rien n'ose sortir de ma bouche, je me sens comme timide. Il me tient par la tête.
- Ne joue pas les effarouchées avec moi, tu es une chienne. Je vais t'apprendre à tout assumer.
Puis il me gifle.
- Supplie moi de t'enculer.
Je me résigne.
- " Je vous en prie, Monsieur, Enculez moi", je veux être votre chienne.
Je sens sa queue au bord de mon orifice. J'ai peur. Il ne va pas oser me prendre ainsi?
Il mouille son sexe avec ma mouille degouillante. Il me demande de relever mon cul pour avoir une bonne position de putain.
Il place un doigt pour préparer mon petit cul serré qui n'a pas connu la sodomie depuis bien longtemps.
Je sens sa bienveillance à mon égard, et qu'il ne fera rien en dehors de mes limites, nous en avons longuement parlé et échangé.
Puis il place son sexe à l'entrée de mon anus.
- Pousse, viens prendre ce que tu mérites, espèce de petite salope.
Je sens mon petit trou se dilater, j'ai mal.
- tout doux ma belle, prend ton temps, dit il pour me rassurer.
cette attention me réchauffe et me rassure.
Puis une fois installer dans mon cul, il m'assaille de quelques grands coups, comme pour marquer son territoire et montrer qu'il est le maître, mon maître.
- Est ce que tu veux que je te défonce?
- Oui, Monsieur, défoncez moi le cul.
Je le sens prie par une frénésie, je ne me suis jamais fait pilonnée de la sorte. je sens cette force animale, cette puissance que j'avais ressenti quand je l'ai vu. Il prend possession de moi, de ma chatte, de mon cul, de ma bouche.
Une fois qu'il m'a bien besogné le cul, il y place un plug.
- je vais te remplir tes petits trous de chienne. Regarde moi comme tu es trempé. Puis il doigte ma chatte avec des va et vient qui me font défaillir, jusqu'à faire gicler ma chatte. Je n'arrive pas à me retenir. Je me sens complètement interdite, sans défense. Ma tête tourne. Puis il me fourre la chatte avec son sexe.
- Alors on aime être prise par ses deux trous, quelle bonne salope tu es. Ai je raison?
- Oui, Monsieur, je suis une bonne salope. Je vous remercie de toutes ces attentions que vous m'accordez.
Je suis complètement épuisée.
Il m'a fait jouir comme jamais et m'a emmené sur les sentiers que je n'ai foulé que dans mon imagination.Son
Son regard, la manière dont il me touche, me parle, me cravache, me procure des supplices, je sais qu'il prend son temps avec moi.
La morsure de sa possession pénètre mon esprit
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Pas un mot, je ne veux pas céder… je te laisse porter tes coups, je les supporte... laisser mes fesses rougir, se marquer. Je reste impassible, te laisse poursuivre, je ne veux pas céder… la douleur est de plus en plus forte ... je cherche à me concentrer sur mon plaisir, plonger mon esprit ailleurs… ta mains se glisse un bref instant entre mes cuisses, légère caresse… c’est sur mon dos que tu prends le relais... la chaleur se dissipe… j’attends, je me concentre sur ma respiration, recherche à me détendre, te laisse faire, je m’accroche…
étrange moment, où tout se brouille avant que je finisse au sol.
Tu es parti. J'ai attendu un long moment.. et puis j'ai fini par reprendre mes affaires. Dehors, le vent froid a glacé mes larmes, la douleur n'était rien... mon coeur en miette.... tout était fini.Je suis rentrée ... espace de silence et de solitude. La douche chaude ne m'a pas rechauffée... quelque chose s'est brisée.
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Vraiment c’est un régal pour Vous
D’avoir le male insignifiant à genoux
Nu et menotté devant Vous
Honteux, furieux comme un pou
Il est à poil, votre jupe dévoile tout
Il est à genoux, Vous êtes debout,
Belle et désirable comme tout
Sa queue n’est rien pour vous
Qu’une limace dont vous étrillez le bout
Sans qu’il puisse esquiver vos coups,
De le gifler à lui mettre le feu aux joues
Pour qu’il écarte bien les genoux
Et expose ainsi ses grotesques bijoux
A vos coups de pied par-dessus par-dessous
Par devant par derrière, qu’il sursaute comme un fou
Son ridicule et misérable coucou
Ce bout de viande tout mou
A la colère de votre courroux
A la furie de Vos coups,
Coups de pieds, coups de ceinture,
Coups de talon, coups de chaussure
Dans les couilles et en pleine figure
Dans sa bite, infâme pourriture
Nauséabonde créature
De la couvrir de zébrures….
De le narguer de votre majestueuse poitrine
Qui se gonfle d’adrénaline
Tandis que vous lui cinglez la pine…
Vraiment si c’est un régal pour Vous
De le rendre furieux comme un pou
De le sentir devenir teigneux, furieux
De le toiser de votre regard dédaigneux
De ricaner à ses propos haineux
De redoubler de conviction
Quand viennent ses supplications
De vous moquer de sa capitulation
Quand votre plaisir serait de le meurtrir
Quand votre jouissance, se nourrit de sa souffrance….
Nous avons de toute évidence quelques maux à « partager »….
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C'était une de ces après midi d'hiver, j'étais sortie pour l'accueillir comme il se doit. J'aime les arts de la table, la décoration, chaque détail à une signification et je sais qu'il y sera sensible. D'ailleurs c'est ce qu'il aime chez moi.
Je porte des chaussettes hautes noire avec cette robe noire en laine et son col bénitier, laissant deviné mon cou. Mes cheveux noirs et brillants font ressortir mes lèvres toujours parés de ce rouge.
J'ai décidé de me faire plaisir, un magnifique bouquet de roses. J'adore cette fleur, des pétales au toucher de velours, des couleurs pastels, à la blancheur au rouge bien plus profond sont comme un poème, elle n'ouvre son coeur qu'à celui qui prend le temps de la voir éclore. Ses épines montrent son piquant, seule la délicatesse et le savoir faire d'une main bien attentionnée permettent de la saisir.
Je l'attend... lui. J'ai pris soin d'allumer le feu de cheminée, ainsi que quelques bougies. Sur ma table avec son plateau en chêne, belle vaisselle, verre en crital, un magnifique bougeoirs surplombe cette table avec ses bougies dorées. L'ambiance est baroque. J'ai particulièrement pris soin d'élaborer un choix musical pour nous emporter dans cet univers qui nous appartient et où il me fait chavirer, où deux êtres entiers se sont trouvés.
Je l'entend monter les escaliers, je reconnaîtrais ses pas parmi tant d'autres. J'ouvre la porte et il me détaille de la tête au pied. Je porte une longue robe noire parsemée de dentelle avec un léger dos nu, les cheveux sont légèrement attachés, et je porte mon collier, celui que nous avons choisi ensemble, et qui est unique. Tout comme notre relation.
Je sais qu'il regarde mon décolleté, il passe sa main sur mon cou et s'empare d'un de mes seins. Il m'empoigne les cheveux et me fait déguster ses doigts. Je les dévore, les honore comme s'il s'agissait de sa queue. Il s'installe confortablement sur le canapé, je lui sers un verre de vin rouge. Je m'installe à ma place, à ses pieds. Il me caresse les cheveux pendant que nous échangeons. Il m'ordonne de défaire la ceinture de son pantalon, et de le mettre à l'aise.
- Baisse tes yeux, ma queue attend tes lèvres. Applique toi!
- Oui mon Maître.
Me délectant de sa queue, il profite de son verre de vin. Puis de sa main puissante sur ma tête m'enfonce tout son sexe dans ma bouche.
- Ne bouge pas", reste ainsi.
Au bout de quelques minutes, il me demande de me lever, il passe ses doigts sur ma peau, sur mes lèvres puis défait brutalement ma robe. Elle tombe autours de mes pieds. Il me félicité du choix de ma lingerie. Un soutien gorge qui réhaussent mes seins, mais qui lui laissent mes tétons à vue, tout comme cette culotte ouverte, lui donnant libre accès à ce qui lui appartient.
Ma bouche, Mon cul, ma chatte sont à son entière disposition.
Il me fait mettre à quatre pattes sur la table du salon:
" Ecarte ton cul de chienne"
Rien que le son de sa voix m'excite. Il sort un plug, et me l'installe sans ménagement dans mon cul.
Voila le bijou qu'il te manquait, Scarlett.
La soirée ne fait que commencer me dit il. Je t'ai prévu un cadeau de Noël que tu n'es pas prête d'oublier.
Habille toi chaudement, nous sortons! Il me met ce bandeau sur les yeux et m'installe dans la voiture, les mains attachées dans le dos.
J'en ai complètement perdus mes sens. Il m'attache les mains au dessus de la tête. Et que ce soir je reçois mon cadeau et que je serai également un cadeau.
Je sens mes tétons pris par des mains inconnus. Voila, qui est plus présentable me dit il.
Mon maître m'ordonne de le remercier.
Merci Monsieur, dis je.
Puis je sens une autre paire de main écarter mes fesses puis mettre deux doigts dans ma chatte.
- HUmm qu'elle est ouverte cette putain.. J'adore.
- Mon maître n'ordonne de le remercier.
- Merci Monsieur Dis je.
Un autre s'amuse à jouer avec le plug dans mon cul et me dit.
- Hum ton cul aussi va bien être ouvert comme il se doit.
Puis il me fesse.
Mon maître indique à ses messieurs que tous mes trous leurs sont disponibles.
Il me détache et m'installe sur un canapé à moitié assise.
On m'attache les chevilles en l'air, offrant ainsi à la vue de tout le monde ma chatte, mon cul.
De là, je sens les mains de mon maître venir retirer mon plug et insérer quelques doigts.
- Il m'interdit de gémir ou de jouir.
- Un homme décide de me baiser par la bouche, pendant que je sens des doigts dans mon cul, dans ma chatte. Je me sens écartellée de partout. Honteuse de mouiller ainsi. Ils prennent soin de bien me dilater.
Il me détachent et me fait mettre à quatre pattes.
"Cambre toi comme une bonne chienne",
"Allez mieux que ça"
" Montre nous comment une bonne chienne se branle"
Je me sens honteuse car quand je me masturbe, je deviens presque timide. Mon maître le sait.
"Dis nous que tu es une putain"
- Je suis une putain, Maître.
Maintenant, tu vas dire à ces messieurs qu'ils peuvent venir te baiser par tous tes trous.
" Messieurs, Venez me baiser par tous mes trous"
Plus fort, me dit il, nous ne t'entendons pas.
Je me sens honteuse mais j'en ai terriblement envie.
"Messieurs, venez me baiser par tous mes trous"
Pendant toutes la soirée ils me prendront comme la bonne chienne que je suis. Une fois leur cadeau reçu, mon maitre m'attachera à nouveau. Il me dit être fier de moi. Il me fit ma toilette
Je dormirai attachée à ses cotés, lui me tenant par ma laisse.
Je me réveillais fatiguée de ma soirée. Il me détacha et me mis sur le ventre. Il me caressa le dos. Je gémis et j'en frisonne.
Il me pris ainsi par la chatte.
Entre douceur, et violence il me pris par ma chatte. Puis me défonça mon cul élargi par la nuit précédente.
Puis il me caresse à nouveau dans une infinie douceur.
" Ne bouge pas", repose toi tu l'as bien mérité.
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J’ai caressé ton sexe pour le réveiller, le faire durcir entre mes doigts, assouvir mon désir de sexe. A califourchon, mon sexe tout contre le tien, que je branle dans mes mains, tu durcis, te tends. Je commence un va-et-vient de ton membre entre mes lèvres qui se gonflent, je frotte mon bouton sur la peau lisse de ton sexe; je me branle langoureusement avec ta queue… Je fais monter le désir, emprisonne ton sexe, et joue avec ton gland à l’entrée de ma chatte humide, je te rentre à peine et te fais ressortir aussitôt. Je joue au bord de mon sexe, t’empêche de t’enfoncer au fond de moi… J’aime ce jeu, l’attente avant de te sentir pleinement au fond de moi, mon corps ondule doucement, tète ton gland… ma main entourant fermement ton membre… avant te laisser t’engouffrer entièrement en moi, ma chatte cogne sur tes couilles, tu me remplis, glisses en moi. Je m’abandonne au plaisir, m’empale sur ton sexe, ondule, me frotte sur toi… mes seins caressent ton torse… tes mains sur mes fesses m’encouragent à poursuivre, tes ongles sur ma peau me font frissonner… J’ai envie de plus, plus fort… je guide ton sexe, dans mon cul, je prends le temps de laisser mon cul t’accueillir, s’ouvrir, avant de m’empaler un plus sur toi, je te demande de me caresser en même temps, envie de sentir tes doigts en moi, qui me fouillent…On se caresse mutuellement, jusqu’à ce que l’orgasme nous libère.
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J’aime rêver, imaginer des histoires, des situations…
A toi ma soumise, je t’imagine devant moi, un serre taille pour faire ressortir ta poitrine, et tes hanches pulpeuse. Un plug trône sur une chaise, je te demande de t’assoir, tu t’approches et t’empale lentement dessus, nos regards l’un de l’autre, j’imagine le plaisir un peu étrange qui t’envahit. Je t’invite à me rejoindre, tu te lèves et viens me rejoindre, je te murmure ma satisfaction au creux de ton oreille et t’invite à retourner à ta place. Tu recommences, t’appliques à t’empaler sur le plug… je te tends mon pied que tu masses avant de le porter à ta bouche. «La prochaine fois, je mettrais le plug au sol…»
Je sors une corde et commence à t’attacher, mes mains caressent ta peau à mesure que mes cordes t’emprisonnent. Tes mains dans le dos, tes pieds fixés à la chaise… je joue avec tes tétons, les pince doucement, avant de faire couler un glaçon dessus. Je me penche pour lécher l’eau qui coule… ma langue s’amuse sur ton téton, mes lèvres le pincent, l’aspirent… Je sors une bougie que j’allume, tu observes. la flamme qui danse doucement. La cire tombe sur ton sein, fige. Je place un vibromasseur entre tes cuisses, ton bouton ainsi excité ne te laisse pas de répie, l'orgasme te submerge...
Je te détache et t'allonge au sol... le vibromasseur retrouve sa place, tandis que je glisse deux doigts en toi... tu es humide et détendue... je te caresse....de doux va et vient... un autre orgasme s'annonce... un troisième doigt s'enfonce en toi... tu t'ouvres... ma main glisse en toi... ton corps palpite... et tu jouis à nouveau violament...tu ruisselles sur moi...
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Le sourire malicieux, les yeux courroucés
L'allure rebelle, de la femme indomptée.
La jeune femme trahit, son intime complicité.
Un désir, une envie, d'une tendre fessée.
Soudain basculée, sa jolie croupe offerte.
La bouche refuse, mais ses pulsions se prêtent.
robe relevée, comme un rideau de scène.
Les doigts font glisser, la culotte sans peine
Déjà la peau frissonne, de mille plaisirs.
D'un désir infini, qu'elle ne peut contenir.
Les tendres rondeurs, caressées par la fessée.
S'offrent aux mains de son Dominant intéressé.
Les gestes ébauchés, d'une lenteur pénétrante.
Les fesses se tendent, devenant provocantes.
La jeune femme gémit, le temps d'un délice.
Lascive et ravie, de ces gracieux sévices.
Le 6 décembre 2016
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I/ils se donnent rendez-vous à l'endroit habituel. Elle arrive en avance, toute excitée, toute chose. Comment va elle réagir en le revoyant. Son cerveau fonctionne à plein régime, des questions, des doutes, des envies, tellement de choses à lui dire, mais par quoi commencer. Son corps tremblotte, sa respiration s'accélère.
Tout a coup, elle aperçoit sa voiture. Le sourire se fait apparaître sur son visage. IL se gare à côté d'elle et la rejoint. I/ils se regardent un moment dans les yeux avant de d'embrasser timidement. IL la prend dans ses bras et la caresse. Elle se laisse faire car elle en a tellement envie, cela faisait longtemps. Envie de sentir son étreinte, envie de se blottir dans ses bras. Le temps semblait s'arrêter pour les laisser tous les deux profiter du moment.
I/ils prennent la voiture pour aller boire un verre. Finalement I/ils optent pour un plat. Tout en mangeant, I/ils discutent, rigolent, se font les yeux doux comme si de rien n'était, comme avant.
Après mangé, I/ils décident de profiter du beau temps, la journée s'y prêtant. Arrivés à destination, I/ils se promènent dans le parc, main dans la main. Plus rien n'existe, i/ils sont seuls au monde, dans leur monde. I/ils empruntent un petit chemin et se rapprochent dangereusement l'un de l'autre. IL passe ses doigts dans son décolleté lui caressant le sein gauche. Elle aime ça et sait très bien ce que cela signifie. Elle n'attend que ça depuis qu'IL s'est garé.
I/ils s'aventurent un peu plus loin dans la lisière du bois, jusqu'à un petit endroit à l'écart, intime, en plein milieu de la végétation. IL l'embrasse d'un baiser de détresse, comme s'IL n'allait jamais la revoir. Elle répond à son baiser avec la plus grande des tendresses qui soit. IL glisse Ses mains dans son soutien gorge jusqu'à ses tétons qu'IL pince doucement puis fermement lui arrachant un petit gémissant de douleur agréable. IL tira vers le bas l'obligeant à se pencher, se baisser jusqu'à ce qu'elle se mette à genoux devant, sa position préférée. N'attendant pas qu'IL le fasse, elle déboutonne son pantalon avec grand empressement, le descend légèrement, plonge sa main dans le caleçon pour en sortir l'objet de sa convoitise, de sa gourmandise, déjà bien durcie par l'excitation, la tension sexuelle qui règne entre E/eux.
Elle le prend en bouche, le suce, le lèche, le deguste. Elle en est avide. c'est Lui qui lui a appris à apprécier cette pratique. Non qu'elle la trouve dégradante, mais ce n'était pas trop son truc avant de Le connaître. Elle glisse sa langue le long du membre turgescent. Elle pose ses lèvres sur Son gland et descend jusqu'à Sa garde l'engloutissant, lentement puis de plus en plus rapidement au rythme des va et vient qu'IL impose avec Ses mains posées de chaque côté de sa tête. D'un coup, il demande de se relever et de se retourner. IL lui enlève sa culotte. Elle est déjà toute humide malgré son indisposition, l'excitation coule le long de ses jambes. Ses doigts s'aventurent tout près de son oeillet qui s'ouvre lorsqu'ils s'y enfoncent. D'abord surprise, elle gémit au fur et à mesure qu'IL enfoncé Ses doigts. IL les retire et enfoncé Sa queue. Hummm elle adore ça, elle aime le sentir de toute Sa longueur et en force. IL accélère Ses coups de reins pour son plus grand plaisir. Elle Lui demande d'y aller encore plus fort, d'être plus bestial, plus violent dans Ses coups. Alors IL se laisse aller avec frénésie et l'oblige à se mettre à quatre pattes comme la chienne qu'elle a été jadis pour lui. Et continue à la besogner de plus en plus fort, de plus en plus vite. Sentant Sa jouissance arrivée rapidement, IL se retire, lui demande de se retourner et d'ouvrir sa bouche, ce qu'elle fait. IL lui baise la bouche jusqu'à la gorge et s'y déverse. Elle avale Son sperme si précieux.
I/ils se rhabillent tous les deux et reprennent le chemin de la voiturew main dans la main. Elle le dépose à Sa voitur. I/ils se font des calins pleins de tendresse. IL prend Sa voiture et repart comme IL est venu.
Pendant un instant, Elle etait heureuse car elle l'avait retrouvé. Un court après-midi, elle s'est laissé aller entre Ses mains. IL n'est plus Son Maître, elle n'est plus Sa soumise, mais dans les faits, elle Lui était encore soumise, juste à cet instant, juste à ce moment précis. Elle ne sait pas si elle le reverra un jour, peut-être ou peut-être pas. Mais une chose est sûre et certaine. Des échanges qu'I/ils ont, IL ne redeviendra pas Son Maître, ni elle sa soumis, même si le lien qui les U/unit est très fort. IL restera à jamais Son âme sœur et elle Sa soumise idéale, mais la vie en a décidé autrement. L/,leurs routes sont à jamais séparées. Elle n'a plus rien à espérer, elle doit avancer, se reconstruire, et qui sait au fil du temps et des conversations, un jour elle trouvera peut-être Celui qui lui permettra de refermer la parenthèse de Lui.
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Je ne sais de Lui que ce qu'IL a bien voulu me dire. Certes, IL m'a dévoilé certaines choses de sa vie, Ses expériences, Ses goûts mais pas assez pour satisfaire ma curiosité. Quelque-chose en Lui m'attire, je ne saurais dire quoi. IL est si énigmatique, si mystérieux.
IL m'a donné rendez-vous en terrasse d'un café. Je me suis apprêtée comme IL m'a demandé, une jupe fendue sur le côté dévoilant le haut de mes cuisses et une chemise mettant en valeur mon joli décolleté soutenu par un soutien gorge en dentelle. Je prend place à une table d'où passants et clients du café pouvaient me voir. Je commande un freeze lemon pour me désaltérer et faire passer mon stress. À l'approche de l'heure fatidique du rendez-vous, je sens la chaleur envahir mon corps, les papillons vadrouiller dans mon ventre et la moiteur s'intensifier entre mes cuisses que je écarte légèrement comme IL le veut. Je regarde au loin et d'un coup mon coeur fait un loupé, IL vient dans ma direction. Je l'ai reconnu au vu de la description sommaire qu'IL a faite de Lui, taille moyenne, plutôt élancé, les cheveux bruns courts, pantalon noir et chemise blanche à col ouvert. Sa démarche est assurée et ses lunettes de soleil Lui donne un look mauvais garçon que j'aime beaucoup je dois dire.
IL s'assoit devant moi sans un mot, me fixe un long moment et je finis par baisser les yeux. C'est à ce moment-là qu'IL enlève ses lunettes et me dit :
- regarde moi petite chienne que tu es !
Au ton de Sa voix, je comprends que c'est un ordre. Je lève mes yeux et je tombe nez à nez sur les siens, de couleur noisette, Son regard est si intense, si profond, que je me sens perdue. Je reste à Le regarder un moment et l'expression de son visage change. Je comprends ce qu'IL veut. Alors je prends mon courage à deux mains, je m'agenouille à Ses pieds, et embrasse la main qu'IL me tend. Les regards se tournent vers N/nous, mélange d'étonnement, d'envie, de gêne, de dégout. Mais j'en fais fi. Je suis bien car je suis avec Lui et c'est tout ce qui compte. IL me salue de la tête et je me rassois tranquillement. À mon attitude, IL comprends que je fais abstraction du monde qui nous entoure. IL pose Sa main sur mon genou, remonte sur l'intérieur de ma cuisse me forçant à écarter outrageusement les jambes. Les clients N/nous regardent subjugués par le spectacle. Ses doigts effleurent mon antre humide. Hummm que c'est bon. J'adore cette sensation, plaisir en public. IL cherche et trouve mon clitoris qu'IL titille. Mais je dois m'efforcer de ne rien laisser transparaître tels sont Ses ordres : ne pas bouger, ne pas gémir, ne pas souffler rapidement. Le serveur arrive pour prendre la commande. Tout en continuant à me caresser, IL demande 2 cafés. Je vois le serveur intrigué, puis sourire, son regard devient lubrique, et la réaction ne se fait pas attendre. Le serveur est excité par ce qu'il voit et perçoit. Quand à moi, je sens l'orgasme imminent arriver. Le serveur repart et c'est à ce moment précis qu'IL retire ses doigts qu'IL donne à lecher. Humm que c'est bon, mais quelle frustration de rester ainsi sur sa faim. Nous prenons notre café et IL me fait comprendre que nous devons y aller.
Nous marchons en direction de son appartement, il fait beau et bon et cela Lui donne l'envie de flâner un peu. IL prend ma main et me dirige dans une ruelle, un peu à l'écart mais pas trop, juste assez pour attirer sans susciter d'atteinte aux mœurs.
- aujourd'hui tu es Ma chose et tu feras tout ce que je te dis. Est-ce clair ?
- oui, lui répondis-je je
- oui qui ??
- oui Monsieur
- pardon ??
- oui Maître
- alors, mets toi à genoux devant moi.
Je suis gênée de me mettre ainsi à genoux, en pleine rue, en pleine lumière. Toutefois les papillons grondent en moi. Je suis terrifiée et excitée par ce qu'IL me demande faire. Je me mets à genoux pendant qu'IL déboutonne son pantalon, laissant entrevoir Sa queue qui pointe dans son boxer, l'objet de ma gourmandise. Je libère sa lame déjà dure comme de l'acier. Il tressaille lorsque de la pointe de ma langue je titille Son gland. Je lève les yeux vers Lui et je vois ses yeux qui commencent à s'embrumer. Alors ma bouche s'ouvre pour le laisser entrer enfin. Son sexe est long, épais et nervuré. J'enroule ma langue tout en faisant des va et vient longs et lents. Je veux Lui donner le maximum de plaisir, c'est Son envie et c'est mon désir. Au fur et à mesure que son excitation monte, IL accélère le rythme. Ses mains se posent sur chaque côté de ma tête et la tiennent fermement. IL veut plus, Son regard me le dit. IL veut baiser ma bouche alors pour Lui montrer que j'ai compris je l'ouvre en grand. Il sourit et commence Sa baise bestiale. IL va de plus en plus loin au fond de ma gorge, à limite de m'étouffer. Je Le laisse faire car je suis objet de Son plaisir. Le fond de la gorge me fait mal mais c'est tellement bon de le voir ainsi se lâcher. IL se déverse enfin et moi, contre toute attente, je me liquéfie à l'idée d'avoir été Son déversoir. IL reboutonne Son pantalon pendant que je passe ma langue sur mes lèvres. Il m'aide à me relever et m'embrasse à pleine bouche dans un baiser toute à fois dur et passionné. IL a le chic pour faire monter la température.
Nous reprenons la route tranquillement comme si de rien n'était devant les personnes médusées par la scène à laquelle elles viennent d'assister. Pensant notre route, nous parlons de choses diverses tout en rigolant. Nous sommes enfin devant l'immeuble. IL compose le code et m'invite à entrer. Nous prenons l'ascenseur et moi stress monte légèrement, mes doutes aussi. Et si je restais figée, et si je ne convenais pas, et si je n'étais pas celle qu'IL espérait. IL pressens mes interrogations, me prend la main et y pose un baiser. IL me caresse la joue ce qui provoque des frissons sur tout mon corps.
Il ouvre la porte de son appartement, et me fait rentrer. C'est un très joli appartement, style épuré et moderne. Après une visite guidée, IL me donne l'ordre de l'attendre agenouillée devant le canapé. Je m'y attelle pendant qu'Il va de l'autre côté de l'appartement. J'attends patiemment son retour, mais les minutes me paraissent interminables. D'un coup, je sens un main se poser sur mes cheveux et je lève les yeux, IL est là avec son regard espiègle, plein malice et très gourmand. Remarquez je suis gourmande aussi. IL se baisse pour m'embrasser le front puis s'assoit face à moi. je vois qu'IL pose à côté de Lui certains objets familiers : un collier et une cravache. IL souhaite que je Lui offre de nouveau ma bouche.
Je Lui baisse le pantalon et m'attelle à la tâche qui m'est confiée. Je Le prends délicatement en bouche, lentement. Il gémit alors j'accélère le mouvement et ma bouche descend de plus en plus loin sur Sa hampe. Je me concentre sur l'objet de ma gourmandise et sans criergare, je sens une chaleur cuisante sur mon cul et je comprends qu'il s'agit d'un coup de cravache. Il a décidé de me fesser pendant que je le suce. Il alterne coup de reins et coups de cravache. Puis il la lâche prend ma tête entre ses mains :
- ouvre la bouche petite salope
- encore plus, allez
Là IL me besogne telle Sa petite chose que je suis. Son gland heurte le fond de la gorge à m'en provoquer des hauts le cœur, alors je respire profondément la le nez. D'un coup je sens que je vais vomir, je me retire et cours aux toilettes pour éviter tout incident gênant. Je reviens dans le salon.
- à genoux, viens à moi à genoux.
J'obéis et traverse la pièce en marchant à 4 pattes, reviens à Ses pieds et le reprend en bouche. Je continue ainsi à le sucer, aller aux toilettes et revenir à 4 pattes. IL lâche ma tête et vient se placer à genoux derrière moi. D'un coup sec, sans ménagement, Sa lame dure et épaisse s'introduit dans mon anus, me soutirant un cri de douleur. Mes larmes coulent le long de mes joues. Il entame un va et vient rapide, et je pleure à chaude larmes à cause de la douleur. Je comprends qu'il me faut me décontracter. Alors je ferme les yeux et me cambre au maximum pour permettre une pénétration plus profonde. Contre toute attente la douleur se transforme en plaisir, hummmm que c'est bon. Son excitation s'amplifie, IL est au bord de la jouissance
- donne moi ta bouche, vite
Je me retourne et IL s'engouffre au fond de ma gorge et s'y déverse. IL adore ça et moi aussi. IL caresse les cheveux
- Tu vas prendre une douche ma petite chienne.
Je sens qu'un peu de Son sperme coule de mon cul quand je me lève
- non ! À 4 pattes comme la bonne chienne que tu es.
Je me remets à 4 et j'avance ainsi à ses côtés jusqu'à la salle de bain, je monte dans la baignoire et m'apprête à me laver.
- non ! Je vais le faire. Mais avant tu auras le droit à ma douche.
Je le regarde et comprends ce qui m'attends. Alors je me couche légèrement, en position semi assise, ouvre la bouche. Je sens un liquide chaud qui coule sur ma langue et que j'avale, mon cou, mes seins, mon ventre. La douche dorée, j'étais contre au début, je trouvais cette pratique dégradante, humiliante. Mais IL a su dédramatiser mon malaise. IL m'a poussé à dépasser mes limites. Guidée par Lui, j'ai pu m'épanouir et apprécié ce moment. Une fois Sa douche finie, il entreprend de me laver entièrement, soigneusement, tendrement. Je ferme les yeux et me laisse faire. Une fois lavée IL me sèche délicatement, me prend par la main et m'emmène dans la chambre.
- à genoux ma petite chose
Je m’exécute. IL quitte la chambre et revient quelques minutes plus tard avec le collier et s'assoit sur le lit, je baisse la tête.
- es tu une bonne soumise ?
- seul Vous peut le juger mon Maître.
Alors il me regarde fixement avec un sourire en coin
- montre moi que Je ne me suis pas trompé sur toi. Conduis toi en bonne soumise que tu es.
Je me prosterne devant Lui, les mains devant touchant ses pieds dénudés, j'embrasse le sol jusqu'à Ses pieds sur lesquels mes lèvres se posent pour un baiser plein de dévotion car je suis Sa chose. Il apprécie mon geste et passe Ses doigts sur mon dos.
- relève ta tête Ma douce.
IL me montre le collier avant de me le passer autour du cou. Il est en cuir, d'environ 3 centimètres de large, rouge et noir. Je le trouve magnifique. Une fois autour de mon cou, j'éprouve une grande fierté. Je suis Sienne et j'en deviens chose.
- viens sur le lit et allonge toi.
Ce que je fais
- essarte les jambe, montre moi La chatte qui m'appartient.
Je souris et ne me fait pas prier, j'écarte bien grand, lui offrant une vue panoramique sur l'objet de sa convoitise. Je mets automatiquement mes mains au dessus de ma tête et ferme les yeux. Ses doigts caressent mon clitoris et je gémis. D'un coup je sens quelque chose de chaud et humide. La pointe de Sa langue à remplacé Ses doigts. Le plaisir monte inexorablement, je gémis de plus en plus fort. Je suis prise d'un orgasme si intense que je cris et cherche à me soustraire de son emprise. IL le comprend et me plaque au lit avec son corps. IL a décidé de me faire perdre complètement la tête. Sans attendre que mon orgasme redescende IL insère deux doigts dans ma chatte, entame un va et vient très rapide, et j'ouvre les vanne. Je deviens fontaine dans un cri de joie, les draps en sont mouillés, le matelas aussi. Les larmes coulent sur mon visage et mon corps tout entier tremble.
IL porte ses doigts à ma bouche pour que je me goûte, hummm quel délice. Occupé à lécher Ses doigts, je ne me rends pas compte qu'IL bouge. IL se positionne entre mes jambes s'enfonce d'un coup dans ma chatte et j'en soupire d'aise. Que c'est bon de sentir Sa queue, Ses nervures, chaque centimètres de Sa peau. IL me besogne sans vergogne, brutal, le regard froid. Je fond, je me noie dans ce regard. Je veux qu'IL me déchire. Je veux Lui appartenir corps et âme. Cette pensée déclenche en moi une montée du plaisir. IL le sent et accélère. Je pars dans le cosmos, mon vagin se contracte intensément provoquant une montée de son plaisir. IL se laisse aller et éjacule en moi tout en s'effondrant sur moi. Sa bouche se pose sur la mienne pour un baiser passionné chargé d'amour et de désespoir.
Nous restons un moment dans les bras l'un de l'autre pour reprendre notre souffle et nos esprits. Je n'ai jamais ressenti ça, un feu d'artifice à l'intérieur de ma tête et de mon corps. S'en suit un moment de silence, de calme, de sérénité. Je resterai ainsi là pendant des heures. Je ne me suis jamais sentie aussi heureuse et apaisée. Je le regarde, Ses yeux sont clos et sa respiration est lente et régulière. Nous finissons par nous endormir ainsi
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00 -Vous avez un moment à perdre ? Tant mieux parce que je suis aussi comme ça
01- Ne pas cliquer n'importe où j'apprendrais.
02- D'un naturel joueur je suis.
03- D'un naturel curieux et explorateur je suis.
04- Il est indéniable que je suis attiré pas cette "chose" incompréhensible, surprenante, instable, caractérielle, et pourtant adorable qu'est la femme.
05- Je suis grand, beau, intelligent, tatoué, rêveur et surtout modeste et réaliste ! la preuve :
06- A vendre ? Mais vous faites pas une affaire ! Et c'est très cher !
07- A marier ? Pas avant mes 77 ans ! (maladie d'amour)
08- A essayer alors ? Vous avez une assurance ?
09- A inviter à manger ? Si c'est trop bon vous risqueriez de m'avoir sur le dos !
10- A fréquenter ? Y en a qui ont essayé !!!
11- A suivre ? Ça pourrait ne pas être simple surtout s'il est à moto...
12- Donc, Je serais vous, je mettrais une option de suite car il pas encore immobilisé le lièvre... Sinon essayez la dynamite ou le gaz (si ce n’est pas un jour de grève).
13- Le grappin aussi mais y s'débat l'animal.
14- Le câlin (ça peut marcher...)
15- Le lapin (ça va pas lui plaire !!!)
16- Le parpaing (y penser, c'est pas bien!)
Ah oui, aussi et avant tout, S'il vous plait, mesdames :
17- Si vous cherchez une passe... passez ailleurs!
18- Si vous cherchez un bon coup... je suis un mauvais coup
19- Si vous cherchez un mec, un dur, un tatoué... je n'ai que le tatouage
20- Si vous cherchez un mec fortuné... je continue à jouer au loto
21- Si vous cherchez une bête de sexe... je suis effectivement bête avec le sexe
22- Si vous cherchez un amant... ce n'est probablement pas moi
23- Si vous cherchez un amour... C'est pas le bon jour
24- Si vous cherchez un confident.... je l'ai été souvent
25- Si vous cherchez un Maître... là, je suis peut-être celui ci
Sinon, munissez-vous d'un bon système d'alarme... ) Et tout cas, faudra voir ! ! ! )
http://www.dailymotion.com/video/x8ask4_alarme-orgasmique_fun
26- Zodiacalement : Je suis un verseau et un chien aussi... sachez-le
27- J'ai aimé et j'aime encore :
L'informatique pas mal, mais c'est surtout parce que je n'avais pas de jolie copine pour m'en sortir je pense...
28- Le jeux, tous les jeux, beaucoup ! ... mais il parait que je suis parfois mauvais joueur. C'est certainement surfait !!!
29- la moto !!!
30- La moto, ah oui je l'ai déja dit... et ben c'est VRAI !!!
31- La moto, ah oui je l'ai déja dit... et ben c'est très VRAI !!!
32- La moto, ah oui je l'ai déja dit... et ben c'est très très VRAI !!! ok, ok, je continue...
33- La plongée sous-marine, je suis moniteur. J'ai tout stoppé il y a quelques années pour cause de hernie discale en bas du dos. Mais j'ai refais des essais cet été... CA BAIGNE !!!
34- J'aime les dragons et plus particulièrement les dragons dit européens (avec des ailes) et je collectionne bien sur. Si vous vous débarrasser de livres, œufs ou figurines, photos...pensez à moi, merci.
35- J'aime le jeu de rôle (JDR) et plus particulièrement dans les domaines du médiéval fantastique (Seigneur des anneaux, Conan le barbare..., Eragon,..., Donjons et Dragons...)
36- La science fiction. L'avenir de l'humanité passera par les étoiles car nous tuons trop vite notre planète. Il faudra la laisser se régénérer quelques siècles.
37- Un bon feu de bois et/ou de cheminée.
38- Un diner aux chandelles. Rare !
39- Une promenade au clair de lune... trop rare !
40- Un petite rando nature... encore trop rare !
40.1- Un levé de soleil sur le mer... (dommage de devoir se lever tôt... ou alors de ne pas de coucher )
40.2- Une bonne petite pipe, mais je ne fume plus, snif !
40.3- Heu... RIEN ne vaut le Nuthella ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !
40.4- Les crêpes (et surtout le nutella dessus!!!)
40.5- La vodka orange !
40.6- Une coupe colonel, de l'Izarra (une liqueur basque, vous connaissez ?), le Cappucino, La réglisse sous toutes ses formes.
40.7- AUSSI et SURTOUT :
L'accélération immense et infinie de ma moto lorsque je pars en 3ème de 40 à l'heure et que j'accélère jusqu'à 240 avant de passer la 4ème et puis la 5ème et puis la 6ème... c'est une griserie insensée. Une montée vers l'absolu. Une montée d'adrénaline unique au monde. La tendance vers l'infini et le no-limit.
C'est peu dire. Une petite idée ? ? ? (mais ça ne rends pas !)
http://www.dailymotion.com/video/x8ziqs_moto-ninja-300-kmh_auto
40.8- Et heu, si vous n'aimez pas la moto, essayez donc le motard ! ;-)
40.9- J'aimerai aussi PARTAGER des passions ! PARTAGER surtout !
Bonus :
tout ceci est vrai ! c'est après que j'ai abordé le monde de la D/S et du BDSM qui semble mieux correspondre et canaliser les envies, mes aspirations, mes craintes et ma recherche du plaisir pour moi et pour ma soumise.
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Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors :
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Paradoxal »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-nous juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-nous en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça. Si vous vous êtes plié à l’exercice sur Fetlife, soyez sympa, publiez votre portrait sur bdsm et prévenez ici en commentaire.
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La semaine passée j'avais rendez-vous chez mon gynéco pour une visite de routine...
Je vais chez lui...pfff..... depuis des années...
C'est comme un grand père pour moi...le genre à me donner un bonbon si je ne dois pas lui avouer trop de bêtises.
Quand c'est mon tour, l'infirmière me fait entrer dans le cabinet et là, au lieu d'un bon-papa, il y a un homme, genre Georges Clooney...mais plus jeune et sans Nespresso à la main.
Il m'explique que mon docteur est à un congrès, qu'il le remplace...et que tout va bien se passer... « Déshabillez-vous... » me dit-il d'une belle voix grave, qui fait courir des frissons le long de mon échine.
Euh...se retrouver toute nue devant homme qu'on voit pour la 1ère fois, c'est comment dire...excitant... J'avais même tout à coup un petit chat...dans la gorge...Il commence par une palpation mammaire – yes !!! - ...Mon Dieu, comme ses mains sont douces et comme ils les examinent bien...j'avais l'impression d'entendre mes nichons ronronner de plaisir et les bouts devenaient tellement durs que j'aurais pu rayer du verre...
Il palpe mes aisselles aussi...commence à faire chaud ici !!
Puis, il me dit de me coucher sur la table d'auscultation, les pieds dans les étriers...
En écartant les jambes, je me rends compte que je suis toute mouillée...je les referme,
un peu gênée...mais lui m'écarte doucement mais fermement les jambes en me disant : « Ne soyez pas timide », moi ! timide !!! ...Il a de ces mots !
Il commence à m'examiner, se rends compte de mon trouble et me dit : « Vous êtes très très sensible....bon je ne peux pas vous laisser comme ça... ». « Oh non docteur, me laissez, pas comme ça! » je miaule...
Ah on peut dire que toutes ces années d'études c'est utile, c'est un pro de la chatte !!
J'essaye que ça dure un peu en pensant à l'hiver, aux impôts, à Rihanna...NON !!! pas Rihanna...trop tard.... elle m'a accompagnée (en pensée, hélas) jusqu'au 7eme ciel...
J'aime bien la façon d'ausculter de ce nouveau docteur, je le lui dit...On s'embrasse, quand je me suis mise debout, en même temps il me palpe les fesses...
J'ai pas du payer. Il m'a dit que je devais revenir pour un examen plus ...approfondi.
J'ai justement une sensation de chaleur, je crois que ce serait prudent de prendre rendez-vous chez mon (nouveau) gynéco :o)
***
Je m'appelle Mia Michael et j'écris des livres très excitants, si, si. Tapez mon nom sur google et vous verrez.
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Dans une contrée très éloignée ou vivent les cow-boys , voici l'histoire d'une soumise au pays des cow-boys Maîtres
Elle s'en allait voir son Maître, elle a embrassé le collier qu'il lui avait remit... Avant de l'attacher autour du cou...
La diligence l'attendait , elle monte dedans, sa jupe se soulève, elle aperçoit l'œil égrillard du cocher... Dans la diligence se trouve un jeune couple lui la regarde. La femme pince les lèvres et regarde son collier...
Elle voit un coursier qui court vers la diligence et lui dépose un télégramme... Elle remercie et le lit le cœur tremblant: "je t'attends"; elle sourit et frémit...
La diligence part, la route est longue. Le jeune homme regarde ses cuisses qui s'écarte avec les secousses , il lève la tête et voit son collier, la femme pince toujours les lèvres... Elle caresse son collier indifférente à ceux qui l'entourent, elle pense à son Maître, se sent excitée de porter le collier. Elle resserre les cuisses parfois... Elle fait tomber son livre, le jeune homme se penche le ramasse, et ose regarder entre ses cuisses , elle ne porte pas de culotte; il la regarde tout rougissant, elle sourit...
Elle entends une cavalcade. la diligence s'arrête. Un cavalier et à la porte... Elle entend: " Hydréane vient ici, descends"... Son cœur bat fort, elle ouvre la petite porte et voit son Maître. Il est là devant elle, avec une foule cavaliers et de cavalières. Il la regarde intensément, il voit son collier et sourit; elle frémit... "Tu vas venir avec moi sur mon cheval, avant tu sais se que tu dois faire"... Elle descend de la diligence, se met à genoux dans la poussière... au pieds de son Maître. elle embrasse les bottes pleine de poussière , elle entend le hoquet de la femme dans la diligence choquée de son geste ..... Il la soulève et l'emmène sur son cheval... Sa jupe se soulève, on voit ses fesses... Le Maître sourit, elle rit gênée... Les cavaliers et cavalières se dispersent. Ils chevauchent seuls touts les deux. Son corps se colle au sien , son Maître doit sentir sa poitrine dans son dos......
Dans le ranch où le Maître s'arrête il n' y a personne... Il veut lui montrer son chez lui... Il lui dit "regarde ces grands arbres, cette grande prairie, voilà où je me réveille tout les matins. Elle sens sa fierté de lui montrer son chez lui .
le Maitre l'emmène dans sa chambre. De la fenêtre elle voit les grand espace ses prairies ses collines et les chevaux ... Elle est émue de voir son monde à lui, elle ne dit rien, lui pose des questions pour cacher son émotion... Ils font le tour du ranch, admirant chaque recoin. Elle imagine combien il est heureux ici...
Il la ramène dans le salon, lui dit de se déshabiller, juste de garder ses escarpins (qui ont bien souffert, ); il lui dit de mettre les mains sur le mur. Elle sent une caresse, cela vient sur son visage, la cravache est là celle qu'il avait quand il était à cheval , Elle l'embrasse. Il lui dit "tu sais se que je vais faire avec"... "Oui Maître me cravacher"... "Tu vas compter les coups de cravache, ne te trompe pas"... Il continue de caresser son corps avec la cravache. Un coup sec tombe et elle compte, elle ne s'arrête plus de compter... Elle dit "encore..." Et son corps se tord de plaisir. Il s' arrête et la prend dans ses bras en lui disant qu'elle est courageuse...
Dans un baquet elle lave son Maître avec un plaisir évident, il semble heureux...Ils se préparent pour le soir. Elle met son corset, son PJ et sa robe a froufrou , . Il l'aide à s'habiller... Elle adore petits moments.
Ils partent à cheval vers un saloon. Ils frôlent une diligence qui pile devant le cheval. Le pauvre cocher n'en revient toujours pas d'avoir vue une femme sur un cheval aussi peut vêtue...
Ils arrivent au saloon, la sale est pleine. Des filles derrière le bar traînent... Elles regardent la femme soumise qui vient d'entrer, si courtement vêtue... Le Maître tient sa soumise par la laisse, les femmes la regardent avec envie ou effroi... Elle croise le couple de la diligence; lui, a les yeux hors de la tête et et la femme et prise d'une grossse quinte de toux... Ils s'installent à une table, la soumise se mets à genoux au pieds de son Maître... La serveuse ignore la soumise, le Maître demande qu'on le serve... et que l'on lui donne une gamelle. La soumise sourit et remercie son Maître en lui léchant la main... il pose la gamelle à terre , ils mangent ainsi, discutant, lui assis, elle à ses pieds...
Le Maître lui dit de se mettre au milieu du saloon , de son lasso , il joue avec elle l'attrapant la relâchant , il l'attache à une poutre , de son fouet il l'enlace , personne ne dit mot dans le saloon, les voix se sont tues , regardant cette femme soumise se laisser fouetter sa robe se déchire laissant dévoiler son corps des traces rouge apparaisses, , ils voudraient tous qu'elle supplie le Maître d'arrêter , mais la soumise ne laissera pas un soupir échapper de ses lèvres , . Les yeux du Maître croisent ceux de la soumise , il voit dans son regard combien le plaisir est la entre elle et lui.........
Ils sortent rentre au ranch. A cheval elle se blottit dans ses bras... Il lui dit qu'il est fier de sa conduite, fier de se qu'elle accomplit.
Dans la chambre, elle déshabille son Maître... Il lui demande de se mettre à quatre pattes... Elle sent les lanières du martinet la caresser... de nouveaux il l'attache , elle ne bouge pas, elle sens sur son corps la chaleurs de la bougie , elle frémit à chaque goutte de cire qui tombe où son Maître veux , il décore son corps à sa guise ... Les lanières du martinet sont partout sur elle, les gouttes de cire tombent une à une sur son corps qui danse pour son Maître; elle a beaucoup de plaisir, ose dire "encore mon Maître"... Et cela dure jusqu'à se que la bougie s'éteigne..
Elle s'écroule sur le lit... Son Maître la laisse. Il revient, la prends dans ses bras et la berce... Toute la nuit elle dormira attachée près de son Maître par la laisse qui les relie...
Son Maître tire sur la laisse, il la veux près de lui. Toute la nuit elle veillera sur son Maître osant le caressant parfois...
Le matin c'est l'heure du départ, il dépose sa soumise à la diligence. Elle baisse la tête , se met à genoux encore une fois devant lui ....... la poussière recouvre sa robe......
Le Maître la relève la dépose dans la diligence,..........
Elle jette son mouchoir blanc au Cow-boy Maître ......
Lady H
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1. Vous suscitez en moi un mouvement de désir
2. C est délicieux et je vous en suis très reconnaissante
3. Je sais très exactement ce que je vous veux
4. Je ne vous le dirais que si vous me le demandiez explicitement
5. Je n ai toujours pas atteint mon objectif sexuel de 2014
6. La seule liste que je tiens à jour est celle de mes amants
7. Je ne sais plus où je l ai mise et je crois que je n ai pas noté les 5 derniers
8. Le premier blog que j ai créé était pour draguer un collègue , il s appelait "toutestdansladresse" :p
9. J ai un penchant à l exhibition très prononcé mais aucun de mes partenaires n a eu le désir d'en comprendre les rouages et d en jouer.
10. J ai usé d internet pour des rencontres pour la première fois en 2014.
11. J adore les temps non rentables et non productifs
12. Je suis une petite bourge : j adore traîner dans les cafés. Je consomme ...ahhhhh
13. Je me suis demandée sérieusement si j allais m inscrire à droite pour dégager Sarkozy aux primaires
14. J ai encore les mains qui sentent d avoir voté Chirac au deuxième tour en 2002 :/
15. Je pleure en moyenne 3 fois par semaine
16. Je rêve d un trek dans un désert
17. Dans le top 10 de mes films préférés il y a 12 hommes en colère (avec Henri Fonda), les 7 samouraï de Kurosawa, Mon nom est personne.
18. J ai grandi entre les polars et la SF
19. J ai failli me professionnaliser comme comédienne . Aujourd hui je suis très heureuse d avoir fait un autre choix
20. J ai bcp bcp bcp d énergie , je la canalise mal et j ai une certaine complaisance vis à vis de cela
21. Ma plus grande peur est le néant, le vide , l inexistence
22. Je suis très surprise d écrire sincèrement , il semble bien que tout est dans l adresse :p
23. Selon mes critères, vous êtes quelqu un de bien
24. J ai en moyenne une crise de rage par jour
25. Ma plus grande qualité est ma joie de vivre
26. Mon plus grand frein est mon avidité
27. Je m aime en vérité
28. Juste à l instant dans le café passe noir désir et ça me fait super plaisir
29. Je n ai pas l impression de vieillir mais de grandir
30. Le couple classique me fait horreur
31. Je vis dans une coloc à 5 et c est absolument génial
32. J aime passionnément mon taf ET je n en ai rien à foutre
33. Je ne crois plus à mes propres mélodrames et franchement c est cool
34. Mes questions actuelles sur ma sexualités sont : parmi mes fantasmes lesquels ai je envie de concrétiser
35. J aimerais que discipline et rigueur deviennent mes compagnes
36. En dessous de 30 degrés j ai froid
37. Morphée est l amant avec lequel je suis le plus ambivalente : autant je le désire, autant je le fuis
38. Il y a pas mal d humains que j aime et cela m enivre
39. Il y a une couleur d iris qui me fait pâlir de désir
40. J ai acheté des sex toys pour la première fois en juillet 2015. Grâce à objetdeplaisir j ai fait un très bon choix :p
41. Être excitée sexuellement me donne une sensation de puissance
42. Le truc qui m a le plus excité sexuellement appartient à une zone trouble à laquelle j évite de penser et que je n explore pas. Je me demande si je désire explorer cela ou pas
43. J ai deux mouvements antinomiques au niveau érotique..je me contiens dans un..(voire 42)
44. Je serai ravie de discuter avec vous de Mode et travaux ou de Libération :p
45. Le seul intérêt des promesses est le parjure :p
46. Le bdsm m a délivrée de ma peur de tuer
47. J aime transgresser les règles que je me fixe. En l occurrence rester fort discrète sur mes attirances et mes manœuvres sur bdsm.fr :p
48. Mes désirs dépendent fortement de mes partenaires.
49. J en sais de moins en moins ! Mes repères sont des sensations (certaines sont un signe de "vas-y", d autres de "barre-toi")
50. Autant je sais ce que je vous veux, autant je l ignore...
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Paulo vit à Nantes. Il est journaliste spécialisé en sports équestres et se déplace un peu partout en Europe et parfois un peu au-delà. Ses activités sont assez irrégulières et lui laissent du temps disponible qu'il utilise à rêvasser sur les terrasses de café en regardant passer les filles ou à écrire de petites nouvelles érotiques plus ou moins autobiographiques, et parfois très épicées.
Il aime les massages et nous raconte ici un de ses rendez vous récents avec une femme de caractère: Lady M.
Paulo se cabre mais apprécie l'assaut, qui loin de le faire souffrir, déclenche mille picotements agréables ainsi que des envies de pénétrations plus consistantes. Et c'est précisément le moment qu'elle choisit pour lui glisser quelques mots à l'oreille, lui proposant de venir, de temps à autre, l'assister dans le dressage des soumis(e)s qui me sont confié(e)s.
«Il faudra m'obéir au doigt et à l'oeil...» lui dit elle, « … et mener la manoeuvre comme je t'entends, de la façon et au tempo que j'aurai choisis» ajouta t'elle en précisant, «c'est moi et moi seule qui déciderai si leur jouissance est permise, car l'abstinence est également une voie que je veux enseigner».
Enfonçant soudain et sans préavis deux doigts supplémentaires d'un coup dans son anus, elle poursuivit:
- « De la même façon que pour les femmes, dont tu sais si bien provoquer la jouissance avec ta langue experte et douce, comme j'ai pu le tester personnellement, je souhaite que ta bouche sache accueillir tout sexe masculin couvert qui te sera désigné. Il te faudra apprendre tout d'abord, malgré la présence du latex, à éveiller, cajoler, caliner avec imagination le membre qui se présente. Et puis, si telle est la consigne, tu devras conduire le mâle jusqu'à la jouissance, puisant à la source, avec énergie et entrain, toute la semence disponible.»
- «Je veux aussi que tu apprennes à recevoir entre tes reins, avec déférence et recueillement, la visite de celles et ceux qui se présenteront à ta porte, pour tout rapport protégé. Assouplie et préparée par des exercices réguliers, ton cul devra s'ouvrir avec facilité et sans difficulté, pour accueillir même les plus gros calibres. Il te faudra alors accepter, mon cher Paulo, d'être honoré par certains de mes mâles en apprentissage, de façon probablement un peu brutale parfois.J'essaie bien sûr d'inculquer à ces sauvages un minimum d'éducation, mais leurs instincts primaires et bestiaux sont souvent difficiles à juguler et le cul délicieux que je sens là sous mes doigts pourrait bien en rendre fou plus d'un.»
- «Enfin, j'attends de toi, si l'ordre t'en est donné, que tu pénètres avec ardeur celle ou celui qui viendra s'offrir, spontanément ou sur commande. Le gode ceinture n'est pas un ustensile totalement inutile mais la présence d'un étalon comme toi, en bon état de marche, parfaitement obéissant et maitre de ses élans, est grandement préférable».
- «Il faut en effet que tu saches que j'adore jouer les maitres étalonniers présentant une vulve chaude et luisante au vit affamé du mâle, contenant d'abord sa fougue avec fermeté avant de l'autoriser à saillir vraiment. Et c'est bien entendu ma badine sur tes fesses qui donnera le ryhtme de la pénétration, amenant la montée progressive du plaisir, qu'il faudra cependant accepter de voir interrompue, juste avant le moment fatidique».
- «La frustration est en effet un autre élément fort de l'éducation que je dispense et, sauf exception notoire, les soumis(e)s ne sont pas autorisé(e)s à jouir ici. Ce privilège est réservé à celui ou celle dont ils portent le collier. Enfin, je te rappelle la condition impérative fixée par ta Maitresse que toute jouissance sexuelle t'est personnellement interdite. Consigne à laquelle j'ajoute que le plaisir que tu serais éventuellement amené à dispenser à mes soumis(e)s devra, au préalable, avoir reçu mon agrément.»
Solidement tenu en place par la main ferme de Lady M crochée dans son intimité, Paulo buvait du petit lait en entendant ces paroles, tant elles correspondaient aux consignes données par sa Maitresse et, il faut bien l'avouer, à certains de ses désirs secrets.
«Sur le ventre, mon ami» lui dit elle, interrompant brusquement sa rêverie, puis déclenchant aussitôt une série de claques bien appuyées sur ses fesses qui prirent rapidement une belle couleur cramoisie.
«Et à quatre pattes maintenant» ordonna t'elle en reprenant immédiatement possession de son anus. Paulo sentit alors distinctement l'un de ses doigts s'agiter en lui pour repérer la rondeur caractéristique de sa prostate et en entreprendre un massage délicat mais appuyé. Bientôt il ressentit la langueur caractéristique d'un milking qui s'amorce, sa queue perdant soudain de sa superbe, laissant place à une excitation tout à fait différente, intense mais plus diffuse et résonnant en lui jusqu'au tréfonds de ses testicules bagués.
Concentrée sur son ouvrage, et manifestement experte en la matière, Lady M poursuivit son massage très localisé tout en s'intéressant à nouveau de sa main libre aux tétons sensibles de Paulo. Elle regretta un moment de ne pas avoir de pinces à y accrocher mais leur réactivité la surprit agréablement et elle s'exclama bientôt: «bravo mon ami, te voilà qui commence à juter maintenant, il est grand temps de tout arrêter!», joignant le geste à la parole.
Assise sur les talons, elle compatit une demi seconde en voyant la mine déconfite de Paulo, puis éclata de rire et dit:
«Eh oui cher ami, j'applique les consignes de ta Maitresse à la lettre, tu le sais bien!» «D'ailleurs à ce propos...» reprit elle «...je te rappelle que lors de ta prochaine visite il te faudra te présenter à moi revêtu de ta tenue d'esclave oriental. Je suis en effet, comme ta Maitresse, offusquée du traitement actuellement réservé aux femmes dans un nombre croissant de pays.»
«Alors ici, je peux t'assurer que nous veillerons à ce que les hommes demeurent à leur place, attentifs, respectueux et disponibles à nos demandes. Sous ton sarouel, tu seras donc nu, tes seins, ton sexe bagué et ton cul accessibles à tout moment. Ton collier de soumis et tes bracelets de cuir en place te rappeleront en permanence ta condition. Je n'exclue pas l'usage d'une laisse pour te mener comme je l'entends, étant entendu que toute initiative te sera interdite sans mon consentement.»
Et sans laisser le temps à Paulo de s'exprimer, elle ajouta «à très bientôt donc mon ami, pour la suite d'un dressage qui semble cependant beaucoup te plaire, je crois! » en déposant, mutine, un baiser chaste et léger sur le téton le plus proche, avant de se lever et de quitter la pièce.
Paulo tenta bien de la retenir en lui proposant quelques caresses douces et tendres. Mais elle le remit vertement à sa place, lui rappelant de la pièce voisine qu'un bon soumis n'est pas autorisé à réclamer ou proposer quoi que ce soit. En ajoutant, que si d'aventure, elle avait un jour de nouveau personnellement envie de ses services, elle saurait bien trouver le moyen de le lui faire savoir.
A suivre...
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D’ordinaire plutôt introverti, je n’ai pas l’habitude de coucher sur le papier mes impressions et sentiments. Mais s’agissant ici de ma première expérience BDSM, je pense que c’est un passage important et que cela mérite d’être raconté et partagé. C’est un exercice assez difficile pour moi, car je ne suis pas encore à l'aise avec mes émotions, j'ai l'impression de parfois n'en avoir aucune, parfois de ressentir quelque chose et même des fois de ne pas le maîtriser, j'ai beaucoup de mal à mettre des mots dessus. Ainsi j’espère ne pas les décrire de façon trop maladroite...
Prologue
C'est au détour d'une conversation que l'on m'a proposé de venir à une soirée d'immersion. En club libertin ? Mince, où suis-je tombé, où vais-je me mettre, je n'ai rien qui colle au dresscode de l'établissement et vu ma timidité... Pas grave me répond-on, allez je viens, je tente le coup mais je suis quand même pas trop rassuré.
J'essaie de ne pas trop y penser pendant la journée, mais arrivé le soir le stress commence à monter... dans quoi est-ce que je me suis lancé, qu'est-ce qui va se passer ?? Allez ça va bien se passer, c'est un lieu public, au pire je me barre en courant, au mieux j'aurais l'occasion de jouer, qui sait ? 19h35, Matmatah sur les ondes, je chante à tue-tête pour faire baisser la pression. Arrivé sur place, je vais garer la voiture, déjà un petit groupe s'est formé sur le trottoir en face. Je suis placé trop loin pour voir précisément, il va falloir se lancer, sortir de ma zone de confort et briser la glace ! Euh, vous êtes là pour la soirée BDSM ? Yes, je suis bien tombé, on discute, la pression redescend, nous sommes bientôt rejoints par un couple et nous dirigeons à l'intérieur. Une première tournée de bières pour faire connaissance, puis nous partons faire le tour de l'étage et visiter les différents espaces du club : cuisine, chambres et un petit donjon avec lit en cage et chaise BDSM. Nous redescendons, et bientôt les premiers jeux commencent sur la piste de danse.
Une dame de notre groupe nous présente son matériel : cravache, martinets de formes, matières et longueurs différentes, paddle, etc. A la base les jeux d'impact ne m'attirent pas plus que ça, mais par curiosité, j'en prend quand même l'un ou l'autre et essaie sur mon avant-bras...
C'est là qu'elle me demande si j'aimerais essayer.
Hésitant au départ, je ne dis pas non, mais je redoute les marques et j'aimerais ne pas le faire en public, je ne sais pas encore comment je vais réagir... Elle comprend mes craintes, j'accepte volontiers son invitation.
Acte 1 : « Initiation »
Elle regroupe son matériel puis nous montons à l'étage nous installer dans une chambre libre. Elle me fait signe de me déshabiller, bientôt me voilà en caleçon, puis je m'installe dos à elle, les mains contre le mur. Je suis prêt... L'apéritif sera fait avec l'un de ses instruments les plus doux. C'est agréable sur la peau, ca me fait presque l'effet d'un massage. Elle me demande régulièrement si tout va bien, oui jusqu'ici tout va bien... J'essaie de la guider dans mes sensations, un peu plus haut, un peu plus bas, ça soulage bien les tensions dans le dos au passage... Puis elle monte crescendo, change d'instrument, mais cela reste toujours très agréable, ça commence à chauffer, ma peau rougit et je crois que j'aime ça...
Je me rhabille et nous allons pour descendre, quand elle me demande si j'aimerais essayer sur la poitrine. Ma foi pourquoi pas, mon esprit est bien chauffé et je me sens en confiance avec elle... TILT !!! et si on le faisait sur la chaise BDSM ?? J'enlève mon T-shirt et prend place. Bientôt les liens se resserrent sur mes cuisses et mes poignets, je peux encore bouger les mains mais je ne peux plus partir ! Elle me flagelle doucement la poitrine avec ses martinets, puis après une série commence à s’intéresser à mes tétons. C'est un peu mon point faible, je ne peux que dire que j'aime ça ! Et ainsi elle alterne entre le martinet et des caresses et pincements sur ma poitrine. Entre temps des clients libertins sont venus observer la scène, mais je ne m'en préoccupe pas, mon esprit semble flotter ailleurs à ce moment...
Nous redescendons, tous deux heureux de ce premier jeu, elle me complimente sur ma générosité. J'ai un peu de mal à comprendre, c'est en fait la communication, le lien qui s'établit entre les deux partenaires de jeu, la réponse à l'impact par un tressautement, les muscles qui se tendent et se détendent, un mouvement du dos, parfois des grognements.
Nous reprenons une boisson, pendant ce temps d'autres sont en train de jouer, une des filles est en train d'être encordée, un homme joue du fouet sur une jeune fille.
Acte 2 : « Sauce Piquante »
Parmi ses jouets, elle a emmené un nouveau martinet en sisal et me le montre. L'objet semble rustique, agressif, brut de décoffrage : il s'agit d'un martinet en corde dont chaque lanière se termine par un noeud. Je teste sur mon avant-bras, en effet c'est bien plus piquant que ceux que j'ai eu l'occasion d'essayer un peu plus tôt. Elle me demande si je veux essayer, j'accepte et cette fois nous prenons place sur la piste de danse, aux côtés des autres joueurs. D'abord installé face à un jeu de miroirs, elle teste l'objet dans mon dos, ce n'est pas désagréable, ça chauffe certes mais ça ne pique pas tant que ça... puis elle me demande de me retourner pour l'essayer sur ma poitrine.
Je suis face à elle, je croise les bras dans mon dos pour protéger la peau fragile de l'impact. La sensation est très agréable, j'apprécie. Ici, il fait plus clair qu'à l'étage, et quand nos regards se croisent, elle semble y trouver un grand plaisir également. Sentiment difficile à décrire que je n'ai que rarement vécu...
Acte 3 : « Club Sandwich »
Entre-temps les jeux se poursuivent, certains clients libertins goûteront à l'impact et même le patron y aura droit. Je ne me souviens plus trop comment on y est venu, mais à un moment l'ami de ma partenaire me demande si je veux essayer son cat-o-nine. J'ai encore la caisse et suffisamment d'appétit, j'accepte volontiers. Encore une fois je tombe le T-shirt et je vais m'appuyer sur la régie du DJ, à ce moment inoccupée. La sensation est différente, plus cinglante, plus incisive mais toujours agréable même si la visée n’est pas des plus évidentes à cause de la pénombre.
J'ai le dos bien chauffé, quand Elle s'introduit entre mes bras et commence à jouer avec ma poitrine ! Changement de situation inattendu mais tout à fait opportun, je recule pour lui laisser la place de s'exprimer au martinet tandis que son ami me propose d'essayer son fouet. Oui ! Et ainsi commence une danse folle, mon corps est comme une partition où mes deux partenaires inscrivent leur mélodie, alternant entre rythme en cadence, syncope et contre-temps le tout en crescendo. Le tout ponctué de quelques râles, parfois le fouet fait mouche et la sensation est toute autre ! Je commence à lutter intérieurement, c'est compliqué de gérer les différentes sensations entre mon dos et ma poitrine, d'un autre côté je n'ai pas envie d'arrêter tout de suite... Mais toute chanson a une fin, et nous terminons cette danse tous trois heureux, c'est ma première fois pour beaucoup de choses...
L'heure tourne, il se fait tard. Les clients commencent à partir et notre petit groupe se dirige également vers la sortie. Poignée de mains avec le patron des lieux, puis nous nous séparons en nous promettant de se revoir bientôt. En résumé, une excellente soirée et plus qu’une immersion, ce fut le grand plongeon !
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Paulo vit à Nantes. Il est journaliste spécialisé en sports équestres et se déplace un peu partout en Europe et parfois un peu au-delà. Ses activités sont assez irrégulières et lui laissent du temps disponible qu'il utilise à rêvasser sur les terrasses de café en regardant passser les filles ou à écrire de petites nouvelles érotiques plus ou moins autobiographiques, et parfois très épicées.
Ses personnages principaux sont féminins la plupart du temps avec des personnalités volontaires et fortes, souvent portées sur la domination, voire le BDSM, ce qui semble manifestement le ravir. Il aime les massages et nous raconte ici un de ses rendez vous récents avec une femme au caractère bien trempé: Lady M.
La belle était en forme, gaie et joyeuse, malgré le petit retard avec lequel Paulo se présenta devant elle. Elle ne lui en tint pas rigueur et il prit d'un pas alerte la direction de la douche, sentant des yeux attentifs fixés sur son collier de soumis.
Paulo aime ces douches qui précédent un massage, chassant les mauvaises sueurs, la fatigue du jour et éveillant aussi le corps qui soupçonne déjà les attentions dont il va faire l'objet. Pas vraiment d'érection triomphale en se présentant de nouveau devant elle, totalement nu et ne portant que les attributs de sa soumission imposés par sa Maitresse, collier de cuir noir et lourd bijou intime en argent massif entre les jambes, mais le début d'un frémissement que Lady M remarqua immédiatement d'un petit sourire entendu.
Faisant mine de rien, il s'allongea confortablement sur le ventre, lui demandant des nouvelles de sa famille et d'elle même, pendant qu'elle préparait ses lotions et retirait ses vêtements. Paulo aime les massages naturistes et c'est d'abord cela qu'il vient chercher chez Lady M, même si leurs rendez vous se terminent souvent, à la demande de Jana, sa Maitresse, par quelques incursions mesurées en direction des relations de domination.
Celle-ci considère en effet que le dressage de Paulo n'est pas encore abouti et entend profiter de toutes les occasions pour approfondir son éducation et affirmer sa totale emprise sur sa sexualité. Elle s'est d'ailleurs mis en tête récemment de lui apprendre à satisfaire aussi les hommes.
Mais pour l'instant, l'heure est au calme et à la sérénité. Lady M s'est posée à genoux près de lui sur le lit et ils devisent paisiblement comme de vieux amis prenant un verre à la terrasse d'un café, aucunement gênés par leurs nudités respectives. Puis un silence complice s'installe et Paulo se prépare à écouter ses mains expertes, elle-même se concentrant de son côté et décidant sur l'instant - elle le dira plus tard - du déroulement du massage, en fonction de son inspiration du moment.
Au premier contact de l'huile chaude coulant entre ses omoplates, guidé par un doigt léger et espiègle, puisqu'il descendra parfois jusqu'entre les fesses, Paulo est toute ouie, attentif et totalement réceptif. Lady M est une vraie masseuse qui a longuement pratiqué au Canada et aux Antilles. Elle sait comment toucher, dénouer, libérer les tensions, installer la douceur et la quiétude, laisser filtrer aussi une sensualité certaine, mais légère, élégante, joyeuse et ludique, sans vulgarité aucune, même si ses doigts ne détestent pas venir de temps à autre bousculer les bijoux de famille de ses visiteurs.
Le cou, les épaules, le haut du corps sont les objets premiers de ses attentions qui descendent parfois jusqu'à la pointe des deux pieds, distribuant là encore, détente et douceur. Ils échangent parfois un mot ou deux, mais l'un et l'autre veillent à privilégier le langage du corps.
Et puis belle surprise! Lady M vient d'enjamber Paulo et c'est maintenant son ventre musclée et sa poitrine lourde qu'il sent glisser, tout huilés, au long de mon dos. Elle ne s'épargne pas, vient et revient avec délicatesse et générosité, déclenchant bientôt chez l'homme un mouvement involontaire des fesses qui viennent maintenant à sa rencontre. Le contact est chaud, léger, sensuel certes, mais étonnamment naturel et sans tension érotique particulière. Paulo y prend tellement gout qu'elle devra lui répéter à trois reprises qu'il faut maintenant se mettre sur le dos.
Le sexe éveillé qu'elle découvre à l'occasion de ce demi tour lui fait manifestement plaisir et elle en sourit en silence. Masseuse toujours, elle poursuit son ouvrage en s'occupant de l'abdomen, de la poitrine, des bras, évitant tout contact, même impromptu, avec le sexe dressé. Par contre, elle ne prend pas les mêmes précautions avec les tétons de Paulo qu'elle effleure et frôle à plusieurs occasions, provoquant alors une superbe réaction, qui la fait rire de bon coeur.
Ses mains poursuivent leur ballet mais Paulo a senti que la panthère vient de lever le sourcil, apercevant la chair fraiche abandonnée là devant elle, fragile et offerte. Ses ongles d'ailleurs n'hésitent plus à marquer la peau, ses doigts pincent volontiers la pointe tendre d'un sein, déclenchant mille étincelles agréables au creux de ses reins. Et l'un de ses doigts huilé vient de se poster en embuscade entre ses fesses, prêt à investir la place.
Paulo le sent, désire et appelle cette intrusion qui, pourtant, ne viendra pas. Lady M sait manifestement conduire la manœuvre. Son sourire vanille s'est un peu figé et c'est maintenant un visage fermé, décidé et volontaire que Paulo découvre. Il sent que cette femme de tête aime avoir les hommes à sa main et que l'intensité de ses exigences va progressivement croitre.
Elle ne s'est pas encore vraiment occupé de son sexe mais vient d'empoigner ses testicules bagués. Elle joue un instant avec le petit anneau qui pend librement entre ses jambes puis soudain, enfonce son doigt à l'affut dans les profondeurs de son cul, tout en utilisant l'anneau pour le tenir en place. Paulo se cabre mais apprécie l'assault, qui loin de le faire souffrir, déclenche mille picotements agréables ainsi que des envies de pénétrations plus consistantes.
Et c'est précisément le moment qu'elle choisit pour lui glisser quelques mots à l'oreille.
A suivre…
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DANS LA PEAU D'UNE ESCLAVE.
Chapitre 1 – Léantos est déprimé.
En cette fin du 25ème siècle, on est revenu à une vision simplifiée de la Société.
Le but est de prévenir les guerres, les famines, les inégalités dans la mesure du possible. Pour y arriver, il a fallu refaire des classes sociales sur un modèle antique. C’est ce que le philosophe Tien Long, appelle « Une société en forme de pyramide. »
Tout au sommet, il y le Consortium Suprême, qui nomme les Gérants des Régions.
En dessous, mais toujours au sommet, il y les riches ou citoyens Alpha. Ils sont environ 1/20ème de la population mondiale. Ile sont riches et disposent de la technologie moderne. Ils peuvent faire ce qu’ils veulent, sous réserve de ne pas déplaire à un membre du Consortium et de payer l’impôt.
Au milieu, il y a les citoyens Lambda. Ils n’ont aucuns rapports avec le sommet de la pyramide. Ils ignorent même l’existence des citoyens Alpha. Ils vivent comme au Moyen Age, sans aucune technologie, ce qui est un gage de paix ou de conflits limités. Les villes Alpha leur sont dissimulées.
En dessous et jusqu’à la base, il y les esclaves. Il y en a a aussi bien chez les Alpha que chez les Lambdas. Ce sont les condamnés de droit commun pour des faits bénins : dettes, vol, avoir déplu à un citoyen Alpha… Les condamnés pour des faits graves sont envoyés sur les planètes bagnes.
Dépendant du Consortium et des citoyens Alpha, il y a les gens d’armes : soldats, policiers, gardes privés, informaticiens.
Seuls le Consortium et les citoyens Alpha ont accès à la technologie.
Depuis, très longtemps, il n’y a plus de carte d’identité, de passeport, de permis de conduire, de cartes de crédit. Tous les citoyens et tous les esclaves ont une minuscule puce dans leur organisme, où tous les renseignements les concernant sont consignés. Il est impossible d’extraire cette puce.
Léantos.
En ce début de juin, je suis plus déprimé que jamais. J’envisage même de léguer tous mes biens et mon titre de Gérant de La Région 3 de l’Europe du Sud Est. Je voudrais repartir à zéro sur un des mondes que nous avons colonisés. Enfin, je me suis quand même organisé pour envoyer une importante somme d’argent, d’or et de diamants dans une banque discrète sur une planète qui l’est tout autant. Je suis déprimé, mais pas au point de risquer de me retrouver citoyen Lambda.
Une des causes de cette situation est mon récent et catastrophique mariage.
La passion vous prive de toutes formes de lucidité !
J’ai eu un coup de foudre pour Fenza, une fille de 22 ans, le tiers de mon âge. C’est une très jolie brune aux yeux noirs. Elle est petite et mince avec un tour de poitrine atteignant à peine les 85 cm et des fesses de garçon. Jusqu’à ma rencontre avec elle, je ne m’intéressais qu’aux femmes aux formes opulentes. Je suis tombé follement amoureux de Fenza et je l’ai épousée un mois après notre première rencontre : une pure folie !
Pourtant, j’avais déjà fait l’expérience d’un mariage raté. Ma première épouse avait un caractère difficile et était une véritable nymphomane. J’ai réussi à faire annuler notre mariage. C’est une chose terriblement difficile à faire de nos jours et ça m’a coûté… un bras.
Les lois du Consortium sont devenues strictes, concernant la protection des conjoints. Je n’avais d’ailleurs pas de griefs recevables, juridiquement parlant, pour obtenir le divorce.
Comment, après mon premier mariage ne me suis-je pas mieux renseigné sur la personnalité de Fenza? La passion ! Son caractère dominant montrait déjà le bout de son nez, certes, mais avec moi, elle était adorable et au lit elle se révélait perverse et inventive. Toujours prête à ajouter quelques esclaves pour pimenter nos ébats. La grande révolution de l’année 10 du Consortium, a heureusement remis de l’ordre dans notre société en créant la Grande Pyramide. Elle a aussi donné la possibilité aux citoyens Alpha et Lambda d’acheter des esclaves. Le monde Lambda étant une source inépuisable d’esclaves, que nos hommes d’armes vont « razziés ».
J’ai une trentaine d’esclaves dont une vingtaine de femmes.
Fenza, ma nouvelle femme, a une qualité, c’est une très bonne maîtresse de maison… Avant de la rencontrer, c’est mon intendant qui s’occupait de faire régner l’ordre parmi mes esclaves. Il le faisait assez mollement, toujours prêt à accepter de ne pas punir une esclave si elle était assez docile, ce qui est pourtant la définition même d’une esclave. Il s’en suivait une légère nonchalance chez certaines esclaves…
Fenza a changé tout ça, avec une main de fer dans un gant d’acier. Elle est très sévère, d’autant plus que c’est une maniaque de l’ordre et de la propreté. Elle ne supporte pas le plus petit manque de soin. Les punitions sont donc devenues extrêmement fréquentes. Les esclaves la craignent et une esclave qui a peur est d’autant plus obéissante et soumise, cherchant à tout prix à plaire à ses maîtres et a leurs invités. Et puis, c’est amusant de voir une esclave présenter ses fesses pour se faire fouetter, surtout quand elle n’a rien fait pour mériter ça. Elle a aussi établi toute une série de règles et de punitions. On ne voit nulle part des esclaves aussi bien dressées que chez nous. A tel point, que nos amis s’inspirent à la lettre de son règlement pour l’appliquer chez eux…
En ce qui concerne la tenue de la maison et la discipline des esclaves, Fenza est parfaite… Par contre… sexuellement, elle a cessé de faire des efforts comme au début de notre mariage et m’envoie régulièrement me satisfaire avec une esclave.
Nos enfants sont en pension, mais la nièce de ma femme qui a 18 ans, vit avec nous. Elle s’appelle Calypso. Je l’ai accueillie dans ma famille et je suis devenu son beau-père, légal, jusqu’à ses 21 ans. Elle est belle, très belle et a un QI de 167, ce qui fait d’elle un membre de la prestigieuse société du Temple d’Athéna, qui réunit les cerveaux les plus brillants. Athéna étant la déesse de l’intelligence. Hélas, comme beaucoup de jeunes gens, elle fait des bêtises. Fenza la punit souvent et la fait même fouetter par une esclave noire, ce qui est l’humiliation suprême pour une citoyenne Alpha. Je dois avouer que je prends un grand plaisir à voir Calypso se faire fouetter. C’est une beauté callipyge, pour rester dans la terminologie de la Grèce antique, c'est-à-dire qu’elle a les plus belles fesses du monde ! Oui, je deviens exalté quand je parle des fesses de ma belle-fille. Les relations entre elle et Fenza sont devenues explosives. Bien sûr, elle mérite souvent une punition et ce n’est pas sans raison que Fenza la punit, contrairement aux esclaves qu’elle fait fouetter pour se distraire ou amuser nos invités.
Ma belle-fille s’appelle donc Calypso, ce qui veut dire « la très désirable » en référence à la reine de l'île d'Ogygie, amante d’Ulysse et elle porte bien son nom.
Les prénoms de la mythologie grecque sont devenus une mode ces dernières années en Europe du Sud.
Calypso déteste celle qui est devenue sa belle-mère légale et qui n’a que 3 ans de plus qu’elle. D’autant plus, qu’elle a le droit de la punir à sa guise.
Fenza s’est mise à régenter ma vie personnelle, aussi… Si je n’y mets pas bon ordre, elle va me faire un règlement, comme aux esclaves et à notre belle-fille !
Mon moral étant au plus bas, je ne souhaite plus qu’une chose, me séparer de cette épouse qui devient de plus en plus tyrannique.
Je sais qu’il y a eu une enquête quand je me suis séparé de ma première épouse. Les lois sont ainsi faites que si un des époux le refuse, le divorce est impossible. Il m’a donc fallut obtenir le consentement de ma première épouse par des moyens un peu… spéciaux. Je ne puis recommencer avec celle-ci.
Ce matin, n’en pouvant plus, je suis allé chercher un peu de réconfort auprès de ma belle-fille. Si une personne peut trouver une solution à ce problème, c’est elle
Je sais qu’elle ne supportera plus longtemps, les brimades et les humiliations que lui inflige sa belle-mère. Elle a d’ailleurs, certainement, du élaborer un plan.
Concernant, ma belle-fille, j’ai un aveu à faire : je suis terriblement attirée par elle. Je veux dire, sexuellement. Plus mes rapports avec ma femme se détériorent plus mon désir pour Calypso devient brûlant.
La voir fouettée par une négresse met le feu à mes sens.
Il est 10 h du matin. Elle vient à peine de rentrer.
Sa belle-mère va de nouveau piquer une crise, étant donné qu’elle exige qu’elle soit rentrée à minuit au plus tard. Elle va sûrement la faire fouetter et l’enfermer dans sa chambre tous les soirs à 7 h, pendant une semaine.
Calypso est légèrement ivre, ses vêtements sont froissés, elle a même une tache de sang sur une manche de sa tunique de soie transparente. Elle m’embrasse et me dit :
— Beau-papa, quelle bonne surprise.
— Je n’en peux plus ma chérie, je ne supporte plus cette femme.
C’est certainement quelque chose qu’elle attend avec impatience.
A bout de nerfs, je me mets à pleurer.
Calypso vient contre moi et met ses bras autour de mon cou…
Elle a eu chaud, très chaud… Elle sent… la nymphe qui a beaucoup couru dans les bois.
A travers, mes larmes, je lui dis :
— J’adore ton parfum
— Je n’en ai pas mis. C’est mon odeur naturelle.
Elle lève un bras et met le creux de son aisselle humide contre mon nez !
Aussitôt, je m’arrête de pleurer et… je me mets à bander…
Elle me dit :
— Tu es décidé ?
Enivrée par son odeur, je bredouille :
— Oui, ma chérie… et pardon… de l’avoir laissé…
Je veux dire, pardon d’avoir laissé ta belle-mère te punir, mais les mots restent dans ma gorge, car elle enlève sa légère tunique. Ses seins nus pointent agressivement vers moi.
Elle me la donne en disant :
— Allez, essuie tes larmes et mouche-toi. Il est temps que tu te décides. Cette sorcière causera ta perte, si on ne l’élimine pas.
Je mets mon nez dans son vêtement humide de sueur comme un enfant peureux met le sien dans son « doudou » !
Elle enlève son léger pantalon. Elle n’est plus vêtue que d’une minuscule culotte à motifs léopard d’un parfait mauvais goût, mais extraordinairement érotique sur elle. Je me mets à geindre :
— Elle ne voudra jamais accepter de divorcer et tu sais que son consentement va me coûter une fortune.
Elle me tourne le dos et enlève sa culotte en se tortillant…
Les fesses de Calypso sont les plus belles du monde. Elles luisent, laiteuses, dans la lumière du petit matin.
Elle me tend sa culotte... J’ai deux « doudous » !
Puis, elle vient s’asseoir à califourchon sur mes cuisses les deux bras autour de mon goût en disant :
— Je sais comment nous en débarrasser sans dépenser un sou.
— Sérieux ?
— Oui. Et en plus, je te fais une proposition : je te débarrasse de ta mégère et tu peux me baiser.
Mon rêve… Non, mes rêves !
L’odeur musquée et entêtante de sa sueur me brouille l’esprit… Et puis, je me sens incapable de continuer à vivre avec cette garce de Fenza et… je rêve de baiser ma belle-fille !
J’embrasse son épaule me rapprochant encore de l’odeur de son aisselle
Elle dit :
— Je veux que tu me lègues tes biens et tes titres. Tu avais quand même l’intention de la faire un jour.
Avec un chat dans la gorge, je réponds :
— Et on baise…
— Oui…
Je vais enfin la baiser.
Elle sort un petit ordinateur d’un tiroir et l’allume. Je vois le document concernant la cession de mes biens et titres à ma belle-fille.
Sans réfléchir, je mets mon pouce sur le premier emplacement, puis mon iris sur l’autre. Elle fait la même chose et envoie le message.
Avant que je réalise bien ce que je viens de faire, elle écarte les cuisses en disant :
— A genoux et montre-moi ce que tu sais faire avec ta langue.
Je mets le nez dans sa chatte en jachère, ses poils me chatouillent les narines. Je passe de l’odeur musquée de ses aisselles à celle fortement marine de son sexe… Je suis au 7ème ciel.
Je reste là, à la… humer, elle me donne une claque sur la tête en grognant :
— Qu’est-ce que tu attends ?
Je vais lécher la chatte en broussaille de ma Calypso, enfin !
Bien sûr, c’était une chose que je ne fais jamais avec mes esclaves. Qui irait lécher le cul ou la chatte d’une esclave ? Il m’est cependant arriver de le faire à mes épouses et je lèche ma belle-fille, comme une esclave lèche sa maîtresse.
Rapidement, elle me repousse, en disant :
— Baise-moi beau-papa et fais-moi un enfant.
Je suis saoulé par ses odeurs et enivré par ses paroles.
Elle veut que je me couche sur elle dans la position du missionnaire. Elle croise ses pieds sur mes reins, pour m’enfoncer au plus profond d’elle.
De toutes mes forces, j’essaye de freiner le tsunami de sperme qui se prépare… Impossible, je jouis trop rapidement en elle…
Calypso, met rapidement sa main en conque sur son sexe en disant :
— Je garde ton sperme en moi… Tu peux rester, mais moi, je dors.
Je viens de réaliser mon fantasme : lécher et baiser Calypso.
Et puis, elle saura me débarrasser de Fenza, cette garce qui me pourrit la vie.
Évidemment, je lui ai légué ma fonction, ainsi que tous mes biens… Enfin, une petite partie de mes biens. Elle a beau avoir un QI énorme, elle ne saura jamais que j’ai dissimulé la plus grosse partie.
Je la laisse dormir, mon sperme bien au chaud dans le fond de sa vulve. Mes spermatozoïdes se battant comme des barbares à qui sera le premier à violer son ovule !
Chapitre 2 - Calypso fouettée pour la dernière fois.
Calypso.
Pour le moment, je fais profil bas, ce qui n’est pas dans mon caractère.
Je suis dorénavant, la seule propriétaire des biens et des titres de mon beau-père. Je n’aurais jamais imaginé que ce serait aussi facile. Il a suffi que ce vieux cochon renifle mes aisselles et que je lui montre mon cul, pour que j’en fasse ce que je veux. Quelle moule !!
Je sais qu’il a mis une très grosse partie de sa fortune dans une banque qu’il croit sûre, mais les biens de mon beau-père sont désormais à moi et j’ai des amis qui vont très vite me renseigner. Pauvre type, je vais l’enculer à sec !
Pour tout dire, ça m’a plu qu’il me baise et qu’il jouisse en moi. J’aime les sports extrêmes et ceci en est un, non ?? Il lèche pas mal d’ailleurs, je le garderai peut-être pour ça. Mais, je n’ai pas envie qu’il passe son temps à baiser « mes esclaves », aussi je l’équiperai d’un petit gadget, l’équivalent pour les hommes d’une ceinture de chasteté. Il va être mignon avec ça… Pas très content, mais mignon !
Maintenant, c’est le tour de ma chère belle-mère de se faire enculer, mais elle ce sera à sec et au moyen d’un énorme gode trempé dans du piment ! Ah, elle va griffer les mains de sa mère… la salope !
Elle ne doit surtout pas savoir ce qui va se passer… J’adore l’idée de lui faire la surprise
Il est impossible de faire confiance à une esclave, elles sont éduquées à être veules et obéissantes. Celle qui me plait le plus c’est Aicha ! C’est une blanche, bien sûr, mais elle a la peau mate, ce qui fait qu’on lui a donné ce nom Africain. Le nom d’une esclave est souvent insultant ou ridicule. Un jour je lui ai demandé si je pouvais lui faire confiance, elle m’a répondu :
— Non, Maîtresse, si on m’interroge énergiquement, je vous trahirai.
C’est une bonne réponse.
Ce soir, je suis dans ma chambre. Punie ! Je suis rentrée à 9 du matin au lieu de minuit. Résultat ma belle-mère va me faire fouetter et je devrai être au lit tous les jours à 19 h 30’ Mon Dieu que j’ai hâte de lui faire la petite farce que j’ai mise au point !
Elle ignore que je suis à présent la maîtresse des lieux, des biens et des titres de son époux…
Elle vient se distraire à mes dépends. Et, elle est à l’heure, 19 h. Oui, c’est une maniaque de l’heure. Elle arrive dans ma chambre avec une esclave en disant joyeusement
— C’est l’heure Calypso, on va te chauffer les fesses.
L’esclave dépose près de mon lit, 2 tranches de pain sec et un verre d’eau, mon repas du soir !
Ma belle-mère me dit,
— Tu sais ce que tu as à faire.
— Oui, belle-maman, mais, si je suis rentrée…
— Je m’en fous, minuit c’est minuit
— Oui, belle-maman…
Je remonte ma chemise de nuit blanche jusqu’aux reins. La chemise de nuit, c’est son idée, bien sûr. Je mets l’oreiller au milieu du lit et je me couche dessus de façon à ce que mes fesses soient surélevées.
L’esclave a en main un court fouet à plusieurs lanières, ça fait mal, même très mal, mais ça n’entame pas la peau.
« swwwitch », les lanières s’abattent sur mes fesses.
— Aaîîîîeee ! 1, merci belle-maman.
C’est une fétichiste de la fessée, si je ne compte pas et ne remercie pas, c’est un de plus… ma vengeance ne sera que plus jouissive…
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 2, merci belle-maman.
Elle dit à son esclave :
— Ne va pas trop vite, il faut qu’elle apprécie, chaque coup !
— Oui, Maîtresse.
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 3, merci belle-maman. Je ferai attention.
— Je crois que tu aimes te faire fouetter.
— Non, je vous ju…
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 4, merci belle-maman.
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 5, merci belle-maman.
Elle pose la main sur mes fesses, en disant :
— Elles ne sont pas encore à point !
— Oui, mais…
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 6, merci belle-maman.
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 7, merci belle-maman.
Elle s’adresse à son esclave :
— On avait dit combien ?
— Vous ne m’aviez pas dit, Maîtresse.
— Bon, je te dirai quand arrêter !
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 8, merci belle-maman. Je serai sage !
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 9, merci belle-maman. Je vous le jure.
— Bien… C’est bien, j’aime te voir t’humilier Calypso. Plus qu’un, alors.
(grrrrrr !)
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 10, merci belle-maman.
Elle vient de nouveau tâter mes fesses en disant :
— On pourrait faire cuire un œuf au plat sur tes grosses fesses, Calypso.
— Oui, belle-maman.
Tu vas voir les tiennes de grosses fesses, poufiasse, et dans pas longtemps !
L’esclave m’attache par la cheville à une barre du lit.
Ma belle-mère, très femme du monde, me dit :
— Bonne nuit sur le ventre, Calypso.
— Merci, bonne nuit à vous aussi, belle-maman.
En pensée, j’ajoute « ce sera ta dernière bonne nuit avant un bon moment. »
Mais, elle me réserve une dernière petite gâterie,
— Ah, j’oubliais, embrasse la main de l’esclave qui t’a fouettée et remercie-la. Elle s’appelle, Mouche Bleue.
L’esclave me tend sa main et je l’embrasse en disant :
— Merci Mouche Bleu de m’avoir bien fouettée.
Petit gloussement satisfait de la sorcière.
Une fois seule, j’essaye de manger un peu de pain, mais il est tellement dur qu’il faudrait le faire tremper pour le manger et comme je n’ai qu’un verre d’eau, je préfère boire.
La chaîne qui m’attache au lit, ne me permet pas d’aller à la salle de bains. La première fois qu’elle m’a fait fouetter et attacher pour la nuit, je lui ai dit :
— Et si je dois faire pipi, belle-maman ?
— Tu serres les fesses !
Elle est jouette ! Enfin, plus pour longtemps !
Chapitre 3 - Le plan machiavélique de Calypso.
A 2 h du matin, Aicha entre dans ma chambre, elle scie la chaîne au ras de l’anneau avec une scie a métaux.
Ensuite, on va chercher une esclave qu’on a déposée devant la porte de la propriété. Elle ressemblait à Fenza avant que je l’envoie dans la clinique du Professeur Di Martino, et maintenant, c’est Fenza.
Bien sûr, vous vous dites, impossible de faire ce genre de substitution, à cause de la puce identitaire dissimulée en nous. Exact… Mais, je fais partie du « Temple d’Athéna » qui regroupe les QI les plus élevés du monde. Le grand Maître est aussi un membre de la Triade du Dragon de Feu qui règne sur toute l’Asie pour le compte du Consortium. Il a trouvé très amusant mon idée d’échange et m’a mise en contact avec leurs spécialistes en bio-informatique. Là, on m’a fabriqué une copie exacte de la puce de ma belle-mère. Elle est dissimilée, inactive, dans la nouvelle esclave.
A trois, nous remontons dans la chambre de Fenza
Elle dort profondément, Aicha lui a donné un soporifique puissant. Son esclave dort par terre, à côté de son lit. Elle dort ou elle fait semblant. Les esclaves ont souvent un 7ème sens leur permettant de survivre.
Je fais une piqûre à Fenza pour l’endormir pendant 24 h. Ensuite, je prends un petit appareil pour désactivé sa puce et immédiatement après, j’active celle de l’esclave qui va prendre sa place.
La nouvelle esclave est devenue Fenza.
Voilà ! Le Contrôle Central ne peut pas se rendre compte que la puce a cessé d’émettre pendant une fraction de seconde.
On met Fenza dans une grande valise et on descend dans le garage.
On l’installe dans le coffre et on est part.
A suivre : https://www.amazon.fr/Dans-peau-esclave-Collection-Pleine-ebook/dp/B01MFEGCW9/ref=pd_ecc_rvi_1
mais à seulement 3,50 e. Et que je me réveille avec des fesses plates, si vous n'aimez pas le livre !
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Invitée à une soirée BDSM dans un club libertin, contrairement à mon habitude, j'accepte. L'après-midi chez mon ami, des discussions, des rires, ainsi qu'il est de mise entre nous. Le repas avalé, je file me changer. Tenue noire de rigueur, corset, jupe, bottes, j'attrape mon sac à jouets, ma cravache, et nous voila partis. Enfin, après avoir perdu 10mn à chercher la cravache voyageuse qui a décidé de prendre la clé des champs juste avant de monter en voiture.
Arrivés à destination, on nous attend déjà. Deux jeunes femmes charmantes et souriantes. Nous sommes rejoints par un jeune homme, puis par un couple. Nous sommes enfin au complet. Le club nous tend les bras, un passage au vestiaire, ces dames se changent, et nous entrons dans le club proprement dit. Ambiance sympa, chacun reste sur son quant-à-soi, mais sans gêne excessive. Nous commençons à faire connaissance.
Le couple commence à jouer, puis je demande à l'une des jeunes femmes si elle a envie de goûter mes martinets. Nous nous avançons vers la barre de pole dance, elle se déshabille, ne garde que sa culotte en dentelle et se met en position. Je commence doucement, j'alterne les coups, les différents martinets en ma possession. Elle ondule, se dérobe légèrement, parfois, concentrée, dans la sensation de ce que je lui inflige. J'étrenne différents martinets, tout se passe au mieux. Nous terminons sur une note plus cinglante, un petit flogger aux lanières dures et fines sur l'arrière de ses cuisses, douloureux pour elle, jouissif pour moi. Merci pour ce délicieux moment partagé, au rythme de mes coups, au rythme de ton corps qui me répond.
Nous retournons vers notre coin, et je m'intéresse au jeune homme. Totalement débutant, il s'intéresse plutôt au bondage, me dit-il au début, puis nous parlons douleur, masochisme... Je lui demande s'il veut, lui aussi, tester mes instruments. Il veut bien, mais pas devant tout le monde. Nous montons donc à l'étage, cherchant une salle qui conviendrait. La pénombre n'est pas le mieux pour jouer, mais il faut faire contre mauvaise fortune bon coeur. Je lui indique sa place, debout, en appui contre le mur. Je lui demande de se déshabiller, de ne garder que son caleçon. Le jeu commence. J'y vais tout doucement, avec mes jouets les plus doux, je n'ai pas envie de le dégoûter, j'ai envie qu'il découvre le mieux possible ce monde qui l'attire depuis un moment. Il m'indique où il préfère que mes coups atterrissement, son dos est le plus agréable, visiblement. Je lui demande souvent si tout va bien, et je monte en puissance. Il aime beaucoup, se découvre des plaisirs inconnus de lui. Après un bon moment, nous cessons le jeu, il se rhabille, et nous allons pour redescendre. Là, il me dit qu'il a envie de tester la chaise BDSM. Nous changeons de pièce, il enlève son tee-shirt, s'assied, et je boucle les sangles sur ses poignets, ses cuisses. Je sais qu'il aime la sensation d'impuissance. Je reprends mon martinet doux, et je commence à flageller ses pectoraux, insistant sur les tétons, dont il me dit aimer le travail. Je suis concentrée, il est plus bas que moi, je fais très attention à ce qu'il ne reçoive pas une lanière dans le visage. Il aime, le dit. Je suis heureuse de pouvoir lui faire découvrir ce dont il rêve, de ne pas le décevoir, et très heureuse de son masochisme que je découvre et qui me ravit. Nous finissons le jeu, et cette fois, nous redescendons pour de bon.
En bas, les jeux se poursuivent également, tout le monde s'amuse, chacun est occupé, l'ambiance est très bonne. Nous nous installons sur des tabourets, et nous buvons un verre. Nous papotons un peu, en regardant ce qui se passe autour de nous. Je lui propose de tester mon nouveau martinet en sisal. Il en a un peu peur, me le dit, mais à suffisamment confiance en moi pour accepter, et vouloir jouer devant tout le monde. De nouveau, son tee-shirt tombe. Je commence sur son dos, la sensation de l'accessoire est très bonne, le tombé est parfait, bien groupé, il est suffisamment rigide, avec cependant une bonne souplesse. Mon partenaire est rassuré, plus de peur que de mal, ça chauffe plus que ça ne pique, la sensation lui plait également. Je lui demande de se retourner, et je recommence à frapper ses pectoraux. Concentrée, encore. Il est plus grand que moi, debout, c'est plus facile, je me permet de lever les yeux pour croiser les siens. J'ai un choc, littéralement. Il me regarde avec une intensité peu commune, je me sens transportée par ses yeux vrillés aux miens, tendus vers moi, un instant d'osmose. Troublée par ce regard que je n'ai connu qu'une fois auparavant, je me sens remontée à bloc, portée par cette envie, cet appel, ce don. Je reviens souvent accrocher mon regard au sien.
Lorsque nous revenons vers nos amis, les soumises présentes félicitent mon partenaire pour son endurance, et pour ce regard qu'elles ont vues aussi, lui disant que c'est si rare. Il semble ne nous croire qu'à moitié, heureux de ces compliments, cependant.
La soirée se déroule, alternance de jeux, de discussions, d'explications aux non initiés, rigolade et sérieux avec le patron.
L'ami avec qui je suis venu me dit qu'il aimerait bien jouer avec son cat-o-nine. Je lui propose mon partenaire d'un soir, et vais lui demander si l'expérience le tenterait. Il accepte, va se mettre contre le comptoir du DJ, torse nu, et le jeu commence. A un moment donné, prise d'une inspiration subite, je viens me positionner entre les bras du jeune homme, toujours les mains sur le comptoir, et je commence à lui pincer les seins. Le mélange des deux douleurs semble lui plaire grandement. Je reviens vers mon ami, et lui demande s'il voudrait que je me joigne à eux avec un martinet. Il accepte, et la danse commence. Lui dans le dos, avec son cat, moi devant, avec un martinet aux lanières larges mais douces. Nous frappons à contre-temps, puis en même temps. J'ai la chance d'avoir le plus beau point de vue de ce trio, je vois en même temps les yeux du jeune homme et ceux de mon ami. Grand moment, une première pour nous trois, et une réussite.
L'heure avance, les clients partent les uns après les autres, nous rassemblons nos affaires, une dernière discussion avec le patron, et nous quittons les lieux. Poignées de mains et bises échangées, nous sommes tous heureux de notre soirée et nous promettons de recommencer vite.
Un grand merci à vous, mes partenaires de ce soir, qui m'avez donnés tant de plaisir et avec qui j'ai partagé des moments uniques. Merci jeune fille, pour ton corps doux et ondulant au gré de mes lanières, merci jeune homme, pour m'avoir donné l'occasion de te faire entrer dans ce monde de belle façon.
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République de Salé - Anno1667
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Lécher Murphy, c'était... ça m'a laissé un sale goût en bouche, au propre et au figuré!
J'ai commencé à aimer, ça avec Foxy... et puis à aimer beaucoup avec Souad.
J'aime son sexe lisse et mouillé, son odeur, son goût et je la fais jouir en la lapant comme une chienne... Elle geint, se tortille, moi qui n'aie aucun pouvoir ici, je me rends compte que ma langue en a... un peu...
Elle reste la maîtresse des lieux et je me doute qu'elle est loin d'être facile!
Quand, elle a joui, elle me dit, "Descend du lit!"
Je me mets vite à genoux.
Elle passe une djellaba légère en voile diaphane, puis prend son fouet.
Qu'est-ce que j'ai fait??? Elle voit que j'ai peur.
Elle dit, "Tu lèches bien, tu obéis encore mieux et tu as peur devant le fouet... Tu es une petite chienne, c'est ça??"
Je hoche vigoureusement la tête! Je ne sais pas si je dois parler ou aboyer...
"Fais la belle!"
Je me mets dans la position les avant-bras repliés. Elle me donne sa main à lécher, puis elle me caresse l'oreille, je gémis de plaisir.
Faire le chien et lécher sa longue main brune, j'ai connu pire comme humiliation!!
Elle me donne une de ses vieilles chemises. Très courte et pas lavée, je reconnais son odeur.
"Tout à l'heure, on te transformera en Princesse... mais avant ça, tu es ma chienne."
Elle me met aussi un gros collier en cuir et y attache une corde...
"Pour que tu ne te perdes pas." dit-elle en riant...
On va dans la taverne, il y a déjà quelques clients. Ils mangent et boivent...
Ils ont l'air content de voir Souad arriver.
"Alors, elle est où est ta Princesse?"
"Au bout de la laisse. Pour le moment, c'est ma petite chienne!"
ça les fait rire.
Elle me donne une série d'ordres, "Assise!!" "Fais la belle!!" "Aboie!"
Oh pas de problème du moment! Du moment, que ça ne fait pas mal. Je prends la pose, les oreilles dressées!! Ouaf Ouaf!
Le chien de la taverne a l'air surpris de me voir faire la belle et aboyer.
Il vient me renifler les fesses!
"Une femelle pour toi, Pero," dit un des hommes...
Il a l'air plus gentil que les hommes, Pero.
"On peut la voir nue, Souad?" demande un des hommes.
"En fin d'après-midi, on la transformera en Princesse et vous pourrez la faire se déshabiller et vous sucer... On attend aussi des Françaises, la mère et ses filles."
Elle a vite assez de jouer avec moi, elle enlève la corde de mon collier et me dit, "Va aider les filles à servir."
Une des servantes m'explique, comment saluer respectueusement les clients, toujours dire Monsieur, Madame ou Mademoiselle. Sourire. Obéir à tout ce qu'ils demandent...
Les hommes m'appellent, me demande du thé, du vin...
Je leur apporte, ils me caressent sous la chemise...
Souad dit à une servante, "Va donner à boire aux filles dehors et montre à la Princesse comme faire."
"Oui, Maîtresse."
Dehors dans un enclos, il y a les filles avec qui j'ai dormi.
On leur apporte du pain, quelques fruits, de l'eau...
Elles mangent et boivent goulûment...
Elles ont des chemises courtes comme moi, mais nettement moins propres.
Elles ont toutes des colliers en fer et des anneaux aux poignets et aux chevilles.
Le Noir les surveille, il est armé d'un grand fouet.
Quand elles ont fini, la servante me dit, "Je vais te montrer, ce qu'il faut faire."
Elle va chercher deux colliers avec des pointes de fer au bout desquels il y a une clochette. "Ce sont les deux filles qui ont essayé de s'enfuir et qui sont attachées pour la nuit. Avec les clochettes, on sait toujours où elles sont."
Ça doit être pénible! De plus il est impossible de se coucher pour se reposer un peu...
Elle met ces colliers aux filles qui se mettent aussitôt à tinter!
Il y a pire, elle prend trois armatures de fer, sortes de cages qu'elle place sur la tête des trois filles. "Elles ont parlé ou répondu à l'homme qui les louent.", me dit la servante.
Ces armatures sont dotées d'une pièce que rentre dans la bouche! Plus moyen de parler! Ça doit être très désagréable. Les filles font la grimace!
Des hommes et des femmes arrivent. Ils viennent chercher des filles. Ils les louent à la journée, pour des travaux divers ou pour des tavernes moins importantes. Ils ont tous les droits sur les filles, mais ils ne doivent pas les abîmer. Les fouetter, oui bien sur, mais il ne faut pas de blessures. C'est normal, c'est comme si on allait louer un cheval ou une mule, il faut les rendre en bon état, aussi.
Quand toutes les filles ont été louées, on retourne dans la taverne.
Je prends les fermes résolutions de ne pas m'enfuir, les clochettes, non merci.
Je continue à servir les clients.
Souad attend les Françaises.
J'ai entendu le capitaine et Wilson en parler hier. Il s'agit d'aristocrates Françaises, qui revenaient des Caraïbes où leur famille a des plantations de canne à sucre. Le capitaine les a achetés pour la taverne. Une Princesse et des aristocrates, la taverne, va devenir l'endroit le plus classe de la petite république... d'après Souad.
En fin de matinée, on voit arriver des hommes avec les trois femmes. Elles sont reliées entre elles par une chaîne qui va d'un collier en fer à l'autre.
Elles ont de belles robes, mais déchirées et sales. Les trois femmes se ressemblent, surtout les deux sœurs. Elles peuvent avoir 18, 20 ans. La mère sans doute dans la fin de la trentaine. Elle a dû les avoir, jeune.
Je me souviens l'état dans lequel j'étais, au début de ma captivité et je comprends leurs larmes et leur désarroi.
Une des sœurs se blottit contre sa mère, l'autre reste un peu en retrait.
Un des hommes dit quelque chose d'incompréhensible, pour moi, qui fait rire tous les autres.
Ici, ils parlent différentes langues dont la "lingua franca", mélange d'espagnol, d'arabe, de français...
"Détache-les", dit Souad...
Quand on leur enlève leur collier de fer, elles ont une belle marque rouge sur le cou. Je suis contente de n'avoir qu'un collier de cuir.
Souad, leur dit, "Déshabillez-vous..."
Elles hésitent. Souad prend le fouet qui pend à sa ceinture...
Là, elles n'hésitent plus. Elles enlèvent leurs belles robes, enfin qui ont été belles et les trois jupons qui sont en dessous.
Elles se retrouvent en chemise... comme moi.
Souad tend son fouet,... elles l'enlèvent.
Les hommes poussent des crid de joies...
Bien sûr, les servantes sont peu vêtues et on peut leur dire de se déshabiller, mais voir ces aristocrates quitter leurs dessous de luxe, pour être nues au milieu des hommes comme des esclaves... ça leur plait.
Les femmes prennent la position de la vénus pudica, un bras replié sur les seins une main sur le sexe.
Le fouet de Souad claque et elle reçoivent un bon coup de fouet sur les fesses, elles poussent un cri... "Mains derrière la nuque!!" dit Souad.
Elles le font immédiatement, les yeux pleins de larmes.
Elles sont franchement belles... La mère et ses filles ont les cheveux châtains. Elles sont jolies, malgré les yeux rouges.
La mère a des seins lourds mais fermes, les filles des petits seins, qui regardent vers le ciel... Elles ont des jambes fines et leur pubis n'est pas épilé, bien que la mode des sexes épilés se répande en France dans la haute société.
"Belles recrues." dit un homme. "Elles et la Princesse, ce sera bientôt les putains les plus célèbres de la région!"
Comme ça, elles sont fixées sur leur sort : prostituées pour des pirates...
Avant d'être vendues.
Souad me dit, "Déshabille-toi et montre-toi"
"Oui, Maîtresse."
J'enlève ma chemise... Je croise les mains derrière ma nuque pour faire saillir mes seins, enfin le plus possible.
Souad me dit, "Tourne."
Je me mets de dos, jambes écartées et je me penche en avant, pour que tout le monde puisse voir que... je suis une fille. Ensuite, je reprends la pose de face. Foxy m'a appris à faire ça.
"Voilà comme il faut se montrer!" dit Souad, "Allez-y!"
Je pense qu'elles ne vont pas le faire. Malgré tout ce qu'elle vienne de subir ces derniers jours, elles ne sont pas dressées comme moi!
Aah, si elles obéissent!
Et Souad joue avec elles... Elle est belle comme une chatte au soleil, jouant avec trois souris captives...
À suivre
Mes livres : "Mia sans dessous", "les fesses d'Eva L." et "Eva en uniforme" sont sur "Amazon kindle"
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Envie de ces regards qui remplacent les mots
Envie de cheveux fermement empoignés
Envie de paroles inconvenantes dont le sens est caché
Envie d'une main bouillante d'avoir trop caressé
Envie de ces odeurs révélant des désirs
Envie de mes doigts lentement s'insinuant
Envie de tremblements annonçant le plaisir
Envies ...
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C’était un soir de printemps, ma curiosité m’a poussé à aller dans un club libertin, non pas sur Strasbourg, car j’en ne n’en avais pas entendu de bons échos mais en Allemagne.Un ami m’accompagne, je suis excitée à l’idée de découvrir dans ce genre de lieu. Dans mon esprit, j’imagine les hommes et femmes avec beaucoup plus de respect les uns envers les autres que dans les bars de Strasbourg, où certains devraient prendre des cours sur la bienséance.Je me pare de ma plus belle lingerie, dont vous voyez les photos sur mon profil. ces photos ont été prises le soir où je me suis rendue dans ce club : un serre taille, un soutien gorge ouvert, des cache tétons, une culotte ouverte, des portes jarretelles avec des bas coutures, et bien sur mes chaussures vernies noires à haut talons.Cela faisait des années que je ne m’étais pas sentie désirable. Toujours coiffée d’un style des années 40-50, du rouge à lèvres couleur rubis sur mes lèvres, il est bon de se sentir belle et regardée et de retrouver ce sentiment de confiance. Cela n’a rien à voir avec du narcissisme, mais d’être en accord avec soi même.Durant des années, j’ai laissé de coté mes désirs, mes envies car je n’osai dire à un homme ce que j’aimai, ce que je désirai, ce qui comptait c’était son plaisir. J’ai décidé après tout ce temps de penser au mien.Lorsque j’arrive à ce club, mon cœur s’emballe, et je suis comme une petite fille qui va dans un lieu hors du temps. Bien que l’endroit est plein de monde et que nous n’avions réservé, on nous accueille avec un grand sourire. Une fois deshabillée, je marche avec fierté et exhibe mes seins presque nus ainsi que mes fesses aux regards de ses hommes et femmes. Cela m’excite terriblement.Je pars, comme une aventurière à la découverte de ces pièces. Une chambre avec un style colonial, une autre dans une pénombre rouge, un donjon SM..je monte les escaliers et là je vois un lit.. enfin presque une salle recouverte de matelas avec des barreaux, une salle secrète avec un trou où chacun peut regarder ce qui se passe… Pour le moment tout est calme. Je me rend alors dans la salle où il y a un bar, une piste de danse, un cage où il est possible de s’enfermer et danser. Il est si bon de se sentir décomplexer et autant à l’aise. Après quelques verres, quelques danses, je me sens prise par cette ambiance. Je regarde mais je n’ose toucher. Toujours ce côté timide en moi qui m’empêche d’aller vers les routes, bien que ma tenue semble indiquer pourquoi je suis venue ici. Je n’ai pas encore réussi à passer ce cap.Au fil de la soirée, je vais de salles en salles, entend gémissement et cris, des hommes qui me prennent pas la main.. mais je ne suis pas encore prêt à cela, bien que je meurs d’envie d’essayer tout cela.
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C’est une magnifique journée d’automne, je décide de partir en forêt, seule, histoire de me vider la tête. Je prend mon cabriolet, et admire le champ ouvert au dessus de ma tête, les arbres colorés de mille feux, comparable à un coucher de soleil. Je respire.
Je laisse la route m’emporter jusqu’à ce que je trouve un lieu qui me plaise, et je me souviens de ma conversation de cette homme qui me courtise, et qui m'avait parlé d'un lieu ce matin non loin de col du Donon. Et me voila parti, chaussures de randonnées, un T shirt assez moulant et un pantalon adapté à la situation. Je m’empare de mon sac à dos, et c’est parti.
Je suis le chemin de randonnée indiqué, je devrais traverser des tourbières. J’adore. J’aime les paysages avec l’eau. Je ne croise personne, quel pied ! Il fait si bon.
Cela fait presque 2h15 que je marche et j’espère que le chemin se termine bientôt car il était indiqué 2h30 pour faire cette balade. Le temps passe, et cela fait 3h que je marche, je commence à m’inquiéter, aurai je rater un panneau ? Et je constate à mon grand dam que la batterie de mon téléphone est HS. Mais quelle nouille, combien de fois, je me suis dit.. il faut que je la change ! Cela m’apprendra. Je commence à m’inquiéter. Je me stoppe dans une petite clairière et j’entend le craquement de branchages. Mon cœur s’accèlère. Je reprend la route, et toujours ce bruit, je me sens comme observer. Et je commence à courir et d’un seul coup je me retrouve prisonnière dans un filet qui s’est rabbatu sur moi. Je crie, je crie.
La nuit commence à tomber, j’ai froid. Plus aucun son sort de ma gorge. J’essaie de sortir de là mais impossible. Je m’endors fatiguée dans cette position inconfortable. C’est alors que je tombe brutalement au sol, et cela me réveille brutalement, complètement désorientée.
- Ah la princesse aux bois dormant est réveillée, me dit cet homme
Je le remercie de m’avoir libérée. Je suis complètement gelée, courbaturée par l’inconfort de ma position durant la nuit, sans parler du fait que je suis affamée !. Cet homme me regarde bizzarement il me sourit, n’appelle personne… je lui demande comment retrouver mon chemin.. IL m’indique la route à prendre mais sans que je puisse faire quoi que ce soit, il me prend par-dessus son épaule comme un vulgaire paquet. Je lui donne des coups de poings dans le dos, mais il est si fort, et je n’ai plus de force.
- ca ne sert à rien de crier ma belle, personne ne peut entendre. Quand on se prend pour le chaperon rouge, on risque de croiser le grand méchant loup.
Il me dépose sans ménagement et me cache le visage. Il m’attache les mains, me met un collier et me tient par la laisse. J’avance sans savoir où aller. Je tire sur ce lien, mais je sais qu’il est trop fort pour moi.
Je sens le loquet d’une porte s’ouvrir. Il me demande d’avancer mes poignets, il me les libère.
- Ne bouge pas ma jolie, me dit il.
Et là j’entends le bruit de chaines.. mais que fait il ! j’hallucine, il est en train de m’enchainer.
La porte se referme. J’ote cette cagoule de mon visage. La pièce est éclairée à la bougie, Un lit, des couvertures, une armoire, une douche… La première chose que fait est de me soulager sur les toilettes.
Au travers cette porte, il y a un trou , j’essaie de voir à travers, mais l’ouverture se fait par l’extérieur.
De là, mon ravisseur me parle et ouvre ce loquet.
- Tu vois, tu es bien traitée. Tu auras tout ce que dont tu as besoin. J’aime les femmes élégantes, belles, intelligentes et à mes pieds. Si tu écoutes tout ce que je te demande, ta vie n’en sera que plus agréable, sinon tu me verras dans l’obligation de sévir. As-tu bien compris ?
- Je dis oui.
- déjà tu vas me changer de tenue, tu trouveras dans cette armoire tout ce qu’il te faut pour te faire belle pour moi. D’ailleurs ce soir, tu dineras avec moi. Fais toi belle et ne me décoit pas.
J’en suis déconcertée avec ses manières alors qu’il a été si bourru avant. J’ouvre l’armoire et y découvre des tenues si féminines que je n’en crois pas mes yeux. Je me dis que c’est une hallucination… De même sur la coiffeuse, des produits de maquillage de rouge à lèvres. Je doute que je sois la première femme à être ici.
Il m’est très difficile de m’habiller avec ce collier autours dont la chaine est attachée au mur.
Il ouvre ma porte en grand et j’y découvre un homme élégant se dirigeant vers moi. A l’opposé de l’homme qui m’a amenée ici, et pourtant c’est bien le même homme. Il s’approche vers moi, fais le tour de moi et me félicite de mon choix et de ma présentation. Il détache de mon collier cette chaine et m’invite à passer devant lui. Nous empruntons un tunnel dont le sol est pavé. Les murs sont humides. Quel lieu étrange. Je découvre cette grande salle tout en pierre et complètement aménagé, Fauteuils, un magnifique lit, puis plus au loin j’y aperçois une grande croix, et des fouets, et autres choses accrochées contre la parois. Je me retourne et décide de courir, mais je me heurte à sa stature. Il me prend dans ses bras et m’etreint.
- Tout doux, je ne te ferais aucun mal sans ton consentement. Me dit il au creux de l’oreille. Il lève mon menton avec ses doigts et me caresse la joue.
Il m’invite à aller m’asseoir, en toute civilité sur cette magnifique chaise tout en velours rouge, et me sert un vin rouge, un bordeau, un château Le Puy.
- A notre rencontre et aux plaisirs qui en viendront.
Nous buvons, et dégustons les belles agapes. Il me regardent avec une telle insistence qu’il me trouble. Tu m’appelleras Monsieur. Tu seras Sabrina pour le moment. Eh oui, je me suis permis de fouiller tes affaires..
Je fronce les sourcils pour commencer à parler : Il me dit.. non.. ce n’est pas le moment pour une complainte, profitons de ce moment.
La soirée est tellement agréable que j’en oublis presque ce qui m’arrive et où je suis. Il me reconduit à ma chambre, m’enchaine à nouveau et repars.
Je découvre que sur mon lit « Un contrat ». je me demande ce que c’est que cela. Mais qu’est ce que cela fait sur mon lit.
Je commence à lire...
Exécution des ordres.
Je me demande à quoi rime ces questions avec le choix : Refuse de le faire, jamais essayé, déjà fait et une échelle d’intérêt entre 1 et 5
* Suivre et respecter les ordres ?
* S’agenouiller devant son maitre ?
* Être mise au coin ?
* Être mise en cage,
* Être mise en cellule
* Être mise dans le coffre d’une voiture
* Être mise nue devant un public
* Le contrôle de la respiration
….
Ces questions me font sourire.. car s’il croit que je suis ce genre de femme ! N’empêche elle traverse mon esprit.
La seconde page me fait grossir les yeux :
Pratique Sexuelle
* Boules de geisha
* Glace sur le clitoris,
* Glace dans le vagin ou l’anus
* Donner un cunnilungus
* Recevoir un cunnilungus
* Dilatation vaginale,
* Dilatation anale
* Porter un plug anal,
* Porter un didlo télécommandé par Monsieur
* Etre exhibée à un public en étant prise par Monsieur
* Se faire prendre à la chaine
* Double pénétration
* Gang Bang
* Bisexualité
Mon esprit se trouve davantage…
Vêtements et accessoires
* Porter les vêtements choisis par Monsieur
* Porter un bâillon en tissu
* Porter un bâillon mord de cheval
* Porter un bâillon en ruban adhésif
* Bandeau sur les yeux
* Porter une ceinture de chasteté,
* Porter un collier en privé
* Porter un corset
* Bondage plusieurs heures
* Shibari
* Être enchainée
* Être ficelée
* Être entravées
* Etre suspendue debout.
* Être surspendue à l’horizontal
* Harnais
* Immobilisation
* Momification
* Menottes et fer
* Dormir attachée
* Cire en général
* Cire sur les seins
* Cire sur le sexe
* Cire sur les fesses
* Lavement pour nettoyer
* Lavement pour rétention d’eau vaginal
* Lavement pour rétention d’eau anal
* Pinces aux seins
* Pinces au sexee
* Attachée sur une croix
* Pince à linge….
Ce questionnaire me laisse complètement abasourdie. Je devine ce qu’il attend de moi mais souhaite m’en rendre complice. Je dois reconnaître que je suis passée pour tous mes états et que cet homme me fait de l’effet.
Certains mots de la liste me font apparaître des images obsènes dans le tête alors que je suis captive. Je jette de colère tout ça sur le sol. Et me réfugie sur le lit.
Le lendemain matin, il m’apporte un petit déjeuner avec tout ce que j’aime.. Mais quel homme attentionné et à mes soins. Je me laisse avoir par ce comportement car i ll ne m’a fait aucun mal. Il me demande de ramasser ce que j’ai jeté par terre, et que ce n’est pas le comportement d’une femme civilisée.
Il dispose le petit déjeuner à distance où je ne peux l’atteindre avec mes mains. Il m’ordonne de me mettre à genou. Allez.. à genou me dit il d’une voix douce.. où alors je deviendrais plus méchant.
Je m’execute. Il me demande de formuler des excuses immédiatement.
- Je suis désolée de mon comportement et d’avoir jeté ce contrat par terre.
- non.. mieux que ça… soit plus sincère et n’oublie pas de finir ta phrase par Monsieur.
- Je suis sincèrement désolée d’avoir jeter ce contrat par terre, tout ceci est nouveau pour moi,Monsieur.
- Bien, j’accepte ton ignorance mais pas ton comportement. Tu seras priver de déjeuner.
Le temps passe, j’ai faim. La porte s’ouvre à nouveau. Allez, à genoux ! tu dois m’accueillir à chaque fois ainsi. Je m’execute.
- Que tu apprends vite ma belle. Tu vois ce n’est pas compliqué. Tu baisseras toujours le regard en ma présence.
Il me détache et me conduit à nouveau dans cette pièce. Il m’attache à cette croix. Sa voix est si rassurante et pourtant il m’attache. Je me sens paradoxalement en sécurité.
Sais tu ce qui arrive aux vilaines filles qui ne sont pas obéissantes ?
- Je commence à répondre et je lui dis que je ne suis pas une vilaine fille.
Et là il découpe avec un ciseau le t shirt que j’avais décidé de porter pour la nuit. Il découpe aussi mon soutien gorge. Je me sens honteuse ainsi. Il admire mes seins. Il les prend dans sa main et les cajolent avec une telle tendresse. Que tu as de beaux seins, je vais en prendre le plus grand soin, je te le promet. Il les prend en bouche, les mordille, les lèches, les pétris.
-Alors ma belle, n’aimes tu pas cela ? me retorque t il
Il ne peut que constater que mes tétons pointent, signe de mon excitation et de ce moment érotique que je suis en train de vivre, le plus érotique de ma vie. Il me laisse ainsi les seins à l’air.
Je m’habitue à sa présence, et je sens qu’il ne va rien faire contre mon gré. Il me dit que ce soir, je dois avoir répondu à son questionnaire. Il me renferme à nouveau.
Je n’arrive plus à savoir si nous sommes le matin, l’après midi ou le soir. Je n’ai toujours pas vu la lumière.
Il me dit, tu as deux choix ma belle :
* Accepter ce contrat et le remplir
* Ou je te laisse repartir et nous ne nous reverrons jamais.
Je suis si intriguée, aucun homme ne m’a jamais fait cet effet… son regard se plonge dans le main.. et j’ai décidé de baisser les armes… Oui Monsieur, je souhaite remplir ce contrat et le signer.
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Mason Close.
Les cartons d’invitations, à nos membres les plus fidèles, ont été envoyés.
L’adresse se situe dans un hôtel particulier, qui était dans le passé une maison close. On devine de part l’architecture la majesté du lieu. Le sol en marbre, de magnifique colonne, un escalier monumentale se séparant en deux pour se rendre aux différents étages.
Le thème de la soirée est de recrée l’atmosphère des maisons closes et de se replonger dans cet univers érotique. Des fauteuils circulaires, des méridiennes, un piano, des rideaux en velours qui tapissent les hautes fenêtres pour plonger le lieu comme une atmosphère feutrées. L’éclairage est tamisé.
Des femmes, au corps à moitié dénudés joueront l’attraction de la soirée. Chacune a pu choisir son style, une nymphe, une danseuse orientale, une mondaine. Mon choix s’est porté sur une long kimono noirs, les manches sont amples et très longues, et touchent le sol, je porte un soutien gorge complètement ouvert et j’ai parés mes seins de magnifique bijoux scintillants. Je porte une culotte où de nombreuses perles tombent sur mes cuisses et des bas qui sont rattachés par les jaretelles. Ma tête est coiffé de bijoux et d’une pièce maîtresses avec des plumes et mes bras habillés de longs gants noirs
Une multitude de colliers tombent sur mon cou mes seins. J’avais envie de m’inspirer de ces femmes de sérail.
Je dois me préparer pour le spectacle de ce soir, où je jouerai avec mes magnifiques éventails géants en plume d’autruche. Ils ont été installés au centre de ce hall. J’aime beaucoup en jouer car c’est très suggestif et me permet de garder mon coté joueuse et mystérieuse, juste ce qu’il faut pour attirer le regard.
Mon numéro commence par Banned in Boston, une musique langoureuse, parfaite pour l’effeuillage.
Je sens la lumière sur moi, les regards se posent sur moi, arrivant en haut de cet escalier. Je prends une démarche élégante pour descendre les marches. Je joue avec mon kimono, je glisse mes doigts sur le revers et je le laisse tomber avec négligence pour dévoiler mon épaule, puis je le remonte, je fais de même avec l’autre coté. J’avance parmi les invités, effeurant de mes doigts leur joues, leurs cuisses. Ils essaient de s’approcher, mais je les repousse. Soudain, je repère un homme dont le regard me perce. Je le regarde droit dans les yeux, je m’avance, puis me retourne, et défait de mon kimono. Il est assis sur cette méridienne. Il a vu imprenable sur mes fesses et je sens qu’il aime voir ses perles qui lui permettent d’entrevoir mes fesses.
Je repars au milieu de la pièce, Je prend le doigt d’un gant dans ma bouche et le tire, je renouvelle cette opération jusqu’à ce que je retire longuement ce gant… puis je le jette au sol. Je fais de même avec l’autre. La musique se fait plus langoureuse, et je m’empare de mes éventails de plume, où j’entame comme une danse du cygne.. Je laisse juste à mes hôtes entre apercevoir mon corps.
Une fois ma danse terminée, les messieurs ou dames désireux une danse privée doivent payer.
C’est là que l’homme au regard perçant, m’achète pour toute la soirée. Il ne dit pas un seul mot. Il m’étreint du regard, me prend par la main. Nous montons les marches et nous nous retrouvons dans une pièce magnifique. Des dorures de partout, un lit avec des pinacles de part et d’autres, un salon privé avec de multiples voilages.
Il me regarde dans les yeux et m’ordonne de danser pour lui. Il s’asseoit, et me prie de danser sur lui assise sur ses genoux, le dos tournés à lui. Il ne me touche pas. Puis il me dit qu’il en veut pour son argent.
Il fait entrer un autre homme dans la pièce, je suis intriguée, curieuse, mais craintive. Il me demande de danser pour lui. Celui-ci ne se gène pas pour poser ses mains sur moi, il me claque les fesses comme si j’étais à lui. Je ne tolère pas ce manque de respect. L’homme au regard perçant ne tolère pas mon inconduite. Il se lève, se met à ma hauteur, enlève ma coiffe, et fait basculer ma tête en tirant mes cheveux par l’arrière. Il maintient une pression avec ses doigts autours de ma bouche et m’assaille d’un baiser froid. L’autre homme me bande les yeux. Je perds tous mes repères. Il me dirige vers ce lit, et m’attache de part et d’autres de ces pinacles. Le dos face aux sofas.
Et là je sens leur main me palper. Celui qui me parle, je sens son excitation dans son souffle, et il me dit qu’il prendra un plaisir à me baiser. Il me passe sa main sans ménagement sur mon sexe, et me fesse. Je sens une cravache parcourir mes courbes et un coup part entre mes fesses. Il m’ordonne d’écarter mes cuisses. Il me pénètre sans ménagement, tandis que l’autre homme s’est mis sur le lit, et il s’empare de chacun de mes tétons, et me les cajole. Je suis prise entre la queue de cet homme fou furieux et de cet homme si doux. Je suis interloquée. L’homme qui me pilonne me tire les cheveux en arrière, et l’autre enfonce ses doigts dans ma bouche. Quelle belle putain tu fais, me dit il.. Voilà comment tu mérites d’être traitée. C’est un honneur que nous te faisons. Sois en digne.
Toujours les yeux bandés, il me détache les poignets, et me les attachent dans le dos. Je dois m’empaler sur une queue, à califourchon. Pendant que je fais des va et vient sur cette queue, je sens des doigts pénétrés mon cul. Je sursaute. Je dis non !! C’est là que l’homme sur qui je suis à califourchon, m’attire vers lui et plaque ses bras tout autours de moi. Je suis impuissante. Il garde sa queue en moi, et l’autre me dilate complètement. Je sens qu’il a craché sur mon fion pour que ce soit plus facile. Un doigt, deux doigt… trois doigts.. Il m’insulte.. Puis il m’encule. Je sens ensuite ces deux queues en moi. C’est une première pour moi. je me sens honteuse mais excitée. Et là j’entends : tais toi, on sait que tu aimes ça, regarde comme tu es dégoulinante.
Ils éjaculeront tout deux sur moi. Il me laisseront attachées toute la nuit, et me baiseront à tour de rôle ensemble, sans que je ne sache qui me prenait.
A l’aube, je suis épuisée par cette nuit de baise. L’homme au regard perçant est à mes coté et me caresse le dos.. et me dit.. Acceptes tu d'être l'objet de mon plaisir?
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J’ai reçu par la poste un colis. Je m’empresse d’ouvrir cette boite legère en bois magnifique.
Le fond est en velours noir, une lettre en vieux papier enroulé fermé d’un ruban rouge attire toute mon attention tout comme ce masque Je déserre le ruban et commence à lire le contenu :
Nous serions ravis de vous compter parmi nos invités, à notre bal masqué qui se tiendra le Samedi 30 Juin au Château de Tilloloy. Il est impératif de porter votre masque ainsi qu’une tenue baroque. Une chambre vous a été réservée.
Je regarde sur internet et découvre ce magnifique château, ses écuries, sa chapelle et son magnifique parc.
Mon cœur s’emballe à l’idée de me retrouver dans ce magnifique château? Je suis enthousiasmée comme une jeune écolière ! Mais qui peut bien m’envoyer cette invitation ?
Elle n’est pas signée par une main… juste marquée par des armoiries.
Je suis tellement intriguée, presque fascinée car j’ai toujours rêvé de participer à un bal costumé masqué. Tout m’inspire, la musique, le lieu, le thème. Et là 10 000 questions : qui a bien pu me l’envoyer , que vais-je mettre ? où vais trouver une robe baroque, où vais-je dormir ? comment me coiffer ? quel parfum porter… et toute l’intendance.
Le grand soir est arrivé. Je porte une perruque avec une coiffure assez sophistiquée, un maquillage avec un teint clair et du rouge à lèvres rouge à mes lèvres. J’ai également un éventail en plume d’autruche avec lequel je me délecte de jouer pour cacher mon sourire. Mon masque en dentelle noir me colle à la peau.
J’arrive d’une main tremblante à l’entrée de ce château. Je m’avance jusqu’à son entrée. Des bougeoirs, des lustres en cristal, des chandeliers, la musique est fascinante. Je me sens transportée au XVIII eme siècle. Curieuse, je m’avance de salle en salle, je monte aux différents étages, je redescends par ce magnifique escalier de pierre… Quelle beauté.
Je m’appuie contre une colonne et observe ce magnifique spectacle , tout le monde est masqué. Je m'imagine des histoires, des intrigues. Qui serai je ce soir ? vainquerai je ma timidité ?
Tout un coup je sursaute.
- Bonsoir Belle Inconnue.
Cet homme s’est rapproché de moi avec des pas de velours, j’en ai sursauté. Mon corset me serre la taille et ne fait qu’accentuer mon décolleté.
Je me retourne et nos visages sont proches. Je me sens captiver par ses yeux noirs persants.
- Aimez vous jouer ? me dit il
- Intriguée, je répond.. oui
- Je vous propose une partie de cache- cache à travers le château.
- Si je vous retrouve, je pourrai faire de vous, ce qu’il me plaira.
Amusée, je lui répond essayez toujours.
Nos chemins se séparent, il m’a laissé 10 min.
Avec ma longue robe, il va m’être difficile de me cacher. Je passe de portes en portes, de chambres en chambres.. trop simples. D’un seul coup, une porte suscite mon intérêt non loin de l’escalier.
Je l’ouvre et un autre escalier descendant vers le bas s’ouvre devant moi. Des flambeaux au mur éclaire mon chemin. Voila la cachette idéale ! J’y descend, et me cacher derrière une petite alcove.
Mon oreille est intrigué par des sons… des bruits de ferrailles, des gémissememts. Mais où suis-je !
Le temps passe, il me m’a pas trouvé ! Je souris de ce coté maline en moi. Je m’avance pour découvrir ses pièces cachés quand tout un coup, je sens une main s’abattre sur ma bouche : Je t’ai trouvé ! Maintenant tu es à moi et je vais faire de toi ce que je désire.
Il ne se gène pas pour effleurer de ses mains gantés mes seins.
Il me fait avancer et pénétrer dans une pièce sombre, presque lugubre, eclairée toujours par des flambeaux. Accrochés au mur, des anneaux, des chaises, des cordes puis je remarque d’autres accessoires qui me font grandir les yeux
Je souhaite sortir, je me débat. Il me regarde et souris :
- quelle biche aux abois, me dit il. Je vais prendre un très grand plaisir à t’apprivoiser, jusqu’à ce que tu sois à mes pieds, douce et soumise.
Il arrive à grands pas à moi, me plaque contre le mur et saisi mes poignets au dessus de ma tête.
- Tout doux ma belle, plus tu seras sage et obéissante, plus doux sera ta punition.
Je me débat, alors il m’attache et accroche mes poignets à une corde, fixé à un anneau au plafond.
Je me retrouve sans défense, prise au piège, que vais-je faire maintenant?
Il déchire ma robe comme si j’étais une vulgaire putain.
- Voila qui est mieux ! me lace t il.
Il dégraffe légètement mon corset pour en faire sortir mes seins, il les pétrie, serre mes tétons .. j’en lache un cri de douleur. Je proteste :
- Tais toi, si j’entend encore une protestation, je te fouette. Vois tu ce fouet là bas ?
Et là j’ai peur, je trésaillis.
Je me retrouve complètement immobilisé. Jambes écartées, seins à l’air, les bras au dessus de ma tête.
Finalement, il décide de se saisir du fouet et de me fouetter pour me rendre plus domptable. Il me fait même compter les 5 coups qu’il me donne. Puis il se rapproche de moi, essuie de sa main les larmes qui coulent de mes yeux et me caressent le visage.
Voila qui est mieux me dit il ! Ai-je toute ton attention maintenant?
Je hoche de la tête et je dis oui.
Il détache mes poignets et me fait aller vers une sorte de cheval d’arçon. Il attachent ma taille à ce cheval, et mes poignets de par et d’autres, tout comme mes chevilles. Je ne peux pas bouger ni me mouvoir.
- Quelle belle pute tu fais, me dit il
- Je vais m’occuper de toi, comme il se doit.
Ma posture lui offre mes fesses, mon cul et ma chatte. Je sens qu(il aime regarder ce dessin, le sillon de mes fesses et l’ouverture que dessinent les lèvres de mon sexe.
Il m’insère sans ménagement un gode dans ma chatte, attaché à un manche et s’en amuse. Honteusement j’en mouille.. Il se rapproche et me claque les fesses.
- Il met ses doigts dans ma bouche et me demande de bien les mouiller.
- Il me caresse les cheveux.. et me traite de brave chienne bien docile.
- Il plante un doigt, puis deux… puis trois.. puis un quatrième, j’en ai mal.. Il me dit
-ferme là ! et prépare toi à recevoir ma main dans ta chatte de salope. Tu ne mérites que ça.
Il accompagne tout cela en me mettant un doigt dans le cul.
- T’aime ça en plus, tu as vu comme tu mouilles, petite chienne.
Voila… ta chatte est à présent disponible pour recevoir toutes les queues. Eh oui une chambre t’a été réservé.. eh bien la voici, il faut bien payer son du !
Un second homme arrive. Lui se met devant moi et me force par la bouche, le second me pilonne en me faisant, m’insultant, me demande si j’aime ça.
Un troisième homme entre, puis plusieurs personnes. Je suis le spectacle de la soirée sans le savoir. Une femme s’approche de moi et écarte mes fesses pendant que je me fais prendre, et insère un doigt dans mon cul et en joue.. Elle me susure à l’oreille quelle bonne chienne je fais.
Puis elle se saisit d’un gode qu’elle enfonce dans ménagement dans mon cul…
La nuit ne fait que commencer…
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Je t’ai préparé une surprise… tu m’attends dans le salon. Je me prépare…une tenue sexy, des bas, des chaussures à talon, une guêpière et un string assorti. Une robe pour emballer le tout. Je te rejoins, m’approche pour t’embrasser. Un début de striptease, où je te laisse entrevoire mes bas, avant de retirer ma robe… tu observes mes formes, joliment mises en valeur. Je me caresse… mes mains glissent sur mes jambes, remontent entre mes cuisses, passent sur mes fesses nues, mes seins emprisonnés dans leur cage de tissu. Je caresse mon décolleté. On s’observe, je fais glisser mon string le long de mes jambes… je prends mon temps, démarche langoureuse, pour te le remettre, avant de m’installer confortablement dans un fauteuil, en face de toi. Je me caresse, libère un de mes seins que j'empoigne fermement, léger pincement sur le bout pour faire pointer un peu plus mon téton, hatiser mon plaisir masochiste. Mon autre main se love entre mes cuisses... j'écarte mes jambes, un talon sur l'accoudoir, l'autre au sol. Position obscène, te laissant observer ma chatte ouverte...mes doigts qui glissent entre mes lèvres, les écartent.. un doux va et vient... pour faire venir mon plaisir.... effleurer mon bouton... je ferme les yeux, deux doigts me pénètrent...cherchent à faire monter mon plaisir...je me concentre, me laisse aller... les caresses de mes doigts en moi, l'envie de plus, plus fort... je sors un plug ventouse, le fixe au coin de la table basse... m'empale dessus, mon bassin bouge, je gémis doucement, t'observe... ton sexe fièrement dresser dans ta main.... je l'imagine en moi, me transperçant, me dilatant... envie d'un peu plus, je sors mon jouet vibreur et applique sa tête sur mon bouton déjà gonflé de plaisir... c'est si bon... une première vague de plaisir explose.... je coule... cet engin diabolique qui me fait lâcher prise... je m'allonge dans le canapé à côté de toi, prends le rabbit que j'enfourne dans mon sexe dégoulinant... plus rien ne compte, juste ce besoin impérieux de jouir encore, et encore ...
Tu ne tiens plus, te jetes sur moi pour plonger ton sexe en moi, tu cognes en moi, au fond de moi... mes orgasmes s'enchainent, tu te déchaines me retournes et plonge dans mon cul étroit... c'est fort, un peu douloureux, intense et tellement bon.... ta main claque sur mes fesses.... je perds pieds.... t'abandonne mon corps, tes mains tirant sur mes seins, ton sexe me défonçant... je coule délicieusement... et tu finis par exploser en moi.
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1- j'ai un angiome tubéreux sur le visage, beaucoup moins visible que ds mon enfance mais ca m'as valu les jolis surnom de "la cramé" et la "contagieuse"...et mon crapouillot de la part de ma mère mais c’était affectueux
2- je regrette d'avoir du être la nounou pour un couple d'amis de mes parents, a la finale je devais m'occuper bien plus souvent du papa que des enfants. j'avais 14 ans
3- je suis pas maternelle
4- a 16 ans, je me suis prise des droites dans la gueule accompagné de "salope" pendant une demi heure par ma mère quand elle a découvert ma sexualité active.
5- quand les gendarmes on dit a mon ex "elle vous a peut être quitter en douce", il a répondu "impossible, elle serait jamais partie sans son PC"
6- je supporte mal le silence ambiant
7- la mort n'est qu'une étape, j'ai vu des fantomes
8- Mon père aurait préféré que je ne vois jamais le jour
9- dans la disposition de mes meubles, les portes sont toujours dans mon champs de vision
10- je suis plus salé que sucré... j'adore les gateaux apéro
11- Madame rêve...un peu trop.
12- j'ai beaucoup de mal a parler de moi
13- je suis pas tjrs delicate quand je suis franche
14- je m'entends mieux avec les hommes que les femmes, elle n'aiment pas ma liberté d'esprit et ma tolerance dans le couple...ni que je leur dise que leur bonhomme ont bien du courage pour les supporter...(délicatesse légendaire je vous dit...)
15- pendant longtemps, ma 1ere pensée du matin, au reveil, c'etait merde...je me suis encore reveillée
16- je suis partie de chez ma mere a 18 ans et 1 mois
17- j'ai accouché de ma fille a l'aube de mes 19 ans
18- je suis pas comme ma mère
19- j'aime tt ce qui touche a l'erotisme et la sexualité
20- je bois 2L de coca par jour
21- je suis ponctuelle
22- vers 10-11 ans j'ai decouvert que les jets de la piscine donnaient d'agreable sensations sur ma mimine
23- un homme torse nu en jeans attise mes sens et rendent mes yeux tt brillant
24- comme si cela suffisait pas, mon vrai prenom est aussi atypique que mon visage, l'histoire de ce prenom m'as toujours fait sourire...jaune...
25- quand je n'ecoute pas de musiqque, je la marmonne
26- mon meilleur ami a aussi été mon 1er Dom
27- je ne sais pas etre egoiste
28- chieuse, mais pas chiante
29- je n'ai jamais été amoureuse du pere de mes deux grands, il a été une "excuse" pour quitter le domicile familiale
30- qd je fais une nuit blanche, je deteste entendre au petit matin les 1er petit zozios et voir le jour se lever, c'est en generale là que je part me coucher
31- la 1ere BD erotique sur laquelle je suis tombé, chez des amis de mon pere, au milieu des luky luke et lagaffe, etait ex libris eroticis, j'ai adoré du haut de mes 12 ans et demandais souvent qd est ce qu'on retournait labas... pour la collection de lagaffe...biensure quoi d'autre ?
32- a 7 ans j'ai vu ma mere et celui qui allait devenir mon pere faire des galipettes, je les ai regardé jusqu'a la fin
33- la seule chose de bien rangé chez moi c'est mon PC
34- j'aime la sensualité, pas la vulgarité
35- j'adore scene de menage
36- j'ai souvent héritée du petit nom "ma puce"...vu que je depasse pas le metre 50
37- Mon fils et moi aurions pu mourir le 18 septembre 2014, 106 contre deux camions de chantier,
3 tonnes x2 contre 700kg, bizarrement j'ai pas fait le poids...
38- le matin j'ai une tete de con et je parle pas
39- je deteste d'ailleurs le matin...quand mon reveil sonne je lui reponds avec amabilité de fermer sa gueule
40- ah oui je parle un peu vulgairement parfois...bon ok souvent
41- j'aime l'ironie et l'humour noir
42- je prend tres bien les choses, parfois trop bien, alors que parfois je devrais pas, je me vexe pas facilement
43- j'aime pas les fleurs, a part la rose noire, mais j'aime les plantes vertes, dommage j'ai reussi a faire crever un ficus, pourtant on peut pas dire que ca demande beaucoup d'entretiens...
44- je m'ennui devant la télé
45- je suis tres frileuse, moi qui adore ne porter qu'un tee shirt, je suis malheureuse en hiver, pas de bol la Normandie c'est pas la meilleur region niveau chaleur...
46- ma mere a lacéré ma passion pour les chevaux en refusant que j'en fasse mon metier, motif : ecole trop loin de la maison pour me surveiller
47- j'avais 50 francs d'argent de poche par mois a partir de mes 16 ans
48- j'ai commencé ma premiere cigarette a 13 ans, une gitane piqué avec des copines lors d'une soirée des parents a la maison, ptin c'etait degueu...je suis devenue fumeuse reguliere a 16 ans
49- a 17 ans, mon petit ami m'as bourré la gueule pour coucher avec moi
50- tant qu'on est dans le sujet je bois rarement, 2-3 verres de malibu on va dire tous les 6 mois ou tt aussi rarement et qu'un seul, ca monte vite au crane, kir vin blanc au resto
51- j'aime qd MON HOMME me dit les choses cash, plutot que de me sortir les violons...et l'orchestre j'en parle meme pas...
"Cheri ce soir tu me vois pas! - ah bon tu sors? - non je t'encule." par exemple...quel romantisme...j'ai bien dit MON HOMME !
52- sinon je ne trouve plus rien a rajouter.
53- ma plus grande terreur est de voir une défenestration.
54- j'aime pas lire, je depasse rarement le titre, le seul livre que j'ai avaler jusqu'au dernier mot, c'etait antigone de Jean Anouilh.
55- j'ai herité du gene nocturne de papa, donc couche (trop) tard
56- je cherche pas le contacte humain, plutot solitaire
57- je suis caline
58- il m'as fallu 6 mois et un cauchemar pour comprendre et accepter que mon 1er fils etait mon fils et non pas une erreur de parcours
59- j'ai des enfants formidable...
60- je deteste parler au telephone
61- j'ai un genoux foireux, j'ai peur que ca me pose des soucis pour les cordes
62- j'adore commencé une gaterie au repos et la sentir prendre forme sous mes va et vient
63- j'ai pas le souvenirs de bons moments passées avec ma mère
64- la seule personne avec qui je n'ai aucun mauvais souvenirs etait ma grand mere
65- j'aime pas les chats, enfin si, chez les autres, le mien s'apelle mimine...ou connard...
66- j'ai du bosser pas plus de 3 mois dans ma vie
67- je suis pas venale, pas depensiere, parait meme pas assez, je sais pas vraiment me faire plaisir
68- je n'ai ni Dieu ni Maitre, mais je respecte les croyances et convictions des autres
69- un peu raleuse, mais souvent avec humour
70- je suis pas la meilleure femme de menage, mais j'aime faire la vaiselle avec la musique ds les oreilles
pour finir une anecdote signé mon deuxieme et dernier fils:
fils dit : merde !!!
maman dit: non on dit zut
plus tard papa taquine maman et maman dit : je t'emmerde
fils repond: non maman on dit je t'enzut !!
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08/08/2016
Je me qualifierai pas de Soumise, ni dans l’âme, ni dans le caractère, mais je peux l’être dans l'attitude je dirai plutôt borderline, j'aime le D/s, la cérébralité, le douceur comme la violence, un peu maso, ouverte d'esprit et plutôt débridée.
La première fois que j'ai entendu parlé du BDSM, c'etait via une plateforme de jeu 3D, en 2013, la discussions s'est engagée et nous avons longuement parlé du sujet, enfin plutôt lui du coup, puis çà m'as intrigué....rien d’étonnant pour quelqu'un qui aime la sexualité et qui en est curieuse quelque soit sa forme, donc j'ai fouiné le sujet, par différent forum, site, et discussions avec des Doms, très vite je me suis faite mon idée....Moi Soumise ? JAMAIS !!!... mouai on en reparlera hein....ceci dit, j'ai vite compris le cotés sain de ses relations, cette façon de tt dire, d’être honnête, dont les choses sont posées et claires, contrairement au vanille ou finalement tous l'monde y l'sais, mais personne y'l'dis.
J’étais en couple à ce moment là, couple qui commençait à vaciller. la décadence à continuer et moi pendant cette année je continuais à m'informer sur ce monde, puis viens septembre 2014, le 18 précisément, jour où j'ai eu un accident important de voiture avec mon fils, pour faire court, une tite 106 contre deux camions de chantier type master et taille au dessus bah j'ai pas fait trop le poids hein, et puis s'en ai suivi une série de coup de massue sur le coin de la gueule durant 1 an, mon couple vacillait de plus en plus, et moi, je réalisais de plus en plus que je ne voulais plus vivre comme ça... jusqu’à ce que rien ne soit plus sauvable, une lutte acharnée pour lui faire comprendre qu'il me perdait, mais en vain, dans cette période le D/s a pris un peu plus de place ds ma tete, je ressentais un besoin qu'on prenne la relève, qu'on me décharge de mes responsabilités, et surtout qu'on m'aide à surmonter ma séparation qui était inévitable, j'ai du moi même l'accepter et ca a pris 6 mois, sauf que mon ex lui la refusait catégoriquement, ça a pris 1 an pour qu'il déménage, et çà a été dur, durant ces 1 an, je lui demandais de partir...et il répondait que non. il était bien ici, qu'il me ferait chier jusqu'au bout "parceque je t'aime MOI."
J'ai eu un guide, virtuel, beaucoup par sms, plus qu'un Dominant, un soutiens morale et un coup de pied au cul aussi qd je faisais les choses de travers ou que je me laisser bouffer.
je continuais toujours à fouiner le sujet, mais je n’étais pas prête a passer au réel, vu le contexte, un peu logique, je n’étais pas dans des conditions sereine pour me lancer la dedans, puis même en perdition, il était hors de question de tromper mon ex, je voulais faire les choses ds l'ordre, d'abord clore ce chapitre. mais une chose devenait de plus en plus limpide pour moi, c’était un monde qui correspondait a ma façon de penser et a ma liberté sexuel, refoulé et bridé jusqu'ici.
Octobre2015....enfin il part....après 12 ans de couple....
Le jour de son départ, le1er, ce fut dur, pour tt le monde,
même si il était hors de question que je lui montre.
Une fois passé la porte, mon fils l'a regardé partir à la fenêtre, il m' a dit "Maman, tu viens pas dire au revoir à Papa" "Non mon Cheri...".
J'avais mal, mal d'avoir échoué, il a fallu que je paraisse forte et que je console mon fils, lui expliquer ce qu'il savait déjà,
que c'était mieux ainsi.
Le soir arrive, mon fils couché, je me suis assise sur une chaise, les coudes posés sur mes cuisses, les bras ds le vide, j'ai regardé chaque recoins du salon comme si c'était la première fois, écouté ce lourd silence, et je me suis dit à haute voix " putain..." Je venais de me prendre la réalité en pleine gueule...j' étais désormais seule, avec la responsabilité de mon fils. "et maintenant...tu fais quoi...?"
A ce jour, je n' ai tjrs pas trouvé de réponse à cette question.
le calme et la sérénité reviennent, et puis je ne me reconnais plus....mes pensées changent, mon passé si lourd que je portais depuis toujours s'apaise, semble reprendre sa place, dans le passé, et non plus dans le présent, je change d'optique petit à petit, de façon de voir les choses, moi qui était tt le temps stressé du lendemain, a présent je m'en foutais, enfin c'est pas le mot, disons que je ne trouvais pas les réponses, et je n'arrivais meme pas à me poser de questions, je ne voyais pas d'avenir, tt semblait flou et totalement inconnue. tout çà s’étend et évolue petit à petit jusqu'a aujourd'hui.
7 mois avant ce fameux octobre, sur mon jeu, je croisais un homme de temps en temps, nous parlions de tt de rien, on apprenait à se connaitre sans grande intention, enfin pour moi, vu le flinguage que je subissais je ne voyais rien d'autre.
en décembre, après un sale coup de mon ex (2 mois seulement après la séparation, et alors que la veille il me pleurait de revenir, Monsieur se tape une gonzesse....et qui plus est, en présence de mon fils -_-"), et en même temps cet homme commençait a être un peu plus explicite dans ces propos....ou c'est moi qui les entends plus clairement, alors je me laisse aller vers cette relation, après tout, ce n’était que virtuel, un jeu, et puis ça m'occuperait un peu....et le temps passe....et la relation deviens plus serieuse, moins "in game", on descends clairement tt les deux une pente "dangereuse" : le reel....les personnages s'effacent, les personnalités plus ou moins jouées, sont remplacées par notre propre personnalité, la vrai, le virtuel s'efface pour faire place au réel, Monsieur sors du placard et Mademoiselle née doucement entre ses mains....ai je dis "Moi Soumise ? JAMAIS !!!" ? ....ah bah ravale tes mots cocotte.....
le lien, les sentiments, l'emprise, et ce, des deux cotés, deviennent de plus en fort et le D/s s'installe, son cotés latin y fait beaucoup, et ça me plait, énormément, ça en devient une relation a double sens, il me fais évoluer autant que moi je le fais grandir et le révèle à lui même, une belle, forte, intense histoire qui prend fin 6 mois après, donc en juin 2016...bah vi....le vanille à découvert le chocolat....et nous voila comme deux cons chacun de notre cotés, a morfler du manque de l'autre....mais c'est comme ça, nous sommes tjrs en contacte qd même, mais plus de la même façon.
disais-je dans mes premiers mots que je ne me qualifierai pas de Soumise ? je me souviens même d'un com posté sur une de mes photos "bon courage à celui qui voudra entendre Maître dans ma bouche"
Mais j'ai été Sa Soumise...et il a été Mon Patron...comme quoi...il suffit parfois de croiser une personne, une seule...
Voilà... un complément aux 70 verités, qui abordait le passé
Voilà... ou nous en sommes aujourd'hui.
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La pluralité des goûts invite à une pluralité des formes. Ainsi, la beauté se pare de bien des courbes, aussi uniques les unes que les autres ; et c'est tant mieux !
Pour autant, je ne confonds pas silhouettes naturellement généreuses, et bourrelets négligents.
En ces lieux, on prône le plaisir, mais aussi l'esthétisme.
Conjointement, soumises et dominants évoquent, ou s'affublent à l'envie de notions plus ou moins pompeuses :
éducation, rigueur, sévérité, apprentissage, mise en valeur de l'autre...
Tout un programme, donc !
Pléthore de photos personnelles sont publiées. La grande majorité des corps proposés, crient à l'unisson :
paresse, négligence, laisser-aller, laxisme...
Alors soumises et dominants, quid de ces demandes ou promesses disciplinaires ?
Car la plus grande des rigueurs ne s'exprime-t'elle pas, tout d'abord, au travers de notre hygiène de vie (alimentaire, sportive,...) ?
Et la première des sévérités, n'est-elle pas d'y veiller ?
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Tu m'as demandé de mettre une jupe avec des bas. Par amusement, j'ai obéis. Le soir, tu es venu près de moi... j'ai senti tes mains remonter ma jupe... faire glisser mon string pour m'en délaisser."Ce soir je m'occupe de toi", et tu m'as inséré une boule de geisha... on a mangé, à chaque mouvement, je sens la bille qui cogne en moi... on a couché notre fils... puis je t'ai rejoins dans le salon...
"Déshabille toi". Je retire mon haut, fais glisser ma jupe à mes pieds. "Approche"
Je te suis, te laisse m'attacher... tu prends le paddle, me caresse les fesses, avant de le faire claquer, une première fois... les autres coups suivent et colorent mes fesses... tu les caresses et percois leur chaleur... viens ensuite le martinet que tu appliques sur mon dos, le haut, le bas, mes fesses... tu alternes... certains coups sont un peu plus dur, mais la douleur se dissipe vite, se mélange en plaisir... la bille tombe... tu glisses tes doigts en moi... je suis trempé... en peu de temps, ton sexe remplace tes doigts... quelques va vient...je gémis sous tes assauts ... tu me détaches et me plaque sur la table... ton sexe force mon cul... mi douleur mi plaisir... je te laisse me prendre ainsi.... y prend plaisir.... tes doigts glissent dans ma chatte trempée et détendue.... je jouis... coule encore et encore... et te laisse exploser en moi.... nous finissons dans les bras l'un de l'autre... reprenant notre souffle, nos esprits... avant de finir sous la douche.
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Tout à mes pensées, je m’étais pour ainsi dire déconnecté de cette réalité que je pourrais résumer ainsi :
Vache saturne s’appliquait à lécher ma queue sous la direction intransigeante de Maîtresse Wendy, qui donnait ses consignes, rappelait à l’ordre quand l’action perdait de son intensité…Au bout de quelques minutes de ce régime, elle mit fin aux mouvements de langues qui me rappelaient l’état de soumission de mon collègue, ce qui nous rapprochait, bien que nous ne nous connaissions pas auparavant…Maîtresse Wendy, j’en avais l’intime conviction, comprenait bien ses soumis, et je me disais qu’elle avait du remarquer cette sensibilité aux mots, ce plaisir plus cérébral que physique que j’éprouvais facilement. Et cela se vérifia :
- Vache saturne, vache vavient, vous êtes mes deux vaches, mes deux salopes aussi, mais avant tout, mes soumis. Et en tant que soumis, que vous soyez à mes côtés ou pas, je compte bien vous donner des ordres, des exercices à effectuer et que vous devrez exécuter, pour le simple plaisir…de me faire plaisir ! Pour se faire, j’userais d’un langage qui sera le fruit de mes choix, selon mes envies, selon mes désirs. Mais quand vous aurez à vous exprimer, que ce soit devant moi, ou via des messages, vous aurez de votre côté à employer ces mots que je vais vous apprendre. Ces mots, et pas d’autres, compris les vaches ?
-Mmmmmeuuuuuh Maîtresse !
- Un bon point pour vous, ne pas perdre les bonnes habitudes que je vous apprends. Maintenant, écoutez puis répétez autant que je l’exigerais…Vos bouches sont des ranges-bites, répétez : « ranges-bites » !
- Ranges-bites, Maîtresse.
- En tant que vache, vous le savez déjà, le sexe n’est rien de plus qu’un misérable pis. Répétez : « pis ».
- Pis, Maîtresse.
Reste votre anus….soit votre cul, ou plus précisément votre trou du cul. Répétez !
-Cul, trou du cul, Maîtresse.
- Je vous ai fait évoluer tous les deux, et vous aurez le plaisir de vous retrouver d’autres fois ensemble pour apprendre et trouver votre plaisir dans votre obéissance à votre vénérable Maîtresse. Comme je sais que la journée avance, que j’ai des obligations qui m’appellent, je vais vous laisser repartir. Toutefois, je vais d’ores et déjà vous donner certaines règles de vie et d’organisation :
-Règle première pour toi, vache vavient : me donner un numéro où je puisse te joindre pour t’envoyer des sms te donnant mes ordres. Vache saturne m’a déjà fourni son numéro, mais il a interdiction de te parler de ce qu’il a pu recevoir dans le passé, sauf autorisation de ma part. Tu me l’écriras au dos de la lettre que je t’avais écrit et qui est restée au même endroit.
Règle deux, et qui vous concerne tous les deux : Puisque vous êtes deux vaches, deux animaux, deux salopes, je vous ordonne désormais de pisser assis sur les toilettes et plus debout. C’est une habitude à prendre, et quand nous en parlerons, « pisser » sera le seul terme autorisé. Vous êtes trop grands pour dire « faire pipi », et je n’accepte pas « uriner ».
Il est évident que pour moi, malgré ton peu d’expérience vache vavient, je te considère comme l’égal de vache saturne…Le 69 de tout à l’heure, où vous vous dégustiez vos petites couilles avec plaisir, semble t’il, en était l’illustration. Quand nous nous reverrons, qui sait ? Ce sera peut être autre chose que vous lécherez, mes vaches. Vous verrez, ça fait du bien et vous en redemanderez, j’en suis sur. Donc je poursuis cette séance par cette question :
- vache vavient, que penses tu devoir lécher prochainement chez vache saturne ?
Je me sentais atrocement gêné par cette question, mais en même temps, ma nudité ne pouvait cacher l’excitation du moment, à ce moment, je savais…Je savais qu’elle avait tout compris, et qu’elle savait susciter le plaisir au delà de l’apparence humiliante. Bandant très dur, je lui répondis d’un souffle :
- Je devrais lécher le trou du cul de vache saturne, Maîtresse.
- Tu as tout compris, vache vavient. Tu le lécheras, tu dépasseras tes peurs pour moi, moi ta merveilleuse Maîtresse, celle qui te fera accéder à tous les plaisirs, à tous les tourments. Il te reste tellement à découvrir sous mon joug. Et pour cela, tu reviendras vendredi prochain au soir, tu seras la pour 19 heures, à ma porte. Préalablement, tu te seras lavé parfaitement, et je t’ordonne de bien te raser la raie de façon à ce qu’elle soit lisse…je ne saurais tolérer un écart sur ce sujet, compris ?
-mmmmeuuuh, Maîtresse !
- Parfait, ma petite vache. Dites moi, je vois vos pis bien raides….C’est sur que se voir révélées vos natures profondes a de quoi vous exciter, petites sous merdes. Mettez vous à genoux l’un à côté de l’autre, et branlez vos queues. Vous jouirez dans votre main libre, je les veux bien trempées. Allez, je n’ai pas que ça à faire !
Je me concentrais sur tout ce vécu qui serait à n’en pas douter inoubliable, il me fallut trois minutes de masturbation pour jouir, et à peine une minute de plus à vache saturne, frère de soumission. Nous récoltions notre jus sur nos mains, moi la droite, et lui la gauche.
-Bien, salopes…Chacun va étaler son sperme sur le visage de l’autre, et vous ne vous laverez que demain matin…comme ça, vous ne vous oublierez pas, et vous penserez à moi, votre reine !
J’obéissais, en même temps que je sentais cette crème blanche sur mes joues, et au fond de moi, cette question teintée de bonheur :
« si je peux penser à elle ma lumière, mon phare, ma déesse, et à lui qui m’a accompagné, comment pourrais je un jour les oublier ? »
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Ardente passion qui transcende nos âmes, enflamme nos corps
Nous attire inexorablement l'un vers l'autre comme des aimants
Bientôt, nous serons réunis à nouveau, mon Maître bienveillant
Nous scellerons cette rencontre par des accords et des encore
Chair exigeante, expressive, possessive, exclusive
Nous entraîne vers ses tentantes et délicieuses rives
Puissance de l'appel de nos êtres trop longtemps en attente
Luxuriante, sauvage comme une forêt vierge à l'aube naissante
Ah ! ces grains de notre peau qui s'échauffent lentement
Sous nos doigts avec délicatesse sont effleurés tendrement
Notre quête de plaisirs et de joies intimes ne fait que grandir
De tous les tabous, nous n'hésiterons pas à nous en affranchir
N'attendons plus un instant pour vivre notre ardente passion
Sur tous les temps, par tous les temps nous la pratiquerons
Telle une bourrasque, dans sa belle et saine fulgurance
Elle favorisera un autre éveil de nos corps et nos intimes sens
Le 13 octobre 2016
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J'ai sentie la corde de coco sur ma peau nue, caresse irritante... frottement troublant... les cordes m'enserrent.. glisse sur ma poitrine, la fait ressortir... la corde frotte mes tétons qui s'érigent... tu y places les aimants... je mords ma lèvre avant de m'habituer à leur présence...
La corde passe au creux de ma taille, avant de descendre sur mon sexe... tu t'amuses, la fait glisser... un va et vient troublant.. une douce torture... le noeud de la corde frotte sur mon bouton... un supplice...
Mes cuisses ouvertes, tu t'amuses de mon indécence... de mes réactions... mon sexe qui palpite... se rebelle et réclame en même temps..
Ma main caresse ton sexe, à ta demande... il grossit sous mes doigts... effet du plaisir que tu me procures, ou du va et vient de ma main... Nos regards se croisent...
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Le corset est un objet sans gravité, objet de désir, de contrainte, il enjolive le corps des femmes. En latex, en satin, en cuir, il se transforme en tableau pour mieux créer le contraste du corps. L'objet est comme la gaité au théâtre, il échelonne le message du corps , depuis la grossièreté jusqu'au raffinement le plus exquis.
Tout le monde sera d'accord pour dire que le corset est une affaire de matière, de corps, de séduction, de désir, de sensualité. Le corset est le "délicat "au second degrés, le plaisir, une affaire de toucher qui raconte des histoires, Si on écoutait son ventre serré dans l'objet, on dirait aiii, stop, par pitié, quant la tête dit encore, je veux, serrez encore Maître........
Lili
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Article original de Gaëlle-Marie Zimmermann : http://www.hellocoton.fr/to/16J4g#http://autourdusujet.free.fr/index.php/2013/11/21/le-romantique-de-la-bite-un-vrai-prince-charmant-pour-les-sentimentales-de-la-chatte
"Aujourd’hui, Ô Lectrice à la fesse rieuse (donc les culs tristes peuvent aller jouer ailleurs), j’ai envie de te parler de romantisme… Car le romantisme, c’est un peu une valeur phare, sur ZoneZeroGene.
(Un ange passe)
J’aimerais par conséquent rendre hommage à une catégorie d’hommes particulièrement chère à notre chatte notre coeur… Ces hommes qui, tout en délicatesse et en subtiles attentions, savent nous combler, nous les femmes. Nous gratifier, nous émouvoir jusqu’au plus profond de nous-même (c’est-à-dire loin derrière le clitoris et juste avant les amygdales).
Ces hommes, plus nombreux qu’on ne le croit et tout entiers dévoués, ce sont les romantiques.
De la bite.
Oui.
Parce que le romantisme classique (restau feutré, porte de la bagnole tenue ouverte, regards languissants et déclarations enflammées), c’est adorable et on ne va cracher dans la soupe, hein, mais à côté du romantisme de la bite, c’est un peu le hard-discount du dévouement amoureux.
Et je vais même aller plus loin et te donner un bon conseil, chérie : si tu as la chance de croiser le chemin d’un romantique de la bite, SURTOUT ne le laisse pas filer. Accroche-le sans scrupules à la touffe de ton ticket de métro, suspends-le à ta bouche grande ouverte, adore-le de tous tes nichons et savoure ta chance. Parce que ces mecs-là, ce sont des joyaux.
Alors attention, le romantique de la bite n’est ni un goujat, ni un rustre, ni un ours des bois handicapé de la communication. Non, c’est juste un mec logique, qui s’évite bien des malentendus relationnels.
Saint-Exupéry a écrit : « On ne voit bien qu’avec le coeur. L’essentiel est invisible pour les yeux« . Et il avait raison. Mais je peux t’affirmer une chose : si on ne voit bien qu’avec le coeur, et que les émotions se cachent au-delà du visible, on ne ressent bien qu’avec son corps ; car les sensations ne mentent jamais. Sauf quand on leur enjoint de fermer leur gueule ou qu’on refuse de les écouter, auquel cas le sentiment amoureux peut sublimer de la baise très médiocre et te rendre aveugle du cul : tu te retrouves alors à te mentir avec adresse, te racontant des histoires comme quoi tu es merveilleusement heureuse, que ce sentiment magique embellit tout le reste et que l’orgasme n’est pas tout dans la vie, que ce que tu éprouves va bien au-delà. Ouais, c’est ça. Seulement j’ai envie de te dire que pour aller bien au-delà de quelque chose, il faut déjà l’avoir atteint, sans vouloir faire ma chieuse.
Alors le romantique de la bite, ton corps, il l’apprécie à mort. Il aime tellement te baiser qu’il prend soin de toi comme si tu étais le plus précieux des diamants ; et son dévouement va bien au-delà de sa dextérité (dextérité incontestable, au demeurant, mais ce n’est même pas ça qui compte le plus). Grâce à lui, le romantisme devient tout à coup une notion… revisitée.
Tout d’abord, le romantique de la bite est un généreux du cul. Un vrai gourmand, à l’avidité voluptueuse. Et sa gourmandise se nourrit de ton propre plaisir. Ton désir l’émerveille, et chacun de tes frémissements le mène au bord de l’extase. Tout ça sans aucune lourdeur : il ne te fera pas de grands discours, ne se répandra pas en compliments fleuris (donc pour celles qui ont besoin de s’entendre psalmodier qu’elles sont des déesses vivantes, faudra repasser) et ne fondra pas en larmes de gratitude devant ton orgasme.
Non, le romantique de la bite, il sait que le sexe, c’est une fête charnelle, une réjouissance de tout le corps. Il t’appréciera parce que tu ne penses pas nécessaire de lui faire mériter sa première pipe au prix de trois dîners aux chandelles ; car si tu as envie de sa queue dans ta bouche, tu fonces, et dans le cas contraire, tu t’abstiens ; mais tu ne te demandes pas si une fille qui suce d’emblée peut être respectée, et tu ne fais pas du sexe une monnaie d’échange relationnelle. Et il t’adorera parce que tu auras cédé sans chichis à tes propres désirs (en gros, tu as pigé qu’ouvrir grand tes cuisses pour y attirer sa tête n’est pas une faveur que tu lui fais mais un orgasme que tu t’offres). Il savourera que tu t’en paies une bonne tranche en tortillant tes fesses sous ses coups de langue, sans te préoccuper de l’impression que tu donnes à ce moment-là : oui, tu as l’air d’une chaudasse en combustion spontanée et pas d’une lady. C’est comme ça).
Il te fera jouir avec délectation, non pas pour te montrer à quel point il est le meilleur, mais parce que contempler ton orgasme le met en joie. Une joie totale, pure, sans arrière-pensée, aussi débridée que celle de la première gorgée de bière fraîche.
Le romantique de la bite sait que Clitoris n’est pas un nom de divinité antique, mais le point d’ancrage très actuel d’un plaisir à ramifications multiples. Du coup, il a très bien compris qu’une fête sans lui n’est jamais vraiment réussie, et qu’une partie de cul sans le clito, ce serait un peu comme une boum sans la boule à facettes (qui te donne une mine scintillante et sublime ta jupe en lycra), ou une soirée chez l’ambassadeur sans Ferrero Rocher (inutile de te rappeler comment c’est bon quand ta langue touche enfin la noisette).
Le romantique de la bite tutoie également tes nichons avec une infaillible élégance. Leur prodiguant des soins soutenus sans jamais se lasser, il peut même, dans un élan d’enthousiasme, constater avec un scepticisme ravi que ses mains, pourtant king size, ne parviennent pas à les contenir totalement. [A ce stade, je sais bien que la Lectrice à petits nichons est à deux doigts de s’agacer (je ne vous jette pas la pierre, Pierre), et je la comprends mais ne peux rien pour elle (enfin je rigole, mais je dis pas de mal, promis).]
Par ailleurs, le romantique de la bite voue un culte à ton cul, et lui rend hommage avec passion. Mais ton dos, tes hanches, ta bouche, donc grosso modo l’ensemble de ton corps, bas-morceaux et abats compris, sont autant de motifs de palper, caresser, étreindre, tout ça en s’en mettant plein les mirettes. Ah oui, parce qu’il ne faut pas escompter que tes complexes merdiques vont empêcher le romantique de se rincer l’oeil. Tu n’es plus de première fraîcheur (ou tu ne fais pas du 36 / tes cuisses t’évoquent un flan pâtissier / ton ventre n’est pas concave) et tu crains les spotlights ? Prends sur toi si tu y arrives : tu ne voudrais pas le priver, non ? De toute façon, il ne voit rien, il a la gaule (= cerveau vachement moins irrigué, les quelques gouttes de sang encore accrochées à son hémisphère gauche n’étant là que pour lui assurer une parfaite coordination motrice). Et puis mets-toi bien ça dans le crâne : quand cet homme-là te regarde, il te rend belle.
Le romantique de la bite n’est pas forcément un grand bavard. Ce n’est pas qu’il n’en veut qu’à ton cul, loin de là : ce que tu as dans le crâne l’intéresse également (dans le cas, évidemment, où tu aurais quelque chose dans le crâne) ! Mais il n’éprouve pas le besoin de mettre un mot sur chaque chose, et c’est dans l’intimité érotique qu’il va construire avec toi que tu décèleras les preuves tangibles de son attachement. A cet homme-là, tu finis par te donner totalement, sans jamais le regretter d’ailleurs. Et comme il ne considère pas tes faveurs comme acquises, il se trouvera bien veinard de faire du sexe avec toi. Si tu lui dis que c’est toi qui as de la chance, il s’en défendra avec conviction, pour finir par décréter avec le sourire que vous êtes tous deux exceptionnels et uniques (il a raison). Et au final, il se donnera également, en toute confiance, et se remettra entre tes mains avec une ferveur bien plus authentique que celle des déclarations enflammées.
Donc, le romantique de la bite te baise et te choie, ce qui peut être fatiguant (les orgasmes, comme ça, tout plein d’orgasmes en quelques heures, ça crève). Il voudra te requinquer, du coup, et cuisinera pour toi. Non, laisse, ça lui fait super plaisir. Et si après une partie de cul échevelée tu traînes au pieu comme une feignasse, il t’apportera un plateau chargé de clapiotes et te mettra un verre dans la main. Te lever en protestant ? N’y pense même pas, princesse : c’est pas plus cool de prendre l’apéro au pieu ? Euh, si, mais… Mais rien, te rétorquera-t-il. Profite, pendant qu’il prépare le repas.
Il sera également à l’écoute de tes moindres envies, dans le cas (plutôt rare) où il ne les aurait pas devancées : que tu souhaites, là tout de suite, un cunni, une petite levrette en vitesse, un long et tendre missionnaire avec galochage intensif ou encore un câlin la tête dans son cou et ses mains qui te frottent le dos, tu n’as qu’une phrase à prononcer et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, tu te retrouveras les cuisses autour de ses épaules / à quatre pattes / sur le dos / dans ses bras.
Il n’aura pas forcément l’idée de t’offrir des fleurs ni de te décorer de trucs brillants comme un sapin de Noël, mais si après une journée passer à cavaler tu lâches que tu as les jambes en compote, il s’abstiendra du vomitif « ôôôôô ma pauvre chérie », et optera pour l’efficacité. Il t’apportera donc à boire, des coussins pour caler confortablement tes reins, prendra en main les poteaux qui te servent de guiboles, et te les massera longuement en t’écoutant bavarder. Pendant plus d’une heure. Jusqu’à ce que tu sois parfaitement détendue.
Si tu passes la nuit entière avec le romantique de la bite, sache que tu seras éventuellement réveillée par un délicat massage. Massage qui se conclura par ton embrochage en règle, à moins que l’embrochage ne soit simultané, option très probable également, vu que le romantique de la bite est sexuellement multifonctions, comme un four à chaleur tournante. D’ailleur, c’EST un four à chaleur tournante. Ou alors, il te caressera avec une charmante inventivité, assortie de fervents pétrissages. Mais c’est toi qui vois en fait… Ce sont tes envies qui comptent avant tout… Et si ton envie du moment c’est juste un café bien sucré, c’est faisable aussi.
Le romantique de la bite est avare de mots sirupeux, et c’est bien. Comme il sait ce qu’aimer veut dire, il ne galvaudera pas dans n’importe quel oreille des phrases sucrées et vides de sens. Mais pendant qu’il te baise, il est entièrement là, présent, impliqué. Et quand il ne te baise pas, il est présent aussi : tu sais toujours où le trouver et seule une indisponibilité peut l’empêcher de t’accorder du temps. En cas de pépin, de moral en berne ou d’états d’âme (si tu as une âme, bien sûr, supposition audacieuse contredisant les doutes de Desproges à ce sujet), il est là, toujours. Attentionné et à l’écoute.
Le romantique de la bite est le genre de mec qui ne s’abandonne qu’une fois apprivoisé, sans pour autant faire son mystérieux ni sa pétasse. Et pour apprivoiser le bestiau, la paire de bas, le porte-jaja et le croupion joyeux ne suffiront pas, même si c’est une bonne base de discussion. Non, pour l’apprivoiser, ce qu’il faut, c’est de la simplicité et du temps. Le temps que l’intimité et la confiance s’installent. Le temps qu’il constate que ses sens et son flair lui envoient de très bons signaux, et que tu es exactement ce qu’il désire : une femme à la fesse chaleureuse, à l’esprit sain, et qui n’a précisément pas pour objectif de l’apprivoiser.
En gros, avec lui, tout est simple : tu peux lui faire confiance, et tu ne t’en prives pas. C’est comme si le sexe cimentait tout le reste. De son côté, il te fait confiance également, et t’affirme sans emphase que vraiment, tu le cernes bien. Comme ce n’est pas le genre de type à faire des déclarations d’intentions juste pour la beauté du geste, tu le crois.
Parfois, tu as de tendres échanges verbaux avec le romantique de la bite. Tu lui dis des mots doux, des phrases touchantes, comme « Ta queue, c’est une pure merveille », ou « Quand je pense à ta langue, la moquette de mon salon prend feu ». C’est beau comme du Ronsard.
Un jour, le romantique de la bite te dit tranquillement, en sirotant son café : « Personne ne m’a jamais baisé comme toi » . Bon Dieu de merde. Tu en es toute émue dis-donc, d’autant plus que tu sais que ce n’est pas ton ego qu’il vise. Il l’a juste dit parce qu’il le pense (sinon, il n’aurait rien dit).
Mais toujours est-il que là, tu sens bien que tu es en face d’un prince charmant, un vrai."
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Subspace & After Care
by Sue Rozen ( http://femdommag.com/?p=32 )
(pour un soucis de pratique dû à la traduction du neutre en anglais et pour ne pas répéter les termes au féminin puis au masculin,
je garderai le terme "Doms" (regroupant dominateurs et dominatrices) et "Sub" pour les soumis et soumises. J'utiliserai ensuite un masculin général mais ceci s'adresse autant aux femmes qu'aux hommes)
Pendant mes cours avec des doms nouveaux ou peu expérimentés, quand je mentionne le subspace la réponse que j'entends le plus souvent c'est "qu'est ce que c'est?"
Le Subspace et l'aftercare sont deux sujets dont certains sont complètement ignorant. Pour s'assurer que tout le monde soit heureux et en sécurité cependant, les Dommes ont besoin d'une connaissance active de ce qu'est le subspace, ce qui le provoque, comment identifier si un sub entre en subspace pendant la session et comment en repérer les signes.
Le D/s est universel dans le sens ou il ne concerne pas que le jeu de rôles, la jouissance, le plaisir, la joie, le contrôle et toutes les choses excitantes que nous faisons. Il concerne des personnes réelles, leurs envies et leurs besoins. Un Dom consciencieux saura qu'il est responsable du bien être de son sub. Une part de cette responsabilité implique de savoir ce qui peut arriver à son Sub quand il interagit avec lui. En tant que scientifique qui a personnellement l'expérience du D/s et le bénéfice de recherches en physiologie humaine et en biochimique, je vais essayer de partager des conseils tout en expliquant le côté scientifique de notre sujet.
D'abord, qu'est ce que le subspace?
Le subspace [littérallement traduit "état/espace de soumission"], aussi appelé le headspace, est le nom donné à un état mental et physique du sub lorsqu'il est profondément pris dans un jeu ou une scène. C'est un état second insaisissable et recherché qui est le saint Graal de beaucoup de subs. Certaines pratiques du BDSM provoquent des réponses physiques fortes. L'aspect physiologique du BDSM cause aussi à beaucoup de subs une séparation mentale entre eux et leur environnement quand il font l'expérience du subspace. Un subspace profond est souvent caractérisé par un état de récession profonde et d'incohérence.
Un Subspace profond peut éventuellement mettre en danger des subs inexpérimentés qui ne sont pas familier avec ses effets. Cet état requiers que le Dom soit particulièrement vigilant à ce que son sub ne se mette pas lui-même en danger.
Comment cela arrive-t-il? (Accrochez vous à vos sièges, c'est la partie scientifique)
Pendant la session, l'expérience intense de douleur et de plaisir déclenche une réaction du système nerveux, celle ci cause la libération d'adrénaline dans le corps du sub. D'autres substances sont alors libérées, comme les endorphines et enképhalines (qui sont des anti douleurs naturels), et ces agents naturels vont alors combattre le stress imposé à l'organisme et produire effet comparable à celui d'une prise de morphine.
Ces réactions chimiques de l'organisme ont cet effet sur le cerveau qu'ils accroissent sa résistance à la douleur, plus le jeu s'intensifie, plus cet effet s'approfondit. Sous l'influence ce ces réactions chimiques, le sujet entre alors dans un genre de transe. Le sub commence à se sentir détaché de son corps, de la réalité, comme s'il flottait ou planait. Beaucoup de sub, atteignant ce point, perdent la sensation de douleur et n'importe quel stimulus prolonge cet état. Une fois que le système nerveux parasympathique reviens en force pour contrer les effets du surplus des réactions sus-nommées, une profonde fatigue et une incohérence peuvent parfois se faire sentir. C'est à ce moment que la notion d'aftercare devient importante pour le bien-être du sub.
Ok, c'est très bien tout ça, mais qu'est ce que ça implique en réalité?
Les Subs qui tombent profondément dans le subspace peuvent souvent être incapacités dans leur communication. Ça veut dire qu'ils ne sont plus capable d'utiliser leur safeword ou safesignals quand les choses tournent mal! En fait ils ne seront même pas conscients que le choses tournent mal!
Cette capacité réduite ou absente à communiquer avec leur Dom, combiné avec le fait qu'ils sont moins ou plus capables de ressentir la douleur à cause du trop haut niveau d'endorphines présentes dans leurs corps, peuvent amener la scène à aller trop loin. Si par exemple, un Dom peu expérimenté doit gérer un sub qui est est tombé dans un subspace profond, et qu'il ne sait pas comment en reconnaitre les symptômes, ce Dom peut passer la limite de la résistance physique et aller trop loin en attendant sincèrement un safeword qui ne viendra pas parce que son sub est incapable de le lui donner.
Du coup qu'est ce que je cherche? Quels sont les signes que mon sub est parti en subspace?
C'est exactement comme le reste, ça varie d'un individue à l'autre. Le temps qu'il faut pour atteindre le subspace, le genre d'activité qui le déclenchent sont souvent spécifiques à chaque individu. Pour certainil faut de longues séances de stimulation physique, pour d'autres ce peut être simplement la voix de leur dom ou être touché qui les envoie dans cet état particulier.
Mais il y a quand même quelques signes révélateurs: Le soumis va devenir moins communicatif verbalement lorsqu'il entre dans une phase intense du subspace. Le Dom va certainement noter une difficulté à utiliser des mots pour communiquer ou décrire les ressentis, remplacé par des gémissements ou des grognements (qui sont, admettons le, difficile à interpréter). Il y a des changement de couleurs de peau, les yeux peuvent se révulser. Le corps peut devenir complètement amorphe (ce qui est étonnant car une stimulation physique devrait induire une tension des muscles en réaction logique d'une punition) En apprenant à connaitre son Sub, le Dom identifiera ses signes particuliers d'atteinte du subspace.
Le "trip" que provoque les endorphines mixées à l'adrénaline est souvent comparé par les subs à un "trip" induit par une drogue et peut être adictif. Exactement comme peut l'être la libération des mêmes hormones pendant la pratique d'un sport. Un sub peut supplier pour plus de stimulation physique pour se garder en subspace sans se rendre compte que cela peut finir en une véritable blessure. C'est là que le rôle revient au dominant de garder le contrôle de la situation, et d'organiser le "retour sur terre" de son sub.
Maintenant que je sais ce que je cherche, qu'est ce que je dois faire?
Il peut être très dangereux pour un sub d'être abandonné là à décrocher tout seul, sans être ramené en sécurité dans sa "redescente".
Un Dom qui n'aurait pas conscience des effets physiques et mentaux du subspace sur son sub pourrait juste se lever et s'en aller, avec la possibilité que son soumis soit toujours en subspace. Ce n'est pas suffisant de juste défaire les liens et de s'en aller. C'est la responsabilité du Dom de prendre le temps d'accompagner son sub dans son retour à la réalité, graduellement, en réduisant les stimulations, en lui parlant pour le faire revenir à lui, de lui donner l'affection et de le rassurer, de lui dire qu'il a fait du bon travail et de lui donner beaucoup de contact physique pour l'accompagner, par exemple.
L'épuisement accompagne souvent le sub dans sa redescente du subspace. Donc le Dom peut avoir prévu un environnement sécurisé où le sub puisse dormir et récupérer des forces. Laisser un sub dans un état de subspace, où il est grisé et peut se sentir en dehors de son corps, peut être dangereux. Imaginez un sub, toujours en subspace, essayer de rentrer chez lui en voiture. Les subs n'ont pas la concentration et les capacités nécessaires pour des taches complexes lorsqu'ils sont en subspace, et en ne les rattachant pas à la réalité avant de les laisser partir, le Dom peut mettre son soumis en danger.
Maintenant vous vous dîtes "Bien, je n’interagis qu'avec des subs en ligne, je n'ai pas besoin de m'inquiéter pour ça"
Ce n'est pas nécessairement vrai. Les subs en cyber-relations entre en subspace juste aussi facilement et complètement que dans les situations réelles. Et en tant que Dom dans une cyber-relation D/s ne peuvent pas souvent voir leur sub ils doivent s'appuyer sur d'autres méthodes pour determiner si le sub est revenu après la session. Dans ce cas, la voix est encore les meilleur moyen disponible pour le Dom -il doit bien connaitre les intonations de voix de son sub et la manière dont elles changent quand il est en subspace donc il peut définir quand le sub est revenu à lui. Quand la scene se réduit uniquement à du texte, la communication pendant la scène et après la scène, pendant l'aftercare, entre le sub et le Dom est toute aussi critique pour le bien-être du sub.
Bon j'ai compris.... Mais c'est quoi le Subdrop?
Même après le meilleur des aftercare, il y a des effets résiduels de l'expérience du subspace qui peuvent rester présent chez le sub. Le phénomène de "subdrop" est le nom donné aux épisodes qui surviennent dans les heures voir les jours qui suivent une session de BDSM intense. Le terme "Subdrop" est généralement utilisé pour les effets "negatif" ou l'état dépressif qu'un sub peut vivre après la scène. Les causes peuvent être multiples mais cela peut être causé par les endorphines et de l'adrénaline qui quittent le corps. Pour ceux qui ont été élevés dans un milieu très traditionnel il peut en résulter que ces "drops" soit associé avec un sentiment de culpabilité ou de honte.
Le subdrop peut se manifester de bien des manières -larmes, peurs irrationnelles exprimées par le sub, il peut se sentir triste, ou seul dans les heures ou les jours qui suivent la séparation d'avec le dom. Le subdrop peut être comparé à un état de choc en quelque sorte et le traitement est le même. Le dominant devrait fournir un espace pour son sub où il puisse exprimer ses sentiments et recevoir son attention. (après tout le dom est en partie responsable de son état). Le Dom devrait également chercher les signes de détresse et essayer de comprendre ce dont son sub a besoin- sachant que ce peut être très différent selon le sub.
Le point important dans l'aftercare, c'est de faire en sorte que le sub se sente accepté, désiré, sain, sauf et à l'aise. Avec une application systématique, un bon aftercare aidera les liens entre un sub et son Dom , et aidera la relation à s'épanouir et à atteindre des somments, puisque le sub saura que son dom n'a que son intérêt en tête, comprends ce qui lui arrive et soulagera les situations négatives qui pourraient se développer.
Un Dom bon et attentionné aura toujours le soin de son sub comme soucis principal. Mais surtout faîtes cous plaisir, c'est le point essentiel du D/s -mais ne faîtes pas que prendre sans donner en retour. L'expérience du D/s devrait être gratifiant et plaisant pour à la fois le Dom et le Sub. Les Doms et les subs se complètent et cet équilibre ne peut pas être ignoré ou oublié. Le BDSM est tou à propos de confiance mutuelle et de compréhension, et les deux paries se chargent de comprendre l'autre, dans ce cas beaucoup de responsabilités pèsent sur le Dom d'apporter le contrôle et la cohérence que le sub désire tellement dans sa vie. Le sub n'est cependant pas exempt de toute responsabilité en relation avec le subdrop et l'aftercare, le sub doit communiquer ses besoins et ses sentiments au Dom ouvertement et honnêtement pour donner au dominant l'occasion d'y répondre.
En prodiguant un aftercare satisfaisant, le sub saura que son dom lui procure un environnement sécurisant qui lui permettent de discuter sans peur et avec honnêteté. Un Dom qui comprends le subspace - ses frissons comme ses écueils- peut tirer le meilleur de son Sib et donc le meilleur de l'expérience pour lui-même et tout le monde est gagnant.
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Cette nouvelle, écrite en hommage à Lovecraft (pour le thème et la trame) et Edgar Poe (pour l'ambiance et le style), a été publiée dans mon recueil de nouvelles "Le Monde de Juyen" paru en 2010 ( https://www.amazon.fr/monde-Juyen-autres-nouvelles-étranges/dp/2918566039/ref=sr_1_5?s=books&ie=UTF8&qid=1474035944&sr=1-5&keywords=filo+filosphere )
D'abord, la fraîcheur humide, et le silence.
Un silence étrange, anormal. Un silence impossible, surnaturel, oppressant.
Juste la respiration, de l'intérieur, et ce rythme lancinant, une sourde percussion.
Il ouvre les yeux, et ne voit rien.
Le noir total.
Sourd et aveugle ?
Un sourd entend-il sa respiration ? Un aveugle voit-il du noir ?
La panique l'envahit insidieusement, le rythme s'accélère, on dirait quelqu'un qui marche lourdement dans des feuilles.
Il comprend qu'il s'agit du sang qui circule dans ses artères, pompé par son coeur de plus en plus vite.
Il a du mal à respirer.
Il faut que je me calme, se dit-il.
Il essaye de bouger, mais son corps a du mal à répondre. Ses doigts puis ses mains finissent laborieusement par frémir, s'animer. Il les lève, se touche le visage, sent une barbe de plusieurs jours, explore plus bas le cou puis la poitrine : il porte un costume étrangement coupé avec une lavallière au cou.
Allongé sur le dos, il étend un peu plus ses bras et heurte quelque chose de dur. Le choc produit un bruit mat qu'il entend parfaitement. Ses oreilles fonctionnent donc.
Il agite ses pieds peu à peu. La panique monte encore d'un cran lorsqu'il s'aperçoit qu'il est dans une sorte de boîte fermée. Impossible de se lever.
Comment a-t-il pu arriver ici ? Et d'abord où est-il ? Que s'est-il passé ?
Il a beau sonder ses souvenirs, rien ne vient.
Quelle est la dernière chose dont il se souvient ?
Enfant sur un grand amandier.
Il avait grimpé aux plus hautes branches pour cueillir les dernières amandes.
Il entendit comme un cri horrible ou un ricanement inhumain derrière lui.
En se retournant il fut figé d'effroi par la vision de ce corbeau immense qui fondait sur lui. Son envergure était exceptionnelle, son plumage plus noir que la nuit, sa tête s'inclinait sur le côté pour le fixer d'un oeil terrible, comme une perle de soufre.
Il l'attaquait et, plus par terreur et instinct de survie que par habileté stratégique, il se laissa tomber au bas de l'arbre où l'herbe amortit sa chute, puis il courut, courut... sans se retourner.
Son émoi est tel qu'il revit ce souvenir d'enfance pleinement, plus intensément encore qu'un rêve, au point de douter de la réalité de sa position oppressante.
Est-il l'enfant qui court, qui ne s'arrête plus, ou bien l'homme adulte enfermé étroitement dans le noir ?
Dans les deux cas la peur et l'essoufflement sont les mêmes.
Je dois absolument me calmer se répète-t-il, je n'ai pas assez d'air pour me permettre une panique.
Aucun autre souvenir ne lui vient en aide. Pas moyen de se rappeler les derniers jours, ni aucun autre, ni d'où il vient, ni sa vie entière.
Il ignore jusqu'à son nom.
Le manque d'air l'incite à se reprendre.
Méthodiquement, il sonde son étroite prison en tapant sur toute la surface de chacune des parois capitonnées.
La forme caractéristique de la boîte confirme son horrible doute: un cercueil.
Pas besoin de résister encore à l'évidence: on le croit mort et il se trouve dans sa tombe.
Enfin, il hurle.
***
Si on demande à n'importe qui comment il est possible de sortir de sa tombe, la réponse la plus commune risque de ressembler au cliché créé par le cinéma de zombies: aller vers la surface en creusant et émerger de la terre la main tendue.
Mais dans son opération de sondage du cercueil, c'est le fond qui a capté toute son attention. Au niveau de ses épaules et de sa tête, le fond sonne incontestablement creux.
Il se contorsionne tant bien que mal et arrache le capitonnage. Une chance, il est mal collé, la personne qui a payé les funérailles a dû prendre le premier prix, ce qui est une bonne chose pour la suite, à savoir les planches.
Il détecte facilement les clous et cherche un moyen de les démettre. Il trouve la solution dans sa boucle de ceinture dont les arêtes sont suffisamment fines et solides.
Patiemment il arrive à extraire ou casser les quatre clous fixant le fond du côté de sa tête, ce qui lui coûte trente précieuses minutes et une bonne partie de sa réserve d'air et donc d'énergie.
Encore autant de temps d'effort et les quatre planches qui constituaient le plancher du cercueil sont soulevées et arrachées, révélant une terre fraîche, humide, odorante et extrêmement meuble.
Il comprend la raison pour laquelle le fond sonnait creux: un réseau de galeries a été fraîchement creusé juste à cet endroit par un animal fouisseur, probablement une taupe.
Bénie soit cette taupe ! se dit-il.
Bien que l'espoir de creuser jusqu'à l'air libre avant d'étouffer se présente assez mince, il décide de s'y atteler patiemment, s'aidant d'un morceau de planche en guise de pelle. D'abord horizontalement pour contourner sa tombe.
Il rejette la terre dans le fond du cercueil, et finit par se retrouver entièrement à l'extérieur en dessous de celui-ci, cerné de terre. Il enlève ses chaussettes et s'en sert pour se protéger les voies respiratoires.
En voulant creuser horizontalement, il dévie sans le vouloir vers le bas, sans doute entraîné par son propre poids qui écrase la terre meuble à mesure qu'il progresse. Il comprend alors que cette terre est mêlé de sable (proximité de l'eau ? ).
Un autre réseau de galeries apparaît en dessous, ce qui le fait descendre encore plus bas.
Après une heure étouffante d'efforts supplémentaires, il sent que l'effet de gravité s'accentue fortement: à chacune de ses avancées il s'enfonce plus profondément loin de la surface.
Je suis perdu.
Soudain son coude s'enfonce jusqu'au poignet, la terre cède sous son genou, il n'a plus besoin de l'expulser derrière lui, elle s'écroule sur elle-même.
Il creuse encore, mais sciemment vers le bas cette fois, puisque la terre va bien quelque part. Bientôt ses jambes s'enfoncent, son poids l'entraîne jusqu'à quelques chose de dur, un réseau de racines, en dessous desquelles il sent enfin de l'air frais !
Il est désormais debout sur un filet de racines entre lesquelles le sable continue de s'écrouler à mesure qu'il s'agite. Il entend alors le bruit lointain d'un écoulement d'eau qui lui arrive en même temps que l'air.
Ce n'est que lorsqu'il peut enfin respirer qu'il s'aperçoit combien il ne le pouvait plus juste avant. Son instinct et sa pugnacité l'ont donc récompensé, pour le moment.
Il s'agit à présent de savoir où il se trouve. Doit-il détruire les racines qui le soutiennent pour passer ?
Il n'y voit toujours rien, mais à l'oreille il comprend que coule une rivière souterraine dans une sorte de caverne.
Voie de salut, ou mince répit ?
***
"J'ai gagné! il se réveille, regardez !"
Le gros Luis claque des mains et hurle à l'adresse des autres pêcheurs rassemblés sur le pont.
Ils forment un cercle autour du noyé qu'ils ont repêché un quart d'heure plus tôt et qui se met à présent péniblement à quatre pattes pour vomir de l'eau salée.
Il a de la peine à rassembler ses esprits, il ne se souvient de rien, à part la terre dans le noir, cette impression d'étouffement humide... et l'enfant qui court éperdument, fou de peur, fuyant les ricanements grinçants d'un corbeau de cauchemar.
"Que s'est-il passé ?
- Ha ça on peut pas vous l'dire, M'sieur, répond un barbu qui a l'air d'être le capitaine, tout ce qu'on sait c'est qu'on vous a trouvé en train de flotter entre deux eaux à un mille de la côte, et que vous nous devez une fière chandelle, m'est avis... il s'en est fallu de peu pour qu'on vous repêche trop tard. D'ailleurs c'est ce que je croyais quand mes gars vous ont déposé à bord.
Le gros Luis jubilait :
- Moi aussi je vous dois une fière chandelle, j'avais parié à dix contre un que vous vous en sortiriez !"
Réprimant une dernière nausée, il se redresse et hume l'air iodé. Les pêcheurs s'activent sur une poulie à remonter un immense filet. Ils crient, ils peinent et grimacent.
La vie éclatante est en marche, et cette certitude lui donne un dernier frisson de soulagement, et ce qui ressemble à de la reconnaissance, sans la certitude de sa destination.
L'odeur de poisson est forte, au gré des rafales d'un vent léger, quelques embruns se soulèvent et distillent cette magie propre à la mer, qu'il connaît pourtant. Il en est sûr.
Il est vivant !
Il lève la tête et contemple le ciel, et cela semble lui caresser l'âme.
"Que c'est beau le ciel !
- Qu'est-ce que vous dites ?
- Rien. Quelles sont ces côtes, là-bas ?
- La baie d'Innsmouth, et au sud Kingsport.
- Cela ne me dit rien... mais dans quel pays ?
- La Nouvelle Angleterre, entre New York et Boston. Vous êtes pas d'ici alors, mais d'où vous sortez ?
- Ces noms me disent pourtant quelque chose, mais...
- Hé, pourtant il porte une des tenues folkloriques de la région, intervient un gringalet qui vient de donner des billets au gros Luis.
- Justement, dit un autre, y'a qu'un étranger, moi j'dis, pour s'amuser à les mettre (il éclate de rire).
- Ou un mort, dit sans sourire le plus vieux du groupe.
- Un mort ? Comment ça un mort ? Dites-moi !
- A Kingsport et alentour, les gens ne revêtent cette tenue qu'à deux occasions : une fête locale, le Festival, et à leur mort : ils sont vêtus ainsi avant d'être enterrés.
- Ou des étrangers qui espèrent participer au Festival alors qu'ils y comprennent rien, dit le gringalet.
- Vous dites à Kingsport ? Intéressant."
***
Débarqué pas loin de Kingsport par les pêcheurs qui lui ont généreusement offert un repas et des vêtements trop petits et élimés mais plus sobres, il quitte maintenant un chemin caillouteux et atteint la route qui relie Kingsport à la grande ville de la région, Arkham.
D'après ce qu'on lui a dit, Kingsport est à deux heures à pied et Arkham à une heure, il opte pourtant pour la première solution en raison de cette histoire de vêtements funéraires, et tourne à gauche.
Cette marche ne lui fait pas peur, d'une part parce qu'il a la motivation impérieuse de comprendre, de se souvenir, d'être reconnu, mais aussi parce qu'il prend un grand plaisir à arpenter librement cette terre-ferme sous laquelle il a failli périr étouffé.
A sa gauche, les mouettes ponctuent de leur cris la rumeur de la mer. Le vent souffle de plus belle et emporte parfois ces sons qu'il connaît parfaitement.
Je suis sûr de connaître la mer et la navigation, je sais que ces oiseaux s'appellent des mouettes, et pourtant j'ignore tout de moi, sauf...
Un groupe de corbeaux s'envole lourdement des champs de maïs qui bordent la route du côté droit, dérangés par le bruit tonitruant d'une voiture grise et poussiéreuse dont le pot d'échappement mériterait un sérieux colmatage et qui le croise en pétaradant.
Oiseaux de malheur!
L'enfant court toujours dans sa tête. Pourquoi ce souvenir précis et pas d'autres ?
Il réalise alors que c'est la première auto qu'il voit circuler sur la route depuis un quart d'heure de marche. La chaussée est en mauvais état et il suppose que c'est une route secondaire, où les véhicules sont obligés de rouler à faible vitesse.
Pourtant, une seconde voiture approche au lointain, il distingue peu à peu qu'elle est noire et décapotable. Puis il commence à distinguer les détails: un homme est au volant, il porte des lunettes noires, et une femme aux longs cheveux blonds tirés en arrière par le vent est assise à côté.
Et là se produit un phénomène étrange.
En le croisant, en le voyant, la femme change d'expression. Elle écarquille les yeux et grimace exactement comme si elle voyait un fantôme, il suppose aussitôt qu'elle le connaît et le croyait mort et enterré.
La voiture passe, puis ralentit au bout de trente mètres, puis repart vers Arkham.
Il s'arrête et fixe le véhicule noir jusqu'à ce qu'il disparaisse dans un virage. Il a le temps d'apercevoir un autocollant à l'arrière, représentant une sorte de tête de lion avec l'inscription "C.L Arkham".
Il reste planté là, sur le bord de la route, son coeur a accéléré ses battements.
Les corbeaux reviennent s'installer dans le champ de maïs, comme un mauvais présage.
Ce couple devait me connaître. La femme en tout cas. Et ils allaient à Arkham...
Je dois la retrouver.
Une énergie nouvelle lui fait reprendre la route, dans l'autre sens.
***
(à suivre)
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Monsieur derrière moi, se lève et commence à débarrasser nos assiettes.
Bravant la douleur de mes fesses endolories, je me lève à sa suite et prend dans mes mains les restes de notre repas. Nos regards se croisent dans un silence. Son visage est sérieux et figé, je lui souris pour tenter d'obtenir son sourire en réponse.
Ai-je fait une bêtise de me lever sans son autorisation? un torrent de doutes m’envahit et j'en rougis.
Il se retourne et se dirige dans la cuisine. Je reste là sans savoir quoi faire. Tous les convives m'observent dans l'attente de ma réaction. Voyant mon embarras, Madame M m'ordonne.
- Et bien ne reste pas là sans bouger maintenant que tu es debout, ramène tout dans la cuisine.
- Oui Madame, vous avez raison.
A petit pas je m'élance dans la cuisine. Il est là en train de ranger. Ses gestes sont brutaux, il fait du bruit en claquant les portes de placard sans ménagement. Il est nerveux. Il évite clairement de me regarder. Je m'active à mon tour sans un mot.
Alors que je lui tourne le dos, Je sens sa main saisir la mienne brusquement. La vivacité et la force de sa prise me laisse à peine le temps de me retourner qu'il m'entraine déjà hors de la cuisine.
- Viens, suis moi, me lance t'il dans un souffle à peine contenu
Nous passons vivement devant nos convives, dont les regards d'étonnement nous suivent dans notre précipitation.
Nous montons les marches de l'escalier à toute volée. J'essaie de ne pas tomber. Sa main tenant la mienne si fermement que j'ai l'impression qu'il peut m'arracher le bras.
La porte de la chambre, devant le lit, soudain il se fige et je trébuche. Je me retrouve à genou à ses pieds haletante de cette course en avant.
Je lève les yeux, vers son visage et j'y découvre enfin son sourire. Sa tension, son envie, son excitation il ne peut plus les contenir, tout son être me dit son intention. Je lui répond par mes gestes, en silence.
Je m'incline et lui retire ses chaussures. Mes mains défont sa ceinture et son pantalon ne tarde pas à tomber. Je libère son sexe tendu et dresser de plaisir trop longtemps contenu.
Je le caresse, mes yeux se tournent vers lui pour avoir son approbation.
Son sourire encore et ses mots qui me donnent son ordre.
- Vas-y, donnes-moi tout ton corps, appartiens-moi.
Et dans un mouvement de douceur ma bouche avale son sexe brulant de désir. Ses mains se glissent dans ma chevelure pour m'imposer le rythme qui lui convient. Son râle et ses soupirs me confirment l'urgence de son plaisirs enfin libéré. Mes sens sont en éveil, pour ressentir tout son être, ses mouvements, la puissance de ses mains qui s'apaise au fur et à mesure de la satisfaction de son désir. Je goute à son sexe avec délectation, ma bouche est son écrin.
- Merci, ma petite chienne soumise.
Il se retire et me relève. Ses yeux me transpercent, sa bouche vient prendre la mienne et nos langues se cherchent dans une danse d'amour et de complicité, de désir sexuel violent et immédiat.
Ma tête bascule en arrière dans un mouvement impérieux imposé par sa poigne dans mes cheveux malmenés. De son autre main, il vient caresser mon entrejambe et l'humidité qu'il y trouve réactive son désir fougueux. Ses doigts humides entrent dans ma bouche et ma langue gourmande se met à lécher cette substance intime et personnelle preuve indiscutable de mon propre désir.
- Lèche, lèche, ma petite chienne, tu es mienne, je te veux maintenant.
Il me pousse en arrière et je me retrouve sur le lit. Sa chemise vole à travers la pièce et sans plus de cérémonie, il entre en moi.
Son corps puissant et musclé impose sur moi toute la nature d'un mâle dominant sûr de son pouvoir et de son bon droit. Mes mains courent sur son dos larges et ses épaules si solides. Mes jambes autour de ses hanches viennent l'encercler comme pour ne plus jamais le lâcher. Ses coups de boutoir au fond de mes entrailles m'arrachent des gémissements et des cris que je ne peux retenir. Nous sommes deux corps en un, dans le plaisir brutal et bestial. Le monde autour n'existe plus. je ne retiens plus mon plaisir. La jouissance monte d'entre mes cuisses. Son rythme ralenti. Il s'est redressé, quittant mon emprise. Un coup, puis un autre au plus profond de mon être, pour toucher la cible de notre jouissance. Il s'arrête, se retire.
Il me laisse là allongée sur le lit et sans rien dire, il ramasse ses affaires et quitte la chambre.
Je me retrouve abandonnée sur le lit, sans comprendre.
Décidée à ne pas le décevoir, cette fois-ci, je ne bouge pas et j'attends, de cette attente pleine de fantasmes et de rêveries, d'envies et de questions...
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Lettre à ma future soumise,
Je suis sur ce site pour y trouver une soumise. J’en ai trouvées quelques unes, rencontrées quelques unes, mais le processus de sélection n’est pas encore terminé et je n’ai pas encore MA soumise.
Je voudrais m’adresser à toutes les candidates et leur raconteur un souvenir : ma première fois. La première expérience BDSM, lors de laquelle j’ai découvert que j’étais un home dominant. Alors que je ne m’en doutais absolument pas.
J’espère que j’aurai beaucoup de retours pour cet article.
Un soir, il y a des années, au moins 15 ans, dans une soirée libertine chez des amis, j'ai flashé sur une femme qui était là. Je l'ai draguée et elle a consenti à se faire baiser par moi. On s'est isolés dans une pièce. Je voulais la baiser seul. C'était une femme pas belle mais qui m'attirait beaucoup, avec des gros seins, vraiment ce qu'on appelle des seins lourds. Tout son physique était lourd, lourdes cuisses, lourdes fesses. Pas une beauté mais je la désirais violemment. Je l'ai caressée, puis pénétrée en levrette. Elle était plutôt du genre passive. Elle mouillait, acceptait d'être pénétrée mais n'avait pas l'air très excitée. Elle ne disait rien. C'était une femme silencieuse. Ca aussi, ce côté animal me plaisait. Tout en la limant, je lui ai donné des claques sur les fesses pour la réveiller un peu. Parce que je trouvais qu'elle dormait. D'un seul coup ça l'a réveillée en effet. Elle m'a dit (elle parlait mal le français) ouiiii, j'aime ça. Plus fort! Plus fort! J'ai giflé son fessier plus fort, très fort même. Elle semblait reprendre vie. Elle en voulait toujours plus. Moi, je n'avais aucune expérience du BDSM, ni savoir faire. Je me contentais de lui donner la fessée avec les mains, tout en la pénétrant. Visiblement elle restait sur sa faim. Elle me disait: tape moi, tape moi, plus fort, plus fort, plus fort. Elle me suppliait vraiment. Je faisais de mon mieux mais je ne savais pas comment la satisfaire, n'ayant ni fouet ni cravache ni rien de ce genre. Finalement j'ai vu une sorte de bouquet de fleurs artificielles très moches qui étaient là. Ca n'était pas un appartement de luxe avec du mobilier classe. C'étaient des grands tournesols en plastique, dont les tiges avaient un plus d'un mètre de long, en plastique également avec à l'intérieur une tige en métal, le genre de faux tournesols à 5 francs pièces sans doute achetés au garden center du coin. Ca pouvait servir de cravache, faute de mieux. Bon, je commence à lui cravacher les fesses, ses grosses fesses tellement bandantes, avec cette tige, mais j'avais peur de la blesser car c'était vraiment un instrument cinglant, contondant, avec en plus les fausses feuillolles en plastique vert qui devaient faire encore plus mal. Si j'y allais trop fort elle allait être blessée, peut-être saigner. Donc je tapais, mais doucement, en prenant soin de ne pas lui faire trop mal. Elle gémissait, elle me suppliait, d'une manière toujours plus lamentable: Plus fort, plus fort, plus fort. Moi je me retenais toujours parce que je me disais que ça allait mal finir. A la fin elle a tellement supplié, gémi, que d'un seul coup ça m'a pris et je me suis mis à la fouetter sans aucun égard. Vlan, vlan, vlan. Ca devait lui faire un mal de chien. Mais là, moi j'avais franchi un seuil. Je n'étais plus le garçon gentil, poli, civilisé que je suis normalement. J'étais devenu une vraie bête fauve et n'avais plus aucune inhibition. Donc je la fouettais comme un sourd avec cette affreuse tige cruelle. Pire qu'un nerf de boeuf. Et pendant ce temps je continuais à la limer et j'étais de plus en plus excité, je bandais comme un taureau et moi aussi je prenais mon pied. Elle a commencé à crier, mais c'était de jouissance. Elle a joui avec une violence incroyable, en beuglant. Et son vagin se contractait d'une manière terrible. C'était excitant à un point... Je ne vous dis pas. Je sens encore les spasmes de son vagin. Je pense que c'est une de mes expériences de baise et de jouissance les plus intenses de toute ma vie. Peut-être la plus intense. Elle a joui comme ça longuement, moi aussi. Plusieurs fois. Ca la reprenait, elle suppliait à nouveau d'être fouettée. Là je n'hésitais plus. Je lui donnais ce qu'elle voulait, sans ménagement. Et elle jouissait de nouveau, et moi aussi, etc., etc.
Bon, je ne sais pas ce que les lecteurs vont penser de ce récit. Mais moi je dois avouer que cet épisode m'a excité à un point indescriptible. Je pense que c'est à moment là que j'ai pris conscience de mon caractère de dominant, dont je n'étais absolument pas conscient auparavant.
Quand je dis que je suis un dominant, ça ne veut pas dire que j'éprouve le besoin de laisser pour morte toute partenaire sexuelle après lui avoir asséné des coups de fouet ou de cravache à assommer un boeuf. Ca veut juste dire que je sais que la relation dominant dominé me donne une satisfaction intense. Je précise aussi, pour rassurer les soumises potentielles, que je suis incapable de faire subir des abus de ce genre à quiconque, sauf si c'est la personne elle-même qui me le demande. D'autre part, je suis encore quelqu'un de gentil, poli, courtois, même assez réservé, bien élevé, même plutôt doux. Mais cette histoire m'a changé en me révélant à moi-même une part de ma personnalité inconnue, et probablement, ça ne se voit pas de l'extérieur que je suis comme ça.
Je n'ai plus jamais revu cette femme et je l'ai amèrement regretté. J'aurais tant désiré une relation SM durable. Mais elle n'habitait pas la Suisse. Elle est repartie le lendemain et je ne l'ai plus jamais revue.
J'ai eu quand-même le temps de bavarder un moment avec elle après l'amour, alors que tous les deux nous récupérions de nos orgasmes à répétition. J'ai compris que son père la battait comme plâtre quand elle était petite fille. Son mari la battait. Elle avait un blocage émotionnel, impossible de s'épanouir en tant que femme, impossible de jouir sans être battue très violemment.
Pendant très longtemps j'ai cherché une soumise sexuelle maso hard comme cette femme. Elle m’a beaucoup manqué. J’aurais voulu avoir avec elle une relation de longue durée. J’étais très frustré de son absence. Je voulais une maso grave comme elle. J’en ai rencontrées quelques unes, mais qui n’étaient pas comme elle. J’ai en revanche rencontré d’autres femmes soumises, certaines masos et d’autre pas. Je suis devenu ce qu’on appelle un “maître expérimenté”.
Avec le temps j’ai beaucoup appris et compris que chaque femme, et donc chaque femme soumise est différente. Il faut savoir tirer le meilleur de chacune.
Au cours de ces diverses rencontres avec des soumises de toutes sortes, j'ai un peu mis de l’eau dans mon vin. Je m'adapte au désir de l'autre, comme j'espère que l'autre va s'adapter à mon désir à moi. Mais ce que je recherche c’est quand même la femme maso qui veut être cravachée comme une jument, battue, rabaissée, traitée plus bas que terre comme une catin, et qui a besoin de ça pour son plaisir. Elle ressent ça comme le summum de l’attention qu’on puisse donner à une femme, et elle en a besoin.
C'est ce que je voulais dire. Je cherche une servante sexuelle et je désire qu'elle me server.
C'est ça qui est si grisant. C'est ce qui m'enivre comme du champagne. A un moment donné je demanderai à ma soumise de me donner le même genre d'amour que cette femme aux gros seins. Si je sens que ça ne lui convient pas, je n'irai pas plus loin. Mais entre nous, la soumise et moi, tout pourra être tenté, en toute confiance. C'est ça qui compte.
Est-ce qu'on est bien d'accord ?
Ton Maître si tu veux
P. S. J'espère que ce récit suscitera des vocations et que je recevrai beucoup de lettres
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Depuis quelques années, je constate avec grande circonspection la montée de cette mode du développement personnel où tout est galvaudé à qui mieux-mieux, pour le plus grand plaisir de quelques charlatans sachant bien cibler et attirer les gogos crédules.
J'ai un bon nombre de connaissances dans mon entourage qui se proclament pseudo-thérapeutes ou qui proposent d'on ne sait où des ateliers ou stages de yoga de ceci-cela ou "découverte du soi sacré", etc... et ça marche !
Certains m'ont convaincu en 2010 de m'inscrire à un forum, ou plutôt un petit réseau social de gens "cools" détenteurs d'une "zénitude" positive...
J'y suis allé, mais j’ai vite constaté qu’on y trouvait tout et n’importe quoi, notamment des ateliers proposés par des inititateurs autoproclamés, payants bien sûr, et souvent les repas non-fournis, ni le couchage (camping), bref tout bénef pour l’organisateur.
En voici un exemple (copié/collé, je n’ai rien modifié) :
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ÉVEIL DE L’ÊTRE
L’ÊTRE SACRÉ...
Rassemblement
8-14 AOÛT
Le Sacré...
Accepter, accueillir, respecter... Tout sur Terre ;
Honorer le Vivant ;
Célébrer chaque instant.
Le Sacré se regarde, se respire, s'écoute, se touche,
se goûte, se partage, se parle, se vit consciemment.
Le Sacré EST LE TOUT : Ciel et Terre réunis.
« Il est temps que le rassemblement des Êtres ait lieu sur la Terre.
Ensemble, acceptez votre rôle, vivez et pratiquez le Sacré dans votre quotidien. »
Pierre ****
Invitation à s'incarner pleinement ;
Invitation à la réalisation, à la concrétisation ;
Invitation à savourer la Vie
Invitation à Vivre le Sacré...
Lieu du stage
Domaine des *****
(15 mn d'Orléans)
Stage
Prix exceptionnel 300€ (collations non comprises)
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Deuxième exemple :
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Week- end d’exploration corporelle de notre être intérieur……….
pour les hommes comme pour les femmes...
Je suis un Homme, je désire aller vers plus d’intériorité, oser des instants de vulnérabilité, en déposant le masque de l’homme tout puissant pour mieux vitaliser mon énergie de vie.
Je suis une Femme, je désire relier mon intériorité à mon expression créatrice pour danser en pleine lumière ma vie de femme.
OBJECTIFS :
Prendre conscience de sa dualité féminin –masculin, les mettre en relation, pour vivre l’HARMONIE & l’EQUILIBRE de leur UNION
Apprendre à déplacer nos rôles figés d’homme et de femme
Sentir la diversité et la richesse de notre nature en parcourant ses forces opposées
Explorer la rencontre et l’union de ses forces dans la nature environnante
Les outils mis en place :
Marche consciente
Pratique corporelle d’intérieur et d’extérieur
Souffle de l’arbre
Mise en situation d’éveil sensoriel
Programme :
Vendredi 13 août :
-accueil au **** entre 18H et 19H : rencontre et mise en place de la synergie du groupe,
Samedi 14 et dimanche 15 août: ateliers de 10H à 17H30 avec pause pique-nique
Dimanche : fin du week-end à 18H.
Renseignements pratiques :
Le prix de notre week-end de ressourcement (150 €) comprend :
Les ateliers de Isabelle ***** soit 100€ pour les deux jours,
La pension complète (petit déjeuner, repas pique-nique et repas du soir) soit 49€ pour les deux jours,
Ne comprend pas :
Le logement :
En camping : 12€ par personne pour les deux nuits,
En dortoir de 12 personnes : 22€ par personne pour les deux nuits,
En dortoir de 6 personnes : 31€ par personne pour les deux nuits,
En chambre double : 34€ par personne pour les deux nuits,
Le transport : co-voiturage organisé en fonction des inscriptions.
Matériel nécessaire :
Chaussures souples, tenue décontractée, sac à dos, gourde.
Conditions :
Nombre de participants limité à 12 personnes. Inscription avant le 15 juillet. Bulletin à remplir ici :
Participation garantie dès réception de l’acompte de 80€ sur le compte de *****
__________________________
J’avais commenté cette dernière annonce ainsi :
Je suis en train de me demander si je ne vais pas organiser un stage de jeûne et méditation en pleine nature. "Rencontrez votre être intérieur sacré par le jeûne et la méditation"
150 € par personne me paraîtrait honnête, et ça ne me coûterait rien en bouffe (hé hé), ni en hébergement. Juste avoir l'air un peu "gentil" et béat pendant un week-end, et me retenir de ne pas me foutre des gogos présents, je pense y arriver.
Je me tâte...
[je me tâte tellement, que je me demande si je ne vais pas proposer aussi un atelier de tâtonnements (sacrés, bien sûr), 50€/h]
Je suis aussi intervenu dans quelques débats, j’ai posté un coup de gueule, sur l’abus qui est fait des termes "yoga" par exemple (le rire, le son, la voix, ...et on peut en inventer encore plein, le mot "yoga" se chargera toujours apparemment de séduire un certain public). j'étais même intervenu avec humour sur une annonce de "yoga du rire", pour proposer d'inventer le "yoga du vélo", le "yoga de la cuisine", du massage, et autres yogâteries diverses et variées.
Je me suis fait modérer et tous mes posts et coms ont été supprimés.
Pourtant je proposais également des références utiles pour comprendre ce qu'est réellement le yoga, le vrai, tel que défini par la Bhagavad Gita, et qui est en premier lieu une voie de dévotion aux dieux hindous (Bhakti yoga).
Ce n'était pas un commentaire méchant ; sur le ton de l'humour, j'invitais à réaliser ce qu'est le vrai yoga, et à quel point l'utilisation de ce terme est fausse, galvaudée, et limite insultante à la BV.
Ainsi que d'autres termes à la mode, dont les utilisations interchangeables dans différents "ateliers" porteraient à rire si ce n'était pas aussi pathétique (et commercial, car n'oublions pas que ces soi-disant ateliers sont pour la plupart payants) ; des termes comme "sacré", "karma", "énergies", "être intérieur", "shamanisme", "méditation", "shakra", "ressourcement", "lumière intérieure", etc...
D'ailleurs, ce n'est pas compliqué à imaginer : on pourrait faire un petit jeu qui consisterait à créer un atelier ou stage, pseudo-thérapeutique ou non, contenant certains de ces termes à la mode, ou d'autres assimilés, voire inventés, par exemple "Atelier de thérapie par la méditation shamanique", ou "Découvrez votre lumière intérieure sacrée par le massage des énergies", ou encore "Stage d'ouverture des shakras et de prise de conscience du karma", etc.
Une fois qu'on a le truc,avec les bons mots-clefs, tout est possible : il y aura toujours des gens branchés, du moment qu'on cible dans les sphères adéquates, comme sur la plateforme en question.
D'ailleurs je vous propose ci-dessous de vous prêter au jeu et de proposer des faux stages de développement personnel selon ce principe, avec les bons mots-clefs !
Bref, je me suis amusé à surfer là-dessus à la limite de la provoc, tout en étant bien conscient que je risquais encore la censure, en leur proposant un atelier fictif intitulé "Yoga du sexe".
Son énoncé était assez crédible, les activités proposées et l'argumentaire tenaient debout, sans marcher sur les platebandes de la sexologie ou des yogas kundalini ou tantra.
L'événement est resté affiché pendant plus de deux semaines, a été abondamment consulté. Beaucoup de gens étaient intéressés. Faut dire qu'en plus le critère sexe était un atout ! Quelques jours avant l'échéance, j'ai mis un commentaire pour expliquer ma démarche, par souci d'honnêteté, et pour révéler qu'il s'agissait d'un gentil canular, destiné à éveiller un peu les consciences, à montrer à tous ces gens crédules, béats et avides d’expériences pseudo-mystico-exotico-ésotérico-bio-énergético-spirituelles qu’il ne faut pas se faire aussi facilement avoir.
Aussitôt, l'événement a été supprimé, avec mon commentaire.
Je ne l'ai pas ramené, me disant que c'était probablement de bonne guerre, mais j'y vois là tout de même une attitude relativement obscurantiste visant à entretenir à tout prix un certain esprit reposant sur cette béatitude crédule, un pseudo-mysticisme et autres spiritualités de pacotille à la mode.
Enfin, voici le texte de mon atelier-canular :
Après le yoga de la voix, le yoga du son, le yoga du rire, le yoga du visage, le yoga du cœur, le yoga de la nutrition, yoga du soleil, yoga du rêve éveillé, et autres yogâteries dont la liste n'arrête pas d'augmenter grâce à la bienveillante vogue du développement personnel new age, voici un nouveau yoga qui, lui, ne se prend pas au sérieux : le yoga du sexe.
À ne pas confondre avec le tantra yoga, le kundalini yoga, ou les consultations de sexologie.
Le sexe a trop longtemps souffert de diabolisation, tabous, morale, ignorance, traditions, routines, complexes, etc, alors qu'il est désormais communément admis que faire l'amour est bon pour la santé, l'énergie, l'assurance de soi, bref pour le corps et l'esprit.
Or, le sexe peut être un medium vers une conscience et une connaissance de soi et de l'autre, un moyen de ré-unification du corps et de l'esprit (comme le yoga, justement) et de transcendance, trop méconnu et qu'il est temps de faire connaître. Oser en parler honnêtement, au delà des tabous sociaux et religieux.
Côté observation scientifique, grâce au sexe, l'espérance de vie est augmentée, certains problèmes cardiaques peuvent être repoussés, voire même certaines formes du cancer.
Les chercheurs de l'Epidemiol Communitty Ealth ont démontré en 2002 que les risques cardiaques diminuent à mesure que la fréquence des relations sexuelles augmente. Le coït permet en effet d'éliminer des toxines, d'activer la circulation veineuse, de muscler le cœur.
Pour les hommes, le risque de développer le cancer de la prostate par exemple pourrait être réduit de 15% en faisant l'amour au moins trois fois par semaine (JAMA, 2004).
Pour les femmes la stimulation des mamelons et l'orgasme libèrent une hormone appelée ocytocine, bénéfique aux seins (Breast Cancer Res Treat, 1995).
Le désir lui-même produit une amphétamine naturelle : la phényléthylamine (que l'on trouve aussi dans le chocolat). Elle active les neurones, efface toute trace de fatigue et anesthésie la faim.
Par ailleurs, faire l'amour permet au cerveau de produire de la sérotonine, de la dopamine, et surtout libère des endorphines, bref tout ce qui est bon pour les insomnies, les angoisses et le stress.
De manière générale, le sexe renforce également les défenses immunitaires.
En fait, tout l'organisme et le psychisme profitent des effets bénéfiques de l'acte sexuel.
Le yoga du sexe apprend tout d'abord à oser, à vaincre les inhibitions. Les séances sont plutôt naturistes, mais pas obligatoirement, l'atelier est chaleureux et invite au bien-être, dans un cadre à la fois feutré et confortable.
Chacun est invité au lâcher-prise sans aucun tabou, d'abord en s'exprimant oralement face aux autres sur ses atouts et ses faiblesses, ses refoulements et ses obsessions. Selon ceux-ci, des complémentarités sont vite définies : on s'aide soi-même en aidant les autres.
La honte, les complexes, les limites, les hésitations sont vite surmontés par un effet d'émulation et de disponibilité inévitable, les barrières tombent, et chacun peut s'exprimer à sa manière.
Le sujet du libertinage est abordé, de façon à redéfinir son authentique acception.
Une initiation anatomique est également comprise au programme, car peu de gens connaissent véritablement leur corps et à fortiori celui de leur partenaire, ainsi que certaines mises au point utiles (à titre d'exemples, sont abordés : le point G, les glandes de Skene, l'éjaculation féminine, l'importance de l'odorat, le contrôle du périnée, celui du shakra-racine, la prostate, l'intellectualisation lors d'un rapport, le problème de la taille, la peur de la sodomie, la recherche obsessionnelle de l'orgasme, les pratiques extrêmes, la domination, le BDSM, les frontières entre hétérosexualité, homosexualité et bisexualité, les réels risques de MST et les manières de se protéger, etc).
Une initiation aux massages érotiques et à l'art de la caresse est également proposée.
Pourront être abordés à la demande les problèmes de traumatismes, de frigidité, d'impuissance, d'insensibilité post épisiotomie, etc.
Un accompagnement psycho-thérapeutique et/ou pratique peut alors être induit au besoin, même en dehors des séances, après en avoir défini préalablement et mutuellement les limites et la portée.
La détente, l'humour et la bonne humeur sont encouragés tout au long de la séance.
Chaque participant est libre de partir quand il le veut.
Les séances sont proposées aux couples et aux femmes seules, mais les hommes seuls ne sont hélas plus acceptés en raison d'abus récurrents (des exceptions sélectives peuvent être faites après argumentation).
Les places sont limitées, les séances ne pouvant pas accueillir plus de 8 personnes.
Interdits aux mineurs, sinon pas de limitation d'âge.
La discrétion et l'anonymat peuvent être respectés à la demande.
Durée de la séance : 2 à 3 heures
Tarifs : 60€ par personne, 100€ pour un couple.
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Bonjour ,
Je me souviens il y a un peut plus de deux ans de sa ...
Un soir la porte sonne , j'ouvre , et je voie un homme bien charpenté , me demandant si ..... ( ma maîtresse ) était la ?
J'appelle donc ...... ( ma maîtresse ) lui disant qu'il y avait un homme qui la demandais .
La elle vient à la porte et me présente à cette homme comme son soumis .
Elle le fesa entré et ils sont allé dans le salon , ma maîtresse ma demandé de leur servir l'apéritif .
Je m'y suis mis avec beaucoup de soin et d'attention !
Une fois l'apéritif fini elle m'a dit de préparé la chambre car ........ ( cette homme )
Allé lui donné du plaisir et de la jouissance car j'en était plus que incapable ... ( se n'ai pas faut )
Jetait d'accord qu'elle est des amants , elle m'avais demander au bout des six premier moi de notre relation car jetait incapable de lui donné quoi que se soit comme plaisir sexuel ...
La ils mon rejoint dans la chambre , ma maîtresse ma demander de mettre mes vêtements féminin devant cetre homme et ensuite elle m'a fait un lavement ...
Je l'ai regardais faire l'amour comme des bettes ...
Ma maîtresse prenais à tel plaisir avec lui !!
Je lui est ensuite fait la toilette comme dabitude pour lui enlever se sperme et ses souillure de fluide vaginale .
De la elle ma ordonnée de lui faire une felation à cette homme !
J'avais jamais sucer un peins jusqu'à la ...
Je mis suis mis avec retissance et un peut de dégoûté car un homme quand même ...
Mais j'y est pris finalement du plaisir !!
Jais beaucoup aimé !!
( c'était donc la première fois que je faisait une felation à un homme )
A un moment donné elle m'ordona de me mètre à 4 pattes les fesse en l'air que c'était mon tour !
vu que j'avais était très sage !!
Enfin je vais avoir droit à la sodomi !!
Cette homme très bien équipé ma pénétré du plus profond de moi même ...
J'adore la sodomi !!!
Et dire que avant de connaître ma maîtresse jetait ethero , un peut match sur les bord , et un très mauvais Amant pour ces dames ...
A se jours je c'est que je suis une lopette au micro penis impuissant qui porte des vetement feminin et qui se doit de se soumettre à une maîtresse !
Jais trouvé ma voie sexuel grâce à mon ancienne maîtresse .
Elle a su me montré que les hommes comme moi on est né avec des petit penis et ejaculateur précoce , sans avoir de virilité , ni de muscle , et peut poilus , qu'on était pas des vrai mal !
Mais des hommes fait pour être soumis et devenir des lopettes .
Je suis tout à fait d'accord avec elle , chaquun sa place les vrai mal son des amants et les semblant de petit mal comme moi on est tout à fait à notre place en t'en que soumis !
Qu'en pensé vous ?
Êtes vous d'accord avec mes façon de pensé ?
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Il m’avait demandé de le rejoindre dans la salle de bain, à quatre pattes, nue avec mon collier.
— Entre dans la baignoire.
— Oui Maître.
J’obéis avec le plus de grâce possible. Monter dans une baignoire à quatre pattes en restant sexy n’est pas tâche facile, mais je commençais à y parvenir gentiment à force de refaire l’exercice.
Une fois en position, à quatre pattes, dans la baignoire, le dos cambré, la croupe offerte, il lia la laisse à mon collier et tira d’un coup dessus pour me faire le regarder.
— Je me demande bien ce que tu fais dans cette baignoire alors que tu sembles si propre. On ne va pas gaspiller de l’eau pour une petite chienne qui n’est même pas souillée n’est-ce pas ?
— Effectivement Maître. Vous avez raison, ce n’est pas bien de gaspiller de l’eau.
— Alors, commence déjà pas sucer.
Je me penchais en avant, agenouillée dans la baignoire, pour le prendre dans ma couche. Dès que de la salive coulait sur mon menton, il se retirait pour m’étaler ma salive sur mon visage avec son sexe. Je le suçai, le léchai, le caressant, lui donnant du plaisir du mieux que je pouvais.
— Ça suffit maintenant.
Il se retira pour se masturber, couvrant mon visage et mes seins de sperme. Il s’appliqua ensuite à l’étaler sur le plus de surface de peau possible.
Il se recula, me regardant, m’observant comme on observe un objet d’art. Je me sentais belle, je me sentais bien. Après m’avoir suffisamment admirée, il décréta que je n’étais pas suffisamment sale, qu’il manquait de cyprine sur ce corps déjà pleins de salive et de sperme. Il me demanda alors de mettre debout, les jambes suffisamment serrées pour que la cyprine coule le long de mes jambes jusqu’à atteindre mes pieds. Il savait à quel point ça me mettais mal à l’aise et il en souriait d’avance, se délectant de mon expression oscillant entre l’appréhension, l’excitation, la honte, et bien d’autres émotions encore.
Il aimait me regarder, se délecter de tout ce qu’il pouvait provoquer en moi, ne se privant pas de profitant de toutes les émotions qu’il générait, jouant avec mon âme comme il jouait avec mon corps.
— Aujourd’hui, j’ai envie que tu te souviennes que tu m’appartiens, que tu sois mienne jusqu’au bout. A genoux petite chienne.
J’obéis, m’agenouillant rapidement dans la baignoire, baissant la tête. Il tira la laisse qui redressa d’un coup mon menton et plongea son regard dans le mien. Son regard complice et joueur m’indiqua que je n’avais pas fini d’être souillée.
— Tu es ma chienne, n’est-ce pas ?
— Oui, Maître.
— Tu es ma chienne, ma chose, ma soumise, ma propriété.
— Oui, Maître. Je suis tout à Vous.
Il tira un peu plus sur la laisse, ce qui fit plonger mes seins en avant lorsque le jet chaud atteignait mon épaule. Le liquide coulait sur mes seins, ruisselait sur mon ventre, mes cuisses, se rependant sur mon corps comme une caresse inédite. Une vague de tendresse m’envahi. J’étais fière d’être sienne. Fière de lui appartenir.
Nos regards connectés l’un à l’autre dans une intense communication silencieuse, exprimaient tant de choses qui ne pouvaient pas être dites avec des mots tant le moment était intense.
— Maintenant, on peut utiliser de l’eau sans que ce soit du gaspillage.
Je sortis subitement de cette sorte de transe, la honte prenant le dessus. Couverte de cyprine, de salive, de sperme et d’urine, je me sentis sale et humiliée. La cyprine se remit alors à couler, ce qui me fit encore plus honte. Je sentis mes joues rougir. Il semblait voir dans mon regard tout ce qu’il se passait dans ma tête. Je me sentais plus nue que jamais.
Il sourit et m’embrassa sur le front. Son regard amusé ne fit qu’amplifier ma gêne, ainsi que le flux de cyprine qui s’écoulait doucement de mon entre-jambes.
— Tu es adorables petite salope. Je vais te laver maintenant.
Son sourire était émouvant, respirant l’amour et la fierté.
Je commençais à me mettre debout quand il tira violemment la laisse vers le bas. Je trébuchais, me retrouvant à genoux.
— Ce n’est pas debout qu’on lave une chienne !
J’aimais tant ce ton ferme et autoritaire. Qu’il ordonne doucement, en restant toujours calme. J’aimais tant être sa chienne.
Il alluma l’eau et me lava le corps fermement, comme on lave une chienne. C’était à la fois délicieux et humiliant… délicieusement humiliant…
— Il est temps de retourner te salir, petite chienne.
Il tira sur la laisse et je sortis de la salle de bain nue à et quatre pattes, prête à être salie, encore et encore… souillée de nos fluides… autant qu’il le voudra…
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Avant, quand le BDSM n’était pas entré dans nos vies, lorsque je faisais une bêtise, j’assumais ou j’ignorais, mais je restais assez détachée. On se disputait, se balançait quelques infamies, on s’excusait et la dispute était finie. Je ne me remettais pas vraiment en question parce « l’erreur est humaine, on en fait tous, allez, hop, on oublie ». Je ne considérais même pas cela comme une bêtise. Je me considérais juste comme quelqu’un de normalement imparfaite. Mon caractère fort m’a longtemps poussée à prôner le « acceptez-moi comme je suis et si vous n’êtes pas content, ben tant pis », que je continue d’ailleurs à appliquer dans ma vie quotidienne.
Les remises en question ne sont pas vraiment nécessaires quand les disputes sont rares et que le bonheur règne dans la globalité. Pourquoi donc chercher à voir les choses autrement ?
En choisissant d’être sa soumise, il n’a plus accepté que je crie. Il n’a plus accepté que je sois imparfaite. Il voulait être fier de moi en toute circonstance et je devais tout faire pour que ce soit le cas. Il a été d’accord d’apprivoiser le Maître qui était en lui, ce qui n’a pas été une épreuve facile pour lui. Il lui a fallu du temps et beaucoup d’introspection pour y parvenir. Maintenant qu’il a laissé le Maître s’extérioriser, il considère qu’ayant fait tous les efforts pour devenir un Maître le plus parfait possible, je dois maintenant tout faire pour être une soumise parfaite. C’est mon devoir et je le lui dois bien.
Je dois régulièrement lutter contre moi-même, mais surtout contre mon impulsivité, qui est ma plus grande ennemie. Apprendre à m’exprimer sans crier, ne pas essayer de rejeter la faute sur lui alors que je suis responsable, ne pas m’énerver, ne pas revendiquer mon droit de n’être qu’une femme imparfaite. Non, je ne veux plus être une femme imparfaite. Je veux être bien mieux. Je veux être bien plus.
Cet Homme m’apporte désormais tout ce dont j’ai besoin. Chaque jour, il fait tout pour me combler et me rendre heureuse. Il m’écoute, me soutien, m’encourage mais surtout il m’aide à devenir meilleure, à m’épanouir, à me dépasser. Il a même fini par m’offrir ce qui créait un profond vide dans mon âme. Comment ne pas lui donne le meilleur de moi-même ? Comment ne pas lui rendre tout ce qu’il m’a offert ? Je n’ai simplement plus le droit d’être imparfaite. Je n’ai plus le droit de me contenter de peu, de ne pas faire tous les efforts possibles pour le satisfaire. Je dois devenir la meilleure, ne plus me contenter d’imperfections. Je dois devenir parfaite, mais quelle lutte contre moi-même !
Il y a quelques jours, mon impulsivité a pris le dessus. Elle a pris le dessus en force, probablement pour toutes les fois que je l’avais retenue. J’ai explosé. Il m’a reproché d’être une mauvaise soumise qui oublie souvent son devoir alors que c’est moi qui lui réclame d’être Maître. Sur le moment, je l’ai trouvé injuste. Je me disais que c’était au Maître d’éduquer sa soumise, de lui apprendre à devenir une bonne soumise et que sans un bon Maître, c’est normal qu’une soumise soit indisciplinée. Je lui ai hurlé dessus, avec tout le pouvoir de mon impulsivité en mode furie hystéricotimbrée.
Avant, quand je gueulais, mon mari gueulait aussi. Il s’énervait, me faisait entendre raison en levant le ton plus haut que le mien, en s’imposant avec les mêmes techniques que moi. Mais en Maître, il ne se comporte pas ainsi. Le Maître, lui, sait se maîtriser. Il se contrôle et sait que c’est le meilleur moyen de me canaliser. Il m’a regardé hurler, m’a laisser vomir ce que j’avais à dire sans m’interrompre. Il est resté là, à m’écouter, droit, impassible. Dans un premier temps, ça m’a encore plus énervée. Saleté d’impulsivité. Je lui ai donc balancé tout le stock de reproches que j’avais en réserve. J’ai tout mélangé, ma tête complètement embrouillée. Mais le Maître, lui, avait compris que j’avais besoin de ça pour me vider. Le flux de mes paroles tarit, je me suis effondrée sur le sol, dans un torrent de larmes. Il était toujours debout, droit, inébranlable. Son regard était nouveau. Je n’y voyais pas de colère, pas de lassitude, pas de tristesse. Juste ce regard sombre et impressionnant, imposant, qui me regardait de haut, attendant patiemment, mais durement, que je me calme.
J’ai baissé les yeux. Je me suis naturellement rapprochée du sol et sans même m’en rendre compte, mes larmes se sont arrêtées, ma joue s’est posée sur son pied, mes bras se sont enroulés autour de sa cheville, mon corps s’est recroquevillé contre Lui et la paix intérieure a imprégné mon corps et mon âme. J’avais besoin de tout sortir pour être vraiment vidée. J’étais calmée, détendue, apaisée.
Le silence s’est installé et pour la première fois je n’ai pas trouvé ça angoissant. J’ai su apprécier ce moment pleinement, me nourrissant de ce calme. Je me sentais bien contre lui, à ses pieds. Je ne ressentais plus rien d’autre qu’une paix intérieur profonde. Mes yeux se sont fermés et j’ai attendu. Attendu que tout soit parfaitement apaisé. Attendu qu’il décide que quelque chose devait se passer. En attendant, je restais parfaitement immobile.
Au bout d’un long moment, il m’a demandé si j’étais maintenant prête à agir en soumise. J’ai répondu timidement : « Oui, pardon Maître ». Il m’a demandé de me redresser, d’être digne. Je me suis agenouillée devant lui, tête baissée. En me redressant, la sensation de paix, s’en est allé pour laisser place à la honte et à la culpabilité. Plus profondes que jamais. Jamais je n’ai eu si honte d’un comportement que j’ai eu face à lui, pourtant j’en ai eu de bien pire. Jamais je ne me suis sentie si coupable. Mais j’étais surtout très impressionnée. Impressionnée par cet Homme que je connaissais impulsif ait acquis une telle maîtrise de moi-même. Quand était-ce arrivé ? Quand avait-il pris ainsi le contrôle de lui-même ? Je n’en savais rien. Pour la première fois, j’avais l’impression d’avoir un Maître. Un vrai Maître. Pour la première fois, je n’avais pas l’impression de jouer à la soumise. J’étais soumise. Ce n’était plus un jeu sexuel. Ce n’était pas une séance. Je n’avais pas mon collier. Mais pourtant je me sentais profondément sa soumise. Je me sentais à ma place à ses pieds, à ma vraie place. Plus que jamais.
J’ai toujours pensé que c’était le fait d’avoir mon collier autour du cou qui me permettait de me sentir sienne. Je croyais que sans collier, je ne pouvais pas être soumise. Je pensais que c’était le collier qui opérait un changement en moi. Agenouillée devant lui, avec des vêtements mais sans collier, je ne sentais plus nue que jamais.
J’avais envie de me prosterner, de le remercier, de m’excuser encore et encore. Tant d’émotions se bousculaient en moi. Pour la première fois, je n’avais pas envie sexuellement de lui, enfin pas seulement. J’avais juste envie de le satisfaire, de tout faire pour son plaisir et son bien-être. De tout faire pour le rendre fier. Je ne pensais plus à moi, mon égo partit avec ma dignité (enfin, ce que j’appelais dignité avant).
Quand il m’a demandé de le sucer, je n’ai pas pu. Quelques jours, voire quelques heures auparavant, j’aurai sauté sur sa bite, je me serais réjouie qu’il ne soit pas fâché, je me serais délectée de ce plaisir qu’il m’offrait. Mais là, je ne pouvais pas. Je ne le méritais pas. Je ne pouvais pas faire quelque chose que j’aimais tant, qui me faisait tant plaisir, alors que je ne me sentais pas digne de Lui. Je n'avais pas le droit de faire ça. A ce moment-là, je me suis rendu compte, brutalement, que c'était ça le vrai besoin de punition. Avant, quand je disais que j'avais besoin d'être punie, c'était surtout que j'avais envie d'être fessée et qu'une erreur est une parfaite occasion de quémander quelques délicieux coups de cravaches bien placés.
Cette fois-ci tout était différent, j'avais besoin qu'il me punisse. Non pas parce que j'avais envie d'une fessée, non pas parce que j'aimais les punitions-jeux. Je voulais être vraiment punie, je voulais avoir mal, je voulais souffrir pour lui, je voulais qu'il évacue sur moi la colère que j'ai forcément du provoquer en lui en faisant ma crise. Je voulais qu'il me fasse payer d'avoir agi ainsi. Je voulais qu'il nous nettoie tous les deux de ce qu'il s'était passé pour que ce soit derrière nous et que nous puissions avancer sans que je me sente coupable, sans que je me sente indigne. Pour retrouver le droit de prendre du plaisir, je devais d'abord être punie.
Je me suis excusée, lui ai dit que je n'étais pas digne d'une telle faveur. Je ne voulais pas lui demander de me punir, comme je fais pourtant tout le temps. Je ne voulais pas en non plus en être l'instigatrice directe. Pour que ce soit une punition ça devait venir de lui, et surtout lui seul savait ce que je méritais ou ne méritait pas, ce n'était pas à moi de choisir ce qu'il devait advenir de moi et c'était bien là la première fois que je pensais ainsi. Je lui ai simplement dit alors que j’aimais beaucoup trop l'avoir dans ma bouche et qu'après une telle crise je me sentais trop honteuse et indigne pour mériter un tel honneur. Je lui ai encore demandé pardon. Il m'a demandé si je voulais réellement son pardon. J'ai répondu que oui, en souriant. Un sourire de soulagement qu'il a interprété comme un sourire de réjouissance.
— Ne te réjouis pas petite chienne, un pardon ne s'obtient pas par un orgasme.
Je crois que c'est à ce moment-là que ma chatte à commencer à vraiment dégouliner. Il m’a demandé de me prosterner et d’embrasser ses pieds. Puis, il est allé chercher une cravache. Après quelques coups, il a affirmé que ce n’était pas une punition appropriée. Que ce n’est pas ainsi que j’allais expier mes fautes. Quand il a commencé à frapper avec sa baguette, il a dû pour la première fois m’attacher pour que mon corps arrête de fuir mécaniquement les coups, reflexe naturel du corps. Les coups assénés avec peu de retenue étaient durs à encaisser. Je serrais les dents pour ne pas hurler. A chaque coup une phrase que j’avais dite lors de ma crise me revenait en mémoire. Petit à petit, je sentais littéralement mes mots et mes phrases quitter mon corps et mon âme. A chaque coup, je sentais un peu moins la douleur, j’entrais dans un état second, dans une transe, dans une bulle. Un cocon dans lequel la douleur n’existe pas et dans lequel je me lavais de mes erreurs, pour en ressortir nouvelle et prête à avancer.
Il m’a demandé si je pouvais encore. J’ai hoché la tête, les dents serrées. Il a changé d’instrument, jouant sa partition avec du cuir. Mes larmes ont commencé à ruisseler, tout comme ma chatte, avec la même intensité. Je coulais de partout, ma chatte en rythme avec mes yeux, la salive suivant de prêt. Quand les coups se sont arrêtés, je suis restée longtemps sans bouger. Le temps s’est arrêté. Tout était figé.
Je me sentais soumise. Je me sentais digne. Digne de Lui.
— Suce maintenant.
Je me suis appliquée, plus que jamais, à lui donner le plus de plaisir que j’étais capable de lui procurer. Maintenant que j'avais vraiment un Maître, il était temps de devenir une bonne soumise...
Une nouvelle page se tourne...
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Je vais finir cette petite série (qui ne prétend pas à l'exhaustivité !) par une question difficile : y a-t-il des différences de perception ou de niveau dans le plaisir entre les hommes et les femmes ? Et en question subsidiaire : le plaisir féminin est-il plus intense que le plaisir masculin, ou bien inversement ?
En préambule de ce thème, je vous conterais volontiers le mythe de Tirésias (dans la version d'Ovide) : un jour que le jeune Tirésias se promenait en forêt, il dérange de son bâton l'accouplement de deux serpents et ceux-ci, pour se venger, le transforment en femme. Sept ans plus tard, se promenant dans la même forêt, il revoit les mêmes serpents accouplés, et les frappe de son bâton une seconde fois, afin de susciter leur colère : le stratagème fonctionne, et ceux-ci de colère le retransforment en homme ! Un peu plus tard, une querelle éclate entre Zeus et son épouse Héra : celui-ci prétend que la femme prend plus de plaisir que l'homme dans l'acte sexuel, tandis qu'elle affirme le contraire ! Ils consultent alors Tirésias, seul humain à avoir l'expérience des deux sexes, et celui-ci confirme l'opinion de Zeus, affirmant même que "si le plaisir de l'acte sexuel était divisé en dix parts, la femme en prendrait neuf alors que l'homme n'en prendrait qu'une" ! Il serait intéressant d'entendre ici l'avis des transgenres, plusieurs siècles après Tirésias et Ovide !
Alors, avant d'aborder ce sujet sous l'angle philosophique et cérébral, je pense utile de le considérer sous l'angle purement physiologique pour commencer. Quelles sont les différences physiologiques et biologiques entre la femelle et le mâle humains qui pourraient être à l'origine de différences dans la perception et le ressenti du plaisir ? Eh bien, en réalité, il y en a beaucoup !
Pour commencer, le schéma ci-dessous résume deux études conduites l'une dans le monde anglo-saxon, et l'autre dans le monde francophone, où l'on demandait aux personnes des deux sexes d'évaluer l'intensité (sur une échelle de 0 à 10) des sensations érotiques provoquées par la stimulation de zones spécifiques du corps : en particulier, en rouge, intensité supérieure à 8, en orange, à 7, et en jaune, à 6.
On voit que la femme dispose d'un avantage conséquent ! Ainsi :
- la femme dispose de 2 zones rouges (le clitoris et le vagin) contre une seule pour l'homme (le pénis) ;
- elle dispose de 4 zones oranges (les lèvres, la langue, les seins et les mamelons) contre une seule encore pour l'homme (les lèvres) ;
- et enfin elle dispose d'une zone jaune (l'intérieur des cuisses) pour une également pour l'homme (le scrotum) ;
soit un avantage sans appel de 7 à 3 !
En fait, on peut véritablement dire que le corps féminin est une gigantesque zone érogène !
(pour ceux qui veulent l'étude complète avec toutes les zones érogènes des deux sexes, c'est ici :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Zone_érogène)
Seconde constatation importante : la femme est capable d'orgasmes multiples au cours d'une même relation sexuelle (jusqu'à 20 successifs, qui peuvent se succéder toutes les trois minutes !), tandis que l'homme en aura le plus souvent un seul, et dépassera rarement trois ! De plus, la durée moyenne de l'orgasme féminin est de 20 secondes, tandis que celle de l'homme n'excède pas 6 secondes ! On le voit, là encore, avantage écrasant à la femme ! Il faut toutefois nuancer cela par la capacité qu'a l'homme d'atteindre des orgasmes sans éjaculation répétitifs et nombreux, voire même un "plateau orgasmique continu", par des exercices de type taoïsme et tantrisme (à base de musculation pelvienne, respiration ventrale et contrôle mental de l'éjaculation).
Enfin, bien entendu, il faut rappeler que la fonction sexuelle a pour rôle originel la reproduction de l'espèce, et là encore, quelques différences majeures :
- la femme est sujette à des cycles menstruels, qui font varier sa libido, tandis que celle de l'homme est active en permanence !
- chaque éjaculat masculin contient 300 à 400 millions de spermatozoïdes, et l'homme peut donc en disséminer des milliards dans sa vie sexuelle, tandis que la femme produit environ 400 ovules au cours de sa vie seulement !
Ce point a une importance majeure dans le comportement sexué de l'espèce humaine : dans sa stratégie de survie, de reproduction et d'adaptation aux évolutions de l'environnement, on peut dire que le rôle de l'homme est de disséminer sa semence à tous vents pour assurer une biodiversité maximale, tandis que le rôle de la femme est de choisir les plus beaux specimens mâles, en tout petit nombre, voire un seul d'entre eux, et de s'accoupler pour produire les enfants les plus beaux, les plus forts et les plus intelligents ! Ce qui explique sans doute en grande partie l'infidélité chronique du mâle humain, opposée à la recherche de stabilité affective de la femelle humaine !
Enfin, je terminerai cette courte et incomplète introduction aux différences physiologiques qui influent la capacité au plaisir des hommes et des femmes par un élément contextuel important : il aura fallu de nombreuses étapes difficiles pour faire admettre la liberté sexuelle et l'émancipation des femmes sous l'influence des mouvements féministes. La révolution scientifique des méthodes de contraception (préservatifs, traitement des MST, pilule contraceptive, IVG, ...) ont permis l'épanouissement d'une vie sexuelle où le plaisir prime sur la reproduction. Cela a une importance fondamentale en particulier dans le rapport des femmes au plaisir, mais bien des pesanteurs et conservatismes subsistent encore contre lesquels il faut lutter sans cesse !
Pour conclure donc sur l'aspect physiologique, je dirais que la femme dispose a priori d'un potentiel érogène très supérieur à celui de l'homme. Et pourtant, la réalité est souvent toute autre !... Et en particulier :
- un grand nombre de femmes ne connaissent leur premier orgasme qu'après 60 ans, après leur ménopause, comme s'il leur fallait attendre de ne plus pouvoir être mère pour accepter l'acte sexuel comme source de plaisir !
- en sens inverse, à partir de 50 ans, les hommes peuvent avoir des maladies cardio-vasculaires ou prostatiques qui peuvent altérer leur capacité érectile...
- beaucoup de blocages mentaux ou au contraire de pulsions cérébrales peuvent influencer fortement la capacité au plaisir, car le cerveau reste évidemment le cœur et le siège de toutes nos émotions ! C'est donc par là que je terminerai cette série dans le dernier article à paraître qui portera sur le thème : masculin / féminin cérébral !
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bonsoir a tous est a vos cordes cliqué sur le lien pour voir les photos de chaque étape qui ce situe en dessous de l'explication
Dans cette leçon, nous allons commencer par réaliser une base consistant à immobiliser indépendamment chaque membre, puis nous procéderons à l'immobilisation du corps en position recroquevillée.
Afin d'illustrer les variations qu'il est possible de faire autour de cette base, nous verrons dans une prochaine leçon comment la réutiliser pour confectionner un bondage fort différent.
Nous aurons besoin en tout de 4 cordes d'environ 8 mètres, une par membre.
Commençons donc par la base, à savoir l'immobilisation de chaque membre et débutons par une jambe. Faites asseoir votre partenaire sur le sol et pliez une jambe.
Prenez une première corde et pliez-la en 2. Faites un tour de la cuisse et du bas du tibia, puis passez la corde dans la pliure du milieu et repartez en sens inverse afin de faire un second tour ( voir photo si dessous )
https://www.encordees.com/galerie/Pas_13/recroquevillee_00.jpg
Continuez avec un troisième tour complet puis passez la corde dans la boucle du milieu. ( voir photo si dessous )
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Faites passez la corde entre la cuisse et le mollet et faites le tour par au-dessus des cordes qui enserrent la jambe puis refaites passer la corde entre la cuisse et le mollet, cette fois-ci par en-dessous.( voir photo si dessous )
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Faites maintenant une boucle assez longue avec votre corde et passez cette boucle entre la cuisse et le mollet, de façon à faire le tour par au-dessus des cordes qui enserrent la jambe puis refaites passer la boucle entre la cuisse et le mollet, cette fois-ci par en-dessous.( voir photo si dessous )
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Récupérer la boucle et nouez-la avec le bout libre de votre corde.
La première jambe est maintenant immobilisée.( voir photo si dessous )
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Prenez une deuxième corde et refaites les mêmes opérations avec la seconde jambe.
Vous allez maintenant attacher chaque bras de la même façon en ramenant le poignet vers l'épaule.
Prenez une troisième corde et pliez-la en 2. Faites un tour du bras et de l'avant-bras, puis passez la corde dans la pliure du milieu et repartez en sens inverse afin de faire un second tour.( voir photo si dessous )
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Faites à nouveau plusieurs passages autour des bras et avant-bras.( voir photo si dessous )
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... puis, comme pour les jambes, terminez par des passages entre les bras et avant-bras de façon à bloquer la corde.
Faites de même avec le second bras( voir photo si dessous )
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Mettez maintenant votre partenaire à 4 pattes et utilisez les cordes qui enserrent les jambes pour faire le tour de la taille.( voir photo si dessous )
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Faites autant de tours que vous avez de longueur de corde et terminez en nouant les cordes entre elles au moyen d'un noeud plat, si possible au niveau du ventre (mais l'accès est assez malaisé ...). ( voir photo si dessous )
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Ramenez maintenant les bras en arrière en vous plaçant derrière votre partenaire et en tirant sur les cordes.
Faites passer les cordes sous les fesses en les croisant ..( voir photo si dessous )
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... puis remontez le long du corps en vous déplaçant à l'avant du corps de votre partenaire.
Vérifiez que les cordes passent bien contre celles qui immobilisent les jambes entre les cuisses et les mollets de façon à ce qu'aucun jeu ne vienne par la suite détendre l'ensemble du bondage.
En remontant, veillez à passer au-dessus des bras pour les bloquer le long du corps.( voir photo si dessous )
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Faites à nouveau se croiser les cordes au milieu du dos et redescendez par dessus les épaules de part et d'autre du cou. ( voir photo si dessous )
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Faites le tour des épaules et remontez le long du corps en repassant au-dessus des bras.
Placez-vous derrière votre partenaire et amenez les cordes entre les fesses.( voir photo si dessous )
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Cette photo illustre sous un angle différent le passage décrit précédemment.
Les cordes des bras se croisent tout d'abord sous les fesses, entre les cuisses et les mollets, puis remontent sur les cotés en serrant les bras le long du corps. Elles viennent ensuite se croiser dans le dos, puis font le tour des épaules, remontent le long des bras et enfin se croisent à nouveau au niveau des fesses.( voir photo si dessous )
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Les cordes font ensuite chacune le tour d'une fesse et elles remontent ..( voir photo si dessous )
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.. afin d'être nouées avec les cordes qui viennent des jambes et qui enserrent la taille.)
Le bondage est maintenant terminé et votre partenaire bien immobilisé.( voir photo si dessous )
https://www.encordees.com/galerie/Pas_13/recroquevillee_16.jpg
Le résultat vu de l'arrière.
A vous de prolonger le jeu selon votre plaisir : caresses, fessée, cire sur le dos et les fesses, pinces ou poids sur les lèvres du sexe, ... Et si votre partenaire est un homme, vous pouvez aussi fixer une cordelette autour du sexe puis la faire passer sous les pieds.
Bref, faites jouer votre imagination ( voir photo si dessous )
https://www.encordees.com/galerie/Pas_13/recroquevillee_17.jpg
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Je ne sais plus comment, ni quand... je la vois étendu devant moi, ne sachant pas ma volonté profonde.Ne voulant seulement prendre du plaisir a la voir en prendre elle même.Je m'approche lentement et commence a l'embrasser tendrement, la caresse et joue de mes doigts sur sa douce peau d'ignorante frêle.Laissant petit a petit son plaisir gravir un a un les etages de notre ascenseur sensoriel.Je marque une courte pause afin de me saisir de mes menottes et d'un foulard épais ; je m'empresse de lui bander les yeux et de la menotter les bras en l'air.Elle est a ma merci, je peux lui faire tout ce dont mon imagination m'autorise.Mais rien ne me viens, juste l'envie de la pousser dans ses derniers retranchements.Viens alors un jeu de touché sensuel et timide, me dirigeant peu a peu vers le coeur de mes intentions.Son souffle s'intensifie petit à petit, et je patiente en attendant le moment opportun.Un moment un râle plus fort me donna le départ! Je précipite mes doigts forts en elle, démarrant un va et viens de plus en plus intense.La jeune nymphe s'emporte peu a peu vers un plaisir toujours plus fort, toujours plus haut dans les étages.Je pose mon autre main sur sa bouche humide et ouverte pour l'empecher de pousser ses gémissement qui la rassure tant.Elle perd de plus en plus pied, le manque de vision lui donne des vertiges, les mains attachés l'empêche de se débattre et la voix bloqué l'empêche de me dire stop, de me supplier.Je continu mon jeu pervers, toujours plus fort, toujours plus profond ; mes doigts sont trempés et fatigués, mais je me dois de tenir!J'entend des râles du fond de la gorge de ma tendre victime, mon excitation monte de plus en plus ; plus ses limites approche, plus ma satisfaction est complète!Je vois des perles de sueur qui se forme sur tout son corps, cette entrevue est si humide et chaude!Son corps se met a se debattre gentiment, et ma nymphe se transforme en furie.Je la sent jouir intensément sur mes doigts mais je me dois de continuer mes aller retour encore plus fort!Minutes après minutes la jouissance laisse place a la confusion chez elle, le plaisir est si fort que l'esprit ne sais plus si c'est bon ou mal et son corps demande à se proteger de cet état qu'il ne connait pas.Les jambes commencent alors a se débattre violemment et son corps a trembler ; dans cet état de transe je n'ai pas d'autre choix que d'enlever ma main couvrant sa bouche afin de retenir ses jambes pendant que mon autre main continu sa douce entreprise.A peine ma main sorti de sa bouche que les cri de plaisir mélangé a ceux d'une sorte de douleur mentale me submerge!Il ne faut pas que je lache! Car je sais ce qui se trouve après cet état instable.Mon plaisir de la voir dépasser des limites qu'elle n'imaginait pas est immense, Intense et jouissif!Ça coule encore et encore! Ça cri toujours plus fort! Elle m'est complètement soumise.Et tout d'un coup elle hurle! Un jet continu sort de son sexe et m'arrose le corps et le visage.Je suis trempé de ce pur liquide divin qui continu de m'inonder abondamment, et complètement excité.Je retire alors ma main de son sexe car il ne sert plus a rien de continuer.Le cri s'arrêta et le jet aussi.Et étendu devant moi, cette fontaine vivante, épuisé mais orgasmiquement satisfaite, a atteint notre dernier étage du plaisir.Ma frêle nymphe ingnorante est devenu la plus belle des sirènes des temps modernes...Suite dans une prochaine histoire...
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La danse de l'épée et du collier
Je t'ai dit 20 minutes pour ta douche ainsi que ta préparation, et quelques secondes avant que ton compte à rebours ne sonne, j'entraperçois ta silhouette derrière le carreau flou de la porte du salon.
Tu es grosse et je te désire aussi pour ça! Pour l'imposante présence de tes courbes épanouies, pour l'opulence de ton corps glabre et pour l'épaisseur de cette chair où je veux pétrir tant de golems érotiques…
Tout cela tu aimerais me l'entendre prononcer, mais je te dis: «Entre jeune fille», et de ma place minutieusement choisie, je te regarde faire ta première entrée.
Tu es timide. Effarouchée. Languide aussi par un sursaut d'orgueilleux défi: timide ne veut pas dire sans caractère, oulà! Tu profites de la gravité pour tanguer des hanches comme un Paquebot Ivre digne d'un Arthur Rainbow (Warrior ^^)!
Tes yeux n'osant pas se fixer, tu navigues vers moi jusqu'à ce que je t'intime de stopper.
Nous sommes à un mètre l'un de l'autre, moi assis dans mon fauteuil, je me suis redressé pour mieux planter mon regard dans le tien… Je te vois presque penser «vite vite, fuyons» tant tu les baisses vite en inclinant la tête!
Jeune débutante, j'en ai à t'apprendre!
Ta robe est rouge, le décolleté généreux et c'est à peine si elle t'arrive en plis flottants jusqu'à mi-cuisses. Comme je te l'avais signifié, tu as choisis tes dessous...
Oui, autant j'aime l'idée que tu aies voyagé jusqu'à moi sans culotte, la chatte non couverte par ce sceau symbolique de civilisation qu'est la culotte, autant pour notre première découverte, j'ai formellement exigé cette tenture à l'entrée de ta grotte!
Maintenant je me lève.
Caché dans mon dos sur le siège, mais tu ne le vois pas encore, un collier de cuir noir. Simple, d'1 cm de large, avec un anneau métalique…
Non, ce qui préoccupe ta vue depuis pratiquement ton entrée, c'est cette épée de bois que j'avais en travers des cuisses et que j'ai saisie par le pommeau en me levant.
Une épée d'entrainement, d'une teinte de bois foncé, avec une petite garde et un seul tranchant taillé.
Elle doit fait un mètre de long et après m'être levé face à toi, je l'ai piquée au sol, entre mes jambes bien campées, les deux mains croisées appuyées sur le pommeau.
Bien sûr je souris, conscient de l'aspect théâtral de la scène, et tu oses un sourire timide quand j'attaque par un:
«Jeune fille! Je souhaite que tu portes ce collier (je me décale d'un pivôt et te désigne du menton ce lacet de cuir que tu n'avais pu remarquer sur le fond également noir de mon fauteuil). C'est ta première fois, nous ne nous connaissons pas encore, aussi je te précise tout de suite qu'il s'agit d'un collier d'entrainement, mais que je souhaite que tu le portes tout le temps où tu seras avec moi et chez moi.»
Tu déglutis. Je te coupe avant que tu répondes je ne sais quoi: «Mais pour qu'il vienne jusqu'à ton cou, si telle est bien ta décision – mais dans ce cas, que fais-tu ici ma belle? - il va falloir que tu l'enchantes.»
Cette fois, j'attends ton inévitable question. Tu croises mon regard, te détournes rapidement, tu l'observes, cercle noir si ridiculement anodin, je sens ton agitation intérieure. Sûrement que derrière cette poitrine généreuse la grosse caisse accélère son tempo!
«D'accord».
C'est tout ce que tu dis! C'est tout?
Oui. Tu recules légèrement une jambe tout en rentrant les épaules, cela ne m'échappe pas!
Prête à quoi? A fuir, à résister? Que t'imagines-tu? Quels desseins me prêtes-tu?
Je laisse exprès quelques secondes te tourmenter d'incertitudes, puis je souris, chaleureusement, paternellement: «Ok, alors voici comment nous allons procéder...»
Je marche sur toi et tu décides courageusement de me regarder dans les yeux. Une seconde suffit à te rassurer: mon sourire n'était pas que de façade, et tu lis une bienveillance sereine te le confirmer dans mon regard.
Sans te toucher, je te contourne (j'ai oublié: j'ai pris le collier dans une main, et je traine l'épée comme si je la portais au côté). Puis, comme au jeu du facteur quand on était petits, je laisse tomber le collier derrière tes pieds. Tu as le réflexe de me suivre dans mon déplacement mais de mon poing qui tient toujours l'épée je t'ai arrêtée dans ton mouvement…
Je finis de faire le tour de toi pour revenir face à toi.
«Le principe est simple: poses ta main sur le côté non tranchant de l'épée (je la tiens à présent à l'horizontale à la hauteur de ta poitrine).. Voilà, juste posée, sans pEser.
Parfait. Maintenant, suis le mouvement que je te suggère..»
Je fais décrire lentement à la fausse lame de bois un demi-cercle qui téloigne et de moi et du collier par terre.
En effet le principe est simple: j'improvise dès lors, en te tenant par l'intermédiaire du bâton, une danse dont je suis évidemment le meneur. Rapidement, je me suis campé juste au-dessus du cercle de cuir sur le sol, comme si j'en étais le gardien. Et toi, je te fais tourner au bout de l'épée, complétant ma guidance par de brefs mots d'ordre: changer de sens – changer de main – tourner sur toi-même...etc
Combien cela dure-t-il? Difficile à évaluer, nous sommes l'un comme l'autre à tel point dans l'instantanné que le temps lui-même s'oublie de passer au milieu de notre intime éternité!
A un moment, je te stoppe dans ta révolution autour de ma personne. Mon épée s'abaisse un peu, remonte avec précision et délicatesse en accrochant ta robe. Je la retrousse ainsi au dessus de ton sexe, et j'aperçois entre les colonnes massives de tes cuisses le triangle blanc surmonté d'un liseré de dentelles de ta culotte en satin. Car pour présenter un tel effet soyeux et brillant, ce ne peut-être que du satin, n'est-ce pas coquine?
Puis d'un coup je laisse retomber le tissu pourpre tandis qu'à voix haute je réclame autoritairement le baisser de rideau!
«Doucement jeune fille… dououcement...»
Tu t'exécutes, retirant chaque bretelle pour la faire glisser le long de te bras nus, découvrant par saccades un peu plus de cette chair mammère qui promet ses kilos de fruits doux et moëlleux. Ton soutient-gorge se révèle entièrement, d'un blanc en dentelles assorti à ta culotte. Avec ta peau cuivrée de l'été finissant et le rouge profond de ta robe, le tout dans la croisée des différentes sources lumineuses, tu m'évoques la déesse luxure tandis que je te vois te tortiller comme une couleuvre faisant sa mue.
Tu es sensuelle sans le savoir dans le contrôle de ta maladresse à laisser choir le tissu à présent désincarné, inutile et inerte sur le sol.
En te relevant, mon sourire d'encouragement te donne la contenance de redresser instinctivement le buste en tirant tes épaules… Tes épaules: douces rondeurs que je m'appliquerai à aboucher tout à l'heure, tant depuis ces crètes ma langue et mes lèvres n'auront plus que l'embarras des chemins vers ton Tendre...
Tout à l'heure…
Pour l'instant, je ne te dévale et dévore que du regard.
L'épée se ranime dans ma main et de sa pointe je te fais comprendre en poussant l'un de tes creux d'épaule de te tourner pour me présenter ton dos.
Tu t'exécutes, parfaitement connectée, et alors que tes jambes et ton séant sont sur le point de se stabiliser, je ne résiste pas à la pulsion de te claquer du plat de l'épée ta fesse droite.
Le coup est maitrisé, mais remplit son but en claquant suffisamment pour que tout ton corps tressaute. Tu as même ce petit cri qui me séduit d'emblée, ton premier.. Un tout petit cri, mi-amusé, mi-choqué, mi-ravalé. Pas un mot cependant, et je décide de continuer.
De te voir de dos, avec ta culotte, il me prend une nouvelle envie. Pas question de la frustrer, elle me fait grogner d'amusement.
Une évidence!: je me rapproche de toi, me collant presque à tes fesses…. Je saisis des deux mains l'épée, que je fais ensuite glisser le long de ta courbures dorsale.
Puis je l'imisce en passant sous l'élastique de ceinture de la culotte, jusqu'à butter dans le fond de l'étoffe en le déformant.
Arrivé là, sans insister plus, je te commande d'assister ma manœuvre en aidant le satin à crisser le long de tes cuisses. Moi je tiens le levier qu'est l'épée, et je fais en sorte tout le temps de cette descente que le «tranchant» de bois coulisse le long du sillon de ton cul.
La chute aux chevilles achevée, je m'accorde quelques instants de contemplation. Le tableau est excitant, et je sens qu'une autre épée, faite de chair, salive à l'avance face à l'ampleur de l'accueil et des promesses de rebonds réjouissants!!
Mais là, tout doux! mon bon cyclope, là aussi mes mains, qui ne demandent qu'à lâcher cette épée pour des saisies plus organiques et palpitantes! Tout à l'heure…
Mais tiens: lâcher cette épée… Hum… Essayons ceci: je pique la pointe par terre et, inclinant le pommeau vers l'avant, je l'enfonce au plus près de ton anus en t'écartant les fesses des pouces et en t'incitant à t'y assoir légèrement.
J'ai l'impression de l'arrimage d'une navette spatiale et la manipulation m'a naturellement amené à rapprocher mon visage à hauteur de tes hanches. Je résiste à l'envie de te mordre en pleine fesse, me contentant du planté de drapeau dans le cratère de la face cachée de ta lune!
Puis, l'opération stabilisée, j'anticipe le délicat mouvement suivant en prenant l'initiative de dégrapher ton corsage.
Corps sage? Plus pour longtemps car c'est en même temps notre premier effleurement peau à peau, et nous sentons tout 2 le crépitement explicite de la mise en phase…
«A présent tourne-toi lentement vers moi, en pivotant sur l'épée… Oups, mets une main oui, vas-y, s'il le faut pour la retenir ! Ok...»
De nouveau face à moi, une bretelle (celle de la main qui a évité la chute de l'épée) commence à glisser. Je t'arrête alors que tu t'apprêtes machinalement à la remonter.
Nous sourions.
Le pommeau toujours pesant à l'entrée de ton anus, nous nous regardons, visages proches, et mes doigts viennent se poser légèrement sur chacune de tes épaules. En même temps qu'ils carressent ta peau électrisée (des frissons te parcourent), ils aggrippent mine de rien de leurs griffes pourtant rentrées l'une puis l'autre bretelle.
Jusqu'au coude. Du coude au poignet. Ton soutient-gorge est tombé.
Nous profitons tous deux de la plénitude de ce moment de flottement entre nous... Ce vide n'est pas vide: il est plein, infini de promesses, surchargé de potentiels d'actions, visions d'intenses plaisirs…
Je me recule enfin, sans te quitter des yeux, restant de face, jusqu'à faire le pont de mes jambes au-dessus du collier. Mon épée se plante dans son cercle fermé et le pousse de quelques centimètres vers l'avant. La signification est implicite, mais j'ajoute:
«C'est nue que mes soumises réclament leur premier collier. Détache tes cheveux.»
Tu obéis. Ceci fait, tu me jettes une oeillade, que je guettais de mon côté: «A genoux!»
Les yeux levés vers moi, nous avons cet échange unique de regards comme seule la D/s peut en procurer, tandis que gracieusement, tu t'agenouilles devant moi.
C'est sous mes jambes, humble et nue, que tu es venue recevoir ton premier collier ma grosse et néanmoins petite souris soumise ^^. Tu ne l'oublieras jamais, notre «Danse de l'épée et du collier»...
Dédicace à sarah P.
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Petite histoire à lire au chaud... de votre serviteur.
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Noémie ne comprit pas, tout d'abord, ce qui lui arriva.
Elle avait à peine ouvert la porte de sa maison sur cet inconnu, et n'eut pas le temps de lui dire bonjour : la main de l'homme s'était plaquée sur sa bouche.
Elle fut saisie, et se retrouva couchée au sol, fermement maintenue sur son ventre par les mains de l'intrus tenant ses bras, et par le poids de son corps assis sur son fessier... incapable d'appeller à l'aide : une bande adhésive était maintenant fixée sur ses lévres.
Comme elle se tortillait dans sa panique, son assaillant rit, et accompagna ses mouvements frénétiques ; elle luttait avec l'énergie du désespoir, mais l'homme lui ne faisait que jouer avec sa proie... il la laissa donc lutter, tout en appréciant de la voir gesticuler ainsi. Cela dura un certain temps, jusqu'à ce que Noémie ne s'épuise.
Entre sa peur, sa respiration limitée à son nez et l'effort physique, elle ne pût continuer longtemps sa vaine lutte, et s'effondra sur elle-même, le souffle court.
Bien qu'il fut amusé, l'homme avait vu venir cet abandon, et ses mains toujours serrées sur ses avants-bras, l'accompagna doucement pour qu'elle ne se fit pas mal au crâne. Puis il sortit comme de nulle part deux paires de menottes ; il commença par refermer la première paire sur les poignets frêles de sa proie, avant d'en faire de même pour la deuxième sur les chevilles... tout en appréciant le gémissement désespéré de cette dernière.
Puis il se retira de sur Noémie, s'assit au sol non loin d'elle, et admira sa prise. La pauvrette pour sa part roula sur le flanc, n'osant point essayer de se relever.
Noémie, prise par surprise, n'avait guère eu le temps de maintenir sa tenue. Uniquement vêtue d'un short court et d'un débardeur, maintenant couverte de sueur du fait de la peur et de l'effort, elle offrait une vision tout à fait exquise, et ses jolis yeux lançaient des appels à l'aide, emplis de frayeur, tandis que ses lèvres tremblotaient sous le scotch.
L'homme sourit à cette vision, et poussa plus loin son examen... il voyait tout le corps de sa proie en état de choc frémir et frissonner dans l'expectative, et cela fit se dresser sa queue.
Il se releva soudain, faisant sursauter Noémie, et se coula au-dessus d'elle, comme un scorpion sur le point de frapper... mais son dard attendrait pourtant.
Il promena une main ferme sur les courbes de la fille couchée sur son flanc, flattant sa hanche, appréciant la chair. Puis sans prévenir il la fit de nouveau basculer sur le ventre, dans un cri étouffé.
Là, il se porta son visage juste au-dessus du sien, et elle put voir son cruel rictus. Soudain, il avança une main...
Noémie ferma les yeux et se crispa, mais il ne fit que gentiment bouger une méche de cheveux détrempée derrière son oreille, frôlant sa joue. Le geste fut doux, presque aimant... et Noémie, en dépit de sa situation, se prit à rougir.
Cela n'échappa pas non plus à son assaillant, et le fit rire. Comme en récompense, il pinça son oreille.
Noémie gémit encore, mais cette fois laissa faire ; qu'aurait-elle pu, de toutes façons ?
Alors l'homme placa cette même main sur la fesse droite de sa proie.
Ce geste non plus fut sans violence, mais Noémie cria, à travers son baillon sommaire. Une claque ferme sur cette chair tendre la fit taire immédiatement ; la surprise l'avait fait réagir, mais ce dernier acte n'avait rien d'ambigu : l'homme lui intimait le silence. Elle se tint donc coite, ne voulant pas l'énerver, bien que cette claque fut moins un coup qu'un simple avertissement.
L'homme hocha la tête. "brave fille", lui dit-il, et elle réalisa que c'était là les premiers mots qu'elle entendait de lui.
Il replaca donc sa main sur la courbe de cette fesse qui, désormais, lui appartenait comme son bien propre. Un geste d'appréciation, de propriétaire, sans excès, mais sans retenue.
Il la tâta, la palpa comme un écuyer flatte la croupe d'un cheval. Puis il la fit vibrer un peu de petites claques, tout en pinçant de son autre main la fesse gauche... Noémie, de tout ce temps-là, tenta vainement de faire croire qu'elle ne ressentait rien ; il pouvait la voir frémir, battre des paupières, et virer au rouge.
Ce fut lorsqu'elle s'y attendait le moins qu'il la releva brusquement, la soulevant par les avants-bras et le ventre l'ayant enlacée... il la fit glisser d'à plat ventre jusqu'à genoux, restant lui-même dans son dos et légérement au-dessus d'elle car posté sur un genou, l'autre jambe en arc, afin de mieux la maintenir, eut-elle tenté quoi que ce soit.
Mais la malheureuse n'en était déjà plus là ; terrifiée autant que résignée, elle commençait aussi à ressentir comme une étrange sensation, d'être ainsi contrainte et maniée contre son gré...
Son ravisseur le vit bien, lui qui n'avait pas choisi sa victime au hasard. Il esquissa un bref sourire, et se mit en devoir d'apprécier plus avant la qualité de sa proie.
Le bras gauche toujours maintenant ceux de la fille dans son dos en dépit des menottes, il glissa le droit sur la taille de cette dernière.
Noémie cria de nouveau lorsque la main scélérate empoigna la chair de son ventre, palpant et pinçant son nombril. Cette fois l'intrus la laissa aller, et se sentant libre de toute menace de représailles immédiates, elle se tortilla furieusement ! Mais lui n'en avait pas fini avec elle...
Il lui saisit un sein, laissant échapper un soupir rauque et satisfait. Même à travers le tissu pouvait-il sentir la chair douce, et un détail le fit rire de nouveau.
Bien que Noémie tentât de le cacher, ses larmes inondant maintenant ses joues furieusement rougies, l'homme put sentir sous ses doigts un petit point raffermi... il l'agaça, elle gémit, et son téton durcit encore.
Ce ne fut rien comparé au véritable coup de foudre qui saisit tout son corps, lorsque délaissant son dos le bras gauche de son assaillant plongea par la taille, et que sa main s'empara de son entrecuisse.
Désormais conquise, Noémie rua vainement une dernière fois, mais un bref quoique rude pincement dudit téton la mit en garde, et elle s'abandonna, arquée contre le corps qui à présent possédait le sien.
L'intrus poursuivit son examen, palpant d'ici un muscle au ventre, tâtant de-là une cuisse dénudée... il laissa pour l'instant sauves les chairs les plus intimes de sa captive - car elle était désormais sa captive - et se mit en devoir de pétrir sous ses mains chaque autre part de son corps, pour lui signifier que rien de ses charmes ne lui était privé... et qu'il ne s'en prendrait à ses plus douces parts qu'en temps et en heure, bien qu'elle n'y pourrait rien le moment venu.
Elle gémit, pleura doucement, mais en son for intérieur elle se surprit à apprécier son terrible péril, car privée de toute volonté la voici maintenant sans plus guère de faux-semblants. Et parce qu'il l'aimait déjà, lui la laissa glisser sur ses cuisses, lovée contre son poitrail et les jambes repliées sous elle, afin que sa position ne lui blesse point les genoux.
Lorsqu'il en eut fini, l'homme se releva, et elle crut - et elle... craint ? - qu'il ne la quitte pour de bon, ayant eu son soûl. Mais cela bien sûr ne devait pas être.
Il sortit une lame, et elle cria de frayeur.
Une claque en pleine joue, plus ferme que douloureuse, lui intima le calme.
Elle se raidit, et vit que ladite lame n'était qu'une grande paire de ciseaux. Pour cependant la rassurer, l'homme passa tendrement une main sur sa joue meurtrie, puis la fit glisser sur sa tempe pour lui caresser la tête, et finalement retomber au versant de sa nuque. Son regard fit comprendre à sa prisonnière qu'il ne la blesserait pas, et sa ferme caresse lui assura l'obéissance. Elle baissa les yeux, puis la tête, sous une dernière caresse réconfortante, et laissa faire.
Il commença par son short, ouvrant le tissu et libérant son aine de ce carcan, ne lui laissant qu'une culotte de ficelle pour orner ses jambes à présent totalement nues. Puis son débardeur y passa, et il vit avec amusement que son soutien-gorge avait d'ores et déjà quelque peu glissé. Il en disposa.
Ses jolis seins à l'air, il fit une pose pour admirer l'ouvrage. Flambée de honte, sa captive n'osait le regarder, désormais étendue sur le sol afin qu'il puisse tout voir d'elle. Entre sa chair et son ravisseur ne se dressaient plus que deux paires de menottes, un bâillon de scotch... et un string au demeurant charmant.
Si elle s'attendait à ce qu'il lui ôte également ce dernier, elle en fut pour ses frais. L'homme, qui n'avait toujours pas pipé mot, produisit deux pans de soie, puis encore deux autres.
Il se pencha sur elle, et la fit frémir. Mais il n'avait pas l'air de vouloir lui faire du mal, car il passa une main douce sur son petit ventre.
Il parla : "tiens-toi tranquille, compris ?" mais ce n'était une question que pour la forme, car elle n'oserait plus le défier, du moins pas dans le but d'une évasion. Elle n'en hocha pas moins la tête, et osa le regarder, tandis qu'il déployait la soie. Puis il se mit en devoir de la lier de plus belle et confortable manière, selon un ordre minutieux qui, soupçonna-t'elle, ne devait rien au hasard.
Il la fit se rassoir sur ses fesses, afin d'accéder à ses mains. Ôtant les menottes, il lia ses poignets d'un nœud de ce doux tissu, et elle lui en fut reconnaissante, tant les menottes dures et anguleuses pouvaient faire mal.
Il la laissa se maintenir le buste droit, en appui sur ses mains, puis il fit de même avec ses pieds, ne résistant pas à la tentation de glisser ses doigts sur leur plante. A son petit sursaut, à la crispation soudaine des orteils, il sut qu'elle était chatouilleuse... et s'en réjouit cruellement.
Elle fut effectivement plus belle ainsi, mais il n'en avait pas terminé. Arrachant le scotch de sa bouche, il la laissa reprendre un peu de souffle, bien qu'elle n'osât pas fixer ses yeux, ni émettre le moindre mot.
Ainsi assuré de sa docilité, il lui sourit, puis noua le grand pan de soie tel un bâillon, et lui clôt la bouche avant que de la couvrir d'un deuxième tour, qu'un dernier nœud fixa sur sa nuque.
Comme récompense, il y déposa un baiser qui la fit frissonner de tout son corps ; elle lui appartenait.
Elle se demandait naïvement à quoi servirait l'ultime pan de soie, et le vit bientôt... ou plutôt ne le vit point, lorsqu'il serra le bandeau sur ses yeux.
Ainsi ligotée, elle n'avait plus aucune liberté de mouvement, ni plus aucun sens actif ; privée de ses bras comme de ses jambes, de sa vue jusqu'à sa parole, elle ne pouvait qu'entendre, entendre et ressentir plus fort qu'à l'ordinaire ce qui l'entourait, pour le peu qu'elle en recevait.
Le froid du sol sous ses pieds, ses fesses et ses mains... les pas de son ravisseur, et son odeur... et sa propre odeur, mélange de sueur, de peur et... et d'excitation - et à cette pensée elle manqua de mourir de honte !
Mais c'était pourtant bien ainsi : elle était désormais la captive d'un inconnu, bon gré mal gré, et en retirait bien moins d'angoisse qu'elle ne l'aurait cru.
Elle n'eut cependant pas le temps de s'étendre sur la question, car l'homme était revenu. Elle le sentit se pencher sur elle, puis ses doigts frôler sa gorge...
Doucement - délicieusement ? - effrayée, elle résolut de bien se conduire, et lova son corps, pencha subtilement sa tête pour lui présenter son cou, telle une proie vaincue s'offre aux crocs du prédateur ! Mais bien sûr elle ne le faisait là encore que pour échapper à sa colère, n'est-ce pas... ce n'était pas, voulut-elle se convaincre, comme si elle appréciait d'être ainsi traitée !
Alors l'homme, sans doute un peu surpris, marqua un temps d'arrêt, puis rit gentiment et lui pinça l'oreille une fois de plus, la massa aimablement entre ses doigts jusqu'à ce qu'elle gémisse et devienne plus rouge encore.
Puis il acheva son œuvre : elle sentit glisser autour de son cou une chose à la fois rude et douce, souple et ferme... ce ne fut que lorsqu'il le referma qu'elle comprit : telle une bête, le chasseur venait de coiffer sa proie d'un collier !
Tous deux restèrent ainsi un moment, pour qu'elle sache ce qui venait d'être accompli, et qu'elle en prenne la pleine mesure. S'il n'avait, en toute connaissance de cause, demeuré juste là à son côté, admirant ses formes et son port, elle aurait sans doute versé dans mille bouleversements, ou quelque panique soudaine... mais de le sentir juste là, et de savoir son regard sur elle, focalisait son esprit et l'obligeait à admettre la réalite : il n'y aurait nul sauvetage pour elle, ni déni de sa part : elle était captive... et elle adorait ça.
Il se releva, et la laissa glisser de nouveau au sol, étendue sur le dos, dans un étrange état de plénitude. Nul choix, nulle voix au chapitre ne lui était plus autorisée, et bien qu'elle fut toujours apeurée, elle ne put que reconnaître que ce terrible sort ne lui déplaisait pas... serait-elle devenue folle ?
Toute considération psychologique fut cependant chassée un instant plus tard, lorsqu'elle entendit revenir son ravisseur qu'elle n'avait pas entendu s'éloigner, trop concentrée sur elle-même pour prêter attention à ce qui l'entourait.
Ce fut donc une surprise totale, et un certain choc, lorsqu'il déversa sur elle le contenu d'une bouteille d'eau glacée.
Elle rua, cria sous la frayeur subite, mais cela ne dura qu'un instant.
Elle se retrouva trempée des pieds à la tête, baignant dans l'eau sur le sol même, respirant à grandes goulées d'air par le nez, revenue de sa frayeur... et incroyablement excitée par la pure adrénaline de ce moment.
"bien" l'entendit-t'elle le dire. "ces liens sont donc solides... parfait"
Elle frissonnait, tremblait, sous le choc autant que sous l'effet de l'excitation. Mais il lui sembla confusément qu'elle avait aimé ça...
Une main se posa sur son front, y chassa quelques mèches en bataille, et la caressa gentiment. L'eau et sa peau tendue accroissaient la sensation, et elle se prit à vouloir que cette même main descende le long de son corps ; plus bas bien plus bas dans sa chair offerte...
Mais il n'en fit rien, car il savait la force d'un plaisir refusé. Tout au plus promena-t'il ses doigts sur le visage captif, lié par ses soins. Il testa le bandeau, chatouilla doucement sa joue et l'arête de son nez en y passant ses ongles, et les fit reposer à l'endroit de ces lèvres sous le bâillon...
Abandonnée, elle y porta un baiser, qu'il fut satisfait de sentir malgré le tissu.
"as-tu froid, petite femelle ?"
Dans son état de transe, il lui fallut un petit moment pour comprendre qu'il s'adressait à elle.
Elle hocha timidement la tête, et ne put voir son sourire.
"tâchons donc de te réchauffer..."
Elle se sentit saisie, portée telle une princesse captive dans les mains d'un rude geôlier, et emportée vers ce qu'elle savait être sa chambre.
Plus jamais, ni maintenant ni plus tard, ne devait-elle protester.
Jegesh
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Je continue cette petite série par l'angle psychanalytique, en abordant en particulier les travaux de son Père Fondateur, Sigmund Freud (1856-1939), ainsi que de trois de ses disciples : Carl Jung (1875-1961), Otto Gross (1877-1920) et Sabina Spielrein (1885-1942), qui ont apporté une contribution majeure à la libération sexuelle ainsi qu'à la compréhension des pulsions sadiques ou masochistes, et des relations de domination-soumission.
A tout seigneur tout honneur : il faut reconnaître à Freud son rôle de pionnier dans la reconnaissance des pulsions sexuelles comme moteur de nombre de nos actes conscients et inconscients, et dans la formalisation de deux éléments clé du psychisme humain :
- le principe de plaisir, basé sur le concept d'activation et transmission neuronale d'un état d'excitation qui préside au besoin de recherche permanente du plaisir ;
- le principe de réalité, qui s'oppose à l'immédiateté de ce besoin de plaisir, en intégrant les contingences du monde réel et conséquences futures de ses actes, mais qui crée simultanément des déceptions, frustrations et refoulements plus ou moins conscients, qui peuvent donc dégénérer en névroses ;
Sous l'influence de Sabina Spielrein, il y ajoutera deux pulsions :
- la pulsion de vie, ou l'Eros, sorte d'instinct de vie et d'autoconservation, ainsi que force vitale et libido, qui engendre le désir, source d'action pour assouvir ce désir ;
- la pulsion de mort, ou Thanatos, qui s'oppose à la précédente et tend à la déliaison , c'est-à-dire au non désir, caractéristique d'un état dépressif, voire d'auto-destruction.
Ces quatre principes et pulsions s'organisent et interagissent dans les théories freudiennes aux trois niveaux de l'appareil psychique : le Moi (qui est régi par le principe de réalité et permet la vie en société), le Ça (qui obéit au principe de plaisir et recherche la satisfaction immédiate du désir) et le Surmoi (qui intériorise au niveau inconscient, une fois le complexe d'Oedipe résolu, les règles de vie sociale et les restitue sous forme de remords ou de culpabilité lorsqu'elle sont enfreintes, tel une tour de contrôle de notre trafic émotionnel).
La dynamique des interactions entre ces quatre principes et pulsions aux trois étages du psychisme engendre alors des conflits et des tensions qui peuvent simplement s'évacuer par les rêves nocturnes, mais peuvent aussi se développer en névroses visibles (paranoïa, schizophrénie, mélancolie, ...) ou en pulsions libidinales incontrôlées (sadisme, masochisme, fétichisme, ...).
On le comprend : Freud a été précurseur dans la reconnaissance du rôle central de la sexualité dans le psychisme humain. Il considérait que ses dérives constituaient des maladies ou névroses qu'il fallait soigner.
Carl Jung a été, pour sa part, l'un des principaux disciples de Freud. Ses contributions au développement de la psychanalyse ont été prolifiques. Pour notre sujet du jour, je retiendrai notamment le concept d'anima et d'animus, c'est-à-dire de part de masculinité et de féminité chez l'homme et la femme : c'est donc, d'un certaine façon, grâce à lui que certains membres de ce site peuvent aujourd'hui se déclarer "bi" ou "trans", et assumer leur bi- ou trans-sexualité ! J'y reviendrai dans la 5ème et dernière partie...
Mais un autre aspect de la personnalité de Jung était son penchant pour les femmes. En dehors de son épouse officielle, il eut plusieurs relations adultérines, essentiellement avec certaines de ses patientes, dont l'une occupera une place de premier plan dans sa vie et sa carrière : Sabina Spielrein. D'abord sa patiente, atteinte d'une grave névrose de type hystérie, elle devint son élève, jusqu'à devenir l'une des premières femmes psychanalystes, et enfin son amante. C'est elle qui formalisa le concept de « pulsion destructive et sadique », et eut avec Carl Jung une relation passionnée, que l'on qualifierait sans doute aujourd'hui de BDSM. Ces deux précurseurs de l'étude du psychisme humain furent donc aussi deux pionniers de l'art des plaisirs extrêmes et des relations de domination/soumission et de sado-masochisme !
Un autre patient eut cependant également une influence décisive sur Carl Jung : Otto Gross. Ce médecin fantasque s'oriente très tôt vers la psychanalyse. Mais il est aussi anarchiste, toxicomane, et, comme Carl Jung, amateur de femmes … Ce qui lui vaudra de nombreux séjours en prison et en hôpital psychiatrique (comme patient, et non comme médecin !). Il est apprécié par Freud pendant quelques années, mais face à ses positions anarchistes, celui-ci finit par le renier, le jugeant hérétique et dangereux.
Mais surtout, Otto Gross s'opposa à Freud sur un point essentiel : il fût un fervent défenseur de la liberté sexuelle, alors que Freud considérait au contraire la sexualité comme la cause essentielle de la formation des névroses. Otto Gross eut sur ce point une influence considérable sur Carl Jung pour l'aider à libérer ses propres pulsions sadiques, et les mettre en pratique avec Sabina Spielrein (cette histoire est assez bien racontée dans l'excellent film "Dangerous methods", d'ailleurs). Il fut donc un théoricien fondateur de la libération sexuelle qui aboutit aux révolutions des mœurs des mouvements hippies aux Etats-Unis et de mai 68 en France presque cent ans plus tard !
Ce quadrumvirat de psychanalystes a donc joué un rôle essentiel dans la reconnaissance d'une sexualité débridée et ouverte à des pratiques « hors normes » telles que le BDSM. On peut donc dire sans exagération que sans eux, tous les membres de ce site seraient encore aujourd'hui condamnés au bûcher social !
Pour conclure cette partie 4, je dirais juste que la philosophie et la psychanalyse ont été déterminantes pour briser le carcan de la morale religieuse. Il aura cependant fallu encore d'autres étapes difficiles pour faire admettre la liberté sexuelle, et en particulier celle des femmes : ce sera l'objet de ma 5ème et dernière partie !
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Se faire plaisir ... quoi de plus naturel ?
Et pourtant, tout n'est pas si simple ... Je vais tâcher de délier quelques fils conducteurs de la pensée philosophique sur ce sujet si controversé du plaisir et de son supposé opposé : la douleur.
La plupart des morales religieuses ont condamné pendant des siècles le plaisir (pas seulement sexuel), au motif principal que la recherche du plaisir conduit au vice et détourne de la spiritualité et de la quête de Dieu. D'autre part, encore aujourd'hui et au moins dans l’Église catholique, le rôle unique de la sexualité est la procréation, et non le plaisir.
Certains philosophes définissent le plaisir comme l'absence de douleur : le plaisir n'existe que comme état contraire de la douleur, et ces deux sensations sont indissolublement liées comme contraires, à la façon du Bien et du Mal, ou des pôles opposés d'un aimant. C'est ainsi en tout cas que le concevait Platon en son temps. Shopenhauer va même plus loin, en définissant le plaisir comme la simple absence de douleur, ou la cessation de la douleur. Ainsi, pour éprouver le plaisir de posséder quelque chose, faut-il avoir commencé par le désirer, et ce désir préalable est un état de manque douloureux : c'est là tout le principe du capitalisme, d'ailleurs ! L'acte d'achat assouvit le plaisir en faisant cesser la douleur du manque ...
Dans un registre différent, Spencer observe que dans tout le règne animal, la recherche se sensations agréables et l'évitement des situations désagréables est un principe essentiel de survie. Cependant, Spencer le reconnaît, l'utile et l'agréable ne sont pas toujours liés : ainsi un champignon ou une plante d'un aspect ou d'un goût agréable pourra contenir un violent poison conduisant à d'atroces souffrances voire à la mort ! Mais ce peut aussi être le contraire : un médicament au goût amer aura le pouvoir de guérir une maladie grave, ou bien un chemin escarpé pourra conduire au plus beau des paysages !
Les Spartiates, quant à eux, pratiquaient un enseignement obligatoire et une discipline de fer alliée à un sens élevé du devoir et de la soumission à l'intérêt supérieur de la collectivité. Les enfants étaient élevés à la dure, et des concours (combats rituels, flagellation) visaient à sélectionner les plus vigoureux et les plus endurants à la douleur.
Enfin, selon Aristote, le plaisir prend sa source dans la liberté (d'agir et de penser, en variant ses choix au gré de ses humeurs et de ses envies), tandis que la douleur surgit de la privation de ces libertés.
Ainsi donc, douleur et plaisir, un inséparable duo ?...
Les sportifs qui pratiquent des sports extrêmes comme le marathon ou certains sports de combat savent bien que non, et qu'il faut souvent dépasser une phase de douleur intense pour atteindre une plénitude et sensation de bien-être total, qui se compare à l'état de "subconscience" dans le domaine du BDSM, quand les endorphines agissent pour transformer la douleur en bien-être extrême !
Bien sûr, le plaisir ou la douleur doivent se vivre, plutôt que de se théoriser ainsi que je le fais ici. Mais pour ceux que cela intéresse, je reviendrai néanmoins dans une prochaine partie sur les philosophies du plaisir telles que l'hédonisme, et celles d'Epicure, Aristippe, Freud et bien sûr Sade et Sacher-Masoch !
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Je continue cette petite série (qui comptera 5 chapitres en tout) par Sade (1740-1814), le plus sulfureux des Marquis, et Sacher-Masoch (1836-1895), le premier esclave sexuel par choix et par contrat de l'histoire humaine ! Je sais par expérience que je ne vais pas me faire que des amis en exposant mon point de vue sur Sade ici...
Disons le tout net : Sade n'a rien de "divin" ! Et encore de nos jours, sa moralité le conduirait directement à La Bastille (si celle-ci existait encore...). Songez : viols, pédophilie, mutilations, incestes, meurtres, excusez du peu ! Sans parler des actes de sodomie (crime passible du bûcher à cette époque !) et de blasphèmes !...
Et pourtant, c'est un vrai révolutionnaire, au moins sur deux plans : en premier lieu, en tant qu'anti-clérical radical, il a sans nul doute contribué à faire évoluer les esprits vers un État moderne laïque tel que celui que nous connaissons aujourd'hui en France, ce qui reste une exception de par le monde. En second lieu, ses penchants érotiques et sexuels débridés préfigurent la libération des mœurs des années 1960 !
Sade s'est d'abord fait connaître par les scandales religieux et sexuels qu'il a suscités, mais c'est son œuvre, rédigée pendant les longues années d'emprisonnement, qui le fera passer à la postérité, dont en particulier Les Cent Vingt Journées de Sodome et surtout Justine ou les Malheurs de la vertu, son écrit le plus emblématique.
Cette œuvre sera censurée pendant plus de deux siècles, avant d'être petit à petit réhabilitée par des écrivains, poètes et psychanalystes tels qu'Apollinaire, Robert Desnos (qui ose écrire dès 1923 dans 'De l'érotisme' « Toutes nos aspirations actuelles ont été essentiellement formulées par Sade quand, le premier, il donna la vie sexuelle intégrale comme base à la vie sensible et intelligente »), Sainte-Beuve, Flaubert, Baudelaire, Michel Foucault, Jacques Lacan ou Roland Barthes, jusqu'à voir son œuvre intégrale publiée dans la prestigieuse collection de La Pléïade en 1990 !
Donatien Alphonse François de Sade laissera aux générations futures le substantif de sadisme, qui lui a été attribué en 1886 par un médecin allemand, Krafft-Ebing, et qui désigne alors une perversion sexuelle dans laquelle "la satisfaction est liée à la souffrance ou à l’humiliation infligée à autrui". Ceux qui ont vraiment lu Sade savent qu'on a souvent l'estomac au bord des lèvres, tant la morbidité et la sauvagerie barbare y sont présentes ! Et en aucun cas il ne parle du plaisir de souffrir, seul lui importe le plaisir égoïste de faire souffrir ! Il faut admettre toutefois qu'il développe dans Justine à ce propos une philosophie du "bonheur de l'autre" dans le cadre d'un érotisme de groupe qui exclut l'amour, qui est à ses yeux une perversion et une "maladie de l'âme" enfermant la relation dans un cadre réduit à deux personnes... On retrouve parfois ce principe chez certains pratiquants BDSM qui considèrent qu'amour et BDSM doivent être exclusifs l'un de l'autre...
Enfin, il m'apparaît tout aussi clairement, tant sous l'éclairage de sa vie réelle que de ses écrits, que Sade n'est pas réellement libertaire : il ne défend pas la liberté de tous, mais surtout la sienne, celle de prendre du plaisir dans la souffrance des autres... Une phrase extraite de La Nouvelle Justine est très révélatrice à cet égard : « Se rendre heureux aux dépens de n’importe qui »
Sade se positionne ainsi comme un philosophe matérialiste (c'est-à-dire où la fin justifie les moyens), qui préfigure des penseurs tels que Helvétius ou La Mettrie, tous deux adeptes d'un sensualisme matérialiste radical : mais ils n'ont jamais à ma connaissance prôné le meurtre ou le viol comme moyen de parvenir à la jouissance, au plaisir ou au bonheur dont La Mettrie faisait l'objectif essentiel d'une vie (concept révolutionnaire à l'époque) !
A l'opposé de Sade, Leopold Ritter von Sacher-Masoch, d'origine autrichienne, fils d'un préfet de police (ceci expliquerait-il cela ?!), va adopter un comportement de soumis sexuel.
Après une déception amoureuse, il fait en 1869 la connaissance d'une certaine Fanny Pistor dont il s'engage par écrit à exécuter tous les ordres et désirs pendant six mois ! Il concrétisera ensuite cet engagement avec celle qui deviendra son épouse en 1873, Aurora Rûmelin, avec qui il signe un contrat dans lequel il stipule, entre autres : « Je m'oblige, sur ma parole d'honneur, à être l'esclave de Mme Wanda de Dunajew, tout à fait comme elle le demande, et à me soumettre sans résistance à tout ce qu'elle m'imposera. » Il y exprime en particulier les désirs d'être battu, cocufié, maltraité, humilié et traité en esclave.
Il confessera cet engagement dans un ouvrage aussi emblématique que peut l'être Justine pour Sade, à savoir La Venus à la fourrure.
Bien que le même docteur Krafft-Ebing ait qualifié ce comportement de perversion sexuelle miroir du sadisme, sous le nom de masochisme, l'attitude de Sacher-Masoch a moins suscité de scandale que celle de Sade, ne serait-ce que parce qu'elle est basée sur une volonté consentie et formalisée par un contrat.
On retrouve encore aujourd'hui dans nombre de relations BDSM cette tradition du contrat, qui est la marque d'une relation agréée par les deux parties, plutôt que celle d'une souffrance imposée comme dans le cas de Sade.
En conclusion, on peut dire que Sade et Sacher-Masoch constituent les deux faces d'une nouvelle philosophie du plaisir, qui admet que la douleur, infligée ou subie, peut être source de plaisir !
Peut-on prendre du plaisir à faire souffrir ? Peut-on prendre du plaisir à souffrir ? Les deux faces d'une même question, initiée par Sade et Sacher-Masoch, au coeur des relations SM. D'ailleurs, à y regarder de près, il n'y a en effet qu'une seule lettre qui différencie le mot douleur du mot douceur ! Mais il est clair aussi, si l'on y regarde de près, que Sade ne mérite pas d'être glorifié comme il peut l'être parfois, car ses actes relevaient davantage du meurtrier tortionnaire que de la recherche de plaisirs extrêmes partagés : il n'y avait en particulier chez lui aucune recherche de consentement mutuel, et il ne pouvait jouir que dans la souffrance d'autrui !... Tout le contraire de Sacher-Masoch, qui est donc de mon point de vue le vrai père et le vrai inspirateur des pratiques BDSM que nous connaissons aujourd'hui.
Pour continuer cette série, j'aborderai la prochaine fois le plaisir sous l'angle de la psychanalyse, en particulier dans ses origines avec Sigmund Freud, Carl Jung, Sabina Spielrein et Otto Gross.
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Après un petit tour d'horizon allant de Platon à Aristote en faisant un détour par Shopenhauer, Spencer et les Spartiates, nous pouvons en venir au principal courant philosophique basé sur une morale du plaisir : l'hédonisme, issu principalement de la pensée de deux philosophes grecs, Epicure et Aristippe, mais aussi, dans une certaine mesure, de Platon et Démocrite et revendiqué aujourd'hui par un philosophe tel que de Michel Onfray. Il a pu émerger et s'établir grâce à l'individualisme prôné par des penseurs tels que Descartes ("Cogito ergo sum"), Rousseau ("Personne ne doit rien à quiconque prétend ne rien devoir à personne") ou Friedrich Hayek...
Selon ce courant de pensée, chaque individu devrait pouvoir exercer des choix tendant à maximiser les plaisirs de l'existence, et à en minimiser les inconvénients. Bien entendu, ces plaisirs ne sont pas nécessairement purement physiques ou sexuels, mais peuvent inclure selon les propensions et inclinations de chacun des valeurs telles que l'amitié, la gourmandise, la bonne santé, le savoir et la culture, la pratique des arts, etc. Tandis que l'on tentera d'éviter la douleur, les conflits, l'humiliation et la soumission à un ordre imposé, la violence et les privations de liberté.
L'hédonisme a été condamné irrévocablement par les principales religions monothéistes parce qu'il suppose une indépendance d'esprit opposée à la croyance et à la foi, ainsi qu'un goût du savoir et de l'expérience réelle contraire aux dogmes et lois imposés. La sexualité libre prônée par cette philosophie s'est donc naturellement retrouvée sous le couperet des moralisateurs et manipulateurs religieux avides d'imposer leurs fois et croyances, ouvrant ainsi la voie à des siècles d'obscurantisme sensuel !
En sens inverse, et en toute logique, la plupart des philosophes hédonistes se sont affirmés athées ou agnostiques, et parfois matérialistes ou même anarchistes. La synthèse moderne de cette pensée se trouve sans doute dans les écrits et discours de Michel Onfray, créateur de l'Université Libre de Caen au nord de la France, et revendiquant une dimension politique de l'hédonisme devant conduire à une société libertaire. Pour les amateurs, le traité qui l'a rendu célèbre est son "Traité d'Athéologie", mais je recommanderais ici plutôt la lecture de "L'Art de jouir", de "Pour un matérialisme hédoniste", de "La Théorie du corps amoureux", et de "Pour une érotique solaire".
D'après Onfray, l'hédonisme se résume par cette maxime de Chamfort :
« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne,
voilà je crois, toute la morale ».
Ainsi, l'hédonisme exclut la douleur et la soumission comme sources de plaisir : nous sommes donc aux antipodes de la philosophie BDSM ! Et pourtant, les membres de ce site le savent bien, ces sensations ne sont pas incompatibles entre elles, et peuvent même se renforcer mutuellement, par un curieux effet miroir.
C'est le sulfureux Marquis de Sade qui, le premier, osera revendiquer le fait d'infliger la douleur pour atteindre son plaisir, et deviendra ainsi le chef de file du "sadisme", aux connotations si controversées. Pourtant, il est selon moi aux antipodes des valeurs BDSM, et en particulier de l'un de ses principes essentiels : le consentement mutuel. En sens inverse, c'est Leopold von Sacher-Masoch qui popularisera le concept de "masochisme" et de "contrat de soumission" au travers de son roman La Venus à la fourrure. Ce sera le sujet de mon prochain article ici !
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Le jour ou nous avons Switché.
Lui :
Comment est-ce venu? Je n'ai pas écris "arrivé" parce que cela comporterait une notion de soudaineté qui n'est pas. C'est venu petit à petit.
Je reconnais que, pour être passé par là, un switch n'a pas la tâche facile. Là où ceux qui ne connaissent pas la question ou restent sur l'apparence y voient des chasseurs sur les 2 tableaux, je sais combien il est difficile d'être pris au sérieux. La domina se méfie d'un possible sinon probable "souminateur", la soumise doute que la personne en question soit vraiment capable de la dominer. Or les 2 cotés, dominant ou soumis, sont chez moi totalement dissociés: quand je fais l'un, je ne fais que cela. Je suis dans mon "statut" à fond (j'évite le mot rôle qui peut laisser à penser que c'est un jeu).
Par quel chemin avons-nous basculé? Je connais sont tempérament autoritaire (elle adore employer l'impératif) depuis toujours. Je me souviens aussi de son aisance immédiate quand elle dominé devant moi une de ses amies soumise. Pour s'imposer naturellement, psychologiquement ou physiquement elle ne se forçait pas. Cela coulait de source (dans tous les sens du terme ^^). Elle prenait un plaisir évident à la fesser, la fouetter. Je me souviens de sa phrase quand j'ai ouvert la porte pour lui faire la surprise; son amie attendait dans le couloir de l'hôtel à genoux, yeux bandés. Hydréane avait murmuré, "c'est donc ça être soumise"... Ma belle par retenue ou gentillesse masque à beaucoup ce coté de son caractère. Quelques mois après elle décida avec mon accord de chercher sa perle rare, sa soumise;
Mais en y repensant il y eu aussi un déclic. Lors d'une de nos dernières rencontres, ma Douce (je ne sais plus trop si je devrais toujours la nommer ainsi ...... voulu me faire une surprise. J'aime cela. J'aime les surprises, j'aime ses initiatives, sa participation, son implication dans notre relation; elle n'est pas juste "suiveuse". En revenant de la salle de bain, elle m'est apparue dans une superbe tenue en vinyle: une robe courte, échancrée, noire.......
Elle était complétée par des gants remontant au coude, des bas à couture avec 2 jarretelles devant, une derrière Juchée sur ses escarpins noirs, elle avait une classe folle. Et une vraie allure de domina. Je me suis toujours demandé si elle en avait conscience ou non... Toujours est-il que rien n'a changé ce jour là, je suis resté le Maître.
Enfin c'est ce que je croyais. Parce que subrepticement, une étrange idée s'installait peu à peu en moi. Mes envies de soumis, d'obéir à une superbe déesse revenait en moi. Contre mon gré. Impossible de lutter quand on ne le voit pas venir. Avec le recul c'est plus clair, mais sur le moment... Pas à pas cette idée faisait plus moins inconsciemment son chemin. Je m'étais déjà dit aussi qu'en corset noir et dim-up résilles elle était terriblement sexy, et que finalement quand on y pense une tenue de domina n'est parfois pas si différente d'une tenue de soumise. Je me souviens également que ce jour là je me suis fait violence pour ne pas m'agenouiller devant elle et l'entourer de mes bras ma tête contre son ventre.
Toujours est-il que le vers était dans le fruit. Plus tard, par hasard (mais en était-ce vraiment?) nous en avons parlé; comme je le supposais elle adorait cette idée. Avec le recul, et me sachant absolument grand fétichiste de ses matières, tenues de notre environnement BDSM, je suis persuadé que rien n'avait été fait innocemment. Pour mon plus grand bonheur je précise. Je pense qu'elle voulait me tester voir m'inciter à basculer sans oser me le dire. Pour une réussite...
Dorénavant, j'appartiens à dame Hydréane.
Moi.....
Mon Soumis....
Je pensais trouver ma Perle Féminine, et surtout pas un soumis. Nos conversation changent depuis quelque temps, j'ai pris une autre voie et tu m'as laisser faire. Après bien des discutions ou emails. J'ai pris peu à peu le rôle de Domina sur toi, cette dernière rencontre est vraiment autre et tu le sais. Nous avons longtemps discuter tous les deux de nos changement de statut et plus l’heure approche de te voir, plus je tremble à l’intérieur de moi, mais je sais se qui va se passer. Tu as su bien avant moi que je serais Domina un jour, tu le savais à ma façon de te parler.
Dans la chambre ou nous nous retrouvons, je te dis de te déshabiller, j'admire ton corps, mais je ne dit rien; tu es si lent, je te dis de te dépêcher; je vois ton léger sourire... Je m éloigne, m’attache les cheveux; tu me regardes, ma robe de vinyle, mes longs gants qui montent jusqu'à mes coudes, mes escarpins .. Tu ne sais pas encore que dessous j'ai juste mon porte-jarretelles. Tu es à genoux devant moi; te voir ainsi me trouble… Ton regard sur ma robe vinyle en dit long, je n’avais jamais vu tes yeux briller de cette façon...
Je te parle et je suis étonnée de mon aisance , , je te dis de t' agenouiller face au lit, je te caresse les fesses avec mes gants, je te fesse d abord doucement, je te claque de plus en plus fort, tu gémis; je m assied sur son dos, si sûre de moi , je te fesse de plus belle: tu tressautes, tes fesses deviennent rouge sous mes gants, tes jolies fesses que j'ai toujours rêvé de claquer, tes jolies fesses si blanches qui rougisses au plus fort de la fessée... Je te caresse longuement , il me semble bien que mon soumis est une belle érection... J’alterne caresses et claques, j’embrasse tes fesses si rouges... Et mord en même temps. Mes plus profonds désirs deviennent réalité, tu n'as plus ton mot à dire...
A ma demande tu t’allonges sur le lit, je prends les cordes je t'attache la main, je ne connais rien au nœuds; ce que je fais est simple, je repasse sous la table de chevet et t'attache l’autre main; à chaque fois que je te frôle avec mes gants vinyle, je te sens frémir mon soumis... Puis c est au tour de tes pieds. Allongé sur le lit, je te regarde, tu es mon soumis, tout à moi; je frisonne et me reprends, une Maîtresse peut elle éprouver de la tendresse pour son soumis?...
Je sors la bougie l’allume, j’attends qu'elle chauffe, je me place au dessus de toi sur ton dos à califourchon, je fais tomber une goutte sur son dos tu gémis et plusieurs gouttes de cire coulent sur ton dos; j’essaie d'écrire le mot soumis et je te le dis. Tes gémissement sont de plus en plus fort, je me relève et je fais tombée des gouttes de cire sur ses fesses chaudes, je me rends compte que je n ai pas la technique, je pense que cela te brule de trop. Tu ne me diras pas stop, c’est à moi de savoir; je souffle la bougie . Je vais chercher un gant mouillé , pour le rafraîchir pour soulager la douleur, je vais le faire longtemps. jusqu’à que ta peau soit moins brulante.
Je prends la cravache je te dit de l'embrasser . Je te caresse les fesses avec et claque la cravache s’abat sur elles, Hummm tes fesses sont plus rouges, je te claque partout à l’intérieur des fesses, le haut de cuisse, je sens que je dois me maîtriser. J ai envie de le frapper fort, je te demande si tu veux que j’arrête si c est trop dur, de me dire stop ,tu gémis, refuse. Je te cravache encore , je pose la cravache et applique délicatement mes mais gantées sur tes fesses si bouillantes, je te détache et te prends s dans mes bras, je n ai aucune idée de ce que fait une Maîtresse dans ses ças là. Mais moi j’ai envie de te câliner et de te remercier de cette confiance que tu me donnes… Il est beau ton regard, magnifique, il y a un tel désir dans tes yeux de me plaire, tu me fait temps frissonner je te caresse avec mes escarpins tu gémis à nouveau, frisonne; ton corps n'est que désir de me plaire... Alors je passe mon pied avec mon escarpin sur ton corps, tu aimes cela… Nous sommes en osmose c'est géant...
j’ai envie de toi Soumis, je te mets les pinces sur tes tétons; hummm j aime ça te voir te tortiller pendant que je te chevauche je tire sur la chaîne!... Je défais une pince pour mette sur mon téton, nous sommes reliés par la chaîne, je te regarde. Hummm ce que je vois dans tes yeux est fort , tu es du plein de désir, tu m affoles... Je te remercie..,
Dans la douche tu me laves doucement, tu me sèches avec la serviette, je me lasse pas de tes yeux sur moi. .. Tu as été mon premier soumis, j ai adoré. Je me suis sentie grandir, devenir une autre, je suis ta reine désormais, ta Domina ... Mon Adorable soumis, j’ai si hâte de te revoir...
Dame Hydreane qui est Ta Reine désormais, Maîtresse de son soumis.
Merci a toi tu m as comblée .
Je te réserve bien d'autre surprise à notre future rencontre ...........
Lady H
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Ecoutez, entendez la musique.
Qui me lancine comme un générique.
Qui vibre dans ma peau énigmatique.
Et me sublime encore, oh supplique.
Voyez mes effets sur ma cambrure.
Appliquez-vous bien à sa lecture.
Cravachez mes hanches en écriture.
Je n'y porterai pas de censure.
Touchez, goutez-moi à fleur de peau.
Pour me délivrer de tous mes maux.
De ma bouche jailliront en échos.
Avec tous mes plaisirs, dans mes mots.
Venez me prendre, posséder mon corps.
Et m'emportez sous un ciel d'accords.
Sans retenue, de plus en plus fort.
Livrons-nous dans un corps à corps.
Arrachez tout, soufflez un murmure.
Délivrez-moi de mon armure.
Et de vos mains toutes accordées.
Mettez-moi en en émois endiablés.
Ecoutez, lisez en mes parcelles.
Et sachez les trouver sensuelles.
Elles jouent une symphonie d'aquarelle.
Livrée à mes appas fusionnels.
Le 20 07 2016.
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Sauvage nous sommes,
Extase nous donne,
La pensée charnelle,
De deux Etres,
Faisant du corps à corps,
Pour se dévorer,
D'une sensualité,
Qui monte au degré,
De sexualité libérée,
Oh ! oui la sensation,
Des vas et viens,
De deux organes,
Qui se complètent,
Qui s'emboîtent à la perfection,
Un souffle, un orgasme, un cri,
Hum ! c'est bon,
Jusqu'à en hurler,
Hurler de plaisir pour elle,
Gémir d'extase pour lui,
Et sa délivrance.
Le 20 07 2016
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Suite au bon accueil de mon article l'automne dernier proposant des traductions de chansons de Pink Floyd : http://www.bdsm.fr/blog/2449/traduction-de-chansons-de-pink-floyd-du-sens-et-de-la-po%C3%A9sie j'ai décidé de continuer en passant à LED ZEPPELIN qui profite bien aussi de la plume talentueuse du chanteur Robert Plant. Voici quatre chansons, dont la première est emblématique pour tout le monde. En connaissiez-vous les paroles ?
STAIRWAY TO HEAVEN
https://www.youtube.com/watch?v=oW_7XBrDBAA
UN ESCALIER VERS LE PARADIS
Il est une Princesse qui est certaine
que tout ce qui brille est d'or.
Et elle s'offre un escalier jusqu'au paradis.
Et lorsqu'elle l'atteint, elle sait
que même si tous les guichets sont fermés,
Un mot suffit pour obtenir ce qu'elle est venue y chercher.
Il y a un signe sur le mur,
mais elle veut être sûre
Car vous savez, les mots ont parfois un double sens.
Dans un arbre, près du ruisseau,
il y a un oiseau qui chante.
Parfois toutes nos pensées sont remplies de doutes.
Je suis ému lorsque je regarde vers l'ouest
Et mon esprit cherche désespérément à s'évader.
Dans mes songes j'ai vu
des volutes de fumée à travers les arbres,
Et les voix de ceux qui restent là à regarder.
Et on murmure que bientôt,
si nous chantons tous le même air,
Alors le joueur de flûte nous guidera vers la raison,
Et une nouvelle aube se lèvera pour ceux qui ont tenu,
Et les forêts résonneront à nouveau d'éclats de rire.
Et je me demande...
Si ton jardin est chamboulé, ne t'affole pas,
Ce n'est que le nettoyage de printemps pour la Reine de Mai.
Oui il y a deux chemins possibles, mais en fin de compte,
Il est toujours temps de changer de route.
Ta tête bourdonne et ça ne cessera pas, au cas où tu l'ignorerais.
Le joueur de flûte t'invite à le rejoindre.
Chère Princesse peux-tu entendre le vent qui souffle,
et le savais-tu,
Ton escalier repose sur les murmures du vent.
Et alors que nous serpentons la route,
Nos ombres plus grandes que notre âme,
Y marche une Princesse que nous connaissons tous,
Qui brille d'une lumière blanche et qui veut montrer
Comment tout se transforme toujours en or.
Et si tu écoutes très attentivement,
Finalement l'air te parviendra,
Quand tous ne feront qu'un et qu'un sera tous,
Pour être un roc et ne pas rouler.
Et elle s'offre un escalier jusqu'au paradis.
THE BATTLE OF EVERMORE
https://www.youtube.com/watch?v=DJik3FPyoQE
LA BATAILLE DE L'ÉTERNITÉ
La Reine de la Lumière prit son arc, puis se retourna pour partir.
Le Prince de la Paix embrassa les ténèbres, et marcha seul dans la nuit.
Dansez dans la pénombre de la nuit, chantez jusqu'à l'aube.
Le Seigneur Ténébreux chevauche en force cette nuit, et le temps nous dira tout.
Jetez vos charrues et fourches, n'ayez de cesse afin de ne pas verrouiller vos maisons.
Côte à côte nous attendons de pied ferme la puissance du plus Sombre d'entre tous.
J'entends le fracas des chevaux dans la vallée en contre-bas.
J'attends les anges d'Avalon, j'attends la lueur à l'est.
Les pommes de la vallée recèlent les germes du bonheur,
Le sol est riche de soins délicats, rendez grâce, n'oubliez pas, non.
Dansez dans la pénombre de la nuit, chantez jusqu'à l'aube.
Les pommes deviennent brunes et noires, le visage du tyran est rouge.
La guerre est une banale plainte, prenez vos épées et volez.
Le ciel est rempli du Bien et du Mal, tels que les mortels n'ont jamais connu.
Oui, la nuit est longue, les grains du temps s'écoulent lentement.
Les yeux fatigués sur le lever du soleil, attendant la lueur à l'est.
La souffrance de la guerre ne peut excéder le malheur des séquelles.
Les tambours secoueront le mur du château, les Esprits Servants de l'Anneau chevauchent en noir.
Chantez en levant vos arcs, tirez plus juste que jamais.
Sans réconfort est le feu dans la nuit, éclairant le visage froid ô combien.
Dansez dans la pénombre de la nuit, chantez jusqu'à l'aube.
Les runes magiques sont écrites d'or pour rétablir l'équilibre. Rétablissez-le!
Le soleil brille enfin, les nuages chagrins sont chassés.
Avec les flammes du dragon des ténèbres, l'éclat du soleil aveugle ses yeux..
THE RAIN SONG
https://www.youtube.com/watch?v=zDVnjCwCYCs
LA CHANSON DE LA PLUIE
Voici donc le printemps de mon amour
la deuxième saison que je connaisse.
Tu es le soleil de ma croissance
une chaleur telle que ne n'en ai ressenti.
Comme je me sens aisément rougir
j'observais le feu qui montait, si lent.
Voici l'été de mes sourires
éloignez-vous de moi, Gardiens des Ténèbres.
Parle-moi seulement avec tes yeux.
C'est à toi que je dédie cet air.
Pas si dur de s'en rendre compte
ces choses sont claires pour tous depuis la nuit des temps.
Parle, parle moi!
j'ai senti la froidure de mon hiver.
Jamais je n'ai pensé que ça finirait un jour.
J'ai maudit l'obscurité qui s'était jetée sur nous.
Mais je sais que je t'aime, tant...
Ce sont les saisons de l'émotion et
comme les vents elles se lèvent puis retombent.
C'est la merveille du dévouement
Voici le flambeau que nous devons tous porter.
C'est le mystère du quotient
une petite pluie doit tomber sur nous.
Juste une petite pluie...
ALL MY LOVE
https://www.youtube.com/watch?v=YMPU52txRIQ
TOUT MON AMOUR
Devrais-je me laisser tomber du haut de cet amour,
ma flamme dans la lumière
Pour chasser une plume dans le vent,
Dans la lueur qui tisse les manteaux de plaisir
Tressaille encore un fil sans fin.
Pour toutes ces heures et ces jours qui passent bientôt
Le cours du temps a fait s’estomper la flamme
Finalement le bras est droit, la main sur le manche
Est-ce pour en finir ou à peine pour entreprendre ?
Tout mon amour, tout mon amour pour toi
La tasse est levée, le toast est déjà prêt
Une voix claire s’élève au dessus du vacarme
Fier aryen, un mot, ma volonté pour supporter
Pour moi, le drap à enrouler encore une fois
Tout mon amour, tout mon amour pour toi
Le drap est tien, mienne est la main qui coud le temps
Sienne est la force qui se trouve à l’intérieur
Nôtre est le feu, toute la chaleur que nous trouverons.
Il est une plume dans le vent
Textes par Robert Plant
Traduction Filo
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LA JUSTE PAROLE est mon deuxième roman, sorti en 2013.
C'est l'histoire revisitée de la société humaine sur plusieurs siècles, à travers une autre religion que celles que notre humanité a connues dans notre réalité.
Sous forme de conte uchronique pour adultes ou d'épopée, illustré par AlxiA, ce roman de théo-fiction s'attaque sans ménagement au concept de religion, s'inspirant de certain monothéisme. Le mot "dieu" n'y est pourtant pas mentionné une seule fois.
Dans un monde qui pourrait être le nôtre (entre la dystopie et l'uchronie), une religion artificielle devient, de l'antiquité à l'ère moderne, le courant spirituel dominant, façonnant la société humaine avec ses préceptes, ses lois, ses jeux de pouvoir, ses guides charismatiques, ses opposants, son inquisition et ses guerres.
Mais la foi, quelle que soit la validité de sa nature d'origine, engendre autant le bien que le mal, et gouverne pour le meilleur et pour le pire le destin des hommes, consciemment ou inconsciemment, à travers des siècles de générations.
Le prophète a annoncé qu'à la fin du septième âge, la Comète de Mand repassera et marquera la venue du rédempteur, le Juste d'entre les Justes.
À l'ère moderne, Dhorès, un journaliste désabusé, va enfin découvrir celui-ci, et aura à choisir entre le chaos immédiat et une longue agonie du monde perverti.
Épopée d'une société humaine, sur dix-sept siècles, en plusieurs époques clefs, à travers l'histoire de sa religion, de ses fondements jusqu'au chaos final, La Juste Parole nous délivre un message d'humanité, teinté d'écologie, de socio-philosophie, de politique, mais aussi d'amour.
Broché - 15x21 cm - 338 p -illustré couleur - ISBN 978-2-918566-29-8 - 22 €
(disponible sur Amazon ou commandable en librairie,
mais il vaut mieux me le commander directement par ici, en com ou MP)
J'ai composé et enregistré également la B.O. du livre, un CD musical de 50 mn, comme une musique de film.
Pour l'écouter en ligne : https://soundcloud.com/la-juste-parole
Voici un extrait, tiré de la deuxième époque :
Le Prince était dans un bon jour, il était impatient de revoir la mystérieuse étrangère, de l’admirer danser. Peut-être allait-elle, comme à la foire aux esclaves, le choisir de son regard.
Les musiciens commencèrent dès qu’ils furent prêts. Un rythme lent mais enjoué, d’attente contenue, en sept temps, sur lequel s’installait peu à peu un mode très ouvert. Un thème de milieu de journée, particulièrement adapté à l’état d’esprit du Prince, joué par un des meilleurs flûtistes de l’empire sur une flûte en or. L’étrangère ne devait pas être loin derrière. Elle déciderait elle seule du moment où elle ferait son entrée, lorsque la musique l’inspirerait. Le Prince souhaitait que cette attente ne durât pas. Il arrivait que la danseuse reste en coulisse et ne sorte jamais, si la musique ne lui convenait pas.
Dans ce cas les musiciens étaient châtiés.
À sa grande surprise, elle fit son entrée dès la première pièce de musique, après seulement cinq minutes d’introduction. Décidément, elle n’avait pas froid aux yeux !
À moins qu’elle ignorât l’usage. Il vit d’abord sa silhouette s’avancer lentement entre deux tentures. Entièrement cachée sous un voile qui la recouvrait de la tête aux pieds. Elle joue le mystère ! se dit-il. Le vieux flûtiste s’accorda sur cette entrée subreptice.
Volutes de mains sous le voile, de plus en plus haut.
Volutes de notes, en spirales sur la gamme ascendante.
Mouvements circulaires des hanches, de plus en plus larges.
Microtons balançant avant et après les notes.
Le voile se lève et tombe, comme à regret.
Montée à l’octave aigu et retour pentatonique au grave.
À la chute du voile, le Prince put enfin voir les yeux, seulement les yeux ocre-orange, car un autre voile cachait le visage en dessous. Un maquillage qu’il n’avait jamais vu entourait les yeux, des arabesques noires serpentant jusqu’aux tempes.
Le flûtiste traduisait chacun des mouvements de la danseuse, et celle-ci, inspirée par la musique, réagissait en harmonie avec elle, de sorte qu’une émotion homogène s’empara de l’atmosphère de la pièce.
Un homme vint déposer des bougies à l’avant de la piste, devant les hommes assis, car le jour déclinait. La danseuse s’approcha des frêles lueurs, fléchissant ses jambes, écartant les bras, puis elle avança la tête, les yeux grands ouverts pour mieux regarder l’assistance. Les jeux d’ombres, les mouvements de ses seins sous les voiles, et ce regard illuminé par les chandelles, tout cela acheva d’envoûter le cœur du Prince et de ses invités. La percussion s’intensifia, et le voile s’écarta du visage, libérant la bouche entrouverte, souriante, coquine. Mais en un tournoiement harmonieux et léger, la danseuse regagna le fond de la piste dans l’ombre, et commença à raconter une histoire.
Un conte sans mots, que peut être chacun pouvait interpréter à sa manière ; pour le Prince il était vaguement question de naissance, de printemps, d’astres, de lumière, d’adoration, de détresse, d’amour, de mort... Les cheveux furent libérés, puis le dos. Le temps n’existait plus. Le Prince, définitivement séduit, sentait une émotion tangible à chaque fois que le regard de la danseuse croisait le sien. Elle l’avait élu. Il en était désarmé, fier et honoré à la fois, même s’il s’y attendait.
Depuis combien de temps, dansait-elle à la lumière de ces chandelles, il n’en avait plus aucune idée. Cela pouvait faire des heures. Il faisait nuit dehors lorsqu’elle enleva enfin le dernier bout d’étoffe, un turban qu’elle déroula autour de ses seins fermes et fièrement pointés vers le ciel, le turban couvrait encore le ventre, passait entre les jambes et remontait entre les fesses pour se nouer autour de la taille. C’est par là qu’elle acheva de le dégager, qu’elle le fit glisser de toute sa longueur sur son sexe glabre, puis après quelques arabesques dans l’air, elle le fit tournoyer et se poser devant le Prince.
Elle était complètement nue, le rythme progressif de ses pas avait considérablement accéléré et approchait un paroxysme soutenu par le percussionniste. Tout le monde était fasciné par les décharges d’énergie et d’émotions qu’irradiaient cet être vivant habité par le divin, en proie à sa transe communicative. Elle tournait, tournait sur elle-même, criait même à présent, une note que la flûte s’empressa d’harmoniser, puis elle s’effondra enfin à genoux devant le Prince, tête baissée et mains jointes devant. C’était fini. Silence.
Quelque chose de si intense venait de se passer qu’un temps d’expiration et de réajustement avec la réalité fut nécessaire. Puis une ovation. Des cris, des larmes de joie. Les hommes se levèrent tous en l’acclamant.
CRITIQUES DE LECTEURS
Les commentaires suivants proviennent de littéraires et intellectuels parmi les premiers à lire mon roman, avant que celui-ci ne soit publié sous la forme d'un livre, avant ma collaboration avec Alexia qui l'a illustré, avant l'écriture de l'époque médiévale qui est la plus longue du récit, et avant la composition et l'enregistrement du CD qui l'accompagne. Autant dire à l'état de base non finalisée. Mais ces critiques plutôt positives de "bêta-lecteurs" m'ont encouragé à améliorer ce livre.
Emporté par la lame de fond de ton talent, ça se lit comme on déguste un bon vin, une femme ou son plat préféré.
Comme je te disais, la chronologie est séduisante par son approche, et la fin... La boucle est bouclée !
Pessimiste à l'occasion, mais ça donne justement plus de vigueur au message.
Message spirituel indéniable (quoique basé sur nos acquis judéo-chrétiens et musulmans (hindouistes ?)).
Bref, une bouffée d'air frais et un avertissement tout en finesse.
Les personnages sont bien étoffés même si nombreux... Bref peu de critiques si ce n'est parfois quelques mots "modernes" dans la première époque.
Le chapitre du viol de la première période est un peu hard mais enfin, c'est la "Passion".
Donc, bon et puissant... La fin de l'Humanité ? Et pourquoi pas !
(Zarfo)
J'ai vraiment trouvé ce texte très bon. Et comme toi, je suis une lectrice "difficile", je n'ai pas le compliment facile et n'ai ni le mépris ni la condescendance de l'hypocrisie ou de la complaisance.
D'abord, cette écriture sur le fil, savant équilibre entre synthèse - comme celle qu'on trouve dans le trait efficace d'un bon coup de crayon - et analyse - cette acuité de regard aussi bien intellectuel qu'émotionnel. Pas une maladresse de style, pas la moindre trace d'une négligence.
Mais surtout, ce qui m'a frappée, c'est l'ambition du projet et sa portée philosophique. Le monde recréé aussi bien dans son espace que dans le temps. L'épaisseur historique, la réalité géographique que tu as su lui donner grâce aux cartes, à ces noms de pays, de régions, d'océans, à ces citations, à ces références précises à des textes imaginaires. La profondeur de ta réflexion sur la religion, sur sa place dans notre monde moderne, surtout sur les formes qu'en prendrait une encore vivante, encore en train d'écrire son histoire - entre internet, l'ultra-médiatisation et ses dérives, l'appétit de gloire notamment.
Cette histoire religieuse créée de toute pièce, d'un "genre" renouvelé si je puis dire, est débarrassée des tabous et misogynies que nous lui connaissons, mais enrichie des problématiques de notre époque.
Primo, l'identité sexuelle et ses ambigüités à travers le mythe de la métamorphose que l'on retrouve autrement, de l'homme en femme, question d'autant plus centrale qu'elle concerne la figure sacrée du prophète et qui renouvelle totalement le statut de la femme dans la religion. Les amours sacrifiées du prophète à sa condition aussi, qui l'humanisent autant qu'elles le grandissent. Le rapport de la religion au mensonge et à la vérité ; la mise en question de la croyance tout autant que la remise en question de la valeur vérité, double questionnement, inscrit dans l'histoire elle-même, que j'ai trouvé très fort, relancé encore par la mise en abîme créé par le parallèle évident entre le propos de ton texte et le projet littéraire lui-même : on y croit, à la "Juste Parole" - à sa sagesse comme à son histoire ! Cette religion "fictive" (s'il en est d'autres...) gagne, à travers ton texte, la même réalité d'existence, dans l'esprit du lecteur, que les religions établies dans le monde réel ! C'est génial !
Et puis, le jeu sur la temporalité, la surprise de réaliser que le mythe fondateur se situe dans l'avenir (à moins que je n'ai laissé échapper une date au début...?) ; le mélange des genres, entre conte fondateur et un réalisme (Je suis encore traumatisée par la scène du viol !...) qui effleure la science-fiction à la fin...
Parfois seulement, j'ai trouvé le ton un peu trop ostensiblement didactique. Mais on n'a pas tous la même sensibilité à cela, et - ça va sans doute paraître prétentieux, ce que je vais dire, mais - si l'explication peut sembler inutile à certains, d'autres en ont davantage besoin. Il en faut pour tous les lecteurs. Mais c'est vraiment pour ne rien te cacher, car ce n'est pas là une impression dominante.
(Alexandra Plays)
J'admire la fertilité de ton imagination : le nombre et la variété des personnages, des lieux, le souci du détail dans ton récit, tes descriptions, et j'en passe... On se laisse porter par l'histoire, par les histoires, car tu te plais à juxtaposer des scènes, des périodes... Un talent qui augmente à mon sens le plaisir de te lire et que l'on retrouve dans certains de tes autres écrits.
L'ensemble se tient et offre un superbe moment de rêve et de réflexion sur la spiritualité et la responsabilité de l'homme sur sa propre existence et celle du monde.
De très belles aquarelles.
Je note également que le sexe est omniprésent dans tes récits (obsédé !) et que tu exprimes avec une aisance évidente des ressentis féminins.
Quant à ta dualité, on la retrouve partout : homme/femme, enfant/adulte, douceur/violence, naïveté/dureté, spiritualité/sexualité, passion/liberté... Complexe complétude qui font de ces paradoxes une riche personnalité dont je me sens très proche.
(Sylvie Jonq)
Ce n'est pas seulement l'intelligence de la construction, l'élaboration patiente et passionnante d'un univers, d'une cosmogonie. Ni seulement l'utilisation d'une langue fluide et précise qui me ravit. C'est la simple humanité des personnages, leur doutes et leurs certitudes, leurs souffrances et leurs joies, qui m'a liée à eux et tenue éveillée tard dans la nuit pour achever de lire ce roman. Je reste dans le bonheur et la lumière de cette lecture.
(C. Constance)
Mes impressions ? Très impressionnée, surprise de ton savoir sur l’histoire des religions qui est la base de ton écriture. Je ne pensais pas avoir envie de tout lire au début, car au premier ressenti je me suis trompée sur la direction que pouvait prendre ton texte, en le prenant pour de la fantasy. Bref, …j’ai dévoré.
Déjà le langage qui coule malgré le poids des informations ; la narration ne freine pas par sa difficulté. Peut être quelques problèmes au début pour se souvenir de qui est qui et de retenir les noms des lieux. Merci de joindre la carte – j’ai ma mémoire visuelle – ça m’a aidé beaucoup.
Ce qui m’a plu, c’est cet assez intéressant passage d’une partie à l’autre, la transition. Apparemment chaque chapitre surgit d’un nouveau sujet comme une coupure, on commence à lire, pas de lien, et tout de suite un fil qui mène vers le reste : c’était superbe. Je n’ai pas senti la lourdeur des descriptions, et les illustrations y sont pour quelque chose.
Le rythme – assez intense - éveillait ma curiosité à tel point que parfois mes pauvres yeux pleuraient et négociaient l’effort de lire plus.
Agréable surprise que tu ne te sois pas arrêté sur une seule époque… très adroit passage dans l’anticipation. Et les associations avec notre réalité sont discrètes mais bien lisibles (j’ai adoré). Tu sais tout ça, mais ça me donne envie de lire tes nouvelles. Merci aussi pour ça.
(Solweig Irena Barbier)
Ce roman a la rare qualité d'emmener le lecteur dans un monde qu'il ne veux pas quitter, de le passionner jusqu'à son expiration, en apothéose, pour le laisser haletant mais serein, conscient d'avoir effleuré l'espace de quelques jours une vérité, ou du moins un morceau de la Vérité. Je partage beaucoup des théories que tu abordes ici, et si seulement une infime portion de l'humanité faisait de même, le monde serait moins sale, moins terne.
(Tanid)
J'ai lu hier le manuscrit. Son registre ne m'est pas très familier et je t'avoue ne pas avoir un goût prononcé pour les romans couvrant de longues périodes, à l'exception des textes sud-américains.
La première bonne surprise a été pour moi de ne pas me perdre dans le dédale des noms de personnages et de pays.
La relative brièveté du texte et l'efficacité des descriptions doivent y être pour beaucoup. Tes personnages prennent d'ailleurs rapidement consistance malgré le peu d'attention romanesque qui leur est consacrée (constat sans portée critique : j'ai simplement été étonnée par le format que tu as choisi, entre conte et épopée, et je te dirai que c'est d'ailleurs ce qui m'intrigue probablement le plus dans ce que tu as fait (je ne parviens d'ailleurs pas à savoir si cela m'a plu).
Par ailleurs, ton rapport à certains de tes personnages est touchant.
Je trouve la construction du récit excellente, les derniers chapitres évitant l'écueil de la fin apocalyptique, sans surprise puisque tout la prépare et qu'en bon citoyen du XXIème siècle, on la pressent, on la veut même. Il me semble que cette fin permet d'alléger un peu le didactisme (compte tenu de ton propos, ça ne doit pas trop te faire plaisir, mais il est là, tout aimable et bienveillant soit-il) qui se dégage de l'ensemble.
Ta lecture du phénomène religieux, ceci dit, est très intéressante et intelligemment déployée (avec le mérite d'une clarté incontestable). J'aime beaucoup la juxtaposition d'écrits "sacrés" et profanes, ainsi que le ton d'ensemble de l'"enquête".
À plusieurs égards, cela m'a fait penser à Michel Tournier (La goutte d'or), Shan Sa (La joueuse de go, Impératrice) et Flaubert (Salammbô) mais les passages que j'ai préférés sont ceux où la plume se libère : la danse, par exemple, est superbe.
Sinon, les thèmes que tu abordes trouvent en moi un écho certain. Cette question du masculin, du féminin, de l'humain, d'une transcendance... du silence.
(Laurence Mornand)
J'ai dévoré le roman La Juste parole en 5 parties, soit les 4 époques ainsi que l'épilogue. Chacune de ses parties ont mérité selon moi une attention particulière, singulière, comme si chacune était un roman à part entière.
Tu m'as fait voyager, en moi comme en ce monde que tu as créé de toutes pièces avec tant de talent. Au fil de ma lecture, dont mes yeux avaient du mal à s'arracher, chaque personnage, chaque paysage, chaque émotion et chemin emprunté devenaient peu à peu les miens. J'ai ressenti le déchirement, la douleur, la joie, l'illumination et, surtout, la passion en une foi incommensurable. Tout y était.
Ne crois pas que ce commentaire soit fait pour te faire plaisir. Si quelque chose en ce texte m'avait déplu tu l'aurais su.
Mais voilà, j'ai aimé... et bien plus encore.
Je n'ai qu'un seul reproche : J'aurais voulu te lire encore.
J'ai ressenti ce vide du lecteur à la dernière page d'un roman. Sachant qu'il laissait à jamais des amis proches. Certes il pourra toujours se relire... encore et encore... Mais une première fois est incomparable. Un dernier mot : Merci.
(Véronique Fracas)
Je viens tout juste de terminer la lecture... c'est magnifique ! Bien écrit, et surtout bien construit ! J'ai eu l'impression que cette religion aurait pu être réelle, que les personnages aussi, et même le récit. Ce roman est empreint d'un souffle de sagesse et vaut la peine d'être lu. Magnifique dans tous ses détails, très captivant, il sort un peu de l'ordinaire de ce que l'on peut lire. Félicitations !
(Sylphide)
Voilà, je suis arrivé au bout, à l'heure du commentaire.
Epoustouflé, c'est le 1er mot qui me vient à l'esprit.
Tu as recréé tout un monde, une Histoire et une religion sur lesquels nous pouvons faire des parallèles permanents avec la réalité.
Une œuvre très philosophique, à laquelle tu ajoutes une petite touche poétique finale, pour ne pas rester sur une note trop pessimiste. Encore qu'une vision où la nature survivrait à l'homme ne soit pas si pessimiste que ça...
Je reste persuadé qu'il y a matière à 3 tomes minimum, en développant un peu les époques : 1 pour chaque
époque, en regroupant les 2 premières, qui sont véritablement une continuité l'une de l'autre.
Je vais maintenant essayer de faire lire ta Juste Parole à ma femme. Je pense et j'espère qu'une fois qu'elle l'aura lue elle comprendra un peu mieux pourquoi je passe du temps sur ce genre de lecture. Elle comprendra aussi sans doute pourquoi j'ai envie de dépasser le monde virtuel pour rencontrer un auteur.
(Christophe "Mémère" Rossi)
Filo, je viens de finir la Juste Parole. Je n'ai qu'une chose à dire : clap clap ! Très bon travail, très intéressant.
L'idée de la progression dans le temps est géniale, notamment lorsqu'on suit comment les 4 Apôtres vivent leur foi et comment elle s'accorde avec l'évolution des sociétés c'est excellent. Petit bémol sur cette époque : on aurait pu s'attendre, et on aurait souhaité, une étude plus approfondie de la façon dont chacun vivait sa foi (que ce soit Mila et la politique ou Salya auprès du peuple...).
L'époque de la Révolution est une superbe vue de l'alliance politico-religieuse. Là encore, on aurait voulu un peu plus d'approfondissement.
Quant à la dernière époque : ENORME. As-tu lu "La Mort de la Terre" de Rosny-Ainé ? Car on s'y croirait mais en moins ennuyeux. Une excellente idée.
Le flashback final est ma partie préférée du conte. La fin est SUPERBE. Elle est écrite de façon géniale.
Bref, je me suis régalé. Bravo Filo : clap clap clap !
Un très beau conte, inspiré de nombreuses références à des mythes et légendes du monde entier. Tout le conte en est imprégné mais pas de façon grossière, ce qui n'est pas évident. Une belle histoire que je vais faire lire à certains de mes potes et peut-être même à mes parents.
(Guillaume Herpe)
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planter mes doigts puissants dans ta chair et te marquer... Inscrire mon désir, te sentir frémir. Être à l'écoute de ton souffle, de tes soupirs. Poursuivre ma quête de plaisir et t'inviter à me rejoindre, à exulter...T'offrir l'ultime jouissance libératrice, ta récompense...
J'aime quand ton corps se cambre pour mieux recevoir le fouet, lorsque tu t'offres avec malice et confiance à mon imagination dévergondée et totalement perverse... Tu m'as choisi en Maître et tu m'as offert ta vie, ton corps, ton âme et ton cœur... Tant de présents déposer à mes pieds, tant de responsabilités... Je mets tout en œuvre pour te satisfaire et pour te sublimer
A toi Venus, ma soumise, mon alter-ego
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Flash zébré de lumière, hallucinatoire...
La jeune fille gracile, des larmes dans les yeux, se laisse prendre comme à contre-coeur, elle regarde tomber à ses pieds ses cheveux d'enfance qui s'éparpillent en blondes brindilles. Elle a beau savoir sa destinée, elle pleure sa jeunesse et son insouciance désormais perdues. Elle est maintenant dans les mains du Pontifex Maximus. Elle n'ose lever ses yeux innocents de vierge vers ce visage sévère, ses yeux noirs qui la fixent et lui font baisser le visage. Elle a peur mais elle rougit doucement tandis que ses vêtements glissent à terre et qu'on lui enfile la tunique, la stolla et la toge d'une blancheur immaculée. Seule la ceinture de pourpre lui marque la taille d'une empreinte magique. Elle redresse alors la tête, fière de cette distinction.
Eclat blanc, nouvelle image...
A la source pure du bois de la nymphe Egérie, la jeune femme puise l'eau qui l'alourdit. De retour au temple avec ses sœurs, elle lave le sol à grand seau, s'en arrose par jeu. Son front humide et sa tresse dont s'échappent quelques mèches lui donnent un charme particulier. L'on aimerait la voir tête nue, cheveux défaits et visage trempé... Quelle indécence! Elle reprend sa tâche, car demain, c'est Lupercales. Pourquoi aime-t-elle tant cette fête? Elle songe en frottant les pierres du temple, et son esprit vagabonde vers ces Romaines que l'on fustige à coups de branche de figuier ou de lanières à l'odeur forte et musquée de bouc, elle les imagine aux prises des hommes qui les saisissent, les emprisonnent et les frappent. A cette pensée, elle se sent fondre et monter soudain le pourpre aux joues...
Nouveau flash, visions extatiques...
Au pied de la statue monumentale, la jeune femme reste courbée, la bouche serrée, les yeux plissés, les narines frémissantes. Chaque coup de lanière secoue son échine et elle se sent glisser dans un tourbillon étrange, des papillons dans son ventre, des étoiles dans sa tête. Son corps s'affaisse au coup suivant. Elle sent le rictus de son bourreau, le grand Prêtre ne prend assurément pas de gant avec elle. Son dos et ses hanches la cuisent, mais son sexe plus encore, qui se met à couler d'abondance. Est-elle en état de péché, doublement? Avoir négligé l'entretien du feu par une rêverie qui l'avait mise en émoi, et éprouver un même émoi sous la flagellation.
Une tâche pourpre s'agrandit sous la tunique, quand la jeune femme se cambre sous le plaisir, étouffant un gémissement.
Comme dans un rêve éveillé, je regarde avec curiosité ce murex dentelé, aux aiguilles fines; il ressemble à celui que l'on nomme «peigne de Vénus». Je me sens sous le charme du coquillage qui semble m'appeler, me happer. Irrépressible pulsion, je glisse mon index dans l'interstice qui semble une bouche, d'où s'échappe un murmure doux et féminin. Sur le bout du doigt, une tâche pourpre dont je peins mes lèvres. Fulgurance!
Je suis Tuccia l'espace d'un instant, flagellée à tort ou à raison, et je sens sourdre en moi les plaisirs de la vestale. Un souffle brûlant d'antiques passions m'étreint, je ferme les yeux. Les yeux de Tuccia.
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Maîtresse,
Votre douceur a touché mon cœur, votre plaisir à touché mon âme. Votre présence est un baume apaisant.
Vous avez sur venir me chercher et me guider. A vos côtés je ne crains plus rien car vous êtes mon guide.
Je ne suis plus timide, je ne suis plus maladroit. Je suis moi mais en mieux.
J'admire cette petite flamme qui danse dans vos yeux quand vous portez votre regard sur moi.
Votre bouche qui forme un léger sourire plein de tendresse et de vice
Entre nous les mots sont de moins en moins utile et mon corps répond naturellement à vos demandes avant qu'elles ai franchies vos lèvres.
Je sens nos âmes liés par des fils invisibles qui font de nous une seule et même entité. Une entité pleine et entière qui n'a rien à cacher et dans laquelle chaque sentiment est partagé
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Envie de vous revoir
Envie de vous retrouver
Vous m'apprendrez des pratiques osées
Doucement pour ne pas m'effrayer
Je me ferais douceur le soir
Conservant cette lueur d'espoir
Sur mon corps, vous tracerez votre sceau
Avec hâte, je viendrais vers vous
A vos pieds, debout ou à genoux
Vous serez Le Maître aimé
D'une bourrique passionnée
Sur mon corps vous graverez votre sceau
Puis l'heure viendra, ou je me soumettrai
A vos désirs, même si une larme je verserai
Je serais alors votre soumise dévouée
Pour que vos plaisirs soient comblés
Vous possédez les clés de ma soumission
le 25 juillet 2016
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Sophie, nue devant moi, me fait profiter de sa croupe charnue. Sa démarche lente et chaloupée, m'hypnotise et me fait sourire de ravissement. Je songe que derrière elle, un lourd plateau dans les mains, ma propre démarche ne doit pas être aussi gracieuse. Lorsqu'elle s'immobilise, je relève enfin les yeux.
La musique est mise en fond sonore, douce, rythmée.
Je découvre Mathieu debout les mains sur la tête. Il me tourne le dos. Sa maîtresse Madame M est, elle aussi, debout et lui tourne autour comme si elle était en train de vérifier quelque chose, que je ne parviens pas à voir.
Monsieur S s'approche de nous et retire des mains de Sophie la ceinture qui me tient en respect et l’entraîne vers la table. Je reste plantée là, en observant tous ces mouvements qui se font devant moi comme une pièce de théâtre qui se déroule.
Madame M s'approche de moi, abandonnant son soumis dans sa position. Mon attention se pose sur elle qui me toise, me regarde fixement et sourit, lorsque mes yeux se baissent.
Je lui propose alors d'une voix chuchotée avec un sourire timide :
- Voulez -vous goûter quelque chose?
- Elle me tourne autour, ses mains se posent sur mes fesses, qu'elle effleure puis repart sans me répondre. Je ne bouge pas, un frisson monte le long de mon échine.
Mon regard retourne alors vers Monsieur S. Je découvre Sophie à plat ventre sur la table. Les jambes écartées, les pieds au sol. De l'autre coté de la table, Madame M fait courber le dos à son soumis qui à son tour se retrouve plaqué le ventre sur la table. Ainsi placé, je découvre que ses bourses et son sexe dressé sont liés pour des cordelettes.
Les deux soumis se font face et d'un mouvement presque synchronisé, leurs mains se lient l'une à l'autre comme pour que leurs corps se prolongent l'un vers l'autre. C'est alors que commence un spectacle qui me fascine et m'emmène dans un autre univers.
Au rythme de la musique Madame M et Monsieur S une baguette en main, chacun leur tour frappent les fessiers de leur soumis en cadence et sans pause, dans un concert de gémissement et de bruit de choc sur la peau criante du supplice.
Les deux soumis ne bougent pas, solidaires dans l'épreuve, leurs regards se confondent, leur visages s'encouragent, malgré la crispation, les grimaces à chaque coup. Coups qui s'accélèrent, plus forts, plus rapides, je regarde ces soumis haletants, fascinée par leur résistance. La musique s'arrête soudain. Le temps est suspendu. Les soumis sont au bout de leur résistance. Les mains de leur Maître et Maîtresse viennent caresser avec soin leurs fesses rougies et leur dos transpirant. Je les entends les féliciter, les consoler.
Un souffle dans mon dos me fait sursauter, le plateau dans mes mains bascule mais je parviens à le retenir. Monsieur est derrière moi et vient de me sortir de ma torpeur.
- Viens, c'est ton tour, m'annonce t-il sans détour.
Il me pousse vers la table, puis me retire mon fardeau des mains qu'il dépose au milieu de nous sur la table.
Sans plus de résistance, je me retrouve moi aussi à plat ventre sur cette table. Mon esprit emplit du spectacle auquel je viens d'assister ne commande plus mon corps qui se laisse guider. Je me retrouve entre Mathieu et Sophie qui me tendent leur main. Je les pensais au bout de leur résistance mais leur visage reste souriant et réconfortant, rassurant. Monsieur écarte mes jambes et se penche sur moi pour me murmurer dans l'oreille.
-Prête ?
La musique redémarre, plus lente, que la précédente. (https://www.youtube.com/watch?v=uDx8gFJnYLc)
Je regarde tour à tour Mathieu et Sophie et dans un élan de bravoure je réponds :
-Oui, Monsieur .
Je ne vois pas l'instrument que Monsieur prend dans ses mains.
Un premier coup, résonne dans mes oreilles. Mathieu sursaute et émet un grognement de plaisir. La musique continue et clac un second coup je sursaute tellement le bruit sec me surprend. Sophie a redressé son buste sous la violence du choc. Sa main dans la mienne s'est crispée. Son Maître l'apaise de sa main réconfortante. Je sers les fesses dans l'attente du prochain claquement qui devrait m'atteindre. Je ferme les yeux, mes mains se referment sur celles de Sophie et Mathieu. Puis le choc, fort, sec me vrille les fesses. Par fierté je ne bronche pas, mon visage grimace mais je sers les dents. Une pause, puis les claquements des baguettes s’enchaînent, le rythme s’accélère Mathieu Sophie, moi. Mon esprit s'élève, la musique m’ensorcelle. Nos mains se fondent en un trio étoilé. Combien de fois , je ne sais pas. Mon corps tout entier se tend. Les larmes coulent mais mes fesses se présentent au prochain claquement, Mon dos se cambre.
La musique ralentit, les coups aussi. Mes fesses me brûlent. Ma respiration est courte et saccadée. Mathieu et Sophie sont complètement relâchés sur la table. Ils émettent des soupirs, des râles. Ils ont fermés les yeux, nos mains se sont séparées, ils sont partis dans un autre monde au delà du plaisir charnel.
C'est fini. Les mains de Monsieur se posent sur mon dos, montent et descendent dans une caresse de douceur, je grogne de plaisir, une chaleur m'envahit, les larmes coulent de plus belle, mais je souris, j'ai tenu bon.
Nos Dom s'écartent de nous. Un instant de pause. Je m'affale de tout mon long sur la table humide de ma transpiration. Je reprend mon souffle. La musique est toujours là, douce, apaisante.
Ils reviennent derrière nous, Je tressaille, je sens une crème froide sur mes fesses. Tout en œuvrant, Monsieur m'explique que c'est pour soigner les plaies. Son geste est doux, il effleure ma peau meurtrie sans appuyer, Tendre massage. Je ronronne de bien-être malgré les brûlures qui me déchirent la peau.
Mathieu et Sophie ont tous deux droit au même soin. Ils ont rouverts les yeux. Nous échangeons des sourires. Mathieu commence à redresser son buste. Mais Madame M dans un geste d'autorité le plaque de nouveau sur la table en lui ordonnant de ne pas bouger le temps de se remettre.
Les soins terminés, Monsieur m'empoigne le buste, de toute sa force il me redresse. Son corps serré contre le mien, m’empêche de vaciller. Ses bras m'enlacent et son étreinte se resserre, contre moi. Sa respiration rapide dans mon oreille trahi son excitation et son effort. Mes fesses sensibles, contre lui sentent son sexe dur et tendu à travers le tissu de son pantalon. Il sourit je l'entend sans le voir.
-Bravo, petit chose courageuse et forte. Je suis fier de toi. Tu as tenu bon.
Dans un mouvement de ses bras, il me retourne et mon visage se retrouve face au sien et sa bouche vient plaquer sur la mienne un baiser passionné et tendre. Sa langue part à la recherche de la mienne. Et soudain mes larmes se remettent à couler. Toutes mes forces m'abandonnent, ma résistance coule dans ce baiser de réconfort. Je lui rend tout son amour. Ma bouche voudrait le goûter encore et encore, le dévorer. Je voudrais le sentir toujours aussi près, solide, me porter jusqu'au néant.
Il resserre encore son étreinte, je frissonne. Ma tête sur son épaule, mes derniers sanglots s'envolent. Sa respiration m'apaise. Mon esprit se concentre sur son rythme. Un long soupir s'échappe de ma bouche.
Monsieur m'aide à marcher. Il me dépose à genou sur un coussin à même le sol. Il me couvre d'un châle.
-Reste là et ne bouge pas. Prends ton temps.
-Oui Monsieur, je vais bien.
-Je sais, tu es courageuse. Me dit-il en posant un baiser sur mes lèvres humides et salées de mes larmes.
Je renifle un peu. Il sourit puis s'éloigne. Il revient en accompagnant Mathieu qui s'installe sur le coussin d'à coté, et Monsieur me tend un mouchoir. Je me mouche dans un bruit de trompette sans plus de réserve, ce qui surprend tout le monde. Et nous partons tous dans un grand éclat de rire communicatif. Mes larmes et nos rires se confondent dans un plaisir partagé.
Sophie arrive à son tour soutenue par Monsieur S. Elle semble éprouvée. Son visage se crispe quand elle se met à genoux sur le coussin.
Nous voilà tous les trois attablés sur la table du salon. Incapable de poser nos fesses.
Récompense bien méritée, nous avons le droit à une petite collation servie par nos Maîtres et Maîtresse, qui s'installent derrière nous. Comble du bonheur.
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Si mon sexe savait parler, il en aurait des choses à raconter! Il revendiquerait et s'exclamerait, exigerait et exulterait, il râlerait de trop peu, et parfois de trop aussi... Il raconterait des histoires, encore et encore. Il serait bavard et saurait aussi se taire, transporté d'émotion, puis murmurer des choses douces à l'oreille et au cœur ; il réciterait de la poésie, disserterait parfois, badinerait volontiers. Il chanterait des hymnes au plaisir, il aurait un lyrisme vibrant, tressaillant, roucoulant. Il entonnerait des opéras d'une voix de gorge, profonde! Il aurait des sanglots longs de violon, des trémolos à pleurer des larmes de cyprine, des vibratos flûtés et des longs cris retentissants. Il s'époumonerait à perdre haleine puis comme agonisant, se perdrait en arpèges fluides, accords diatoniques, notes d'Ô.
Si...
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Sonia..
Depuis quelques jours, j’avais quitté mon Bordelais pour m’installer dans notre petit pied-à-terre de Meudon. J’avais besoin d’un peu d’air et c’est avec un certain soulagement que j’abandonnais mon épouse Dany, à ses amours avec sa nouvelle conquête ! Mais ceci est une autre histoire !
Je m’installais donc dans le petit appartement du second étage. Je flânais beaucoup, traînant mes guêtres, jusqu’au centre de la Capitale, vaquant nonchalamment à mes affaires, très calmes en ce mois d’août. Le quartier où j’habitais était ce que l’on appelle un quartier résidentiel, dont le "résidentiel" résidait surtout dans les prix exorbitants du moindre mètre carré !
Au cours de mes promenades, je remarquais assez rapidement une femme encore jeune, à l’allure un peu bizarre, mais toujours habillée avec soin, souvent en bottes malgré les fortes chaleurs de l’été. Elle ne regardait toujours droit devant elle, n’accordant apparemment aucune attention aux regards appuyés que je lui lançais. Je me rendis rapidement compte qu’elle occupait un appartement dans le même immeuble. Je ne pouvais m’empêcher de tenter de la surveiller. Pourquoi ? Vraiment je ne saurais dire. Elle n’était pas particulièrement jolie, mais sa lourde chevelure brune, entortillée en un chignon compliqué, son maquillage un peu trop forcé à mon goût, sa poitrine généreuse… Bref, elle avait des arguments qui ne pouvaient laisser un homme de mon âge indifférent ! Je lui lançais chaque fois que possible de retentissants bonjours. Au début elle ne répondait même pas. Puis un peu comme un animal en cours d’apprivoisement elle commença à répondre d’un mot bref à mon salut. J’accentuais la pression de quelques mots courtois. J’en obtins le droit de croiser son regard Yeux noirs cernés de noir. Vraiment cette femme se maquillait trop. J’avais noté qu’elle sortait régulièrement dès que la nuit arrivait, et que son retour ne s’effectuait qu’une fois le jour bien levé ! Je pensais donc que son activité était essentiellement nocturne ! J’avais des besoins de mâle. Une péripatéticienne serait la bienvenue pour me soulager ! Je pensais naïvement qu’il me serait fort agréable d’être servi à domicile plutôt que d’avoir à me rendre dans des mieux spécialisés. Aussi, au bout de quelques jours de notre petit manège, je l’abordais au sortir de la cage d’escalier, lui bloquant quasiment le passage, comme par inadvertance.
" Bonjour ! Belle inconnue du second… Vous rentrez au moment ou je sors… Ne pourrions-nous pas trouver un moment pour faire quelques pas dans le même sens ?"
Elle leva les yeux sur moi, et pour la première fois, me regarda en face… Je vis une infinie tristesse dans son regard, cela me fit un peu froid dans le dos…
"C’est vrai, Monsieur, que nos chemins n’auraient jamais dû se croiser… Nous ne sommes pas ni du même monde, ni du même milieu…
- Mais, vous savez, pour moi il ne s’agit pas de milieu, juste du plaisir de converser avec vous ! Moi c’est Dan, seriez-vous disponible pour une coupe de champagne, chez moi ce soir vers 19 heures ? Je crois que vous n’allez travailler que bien plus tard !
Elle me regarda longuement dans les yeux avant de répondre. Un léger frémissement agitait le coin de ses lèvres. Elle posa une main bien manucurée sur mon avant-bras.
" Je suis Sonia, vous faites erreur sur ma personne. Pas sur tout, mais sur le principal… Mais j’accepte votre invitation. Je vous raconterai qui je suis, et après, si vous en avez envie, vous me sauterez. Pour ça vous avez raison ! Je suis une pute, mais pas forcément au sens ou vous l’entendez, Dan !"
Sur ce, elle força le passage. Elle ne prit pas l’ascenseur et j’entendis le bruit de ses bottes résonner dans l’escalier.
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- non.
- non ?
- non.
- bien, hé ben je vais me débrouiller seule alors
dit elle tt en ce levant et me faisant un clin d’œil
- tu vas ou ?
- me débrouiller.
je souris
- bah va.
sauf que....je ne m'attendais pas a la voir redescendre...son god a la main
sans un mot, sans même un regard pour moi, elle pose une serviette sur le fauteuil puis allume son god, cherchant
la "fréquence" adapté a son envie, je reconnais bien la son coté provocatrice, à prendre son temps planté debout face au fauteuil
ignorant avec arrogance ma présence...
elle pose son jouet, a plat, allumé, sur la serviette et s'assoie dessus, tt simplement
j'entend les vibrations malgré le son de la télé et me dit oh bah ca va c'est pas une grosse envie...
elle prend sa boite et se roule une cigarette, tranquillement, comme si le jouet n’était pas là...
l'allume et tire quelques tafs, sa petite robe d’été me cache la vue, enfin des quelques coups d'oeil
que je pose sur elle, je la connais, non, je ne rentrerai pas dans son jeu !
5min...10 min...à fumer sa clope sans réactions, j'en souris intérieurement, visiblement ça ne lui fait aucun effet,
visiblement....seulement...
elle pose sa clope et là...son souffle se raccourci, elle respire calmement, son bassin commençant de très légers va et vient sur le jouet
il me devient difficile d'ignorer à mon tour ce qu'elle fait, surtout quand sa main se glisse entre ses jambes et que la frequence change...plus puissante...
elle commence à gémir, ses jambes écartés sur le fauteuil, ses bras tendu sur le bord du fauteuil lui ecrasent les seins l'un contre l'autre, renforcant encore plus le decolleté de sa robe.
elle s'emballe..son plaisir est bien là...ses va et vient du bassin s’accélèrent, s'accentuent, quelques gémissements se font entendre entre les murmures de sa respiration...jusqu'a ce qu'ils prennent une place entière, se mêlant au son de la tele qui devient de trop
je commence a me sentir à l’étroit, elle me fais chier !!!! elle m'excites !!!
il y a pourtant quelques choses de pas normal, pas habituel dans son plaisir, il est plus....
........... *tilt* ...........
la Salope !!! elle s'est enfilé son rosebud en plus !!!!
mon esprit se torture, bien conscient à présent de la force de ce qu'elle ressent, par les vibrations sur le rosebud, par ses va et vient qui l'encule, j'ai compris son manège et repère dorénavant quand le rosebud agit...
elle s’éclate, elle prend plaisir, beaucoup de plaisir, elle casse ses reins, avance et recule sur son jouet...elle jouit.......
...et tjrs en m'ignorant la garce ! ....
elle reprend son souffle puis sa clope, elle la rallume, laissant encore un peu le jouet vibrer entre ses cuisses...
elle se lève, va nettoyer son jouet et le ranger a l’étage, redescend...tjs sans un regard pour moi, se rassoie sur la serviette tjrs presente, regarde la télé...
- tu mets un peu plus fort s'il te plait ?
-_-"
....je crois que je viens de me faire baiser la gueule en beauté, elle m'a puni de ce "non"....Conasse.
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. De passage en ville pour quelques jours, elle visitait le quartier médiéval et atterrit par hasard à mon atelier, par curiosité. Elle avait bu un thé et, après une heure de discussions philosophiques, m’avait complimenté sur mes activités mais aussi sur mon “charisme“, et l’impression de sérénité et de douceur qui se dégageait de moi et de mon univers.
En souriant, je lui avais rétorqué que, contrairement aux apparences, la douceur n’était pas toujours de mise avec moi, et même que j’aimais parfois attacher des femmes, et les malmener quelque peu. Je lui montrai la chaîne qui descendait du plafond haut de quatre mètres, qu’on ne remarquait pas forcément car elle était rabattue le long du mur dans un coin.
Sa curiosité fut assez attisée, je le vis aussitôt. Je remarquai également qu’elle ne portait rien en dessous de son chemisier écru à pois noir, alors qu’elle devait à vue de nez faire un bon bonnet C presque D. La trentaine, plutôt grande et bien foutue, les cheveux longs châtains clairs, des lunettes assagissaient son joli visage illuminé par de grands yeux bleu-gris. J’étais séduit et n’avais aucun doute sur la réciproque.
Je lui expliquai ce qu’était le shibari et le kinbaku, et lui proposai dans la foulée de tenter l’expérience si elle l’osait.
Dans un rire nerveux, elle déclina en me remerciant, même si, me dit-elle, elle était du genre à aimer relever les défis. «Mais là on ne se connaît pas assez».
«Hé bien faisons connaissance» dis-je du tac au tac, en l’invitant à repasser le lendemain à l’heure du thé. Elle fit mine d’hésiter, puis accepta.
Voilà donc cette jeune femme séduisante et mystérieuse qui revint le lendemain après-midi, me complimentant sur mon dernier roman qu’elle avait acheté la veille et dévoré le soir même.
Nous discutâmes encore une bonne heure, de littérature, de psychologie et de spiritualité, sujets sur lesquels nous étions en gros en assez bonne résonance.
Puis je lui fis remarquer que cette fois elle avait mis un soutien-gorge, dommage. Elle rougit et me reprocha d’être assez cavalier, qu’on ne se connaissait pas assez pour ce genre de remarque, etc. Je lui répondis qu’avant la fin de la journée je l’aurais attachée, nue, et que son corps aurait peu de secrets pour moi. Là elle fit mine d’être vexée par tant d’assurance déplacée, et estima qu’il était temps pour elle de repartir, car elle avait horreur d’être réduite à un objet de perversion. Nous entamâmes alors un débat sur le concept de perversion, qui était assez subjectif, et je lui rappelai qu’elle avait prétendu aimer les défis, et que là je lui en lançais un.
C’est ainsi qu’elle accepta finalement, après quelques tergiversations et atermoiements de mise pour garder sauf un minimum de dignité, de se faire attacher, pour voir, en m’avertissant qu’elle n’était pas soumise, mais juste pour l’expérience.
Après l’avoir convaincue que je préférais l’attacher nue, que le contact des cordes directement sur la peau est plus sensuel et efficace, qu’esthétiquement aussi c’est préférable, je commençai par un bondage simple du tronc et des bras rassemblés à l’arrière.
Elle trouva cela “intéressant“ au niveau des sensations et de la contrainte. Je passai alors aux jambes, attachées pliées, les cuisses écartées en grenouille, en prenant soin d’aménager dans le dos une triple boucle de suspension reliée à la taille, à la poitrine et aux cuisses.
Une fois la fille attachée entièrement, je commençai à la fesser. Au début elle trouvait ça plutôt excitant, riait nerveusement, et accepta de s’offrir plus encore. Je lui signifiai un safeword, mais elle rétorqua qu’elle préférait prendre ça comme un défi et qu’utiliser ce safeword serait pour elle un aveu de reddition et d’échec.
Je la hissai saucissonnée en suspension à un mètre du sol, face et ventre vers le bas.
Ensuite la flagellation au martinet remplaça la fessée, et là elle n’était plus d’accord, et l’exprima avec force et même agressivité.
Jusqu’à l’ajout d’un vibro, qui a remplacé ses vindictes par des râles de plaisir.
La flagellation s’est intensifiée, jusqu’à un point où, à nouveau, une limite était franchie, et les râles se sont à nouveau mêlés de plus en plus à des sommations de la descendre, de la détacher, de tout arrêter ; et même d’insultes.
J’avais la main, mais un choix à faire : je savais que si elle ne prononçait pas le safeword c’était par défi, et je savais aussi qu’elle était novice et qu’elle prétendait ne pas être d’accord du tout avec ce qu’elle subissait. Je devais me décider vite : continuer à repousser ses limites, tenter de la faire jouir et donc plier, ou tout arrêter comme elle l’exigeait à présent instamment ?
Ma décision prise, et constatant à quel point elle mouillait, je pénétrai alors violemment la furie (qui tentait encore de se débattre), tout en maintenant le vibro sur son clitoris. À nouveau ses vindictes se mêlèrent de gémissements explicites, mais toujours entrecoupés d’insultes et même de menaces (incluant notamment le fait de porter plainte pour viol, ou de trouver des hommes costauds qui viendraient la venger, etc).
Les fesses écarlates, les seins dansant au rythme des coups de butoir, les cheveux à présent empoignés et tirés en arrière, le vibro toujours calé sur son clitoris, elle ne pouvait plus que gémir, crier, et peinait à trouver encore des insultes adéquates.
Elle jouit alors, en hurlant et en urinant, prise de spasmes violents. Je ne relâchai pourtant pas le rythme, ni le vibro, ce qui prolongea son orgasme, la propulsant dans un abandon désormais total, ne réagissant même plus aux coups que je lui donnais sur sa croupe, de la main qui avait relâché sa chevelure.
Le deuxième orgasme la cueillit très vite après, encore plus intense que le premier, il faut dire que j’avais gardé un rythme effréné sans fléchir.
Je me retirai alors, donnai une impulsion latérale qui fit pivoter la femme et la fit se retrouver le visage face à mon sexe impitoyablement dressé, dur, gonflé à bloc, trempé de mouille et de pisse. Je lui attrapai à nouveau les cheveux pour lui redresser la tête, et lui giclai au visage.
Alors elle me dit «T’es qu’un gros salaud !»
… et prononça enfin le safeword, dans un sourire espiègle.
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Création d'un fantasme comme une pièce de théâtre à succès... Je ne t'ai jamais vu, toi non plus. Invisibles regards qui percent les écrits, devinent les émois, nous savons nos désirs, nous les provoquons. Tu utilises un subterfuge bien connu et pas seulement sur scène. Retentissent les trois coups, le rideau peut se lever...
Un rendez-vous parisien est fixé, en sortie de métro. Un sms me guide tant bien que mal vers toi. Je devine le jeu, le sourire, l'appétence, tout en arpentant les pavés qui me mènent à toi. Mais tu multiplies les pistes, les brouillant, t'en amusant à coup sûr. Je parviens à une cour privée, encadrée de fleurs en pots et d'arbustes qui parfument cette atmosphère d'été. Là, un sms me demande d'attacher mon foulard sur mes yeux. J'entends un bruit de pas se rapprocher, une main caresser mes cheveux, une bouche qui prend la mienne. Je me laisse faire, frissonnante. J'ai souvent rêvé ce moment, te découvrir, te humer, te goûter.
Les mains qui se posent prennent des libertés bienvenues, soulèvent ma jupe, parcourent mon entrecuisse, s'immiscent dans ma chair humide qui s'ouvre à ces doigts, tandis qu'une langue parcourt ma nuque. Mes gémissements montent en sourdine dans cette cour fermée. Il m'attire à lui, je sens son désir, tendu contre mon ventre, il pose ses mains sur mes fesses, les pétrit, les pince. Il prend son temps avec une impatience toute contenue. Il me tourne autour comme un animal, littéralement. Il respire mes cheveux, pose ses mains sur mes hanches, derrière moi et me fait avancer. Une porte s'ouvre, j'entre dans un vestibule, il pose ma main sur une rampe d'escalier, m'y fait grimper quelques marches; je frôle quelque chose, on dirait qu'une autre personne est là, devant moi. Je suis un peu inquiète mais j'ai confiance. Il soulève ma jupe, me caresse, me fouille devant cet inconnu. Je me mords les lèvres, je tais mon plaisir, intimidée. L'homme face à moi tend la main, la pose sur ma gorge, glisse ses doigts dans ma bouche. Personne encore n'a parlé. Pas un mot échangé, juste des respirations courtes, des souffles, des plaintes. Et brusquement, j'entends ta voix, je la reconnais, profonde, sensuelle, basse, un peu rauque de désir. C'est toi qui te trouves devant moi et donnes des indications à cet autre qui n'est pas toi. Cet autre qui m'a cueillie à l'entrée de mon fantasme rêvé de toi. Tu lui donnes tes ordres et à moi, me parles doucement à mon oreille, comme tu l'as fait en maintes reprises auparavant. Je me radoucis, j'accepte ce jeu un brin candauliste d'un Cyrano moderne. Lui me caresse et toi continues de me parler, de m'envoûter, dire tes mots, ceux qui me font vibrer. Mes sens ne savent plus où donner de la tête, je me laisse porter par ta voix, tandis que l'autre n'est plus que mains et doigts obéissant à tes indications. Il est ton bras armé par qui la jouissance va arriver mais c'est à toi que je l'offre. Quand je me laisse aller à ce chant que tu aimes entendre, tu t'approches, m'ôtes le foulard de mes yeux, et me regardes avec un plaisir scintillant, puis tu me souris, attrapes mon menton et m'embrasses avec gourmandise. "T'es un beau salaud !" avec de la tendresse dans la voix et un sourire sur les lèvres.
L'autre n'est plus là. Je n'ai même pas su qui c'était et ne le saurai sans doute jamais...
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Voici en quelques traits rapides mon orientation :
* je suis avant tout masochiste, depuis la plus tendre enfance (l'école maternelle) : la douleur - presque toute douleur - m'est érogène.
* je suis libre et affirmée dans la vraie vie, insoumise et agitée plutôt que dominante ou leader.
* on me prend souvent en soirée pour une maîtresse, et j'aime assez manier le fouet, surtout en public, quoique je sois loin à ce jour de la maîtrise que je vise. J'aime aussi attacher, à mon niveau de débutante encore entaché de bien des maladresses.
* mais en fait, j'aime surtout faire plaisir à ceux qui apprécient de danser et gémir sous le fouet.
* je n'assume pas du tout mon agressivité.
* je suis fétichiste des fouets, des corsets, des lames. Des cicatrices, des bas, de la dentelle...
* Je suis sex-addict.
* je suis straight, et peu intéressée par le sexe, quoiqu'en disent d'aucuns.
* je n'ai pas peur de la contradiction, et ça vaut mieux pour moi.
* je voue une passion à la virilité, j'aime l'homme, les hommes, je les trouve dignes d'amour et de respect. (oui c'est un fantasme)
* je suis attirée violemment par les hommes sombres, profonds, manipulateurs, sadiques et un peu destructeurs. Dangereux et fiers.
* je suis extrêmement émue par le masochisme masculin, la souffrance et l'auto-destructivité... sublimée.
* je suis exhibitionniste, et j'ai mes moments passablement fréquents d'exubérance.
* j'aime l'emprise, et pourtant, je me sens libre, irréductiblement.
* j'apprécie de me confronter, de défier, de lutter, de me battre. J'aime la violence et l'excès.
* j'ai besoin de faire face à quelqu'un qui, dans cette lutte, saura me mettre la joue à terre, les lèvres sur son soulier, et me bottera durement les fesses en me morigénant jusqu'à ce que je capitule, humiliée dans ma fierté, honteusement vaincue à chaque combat.
* j'aime me soumettre totalement, corps et esprit, à celui qui a triomphé de moi, et le suivre loin dans ses folies, ses idéaux, ses fantasmes, ses exigences et sa fantasy.
* j'aime la sodomie. J'aime la frustration. J'aime l'humiliation.
* je fonds lorsque d'un regard, l'homme que je désire et qui s'en amuse obtient sans plus d'effort que me jette on all fours, quémandant la sanction ou la caresse, le droit de le toucher, d'embrasser sa main, de le servir, rendue docile comme jamais je ne l'ai été envers quiconque, respectueuse comme jamais je ne le serais face à un gentleman.
* Lorsque, rarement, je trouve mon partenaire dominant, alors je deviens dévouée, sexuelle, loyale, soumise infiniment : femme-lige inféodée à son prince charmeur.
* nota bene : je suis passionnée, et être mon amant n'est pas sans danger.
Et quelques autres contradictions qui ne resteront certainement pas bien longtemps cachées...
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Il est 20h30, Je suis devant sa porte et pour une fois, je suis à l'heure.
Par cette chaude soirée, je me suis contentée de maquiller mes yeux d'un peu de mascara et mes lèvres d'une couleur framboise légère.
Je frappe à la porte avec un soupçon d'impatience car je sais que cette soirée va m'offrir comme à chaque fois, de nouvelles découvertes.
La porte s'ouvre. Mon visage s'illumine en découvrant le sourire de mon Dom et ses yeux gourmands.
Comme à chaque fois, nos bouches se rapprochent dans un baiser de bienvenue, l'un dévorant l'autre.
Et comme souvent, je sens la main ferme de mon Dom me saisir les cheveux pour me soumettre à son regard impérieux, l'autre main s'insinuant sous ma robe pour vérifier l'absence d'une
quelconque culotte malvenue.
D'un geste, il me place face au mur, les jambes écartées. Je m'imagine, qu'il va me caresser puis m'infliger quelques fessées légères pour réchauffer mon cul consentant.
Mes mains posées sur le mur, il me murmure un ordre:
- Ne bouge pas, je reviens dans un moment. Et il m'abandonne, là, dans le couloir de l'entrée en pleine excitation.
J'attends, j’entends des bruits de pas, puis soudain des voix. Un frisson me parcours le dos. Je ne reconnais pas cette voix. Il y a quelqu'un d'autre dans la maison. Puis des éclats de rire, j'ai envie de me retourner, de bouger, ne pas rester là sans rien faire, sans savoir qui est là.
Je me concentre sur ces voix, combien de personnes sont là ? des hommes, des femmes? où est mon Dom, quand va t'il revenir me chercher?
J'entends des pas qui se rapproche, des mains chaudes se posent sur mon dos. un frisson de nouveau. Mon Dom est là, je n'ose pas lui poser les questions qui envahissent ma tête, puis il me murmure dans l'oreille de me déshabiller.
Je me retourne et vois son visage souriant, son regard rassurant.
Je le regarde timidement, le rouge aux joues, le cœur battant et la transpiration s'écoulant le long de mon échine. Je m’exécute devant lui toujours dans ce couloir. Il retire sa ceinture et me passe le cuir autour du cou pour en faire un collier.
Il me demande alors de me mettre à 4 pattes et de le suivre sans mot dire.
Il ajoute comme pour me rappeler qui je suis :
-tu es une bonne petite chienne, ma petit chienne.
Je lui répond aussitôt avec un sourire
-oui Monsieur, je suis votre petite chienne obéissante.
Il me fait avancer dans le salon, je prend garde à avancer avec des mouvements chaloupés et détendus. Je n'ose pas relever la tête, j'ai peur de voir qui est là, je suis trop intimidé. Mais malgré cette peur, je sens mon excitation monter, l'envie de me laisser aller à l'instant, peu importe à quoi je ressemble, peu importe le regard des autres du moment que le regard de mon Dom reste posé sur moi satisfait de ce que je lui offre.
Ses mains se posent sur mon dos et me caressent lentement doucement. Elles descendent sur mes fesses et soudain quelques fessées claquent sur mon derrière offert. Je me cambre, je gémit, je me tortille de plaisir. La chaleur monte et ses mains s'approchent de ma fente et constatent l'excitation bien présente. Il introduit ses doigts doucement, tendrement puis avec des mouvements rapides fait monter le plaisir. Il se retire, me laisse haletante. Il s'en va et me laisse là à 4 pattes, sans avoir été présentée.
Quelques minutes plus tard, il revient, il est accompagné d'une autre femme que je ne connais pas. Il m'empoigne les cheveux et me redresse à genou, l'autre femme se met aussi à genou devant moi et sans plus de cérémonial, m'embrasse avec fougue.
Sa langue envahit ma bouche et ma langue dans un élan de bonheur part à sa rencontre. Mes mains se glissent sur ses seins et nous entamons un échange de caresses et de baisers gourmands. Il me demande alors de lui défaire son pantalon.
Je m’exécute avec avidité en m'imaginant déjà prendre son sexe en bouche pour lui montrer mes progrès.
Mais ce n'est pas moi qu'il gratifie de son membre et c'est dans la bouche de cette femme qu'il prend son plaisir. Un sentiment de jalousie me prend au ventre, mais lorsque je la regarde faire, je constate qu'elle s'y prend bien. Je lève les yeux vers lui et croise son regard sur moi. Je reviens sur elle qui donne du plaisir à mon Dom. J'ai envie d'intervenir, mais comment. Je me tortille, je ne sais pas quoi faire, je veux participer aussi. Il voit mon impatience et me donne l'ordre de lécher son cul.
A 4 pattes je me mets derrière lui et de mes mains je prends ses fesses et du mieux que je peux, je passe ma langue, je lèche. Il gémit. Ses plaintes m'encouragent à continuer.
Enfin il se défait de notre emprise. Il nous embrasse l'une après l'autre, avec un sourire de satisfaction. Nous nous regardons toutes les deux en échangeant un sourire et en attendant la suite...
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Un fauteuil. Le genre carré, large, accoudoirs fins, rectangulaires. Il trône. Elle est installée dessus, après me l'avoir proposé, un peu vautrée, en confiance, détendue. Elle me parle, en fumant, sa tasse de café à la main, une jambe par dessus un accoudoir. Je ne l'écoute pas. Enfin, plus. Elle a réveillé le fauve, elle ne s'en est pas aperçue. Elle n'a pas vu les yeux se plisser légèrement, la fixité du regard. Si j'avais une queue, elle battrait au rythme de mon excitation, comme celle d'un félin.
Je lui demande si elle a finit son café. Regard rapide dans la tasse "Non". Puis retour à la discussion. Je tente d'écouter, c'est difficile, le fauve s'agace un peu, le désir monte. "Tu as fini ton café ?" "Toujours pas. Mais si tu veux, je le pose" "Oui".
Je sors mes cordes. Lui ai-je demandé si je pouvais la prendre dans ma toile ? Je ne me souviens plus. Mais l'envie est là, irrépressible. Je prends une main, premier noeud. Sur l'épaule. Puis le fauteuil. Alternance. Corps, meuble. Je la regarde peu, je la sens, par toutes les fibres de mon être. On est reliées, branchées, unies. Elle se laisse faire, les yeux clos, un soupir parfois. A un moment donné, le pied, pris, cerné, les orteils contraints, son bonheur dans un petit hoquet. Je voudrais faire du beau, y mettre de l'esthétisme, peine perdue. Nous sommes dans un moment d'intensité très fort, pas de place pour la fioriture, le superflu. On vit, on vibre, on existe, à 200% dans l'instant.
J'ai fini. Je la regarde enfin. Je l'envisage, je la mesure, je me laisse emplir de ce qu'elle me renvoie. Toujours les yeux fermés, elle attend, sereine. Je lui enlève son étole rouge. Je commence à lui caresser le visage avec, le cou, les bras. Je fouette légèrement la peau découverte. Ma bouche effleure. Ca réagit, fort, puissamment. Diantre, une ferrari ! Modèle grand luxe de la sensualité. Miam ! Ma bouche repart à l'assaut. Je mord, l'animal est toujours là, quoi qu'il arrive, surtout si, en face, la proie est consentante. Elle gémit, se tord, de plaisir bien plus que de douleur. Je pince, je griffe. Je fais claquer les cordes sur la peau. L'oeuvre se déploie, la partition est en place, l'officiante est en pleine création, l'instrument est en osmose, vibre, jouit du moment, des sensations. Elle ploie, elle sursaute, elle réagit à tout, mais continue à tout donner. Je prends tout. Ses seins m'attirent, je glisse jusqu'à eux. Petit avertissement, point sensible, pas grave, je voulais juste titiller, sans violence.
Puis je soulève son petit pull noir. Et j'attaque le ventre, je griffe, je prends à pleine main, j'empoigne sans ménagement. Une envie folle de rentrer en elle, de force, sans ménagement. Plusieurs fois, je reviens à la charge, je m'enfonce, j'empoigne, je tire. Je la veux, dans son entièreté.
La tempête s'apaise. Elle n'a pas ouvert les yeux pendant tout le temps. Je l'ai regardée, tout le temps. Elle était belle, un léger sourire aux lèvres, madone maso au calme olympien, sans une once de peur, libre, légère, et pourtant tellement présente, tellement là, avec moi. Son corps à ployé, s'est balancé au rythme de mon désir, de ma passion, elle ne m'a pas lâché un seul moment, liée à moi, par plus que mes cordes. Elle m'avait demandé si elle devait retiré ses vêtements, avant de commencer, j'avais répondu par la négative. Heureusement. Sinon, je crois que je l'aurais prise encore plus. Elle regrette la barrière du tissus, moi, pas vraiment. Pour un premier jeu, c'était déjà tellement fort.
Merci à toi, tu m'as offert un de mes plus beaux moments de cordes, tu étais sublime, si belle. Tu donnes sans compter, c'est précieux.
Tu m'as trouvé un nom. Dévoreuse.
Je te mangerai encore.
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Mains baladeuses, pressées, avides.
Elles fouillent les bonnes affaires, très chair mais accessibles, vite.
Essaye moi, je suis en soldes aujourd'hui. Mets moi sur toi, autour de toi comme un vêtement confortable, chaud et humide, généreux, un manteau de foutre. Et toi, fluide. Glacial.
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Esclave de Vénus, pourquoi tant récrierde la belle déesse, les travaux imposés ?Trier une semence, le bon grain de l'ivraiede tes deux mains expertes, tu sauras séparer.Cueillir une toison, pubienne, virile et d'oraidée par un roseau érigé sur mon corps,Rapporter l'eau du Styx, puisée à même la source,avec le truchement d'une paire de pleines bourses.Enfermer en partie, de la belle Proserpinela beauté infernale et qui dressait l'épine.Est-ce donc si ardu ? Pour une telle PsychéQue Cupidon faillit, de sa flêche emmanchée.Et puis ce fameux Pan ! Pan conseilla Psychéde séduire à nouveau, à toute force, Cupidon.Lors que dans une rivière, la belle plongea la têtela première, dans ce qui porte surement le nom Têt.Pourquoi donc refuser, le bain de voluptél'Ambroisie, les plaisirs immortels. Si tu sais accepterd'être au Petit jardin, près de la Cathédrale,nous goûterons ensemble de douces bacchanales.Si Cupidon je suis, et si Psyché tu es,Tu connais leur enfant : Plaisir ou Volupté.Voluptés bien spéciales, plaisirs jamais tarisprodigués par mes soins et par mon pilori.Cupidon.
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Ce jour là, en me préparant je repensais à l'échange que j'ai eu avec Sandrine, cette plantureuse travesti soumise qui m'écrivait combien elle était troublée en regardant mes photos et combien elle se réjouissait d'être dominée par une transgenre, un fantasme qui l'obsédait depuis si longtemps.
En mettant des bas résilles, j'entendis Sandrine arriver et entrer dans la pièce semi indépendante de mon donjon. J'avais encore un peu de temps devant moi, elle devait se préparer et se maquiller. En glissant mon top en cuir, je sentis l'excitation de la séance commencer à monter, c'est vrai que je suis craquante avec le cuir qui moule mon torse et ma poitrine. Pour terminer, j'enfile une jupe en cuir avec une couleur oscillant en l'or et l'argent. Un bijou qui me met mes fesses au bout d'interminables jambes, j'adore porter une mini et faire ressortir mes 120 cm de jambes et porter juste des bottines en cuir noir.
L'heure passait et dans 3 minutes Sandrine a rendez-vous avec moi. En regardant la pendule de mon donjon, je pris l'escalier pour aller chercher la soumise dans la pièce qui se trouve sous le donjon. J'aime descendre avec deux minutes d'avance car en général la soumise est toujours en retard et se fait surprendre entrain de finir sa préparation, la pression monte d'un cran et Sandrine me regarda, regarda sa montre et me dit: "Bonsoir Madame" ! "Bonsoir soumise, tu es en retard..." La soumise regarda a nouveau sa montre, me regarda et hésita avant de pencher da tête en avant et me demanda "permettez-vous que je termine ma préparation, il me reste mes hauts talons à enfiler..."
Quand enfin elle est prête je la fais tourner sur elle-même pour admirer sa plastique, avec ses 185 cm et 72 kilos, elle est super craquante d'autant plus que son corps est pris dans une robe moulante en vinyle noir, des bas coutures et hauts-talon. Son maquillage est léger comme demandé et sa longue chevelure vient caresser ses reins...
Lorsque je la fis passer devant moi pour monter l'escalier, elle me regarda avec un air interrogateur ne sachant pas si c'est de la courtoisie ou si c'est intéressé. "Allez soumise, on n'est pas là pour prendre racines, monte !" Dès la 4ème marches, je passai ma main dans son entre-jambes et remonte jusqu'à sont entre jambes. "Tu as désobéi soumise !" elle se retourna surprise et ne comprenant pas ce qui lui arrive déjà... "Oui, tu as mis un string et jamais une soumise ou in soumis vient se présenter à moi avec un sous-vêtement, la seule exception ce sont tes bas. Enlève -moi ce string !" elle se tord autant bien que mal pour pas perdre l'équilibre sur ces marches vertigineuses et me donna son string que je lance en bas de l'escalier. Ma main visite son entre-jambes et vient soupeser ses testicules et serrer son pénis. Sa féminité est trahie par une super érection qui créa une belle bosse sur le bas de sa robe. "Allez on monte et tu te mets à genoux sur le tapis rouge, le corps bien droit et la tête penchée.
En passant devant elle, je lui administre une bonne paire de claque en la réprimandant: "c'est quoi cette érection ? Ici, c'est moi qui décide si tu peux bander ou pas, As-tu compris cette première règle ?" Mais, Madame ... et hop la 2ème paire de gifles part toute seule avant qu'elle termine sa phrase..
"Mets-toi debout, relève ta robe jusqu'aux hanches et ensuite penche-toi en avant en faisant ressortir tes fesses sur l'arrière. "Bien, c'est comme cela que je te préfère... Alors règle no2, si tu cries ou tu gémis, lors d'une punition comme par exemple la fessée que je vais te donner pour te punir pour ton érection alors, tu auras en plus des pinces aux tétons. Oui la première fois tu feras certainement exprès de crier pour avoir des pinces et je te promets que je te les laisserai jusqu'à la fin et que tu regretteras bien vite de me tester, je gagne toujours et durant les jours qui viendront tu penseras à moi tant les douleurs des tétons sera violente...
La première volée de ma main tombe sur sa fesse, tout le corps tremble, la soumise retient ses premiers gémissement avec peine, je mets plus d'énergie à la fessée et j'utilise mes deux mains pour fesser des deux côtés avec du rythme. La rougeur remplace rapidement le blanc des fesses, elles deviennent chaudes et les premiers gémissement se font entendre (enfin...). "Alors soumise, il te manque de courage, tu vas vite en avoir besoin, tu vois ces pinces reliées entre elles par cette chaîne ? Si tu gémis, je tire sur la chaine et les pinces se resserrent, as-tu bien compris ?" "oui" "Alors, redresses-toi et ouvre ta le haut de ta robe qui laissa voir des tétons déjà bien excités, ils sont dressés et prêt à recevoir les pinces. Lorsque la pince se referma sur le premier téton, un cri retenti et hop je tire sur la chaîne et j'entends un hurlement..."Tu vois ce qui va t'arriver si tu gémis ou crie ! Alors maintenant tu vas faire preuve de courage ou, personnellement je préfère que tu cries ainsi je peux m'amuser plus..." " Vous êtes une sadique Maîtresse !" Une magnifique claque rougit la joue droite.. "Apprends la politesse soumise !" La 2ème pince est posée dans une grimace qui transforme son visage. "Bien maintenant tu vas reprendre ta position penchée avec les fesses en arrière et tu vas m'attendre, j'entends ma soumise sous collier arriver plus tôt que prévu. C'est une grande jalouse et sachant que je suis avec toi elle devait venir me retrouver qu'en fin de soirée et elle désobéit.
En revenant au donjon avec ma soumise nue, elle regarda avec intérêt Sandrine et me dit "je vois que Maîtresse Galliane s'en bête pas ce soir" une nouvelle claque retenti et c'est la joue de la nouvelle soumise qui devint écarlate...
Suite à cette entrée remarquée, je la fais entrer dans la cage, la tête en avant pour qu'elle puisse voir que le mur tout en entendant tout ce qui se passe. "Et si tu dis un mot, je te mettrai un baillons et je sais que tu détestes les baillons encore plus que la mise en cage. Ceci te permettra de penser à venir à l'heure la prochaine fois et pas faire la curieuse !" "Mais ..." une fessée vient s'abattre sur ces fesses qui la projette au fond de la cage.
"Voilà soumise, maintenant que je peux à nouveau être avec toi, je vais continuer ta punition avec le fouet et je commence avec celui-ci "et lui montre un fouet avec des chaînes en lieu et place des liens de cuir. Le chant des gémissements crée une ambiance devenant de plus en plus excitante, en changeant de fouet pour choisir le rouge avec des lanières tranchantes, je profite pour bien tirer sur la chaîne des pinces et un cri résonna dans la pièce, je sentais l'angoisse de ma soumise dans sa cage monter....
En enfonçant un plug entre les fesses de Sandrine, cette soumise réagit comme un jeune soldat avec son sexe qui se met au garde à vous ... "Oh soumise, ainsi tu as pas appris que tu peux bander que sur commande !" "Allez à plat ventre sur la table gynécologique !" Je prends un paddle et lui administre une première série des fessées ponctuées par des gémissements suivis par des cris lorsque je saisis la chaîne entre ses seins et tira dessus. "Relève -toi maintenant", ses jambes trembles sous l'excitation mais aussi par rapport à la position qu'elle a eu sur la table. "Mets tes mains derrière-le dos" j'en profite pour les mettre une paire de menottes et avec les mains derrière son dos, je lui caresse son bas ventre et son garde à vous se redressa instinctivement, la chaîne retira les pinces et un nouveau cri raisonna dans le donjon.
Ayant envie d'une pause, je m'assieds sur mon trône en admirant mes soumises, Sandrine est un penaude avec ses fesses rouges écarlates, ses mains entravées dans le dos et ses haut-talons deviennent bien inconfortable en restant debout au milieu de la pièce quant à la soumise en cage, elle commence à comprendre que la séance que je lui réserve lorsque j'en aurai fini avec Sandrine va être terrible, elle va vite regretter sa jalousie et d'être venue si tôt.
"Bien soumise, tu vas me démontrer que tu sais marcher avec tes talons, les mains dans le dos et le plug restant entre tes fesses !" après lui avoir passer un collier de chien et une chaîne, je la promène dans la pièce et profite d'en faire profiter la soumise en cage en disant " comme tu es mignonne soumise, tu marches comme une reine avec tes talons, je sens que tu vas devenir une habituée de mon donjon... je pourrais même imaginer te faire porter un autre collier de soumise personnelle..." la cage commençait à beaucoup bouger, la jalousie fait son chemin et plouc le plug tombe sur le carrelage. "Alors soumise, tu sers pas assez les fesses ? " "viens par là " couche-toi sur le dos. là sur le tapis pour qu'elle puisse juste pas te voir mais imaginer ce que je vais te faire... La position est très inconfortable avec les mains derrière le dos, le corps qui écrase les bras. "Allonge bien tes jambes !" et en caressant son sexe, un nouveau garde-à-vous fait remonter le vinyle. "Alors tu as encore pas compris que c'est moi qui te permet ou pas de bander alors, on va voir si tu sais résister à la tentation ou pas. !" en relevant le pan de sa robe, je caresse son sexe et lui passe un préservatif qui accentue son excitation, son sexe tremble de désir et en m'empalant sur son pénis qui entre lentement dans mon anus, j'en profite pour lui apporter le coup que j'attendais depuis un moment "si tu éjacules sans que je te l'ordonne, je te ferai boire ton sperme !" je sens son excitation monter et son corps se contacter pour éviter le pire. En lui souriant, je retire la première pince, un cri déchira l'endroit, à la 2ème pince enlevée, son corps se mit à trembler comme une feuille, dans un râle de plaisir je sens sa queue vibrer de plaisir, ses fesses se soulèvent tant sa jouissance est forte, son corps vibre de partout, le plaisir fait bientôt place à la plénitude, le corps se calme, j'entends la cage remuer et je sors de ma torpeur en imaginant ma soumise folle de jalousie, que c'était bon... "Alors soumise, osais-tu éjaculer sans mon ordre ?" oh son visage devient bien vite grave, tout de suite elle a compris ce qui va lui arriver... "Comme promis, tu vas pouvoir boire ton sperme encore tout chaud..." en me retirant avec délicatesse et en tenant la base du préservatif, je fais attention de pas perdre une seule goutte de son importante éjaculation "Ouvre bien grand la bouche soumise pour déguster ton dessert... sous une grimace, ses lèvres s'ouvrirent "Déguste ma belle...."
Juin 2016 Maîtresse Galliane
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50 vérités que MademoiselleLilith va payer.
1 ) – Je n’ai jamais voulu faire ce jeu, j’ai simplement liké les aveux d’une personne qui m’est chère parce que j’ai aimé son partage, je n’avais pas réfléchis au fait que cela impliquait que je devait y participer… j’en ai pris pour 50 réponses… Ma soumise est une sadique…
2 ) – Je me suis fais bouffer ma carte bleue par un DAB il y a peu en tapant le code d’entrée de chez moi au lieu de celui de ma CB. Je ne l’avais pas oublié, je n’ai juste pas la tête sur les épaules depuis 10 jours… J’aime cet état.
3 ) – Il y a quelques années, j’ai passé une soirée dans un pub avec un ami, j’étais assis a coté de Claude Nougaro, au bout de deux heures de conversation passionnée, je lui ai demandé s’il s’y connaissait en musique… J’étais le seul, à la table, à ne l’avoir pas reconnu… Vous avez dit gaffeur ?
4 ) – Entre mes 20 et 21 ans j’ai été un homme battu, par une femme, quand je suis allé chercher de l’aide dans une association de « femmes battues » on m’a « gentiment » demandé de quitter les lieux, parce que ma présence, celle d’un homme, dans les locaux, indisposait les dames qui étaient là.
5 ) – A 22 ans, je suis tombé fou amoureux d’une femme de 1m50 qui devait peser 22 kilos, anorexique, elle a mit sa main dans la mienne pendant les 6 derniers mois de sa vie, une des plus belle âme que j’ai croisé.
6 ) – En 1990 j’ai découvert Thomas Harris avec 2 de ses romans « Dragon rouge » et « Le silence des agneaux », complètement subjugué par le personnage d’Hannibal Lecter, j’ai eu pendant des années le fantasme de goûter de la chair humaine… Fantasme assouvi un jour de manière spontanée et involontaire de ma part.
7 ) – Je n’ai jamais su aimer de manière conventionnelle, je verse toujours dans les extrêmes ou la passion… Malgré moi.
8 ) – En 2006 un abrutit m’a diagnostiqué bipolaire et m’a foutu sous traitement pendant 6 mois… Il s’averre que je ne l’ai jamais été, j’ai juste une hypersensibilité extrême qui me fait connaître des phases euphoriques et à l’inverse des phases mélancoliques extrêmes, proches et ressemblantes à des phases hystériques et dépressives que peuvent connaître les bipolaires.
9 ) – Je suis capable de basculer dans mes rêves ou pensées en une fraction de seconde en pleine journée, alors que je suis occupée, de manière si intense que je ne vois plus, ni n’entend plus ce qu’il se passe autour de moi.
10 ) – J’aime l’art sous toutes ses formes, pas forcément les oeuvres… Les artistes, ou ceux qui se prétendent l’être, beaucoup moins… Et leur discours sur l’art me répugne généralement.
11 ) – J’ai découvert le BDSM à l’âge de 17 ans, avec une femme de 30 ans… A vrai dire elle m’a tout apprit ou presque, le libertinage, l’amour, le lâché-prise, le triolisme, etc…
12 ) – A 23 ans, j’ai été confronté à un chien, type berger malinois, non dressé, agressif, babines retroussées, qui montrait les dents en grognant. Sur un claquement de doigts, un geste de la main et un « Ho » l’animal s’est couché au sol, oreilles rabattues. J’ai avancé dessus, il a roulé sur le dos. Son propriétaire m’a demandé comment j’avais fait… 22 ans plus tard je n,’ai toujours pas de réponse satisfaisante à cette question. C’est sans doute ce jour là que j’ai réalisé mon coté dominant.
13 ) – Un de mes plus grand regret est d’avoir hésité avant d’intervenir un jour où un homme a agressé une femme à quelques mètres de moi, je suis intervenu une seconde trop tard, ce n’est JAMAIS plus arrivé.
14 ) – Il y a quelques années une amie a perdu sa fille de 13 ans dans un accident, j’ai pris le train dans la nuit pour être présent à ses cotés dans cette épreuve… Il y a quelques mois elle ma avoué que cette gamine était peut-être bien la mienne… ET MERDE !!!
15 ) – J’ai vécu une très belle histoire d’amour vanille à 4, deux hommes, deux femmes, tous les 4 bisexuels, nous vivions ensemble, un superbe souvenir qui a durée un an.
16 ) - J’ai eu une peur panique de la mort jusqu’à la naissance de ma fille, au point de s’en réveiller la nuit. Depuis cette peur m’a quitté, mais j’aime ma vie, je transcende tous les petits moments, mais ça me fait vraiment chier que cela doive s’arrêter un jour.
17 ) – Je suis exigeant envers les gens que j’aime et intransigeant envers moi-même… Conclusion je dois m’aimer encore plus…
18 ) -. Ma confiance et mon assurance en moi m’ont apporté beaucoup de plaisirs, mais aucun n’est au dessus de la confiance que m’ont accordé les gens que j’aime et de leurs confidences les plus intimes.
19 ) - Un jour en regardant une mappemonde je me suis aperçu que de frontières en frontières j’ai fais le tour du monde… Dans mon lit.
20 ) – Mon premier souvenir de masturbation date de l’âge de 6 ans. Je me disais qu’il n’était pas normal de ressentir un tel plaisir. Du coup je suis allé voir mon père, quequette toute raide, pour lui montrer que « ce geste » faisait beaucoup de bien, il a éclaté de rire en me disant que c’était normal mais de faire ça en privé… J’étais déçu, je me croyais exceptionnel.
21 ) – J’ai connu une vraie nymphomane, six fois par jour minimum, les premiers jours c’est normal, au bout de 6 mois ça l’est moins, au bout d’un an c’est usant, quand elle est partit j’avais perdu 10 kilos, je n’ai pas eu envie de sexe pendant presque un an. Comme dirait Serge Lama : « Quand je pense qu’il y a des cinglés qui paient pour voir ça au ciné… »
22 ) – Véritable sapiosexuel, je peux bander devant un homme ou une femme qui me toise intellectuellement, même si je les trouve repoussant physiquement. J’aime bien cela, mais c’est rare et ça n’arrive jamais devant ceux qui se veulent et/ou se réclament intellos, même et surtout dans le cadre d’aveux, l’intelligence va de pair avec la modestie et l’humilité.
23 ) – Je suis bisexuel à forte tendance hétérosexuel, comme disait William, un de mes amants homo.
24 ) – J’aime beaucoup la part de féminité qui est en moi. Je l’exprime, beaucoup d’hommes me prennent pour un homo et se moque de moi… Jusqu’à ce que je couche avec leurs femmes… Bizarrement ça les fait beaucoup moins rigoler… Moi, beaucoup plus.
25 ) – J’aime beaucoup les machos… Leurs femmes viennent se consoler dans mes bras.
26 ) – J’aime beaucoup le foot, la coupe du monde et tous les tournois possible… Les messieurs sont devant leur télés et leur femmes dehors, bien souvent seules.
27 ) – Le plus beau compliment qu’une femme m’ai fait est : « Je regrette de t’avoir connu car depuis tous les hommes me semble bien fades ». … C’était 15 ans après notre rupture.
29 ) – J’ai le loup dans la peau, un véritable totem, au propre comme au figuré.
30 ) – Vers mes 24 ans j’ai couché avec une prostitué sans le savoir. Au matin quand nous avons pris un café, elle m’a avoué sa profession, gêné, je ne savais pas si je devais ou pas lui proposer une rétribution. Elle a rigolé et m’a dit que « non », elle me voulait. Puis elle m’a dit qu’elle avait adoré la manière dont je l’avais sodomisée et m’a demandé si j’étais bi et si j’avais déjà subit une sodomie, je lui ai dis que « oui », elle a ajouté « ha… C’est pour ça alors. »
Depuis c’est une règle d’or, chaque fois que j’apprends ou me teste à une nouvelle « technique », je passe d’abord « à la casserole »… Merci Christine de m’avoir fait réaliser cela.
31 ) – J’ai « épousé » la pensée zététique il y a presque 20 ans.
32 ) – Le mensonge m’est insupportable, c’est la pire torture que l’on puisse m’infliger.
33 ) – J’ai perdu ma virginité à 13 ans avec une fille de mon âge qui était vierge aussi, c’était comique, catastrophique et pataud au possible. Lorsque cela fut « fait », elle s’est allongée à plat ventre sur le lit et a écarté ses fesses en disant « Autant tout faire d’un coup »… Ca par contre je ne m’y attendais pas.
34 ) – En 1993 une femme a appelé chez moi en pleur, suite à une erreur de numéro,elle cherchait à joindre son « amant » qui l’avait largué parce qu’elle était frigide. Nous avons passé la nuit à parler au téléphone, pour la rassurer et la calmer. Quelques jours plus tard nous avons fini dans le même lit, je ne sais pas si je suis un bon amant ou pas, mais une chose est certaine… Elle n’était pas frigide du tout…. Quand je vous dis que j’aime les machos.
35 ) – J’ai plus d’amies que d’amis, j’ai couché avec toutes sauf une, je ne sais pas qui a dit que coucher avec un(e) ami(e) brisait l’amitié mais dans mon cas c’est absolument faux.
36 ) – J’ai pleuré il y a peu pour une des plus belles déclaration d’amour que l’ont m’ai faite. La dernière fois ce fut pour la naissance de ma fille.
37 ) – Une femme m’a fait une fellation dans un pub bourré de monde, une fois la chose faite, en essuyant ses lèvres, elle m’a dit : « Je m’appelle Stéphanie, ravie de faire ta connaissance »… Et moi donc !!!
38 ) – En 3eme j’ai obtenu le 2eme record d’heure de colle d’un lycée, 365 heures en une année, le recordman est mon meilleur ami, forcément on était toujours ensemble en colle, 366 heures… Je le surnomme « Bissextile ».
39 ) – Les blagues nulles me font rire aux éclats, car elles n’ont aucune prétention, même pas celle de faire rire.
40 ) – J’aime les gens humbles, ils ne peuvent que surprendre alors que les prétentieux ne peuvent que décevoir.
41 ) – J’aime me lever tôt, voir le soleil se lever au calme en silence en sirotant un thé, pendant de très longues minutes ou des heures.
42 ) – J’aime m’endormir extrêmement fatigué, éreinté, les sensations sur la peau sont merveilleuses et cela me provoque des secousses hypniques, sensations que j’adore.
43 ) – J’ai eu un serpent, un boa arc-en-ciel, j’ignorais que c’était une espèces protégée à l’époque, que j’avais baptisé « Saphir ». Un animal tout à fait fascinant quand on étudie son mode de vie.
44 ) – J’aime les livres, les films, les œuvres d’art qui soulèvent des questions, pas ceux qui apportent, ou tentent d’apporter, des réponses.
45 ) – La première fois que j’ai joué avec de vraies menottes, nous nous sommes endormis avec l’un attaché au poignet de l’autre. Au petit matin nous n’avons jamais retrouvé les clés. Nous étions nus et dans une chambre d’hôtel.
46 ) – J’ai touché à un peu toutes les drogues possibles, des plus douces au plus dure, la plus insidieuse de toute est réellement l’alcool.
47 ) – C’est la 8eme fois de la journée qu’elle m’appelle pour me faire entendre ses orgasmes, il n’est que 15h30… La journée va être longue.
48 ) – Le dormeur du val.
49 ) – Smoke get in your eyes.
50 ) – J’aime une femme comme il y en a peu.
51 ) – J’ai triché il n’y a pas de N° 28…Donc ce 51 est le 50eme.
RAPPEL DES REGLES DU JEU :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur "j'aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné
2) me dédicacer le titre de la manière suivante " x choses sur moi pour Ombre"
3) le publier dans la section " articles"
4) me le faire savoir
Vous devez indiquer la même règle du jeu avec le texte et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur "j'aime" pour votre texte. À vos Liiiiike... Prêt... Feu... CliquezzZ!
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Sur un lit de fer douillettement molletonné, s'étalait une ode à la sensualité...
Courbes rondes, opulence d'albâtre, cheveux de jais et front bombé,
La belle alanguie bercée par une comptine coquine, rêvassait.
La peau fine sur le poignet, translucide, appelait la bouche
et la fesse moelleuse, divers ustensiles aptes à la rougir et la strier.
Longue, droite, la penne entra en scène dans une main de vilain.
Flatteuse, elle promena sur la peau lisse, ses douceurs et caresses, avec tendresse.
La peau frissonna de plaisir, se chair-de-poula et s'offrit davantage.
Mouvante sur le muscle qui ondulait, elle faisait des vagues pour aller à la rencontre de la plume, sa nouvelle amie.
Or la plume ne l'entendait pas de cette oreille, elle fit volte face, et glissa cul pointu sur l'épiderme.
Quelques traces dessinèrent, fendues, sur la soie d'un lobe laiteux, puis la plume disparut dans le sillon, parcourant les méandres liquides dont elle se barbouilla copieusement. Plongeant dans cet encrier improvisé, elle émergea, barbes ébouriffées et hampe humide, sourire large, pour venir graver quelques signes sur la peau marquée. Traînée fluide et rosée imprimant à la peau frétillante quelques lettres en forme de devinette, la plume allait bon train au creux de ces reins. Quand elle eut couvert toute la peau de lignes et de cyprine, la plume resta interdite, dans la main du vilain, dont elle vint alors taquiner le vit... Et la peau se retrouva toute chose, un peu perdue sans son amie.
Mieux vaut une main à plume, qu'un manque de peau.
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1. je suis empathique, parfois trop
2. je suis bon vivant, gourmand et épicurien
3. je suis cérébral, me pose beaucoup de question
4. je n’ai pas suffisant confiance en moi
5. je ne sais pas épargner
6. je suis fidèle en amitié mais pas toujours en amour
7. j'aime faire plaisir, je suis généreux
8. je suis sportif en général
9. je m’investis trop dans mon travail
10. je suis parfois immature dans certaines de mes réflexions
11. j’aime les femmes dominantes et de caractères
12. je suis timide avec les femmes
13. je suis un peu bordélique
14. j’ai du mal à me défaire de mon premier amour
15. je suis serviable
16. j’ai l’esprit de compétition
17. j’ai du mal à me défaire du regard des autres
18. j’aime le vin rouge
19. je me suis dépucelé avec une prosituée à 18 ans
20. je suis sensible
21. j’ai repris la cigarette après avoir arrêté 5 ans
22. je ne suis pas un héros, mes faux pas me collent à la peau
23. j’ai été accroc à la masturbation pendant longtemps
24. je suis gentil
25. on dit de moi que j’ai un physique agréable
26. je suis tendre
27. je considère ma mère comme manipulatrice et possessive
28. je n’aime pas mon frére, mes amis sont ma vrai famille
29. je suis content du chemin que j’ai parcouru professionellement
30. j’ai cru pendant longtemps qu’une femme perdait ses os et pas ses eaux
31. je suis rancunier et têtu
32. je ne suis pas jaloux
33. je suis très curieux
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Malice
Elle plisse
Le sillon trouble de son regard
Désir
Un rire
Monte du ventre aux yeux hagards
Vertige
Voltigent
Les papillons de nos fantasmes
Plus vite
Coïtent
Les amants, tendus jusqu'au spasme
Plaisir
Rosir
Sur la peau, une ombre carmine
Maquillée
Maculée
Semence blanche, liqueur divine
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Maux, du Maître, au mètre.
Assise à son bureau, elle laissait glisser son stylo, au rythme de ces mots qu’il prononçait, telle une litanie.
Elle connaissait les règles du jeu, celle qui disait qu’elle devait exécuter ce que cette satanée dictée énoncerait et celle qui lui assurerait de belles punitions pour chaque faute qu’elle ferait.
Elle regarda les instruments posés sur la table et désigna du doigt celui qu’elle redoutait le plus.
Venait-elle de désigner à son Maître la pire manière de la punir ?
Cette pensée la troubla… Aussi, alors que son Maître continuait à dicter, elle profita qu’il soit dans son dos pour glisser sa main libre entre ses cuisses. Elle l’enfouit dans sa culotte et laissa glisser un doigt dans sa fente, elle se voulait dégoulinante.
Continuant de se caresser comme il lui plairait, elle entendit qu’il se pencha à son oreille et murmura :
- « Alors on se tripote ? Espèce de petite salope. »
Bien sur qu’elle se caressait, d’autant que cette vision d’elle impudique, livrée aux yeux vicieux de celui qui la nique, lui donnait des tourments.
Et tandis qu'il distillait ses mots tel un héraut, elle sentit qu’il déposa un baiser dans son cou et laissa aller sa langue sur sa peau.
Elle enfonçât un doigt dans son vagin et le remuait, elle s’imaginait déjà, écolière appliquée, à quatre pattes, jupe relevée, culotte baissée, cul tendu, impudique, offrant la vue de son intimité à celui qui ordonnait. Elle savait qu’elle serait regardée dans son intimité, soumise à son regard et sa volonté. Puis compterait à haute voix les coups tombant sur son séant. Chacun lui offrant chaleur, douleur et plaisir.
Mais plus que de ceinture ou martinet sur sa chair, elle le voulait au plus profond d’elle.
Aussi afin de s’assurer qu’il lui donnerait ce qu’elle voulait, elle ouvrit la bouche et prononça ces mots :
- « S’il vous plait, Monsieur, j’ai envie de vous sucer. »
C’était ses mots, sortant de sa bouche qui lui assurerait un tourment sur sa couche.
Il tira délicatement sur ses cheveux, traitresses très tresses, et compris enfin pourquoi il lui avait demandé d’en faire, détresse, et à quel point il maitrisait la situation et les punitions. Tout avait été pensé et tandis qu’elle continuait à se caresser, il ne lui restait plus qu’à se livrer corps et âme, infâme, et vivre ses amours salées.
C'était lui qui l'emmenait où il voulait, et lui offrait une belle ballade.
Elle put retirer sa main de sa culotte et porter son doigt à sa bouche pour en déguster sa liqueur.
Puis elle se leva et se pencha sur le bureau et tandis qu’elle écrivait les dernier mots, elle sentit la main de son maitre caresser sa fente au travers de sa culotte.
Allait-il sentir la moiteur au travers du coton ?
Saurait-il qu’elle mouillait ?
Surement, sa culotte était à tordre comme une serpillère.
La dictée arrivant à sa fin, il serait bientôt temps de jeter l’encre, aussi elle regarda son Maitre et après avoir écrit ce mot,
conservant la position, et attendant la correction, elle posa son stylo.
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Son corps palpite au rythme de ses hanches...
Son souffle saccadé l'excite à outrance...
Va-t-elle tenir la cadence?
Elle aime qu'il fasse rougir ses fesses blanches...
Allongée sur le ventre, buste incliné,
cuisses encordées, l'anneau dilaté...
Elle aime la sensation du bâillon dans sa bouche...
Il aime défoncer profondément sa pute farouche...
Elle sent tout d'un coup ce vibro la faisant tant gicler...
Aucun doute, il prend plaisir à la torturer...
La rendre objet sous sa perversité...
De son foutre l'immaculer...
Il s'approche de son visage, ses yeux sont bandés...
Il détache son gag-ball sur lequel elle a bien bavé,
La bite de Monsieur doit être nettoyée...
Sans un mot elle s'exécute telle une traînée,
Gare à la gifle si ça laisse à désirer...
Empoignant ses cheveux, il s'engouffre...
Ses sanglots coulent, sa gorge devient gouffre...
Docile, à sa merci, il aime en abuser...
Il se décharge avec délice à l'inonder...
Sa petite salope a intérêt à tout avaler...
Il détache son bandeau pour mieux l'admirer...
Son regard scintille comme des cristaux...
Ce noir coulant contraste avec le rouge de ses joues...
Sa respiration de chienne affolée commence à se calmer...
Son plaisir animal suintant émane de sa peau...
Il ne peut s'empêcher de venir mordre sa lèvre,
Elle frémit, le voyant comme son unique orfèvre...
Il glisse sa main sur sa joue, poursuivant sur son dos...
Soudain elle entend ce bruit métallique qui s'approche de sa peau...
Elle exsude de plus bel à l'idée d'avoir mal...
Cette attente désordonne tous ces sens...
Se rendant plus offerte et cambrant avec indécence...
D'un coup sec, oui... elle le sent bien ce crochet anal...
L'attachant ensuite à ses cheveux, il contemple sa putain...
"Clic" s'allume une cigarette et la caresse de sa fumée...
Instinctivement bouche ouverte, devient son cendrier...
Elle aime quand il y jète sa cendre avec dédain...
Écrasant sa cigarette tout en la fixant durement,
Elle sait pertinemment ce qui l'attend...
L'entracte fut de courte durée...
Et le spectacle ne fait que commencer...
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j'ai écris quelques mots, quelques pensées,
j'ai raconté la Chienne qui bouillait en moi
cette envie de te sentir entre mes reins
et de ta paume sur mes fesses.
j'ai dicté tes mots tes gestes ta violence,
j'ai raconter mes cambrures et mes doigts impudique
mon souffle qui s'allonge qui se raccourci qui se saccade
qui devient anarchique au rythme que me donne ces pensées indécentes
j'ai décris mon plaisir, hurler mon orgasme...
et t'ai envoyé ca...au boulot......
....pour te faire chier....
je fout le bordel dans ta tête
je te dérange dans ta concentration
tu as une réunion dans peu de temps
tu te sens a l’étroit...
...et ça te fais chier...
je t’énerve, tu me déteste,
tu me réponds que je vais ra-ma-sser
j'arriverai presque a te decrocher un "Salope!"
et moi je te repond..."j'espere bien"
...pour te faire chier...
t'enrage hein !
...fallait pas t'approcher d'une louve...
...fallait pas t'enticher d'une chieuse...
Maintenant tu peux apprécier pleinement tes propres mots.
"Abandonnes toi.... Ta vengeance n'en sera
que plus sauvage"
J'ai tapé sur mon clavier.... Suite et ....Foudre.
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Tu m'as l'air si fragile... Apeurée...
Si sensible... Désorientée...
Rassures toi Monsieur est là pour te guider...
Approche voyons je ne vais pas te manger...
Ton regard émeraude me donne envie de te déshabiller...
Ta voix de petite fille sage me donne envie de t'éduquer...
Ton coté studieuse et appliquée me donne envie de t'enseigner...
Ton sourire espiègle et joueur me donne envie de te corriger...
Gares à toi si tu n'arrives pas à te contrôler...
Le loup que je suis ne fera de toi qu'une bouchée!
Docile tu ériges en moi le plaisir de la fierté !
Cabres toi... Plus obéissante à mes pieds...
Ton excitation honteuse m'en fait durement bander...
Ta récompense tu l'attends sauvage je le sais!
Parfaite symbiose entre élève et traînée...
Cadeau délicieux de me laisser te contrôler...
Sous cette jupe étudiante... De mijaurée,
Ta petite culotte m'a l'air bien mouillée...
Son élastique m'agace, il est temps de la faire glisser...
Ne bouges pas où la cravache va s'abattre sur ta croupe relevée ...
Ressens tu cette tension qui va jusqu'à contracter ton périnée ?
Oui bébé c'est bien, j'aime te sentir t'abandonner...
Décidant de fouiller lentement tes lèvres mouillées...
Tu peux mieux faire... Il va falloir persévérer...
Surtout si tu désires jouir sous ma volonté...
Ce rosebud à ton anneau te va à merveille tu sais...
Maintenant petite chienne laisse toi dresser,
Par cette laisse avance et continues de mouiller...
Ta démarche est féline, pleine de sensualité...
Stop! Prosternes toi et baises mes pieds...
C'est bien... Tu peux à présent te relever...
Debout, écartes tes cuisses que je puisse t'admirer...
Avoue que tu aimes sous mes yeux t'exhiber...
Il ne te reste plus une once de chasteté !
Sois fière de l'effet que tu me fais...
Tiens, à genoux... Viens me sucer...
Exprime moi ton plaisir de m'être dévouée...
Doucement bébé... Ne fais pas ton effrontée...
Et cambres moi mieux ce fessier!
Ou ta récompense n'est pas prête d'arriver...
Tes yeux scintillent... C'est de toute beauté...
Tu aimes avoir la bouche offerte et pleine Bebe...
Mon savoir va bientôt t'inonder...
Oui ma poupée... Je...
Noooooooooon! J'viens de me réveiller xP
Et mes draps sont faut l'avouer...
carrément trempés..!
Va falloir les changer....
Comme quoi entre fantasmes et réalité...
Garder les pieds sur terre et prendre le temps de se poser...
C'est une évidence... Une nécessité
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"La nature, le ciel bleu, la chaleur et le soleil qui engendre de plus en plus en moi cette envie bestiale, cette envie d’enlever une femme de sa routine journalière…
Je la cagoule et la jette à l’arrière de mon fourgon, je la bâillonne et lui arrache ces vêtements en prenant soin de ne pas toucher à ces dessous si sexy qu’elle porte chaque jour dans l’espoir de le séduire, perché sur ces talons aiguille.
Positionnée debout au milieu du fourgon dos au sens de la marche, je l’attache ; une main sur la paroi de droite le bras bien tendu et sa jambe également tendu, puis sur la paroi de gauche la main et la jambe restante. Immobilisé par ces quatre extrémités fermement maintenues et tendues, je m’attarde alors sur son cou glissant un collier relié à chaque paroi restreignant également ces mouvements de tête. (La portière claque, le moteur démarre et le fourgon prend la route. Malgré la tension son corps bouge, elle lutte pour rester sur ces talons aiguilles)
(De longues minutes défilent, le camion s’immobilise dans un chemin, la portière s’ouvre…)
Un peu paniqué elle essaye d’écouter ce qui se passe autour d’elle, sentant ma présence mais ne sachant pas à quoi s’attendre. Je lui arrache alors ces dessous sexy, laissant mes mains parcours quelque instants son corps…
Les cordes glissent encore et encore sur son corps, je lui bonde ces seins les encordes fermement, ces tétons se dressent tel un appel aux pinces, qui sont si dures qu’elle gémi aux positionnements de chacune, je les tends en les reliant aux parois. Les cordes de ces bras se détendent légèrement, d’une main ferme je la penche et avant même qu’elle n’a le temps de réagir je lui insère un crochet anal sans trop de mal…
Je saisi les cordes du crochet que je tends bien au-dessus d’elle de façon à la suspendre, laissant tout juste la pointe de ces talons aiguille effleuré le sol du camion. Les liens de ces bras se tendent à nouveau la soulevant un peu plus malgré la tension exercée par les pinces et cordes de ces tétons.
(La portière se referme, et le véhicule reprend la route)
(Le camion emprunte un chemin de cailloux, ça secoue dans tous les sens au point qu’elle ne touche par moment plus le sol, suspendu par ces liens. Il s’immobilise et la portière s’ouvre. Une fraicheur entre dans le camion, laissant entendre au loin un son d’eau telle une cascade…).
Les yeux toujours bandé elle ne sait pas ce que je fais, mais elle ressent encore ma présence quand soudainement « Clac ». Je lui assène de petits coups de cravaches sur ces fesses si bien offerte, à intervalles irrégulières laissant ainsi la peur du coup planer et son fessier rougir sous les coups.
« Clack » cette fois je lui donne un coup sur son clito et sa chatte humide tout aussi exposée et offerte, elle essaye à plusieurs reprise de serrer ces jambes mais les attaches l’en empêches, elle se sent si vulnérable ! Voilà encore quelques coups pour lui faire comprendre qu’elle n’a pas à se rebeller.
La tension des liens diminue, elle peut à nouveau tenir debout sur ces jambes encore flageolantes de ce petit voyage. Je forme avec ces cheveux une couette à laquelle je tends le crochet anal toujours en place l’obligeant à garder la tête haute et droite puis je relis à son bâillon les 2 pinces à seins qui lui soulève ça poitrine mettant à nouveau sous tension ces tétons. Enfin je la libère de ces derniers liens en prenant soin de lui menotter les mains dans le dos.
Avec un peu de violence elle descend rapidement du camion, puis nous avançons dans une clairière de gravier, mais elle piétine et se traine… ! « CLACK » un cri étouffé sort de sa bouche bâillonné et ces fesses rougissent aussi sec ! J’attache à son collier une laisse puis j’ouvre la marche la tirant ainsi comme une vulgaire chienne.
Elle sent la fraicheur s’amplifier et le sol changer sous chacun de ces pas, ces talons s’enfoncent légèrement, elle peine à avancer mais je garde un rythme soutenu. Une branche lui griffe alors le bras c’est ainsi qu’elle comprit que nous étions en forêt, le bruit de l’eau augmente…
Je la traine ainsi nue à travers la forêt, les branches les ronces et les quelques orties viennent affuter ces sens, tantôt griffé, tantôt piqué elle gémi. Nous nous arrêtons le bruit de l’eau est tout proche, je lui retire son bandeau elle se retrouve face à une petite rivière. « Saute par-dessus » lui dis-je, elle hésite et n’ose pas ! Je saute alors, puis de la berge d’en face je tire fermement sur ça laisse l’obligeant à traverser la rivière sans sauté… La voilà maintenant griffé, piqué et les pieds mouillées. Je continue de la tiré puis nous arrivons cette fois devant une étendu d’eau avec pour seul moyen de traversé un tronc d’arbre l’enjambant. Je l’empoigne de derrière par le cou, tendant son crochet et la force ainsi à passer dessus.
Le bruit d’eau telle une cascade qu’elle entendait tout à l’heure et maintenant tout proche, elle frissonne, gémi, puis s’aperçoit qu’elle est au bord du gouffre, au bord de cette cascade dégageant sa fraicheur printanière. Elle est pétrifiée, la badine fend l’air d’une telle rapidité ; « Clakk » cette fois sa poitrine rougit ce qui la ramène à elle… Je repasse devant et continue de la tiré pour qu’elle avance, la destination n’est plus très loin.
L’abri de fortune est assez grand mais pas très haut un tapis de feuille recouvre le sol, d’un coup de badine sur les jambes je la fait tomber genoux à terre, puis lui attache les mains en l’air l’obligeant à être penché en avant. Je la laisse croupir la, seule, nue, son corps meurtrit par les branches, ronces et orties.
Elle entend un moteur, et voit à travers le feuillage un camion passer non loin de l’abri de fortune. Elle panique, pense qu’elle a été abandonné, puis une autre voiture passe, encore une autre et le temps défile…
Arrivant en douceur d’un côté, absorbé par la route non loin elle ne me remarque pas, la badine toujours en main je lui assène alors un coup sur les fesses qui la fit sursauté ! Ses yeux intense, elle me fusille de son regard noir, je lis alors en elle comme dans un livre ouvert qu’elle veut m’a peau, ces yeux m’insultes de tous les noms, quel audace ! Je la retourne, défait d’une main ma ceinture de cuir et lui ordonne alors de compter à voix haute : « Unff, deufff, troifff, quatrefff, CINQFFFF » j’augmente la force des coups en lui disant que la prochaine fois qu’elle me regarde ainsi le châtiment sera d’autant plus violent «SIXFFF, SEPTFFFF, HUITFFFF, NEUFFFFF, DIXFFFFFFF ». Les larmes coulent sur ces joues mais cette fois elle a compris qui décide et qui commande, je lui détache les mains elle tombe sur le côté et reste la étendue sur le sol sont fessier rouge écarlate et bouillant.
Je la redresse et dépose un baiser sur son front puis lui retire délicatement les pinces à seins. Je sors un jeu de corde et commence à lui attaché sa jambe replié sur elle-même collant ainsi son pied à son fessier, puis la deuxième. Elle se retrouve alors genoux et mains à terre tel un animal, ces seins toujours bondé et tendu par la pression des cordes reste pendu immobile. J’empoigne la laisse puis la tire et la fait avancé comme une chienne qu’elle est à travers la forêt, ces seins rencontrant tantôt des ronces, tantôt des orties mais elle ne gémi plus, elle ne tressaille plus et elle avance au pied à l’allure que je lui demande, le vide se rapproche… Elle aperçoit des marches dessinés avec des pierres dans la pente très raide, puis d’elle-même, elle commence à essayer de les descendre, à descendre vers l’eau, à descendre vers la suite…
(Lors de sa première correction, j’en ai profité une fois la tache fini pour me dévêtir et ne garder qu’un short de bain et une paire de chaussure, je savais que je serais plus à l’aise pour la suite des événements qui devrait être normalement plus doux...)
Tout d’abord surpris puis satisfait, je la regarde descendre doucement mais surement puis elle arrive au bord de cette eau fraiche et pure, elle tourne alors la tête vers moi et de ces yeux de chienne me dit qu’elle m’attend.
Je m’empresse de la rejoindre, chose faite je lui indique le chemin (il faut passer au-dessus du tout petit cours d’eau pour atteindre le chemin de pierre qui est au milieu de celui-ci et le suivre dans les méandres de la terre vers cette cascade mélodieuse), mais elle ne prend pas la peine de sauté par-dessus l’eau et la traverse. Après quelque mètres au détour d’un virage elle l’aperçoit, vive, très fraiche, et clair la cascade coule à flot, son regard se tourne vers moi comme une demande d’aller plus loin. La tenant toujours en laisse et étant sur le seul passage pour sortir de là je sais qu’elle ne pourra se sauver, je l’a détache donc puis elle part vagabonder jusqu’à l’étendu d’eau que forme la chute. La terre est humide et glissante, elle chute à plusieurs reprise, et la voilà maintenant avec de la terre un peu partout (quel spectacle !) au bord de l’étendu le regard rivé sur la cascade, elle contemple. Discrètement je la rejoins, et d’un seul pied je la fait tomber dans cette étendu glaciale et profonde de presque un mètre.
Quel ne fut pas sa surprise une fois vautré dans ce trou d’eau, elle se trémousse pour essayer d’en ressortir mais le sol glissant la ramène dans l’eau encore et encore, je me délecte du spectacle ! Soudains je remarque qu’elle essaye d’ôter ces liens, je pensais que m’a correction avait été clair ; elle a agi comme si la leçon était comprise, mais ça ne devait pas être suffisant !
D’un pas je la rejoins dans l’eau, et lui fait comprendre qu’elle va regretter son action si impoli et défiante soit-elle, je l’attrape alors par les cheveux et lui plonge la tête sous l’eau durant 30 secondes, je la ressors et dit « tu as compris cette fois ? » ces yeux vides me regarde, un gémissement sort de derrière sont bâillon. Vraisemblablement elle n’avait pas compris, je lui plonge à nouveau la tête sous l’eau durant 1 minute, puis encore une fois. Arrivé au bout de la 3ème fois son regard avait changé, elle me remercie.
Son crochet anal est toujours à sa place, tenant ça tête en arrière tel une chienne fière et digne, j’ôte d’une main mon short et m’agenouille alors derrière elle. Ma main caressant son corps de chienne, ces seins fermement maintenu et trempant dans l’eau froide, ces tétons raidi comme la justice par la fraicheur printanière de l’eau, puis mes mains s’attarde à son entrejambe, caressant sont anus déjà bien occupé, puis sont clitoris, et sa chatte fraiche et humide !
Un doigt, puis deux et je commence les vas et viens avec ma main dans son vagin, puis trois et quatre doigt je continu toujours plus loin, plus profond voilà alors le 5ème…. Elle ne bouge pas et se laisse faire, parfaitement immobile je continue de torturer de plaisir son vagin, puis ma main rentre elle gémi de douleur/plaisir ( ?). Qu’importe c’est son moment, je lui donne une légère gifle pour lui faire comprendre de ne pas faire de bruit et je continue, le fist devient intense ça chatte mouille encore et encore et je la sens frissonnée sous mes doigts… Quel plaisir !
Au bout de quelque plus ou moins longues minutes je m’arrête et me retire, elle reste la sur ces quatre pattes, sage et immobile je la contemple. Je me rapproche alors doucement de son arrière train, l’effleurant de mon membre raidi par l’envie, elle frissonne, je lui caresse la chatte et l’anus avec ma bite et je la pénètre. Je lui donne de léger coup de rein, qui s’accentuent, de plus en plus profond, de plus en plus violent dans un rythme léger et doux, elle subit en silence. Elle tend ça tête en arrière vers moi pour me faire savoir qu’elle aime ; c’est son moment de gloire c’est ce que j’attends de lui donner depuis le début, ça récompense. Elle se dresse alors sur ces pattes arrières, je l’agrippe par les seins, et continu mon va et vient avec toujours cette cadence aussi douce et ces coups aussi dévastateur dans son vagin de chienne.
Une de mes main glisse le long de son corps mouillé jusqu’à son clitoris en érection ; je le caresse, je le frictionne, je le stimule, je l’a stimule et elle aime ça. Son arrière train tressaille, j’augmente le rythme des caresses et des coups de reins, je sens qu’elle veut gémir mais elle se retient je suis fière d’elle ! Je la libère alors de son bâillon et l’autorise à gémir, l’autorise à jouir !
Elle est là, à nouveau à quatre pattes dans l’eau, le bout de ses seins trempant tendrement elle contemple le paysage autours d’elle, heureuse, remplit de foutre. Je me relève et la libère de ces derniers liens de chienne, elle peine à se relevée je la soutiens et la ramène sur le chemin de pierre."
Une histoire imaginée de toute pièce lors d'un échange avec une douce demoiselle ici même, mais qui pourrait très bien être mise en application...
Toute remarque, critique, compliment est bienvenue =)
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A genoux, mon buste à terre...
S'insinuant foudroyant tel un éclair...
Oh oui Maitre je la sens bien !
Devenant ce docile objet, le sien...
Crapahutant, chevauchant ma croupe...
Son regard sur mes besoins sont loupe...
Oh oui Maitre je vous appartiens !
Quelle plaisir d'être sous sa fougue, d'être sa putain...
Il m'impute toute volonté, toute résistance...
Il n'est plus l'heure d'être dans la bienséance...
Oh oui Maitre j'aime votre foutre !
Un tel pied que la douleur... J'en passe outre...
Sa main sur ma nuque, forçant mon cul...
Sa force brute dans mes reins,sans retenue...
Oh oui Maitre baisez moi !
Notre osmose n'obéis qu'à nos lois...
Son pouvoir hypnotisant m'ensorcèle...
Lui appartenir me donne des ailes...
Oh oui Maitre j'aime ça!
Et dans une dernière contraction électrisante ... Pleine de lui... Me sers tendrement dans ses bras...
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Bonjour, je me présente à vous comme « vache vavient »…Je suis attiré par la soumission depuis quelques années, et je viens enfin de trouver une Maîtresse avec qui j’avais pu avoir de longs échanges virtuels, permettant de mieux nous connaître, pour créer un climat de confiance, propice à l’expression de ma condition. Le temps passait, et un jour, je fus convié à un séjour en sa demeure, en son donjon pour des instants qui m’excitaient autant qu’ils m’angoissaient…
Le vendredi soir donc, je garais ma voiture près d’une maison en pierre, plutôt grande au premier abord. Je frappais trois coups rapprochés, puis deux coups plus espacés à la porte, code pour annoncer mon arrivée. Quelle ne fut pas ma surprise de voir, derrière la porte qui s’ouvrait, un homme d’une trentaine d ‘années, entièrement nu avec un collier autour du cou sur lequel on pouvait voir un anneau, mais sans rien accroché dessus. Je devinais tout suite que ce garçon, clairement soumis lui aussi, faisait partie du cheptel de ma Maîtresse. Je n’étais pas pris en traître, puisque cette dernière m’avait bien expliqué que je ne serais pas son soumis attitré, qu’elle considérait le bdsm dans le partage. Passées ces premières pensées, je me décidais à rentrer dans la maison, curieusement mon ouvreur ne disait pas un mot, et se contenta de me faire signe de le suivre. Nous traversâmes quelques pièces, puis une autre porte s’ouvrit sur un vaste espace, sur lequel il y avait une table, et surtout un mot posé dessus. J’entrais, sur un nouveau signe, puis la porte se referma, me faisant comprendre que le mot déposé m’était destiné. Je prenais en main la feuille pour y lire :
« Bonjour, vache vavient…C’est Maîtresse Wendy qui t’écrit ces mots, pour te faire comprendre que tu es proche de vivre ce qui te marquera pour longtemps, si toutefois tu vas au bout de tes désirs les plus profonds. Si tu as peur, si tu n’as pas confiance, si tu doutes de ta sécurité, tu peux faire demi tour, et repartir comme tu es venu…Si tu te sens prêt, alors mets toi entièrement nu, puis à genoux, mains derrière la tête dans le cercle tracé à la craie de l’autre côté de la pièce. Je viendrais moi même te chercher, tu te contenteras de me suivre à quatre pattes jusqu’au donjon. Tu y retrouveras soumis saturne, que tu as déjà vu, et qui termine à mes côtés un stage de trois jours intenses. Je te laisse quelques minutes pour prendre une décision, réfléchis vite et bien, petite sous merde que tu es. »
J’avais lu, mais je n’avais pas besoin de réfléchir, tant ma Maîtresse avait su frapper pile au but en me nommant de la sorte. Elle savait combien j’étais sensible au pouvoir humiliant des mots, ce qui était pour moi comme une drogue mentale, une addiction même parfois. Mais je ne voulais pas m’égarer dans des pensées profondes, je me contentais d’obéir, de me mettre nu et de me placer comme exigé. Le temps passait, chaque minute plus intense que la précédente, encore plus quand j’entendis des pas et que je vis la porte devant moi s’ouvrir. Elle était la, irréelle, c’était ma Maîtresse, Maîtresse Wendy. Trois pas derrière elle, celui que je pouvais nommer soumis saturne désormais. Sans dire un mot, Maîtresse claqua des doigts et me fit comprendre que je devais la suivre à quatre pattes, comme ordonné. Dans cette position inconfortable, je parvins jusqu’au donjon, pièce magique autant qu’inquiétante, que je ne saurais trop décrire, tant j’étais obnubilé par mes mouvements et l’envie forte de bien faire.
Maîtresse stoppa sa marche, puis en claquant à nouveau des doigts dit :
-saturne, à quatre pattes comme vavient !
Saturne s’exécuta, prestement ! Puis vient ce monologue :
-vavient, depuis le temps que nous nous parlons, je sais ton désir, celui d’être vache. Cela tombe bien, j’aime ce que représente l’animalisation dans la soumission. Au moment où je te parle, tu n’es plus que cela à mes yeux, désormais ta queue sera un pis, désormais, tu ne te masturberas plus, tu ne feras que te traire lorsque je t’en donnerais l’ordre….Comme tu le vois, saturne nous accompagne et comme je veux l’égalité entre vous, il va devenir vache, tout comme toi. Et pour que tout ça soit clair, je vais commencer par te mettre à toi, vache vavient, un collier avec une belle cloche de vache. Pour saturne, je ne ferais que l’ajouter à son anneau. Ne bouge pas !
-A vos ordres, Maîtresse !
Je reçus alors une gifle qui me déstabilisa, qu’avais je fait de mal ?
-Crois tu qu’une vache parle, vache vavient ? Non, elle meugle, et c’est ce que tu feras maintenant sous mes ordres, sauf contre ordre de ma part. Pour dire « oui, Maîtresse » ou « à vos ordres, Maîtresse », ce sera un meuglement long. Pour demander l’autorisation de parler, ce sera deux meuglements courts. As tu compris ?
- Mmmeeeeeeuuuh.
Bien, et si tu souhaites pouvoir parler ?
- Meuh, Meuh !
- Parfait, vache vavient, tu m’avais évoqué dans tes premiers courriers qu’il t’arrivait de sortir en club gay où tu faisais preuve de tes talents buccaux et manuels. Mets toi en 69 avec vache saturne, vos têtes entre les cuisses de l’autre. Vous y êtes ? Allez, je veux vous voir tous les deux vous brouter les couilles, exécution.
Je n’avais qu’une idée, obéir, et je commençais à sortir ma langue pour la laisser aller au contact de ces deux boules de belle taille, pendant que vache saturne broutait mes deux sacs à lait, d’une façon consciencieuse et en même temps, excitante…Sous l’effet du regard de Maîtresse, de cette sensation humide à l’entrejambe, je bandais déjà fort bien et je voyais bien qu’il en était de même pour mon collègue, nos deux cloches de vache qui en plus tintaient, ajoutaient au plaisir de l’instant. Le jeu dura trois, quatre, cinq minutes, je ne saurais vous dire exactement. Puis Maîtresse intervint :
- Allez, à quatre pattes, bouffeuses de couilles.
Nous reprîmes notre position initiale. Maîtresse fit quelques pas sur sa gauche jusqu’à une petite table ou trônaient une foule d’accessoires, elle revint avec quelques pinces.
-Histoire d’agrémenter la séance, nous dit-elle avec un sourire mêlé à un sadisme jouissif.
Nous eûmes tous deux une pinces sur chaque téton, devant l’effet de la douleur lors de la pose, nos deux pis avaient légèrement perdu de leur superbe. Maîtresse qui avait sans doute recherché cet effet, m’ordonna d’embrasser, du bout des lèvres, le beau pis de mon collègue…A la fin de cet ordre, Maîtresse me dit :
- Qu est ce qu’on dit à sa Maîtresse, après un ordre exprimé ?
Je ne tombais heureusement pas dans le piège :
- mmmmmeeeuuuuuh.
Bien, embrasse comme je t’ai ordonné. Je m’appliquais donc sur ce pis, mais au fond moi, il me semblait tellement incroyable d’être la, à obéir, à baiser au sens propre une queue, que je me répétais ces mots enivrants :
« je suis un lécheur de couilles, j’embrasse un membre »….Dois je me résoudre à admettre que j’aime la bite ? Moi, moi qui me sent vache, moi qui ait du mal à l’assumer auprès de ceux qui gravitent autour de moi, pourrais je avouer que les queues m’excitent ? Que je sois sous merde, ou salope, putain ou vache, tout cela était facile, ce n’était que des mots. Si j’aime traire les hommes, je vais au delà des mots, mais….ça me plaît !
Je continuais en même temps, mécaniquement, mes mouvements de bouche. Puis Maîtresse ordonna l’inversement des rôles, mais vache saturne dut non pas embrasser mais lécher mon pis. Maîtresse voulait voir la salive dessus, la langue tourner autour comme si mon membre était une glace à réchauffer. Le ressenti m’était plutôt agréable, même si j’étais sans doute plus sensible à l’humiliation de saturne qu’aux ressentis de sa langue.
Il m’était difficile de m’arracher aux questions intérieures, pour profiter totalement du moment, mais j’avais cette volonté de lâcher prise. Pouvais je y arriver ? La était le défi, la était le dépassement de soi, pour honorer ma Maîtresse et qu’elle me façonne comme elle le voulait :
Vache, sous merde lubrique, salope baisant des bites…tout ce dont j’avais rêvé, tout ce que je vivais maintenant.
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Ma vieille veste kaki du surplus sur le dos j'arpente de sinistres rues de la proche banlieue. Le cœur à l'abandon, direction un petit appartement loué grâce à une connaissance et qui me coute la modique somme de la moitié de mon salaire. L'endroit est sinistre, la peinture « rose seventies » défraichie s'écaille sur les murs, les fenêtres sales de nicotine laissent passer l'air étouffant de la ville. 15 mètres carré de misère, un lit à moitié défoncé, une vielle plaque de gaz, un frigo qui aurait dû prendre sa retraite il y a déjà longtemps. Une table en formica et un canapé, le strict minimum. Un peu de vaisselle dépareillées dans les placards poussiéreux, un miroir fêlé dans la salle de bain reflète un personnage que je ne reconnais plus. Je vais pouvoir engager mon voyage, sans artifice, sans distractions. Je vais partir à ma recherche, essayer de me retrouver dans ce miroir. Un vent glacé sur mon sourire, les yeux nécrosés, "le vide a des lueurs d'espoirs" mais je ne vois qu'un étranger dans la glace.Peut -être vais-je me remettre à l'écriture?Le temps passe lentement quand on le regarde bien en face. Sans télé, sans radio et sans autre ouverture sur le monde que mon boulot. Payé au lance pierre pour des efforts de titans, là où il me porte. Tantôt au bureau, tantôt à l’autre bout de la planète, jamais au même endroit, et pourtant il trouve toujours moyen de me faire revenir… Trouver le moyen de remplir 2 passeports et finir par se retrouver assis sur le même chiotte dégueulasse. La vie n'est pas souvent drôle...Le reste du temps j'écris des poèmes que je balancerais aussitôt à la corbeille… si j’en avais une, du coup ils finissent souvent par la fenêtre ou se consument dans le cendrier. Je regarde la ville qui s'agite par la fenêtre en buvant un verre. Plus précisément en buvant plusieurs verres. Beaucoup trop de verres. Je ne compte plus le nombre de fois où je me suis réveillé à même le plancher, le corps endolori, baignant dans ma sueur… voire pire, le « Jack » renversé, l'esprit embrumé. L'alcool a une emprise diabolique sur la solitude. C'est un allié facile.Je ne me rase plus, je prends ma douche que lorsque c'est vraiment nécessaire. Je suis devenu irritable, fatigué. La chose qui me fait tenir c'est le boulot. Même dans cet état de loque, j’y suis doué… Et les clients me réclament, pour mon savoir-faire évidemment, t’as vu ma gueule ?… Et parce qu'avec les efforts que je fournis je peux m'acheter à boire. Cela me suffit, de toute façon je ne mange presque plus. De temps en temps une boite de cassoulet, de raviolis mais comme je les finis jamais. .. Et puis il faut mettre les ordures à la poubelle, quand la poubelle est pleine il faut la descendre et rien qu'à cette perspective je suis épuisé. Le soir venu je fume clope sur clope en trainant dans la rue. On m'évite, on fuit mon regard, on change de trottoir. Je ne pensais pas qu’un modèle réduit d’1 m 72 puisse faire peur à ce point… ou pitié peut être… Même les clodos n'osent pas m'accoster. Je me complais dans cette vie de miséreux. Je ne me plains pas pour autant, mon sens des réalités n'est plus le même qu'avant, c'est tout. Je n'ai même pas vu passer Noël; peu importe j'ai pas de cadeaux à offrir et je ne crois plus au père Noël depuis longtemps. Le soir je ne prends plus la peine de me déshabiller pour me coucher...J'ai plus d'envie, plus de désir, plus de plaisir. Plus rien…Mai 2006... 10 ans déjà ! C'est fou comme l'on peut changer en 10 ans. Mais comme parfois "ceci explique celà"...Pourquoi mettre ce texte ici? Quel rapport? Parce je crois que cette époque là, a énormément fait de moi ce que je suis aujourd'hui.Et parce que je me rend compte que finalement, pas mal de personnes ici, ont souvent du toucher le fond, tout comme moi, pour se relever plus fortes.
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Elle a minaudé auprès de mon Maître pour que l’on vienne à la soirée des Windsors alors que j’avais un programme avec mon pote Cauet et mes copines pour des bœufs improvisés.
On arrive avant elle et je me demande, si cette fois encore, elle ne fera pas faux bond à l’invitation.
Je guette l’entrée, ma coupe à la main et elle arrive. Elle est accompagnée d’un beau dominant, ils rient ensemble. Ça me fait du bien de la voir rire car cela fait des mois que je l’entends pleurer…
Ils se tiennent par la main et je les pense plus proches que je ne croyais. Je me garde de faire quelques remarques que ce soient même si des questions curieuses me brûlent les lèvres.
Elégante et souriante, je la retrouve comme à la belle époque, servant son partenaire avec dévotion.
Ça me fait bizarre de la voir dévouée à un autre que Oxy. Oxy et Cindy, c’est aussi mythique que Masterlau et Bergamote. Egoïstement, je les souhaiterais toujours ensemble mais la vie, et surtout Oxy, en ont décidé autrement et ça ne me regarde pas. Mais ça me renvoie à ma propre histoire et contre cela, je ne peux pas lutter. Je ne peux pas m’empêcher d’en vouloir à Oxy même si j’ai beaucoup de respect et d’affection pour lui.
Elle me rejoint sur la banquette et on babille comme deux collégiennes. C’est toujours un grand moment de plaisir que de se retrouver, elle et moi. On s’est découvertes par hasard, il y a quelques années déjà et la similitude de nos parcours (et accessoirement le partage du même dominant) nous a liées d’une amitié sincère.
J’ai vécu son abandon et ai écouté sa peine, tellement elle réveillait de douloureux souvenirs pour moi. Je connaissais le chemin qu’il lui faudrait parcourir. Je savais que cette phase de deuil lui paraîtrait interminable et qu’elle passerait par tellement d’états d’âme… Je savais et elle savait que je savais. Je devenais sa boule de cristal, lui expliquant avec patience, l’épreuve suivante.
Je lui servais des phrases toutes faites qu’on m’avait dites et dont je me nourrissais, à l’époque, pour survivre à mon chagrin. Remplacer Oxy, c’est comme remplacer Masterlau, c’est du domaine de l’impossible !
Pourtant, je savais combien il était important de ne pas renoncer à sa soumission à cause de la mort d’une histoire dans laquelle on n’avait pas vraiment de responsabilités. C’était le choix de l’autre que de dire stop à la relation, au nom de tout un tas de mauvaises raisons. Mais était-ce suffisant pour, à notre tour, dire stop au BDSM ?
Similitude de notre parcours, Cindy, tout comme moi, avions fait notre temps « vanille », mené notre carrière professionnelle, élevé nos enfants pour qu’à un moment, on décide de s’occuper de notre libido devenue morte.
Après le libertinage vite jugé fade, le BDSM nous avait ouvert des portes menant à des chemins lubriques insoupçonnés qui nous dévergondaient avec tellement de plaisir à la clé, qu’il aurait été criminel d’y renoncer. J’insistais pour qu’elle m’écoute et surtout qu’elle m’entende. Je la connaissais battante et tout à fait capable de surpasser sa peine pour se concentrer sur son futur bonheur.
J’aiguisais sa curiosité en lui parlant des rencontres que j’avais faites et qui, pour certaines, m’avaient fait vibrer le temps d’un instant.
Mais ce soir, on ne parle plus du passé. On regarde vers son avenir BDSM et elle en tisse la trame durant cette première sortie parée de son collier de pacotille. Elle est sollicitée par les membres du groupe qui l’apprécient tous. Elle sourit. Elle rit. Elle parade. Je l’aime ainsi.
Elle suit son dominant et je suis curieuse de la voir jouer mais ils se sont isolés et la porte est fermée ; je connais ce code et je respecte leur intimité. Je me réjouis pour elle de ce qu’elle peut être en train de vivre, à vibrer sous les caresses d’un autre. Cela fait partie de son « apprentissage » du retour à sa vie.
Elle revient le feu aux joues, alors que mon Maître me fouette en enroulant le fouet autour de mon corps. On se prend dans les bras et on partage ce moment, on virevolte afin de changer l’angle de l’impact.
Elle a envie de fouet et s’adresse à Masterlau. En deux clics, elle a ôté son joli corset de cuir et exhibe avec indécence ses moelleux melons qui composent sa poitrine opulente et blanche. Elle garde sa jupette de dentelle et son string. C’est déjà beaucoup pour elle de s’effeuiller ainsi en public. Je le sais, je la connais !
Elle décide tout ce soir et elle instrumentalise les autres à son propre plaisir. Elle est toujours soumise mais désormais c’est à elle-même. Elle donne que ce qu’elle veut donner. Elle se donne si elle veut. C’est une femme libérée même si elle ne se sent pas si libre que ça. Elle veut jouer les Houdini pour fourguer ses chaînes devenues rouillées, inutiles voire dangereuses.
Elle ne sera pas attachée. Elle veut garder le contrôle de ses bras en l’air. Elle s’impose une contrainte supplémentaire en s’agrippant aux chaînes qui pendent. Elle gigote comme si elle cherchait de la stabilité sur des sables mouvants, puis, soudain je la sens inspirer à fond et s’immobiliser. Elle est prête.
Masterlau œuvre sur elle. Il vit sa disposition comme un grand honneur qu’elle lui fait. Secrètement, il a espéré ce moment et c’est sans doute pour cela qu’elle n’a pas eu de mal à le convaincre de venir ce soir, au détriment de ma soirée « nanas ».
Je les regarde jouer ensemble. Le rythme est soutenu. Ça monte crescendo et c’est elle qui mène la danse. Elle ahane, elle crie comme si elle avait besoin de s’exorciser d’un mal qui l’asphyxie. Elle rit aussi et chaque fois, je pense qu’elle va dire stop. Elle se « punit » d’une abstinence qui n’a que trop duré. Elle en veut encore, mon Maître transpire. Ils sont ensemble dans cette bulle de complicité et d’admiration réciproque. C’est comme une lutte où le matériel est mis à rude épreuve, où le corps de la soumise encaisse et où les muscles des bras du fouetteur sont bandés à outrance.
Je constate que mon Maître ne fait quasiment pas de pause, qu’à aucun moment, il ne vient la caresser comme pour effacer les traces du passage de son engin et je m’approche d’elle pour la prendre dans mes bras. Je ne crains pas le fouet et l’affronte en regardant mon Maitre. Je sais qu’il fera particulièrement attention de ne pas m’atteindre au visage. Je veux m’assurer que ma topine va bien.
Je caresse le corps meurtri de Cindy. Elle est brûlante et l’espace d’un instant, je me demande si elle n’est pas allée trop loin. Mais les propos qu’elle chuchote à mon oreille me rassurent et je fais signe à mon Maître que tout va bien, qu’elle en veut encore, qu’elle peut encore.
Ils joueront longtemps ce soir-là et leur air hagard respectif lorsqu’enfin ils se poseront face à face m’en dira long sur leur satisfaction personnelle.
Le reste de la soirée sera plus léger pour Cindy, elle est venue chercher sa jouissance à elle, celle qui la fait vibrer et la confirme dans son statut de demandeuse de pratiques SM.
Je sais combien son retour, seule, à la maison lui sera pénible. J’ai connu, moi aussi, ces retours de soirée où l’on décide de rentrer seule, quand bien même on a envie de baiser et même si on a été sollicitée, voire tentée parfois.
Bizarrement, on est emplie d’une forme de culpabilité idiote, comme une adolescente qui aurait fait le mur pour se rendre au bal qu’on lui refuse depuis trop longtemps.
Cindy, tu es une pétroleuse et je sais que tu sauras puiser la force dans ta passion du BDSM pour envisager un avenir à deux. Tu ne trouveras pas le « remplaçant » de ton Maître Oxy, mais tu vivras autre chose, quelque chose de différent qui te rendra plus forte et plus sereine.
Moi aussi, lorsque j’ai perdu CKristo, j’ai pensé que je ne pourrais plus jamais rencontrer quelqu’un d’autre qui me fasse autant vibrer. D’ailleurs, lorsque Masterlau est entré dans ma vie, je ne lui ai accordé aucun crédit mais il a su me faire rêver et m’emmener dans son univers, où, avec confiance et amour, je l’ai suivi et où je me pavane dans le bonheur depuis trois ans.
Je vais continuer à te suivre, avec bienveillance, de loin ou de près (comme tu voudras), mais « je sais » d’ores et déjà, quelle soumise épanouie tu seras dans trois ans.
N’oublie jamais que si le pare-brise est plus grand que le rétroviseur, c’est pour pouvoir regarder DEVANT.
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Mademoiselle
Je voudrais faire de vous ma chienne,
Je sais que vous avez ça dans les veines.
De votre obéissance, je me délecterais.
Par mon autorité, vous serez envouté.
Une récompense ou une réprimande,
Dans tout les cas tu la demande,
Enfin plutôt tu la languis...
Car demander ça t'es proscrit.
Ce laissé aller, ce lâcher prise.
Qui te permet de t’évader.
J’en disposerais a ma guise,
Mais tu en gardera les clés.
Me confier ta vie n’est pas une bêtise.
Je saurais te le prouver.
Meme si la rigueur de de mise,
De plaisir tu sera comblé.
Une moitié, une complice,
Dans la vie comme dans le vis.
La fusion, la communion,
Nous, nous vivons a l’unisson!
Une relation sans égal,
Que certain qualifierais de bestial.
Pour toi est mois c’est simplement normal,
Tu est ma chienne et moi ton Mâle...
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Il fixe cet œil palpitant et fébrile, plissé, froncé, exhorbité. Et lui vient en mémoire « L'oeil était dans la tombe et regardait Caïn »... Histoire de petite mort, irrépressible, infaillible, qui l'attend au bord de ce précipice ourlé, encore clôt mais qui ne demande qu'à éclore sous ses doigts inquisiteurs. Cet œil cerné, inquiet, au souffle chaud lui évoque un brasier à invoquer, toute verge dehors ! Il se niche au creux de son cul que dévoile deux lobes laiteux. Lui les ouvre, cambrant du plat de sa main les reins offerts. Glisse sa langue sur les délices veloutés qui s'épanouissent, embués et avides. « L'oeil » s'anime, vibrant, se tortille. Son doigt s'enduit de cyprine et glisse dans les méandres d'un plaisir qu'elle laisse échapper des pores de sa peau, fluides et sonores, ambrés et sulfureux. Elle ouvre un « oeil », timide mais gourmand, qu'appelle un second doigt, happé, avalé d'un coup « d'oeil » vorace ! Son cul haut perché vogue, halète, hallucine. Oeil en point de mire, œil en vît, vite cet œil, urgence, flamboyance, fulgurance. «Oeil » écarquillé pour y voir des merveilles. L'oeil cligne et l'avale tout rond, dans un hocket. Il fixe sa queue plantée dans cet œil hypnotiseur...
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Non mais pour qui tu te prends?
Fermes la et restes à ta place!
Ton comportement est pire qu'arrogant,
Franchement... Tu manques de classe!
Te sentir vivante t'effraies?
Bah alors pourquoi t'es venue me chercher?
Allumeuse! T'as aimé ça me provoquer...
T'étonnes pas maintenant que je te le fasse payer!
Putain mais qu'est ce que tu croyais?
Ici on est pas dans 50 nuances de grey!
Devenir chienne faut savoir aussi le mériter...
Tes fantasmes de nympho je m'en tape si tu savais!
Oui parce qu'une petite branleuse c'est ce que tu es...
Assumes bordel que tu aimes te sentir trempée,
T'aimes ça à t'en faire gicler petite traînée...
Alors comme ça tu as envie de te rebeller?
Fais moi confiance je vais te faire plier...
Ne te méprends pas, et laisses toi aller!
Je vais façonner la soumise que tu es...
Tu m'appartiens... c'est un fait!
Acceptes que je plante en toi nos piliers,
Ceux sur lesquels je vais prendre plaisir à t'attacher, t'expier, te ligoter...
Te baiser, te goder et pire... t'exciter à t'en faire hurler!
Mets toi nue sur tes talons et prosternes toi à mes pieds...
Mon sac à foutre, urinoir ou cendrier...
Sois la chienne... la pute que tu es,
Et dis moi que tu aimes me faire bander!
Car crois moi tu vas aimer être dressée...
Entends cette voix intérieure et obéis...
Tu es si belle lorsque tu t'offres à moi... Que tu jouis...
N'oublies pas que fuir n'est pas une option...
Nos esprits et nos corps se sont choisis... Fais toi une raison!
***Oups.... Petite évacuation de Pulsions... Pardon... mais c'est trop bon ^^ ***
Et si vous en êtes choqués sachez que je ne cherche ici qu'à m'exprimer en toute liberté...
Rien de plus... Vraiment!
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Après avoir constaté quelques erreurs, je poste de nouveau mon portrait québécois pour Amroth60. Portait qui permet de parler un peu de soi, d'en savoir plus. J'évoque un peu de moi et mon goût pour le BDSM.
1- Un pays où j’ai vécu : le Chili.
2- Mon livre préfére : Confieso que he vivido-Pablo Neruda.
3- Ma première vraie histoire d’amour : à l’âge de 18 ans
4- Mon signe du zodiaque : Lion.
5- Mon sport préféré : la natation
6-Matière préférée à l’école : l’espagnol
7- Je suis pacsé
8- Ce que j’aime le plus : nager nu dans la mer
9- Je suis dans une relation vanille
10- J’ai avoué mon goût pour la soumission récemment à mon compagnon. C’est un sujet assez tabou que j’évoque facilement en virtuel mais peu en réel.
11- Je sens que mon compagnon a un potentiel pour être dominateur, mais j’ai l’impression qu’il s’ignore. Je ne sais pas si c’est réel où si je projette en lui ce que j’aimerais qu’il soit.
12- J’aime être dirigé. Mon compagnon me reproche parfois de ne pas être suffisamment force de proposition dans le couple. Mais j’ai un mental de suiveur et non de meneur.
13- A l’âge de 6 ans, le fils de ma nourrice a reçu le martinet sous mes yeux, j’avais mal et en avais les larmes aux yeux.
14- A 7 ans, j’ai à mon tour été puni au martinet.
15- Inconsciemment, ces expériences m’ont sans doute donner le goût de la fessée à l’âge adulte. Ces deux souvenirs sont restés gravés et je suis devenu un réel fétichiste du martinet.
16- Je possède 3 martinets. Mon préféré : celui avec un manche en bois, lanières carrées. J’ai aussi un faible pour les martinets aux lanières en cuir tressées.
17-La première fois que j’ai été puni adulte : à l’âge de 23 ans.
18-Punition où j’ai eu le plus peur : attaché, j’avais peur qu’il ne s’arrête plus car j’avais utilisé le safeword, la douleur/plaisir s’est rapidement transformé en pure douleur. J’ai détesté sur le moment, adoré après. Expérience qui m’a permis de me dépasser.
19-Au sein de mon couple, j’adorerais être puni
20-Mon idéal de vie de couple : servir, obéir, partager des moments de complicité, être puni si besoin.
21- Ma punition la plus longue et la plus ennuyeuse : Un Master me demandait après chaque coup si j’avais mal, et me disait que les coups pouvaient être moins fort si je le souhaitais. C’est à ce moment là que j’ai regretté mon expérience évoquée en 18.
22- J’ai vécu pendant 4 mois dans une relation BDSM.
23- Une relation, BDSM se fonde sur la confiance et la complicité. L’expérience évoquée en 22 a échoué sans doute parce qu’il manquait des moments de tendresse.
24- Je peux aussi bien être en couple avec une femme qu’avec un homme
25-J’ai longtemps cherché une femme dominatrice, en vain. J’ai souvent été déçu par des femmes virtuelles et vénales.
26- J’admire les couples qui ont des relations D/s sur du long terme et qui en font un mode de vie.
27- J’admire et envie les hommes dominateur car ils sont le contraire de moi. J’aimerais être à leur place, leur ressembler. J’admire aussi les mecs machos que je croise dans la salle de sport, car je ne suis pas du tout comme eux et me sens vraiment inférieur quand je suis en leur présence.
28- Pour moi le BDSM n’est pas qu’un jeu. Être soumis fait réellement partie de ma personnalité.
29- Un moment gênant : j’ai croisé des collègues alors que j’étais sous cage de chasteté. J’étais habillé, mais j’avais peur que ça se voit.
30-Certaines personnes que j’ai croisées sur ce site m’ont vraiment donné l’impression d’être super. Dommage que je ne puisse pas vous connaître en vrai ou qu’une rencontre soit compliquée.
31- J’apprécie ce site mais je n’aime pas le fait de devoir ajouter une personne en ami pour pouvoir échanger avec.
32- J’ai parfois peur de passer pour un fake ou un fantasmeur. Non je suis bien réel, sauf que je suis en couple, aussi bizarre que cela puisse paraître je suis fidèle et n’ai pas l’intention de tromper mon partenaire pour un moment bdsm peut-être sans lendemain. Je suis resté pendant 3 ans seul, à la recherche de ce qui m’a paru impossible. J’ai peiné à me reconstruire après une histoire d’amour douloureuse. Je n’ai pas envie de tout gâcher.
33- Un regret parfois : ne pas être en couple avec une dominatrice. Une vie à deux au service de ma Domina et avec enfants m’aurait aussi comblé.
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Je le fuis, et pourtant il m’attire, je le croise furtivement, puis détourne les yeux, mais c’est plus fort que moi, je le cherche pour finalement de nouveau l’esquiver quand soudain je n’ai plus d’échappatoire, tes yeux dans mes yeux. Il s’impose à moi, impérieux …Ton regard !Ce regard envoûtant, qui n’admet aucune objection…ce regard directif dans lequel je m'égare. Autoritaire, sévère, sadique…empreint d’un désir intense, puissant, imposant !Ce regard qui me fait instantanément basculer, oubliant qui je suis. Ce regard qui me transcende, qui me fait me perdre au plus profond de moi-même pour laisser place à la soumise. Ce regard qui me rend fébrile, m’enflamme. Me fait tienne. Totalement tienne, totalement dévouée. Docile au service de tes désirs, tes envies, ton plaisir. Ce regard que je veux rendre fier, que je veux savoir épanoui en moi. Ce regard qui m’attache, dispose de moi. Ce regard qui aime me voir fouettée, remplie, fessée, doigtée, humiliée, pénétrée, rabaissée, sodomisée, baisée, marquée…Ces plaisirs violents, brutaux, dans lesquels je m’oublie. Plus loin, plus fort, plus intense. Où douleurs et souffrance ne sont que plaisir et jouissance.Ce regard qui me rend fébrile, m'enflamme, m'embrase. Ce simple regard qui suffit à me faire mouiller, prête à t'accueillir, offerte. Ce regard qui révèle mes plus profonds désirs, mes envies les plus sombres.Ce regard envoûtant, hypnotisant qui m'entraîne dans un autre monde où tu deviens mon guide, pour plus de perversions, plus de jeux. Un autre monde où lumière et obscurité se confondent, et où seul ton regard persiste. Ce regard que je suis, aveuglément, plus loin, plus profondément, dans ce monde où tu m'initie, me pousse, teste mes limites. Dans ce monde où tu tortures mon corps, mais libère mon esprit. Dans ce monde chaotique où je deviens moi, ce regard est ma boussole. Ce regard dans lequel je m'abandonne avide de découvrir l'après. Ce regard qui me rassure et m'encourage à me dépasser, à oublier mes craintes, mes peurs et mes doutes. Ce regard auquel je succombe, auquel je confie mon être pour me mener au-delà. Ce regard qui m'inspire confiance et sérénité et pour lequel je veux dépasser mes limites. Pour toi, avec toi, je veux aller plus loin. Eylyn
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Si j'avais une Soumise...
Séduise, soit par mon regard ou par ma voix...
Acquise, offerte à mes désirs avec réelle joie...
Conquise, ton corps est découverte pour moi...
Éprise, ta chatte mouillée tu offres avec émoi...
Commise, de tes orifices je me délecte adroit...
Marquise, ton élégance masque la Salope en toi...
Promise, le stupre pour ma chienne est l'unique voie...
Introduise, tes appendices honorés je m'y emploie...
Emprise, liée et impuissante ton corps je m'octroie...
Friandise, ma bonbonnière remplie ainsi il soit !!!
Exquise, je dévore tes calices brûlants et étroits...
Gourmandise, seulement l'overdose j'entrevoie...
Prise, Ton Dom, et puis qui encore ? Lui seul prévoit !!
Mainmise, ton Dominant pour ton plaisir sera Roi...
Soumise, à Marc Ydessad, tu adores sa luxurieuse foi.
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Comment atteindre le sommet, si loin, si exigeant.
Franchir la première marche si haute, ce vertige effrayant,
Ce premier pas, finalement si exquis,
Que le monde applaudi
le corps tremble, la volonté fond,
Dans ces moments de confusion et d'abandon.
Se lancer dans ce tourbillon avec un guide,
Pour un échange de plaisirs qui empli le vide.
Merci Monsieur
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Un fantasme occupe mes pensées. Depuis longtemps, sans que je me rende vraiment compte qu'il est bien présent, bien ancré en moi. Ça a commencé par des pensées, à l'adolescence, quand je matais les filles au lycée, quand mes sens étaient tout retournés en les imaginant nues, avec moi dans un lit, les caressant et les excitant. En grandissant c'est devenu plus qu'un fantasme, c'est devenu une chose que je voulais absolument réaliser, comme un besoin de franchir un cap dans ma sexualité, une expérience à tester.
J'ai eu l'occasion de pratiquer avec un couple il y a quelques années, juste du sexe, mais ça ne m'a pas plus tant que ça, le fait que je ne sois pas seule avec la fille me bloquait, je ne la voulais que pour moi, je voulais être la seule à la caresser, à l'exciter, à la faire jouir, et lui faire mal, éventuellement. Donc à ce moment-là j'en ai eu la certitude, j'étais bisexuelle. Ou plutôt bisexuelle curieuse je dirais, car il n'y a que le sexe qui m'intéresse dans cette situation.
Je n'ai toujours eu que des relations sérieuses avec des hommes, je n'ai jamais donc pu tenter l'expérience, déjà par fidélité, car je ne conçois pas de coucher avec une autre personne que l'homme que j'aime, et par peur, puisque je n'ai jamais osé parler de ce fantasme à mes ex compagnons. Mais j'ai rencontré un homme formidable il y a quelques temps, un homme ouvert d'esprit, qui ne pense qu'à mon bonheur, qui veut que je m'épanouisse dans tous les domaines, qui souhaite que je sois heureuse, tout simplement. Je lui ai donc parlé en toute franchise de ce fantasme, et il a été très compréhensif, il ne m'a pas jugée. Bien au contraire, il pense que je devrais le faire, au moins une fois, pour voir si cela me plaît vraiment, si cela peut me permettre de trouver un autre genre de bonheur, une satisfaction, ou de combler un manque. Sa façon de penser m'a trouée le cul (au sens figuré bien sûr), j'étais déboussolée, je ne savais pas si je devais m'inquiéter qu'il accepte que je couche avec une autre personne (même si c'est une femme), ou si je devais sauter de joie qu'il soit si compréhensif et si ouvert d'esprit. Maintenant je suis heureuse de savoir que je peux réaliser ce fantasme, avec son accord, Depuis cette annonce de sa part, mes pensées sont de plus en plus concrètes, je m'imagine enfin des moments très intenses avec une femme, sans me sentir coupable de quoi que ce soit (ou presque), car je reste une personne normale, “malgré tout”.
J'ai discuté avec une femme récemment, une femme que je connais à peine, mais qui me fait de l'effet, qui est sexy, gentille, et qui a également ce fantasme. Elle m'a raconté une scène, un scénario, qui m'a d'ailleurs procurée des tas de frissons.
Je vais donc me servir de ce qu'elle a dit, sans la plagier ou lui piquer toutes ses idées, et de mes pensées, pour raconter une histoire, l'histoire de deux femmes (moi y comprise), unies par des envies similaires, qui ont une expérience unique, intense, et pleine de sensualité et de complicité.
J'arrive chez elle, avec le cœur qui bat la chamade, le stress monte. Je sais que je vais vivre quelque chose de particulier, je ne sais pas si j'y arriverai, si je serai à la hauteur, si je regretterai ou non de l'avoir fait. Elle m'ouvre la porte, me sourit et m'invite à entrer. Elle n'est vêtue que d'un peignoir, qui laisse apparaître ses jambes douces et fines, ce qui me donne déjà chaud, alors que rien n'est commencé. Elle m'emmène jusque la chambre en me prenant la main. La chambre est tamisée, de la musique douce se fait entendre, l'ambiance est idyllique et idéale. Elle retire son peignoir, et apparaît devant moi en sous-vêtements, elle est vraiment très sexy, l'envie de lui sauter dessus me prend déjà. Elle me demande de me mettre également en sous-vêtements, je m'exécute. Elle me prend ensuite la main, m'emmène au centre de la pièce, près du lit, et m'attache les bras en hauteur. La pression monte, les frissons m'envahissent, l'excitation se fait ressentir de plus en plus. Je suis désormais à sa merci, je ne peux rien contrôler, elle a le pouvoir. Elle saisit une cravache. Mais que va-t-elle me faire ? Me frapper ? Me torturer ? Je ne le pense pas, c'est une personne douce, elle ne ferait de mal à personne. Elle commence à me caresser avec, tout d'abord le visage, les lèvres, et descend tout doucement vers mon cou, mes seins, en insistant sur cette zone, en passant de façon provocante sur mes tétons qui pointent déjà à travers mon soutien gorge. Elle me regarde, je la regarde, nous savons que l'envie d'aller plus loin et plus vite se fait sentir, mais nous voulons profiter de ce moment, car il est unique et exceptionnel.
Elle continue donc de passer la cravache sur mon corps, puis elle atteint mes fesses, et me donne un coup assez violent. Je pousse un cri, un cri de douleur, qui se transforme en essoufflement d'excitation. Elle aime me titiller, me chauffer, me frustrer, ça se voit dans son regard, dans son sourire plein de satisfaction. Elle me donne un autre coup, encore plus fort, qui me fait encore plus mouiller. Elle décide enfin à me caresser le vagin, à travers ma culotte déjà bien trempée. Je n'ai qu'une envie, réussir à me détacher, l'empoigner par les seins, et l'embrasser langoureusement. Mais elle a le contrôle, c'est elle qui décide pour le moment, et ça me plaît encore plus.
Elle pose la cravache, retire mon soutien gorge et ma culotte. J'ai tellement de frissons, elle sait s'y prendre pour me faire perdre la raison. Elle saisit mes seins, et les dévore avec ses lèvres douces. Je suis si bien, si excitée, si satisfaite. Elle glisse une main sur mon vagin, et me caresse délicatement le clitoris avec un doigt, jusqu'à ce que je jouisse. C'est un orgasme peu ordinaire, spécial, qui m'envahit, et que j'exprime en poussant des cris de plaisir. Elle me détache, et là je me sens forte, je ressens l'envie de lui donner du plaisir à mon tour, et de la faire souffrir paradoxalement pour la frustration qu'elle m'a procurée. Je la pousse violemment sur le lit, lui enlève son soutien gorge , et lui prend les seins à pleine bouche, en les mordant et en aspirant les tétons. Elle en avait envie depuis le début, et elle se rend compte à quel point ça lui fait du bien. Je lui enlève sa culotte et lui fais un cunnilingus qui la fait jouir. Puis nous nous embrassons, langoureusement, nous caressant mutuellement, et nous faisant jouir à tour de rôle de différentes façons, que ce soit avec les doigts, la langue, un vibromasseur, peu importe, le moment nous le vivons, et nous en profitons, jusqu'à épuisement. Puis nous nous endormons, tout bêtement je l'avoue, dans les bras l'une de l'autre, en étant satisfaites de ce qu'on vient de faire, et surtout de vivre.
Nous sommes désormais libérées, notre fantasme est maintenant devenu réalité.
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Les voyages forment la jeunesse et c'est maintenant près des contreforts de la Sierra Nevada espagnole que se situe l'intrigue vécue par notre Paulo préféré. Pour fêter les 20 ans de leur rencontre, il a choisi d'emmener là la Maitresse de ses jours et de ses nuits et de lui faire découvrir les raffinements de la culture arabo-andalouse.
La nuit est tombée maintenant sur l'Alhambra et nous hâtons le pas. Les ruelles d'Albaicín, le vieux quartier arabe de Grenade, sont très pentues et le pavé est vraiment dur sous le pied, mais nous avançons sans faiblir car nous sommes attendus. Plus de 700 ans d'occupation arabe ont donné à l'Andalousie le goût des hammams et c'est vers l'un d'eux, récemment remis en état, que nous nous dirigeons.
Ma Maitresse n'est pas familière des mains qui s'invitent, vous parcourent, vous envahissent et vous bousculent aussi parfois, car je la traite avec infiniment d'égards. Moi, j'adore la rudesse dont savent parfois faire preuve les femmes et c'est avec une petite chaleur qui monte entre mes jambes que j'essaie de ne pas nous égarer dans ce dédale charmant de petites ruelles désertes et silencieuses.
La lourde porte cloutée en arc outrepassé (en forme de fer à cheval) est maintenant devant nous et il faudra une forte poussée pour l'ouvrir sur un patio intérieur où nous attend une jolie brune aux chevaux de jais. Elégante dans sa tenue noire, mais d'une amabilité distante, elle nous désigne la porte derrière laquelle nous allons nous déshabiller, les femmes d'un côté, les hommes de l'autre. Elle nous donne aussi une fouta (serviette en coton) que nous devrons utiliser pour nous asseoir durant notre séjour ici.
La douche est bien chaude et c'est également un plaisir de voir l'eau courir en petites rigoles vives sur le tadelakt d'une belle couleur brune dont sont couverts les murs. J'aurai beaucoup aimé pouvoir vivre totalement nu cette immersion dans l'univers des bains maures mais il n'en est pas question ici, aujourd'hui. Comme hier d'ailleurs, où on ne plaisantait pas du tout avec la pudeur et les règles de bienséance en vigueur. Pourtant, je perçois cette ambiance chaude, humide et capiteuse comme très sensuelle et propice à vivre nu de beaux moments de liberté.
Accueillis par un homme aux pectoraux puissants qui déclencha une petit lueur d'intérêt dans les yeux verts de ma Maitresse, nous voilà tout de suite dirigés vers les tables de massage. Le hammam et les bains seront pour tout à l'heure, il s'agit d'abord d'être propre et net.
Ma masseuse est grande et fine avec une poitrine toute menue haut placée sous sa blouse et un regard qui tout de suite me frappa. Noir, profond, perçant, il dégageait une autorité naturelle, presque un peu inquiétante. Le premier contact de ses mains sur mon corps me le confirmera, j'avais affaire à une femme autoritaire qui allait prendre totalement possession de mon corps pendant près d'une heure. D'abord un peu surpris du traitement un peu rude qu'elle m'inflige, je décidais finalement de me laisser faire et d'écouter la petite musique intérieure que ses mains vigoureuses déclenchaient chez moi.
Le gommage au savon noir n'épargnera pas la peau sensible de mon entrejambe et son poignet vif chahuta à plusieurs reprises mes gros testicules bagués, soulignés de façon flatteuse par mon maillot de bain serré. Le gant kessa fera quant à lui quelques allers retour vigoureux sur mes tétons sensibles, déclenchant immédiatement une érection difficile à cacher. J'aurai juste le temps d'entrevoir un léger sourire sur son visage avant qu'une main aux ongles longs et tranchants passe là de façon fort opportune pour calmer illico mes ardeurs.
Lorsqu'un peu plus tard, je racontai cela à ma Maitresse dans le confort ouaté et délicieux du grand bassin d'eau tiède bordé de fines colonnades ouvragées, celle-ci aura la curieuse réaction de me dire qu'elle avait eu bien raison de me traiter ainsi. Et d'ajouter qu'elle chercherait à trouver près de chez nous un endroit où je puisse subir là aussi un massage spécialement adapté à ma condition de soumis à la sexualité contrôlée.
La nuit d'amour qui suivit fut d'ailleurs assez symbolique de ce point de vue et il me fallut lui procurer maintes douceurs et de multiples plaisirs avant d'être enfin autorisé à connaître moi-même la jouissance.
En rentrant, notre recherche s'avéra finalement moins difficile qu'imaginé et le hasard de la rencontre d'une amie, elle aussi adepte de massages sensuels, nous permis de trouver une adresse de qualité située en pays nantais.
A SUIVRE…
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Bonjour à tous et toutes...
Sortant d'une relation qui tendait vers l'idée de féminisation, alors que ça ne me plaisait pas du tout, j'ai retrouvé depuis juin ma liberté.
Peu à peu, une envie m'est venue, bien qu'elle s'était déjà esquissé auparavant. repartir dans le rapport à l'animal, mais plus au chien, ce que j'avais déjà testé, mais à la vache.
pourquoi vache ? pour le plaisir humiliant du mot, pour les références à la traite par exemple, pourquoi ne pourrais je pas me traire au lieu de me masturber ?
Il y avait aussi l'évocation du pis, et je pense que mon sexe peut prendre ce nom.
Donc sur un autre forum où je suis inscrit, j'ai demandé à être nommé désormais "vache vavient". J'apprécie ce pseudonyme qui me ravit à chaque fois que je le lis.
Pour finir sur une anecdote, un jour ou je saluais virtuellement un Maître, celui ci me dit qu'en tant que vache, je ne devais pas dire "bonjour" mais meugler.
Summum de l'humiliation, mais c'était ce que je cherchais, je pense. J'ai donc meuglé à l'écrit.
un souvenir fort.
Voila pour ce court témoignage sur mon évolution.
Humbles salutations.
vavient.
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Réalisation d’un fantasme et vraie séance BDSM
Depuis un certain temps je discute avec un dom sur le site que j’appellerais Monsieur dans mon récit et en discutant nous avons parlé de mes envies, de mes désirs, de mes fantasmes. Je lui ai expliqué mon besoin de faire mes expériences, mes découvertes, de tester les choses et peut-être d’avoir des échecs également. Et la décision a été prise de réaliser un fantasme qui ne peut l’être qu’à la 1re rencontre la rencontre d’un inconnu. Nous avons beaucoup parlé, beaucoup échangé et j’ai entendu sa voix 1 fois au téléphone et j’admets qu’elle ne me laisse pas indifférente. Mais je ne connais rien de son physique, de son apparence, son travail mais j’ai appris que je pouvais lui faire confiance et que c’était un dom d’expérience.
La décision a donc été prise que la rencontre se passerait aujourd’hui lundi 8 février à 13h. Au moment de la décision de la date et de l’heure c’était le stress, l’angoisse ca y est ce moment sera concret sauf si je me défile mais ce n’est pas mon genre…
J’y ai pensé beaucoup les jours suivant la décision avec un mélange d’inquiétude, d’envie, d’excitation et de stress (ce stress qui me fait trembler des mains rien qu’à l’idée et qui me fait accélérer le cœur sans que la situation ne soit même présente). Et puis la nuit dernière le sommeil a été long à trouver et difficile et puis le réveil. J’étais dans un état normal je savais que je devais faire des choses avant son arrivée ca allait et puis à 12h je descends mes poubelle, le coup de stress c’est dans une heure il ne faut pas que je rate l’heure que je sois en retard puisque la rencontre se passe chez moi (il connaissait les infos ayant fait une connerie lui ayant permis de découvrir les renseignements me concernant mais maintenant je suis beaucoup plus prudente et pour cela merci à lui). Je remonte file à la douche et puis je suis prête et j’attends j’ai préparé le bandeau, la cravache j’attends la fameuse sonnette de l’interphone, je regarde les minutes ne fait que me répétez ce que je dois faire (appuyer sur l’ouverture, entrouvrir la porte de mon appartement, m’installer à genoux nue avec le bandeau sur les yeux et la cravache dans les mains)… Les minutes tournent et d’un coup ce son qui signifie son arrivée et voilà que je m’exécute. Je l’entends pousser la porte, entrer dans la pièce le salon qu’il ne connaissait pas ôter sa veste, son pull je pense, puis poser une mallette dont je ne connais pas le contenu… Il s’approche de moi prend la cravache et la fait claquer je suis mal à l’aise tellement de chose qui me traverse l’esprit comment est il, comment va se passer ce moment, à quelle sauce je vais être mangé LOL…
Il me tourne autour et puis se mets devant moi m’attrape par les tétons et les pinces, sensation forte pour moi puisqu’il s’agit du 1er contact, il me dit « debout » je m’exécute et je me retrouve face à lui il me semble plus grand que moi, il semble être carré et il a des mains imposantes je le sens à son doigt posé sur ma bouche. Je ne sais plus si c’était avant ou après mais je l’avais entendu débrancher un de mes appareils pour brancher quelque chose sur le courant (je pense savoir ce que c’est). Il m’a fait tourner sur moi-même dans tous les sens. Je pensais être plus gênée par ma nudité mais la particularité de la situation était plus impressionnante… Il m’a ordonné de mettre les mains dans le dos je l’entends sortir des attaches il en passe une autour de mon buste des bras et une autre au niveau de ma taille et des poignets. Je suis attachée et n’est plus la liberté de mouvement de mes bras, je suis en attente et sans pouvoir faire quelque chose c’est déroutant et ensuite il me dit bonjour et me demande comment ca va je lui dis « ca va » et il ironise sur mon état en disant qui est ravie de voir au combien je suis détendue et je vais bien… Il me dit d’écarter les jambes et vient me stimuler avec un vibro. Je dois reconnaître que cela m’a mis plus à l’aise et la sensation de son souffle sur mon visage était agréable même si je ne peux pas visualiser. Il avait une voix posée, clair alors que la mienne était des plus tremblantes et sans aucune articulation… Déjà je ne suis pas quelqu’un qui parle dans ces moment là alors la c’était encore pire… Et puis la question difficile « si tu veux jouir Joy il suffit de le demander » je réponds en baragouinant « oui je veux jouir monsieur » mais avec une voix inaudible et pas très compréhensible, il me reprend à plusieurs reprise afin que j’articule et que je parle clairement et que j’utilise plus je le veux jusqu’à ce que « oui j’aimerais jouir monsieur » sorte… C’est difficile pour moi de parler et de répondre autant à l’écrit je suis à l’aise mais en présence de la personne la réalité n’est pas la même et les conséquences non plus… chaque oublie du monsieur est sanctionné par 5 coups de cravache que j’ai moi-même décidé suite à une erreur de langage que j’avais commise à l’écrit alors que monsieur me l’avais déjà fait remarquer et j’ai dû choisir la sanction qui est appliquée à chaque fois… je réfléchirais plus la prochaine fois que je déciderais d’une sanction lol. Je sens ensuite les lanières de son martinet s’écraser sur mes cuisses et mes parties intimes dont certaines provoquent un mouvement de ma part mais je reste muette. Il reprend ensuite la stimulation avec le vibro et me dit « c’est le martinet qui vous met dans cet état Joy » oui je dois reconnaître que l’effet est beaucoup fort et plus excitant. Il refait une pause Il en va de même ensuite sur ma poitrine avec application sur chaque sein les 1er coups sont doux mais la répétition leur fait prendre de la force de la puissance et je ressens la douleur éphémère mais répété qui me fait réagir et esquiver leur écrasement mais l’arrêt m’offre un plaisir une zénitude et une augmentation de mes sensations.
Je fais une parenthèse pour dire que le fait d’avoir les yeux bandés ben je me rends compte que j’avais perdu mes repères visuels qui habituellement m’aide pour refaire l’ordre des choses, le déroulement. Donc ce sera peut être un peu mélangé lol…
J’ai oublié un monsieur il me dit de me pencher sur ma chaise en bois, et je m’appuie sur le dossier « je n’ai pas dis affaler mais pencher » donc je m’exécute et je prends mes 5 coups. Je me demande d’ailleurs pourquoi je l’oublie autant à l’écrit je n’ai aucun souci il coule de source… A réfléchir !
Il sort ensuite la badine la vraie badine puisque j’avais appelé ma cravache une badine qui n’en est pas une… et je dois dire qu’à choisir je préfère la cravache car la badine est quand même dur à l’écrasement répétitif… Ma résistance est plus dur mais je n’ai pas l’intention d’abdiquer je ne veux pas à ce moment là par fierté mais avec le recul fierté déplacée et inutile lol. J’ai du mal puisque je ne suis pas attachée libre de mes mouvements mes mains ont tendance à avoir envie de s’en mêler même si je ne le souhaite pas les gestes réflexes sont présents…
Il me pose ensuite sur mon canapé et me fait écarter les cuisses pour me faire recevoir mes six coups de badine à l’intérieur de mes cuisses (punition que je connaissais). Et je les ai compté et ressenti chacun, le numéro 3 final était moins net à l’élocution…
J’ai du ensuite lui présenter mes seins qui ont fais connaissance avec la badine. Moment un peu plus dur mais douleurs furtives mais intense… Ma surprise cette douleur forte qui à l’arrêt n’existe immédiatement plus pour laisser une belle sensation.
Il me demande de me relever et m’attache ensuite à la chaise pencher sur le dossier et le cou attaché à l’aide d’un barreau et recommence. Dans cette position je n’ai qu’une solution pour l’arrêt celui de prononcer le safeword ce que j’ai fais quand je ne pouvais plus et que le mordant de la douleur était trop fort et il a immédiatement arrêté… A ce moment là ma confiance est devenue entière car je savais que l’arrêt était respecté et que je n’avais plus de crainte à avoir. Puis il a utilisé le vibro et j’ai joui et pris un plaisir immense à cette stimulation suite à ces coups qui se sont écrasés sur mes fessiers. Il m’a détaché et remise sur le canapé.
Il a posé sa main sur ma bouche et le bout de mon nez et m’a privé de respiration durant l’utilisation du vibro je n’ai pas eu peur mais la sensation était celle des plus particulières de toutes les découvertes que j’ai pu faire… La seule chose qui existe c’est le ressenti la montée de la stimulation et l’envie de jouissance jusqu’au moment ou le manque d’air se fait sentir mais à ce moments la il m’en redonnait un peu…
Il m’a ensuite installé des aspire tétons et à recommencer avec le vibro et sa main et là multijouissance et c’est bien la première fois que je suis obligée de me débattre pour que ca s’arrête par ce que la jouissance est trop forte… sourires
Il a du me donner un moment pour reprendre mon souffle oui j’en manquais et avait la bouche sèche que j’aime avoir puisqu’elle est toujours signe chez moi d’orgasme et la je dois dire qu’elle était extrêmement sèche…
Le retrait des aspis tétons ca tire lol
Et puis il m’a dit de me mettre à plat ventre et m’a refait jouir en me bloquant le dos avec fermeté et délicatesse car habituellement c’est une zone ou j’ai des douleurs vu que c’est l’endroit ou j’ai été opérée mais la rien que le plaisir du vibro sur mon clitoris et ses nouvelles jouissances. Par contre il a de la force donc je sais que je n’aurai jamais le dernier mot LOL…
Il m’a ensuite offert à nouveau la badine et ma résistance m’a obligé à lui donner le safeword mais cette fois je l’ai mieux vécu que la 1re fois car j’avais l’impression d’un échec d’un sentiment de faiblesse… Mais vu tout ce qui s’est passé je pense que je pouvais avoir mes limites LOL.
Il m’a ensuite présenté un objet en bambou il me semble avec des lanières de cordes nouées, je ne pourrais vous dire à quoi il ressemble exactement ayant les yeux bandés et il me dit « a moins que ta gourmandise est encore envie de le tester aujourd’hui sinon ca sera la prochaine fois » et je lui réponds que « non ca sera la prochaine fois car il y a des limites à ne pas dépasser » et il m’a rétorqué « ah enfin un peu de sagesse, si au moins j’ai pu contribué à cela j’en serais content ».
Mais comme j’ai oublié de dire monsieur j’ai pu quand même la goûter et je pense qu’elle fera partie d’un programme intéressant la prochaine fois… Un très bel objet au toucher en tout cas… Il m’a gentiment « dis dommage c’est ce que j’avais en main » en même temps je ne pouvais pas le savoir lol…
Il m’a donc dit que je ne pourrais enlever mon bandeau qu’après son départ. Il a donc rangé son matériel, remis son pull, sa veste m’a gentiment dit que je pouvais prévenir tout le monde qu’il pouvait rappeler l’hélico, le GIGN, les chiens qu’il n’était pas un sauvage et que j’allais bien à son départ… MDR
La redescente a été un peu plus rude car je me suis payée une migraine carabinée avec envie de vomir 30 minutes après son départ donc j’ai pris un ibuprofène et 2 heures dans les bras de Morphée LOL.
Mais ce soir je me sens apaisée, sereine, la tête vidée de toutes ses merdes qui la polluait, bien, heureuse et j’ai beaucoup réfléchi à une phrase qu’il m’a dite sur la sagesse et les limites et je me suis rendue compte que j’étais con quand j’attendais le dernier moment pour aller chez le médecin, que j’attendais qu’une situation devienne ingérable pour m’en occuper… Que si je prenais les problèmes à tant ils seraient réglés plus vite et dans de biens meilleures conditions ! Que je n’étais pas obligée en permanence de tester mes propres limites, que les accepter n’est pas un signe de faiblesse… Par contre mon fessier, mes seins et mes cuisses sont là pour me rappeler ce que je dois retenir et les souvenirs de cette belle séance avec Monsieur.
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Alors ca y est la soirée prévue avec ma douce Rekya tant attendu est arrivée… Je me réveille vers 13h30 je fais un saut sur BDSM un petit coucou je file à la douche je suis en retard ce n’est pas grave elle aussi et me dit que l’on décale le rendez-vous à 16h au lieu de 15h30 c’est parfait. Je me prépare j’emmène mes corsets, mes escarpins je prépare tout j’ai 10 mn de retard sur l’horaire que je m’étais fixée je prends la route. Je suis stressée par la soirée prévue (1re en club libertin, 1re avec une femme) mais excitée en même temps j’en ai envie mais peur de pas y arriver peur de ne pas être à l’aise dans ce lieu dans lequel je sais que je serais en sous-vêtements devant des inconnus qui sont là pour le plaisir dans tous les sens du terme. Le trajet est long et dans ma tête car se bouscule c’est compliqué je crois que j’adore me triturer l’esprit… J’arrive devant chez elle je me stationne je respire un bon coup prend mes affaires et me mets devant la porte. Je l’entends elle arrive et m’ouvre la porte ca y est je vois physiquement Rekya qui aborde son beau collier avec cette magnifique médaille en forme de cœur… Je suis contente j’entre je me mets à l’aise je me pose nous buvons un café et elle me dit qu’elle ne pense pas que le corset soit une bonne idée puisque nous irons souvent au jacuzzi et qu’il faudra se déshabiller et se rhabiller plusieurs fois… Mon cœur s’emballe un autre point difficile pour moi la nudité mais bizarrement cela ne dure pas longtemps je sais que je serais avec elle, je ne serais pas seule cela me rassure et donc elle m’avait préparé une magnifique nuisette (oui bon j’avoue également une première pour moi lol)… Je bois le café et elle me dit tu vas l’essayer je me mets dans la pièce d’à côté ce qui semble ridicule puisque je serais forcement nue devant elle un peu plus tard… Je reviens la nuisette me va et elle l’a trouve magnifique sur moi… Je n’ai pas l’habitude mais si elle me trouve bien je l’accepte et je me le dis également.
Nous partons nous arrivons là bas nous rentrons elle connaît les lieux et les patrons elle fait les bises je l’a suis nous réglons et recevons nos clés de vestiaire elle m’abandonne un moment et j’attends qu’elle revienne pour me déshabiller et me retrouver en nuisette un autre couple est arrivée la femme se met nue pour se changer c’est surprenant mais très agréable à regarder. Elle revient se déshabille je fais de même ca y est nous y sommes je suis en nuisette et escarpins et elle une belle nuisette rouge et des bottines nous allons au bar… On se pose et d’un coup elle me dit je te fais peut être d’abord visité oui d’accord nous visitons les lieux elle me montre le jacuzzi, le sona une 1re pièce puis nous montons et elle me fait découvrir les différentes pièces dont une qui est particulière la pièce SM… On y entre il y a une table gynécologique et une toile BDSM je les avais déjà vu en photo mais je me retrouve pour la 1re fois devant en vrai… Nous redescendons et allons au bar pour boire un verre puis nous allons au jacuzzi ca y est je dois me mettre nue et bizarrement cela se fait naturellement pas de gêne particulière… Une surprise. Au même temps je crois que la présence de Rekya y est pour beaucoup lol… Nous mangeons (raclette au menu sympa).
Nous retournons au jacuzzi et la 2 couples nous rejoignes et un jeu de regard s’installe entre les deux femme accompagnées de jeux de mains et puis elles se mettent à s’embrasser évidemment je me mets en mode stress je ne sais plus ou regarder j’évite les deux femmes je regarde vers l’un des monsieur qui n’arrête pas de me fixer (homme Suisse Allemand qui avait abordé Rekya pour lui demander si son collier avait une signification et elle lui avait expliqué qu’elle était soumise qu’elle avait un Maître et que j’étais également soumise mais en découverte…Wink et j’évite au maximum son regard il me déstabilise et cela me remet mon stress par rapport au moment que je vais passer avec Rekya. Et Rekya s’en rend compte et cela l’amuse et d’un coup m’attrape me demande de me mettre entre ses jambes et commence à me masser je ferme les yeux et profite de se moment je me détends et me calme (LOL) puis elle commence à me caresser c’est très agréable et j’oublie le lieu les deux femmes et tout le reste je me laisse enfin aller… Sous la douche elle continue de me caresser et me dit que ce qu’elle fait elle ne le fait pas pour un retour que je n’ai aucune obligation et que si elle le fait c’est qu’elle en envie… C’est mots sont très agréables à mes oreilles et très important et également que je ne suis pas belle que intérieurement mais physiquement aussi. Je crois qu’elle me connaît trop bien LOL
Puis nous montons et nous allons dans la salle SM et je me retrouve attachée à la table gynécologique je lui fais confiance mais je ne suis pas la plus à l’aise elle le sait me parle et en rigole… Elle s’occupe de moi et seulement de moi c’est une première pour moi et je peux vous dire que je me souviendrais toute ma vie de se moment et de la jouissance qu’elle m’a offerte. Je suis quelqu’un qui habituellement ne s’exprime pas dans l’acte pour la 1re fois et dans un lieu public j’ai lâché prise j’ai profité du moment et cela s’est entendu. Elle m’a dit plusieurs fois que j’étais belle quand je jouissais et que j’avais le droit de vivre ma sexualité et qu’elle avait sentie en moi la frustration et beaucoup d’autres choses je lâche la pression et mes yeux se remplissent de larmes mélange de ce qu’elle m’avait dit et m’avait touchée et ce moment lorsqu’elle m’a dit être fière d’avoir été la 1re… Et qu’elle aimait ce sourire sur mon visage oui j’avais le droit de sourire et d’être heureuse… Juste un grand merci à toi Rekya pour ce moment et j’ai compris à ce moment là que j’avais le droit de VIVRE ma sexualité et ne plus la SUBIR comme cela à très souvent été le cas…
Nous retournons au jacuzzi l’homme qui n’arrêtait pas de me regarder nous aborde et demande à Rekya si nous accepterions de faire quelque chose à trois avec sa compagne elle me demande sachant les 1re de ce soir et j’accepte et nous faisons un saut au jacuzzi l’homme vient avec nous sa compagne nous rejoindra après. Nous discutions il a le regard insistant sur moi je le fuis toujours autant LOL. Nous sortons nous rhabillons et Ralph revient avec un sac noir et sa compagne Katarina nous rejoins nous montons et il se dirige vers la salle SM… Il discute avec Rekya en allemand je ne suis pas tout mais je comprends que Rekya dit qu’elle ne peut pas être dominée puisqu’elle a un Maître et Katarina lui demande si elle peut par une femme n’ayant jamais posé la question à son Maître elle refuse et ils parlent et je n’ai pas tout suivi et soirée improbable Rekya va s’occuper de Katarina et je me retrouve entre les mains de Ralph pour une séance SM… Celle là je ne m’y attendais pas mais Rekya étant là je me laisse aller. Je me retrouve face à la toile Ralph derrière moi qui passe ses mains autour de mon cou et me pose un collier et d’un coup mon cœur s’emballe au plaisir de sentir ce collier autour de mon cou c’est un moment magique et des plus agréable. Il me bande ensuite les yeux augmentation de l’adrénaline puis m’attache les mains sur l’araignée je ne gère plus les choses il les gère pour moi… Je sens ses mains douces se poser sur moi et je suis rassurée car me dit qu’il connaît les règles qu’un non est un non et puis il y a Rekya qui je suis sûr surveille du coin de l’œil je le sens LOL. Je sens ensuite les douces lanières de son martinet descendre le long de mon dos puis s’écraser doucement sur mes fesses. Il va doucement puis augmenter progressivement tout en observant mes réactions mes attitudes vient doucement me demander à l’oreille si ca va je ne peux que répondre oui très bien… Il alterne des moments de douceurs de caresses de bisous dans le cou m’empoigne parfois en arrière par le collier et augment les coups mais aussi écrasent ses mains sur mon fessier ce mélange est des plus délicieux. Puis me masturbe et s’arrête quand je monte pour je sens ses coups de martinet sur mes fesses et ma poitrine et j’entends Katarina qui prend du plaisir et cela m’excite également et je sens les coups changer plus Katarina prend du plaisir… Je jouis une 1re fois et pour moi cela était fini mais non il continue j’ai du mal sur le coup je n’ai pas l’habitude c’était nouveau pour moi mais qu’elle doit plaisir ensuite de sentir sa langue 2e cuni de la soirée et 3e de ma vie bonne moyenne LOL et cela me procure une 2e jouissance et j’entends Katarina qui jouie également un doux son à mes oreilles et je partage son plaisir puis un calme et d’un coup je sens les mains de Katarina se poser sur mon visage et le caresser en douceur et elle me fait un baiser sur le nez et les douces mains de Rekya se poser sur mon dos… Euh trois pour moi oups mais ces douces caresses et les mains de Ralph sur mon clito me procurent un 3e orgasme (multi jouissance ce terme était inconnu pour moi) j’ai un vide d’un coup tout s’arrête il me détache les mains en douceur. Je reprends mon souffle, j’essaye de reprendre mes esprits Rekya me parle doucement me demande si ca va oui je vais très bien plus que bien mais pas beaucoup de mots sortent… Il me retourne et Ralph demande à Rekya si j’en veux plus elle n’a pas eu besoin de traduire et j’ai dis non c’était plus que je n’aurai pu l’espérer et j’en avais la tête qui tournait j’ai eu besoin de m’assoir… Je reprends mes esprits, on se rhabille je suis patraque mais heureuse vraiment heureuse et je me suis dit j’ai enfin eu une vrai séance SM et cela me confirme que c’est ce que je veux que je peux assumer mon choix mes choix me faire plaisir et bizarrement sans forcément en rendre… On m’a donné du plaisir on ne m’a rien demandé sensation bizarre mais très agréable et Rekya m’a fait comprendre que son plaisir était celui de me voir jouir… Cette rencontre était magique et ce moment aussi.
Nous rentrons car son mari avait très envie de me rencontrer aussi car elle avait souvent parlé de moi mais il ne me connaissait pas… Nous arrivons chez elle il était là content de me voir marrant, drôle tout pour me mettre à l’aise. Nous papotons je me surprends à raconter beaucoup de choses sur mon passé sexuel cela fait du bien mais leur fait comprendre que j’ai déjà eu beaucoup de déception, désillusion et que je n’ai pas un parcours facile… Ça fait du bien de vider son sac. Je veux me changer et Rekya me propose de montrer à son mari nos tenus de la soirée nous profitons d’un de ses moments d’absence pour nous mettre en nuisettes. Il revient et est agréablement surpris nous le taquinons et nous embrassons pour le titiller et puis nous l’invitons à partager un moment avec nous. Et ce moment s’est transformé en un 3e cuni pour moi je vais y prendre vachement goût attention lol un nouvel orgasme je crois que j’ai rattrapé des mois en 1 soirée HIHIHI puis nous souhaitons lui faire plaisir toutes les deux mais il a une telle excitation qu’il a une éjaculation rétrograde et cela a terminé dans un moment de fous rires de franches rigolades et de douceur…
En une soirée : 1re en club libertin, 1re avec une femme, 1re vraie séance SM, 1re fois qu’un homme fait une éjaculation rétrograde bon ben personnellement je trouve que pour une soirée improbable elle fut magique.
Alors oui j’ai écris beaucoup mais j’avais envie de partager mon bonheur cela plaît ne plaît pas sur ce coup là cela m’est bien égal et rien ne m’enlèvera le plaisir de cette soirée et les blocages que j’ai pu enlever !!!
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Vous voudrez bien vous vêtir de peu ce soir,
Un simple voile de tulle vous enveloppera,
De transparence couverte, vous vous présenterez sous votre meilleur jour
Votre génuflexion me tiendra lieu d’hommage,
Vous la réitérerez avec la déférence nécessaire,
Deux fois de suite, les yeux baissés,
Votre contentement signifié par un sourire contenu en cette position sera une première étape,
Et mon premier moment de bonheur …
I swear today I’ll cry no more …
https://www.youtube.com/watch?v=2ziH7PfCmOY
Come with me and walk the longest mile …
La suite de votre parcours se fera sur les genoux, et courbée en appui sur les mains,
Votre cul sera levé, provoquant, invitant …
Streets on fire
https://www.youtube.com/watch?v=Z78PjvfCVTQ&list=RDZ78PjvfCVTQ#t=1
The man goes wilde wilde …
… ainsi vous irez rejoindre les invités,
offerte et prête à leur donner le plaisir que promettent vos courbes,
sans offense, sans crainte, et désarmée de toute pudeur,
votre bouche prendra le premier invité, la gourmandise sera ma volonté et votre premier bienfait,
le second soupèsera vos seins, comme vos mamelles pendront dans le vide, il les triturera, pinçant les tétons et les tordant à volonté,
le troisième enfin caressera votre anus, le graissant à volonté avant d’y introduire un doigt, ou deux, ou trois, ou ce qu’il voudra y introduire, toute liberté lui est laissée …
Fantôme de nos désirs, vous n’existerez que pour nous satisfaire …
https://www.youtube.com/watch?v=42yUeYKNYck&index=5&list=RDZ78PjvfCVTQ
bang bang bang, nous venons …
vous serez le réceptacle de nos volontés, la conque de nos plaisirs … jusqu’à leur extinction, et cela peut prendre du temps, longtemps, longtemps …
https://www.youtube.com/watch?v=UAHO-trROm8&index=6&list=RDZ78PjvfCVTQ
Et finalement, présentée comme un jouet offert, alors que nous prendrons un verre mérité, le pouvoir du fantôme sacré vous habitera ...
https://www.youtube.com/watch?v=3nIAnCJL1f0&list=RDZ78PjvfCVTQ&index=7
Cela ne veut rien dire ? Venez essayer … être un jouet vivant vous plaira, je n’en doute pas ;-)
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Il prenait sa gratte, détendu ...
Il avait joui, tranquillement, dans son cul,
comme un dû, comme si cela était naturel, comme une faveur normale donnée par sa soumise, sa chose, son jouet, sa dévouée, son tout, son apogée, son accomplissement … sa quête ultime, voulue comme elle le veut, son accord inédit, son amour ineffable … chuuut, ineffable ne peut pas être dit …
https://www.youtube.com/watch?v=4E4S0XWPMgQ
Il l’entourait de ses bras puissants, la rassurait, la cajolait, laissait aller les flux et reflux de ses spasmes, incontrôlés, sporadiques … ses tremblements lui étaient connus, il les laissaient aller jusqu’au bout, jusqu’à l’extinction, peu à peu, doucement, la cajolant, l’entourant de sa douce protection, de son amour, tout éveillé et elle toute tremblante, comme un spasme continu qu’il tenait en ses mains protectrices, l’expression de sa déférence et de son plaisir, l’expression de son abandon, enfin …
https://www.youtube.com/watch?v=EU86IO-jhtY&ebc=ANyPxKpnOLnxgjQ7slcp14S4YUAODQtTR6a9uHHpplW78NtgULkHHpE4Wpb7f8JiTctv11BYrmaZH2yyjShpxCHRt50fJrOjig
Sur cette route désertée de complicités (fut-ce le manque de joueurs ? jamais elle ne le saurait), elle trouvait enfin son soleil et son dieu, l’âme qui enfin l’inspirerait, et l’aspirerait, jusqu’à l’excitation, jusqu’à la jouissance, jusqu’à devenir un sexe bestial, se muer en sexe, en offrande, pour son plaisir, avoué, voulu, intransigeant, comme un horizon, une lumière plus forte que toute les volontés … son dieu et son soleil …
https://www.youtube.com/watch?v=iDjyjWxUrQc&ebc=ANyPxKpnOLnxgjQ7slcp14S4YUAODQtTR6a9uHHpplW78NtgULkHHpE4Wpb7f8JiTctv11BYrmaZH2yyjShpxCHRt50fJrOjig
Elle brûlait d’une volonté inextinguible, telle la sorcière de ses volontés, et il brûlait de ce désir qu’il ne trouvait que dans cette relation, si forte, si puissante, si pénétrée d’abnégation qu’il en était ému, aux larmes ….
https://www.youtube.com/watch?v=EUob_y0HH64&ebc=ANyPxKqw8z5rUw3ShEuZLFiGO048WalCgROfWiMXB-Mj3ruupL3u-vtifRGpyBZtvYFkY0QXK8NmZhmNJ0J-SA1EV3YIJfdoqA
… mais chuut, ces larmes jamais ne se verront … jamais elle ne seront vues … jamais il ne les avouera … car sa volonté s’imposera, et ne saurait s’imposer avec ces larmes de bonheur … c’est pourtant bien de ce bonheur inatteignable dont il s’agit, celui qu’il ne pensait atteindre… il voulait l’atteindre, il l’atteignit par la grâce de cette fée qui lui donnait ce qu’elle était, de tout son être, de toute sa volonté tremblante …
https://www.youtube.com/watch?v=K2I2Asx8lqs&ebc=ANyPxKrFngrjIXtis3umVUWKC6ny377AnmFnIGd9iaO6FggYv3P4Hk1m8Mt2rJ0CE8yx6vi4wiZf8SbTtUCFdgA18rW7bx8eGA
Sometimes the same is different but mostly … it’s the same … « Make It Wit Chu »
Grâce soit rendue à toutes les soumises qui nous rendent si heureux, plein de force pour les séduire, si respectables qu’elles sont, se rendent-elles compte que notre accomplissement ne saurait exister sans elles ? …
https://www.youtube.com/watch?v=S2JDV_T3Kmg&ebc=ANyPxKrFngrjIXtis3umVUWKC6ny377AnmFnIGd9iaO6FggYv3P4Hk1m8Mt2rJ0CE8yx6vi4wiZf8SbTtUCFdgA18rW7bx8eGA
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Je me suis amusé à attacher tes mains...à caresser ton corps pour qu'il s' éveille, de chaudes caresses, des effleurements... tu réagis, tu savoures, recherches mes caresses, qui se transforment en griffe... des baisers, des morsures. .. ma main qui glisse entre tes cuisses. .. Elles s' ouvrent, m'invitent à poursuivre. ..ton corps se tend, se cambre, cherche mon contact, mon attention. ..tu m'observes... j enfile mon gode, le caresse... le présente devant ta bouche... te laisse me sucer... tandis que mes doigts vont et viennent en toi...Tu sembles apprécier, te détendre...Je me positionne, un léger mouvement de bassin, pour te pénétrer, mes mains sur tes hanches, je te guide... me laisse aller.., te griffe, pince tes seins....tu sens mon emprise sur toi, mes va et vient... mes mains ferment sur toi, je mordille ton cou, griffe ton dos, empoigne tes fesses, laisse mes coups de rein te submerger, ma main se pose fermement sur ton cou, tu sens mon emprise.. tu sembles ailleurs, envie dans le plaisir. ...
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Les heures qui suivirent furent actives dans la cuisine, les petites douceurs préparées, salées pour la plupart, trouvant progressivement place sur deux grands plateaux marocains prêts à être servis. M'encourageant de ses conseils avisés de cuisinière expérimentée, France se permit cependant quelques petites privautés, notamment celle de glisser à deux reprises une main entreprenante sous mon petit tablier.
A son air faussement courroucé, je compris qu'elle appréciait beaucoup de sentir ainsi près d'elle un homme dont le désir ne faiblissait pas et n'attendait que son signal pour s'exprimer davantage. Plus jeune, Albert avait certainement dû jouer ce rôle auprès d'elle. Et peut-être l'avait il même besognée tout de go sur la table de la cuisine au milieu des carottes et des salades.
Avec les invités
Je ne fus cependant pas sollicité à aller jusque là, et bien nous en prit car la sonnette de la porte d'entrée nous aurait alors brutalement arraché de nos délicieuses réjouissances. Me désignant les verres et les bouteilles à préparer, France partit accueillir elle-même ses visiteurs du soir et les installer confortablement dans les fauteuils près de la cheminée.
Trop loin pour saisir le sens de la conversation, je fus cependant frappé de n'entendre que des voix féminines s'exprimer. Serait-ce une caractéristique propre à ce pays breton de n'être peuplé que de maîtresses femmes régnant sur des hommes falots et effacés! Le tintement insistant de la clochette de table mit fin à mes réflexions et je compris qu'il était maintenant temps pour moi d'entrer en scène.
Après avoir vérifié rapidement le bon ordre de ma tenue, je pris l'un des deux grands plateaux marocains et ouvris avec une lenteur calculée la porte du salon. Avançant de façon décontractée vers les visiteurs, je les saluais d'un regard courtois et avenant. La conversation cessa un instant et je sentis des regards curieux se poser sur moi et sur ma tenue.
Imperturbable, je fis les aller-retour nécessaires pour disposer sur la table basse tout ce que nous avions préparé. Puis je vins de poster debout un peu en retrait du fauteuil où se tenait France, attendant la suite de ses consignes. Cette petite pause me permit de regarder avec attention les nouveaux venus.
Elle, la soixantaine sportive, cheveux gris coupés court, un visage agréable avec une petit fosette sous le menton, un regard franc et direct. Pas frileuse manifestement la dame, avec ses jambes de sportive nues, une courte jupe de cuir bordeaux et un chemisier assorti tout léger. Entrouvert, il laissait deviner une poitrine tout petit format.
Lui, de taille moyenne, plutôt costaud mais sans ventre kronenbourg, une calvitie naissante et quelque chose d'un peu timide et hésitant dans l'attitude. Un soumis me dis-je immédiatement et c'est elle qui doit mener la danse.
La conversation avait repris et évoquait le triste sort de la femme du notaire qui venait de perdre son mari. Un sort finalement pas si triste que cela, quand furent évoquées les rentes qu'il avait constituées et qui allaient maintenant revenir en intégralité à cette veuve éplorée. J'appris également que la femme de ménage avec qui il la trompait depuis de longues années venait d'être brutalement licenciée.
- elle va avoir les moyens de s'offrir tous les gigolos dont elle aura envie, commenta France.
- c'est sûr!, renchérit la visiteuse, en me regardant droit dans les yeux
- vous tombez bien, mon cher Paulo, approchez et servez donc mes amis !, dit France en me regardant à son tour.
Avec déférence, je m'enquis de ce que souhaitait celle dont le regard ne me lâchait maintenant plus. Un peu gêné d'être ainsi inspecté des pieds à la tête, je réussis néanmoins à la servir sans produire de catastrophe majeure, ainsi que l'homme qui l'accompagnait, resté totalement silencieux jusqu'à présent.
A la façon très sensuelle dont elle porta à ses lèvres au vieux Porto dont j'avais empli son verre, je sus tout de suite que cette femme de tête devait de plus aimer les jeux du lit, et peut-être aussi ceux de la cravache et du fouet. J'en eu d'ailleurs la confirmation immédiate lorsqu'elle leva la main pour me signifier de m'approcher d'elle.
- obéissez donc, Paulo, mon amie Laure à qui j'ai dit les véritables raisons de votre présence ici souhaite vous voir d'un peu plus près, dit la voie soudain très enjouée de France.
Je pris soudain conscience de l'intense jubilation des deux femmes à disposer ainsi d'un homme soumis, docile et obéissant. Et je sentis qu'elles avaient bien l'intention de profiter toutes les deux de la situation, sous le regard attentif et consentant de leurs hommes présents. Résolu à vivre jusqu'au bout cette expérience inédite, et il faut bien l'avouer plutôt excitante, j'avançais et me postais face à elle, regard baissé et jambes légèrement écartées.
Un court instant silencieuse, elle se leva soudain et vint se placer derrière moi. Ses mains me saisirent aux épaules, en palpèrent la musculature puis glissèrent plus bas. Elle sentit au passage mes tétons dressés. Une lueur amusée dans les yeux, elle revint s'attarder sur eux et en agacer les pointes. Mais elle avait manifestement une destination précise en tête et ses mains reprirent vite leur migration plus bas vers mon entrejambe.
Manifestement renseignée par son amie, elle n'eut pas besoin de soulever ma tunique pour repérer immédiatement les lieux et se saisir de mes gousses entravées.
- hum, quelle excellente idée que voilà, dit elle en regardant en direction de son mari, voilà un mâle fort bien pourvu et que l'on a très bien en mains grace à ce bel anneau !
- mais on dirait là un esse, symbole celtique bien connu du couple! Et là, entre les pattes de ce beau cheval lancé au galop, je vois un autre symbole encore.
M'attirant plus près d'elle pour mieux voir, je sentis son souffle chaud sur mon intimité, immobilisée par une main ferme.
- ne serait ce pas la roue du temps! demanda t'elle.
J'en suis resté comme deux ronds de pfan. Celle que je prenais pour une commerçante un peu bling bling ou une employée de banque BCBG a de toute évidence une solide culture bretonne et a reconnu au premier coup d'oeil ou presque les principaux symboles figurant sur le bijou d'argent massif que je porte entre les jambes.
Mon regard admiratif dut lui suffire comme réponse car elle enchaina immédiatement en disant:
- et comment est-il dressé ce mâle de passage, demanda t'elle en s'adressant cette fois à France, sait-il s'occuper comme il faut d'une dame qui aime qu'on lui obéisse ?
- je n'en sais encore rien, car il vient tout juste d'arriver, répondit notre hôte, mais essaie le donc un peu, si tu en as envie!
Une large sourire illumina le visage de Laure qui se rassit près de la cheminée en relevant sa jupe et en ouvrant largement les jambes sur un sexe magnifique, nu comme au premier jour, soigneusement épilé et débarassé aussi de toute culotte encombrante (et inutile).
- venez donc ici, mon ami, m'honorer de la douceur de votre langue!
Agenouillé entre ses jambes je pris beaucoup de plaisir à parcourir les vallées secrètes qui se trouvaient devant moi. Débarrassé de tout poil, son sexe était une pure merveille, un véritable bijou, une fleur délicate à la couleur framboise dont les replis soyeux révélèrent tout de suite la présence d'un clitoris étonnament développé. Pas fou, et malgré une envie certaine, j'évitais soigneusement tout contact direct et m'employais à promener ma langue au gré de ma fantaisie tout autour de ce bel appendice, sans trop m'en approcher.
Je la sentais totalement réceptive à mon exploration et de plus en plus impatiente d'éprouver davantage de plaisir encore. Ses mains sur ma tête se firent bientôt plus directives mais je parvins à entretenir encore un peu la frustration… jusqu'à ce que France, qui avait suivi avec attention mon petit manège, siffle la fin de la récréation.
- vous voyez, ma chère Laure, ce Paulo semble savoir y faire et je suis sûre que votre mari pourra tout à l'heure à la maison, prendre la suite avec succès.
Un peu décontenancée par une situation qu'elle n'avait pas prévue, Laure se reprit vite :
- effectivement, ce petit apéritif fut délicieux et il me tarde, mon chéri, que nous passions à table, j'ai très très faim! répliqua t'elle en regardant le dit mari, un peu tétanisé par le déroulement de cette visite amicale pas tout à fait habituelle.
Merveilleuse France
Pour éviter de facher davantage France, dont l'agacement ne m'avait pas échappé, je regagnais prudemment la cuisine et y entrepris un grand nettoyage. Lorsque celle-ci y revint, après avoir accompagné ses amis à leur voiture, elle ne put s'empêcher d'émettre un sifflement admiratif devant des plans de travail totalement dégagés, un évier rutilant, une machine à laver la vaisselle à l'ouvrage. Même le sol avait reçu un coup de serpillière efficace. Venant alors se blottir contre moi, elle me lacha dans un souffle qu'elle avait maintenant très très envie d'être l'unique objet de mes attentions.
Ravi d'apprendre cette excellente nouvelle, je lui pris les lèvres avec une infinie douceur tout en me plaquant contre elle et lui faisant sentir que ma virilité n'était pas du tout indifférente à ses rondeurs charnues. Sur le chemin de la chambre située à l'étage, nul trace du mari qui était peut-être parti lui aussi, en même temps que ses amis. Heureusement d'ailleurs car je n'étais pas vraiment partant pour une nouvelle saillie masculine, ce sont d'abord et avant tout la gente féminine que j'aime servir.
Ni laisse ni cravache pour ce premier contact intime avec une femme manifestement en manque d'activité sexuelle. C'était le regard attentif d'un homme, soucieux d'abord de ses attentes, dont elle avait besoin. Et je pris donc le parti d'oublier complètement la recherche de mon propre plaisir pour me consacrer, avec douceur et patience, à la montée du sien. Un peu plus tard, je fus bientôt magnifiquement récompensé de mon abnégation par un délicieux:
- Ah enfin, il y a si longtemps que j'attendais un tel bonheur! Merci infiniment Monsieur Paulo.
Au petit matin, alors que le jour n'était pas encore établi et que je dormais encore entravé par les chevilles au pied du lit, je sentis bouger la laisse fixée entre mes jambes. Une main écarta la couverture qui me couvrait et une bouche gourmande entreprit avec vigueur d'éveiller mon désir. L'instant d'après, et sans même avoir pris le temps de me détacher, France s'empalait avec facilité sur mon sexe dressé, affublé précipitamment d'un préservatif rose.
Manifestement affamée et ayant décidé de mener elle même les opérations, elle plaqua d'une main ma tête sur l'oreiller et commença un lent va et vient sensuel et langoureux mais qui ensuite s'accéléra rapidement. Son plaisir vint très vite et heureusement d'ailleurs, car j'aurai été bien incapable de me maitriser encore longtemps. Sachant qu'il est pour moi hors de question de trahir l'engagement pris auprès de ma maitresse. Je ne suis autorisé à jouir qu'en sa présence et encore, uniquement après qu'elle l'ait réclamé.
Sans un mot, elle se releva et quitta la pièce me laissant un peu interloqué par cette étreinte rapide et animale. Ceci dit, j'avoue avoir ressenti, un peu à retardement, une vraie satisfaction à avoir été ainsi utilisé par cette femme comme instrument de son plaisir à me servir de mon savoir faire pour éveiller et écouter son chant d'amour. Des pas se firent bientôt entendre dans l'escalier et France réapparut avec un grand sourire, déposant près de moi un petit plateau sur lequel était disposée une tasse de café et un croissant chaud.
Ce fut un merveilleux petit déjeuner, tout en douceur et en simplicité. Assise sur le sol près de moi, s'amusa un instant à taquiner gentiment le sexe encore tout gaillard qui l'avait fait jouir. Elle déposa aussi quelques petits baisers doux sur mes tétons sensibles avant de me libérer de mes entraves et de prendre à regret le chemin de la salle de bain.
Un peu plus tard, et après moultes embrassades chaleureuses et détendues, je repris la route de Nantes sur le coup de 9h, le coffre garni de deux choux rouges, quelques endives et de quoi faire une bonne soupe de légumes avec pommes de terre, carottes et poireaux. Au moment de démarrer, je ne pus résister à l'envie de regarder d'éventuels signes de vie du côté de chez la voisine. Mais rien, aucune trace visible de la somptueuse poitrine entraperçue la veille. Une apparition, à considérer donc dans ma mémoire sensorielle, comme la vision fugitive d'un splendide et magnifique paradis perdu.
FIN
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4 ème rencontre de Sabine. "Mon Maître me Manque" Alors. ....! Le manque parlons-en.... J'ai beau parler à Mon Maître au téléphone plusieurs fois par jour, je ressens parfois le besoin de retrouver la caresse de ses mains sur mon corps, son souffle sur ma peau ou simplement cette lueur au fond de ses yeux... Je veux retrouver le plaisir de poser ma tête sur ses genoux pour retrouver la caresse de sa main dans mes cheveux... Ne résistant pas à ce besoin, j'ai pris une journée de congés en milieu de semaine afin de pouvoir passer la soirée de mercredi et la journée de jeudi avec Mon Maître. Mon Maître vient me chercher en voiture et c'est le coeur léger que nous prenons la route vers la maison. Pendant le trajet, mon Maître s'amuse à pincer mes tétons pour les faire durcir et pointer sous ses doigts. Il me fait écarter les jambes et vient glisser ses doigts dans l'antre de ma féminité pour vérifier mon taux d'humidité.... Service. .."" Camions ""..! Tout en guettant l'apparition d'éventuels camions. Ah oui, j'ai oublié de vous dire que Mon Maître a une adoration pour les camions. Je m'explique : lorsque nous sommes sur la route tous les deux, il est toujours aux anges lorsqu'il voit un camion, il s'amuse à ralentir pour être au même niveau qu'eux et ainsi leur offrir sa p'tite femelle, chemisier grand ouvert sur ses seins nus et jambes bien écartées pour qu'ils puissent profiter du spectacle.... Ce qui nous vaut inévitablement un p'tit coup d'klaxon ou un appel de phares en guise de remerciement ;) Arrivée à la maison chez Mon Maître Tout au plaisir de se retrouver, nous dînons ensemble et la soirée s'écoule en mode câlin pour mon plus grand bonheur alors que je retrouve le plaisir de pouvoir m'occuper de lui. Lorsque nous montons nous coucher, Mon Maître m'attire vers lui, il ne sait que trop bien le plaisir que j'ai à m'endormir ainsi plaquée tout contre lui. Avant de dormir. ..auprès de mon Maître Mais de dormir, il n'est point question puisque déjà il glisse sa main entre mes cuisses et je peux entendre son sourire dans sa voix lorsqu'il me dit "tu es toute trempée ma femelle", ses doigts aventureux s'introduisent profondément en moi, ils vont et viennent au fond de mon vagin. Je sens deux, trois puis quatre doigts qui m'écartèlent littéralement et provoquent les nombreux tremblements de mon corps. Petite saillie Remontant mes jambes sur ses épaules, son membre gonflé remplace ses doigts en moi. De son pouce Mon Maître continue à titiller mon p'tit bouton qui se gorge et sort de sa cachette alors que je sens son gland cogner au fond de mon vagin.... Il ressort de là en se disant qu'il aimerait bien faire une incursion par ma p'tite porte arrière, il me demande de me mettre à quatre pattes mais mon anneau sacré est, comme moi, du genre un peu rebelle, qu'importe qu'il est d'ores et déjà eu l'occasion d'être présenté à Mon Maître, il a décidé que ce n'était pas toujours entrée libre, encore faut-il qu'il soit d'humeur..... Qu'à cela ne tienne, le membre de Mon Maître retrouve sa place au fond de mon vagin, mes muscles se resserrent autour de son membre que je sens grossir en moi, je ne peux retenir mes gémissements à mesure que sa queue s'enfonce plus profondément en moi alors que ses doigts saisissent mes cheveux avec force, j'adoooore lorsque mon Maître laisse libre cours à son instinct animal et qu'il rugit de plaisir en libérant sa semence au fond de moi... Le réveil du Maître Il fait encore nuit noire pourtant je sens que mon Maître bouge légèrement derrière moi. Sans avoir besoin de regarder ma montre, je sais qu'il doit être près de 5h du matin. C'est Son heure !! Celle à laquelle il émerge des bras de Morphée, le membre fièrement dressé et l'âme conquérante.... Instinctivement, je me love encore plus près de lui. D'une main il vient tâter ma p'tite chatte qu'il découvre trempée, sait il alors que j'ai passé la nuit à rêver de ses assauts. Il me voit lascive et soumise, offerte et frissonnante ! Ses mains parcourent mes fesses rondes et fermes en caresses tendres et sensuelles, sous l’excitation ma peau est parcourue de frissons, instinctivement je me raidis, Mon Maître dépose alors une pluie de bisous sur mon épaule et dans mon cou en me murmurant à mon oreille "laisse toi faire ma femelle, je veux te prendre ce matin, tu m'appartiens alors laisse toi aller ma douce". Préparation de l'anneau sacré par mon Maitre Son excitation est à son comble, je me mets donc à quatre pattes, je me cambre un peu plus alors que je sens son pouce glisser entre mes fesses déjà humides, je sens mon désir monter, je mouille de plus en plus et mon sexe s’inonde de mon jus, jouant avec mon petit anneau il glisse son deuxième pouce dans ma p'tite chatte avant de l'introduire aux côtés de son jumeau. Je me cambre alors davantage et relève ma croupe… Il continue à faire glisser ses doigts dans mon anneau sacré... je gémis de plus belle, je dégoulines de plaisir. Je sens que Mon Maître a fait entrer entièrement ses deux pouces et qu'il me travaille de plus belle et je m'en régale....déjà je me détends et de mes mains j'écarte encore plus mes fesses lascives pour qu'il dilate encore plus mon p'tit anneau offert.... Prise de possession de mon anneau sacré par mon Maître N' y tenant plus et succombant à son excitation, il prend son membre en mains et me pénètre doucement mais franchement. Je sens que mon oeillet s'ouvre littéralement sous ses coups de butoir. Je l'entends râler dans mon dos et je frémis de plaisir lorsque me saisissant par les épaules il s'enfonce profondément…. Entre deux grognements de plaisir, alors que je sens les vagues du plaisir gronder et monter en moi tel un raz de marée, je l'entends me dire "tu es à moi, tu m'appartiens totalement à présent" et cette simple phrase suffit à faire sauter le barrage par lequel je contenais mon propre plaisir. La respiration de mon Maître s'apaise doucement alors que je sens son membre glisser lentement hors de moi. Taquin mon Maître me prend ensuite dans ses bras en me murmurant à l'oreille "tu vois, ce petit anus qui était rebelle est maintenant dompté.". Le petit déjeuner. Un peu plus tard, nous descendons au salon où, après m'être prosternée devant mon Maître, nous prenons ensemble notre petit déjeuner tout en discutant avant d'aller travailler tous les deux dans son bureau. Moi qui suis tellement sérieuse dans mes fonctions professionnelles, j'avoue qu'au début, j'ai eu un peu de mal à travailler dans cette tenue. J'ai bien envisagé d'aller enfiler quelque chose au-dessus de ma robe corset, mais au regard de mon Maître lorsqu'il me dit "tu voudrais me priver du privilège de pouvoir admirer tes beaux seins ?", j'ai bien compris que c'était hors de question.... C'est donc dans cet nouvel uniforme que je reprends mes tâches administratives.... Préparation à la venue de Mr le Vicomte de Roisac Un peu avant midi, c'est ensemble que nous préparons le déjeuner et c'est à ce moment là que mon Maître m'annonce que son ami, M. le Vicomte, va venir nous rendre visite. Etant assez sociable de nature, sur le moment je n'y vois aucun problème, mais lorsque mon Maître m'annonce qu'il me faudra me prosterner pour accueillir son ami et l'honorer, là j'avoue que j'ai été prise de panique. Ceci me semble très naturel avec mon Maître car au fil des jours, il a su m'apprivoiser et, aujourd'hui, c'est même avec plaisir que je le fais dès que nous arrivons à la maison et chaque matin, mais là... il faudrait que je me présente ainsi devant un parfait inconnu, il faudrait que je le laisse palper mon intimité et que je le prenne en bouche, c'est juste IMPOSSIBLE pour moi !! Je sens mon pouls s'accélérer et je n'arrive pas à contrôler mon appréhension, j'ai beau vouloir tout faire pour satisfaire mon Maître, là je sais que je n'y arriverai pas... Toujours aussi attentionné, mon Maître prend le temps de me rassurer, il me dit à quel point il est fier de moi et des progrès que j'ai pu faire en 3 semaines, il me rappelle qu'il est là pour me protéger et que RIEN ne sera fait sans mon accord, il me réexplique qu'à tout moment je peux utiliser les mots d'alerte. Avec ses mots, avec ses mains d'une tendresse inouïe, il parvient à m'apaiser, me précisant qu'il a tout à fait conscience du fait que tout ceci est nouveau pour moi, il me rappelle que j'ai déjà bien avancé, il m'explique que j'aurai juste à être en position pour accueillir son invité car il veut présenter sa nouvelle soumise à son ami, il me prend dans ses bras et me rassure en m'assurant que quoiqu'il arrive il ne sera pas déçu de moi.... L'arrivée de Mr Le Vicomte de Roisac C'est donc un peu plus sereine que je m'installe auprès de mon Maître pour déjeuner. D'ailleurs nous sommes encore à table lorsque la sonnette de la porte d'entrée retentit. Oh purée.... nouveau vent de panique..... Mon Maître le ressent et il me prend par la main pour m'amener jusqu'au tapis tout en me rappelant LA règle de base "tout est possible, rien est obligatoire, ne l'oublie pas ma puce". Prosternée sur le tapis, j'attends.... Dieu que cette attente est stressante.... j'entends la voix de mon maître dans le couloir alors qu'il accueille son ami.... j'entends leurs pas lorsqu'ils pénètrent dans le salon, mais j'entends surtout les battements de mon coeur qui résonnent tellement fort à mes oreilles que je ne parviens même pas à écouter ce qu'ils disent. Le visage "caché" entre mes bras, j'essaye de faire le vide dans ma tête mais je ne peux retenir les frissons qui m'assaillent alors que je sens une main effleurant mes lèvres, oui.. oui... celles-ci...., j'ai envie de resserrer mes cuisses mais je ne le fais pas car je sais que mon Maître aime me voir ainsi ouverte et disponible. Je peux enfin respirer lorsque je sens les mains de mon Maître caresser mes cheveux avant de me dire de me relever. Les yeux baissés, je ressens encore le besoin de me blottir tout contre lui. Il doit ressentir mon stress car immédiatement il m'entoure de son bras protecteur en me présentant son ami. On fait connaissance avec Mr le Vicomte et Parrain. Après leur avoir servi un p'tit café, je m'empresse d'aller reprendre ma place aux pieds de mon Maître, je peux vous assurer qu'à ce moment là, c'est bien le seul endroit où je me sens vraiment en sécurité.... Mais très vite, mon Maître me demande de venir m'asseoir entre eux deux sur le canapé. Hésitante, je me dis que je serai aussi bien assise à sa gauche, à l'extrémité du canapé, mais vu son regard je comprends que je n'ai pas vraiment le choix. Partage de mon corps avec Mr le Vicomte et Mon Maître Mon Maître caresse ma poitrine en invitant M. le Vicomte à en faire autant. Mon Maître sent que je suis hyper tendue alors que les mains extrêmement douces de son ami se posent sur mes seins, alors il m'embrasse tendrement en m'encourageant afin que je me détende, que je me laisse aller et que je profite pleinement du moment présent.... M. le Vicomte continue à masser mes seins, il se penche au-dessus de moi et je frémis de plaisir lorsque je sens sa bouche se refermer autour de mon téton qui se dresse et durcit sous les caresses de sa langue. Je n'ai plus vraiment la notion du temps et je me sens de plus en plus humide alors que mon Maître laisse sa main gauche se perdre entre mes cuisses qu'il écarte encore davantage.... Plaisir....Plaisir. .....Oh. ......Plaisir...! Je dois avouer que je finis par me détendre complètement et je savoure cet instant, jusqu'au moment où, subitement, la sonnette raisonne à nouveau !! C'est pas possible... là je crains le pire.... d'autant que mon Maître n'est que partiellement surpris, ce qui ne me rassure pas d'ailleurs. Il se lève en me souriant et en me demandant de ne pas stresser.... C'est bien plus facile à dire qu'à faire, je ne peux plus retenir le tremblement de mes mains, j'ai l'impression d'être paralysée sur place....Je ne vais jamais tenir..... M. le Vicomte, toujours aussi adorable, me dit de ne me pas m'inquiéter outre mesure alors que j'entends mon Maître parler avec un inconnu dans le couloir, il revient juste une minute dans le salon pour me dire "vite, vas te prosterner ma puce, c'est Parrain !!" L'arrivée de Parrain Mitre JLF. Tenue de rigueur jupe corset seins libre orifices accessibles. Mais bien sûr.... comme si c'était facile.... il faut savoir que, s'il est vrai que mon Maître m'a souvent parlé de lui, je n'ai encore JAMAIS vu celui qui deviendra mon Parrain. Ce n'est donc pas étonnant si j'ai la gorge sèche à nouveau et cette terrible impression d'avoir des sueurs froides.... J'ai juste envie de rentrer sous terre ou d'aller me réfugier au 1er étage.... Mon Maître doit le ressentir puisqu'il m'embrasse tendrement tout en glissant sa main dans mon cou en me murmurant "tout va bien ma puce". Aussi bizarre que cela puisse paraître, ces simples mots suffisent à m'encourager, j'ai une telle confiance en lui, alors, même si je tremble encore à l'idée de me présenter ainsi, aussi courte vêtue et exhibant ainsi mes seins devant cet homme que je ne connais pas, je vais me prosterner sur le tapis comme me l'a demandé mon Maître..... J'entends Parrain et mon Maître entrer dans la pièce, je sens que Parrain tourne autour de moi alors que mon Maître lui dit "voici Sabine, ma nouvelle petite soumise...", je sens la main de Parrain qui caresse mes fesses avant de laisser glisser ses doigts à l'entrée de ma p'tite chatte où il peut facilement mesurer l'état d'excitation qui est le mien à cet instant.... Mon Maître m'aide ensuite à me relever afin que je puisse enfin voir mon "futur" Parrain.... Abandon. . Partage. .tout en douceur et respectueux. Après avoir servi à boire à mon Maître ainsi qu'à ses deux amis, je reprends ma place sur le canapé auprès de mon Maître. Je n'en mène vraiment pas large alors je préfère garder le silence et les écouter parler entre eux. Toutefois, Parrain semble vouloir me faire parler, il aborde alors un sujet sur lequel nous nous rejoignons très vite puisque, sans le savoir, nous partageons une même passion. Mon Maître doit sentir que j'ai encore un peu de mal à me détendre complètement, aussi il me garde à l'abri dans ses bras, puis d'une main il me fait écarter les jambes alors que de l'autre main il caresse mes seins tout en invitant ses deux amis à s'approcher pour découvrir sa femelle de plus près.... Parrain s'approche et vient embrasser et lécher mes seins pendant que M. le Vicomte s'installe entre mes cuisses, ses doigts écartent mes lèvres avant de lécher et sucer mon clito, il l'aspire littéralement..... Oh bien sûr j'aurai pu tout arrêter d'un seul mot, mais après avoir fait le vide dans ma tête, je dois bien reconnaître qu'il m'était très agréable de sentir les vagues de plaisir monter progressivement en moi, j'ai adoré sentir toutes ces mains parcourant mon corps. Du regard, je recherche instinctivement Mon Maître qui est là, bien présent... Sentant mon besoin de l'avoir à mes cotés, il revient près de moi et prend mon téton droit en bouche tout en me murmurant à l'oreille à quel point il est fier de me voir me laisser aller ainsi.... Premier FISTAGE Un peu plus tard, alors que Parrain prend la place de M. le Vicomte entre mes jambes, celui-ci revient s’asseoir près de moi sur le canapé, ses mains douces s'attardent sur mes seins qu'il malaxe et pétrit à pleines mains pendant que Parrain vient titiller mon p'tit bouton du bout des doigts. Il glisse un, deux, puis trois doigts dans ma p'tite chatte, je ne peux plus retenir les gémissements que ses caresses provoquent au plus profond de moi. Dans un demi brouillard, j'entends mon Maître lui dire "hier soir je lui ai quasiment mis quatre doigts, tu peux y aller....", manifestement ce n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd...., tout en maintenant mes jambes largement écartées, Parrain continue à introduire ses doigts toujours plus profondément en moi, ses doigts s'activent de plus en plus vite au fond de mon vagin, suivant les conseils de mon Maître j'ai laissé mon corps succomber devant ce tsunami de sensations que les doigts de Parrain provoquaient en moi, lâchant totalement prise face à la lame du plaisir que je sentais monter en moi, je m'accroche avec force à la main rassurante de mon Maître comme s'il s'agissait d'une bouée de sauvetage... je ne découvre que plus tard, qu'en fait il s'agissait de la main de M. le Vicomte...... Littéralement confuse de m'être ainsi trompée, je recherche mon Maître des yeux pour m'excuser de cette erreur, mais loin d'être contrarié, son sourire et ses yeux brillants me disent toute la fierté qu'il ressent à ce moment précis. Il se penche au-dessus de moi et m'embrasse passionnément tout en me tenant par les cheveux pendant que Parrain continue à fouiller fougueusement le coeur de ma féminité, suivant alors mon instinct, ma main caresse langoureusement la queue de M. le Vicomte à travers son pantalon. Se sentant à l'étroit, celui-ci ouvre son pantalon et je ne résiste pas au plaisir d'y glisser ma main afin de pouvoir caresser son membre que je sentais gonflé et dur sous mes doigts. Croisant le regard de mon Maître, je lui demande du regard de s'approcher de moi afin de lui demander la permission d'honorer M. le Vicomte. ."Mon Maître vous me permettez que l'honore Mr le Vicomte ""..?, ce qu'il accepte immédiatement en m'embrassant tendrement. Je me pose aucune question je fait..je vois les yeux pétillants de Mon Maître. J'honore Mr le Vicomte. Je me suis alors agenouillée devant M. le Vicomte, sortant complètement son membre de son pantalon, puis j'ai refermé mes lèvres sur la chaire sensible de son gland avec gourmandise. Mes lèvres vont et viennent le long de sa queue, le sentant grossir encore sous les caresses de ma langue. Tout en caressant ses bourses pleines, ma langue joue autour de son gland avant de le reprendre jusqu'au fond de ma gorge alors que sa main dans mes cheveux me fait littéralement décoller. Les yeux fermés, je continue tout en savourant les gémissements de M. le Vicomte qui semble apprécier ce moment plein de sensualité. C'est fou ce qu'un geste aussi simple peut provoquait chez lui. Les paupières mi-closes, M. le Vicomte poussait des grognements de plaisir. Je dois avouer que j'ai eu plaisir à donner du plaisir découverte pour moi surtout à un autre homme que mon Maître Trois mâle pour moi seule... Dans le même temps, Parrain qui est assis juste derrière moi, continue à me branler vigoureusement, puis ressortant ses doigts trempés de ma p'tite chatte, il profite de ma position pour glisser ses doigts dans mon anneau sacré. Très vite, ce n'est plus un mais deux, puis trois doigts qui se mettent à aller et venir en moi, je sens le plaisir monter crescendo à mesure que Parrain travaille mon anus et je me mets à trembler de la tête aux pieds. Je me sens emportée par cette vague de plaisir à tel point que j'en oublie la queue de M. le Vicomte qui, compréhensif, profite de ce temps de répit pour caresser tendrement mes cheveux alors que je suis toute concentrée sur le plaisir offert par les doigts de Parrain qui, de sa deuxième main continue à branler ma p'tit chatte dégoulinante de mouille. Mon Maître s'approche alors de moi pour glisser son doigt dans ma bouche alors que les doigts de Parrain vont et viennent dans mes deux orifices.... Je jouie ou ai eu les "prémices d'un orgasme". Soudain je sens des étincelles de plaisir parcourant mon échine avant d'aller se lover dans mon ventre. Cette sensation de me sentir remplie de toutes parts, me laisse littéralement pantoise, j'ai l'impression d'être sur un p'tit nuage, à tel point que l'espace d'un instant, je ne sais plus d'où monte ma jouissance.......................... J'étais encore perdue dans les nimbes du plaisir lorsque j'ai senti les doux baisers de Mon Maître sur mon dos et sur mes épaules, alors qu'il me murmurait Réponse du Maître. "Merci ma Femelle, je suis tellement fier de toi, tu as été bien au-delà de ce que j'imaginais ma Douce, tu ne pouvais pas me faire plus plaisir que cela.........."
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Erreur fatale, faute caractérisée, désobéissance manifeste, la gynarchie, même vécue de façon temporaire, ne tolère aucun laissez aller. France réagit immédiatement en me stoppant net dans mon élan:
-tout doux mon bel ami, c'est moi qui donne les consignes et je vous précise qu'il est hors de question que l'un de vous deux puisse avoir son plaisir avant que j'en ai décidé !.
L'effet de ces paroles nous fit l'effet immédiat d'une douche froide. Nos corps se séparérent et j'entendis le claquement sec d'un mousqueton se refermant sur l'anneau de mon sexe. La laisse se tendit, m'obligeant à suivre France à l'extérieur, en direction du jardin.
Au jardin
La silhouette entrevue tout à l'heure n'est plus là. Et c'est bientôt avec une bêche dans les mains que débute ma journée de travail, la laisse négligemment passée autour du cou. Le projet de terrasse est bien avancé, mais il reste encore à décaper quelques centimètres supplémentaires. Voilà qui devrait me calmer les sangs et me replacer dans la situation d'ouvrier agricole/esclave sexuel qui doit rester la mienne tout au long de ce séjour breton.
Travailler physiquement sous ce petit soleil d'hiver n'est pas déplaisant du tout. Je sens mes couilles lourdement lestées par le métal se balancer entre mes jambes au gré de mes mouvements et c'est fort agréable. Mon cul, assoupli par ses visites récentes, apprécie lui aussi la chaleur du soleil.
Concentré sur ma tache, j'entends néanmoins un bruit furtif, puis sens à quelques mètres de moi une présence (presque) silencieuse. Me gardant bien de réagir, je poursuis ma tache, prenant toutefois soin de me baisser un peu plus, histoire de rendre mon entrejambe un peu plus visible à celui (ou celle) qui m'observe.
Tournant lentement sur moi même et me penchant encore davantage pour creuser le sol, j'offre maintenant le spectacle d'un cul soyeux, luisant,et disponible à toutes sortes de visites ainsi qu'une belle paire de couilles allongées par le poids du gros anneau qui les enserre.
- Très beau spectacle que voilà! dit soudain la voix grave d'Albert, le mari de France.
- Viens donc par ici mon mignon ajouta t'il en se saisissant de la laisse pour m'entraîner vers le fond du jardin.
Tout en marchant, il déboucle son ceinturon, ouvre sa braguette et en extirpe un membre petit et court, mais tout rouge et turgescent. Manifestement mes fesses lui plaisent et le désir d'y plonger sans tarder se lit sur son visage. La capote est en place en un instant et grâce à la laisse, il n'éprouve aucune difficulté à m'attirer à lui. Cherchant sa voie de façon un peu maladroite, il finit par trouver l'ouverture et placer là son petit bout de zan tout dur.
Sans façon, ni préparation supplémentaire, il me pénètre soudain d'une seule poussée, sans provoquer heureusement de dommages grâce aux doigts de France ayant préparé la place. Tout va ensuite très vite, quelques aller-retours frénétiques à une cadence presque aussi rapide que celle des lapins, une soudaine crispation de sa main sur l'un de mes tétons et je sens son jus gicler en moi, en deux petites saccades étriquées.
J'ai à peine eu le temps de commencer à chauffer que déjà ses miaulements essoufflés signalent qu'il vient de prendre son plaisir et va maintenant se retirer.
-Merci, c'était bon, je reviendrai certainement te voir avant mon départ ! , lache t'il en s'éloignant.
Un peu frustré que tout soit déjà terminé, je m'ébroue, réajuste ma tenue et reprends sans mot dire mes activités agricoles, tout en laissant mon esprit vagabonder librement. Même si l'argent peut certainement être une forme de consolation, ce ne doit pas être vraiment drôle de vivre de ses passes à longueur d'années et de se sentir ainsi utiliser, sans façon ni considération, par des mâles en rut, uniquement préoccupés par la recherche égoïste de leur plaisir.
Ce petit intermède eut toutefois l'avantage d'éveiller mes sens et je me sens maintenant en pleine forme, intéressé et disponible pour d'autres petites folies encore.
Du côté de la maison, tout est silencieux, France probablement occupée à l'étage à faire sa toilette. Et de l'autre côté de la cloture, nul mouvement perceptible pour le moment, si ce n'est un gros chat noir installé au soleil et passant obstinément sa patte derrière son oreille. Mauvais signe pour le reste du week-end, me dis je en voyant la scène.
- Non pas de souci, il va faire beau pendant les trois jours à venir, claironne soudain une voix féminine enjouée.
Agée d'une quarantaine d'années la voisine apparait à travers la haie, transportant un panier chargé de bois pour le poêle. D'un gabarit imposant, elle déplace cependant son chargement, ainsi que ses rondeurs, son large fessier et son opulente poitrine, avec une étonnante facilité.
- Très bonne nouvelle, car je suis loin d'avoir terminé tout ce que j'ai à faire, lui répondis je.
- Oui, j'ai vu que vous étiez très actif au jardin… et très polyvalent aussiajouta t'elle, avec un brin malice dans la voix.
L'énorme fard qui me monta instantanément aux joues empêcha toute réponse cohérente. Pas de doute, la présence que j'avais senti derrière la haie, c'était donc elle. Très certainement témoin de mon petit intermède avec Albert, elle m'a vu accepter de bonne grâce sa saillie, bassin bien cambré et fesses ouvertes, comme une jeune pouliche menée à l'étalon. Peut-être a-t-elle même aussi entendu les grognements de satisfaction du mari de France lorsqu'il m'a craché sa semence.
Sur sa lancée et sans me laisser le temps de me ressaisir, elle poursuit en demandant si je suis là encore pour quelques jours.
- Vous pourriez venir prendre l'apéritif à la maison, ce soir ou bien demain, ajoute t'elle l'oeil tout à coup étrangement brillant.
- Pourquoi pas, mais il faut que je questionne France sur ce qu'elle a prévu. Je suis à son service et c'est elle qui décide de mon emploi du temps, répondis je.
- C'est amusant cette situation, réplique t'elle en ajoutant, et quel genre de service devez vous lui rendre?
Sentant la situation évoluer dangereusement vers des questions trop précises, je saisis le prétexte de la porte du jardin qui claquait bruyamment pour aller la fermer en lui criant que je passerai lui donner réponse dès que possible. Puis, attrapant ma pioche, je repris mon travail de terrassier, tout en essayant d'imaginer la suite possible des événements.
Même interdit de jouissance, l'idée d'en voir un peu plus de l'énorme poitrine de la voisine n'était pas pour me déplaire. J'ai toujours aimé les rondeurs féminines très généreuses et adoré leur adresser mille caresses. Et de son côté, peut-être aura t'elle envie de jeter un œil sur mon entrejambe, voire d'y poser des lèvres gourmandes.
La réponse de France coupa court à mes secrètes élucubrations et elle déclara tout de go, clair et net, qu'il était hors de question de frayer avec cette voisine mal élevée et sans gêne dont elle entendait parfois la voix puissante traverser le mur mitoyen et hurler à son mari les pires insultes, où il était souvent question de mollesse récurrente et d'impuissance maladive. Tout penaud, je vins donc presser la sonnette de la voisine pour lui signifier mon regret de ne pouvoir répondre à son invitation.
Ayant probablement pressenti la réponse, elle griffonna un numéro de téléphone sur un petit papier qu'elle me tendit avec un grand sourire. En me raccompagnant à la porte d'entrée, elle me glissa au creux de l'oreille que sa maison m'était ouverte et qu'elle aurait grand plaisir à m'y accueillir pour un séjour de travail d'un jour ou deux. Un peu perturbé par cette proposition vraiment très directe, à subir certainement quelques délicieux outrages, je revins dans la cuisine, un peu songeur, solliciter les consignes de France pour la suite de la journée.
Outre le menu à préparer pour le repas du soir, elle me rappela le passage d'un couple d'amis habitant le village pour l'heure de l'apéritif. Ouvrant ensuite la grande armoire contenant le linge de maison, elle en sortit un tablier de garçon de café. Me poussant devant la psyché du salon après avoir ôté ma laisse, elle hocha la tête avec satisfaction, manifestement contente de voir ainsi élégamment exprimée ma fonction de majordome, affecté à la réception de ses invités.
A SUIVRE...
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Paulo vit à Nantes. Il est journaliste spécialisé en sports équestres et se déplace un peu partout en Europe et parfois un peu au-delà. Ses activités sont assez irrégulières et lui laissent pas mal de temps disponible qu'il utilise à rêvasser sur les terrasses de café ou à écrire, quand il est inspiré, de petites nouvelles érotiques plus ou moins autobiographiques, et parfois très épicées.
Ses personnages principaux sont féminins la plupart du temps avec des personnalités volontaires et fortes, souvent portées sur la domination, voire le BDSM, ce qui semble manifestement le ravir. La Bretagne, avec son histoire ancienne celte émaillée de multiples contes et légendes plus ou moins fantastiques, est souvent présente dans ses récits, créant une ambiance et un climat particuliers, mélange subtil de rudesse et de sensualité assumées.
______
La tempête récente a lessivé le ciel et sur la campagne, la lumière est d'une pureté cristalline. Paulo, au volant de sa petite Fiat 500 verte, s'enfonce peu à peu dans les profondeurs de la Bretagne, traversant hameaux isolés et villages immobiles. Nous sommes vendredi et les habitants semblent avoir tous déserté les rues pour courir vers des rendez vous secrets.
Lui aussi a rendez vous ! Et c'est là-bas, dans ce petit groupe de maisons isolé qui se détache sur le haut de la lande. Autour, des champs puis des bois en grand nombre, parfois adossés à une ferme. La dame qu'il va rejoindre à l'heure du café est agée, près de 70 ans, et divorcée depuis de longues années.
Vague connaissance de Jana, sa Maitresse, elle a sollicité les conseils de celle-ci pour trouver un homme pouvant l'aider à divers travaux de bricolage et de jardinage. Dans la conversation, elle a laché que si l'homme lui plaisait, elle aurait aussi plaisir à jouer un peu avec lui, ses longues années de célibat forcé l'ayant privé des ardeurs d'un mâle disponible en permanence à la maison.
Premiers contacts
L'affaire fut conclue en échange de quelques beaux légumes tout frais récoltés, et je quittais donc Nantes missionné pour servir la dame de toutes les façons possibles, durant une journée et une nuit entières, avec comme seule consigne le respect impératif de l'abstinence sexuelle imposée par ma maitresse Jana et la condition de tout lui raconter au retour.
Ayant probablement entendu la voiture ralentir au dernier virage, France est sur le pas de la porte pour m'accueillir, en compagnie d'un homme. Remarquant mon air surpris, elle me le présente comme son ex mari, de passage pour l'après midi. Et elle annonce aussi la visite d'un couple d'amis pour l'heure de l'apéritif.
Furtivement, et avant de pousser le portail, je remarque une autre présence masculine, silencieuse et discrète, de l'autre côté de la haie séparative avec le voisin. Me voici donc repéré !
France est petite, un peu gironde avec une peau blanche de rousse. Malgré son age, elle est encore très vive dans ses déplacements et ses injonctions aussi. Manifestement, elle aime commander, régenter son monde. Cela se voit et s'entend. Son ex mari semble plus réservé, grand et sec, le regard un peu fuyant. Je décide de rien changer à ce qui a été convenu avec ma Maitresse et entre donc dans la maison, tenant à la main un sac de tissu noir que je pose sur la table, couverte de la traditionnelle toile cirée bretonne. Et là, j'attends, immobile et déjà obéissant, les consignes de la maîtresse de maison.
Le sourire aux lèvres, elle s'approche et commence par m'inspecter de la tête aux pieds. Ma tenue de paysan médiéval semble lui plaire, tout comme mon attitude humble, tête baissée et jambes légèrement écartées. Son mari se tient en retrait, silencieux mais manifestement très attentif à la scène.
Plongeant la main dans le petit sac noir, elle en sort un collier de cuir, un de ceux que portent tous les chiens des environs et qui servent à les tenir attachés à l'entrée des cours de ferme tout au long du jour. Je surprend le regard intéressé et amusé de l'homme qui s'approche lui aussi de la table. Se saisissant du collier, il en éprouve la souplesse, glisse un doigt dans l'anneau où s'accroche la laisse, puis le donne à sa femme avec un hochement de tête affirmatif.
Je n'en mène pas vraiment large durant cet échange silencieux qui voit ce vieux couple pourtant séparé décider en silence des entraves que je vais devoir porter durant mon séjour ici. La grosse laisse de coton torsadé noir est maintenant étalée devant moi, tout comme les deux bracelets de chevilles que j'ai fourrés dans mon sac avant le départ.
C'est manifestement elle qui décide. S'approchant de moi, elle met en place d'une main experte le collier puis les bracelets. A tel point que j'ai soudain le sentiment qu'elle n'en est pas à son coup d'essai et qu'ils ont peut-être déjà reçu ensemble avant lui d'autres soumis comme moi, venus pour assurer son service. Lui se contente de vérifier la solidité des attaches, du collier autour du cou, des bracelets aux chevilles.
J'ai soudain l'impression qu'une de ses mains vient furtivement de me frôler mes fesses, mais je n'ai pas le temps d'identifier s'il s'agit d'un geste volontaire ou non. France, qui n'a manifestement pas les yeux dans sa poche, intervient de suite et intime à son mari l'ordre d'aller chercher du bois dans la remise pour recharger le feu qui s'épuise dans la cheminée.
Elle profitera d'ailleurs de son absence pour glisser elle aussi une main entre mes jambes et vérifier si le gros anneau dont lui a parlé ma Maîtresse est bien en place. Une légère traction sur celui-ci me confirmera, si besoin était, qu'elle a fort bien compris l'usage de cet accessoire destiné à contenir mes ardeurs sexuelles, si nécessaire.
Des bruits de pas venant du dehors rappellent la corvée de bois en cours et je s'empresse d'ouvrir la porte pour faciliter la livraison d'une petite montagne de bûches. Il s'agit manifestement là du seul mode de chauffage de la maison et les abords de la cheminée vont probablement être le lieu d'une bonne partie de nos jeux de domination à venir.
Pour l'instant, l'heure n'est pas à la bagatelle et il faut débarrasser la table des restes de leur repas et attaquer la vaisselle dans la petit cuisine attenante. Par la fenêtre qui donne sur le jardin, je surprends à nouveau la silhouette masculine de tout à l'heure. Décidément, mes hôtes semblent bel et bien être épiés par leur voisin.
Peu familier des habitudes de rangement de la maison, je pose quelques questions auxquelles France répond avec gentillesse et précision. Un climat de douce coopération s'installe progressivement dans la cuisine et je commence aussi à sentir de temps à autre sa main se poser sur mon bras ou sa poitrine frôler agréablement mon dos lorsqu'elle passe derrière moi.
Elle n'a probablement jamais eu un physique à se faire pâmer une garnison mais je lui trouve des formes encore très avenantes, notamment de belles fesses rebondies, et une poitrine certes menue mais dirigeant toujours ses hauts sommets fièrement vers le plafond. Son visage est rieur avec de petites étincelles dans les yeux et j'aime la rousseur de sa tignasse contrastant avec la blancheur laiteuse de sa peau.
La vaisselle se termine et je m'approche de la machine à café. Prenant le prétexte de m'indiquer où se trouve le café, elle vient plaquer la chaleur de son corps contre mon dos. Ses bras m'enserrent et je sens, cette fois très distinctement, ses mains venir se poser sur mes tétons. C'est sûr, ma Maitresse a dû lui signaler ma petite particularité car bientôt ceux-ci roulent sans ménagement sous ses doigts, déclenchant illico une monumentale érection ! Poussant les fesses contre son bassin, je lui exprime toute ma réceptivité à ses caresses en ondulant à la cadence de ses doigts.
« eh bien, comme vous y allez » dit l'homme en entrant dans la pièce. « pourquoi ne pas m'avoir attendu pour faire plus ample connaissance ? ». Nullement impressionnée par la remarque de son ex mari, France poursuit son petit jeu sous ma chemise en pinçant maintenant avec davantage de vigueur encore mes pointes sensibles et maintenant toutes dures. Ne pouvant résister plus longtemps à cette délicieuse torture, je pose le boite de café et me laisse complètement emporter par ses mains expertes.
Avec malice, elle nous fait alors doucement pivoter ensemble, me positionnant béat et abandonné, juste en face à son mari. Celui-ci apprécie manifestement l'offrande qui lui est faite et n'hésite pas longtemps sur la conduite à tenir. Sa main file vers mon entrejambe et se saisit avec autorité de l'anneau qui s'y trouve. Je n'ai alors d'autre choix que de suivre le mouvement et me voici bientôt littéralement pris entre leurs deux corps qui m'assaillent.
Je dois avouer que cette situation me plait et m'excite. Je sens contre mon ventre un sexe tendu et dur tandis que roule contre mes fesses la houle douce d'une femme qui me berce, tout en pétrissant mes seins avec vigueur. Pas pour longtemps d'ailleurs, car deux doigts décidés viennent de changer d'activité et se glissent dans mon pantalon.
Cherchant un instant leur chemin, ils finissent par le trouver et, sans plus attendre, me pénètrent l'anus, heureusement préparé par le massage récent d'une amie. Ces doigts sont féminins car l'un de mes tétons se sent maintenant abandonné. Fugace impression qui ne dure pas car une bouche gourmande à la barbe piquante vient de le happer. Mordillé, aspiré, têté avec ardeur, le pauvre petit m'envoie de furieux messages d'excitation dans tout le corps.
Mon bassin se cambre encore davantage et c'est maintenant 3 puis 4 doigts qui me pénètrent. Si cela continue, c'est bientôt la main toute entière de France qui m'aura envahi. Ravi de tout cela, j'entreprends de défaire le ceinturon qui me meurtrit le ventre et de libérer le sexe tout dur de l'homme que je sens contre moi.
A SUIVRE...
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La venue d'Inès chez son Maître. Première rencontre. 13 heure 30. Un SMS m'arrive "" je suis arrivée mais où êtes vous Maître. "" Rendez vous était pour 14 h. Inès est en avance je n'ai pas encore pris mon déjeuné rentant de mon travail. ""Elle est en avance"" que je pense. Je sors et vois sa voiture lui fais signe pour se garer. Une fois garer je vois une femme blonde sortir de la voiture. Sourire elle me regarde je sens son regard sur moi..." que pense t-elle à ce moment "... Je la laisse arriver à ma hauteur. .."" une belle femme elle fera une belle femelle soumise "" que je pense le Féling passe. Je pose mes mains sur ses épaules et un bisou sur les joues... ""je la sens étonné. "" Mais ne dis rien que... "" Bonjour as tu fais bon voyage """? .. Je l'invite à entrer chez moi. Et une fois la porte fermée lui dis... Bienvenue chez Ton Maître. .. Elle sait ce qu'elle a à faire, elle a reçue ses instructions avant son départ de chez elle et nous en avons parlé ensemble. Inès entre et je lui prendre son manteau. Je découvre une belle femme en jupe noir courte, chemisier, bas et haut talons. Je lui fais la visite du rez de chaussé de chez son Maître. .. bureau, douche, sanitaire et enfin l'entrée dans la grande pièce du séjour avec.... le tapis de prosternation des soumises, cuisine à l'américaine et l'escalier qui monte à l'étage. Je l'invite à visiter SEULE l'étage lui expliquant que je viens de rentrer et n'ai pas encore déjeuné. Inès monte à l'étage je la regarde monter l'escalier, elle a une belle croupe je vois ses jambes gantés de ses bas tenus par les jarretelles et le début de sa chaire ((ma faim ce réveille en moi))... beau spectacle que de la regarder monter l'escalier seule. Pendant qu'elle Ines Soum découvre l'étage salle de bain, chambre du maître et son grand lit, chambre d'amis et et et .. Le donjon. ...je commence à déjeuner. A son retour je l'invite sur le canapé à mes côtés lui offre un café pendant mon déjeuner nous discutons un peux ensemble. Quand j'ai fini mon déjeuner je lui dis ""tu sais ce que j'attends de toi."" ..elle fait une moue. .... et s'exécute. Elle va sur le tapis des soumises . et je la guide pour ce prosterner ce qu'elle fait. Je tourne autour d'elle soulève et retrousse sa jupe sur les reins, découvre de belles fesses que je caresse. Ces beaux orifice sont disponibles. Je contrôle sa pilosité. L'anus et bien épilé, rose, lisse avec quelques plissage comme un oeillet à éclore, le sexe est bien imberbe aucun poils disgracieux, lisse, de belles lèvres charnues, la peau est douce agréable ses chaires intimes sont fermés mes doigts ouvrent la chatte et entrent dans cette Ôrifice étroit, c'est chaud et....déjà très humide. .. je l'écarte pour bien l'ouvrir. Je constate qu'il est vraiment étroit et qu'il me faudra le forcer avec fermeté. Je me rappel qu'elle m'avait dit ne pas avoir été saillie depuis plus d'une année, et qu'elle a toujours été étroite. Un tout cas Elle mouille bien. Ms doigts recherchent le clito et le décapsule il est dur et grandit bien. Je joue un peu avec et il s'érecte bien. Je pense que des pinces seront nécessaires pour le faire bien travailler. J'arrête de la doigter.. Je l'aide à de mettre en position d'attente ou elle est tête baissé je lui relève et lui dis..." c'est bien tu sais ce que j'attend de toi...si tu me veux comme ton Maître..! Je lui explique la symbolique de ses instants en pose et leurs significations. 1 - la pose prosterné..tu accepte de te soumettre. 2 - la pose à 4 pattes jambes écartées.. tu offres tes orifices pour être saillie. 3 - la pose assise à genoux tête basse bouche ouverte.. tu attends de recevoir la NOBLE QUEUE de ton MAÎTRE et tu dois l'honorer. 4 - debout bien droite et mains jointent sur la tête bras écartés ainsi que les jambes largement ouvertes écartés.. tu vas être contrôlée. 5 - à genoux tête baissée.. tu attends de recevoir ton collier de soumission. Elle me répond... """" Oui Maître. ..""" je l'aide à ce relever. Et la laisse quelques instants prendre son café....! j'ai à faire au bureau....! Quand je reviens au séjour quelques minutes après, Inès et en train de ce dévêtir près du canapé, j'assiste à ce moment et découvre ma nouvelle Soumise Belle femme des beaux seins lourds des fesses rondes fermes. Je lis une certaine anxiété. ..dans son regard, elle n'ose pas me regarder directement mais guête mes réactions (que je ne montre pas).. Je l'amène sur le tapis de soumises Inès se positionne comme pour se prosterner Nue entièrement NUE. Elle prend la pose de prosternation pour la deuxièmes fois je ne la guide plus, elle doit d'elle même chercher la perfection de cette pose. Il y a déjà du mieux. J'appuie de nouveau sur le bas de son dos pour qu'elle se cambre encore plus. Avec la cravache je lui fais écarter les cuisses. Enfin bien prosternée écartés, mains jointent l'une sur l'autre. C'est beaucoup mieux. Je lui dis alors.. Première règle tu le sais.. Inès répond... "oui Maître.. Obéissance...Docilité..." Ses reins sont chaud presque brûlant. Je découvre son corps NU ses hanches ses seins lourds qui tombent à toucher le tapis. Je lui appui encore d'une main ferme sur les reins et lui indique ""Cambre toi bien relèvetes fesses""" ce qu'elle essaie de faire ""c'est mieux"":...! Je tourne autour d'elle je palpe ses orifices, découvre sa peau douce et ferme. Mes mains parcourent son dos, ses fesses, je la vois réagir, des frissons parcourent son corps et lui donnent une 'chaire de poule'. Je découvre de nouveau ses orifices sa chatterie aux belles lèvres, ferment et soûlent, l'entrée de sa chatte, que j'ouvre et pénètre d'un puis deux doigts cet orifice est bien étroit, je la sens se crisper un peu, je la rassure.." tout va bien c'est très bien pour une 1ère rencontre détend toi, lâche prise..c'est bien".. Mes doigts glissent mieux Inès mouille bien elle se détend puis c'est au tour de son petite ôrifice (l'anus) qui reçoit un doigts il est étroit contracté je le palpe et le masse j'entre et resorts mon index en petits vas et viens, puis mon pouce, il s'asouplit, je le sens palpiter autour de mes doigts et Il fini par s'ouvrire. Je vais sur sa chatte avec mon autre mains tout en gardant mes doigts dans son ôrifice anale.. Je cherche le petit bouton le décalote de sa cachette et la masturbe un peu. Puis cest au tour de ses lourd seins et le tetons qui sont en erection bien dur ils pointent, je men occupe en les pinçant un téton apres lautre puis les deux en même temps, Inès résiste un peu tendue encore. Je la sens ainsi tendue. Puis elle se lâche de nouveau. Venant devant elle je lui dis "" c'est bien "". L'aidant à s'assoire en position d'attente et lui dis ""tu as quelque chose à me dire.""..? Ta promesse d'obéissance la connais tu..? Inès commence alors me faire sa promesse. Voyant qu'elle a oublié quelque mots (dû au stress certainement) je l'aide. Puis elle relève sa tête ouvre la bouche et attend. Mon bas ventre est juste à sa hauteur jattend. ..que d'elle même réagisse. (car je veux que mes soumises prennent des initiatives comme dans se cas quand je mets mon bas vente devant leur visage. Inès à compris et se souvient des ordre reçu. Elle ouvre ma ceinture ouvre mon pantalon sort mon membre à moitié éveillé, ouvre grande la bouche et aspire mon membre et l'avale. Inès honore en suçans son Maître celui qu'ELLE a choisie maintenant après sa promesse Je me retiens ne souhaitant pas lui faire une gorge profonde des maintenant. Je la laisse m'honorer en me suçant de mieux en mieux j'observe sa dextérité. Mon membre glisse bien entre ses lèvres je me retiens pour ne vous l'ensemencer maintenant. Éveillé je sors de ses lèvres agréable et chaude et tourne autour d'elle ""prosterne toi"" Inès obéi. M'offrant sa croupe, je m'agenou derrière elle, ma queue vient masturber sa chatterie et son clito, j'ouvre les lèvres qui ferment l'entre de son antre humide intimité et pose ma queue devant en poussant doucement pour y accéder, puis la tenant par les hanches l'attire fermement pour la posséder en toute ses profondeurs. Elle soupir puis gémit et se détend se laissant saillir. Sa chatte et étroite serré mais je pousse fermement pour la saillir. Inès se détend enfin se relâche je pose une main au creux de ses reins pour sentir ses réaction Inès fait des contractions du périnée que je récent sur mon membre. Je la saillie lui disant ""tu es mienne"" elle repond alors ''oui maître je vous appartient'', J'écoute sa respiration qui devient hâletante et rapide elle est bien (Inès ne sais pas vocalises son bien être ni son plaisir il faudra lui apprendre car c'est ainsi qu'elle me guidera sur son ressenti) Je me relâche et l'ensemence de mon plaisir, je joui au find d'elle en râlant mon plaisir, je sens son corps avoir des petits spasmes en même temps que les miens au moments où jaillit ma semence en elle.j'écoute sa respiration une main en appui sur le bas de son dos. J'appuie pour la faire mieux se cambrer encore plus, Ines fais des contractions autour de mon membre enserrant celui-ci a chaque jaillissement de ma semence puis ce relâche elle pousse ses fesses vers moi comme pour s'empaller et pour en vouloir encore de ma saillie. Son souffle est court haletant Inès essaie de me cacher son plaisir, je me courbe sur son dos le caresse je la tiens par les cheveux avec fermeté, puis la caresse embrasse ses reins et j'attends d'être détendu pour me glisser hors d'elle. Et lui redis "tu es maintenant mienne Ma soumise Ma femelle .. repond..". ''Oui Maître je suis corps et âme à vous je suis vôtre chienne soumise et je veux devenir une de vos esclaves. - je prends sa tête dans mes main pour lui poser un baisers sur ses lèvres. Voilà. .. Le début de la soumissions d'Inès qui devient soeur de soumission d'Ôpale et de Sabine. Je la prend comme une novice elle devra ré apprendre bien des choses sur la soumission """ Le respect que le Maître à pour sa soumise, pas de violence inutileautre que les punitions, elle n'est pas un objet mais soumise esclave sexuel. ... et bien d'autres choses. Bienvenue petite Inès. Ton Maître.
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J'imagine le trouble en toi... tes cuisses qui se serrent... l'appel dans ton ventre, ton sexe humide...l'envie de t'appaiser....
J'imagine d'autres tortures, des boules de geisha... elles cognent en toi... delicieux supplice... chaque pas est un plaisir... un appel à l'orgasme...
Un oeuf vibrant...qui s'active quand on y pense plus... le trouble en toi, le plaisir qui monte...
Un plug qui orne joliment ton cul... seul toi sais qu il est là, en toi... il se rappel à toi, lorsque tu bouges....
J'imagine... ton trouble à la lecture de ce message... la chaleur et moiteur de ton entre jambe... que j'aimerais caresser... lécher...
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Les jours suivants ou plutôt les nuits suivantes furent chaotiques. Mes pensées n'avaient ni queue ni tête s'égarant dans mes questionnements.. Je ne comprenait pas pourquoi je me mettais dans cet état et pourquoi cela me troublait autant au point de mettre mes nerfs à rudes épreuves...
Je passais mes journées à essayer d'éviter de le rencontrer en me terrant chez moi et en bossant. En m'occupant l'esprit comme je le pouvais et en évitant tout accès incongrue à mes interrogations.
Malgré toute ma bonne volonté, ma curiosité repris vite le dessus et je me retrouvais sans hasard sur son site et ma journée du mardi passa très vite en mode espionnage, scrutage de site de fond en comble à visionner des vidéos...Lire des articles.. Regarder des photos de lui et d'une fille qui semblait être sa compagne ou une personne qu'il voyait régulièrement. Les photos étaient explicites sans sous entendus. Sensuelles et parfois très douce... Ma curiosité me poussa a vouloir aller plus loin en regardant quelques vidéos, d'autres photos prises sur le net en me disant que finalement ce n'est pas si dégradant et que c'est une forme d'art...
J'ai vite déchanté en me retrouvant devant certaines photos et vidéos assez crues .. Loin de la sensualité et de l'élégance que je pensais voir...... Si j'avais voulue voir du porno, j'étais servie..... Et là je me demandais ce que mon voisin entendait dans ce mot « soumise ».. que cherchait il ? : assouvir un besoin naturel ? Que faisait il avec cette femme ? ......
Les jours suivant furent aussi troublant que la vue de mon voisin. Mes regards changèrent, entre curiosité, malaise, honte, crainte... Sentiment étrange qui me pris de vouloir en savoir plus. Honte de me sentir ainsi..dépendante de ce qui me semblait jusqu'à quelques jours des envies , des provocations malsaines d'un goujat, macho. Craintes de découvrir que finalement, ce goujat n'est peut être pas aussi goujat que cela et que peut être....Surtout...... une excuse pour combler mon envie d'assouvir mes curiosités et que lui saura y remédier..
Un soir , je trouvais le courage de me lancer et d'aller frapper à sa porte avec mes questions en tête et ma curiosité.
Il m'ouvrit nonchalement me laissant sur place en retournant à ses occupations me faisant signe d'une main d'entrer. En même temps, il était chez lui et moi la petite emmerdeuse d'à côté qui venait sans doute l'enquiquiner.
Il se posa devant son ordinateur, pris un combiné de téléphonne et passa quelques temps a régler des formalités. N'osant pas déranger , je me fis discrète dans le hall attendant en piétinant d'impatience. Après avoir raccroché, il se leva , traversa la pièce, en silence et disparu.une fois de retour il se posa dans son fauteuil avec un verre de vin , croisa les jambes et me demanda de venir le rejoindre.
Et là mon coeur se mis à battre et mon esprit à se demander ce que je faisait là. Intimidé par sa présence et le fait que ......
-- Vous comptez rester dans le Hall toute la soirée, je ne vais pas vous mangez !!
-- Non enfin si enfin hummm je venais vous parler mais je crois que je vais repasser une autre fois c'est plus sure.
-- Me parlez de quoi ?
-- De votre site...de ce que j'ai vue.. De ce qui me trouble et m'empêche de dormir..Et parce que je suis curieuse et que j'aimerais comprendre.....Et que vous n'avez pas le droit de venir vous installer ici et de me troubler ainsi, troubler ma vie, ma tranquilité...
-- Curieuse de quoi ? Dois je vous proposez une chaise ou vous préférez rester planté là ?
-- Dans un sens ici, je ne risque rien..il y a une certaine distance de sécurité ?
Il éclata de rires ...
-- Me pensez Vous assez stupide pour vous faire entrer en ayant des mauvaises intentions. Je vous fait quand même remarqué que c'est vous qui êtes venu. Je ne fait qu'être courtois en vous laissant entrer. Vous avez une curiosité qui vous ronge et qui vous pousse a en savoir plus.. Je trouve cela bien et sain.. Je ne suis pas un dangereux psychopates... Quoi que je pourrait prendre goût à vous voir ainsi postée... comme une plante verte se demandant si elle doit entrer ou au contraire fuir en courant. Si cela peux vous rassurer, j'ai autant de curiosité à votre égard.. Curiosité bienvaillante et je suis heureux de votre venue et de vos questionnements.. Ne vous faîtes pas priés mademoiselle !!
Une fois installée et j'avoue un peu honteuse de me présentée ainsi , je finie par me lancer et lui posa nombreuses questions sur mes curiosités. Il y répondit avec simplicité et générosité dans ses propos. Sa voix était posée, calme et sans doutes sur ses réponses. Une bonne partie de la soirée fut très instructive et me troubla. Il m'expliqua beaucoup de choses. Tout aussi étranges les unes que les autres mais avec des mots simples ... A ma surprise , aucune craintes, peurs ne m'envahies..mais encore plus de curiosité...Je buvais ses paroles, n'ouvrant la bouche que pour poser mes questions. A aucun moment il sembla perturbé, même pas par mon silence..presque content de me voir aussi curieuse. Il fini par se taire me regardant simplement sans attendre quoi que ce soit autre qu'une réaction..
-- Je suis intriguée à vrai dire. Je ne comprends pas pourquoi et je ne sais pas pourquoi je reste là sans savoir quoi dire, quoi faire ou comment réagir.Vous avez comblé mes curiosités et je ne comprend pas quel plaisir il y a à vouloir une compagne ou une soumise. J'ai bien compris ce que ce terme veux dire mais je suis aussi intriguée. Vous êtes un peu déroutant, votre façon de vous comportez, d'être installé est intimidant.
-- Ne dîtes rien alors !!
-- Il se fait tard..je vais peut être vous laissez vous poser..
-- Vous avez peur ?
-- Non
-- Approchez !!
-- Non
-- Approchez !!
-- Pourquoi ?
-- Approchez !!
Je me leva et alla m'assoeire à une distance raisonnable... En ayant pris un peu de courage quand même ...Un petit peu..
--Vous voyez, vous avez obeï.. Un simple ordre, demandé de façon simple... Je ne vous considère pas comme soumise pour autant mais vous avez envie dans un sens , inconsciemment de voir plus loin dans vos curiosités.... Sinon vous seriez resté à votre place et vous n'auriez pas levé votre défense aussi vite.
Il se fait tard en effet.......Je vous laisse prendre congé. Une dernière chose..Ma boîte au lettre reste ouverte. Prenez le temps qu'il vous faut mais je suis sure que votre curiosité vous amenera a moi tôt ou tard. Ce n'est qu'une question de temps.
Il se leva alla écrire quelque chose sur un bout de papier et me le donna...
-- Mon tel et mon adresse mail. Si vous avez d'autres questions ..... Bonne nuit Mademoiselle !!
Il me raccompagna a la porte
-- Bonne nuit .....
Je réussi simplement à dire ces mots en m'empressant de rentrer n'osant pas me retourner de peur de croiser son regard.
Ma nuit fut douce et agréable ...Comme par magie !
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L'automne laissant place à l'hiver je me préparais doucement à passer en mode hibernation dans le sens ou pendant quelques mois je ne saurais dire si j'aurais la possibilité d'aller en ville, la neige étant assez abondante ici. Je pris la décision de faire un plein pour plusieurs mois et de remplir les congélateurs à la cave en prévision. Tache ainsi faîte, il ne me restais plus qu'à aller chercher deux bottes de foin et de la paille chez Madame Dupuis pour les biquettes, tache plus facile à dire qu'à faire. Prenant mon courage a deux mains ,je me rendis chez elle avec ma vieille brouette rouillée avec la ferme intention d'en découdre rapidement. Sur le chemin du retour, je mis du temps, les bottes de foin et la paille ne faisant que tomber sur la route. Ne voulant faire qu'un seul trajet, j'ai chargé a fond en pensant que cela passerait. après quelques position de brouette infructueuses, je pensais avoir trouvé l'emboîtement parfait et pris un grand élan pour avance d'un peu plus cette fois ci. Ce qui ne fut que pire, les bottes tombèrent encore. Petit tour d'horizon, personne et heureusement vu ma souplesse légendaire a effectuer des périples de cette sorte. Quelques mètres plus loin rebelote.......
Et là au loin , je vis mon voisin en grand gentleman venir à mon secours.... ma rencontre … Il ne manquais plus que le goujat de service , à mon que ce ne soit qu'une coïncidence et qu'il ne fasse que passer.. comme un grand chevalier, il pris les bottes , les mis sur son épaule et pris la route....
--Bon vous venez oui !
--Euh !!!!!! quel galanterie mais lâchez moi ces bottes , je suis assez grande …...
--J'ai eu pitié de vous, rassurez vous je m'amuse bien a vous regarder vous empêtrer dans votre soucis. Risible depuis ma fenêtre, comme je vous sentais en souffrance, je me suis dit que le goujat que j'étais devait être à la hauteur de cette demoiselle. En bon voisin que je suis, me voilà....
Je pris ma brouette qui grinçais, tout en marmonnant des mots. Mais également en râlant tout en le regardant, en le scrutant , en scrutant ses fesses..De dos , même si son attitude est rustre, il est assez sexy je dois l'avouer.. Il marche vite, d'un air assuré... Une tenue des plus décontracté mais qui laissait apparaître la forme de son fessier à chaque pas.... Ce qui ne me laissa pas insensible et me fit sourire...
--Le spectacle vous plaît ? Me fit il remarquer
--Oui vous voir ainsi, apprêter me rappel des souvenirs mais finalement vous essayer de vous faire pardonner pour vos comportements....
--Un souvenir du dernier goujat qui est venu à votre petit secours ?
--Vous n'êtes qu'un..........
Je n' eu pas le temps d'en dire plus. Il jeta à terre les bottes, se rapprocha de moi , me pris les mains et les posa sur ses fesses....
--C'est cela que vous regardiez, avouez ? Cela vous plaît, je suppose que ces mains n'ont pas du toucher grands choses depuis très longtemps!
--Crét.....
Il attrapa mes mains, les serra entre les siennes tout en me rapprochant de lui
--Le crétin en question n'est ici que parce qu'il le veux bien. Si votre ego ne peux se contenir, ayez au moins la courtoisie de ne pas regarder mes fesses, merci.. Soit disant, en passant , c'est un parfum très agréable que vous portez.....
Gou..... !!!!
--Vous n'avez que ce mot a la bouche. Je le prend comme un compliment. La situation est que j'apprécie ce moment d'intense attention. Je vous en remercie mademoiselle.
--Et prétentieux en plus!!!!
--Oh non !!!!!! Juste dans un moment de plaisir à vous voir ainsi coller contre moi, les mains et votre corps ainsi offert.
--Il me suffirais de vous donner un bon coup de genou ou je pense et monseigneur couinerais comme un bébé.... Me pensez vous assez bête pour fondre devant un tel énergumène tel que vous.
--Je ne sais pas.. Aimez-vous être attacher, aimez-vous qu'on joue avec vos sens, aimeriez-vous que je vous mette a nue et que je fasse de vous ce que je désir. Aimeriez-vous être à mes pieds, ma chose....
J'éclatais de rire le coupant dans son élan
--Dans vos rêves.....
--Oh mais je vais rêver de vous, de vous faire plier, vous viendrez à moi a genou et nue me suppliant parce que vous en pourrez faire autrement. Vous serez ma soumise , cela ne peux être qu'ainsi, j'en ai décidé ainsi, j'aime qu'on me résiste.
Il me lâcha , me lança un sourire sournois tout en remettant les bottes sur la brouette.....
--A bientôt alors, Mademoiselle...Pensez-y... vous viendrez à moi parce que vous en pourrez faire autrement et vous le savez!
--C'est cela !!!!
Il me fallu un moment encore pour arriver à en finir avec ces satanées bottes de foin.. Une bonne douche me fit du bien et calmais les envies de meurtres qui m'envahissaient depuis cet après midi. Cependant ces paroles m'intriguèrent, le personnage restant à mes yeux un grand mystère.... Mais en même temps attirant..
Je fini par aller sur internet et me mis a recherche ce que voulais dire « soumise ». Mes recherches furent très instructive et je resta perplexe tout au long de mes découvertes. Je pris juste quelques minutes pour aller me servir un bon verre de vin. Ce soir là, je me coucha tard, pleins d'images en tête, entre dégoût, curiosité, questions et rejet, amusements....
Le lendemain matin , pleine de mes images de la veille , je me mis en tête de lui faire un courrier...Un courrier comme un goujat aimerait recevoir de la part d'une demoiselle fière de ses pensées... Je pris la matinée pour écrire un semblant de courrier tout en ne sachant pas quoi y mettre dedans . Mes premières ébauches étaient incendiaires, mais plus j'avançais , plus je déchirais et je recommençais pour au final me rendre compte que je n'avais écrits qu'une phrase :
« C'est quoi au juste une soumise ?»
M'habillant rapidement.. J' allais tranquillement mettre mon courrier dans sa boîte au lettre profitant de ne pas voir sa voiture garée devant.... Je la mis et vis son chien devant le portail assis , remuant la queue....Ma journée se passa sans incident au frais.... Mon travail fini, je pris une bonne douche , un repas léger et un peu de musique avant d'aller au lit.....
Le lendemain en allant à ma boîte au lettre, il n'y avais rien, pas une réponse et cela me trotta dans la tête tout le reste de la journée puis la semaine passa et aucune réponse.... Je fini par me dire que j'avais du mal comprendre et qu'il surjouait son rôle de macho, goujat.... Mais un matin en allant relever mon courrier , il y avait une lettre au milieu non timbrée.. Etait ce lui, enjouée et neutre à la fois, je ne l'ouvrit pas de suite. Il veut s'amuser alors, on va jouer..... Toute la journée je m'occupais à ranger les plantes extérieures, a nettoyer la cabane des biquettes..Le soir pourtant , je ne pu résister par curiosité à l'ouvrir..... Il n'y avais également qu'une phrase ou du moins un lien internet...
C'est une réponse au moins même si ralant d'avoir déjà été sur le net je ne pensais pas que cela pourrais m'instruire plus que cela....
Installée dans mon fautueil , je pris le courrier et indiqua le lien... Une page s'ouvrit avec en en tête:
« Site de Maître M »
Et en dessous une photo ce Maître .Ce Maître à bien le regarder est … Mon voisin....
Je restais la bouche bée devant mon écran à voir mon voisin à l'écran. Un homme élégant , bien rasé, prenant une pose des plus équivoque......Je ferma le lien , scotchée et me demandant ce que j'étais entrain de faire …. Je pris une feuille de papier, pris mon stylo et entrepris décrire a mon voisin en tout bien tout honneur lui demandant de ne plus m'importuner sur ce sujet...
Mot écrit, je décidais qu'il fallait que je lui porte en main propre, plutôt que je le mette dans la boîte au lettre e préférant pas le croiser. Une fois devant sa boîte au lettre, je vois le chien au portail me regardant t bien entendu ne pouvant s'empêcher de japper..Tant pis.. de retour chez moi , je me mis à l'aise devant un bon film ….. Mais ma tranquillité fut de courte durée... Quelqu'un frappa à la porte... Ne pouvant faire la morte, je me leva et alla ouvrir et surprise, mon voisin , agitant mon courrier me demanda s'il pouvait entré...
--Je ne l'ai même pas ouvert, voyez vous. Je pensais qu'il serait plus sympa de le faire ensemble.
--Et qui vous dit que j'ai envie que vous le lisez devant moi
--Je suppose que vous n'êtes pas aller voir le site que je vous ai indique
--Si , juste deux minutes , le temps de me rendre compte que sur la page d'accueil , c'était vous
--Alors vous pouvez me dire ce que contiens cette lettre , cela m'evitera une manipulation hasardeuse
--Ma demande pour que vous ne m'importuniez plus sur vos projets farfelus sur cette soit disant soumission qui vous tiens a cœur..;
--Pourquoi n'aimeriez vous pas être soumise ? Je suis sure que vous n'imagineriez pas ce que vous pourriez en apprendre sur vous.
--Et pourquoi devenez vous mielleux avec moi..Vous me prenez pour qui ….
--J'aime votre façon d'être..
--vous ne me connaissez pas
--Alors faisons connaissance
--Et si je n'en ai pas envie
--Ce n'est pas ce que vous faîte ressentir
--Vous chercher toujours a avoir le dernier mot comme cela ?
--Je vais vous laisser, je pense que j'ai assez abusé de votre hospitalité. Et je vous sent légèrement énervé et je ne voudrais pas vous gâcher votre soirée. Bonne soirée Mademoiselle
--Bonne soirée à vous
Ce fut sur ces paroles que je laissa mon voisin a la porte et repris le cours de ma soirée intriguée, décontenancée. Je partis me coucher ne sachant plus quoi penser......
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Au milieu de la nuit je sentis ses doigts agripper mon collier de soumis et m'attirer entre ses jambes ouvertes. Elle était déjà trempée et il ne fallut que quelques minutes à ma langue douce et adroite pour l'amener au plaisir. Toujours sans un mot, elle mena ensuite ma bouche vers ses seins lourds, aux pointes durcies par un désir toujours présent.
Son bassin ondulait langoureusement sous moi et je ne fus pas surpris lorsque sa main vint saisir le petit anneau du bijou intime que je porte entre les jambes, de façon définitive maintenant. Je connais bien le sens de ce signal qui m'autorise à m'approcher d'elle pour la prendre et la conduire de nouveau au plaisir.
En position du missionnaire pour une fois, elle m'attira contre elle puis m'indiqua clairement le rythme de la pénétration qu'elle souhaitait. Son sexe était merveilleusement doux et chaud et je m'enfonçais en elle avec délice, respectant par ailleurs scrupuleusement ses consignes. Son orgasme vint très vite, accompagné d'un cri puissant qui m'étonna, car ce n'était pas son habitude. Peut-être était ce l'effet du demi sommeil dans lequel elle se trouvait encore ou bien du rêve érotique à l'origine de son excitation nocturne!
Nous voici donc arrivés au moment délicat. Va-t'elle me repousser en réclamant maintenant chaleur, douceur et calins avant de s'endormir dans mes bras comme un bébé? Et laisser ainsi durer encore l'abstinence forcée à laquelle elle me soumet, sans concession aucune, depuis plusieurs semaines.
Ou bien, va t'elle, comme je le souhaite ardemment, réclamer une nouvelle saillie, plus forte, plus vive, plus intense, celle qui me mènera aussi à ce plaisir dont j'ai faim? J'attends sa décision, sa consigne, son ordre, profondément enfoncé en elle, le sexe dressé tout frémissant et excité, mais encore sous contrôle.
Elle ouvre les yeux et me sourit. Le silence de la nuit est total et nos corps sont immobiles. Cette attente est paradoxalement délicieuse et je sens qu'elle la prolonge à plaisir, avec une certaine perversité même, qui, je dois le reconnaître, me ravit secrètement.
- hum, c'était vraiment délicieux! , dit elle en ajoutant
- tu commences à être très bien dressé maintenant, abstinence et frustration te réussissent vraiment !.
Ses mains montent le long de mes hanches, flattent mes flancs, s'approchent de ma poitrine où mes tétons excités et tendus me font presque mal. Elle commence par les effleurer doucement, délicatement, comme pour les endormir, et me chuchote à l'oreille:
- stop, tu n'as plus le droit de bouger !.
Toujours en elle, je m'immobilise totalement, malgré des doigts qui deviennent très entreprenants, agaçant de leurs ongles mes pointes délicates et sensibles. Résister à la houle qui monte dans mes reins est de plus en plus difficile, mais vaillamment je résiste encore.
Et puis soudain, elle saisit brutalement mes tétons, en fait rouler les pointes avec vigueur et pousse son bassin vers moi. Le message est clair, elle me veut en elle, tout entier, puissant, affamé et prêt à l'entraîner de nouveau vers les rivages du plaisir.
Malgré la folle excitation qui me gagne, je prends l'initiative de la faire attendre, de ne pas me précipiter dans sa porte grande ouverte. Je ralentis le rythme de la pénétration, sortant même parfois de son sexe pour la reprendre ensuite plus profond encore, mais avec beaucoup de lenteur. Un instant étonnée, elle sourit, ronronne d'aise et accepte sans mot dire ce petit privilège du mâle qui, même soumis, a toujours la liberté de ne pas être toujours complètement obéissant.
Mais bientôt il ne m'est plus possible de résister à sa féminité généreuse et accueillante. Je perds pied, lâche complètement les freins et laisse la cadence monter en moi, inexorablement. Elle halète, son souffle s'accélère, son corps se tend. Et puis je sens distinctement son sexe enserrer le mien de quelques pulsations puissantes.
C'est alors précisément le moment qu'elle choisit pour réclamer son dû. Elle veut ma semence, elle réclame que je la remplisse d'une crème chaude, épaisse et abondante. Pour cela, elle sait qu'il lui suffit de s'occuper un court instant encore de mes tétons dressés. L'effet fut immédiat et je sentis mon jus jaillir avec force de mes couilles baguées et l'inonder au plus profond.
Longtemps encore, je suis resté en elle le coeur battant la chamade, avec des étoiles dans les yeux. Puis elle se dégagea doucement, se tourna sur le côté et se rendormit presque instantanément en disant:
- bonne nuit mon chéri, demain je commence à te traire !
Je fus nettement plus long qu'elle à m'endormir car cette petite phrase n'en finissait pas de tourner dans ma tête. Je savais qu'une de ses amies lui avait parlé de cette façon très particulière de priver de son plaisir. Mais je ne me sentais pas concerné, erreur fatale !
A SUIVRE ...
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Avant toute chose je souhaite signaler que je ne suis pas l'auteur du contenu que V/vous allez lire. Je le partage car il me semble plus que correcte et intéressant (bien que je ne suis pas d'accord avec tout). Les régles de vie sont établies au moment de la prise en main de l’esclave par la Maîtresse. Elles font partie intégrante du contrat de vie. Sans régles de vie imposées à l’esclave, la structure du couple esclave/Maîtresse est trop fragile pour durer dans le temps. Elles devront être appliquées dés le début du dressage. Nous vous indiquons, à titre d’exemple, certaines régles que vous pouvez appliquer. A vous de les adapter à votre style, vos envies, vos besoins. Ces règles concernent les esclaves qui sont impliqués dans un entraînement à la servitude à plein temps.
1. L’esclave se doit de respecter sa Maîtresse et être courtois en tout lieux et à tout moment. Il doit rester à l’arrière de sa Maîtresse et être attentif. Lui ouvrir les portes et les portiéres des véhicules, ne pas passer avant elle, avançer sa chaise lorsqu’elle s’asseoit et attendre sa permission pour s’asseoir à son tour ou lui demander la permission de se retirer (discrétement en public).
2. attendre à table que sa Maîtresse ait commencé de manger, toujours demander la permission de se retirer de sa présence.
3. Il attend que sa Maîtresse l’autorise à parler, ne lui coupe jamais la parole.
4. l’esclave s’assoit toujours jambes écartées, une bonne position est un signe de respect.
5. L’esclave ne doit pas croiser du regard une femme, ni la convoiter.
6. lorsqu’il se promène avec sa Maîtresse ou une Femme, l’esclave marche à plus petits pas, et se tient un pas en arrière, mais pas trop loin pour pouvoir ouvrir les portes.
7. L’esclave ne dois pas se plaindre de sa condition et rester d’humeur égale.
8.L’esclave pourra être affublé d’un nouveau nom. Celui d’un animal par exemple.
9.l’esclave est sous le contrôle total de sa Maîtresse. Son corps, sa sexualité, son lieu de vie, son activité sociale et professionnelle, ses vêtements, sa nourriture, sa vie au sein du couple seront régies par sa Reine.
10. le but d’un esclave est par-dessus tout de plaire à sa Maîtresse, il apprend donc à contrôler sa réponse aux stimulations sexuelles pour le plus grand plaisir de sa Maîtresse. Echouer à contrôler son éjaculation est de la désobéissance pour l’esclave. La désobéissance entraîne la punition.
11. si la Maîtresse préfère refuser à l’esclave le droit d’éjaculer, l’esclave doit se contrôler pour offrir cela à sa Maîtresse. Il se dévoue à l’abstinence, et remercie humblement sa Maîtresse de lui retirer le plaisir de l’éjaculation, ce qui l’autorise à dédier à sa maîtresse son plaisir perdu. La Maîtresse peut exiger que l’esclave porte une cage de chasteté.
12. si la Maîtresse demande satisfaction sexuellement par des relations, le male soumis doit être capable de contrôler son éjaculation. Il doit satisfaire sa Maîtresse pas lui-même. Les besoins sexuels de sa Maîtresse la concernent personnellement, et elle seule peut choisir qui peut la satisfaire.
13. Dans tous les cas l’esclave doit se souvenir que son éjaculation ne lui appartient pas, elle appartient à sa Maîtresse, c’est à elle de l’utiliser de quelque manière que ce soit.
14. L’esclave doit être rasé (ou épilé) et propre comme l’exige sa Maîtresse.
15. L’esclave n’a pas le droit de toucher ses parties génitales sans la permission de sa Maîtresse. Lorsqu’il se lave il doit utiliser un gant de toilette, ou une brosse, jamais ses mains.
16. l’esclave appartient corps et âme à sa Maîtresse. Il pourra être tatoué ou piercé par des signes d’appartenance.
17. L’esclave est la propriété personnelle de sa Maîtresse.
18. La féminisation est un entraînement à la soumission. Porter des vêtements féminins sépare l’esclave du monde masculin, il ne le transforme pas en Femme, ceci étant impossible.
19. La lingerie normale de l’esclave est rose ou blanche. Il porte sous ses vêtements de male des sous-vêtements féminins, d’autres habits seront portés au fur et à mesure de la progression de l’esclave.
20. Lorsqu’une Femme sait ce que porte l’esclave, la Féminisation rapproche l’esclave de la compagnie des Femmes, et l’éloigne des hommes. Cela est bon pour l’esclave parce que cela lui permet de mieux aider les Femmes, et les servir, et de modeler son comportement sur le comportement supérieur des Femmes.
21. Les objets féminins peuvent aussi être utilises comme punition, et peuvent être utilisés pour l’inconfort qu’ils procurent. D’autres seront utilisés comme humiliation lorsque voulue par la Maîtresse.
22. L’esclave achète ses habits avec l’avis de sa Maîtresse, il achètera ce qui lui plaît, non ce qui plaît à lui-même.
23. L’esclave n’utilisera que des produits d’hygiène féminins : savons, shampoings, lotions, déodorants, et sera propre et entretenu en tous temps. Cela peut inclure plusieurs bains ou douches par jour.
24. Lorsqu’il urine l’esclave s’assiéra sur le siège des toilettes, sans aucune exception.
25. L’esclave suivra un régime alimentaire pour se maintenir dans un état de poids correct, et boira plus d’un litre d’eau minérale par jour. Il pourra utiliser la salle de bains sur permission uniquement.
26. L’esclave ne mangera que de la nourriture d’esclave sélectionné par sa Maîtresse lorsqu’elle le demande. Une journée de nourriture d’esclave périodique enseignera à l’esclave que sa place est aux pieds de sa Maîtresse.
27. Lorsqu’un repas est terminé l’esclave débarrasse la table et lave les assiettes sales, la cuisine et la salle à manger sont ensuite bien nettoyées par l’esclave.
28. L’esclave donne toujours à sa Maîtresse le premier choix de chaque chose : l’article à lire en premier, la chaîne de télé à regarder, le restaurant où aller, le film à voir, les amis à rencontrer, etc…..
29. L’esclave doit remplir toutes les tâches ménagères pour sa Maîtresse incluant :
a. Nettoyage des parquets et tapis
b. Entretien des fleurs
c. Poussière des meubles
d. Faire les lits chaque jour
e. Laver les vêtements
f. repasser g. laver à la main la lingerie
h. nettoyer la salle de bains i. nettoyer la cuisine
j. cuisiner
k. laver la vaisselle
l. mettre la table m. faire les courses
n. sortir les poubelles
o. obéir aux ordres d’esclaves femelles.
p. passer l’aspirateur et laver les sols.
q.nettoyage des vitres.
30. L’esclave ne s’assoit jamais sur les meubles, mais doit prendre sa place naturelle au sol, et doit se tenir naturellement plus bas que sa Maîtresse. Par ailleurs, il doit dormir sur le sol mais sera couvert afin d’assurer sa santé physique.
31. l’esclave sera soumis à une alimentation équilibrée et à une activité sportive sous le contrôle de sa Maîtresse.
32. l’esclave accepte les choix de sa Maîtresse (sorties culturelles, ciméma, restaurant, recevoir et rendre visites à des amis, les programmes télévision à regarder).
A lire également : Le groupe sur la Gynarchie et Gynarchie & Humiliation et Gynarchie et dangers
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La plupart des gens ont déjà joué avec un vibromasseur. Vous rappelez-vous la première fois que vous avez appliqué un vibro pour vos parties génitales? Sensation très agréable, non ? En tout cas, c'était à minima quelque chose de nouveau et de différent. L'électrostimulation est un peu pareil, mais en bien plus original. C'est une merveilleuse façon d'ajouter un nouveau plaisir à votre vie sexuelle. Le courant électrique judicieusement dosé avec des sextoys spécifique (pas en se branchant sur le 220V hein !) provoque à la fois la stimulation de terminaisons nerveuses et la stimulation musculaire involontaire. Ces deux effets quand ils sont combinés constitue une expérience très érotique. L'une des principales utilisations des sextoys d'électrostimulation est à orientation BDSM. L'électrostimulation va permettre d'aller explorer la frontière entre le plaisir et la douleur avec encore moins de danger que les pratiques SM habituelles (on peut blesser avec une pince à sein ou avec un cravache alors qu'avec les jouets prévus pour l'electro-stimulation, non). Non, l’électrostimulation n'a rien à voir avec une électrocution domestique sur une prise de courant ou une clôture électrique à la campagne. Ce n'est pas non plus une torture atroce comme celle qu'on appliqué pour torturer les résistants pendant la guerre ! Non, l'électrostimulation ne va pas permettre de forcer un orgasme à quelqu'un qui n'en veut pas. Bien qu'il puisse certainement aider à avoir un orgasme pour quelqu'un qui est très excité, ce ne peut pas être le moyen de donner un orgasme à quelqu'un qui n'en veut pas. 1- La stimulation à base d'impulsions: Il s'agit d'un dispositif spécialement conçu pour stimuler le corps, c'est finalement un détournement des articles de fitness/minceurs qui se veulent le moyen de se faire du muscle en posant des électrodes sur les endroits à muscler. Ces appareils ont été conçus pour stimuler toute sécurité muscles et les nerfs. Ils constituent donc la solution la plus sûre et la plus éprouvée pour l'électro-stimulation. 2- Stimulation électrostatique: Il s’agit ici de dispositifs qui vont contenir une tension ici très élevées sous forme d’étincelle. L’étincelle est contenue dans un tube. L’appareil le plus connu est le « violet wand ». En approchant le tube du corps, des petits arcs électriques vont se formé entre le tube et celui-ci. Ces dispositifs étaient à l’origine prévu pour faire des soins médicaux au siècle dernier. La sécurité de ces dispositifs est discutable. Ils travaillent en ionisant l'air entre l'appareil et le corps. Cette petite quantité d'air surchauffé est à la fois très chaud et contient beaucoup d'ozone qui est très réactif et destructrice pour les tissus humains. La plupart de ces dispositifs donnent également de la lumière violette intense juste à côté de la peau qui est connu pour causer des dommages et cancer de la peau. Ces dispositifs laissent généralement des marques rouges où ils sont utilisés. Même si ces rougeurs sont temporaires et qu’elles ne concernent que les couches supérieures l’épiderme, tout cela n’est pas totalement sécurisé. La sensation est généralement un peu comme marcher sur le tapis et en touchant un objet métallique, mais en beaucoup plus soutenu. Plus ces dispositifs sont maintenus au même endroit plus le risque est grand (du fait de la concentration de la chaleur, à l'ozone et aux UV). Bien qu’ils ne représentent généralement pas de risque pour le cœur, tenter cette pratique déjà pas absolument sure est fortement déconseillé aux personnes sujettes à une maladie cardiaque. 3- Les « bricolages » : Il existe une variété de dispositifs qui génère de l’electricité et qui vont pouvoir être détourné à des fins de pratiques sexuelles : générateurs de manivelle, dispositif pour les élevage animal … Le bricolage est très vivement déconseillé ! C’est dangereux et absolument à bannir. Retrouvez nous sur la page electrostimulation : http://www.bdsm.fr/electrostimulation
A lire également : https://www.bdsm.fr/forum/thread/975/Electro-stimulation/
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1. Écrire ce portrait québécois est loin d’être facile pour une personne plutôt réservée comme moi. Mais je ne me défilerai pas.
2. Je suis né dans une ville de l’Ille et vilaine.
Même si j’ai grandi en Loire-Atlantique et qu’il y a une polémique avec ce département et la Bretagne, je suis donc breton !
3. Pour une de mes premières journées d’école (en maternelle) j’ai escaladé la barrière pendant la récréation. Je crois me souvenir que c’était un défi du genre « t’es cap de rentrer chez toi ? ». Un kilomètre plus tard et enfin arrivé chez moi, ma mère m’a directement reconduit à l’école.
4. Voilà pourquoi à chaque rentrée scolaire j’avais le droit au « Pour ta journée de rentrée tu ne t’enfuies pas hein ! ».
5. J’ai failli me faire écraser par une voiture sans permis. Pas celles de maintenant hein. Les bonnes vieilles « cacahuètes » d’il y a 20 ans qui font plus de bruit qu’elle n’avance… Si si, c’est possible !
6. Je suis français mais un autre pays compte beaucoup pour moi : l’Irlande.
7. Quand j’avais environ 12 ans, j’ai dit à mes parents que je commencerai ma carrière professionnelle en Irlande. Ils pensaient que ça me passerait d’ici là et que cela ne resterait qu’un rêve. Pourtant quelques années plus tard c’est exactement ce que j’ai fait.
8. L’Irlande pour la nature et les magnifiques paysages. La côte sauvage. L’hospitalité des gens qui n’a rien d’un mythe. L’esprit pub. La Guinness.
9. J’ai vécu plusieurs années à Dublin et je n’en garde que d’excellents souvenirs.
10. J’ai toujours adoré la langue anglaise. Mais jamais réussi à me débarrasser de mon accent bien franchouillard…
11. Je suis un gaffeur.
12. Vous est-il déjà arrivé de réaliser que vous aviez oublié quelque chose alors que Vous êtes dans un avion ? Moi oui, et c’était même les cadeaux de Noël pour mes proches que j’avais oubliés…
13. Pour son anniversaire mon filleul souhaitait un Carrom (billard indien). Le cadeau c’est moi qui l‘ai reçu ; et si le courrier ne s’était pas perdu en route mon filleul aurait normalement dû recevoir la facture...En fait je me suis un peu planté dans les adresses.
14. Ai-je hérité de cet esprit gaffeur ? Je n’en sais rien. Toujours est-il que pour couper les ongles de mon canari, ma mère a serré trop fort… Il a fait son dernier cui-cui sous mes yeux .
15. J’ai un bon coup de fourchette ! Certaines personnes disent que suis un ventre sur pattes. D’autres plaisantent en disant que j’ai une colonie de vers dans mon ventre.
16. Ce qui énerve tout le monde d’ailleurs c’est que malgré tout ce que je mange, je ne grossis pas !
17. Ma sœur a 4 ans de plus que moi. Même si nous n’avons pas le même père ; je la considère comme ma sœur.
18. Je suis un grand cinéphile. Je n'ai pas vraiment de genre préféré. Voilà sans ordre particulier une petite liste de films que j'apprécie particulièrement : Sur la route de Madison ; Paris, Texas ; Au nom du père ; les évadés ; Into the Wild ; Bagdad Café ; Once ; The chaser ; les films de Miyazaki, Nolan, Tarantino ou encore Kubrick.
19. Niveau musique j’écoute majoritairement du rock pop. Muse, U2, Coldpay…
20. Le livre que j’ai sur ma table de nuit en ce moment est « Into the wild » de Jon Krakauer.
21. Le livre BDSM que je préfère est sans hésiter « Uniquely Rika ». Un ouvrage anglais très bien fait et très sensé où Ms Rika explique comment Elle mêle vie de couple et BDSM. C’est plus précisément de soumission orienté service dont il est question.
Voilà une phrase tirée du livre que j’aime particulièrement :
True submission is not about what the Dominant partner does TO the submissive partner. It’s about what the submissive does FOR the Dominant.
22. Sensible, entier, attentionné, romantique, cérébral. Voilà des adjectifs qui me correspondent bien.
23. Altruiste. Si je peux aider quelqu’un, je le fais toujours avec grand plaisir sans rien espérer en retour.
24. Mais je suis également quelqu’un d’assez réservé et qui parfois manque de confiance en lui.
25. J’ai toujours été fasciné par les Femmes de pouvoir et/ou qui ont un fort caractère.
26. J’ai parlé du côté BDSM de ma vie à plusieurs personnes vanilles de mon entourage. Une amie me considère depuis comme « infréquentable » … Dorénavant j’y réfléchi à 2 fois avant de parler de cette partie de moi.
27. Je me sens bien dans cet univers BDSM. Et je suis définitivement plus dans le réel que le virtuel.
Qu’ils soient simples curieux ou passionnés ou encore Doms, soumis ou même switchs ; ce milieu regorge de personnes extraordinaires. Et j’avoue être particulièrement admiratif des couples qui en font un mode de vie.
28. Rencontrer ! Je trouve dommage que quelquefois les gens tardent à se rencontrer en réel. C’est sans doute notre génération qui veut ça… Mais plutôt que d’échanger entre écrans interposés, n’est-ce pas mieux d’échanger en vrai ? Hé oh c’est moi le timide pourtant .
Rien ne vaut le réel ! Quand on veut, on peut ! Sachant qu’au bout ce sont à chaque fois des rencontres extraordinaires, personnellement ce ne sont pas les kilomètres qui m’arrêtent.
29. BDSM,D/s, SM … il s’agit avant tout de relations humaines. Faites d’amitié pour les uns, d’amour pour les autres et dans tous les cas ce sont des échanges forts et des bonheurs partagés. Chacun son BDSM ! Je suis peut être naïf mais je ne pense pas qu’il y ait de mauvais Dominant ou soumis ; il faut juste trouver le partenaire qui nous correspond.
30. Je tiens à parler de quelqu’un qui compte beaucoup pour moi ici.
Une tornade blonde qui respire la joie de vivre.
Une magicienne au grand cœur.
Une Grande Dame qui irradie et dont la bonne humeur est contagieuse.
Une Femme qui a sûrement eu plusieurs vies antérieures tellement Elle sait tout faire…
« Maman nantaise » ou « Ange Gardienne » comme j’aime l’appeler.
Je n’avais absolument rien demandé. Elle a remarqué que j’avais soif d’apprentissage. Elle m’a appris à masser, fait faire des manucures/pédicures. C’est grâce à Elle si je prends désormais plaisir à cuisiner. Et j’en passe…
Les personnes qui me connaissent savent de qui je parle.
Je Vous suis infiniment reconnaissant pour tout ce que Vous faites pour moi « Miss Cari » !
31. Je crois en la Princesse Charmante. Ma quête est une vie de couple sous l’Autorité Féminine Aimante. Rêveur je le suis, sans aucun doute. Naïf ? L’avenir me le dira.
32. Pour le petit clin d’œil « actualité » ; j’espère franchement que l’accent circonflexe ne va pas disparaitre. Sans cet accent la prononciation de mon vrai prénom est étrange .
33. On me dit très souvent que je fais beaucoup moins que mon âge. 33, c'est l’âge que j’ai actuellement.
RAPPEL DES REGLES DU JEU :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour ... »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
knight4ever
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Salut à toutes et tous, dans la série je reprend un vieil article que j'ai écrit pour lap révention, je recycle. si j'en sauve un ou deux avec, ça sera déjà pas mal!
Aujourd'hui donc, voyons les dangers du port de la cage de chasteté. On parle souvent de l'aspect excitant du bousin, ses soit disant avantages toussa, mais.....des soucis qui vont avec, nada walou, et faut vraiment bien chercher pour trouver des références là dessus croyez moi!
Dans mon ex relation D/s, j'ai par le passé porté une cage de chasteté, d'abord une CB, puis ensuite une Prison de Morgane en acier sur mesure, quasi en 24/7 sur des mois. Nous avions fait une pause...puis retour en cage, avant que je ne lise des Maitresses sane safe and consensual sur un autre forum. En ayant subit plusieurs désagréments la première fois(port très régulier voire permanent sur plusieurs mois) ma Maitresse a alors préféré passé au port de ballstretcher en sa présence, notamment la nuit, devant mes craintes et interrogations du moment, plutôt qu'à celui de la cage. Je portai encore la cage quand je n'étais pas avec elle....
J'ai alors souhaité me renseigner un maximum sur le net sur les effets de la cage, notamment avec plusieurs avis médicaux.
Et là....c’est le drame...difficile de trouver des avis tout à fait semblables. Si chaque médecin a son propre avis sur la question, on retrouve quand même certaines tendances.
Je vous livre ici les différents avis médicaux que j'ai pu trouver, qui sont pas légion, pris à droite à gauche.
Merci aux posts judicieux des Maitresses du Château des Dames notamment, j'espère qu'elles m'en voudront pas de partager ici ces infos pour faire vivre le débat hors de leurs murs, la plupart de ce qui suit n'étant pas de moi, mais un simple travail de rassemblement des infos sur la toile :
1 : "Selon elle(une médecin généraliste), deux sorties hebdomadaires le temps d'une branlette (par exemple) sont largement suffisantes pour conserver un pénis en bonne santé, cad afin que les corps caverneux conservent leurs élasticité. Donc en clair vous pouvez rester en cage 24/7, du moment que votre KH vous accorde ces deux sorties hebdomadaires(avec éjaculation), votre pénis restera en pleine forme et ne perdra aucune de ses qualités érectiles ou même fertilisant"
2 : "Bonjour
Je voulais vous faire part de ma perplexité à propos du problème de prostate qui serait consécutive à une chasteté prolongée.
La plupart des sites se rapportant à la chasteté annoncent en effet que le maintien d’une chasteté durable accentuerait les risques de mauvais fonctionnement de la prostate des hommes et pourrait même entraîner un cancer. Il est alors proposé plusieurs techniques de pression qui permettrait de vidanger cet organe sans entraîner de plaisir.
Ce qui est étonnant, c’est que le risque d’impuissance liée au port prolongée d’un dispositif de chasteté contraignant sur la circulation sanguine n’est que rarement évoqué......
.......Ce sont les cages trop longues ou trop grandes qui peuvent occasionner des problèmes aux flux sanguins et au fonctionnement des artérioles......
........Néanmoins, le port prolongé d’un tel dispositif ne sera pas sans effets à long terme sur les capacités érectiles. Une certaine impuissance, due à l’inertie des corps caverneux, se fera sentir au bout de quelques mois. Cette impuissance reste généralement temporaire si l’exercice normal des érections nocturnes y pourvoit, mais peut aussi s’avérer plus capricieuse si la chasteté s’est poursuivi sur du long terme. Ceci dit, les porteurs doivent donc être avisés de ce réel problème et en assumer les conséquences. De fait, un soumis chaste, volontaire sur une longue période, et qui n’aurait plus à utiliser son pénis pour une jouissance, ne devrait pas s’en préoccuper puisque le problème de dysfonctionnement érectile n’engagera aucun trouble majeur, sinon une frustration accrue. Mais, dans de rares cas, l’impuissance pourrait s’avérer définitive.
Au bout d’un an, l’inertie des corps caverneux peut également entraîner un léger raccourcissement de la taille du pénis en érection, mais le pénis retrouve sa taille assez rapidement après quelques mois d’érections normales. Pour ma part, j’ai noté un raccourcissement de plus d’un centimètre en trois ans de port sans rémission........
.........Bien entendu, la prostate fonctionne comme une glande assez ordinaire et avec le temps et un fonctionnement réduit, la plupart des hommes connaissent un épaississement de sa paroi qui en réduit la souplesse. Cela n’a pourtant rien à voir avec une pathologie sévère. Il s’agit seulement d’un état de fait lié à l’âge. Chez la majorité des hommes, la « vidange » de la prostate n’a rien de nécessaire car en fait, elle ne se remplit pas. Je ne sais pas d’où vient ce mythe réitérée de la nécessaire « traite » de cet organe.
En fait, le liquide prostatique accompagne le sperme lors de l’éjaculation et est produit en continu. Mais il se résorbe aussi plus ou moins en continu, ou bien finit par s’écouler tout seul lors de « pollutions nocturnes ». Il n’y a lieu à « dégorger » la glande que dans de rares cas pathologique de d’épididyme bouché, voire lors de cas exceptionnel de dureté de la paroi glandulaire. En règle générale et hors rarissimes cas d’inflammation, il n’y a nul besoin de laisser s’écouler le liquide prostatique, pas plus qu’il n’est obligatoire de dégorger les glandes de Skene des dames."
3: "La fonction érectile, comme toutes les autres fonctions de notre organisme, pour durer a besoin de fonctionner : ce n'est pas "la pile Wonder qui ne s'use que si l'on s'en sert" (les plus âgés comprendront), mais tout le contraire.
Voici les bases scientifiques du raisonnement qui devrait tous nous conduire au tact et à la mesure quant à l'usage de la cage sur le long terme.
Sur le principe il a donc un consensus; mais là où la médecine ne peut répondre, faute d'étude scientifique réelle, c'est sur la situation exacte du seuil du danger (durée, fréquence du port, taille de la cage, fréquence et type d'éjaculation, orgasme ou ruine..). Comme pour tous les risques médicaux, il est sans doute extrêmement variable d'un individu à l'autre, en fonction de tout un tas de critères: âge, tension, cholestérol, diabète, etc...
Tous les soumis ayant porté une cage connaissent les réveils douloureux en pleine nuit dus à une érection. Ces mêmes soumis décrivent une amélioration au fil du temps. Cela signifie t-il qu'ils s'y habituent.. Je le pense pas: mais plutôt d'une raréfaction des érections, début de la spirale...
En conclusion, le risque patent est la perte des érections au fil du temps. Mais est-ce un danger? Non car l'individu n'est pas en danger, et peut-être même que pour certains, cette disparition prématurée correspondra à un renforcement de leur psyché. La tête du soumis dirigeant pour une fois son fonctionnement."
4: "Vous parlez de cette si célèbre cage(la CB), je relève en effet "il ne peut plus s'en passer" ... L'outil a fait un fameux chemin dans les chaumières n'est ce pas ?
De mon côté, ma modeste expérience médicale extérieure m'alerte justement sur ce côté Pavlovien quasi et sur l'impuissance à long terme qui menace le soumis-toutou.
Je préfère, comme me disait une de mes "collègues" la cage mentale que j'impose à mon soumis et qui m'amuse tellement pour le carnet de fausses notes qu'il rempli à force de gaffes. Encore de quoi rire et punir.
Étant de près dans le milieu médical et ayant les infos à la source (mdr ... je ne peux en dire plus mais c'est tout à fait cela), le port prolongé au delà du côté Pavlov si on peut dire :D , empêche les fonctions érectiles si l'objet est bien choisi. Hors donc plus de fonction érectile = impuissance à long terme puisque c'est le manque de fonction érectile nocturne qui est le premier symptôme de l'impuissance à traiter.
Donc dixit source (lol) au lieu de traiter on provoque indubitablement le problème. Voilà en très bref ....
.... Plus de fonction érectile nocturne du tout = impuissance à long terme. Combien de temps ? Sur quelle durée ? Pas de réponse mais risque existant.
-Comment ensuite y remédier et est-ce que marche arrière est possible ? Certes oui mais comment ? Sur quelle durée ? Combien de temps ? Réponse aléatoire !!
-Donc on revient au mode jouet . Un jouet est un jouet et ne peut être pris comme mode de vie total sous peine de ne plus être un jouet mais un déformation de la personne. Si je suis ce que dit le forum ce n'est plus du sûr, sain et consensuel .
En abrégé le corps médical avisé dit : " si on s'amuse à provoquer ce que nous tentons de soigner avec difficulté, notre profession a des beaux jours devant elle.....
.....On l'a dit : le mental a sa part dans l'érection. Donc tout jeu mental portant sur l'interdiction d'érection, la restriction de celle ci, la privation, la récompense etc... Porte automatiquement au terrain glissant de risques à la longue d'accoutumances de la personne à ces jeux au point de ne plus pouvoir fonctionner que par ceux- ci.
Si le sujet est d'accord pour prendre ces risques il ne se rend évidement pas compte de la puissance de ceux-ci et de la difficulté ensuite à le "déprogrammer" le jour où il voudrait l'être.
La encore on revient à la case plus haut : - Comment ensuite y remédier et est- ce que marche arrière est possible ? Certes oui mais comment ? Sur quelle durée ? Combien de temps ? Réponse aléatoire !"
Voilà pour la partie citation, je reprend le clavier....et les avantages de la cage dans tout ça? Je vais faire court, tant les infos abondent sur le net à ce niveau:
-Le port de la cage est agréable mentalement, vous maintenant dans un état de désir constant, mélangé à la frustration, obnubilant le cerveau(très agréable si vous êtes quelqu'un de très cérébral), et à terme vous trouvez ça souvent plus fort qu'un orgasme finalement si court.....
Plus à fleur de peau, le soumis devient parfois aussi une vraie chienne en chaleur....
-Il assure que le soumis soit plus attentif, obéissant, moins agressif, dévoué envers sa Maitresse puisque moins concentré sur son pénis.
-L'encagé doit faire pipi assis, donc les toilettes sont propres et les dames contentes ^^
Résumé des dangers lors d'un port prolongé de la cage(en 24/7 sur de longues périodes). Désolé c'est long, donc pas si anodin que ça:
-Avec le temps, le pénis va rétrécir un peu en longueur. Ce n'est pas forcément irréversible s'il recommence à pouvoir bander souvent
-Comme vôtre sexe ne peut pas bander la nuit pour sa bonne santé, vous perdez peu à peu la puissance et la longueur de vos érections.
-Chez la plupart des sujets, le port de la cage prolongé vous rend aussi de plus en plus précoce pour éjaculer, car à peine libéré, vôtre corps ne pense plus qu'à une chose, se soulager rapidement....
-La nuit l'encagé sera réveillé par une tentative de bandaison douloureuse, parfois plusieurs fois dans la même nuit. C'est surtout valable les premiers temps...l'encagé dort mal, puis il s'habitue car ses érections se raréfient. Il n'est donc jamais au meilleur de sa forme, que ce soit professionnellement, quant à sa vie familiale et de fait, pour servir sa Maîtresse.
-Le port prolongé, mais surtout les premiers temps là encore, va irriter la peau, en particulier au niveau du scrotum(en tentant de bander ça fait remonter les bourses, et donc étire la peau). Attention à ce que ça devienne pas des plaies.
-Qui dit port de la cage dit moins de production de testostérone. La diminution du taux de Testostérone impacte ces organes cibles :
Le Cerveau par une :
- diminution de l'agressivité et de la concentration
- tendance à la déprime et à l'insomnie
- baisse voire une disparition du désir sexuel
- diminution de la fréquence des érections
Les Muscles par une :
- diminution de leur volume
- fatigabilité physique croissante lors de l'exercice
Les Os :
-par une réduction de l'hématopoïèse dans la moelle osseuse et une déminéralisation :
La Peau :
-qui devient plus fine, plus fragile, plus sèche, plus ridée
Le Visage :
-par un teint pâle, un regard terne, les muscles des joues relâchés, des ridules au coin des lèvres et des yeux
Les Organes sexuels :
-par une diminution ou une disparition de la fertilité, un manque de sensibilité clitoridienne, une perte du désir sexuel
Le Système immunitaire :
-par une diminution des lymphocytes T et des défenses immunitaires contre les mitogènes
Il en résulte une sensation de " mal-être ", accentuée par les modifications de l'image corporelle (obésité, rides, calvitie, taches brunes, raideur et douleurs articulaires...) et de certains comportements (fatigue permanente, tendance à la dépression, manque de confiance en soi, sommeil agité, pertes de mémoire, manque de créativité, bouffées de chaleur).
Dans quels domaines agit-elle ?
L'action de la Testostérone porte principalement sur les organes génitaux et sur le cerveau. Ses autres cibles sont le système pileux, le tissu musculaire, la masse graisseuse, les cellules sanguines et les os. Elle agit de manière identique chez l'Homme et chez la Femme dans les domaines suivants :
Surcharge pondérale : La Testostérone régule la répartition entre la masse maigre et la masse grasse : la diminution de son taux amène ainsi à un excès de graisse s'accumulant principalement dans la ceinture abdominale chez l'Homme et dans les cuisses chez la Femme.
Ostéoporose : La Testostérone et l'Oestrogène peuvent augmenter la densité des os et contribuent à la prévention de l'ostéoporose. Le déficit en Testostérone caractéristique de l'andropause et de la ménopause a des répercussions sur la fragilité des os. L'ostéoporose peut donc exister chez l'Homme comme chez la Femme.
Masse musculaire : La testostérone contribue au renforcement de la masse musculaire de façon conséquente. C'est pour cette raison que les sportifs en sont " friands" bien que la prise de Testostérone soit interdite en compétition pour des raisons d'égalité de chances.
Cholestérol : La Testostérone contribue à une bonne circulation sanguine et aide à favoriser le taux de " bon " cholestérol et à réduire les taux sériques de cholestérol total et de triglycérides.
Système cardio-vasculaire : Un lien étroit a été établi entre de faibles niveaux de Testostérone et les maladies cardiaques ; l'augmentation de la quantité de Testostérone entraîne une dilatation des vaisseaux sanguins stoppant ainsi l'amincissement des artères ; l'hypertension artérielle et les maladies coronariennes sont concernées par cet effet.
Troubles de la Libido : Chez l'Homme comme chez la Femme, de faibles taux de Testostérone entraînent une diminution voire une perte de désir et d'efficacité sexuels.
Même si l'homme en produit 10 à 20 fois plus que la femme, la diminution de production de celle-ci ne fait donc pas qu'éteindre son désir sexuel.
-Une hygiène douteuse....même si avec les cages "ouvertes", il n'y a pas de souci
-Risque de formation d'œdème gros souvent au niveau du prépuce, occasionné par une circulation lymphatique ralentie par la cage compressant le dessous de la base du pénis. C’est totalement insensible et se résorbe après une libération de quelques heures.
-Risque de peau irritée, surtout les premiers temps. Si on ne retire pas la cage à ce moment, on risque que ça se transforme en plaie....
Voilà pour la liste des risques purement anatomiques. Vous trouvez pas que ça fait beaucoup? Moi si. Quelques questions essentielles à se poser selon moi:
-L'équilibre mental...et bien, oui, pour certains hommes porter une cage c'est résoudre un souci par un autre, par exemple un soumis éjaculateur précoce dont le psychisme rejette la relation sexuelle, l'érection et l'éjaculation. Être encagé le plus souvent possible lui permet de mettre de côté des soucis psychologiques qui n'auraient peut être nécessité plutôt un traitement psycho-médical et médicamenté?
-Que devient un soumis impuissant, habitué à être 100% sous cage et sans relation sexuelle lorsque, par accident , aléas de la vie ou tout simplement séparation ou divorce, celui ci se retrouve seul ?
-Quand la médecine dit et redit que les érections nocturnes sont signe de bonne santé , comment un/e simple quidam peut il/elle affirmer que l'en priver ne comporte aucun risque ? Pour sa santé physique et morale, pour son avenir ?
-L'homme encagé vieillit sexuellement très rapidement (au bout de quelques mois)... Sa libido baisse pour devenir inexistante, ce parfois assez jeune.
Certains n'ont plus aucune érection même pour leur Maîtresse... et c'est bien le but de certaines femmes pour qui cette cage est une aubaine pour ne plus se cacher derrière des migraines, maux de têtes, fatigue etc au moment du sacro-saint "devoir conjugal"...
-Faut-il qu'un homme porte une cage de chasteté pour être un "bon" soumis ?
Mais alors, cet homme n'est il pas soumis à sa cage plutôt qu'à sa Dame ?
Il suffit pour s'en convaincre de prendre ça et là quelques déclarations de ces "soumis" encagés : "sans ma cage je me sens nu", "sans ma cage je ne me sens pas/plus "soumis" etc...
-Quid des Dominas qui aiment dominer et/ou pratiquer une sexualité avec pénétration?
-Cet objet n'est il pas un prétexte à manipulation de l'un ou de l'autre? Je t'offre ma chasteté et fais de toi la reine de mes désirs dont tu as la clef (trad : sous clef je suis bien tranquille et tu n'auras aucune idée de mes problèmes sexuels)
J'accepte ou je désire que tu sois sous la clef que je garde afin d'être le soumis parfait que tu désires tellement être (trad : ainsi je suis bien tranquille, tu ne m'ennuiera plus avec des désirs sexuels qui ne m'intéressent pas et m'ennuient plus que tout)
-Pourquoi une Dame qui n'a plus de désir ne fait elle pas l'effort de consulter pour en connaître la raison (la ménopause peut être belle) et saute plutôt sur l'occasion sur la cage comme bouée de sauvetage?
On parle de la bonne santé du soumis par sa sexualité, les études prouvent que la bonne santé de sa Dame passe par la même chose.
Conclusion:
La cage de chasteté n'est pas un jeu BDSM anodin. Si on passe à du port prolongé, on est en droit de se demander si on est encore dans du safe sane and consensual, car on entre rapidement dans une addiction, avec tous les risques des dangers cités que celà comporte.
La cage "mentale" de la Maitresse qui ordonne à son soumis de rester chaste mais sans cage peut être une meilleure solution, et de plus très gratifiante pour le soumis qui va résister, tout en éliminant une bonne part des dangers et désagréments de la cage.
La cage mentale a comme supériorité par rapport à la cage de chasteté qu'elle devient en plus un jeu intellectuel entre deux êtres pensants. La domination de l'un par L'Une est alors au stade ultime de l'interpénétration, de la connivence. Elle n'apporte aucune souffrance physique, ce qui est bon pour les non-masos, et favorise l'imagination.
Maintenant au vu de tous les témoignages que j'ai pu lire, jouer en mode ludique occasionnel sur quelques jours, voire au max quelques semaines, ne semble pas dangereux, surtout si des libérations sont fréquentes, donc que cela ne refroidisse pas trop ceux qui veulent s'y essayer.
Simplement, j'espère qu'après lecture de tout ça, tous sont prévenus de ce qu'ils risquent en voulant passer à du port permanent.
PS: Je serais très curieux d'avoir d'autres avis argumentés, notamment de médecins sur la question
Eenwë
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La route est longue, monotone... mon corps s'éveille, mon esprit voyage ailleurs, un monde sensuel... ma main sur ta cuisse se rapproche de ton sexe. Tu restes attentif à la route, ton sexe se réveille, je poursuis mes caresses à travers le tissu. Tu es à l'étroit, je te libère, déboutonne ton pantalon et sors ton sexe qui se tend, mes va-et-vient te font réagir. Ma bouche te rejoint, t'engloutit... ma langue te caresse; la position est inconfortable, mais je poursuis... te suce à mesure que mon sexe mouille. Je poursuiq, me délecte de ton membre tendu, je m'imagine m'empallant dessus, gémissant de plaisir... Je regarde la route, les camions que nous dépassons, nous voyent -ils? Qui sait? Une air de repos est indiquée sur le coté... nous y allons... les camions d'un coté, les voitures de l'autre... quelques camionettes, pas d'endroit discret, tant pis, on se gare.. mon string tombe au sol, ma jupe déjà courte se retrousse. Je me contorsionne et m'empalle sur ton membre. C'est intense, quelques va et vient et tu exploses en moi...
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1 Quand il faut , il faut alors bonjour à toutes et à tous . Je suis içi présent sous le nom de Mr Mano alias " padre" .
2 Né dans les hauteurs alpines histoire d avoir dès le début une large vision sur le monde .
3 A 4 ans , je hantais les pistes blanches locale tout seul avec mes petits skis en plastique et mon bonnet à pompon .
4 Je n ai pas été à l école avant mes 5 ans ET demi !
5 l école , pour moi , c est avant tout les copains et copines . Malgré une longue timidité , j ai toujours , au cours de ma vie , une
belle vie sociale . un élément capital dans ma vie !
6 Champion 79 de " construction de château " en Légo !
Demi finaliste 83 d un concours playmobil !
7 Un GRAND merci à mes parents de ne pas m avoir pourri mon esprit d enfant avec la religion , la politique , la morale et quelques
théories fumeuses qui auraient put m ' embrumer la tête !
8 Un immense merci aux mêmes parents qui ont tout simplement été bon , respectueux et courageux ! D 'ou le fait que certains
témoignages que je lis içi m ' attriste et m inspire quelques petites colères !
9 Oui , je suis conscient d avoir eu de la chance dans ma vie .
10 Bon , autant le dire , j ai été un étudiant moyen moyen . Aucun diplôme , scolarité stoppé au lycée ; je ne devais pas être fait
pour ça ............... Mais bon , aujourd'hui , pas de regrets . Encore une fois , les copains ont été important .
11 Je suis un littéraire mais loin d être un intellectuel ^^ . Ne me parlez pas de math , j y suis allergique depuis mon CP !
12 J aime le rock'n roll , les bonnes bières , la bonne chair , le cinéma en noir et blanc , la montagne qui tombe dans la mer ,
la chaleur , le football , la musique , l histoire , les bagnoles et tant d autres choses ............
13 J aime les filles ; non ; j adore les filles ! J ai toujours eu des copines , des amies et quelques petites amies ! J' aime leur
compagnie , leur différence , leur beauté ................ même si parfois je peux être acide envers certaines !
Puisque vous m obliger à parler " fille " ( ah si , je vous ai vu venir ! ) , je les adores mais ne peut vivre avec elles ! Trop
d ' incompatibilités .
14 Je suis un garçon indépendant , peu fusionnel , parfois taiseux , qui n a presque jamais eu de projets amoureux et jamais eu envie
de créer une famille . Vous comprenez pourquoi je suis célibataire ?
15 Bon , je vous rassure , j ai quand même des qualités , hein ! Je suis ............. et puis............ voir même ........... !
16 Dans la série ; " je n ' aime pas " il y a beaucoup de choses ! Les fruits de mer , le free jazz , la table des divisions , les étroits
d'esprit , les extrémistes en tous genres , les cimetières , les arrivistes , les égoistes , un cassoulet froid de chez lidl ,
porter une cravate , les ordures sur le bord des routes etc , etc ............
17 Bon , allez mon petit Mano , encore un effort , tu vas y arriver ! Plus que 8 ! Hop , une petite pause café . Alors je verse mon
eau chaude mais pas bouillante dans ma petite cafetière . je vais laisser 3 minutes avant de faire coulisser le piston et après ;
je vais agrémenter mon colombien d un sucre de canne . Quoi , vous n en avez rien à f..... !!
18 Ok je reviens à mon boulot ! Pffffffff ! j aime pas les râleurs !
19 Alors , sachez que je hante les routes de France tous les jours ! Et en plus j aime ça ! Peut être nous sommes nous croiser , qui
sait ! Je le dis ; la France est belle ! Sachons la découvrir et la regarder !
20 J ai quelques contradictions qui m étonne moi même ! j aime voyager mais je le fais peu ! j aime bien manger mais je ne cuisine
pas ! j aime le sexe mais n en abuse pas ! Y a t il un psy sur ce site ?
21 j ai habité dans trois régions différentes ; je le répète , la France est belle !!
22 Je manque parfois d ambition , de vivacité d esprit , d esprit d analyse et franchement , il y a des jours je me fouetterais ! Non
inutile de vous proposer , je suis assez grand pour le faire moi même !! Non mais .......
23 Comme je manque d inspiration je vais laisser mon ami " le padre" dire un mot :
- euuuuh ....... mot ?
< Merci padré .... pffff quel con !
24 Je reconnais que parfois mon humour second degrés peut interpeller voir " blesser " . C est vrai que j aime chambrer , titiller ,
c est vrai que j aime l humour et que je manque parfois de finesse ! Au cas ou , je m en excuse .....
25 Quoi le bdsm ! Ah ben oui dites donc , il serait temps ! Je l ai découvert assez tard . J ai beaucoup lu , prit le temps de le
découvrir . En fait je pratique peu , hélas . Un emploi du temps compliqué , des incompatibilités ou manque de feeling donc je
suis en manque d expérience . Mais je peux dire que je me sens bien dans cet univers décalé , riche de personnalités divers ,
d'émotions particulières , de couleurs et d ambiance séduisantes . J aspire à faire plus de rencontres afin d avancer et d avoir
le plaisir de vivre ce bdsm ; mon bdsm !
26 Diantre , mais j ai fini !
Comment , le padré veut dire quelque chose ?
- En effet , aimez vous les uns les autres , tendez la main aux plus petits et ...
< padré ?
- oui ...
< ta gueule !!
27 Allez un petit bonus , pour faire plaisir à Eowyn . Après elle râle , se plaint ; on ne l' a tient plus ! Si vous saviez les
photos immorales qu'elle m envoie ! Elle fait rien qu' à m 'embêter !
28 Je suis heureux d être parmi vous . Je pars du principe que mon bonheur se constitue d une multitude de petits plaisirs . la
richesse de la diversité est capitale pour moi .
29 Un jour mon père m' a dit que pour apprécier les vacances , il fallait connaitre le travail . Savoir conjuguer les oppositions ,
c est une de mes philosophies
Un jour ma mère m a dit que si je ne la rendais pas grand mère et que c était mon choix , cela ne changerai en rien son regard sur
moi ! Savoir entretenir la tolérance et la différence , c est une autre de mes philosophies .
je vous le dit : Si tous les mômes avaient eu des parents comme les miens , le monde tournerait autrement ! Merci à eux !
30 Je vous salue mesdames , mesdemoiselles , messieurs !
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Allez, puisque j'ai été piégé (bien malgré moi, pfiouuu ...), voici, pour Linsoumise, quelques trucs à se mettre sous la dent ...
1- C’est quasiment un exercice narcissique auquel Linsoumise nous convie … allons-y.
2- Au chapitre pître, je suis né un 1er avril
3- Difficile pour un pître d’être pris au sérieux au premier abord … mais ça m’a toujours fait rire d’être pris pour un branleur – et aujourd’hui je le revendiquerais même
4- D’ailleurs j’adore glander, comme ça, procrastiner sans objectif dans la journée
5- Pour un branleur, je bosse beaucoup trop d’ailleurs … mais en activité, j’ai horreur de la routine, du redondant, du manque de créativité, dans lesquels beaucoup se complaisent … beurk !
6- J’ai un chat, récupéré de dehors ; enfin une chatte en fait.
7- Sitôt intégrée au foyer, elle fut en chaleur, et il fallait lui choisir un nom … mon plus jeune, 5 ans à l’époque, a proposé « Toutouffe » … adopté ! (je ne sais pas d’où lui est venue l’association d’idée, mais il a de l’avenir ce bon jeune !)
8- Ce regard du véto, quand il a fallut qu’il inscrive « toutouffe » dans son registre … arrff !
9- Je me suis mis à fumer la pipe il y a 15 ans environ, pour arrêter de cloper … bah encore maintenant je fume la pipe
10- Un truc qui m’émerveille : découvrir un nouvel univers dans lequel j’ai envie d’entrer … pour moi ce fut successivement la recherche universitaire (ça m’a quitté), l’exigence conviviale du goût et des meilleurs vins, les aventures sexuelles, et enfin le bdsm ..
11- Ah ! enfin, vous dites-vous, on va parler cul ;-) !
12- Tout doux, on va y aller progressivement …
13- Premières expériences sexuelles à 11-12 ans environ … comme un truc naturel (bon c’était plutôt « touche-pipi » à l’époque)
14- Enlevé par un pédophile vers 13 ans, il m’a sucé (ma première vraie pipe en quelque sorte !), s’est branlé, a juté dans son chiffon, et m’a laissé repartir
15- Le plus emmerdant ensuite c’est d’expliquer aux parents pourquoi j’ai mis plus d’une heure pour aller chercher le pain …
16- J’ai été un mari trompé … enfin trompé, non, elle avait mon consentement (ça l’a toujours étonné d’ailleurs)
17- J’ai toujours aimé la compagnie des femmes, même collégien (et même autant que je m’en souvienne au primaire), j’avais autant, voire plus, d’amies que d’amis
18- Encore aujourd’hui, sauf que maintenant ce sont parfois d’anciennes amantes rangées des voitures …
19- Bref !
20- Après séparation, nouvelle vie avec une compagne, peu à peu en couple libre
21- Re-séparation, aventures sexuelles diverses, vanilles, et refus de ma part de trouver autre chose que des relations du type sex-friend
22- Plus ça va, et moins je comprends ce besoin d’exclusivité si répandu …
23- Tiens, un blog intéressant sur les questions autour de la non exclusivité : les fesses de la crémière (tapotez ça sur votre moteur de recherche)
24- Ai-je été libertin ? je l’aurais été vraiment si j’avais rencontré des gens intéressants dans ce milieu …
25- J’y ai plutôt rencontré des faux-semblants, de la méfiance, de la vacuité, et ce fossé entre un discours libertaire et la fermeture d’un petit monde recroquevillé …
26- Peut-être pas tombé sur les bonnes personnes, tant pis.
27- J’ai eu des fantasmes de soumis fut une époque (il y a 7-8 ans), enfin je les qualifie ainsi aujourd’hui, c’était assez confus pour moi à ce moment là
28- Notamment celui-ci : le dard bien raide, à l’orée de son œillet, elle me branle doucement, m’approche, je vais pouvoir entrer mais … non, elle me repousse doucement … me suis branlé un certain nombre de fois sur cette scène !!
29- En période de couple libre, l’une de mes amantes était une vraie furie dès que je lui pinçais les pointes des seins … le bouton qui réveillait la furie !
30- Au début, disons le, son comportement m’a un peu dépassé …
31- Elle a donc assez naturellement pris le dessus au départ, mais je n’en tirais aucun plaisir cérébral, je me sentais comme un observateur … comme étranger à la scène, même si c’était bien ma queue qui était en elle.
32- Et puis, peu à peu, comme une évidence, j’ai repris les choses en mains, décidé de m’écouter ; puisqu’elle était toute énervée, une fessée pour la calmer … et visiblement elle aimait ça, et moi aussi … l’engrenage était lancé !
33- Puis après la fessée, une prise sauvage dans la cuisine …
34- Et peu à peu, au fil des rencontres, une maîtrise de la bête, et le plaisir enfin complet, pour moi, aussi pour elle visiblement … plus je la contraignais, plus elle jouissait, plus je prenais plaisir, cérébralement et queutalement ;-) !
35- une révélation … il y a 4-5 ans, pour situer. Grâce lui soit rendue, elle m’a révélé à moi-même en fait.
36- Et depuis, de rencontres en recherches sur le bdsm, la domination ne m’a pas quitté, j’ai juste mieux appris à gérer cette domination, quelques codes de base …
37- Et au fil des rencontres, à devenir un meilleur dom
38- Forcément attentif, c’est dans ma nature en quelque sorte, mais en imposant mon chemin
39- Cette tension entre l’attention à l’autre, et l’écoute de soi, est aussi ce qui me fait vibrer … un équilibre sur le fil, que quelques règles permettent de circonscrire bien sûr, mais qui se construit différemment avec chaque soumise que j’ai eu la chance de croiser
40- Et voilà … je conserve quelques amantes vanilles, et heureusement car je n’ai plus de soumise depuis 2 mois …
41- Et puis, je trouve mon équilibre ainsi : quelques amies / amantes vanilles, à voir de temps à autres, une soumise pour laquelle je m’investis réellement.
42- C’est con que je n’ai plus 42 balais, j’aurais bien terminé là-dessus
43- Ah si un dernier truc
44- Attention aux pervers narcissiques les filles
45- J’en ai récupéré quelques-unes, qui sont passées entre les griffes de ces grands malades
46- Mention particulière pour Bulle Romaine, qui semble défendre le prétendu D, lequel me semble avoir toutes les mentions requises, un beau spécimen me semble-t-il
47- D’expérience elles en ressortent en doutant d’elles-mêmes, détruites dans leur confiance en elles-mêmes, et ça met bcp de temps à se reconstruire la confiance en soi
48- Tchüsss
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1-Bonjour
Je m’appelle Yaelle
J’ai 28 ans
Je suis brune aux yeux marron
Avec quelques formes il faut l’avouer
2- Folle amoureuse de mon Amour et Maître depuis mes 17 ans nous avons la joie d’avoir une patate d’un an et demi qui nous rend des plus heureux
Et surtout qui déménage
3 -Je me pense être quelqu’un de simple
Mais surtout très sensible
Ayant tendance à donner tout ce que j’ai par Amour ou amitié
4 -Petite fille discrète, je me suis toujours caché derrière quelqu’un ou quelque chose de peur d’attirer le regard et de montrer trop mes sentiments.
5 -Assez peu sur de moi j’ai toujours était un peu le garçon manqué de la bande surtout en entrant au lycée regardant autant les garçons que les filles
6 -Bon il y a surement prescription maintenant
Mais j’étais un peu
Bon beaucoup
Attirée par ma meilleure amie
Mais ne voulais pas me l’admettre
7 -Mon premier baiser fut à mes 15 ans
Oui c’est tard
8 -Mon enfance fut un peu difficile
Issue d’un père violent
Et d’une mère castratrice
Ma principale occupation était de veiller sur mon petit frère
Et éviter un drame
L un j y suis arrivé
L’autre non
C’est ainsi
Je me dis que c est mon passé qui fait ce que je suis
Ne peux le renier
Et dois m en servir pour être une meilleure personne
Donc les garçons étaient des plus secondaires pour moi
9 -L indépendance que m’a offerte mon entrée au lycée
M’a permis de sortir la tête de cette ambiance
Et découvrir certains plaisirs de la vie
Plus ou moins catholiques
10 -Ma première expérience
Fut un mardi
Séchant les cours de math pour rejoindre mon amant
Dans son petit studio étudiant
Qui au final
N’était pas si franc que ca
11 -Ma phrase préféré
C’est en faisant des erreurs que l’on apprend
Même si je ne l’applique pas toujours
Je l’aime bien
12 -Lorsque j’ai rencontré mon Amour ce fut le coup de foudre
Un simple regard a suffit
A l’heure d aujourd hui un simple regard de lui
Peut me renverser
Mais pas que !!!
13 -Il y a deux ans
Suite à une révélation et une prise de conscience, il m’a fait découvrir le monde du BDSM.
A l’heure d aujourd hui je me rends compte que c’est bien plus qu’un piment, bien plus qu’un état d’esprit c’est une façon différente d’appréhender la vie et surtout de voir son corps et son être
14 -Jusqu’ à il y a peu
J étais méfiante
Ne donnant pas de tendresse
Assez caractérielle
Je me cachais sous une carapace
Qui faisait plus de mal que de bien à notre couple
15 -Pour moi le BDSM est une boite de pandore
Que mon Maître a ouverte
A la quelle je suis devenue accro
16 -En juin 2014
Il a décidé de m’offrir mon collier
Entouré de personnes
Qui a l’époque nous tenaient à cœur
Ce fut un moment émouvant
Sentir le cuir
Ce poser sur mon coup
Comme un symbole
Plus qu’une femme
Plus qu’une soumise
Il m’offrait son être tout entier
17 -Notre première expérience
Les cordes
Elles vont devenir notre lien
Notre alliance
Notre passion
Un moyen d évasion et de plaisirs pour nous deux
16 -Des sensations nouvelles
La découverte de son propre corps
Mais surtout
Cette douce douleur qu’une cravache ou un martinet peut procurer
18 -Mon pseudo était une évidence
Et nous tenait a cœur plus que tout
Il est tout simplement le prénom en version féminin de mon Maître
La soumission c’est révélé à moi
Mais ne fut en réalité qu’une confirmation
19 -Grâce à ce monde mon Maître m’a permis de faire des expériences plus enrichissantes les une que les autres. Mais surtout de découvrir certaines parts de moi-même
20 -J’ai découvert ma bi sexualité grâce à la formation d’un trio avec mon Maître et une jeune femme dont je n oublirais jamais le corps et pour qui j’ai ressentis bien des sentiments
Aujourd hui la relation fini je ne veux en garder que le positif
La découverte
L’amitié
Et la fierté lorsque je voyais le regard de mon Maître dans nos rapports a trois
21 -Encore plus percutant
Ce monde nous a permis de rencontrer des personnes hors du commun
Et avec qui nous avons liés bien plus que des liens d’amitiés
Un lapinou, un tonton m et sa gentille, une tata giclette et que dire d’une bonne fée ou d’un papé et sa miss (et bien d'autres aussi qui se confirment )
Des gens dont le cœur n’a que l’amour pour raison
Et qui
Pour moi
Forment une famille
Dont on ne peut se passer
Que l on Aime et qui nous manque quand elle n’est pas la
22 -Bon je vous donne mes surnoms dans notre petit groupe
Petit cœur
Kinder Buenos
Petite orchidée et son bouton
Oui
C’est bien ca
Ca n’a rien à voir
Lol
23 -Merci Ennawelle pour ce chalenge
Même si peu présente
J’y ai pris beaucoup de plaisir
24 -Comment finir ce jeu
Je ne sais pas trop
Ce que je sais
C’est que je suis heureuse de faire partie de ce monde
Il y a deux ans je suis arrivée sur ce site
Perdu
Triste
J’y ai rencontré des personnes hors du commun
Cree des liens
En ai perdu
Avec grande tristesse
Vécu des moments de joie
Des moments d émotion
Pas une seule fois je regretterais ce choix
Fait il y a un peu de temps
J’aurais un regret
Le concours
Qui apportait tant
Et qui avait une signification particulière pour moi
Qui me manque
25 -Mon dernier point ne peut revenir qu’à Toi
Mon Maître
Mon Amour
Mon Amant
Je voudrais te remercier pour tout ce que tu m’apporte depuis tant d’années
Par quoi tu es passé
Par Amour
Merci d’être Toi
De m’avoir offert le plus beau cadeau
A chaque regard que je pose sur elle
Je te vois
Toi
Revois ce regard qui c est posé sur moi
Il y a 11 ans
Notre parcours est ce qu’il est
Je me fou des on dit
Des critiques
Ils ne savent pas l’Homme que tu es
Le père, le conjoint si respectueux si aimant
C’est la compagne la mère et Ta soumis qui parle
MERCI
Merci d’être ce que tu es
Mon Amour et âmes sœur
Je suis fière de t appartenir
Bonus* : Ha oui j oubliai
Un brin dyslexique
Et fâchée avec l’orthographe
Ne m’en voulez pas si ça pique les yeux
Bonne et douce soirée à Vous
Yaelle
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1. J’ai subi pendant longtemps les remarques de mon frère et de mon père su mon poids jusqu’à ce que je réagisse ce qu’ils attendaient mais le mal a été fait quand même.
2. Je suis quelqu’un qui a très peu de confiance en elle.
3. Je suis quelqu’un qui s’angoisse et se stresse facilement pour n’importe quelle situation.
4. Je n’ai jamais été attirée par les sorties, les amis, la fête durant mon adolescence.
5. J’ai bu mon 1er verre d’alcool en octobre 2013.
6. J’ai fait ma première sortie en boîte en mars 2014.
7. Je suis en pleine crise d’adolescence, bon mieux vaut tard que jamais
8. J’ai perdu ma virginité tardivement.
9. Le mec qui m’a dépucelé a prétexté un black-out à cause de l’alcool pour ne pas admettre que nous avions couché ensemble.
10. Le 2e homme avec qui j’ai couché une fois l’acte terminé m’a gentiment dit : « ça ne doit pas se savoir sinon de toute façon je nierais ». Cela a été désastreux pour moi.
11. Le seul homme pour qui j’ai eu des sentiments m’a laissé du jour au lendemain sans nouvelles pendant 4 mois puis a repris contacts avec moi et à essayer de profiter de mes sentiments pour que je lui serve d’intermédiaire pour assouvir uniquement ses plaisirs.
12. J’aime m’occuper et aider les autres cela me permet de ne pas avoir à m’occuper de moi.
13. Même si je ne suis pas bien, malade et que je ne me sens pas capable de faire quelque chose pour moi et que quelqu’un me demande de le faire pour lui je le ferais.
14. J’essaye de changer les choses pour les points 12 et 13 mais c’est difficile mais je progresse…
15. J’ai assumé mon corps en étant enfant et ensuite des remarques, des regards ont totalement changé les choses… J’ai fait du chemin et cela revient progressivement.
16. Je ne suis même pas à la moitié et je ne sais déjà plus quoi écrire…
17. J’aime les carottes.
18. J’aime les chansons des années 80 mais j’écoute tous les styles de musique.
19. Je suis quelqu’un qui m’investit dans tout ce que j’entreprends.
20. J’ai été opérée 7 fois de la colonne vertébrale entre 2004 et 2008. Mais je vis avec et j’ai décidé que ce n’est pas mon dos qui déciderait de la vie et que je ferais ce que je veux…
21. Je suis quelqu’un qui aime parler, discuter, échanger et je m’adapte facilement en groupe.
22. J’ai pratiqué la clarinette et l’accordéon...
23. Je donne toujours l’image de la joyeuse, de la bout en train mais je craque souvent le soir seule chez moi. Même si en ce moment j’ai même du mal à faire illusion j’ai rencontré des personnes formidables sur ce site…
24. Je sais difficilement dire non car comme je n’ai pas l’habitude de le faire avec les amis quand je le fais cela prend tout de suite des ampleurs désastreuses. Mais je commence à comprendre que j’ai le droit de dire non, de toute façon quand moi j’ai un problème il n’y a jamais personne.
25. Je vis avec trois chattes (sans sous-entendu), je les appelle mes filles et au décès des personnes importantes dans ma vie leur présence a été cruciale… Je ne serais peut-être plus la sans elles car elles avaient besoin de moi…
26. J’ai un cœur d’artichaut et pour le moment la vie ne l’a pas épargné.
27. J’ai besoin de douceurs mais aussi de BDSM, un doux mélange des deux.
28. Je ne connais pas le mot bonheur et j’espère que cette année me le fera découvrir mais je pense que c’est bien parti.
29. Il paraît que j’ai un beau sourire mais celui-ci n’est pas le plus fréquent sur mon visage mais je veux changer cela.
30. Je suis quelqu’un qui de peur de l’échec va s’empêcher de faire les choses car je suis sûr de ne pas être confronté à celui-ci.
31. J’ai toujours eu peur d’être jugé sur mes envies sexuelles (je l’ai d’ailleurs été) mais je crois que j’ai perdu trop de temps inutilement et que j’ai perdu trop de temps à me préoccuper de ce que les autres pourraient penser de moi.
32. Je n’aime plus mon travail j’ai envie de changement et de retravailler dans l’informatique mais les années passées loin me font peur de ne plus être capable…
33. Allez contre ses envies ne fait que souffrir, pourtant c’est souvent ma façon de faire.
34. J’apprécie que certaines personnes veuillent prendre soin de moi, même si cela était quelque chose d’inenvisageable à mon arrivée sur le site.
35. J’ai l’impression d’avancer et cela me fait du bien, car cela fait longtemps que ça ne m’était pas arrivée.
36. Je suis contente d’être arrivée au bout même si cela a pris du temps et a été difficile…
RAPPEL DES REGLES DU JEU:
Ceci est le jeu du portrait Québéquois qui fait fureur sur fetlife.
Si vous cliquer sur "j'aime", je vous donnerais un nombre entre 1 et 50.
Vous devrez alors:
1 écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné
2 me dédicacer le titre de la manière suivante" X choses sur moi pour Mademoiselle Joy
3 le publier dans la section article
4 me le faire savoir
Vous devez indiquer la même règle du jeu avec le texte et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur "j'aime" pour votre texte.
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Toujours agenouillée elle reste courbée devant celui qu'elle vénère. Son bienfaiteur, sa chair. Son Seigneur, son Maître. Buste penché vers l'avant, elle se laisse envahir par les volutes de plaisir qui tourbillonnent sur son corps, tout comme autant de papillons qui s'envolent dans sa tête et autant de fleurs qui éclatent en pétales multicolores. Elle n'est plus qu'un corps offert aux fantaisies de celui qui lui fait face et se repait d'elle, avec délectation. Il la saisit à la mâchoire, le pouce sous son menton, l'index et le majeur s'enfonçant dans sa bouche et la rélève à hauteur de son visage. Ses dents mordent sa lèvre, cruellement. Sa bouche maintenue ouverte laisse couler la salive qu'elle ne sait empêcher et qui la souille, laissant des sillons dans la craie du visage, jusque sur sa gorge. Il lèche la coulure jusqu'àl'échancrure du kimono qu'il écarte, ôtant l'obi d'une main, ouvrant les pans de tissu et révélant la poitrine ronde, dardant. Il saisit la pointe d'un sein et la pince avec l'ongle. Elle ne peut réprimer un cri, qui hésite entre douleur et plaisir. Il sourit, relâche sa prise et essuie la bouche la dessinant de sa langue avec bienveillance.
Jouissance, béatitude, harmonie, respect, silence retrouvé...
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1. Je ne suis plus vierge depuis mes 14ans et demi avec un gars de 21ans mais mes parents pensent que c etait à l age de 22ans avec un mec de 26ans
2. Ma premiere expérience de soumise était à l age de 20ans, je me suis rendue dans une chambre d hotel vide à 150km de chez moi où je me suis deshabillée entierement ; j ai du m agenouiller dos à la porte d entrée puis lui envoyer un sms qd je suis prete pour quil puisse rentrer. Entendre la porte se fermer, sentir le bandeau se serrer sur mes yeux, je me souviendrais toujours de ce frisson plaisirs brulant & peur froide...
3. Je fais un stage chez un ami où j'ai vécu mon plus grand fantasme petplay et dont je suis extremement fière !
4. J ai le syndrome de peter pan. Je refuse de grandir.
5. Je suis pour la peine de mort en theorie mais contre dans la pratique car jaurai peur du fait que lon ne soit pas sur a 100% de la culpabilité de l accusé.
6. Je suis pour la france mais j avoue que certains jours cest quand meme plus dur que d autres... Malgré tout je suis tres citoyenne et surtout tres nationaliste !
7. Ma region c est le languedoc roussillon et rien d autre !
8. J adore prendre comme excuse le fait que je sois une fille.
9. Je mens parfois pour voir la reaction des gens et je dis ensuite que je leur ai menti ou pas...
10. J avais hâte d avoir 18ans pour pouvoir faire le don du sang ! Je suis pour le don d organe et le don du sang.
11. Je n ai jamais trompé personne et pourtant je nai pas toujours été fidèle.
12. J ai peur du tonnerre mais les eclairs me fascinent
13. J ai aussi très peur du noir et des films d horreurs (en general, je me cache la tête dans mon pull pour ne pas voir les trucs trop flippant et je fais des bruits bizarres quand y a trop de suspens...).
14. J evolue pour devenir végétarienne en sachant que mon plat préféré est le steack tartare et que je ne sais pas résisté a l'appel du barbecue !
15. Jusqu'a mes 32ans je n'aimais pas le chocolat au point où à noël on m'a toujours offert de la pate de fruit ou du foie gras mais pas de chocolat... Depuis mon opération de l'estomac je mange du chocolat à outrance et mes préférées sont les escargots chocolat au lait de lanvin (si jamais vous vous posiez la question !)
16. J adore faire du camping sauvage mais j aime le confort d une douche chaude, ne pas avoir froid et je deteste les petites betes !
17. Je suis hyper frileuse et j adore coller mes pieds froids contre mon partenaire. J aime me coller à mon partenaire de manière générale d ailleurs
18. J aime mordre et etre mordue, ça n a aucune connotation sexuelle c'est plus une question d appartenance ! si je te mords c'est une maniere de t intégrer dans mon cercle intime.
19. Souvent les gens ont une fausse image de moi mais j'aime l idée quon ne sache pas qui je suis. cest aussi ma façon de me protéger.
20. Je suis très fleur bleue meme si je trouve le concept super ringard !
21. Depuis peu, j'ai très envie de fonder un foyer et meme de devenir mère (par contre j'assume pas forcement cette envie !)
22. J aime me sentir sexuellement soumise à mon partenaire mais j'aime le dominer, le torturer, le pousser, sentir quil m appartienne meme si ce nest que pour un instant éphémère... mais quoi quil arrive je NE suis PAS switch !
23. je suis une princesse capricieuse qui ne sait pas ce qu'elle veut ! une femme chiante soit l'espece la plus incroyable !
24. j'ai besoin de mon espace et de solitude pour : me recentrer, créer des choses, prendre du recul, pour réfléchir, me sentir moi, pouvoir ne pas etre sociable, hurler, me défouler, pleurer, danser, pouvoir sortir ce coté sombre que je ne souhaite pas forcement partager !
25. j'ai besoin de partager, de rencontrer des gens, de moment d'échange... je suis accroc aux discussions philosophique et refaire le monde avec des potes ou une soirée crepe et jeu de société !
26. je suis ultrafan d'Alexandre Astier et de la peintre Misstigri !
27. j ai si souvent l habitude de me battre avec mes moi, que je ne sais pas toujours qui je suis mais je le vis bien.
28. je suis tres simple et je me contente de peu. jai un coté tres spartiate, survival... mais si ya moyen de negocier je prends l option princesse :p ce qui signifie en général plus de rose et pas forcement plus de moyen !
29. je suis une bonne geek : ordi, couette, series tv, bouquin, junkfood et chocolat !
30. Je suis un etre paradoxal et je fais tout mon possible pour cultiver ce don car sans défi la vie na aucun sens pour moi ! ! ! j'aime tout et son contraire, je suis capable d'aimer et de hair la meme chose quasi au meme moment, j'aime etre moi...
RAPPEL DES REGLES DU JEU :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Bliana »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
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(Réédition du 31/01/2016 -> 23/03/2024 - 754 Vues)
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La raison du plus fort sur le plus faible..
Cette défloration de l'esprit.
Cette douleur qui peut me faire oublier qui je suis, et quel âge j'ai.
Ce plaisir à hurler et ne pas en mourir.
Ce premier choix que je réalise et qui m'incombe.
Que vais-je faire ?
Me rebeller ?
Capituler ?
ou ressentir cet abandon ?
Cette main levée, ce coup asséné.. qui me décolle l'âme de la tête.
Ce bleu, cette cicatrice.. Point de lancement où ma raison s'échappe.
Vais-je vaciller ?
Vais-je me perdre ?
où vont mes pensées ?
Cette poigne ferme qui me penche en arrière, m'arrachant de ma torpeur,
Signe distinctif d'un bourreau voulant m'achever,
Serait-elle prompte à ma rédemption ?
Ou à ma chute ?
Cette bouche, déversant ce lien ; Cette salive chaude au goût voluptueux,
descends comme de la lave au plus profond de mes entrailles, me brulant de l'intérieur.
Ce point culminant où je me sens plus bas que terre, et que je suis à disposition du ciel,
et de me surprendre à tourbillonner avec lui.
A la merci des éléments, mon avis n'a aucune importance, car je ne veux lui donner aucun pouvoir.
Quand la mélodie est là, les mots ne sont que de simples élastiques face à cet enchainement d'émotions.
Ce plaisir éphémère que je veux imprimer en moi.
M'appartenir est mon désir,
Prolonger ce plaisir est ma volonté.
Je le regarderais donc les yeux dans les cieux,
Voulant retenir ce Maître, apte à réinsuffler mon âme ou à la dévorer.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Parfois je t'entraine... pour vivre d'autres choses, sortir de la routine. ..
J'ai revêtu une combinaison. ..mon corps paraît de dentelle. .. des bracelets à mes poignées et mes chevilles. .. je t'attends, imagine ta réaction, mon désir qui monte... un texto en mise bouche pour donner le ton de la soirée. .. j'ai longtemps hésité pour ce collier. ...
J'entends le bruit de la voiture. .. à 4 pattes j'attends. .. dans un vide poche repose les crochets des bracelets. ..et la laisse. ..
La porte s' ouvre... ne pas bouger, tête baissée, croupe offerte... docile uniquement pour toi...
Tu poses tes affaires, me contemple... ainsi offerte sur la table basse, la tête entre mes bras, cuisses écartées. .. mon sexe libre de toutes entraves t'attend....
Tu caresse mon corps. ..puis déboutonne ton pantalon...tes doigts en moi...puis enfin ton sexe... qui me fait gémir de plaisir
Tu attache la laisse, je sens ton emprise. .. redressant ma tête, me cambrant...je mouille tellement. .. tu m'attires jusqu'à la table... je m'y allonge... et déjà ton sexe force l'entrée de mon cul, je gémis encore plus... tu m'attaches les mains dans le dos... prisonnière. .. tu me baisses, je gémis. .. une flaque au sol se forme...je m'abandonne. .. tu es en moi...c'est fort..intense...sauvage...car j'ai besoin de ça. ..
sentir tes mains sur mes hanches me guider, cogner en moi... claquer sur mes fesses, tes mains qui les font rougir...les échauffer, si bon.. plus intense
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Prélude aux plaisirs, méditation, concentration, il fixe son regard sur moi, impassible, calme. Il étend la main et contrôle les vibrations en frôlant ma peau. Il pince et vérifie les notes fragiles et sensibles qui sortent de ma bouche, dirige les modulations et les vibratos, se gorge des chants plaintifs qui montent de ma gorge.
Je deviens l'instrument de ses désirs et de ses fantaisies, l'orchestre sensuel de ses obsessions, la chair symphonique de sa gourmandise. Il me manipule à la baguette, archet dressé, regard scintillant en proie à une fièvre sonore et lubrique qui monte crescendo, fortissimo !
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Bonjour
voilà un article que j'ai trouvé lors de mes recherches
je vous le retranscrit telle que je l'ai trouvé mais je le trouve tellement juste que je souhaite le partager
"Le bonheur ne réside pas seulement dans le plaisir mais dans le contentement de soi qu’éprouve celui qui vit des sensations (parfois pénibles) valorisantes. il implique la présence, au moins fantasmée des autres, car être content de soi c’est se reconnaître (et être reconnue au moins virtuellement) comme valeur ; or cette valorisation de soi suppose une référence en des valeurs sinon universelles au moins généralisables. La conscience humaine est réflexive (conscience de soi) et cette réflexivité implique nécessairement le jugement des autres sur soi, sinon pour le faire sien, au moins pour le contester au nom de valeurs qui ne peuvent valoir pour soi que parce qu’elles devraient valoir pour d’autres que nous imaginons à notre image et ou à l’image de Dieu (ce qui revient au même) .
Ainsi le désir humain, comme désir d’être heureux, est désir du désir des autres pour mieux se désirer soi-même ; il se décline en désir de possession et de prestige (je possède ce que tu ne possède pas et que tu désires posséder), en désir de domination ( je te possède et donc je te suis supérieur en valeur) ou en désir d’amour réciproque et, dans le meilleur des cas, égalitaire (je désire t’aimer pour être aimé, je désire ton désir de moi ; je te désire autant comme sujet de désir que comme objet de désir). L’homme égoïste ne peut être heureux car il est un déçu de la vie et cette déception a deux origines : la défaite dans compétition sociale pour le pouvoir et l’honneur (ressentiment); et la mauvaise gestion de son désir d’être dans ses relations avec le désir des autres qui lui interdit d’obtenir ce qu’il désire : le désir « autonome » d’autrui. Ce qui veut dire que le désir d’être heureux dans l’amour ou désir réciproque doit être régulé dans sa relation au désir d’autrui pour avoir quelque chance de succès ; non par une morale du devoir toujours culpabilisante et dépréciative de soi, mais par une éthique pragmatique de la joie réciproque selon une stratégie donnant/donnant et/ou gagnant/gagnant. Les autres déclinaisons du désir (possession et domination) repose sur des stratégies gagnant/perdant qui peuvent procurer le bonheur dans la certitude toujours fragile de sa supériorité instituée et reconnue socialement, donc objectivement. Mais se croire indépendant des autres est une illusion qui ne peut conduire qu’au délire paranoïaque du pouvoir absolu, retourné en délire de la persécution, ou à une solitude affective et psychologique dévalorisante et suicidaire. Ce que l’on peut désirer c’est être plus autonome dans nos projets d’autovalorisation (donc plus raisonnable dans le gestion de notre désir d’être heureux dans la reconnaissance de soi par les autres) vis-à-vis des autres dont notre désir de bonheur dépend toujours. Il ne faut pas confondre donc l’indépendance (n’être en rien dépendant des autres) et l’autonomie (accroître sa marge de manœuvre dans le relation de dépendance plus ou moins réciproque entre notre désir et celui des autres)."
en tout cas ce qu'il en ressort pour moi, c'est que l’égoïsme ne peut amener nulle part et donc le Bonheur c'est le résultat de l’échange.
bien à vous tous
Loic
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Rosée du matin, nectar sur votre visage
Le ciel est témoin, je trinque à ce breuvage
Un gai rossignol, pépie en vocalise
fredonne en mariole, le temps des cerises
Jolie fleur du mois de mai, ou fruit sauvage
Ô ma bougainvillée, égaye mon paysage
Ma dame aux camélias, ravi je vous contemple
Plus belle que Shanya, je vous dédie un temple
Plongée en rêve, ne vous découvre pas d'un fil
Mutine ma petite Eve, du fin fond de vôtre île
Un petit doigt qui monte, colline de vos deux rondes
Il n'y a pas de honte, vous n'êtes pas pudibonde
Ambiance de gazouillis, printemps réminiscent
De toute part assailli, désirs concupiscents
Voleur de baiser, je me transforme lupin
Sur votre nuque sucrée, plaisir de galopin
En vue point d'abricot, qui reste fruit défendu
Croquant une bigarreau, le temps est suspendu
Vos prunelles s'ouvrent, alors mes yeux se baissent
Le temps se couvre, bonjour charmante déesse
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A ces mots, un éclair sadique traversa fugitivement les yeux de la veuve. Et L de se dire que la jeune vierge innocente qu'elle avait été en se mariant n'a pas forcément eu la vie heureuse avec son notaire de mari. Et instinctivement, il sent qu'elle en éprouve encore un vif ressentiment vis à vis des hommes.
Confirmation immédiate avec la laisse qui soudain lui emporte le cou et le plaque tout entier contre l'opulente poitrine d'Agathe. Le tenant ainsi fermement, elle palpe sans ménagement son entrejambe, histoire de vérifier si son charme légendaire opère toujours.
Les gigolos qu'elle fréquente habituellement, avec le carnet de chèque de feu son mari, savent anticiper. L, lui, est un instant pris au dépourvu et ne déploie pour l'instant qu'une très modeste érection.
Heureusement Madame veille au grain et lâche d'une voix détachée. «Agathe, attrapez le par les seins et vous en ferez ce que vous voudrez». Une prédiction qui s'avère parfaitement exacte et provoque immédiatement une érection remarquable qu'Agathe attribue illico à son charme torride.
«Me permettrez vous, Madame, d'aller voir de plus près la petite chose un peu dure que je sens làsous ma main ?» demande t'elle.
«Bien sûr, très chère, mais rappelez vous ce que je vous ai dit tout à l'heure à l'oreille, je ne veux aucun débordement intempestif.»
La suite pourrait choquer même des âmes particulièrement averties, tant la faim sexuelle d'Agathe était impressionnante. Elle se permit sur L toutes sortes de privautés devant, et surtout derrière, avec une rudesse laissant à penser qu'elle avait elle même était fort rudoyée de ce côté là.
Et puis, un peu calmée par ces investigations, elle vint s'asseoir près de Madame et ouvrit largement ses cuisses généreuses pour écouter la langue du soumis lui conter une histoire agréable au creux du ventre. Très vite, le plaisir la transperça une fois, puis une seconde fois... et une fois encore.
Refermant les jambes, et pour éviter d'avoir à demander encore, elle se leva, salua Madame d'un large sourire et disparut dans la nuit qui avait maintenant envahi le bois de pins, la plage et la mer.
Enfin seuls
Un peu secoué par l'érotisme primaire de la veuve du notaire, L vient s'agenouiller au pied de Madame, posant sa tête sur ses genoux. Celle-ci passa son doigt dans l'anneau de son collier et le berca doucement.
Massant délicatement les tétons meurtris par les mains brutales d'Agathe, elle se préoccupa aussi de l'état de son fondement. Trois doigts d'un coup sans quasiment de préparation, ce fut (presque) un viol!
Certes, son soumis savait à quoi s'attendre lorsqu'il reçut l'ordre de retirer son pantalon. Mais le spectacle de ses couilles, baguées par des anneaux, a littéralement décuplé les ardeurs de la veuve.
Engloutissant jusqu'à la garde le membre dressé, celle-ci a pris beaucoup de plaisir à faire danser dans le même temps ses testicules déjà bien allongés par le poids du métal porté depuis quelques semaines seulement.
L sut cependant résister vaillamment à l'envie de se laisser aller et de gicler insolemment sur ce visage rougi et déformé par l'excitation. De même lorsqu'elle exhiba ses seins énormes, il se pencha respectueusement pour les têter comme elle le souhaitait.
Mais là, dans le silence et la douce sensualité qui émanent des caresses de sa Maîtresse, il sent monter un puissant désir. Poussant progressivement la tête entre les jambes de Madame, il force celles-ci à s'ouvrir et bientôt une délicieuse odeur de femme vient lui taquiner les narines.
Encore quelques centimètres et il aurait pu, sans l'obstacle de cette maudite culotte totalement inutile, promener sa langue sur la dentelle délicate du sexe de Madame.
Il sait celle-ci friande de cette caresse qui en annonçe d'autres, plus vigoureuses et déterminées. Et lui de savourer se sentir ainsi utile et dévoué à cette femme dont il apprécie la sensualité spontanée, naturelle, gourmande et sans faux semblants.
Une main ferme l'arrêta cependant dans sa progression et il comprit en levant les yeux vers elle, que Madame avait une autre idée en tête. Elle se leva et se dirigea vers le grand pin qui dominait la clairière où ils se trouvaient.
«Viens là tout de suite, et prends moi. Vous m'avez beaucoup excitée avec vos petits jeux de domination. Mais moi maintenant, je veux un sexe d'homme bien vigoureux qui m'envahisse et me donne du plaisir» dit elle en s'adossant à l'arbre et en soulevant sa jupe jusque haut sur ses cuisses.
FIN
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<Suite>
"Hhhmmmmmmmm, fait-elle en reposant le verre et posant la tête sur Son épaule.
- Fatiguée?"
Un signe de tête Lui répond, avec le sourire. Il lui rend une caresse
"Ca a été intense, murmure-t-elle
- J'ai senti ca, fait-Il en clin d'oeil".
Profitant d'un petit moment de calme aprés les sensations, Il regarde autour de Lui. L'ambiance est un peu plus chaude. Un fouet claque au loin, tandis que, face à eux, d'autres couples s'adonnent au plaisir des cordes. La Croix reste vide, mais le trapèze a trouvé un occupant. Manifestement, il va ramasser....
Elle aussi dévisage la salle, calée contre Lui, dans Son bras.
Son joyau.
Sa place est à côté de Lui, symboliquement à Ses pieds, mais certainement pas par terre, comme ce soumis qui semble trouver le sol un peu sous sous genoux.
Si elle doit être au sol, c'est forcément sur un coussin et pas piqué des vers. Un vrai coussin, moelleux, confortable.
Elle est son Joyau, le diamant à l'abri dans son écrin à la hauteur de sa valeur, écrin qu'Il ouvre à sa guise pour permettre l'admiration, l'envie, mais aucun doigt ou autre n'y touche.
Il aime qu'elle suscite l'admiration, même si sa première sensation est l'hostilité. En fin de compte, ca lui a plu que le type soit venu.... et qu'il se soit vite éclipsé. Porter un diamant se mérite. Personne n'a ce privilège.
Pas touche à l'écrin
Encore moins au Cailloux !
La femme qui les avait regardé tout particulièrement à côté de la Croix s'approche.
A la tenue vestimentaire, elle connait le milieu et sait utiliser l'esthétique du latex.
A priori, non hostile.
"Bonsoir
- Bonsoir, répondent-ils
- Vous avez passé un sacré moment, tout à l'heure
- Ho oui, répond-elle
- Vous venez souvent ici ?
- Non, c'est la première fois, répond-Il
- Je viens de temps en temps; d'habitude, je suis avec ma soumise, mais elle n'a pas pu se libérer....
- Ha :/
- Vous avez une très belle soumise
- Je vous remercie, répond-Il courtoisement, mais sentant un début d'hostilité, non sans fierté
- Aimez-vous le bondage?
- Oui, nous aimons tous les 2; vous pratiquez depuis longtemps ?
- Depuis pas mal de temps, oui. Est-ce que vous voudriez que nous jouions tous les 3 ? "
Il hésite.
Même s'Il est là et que ce serait uniquement pour des cordes, leur passion commune, Il n'est pas enchanté. Même si c'est une femme; c'est une inconnue.
Il se tourne vers sa soumise, lui murmure à l'oreille; laquelle hoche avec conditions.
Quelques instants plus tard, le trio est dans une petite pièce qui contient une sorte de grand lit en cuir et d'une chaise.
"Je vous propose de vous attacher en premier. Ma soumise pourra ainsi me voir à l'oeuvre.
- Humm, d'accord, je n'ai pas trop l'habitude
- Il suffit de fermer les yeux et de se laisser aller. J'utilise vos cordes ?
- Oui, bien sûr"
- Asseyez-vous sur la chaise"
A ces mots, Il extirpe des cordes en chanvre de son sac, ainsi qu'un autre accessoire.
L'odeur Lui plait.
Il entame un motif qu'Il connait bien; la corde serpente du buste jusqu'aux pieds. Le motif est simple, mais il a son charme; les cordes sont bien tendues, et dessine un quadrillage de carré et de losanges. Quand le dernier noeud est serré, Il se retourne vers Sa soumise
"Qu'en penses-tu ?
- Il est bien fait
- Y'a mieux, non ?
- Il suffit de s'entrainer, mais celui-la, Vous le connaissez bien, vous pouvez en faire un autre.
- Oui.... Je les réserve pour toi", se dirigeant vers elle. Puis se tournant, vers la Domina "Vous aimez?"
- Merci
- Pouvez-vous me détacher ?
- Non, pas tout de suite
- Pourquoi ?
- C'est avec ma soumise que vous voulez jouer...
- ...
- Je vous libererai après. Soyez sage, sinon .... "
Il s'éloigne en montrant le bâillon-boule qui était rangé avec les cordes.
Rejoignant sa soumise, Il retire son corset pour libérer sa poitrine.
Doucement, Il l'enferme dans ses cordes, qui serpentent de part et d'autres des seins, en dessous, les mettant en valeur.
Puis, Il ligote ensemble ses coudes dans le dos. Le brin descend jusqu'aux poignets pour les immobiliser.
Il regarde Ses oeuvres. Satisfait, Il embrasse Sa soumise sur le front et dépose une pince sur chaque téton.
"S'il vous plait
- Oui ?
- C'est trés dur de rester comme ça devant vous.... Votre soumise est trop ....
- Elle vous plait trop ?
- Heuu, oui....
- Tant pis, fait-Il en se détournant"
Prenant la tête de Sa soumise, Il l'approche de Son membre trés gonflé. Elle l’attrape aussitôt en bouche.
Ils sont restés trés excités depuis la Croix, si bien qu'Il ne peut faire durer le Plaisir qu'elle Lui offre.
"S'il vous plait ... C'est dur .... "
N'écoutant pas ces gémissements, Il couche sur le côté sa soumise afin de la prendre en possession. Son intimité est aussi mouillée qu'Il est dur et Il ne lui faut qu'un mouvement pour s'enfoncer en elle. Elle ne peut retenir un cri de plaisir et un grand frisson la parcours. La vue de Sa soumise ligotée, offerte, à Lui, explose son plaisir. Le fait qu'il y est cette lesbienne ligotée qui ne peut assouvir son désir attise sa fierté. Cela ne semble pas Le laisser indifférent. C'est un étrange mélange de plaisir et de gêne qu'une autre paire d'yeux soit là. Serait-ce une nouvelle limite qu'Il testerait et qu'Il ferait aussi tester à Sa soumise ? Pour le moment, aucun mot de sécurité n'est prononcé; Il continue, elle est déjà en plein orgasme. Il ne tarde pas à faire de même.....
Les corps s'étant détendus après de longues secondes de plaisir intense, Il détache doucement sa Douce, qui n'a toujours pas fini de voyager. Il la caresse tendrement, et l'embrasse sur le front. Enfin, Il la prend dans ses bras et la câline tout doucement....
Ils sont dans leur bulle, savourant chaque caresse, chaque câlin, chaque seconde de cet instant privilégié.
Puis, se relevant, Il demande :
" Ca va ? pas trop chaud ? "
Elle est rouge, ligotée sur sa chaise. Elle ne répond pas, le regard teinté de reproche, de frustration, d'excitation est suffisamment expressif.
"Vous ne m'en voulez pas ? Ma soumise et Moi ne nous prêtons pas.
- Vous auriez pu me le dire dés le début
- Ca a pimenté la soirée de manière imprévue, et vous avez connu une sensation qu'une soumise connait bien..., dit-il avec un sourire au coin
- Il n’empêche, fait-elle agacée, mais ne pouvant cacher l'excitation qui est montée en elle"
Le trio se sépare dans la salle. Vu le nombre de verre frais qu'elle boit et les yeux, Il se dit qu'elle n'est pas si perdante que ca au final.
Mais Il préfère se tourner vers son Diamant, assise à ses côtés, les yeux encore plein d'émotion.
Une caresse au visage, un regard puissamment amoureux entre les 2, puis, Il la prend dans Son bras, heureux, comblé....
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<Suite>
L'établissement dans lequel ils se rendent n'est pas à côté. Mais le voyage leur a paru tellement court. La joie, le bonheur, la fièvres des sensations précédentes, la perspectives des prochaines.... tous les ingrédients étaient réunis pour que le Temps passe vite...
Les portes passées, l'ambiance à l'intérieur est plus calme qu'Il ne l'avait pensée, mais ce n'est que le début, il n'est pas si tard que ca...
Prenant place sur un sofa, elle s'assied à côté de Lui, découvrant elle aussi les lieux du regard. Il repart aussitôt chercher 2 rafraichissements.
"C'est calme.... mais je ne vois pas beaucoup d'autre personnes qui ont gout au fétiche ou au BDSM, fait-Il en se rasseyant
- Ca ne va peut-être pas tarder, lui répond-elle en prenant le verre qu'Il lui tendait".
Quelques couples passent dans la salle ou discutent entre eux, des personnes isolées sirotent au bar, ou font mine de découvrir aussi les lieux.
L'ambiance est calme, timide.... Mais à y regarder de plus prés, ici, lui semble être un habitué : il est à l'aise et semble très bien connaitre ce groupe de 3 personnes.
Une domina avec son soumis, partagent eux-aussi, leur verre, discrètement. A côté, un soumis visiblement en quête de sa Maitresse; et elle, Domina ? peut-être mais seule.... A la vue du nombre de mâles seuls ce soir, elle ne devrait pas avoir à se relever souvent pour remplir le verre qu'elle est en train de terminer....
La décoration est sans prétention mais explicite : une croix de St-André, un trépied pour faire de la suspension, quelques fouets entreposé sur ce barreau..... faisant lui-même partie d'un espalier; pas loin,un trapèze défit la gravité attendant le ou la soumise prochaine; enfin, le fauteuil orné d'accroches, d'anneaux ne serait pas passé inaperçu s'il n'était caché par ce couple...
Finalement, cela ira très bien pour la suite de la soirée.
C'est même parfait.
Il a envie de tout, mais par quoi commencer ? Déjà, vider le verre... désespérément presque vide.
En face d'eux, un couple, visiblement expérimenté se lance dans une démonstration de bondage suspendu.
Prenant la main de sa soumise, Il assiste au spectacle en sa compagnie. Ce n’est pas la pratique qu'Il préfère le plus, mais cela reste un jeu de cordes, un jeu intime, personnel, très complice, de confiance, d'abandon, de possession, de tout ce qui fait qu'Ils sont unis l'un à l'autre. Pendant que les cordes serpentent autour du trépied et du corps de cette soumise, Il regarde la Sienne, se délectant aussi du spectacle.
Il est rapide pour l'encorder et les gestes sont sûrs. Il maitrise, certes, mais cela manquerait un chouilla de sensualité.
Ne perdant pas de vue ce tro dont l'un des membres ne touche plus le sol désormais, Il récupère de son sac 4 bracelets de cuir bien connus, utilisés quelques heures auparavant. Il les pose à nouveau sur Sa soumise. Encore un prétexte pour l'admirer à nouveau....
La démonstration touche à sa fin, elle a bien été ficelée et, il est vrai, c'est de l'art.
La timidité de la salle semble s'effacer et d'autres couples s'approchent du trépied, tandis qu'un autre a pris possession du fauteuil, cordes à la main.
L'envie est trés forte de se lever, mais sa timidité naturelle est diaboliquement forte, aussi.
Il finit pour la 3e fois son même verre pour se décider à emmener sa soumise et au moment où Il repose son verre...
"Bonsoir"
Un inconnu.
Pas du tout habillé en style BDSM.
Seul de toute évidence
Il la regarde avec trop d'intérêt
Hostile.
"Bonsoir, répond-Il
- Comment allez-vous ?"
- Ca va, répond-Il, fouillant dans son sac
- Vous venez souvent ici ? C'est la première fois que je vous vois
- On vient de loin
- Vous verrez, il y a de quoi faire ici
- Je n'en doute pas, le toise-t-Il aprés avoir fixé la laisse au collier de Sa soumise
- Vous savez tout ce qu'il y a ici ? demande-t-il, la regardant intensément
- On n'a pas encore fait le tour du propriétaire, mais J'irai avec elle le découvrir et
- Venez, je vous y emmène.
- J'ai tout mon temps, répond-Il fermement mais poliment"
Et montrer ostensiblement la laisse dans Sa main ne laissait entrevoir aucune ambiguïté...
Il n'aime guère ce genre d'individu qui s'imagine pote avec tout le monde.... et qui disparait aussi vite qu'il est venu sitôt qu'il a compris qu'il était de trop.
"Bonsoir"
Une inconnue
Vétue d'un ensemble noir dans les tons fétichistes
Elle les regarde tous les 2 avec un large sourire
Non hostile
"Bonsoir
- Est-ce que c'est la première fois que vous venez ici ? Voulez-vous que je vous fasse visite ?
- Avec grand plaisir, répond-il avec le sourire, cette fois."
Elle devait être une employée, ou la patronne; c'est carrément un autre charme de se faire guider par un lourdaud.
Le petit tour se termine au niveau de la Croix de St-André.
Vide.
C'est le moment.... mais cette fichue timidité....
Il la prend par les hanches, devant elle et la fait reculer contre la Croix. Puis, Ses mains remontent vers son visage et lui caressent les joues. Adossée à la Croix, Il lui dépose un baiser sur le front.
Il se tient trés prés d'elle, lui bouchant la vue sur toute la selle depuis laquelle, Il imagine, tout le monde les regarde.
Il est dans Sa bulle, avec elle. Doucement, Il saisit un poignet qu'Il monte au sommet et le fixe. Sa main prend son temps pour redescendre et, surtout, la caresser. Elle passe sur le visage et passe le relais à l'autre main qui emporte l'autre poignet vers le sommet. Elle redescend, pareil, sensuellement lentement.
Saisissant à nouveau son visage, Il lui dépose un autre baiser et, sans quitter son regard, pose un bandeau.
Prenant son temps, Ses mains descendent pour écarter les jambes et fixer les chevilles aux 2 extrémités de la Croix.
Son coeur bat la chamade; un mélange d'excitation de ce qui reste à présager, de la vue de sa soumise entravée et offerte... et de la sensation d'avoir 10.000 regarde braqués sur Lui.
Restant dans sa bulle, Il dégrafe le corset qu'Il tire vers le bas, délivrant 2 magnifiques seins.
Tandis qu'Il en saisit le téton de l'un, Sa main s'occuper coquinement de l'autre. Les frissons ne tardent pas à venir, surtout quand Il décide de titiller son sexe, déjà bien humide. Jouant de toutes ces sensibilités, Il prend possession de sa bouche avec la Sienne lui offrant un langoureux baiser qu'Il prend plaisir à faire durer.
Puis, repasse sur un téton bien durci par l'excitation, sans négliger l'autre. Ses doigts naviguent entre l'un et l'autre, faisant escale sur le sexe de temps à autre.
Elle lâche des gémissement de plus en plus prononcés, ondulant d'avantage son corps, effrontément si désirable. Dans une autre situation, Il lui aurait déjà sauté dessus. Mais dans l'immédiat, Il s'applique à jouer avec ce plaisir qui monte inexorablement, cet orgasme qui n'est plus bien loin. Mais surtout, Il joue d'elle, de son Corps offert, de cet abandon qu'elle Lui donne. Il jouit de ce moment si particulier et si puissant à la fois d'exprimer sa Domination, son Emprise. Cette sensuelle Force, cette douce torture, qui l'emmène voyager est la Sienne, rien que pour Elle, sa soumise. Le regard rivé vers sa bouche entrouverte de Plaisir, Il jongle, titillant d'avantage le téton droit, délaissant le clitoris un moment avant de revenir à pleine charge sur lui, arrachant une gracieuse et érotique ondulation de sa soumise. Quelle liberté et jouissance d'être entravée ainsi offerte à Ses doigts et à sa bouche, se laissant balloter d'un plaisir à un autre, son voyage doit être magnifique et il n'y, justement, pas de limites pour cela.
Décidé à la faire voyager la plus insensément possible et à en profiter, Il lui loge un bâillon-boule qu'Il serre fermement et reprend ses caresses. Surtout, Il s’attarde longuement sur son sexe mouillé d'excitation. Il passe ainsi la main sous sa jupe, si bien que personne ne peut voir Son intimité.
C'est voulu.
N'est pas partageur.
Mais Il sent, Il voit malgré tout du coin de l’œil que quelques personnes les regarde. Il sent de l'intérêt, de l'amusement, mais cette femme à côté semble être plus intéressée que les autres.
Qu'importe.
Il continue encore plus fermement Ses caresses; elle est proche de l'explosion, elle ondule comme ce n'est pas permis au rythme des gémissements. Elle semble vouloir s'échapper, mais le Désir lui empêcherait d'aller si loin, préférant subir cette torture que de lui échapper. Elle crie de bonheur, se lâchant grâce au bâillon et pour le plaisir de son Maitre.
Son corps ondule, elle crie, gémit, son corps est chaud de Désir, mais la jouissance ne vient pas. Il fait durer.
La récompense sera d'autant meilleure.
Doucement, Il ralentit ses caresses qui deviennent douces et sensuelles.
Elle se calme, mais haletante. Il lui remet son corset et, rapidement, la détache de la Croix. Tandis qu'Il l'embrasse à nouveau sur la bouche, Il lui retire son bandeau et la laisse reprendre ses esprits.
Il ne lui pas beaucoup de répit avant qu'Il ne lui attache les poignets par devant et qu'Il remette la laisse, la gardant bâillonnée.
C'est en se dirigeant vers le sofa qu'Il constate que quelque personnes les regardaient avec une envie certaine, ou de la curiosité coquine.
Il la fait asseoir à côté de Lui, retire son bâillon et lui tend un verre d'eau fraiche. Une pause méritée avant la suite de la soirée.....
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« Bon WE
- Bon WE »
C'était le coup de fil qui aurait pu être de trop.
De toutes manières, les emmerdes ont toujours lieu au moment de partir quand on se décide à mettre les voiles à une heure raisonnable pour file vers un WE sympa.
Le PC éteint, le bureau rang.... heuu.. remis à peu prés en ordre, le sac à dos au dos et c'est enfin la délivrance.
La nuit commence à tomber dehors, il menace de pleuvoir ; c'est d'autant plus motivant pour pédaler rapidement afin de ne pas louper le train.
A peu de choses près, c'est son quotidien .
La soirée qu'il a prévu s'annonce délicieuse, mais personne ne le sait....
Il la retrouve chez eux, seuls, autour d'un petit apéro pris à l'improviste, mais bien mérité.
Puis, prétextant d'être trempé (ce qui n'était pas totalement faux), il repose son verre.
« Je file à la douche, accompagne-moi.
- Non, fait-elle sourire aux lèvres
- Allons, tu auras droit à un massage des pieds plus tard que prévu, voir pas du tout »
Elle se lève ; ce petit cadeau qu'il lui propose est un moment agréable, de détente, de relaxation et de sensations aussi. Un petit bonheur à partager à 2 en perspective.
Mais autant offrir ce massage est un réel plaisir, autant entendre un 'non' quand il s'agit de s'offrir un moment agréable, même quand c'est dit sur le ton de la plaisanterie, est une chose à laquelle il a du mal.
L'eau ruisselle chaudement sur sa peau. Un peu bonheur, ca aussi.
Alors qu'il commençait à appliquer le savon, voilà qu'une autre main se pose sur son dos, lui provoquant un frisson. Il se laisse faire, envoûté par cette délicate tendresse. C'est un autre moment intime et complice qu'ils ont ; la soirée s’annonce meilleure que prévu. Quant à la punition qu'il avait envisagé pour corriger ce 'non', elle semble déjà bien loin.
Habitué à des douches expéditives, il laisse à ces 2 mains le temps qu'il leur faut pour caresser sa peau, passer sur toute la surface, la masser délicatement.....
Enfin, aprés de longues et agréables minutes passées sous cette eau chaude et ces mains magiques, il s'apprête à échanger les rôles.
« Je préfère un bain
- Ok, mais n'oublie pas que tu as un massage qui t'attend, fait-il avec un clin d'oeil
- Je ne vais pas l'oublier, répond-elle avec le sourire »
Dans un sens, tant mieux, ca laisse du temps pour fignoler les préparatifs... et finir ce verre d'apéro:p
Au moment où elle rentre dans la chambre, Il lui barre le chemin et prend sa tête dans ses mains.
Lui posant un baiser sur les lèvres, Il lui murmure
« Ce soir, c'est ma soumise qui est entre mes mains »
Joignant le geste à la parole, Il lui appose un bandeau sur les yeux et la fait asseoir sur le lit. Elle ne dit mot et se laisse faire quand Il pose le collier de cuir autour de son cou, qu'Il a préalablement embrassé.
Puis, Il enchaîne en fixant un bracelet de cuir à l'un de ses poignets, et habillant l'autre du même apparat. Enfin, les 2 sont rejoints au niveau du cou et attachés au collier ;
Sans un mot, Il la fait basculer sur le dos et caresse son pied.
Le massage tant attendu...
Ses 2 mains parcourent ces pieds offerts qui ne tardent pas à réagir à cet instant de plaisir. Les gémissements accompagnants leur danse de béatitude.
Entre les orteils, par dessus, puis en dessous, aucun recoin n'échappe à Son doigt, caressant toute la peau, serrant le pied ou le tendant. Le plaisir monte de cette gestuelle agréable et douce. Il monte, décrochant quelques soupirs par-ci, par-là. Un moment tout simple, mais magique. Elle est détendue, offerte à ces caresses, pratiquement déjà en train de Voyager....
Une petite escale est effectuée quand Il retire Ses mains et revenir avec un tissus léger et très fin. Ce tissus s'enroule autour de sa jambe et il monte jusqu'à la cuisse. L'autre jambe est ainsi habillée de la manière dans la foulée, mais avec la même tendresse.
Puis, un tissus tout aussi fin et agréable entoure délicatement sa taille. Il est accroché au bas par d'autres bandes de tissus
Soudain, Il s'accapare de sa bouche, plongeant délicatement mais fermement Sa langue plonge entre ses lèvres pour les déguster, tranquillement. Quand Il se retire après ce long baiser, c'est pour être remplacé par une boule serrée fortement par des lanières.
Lui caressant encore la joue après l'avoir ainsi bâillonnée, Il continue d'habiller sa soumise en sublimant ses pieds, fraîchement massés, par une petite paire de talons hauts. D’après ses sensations, ce serait la première paire qu'elle ait reçu de Lui en cadeau.
Sa main caresse à nouveau ses pieds, délicieusement enfermés, et remonte le long de cette jambe, passe rapidement à côté du Puit des Désirs et Plaisirs et s'arrête sur un de ses seins.
Il prend le temps de le savourer, titillant ce téton qui durcit plus vite qu'il ne le faut, le massant, puis passant à l'autre sein pour lui offrir le même plaisir.
Puis, après lui avoir détaché les mains, Il lui ordonne de lever les bras.
Un corset descend le long de ses bras, enfermant tout son buste.
Un autre moment qu'Il affectionne, c'est quand Il sert ce corset.... Cette prison de séduction, à la fois glamour et classe est aussi la même marque d'appartenance quand Il lui attache son collier. Se hâtant, les ficelles se resserrent en un beau nœud, sublimant ce Corps de sa soumise. Encore différent des cordes qu'ils affectionnent, ce corset est la touche glamour de sa Fierté.
Quand il eut finit de l'habiller, Il lui retire son bâillon pour offrir son sexe très dur. Pendant qu'elle le prend en bouche délicatement, Il lui dit :
« Nous allons en soirée après. Un peu de route à faire et nous pourrons jouer avec les cordes et tester un peu de mobilier ...»
Elle s'applique.
« Voir du monde du milieu sera excellent »
Elle déguste Sa queue.
« Tu vas être magnifique, ma soumise. »
Sa langue parcourt avec gourmandise tout le long de Son sexe
« Des cordes, le martinet, la cravache. J'espère qu'il y aura un fouet comme l'autre fois. Tu avais été exceptionnelle ce soir-là. J'en ai encore des frissons »
Sa queue est un délice qu'elle engloutit
« On part quand je me serai bien occupé de toi »
A ces mots, Il lui remet le bâillon en bouche et, écartant ses jambes
« Tu vas pouvoir crier. Maintenant comme tout à l'heure ! »
Sa queue plonge aussitôt dans son sexe bien trempé, provoquant un torrent de gémissements de plus en plus fort à mesure qu'Il prend possession d'elle.
Les allers-retour sont forts et rapides. Il se saisit de sa jambe droite qu'Il pose sur son épaule déclenchant illico des longs cris étouffés de plaisir. Des plaintes de bonheur s'élèvent au rythmes des spasmes et des coups de butoir. Il ne lui laisse aucun répit pendant cette torture de Bonheur. Les sensation les submergent, contrastant avec la tendresse des autres instants, c'est tout une exquise brutalité qui les unit, dans cette pièce embaumée par une forte agréable odeur de sexe.
Le moment de l'extase arrive très vite, se délivrant de tous ces jets brûlants d'amour en elle.
Revenant peu à peu à Lui, Il se retire et délivre sa soumise pour la laisser, elle aussi, récupérer.
« Tu as bien voyagé ?
- Ouiiiiiiii, murmure-elle
- Ce n'est que le début, fait-il ».
Le gémissement de plaisir est sa seule réponse avec ce doux sourire de bonheur qu'elle porte aux lèvres. Tout en savourant ce moment, elle sent qu'Il termine de l'habiller avec une longue jupe noire.
Il la regarde ; Il ne se lasse pas d'admirer son Amour, sa Fierté, magnifique. Il se prépare lui aussi après avoir enchaîné à nouveau sa soumise, juste pour le plaisir de la voir ainsi séquestrée, pour Lui.
Il prend son temps, déposant par moment un baiser ci et là, et la délivre à la fin.
Bras dessus et dessous, ils partent pour cette soirée, continuant cette nuit d'exception, qui est une autre histoire à suivre ….
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«Ambre, ohooo Ambre!!!» entend t'elle soudain dans son dos. Et de voir se mettre à presser le pas pour les rattraper, une de ses connaissances bretonnes, veuve du regretté notaire de son village.
Cette rencontre la dérange, et elle lit le même sentiment dans les yeux de son soumis, mais ne lui déplait pas complètement. Elle a parfois perçu un certain sentiment de supériorité dans le comportement de celle qui approche et qui porte manteau de fourrure en hiver et collier de perles toute l'année. Voici peut-être une belle occasion est de remettre aujourd'hui les choses à leur place.
«Bonjour Agathe, vous voilà bien loin de chez vous, que venez vous donc chercher ici?» demande t'elle tout à trac, un brin de malice dans la voix.
Les joues brutalement rougies d'un fard monstrueux témoignant que la question a fait mouche, la veuve du notaire reste sans voix pendant un court moment. Avant de s'inventer une vieille cousine en fin de vie, à visiter d'urgence au Couedic.
«Moi, j'aime cet endroit» lui répond Madame, en ajoutant «… on y sent l'odeur du large, la puissance de la nature et on y fait aussi de belles rencontres masculines».
Second fard d'envergure chez Agathe, qui regarde maintenant l'homme resté silencieux avec un intérêt nouveau. Elle remarque immédiatement le collier qu'il porte au cou et cela semble d'un seul coup l'intéresser énormément.
Ainsi donc cette petite Madame un peu sauvage et réservée, au rire franc et communicatif, serait elle finalement plus délurée et entreprenante qu'elle ne le montre. Se serait elle totalement trompé sur son compte en la rangeant dans la catégorie des célibataires indécrottables et frustrées!
Madame jubile et lit à livre ouvert tous les sentiments qui se succèdent sur le visage d'Agathe. Et elle décide de pousser cruellement son avantage et dit en la tutoyant: «Je te présente L, l'un de mes plus fidèles soumis. Il est très obéissant et commence enfin à savoir me donner du plaisir comme j'aime ».
Troisième fard d'affilée chez la veuve, totalement désarçonnée par cette franchise imprévue et insolente. Et d'encaisser dans la foulée l'estocade finale, lorsque Madame la prend par le bras et lui propose de les accompagner jusqu'à l'extrémité de la plage maintenant toute proche. «Pourquoi pas!» murmure une petite voix brisée, ayant dorénavant perdu toute suffisance mal placée.
Plongeant alors la main dans la seconde poche du blouson de Laurenzo, Madame en sort la laisse qu'elle fixe à son collier et dont elle dépose l'autre extrémité entre les mains d'Agathe. Celle-ci n'ose pas refuser et voici marchant sur la plage, cet étrange équipage de deux femmes se tenant bras dessus bras dessous, suivies de près par un homme tenu en laisse.
«Ton dernier homme, c'était il y a combien de temps?» demande Madame à sa nouvelle amie, dont elle sent qu'elle lui obéira maintenant au doigt et à l'oeil sans discuter. Agathe manque s'étrangler en entendant la question et aucun mot cohérent ne parvient à sortir de sa bouche.
Madame sourit de son embarras, puis accentue la pression sur son bras, lui faisant comprendre qu'elle veut bien la garder encore un peu auprès d'elle et lui faire un petit cadeau.
Dans le bois de pins
Quoique silencieux, L est lui aussi un peu déstabilisé par la tournure que prennent les événements. Il avait prévu d'être seul au service de sa Maitresse et le voici maintenant obligé de supporter la compagnie de cette greluche.
Dans ses rêves secrets, il a certes déjà imaginer que sa Maîtresse puisse un jour lui imposer de prendre soin de l'une de ses amies. Il était d'ailleurs fort excité l'autre jour lorsque celle-ci a bien voulu lui présenter une voisine, son collier de soumis porté bien en évidence. Et cela s'est produit de nouveau lorsqu'elle est venue en fin de journée prendre l'apéritif avec son mari.
Mais cette fois l'affaire est sérieuse et le profil anguleux, plutôt revêche et suffisant, qu'il voit devant lui ne le séduit pas vraiment et le laisse sexuellement totalement indifférent. De plus, la façon dont sa laisse se tend parfois de manière subite lui laisse à penser que la veuve reprend des couleurs et de l'assurance et qu'elle va bientôt devenir redoutable. Seul le popotin gigantesque qui chaloupe là devant lui, trouve grâce à ses yeus et il s'imagine un instant partir à sa découverte, explorer hauts sommets et ses vallées secrètes, humer ses parfums délicats et subtils.
Souriante et détendue, Madame a parfaitement senti ce qui se tramait et lance: «Ma chère Agathe, que diriez vous de faire un peu plus connaissance avec mon soumis préféré?» Et sans attendre la réponse, elle fait signe à L de se tourner vers elle puis frôle d'une paume légère ses tétons qui pointent à travers le tissu de sa chemise.
La réaction est immédiate et le bassin du soumis se porte spontanément en avant. Et les deux femmes entendent distinctement un petit tintement métallique. «A vous ma chère, jouez donc un peu avec cet homme sensible et délicat,plein de ressources cachées» dit elle en s'asseyant sur un tronc d'arbre couché pour regarder la scène.
A SUIVRE
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Le fouet clac
A genoux devant son MaÏtre
Le maître lui pose doucement la cagoule
Les poignets menottés
L'attache à leur arbre.
Le fouet clac.
Dévêtue elle est là..
Ses fermes fesses offertes.
Reins cambré
Le fouet clac.
Sans plus voir,
Les sens ouverts
L'ouïe à l'extrême
L’odorat en éveille
Elle cherche le Maître
Son Maître.
Le fouet clac
L'herbe se froisse
Les feuilles
les branches craquent
Sous les pas du Maître
Le fouet clac
Les mains du Maître se posent,
Sur ses reins,
Ses fesses ferme et craintive
pour " une fessée " pense t elle..!
Le fouet clac.
Attentif au frémissement
Le Maître fait silence
Le vent vient caresser ses reins
Comme il fait frissonner les feuilles
Le corps de soumise ce cabre
Le fouet clac
L'embout mord la peau
Effleure les chaires
Embrasse les fesses
En de vif mouvement
du poignet du Maître
Le fouet clac
Rougie la blanche peau
Les gémissements sont doux
N'expriment que le plaisir qui naît
La jouissance monte
Et remplace que qui fut morsures
En une douce douleur
Le fouet clac
Le Maître attentif, écoute,
Les petits râles
Les petits gémissements
Les petites suppliques
De jouissance qui sortent
Du fond corps de soumise
Le fouet clac
La peur
La crainte
L'angoisse
Remplacés pas le désir
Le corps ce cabre
Se tend vers le fouet
Cherche et attend ce dernier
Avec désirs
Avec envie.
Le fouet clac
Maître de son poignet
Maîtrise son fouet
Pour le faire aimer
Soumise à découvert
Comment vaincre ses peurs
Le fouet clac
Né maintenant la confiance
En son Maître
Le fouet se tait
Les mains entour
Les belles fesses rondes
Rougie, rosie
Un doux et ferme massage
Repartie la chaleur
Les rougeurs
Le membre du Maître se pose
Sur la fente humide
Les Mains du Maître
S’accrochent aux hanches de Soumise
Le Maître tire fortement
Soumise à LUI
Et s'enfonce dans les Abysses
Chaudes et trempés de Soumise
Le Maître possède Soumise maintenant
Longue est la saillie
Le Maître ensemence Soumise
Le Maître est satisfait
Soumise libéré
viens ce blottir contre son Maître
Le corps tremblant
De plaisir du solde de sa jouissance
Le Maître s'inquiète de la douleur
Soumise le rassure de son plaisir reçu
le maître tendre calme la jouissance de soumise
le fouet est rangé il sommeil maintenant.
Première séance de fouet de ma soumise en foret .
Maître-C78
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Quand il me demande de le toucher, de le faire durcir, de procéder comme une putain, il devient client et je suis à son service. Oui mais...
J'aime griffer le tissu un peu rêche du jean, entendre le crissement de mes doigts, de mes ongles, c'est un bruit qui agace les nerfs, c'est ma condition de femelle.
Puis détacher la ceinture, la faire glisser, descendre la fermeture éclair, doucement, en le regardant dans les yeux. Ecouter le son flûté du zip, en caressant l'air de rien. Le regarder avec nonchalance, indolence, provocation. Se mordre les lèvres et saliver, en saisissant son pénis, encore un peu engourdi ou à l'inverse largement déployé. L'enserrer délicatement, et longer la ligne directrice jusqu'au gland qui palpite doucement dans la main. Appuyer un peu sur le frein et juger de l'effet produit. Enduire de salive, au besoin cracher et lisant le plaisir jubilatoire dans son regard. Et commencer à aller et venir, tranquillement, effrontément ou docilement, c'est selon. Se retenir d'y porter la bouche et poursuivre en accélérant. Humidifer à nouveau, en approchant son visage de l'objet convoité. Faire mine de... Mais non. Reprendre l'activité manuelle avec un regard en coin. S'opérant un changement insidieux: la sensation de prendre le pouvoir sur lui, de maîtriser son plaisir, de jouer avec lui. Inversion des rôles. Se sentir plus garce que putain. Il le sent, il le sait, il le lit dans mon regard;les représailles viendront en leur temps. L'astiquer jusqu'à le faire gicler entre les doigts, avec un dernier massage pour calmer les soubresauts, lui offrir ce dernier plaisir lentement prodigué, le garder au chaud dans la main refermée. Savourer cette ambivalence du plaisir qui se prolonge, du plaisir qui se termine, de cette prise de pouvoir inopinée et assumée mais qui risque de provoquer un retour de bâton cuisant...
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C'est sur une longue plage de sable fin, qu'elle lui a donné rendez vous.
Il est encore un peu tôt en saison pour y surprendre là comme en plein été, sous le couvert des grands pins bordant le littoral, des couples en pleine copulation ou des mâles souvent agés, désoeuvrés et en rut. Mais retrouver cet endroit qu'elle affectionne après la longueur froide et humide de l'hiver la met en joie et fait aussi remonter dans sa mémoire des moments intenses et fort agréables.
L'été prochain, à n'en pas douter, elle étendra à nouveau sa serviette sur la dune et se libérera de tous ses vêtements. Sa peau blanche attirera les rayons du soleil et il lui faudra d'ailleurs veiller à ne pas oublier de la protéger. Elle attirera aussi les regards et certains mâles n'hésiteront pas à dire en silence et par gestes leur désir pressant pour ses rondeurs délicates. Et il grandira certainement encore lorsqu'elle s'allongera sur le sable, écartant ses cuisses généreuses juste ce qu'il faut.
Du côté des femmes présentes sur la plage, certaines prendront un air courroucé, jetant un oeil inquiet vers leur compagnon et la direction de son regard. D'autres trouveront la scène amusante, se demandant lequel de ces hommes osera le premier s'approcher d'elle et tenter sa chance.
Sur sa serviette, Madame jubile de la situation et sent déjà une étrange chaleur l'envahir. Peut-être le soleil y est-il pour quelque chose, mais elle connaît bien le langage de son corps et sait que ce sont rudesses et caresses qu'il réclame. A la fois soumise et dominante, elle navigue avec bonheur entre ces deux rives. Le spectacle d'un homme soumis à ses pieds la ravit, tout comme la voix autoritaire d'un Maître qui lui demande de montrer son cul en tenant ses fesses écartées pour une inspection détaillée.
Elle aime donner et recevoir, caresser et punir, avec un même plaisir. Son ventre, ses sens, sa tête réclament tout à la fois. Parfois le rôle de la domina qui doit inventer pour deux l'agace et l'épuise. Et elle trouve alors dans la soumission qu'elle accorde à quelques uns, le calme et la paix intérieure auxquels elle aspire.
Mais Madame est d'abord et avant tout une gourmande de la vie, qui aime les hommages vigoureux et endurants. Aujourd'hui elle est cependant un peu inquiète. Dans quel état va t'elle trouver l'homme qu'elle attend! Outre le fait qu'il n'est plus tout à fait le jeune étalon fougueux que ses sens réclament, elle se demande si leur complicité d'hier saura trouver de nouvelles façons de s'affranchir de ses problèmes de santé actuels.
Sur la plage, le vent est tombé. On devine dans le lointain la silhouette d'un petit groupe de personnes qui avance vers la Turballe. Le temps paraît comme suspendu, tout est calme et reposé. Et Madame est heureuse de tout cela.
Une douce chaleur
Plongée dans ses pensées, elle sursaute presque lorsque la main amie attendue se pose sur son épaule. Sans se retourner, elle cambre légèrement les fesses et se plaque doucement contre lui. Pendant de longues minutes, ils vont rester ainsi, silencieux et pensifs devant le spectacle immuable de cet océan en perpétuelle activité. Calant son rythme sur le mouvement régulier des vagues qui explosent en écume devant elle, Madame sent vite s'éveiller contre ses fesses la raideur plaisante d'un membre masculin. Poursuivant son manège, elle y imprime parfois un mouvement plus vif vers l'arrière qui, manifestement, ne laisse pas indifférent.
Et puis, toujours sans un mot, elle glisse une main dans la poche du blouson de son visiteur du soir et en sort un joli collier de cuir noir. Se retournant alors, elle lui sourit, caresse furtivement sa poitrine dont la dureté des tétons déjà fort excités la surprend, puis fixe autour de son cou ce symbole élégant d'une soumission consentie.
Entre ses jambes, une douce chaleur commence à se faire sentir. La voilà totalement rassurée pour la suite de la soirée, l'homme debout devant elle est là pour la servir et sa virilité est bien au rendez vous pour la satisfaire de toutes les façons possibles. Dans l'autre poche du blouson, elle sait la présence d'une laisse dont elle décide de repousser l'usage à plus tard.
La fraîcheur du soir commence à se faire sentir et, toujours sans un mot, ils marchent maintenant vers le couvert protecteur de la forêt de pins bordant la plage. Souvent déjà, elle y a attiré des hommes rencontrés sur la plage pour une étreinte sauvage et rapide. Et aujourd'hui encore, elle est heureuse de s'y rendre, savourant par avance les délicieuses attentions dont elle va être l'objet.
Elle est aussi très curieuse de prendre la mesure de la soumission croissante dans laquelle s'est engagée son visiteur. Elle sait déjà qu'il a en permanence entre les jambes une belle et large bague d'argent massif, mis en place en signe d'appartenance. Et elle veut aussi savoir à quoi ressemble le lourd et massif anneau d'acier qu'il porte également depuis quelques semaines et quels en sont les premiers effets.
Sentir battre contre ses fesses, les couilles du mâle qui la prend est agréable et plaisant. Les sentir plus longues et lourdement lestées doit certainement provoquer de nouvelles sensations, fort intéressantes à tester.
A SUIVRE
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Il a été convenu comme rendez-vous 18h00...Vous êtes à l'heure et comme indiqué Votre paquetage au dos …. J' aurais pensé à un sac tout simple presque un sac en toile épais façon père noel mais mon idée de départ était erronée, une simple petite valise portative !
Vous sonnez et entrez, je Vous fait visiter mon petit chez moi , mon petit nid douillet.
On s'installe au salon où on discute un moment de diverses choses, de ce qu'on a déjà discuter, de nos échanges, ceci autour d'une bière …. ( Légère et avec modération pour ce qui sera de la suite )... Vous me demandez ce que sera le programme de la soirée et je Vous répond simplement que c'est a Vous de le programmer … ( Il est vrai que c'est facile pour moi de dire cela et de Vous laisser le choix des jeux de la soirée à ce moment là et j'en profite ) ......
Vous sortez Vos cordes, me les montrez, m'expliquer en quoi elles sont faîtes , la taille et pourquoi.... Puis Vous vous approchez et me montrez sur mon poignet la différence qu'il y a entre le « bondage » et le « shibari ». Tout cela en continuant de discuter. Ma curiosité est bien présente, un simple encordage de poignet et j'ai déjà appris beaucoup en peu de temps....
Puis les choses sérieuses commencent, Vous me demandez d'enlever ma tenue et de me mettre en petite tenue. Ce que je fait presque aussi simplement que si j'avais été seule chez moi.
A la différence que vous me demandez d'enlever aussi les bas et là j'ai pensé « mince» moi qui avait mis de joli bas violet qui irait bien avec la couleur de Vos cordes.. Effet raté !
Je me retrouve ainsi devant Vous nue, ou presque juste ma culotte qui fait office de tissu...
Vous me demandé de venir me mettre a genou dos à Vous et c'est à cet instant que Vous prenez le pouvoir et que je découvre ce qu'est le kinbaku.
Vous Venez derrière moi et me mettez les mains dans le dos et Vous les attachées. Vous me bandez les yeux …..... Puis..... Les cordes vont allées et venir sur moi en long en large en travers. Vos cordes vont me pénétrées , vont m'éffleurées, me caressées, me touchées, m'enlacées, me contraindre. Vous prenez possession de mon corps, avec vos mains, Vos pensées, Vos cordes, Vos jambes qui suivent Vos envies, Vos pulsions , Votre fermeté....... C'est parfois tendre, et sensuel et parfois durs , vifs. Vous me repoussez comme vous m'attirez à Vous par les cheveux . Vous jouez avec les cordes sur mes seins, mes tétons ou laisser couler les cordes le long du corps ou parfois venant donné une tape sur une cuisse..... De Vos mains Vous parcourez mon corps, l'effleurant, le touchant, caressant mon intimité, me demandant mon accord pour y mettre vos mains.....Mes appréhensions du début s'efface laissant place a un plaisir montant et une envie de se laisser aller. Je ne peux plus bougée certaines parties de mon corps et je Vous laisse le choix des positions et des sensations..
Ne voyant rien , mon ouïe prend vite le relais et Votre respiration, Vos gestes, Vos caresses me font décuplées mes envies.... Je ressent les cordes et je me sent contrainte, totalement à votre merci mais avec une sérénité béante. J'aime... Je découvre mais quel plaisir... Quelle sensation de ressentir les cordes sur son corps , votre contact...
Mais vous me libérée en me gardant prêt de Vous dans Vos bras.....
Vous rangez vos cordes , les laissant à proximité. Avec une des cordes , Vous confectionnées une sorte de tresse qui ressemble à un collier..... Vous me demandez si je veux manger en étant soumise ou libre..... Une partie de moi dit libre, l'autre partie me dit soumise et je Vous réponds soumise.
J'apporte l'en-cas dînatoire et je me met en soumise a genou à vos côtés.. Je pensais ne vivre qu'une soirée « cordes » et je me retrouve à genou ainsi à ma place. Je vous ai accordé ce « pouvoir»... La corde en forme de collier/laisse à mon cou. J'aime cela , j'aime me sentir ainsi vêtue. J'aime aussi ce que Vous en avez fait, me promenant avec, en me faisant manger dans Vos mains ..me demandant d'aller chercher Vos cordes et de Vous les ramener comme une chienne...de garder la laisse en bouche... De rester à quatre patte pendant que Vous me fessier.. de punir quand j'oubliais les ponctuations, Vos ponctuations. Vous m'avez posé des pinces sur les tétons, pinces que je ne connaissait pas , que je n'avais jamais eu posé et bien plus mordantes que celles que j'ai connue et j'avoue n'avoir pas tenue longtemps... M'ayant déjà bien titillé, sensibilité accrue , j'aurais aimé les gardées plus longtemps et j'espère que je serais plus endurante sur ce point au fur et a mesure....
J'aime les marques que vous avez laissé sur mes fesses.....J'aime que Vous m'ayez laisser lécher vos mains.... J'aime avoir été cette petite chienne à Vos pieds, obéissante....
Vous m'avez libéré, rendue ma liberté. De soumise je repasse à libre. Vous nous accordez une pause et on discute un peu avant de me dire alors que fait on et je vous ai répondu: « des cordes Monsieur »....
Je crois avoir à ce moment parlé de photos et Vous avec malgré une grand envie de kinbaku laissé ma petite envie venir à Vous. Installée sur le canapé, vous m'avez plié le mollet de la jambe gauche sur la cuisse et avez commencé ainsi le « shibari »...Puis la jambe droite accroché au canapé différemment et immobilisée. Les bras joints accrochées autrement en hauteur, le torse légèrement en travers.... Les yeux bandés , je vous ai laissé m'encorder en pensant au résultat final avec un réel plaisir de voir le travail final et de pouvoir le contempler par la suite. De pouvoir garder pour moi ou de poster ou que Vous puissiez le poster. J'aime cette idée car j'aime ce que vous faîte, j'aime savoir que les cordes feront parties de mon univers, parties prenantes de ma soumission ou pas mais j'aime les sensations ressenties, j'aime aussi laisser une trace.. J'aime sentir la forme de la corde sur la peau quand on enlève, ses marques comme un tatouage.. Je prend autant de plaisir à me laisser encorder que de Vous voir encorder, de voir Vos gestes sûr et ferme. Cela me donne envie de découvrir toutes les possibilités, de trouver tout un tas de lieu , les plus insolites parfois ou pas ou les cordes peuvent s'exprimer, ou votre ( ou mon) imagination peuvent vivre.
J'ai aussi envie de montrer le résultat pour aussi montrer que oui une fille « ronde » peut être belle aussi dans des cordes même si elle a des formes, des cuisses, des bourrelets et que même si parfois ce n'est pas forcement très esthétiques, elle peut être bien dans des cordes et aimer le faire voir....
Les photos prises, Vous avez doucement ou vivement défait ce qui venait juste d'être fait ne laissant à la fin que les mains liées et c'est a cet instant que votre pouvoir a repris le dessus et place au « Kinbaku »...Vous m'avez tirez au sol à Vous et avez repris naturellement Votre place....
Les yeux bandés toujours...... Vous m'avez contrainte et dominé de belles façons par Vos cordes. Douleurs des contraintes , vite effacées part votre présence omniprésence, par Vos gestes, Vos paroles, Vos mains baladeuses et Vos envies.... Vous m'avez attachées de différentes manières mais vives, fermes et possessives. J'étais Votre par Vos cordes..
Vous m'avez détaché , amenez à Vous pris dans Vos bras et vous m'avez serrées contre Vous..... Vos mains venant caressée mon intimité....Pris mes mains et vous l'avez demandé de me laisser aller tout en me caressant les seins, le ventre. Vous m'avez accordé ce plaisir et le plaisir de lécher ma jouissance........
Nous sommes rester ainsi un long moment vous assis par terre et moi allongée sur Vos jambes a simplement parlé et juste apprécier le moment présent....
Je ne pensait pas ressentir autant de sensations avec les cordes.. C'est une confirmation pour moi et je sais déjà que les cordes feront parties de ma vie, et de ma soumission ou les deux et que je ne pourrais plus m'en passer. Et ceci je Vous le doit , Monsieur..
Ce « Vous » qui est pour Vous Monsieur . Je n'en oublie pas pour autant cette ponctuation tout au long de mes ressentis ( dans ma tête il y est ) juste que par esthétisme , j'ai opté pour cette façon.. Mais je n'oubli pas que ce « Vous » qui est a lui seul la ponctuation tout le long.
Vous avez raison , Monsieur, je vais être surement accro, une droguée des cordes.
J'espère pouvoir , vivre, être encordées, exprimée mes ressentis par cette forme le plus souvent possible... Je n'ai qu'une chose à dire:
Merci Monsieur et …. Puis je dire ENCORE, c'est quand et où Vous voulez
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Ayant etendu et reconnu sa voiture se garer dans l'allée, je me leve et ouvre la porte.
le laisse la passer, assez pour la refermée sans delicatesse, elle claque...
ma main se pose sur son torse et d'un geste sure, le plaque a la porte
le coincant de mon corps, ma cuisse entre ses jambes, desinvolte,
envahissant son espace securitaire, se pressionne sur son intimité,
pendant que mon doigt posé sur sa bouche comme pour le faire taire,
mes levres s'approche des siennes, se posant presque sur mon doigts,
mumurant d'une voix aussi douce que sure - es tu pret...a subir mon abandon? -
mon autre main glissant le long de son torse
- es tu pret... a devenir mon objet de plaisir -
defaisant son bouton sans enlever sa ceinture - autant tu feras de moi ta chose...-
ouvrant sa braguette - a me voir Chienne...- appuyant le mots tout en sortant son sexe
- repondant a l'appel du loup - glisse le bout de ma langue sur toute
la longueur de mon doigt - interdit de te deshabiller plus que ca. -
retire mon doigts de sa bouche mes yeux fixer dans les siens,
mes mains se glissent le long de ses bras, tandis que mes levres se glissent
sur les siennes avec douceur, mes mains atteignant ses poignets,
se referment sur eux et les plaque contre le mur de chaque cotés de son corps,
ne lachant pas son regard, mes levres quittent les siennes, depose un baisers sur son menton,
tout mon etre s'accroupissant face à lui, ne lachant pas ses poignets,
ouvre ma bouche juste assez pour emprisonné entre mes levres son sexe encore endormi,
le caresse de ma bouche sensuellement, doucement, contrastant avec mes doigts
qui se resserre sur ses poignets... son sexe grossissant dans ma bouche au fur
et a mesure de mes caresses, mon excitation ayant ete alimenter par cette adoration
de sentir son sexe se reveiller dans ma bouche...
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la soumise dessin sado maso sur mesure et commandé pour illustré un texte sur un blog érotique isa les mains attachées doit faire jouir dans sa bouche le plus d’homme possible en un temps très court sinon elle subira les tortures les plus hard elle s’applique suce goulûment lèche enfonce le membre tout entier au plus profond de sa gorge fait des va et vient de plus en plus rapide exerce une pression forte avec sa bouche ses lèvres et sa langue tout en poussant des gémissements de plaisir pour exciter le plus possible l’homme qui voit cette soumise attaché et nu s’acharner savamment sur son sexe isa fait tout pour que le sexe éjacule au plus vite dans sa bouche pour une fois remplis et débordant de sperm elle puisse aussitôt sucer sans reprendre son souffle une autre bite avec la même vigueur isa a vu les installations de torture qui on été préparés pour elle , on lui a expliqué en détail ce qu’elle subira suite à son échec et notamment ce gros pal dresse d’un mètre cinquante de haut huit de large qui l’attend et sur lequel on a bien l’intention de l’empaler par son cul . une fois sur ce pieux ou elle ne pourra absolument pas bouger de peur de voir le pal s’enfoncer d’avantage pour subir d’autres sévices . c’est pour dire à quel point elle est motivée pour sucée de nombreuses queues elle y arrivera et aura sucer trente hommes en une heure fatiguée et son corps luisant de sueur et de sperm qui aura coulé de sa bouche à ses seins pour atteindre son sexe pour voir et savoir plus sur mes dessins érotiques http://dessindenu.onlc.fr/
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Blond et lisse, de bois façonné, jusqu'au détail du gland qui fait comme un renflement en son extrémité... son gabarit effraie autant qu'il attire l'oeil luisant, la bouche salivante. Sera-t-il plutôt une punition ou une récompense? Apportera-t-il plutôt du plaisir ou de la douleur ? L'eau à la bouche, le regard plein de convoitise, je l'ai entrevu une fois et depuis, il revient cerner mes pensées de temps en temps. Comme une obsession en demi teintes, un rêve éveillé, un fantasme long et dur, glissant dans un orifice comme un puits sans fonds. Le toucher des doigts, appliquer ma langue sur ce membre sculpté, prier cette divinité à genou, cuisses ouvertes, sexe béant, anus palpitant devant cet objet tendu qui appuiera un jour sur cette entrée ourlée, lisse, veloutée pour l'accueillir avec un suave soupir au fond de mon ventre. Distendue, écartelée devant ce sexe d'apparat, ce sexe de substitution, ce sexe indicible...
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Les deux jolis mamelons aux larges auréoles framboise jaillissant hors de leur prison firent sourire Ambre qui entrepris ensuite de réclamer à sa propriétaire de petits mouvements de la tête, des mains et des jambes.
Totalement rassurée par cet examen rapide, elle dit à voix haute qu'il n'y avait plus là matière à inquiétude et qu'après une bonne nuit de sommeil tout serait oublié, mises à part quelques ecchymoses et courbatures. Et elle proposa même à la jeune femme, en tournant les talons, de les soulager dans les jours à venir par quelques uns de ses massages magiques.
Un peu plus loin dans le fossé, un grand panier d'osier laissait dépasser la tête d'un jard splendide. Mais le volatile ne bougeait plus et sa tête faisait un angle bien étrange avec le reste de son corps. Il n'avait pas eu la même chance que sa maîtresse!
Un peu troublée par ce joli corps féminin entraperçu, et fatiguée aussi par sa journée de travail, Ambre installa dans sa cour un grand baquet d'eau fraîche et n'eut pas la patience d'attendre longtemps qu'elle réchauffe au soleil pour se mettre nue et y plonger toute entière.
Une lourde chaine entre les jambes
Ses ablutions furent vite expédiées et elle s'allongea bientôt avec délice sur sa confortable fourrure de massage devant l'âtre où crépitait un feu vif, avide d'un sommeil réparateur et pressée aussi de retrouver en songe les bras puissants de son forgeron préféré.
Mais à l'instant même où il se décidait enfin à l'entreprendre en la prenant aux hanches pour une pénétration qui s'annonçait bien vigoureuse, il lui sembla vaguement qu'on toquait à la porte. Un moment, elle crut avoir mal entendu, mais le heurtoir reprit du service et elle se leva en maugréant.
Passant une pelisse de renard sur ses épaules nues, elle entrouvrit prudemment la porte. Là, se tenait un homme, manifestement confus de la réveiller à cette heure tardive. Vêtu d'une longue cape de laine et portant bâton de marche, il dissimulait sous un chapeau de feutre un visage marqué par la fatigue.
Totalement immobile mais nullement menaçant, il semblait attendre qu'elle décide pour lui. Accepterait-elle de l'héberger pour la nuit ou bien le repousserait elle dans la solitude du soir! En fait, il s'en remettait totalement à son esprit de décision et aussi à sa bonne étoile.
Elle sourit intérieurement à cette vue et se dit que décidément ses amies les étoiles avaient bon goût et lui envoyaient justement l'aide qu'elle espérait.
Sans mot dire, elle s'effaça pour le laisser entrer et le fit asseoir. Remarquant au passage de discrets cliquetis métalliques, elle ne fit aucune remarque et lui proposa un morceau de fromage, un quignon de pain et un gobelet de vin rouge.
Le regardant attentivement pendant qu'il mastiquait avec lenteur ce dîner bienvenu, elle remarqua qu'il gardait sa grande cape ostensiblement fermée, malgré la chaleur régnant dans la pièce. Instinctivement, son tempérament de maîtresse femme lui commanda d'en savoir plus.
S'approchant de lui, elle écarta doucement les pans de laine et découvrit un homme arborant une tenue paysanne, mais partiellement nu, une lourde chaîne pendant entre ses jambes. A ses poignets, des marques profondes témoignaient clairement d'une mise aux fers sévère et prolongée.
Poursuivant avec calme ses investigations, Ambre s'agenouilla devant son visiteur du soir et examina avec attention la chaîne qui lui battait les chevilles. Le dernier maillon était difforme, tordu, manifestement cassé par des efforts musculaires frénétiques et répétés. L'autre extrémité avait été forgée de façon à venir enserrer les testicules du prisonnier.
Elle frissonna en imaginant le terrible coup de marteau qui avait aplati la pièce métallique pour la maintenir définitivement en place, sans toutefois causer le moindre dommage aux parties génitales du prisonnier. Manifestement il y avait là un vrai savoir faire de la part d'un bourreau très habile!
En ces temps reculés, les châtiments pratiqués par les celtes étaient laissés à la discrétion des offensés et pouvaient s'avérer d'une rare cruauté, à l'égal des terribles pratiques chinoises. En outre, le lien entre faute et châtiment était souvent direct et l'on était souvent puni par où on avait pêché.
Quelques siècles plus tard, la promulgation de la première version de la loi salique (IVe ap JC) imposera une modification de ces pratiques en portant dans la sphère publique la prononciation des peines par un représentant du roi. Et cela sur la base d'un inventaire précis de tous les dommages pouvant être causé (meurtre, mutilation, vol…). Exit donc les fantaisies terrifiantes de certains notables locaux et toutes ces règles particulières établies par chaque conseil d'anciens.
Mais pour l'heure, c'est encore Elcmar, seigneur de Rohan et époux de la sublime Dana, qui prononce chaque jeudi (jour de la semaine destiné à traiter les affaires juridiques chez les celtes) les sentences à venir.
Obscure et sombre couleur prune
Petit et malingre, cet homme méchant au visage ingrat et à la voix de fausset s'est rapidement fait connaître dans toute la contrée pour la férocité implacable de ses jugements.
Avec lui, le bourreau ne chôme pas, faisant même preuve d'une grande inventivité dans les supplices pratiqués, suivant en cela, disent les mauvaises langues, les conseils avisés et un tantinet sadiques de la belle Dana.
Et Ambre de reconnaître la signature de celle-ci dans cette façon récente et tout à fait particulière d'enchaîner les condamnés de sexe masculin. Elle sait aussi les attirances anales de la redoutable Dame et n'a guère de doute sur ce qu'a pu subir son visiteur du soir, côté pile.
Prévenante, c'est après avoir plongé la main dans le petit pot d'onguent opiacé disposé près de la cheminée, qu'elle va tenter d'apaiser le feu qui lui dévore l'anus, malmené très récemment en prévision probable d'une exécution par empalement.
Ignorant la composition exacte de la médecine qu'elle se procure en forêt chez une vieille rebouteuse, elle l'applique cependant avec conviction et douceur, en connaissant l'efficacité rapide, et aussi certains de ses effets secondaires tout à fait intéressants quand on aime les plaisirs de la chair.
C'est bien connu, l'intimité d'une femme, c'est l'origine du monde. Celle d'un homme, c'est au contraire une porte fermée, tendre et délicate, mais d'une obscure et sombre couleur prune, à laquelle la plupart des civilisations n'ont accordé qu'un rôle strictement fonctionnel.
Ambre sait pourtant qu'il en est tout autrement, et qu'avec un sésame approprié on peut s'y glisser toute entière, ou presque. Elle aime sentir cette chair palpitante, qui s'échauffe encore davantage lorsqu'elle saisit brusquement l'un ou l'autre des tétons disponibles du mâle qu'elle soumet.
Lorsqu'elle mène ainsi bataille, arrachant victoires sur victoires au point d'y mettre la main entière, elle sent aussi monter du côté de son ventre à elle de fortes envies de visite. Elle résiste tant qu'elle peut, poursuivant parfois son avantage jusqu'à doter son entrejambe d'un gigantesque fac similé.
L'esthétique de l'ustensile lui déplaît souverainement mais la sensation quand elle pénètre l'homme n'est pas du tout déplaisante. Le retournement de situation est complet et c'est avec grand plaisir qu'elle laboure avec vigueur le sillon masculin, attentive aux gémissements de contentement qui lui parviennent bientôt aux oreilles.
Toute à ses pensées frivoles, elle frissonne soudain et réalise que le feu dans la cheminée a bien baissé.
Allongeant le bras vers le haut du bahut, elle en ramène un collier de cuir, des bracelets munis d'un gros anneau ainsi qu'une laisse de corde tressée.
- « je ne veux rien savoir de ton passé» dit elle «ni d'où tu viens ni pourquoi tu portes cette chaine».
- «je te propose de demeurer ici aussi longtemps que tu voudras, tu y seras à l'abri de ceux qui te poursuivent. Mais tu seras aussi mon esclave. Tu garderas tout au long du jour et de la nuit ce collier et ces bracelets. Et dorénavant c'est moi qui déciderait ce qui est bon pour toi, dans quelque domaine que ce soit.» ajouta t'elle en secouant légèrement la chaine.
Hésitant un court instant, il tendit finalement le cou, puis les chevilles et les poignets, auxquels elle fixa solidement le cuir. A l'anneau du collier, elle accrocha la laisse, puis décida que c'était l'heure de dormir et le guida jusqu'à l'étage.
FIN
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Ce matin, ses amies les étoiles l'ont avertie d'une visite prochaine, un marcheur venu de loin, un homme peut être déjà rencontré lors d'une fête païenne, comme celles auxquelles elle participe parfois à deux pas de l'Océan.
Non, lui ont-elles dit, il n'est pas l'Apollon de ses rêves secrets ni le mâle sauvage à la queue monstrueuse qu'elle aimerait bien croiser un jour. Non, c'est plus simplement la manifestation d'un des hasards heureux de la vie.
Mais pour l'instant, nulle présence à l'horizon si ce n'est celle du soleil qui se lève et va bientôt embraser la campagne. Le solstice d'été est passé et avec lui un cortège d'orages et de pluies diluviennes qui ont abreuvé, et parfois inondé sols et cultures.
Et depuis le retour de la chaleur, c'est une véritable folie dans les champs et potagers. Les maïs prennent 10 cm d'un jour à l'autre, le blé change de couleur et sera bientôt mûr. Les tomates partent à l'assaut des hauteurs et poireaux et patates promettent de délicieuses soupes pour bientôt.
Les mauvaises herbes aussi prolifèrent et vont mettre en péril la récolte, se dit Ambre, debout dans la fraîcheur du matin, les mains sur les hanches. Il va falloir nettoyer tout cela. Et la voici bientôt cassée en deux vers le sol, arrachant à mains nues liserons, chardons et autres …
Sous sa blouse de grosse toile, Ambre ne porte aucune de ces culottes grotesques et inutiles, dont tous les curés successifs de Naizin vont bientôt s'évertuer à rappeler, à partir du VIIIe siècle, l'absolue et salutaire nécessité.
Maniant la binette avec énergie, jambes largement écartées, elle adore sentir s'insinuer entre ses cuisses les petits courants d'air légers que lui envoie la mer de Bretagne. Toutes ces caresses délicates répétées éveillent ses sens et elle se surprend bientôt à rêver d'un assaut sauvage du forgeron de Rohan aux épaules si puissantes et musclées.
Se redressant en massant ses reins endoloris, elle imagine un instant devant elle une ou deux silhouettes masculines au travail. En contrepartie de ses prédictions astrales et autres médecines naturelles, ces journaliers auraient accepté de se mettre à son service, aux champs et aussi pour l'entretien de la chaumière, réparant ici une chaise branlante ou là une fuite dans la toiture.
Elle aurait alors eu grand plaisir à avancer vers l'un d'eux pour poser une main ferme sur la nuque affairée, la maintenant courbée vers le sol. Sans un mot, l'autre main serait venue flatter les flancs mouillés par l'effort, puis aurait glissé brusquement vers l'entrejambe pour une caresse brutale et possessive.
Madame exige de ses pensionnaires une soumission totale et entend bien rappeler cette règle en toute circonstance. Un mâle est fait pour servir sa Maitresse, un point c'est tout! Mais tout cela n'est pour l'instant qu'un rêve et la journée de travail aurait pu être encore longue si les voix d'une dispute, manifestement très vive, ne s'étaient fait
entendre au lointain.
Là-bas, au virage de «chez Dominique», deux attelages viennent d'entrer en collision. L'un, tiré par des bœufs, transporte un lourd chargement de bûches venu du bois du Cosquer, tandis que le second n'est autre que la charrette assurant la liaison quotidienne de Naizin à Pontivy, et retour.
En s'approchant à grands pas, elle entend bientôt des gémissements qui pourraient bien être ceux de blessés. A voir l'état de la charrette, le timon brisé et tout le côté gauche défoncé, le choc a été violent. Et les passagers de retour du marché, assis sur le talus, ont l'air bien sonnés.
Plus loin dans le fossé, elle aperçoit un corps gisant sur le sol, la jupe troussée et les jambes dénudées. C'est une jeune paysanne, manifestement éjectée lors de l'accident et qui vient de faire un beau vol plané.
Près d'elle, les deux cochers continuent leur dispute et se lancent des mots d'oiseaux, n'oubliant cependant pas de jeter à tour de rôle un œil égrillard vers la peau tendre et douce de ses cuisses. S'il n'y avait eu la présence des autres passagers, leurs cris auraient probablement changé rapidement de nature et la pauvre enfant aurait certainement eu à subir d'autres violences encore.
Agacée par la situation, Ambre écarta les deux hommes d'un geste autoritaire et mit un genou à terre, s'adressant d'une voix douce à la jolie victime. Quelques légers battements de paupière la rassurèrent vite sur son état de conscience.
Dégageant sur le côté son abondante tignasse rousse, elle entreprit de dégrafer son corsage pour l'aider à respirer.
A suivre
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En ces temps reculés, nul clocher catholique ne vient hérisser la campagne bretonne. A la saison froide, seuls quelques minces filets de fumée troublent le ciel immense, signalant ici la présence de quelques familles dans leurs chaumières ou là le bivouac d'un groupe de chasseurs.Au lieu dit «Corgarho», à une quinzaine de lieues au nord-ouest de la déjà mythique forêt de Brocéliande, se trouve une habitation isolée aux volets souvent clos. Son occupante vit chichement de son petit lopin de terre, cultivant pommes de terre, carottes et choux. Et lorsqu'on s'approche, quelques poules destinées aux repas des jours de fête se manifestent bruyamment.Pas vraiment grande, comme tous les celtes de son temps, cette femme aux rondeurs généreuses et aux gestes vifs, ne passe pas vraiment inaperçue. Ses yeux rieurs et sa langue bien pendue déclenchent régulièrement des tempêtes dans les caleçons masculins des environs. Et certaines femmes aussi ne détestent pas venir lui montrer leurs trésors, sous des prétextes les plus futiles.Une grande libertéMais sa notoriété dans toute la contrée et les nombreuses visites qu'elle reçoit sont, d'abord et avant, tout liés à sa connaissance du ciel et des étoiles. Elle sait déchiffrer le langage des astres.Née quelques siècles plus tard, elle aurait certainement été rapidement emprisonnée, torturée et violentée avant d'être conduite au bûcher, accusée de sorcellerie.Mais dans cette Gaule celte vénérant encore quotidiennement le soleil et plusieurs centaines de divinités, elle est au contraire un personnage incontournable, une interprète précieuse avec le ciel, que l'on sollicite et que l'on écoute.Et puis beaucoup savent aussi qu'elle sait sonder les mystères du corps humain. Ses mains habiles connaissent la science du massage et dénichent aisément ici ou là telle ou telle douleur à calmer.Des femmes désireuses d'enfant ou des hommes à la virilité défaillante viennent également la consulter et repartent souvent de chez elle plus détendus et souriants qu'à leur arrivée, ravis aussi de savoir qu'il leur faudra revenir bientôt et s'étendre à nouveau nus sur la peau de bête, tout au centre de la chaumière.En ce temps là, le modèle social gréco-romain basé sur le patriarcat ne s'est pas encore répandu sur l'immense pays gaulois où les femmes bénéficient d'une grande liberté.La femme celte a une existence sociale propre, elle peut disposer de biens personnels qui la suivent toute sa vie et dont elle reste propriétaire. Les mariages sont par ailleurs temporaires et renouvelables, sans obligation de durée.Par ailleurs, les femmes pouvaient diriger des peuplades. Elles buvaient et faisaient la guerre comme les hommes. Dans «la Guerre des Gaules», César évoquait d'ailleurs la polyandrie et signalait aussi le fait qu'une femme gauloise pouvait avoir plusieurs époux/partenaires simultanément. Maitresse femmeAmbre, car tel est son nom, est indéniablement une de ces maîtresses femmes qui ne confient à personne d'autre qu'à elles-mêmes le soin de conduire leur vie. Et aujourd'hui, fait totalement inhabituel pour elle, elle s'est levée aux premières lueurs de l'aube.L'oeil encore mi clos, elle a toutefois pu ranimer la flamme du foyer et mettre de l'eau à chauffer pour son brouet du matin.Du rêve érotique qui a peuplé sa nuit, elle se rappelle peu. Seulement le moment très plaisant où les deux voyageurs hébergés chez elle la nuit précédente l'ont étendue avec une grande douceur sur sa peau de bête de massage et l'ont bercée chacun leur tour d'une délicieuse et profonde pénétration.Quel plaisir de se soumettre ainsi totalement à l'ardeur de mâles attentifs et vigoureux ! Elle n'aurait d'ailleurs opposé qu'une très faible objection de principe s'ils avaient décidé soudain de la prendre avec davantage d'ardeur encore tous les deux ensemble, l'undevant, l'autre derrière. La domination est pour Ambre un ingrédient précieux dont elle adore pimenter savie sexuelle. Y compris d'ailleurs dans des situations où c'est elle-même qui prend lesinitiatives et impose sa loi.Avec la complicité coquine de ses amies les étoiles qui l'informent des opportunités, il lui arrive en effet de proposer le gîte et le couvert pour quelques jours à un voyageur de passage.Se transformant alors en Maîtresse exigeante et directive, elle impose tout d'abord à son nouveau serviteur le port d'un collier de cuir, symbole de sa soumission consentie. Ildevra ensuite accepter sans discussion aucune toutes ses instructions et directives,notamment celles d'aller travailler dur au jardin, à gratter la terre ou élaguer les arbres.En cuisine, il veillera à préparer avec un soin attentif et imaginatif les repas de Madame, sans jamais oublier de nettoyer ensuite ustensiles et matériel. Et si d'aventure des visites sont annoncées, il assurera le service avec discrétion et efficacité, proposant boissons fraîches ou collations, d'abord aux dames puis aux messieurs.Si les uns ou les autres s'adressent à lui, il sollicitera d'abord l'accord de sa Maîtresse avant de répondre. Et si elle souhaitait pour eux d'autres services plus personnels ou plusintimes, il s'exécutera avec distinction et élégance. C'est également elle qui décidera de la tenue qu'il portera, n'excluant pas qu'il puisse être, à l'intérieur de la chaumière comme à l'extérieur, partiellement ou totalement nu.Enfin, il lui faudra se tenir à l'entière disposition de Madame pour lui faire la lecture,l'accompagner en forêt… ou bien s'allonger contre elle pour la caresser et la satisfaire, et cela à toute heure du jour ou de la nuit. Et il devra, bien entendu, renoncer à tout plaisir sexuel pour lui-même, sa condition de soumis le destinant à être exclusivement là, actif, entreprenant et endurant, pour l'aboutissement de son plaisir à elle.Sa meilleure récompense sera alors d'entendre monter lentement son chant d'amour, ses doux gémissements de bonheur, puis d'être tout à coup ébloui par son puissant cri de jouissance, qui portera certainement jusqu'à Pontivy, voire au-delà encore.A suivre...
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Suite à la proposition de Lady Spencer je mets en ligne un article agrémenté d'un dessin
En fait la question est :
voilà une expérience que je ne connais pas réellement quel plaisir ou souffrance y a t'il à être Milké comme il est souhaité par certaine Maîtresse et quelle est la véritable différence avec l'orgasme avorté que j'ai subi pour le désir de ma Domina.
Il y a un article sur le milkage très détaillé mais le retour des Dominas ou soumis seraient très apprécié
Bien à vous tous
Loic
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Curieux et bonhomme, il s'éveille et s'étire, se redresse doucement, risque un œil et prend de la hauteur. L'intrépide rêve de collines et des monts vertigineux qu'il escaladerait, de grottes humides à visiter. Il se hisse fièrement, développe toute sa longueur, hardi, tendu vers l'horizon doux et laiteux. Il relève sa tête glabre, rougissant sous l'éclat lunaire qui s'étale devant lui, l'âme aventurière et l'esprit vagabond. Il frétille, s'agite, humide de plaisir, gonflé d'orgueil, conscient de sa toute puissance, il avance frénétiquement vers des terres inconnues qu'il pense être le premier à pénétrer. Une larme d'émotion coule, un soubresaut comme un sanglot, il fonce sans hésitation, droit devant lui, comme guidé par une inspiration soudaine, un éblouissement ancestral. Mais au dernier moment il bifurque, change d'avis et d'espace, se dirige vers une langue rose et douce qui le cueille comme une fleur, aspirant et lissant, salivant et crachant, exultant devant sa posture ferme et douce, palpitante, vibrante quand brusquement, une poussée irrépressible l'arrache à lui-même dans une explosion à grands jets de foutre et d'étoiles.
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Mes yeux exorbités se repaissent du spectacle de mes courbes dans le miroir : jupe retroussée jusqu'à la taille, culotte réduite à un mince tissu pénétrant les chairs douces et humides, jambes relevées et ouvertes, les talons en appui sur les montants moulurés encadrant ce reflet troublant.
Cette image, double, qui se reflète, tu l'as souhaitée ainsi que son florilège indécent de caresses exigées, de pénétrations requises, d'orgasme contrôlé. Photos à l'appui. Pas de tricherie possible. Dire et montrer. Les godemiches et la cyprine. Seuls les rictus de jouissance et les gémissements resteront secrets. Mais tu les connais. Tu as mon regard dans le tien et mes bruits d'animal blessé dans ton oreille. Tu veux juste voir mon obéissance, ma soumission, minute après minute. Ma main sur mon sexe l'autre sur le déclencheur. J'avale un hoquet de plaisir en pensant à toi me regardant en quasi instantané. Espace aboli. Le plaisir fuse en numérique.
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Clairière calme où ne sourd qu'un grondement lointain et ponctuel de moteur. La voiture s'arrête. Tu me demandes de me déshabiller. J'ai encore mes dessous mais tu me regardes avec insistance. Alors j'enlève rapidement ce qui me tient si peu de vêtement. Entièrement nue. Mais pas au soleil...
La pluie tombe à grosses gouttes impassibles bruissant sur les vitres et le capot. Je regarde l'eau qui explose sur la surface transparente en minuscules flaques verticales puis dégouline le long de la paroi vitrée, comme des larmes démultipliées crachées par le ciel. Maussade, comme lui, et résignée, je m'apprête à affronter cette sortie inattendue. Nue sous la pluie. Mais j'ai gardé mes bottines, heureusement.
«Tu vas jusqu'à l'arbre» ordonnes-tu.
L'eau coule sur mes cils, m'aveuglant partiellement. J'avance droite, menton en avant, épaules en arrière. Il est sur mes talons, habillé, abrité sous son parapluie.
Quel arbre? Le grand, large tronc, branches éparses et nombreuses feuilles qui ne me protègent pas du tout. L'eau glisse sur mes cheveux, mon visage, mon corps. Je frissonne un peu mais je n'ai pas vraiment froid. Pas encore.
Il me demande d'écarter les cuisses et de lever les bras, en posant mes mains sur l'arbre. Seins et sexe à disposition. Triturée, fouillée, pincée, léchée, mordue... Le plaisir arrive, inexorablement et la cyprine se mêle à la pluie. Je laisse échapper soupirs et gémissements mais il m'intime l'ordre de me taire. Mon esprit s'échappe vers le haut de l'arbre, mon visage baissé pour le protéger de l'eau qui commence à se faire désagréablement froide. Je commence à grelotter et je tremble un peu. Je me fais intérieure, concentrée pour oublier cette humidité qui m'envahit. Je sens le contact de la cravache qui caresse plus qu'elle ne cingle. Qui passe entre mes cuisses, frôle et glisse, ennivre mon clitoris. Je me pâme. Il m'ordonne de ne pas bouger et de reprendre la position.
Je l'imagine, je vois dans mon dos son regard lourd de désir, pervers ; je sais ses obsessions, ses plaisirs. Celui de me regarder immobile, offerte, indécente, jouisseuse. Il reste impassible. Et je me languis de davantage avec lui aujourd'hui...
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dessin sado maso sur mesure et commandé pour illustré un texte sur un blog érotique
«carola est là depuis plus d’une demi-heure, le cul en l’air contraint dans une pose où l’on ne voit que sa rondelle et son sexe
offert à la vue et aux sévices de tout le monde .sa chatte trempée de son plaisir car de l’attente avec son cul exhibé comme ca
carola imagine tout ce qu’elle devra subir elle sait déjà que les godes exposés à coté d’elle sont pour elle
la taille impressionnante du plus gros la trouble et l’obsède .elle pense d’abord a sa rondelle écartelée
et à la souffrance de la pénétration de cet engin et une fois son cul remplie et défoncé par les va et vient ???.
carola aura d’abord le fouet ,puis viendra les godes du plus petit au plus gros dans son
sexe d’abord dans son cul ensuite ,pour la préparer aux nombreux hommes qui viendront un a un
la remplir dans le trous de leurs choix . elle jouira énormément»
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ce texte n'est pas de ma plume, je ne connais pas le veritable auteur.
texte trouvé sur facebook.
Serais-tu prêtes à te donner...
Te mettre à nu t'abandonner
Serais-tu prêtes à n'exister...
Que par ma propre volonté
T'offrir et ne rien refuser...
Ton âme m'en donner les clefs
Ton corps m'en laisser le Maître...
À mes désirs te soumettre....
Je deviendrai le Maître
De ton corps de ton être...
Tu pourrais me le soumettre
Et moi me le permettre...
Je deviendrai ton Maître
Dans ton corps dans ton être
Pour des envies à naître
Où seul le plaisir est Maître...
Serais-tu prête d'être l'objet
De mes fantasmes les plus secrets
Entre torture et volupté
D'un lien qui pourrait t'attacher
Soumise pour m'appartenir
L'érotisme pour élixir
Ton âme voudrait-elle se livrer
Et ton corps se laisser dompter...
Je deviendrai le Maître
De ton corps de ton être...
Tu pourrais me le soumettre
Et moi me le permettre...
Je deviendrai ton Maître
Dans ton corps dans ton être
Pour des envies à naître
Où seul le plaisir est Maître...
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(je rappelle que je suis l'auteur de tous les articles que je publie)
L'impossibilité d'être une femme mûre idéale, dans une société qui prône la jeunesse éternelle, est contestable. Les femmes de la période génaire (quadra-quinqua-sexa-septua-octo) ont bien raison de refuser de se laisser enfermer dans ces représentations. Elles ont également raison de continuer à s'affirmer comme épouse, compagne, maîtresse ou Dominante. Pour cette gente, les difficultés sexuelles ne sont pas corrélées au vieillissement biologique. Souvenez-vous de cette femme de 63 ans qui tenait son compagnon de 40 ans (interpellés un soir en plein centre-ville de Carcassonne) attaché à l’aide « d'une chaînette de 70 cm accrochée autour des testicules.
Même si la beauté des femmes mures lie plus étroitement le corps et l’âme. Encore très en forme, elles revendiquent une sexualité active car le bonheur, l'équilibre, le partage sont dans le sexe. Le temps fait encore ses affaires de moments de tendresse, de plaisirs intacts. L’expérience est le fruit d’une plante mature et ses femmes, d'un âge certain, apprécient toujours le tumulte des rendez-vous interdits plutôt que la tiédeur d'un amour unique.
C’est à l’aune de l’horizon temporel limité que doit être évaluée l’utilité du plaisir. Le fruit mûr est plus sucré et plus désaltérant. Ses propriétés aqueuses sont stimulante et vivifiante. Les femmes mûres détiennent cette naturelle réalité et comme dit voltaire la vérité est un fruit qui ne doit être cueilli que s'il est tout à fait mûr.
Une belle maturité se mesure à l'aune des plaisirs charnels qui jalonnent la vie, ayant culbuté les belles années. Sexe génère du bonheur ! Ces femmes sont bien plus profondes qu’en ces temps. Femmes qui ont du vécu, qui ne se sont pas contentées du premier venu, ne se satisfont pas de la précipitation des puceaux. Esprits ludiques, les hommes ou/et les femme sont leurs playmobils d'amour. Elles savent jouer avec les sens de manière non conventionnelle.
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Maîtresse de vos plaisirs, gardienne de vos désirs en de jeux érotiques, Femme recelant de troubles intentions, acceptez de la rejoindre aux rives où l’âme flotte et vibre jusque dans vos cœurs. Elle consumera vos tiédeurs, Jusqu’au dernier frisson. Elle goûtera les plaisirs sacrés.
Rétifs ou rétives nulle illusion, Elle vous fera fléchir. Cette splendide Cythérée asservira, sous ses lois, l’orgueil de votre raison. En état de vie d’oblation, par sa d'hommestication, vous vous donnerez à la Beauté, au temple de l’inconstance.
Vous transcenderez vos appréhensions. Se livrer pour se délivrer, voyage dans l’inconnu du plus profond de soi et, peut être, au plus profond de soie. De sa main vénérée, cette sensuelle félinité régentera vos chavirements, hors du temps, dans le bleu de la nuit. Femme si sage, mettant en scène ses propres fantasmes suivant ses humeurs, le corps est son terrain de jeux.
Nul propos trivial pour exprimer la permanence de votre faim. Elle est en capacité à mener votre coeur dans un abîme. En de patientes dérives, vous change en figurine. Emotions débordantes, membre furieux dardé, corps jaspé, mendiant le droit de suivre du regard son déhanché, vous rêverez à des instants improbables.
En de sensuelles lubricités, nulle étreinte de feu au risque de s’y brûler. En des attitudes troublantes vous fera connaître la lucidité des rêves par la chasteté des distances. En positions des plus humiliantes, votre peur se transformera en chaleur torride qui irradira votre corps jusqu’à la jouissance…
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Le Loup court , il est si rapide , sa femelle court devant lui , essai de se cacher , le jeux commence derrière un grand arbre, elle se cache , mets la main sur sa bouche pour pas que le Loup entende sa respiration , elle aperçoit le loup , il c´est arrêter lui aussi .. Son cœur bat si vite , ses joues sont rouges , elle a défié, provoquer le Loup , c'est plus fort qu'elle .. Elle n'a pas peur .
. Le Loup lève la tête renifle dans sa direction il sent sa femelle au abois , il aime l'avoir effrayer il aime se jeux aussi , elle se sauve , les ronces accrochent sa robe comme pour la ralentir .. Elle entends les pas du Loup pas loin d'elle .. Elle court se réfugier dans une grotte..
Le loup aperçoit juste un moment sa robe rouge , son sourire s'élargit , sa femelle est tombée dans son piège , il la voit rentrer dans son antre .. Il ne court plus , il imagine déjà se qu'il pourra lui faire subir .. Il casse une branche d'un noisetier , il c'est qu'elle le regardera avec des yeux innocent et plein d´envie , il la croquera la mettra a sa merci , il se délecte déjà de ses cris de ses supplications ..
la femelle est dans la grotte se retournant de tous les coter cherchant une sortie ..
La une ombre dans l'entrée , le Loup est la devant elle majestueux impressionnant ..
Elle couvre de ses mains sa poitrine que sa robe déchirée laisse voir ..
Le sourire carnassier du Loup ne la trompe pas, il approche elle recule la course est terminer pour elle , sa femelle a perdue mais le défi du regard , elle voit dans les mains du loup la branche du noisetier avec des feuilles. la branche siffle à son oreille , la branche déchire sa robe, il en reste que des lambeaux.....
Elle ne recule pas , même si elle tremble, la morsure sur sa peau de la branche est terrible, , la branche s'abat sur son corps... laissant des traces rouge...... elle gémit et finit par crier, elle cri sur le Loup , oui encore , elle en veut plus .
Le Loup aime voir sa femelle ainsi toute à lui , il la trouve belle dans ses instants la.
Le loup lâche la branche, des ses doigts il suit les traces sur sa peau appui dessus pour faire gémir sa femelle. il s'approche plus près encore , ouvre la bouche et lui mords l'épaule, sa femelle gémit; il la mord plus fort, le plaisir les envahit tous les deux................
Si vous croiser le Loup , méfier vous le Loup sera toujours plus rapide que vous , il ne faut jamais défier le Loup qui rode, vous serez à lui ...
Hydréane compteuse de loup .......
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Un début de soirée paisible, une ambiance reposante sous l'effet de la faible lumière dégagée par la petite lampe du salon, Ils sont tous deux allongés dans la longueur du canapé regardant la télé, lui un bras sous sa tête, l'autre parcourant du pouce le visage de sa Câline, c'est ainsi qui l'a nomme, elle plus basse entre ses jambes, la tête posée sur sa cuisse calme et sereine.Le silence entre eux à peine brisé lorsque d'une voix basse, elle lui demanda s'il voulait un chocolat chaud, il en voulait pas mais elle oui ! Alors elle se redresse et se lève du canapé volant un baiser à son homme au passage et se dirige vers la cuisine sous les yeux de Monsieur, ce qu'il voit luiplait, sa Câline qui ne porte qu'un tee-shirt, ces fesses nu mi-couverte par le tissu, il la regarde s'éloigner...enfin surtout son fessier...soyons honnête ...,levant les bras repliés derrière sa tête dans son parcours jusqu’à la cuisine s'étirant doucement, sa vison n'est qu'encore plus belle, lorsque le tee-shirt se soulève sous ses mouvements dévoilant ainsi ce qu'il avait osé cacher quelques secondes auparavant.Un léger sourire de satisfaction, ses yeux les accompagnent jusqu’à ce qu'elles disparaissent derrière les murs de la cuisine. Elle se prépare son chocolat sans trop se presser, le met à chauffer pendant qu'elle range, puis vient machinalement se poser dans le champs de la porte en attendant, ses yeux se posent d'abord sur la télé puis comme un doute furtif, regarde le canapé et...ah oui lui semblait bien...il n'y est plus.Son regard balaye la pièce et le découvre assis dans l'autre coin, dans son fauteuil, un coude posé sur les accoudoirs, le pouce sous le menton l'index posé sur ses lèvres , l'autre bras allongé sur l'accoudoir, sa main est dans le vide, ce qu'il y tiens... lui donne immédiatement des frissons de plaisir et ne peut s'empêcher d'afficher un léger sourire à la vue de ce collier, son collier, lié a la laisse entourer autour de sa main, la poignée pendante dans le vide, sans un mots, simplement un regard soutenue la fixant. Le ting du micro onde retentit la sortant de cette instant ou elle gravait en sa mémoire cette image, de son homme devenant maître, sa posture et le charisme qu'il dégageait putain qu'elle vision magnifique pour elle .Résisterait elle a l'appel du collier ? question aussi idiote qu'inutile...Elle s'avance alors vers lui doucement, marchant lentement, ses mains venant se tenir du bout des doigts derrière son dos, jusqu’à être devant lui, fixée dans ses yeux, ses mains se défont et vienne se poser chacune sur un accoudoir, les bras tendu, une jambe tendu l'autre légèrement plié, son dos courber, ses reins cassés dévoilent une fois de plus son fessier. Dernière posture de femme...première provocation de soumise... Ne lâchant pas son regard, il ouvre légèrement sa main libérant ainsi la lanière du collier ouvert puis lui passe autour du cou, prenant son temps, sa voixaussi ferme que douce lui énonce son ordre alors qui commence à boucler son collier.-Je ne veux pas t'entendre. - continuant de fermer le collier - Un mot, un son de ta part, et tout bascule - sa main se glisse dans sa chevelure, ses doigts s'y mêlant avant de se refermer sur ses mèches emprisonnées entre ses doigts - à toi de choisir, douceur ou violence.Pas un mots ne sort sa bouche et son regard provocateur se baisse répondant de lui même à son choix.Il baisse alors sa main l’entraînant à se mettre à genoux redressant lui même son dos du fond du fauteuil, son autre bras posé sur sa cuisse toujours la laisse a la main, elle n'oppose aucune résistance, offrant une fois de plus son corps aux mains de ce qu'il était à présent, son Maître.Il relâche alors sa chevelure, sa main se place sur la nuque, d'un geste délicat,lui donne une légère pression sur le coté, elle le connait bien pensez vous,elle pose ses mains, bras tendu au sol, se mettant à quatre pattes puis se tourne dos à lui, lui offrant ainsi la vue qu'il aime tant, il pose sa main sur sa fesse la caressant du bout des doigts, et appui légèrement dessus la faisant s’asseoir d'abord, sa main remonte dans un frôlement de peau le long de sa colonne et s'arrête à la base de son cou, sa main se pose, entourant avec un peu plus de fermeté sa nuque et la pousse à baisser son dos, nul besoin de forcer, nul besoin de mots, leur complicité est telle qu'elle sait exactement ce qu'il attend d'elle, son corps suivant son geste, sa poitrine posée sur ses cuisses, ses bras pliés au plus prés de sa tête, ses yeux se ferment dans un léger sourire.Il reste un instant à l'admirer dans cette pose, ses yeux recouvrant la moindre petite partie de son corps, sa main se refait légère et se glisse à nouveau le long de sa colonne s'arrêtant en son milieu, trois petits coups du bout de ses doigts sur sa peau puis continue sa descente jusqu’à ses reins dessinant les courbes de sa chute marquée.Elle étend donc ses bras devant elle avant de les ramener doucement derrière son dos comme il lui a été ordonné, ses mains tenant mutuellement ses bras, sa peau frissonnante, ses sens fébrile, sa respiration se fait un peu plus profonde alors que le parcours de la main de Monsieur en vient à caresser ses fesses, la main bien à plat, les serrant entre ses doigts de temps à autre, tout en gardant son pouce sur sa raie, ne forçant que légèrement le passage afin d'en marquer ses intentions futures. son regard se fait plus dur, plus intense, plus profond, continuant son aventure, sa main se niche entre ses cuisses, il écarte ses doigts et instinctivement elle en écarte un peu plus les cuisses, lui laissant libre accès à son appartenance, sa main se pose sur son sexe le caresse sans pour autant s'attarder sur les parties sensible, frôle son clito, puis l'entrée de son vaginquelques peu humide par la situation puis remonte encore emportant un peu de ce désir jusqu'à son anus exerçant qu'une très légère pression dessus, histoire d'attiser encore plus les sens de sa Câline.la laisse se met alors à se tendre... encore... un peu plus...amenant son corps à se redresser jusqu'à ce que ses bras butent sur le bord du fauteuil, sa main se posant sur son cou, son visage caressé par le pouce, pendant que l'autre main défait la laisse, l'emprise de sa main directement sur le collier il la dirige, la tournant, posant son dos sur sa jambe son autre main la libère de sa position à genoux tout en remontant le long de sa jambe glissant sur son genoux puis sa cuisse qu'il écarte contre le fauteuil.Son regard se posant sur son intimité, sa main toujours lié à son collier, son autre main ne s'attarde pas à rejoindre ce pourquoi il l'a guidée.Tout en restant assis il ballade sa main sur son sexe, glissant entre les lèvres, massant son bouton de plaisir dans de petits cercles parfois appuyés, parfois légers, elle se contrôle, maîtrise ses émotions sous l'ordre du silence...seule l'intensité de sa respiration ne peut se taire, se mord parfois la lèvre, compense ce manque par son corps qui ne peut s'empêcher de se tortiller... pour le moments discrètement, mais le désir monte de plus en plus, cela va devenir compliqué d'obéir, lui prend un malin plaisir à la faire monter encore et toujours un peu plus, baladant ses doigts de son clito a son anus sans jamais la pénétrer...pas encore...ca ne serait tarder, elle commence à ne plus tenir, un gémissement malgré elle s'échappe, une claque bien sèche sur l'intérieur de sa cuisse la rappelle à l'ordre, tout en calmant ses caresses afin de ne pas dépasser ses limites, car finalement a t il vraiment envie de la punir ou seulement profiter de l'instant...Il cesse ses caresses sans enlever sa main et relâche son collier pour poser sa main sa tête et la pose contre lui, puis ses lèvres se déposent dessus, son autre main se prépare...lui murmure qu'elle peut s'exprimer librement à présent, la dernière syllabe prononcer , il enfonce deux de ses doigts, au plus profond d'elle sans violence mais sans délicatesse non plus se stabilisant dans sa profondeur, un instant, le temps de l'entendre se libérer de sa frustration, un long soupir...profond et intense, ce qui engendre chez lui de la satisfaction exprimé par un sourire dissimulé sur ses lèvres toujours en contacte avec la douce chevelure de sa Câline.Laissant ses doigts bien en place, son pouce se pose sur son clito et reprends son massage, suivi de lent vas et vient de ses doigts en elle, sur toute la longueur de ses doigts presque à en sortir, accélérant peu à peu au fur et a mesure que sa Câline s'emballe et perd le contrôle de son être, son corps se tend prenant appui sur la cuisse qui lui soutient le dos, sa main se crispe entourant sa cheville, ses sens se perdent et son orgasme se fait sentir... plutôt entendre, envahissant tout son corps, électrisant ses sens dans sa millimètre de sa peau il continue ses mouvements avec la même intensité afin de prolonger son plaisir ralentissant au même rythme que son orgasme s'apaise.La laissant à peine le temps de redescendre, il l'aide à se relever et l'empale directement sur son sexe, son dos lui faisant face, pose sa main sur ce dernier et la couche sur ses jambes, puis lui saisie une hanche, plantant bien fermement ses doigts, appuyant au plus possible son bassin sur lui, afin que ces coups en elle soit bien ressenti, la main qui se trouvait sur son dos se baisse doucement passant sur ses reins puis sur sa fesse, qu'il caresse tendrement avant de lui assainir une claque bien sèche, recommençant ainsi a plusieurs reprise variant d'une fesse a l'autre mêlant caresses et fessées, elle n'en peux plus, son désir au paroxysme de son envie, elle se lâche, s'abandonnant aux gémissements, plus intense sous les claques, en réclamant encore...ce qu'il le ravi et accède à sa demande avec un plaisir non dissimulable, sa chienne est là... Ces fessées se font plus forte plus rapprochées, abandonnant peu à peu les moments de caresses entre deux claques, ses gémissements se font cris, entre douleur et plaisir, elle ne sait plus vraiment...Ses fesses rougissent de plus en plus et le plaisir de Monsieur en n'est que plus comblé, il cesse pourtant pour venir introduire son doigts dans son anus, travaillant ses parois afin de la dilater, à un rythme en totale opposition avec ceux de son sexe en elle, y'a t il d'autres mots que de dire qu'il la lime magistralement...de son sexe...de son doigt...se sentant lui même se perdre, il la soulève, assez pour la retirer de son sexe, assez pour lui prendre son cul, la pénétrant d'un trait, restant bien au fond d'elle, il se lève l'emportant avec lui et la retourne, debout jambes tendues, les mains posées sur les accoudoirs, il ne la ménage pas...non ...vraiment pas... ses hanches entre ses mains la tire vers lui alors qui avance en elle, leurs jambes se font fébriles, les gémissements et cris se percutant entre ces murs... instant fusionnel ... complice et intense ou deux êtres atteignent l'orgasme ensemble, son sperme se déversant en elle, il l'a pousse un peu en avant et pose son corps sur son dos, donnant un dernier coup de reins, leur respiration rapide et saccadé, il se retire puis tourne leur corps afin de se rasseoir dans le fauteuil, l'amenant sur ses genoux, il la sert dans ses bras, la câline et prennent le temps de récupérer, ensemble, en totale satisfaction et harmonie, dans de douces caresses.
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Le petit matin pointe le bout de son nez, nos corps se mouvent sous la couverture, se cherchant, se frôlant, s’entremêlant, quelques baisers volés entre des mains voyageuses sur les courbes des corps, puis un sourire...il se sauve ! retirant la couette jusqu'au pied du lit découvrant moncorps si bien sous cette chaleur, oh il a osé !! le coussin en main en râlant son petit nom, il vole, mais il a eu le temps de s’échapper derrière la porteme narguant en plus d'un "trop tard !", grognant, je me redresse et rattrape ma précieuse, me repliant un peu sur moi même en frissonnant, prenant le temps de mettre en éveil mes sens. je l'entends se déplacer a travers les couloirs, retrace sont chemins dans ma tête connaissant bien évidement par cœur le moindre son que cette maison émetil va a la salle de bain...un sourire se dessine sur mes lèvres sous quelques pensées...pas catholique...les portes de la douche s'actionnant, je sais qu'il a fini...alors je me lève et me rends a la salle bain, passant doucement la porte, il est de dos, la serviette a la main, mes yeux se font lubrique croisant cette belle visionde son corps nu...je m'approche doucement me plaçant dans son dos, mes mains se posent d'abord sur son dos puis se glisse le long de ses hanches...taquinant son bas ventre. - Qu'est ce tu fais toi ? me dit il, question de forme, il se doute bien de mes attentions. sans un mots mes lèvres se posent d'abord sur sa peau, puis ma langue goûte sa peau encore humide pendant que mes mains se faufilent sur "l'interdit" parcourant sa longueur du bout des doigts alors que mon corps le pousse un peu le coinçant face a l’évier, ce qui le fait le rire - Mais t'as fini oui ?-Mmh...nan..dit elle dévorant son dos de baisers. Ses doigts finissent par se resserrer autour de son désir devenant ardant, il abandonne toute tentative de l’arrêter...étonnant hein...il pose ses mains sur les bords de l’évier, la laissant s'amuser avec son sexe a sa guise, totalement a sa merci, elle aime ça, ses mains s'affairant a le faire grimper..encore et encore...ses caresses se font douce, profonde, n'omettant aucune parcelle de sa peau, quelques va et vient le fait frémir, ses jambes se faisant tremblante, la tête baisser à regarder les gestes de sa douce, un sourire au lèvres, il en vient a passer une mains entre eux, la posant sur son intimité d'abord, puis jouant entre ses lèvres, titillant son plaisir, se contentant de passer sur son entrée et faire monterson désir, ce qui ne se fait bien évidement pas attendre, et voila leurs mains respectives s'activant ensemble dans un ballet de gestes sensuels, lui la pénétrant de son...ses doigts...elle continuant ses caresses et va et vient, leur respirations lentes et profonde se mêlant l'une a l'autre.A la hauteur de leur amour, ils ne font qu'un, jusqu’à ce que lui, se laissant aller au plaisir que sa douce lui offre.Elle fière de sa "connerie" en sourit sentant le jus de son homme de glisser sur sa main ralentissant doucement ses mouvements l'accompagnant dans son plaisir jusqu’à la fin...
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Ici nous dérapons hors du bdsm et de son cadre (sain, sûr et consensuel). Il ne s'agit pas d'une fiction, il ne s'agit plus d'un jeu érotique, mais d'une relation très particulière où l'emprise s'est invitée dans la partie, reconnue et voulue, ou du moins acceptée, de part et d'autre, et où le sadisme et le masochisme ont cessé de rester strictement circonscrits dans les bornes des pratiques non dommageables pour l'esprit et le corps.
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A ce stade, la docile, la soumise, tout en don, en début d'adoration, ne sait pas encore à quelle trame improbable elle a mêlé son fil, dans quelle pièce folle elle est appelée à jouer. Quel rôle lui est destiné ? Ecorchée ; sacrifiée ; rédemptrice ? Tout est déjà en place en elle (), bien avant de le rencontrer. Et c’est, degré après degré, station après station, une descente en , où il la guide, l'initié. En cadence, hypnotisée, elle danse, elle descend. Elle se sait déjà fascinée.
Pourquoi la passion, la mort, la douleur psychique chantent-elles si haut si clair par ici. Qu’est-ce qui les réveille … ?
Est-ce un piège mortel ?
Imaginons quelque ombreux lieu reculé, loin du monde sensé, au-delà des conventions. Où la raison n’a plus tout-à-fait la première place, où les pulsions sont délibérément libérées : violence, passion, haine, cruauté, impérieuse volonté de dominer les corps les âmes, soumission consentie, résorption dans la plus pure adoration. Ecarlate jalousie, désir béant ou dressé au ciel. Les masques convenus arborés en société s’effritent, et avec eux le vernis civilisé qui nous sépare de l’instinct, de l’animalité. Que reste-t-il, que trouve-t-on en-dessous ; dans ce théâtre sans fard et sans poudre, quelles scènes se jouent ? Plongée dans l’inconscient, personnel, collectif, phylogénétique. Certains sombrent plus bas. Plus vite.
Avec plus ou moins de délectation. En fonction de l’essence des êtres.
Tu me hais, tu me brises, dans une agonie de souffrance. Je perçois sans effort les mécanismes. Je sais que je dois rester stable. Qu’il le faut. C’est la seule clef.
J’ai de tous temps vénéré cette attitude très-héroïque qui consiste à courir au danger, refuser de combattre, envoyer voler armure et épée et se jeter en pâture pour se faire dévorer. Dans un râle d’agonie jouissive.
Haine déferlante attaquant ma lumière, qui vacille et se remet vaguement à luire, tremblotante.
J'en conçois une certaine fierté estomaquée. Mais...
Je sais de ce jour qu'elle ne tiendra pas longtemps.
Je profite de l'instant. J'attends.
Il est mille fois plus puissant.
Que peut – ma lumière ? Dans cet abîme.
Une seconde. Une journée. Et pffuit. Adieu réflexe salvateur.
Je me protège, pensé-je témérairement, en m’exposant : esprit au vent mauvais et cœur ouvert aux crocs. Je ne suis pas dupe de la précarité de mes défenses, s’il l’est. Je suis en veille. Je guette. La prochaine bourrasque. La tornade suivante. Je me doute que je n’ai encore rien vu.
La question n’est pas Si … mais Quand ?
Pour la mystique, l’herméneutique, je suis – petit Verseau, l’être angélique, Saint Luc du tétramorphe au front de toutes les églises. Versant sans effort sur le monde sa bonté. Rétif à toute règle. Enfant intrigué qui se cogne au Réel.
Pour la mystique, l’herméneutique, il est – Saint Jean. Scorpion n’ayant nul frein à sa létalité. Ou Phénix transcendé, pleurant une larme de lait. Combien de combustions et de renaissances, de morts auto-infligées ?
[center]
C’est moi la première, qui me suis détournée. La gifle psychique, de toute violence,
m’a ébranlée.
En punition, la privation de sa tendresse. Je ne peux pas le supporter.
Je me mure, m’emmure, me meurs...
Je pars.
Moi aussi je sais être dure et sombre,
mur et ombre.
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Ce soir là, on était tous bien décidé à sortir. Un nouveau bar venait d'ouvrir. Arrivée sur place, on s'attendait à voir plus de monde, mais on était une bonne vingtaine.
Après 2 ou 3 h dans le bar, beaucoup partaient, couple plus posé et on se retrouva à peine une dizaine, au final, les personnes appris vite à se connaitre. Je discutais avec Louise, 19 ans en fac de droit, elle était très études et sage, parlait bien et pleine de cultures.
-Tu devais être première de ta classe, non? Dis je en souriant.
-Oui, au collège mais pas en fac. Comment tu as deviné?
-Vu la culture que tu as, ça ce voit et même dans ton style réservé et sainte nitouche.
Elle me regarda surprise.
-Sainte nitouche? Tu ne me connais pas.
-OK tu es coquine ...
-Non... mais pas ça non plus... mais... le juste milieu. Enfin bref, je suis comme je suis.
-Je déconnais, tu es toute rouge, par honte de parler de sexe?
-Je te trouvais sympa mais tu es un obsèdé.
Elle partie et nous ne somme pas revus avant un mois. Un concert en ville, dans un bar.
-Salut Louise.
-Salut
-Désolé pour la dernière fois. Lui dis je, en lui tendant une bière. Pour me faire pardonner, bon concert.
Et parti rejoindre le bar avec mes amis
La soirée se poursuit et le concert s'achève. Louise me rejoint et me propose un verre.
-Par contre ce sera chez moi, j'étais venu pour le groupe mais la fin de mois me permet pas de t'en payer un ici.
-Ok, je te suis.
Arrivée chez elle, c'était très cocooning, la porte qui donnait à ça chambre était ouverte et on pouvait voir un lit à barreau, tout était bien rangé.
-Une bière?
-Ouaip ça me va.
La nuit continua à discuter, un moment d'inattention et je l'embrassa sur le canapé.
Elle me repoussa.
-Je suis une sainte nitouche, c'est vrai. Me dit elle, un peu gênée. Mais j'ai quand même envie de toi.
-Alors tais toi.
Elle faisait petite et légère dans mes bras. Je l'embrassa de nouveau et commenca à la déshabiller. Je retira son pull puis son débardeur et me fut surpris qu'elle porte de la lingerie fine. Elle commenca à dégrafer son soutien gorge et je la stoppa.
-Laisse, tu l'enleverras quand je le déciderais.
Une lueur brillait dans ses yeux et elle se laissa ôter son jeans, un magnifique shorty en dentelle me faisait saliver de plaisir. Je la souleva par les fesses et l'emmena dans sa chambre.
-Maintenant déshabille moi.
Elle retira ma chemise, puis ma ceinture et ouvrit ma braguette.
-Met toi à genoux.
Elle déboutonna le jeans qui laissa apparaitre un boxer gonflé entre les jambes. Enleva mon pantalon et passa sa main sur ma bosse.
-Qui t'a dit de toucher. Lui dis je en retirant sa main.Tu es plus coquine que sainte nitouche et tu cache bien ton jeu. Debout!
Elle se releva en ayant un petit réctus.
-Je veux que tu me punisse.
Je dégraffa son soutif en l'embrassant dans le cou, puis en le retirant, je descendis pour lecher ses seins.
La poussa sur le lit et retira son shorty pour laisser apparaitre un minou lisse et déjà humide, je la lécha et delecta de son nectar, sa main passa dans mes cheveux au bout d'un moment. Je glissa deux doigts sans peine au fond de son vagin et me retira.
-Ici c'est moi qui commande.
-Je voulais juste te tenir la tête quand tu me lèche.
Je la pris par les cheveux et sortir mon sexe du boxer. Elle me regarda en souriant et me dit
-Tu veux que je la mettre dans ma bouche? Je veux la sucer.
-Fais moi jouir.
Elle la lecha de tout son long et l'avala, c'est va et viens s'accélèra. La bouche grande ouverte et ses raclements de gorge m'excitait de plus en plus.
Je la stoppa et lui dit de se mettre à quatre pattes et me montrer ses fesses.
Son cul était appétissant. Je donna quelques fessées et cracha à son anus. Mon membre s'enfonca au plus profond de son vagin et mon pouce titilla son anus, pour attraper ses fesses à deux mains, je lui dit de jouer avec son petit trou.
Ses doigts s'activait dessus et ma bite pillonnait toujours sa chatte, son majeur se retrouva enfoncé dans son anus et je me retira.
Je l'a pris par les cheveux et lui ordonna de sucer. Je me décharga dans sa bouche et elle ne perdit pas une goutte.
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Elle a envie de te baiser... Rien de bien subtil, rien de hautement sensuel ou de très travaillé... Il paraît que ça change, pour une nana hein ? :D Elle a envie de te baiser jusqu'à la moelle ; pomper tout ton désir, sucer ton excitation. Tu serais complètement vulnérable, le sexe bandé et la langue pendante. Elle tiendrait tes couilles dans le creux de sa paume tout en te chuchotant des obscénités à l'oreille... "T'aimerais pouvoir me toucher aussi, hein ?"
Elle se délecterait de tes gémissements, son excitation se nourrirait de la tienne… Au moindre grognement ou signe d’impatience, elle te claquerait sèchement les joues. Tu sucerais ses orteils un à un en la regardant dans les yeux. Elle savourerait la douce caresse de ta langue habile sur ses doigts de pied... Tu serais son adorable petit pantin suspendu au moindre ses gestes, ses mains martelant ton visage à l’unisson de tes variations d’humeur…
A genoux, à 4 pattes, allongé ou debout, peu importe ; tu devras lui obéir. Elle te donnera des ordres, c'est sûr... Peut-être que tu devras garder des postures contraignantes juste pour son plaisir... Peut-être que tu devras lui montrer des choses très intimes... Ta gêne, ton inconfort et ton asservissement contraint l'exciteront d'avantage. Le chat joue avec sa proie.
Elle glisserait des baisers tendres dans ton cou, tout en serrant tes couilles avec une intensité progressive : plus ses doigts se refermeraient sur tes bourses, plus ses caresses sur ton visage seraient douces. Elle dégoulinerait et tu devras laper dans sa main et sur ses doigts son excitation. Elle te ferait aboyer tout en tirant sur ton collier. Elle t’embrasserait possessivement en investissant ta bouche jusqu’au fond. Elle se frotterait sur ton corps comme bon lui semblerait ; tu seras son bel objet haletant de plaisir...
Je vous regarderais en me caressant et tu sentirais la portée de mon regard sur vous deux… Viendrait le moment où son envie de toi prendrait le pas sur toutes les autres ; elle s’empalerait alors sur ton désir, amazone déchaînée tirant sur tes tétons déjà si sensibles, puis sur ta laisse en te léchant les lèvres. Je la rejoindrais en m’installant à califourchon sur ton visage ; ta langue, mon sexe, ses mains, mes seins, ton sexe et le sien…
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JOUR 2 :
Le tatouage
J'ouvre les yeux.
Il doit être encore tôt, mais je ne parviens plus à dormir. Tu dors encore.
Je tourne en rond dans mon corps, dans ma tête. Je glisse un doigt dans ma fente. Mes règles ne sont pas revenues, tant mieux; mais je suis sèche, ça m'angoisse, cette journée m'angoisse, je crains tellement être en train de me laisser embarquer dans une histoire qui va finir par m'échapper, tant je donne tout de moi. J'ai peur de la mort du désir. J'ai peur de la réalité, au moment où elle va nous rattraper, où elle va me frapper.
Tu bouges, te retournes, mon souffle s'arrête, écoute le tien. Savoir que tu vas te réveiller, bientôt, et que ta main, encore rêveuse, viendra se promener sur mon corps, m'apaise et m'émoustille.
«Il est trop tard pour les croissants», dis-tu après que nous avons fait l'amour plusieurs fois, dès ton réveil.
J'ai aimé te faire cette longue fellation, avec mon doigt dans ton cul qui me rappelais ma main entière d'une autre fois. Et ce moment où tu dis «Tu m'as trop excité, il faut que je te prenne».
Quelle joie de te voir te redresser, me saisir, et ton sexe à vif me prendre encore, sans trop de ménagement, pour ton bon plaisir, dont j'ai rallumé la mèche, presque innocemment.
Tu me prépares un café fumant.
On se nourrit d'une salade assaisonnée d'accordéon diatonique.
Tu visites tes mails, pendant que moi, je rumine mes appréhensions, et m'inquiète de l'heure qu'il est, et de ce qui m'attend, au crépuscule de cette journée.
Attachée, tatouée, baisée, d'un seul et même élan.
«On va faire un tour en ville?»
Ok, il fait beau, le soleil perce les ruelles de mes pensées, disperse un peu mes doutes. Je regarde mon ombre marcher à tes côtés, qui avance, légère, insouciante, en égrainant derrière elle les réticences qu'il me reste encore.
De retour chez toi, je file sous la douche, et me fait un lavement, faut croire que j'y prends goût. Je fais tout vite et bien, l'heure tourne, et tu me le rappelles. Tu me sembles un peu nerveux, peut-être crains-tu que je ne regrette...
«Nous allons être en retard».
En toute hâte, nous sortons, tu fermes la portes, et nous rejoignons le tram qui nous déposera non loin de l'atelier du tatoueur.
«Nous descendrons à l'arrêt Aube rouge», me dis-tu. Je souris.
Assise dans le tram qui nous emporte, mes pensées s'emballent, mon sexe s'échauffe, mais je n'en laisse rien paraître.
Enfin c'est ce que je crois. Tu poses une main furtive sur ma cuisse.
Le soleil chute dans le ciel, qui s'embrase derrière les nuages et les immeubles. Le nez collé à la vitre, je regarde l'immuable se produire.
Nous descendons et rejoignons l'atelier de M., le tatoueur.
Quand on entre, il est encore à l’œuvre, penché derrière un paravent, et j'aperçois les jambes nues d'une femme. Le bruit de sa machine me rentre dans les oreilles, entêtant. C'est un endroit clean, aseptisé, aux murs d'une blancheur un peu affligeante. Il apparaît de derrière le paravent, nous salue et nous propose de boire un coup en attendant qu'il termine.
Je l'observe attentivement, pour ne rater aucune de ses expressions. D'apparence il n'est pas très grand, et est tatoué sur l'ensemble des bras. Il me paraît peut-être un peu gêné, peu loquace, et j'ai l'impression qu'il contrôle prudemment ce qui transparaît de lui.
On s'assoie sur une banquette, tu me tends les recommandations d'après tatouage, que je lis de manière distraite, car j'aurai tout le temps de m'en soucier plus tard. Je feuillette le classeur à dessins que le tatoueur laisse à disposition. Je tourne les pages un peu frénétiquement, sans vraiment prendre le temps de m'arrêter sur les dessins, qui dans l'ensemble, ne me plaisent pas beaucoup. Sauf cette plume qui me reste en tête, avec ses tâches d'encre autours...
Je tourne en rond, je suffoque presque, il faut que je sorte.
«Je vais fumer une clope».
Je sors, avec quelques scrupules de te laisser seul, à l'intérieur, à attendre.
Je regarde le soleil s'éteindre,
et les bagnoles qui tracent leur route,
et s'en foutent bien de moi
et de mes idées folles.
Quand je rentre à nouveau dans l'atelier, la fille se rhabille pendant que le tatoueur nettoie son matos. Elle sort. Les rideaux tirés, on échange quelques paroles.
«Je lui ai juste dit que tu étais ma soumise», m'avais-tu écrit lors de nos derniers échanges.
Alors je me vois vue comme telle, par ce mec qui ne sait rien de moi, qui peut tout imaginer. Sachant cela, est-ce le mépris ou le respect qui habite les regards qu'il pose sur moi? Toi, je te sens dans l'attente, un peu circonspect de ce qui va arriver. Je reste en retrait pendant que vous décidez de la disposition du lit, et de ce qui convient pour m'attacher.
Et puis tu viens vers moi
«Déshabille-toi».
J'ôte mes chaussures, mes vêtements, hormis ma culotte, je ne sais pas pourquoi je la garde, mais c'est avec délectation que tu passes ta main dessous et t'exclames, à l'attention de M.:
«J'y crois pas comme elle mouille déjà...»
J'aime cette main qui se donne le droit de venir me vérifier, de venir sentir l'état de mes émois, cette main, que jusque là je ne déçois pas.
«Enlève ta culotte.»
Je m'allonge sur le lit qui m'attend.
Je tremble, nue.
M. prépare son nécessaire, et moi j'écoute tout ce que je ne peux voir pendant que mes yeux courent en vain sur le plafond blanc, je te sens alors venir à mes côtés, et poser une main attentive sur moi. Tu m'observes, depuis ton surplomb. Je cherche dans ton regard une confiance à laquelle me raccrocher, la complicité qui nous fait être là, à ce moment précis.
Ton sourire me caresse le corps.
Tu attaches mes poignets au lit.
Puis mes chevilles.
M. approche la lampe et s'assoit à mes côtés.
«Ça va?»
J’acquiesce, d'un hochement de tête et d'un oui-oui, un peu trouble.
De ses mains gantées il saisis mon bras et y applique une crème, puis le calque du dessin que je lui ai fait parvenir.
Une petite étoile, empreinte de ce qui fait sens pour elle, à ce moment-là de sa courte existence.
Il met son appareil en route, et minutieusement, commence à tatouer, à creuser ce sillon d'encre qui dès lors m'accompagnera, et me survivra.
Tu regardes le dessin se former, petit à petit, en caressant mon corps nu, qui n'attend que ça pour se rassurer. La douleur que je ressens à l'intérieur de mon bras est vive par moment, mais mon esprit est appelé à te suivre dans tes indolences, qui m'emmènent jusqu'au creux de mon ventre. Tes doigts glissent le long de ma fente, s'y insinuent, s'y plaisent, en ressortent luisants, puis jouent avec mon clitoris, qui fait des bonds.
Il y a un moment où je ne sais plus si c'est la douleur ou le plaisir qui me fait tressaillir.
Je sens ma respiration comme prise en tenaille par des sensations contraires qui s'affrontent et qui communient en moi, en se nourrissant l'une de l'autre.
M. m'observe de temps à autre, je me demande bien ce qu'il pense.
Mais je serre les dents, je sens mon bras traversé par des milliers de picotements plus ou moins virulents, la douleur me pousse à m'absenter, à fermer les yeux.
Tu enlèves ta main de mon sexe.
«On dirait bien qu'elle ne mouille plus... c'est la douleur peut-être ».
Je ne réponds rien mais n'en pense pas moins. Je me sens bien désolée de cette sécheresse soudaine qui m'accable, mais je me rends à l'évidence: je ne sais plus où donner de la tête, mes sens sont en déroute.
Tu continues quand même à me caresser le corps, à te promener sur ma peau, pour y tracer les chemins sinueux de tes envies.
M. se redresse.
«Ça y est», dit-il en lâchant mon bras, qu'il tenait fermement jusque là.
Je tourne la tête et parviens à voir mon étoile, fidèle, ancrée en moi. Je lui fais part de mon contentement, tu relèves la finesse des détails.
Tu te penches sur moi et m'embrasses.
«Elle est à toi, à présent», lui dis-tu simplement, avant de t'effacer.
Dans mon crâne les secondes se disloquent et s'émiettent, mes pupilles s'éparpillent sur le plafond blanc.
M. avance vers moi, je le regarde, et je ne sais pas trop ce que dit mon regard.
Il me caresse, saisit mes seins, me pince les tétons. Sa main descend rapidement vers mon sexe, qu'il écarte et pénètre à loisir. Je n'ai plus dans mon champ de vision que son jean noir dont il rapproche la braguette de mon visage.
Ma main encore attachée passe entre ses jambes et je lui caresse les couilles. Il défait sa ceinture et baisse son pantalon.
«On va la détacher, dis-tu, ce sera mieux.»
Je me frotte les articulations pour me désengourdir un peu.
Il continue de visiter ma chatte, d'écarter les lèvres et de masser vigoureusement mon clitoris, qui se tord et gémit, pendant que je branle son sexe, mais qui reste encore petit et mou. Puis je le prends dans ma bouche, longtemps, il met du temps à bander. Je suis pleine d'angoisses, peut-être est-il mal à l'aise, ou alors c'est moi qui m'y prends mal, je ne sais pas.
Mais je ne faiblis pas, et sa queue finit par gonfler et se durcir, petit à petit.
A un moment je sens des vagues de plaisir m'envahir. Je renverses la tête dans ta direction, et te demandes:
«Je peux jouir?»
Tu réfléchis un instant.
«Non, retiens-toi encore».
Je me tords et ravale mes frissons. M. a l'air gêné et débande un peu. Mais il me demande de me relever. Ma tête tourne un peu, je me redresse, il m'écarte les jambes face à lui et me pénètre. C'est bon ce moment, c'est doux, mais peut-être même un peu trop doux, tu m'as habituée à plus d'engagement...
Il me prend comme ça, je regarde ses yeux et son demi-sourire, impénétrables. Tu viens derrière moi et j'aime à ce moment te sentir te coller à mon dos, me soutenir, et voir tes mains presser mes seins, enserrer mon cou, rebondir sur mon ventre et atteindre mon sexe, dans lequel M. s'agite.
Ensuite je me retrouve agenouillée face à lui, invitée à le sucer encore. Je m'applique longtemps, il pousse ma tête vers lui pour me dicter son rythme, je vois les tatouages qui lui couvrent le ventre, je lui caresse les cuisses, les fesses, tu prends des photos, ce sont des écritures qui sont tatouées, il me garde la tête maintenue contre lui, je suffoque, et je le suce encore, haletante, jusqu'à ce qu'il jouisse, et éjacule sur ma poitrine, dans mon cou.
Moi je reste là, je reprends mon souffle, je le vois se masser le sexe, au dessus de moi, pour y verser encore la dernière goutte.
Je lui souris peut-être, et me redresse doucement.
Je me nettoie avec les mouchoirs qu'on me tend pendant qu'il se rembraille et que tu t'approches, une main sur mon épaule.
Je n'attends pas que tu me dises de me rhabiller. J'y vais, et vois disparaître sous le tissu mon étoile, qui se cramponne, en proie à des eaux déjà tumultueuses, faudra qu'elle s'y fasse.
On se salue, se remercie de cet échange, on se manifeste nos satisfactions respectives, cordialement.
Et puis nous sortons.
Trajet en sens inverse.
De nuit.
Dans le tram, tu me serres contre toi, me demandes si ça va, et t'excuses d'emblée de m'avoir privée de ma jouissance.
«J'espérais qu'il continuerait à te toucher et que tu monterais encore...»
C'est pas grave.
C'est un peu dommage, oui, mais c'est pas grave. J'ai un peu regretté de t'avoir demandé, mais j'aime bien aussi jouer ce petit jeu. C'est un risque à prendre.
Un de plus.
Au sortir du tram j'ai la tête qui tourne, les jambes en coton. J'avance, je te suis, mais il arrive un moment où je ne te suis plus vraiment, je sens que d'un coup je fléchis, des bourdons plein la tête, je ne distingue plus rien d'autre que ce poteau rond auquel je m'accroche, avec ce qui me reste de clairvoyance.
Je te sens venir contre moi.
«Ça va?»
Mon oui-oui est un peu illusoire.
Nous nous dirigeons vers une supérette, tu me proposes une tartiflette, je te réponds par une bouteille de porto.
***
Tu chantes,
ta guitare sonne
à mes côtés,
les sonorités m'emportent,
bercent mes peurs.
Mes yeux se ferment
pour mieux
entendre.
Et ma voix,
timorée mais ravie
de t'accompagner,
murmure.
( à suivre)
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Je suis assis devant une tasse de café , le regard dans le vide. L'esprit bien loin de là où est cette chaise.
Je repense à l'instant où je passe la porte et la vérité qui vous rattrape pour vous éclater au visage. Une vague qui vient chambouler toutes vos certitudes.
Je l'ai marquée au fer rouge alors que son passé n'est simple en aucune façon. Ce n'est pas d'avoir cessé de l'aimer, bien au contraire, juste le détournement sur une période de certains principes, et même si l'auto flagellation n'apporte rien, le miroir déforme votre gueule de salaud tout les matins.
La terre tourne et une porte s'ouvre. Tout réapprendre, tout redécouvrir.
La voila qui s'abandonne dans un cadre qui n'a aucune bordure. Elle se livre au voyage dans un monde inconnu.
Son amour qui parle à cet instant est une offrande incroyable, presque difficile à recevoir tant la honte vous submerge, vous envahissant tout entier. Juste l'émotion de la demoiselle qui se découvre et qui vous éblouit.
Cela aurait été plutôt à moi de devoir changer "pour des raisons conventionnelles" , mais, plutôt que de l'envisager, elle vient m'offrir de s'adapter…
La séduire pour lui faire comprendre combien elle est belle dans mon regard qui l'enveloppe. Ces dames sont sans cesse dans cet insatiable besoin de puiser en notre source l'impérieuse nécessité de se rassurer. Lui apprendre à aimer les courbes de son corps pour qu'elle en perçoive la beauté dans le regard de l'autre. La mettre à nue et la sublimer.
C'est par la magie des cordes qui viennent contraindre son corps, l' exhibant de telle sorte que les délices pervers viennent s'y nicher pour s'y laisser éclore.
La petite fille pudique avec qui je grandis n'est plus; l'ingénue appartient au passé et mon Dieu qu'elle est belle la femme qui se révèle.
Elle se laisse bercer au bord de l'eau, sous le joug protecteur des règles qui viennent, sur elle, si naturellement s'apposer, qu'elle semblait les attendre .
Fier de l'avoir à mon bras, elle est exemplaire. L'éducation qu'elle a reçue souligne déjà son savoir vivre et se tenir!
Je m'écarte un peu et la regarde intensément.
Au delà de sa beauté et des nombreux désirs qu'elle m'éveille, j'observe les regards alentours qui se posent sur Ma Belle.
Je me flatte de sentir poindre des envies discrètes pour certains et même des jalousies plus appuyées pour d'autres; sa douceur comme sa docilité sont miennes. Je profite d'elle, j' use d'elle et sans l'ombre d'un remord j'en abuse à ma guise ! Elle est mienne, mienne, mienne : quel bel écho….
Son épanouissement se traduit toujours par de si beaux sourires… C'est Allongé, et faute de pouvoir éterniser l'instant, que je les regarde, en admire la pureté pour alors sauvegarder dans mon esprit chaque instant.
Dans les bras, l'une de l'autre, se troublant mutuellement, des baisers s'échangent et offrent tant d'envies puissantes. C'est une fusion profondément sensuelle dont la beauté est un régal à admirer. La complémentarité qui vient parfaire le tout.
MaDame est rayonnante et la voilà comblée, je la sens apaisée par son état d'appartenance affirmée.
A Elle maintenant de savourer chacun des instants comme ils viennent caresser nos plaisirs .
Un beau chemin parcouru, dont je la remercie bien sur !
Mais là, je suis juste le cul sur ma chaise, mon plaisir est immense, un sourire un peu béat aux bords des lèvres, et je pense seulement qu'il nous reste encore tant et tant d'innombrables moments à vivre sur ce chemin dont nous sommes, en symbiose l'ombre indissociable de la lumière!
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Guettez moi, guettez moi encore.
Je vous suis pour des en-corps.
Pour des satins ou des soies.
A la sueur de mes émois.
Guidez moi vers des accords.
Comblez les désirs du corps.
D'extase, gorgez mon plaisir.
D'un supplice, frôlant le goût du cuir.
Observez-en la posture.
D'une chute de reins qui augure.
A vos sens embrasez-les.
Et de vos empreintes gravez-les.
Attendez, attendez-moi encore.
Plus intense, en-corps et plus fort.
Gouttez en bien mes parcelles.
De peau. Venez me sublimer rebelle.
Le 26 octobre 2015
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Endormie tu es
Tu te prélasses, épanouie, désirable.
Je pose ma main sur ta peau encore ruisselante de ta douche du matin
Sur ton visage un bien-être apparaît.
Je descends avec légèreté sur ta poitrine
Tes yeux mi-ouverts, mi-fermés soupirent
Devant ton corps de femme, je frémis.
Je deviens la passagère de tes formes que je mène avec prudence.
Nous sommes toutes deux attentives à nos sens.
A nos désirs indécents, à nos envies troublantes
La finesse de tes caresses me renverse.
Je fais rougir ta peau de délices pour arriver jusqu'au pli de tes cuisses.
Comme une amante sans merci
On se consume, on y prend goût, on se frôle.
Plaisir inconnu qui nous porte
Ma bouche gorgée de miel te fait tressaillir.
Je m'égare c'est fou, c'est fou.
J'erre sur ta chair rosée qui me conduit dans le creux de ton calice.
Fléchissement, secousse, respiration haletante, éclipse de nos corps
Nos cris parfument les murs de plaisirs
Ta bouche épouse mes seins humides qui chuchotent
Nos baisers sont si ardents, comme un feu qui s'éveille
Sous le langage de nos langues qui ne veulent pas se taire.
Je me blottis aux creux de nos vagues
A l'endroit, à l'envers
Libres sont nos boutons d'or qui parlent sous nos langues
Tel un cyclone de florilèges
Sous nos médaillons ambrés
On peut entendre des pluies de vérité, des pluies d'encore.
Enlacées entre nous, nos vies se font oublier dans un ailleurs de mots tendres.
En transparence, la délivrance de nos corps à corps nous éclabousse
Parenthèses de notre jardin sauvage où nos peaux s'harmonisent
telles des chrysalides en papillons.
Nos yeux mouillés par les larmes indisciplinées, le coeur léger, on se laisse aller.
Symphonie érotique où tu es ma reine
Je n'en fais qu'à ma tête, j'ai juste envie d'un sans interdit.
Avec toi comme seul paysage.
A la lisière de l'extase, on se regarde, on se sourit sans rien dire.
Entre femmes
Baisers de velours
Caresses parfumées.
Le 20 octobre 2015 (fiction)
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Corde sifflante
Assaille et crispe
Corde chantante
égrenne et bruisse
Corde puissante
Enserre et force
Corde amante
joue et caresse
sur ma peau striée de plaisir
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Entre nous des liens se sont tissés, pour toujours.
Une affinité qui n'aurait peut être pas vu le jour.
L'écriture nous a, dans un premier temps rapprochés.
Mais c'est dans la réalité que nos liens se sont noués.
Nous avons commencé par partager des mots.
Puis le moment est venu commun à nos deux coeurs.
De rapidement se rencontrer, savoir si vos maux.
Et nos sentiments s'y répondent en choeur.
Une patience, une totale confiance, des plaisirs.
Une oreille attentive aux moindres de vos désirs.
Des mots toujours justes et sans jugement aucun.
C'est pourquoi pendant 4 ans nous avons fait qu'un.
Nous sommes toujours là, l'un pour l'autre présent.
Une seule et même âme, au rire bienfaisant.
Qui embellit nos vies d'un ineffable charme.
Et sait parfois tarir les plus profondes larmes.
Une fusion, une connivence dans nos écritures.
Partager nos mots se faisaient de manière limpide.
Entre vous et moi, ni demi-mot, ni demi-mesure.
C'est en cela que notre relation était si solide.
Tous deux unis par des liens immuables.
De confidences, de respect, d'échanges.
Qui reste à mes yeux, infiniment durable.
Gravés sur mon coeur par un serment étrange.
Le 12 octobre 2015
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La frustration fait grandir le désir et le plaisir. Mais c'est aussi une forme de supplice pour certains, certaines. Pas de flagellation, il n'est pas masochiste. Pas d'humiliation, pas de féminisation, ce n'est ni son plaisir ni le mien. La frustration sera pour lui une autre voie, une découverte, une expérience extrême après 6 ans de libertinage...
Je mets une dernière touche à mon maquillage, léger, trait noir qui souligne le regard, rouge brique qui dessine les lèvres. Je rectifie mon chignon et regarde l'effet produit. Working girl ou maîtresse d'école, dans cette jupe droite et cette chemise blanche sous lequel on devine le soutien gorge ? Maîtresse tout court si l'on sait que sous cette jupe, le voile noir qui gaine la jambe s'arrête à mi cuisse, porté par deux jarretelles d'un serre-taille également noir... Image un peu stricte, regard pervers, bouche humide à l'idée de la matinée qu'elle s'apprête à aspirer comme une fumée voluptueuse. Des volutes qui embrument mon esprit, se décantent pour laisser place à des images précises, furieusement évocatrices, de regard avide, de chair offerte, de contraintes et de liens.
Je glisse dans ma sacoche à supplices, cordes et lien de satin, une paire de gant, un foulard, un pinceau à blush, un gode, du lubrifiant. J'attrape mon manteau et je sors ; n'ai-je rien oublié ?
La voiture file vers l'autoroute. Défilent des paysages que je ne vois pas, je ne vois que ces images qui s'agencent peu à peu en un scénario lubrique. Fébrile, excitée, la bouche sèche. Serai-je à la hauteur ? Je suis à l'approche, je me trompe de chemin, je suis obligée de l'appeler. J'aurais préféré arriver comme une surprise enrubannée de stupre. Il est au coin de la rue, me guide et me rejoins à pied, sourire aux lèvres, regard pétillant.
Que peut-il imaginer de ces moments qu'il s'apprête à vivre ? Je lui ai dit frustration, contrôle, contrainte mais qu'est-ce que cela évoque pour lui, tellement loin de l'univers bdsm ?
Nous nous enlaçons, nous embrassons et je retrouve son parfum, la saveur de sa bouche, son sourire qui dit beaucoup, en silence.
Comme convenu, il porte un pantalon et une chemise. Comme convenu, le café est prêt et nous le prenons au soleil. Je lui rappelle les règles du jeu de ce moment d'appartenance.« Tu m'appelleras Madame et tu me vouvoieras ». Je définis un safecode, au cas où. Même si rien de bien désagréable ne devrait lui être fait. Des questions ? Il n'en a pas. Mais pas de possession ou de stimulation anale cette fois-ci. Il n'est pas prêt.
Je l'entraîne alors sur le canapé, je m'assied à ses côtés, lui tend mes pieds, mes jambes, qu'il masse et caresse. Je lui tends la paume de ma main dont il ne sait que faire, mais il finit par l'embrasser, la lécher timidement. Je me rapproche alors, pour un baiser langoureux, nécessaire. Comme pour le bercer avant de lancer les hostilités. Les boutons de sa chemise se défont un à un tandis que mes mains jouent sur son torse ; sa respiration se fait plus courte...
Je lui bande les yeux. Aveuglé pour mieux ressentir. Mais sans toucher, c'est la règle. Du moins pas sans mon autorisation.
Mes dents mordillent son menton et ses lèvres et ma langue les lèche tour à tour. Distiller morsure et douceur, l'aigü et le suave, comme une entrée en matière subtile. Mon bon vouloir, son abdication... J'enlève ma chemise à mon tour et porte ma poitrine à son nez, qu'il me respire d'abord et pose ensuite sa bouche, l'ouvre, saisit et fait rouler, aspire l'objet de ses désirs, un téton qui se dresse sous ces caresses... Un plaisir que je lui ôte de la bouche. Frustration...
Je libère son sexe que je sens tenté mais intimidé lui aussi. Je le fais grandir, prendre sa place, s'épanouir, se dresser, fièrement mâle. Je caresse le gland rose et joufflu de mon pinceau. Bel effet qui sort de sa gorge, une plainte gourmande...
Puis j'enfile mes gants, très doux, comme une seconde peau pour un autre toucher, mes doigts de tissu vont et viennent sur son corps et sur son sexe, toujours droit. Je caresse aussi son visage, l'entraînant dans d'autres sensations. Ce n'est pas ma peau mais c'est doux et caressant. Sa bouche s'entrouvre lorsque je passe sur ses lèvres. Tout va bien. Tout est sous contrôle... Hormis deux mains hésitantes qui aimeraient reprendre la maîtrise du vît.
Levons le voile, déchirons le et déversons ce sucre amer sur ce corps offert. Les cordes pour contraindre, empêcher de jouir comme à son habitude, interdire sa propre possession. Pas touche ! C'est à moi, il le sait, n'a pas le droit d'y toucher. Le chanvre passe sur ses mains jointes, dans le dos, s'étirent sur son torse et sous les pectoraux, faisant saillir les tétons, que je pince soudainement plus fort, laissant passer un peu de temps avant de les humidifier de ma langue. Allongé sur les coussins du canapé, bras bondagés, il est désormais à merci de mes envies. Je reprends en main la queue dressée, la presse et l'astique, turgescente, enduite de ma salive, empoignée à deux mains. C'est comme une bouche qui l'enserre. Il s'y trompe d'ailleurs, les yeux bandés, abusés par ses sens et son désir, le cerveau obscurci par un trop plein de sensualité inhabituelle. Lui qui aime voir, se repaître de la peau, du corps, du regard de l'autre. Frustration...
Il demande grâce, je lui ôte son bandeau. Il me regarde alors, il observe mes mains s'activant sur lui, il se voit se gonfler, s'étendre, se lever davantage. Je le regarde dans les yeux, d'un regard lubrique qui annonce mon prochain jeu : le ruban de satin vient enserrer les testicules et la queue. Ses organes génitaux ainsi liés, je reprends les va et vient. La jouissance n'est pas loin, je ralentis le rythme, avant de reprendre crescendo.
Une pause à sa demande. Enlevons les cordes, ne gardons que le satin. Mais interdiction de se ou de me toucher. Je reprends alors mes jeux masturbatoires, alternant entre douceur et lenteur, rythme et force, jusqu'au bord de l'explosion, en m'arrêtant brutalement. Frustration...
Puis me vient l'idée cruelle de le laisser me masser les cuisses et les fesses, seulement me masser, mais jupe relevée. Frustration...
Les mains massent avec délicatesse puis vigueur, un peu crispées. Redoutable, insupportable, un doigt glisse par erreur. La punition ? Le massage s'arrêtera pour une cruauté plus féroce, sans doute incongrue mais à coup sûr qui ferait mouche ! Assise devant lui, je relève ma jupe, écarte les cuisses et me caresse avec indécence devant ses yeux écarquillés et suppliants. Odieuse ! J'ajoute à ce supplice, car c'en est un, en utilisant mon gode devant lui. Je le dévisage, perverse, impudique, les yeux plongés en lui, désemparé, implorant de le laisser se masturber. Hors de question ! Frustration... Double frustration.
Assez de frustrations, devant ses implorations, je le laisse me toucher, me doigter, embrasser mes seins. Devant ses suppliques répétées, je viens m'empaler sur lui, je le laisse me baiser, plaisir ultime d'un libertin, coït profond. Libération d'un libertin, jouissance finale...
Et instants de tendresse. L'aftercare après un trop plein de frustrations. Abandon d'un libertin, enfin...
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C'est une belle journée d 'automne, nous partons en balade improvisée en forêt ...dans la voituretu me demandes de retirer de mon string... je soulève ma robe... te laisse entrevoir mes bas... et fais glisse le bout de tissu sur mes bottes... une fois arrivée tu me tends un rosebud en me demandant de me pencher... je me penche donc et remontema robe pour que l'insère...
Nous partons dans les bois ramasser des pommes de pin... je me penches pour les ramasser... te laissant entrevoir mes fesses nues... et tu t'amuses à me trouver des pommes de pin... contre un arbre tu m'enlasses, m'embrasses et me demandes de te sucer... je t'obeis... détache ta ceinture , ouvre ton pantalon pour libérer ton sexe déjà à l'étroit... et m'agenouille et te prends en bouche, lêeche ton membre qui n'attend que ça... te suce... ta main appuye sur l'arbre, l'autre dans mes cheveux, je sens plaisir venir... tu m'interrompes ... me positionnes... meà mains agrippées au tronc de l'arbre, ma robe relevée, je sens le vent sur mes fesses à nues...ta main viens claquer pour les rechauffer et les faire rougir... tu les caresses. .. effleure mon sexe humide et finis par me pénétrer ... je gémis doucement sous tes assauts... tes mains sur mes hanches me guident... je me détends.. le plaisir monte... dans un murmure tu m 'indiques que tu veux me faire jouir ici...tes doigts remplacent ton sexe et s'activent en moi... je te branle... tout en coulant entre tes doigts...
Tu retires le rosebud qui tombe à mes pieds...ton sexe glisse un instant dans le mien... avant de venir dans mon cul... je gémis, m'agrippe à l'arbre et te laisse me prendre comme une chienne.... jouir ainsi...t'abandonner en moi... glisser ta mains sous mes vêtements.. pincer mes seins... me faire gémir... pour mieux exploser en moi...
Avant de poursuivre notre balade improvisée...
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Les jours suivants se ressemblèrent. Ayant pris assez d'avance dans mon travail, je profite de ces derniers jours d'automne pour m'occuper de mon jardins. Mon chat me nargue à se dorloter au soleil dans une posture des plus indécentes, sur le dos.....
Mon voisin semble avoir pris ses aises Mais je pense quand même aller le saluer. En bon voisinage, je préfère en pas rester sur une mauvaise impression. Prenant mon courage à eux mains, je me présente a son portail... Je sonne tout en me mettant mes habits d' aplombs.... Arrive en courant vers moi un gros chien style chien ds Pyrénées. Je me recul, surprise. Il s'arrête devant le portail, se met sur ses deux pattes arrières et attends en remuant la queue. Levant la tête, j' aperçois mon voisin à la fenêtre. Je lui fait signe en souriant. Une minute puis cinq minutes passent et rien...........
Je restais la, bouche bée, ne sachant que penser de cette attitude désinvolte. Je me pensais associable mais je crois avoir trouvé le roi en la matière. Posant un dernier regard vers la fenêtre et sur le chien, je fis demi tour déçue et énervée......
Vendredi, je dois aller en ville pour des raisons administratives et alimentaires,Ma voiture démarre du premier coup , miracle, il me faut tourner à droite et passer devant chez mon voisin,,,Et il est là devant sa voiture.... Je l'ignore merveilleusement sans un regard ni une pensée..... quoi que je me rends compte que je ne saurais vraiment le décrire n'étant fixée que sur son comportement arrogant... J'en regrette presque mes voisins... La route est longue et me laisse tout le loisir de le de me calmer en écoutant de la musique... Je ne sais pas pourquoi je prend ceci tant à cœur et que j'aurais presque envie de forcer sa porte tout en lui disant ma façon de pensée....
La matinée se termine et je rentre enfin chez moi. Mon voisin est là, encore dans son champ, derrière sa maison , torse nu. Il fendille des bûches.... S'il pense impressionner en agissant ainsi...
Descendue de voiture pour ouvrir le portail, je ne vis pas qu'il c'était approcher et qu'il attendait accoler a sa clôture.
-- Je vous serais gré de ne pas m'importuner et à l'avenir si vous avez des demandes a faire , utilisez la boîte au lettre, merci.....
-- Ne vous inquiétez pas, je n'ai aucune demande à faire à un goujat de votre espèce incapable de saluer comme il se doit sa voisine. Je venais juste en bon voisinage vous demander si un café vous aurait fait plaisir mais il me semble que votre côté « ours» trouverais mieux sa place dans une caverne..... Et quand on est poli on viens pas torse nu se plaindre on s'habille...
-- D'une personne qui m'a tendue les clefs à moitié à poil , c'est un compliment je dois dire , me lance t il amusé ….
Je ne su que répondre sur le moment autre que ceci:
-- je vous souhaite une bonne fin de journée et je saurais me rendre invisible à vos yeux , soyez en sur
-- bien
-- Comme vous dites bien! Ce n'est pas parce que vous êtes le petit dernier ici que vous avez le droit de mépriser les autres. Sur ce pas la peine d'user votre salive, ce serait trop en gaspiller...
J'allais remonté dans ma voiture quand il me pris par le bras et m'entraîna chez lui, me jeta dans le canapé....
-- Cela vous arrive souvent d'entraîner de force des inconnues chez vous.... Vous devriez avoir honte
-- Taisez vous !
-- Et pourquoi donc ?
-- C'est ainsi, taisez vous et apprécier le calme et mon hospitalité soudaine.. Profitez en , ce n'est pas tous les jours que j'accepte qu'une femme rentre chez moi !
-- Peut être que si vous étiez moins goujat !
-- Il suffit !
Je le vis revenir habillé et avec deux tasses qu'il posa sur la table devant.... Il alla s'installer devant moi sur un fauteuil et me dévisagea du regard sans un mot, sans une expression ce qui me mis mal à l'aise. Son regard était vif et intimidant.
-- Pourquoi m'avoir invitez chez vous et pourquoi me regarder vous ainsi ? N'avez vous jamais croiser de femmes dans votre caverne ?
-- Pour que vous me laissiez tranquille ensuite et parce que j'aime voir que cela vous énerve. J'aime sentir que cela vous interpelle Et je ne vous ai pas force. La , vous êtes assise, vous n'avez pas fuis, c'est que vous le voulez bien non ?
-- Vous avez un …..
-- un sucre ou deux sucres ou alors auriez vous peut être envie de me dire quelque chose ? Me dit il en souriant légèrement....
-- Ne …...
-- Je n'entends pas , vous pouvez répéter ?
Je me tu le regardant avec étonnement, impassible essayant de garder mon calme.
-- votre café va être froid !
Je pris la tasse tout en le dévisageant calmement essayant de l'analyser.
Il est brun, cheveux court, yeux noisettes... Assez grand , plutôt costaud, un peu de ventre. Je dirais 38 ans. Il a deux tatouages, un sur chaque bras. Vu comment son salon est décoré , je dirais qu'il se suffit de peu, son intérieur, enfin de ce que j'en vois est assez , est assez plat, vide ,épuré.
-- Ce que vous regardez vous plaît il ? Me dit il
-- Comment cela ?
-- Oui vous me regardez , vous me dévisager il me semble non ?
-- Oui je me demande comment un homme de votre age peut il être aussi associable et méprisant...
-- Vous me trouver méprisant, tout cela parce que je ne réponds pas a vos avances et que je préfère ma tranquillité ….. c'est surprenant en effet !
-- Des avances, quelles avances et pas parce que vous êtes séduisant que vous êtes mon type d'homme , je venais en simple voisine courtoise , simplement … il ne faut pas croire parce que vous avez un physique avantageux que je vais tomber a vos pieds
-- Si vous saviez ….. Comme cela vous me trouvez séduisant donc je ne vous laisse pas insensible malgré vos dires..
-- Ne me prenez pas de haut , vous avez très bien compris..
-- Oh non justement , je ne comprends pas dit il en finissant son café en me regardant..
-- Je …Je... Je vais devoir prendre congé, je dois ranger mes courses au congélateur avant que cela soit le drame....
-- Je ne voudrais pas être le goujat qui vous fasse jeter vos aliments, faites donc mademoiselle!
-- Bonne fin de journée
-- Au plaisir Mademoiselle !
Je le regardais a cette prononciation de phrase étonnée et je pris congé.....
-- N'oubliez pas que vous êtes la bienvenue !
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Alors oui, le titre est probablement mal choisi à vue de nez, mais il ne l'est pas. Je me suis trouvé le courage de raconter une petite histoire. Histoire vraie, dont je modifierai juste les prénoms à simple fin de respect de la vie privée, forcément.J'indique dans mon profil que mes premières grandes expériences avec le ligotage sont arrivées avec le judo, mais j'étais resté assez vague en la matière. Je vais donc raconter la première expérience qui m'a le plus frappé.C'était il y a presque 20 ans (... 20 ans, put*** !), j'avais 12-13 ans, j'étais un jeune collégien qui collectionnait les heures de colle. Des amis de famille avaient récemment déménagé dans ma ville, et leur père, en plus de pratiquer un métier lié à la justice, était également à la tête de l'association de judo. D'ailleurs toute la famille pratiquait le judo, à des niveaux divers et variés. Ma mère avait jugé bon de canaliser ma bougeotte en m'inscrivant aux cours de judo, ce que j'acceptais de bon coeur : il y avait mes amis de famille. De quoi mettre le bazar encore plus! Un ou deux mois passèrent, je faisais mes heures de judo chaque weekend, sans broncher, jusqu'à ce qu'arrive un changement d'horaire pour la tranche de mon âge : désormais, ça aurait lieu en milieu d'après midi. Qu'à cela ne tienne : la famille d'amis habitant à 5 minutes chrono de la salle louée pour le judo et vu que la banlieue était très mal desservie par le bus (1 toutes les 1h30, en moyenne), on s'est vite adaptés avec le copain : j'arrivais vers midi et demi, on passait une bonne partie de l'après midi sur les jeux vidéos, puis on enchaînait sur le judo, de nouveau sur les jeux vidéos et je rentrais en début de soirée. Facile.Jusqu'à ce qu'un beau jour de fin novembre... (ouais désolé, l'intro était super longue... on arrive au meilleur, promis)Moi et mon ami Alex (même âge), on était tranquillement installés dans sa chambre, à sociabiliser et partager un franc moment de camaraderie et d'amitié virile (comprendre : se tatanner la tronche) autour de Street Fighter 2. Nous étions très concentrés. Moi surtout, étant donné que je n'avais pas l'aisance de mon ami. Hop les quarts de cercle, les demi-tours, les prises et autres Hadouken. J'étais parti sur une belle combinaison de coups, jusqu'à ce qu'un cri horrible et inhumain me perce les tympans."BOUUUUH !!"Suivi d'un éclat de rire qui s'éloignait. C'était la petite soeur Aurore, âgée de 10 ans, qui n'avait rien trouvé de mieux à faire qu'ouvrir la porte et hurler pour nous déconcentrer. Cette petite peste avait réussi son coup, et ça m'avait coûté la victoire. Pas grave, ça ne faisait qu'une défaite de plus : mon ami me menait quelque chose comme 26-2, le score était donc très serré. Nous avons donc continué à jouer, j'étais décidé à prendre une 3ème victoire.Environ 30 minutes passèrent. Et là, vous le devinez, bande de galopins : Aurore revint pousser un autre "BOOOUUUUH !!", et elle partit en riant. Elle le refit d'ailleurs encore deux ou trois fois, toujours avec environ une trentaine de minutes entre chaque cri, jusqu'à ce que mon ami Alex, excédé, se lève du canapé et crie dans le couloir.- "Aurore ! T'arrêtes ou j'vais t'attacher ! T'es prévenue !" cria donc AlexJe haussais les épaules, mais j'étais perplexe. Je me demandais s'il était sérieux ou non. Cela dit, ma barre de vie qui descendait à grande vitesse me força à me concentrer à nouveau sur nos joutes de Street Fighter. Le temps passa. Un coup d'oeil au réveil à côté du lit. Je notais mentalement que les 30 minutes d'intervalles étaient plus que passées. La menace était passée, semblait il.... Et là, je vous vois hausser un sourcil : vous avez compris:Elle était simplement décalée dans son "BOUH". Environ 45 minutes plus tard, elle revint pousser son fameux cri.Ni une ni deux, mon ami mit le jeu en pause et se leva. "Ramène-toi", me dit-il. Nous allâmes dans la chambre d'Aurore, qui gloussait encore. Aussitôt, Alex attrapa sa soeur, et il la bloqua sur le lit. Je ne savais pas trop quoi faire. Mais elle, elle continuait à rire."Hé ! Ouvre la porte de droite du placard, y'a un gros sac Leclerc. Vide le à côté de moi." me dit Alex.Je fis ce qu'il me demandait, et je vidais le sac... un sac rempli de ceintures de judo. Très souples, de toutes les couleurs ou presque, c'était le trésor de guerre de la famille, et il y en avait en très grande quantité vu que la famille entière faisait du judo. A vue de nez, et sans exagérer, il y avait une bonne trentaine de ceintures. Alex se saisit d'une première ceinture, et il se dépêcha de ligoter les poignets d'Aurore dans le dos. Elle semblait se laisser faire, et elle gloussait toujours. 'T'attends quoi ? Attache lui les jambes !" me dit Alex."H-Hein quoi ?! Mais... Mais non enfin !" répondis-je. Oui, je feignais ne pas apprécier ce que je voyais. Mais au fond, j'étais fasciné par la vision de cette jeune fille qui devenait femme, aux seins naissants, les bras ligotés dans le dos, les coudes également, d'autres liens improvisés lui bloquant les bras au niveau du ventre, de la cage thoracique..."Mais si ! Allez ! Ca lui servira de leçon !" me dit Alex, me sortant de mes réflexions.Alors, je pris une ceinture de judo, et attrapait les chevilles d'Aurore. Elle les remuait, mais sans la moindre force : aussitôt que la ceinture se serra autour des chevilles, elle arrêta de gigoter et me laissa accomplir mon oeuvre. Très vite, les chevilles furent ligotées par deux ceintures de judo, en deux points différents. J'en rajoutai une au dessus des genoux. Alex se retira, moi également. Aurore était allongée sur son lit, sur le ventre, ligotée avec à vue de nez une bonne dizaine de ceintures. Elle gloussait encore, et gigotait très gentiment. Là, Alex se saisit d'une ceinture de judo, fit plusieurs noeuds afin d'en former un gros, puis l'enfonça dans la bouche d'Aurore, et il serra le baillon improvisé dans la nuque."Voilà ! Ca te servira de leçon !" dit Alex en souriant."Mmmnnnn!! MMPH !" répondit Aurore. Elle riait encore. Visiblement, ça ne la dérangeait pas le moins du monde. Là, elle se mit à se débattre, tantôt énergiquement, tantôt plus mollement, ses doigts tentant d'atteindre les noeuds. Je n'eu pas le plaisir d'observer plus longuement Aurore se débattre dans ses liens, car Alex m'invita à poursuivre nos parties de Street Fighter. Je jouais encore plus mal qu'à mon habitude, et ce n'était pas difficile de deviner pourquoi j'étais si peu concentré.Finalement, quelques minutes plus tard, Aurore entra dans la chambre d'Alex... en se tortillant comme un ver. Elle invectiva Alex, mais je ne comprenais pas trop ce qu'elle disait. Et il l'ignora proprement. Par contre, le réveil se mit à sonner, nous indiquant qu'il fallait mettre fin à nos jeux vidéos pour aller en cours de judo. Alex détacha sa petite soeur. Je n'osais pas trop quoi faire, troublé. Mais finalement, j'ai commenté un peu la situation. Brièvement."Tu vois ! Si tu nous emmerdes pendant qu'on joue, ben tu finiras encore comme ça !"Aurore me tira la langue et ria. Puis, quelques minutes plus tard, alors que mon ami et moi partions, elle passa à côté de moi et chuchota "Bouh !", tout en faisant semblant de ne rien avoir dit ni fait.Et autant le dire, ça n'était pas la dernière fois qu'elle me dirait "Bouh" pour m'embêter. Et ça ne serait pas la dernière fois que moi, j'allais la ligoter. Mais ça, c'est une autre histoire !
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Je vous caresse les cheveux, vous regarde dans les yeux, et d'un sourire malicieux vous dévisage...Vous ne savez que penser : "Ai-je fais quelque chose de mal ?", "Ai-je quelque chose sur celui-ci qui me défigure ?", "Que pense t'il de moi ?!..."Je continue à passer mes doigts dans votre chevelure, et renifle ceux ci..."Tu sens bon Ma Petite Chatte !" m'esclaffe ainsi.Je prends fermement cette crinière que j'avais coiffé de mes mains, et entreprends de t'amener sur le sofa.M'asseyant confortablement, je t'amène sur mes genoux, à la recherche de la meilleure pause pour épouser tes formes à mon corps.Je sens la chaleur t'envahir d'être traité de la sorte ; Car oui, tu avais été très sage aujourd'hui. Et tu ressentais l'envie qu'on te caresse ; Tu l'avais bien mérité.L'instant d'après ma main caressait instinctivement ton corps bouillonnant voulant se libérer à travers tes vêtements.Tu te lovais de plus en plus contre moi, et anticipait mes mouvements pour les ressentir plus vite.Je te relevais la tête pour contempler ta jolie petite bouille en proie à l'ivresse d'un câlin ardemment désiré... et je caressais ainsi ta gorge d'un air satisfait.Et là je te dis : "Huum... J'ai de la chance... tu es belle et soyeuse... à qui est cette petite chatte ?""Vous" me lui murmurais-je.Rougissant de honte d'avoir autant de plaisir à prononcer ce simple mot... je voulu me cacher dans ses bras puissants et pourtant si doux au touché.Je ne remarquais pas que mon bas ventre ondulait, tournoyait tel une chatte en chaleur.Mon Maître le vit aussitôt.Il entrepris de calmer mes ardeurs, voulant conserver cette sérénité de voluptueuses caresses.N'écoutant que mon corps, je ne pouvais m'arrêter...J'étais comme possédé par tant de plaisir !Voulant que cela cesse, je sentis sa main devenir plus ferme et me maintenir ma crinière.Je ne l'écoutais malheureusement plus, j'en voulais toujours plus... j'aimais tant être contre lui, sentir sa droiture et sa douceur qu'il m'accordait...Je me surprenais à lécher son cou, sa main, tout ce qui me passait à porté... je voulais qu'il continue...Ce désir me prenait au plus haut point, jamais auparavant je n'avais ressentit cela.Son regard changea immédiatement au vue de mes yeux emprunt de luxure...De son autre main, il m’asséna une violente claque sur mon cul.Cette vive douleur me fit tressaillir ! Mais je ne m'arrêtais pas pour autant...Il grommelait de me voir me trémousser comme la dernière des chattes venues.Une deuxième, puis une troisième claque ne se fit point attendre !A chaque coup je "jappais" de plaisir !Les coups devenant plus réguliers, je sentais mon cul devenir de plus en plus chaud au travers de mon pantalon.N'arrêtant pas pour autant, quelle ne fut pas ma surprise qu'il me prenne comme un fétu de paille... Me jetant sur le sofa, mon cul en arrière bougeant encore frénétiquement de derniers soubresauts !J'étais désarçonné de sentir mon pantalon voler aux 4 vents...Une légère brise parcourait maintenant mes fesses fraichement ouverte à la nature....Il pris mon cul à deux mains et stoppait mes mouvements.... Tant bien que mal, après un effort pour de nouveau avoir son attention ; Moi, Sa Petite Chatte désobéissante... je me figeais comme une statue attendant ma sentence."Miaou !" lui exprimait à son écoute."Miaou....""Mihaoooouu !""MIAAOOWW""Schtack !" ; Une violente claque cinglante me fit tomber de mon piédestal ! Une douleur d'une telle intensité que j'en avais la larme à l’œil !"REMET TOI EN POSITION !" Me dis je celui que j'avais choisis comme Maitre.Je le fit sans attendre./Schtack !Huummm ! ... (Ne manquant pas de me pincer les lèvres.... N'étant pas habitué à mêler douleur et plaisir, je ne pouvais que m'y contraindre, et ça je savais le faire.)De nombreux coups m'étaient assenés ; Moi, Sa petite Chatte.J'étais fier de ne pas bouger.Je voulais qu'il me garde pour ce que je suis, et pour ce qu'il me procure.L'aimer en retour n'en était que plus simple pour moi... Bizarrement !Quelle ne fut pas ma surprise de ressentir sa langue parcourir mes fesses et mon entrejambe, encore chaude de ma punition.Je voulue miauler de plus belle, et ce fut très dur de me contenir.S'arrêtant net, il se vautra prêt de moi sur le sofa... avec ni plus ni moins qu'un soupir de soulagement d'avoir œuvré pour son bien être. Me laissant moi et mon cul ouvert et chancelant.N'écoutant que ma douceur, et ma nouvelle aspiration, je me lovais de nouveau sur ses genoux... Voulant m'endormir par de tels soins envers moi.ZZZzzzZZZ
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01
Talons hauts et talons aiguilles.
La démarche est incertaine.
– Elle tremble sur ses bases ?
– Regardez-la marcher… Terriblement femme et femelle… Le mollet galbé…
Elle dit :
– Imaginez ma fente en haut des cuisses.
Le regard et les mains remontent. Sous la jupe.
Qu’elle soit troussée !
Il le faut.
Pute qui plie. Penchée. Cambrée.
– Bien à plat le dos ! Les reins cambrés ! Fais saillir ta croupe !
Et les mains de l’homme volent et dessinent sa croupe, l’habillent de leur prise. L’enveloppent. La malaxent. La broient. Elles s’approprient la croupe et la fendent.
– Femelle fendue.
Il ouvre son joufflu. Ecarte ses cuisses. Travaille sa chatte pour faire bailler son con. Ecarte violemment ses fesses. Avec ses doigts distend son trou.
– Femelle ouverte.
Il dit et commente à haute voix.
Il expose, il montre.
Il la réduit à n’être rien.
Béances qui béent.
Ce vide.
02
Talons hauts et talons aiguilles.
– Regardez-la marcher.
Elle vacille. La démarche est incertaine.
– Va-t-elle tomber ?
Dans l’attente et l’effroi de la voir choir. La voir tomber. Au sol. Humiliée. Dans l’humiliation de la chute.
Les bas griffés, déchirés par le sol rude.
Dans le délabrement.
– Pauvre petite chose.
– Elle fait pitié.
– Quelle se traîne !
– Lamentablement… Qu’elle se traîne au sol. Et rampe. Suffoquant. Sous le choc de la chute. Elle est tombée.
– Une femme qui tombe…
– La peau des mains meurtries par le sol trop rude…
– En lambeaux, les bas !
– Et la courte jupe plissée remontée qui dévoile les cuisses…
– Le peau blanche et laiteuse où s’incruste le porte-jarretelles noir…
– Elle est très belle.
– Emouvante… La tête baissée. Elle cache sa honte.
– Et nous montre sa fente… Son intimité. L’absence de ses dessous.
– Nous sommes déjà dans son ventre.
– Sur son dos.
– C’est une pute !
– Elle va pleurer.
03
Talons hauts et talons aiguilles.
Elle marche. Sous le regard.
D’une démarche incertaine. Elle en tremble. D’être ainsi matée ? Sous la caresse du regard. Qui la frôle. Comme la lanière du fouet. Ou celles du martinet.
Elle en tremble. D’être ainsi traitée.
Devoir marcher.
En sachant ce qui l’attend.
Ce qu’il attend d’elle. Ce qu’elle craint. Redoute.
La voir tomber. La corriger.
Elle marche.
Sans savoir. Ce qu’elle doit faire. Ni où aller.
Elle marche.
Instable sur les talons trop hauts. Trop fins. Qui l’obligent à se maintenir. Trouver le point d’équilibre pour éviter la chute.
Elle marche.
Sous le regard du salaud qui la mate. Qui attend. De la voir tomber.
Elle marche.
Comme une salope qu’elle est. Obéissante et docile. Tente de rester droite. La tête levée. Les reins cambrés. Pour lui offrir ce spectacle. D’elle qui souffre.
Avant la chute.
04
Talons hauts et talons aiguilles.
Elle doit marcher. Sous son regard. Etre matée. Vaciller. Faire cet effort. Pour se maintenir. Avant la chute.
C’est une épreuve. Qu’il lui impose.
Il veut la voir.
Voir son visage crispé. Déformé. Par la lutte. La tension, l’effort. L’angoisse. Pour éviter la chute.
– Regardez-la.
Parce qu’ils sont deux. A l’observer.
Son Maître. Et cet autre. Qu’elle ne connaît pas. Son complice. Son double.
Ils la regardent et ils commentent. La fustigent de mots qui la saisissent. Et la font vaciller.
Non ! Ils ne lui font pas de cadeau. Ils se moquent d’elle. Ils l’humilient.
Ils se glissent déjà entre ses cuisses ouvertes par la chute. Sous sa jupe relevée. Ils l’ouvrent, ils l’explorent, ils la fouillent. Ils font d’elle ce corps livré. La relève, la soulève, la penche, la plie, la ploie : pour la corriger.
La fesser. Fort. Rudement. Durement. La corriger. A mains nues. A tour de bras. Chacun son tour. Se la repassant. Pauvre petite chose ! La maintenant d’un bras, d’une main, pour la frapper de l’autre. Il le faut.
Essoufflés.
Reprenant leur souffle tandis que l’autre frappe.
Ils recommencent.
Jusqu’à n’en plus pouvoir. Parce que la main leur fait mal. Trop cuisante, leur paume.
Ils en rient.
Devant son derrière rougi.
Ils en rient.
Contemplant son joufflu rouge. Où le sang affleure. La peau bleuit.
Ils la lâchent où elle s’écroule.
A même le sol.
Ils l’abandonnent.
05
Talons hauts et talons aiguilles.
Elle doit marcher. Sur ces talons trop hauts.
Elle doit souffrir. Pour lui.
Se tordre les pieds. Avoir l’air maladroite. Etre ridicule.
Il l’humilie.
Il la fait marcher pour la voir tomber.
Il veut la voir : fièrement dressée : malgré tout.
Il la veut voir. Sa fière allure.
Voir sur son visage la lutte. Qu’elle doit mener contre elle-même. Pour avancer. Cette épreuve qu’il lui impose. Qu’elle prenne ce risque. Le redoute. L’assume.
Qu’elle soit elle-même. Femme, femelle, salope et pute. Fièrement dressée.
Qu’elle soit fière de ce qu’il impose.
Fière parce qu’il la dresse.
Il l’humilie.
Il la fustige.
Il la rabaisse.
Il la souille.
Il la réduit à son corps.
Il la ramène à lui, l’attrape, la cueille, la colle contre son ventre, tout le visage, écrasée par sa main sur sa nuque. Il la tient.
« Il la tient ».
Il la surveille, l’observe. L’interroge. La confesse. La fouille.
« Tu n’auras plus d’intimité ».
Il la regarde pisser et chier.
Il contrôle son souffle.
Il étrangle.
Il la laisse assise, cuisses écartées et chatte qu’elle doit maintenir ouverte avec ses mains. Il la laisse assise là, comme ça, dans le salon où il passe et repasse, vaque. S’y assoit pour lire. Sans lui parler. Sans la mater. La voit-il seulement ? Il fait d’elle un meuble, une décoration.
06
Talons hauts et talons aiguilles.
Elle cherche son souffle. Court. Sous la tension, sous l’émotion. Le ventre noué. Prostrée. Dans le désir de se laisser tomber. Au sol. Se recroqueviller. S’enlacer. Dans ses bras se lover. Se protéger. Disparaître. Au sol. S’y enfoncer.
Parce que c’est trop dur. Trop dur.
Cette épreuve, ces épreuves. Qu’il lui impose.
Elle s’abandonne.
Marche.
Comme une somnambule.
Sous l’emprise.
Elle en transpire.
Se laisse aller. Déconnectée. Se laisse porter. Par ses jambes qui avancent. En mode automatique. Malgré elle. Il y a longtemps qu’elle a arrêté de penser.
Dans cet état d’extase. Où elle flotte. Avance.
– Elle est bonne.
– Oui, elle est très bonne. Elle mollit. Elle souffre. Elle s’offre. Elle est bonne à baiser.
– Bonne à prendre. A être réveillée. Par les coups de queue. Révélée.
– Qu’elle soit révélée à elle-même par le plaisir et la jouissance.
– Dans les halètements, les gémissements, les râles du plaisir…
– Tenez-la.
– Prenez-la.
– Baisez-la.
– Violemment.
– Rudement.
– Sévèrement.
– Qu’elle soit cette chose qu’on utilise, qu’on fout.
– Qu’elle en prenne plein le cul et le con.
– Elle est là pour ça.
07
Talons hauts et talons aiguilles.
Parce qu’elle est très belle, elle doit marcher. Devant lui. Elle doit marcher. Se faire mater.
Marcher dans l’obscénité. La vulgarité. Sous son regard.
Dans son indécence.
Comme une pute fière et snob.
Femme fatale.
Fatalement femme et femelle et chienne qui mouille dans le désir de se faire mettre. Dans le désir de sentir le mâle sur son dos. Le mâle qui l’ouvre, l’investit, la fouille. La couvre, la prend pour son plaisir.
– Docile, elle obéit.
– Alors, elle marche…
Dans cette attente. Cette tension.
Tenue par la chaîne invisible qui la lie à l’homme qui la tient. Elle marche. Pour en être fière.
Pour le satisfaire.
Obéir à ses caprices.
Sur ses talons trop hauts, elle marche.
Dans la fange.
Là où il la mène.
Pour la salir, la souiller.
La voir se rouler dans la fange.
Comme une bête, comme un animal.
Ce n’est pas un caprice.
Mais la faire advenir. La faire naître. Renaître. Etre enfin ce qu’elle est. Cette bête. Ce corps fendu. Qui souffre.
Il veut voir son dedans.
Et lui faire rendre gorge.
La faire vomir.
Toutes ses tripes.
Dans son poing il la broie.
Il la tient.
Jusque là.
08
– C’est une scène primitive, dit-il.
– Oui.
– Une femme marche. Sur des talons trop hauts. Elle doit choir.
– Paradoxe de cette verticalité, de cette fierté. Dans la beauté. Et la chute. Elle doit choir. Dans la beauté de la chute de la beauté.
– Tomber de haut.
– S’étaler. S’affaler.
– Dans la bassesse.
– Se rouler dans les ordures, dans la fange.
– Abandonner toute fierté.
– Toute pudeur.
– Toute féminité sociale affichée : les bas lacérés, déchirés, la jupe troussée.
– Dans la honte et la douleur de la chute.
– Toute honte bue.
– Elle pleure.
– Le rimmel coule.
– Elle est vraiment très belle.
– Emouvante.
– Elle me fait bander.
– C’est une image ?
– Une réalité.
– Un sacrifice rituel.
09
Talons hauts et talons aiguilles.
Elle marche. Elle doit marcher. Sur des talons trop hauts, trop fins. Elle vacille. Elle en tremble. D’effroi. Dans la crainte de tomber.
Elle marche.
Haut perchée.
Elle marche.
Sous le regard.
De l’homme qui la tient. Sous son regard. Dans ses mots. Sous sa main. Qui la fustige, la caresse. La tient. Debout. Fièrement dressée.
Il la fait avancer.
C’est une épreuve. Qu’il lui impose. Elle ne peut s’y dérober.
Alors elle marche.
Sans savoir. Lutte. Pour ne pas tomber.
Le ventre noué. Crispé par la tension, l’effort.
Elle marche honteuse d’être observée. Mal à l’aise. Inquiète. Ne voulant pas le décevoir. Mais rassurée par son regard. Parce qu’elle lui obéit. Parce qu’elle marche pour lui. Elle en est fière. Et se redresse. Pour le satisfaire. Elle attend les coups. Les caresses, les coups.
Quand il la prendra, la ramassera, la recueillera.
Il la battra.
Elle l’imagine. Le redoute. Le désire. Le craint. L’espère. L’attend.
Etre l’objet de tous ses soins.
Alors elle marche. Redresse la tête et tend le dos. Le regard droit devant elle. Elle creuse les reins. Parce qu’elle sait qu’il la veut putain. Qu’il veut voir saillir sa croupe.
Elle avance de sa démarche incertaine et vacillante. Elle avance sur ses jambes qui tremblent. Elle redoute la chute.
Le moment terrible où elle va s’affaler.
Tomber.
Brutalement au sol.
Etre ridicule.
Se faire mal aux mains d’avoir, dans un geste réflexe, tenté d’amortir la chute.
Voir ses bas déchirés.
Sa jupe troussée qui dévoilent ses cuisses. Son intimité.
Pleurer de honte.
Se savoir affreuse sous les larmes qui brouillent son visage, sa beauté.
Vulnérable.
Pauvre petite chose affalée au sol.
Alors elle marche.
Sur ses talons trop hauts.
09bis
Dans l’acceptation de ce que nous sommes.
D’être des corps qui pensent, souffrent et jouissent.
Qui jouissent de souffrir et y pensent. Qui font souffrir et en jouissent. Etc.
Je la tiens et je lui fais mal.
Je la tiens dans la douleur. Quand ma main presse sa cuisse… jusqu’à lui faire un bleu. Enorme. Qui s’étale au fil des jours. Quand mes doigts écrasent son téton jusqu’à la faire hurler…
Je la tiens quand je broie sa chatte. Quand je la ferme brutalement dans mon poing. Quand je fustige ou bats sa vulve. Quand je remplis son con de ma queue ou de ma main.
C’est physique !
Sensuel… dégueulasse… très intello !
Il y a sa mouille qui coule et que j’étale.
Mon foutre sèche entre ses cuisses.
« Tu ne te laveras pas ».
Je la tiens dans l’abnégation.
Dans l’humiliation.
L’abandon jusqu’à la négation de soi.
Avec elle, je me roule dans la fange : je pisse dans son cul et dans sa bouche.
Devant moi, elle est vulnérable et toujours nue.
Elle n’a aucune intimité.
Je la remplis et elle se vide.
Elle chie. Elle vomit.
Et j’aime la voir vêtue pour la débrailler, la délabrer : moralement et physiquement.
J’aime la voir parce qu’elle est belle.
Intrinsèquement belle et redoutable dans sa beauté et sa fierté. Dans sa féminité de femelle femme assumée : je la bafoue, je la bats.
Je lui crache au visage. Je la gifle.
J’assume.
C’est notre liberté.
Dans l’acceptation de ce que nous sommes.
Au corps à corps comme des bêtes.
Je la fais filer doux.
Je lui impose ma loi.
Avec moi, elle marche droit.
Et après ?
Après, nous buvons un verre et rions.
Nous parlons de Bataille et de pinces à linge.
Je lui fais un cours sur Hubert Robert, Sade et Lautréamont.
Je lui dis « montre-moi ta chatte de putain ».
Nous marchons dans Paris sous la pluie (image très romantique et fausse).
Je lui dis « ouvre la bouche, je veux voir ta langue ».
Je lui dis « je prépare le repas» (histoire vraie).
Et je l’habille dans un sac poubelle pour la faire dîner.
(Orange m’informe pat texto que ma facture mobile du 05/10/2015 est disponible et que le montant de 24,99 sera prélevé le 16/10/2015 (connex.gratuite))
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"Je vais te faire mal petite chienne"
je ne peux répondre, mon attention est prise par cette voiture qui ne cesse de freiner..
Je le mérite de toute façon..
Au bout de 20 minutes interminables de "touche touche" je retrouve l'autoroute, et tente de rattraper tout ce retard..
Il est quasiment 22h, je trouve son hôtel, me gare, arrange ma robe pour cacher mes bas.. le parking est plein..
Rejoins sa chambre que je cherche.. trouve l'escalier qui mène à l'étage en dessous..
Je ne comprends pas l'endroit, mais je perçois un homme, en costume, assis dehors..
C'est lui..
je m'arrête nette.
Je le regarde.. Beau comme un Dieu... L 'air sérieux imperturbable. Me fixe et fume sa cigarette..
Je suis heureuse.. Mais j'ai peur..
Descends l'escalier.. et marche à lui sans pouvoir le regarder..
Je ne note aucune réaction de sa part, pose mes lèvres timidement sur les siennes, en demandant poliment comment il va, et me tord un..
"Non, je suis très énervé"
Fuyant son regard noir, je n'arrive pas à le jauger.
Je pose mes affaires, fume et me perd en regardant cette Lune si claire..
Il éteint sa cigarette, ne dit rien et rejoins sa chambre, je le suit..
Me fais entrer, pose mes affaires au sol.
Il me gifle sévèrement, me pousse sur le lit, saisit mon écharpe qu'il serre encore plus.
Vérifie mon décolleté, me gifle à nouveau, tire et pince fort le bout de mon sein, observant ma souffrance,
Me relève, saisit mes cheveux, m'embrasse passionnément..
il s'assoit sur le lit et me prend dans ses bras..
à cet instant c'est l' ivresse, des frissons me parcourent sans discontinuer..
Je le respire, le touche.. j'ai tellement envie de le serrer que je crains de le blesser...
Des larmes montent en le sentant lui aussi m'étreindre comme un fou..
Sa bouche est délicieuse.
Mon Dominant, retire ma veste, mon écharpe et m'agenouille à ses pieds, me fait avancer un peu plus loin et me somme de ne pas bouger.
Obéissante, je patiente dans ma position d'animal.
Il attache la laisse à mon collier que j'avais au préalable mis avant de partir,
Divin relève ma robe à la taille, châtie sa chienne de sa longe de cuir,
Le coup et le claquement m'excite profondément, tête baissée je reçois mes punitions
Ses doigts me fouille, j'adore ça, j'en veux plus
"tu mouilles ma Salope"
Il s'arrête me place tout près de son visage, empoigne mes cheveux
"Alors comme ça tu voulais que je te paie pour te baiser?"
j'hoche un oui de la tête malgré ses mains ferment qui me tiennent
"tu crois que je vais te payer pour te voir et te baiser salope? Réponds."
- C'était de la provocation Maître
- Tu as trouvé que ça? Tu te sent toute merdeuse là?... Alors écoute moi bien. Tu es ma pute.. A moi, je paie pas pour te baiser. Je serai ton proxénète. D'accord? Tu crois que tu vaut combien?"
Je ne tiens pas à répondre..
" 600 euros .. Pffff...Tu vaut beaucoup plus que ça."
Une claque ponctue son avertissement, il me relâche, place ma tête baissée,
"Ne bouge pas."
Je devine qu'il cherche ses subsidiaires.
Ses mains me cambre, je n'arrive pas à décrire ce qu'il fait..Mon désir monte et s'impatiente.. Je comprends qu'une pointe parcoure mon derrière, à l'odeur, c'est un marqueur..
Que je sais indélébile.. Il s'affaire silencieux. Se plaçant maintenant devant il écrit aussi au dessus de mes seins, patiemment.
"Tu sais ce qu'il y a de marqué sur ton cul ma chienne?"
- Non Maître
- MA PUTE. Et là?
Je baisse la tête, devine des lettres capitales, mais ne vois pas son inscription.
" CHIENNE parce que c'est que tu es. C'est ici qu'est ta place. Au pied de son Maître marquée comme une pute."
Mon désir s'attise. J'aime tellement celle que je suis à cet instant.
Mon acquéreur honore mon visage de son crachat, qu'il prend plaisir à étaler.
il cambre son animal pour lire fièrement son marquage seins tendus, qu'il caresse divinement.
Maître s'introduit dans ma bouche pour se faire sucer, retire ma main qui prenait appuis sur le lit afin d'éviter le moindre confort, et décide même quelques secondes après de m'entraver.
Mains jointes dans le dos, bras tendues.
"Lèche mes pieds."
Je me soumet, et baise ses pieds ainsi, chiennement positionnée, totalement enflammée..
je le lèche sensuellement, langoureusement, longuement.. ses soupirs m'encourage...
"Que c'est bon de te voir comme ça, marquée, à mes pieds. Lèche encore."
Comme un accessoire il baise encore mon couloir, me bifle de sa belle queue tendue...
Me doigte, mon plaisir est intense, il me fait couler sans difficulté, et sent ma liqueur se répandre sur sa main et le long de mes cuisses...
Il insère ses doigts trempés dans ma bouche pour me faire gouter sa victoire..
Au sol, je découvre ma flaque. Mon Beau, Mon Maître sait m'assouvir.
"Vas nous servir le champagne"
Domestiquée, je le sert.. Nous échangeons un peu le temps de cette pause, courte, car à nouveau ma bouche couronne sa verge longuement, et y prends un plaisir divin.
Il me retourne, et caresse mon dos de son fouet...
Le pose lourdement sur l'épaule, les lanières froides glissent jusqu'au bas des reins..
J'en frissonne, cela m'excite terriblement.
Ses coups se précisent, plus sévères.. je sursaute et gémis, il me visite de ses doigts
"Mais tu coules petite chienne. Ecarte."
A présent sa cravache tapote entre mes cuisses pour disposer d'une vue plus explicite
Et corrige Sa Pute
Ses coups sont impitoyables, cinglants, strict, il frappe aux mêmes endroits.. J'ai mal, mais exulte..
Le bruit du souffle, le claquement de sa badine, la douleur que Maître m'afflige, m'honore parfaitement..
Je ne veux pas qu'il s'arrête.. J'aime ma pénitence.. J'aime qu'il m'offense;
Sadique poursuit ses châtiments en me placant, debout, face au mur, cambrée au maximum.
Me prends soudainement, le sent merveilleusement bien, glisse en moi, et me baise comme il aime.. Violement.
Comme une Salope, je me cambre plus, croise les jambes et me tord pour jouir sur ces assauts..
Il me prend aussi contre la fenêtre rideaux fermés, petite perverse espère qu'on la voit, qu'on l'entende
Il bande fort.. je la sent presque totalement, continue et me pénètre profondément, par derrière sur le lit, il me fait mal, son sexe majestueux me charge, je tente de m'avancer pour qu'il me prenne moi loin..
Bel gueule est pris d'une bestialité sans pareil et ne me laisse pas la moindre chance de m'échapper.. Mes cris ne le freine pas et me baise comme il veut.
Je le supplie d'arrêter, mais sa main étouffe mes supplications, mes cris.
Me prend. De force.
Il n'en a pas terminé; Il me retourne, met mes jambes tendues écartées pour en découdre. Son sexe est raidit au possible, il me baise aussi fort et jouit.
Mourant sur mon corps..
Son ultime plaisir, vider le préservatif sur mon buste, et fait lécher tout son foutre à sa chienne.
Irréelle.. Nous reprenons doucement nos esprits
Un instant complice, tendre que j'affectionne tant se perpétue.. Je ne sais pas qu'elle heure il est mais je dois m'inquiéter de rentrer..
Je n'en ai aucune envie, nous fumons, buvons, bavardons..
Mais je reste totalement surprise car Maître retrouve toute sa vigueur, et ne tarde pas à empoigner mes cheveux pour lui la sucer..
Dévouée, obéissante je m'y attèle.. il bande aussi fort qu'il y a quelques minutes, j'ai peine à l'avoir entièrement dans ma gorge, mais il me force, me garde contre lui, je bave beaucoup..j'étouffe, parviens à respirer.. mais très peu de répit.. Au bord du vomissement
Il décide de la cadence... baise ma bouche très fort et profondément, il ne me laisse toujours pas respirer, et parviens rapidement à me pencher pour vomir au sol..
Il exulte, et je suis totalement humiliée; Cela l'excite vraiment, il me replace, et se fait sucer à nouveau
"Tu veux boire?"
- Oui Maître.
Bouche ouverte, j'attends mon cadeau... Je l'admire..
Ainsi fièrement sa semence jaillit.
Et ne lui laisse rien avant de tout avaler..
Il est 1h30 du matin.. je n'ai aucune envie de partir.. mais finis par disparaître péniblement..
extrait http://carnetdebordduneputain.unblog.fr/
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Un autre jour, un autre fantasme. Ces vacances étaient un bonheur dont j'espérais, tout en sachant que c'était impossible, qu'il ne finisse pas. Le nouveau tour qu'avait pris ma relation avec Iska m'enchantait. C'était libérateur pour moi de lui montrer cette facette de ma personnalité, et cela rendait notre vie sexuelle bien plus intéressante.
Je songeais aux autres... quand ils la voyaient passer dans une rue, pouvaient-ils s'imaginer ? Ils la voyaient, plutôt grande pour une femme, ses cheveux blonds foncés tombant en-dessous de ses épaules et se bouclant légèrement. Ils voyaient son nez mutin, sa bouche pulpeuse et invitante. Ils voyaient un air fier sur son visage parfait aux pommettes hautes, et une lueur de défi dans ses yeux noisette. Et ils apercevaient aussi, sous une robe élégante, la courbure d'un sein plein et ferme qui donnait envie de le pétrir. Enfin, ils voyaient le dessin de ses fesses en forme de cœur, s'élargissant légèrement en-dessous de sa taille. Ceux qui la regardaient voyaient tout cela, mais pouvaient-ils imaginer que quelqu'un puisse se saisir d'une créature aussi gracieuse ? Pouvaient-ils imaginer à quel point elle se soumettait, et surtout à quel point elle se plaisait dans la soumission, quand ils la voyaient passer, presque hautaine ? Ce contraste me ravissait.
La journée se passa dans la douceur, en amoureux. Et vint le soir, comme une promesse de débauche. Je souhaitais profiter de ma soumise d'une nouvelle façon.
Iska profitait de la fraîcheur du soir, allongée sur une chaise longue, dans une nuisette rouge qui ne cachait pas grand-chose de son corps magnifique. Me voyant arriver, elle se leva puis vint lascivement vers moi.
- Qu'avez-vous prévu pour moi ce soir, maître ? me susurra-t-elle à l'oreille.
- Tu le verras bien assez tôt... en attendant, suis-moi.
Nous rentrâmes dans la villa, vers notre chambre. Je retirai la nuisette de Iska pour admirer ses formes, et lui dis de me déshabiller. Elle retira ma chemise, déboucla mon pantalon et le fit glisser. Puis, elle en vint à mon caleçon. Elle le fit descendre quelque peu, puis s'attarda sur le renflement qui grandissait au centre, me caressant à travers le tissu. Ses mains glissaient légèrement, elle me massait sans chercher à se saisir de ma queue. Enfin, à genoux devant moi, sa tête si proche que je sentais son souffle léger à travers le tissu, elle fit tomber à mes pieds mon sous-vêtement.
J'étais déjà excité, à demi érigé. Iska approcha sa bouche tentatrice de mon sexe, mais je saisis son visage d'une main et l'arrêtai.
- Pas encore, très chère. Me sucer est un privilège qui se mérite.
Je la vis qui me lançait un regard mi-déçu, mi-défiant. Je ne pouvais pas résister à cet air rebelle. Je la fis se mettre à genoux sur le lit, me présentant ses fesses parfaites, le dos arqué. Je voulais jouer un peu avec elle avant de passer au plat de résistance de cette soirée.
Je caressai son cul, ferme et blanc. Et la fessai à plusieurs reprises du plat de la main, juste assez fort pour la faire frémir. Elle poussait à chaque fois un petit gémissement, d'excitation plus que de douleur. En bonne soumise, elle savait aussi que cela plaisait à son maître. Ensuite, je passai deux doigts le long de sa fente humide, de haut en bas, pour l'exciter un peu. Je les plongeai à l'intérieur et la doigta un court moment. Iska soupirait doucement de plaisir. Puis, je me mis à doigter son cul. Iska frémit, comme toujours, quand j'introduisis mes doigts dans son petit trou étroit. Précédemment lubrifiés par sa chatte, ils n'eurent pas de mal à entrer puis aller et venir en elle. Je continuai un moment, j'aimais jouer avec le cul de ma soumise, que j'adorais. Iska était franchement excitée, à en juger par ses petits bruits de plaisir qui se faisaient plus forts. Mais je ne voulais pas qu'elle jouisse tout de suite. Je retirai mes doigts de son petit trou.
Je saisis Iska à la taille et la fit pivoter pour qu'elle soit allongée sur le dos, ses jambes dépassant un peu du lit. Je pris dans mes mains un peu d'une huile de massage légère et commençai à en enduire ses pieds délicats.
Iska, les joues rosies par son excitation, ne comprenait pas:
- Maître ? Que... que faites-vous ? Je pensais que vous voudriez jouir dans mes fesses ce soir.
- Non, soumise, pas ce soir. Mais ton enthousiasme nouveau pour la sodomie, petite salope, ne sera pas oublié. Pour l'instant, je souhaite jouir grâce à une partie de ton corps que je n'ai pas employée jusqu'ici. Je m'en voudrais de ne pas utiliser une chienne comme toi à son plein potentiel. Non, ce soir, tu vas me faire jouir avec tes pieds.
Ma soumise avait un air intrigué sur le visage. Il s'agissait finalement d'un petit défi que lui adressait son maître. Elle se redressa légèrement sur ses coudes pour mieux voir, ce qui en retour me donna une vue superbe sur ses beaux seins, qui pointaient. Je finis de masser tendrement ses pieds, maintenant bien huilés.
Iska était quelque peu malhabile, faute d'expérience, mais trouva rapidement la technique. Elle commença par enserrer ma queue entre les paumes de ses deux pieds. Puis, elle entama un mouvement régulier d'avant en arrière. J'étais très excité; le plaisir était différent, comparé à ses mains, plus irrégulier, mais cette irrégularité était largement compensée par l'acte en lui-même. Je frémissais sous ses caresses, sentant sa peau fine masser mon membre et l'enduire davantage d'huile à chaque mouvement.
Iska continua un temps, puis se mit à caresser le dessus de ma queue avec la plante d'un pied, tandis que l'autre caressait délicatement mes bourses par dessous. Elle jouait avec mes couilles; les effleurant et les pressant gentiment. Ensuite, elle plaça ce pied entre mon dard et mes couilles, et continua ses caresses. La stimulation était délicieuse. Iska faisait de son mieux pour envelopper ma queue avec ses pieds, tout en passant régulièrement sur mes bourses qui se remplissaient et durcissaient. Avec un pied, elle plaqua ma queue contre mon ventre et se mit à me branler ainsi, passant son pied le long de mon membre dressé à la verticale.
Mon excitation grandissait et le plaisir s'accumulait en moi. Je la fis cesser et se tourner sur un côté. Je m'allongeai ensuite sur le lit, ma tête au niveau de ses fesses, et ma queue au niveau de ses pieds. Elle reprit sa branlette et je me mis à lécher son con humide. Ma queue était prise entre les plantes de ses pieds qui allaient et venaient de plus en plus vite autour d'elle. Iska s'appliquait à me satisfaire tout en profitant de ma langue. Elle agrippait ses seins pour augmenter son plaisir, jouant avec ses tétons, et poussant de petits soupirs.
Bientôt je ne pus plus tenir. Je jouis dans un râle rauque sous ses caresses, couvrant ses pieds de sperme. Ivre de plaisir, j'avançais mon bassin comme pour baiser ses pieds, pour ne pas perdre une miette du moment. L'excitation un peu retombée, j'avançai sur le lit et enlaçai Iska, ma tête dans le creux de son cou. Elle pouvait sentir ma queue pas encore débandée frotter contre sa chatte et ses fesses, et cela lui plaisait, à en juger par l'humidité de son intimité.
Iska mouillait abondamment et facilement et j'adorais cela. Ce détail avait du potentiel, il ouvrait la porte à de nombreux fantasmes. Par exemple, comme je l'avais déjà fait, la bâillonner avec une culotte trempée de son excitation... ou lui faire porter un pantalon blanc, sans sous-vêtement, puis la faire mouiller et l'humilier dans un lieu public...
Je cessai mes rêveries pour en revenir à l'instant présent:
- Tu es très douée, pour une débutante en footjob, ma chère soumise. Tu as mérité une petite récompense.
Iska ronronna de plaisir et se mit à frotter son cul contre ma queue. Ma petite chienne voulait être pénétrée. A sa déception, je me décollai d'elle, me redressai et lui fit écarter les jambes. Je me remis à lécher sa chatte lisse et rasée, de bas en haut, passant partout avec ma langue. Je titillai son clitoris, le chatouillai de ma langue, puis m'interrompis pour déposer quelques baisers légers sur son sexe et ses grandes lèvres. Elles étaient légèrement écartées, comme en corolle, autour de son intimité.
Je ne laissais pas Iska jouir et cessai mon cunnilingus en la laissant insatisfaite et légèrement boudeuse. Mais l'orgasme est pour la soumise une récompense qui doit se mériter. Je quittai le lit et me mit debout, face à elle. Elle était toujours allongée, jambes écartées, sa chatte luisante d'humidité. Une main était crispée sur son sein, l'autre passait avec agitation le long de sa cuisse. L'approche de cet jouissance que je lui refusais la tourmentait. Elle aurait voulu se caresser pour en finir mais elle savait bien que je le lui refuserais.
- Nettoie ma queue, soumise, lui fis-je d'un ton impérieux.
En effet, mon membre était toujours couvert d'un mélange d'huile de massage et de foutre. Iska s'agenouilla devant moi, et se mit au travail. Avec application, elle commença à lécher ma queue, de tous les côtés. Toujours appliquée, elle caressait mes bourses avec une main. Puis elle me prit dans sa bouche, essayant d'aller le plus loin possible. Elle me regardait droit dans les yeux, lascivement. Ma chienne était une experte de la pipe, mais je ne voulais pas me laisser aller tout de suite.
- Présente-moi ton cul, soumise.
- Oui, maître. Iska prononça ces mots langoureusement tout en se tournant, et dressa fesses en l'air. Elle les remuait légèrement, pleine de désir.
Ne me faisant pas prier, je pénétrai sans difficulté dans son con bien lubrifié et accueillant. Iska gémit. Je me collai contre elle, l'empalant de toute ma longueur. Je restai un moment immobile puis l'agrippai aux hanches, et me mis à la baiser. Je la possédais complètement, je la prenais puissamment, lui faisant sentir qu'elle était mienne. Ma queue remplissait agréablement sa chatte délicate, maintenant légèrement dilatée. Iska gémissait à chaque coup de mon bassin vers l'avant.
- Oh oui maître continuez, baisez-moi comme la catin que je suis, prenez-moi, remplissez-moi. Merci maître de posséder ma chatte, je suis votre jouet !
Les paroles salaces de Iska, qu'elle prononçait alors qu'elle était face contre terre et les fesses indécemment exposées, ajoutées à la tendre étroitesse de son con, faisaient monter en moi un feu brûlant. Je continuais de la limer, haletant. Ma queue était couverte de cyprine et de pré sperme et glissait avec un bruit mouillé dans et hors de la fente de ma soumise. Celle-ci était extatique et geignait continûment. Elle se cambrait au maximum, donnant à mes mains la meilleure prise sur sa taille, et me permettant de la fourrer au mieux. Sa chatte était exquise. Elle était maintenant bien ouverte par la pénétration, accueillant mon sexe dans sa chaleur satinée. Mes couilles claquaient parfois avec un petit bruit sec contre sa peau quand j'entrais en elle jusqu'à la garde. Je succombais à la douceur du puits d'amour de Iska...
Sentant que je ne tenais plus, je me retirai alors que nous étions sur le point de jouir ensemble.
Ma soumise comprit instinctivement. Elle se retourna à nouveau, posa une main sur mes bourses débordantes, les massant tendrement, et enroula l'autre autour de ma queue. Elle prit mon gland dans sa bouche, le titilla du bout de la langue, appréciant sa texture satinée et le goût de sa mouille. Elle me branla vivement et me fit jouir intensément, sans perdre une goutte de mon foutre. Sa bouche était scellée autour de mon membre, et sa main continuait de le branler et de le presser pour me vider complètement. Je gémissais de plaisir.
Iska cessa finalement de me sucer, et, se léchant les lèvres, leva vers moi des yeux implorants.
- Mon maître adoré, votre soumise vous prie de bien vouloir lui donner la permission de jouir. Oh, maître, vous m'avez prise à votre convenance, vous vous êtes répandu sur mes pieds et dans ma bouche, et vous m'avez tellement excitée. Je vous en supplie, permettez-moi de me caresser. Laissez votre salope d'esclave se toucher jusqu'à ce qu'elle jouisse.
- Je t'y autorise, ma petite pute. Allonge-toi sur le lit et masturbe-toi.
- Merci mon maître chéri, merci.
Iska ne se fit pas prier et s'étendit sur notre lit, les jambes bien écartées pour que je ne perde pas une miette du spectacle. Avidement, elle se fourra deux doigts dans la chatte, et avec son autre main, un doigt dans le cul. Cette putasserie me surprit; ma chienne semblait prendre goût au plaisir anal bien plus vite que je ne l'aurais pensé. Elle ne faisait même plus attention à moi, les yeux mi-clos, gémissante, elle se fourrait aussi vite qu'elle le pouvait. Son bassin était légèrement décollé du lit pour qu'elle puisse bien doigter son petit trou, et ses hanches ondulaient à mesure que l'orgasme se rapprochait. Ses doigts humides faisaient un bruit mouillé alors qu'elle se doigtait. Sa chatte était maintenant bien dilatée, ouverte. Iska y mit un autre doigt, elle voulait se sentir bien remplie.
Son petit trou, lui, semblait avoir gagné en souplesse... il se laissait pénétrer sans résistance, et visiblement, pour le plus grand plaisir de Iska. C'était très bien. Son cul était un parfait écrin pour ma queue, et bientôt, je l'espérais, ma soumise ne jurerait plus que par la sodomie. Cela tombait bien, car quand elle serait prête, ses fesses allaient devenir un terrain de jeux public. Je pensais par exemple la donner à fourrer à une dizaine de queues qui se succéderaient dans son cul... mais j'anticipais. En attendant, elle était là, bien occupée à se fourrer, au bord de l'orgasme. Et cette fois, elle savait qu'il ne lui échapperait plus. La cadence infernale de ses doigts finit par la satisfaire, et elle poussa un long gémissement de bonheur devant cette jouissance libératrice.
Je m'allongeai auprès d'elle et l'enlaçai, nos deux corps souillés de fluides collés l'un contre l'autre, dans l'extase qui suit l'amour. J'embrassais tendrement son cou, ma tête enfouie dans ses cheveux d'or.
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Madame rêve de jute
de cordes si longues
qu'elles courent sur son corps
que les brins affûtent
Madame rêve de liens
serpentins et rampants
d'une tension qui la maintient
Rêve de sifflement
de chanvre sillonnant
sa peau délicieusement
Madame rêve de caresses
et de lacets qui pressent
dansent et enlacent ses fesses
Madame rêve de plaisirs
élastiques, de sensualité lubrique
de murmures, de soupirs
Rêve de langueur
d'emprise et de vigueur
d'indomptables longueurs
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La porte se referma silencieusement derrière nous et nous nous trouvâmes plongés dans une pénombre dispensée par deux appliques se faisant face.
Devant moi, une lourde tenture de velours rouge qu'une fille aux seins annelés tenait entrouverte pour nous laisser le passage.
Je sentis alors mon ventre se nouer encore plus.
Une crispation tellement intense qu'elle en était douloureuse.
Pourtant ce n'était pas de l'appréhension à part, peut-être celle d'être incapable d'aller au bout de ce que nous avions décidé d'un commun accord.
Non, je n'avais pas peur.
Au contraire, c'était une sorte d'excitation d'une force incroyable qui prenait possession de tout mon être.
J'aimais cette sensation, cette sorte de brûlure violente et sauvage.
J'étais certaine que j'allais y puiser la force qui me permettrait de me dépasser et par la même occasion satisfaire Mon Maître.
J'avais attendu depuis si longtemps ce moment qu'il avait volontairement retardé afin de me maintenir en état de frustration de plus en plus grand.
Ce soir, grâce à lui, j'allais enfin pouvoir vivre l'un de mes plus forts fantasmes.
Ce soir, je ne serai plus qu'une soumise exhibée par celui que je m'étais choisi comme Maître.
Ce soir, j'allai lui offrir le contrôle total de mon corps.
Ce soir, tant que je n'aurai pas prononcé le safeword, il pourrait user de moi comme il l'entendrait.
Ne plus avoir rien à décider, perdre le contrôle de soi-même, s'en remettre entièrement à son Maître pour ne plus faire qu'un avec Lui, c'était là que résidait le secret.
Non, vraiment, je n'avais plus aucune crainte.
L'amour qui nous liait et la confiance réciproque que nous avions l'un envers l'autre me garantissaient que cette soirée ne serait, au final, que plaisir et jouissance.
C'est donc d'un pas assuré, confiante que Mon Maître fixa le mousqueton de la laisse à l'anneau de mon collier pour franchir la tenture derrière lui.
Le 27 septembre 2015 (fiction)
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Voici le jeu du portrait Québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr ! En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Sôleille », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir. Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (Le texte original est de WonderSalope.)
1. Ma plus grande frustration dans la vie, c'est la langue française. J'adore parler, j'adore écrire, j'adore les jeux de mots, les jolis mots... Mais je n'ai jamais réussi à écrire convenablement et je ne sais pas jouer avec les mots.
Manier la langue française est une des choses qui me plairait le plus d'apprendre.
2. Ma plus grande fierté c'est le fait d'avoir toujours tout surmonter seule, la tête haute en restant positive et en apprenant de mes erreurs.
3. Je parle beaucoup trop souvent sans réfléchir, je suis impulsive et entière, ce qui m'a valut autant de belles amitiés que de petits soucis...
4. J'écoute de la musique peut conventionnelle (du moins pour quelqu'un de mon âge).
5. Lorsque je venais d'avoir 17 ans et que j'aurais du être avec mes copines à me préoccuper de problèmes d'ado avec toute l'insouciante que ça implique, je donnais naissance à ma première fille.
6. L'endroit où je me sens le mieux, c'est en haute montagne, là où la trace de l'humain ne se voit pas. Je m'y rends aussi souvent que possible.
7. J'aime les livres, tourner les pages, apprendre, découvrir, me divertir. Je tiens à chaque livre de ma bibliothèque, que je classe minutieusement. .
8. J'ai un problème d'addiction. Je deviens addict à tout très facilement. Le sexe, le chocolat, la cigarette, les jeux, les sites BDSM...
9. Dès que l'ambiance est tendue au travail, je vais me toucher dans les toilettes pour pas me laisser atteindre par les mauvaises énergies.
10. Les énergies ont une grandes importances dans ma vie. Et je parle aux arbres, aux rochers et à tous ce qui est dans la nature.
10. J'ai divorcé jeune.
11. J'ai refait ma vie depuis 10 ans, mais je n'ai pas voulu me marier.
11. Je suis bordélique et absolument nul en ménage. Du coup je ne le fait jamais. Heureusement que j'ai un homme et 3 enfants dévouées.
12. Par contre je suis très maniaque avec le rangement de mes armoires et bibliothèque qui sont rangées et triées obsessionnellement.
13. Je ne supporte pas de ne rien faire, même pas 2 minutes. J'ai un sac à main pleins de choses pour s'occuper au cas ou je serais bloquée quelque part.
14. Mes instruments de musique préférés sont l'accordéon et le violon.
15. Le premier objet que j'ai introduits dans mon vagin après mes doigts, c'était un Ken dans un préservatif.
16. Je passe des heures à marcher, pour trouver des geocaches et pour me ressourcer.
17. J'adore jouer au poker et être la seule femme autour de la table (surtout quand je gagne).
18. Je vais au théâtre au moins une fois par mois avec mes enfants. c'est le loisir que je préfère faire en famille.
19. J'emmène mes enfants individuellement dans les parcs d'attraction en prétextant que c'est pour qu'ils puissent plus profiter mais c'est juste pour que moi je puisse y aller 3 fois plus
20. Je voudrais savoir à partir de quel stade la douleur n'est plus un plaisir.
21. Je ne ment jamais (sauf en cas d'extrême nécessité). Je ne supporte pas de faire quelque chose de mal. Je m'applique à éviter de mettre des mauvaises énergies autour de moi.
22. Je considère mes erreurs comme des bénédictions qui m'ont appris à devenir meilleure, à comprendre la vie, à devenir plus forte et à grandir, tout simplement.
23. J'écris un roman érotique. Mais c'est long vu mes lacunes en Français (je passe des heures sur la correction).
24. Mon humeur est dépendante de ma vie sexuelle.
Mais également des saisons. En hiver je suis facilement déprimée alors que l'été je suis toujours en pleine forme.
25. J'ai passé ma vie à me prouver à moi même que je suis quelqu'un de bien, j'ai réussi presque tout ce que j'ai entrepris, je suis vraiment fière de ce que j'ai accompli jusque là... pourtant je manque cruellement de confiance en moi et je me dévalorise en permanence. Je me trouve jamais assez bien.
26. J'adore construire des cabanes dans la forêt avec mes enfants et courir dans les champs avec eux.
27. J'ai des serpents et j'adore les araignées.
28. Je ne mange presque pas de viande et quand j'en mange, je vais la chercher à la ferme. Je ne produis presque pas de déchets et je consomme quasiment que local.
29. Dans le train, je regarde les gens et j'essaie de m'imaginer quelle vie sexuelle ils ont et depuis quand ils n'ont pas baisé.
30. Je ne regarde la télé que pour regarder des reportages ou du porno.
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
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1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Thutale »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »,
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
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Bonjour ma belle salope
Je me suis réveillée ce matin avec une très forte envie de ton cul offert et aucune envie d'aller travailler.
Je reste donc chez moi aujourd'hui et je pense à tout ce que j'ai envie de te faire subir,,,
Me lever, m'habiller, m'installer confortablement dans le canapé et te voir venir me servir mon café.
Nu, entièrement nu sauf un rosebud de bonne taille qui pénètre déjà ton cul et que je veux te voir porter tous les jours.
Sa chaîne pendant entre tes cuisses pour te rappeler ta place de soumis à mon service.
Positionne toi devant moi.
A genoux, cuisse écartées, mains croisées derrière la tête, je veux te regarder ce matin.
Mon pied nu glisse immédiatement entre tes cuisses.
Ta queue et tes couilles sont libres de tout lien, tu bandes déjà, dur, dressé fièrement pour me faire honneur.
Tu n'as pas jouis hier et l'envie est forte, il t'es si difficile de te contrôler quand tu m'es soumis. Quand le dom disparaît pour laisser la place à ma petite pute docile.
Je te caresse tendrement de mon pied, soulève doucement tes couilles pour les laisser retomber sans soutien. Minuscule douleur mais encore plus de plaisir.
Je pose mon café et je saisis tes tétons entre mes doigts, ma jambe appuyant maintenant sur ton sexe, le plaquant contre ton ventre. Je les pince, les tord, les fait rouler sous mes doigts. Tu m'offres tes premiers gémissements et je sens ta queue qui se tend.
Tu es une si belle chienne quand tu t'abandonnes ainsi.
J'ai envie de te mordre …
Ma bouche se pose à la naissance de ton cou et j'y fais courir le bout de ma langue. Tu frissonnes.
Je te mords alors, laissant la marque de mes dents s'imprimer dans ta chair offerte. Tes soupirs m'excitent.
Mes doigts quittent tes tétons et mes mains viennent se plaquer sur tes fesses. Je les claque gentiment, puis je m'amuse avec la chaîne de ton rosbud, le faisant aller et venir dans ton cul.
Il est gros et chaque mouvement que je lui imprime te fait ressentir à quel point tu es bien rempli.
J'aime jouer comme cela, tes bras toujours relevés, tes cuisses bien écartées, salope offerte à mes délices.
Je me sépare alors de toi et t'ordonne de te retourner pour te mettre à 4 pattes et m'offrir la vue sublime de tes reins bien cambrés.
Tu m'obéis immédiatement et sans la moindre hésitation.
Je claque l'intérieur de tes cuisses pour te forcer à bien les écarter. Ce que tu comprends immédiatement et que tu exécutes avec rapidité. Ton dos se creuse encore plus.
Je me lève et t'inspecte, t'observe, t'admire. Tu es une bonne petite chienne qui attend avec excitation la suite de cette matinée.
Après un léger baiser sur tes lèvres je te force à ouvrir la bouche et à lécher mes doigts. Puis je pousse ta tête pour te voir venir avaler à pleine bouche le gode ventouse posé au sol.
SUCE MA SALOPE !!!
Suce bien, rends moi fière de ma petite pute.
Hum j'aime te voir t'appliquer ainsi, ta bouche allant et venant sur cette queue de silicone. Elle est grosse et t'oblige à bien ouvrir la bouche, à saliver fortement. Tu coules dessus, lubrifie le bien, tout à l'heure il sera en toi.
Mais nous avons encore le temps, tout notre temps.
Pendant que tu t'actives à sucer le plug je repasse derrière toi et une fine corde en main je commence à bondager tes couilles et ta queue. Je l'enserre d'abord à la base de ta queue, puis enroule chacun des deux bouts autour de tes couilles. Je les fais passer plusieurs fois. J'aime quand tes couilles sont bien séparées et rendues dures par le passage de la corde bien serrée. Je l'enroule à nouveau à la base de ta queue. Puis je fais aller la lanière sur toute la longueur de ta bite, l'enserrant fortement à chaque fois que je croise la corde, jusqu'à la base de ton gland. Alors je serre à nouveau, croise la corde et repars dans l'autre sens. Tu bandes si fort que la lanière s'imprime dans ta peau. Tu es à l'étroit dans ce corsage de cordes. Je finis par nouer la corde à la base de ta queue, laissant suffisamment de longueur pour tout à l'heure.
Tu es toujours à 4 pattes, suçant avec application le plug. Tu n'auras le droit d'en détacher ta bouche que quand je t'en donnerais l'ordre, je veux que tu suces bien, que tu l'avales de plus en plus profondément. Ma main qui se pose sur tes cheveux et t'impose d'aller plus loin te l'indique et tu t'appliques merveilleusement. Avale le, je le veux qui bute au fond de ta gorge.
Je reviens m’asseoir sur le canapé.
Je relève un peu chacun de tes pieds et j'attache chaque bout de la corde qui enserre tes couilles et ta queue à tes orteils. Provoquant une tension importante dès que tu relaches tes jambes pour poser les pieds au sol. Cela t'arrache un long et fort gémissement.
Je prends alors l'huile de massage et commence à la faire couler sur tes fesses et entre ses dernières. La fraîcheur du liquide te surprend et tu contractes ton cul autour du rosebud.
Je masse tes fesses de mes mains, prenant soin à chaque mouvement de masser avec mes pousses le tour du rosebud. Tu palpites, je sens ton cul s'ouvrir et se fermer sous mes doigts.
Je prends alors la chaîne qui pend toujours entre tes cuisses et je le retire très progressivement. Tu gémis fort quand la partie la plus large du bud commence à sortir. Je stoppe sa progression, laissant ton anus s'adapter à la taille de l'objet. Ta rondelle est toute large, frémissante mais elle se détend et le rosebud sort alors tout seul de ton cul. Mmmm tu restes légèrement ouvert….
Ne te laissant pas le temps de te refermer je glisse immédiatement deux doigts en toi. Brutalement. Puis je les fais tourner pour continuer à ouvrir ce cul que je veux pouvoir posséder de ma main entière.
Tu commences à onduler, sur le même rythme lent que mes doigts.
Tu aimes cela, tu aimes me sentir en toi, tu pousses ton cul vers moi pour m'avaler un peu plus/
Ma salope est gourmande, elle me veut en elle.
Et chaque mouvement de ton bassin tire un peu plus sur ton bondage.
Un troisième doigt vient alors s'insérer en toi et à nouveau je fais tourner mes doigts pour t'ouvrir toujours plus.
Mon autre main s'est posée sur tes couilles et je passe de l'une à l'autre. Serrant, caressant, câlinant, plantant parfois mes ongles dans la chair tendue et chaude.
Mon quatrième doigt s'est glissé en toi s'en même que tu en prennes totalement conscience. Tu gémis maintenant en permanence, tu couines, la bouche remplie par le plug et tu baves comme une bonne chienne en chaleur.
Mes doigts ne tournent plus, mais au contraire vont et viennent en toi. De plus en plus fort et de plus en plus loin. Jusqu'à ce que mon pouce vienne en buté sur ton cul.
Je t'ordonne de lâcher le plug que tu as en bouche et de te cambrer totalement.
Supplie moi ma salope, dis moi à quel point tu te sens pute, à quel point tu es Ma pute mais aussi à quel point tu veux sentir ma main en entier en toi.
Supplie moi bien ma salope, vas y, encore, supplie chienne.
Mmmm que j'aime cela, que j'aime ta voix emplie d'envie et de honte.
Je fais à nouveau couler de l'huile sur ton cul et sur ma main pour la laisser couler en toi et bien te lubrifier. Puis tout doucement je glisse mon pouce.
Même si tu es déjà bien ouverte cela ne passe pas. Ton cul bloque au plus large de ma main. Tu vas devoir maintenant venir t'enculer toi même. Ma main huilée ne bouge plus et je t'ordonne de venir l'avaler tout seul.
Tu me veux en toi et obéis immédiatement. Oh ma salope que tu es belle dans ces moments là, quand tu ne contrôle plus rien, quand tes désirs prennent le dessus sur ton esprit et que tu m'obéis sans plus aucune limite.
Baise ton cul ma petite chose, viens t'empaler, viens t'enculer.
Mmmmmmmmm ça y est !!!
Je suis en toi, totalement.
Tu gémis, tu couines, tu cries, ta queue commence à couler toute seule et tu te démènes sur mon poing. Qu'elle belle salope tu fais. Tu bouges de plus en plus fort, tu t'encules de plus en plus profondément. Tu as avalé ma main jusqu'au poignet et tu vas et viens sur moi de plus en plus déchaîné par le plaisir.
Tu jouis sans éjaculation, sans contraction, tu coules littéralement. Plaisir fou qui irradie dans ton cul, dans ton ventre dans tes couilles, dans ta queue, qui explose dans ta tête. Plaisir qui te rend dingue et incontrôlable. Chacun de tes mouvements tire sur tes couilles de façon brutale, toi qui n'aime pas la douleur habituellement, tu la provoques et la recherche. Elle participe pleinement à ta jouissance extrême, tu n'es plus rien d'autre qu'une bête offerte au plaisir total.
Tu jouis fort et longtemps au point de pratiquement t'écrouler, ton visage sur le sol, bouche ouverte d'où coule ta salive. Tu es devenue pleinement chienne, tu es enfin devenue toi même.
Je sors alors très délicatement ma main de ton cul, tu gémis à nouveau, presque attristé de ne plus me sentir en toi, de ne plus te sentir rempli.
Je détache la corde qui te relie à tes orteils et je te laisse t'allonger lourdement sur le sol. Tu n'en peux plus. Ton cul continue à se contracter au-delà du plaisir.
Tu gémis et me remercie, tu es heureux, comblé, baisé. Tu es une pute repue de plaisri.
Je m'allonge à côté de toi, mon ventre, mes seins, ma chatte venant se coller contre ton dos. Je passe un bras sous ton cou et t'enserre tendrement. J'embrasse ta nuque et te dis à quel point je suis fière de toi, à quel point j'ai aimé te faire et te voir jouir ainsi, toute inhibition perdue, toute honte disparue. Je t'embrasse et te câline, te réconforte, te caresse tendrement.
Ma petite pute à moi.
Je te laisse recouvrer tes esprits, reprendre ton souffle, revenir à la vie.
Je me lève pour aller te chercher un verre et je te laisse t'asseoir sur le canapé. Ta queue et tes couilles sont tjs bondagées, t'empêchant presque de débander.
Je reviens vers toi, te tends le verre et je défais ce bondage devenu quelque peu inutile.
Tu es bien, détendue, presque somnolant.
Le gros plug est toujours ventousé au sol. Il va attendre pour le moment.
Tout à l'heure nous verrons si il viendra se loger dans ton cul ou dans le mien.
Tout à l'heure nous verrons qui de nous deux reprendra l'initiative du jeu et fera plier l'autre.
Pour le moment tu t'allonges sur le canapé et tu revis en pensée les délices que je viens de t'offrir.
Repose toi ma petite pute, nous avons toute la journée et toute la nuit devant nous.
Ta Maîtresse heureuse et fière de toi
Merci à Lullaby, à Sôleille et à donna25 pour m'avoir poussée à le copier coller ici
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Et la tendresse bordel ..!!
En donner après une bonne séance est chose non seulement normale mais aussi indispensable , mais comment ne s en tenir qu à ce moment précis .... je ne le peux .
Qu il est agréable de pouvoir en recevoir ou en donner ... tout simplement .
Les occasions de la manifester ne manquent pas , un geste , un regard , une caresse , un baiser , une petite attention , en fait pas besoin de prétexte du moment qu on est dans le plaisir.
Pouvoir et surtout vouloir se réserver de tels moments ou nul besoin de mots , ou tout passe juste par le regard , ou tout se dit dans et au travers des yeux ... quoi de plus expressif qu un regard tendre , c est une façon de faire passer tant de choses ... tant de belles choses , tant de sentiments que parfois on ne saurait dire ou dévoiler autrement ... tant d émotions ressenties , tant de sensualité ... tant de plaisir ...
Enlacés juste pour le plaisir de se retrouver l un contre l autre , que se soit dans la journée ou au lit ou nus blottis tout contre l autre sans un mot , ressentir juste la chaleur de nos corps dans une impression de ne faire qu un .... une envie que cela dure et dure et dure plus encore ...
S embrasser ... longuement ... de petits baisers ... de plus longs baisers sans fin ... se gouter ... se savourer ... s apprécier les yeux fermés dans un plaisir presque égoiste ... ou les yeux ouverts plongés dans son regard comme pour en signifier l importance que ce moment de bien être nous apporte ... le bonheur d être ensemble.
Instants de passion intense ou le sexe n a pas sa place , les câlins et autres petites douceurs s entremêlent ... s expriment ...
Cette tendresse à la fois apaisante , consolatrice , rêveuse ... en un mot comme en mille ... indispensable !
Qu il est jubilatoire de se retrouver ainsi , ensemble ... unis dans cette si tendre douceur et de ressentir le bonheur qu elle nous apporte.
Quoi de plus merveilleux que la tendresse , elle s exprime souvent dans le silence , dans l écoute et la compréhension que l on a de l autre.
Sans tendresse pour moi c est la mort assurée de la relation , de plus elle ne se quémande pas ... mais bien au contraire elle se donne sans compter.
Surtout ne pas avoir peur de l exprimer car ce n est point une faiblesse que de la donner mais bien une preuve de l affection , de l amour que l on éprouve pour l autre et ce dans toute relation fût elle D/S.
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Le chat ou la souris...
Qu il est plaisant , agréable et plus encore lorsque passés les premiers échanges sympas lorsque l on commence doucement mais surement à non pas tester l' autre non, plutôt essayer de voir ses intentions réelles.
Mais et ce pour toutes personne ayant un soupçon d intelligence et de savoir vivre , il faut savoir en dire un peu , très peu souvent sans toutefois ne trop en dire..
Paradoxe que celui du tout début de la découverte mutuelle lorsque déjà un intérêt certain pour l autre commence à naitre en nous ...
Surtout ne pas trop en dire , il est vraiment trop plaisant de faire durer le mystère le plus longtemps possible.
Souvent se sera donc à coup de petites blagues pas toutes si innocentes qu elles pourraient paraître au premier abord et ou de métaphores souvent bien travaillées , voir dans certains cas pris de court plus ou moins hasardeuses.
Il s agit avant tout non pas d attirer l attention , cette étape est déjà passée mais de la garder .
Perso je déteste par dessous tout les personnes pour qui en savoir plus de l autre se résume à un presque interrogatoire dans lequel il ne manque plus que la lampe braquée en plein visage et dans pareil cas poliment mais surement je vais soit esquiver soit le dire directement et ou arrêter une conversation qui n a pour moi aucun charme.
Mais le principal reste et doit rester ce petit ton leger teinté de beaucoup d humour qui fait que cette conversation peut durer des heures sans aucune autre fatigue que celle de nos doigts tapant sur le clavier ... pour ma part vu que je n écris qu avec un doigt je sais m économiser ...sourire , et cela doit se faire le plus naturellement possible .
Quoi de plus pitoyable qu une personne voulant absolument paraître drôle ...
Il existe bien une alchimie qui réunit ne serait-ce qu au travers des mots deux personnes prenant plaisir à échanger ...
Parfois je me suis même demandé si il n y avait pas là une forme de télépathie tant l intuition mutuelle quand à nos possibles réponses semblaient de fait si évidentes mais j aurai bien aimé ... vais travailler dessus car si cela pouvait induire certaines réponses favorables .... sourire .
Arrive enfin le moment ou , bien que l on pourrait passer la nuit à continuer d échanger ainsi , il faut bien malgré nous aller se coucher car nous avons aussi en dehors certaines obligations que durant quelques heures , sans nous en rendre compte nous avons oublié mais aussi parfois les yeux qui papillonnent déjà.
Cela va du simple bonne nuit à très douce nuit et à demain ? ou du même style .
Le pont d interrogation n est pas tombé là par hasard ... il marque déjà un certain doute et ou manque futur que l on aimerait bien voir se dissiper de suite avec une réponse favorable.
Généralement arrivé à ce stade là , je ne connais personne qui par envie de jouer se permettrait encore de laisser planer un quelconque doute .... Beaucoup trop risqué.
Le lendemain matin il est de bon ton d envoyer un petit message court mais sympa pour demander le sempiternel " bien dormi " accompagné d une petite phrase souhaitant une bonne journée qui peut être accompagnée d un petit smiley sympa.
Ensuite dans la journée et si nos obligations nous le permettent et surtout vu le manque qui s installe déjà au fil des heures qui passent on s envoie tout d abord des petites piques sympa puis mais de manière plus espacée on en revient doucement " aux choses un peu plus sérieuses " ben oui s agit pas de s éparpiller ainsi trop longtemps , de fait les femmes sont très fortes pour nous ramener à la réalité et nous faire quitter notre petit monde fait de douces voir coquines rêveries.
De coquin tout homme qui se respecte l est quelque peu , après c est comme dans l alcool à des degrés différents.
Perso bien qu ayant bu toute la gourde de cette potion oh combien magique quand j étais petit je sais aussi ne pas le montrer ou alors par petites touches légères que je dissémine ici et là apportant au gré de cette si charmante conversation une petite touche croustillante à souhait mais toujours sans ne rien laisser vraiment paraitre.
Il s agit bien ce jour d en dire un peu plus mais toujours sans trop en dire ... plutôt laisser vaguer l imagination le plus longtemps possible.
Bien sur afin de garder l intérêt de l autre personne bien éveillé il faut aussi savoir lâcher du lest car à trop vouloir rester mystérieux au final cela devient suspicieux.
C est dommage car souvent peu de personnes ne savent vraiment apprécier à sa juste valeur une telle conversation qui durant laquelle et au travers des mots s installe une réelle complicité non feinte qui perdurera et ce peu importe si la vie nous réunit ... ou pas.
Une fois la complicité présente quel plaisir de discuter ainsi tout en se dévoilant chaque jour un peu plus ... créant de fait un manque de plus en plus présent.
Parfois... hélàs un petit grain de sable vient enrayer cette belle conversation pourtant si bien huilée non pas sur la conversation en elle même mais sur les aspirations mutuelles alors que bien qu éloignés nous sommes déjà si proches.
Il suffit souvent d un rien pour se rendre compte au final qu ensemble nous ne pourrons l être bien que l envie soit on ne peut plus présente.
Heureusement ce n est pas toujours le cas , il faut aussi savoir déjà faire quelques petites concessions et abstraction de certaines choses et ou paramètres au final pas si importants qu on se ne l était imposé.
Car le bien être que l on ressent au contact certes encore virtuel de cette personne nous pousse et ce sans regrets aucun à vouloir franchir la dernière étape...
La rencontre réelle
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J’avais prévu pour la soirée un programme un peu particulier. Je commençai par aller chercher Iska, qui se reposait dans notre chambre. Etre une bonne chienne n’était pas de tout repos, elle l’avait constaté ce matin. Elle sommeillait tranquillement sur le lit. Avant de la réveiller, je l’admirai un moment… Dieu qu’elle était belle, ses cheveux blonds en corolle autour de son visage parfait. Elle était presque nue, ne portant qu’un chemisier blanc ouvert qui dévoilait ses seins. Ils se soulevaient légèrement à chacune de ses inspirations. En-dessous, il n’y avait qu’une petite culotte blanche de fille sage pour couvrir sa chatte délicieuse. J’étais attendri par le spectacle. Toutefois son dressage ne pouvait attendre éternellement. Je la rejoins sur le lit, me collai contre elle, déposai un baiser sur cet endroit de son corps que j’aimais tant, la jointure de son cou et de son épaule, et murmurai à son oreille : - Réveille-toi, ma petite soumise, j’ai une surprise pour toi. Iska ouvrit les yeux, me regarda, sourit et m’embrassa avec passion. Elle me fit rouler sur le lit pour se mettre au-dessus de moi. J’aimais la sentir joueuse comme cela. Je me mis à peloter ses seins, les saisissant à pleine main, faisant tourner le téton, le pinçant légèrement (Iska tressaillait toujours quand je le faisais). Dans le même temps, elle frottait sa chatte contre mon entrejambe, et je me sentais à l’étroit dans mon pantalon. Je l’aurais volontiers laissée faire, mais je n’allais pas laisser ma catin prendre l’initiative alors que nous étions encore en séance. Je profitai encore un peu de son massage coquin tout en jouant avec sa poitrine, puis je la saisis et la déposai à côté de moi sur le lit. Elle eut une moue déçue. - Ne t’inquiète pas, lui dis-je doucement tout en pressant une dernière fois ses seins adorables, tu aimeras la suite. Je lui attachai son collier et sa laisse et l’emmenai vers la chambre que j’avais préparée. J’aimais la promener ainsi, comme un petit animal. Elle marchait debout cette fois, car j’étais satisfait d’elle jusqu’ici. Je savais qu’elle n’aimait pas encore le fait d’être en laisse, mais elle commençait à s’y habituer. Et cela l’excitait. Je tirai légèrement sur la laisse pour qu’elle s’arrête. Elle se retourna vers moi avec la petite mine contrariée qu’elle arborait quand je la mettais en laisse, et un air interrogateur. Je m’approchai d’elle et caressai sa chatte à travers le tissu. - Eh bien, eh bien, petite salope… tu prétends que tu n’aimes pas la laisse et pourtant tu es toute mouillée. Nettoie-moi ça, lui dis-je en portant mes doigts à sa bouche pour qu’elle les lèche avec application. Iska baissa les yeux et rougit. Elle se sentait honteuse, ma chienne. Honteuse et trempée. Avant de repartir, je lui ôtais sa culotte humide pour mieux voir ses fesses se déhancher quand elle marchait, et lui fit porter entre les dents jusqu’à la chambre. Une fois arrivés, je lui permis de lâcher la culotte. Son chemisier étant resté sur le lit tout à l’heure, elle était maintenant nue. Je la fis allonger sur le ventre sur une table de massage. Ses fesses étaient bien en vue, encore rosies par leur traitement d’hier. Je versai une huile de massage sur son cul et sur mes mains, et commençai à la masser tendrement, tout en caressant parfois son minou au passage. Iska soupirait doucement, je lui faisais du bien. Je voulais que ses fesses, pour lesquelles j’avais des projets, guérissent vite, et aussi qu’elle se détende, ce qui me permettrait d’insérer plus facilement des objets dans son petit trou, avec lequel j’avais l’intention de beaucoup m’amuser : rien de tel que de faire hurler une chienne en la sodomisant profondément. Une fois ses fesses bien huilées, je me concentrai sur sa chatte. Je la pénétrai avec deux doigts, ce qui fit gémir Iska. Puis je remplaçai mes doigts par ma bouche, embrassant sa chatte. Mais rapidement je remontai. Je me mis à lécher son anus. Iska gémissait plus fort, elle était envahie par de nouvelles sensations. Je ne l’avais jamais stimulée ainsi auparavant, mais il était clair qu’elle aimait cela, vu comme elle était trempée. J’écartai ses fesses et je me mis à la pénétrer avec ma langue. Iska n’en pouvait plus, elle sentait des vagues de plaisir et de chaleur se diffuser dans son bas-ventre, elle appartenait entièrement à son maître, elle se soumettait à lui pour qu’il lui apporte du plaisir. Elle n’était plus qu’une chatte qui voulait jouir. Je le lui permis, et elle explosa en un long gémissement de bonheur tout en mouillant de plus belle. Je restai un moment songeur en la voyant, ma belle soumise, allongée ainsi sur cette table, jeune, humide, offerte, docile. Quel spectacle. Je pouvais faire d’elle ce que bon me semblait, je pouvais l’habiller ou la dénuder à ma guise, la promener en laisse ou à quatre pattes, la faire crier de plaisir ou de douleur. Je disposais de sa chatte, de son cul, de sa bouche comme bon me semblait, je pouvais y mettre tout ce qui me passait par la tête, elle ne dirait rien. Et je contrôlais ses orgasmes. J’étais son maître et elle était ma chienne. A cette pensée je souris, déposai un baiser sur sa fesse gauche et mordit tendrement la droite. Son cul était à croquer. Iska frémit légèrement sous la morsure et sourit. - Je vous aime, maître, et j’aime être votre esclave, fit-elle de sa voix douce de fille sage, qui m’excitait tellement. - Moi aussi chère soumise, je t’aime. Tu es la meilleure des catins. Toutefois, nous n’en avions pas terminé. J’allai chercher une longue bougie, d’un diamètre moyen (ses fesses étroites devaient encore être un peu douloureuses après la sodomie sauvage d’hier et le plug de ce matin). Je la passai dans la mouille qui luisait sur la chatte, la pénétrait avec pendant une minute, puis je la mis à l’entrée de son cul. - Ecarte tes fesses, petite traînée, tu veux que je te remplisse le cul, je le sais. Iska obéit. J’insérai lentement la bougie dans son anus encore serré. Elle y entra sans trop de difficulté, visiblement ma petite chienne commençait à s’habituer. Je la godai un moment avec la bougie. Iska gémissait, elle appréciait visiblement que je m’amuse avec son petit trou. Il n’était cependant pas encore temps pour elle de jouir. J’interrompis mon mouvement et laissai la bougie plantée au milieu de ses fesses. Là encore, quel spectacle. Avec un briquet, j’allumai la bougie. Iska s’inquiéta un peu, elle pouvait sentir sur ses fesses la chaleur de la flamme. - Ecoute-moi attentivement, soumise. Nous allons jouer à un petit jeu. Tu vas garder la bougie dans ton cul, et je vais m’amuser avec toi. Tu devras rester immobile, autrement cela bougera la bougie et tu recevras de la cire chaude sur les fesses. Comme ceci, lui dis-je en claquant sa fesse droite pour que la cire coule. Iska sursauta, ce qui fit couler plus de cire. - Et oui, catin, c’est tout l’intérêt : plus il y a de cire qui coule, plus tu bouges, plus ça empire. Bonne chance, lui susurrai-je à l’oreille d’un ton doucereux. Iska restait immobile, légèrement redressée sur ses avant-bras. Je me mis à tourner autour d’elle. D’un coup, j’attrapai un téton et lui pinçai vicieusement. Iska couina, se tortilla, et répandit plus de cire sur son cul. Elle grimaça mais fit de son mieux pour ne pas tressaillir. Je revins derrière elle pour doigter sa chatte excitée. Iska recommença à gémir, le plaisir de mes doigts se mélangeant à la légère brûlure de la cire qui tombait inévitablement sur ses fesses, qui remuaient sous l’effet de ma masturbation, et des claques que je ne manquais pas de prodiguer à ses fesses moelleuses. Iska se délectait de tout cela, et se rapprochait de plus en plus de l’orgasme, se plaquant à la table. A mesure que sa jouissance approchait, elle bougeait davantage, mais elle avait apprivoisé la morsure de la cire, qui lui prodiguait en fait du plaisir supplémentaire. Et, comme je l’avais déjà fait, je m’interrompis avant qu’elle ne jouisse, puis je m’essuyai négligemment la main sur sa cuisse, et je la laissai là, si proche mais en même temps si loin de sa chatte qui me réclamait. Iska trépigna et poussa un feulement de frustration. Je poussai un petit rire et lui parlai crânement : - Mais à quoi t’attendais-tu, petite putain ? Cet orgasme-là, tu devras le mériter ! - D’accord, maître, je suis entièrement à vous, vous me possédez, et en tant que votre petite chienne je vous supp… - Garde ta salive, traînée. Je te défends de jouir pour l’instant. J’approchai une chaise de la table où je martyrisai ma petite soumise depuis un moment maintenant. Et je commençai à tapoter ses fesses avec le bout d’une cravache. J’en profitais aussi pour titiller sa chatte ; je voulais la garder sur le fil de la jouissance. Elle pouvait toujours sentir mon autre main sur sa cuisse, tout près de l’endroit où elle aurait voulu qu’elle soit. Iska avait les nerfs à vif, elle haletait. Je me mis à cingler ses fesses avec la cravache. Je les préférais rouges. Un coup, fesse gauche, un coup, fesse droite, un passage rapide entre ses cuisses pour maintenir l’excitation. Iska poussait maintenant de petits sanglots, désorientée par le mélange continu de douleur et de plaisir, et poussée à bout par l’orgasme qui semblait se dérober chaque fois qu’elle était près de l’atteindre. Quand ses fesses eurent la bonne nuance de rouge -à savoir, garance-, j’interrompis la correction. Je me levai et allai caresser ses cheveux. Elle tourna la tête vers moi, des larmes dans les yeux : - Maître, pourquoi me punissez-vous ainsi ? Qu’ai-je fait pour vous offenser ? Je suis désolée maître je ferai tout ce que vous voudrez… - Oui, chère soumise, tu feras ce que je veux, l’interrompis-je, mais ce n’est pas le sujet. Déjà, ceci, fis-je en faisant claquer ma cravache sur ses fesses, n’est pas une punition. Autrement, je t’assure que tu aurais moins gémi et beaucoup plus crié. Le fait est que je m’amuse simplement avec toi, parce que tu es mon jouet et que je suis ton maître. Je passai les doigts dans sa chatte pour mouiller mes doigts, et m’en servis pour éteindre la bougie, qui sortit de ses fesses en faisant un léger « pop ». Je vis que son cul restait légèrement entrouvert. Bien. Il commençait à s’élargir un petit peu, ce qui voulait dire que bientôt, je pourrais l’enculer encore, et qu’elle en redemanderait. Mais maintenant j’avais la bougie dans une main, et la cravache dans l’autre, ce qui n’était pas pratique. Je dis à Iska de se retourner, pour qu’elle soit sur le dos. Instinctivement, elle avait croisé ses jambes, vaine tentative d’être un peu moins exposée. Ses réflexes de fille sage et bien élevée reprenaient parfois le dessus sur ses nouveaux réflexes de chienne. Je tapotais ses cuisses du bout de ma cravache pour les lui faire écarter. Je la voulais avec les jambes largement ouvertes. Je m’approchai de la table, je voulais me débarrasser de la bougie. Je la fourrai donc dans la bouche de Iska, qui fit une grimace dégoûtée devant sa nouvelle sucette. - Ooh, tu serais donc gênée, petite catin ? Je te rassure, ton cul a très bon goût, pourtant, dis-je en souriant lubriquement. Allez, maintenant, caresse-toi et jouis comme la pute que tu es. Iska ne se fit pas prier et commença immédiatement à masser sa chatte de haut en bas, rapidement, avidement ; une vraie chienne en chaleur. Je me rassis sur ma chaise, directement en face de ses cuisses écartées, pour ne pas perdre une miette du spectacle. Très rapidement, Iska mit deux doigts, puis un troisième, dans sa fente trempée. Elle gémissait violemment, la respiration heurtée, ses jambes tremblaient légèrement et son bassin se soulevait à un rythme frénétique. La bougie dans sa bouche étouffait ses couinements. Tout son être était concentré sur sa chatte à cet instant. C’était exactement ce que je voulais voir : ma soumise s’abandonnait totalement devant moi, elle n’essayait pas nier son animalité, sa luxure ; elle embrassait sa condition : une petite jouisseuse qui se souillait elle-même sans états d’âme, une putain. Elle jouit dans un cri libérateur, tout son corps se souleva, ses doigts étaient au plus profond de sa chatte. Elle retomba sur la table, épuisée et rassasiée, et continua de gémir doucement tout en caressant son minou détrempé. La mouille ne s’en irait vraisemblablement jamais de cette table. A ce stade, j’étais satisfait de la manière dont j’avais tourmenté ma soumise. Il était maintenant temps que je m’accorde un petit plaisir. En vérité, je me contrôlais à peine tellement j’étais excité à la vue de ma chienne toute frémissante. Je la fis se remettre sur le ventre. Je pris la bougie et la remis dans son cul. Je voulais l’y voir, cela m’excitait. Je sortis ma queue de mon pantalon où elle était depuis trop longtemps à l’étroit. Iska s’empressa de me prendre dans sa bouche. Elle s’appuya sur un bras afin que l’autre main puisse caresser mes couilles. Iska suçait divinement bien, et le faisait toujours un prenant un petit air d’écolière appliquée qui me rendait fou. Elle me prenait en entier dans sa bouche, puis revenait embrasser mon gland, le léchait comme une sucette, puis passait sa langue tout le long de ma bite, vint embrasser mes couilles. J’adorais ce que cette salope me faisait mais je voulais affirmer un peu plus mon autorité. Je posai mes mains de chaque côté de son visage, et me mis à faire de lents va-et-vient dans sa bouche. Iska fut un peu surprise mais s’adapta à ce changement, et leva vers moi des yeux langoureux et pleins de vice. Elle adorait que je la traite comme ça, que je la possède ainsi. Ce regard, ajouté à sa langue et à l’expertise dans sa façon de masser mes couilles, m’acheva. Je maintins fermement sa tête, bloquant ma queue dans sa bouche, et jouis en poussant un long râle. Iska retint son souffle, et parvint à tout avaler, en toussant à peine. Quelle bonne chienne, du sperme plein la gorge, et une bougie dans les fesses. Je passai mon doigt sur ses lèvres pour qu’elle n’en perde pas, et le mit dans sa bouche, où elle le téta avec application en me regardant de son plus bel air de salope. Ma soumise était réellement parfaite. (à suivre)
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L’été de mes 13 ans, j’ai eu envie de passer à l’étape supérieure. Il était temps pour moi d’aller jusqu’au bout. De passer l’étape ultime qui était censé faire de moi une femme.
Ma meilleure amie avait presque 16 ans et son copain en avait 19. Lui ne travaillait pas et elle finissait l’école plus tard que moi. Je me retrouvais souvent seule avec lui pendant que nous l’attendions.
C’est lui qui a commencé à jouer avec moi, à me tourner autour, à me lancer des défis. Je suis tombée dedans. Il m’a embrassée en plaquée contre un mur. J’ai aimé ça, je ne l’ai pas repoussé. Je n’ai simplement rien dit. Le lendemain, je ne voulais pas rester seule avec, mais il avait un pouvoir sur moi, je l’ai très vite suivi. Contre le même mur, il m’a embrassée à nouveau et m’a fait jouir avec ses doigts, juste avant de retrouver sa copine et de passer la soirée avec nous comme si rien ne s’était passé.
A cette époque, mes parents ne communiquaient pas, ils n’ont d’ailleurs jamais communiqué. J’avais dit à mon père que j’arrêterais de venir chez lui, sans rien dire à ma mère. Un week-end sur deux, je partais chez mon père, sans jamais y arriver. Je passais mon week-end en ville, avec mes amis qui avaient tous entre 16 et 20 ans. Je dormais dehors lorsque personne ne pouvait m’héberger. Et le dimanche soir, je racontais à ma mère ce que j’avais fait chez mon père.
Mes week-ends se résumaient à boire de l’alcool, flirter, sucer des bites. Souvent plusieurs dans la même journée. Souvent contre des joints, des verres, de la nourriture ou des clopes.
Revenons-en au mur de la gare contre lequel il m’avait embrassée deux fois. Le samedi suivant, il m’a plaquée contre le même mur, a recommencé les baisers et les doigts, en ajoutant un titillage de tétons. On a à nouveau passé la soirée ensemble, puis elle est partie prendre le dernier train pour rentrer. II devait prendre le sien 12 minutes plus tard, mais il ne l’a pas pris. Il a affirmé ne pas pouvoir me laisser seule. Je lui ai dit que j’avais l’habitude, mais il m’a suivie jusque sur la plage. Il m’a aidé à faire le feu, puis s’est installé à côté de moi.
Il m’a fait boire, m’a embrassée, m’a touchée, m’a excitée. Je ne l’ai pas repoussé, j’aimais ce qu’il me faisait. Quand il m’a déshabillée, je ne l’ai pas repoussé, je l’ai laissé continuer à me donner du plaisir. Je l’ai sucé, on s’est caressé.
Quand il a voulu me pénétré, j’ai eu peur. Tout le paradoxe de l’adolescente qui veut jouer et qui se rend compte à la dernière seconde qu’elle n’est pas prête du tout. Il m’a gentiment expliqué que c’était trop tard. Que c’est avant qu’il fallait le dire. Il m’a baisée alors que je le suppliais d’arrêter, il m’a baisée alors que je pleurais, il m’a baisée alors que je lui demandais d’aller doucement. Et quand il a eu fini, il est parti, sans dire un mot, il est juste parti, me laissant plantée là, seule sur la plage, dans mon sang et ma honte.
J’ai arrêté de jouer, j’avais souvent fantasmé de me faire violer, c’était fini. Non, ce n’était pas un jeu. Le sexe n’était pas un jeu, les garçons n’étaient pas un jeu. Tout ça c’était fini. J’ai voulu jouer avec le feu, je me suis brûlée.
J’ai arrêté de sortir, arrêté de voir mes amis, arrêté de fumer. J’ai même arrêté pendant quelques jours de me toucher. Je me suis fermée, coupée du monde.
Puis, j’ai voulu me punir. Me punir d’avoir été si conne, d’avoir pu croire que j’aurais toujours le choix, d’avoir cru qu’on peut arrêter le jeu quand on veut, d’avoir cru que je pouvais jouer avec le feu sans qu’il ne m’arrive rien, d’avoir pensé que j’étais assez forte pour tout surmonter. Alors pour me punir, j’ai recommencé à fumer, j’ai recommencé à boire de l’alcool, j’ai arrêté de travailler pour l’école. Départ pour une phase d’autodestruction.
La bande de baba-cool m’ont pris sous leur aile. J’ai commencé à aller en forêt fumer des joints autour d’un feu. Je me suis calmée. J’ai recommencé à prendre plaisir à être avec des gens, j’ai recommencé à me toucher beaucoup et j’ai très vite eu envie d’avoir une bite dans la bouche.
Mais cette fois-ci je ne suis pas partie à la chasse. J’ai renoué avec mon oreiller et divers autres objets de ma chambre et j’ai cherché l’amour. Quelqu’un qui sera là pour me protéger des autres et de moi-même.
C’est seulement peu de temps avant mes 15 ans, que j’ai retenté l’expérience relation sexuelle. J’étais tombée amoureuse d’un Parisien rencontré sur une plage en Tunisie. J’ai vécu mes premiers orgasmes, plusieurs, beaucoup durant toute la semaine de vacances durant laquelle nous ne nous sommes pas quitté. Il est venu plusieurs fois en Suisse pour me voir. C’était une belle histoire d’amour qui a duré quelques mois et m’a permis de finalement avoir un superbe redémarrage de ma vie sexuelle.
Ma vie sexuelle « d’adulte » démarrait, avec le début de la chasse au Saint Graal Orgasme. Orgasme après lequel je cours sans interruption depuis. Il est ma première pensée tous les matins en me levant. Il est ma dernière pensée avant de dormir le soir… et ce depuis 15 ans…
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A dix ans, j’ai eu mes premières règles. Je détestais ça. Une semaine par mois, je ne pouvais plus me toucher comme je voulais. J’ai commencé à passer des heures sous la douche. Ma mère pensait que je supportais mal d’avoir mes règles, alors que la seule chose que je ne supportais pas dans cette histoire, c’est de ne pas pouvoir me soulager lorsque j’en avais besoin.
Mes règles ont changé quelque chose de fondamental : la sexualisation est apparue. C’est là que j’ai commencé à faire semblant de faire l’amour. Je ne sais pas si le changement s’est opéré d’un point de vue physique ou si ça a changé parce que je savais que j’avais désormais la possibilité d’avoir des enfants. Quoi qu’il en soit tout est devenu différent. Je me touchais désormais en étant pleinement consciente que c’était sexuel.
J’ai commencé à regarder les garçons me demandant à quoi pouvait bien ressembler un rapport sexuel en vrai. J’ai commencé à créer des scénarios dans ma tête. Je devais avoir à peu près onze ans quand les fantasmes ont commencé à faire partie intégrante de ma vie.
Dès que je croisais un garçon qui me plaisait, je m’imaginais avec lui. J’imaginais à quoi ressembleraient nos ébats, qui se déroulaient dans ma tête avec un nombre incroyable de détails. Je n’avais encore pourtant jamais été confrontée au porno, ni à quoi que ce soit d’autre que les dessins dans les livres expliquant la procréation aux enfants.
Mais mes fantasmes ne ressemblaient pas à ces dessins. Ils étaient pleins d’imagination, de jeux, de caresses, de violence et de passion. Je me demande comment de telles images peuvent venir s’insinuer dans la tête d’une petite fille sans qu’elle y ait été confrontée, sans qu’on les lui ait soufflés.
C’est là que j’aimerais en savoir un peu plus sur les vies antérieures…
Quand on parlait de garçon avec mes copines, je me rendais bien compte que nous n’étions pas sur la même longueur d’onde. Comme elles, j’étais bien une princesse, mais une princesse prisonnière. Le méchant concurrent du prince m’avait kidnappée et ligotée dans la plus haute tour de château.
J’étais fascinée par les chaînes. Très régulièrement prisonnières dans de vieilles bâtisses, enchaînée, flagellée et maltraitée.
J’adorais qu’on m’attache. Mes jeux préférés étaient les indiens et les cowboys ainsi que les policiers et les voleurs. J’étais toujours l’indien ou le voleur, attendant juste le moment où j’allais être attrapée.
Tous mes jeux tournaient toujours autant de l’amour ou du ligotage. Ou alors il fallait que ça implique un frottement de mon entrejambe, comme grimper aux arbres ou jouer au cheval sur une barrière.
Dès 12 ans, les désirs ont commencés à devenir obsessionnels. Il fallait que je teste, il fallait impérativement que j’expérimente. Sortir avec les garçons de ma classe n’était pas concluent, je n’en obtenais rien de plus qu’une main à tenir et éventuellement un bisou furtif sur la bouche. Frustrant et ennuyeux. Je suis donc partie à la chasse aux garçons plus grands. Tout a dégénéré assez vite à partir de là.
Je cherchais les « bad boys », tout me semblait moins ennuyeux avec eux et potentiellement amusant. J’avais l’impression que nos rapports n’en seraient que plus intéressants. Mais les garçons de 15 ans ne s’intéressent pas à une gamine de 12 ans. Il a donc fallu que je fasse en sorte de devenir intéressante.
J’ai donc à mouler mes seins et mes fesses et à aller me trémousser devant les garçons plus grands. Echec cuisant et moqueries, une catastrophe, le début de la mauvaise réputation...
Un jour, je me suis retrouvée à la gare avec un groupe de garçons plus âgés. Ceux qui habituellement se moquaient le plus de moi. Ils m’ont fait boire, j’ai fait mon possible pour leur prouver que je n’étais plus une petite fille. J’ai pu être intégrée. C’était le début de la fin. Sorties nocturnes par la fenêtre, alcool, fumée, chute des résultats scolaires et tout ce qui va avec.
J’étais ravie. Je vivais mes premiers flirts. Les premiers doigts masculins remplaçants les miens dans ma culottes, les premiers baisers qui font mouiller et surtout les fellations !
Ma première grande découverte sexuelle a été le plaisir d’avoir une bite en érection dans la bouche. Pratique dont j’avais déjà entendu parler, mais comme quelque chose de dégeu que les filles n’aiment pas faire. Cette description ne correspond pas du tout à ce que j’ai découvert. Dès la première, j’ai adoré ça.
C’est rapidement devenu « mon truc ». Il fallait que je trouve des bites à sucer et c’était mon meilleur moyen d’obtenir tout ce que je voulais. « Tu m’offre un verre si je te suce ? », « si je te suce, tu me payes un paquet de cigarette ? ». Ça marchait presque à chaque fois. En plus d’obtenir ce que je voulais et de me satisfaire, j’étais fière d’entendre que j’étais douée pour la chose. J’aimais entendre « c’est la meilleure pipe de ma vie » et je faisais tout mon possible pour l’entendre encore et encore.
La recherche de plaisirs (mon plaisir et faire plaisir) est tout ce qui m’intéressait, le reste était sans importance.
Sans en avoir conscience, sans même que ça me traverse l’esprit, c’était ma deuxième phase de prostitution, après la période du « tu me donnes un bonbon si je te montre ma chatte ? ».
Je n’en ai pris conscience de l’aspect prostitution que récemment.
J’aimais jouer avec les garçons. Les allumer, puis les rejeter. Les chatouiller, les pousser, me battre. Je cherchais constamment le rapport de force. Le moment que je préférais c’est quand après une bagarre, je me retrouvais les bras plaqués contre un mur, nos regards plongeant l’un dans l’autre avant de nous embrasser. Je faisais tout pour que ça se produise.
Je les ai presque tous quittés parce qu’ils étaient trop romantiques, ridiculement mignons avec leurs mots tendres, leurs fleurs et leurs beaux discours. Berk. Encore aujourd’hui je déteste tout ce faux-semblant de romantisme qui n’a jamais rien eu d’honnête ou de vrai à mes yeux. Déjà à douze ans, je voulais « un homme, un vrai ». Je recherchais le bad boy, celui qui impressionnait tout le monde et que les filles avaient peur d’approcher. Je voulais le caïd de l’école.
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Leçon n°2 : Ton masochisme tu accepteras
Cherchant à comprendre mes désirs masochistes, j’ai fait quelques recherches sur internet. Et là, j’ai enfin tout compris. Le responsable était tout trouvé et tout s’expliquait enfin !
Ce sont les endorphines les coupables !
Oui, je sais, ce n’est pas la découverte du siècle, c’est un fait bien connu. Mais pour moi, c’était une des découvertes les plus importantes de mon cheminement vers l’acceptation de ma vraie nature.
Tout s’expliquait enfin !
Mais comme pour chaque nouvelle découverte sur soi, une rétrospective et une autoanalyse est nécessaire.
J’ai un rapport particulier avec la douleur depuis toute petite et j’ai souvent ressenti une certaine forme d’excitation lors de petites blessures.
Déjà toute petite, les gens étaient impressionnés par mon « courage », car je ne pleurnichais pas au moindre bobo. Je me relevais simplement. Mais je ne me sentais pas courageuse, je ne voyais pas pour quelle raison il aurait fallu que je pleure.
J’ai d’ailleurs très vite été casse-cou, me moquant des garçons qui avaient peur de se faire mal ou qui pleuraient au moindre coup. J’aimais jouer de mon « courage ».
Au-delà du côté douleur, j’ai toujours aimé observer le corps et ses diverses réactions. J’étais fascinée par les marques et la façon dont elles se forment sur le corps, dans un échantillon fabuleux de couleurs.
Au début de l’adolescence, j’ai eu une période où je me faisais mal volontairement. Non pas par recherche de la douleur, du moins je ne crois pas, encore moins par autodestruction, mais pour observer les marques. Tentant de deviner si l’intensité du coup allait faire naître une marque bleue, jaune, rouge, violette ou noire. Observant leur évolution chaque jour. J’aimais observer les croûtes, comment elles se font et s’en vont. J’aimais regarder le sang couler et les expressions sur les visages des gens qui se faisaient mal, ou qui avaient peur. Tout ceci n’avait rien de glauque, j’étais juste fascinée, sans que ce soit malsain ou morbide.
Ma famille me projetait médecin. Mais ce n’était pas un métier pour moi. Imaginez un médecin qui observe le sang couler avec fascination au lieu de s’activer à faire des bandages. Il vaut mieux pour la sécurité du peuple que je ne sois jamais devenu médecin.
Je n’ai jamais eu de gros soucis médicaux. Mais un événement m’a particulièrement marquée. Une chute à ski lorsque j’avais un peu plus de 10 ans. Les secouristes ont dû m’immobiliser sur une civière fixée sur une sorte de traîneau, tracté derrière une motoneige. Afin de s’assurer que je ne bouge pas durant le trajet, un jeune secouriste me serrait des sangles tout le long du corps. Je me souviens de cette sensation de vulnérabilité et de volupté que j’ai ressentie en étant immobilisée. Je vois encore son regard profond et puissant qui m’envahissait de sublimes sensations. Entravée, tractée derrière la motoneige, je n’ai pas souvenir d’avoir ressenti de la douleur, je n’y pensais pas. Je profitais de la sensation d’aventure et de bien-être que me procurait le fait d’être tracée, complètement immobilisée et vulnérable.
Mon expérience la plus marquante avec la douleur reste jusque maintenant la naissance de mes enfants. Lors de mes trois accouchements, j’ai ressenti une certaine forme d’extase, de plénitude. C’était magnifique, j’ai adoré accoucher. Je ne dirais pas que c’était un orgasme, mais c’était une sensation très proche. Je n’ai évidemment pas fait de péridurale et je suis ravie de ne pas avoir cédé devant l’insistance de l’anesthésiste. C’était un tel plaisir que j’étais sur pied moins d’une heure après, pimpante comme Kate, comme si je venais de vivre une libération orgasmique et non pas un accouchement.
Les médecins et mon entourage étaient impressionnés. « Tu es faite pour faire des enfants », me disaient-ils tous.
Suis-je faites pour avoir des enfants ou pour assimiler la douleur comme étant un sentiment positif ?
J’en viens tout naturellement à me demander quel rapport entretient Kate avec la douleur et si elle n’aurait pas, elle aussi, une surproduction d’endorphines. J’en arrive donc à la conclusion évidente que Kate et William pratiquent le BDSM.
Tout s’explique, je vous dis !
[Texte écrit peu de temps après la naissance de la petite Charlotte, au moment de la polémique sur la sortie d’hôpital majestueuse de Kate]
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"Ma chienne je serai là dans 20 min. Tu seras en robe. Avec une string tanga ou autres.. De ton choix. Pas de soutif
tu seras à 4 pattes quand j arriverai avec le collier autour du cou.
Tu laisseras la laisse à disposition pas loin. Tout les autres jouets accessoires capotes marqueur ect seront installés.
A tout de suite ma chienne."
J'obéis.
Mon téléphone sonne à nouveau, c'est mon ami, je zappe l'appel.. Mais il insiste, j'ai bien peur que, si je ne réponds pas, il finisse par passer à la maison..
Je prépare mes recommandations durant la communications..
Je prends un peu de retard.. Mon propriétaire ne me préviens toujours pas par mail de son départ..
J'en profite, je fume une cigarette et check mes autres mails..
En allant chercher mon verre et le cendrier j'aperçois quelqu'un dans la cours..
Mon Dieu.. Maître..
Mon cœur bat la chamade..
Il ouvre la porte..
Je m'agenouille à ses pieds..
Il est magnifique..
je lève la tête.. il sourit.. il semble ravi de voir ainsi sa chienne se soumettre à sa venue.
Bel gueule exulte..
je baisse la tête, il se porte à ma hauteur.
Il garde un temps près de mon visage, trop tentant, j'aimerai prendre le risque de l'embrasser.
Je sais pertinemment que dans la seconde je serai châtiée d'une telle prise d'initiative..
Mais Divin est désireux, nous nous embrassons passionnément, follement, lentement...
j'aime sa langue et sa façon de me gouter..
Une tension sexuelle sensuelle dévorante, envoûtante
Il me caresse, fait le tour de son esclave, lui soulève la robe, vérifie sa prescription..
Il se place fasse à moi.. Colle mon visage contre son sexe, puis entre ses jambes, prend le temps de me faire une queue de cheval, haute..
Me promène un peu ainsi...
Il me lâche, je ne sais pas où il va, je ne me retourne pas..
Il me donne une cinglante fessée.
Cela m'excite profondément
"Où est ma laisse?"
Je pointe du doigt, le bar..
Il m'attache... J'adore... Un réelle sentiment d'être une chienne à présent..
Mon Maître l'entoure autour de sa main, tendue, au pied.
"Avance.."
J'entame le tour de la table, il soulève ma robe, celle ci m'empêche d'avancer comme il se doit, je prends le bout de tissus à la bouche..
"Lève toi, montre moi comme tu es belle"
j'obéis..
Mon beau me détail, m'embrasse, amène une étreinte merveilleuse et salvatrice...
Nous nous sommes tant manqués..
Il me porte, et tente de me poser sur la table... en verre.. me demandant si celle ci est solide... je lui fais part d'un doute...
Me remet sur mes jambes, fasse à la table, dos à lui, robe soulevée..
Il me cambre au maximum.. Caresse mon cul, offert..
"Belle croupe de chienne ça.."
Se colle contre moi.. j'aime ca.. je vois son reflet sur le verre noir de la table..
Je sent sa queue sur mes fesses..
J'ai envie qu'il me baise..
Mon acquéreur fait durer cet instant, jusqu'à ce qu'il se dirige vers le bar, pour servir le champagne,
au préalable j'avais préparer sa coupe, et ma gamelle.
J'ai une affection particulière de le voir servir sa dog girl ainsi, l'entendre m'ordonner de boire, le voir dans le reflet de mon récipient lécher ce breuvage..
A nouveau il me caresse,
"Je n'aime pas ta robe.."Je suis un peu déçue, mais comprends que Divin, ne peut profiter des "ses" seins comme il le veut à cause d'elle.. Un obstacle, un petit affront que je n'avais pas envisagé..
"Déshabille moi.."
Je défais chaque bouton debout, m'agenouille ensuite..
Son immensité me toise du haut de son mètre quatre vingt dix..
Sa ceinture est défaite, les boutons aussi...et fais glisser son vêtement le long de ses jambes.. je retire ses chaussettes, il m'ordonne de placer son pantalon correctement afin de ne pas le froisser, j'avoue expédier son ordre, j'ai envie de le sentir en moi..
Rigoureux il ne laisse rien passer et me montre comment je dois m'y prendre.. Bien que je le sache parfaitement..
"Suce moi" Son boxer est retiré, il bande, j'aime sa jolie queue.. Je le lèche et le suce lentement, le prends totalement dans ma bouche.. je la sent durcir au fond de ma gorge.
Je m'applique, sa main n'a plus besoin de me forcer pour se placer profondément, je l'exécute comme il l'aime.. Il baise ainsi ma bouche, comme il l'entend.. Parfois au bord de l'étouffement, sans pour autant me laisser de répit..
"Retire ta robe" J'obeis et je peine à l'enlever..
Il me gifle.. me crache au visage.. Pince le bout de mes seins..J'aime ça..
Dès lors, il attrape de bondage tape.. me met les bras tendus dans le dos, mains jointes.. entoures mes poignets de cette entrave parfaite.. Maître saisit mes cheveux et me promène ainsi... Il saisit sa badine.. me cravache d'emblée sévèrement les fesses, plusieurs fois..
je prends un plaisir fou, il caresse mon corps avec son associé, me rapelle immédiatement qu'il aime me faire mal...
J'entends l'élan et le souffle du coup.. le claquement.. Mon Maître me signifie que je suis rouge.. je jubile..
Il me ballade dans le salon...
"Baise moi les pieds"
La Pet éduquée que je suis obéis, et lui embrasse les pieds comme sa bouche.. sensuellement, lentement.. je l'entends... et continue..
Il reprend la laisse et nous place vers le canapé.. pose la cravache à ses pieds.. il m'approche pour que je puisse m'agenouiller sur le manche de son souffre douleur..
Ainsi positionnée il m'impose une fellation et charme sa queue de ma langue.. le suce longuement, profondément et bave totalement sur sa verge tendue..
"Tu as mal ma chienne?"
je mime un non, j'avais même oublié que cette cravache était présente dans mes genoux..
Mon dominant se lève, prends le balai...
Ayant déjà été chatiée ainsi.. C'est certain je"le" crains terriblement.. la douleur est immense positonnée la dessus.. Mais je ne décide de rien.. et me place sur le manche.
Il me baise la bouche...
Je l'entends gémir, je le sent trembler... je me rejouit de son état.. tel est mon rôle..Celle d'une Putain asservie.
J'ai mal, et tétanise, des crampes dans les bras m'affaiblissent.. je n'arrive plus à le satisfaire, gémit de douleur, Divin m'aide a me remettre en position.. je devine sous mes bas les traces du balai enfoncés dans ma chaire, tandis que Mon Maître défait mes entraves.
Nous faisons une pause, partageant le champagne et une cigarette.. Un instant sensuelle nous gagne.. Les baisers sont passionnés..
Je l'aime comme jamais..
Nous discutons sincèrement sur le tumulte des jours précédents.. Mais restons unis malgré nos désaccords..
"Tu vas me laver."
Je n'attendais que ça.. Dans la cabine la tension sexuelle est palpable... mais rien est précipité.. Ainsi je mousse son corp délicieux, à genou, sans rien oublier, et reste dans cette position lorsqu'il se rince.. Il baise ma bouche, et me fais baiser son cul de ma langue..
J'aime quand il fait cela.. l'étreinte est longue et chaude.. Il me prends par derrière, cambrée contre le mur.. Sent son long sexe assaillir le miens profondément et violement... J'en jouit sans sommation.. L'étreinte est longue et chaude..
carnetdebordduneputain.unblog.fr
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Leçon n°1 : Tes désirs tu accepteras
Lorsque j’ai été assaillie par tous ces désirs refoulés, je me suis retournée sur mon passé, me demandant d’où de telles envies pouvaient bien me venir. Un besoin irrépressible de comprendre avant de pouvoir accepter.
Est-ce dû à ma mère ? J’ai eu une éducation bienveillante, avec une maman opposée aux châtiments corporels. Peut-être mes penchants sont-ils dus à un manque de fessées ?
Ou alors à mon ex-mari ? Lui m’a infligé des châtiments corporels. Mais ses châtiments ne m’ont jamais procuré le moindre plaisir et je n’ai jamais eu envie de les recevoir. Ce n’est d’ailleurs pas le même genre de châtiment que j’aime qu’on m’inflige.
Non, mes désirs ne sont dus ni à ma mère, ni à mon ex-mari. Déjà toute petite, lorsque j’avais à peine dix ans, mes fantasmes ne ressemblaient pas à ceux de mes copines d’école.
J’étais bien une princesse, mais une princesse retenue prisonnière par un méchant à la carrure imposante et au regard noir. Il m’attachait dans la plus haute tour du château, s’assurant bien que je ne puisse pas m’échapper. Déjà dans mes rêves de petites filles, j’avais les poignets et les chevilles entravés par de gros bracelets métalliques reliés à des chaînes. J’étais en croix, contre un mur de pierres froides, souvent exhibée. Le prince venait rarement me secourir et lorsqu’il venait, il se faisait assassiner par le méchant, qui me gardait pour lui.
Plus grande, c’est lorsque je marchais dans des petites rues discrètes et sombres que j’imaginais des hommes terrifiant me bondir dessus pour m’emmener avec eux. J’avais dit à ma mère que parfois j’imaginais des hommes me violer. Elle m’avait alors expliqué que c’était une façon de vivre mes angoisses pour les apprivoiser et ne plus en avoir peur. Explication qui, bien que cohérente, me paraissait peu plausible, déjà à l’époque.
Je n’avais jamais entendu parler de BDSM, ni d’aucune des pratiques que ça englobe. Je n’avais même jamais eu de rapports sexuels. Ce qui se passait dans ma tête me semblait incompréhensible. C’était une grande source de culpabilité, car ce n’était pas normal d’avoir de telles pensées si jeune, encore moins lorsque c’est des désirs.
J’étais attirée par les mauvais garçons. Les plus sadiques, les plus forts, les plus imposants. Dans toutes les classes, il y en a toujours un. Le dominant. C’est celui-là dont je tombais amoureuse, à chaque fois.
Non, mes désirs ne viennent ni de ma mère, ni de mon ex-mari. Ils viennent du plus profond de moi et il est temps pour moi de l’accepter. Je suis seule responsables de mes désirs les plus obscures, ils font partie intégrantes de ma personne. Il est désormais temps de les vivre.
[Texte écrit au tout début de mon acceptation... il y a quelques mois]
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Plus tard le même jour, au dîner, Iska était de bonne humeur. Elle avait eu un avant-goût de la domination, et cela lui avait plu. Elle appréciait la perspective, finalement moins angoissante que ce qu’elle avait imaginé. Elle pensait surtout qu’elle pourrait s’en tirer avec ses petites rébellions face à moi parce que nous nous aimions. Toutefois, tout mon amour pour elle ne l’empêcherait pas de se faire punir ce soir. La réprimande, après tout, faisait partie intégrante de tout dressage.
- Alors, es-tu satisfaite de l’expérience jusqu’ici, ma chérie ?
- Oui, mon amour ! J’ai joui comme jamais tout à l’heure ; je ne pensais pas que je ferais, ou dirais, toutes ces choses que nous avons faites aujourd’hui, mais cela me plaît.
Elle souriait tendrement… la surprise n’en serait que plus vive.
- Bien, bien. Je suis content que tu sois satisfaite, dis-je calmement. Parce que je ne le suis pas, ajoutai-je froidement.
Le sourire de Iska s’effaça, elle prit un air inquiet.
- Tu crois que tu peux me désobéir, me défier, et ne pas subir de conséquence ? Si c’est le cas tu te trompes lourdement, comme tu es sur le point de le découvrir.
Iska voulut dire quelque chose mais n’en eut pas le temps. Je l’entrainai vivement dans une autre pièce, plus appropriée pour son dressage. Je lui ordonnai de quitter ses vêtements. Elle était donc seins nus, jambes nues, à part une courte jupe et une culotte en dentelle.
- Tourne-toi dos à moi, penche-toi en avant et tiens ta jupe pour que tes fesses soient bien découvertes, fis-je sur un ton sec.
Iska s’exécuta, je la sentais apeurée, très bien. Je voyais ses fesses bien offertes, toutes pâles. J’allais arranger ça rapidement. Je caressai rapidement la chatte de Iska à travers sa culotte, je voulais qu’elle salisse son sous-vêtement. Ceci fait, je pris une badine (la villa était bien pourvue en accessoires de ce genre), et me mis à cingler rapidement, sans trop appuyer, les fesses de ma soumise, pour les colorer un peu. Elles virèrent rapidement au rose, puis à l’écarlate. Iska couinait à chaque coup en essayant de ne pas pleurer. Mais elle était excitée en même temps. Finalement, je décidai que ses fesses avaient la bonne couleur et cessai mes coups. Je lui massais à nouveau la chatte à travers le tissu. Iska gémissait doucement, le plaisir atténuait la douleur. Quand la culotte fut suffisamment mouillée à mon goût, je la fis glisser le long de ses cuisses et la ramassai. Je fis se tourner Iska, lui fourrai la culotte dans la bouche en guise de bâillon, et lui dis :
- Ecoute bien, ma petite pute. Maintenant, tu vas te retourner, enlever ta jupe, et je vais te baiser comme une chienne. Je vais te défoncer, et je me fous que tu jouisses ou pas. Tu es juste mon jouet. Par contre, je ne veux pas t’entendre. Alors tu vas garder cette culotte que tu as tachée dans ta bouche jusqu’à ce que je l’enlève. J’espère que tu aimes le goût de ta mouille, salope.
Iska hocha la tête, la bouche pleine. Je l’embrassai, malgré le tissu, pour goûter à son intimité. Elle se retourna, enleva sa jupe. Je claquai ses fesses plusieurs fois, pour qu’elle tressaille et qu’elle gémisse de douleur : son cul était déjà bien chaud du fait de la badine.
- Mets-toi en levrette, soumise !
Elle s’exécuta et attendit. Je me mis à nouveau à masser sa chatte, y mis deux doigts, fis quelques va-et-vient. Toutefois je pense que Iska ne s’attendait pas à la suite. Avec mes doigts pleins de mouille, je commençai à masser son anus vierge. Je sentis qu’elle se raidissait : je n’étais jamais allé là avant. Rapidement, j’introduisis un doigt, puis deux dans son petit cul serré. Iska gémit vivement et se tordit ; elle protestait.
- Cesse immédiatement, chienne. Tu es à moi. Je ne veux pas t’entendre, je ne veux pas te voir bouger.
Je la saisis aux hanches, puis giflai ses fesses à la volée. Iska se calma tout de suite.
- J’aime mieux ça.
Je continuai à doigter son petit trou pour l’élargir. Puis, je sortis ma bite de mon pantalon, et entrai dans sa chatte. Iska gémit, pensant que j’en resterais là, et appréciant de se faire ainsi prendre. Toutefois je sortis rapidement, et me plaçai à l’entrée de ses fesses. Iska ne respirait plus, attendant le choc. Je l’enculai sèchement, son hurlement s’étouffa dans son bâillon. Je me mis à la bourrer sauvagement, je ne me contrôlais plus. Mes couilles claquaient contre sa chatte, ma verge entrait et sortait des fesses étroites d’Iska, qui sanglotait doucement. Je me mis à caresser sa chatte par devant, pour soulager un peu sa douleur, mais je n’arrêtai pas pour autant mes va-et-vient, son cul serré était trop bon. La vision de ses fesses rouges m’excitait d’autant plus.
- Tu vois, soumise, c’est pour cela que la désobéissance est déconseillée, lui dis-je tout en la fourrant.
J’accélérai le rythme, j’étais bestial. Iska encaissait bravement mes assauts, elle ne pleurait plus et soupirait légèrement. Elle commençait à avoir un peu de plaisir à se faire sodomiser. Je continuai à caresser sa chatte tout en la baisant. Ses fesses étaient chaudes et enserraient mon sexe de manière exquise. Finalement, j’agrippai fermement les hanches d’Iska et jouis dans son cul étroit. Iska gémit à travers son bâillon quand elle sentit mon sperme la remplir. Je poussai un long râle de jouissance, cette pute était vraiment parfaite. Je restai un moment en elle, savourant ce moment. Iska était docile, elle se remettait de ma sauvagerie.
Puis, je me relevai, et la mis face à moi.
- La séance est terminée pour aujourd’hui.
Je sortis sa culotte de sa bouche, l’embrassai avec douceur, et la portai jusqu’à une salle de bains. Elle semblait perdue, encore choquée, de ce qui venait de lui arriver. Je la lavai, la séchai, et l’emmenai jusqu’à notre lit. Là, elle s’allongea sur le ventre. Je massai longtemps ses fesses avec de la pommade, pour apaiser la brûlure de la badine.
Iska sembla finalement revenir à elle. Elle parla d’une voix timide :
- Merci, mon amour, de t’occuper de moi.
- Ce n’est rien. C’est cela, la relation d’une soumise avec son maître : un amour et une tendresse infinis, en contrepartie de la confiance et de l’obéissance. As-tu aimé la sodomie ?
- Un peu… c’était très douloureux au début, puis c’est devenu plus supportable. J’ai même eu du plaisir à la fin. Je suis sûre que j’aimerai cela si je m’habitue.
- C’est bien. Je t’y préparerai, tu verras. Tu devrais te reposer, maintenant.
Je l’embrassai avec amour, sur les lèvres, dans le creux du cou, et finalement elle s’endormit dans mes bras avec un sourire sur le visage, épuisée de sa première journée en tant que soumise, mais en même tellement satisfaite de s’être fait baiser ainsi, sans respect, comme une chienne, et d’avoir fait plaisir à son maître. Voilà ce à quoi elle aspirait, être la meilleure des catins.
***
Nous nous réveillâmes de bonne heure le lendemain matin. Je laissai à Iska quelques heures de liberté : après quelques câlins et caresses dans le lit, nous allâmes nous laver, et chacun vaqua à ses occupations un temps. Puis Iska me prévint qu’elle allait courir. Il y avait suffisamment d’espace pour faire cela sans sortir de la propriété. Une idée me vint et j’allai chercher un jouet d’un genre particulier. C’était un plug anal terminé par une queue de crins, comme celle d’un cheval, pour les maîtres qui souhaitaient transformer leurs soumises en poneys. C’est aspect ne m’intéressait pas outre-mesure, par contre, j’avais très envie d’humilier ma petite chienne, et je savourais d’avance la vision de cette queue sortant de son cul.
Je sortis pour aller la retrouver. Elle courait autour du bloc piscine + court de tennis, ses cheveux ramenés en queue de cheval derrière sa tête. Quelle belle coïncidence. Pour le reste, elle portait un petit short de sport qui moulait ses fesses et descendait à peine assez bas pour les couvrir entièrement. Ses seins étaient comprimés par un soutien-gorge de sport blanc. Elle était à peine essoufflée, tout au plus les joues roses: cela ne faisait pas longtemps qu’elle avait commencé, et elle était sportive. Autre qualité que j’appréciais chez elle d’ailleurs, car cela la rendait plus endurante, sans parler de maintenir la fermeté de son corps délicieux.
Je la regardai courir un moment. Elle s’approcha de moi avec un grand sourire et m’embrassa.
Je lui rendis son baiser et lui dis calmement :
- Bonjour, soumise. Ton dressage reprend maintenant.
Elle regarda le plug d’un air intrigué.
- Ceci sera ta nouvelle queue. Tourne-toi et quitte ton short et sous-vêtement.
Elle s’exécuta, m’offrant ses fesses. J’avais bien enduit le plug de gel, il entra donc sans problème dans le cul étroit de ma chienne, qui tressaillit légèrement, mais n’avait pas eu mal. Je lui fis faire quelques va-et-vient, pour exciter Iska et caler correctement le plug. La queue descendait au niveau de ses genoux. Je retroussai le soutien-gorge sur le haut de ses seins, je voulais les admirer.
- Le but maintenant, c’est que tu continues à courir, avec ce plug. Tu ne dois pas le perdre. File, maintenant.
D’une tape sur les fesses, je lui indiquai qu’elle pouvait retourner courir.
Iska reprit sa course. La queue se balançait au rythme de ses pas. Je voyais que ma soumise serrait les fesses autant qu’elle pouvait pour maintenir le plug en place. Sa course était plus hésitante qu’au début, cela me faisait sourire. Ses seins fiers pointaient du fait de la brise, et rebondissaient à chaque foulée de manière jouissive. A chaque fois qu’elle passait à ma hauteur, j’en profitais pour claquer ses fesses, afin de l’encourager. Iska rougissait de plus belle, mais moins à cause de l’effort que de l’humiliation : je la faisais courir, nue, comme un animal de concours. Il est vrai que s’il y avait eu une compétition pour déterminer qui était la meilleure des chiennes, elle l’aurait remportée haut-la-main. Je voyais aussi que ses cuisses devenaient humides, et ce n’était certainement pas que de la sueur.
Je la laissai continuer un moment en l’admirant, mais l’arrêtai avant qu’elle ne se fatigue trop.
- Cesse, catin. Tu vas t’occuper de moi, maintenant. A force de m’aguicher, tu m’as donné envie de toi.
Iska ne dit rien mais sourit, flattée d’avoir excité son maître. En vérité, j’avais envie d’elle tout le temps, j’aurais pu passer ma vie entre sa chatte, ses seins, son cul et sa bouche, la baiser sans arrêt, mais cela n’aurait pas été aussi distrayant. De plus, pour un bon dressage, il était nécessaire que profiter de ma queue reste un privilège pour ma soumise, de telle sorte qu’elle fasse toujours le maximum pour me satisfaire, dans l’espoir que je lui fasse le plaisir de la baiser.
Elle me suivit jusqu’à un des transats qui bordaient la piscine. Je m’allongeais dessus, sur le dos.
- Chevauche-moi, chienne. Fais-moi jouir avec ta chatte.
Iska vint s’empaler sur moi, toujours ravie d’obéir. Elle me montait sauvagement, se trémoussant pour que j’entre en elle aussi profondément que possible. Ses seins se balançaient glorieusement sur sa poitrine. Je caressais ses fesses du bout des doigts tandis que ma soumise se démenait pour que je jouisse en elle. Je sentais les crins de la queue qu’elle portait toujours caresser mes couilles. Une de mains quitta ses fesses pour aller goder son cul avec le plug, ce qui la fit gémir de plus belle. J’aimais qu’elle soit bruyante, sans dignité. Iska accéléra son mouvement, son ventre frémissait, sa mouille trempait mes couilles.
Nous jouîmes ensemble, je remplis sa chatte serrée de sperme brûlant. Iska poussa un cri de bonheur et s’écroula sur moi, comblée. Ses seins sur mon visage, j’étais heureux. Nous restâmes là un moment, alanguis par le bien-être somnolent qui suivait l’orgasme. Je continuai à caresser ses fesses -le vent lui donnait parfois la chair de poule, j’aimais sentir cela sous mes doigts
Puis nous allâmes nous laver, déjeuner, et l’après-midi fut plutôt calme.
(à suivre…)
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C’était une belle journée de début d’été sur Porquerolles. Le ciel était bleu indigo et une petite brise charriant l’odeur des pins calmait l’ardeur du soleil. Une voiture s’avançait sur la route menant à une villa de bord de mer isolée des autres habitations de l’île.
A son bord, moi-même, et Iska, mon amie.
Nous étions ensemble depuis plusieurs mois déjà, et notre entente était idéale : je m’étais montré attentif, dévoué, aimant, et elle était tendre et douce. Toutefois elle pouvait sentir une certaine réticence de ma part lorsqu’elle me questionnait sur mes fantasmes, mes désirs secrets. Je déviais le sujet, ou j’adoucissais mes réponses, car je n’étais pas sûr qu’elle puisse accepter cette part de moi-même.
Devant son insistance, je finis par céder et lui dévoilais, petit à petit, mon goût pour la domination et le sadomasochisme. Elle se montra d’abord intriguée, puis tout-à-fait excitée par cette facette de ma personnalité. Elle n’eut de cesse, à partir de ce moment, que je l’initie à cet art de la soumission. Il est vrai qu’elle avait du potentiel en la matière, Iska. Car derrière sa crinière blonde, et ses airs de reine, je sentais qu’il y avait une délurée, une joueuse, en un mot, une petite chienne en devenir, que je me ferais une joie d’éduquer.
Ces vacances à Porquerolles seraient pour elle son initiation.
Alors que nous sortions de la voiture, garée devant la superbe villa, je m’arrêtai devant elle, mes mains sur ses bras, et lui demandais :
- Es-tu sûre, ma chérie, de vouloir aller au bout ? Choisis bien, je te donne là une chance de renoncer. Mais si tu acceptes, alors tu m’appartiendras, tu seras ma soumise. Comprends-tu cela ?
- Oui, et j’accepte avec joie.
Ce fut sa réponse, prononcée avec fougue, et une fierté qui voulait dissimuler le soupçon de peur qu’elle éprouvait. Je l’embrassai, et murmurai à son oreille : « Je n’en attendais pas moins de toi ».
Une fois nos affaires déchargées, je vins trouver Iska dans notre chambre.
- Il est temps de commencer ton éducation, dis-je doucement. A partir de ce moment, tu es ma soumise, ma propriété. Si je te demande quoi que ce soit, tu t’exécutes. Discute mes ordres à tes risques et périls. Tu devras également m’appeler « maître ». Déshabille-toi maintenant.
Iska acquiesça de la tête, et s’exécuta. Elle commença par retirer son chemisier blanc, puis son pantalon, qui moulait si bien ses fesses délicieuses. Elle faillit s’en tenir là mais continua, ce qui à la fois me plut, parce qu’elle était obéissante, et me déplut, parce que j’aurais bien saisi ce prétexte pour la corriger. Je savais néanmoins que ce n’étaient pas les occasions qui allaient manquer dans les jours à venir. Son soutien-gorge rejoignit le chemisier par terre, dévoilant ses seins fermes.
Ils étaient généreux, sans être gros, parfaits pour la taille de ma main. J’aimais leur pâleur, Iska le savait : combien de fois les avais-je pris en main, léchés ; combien de fois avais-je mordillé et pincé ses tétons roses et sensibles…
Finalement elle retira sa culotte, qui glissa le long de ses jambes fines et longues. A voir le tissu déjà humide, je pris un air gourmand. Je dis à Iska de se tourner pour me présenter ses fesses, rondes et douces. Elle se pencha en avant, pour que je voie bien sa chatte luisante de mouille, et son anus encore vierge, à la pensée duquel me venaient nombre d’idées exquises.
Satisfait de mon inspection, je laissai Iska aller se rafraîchir. Il lui faudrait être en forme pour ce qui allait suivre.
***
Je décidai d’emmener ma jeune chienne en promenade dans le bois autour de la villa. Si j’étais habillé, Iska, en revanche, était entièrement nue, mises à part une paire de chaussures et la laisse attachée à son cou. Elle jugea utile de s’en plaindre :
- Mais, et si des gens nous voient ? Son assurance du début avait faibli et sa voix était bien plus timide maintenant.
Je secouai la tête en soupirant.
- N’oublie pas à qui tu t’adresses.
Je vis la frayeur dans ses yeux quand elle réalisa qu’elle avait oublié mon titre lorsqu’elle m’avait parlé. J’étais son maître à présent. Pour cet oubli, je fis à l’aide de la sangle de la laisse cinq belles marques rouges sur ses fesses rondes et blanches. Iska ne cria pas -j’avais été gentil- mais ne put empêcher quelques larmes de couler.
- Pour ce qui est des promeneurs qui pourraient te voir, ne t’en fais pas, la forêt est assez grande. Et de toute façon, une belle chienne comme toi est faite pour être admirée.
Voilà la réponse que je lui fis, un sourire lubrique sur les lèvres. Elle baissa les yeux, l’air résigné.
Iska marchait devant moi, à quelques pas. Je pouvais voir ses fesses en forme de cœur qui se dandinaient et tressaillaient légèrement à chacun de ses pas. Les traces des coups de laisse commençaient à peine à s’estomper et rosissaient sa peau fine. J’étais sûr qu’elle sentait encore leur brûlure, et qu’elle ne trouvait pas la sensation désagréable.
Cette petite promenade n’avait pas d’objectif précis, à part titiller les nerfs de ma délicieuse soumise. Elle s’attendait peut-être à une entrée en matière plus brutale, à plus de violence de ma part, mais il était trop tôt, son dressage ne faisait que commencer. Toutefois je ne comptais pas le lui faire savoir, je préférais qu’elle continue à s’inquiéter, à s’interroger sur son sort. J’aimais l’incertitude que je lisais dans ses yeux implorants quand elle tournait furtivement la tête vers moi, pour s’assurer que j’étais satisfait de sa conduite.
Nous marchâmes encore, puis je me mis à sa hauteur, et, tout en continuant d’avancer, je caressais ses fesses, et glissais ma main entre elles. Je fis aller et venir mes doigts sur sa chatte chaude et de plus en plus mouillée, sans rentrer à l’intérieur. Je voulais simplement l’exciter un peu.
Iska gémissait, elle était très excitée. C’était la première fois que je la touchais depuis notre arrivée, et le mélange de peur, de honte (elle marchait nue et en laisse dans les bois, quel changement pour cette citadine fière et parfois hautaine…) et de désir l’avait rendue terriblement sensible et humide. Je continuai mes caresses jusqu’à ce que ses gémissements se fassent plus rauques. Mes doigts étaient trempés, et la mouille de Iska dégoulinait maintenait le long de ses cuisses. Elle haletait, soupirait, sentait la jouissance qui n’allait pas tarder à l’envahir. Mais je n’allais pas lui donner ce plaisir. Je retirai ma main avant qu’elle ne jouisse et elle resta pendant quelques secondes désorientée ; elle voulait jouir, elle s’y attendait, et voilà que son plaisir lui était dérobé, comme cela, d’un coup. Instinctivement, elle porta sa main vers son sexe, si je n’allais pas lui faire ce plaisir, peut-être pourrait-elle s’en charger elle-même ?
Bien sûr que non. J’attrapai sa main au vol.
- Non, petite pute. Tu es à moi maintenant. Ton corps m’appartient, tu es mon objet, je ferai de toi ce que bon me semble, et c’est moi qui t’autoriserai à jouir si je juge que tu l’as mérité.
- D’accord… maître. Pardon, maître.
Je sentais que dire cela lui arrachait les lèvres. Il lui fallait encore s’habituer à son nouveau statut, mais cela viendrait. Je sentais une étincelle de défi dans sa façon de me répondre et cela me fit sourire. « Ne t’en fais pas, chérie, bien assez tôt tu seras docile », pensai-je.
Je portai mes doigts trempés de son humidité vers sa bouche, mais elle détourna légèrement la tête. Je n’insistai pas, je comptais punir toutes ses petites insubordinations de manière exemplaire le soir venu.
Iska se rendit compte de ce qu’elle venait de faire -me désobéir- et voulut rattraper ma main, mais j’essuyais mes doigts sur sa cuisse.
J’entendais bien lui rappeler qu’elle ne valait pas mieux que cela, une vulgaire serviette pour moi.
- Ca ne fait rien. Tu ne perds rien pour attendre cependant.
Je passai une main dans ses cheveux, et de l’autre j’appuyai sur son épaule pour qu’elle se mette à genoux. Je vis Iska sourire et reprendre un peu d’assurance : elle se retrouvait en terrain connu. Elle déboutonna mon pantalon et sortit mon sexe dur du caleçon. J’étais moi aussi très excité de voir son petit cul se déhancher devant moi depuis tout à l’heure.
Ses mains passaient sur ma queue, l’érigeant encore un peu plus. Puis elle me prit dans sa bouche et commença à me sucer. Elle fit quelques va-et-vient, puis elle passa sa langue le long de ma hampe avant de me gober à nouveau. Dans le même temps, ses doigts fins massaient mes couilles. Cette catin savait s’y prendre, j’avais toujours apprécié de voir qu’elle me suçait avec entrain, elle aimait cela. Je ne pus m’empêcher de lui faire remarquer :
- Alors, soumise, je vois que tu n’es plus si réticente maintenant. Où sont passés tes scrupules et ta peur de te faire surprendre ? Je vois que tu commences à devenir une bonne salope dévouée. C’est bien.
Elle leva vers moi des yeux rieurs, contente de voir que son travail était apprécié. Très bien. Je la laissai faire, appréciant son savoir-faire. Je voulais endormir un peu sa méfiance, lui faire croire que finalement je n’allais pas être si dur avec elle, qu’elle pourrait se permettre de se rebeller.
Iska continuait ses caresses, elle était désireuse de bien faire. Bientôt je succomberais sous ses coups de langue. Je ne cherchais pas à me retenir, pas à ce moment-là. Je jouis dans sa bouche alors que ses doigts continuaient de me caresser les couilles. C’était divinement bon, se faire sucer ainsi par ma belle chienne nue et humide, en forêt. J’eus toutefois la désagréable surprise de la voir recracher mon sperme sur le sol. Cela me mit en colère mais je ne fis rien. Les comptes seraient soldés ce soir. Je la regardai d’un air désapprobateur, elle se contenta de me sourire avec défi, et passa un doigt sur ses lèvres pour récupérer ce qui restait de sperme, et le lécha d’un air gourmand.
« C’est cela, continue de faire la maligne », pensai-je. « Tu en seras pour tes frais ce soir ». Je ne dis rien toutefois, et d’une tape sur les fesses, lui indiquai d’avancer. Nous rentrions.
***
Une fois revenus à la villa, j’envoyai Iska se doucher. Elle en avait besoin, après avoir autant mouillé. De plus, vu son attitude, j’étais sûr que cela allait se révéler intéressant. J’espérais bien qu’elle allait transgresser les règles une fois encore.
Et bien évidemment, quand j’allai la voir sous la douche, je la trouvai en train de se caresser. Je la voyais, deux doigts dans la chatte, en train de se masturber avidement, tandis que son autre main était crispée sur son sein. Elle haletait rapidement, elle le voulait, cet orgasme, ma petite chienne. Ravi de ce que je voyais, j’entrai brusquement. Iska sursauta, tenter de cacher ce qu’elle était en train de faire, en pure perte. Je lui pris la main, sortis ses doigts de son sexe, et les léchai tendrement.
- Toujours aussi délicieuse, ma chérie. Mais je ne me rappelle pas t’avoir permis de te toucher. Tu n’es vraiment qu’une pute, au fond. Mais je te dresserai.
D’un ton froid, je lui commandais de se sécher rapidement. Ceci fait, je lui remis sa laisse autour du cou et lui dis de me suivre. Elle s’exécuta mais je m’arrêtai d’un coup.
- Où crois-tu aller comme cela ? Tu me désobéis et tu crois que tu peux marcher debout, comme une… personne ? Mais tu es une chienne. Et les chiennes vont à quatre pattes. Allez, soumise, exécute-toi.
Et Iska s’agenouilla puis me suivit ainsi, après un long moment d’hésitation. Pour lequel elle payerait tout à l’heure. Elle se sentait honteuse, avilie, mais en même temps elle obéissait, parce qu’elle s’ouvrait peu à peu à sa nature profonde de salope docile et obéissante, désireuse de plaire à son maître. Et cette perspective la remplissait d’une excitation indécente : elle était humiliée et maltraitée, et cela la faisait mouiller de plus belle.
Je la conduisis dans une pièce où plusieurs cordes tombaient du plafond. Je lui ôtais sa laisse, mais pas son collier, et lui liai les bras à une des cordes. Je tirai pour faire en sorte que ses bras soient au-dessus de sa tête. Iska respirait plus vite, elle avait peur. A tort, pour cette fois.
- Alors, petite traînée, tu veux jouir ?
C’était rhétorique mais elle répondit quand même, à ma grande surprise.
- Ouiii maître, je vous en prie, vous jouez avec moi depuis notre arrivée, je n’en peux plus !
- Tu as raison, je te tourmente un peu.
Je l’embrassai avec passion pendant un moment, tout en caressant sa chatte. Puis je descendis sur ses seins dont je mordillai le téton. Enfin, partant du nombril, je posai ma tête contre son pubis. Et je déposai un baiser sur son sexe tiède. Je sentis Iska tressaillir. Je passai ma langue tout le long de sa chatte délicieuse un moment, m’attardant sur les grandes lèvres.
Ensuite je collai ma bouche entière contre sa motte, l’embrassant comme je l’avais fait avec elle plus tôt. Iska était fébrile, elle trépignait. Elle dégoulinait, dans ma bouche, contre ses cuisses. Elle gémissait, couinait. Et pendant que je la léchais, mes mains caressaient ses fesses, les pétrissaient. Je sentais que ma soumise était près de jouir : son ventre se contractait contre ma tête, elle cherchait à se coller encore plus à ma bouche.
C’est à ce moment-là que je m’écartai d’elle, tout sourire. Elle, en revanche, était au bord des larmes. Elle frémissait de désir et d’impatience, elle aurait voulu plaquer ses mains sur sa chatte, se masturber une bonne fois pour toutes, se faire jouir une fois, puis deux, se doigter jusqu’à être rassasiée, mais elle était enchaînée. Elle me lança des regards furieux.
J’attendis qu’elle se calme et que son excitation redescende un peu. Moi-même, je bandais fortement, j’aurais voulu la baiser, cette chienne haletante et trempée, mais je me contrôlai. Le moment n’était pas encore venu, et le maître devait faire passer le plaisir -ou le tourment- de sa soumise avant sa propre satisfaction.
Je revins me coller à sa chatte, cette fois je léchais son clitoris, je le faisais tourner dans ma bouche, je le mordillai gentiment, et comme la dernière fois, je m’écartai d’elle au dernier moment, avant qu’elle ne jouisse. C’était la quatrième fois que je lui faisais cela depuis que nous étions arrivés, et je pouvais voir qu’elle en devenait folle.
Je pris une chaise et m’assis en face d’elle, avec un air narquois sur le visage. Sa mouille encore sur ma bouche, je passai ma langue sur mes lèvres pour la taquiner. Elle leva sur moi des yeux humides et implorants ; elle en tremblait presque.
- Maître, je vous en prie, laissez-moi jouir comme la chienne que je suis, s’il-vous plaît !
- Ah, je vois que tu commences à saisir comment tout cela est censé fonctionner. Très bien. Supplie-moi et peut-être que j’accéderai à ton désir.
- D’accord maître -plus d’hésitation dans sa voix cette fois, elle s’abandonnait à sa condition-, je vous en supplie, prenez-moi, faites de moi ce que vous voulez, je vous appartiens, mais laissez-moi jouir !
- Continue…
- Je suis une traînée, une catin, je suis votre soumise, maître, s’il-vous-plaît, permettez-moi de jouir, je ne suis qu’une petite pute qui ne pense qu’au sexe, je mouille pour vous, je veux que vous me défonciez, que vous preniez ma bouche, que vous vous serviez de moi, je suis votre salope attitrée. Maître, votre petite chienne vous implore de la laisser jouir comme l’animal qu’elle est.
Iska avait fait sa tirade en me regardant dans les yeux avidement, elle était folle d’excitation. Oubliées, ses réticences, tout ce qu’elle voulait à présent, c’était que son maître la laisse atteindre l’orgasme. J’étais satisfait.
Je recommençai à la lécher, j’embrassai sa chatte que j’aimais tant, puis je la baisais avec ma langue, je rentrai en elle ainsi. Iska se raidissait, criait maintenant sans retenue. Elle se collait tant qu’elle pouvait contre moi. Je pétrissais ses fesses en même temps. Et cette fois, je ne m’écartai pas. Iska hurla, jouit dans un râle de satisfaction : enfin ! Elle me trempa la bouche, j’aimais cela. Tous ses muscles étaient contractés, elle haletait comme la chienne qu’elle était. Elle avait fini par jouir.
Je me relevai pour la détacher, puis l’embrassai longuement. Cette fois, elle ne fuit pas. Elle apprécia de goûter sa propre mouille. Petit-à-petit, ses inhibitions tombaient.
(à suivre …)
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Trouver son maître de soumission
L'idée de cet article m'est venue suite à un échange avec un femme qui aspirait à se soumettre à un Maître et qui m'a fait part de son témoignage. Cette personne aspirante à être soumise est sur ce site BDSM et sans doute se reconnaîtra, ...... je pense.
« La liberté, c'est de pouvoir choisir celui dont on sera l'esclave. »
Jeanne Moreau
Sachez que c’est là que réside l'une de vos deux libertés de soumise dans l'univers BDSM. La première liberté est le choix de votre Maître. Votre seconde liberté sera justement de la reprendre .... votre liberté . Ce choix de l'homme dominant est donc crucial !
Si vous acceptez d’entrer dans une relation de soumission avec un maître, vous choisissez cet homme pour vous donner à lui, vous autorisez cette personne à disposer de vous et à subir, en fonction de ce que vous avez convenu ensemble, des assauts, humiliations, peines, flagellations, etc...
C’est votre complicité commune avec le maître qui transformeront ces moments de soumission et séances de BDSM en relation qui réponde réellement à votre recherche et à votre envie de plaisir
Le Premier Rendez-Vous avec un Maître :
Attention : Un Maître qui propose à une femme soumise une séance BDSM pour un premier rendez-vous est à bannir, ce n'est pas la bonne façon d'entamer une relation. Certains Maîtres ne cherchent par ce biais, qu’à profiter de votre naïveté (et de profiter de vous sexuellement au lit ). Un bon Maître voudra connaître son éventuelle future soumise avant de développer la relation, vous jauger sur votre envie et et vous préparer à cette première séance BDSM qui sera pour vous une découverte des pratiques SM liées à la soumission si vous êtes débutante, ou la découverte des pratiques d'un nouveau maitre si vous avez déjà un peu d'expérience.
De plus, il y a bien d’autres façons pour un homme d'entamer la relation et de tester une personne soumise que de lui proposer une séance de soumission surtout lors d’un premier rendez-vous, surtout si la femme débute dans cet univers BDSM.
Affinités de pratiques BDSM : Pour commencer donc, lors de ce premier rendez-vous, il vous faut poser un maximum de questions à votre éventuel futur homme dominant : elles seront déterminantes pour votre éducation de soumise. Et cela permet aussi à cet homme que vous envisagez comme Maître de construire la relation.
Il est important pour la soumise de poser toutes les questions à son futur Dominant. Aucune question n’est anodine ou ridicule quand on envisage de devenir la soumise d'un Maitre. Le désir d’un Maître sadique (relation SM) peut être insoutenable si vos attentes sont celles d’une soubrette (relation DS). Les conséquences et engagements ne sont pas les mêmes selon que votre souhait est d’être une soumise de services, sexuelle, maso ou esclave voir un savant mélange de tout cela... La relation BDSM est en cela plus complexe qu'une histoire d'amour.
Une fois que vous serez sa soumise, votre Maître pourrait en venir à vous imposer des pratiques de domination qui vous heurtent (ou qui font mal) ou aller voir ailleurs si vous n’êtes pas en mesure de le satisfaire. Il est important de déterminer toutes vos limites lors de cet échange ou d’informer votre futur Maître si vous ne connaissez pas encore votre vision et vos limites :
•Attentes et désirs de soumission et/ou de sadomasochisme
•Limites envisageables dans les séances de soumission/domination
•Limites à ne jamais franchir par votre futur maître
Dress-Code : Chaque Maître a ses propres exigences en ce qui concerne le Dress code. Toutefois, s’il suit les préceptes du BDSM, certains reviennent régulièrement concernant la tenue vestimentaire des soumises durant toute leur relation avec leurs maîtres :
•Talons : plus le Maître est fétichiste, plus il réclamera de la hauteur,
•Bas : couleur chair étant la plus approuvée, d’autres préfèreront la résille, le noir, ou même des jarretelles pour les « puristes »,
•Les culottes, strings et boxers sont inutiles et proscrits,
•Toujours épilée (ou rasée, mais un Maître préfère que ce soit lisse, le rasage peut être frustrant),
•Un décolleté plongeant est, en général, plus adéquat, mais ce sera à l’appréciation du Monsieur.
Safe word : Le « Safe word » est la porte de secours de la soumise en pleine séance. Il s’agit d’un mot, un geste, un objet, un regard. A vous de définir ce qui vous conviendra le mieux à vous et votre Dominant pour lui indiquer la nécessité d’interrompre immédiatement la séance. Un Maître très expérimenté peut se dispenser d’un « Safe word » s’il estime être suffisamment attentif et fin psychologue. Il reste généralement vivement conseiller d’en établir un avant de commencer votre apprentissage (surtout si c'est un dressage avec des pratiques SM et que vous êtes appelée à recevoir des coups de fouet). Expliquez également les pratiques dont vous avez envie. C'est le meilleur moment pour le faire. Votre envie de telle ou telle pratique ou de telle ou telle recherche d'expérience sera moins facile à exposer quand vous serez réellement sa soumise.
Un conseil : Des échanges approfondis avec le maitre et des discussions sur sa manière de prendre le pouvoir doivent précéder une première rencontre visant a explorer plus en avant l'éventuelle relation de domination - soumission. Profitez des nombreux moyens de dialogue mis à notre disposition aujourd’hui dans cet univers qu'est le BDSM : Tchat, Telephone, eMail, etc.
Lors du premier rendez-vous avec celui qui sera peut-être votre futur maître, dites à une amie que vous allez rencontrer quelqu’un. Donnez rendez-vous à votre futur Maître dans un lieu public (dans un univers vanille donc), à une heure d’affluence. Vous aurez bien le temps pour les têtes à têtes lorsque vous l’aurez choisi pour Maître ! Prenez le temps de la réflexion avant de vous lancer dans une relation plus approfondie, même si vous semblez sûre de votre choix, vous n’êtes pas désespérée ni à 24 H près, et le laisser languir un peu (pas trop longtemps non plus) ne sera pas une mauvaise chose. Votre choix fait, rappelez le Maitre et commencez votre initiation.
Le contrat : Envisagez la rédaction d'un contrat de soumission. Si ce contrat BDSM vous engage, il engage aussi votre dominant, et permet d'acter les limites que vous avez fixé avant de vous soumettre. Bien des soumises regrettent après coup de ne pas avoir la protection d'un contrat de soumission, elles ont fait confiance dans le maître, qui était parfois d'ailleurs très sincère mais la relation BDSM évolue parfois de part et d'autre et pas nécessairement dans le même sens. Il n'y a pas de problème quand la relation BDSM se fait dans un cadre vanille (et que l'homme dominant est le mari par exemple, et que la relation est déjà régit par l'amour, le sexe et le mariage). Pour qu'un jeu soit source de plaisir, il faut respecter les règles du jeu. Et la confiance dans le monsieur peut donc ne pas suffire.
Comment faire la rencontre de son Maitre ?
Ce n'est qu'une vision personnelle, mais je suis convaincu que l'internet et les réseaux sociaux sont un excellent moyen d'explorer les pratiques de soumission domination, car elle permettre à la future femme soumise de découvrir à son rythme, de prendre le temps d'affiner sa vision quant aux pratiques SM et à ce que le maitre éventuel peut attendre d'elle dans sa domination. Cela permet d'entrer progressivement dans le jeu, et la naissance de la relation entre la soumise et le dominant fait également partie intégrante du plaisir que l'on peut en tirer. Beaucoup de relations entre les soumis et les soumises et leur dominateur (ou leur dominatrice) démarrent de nos jours sur Internet.
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Je viens de finir de me faire à manger, et de m’installer à table, lorsqu’elle entre dans la pièce à quatre pattes. Elle est superbe, magnifique, sa croupe se dandine à chaque pas qu’elle fait, puis elle vient à mes pieds, et place sa tête sur mes genoux. Je souri, c’est une journée ordinaire, un midi ordinaire, je rentre du travail et je vais y retourné dans une heure, mais aujourd’hui, ce midi elle me fait le plaisir d’être ma pet girl, ma chienne. Je lui caresse la tête et lui dit que c’est dommage de ne pas avoir mis la totale, collier, oreille de chienne et plug anale avec queue.Et puis j’aime bien aussi quand elle a sa gamelle et son bol d’eau à mes pieds et qu’elle mange en même temps que moi. Mais aujourd’hui, maintenant, c’est juste de l’amour, de la tendresse petgirl/ maitre. Très bien. Je lui caresse la tête, lui dit qu’elle est une bonne fille, et me met à déguster mon repas tout en regardant la télévision et en lui caressant sa tête. Nous restons la, le maitre et sa petite chienne le temps que je finisse mon repas. Un instant simple, sa tête sur mes genoux, ma main dans ses cheveux, le bonheur. Puis je me lève et m’installe sur le canapé pour prendre mon dessert, elle me suit a 4 pattes, s’installe entre mes jambes, pose sa tête sur mes genoux et remue du derrière lorsque je lui dis qu’elle est une bonne petite chienne.Elle frotte son nez/museau sur mon sexe. Le sent durcir, et le frotte avec sa bouche à travers mon pantalon puis remet sa tête sur mes genoux et reste la coller à ma jambe, regardant la télé. De temps en temps lors d’une publicité, elle tourne la tête, frotte son museau sur mon sexe et lève des yeux implorant vers moi. Elle est si belle quand elle me regarde d’en bas. Quelques gratouille encore et c’est déjà l’heure de retourner au travail… je me lève, elle prend un air triste. Je lui dis que je vais revenir, qu’elle est une bonne petite chienne mais que j’aimerais parler à ma femme avant de partir. Elle se relève et me fait des bisous, puis descend, défait mon pantalon et met mon sexe dans sa bouche qu’elle suce ardemment, finit par m’embrasser. Je lui dis au revoir et merci pour ce moment. Elle me dit qu’elle ne peut pas se dédoubler et qu’elle aimerait être ma chienne et ma femme en même temps…Ou me trouver une petite chienne pour que Elle soit ma femme. Je lui dis qu’on a le temps mais moi je ne l’ai pas maintenant, je suis à la bourre. Je file….
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Une personne posait récemment la question sur un forum : « Le libertinage est-il moral ? »
Belle question.
Libertinage et moralité. Voilà un couple apparemment contre nature, non ?
Déjà que le libertinage ne fait pas bon ménage avec le BDSM...
Dans un sens, on peut clairement dire que le libertinage fait fi d’un certain sens moral, celui de la « morale publique », a fortiori celui de la morale chrétienne.
Copuler joyeusement sans être mariés et sans même connaître le nom de son partenaire, prendre la femme sous les yeux de son mari… un certain nombre de soutanes et de personnes "bien pensantes" partiraient en courant et voueraient aux gémonies les misérables mécréants que nous sommes.
Et pourtant.
Le libertinage,
si d’aucun pourrait parfois craindre qu’il s’accompagne d’une certaine perversité, et des romans malicieux ont mis en scène de telles situations,
force est de constater que la majorité des pratiquants que je côtoie (restons prudents et ne décrivons pas trop vite tout le milieu libertin comme étant angélique) sont dotés d’un ensemble de valeurs et de convictions qui s’apparentent de très près à ce que l’on pourrait appeler un « sens moral » individuel.
Et que ces principes semblent leur apporter un équilibre mental qui rejaillit plutôt favorablement sur leur personnalité (me vient alors à l’esprit le comportement et le tempérament d’un ensemble de connaissances qui attestent de cette constatation).
En bref, ce sont souvent des gens bien dans leur peau.
Quels sont ces principes ?
L’ouverture vers les autres, le respect des souhaits des personnes que l’on croise (et de là le respect tout court, et notamment des femmes par les hommes), la recherche du don du plaisir, parfois un certain esthétisme (je pense à l’érotisme qui m’est cher), une acceptation de ses qualités et défauts (le libertinage conduit à lever un certain nombre de complexes, notamment physiques), une joie, une énergie (là je m’éloigne un peu du registre des principes), une certaine sérénité due à l’acceptation de son corps et de ses pulsions et désirs.
Par ailleurs, le libertinage peut s’accompagner de vrais principes moraux, humanistes, d’un humanisme équilibré, généreux mais lucide, d’un humanisme social, d’un humanisme responsable envers les hommes, nos congénères, et responsable envers la fragile planète que la petite bébête que nous sommes arpente anxieusement en tous sens…
Reconnaissons pour finir par des propos moins grandiloquents, qu’une certaine perversité, je dirais même, une certaine amoralité, ajoute parfois une petite dose épicée que j’apprécie bien dans mes relations libertines ou
BDSM.
Alors moralité ou pas ?!!?!??…
Qu'en pensez-vous ?
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Dans la semaine, je louais un gite en pleine campagne bourguignonne et envoyait le mail suivant :
« G.,
Prévoit de te libérer le week-end prochain du Vendredi au Dimanche soir. Tu prendras le train pour Beaune. Je t’attendrais Vendredi à la gare à 20h30. Tu n ‘emportes avec toi que le minimum. »
J’aurais pu l’amener en voiture mais je souhaitais qu’elle fasse elle-même la démarche de venir à moi.
Le vendredi nous nous retrouvâmes comme convenu. Elle me salua civilement sur le quai de la gare mais une fois dans la voiture, je lui tendis ma main sur laquelle ses lèvres se posèrent, tandis que ses yeux levés au-dessus de ses lunettes vinrent à la rencontre des miens : la première fois que nous échangions un regard alors que chacun prenait sa position. Comment ce simple regard pouvait nous en dire autant sur l’autre ? Comment nous permettait-il de nous ouvrir, aussi profondément, à l’autre sans que nous soyons d’ailleurs en mesure d’exprimer la teneur de ce que nous avions échangé ? Je ne saurais le dire, mais d’innombrables fois la rencontre de nos yeux me bouleversa au plus point.
Nous n’échangeâmes guère durant le trajet. Je la sentais un peu inquiète mais ne fit rien pour la rassurer.
Arrivés au gite, je lui demandais de rester dans la voiture pendant que j’installais nos affaires.
Je retournais à la voiture, lui ouvrit la porte et lui prit la main pour la faire descendre.
Dans l’entrée je lui demandais d’ôter sa culotte. Je vis son visage rougir quelque peu alors qu’elle s’exécutait. Comme j’aimais ce contraste entre sa réserve, sa retenue, sa pudeur et sa propension à aller au bout de ses envies, de concrétiser ses désirs !
Nous rentrâmes dans la pièce principale où j’avais préparé à manger. Je m’assis à table en face d’une assiette, elle fit de même, à côté de moi. Je lui demandais de se relever. Elle s’étonna.
« Je ne crois pas t’avoir permis de t’asseoir. Je ne souhaite pas que tu prennes la moindre initiative sans m’en demander l’autorisation. Est-ce bien compris ? »
« Oui Maitre ».
Je lui donnais l’ordre de s’asseoir après avoir relevé jusqu’à la ceinture, sa charmante robe d’été.
Elle s’assit et posa les mains sur la table de part et d’autre de son assiette bien sagement mais le derrière à l’air.
Elle paraissait sérieuse, naturelle et quiconque l’aurait vu ainsi, n’aurait pu dire qu’elle jouait un rôle. Elle ne jouait pas. Je comprenais qu’elle était elle-même en agissant ainsi.
Elle me regarda commencer à manger sans bouger et je vis qu’elle attendait un signe de ma part pour en faire de même. Un sourire, un hochement de tête et elle entama son repas. Nous n’avions pas eu besoin de parler pour nous comprendre et je sentais que la complicité qui s’était déjà installée entre nous, prendre encore un peu plus corps.
J’entamais la discussion sur des sujets aussi communs que l’entreprise dans laquelle nous travaillions, nos loisirs respectifs, nos opinions sur quelques sujets d’actualité bref nous apprenions à nous connaître. Nous nous découvrions des intérêts communs, des divergences de point de vue mais surtout nous avions soif de nous découvrir mutuellement, au-delà de la position dans laquelle chacun se situait. Je sentais qu’il nous fallait nous connaître bien mieux pour nous évader ensemble vers les terrains que nous avions déjà un peu explorés.
Bien qu’elle fut absorbée – tout comme moi – par notre conversation, elle n’en était pas moins attentive à certains détails et je fus saisi lorsque, ayant vidé mon verre de Monthélie, elle le remplit avec délicatesse tout en m’adressant le plus beau des sourires. Comment, après une telle œillade, pourrais-je lui faire subir les tourments, les humiliations auxquels j’avais pensé en préparant notre week-end ?
Lorsque je parti chercher le dessert, elle se leva dans le même élan en restant debout devant sa chaise. Au moment où je me rassis, elle troussa sa robe et m'imita.
Le doute qui venait de me saisir s’effaça, devant son attitude qui me rappelait la position qu’elle voulait prendre et par conséquent celle qui devait être la mienne.
A la fin du repas, je lui demandais de se lever et de m’attendre jambes écartées, les mains dans le dos, tournée vers le salon afin qu’elle ne puisse me voir.
Je rangeais tranquillement les restes du repas, fit la vaisselle tout en jetant un œil à la belle qui patiemment m’attendait.
Je m’approchais d’elle, posa mes mains sur ses épaules et fermement la guida vers la chambre.
Lorsqu’elle y pénétra, je la sentis se raidir à la vue des quelques objets que j’avais négligemment et volontairement abandonnés sur la commode : cordes, cravaches, baillons, bracelets de cuirs, cagoule, … et quelques accessoires à usage plus … interne.
Sans protocole je lui demandais : « Déshabille-toi ». Elle s’exécuta sans presque me lâcher du regard sans doute pour apprécier ma réaction pendant son effeuillage.
Mon ton avait changé, mon attitude également et mon envie était maintenant de lui faire comprendre que je la maitrisais, que je prenais possession d’elle.
Je la poussais sur le lit, saisis une de ses chevilles et y fixa un des bracelets de cuir. J’en fis de même pour son autre cheville et ses poignets. Elle se laissait faire mais je sentais de l’inquiétude dans ses yeux.
J’avais préparé à chaque pied du lit une corde à laquelle je fixais les anneaux des bracelets et elle se retrouva immobilisée, bras et jambes écartés, entièrement à ma merci. Elle ne me quitta pas des yeux alors que je l’attachais comme si elle avait cherché à ce que je la rassure du regard mais j’œuvrais sans m’occuper d’elle.
Allongé à ces côtés, je commençais à la caresser. Son visage, ses bras, ses flancs, ses jambes … en évitant les zones sensibles qui auraient pu lui faire penser qu’elle n’était là que pour son plaisir. Je vis ses yeux se clore et de son visage disparaître l’inquiétude qu’elle avait laissé percevoir.
Je me plaçais en bout de lit et attrapa un des instruments sur la commode. Face à elle, cravache en main je devais surement lui paraitre un peu menaçant.
Le bout de la cravache parcouru lentement son corps, d’abord son pied, sa cheville, monta le long de son mollet, de sa cuisse, passa sur l’aine, sur son ventre, entre ses seins, glissa sur sa gorge alors qu’elle penchait sa tête en arrière et s’arrêta sur le menton. L’angoisse qui était réapparu au moment où je me présentais instrument en main semblait s’être dissoute sous l’effet sensuel du frôlement. Elle avait fermé les yeux pour mieux gouter à la caresse mais les rouvrit lorsque le bout en cuir s’était arrêté.
La cravache redescendit et frottai doucement son ventre en dessous du nombril. Je commençai quelques tapes réparties équitablement sur la zone. Graduellement j’augmentai l’intensité des frappes. Sa peau prenait peu à peu une teinte rosée et sa respiration, maintenant sonore, se synchronisait au rythme de ma main. J’interrompais son tourment et elle posa sur moi des yeux interrogateurs alors que ma main se levait bien haut. La cravache s’abattit avec force sur son ventre et elle émis un souffle rauque comme pour expulser la douleur dont elle venait d’être l’objet. Les coups qui suivirent zébraient son épiderme de jolis traits rougeâtres. Son visage était contracté, barré de petit rictus, son souffle court et haché par chaque impact. Son bassin se soulevait comme pour aller au-devant des coups, pour mieux les accueillir. Ses cuisses s’écartaient encore un peu plus que ne l’imposaient les liens et de son sillon rose perlaient quelques gouttes.
J’avais changé de position pour mieux atteindre ma nouvelle cible et reprenait par de légers tapotements en atteignant son pubis, son entrecuisse offerte. Les tapotements s’accentuèrent, devinrent secs, pour finirent pas être plutôt rudes compte tenu de l’endroit où ils s’abattaient. Si elle avait apprécié le début de ce nouveau tourment, elle se débattait maintenant à chaque frappe. Ses yeux grands ouverts me suppliaient et elle aurait pu me demander d’arrêter mais aucune supplique ne sortait de sa bouche, comme si son corps n’en pouvait plus mais que son esprit se refusait à arrêter son supplice et appelait même à le poursuivre.
J’interrompais mes gestes et vint me blottir à son côté. Ma main caressa les endroits meurtris, apprécia les marques qu’avait laissé la cravache. Les yeux dans les yeux, sans un mot, nous communiquions : elle me disait ses tourments, sa fierté de s’être donné, je lui disais mes doutes de lui avoir infligé cela, elle me rétorquait son plaisir et par là-même m’insufflait une nouvelle confiance en moi.
Mes doigts descendirent sur son sexe, s’insinuèrent en elle, ses hanches ondulèrent pour mieux me laisser entrer. L’oreille collée à sa bouche, j’entendais, je sentais même vibrer, chacun de ces souffles. Elle m’offrit le plus merveilleux des tremblements.
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J'ai écrit ce texte il y a maintenant presque 4 mois et même si je pourrais en modifier très légèrement la fin, il est toujours d'actualité.
Les chemins qui mènent au BDSM ne sont que rarement pavés de belles choses et de beaux instants.
Nos vies passées nous ont bien souvent bousculées, voir même abîmées.
De là à dire que le BDSM peut-être une voie de reconstruction et de renaissance je ne sais pas, je ne suis pas psy et je ne suis pas certaine non plus que cela soit la meilleure façon de le faire.
C'est simplement celle que j'ai choisi parce qu'elle me convient et me ressemble.
C'est mon chemin, mon parcours, mes chûtes, mes espoirs.
Certains trouveront cela très exhibitionniste, bien plus qu'une photo où l'on devine les amygdales "vue d'en bas".
C'est simplement pour moi un moyen d'avancer encore, de me libérer du poids des douleurs et des blocages du passé.
Comme le dit l'hymne des travailleurs, si cher à mon cœur, Du passé faisons table rase...
Voici donc celle que je suis, en partie au moins.
Mais nous sommes tous, toujours beaucoup plus que ce que nous arrivons à dire de nous même.
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À des années lumières de la gynarchie, si je devais me coller dans une case alors ce serait celle des Dominas atypiques, natures et dilettantes avec un amour inconsidéré pour les blagues à 2 balles
Rien ni dans mes tenues, ni dans mon physique, ni même dans mon attitude ne laisse transparaître ce « costume » mental que je peux prendre plaisir à endosser à l'occasion.
Je suis surtout, bien avant d'être Domina, une maman célibataire accompagnée d'un petit gars de 6 ans accroché à mes jupons et vivant notre exil volontaire sous le soleil des Caraïbes. Et quelque sera mon choix de vie future, mon enfant passera avant tout le reste.
Je suis une femme que le politiquement correct appelle une femme ronde, en réalité je suis grosse, une vraie de vraie. Et même si aujourd'hui je commence à accepter ce corps, mon corps, car j'ai compris après un long travail les causes psychologiques de ce surpoids, il m'a handicapé pendant longtemps dans la majorité de mes relations aux autres et aux hommes particulièrement, et continuera à m'handicaper probablement encore un peu tant que je n'aurais pas appris à m'accepter totalement telle que je suis.
Quand tu ne t'aimes pas il est pratiquement impossible d'imaginer qu'un autre puisse avoir envie de toi.
Soit tu te refermes et tu vis une vie de nonne recluse... bof pour moi.
Soit tu te lances "à corps perdu" dans du tout et surtout du grand n'importe quoi simplement dans l'espoir d'accrocher un gars un peu plus que quelques heures et espérer oublier entre ses bras à quel point tu ne t'aimes pas.
Ça a été mon cas pour la plupart de mes relations. Enfin pour la plupart des relations où je ne cherchais pas un simple plan cul.
J'ai longtemps, en vanille, écumé les bars parisiens et provinciaux pour chasser. Dans ces moments là, je ne me posais pas trop de question sur les envies des mecs que je croisais ou sur mon physique. Pour reprendre une expression vulgaire mais tellement parlante : "un trou est un trou et une bite n'a pas d’œil". Il m'était donc très facile de ramener le gars que je voulais à la maison pour la nuit.
Passé cette phase, qui finalement n'aide en rien à l'amour de soi même ... j'ai commencé comme toute nana dont l'horloge biologique avance à vouloir me caser ... et là sont arrivés les questions et les problèmes.
Me méprisant pour mon physique, je n'allais que vers des personnes que finalement je méprisais aussi. Soit un trop gros, soit un trop alcoolique, soit un trop mal dans sa peau, soit un trop dépressif, soit un trop feignant pour vivre d'autre chose que du rmi (celui là m'a même fait un enfant ...) etc. etc.
Dans ma recherche malsaine et constante du gars qui voudrait bien de moi je suis tombée, un soir, sur une discussion sur un tchat spécial grosses qui parlait de vanille. Je ne comprenais pas le terme, et j'ai horreur de ne pas comprendre ^^
J'ai donc commencé à réfléchir et à chercher dans cette direction.
J'avais presque 40 ans et je découvrais pour la première fois l'existence du monde BDSM en tant que monde codifié et répondant à certaines « règles ». Je l'avais effleuré auparavant mais sans en avoir conscience.
Les débuts furent chaotiques puisque j'ai dans un premier temps poussé la porte du site sensationsm en m'imaginant soumise.
Et je suis tombée sur beaucoup de véritables malades (jusqu'au gars voulant me faire baiser par son berger allemand ...) j'en ai donc rapidement conclu que ce monde là était essentiellement peuplé de personnes ayant des besoins sexuels non seulement hors norme mais surtout malsains, qu'ils n'étaient pas "normaux" et que donc moi ne l'étant pas non plus vu mon physique j'allais pouvoir y trouver celui suffisamment malade pour bien vouloir de quelqu'un comme moi ....
Oui je sais la démarche est dure et extrême, même blessante. Mais elle était mienne à l'époque, totalement abîmée que je l'étais par la vision que j'avais de moi-même.
J'ai finalement croisé sur mon tchat préféré un gars vanille, marié et gros baiseur, qui pour me faire plaisir et surtout parce que ça lui permettait de faire ce qu'il voulait avec une nana m'a dit qu'il était Dom.
Il en était loin, j'en ai pris conscience par la suite, mais c'était plutôt une bonne chose parce que très soft finalement, et on a eu une relation où on jouait à la soumise et au Dom à la fifty shade ^^.
J'ai fini par me lasser, tenaillée à nouveau par mon envie d'une relation établie et en plus poussée par l'idée de trouver alors absolument un beau père à mon fils... (grosse erreur)
J'avais lâché sensationsm et j'étais donc retournée, en vanille, à mon site de toujours et que je fréquente encore. J'y ai eu quelques aventures en tant que soumise dont une qui m'a longtemps fait rêver et continue parfois encore à me faire pousser un soupir de déception, non pour le côté soumise mais parce qu'il représentait l'Homme parfait pour moi intellectuellement parlant.
J'ai peu après ça lâché l'idée d'une relation BDSM pour me recentrer sur le vanille que je pensais maîtriser.
Et un soir, j'ai croisé le beau gosse de mes rêves ^__^
Il avait un vrai boulot, une gueule d'ange qui me faisait totalement craquer, adorable, gentil enfin tout quoi :D
J'ai donc décidé de mettre la main dessus. J'ai fini par "l'avoir" et j'ai été passé une nuit chez lui. On a un peu parlé de nos expériences passées et j'ai donc abordé ma période de "soumission". Il m'a dit alors être en réalité soumis et chercher une Domina.
Et donc ... pour lui plaire, pour lui faire plaisir et pour tout faire pour essayer de le garder (pffffff...) je lui ai dit banco je veux bien essayer d'être ta Maîtresse. Je me suis retrouvée un peu comme une poule devant un couteau, ne sachant absolument pas quoi faire et totalement "polluée" par mes habitudes vanilles. Ça n'a évidemment rien donné très vite.
Ensuite, poussée par l'idée que finalement Domina pourrait être plus porteur que soumise j'ai commencé à me pencher sur la question.
Toujours sur le même site j'ai discuté avec un gars qui s'affichait ouvertement soumis. On a pas mal discuté, j'ai posé beaucoup de questions, lui était bien prosélyte (qui a dit souminateur ? ^___^) et il m'a fait prendre conscience que finalement il y avait dans la Domination féminine des pratiques qui faisaient écho à ce que j'étais. Je me suis donc rendue compte que c'était le mode de relation que je voulais vivre. Toujours extrémiste et incapable de ne pas foncer bille en tête j'ai de suite imaginé que la D/s en 24/7 était MA solution. Moi la "grande" Domina vivant avec mon chevalier servant totalement épris de moi et répondant à tous mes désirs .... (oui je sais je n'étais absolument pas réaliste )
Je me suis donc mise à chercher des fora BDSM et je suis tombée sur un forum où le contenu n'était pas uniquement centré sur la consommation immédiate.
Je m'y suis inscrite en tant que Domina et j'ai très vite croisé un soumis qui écrivait bien et ne semblait pas trop con. En moins d'un week-end totalement virtuel (msn+téléphone) il était devenu MON soumis .... à peine plus d'un mois après il venait vivre chez moi à Paris.
Alors a commencé mon véritable apprentissage du BDSM en 24/7. Cette histoire a durée 2 ans ½ est elle est aujourd'hui terminée .
À la fin de cette aventure je me suis retrouvée persuadée que le BDSM n'était absolument pas fait pour moi et que j'avais fait la plus grosse connerie de ma vie en me lançant la dedans.
Toujours poussée par ce besoin de faire plaisir et surtout de tout faire pour garder l'autre, je m'étais perdue dans cette histoire et j'avais fini par en perdre toute libido et toute envie. Je me desséchais littéralement. Et je pense que je suis seule responsable de cela.
J'avais donc envie de tout autre chose que de ce type de relation.
Et puis le temps a passé, j'avais commencé une thérapie avant notre séparation et pris conscience de la perversion de mon mode de pensée. Du côté malsain non pas de ceux que je croisais mais bien de ma démarche et de mon dégoût de moi même. J'ai aussi compris et donc travaillé sur ce qui m'avait amené à cette vie et à ce mépris que je me portais. J'ai compris que je faisais fausse route et que malgré mon physique j'étais une personne que l'on pouvait aimer et que JE pouvais aimer, quelles qu'aient été mes blessures d'enfances. Que j'avais une vraie force de caractère et une capacité à l'indépendance importante. Que je n'étais pas une si mauvaise mère que ça et que j'étais une amie sincère et généreuse pour ceux que j'aimais. Et j'ai surtout compris que j'avais moi aussi réellement le droit au bonheur et que je ne voulais plus me complaire dans un malheur dont j'étais la seule responsable.
Margot venait enfin de devenir adulte
Ce que je sais aujourd'hui, après cette phase d'introspection, c'est que oui, je ne veux plus de 24/7, je ne veux plus de D/s où je dois porter la quasi totalité de la relation, tant sexuelle qu'humaine sur mes seules épaules. En tout cas je ne pense pas pour le moment être capable de revivre ça.
Je sais que je ne veux pas d'un soumis incapable de me montrer qu'il a envie de moi et incapable de me faire l'amour.
Aujourd'hui j'ai envie de vivre une relation BDSM certes, mais où le BDSM ne serait qu'une partie, importante pourquoi pas, mais seulement une partie et non pas la base principale voir unique de la relation.
J'ai pris conscience que j'aime ces jeux de pouvoir mais surtout que je suis finalement assez sadique et que plus que l'échange de pouvoir au quotidien j'aime les jeux sexuels où je peux contraindre, attacher, fesser, fouetter, faire gémir, faire souffrir celui que j'aime ; mais que j'aime aussi les moments totalement romantiques et fleur bleue, où l'homme qui partage ma vie me fait l'amour tendrement et doucement avec une réelle envie de moi et sans que j'ai eu besoin de lui en donner l'ordre, où on passe une soirée à deux devant la télé à regarder une grosse connerie lové dans les bras l'un de l'autre sans que j'ai le besoin de le féminiser ou de l'attacher à mes pieds pour que cela lui plaise.
Aujourd'hui mon exil à 7.000 km de la métropole dans une île pudibonde ne me laisse que peu d'espoir pour rencontrer THE soumis et je ne pense pas être en capacité de vivre une relation strictement virtuelle. J'aime bien trop le réel pour cela.
Donc pour le moment, je ne cherche qu'à discuter, apprendre, dialoguer, échanger sur le BDSM et ses multiples facettes et je remets à « un plus tard » quand je me serais totalement guérie de mon mal être et de mon dégoût de moi même, l'idée de reconstruire une vie de couple pimentée de BDSM.
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Quand je pense à Fernande ...
Comment certaines pensées certes légères mais qui pour certains ne leur ferait même pas soulever une paupière , chez d autres tels que moi provoque presque de suite un émotion difficile de contenir qui se caractérise le plus souvent par un début d érection voir une érection toute entière .
Bien sur se sont presque toujours des pensées dites cochonnes mais pas toujours , quoique si au départ elles ne l étaient pas forcément parfois il suffit de peu pour qu elles le deviennent en même pas l espace d un clignement de paupières ... c est tout dire.
Et dans ce cas de suite mon imagination se réveille et mets en place toutes les possibilités que telle scène , tel lieu ou telle situation pourrait offrir pour des jeux les plus ludiques possibles à souhait.
D’ ou je tiens cela je ne le sais mais loin de m en plaindre je m en satisfait pleinement .
Serais-je doté d un chromosome de plus que les autres ? allez savoir ...
Certains diront que je ne suis qu un obsédé , beaucoup trop réducteur et simpliste à mon gout et puis quand bien même , il n y a aucune honte à l être car il n y a qu’ à voir toutes les possibilités et le bonheur que cet état m’ offre au quotidien.
Souriant et de bonne humeur je le suis presque tout le temps
Tout comme aucune des partenaires qui ont traversées ma vie ne s en sont jamais plaintes , bien au contraire , on a toujours loué chez moi cette si extraordinaire imagination qui nous a permis de vivre tant de délires souvent presque instantanés ce qui fait qu à chaque sortie on aime à se reposer totalement sur moi vu que c est sur je trouverais facilement de quoi nous divertir et nous exciter et ce dans les endroits , situations ou lieux les plus improbables pour le commun des mortels.
Oui le sexe et ses plaisirs fait bien partie intégrante de ma vie , je ne le nie pas mais ce n est pas pour autant que je ne fais que cela car même pour moi à force c est épuisant d avoir en permanence son esprit et son imagination en alerte et si il n y avait que ça , je sais depuis plusieurs années que je souffre ... enfin souffrir est plus un terme d ordre médical , car moi je n éprouve aucune douleur , bien au contraire , d un mal ou plutôt d un trouble dont je ne me souviens plus du nom qui parait-il se soigne très bien mais quel intérêt ... et qui fait que je me masturbe en dormant et ce presque toutes les nuits et une bonne partie de celles-ci sans jamais débander ou presque mais et surtout sans jamais éjaculer .... et ce peut importe si j ai eu ou pas des rapports juste avant de dormir , donc cela ne pourrait correspondre à un manque de ce coté là .... et le pire est qu au réveil je ne me souvient de rien.
Tout ça pour dire que même en dormant mon imagination et ou certaines pensées me provoquent encore et toujours de belles érections ... même pendant mon sommeil.
Ceci explique aussi surement pourquoi certains matins je me réveille hyper fatigué lol.
Pas besoin de voir de jolies femmes en jupette parfois si courte presque au ras de la salle de jeux pour avoir l imagination en éveil et ou un début d érection sinon quelle misère se serait l hiver et puis ceci est surtout à la portée de n importe quel homme .
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6 mois, cela faisait 6 mois que Notre projet couvait.
Il naquit un certain soir, dans une chambre.
Lui, Il l'avait attaché, d'un beau cordage pour ses jambes. Elle, entravée, buvait avec délectation ce moment, comme tous les autres, riche en sensation et complicité.
Mais au lieu de sortir une autre corde, un petit écrin apparut et s'ouvrit, avec la question magique, laissant apparaitre mille points brillants ....
Ce Jour est l'aboutissement. Une dalle dorée sur Notre Chemin que nous traçons depuis que Nous nous connaissons, il y a maintenant 2 ans.
Le stress n'a jamais été de mise. Son caractère zen a toujours été présent même à 1h de dire 'Oui'.
Il n'avait pas encore vu sa tenue en complet. La confiance qu'Il accordait aux Petites Mains, les Mains de Fée, qui le Lui confectionnait était sans limite. Il avait vu des pièces séparées, procédé à plusieurs essayages, choisi les tissus, mais surtout, Il avait vu et senti qu'avec le talent, il y avait le Coeur. Une passion sans borne, avec un savoir-faire prodigieux, la perfection toujours recherchée, une bonne humeur toujours au rdv, même quand les délais deviennent tendus, une Vraie Authenticité mêlée à de la simplicité.... Tous ces ingrédients Lui inspiraient de la confiance. Il savait que tout irait bien; il en était intimement convaincu.
A H-1, Il troque le t-shirt de base contre ce Chef-d'Oeuvre, une tenue gothique victorienne. L'idée est venue des envies de sa Fierté, et de son gout pour ce style noir, mais classe, qu'Il avait un peu de mal à exprimer au grand jour.
Cela va se faire, devant tout ses proches ...
Alors qu'Il enfile les différents vêtements, les Mains de Fée l'aide à se vêtir. Il y a l'excitation, et c'est la première fois qu'Il les portent tous ensemble.
Une curieuse sensation Le traverse. Un mélange d'excitation, certes, et de fierté. Beaucoup de fierté et d'émotion. Cette tenue est splendide, un autre Homme la porte. Le miroir ne semble pas mentir, mais c'est un autre Lui qui se tient debout, ainsi.
Cela Lui va comme un gant.
Mais Il est très fier, et soulagé malgré tout, de voir les Mains de Fée respirer enfin, soulager que tout aille à la perfection et que les nombreuses heures de travail soient récompensées de la sorte. Une sourire, des paroles qui se veulent rassurantes pour signifier qu'il n'y a plus rien à retoucher. Et même s'il fait chaud, c'est une joie, un bonheur d'être habillé ainsi.
Le dernier coup de main marque cet étrange moment où de nombreuses sensations se mélangent dans un joli capharnaüm... Avec le plaisir de se faire habiller dans une Oeuvre d'art(pas comme d'habitude où les rares types qui donnent un coup de main le font avec le plus d'impersonnalité et le maximum de vénalité possible) par sa Créatrice livrant son Oeuvre d'Art et l'émotion de la journée, Il a la puissante sensation de ne pas être ce qu'Il est d'habitude, mais bien mieux que cela.
Mais il est encore plus puissant quand Il se présente ainsi devant sa Fierté, confirmant les dires du miroir et de Ses sentiments. Elle retomberait amoureuse de son Homme ...
Ce moment intense est écourté par le délai : elle doit encore s'habiller, quand arrive un de Ses témoins. Lui aussi tombera des nues, le reconnaissant à peine. La surprise lue sur son visage est sans équivoque.
C'est quelques minutes plus tard, au pied de la mairie (sans plus de stress que cela), qu'Il la découvre enfin.
Il n'y a pas assez de 2 yeux, ni de chemin à parcourir pour admirer cet autre chef d'oeuvre. Il s'attendait à du lourd, c'est une Somptuosité.
Le moindre recoin a été travaillé, le moindre détail pris en compte impeccablement; aucun fil n'est laissé au hasard. Une telle beauté est presque irréelle.... Et pourtant, elle habille Sa Fierté, aussi rayonnante qu'exceptionnelle.
Il pourra admirer, parcourir le reste de cet Oeuvre tout au long de la journée, se laissant surprendre de la finesse des accessoires, des autres détails, décors, .... Il en perd ses mots...
Qu'il eut été transformé ainsi, épris par tant de bonheur de revêtir une Oeuvre qui dévoile une partie de sa personnalité avec tant d'aisance, avec la fierté supplémentaire de porter une tenue conçue avec le Coeur par des Mains de Fée, Il en aurait presque été destabilisé. Mais il est peu comparé à la manière dont sa Future a été métamorphosée.
C'est un rêve.
C'est presque irréel.
Elle qui avait été ligotée pour se voir proposer Sa demande de mariage.
Elle qui porte le collier symboliquement depuis 2 ans.
Elle qui fait son Bonheur depuis le début.
Elle est plus que jamais Sa Fierté.
La journée se déroule comme un torrent. Des sensation, des émotions, mais Il a l'impression que ca va vite. Est-ce ainsi quand on vit sa journée sur un nuage ?
Ils sont le centre d'intérêt de toutes ces personnes invitées à participer à la cérémonie de Leur Bonheur. A la base.
Mais nul n'avait vu un couple vivant ainsi en bordure de chemin. A leur grande joie.
Plus tard dans la soirée, Il se surprendra à être totalement à l'aise pour l'ouverture de bal. Ils avaient appris quelques pas de danse grâce à l'Homme de Mains de Fée. Des pas simples, de la mise en confiance.
N'aimant pas danser et craignant le regard des autres, il s'agissait d'une épreuve pour Lui.
Il s'est passé qu'Il était à l'aise et en redemandait. Mains de Fée n'avait pas été la seule à l'avoir transformé, au final....
La soirée avançait trop vite. Il avait tout ce qu'il fallait pour continuer à vivre ce moment d'exception, mais il a fallu éteindre les lumières, avant que certaines autres musique ne soient diffusées.
Un retour à la réalité avec un petit pincement au coeur, mais heureux de porter cette alliance.
Heureux d'avoir savourer quelques slows dans les bras de Sa Femme, la dévorant de ces yeux qui l'avaient charmé 2 ans auparavant. Qu'existe-t-il de plus merveilleux quand les regards se fondent l'un dans l'autre avec une si amoureuse intensité ?
C'est quand les mots ne sont plus suffisants pour traduire des émotions aussi fortes qu'intenses.
C'est ce qui a été vécu pendant cette soirée, cette journée, magiquement exceptionnelle.
Sa Femme était dans Ses bras, Il avait voulu danser aussi avec sa Soumise (oui, un "S" majuscule) : les bracelets étaient de sortie, mais trop tard...
Puisse la Réalité se tenir correctement pour que le Maitre retrouve sa soumise
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Certains les aiment rondes , dures , musclées , petites , grosses etc etc ...
Moi je les aime tout court ... leur douceur et ou chaleur qu elles dégagent me transporte , m excite beaucoup.
Sans oublier la vue quand placé par derrière vous êtes tout près de vous introduire en elles ... hummm , comment rester insensible devant tant de grâce , devant tant de beauté , comment pouvoir ne rien faire d autre que les contempler .... moi je ne peux pas , hyper tactile comme je suis je ne peux m empêcher d agir ...
Les voir se trémousser devant soi nous implorant presque de les toucher , les caresser , les frapper voir même les mordre ne peut laisser personne indifférent , en tout cas pas moi .
Qu il est jouissif de pouvoir les contempler à l envie , immobiles ou en mouvement devant soi , oh oui , parfois même comment ne pas abuser un peu en immobilisant sa soumise dans une position telle que l on va pouvoir en profiter un maximum.
Comme tout Dom qui se respecte une des premières choses à faire aimer et apprécier de sa soumise c est bien la fessée car sans plaisir de sa part dans cet exercice point de salut mais après quel bonheur de la voir implorer d en recevoir une , voir de commettre de petites fautes juste pour être punie de la sorte , comme si il fallait un prétexte pour s’ offrir un tel cadeau mutuel , car oui en ce qui concerne la fessée le plaisir est bien mutuel.
En infliger une ( quel vilain mot ) , en donner une serait plus juste ne devrait pas se faire sous influence d une punition , en tout cas pas pour moi car en plus j ai assez d imagination pour trouver la plus adéquate en rapport avec la faute commise.
Et puis sachant sa soumise aimer et plus encore cet acte cela n aurait pas de sens de s en servir comme tel , se serait un non sens .
Non moi j aime à pratiquer cet acte n importe quel jour de n importe saison et pas besoin d excuses et ou de prétextes .
Il arrive parfois lorsque allongée sur nos genoux que notre soumise par défi et ou orgueil sachant que la fessée sera effectuée à main nue nous toise en nous refusant son Safe word et là même pour le plus expérimenté au bout d un certain temps on a la main qui chauffe voir plus mais surtout ne pas abandonner et bien continuer , mais il n y a qu à voir ses fesses changer de couleur et voir les premières grosses marques apparaitre pour se redonner une motivation supplémentaire ... oh oui que j aime ces défis dont je sors toujours gagnant , épuisé , la main endolorie certes mais pas plus que ses fesses et puis la savoir dans un plaisir absolu , il suffit juste de temps à autre de toucher son sexe pour s en rendre compte de suite et parfois il n y a même pas besoin de faire ce geste quand on sent sa mouille couler sur notre pantalon ... là à cet instant comment se freiner ? Impossible et bien au contraire augmenter la force de chaque frappe pour non seulement lui procurer plus de plaisir mais aussi arriver enfin à la faire céder ce qui heureusement fini toujours par arriver.
Surtout bien garder à l esprit qu il lui arrive aussi parfois d entrer dans un état de subspace qui lui permet de tenir n étant presque plus que dans le plaisir très très longtemps , donc à main nue oui je nous sent plus en communion voir en osmose mais mentalement il faut être prêt.
Quel plaisir une fois finie de pouvoir contempler son oeuvre , la caressant comme pour pouvoir la graver à jamais dans notre mémoire , mais aussi pour ressentir la chaleur qu elles dégagent et puis pour elle d en garder certaines petites séquelles bienvenues pendant quelques jours les arborant fièrement tels des trophées.
Bien sur on peut utiliser aussi certains objets prévus ou non à cet effet mais le plaisir , mon plaisir celui que j obtiens dans cette communion ne sera jamais aussi puissant , du moins pour moi que lorsque pratiqué à main nue.
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A nouvelle désobéissance de ta part égal nouvelle punition c est ainsi que je te l annonce car je te soupçonne une fois de plus de chercher à te faire punir , ton amour de la fessée n y est sans doute pas étranger.
Pourtant tu sais très bien que tu n as pas besoin de me désobéir pour en obtenir une mais il est vrai que ça fait bien une semaine que tu n en as pas reçu.
Tu es là dans la chambre à genoux nue devant moi la tête et les yeux baissés me demandant de te punir pour ta faute , et comme je ne réponds rien tu insistes en prenant une petite voix presque enfantine , tu sais que cela me fait craquer mais non pas ce soir car je suis vraiment fâché contre toi , tu insistes de nouveau et je te coupe sèchement d un tais toi et ne bouge pas .
Puis d une voix calme mais dure je t ai dis qu une punition oui tu vas en avoir une car tu la mérite vraiment mais ce ne sera pas forcément celle a laquelle tu penses et c est toi même qui va la choisir ... petit silence puis jai continué ... ne t emballe surtout pas trop vite attends moi je reviens te chercher mais avant je vais te bander les yeux et t attacher .
Je me suis saisi de menottes et cordes et t ai attaché les mains dans le dos que jai relié à tes pieds le tout bien serré que tu ne puisses esquisser le moindre mouvement puis tai bandé les yeux et tai mis le baillon avec la boule dans la bouche , je sais ta position inconfortable au possible mais c est aussi le but et avant de sortir de la chambre jai pris tous les objets et autres ustensiles servant à nos petits jeux et toujours sans un mot j ai quitté la pièce en refermant fermement la porte derrière moi.
Une fois dans le salon j ai déposé tous nos objets de plaisir sur la table les alignant les uns a coté des autres , c est fou comme on en a c est bien là que je m en rends compte , entre les martinets , fouets , badines , paddles , pinces en tout genre , plus ceux que j ai bricolé moi même , la table ne suffirait pas si je devais y ajouter tous tes godes et autres vibro , mais non pas de ça ce soir car c est bien une punition et non un moment de plaisir que je vais t infliger.
Puis j ai pris des feuilles de papier que j ai découpé en petits carrés sur lesquels j ai écrit des numéros .... vu notre attirail le dernier chiffre a été le 19 , et ensuite j ai déposé chaque numéro devant chaque objet .
Je n ai pu m empêcher de prendre des photos , sourire bien accroché aux lèvres , oui j étais content de mon imagination.
Puis en faisant un maximum de bruit afin que tu t en rende compte je suis sorti faire un tour te laissant seule et sûrement déjà cogitant sur ce qui t attendait je le savais que trop bien , ton supplice commençait déjà.
Une heure plus tard et de retour je suis venu te chercher et après t avoir détaché et enlevé ton baillon mais te laissant ton bandeau je t ai relevé sans ménagement t ai de nouveau attaché les mains dans le dos et t ai ordonné de ne parler que lorsque je te le demanderai.
Tu avais du mal à marcher car tes muscles étaient encore ankylosés à cause de la position dans laquelle je t avais laissé si longtemps mais je n en ai pas fais cas et te saisissant par le bras t ai obligé a avancer.
Une fois dans le salon et après de longues minutes de silence je t ai demandé de choisir un numéro entre 1 et 19 , rien de plus.
Tu as choisis le 5 , très bon choix t ai je dit avec un rire moqueur , tu viens de choisir sans le savoir l un des objets que tu déteste le plus , je n ai eu de ta part qu un petit gémissement comme réponse.
Tu ne pouvais le savoir mais c était la cravache que j avais bricolé et qui à chaque coup te faisait sursauter et gémir de douleur .
Puis je t ai demandé de choisir un nombre entre 50 et 100.
Tu as mis une longue minute avant de me dire 69 , hum petite coquine si tu savais ce qui t attend ...
J ai moi aussi pris mon temps , de longues minutes avant de te dire que tu venais de choisir la cravache que tu déteste tant et que tu allais recevoir 69 coups de celle-ci mais qu en plus tu allais en même temps devoir compter les coups à voix haute et me remercier de ceux-ci et que si jamais tu te trompais ou oubliais de me remercier le compteur repartirait à zéro.
Après t avoir fait mettre en position et t avoir posé une barre d écartement ouverte au maximum entre tes jambes j ai commencé a porter mes coups ne les espaçant que de quelques trente secondes entre chaque afin que tu puisses bien en ressentir l intensité mais aussi l appréhension de celui qui allait suivre .
Tu as beaucoup gémis , pleuré et même crié de douleur mais jamais tu n as jamais utilisé ton safeword ni même m implorer alors que je te le demandais.
Une fois ta punition finie je t ai détachée et prise dans mes bras et ce n est qu après quelques baisers que je t ai dit avoir été fier de ta force de caractère de n avoir point cédé et que tu étais pardonné mais que la prochaine fois se serait pire encore.
Tu m as remercié de t avoir puni de cette façon qui bien que très dure et très douloureuse t avais bien fait comprendre qu il y avait certaines limites que tu ne dépasserait plus désormais , tu as ajouté savoir l avoir bien mérité et t excusais encore une fois d avoir fauté si gravement ...
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Ode à Bernadette
Championne incontestée et hors catégorie de l’ art de la fellation tu l es restée dans mon coeur , je n ai connu que peu d autres femmes aimant autant que toi la queue .
Sucer était pour toi presque un art de vivre tant tu aimais cela.
Je n ai jamais été autant sucé que lors de notre relation et tu m as même fait connaitre certains plaisirs dont j ignorai l existence tels se faire lécher le méat , tu me rendais fou de plaisir lorsque tu y insérais le bout de ta langue , j en avais des frissons qui me parcouraient le corps tout entier , me lécher les bourses et sous les bourses jusqu’ à l anus ou pendant que tu me branlais tu le léchais goulument allant jusqu à l introduire en moi me fouillant délicatement ... hummm
Autant que je me souviennes il ne s est pas passé un jour durant notre mariage ou tu ne m est pas sucé au moins une fois.
Je t en ai fais “bavé” quelques fois à me retenir de jouir plus que de raison mais jamais tu n as baissé les bras , oui dans ces cas là tu râlais plus pour la forme mais en fait tu appréciais ce défi , tu terminais souvent en sueur mais jamais tu n as abdiqué .
Il n y avait que voir ton sourire éclairant ton visage lorsque tu te délectais de mon nectar jusqu à la dernière goutte te léchant les babines de satisfaction.
Car oui pour toi hors de question de ne pas aller jusqu au bout.
Tu m as sucé partout et ce peu importe l endroit , tout d abord chez nous, je ne crois pas qu il y ait eu un seul endroit de notre appartement ou tu ne t es pas mise à genoux devant moi m implorant parfois que je sorte ma queue pour me sucer.
Le bonheur absolu pour qui aime a être sucer , puis petit à petit nous avons élargi notre terrain de jeu , que se soit dans la voiture et en extérieur.
Un week-end nous sommes même allés à Saint Claude dans le jura capitale de la pipe ( la vraie ) exprès pour satisfaire un délire hors norme ... Whaouuu de se faire sucer dans la belle église de ce village et dans d autres endroits à priori non prévus a cet effet.
Experte oui tu l étais car dès ta toute première fellation tu as su m emmener vers des plaisirs hors norme.
Ton amour de la fellation n avait d égal que pour celui de mes cunni qui te rendaient folle et plus encore de plaisir car oui j’ éprouve moi aussi un plaisir incommensurable à pratiquer cet art dont on me dit aussi expert.
Nos 69 resterons gravés à jamais dans ma mémoire car nous étions dans ces moments là en totale osmose , chacun de nous deux se délectant avec amour de donner le maximum de plaisir à l autre , mais point de précipitation non , au contraire l on faisait durer et durer plus encore notre plaisir mutuel.
Tu es restée la seule femme que j ai connu a ce jour capable d avoir un orgasme en pratiquant cette caresse .... rien qu en suçant et sans te toucher ... c est tout dire ...
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Le moment approche , je suis arrivé bien en avance afin de m assurer qu il n y aurait pas de gros imprévus de dernière minute , plus de deux heures d avance , plus de temps qu il n en faut en réalité pour vérifier les derniers détails.
Il fait une chaleur à crever , plus de trente degré et comme un fait exprès j ai oublié ma bouteille d eau chez moi ce qui fait qu après avoir fait deux fois le tour complet du parc je cours me réfugier dans ma voiture clim allumée presque à fond.
L’ endroit est magnifique et je ne l ai pas choisi par hasard , pour ce jour si spécial j ai choisi un château et surtout son parc , normalement il se visite mais pas aujourd hui ce qui n empêche nullement les gens d accéder au parc dont certains j ai pu le constater lors de mes repérages y viennent faire leur sport et ou promener leurs chiens voir y pique niquer.
L’ endroit est désert à mon arrivée sûrement à cause de la chaleur.
Ce jour, notre toute première rencontre ne sera pas ordinaire voir même plutôt genre risquée ainsi je l ai décidé.
Risquée oui elle va l être à plus d un titre car d une part se sera notre toute première rencontre et qu en plus tu vas y connaitre les joies de ta toute première séance avec moi et elle se passera dans un lieu public .... oui je le sais , c est un peu beaucoup pour une première fois mais je tiens a ce que celle-ci t apporte un maximum de sensations en tous genre et surtout qu elle t indique bien ce que j aime à pratiquer , c est aussi un test grandeur nature bien que tu n en sache rien que je vais te faire passer ici cette après midi.
Tu n as jamais pratiqué en extérieur je le sais , tu appréhendes beaucoup tu me l as dit .
Ce n est qu avant hier que je t ai prévenu de la date et du lieu de notre rencontre , un temps certes court mais c est fait exprès et depuis ce matin et bien que tu sois au travail nous communiquons par sms , 15:45 ... dans 15 mn tu sors de ton travail , je te sais nerveuse mais aussi excitée , j en profite pour te donner les derniers ordres , tu devras à ton arrivée sur le lieu m envoyer un sms me prévenant que tu es là et attendre que je t envoie la suite de la marche à suivre.
Et merde deux voitures viennent se garer , se sont des ouvriers de la ville qui viennent faire quelques travaux , par chance ils restent sur les abords du château.
Je sors de ma voiture et prends ma petite cravache orange et vais me poster au bout de l allée bordée d arbres qui part du château et se termine cent mètres plus loin sur un genre de petite place ronde bien dégagée ou s y trouve aussi un banc , sur les hauteurs quelques maisons qui ont vue sur le parc mais apparemment personne dehors dans les jardins.
Je fais les cent pas tout en guettant les ouvriers , ça m a l air d être bon ils ne viendront pas jusqu ici.
Enfin ton sms me disant que tu es arrivée , je te réponds de suite te demandant d enlever ton soutien-gorge et de le laisser dans ta voiture , tu me réponds que tu ne peux pas car les ouvriers te regardent , suis mdrr mais j insiste et te dis de me rejoindre ensuite au bout de l allée bordée d arbres.
Tu apparais enfin dans l allée , tu marches d un pas mal assuré la tête à moitié baissée ... comme demandé tu es vêtue d une jupe courte et d un chemisier , j’ en souris , mon excitation est manifeste et une bonne dose d adrénaline remonte en moi ....je suis fin prêt.
Arrivée juste au bord de la petite place , tu stoppes , et les yeux baissés d une petite voix presque enfantine tu me salue d un bonjour Maître , je te fais signe d approcher et de te placer au centre de la place après avoir poser ton sac a main sur le banc et après quelques petits échanges presque anodins , juste pour t enlever un peu de ton stress tu me dis n avoir pas pu enlever ton soutien-gorge à cause des ouvriers , d un pas grave suivi d un fais le de suite et tu t exécute dans la foulée puis je t ordonne d enlever ta culotte et tu vas de suite les mettre dans ton sac avant de te replacer .... je m approche de toi et te demande de me regarder dans les yeux , je vois bien que tu as du mal , cherchant plutôt à fuir mon regard , cela m amuse donc je suis obligé d’ insister plusieurs fois tout en te fixant , cela te gêne beaucoup aussi pour t enlever cette gêne je m approche de toi et t embrasse doucement , tu réponds à mon baiser par un autre baiser libérateur ....je glisse une main sous ta jupe et te caresse le bas ventre et l intérieur des cuisses mais sans te toucher le sexe , ton regard plongé dans le mien m’ implore déjà d aller plus loin mais je fais durer un peu le supplice , et tout en nous embrassant je passe un doigt sur ton sexe que je constate déjà trempé d excitation , je t en fait même la remarque , d un grand sourire tu acquièces , je te demande alors de ne pas quitter mon regard un seul instant et j introduis mon doigt en toi et le ressort aussitôt avant de caresser ton petit bouton , tu ne peux t empêcher de baisser les yeux tout en gémissant , aussi d un ton plus sévère je te menace d arrêter de te masturber si je perds de nouveau ton regard , un “ oh non Monsieur , continuer svp “ tes yeux plongés dans les miens me fait sourire ... pour pimenter déjà un peu plus la chose je t ordonne de me dire quand tu seras au bord de l orgasme et de ne pas jouir sans mon autorisation , tu ne réponds rien si ce n est que de longs soupirs de plaisir , j accentue mes caresses et te branle cette fois-ci carrément et sans retenue , tu gémis de plus en plus fort , ton regard s est de nouveau perdu tant tu es dans ton plaisir et suis obligé de te reprendre de nouveau , je vois bien que tu n as plus la force de les garder ouverts , tu ne les ouvres que par brides puis n essayes d ailleurs même plus , ta tête vient se blottir sur mon épaule j accélère et décide de te faire jouir , il ne t as pas fallu bien longtemps avant que de part quelques légers soubresauts et ta respiration saccadée tu m indique ta jouissance , loin de m arrêter et comme pour te remercier des jours d abstinence que je t ai infligé les jours précédents je continue de longues minutes encore .... je suis bien incapable de dire si tu as jouis de nouveau tant tu te fais discrète dans ce moment là , je retire doucement mes doigts de ton sexe , je relève ta tête toujours plongée dans mon épaule et t embrasse doucement puis te tend mes doigts remplis de ta mouille à lécher et les replonge dans ton sexe pour les lécher à mon tour puis te demande tout en m écartant si ça va ? , tu me retiens , tu me dis être chancelante , de ne pas te lâcher et d avoir jouis avec une force jamais connue de toi jusqu à présent , tout en te soutenant je t accompagne t assoir sur le banc , tu sembles épuisée , tu me dis l’ être tant ta jouissance t as submergée .... je t embrasse longuement afin de t aider à redescendre en douceur.
Je me rends compte a ce moment que pas un instant je me suis inquiété de si une personne venait vers nous , par chance nous étions toujours seuls.
Une fois tes esprits retrouvés je t ai fais signe d avancer vers le haut du parc ou nous serions un peu plus à l abri des regards car nous étions bien loin d avoir terminé.
Par galanterie mais pas que , je t ai fais passer devant sur ce petit chemin montant et j en ai profité de relever complètement ta jupe afin d admirer au passage ton joli pti cul se dandinant devant moi humm quelle vue excitante ! ...
Trois cent mètres plus loin sous les arbres et même pas à cent mètres des maisons mais abrités par un muret et une sorte de haie je t ai demandé de retirer ton chemisier ....
Superbe poitrine que bien des femmes plus jeunes t envierai sans nul doute , je ne pu résister de l embrasser avant de prendre entre mes doigts tes jolis petits tétons que je pressais déjà légèrement au début puis plus fortement ensuite ... loin de te déplaire tu gémissais déjà de plaisir , je les triturais , les étirais , les mordillais tout veillant bien à voir apparaitre chez toi les prémices d un rictus de douleur , mais non , car à ma question de si ça te faisait mal tu m as répondu que non au contraire cela t excitait beaucoup , ne pouvant te croire sur parole je glissais une main sur ton sexe ...... aucun doute oui excitée tu l étais à un point ...whaouuu ... tu étais de nouveau trempée .
Je reprenais donc de suite mes petites tortures à l encontre te tes petits tétons amplifiant celles-ci presque sans retenue et prévoyant comme je le suis je retire d une de mes poches quelques pinces à linge achetées il y a peu et te les applique puis tire dessus tout en continuant mes petites tortures et ce n est qu au bout de quelques minutes de ce traitement qu enfin tu abdiques et me demande de les retirer car mes pinces sont soit disant plus douloureuses que celles que tu as chez toi ..... sourire.
Je les retires donc délicatement et te caresse et te lèche tes tétons endoloris comme pour les apaiser ... puis je t embrasse pour te remercier de ton courage et te masturbe de nouveau .... jusqu à l orgasme avant de te dire que voilà arrivé le moment.........
Je sais que tu l attends sans l attendre car d un coté oui tu as envie que je teste tes limites mais en même temps tu as si peur de me décevoir si jamais elles étaient trop basses , pourtant avant notre rdv je t ai bien dit à plusieurs reprises que ce rdv devait se passer sans pression aucune et toujours rester dans le plaisir , mais je te connais un peu mieux maintenant et je sais que pour toi la fessée représente le test ultime car tu n en as jamais eu de vraie m as tu dis ...
Je te demande de te pencher en avant tout en te tirant par ta longue crinière pour t y aider et te demande de bien t agripper à l arbre devant toi puis de bien écarter les cuisses pour te stabiliser. Ta jupe étant déjà totalement relevée inutile de te demander de l enlever, je me recule de deux pas pour admirer la vue ... humm j adore .
Avant de commencer et pour t enlever ton stress je te dis que je vais y aller doucement et surtout progressivement et que tu avais ton safeword pour au cas ou.
J ai d abord commencé par caresser longuement tes fesses si agréables au touché puis s’ en te prévenir une première claque retentit sur tes fesses suivie d une caresse , puis une seconde toujours suivie d une caresse , ce petit jeu juste pour te mettre en confiance , puis j ai enchainé des claques un peu plus appuyées tout en te laissant bien le temps de les apprécier en chaque caresse , de temps à autre je testais d une main ton excitation et oh bonheur suprême tu étais et restais trempée , très vite tes fesses ont commencées à prendre de la couleur et je te sentais toujours un peu tendue donc je t ai ordonnée d une main de te masturber en même temps et plus j accentuais la force de mes claques plus je te demandais de te branler fort vérifiant de temps à autre en me reculant d un pas que c était bien le cas ... et oui ça l’ était ....
Je me suis même permis de tester sur toi durant un court moment ma cravache orange.
Tes fesses devenaient écarlates , d un beau rouge puissant , que je n ai pu me retenir de prendre en photos , mes claques étaient lâchées cette fois-ci sans retenue , mes mains commençaient à me faire mal tant j appuyais la force de mes claques ... heureusement tu as rapidement fais usage de ton safeword et j ai stopper de suite puis t ai aidé a te relever pour te prendre dans mes bras et tout en t embrassant je t ai masturbé ce qui au bout de même pas deux minutes t as provoqué un nouveau début d orgasme d une puissance telle que tu étais en train de devenir fontaine , chose que ne comprenant pas t as fais me supplier d arrêter et de te dégager de moi ..... Eh oui tu allais devenir fontaine au bout de ton quatrième orgasme.
Après, de suite tu as fondu en larmes , je t ai pris dans mes bras , tu pleurais de plus en plus incapable de te contenir , craignant t avoir fait mal je t ai demandé quelle était la nature de tes pleurs tu m as rassuré me disant que c était de bonheur et non de douleurs , tu as pleuré longtemps blotties dans mes bras , je t ai couvert de baisers tout en caressant ton visage , nous sommes restés longtemps ainsi nous câlinant même après la fin de tes larmes , et ce n est que les aboiements de deux chiens se promenant avec sa maitresse et arrivant sur nous que nous sommes sortis de notre bien être , tu as juste eu le temps de te remettre ton chemisier et rabattre ta jupe avant qu elle soit à notre hauteur.
Nous sommes repartis ensemble main dans la main vers le banc de la petite place sur lequel nous avons longuement discuter tout en alternant baisers et caresses sans pouvoir nous résoudre à nous quitter.
Le lendemain dans ton premier message de la journée tu m as décris cette première rencontre comme étant sublime .... que tu n avais jamais vécue pareille rencontre ni vécue tant de sensations ni obtenu autant de plaisirs...
Ta meilleure première fois m as tu dis ...
Le début d une grande et belle histoire d amour ....
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Il lui ouvrit la portière, elle allongea une jambe fine gainée de noir et s’appuya sur son bras, comme pour y prendre appui. Elle tressaillit à son contact, l’échine parcourue par une zébrure d’excitation. Ce contact, elle n’avait cessé d’y pensé durant le dîner. Le repas fut sobre, léger et ciselé, tant les plats que la discussion, quasiment professionnelle. Un échange sans supplément d’âme mais elle savait à quoi s’en tenir. Jeu de rôles… Elle l’avait observé un peu en coin durant le trajet du retour, fronçant le nez en se posant mille questions qui s’entrechoquaient dans son cerveau, l’empêchant de prendre prise sur ses émotions. Ivresse, peur, incertitudes, tout avait été dit et rien n’avait été éclairci. Qu’allait-il se passer cette nuit ? Son estomac se tordait, sa bouche sèche réclamait un alcool fort. Aussi se félicita-t-elle qu’il lui proposa un verre. Elle opta pour un vieux Rhum, apte à calmer ses tensions tout en exacerbant sa volupté. Elle le sirota doucement en examinant les lieux. Elle n’était venue qu’une fois et le salon était conforme à son souvenir : spacieux, classique avec quelques touches de modernité, objets d’art contemporains et peintures abstraites. Au centre trônait un gigantesque canapé lie-de-vin, dans lequel elle s’enfonça épousant douillettement le tissu doux et profond. Elle aurait pu s’y allonger, c’était presqu’un lit où plusieurs adultes pouvaient prendre place.
Elle resta seule quelques longues minutes, il s’était esquivé pour terminer les préparatifs. Quand il revint enfin, un gros cigare entre les lèvres, elle avait vidé son verre. Il la resservit et termina son whisky sec d’un seul trait. Il la fixait avec une intensité salace et lui demanda d’ôter son manteau qu’elle avait gardé, par confort psychologique, drapée dans le lainage protecteur.
Elle frissonna en dévoilant une épaule nue sous son regard lourd. Il s’approcha, souffla la fumée blanche et odorante sur sa peau et y déposa un baiser qui la fit sursauter. Son cœur s’emballa, puis fit une embardée de plus lorsqu’il lui prit la bouche, mordillant légèrement les lèvres, l’ouvrant de sa langue caressante. Elle ferma les yeux et joignit fougueusement sa langue, dans un soupir. Il saisit son épaule et l’allongea sur le canapé, glissant son autre main sous sa robe. Il remonta le long de la cuisse et sourit en rencontrant la chair soyeuse au-dessus du bas. Il caressa le triangle de tissu entre ses jambes et dévoila ses dents dans un sourire carnassier, à la fois menaçant et troublant. Il lui fit alors le geste convenu, puis sortit de la pièce. Elle attendit 3 minutes, s’étira, bailla et posa son verre. Puis, elle s’allongea en chien de fusil, la joue contre le tissu, une mèche rebelle lui zébrant le visage. Sa respiration se fit plus lente, régulière, yeux fermés mais aux aguets.
Elle entendit des bruits de pas ; il n’était pas seul mais elle ignorait combien ils étaient, deux ou trois ? Elle sentit un frôlement et une effluve de parfum masculin inconnu qui vint se placer à sa droite. Elle reconnut son odeur à sa gauche et elle eut l’impression qu’une troisième personne lui faisait face. Homme ou femme ?
Elle sentit une main lui caresser les lèvres et un doigt pénétrer sa bouche, cognant l’ongle sur ses dents. De l’autre côté, elle sentit quelqu’un lui ôter ses chaussures et embrasser sa plante des pieds. Une autre paire de mains courait sur ses jambes, pressant la chair sous le nylon.
Elle maintint ses yeux fermés et tentait de calmer sa respiration. Elle tenta de brider la vague d’excitation qui montait vers son ventre. De la salive coulait de ses lèvres sans qu’elle puisse s’en empêcher, elle en éprouva une légère honte. Et pourtant, plus la vague montait plus la salive coulait, légère, mousseuse, descendant sur son menton et dans son cou. A cet instant, elle sentit une langue sur elle, effaçant sa propre salive, la buvant. La main qui lui emprisonnait la cheville gauche, remonta sur sa cuisse et fit glisser le bas avec beaucoup de douceur ; en même temps, on lui embrassait l’arrière du genou. Puis on engloutit ses orteils dans une bouche en fusion, elle émit un gargouillis, réprimant un gémissement. Elle se cramponnait intérieurement, pour ne pas bouger. On plaça alors son pied sur un pénis en érection, qu’elle imagina long et fin. Elle eut l’impression que l’autre se branlait avec son pied, il faisait glisser la cambrure du pied sur la queue dressée, majestueuse. Elle ne put s’empêcher de crisper les orteils pour évaluer la fermeté de l’organe.
L’atmosphère s’alourdit d’un cran. Une autre main s’était posée entre ses jambes, caressant, puis griffant le tissu, l’écartant pour prendre possession des lieux, d’un doigt long et tendu. Tournoyant entre les petites lèvres, le doigt entrepris de la pénétrer, doucement, lentement, tandis qu’un pouce exerçait une pression délicieuse mais crispante sur son clitoris. Le « possesseur » de son pied, lui releva sa robe à la taille et lui fit plier le genou, pour livrer totalement le passage au doigt qui la fouillait de plus en plus fort, de plus en plus loin, mais toujours lentement. Comme de sa bouche, sourdait de son sexe un jus chaud, onctueux. Un autre doigt, apparemment humidifié, appuya sur son anus. Il entra d’un coup et démarra son va-et-vient en douceur, elle l’avala dans un mouvement de hanche qu’elle réprima aussitôt, laissant échapper un grondement rauque, qu’on s’empressa de taire en lui poussant un sexe dans la bouche, écartelant sa bouche des deux mains. Elle le sentit au fond de sa gorge, s’extrayant aussitôt. D’un coup, les mains et les sexes s’échappèrent à son grand désarroi. Elle restait ainsi tremblante, dégoulinante, en proie à un puissant désir.
Elle entendit chuchoter au loin, puis se sentie attrapée par des bras musclés, soulevée et déshabillée. Ne lui restait que ses bas, on lui ôta sa robe et ses dessous. Elle fut déposée comme un fétu de chair sur une poitrine d’homme au poil bouclé et doux, bras et jambes maintenus largement ouverts de chaque côté de ce torse sportif. Les bras musculeux l’empoignèrent aux hanches, l’agrippant à pleines mains, tandis que les autres la maintenaient par les cuisses pour la visser, offerte, sur le sexe de l’homme allongé. Ce dernier harponna ses fesses grasses et la fit coulisser sur lui. Elle s’empêchait de gémir et bloquait l’ondulation naturelle de son ventre, avide de cette queue qui l’emplissait délicieusement. Dans son dos, elle sentait des mains sur ses reins, d’autres sur ses pieds, puis ses cuisses, des lèvres sur sa nuque. Frémissante, elle ne put retenir un gémissement. Et sentit une claque sur ses fesses, en guise de punition puisqu’elle venait d’enfreindre une des règles. Elle se mordit les lèvres pour ne pas crier. Pas de bâillon, trop facile. C’était à elle de se maîtriser, de garder sa bouche fermée, sans crier.
On l’immobilisa sur la verge qui la remplissait ; elle sentit alors un doigt épais badigeonner son anus d’un liquide froid et aqueux, puis la pénétrer profondément. Elle lui sut reconnaissante d’utiliser un lubrifiant, elle savait qu’elle allait être doublement pénétrée et elle redoutait la douleur. Un peu comme aux abois, elle tenta de se détendre totalement et se laissa aller, en décontractant tous ses muscles. Elle sentit un second doigt rejoindre le premier, l’élargissant en cercles concentriques, fouillant son anatomie, écartant les parois de son anus. Elle sentit gonfler le sexe dans son vagin, l’homme devait éprouver beaucoup de plaisir à sentir le mouvement de l’autre côté de cette fine paroi de chair. Elle posa sa bouche insensiblement sur son torse pour mieux le respirer et pour étouffer ses propres gémissements. Les doigts se retirèrent pour laisser place à un objet qu’elle identifia comme un plug, lui aussi lubrifié et destiné à l’élargir. Elle se sentit incroyablement dilatée, pleine.
L’objet fut chassé par un sexe d’homme large qui entra en elle avec une incroyable lenteur, l’ouvrant au fur et à mesure, doucement, profondément. Puis les deux sexes bougèrent en elle en rythme, lentement d’abord. Elle les sentait presque comme s’ils n’avaient été qu’un ; fusionnant leur mouvement, il lui semblait qu’ils fusionnaient leur chair. Elle se sentit possédée comme jamais elle ne l’avait été auparavant. Une sensation brutale montait de son ventre, comme une boule l’oppressant et montant dans sa poitrine. Quand l’orgasme la terrassa, elle ne put s’empêcher de hurler. Elle hoqueta pour finalement s’abattre, molle comme un amas de chiffon, son esprit ailleurs et son corps comme absent, soumis aux va et vient qui ne stoppèrent leur course qu’après la fulgurance de contractions et d’éjaculations, à longs jets qu’elle sentait ruisseler contre son vagin comme des sanglots de sperme d’un côté, plus bruyamment derrière elle où l’on se répandit en invectives et en coulées rapides sur le bas de son dos. On la reposa alors sur le sofa comme à demi morte, la poitrine habitée de soubresauts et les cuisses, de frissons. Et elle sut que c’était lui qui lui caressait les cheveux, lui redressant une mèche tombée sur ses paupières, et qui déposait une couverture sur elle. Elle l’entendit s’éloigner avec les deux autres hommes.
Quand il revint, il l’embrassa sur le front en lui disant « Réveille-toi ma douce ».
Un fantasme.. texte déjà ancien, écrit il y a quatre ans, pas vraiment bdsm ni libertin, mais des prémisses évident ^^
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Elle était brune sa chevelure tombant sur les épaules. Au matin, la nuit l’ayant décoiffée, une sorte de crinière environnait son visage qui donnait aux gestes lents de l’engourdissement du réveil une touche animale. Lorsqu’elle avait quitté le lit, ses yeux noirs s’éveillaient à leur tour. Ils étaient capables, j’en avais fait l’expérience, de se révéler les alliés puissants de sa détermination et dans les extrêmes, de brûler à distance l’objet de sa colère. Rien dans les traits de son caractère entier ne laissaient supposer une nature soumise. Une part de sang espagnol affirmait souvent sa présence, passionnée en amour, combative dans l’adversité.
Nous étions amoureux et nous nous essayions, dans les jeux de l’amour sans chercher à restreindre les possibles que d’ailleurs nous n’imaginions pas. Je me souviens d’un après-midi d’automne chaud et lumineux comme le sud-ouest parfois en offre quand l’été semble vouloir rester encore un peu. Le petit animal sauvage que j’avais apprivoisé s’était alangui et, dans un lit, cette fois, nous faisions l’amour. Bien des minutes s’étaient écoulées dans nos jeux lorsque elle prit, provocante, une position qu’elle appréciait. A quatre pattes, cambrée, proposée à mes caresses et à mon sexe, elle tourna la tête et me regardait derrière son épaule. Il me sembla percevoir dans ses yeux une interrogation mêlée de doute. Dans le feu de cette action, je n'étais guère porté sur l'introspection, je n'y prêtais pas plus d'attention. Une fois entré en elle, je ne sentis pas de différence dans son attitude. Ni les cris, ni les mouvements compulsifs du bassin que son plaisir imposait ne m'ont paru différents de ceux que je connaissais déjà bien. Puis au milieu de ces ébats sans surprise deux mots comme un souffle trop longtemps retenu, deux mots seulement : « Frappe-moi ! ». Pour être sûr que je comprenais bien je demandais qu’elle répète, sa voix presque incontrôlée lors de la première demande se mua en une supplique "Sur les fesses, sur les cuisses, frappe-moi !" Je restais quelques secondes en suspens. Je n'aurai pas voulu me voir en cet instant-là. A genou, planté en elle, ne bougeant plus avec sur le visage une expression sans doute à mi-chemin entre l''incompréhension et l'ébahissement. Elle non plus ne bougeait plus, mais ne montrait aucun des signes de mon hésitation. Je me repris : comme j'aimais lui donner du plaisir, elle me montrait un chemin auquel je ne pensais pas, voilà tout. Ma main se leva une première fois pour frapper mais ce premier coup n'étant pas assuré, il ne fit que caresser rudement, du bas vers le haut sa fesse droite dont la peau bougea en onde sous l'effet du choc relativement léger. Elle me donna là un premier soupir qui montrait l'impatience contenue. Un deuxième coup, plus sec cette fois vient frapper au même endroit, celui-ci fut suivi d'un petit cri bref, plus de surprise que douleur je pensais. Je recommençais sur l'autre fesse, l'équilibre me semblait important, et je revenais sur la première fesse cette fois avec plus de rudesse puisque ses cris traduisaient son désir de plus de force. Quelques minutes passèrent dans les claques mêlées de cris ou de gémissements, lorsqu’elle arrivait à contenir les cris. Je trouvais très excitant ce nouveau jeu et je prenais plaisir à alterner des caresses/claques avec des coups plus rudes, m'amusant à déclencher des cris plus forts par une plus cuisante claque aux moments où il lui semblait que la fessée devenait plus douce. Ses mouvements de bassin suffisaient à faire glisser mon sexe dans le sien. Ces premières minutes passées et avec elles l'inhibition de ma partenaire, elle se retrouva, fesses rosies et sans qu'elle s'en rende tout à fait compte dans une nouvelle position que la recherche de stabilité et le souhait de s'offrir au mieux exigeaient. Ses épaules touchaient maintenant le lit, ses bras étaient de part et d'autre de son corps, elle avait écarté encore ses jambes et la cambrure de ses reins avait un arrondi extraordinairement creux, elle faisait ressortir son sexe et son anus plus encore que les instants d'avant cherchant à offrir plus d'espace encore aux coups qu'elle quémandait. Une sensation délicieusement sourde m'envahissait le ventre. Elle s'était jusqu'alors offerte mais maintenant, sous l'effet de la douleur et du plaisir conjoints, elle s'écartelait. Je tentai de continuer de la fesser tout en restant en elle mais la position ne le permettait plus. Nos sexes ne pouvaient plus se joindre. Elle, plus basse, moi, trop grand. Je me retirai donc, me plaçant sur son côté gauche et continuant de frapper et d'en savourer les effets. Je dois avouer que ma propre excitation était montée très fortement et que la tension de mon sexe était telle qu'elle en devenait presque douloureuse. La fessée continuait de dispenser généreusement ses bienfaits mais elle ne sentait plus rien en elle lui permettant d'entrelacer les douleurs des claques avec le plaisir de la pénétration. Je lui demandais, hypocritement, d'en profiter pour se caresser, ses mains étaient libres après tout ! (j'ai dû ponctuer ma demande d'un mot comme "cochonne", comme cela lui plaisait et l'encourageait...) J'adorai la voir se masturber devant moi mais c'était un plaisir qu'elle ne me donnait que trop rarement. Dans cette situation, comme j'avais accédé à ses désirs, ne devait-elle pas accéder un peu aux miens ? J'en fus étonné, elle n'hésita pas. Sa main vint se placer sur son sexe et elle commença de se caresser, ouverte, impudique, animale. Sa position ne cachait rien des mouvements de sa main qui s'interrompait une seconde, parfois, quand un coup plus fort la surprenait. Mais cette main que je croyais timide reprenait vite sa place et je continuais de dispenser de mes mains les éclairs et la chaleur sur son corps plus que rose à présent. La fessée continuait et je me rendis vite compte que ma main, pourtant puissante commençait à fatiguer. (Je n'envisageais pas encore d'avoir recours à un autre instrument, cela ne vint que plus tard.). Je lui dis la fatigue de ma main. Elle me supplia de continuer encore un peu, qu'elle allait jouir bientôt. Elle étouffa ses cris dans l'oreiller, tendue vers l'arrière, cambrée, son orgasme montant sous les les effets de sa main pour le plaisir et de la mienne pour la douleur. Je frappais plus fort encore, je ne pouvais plus distinguer les cris de jouissance de ceux provoqués par mes coups. Ne voulant être en reste, je lui remontais les fesses, continuant de la fesser, je me glissais derrière pour entrer en elle d'un coup brusque qui soulagea un peu ma tension. Elle hurla dans son oreiller en feulant au rythme de mes coups de rein et des cuisantes claques sur ses fesses franchement rouges. Nous avons joui ensemble. Elle s'apaisa. Mon corps était devenu lourd, j'étais appuyé de mes mains sur ses fesses, sonné par l'orgasme, les jambes tremblantes. J'ai encore présente en moi la vision du contraste de mes mains brunies au soleil sur le rouge de ses fesses brûlantes. Je m'effondrais, plus que je m'installai, à côté d'elle. Elle n'avait pas varié sa position, fesses tendues, écartelée. Elle la conserva quelque temps foudroyée qu'elle était par le plaisir conjoint de nos sexes, de sa main, de la mienne. Quand elle s'allongea et vint se blottir dans mes bras, sa bouche près de la mienne, elle murmura, "J'ai un peu honte...". Ses yeux, illuminés, affirmaient le contraire."
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Je déambule régulièrement à travers les murs tortueux de ce site et je suis heureux d'y avoir fait certaines connaissances, virtuelles, légères mais souvent touchantes et je profite de cette prose matinale pour remercier ceux et celles qui se reconnaîtront. J'ai plaisir à vous lire, à vous découvrir, et à vous ressentir, que ce soient vos envies, vos clichés, vos petits tracas, vos doutes, ou bien votre bonheur, parfois si passager. Il est aisé par ici de se dire en relation BDSM. Un clic suffit. Et O miracle, si l'autre en fait de même, vous devenez sa moitié, son univers, sa/son soumise/soumis, ou sa/son Maîtresse/Maître.
Mais que se passe-t-il ensuite ? Il est si fréquent de voir ici-même des liens qui se nouent et se dénouent suivant le sens du vent. Déceptions, peur de la réalité d'un tel engagement, trop d'empressement lié à des envies incontrôlables, divergences morales ou physiques ?
Je souhaitais ici créer un article ouvert à tous ceux qui ont envie de partager leurs expériences passées, présentes, voir futures. Tous ceux qui s'interrogent sur la viabilité au quotidien d'une telle relation, et de comment ils l'ont vécu, la vivent, ou imaginent la vivre au quotidien.
Allongez-vous, prenez une grande respiration et ouvrez-vous.
Si le sujet vous inspire, je me ferai une joie de prendre votre place à mon tour sur le divan.
O plaisir de vous lire.
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La fin du séjour approche....
Dans quelques heures cet avion t’emmènera loin de moi, je ne veux pas laisser la tristesse m'envahir, je ne veux t'offrir que mon sourire en échange du bonheur immense que tu m'apportes.
Dernière balade dans les rues de Fort-de-France, son marché, les derniers cadeaux achetés, les derniers acras aussi.
Retour à l'anse Madame, retour sur celle qui est pour moi Notre plage.
Un punch maison dont on a pris l'habitude pour presque chacune de nos sorties.
Le soleil de midi qui brûle et réchauffe nos peaux.
Tu as bronzé, tu es encore plus beau.
Notre place nous attend.
Notre plage est pratiquement déserte.
Tu t'allonges comme la première fois.
Et comme la première fois mon visage s'approche de ton sexe.
Tu ne vois plus personne.
Nous sommes seuls au monde.
Ta main se pose sur mes cheveux et vient appuyer ma bouche sur ton sexe.
Ta queue sous mes dents.
Ta queue dans ma bouche.
La mer nous appelle.
Tu me prends dans tes bras.
Ta queue dans mon ventre, portés par la mer.
Tu me fais jouir.
Encore une fois.
Mes pieds qui viennent frapper tes couilles.
Ton regard qui vrille, la peur qui te saisie, peur mêlée de plaisir, peur où le désir transparaît.
Je sais que tu aimes cette douleur, l'eau l'atténue, la rend supportable.
Je t'offre ce plaisir.
Tes pieds qui viennent frapper mon sexe.
Mes mains qui s'agrippent à toi, l’électricité qui parcoure mon corps à chaque coup.
Tu sais que j'aime cette douleur.
Tu m'offres ce plaisir.
Retour à la maison.
Douche, ton sac trop petit pour tout ce que tu as à ramener.
Ta Maîtresse te voyant désemparée qui fait ta valise.
Rien ne vaut une Domina aimante et attentionnée
Voiture
Une dernière fois.
Direction l'aéroport.
Tu appréhendes le long voyage, les retards obligatoires, la course entre deux avions.
J'appréhende mes larmes.
Ma main qui une dernière fois se glisse entre tes jambes.
Ta queue qui une dernière fois durcit sous mes caresses.
Un dernier rhum, l'heure du départ est arrivée
Je t'embrasse, je te dis à quel point tu comptes pour moi, je te dis que je serais toujours là pour toi à partir de maintenant, que tu pourras toujours compter sur moi.
Tu n'es pas mon soumis, tu es mon ami.
Un merveilleux ami.
Je ne peux retenir mes larmes.
La pluie tombe quand ton avion quitte le sol.
Notre île est aussi triste que moi de ton départ.
Tu es arrivé avec Dirty Old Town des Pogues et j'avais un sourire merveilleux.
Tu repars avec Osez Joséphine d'Alain Bashung et j'ai des larmes plein les yeux.
Ton départ m'a laissé vide, ta présence me manque.
Ma main te cherche dans la voiture.
Mon épaule à froid sans la douce chaleur de ta main posée dessus.
Mon lit est désespérément vide et plus aucune promesse ne m'y attend.
Mon café du matin n'a plus le même goût sans ta présence à mes côtés.
Mais mon sourire lui n'a pas disparu...
Tous ces instants si précieux sont maintenant gravés en moi.
Tous ces instants si précieux ont changé ma vie.
Et puis ….
Et puis qui sait, peut être d'autres vacances, un jour, ailleurs.
Laissons le temps décider de cela.
Reprends ta vie mon sourire, tu as transcendé la mienne.
Tu m'as rendu si belle.
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Une pause vitale dans nos explorations mutuelles, nous mène à l'anse Figuier.
La mer est belle, à nouveau cet aquarium naturel que nous visitons presque en intrus indésirables.
Trop de monde, trop d'enfant.
Nos caresses resteront douces.
Sa tendresse me transporte elle aussi.
Il me prend en photo, me trouve belle.
Je le suis, grâce à lui, grâce à sa présence, grâce à son attention.
Nous rions comme chaque jour, nous sommes si bien, tant de points communs, tant d'envies communes.
Nos balades en voiture le long des routes de Martinique sont elles aussi l'occasion de nouveaux plaisirs.
Pas une fois je ne pourrais prendre le volant sans que ma main glisse entre ses cuisses, sans que j'écrase sa queue sous mes doigts, sans que je plante mes ongles en lui, sans que je l'entende gémir de plaisir et douleur mêlés.
Hahooo … que ce mot est doux à mon oreille, que sa douleur jouissive m'excite.
Hahooo mon soumis, gémis pour moi, gémis grâce à moi, gémis avec moi.
Je mouille de désir pour toi.
Il bande de désir pour moi.
Et si parfois je ne le fais pas tout de suite, si ma main reste sur le volant, alors il vient la prendre et l’appuie sur son sexe déjà dur.
Il aime ces caresses, il aime Mes caresses.
Je suis heureuse, encore, pleinement, merveilleusement heureuse.
Balade dans le sud, la plage des Salines, la savane des pétrifications sous des tonnes d'eau, sa découverte des crabes cémafaute et de leur pince droite sur dimensionnée.
Saint Anne, on se prend à nouveau en photo, il est si beau, il me rend si belle. Je ne fuis plus l'objectif, je m'offre à son regard, à ses envies.
La journée se finira dans un pub du Marin avec la vue sur la marina. Excellents cocktails, mon pied joue sur sa jambe, on est épuisé, on est heureux, on a envie.
Retour à la maison.
Les jours suivants nous mèneront aux Jardins de Balata où j'arrive grâce à lui à surmonter ma peur du vide. Je n'ai plus peur de rien quand il est là, il me rend si forte.
Il fera sur ce pont de lianes la plus belle photo de moi.
Mon bonheur est à son comble.
Visite de la rhumerie Clément et de ses jardins, caresses brutales et sensuelles dans l'ancienne usine désaffectée.
Nous visiterons aussi la presqu’île de la caravelle et il découvrira le goût totalement régressif de la glace coco et des sinobols martiniquais.
Même nos goûts alimentaires sont semblables.
Notre fusion se poursuit dans la dégustation de cette glace pilée agrémentée de sirop de grenadine.
Nous sommes à nouveau des enfants, simplement heureux de ce que l'on vit, devant cet océan atlantique qui vient écraser ses vagues à quelques mètres de nos pieds.
Direction ensuite la route de la trace, la température qui tombe brutalement, la jungle impénétrable qui nous entoure de ses bruits et nous protège du monde extérieur.
Notre dernière escapade nous poussera à l'extrême nord de l'île, l'anse Couleuvre. On y nagera avec une tortue, je le prendrais dans ma bouche, à genoux devant lui, pleinement heureuse de cet instant de calme après avoir lutté ensemble contre la force du courant pour rejoindre la plage.
Chacune de ces balades nous aura rapprochées.
Les cocktails dégustés dans de petits bars typiques, le poulet boucané dévoré avec les mains sur fond de mer des caraïbes, les acras grignotés les pieds dans le sable.
Cette glace qu'il englouti avec délice à la Savane, cette glace qui le comble et le fait sourire.
Plaisirs d'une liberté totale, plaisirs de découvertes dépaysantes, plaisirs d'une gastronomie simple.
Plaisir des mots échangés, des secrets livrés, des discussions passionnantes, des fous rire partagés.
Plaisirs de nos mains qui s'enlacent, de nos bouches qui se cherchent, de nos peaux qui s’apprennent, de nos yeux qui se trouvent, de nos corps qui s'enlacent, de nos chairs qui s'embrassent, de nos vies qui s’entremêlent.
Plaisir d'une vie si belle avec lui.
Plaisir d'une vie si vraie quand nous sommes ensemble.
Chacune de nos nuits, chacun de nos jours, nous auront fait jouir.
Chacune de nos nuits, chacun de nous jours, nous auront vu heureux.
Son corps m'attire irrésistiblement, j'ai besoin de le toucher, de le sentir, je m’enivre de son odeur, il est ma drogue.
J'aime sa peau, j'aime y planter mes crocs, j'aime y enfoncer mes ongles, j'aime y laisser courir mes doigts, j'aime la parcourir à chaque instant.
J'aime sa queue, j'aime y planter mes crocs, j'aime y enfoncer mes ongles, j'aime y laisser courir ma langue, j'aime la voir durcir à chaque instant.
La seule chose qui nous aura manqué est le sommeil.
Impossible de dormir.
Nos corps s'attirent irrésistiblement.
Sa queue dressée me rend dingue.
Je le veux en moi, au plus profond de moi, au plus intime de moi.
Je le veux dans mes reins.
J'aime m'empaler sur sa verge dressée, dure, endurante.
J'aime la douleur quand je m'enfonce sur elle.
Il bande de me voir souffrir.
J'aime avoir mal.
Laisse moi baiser ta queue avec mon cul.
Laisse moi jouir de ta virilité.
Laisse moi te faire grogner de plaisir.
Laisse moi m'enculer sur toi.
Laisse moi être ta salope.
Fais moi MAL !!!!
Fouette moi, attache mes seins, attache les à m'en faire gémir de douleur.
Prends le martinet, claque mes seins, fouette les, marque les, abîme les, marque moi, laisse ton empreinte sur ma peau, laisse ton empreinte dans ma vie.
Claque les, boxe les.
Fais moi MAL, fais moi jouir.
Jouir, encore, toujours, plus fort, plus longtemps, plus profondément, plus absolument.
Aime moi aussi fort que je t'aime.
Jouis en moi, libère toi enfin, jouis dans mon cul.
Tu pars bientôt.
Je veux t'offrir le cadeau de ta jouissance.
Mais ton plaisir, ton désir, notre sensualité permanente t'ont repus, tu es comblé.
Cette jouissance ne sera pas libératrice, tu n'as plus besoin de te libérer, tu es déjà libre quant tu es à mes côtés.
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Je n'ai malheureusement pas pu prendre de vacances cette semaine et je vais devoir travailler pendant 3 matinées.
A mon retour je trouve mon appartement impeccablement rangé, le ménage a été fait, les derniers cartons du déménagement récent ont été monté à l'étage, newermind, torse nu luisant de sueur, est en train de briquer le frigo.
Whaouuu, qu'il est bon d'avoir un adorable soumis à la maison, j'en découvre enfin tous les avantages.
Un homme totalement aux petits soins pour moi, dont les seules préoccupations sont mon plaisir et mon bien être.
Je vis un véritable compte de fée
L'après midi nous mènera vers une grande maison avec piscine et vue splendide sur le rocher du diamant. Une amie l'a mise à notre entière disposition pour plusieurs jours…
Nous y seront seuls et libres.
3 jours encore plus merveilleux que les précédents.
Quelques flashs...
Nos corps nus et excités dans la piscine, sa queue puis sa main qui me fouillent, me découvrent encore et encore.
Et soudain une sensation inconnue, une jouissance fulgurante, je ne suis plus qu'une chatte en chaleur de la racine des cheveux à la pointe des orteils.
Je cris, je grogne, je hurle, je supplie, je jouis comme jamais.
Que me fais tu ? Comment arrives tu à me faire jouir de la sorte ?
Je ne sais pas combien de temps dura ce miracle, l'impression d'une éternité tout autant que d'un instant bien trop court.
Je ne suis plus une Femme bien éduquée, je suis une chienne en chaleur, je ne veux pas que cela s'arrête, je veux jouir sans fin entre ses mains, je veux qu'il continue à me baiser encore et encore.
Je m'abandonne totalement à lui, pour la première fois de ma vie, je n'ai plus aucun contrôle, plus aucune limite, mes tabous, mes blocages, mon éducation ont disparu.
Je suis une chienne en chaleur.
Il me baise de ses doigts comme jamais personne n'a su le faire.
Je suis sa chienne en chaleur.
Je jouis par tous les pores de ma peau.
Je jouis en continu, ça ne s’arrête pas, une cascade de plaisir, une avalanche démente.
Plus rien n'a d'emprise sur moi.
Je suis pleinement en vie.
Blottie dans ses bras puissants, ma jouissance a continué de très longues minutes après la fin de ses divines caresses.
Merci newermind pour cette sublime découverte.
Plus tard je finis par m'endormir sur le canapé du salon, sans force, simplement heureuse et repue.
À mon réveil il est là, nu, endormi, allongé à mes pieds, à sa place.
Je le contemple, le dévore des yeux.
Il est si beau, si parfait.
Il s'offre à moi, s'abandonne, se laisse faire, ne résiste plus.
Mon pied droit glisse sur sa queue et ses couilles.
Je le caresse.
Il se réveille doucement, se laissant entièrement faire à nouveau.
Abandonné à mes caresses.
Abandonné à mes envies.
Abandonné à mes désirs.
Mon pied gauche prend alors possession de sa bouche.
Plénitude absolue, merveilleuse, irréelle.
Il est à moi.
Totalement.
Sans limite.
Il m'appartient.
Sensations et sentiments indescriptibles...
J'éprouve une jouissance cérébrale absolue.
Les mots pouvant décrire ce que je ressens n'ont pas encore été inventés.
Je le vis encore.
En moi.
À chaque instant.
J'ai aimé cet instant au delà des mots.
Je l'ai aimé à cet instant au delà du possible.
Au delà du bonheur.
Je suis envie.
Je suis en Vie.
Une autre nuit.
Une nouvelle envie
Un véritable besoin.
Je lui tends le martinet.
Je suis à 4 pattes sur le lit.
Je lui offre mon cul.
Ses premiers coups sont doux, presque maladroits, il a peur de me faire mal.
Il découvre que j'en ai besoin, que j'aime cela, que mon plaisir décuple alors.
Ses coups se font plus appuyés, plus forts, plus précis.
Je sens la chaleur de la douleur m'envahir.
J'entends ses grognements de plaisir.
Il aime me voir aimer la douleur.
Révélation pour tous les deux.
Il continue.
Il grogne, râle, gémi presque autant que moi.
Il aime ce qu'il me procure presque autant que moi.
Je ne veux pas qu'il s'arrête.
Il doit se contrôler, ne pas se laisser dépasser par son propre plaisir.
Ses coups visent maintenant mon entrejambes.
Les épaisses et lourdes lanières de cuir s'abattent sur mon sexe.
Je sens la jouissance m'envahir.
La divine chaleur du plaisir se propage en moi.
Ma jouissance explose.
Mon soumis a su me faire jouir sous les coups de martinet.
C'est si bon.
Si fort.
Si merveilleux.
Mon soumis a révélé en moi la Maîtresse masochiste.
J'ai besoin d'avoir mal.
J'ai besoin de ressentir cette douleur au plus fort mon plaisir.
J'ai besoin de sa passion quand il me fait souffrir à ma demande.
J'ai besoin de son excitation quand il sait qu'il me fait mal.
J'ai besoin de son sexe encore plus dur et endurant quand il provoque ma douleur.
J'ai besoin de son sexe qui s'enfonce alors dans mes reins.
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La première nuit nous avons somnolé 3 heures, 3 très courtes heures.
Il m’a fait jouir comme je n’avais jamais jouis.
Nous aimions tous les deux la légende des petits cailloux roses à glisser dans une bonbonnière pour chaque jouissance féminine offerte par le soumis.
Il nous a été impossible de compter mes petits cailloux roses.
J’ai perdu le compte en même temps que j’ai perdu la tête.
Je jouis en continu, il n’y a plus de pause, mon corps décide pour moi, je n’ai plus aucun contrôle sur mes sensations…
Je ne suis plus que jouissance et plaisirs, la Femme commence à laisser place à l’Animale.
Bestiale.
Goulue.
Obsédée.
Jouissant.
Aimant.
Baisant.
Hurlant son plaisir.
Le lendemain nous mènera sur une des plus belles plages de Martinique.
Les Anses d'Arlet, aquarium naturel à 1 mètre de la surface.
On nage au milieu des poissons, on se frôle, se touche.
Il fait beau, l’eau est délicieusement chaude.
Petite pause tendresse au milieu des autres vacanciers.
La tendresse se dilue dans l’eau chaude pour se transformer en sensualité.
Nos corps se cherchent et se trouvent, le monde extérieur disparaît, ma chatte avale sa queue, je jouis, encore…
Il me rend dingue…
Le repas pris les pieds dans l’eau nous permet de souffler.
Brochette de Lambis et fricassée de calamars.
Divinement bon, lieu idyllique.
On est fatigué, il fait trop chaud, on rentre à l’appartement.
La Martinique lui plaît, un esprit de liberté qui n’existe plus en métropole où tout et tous sont sous contrôle.
Ce vent de liberté nous porte et nos barrières, nos limites, disparaissent.
Nous avons l'un comme l'autre envie d'une soirée particulière et unique, il a alors l'excellente idée d'un apéritif dînatoire sur la plage au clair de lune.
Nous nous précipitons en cuisine pour préparer cela. Cocktail et spécialités locales.
Très peu de monde, sur la plage située au bas de l'appartement, un simple groupe de jeunes gens ont eu eux aussi l’idée du pic-nique sous la lune.
Nous nous installons un peu plus loin à l’abri d'un palmier.
La Piña colada maison est excellente, trop peut-être.
La fatigue et l’alcool ont raison de mon sublime amant qui s’allonge sur le sable après avoir grignoté quelques tapas.
Le temps est clair, la lune nous éclaire elle sera bientôt pleine, le doux bruit des vagues qui s’écrasent à quelques pas devant nous nous transporte.
Son corps m’attire, son odeur me bouleverse, j’ai envie de lui offrir un plaisir particulier, tout aussi particulier que le lieu. J'ai envie qu'il se souvienne de son voyage ici, de son voyage dans mes bras, dans ma vie.
Je m'allonge à mon tour, perpendiculairement à lui, et je m'appuie doucement sur son bas ventre.
Sa queue est à portée de ma bouche, sous le fin tissu de son bermuda. Je commence à la mordiller, il semble aimer cela et durci rapidement.
Ce soir je veux son plaisir, son désir.
Je sors délicatement sa queue. Elle est belle, chaude, dure.
Et je le mords... de plus en plus fort.
Il s'abandonne totalement, gémit, oublie le lieu, le monde, la vie à proximité.
Il n'est plus que sensation.
Sensations de douleurs qui réveillent et excitent
Sensations de douceur qui enveloppent et qui bercent
Sensations de plaisir qui parcourent son corps et me transportent à mon tour
2 heures trente de magie sur la plage de l'anse Madame si bien nommée.
Sur Notre plage.
Je suis si bien, heureuse, épanouie, transportée, bouleversée.
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Il y a 3 mois, Fetlife, un soumis avec une gueule d’ange, des écrits qui me plaisent, de l’humour, de l’intelligence, des taquineries, des sourires et un réel respect dans chacun de ses mots.
Je craque !!!
Quelques like et commentaires softs sur ses photos, j’espère qu’il va me contacter.
Un soir… le petit 1 sur l’enveloppe blanche … c’est lui
Plaisir !!!
Excitation !!
On commence à discuter, de longs échanges s’enchaînent, on reste soft, en tout cas j’essaye de me forcer à le rester.
Je tiens 3 jours … déjà envie de le faire bander, de l’exciter, c’est plus fort que moi, il me plaît, j’ai besoin de savoir que je l’excite.
Même si la distance qui nous sépare implique qu’il ne sera pas possible de se voir.
3 mois plus tard, des milliers de mails, de sms, de coups de téléphone, un billet d’avion et 8 heures et demie de vol plus tard… il arrive en Martinique.
Il vient pour moi...
J’arrive à l’aéroport au moment où l’avion se pose sur le tarmac.
Radio locale, « Dreamed a dream, by the old canal. Kissed my girl, by the factory wall. Dirty old town, dirty old town. » Les Pogues sur une radio martiniquaise, ça ne s’est jamais produit, si je devais être superstitieuse j'y verrais un excellent signe.
Juste avant son départ il m’a envoyé un sms, il craint de ne pas réussir à se sentir à l’aise, il a peur de ne pas arriver à se détendre.
Moi je n’ai qu’une peur, ne pas lui plaire, qu’il ne me plaise pas, que la chimie de nos corps nous soit défavorable.
Il est le 7ème à sortir de la zone passagers, il est devant moi, sublime, il me voit, me sourit, je me perds déjà dans ses magnifiques yeux bleus et son sourire me fait fondre…
Simples baisers sur les joues, échange de sourire.
Bonjour Dame Margot … Bonjour newermind …
On va rejoindre la voiture et déjà la tension diminue de part et d’autre.
Il me plaît, je le sais, la chaleur au creux de mon ventre ne me trompe pas, je le veux !
Resto sur le port, il n’a pas faim, il a trop mangé dans l’avion.
On commande un cocktail et on discute déjà beaucoup, de tout de rien, on rigole, on se sent bien.
À un moment donné il effleure ma main, la prend dans la sienne …
ENFIN !!! Je sais que je lui plais aussi.
Soulagement.
Il s’absente quelques instants, je détache mes chaussures, celles que j’ai acheté pour lui, pour l’exciter.
Le champagne gourmand arrive.
Il revient.
À peine assit, je glisse mon pied entre ses jambes, il l’attrape, ses yeux se ferment déjà … Il se rapproche, écarte les cuisses, gémit doucement, masse mon pied.
J’ai maintenant mes deux pieds au niveau de son entrejambe.
J’appuie.
Fort !!!
Il bande.
Dur !!!
Le dessert est déjà oublié, il ne lâche plus mes pieds, ses yeux restent clos, son plaisir et son trouble sont palpables.
Je lui dis d’ouvrir la bouche, il obéit, je le nourris.
Il s’étonne de me voir pouvoir continuer à manger l’air de rien … je lui rappelle par provocation que les Femmes elles, sont capables de faire deux choses à la fois mais je suis excessivement troublée.
Bien plus que je ne cherche à le laisser croire.
Troublée au point d’en faire tomber sa coupe de champagne au sol et de la briser…
Le charme érotique est rompu un instant, le sourire et le rire prennent la suite.
Le voilà rassuré.
Oui newermind, tes caresses me troublent énormément, tu me rends dingue.
Nous ne finissons pas nos assiettes, tellement mieux nous attend et nous attire irrésistiblement…
Dans la voiture, explosion de sensations.
Déjà !!!
Sa bouche se referme sur mes orteils, mes mains se perdent sur sa queue …
Envie … terriblement envie.
De lui, de jouir, de caresses, de sa bouche, de sa queue, de son odeur, de son cul.
On arrive à partir … le trajet est … sensuel et très tactile, heureusement qu’il y a très peu de circulation...
À peine rentré dans l’appartement et on bascule immédiatement.
On fera la visite plus tard.
Il est à genoux entre mes jambes, sa bouche me fouille, me déguste, me découvre.
Je me tiens à la rambarde, déjà envahie par le plaisir.
Nous sommes sur la terrasse, face à la baie de Fort de France, avec les grillons et les grenouilles qui nous offrent leur chant nocturne.
Commence alors 8 jours qui s’annoncent exceptionnels et hors du temps.
Pour nous deux.
8 jours qui marqueront ma vie.
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Thutale, voici quelques petits secrets que je dévoile dans le cadre de ce portrait Québecois...
1- Ayant eu un père autoritaire, qui me donnait parfois des coups de martinet pour se faire comprendre, je fus une fois fascinée et intriguée par une marque légèrement boursouflée qui zébrait ma cuisse...
2- J’ai toujours aimé les scènes de flagellations dans les péplums ou westerns, je m’imaginais être à la place des femmes attachées recevant le fouet qui laissait des marques sanglantes…
3- Après une période d’adolescence rebelle et un premier mariage trop "calme", l’envie de sensations fortes est venue juste après mon divorce, il y a une bonne dizaine d’années. Cette liberté acquise, je découvrais alors des sites comme tiscali, wanadoo, ou msn qui proposaient des tchats divers (notamment des salles bdsm)et j’ai vite trouvé ça très prenant et enrichissant mettant des mots sur mes ressentis inconscients.
4- Puis, après quelques semaines de discussion sur un tchat, j'étais très excitée de devoir suivre des ordres pour rencontrer ce dominant que je trouvais charmant. Je me suis retrouvée les mains attachées en croix, les yeux bandés et des pinces aux seins...j'ai beaucoup aimé et j'en ai voulu plus...
5- Certaines de mes rencontres furent instructives… d’autres plus excessives m’ont permis de mieux définir mes limites.
6- Dans mon périple, une invitation par un dominant assez extrême m’a fait passé une soirée riche en sensations mais a laissé des traces trop importantes (les 2 fesses mauves)… une remise en question avec une pause s’est ensuite imposée.
7- C’est un peu plus tard que j’ai rencontré mon Maitre (un coup de foudre immédiat) grâce aux mêmes sites et qui a su me ramener en douceur vers des plaisirs BDSM communs en reprenant tout depuis le début.
8- En temps normal j’ai un caractère très fort à tendance dominante (merci maman..) ce qui fait que je ne me place pas d’entrée en "soumise" mais j’ai en moi un besoin d’être contrôlée et guidée pour équilibrer ma vie.
9- Je ressens une envie permanente de procurer du plaisir à l’être aimé, il est donc important pour moi que mon Maitre soit aussi mon mari. Je ne saurais mener une double vie (vanille et bdsm).
10- L’idée de dominer physiquement ne m’a jamais attiré. J’aurais trop l’impression de faire "mal" et je suis plutôt passive. Maintenant, s’il m'est demandé de le faire ce serait uniquement sous Ses ordres et Son contrôle, et ce qui me plairait le plus serait d’exciter tout en frustrant…
11- J’aime "offrir" ma soumission et mon plaisir passe par la fierté que je lis dans Son regard ou un sourire de ma bonne tenue en soirée.
12- J’aime les marques laissées par le fouet après une intense séance, mais je marque peu
13- J’adore sentir la cire chaude couler et figer ma peau jusqu’à sa délivrance au couteau…
14- Naturellement, je suis plus attirée par les pratiques SM que D/s, mais par amour et pour un certain équilibre dans notre relation, petit à petit j’apprends à bien me tenir en situation D/s.
15- J’aime beaucoup relever les défis, étant très joueuse et curieuse, mais il faut que cela respecte l’approbation de mon Maître qui connaît mes limites physiques et morales. Il arrive parfois que je souhaite aller plus loin que ce que je ne peux supporter.
16- L’absence de pratiques pendant une dizaine d’années pour raisons familiales, nous a permis de reprendre petit à petit nos jeux oubliés mais terriblement excitants, renforçant notre relation de couple.
17- Je suis plus endurante sous le fouet d’autres dominant(e)s, mais j’ai besoin d’être constamment sous Son regard et de sentir Sa présence.
18- C’est au pied du mur que l’on s’élève le mieux et c’est grâce aux épreuves de la vie que l’on se sent vivant et que l’expérience se développe.
19- Les cordes m’effraient et m’attirent en même temps. J’admire les suspensions, toutefois réaliste, je sais que je ne pourrais être aussi gracieuse que les personnes que je vois suspendues.
20- Pour vivre bien, il faut souvent accepter de se remettre en question et redéfinir nos priorités.
21- Je ne suis pas attirée par les femmes et pourtant j’ai vécu quelques expériences qui m’ont laissé de très bons souvenirs.
22- J’adore mes fesses et mes seins, et j’ai réussi à vaincre pas mal de complexes en prenant plaisir dans l’exhibition.
23- On ne peut pas changer le passé, mais on peut en faire une force pour s’améliorer dans l’avenir.
24- D’un naturel optimiste et toujours reconnaissante (quoiqu’on en dise), je suis parfois naïve et peut paraître manipulatrice alors que je ne cherche qu’à être appréciée de mon entourage (défaut des empathiques).
25- J’ai atteint ma limite au partage. Croyant faire plaisir (encore et toujours), je me suis brulé les ailes et je m’en mords encore les doigts…
26- Ce que j’ai raté dans ma vie, je le referais encore mais en mieux réfléchi.
27- Ce que j’aime dans le BDSM c’est qu’il y a tant de pratiques à découvrir de la plus soft à la plus hard, que l’on ne peut que s’épanouir et laisser exprimer nos sensations les plus intenses... Rencontrer, partager, discuter, apprendre et jouer avec d’autres adeptes sont aussi des moments exaltants… Cependant, on garde à l’esprit que tout doit être fait avec respect, sécurité, confiance et dialogue…
28- Ne jamais dire jamais, je découvre jour après jour que certaines choses qui me rebutaient commencent à me faire de l’effet.
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife et se développe sur BDSM.fr.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors :
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour saphyr »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »,
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ).
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La porte se ferme doucement, derrière des bâillements de plus en plus prononcés. La soirée s'annonce courte, la journée avait été bien remplie.
Ce ne sont pas les envies BDSM qui Lui manquent, au contraire, mais le sommeil guettait.
La voyant à 2 doigts de s'endormir, Il la laisse se coucher, et Lui demande de se déshabiller.
Elle s'allonge.
Il s'éclipse.
Il revient, un gant savonné à la main.
Elle ne bouge pas, se laisse laver un pied, puis l'autre.
Il refait un aller-retour pour s'occuper du reste du corps.
Son Corps... à elle, sa soumise.
Il a grande envie de jouer de lui, mais elle est trop fatiguée pour cela; pourtant, Ses doigts lui démangent.
Il l'aurait bien vu, maintenant, en collier, ou dans des cordes – plusieurs motifs Lui plaisent.
Elle, délicieusement entravée dans ces liens de cotons ou de cuir.
Elle, délicatement offerte à Ses plaisirs, Ses envies
Elle, sublimement offre tout le plaisir qu'Il lui donne
Le collier n'est pas loin, la corde non plus pour prendre possession d'elle en douceur. Pourtant, Il a décidé de faire autrement.
Versant de l'huile de corps dans Sa main, Il prend délicatement ses pieds pour les masser.
Toujours tendrement, mais passant là où les sensations sont les plus fortes.
Commence ainsi un long moment intime, doux, dans lequel se mélange des discussions de la vie courante, d'avenir, de BDSM, de réflexions personnelles.
Les petits noms doux vanilles se mêlent aux autres plus BDSM. Sa main qui la fouette, la fesse, masse les orteils, lui procurant un tout autre plaisir, plaisir de bien-être et de douceur.
Ses mains remontent le long des jambes, les parcourant sur ce lit de volupté huileuse.
Puis, massent longuement, mais délicatement, le ventre de sa soumise....
Pas de violence, ni de brutalité.
Cela n'éclipse pas la valeur de ce lien si particulier qui les unit tous les 2.
Elle est sous Ses mains, soumise à Ses caresses, massages, s'abandonnant au bien-être et à la détente que cette douce séance lui procure.
Un manque était survenu, un manque dù à une accoutumance commençait à lui empoisonner la soirée, quand Il décida de lui changer les idées par Ses mains.
Le martinet ou la laisse aurait pu être sorti, mais la solution qu'Il avait choisi Lui paraissait plus adéquate.
Elle ne prenait pas son pied, mais le sourire qu'elle affichant en disait long sur son état. La sensation de manque avait disparu, elle profitait pleinement de Ses mains qui la parcouraient...
Puis, vient le moment où elle offre son dos. A nouveau, Il huile Ses mains pour le massage suivant.
Elle était recouverte de cette huile à l'odeur envoûtante.
Elle savourait.
Mais à mesure que la soirée passait, que les mains massaient tendrement la douce peau de Sa Fierté, elle se faisait gagner par la fatigue.
Comme tout à l'heure, elle glissait rapidement vers le sommeil. Mais avant que ses yeux ne se ferment, Il bouche la bouteille et se place devant sa soumise.
Doucement, mais fermement, Il la prend en possession, lui procurant encore un autre plaisir pour ce soir-là. Rapidement, les gémissements accompagnent Ses va-et-vient.
C'est Son cadeau qu'Il s'offre.
Le plaisir de prendre sa soumise, après l'avoir bien détendue, après l'avoir fait sourire pendant tout ce temps.
Le plaisir de la masser, de s'occuper d'elle, son Joyau, comme elle le mérite, sa Fierté.
Se noyant tous les 2 dans le tourbillon de sensations lâché par les orgasmes, Ils goûtent à ce plaisir si unique, si intime, si complice que la Vie ait pu leur donner.
Quelques minutes plus tard, elle se repose dans Ses bras, s'endormant pour du bon, cette fois.
Bonne nuit, ma soumise
Je t'aime
Ton Maitre
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Lors de la visite d'une maison neuve, je me suis rappelé un anniversaire que ma compagne m’avait offert. Je ne suis pas un collectionneur d’objets mais j’apprécie les évènements. Elle sait que je suis amoureux d’elle est que j’aime le sado-maso, mais elle ne veut plus de mon niveau de hard depuis longtemps. Donc elle me demanda des semaines à l’avance si un cadeau pouvait me faire plaisir.
Bien sûr je lui ai demandé une soirée avec elle et deux couples d’amis, mais aussi une séance SM comme je les aime, avec elle comme soumise. Elle dit craindre la dite soirée mais accepta. Quand c’est loin dans le futur, les gens acceptent plus facilement.
Ce soir-là venu elle s’habille donc sexy (pantalon stretch et cuissardes) pour partir au resto rejoindre les 4 autres personnes. Quelques minutes avant le départ je revendique une “avance sur séance”. Négociations. Elle accepte mais demande de pouvoir encore s’asseoir ensuite.
Je lui place le bandeau sur les yeux, lui ajuste les deux bracelets de poignets en cuir aux poignets (j’ai suffisamment de bracelets et je sais comment les serrer vite et bien), l’emmène vers la cage d’escalier, et lui lève les deux bras de part et d’autre d’un barreau. Je clippe deux mousquetons pour réunir les deux poignets au-delà du barreau.
J’avais choisi un barreau suffisamment haut car, il y a quelques années, alors que je lui cravachais les fesses, elle s’était laissée glisser vers le bas, jusqu’à avoir les fesses au sol, interrompant ainsi la séance.
La voilà donc, me tournant le dos, debout, face aux escaliers, les poignets réunis au-delà d’un barreau, me présentant ses jolies fesses et ses belles cuisses.
Comme le rendez-vous avec les deux autres couples était assez proche et que je n’avais pas beaucoup de temps pour la cravacher, je l’ai tout de suite frappé suffisamment pour l’entendre crier et la voir onduler. Dix minutes ont suffit et je l’ai délivrée. C’était fun.
Je lui ai confirmé que ce n’était qu’une avance et que la vraie séance aurait lieu au retour, ce qui ne l’a pas réellement séduite.
La soirée était sympathique et nous n’avons parlé de rien de BDSM avec les deux autres couples (qui ne sont pas connectés BDSM). Curieusement ma compagne prenait tout son temps et ne semblait pas pressée du tout de rentrer. Elle a même revendiqué une petite balade dans le Centre de Bruxelles. Etonnant.
Tout a une fin et moi j’étais impatient de profiter de la dernière partie de mon cadeau.
Nous sommes donc repassé par ma salle SM (bien équipée et insonorisée – si vous voulez la description complète, demandez-la moi : je l’ai aménagée moi-même) située à Bruxelles aussi.
Je lui ai bouclé les bracelets de poignets et de chevilles, attachée au trapèze, l’ai remerciée pour la suite imminente dont j’ai pleinement profité. Comme il était tard, le bâillon m’a rendu service. Ma cravache et moi nous en avons profité.
Quand je l’ai délivrée et qu’elle a repris ses esprits et son souffle, elle m’a dit que j’étais un vrai sadique. C’était un scoop ;-)
Je vous le dis : mon anniversaire devrait être chaque mois.
GC
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Depuis combien de temps l’avait-il mise dans cette position ? Pouvait-elle être plus à sa merci qu’ainsi, attachée, les yeux bandés, nue, écartelée ? Pourquoi ne revenait-il pas ? Et quelle avait été cette allusion à des inconnus qui aimaient se repaître de femmes dépravées ?
Mais quelle était donc cette chaleur qui envahissait son ventre ? Sentait-elle vraiment des gouttes lentement couler le long de ses cuisses ?
Etait-elle vraiment, avec lui, à cause de lui, ou à cause d’elle-même ?, à ce stade de débauche ?
Voulait-elle vraiment que des inconnus, des hommes au sexe dressé, entrent dans cette pièce et la voient ainsi, totalement indécente, à leur merci, mais aussi qu’ils la voient pantelante, le sexe trempé ?
Voulait-elle vraiment que ces images qui tournaient dans sa tête, de plus en plus vite, de plus en plus fort, images brouillonnes de mains sur son corps, de cheveux tirés, de doigts dans sa bouche, de gifles sur son corps, sur son visage, de fouet sur son dos, ses fesses, son ventre, ses seins, de pénétrations multiples, d’orifices investis, de corps secoué par l’assaut de membres turgescents, deviennent réalité ?
- - - - - - - - - - - - -
Et son Maître entra, et il fit entrer des hommes.
Certains semblaient à leur aise et souriaient, d’autres étaient intimidés par la situation.
Le Maître s’approcha de la femme, la saisit par un sein avec une certaine brusquerie, il fit quelques remarques sur son corps, sur certaines parties qu’il aimait particulièrement, sur d’autres qui étaient aptes à donner du plaisir aux hommes.
Tout en parlant, il la tenait toujours par ce sein, un peu comme il l’aurait tenu par une laisse, et il secouait et faisait lentement balancer son corps en un mouvement qui suivait le rythme de sa voix.
Et cela fit sourire certains, et en choqua d’autres, on pouvait le voir à leurs yeux agrandis.
Puis il gifla ce sein. Il la saisit ensuite par les cheveux pour empêcher son corps de tourbillonner pendant qu’il se mettait à gifler ses fesses, puis il lâcha les cheveux pour la laisser tourner d’un côté ou de l’autre au gré de ses claques qui résonnaient dans la salle.
Il demanda alors aux hommes de s’approcher et de profiter de ce corps qu’il leur offrait pour son plaisir à lui, pour le leur, pour celui de la femme aussi, affirmait-il.
Des mains s’emparèrent de son corps, de plus en plus de mains, investissant chaque centimètre carré de peau.
Et l’on pouvait dire que, littéralement, son corps ne lui appartenait plus.
Puis elle fut fouettée, surtout sur le dos et les fesses qui se couvrirent de marques rouges de plus en plus nombreuses, alors qu’elle poussait de délicieux gémissements mêlés d’un soupir, presque à chaque coup. La tête se rejetait alors en arrière pour permettre au corps de se tendre, afin qu’il aide à la diffusion de la douleur.
Cela lui donnait une pose magnifique, absolument émouvante, expression de la détresse d’un corps maltraité, expression aussi d’une sensualité animale à l’état le plus pur.
Et les mains reprirent possession de ce corps maintenant rougi, elles investirent les chairs et s’invitèrent d’elles-mêmes dans les places les plus intimes.
Puis on joua sur les poulies et on descendit un peu le mécanisme afin d’ajuster la position de la femme et les hommes se succédèrent en elle et sur elle, et son corps fut secoué, de coups de butoir, mais aussi de spasmes provenant d’une source encore plus profonde en elle, d’un endroit qu’elle ne connaissait pas jusqu’alors mais qui irradiait de lames indéfinissables, d’ondes de plaisir, puisqu’il fallait bien les appeler comme cela.
A la fin, les hommes se retirèrent un à un, seul le Maître resta avec un ami fidèle qui délia les poignets et les chevilles de la femme alors que son Maître l’avait arrimée à lui en la serrant contre son corps avec fermeté mais aussi avec une infinie tendresse.
Il lui glissait tout doucement des mots et des phrases dans ses oreilles, et il l’arrimait à son cœur aussi fermement qu’il le faisait à son corps.
Et elle se sentit flotter dans l’espace, esprit à peine accroché à son corps rassasié, serpentant comme un dragon merveilleux et translucide dans d’étranges limbes au-delà du réel, au-delà du paradis ou de l’enfer...
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Depuis quelques jours, je sais que je vais livrer Shalimée à Kris.Elle est coquine Shalimée. On se connait juste virtuellement et la complicité arrosée de confiance s’est immédiatement installée entre nous.Elle cherche le frisson dans l’aventure et rapidement je lui suggère « de traverser le Golfe »… Pour moi, cela veut dire rejoindre l’antre très privée du beau Kris.Depuis quelques temps, il dit de moi que je suis sa meilleure attachée commerciale. Le terme « attachée » est, à mon grand regret, encore pourvu d’actualité…Bien que des mois soient passés où j’ai vu mourir notre relation sans rien pouvoir y changer ; alors que j’ai eu droit à la résurrection de frissons intérimaires et tellement mieux installée dans ma belle relation avec Masterlau, je lui garde toujours une certaine dévotion qui m’agace particulièrement.Pour une fois, je vais tenter de déléguer à Shalimée tout le poids de mon âne mort.Je me fais intermédiaire de leur moment intime, confidente des envies de l’un comme des craintes de l’autre. Je jubile de ce rôle d’entremetteuse qui va les réunir le temps d’un instant.Il me plaît qu’une autre sache, pour l’avoir vécu comme moi, ce dont ce beau dominant est capable de procurer comme sensations et à quel point il peut provoquer par la douceur comme la fermeté une foule de plaisirs partagés…J’ai reçu tôt dans la semaine, les désirs de Monsieur. Je les ai consignés précieusement dans ma mémoire et, le temps d’un instant, il me plaît de penser qu’ils me sont destinés.Rapidement, je me prends au jeu de faire troubler les yeux doux de Shalimée. Elle collecte les informations au compte-gouttes et s’en étonne à peine. Elle réfléchit, suppute, subodore, s’interroge…puis elle me pose des questions, doute, flippe…J’en souris d’un air bienveillant, car je sais que ce n’est que du bonheur qui l’attend.Brutalement, le jour J, je lâche l’information : « ce soir, 21h ». L’espace d’un instant, je crois que je lis une panique gourmande dans ses yeux. Elle bondit du lit où elle flemmardait langoureusement comme un diable sorti de sa boîte pour me montrer ce qu’elle pense porter pour l’occasion.« Tu valideras sa tenue, tu connais mes goûts » avais-je reçu comme consignes. Je jette un œil critique à la jolie guêpière que me soumet Shalimée. Je valide, ce sera parfait.Je la trouve particulièrement silencieuse ce jour-là, pensive et interrogative aussi, je crois. Je ne viens pas perturber ce calme trompeur. J’entretiens, au contraire, la part de mystère qui les entoure, tous les deux, de manière virtuelle, encore pour un temps.Elle sera en retard ! Je suis partagée entre le fait de me sentir coupable et celui de la remuer pour honorer celui qui l’attend.Je suis concentrée et tendue par l’acte que je vais commettre durant lequel j’ai reçu en offrande de Shalimée et Kris la confiance qu’ils m’ont, tous deux, accordée. Je sens tout le poids de cet acte, comme une lourde responsabilité. Je me suis portée respectivement garante de l’un auprès de l’autre et vice versa. C’est lourd comme un point de congestion qui m’oppresse et je me mure dans le silence, les dents serrées.Le babillage de Shalimée qui m’amuse et me distrait en d’autres circonstances m’est particulièrement insupportable dans la voiture qui nous mène à son domicile. Je crois que je lui intime l’ordre de se taire brutalement, une fois le barrage du gardien paranoïaque du domaine de Kris passé.Toutes ses instructions pour arriver, sans encombre à son nouvel appartement, font feu pour nous conduire toutes deux à la porte entrouverte de son logement.Je passe la première, je suis accueillie, sans être étonnée, par une lumière tamisée, une douce musique et l’odeur de nos vieux souvenirs. Mon cœur se serre, il bat vite pourtant. Le temps d’un instant, j’ai envie de jeter Shalimée dans l’escalier pour prendre sa place, et de m’attacher là où c’est prévu. Je souris intérieurement de ce macabre mauvais plan et je m’efface volontiers.Mon temps, notre temps, ce temps-là est révolu… Dehors m’attend ma vraie vie, celle qui me fait vibrer à chaque instant en me jetant aux pieds d’un Maître exigeant.Kris a préparé un cintre pour y déposer la robe de Shalimée. Tout est prévu et calculé. Comme toujours. J’aime ces scénarii millimétrés et carrés. Je fais observer à Shalimée tous ces préparatifs dignes d’un psychopathe de l’ordre établi, symboles du goût de sa maîtrise. C’est rassurant, en fait !J’aide Shalimée à ôter sa robe. Je constate à quel point, elle est maladroite, gauche et stressée. Je lui propose de boire, grâce à ce verre d’eau fraîche prévu à son intention.Je la positionne telle que Kris l’attend. Face à la porte du salon, les mains levées, les jambes écartées et je l’attache à la corde qui pend de la barre de traction. Je la rassure en lui garantissant que la porte du bonheur va bientôt s’ouvrir pour elle. Inconsciemment, je vis cet instant par procuration et je ressens son émotion, ce que je nomme « le doux flip », celui qui inquiète mais qui excite.Avant de la laisser, ainsi livrée pour me délivrer, je dépose un furtif baiser chaste sur sa bouche bâillonnée par le bandeau qu’il posera sur ses yeux…Nos regards se parlent… le mien est rassurant…
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Où est tu, toi ma promise ... Toi Ma douce soumise ... Je t’attends depuis si longtemps Que j’ai arrêté de compter les Printemps Il m’arrive de croire que tu n’es que chimère Un magnifique rêve éphémère Je veux croire que tu es là Tout près de moi Prête à te blottir dans mes bras ... Une dévotion réciproque serait la base denotre union Ta totale abnégation serait mon ambition J’apprendrais à connaître ton corps et ton âme Dans le but de faire vibrer ta flamme Trouver le chemin de ton cœur Et devenir ton mentor Mon emprise sur toi serait sans limites Sinon celle de ne jamais te décevoir Pour que ton admiration je puisse recevoir Tel un don entre nous de télépathie J’utiliserais mon empathie Pour anticiper tes envies Et combler en toi les vides inassouvis ... Je ne veux pas annihiler ta personnalité Je te souhaite épanouie à mes côtés Connaître tes passions et me les fairepartager Je veux tout savoir de toi, pour mieux teguider Vers le chemin que tu a choisi, celui det’abandonner ... J’arriverais à t’apprivoiser Te faisant devenir ma chose, ma petite chienne Couchée à mes pieds Je te choierais et te réconforterais A mes pieds, je ne veux voir que ton sourire Ton visage reflétant le bonheur dem’appartenir Que tes larmes ne soient que des larmes dejoie Que tu te sentes heureuse d’être à genoux prèsde moi Tu seras mon trésor le plus précieux Ta soumission me rendra orgueilleux Je ferait ressortir de toi ce qu’il y a deplus gracieux Pour partager avec toi des moments voluptueux De ton être je serais le seul dépositaire Ta soumission sera à mes yeux prioritaire Nos esprits seront complémentaires ... De cette relation complice Je te ferais vivre mille supplices Attachée, nue, offerte à mes fantaisies Je ferais couler la cire de bougie Du creux de tes reins Jusqu’au bout de tes seins Tes yeux masquer d’un bandeau J’utiliserais le fouet sur ton dos Imprimant mon sceau sur ta peau Faisant monter ton plaisir crescendo J’appliquerais l’art du bondage Un savant mélange de ligotages Pour immobiliser ton corps, avec cette art d’un autre âge Et lire l’expression de ton abandon sur tondoux visage Sur mes genoux, tu seras allongée Pour t’administrer de cuisantes fessées Qui seront autant de preuve de mon amour
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Point de vue perso :
Le Maitre n'est-il pas Celui qui, de Ses propres mains ou son de sa voix, sait apaiser, calmer sa soumise ?
Il est celui qui répond aux désirs de sa soumise, quand elle est maso : "fais-moi mal, mais fais-le bien"
N'est-elle pas celle qui a une totale confiance en Lui pour le laisser jouer d'elle, dans un pur moment d'échange ? N'est-elle pas celle qui puise son plaisir dans celui de s'abandonner et de, le temps d'une parenthèse, ne plus vouloir contrôler ?
Elle est celle qui a le pouvoir d'appeler 'Maitre' Celui qui sera digne de recevoir le plus cadeau inestimable qu'un Dominant puisse recevoir : le Corps et l’Âme de sa soumise qui s'offre à Lui (et pas l'inverse).
N'est-il pas celui qui, de sa liberté de mouvement, a le pouvoir de faire voyager dans le plus beau des mondes sa soumise ? Mais qui peut également faire l'inverse?
Il est celui qui détient la plus grosse responsabilité dans le couple.
Ne sont-ils pas ceux qui, à chaque fois, vivent un moment émotionnellement intense de complicité, d'intimité, de sensations, révélant constamment leur personnalité sans les obstacles du tabou ou de la honte ?
Ils sont l'un qui attache, fouette, prend l'affaire en main, et l'autre qui se laisse faire. Ils jouent tous les 2 leur rôle à fond de leurs envies, partageant le plaisir pour l'autre autant qu'ils reçoivent pour eux-mêmes.
Ils ont créé leur univers bâti sur 3 règles fondamentales : la Sécurité, le Sain d'esprit et la Consensualité. A partir de là, tout leur est permis : de la pratique la plus simple non-prise-de-tête jusqu'au scénario le plus tordu / trash / lourdement ritualisé.
Qu'importe, aucune règle n'impose quoi que ce soit (sauf la SSC)....
Dans une vision à peu prés poétique mais qui peut tout à faire être réel, un bon Maitre - et une bonne soumise, le couple étant fondamental - est celui qui, du toucher de ses mains, peut faire endormir sa soumise dans ses bras .... Le reste est accessoire.
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Petit texte de passage qui fait suite à une réflexion en cours suite à plusieurs échange vus sur le site.
Personnellement, la soumise n'est pas la boniche et n'est pas non plus l'ombre immatérielle et docile de son Maitre.
Elle peut l'être lors de scénarios, ou de mise en scène. Mais ce n'est pas pour moi l'esprit du BDSM.
De même, s'imaginer qu'un Maitre est forcément celui qui maitrise les noeuds de shibari ou qui connait mieux les subtilités du BDSM ou de la technique du fouettage que sa soumise est une aberration.
Nous avons tous appris à lire un jour; il en est de même dans ce milieu.
La soumise se laisse faire, guider, voyager par son Maitre. Mais, elle est AUSSI une personne qui connait, qui a du savoir à transmettre, qui a ses envies et qui doit - c'est humainement normal- être mise en confiance sincère.
De mon point de vue, il est une erreur de considérer le Maitre le seul et unique Maitre du jeu au sens large.
Il y a tout un travail de confiance, dialogue (sans tabou) entre les 2 partenaires à faire en ayant bien la tête sur les épaules.
Une fois cela fait, que chacun connait l'autre sur le bout des doigts (le "contrat de soumission" en devient pratiquement inutile) et que les 3 règles de sécurité fondamentales sont scrupuleusement respectées par les 2 partenaires, alors tous les scénarios sont possibles.... Et le Maitre peut alors être le "seul et unique Maitre du jeu"...
Je parle de Maitre et soumise, mais le texte est aussi valable pour les Dominas et soumis et toutes les autres combinaisons.
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Il est 3 heures du matin, nous sommes en vacances chez mes parent, nous rentrons à la maison familiale après avoir fait la fête.Ma compagne et soumise, un peu déçu de ne pas avoir pu danser jusqu’au bout de la nuit.Je gare la voiture, elle descend.Je sors et là un instant de flottement, d’éternité, elle est si belle, avec sa tenue sexy, une robe noire, collé au Corp.La pleine lune lance des rayons bleuté qui souligne les courbes de son corps et contraste avec l’éclairage blafard des lampadaires de la rue. Lui donnant un petit côté sombre et ténébreux. Elle me dit que je lui plais…je m’approche et l’embrasse.Elle est languissante, j’aime ça.Je commence à la caresser partout, je lui touche les fesses et fait remonter sa robe sur ce dernier afin de pouvoir admirer son formidable cul. Elle s’offusque faussement, sachant qu’elle n’as pas de culotte et me dit un non amuser en souriant qui (et seulement parce que je la connais par cœur et que je reconnais son non d’amusement et son non définitif, sinon je n’aurais pas poussé plus loin) veut dire oui continue mais ce n’est pas «bien»…Je commence à lui mettre les seins a nue elle rigole et m’embrasse.Mais une main dans son entrejambe qui se révèle tremper.Je lui demande ce qu’elle veut et qui est-elle?Elle me répond«Je suis à vous maitre, je veux ce que vous voulez».Très bien!Je la déshabille entièrement d’un seul coup, lui enlevant sa robe.Elle est là, nue en pleine rue, devant la maison de mes parents ou nous sommes sensé dormir. La rue est déserte, mais l’excitation est là.Elle ne peut se cacher, si une voiture ou des gens arrivent elle ne pourra se rhabiller rapidement car c’est moi qui es sa robe ne main.Je lui tire les cheveux en arrière et l’embrasse. Puis met ma main sur sa tête et la force gentiment à se mettre à genoux.Elle ne lutte pas et sort aussitôt mon sexe pour le mettre dans sa bouche.Elle me suce goulument, mais je voie bien qu’elle veut que je sois pervers, vicieux et violent. J’empoigne alors sa tête a deux mains et enfonce mon sexe dans sa bouche jusqu’à ce qu’elle s’étouffe, puis je continue mes vas et viens.Son rimmel coule due aux larmes qu’y perle de ses yeux à chaque fois qu’elle s’étouffe avec mon sexe.Elle est là, en pleine rue, nue éclairée par les rayons de la lune et ceux blafard des lampadaires, à quatre pattes, le cul tendu en mon hommage, dans cette position je sais qu’elle m’indique qu’elle est ma chienne, bien cambré, afin que je puisse accéder à son entrejambe facilement.Ce que je fais tout en lui donnant de petites gifles sur le visage, elle mouille abondamment, cela dégouline le long de ses cuisses.Une voiture passe mais ne peut nous voir de là où elle vient et à la vitesse à laquelle elle arrive.Elle se fige en voyant les phares, je lui ordonne de continuer ce qu’elle fait. Une fois l’ordre donné elle s’exécute sans hésitation.La voiture passe et elle mouille encore plus.Je lui dis de se lever puis vais m’assoir sur un banc proche, le sexe a l’air.Elle est debout nue, à attendre mes ordres.Je lui ordonne de danser pour moi.Elle est étonné car je ne lui ai jamais demandé cela avant, mais ce soir j’ai envie de la voir danser nue sous la lune. De l’exhiber sous le ciel étoilé, à la vue de tous.Elle danse donc, elle est sexy, son regard se fait coquin, félin.Je lui ordonne de se mettre à 4 pattes et de venir à moi. Elle s’exécute, je prends ses cheveux et lui met mon sexe dans la bouche, elle me suce, je la force, elle s’étouffe. Je lui lâche donc les cheveux pour caresser son dos tatouer, ses fesses magnifiques, et la doigter. Elle aime ça. Accélère d’elle-même le mouvement sur mon sexe. Puis me branle pendant qu’elle me lèche les couilles. Pendant que je la caresse je lui dis des mots durs, des mots crus, des insultes et des mots d’amour, puis je lui gifle les seins, les fesses, griffe son dos. Alternant la douleur, le plaisir, la dureté et la douceur.je lui dit d’y aller plus doucement car je vais jouir.Elle continue plus vite, elle va me faire jouir dans sa bouche.Je l’arrête en tirant doucement mais fermement ses cheveux et lui rappelle qui est le maitre. Elle s’excuse.Mais je dois la punir.Apres quelque gifles, je lui ordonne de recommencer à me sucer.Le plaisir remonte en flèche, avant de jouir, je lui ordonne de se mettre en position d’attente, à genoux et je finis en jouissant sur elle.Mon sperme, se repend sur ses seins, sur son visage, dans sa bouche ouverte et sur sa langue tiré afin de tout recevoir.Elle avale goulument et je mate ma semence qui dégouline le long de la courbe de ses seins.Elle me remercie un sourire sur le visage et entreprend de me nettoyer le sexe avec sa bouche.Une fois que j’estime que le travail est bien fait je la prends par ses cheveux et la soulève doucement jusqu’à ce qu’elle soit debout.Puis l’embrasse.Maintenant qu’on a pris notre pied, il faut rentrer sans faire de bruit car tout le monde dort et elle est nue couverte de sperme…Mission difficile mais ca c'est une autre histoire...
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Avant toute chose, il est clair que mes écrits n'engagent que moi... il est tout aussi clair que je n'ai pas la science infuse... et il est clair que je ne fais qu'exposer certains faits avec comme base ma vision des choses et mon ressenti...
PUNITION-PLAISIR
Heu ????
Kesako ?
Une punition ou un plaisir ?
Faudrait savoir... parce que selon moi, un plaisir doit être et rester un plaisir et une punition doit être "punitive"... alors oui je conçois que (par exple) des coups de cravache puissent être un vecteur de plaisir... mais alors dans ce cas, ce n'est plus une punition mais un "jeu" SM.
Revenons à la Punition...
"punition" substantif féminin
A- Action de punir, d'infliger une privation, de faire subir une peine pour une faute commise; acte par lequel on punit.
B- Peine infligée à quelqu'un pour une faute dont il est jugé responsable, dans le but de l'aider à s'amender et à améliorer sa conduite à venir.
Partant de là, il devient claire qu'une punition doit être "punitive", du coup on est d'accord que cette dernière a pour but de "recadrer" le fauteur (♂♀) afin qu'il ne réitère pas son "erreur" (ou faute... ou manquement... ) et donc il me paraît clair que pour que ce but soit atteint, afin que la punition porte ses fruits... il est, dès lors, inconcevable que la punition soit aussi (et en même temps) un vecteur de plaisir... car, dans ce cas, cela serait contre-productif.
Une punition peut être aussi bien physique que morale ( la punition morale étant recommandée dans une relation D/s-SM).
Je suis sidérée... quand je lis ce genre de commentaire (et/ou post) :"Mon Dom ♂♀ m'a demandé de choisir ma punition."
... et là 3 cas de figures possible...
1- soit le "fauteur♂♀" se choisit une punition disproportionnée à la faute dans le but, souvent inconscient, de "plaire" encore plus à son Dom♂♀...
2- soit le "fauteur♂♀" se choisit une punition moindre...
et
3- (et là ce serait plus mon style ) le "fauteur♂♀" se choisit une punition qui sanctionnera aussi, et en même temps, son Dom♂♀.
Bref, demander au "fauteur♂♀" de choisir lui-même sa punition, c'est comme si un parent♂♀ (toutes proportions gardées) donnait la possibilité à leurs propres enfants de choisir la punition qui leur sera infligée... sérieux, ce faisant, je douterais de la finalité de la punition.
Pour ma part, une punition doit être choisie et administrée par le Dom♂♀... et ce faisant le Dom♂♀, en aval, se doit d'en expliquer le *pourquoi-comment* à son soum♂♀.
Il doit aussi s'assurer que la punition est comprise par le soum♂♀, car comprendre le *pourquoi-comment* aura comme effet; sur et pour le soum♂♀; la pleine acceptation de sa punition... et dans le cas contraire, et ce tant que le *pourquoi-comment* n'est pas totalement expliqué et compris... ben il ne sert à rien de punir.
De plus, c'est à ce moment... au moment même de l'explication du *pourquoi-comment*... que le soum♂♀ doit pouvoir exprimer son ressenti... surtout si il pense et trouve que la punition est soit injuste soit trop sévère... et quand c'est le cas, quand le soum♂♀ ressent une sorte d'injustice, il doit avoir la possibilité de plaider sa cause.
Cependant, la décision finale (=> le quand et le comment de la punition) revient de droit au Dom♂♀.
Sara Kajira Rebelle (SKR)
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Quand j'entends certains Maîtres ♂ dirent que les soumis ♂ ne sont pas de VRAIS HOMMES... je ne sais pas si je dois rire (jaune) ou pleurer devant autant d'inepties !!!!
Bon... et si on commençait par définir ce qu'est un VRAI HOMME ?
NON !!! Non... la longueur et la grosseur du "phallus" n'ont rien à voir avec le fait d'être ou de ne pas être un VRAI HOMME (d'ailleurs à ce sujet, beaucoup de femmes préféreront une petite qui frétille à une grosse qui roupille )
Pour moi, un VRAI HOMME est celui qui n'a pas honte de sortir en public (et devant ses copains) avec sa compagne... c'est celui qui n'a pas honte de lui tenir la main... et c'est celui qui n'a pas honte de lui crier : "Je t'aime"...
Un VRAI HOMME est celui qui sait voir au-delà de la plastique d'un corps...
Un VRAI HOMME est celui qui aura plaisir à aider sa compagne dans les tâches ménagères, c'est celui qui (de lui-même) descendra la poubelle simplement parce que cette dernière est pleine à craquer, c'est celui qui (de lui-même) portera les sacs des courses...
Un VRAI HOMME est celui qui saura être à l'écoute de sa compagne, qui saura la soutenir, qui saura la faire rire...
Un VRAI HOMME est celui qui prendra sa compagne dans ses bras, qui la laissera pleurer et qui ne lui demandera pas le pourquoi des ses larmes... le VRAI HOMME saura attendre le bon moment pour poser des questions...
Un VRAI HOMME est celui qui n'aura pas honte de pleurer, pas honte de dire qu'il a mal et pas honte de dire qu'il est fatigué...
Un VRAI HOMME est celui qui sait qu'il a un cerveau (je parle de celui qui est dans la boîte) et qui sait l'utiliser... (les clichés ont la vie dure )
Bref, un VRAI HOMME est celui qui sait ce qu'il est et qui sait ce qu'il veut.
Euh je vais m'arrêter là... bien que je saches que tout cela n'est qu'une petite partie de ce qu'est un VRAI HOMME... tout en tenant compte que nous avons toutes notre propre vision de la chose
Maintenant passons à la soumission masculine... ben sachez que pour ma part j'admire beaucoup les soumis... je vais même jusqu'à dire que leur soumission est plus vraie que celle des soumises... OUI !! je sais !!! Vous, les soumises, vous allez grimper aux rideaux en lisant cela... mais permettez que je m'explique...
Un homme, de part sa nature d'homme, est (sauf exception) physiquement plus fort que la femme... donc quand un homme décide de se soumettre à une femme, il doit combattre cette supériorité physique... il doit la mettre de côté... et en faire fi. Cela lui demande un surcroit d'effort et un cheminement mental plus ardu.
Puis il y a la société... oui ok la société a évolué et Dieu merci qu'elle a évolué... mais... mais... le fait est qu'encore aujourd'hui, pour beaucoup (et là le beaucoup sous-entend hommes et femmes confondus) les soumis sont "apparentés" et "stigmatisés" en "lopettes"... en "couards".. en "mecs-qui-portent-pas-leurs-couilles"... et j'en passe !!!
Donc un soumis mène un double combat... celui contre sa propre nature d'homme et l'autre contre la société.
Voilà pourquoi je pense que la soumission masculine est plus vraie que la soumission féminine... mais bon pour ne froisser personne je vais dire que ces deux soumissions, soit ♂-♀, sont différentes... cela dit toutes les soumissions sont différentes vu que l'on est tous différents
Donc, en conclusion, en ce qui me concerne, je dirais que seuls les VRAIS HOMMES peuvent se soumettre... parce que pour ce faire... ben ils leur faut une sacrée paire de couilles !!!
Sara Kajira Rebelle
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Le bondage en pratique
Bras, jambes, seins... On s'encorde chaque partie du corps de manière à accroître le désir et exacerber le plaisir.
Les experts du genre vont jusqu'à rendre la chose esthétique en se ligotant minutieusement, avec soin et selon une technique particulière. La manière de nouer est réfléchie et s'inspire des noeuds marins. Pas de saucissonnage, donc. Le but ? Sublimer le corps. On se noue sensuellement.
À savoir : les liens maintiennent simplement le corps dans la position voulue. Pas question d'avoir mal. J'utilise quoi? Corde traditionnelle, lanières de cuir, menottes, ruban adhésif... ou pourquoi pas, recycler la corde à linge.
Attention tout de même à ne pas se retrouver dans les pages "faits divers" !
Les novices, on se calme ! Avant de courir s'inscrire à la BDSM (association "Bondage Discipline Soumission Masochisme"), il est important de prendre conscience des dangers que peut comporter ce jeu sexuel.
Sous certaines formes, le bondage présente un vrai danger pour qui le pratique n'importe comment. Ainsi, ne vous adonnez pas au "Breath play" (on s'étrangle avec une corde pour suspendre la respiration et décupler ainsi le plaisir), sans maîtriser parfaitement. Car le bondage a déjà fait des victimes.
Même si cette pratique nécessite avant tout d'avoir une confiance totale en son partenaire, on y va doucement et on prend soin d'instaurer un code, un mot, qui commandera l'arrêt immédiat de l'acte.
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Tu es là nue allongée sur la petite table du salon , les bras en croix et les jambes bien écartées avec tes pieds reposant sur le sol , naturellement je t ai attaché les jambes aux pieds de la table et j ai fait de même avec tes bras ... pas trop serré non , pas trop tendu non plus , il faut que malgré la position cela reste confortable pour toi .
Je t ai également bandé les yeux et bouché les oreilles car je tiens a ce que tu mettes certains sens en éveil afin de mieux ressentir tes émotions et te concentrer uniquement sur ton plaisir ... rien d autre.
Je me tiens debout juste à coté de toi et je t observe , je sais combien tu déteste par dessus tout ces moments d attente et je m imagine parfaitement comment en plus tu dois me hair de t avoir privé de certains de tes sens , je le vois , je le ressens .
Je souris et sors d un tiroir un martinet que tu ne connais pas encore car je l ai acheté hier en douce exprès pour ce moment charnel entre nous.
Le manche est est court en bois vernis et il est composé de longues et fines lanière de cuir.
Je m approche de toi et fait glisser les lanières le long de ton corps te le caressant subtilement des pieds jusqu à la tête , et redescend lentement tout en dessinant les contours de ton corps et épousant bien certaines courbes ... je te sais surprise et plus encore car la sensation que cela t apporte tu ne la connait pas , tu frissonnes je le vois , je continue ainsi plusieurs minute mais en prenant bien garde de ne pas toucher ton sexe ...juste parfois de l effleurer légèrement...
Puis sans prévenir je t inflige un coup ...enfin quand je dis un coup j exagère tant je me suis retenu , mon but n est pas de te faire mal , loin de là , juste de commencer à réveiller tes sens ... j enchaine d un deuxième et ainsi de suite en augmentant progressivement la pression que j exerce mais toujours sans y mettre de réelle force ... pas le but aujourd hui ... puis je stoppe et pose le martinet sur ton ventre .... je te sens et t imagine déjà quelque peu stressée , ta respiration en témoigne ,les mouvements de tes seins suivent et marquent ta respiration...
Je m agenouille , puis m approche jusqu à presque toucher ton intimité que j effleure du bout de ma langue .. je suis les contour de ton sexe ... je descend d un coté puis remonte de l autre ... et je recommence mais non plus en l effleurant plutôt le caressant toujours avec ma langue , j aspire légèrement au passage tes grandes lèves doucement ...puis tes petites lèvres .. .tu ne peux retenir un long soupir de plaisir , je sais comme tu apprécie cela ... je continue te léchant ton intimité de plus en plus humide mais toujours en évitant ton petit bouton , tu dois me détester car tes mouvement de bassin devraient pourtant selon toi m inciter à venir le prendre en bouche ... mais non je continue à te faire patienter , je prend un malin plaisir à venir jusqu à presque le toucher du bout de ma langue ... juste presque et je redescend ... je te lèche maintenant de façon plus prononcée ...plus appuyée aussi ... tantôt sur les contours , tantôt oui jusqu à te fouiller avec ma langue ...profondément ....le plus loin que je puisse ... tes soupirs sont de plus en plus marqués ... tu vas même jusqu à m encourager avec des “ ouiii vas y là ... ouii c est bon ... ou ouiii comme ça j aime ou ouii tu fais ça si bien ...ne t arrête pas surtout “ cela me fait toujours autant sourire et me procure une excitation supplémentaire ..même si je n en avais pas vraiment besoin tant j aime à te prodiguer ces caresses ....humm.
Enfin je remonte pour prendre ton petit bouton en bouche et lorsque je l aspire doucement tu ne peux retenir un petit cri d encouragement ...il n en fallait pas plus .. le le lèche tout en douceur ...il ne met pas longtemps a se durcir et a se montrer vraiment , j alterne les mouvement de ma langues et mes aspirations sans oublier de redescendre de temps autre lécher de nouveau ton sexe , tes lèvres ....je fais durer ... durer plus que nécessaire retardant de faite la montée trop brutale de ton plaisir ... je n aime pas te voir “partir” trop vite cela gâche mon plaisir ....je continue ce petit ballet mais y ajoute deux doigts ... mon index et mon majeur qui pendant que je m affaire sur ton petit bouton s occupent de caresser ton sexe ... s y introduisant parfois .... toujours lentement ... et jusqu à la garde ...puis chemin inverse jusqu à ressortir complètement pour de nouveau y revenir en y mettant à chaque fois un petit peu plus d énergie mais toujours en douceur .... tes encouragements sont de plus en plus forts ...de plus en plus bruyants ... tes mouvements de bassin de plus en plus marqués ...je sais que tu apprécies et que tu voudrais déjà que j augmente l intensité car ton plaisir commence à monter ... ,mais non contre toute attente de ta part et malgré tes signes d encouragement non je redescend en appuyant bien ma caresse avec ma langue jusqu à ta petite rosette que j effleure tout d abord du bout de ma langue ...puis la lèche doucement mais sans retenue ... au bout de quelques instants je tente une intrusion ...le bout de ma langue s y introduit sans aucune difficulté et bien aucontraire tu m incite d un petit cri a y aller franco ce que je ne tarde pas à faire .... je retire mon index de ton sexe et le plonge direct au plus profond de toi .... tes oui.. oui ..oui me signifie que je suis sur la bonne voie j en souris ... comme si je l ignorai ... mon majeur vient l épauler et s amuse dejà à vouloir t arracher autant de petits cris de plaisir que tu pourras leur en donner .... ton amour de la sodomie et l’ extrême sensibilité de cette partie de ton anatomie n y sont pas étrangers ...
Laissant mes doigts te transporter déjà presque dans l au delà je remonte en appuyant bien langue ... que tu le ressente que oui ... oui je vais m en occuper de ton petit bouton .... et lorsque que je le prend de nouveau en bouche le faisant rouler sous ma langue tu redouble d encouragements , de soupirs ..... de petits cris de plaisir comme pour m implorer d allez jusqu ou bout cette fois ci et de ne plus “ jouer “ avec toi .... j accélère les mouvements de ma langue ... “ stp t arrête pas “ me confirme que je pensais juste .... je continue mais ralentis de nouveau ... ton” noooon pas ça “ m indique bien que tu n étais pas loin de jouir ... oui mais voilà moi je te veux suppliante donc j alterne mouvements rapide et mouvements lents , tu me cries dessus que je suis un salaud ... que je n ai pas le droit de m arrêter et j en passe .... rien ne me perturbe ... pas pour rien que je t ai attachée ...je me contente de te laisser approcher tout près de ton orgasme puis je ralentis... cela a le don de te rendre folle ... tu te débat j ai peur que tes liens finissent soit par céder ...et là pauvre de moi ... rire , soit par te blesser tant tes mouvements de bassin se manifestent , tu essayes tant bien mal de le pousser le plus en avant possible pour esperer ressentir encore davantage .....
Cette fois-ci oui je suis décidé à t emmener jusqu au bout sans m arrêter mais progressivement car oui tes suppliques je les veux ... je les attends .... je les espère
Je reprends tout presque depuis le début mais en m occupant plus de ton petit bouton , mes caresses tantôt rapides , tantôt lentes ou le faisant rouler sous ma langue t arrache oui bien des cris de plaisirs et ce n est que lorsqu enfin tu m annonce que ton plaisir monte .... monte ..... plus haut ... plus fort ....que oui là...!! tu me supplies carrément ... tu m implore allant me promettre des tas de choses mais que par pitié que j aille jusqu au bout .... il t as fallu peu de temps pour que tu me cries que tu allais jouir ... tes seins ballotant ... presque dansant au rythme endiablé de ta respiration de plus en plus saccadée m indique que oui ....oui là tu vas exploser ..!!
OUIIIIIIIIIIIIIIII ...JE JOUIIIIIS sorti telle une balle du canon de fusil voir même du fut d un canon tant ton cri fût puissant ... violent ....long ....!!
Ton corps semble soudain pris de spasme incontrôlables .... un long râle s échappe de ta bouche .... mais loin d attendre que tu redescendes vers moi j enchaines de suite et accélère mêmes mes caresses ... et il ne t as pas fallu bien longtemps pour qu un deuxième cri s échappe de ta bouche ... suivi d un troisième parce que parti comme je l était et déjà comme drogué par tes cris de jouissance je ne comptais pas m arrêter avant que tu ne rende l âme complètement ... et ce n est qu après ton cinquième cri que tu m as supplié d arrêter ... que tu n en pouvais plus , j ai donc très très fortement diminué les caresses de ma langue me contentant juste de quelques léchouilles apaisantes jusqu à ton retour avec moi ....... tu étais trempée de sueur et moi le visage de ta mouille si abondante .... épuisée tu l étais mais je ne valais guère mieux , tant bien que mal je me suis relevé et suis allé te détacher et t enlever bandeau et boules quies , tu ne pouvais bouger tant ta fatigue était manifeste mais ton regard plus expressif que jamais me fixait... un grand sourire éclairait ton joli visage ...nul besoin de mots pour savoir et comprendre à quel point tu avais appréciée ce moment , je t ai aidé délicatement à te relever puis t ai amener jusqu au canapé , nous nous sommes assis et tu es venue de lover tout contre moi telle une enfant , nous bouches impatientes se sont rencontrées ... un long très long baiser nous avons échangé puis tu es venue poser ta tête sur ma poitrine et alors que je te parlais il y a bien longtemps que tu t étais endormis , je ne m en suis rendu compte qu après..............
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Contrat de soumis.Le soumis ……………………………………………….…… (Nom – prénom) domicilié…………………………………………………………………………..(ville/code postale) âgé de …….. Ans né le …………………………… (Date) à…………………. (ville) donne de son plein gré, son corps entier et son âme et tout pouvoir sexuel à mon MAÎTRE et décide maintenant, qu'il sera à la disposition de son MAÎTRE n'importe quand Ce contrat est valable pour une période déterminée par le MAÎTRE seul.Quand l'esclave signe ci-dessous, il signe en toute connaissance de cause et déclare avoir parfaitement compris son contenu et décide librement de se soumettre à son MAÎTRE qui règne sur lui maintenant et dans l'avenir.La satisfaction de Ses besoins, désirs et caprices sont compatiblesavec mon désir en tant que soumis de Lui être agréable. À cette fin, je Lui offrel’usage de mon temps, de mes talents et capacités. De plus, je demande avec unehumilité sincère que .IL accepte la garde de mon corps pour l’accomplissement et l’embellissement de nos besoins sexuel, spirituels, émotionnels et intellectuels. Pour y parvenir, il Lui est donné toute latitude pour l’utilisation de mon corps quel que soit le moment et le lieu, en présence de quiconque, pour Son usage personnel ou pour en faire don, comme bon Lui semblera.Me considérant comme l’esclave à plein temps de mon MAÎTRE je me consacrerai entièrement et totalement à satisfaire Son plaisir et Ses désirs sanshésitation ni considération pour moi-même ou pour d’autres.Je demande qu’IL me guide dans tout comportement sexuel. Je demande à mon MAÎTRE en tant que soumis, qu’IL utilise le pouvoir dont il est investie par Son rôle pour me modeler et me façonner ; pour m’assister à accroître ma force, mon caractère, ma confiance et tout mon être, et qu’IL continue à m’aider à développer mes compétences artistiques et intellectuelles. En retour j’accepte : 1- D’obéir à Ses ordres au mieux de mes possibilités.2-De m’efforcer à surmonter mes sentiments de culpabilité oude honte ainsi que toutes mes inhibitions qui interfèrent avec mes capacités àLa servir et qui limitent mon épanouissement en tant que Son soumis.3-D’entretenir une communication honnête et ouverte.4- De lui vouer une totale fidélité tant morale que physique et surtout sexuelle.5-De révéler mes pensées, mes sentiments et désirs sans hésitation et sans gêne.6- De L’informer de mes souhaits et de mes besoins perceptibles, reconnaissant qu’il est seul juge pour déterminer si et commentils seront satisfaits.7-De m’efforcer à entretenir une image de moi-même positiveet à atteindre des objectifs et espérances réalistes. 8-De travailler avec lui pour devenir une personne heureuseet accomplie.9-De combattre les aspects négatifs de mon ego ainsi que mesinquiétudes qui pourraient nuire à la réalisation de ces objectifs.Règles générales.L’esclave accepte d’obéir à son MAÎTRE à tous égards.Son esprit, son corps, son cœur et son temps Lui appartiennent. L’esclaveaccepte la responsabilité d’utiliser son mot de code si nécessaire, et se fieimplicitement à son MAÎTRE pour qu’il en respecte l’emploi. Si unesituation se présente dans laquelle l’esclave doit utiliser son mot de code ouun geste convenu, sa Maîtresse évaluera la situation et déterminera la conduiteappropriée.L’esclave maintiendra son corps disponible pour son MAÎTRE à tout moment. L’esclave manifestera son acceptation de sa disponibilité à servir en tout temps a son MAÎTRE. L’esclave reconnaît que son MAÎTRE peut utiliser son corps ou son esprit de quelque manière que ce soit .IL peut le punir sans raison si ce n’est Son propre plaisir. L’esclave jouit du droit de pleurer, de hurler, de supplier mais accepte le fait que ces manifestations sincères n’affecteront pas son traitement.L’esclave répondra honnêtement et directement à toutequestion qui lui sera posée et informera spontanément de son MAÎTRE de touteémotion ou sentiment qu’IL est en droit de connaître. Quoique son MAITREattende de Son esclave qu’il Lui communique honnêtement et sincèrement tout ce qui peut le préoccuper.L’esclave parlera toujours de son MAÎTRE avec amour et respect. Il s’adressera à LUI en tout temps en disant «MAITRE» ou « MONSIEUR » Le MAÎTRE a le loisir d’offrir à Son esclave despériodes de liberté pendant lesquelles il peut s’exprimer en Sa présenceouvertement et librement. Ces périodes de liberté, ne seront sanctionnéesd’aucune punition. Il est cependant convenu que l’esclave continuera à s’adresser à son MAÎTRE avec amour et respect en tout temps et que tout manquement à cette règle sera puni ultérieurement.L’esclave accepte qu’une sévère punition soit fixée pour toute infraction à l’esprit ou à la lettre de ce contrat et il supportera la correction avec reconnaissance. L’esclave doit pouvoir accepter tous les achats que son MAÎTRE lui demande (gode-fouet-menotte-corde- plug et encore pleins d’autres)L’esclave doit aussi accepter toutes les demandes de son MAÎTRE comme lors des plans qu’il organise avec d’autres personnes afin de lui faire plaisir La forme et la durée de la punition seront fixées selon le bon plaisir de son MAÎTRE et Celui-ci informera clairement Son esclave quand il subit une punition. Tous droits et privilèges appartiennent à son MAÎTRE et IL peut les exercer comme bon Lui semble.Cet accord servira de base pour une extension de notre relation, dédiée, sur l’esprit d’une domination et soumission consensuelle avec l’intention de poursuive notre prise de conscience et notre exploration, à promouvoir la santé, le bonheur et l’amélioration dans nos vies.L’esclave portera un signe distinctif désigné par son MAÎTRE et par là son statutACCEPTATIONSPar ma signature :Ci-dessous, je m’oblige à accepter et à obéir à toutes les règles édictéesci-dessus ainsi qu’à toutes autres que mon MAÎTRE choisira d’ajouter à unedate ultérieure. Je confie mon corps et mon âme, avec reconnaissance, à mon MAITRE, pour Son plaisir et Son usage.J’offre mon consentement à ma soumission à mon MAÎTRE sous les termes décrits ci-dessus en ce …………………………….. (Date) fait à………………………..Signature du soumis :Mention lu et approuvé !
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Tu m'as fait part de ton désir d'être comblée,
Au sens premier du terme, au sens propre, au sens sale.
Par lequel des tes trois orifices vais-je commencer ?
Par lequel vais je t’étrenner ?
L'un des deux pourvus de lèvres ?
Celui le plus sombre, le plus étroit ?
Par lequel vais je te prendre, te surprendre ?
Lequel envahir le premier ?
Dans lequel prendre mon plaisir ?
Peut-être te faire jouir ?
A ton avis lequel ? ...
Finalement ton avis m'importe peu !
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Ma peau frémit sous sa main, mon corps palpite et vibre. Le buste posé sur ce socle pierreux frais et humide, qui sent le silex et l’humus, je m’abandonne à ses caresses qui se font plus précises et insistantes. Ses doigts se referment sur mon intimité, pinçant et agaçant le clitoris, un pouce pénètre mon sexe, à peine, juste en surface, glisse contre la paroi pour rejoindre l’anus, qu’il pénètre également doucement, entamant un jeu exacerbant mes nerfs. Je me crispe sous ce pouce indiscret qui veut voir plus loin, forçant un peu les chairs qui s’entrouvrent en corolle humide et rose, comme une fleur aux rayon du soleil. J’entends son souffle trouble, sa respiration plus saccadée, un son rauque étouffé, je sens son désir m’envahir, j’aspire son odeur animale. Son autre main écarte le passage, agrippant la chair, la malaxant. Ma bouche laisse échapper des glapissements que je ne parvins plus à réprimer ;mon ventre se tord, mes jambes tremblent. Je gigote imperceptiblement tendant mes fesses, me cambrant, allant à la rencontre de ce pouce qui me nargue, qui fait semblant d’hésiter, qui sait trop bien mon envie. Puis il cède la place à d’autres doigts plus impérieux, un puis deux qui entament une ronde dans mon cul, une sarabande qui se déchaîne tandis que je manifeste plus bruyamment l’intense plaisir de les goûter ainsi en moi. Tournant, virant, m’élargissant, un troisième doigt se joignant aux deux premiers.
Retrait d’un coup me laissant pantelante et toute à ma frustration ! Mais aussitôt, je me sens pénétrée plus largement, pleinement, durement, lentement par ce qui ne me semble pas être un sexe. Il manque la douceur, l’élasticité, la chaleur. Je reste interdite car je sens bien des coups de rein. Me goderait-il avec un gode ceinture?! Mon esprit pollue mon plaisir d’interrogations auxquelles cette position ne me permet guère de répondre, alors je lâche prise, je m’abandonne à cet assaut qui pour autant n’a rien de factice, mais plein d’une volonté lubrique de me faire abdiquer.
Deux mains ont saisi mes hanches afin de pénétrer plus loin, et je sens d’autres doigts sur mon clitoris. Ce qui répond partiellement à mes questions mais je n’en ai cure, la lame de fond qui monte envahit mon cerveau et ne laisse plus de place à autre chose.
Quand l’orgasme me terrasse, j’entends une voix féminine susurrer et invectiver en langue slave !
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Après une très petite matinée de boulot, me voilà m'en retournant dans ma prison. Mais l'envie n'est pas de rentrer tout de suite...
Je quitte ce charmant lieu qui m'accueil pour quelques jours, et je prends le métro Porte d'Auteil.
En attendant le métro, je regarde sans regarder les quelques personnes mirant la venue de la rame.
Une demoiselle me sourit, je lui retour un sourire et subitement j'ai l'envie de parcourir un lieu haut en couleur de par sa renommée et pleins d'émotions et de souvenirs d'il y a quelques temps.
Me voilà arrivé sur les Champs, je remonte lentement cette longue avenue, et les souvenirs m'inondent de fort bons moments...Mais le Cœur à ses raisons et blessé par une absence de plus en plus réel sur bien des points je préfère vite m'en détourner.
Je marche lentement, écoutant la musique, je croise de charmantes personnes aux sourires angéliques. Et je me sens plus léger malgré les maux qui m'obsèdent.
Rapidement j'arrive, près de Saint Lazare, mais j'hésite de passer par ce chemin, me rappelant tant de belles choses et d'enivrants moments....
Il est presque l'heure de midi et la foule commence à se faire plus présente dans les rues parisiennes.
Je m'assois un instant dans un petit parc près de l'Opéra. Et je rêve assis à l'ombre des arbres de moments à deux, chaleureux et parfois fougueux...de cette fougue ravageuse des sens qui m'habite et m'obsède...mais j'ai ce mal au ventre, cette petite boulle qui me rappel la réalité de ma situation et qu'il faut vite effacer.
Aujourd'hui et depuis près de dix ans, je subis les envies au lieu de vivre pleinement mes envies...Mon avenir très proche et qui se rapproche, me permettra enfin de vivre cela et non plus subir.
Aujourd'hui encore je subis et cela me coût tant de bonheur auxquels j'aspire que cela ne fait que renforcer une fois encore que ma décision est bien la bonne.
Après un repas rapide près de Drouot, je me faufile dans les petits passages très typiques parisiens des années folles, ou l'on peut encore croiser des boutiques aux improbables clients venant acheter des cannes faites mains ou encore de belles broderies d'autres fois sous des verrières éclairant les passages.
Puis je remonte une petite Rue piétonne, dont les magasins s'étendent sur les pavés de la rue.
Presque à la hauteur d'un marchand de fleurs, Trois charmantes demoiselles viennent en ma direction...
Et là, de part leur charmante allure et minois, une envie me prend de les voir sourires...une envie aussi de faire ce que j'ai envie sans me soucier de la suite...et peut être aussi de me faire sourire aussi égoïstement que de m'enivrer de leurs joies et de la surprise de ce que je puis faire.
Je me permets délicatement et avec tact, d'interrompre la promenade d'entre 12H et 14H.
Surprises, et un peu déconvenues de mon approche au premier abord, qu'un homme puisse les déranger ainsi, surement encore pour leur demander leurs numéros de téléphones...
Mais quels joies et plaisirs tout personnel, quand dans leurs yeux et sur leurs visages j'ai pu y lire la surprise et l'émotion combinés au moment où je leurs offris une rose à chacune...
Elles restaient des plus bouche bée de par mon action...je leurs souris alors simplement et les remerciaient de ce petit rayon de soleil qu'elles m'offraient simplement...me faisant oublier pour un petit moment tout les maux que je vis...
Elles voulurent me remercier de ce présent en m'offrant un café, mais je déclinais l'offre poliment...et je pris alors congés d'eux, les remerciant une dernière fois de ce petit moment de douceur.
Je continuais alors mon petit bonhomme de chemin vers la gare de l'Est, tout heureux et léger d'avoir fait et vécu l'envie du moment plutôt que de subir les envies.
Mesdames, qui me lisez, si un jour au détour d'une rue parisienne, vous êtes abordée par un homme vous offrant simplement des fleurs, ordinateur sous le bras...juste pour un sourire...souriez lui, il n'attend rien en retour si ce n'est, ce petit moment si indescriptible mais enivrant de voir de charmantes dames lui sourire, et de vivre ses envies quand il en a envie....
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De savoir par ton devoir écrit de ce matin que tu t es masturbée une partie de la nuit suite à mon ordre et ce avec interdiction formelle de jouir me fais sourire ....
Quel plaisir de te lire et surtout de voir qu honnête avec moi tu l es toujours .
De plus cela m' émeut et me touche toujours autant.
Pourtant je sais oh combien tu déteste par dessous tout que je t interdise de jouir tant ta frustration est énorme dans ce moment là.
Tu vas jusqu à me hair , je le sais je l ai vu à plusieurs reprises dans tes yeux lorsque je suis présent et te dirige .
Pour toi c est bien là l un des pires supplices que je puisse t infliger et m as tu dis toi même que tu préfèrerais et de loin recevoir une dure fessée même avec ma ceinture bien large.
Oui mais voilà , moi j aime à t infliger ce doux supplice ... et ce quel que soit le moment et ou l' endroit ...
Bien entendu parfois je t autorise à aller jusqu au bout ... il faut bien te récompenser de temps à autre mais toi tu ne sais jamais quand cela arrivera car je veux être bien sur qu à chaque fois tu te donnes à fond ... sourire.
De voir passer dans tes yeux toutes les émotions dont tu es capable de ressentir ... d exprimer dans ce moment si particulier ... si intense est à mes yeux connaisseurs incomparable.
Tu es devenue de fait très expressive car au début de notre relation tu avais beaucoup de mal à t exprimer librement et surtout ... totalement ... que se soit dans tes gestes , attitudes et ou paroles ...
Que de chemin parcouru depuis ... merveilleuse pour moi tu l es à plus d un titre ...
De t ordonner de te masturber devant moi et pour moi oui j avoue parfois j en abuse un peu ....
Telle cette fois ou alors que nous étions partis faire des courses dans ce grand centre commercial bondé de monde en ce samedi veille de fêtes ... ou à peine garé et descendu de la voiture je t ai ordonner d un ton sans appel de t allonger là à même le sol sur le dos , de relever ta jupe et de te masturber .... bien que n ayant pu émettre d objections j ai bien vu dans tes yeux sinon de la peur pour le moins une grande appréhension car bien que masquée car te trouvant entre deux voitures la grande possibilité de se faire surprendre n y était pas étrangère ... je t ai rassurée de suite en te disant que je surveillais et contrôlais la situation et d un " ne t arrêtes pas " t ai plus qu incité à poursuivre.
Je voyais tes petits doigts de fée s activer sans retenue aucune sur ton petit bouton d amour , tantôt tu le caressais doucement juste du bout d un doigt , tantôt avec deux ou trois doigts tu le frottais beaucoup plus énergiquement et de ton autre main c est bien avec trois doigts que par va et vient tel un piston que tu te donnais du plaisir tout en en alternant la vitesse et la profondeur à l intérieur de ton vagin ...
A ce stade là plus besoin de te diriger je le sais ... ta respiration et tes mouvements de bassin en disent déjà bien long sur ton plaisir qui est je le sais , je le sens , je le vois ... on ne peut plus présent maintenant...
D ailleurs tes regards vers moi sont déjà bien suppliants car oui partie comme tu l es je sais que tu as envie de jouir .... tu n attends plus que mon autorisation ... que je me complais a te refuser pour l instant ...
Tu es obligée de toi toi même de ralentir le rythme sinon tu ne pourras te retenir bien longtemps encore ...
Amusant de voir qu arrivée a ce stade l environnement dans lequel tu te trouve ne te gênes plus du tout et que pour toi maintenant , seul ton orgasme libérateur est ton objectif ... cela me fait beaucoup sourire.
Mais ce n est pas pour autant que je t autorise ... j attend de toi plus ... beaucoup plus ...
D un " dis moi " je t incite à prononcer certains mots crus qui dans certaines situations telle ci t excite davantage encore ...
Oui je me montre cruel envers toi faisant monter plus que nécessaire l intensité de ton désir ....
D un " supplies moi et peut être que je t autoriserai " je t incite à aller plus loin encore ... je te veux totalement impudique ... je te veux chienne ..et plus encore ..!!
Il n en fallait pas plus pour que cette fois-ci tu te déchaines carrément ...
Oui tu m as supplié ... longtemps ... utilisant même certains mots que jusqu à présent tu refusais de me dire .... tu me les as dit d abord à voix basse puis comme pour obtenir enfin mon approbation ta voix s est élevée sensiblement ... humm
Ne voulant point faire trop durer ton supplice surtout au vu de la situation périlleuse dans laquelle on se trouvais , mais aussi pour te récompenser de ta bravoure et de t être enfin autant libérée sur certaines choses qui me sont chères ... je t ai autorisé à aller jusqu au bout et à jouir pleinement sans retenue aucune ...
A peine avais-je fini ma phrase que déjà tu t activais frénétiquement .... tes petits doigts activaient dans un joli ballet ... là plus question pour toi de faire durer mais bien de "te finir" ....... cela n a pas durer bien longtemps tant ton niveau d excitation avait déjà atteint des sommets ....
Et là .... tu as lâché d abord un long cri libérateur ...suivi d un long ... très long râle .... hummm ... j en ai eu les poils des bras qui se sont même redressés.
Et presque de suite j ai jeté un oeil voir même les deux aux alentours et j ai vu plusieurs personnes se retourner puis comme se posant plein de questions sur la nature exacte de ce cri ... d autres souriaient déjà ... des connaisseurs je suppose .. sourire................
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Ma Maîtresse a une imagination débordante!
Depuis le mois de Mai, nous habitons ensemble dans une maison quelle a acheté et que j’aménage pour certains jeux.
Dernièrement, elle a eu une idée, qu'elle n'a pas tardé à mettre à exécution.
Elle m'a ordonné d'aller dans la chambre et de m'y mettre nu. Lorsque je suis entré dans celle-ci, j'ai de suite remarqué le matériel préparé dans un coin.
Elle me rejoignit, m'entrava les poignets avec des bracelets d'acier relieés par une courte chaîne. D'une poussée, elle me fit tomber à plat dos sur le lit.
Là, elle me mit un «pénilex»*pour ensuite cadenasser une ceinture de chasteté à ma taille.
Me disant «ainsi, je suis sûre que tu ne pourras te tripoter!»
Ceci fait, elle m'entrava les chevilles de la même manière que mes poignets. Puis,elle me fit asseoir sur le bord du lit.
Elle me passa un masque de nuit afin d'occulter ma vue, qu'elle doubla en deux endroits, avec un genre de «velcro», puis me passa une muselière, ainsi que le collier attenant, puis cadenassa le tout avec plusieurs cadenas, (deux pour la muselière et un pour le collier).
Cela fait, elle fixa au collier une laisse de cuir et m’entraîna hors de la maison, en passant par son bureau, l'atelier et l'abri à voitures, pour ensuite me faire descendre sur l'arrière de la maison ou se trouve le cachot.
Là, elle m'y fit entrer et fixa à mon collier par un autre cadenas, la chaîne scellé dans le mur.
«Voilà, tu vas rester là, autant de temps que je le désirerais, comme cela tu vas pouvoir réfléchir à ta condition de soumis, tu as une bouteille d'eau, avec une paille pour te désaltérer, tu connais les lieux, tu n'aura pas de mal à la trouver!»
J'entendis la porte se refermer et les deux loquets extérieur coulisser dans leur logement.
Me voilà seul enchaîné dans le noir.
Je connais le cachot, pour l'avoir aménager, il mesure approximativement deux mètres sur deux, en entrant, sur la droite de la porte, il y a une petite verrue de béton, sur laquelle est posé un wc chimique de caravane, afin de pouvoir satisfaire à ses besoins, pour l'instant sur le sol est jeté une vielle couette qui sert de litière.
Je ne sais combien de temps ma maîtresse va me laisser ainsi enfermé. C'est les vacances. Elle a tout son temps.
Au début, je m’assois, puis je marche un peu dans ma prison autant que m'en laissent les chaînes, puis, je m'allonge, je somnole, et je recommence, je m'assois, je marche, je m'allonge, je sommeille, allant même jusqu'à m'endormir à certain moment.
De ce fait, je perds assez rapidement la notion du temps, puisque je n'ai aucun repère pour savoir l'heure.
De plus, le fait qu'elle m'ait occulté la vue, m'empêche de voir, car la lumière pénètre dans le cachot, par des interstices. Je sais cela pour y avoir déjà été enfermé, juste le temps quelle aille faire quelques courses.
Dans cet état, le moindre bruit du loquet, vous réjouit. C'est peut être enfin la délivrance, mais non, ce n'est juste qu'une visite de contrôle, pour voir si tout va bien et changer la bouteille d'eau, ou me rafraîchir grâce au tuyau d'arrosage.
Lors de ses visites, ma Maîtresse en profite pour me donner quelques coups de cravache sur les fesses, les cuisses ou le dos, pour faire un peu circuler le sang me dit-elle, vu le peu d'exercice que je peux faire en ce lieu. Puis elle me renferme pour je ne sais encore combien de temps.
Ma Maîtresse m'a délivré après deux jours et demi passé dans le cachot.
J'avais déjà expérimenté l'enfermement, il y a quelques temps, mais dans un endroit qui ne s'y prêtait pas tant que cela.
La première fois, j'avais perdu la notion du temps, mais je savais que cela ne durerait pas plus qu'une journée et que la délivrance viendrait rapidement, mais là, c'est autre chose. Ne pas savoir quand viendra la délivrance est un facteur de jouissance intérieure, en même temps qu'un stress permanent, je ne sais vraiment comment exprimer les ressentis de cette expérience.
Par contre, je suis sur d'une chose, je ne changerais de Maîtresse pour rien au monde!
Je sais aussi une chose: c'est qu'elle peut être capable pour me punir ou pour son plaisir personnel, de me laisser beaucoup plus longtemps dans le cachot.
* Pénilex sorte de préservatif ouvert, qui se colle à la base du sexe, muni d'un petit tube, que l'on relie normalement à une poche à urine pour l’incontinence masculine, mais qui là est relié à un petit tuyau fixé dans la ceinture de chasteté, afin de pouvoir uriner assis.
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Déjà posté ailleurs, mais ça a peut être aussi sa place ici ...Attention c'est longCes derniers jours je discute beaucoup et avec un tas de monde.Des soumis, des masos, des Dominas, des Dom, des switchs.Il ne manque que les soumises Et ces discussions, sauf avec mes 2 amours, sont sans enjeu, sans besoin de séduction, sans espoir de sentiments ni d'un côté ni de l'autre.Et cela libère ma parole, mais libère aussi avec bonheur la leur.Je deviens confidente et je me nourris avec délectation et un bonheur sincère de tout ce que ces personnes me donnent.Et je prends de plus en plus conscience du mal et des blessures, parfois devenus insurmontables, qu'a provoqués et que provoque encore la fantasmagorie de la Dominatrice implacable et inaccessible. Tant chez les Dominas que chez les soumis.Je suis venue à la Domination pour énormément de très mauvaises raisons, et même si j'ai enfin su me débarrasser de tout cela, je perçois, je devine que de nombreuses Femmes Dominantes sont paralysées, tout comme je l'étais, par ces mauvaises raisons.Je ne suis pas venue à la Domination par amour de Dominer, même si j'ai toujours été autoritaire et dirigiste dans ma vie réelle, je n'aimais pas particulièrement ça ou en tout cas ça ne me procurait aucun plaisir cérébral. C'était simplement comme ça, dans mon caractère.La Domination m'a au départ attirée, parce que ce que j'avais découvert que cette fantasmagorie littéraire semblait offrir une réponse idéale à mon mal être et à mes manques de l'époque.Les 2 « préceptes » qui me correspondaient le plus à l'époque, j'en avais en tout cas l'illusion sincère, étaient :- La Dominatrice garde son soumis chaste, tend à le rendre impuissant et n'a jamais aucun rapport sexuel avec lui, elle s'aide en cela d'une cage de chasteté et cette chasteté lui garantira un homme obéissant et servile à vie ….Et cette règle absolue faisait écho en moi. Même si j'avais multiplié bien au delà de la norme ou de la bienséance les plans culs d'un soir, j'étais alors et depuis si longtemps en conflit avec mon corps que je ne prenais pratiquement jamais de plaisir sexuel avec ces multiples hommes de passage. Dans la masse de toutes ces rencontres éphémères je ne me souviens que d'une seule m'ayant donné réellement du plaisir dans un abandon total.Je m'étais donc convaincue que je n'aimais pas ça, que ce n'était que du blabla et que je ne pouvais pas réellement éprouver de jouissance physique ET cérébrale avec un homme.Du coup la Domina qui ne baise pas avec son soumis c'était le top comme idée.Et j'ai été amenée à prendre conscience que je ne suis pas la seule à avoir pensé cela. Que beaucoup de Femmes Dominantes repoussent ou redoutent la pénétration et le plaisir sexuel. Peu importe les raisons de cette peur.- La Dominatrice ne doit jamais être nue devant son soumis, il ne doit pas voir son corps, il se doit de le servir sans limite mais il ne devra jamais voir l'objet de son désir. Il doit obéir aveuglement.Whaou le pied !!! Complexée comme je l'étais, avoir le droit, même l'obligation d'empêcher mon soumis de voir mon corps c'était l'idéal. J'allais pouvoir m'épanouir puisqu'il ne verrait jamais mes défauts physiques et donc il ne pourrait jamais être dégoûté de ces derniers et donc de moi. Parce que je me dégoûtais moi même, je me trouvais moche, difforme, obèse. Alors, avoir l'assurance que puisque j'étais maintenant une Domme, jamais plus un homme n'aurait à voir mon corps … quelle sublime perspective.Sauf que … sauf que la vie, la vraie, celle que l'on vit tous les jours ce n'est pas cela.Et maintenant que mes complexes, mes blocages, mon mal être ont disparu, je me rends compte à quel point j'avais fait fausse route. A quel point je me suis fait du mal à moi-même et à quel point je vivais dans un état de frustration permanente.Aucune de mes relations sexuelles n'avaient été épanouissantes, non pas parce que je n'étais pas physiologiquement capable de ressentir du plaisir, mais parce que ce plaisir me faisait peur et que je le redoutais.Et mon corps qui me faisait tant honte avant, ce n'était pas de le cacher dont j'avais besoin, mais au contraire de le montrer et de voir dans les yeux de l'autre, de ressentir dans ses caresses et ses baisers, d'entendre dans ses mots que mon corps lui plaisait, qu'il l'aimait parce qu'il faisait partie de moi, qu'il était moi et qu'il ne voulait pas s'en priver.Non, bien sûr, la pénétration n'est pas obligatoire, pas plus que les jeux sexuels si ces derniers vous sont insupportables.Non, bien sûr, vous montrer nue devant votre soumis n'est pas obligatoire et cela peut être bien trop difficile pour vous.Mais avant d'appliquer ces règles tirées des fantasmes de personnes qui ne sont pas vous, posez-vous les bonnes questions. Réfléchissez à la raison pour laquelle vous voulez les appliquer et faites-le uniquement si ça vous correspond très exactement. Sinon explorez d'autres voies, cela vous apportera bien plus de plaisir et d'épanouissement.Au départ je les ai appliquées avec conviction et espoir et je les respectais pratiquement à la lettre sauf quelques rares moments où la frustration et le manque devenaient insupportables.Mais avec le temps je me suis vidée, desséchée, j'avais perdu tout goût à la Domination, mais aussi au sexe, au plaisir, aux plaisirs de la vie elle-même. Je ne vivais plus, je survivais et je souffrais.Il m'a fallu du temps pour comprendre la perversion de mon analyse de départ. Pour accepter de regarder mes erreurs en face.Mon corps est ce qu'il est, ni mieux ni moins bien qu'un autre, il est en bonne santé et même si il ne l'était pas, il ne mérite absolument pas que je le haïsse, que je le méprise, que je le fasse souffrir. Mon corps est beau parce qu'il est moi, parce que c'est le mien, et il a droit aux plaisirs, aux attentions, aux regards amoureux, tout autant que le corps de n'importe qui.Et le corps de TOUTES les Femmes et de tous les Hommes sont aussi beaux que le mien, aussi parfaits dans l'accumulation de toutes leurs imperfections. Et tous les corps méritent de l'affection, du plaisir, de l'attention et de l'amour. TOUS !Par ailleurs, le fait d'avoir recueilli les confidences de nombreux soumis m'a permis de prendre conscience qu'eux aussi étaient paralysés et blessés par ces mêmes diktats venus d'on ne sait où.Combien deviennent impuissants ou au mieux précoces à force de se refuser et de se voir refuser ce droit à la jouissance ?Combien se morfondent dans une frustration qui les pousse à la dépression ?Combien encore sont venus à la soumission parce qu'ils vénèrent les Femmes et crèvent de ne pouvoir les aimer totalement et absolument, de les regarder, de les toucher, de les embrasser, de les vénérer, de les pénétrer et surtout de partager tout ça avec LA Femme qu'ils AIMENT ?Combien s'imposent ses règles imbéciles pensant que ça sera la seule et unique façon de plaire à une Domina, alors que ce sont ces règles mêmes qui les rendent malheureux ?Alors oui, en effet, pour de très nombreux soumis la jouissance implique une baisse de l'envie, une baisse de leur sentiment de soumission, un besoin d'isolement, un repli sur eux-mêmes.Et alors ?Cela voudrait dire que ce ne sont pas de « vrais » soumis ?Cela voudrait dire qu'il faut qu'ils vivent indéfiniment dans la frustration au point d'en perdre toute libido et de devenir impuissants ?Cela voudrait dire, qu'en punition d'un simple processus physiologique il faudrait les priver de tout ce qui fait que la vie est belle ?Cet état réfractaire ne peut pas être évité pour nombre d'entre eux, il est dans la nature même du corps humain. La jouissance provoque en effet une libération hormonale qui est plus forte que la volonté et l'envie.Et alors ?Elle est nécessaire au fonctionnement de l'organisme; de quel droit, une Femme, même la plus parfaite, devrait s'arroger le droit de refuser cela à un homme ?Et non, le soumis ne devient pas un gros macho violent et méprisant après la jouissance. Non, il ne va pas s'étaler dans le canapé devant le foot avec une bière dans une main et l'autre dans le caleçon à se gratter les couilles.Si votre homme vous est soumis, il le reste même après la jouissance, parce que sa soumission n'est pas physiologique mais cérébrale. Il ne vous en aime pas moins ensuite, bien au contraire.Bien souvent d'ailleurs, il redoute encore plus que vous ce moment où il n'est plus tout à fait comme il aime être avec vous. Parce qu'il a peur de vous déplaire, parce qu'il a peur de vous rendre malheureuse.Mais ça ne remet rien en jeu dans votre choix commun d'une vie où la Femme Domine et où l'homme se soumet à elle.Vous restez Maîtresse de vos envies et de vos plaisirs communs.Ce ne sont pas ces quelques instants, ridiculement insignifiants au vue d'une vie humaine, qui feront que votre homme ne vous sera plus soumis.A vous deux seulement de découvrir le rythme qui vous convient. Là non plus aucune règle obligatoire ou universelle, à part celle ci : l'échange de parole, la communication, l'écoute de l'autre et de soi-même.J'ai eu la chance extraordinaire de rencontrer un homme formidable il y a un peu moins de 2 mois, (53 jours exactement me dit Fetlife ).Nous discutons depuis tous les jours, longtemps, passionnément.Il est profondément et sincèrement soumis.Il prend un réel plaisir à servir sa Dame, à la combler, à la rendre heureuse.C'est une évidence pour lui, il ne peut être heureux qu'aux pieds de la Femme qu'il aime.Mais lui aussi pensait qu'il ne pouvait se permettre d'avoir des envies sexuelles pour sa Dame.« Ça ne se fait pas, une Domina n'aime pas qu'un soumis puisse avoir envie d'elle » …..A force de discussions, d'échanges, je crois avoir su le convaincre du contraire.Je l'espère sincèrement.L'autre jour il m'a fait un merveilleux cadeau, il m'a écrit qu'il se sentait revivre, que sa libido revenait et qu'il se sentait bien, qu'il se sentait mieux alors qu'il pensait ne plus jamais ressentir cela.Et très sincèrement il est pourtant tout aussi soumis, et prévenant, tout aussi adorable et gentil, peut-être même plus qu'au début de nos échanges.Oui il (re)bande, enfin, vraiment ! Et oh horreur, il jouit même … impensable n'est-ce pas ?Mais NON, il ne s'est pas transformé, il n'est pas devenu un être vil et méprisant, il est simplement plus heureux, plus épanoui et finalement encore plus soumis, encore plus enthousiaste à l'idée de servir sa Dame.Même dans ses périodes réfractaires. Même si elles restent encore un peu aujourd'hui « difficiles » pour lui car il ne sait pas encore vraiment en profiter sans culpabilité. Mais j'espère que je pourrai aussi l'aider à dépasser cela.Je sais que j'ai été une accompagnatrice pour lui, et ça me rend heureuse.Parce que je le sais plus heureux et plus épanoui aujourd'hui qu'il y a deux mois.Et la Dame qui aura la chance de lui passer son collier autour du cou sera une Femme heureuse.Et même si la vie fait que ça ne sera probablement pas moi.Quel pourrait être mon plaisir de rendre malheureux un homme qui échange et partage avec moi ?Quelle Domina pourrait bien vouloir rendre malheureux le soumis qui la comble d'attentions et d'amour ?Abandonnez les convictions que d'autres que vous-mêmes ont enfoncé dans vos têtes, abandonnez-les si elles ne peuvent vous rendre heureux.Le bonheur ne résidera jamais dans l'application imbécile et pulsionnelle de concepts ne vous correspondant pas.Et rien absolument rien ne justifie de se priver soi-même du droit au bonheur.Abandonnez vos carcans, soyez libre d'être heureux, nous le méritons tous !
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My girl, my girl, don't lie to me,
Tell me where did you sleep last night?
In the pines, in the pines
Where the sun will never shine
I would shiver the whole night through
La veille, les grillons avaient été les seuls témoins de ces moments qui nouent le ventre et transpercent le cœur, ceux où les larmes coulent en silence sans qu’on puisse les retenir, seules marques visibles de nos peines et de nos peurs. Mais ces moments inespérés étaient trop précieux pour qu’on les teintes de ces gouttes salées, alors j’ai tout entassé pêle-mêle dans une boite, consciente qu’il faudrait un jour la rouvrir pour ranger tout ce que j’avais enfermé là et qui finirait forcément par rejaillir un peu trop violement quand je ferai sauter le verrou. Peu importe, j’ai eu ma dose de bonheur absolu le soir suivant.
La journée avait été brulante, nous nous étions à peine croisés, peinant à finir nos tâches dans l’espoir de pouvoir dérober un peu de temps pour nous. Quand l’obscurité nous mis au repos, quand les verres prirent des reflets de rubis à la flamme des petites bougies qui parsemaient le sol, quand les grillons voulurent rivaliser avec le doux clapotis de l’eau pour prendre le pas sur tout autre bruit, notre moment commençât. Ce soir là, il n’y eu aucun accessoire, pas de jouet, pas de collier et pourtant je ne lui ai jamais autant appartenu et n’ai jamais reçu autant de plaisir. Je ferme les yeux pour retrouver la chronologie mais aujourd’hui encore je suis submergée par l’intensité de ces instants et je perds le fil. Les images se superposent et s’entrechoquent dans ma tête avec le secret espoir d’être celle du haut de la pile, comme s’il en était une plus importante que les autres. Etait ce quand il a pris possession de mon corps ? Quand, dans sa douceur mêlée de fermeté il a commencé à aller et venir en moi. Quand, d’un geste je me suis retrouvée nue, ne sentant même pas la petite brise fraiche tant je brulais intérieurement. Ou était ce quand je lui ai offert mon âme, quand je me suis agenouillée devant lui, nue dans tous les sens du terme, qu’il a fait ruisselé le vin sur mon corps avant de s’y désaltérer, quand, après l’avoir nourri je fut quant à moi nourrie de lui.
Je ressens encore la douceur de ses baisers, contrastant avec ses mains qui retenaient les miens en me maintenant par les cheveux, je ressens encore plus fort le frisson de la jouissance jamais atteinte qu’il m’a procurée à cet instant. Quand le calme put revenir en moi, un peu plus tard, j’ai aperçu la lune entre les aiguilles des pins. Elle nous éclairait de cette lueur si particulière qui rend l’instant presque irréel. C’était cela… Irréel et parfait. Je n’ai pas voulu céder à la mièvrerie en avouant qu’il était celui que me correspond parfaitement, qu’il lui suffit d’un regard pour lire en moi mes envies et mes craintes. J’ai voulu arrêter le temps. Pas définitivement, juste un peu, juste pour que cela dure un peu plus. Mais je n’y suis pas parvenue.
Alors j’ai souri, collée contre lui, blottie dans ses bras, heureuse de ce petit instant parfait qui nous était offert.
Il serait temps, plus tard, de revenir à la réalité. Là, nous étions exactement ce que je voulais que nous soyons, frissonnants d’Amour dans la brise nocturne.
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J'ai un rapport au corps très particulier : la texture de la peau, la forme d'un visage, l'attraction d'un corps, ses courbes, ses proportions, l'harmonie qui en résulte comptent beaucoup pour moi, et donc... je suis très mal à l'aise devant une "personne de petite taille". C'est nul je sais, mais c'est comme ça. Et, en guise d'exorcisme (???), je parle souvent de nains, de façon pleine d'humour et forcément de bienveillance
Et depuis qu'Il a découvert cette particularité, cela l'amuse beaucoup et il surenchérit. Voila donc comment cette séance a commencé: sur une plaisanterie à propos de Blanche Neige donc je contais l'intense perversion d'avoir 7 êtres dévolus à son plaisir à cette hauteur. Voila comment je me suis retrouvée, un peu plus tard, à genoux devant lui, Son sexe dans ma bouche. Et je dois dire que je n'étais pas du tout innocente quant à la tournure qu'avaient pris les événements et en était pour le moins contente. Je pensais à cet instant, emploi du temps oblige, que cela allait se poursuivre pas un petit quickie comme je les apprécie beaucoup (le "plus c'est long plus c'est bon" n'est pas totalement faux mais moi je préfère l'intensité). Mais Il en avait décidé tout autrement et ce fut alors une véritable séance qui me fut offerte. D'un style inédit.
Je fut d'abord parée d'une longue jupe de cordes rouges. Je pense qu'Il a du prendre des cours de stylisme avec Lagerfeld car il n'y a que lui pour en dessiner des si ajustées. Il plaça aussi à mes poignets deux bracelets de cuir noir. Une pure fashionista! J'adore quand Il sort les cordes, quand ses bras m'entourent, lient, serrent, que ses mains nouent, vérifient. Quand Il profite de cette vérification pour laisser sur ma peau une caresse. Puis Il me fit lever les bras et attacha les bracelets au dessus d'une barre parallèle au plafond. Enjeu : ne plus bouger pour ne pas déclencher de détecteur de présence. Eh bien je peux vous assurer que ces petites merveilles technologiques détectent le moindre frémissement... Qui me valurent de tester un autre cuir, celui de sa ceinture.
Plus tard, je me suis longuement interrogée sur l'effet que me fit cette séance, pourquoi, dans les instants qui suivirent ma libido fut décuplée alors que je n'ai pas pris de plaisir à être ainsi suspendue comme cela peut être le cas dans d'autres jeux. Je n'ai pour le moment que des fragments de réponses. Mais force est de constater que, une fois les noeuds déliés, quand je l'ai senti en moi, le plaisir est bien vite monté....tant qu'il dut, apparement car je ne m'en suis pas rendue compte, m'intimer le silence d'un "chut". C'est que je devais faire vraiment....Nain porte quoi ;-)
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Son ongle progresse à l’intérieur de la cuisse, creuse un sillon naturel à travers l’étoffe mouillée, lissant, fendant, glanant sa récolte qu’il porte à ma bouche. Ses doigts que je suce, que j’aimerais mordre, femelle animale qu’écartèle son propre désir. Mon ventre fulmine, mon sexe jappe en silence, béant, suspendu à ses doigts qui ne viennent pas.
L’envie me gagne alors de resserrer les cuisses, de les presser sur mon sexe, sur mon clitoris mais il m’intime l’ordre de garder la position en assenant une claque que je n’ai pas sentie venir. Je gigote pour me maintenir en équilibre. « Ne bouge pas, j’ai dit », sa voix et sa main deviennent plus fermes, elle s’abat une fois, deux fois. Je tends mes fesses en me mordant les lèvres. Deux autres fessées tombent, ma peau chauffe, mon sexe se liquéfie. Je ne sais quelle contenance prendre, je me sens perdue, décontenancée mais survoltée, je ne peux étouffer les cris qui passent la barrière de mes lèvres sans que je les maîtrise.
Il me redresse alors et me plaque contre lui, mos dos collé à son torse, sur lequel j’abandonne ma nuque, offrant ma gorge. Je me laisse envahir par sa chaleur et son odeur, je sais son désir mâle saillant contre mes reins. Je me sens défaillir, alanguie, narine frémissante.
Il dénude les épaules, frôle la pointe de mes seins qui dardent leur nez rose sous le soutien gorge, curieux et avides, deux froncements interrogatifs qui appellent le pincement. Je me mords les lèvres, dans cette attente. Il dévoile mes seins avec une douceur rare, lente, contrôlée, les sous-pesant, frôlant à peine les pointes qui se tendent. Enfin ses doigts tordent, triturent, exaltent. Je gémis gagnée par le plaisir. Je sens son souffle dans mon cou, j’entends son plaisir lubrique lorsque sa main claque sur le bout de mon sein, auquel je réponds en écho en gémissant de plus belle.
Toujours aveugle, il me guide dans un renfoncement que je sens en traînant la main sur le mur de pierre sèche couvert de lianes parfumées. Il allonge mon buste et pose ma joue sur un socle de pierre, soulève ma jupe et caresse, souligne les courbes de ses doigts, griffe la peau rougie à blanc, écarte le tissu importun, fend les lobes de mes fesses, tandis que le désir me cloue et me suffoque, que mon esprit m’abandonne, que je ne me sens plus qu’un être de chair et de sang vibrant entre ses mains.
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Bien confortablement installé dans mon hôtel et à peine réveillé que déjà sonnent les notifications de messages reçus de mon tel ... me doutant bien que c est toi , je souris mais ne les regarde pas encore , pourtant il est 9 heures et je sais oh combien cela a du être dur pour toi de te retenir de pas me les envoyer beaucoup plus tôt mais .... j ai décidé de faire de cette journée un autre petit supplice pour toi ... gentil supplice ..mais supplice quand même.
je file tranquillement à la douche puis descendre prendre mon petit déjeuné et ce n est qu' après un bon café qu enfin je regarde tes messages ....
Houlaaaa ... 16 messages de toi , je n en reviens pas , tout d abord 8 photos preuves de la bonne exécution de tes devoirs , comme quoi il te fallait bien une certaine motivation , je suis aux anges .....
Les 8 autres sont pour me dire que oui cette fois-ci tu avais bien retenue la leçon et que je n aurai plus dorénavant à user de ce stratagème pour que tu les fasses , que je t avais beaucoup manqué , que oui tu avais malgré tout super apprécier mes petites attentions , que tu n avais presque pas dormi de la nuit , que tu me souhaitais un doux et coquin réveil accompagné avec photo de toi on ne peu plus suggestive ... humm de si bon matin j adore ..
Ce n est que de retour dans ma chambre que je me suis enfin décidé non pas à te téléphoner non , aujourd hui pas de post-it mais se sera par sms , donc mon premier message est pour te remercier d avoir fait tes devoirs et de tes petites attentions à mon égard qui il est vrai m on beaucoup touché. Même pas quinze secondes après j ai ta réponse comme quoi je le méritai amplement accompagné d un petit coeur , et tu me demande direct ou tu allais me retrouver.
2 ème sms de ma part te disant te de surtout bien prendre ton portable avec toi et de me rejoindre à mon hôtel et que tu devras m attendre dans le petit boudoir situé juste à coté de la réception , te tenant face à la fenêtre , te donne juste quarante cinq minutes pour y être .. temps suffisant mais sans plus .... oui je te mets déjà la pression.
Moi je reste dans ma chambre à imaginer la suite de notre journée et ce n est que cinq minutes après l heure que je t avais fixé que je descends enfin.
Oui tu es bien là face à la fenêtre du boudoir , tu es ravissante dans ta petite robe blanche légèrement moulante que j adore , j avance à pas feutrés voulant à tout pris te surprendre , arrivé à un mètre de toi , je t envoies le 3 ème sms te disant de ne surtout pas te retourner et d attendre mon prochain sms pour suivre mes directives .
je m approche de nouveau jusqu à me coller à toi , mes mains caressent ta nuque doucement ... puis descendent tout en suivant lentement tes jolies courbes jusqu à ton bas ventre ... d' une main je te caresse doucement ton sexe au travers du mince tissus de ta robe , cela te plait je le vois ... de toi même tu pousses en avant ton bassin comme pour appuyer un peu plus mes caresses , de mon autre main je dessine le contour de tes lèvres avec mon index tout en t en posant de délicats baisers sur ta nuque ...
Au travers de la fenêtre on voit les deux jardiniers s affairer à leur tâche , mais l un deux nous a repéré et ne se gêne pas, tout en essayant de rester discret de nous mater...
Il n en fallait pas plus pour que je glisse une main sous ta robe que je relève légèrement en même temps ....là ... mes caresses se font plus ... directes .. j insère en toi un puis deux puis trois doigts , tu mouilles déjà abondemment , tu soupires , ta bouche s est entrouverte et tu aspires et lèche mon index ... je sais que toi aussi tu as remarquer le jardinier qui nous mate et visiblement cela t excite autant que moi .... je te masturbe donc un peu plus vite ... un peu plus fort .....de longues minutes ainsi ...puis ...
.je m arrête net sentant ton orgasme arriver et sans que tu puisses émettre une quelconque réclamation je te donne mes doigts à lécher ... puis je les retire et t envoie un nouveau sms te demandant d attendre trois minutes et de sortir devant l hôtel .
Je cours dans un coin proche de là et lorsque je te vois apparaitre visiblement perturbée dehors ... nouveau sms de ma part .... cette fois ci je te demande d aller sur la petite place à cent mètre d ici et te poster face à la fontaine ....
Cinq minutes plus tard et arrivé juste derrière toi nouveau sms te demandant de ne pas bouger et de fermer les yeux ... je fais le tour et tout en enlaçant je viens délicatement poser mes lèvres sur les tiennes , je les lèches doucement , les mordillant tendrement mais ... sans vraiment t embrasser ... doux moment de tendresse exquise que je ne fais durer que pour le plaisir avant de t embrasser .
Et je me retire de nouveau et nouveau sms te demandant d attendre....
Dix minutes plus tard je te demande d aller dans un parc se trouvant à cinq minutes d ici et que juste à coté de la poubelle située près du banc face au gros chêne tu y trouvera un petit paquet que tu prendras mais n ouvriras qu une fois assise sur le banc.
Je me trouve presque en face de toi à une vingtaine de mètres environs mais troublée comme il me parait normal que tu le sois tu ne me vois pas.
Tu ouvres endin le paquet et même d ou je suis je peux voir l effet de surprise que tu as eu de voir ce qu il contient .... nouveau sms de ma part ....
Je te demande bien bien lubrifier mon cadeau avant de te l introduire au plus profond de toi , je vois un large sourire éclairer ton doux visage..
Tu prends en main le beau rosebud que je t ai offert , tout abord tu le lèches d un air malicieux .. coquin , puis discrètement tu l introduit dans ton sexe afin de bien le lubrifier et ce n est qu après quelques minutes , je vois à ton sourire qu enfin tu l introduit entre tes fesses .....
Nouveau sms de ma part te disant de fermer les yeux et d attendre mon prochain sms...
Quand tu reçois le suivant je me trouve assis sur le banc situé juste en face de toi ...
Cette fois-ci la situation se complique un peu car un couple de retraités vient juste de s assoir à coté de moi et une dame près de toi... A nouveau challenge ... nouvelles directives ... nouveau sms ... je te demande me me faire voir ton sexe mais sans pourtant autant attirer de suite les forces de l ordre ... sourire .. Tant bien que mal en te contorsionnant tu t exécutes .... nouveau sms te demandant de te caresser légèrement ton petit bouton d amour .... nouvelle prouesse de ta part dans une exécution presque parfaite ...
nous sommes là les deux , l un en face de l autre , nous regardant , portables en main , sourires vissés aux lèvres ... savourant cet instant comme il se doit...
Nouveau sms de ma part ..... te remerciant chaleureusement de toutes tes belles prouesses , que tu avais gagné mon pardon et que cette fois-ci oui tu avais bien mérité qu on repartes ensemble à l' hôtel ou les choses sérieuses allaient enfin commencer...
Pour fêter dignement nos retrouvailles je t invitais tout d abord au restaurant puis c est main dans la main que nous avons rejoint l hôtel .......................................................................................................................................
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Week-end surprise
Samedi 11 Octobre
J'arrive chez ma Maîtresse, avec, dans ma voiture, la chaise que je lui avais fabriqué. Une fois déchargée, j'ai du la monter au plus vite, pour le plus grand plaisir de celle-ci, dont les yeux brillaient d’excitation. Une fois fini, il ne fallut pas longtemps, pour que je me retrouve en tenue d’Adam, fixé sur celle-ci.
Je dois vous dire, que c'était assez jouissif, de construire quelque chose dont on sait que l'on va être le premier à l'étrenner. Cela n'était pas pour moi la première fois, mais là ce n'est point pareil. C'est pour ma Maîtresse, celle qui m'a choisi et dont je sens son regard dans mon dos, devinant par ailleurs le sourire carnassier qui doit se dessiner sur ses lèvres.
Elle l'attendait avec impatience, pour l'avoir vu se fabriquer petit à petit lors de nos discussions le soir sur skype, et elle avait déjà concoctée quelque chose pour l'essayer, l'épilation de mon torse!
Pour cela, elle s'était munie de bandes dépilatoires, trouvées dans mes affaires, mais elle trouva celles-ci inefficaces et s'en alla donc quérir dans sa salle d'eau, sa propre cire. Elle la mit à chauffer, avant de m'en tartiner la poitrine, pour ensuite y poser des bandes afin de pouvoir la retirer.
Comme, elle trouvait que cela n'allait pas assez vite, elle prit l'épilateur électrique, que j'avais eu le malheur d'acheter. Ouille, çà tire! Un vrai engin de torture ! Puis, pour terminer, elle entreprit les derniers poils rebelles à la pince à épiler.
Je dus ensuite aller me doucher, afin de faire un nettoyage complet de ma personne.
Quelques jours plus tôt sur le même site où nous discutons pratiquement tous les soirs, elle m'avait demandé si j'avais des vêtements noirs, car elle comptait me sortir, pour une soirée surprise. Tenue noire, cela veut dire «dress code» donc soirée en club, du moins, c'était ma première impression.
Une fois que je fus douché, elle me passa au cou mon collier d'acier et fixa à mes poignets, les bracelets du même métal. Ensuite, je finis de m'habiller, chemise noire et pantalon noir. Pendant ce temps, ma Maîtresse, était, elle aussi, allée se préparer, regardant plusieurs fois l'heure, trouvant que l'on avait pris du retard sur l'horaire quelle avait prévu.
Ceci me fit changer d'avis sur la destination finale de notre petite virée, mais je n'en dis rien à ce moment là. Une fois toutes les affaires préparées, nous sommes donc sortis de l'appartement pour aller jusqu'à son véhicule.
C'était une première pour nous, pas le fait de sortir, mais celui où j'arborais, bien visibles, mon collier et mes bracelets. Je ne sais si vous avez déjà vécu cela? pour moi, oui!
J'ai déjà été exhibé par une Domina précédente, mais dans un club privé vanille, mais là, c'est sur la voie publique à la vue de tous.
J'étais à la fois excité et fier d’arborer l'appartenance à ma Maîtresse, mais j'avais aussi une petite appréhension d'être vu ainsi, ce qui je l'avoue donne du piquant à la situation.
Nous partons donc, ma Maîtresse, me demandant de poser mes lunettes, afin que je ne puisse voir l'adresse qu’elle allait rentrer dans le GPS. En effet, une fois sans lunettes, il m'est impossible de lire quoi que ce soit. Je ne vois que des traits. Une fois fait, j’ai pu remettre mes lunettes.
Ma Maîtresse, me demanda, si j'avais une idée, de l'endroit où on allait, je lui dis que oui, mais que pour l'instant, je ne dirais rien attendant pour moi la confirmation. On prit donc l'autoroute et le sens me permit de commencer à confirmer mon idée, que je lui confiais, précisant, qu'au début, j'avais pensé à une soirée en club, vu la tenue demandée, mais que vu l'heure à laquelle nous partions, cela était impossible, puisque le Clair Obscur n'ouvre qu'à vingt heures.
Elle me dit que je me trompais et que nous allions bien au Clair Obscur et qu’elle ne mentait pas (de toutes manières, article 1: une Maîtresse à toujours raison !). Pourtant, nous avons largement dépassé le Cap d'Adge, donc la destination à laquelle j'avais pensé, était la bonne, ce qui se confirma ensuite.
En fin de compte, c'était juste pour récupérer une personne dont c'était l'anniversaire, puis nous avons repris la route vers le Clair Obscur au Cap d'Agde. Ma Maîtresse l’avait rencontré lors du premier week-end Fessestivités auquel elle avait participé et elle avait apprécia sa maîtrise du BDSM ainsi que certaines de ses pratiques.
Une personne que je connais depuis quelques années, pour l'avoir rencontré à plusieurs reprises. Mais qui n'avait jamais eu le plaisir de s'occuper de ma petite personne.
Il s'agit de Maître Pierre.
J'étais donc en quelque sorte son cadeau d’anniversaire!
Le Clair Obscur, enfin, nous y voilà, ma Maîtresse avait donc bien raison!
Après y avoir pénétrés et pris une boisson, ma Maîtresse et son invité, décidèrent, qu'il était peut-être temps de s'occuper du cadeau, donc de moi!
Pour ceux qui connaissent ce club, ma Maîtresse m'attacha les poignets, (après m'avoir changé les bracelets, ceux en acier n'étant point pratique pour les suspensions), à l’échelle horizontale qui se trouve dans la première salle à gauche en entrant.
Là, j'ai eu droit à une doublette de martinet, ma Maîtresse face à moi et Maître Pierre dans mon dos. Toute sa panoplie y est passé, (Martinets soft, lourd, chat à neuf queues).
Après les martinets, j'ai eu droit au fouet, là aussi, je les ai tous goûté, (trois différents). Je puis vous dire, que Maître Pierre, s'en est donné à cœur joie de me maltraiter, ma maîtresse aussi d'ailleurs. Au moment où j'écris, il me reste quelques légères traces, je dis bien légère, malgré le traitement que l'on m'a infligé.
Je puis vous dire, que j'ai dégusté, (cela pour ceux qui pourraient croire, que l'on n'a fait que me caresser légèrement le cuir). Ma Maîtresse, n'est pas tendre, lorsqu'elle manie la cravache ou le fouet et Maître Pierre, n'est pas en reste non plus, je pense que les deux protagonistes, pourront confirmer cela.
Comme ces messieurs dames avaient besoin de reprendre des forces, (Ben oui, c'est très fatiguant de se mettre à deux pour tourmenter un soumis) nous sommes allés nous sustenter.
Après cela mes deux tortionnaires décidèrent de me faire un glaçage à la bougie. Tout bon gâteau doit avoir un beau glaçage! Mais pour cela, il fallait un petit délai, le temps que les bougies arrivent à bonne température. Ils s’occupèrent donc, de mon postérieur, en me faisant agenouiller sur le prie dieu.
Dieu qui d'ailleurs ne me fut d'aucun secours malgré mes prières silencieuses lui demandant de m'épargner cela.
Ma maîtresse à ma droite, Maître Pierre à ma gauche, chacun à tour de rôle. J'ai donc eu droit à six sortes de cannes, paddle, ceinturon, battoir à tapis et j'en oublie peut être, n'étant pas en bonne position pour voir exactement ce qui se passait.
Après cela, ils me firent allonger sur le dos, pour un nappage à la bougie. Ils en avaient mis quatre à chauffer, Maître Pierre, s'occupant de mon torse et ma Maîtresse, a trouvé beaucoup plus jouissif de s'occuper de mon entre-jambes et surtout d'une partie de mon anatomie dont elle a essayé de faire un moulage. (Putain çà brûle! J'ai résisté, malgré quelques gros mots, qui sont restés incompréhensibles au fond de ma gorge)
Une fois terminé, ma Maîtresse, armé d'un couteau, entreprit de décoller la cire à l'aide de celui-ci. Étant toujours prévoyant et sur le ton de l'humour, je lui ai dit de faire attention à la partie basse de mon anatomie, qui bien que ne servant pas à grand chose pouvait encore lui servir pour quelques maltraitances.
Cela terminé, nous repartîmes nous rafraîchir, personnellement, j'en avais bien besoin après les sueurs froides que j'avais eues.
Les deux comparses, n'en avait pas fini avec moi, Maître Pierre, partit s’enquérir de deux autres personnes et j'ai eu droit aux élastiques, un truc qui a du être inventé par un super sadique!
Pour ceux qui ne connaîtraient pas et qui voudrait essayer, voilà la recette: prenez un volontaire désigné d'office, un bon paquet de gros et longs élastiques, passer ceux-ci autour du corps de la personne, en partant des cuisses et en remontant jusqu'au dessus de la poitrine, une fois cela fait, chaque personne choisit un élastique, le tire et le relâche et cela ainsi de suite.
La vache! C'est peut être amusant pour ceux qui tirent dessus, mais pas pour celui sur qui ils claquent, c'est vrai toutefois que cela laisse de belles marques!
La soirée commençant à tirer à sa fin, ils décidèrent de s'occuper de mon fondement, pour cela, ils me firent agenouiller, et ma maîtresse prépara un préservatif avec dix baguettes chinoises, quelle m'introduit, après avoir bien lubrifié l'endroit, elle en a ensuite rajoutée quelques unes, mais cet endroit là, n'ayant pas beaucoup servi était assez réfractaire à son élargissement.
Juste avant l'heure de partir, ma Maîtresse joua encore un peu du fouet sur mes fesses et ensuite, nous reprîmes la direction de chez Maître Pierre.
La soirée nous ayant épuisé, nous passâmes le reste de la nuit chez celui-ci.
Dimanche 12 Octobre
Après une nuit réparatrice et un repas frugal, ce fut encore ma fête, bien que celle-ci tombe normalement le dix neuf Mai!
Au programme, CBT, introduction de sonde urétrale, pour cela, ils me firent asseoir sur le fauteuil de bain de Maître Pierre.
Ma Maîtresse m’y attachât, les chevilles et les poignets. Puis commença par m'introduire celle de diamètre six, elle réussit à aller jusqu'à la huit et demi, impossible d'aller plus loin.
Après cela, ils tentèrent de me mettre une vis urétrale, mais leurs essais furent vains, celle-ci n'a point voulue prendre, ce qui a laissé perplexe Maître Pierre, qui n'avait jamais vu cela.
Ma Maîtresse m'introduisit ensuite une sonde beaucoup plus fine, mais bien plus longue, qui lui permit d'aller jusqu'à la vessie et ensuite utilisa un rasoir électrique sans lames muni d'un préservatif, pour titiller mon gland et mes couilles, ce qui me fit tendre comme un arc, mes mains, serrant les roues du fauteuil à presque les faire éclater.
Ensuite, on me détacha. Maître Pierre montra ses autres jouets à ma Maîtresse, qui voulu les essayer et bien sûr qui fut encore le cobaye? Moi!
Elle essaya donc l'électro et ensuite les ventouses, qui elles ont laissées sur ma peau de magnifiques marques, encore visibles aujourd'hui. Au moins là ma Maîtresse a réussi à laisser sur ma peau quelque chose qui ne disparaît pas en quelques heures.
Après avoir nettoyé tous les instruments dont nous nous sommes servis, il était temps pour ma Maîtresse et moi de reprendre la route.
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« Lève toi et marche ». Diantre, serait-il porté sur les paroles christiques ? Je me lève donc, je règle ma consommation et agrippe mon sac à main contre moi comme un bouclier. Geste factice pour effacer un peu de la fébrilité qui me gagne.
« droit devant » apparaît sur l’écran. Mes yeux se plissent et je regarde de tout côté, en vain, et je l’imagine déjà, regard amusé, narquois, gourmand. Je poursuis à grand pas, épaules en arrière, tête droite.
« prends la première à gauche ». J’obtempère, gagnant une rue calme bordée d’habitations ; les magasins se font plus rares, changement de quartier…
Le bip me rappelle à l’ordre : « tourne à gauche à la prochaine intersection ». Je me retourne pour savoir, guetter, voir. « Ne te retourne pas, continue. Sans tricher ». La ruelle est étroite un peu sombre en dépit de l’heure, un bienfait car il y fait moins chaud mais je sens mon estomac se nouer. Pas vraiment d’excitation, un stress léger me gagne. Il grandit quand j’entends un pas se rapprocher.
« Ne te retourne pas, arrête toi sous le porche au n°77 ». Je déglutis, je sens la boule grandir dans mon ventre. Une peur m’envahit. Et si… Mais la ruelle qui semble déserte abrite forcément du monde, n’est ce pas ? Allons, allons, jouons le jeu, puisqu’il s’agit d’un jeu.
Les pas résonnent plus fort, il se rapproche.
Je ne m’y attendais pas, pas comme ça, mais il est là, derrière moi. Je sens son ombre me couvrir, je sens une main caresser mes cheveux Je frissonne et les battements de mon cœur s’accélèrent. Sa main se pose sur mes yeux, me plaquant contre lui, je sens son corps derrière mon dos, sur mes fesses, j’entends sa respiration, calme. De l’autre, il ouvre une lourde porte, me fait entrer dans ce que je pense être une cour intérieure. Il noue un bandeau sur mes yeux, puis ses mains se posent sur mes épaules, me poussant vers l’avant. Je trébuche sur les pavés, il me rattrape à la taille, m’enserrant et plaquant ses lèvres sur ma nuque. Je défaille et présente mon cou, instinctivement, attendant, espérant sa bouche. Mais il semble me humer, me respirer, il prend son temps. Ma respiration se fait plus saccadée, mon ventre gronde, avide. Je pressens qu’il va faire durer le plaisir, faire grandir l’attente, faire monter le désir, jouer avec mes nerfs. J’ai envie de dire quelque chose, je ne sais pas trop quoi, mais aussitôt que j’ouvre la bouche, il pose sa paume sur mes lèvres. Envie de lécher, de mordre, de provoquer, de le faire sortir de ses gongs et moi de sortir de cette léthargie imposée à mes sens. Mes mains le cherchent même si je sais que cette situation impose obéissance, silence et attente. Un murmure dans mon oreille « ne bouge pas où je t’attache ».
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Je crois en cet amour
Qui nous lie l'un et l'autre
Constante chaque jour
Alors que la relation est autre
Je crois en l'évidence
De l'union de nos coeurs
Nous mesurons la chance
D'avoir vécu un tel bonheur
Je crois en cet émoi
Auquel je m'abandonne
Nous guidant, Vous et moi
Au 'plaisir' que l'on se donne
Je crois en la passion
Qui demeure constante
Même au gré des saisons
Et nous rend, rassurant
Je crois en cette force
Que l'on puise en Nos yeux
Et qu'un dialogue s'amorce
Pour nous fait sentir mieux
Je crois au temps qui passe
N'altérant que le corps
Mais bien inefficace
Sur les sentiments forts
Je crois en Votre signature
Qui défiera les années
Indélébile est cette écriture
Gravée pour l'éternité
Le 25 juin 2015
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Nous sommes là au milieu de la foule , tous presque collés les uns contre les autres...
Nous deux par contre oui nous le sommes ..
Ce soir contre toute attente de ta part je t ai dit que nous sortions et lorsque tu t es dirigée vers ton armoire je t ai stoppé net , et t ai demander de te mettre nue ... sur le champs ... j ai bien vu dans ton regard une certaine incompréhension mais lorsque j' emploi ce ton tu n ose répliquer et bien au contraire tu t' exécute de suite , une fois nue je suis allé dans la penderie te chercher un manteau léger que je t ai tendu.
Sans plus attendre tu l as enfiler , et je t ai fais signe de me suivre ..
Qu il fait chaud de se retrouver ainsi dans cette foule mais qu' il est doux de sentir ton corps blotti contre le mien ... ma main glisse tout doucement vers ton sexe lisse et déjà mouillé , tu aimes je le sais toutes mes petites surprises cela t excite beaucoup .
J effleure juste ton intimité et de suite tu plonge ton regard dans le mien , puis j introduit un doigt.... que je ressort aussitôt pour le faire glisser tout le long jusqu à ton petit trou ... je remonte doucement mon doigt et l y indroduit de nouveau ... puis un deuxième .. je te masturbe ainsi quelques secondes puis les ressort pour venir titiller ton petit bouton d amour que j aime tant , tu apprécies beaucoup cette caresse , je ne peux donc qu en abuser .. j accélère quelque peu le rythme que déja je vois ton regard se baisser , une grande excitation s intalle en toi ... monte d un cran , dans un geste brusque je te relève le menton et mon regard dur te fait vite comprendre que tu ne devras lâcher mon regard sous aucun prétexte.
Comme pour te punir je te branle cette fois-ci plus vigoureusement ...je vois dans ton regard une certaine peur ....peur de lâcher prise ... peur de te laisser aller complètement ... peur que j aille jusqu au bout ...
Il ne te faut pas longtemps pour que déjà tu te mordille tes lèvres , signe que ton plaisir s intensifie .... monte... monte .....
Ton regard se fait plus suppliant encore mais je ne cède pas.
Là tu te mors carrément les lèvres , je sens tes premières contractions de plaisir arriver , tu m' implore du regard , je ne cède toujours pas , dans un geste comme désespéré de ta main tu te saisis de mon poignet ... rien n y fait et bien au contraire j accentue ma pression.
Ta jouissance que pourtant tu refusais est là toute proche , mon regard se durci
encore davantage , tu n as tu le sais ... plus aucune échappatoire ...
Et déjà un premier une première secousse non contrôlée semble comme s' échapper de ton corps ... un premier jet puissant sort de ton bas ventre telle une explosion ... je vois dans ton regard que cette fois-ci tu n es plus avec moi ..... tu es partie dans ton monde de jouissance ...
Tes jets tous plus puissant les uns que les autres sortent sans plus aucune retenue maintenant , ton corps sursaute à tout va et je dois te maintenir fermement pour t éviter de tomber.
Nous restons ainsi de longues minutes jusqu à ce que ton corps se calme , que tu retrouve tes esprits ... puis je sort mes doigts remplis , imbibés de ta mouille si abondante et te les tend à lécher.
De tes yeux grands ouverts je vois comme un refus de ta part .... non pas ici ... non il y a du monde autour ...non les gens vont le voir .. mais avant que tu ne puisses objecter d un ton sans appel je te lance un Lèche !!.
Tu t exécutes car tu le sais je ne cèderai pas , presque timidement un à un tu prends mes doigts en bouche , les aspire , les lèches ... pour te punir je retourne mettre ma main dans ton sexe encore trempé et de mon seul regard t ordonne de me les lécher à nouveau , ce que cette fois tu fais sans rechigner.
Une fois mes doigts nettoyés de ta mouille je me saisis de ton visage , et comme pour te remercier de t' être laisser aller je t embrasse longuement.
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6 - Sixième et dernière Partie
Je me redresse soudainement pour me rapprocher de ce corps majestueux, pantalon noir et chemise blanche dont je lui fais sentir la présence comme pour souligner la dissymétrie de nos situations.
Je reprends mes insinuantes explorations qui approchent du pubis tandis que corde et corps se tendent plus irrésistiblement.
Voilà qu’elle fait mine de vouloir se libérer alors qu’une caresse se précise à l’intérieur de ses cuisses tendres et fermes.
« Allons, allons, Madame, en cet endroit que j’aime tant, voilà que je sens une chose bien inhabituelle ! Mais qu’est-ce donc qui orne ainsi votre intérieur et qui donne à votre sexe comme une étonnante proéminence, voire même, me semble-t-il, un peu plus de votre odorante et humide chaleur ?! ».
« Ma belle, je vous le donne en mille, c’est une corde qui vous partage ainsi les chairs et les offre plus commodément à ma main ! ».
Ma main, justement commence alors une caresse qu’elle accueille en rejetant la tête en arrière, tendant ses liens comme étourdie, ouvrant la bouche pour prendre un peu d’air, chancelante, désorientée.
Je ralentis alors tout en chuchotant « doucement, oh, doucement, ne croyez pas en être quitte ainsi. Ce serait trop simple et comment pouvez-vous imaginer que j’aie encore pu trouver tout mon contentement. Je voudrais d’ailleurs, belle esclave de vos sens que vous puissiez tout à fait vous contempler dans cet avantageux appareil avant que ceux-ci ne vous emportent ! ».
Tout son corps frémit à ces mots prononcés avec malice.
Elle ne pouvait ignorer que la tête du lit était ornée d’une vaste glace ancienne, assez piquée pour ôter toute crudité à nos images qu’elle avait si souvent reflétées. Une fois encore elle serait mon alliée.
Je viens me placer en arrière de ma captive, fixant l’image pour ne jamais oublier. Mes mains se posent ensuite sur ses épaules comme pour lui donner une direction puis j’entreprends de dénouer le bandeau.
« Le spectacle est trop beau, Madame, je ne puis vous le cacher plus longtemps … mais … est-il bien raisonnable de vous révéler votre image ainsi domestiquée ?! ».
J’avais maintenant défait le nœud, une main revenant à son sexe qui semblait s’épanouir à chaque nouvelle pression.
J’ôte le bandeau et posant ma tête sur son épaule, je lui offre un sourire bienveillant pour lui faire accueillir son image.
« Regardez-vous ma belle, regardez-vous !! ».
Elle cligne un peu des yeux avant de les agrandir en découvrant son reflet.
« Vous êtes parfaitement impudique dans ces cordes qui vous exposent ! ».
D’une main j’enserre la nuque, immobilisant sa tête dans l’axe du miroir. Entre ses jambes, la course de mes doigts s’est faite plus onctueuse, plus intense, plus impérieuse.
Elle rejette une dernière fois la tête en arrière, soudainement saisie d’un plaisir d’une intensité différente.
Je recueille un dernier râle en lui chuchotant sévèrement : « Madame, c’est trop, si vous continuez, je vais vous bâillonner ».
Elle n’eut pas le temps de retrouver son reflet au-delà du plaisir. J’avais dénoué les nœuds qui l’enserraient, prestement délié les poignets, l’allongeant sur le lit, la corde encore nouée autour des hanches.
« Je vais vous prendre quelque peu de temps … un tout petit peu, un tout petit peu ! » chuchotant ces derniers mots à son oreille ainsi qu’elle aimait faire quand elle voulait que je vienne en elle ....!
Eh oui, Fin !! Oeuvre datée qui pourrait être éventuellement et le cas échéant, voire vraisemblablement, être suivie de textes beaucoup plus salés/ poivrés, traduisant l'inéluctable basculement de l'auteur dans le péché et la perversion !! Je vous avais dit que ce srait un monti ... cul accouchant d'une souris !!
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3 - Suite ....
Eh bien, Chère Madame, ceci pourra vous étonner - et mon « vous » cette fois, se voulait plus distant et presque doctoral pour masquer l’hésitation - sachez que je nourris un culte particulier pour ce que les anglo-saxons ont dénommé « les femmes en détresse », beautés toujours sculpturales, longues jambes au galbe parfait, pied vertigineusement cambré, buste orgueilleux, port altier qui contraste avec l’infortune du moment et leurs yeux égarés.
L’œil quant à lui, restait interrogatif mais dans sa lueur, un encouragement à parachever …
Ces pauvres créatures, chichement vêtues de minces dessous ou ornées de tenues plus étudiées, ont en effet le point commun d’être tourmentées de sévices indolores, entravées dans toutes sortes de positions dont certaines fort improbables.
Cette introduction passée, je racontais mon premier contact avec ces images ; leur immédiate impression dans mon esprit qui m’avait d’abord déconcerté.
C’étaient des vacances adolescentes sur la Côte Basque, l’ennui et une revue empruntée à un campeur du champ voisin.
Au cœur de l’ouvrage, un dossier était consacré aux insondables passions crayonnées ou photographiques d’auteurs de l’entre ou de l’après-guerre, uniquement connus de quelques amateurs qu’on dira éclairés.
Etaient ainsi exposées, hiératiques, quelques-unes des « femmes » de John Willie ou de Stanton que je reconnaîtrais bientôt pour mes plus talentueux parmi ces metteurs en scène d’une spécialité, baptisée « bondage » en anglais, art du lien dirais-je en français, pensant également au Japon où on semble nourrir un intérêt frénétique pour ce loisir particulier.
Une première étape sur le chemin d’une succession de vertigineux vices libertins que je découvrirai ensuite.
A grand regrets, j’avais restitué la revue. Les filles de papier étaient pour jamais entrées dans le champ du conscient.
A la faveur des années, j’avais toujours saisi les occasions d’enrichir ma culture et mes collections. Régulièrement, je bravais le regard des vendeuses, les commentaires amusés ou égrillards des libraires, affectant de payer mes emplettes fiévreuses avec le détachement d’un ethnologue …
Avec son « Plusieurs Possibilités » ou sa « Gwendoline », Willie restait définitivement mon auteur favori …
Toujours curieuse de tout, ma belle s’était décidément montré intéressée et je m’étais livré d’autant plus aisément au récit que je n’étais pas tant inquiet du résultat.
Elle déclara bientôt sa curiosité satisfaite, me demanda si j’avais essayé et n’écoutant pas la réponse, m’informa ensuite que pour sa part, elle avait réalisé un fantasme en s’abandonnant aux instances pressantes d’une jeune femme. Je la reconnus bien là, avide de tout connaître, traquant le plaisir avec constance ce qui n’était pas la dernière de mes raisons pour l’aimer.
Je me rappelais la d’abord timide jeune femme de notre première nuit et du contraste de sous-vêtements de velours grenat qui évoquaient la courtisane.
Elle aimait à dire que je lui avais révélé son impudeur, ce que j’avais reçu comme un indicible titre de gloire.
Pour son édification, je lui promettais pour bientôt la communication d’un de ces ouvrages licencieux, blottis dans le super-enfer de ma bibliothèque.
A Suivre ....
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Suite ...
Sous le voluptueux baiser qui ponctue ma déclaration, un bref et encourageant tressaillement est l’unique réponse de ma belle prisonnière !
Elle attendait maintenant, avantageusement offerte sous la tension symétrique de la corde, par la force des choses totalement immobile.
Avec délectation, je détaillais un instant le charme insolite de son mince vêtement.
D’où donc était venue la conversation qui nous engageait aujourd’hui à ce jeu sans innocence ?
Oui, je me souviens, c’était un soir où nous avions précipitamment quitté un film bavard pour regagner l’hôtel qui abritait, bienveillant, nos amours illicites.
Y-avait-il une seule chambre qui n’ait été le témoin des grandes brassées de plaisir qu’on s’ingéniait corps et âmes à donner.
Entre deux joutes âpres et douces, peaux attiédies, s’engageaient mille conversations, tendres ou sérieuses, tantôt encouragées, tantôt interrompues de longs baisers, soulignées de caresses nonchalantes. Parfois aussi, c’était le temps des onguents, huiles parfumées glissant sur le corps sous la chaleur des mains caressantes avant que de redevenir insinuantes.
Sans lien avec aucune des phrases précédentes, une question était venue, soudaine et songeuse : « As-tu un fantasme particulier !? ».
Quelques instants je restais interdit.
L’œil était aussi impérieux que gourmand. Il s’agissait donc d’apporter réponse complète et autre que dilatoire !
Bref temps, regard, inspiration …
A suivre, suivi et commenté, je l'espère ...
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Depuis si longtemps ancrée en moi
Me créant de fait tant d' émois
De t' exprimer souvent tu le fais
mais toujours de manière vraie
Au travers de mes faits si plaisants
Mais surtout de mes actes bien pensants
De te manifester souvent tu le fais
Lorsque action de pratiques point ne m' effraie
Que j aime à m'exprimer ainsi
donnant de fait un sens à ma vie
D' aimer te fesser si durement
Pour sur , point je ne te ment
Que dire lorsque de mon bon vouloir
Je t' inflige ceci, tel est mon bon pouvoir
DE t entendre crier
Je ne peux m' en lasser
Que se soit de plaisir
Voir autre je ne demande qu' approfondir
Mais de te voir le regard suppliant
Je sais que dorénavant plus rien ne sera comme avant
Au travers de tes yeux s' échappe déjà
Quelques larmes que tu ne retiendras pas
De tortionnaire je n' en ai pas l' âme
Je le jure et tout haut le proclame
Pour moi seul compte ton plaisir
Dont mon seul but est d' assouvir
Expérimentant sans cesse
J' en ai acquis une certaine adresse
De notre plaisir commun
il serait plutôt inopportun
D' en parler autour de soi
Sans créer plein d' effroi
Il serait bien malvenu
Surtout si les gens en savaient le contenu
Entre nous soit dit qu' il est jouissif
De pouvoir être aussi imaginatif
Point de routine entre nous
Que j' aime à me comporter tel le loup garou
D' entendre enfin ton merci
jamais je ne serai endurci
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“It smells like teen spirit.”
Nirvana est à son apogée, et j’observe amusé Kurt Cobain préparer gentiment son joli naufrage. Il est si beau lorsqu’il est incapable de jouer. Thurston Moore prend la guitare. Quelle classe cet enculé ! Kurt chante, éructe et vomis son héroïne sur scène. Vas-y Kurt, c’est ça qu’on est venu voir ! On est tous venu vomir sur les vainqueurs. Les vrais héros, c’est nous, les loosers ! Saignes toi! Je veux m’abreuver à tes veines!
Je fantasme plein tube sur Kim Gordon, cette salope me fait bander comme un taureau. Son chant vient des enfers et me propulse au paradis. Je l’observe, elle branle sa basse lentement du bout de sa main gauche et martyrise sans complexe de sa main droite les cordes énormes et tendues d’où rugissent les mélopées souterraines de quelques moines guerriers. Kron. Le secret de l’acier.
Arrêtes de me faire languir putain lubrique, chienne! Viens mouiller sur le devant de la scène et pisse ton flot d’obscénité sur moi ! Masturbes toi sur mon corps! Et détruit moi à grand coup de basse dans les couilles.
J’ai toujours été sensible aux vibrations. Kim émets des vibrations lentes, sourdes, basses et puissantes. Quelqu’un aurait pu croire qu’elles étaient comme des coups de poings dans le ventre. J’ai énormément de chance d’être aussi déséquilibré, d’être une peu pervers, je ressens cela comme des claques données sur le gland, la bite enchâssée dans des griffes prédatrices, fortes, qui maintiennent sans pitié le jus rouge et épais prisonnier dans une extrémité violette sombre.
Ce concert est une érection douloureuse ! Un grand concert ! Le meilleur...
C’est à ça que je reconnais le vrai esprit du rock, la bonne musique … Une onde, une transe, une transe sexuelle… A chaque musique sa sensualité, son emprise et sa qualité d’érection. Sans quoi, il ne s’agit pas de musique. Vous qui écoutez avec vos oreilles bien propres… Vous vous trompez d’organe. Et de coton tige.
Le son de Sonic Youth me la rend dure, insupportablement dure et… durablement Rock-solid, baby ! Une vraie expansion de la bite. Mystique. Gnostique. De la famille des vampires ! Elle arrache mon sang du cœur, pompe à contre sens. Elle vide l’oxygène du cerveau, me donne des vertiges et des crampes, elle tétanise mes muscles. Et gonfle mes veines jusqu'à la limite de résistance. Siphonne moi! Mon sexe est brûlant, tyrannique, boursouflé de racines palpitantes, bleues foncées sur fond rouge profond. Si profond...Bander en direction de l’univers profond. Une érection vivante, de celle qui se rebelle et tend les abducteurs, à cet endroit ou l’intérieur de la jambe rejoint le pubis. Cet endroit si particulier… je me demande si ces muscles là seraient assez puissants pour me désintégrer de l’intérieur.
Fred aussi est hypnotisé par le concert. En tant que guitariste. Un grand guitariste. Fred c’est le seul ami qui me reste dans le monde « normal », celui ou les aiguilles ne nourrissent pas les plaies purulentes, ouvertes comme de petits volcans, semblables à des anus usés, équipé de prolapsus. Pas moi, mes blessures sont plus profondes et plus précieuses. . La monotonie m’ennuie, je change de drogue aussi souvent que possible… Ou je mélange des trucs avec des machins… Je suis un seigneur de la toxicomanie. Quand je vais pisser, la rivière devient jaune fluo et les poissons crèvent.
SwimSuit issue :
Un monde étrange que celui des non-tox. Des couleurs agressives et grossières, des odeurs beuuuurrrk, tout est si irréel … Un monde propre sur lui. Pas assez malade pour être honnête. Le monde des gagnants mesquins et inconscients. Je préfère fuir ces gens. Ils sont dangereux.
Et je veux être observé moisissant sur pied, pourrissant de l’intérieur, zombifié, puant de sueur et de vieux sperme. Comme un symptôme dérangeant pour les braves gens, les bien-pensants… Une gastro dans cette belle société ! Pas de doute, je mène une révolution.
Kim, simple, irréprochable, souriante et vaporeuse m’apparaît… Aphrodite.
Un cri me monte. Un cri sourd et rauque…
J’hurle à Fred qui tend l’oreille « -Je vais aller m'enchaîner à ses pieds »
« -Heiiiin ? »
« -Je vais chercher de la bière… »
Et merde encore un orgasme ruiné !
Je suis froid comme la glace. Envahit par les ténèbres. Il n’y a plus rien de moi. Rien qu’un gouffre froid. Si affreusement vide. Tout a été absorbé.
Peu m’importe. Je sais avec quoi le remplir.
J’ai bien d’autres maîtresses tout aussi perverses que toi Kim.
Continue de chanter… Je t’en supplie…
Je pleure comme un bébé.
C’est un bébé qui pleure en moi.
“ Ta gueule petit con ! Ferme ta putain de gueule!”
Bahhh, pleure si tu veux! Ça ne durera pas. Ce soir va falloir faire avec un barbiturique petit, et quelques litres de bière… C’est ma tournée. Allez, calme toi je t’emmène surfer sur les nuages.
Je veux mourir.
Ça va passer.
Pratique la grand-mère cinglée. Tout le monde crois qu’elle est devenue frappée après une chute. Moi non. Moi je sais! 11 ans de pur bonheur! Je lui dois tellement de douleur! Vieille folle! Tu n’as pas eut ma peau! Regarde comment j’ai digéré ce que tu m’as fait! Je l’ai sublimé, transcendé ! Si j’avais été plus grand tu n’aurais pas pu me transformer. Et tu n’aurais pas recommencé avec mon frère. Si j’avais été plus grand je t’aurais déchiqueté la gorge avec mes dents.
Enfin… Puisque que t’es vivante, y’aura jamais de vraie pénurie. Au moins tu sers à quelque chose. Ils sont forts ces enculés de chimistes, t’as de la chance la vieille. Les gens ne savent pas comment apprécier les bonnes choses. Les tox non plus. Je ne suis pas un puriste. Je préfère Sonic Youth au punk. Tellement plus sophistiqué.
Kim, je serai bientôt totalement disponible aux ondes étranges de ton océan. Je me coule dans ta musique. Ta voix est si abrasive. Ton amant est si doux...la guitare de Thurston. Dis moi , Êtes-vous amant? Faites-vous l’amour ? Ce serait triste que vous ne le fassiez pas. Je vous aime si fort.
Je flotte. Mon corps ne pèse plus rien. La musique m’envahit d’une nouvelle façon. Bien plus pénétrante. Au delà de tout orgasme, au delà des sens et de la raison. Au delà de la vie, c’est une mer d’énergie qui se déchaîne, une convulsion, une contraction, une explosion puissante et totale. Une déflagration qui embrase le vide et ouvre un univers si vaste. Plus fort que d’éjaculer. Être l’éjaculation. Peu importe ce corps qui ondule vaguement en bavant. Il m’est parfaitement inutile. Je sais comment vous jouissez, je le sais de l’intérieur. Je coule dans votre matrice chaude et humide. Un peu noir, beaucoup noir. Trou noir. Bye bye conscience. Vole mon ami et à demain matin.
Merde! C’est déjà demain. Saloperie de soleil. Ça me brûle les yeux, je ne sais pas ou je me trouve, Il fait chaud dans mon Perfecto, je nage dedans, c’est visqueux.. Et ça pue. Ma vieille peau de bête noire. J’ai mal un peu partout. J’ai encore du aller emmerder un gros balaise. Je ne peux pas bailler. Trop douloureux. Putain de mâchoire. Rendors-toi ducon!
17 H 00.
“-Bonjour Madame…”
Quel embarras: Je sais ou je suis. C’est bien pire que j’ imaginais. Je suis au squat. Les self-timing … Le squat! La mère de Fred. Je regarde vite fait mon T-shirt. Oulà, mon vieil ami, tu as encore du me sauver d’un sacré merdier. Faut-il que tu m'aimasses drôlement pour prendre ce genre de risques. Pauvre con! T’aurais du me laisser là ou j’étais. Tu vas drôlement avoir à t’expliquer. T’en as pas un peu marre de jouer les super-heros? Tu me sauves la vie depuis la maternelle.
J’ai des croûtes sous le nez. Des croûtes de sang séché. Mon T-Shirt? Un vrai carnage maronnasse. Du sang et du dégueuli...Ça sent la gerbe là dedans. Putain, j’ai pissé dans mon froc.
“Ramènes moi à la vie Madame, suces moi! Nettoies-moi avec ta langue!”
Seules les chèvres ont le droit à ce traitement.
Ma mère me déteste.
On ne peut pas toujours dire ce que l’on pense…
“-Ho… Excusez moi, je n’avais pas vu l’heure.”
Pitoyable!
“-Tu vas bien Aldric?”
Je titube un peu. Aucune saloperie ne me vient à l’esprit.
“Oui Madame, je crois que j’ai eut une soirée un peu agitée.”
Madame Amont, c’est une vraie maman. Elle n’a pas besoin de crier, ni de frapper pour distiller sa désapprobation. C’est relaxant de ne pas avoir à se rebeller. De redevenir tout petit. D’être rééduqué par une vraie mère. Je profite de ma honte. C’est si bon. Toute résistance est inutile. Je suis porté par le parfum de l’amour maternel, suave, total, reposant, rassurant. Une effluve, un murmure inaudible frissonnant au plus profond de capteurs avides. Une note légèrement acide de sueur mature, un rien d’herbe fraîchement coupée avec une petite pointe citronnée… Non , c’est du cassis… Du cassis et de la coriandre. Une réminiscence de … Enfin... d’un je ne sais quoi...qui dit... “Je suis comme je suis”.
Fred, tu sais, je suis si jaloux!
Un regard doux et attristé et hop! Me voilà occupé à regarder mes chaussures! Des docks martins montantes. Dix sept trous. Anglaises. Très viril et très féminin. Lacer ce genre de chaussures est un acte de femme. Un rituel de pinup. Un fétichisme haut de gamme. Je ne le sais pas encore, mais je meurs déjà d’envie de te rencontrer. Comme je brûle de te raconter ça.
“-File te laver! Tu connais la direction.”
“-Merci...Ma...dame”
Elle soupire, les mains sur les hanches. Elle m’aime bien. Je crois qu’elle aimerait un enfant terrible. Son fils est bien trop sage. Pas sa fille… Mais… Chuuuutt … Je suis son confident, son grand frère. Je l’accompagne dans ses soirées, je jette un coup d’oeil. Puis je m’en vais. Et je reviens la chercher… A l’heure. Pour pas que Maman t’engueules soeurette déjantée. Va falloir que tu apprennes à ne pas pétiller des yeux comme ça. Ce que tu as fait est évident.
Je manque de sucre et d’eau. Je vois des petits points blancs partout. Des petites fées m'entraînent dans leur sabbat pour mieux provoquer ma chute. Elles me déphasent, donnent de l’avance à ma vision. Un tunnel de fées qui ne laisse passer que l’âme. C’est beau … et très pénible pour avancer.
Je download le plan, laisse les petites dévergondées danser sur l’écran de mon radar et enclenche le pilote automatique. Un algorithme rodé.
Sortir du squat. Aller terrasse. Attention à la marche. Ouvrir porte. Tout droit. Cuisine. Ouvrir frigo. Prendre bière. Tourner capsule. pshhhhhhiiit. Quart de tour droite. Aller salon. Quart de tour gauche.Couloir. Douche première porte à gauche.
Ouf, je suis arrivé sans incident. Quelle aventure! Dora l’exploratrice est une petite joueuse.
Click. Lumière. Enfin seul. Je n’ai jamais été assez nihiliste ni détruit pour bouder les délices d’une douche bien chaude.C'est un luxe inouï, presque indécent.
Et cette fameuse première gorgée de bière: Les petites bulles, la fraîcheur, cette étrange amertume, une floraison sensuelle censée vous conduire au paradis extatique des petits rien. Une belle foutaise.
Il faut beaucoup d'entraînement pour supporter une bière glacée dans mon état.
C’est vrai que que j’apprécie le violent contraste de cette fraîcheur dans ma bouche. Je me laisse aller au crépitement sur mes papilles engluées par une salive bien trop épaisse. Un feu d’artifice en miniature. Des frizzi pozzi pour les grands. Ça décolle la langue du palais. La vie repend ces droits. L’écoulement magique d’un glacier de l' Himalaya . Mes lèvres se posent sur le goulot étudié de la bouteille. Un baisé de cristal tendre comme la mort sur l'extremité d'un sexe froid, vert et turgescant. J’enfourne violemment le goulot entre mes lèvres. J’ai soif de toi! Je vais te pomper à mort! Je lui extirpe bientôt la moindre goûte de son jus glacial. En une seule fois! Je suce et j'avale! J’ai gagné!
Je suis un grand champion!
Mais non… Pas aujourd’hui. Aujourd’hui je perds le match. Le moral qui flanche.
Bière 1, moi 0.
Dans mon estomac un coup de fouet claque. Pas un de ses jouets pour débutants. Celui qui te lacère!
Je vomis. Enfin non. Je spasme, je convulse, je fibrille, je souffre. J’accouche par la bouche d’un vertige de douleur abdominale, contracture sur contraction. Disjonction. Le sang me monte brutalement à la tête et mon cou se déforme. J’accouche d’un des fameux "petits rien" à la con. Un filet d’acide gastrique ultra concentré. Encore un autre, plus petit. Un tout petit filet de sang. Nom de Dieu, il faut que ça s'arrête! Je crois que mon estomac va se retourner et ressortir entre mes lèvres. Je n’arrive pas à respirer! Hoooo le corps! Y’a rien! Y'a plus rien !Laisse moi respirer! Laisse moi respirer! Arrêtes!
Merde le bébé se venge. Il est teigneux. Il me brûle la gorge et les sinus. Il me fait imploser le bide. On appelle ça le subconscient. Un gosse martyrisé et teigneux qui veux pas fermer sa putain de grande gueule à la con! Il me gerbe dedans cette saloperie.
Délicieuse première et unique gorgée de bière...
Je repousse gentiment le vertige. Fais dodo mon petit vertige, fais dodo petit cachalot.
A chacun sa chanson.
Toutes les douleurs ne sont pas excitantes. Loin s’en faut. Elles ont toutes un point commun cependant. Elles me rendent vivant. Affreusement vivant. Va falloir y remédier au plus vite!
Je dérive, mon esprit est ailleurs, ce corps lui envoie des signaux privés de sens. Je me sens vide. Pas horriblement vide. Pas le genre de vide qui se remplit de douleur. Non, un vide riche et dense de vide. Il me fusionne avec la matière. La matière est poisseuse, je suis poisseux, l'univers est poisseux.
Tout doucement la lumière revient. C'est a dire... Non, elle s'en va. Mon esprit est comme un capteur CCD éclairé jusqu'à la saturation. Le vide n'est pas noir. Il aveuglant.
Le sombre revient peu à peu, je retrouve les contrastes.
Tourner le mitigeur. Chaud, très chaud. Le dragon a froid.
L'eau coule. J'entre tout habillé. Merci, je régénère.
Les gouttes tombent au ralenti. Je sais bien que le bullet-time n'a pas encore été inventé. Tant pis, les effets spéciaux explosent déjà dans ma tête. Je vois les gouttes, elles se rapprochent une à une dans un chaos dont je suis la cible. Parfois ces petites perles d'eau brûlante bondissent. Elles se téléportent et sont mollement absorbées par mes vêtements. Des sapes, des guenilles de plus lourdes, mouillées, puis collants. enfin dégoulinantes. Et je dégouline avec elle. Ma seconde peau. Je dégouline en moi, de plus en plus profondément. Mes yeux se ferment lentement.
Je suis à l'étroit, j'arrache mon t-shirt, mon jean tombe. Je mue. Enfin je suis nu. Je me laisse aller au contact froid du carrelage sur mon dos...Un frisson me parcours la colonne vertébrale, il grimpe une par une les marches de mes vertèbres. Le bout de l’ongle… Un doigt léger et exigeant qui me parcours avide. Jusqu'à la nuque. Cette petite partie creuse a l'arrière, là, juste à la base du crane, lorsqu'elle frisonne,elle provoque un petit orage de picotements à l'interface de la peau. Des petites étincelles de pur plaisir frémissent à ma surface. Un feu doux s'allume dans le bas ventre, il papillonne. Mon abdomen... petite boule de jouissance interne, feu de bois qui crépite, jette des flammèches et allume d'autre incendies.
Les yeux, ces yeux sont presque clos et je distingue un rêve étoilé de raies de lumière jaune. Cette main qui m'effleure le sexe, cette main ne peux être la mienne. Elle est si douce. Hoooo je jouie enfin. J’explose en toi. Totalement. De ton mon coeur, de toute mon âme, de mon ventre et de ma bite enfin libérée de l’angoisse. Je me vide dans ton invitation au bonheur. C’est si bon. Si puissant.
Combien de temps encore devrais-je t’attendre?
Je me sens si bien.
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Cela faisait déjà plusieurs semaines, que je l’avais repérée au restaurant d’entreprise. Un joli visage, des cheveux coupés courts à la garçonne, des longues jambes et de jolies formes qu’elle mettait en valeur par des tenues parfois un peu seyantes. Tout cela avait attiré mon attention mais c’était surtout ce mélange d’assurance et d’air un peu altier qui m’interpellait …
Parfois au détour d’un couloir, nous nous croisions: un sourire, en même temps qu’un rapide et banal bonjour étaient nos seuls échanges.
L’envie de la connaitre mieux me trottait dans la tête mais comment l’aborder? Comment rentrer en contact avec elle alors que nous n’avions aucune relation professionnelle?
L’idée de lui envoyer un mail me vint, mais quoi lui dire? Que raconter?
Le mail que j’écrivais me surpris moi-même. Il était intitulé «Audace»
«De l’audace vous en avez eu en portant ce joli short accompagné de ces très belles bottes ces derniers jours.
Mais parfois il en faut plus pour arborer des choses bien moins visibles.
En aurez-vous suffisamment pour orner votre cou d’un joli et discret ruban ? ».
Les jours qui suivirent, j’attendais l’heure du repas avec impatience mais pas de ruban, pas plus qu’un quelconque changement dans son attitude, ni aucune réponse à mon mail.
Après 3 semaines, je pensais que mon message était tombé dans l’oubli et renonçait à me rapprocher d’elle lorsqu’elle apparut au restaurant un foulard, très fin, ceint autour du cou. En portant son plateau, je voyais son regard parcourir la salle comme si elle cherchait quelque chose alors que d’habitude elle passait hautaine et distante de ce qui l’entourait.
Bien sûr mon cœur ne fit qu’un tour mais était-ce réellement mon mail qui l’avait incité à porter ce foulard ? J’avais évoqué un ruban, pas un foulard …
Le soir je me jetais frénétiquement sur mon PC : elle avait répondu à mon mail …
«Je ne sais à quel jeu vous jouez, ni même quelles sont vos intentions.
C’est la curiosité qui m’a poussé à suivre vos recommandations et j’avoue que je trouve cela plutôt amusant.»
Sa réponse avait bien sûr semé plein d’espoir en moi : amuser une femme était déjà la séduire mais que faire pour poursuivre? Comment lui faire comprendre qui j’étais puisque j’agissais dans l’anonymat?
Mon esprit bouillonnait pour lui répondre, mes doigts parcouraient le clavier presque malgré moi:
«Gaelle,
Merci d’avoir accéder à ma demande, vous étiez charmante avec ce foulard, mais demain un pull, une jupe courte vous iraient à ravir.
Au plaisir de vous admirer.»
Le lendemain, la matinée s’étira à n’en plus finir et c’est avec empressement que je rejoignais le restaurant. Elle apparut habillée comme je le lui avais suggéré et ce fut un immense plaisir de la voir ainsi. Comme la veille, elle sembla chercher du regard dans la foule des gens qui mangeaient, et moi je me délectais de la savoir soucieuse de trouver qui pouvait être l’auteur de ces messages et de ces directives auxquels elle répondait.
Une réponse me parvint le soir:
«J’ai accédé à vos demandes et je trouve cela finalement fort plaisant mais il me parait maintenant plus intéressant de savoir à qui j’ai à faire».
Je m’étonnais moi-même de ma réponse qui fut plutôt sèche.
«Gaelle,
Je ne souhaite pas me faire connaitre maintenant.
Si vous souhaitez un jour me rencontrer, vous devrez faire preuve de patience et montrer de la compréhension dans les demandes que je vous formulerais.
Pour demain, un chemisier et un pantalon seront parfaits».
A ma grande déception, le pantalon et le chemisier ne faisaient pas partis de sa tenue du lendemain.
Pas de message le soir non plus. Ma joie de lui dicter des ordres du début, n’avait d’égal que ma déception qu’elle n’ait pas répondue cette fois-ci à ma demande.
Le lendemain, c’est en pantalon et chemisier qu’elle se présentait au restaurant.
Le soir son mail fut le suivant:
«Monsieur,
Je vous prie de bien vouloir m’excuser de ne pas avoir répondu favorablement à votre demande dès hier. J’ai eu une certaine réticence à exécuter votre directive mais vous avez suscité chez moi tant de curiosité que poursuivre n’est pas pour me déplaire».
«Gaelle,
Je conçois que tu ne sois pas encore habituée à mes exigences et je veux bien passer sur ton caprice d’hier mais sache que si tu t’écartes encore une fois de mes consignes, tu n’entendras plus jamais parler de moi.
Pour demain, un pantalon serré, un chemisier que tu ne boutonneras pas complètement et pas de soutien-gorge».
Le lendemain elle s’exécutait et son décolleté bien ouvert avait dû faire tourner quelques têtes.
J’exultais car c’était pour moi qu’elle faisait tout cela, sur mes demandes, qui plus est sans me connaître. Le pouvoir que je commençais à avoir sur elle me comblait, me fascinait, m’impressionnait moi qui n’était pas forcément quelqu’un ayant l’habitude d’ordonner de la sorte.
«Gaelle,
Une jupe, un haut que tu choisiras toi-même. Avant de te rendre au restaurant, tu passeras aux toilettes retirer ta culotte, tu la mettras dans un petit sac en plastique que tu prendras avec toi pour aller manger. ».
Le midi, elle parut beaucoup moins hautaine que d’habitude, bien moins sûr d’elle, son petit sac à la main … et moi je jubilais d’être le seul à savoir que la belle se promenait devant tout le monde les fesses à l’air.
«Monsieur,
J’ai respecté à la lettre Vos ordres d’hier. Ce fut un plaisir pour moi de le faire pour Vous et maintenant je brûle de Vous connaitre.
Votre dévouée Gaelle»
Le ton de son message me faisait comprendre qu’un lien s’était créé entre nous, qu’une proximité c’était installée, qu’une certaine confiance était placée en moi, sans qu’elle ne me connaisse et cela me bouleversait et en même temps m’effrayait un peu. Comment poursuivre? Qu’attendait-elle de moi en cherchant à me connaitre? Ces questions me déstabilisaient et pourtant je m’apercevais que j’adorais lui donner des ordres, qu’elle y réponde, j’avais quelque part l’impression de la contrôler et cela me donnait une sensation de pouvoir vis-à-vis d’elle mais plus encore une responsabilité: celle de la mener là où elle avait envie que je la mène.
Etait-ce la curiosité qui la poussait à continuer comme elle l’avait laissé entendre? Etait-ce le jeu qui lui plaisait? Je ne saurais le dire mais maintenant il fallait que nous nous rencontrions. Je sentais de plus en plus d’envie à poursuivre le jeu, à imaginer une suite … et je me rendais compte que de l’audace c’est moi qui finissait par en avoir vraiment.
«G.,
J’avoue ne pas apprécier que tu quémandes une rencontre mais il est vrai qu’il est maintenant temps de faire connaissance.
Tu m’attendras ce soir, à 18h30, devant le bar le Voltigeur. Je saurais te reconnaitre.
A. ».
Dix minutes avant l’heure dite, la belle attendait déjà … et elle attendit longtemps car je n’avais pas envie de la rencontrer. Du moins pas encore. Sans me montrer – elle me connaissait de vue – je la regardais, avec un brin d’amusement, s’impatienter, jeter un coup d’œil à sa montre, montrer de l’agacement, aller et venir devant le bar. Elle attendit plus d’une heure avant de repartir, l’air dépité, non sans avoir regardé une dernière fois derrière elle.
Je me précipitais sur mon PC avant qu’elle ne soit rentrée.
«G.
Je sais que tu m’as vainement attendu ce soir mais sache que si tu souhaites poursuivre dans cette voie, il te faudra parfois faire face à des situations qui ne te seront pas toujours agréables au premier abord.
Demain, tu te rendras au Sofitel à 19h00, j’y ai réservé une chambre au nom de M. Oget. Sur le lit tu trouveras un bandeau que tu placeras sur tes yeux et tu m’attendras.
A.»
J’attendais dans ma voiture sur le parking jusqu’à 19h00 … mais personne.
Quinze minutes s’était écoulées et j’imaginais que le lapin que je lui avais posé hier, avait peut-être refroidi son ardeur à me rencontrer, quand je la vis sortir précipitamment de sa voiture et s’engouffrer dans l’entrée de l’hôtel. J’allais moi aussi la faire patienter un peu et ce n’est que vers 19h30 que je rejoignais la chambre. J’ouvris doucement la porte. Elle était là, devant moi, debout, le bandeau sur les yeux.
Comment une aussi jolie femme qu’elle, pouvait s’en remettre à quelqu’un, sans l’avoir vu une seule fois? J’étais certes un peu décontenancé par la situation que j’avais moi-même initiée, mais en même temps je finissais par me convaincre que ce que je lui avais proposé jusque-là était finalement ce qu’elle attendait.
Sans un mot, je fis le tour de la belle comme on fait le tour du propriétaire. Elle essaya un peu de me suivre de la tête comme si elle pouvait me voir. Je voyais sa poitrine se soulever, sa respiration s’accélérer. Je posais doucement ma main sur sa nuque et sa tête se pencha en avant comme pour me montrer que désormais elle était mienne.
... Fin
… ou début …
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Lui :
A chaque fois qu’il rejoignait Bergamote, il s’y rendait à moto. Ainsi il combinait les plaisirs de conduire cet engin de la sagesse qu’il avait choisi avec maturité pour sa noblesse, sa majesté et la fougue qu’il lui inspirait, à l’image de ce qu’il était, lui, Masterlau.
Il empruntait toujours cette même route qui le conduisait, comme piloté par un désir grandissant, au gré de la ville, de la campagne, de la montagne, de cette longue ligne droite, de cet ultime village jusqu’à cette zone commerciale qui s’achevait par la présence improbable de deux éléphants de taille réelle, en pierre, bizarrement criant de vérité, comme abandonnés là, dans un décor totalement décalé !
A partir de cet endroit, il savait qu’il lui fallait 9 mn environ pour arriver jusqu’à la porte de sa belle, qui, il le devinait, l’attendait d’une impatience qu’elle ne pouvait plus dissimuler…
Cette étape marquait pour lui le moment où il laissait derrière lui sa vie vanille et conventionnelle, pas toujours facile à gérer car chargée d’impondérables, et qu’il laissait le Maître Masterlau sortir de son tréfonds pervers afin de réaliser de nouvelles prouesses pour régaler sa Bergamote.
Ainsi, la puissante machine avalait les derniers kilomètres seule, comme téléguidée, le pilote étant plus automatique que réel acteur de la conduite. Il se préparait mentalement à la surprise du spectacle que sa douce n’avait sans doute pas omis de lui soumettre, dans ce goût exquis et raffiné qui l’excitait tant.
Il repensait à tous ces instants magiques déjà partagés ensemble. Il la voyait sourire et adorait la faire rire. Il aimait voir son doux flip et l’imaginer détrempée, ses yeux bleus de soumise prête à asservir. Il revoyait en pensée son regard abandonné livré au plaisir qu’elle prenait sous sa coupe. Il avait hâte de la sentir salope et bourgeoise perdant son latin dans la succession de ses ordres toujours plus pervers, dans son souci d’obéissance absolue…
Ces pensées lubriques provoquaient en lui un désir fort qui tendait son sexe malgré lui mais il laissait faire ainsi la déformation de son pantalon serré par la position sur la selle, symbole de sa virilité dont il était si fier ! Il imaginait ainsi les scénarii qu’il allait lui imposer et peaufinait en pensée la chronologie de ses envies sadiques.
Le dernier rond-point franchi, il n’omettait jamais son clignotant gauche indiquant à tous que c’était bien là qu’il allait chercher sa jouissance extrême. Il faisait alors appel à toute son attention pour franchir, sans risquer un bête accident, ces ultimes mètres.
Dans sa manière de conduire, il avait adopté depuis toujours la technique du double débrayage qui consistait à, alors qu’il baissait les régimes de sa moto, mettre un coup de gaz à la position point mort avant d’enclencher la vitesse suivante. Il adoptait la même technique juste avant d’éteindre le moteur, dans un vrombissement qu’il voulait tel un rugissement, signalant ainsi à sa belle qu’elle allait prendre, et ce, bientôt !
Patiemment, avec technique et sagesse, il parquait toujours son engin en marche arrière, juste là, sous sa fenêtre, de façon à ne pas avoir à effectuer cette manœuvre au moment du départ, tournant ainsi volontairement le dos à sa belle pour éviter de voir ses larmes qu’elle ne pouvait pas retenir et qui lui faisaient tant de mal…
Il descendait de sa moto avec souplesse, toujours du même côté, après s’être assuré qu’elle reposait en tout sécurité sur sa béquille. Il levait la jambe ainsi plus haut qu’il n’aurait fallu, exposant ses belles fesses moulées dans un jean bien coupé qu’il portait à chacun de leur RDV.
Lentement, il retirait ses gants, puis son casque, se tournant alors vers sa fenêtre pour lui faire découvrir son visage grave et sans expression, rangeant ensuite savamment ses gants à l’intérieur du casque, juste avant de retirer la clé du contact.
Il empruntait majestueusement le petit chemin qui menait à l’entrée de la résidence de Sa, évitant de trébucher dans les veines causées par les racines de l’eucalyptus qui soulevaient le béton.
L’entrée le marquait par sa fraîcheur et son odeur de propre, symbole de ces immeubles chics où sa chienne résidait. Comptant presque ses pas, il aurait pu se rendre les yeux bandés jusqu’à cet ascenseur qui le déposerait au quatrième étage, juste à la porte de son paradis éphémère.
Dans la confiance absolue qu’elle lui avait donnée, il disposait de son propre code d’accès qui lui permettait d’entrer sans avoir à formaliser son arrivée autrement.
Il reconnaissait le parfum de sa belle qui flottait délicieusement dans son appartement coquet, il la cherchait des yeux, elle était là, devant lui, désirable et sublime…
Elle :
Bergamote avait égrené les jours, puis les heures et enfin les minutes qui le séparaient des retrouvailles avec Masterlau.
Elle attendait avec une impatience qu’elle n’avait jamais réussi à gérer ces moments de bonheur dont elle avait fait priorité de sa vie.
Il lui laissait depuis longtemps libre choix dans son dresscode, elle connaissait ses goûts, elle faisait avec… Il avait confiance. Il n’avait jamais été déçu, parfois amusé, parfois surpris, il aimait ça, elle le lisait dans son regard !
Ils avaient négocié un consensus qui consistait à les faire se rejoindre, chacun marchant vers l’autre pour érotiser cette première vision. Ainsi, Bergamote, fétichiste de lingerie noire, avait renoncé à bon nombre de ses préférés pour privilégier le moins de tissu possible et obligatoirement blanc, Masterlau la préférant « à poil » -dixit- à l’exception d’un porte-jarretelle blanc, de bas assortis et d’escarpins.
Non seulement il n’était jamais en retard, mais il était systématiquement en avance d’un quart d’heure ! Bergamote avait compris dès leur premier RDV cette petite stratégie qui consistait à la mettre dans une forme de panique. Elle souriait en y repensant et se gardait son quart d’heure supplémentaire à elle, de façon à ne plus jamais être prise au dépourvu…
Il lui avait expliqué par avance le scénario de base, comme un planté de décor d’une première scène et tout ce qu’il attendait d’elle, avec précisions et exigences, tel un Chef d’Orchestre qui brieferait son équipe.
Obéissante, elle avait fait les emplettes nécessaires à la réalisation de ses fantasmes. Elle avait préparé leurs jouets, complices de leurs moments lubriques. Lentement comme pour préparer une messe noire, elle avait nettoyé et installé tous ces petits objets si chers à Masterlau tant il savait les manier avec savoir-faire. Elle salivait d’avance à l’idée de voir une forme de pagaille par la souillure de tous ces engins qui pour certains exigeaient une excitation bien établie des orifices de la soumise….
Elle allait prendre, il venait pour cela, elle le savait ! Elle n’attendait que ça, qu’il la domine, l’attache, la fouette et la baise avec fougue, alternant dans cette forme de rage, caresses et fessées, baisers et frustrations…
Deux jours auparavant, elle avait surveillé son alimentation de façon à réguler par le haut ses selles qui les auraient privés de leur activité anale favorite. Elle avait suivi ses conseils en pratiquant des étirements qui lui permettraient de la manipuler sans la blesser ni lui laisser de séquelles autres que les courbatures relatives à une suractivité physique qui n’allait pas manquer d’arriver !
Elle était soigneusement épilée, peignée et avait apporté une attention particulière à son maquillage qu’elle voulait léger. Son mascara était waterproof prévoyant ainsi des yeux mouillés qu’elle finirait par lui présenter dans sa dévotion, le fard à paupière était dans les teintes blanches ou argentées, selon la couleur des escarpins qu’elle avait choisis, le rouge à lèvres était de couleur clair, dans les roses naturels, le contour étant tracé au crayon fin pour mettre en valeur l’invitation en gorge du sexe de son Maître.
Elle était fraîchement douchée, parfumée légèrement de cette essence démoniaque qu’il aimait tant, ayant renoncé à son Chanel n° 5 favori pour lui être agréable. Elle avait vérifié la qualité de son épilation, quant à extraire un poil rebelle qui aurait pu échapper à la vigilance de son esthéticienne à qui elle était fidèle depuis longtemps.
Elle terminait toujours cette savante préparation dans sa forme rituelle par une retouche de vernis à ongles sur pieds et mains avant de chausser les fins escarpins qu’elle avait élus pour cette séance là, complices érotiques de la pièce qui allait se jouer sous la direction du grand Masterlau.
Pas de musique, beaucoup de lumière pour préparer la scène du premier acte, elle guettait le lever de rideau le cœur battant, les bips du code de sa porte signant les trois coups théâtraux tant attendus…
Ainsi, elle attendait le cœur battant, les mains tremblantes, les pupilles écarquillées, la chatte dégoulinante, les oreilles aux aguets à l’écoute du mugissement de sa belle machine sous sa fenêtre.
Mentalement, elle le voyait, sans jamais le regarder par la fenêtre, effectuer toutes ces manipulations, comme un rituel, de rangement de son matériel de conduite dont il prenait particulièrement soin.
Elle l’imaginait, marchant majestueusement vers son entrée sans jamais accélérer le pas. Elle le devinait patientant en attendant l’ascenseur.
Elle guettait le bruit de la machinerie de l’appareil dont elle connaissait le mode descente puis remontée. Elle entendait parfaitement le bruit de la double porte qui s’ouvrait, puis les bips de sa porte, il était là !!
De sa démarche féline et calme, il posait délicatement ses affaires sur la table, sans jamais rien faire tomber dans une habileté et une assurance qui en disaient long sur sa manière de manipuler avec dextérité.
Il y avait dans son regard, une lueur fugace, digne d’un flash d’appareil photo jetable, qui traduisait sa joie de la retrouver.
Sa lèvre inférieure était gonflée de désir et il maîtrisait son envie de se jeter sur elle, tant il était heureux de la posséder, là, bientôt, à son rythme à lui, selon ses fantasmes pervers…
Elle lui renvoyait, comme un effet miroir, tout son bonheur d’être ainsi sienne, à volonté, sans retenue aucune, ses orifices dardés de désir pour le satisfaire.
Il embaumait délicatement la pièce de son odeur naturelle, savant mélange de sueur et de tabac. Tous les instincts animaux de Bergamote étaient à ce moment en suractivité et rien ne lui échappait…
Jamais un mot, ni un sourire entre eux, à ce moment précis, c’était inutile…
Tout passait par le regard, là, maintenant !
***récit écrit en collaboration avec Masterlau. Merci à Lui***
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D'abord le collier, que tu es venue quémander sur les genoux sitôt la porte franchie. Il te serre bien, il te sied bien, tu le sers bien.
A peine relevée, plaquée d'une main face contre le mur de l'entrée, je t'ai disposée sur cette toile verticale improvisée.
Tête tournée vers la droite, menton vers l'épaule. Cheveux détachés avec l'oreille que tu me présentes bien dégagée. Le bras gauche est contre le mur, levé, main bien à plat, doigts écartés.
Cambre les reins. Non, là tu exagères. Ecarte les cuisses, voilà, de l'écart de tes épaules, pas plus, ça suffit. Ta main droite maintenant, doucement, délicatement, tu la poses près de ton nez, ton petit poing fermé autour du pouce.
Recul: tu es à croquer. Sous mon jean tout est déjà prêt pour l'assaut. Mais la victoire m'étant acquise, pourquoi planter le drapeau sans d'abord parader en terre conquise?
Je m'approche à te frôler. Je sais que tu ressens mon moindre souffle et dans cette position où ton regard est limité, je joue avec les angles morts.
J'ai saisi quelques mèches pour m'en chatouiller les narines. Tu sens le shampoing aux agrumes mais tu n'as pas triché: aucun autre parfum ne vient contrarier celui de ta peau. Ta robe baille aux aisselles, j'y vais fureter pour te humer. Réflexe alors que je ne t'ai pas touché: tu glousses et te contractes… Reprends ta pose!
Puis j'ai suivi du dos de la main gauche la pente serpentine de ta dorsale, depuis le haut de ta nuque jusqu'au bas de tes reins. Piccotis et grésillements d'électricité statique, tandis que de l'index droit je frôle le dessin de ton oreille, à sentir les infimes petits poils qui se hérissent au passage. J'observe tes frémissements, tous les signes incontrôlés de ton plaisir.
Mon petit animal soyeux, ma rosée, ma suppliante lascive clouée par la loi de mon désir!
J'ai pu sentir par l'absence de relief explicite que selon ma consigne tu es bien venue sans soutient pour ta gorge que tu crois trop petite. Sotte! Il est heureux que tes seins soient petits, à l'image de ton menu gabarit, sans quoi ils briseraient ton harmonie. Tu connais mes critères esthétiques, et pourtant, sans l'armature inutile, tu te trouves toujours amoindrie dans ta féminité… Las! Je ne m'épuiserai pas à te démontrer que seul compte le jugement de mes yeux: à force de te voir à travers eux, tu finiras par t'accepter.
Maintenant, je dévale en rappel, pouce et doigts à tour de rôle, la panière de tes fesses. Lorsqu'à mi-cuisse je glisse sur ta peau, je repars en sens inverse, passant sous le rideau de ta robe, et ma main sûre ouvre son chemin jusqu'à trouver la grotte derrière la cascade. Pas de culotte. Et tu ruisselles un peu… Excellent! Tu as donc réussi cet autre défi, toi si pudique rien qu'à l'idée de prendre les transports en commun les jambes à l'air, alors, la fente offerte à la brise!!
Je suis fier de toi. Ta moiteur témoigne en retour de ton émotion et je prends acte de ce don de joie en rapportant ce butin à l'abri de mes lèvres… Ton goût… Partage d'un silence chargé et magnétique, instant de convergence. L'orage couve, on le sait. Tu ne maitrises pas tes micro gestes d'ajustement et je vois bien à tes épaules qui tressaillent que tu espères haletante le premier coup de tonnerre!
Vicieux je joue avec tes nerfs. La bouche ronde, je souffle sur le côté de ton cou. En remontant vers l'oreille déjà éveillée, je trace une voie de frissons comme un laser trouant l'espace…
Ma parole, l'effet est ouragan, tes genoux sont limite de lâcher, je n'ai que le temps d'un réflexe pour me coller à toi, sinon tu dégoulinerais en flaque! Et en effet, tu es toute molle, comme engourdie, quand saisissant tes poignets et les croisant dans ton dos je me décide à te désincruster du mur.
Depuis, dans cette entrée sans âme, chaque fois que j'y passe, d'une caresse languide, je repeins ta silhouette à jamais gravée dans ma mémoire. Les murs n'ont parfois pas que des oreilles...
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La mer son lieu de prédilection
Qu'il fasse beau ou pas la mer lui viens en tête à chaque fois
Le plaisir d'être bercé par les vagues
La mer qui ne le quittera pas et qu'il ne quittera pas
Nuit après nuit il pense à elle...Sa mer
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2ème partie
Pour commencer, Vous allez enfin pouvoir utiliser ce matériel de Domination que vous connaissez bien. D’une main hésitante vous ouvrez la malle et sortez une variété de pinces, quelques godes, et les fouets, cravaches et paddles que vous préférez. Votre main devient soudainement plus assurée……
Les coups de fouet claquent, doucement au début. Votre maitre vous encourage. Une retenue touchante reste dans votre geste. Ce ne sont pas vos gémissements de douleur, ce sont les miens, ceux de votre soumis. Cela vous déconcerte. Vous hésitez, vous connaissez cette douleur, elle est vive, mais tellement intense et absolue. C’est un tel cadeau à offrir à son Maître.
Vous vous ressaisissez, c’est le désir de votre Maitre. Le fouet claque un peu plus fort, les cris de votre esclave résonnent à vos oreilles. L’atmosphère change….
Vous vous sentez bien dans cette superbe tenue de cuir rouge clouté que votre maître vous a demandé de porter. Votre slave est bien attaché sur sa croix. Vous vous approchez …très près, lascive, l’esclave se détend, vous l’excitez tellement. Vous vous collez à lui, vous ondulez contre lui, puis de plus en plus fort. Les pointes de métal de votre robe lacèrent sa peau, il ne peut retenir des cris… cela dure…
Une chaleur intense saisie votre bas ventre. Vous vous approchez de son visage à le frôler, avec un petit sourire cruel et croquez durement sa lèvre avec gourmandise. L’onde de plaisir vous submerge, les préliminaires sont bien finis. Cette esclave va s’offrir à vous totalement, il vous fera entièrement cadeau de son corps, de sa douleur, il sera votre jouet et vous allez en profitez comme jamais… (à suivre)
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Bonjour à tous, c'est une belle histoire mélange de fantasme et de vécu, avec des personnages de fiction et des personnages réels que j'ai partagé avec un couple BDSM et que j'ai envie de vous faire partager.
Chapitre 1
1ère partie
C’est d’abord sous le contrôle et pour satisfaire votre Maître que vous accepterez de dominer, c’est son plaisir que vous chercherez en vous appliquant à être une Domina parfaite. Le risque (mais est ce un risque ?), c’est de traverser le miroir, et de rencontrer cette jouissance de la Domination. Les instructions de votre Maître seront précises, il vous accompagnera à chaque étape. Je serai votre soumis, dès le premier regard, la première posture, l’atmosphère fétish sombre et inquiétante, vous imposez votre pouvoir vous êtes LA Domina. Quelques gestes suffisent : un claquement de doigt, une gifle, quelques claquements de cravaches…. Votre maître vous guidera. Des paroles pour montrer votre supériorité sur le slave : quelques ordres, des insultes, le verbe mettra la tension nécessaire. Ce slave qui traîne à vos pieds, Il faut maintenant rendre plus présentable : quelle tenue lui imposerez-vous ? Répondez au désir fétichisme de votre maître, c’est aussi votre propre désir : gainé de latex ou de vinyle…, en tenue de cuir avec sangles et harnais… bottes ou chaussures, avec des talons ou sans talons, ou bien vous opterez pour une tenue de servante que vous vous réjouirez de féminiser selon vos envies les plus inavouables. Votre soumis(e?) est bien en main, il est maintenant présentable. Votre maître est content de vous, il vous récompense et vous permet d’aller plus loin avec votre nouveau jouet. Il peut enfin vous servir : Slave Boy, pute, animal de compagnie,… vous allez oser aller au bout de vos envies…. vos exigences sont sans limites,….… (à suivre et à bientôt !)
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Le début de soirée est plus calme qu'à l'accoutume... Rien à préparer ou presque... Dehors, il tombe des cordes et demain matin, le réveil est bâillonné.
Alors que le repas est pratiquement prêt, Il invite sa Douce à prendre l'apéro avec Lui. Moment agréable qu'ils ne peuvent savourer tous les jours à cause du rythme effréné, mais ils le dégustent avec plaisir...
Sur le point de mettre la table, Il se léve et pose ses mains autour du cou de son Coeur. Joignant le geste à la parole
«A partir de maintenant, tu es ma soumise jusqu'à ce que je te retire ce collier»
- Non!
- Inutile de te débattre, c'est ainsi ou tu t'en prends une.
- Non!»
Elle se débat, mais deux violentes frappes s'abattent sur ses fesses. Il se surprend presqu'à les avoir envoyées aussi fortes, mais il existe un Mot pour arrêter.... le reste, c'est de la rébellion.
Une fois calmée, Il enchaine
«Je te veux en tenue, jupe et tes bracelets.»
Pas un mot ne sort tandis qu'elle va chercher ses affaires...
A son retour, elle est comme Il veut, ravissante, même si elle n'est pas tout à fait à l'aise.
Pendant qu'Il lui enfile les bracelets aux poignets et aux chevilles, Il lui détaille le programme à venir et s'assied à table.
En la menottant les mains devant, Il lui ordonnede Le servir et la laisse s'aloigner dans la cuisine.
A son retour, Il l'attend, mais ne fait rien pendant qu'elle pose l'assiette devant Lui. Puis, elle pose la sienne sur une chaise qu'Il lui désigne, à sa droite et mange ainsi à genoux.
Des caresses lui sont posées sur sa tête, elle répond docilement...
Le plat suivant est différent. Il l'attend, cravache à la main. Il l'arrête.
Elle a toujours les assiettes en main quand Il lui soulève sa jupe. Du bout de la cravache, Il lui donne une petite frappe sèche sur la cuisse, puis une autre et une autre sur le sexe. Chaque frappe la fait sursauter plus ou moins discrètement suivant la puissance de la cravache.
Par ses sautillements et ses plaintes de douleur, elle L'excite, bien plus vite qu'Il ne l'avait envisagé, mais Il continue.
Quand le rouge clair s'installe sur ses cuisses, Il la laisse servir et poursuivre le repas avec Lui.
Pas une plainte n'est émise, juste des gémissements de plaisir quand Il la caresse entre 2 fourchettes.
Il sent que quelque chose cloche, Il ne la sent pas aussi libre que d'habitude. Aussi, Lui commande-t-il d'apporter la suite.
Quand elle revient, Il l'attend avec des cordes.
«C'est Moi que tu dois regarder et veiller à ce que tout se passe bien. Concentre-toi sur Moi, et uniquement Moi. Tout se passera bien et au mieux si tu ne considères que Moi.»
A ces mots, Il la ligote rapidement et la fait poser sur la table, exposée, offerte à sa vue, bandée et bâillonnée. Il déguste ainsi la suite de son repas avec le meilleur ornement de table qu'Il puisse avoir, sa soumise. Docilement, elle se laisse admirer. Elle est magnifique, les cordes mettent en valeur tout son corps qu'Il a hâte d'en jouir....
«Passons au dessert!»
Il la fait descendre de la table et, en lui retirant sa jupe, lui murmure:
«Je veux mon dessert à point, prépare-toi»
Il lui laisse les mains menottées et la fait asseoir dans le canapé. Ses mains guident les siennes vers sa chatte qui manifestement a aussi faim de dessert...
Puis s'installant devant elle,
« Je te regarde, applique-toi et tu auras une récompense...»
Ses doigts s'agitent aussitôt sur un sexe en manque et des gémissements se font entendre. Plutot discrets, ils deviennent de plus en plus insistant, mais ce n'est pas assez. Un coup de martinet lui ordonne de donner plus de vigueur à cette masturbation. Un deuxième s'abat pour lâcher un cri à travers le bâillon.
Ce n'est toujours pas assez. Sa soumise peut mieux faire et c'est une pince qui est posée sur un sein juste après un autre claquement, puis un autre et une pince est apposé sur l'autre sein …
«Jouis pour Moi, c'est trop long! Tu devrais déjà être en train de voyager!»
La pluie de coups de martinet reprend de plus belle et des claque s'abattent sur les seins.
Soudain, elle se crispe d'une force incroyable en lâchant un râle de plaisir que le baillon ne peut bloquer. Son corps ondule par violent a coups, torturé par le puissant orgasme qu'elle vient de déclencher en elle.
Sans attendre qu'elle en soit totalement remise, Il la retourne et se place derrière elle pour la saisir brutalement. Son sexe déjà durement raide disparaît en elle d'un coup, mais les puissants aller-retours qu'Il lui fait subir ont immédiatement raison de son Plaisir et d'autres orgasmes suivent aussitôt. Elle perd pied et tout contrôle tandis qu'Il la prend en possession. S'aidant des cordes pour mieux se loger profondément en elle, Il ne retient pas non plus des soupirs de plaisir, accompagné par ceux de sa soumise...
Enfin, Son corps se met aussitôt à entrer en transe pour se crisper soudainement violemment. Ca n'en finit plus, tous Ses muscles ne veulent se relâcher suite à ce fabuleux orgasme....
Puis, se retirant doucement, Il la libère de ses contraintes et, avant de la débâillonner, Il lui glisse:
«Ce soir, on est club. Tu auras ton collier.»
Le ton est donné...
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Il n’y a pas ces blancs, ces rires nerveux, ces trucs débiles que l'on fait quand on se rencontre pour la première fois. Il y a seulement deux corps qui se découvrent et deux âmes qui se retrouvent. Des mains qui se perdent, des regards qui s’accrochent et des baisers qui s’enflamment…
Il y a aussi la douceur du bout de tes doigts, celle du bout de ton nez, la chaleur de ton ventre, le contact soyeux de tes cheveux… La douceur aussi de tes gestes, de tes mots et du regard que tu portes sur moi.
La beauté et la bienveillance de ta manière d’attacher, quand je suis assise et que je te sens, collé à mon dos, contre moi… Ton nez qui se frotte sur ma joue, tes cordes qui glissent le long de ma cheville, de mes seins et d’ailleurs… Cette façon que tu as d’alterner le chaud et le froid, pour finalement créer le plaisir, le vrai, qui prend possession du corps et qui devient difficilement contrôlable.
Ces gestes d’une grande tendresse, cette empathie rare et précieuse… Ces sourires, ces yeux qui pétillent…
Quand tu m'attaches, j'ai l'impression que tu me protèges. J'ai l'impression que tu me berces de ton aura bienveillante... Il n'y a pas de mots... Juste tes mains, ton corps tout entier, et tes cordes. Quand je sens tes cils frôler mon visage... Ton menton qui se frotte à moi... Ces précautions, cet apaisement mutuel... J'ouvre la bouche et expire un grand coup. J'ouvre aussi les yeux : tu me souris, je te souris aussi. Je plane, putain... Je sens la chaleur de ton corps. J'imagine toute cette énergie positive graviter dans la pièce et créer un cocon. C'est beau à pleurer... J'imagine que vivre des moments semblables, c'est une chance ; j'en ai, de la chance...
Et le moment après les cordes, quand j'ai la tête qui tourne et que je suis toute flagada... Encore cette douceur, cette patience, cette tendresse...
Je...
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Bientôt sur ce site la sortie d'un journal switch alternatif: le Fucking Switch
Bonjour à tous et à toutes !
Ici sur Bdsm.fr, nous est enseigné l'art sacré du Bdsm. Dans ce lieu de haute culture et de non censure...tout baigne et tout progresse...
Cependant une suite de phénomènes suspects ont amené certains d'entres nous à s'interroger...
Certes il y a autant de pratiques du Bdsm que d'humains singuliers, mille et unes manières d'etre Maitre(sse), Soumis(e), Switch(e)....nous explique t on en ce lieu d'élection. Enfin officiellement.
Ave-vous remarqué que Bdsm est notre ami à tous, non mais vraiment à chacun d'entre nous...étrange...que dire de la disparition de 43,4 % des auteurs des articles non validés ? Enfin quelle est exactement la zone d'influence des Grands Maitres et Grandes Maitresses Dignes de ce Nom de L'ordre de la Nuit des Ténèbres ?
Le Fucking Switch vous propose une information rigoureuse tant sur les GMMDCNONT, que sur les réelles avancées et révolutions du Bdsm. D'autre part une enquête est actuellement menée sur ce mystérieux " Bdsm ton ami".
Nous espérons pour ce nouveau journal comme reporters : le créateur de l'Internationale Switchuationniste, Vlan 01, pour ses connaissances historiques et politiques ainsi que son accès permanent aux archives de La Sacrosainte Eglise du Bdsm (bien qu'il soit pontifiant), Heartbeat,qui a défrayée la chronique en faisant switcher des Maitres, auteure de "Bdsm, sensorialité et émotion", "Plaisirs : comment les découvrir" pour ne citer que les plus célèbres (malgré son lyrisme) et Koï enfin pour garantir l'objectivité et la non propagande du journal. En effet Koï est en passe de devenir un GMDCN (dans 10 ans et un butage de switch) ; rien de tel que serrer le serpent sur son sein pour rester vigilant.
Nous attendons confirmation de leur présence dans l'équipe de rédaction : Heartbeat et Vlan01 sont ficelés comme des saucisses et chacun affirmant que c'est l'autre qui les a attachés, ça peut durer encore quelques semaines, Koï est en train de répéter les 451 Catas, Les 224 mudras et les 6759 articles de l'étiquette de l'Ordre des GMMDCN... mais ces personnalités controversées sont pressenties à la tête du journal.
Bien évidemment tout(e) Soumis(e), Maitre(sse) ou switch est invité à publier pourvu que ses informations soient fiables.
Bientôt sur Bdsm.fr sortie de la première edition du Fucking switch !!!
En avant première :
Après le décès de trois informateurs, deux agents infiltrés chez les GMMDCNONT, et 5 hackers, la rumeur selon laquelle Bdsm-notre-ami est un switch anarchiste dont la devise est Baiser Des Salopes De Maitres reste non vérifiée.
Le Fucking Switch ne sera pas un journal à sensation et ne propagera aucune rumeur.
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JOUR 5
Le départ
Je me réveille
en petite forme
un peu triste
mal au crâne
au ventre
mes règles arrivent.
Je m'extraie des couettes regarde l'heure galoper et mes pieds qui bégaient en descendant les marches, je vais pisser, je me réchauffe un café, tourne en rond dans l’étroitesse de mon cerveau comme un ventre en cage, je reviens te voir, me glisse contre ton sommeil.
Tu remues, ouvres un œil.
«Je venais voir si tu étais réveillé»
Tu me serres contre ton corps chaud, tes bras m'entourent, c'est bon. Je m'apaise dans ton souffle lent qui somnole quelques murmures lascifs. Qui remue en quelques soupirs ronronnant.
Et qui se charge
peu à peu
de ma présence
en creux
au sein de ta masse en latence
qui s’anime,
et contre mes fébrilités s’enhardie,
s’appuie sur
s’élance vers
assiège
mes émotions inverses
frileuses fiévreuses
qui me parcourent à l’intérieur
ces larmes de fond qui m’affleurent aux paupières
cet océan que je contiens par la force d’un orgueil que rien, rien n’effeuillera jusqu’au cœur.
Le clair de tes intentions ne fait plus un doute dans l’obscur qui me ronge ce matin où mon départ m’attend et mon corps épuisé me lâche et me laisse saisie dans l’étau de ton désir pointant déjà son dard contre moi, chétive dispersée émiettée tenaillée de tourmentes sourdes et bouffies sous ton impatience qui s’échaude de mes frissons sans nom s’affaire sur mes vaines paralysies empoigne mes chairs évidées et impérieuses,
me déchire le ventre qui lancine couleur rouge sombre.
Je me laisse
herbe frêle en pâture à tes appétits voraces et aux raisons sulfureuses qui t’envahissent à tes dépens et te poussent à t’épancher en moi par-delà tous mes états, et moi,
et moi qui ne te refuse pas ce plaisir qui me coûte pourtant le prix du silence que hurle mon souffle coupé tu t’escrimes avec une virulence qui semble être à la mesure de l’empreinte que tu souhaites laisser en moi, ma tête cogne celle du lit au rythme de tes décharges je suis l’infinie secousse qui t’inspire et déborde de chaque pore de ta peau suintant de mille gouttelettes,
fine bruine sur moi
un volcan en mon centre
enragé.
Tu te retires.
Du sang sur ton sexe.
Sur mes cuisses.
Dans ma tête
peut-être.
Je t’abandonne ce corps rompu
tu me le rends saignant.
A présent
herbe folle écrasée sous le poids de ton dernier passage,
reste étendue là froissée bouleversée
et qui se redresse tout doucement
en t’entendant dire
«Hier soir en m’endormant je me suis dis qu’au réveil j’allais te faire l’amour très tendrement. Et puis je ne sais pas pourquoi, j’ai oublié».
Tu embrasses le coin de mon sourire
je hausse les épaules de mon ambivalence
à aimer tant ce qui me pousse à vouloir traverser tête baissée
mes peurs mes douleurs
pour relever enfin le regard
et le défi
d’en vivre.
***
Je passe le seuil de la porte que tu m’ouvres.
«Merci pour tout»
Je me retourne et te vois
me regardant
m’envoler sous le soleil frais piquant
de ce matin qui m’inonde en autant de secondes qui crépitent
avec toute la puissance dont se décharge
l’éphémère.
Rendue à ces rues éblouies, mon ombre cavale pour suivre mes pas qui s’égaient, elle épouse, fidèle, ces contours cruels qui me contiennent, m’enserrent, et menaçants m’enlacent de finitudes.
Pour que profondément je m’investisse
entière et multiple
de sens.
La ville est à moi, je cours.
FIN
Le début de ce récit en 7 parties est ici :
http://www.bdsm.fr/blog/2022/journal-de-bord-d-039-une-soumise-1
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JOUR 4 (suite)
La surprise
Tu te relèves, et je reprends quelques grandes respirations salvatrices, tes mains passent derrière ma tête et dénouent le bandeau.
«Je te présente Olivier»
Je mets quelques secondes avant de revenir dans un état où je me sens en mesure de répondre à ces présentations soudaines.
Je redresse la tête
et ouvre les yeux
Me surplombe, toujours calé entre mes cuisses, cet homme qui m'observe de ses yeux rieurs.
Un regard qui se transmet dans mon sourire.
«Enchantée», dis-je en riant, car la situation m'amuse assez, sa grosse barbe m'attendrit, son corps large et tatoué me plaît.
Tu es sur le côté, un peu consterné de voir que tu débandes.
«Alors il te baises bien le barbu?», me demandes-tu, avec un clin d’œil à celui qui a changé depuis vos dernières entrevues.
La sonnette retentit alors, c'est l'ampli que tu attendais tant, tu descends et me laisse seule avec ton pote, ravi de s'amuser encore avec mes lubricités.
On descend boire un thé, je nous roule un gros pétard, il faut que je décompresse.
Je reste en retrait des nouvelles que vous vous échangez, quoi qu'attentive et un peu impressionnée par la teneur des discussions.
«Et maintenant tu vas te caresser devant nous», me dis-tu après un silence qui clôt cette petite trêve. Excite-nous».
Je sens
le sang
qui me monte au visage
j'ouvre des cuisses
timides
j'y faufile une main
discrète
je vous jette quelques regards
furtifs
Franche ta main d'un geste
vient écarter mes genoux
«Ouverte, offerte»
Vous vous branlez en m'observant,
en voyant mon corps nu se tendre pour vous.
La situation me dépasse
je ne sais pas quel spectacle
j'offre,
j'ai peur d'être ridicule
face aux exigences de vos regards
de vos vices,
peur
de ne pas savoir
vous alanguir,
novice.
Tu me demandes alors de venir sur toi, et de m’empaler sur ton sexe dressé.
«Que je t'ouvres bien le cul».
Je t'enjambe,
j'appréhende,
je descends
dos à toi tout doucement sur ton membre,
impassible et patient.
Je respire profondément pour parvenir à me détendre, mais la douleur dans mes fesses est vive, car je me contracte instinctivement.
Tu me menaces.
«Vas-y maintenant, car dans pas longtemps c'est moi qui prend le relais, et tu sais ce que ça veut dire.»
Prise de panique de frissons d'urgence je descend encore un peu je gémis j'ai mal je souffle je descends encore m'agrippe à tes cuisses.
Olivier s'avance et se pose, debout face à moi. Je lève les yeux vers lui. Il se caresse la queue, qu'il tend à ma bouche qui se trouve là, et s'entrouvre frémissante.
Ses mains me poussent vers son sexe et me tiennent par les cheveux pendant que je le suce.
Je m'applique, tout en jouant de mon bassin au dessus de toi, me laissant doucement apprivoiser.
Je m'encule sur toi longtemps, et puis tes mains s'excitent sur mes fesses, tu palpes tapes griffes mes chairs, tu induis
ton rythme
ta vigueur
et grognes
ton contentement
pendant que ton ami me presse sans vergogne la tête contre lui, ma gorge toute entière investie de son sexe, il prend plaisir à me voir
ainsi
suffoquer
me rebeller en vain,
et il profite,
encore,
de son ascendant.
Je ne tiens plus mes muscles me lâchent
mes cuisses ne sont plus qu'une immense tétanie je me relève flanche tu me soutiens
Je tremble de tout mon corps
je ne tiens vraiment plus sur mes jambes
c'est du sérieux.
Je suis invitée à monter à nouveau dans le plumard. J'avance à petits pas bredouillants, mais au fond de moi je jubile de me trouver si bien encadrée, et que le festin ne soit pas encore terminé.
«Tu peux l'enculer si tu veux, mais vas-y tranquille elle en a pris plein le cul ces jours-ci»
Ma tête pudiquement baissée vient confirmer tes dires. Mais je me dérobe sous ses tentatives de me pénétrer, j'ai trop peur, je le sens impatient et peut-être pas aussi indulgent que toi, trop pressé.
Je ne me laisse pas faire
Olivier s'allonge je le caresse et viens lui lécher les tétons sous ses encouragements.
Je te sens venir derrière moi.
«Alors j'y retourne»
Et d'un coup tu viens te loger entre mes fesses. Surprise j'échappe un cri je me tords mais ton emprise est ferme, tu vas et viens déjà sans modération, mon corps sous tes impulsions bouge sur Olivier,
que je lèche
caresse
suce
Je le regarde
et m'agrippe férocement à lui
y plante mes griffes
désespérées
comme pour lui transmettre
la violence de tes assauts
en moi.
«Elle m'a fait jouir juste en me regardant», dit-il soudain à ton attention.
Mes cris suivent ton rythme fou tu t'emballes tu t'acharnes, insatiable, j'ai l'impression que tu veux montrer à ton ami à quel point tu te joues de moi avec quelle hargne tu te permets de me bousculer à quelle intensité tu m'as habituée ; les cris que tu m'arraches ressemblent à des plaintes qui se cramponnent
Tu t'arrêtes, et regardes ton compère
«On dirait que tu tiens la chandelle»
«Ça va, j'ai joui quatre fois. Et puis je la tiens elle, ce n'est pas une chandelle».
Je me redresse, vacillante, et lui souris.
«Ça dépend...»
Rires, échanges de paroles, il complimente mes seins, tu complimentes tout le reste, ma mouille autant que mes airs de sainte-nitouche.
Et moi je suis là,
face à vos corps détendus
et vos regards sur moi
avec ce sourire
en coin
que jamais je ne sais réprimer
et c'est ça qui est bon.
Ton ami se penche sur moi et m'embrasse.
«Il faut que j'y aille»
Je lui fais part de ma joie d'avoir vécu ce moment, et lui dis à la prochaine.
Tu te tournes vers lui et confirmes :
«C'est une invitation»
Accolades, remerciements.
Je t'entends parler avec lui, au seuil de la porte
«Je voulais vraiment que ce soit toi».
J'aime bien votre complicité.
Elle berce ma confiance.
***
On laisse aller
nos pas repus
parmi ces rues noires
où résonnent
les cloches du soir
tombé
sur nos ombres
guidés par des étoiles
qui ouvrent au dessus de nos têtes
minuscules
un ciel sans fond
un froid qui perce
nos peaux
défient nos sueurs
cet air qui nous passe
au travers
des os.
Fin du 4ème jour
(à suivre)
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JOUR 4
La surprise
Un réveil tout en caresses.
Doux.
soyeux,
chantant
s'insinuant
presque partout,
un réveil qui sent bon
la languissance
que tu orchestres de mes frémissements
des tensions qui s'arrachent
aux lambeaux de mes somnolences
et qui m'étreignent
sans mal
sans armes
autre que ta patience infinie
à faire gonfler et s'épanouir
cette petite montgolfière en moi
comme une naissance
qui n'en finit pas de fleurir
tu m'emmènes
jusqu'au bord du gouffre des vertiges qui me prennent
et
Et là, contre toute attente, tu enlèves ta main, te relèves, en disant gentiment:
«ça suffit pour ce matin»
J'y crois pas
tout mon corps se rebelle à l'intérieur, refuse une si vaste cruauté, de voir d'un coup se dissiper tous mes enchantements,
chaque pore de ma peau t'en veut terriblement
mais seules mes dents se serrent
en laissant échapper tout bas
«Ah l'enfoiré...»
Tu me sautes dessus
«C'est comme ça que tu me remercies? Une insulte?»
Je blêmis, tout de suite honteuse de ce que je viens de dire.
Tu m'observes un instant.
«Si tu veux que je te prennes, il faudra que tu me le demandes avec des mots crus».
Je relève les yeux vers toi, commence alors à cerner ton jeu, mais ne pipe mot encore.
Poussée une fois de plus dans les retranchements de ma pudeur.
Que dire quand tout mon être se débat pour vivre l'indicible?
Je bredouille
«Euh... prends-moi?»
A m'entendre, je me sens soudain si timide, ridicule, naïve,
tandis que mon désir lui, rugit, furieux en moi.
«Alors je l’ai prise, devant le regard déchiré et hagard des badauds», te moques-tu.
Indulgent,
impatient,
bouillonnant,
tu me pénètres aussitôt,
et j'éclate d'un soulagement sans borne.
«Tu croyais vraiment que j'allais te laisser ainsi?», me demandes-tu en t'en donnant à cœur-joie.
Je ris d'avoir cru, bien sûr, à ce que tu sois bien capable de me faire ça, et je ris de comprendre que tu n'y résistes pas plus que moi, d'ailleurs.
L'entrain qui t'habites m'emmène loin et vite, je jouis, je jubile, c'est bon et fluide, et puis tu continues de plus belle
alors là,
je sens une boule énorme monter en moi, surpuissante, et qui sur son passage
défonce toutes les pauvres frêles et misérables barricades de ma forteresse,
je me sens prise au beau milieu d'une fulgurance que rien n'arrête,
et je hurle soudain
c'est bien moi qui hurle ainsi, emportée au cœur de cette vague qui déferle immense, victorieuse,
sur les rivages dévastés de mon abandon.
Une clope.
Un orgasme.
Un précepte.
***
«Comme tu as crié tout à l'heure», me dis-tu alors que nous finissons notre repas, assis sagement l'un à côté de l'autre.
Je te souris, mais ne sais trop quoi répondre. Mes mots échouent à dire, craignent de ternir la force de ce qu'échappent mes cris.
Tu embrayes.
«Tout-à-l'heure, après ton café, tu vas aller prendre un bon bain, et puis tu vas attendre mon autorisation avant d'en sortir, ok?»
Je suis prévenue depuis hier déjà que quelque chose était prévu cet après midi.
Je hoche la tête sans sourciller, curieuse, amusée, ravie toujours de me plier aux jeux que tu concoctes à nos égards.
Je lampe un café
Fume un dernier pétard
Tente vainement d'envoyer un mail
qui s'envole obstinément,
je réitère, en toute innocence de ce qui m'attend.
Trépignant derrière moi, tu observes ces manipulations informatiques qui s'éternisent. Tu me parais pressé.
Plus que d'habitude.
Je finis pas lâcher ces commandes récalcitrantes sous la pression de ton regard et des insistances que tu émets pour que je file sous la douche, enfin.
Ok, J'y vais, j'y fonds, ça fait du bien, c'est agréable, chaud, doux sur la peau
et un peu angoissant quand même car tandis que je me sèche, je me demande en sourdine les raisons de ton si soudain empressement.
Je m'assoie sur le bord de la baignoire.
J'écoute.
«Ça y est, je suis prête.», dis-je dans l’entrebâillement de la porte.
Je ne sais pas si tu m'as entendue.
Je patiente, j'écoute.
Tu arrives.
Attendri de me voir attendre sans mot.
Tu m'embrasses,
puis me noues un bandeau sur les yeux.
M'attaches les mains dans le dos.
Je laisse ma confiance entre tes mains, qui me guident à présent, m'invitent à revenir jusqu'au centre de la pièce.
«Attends-moi je ferme la porte»
Tu ouvres puis fermes la porte, j'attends, et j'écoute ce qui se passe autour de moi. Des bruits de tissus froissés, de métal on dirait, je me demande bien ce que tu es en train de préparer.
Je te sens revenir face à moi, poser tes mains sur mes épaules.
«Tu as compris?»
Qu'ai-je à comprendre?
D'un coup je pressens quelque chose mais je n'ose pas y croire.
Je secoue la tête et murmure
«Non, je ne sais pas»
C'est comme si à cet instant j'entends ton sourire se dessiner largement sur tes lèvres qui m'observent.
Et là, une sensation derrière moi me fait tressaillir. Une tout petite sensation m'envahit soudain, me happe toute entière, immédiatement.
Il y a quelqu'un d'autre.
C'est son ventre nu et poilu que je sens s'avancer doucement dans mon dos.
C'est comme une immense panique qui s'empare de moi, soudain, d'une ampleur semblable à celle qui m'habitait quand je suis arrivée chez toi, la première fois, tu te souviens?
Tout mon corps tremble, je ne peux rien y faire je m'avance vers toi subrepticement au fur et à mesure que ton invité se rapproche, celui qu'à ce moment je ressens comme ton double, son souffle chaud est déjà dans mon cou, ma tête en déroute vient se loger contre toi, comme à la recherche éperdue d'une rassurance, tu es ce pilier, solide, qui me connais quand je flanche, quand mes respirations sont courtes saccadées ravalées coupées et s'affolent, et là elles t'implorent à présent de saisir le summum de mes fébrilités en ces secondes interminables.
J'ai le sentiment que tu souris encore, ravi de la situation.
Vos mains jumelles se mêlent alors sur moi, je les sens complices, rieuses mais en proie à une avidité cannibale qui n'en finit pas de nourrir ces tumultes qui m'envahissent, et me laissent
saisie
tremblante
effervescente
Entre vos 1000 désirs naissants sur ma peau, cette surface entièrement érectile à cet instant-là, dans cette danse sauvage où mes pensées se distordent, autant que mes réjouissances se déploient, explosives sur les terres assoiffées de mes démissions.
Ses doigts me visitent à présent le sexe, comme happés furieusement au détour d'un frisson d'impatience à venir s'humecter à la source de ma petite mort qui s'ouvre en moi comme un gouffre.
Tes mains s'approprient mes seins mon cou mon souffle arythmé
Vos bras m'encerclent et me pressent contre vos corps tendus, je sens l'épaisseur de chacun de vos êtres s'électriser au contact de mes défenses qui s'amenuisent.
Je reçois une petite claque sur la joue. Nette. Inattendue.
De la part de ton hôte, comme en signe de salutations distinguées.
Puis deux autres, plus fortes, dans un mouvement un peu frénétique et curieux de rencontrer mes réactions face à l'adversité, face à son irrépressible besoin de s'assurer de ses droits sur moi, et de m'en rappeler le goût contrasté.
Je suis palpée pincée modelée embrassée émoussée caressée frappée titillée provoquée surprise éprise prisonnière plaintive implorante aphone implosive parcourue ouverte investie
éperdue d'une fièvre insatiable
de vivre encore
de tels états d'âmes et de corps
corps multiples qui bruissent
et froissent
les polices
de mes chaleurs
en dérive
sérieuse.
«On va monter», dis-tu.
Ta main sur mes épaules me poussent et me guident vers l'escalier que je gravis lentement, inassurée, chancelante, comme privée de mes moyens locomoteurs les plus élémentaires.
Je m'arrête.
«Encore une marche»
Je sais oui, je le sens bien sous mes pieds qu'il y a encore une marche, je sais une marche ce n'est rien mais c'est la dernière c'est son unique et infernal attribut en ces secondes d'impuissance, mes forces me quittent, je ne parviens pas, je vais mourir d'abord après on verra, mes genoux plient, mes cuisses ploient, mon cerveau fait des bulles. Dysfonctions. Chaos.
«Allez, insistes-tu, peut-être un peu amusé derrière moi, et très impatient sûrement. Monte cette dernière marche».
Je rassemble ce qu'il me reste
de folies
pour me hisser enfin,
et m'avancer doucement plus près encore,
de ma douce perdition.
Poussée en avant je tombe sur le lit.
Et tout de suite vous êtes sur moi, je ne sais plus qui est où,
une main force mon sexe,
un sexe force ma bouche.
Mon sexe qui hurle
ma voix qu'on sexionne,
la violence de vos face-à-face m'envahit
entière
et m'offre à vos élans qui se rejoignent
frères
en mon centre
dont la boussole ivre
s’emballe
le Nord est partout
le Sud est vertige
Ton sexe impitoyable dans ma gorge qui fait des bonds j'ai le visage enfoui entre tes cuisses
plus le temps de prendre mes respirations chaque seconde je crois que je vais crever pour ton bon plaisir
étouffée sous mes cris interdits et gestes avortés
mes cuisses investies de ses hanches sans remords mon sexe ouvert à ses embuscades de bienvenue
mes mains toujours nouées
mes yeux toujours aveugles
Je ne suis plus que ce corps
qu'on perfore
qu'on dévore
Je suis
cette chair qu'on consume
cette lune qu'on domine
ces excès permis
ces frayeurs lumineuses
et puis je suis surtout
et seulement
une femme qui se libère ainsi
du poids de ses années nubiles.
De ce monstre, cette épouvante.
Mon sexe.
(à suivre)
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JOUR 3
Littérature
«Caresses-moi la queue», me dis-tu, alors que nos paroles échangent leurs premiers battements de paupières.
Que tu n'hésites pas à me dire ce que tu attends de moi, en toute franchise, me rassure et m'encourage, quelque part.
J'aime que tu profites de ma présence à tes côtés pour ne te refuser aucun des plaisirs qui te prennent.
Je laisse courir mes mains sur ton torse, sur ton ventre, en joie d'être investie d'une mission qui m'honore, dès ce petit matin.
Je prend le temps de te faire languir, mes doigts t'effleurent la peau et remontent doucement l'intérieur de tes cuisses, qui s'ouvrent imperceptiblement, comme les ailes d'un papillon. Mes mains s'insinuent sous ton sexe qui se tend, glissent au creux de tes hanches, reviennent, repartent, mes lèvres embrassent ton ventre, tes tétons, puis ton gland qui cherche sa mise à nu.
Et là je te branle, délicatement, à l'affût des gestes magiques qui te saisissent soudain, et que tu savoures, sans équivoque possible.
Je te branle et mes lèvres viennent baiser ton sexe, qui s'échaude et s'impatiente.
«J'espère que tu mouilles bien, parce que dans trois minutes je te prends».
Merci pour ta prévenance, mais je sens qu'il n'y a pas de souci à se faire de ce côté-là, et te caresser m'éveille à la conscience que ce désir que j'attise en toi sera à la mesure de la véhémence avec laquelle je serai prise, dans trois minutes.
Si courtes et tellement longues.
Je te branle de plus belle, et tu craques, soudain, me retournes sur le lit, attires vers toi d'un geste franc mes cuisses ouvertes, et me pénètres, impétueux.
J'atteins un orgasme réellement libérateur, car je sens qu'enfin il y a quelque chose qui se débloque en moi. Toute mon appréhension de la veille s'est évaporée ce matin, mon étoile est là à présent, pour m'accompagner, sereine et bien au dessus de toutes mes déraisons. Tu jouis à ton tour, et éjacules sur mon ventre tendu vers toi, tu hurles le cri de ce loup, et je jubile à te voir t'abandonner à ce plaisir, défaillir d'une si tendre et violente conquête.
Cette fois, il n'est pas trop tard pour les croissants, que tu ramènes en nombre sur la petite table.
***
«Tu avais des lectures à me faire?», me demandes-tu, alors que mes mains caressent très innocemment la couverture des livres aux travers desquels je voyage loin, en ce moment.
Alors oui, je lis.
Pendant que ta langue s'immisce entre mes cuisses.
«Des mots
qui effleurent à la conscience
et qui nous disent ce que l'on est
alors qu'on ne le sait pas
toujours coupable toujours vacillante
on le fait quand même
les yeux fermés
juste avec le courage stupide de faire ce qu'on attend
de moi
une fille qui «cède» à leurs avances
une femme qu'ils «sautent» est une «pute»
le dégoût rend lucide
la seule manière de se tirer du machisme c'est de s'en faire un plaisir
on projette nos transgressions et nos rêves
non pas ce que l'on est mais ce que l'on est en puissance
âme pure et orgueilleuse
prouver que cette image de dégoût ne correspond pas à l'âme
et elles se regardent dans la glace lorsqu'elles ont du dégoût
c'est comme un masque démoniaque
mais c'est un masque
elles veulent s'y confronter encore plus pour passer au travers
irregardable et inconcevable
se conformer dans ce plaisir honteux
matérialité très prégnante de la chair
passage vers l'immatériel
vertige
on s'évanouit dans ce corps-là
c'est bien le corps qui jouit mais c'est un corps céleste
j'étais morte de timidité et d'orgueil
ce qui va souvent ensemble
on n'est pas dupe de cette vulgarité
et c'est tout de même mortifiant d'y succomber
deux êtres exemplaires miraculeux incandescents
et presque métaphoriques
vivre son amour le temps qu'il prenne feu
le temps qu'il vous embrase
nous propulse hors du temps humain
qu'est-ce que le sommeil
c'est la démission de soi-même
il n'y a pas de vie en dehors de l'éternité
ou alors une vie très contingente
très pauvre et étroite
la vie humaine elle n'est pas mythique mais misérable
c'est comme ça
on revient dans le temps de tous les jours
dans les contingences matérielles
il peut y avoir une quiétude mais ce n'est plus une révélation
de l'ordre de la transcendance
tout est toujours à conquérir c'est toujours la première fois
et quand ça cesse d'être la première fois
ça cesse d'être tout court.»
Je reprends mon souffle.
«La sexualité humaine
n'est pas faite pour se reproduire
mais pour se produire
c'est-à-dire être une conscience unique
un regard merveilleux
qui rend tout d'un coup visible celui qui le porte
c'est désirer la personne pas seulement son cul
même si évidemment ça passe aussi par là
c'est un attrait irréversible
vers une personne en entier
vers un être corps et âme
et alors que je n'étais pas une proie
je peux tout-à-fait le devenir très vite
me projeter dans l'illusion
mais parfaitement lucide
volontairement naïve
évidemment fragile
je déteste le discours sentimental
quand c'est pour coucher avec quelqu'un
balivernes sentimentales au rabais et stupides
simplement pour que la pauvre crétine
se croit aimée et que Monsieur se sente autorisé
à rentrer sa bite dans sa petite caverne
l'amour est une exaltation
les deux corps qui s'étreignent c'est l'âge de pierre de la lumière
c'est ça qui va faire jaillir l'étincelle ensuite ça n'existe plus
c'est ça la jouissance
c'est le corps glorieux qu'on peut avoir
impossibilité qu'on a quand il s'agit d'aller
vers ce qui est magnifique et beau
de l'accepter et de le dire
la timidité ça s'abat sur vous
le masochisme c'est la désespérance
de s'adapter à ce qui ne va pas
reflet du romantisme
ce qui ne peux pas être blanc on le rend noir
on peut trouver un extrême plaisir
dans la déchéance et la noirceur
et on voit combien ça lui fait peur
c'est presque une pure provocation faite à soi-même
elle le fait pour s'obliger à l'admettre
c'est une horreur inculquée une horreur acquise
qui la diminue
la religion c'est la vierge ou la putain
il n'y a pas de milieu
viol par exorcisme
le viol ne me violera pas
je suis un être peut-être pénétrable
mais en réalité un et indivisible
un être qu'on ne peut pas atteindre pour vaincre sa peur
il faut faire ce dont on a peur
il faut s'y exercer
funambule
armé d'un orgueil absolu».
Résonne un silence teinté de ces paroles dispersées partout entre ces murs qui se taisent encore,
et mon cœur qui cogne.
(à suivre)
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JOUR 1 (suite)
Je lève les yeux vers toi:
«Ça ne peut pas être trop fort?»
Je me vois
en reflet
dans cette théière,
elle qui nous a attendu,
en bas,
fidèle, patiente,
toujours chaude et gonflée,
exhalant une suave odeur de fleur,
toute prête à être bue,
encore,
jusqu'à la dernière larme.
« C'est meilleur quand ça infuse longtemps »,
J'esquisse un sourire métaphorique et porte le bol à mes lèvres.
C'est alors avec un visage blême que je reviens des chiottes, et m'assoie, comme soudainement embarrassée, paniquée, honteuse, désolée et en rage, un peu tout cela à la fois, rampant sournoisement sous le vernis de ma pudeur.
«Je crois que mes règles arrivent»
Avec une semaine d'avance, elles me font l'effet d'une sentence qui me tombe sur la tête, un coup du sort. Injuste, dégueulasse.
Une catastrophe, un monde qui s'écroule, que pourrait-on faire de moi, saignante? Je ne vais qu'inspirer une distance réglementaire, peut-être un dégoût un peu ravalé, d'ailleurs je me sens déjà presque coupable de cette indisponibilité de circonstances, puisque je vais avoir tôt fait d'y trouver une cause psychopathosexologique.
Tu me parais peut-être un peu amusé par la vaine panique qui a pris possession de mes légèretés.
«Détends-toi, prends les choses tranquillement, rien n'est grave.»
Des encouragements et un état d'esprit qui m'aident à dédramatiser l'affaire, mais parallèlement je me catapulte au plus profond de mon utérus, histoire de lui faire entendre raison: «Ça n'est pas à toi de jouer, boucle-là encore quelques jours, je te revaudrai ça ».
«Tu finis ton bol et t'es prête à jouer?»
Tu es debout, tu m'attends.
J'aquiesce, et termine mon thé à toutes petites gorgées, celles qui savourent.
Tu as allumé des petites bougies qui donnent à la pièces des lueurs contrastées. Je t'ai entendu préparer des choses, choisies parmi les bruits insolites dont regorgent tes malles.
Alors je me lève, et m'avance, nue vers toi.
Tu me saisis un poignet, l'attaches à une menotte de cuir. Je regarde tes gestes, je vois mon poignet, docile, confiant, qui se laisse mettre hors d'état de nuire. Tu me rabats l'autre bras dans le dos, et lies mes deux poignets ensemble. Ma respiration se fait plus courte, attentive, en latence.
Tu m'observes ainsi. Tes mains s'approchent de moi et je sursaute dès qu'elles effleurent mes tétons, dressés et sans défense. Tu me les pinces et ta voix murmure un plaisir naissant. Sur mes lèvres, un petit sourire trahit mon regard, fuyant, en proie. Je détourne la tête, tes mains remontent, et entourent mon cou.
A ce moment ma nuque n'est plus qu'un frisson.
Ma gorge se voit nouée d'un collier de cuir, et d'un cœur qui bat, qui se bat contre lui-même.
Et puis une corde autour de mon visage, qui passe devant, derrière, vient enserrer ma tête. Ça dérape, tu insistes. Je n'aime pas trop cette sensation de ne plus pouvoir ouvrir la bouche, de ne plus rien pouvoir transmettre par l'expression de mon visage.
Seuls mes yeux peuvent encore s'affoler.
Tu m'allonges au sol, replies mes jambes et lies chacune d'elles, cuisse contre mollet, par de nombreux tours de corde. Je regarde ton grand tambour suspendu au plafond, flotter au dessus de ma tête, en sentant les liens se tisser contre ma peau.
En sentant cette emprise qui s'élabore, méticuleuse.
Cette immobilité me saisir, toute entière.
Tu t'éloignes un temps. J'en profite pour tester mes marges de manœuvre.
Réduites. Il fallait s'en douter.
Je tressaille au contact d'une sensation froide sur mon sexe, qui va et vient, et puis qui s'applique par petites tapes sur l'intérieur de mes cuisses, mon ventre, et qui vient se frotter à ma fente. Ta cravache indienne. Je me tords comme je peux. Tu montes en intensité, ça claque de plus en plus fort sur ma peau, et je fais des bonds quand ça atteint mon clitoris. La douleur est vive et soudain je voudrais te supplier de ne pas insister plus. Mais je n'ai pas besoin, car tu te lèves.
Un répit
D'une seconde.
Je te regarde et tu me surplombes.
Tu saisis une bougie et la penches au dessus de moi. Je sens la cire chaude couler sur ma poitrine, mon cou, au creux de mon aisselle. Puis tu en prends une autre et verse d'un peu plus bas. Les coulées atterrissent sur mon ventre, suivent l'aine, et viennent irradier mon sexe. J'émets un cri, j'ai l'impression que la brûlure va me ronger la peau, mais déjà elle s'estompe peu à peu, la cire tiédit et se rétracte, emprisonnant mes poils.
Tu me laisses ainsi, t'éloignes, et reviens prendre quelques photos.
Ta main vient ensuite se lover au creux de mes cuisses qui tremblent, et il te faut ouvrir ce cachet de cire pour t'introduire en moi, d'un coup.
Tes coups de reins se répercutent jusque au sommet de mon crâne, tes mains s'agrippent à mes seins, je sens une boule qui monte en pression à l'intérieur de mon ventre.
«Je peux jouir?»
Tu marques un long et cruel silence avant de dire :
«Oui, vas-y.»
Ça implose en moi, d'une manière violente et diffuse à la fois.
Tu craches et m'enfiles un doigt dans le cul. Je blêmis. L'appréhension est toujours proche de la panique quand je sais que tu vas vouloir m'enculer. Ton sexe cherche le passage, force un peu. Je me tortille, tente de me redresser, comme pour implorer toute ta délicatesse. Elle est de mise, mais avec la fermeté que tu estimes pour déjouer mes dérobades. Ça me fait mal. Toujours au début, je n'arrive pas à me détendre, d'autant plus quand ton intromission n'est pas complète, et m'attend. Je souffle, je me concentre, et soudain tu forces la dernière barrière. Ce qui s'échappe de moi ressemble un peu à un sanglot... de soulagement.
Là encore tu t'amuses longtemps de me voir me tordre, traversée par des sensations si fortes qu'elles refusent encore à présent de se laisser coucher sur le papier.
Je jouis une nouvelle fois, différemment, avec quelque chose de plus sauvage dans mon cri. Mais je sens qu'il y a encore un endroit où je retiens, comme si je ne pouvais pas me laisser aller totalement. J'ai l'impression que ces jouissances me sont arrachées, elles éclatent comme des ballons de baudruche, dont il ne reste ensuite plus que des lambeaux...
Tu me défais le bondage du visage.
Je me sens libérée, tout de suite.
Et puis tu m'embrasses, m'aides à me redresser, dénoues une à une les boucles qui m'enserrent les jambes, ça fait des dessins rouges incrustés sur ma peau, j'aime bien. Je caresse ces empreintes, qui bientôt disparaîtront, elles.
Je vois s'approcher une lame brillante dans ta main. Doucement, très doucement, elle vient gratter les écailles de cire qui perlent sur ma peau.
Je retiens mon souffle, frissonnante sous la caresse de ton couteau.
«Ça va?», me demandes-tu, alors que mon corps est assis sur le canapé, et que ma tête semble sûrement partie loin.
«Oui, oui, je redescends».
***
Rhum, Sushi.
Échanges, réconfort.
J'ai l'impression de m'être retrouvée catapultée à cette nuit tombante. Tout ce que je viens de vivre me paraît former un grand tourbillon au sein duquel je me suis tant laissée égarer, que je crains déjà ne plus être en mesure de me le remémorer fidèlement. Ensemble, on retrace quelques grandes lignes, ma plume court, succincte, sur le papier que tu me tends, le temps n'est pas encore à l'étoffe de ces quelques mots griffonés.
On opte pour le film "L'art de la pensée négative". En grand écran sous la couette.
N’a-t-on pas mauvaise conscience, avant de s'escrimer, de se mélanger encore férocement ?
Jusqu'au milieu de la nuit...
Tu te retournes, sur le dos, à bout de souffle. Je reprends le mien et t'adresse un regard, furtif et un peu désolé:
«Coriace, hein?»
Puis je reste un moment à fixer mes mains qui tripotent un peu méthodiquement les plis de la couette, comme s'ils pouvaient m'aider à formuler des pensées de plus en plus obsédantes.
Tu te tournes vers moi, et je te sens m'observer.
Sans mal, tu décryptes évidemment mon silence:
«Tu as quelque chose à me dire?»
Oui.
Je pense à l'empreinte
que va laisser ce tatouage sur moi.
En moi.
Irrémédiablement.
Demain.
Alors je t'explique les peurs
qui conspirent, louvoient,
à l'ombre de mes élans.
Je te parle de ces distances
qui se creusent avec mes amours,
de mon effroi à leur dire
ce qui m'émoustille tant.
Je te fais visiter
le cœur du désir qui me prend,
en traître
qui détrône mes prudences,
me laissant là,
face à ce vent fou
qui tourne
les pages noircies
de mes nuits blanches.
Et j'imagine le dessin de mon étoile,
mon futur tatouage,
offerte,
qui s'étire comme je me livre,
toute crue,
comme je me jette,
dans la gueule d'un loup.
L'aube sera rouge.
Fin du premier jour
(à suivre)
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Ce qui suit est le récit du vécu de ma soumise sur cinq jours de l'hiver dernier.
Chaque mois elle vient passer quelques jours chez moi. Cette fois, exceptionnellement, je lui avais demandé de mettre par écrit les faits marquants de son séjour.
Tout ce qu'elle y relate s'est déroulé comme elle le raconte.
JOUR 1
A peine me suis-je assise dans le bus, je mouille déjà.
“Bon courage", m'a dit mon ami, "Et amuse-toi bien“ avait-il ensuite ajouté.
Je regarde défiler les rues mornes sous la lumière éteinte de ce petit jour pluvieux, en pensant au récit que j'allais te faire de mon séjour chez toi, et à ce qu'il allait falloir que je garde comme lucidité pour y parvenir. Je pensais à ce que j'avais pu oublier d'important, et sentais monter les premières effluves de mon excitation, cette petite odeur pourtant si puissante, si rassurante, qui m'enveloppe et m'entête.
Le temps de l'attente est délicieux et atroce.
Mon regard ressemble à ce brouillard où l'on se perd, dans le flou des silhouettes qui s'estompent. Mais ma pupille perce et brille par delà son égarement. Même si les fantômes de mes peurs que je fusille m'attendent au tournant.
Le bus fait sa routine parmi les flaques et les maisons. La radio du conducteur grésille quelques nouvelles du monde, macabres, que je ne reçois que par bribes inaudibles. Je ne cherche pas à écouter, ma conscience se perd dans un univers sonore lointain, à l'image de cette brume opaque dans laquelle je me réfugie.
Le bus arrive, se range, j'entre dans la gare ferroviaire, et j'arrive sur le quai en même tant que mon train, comme si c'était moi que ce train venait chercher. Comme si mon voyage glissait sur des roulettes. Pas d'accrocs, pas d'histoires.
C'est un nuage qui me déposera devant chez toi.
Et c'est seulement là, quand je passerai derrière la vitrine, que soudain les tumultes me réveilleront à ces quelques heures volées à mon sommeil, à cette nuit passée comme tombe un éclair.
Gorgé d'attente, mon sexe remue en moi, se tourne, se retourne, gronde et soupire.
Montpellier.
J'arpente les rues pavées sous une bruine glacée, devantures fermées, regards de quelques errants enfermés dans leur triste dimanche matin.
Je trouve un bar ouvert, m'assoie en terrasse abritée, froide et déserte, et commande un café.
Je lis, j'écris, je grelotte mais brûle à l'intérieur. Mes yeux se dirigent régulièrement vers l'heure qui tourne, lentement quand on l'attend, impitoyable quand on la redoute.
Tu m'as dit de venir saoûle cette fois, et la vessie pleine. Alors ce sera un pastis s'il vous plaît. Et une grande carafe d'eau.
J'aime regarder les gens qui passent, les réalités qui se croisent, furtives, fugitives, qui s'ignorent. Une cigarette. Un pastis. Encore un autre. Peut-être tu dors encore. Peut-être tu fonds dans ton bain, tu savoures aussi la consistance que prend le temps, dans ces moments-là, où la circonstance ne peut être qu'elle.
Je ris soudain de sentir ma conscience s'émousser, mon écriture commencer à se tordre.
Des bébés sous plastique, des talons qui claquent, des secondes qui s'étirent et disparaissent les unes après les autres, des baguettes de pain à la main, des téléphones à l'oreille, des pas qui savent où ils vont, des gouttes qui mouillent mon carnet.
Un autre pastis.
Une voiture qui démarre, un parapluie qui s'ouvre. Quoi de plus normal tout autour de moi, mais tant de pensées sulfureuses qui courent vers toi, titubent, éprises, en proie, trépidantes.
Allez, une dernière cigarette. L'heure se fait pressante, mes frissons m'envahissent. L'aiguille s'emballe sur le cadran. “Je peux vous régler ?” Je dois encore passer aux chiottes pour enfiler une jupe, m'insérer un objet dans le cul, comme tu me l'as demandé.
Et la culotte en boule au fond du sac.
Il est midi, tu m'attends, je me presse, même si ce n'est pas facile quand l'alcool s’ajoute à mes fébrilités.
J'arrive, ne t'en fais pas.
En vrai, je n'en finis pas d'arriver.
***
Je sonne.
Tu m'ouvres immédiatement.
Comme la première fois où je suis venue chez toi. Pour moi le message est clair, cela trahit quelques impatiences bouillonnantes contenues derrière cette porte.
Tu refermes, tournes la clé et me regardes, et puis le temps s'arrête un instant.
“Tu es en retard”.
Tu t'approches et m'attires contre toi. Je sens ton corps qui me presse, le mien qui fond déjà. J'aime.
Je jubile de ce moment-là où le contact s'établit soudain, électrique.
Je suis là, debout, et tes mains me parcourent, galopantes, avides, elles lisent toute mon appréhension, elles surfent sur mes frissons, provoquent mes seins, et soudain passent sous ma jupe d'un geste franc pour venir se coller à mon sexe.
Je sens ton souffle qui s'intensifie, tandis que je retiens le mien, dans une écoute tétanisée de ce qui se passe, là, en bas. Mon ventre est explosif. Tes doigts glissent sur ma mouille, ton excitation s'emballe et ta main me pénètre d'un coup, sans préavis. Un petit cri s'échappe de ma gorge, de surprise et d'exaltation.
Tes gestes sont sans détour, ils savent ce qu'ils cherchent, et ne s'en cachent pas, c'est un plaisir pour moi de ressentir ça.
Tu saisis ce qui dépasse de mon anus.
'Qu'est ce que c'est ?”
“Un genre de maracas”
“Ça me plaît. Tu as envie de pisser ?”
Moi, honnête : “C'est pas encore irrésistible.”
“Alors on va boire un thé. Et après on sortira.
Des questions fusent dans ma tête. On sortira ? Où ? Que va-t-il me demander de faire cette fois ? Je n'ai pas trop le temps de m'attarder à y chercher des réponses que je me retrouve face à un grand bol de thé fumant. J'ai presque regretté d'avoir dit ça, car mon envie de pisser gonfle en moi plus rapidement que je ne l'aurai imaginé.
Tu t'assoies et me dis de venir plus près.
Je lève les yeux vers toi, tout en sentant mon palpitant s'emballer, et je fouille ton regard pour y lire quelque intention machiavélique.
Je m'approche de toi, prudente.
Tu me saisis brusquement et je me retrouve cul nu sur tes genoux, livrée à des mains qui ne pardonnent aucun retard, aucun manquement aux exigences. Je sens qu'elles savent laisser présager de leur virulence à venir, en s'appliquant d'abord d'une force mesurée, vive, mais supportable. Une force qui contient en latence toute l'intensité rageuse, imprévisible de ton rapport à moi, catalysée par la vue soudaine de mes fesses, envieuses et terrorisées à l'idée d'absorber les secousses de ta punition, de tes humeurs.
Tu me fesses, me frappes de plus en plus fort, je me tords, mon esprit s'affole, la douleur qui se transmet dans ma chair me pousse dans un état où la peur et la confiance que j'ai en toi s'affrontent férocement.
Jusqu'où pourrai-je ?
Jusqu'où ira-t-il ?
Mais tu t'arrêtes en disant :
“Ça ira”
Et moi je suis là, à peine arrivée que déjà toute secouée, mes sensations mises à vif.
Je me redresse le corps traversé de milliers de tremblements, le cerveau s'évertuant à reprendre le contrôle de la petite bicoque que je suis devenue dès ta première tempête.
***
“Buvons le thé”.
Tu me demandes quelques nouvelles, tu me fais part de ta satisfaction quant à la photo de moi que je t'ai faite parvenir pour ton défi, on discute, ça nous détend et nous attendrit un peu.
Mais mon ventre gonfle et se tend, et arrive le moment où je t'exprime que là, j'ai VRAIMENT envie d'aller pisser. Que c'est du sérieux.
“Ok, alors allons-y.”
On se lève. Moi je me dandine, les mains sur mon ventre, légèrement pliée vers l'avant, ça presse, ça presse.
On met les vestes, écharpes et parapluie pour sortir et traverser ce temps dégoulinant qu'il fait dehors.
Sous le parapluie et contre toi tu m'emmènes parmi les rues, entre les gouttes. Je m'en remets à tes pas, à tes intentions, je ne sais pas où nous allons, mais pour l'heure, je n'arrive pas à me concentrer sur autre chose que sur la contraction que je dois faire pour retenir ma vessie de son besoin plus qu'urgent de se relâcher.
Ça devient insupportable. Je m'arrête et je souffle, pliée, mes mains retenant mon ventre comme si j'allais accoucher. On arrive dans des rues plus passantes, on rejoint la place de la Comédie, et là tu me demandes si je suis déjà allée manger chez McDo. Un peu interloquée, je réponds qu'une fois a suffi pour ne plus me donner l'envie d'y retourner.
“Eh bien allons-y”.
On entre. Il y a pas mal de gens, à table, debout, mais moi je ne les regarde pas, je n'ose lever les yeux du sol, de ce carrelage mouillé et un peu sale de ces jours de pluie et je me presse contre toi comme pour m'y cacher, dans l'attente craintive de ce que tu projettes de faire ici. Tu m'invites à monter les escaliers. Des gens qu'on croise, des voix, du brouhaha, ta main dans mon dos.
Arrivés en haut, tu marques une pause, et tu me dis :
“Maintenant, tu vas pisser ici, tout en redescendant l'escalier, et en te dirigeant tranquillement vers la sortie. T'inquiète pour la jupe on fera une machine. Vas-y, lâche tout”.
Je ne me suis pas dandinée plus longtemps, mon corps ne m'aurait de toute façon pas laissé le choix.
Alors ok, j'ouvre les vannes.
Je sens que ça me coule le long des cuisses, que ça imbibe ma jupe, je ne regarde pas les gens mais je les entends tout autour, et toi à côté qui me regarde, amusé, et qui dis:
“Ça y est ?”
La honte et la détente se sont unies en un seul flot que je vois jaillir de sous ma jupe et qui s'abat à mes pieds. Je n'y crois pas, c'est un Canadair que j'ai entre les jambes.
On redescend l'escalier. Ça continue de couler, j'en fous partout jusqu'en bas, ma jupe me colle aux cuisses, je presse le pas, et ça y est je crois que c'est fini. Je pousse la porte, et nous voilà dehors.
Tu caches une certaine hilarité, et moi... je ne sais pas trop ce que je cache. Les regards ne m'ont pas humilié, je les ai scrupuleusement évité, mais c'est la première chose dont je me suis inquiétée.
“Oui, il y a des gens qui t’ont vu, ça c'est sûr”.
Nous rentrons chez toi, d'un pas plus léger qu'à l'aller.
Juste avant d'arriver, tu me passes la main sous la jupe, malgré les passants qui arrivent à notre hauteur et tu te mets à agiter mon maracas, qui est toujours là, lui, et qui attend qu'on en joue. Ça va très vite. Tu le remues à l'intérieur de moi, en tirant un peu, et tu me dis:
“Pousses!”
J'obtempère, et tu tires d'un coup sec. Là, une vive douleur me fais vaciller et m'épauler au mur, à ma droite, salutaire.
Peut-être pendant ce temps tu considères l'objet, et je t'entends me dire :
“Oh, excuse-moi, j'avais sous-estimé sa taille...”
Tes bras m'encouragent à te suivre.
Nous y sommes. Tu tournes la clé, et nous passons nous réfugier derrière les quatrièmes de couverture.
***
Mon regard tombe sur mes chaussures.
De la merde.
“Je crois bien que c'est la tienne.”
Morte de honte, je m'empresse d'aller nettoyer ça, puis me débarrasse de mes vêtements mouillés de ma pisse et les fourre dans la machine à laver.
Tu fais couler un bain.
Je m'assieds dans le salon, me roule une clope, et je m'évade dans les volutes de fumée qui dansent au ralenti dans la pénombre. Un calme revient en moi.
Tu m'invites à venir dans le bain, mais avant tout...
“Tu vas avoir droit à un lavement. Assieds toi sur le bord de la baignoire.”
Tu me penches, m'insères le tuyau dans l'anus, et envoies de l'eau. Je sens mon rectum se gonfler. Se gonfler. SE GONFLER.
“Tu le sens quand c'est assez”
Tu enlèves le tuyau, me dis d'aller aux chiottes, puis tu recommences l'opération une deuxième fois. Voilà, j'ai passé mon baptême du lavement, ça va, c'est pas si méchant.
Enfin, je me glisse dans l'eau fumante qui m'attend, avec l'impression que je vais m'y dissoudre entièrement.
Je me prélasse.
Le son de mon cœur s'amplifie dans l'eau, mon souffle en ondule la surface, mes pensées se dilatent, s'évaporent, j'ai tant besoin de ces moments-là, où je me retrouve, moi et mon corps dans une communication de l'indicible.
Je regarde mes mains sortir de l'eau, aller et venir sur ma peau, caresser mes genoux, glisser sur mon ventre.
Je me réconforte, je m'apaise.
Et petit à petit, se rassemblent les fragments de moi-même éparpillés, apeurés, tremblants, voraces, honteux, délirants et raisonnés. Je me frictionne avec tout ça en me rendant à l'évidence : c’est bien moi, dans ce corps, fendue de ces multitudes, et c'est avec tous ces visages que je m'apprête à te rejoindre.
Tu as préparé une salade, c'est là que je me rends compte de ma faim.
Un sushi. Un autre.
On parle, ça fait du bien, tu m'interroges sur les instabilités de mon domicile, je te réponds par ma détermination à ne rien lâcher, malgré les pressions, malgré les coups de blues.
Nos échanges sont simples, doux, attentifs.
Une touche d'hydromel en fin de repas.
Et bien sûr, une grande théière.
Ces réjouissances culinaires en cours de digestion, tu m'invites alors à te suivre à l'étage:
« On va dans mon lit? »
Ce n'est pas un ordre, mais je n'y résiste pas mieux. Mon cœur fait des bons, et je t'emboîte le pas, ravie.
Et je sens monter en moi le colimaçon de mon désir, à mesure que je grimpe ces marches, qui s'effondrent une à une après mon passage.
Derrière moi, plus rien n'existe.
J'avance, je ne peux rien faire d'autre. C'est si bon.
Le moelleux nous accueille, nous enveloppe, nous attendrit. Je sens tes mains qui se promènent, qui cherchent en moi là où c'est doux, là d'où mon souffle prend sa source, j'ose à peine te caresser tant tes gestes sonnent juste et m'éveillent, partout, ou presque. Tu me fais languir.
Je me tends, me tortille, mes effleurements t'agrippent à présent, mes caresses te grifferaient presque le dos.
Et puis tu me regardes.
« Dis-moi des mots »
Je m'inquiète, et répète, comme si je n'avais pas bien entendu :
« Des mots? »
« Oui, parles-moi comme tu sais si bien m'écrire ».
Prise au piège.
« Des mots, quels mots, des mots pour décrire l'impossible, des mots pour...»
Tu me pénètres.
« ...dire tout ce qui me traverse... »
Je parle entrecoupée de mes cris
« ... des mots qui ne savent plus rien... qui s'exaltent et meurent... »
Je m'emballe. Je ne sais plus ce que je dis, emportée par tes élans, mais quelque chose en moi ne cède pas.
C'est si fort, mais c'est trop fort.
On cesse. Tendresses.
Mon corps est toujours sous tension.
« J'ai mes résistances... peut-être elles t'embarrassent...? »
Tu ne réponds pas, il se peut que ma voix n'aie été qu'un murmure inaudible, comme un frisson qui se cache, une peur qui somnole.
***
(à suivre)
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Il est à son travail depuis ce matin, quand elle se lève. Il ne devrait plus tarder, ayant pris son après-midi. Tout en se réveillant, elle se dirige vers la cuisine.
Elle s'arrête.
Par terre, un papier, écrit, l'attend....
Ce n'est pas ainsi qu'elle avait prévu sa journée...
Enfin sur la piste cyclable, Il envoie à toute allure son vélo sans risque de faire une mauvaise rencontre avec une voiture. Il y a toujours les autres cyclistes ou des lapins qui peuvent traverser, mais Il peut rouler à sa guise.
Dans une heure, Il saura ….
Dans l'appartement, le cœur battant par son cyclisme de retour de bureau, Il écoute.
Pas un bruit …
Aurait-elle...?
Peut-être …
Cette fois, c'est l'excitation qui Lui fait battre le cœur …
Aurait-elle…..?
Peut-être …
Après avoir jeté un œil dans tout l'appartement, Il la trouve, couchée sur le lit. L'éclat de sa peau est resplendissant sous ce soleil d'été qui passe par la fenêtre.
Elle est chaude.... la caresse de Sa main la fait tressaillir, mais seul le tintement de ses menottes perce ce silence si étrange, paradoxal....
Sa main remonte vers son cou, entravé par son collier et la lanière en cuir du bâillon qu'Il lui avait ordonné de mettre pour L'attendre. Il termine sa caresse sur sa tête, serrée par un bandeau au doux tissus.
Fixant la laisse à son collier, Il la fait descendre du lit et mettre à genoux sur un coussin au sol.
Puis, Il s'assied face à elle.
«N'es-tu pas fière de M'appartenir? «
Un signe de le tête Lui répond.
«Alors, redresse-toi» fait-Il en faisant remonter ses seins avec Sa cravache.
«Je te félicite, tu as respecté mes consignes.» dit-Il en contemplant sa soumise.
«J'espère que tu as passé un bon moment à te préparer, m'attendre ainsi....»
Elle fait à nouveau signe de tête, tout en bombant d'avantage sa poitrine, exigé par une claque de la cravache.
«J'ai prévu une surprise pour ce soir, récompense de ta journée. Mais pour le moment, je vais te donner celle de m'avoir fait cette agréable surprise.»
A ces mots, Il s'approche de la bouche de sa soumise, membre tendu.
C'était une première. La première fois qu'elle L'attendait ainsi et qu'Il assouvissant ce fantasme. Il n'attendait pas mieux que sa soumise s'offre à Lui, en se faisant désirer.
Sans attendre, elle prit sa queue juste après avoir perdu son bâillon.
«Doucement... déguste». Il la regarde faire, faire des va-et-vient, doucement....
«L'attente n'a pas été trop longue?… Pas trop vite, j'ai dit.... Ne sois pas pressée, tu vas avoir toute l'après-midi...»
Il prend sa tête entre ses mains pour la forcer à ralentir. Elle en voulait plus, le jeu de la frustration bat son plein.
«Suffit!»Il se retire, la bâillonne et empoigne la laisse. Se dirigeant vers le salon, Il la fait asseoir sur le divan et lui met ses talons.
«Ma soumise va me servir, et mangera aussi à Mes côtés.»
Sur ces mots, Il l'abandonne pour la cuisine.
Il aime cuisiner; le temps passe. Aveuglée par le bandeau, seul le tintement de casseroles lui dit que son Maître ne sera pas la tout de suite... Peut-être prend-Il tout son temps …
Les menottes sont défaites et le bandeau retiré.
«Tout est dans la cuisine. Sois fière de me servir, et Je serai peut-être plus rapide pour la suite».Acquiesçant de la tête, elle ne manque pas le petit sourire qu'Il a au coin de la bouche.
Tout était prêt dans la cuisine; son Maître avait disposé tout le menu dans les assiettes, il ne restait plus qu'à servir. Elle dépose l'assiette devant son Homme, qui lui indique aussitôt de s'asseoir à côte de Lui.
«Pas toujours facile, la patience, n'est-ce-pas?
Non, Maître, vous avez pris votre temps en plus.
Je ne t'ai pas réveillé ce matin, et tu savais à quelle heure j'allais arriver.
Je ne parlais pas de ce moment, Maître
Ha?
A vous attendre sur le divan, c'était très long...
Il n'a pas à m'attendre, tu t'offres à Moi. Cette après-midi, je fais ce que je veux de toi et la seule chose que j'attends de toi, c'est que tu me sois constamment offerte – et disponible, évidemment.
Je le suis, Maître
Je sais, ma Fierté, je sais. Et c'est bien pour cela que j'avais décidé de consacrer cette journée exclusivement à nous 2. A présent, mange et maintiens le bon niveau de Service».
A ces mots, elle s'exécute et ne tarde pas à rapporter la suite du repas.
Ils ne parlent presque pas, mais des regards sont échangés, Il la caresse à différents endroits du corps, du bout des seins jusqu'à son sexe, bien humide. Elle lui dépose un baiser dans son cou, Il frissonne. Brutalement, Il la saisit par la nuque, colle sa bouche à la sienne et la remplit de sa langue. Emporté par la fougue, se lève, la plaque contre le mur, soulève sa jambe tandis que l'autre main fouille son intimité.
«Tu sais ce que ça peut te coûter cela?
Oui, Maître
Tu serais trop contente que je continue cette punition
... Oui, Maître!
Ce n'est pas le dessert
Je suis votre dessert
C'est trop simple»
La relâchant, Il lui remet les menottes et la fait rasseoir.
«Je veux un dessert à point, tu comprends ce que Je veux dire?»
C'est sur ce clin d’œil qu'Il revient avec 2 religieuses au chocolat, son dessert favori.
Elle l'apprécie de la Main de son Maître, qui prend plaisir à lui offrir ces choux fourrés.
Quand elle eut fini, Il lui remet le bandeau sur les yeux et la prend par son collier.
Il l'installe sur la table basse, à genoux, face au divan. Prenant son temps, Il menotte ses mains dans son dos et l'embrasse, avant de la bâillonner avec une boule.
«Tiens-toi droite et fière», dit-il en entamant son dessert, assis face à elle. «Je t'aime, ma soumise».
<Fin de la première partie>
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Charles BAUDELAIRE (1821-1867)
L'horloge
Horloge ! dieu sinistre, effrayant, impassible,
Dont le doigt nous menace et nous dit : " Souviens-toi !
Les vibrantes Douleurs dans ton coeur plein d'effroi
Se planteront bientôt comme dans une cible,
Le plaisir vaporeux fuira vers l'horizon
Ainsi qu'une sylphide au fond de la coulisse ;
Chaque instant te dévore un morceau du délice
A chaque homme accordé pour toute sa saison.
Trois mille six cents fois par heure, la Seconde
Chuchote : Souviens-toi ! - Rapide, avec sa voix
D'insecte, Maintenant dit : Je suis Autrefois,
Et j'ai pompé ta vie avec ma trompe immonde !
Remember ! Souviens-toi, prodigue ! Esto memor !
(Mon gosier de métal parle toutes les langues.)
Les minutes, mortel folâtre, sont des gangues
Qu'il ne faut pas lâcher sans en extraire l'or !
Souviens-toi que le Temps est un joueur avide
Qui gagne sans tricher, à tout coup ! c'est la loi.
Le jour décroît ; la nuit augmente, souviens-toi !
Le gouffre a toujours soif ; la clepsydre se vide.
Tantôt sonnera l'heure où le divin Hasard,
Où l'auguste Vertu, ton épouse encor vierge,
Où le repentir même (oh ! la dernière auberge !),
Où tout te dira : Meurs, vieux lâche ! il est trop tard ! "
Merci zeus
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Un grand sac pour emporter de tout au cas où. .. j'y ai longtemps pensé, ne rien oublier. ..
Mes ongles presque noirs... aussi sombre que mon maquillage. .. différent bas, string, ... des jouets... Bizarrement l'envie née en moi...quelques tenues sexy... une petite liste pour vérifier. ..
Tailleur corset, débardeur avec dos en dentelle, débardeur résille, robe retro chic ... pantalon moulant...
J'imagine de dos pantalon noir, dos en dentelle jambes écartées cravache à la main, cheveux attachés. ..
Un bon début. .. de l'eau, du gel et de l'huile. ..
Déjà des images dans ma tête défilent. .. moi de dos et face au miroir, à genoux m'empallant... expression de plaisir. .. corps contracté... mains crispées sur mes cuisses. ...
L'heure tourne... je poursuis mes préparatifs. .. la tête un peu ailleurs. ..
Une tenue sexy, des bas... ma jupe relevée ... une main entre mes cuisses, l'autre tient le gode fixé au miroir... penchée je le suce et me caresse... un diamant orne mon cul...
Vérifier que j'ai tous mes jouets. .. rosebud, gode... gode ceinture. .. j'imagine mes mains caressant ce sexe noir et dur...réfléchir à la meilleure tenue... pantalon? Ou des bas sexy...
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L'envie est là... insidieuse... prenante... depuis ce matin... les dossiers à gérer , se concentrer... répondre au téléphone...traiter les dossiers.. les urgences.. pourtant l'envie est toujours là, le désir... me caresser... glisser mes doigts... en moi... appaiser mon corps.. mon sexe avide... enfin le midi, la pause... s'éclipser, les toilettes... baisser mon string au bas de mes pieds... glisser ma main le long de mes cuisses... remonter ma jupe... atteindre mon sexe humide... et enfin.. comme une délivrance... sentir mes doigts en moi... faire monter encore plus le plaisir... une main appuyée au mur... s'activer... pour exploser... jouïr en silence... et savourer le retour au calme... le corps détentu.. l'esprit serein...
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L'appréhension avant ce shooting. .. plus osé, plus intime. .. je me sens seule, trop seule, vais je pouvoir? Pourquoi faire cela? Exprimer une émotion? Voir ce que je suis. .. cette femme sexy, offerte, obscène, vissieuse?
Je me maquille, en Domina. .. maquillage sombre, noir, prune... cheveux attachés, strict... string résille, pantalon noir moulant, débardeur en résille, seins nus ou soutif noir? Les accessoires. .. cravache, gode ceinture noir, plug rose, rosebud... la pression monte... le miroir. ..tailleur, robe moulante?
La séance se termine... l'esprit un peu ailleurs je réalise doucement ce que j'ai fait. ..
On a commencé doucement, moi vêtu de noir... cravache. .. puis avec le gode ceinture, main sur mon sexe dur. ..
Je retire mon pantalon. .. à travers la résille on aperçoit mon rubis. .. Je troque le debardeur pour une guêpière, enfilele tailleur... strict, sexy... Domina... je joue devant l'objectif, allumeuse... sévère tentatrice. ..
Je me penche pour enfiler mes bas, retire string... mon cul joliment décoré est ainsi photographié... la séance se poursuis... je me dévêtis. ...une fois nue j'étalle langoureusement de l'huile sur ma peau... sur mes seins, les fait pointer. .. à genoux... cuisses ouvertent, offerte telle une bonne soumise, reins cambrés, je me caresse... mords délicatement ma lèvre, suggérant le plaisir, ma tête renversé. .. mes tétons entre mes doigts.... Puis ma main descend doucement sur mon sexe... s' y love... je simule ... un peu...
Viens le miroir que je pose au sol, le plug qui trône. ... je joue avec, le suce, le léche...l indécence. .. j'ai honte un peu ... beaucoup.... rien que d' écrire cela, d'y repenser. ..
Ma main rejoint mon sexe, besoin de me vider... mes doigts retrouvent cette zone si sensible... la titille. .. le plaisir m'envahit, je m'y abandonne, me laisse submerger... un premier petit jet...je poursuis encore, plus... encore oui... mon corps cède. ..se laisse envahir, .... j'ejacule, dans ma main, le liquide coule... encore... c'est fort...intense.... les images du shooting défilent. .. le plug...le miroir.... les va et viens....
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Jeudi la sonnerie de la messagerie me fait sursauter.
«Frédéric comme prévu nous nous verrons ce week-end! Toutefois
ne prévoyez rien en nourriture nous n'irons pas chez vous,
prenez avec vous un nécessaire de toilette, serviette, et des
affaires de rechange. Vous porterez un slip. Et vous serez à
15heures 30 vendredi à notre rendez vous. J'ai une surprise pour
vous!»
«bien Madame»
____________
Je suis à genoux. Nu.
La salle voûtée est chaude, mais je frissonne, les murs de pierres
sont parfois vides, parfois couvert d'ustensiles. Fouets, cravaches,
chaînes et menottes pendouillent en ordre. Je dois attendre ici, à
genoux et nu. je dois garder mes yeux au sol, si quelqu'un se trouve
dans la pièce.
J'entends des pas dans l'escalier.
Je baisse les yeux.
Une paire de chaussures d'homme arrive devant moi, elles tournent
autour de moi, un frisson me parcourt quand une main ferme se pose
sur ma tête.
-en tant que soumis tu doit apprendre à être disponible pour quiconque
entrera dans cette pièce. homme ou femme tu te dois d'être performant
dans ce que l'on te demandera. Aujourd'hui je vais voir si tu peux
satisfaire un homme. Tu vas me sucer et me donner du plaisir.
-Oui Monsieur. Déclarais je d'une voix mal assurée.
Monsieur se met devant moi. Je me redresse légèrement, je défais la
ceinture de cuir, déboutonne le pantalon, mes doigts fébriles descendent
la fermeture éclair. Le pantalon glisse sur deux jambes musclées,et
découvre un boxer noir tendu d'une belle bosse. Je glisse mes doigts
entre l'élastique et la peau. En tirant doucement apparaît le pubis
légèrement poilu, puis une verge énorme se présente devant mon visage,
les testicules de belles tailles sont rasée ainsi que la base de la verge.
Monsieur est excité mais ne bande pas, son sexe est lourd, j'approche
mes lèvres, avec deux doigts je décalotte doucement le gland et ma bouche
épouse la peau douce. Ma langue repousse le prépuce. J'humecte ma bouche
pour glisser au mieux autour du membre épais qui grossi à m'emplir. Il
est énorme et j'ai du mal à passer après le gland je vais et je viens
avec mes lèvres et de la langue je caresse la peau douce du gland. La
main puissante de Monsieur plaque ma tête et me force a ne plus reculer
mais à avancer sur sa bite. Je salive énormément, j'étouffe et j’essaye
de me concentrer sur ma tache, pour ne pas vomir, mais des hoquets me
prennent, la main relâche la pression, je recule un peu et puis je revient
à fond je touche presque les testicules de mes lèvres, ma glotte caresse
le gland. Je suce maintenant sur tout la longueur ce sexe d'homme qui
plonge dans la moiteur de ma bouche, quand le sexe est pris de soubresauts.
Monsieur recule ma tête d'un coup sec. J'ai juste le temps de fermer la
bouche que le sperme atteint mon visage et m’inonde...
_______________
au rendez vous de vendredi 15h30, je viens vers vous, je m'agenouille
devant vous et vous baise les mains. Les passants froncent les sourcils,
en secouant la tête.
Vos affaires installés au coté des miennes nous prenons la route, vous me
pilotez sur un itinéraire que je ne connais pas. J'inspire et me vide
doucement pour me calmer. La nationale se déroule devant nous, le paysage
se fait agricole. La lumière est intense, nous roulons vers le sud. Vous
m'annoncez soudain qu'il ne reste que deux kilomètres pour notre destination.
_________
je réajuste Monsieur dans ses vêtements. Un doigt passe sur mon visage maculé,
étale la semence.
-C'est très bien.
-Merci Monsieur.
-Tu ne t'essuie pas tu reste ainsi. C'est ta condition de soumis ne l'oublie pas.
-Oui Monsieur.
Monsieur s'en va me laissant là. Ses pas résonnent dans l'escalier. Autour de moi
le silence se fait. Je sens couler sur mon visage l'intimité de Monsieur, le temps
passe, mes genoux commence à me faire souffrir.
des pas résonnent dans l'escalier. Une paire de talon aiguille arrive devant moi.
Les chevilles et les mollets de la dame sont recouvert de nylon noir.
-Frédéric?
-Oui Madame.
-Monsieur est satisfait vous sucez très bien parait-il.
-Merci Madame.
Vous vous accroupissez devant moi, votre jupe très courte remonte
sur vos cuisses. Je respire très fort. Vous prenez ma tête entre vos mains.
Vous étalez un peu plus ce liquide qui s'écoule.
-Vous êtes souillé Frédéric! Vous riez. Comme une souillon!
…
-Frédéric?
-Oui Madame.
-Allongez vous sur le ventre et fermez les yeux.
Je m'exécute. Vos talons résonnent dans la pièce vous vous éloignez. Doucement.
Je ne sais pas ce que vous faîtes. Je vous entend, vous, Madame. Je sais que
vous êtes là. Cela me réconforte. Vos pas reviennent en claquant. J'ai une érection.
Vous disposez des choses autour de mon corps. Un foulard vient bander mes yeux.
Je les ouvres, mais je suis aveugle. Vous mettez mes bras en croix. Écartez mes
jambes au maximum. Vous glissez votre main sous mon ventre et tirez mon sexe dur
en arrière. Je gémis.
-voyons Frédéric, ce n'est rien, cela ne fait que commencer.
Vous vous pencher à mon oreille et murmurez.
-Frédéric? Désirez vous m'appartenir? Vous savez cela
me fait tellement plaisir, d'entendre votre souffrance.
-Je suis à vous Madame. Je murmure. Je vous appartient.
-Hum! Hou! Vos doigts trempés de votre intimité viole ma bouche. Je les sucent
à chaque fois que vous les remettez.
Vous vous relevez. Votre escarpin joue avec mes testicules, écrase un peu le gland.
J'étouffe mes petits couinements.
Puis soudain la première goutte tombe. Je sursaute. Puis une autre et encore et
encore. J'endure ce plaisir en essayant de faire le moins de bruit possible. Le
dos me semble t il se couvre de taches de cire. D'abord les épaules, puis cela
descend inexorablement. Vous faîtes des pauses de temps à autre. Ou vous me caressez
la tête, ou bien vos doigts effleurent cette queue gonflée pour vous.
____________
Vous me demandez d’arrêter la voiture sur le bas coté.
-Frédéric?
-Oui Madame.
-Portez vous un slip comme je vous l'ai demandé?
-Oui Madame. Déjà je défais la ceinture de mon pantalon et déboutonne mon jeans.
Vous passez votre main sur le tissu qui enfle à vue d’œil.
-Hum! Très bien Frédéric! Votre main ouvre ma chemise, vos doigts glissent sur
ma peau jusqu'au premier téton que vous titillez doucement. Une onde de plaisir
me parcourt. À votre souffle je sent qu'il en est de même pour vous.
Le pantalon baissé à mi cuisses, vous tirez l'étoffe de la culotte, que vous coincez
derrière les bourses. Celles ci remontent tendant la peau que vous pincez légèrement.
-Allez Frédéric. Vous murmurez à mon oreille. donnez vous du plaisir, je vous veut
détendu. Là ou nous allons, c'est moi, qui prendrait du plaisir. Je vais jouer avec
votre corps. Et votre esprit sera mien! Êtes vous d'accord Frédéric?
-Oui Madame. Ma bouche est sèche. Mon ventre se noue. Mais oui Madame je vous suivrais.
-Nous allons découvrir ensemble jusqu’où vous me suivrez. Masturbez vous, hélas
vous ne pouvez pas me faire jouir avec votre queue. Donc il me faut un homme. Pas un
qui éjacule au bout de trois va et vient comme vous le faîtes.
Pendant que je glisse mes doigts le long de la verge, vous pincez mes seins violemment.
Au bout de très peu de temps, je vous déclare dans un souffle.
-Je vais jouir Madame.
-Stop.
Vous tirez l'étoffe qui recouvre le pénis brûlant d'envie. Vous me considérez d'un
regard étrange, oui Madame, je suis heureux de vous appartenir. Vous me souriez, la
tension baisse d'un cran.
-Avez vous envie de jouir vraiment pour moi Frédéric?
- …
-bien sur! Vous êtes gêné de me le dire. Vous avez honte de dire à une femme, toute
la jouissance que vous voulez lui donnez?
-Oui Madame, un peu honte. Vous caressez ma joue.
-Pauvre petite chose. Je vais vous aider. Vous caressez mon sexe au travers du tissu.
Dites moi que vous avez envie d'être masturbé.
-Madame pouvez vous me masturber s'il vous plaît...
-hum! Avec joie.
______________
Vous tournez autour de mon corps en croix allongé sur le sol, les gouttes de cire
pleuvent sur mes fesses, sur mon dos les myriades de gouttes figent en tirant ma peau.
Le fessier est bientôt recouvert de cire, je ne peut plus retenir mes gémissements. Vous
m'encouragez. Tandis qu'une pluie chaude s'écoule inlassablement, vous me parlez,
tour à tour, moqueuse, tendre, dure ce qui à pour effet de me déconcentrer et de m'arracher
de petits cris. De longues traînées de cire coule soudainement sur mes cuisses. Je hurle.
-Criez Frédéric mais ne bougez pas! Oui Frédéric hurlez tant que vous le voulez,
cela m'excite...
je me retiens au maximum de ne pas bouger. Je sens la chaleur mordre la peau, de ses
petits crochets elle tire dessus à n'en plus finir. Après une courte pause, vous
passez au parties génitales. Vous vérifiez, mais vous le saviez déjà! je pleure à
chaude larmes. Vous ne me prenez pas dans vos bras comme d'habitude. Vous continuez,
je dois tenir, je veux que vous soyez fière de votre soumis. Quand le supplice s'arrête
enfin, je respire fortement, j'aspire l'air saturé d'odeur de cire à grande goulée.
Des pas résonnent dans l'escalier, Je sens Monsieur venir à nos cotés.
-Frédéric levez vous? Monsieur me soutient et m'aide à marcher, toujours aveugle je ne
sais ou je vais. Des morceaux de cire se détache de ma peau, J'ai l'impression de me perdre.
Vous êtes tous les deux à mes cotés, deux bracelets viennent enserrer mes poignets.
Je me retrouve les bras en l'air immobilisés, face a un mur. La pierre fraîche contraste
avec mon derrière brûlant.
Mais déjà un claquement se fait entendre. Deux bracelets maintiennent mes chevilles maintenant.
-Frédéric? Murmurez vous à mes cotés.
-Oui Madame! Je réponds avec une voix blanche morte de trouille.
-Je sais que vous avez peur! Mais tout se passera bien. La surprise c'est que je vais
apprendre le fouet avec Monsieur, écoutez sa voix...
____________
mon sexe tend le slip, le frisson des doigts est infernal, les ongles se mettent dans la
danse. L'excitation est à son comble, vos ongles s'enfoncent à travers le lycra,
les bourses, la verge, le gland, rien n'est épargné. Câlins tout doux, pincements, frottements,
ultime sévices un ongle voudrait trouer la culotte pour rentrer dans le méat. L'éjaculation
est violente elle me surprend moi même. Du sperme s'écoule, abondant. Je me souille, me répand,
dans mon boxer. Vous me laisser respirer quelques minutes.
-Frédéric restez comme ceci et reprenez la route.
-Je remonte mon pantalon Madame?
-Non, vous ne fermez pas votre chemise non plus.
Je démarre la voiture, et continue à rouler sur les indication de Madame. Nous arrivons
dans la cour du vieille ferme, très bien retapé, sur un vaste terrain, perdue au milieu
de cultures. Un homme nous attends sur un perron, quand nous rentrons dans la cour fermée.
Il m'indique ou me garer. Sur le coté gauche du corps de ferme. Je n'ai pas le temps de me
poser de questions sur ma tenue, l'homme est déjà entrain d'ouvrir la portière de Madame.
Et la salue par son prénom. Oups! Ce n'est pas un soumis. Je ne bouge pas, et souri
bêtement, je ne vais pas sortir comme ça tout de même. Après quelques civilités avec Madame.
L'homme se penche à l'intérieur du véhicule et déclare à mon attention.
-Bonjour Frédéric vous ne sortez pas?
-Eh bien... c'est à dire que...
-Voyez vous Monsieur. Frédéric, mon soumis avait tellement envie de jouir en route que
je l'ai aidé. Et je trouvais plus amusant qu'il prenne du plaisir dans son slip.
-Et après tout vous avez bien fait! Répond Monsieur. Quand pensez vous Frédéric?
- …
Monsieur secoua la tête.
-Et oui comme d'habitude. Dit il. Dès que l'on pose une question claire LE soumis,
ne répond plus. Puisque il faut tout vous dire sortez donc de cette voiture.
Je sors. Honteux.
Monsieur vient vers moi et se présente, dit être le maître des lieux, et avoir invité
Madame et son soumis pour un petit stage en cette ferme. Que pendant ce week-end,
je suis invité à être ce que je suis, un soumis! de l’appeler Monsieur et d'obéir
en toutes choses qui me sera demandé.
-avez vous compris Frédéric?
-Oui Monsieur.
-Désirez vous être soumis ici dans cette ferme! Et n'avoir plus aucun droit?
-Oui Monsieur. Ma voix tremble, je tremble, je suis ridicule.
-Alors déshabillez vous. Vous vivrez nu ici. Et lavez vous à la fontaine et lavez
le slip aussi.
Je me déshabille devant vous deux, je met mon pantalon dans l'auto ainsi que la chemise.
Je traverse la cour nu. Je me baigne au bassin dans le jour finissant.
Une serviette est là propre pendue qui m'attend. Et bien pour un surprise c'est une surpris
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L’homme est assis bien droit sur sa chaise, l’air attentif. Il a convaincu sa compagne qu’une soirée par mois, ils laisseraient libre cours à la fantaisie sexuelle de leur choix ; sa compagne mènera la danse en premier ce soir. Il se demande ce qu’elle a bien pu préparer pour eux deux et l’idée qu’elle lui redonne les clés de son intimité le temps d’une nuit est loin de le laisser indifférent.
Elle qui est devenue si secrète… Depuis quelques semaines, la libido de sa femme semble s’être endormie ; elle se refuse systématiquement à toute forme de sensualité avec lui. Il n’est plus question qu’ils s’embrassent, et encore moins qu’ils fassent l’amour… Il espère que cette première soirée sera la solution à ce problème qu’il peine à résoudre et qui le frustre énormément.
Sa femme étant habituellement plutôt soumise et se laissant faire (pour son plus grand plaisir), l’homme se questionne à nouveau : que fera-t’elle ? Un show de lap-dance ? Un strip-tease ? Une démonstration de massage érotique.. ?
Ses réflexions sont soudainement interrompues par l’extinction des lumières de la pièce. Une mélodie langoureuse s’échappe alors de la chaîne hi-fi qui a été placée non-loin de lui : c’est « Glory Box » du groupe Portishead… Un projecteur s’allume. L’ombre de sa femme souriante apparaît en face de lui. Elle s’est assise sur un tabouret et reste de profil, immobile. Lorsqu’il tend sa main pour tenter de la toucher, elle le repousse délicatement et recule, en rythme avec la musique.
(à écouter en même temps : Portishead - Glory Box : https://www.youtube.com/watch?v=4qQyUi4zfDs )
Sa compagne s’est éloignée afin d'être hors de sa portée, mais il la voit tout de même assez pour pouvoir l'admirer à loisir. Il plisse les yeux et détaille sa tenue. Chloé ne lui avait jamais montré cette partie de sa garde robe ; son corps ondule encore lentement sur le son de la musique. Elle prend son temps… Le regard de l’homme se pose en premier sur ses chaussures, de hauts escarpins noirs qui mettent davantage en valeur le galbe et la longueur de ses jambes. Chloé est cambrée, Chloé est indécente et Chloé est outrageusement désirable.
Dans la pénombre, elle se retourne et se met dos à lui : l’homme aperçoit la fine couture noire qui court le long de ses mollets, s’épanouit sur ses jambes pour aller se perdre sur le haut de ses cuisses. Un bustier en mousseline dévoile à peine ses fesses, ornées par un porte-jarretelles noir du plus bel effet. Elle ne porte pas de culotte. Le contraste entre l’obscurité de la pièce et la blancheur de sa peau le saisit ; il a plus que jamais envie d’elle et d’effeuiller son corps qui n’attend que ça. Son contact, la douceur de sa peau, son odeur, sa chevelure et tout son corps entier lui manquent… Il veut la serrer dans ses bras à l’étouffer, veut goûter à sa peau, l’embrasser, la retrouver et la posséder. Il se lève d’un coup et se dirige vers elle avec cette idée en tête : « assez pour ce soir, tu es à moi, je n’en peux plus de te désirer sans rien en retour ».
L’homme se jette sur elle, l’embrasse à pleine bouche en pétrissant ses fesses à pleine main. Chloé lui rend son baiser mais se saisit rapidement des cheveux du bas de son crâne et d’un coup ferme, tire vers l’arrière. Il grogne, stoppé net à cause de la douleur capillaire infligée par sa compagne. Elle réprime un petit sourire moqueur et lui murmure qu’il a l’air malin, comme ça… Il lui avoue en gémissant qu’il a envie d’elle depuis des semaines et qu’il n’en peut plus de gérer sa frustration sexuelle. Le sourire de Chloé s’adoucit et elle lui dit qu’elle le sait, et qu’elle avait tout fait pour que cela arrive. Elle se colle à son sexe dressé sous le tissu du pantalon. Sa cuisse se frotte lentement à lui, et ça l’amuse de titiller le sexe de son compagnon qu’elle sait très sensible à cause de la frustration qu'elle lui a fait subir. Chloé est elle aussi très excitée : cela fait des semaines qu’elle manigance toute l’opération et elle est sur le point de réaliser son fantasme : soumettre son homme qu’elle savait très réfractaire à l’idée.
Elle approche à nouveau son visage au sien et se met à l’embrasser du bout des lèvres, comme si elle goûtait à un plat sans trop savoir si il lui convenait. Là aussi, elle prend son temps, elle le déguste, et le goûte. L’homme va exploser : il veut la posséder là, tout de suite, maintenant. Il veut de la force, des empoignades, des baisers enflammés et des choses qui claquent. Il se défait de l’emprise de Chloé et passe brusquement ses mains avides sous son bustier. « Chloéééééé », lui gémit-il à l'oreille…
« Pas de Chloé… Mademoiselle… » Elle se saisit à nouveau de ses cheveux, et le force à se mettre à genoux devant elle. Elle porte son visage à son sexe. Elle est trempée. « Regarde comme tu m’excites, quand tu es comme ça... ».
Elle pose délicatement son intimité sur sur sa langue qu’elle lui a ordonné de sortir, et se frotte à lui, de haut en bas. L'homme a fermé ses yeux et la lèche avec une expression presque extatique, l'air complètement vaincu. Elle se sent bien...
« Es-tu disposé à m’obéir…? »
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Elle arrive au lieu de rendez-vous enfin.Pour ma soumise du jour, c’est rendez-vous secret et fantasme en extérieur.Je lui ai donné rendez-vous sur un parking d’un super marché à plusieurs étages près de chez moi et pas très loin de chez elle, en plein après-midi mais un dimanche.Je la voie arrivé et se garé là où je le lui ai dit.Elle descend de la voiture, elle porte une robe d’été légère avec un gros décolleté, des bas et des talons.Elle me cherche du regard mais je suis à un endroit ou moi je peux l’observer et où elle ne peut pas me voir. Je téléphone sur son portable en restant hors de vue et lui ordonne de prendre le premier accès au sous-sol, la sortie 14.Pendant ce temps moi je file l’attendre dans ma voiture.Elle descend au sous-sol et cherche du regard, aperçoit ma voiture garé dans ce parking sombre et désert et se dirige vers elle.Elle marche vite pour me rejoindre, même s’il n’y a personne, l’ambiance du lieu surement, je sais que déjà rien que cela lui fait monter son rythme cardiaque et l’excite.Je sors pour la recevoir, les bruits de portière résonnent. « Bonjour maitre » me dit-elle d’une voie étouffé pour ne pas que sa voie résonne dans le sous-sol tout en regardant autour de nous si il n’y a personne.Je lui réponds d’une voie forte et qui résonne, puis lui ordonne de se mettre face contre la voiture, les jambes encartées pour qu’elle me présente ses hommages et que je l’inspecte comme il se doit.Elle hésite, c’est la journée, certes le parking souterrain est désert mais il y a du passage.Elle finit par s’exécuter.Je commence par lui toucher les chevilles puis je remonte doucement.Elle cherche du regard si quelqu’un vas nous voir.Pendant ce temps je remonte vers son entrejambe. Je vérifie qu’elle n’as pas de culotte et qu’elle a mis des bas comme je le lui ai demandé et en même temps je vérifie qu’elle mouille bien.Parfait ca l’excite, sons entrejambe commence à dégouliné.Je remonte et soulève sa jupe pour laisser apparaitre ses fesses.Elle ne dit rien mais son expression corporelle me fait dire qu’elle est gênée et qu’elle a, à la fois peur et envie. Je laisse retomber sa jupe et lui caresse le bas ventre, puis son ventre, puis je lui prends les seins à pleine main.Sa respiration se fait saccadée, elle la retient.Je passe ma main dans son décolleté pour être sûr qu’elle n’as pas de soutien-gorge comme je le lui ai ordonné.Bien !Je la plaque contre la voiture et me plaque contre elle, je lui tire les cheveux pour ramener sa tête en arrière et lui susurré a l’oreille. « T’a envie que je te prenne maintenant et ici ? Avoue ! Tu as envie que je te déshabille au vue des passants et que je te prenne en levrette à la vue de tous pour qu’ils sachent la chienne que tu es ? »Elle ne répond pas tout de suite, elle hésite, la peur se mêlant a l’envie.Sa réponse est trop longue. « Oui maitre mais… ».Je lui ordonne de se taire.Elle ose me dire « mais » à moi ? Son maitre ? Ma question n’était que pure rhétorique.Je la retourne de force, elle me regarde.Je lui dis le fond de ma pensé et elle sait qu’elle va être punie pour cela.Je la force à se mettre à genoux derrière la voiture et sort mon sexe que j’enfourne dans sa bouche de force.Elle s’étouffe avec et tente de se retirer.Je la bloque de mes mains et commence à l’obliger à me sucer, elle bave, s’étouffe, des larmes coulent sur son visage mais prend bien vite mon sexe a la main pour finir ce que j’ai commencé.Je lui ordonne de son autre main de sortir ses gros seins de son décolleté et de se caresser pendant qu’elle me suce.Elle obéit.Avant que je ne jouisse, je lui ordonne d’arrêter et de monter en voiture en lui ouvrant la porte côté passager.Elle s’installe et est surprise, quand, en fait, je me mets moi derrière elle et lui ordonne de me donner ses mains de chaque côté du fauteuil.Elle s’exécute et alors je lui attache les bras dans le dos en travers du fauteuil, ainsi elle ne peut plus bouger.Elle est surprise et exciter à la fois.Je sors et viens prendre la place conducteur.Puis nous roulons.Je sens la tension monté pour elle, elle a peur que l’on nous voie. Je remonte sa jupe pour entre apercevoir sa chatte.Elle tourne sa tête vers moi pour tenter de protester par reflexe puis s’aperçoit de sa méprise et ne dit plus rien.Sa chatte ruisselle.J’en profite pour lui mettre un doigt, puis deux, continuant mes vas et viens tout en roulant.Elle pousse de petit soupir de plaisir et ne fait plus attention au gens à l’extérieur qui en réalité ne s’aperçoivent de rien et ne s’en intéressent aucunement vue que nous roulons. Je sors mes doigts d’elle et lui ordonne de lécher.Elle s’exécute mais je lui mets une gifle pour mon plaisir.Elle lâche un petit crie.Je l’insulte et l’humilie verbalement tout en alternant entre lui mettre des gifles et la doigter. Nous arrivons dans une petite route de campagne ou je le sais il n’y a quasiment jamais personne.J’en profite donc pour lui sortir les seins de son décolleté à la vue de tous.Elle cherche du regard si quelqu’un la voie mais n’ose rien dire.Je continue comme ça à rouler quelque temps recommençant mon manège mais en lui giflant les seins en plus.Sa chatte devient un torrent.Je m’arrête sur le bas-côté et sort une boule en caoutchouc dure avec des troue dedans que je mets dans sa bouche et que j’attache avec les lanières en cuir autour de sa tête.Elle est la ballonné, attaché, seins nue, chatte apparente, ruisselant d’envie et de honte.Je reprends la route.Elle surveille chaque croisement des yeux.Nous croisons quelque voiture.Mais qui, à la vitesse à lequel nous nous croisons ne peuvent pas nous voir.Mais elle, elle ne le sait pas et cela l’excite. Nous arrivons enfin dans un bois de ma connaissance ou personne ne vas.Je me gare et ouvre les portes, passe à l’arrière et lui détache les bras.Elle sort de la voiture, je viens derrière elle et lui rattache les bras devant elle. Je lui passe un collier de chienne et une laisse en métal puis je lui mets un bandeau sur les yeux. Et la balade dans le bois comme ça quelque temps.Arrivé à un endroit loin du sentier, je lui enlève son bandeau, la détache, pose mon sac à terre pour qu’elle voie que j’ai pris du matériel, lui retire sa chaine mais laisse le collier et enlève son bâillon.Pendant que je fouille mon sac, je lui ordonne de se foutre à poil mais de garder bas et talon.Elle s’exécute mais tout en regardant sans cesse autour d’elle.Elle est gêné j’aime ça.Je pose une couverture sur le sol et lui ordonne de se mettre à genoux puis je mets ma bite dans sa bouche.Elle me suce pendant que je fouille dans mon sac et sort une corde.Je lui attache une main avec.Puis sort de sa bouche et vas passer la corde autour d’un arbre proche.Tire dessus l’obligeant à se lever pour venir se placer près de l’arbre.Je fais le tour avec la corde et l’attache à un autre arbre pas loin puis attache l’extrémité a son autre main.Voilà elle est attaché entre 2 arbres, nue dans les bois et à ma merci.Je ressors la boule en caoutchouc lui met dans la bouche puis commence à la caresser de partout, doucement.Ses jambes, ses fesses, son sexe, ses seins, son coup, son ventre, ses bras, il n’y a pas un endroit sur son corps ou mes mains ne la caresse pas, à part peut-être ses pieds toujours chaussé de talon qui s’enfonce dans la terre.Je sors de mon sac un martinet.Elle me regarde avec des yeux de chienne battue, pourtant ce n’est pas encore le cas.Je commence par lui fouetter les seins mollement avec mon martinet.Puis le ventre, les fesses et enfin le sexe.A chaque coup elle se tend, elle sursaute, elle pousse un petit crie puis un soupir de soulagement ou de plaisir.Je caresse ses fesses zébré de rouge, les écartes et crache dedans.Je continue a tourné autour d’elle a alterné entre les gifles dans sa gueule et les coups de martinet, lui crachant de temps en temps sur le visage ou le corps puis je prends ses hanche a deux main, relève son cul pour le tendre en arrière, sort ma queue et la prend violement.tout en lui donnant des coups de rein, je lui gifle les fesses ou les seins et puis j’arrête tout aussi violement.La séance continue ainsi alternant les moments de souffrances et de plaisir.Puis je fais le tour, me place devant elle et lui annonce que j’y vais.Que je vais revenir mais pas tout de suite.L’incompréhension et l’anxiété se lit sur son visage. Je la détache pour pas qu’elle est mal et lui dit de rester là, à genoux sans bouger que je reviens.Et je pars, la voilà nue, seule, dans des bois qu’elle ne connait pas, une boule dans le bouche, à la merci du regard de n’importe quel promeneur.Je reste pas loin, hors de sa vue mais assez pour la voir et vérifier que dans les alentours il n’y as personne.Au bout de quelques minutes, lorsque je sais que son esprit a eu le temps de s’imaginer mille chose, telle que la honte et l’humiliation d’être découverte ainsi ou alors le faite que je l’ai abandonner ici puis je reviens.Elle n’a pas bougé, bonne petite chienne.A peine arrivé, je remets mon sexe dans sa bouche et lui ordonne de le nettoyer, ce qu’elle fait avidement.Puis lui dit de se mettre à 4 pattes, que je vais la prendre comme la chienne qu’elle est.Elle obéi sans se faire prier.Je commence à la prendre doucement, puis de plus en plus vite, de plus en plus fort.J’écarte son petit cul pour commencer, puis lorsque les mouvements se font plus rudes je lui attrape les hanches pour donner plus d’ampleur et de force à mes coups.Je ralentie un peu et lui ordonne à elle de venir, je ne bougerai plus, à elle de me montrer qu’elle aime ça, de me montrer ce qu’elle sait faire pour remercier son maitre.Elle fait des mouvements saccadé pour prendre plus son pieds, puis y vas franchement me fait presque reculer à chaque coup de bite qu’elle s’inflige.Les bois résonnent de ses fesses qui claques contre mon bas ventre pendant que tour à tour je lui caresse ou lui gifles ses seins.Par son attitude corporelle, je sens qu’elle va venir alors je stoppe tout.Je me penche sur elle et lui dit « tu crois que tu vas jouir ? Tu crois que j’en ai fini avec toi ? Ho que non, tu finiras quand JE te le dirais. J’ai encore prévue plein de truc pour toi »je sors d’elle, la met sur le dos, je sais que le changement de position vas la calmer un peu.J’en profite pour faire un peu duré puis la met sur le dos, la pénètre tout doucement, caresse tout son corps lentement.Elle ferme les yeux, j’en profite pour lui mettre de petites gifles douces sur son visage, sur ses seins puis je me fixe.Elle ouvre les yeux surprise.je la préviens que je vais maltraiter ses seins. elle me regarde et de son visage doux dit oui d’un battement de tête.Je la pince, la caresse, la mord de plus en plus fort et enfin y met des pinces relier par une chaine puis reprend mes vas et viens.A bout d’un moment, je lui dis de changer de position, c’est moi qu’y m’allonge et lui demande de venir s’empaler sur moi mais dos à moi.Elle s’exécute, une fois fait je lui tords les bras dans le dos, les attaches ensemble avec la corde et m’en sert comme appuis pour la pénétrer violement, elle crie, elle bave à la commissure de ses lèvres rendu ouverte par la boule. Je lui attache sa laisse dans son collier et tire dessus pour l’étrangler modérément pendant que je la défonce, je tire sur la petite chaine qui relie les deux pinces à ses seins ou lui met des fessés.Puis je ralentie et lui enlève toute ses attaches.Je lui demande si ça lui a plu.Elle me dit que oui.Alors je lui dis qu’elle se tourne vers moi et qu’elle me montre sa reconnaissance du mieux qu’elle peut.Elle prend mon sexe et l’enfonce en elle d’un seul coup.Me chevauche, caresse mon torse, m’embrasse, et donne tout ce qu’elle a.Elle crie n’ayant plus le boule dans sa bouche, elle se fait plaisir, ses crie raisonne dans les bois, j’imagine les randonneurs qui passerais pas loin, ils ne mettraient pas longtemps à remonter l’origine de ses cries.Elle accélère, les coups s’intensifie, elle ferme les yeux tend la tête en arrière, elle n’est pas loin, elle me demande d’une voie plus forte que ce qu’elle aurait voulue l’autorisation de jouir.Ce que je lui donne et en profite moi aussi pour jouir, nous finissons ainsi.Elle ralentie tout en tremblant et me demande de ne plus bouger.Je passe pour cette fois sur l’outrecuidance de sa demande mais elle se rend compte de l’erreur qu’elle vient de faire en tant que soumise et me regarde attendant le châtiment.Je compte pas la punir mais elle attend cela alors je lui dit de descendre et de nettoyer mon sexe avec sa langue, pendant qu’elle le fait je lui met des gifles en lui ordonnant de s’excuser et de me remercier, ce qu’elle fait.Une fois terminé, nous nous rhabillons, rangeons le matériel, et débriefons ensemble.Elle a les joues rouges et le sourire aux lèvres.Il est temps de rentrer.
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Quelques mouvements sur ton sexe, je bouge le plug en toi, observe ton abandon, le plaisir qui te submerge... Ton sexe qui reagit au léger mouvements de ton plug... Nous passons sous la douche, se savonner, se caresser ... faire bouger ton plug en te te branlant, tes doigts dans ma chatte ouverte. .. je gémis... le plaisir nous envahit... tu te penches je te branle et m'occupe de ton cul...te faire vibrer... frémir. ... puis intervertir les roles... je me penche et à nouveau te sens venir en moi...tes coups dans mon ventre... encore et encore. ... jusqu'à ce que tu jouisses... je tombe à genoux étourdi de tant de plaisir. ..
Nous nous rinçons, la journée commence. .. le souvenir de ce moment me hantera... Faisant renaître le désir tout au long de la journée. ..
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Un bain pour se réveiller en douceur. ... l'eau chaude qui délasse, la mousse... tous les deux allongés, on se délasse tranquillement ...quelques caresses, ton sexe se réveille, durci...se fait plus imposant, se charge de désir. .. envie de le lécher. .. je m'approche. ..m'étire pour le prendre en bouche...me courbe pour te sucer. .. la baignoire est contraignante... mes mains sur ton sexe... ma bouche va et vient. ..mon sexe s'éveille doucement, l'envie au creux du ventre qui se déploie. .. je me redresse. .. me faufile sur toi...ne pas glisser, se positionner. ... et venir glisser ton membre en moi... s' avourer... faire grimper le plaisir. .. une première pour nous.... comme ça dans la baignoire. .. je vais et viens sur toi... m'agrippe au rebord, me soulève pour mieux t'enfoncer en moi, je gémis. .. je prends un peu de savon, caresse langoureusement mes seins. .. tu prends aussi un peu de savon.., j 'ondule sur ton sexe... puis c'est tes doigts, qui force l'entrée de mon cul... tu me pénétres, m'impose une cadence... m'ouvre un peu plus, tes doigts dans cul me soulève, je gémis encore et encore. .. telle une salope, j'aime ça, j'en veux encore... gourmande... Tu me pénétres... tes doigts s' immiscent en moi... ton sexe... que de plaisir. .. Encore... poursuivre... m'ennivrer... je prends ton membre... l'insére entre mes fesses. .. c'est plus fort, intense. .. doucement je bouge, m'appuie sur tes épaules. .. reprend mon souffle entre 2 gémissements..me détends. ..continue. ..c'est fort... je jouie.... au moins pas de draps à changer... l'eau fait des vagues sur mes mouvements je continue. .. pour te prendre complètement. .. te sentir en moi.... mes mains sur le rebord de la baignoire je me soulève et redescend... m'empale, m'ouvre à toi.. ci bon... puis je te branle à nouveau dans l'eau savonneuse. .. avant de te glisser dans ma chatte. ..ma main caressant tes couilles... envie d'intensité... de m'occuper de ton trou aussi. .. je sors de la baignoire, mets l'eau à couler sous la douche... prend ton plug... un peu de savon... avant de l'insérer en toi...puis revenir m'empaler....
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Allongée, encore chaude et brulante de désir.... on a fait l'amour.. tu m as baisé..j ai léchée ta queue pour quelle grossisse... pour quelle durcisse....tu m'as laissé jouer avec ton corps...ma chatte embrassant ton gland, il rentre et sort....je sais que tu aspires à être complètement en moi... c est le bonheur quand enfin je te glisse au fond de moi.... c'est doux, chaud, moelleux et humide....
Je glisse sur ton pieux tendu....mon corps attends plus....j insère mon rosebud...pour mieux te sortir...tu apprécies de te sentir un peu plus à l' étroit...je te chevauche avide de plaisir.....
[]
Tu m'as bien baisé, tu t'es répandu en moi... j aime quand tu t'abandonne! Mon corps attend plus, mais quoi? Pourquoi ne s'appaise t il pas?
Je glisse ma main entre mes cuisses...c'est chaud, moelleux, humide a souhait... c'est si bon...je glisse 2 doigts, quelque va et viens....le plug toujours en moi...un troisième, puis 4 doigts explorent mon corps.... cette douceur se plaisir de me sentir à travers mes doigts... j 'en veux plus...mon pouce se replit, se faufile dans ma main, en moi, revenir à l origine...je m ouvre un peu plus...c est fort...
Mes doigts rentrent peu à peu, étirent mon corps... je recherche en moi quelque chose de perdu? Une explosion, quelque chose de plus profond....
Mes doigts bougent au fond de moi, étrange sensation... ma propre main qui m'explore, mon corps se moule sur ma main, je me ressens de l intérieur...
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Attrapez votre soumise par les cheveux et trainez la où bon vous semblera
Bâillonnez la en serrant bien fort, jusqu’à ce que la bave lui dégouline de la bouche
Caressez lui les cheveux comme une petite chienne au pied de son Maitre
Déshabillez la sans ménagement, déchirez et déchiquetez ses vêtements
Examinez tout son corps avec vos doigts dans chacun de ses orifices
Fouettez la, sur ses fesses nues jusqu’à ce qu’elle se soumette docilement
Giflez la au moindre signe de rébellion ou pour votre bon plaisir
Humectez son anus de votre salive et glissez-y le rosebud de votre choix
Insérez votre queue dans sa bouche sans oublier de lui remettre le bâillon après
Jouissez dans sa bouche jusqu’à ce qu’elle ait avalé chaque goutte de votre semence
Kidnappez son entre cuisses pour la pilonner à volonté sauvagement
Ligotez lui les mains dans le dos, ou glisser lui une laisse autour du cou
Marchez, évoluez dans la maison en la promenant derrière vous à 4 pattes
N’hésitez pas à l’objectaliser en vous en servant de table ou de tabouret
Osez lui faire lécher vos pieds au moindre signe de plaisir qu’elle prendrait
Pincez, tordez, léchez, pétrissez lui seins et tétons, car désormais ils vous appartiennent
Quittez-là un long moment, la laissant attachée seule dans le noir, comme oubliée
Raclez son corps à l’aide d’un gant de crin tout en lui faisant prendre son bain
Sodomisez la en levrette et effleurez son bouton d’or de votre doigt
Tout en fessant ses dunes déjà rougies avec une grande fermeté
Utiliser votre savoir faire pour l’amener aux rives de l’orgasme multiple
Veillez à ce qu’elle jouisse seulement sous votre injonction
Warranter sur le fait qu’elle jouira bruyamment sans retenu comme un animal
Xeres vous lui ferez boire de force dans un verre en cristal, afin d’enivrer la catin qu’elle est
Yeux dans les yeux, son menton dans le creux de vos mains vous l’embrasserez
Zébrez la à volonté, mais n’oubliez jamais de la choyer à la hauteur de combien vous l’aimez
Lee, au pied de la Lettre.
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J'ai entouré la corde autour de ta taille, plusieurs fois pour te vêtir. .. je n'ai pas serré, je t'ai juste habillé... puis j'ai levé tes bras, pour libérer ta poitrine.... me trouvant contre toi dans ton dos, je t'ai caressé...avant de replier tes bras pour attacher tes mains dans ton dos entre tes omoplates.. mes cordes ont serpentées le long de tes bras...t'imobilisant...
J'ai sorti des baguettes en bois, un bois foncé pour contraster avec les cordes... une à une je les ai glissé alternativement entre les cordes de ta taille...devenant vannerie, puis corset... se resserrant à mesure que je glisse les baguettes... je t'emprisonne...je glisse ma main entre tes cuisses. .. tu t'ouvres à mon passage, mes cordes t'enlacent... tu deviens ma sculpture que je façonne... maintenant je vais pouvoir me délecter de toi... griffer ta peau, la lécher, la mordiller...te sucer... tu ne pourras que subir... et t'abandonner cuisses ouvertes pieds et mains liés. .. je t'allonge et savoure ton corps... tu es mon trophée. ...
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Je fais une différence entre ageplay et DD/lg. Je n'aime pas le terme "ageplay" car il y a "acting" et donc jeu (au sens jeu d'acteur) : c'est plutot une dimension de jeux de la comédie, de jeux de rôles. Je préfére parler de dynamique DaddyDom/lilgirl (ou tout autre combinaison MommyDom, lilboy, etc.) afin de faire la différence entre jeux de rôle et expression d'une réelle facette de la personnalité.
Une relation DaddyDom/lilgirl (idem pour les MommyDom et les lilboy ou tout autre combinaison) est plus une relation où le Dom incarne une figure rassurante, protectrice de la soumise. La soumise recherchant un cadre où elle se sentira protéger, et où le Dom s'occupera d'elle et de son bien être. La lilgirl pouvant très bien n'avoir que très peu de traits "enfantin".
De mon point de vue, la différence de cette dynamique de domination par rapport à d'autres, c'est d'utiliser la douceur comme vecteur de domination et non la douleur, ou l'humiliation. Cela rend cette dynamique plus douce, et génére (à mon sens) une emprise plus profonde.
Les lilgirls que j'ai pu connaitre, cotoyer, accompagner ou dont j'ai été le Daddy, ne jouaient pas un acte, elles étaient elles-même. J'ai eu l'occasion de connaitre une soumise qui a voulu me faire plaisir en jouant la lilgirl mais cela n'a pas fonctionné. La dynamique n'était pas sur le bon niveau.
Je pense que le manque de DaddyDom en France est lié à une culture BDSM très orientée controle par la douleur, la punition, ou l'humiliation alors que la dynamique DaddyDom/lilgirl nécessite un controle par la douceur et la tendresse.
Mais bien entendu, cela n'est que mon point de vue (néanmoins partagé avec celles qui furent/sont mes lilgirls )
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...Maintenant qu’elle connait les bases. Je lui enfile un imper cachant sa semi nudité et nous sortons de l’appart direction la cave.C’est une petite cave, comme celle de tous les habitants de mon immeuble. Elles sont accolé les unes aux autres.Et c’est ce que je trouve excitant.Il y fait sombre, froid et humide.Je sens la peur et l’excitation monté en elle.J’ouvre la porte en bois qui grince et la fait pénétrer dans la cave. Rien ne la distingue aux autres caves de toutes les copropriétés du monde et c’est en cela que c’est intéressant.Je la laisse rentrer et avant de refermer la porte, je jette un coup d’œil à la multitude de porte fermer et laisse, le temps d’un battement de cœur, mon imagination fantasmer sur le secret qu’elle renferme et toute les possibles soumises, esclaves, petgirls et autres prisonnières qu’elle pourraient renfermer à l’insu de tous les habitants…haaaalala…Sortie de ma rêverie, je lui dis que c’est ici qu’elle risque de passer beaucoup de temps si elle n’est pas sage…Ou si j’en ai envie…Et pour joindre le geste à la parole, je lui ordonne de se déshabiller. Elle s’exécute, ses seins pointe, due au froid et à l’excitation.Je lui ordonne de pousser les quelques affaires contre le mur de droite.Elle obéie et découvre ainsi les cordes et attaches que j’ai fixé au mur ainsi qu’un collier, une chaine, un bol et un seau.Je lui dis de se retourner et de se mettre à genoux.Une fois fait je lui tire les cheveux en arrière et m’introduit de force dans sa bouche.Elle s’étouffe mais n’essaye pas de se retiré, elle a déjà de bon réflexe.Zut j’aurais aimé la punir pour un réflexe d’auto défense mais son maitre d’origine la bien dresser, bah ce n’est pas grave.Je profite de sa bouche pulpeuse et sensuelle tout en lui expliquant a quoi tout sert, les différentes choses et pratique en cours dans cette cave et les conditions d’utilisation des objets ici (que je ne décrirais pas ici…allons, allons, chacun ses petits secrets ^_^ seul ceux qui testent savent ma cave et souvent ouverte )Au moment de sortir je lui dit de me tendre ses poignets. Je les attaches alors l’un a l’autre et une chaine les relies au mur. La voilà attacher dans cette cave sombre. Je lui dis que des gens peuvent venir, qu’elle ne doit pas faire de bruit ni révéler sa présence sous peine de gros ennui.Puis pour m’en assurer je sors un rouleau de scotch marron que je lui colle sur la bouche.Sa respiration se fait rapide. Sa poitrine monte et descend de plus en plus vite, ses mamelons tendent à leur maximum, ses fesses révèlent un grain de peau et une chair de poule ma fois fort excitante. Son regard est effrayer et en même temps remplie de reconnaissance.J’adore ça.Chaque détail de son corps restera a jamais dans ma mémoire. J’aime ce que je déclenche chez mes soumises et le contrôle que j’ai dessus.C’est un bonheur que de vivre une domination.Je m’en vais en éteignant la lumière, refermant la porte de bois légère qui mènent au couloir d’accès des caves. Et la laisse ainsi, nue, attachée, bâillonnée dans le froid, l’humidité et le noir seule. Je claque la lourde porte en métal qui mène a se couloir.Et je l’imagine terroriser et exciter par cette situation.Elle imagine que cela va durer des heures.En réalité elle n’y restera que quelques minutes mais pour elle cela aura duré une éternité.(Bien entendu je ne pars pas vraiment et sa sécurité est ma priorité, je reste devant la porte en fer qui mène au cave, au cas où, un voisin viendrais chercher quelque chose. Je lui ai laissé un téléphone portable avec mon numéro en priorité. Elle n’a qu’à appuyer sur le bouton appeler , car même si ses poignets son attacher, ses mains sont libre et a l’instant même où je recevrais son appel d’urgence sur mon téléphone. Je foncerais la délivrer. Je me suis entrainé au cas où, il me faut moins d’une minute pour la rejoindre et la délivré. Je préfère préciser et « casser » un peu le récit mais m’assuré que si quelqu’un s’en inspire, il comprenne bien que la sécurité est primordiale, indispensable et indissociable du rôle de maitre et que je ne fais pas cela au hasard)Au bout de quelque minutes j’ouvre la porte en fer et rentre dans le couloir mais au lieu d’aller à ma cave je fais comme si c’était un voisin qui venait voir la sienne pour rajouter a son stress et a son excitation.Je passe exprès devant ma cave plusieurs fois.J’entends un léger mais vraiment très léger bruit de chaine.Je fais mine de m’arrêter devant ma cave et d’écouter.Je l’imagine dans le noir, transie de peur d’être découverte, nu, attaché, humilié.Elle est dans le noir mais le couloir est éclairer et je sais qu’elle voit mon ombre qui se découpe dans la lumière qui éclaire sous la porte. Je l’imagine se recroquevillant, retenant son souffle afin de faire le moins de bruit possible pour ne pas être découverte.Quelques secondes passent puis je fais semblant de continuer mon chemin.Je repars et fait exprès de claquer la porte en fer.La lumière du couloir s’éteint à nouveau.J’attends encore quelque minutes et finalement rentre pour la délivrée.Lorsque j’ouvre la porte, elle est là dans un coin, rouler en boule, ses yeux exorbiter dans une expression de peur et d’inquiétude. Lorsqu’elle s’aperçoit que c’est moi, elle se rue à mes pieds en rampant toute heureuse.Je lis la gratitude et le soulagement dans ses yeux….comme j’adore ce moment.Je la prends dans mes bras pour la calmer, lui enlève son scotch et lui demande si elle est heureuse de me voir ?Elle me répond que oui.Alors je lui demande de le prouver et de se retourner pour me recevoir.Je n’ai pas fini de le dire qu’elle se retourne se met a 4 pattes et tant son cul vers moi.Je sors mon sexe et lui met en elle, fort, à fond, d’un seul coup.Elle crie, je lui mets ma main devant sa bouche pour qu’elle ne fasse pas de bruit. Elle hurle dans ma main sous mes coups de rein.Elle est toujours attachée ses mains jointes au mur.Ses chaines claques contre le sol à chaque balancement de son bassin.Je prends un morceau de scotch et je lui remets sur la bouche ainsi j’ai les mains libres pour lui écarter son cul pendant que je la prends.Apres quelques vas et viens, je m’arrête et me penche sur elle, et lui susurre a l’oreille. « Attention ça va faire mal …».Elle lève des yeux apeurés vers moi.Je lui écarte son petit cul et lui crache dedans, puis je m’introduis doucement en elle.Elle lâche un petit crie sous son scotch.Cela ne m’excite que plus et je reprends mes vas et viens dans son cul, de plus en plus vite, de plus en plus fort.Elle ramène ses mains encore attaché pour les mettre sur son baillons, tirant ainsi sur ses chaines et m’excitant encore plus.Je repasse dans sa chatte et Je la pénètre violemment comme elle aime tout en lui mettant un petit doit dans son cul.D'un seul coup, pendant que je prends mon pied, on entend la porte en fer qui s’ouvre.Nous nous arrêtons, nous fixons sans un bruit, la respiration est haletante mais nous essayons de faire le moins de bruit possible.J’entends quelqu’un qui viens dans les caves.Au bruit il se dirige a l’opposé de la mienne.Moi pendant tout ce temps je n’arrête pas mes vas et viens, ils sont juste beaucoup, beaucoup plus lent, pour qu’elle me sente en elle mais qu’elle ne fasse pas de bruit.On entend la personne faire du bruit dans sa cave.Comme si il chercher quelque chose ou qu’il rangé ca cave.Je profite du bruit qu’il fait pour mettre des coups de rein plus fort à ma soumise.Je voie bien que cela l’excite et qu’elle essaye de ne pas faire de bruit, appuyant ses mains sur sa bouche par-dessus son bâillon.La voir essayer de se faire discrète malgré mon traitement m’excite.Elle essaye de ne pas crier, de ne pas faire de bruit alors moi j’y vais plus fort, et lui remet un doigt dans son cul.L’inconnue de la cave prend son temps et moi mon pied.Alors que je défonce ma soumise, je sens qu’elle se lâche inconsciemment, elle accélère le mouvement de son bassin, reculant son cul vers moi par à-coup afin de prendre son pied et d’un seul coup je l’entends pousser un cri puis un râle sous son bâillon, je la sens tressauté et tremblé et mon doigt sent son anus se contracté.Elle ose avoir un orgasme sans mon consentement !Je la laisse finir de prendre son pied, je la voie essayer de se mordre la main à travers le scotch. Elle ralentie le mouvement, petit à petit, puis se détend vers l’avant laissant mon sexe presque sorti de dedans elle et ferme les yeux lâchant un petit soupir dans la poussière.Elle oublie qui est le maitre et a de la chance qu’il y est quelqu’un pas loin mais elle ne va pas s’en tiré à si bon compte. Je m’avance vers elle afin de me pencher sur elle, rentrant mon sexe en érection dans sa chatte endolorie par l’orgasme. Elle escarbille les yeux, ne s’attendant pas à ça, je m’enfonce doucement exprès en elle, elle tourne le regard vers moi. Je lui tire les cheveux en arrière et lui chuchote a l’oreille.« Tu jouis sans mon consentement ? Tu crois que parce qu’il y a quelqu’un tu vas t’en sortir comme ça ? Tu crois que c’est fini ? C’est moi ton maitre maintenant et tu n’es rien, c’est moi qui décide ! »Elle me regarde avec ses yeux de biche triste et secoue la tête pour dire non« Bien, alors je vais continuer, car c’est moi qui décide, tu vas ramasser hein ? »Elle répond oui de la tête« C’est bien tu es une bonne petite chienne »Et je reprends de plus belle le travail que j’avais commencé, elle ferme les yeux de douleur et de plaisir.Je continue à lui susurré des mots crue a l’oreille et lui dit « peut-être que je vais aller inviter se mec à venir te punir avec moi maintenant, peut-être que je vais l’inviter à prendre son pied avec le vide couille que tu es non ? »Elle me regarde avec un mélange de crainte et d’excitation.J’entends le bruit de l’inconnue qui arrête.Nous aussi.Il ferme sa porte et s’en vas pendant que nous retenons notre souffle.Je sors brusquement de ma soumise en disant « une prochaine fois peut-être »Je la détache, lui retire son bâillon de scotch et lui ordonne de me nettoyer avec sa bouche. Elle s’exécute.Bien quand tu auras fini nous passerons a ta punition lui dis-je…Elle sourit…fin ...pour l'instant...
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Me réveiller le matin à tes côtés. ..caresser ton sexe chargé de désir. .. me blottir dans tes bras, venir te prendre en bouche. ... te sucer... ressentir ton abandon... m'empaler sur toi... décider du rythme. ..lentement. .. profondément. .. juste au bord.... ou plus vite, plus fort... contrôler ton plaisir. ..me détendre et savourer. .. caresser mes seins tout doux, tout moelleux... pincer légèrement les bouts... griffer mes cuisses. ... me laisser aller... venir... de te guider ailleurs. .. plus à l'étroit. .. gémir de ces nouvelles sensations. ..caresser ton périnée, pourencore plus de plaisir. ... poursuivre. ... ruisseller de plaisir...et jouir ensemble. ..Et reprendre la routine du quotidien. ..
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Un rêve
Les yeux fermés
Je me laisse guider.
Des envies
Des sentiments
Des sensations
Tout s égraine petit à petit
Nous sommes la
Allonger
L un contre l autre
L une contre l autre
Les souffles se bousculent
L envie de toucher cette peau douce d un coté
Et sentir la force de l autre
Effleurer ses lèvres savoureuses de femme
Sentir son emprise virulente d homme
Les yeux fermés
Je sens sa main caresser mon visage
Et la mienne descendre le long de son sein bien rond
Mes sens sont en éveils
Et se bousculent les uns contres les autres
J aime cette proximité des corps
D un coté ses courbes vallonnées
De l autre ce puissant mordant
Je n ai jamais eu l occasion de vivre telle expérience
Mais je sais
Mon être tout entier sait ce qu’il doit faire
De baisers fougueux
En caresses sensuelles
Je me révèle
Ses deux corps
Me plaise tant
Plus accessible
Je me surprend à aimer balader mes mains
Balader mes doigts
Sur ses seins, son ventre et son entre cuisse
Une envie de mordre
Ces deux petits tétons
Venant pointer vers moi
Ces deux seins ronds
Fermes
Me plaisent tant
Mes mains glissent sur ce corps chaud
Qui aurait cru
Que j aime autant cela
Qui aurait cru
Que je sache quoi faire
Une évidence pour moi
Et tant d envies
L envie de la sentir et l entendre succomber entre mes mains
D un coté
Et l envie d être dominée
Et pénétrée fougueusement de l autre
Le fait d entendre ses deux souffles
De chaque coté de mon être
Prendre du plaisir
Augmente mon excitation
Plus il me violente
Plus j ai envie de la faire jouir
Et plus mon plaisir augmente
Je la vois
Se dandiner
Ses seins pointant vers le plafond
Mes dents jouant de ses tétons
Je le sens
Me pénétrer
De plus en plus fortement
Quel doux plaisir
Que d être dans pareil position
Nos trois souffles s enlacent
Nos trois corps ce crispent
Le plaisir est bien la
Quelle plus belle sensation
Que le plaisir qui nous envahi
La tendresse s’installa
La chaleur passée
La fatigue prit le pas
Chacun caressant l un
Caressant l autre
Un moment pleins de douceurs
C est ainsi que nos esprits s assoupirent
Et que mes yeux se sont ouverts
Quel doux rêve ai-je donc pus faire …
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Flash Back
Depuis Quelques mois
Des moments intenses
Jai eu l occasion d en vivre
Je les savoure
Je m en délecte
Profite de chacun d eux
Ne me prive pas
Ne me prive plus
Pour lui
Pour moi
Pour nous
Il ne fut pas facile d en arriver là
Et notre chemin
A de nombreuses reprises
C’est vu semé d embuches
Mais lorsque je vois ou nous en sommes a ce jours
Je ne peu me dire qu’une chose
Tout est possible
D une jeune fille frêle et timide
Je suis devenue cette femme épanouie
Et sachant se laisser tenter par tant de plaisirs
Que dire de cette douce douleur
Qui lorsque le cuire de la cravache ce pose sur ma peau
Me donne tant de frissons et de désirs
Comment aurais je un jour pue imaginer
Que de simples cordes pouvaient procurer tant d émotions
Et de sensations multiples
Ou pouvaient me transportais si loin
Si loin de mon corps et de mon être
Moi qui étais fermé
Eteinte
Murée a toutes ses choses
Qui en réalité me faisais une peur atroce
Qui aurai cru
Que la petite fille pudique
Aime ce faire voir
S exhiber
Tenue par des liens
Ou simplement porter ce collier
Pour rendre fier son Maître
Avoir l’espoir que dans ses yeux
Cette petite flamme scintille
Oui je m étonne moi-même parfois
Repoussant les limites de la douleur
Repoussant les limites de la peur
Repoussant mes limites tout court
Pour une seule et unique personne
Lui
Le Maître
L homme
Celui que j Aime
Celui pour qui je suis prête a tout vivre
Tout endurer
Par la force de ce sentiment
Qui me pousse a me dépasser
Qui m a permis de me battre
Qui force la tolérance et le respect
Je suis consciente de ne pas être comme le commun des mortels
Que je ne veux plus l être
Pour une seule et unique raison
L Amour
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Notre relation avait démarré quelques mois plus tôt, d'abord des échanges de courriers électroniques de plus en plus enflammés, puis récemment par téléphone... Mais nous ne nous étions encore jamais vu, pas même en photo, craignant, je pense,de briser une forme de charme érotique et sensuel que seul le virtuel peut apporter. Il est vrai que le passage "au réel" est toujours un risque, car c'est le moment où il va falloir assumer les délires numériques etles confronter à la dure réalité du monde physique...
Bref, nous avions décidés de sauter le pas et je me retrouvais maintenant là, un peu bête, dans le froid et l'anonymat d'une grande gare parisienne ce samedi soir de janvier.J'étais nerveux et en avance, il était convenu que notre première rencontre aurait lieu dans un café, officiellement pas rassurer la demoiselle, mais aussi,beaucoup pour me rassurer moi-même. J'avais les mains moites, la gorge serrée,j'avoue que je me faisais un peu l'impression d'être un ado encore puceau lors de son premier rendez-vous amoureux... De toute manière, il était trop tard pour faire marche arrière, je la voyais déjà approcher. Elle m'avait ditqu'elle viendrait avec un imperméable noire et qu'elle serait incroyablement sexy... Mais là... Comment vous dire... J'étais abasourdi. Elle respirait la féminité,bien plus femelle encore que femme, sa silhouette divine et élancée semblait flotter sur le sol. A chacun de ses pas, assurés et conquérants, sa magnifique chevelure brune ondoyait comme au ralenti. Pour tout dire, je me serais cru pour quelques instants dans un film d'aventure, où le héros (obligatoirement beau, ce qui n'était pas vraiment mon cas) allez forcément charmer et attirer dans ses filets, l'héroïne, aussi belle qu'inaccessible et nymphomane, comme il se doit. Si nous n'avions pas été en hiver, j'aurais pu même m'imaginer qu'elle ne portait aucun vêtement sous son imperméable... Fichue région parisienne...
Elle se prénommait Layla, elle était d'origine tunisienne et était encore étudiante en biologie lors de notre première rencontre. 26 ans, belle à se damner, et une tendance à la soumission, comme elle me l'avait très vite expliqué lors de nos premiers échanges. Elle vivait en couple depuis 3 ans, mais son compagnon ne partageant pas ses penchants, elle s'était vite transformée en une chasseuse d'homme, à la recherche de qui saurait la combler dans une relation de domination. C'est là, que j'entrais en jeu. Je me trouvais, finalement, dans une situation tout à fait analogue, ma femme étant farouchement opposée à tout comportement de domination, ou pire de sadomasochisme. Bref, Layla et moi,nous étions trouvés, et s'était donc naturel que tout cela finisse ici,à la gare de l'Est, entre une composteuse et un minable distributeur de sandwichs. Mais qu'importe, nous étions là.
Contre toute attente, nous n'eurent aucun problème à briser la glace, nos longs échanges torrides par écrit ou téléphone avaient fait de nous des intimes plus que des étrangers, et c'est enfin détendus que nous nous sommes assis dans un petit café, à l’abri des regards indiscrets. Comme elle était très officiellement ma Soumise et moi son Maître, je lui avais donné des directives très strictes sursa tenue vestimentaire : Elle devait porter des bas (avec porte-jarretelle,bien entendu) ainsi qu'un ensemble de sous-vêtements très élégants que nous avions repérés ensemble dans une boutique de lingerie en ligne. Nous trouvions en effet tous les deux très excitant et sensuel une belle lingerie, bien plus préférable à la nudité totale, du moins dans un premier temps. Sûrement, pour moi, des réminiscences de ce plaisir enfantin de déballer un cadeau très attendu le jour de Noël. Pourtant, je la savais bien souvent nue chez elle et savais aussi que son sexe était toujours parfaitement épilé.
Nous primes notre temps, devisant gentiment autour d'un café, ce qui ne m'empêcha pas à plusieurs reprises et le cœur battant à tout rompre du fait du lieu et de la situation,d'aller lui flatter impudiquement le sexe, lui faisant bien comprendre qu'elle était à ma disposition, en devoir d'assouvir toutes mes pulsions même – et surtout - les plus viles. Loin d'être choquée, elle semblait y prendre plaisir ce qui m'incitait à m'enhardir plus encore. Quand nous en fûmes au point où elle me léchait les doigts emplis de son nectar intime, la respiration courte et le pourpre aux joues, nous décidâmes de nous diriger vers la chambre quej'avais réservée dans un petit hôtel voisin...
La chambre était vraiment laide, genre hôtel de passe, mais qu’importe le flacon, pourvu qu’onait l’ivresse… Jamais Musset n’avait sonné aussi juste à mes oreilles, et puis ce cadre glauque, en un sens, m’excitait profondément.
Je la poussais sans ménagement sur le lit et elle émit un petit cri de surprise. Je mis longtemps à la déshabiller, profitant pleinement de la situation. Nous savions tous les deux que peut-être plus jamais nous ne revivrions ces instants et nous comptions bien en profiter. Etendue sur le lit, elle restait offerte, neportant plus que ces bas, son tanga et son soutient gorge... Je pris mon temps,définitivement... J'ai commencé par lui lécher et lui embrasser la gorge puis je suis doucement descendu entre ses seins, ma main juste posé sur son entrejambe dont je pouvais sentir l'abondante humidité malgré le tissu me cachant encore pour quelques instants sa grotte exquise. Avec mes dents, je dévoilais ses tétons que je léchais et mordillais jusqu'à la faire gémir, de cet espèce de gémissement soumis dont on ne sait trop s'il exprime la douleur ou le plaisir. Sûrement les deux, à cet instant-là, lui faire mal m'excitait au plus au point et m'effrayais tout autant. Je ne voulais pas lui faire mal, et pourtant je le désirais ardemment. Descendant de son nombril jusqu'à son entrejambe, ma langue ne s'attarda pas sur son sexe dont je respirais l'odeur à plein poumon.
"Lève-toi etagenouille toi sur le sol" furent mes seules paroles. Ces yeux rivais dans les miens elle s'exécuta, sa voix tremblante me répondant dans un souffle court d'excitation "oui, Maître". Une fois à genoux, je la poussais dans l'angle de la pièce où j'immobilisais son visage pris en étaux entre l'angle de mur et ma poigne dominatrice totalement assumée. Sans autre forme de procès,j'ai pénétré violemment sa bouche de mon sexe turgescent et violet de désir et j'ai commencé une extraordinaire irumation dans sa bouche devenue maintenant simple objet de mes pulsions. Elle ne bougeait pas, elle ne pouvait pas bouger et mes vas et viens s'accéléraient sans qu'elle ne put lutter le moindre instant. Je la pénétrais jusqu'à la garde de mon sexe, l'enfonçant le plus profondément possible dans sa gorge. Elle hoquetait, avait du mal à respirer, mais elle était ma prisonnière, enchaînée de son plein grès à mon désir, la transformant pour un instant en un simple kleenex. Je jouis longuement en elle... Mon flot de sperme était tel qu'elle faillit s'en étouffer, une quantité non négligeable lui ressortant de la bouche malgré mon sexe et ces lèvres serrées avide de cenectar chaud et salé que je lui offrais. Quand je me retirais, en me regardantdroit dans les yeux, elle se lécha les lèvres d'un excitant coup de langue,pareille à une chatte lapant du lait. Nous ne dirent rien, il n'y avait rien à dire, j'avais jouis et elle n'avait servi que de réceptacle à mes vices..."Met toi en position de levrette à même le sol et fait toi jouir, Salope!". "Oui Maître, merci Maître", encore une fois, elle s'exécuta et ôta son tanga, puis se mis en position de manière obscène et servile devant moi, sa main droite fouillant frénétiquement sa chatte trempée. S'est alors queje me mis à la fessée. Plus ses fesses magnifiques devenaient rouges, plus ses doigts s'agitaient et plus ses râles de plaisir et de douleur se faisaient sonores. Son orgasme fut phénoménal et l'anéanti complétement.
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Nous ne pensions pas, après notre première rencontre, qu'il y en aurait d'autres, comme si, d'une certaine manière, notre intense relation dans un minable hôtel de passe avait épuisé le sujet de notre érotisme, ou tout du moins qu'un seul écart dans nos vies biens rangées ne constituait pas, en soi, un adultère intégralement consommé. D'ailleurs, lorsque nous nous quittâmes ce soir là, ce fut sans un mot, et sans contact pendant presqu'un mois. Le temps sûrement de digérer, pour moi le profond sentiment de culpabilité qui me rongeait à chaque fois que je pensais à elle et d'assumer la présence d'un priapisme violent à la seule pensée de celle qui était en train de devenir mon fantasme absolu. Pourtant, bien souvent, la réalité n'est jamais à la hauteur du fantasme... Mais dans ce cas là, ce fut clairement le contraire. La charge érotique était telle que 4 semaines plus tard, j'en arrivais à me demander si je n'avais tout simplement pas rêvé cette nuit torride passée avec Layla. Bref, un mois plus tard, je rongeais mon frein, partagé entre l'envie folle de la recontacter et la peur viscérale que la même action provoquait en moi. C'est elle qui brisa ce silence tacitement imposé entre nous. Un simple "Je vous appartiens Maître" reçu dans un mail sans objet, me plongea dans des abîmes de désirs insoutenables. Elle avait été ma chose, et l'avoir traité de la sorte me faisait m'interroger sur moi, ma sexualité, mes valeurs. Bon, j'étais paumé quoi. Le concept même d'adultère avec elle m'excitait... Mais la "dominer", faire d'elle une poupée de chaire acceptant par avance tout ce que je pourrais lui faire "subir", dépassaient dans le désir et l'excitation tout ce que j'avais pu vivre jusque là. Je *voulais* abuser d’elle. La domination et la soumission, le sadomasochisme, relevaient avant elle d'une tendance très théorique sans réelle et profonde signification. J'avais peut-être trop lu "fifty shades of grey" sans vraiment comprendre... (Je préférais néanmoins le marquis de Sade). Mais maintenant je comprenais. Je comprenais que ma vie venait de changer et qu'elle en ferait à jamais parti, d'une manière ou d'une autre. Je comprenais qu'elle était *à moi* et qu'elle s'offrait entièrement sans demander aucune contre partie que celle de mon propre plaisir. Je comprenais aussi et surtout que ma sexualité venait de changer sans possibilité de retour en arrière.
Je lui ais donc donné rendez-vous devant la même gare de l'Est. Même heure, même endroit. Le distributeur était toujours là, encore plus sale et plus minable qu'un mois plus tôt. Une éternité. La gare elle même était d'un terne révoltant, terne encore accentué par un ciel gris et des odeurs nauséabondes de désinfectants sous une chaleur étouffante. J'avais été très clair dans mes directives, elles avaient été données de manière très laconiques et sans aucune chaleur. J'essayais très maladroitement de rentrer dans mon rôle de "dominant", avec la conscience aiguë que je m'y prenais mal... Mais qu'elle ne m'en tenait pas rigueur pour autant, trop heureuse d’enfin appartenir à quelqu’un. J'avais en bandoulière un sac contenant un petit "équipement" de jeu... Je voulais lui faire une surprise, mais sans aller "trop loin"... enfin...
Je lui avais demandé de venir nue sous son trench-coat. Quoi ? On a bien le droit de se taper son petit fantasme personnel non ? Et puis le trench coat c'est comme les bas avec porte-jarretelle, ça fait parti de l'inconscient fantasmatique collectif. Bon, ok, c'était aussi une preuve de mon manque d'imagination... Je lui avais aussi imposé une "pute-attitude", laissant à sa discrétion le choix de l'interprétation du concept, flou, même pour moi. J'étais dans ma demande très loin de l'image très érotiquement polissée que nous avions décidés la foi précédente, et je savais que ça allait indirectement contre ses propres goûts. Une manière encore une fois de m'imposer... Et, j'en étais certain, de la contenter dans son désire masochiste de m'appartenir coûte que coûte.
Ca pour une "pute-attitude", je ne fus pas déçu. Une fois encore, je la vis s'approcher comme au ralenti, subjugué par sa beauté et sa vulgarité contenue. Elle portait bien évidemment de hautes cuissardes. Cette femme avait la classe, et quoi qu'elle fasse, elle ne pourrait pas avoir l'air *vraiment* vulgaire. Même le chewing-gum qu'elle avait dans la bouche, pour faire "plus vrai", était mâché avec féminité et élégance. Ce fut bien simple, tous les mâles présents à cette heure devant l'entrée de la gare se tournèrent vers elle, bouche entre-ouverte, tandis-que les femmes la dévisageaient, mi-intriguées, mi-scandalisées, mi-envieuses (...). J'éprouvais à la voyant arriver, un sentiment d'orgueil et de propriété vaniteuse que je ne me connaissais pas et qui me surpris tout autant qu’il me scandalisa et m’excita. Elle fusilla tout le monde du regard et tous les visages se détournèrent d’elle, mais ses magnifiques yeux s'adoucirent immédiatement lorsque nos regards se croisèrent. Elle était à moi et elle le savait. Tout son caractère, toute son intelligence, tout son être se mettaient au service de mon plaisir et se donnaient à moi sans retenue, acceptant tout par avance. Je la pris par la main et la guidais vers l'hôtel voisin où je sentais que nous allions avoir, in fine, nos habitudes.
Entrés dans la chambre je lui dis "met toi nue" et elle fit tout simplement glisser son trench coat, révélant son corps superbe et tout dévoué à mon plaisir.
« Tiens toi bien droite et ne bouge pas… quoi qu’il arrive… ». J’avais changé le ton de ma voix en prononçant ces dernières paroles, et j’espérais qu’elle y avait bien lu une forme de sadisme latent des plus inquiétants. Un frisson la parcourut… pour ma plus grande satisfaction tandis-qu’une ombre indéfinissable passait dans son regard. Que se disait-elle ? Avait-elle peur de moi ? Peur de ce rendre compte que j’allais *vraiment* abuser d’elle et que je n’étais peut-être pas celui qu’elle pensait, mais un monstre sadique digne des faits divers les plus vils ? A moins qu’elle n’ait *envi* que j’use et abuse d’elle comme bon me semble... Cette ombre n’était peut-être finalement que de l’impatience contenue. Dans la chambre mitoyenne, quelqu’un écoutait la radio, et la scène en prenait une allure des plus surréalistes. Elle ne bougeait pas, acceptant sans broncher, pour le moment, ce rôle activement passif que je lui imposais. Moi, je prenais mon temps, faisant glisser mes mains, mes doigts sur son corps, l’inspectant comme un esclavagiste inspecterait un futur esclave. Son visage, son coup, son dos, le bas de ses reins, ses fesses, ses jambes puis ses seins, son sexe, sa bouche… J’allais partout de la manière la plus impudique qui soit, lui faisant bien comprendre qu’elle n’était rien d’autre qu’un mannequin manipulé et habillé par mon désir. Mes doigts venaient flatter son sexe et la pénétraient sans ménagement de plus en plus. Elle, en retour, ne bougeait pas, restait immobile, et mouillait abondamment… Mes doigts étaient trempés de ses sécrétions intimes, et je les lui faisais lécher régulièrement sans qu’elle n’émette le moindre son. Après un bon quart d’heure de ce traitement, j’avais suffisamment dilaté son sexe pour pouvoir y introduire presqu’intégralement ma main. Elle jouit brutalement, tout son corps se raidissant et vibrant d’une manière incontrôlée… Elle ne réussit pas à retenir un râle guttural des plus excitants et je ne lui permis pas de s’allonger… Elle devait rester debout parce que tel était mon désir, et ces yeux noirs exprimaient un mélange d’extase absolue mêlée à quelque chose d’autre, totalement indéfinissable… De la colère ? de la haine ? De l’abandon peut-être. « Retourne toi et reste bien droite ». Elle resta là, sans bouger, me tournant le dos et moi je ne disais rien, ne bougeais pas, au point même qu’elle devait se demander si j’étais encore là. Puis, très lentement, j’ouvris mon sac, faisant jouer la fermeture éclaire avec le plus de bruit possible. Je sortis un tube de lubrifiant et je lui enduis l’anus avec une infinie douceur. Elle ne s’attendait pas à mon contact, et elle tressaillit de surprise. « Ne bouge pas ! » lui entonnais-je et immédiatement elle se ressaisit. Je sortis aussi de mon sac un énorme godemichet que je posais ostensiblement dans son champ de vision de même qu’une paire de menottes, une bougie et une cravache… Elle se mit à trembler de manière visible, l’angoisse montant au creux de son ventre, tout comme l’excitation qui atteignait des sommets, son jus intime dégoulinant maintenant abondamment entre ses cuisses et le long de ses jambes, son bassin ondulant légèrement au rythme d’un amant invisible. Dans la pièce d’à côté, Balavoine chantait « on nous prend pour des fous… ce qu’on peut penser de nous on s’en fout… »… Toujours ce côté surréaliste… L’univers entier fomentait un complot et nous faisait un clin d’œil. Je me mis enfin nu, et c’est sans ménagement que je me mis à la sodomiser, avec une brutalité à peine contenue et un plaisir évident. Je voulais voir jusqu’où elle était capable d’aller, et je commençais à craindre, que ses limites ne soient plus lointaines encore que les miennes. Son corps était secoué par mes coups de boutoir mais elle tenait bon et ne bougeait pas, même si je sentais qu’elle contractait périodiquement les muscles de son vagin… La petite câtin arrivait à se masturber sans se toucher et cette simple constatation augmenta encore mon érection. Je mis ma main dans sa chatte pour mieux sentir son plaisir. Malgré elle, elle se mit à gémir autant de plaisir que de douleur et je n’intervins pas. Je jouis en elle abondamment, mon sperme inondant largement hors de sa grotte interdite et glissant le long de ses fesses. Elle avait mal, je le savais, je le *voulais*, et de cette douleur même elle tirait de la satisfaction… celle de porter dans sa chaire la douleur de mon plaisir. Elle s’oubliait elle-même, s’abandonnant à mes envies. Je la poussais à genoux et mon sexe à nouveau turgescent pénétra sa bouche tandis- que je me saisissais de la cravache. Elle hésita, frémissant de crainte et d’envie mêlées et son regard clairement angoissé maintenant se fondit dans le mien. Et pourtant, elle continuer à silencieusement se masturber… Je lui souris et contre toute attente lui dit « un mot de toi et je m’arrête ma Layla ». Elle ne dit rien et je la fis se relever, accompagnant son mouvement de mes doigts dans son sexe trempé. Elle me regardait, clairement partagée entre le plaisir, le désir et l’appréhension. Je sortis alors de mon sac une magnifique corde de lin qui finit à côté de la bougie et du godemichet… Elle me lança un regard d’une perversion absolue, jouissant par avance de ce qu’elle allait me laisser faire… Notre nuit ne faisait que commencer… et moi je me mis à me demander qui de nous deux dominait l’autre finalement…
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Mon téléphone sonne.
C’est un message de maitre A qui m’annonce que lui et sa soumise sont à la gare.
Je m’habille pour aller les chercher. Il vient me la confier quelques jours, quinze pour être exacte, quinze jours ou elle sera ma pute, mon esclave, ma soumise, ma chose selon le bon vouloir de son maitre.
Alors que j’arrive à la gare, je les voie tous les deux m’attendre.
Lui, grand, classique, m’accueille avec un sourire, elle…
Hé bien elle est habillée comme je le souhaite, talon haut, bas noir, et un long imper qui cache sa nudité.
Je sais que dessous elle n’as seulement qu’un porte- jarretelle et rien d’autre. Je le sais car, selon mes conseils, son maitre le lui a ordonné.
Maquillé outrageusement, telle la pute qu’elle est, elle me sourit à son tour. Je les fais monter, lui a l’avant, car c’est la place des personnes.
Elle a l’arrière car je ne peux malheureusement pas la mettre à sa vrai place, dans mon coffre, devant tout ce monde et de plus elle ne m’appartient pas, elle reste la propriété de maitre A.
nous arrivons enfin chez moi, je les fais pénétrer maitre et soumise, dans mon salon.
je Prend leur manteau et propose a maitre A de s’assoir afin que nous ne perdions pas de temps.
Il sort alors de son sac le contrat que nous avons rédigé ensemble.
Sa soumise nous le lis, habillé seulement de son porte jarretelle, offert à nos regard.
Une fois finie nous signons tous ce contrat de prêt et sur de dernière recommandation de son maitre elle m’appartient pour quinze jours!
Enfin!
Elle va ramasser!
Je le raccompagne à la gare, mais cette fois il monte à l’arrière de ma voiture, et elle a l’avant.
Il ne comprend pas trop pourquoi mais il s’exécute, a peine démarré, j’ordonne à ma nouvelle pute de me sucer pendant que je conduis, laissant ainsi le plaisir a maitre A de contempler sa chienne en pleine action.
Elle est là, en train de me sucer, et lui qui la mate, elle le sais alors elle s’applique de son mieux, met de l’ardeur a la tache comme un dernier cadeau envers son maitre afin qu’il soir fier d’elle.
Nous arrivons à la gare et je lui ordonne d’arrêter.
Nous déposons maitre A à la gare et repartons.
Sur le chemin du retour je l’oblige à me sucer encore, et lui met quelques gifles pour mon plaisir.je jouis dans sa bouche, elle avale tout goulûment manquant de s’étouffer, bavant et laissant s’échapper du sperme aux commissures de ses lèvres. hum que j'adore ce bruit. je lui ordonne de ne pas l'essuyer.
nous continuons ainsi jusqu’à chez moi, a chaque fois qu'une voiture s’arrête a coté de nous au feu, je sens qu'elle s'agite.
je sais ce qu'elle pense et cela me fait sourire, j'en joue avec elle...
elle s’imagine que tous savent ce qu'elle vient de faire, qu'elle salope elle est et que tous voient les traces sur ses lèvres.
bien sur il n'en n'est rien mais je sais que cela l'excite.
a peine arriver chez moi, je me pose sur mon fauteuil de maitre et lui ordonne de se présenter devant moi.
Elle arrive debout, je lui ordonne de se mettre à genou et lui passe son collier de chienne.
Je lui explique les règles de la maison.
Puis lui fait faire le tour du propriétaire en la tirant par une laisse.
La cuisine, pendant que je lui explique ou son placer les choses, je lui mets ma bite dans sa bouche de force, et lorsque nous attaquons les placards du haut pour quelle voient mieux, je la relève, la retourne et l’encule à sec.
Elle crie.
J’aime ça.
Tous ses trous m’appartiennent selon notre contrat, ou, quand, et comment je le veut.
Je lui mets ma main autour de la bouche, la déformant de force et lui dit à l’oreille doucement, qu’elle ferait mieux de fermer ca gueule et qu’elle a plutôt intérêt à faire bien attention à ce que je lui dis car à la moindre erreur de sa part elle sera sévèrement punis.
Elle secoue la tête et me répond «oui maitre».
C’est bien.
Nous passons au couloir, je lui explique que lorsque je rentre elle doit m’attendre à l’entrer et me présenter son corps afin que je l’inspecte, à chaque fois.
Je la retourne donc la plaque contre le mur et inspecte son corps comme si je venais d’arriver, en caresse chaque partie, introduit mon doigt dans chaque orifice et lui fait sentir ou lécher.
Elle se doit d’être propre.
Nous travaillerons son accueil plus tard.
On continue avec les toilettes, je lui explique les normes d’hygiène, ici elle n’est rien, elle doit laisser la porte ouverte pour que je la voie peu importe quand, de plus je lui explique que je peux lui mettre ma bite ou je veux pendant qu’elle fait ses besoins, et pour lui montrer je la pose sur les toilettes et l’oblige à me sucer.
Bien,
je me retire quand elle semble prendre son pied, afin de la frustrer un maximum.
Nous continuons,
la salle de bain, ici elle me lavera quand je le lui ordonnerais et je la laverais (à l’eau froide comme recommander par son maitre) moi-même, elle n’as pas le droit de se laver seule.
Pendant que je lui explique cela, je la mets face au miroir de la salle de bain et la pénètre violement, lorsque je rentre ma queue je sens ses jambe dégoulinante d’envie, cela ne me donne que plus d’ardeur!
Après quelques crie de sa part, nous passons au placard, je lui dis que c’est ici qu’elle sera enfermer lorsque je recevrai des gens qu’elle ne devra pas rencontrer, lorsqu'elle fera du mauvais travail ou tout simplement quand j’en aurais envie.
C’est un grand placard, sombre, glauque, que j’ai aménagé pour y faire subir mes chiennes.
Je la mets dans une position inconfortable et l’oblige a me sucer pendant que je lui montre les différentes attaches dans le placard qui me permet d’attacher ma soumise pour la punir.
Une fois mon sexe et mes couilles bien nettoyer par ma nouvelle petite chienne, nous passons a la chambre, a peine entrer , je la prend par les cheveux et la jette sur le lit, l’écrase de tout mon poids et lui susurre a l’oreille les règles à suivre dans la chambre, elle ne bouge plus , respire fortement tellement elle est excité,ce que je vérifie en mettant mes doigts dans son intimité. L’intérieur de ses cuisses sont recouverte de sa mouille intime et le flot ne fait que continuer.
Bien! Cela lui plait.
Je lui tire les cheveux pour qu’elle relève la tête, et lui explique ou se trouve son panier, dans un coin de la pièce, c’est là où elle dormira pendant ses quinze jours, pendant qu’elle regarde je saisie mon sexe et la pénètre violemment, elle crie, puis je lui écrase la tête dans les coussins et lui dit de gueuler autant qu’elle veut parce que je vais y allez violemment.
Je la pénètre fortement au rythme de mes envies, elle crie, gémis, et au moment où je sens qu’elle part qu’elle va jouir, je me retire.
Non, ce n’est pas pour maintenant la jouissance, ça c’était les présentations…
maintenant que le tours du propriétaire est fait et que les règles sont dites, il est temps d’aller à la cave…
à suivre...
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Dès les premiers échanges sur un tchat BDSM, je l’ai remarquée. Elle avait du style de la prestance et une certaine douceur dans sa façon d’écrire. J’y suis sensible. Sur sa fiche, l’image d’une paire de jambes féminines vêtues de cuissardes. J’y suis également sensible.
C’est stupide. Les images de femmes en cuissardes pullulent sur le net et il n’est pas si difficile d’avoir de la prestance sur un tchat, il suffit de le vouloir et de prendre son temps avant d’écrire. Mais j’ai senti quelque chose avec Elle, tandis que nous échangions sur un salon peuplé de soumis et de quelques dominatrices. Et j’avais le désir qu’Elle me remarque, je voulais faire la différence, parce qu’Elle me plaisait.
Je suis d’un naturel assez réservé, même sur un tchat. Mais cette fois là, je me suis dit qu’il fallait agir, ne pas passer à côté d’une opportunité. Je préférais ne pas plaire plutôt que de ne pas savoir.
J’ai su me faire remarquer, j’ai su lui plaire, pour mon plus grand bonheur.
Rapidement nous échangions par message privé, puis par mail et par sms.
Tous ces échanges ne faisaient que confirmer ma première impression et j’étais heureux d’apprendre que je lui plaisais.
Vinrent les échanges de photos, une femme magnifique avec un regard irrésistible. Mais je n’étais pas son type, pas moche mais pas le soumis qu’elle s’imaginait. Elle semblait douter, l’attirance cérébrale était forte.
L’attirance physique ne se discute pas vraiment. Je devais bien m’incliner.
Néanmoins nous gardions contact, les échanges étant toujours si intenses, si agréables. On se comprenait.
Pour Elle j’eus de l’audace. Je lui exprimais mon admiration, mon désir de la vénérer, l’image de Déesse que j’avais d’Elle. Je n’avais pas le moindre doute, une sensation nouvelle pour moi… l’évidence. Ce que j’ai toujours cherché.
D’une certaine manière je lui restais fidèle, même si Elle n’était pas ma Maîtresse. Je voulais simplement la satisfaire, être à sa disposition sans être envahissant, disponible pour Elle.
Puis vinrent les échanges en skype, la voir bouger, sourire et surtout me regarder. Le photos ne lui rendaient pas honneur. Elle était encore plus fabuleuse en mouvement. Et ce regard sur moi, indescriptible, un instant de bonheur.
Puis Elle changeait d’avis. Elle me voulait pour lui appartenir, être sa chose. J’en fus bien sûr très heureux et dès ce moment, je l’appelai Maîtresse.
La relation démarra à distance car nous étions distants. Impossible de se voir spontanément. La distance, les vies à mener de chaque côté, pas simple de se voir.
Pour la première fois je vivais la relation à distance, sans réel, sans contact physique, frustrant aussi bien pour Elle que pour moi. Mais mon plaisir fut pourtant bien plus grand comparé à mes précédentes relations réelles. A ma grande surprise j’y prenais beaucoup de plaisir, lui raconter ma journée chaque soir, parfois suivre ses ordres ou ses consignes. Je fus parfois puni, je me suis parfois rebellé mais la relation continuait, toujours forte, de plus en plus complice. Avec moi Elle pouvait être totalement Elle-même. Je m’adaptais à son humeur, à ses désirs et j’y prenais un grand plaisir. Je me rendais disponible pour Elle.
J’avais un surnom juste pour Elle.
Au bout d’un certain temps elle décida de faire le trajet pour venir passer un week end chez moi. Le passage en réel peut être délicat, d’autant plus quand il y a de la distance. Mais je n’avais aucun doute. J’acceptais l’idée de ne pas lui plaire en réel, sa simple présence me suffirait.
Je l’attendais à la gare, impatient et stressé, le genre d’instant dont on se souvient, qui nous rappelle qu’on est en vie. Elle apparut enfin, souriante, j’étais à Elle.
Un baiser sur la joue, c’est ce qui était convenu. Puis je prenais sa valise et l’emmenait chez moi.
Le soir même j’étais nu et à genoux devant Elle. Elle avait apporté plusieurs paires de bottes, Elle savait bien sûr que j’y étais sensible. Elle me demanda quelle paire je préférais. Je n’osais pas répondre, mais Elle le fit pour moi. Elle avait deviné, Elle me connaissait déjà si bien. A sa demande je me mettais à 4 pattes pour lcher ses bottes tandis qu’Elle me cravachait les fesses.
Au cours de ma vie j’ai eu l’occasion de vivre ce genre d’expérience plusieurs fois. Et souvent je ne pouvais m’empêcher de réfléchir tout en léchant les bottes. Je me visualisais pendant cette situation. Parfois je me demandais pourquoi je faisais ça, je me demandais si j’y prenais du plaisir.
Cette fois là, ce fut différent. Je ne réfléchissais pas, j’obéissais, je me soumettais à ma Maîtresse. Je découvrais à quel point j’y prenais du plaisir et à quel point ce plaisir pouvait être intense. Je ne me visualisais pas, je vivais l’instant.
Malgré la cravache, la soumission je ressentais une grande douceur venant d’Elle. Une puissance devant laquelle je m’inclinais avec bonheur.
Pendant ses déplacements et sans le vouloir, son pied marcha sur ma main. Nous en furent surpris tous les deux. Et sans réfléchir, je redoublais de ferveur avec ma langue sur le cuir de ses bottes, comme pour exprimer ma soumission. Même sans faire exprès, Elle était ma Maîtresse et je devais lui montrer que j’étais prêt à subir pour Elle.
Elle s’arrêta et je pus sentir son plaisir ce qui fit redoubler le mien.
Ensuite Elle s’installa sur le fauteuil et m’ordonna de m’approcher d’Elle à genoux. Elle prit mon sexe dans sa main avec lequel Elle joua un moment, provoquant parfois la douleur, toujours compensé par une extrême douceur comme sa joue contre la mienne, ses lèvres sur mon visage. Puis je dus lui donner du plaisir avec ma langue, aussi longtemps qu’Elle le désirait. Ce plaisir fut intense pour moi. Et enfin je pus me masturber dans ma main, jouissant au moment où Elle le décidait.
Le week-end passa ainsi, fait de discussions, de plaisir et de soumission à Elle. Parfois je ne portais que mon collier juste pour discuter.
Puis Elle repartit après ces deux jours qui passèrent trop vite.
La relation continua un moment à distance. Puis Elle fit une rencontre vanille face à lequel je ne pouvais représenter aucune concurrence si ce n’est son désir de dominer. Elle fit un choix, celui de vivre l’amour vanille.
Bien sûr j’avais le regret de perdre cette intensité mais je souhaitais son bonheur et j’avais la confirmation que j’aimais être soumis à une femme. J’avais aussi compris grâce à Elle que je n’étais pas soumis à toutes les femmes et qu’il ne suffisait pas de porter des bottes ou des cuissardes pour que je ressente cet intensité.
C’est bien la femme qui compte avant tout et la relation qui se construit avec Elle, la complicité qui émerge et se fortifie avec le temps. La capacité de deviner les désirs de l’autre et partager plus que des séances.
Je ne sais pas si c’est de l’amour, mais c’est ce que je recherche…
loveboot
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Tu es derriere moi...je suis en jupe quand je sens tes main remontant le long de ma cuisse...retroussant ma jupe et decouvrant mes fesses a nues ...et le petit triangle de mon string en au haut de mes fesses... Le desir monte en moi.. Je sais a quoi m attendre bientot tu seras en moi pour mon plaisir...
Tes mains caressent mon cul...descendent vers mon sexe me titille... Je sens le frottement de ton corps contre le mien...le desir montant en toi... En nous...
Tes mains font glisser mon string ...liberant mon sexe...le mettant a nu...je me penche sur la table me preparant a d acceuillir... Pleine de desir .... Tu deboutonne ton pantalon...liberant enfin ton sexe charge de desir...je sens le frottement de celui ci contre moi...entre mes jambes....ton gland s approche doucement de l entree humide de mon sexe.. Il commence a me penetrer ...s insinue en moi s enfonce en moi ...je sens le va et vient de ton sexe s enfoncant un peu plus en moi ...me liquefiant sous ton emprise m agrimppant a la table... succombant peu a peu au plaisir...laissant ton sexe m envahir... Le plaisir grandir en nous... Au fur et a mesure de ce va et vient tu finis par me retourner...me retrouvant face a toi... Ton sexe encore charge de desir.. Je m allonge sur la table tandis que je sens a nouveau ton sexe qui me penetre.... Tes mains guidant mes fesses.. Pour mieux t enfoncer en moi...au plus profond de moi... Faisant glisser tes mains sur mon corps caressant mes seins charges de desir...laissant le plaisir m envahir... Peu a peu.... M agrippant a ton corps..te laissant aller venir en moi... Jusqu a ta liberation....
Juin 2013, rédigé et Envoyé à mon Amour
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MEA CULPA
Mea culpa mais aussi conseil d’un « vieux de la vieille » pour les nouveaux dans ce monde.
Certaines ou certains me connaissent ici sous la « bannière de Maître ».
Aujourd’hui, et après de nombreuses années passées à dominer, je préfère m’en retirer le titre.
Parfois nous nous confortons dans cette image qui n’est, en fin de compte, que celle que notre ego nous dicte .
N’étant pas issu du milieu libertin, (chacun ses pratiques ou ses envies mais ce n’était pas les miennes. Je respecte cependant toutes catégories), je suis entré de suite dans celles qui me touchaient, qui me faisaient vibrer. Le BDSM
Mon parcours a souvent été semé d’embûches en tout genre.
Même l’apprentissage n’est pas une mince affaire dans ce genre de relations.
« jeux », « pas jeux » ?
Je ne vais pas continuer à vous énumérer ce parcours.
Des soumises ? Oui !
Les aléas de la vie font parfois que les relations se terminent brusquement avec une grande claque en pleine tête.
Certes, on se remet plus ou moins vite sur pied mais difficilement.
L’Homme est ainsi construit.
Pour en revenir à « mon histoire », « notre histoire » avec ARC et pour ceux qui pourraient se poser des questions, je vais vous en donner un bref aperçu et chacun de vous pourra en tirer une conclusion ou plus judicieusement un conseil.
NE JAMAIS COMMENCER UNE RELATION TANT QUE LE CŒUR RESTE ENCORE UN PEU AILLEURS.
J’avais tout misé sur Arc en pensant que mon choix était établi.
Hélas une autre était encore présente. Cinq années partagées avec des hauts et des bas.
Beaucoup de bas les derniers temps.
Avec Arc, nous avions des échanges plus ou moins réguliers quand j’étais avec ma soumise.
Juste envie de discuter sauf que déjà, j’avais une forte attirance vers elle.
Et puis voilà le moment où cette soumise, cette FEMME, devient libre.
Une approche, des échanges…. Des heures à parler, à discuter de tas de choses.
La rencontre :
Celle que je voyais dans toutes les galeries était encore plus belle que sur les photos.
Ceci dit, en passant, CELLE qui considère qu’elle est vieille, « obèse », n’est pas passée par tous les stades de la vie.
Nous verrons comment elle sera après un accouchement ou plus.
Une fois la ménopause venue … l’âge…
Facile de parler quand on a 20 ou 30 ans de moins.
Et puis comme j’ai toujours dit :
Il vaut mieux un corps avec du répondant, avec des formes douces et pulpeuses plutôt qu’un corps que l’on a peur de "casser".
De mon côté Homme, Mesdames soyez fières d’être aussi dévouées dans notre monde de « dépravés » car votre Dominant, en contrepartie, ne vous apportera certainement moins que ce que vous lui donnez. Vous êtes, en quelque sorte, notre force d’avancer.
Arc est belle, Arc ne manque pas de personnalité.
Arc est une bourrique mais c’est tellement agréable d’avoir quelqu’un ayant du répondant.
Arc est volontaire et sait se donner, oui, se donner.
Je suis déjà jaloux de son futur Maître.
Une histoire parmi tant d’autres qui se termine mal par la faute de l’un des deux.
J’assume en être ici le seul responsable par un choix, qui, je le sais d’avance, ne sera pas obligatoirement le bon.
J’ai rédigé ce texte avec tout mon ressenti.
Notre relation entre Elle et moi est terminée sauf que… sachez, Messieurs les futurs prétendants, je garderai contact avec Arc.
Avant de vous engager, pesez le pour et le contre.
Si vous êtes mariés, passez votre chemin.
Si vous êtes en hésitation pour une rupture annoncée, passez votre chemin.
Si vous pensez chercher une carpette, passez votre chemin.
Si vous pensez pouvoir devenir Son Maître, capable de lui apporter bonheur, sincérité, plaisirs partagés… osez !
L’autodestruction du scorpion que je suis et qui vient de se détruire une fois de plus.
M_JPS
Le 7 avril 2015
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L'envie qui arrive se développe dans ma tête. .. souvenir d'un réveil calin, d'un moment intense lorsque j'ai senti ton sexe forcer l'entrée de mon cul... que j'ai crié à mesure que tu t enfoncais en moi.. mes mains dans mon dos j étais allongée sur le ventre... et tu t'activais en moi.... avant que je sente ton sperme gicler dans mon dos... Quel doux souvenir..., j'ouvre ton jean, caresse ton sexe pour le réveiller, avant de le sortir de son cocon, le prendre en bouche, m'en délecter ... je m'active, te suce, j'en ai terriblement envie... je déboutonne mon jean tout en gardant ton membre dans ma bouche.... pas de temps à perdre, tu te lèves, me prends en levrette sur le canapé. .. c'est si bon, je gémis de plaisir. .. puis tu t'assois dans le canapé et je viens m'empaler sur toi... trop envie... envie de plus... je guide ton sexe dans mon cul...je me détends... je vais, je viens. .. c'est profond... le plaisir monte.... je me caresse en même temps.... te sens en moi... mes 4 doigts savourent ma chatte humide et ouverte à souhait. .. tout va vite... l'orgasme est proche, nouveau, troublant. ...ce plaisir au travers d'une sodomie. ..mes mains sur tes épaules, je m'active, encore et encore. .. Puis tu te lèves. . M'attire vers la table... et là tes doigts s' activent en moi, pour mieux me délivrer... je coule délicieusement, encore et encore...et encore.. c'est si bon de s'abandonner ainsi.... tant pis pour la flaque au sol....
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La soirée battait son plein, les tintements des verres se confondaient dans les rires et les exclamations de gaieté.
L'ambiance était légère et chaleureuse, quelques blagues fusaient par-ci par-là dans un nuage de bonheur.
La repas touchait à sa fin. Elle riait avec son amie, venue pour l'occasion de la soirée tandis qu'Il alla chercher le dessert, qu'Il avait fait quelques heures plus tôt, une mousse au chocolat.
Il en profita également pour ouvrir une bouteille de Clairette.
«Pourquoi tu l'ouvres?
- Il n'y a pas de raison particulière, j'ai envie, et les bulles sont une bonne façon de terminer une soirée agréable, non?»
Elles acquiescent, tout en sachant, comme Lui, que fin du repas ne rime pas forcément avec fin de soirée...
Un sujet n'avait pas encore été abordé...
… un sujet à cordes …
«Hestia me disait que c'était quelque chose qui t'attirait?
- Oui, ça ne me laisse pas indifférente
- Tu as déjà eu l'occasion d'essayer?
- Quand j'étais petite, on s'amusait avec mon frère, mais du bondage, jamais. Jamais essayé»
Elle avait partagé, quelques jours plus tôt, cette envie, cet intérêt pour ces jeux de corde, avec Hestia, sa confidente. Ce fantasme l'intriguait d'autant plus qu'il lui paraissait malsain. Elle se posait des tas de questions à ce sujet, mais à qui en parler pour avoir une réponse droite, sans jugement.
L'approche du sujet s'était faite progressivement. D'abord, le corset avait été essayé avec grand plaisir, puis des petites blagues et plaisanteries sur des fouets ou des martinets avaient été sorties. «Étrangement», le sourire n'avait pas été le même quand l'objet de supplice avait été sorti, en vrai!
De petits détails en petites mimiques, Hestia avait remarqué l'intérêt de son amie pour le BDSM; c'est ainsi qu'elle a pu la mettre en confiance sur ce sujet et qu'elle l'a invitée pour en discuter autour d'un repas, avec son Maître.
Jusqu'à présent, c'était des personnes rencontrées lors de munchs qui étaient venues; certaines avaient même tenté l'expérience des cordes; mais il est difficile de parler d'amis …. aucun ne leur a renvoyé l'ascenseur.
Veroso n'a jamais bien apprécié cette attitude. Organiser des munchs est une chose; inviter des inconnus dans leur maison personnelle en est une autre....
Mais ce soir, c'était différent. Il l'avait déjà rencontrée, la connaissait un peu et elle était très amie avec Hestia. De plus, elle avait une réelle curiosité portée sur le BDSM. Ce n'était donc pas qu'une simple curieuse de passage qui était assise à leur table, mais une autre réelle passionnée, comme eux.
«Pour une première, je te propose de te faire un petit cordage tout simple, pour ressentir les premiéres sensations. Est-ce que tu acceptes?
- Oui
- Ok, je vais chercher les cordes»
Tandis qu'Il s'éloigne, Il entend les 2 amies discuter entre elles à voix basse. Un mélange d'excitation, d'appréhension et de rassurance transpire de cette petite messe basse.
Ce n'est pas la première fois qu'Il encorde une autre personne que sa soumise. Il s'agissait d'invitées au munch. Cela lui faisait un peu bizarre, mais ça n'allait pas plus loin.
Mais là, c'est différent... C'est son amie …
Etrange malaise qu'Il ressent. Enjoué de lui faire cette démonstration, mais appréhendant un peu en même temps, pour une raison qu'Il a un peu de mal à cerner.
Si...
Est-ce à cause du «programme» qu'Il veut lui proposer?
Il verra bien … Il a confiance en Lui et sait que, sans prétention, Il sait parfaitement se tenir et que sa soumise va également assister.
Est-ce que c'est parce qu'Il va faire des gestes qu'Il fait toujours, par habitude, dans un contexte intime qu'Il le rend nerveux?
Les 2 amies sont dans la pièce, souriantes, quand Il réapparait, ses sacs à la main.
«Pour le premier cordage, il suffit de t'asseoir dans le canapé. Hestia, tu te mets où tu veux pour regarder».
Alors qu'Il prépare sa corde, Il ressent, à contrario, une sorte de fierté et de confiance de savoir que sa soumise va le regarder faire. D'habitude, elle «subit» sans trop vraiment voir le résultat; là, elle est aux premières loges...
«Tends tes jambes, cale-toi bien dans le canapé... et détends-toi»
Sur ces mots, elle obéit à ses instructions tandis que Hestia s'assied à côté d'elle, l'oeil curieux et ravi de voir son Maître faire le bondage.
Il lui passe une boucle autour des 2 pieds, les reliant entre eux; puis la corde remonte derrière les mollets.
A mi-hauteur, un de ses doigts bloque la corde, tandis que le reste du brin fait le tour et repasse prendre, en boucle la corde coincée par le doigt.
Enfin, la corde poursuite sa course jusqu'à la base du genou et refait le même tour derrière la jambe.
Il fait courir la corde ainsi jusqu'en haut des cuisses où il serre le nœud final.
«Alors?
- C'est …. spécial ….
- C'est une sensation agréable que de sentir son corps se faire enfermer progressivement, ajoute Hestia.
- Oui, ça....ça fait quelque chose, sourit son amie»
La découverte, la première fois, c'est toujours particulier et puissant en sensation... Il laisse afficher un sourire de satisfaction. Elles ont toutes les 2 aimé son cordage. Elle a des sensations, elle est enthousiaste de l'avoir vu manipuler les cordes correctement. Peut-être Hestia voit en son amie ce qu'elle ressent, quand elle est, elle, ligotée...
«Veux-tu un autre cordage?
- Oui, enfin, si tu veux»
Il sourit; ce n'est pas Lui, un passionnée des cordes qui va refuser. Même si, de plus en plus, Il a envie d'avoir Sa soumise à la place....
«Mets-toi debout»
Dés qu'elle est levée, Il fait passer 2 brins de cordes derrière son cou, qu'Il laisse pendre. Il noue ensemble les 2 brins tous les 15 cm environ
Puis, Il fait passer une autre corde dans les maillons de la première puis dans le dos en emprisonnant les bras. La figure est esthétique, mais Il ne se souvient plus du nom japonais exact. En fait, Il s'en tape. Ce qui l'intéresse, c'est de voir qu'elle prend du plaisir évident à s'enfermer dans ses cordes. Elle regarde les brins passer ici et apparaître là; son regard n'en perd pas une miette, elle est passionnée. Tout comme Hestia qui profite à fond du spectacle.
Ils partagent ainsi tous 2 leur passion; l'un partage son expérience d'encordeur, tandis qu'elle partage les sensations qu'elle ressent quand elle est prisonnière.
Le nœud final est serrée. La voilà totalement ligotée.
«A partir de ce moment, tu es à la merci de celui, ou celle, qui t'a attachée. Tu ne peux rien faire que subir»
C'est non sans plaisir sadique qu'Il prononce cette phrase provocatrice envers cette novice; elle dont les sensations sont exacerbées par le mélange d'appréhension, d'excitation.
Hestia rajoute: «imagine avec le martinet que je t'ai montré l'autre jour».
Il lui sourit, elle est toute aussi sadique que Lui. Finalement, Il va le sortir, le martinet ….
Entravée, elle ne sait quoi répondre. Mais son regard et sa voix balbutiante trahissent une satisfaction sincère d’assouvir un fantasme, de concrétiser un rêve.
«Un autre? Demande-t-Il en la détachant»
- Heuu ...». Elle manque d'éclater de rire de honte, d'envie et d'excitation à la fois.
- Je te propose un bondage un peu plus... coquin? Ou je fais dans le même registre?
- C'est-à-dire?
- Les cordes vont passer dans des endroits un peu plus sensibles, comme les seins, par exemple. Ne t'inquiète pas, tu n'as pas à te déshabiller. C'est juste que les cordes vont passer par là.
- Ok, ca va alors.»
Pour sa démonstration de bondage et, surtout, pour partager les sensations fortes que cela procure, Il a besoin de surprendre. Il ne peut pas dire où les cordes vont toutes passer.... Mais manipuler les cordes à ces endroits-là ne sont pas fait pour le mettre tout à son aise. Encore une fois, ce sont des choses qu'Il ne fait qu'à sa soumise. Mais le plaisir de partager une Passion est plus fort que le reste. Et encore une fois, Il sait maîtriser ses doigts.
«Si quelque chose ne va pas, n'hésite surtout pas à le dire. On est là pour passer une agréable soirée.»
Il entame un nouveau bondage en passant une boucle de corde autour du buste, enfermant ses bras. Puis, Il fait passer la corde au-dessus et en de-dessous des seins les comprimant en tournant autour du buste. Une autre corde est fixée dans le dos avec la première, passe au-dessus des épaules et s'enroule 2 fois autour des 2 brins qui emprisonnent les seins. Puis, le reste de la corde passe sous un sein et s'enroule à nouveau autour des 2 brins précédents côté bras.
Il fait de même de l'autre côté.
Malgré le t-shirt, on voit très bien que toutes les formes sont mises en valeur...
Le reste de la corde descend le long du ventre, passe sur l'intimité et remonte pour se nouer finalement dans le dos.
«Hestia, va me chercher le sac qui est sur le lit»
Sa soumise s’exécute et le lui rapporte. Il en sort une paire de menottes.
«Tu aimes les menottes?
- Heuuuu oui, répond-elle, hésitante»
Il lui attache aussitôt les mains dans le dos.
«Hestia, approche»
Etonnée, sa soumise s'avance vers Lui tandis qu'Il sort son collier. Il le lui pose sans lui dire un mot et ordonne à son amie de se coucher à plat ventre sur le canapé.
«Je parlais d'être à la merci, tout à l'heure.... Voici un cas un peu plus concret.»
Un bandeau est aussitôt posé sur ses yeux. Puis, il noue ses chevilles ensemble qu'il rabat sur le dos. Là, avec le reste de corde, Il les attache au reste du cordage, l'immobilisant.
«Voilà, avec quelques cordes, une paire de menottes et un bandeau tout ce qu'il est possible de faire et, surtout, de ressentir... Tu te sens bien, demande-t-il en souriant?
- Heuu , je crois que oui, fait-elle d'un rire nerveusement enthousiaste.
- C'est bien! Quel autre matériel t'intéresse? Ou t'interroge?
- Hmm, je ne sais pas, répond-elle mal à l'aise, mais excitée à la fois
- Tu connais le baillon-boule?
- Non, c'est quoi?
- Regarde»
Retirant un bâillon de son sac, Il le lui met dans la bouche et le fixe légèrement derrière la tête.
«Le mieux est d'essayer, n'est-ce pas?»
Des gémissements lui répondent mais Il se tourne vers Hestia.
«A présent, à nous deux, ma soumise»
Il avait besoin de ce moment. Même si ce n'est qu'une démonstration voulue et organisée et même si elle avait pris plaisir à assister à ce moment, Il n'aimait pas s'occuper d'une autre personne que sa soumise. Bander ou bâillonner une personne autre que sa soumise le mettait mal à l'aise, mais l'excitait vis-à-vis de sa soumise, en même temps, étrangement. Est-ce que parce qu'elle Le voit faire? Qu'elle partage elle aussi ce qu'Il voit et peut donc ressentir? Ou parce qu'Il vit, et va faire vivre une nouvelle expérience?
Difficile de répondre, d'autant plus qu'Il a sorti une corde.
Il lui fait le même bondage que son amie, en plus serré, lui bande les yeux et la bâillonne aussi.
Il lui caresse la poitrine et ses doigts titillent ses tétonsà travers le t-shirt; les effets ne se font pas attendre; l'excitation monte en Lui.....
Il sait que tout peut aller très vite.
Cette situation, paradoxalement, l'excite. Des cordes enlacent une amie, ligotent Sa soumise, des bandeaux sont posés, des bouches sont bâillonnées, la paire de menotte brille, le collier est resplendissant au cou de sa soumise, elle-même magnifique ainsi offerte. Il y a tous les ingrédients pour une ambiance BDSM qu'Il affectionne, avec sa soumise. La dernière soirée en club BDSM remonte à longtemps …
Le téléphone sonne..... La sonnerie le fait sortir de sa rêverie. Il est quelle heure? 15H45... Il faut partir....
Quel étrange rêve....
Pure fantasme? Une envie?
Il y avait du déjà vécu dans ce songe.... mais tout était resté soft.
Que penser de ce dernier fantasme que son esprit a rapporté de son vagabondage?
Il aime partager son expérience, expliquer, démontrer... mais agir d'office ainsi? C'est une façon de démontrer assez radical, mais elle est à double tranchant …
Enfin, créer ainsi une ambiance BDSM comme celle-là lui a plu, lui plaît. C'est peut-être ça, au final, le fantasme de son songe: vivre aussi le BDSM ailleurs que dans la chambre à mot chuchoté (même s'il est déjà bien puissant....)
La porte claque derrière lui. Rêver, fantasmer n'a jamais fait de mal à personne. Et puis, ce n'est pas le première fois que son esprit vagabonde ainsi. Il en rapporte parfois de bonnes idées.
Mais ce qu'Il a en tête, surtout, c'est qu'Il va retrouver sa soumise très bientôt, après quelques jours, trop longs comme toujours quand ils sont séparés...Il va de nouveau honorer, à sa manière, son Joyau, sa Fierté, Sa Soumise.
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C'était un samedi, je me suis assise sur mon canapé, j’avais déjà envoyé trois message à mon Maître, mais il ne répondait pas, je commençais sérieusement à m'inquiéter de ne pas avoir de ses nouvelles.
-qu'ai-je donc pu faire pour ne pas avoir de réponse ? Pensais-je …
Il devait sûrement être contrarié, vu qu’ hier soir il m’avait demandé une obligation que je me devais d’exécuter en rentrant soirée avec mes amies.
Mais en rentrant de ma soirée j'étais tellement fatigué que j'ai exécuté mon obligation pas très sérieusement...
Je reçu enfin un message sur Skype, c'était lui …
-es-tu dispos
-oui Maître
-explique à ton Maître qu'est-ce que c'est cette obligation que tu as remplie hier soir? Tu étais bourrée pour oublier de le faire correctement?
Quand on met 0 ça veut dire qu'on ne veut pas le faire, donc vu qu'il n'y a que des 0 ou des 5 j'en déduis que tu ne veux pas faire grand-chose...
Tu devrais savoir que l'on met ses préférences de 0 à 5, 0 je veux jamais le faire, 1 si mon Maître me l'ordonne, je le fait, 2 pourquoi pas, 3 j'aimerais bien essayer, 4 j'aime et 5 j'adore....
J'en étais sûr, c'est donc bien pour cela que je n'ai pas eu de nouvelles de lui jusqu'à présent...il était vraiment contrarier, je fais vraiment une piètre Soumise, mes début dans ce monde commence vraiment très mal. J'avais déjà une autre punition au compteur, mon Maître est vraiment exigeant.... mais j'aime ça, et je sais qu'il veut faire de moi une bonne soumise.
Mon Maître m’as donné 10 minute pour rectifier mon obligation, j'ai mis 11 min de plus, et il ne manquât pas de le relever, ce qui ne faisait qu’augmenter mon carnet d’une nouvelle punition. Je démarrais vraiment mal …
-bien ma Soumise on en reparle tout à l'heure, maintenant tu vas aller te préparer et voilà tes obligations:
Ton sexe doit être épilée ou rasée et je vérifiais, attention je serais sévère la dessus, et
N’oublie pas de prendre tes sex-toys que tu as… pour la tenue pas de collant, je tolère des bas et bien entendu rien sous ta jupe.
Est-ce que tu as un grand manteau d'hiver ou de printemps assez léger?
oui Maître j'ai ce qu'il faut
très bien alors sois prête dans une heure je viens te chercher
Mon sang bouillonnais dans tout mon corps … je crois que j'ai jamais été autant stressée, excitée, sachant qu’il n’était pas content de moi, et que j’allais être puni, cela me mettais dans un sacré état, je sentais ma culotte s'humidifier de plus en plus …
Une fois prête, j'étais habillée d'un simple pantalon noir et pull rose avec un débardeur noir en dessous.
Mon Maître était bien présent à l’heure pour le rendez-vous. Une fois dans sa voiture, il me donna un petit baiser doux et remplis de promesses, j’étais fébrile assise dans sa voiture, il démarrât, et une fois sur l'autoroute il me demanda de me changer...
Je sentis au moment de cette ordre, une gêne et d'un coup une montée de chaleur et d’adrénaline, je serai nu dans sa voiture, et il y a de la circulation, j'avais le cœur qui battais a cent a l’heure, cette montée d'adrénaline me submergea avec la peur qu'on me voie nu dans la voiture.
Je pris alors mon courage à deux mains, ne voulant surtout pas le décevoir et en rajouter aux erreurs que j'avais déjà faites.
Je gardai ma veste, et enlevai mes chaussures, chaussettes et pantalon, jetais nue, j'enfilais assez rapidement ma mini-jupe … je m'attaquai maintenant au haut, ce qui étais moins évident, il voyait bien que je n’étais pas trop à l’aise, il ralenti sa vitesse et ce mis sur la voie de droite, afin que je continue à me déshabiller tranquillement, voyant mon regard sur les voiture qui nous doublais, il me dit -
ne fait pas attention aux voitures, me dit-il d'une voix rassurante.
J'enlevais lentement ma veste, suivi de mon haut, mon soutiens gorge, et remis ma veste et la ferma... je me sentie mieux, et aussi fière d'avoir réussi.
maintenant que tu écartes les jambes afin que je puisse voir ton sexe et reste comme cela jusqu'à notre arrivée à destination.
Je sentais que j’étais en train de tremper le siège de son véhicule, j'étais fébrile, mais ne dis rien..
Une fois arrivé à destination, et la voiture garée sur le parking de l’hôtel, la peur commençais à m'envahir de nouveau, j'étais dans une tenue très provoquante, je me sentais nue malgré mon manteau fermé, ma mini-jupe en talon haut et sans rien de plus....
- Maitre, il va y avoir quelqu'un a l'entrée, Lui dis-je anxieuse
-oui surement, tu me suis et t'occupe pas d’eux, compris ?
-oui Maitre
Malgré ses recommandations, je n'étais vraiment pas rassurée.
Une fois dans le hall de l’hôtel, je vis une jeune femme blonde à l’accueil, elle était occupée et ne prêtais pas vraiment attention à nous…
« Ouf » mon Maître avance en direction de l'ascenseur, je le suis tète baissé.
Arrivé à l'étage ou étais notre chambre, il s’avança me laissant devant l’ascenseur, et vérifia que personne n'étais dans le couloir, il me fixa et me lança :
Enlève ta veste et met toi à quatre pattes,
Au moment où il finassât de prononcer cette phrase, tout mon corps se liquéfiât …
mon regard croisa le sien , un regard remplis de complicité et de malice… un ordre étant un ordre j'enlevai donc ma veste , laissant mes sein a l'aire libre.... mon cœur battais a mille a l'heure , j’étais prise de frisson , et d’une excitation rarement connue qui affluai abondement.
J'eu l'impression que mon âme flottais au-dessus de mon corps, ce qui me donna une vue magnifique, je me voyais en train de marcher a 4 pattes en direction de notre chambre … c'était érotique et excitant à la fois.
Mon Maître pris tout son temps pour taper le code de notre chambre… une fois dedans je restais là sans bouger, attendant sagement ses ordres, et qu'il me guide.
tu te sens bien ma Soumise ?
oui Maitre
bien....
Il m’amena au bord du lit.
met toi a genou la face au lit
Je m’installais et ne bougeais pas.... j'attendais, que va t il me faire ?
il s'approcha de moi et me regarda d'un aire provocant, il m'attrapa les cheveux et susurra dans le creux de mon oreille …
- alors ma Soumise, il me semble que tu as fait quelque bêtise ?
- oui Maitre, je n’ai pas été une bonne Soumise
-Monte sur le lit et met toi a genou !
Je ne le fis pas attendre une seconde plus, une fois sur le lit, la tête baissée et les mains dans le dos, je ne bronchais...
Il apparut à mes côté avec un petit carnet en main
- tu sais ce que c'est ?
- oui Maitre c'est mon carnet de punitions...
- lit ce qu'il y a marqué sur la première page me dit-il d'un aire autoritaire.
Je pris le petit carnet et l’ouvrit,
- Une fois la lecture faite, mon Maitre me repris,
- A ton avis ma Soumise, ça mérite quoi comme punition ?
- je ne sais pas Maître, je me plierai à votre décision Maître
Que va-t-il décider ? Que va-t-il faire ? Un léger petit sourire envahi mes lèvres, il m'ordonna de ne pas bouger et pris dans son sac un bandeau et une paire de menotte en cuir…
lève les mains, et pose-les sur la rambarde au-dessus du lit
Il passa les menottes en cuir entre les barreaux et m'attacha les poignets, me mis le bandeau sur les yeux, je ne voyais plus rien, j’étais dans le noir total...
Cette obscurité rendit la punition encore plus intense, d'autant plus que je ne savais pas du tout ce qu'il allait m'arriver....
10 coups de cravache sa suffira comme punition
Merci mon Maitre c'est tout ce que je mérite
tu vas compter et gare à toi si tu te trompes, je recommencerai à zéro
Aie, ça va être ma fête..... Je sens que je vais avoir de sacré marque sur les fesses.
Il me cingla d'un 1er coup
-un !
Le 1er coup me fit mal, il n'y va pas de main morte …
Deux, trois, quatre, ….sept, huit... huit... euh non neuf !
Mince je me suis trompé
Tu as dit quoi petite chienne ?
Neuf ! Maitre excusé moi
ah j'ai cru que tu t'étais trompé...
Je crois qu’il ne pris pas en compte ma faute car il ne voulait pas être trop dur avec moi pour une première fois...
et de dix !
J'avais les fesses en feu... j'en pouvais plus, mes jambe en tremblais, je tremblais tellement et étant très crispée et tendu que les menottes se cassèrent....
Je me confondu en excuses auprès de mon Maître, il me rassura, que ce n’était pas grave qu'il ne m'en voulait pas car ces menottes de cuir était de piètre qualité. Il remplaça les menottes par des liens de cordes.
Je le senti descendre du lit, il prit autre chose dans son sac, ma tête bouillonnais et mon corps …. Je ne sais plus, je n’ai jamais ressenti de telle sensation …
Il remonta sur le lit et la quelque chose pinça mes seins, il mit deux pinces sur chacun de mes tétons …
Waouh mais qu'es ce qu'il se passe dans mon corps ? Il me tira subitement les cheveux et m’embrassa langoureusement, ce fut un moment intense, un de plus …
- alors comme sa tu veux être une bonne Soumise ? Tu te rends compte des erreurs que tu as déjà faites ? Tu ne commences vraiment pas bien ….
- oui Maitre je sais, veuillez me pardonnez, la femme vanille en moi a du mal à partir même si c'est ce que je désire
- hum, oui c'est ce que je constate...
Il redoubla d’ardeur et continua à me tourmenter, il malmenait mes seins, mes tétons, ainsi que mes cheveux … Je ne savais plus ou j’étais, prise dans ce tourbillon, une forte sensation commença à apparaitre dans ma poitrine, je là sentie montée et ce fut une explosion de plaisir !
Je n’avais jamais eu d'orgasme à ce niveau-là, je n’aurais même pas osé l’imaginer, et ça venait d’arriver, les larmes commençais à couler sur mes joues, je ne comprenais plus rien à ce que je vivais à cette instant, mon corps n'avait jamais, ni connu, ni ressenti de telles plaisir. J'étais comme perdu dans cet océan de plaisir.
Mon Maître souleva mon bandeau et vit mes larmes, je n’osais le regarder dans les yeux, je ne voulais pas qu'il voie mes larmes.
regarde-moi ma Soumise
je me forçais a tourner la tête pour que nos yeux ce croise, et je vis à mon regard, un léger sourire se former sur ses lèvres.
- je ne comprends pas pourquoi je pleure Maitre... j'ai senti comme une explosion dans ma tête quand vous vous occupiez de mes seins et de mes tétons.
- c'est un orgasme cérébral que tu viens d'avoir ma soumise, c'est très fort effectivement, une petite pause s'impose, tu l'as bien méritée ma Soumise.
Il détacha les liens des barreaux, doucement et délicatement, afin que je me détende...
Je repris ma place au pied du lit, j’étais vidée.
Nous discutâmes de ce qui venait d'arriver et de bien d'autres sujets, cela me faisait le plus grand bien de me détendre et me reposer à ses pieds après tant d’émotion, ce qui me permit de reprendre des forces au cas où mon Maître voudrait continuer.
- Maitre, mes sein sont très sensible...
- oui ma Soumise, je m'en doute bien, je crois que pour ce soir tu en as eu assez, je vais les laisser tranquille
Merci Maître, dans l’état ou vous les avez mis, et vu le plaisir que j’en ai retiré, je suis soulager car je pense que ça m'aurai fait plus de mal que de bien, vue dans l'état ou ils sont.
Nous avons fait une séance de Shibari par la suite, c'était très excitant
caresse toi ma Soumise, le temps que je t’attache, mais interdiction de jouir.
Mes doigts descend lentement le long de mon corps qui étais remplis d’électricité, une fois ma main sur mon sexe, je m’exécutai, je n'avais jamais été autant humide … dans ma vie vanille je n'avais connu que sècheresse, ce n’était vraiment pas pratique …
Mon Maître s’affaira pendant un petit moment, je ne voyais rien, tout en me caressant… une fois qu’il eut fini, il souleva mon bandeau afin que je puisse voir, c'était magnifique, je me sentais belle avec ces liens …
Il me remit le bandeau et je ne bougeais plus, je senti le bruit d’un briquet, tiens mon Maître se fume une cigarette en admirant son œuvre me disais-je…. Soudain, Pendant une fraction de seconde je sentis une brulure sur mon sein encore endolorie de ce qu’il venait de subir auparavant, je me tordis dans tous les sens sur le moment, et une fois la sensation fut -elle passée que j'éclatai de rire, il continua sur l'autre sein , continuant à me torture, à me tourmenter, et je riais de plus belle , sauf quand il descendit sur mon ventre et arrivant à la naissance de mon intimité , là je ne riais plus, c’est tout mon corps qui se crispait et je dirai que la sensation n'était pas agréable , me voyant me tordre il versa de la cire sur mon intimité mais remonta vite voyant que je ne goutais pas forcément à cela, il m'en versais dans le nombril , continua partout sur le ventre et encore sur mes sein , j'étais de nouveau en feu... mes rires avait laisser place à une concentration bien plus forte pour pas que mon corps se torde dans tous les sens , mais c'était trop bon …. Quel merveilleuse sensation et découverte….
Cela faisait maintenant bien une vingtaine de minute que j'étais attaché, des douleurs se faisait naissantes sur mes membres, et mon Maître me détacha lentement en veillant à ne pas faire plus mal, et une fois libérée de mes liens, je restais là un instant un peu hagarde en reprenant le contrôle sur mes membres.
-tu peux aller prendre une douche ma soumise, pour enlever la cire sur ton corps de petite chienne…
Maître enleva mon bandeau, je fus surprise par toute la cire étalée sur mon corps, ce qui me fit éclater de rire.
L'eau chaude coula sur mon corps, je me détendais et reprenais petit à petit mes esprits …
Ce n’était pas facile d'enlever toute cette cire, je n'aurai jamais cru …. Dix minute plus tard je sortais enfin de la douche, proprette comme un sous neuf.
Je repris ma place au bord du lit et nous parlâmes avec Maître de tout et de rien, après un débriefing de l'ensemble de la soirée.
Cette première séance fut pour moi une des expériences des plus intenses que j’ai eu à vivre, je sais désormais que ma place est et restera dans ce monde-là.
Maître continua à jouer avec moi, jusqu’à l’ultime orgasme que nous primes ensemble… nous nous allongeâmes ensuite bien au chaud sous la couette, et il ne nous fallut peu de temps pour rejoindre les bras de Morphée, la soirée avais été épuisante autant pour lui que pour moi.
Je plongeai dans un sommeil profond heureuse avec un sourire dessiné sur mes lêvres...
Ma toute 1ere séance à mon arrivé dans le milieux avec celui qui a été mon mentor et qui à l'heure d'aujourd'hui est un ami précieux.
Je voulais partager ça avec vous.
Merci de m'avoir lu
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Il rentrait enfin chez Lui.
La journée a été aussi longue et dense que fatigante. Mais malgré cela, la satisfaction d'avoir quitté le bureau en laissant le travail correctement terminé pour ce jour se lisait sur son visage.
Déjà l'esprit vagabondait... le temps d'un instant, sans avoir à courir après le temps. Il sait qu'à peine après avoir posé le pied sur le quai, la réalité va prendre le dessus et qu'il va falloir gérer repas-douche-gammelle du lendemain-courrier avant de se coucher car Mister Réveil est un lève-tôt … On n'est pas bien loin du «métro boulot dodo».
Pas toujours simple de caser une séance dans ce bousin... Si ce n'est pas Chronos qui met son grain de sable, c'est Morphée qui s'en chargera. Les flèches d'Eros ne peuvent rien ….
En pleine pensée, il regarde le paysage défiler sous ses yeux....
Il avait regardé des résumés de livres, des films basés sur des histoires de BDSM.
Il souriait.
Tous ces types, Dominants, étaient pleins aux as. Les plus «clochards» d'entre eux n'étaient que millionnaires et possédaient des empires industriels. Mais surtout, ils avaient tous le Temps …. Le Temps de s'occuper de leur soumise comme bon leur semblait, d'avoir totalement l'esprit pour, et d'en mettre plein la vue au passage.... Salauds!
Son Empire se résumait à un open-space, mais il avait quelque chose que tous ces Dominants n'avaient pas: un chauffeur et un chef de bord dans un véhicule long de plus de 50m … Bon, traduisons qu'il revient du bureau en TER et qu'il a la chance d'être assis sur un fauteuil défraîchi par plus de 5 ans de bons et loyaux services. Ce soir-là, il n'y avait pas trop de monde.
Pourquoi la Domination est en rapport forcé avec des types de pouvoir, fortunés? La littérature est parfois curieuse... d'autant plus étrange qu'elle véhicule un cliché par forcément représentatif.
Des soumis(e)s ne sont justement pas des personnes qui veulent lâcher prise et ne plus avoir le poids de décision, d'enjeux, de responsabilités, de soucis du paraître, comme du politiquement correct?
Les «pouilleux» qui se tapent le train défraîchi et la foule pour bosser n'ont-ils pas droit à leur lettre de noblesse?
Ce serait certainement moins vendeur … L'élite et son cortège d'avantages fait tellement fantasmer, aussi …
Le quai approche. Retour à la réalité.
La soirée s'est déroulée comme à l'accoutumé. Rapidement, bon repas, les gamelles sont prêtes, la douche est prise.
Mais l'envie est tenace.
Pour les 2.
Elle et Lui.
Alors, tant pis pour la routine …
Les cordes sont de sortie. Elle s'assied sur le lit.
Pas un mot ne sort; quelques regards sont échangés. Seules ses mains s'activent et tissent le bondage des seins qu'Il lui fait. Un cordage tout simple, mais magique: les seins de son Joyau sont resplendissants, mis en valeur, offerts. A peine le nœud serré qu'Il la fait coucher sur le dos. Il se délecte de cette position et de cette offrande qu'elle lui fait.
Ses doigts parcourent aussitôt le galbe de la poitrine et viennent titiller les tétons, très vite durs.
Quelle beauté!
Quel paradoxe!
Ses magnifiques seins offerts, entravés, chatouillés, câlinés.... et torturés dans la foulée.
2 pinces sont posées dessus, dans un léger soubresaut de douleur et de surprise.
Quel paradoxe qui est celui du mélange de la douleur et de la tendresse... C'est ce qu'Il aime.
Afin qu'elle le déguste au plus profond de son âme, Il lui bande les yeux. Le sens du touché en sera d'autant plus exacerbé que les sensations seront cycloniques.
Les mains de son Joyau sont toujours libres quand Il pose sa bouche sur un de ses seins, puis sur ses lèvres, déposant par-ci et là des doux baisers. Surtout, pas de jaloux entre seins; les 2 sont couverts de baisers furtifs mais déposés partout sur la peau. Les lèvres sont visitées, mais aussitôt, un autre baiser est laissé au milieu de la poitrine, suivi d'un autre sur l'oreille.
La danse continue, tout aussi passionnée, ne laissant pas à la peau le temps de refroidir. Un baiser sur le nez, un autre sur le sein, un 3ème juste à côté, un autre entre les cordes, encore un autre sur le sexe, puis dans le cou …. un gémissement est lâché puis un autre quand le baiser remonte derrière l'oreille.
Elle ne peut s'empêcher de poser doucement ses mains, encore libres, sur Lui, le caressant tendrement aussi, prélude au voyage qu'Il lui prépare...
Il apprécie fortement ce moment de tendresse. C'est une façon pour Lui de prendre possession de ce Corps, de jouer avec Lui. Cela lui rappelle un très vieux clip vidéo qu'Il avait vu à une époque où Internet n'en était qu'à ses balbutiements (et ses connaissance en BDSM aussi). 2 Dominas couvraient de tendres baisers une soumise, attachée, offerte et bâillonnée. A chaque fois, cet érotisme faisait son effet. A présent, ce fantasme se concrétisait ….
Prolongeant ces baisers, une de Ses mains vient explorer l'intimité de sa soumise, déjà bien trempée.
C'est le début du Voyage.
Pendant qu'il fait gonfler le clitoris, Il arrête les baisers et se rapproche pour offrir sa Queue. Le membre est raide comme de la pierre, Il est accueilli avec délice et gourmandise par la bouche de sa soumise.
Le moment de plaisir est intense, mais c'est n'est que le début.
Lui laissant le plaisir de le sucer, Il lui passe des bracelets aux poignets et l'attache, bras écartés. Enfin, Il revient s'occuper de la chatte qu'Il avait commencé de chatouiller.
Le Plaisir montait rapidement en elle; Il le voyait via les va-et-vient et frénétique et l'intensité de cette pipe qu'elle Lui faisait.
Même en plein orgasme, elle profitait le plus longtemps de Sa queue et n'était pas du tout résolue à la voir partir de sa bouche.
Il était à 2 doigts de jouir également, mais Il profitait de ce court moment de calme de sa soumise pour se mettre à ses pieds.
Délicatement, Il lui enfila sa paire de stilettos, puis les bracelets de chevilles. L'ensemble obtenu était magnifique pour sa soumise.
Il la met aussitôt en levrette, chatte offerte, bâillon en bouche, jambes écartées et attachées.
Il la pénétra d'un coup et de violents va-et-vient s'ensuivirent. Il n'en faut plus pour qu'Il la prenne sauvagement, défonçant sa chatte. Il saisit le bondage des seins, noués dans le dos, pour avoir une meilleure prise. C'est tout le corps de sa soumise qui répondit, avec les gémissements, aux coups de butoir de Son membre.
Il ne lui laissa aucun répit et prit son temps, dégustant ce moment bestial. Quel plaisir de baiser ainsi sa soumise, criant d'orgasmes, perdant par moment son contrôle. Il s'aperçut au passage qu'Il ne lui avait pas entravé les mains dans le dos.... ce sera pour une autre fois, le déluge de sensations est déjà bien puissant.
Enfin, les coups de butoirs cessent et sa soumise s'apaise. Ce n'est qu'une accalmie, Il n'en a pas fini.
C'est sur le dos qu'Il la fait mettre, poignets attachés aux chevilles, la position de «torture orgasmique». Elle va être incontrôlable, Il l'aime la voir ainsi.
Reprenant possession d'elle, la violence des va-et-vient qu'Il lui fait subir ne lui laisse aucun répit. Les orgasmes la torturent, emportée par un torrent de sensations.
La puissance de ses accoups est telle qu'elle doit faire une pause pour cause de crampe.... Mais c'est pour repartir de plus belle dans une passion aussi bestiale qu'intense.
Alors qu'Il était en train de caresser le pied de sa soumise délicieusement enfermé dans son stiletto – un de ses objets fétiches -, son Corps se mit soudainement à se raidir dans une formidable explosion de plaisir.
Affaibli par une telle jouissance, Il se retire doucement de sa soumise, qui se détend également.
Doucement, tendrement, Il lui retire la bandeau et, avec ces Mains qui l'ont attachée, prise, excitée, baisée, titillée, bâillonnée, encordée et la prend dans Ses bras.
Un baiser sur la joue, une caresse derrière la nuque, c'est le retour au calme après pareil torrent de sensations.
Épuisés, mais heureux de cet instant unique, ils s'enlacent de bonheur.
Comblés par ce moment de plaisir intense et d'échanges, ils se laissent aller, doucement, entraîner par les bras de Morphée....
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Ta bouche. L’embrasser. La douceur de tes lèvres. Et ta langue qui se glisse. La fougue de ta langue. Son audace ! « Mais tu me roules une pelle ! »
Et c’est très doux. Invasif. Impérieux.
Tu n’arrêtes pas de m’embrasser…
Ta bouche. Que je vais doigter. L’envahir. Je le veux.
Ta bouche comme ton con comme ton cul.
Je t’embrasse et j’y pense.
Ta bouche. Que je vais investir. Avec mes doigts. Avec ma queue. Te l’imposer.
Tu es venue pour jouir.
Et faire ta soumise.
Je veux te torturer.
Te faire obéir.
Entendre ton désir exploser dans tes cris. Tes gémissements. Tes mots.
Te voir en pleurer.
Et t’entendre me nommer.
Tes seins dans mes mains.
Pauvre femelle.
Pauvre femelle à genoux. Liquéfiée. Pantelante.
Tenir ainsi ton désir dans ma poigne. Te faire attendre. Ma queue dure. Attendre. Attendre encore de te la mettre. Il n’est pas encore temps.
Je veux m’occuper de toi.
M’occuper de toi.
Toi. Ton corps.
Caresse et tendresse. Douceur et douleur.
Te caresser et te torturer.
Pour te faire mienne.
Pour t’entendre me supplier : « Baise-moi ! Baise-moi ! »
Comment résister ?
Alors que tes seins sont dans mes mains. Gros. Gonflés. Je les travaille. Je te travaille au corps. Je veux tes seins encre plus gros. Les tétons durs. Tendus. Prêts à exploser.
Je veux que ça coule entre tes cuisses.
Que tu fondes.
Que ça habite ton ventre.
Que tu sois femelle qui s’écroule, se couche, s’ouvre pour accueillir le mâle. Pour être couverte. Saillie. Remplie. Pleine.
Comment résister ?
Alors que tes fesses sont dans mes mains. Remplissent mes mains. Débordent de mes mains. Qui les pétrissent. Les écartent. Les ouvrent.
Tu es ma salope que j’encule.
Ma salope dont j’ouvre le cul.
Ce plaisir d’écarter tes fesses ! Te mettre le cul à l’air. Jouer de ton cul. Tu es ma poupée. Mon impudique poupée. Le cul nu. Ouvert. Distendu. Tiraillé.
Je vais t’enculer.
Comment résister ?
Comment ne pas encore jouer avec toi.
Te caresser. Te faire mal. Te faire tirer la langue. Et te l’attraper. Et la tirer vraiment.
Je suis un salaud. Pour une salope.
Voir la trace de mes doigts sur tes hanches. Parce que je t’ai sauvagement tenue en te baisant. Parce que je t’ai claqué les hanches. En te baisant.
Parce que je te fesse. Copieusement.
La ceinture est là.
Pour soutenir tes fesses quand tu t’empales sur moi. Quand tu te fais ma queue.
La ceinture est là.
Et elle te claque pour que tu me baises plus vite. Elle te rappelle à l’ordre. Chevauche-moi ! Fougueusement chevauche-moi !
Que tes seins pendent et ballottent.
Que je les attrape au vol.
Que je te mène et te guide et te dirige en pétrissant tes seins. En pinçant tes tétons.
Plus fort.
Encore plus fort.
Crie ! Crie ! Crie !
Exulte !
Lâche-toi !
Soumets-toi !
Soumets-toi.
Soumise.
Ce jeu. Qui n’est pas qu’un jeu. Où chacun dit : « je te veux ». « je te veux toi ».
Nous sommes lucides. Mais cette envie. Qui nous prend au ventre. Qui te fait plier les genoux. Et me fait dresser dur.
Alors : être tendre et sévère.
Impitoyable.
Impitoyable jusqu’à te gifler.
Pour t’ébranler.
Pour te bouleverser.
Quand je te gifle : je branle ton con.
Quand ma main claque ta joue, tu le sais : mes doigts s’enfoncent en toi. C’est comme si.
Que je te baise ou te fesse ou te gifle. C’est comme si.
Je te prends.
Je te fous.
Je t’enfile.
J’ouvre ton cul je prends ta bouche j’enfile ton con. En même temps. Sauvagement.
Plus tard : il y a la tendresse.
La douceur de tes lèvres. Le plein de ton corps dans mes mains. Quand le désir lentement renaît. Quand je te fous lentement. Te couvre et te redécouvre.
Plus tard : il y a ta bouche sur ma queue. Qui me déguste. Me fait lentement monter. Mais laisse dans l’incertitude de te laisser faire ou de t’attraper pour te la foutre au fond de la gorge.
Plus tard : il y a tes jouissances qui se succèdent. Parce que je n’arrête pas. Ma bouche est là. Mes doigts.
Et ton sourire.
Et tes mots.
Quand tu me nommes….
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Merveilleux Poème de ma soumise : Merci ma SMa passagère clandestinePetit bout de femme sans prétention qui aime par dessus tout la soumission, qui ne vit que pour se soumettre, être aux pieds de son Maître... Sa vie ne tourne qu'autour de lui, de ses plaisirs une vie a obéir à ses moindres désirs. Une vie faite de dévotion, de luxure, une vie qu'on pourrait qualifier d'impure. Elle veut être parfaite. Pour lui, elle soigne ses toilettes, son maquillage. Elle se fait belle pour qu'il n'aie d'yeux que pour elle.. Pour lui, elle ira loin, se dépassera des larmes, surement, elle versera de la douleur, elle ressentira mais la fierté en découlera. La fierté de satisfaire, de réussir, La fierté d’appartenir, de grandir, La fierté d’être sa chienne, sa soumise, sa salope et l'espoir irréel de dépasser, d'effacer toutes les autres...Lildya
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Leçon 2 - Savoir dire "Stop!"
L'impatience peut parfois jouer des tours.
La Belle se jouait de son Maitre sans savoir ses propres limites, me testant parfois à l'excès en vue que je m'occupe d'elle.
Le weekend vit.
Elle préparait le repas et discrètement, j'organisai le reste de la soirée.
Le repas se passa et la soirée s'écoulait.
La tranquillité s'installa et je la fit aller se laver avant que nous allions nous coucher.
Je lui notifia qu'ensuite elle me prévienne dés qu'elle serait prête.
L'eau coula un long moment avant que le silence total envahisse la maison.
Surement proportionnellement aux nombres de questions qui pouvait la submerger.
J'arriva alors à la salle de bain avec son collier.
Elle Baissa aussitôt fièrement sa tête. J'y demanda de me tenir un instant le bandeau pour y poser le collier. Elle me regarda avec une incroyable quantité de sentiments.
J ôtai la vue avant de voir le stress envahir totalement ce regard.
La fit tournée doucement et l'extirpa ainsi de la salle de bain.
Elle perdait ainsi certains repaires, même si le lieu était bien connu.
Je callais enfin son dos contre moi.
Attrapant d'une main des glaçons, je la maintenais de l'autre
Je les fit fondre sur sa peau.
Sa peau et son corps commença à se crisper.
Ce n'était que le début.
L'eau ruisselai sur ces courbes.
D'autres bout de glace vinrent durcir ces tétons,
Même si la maison disposait d'une température agréable, je senti son corps en train de flamber.
La poitrine bien dresser, je repris encore des glaçons que j'appliquai sur son intimités.
La, le corps se tendit davantage
Une brulure froide envahissait le départ d'incendie.
Mon souffle sur sa nuque se rapprochait de son oreille pour lui murmurer que nous y allons.
D'un pas ou je la sentais pas des plus rassuré, pourtant pressé par la brulure des glaçons, je la dirigea ainsi jusqu'a la chambre ou je la fis s'allonger
Une fois les coussins correctement disposé dessous, les cordent glissèrent sur ses poignées.
Les chevilles firent fixer et les jambes dans la foulée.
Son intimité offerte avait déjà pris feu et ruisselait doucement!
Je lui demanda de me graduer chacune des sensations. Elle m'acquiesçât de la tête indiquant ainsi qu'elle comprenait bien.
Je vérifia doucement la température, tout pouvait commencer.
Le gode en verre récemment sorti du congélateur était lui aussi à température
Je vis une chair de poule se propager sur elle alors que le verre disparaissait doucement entre ses fesses!
Une fois en place, j'attendis un cour instant que son corps soit entièrement troublé.
Le silence dura.
Je sentais des interrogations qui l'envahissait. Un plaisir personnel s'installait.
Alors que la fournaise s'accentuait, la fonte accroissait le cour d eau. Le silence se vit troublé par une vibration de l'air. Je déposai le Magic sur cet vulve en feu.
Alors que je le fixer, je voyais des explosions qui la faisait légèrement convulser! J'interrogeai sur la graduation qui ne semblait pas avoir encore bougé. Tout les voyants commençaient pourtant à s affolaient
Un instant de courte réflexion la parcourra avant qu'elle ne m'annonce avec un soupir un 8 sur 10!
Mon sourire se satisfaisant, j'y annonçai la poursuite!
Je prix un des plus gros gode qui pris alors place de celui de verre
Il se faufilait plus difficilement mais s enfonça!
Avant qu'il ne fut engloutit, je profita pour me lever
Lui demandant d'ouvrir sa bouche, je lui enfonçai maintenant mon membre qui pointait depuis le début vers les étoiles! La bouche subissait alors un enfoncement complet du sexe!
Et pendant que je me jouais de sa bouche, je repris le gode en main pour le faire aller et venir lui aussi à son tour
Un ensemble de mouvement troublant ce corps pris au pièges des cordes.
La température s'accentuer chaque minutes
Ne comptant plus le temps ou elle subissait tout cela...
Ma jouissance monta au fur et à mesure que sa bouche se crisper sans jamais serrer de trop mais je la priva avant tout de cela. Cet frustration de ne rien recevoir l'excita encore plus.
Je me concentrai alors davantage sur des va et vient pour le coup de plus en plus intense avec le gode.
Son corps se crispait encore plus qu'il ne pouvait l être.
Et, je l a senti ainsi partir bien loin !!!!!!
Et pourtant rien n'y faisait.
Aucune graduation n'arriva.
Les soupirs se cumulant!!!
Que dire du torrent qui apparaissait!
Après une longue stimulation, elle finit par me confirmer un " 12!!!" dans un long soupirs avant de poursuivre dans un râle à peine perceptible " Stoppes!"
Son corps totalement crispé, ses muscles tétanisés!
Je laissai finir doucement le plaisir et attendant que celui ci retombe.
Je cessais également la vibration et seul ses soupirs raisonnaient!!!
Je détachai et fis glisser les cordes pour la libérer
Rendant également la vue, je la tira contre moi.
On resta longtemps l'un contre l'autre, de finesse sur sa peau, on partagea ce ressenti.
Après lui avoir expliquait que si dans le plaisir, elle ne pouvait pas cesser une scéance avec de la douleur.
Je lui ordonnai maintenant de définir ses limites. On pourra alors commencer des séances.
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Tu attends. Les fesses nues, la jupe relevée, et tenue par la ceinture. Tu m'as vue empoigner le stick de dressage. Tu sais.....
Je commence à chauffer tes fesses avec le bout souple. Ca fait de jolies mouches rouges sur ta peau si douce, si fine et si blanche. Tu soupires à chaque coup....
Je me place à tes côtés. Je pose le stick en travers de tes fesses. Tu retiens ton souffle.... Je frappe, fort, vite, impitoyablement. Tu cries, tu te cabres. C'est la seule douleur que tu ne supportes pas, celle cuisante qui arrive sans crier gare, qui fouette ta peau, y imprime une marque boursouflée, te fais perdre ton contrôle, tes moyens.
Tu respires fort... A petits coups sur tes flancs, je te force à reprendre position. Tu t'exécutes. Le second coup arrive, de la même manière, en prévenant avant d'où il va tomber. De nouveau, tu laisses échapper un cri, tu t'allonges pour te soustraire à la souffrance. Je te laisse reprendre ton souffle.... Et le stick t'agace de nouveau pour que tu te remettes à genoux....
Et ça continue, encore, et encore. Tu ne cries même plus, tu pleures, noyée, dans un océan de douleur. Lorsque tu ne reprends pas ta place assez vite, je t'ordonne de le faire, d'une voix sèche, et tu obéis. A ce stade, je sais que tu n'es plus en mesure de réfléchir, tu n'as plus en tête que de me satisfaire, de te dépasser, pour mon plaisir.
Enfin, tout s'arrête. Je pose mon instrument de torture, et je caresse tes fesses si sadiquement malmenées. Je te parle doucement. Je m'assied à tes côtés, je te prend dans mes bras, j'essuie tes joues baignées de larmes, ton nez qui coule, et je t'embrasse de toute le force de mon amour. Je passe une main tendre dans tes cheveux, je pose ma paume sur ta joue. Tu souris, tu es heureuse. Encore une fois, tu m'as donné le meilleur de toi, encore une fois, je suis si fière de ton courage. Encore une fois, tu m'as fait don de tout ton être. Merci.
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La nouvelle suivante (ou plutôt les deux nouvelles suivantes) sont en cours de travail. Elles n'ont pas pour but de fantasmer, mais de tenter de faire une présentation romancée du BDSM, et pour cette raison sont soft. Je les propose ici pour recevoir des conseils à lur sujet pour mieux les finaliser et donner la meilleure image possible du BDSM. Théoriquement, elles sont sous licence Creative Commons BY-NC-SA : en gros, si elles vous plaisent, vous pouvez les partager sur votre blog, si ce n'est pas dans un but lucratif, et si vous me faites une petite publicité au passage en citant au moins le nom de l'auteur.
Toutefois, si elles vous plaisent et que vous voulez les partager, je vous conseille d'attendre d'éventuelles améliorations avant de le faire.
Voici donc les nouvelles, en espérant qu'elles vous plaisent.
Dialogue avec un Ange
Suivi de
Dialogue avec un Dieu
La caisse bipait, article après article. J'attendais un peu en retrait que mon interlocuteur range ses courses dans ses deux sacs, le regardait faire son travail avec efficacité. Quand il en eut terminé, il paya par carte bancaire, remercia poliment la caissière, et se retourna vers moi, en soulevant un sac de chaque main. Je ne pus m'empêcher de jeter un autre coup d'oeil au collier de cuir encerclant son cou.
Quand il parvint à ma hauteur, je lui emboitais le pas, et repris la conversation.
- Et vous n'avez pas peur d'en mourir ?
- Pourquoi aurais-je peur d'en mourir ?
- Vous m'avez bien dit que votre Maître a tous les droits sur vous. Il a donc le droit de vous tuer, non ?
L'esclave esquissa un léger sourire et me répondit.
- En fait, je me suis trompé tout à l'heure, quand je vous ait dit cela. Mon Maître a en effet tous les droits sur moi, mais en échange d'une condition : il doit veiller à mon bonheur et à mon épanouissement dans l'esclavage. Ce qui inclut le fait de me garder en vie et en bonne santé. Et mon Maître consent volontiers à cette restriction, par amour pour moi.
- Et en échange de cette condition, vous lui offrez donc une soumission et une obéissance totales ?
- Totales... Ou non. Presque totales. Si le Maître me donne un ordre irréfléchi, et que je sais pertinemment qu'il regrettera de me l'avoir donné, je dois être capable de lui désobéir sur cet ordre.
- Au risque qu'il vous punisse ?
- Au risque qu'il me punisse.
- Ce n'est pas injuste ?
- Non. Mon Maître n'est, hélas, qu'un homme, et comme tout homme, il peut faire des erreurs. S'il me donne un mauvais ordre, et qu'il me punit pour ne pas lui obéir, je lui pardonne volontiers cette erreur. Et quand au final, il s'excuse de m'avoir puni injustement et me remercie de lui avoir désobéi, je suis l'esclave le plus heureux du monde, car je sais que j'ai servi mon Maître de la meilleure manière possible. Et mon Maître aussi est heureux, car il constate qu'il possède un esclave auquel il peut réellement faire confiance.
- Et si c'est vous qui être en tort ?
- Et si c'est moi qui est en tort, ce qui peut arriver aussi bien sûr, alors je demande le pardon à mon Maître, et lui explique pourquoi je pensais avoir raison jusque là. A ce moment, il décide si je mérite une autre punition ou non, et me pardonne après m'avoir puni et/ou sermonné. A partir du moment où le Maître m'a pardonné, je sais que je peux me pardonner moi-même, car je pourrai alors essayer d'être un meilleur esclave, et car je saurai que j'ai donné tout ce que je peux donner à mon Maître pour qu'il m'aide à mieux le servir.
- Et ce n'est pas injuste envers vous ?
- Si je suis heureux dans ces conditions, pourquoi est-ce que cela serait injuste envers moi ?
- Vous êtes tout de même privé de liberté, et à la merci des décisions, peut-être parfois mauvaises, de votre Maître, je me trompe ?
Nous étions dans la rue à ce moment-là. Les passants nous entouraient, allant de-ci de-là, nous ignorant. L'esclave avec qui je conversais garda le silence un moment pour réfléchir. Nous passâmes devant une mendiante, qui tendit un gobelet dans notre direction. L'esclave s'arrêta, posa ses sacs au sol, sorti le portefeuille de la poche de son manteau, et déposa quelques pièces au fond du gobelet.
- Voici madame. Et bonne journée à vous.
L'esclave souleva ses sacs, et nous reprîmes notre chemin.
- Je sais, reprit-il à mon intention, que c'est difficile, pour quelqu'un d'extérieur, de concevoir qu'un être puisse être heureux et épanoui dans la servitude. Honnêtement, il fut un temps, quand j'étais encore un homme libre, j'avais moi aussi du mal à le concevoir. Mais c'est ainsi. Nous sommes les masochistes, et notre bonheur se trouve dans l'esclavage ou dans la torture. Certains n'apprécient que l'un ou l'autre. Personnellement, j'aime les deux. Dans cette vie, nous perdons de nombreux droits, et de nombreuses libertés. Mais ce que nous perdons en droit et en liberté, nous le gagnons en bonheur, en sérénité, en dévouement, en bonté et en altruisme.
- C'était l'argent de votre Maître, pourtant, que vous avez donné, non ?
- Oui, c'était l'argent de mon Maître.
- Il ne vous punira pas quand il se saura ?
- Il le saura, car je le lui dirai. Et je connais mon Maître : quand il le saura, il me dira probablement "c'est bien". Tout simplement. Mon Maître est un homme bon.
- Pourtant, il a fait de vous un esclave.
L'esclave esquissa à nouveau un sourire.
- Oui, mon Maître a fait de moi un esclave, et il aime avoir un esclave à son service. Il aime aussi torturer son esclave.
- Votre Maître est un sadique, et pourtant c'est un homme bon ?
- Oui. C'est un sadique et un homme bon en même temps. Un sadique parce qu'il prendrait beaucoup de plaisir et de bonheur à torturer et à soumettre n'importe qui qui lui tomberait entre les mains. Un homme bon parce qu'il sait que c'est mal de faire cela à quelqu'un qui ne le désire pas. Alors il se contraint à ne le faire qu'avec des masochistes, en veillant à ce que ces masochistes-là y puisent eux aussi du plaisir et du bonheur. Ce doit être un lourd fardeau pour lui que de donner ces restrictions à ses pulsions, mais il se les donne par bonté envers les autres.
- Je comprend. Mais comment savez-vous que votre Maître ne craquera pas ?
A ces mots, l'esclave s'arrêta, et se tourna vers moi pour me regarder droit dans les yeux.
- Le Maître est bon. C'est parce qu'il est bon que je l'aime. C'est parce que je l'aime que je lui ait demandé de faire de moi son esclave.
- Alors c'est vous qui le lui avez demandé ?
- Oui, c'est moi qui le lui ai demandé. Et c'est lui qui m'a fait l'honneur d'accepter de me prendre pour esclave. En retour, je ferai tout pour éviter qu'il ne lui arrive malheur. Pour éviter qu'il ne craque. Peut-être est-ce la raison de l'existence des masochistes, aider les sadiques à ne pas craquer.
Nous reprîmes alors notre route.
- Et vous ne faites que cela de votre vie ? Servir votre Maître ?
- Presque. Techniquement, je suis aussi écrivain. J'ai déjà un petit groupe de lecteurs assidus. Alors j'écris chaque jour. Je lis souvent aussi, cela fait partie de mon travail d'écrivain, d'autant plus que mon Maître préfère avoir un esclave cultivé et avec qui il peut avoir des discussions intéressantes. Mon Maître préfère aussi regarder ses films en ma compagnie. Et puis, quand j'ai fini toutes mes tâches, il m'autorise parfois à aller sur Internet ou à jouer aux jeux vidéos, pour m'occuper. Finalement, il y a aussi les séances de torture et les relations sexuelles avec mon Maître.
- Et l'argent que vous gagnez, avec les livres que vous vendez ?
- Tous mes bénéfices appartiennent au Maître. Je suis sa possession, de même que tout ce qui est sensé m'appartenir.
- Vous savez, fis-je remarquer, je pense que votre Maître vous a fait tout un lavage de cerveau.
L'esclave se mit à rire.
- Oui, bien sûr ! Bien plus encore que vous ne le pensez ! Mais cela a fait de moi un homme meilleur. Quand j'étais libre, j'étais triste, paresseux, et pour vous dire la vérité, assez égoïste. Maintenant, je suis heureux, efficace dans tout ce que je fais, et je suis plus altruiste que jamais. Cela grâce à mon Maître, et pour faire honneur à mon Maître.
- Je me demandais – étant croyant moi-même – vous pensez que vous irez au Paradis ou en Enfer ?
L'esclave leva les sourcils, hésita un instant, puis me répondit :
- En supposant que cela existe – de mon côté, je ne suis pas croyant – je ne sais pas. Mais si je suis assez bon pour le Paradis, j'espère que l'esclavage consenti y est autorisé, pour que je puisse continuer à servir mon Maître là-bas.
- Vous pensez que Dieu accepterait cela chez lui ?
Les anges sont les esclaves de Dieu, au final. Dieu est bon, et ses esclaves, heureux de le servir, le secondent dans sa bonté. Je pense que si Dieu existe, il sait qu'il peut y avoir de la bonté dans l'esclavage. Pour peu que l'esclavage soit aussi le désir de l'esclave.
- Et si Dieu existe, qui serait plus important ? Dieu, ou votre Maître ?
- Ce n'est pas la même chose. Dieu n'a pas besoin que je lui fasse la lessive, le ménage ou la vaisselle. Dieu serait sûrement plus important, puisqu'il serait aussi supérieur à mon Maître, mais je pense que Dieu ne nous demanderait pas grand chose au final. Il nous demanderait d'être bon avec les autres, et mon Maître et moi, nous essayons déjà de l'être, même sans croire en lui.
Un silence.
- Je pensais, dis-je, que vous me diriez rêver aller en Enfer pour y être torturé.
- Hé non. En vérité, vous savez, un peu d'imagination et de psychologie suffit pour réussir à torturer un masochiste sans lui donner de plaisir en même temps, alors l'Enfer sait sûrement comment s'y prendre pour ça.
- Mais sinon, quelque part, vous pensez que l'esclavage devrait être légal, s'il peut être bon ?
L'esclave hocha la tête.
- L'asservissement de personnes ne désirant pas être esclave doit rester un crime. Un crime grave, car c'est bien ce que c'est. Par contre, oui, je pense que l'asservissement de personnes désirant être esclave devrait être légal, ou tout du moins, toléré.
- Comment faire la différence ?
- Cela, je vous l'accorde, c'est tout le problème. Je...
L'esclave s'arrêta de parler d'un coup sec, et tomba à genoux, au sol.
- Ca va ? Demandais-je. Ca ne va pas ?
- Ne vous inquiétez pas, monsieur, me répondit une autre voix. Il ne fait que me montrer son respect.
Je me retournais vers cette autre voix, et trouvait un homme plutôt petit. En fait, à première vue, l'esclave pourrait certainement surpasser physiquement son Maître.
- Vous êtes son Maître ?
- Oui, je suis son Maître. Enchanté. Je suis Jack.
Le Maître me tendit la main. Par réflexe de politesse, je la serrais.
- François. Enchanté. En fait, nous parlions de votre relation à vous deux.
- Je vois. Si cela vous intéresse, nous pouvons en parler plus en détail chez moi, un de ces jours. Vous êtes le bienvenu.
Il me tendit sa carte de visite, que je pris entre mes doigts.
- J'espère que la discussion avec Arthur, mon esclave, a été bonne.
- Oui, très intéressante.
Le Maître porta sa main vers la tête de son esclave, et la caressa.
- C'est bien.
- Merci, Maître.
- Cela a été un plaisir de vous rencontrer, François. Mais je vous prie de m'excuser, j'ai du travail qui m'attend, et Arthur devra m'assister pour cela. Je vous souhaite une bonne journée.
- Juste une seconde, s'il vous plait, demandais-je rapidement. Si vous avez du travail en cours, pourquoi êtes-vous sorti nous rencontrer ?
- Simplement pour vérifier si Arthur n'aurait aucune hésitation à s'agenouiller devant moi en public pour me montrer son respect. Bonne journée. Debout.
Jack se retourna, et Arthur se leva aussitôt. Il se tourna vers moi, et s'inclina légèrement.
- Au revoir, monsieur, me dit-il.
Puis il emboita le pas à son Maître, portant toujours les deux sacs de course lui-même.
- Bizarre, concluais-je.
Dialogue avec un Dieu
Il y avait quelques jours de cela, j'avais eu une discussion intéressante avec un homme, qui disait vivre comme un esclave. Il m'avait décrit son bonheur, éprouvé grâce à la servitude et à la torture, son amour pour son Maître, l'amour que celui-ci ressentait pour lui. Ayant pu voir quelques instants cet être vénéré, et ayant reçu de ses mains sa carte de visite, ma curiosité m'a poussé à appeler au numéro de téléphone indiqué. Cet appel s'était conclu par la prise d'un rendez-vous pour une rencontre amicale, dans la demeure de ce Maître.
Le jour prévu, je me retrouvai donc au pied de leur immeuble. Je sonnai à l'interphone, et j'entendis la voix d'Arthur, l'esclave, me répondre.
- Oui, bonsoir ?
- Bonsoir, c'est François.
- Je vous ouvre. C'est au quatrième étage, appartement 42.
L'entrée émit un signal sonore. Je montai au bon étage pour sonner au bon appartement.
Quand Arthur ouvrit en grand la porte de chez son Maître, il dut aussitôt remarquer mon air surpris, car il me dit tout de suite :
- Le Maître a décidé de me faire porter mes chaînes ce soir.
En effet, outre le short et le T-shirt qui le recouvraient, l'esclave portait un collier de cuir, et des fixations similaires à chaque poignet et cheville. Il avait les pieds nus. Du cou pendait une longue chaîne, attachée en son milieu à une seconde chaîne tendue entre ses poignet, et en son bas à une troisième tendue entre ses chevilles. Le tout devait gêner en partie ses mouvements, mais mes observations ultérieures me laisseraient penser qu'il était habitué à les porter régulièrement.
- Vous pouvez entrer, continua-t-il. Le Maître vous attend dans son salon.
- Le bruit des chaînes sur le sol, demandais-je en entrant, cela ne dérange pas les voisins en-dessous ?
- C'est une des raisons pour lesquelles nous avons principalement de la moquette ici. Je vous en prie.
Je laissai mon manteau dans les mains d'Arthur, qui m'indiqua le salon.
Celui-ci était assez grand, pour un simple appartement. Meublé avec goût, mais sans signe de grande richesse. Je constatais que, même s'ils n'étaient pas sans le sou, ce couple ne devait pas non plus avoir une fortune cachée sous un matelas ou dans un compte en banque. Jack, en me voyant, se leva de son fauteuil pour m'accueillir dans la pièce.
- Soyez le bienvenu, François. Je vous en prie, prenez un fauteuil. Vous aimez le vin, j'espère ?
- Le vin ? Oui, j'apprécie.
- Très bien. Arthur, tu peux ouvrir la bouteille.
- Tout de suite, Maître.
L'esclave s'éclipsa dans la cuisine, et revint avec la bouteille, pendant que moi et son Maître nous asseyons dans des fauteuils. La petite table basse proposait déjà deux verres à pied et quelques petits biscuits apéritifs.
- Je dois avouer que les chaînes d'Arthur m'ont... surpris.
- Je sais, c'était un peu le but. Comme vous êtes curieux à propos de notre façon de vivre, je pensais vous donner quelques petits exemples ce soir. En restant pudique, bien entendu.
- Bien entendu...
Arthur avait débouché la bouteille, et servit un peu de vin à son Maître. Celui-ci goûta, approuva, puis l'esclave remplit mon verre et celui de Jack. Je n'étais pas un grand connaisseur en vin, mais celui-là, sans paraître très cher, me semblait rester un choix pertinent pour un apéritif.
- Seulement deux verres ? Fis-je remarquer.
- Bien sûr. Arthur n'a le droit au vin que quand je le lui autorise. La seule boisson qu'il a le droit de boire sans avoir à demander ma permission d'abord, c'est l'eau, qu'il peut boire à volonté.
- Je comprend.
Je jetai un regard sur l'esclave. Il était debout, les mains jointes devant lui, dans une position indiquant clairement l'attente patiente et la soumission. Il attendait le moment où il servirait à nouveau.
- Je me demandais : comment prenez-vous le fait que l'un de vous soit l'esclave de l'autre ? Je veux dire, au yeux de bien des gens, ce serait une situation dégradante. Vous en pensez quoi ?
- Je pense, commença Jack, qu'il n'y a rien de dégradant à être esclave. Dans le cas d'un esclavage non désiré, c'est plutôt l'esclavagiste qui devrait voir son image être dégradée. Et dans le cas d'un esclavage consenti, c'est juste la preuve d'un amour partagé, entre une personne qui désire se mettre entièrement au service d'une autre, et cette dernière qui aide la première à s'épanouir dans la réalisation de ce désir. Arthur n'a pas à avoir honte d'être un esclave : la décision qu'il a prise d'en devenir un est preuve d'un grand altruisme et d'un grand dévouement, et ce sont des qualités dont il peut être fier.
- Et du côté de l'esclavagiste ?
- Du côté du Maître, c'est un peu plus complexe. Je suis celui qui profite de la situation. Je suis le bourreau, le tortionnaire, le méchant, vu de l'extérieur. Et je suis obligé de l'admettre, j'aime beaucoup ce rôle. Si je ne l'aimais pas, je n'aurais pas d'esclave. Croyez-le ou non, dresser un esclave, cela requiert beaucoup de temps.
- Vous en avez eu d'autres ?
- D'autres ? Oui, et non. Arthur est mon premier. J'ai débuté en tant que Maître en même temps que lui a débuté en tant qu'esclave. Pour obtenir de l'expérience dans le domaine, j'ai demandé conseil à d'autres Dominants. Ils nous ont aidé, moi et Arthur, à faire nos premiers pas. Et quand je suis devenu quelqu'un d'expérimenté, j'ai commencé à accueillir de temps en temps des débutants, Dominants comme soumis, pour les aider à mon tour à faire leurs premiers pas. J'ai eu plusieurs soumis sous mon fouet, mais en véritable esclave permanent, je n'ai jamais eu qu'Arthur à mon service.
Jack prit une petite poignée de biscuits et la présenta à Arthur. Ce dernier s'avança, se mit à quatre pattes, remercia son Maître, et commença à manger dans la main de celui-ci.
- C'est la principale chose qu'il faut comprendre, continua Jack. Arthur n'est pas esclave sous la contrainte. Il l'est parce qu'il désire l'être. Il mange dans ma main parce qu'il aime se sentir dominé par autrui. De la même manière, il aime être asservi, humilié, et torturé. Il prend beaucoup de plaisir à manger dans ma main car il montre ainsi à quel point il est inférieur à nous et soumis à nous. Il mangerait dans votre main aussi, si vous lui tendiez des biscuits à votre tour, et il aimerait ça.
Arthur était en train de lécher délicatement le sel sur la main de son Maître. Ce dernier prit une deuxième poignée de biscuits, et la laissa tomber au sol. Arthur remercia son Maître, et se mit à quatre pattes pour manger à même la moquette.
- C'est comme ça, poursuivit Jack. Cela peut paraître insensé, mais c'est comme ça. Arthur est masochiste. De la même manière, j'aime asservir, humilier et torturer. Je suis un sadique. Si je le faisais à quelqu'un qui ne souhaite pas l'être, je ne sais pas si j'y prendrais plaisir ou non. Un conflit entre mes pulsions et ma morale. Je ne l'ai jamais fait avec quelqu'un de non-consentant, et je ne compte pas m'y mettre un jour, par morale. Mais le faire avec quelqu'un de consentant, qui aime ça, cela me fait beaucoup de bien et beaucoup de plaisir. C'est pour lui comme pour moi un exutoire, un moyen d'apaiser nos pulsions dans un espace contrôlé, afin d'éviter qu'elles ne nous frustrent ou ne s'apaisent d'elles-même en nous faisant faire quelque chose de regrettable. On a déjà entendu parler de beaucoup de criminels sadiques, dans les journaux, on parle des sadiques qui torturent moralement leurs subordonnés et collègues dans les bureaux, mais on parle beaucoup moins de masochistes qui se mettent d'eux-même dans des situations sociales impossibles pour apaiser des pulsions dont ils n'ont parfois pas même conscience.
Jack tendit son verre vide au-dessus de son accoudoir.
- Par l'asservissement d'Arthur, nous joignons ainsi l'utile à l'agréable, pour lui, comme pour moi, ainsi que pour la société qui nous entoure. Arthur ?
Arthur releva la tête et vit le verre vide de son Maître.
- Je suis désolé, Maître.
Il se releva, prit la bouteille de vin, et en versa dans le verre. Comme je lui tendais le mien, il le remplit aussi à son tour. Il retourna alors à ses derniers biscuits au sol, et revint rapidement à sa place, en position d'attente patiente.
- Je comprend, dis-je. Mais quand vous dites «inférieur» à nous ?...
- Socialement, bien entendu. Arthur reste un homme, et sa vie vaut tout autant que celle de n'importe qui d'autre. Même plus à mes yeux, puisque je l'aime. Je dis «inférieur» uniquement parce qu'il obéit, et que nous, on ordonne. Parce qu'il sert et que nous sommes servis par lui.
Je hochai la tête, pensivement, face à toutes ces informations. Je levai un instant les sourcils, but d'une traite mon verre pour faire passer le tout, et vit Jack faire de même. Arthur remplit alors à nouveau nos deux verres.
- Maître ?
- Oui Arthur ?
- Puis-je me retirer pour finir de préparer le diner ?
- Combien reste-t-il dans la bouteille ?
- Un peu moins d'un verre, Maître.
- En voudriez-vous, François.
- Non merci, cela suffira pour moi.
- Dans ce cas, tu peux finir la bouteille si tu veux, Arthur.
- Merci, Maître. Je vais la finir.
L'esclave commença à se retourner.
- Attend une minute, dit Jack.
Arthur se tourna vers lui, et le vit indiquer le sol du doigt, à côté de son fauteuil. L'esclave se dirigea vers le point indiqué, et s'y agenouilla. Le Maître commença alors à caresser la tête de sa possession. Puis il dit en me regardant :
- Arthur ne veut pas être traité à égalité avec nous. A ses yeux, ce serait contraire à mon statut de Maître, à votre statut d'Homme Libre, et à son statut d'esclave. Il ne nous en veut absolument pas d'avoir bu quasiment toute la bouteille à nous deux. Au contraire, ce fond est un cadeau que nous lui faisons. N'ai-je pas raison ?
- Si, Maître. Vous avez tout à fait raison.
- Mon gentil soumis, bien dressé, bien docile, bien obéissant.
- Mon Maître adoré.
Jack passa un doigt dans l'anneau du collier d'Arthur, et le tira à lui pour l'embrasser. Après leur baiser, je les regardais se lancer des yeux doux, aussi intenses que ceux de n'importe quel couple amoureux. Le Maître caressait la tête de son esclave, et dernier lui répondait avec toute son admiration.
- Tu es vraiment trop mignon. François, accepteriez-vous que je donne une fessée à mon esclave ?
- Je vous en prie, répondis-je, faites.
- Merci. Garde ton slip et installe-toi, Arthur.
- Merci Maître !
L'esclave baissa son short et posa délicatement son ventre sur les genoux de son Maître. Ce dernier sortit un gant en cuir de sa poche et l'enfila, ce qui me laissa suspecter la force avec laquelle il comptait frapper.
- Donc, demandais-je, il y a en quelque sorte trois castes à vos yeux : les Maîtres, les Hommes Libres, et les esclaves.
- Deux, en fait, dit Jack, ce serait plus exact. Les Hommes Libres et les Maîtres naissent et demeurent libres et égaux en droit et en devoir et cætera. La seule différence, c'est que les Maîtres ont des esclaves, et les Hommes Libres non.
- Et les esclaves ?
- Et les esclaves sont... des esclaves. Bien entendu, dans un monde idéal, seuls ceux qui désirent réellement être des esclaves rejoignent cette "caste". Il est hors de question d'imposer cette vie à quelqu'un qui ne la désire pas. Arthur aurait aimé être esclave dès la naissance, mais il sait aussi bien que moi que cela impliquerait l'existence d'esclaves ne désirant pas l'être, et lui comme moi, nous ne désirons pas que cela arrive à qui que ce soit.
- Seuls deviennent esclaves ceux qui désirent être esclaves donc.
- Exactement. Je rajouterais aussi que, souvent, l'esclave choisit son Maître autant que le Maître choisit l'esclave, et qu'il est préférable qu'ils définissent clairement les règles et limites de cet esclavage avant de le mettre en application. Vous avez peut-être déjà entendu parler de contrat BDSM, et c'est pour cette raison que ces contrats existent. Par exemple, Arthur a spécifié clairement ne pas vouloir être vendu ou donné à quelqu'un d'autre, alors il restera toute sa vie ma propriété à moi.
Et la fessée commença. Le Maître frappa fort, très fort, plusieurs fois. A chaque fois, Arthur gémissait en même temps de douleur et de plaisir. J'imaginais parfaitement, au bruit que les coups faisaient, la teinte écarlate qu'avaient dû rapidement prendre les fesses de l'esclave. Quand cela fut fini, Jack lui dit de se relever, et d'aller finir de préparer le diner. Arthur remercia son Maître, et s'en alla, visiblement heureux, dans la cuisine. Je bus mon deuxième verre de vin d'une traite lui aussi.
- En fait, repris-je après cet épisode, c'est un peu l'esclave qui dicte les règles, au final, non ?
- C'est plus compliqué, mais je crois que j'ai une métaphore pour m'aider à expliquer. Pendant la rédaction du contrat, le soumis met en place les limites qu'il ne désire pas dépasser. C'est un peu comme s'il dessinait un polygone sur une feuille de papier. Ce qui est à l'intérieur du polygone, c'est ce que le Maître à le droit de faire. Ce qui est à l'extérieur, ce qu'il n'a pas le droit de faire. Le soumis dessine donc un polygone, puis le Maître peut librement s'exprimer dans la surface qui lui est ainsi laissée. Certains soumis dessinent un polygone petit et complexe, ceux-là veulent souvent des scénarios temporaires tournant exclusivement autour de un ou deux fétichismes. Personnellement, je n'aime pas ce genre de contrat, mais c'est le choix et la préférence d'autres adeptes du BDSM, et je le respecte. De mon côté, j'ai de la chance, Arthur m'a dessiné un polygone très large, et il m'a laissé beaucoup d'espace de manière permanente pour développer mon imagination et pour le surprendre.
- C'est là qu'intervient le fameux «safeword» ? Pour dire au Maître «vous sortez du polygone» ?
- En quelque sorte. Quand je torture mon esclave – pour son plaisir et pour le mien – il lui arrive souvent de me supplier d'arrêter. C'est un réflexe d'autodéfense, et je sais qu'en vérité, au fond de lui, il souhaite que je continue. Mais le safeword est volontairement un mot bizarre, qui n'a rien à faire dans une séance de torture. Le nôtre, c'est «colimaçon». Quand Arthur est torturé par moi, il peut crier autant qu'il veut, cela ne m'arrêtera pas. Au contraire, ça me donnera envie de continuer. Mais s'il dit «colimaçon», je sais que ce n'est pas un réflexe d'autodéfense : il me prévient que quelque chose ne va pas et qu'il faut réellement que ça s'arrête.
- Et vous respectez toujours le safeword ?
- Toujours. A mes yeux, et aux yeux de beaucoup, un Maître qui ne respecte pas le safeword ne mérite pas d'être un Maître. Arthur l'a déjà prononcé quelques fois, et j'ai toujours mis fin au jeu quand il l'a prononcé. De notre côté, on va aussi un peu plus loin, et on a mit aussi au point un signe de la main en guise de safeword, pour les jeux où Arthur est bâillonné.
- Ce qui implique que s'il est bâillonné, il doit pouvoir faire le signe de la main.
- C'est un défaut, mais c'est préférable au fait de le torturer sans sécurité derrière.
Pendant ce temps, Arthur avait mis la table, et Jack m'invita à m'y asseoir. Le diner était simple, des pâtes à la carbonara, mais l'esclave les avait préparé avec dévouement. Ce dernier nous les servit dans nos assiettes, remplit nos verres d'eau, et reprit sa position d'attente patiente. Nous mangions, le Maître et moi, de bon appétit, et en discutant.
- Je me demandais, dis-je à un moment. Votre esclave fait donc tout pour vous ?
- Beaucoup de choses, mais pas tout. Quand une tâche de la maison a besoin de quatre mains, je l'aide, bien sûr, et je fais parfois quelques travaux domestiques moi-même. Il m'arrive de cuisiner par exemple, c'est une activité que j'apprécie.
- Mais quand vous n'avez pas envie de cuisiner ?
- C'est Arthur qui s'en charge, bien sûr. Il y a aussi l'argent. Arthur est écrivain. Un bon écrivain, si vous voulez mon avis, et ses ventes de livres se rajoutent à mon salaire.
Le Maître passa alors une bonne partie du repas à parler de son travail en tant qu'informaticien, et surtout à faire les louanges du talent littéraire de son esclave. En jetant quelques coups d'oeil à celui-ci, je vis sur son visage la fierté qu'il ressentait à entendre son Maître parler de lui en ces termes. Elle ne fit que s'accroître quand Jack mêla à l'hommage pour son don de la plume celui de son don pour la servitude. Comme il me l'avait dit plus tôt, il ne considérait pas son domestique avec mépris, mais au contraire avec beaucoup de respect, et beaucoup d'affection. Au lieu de l'abaisser, on aurait au contraire cru qu'il mettait son esclave sur un piédestal. Paradoxalement, le Maître se révélait aussi humble dans sa position dominante que l'esclave dans sa position de soumission, et vénérait son soumis tout autant que ce dernier vénérait son Dominant.
Quand il eut fini sa tirade, il ordonna à Arthur de ramener sa gamelle dans le salon, en lui annonçant qu'il mangerait ici. Arthur revint avec une gamelle pour chien parfaitement propre, et la présenta servilement à son Maître. Ce dernier s'empara des ustensiles, et servit des pâtes dans le récipient.
- Voilà. Est-ce que cela te suffit ?
- Oui Maître.
- Très bien. Tu peux commencer à manger.
- Merci Maître.
L'esclave se mit à genoux, déplia une serviette au sol pour ne pas tâcher la moquette, posa le récipient au milieu de la serviette, et commença à manger à quatre pattes, à même la gamelle.
- Venez, me dit alors Jack. Allons nous installer dans les fauteuils.
Je le suivis, en regardant à moitié Arthur manger de la même manière qu'un chien, à côté de la table où nous avions diné.
- Mais... Mais et tout ce que vous m'avez dit ? Toutes les louanges que vous avez faites à propos d'Arthur ?
- Elles tiennent toujours. Je crois toujours tout ce que je vous ai dit. Si je le fais manger à quatre pattes après nous, plutôt qu'à table en notre compagnie, c'est parce que c'est le statut qu'il aime avoir, et le statut que j'aime lui donner. Cela l'humilie, bien sûr, puisque vous êtes là à le regarder manger ainsi, mais il aime être ainsi humilié. Il n'y a rien de dégradant, ni de méprisant, ni d'insultant dans ce que je lui fait faire et dans ce qu'il fait. C'est juste l'expression de nos désirs. Arthur désire être inférieur à nous, et il l'est. Inférieur non pas parce qu'il vaut moins que nous, ce n'est pas vrai. Inférieur parce qu'il obéit et que j'ordonne. C'est comme ça que nous aimons vivre, et c'est comme ça que nous sommes heureux.
Nous étions alors assis dans les fauteuils, et Arthur releva la tête de sa gamelle. Tout le pourtour de sa bouche était maculé de sauce à la carbonara.
- Arthur, si tu as fini de manger, nettoie ton visage, débarrasse la table, et prépare-nous trois cafés. Ensuite, tu pourras venir discuter avec nous.
- Bien Maître.
- Excusez-moi, se reprit Jack. Vous voulez un café, François ?
- Oui. Oui, volontiers.
- Trois cafés, Arthur.
- Oui Maître.
L'esclave était dans la cuisine et devait certainement se débarbouiller. On entendait déjà la cafetière se mettre en route. Très vite, le bruit des couverts débarrassés s'y ajoutèrent.
- Je vous sens tendu, François, me dit Jack.
- Oui, c'est vrai. C'est que... tout est bizarre ce soir.
- C'est normal. Vous êtes entré dans un univers qui n'est pas le vôtre. Mais je vous rassure, nous ne sommes pas méchants, et nous ne vous voulons aucun mal.
- Oui, d'accord.
- J'arrive ! Annonça Arthur. Me voilà.
Arthur déposa trois cafés sur la table et s'assit sur une chaise en notre compagnie.
- J'ai manqué quelque chose ? Continua Arthur.
Je me mis à rire un peu, nerveusement.
- Qu'y a-t-il ? Me demanda poliment Jack.
- Rien, c'est juste le fait qu'Arthur puisse discuter avec nous. L'ambiance me paraît tout d'un coup moins... Moins...
- Protocolaire ?
- Oui, voilà.
- C'est normal, m'expliqua Jack. C'est comme ça dans un couple Maître/esclave : il y a des moments protocolaires, comme celui que je viens de vous faire vivre, et d'autres plus détendus. Attention, Arthur et moi, nous sommes dans une relation d'esclavage permanent : les règles sont plus souples pour lui, mais elles n'ont pas totalement disparues.
- Je dois toujours respect et obéissance à mon Maître, par exemple, ajouta l'esclave.
- Tiens, à ce propos, viens là.
Jack fit signe d'approcher à Arthur, et il commença à détacher ses chaînes avec efficacité.
- On va enlever ça maintenant. Ramène tes chaînes dans la salle de torture et reviens.
- Tout de suite, Maître.
- La salle de torture ? Risquais-je pendant qu'Arthur y allait.
- La salle de torture, me répondit-Jack. On a choisi cet appartement principalement parce qu'il y avait trois chambres. La première, c'est la mienne, où dort aussi Arthur la plupart du temps ; la seconde est une chambre d'ami ; et la troisième, nous en avons fait une salle de torture. Pas de dame de fer ou d'outils tranchants bien entendu, le but est d'y trouver du plaisir, pas de faire parler.
- Oui, évidement.
- Je suis de retour ! annonça joyeusement Arthur.
Il se rassit sur sa chaise en notre compagnie, et but une gorgée de café. Il ne lui restait plus que son collier et ses fixations aux poignets et aux chevilles, en plus de ses vêtements.
- Euh, je m'excuse, pour la bouteille de vin, en profitai-je.
- Oh, ce n'est pas grave : mon Maître vous l'a dit, je ne vous en veux pas. C'est même gentil de m'avoir laissé le fond.
- Oui, mais du coup, j'ai l'impression que vous n'avez pas profité de la soirée.
- C'est gentil de vous inquiéter pour moi, merci, répondit Arthur en souriant. Mais ne vous inquiétez pas : j'en ai profité, à ma manière. Je suis très content de vous avoir servi, mon Maître et vous.
- Oui, c'est un peu ça que j'ai du mal à comprendre.
- C'est normal. Je crois qu'il faut être un peu comme moi pour vraiment comprendre.
- C'est un peu comme un enfant content de ramener une bonne note, dit Jack.
- Donc j'ai reçu une bonne note ?
- Disons... A-.
- Seulement A-, Maître ?
- Oui, parce que tu n'as pas fait attention à mon verre quand tu mangeais les biscuits par terre.
- Ah oui, c'est vrai. Désolé Maître.
- Ce n'est pas grave.
Jack se pencha vers son esclave, et se dernier le rejoignit pour lui faire un bisou.
- Mais donc, demandais-je, tout ce que vous m'avez dit est bien vrai ?
- C'est notre point de vue en tout cas, me répondit Jack. Après, d'autres adeptes du BDSM ne seront pas forcément d'accord avec tout ce qu'on a dit.
- Y compris l'autre jour, dans la rue ? demandais-je à Arthur.
- Oui, dit-il. Avec un peu de mise en scène.
- Un peu de mise en scène ? Poursuivit son Maître.
- Je joue très bien le fanatique dont on a lavé le cerveau.
- Mais tu es un fanatique, Arthur. Et je t'ai lavé le cerveau.
- Je préfère le terme «dressage», Maître.
- Mais pourquoi avoir fait ça ? Demandais-je.
- Je ne sais pas, admit l'esclave. Vous étiez un inconnu, et vous me posiez plein de questions. Mettez-vous à ma place : c'est vous qui étiez bizarre à mes yeux. Alors j'ai essayé de vous faire peur. Je crois. Un peu.
Je souris un instant à l'idée que j'ai pu paraître bizarre aux yeux d'un esclave masochiste.
- Vous ne m'en voulez pas ? Demanda Arthur.
- Non, non, je ne vous en veux pas.
- Pour être honnête, admit Jack à son tour, je ne pensais pas que vous nous appelleriez pour nous revoir. Mais quand vous l'avez fait, on s'est senti obligé de tenir notre engagement et de vous inviter. Et au final, tout est bien qui finit bien : je pense qu'on peut dire qu'on est ami maintenant.
- Je pense que vous avez raison, acquiesçais-je.
- Si on est ami, je pense aussi qu'on peut se tutoyer.
- D'accord.
- Et moi ? Demanda Arthur. Je dois tutoyer ou vouvoyer ?
- Eh bien... C'est comme tu veux, lui répondis-je.
- Alors je crois que je vais continuer à vous vouvoyer, Monsieur.
C'est à ce moment, je pense, que j'ai vraiment compris qu'Arthur aimait son statut d'esclave. Il n'y avait pas de mépris, ni de fausse modestie, ni même d'auto-dénigrement dans cette phrase. Juste une sereine acceptation d'un fait : il était un esclave, nous étions des hommes libres, et c'était très bien pour lui comme ça.
La soirée continua tranquillement tout compte fait. Après les cafés, Arthur nous ramena de l'eau pour nous désaltérer. Ils me racontèrent tour à tour des anecdotes de leur relation, et j'ai eu le plaisir de les voir à plusieurs reprises rire ensemble de leur histoire commune. J'ai ris aussi avec eux, une fois ou deux.
- Au début, me dit Jack, on s'est rencontré sur Internet, sur un site BDSM. Je voulais commencer en tant que Dominant, et Arthur voulait commencer en tant que soumis. Nous avons fini par tomber amoureux. On s'est retrouvé en vrai dans un bar, sur un terrain neutre, puis on s'est fait visiter nos appartements respectifs. Très vite, on a emménagé ensemble et j'ai commencé à le soumettre.
- Les premiers mois, poursuivit Arthur, c'était irrégulier. On se couchait en Dominant et soumis et on se réveillait en égal à égal, ou vice versa. Au final, j'en ai eu assez de ça et je me suis mis à genoux devant mon Maître.
Il se mit à genoux devant lui, pour mimer la scène.
- Maître, souhaitez-vous prendre votre soumis pour esclave permanent, et le dresser à obéir et à servir, pour le meilleur et pour le pire, jusqu'à ce que la Mort nous sépare ?
Jack souriait en revoyant la scène, et en caressant la tête de son esclave. Je demandais :
- Tu lui as répondu quoi ?
- Je lui ai répondu «Embrasse mes orteils un par un et je te répondrai oui».
- Jamais de ma vie je n'ai embrassé aussi vite des orteils, avoua Arthur en se rasseyant sur sa chaise.
- Et depuis, Arthur est ton esclave, donc ?
- Oui. Environ un an après cette déclaration d'amour, je lui ai demandé s'il voulait toujours être mon esclave à vie, et il m'a répondu «plus que jamais, Maître». C'est depuis ce jour que je considère qu'Arthur est irrévocablement devenu mon esclave.
- Pour le meilleur et pour le pire, Maître.
- Pour le meilleur et pour le pire, répondit le Maître.
- Il y en a eu beaucoup, du pire ? Demandais-je.
- Pas beaucoup, heureusement, dit Jack. Surtout des bêtises d'esclave.
- Beaucoup de bêtises ?
- Oh oui ! Ça prend du temps à les dresser, ces bêtes-là, et il m'en a fait des belles. Heureusement quelque part, la vie serait plus monotone sans.
- En fait... Commença Arthur.
En même temps, il attrapait la poignée de la carafe d'eau pour resservir son Maître, mais il renversa son propre verre dans le même mouvement. Nous eûmes tous trois un mouvement de recul, puis tous trois nous nous jetâmes sur les serviettes pour essuyer au plus vite.
- Arthur ! Gronda le Maître. Quand on parle de bêtises, ce n'est pas la peine de nous en donner un exemple !
- Maître, je...
- Ça suffit. Tu essuies, puis tu vas au coin.
L'esclave poussa un soupir.
- Oui, Maître.
Il essuya rapidement, porta les serviettes trempées à la cuisine, puis se positionna debout, face à un coin du mur. Je comprenais, de ce fait, pourquoi ledit coin n'était pas meublé.
- Ce n'était pas une grosse bêtise, hasardais-je.
- Non, c'est vrai. C'est pour ça que cela n'ira pas plus loin qu'une petite mise au coin, je pense. Ceci dit, voyons le bon côté des choses, cela nous permet d'aborder un autre point de notre relation : la punition. Une erreur que font beaucoup de gens extérieurs au BDSM, et même certaines personnes y posant un pied, c'est de considérer la douleur physique comme une punition. Dans le cas où le soumis aime la douleur physique, ça ne marche pas.
- Parce qu'il aimerait ça ?
- Non, c'est plus vicieux que ça. Si je donnais une fessée à Arthur pour le punir d'avoir renversé son verre, il n'aimerait pas, car il saurait qu'il la prend parce que je suis mécontent de lui. Ça briserait son plaisir, en quelque sorte. Mais quelque part dans son inconscient, il associerait la fessée que je lui ai donnée tout à l'heure avec celle que je lui donnerais maintenant, et au fur et à mesure, en utilisant la douleur à la fois comme un jeu ou une récompense, et à la fois comme une punition, cela brouille tous les repères du soumis. Il finira par avoir l'impression d'être puni quand on joue, et par avoir l'impression de jouer quand il est puni. Pour cela, quand le soumis aime la douleur, il vaut mieux ne pas punir avec la douleur.
- Comment alors ?
- La meilleure manière à mon avis, c'est ainsi, dit Jack en montrant Arthur dans son coin. Avec son point faible. Toute sa vie tourne autour du fait de me servir, alors je lui interdis momentanément de me servir. Pas besoin de coups de fouet, il retient bien mieux la leçon en sachant que par sa faute, son Maître est obligé de se servir son verre d'eau lui-même.
Et Jack versa de l'eau dans son verre, en prenant soin de faire autant de bruit que possible.
- Je pense comprendre, dis-je.
- C'est bon Arthur, tu peux revenir. Je vais être gentil aujourd'hui.
- Merci Maître.
L'esclave revint s'asseoir parmi nous. Il y eut un instant de silence quand il se rassit.
- Bon, dis-je pour le rompre et en me levant, il se fait tard, je pense que je vais rentrer.
- On se reverra ? demanda Arthur.
J'eus un instant d'hésitation.
- Oui, je pense. Au final, j'ai passé une bonne soirée, et vous m'avez paru sympathique. Quoiqu'un peu bizarre.
- Beaucoup bizarre.
- Oui, c'est vrai, beaucoup bizarre. Surtout toi, Arthur.
- Alors c'est entendu, conclu Jack en se levant à son tour, suivi de son esclave. Tu peux nous appeler quand tu voudras, ma porte est ouverte.
- Entendu. Merci, Jack.
- Juste une dernière question : pourquoi t'es-tu intéressé à nous, à la base ?
- Je ne sais pas. C'est parce que le sadomasochisme, c'est un peu à la mode en ce moment. On en voit un peu partout. Alors quand j'ai vu Arthur, avec son collier, j'ai voulu poser la question. Pour savoir. Pour comprendre.
- Il n'y a rien de plus que cela à comprendre. C'est simplement la vie que nous aimons, Arthur et moi. C'est vrai que le BDSM est un peu à la mode en ce moment, et en fait, ce n'est pas une si bonne chose qu'il le soit. Ce n'est pas un truc à faire n'importe comment, encore moins avec n'importe qui, et surtout pas juste parce que c'est tendance. A notre niveau, à Arthur et moi, c'est parce qu'on le veut, au fond de nous. Tu peux toujours utiliser un bandeau ou des menottes une fois de temps en temps pour pimenter une relation, mais tu ne dois pas te sentir obligé d'en faire autant que nous, juste parce qu'on voit ça à la télé aujourd'hui. Je t'ai vu pendant tout l'apéritif et pendant le repas, tu étais mal à l'aise face à tout ça. Je ne pense pas que ce soit fait pour toi.
J'eus un petit rire.
- Non, je ne pense pas moi non plus.
- Et ce n'est pas grave. On reste des amis.
- Oui, tu as raison, Jack. On reste amis.
Je les saluais alors tous deux, et Arthur me raccompagna à la porte d'entrée. Il ne me resta plus qu'à rentrer chez moi. J'étais assez content, car je m'étais fait deux nouveaux amis. Des amis bizarres, mais des amis quand même.
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Envie de t'aider à te détendre, viens ma belle, approches toi... mets à toi à genoux, laisse moi caresser ton dos, faire glisser mes ongles, savoure cette sensation électrisante....
Ma main ferme sur ton épaule, mon autre main s' occupe de ton sein....le réveille délicatement, le pince. ..délicieuse sensation. ...mon autre main glisse sur ton ventre, se faufile entre tes cuisses. .. j'aime sentir ton dos contre moi... tu t'abandonnes doucement. ..je m'aventure dans ta douce toison. ...glisse un doigt.... pince un peu plus ton sein...me fait plus ferme, t'emprisonne dans mes bras...
Poursuis mes caresses un peu....te libère....encore humide....détendue....
"Mets toi à 4 pattes"...tu t'exécutes...un peu perdue et frustrée...
Ton cul se dresse...et ma main vient claquer dessus, tu es surprise, mais déjà je te sens attendre la suite..qui ne tarde pas. .. tes fesses se réchauffent, se colorent...
Je glisse 2 doigts en toi.... tu sembles des plus réceptive...je m'attarde un peu .... avant de revenir caresser tes fesses et les claquer.... alternant la droite et la gauche...avant de griffer ton dos ....saisir fermement ta chevelure, te redresser....te regarder dans les yeux. ... "Allonges toi! Laisse toi faire...."
Je plonge mon regard dans le tiens... "Caresse toi.... " tu t'appliques...à faire monter ton plaisir, ma main rejoint la tienne, mes doigts se mêlent aux tiens.... tu t'ouvres un peu plus pour me laisser passer... "Retire ta main. ..." Mes doigts remplacent les tiens, s'activent, te stimule encore et encore. ... mon pouce glisse doucement sur ton renflement. ... je sens ton corps réagir, se crisper légèrement. ...ta respiration est plus profonde.... j'aime observer ton plaisir grimper.... envie de le voir exploser encore. .. sentir ton corps se crisper sur mes doigts...couler...et pousuivre jusqu'à ce que tu me demandes d'arrêter. ... vider par le plaisir...
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Cela fait un petit moment que nous discutons ensemble, de ce que l'on aime ou pas... déjà plusieurs rencontres, pour prendre un verre...
Aujourd hui c est shopping, je sens qu'on va bien s'amuser, j espère que le plaisir sera partagé...
On se retrouve tu es belle malgré ton manque parfois de féminité... on va arranger ça...
J opte pour un magasin avec un peu de tout côté vestimentaire... " va dans la cabine, je vais choisir..."
Un tailleur, quelque top un peu sexy, une robe, une guêpière... humm....
Je reviens avec mes trouvailles... j'entre et te montre.. tu hesites... ce n'est que pour essayer.... pour voir, pour me faire plaisir... je te laisse faire ton premier essai tranquillement.
Tu n'oses pas sortir, c'est trop provocant, trop décolleté? Je rentre dans la cabine pour te rassurer, tu es très joli comme ça... nos regards se croisent dans le miroir, je suis juste derrière toi, je pose mes mains sur tes épaules, caresse tes bras, pour te réconforter, prend ta main et t attire en dehors de la cabine... regarde comme tu es belle dans le grand miroir...
Un sourire timide apparait sur ton visage, et tes joues rougissent un peu... je me penche à ton oreille pour te murmurer que je te trouve très désirable... tu files essayer la suite... le tailleur te rends très chic et sexy à la fois, et me permet de voir tes jambes... je note que tu ne te sens pas à l'aise aussi à l étroit... reste une chose à essayer, rassure toi je ne te demanderais pas sortir avec... j'entre dans cabine tandis que tu te dévêtis... j en profite.... pour t'admirer.. et dégraffer ton soutien gorge, libérant ainsi ta poitrine.... tu hésites... tu es troublée... je me penche et dépose de petits baisers sur ton épaule...lentement les bretelles glissent sur tes bras... tes mains cachent encore tes seins.... mes mains viennent les remplacer...ils sont fermes et moelleux... je mordille ton oreilles, tu penches ta tête et semble apprécier, je te retourne et te plaque dos au mur, pour d'embrasser...
Une vendeuse passe et nous demande si tout vas bien?
"Oui,oui!" J' attrape la guêpière et t'aide à l essayer, lentement j' attache les petits crochets dans ton dos... encore une fois nos regards se croisent dans le miroir, tu mordilles ta lèvre... j'en profite pour caresser tes fesses au dessus de tes vêtements...."Il y a le string d'assorti, si tu veux?" Tu rougis et baisse les yeux... " cela te va a ravir..." Je pense qu on va la prendre.... non? "Tu crois ??" , je degraffe et te murmure un oui pleins de promesses.... avant de te laisset te rhabiller tranquillement...
La vendeuse semble un peu étonné, moi un grand sourire, " la fermeture éclair était coincé? "
Tu ressors avec les articles... "tu souhaites garder certaines choses? " , "non"
Je prends la guêpière, et file chercher le bas, tu me suis...
"Je te passerai des bas...", " ok"...
On ressort du magasin avec nos achats, tu sembles un peu ailleurs.... Je t'attire dans un coin avec moins de monde... te regarde dans les yeux... "je vais trop vite? ", "non"..."on va chez toi?" , un sourire "oui"...
On arrive chez toi, je referme la porte et t attire vers moi pour t embrasser... "je serais douce, et ferme, fais moi confiance, on ira à ton rythme...." On s'installe sur le canapé, je te prends dans mes bras..."j ai envie de t attacher et de m occuper de toi..." , "j ai pas de menottes?..."
" un foulard fera l affaire, on arrête dès que tu veux...", "euh, ok"
On va dans ta chambre, tu sors un foulard et me le tend timidement... un premier pas pour toi...ma main attrape ta main pour t attirer, mon autre main agrippe ton cou, te colle a moi, poitrine contre poitrine, ton souffle s'emballe...ta main dans ma main, dans ton dos, tu me laisse faire... juste un oui murmuré entre tes lèvres...."déshabille toi..."
Je me mets à l aise et t'attends sur le lit, le foulard entre mes mains, tu attends en culotte et n ose approcher. Je te tends une main que tu attrapes et te guide à moi... je pose ta main sur un de mes seins...que tu caresses, "n'ai pas peur..."
J entoure le foulard autour de tes poignets, place tes bras au dessus de ta tête.... t embrasse dans le cou... descend sur tes seins que je léchouille, avant de poursuivre sur ton ventre... je sens ta respiration qui s' appaise tranquillement.... j'arrive à ta culotte que je fais glisser le long de tes jambes... j'ecarte tes cuisses, malgré ta résistance....tu m'observes en fesant non de la tête... ta respiration s emballe un peu....je caresse ta chatte, tes poils tout doux et courts... mon pouce glisse entre tes lèvres....tes yeux se ferment tu mords ta lèvre inférieure....
Doucement de haut en bas, c est chaud, humide...je m'enfonce en toi, te caresse de l'intérieur... tu apprecies, te détends sous mes caresses, ton bassin accompagne mes mouvements...je glisse un autre doigt en toi, tu l'accueilles d'un oui, pleins de plaisir... de desir.... mes doigts vont et viennent en toi, tu t'ouvres un peu plus, tes cuisses bien ouvertes pour mieux m accueillir.... " encore.... continue.... ah..... oui....."
Un troisième doigts se fraye un chemin, tu jouis.... je poursuis....mes doigts s'enfoncent en toi... un peu plus... c est si bon chaud, moelleux en toi... C'est un 4 ème doigts que je glisse en t'embrassant tendrement... je glisse en toi... tu es si mouillé... si chaude.... mon pouce s attarde sur ton renflement, dressé de désir.... tu sembles en transe.... ma mains glisse en toi, mes doigts se serrent pour mieux sentir ton corps l entouré ... serré en toi... tu mouilles délicieusement sur moi....
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Petit pantin, tu m'as laissé prendre contact avec Elle, Elle te connaît bien, Elle est joueuse autant que moi... Elle a reçu une suggestion de moi...
Petit pantin a attendu, a appréhendé. ... puis Elle s' est occupé de toi, Elle a imaginé des jeux délicieux, je lui ai donné une simple cuillère en bois.... et toi tu en as découvert le contact...Elle a dû bien s' amuser, autant que toi.... et moi de vous imaginer. ...
Petit pantin, à ton tour d'être mon instrument, pour la remercier, Elle le mérite ? Tu as aimé. ... laisse moi te guider, l'attacher pour qu'Elle ne se sauve pas...qu'Elle subisse... le doux contact de ta langue....la monté du plaisir. .. et toi savoure son plaisir, mains dans le dos, car tu es un petit pantin... joue de sa frustration, lentement agit, tranquillement faufile toi, déguste son nectar...Elle n'en sera que plus heureuse au moment de la délivrance. ..
Petit pantin vient sous mon aile, sous ma protection, je te guiderai à travers toi, pour mieux te découvrir, te faire éclore. ..
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Désir obéir
Désir souffrir
Désir grandir
Désir découvrir
Désir ressentis
Désir épanouis
Désir attendre
Désir surprendre
Désir de présence
Désir des sens
Désir cuir
Désir unir
Désir attendu
Désir voulu
Désir demain
Désir vos mains
Désir enivrant
Désir cuisant
Désir du corps
Désir accords
Désir subtil
Désir tactile
Désir latent
Désir prudent
Désir lieux
Désir heureux
Désir annonciateur
Désir libérateur
Désir attentionné
Désir partagé
Désir fisting
Désir branding
Désir offrir
Désir plaisir
Désir émotion
Désir frisson
Désir obéissance
Désir appartenance
Désir apprendre
Désir entendre
Désir d'oser
Désir donner
Désir image
Désir partage
Désir imagination
Désir excitation
Désir de dépassement
Désir et sentiment
Vous m'inspirez tant de désirs Mon Maître.
Le 24 02 2015
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Voici venu février...
Je suis en route pour me rendre à la Maison du Fessarium. Je file dans un épais brouillard à couper au couteau et qui me fait perdre mes repères. C'est beau, on croyait une énorme boîte de coton immaculé. Pour cette rencontre, il est convenu que nous déjeunions ensemble, Monsieur Sitaël, énigma et moi. Je sais déjà que le temps va filer à une vitesse folle, comme à chaque fois que je me retrouve en leur compagnie. Je n'ai pas très faim car je couve une grippe (d'ailleurs si ce jour là j'avais su que c'était la grippe je ne serais peut-être pas venue pour épargner mes hôtes de toute éventuelle contamination). Pour cette entrevue un peu particulière, il n'y a ni consigne, ni dresscode ce qui me donne le sentiment de me rendre chez des amis.
Me voilà plantée devant la porte de cette belle demeure. Je frappe trois fois et j'entends les talons d'énigma qui s'approchent.
Monsieur et sa compagne m'accueillent chaleureusement au sein de leur foyer décoré avec goût. Il y a toujours une parole, un geste, à mon égard pour me mettre à l'aise et me réconforter. Je suis assez surprise car nous passons à table dans les 3 minutes qui suivent...quel maîtrise du timing ! Et j'apprécie beaucoup cette organisation, qui permet à tous de profiter au maximum du temps qui nous est compté. Je découvre avec délice les talents culinaires d'énigma qui nous a concocté un succulent plat dressé dans de belles assiettes rectangulaires. Durant la dégustation, au son d'une musique d'ambiance suave, la conversation tourne autour du film "50 nuances de Grey" que j'ai visionné quelques jours auparavant. Je leur livre mes impressions et surtout les réactions de mes amies "vanilles" à la sortie du cinéma... Je me suis sentie vraiment différente ce jour là et c'est ce que je tente d'expliquer à mes complices.
Aujourd'hui, pour ce déjeuner, bien qu'il n'y ait pas d'apparat ni de théâtralisation, quand je regarde les deux individus qui sont en face de moi, je les trouve toujours aussi attirants et séduisants et je me dis intérieurement que j'ai beaucoup de chance. Jusqu'alors je n'avais vu ma sœur de soumission qu'en jupe ou robe, mais le slim noir qu'elle portait ce jour là lui allait à merveille. Monsieur, lui aussi charmant, complimente son épouse sur la réussite de sa recette. Je suis un peu honteuse de laisser de la nourriture dans mon assiette car cela ne fait pas honneur à la cuisinière. J'ai l'appétit coupé par cette vilaine grippe. Pressentant que j'avais besoin d'être rassurée quant à l'image que je pouvais renvoyer à mes hôtes, Monsieur ne manque pas de faire remarquer à énigma qu'en dépit de ma petite mine, je leur offrais une vision de ma féminité qui leur faisait honneur et qui rappelait combien ma place sous leur toit n'était pas fortuite à leurs yeux. Le regard de Monsieur se tournant vers enigma pour l'inviter à s'exprimer sur le sujet, ma sœur ne tarda pas à confirmer les propos de notre Maître.
Un autre sujet particulièrement intéressant est abordé par Monsieur durant le déjeuner : l'éventualité d'organiser prochainement un Munch à la Maison du Fessairum. Enigma et moi nous réjouissons de cette idée qui soulèvent mille questions d'ordres pratiques. Je fais savoir à mes interlocuteurs que je serais ravie de pouvoir leur apporter mon aide pour la réalisation de ce beau projet. Cherchant à mesurer et motiver notre adhésion, Monsieur nous présente les prémices de ses premières cogitations, qui s'avères plus altruistes et sociales que personnelles. J'espère que nous aurons bientôt l'occasion d'en reparler plus longuement... (D'ailleurs à ce sujet si certaines personnes se montrent dores et déjà intéressées, je vous invite s'il vous plait, sous le contrôle de notre Maître, à nous le faire savoir)
A l'issu du repas, Monsieur décide de procéder à l'ajustement de mon collier tout neuf, avec l'aide de sa/notre complice énigma. Je suis assise et ils se tiennent tous deux debout derrière moi...énigma tiens mes cheveux mi-longs de manière à former une queue de cheval permettant à Monsieur de mettre mon collier en place. Comme je me sens bien à ce moment précis !! Oublié la fièvre et les courbatures...je plane littéralement dans un état second. Se rendent-ils compte de l'effet que peut provoquer un simple effleurement ? Sans parler du côté symbolique de la situation. Je suis aux anges et savoure ce menu plaisir. Je ressens le fin lien en latex noir m'enserrer doucement. Il est recouvert d'une plaque en métal argenté agrémentée d'un petit anneau en son centre. Je le trouve vraiment très beau et je suis très fière de le porter. A l'aide d'une paire de ciseaux la douce énigma coupe la morceau de sangle superflu pendant que Monsieur tire sur ma tignasse...ce qui n'est pas pour me déplaire, bien au contraire. C'est une sensation que j'apprécie particulièrement et dont je ressens les effets jusqu'à mon entrecuisse.
C'est une fois arrivés au dessert que m'attend la belle surprise de passer encore une étape dans mon apprentissage. Monsieur me questionne sur le collier et le sens de cet objet, ainsi que sur la laisse qui pourrait s'y rattacher... et je lui explique que cela est très important pour moi pour exprimer mon appartenance que j'aime sentir que l'on tire sur la laisse... et à ce moment il sort de sa poche une très jolie laisse constituée de petits maillons métalliques et se terminant pas une bride en cuir. A coup sur j'aurais choisi la même ! Je suis aussi excitée qu'un gosse à Noël et je remercie Monsieur pour ce magnifique cadeau ! Monsieur me laisse le choix pour cette première fois : soit j'accroche seule ma laisse, soit je le laisse faire. Evidement le sens n'est pas le même. Je choisi de le laisser faire. Puis Monsieur remet la laisse entre les mains d'énigma pour qui cela était une envie...ma sœur me précède et je marche derrière elle dans la pièce. Elle est très avenante et douce et il me semble qu'elle n'a pas envie de me faire mal en tirant trop sur ce lien métallique...si elle savait l'effet que ça me fait, elle aurait certainement agit autrement :)
Nous partageons un temps de pause à l'extérieur de la maison avant le départ...déjà ! C'est l'occasion d'évoquer le collier d'énigma, qui n'en possède pas jusqu'à présent. Monsieur nous indique également qu'il a effectué quelques commandes d'accessoires et qu'il envisageait également l'acquisition de tenues vestimentaires pour ses soumises...et j'avoue que j'ai hâte de découvrir ça ! L'occasion aussi pour énigma de me faire part de ses envies les plus perverses. Monsieur l'invite à s'exprimer à ce sujet... Je suis gênée pour elle car je sais bien à quel point il y a des choses qui ne sont pas faciles à dire. C'est finalement Monsieur Sitaël qui décide de prendre les choses en main pour l'aider et il me décrit quelques unes des situations qui font particulièrement envie à énigma : qu'elle se saisisse de la queue de notre Maître pour la placer de sa main dans ma bouche soumise et complice, et qu'elle le masturbe ainsi. La stimulation anale a également été abordée, à l'aide d'un rosebud, vraisemblablement déjà acquis par Monsieur, qui me rappelle au passage que cet objet me sera remis lorsque j'aurais franchi un nouvelle étape dans mon cheminement de soumise. Et il semblerait que dans ce domaine, énigma éprouve la double motivation d'avoir le privilège d'observer notre Maître me travailler et m'ouvrir le fondement et de pratiquer cette douce torture de ses propres mains sous la directive et le contrôle de Monsieur... Je comprends mieux pourquoi elle n'a pas réussi à exprimer ces désirs qui ne sont pas facile à révéler. J'affiche un large sourire car je suppose que cela annonce de belles festivités pour les entrevues à venir...et la prochaine est toute proche ! Mais ce que j'ignore encore au cours de cet échange et que je découvrirai peu après, c'est une autre idée perverse qui traverse l'esprit de ma complice. Celle-ci ayant manifesté auprès de notre guide une réelle excitation pour que ce dernier lui ordonne de me prendre en levrette, arnachée d'un accessoire érectile, que notre Maître a spécifiquement commandé.
Nos envies et désirs sont en phase et je trouve ça très agréable de pouvoir en discuter au préalable plutôt que d'être mise devant le fait accompli. Cela fait parti du respect qui anime sans cesse les habitants de la Maison du Fessairium. Je trouve que ma sœur fait preuve d'audace dans ces fantasmes et je ne m'attendais pas, de la part d'une soumise en devenir, à ce que cela soit si poussé. Sans doute est-ce là le résultat du travail de Monsieur, dont la mission consiste à nous permettre de faire ressortir nos natures profondes, pour nous révéler à nous même. Je me demande comment elle vit elle-même la stimulation anale. C'est un point que nous n'avons malheureusement pas eu le temps d'évoquer.
Nous nous quittons sur ces formidables perspectives...
Certes ce jour là je repart un peu frustrée car les échanges corporels ont été quasi absents, mais cela montre aussi que l'on peut rencontrer notre Maître sans que le sexe soit une finalité systématique et attendue de la rencontre. Dans une autre mesure, notre guide nous rappelle régulièrement combien la frustration peut être un outil au service de notre éducation, comme de notre relation. C'est très agréable et je remercie notre exceptionnel propriétaire pour sa délicatesse et sa finesse.
Respectueusement,
swann
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Quelques photophores illuminent la pièce et le lit sur lequel elle est allongée, les bras et les jambes formant un grand X pornographique.
Nue, elle est contrainte à l’immobilité, sanglée par le chanvre et le cuir.
L’écartement de ses jambes exhibe l’indécence de son sexe, qui s’ouvre et s’expose.
Elle surveille la porte qui donne sur le salon. Cette porte fermée, d’où viennent ces voix d’hommes et de femmes accompagnées des tintements des coupes qui trinquent.
Elle a les yeux rivés sur la poignée de cette porte, car la poignée va bouger, la porte va s'ouvrir et déverser une marée d’hommes et de femmes dans l’intimité de la chambre.
Résignée, le sexe accessible et totalement disponible, elle appréhende l’instant fatal et son essaim de curieux, témoins de la honte qui lui empourpre les joues et enfièvre son bas ventre.
Elle ne pourra que fermer les yeux, Oh maigre réconfort face aux commentaires qui affluent et à ces mains visiteuses qui assouvissent leur curiosité sans retenue.
Elle ressentira une décharge dans le bas ventre quand une femme s'amusera de son sexe luisant qui mûrit à vu d'œil et bave ses humeurs démonstratives.
Elle n'aura aucun recourt pour empêcher la sévérité de ces doigts qui lui pincent la pointe des seins, inspectent la rigueur de son épilation, explorent son visage et ses cheveux.
Elle ne pourra cacher sa respiration forcée quand un doigt ira éprouver son anneau et la tonicité de son périnée.
Inéluctablement, elle aura honte d’être ainsi fouillée, livrée et de ressentir un plaisir pervers dans cette profanation. Elle aura honte de ces voix qui commentent le spectacle de son excitation et de son corps qui ne lui obéit plus mais s’abandonne, complaisant, à ces mains affamées.
Alors, elle scrute la poignée de la porte, d’où viennent ces voix d’hommes et de femmes, et le tintement de ces coupes qui trinquent. Et fatalement, la porte s’ouvre…
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Nous sommes le 23 janvier dernier...banlieue chic de Nantes.Il fait très froid à l'extérieur de la maison.L'obscurité empêche les convives de s'y rendre rapidement à pied, pour une fois face à la grande porte en aluminium gris, frapper à trois reprises, puis à nouveau deux fois. C'est le code pour que je leur donne accès à l'intérieur...Une maison construite juste avant le premier choc pétrolier.Une pièce principale dans laquelle on y trouve une grande table em marbre vert. Dessus, une nappe de tissus rouge, très vif...Et puis ce salon, très grand salon...avec sa cheminée au foyer conséquent. Bien des buches y ont été consummées, bien des mains s'y sont réchauffées devant ce grand foyer. Et pas que...En face de cette source de chaleur, une table faite de fer forgé et de verre. Assez grande pour y allonger une proie, assez solide du fait de ses fers forgés, idéal pour y lier qui l'on désire.Désirs, désirs, désirs...avoués, innavoués ?On frappe !! Trois fois, puis deux...qui frappe parmi mes invités ?Une chienne soumise ou un bipède excité ?J'ouvre...et je devine la fine silhouette de la première soumise invitée. Il est vingt heures, comme je lui avais demandé. J'aime la précision, la rigueur. Ce que Diane sait...Je l'accompagne dans une des sept chambres, et la laisse s'habiller. Non sans lui dérober un baiser, et puis l'embrasser voluptueusement pour la rassurer. Car je la sens angoissée, préoccupée. J'en suis coupable car elle ne sait rien, sauf que nous ne serons pas seulement deux à cette soirée, contrairement aux autres que nous avons passées ensembles.On frappe à nouveau !!La même question me revient à l'esprit. Il est 20:15...trois coups, puis deux...le code.J'entends le bruit de talons qui frappent le marbre du hall d'entrée exrtérieur. Le froid qui pousse à activer ses jambes pour se réchauffer. Ma seconde invitée est également ponctuelle. Elle me connaît aussi et sait que la punition est à la clé, lorsque la rigueur n'est plus.Isa sera seule dans une autre chambre pour se préparer. Elle n'a pas idée qu'une complice se prépare comme elle.Son corps magnifique éveille à nouveau mes sens...je ne peux m'empêcher de la saisir par la taille, et de la serrer virilement, acte auquel elle manifeste son bien être par un "huuuummmmm, mon PrincedesPlaisirs"Une forme d'inspection commence alors car la fréquentation de deux jolies coquines en moins de quinze minutes empêche tout homme de résister.Je me plie pour caresser ses chevilles et laisser remonter mes mains le long de ses longues et douces jambes. Ma main droite finit entre ses fesses, et ma gauche sur son sexe.Simultanément, mes appendices caressent ses calices, brûlants de désir...Isa mouille...Je ne peux m'empêcher de la pencher sur le fauteuil en tissus rouge délavé, qui se trouve devant elle."Ecartes tes cuisses !" suffit pour que je lui lèche l'entre fesses...ses soupirs me confirment qu'elle apprécie l'instant...tout comme moi qui commence sérieusement à être à l'étroit dans mon pantalon.Egaré par l'excitation, je n'avais pas entendu une main virile heurter la porte d'entrée.L'intensité du choc sur la porte ne laisse aucun doute.C'est un homme qui se présente.J'attends qu'il réitère la code bruyant.Toc! Toc! Toc! un court silence...Toc! Toc!J'actionne la clé dans le barrillet.Je tire la porte et s'introduisent alors un, puis deux, puis trois et enfin un quatrième homme, le compte n'est pas bon !Le temps de le penser, et à nouveau une main forte s'écrase cinq fois dessus la porte.J'ouvre pour la dernière fois avant plusieurs heures.Nous sommes au complet.Mes cinq excités sont présents.Ces derniers sont invités à s'assoir autour de la grande table en marbre vert.Je leur serre une coupe de champagne, et quelques amuses bouches...tout en leur rappellant pourquoi je les ai invités...user, abuser des charmantes que je vais leur offrir.Je devine dans leurs yeux toute l'excitation et la tension de la situation...une belle soirée se profile.Je m'en vais alors chercher Isa.Elle est belle. Chaussures noires à talon, bas dessinant des jambes superbes, corset noir laissant sa poitrine offerte avec deux tétons déjà durs...elle est prête.Je la guide car Isa est aveugle. Je lui ai demandé de porter un masque.A l'approche de la tablée, je l'annonce aux convives."Je vous présente Isa, elle est là pour votre plaisir Messieurs, et vous pour le sien ! Alors baisez là sans retenue !!!"Après un tour de table lors duquel les mains des mâles ont pris contact, j'agenouille Isa et lui demande de se glisser sous la table...alors j'entends ses mots sortir de cette bouche qui va être fort sollicitée..."Merci PrincedesPlaisirs, vous vous êtes souvenu de mon fantasme, merci beaucoup""Oui Isa, alors, laissez-vous aller et soyez une belle salope gourmande"Une main la saisi alors, et la guide dans l'obscurité du dessous de la table. Comme si elle était engouffrée, elle disparaît dans l'antre des bites à sucer...Je me dirige ensuite vers l'autre chambre.Le cérémonial refait, Diane est accompagnée sous l'autel des vices, et elle s'abandonne aussi avec plaisir à engloutir ses verges dures et chaudes.Sa tenue faite de dentellenoire et de bas a provoqué une réelle excitation chez les bipèdes. Ce qu'elle ne peut voir car également aveugle...Le nombre de vits étant supérieurs aux deux bouches qui s'affairent, les calices des deux heureuses dévergondées sont doigtés généreusement, sans exception.Le temps passe, mon sexe est honnoré par la bouche de mes deux soumises de la soirée. C'est bon de les voir gober tous ces sexes...Et puis vient le moment où le désir de prendre Isa est plus fort que d'être sucé. Alors je l'attrape à nouveau par la taille.Mon erection est puissante. Je lui lèche la chatte quelques minutes, mon index fouille son calice, alors je décide de la prendre comme la chienne qu'elle aime être lors de nos rencontres intimes."Montres moi ton joli cul de salope !" elle s'exécute à mon ordre. Son sexe humide à souhait est chaud, la sensation de la posséder à nouveau est un miel pour mon esprit de Maître.Ce soir, comme Diane, elle est à moi ! Et la confiance qu'elle sait me témoigner me laisse toute amplitude pour la baiser sans commune mesure.Mon chibre occupe son vagin que je connais bien, et que j'ai toujours plaisir à occuper longuement.Mes secousses poussent Isa à engloutir la bite de l'heureux homme qui est sucé. Gorge profonde en live...Je m'évade...jusqu'au moment où j'entends la douce voix de Diane qui me réclame..."Marquis, je veux sentir votre pillon en moi"Je me retire ainsi d'Isa, et protégé à nouveau, je viens lécher la demandeuse. Je sais qu'elle aime que je lui caresse la chatte avec ma langue, longuement...Je dévore ses lèvre brûlantes, toutes sans exception.Et je décide de baiser sa bouche, profondément, comme elle adore. Sa langue glisse sur mon sexe, lappe sur mes couilles encore riches de ce miel que l'une d'entre elles va déguster...non, les deux, pas de jalouses !Je sens cette chaleur sur mes bourses, "vas-y ma jolie chienne, lèches moi bien les couilles ! Et suces moi goulument !" Je lui attrappe la tete à pleines mains, et empale son orifice sur ma verge, et lance une danse d'aller retour frénétique ! Diane aime être "violentée" ainsi...et à peine lui laisse-je le temps de reprendre ses esprit en me retirant que je la retourne et la prend en levrette. Elle est alors saisie de nouveau par la tête, pour être violée de la bouche, ce qu'a compris un des convives...ses soupirs sont les ambassadeurs d'une satifaction profonde. "Tu aimes ça ma belle ? Tu en veux encore ?"..."oh oui Marquis, ne vous arrêtez pas je vous en supplie" rétorque t elle etre deux sucions.Le regard désireux d'un invité me fait comprendre qu'il souhaite honorer la coquine.Je me retire, et sitôt la chatte de Diane est envahie par une verge énorme..."ouaah" entends je, "doucement" La fougue du jeune étalon bien monté a surpris la salope qui pourtant en attend encore beaucoup plus que cela...Entre temps Isa s'est vue accompagnée dans un des canapés du salon...je devine que l'homme qui occupe son oeil de bronze lui procure un bien immense. Par surprise, je saisi sa tête et lui plante ma bite dans la bouche "suces ma salope adorée" Sa douceur en me branlant est une réponse d'acceptation...Je me retire. Elle ne comprend pas que j'ai un autre désir.Le locataire de la salle de jeux arrière se retire et se couche sur le tapis qui jonche le sol.La tête d'Isa qui cherche dans le vide me fait comprendre son incompréhension, jusqu'à l'instant où je la guide afin qu'elle se laisse glisser sur la bite de celui qui vient de se retirer de son cul brûlant...Elle reprend ses aises, je la pousse afin qu'elle se penche et exhibe alors son cul encore dilaté par une chevauchée fantastique...et à mon tour l'encule profondément...Le plaisir est immédiat lorsque j'entends un soupir énorme...et un cri du coeur spontanné !"Oh ouiiiiii deux bites, défoncez moi mes salauds ! bourrez moi, c'est tout ce que je mérite !"Ne voulant pas la décevoir, c'est dans une course effrenée du plaisir que nous nous lancons. Alors des cris remplissent la pièce, attirent les regards, les envies de Diane, un peu de jalousie aussi peut-être ?Que néni, Diane profitait du même régime, sauf que sa pudeur lui empêche d'exprimer son bonheur de manière trop bruyante. Ce soir là en tout cas...Abusées ainsi pendant de longues minutes, c'est sous une pluie d'elixir chaud que les deux coquines se voient aspergées...le miel coule alors sur leurs fesses, leurs seins, et moi le privilège de jouir dans la bouche d'Isa.Une de mes deux soumises...Suite de la soirée une autre fois.
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Le réveil avait sonnée voila plus de 14H quand il monte enfin dans le train. Lequel train était en retard.
Récit imaginé pendant une après-midi, au lieu de faire la sieste, pendant que la neige tombe dehors....
Récit dédicacé à ma Femme et soumise, que j'aime plus que tout.
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Le quai était noir de monde, monde impatient, fatigué, résigné sous la forte pluie qui n'avait pas cessée de la journée ...
La journée était terminée, reste l'épreuve du retour à la maison.
Grimpant dans le train, poussant implicitement ses voisins avec son vélo, il se fraye un chemin jusqu'à un strapontin, mais étant trempé jusqu'aux os, il préfère rester debout. Après tout, il avait passé la journée assis, et cela le soulait déjà bien.
Le train était bondé. Il se mit aussitôt en branle dés que le contrôleur eut annoncé son départ.
Un moment de répit pour lui, avant l’autre partie de la journée. Malgré le monde, l'ambiance est calme, presque reposante...
Comment va être la soirée ? Trop courte, comme trop souvent ? Le Temps est compté et précieux, leurs journées sont très chargées et l'ami réveil sonne toujours trop et très tôt.
Même Lui a du mal à tenir certains soirs. Du travail en pagaille, mais c'est certainement le prix à payer pour se construire l'avenir dont Ils rêvent tous les 2 ...
Mais il est vrai qu'il ne rend pas évident la possibilité de vivre le BDSM comme ils le voudraient.
En attendant, rythme du tac-tac ferroviaire, son esprit s'évade...
Elle arrive après Lui, le repas est prêt, il n'y plus qu'à passer à table.
"Non, ne t'assieds pas : je te veux en tenue."
- Aprés manger ?
- Non, maintenant. C'est maintenant que Je suis ton Maitre et toi ma soumise."
Elle s'exécute. Pendant qu'elle se change, Il en profite pour sortir quelques sacs, et mettre le parfum qui envoute la femme avec qui Il partage Sa Vie.
Il revient à table, et elle le rejoint. Magnifiquement vêtue d'un corset (un de plus) et d'un bas léger. Impossible de rester indifférent quand On sait tout ce que peut / va se passer ce soir-là. Il est presque envouté, même s'Il connait déjà bien cette tenue; mais malgré tout, c'est toujours la même magie qui opère, avec le même délice.
Elle penche sa tête vers Lui afin qu'Il lui pose son collier, un tout fin. Puis, Il lui ordonne de le servir.
Enfin, Il la fait mettre à genoux, à sa gauche, côté Cœur.
"Bon appétit, ma soumise
- Bon appétit, Maitre"
Elle déguste son repas à genoux sur des coussins, l'assiette sur une chaise. Le main de son Maitre la caresse.
Elle passe dans ses cheveux, le cou, effleure la joue. Quand elle s'approche trop prés, sa soumise lui laisse un baiser.
Aucun bruit
Silence
Un moment de partage et de profonde tendresse se joue. Instant magique où tout se dit par le toucher, les caresses et le regard. Tous ces regards qu'elle Lui lance ... Des regardes qui L'ont charmé au tout début de leur histoire. Il déguste ces Yeux de toute leur beauté, sans en lâcher une miette, sans être rassasié.
Elle est là, à ses pieds, pour Lui.
Il est là, prenant l'offrande de son corps et de son âme comme un cadeau unique, précieux et fragile et tellement puissant à la fois. Cette caresse qu'Il lui fait sur la joue et une caresse d'Amour, de tendresse, mais également d'appartenance et de propriété.
Elle est à Lui.
Les assiettes vides (elles ont failli être froides), Il se lève pour débarrasser. Mais au moment où elle voulut le suivre, Il la prit par le cou pour l'agenouiller à nouveau.
" Mon joyau me sert, m'attend, mais n'est pas la boniche". Il joint la parole au geste en l'attachant à la table d'une simple corde passant dans son collier.
Il aime cuisiner, et c'est aussi un plaisir pour Lui d'apporter ses "oeuvres" à table.
Il revint avec le dessert maison, une créme chocolat (qui n'a failli jamais voir le jour, s'il n'avait pas épargné la tablette ...).
"Sers-moi", en détachant le corde...
Elle alla prendre la cuillère quand elle recula.
Surpris, Il allait ouvrir la bouche, quand Il comprit ce qu'elle était en train de faire. La crème allait attendre ...
Elle passa sous la table (pas pratique, le corset) et se mit face à Lui. Ses mains Lui massa son pantalon déjà très gonflé. Il ne retint pas ce premier soupir.
Puis, elle passa la main vers Son intimité pour la ressortir. Raide, dure.
Un doigt "innocent" vint titiller le bout, mais rapidement elle est aspirée dans une ambiance chaude et humide.
Prenant les choses en main, Il laisse sa soumise réaliser cette divine fellation qu'Il n'a jamais demandé, mais O combien sublime.... Il se laisse faire, laissant le Plaisir monter progressivement.
Ce massage est tout simplement exceptionnel. A chaque fois, il est unique. Sa queue disparait pratiquement dans ce Paradis pendant qu'une main caresse vigoureusement la verge et les boules. Aucune zone est épargnée, la moindre partie reçoit sa dose de Plaisir.
Il aime ça.
Elle aime ça.
La soirée ne fait que débuter et risque de s'écouter trop vite s'Il ne la fait pas arrêter.
Il recule et la fait lever. Prenant sa tête entre Ses mains, Il plonge sa langue dans sa bouche pour fouiller le moindre recoin. A son tour, elle pousse des gémissements, fermant les yeux de Plaisir.
Sortant une paire de menottes de sa poche, Il lui attache les mains dans le dos et reprend la corde qui était restée accrochée au collier.
"Viens", fit-il. Tirant la corde, elle Le suit.
Le corset est rapidement retiré, ainsi que tous les autres tissus. Il ne reste plus que les talons aux pieds, mais Il est trop fétichiste de ces objets pour les retirer.
"Tourne-toi". Elle Lui tourne le dos, offrant son Corps pour la suite de la soirée.
Ce corps ...
Il a décidé de le sublimer avec un mélange de cordes blanches et noires.
Elles enlacent fortement sa poitrine, emprisonnant ses bras. Les seins ressortent d'entre ces cordes, les mettant en valeur sans égal.
Chaque serrage lâche un léger soupir d'elle. Puis, Il pose sa tête sur son épaule, caressant sa joue contre la sienne. Un nouveau moment de tendresse et de câlin s'installe. Elle s'abandonne le temps de ces caresses...
Quand Il eut terminé avec les cordes, Il la fit mettre à genoux sur le lit chevilles écartées et attachées.
" Tu m'as offert un dessert tout à l'heure. Voici le mien".
Joignant le geste à la parole, il claqua sa main sur une de ses fesses. Puis, l'autre prit sa fessée dans la foulée.
Il lui donne ainsi la fessée pendant un moment, dosant chacune ses claques. Suffisamment fortes pour faire rougir la peau et faire monter le plaisir. Mais pas trop pour que la douleur ne soit pas trop forte.
Les claques se suivent et sa soumise lâche des soupires, son corps ondule à mesure que le Plaisir monte.
Une autre claque s'abat, c'est la cravache qui entre en scène, puis le martinet. Le voilà à jouer avec 3 objets, les sensations sont multiples. Il se délecte de ce spectacle, de cette peau qui rougit, de ce corps qui n'en peut plus d'onduler, de sursauter à chaque claque, de ses gémissements qui en appellent d'autres. Ce corps offert, ses mains qui procurent le plaisir ...
Cette fois, Il lui pose un bandeau et place un bâillon.
"Tu veux crier, fais-toi plaisir".
Ses gémissements ont un effet étonnamment mais puissamment érotique. Cela faut partie de son Plaisir qu'Il s'offre. Il aime ce son, mêlé aux claques de la fessée, de la cravache ou du martinet, nouvellement entré en scène.
Jouer de ce corps, ouvrir les vannes de Sensations et voir sa soumise se laisser emporter par ce flot est un spectacle unique qu'Il aime produire et dont Il ne se lasse jamais.
"Laisse-toi aller, et crie si tu veux"
La vague de Plaisir est gigantesque quand Il prend possession de sa soumise après une dernière fessée. Le gémissement ainsi arraché quand Il rentre en elle manque de le finir prématurément. L'excitation est déjà tellement puissante ...
Mais Il n'a pas l'intention d'en rester là et prenant sa soumise en main, lui largue une autre vague de sensations via ses va-et-vients.
Rien n'est épargné. La peau claque, l'odeur érotique des 2 corps en fusion envoute la pièce.
Il saisit la corde qui maintient la poitrine de sa soumise prisonnière et tire violemment, afin de profiter au maximum du sexe de sa soumise. Des gémissements sont à nouveau arrachés; ils s'intensifient, ils sont de plus en plus nombreux et difficilement contrôlables.
Quant à Lui ... Dans un ultime accoups sur la corde, Il s'emporte dans un tourbillon de Plaisirs se laissant totalement envahir par l'extase.
...
Le temps semble s'être arrêté ...
Petit à petit, les mains qui avaient claqué auparavant détachent les liens. Les mêmes caressent ce Corps qu'elles ont eu sous elles pendant ces instants magiques. Les mêmes caressent ce visage, ce visage de sa soumise revenant, elle aussi, d'un voyage quelque part dans le 7ème ciel.
Les cordes sont entassées, trainent sous leurs corps, enlacés l'un dans l'autre pour cet autres moment de tendresse.
...
"Notre train arrive en gare, terminus ! "
Retour sur Terre, la vraie, le train, la fin de journée, longue journée, réveil qui sonne tôt....
A très vite, ma soumise
Je t'aime
Ton Maitre / Homme
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Mon Maître ne m'est pas inconnu bien qu'aucune rencontre ait été avant mi janvier 2015.
En effet, fin 2009 suite à mon annonce sur un site BDSM, il m'avait envoyé une ligne dans un mail, avec toujours cette pointe d'humour.
Tous deux étions en 'quête', lui ayant fait une belle rencontre quelques mois avant que mon ancien Maître ne m'écrive. Nos chemins se sont éloignés. Les rares échanges se faisaient quand de nouvelles galeries ou de nouveaux récits étaient validés.
J'étais fan des écrits de sa soumise, un suivi épisodique entre nous.
Il m'écrivait parfois des mails auxquels je ne répondais pas, n'étant pas très bien vu la fin de ma relation.
Il m’arrivait d’accepter ses coups de fil et j'en étais troublée.
À d’autres moments je faisais silence, mettant de la distance.
Patient il était là.
Je recevais un courrier de temps en temps, toujours avec un peu d’humour pour me faire sourire, malgré ma tristesse.
Un peu plus tard, sachant mon annonce modifiée, il a correspondu de nouveau, toujours délicat, respectueux, prenant de mes nouvelles.
À aucun moment il n’a essayé de pénétrer dans cette brèche non cicatrisée.
Non pas comme certains profiteurs trop pressés, s’imaginant déjà vous posséder, voulant s’imposer dès les premiers mots échangés. Des mots avilissants, déshonorants, qu’un vrai Maître ne saurai prononcer sans connaître la personnalité, les besoins mais également les limites de sa soumise.
Ses vœux pour la fin d'année m'ont touchée. Depuis le contact s'est fait en suivi.
La relation D/s avec sa soumise s'est terminée depuis peu.
De part et d'autre, nous gardons ce beau vécu en notre cœur mais également contact avec cElle ou ceLui qui nous a fait vivre d'intenses bonheurs.
Une photo m'avait été envoyée ainsi qu’un petit échange par cam. Non pas pour confirmer la réalité de la personne mais pour mieux afficher un visage à un instant T.
J’ai pu le découvrir de visu.
Mon cœur a parlé en le voyant à la gare, bien qu'il ait fait le « pitre » avec son humour toujours présent.
Impression bizarre, comme des retrouvailles. A un moment donné j'en ai été émue, déjà des pleurs.
J'étais en confiance et tard le soir un premier abandon.
Tant de choses intenses se sont passées lors de ce beau week-end, votre accueil, respect, l'invitation de vos amis Justine et sa Maîtresse, la découverte de ce superbe donjon.
J'étais émerveillée et l'émotion m'a submergé.
Entre nous c'est très fort et j'avoue que cela me fait un peu peur.
J'ai fait le choix de vous suivre dans ma soumission.
Vous avez touché mon cœur, mon âme et mon corps et je vous dis : encore.
Vous me faites voyager, me dépasser, me délivrer de certains mots bannis, pouvoir enfin les rayer de mon vocabulaire interdit en souvenir d'une certaine enfance...
Ce mot qui refusait de sortir de ma bouche: « plaisir ». J'arrive à le dire depuis peu, je le remplaçais par bonheur ou le mettais entre parenthèses dans mes récits, articles.
À un moment de la domination chez Justine, vous vous êtes placé devant moi à me parler doucement.
Je vous ai écouté, j'ai accepté que vous caressiez mon corps, que vous m'embrassiez.
Ce que je refusais depuis mon entrée en soumission, avec vous le verrou a sauté.
J'ai encore pleuré, baissant ma tête, ne vous regardant plus.
La photo où vous êtes devant moi est forte en ce symbole de lâcher-prise.
J'avoue que depuis cet instant vous avez allumé le feu en moi.
Bien que des étincelles à répétition ont été la veille.
J'avais dit et écrit que je n'aurai qu'un seul Maître dans ma vie.
Quand une Personne se présente, humble, respectueuse, me plait, que le feeling est en la réalité, pourquoi laisserai-je passer ma chance.
Y'a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis.
61 ans (l'âge est dans la tête) un autre livre s'ouvre.
Comme quoi il ne faut pas dire : jamais. Nous ne savons pas de quoi demain sera fait.
Tourner la page sans en oublier le vécu n’est parfois pas aisé, la vie continue.
La vie est belle et réserve de bien magnifiques surprises.
le 30 janvier 2015
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Je suis agenouillée nue, j attends, je ferme les yeux, le regard vers le sol... l'appréhension monte, je tente de rester calme, je me concentre sur ma respiration. ..Tu rentres tranquillement, tu mets de la musique et t'installe. Je n'ai pas bougé, je m'en sens incapable, l'angoisse... les sueurs froident..."Bien, caresse toi..."Une grande inspiration, je tente de me détendre et de passer mes mains sur mon corps... je me sens gauche. ..mes mains caressent mes épaules, puis ma poitrine pour descendre sur mon ventre... je garde les yeux fermés, m'allonge au sol... ma main atteint mon sexe... le plaisir n'est pas là, ne vient pas. .. pourquoi ce blocage, cette absence de désir. Je me sens triste, je tourne mon visage. Envie de pleurerJe suis cassée? Mon corps ne réagit pas. Exercice simple, qui m'est impossible...Je me replie sur moi même, j'attends. .. vais je être puni? Que dois je faire?
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A mon Amour, qui partage ma Vie depuis plus d'un an
A ma fierté de soumise
A Vous, qui avez changé ma Vie
Je Vous aime ....
(récit imaginé pendant une insomnie)
La journée avait été bien longue... comme bien souvent. La soirée serait a la hauteur de leurs attentes après avoir subi la journée : magnifique, intime, intense. Du mois, ils l’espéraient ...
La soirée débute après un bon repas, lors de la douche. Instant magique qui est celui de l'eau chaude qui coule sur les épaules... Sa soumise avait pris un bain juste avant pendant qu'il s'occupait de ce qu'il restait à faire. L'ordre avait été donné; elle avait suffisamment travaillé dur et méritait alors un moment détente au milieu de la mousse d'un bain.
Il prend son temps... Il profite de ce répit où il n'y a pas de besoin de courir après la montre. Son esprit vagabonde ... A quelle sauce va-t-il mettre cette séance ? Inutile de faire un programme, ca n'a jamais été suivi ce qui ne retire en rien le plaisir reçu et partagé. Ce ne sont pas les fantasmes qui manquent et le problème est juste de choisir...
Pendant qu'Il s'essuie, des bruits feutrés lui parviennent à son oreille. Que fait-elle ? Trop impatient, Il presse le pas...
Elle est là, assise sur le lit, nue, stilettos aux pieds, son collier à cote d'elle et quelques sacs noirs posés au sol.
Un puissant frisson parcourt son dos, hérissant son poil de tout son corps. La vue de ce spectacle, sa soumise l'attendant, offerte est sublime.
Cette position l'excite tellement déjà ...
"Es-tu prête à être mon jouet ?" lui dit-Il en la caressant sur la joue?
- "Oui"
- "Ca fait longtemps que je ne t'avais pas mis le collier", lui dit en posant le collier sur son cou.
Son choix à elle s'était porté sur le collier mauve, fin, léger, sans ambiguïté de la position de celle qui a l'honneur de le porter...
Le collier est à peine fermer qu'il lui accroche une laisse.
" C'est ma chienne que je veux ce soir ..."
et lui loge un baillon-boule rouge dans la bouche, bien serré. Puis, Il lui fixe ses 4 bracelets d'attache aux poignets et aux chevilles.
Il prend son temps... L'excitation de sa soumise monte tout autant que la sienne. Sentir ses lanières de cuir emprisonner progressivement son corps est une sensation puissante pour elle.
Une fois terminé, Il se place face à elle. Son membre, très gonflé est devant sa bouche bâillonnée.
"Tu as une pris une initiative qui me ravit à un point tel que tu peux le voir. Tu as mérité une récompense."
Il lui prend ses mains qu'Il pose sur sa queue.
"Masse-la, doucement"
Elle s'exécute, en le branlant doucement. Ses mains parcourent son pénis de tout son long. Il ne peut retenir quelques gémissements quand les doigts magiques de sa soumise massent le gland. Il passe sa main derrière sa tête pour la rapprocher de sa queue. La boule touche pratiquement le gland. Il lui ordonne de toujours masser...
Un petit coup d’œil à sa soumise. Il feint de ne pas savoir qu'elle envie de le sucer, qu'Il la frustre. Mais ce petit jeu l'amuse et ca ne peut l'exciter que d'avantage pour son plus grand plaisir.
"Suffit ! "
Elle le regarde
"Si tu la veux, insiste pour l'avoir"
Aussitôt, Il la prend par la laisser pour la coucher sur le lit, en croix.
Ecartelée, attachée au lit et soudainement bandée par un foulard, elle se laisse partir dans un Voyage que son Maitre lui offre. Un voyage de sensations, volupté et d'extases...
Dés qu'il eut refermé le dernier mousqueton, il s'approche d'un des pieds de sa soumise, sublimé par ses talons.
Objet fétiche pour Lui. Il honore ainsi ce pied en le massant et le léchant. C'est une première pour Lui, dans ce contexte érotique qu'il trouve trés sexy. Lécher les pieds de sa soumise ligotée n'est-ce pas justement profiter d'elle ? Il savoure ce moment qu'Il ne pensait pas si agréable.
Puis, Il se positionne au-dessus de Hestia, lui retire le bâillon et lui tourne le dos. La vue de son sexe, bien humide le réjouit.
Il se penche et pose ses lévres sur son clitoris pour l'embrasser; en même temps, Il place sa queue dans la bouche de sa soumise. Une queue bien large qui la remplit en entier.
Mais aussitot que sa langue joue sur le clitoris, Il entame des mouvements de va-et-vient et lui baise la bouche.
La Sienne se délecte du nectar qui recouvre toute la vulve. Il la lèche, et tantôt, il lui donne des coups de langue de chat au grés de ses gémissements de plaisir.
Enfin, Il aspire ses levres entre les Siennes pour les sucer, étirer... ce parfum, il est enivrant... Il ne sent plus sa langue parcourir la moindre peau du sexe de sa soumise de plus en plus mouillé et chaud.
Ce sexe offert ...
Ce sexe pour Lui qu'il titille, lèche, suce, aspire avec un entrain de plus en plus fort.
Il aurait déjà jouit s'Il ne s'était pas relevé. Sa soumise est essoufflée, son corps a pris une agréable teinte rouge.
Il tire la laisse.
" Il t'a plu ce cadeau ? "
Haletante, elle répond par un signe de tête
" Ton premier 69 ... J'espère qu'il ta plu... Si tu es sage, je te redonnerai ma queue. Mais pour l'instant, je vais te changer le collier".
La détachant du lit, Il la tire par la laisse pour prendre un collier très large qu'il pose juste après avoir retiré l'autre.
Se couchant sur le dos, Il lui remet son bâillon et la tire avec la laisse. Son visage à proximité, Il lui caresse la joue, la nuque et l'embrasse sur la boule.
Le baillon-boule, autre objet fétiche pour Lui. Il aime la voir bâillonnée, certainement parce que cela exacerbe sa soumission, sa position de soumise. Si le temps le lui permettait, Il lui ordonnerait de le servir de temps à autre nue, en talons et bâillonnée. Mais il conçoit qu'il lui sauterait très vite dessus...
Maniant la laisse, il lui ordonne implicitement de s'asseoir sur sa queue, trés raide. Un long gémissement sort de sa bouche en tombant à la reverse. Sa soumise s'empale sur son membre, se pénétrant de tout son long.
Après avoir profité de ce moment d'extase, il se redresse pour lui fixer les mains derrière sa tête, au collier. Puis, il saisit un de ses jouets favoris : la cravache.
Elle tapote, parcourant son corps, sur ses seins, son ventre, ses flancs. L'autre main la caresse ou effleure la peau pour titiller les sens.
Posant la cravache, ses mains prennent possession des seins. Les tétons sont pincés, tirés, même aspirés par sa bouche quand Il se redresse.
La ballet continue avec le retour de la cravache, plus fortement. Des légères marques apparaissent sur la peau déjà rosie quand sa bouche reprend les tétons entre les dents.
Soudain, une sensation étrange de pincement sur le seins se fait ressentir. Une, deux, trois, quatre pinces sont posées sur le seins, sans ménagement. Très vite, l'autre est également recouvert de ces délicieux petits objets de torture. Ses mains jouent avec les pinces, les titillent, les décrochent pour les remettre juste à côté, mais le nombre ne cesse d'augmenter.
Cette fois, c'est la cravache qui s'amuse à les gesticuler; cette garce s'emploie même à les faire glisser sur la peau pour les décrocher.
La douleur est là, mélangée au plaisir. Brutalement, il saisit la laisse
"La seule façon d'arrêter cette torture est de me faire jouir"
Sa main s'abat sur une de ses fesses qui rougir aussitôt.
"Fais-moi jouir, femelle ! ", ordonne-t-il.
Une autre fessée claque dans la foulée.
Tandis que Ses mains fouillent les pinces à la recherche de douleur, sa soumise fait des va-et-vient sur sa queue malgré les liens et ses mains attachées. Pas trés facile de s'empaler de haut en bas dans cette position mais son Maitre a sorti le martinet pour l'"encourager".
Il claque sur son dos, juste ce qu'il faut pour exacerber un Plaisir envahissant.
La douleur provoquée par les pinces devient si importante que toutes les sensations sont mélangées dans un tourbillon.
Il ne distinque plus vraiment si tous les mouvements qu'elle fait sur Sa queue sont dus à la douleur ou au plaisir que cette pénétration procure.
Le sien est au bord de l'explosion. Ce spectacle l'excite à un point inconcevable. Lui aussi part en Voyage, grâce à elle, sa soumise, par le don de son Corps - et de son Ame. Son esprit vagabonde; il se délecte de voir sa queue apparaitre et disparaitre dans le sexe de sa soumise de plus en plus rapidement (a cause de la douleur ?). Au bout de sa laisse, la chienne qu'elle est à ce moment halète à chaque mouvement. Il raffole de la voir ainsi, torturée de plaisir et continue de jouer de la cravache et des pinces.
Elle aime cette douleur, être à ses ordres, s'abandonner à ses désirs, à Lui...
Il n'a toujours pas joui, elle doit encore subir les pinces et se tortiller sur Son sexe.
Mais progressivement, Il retire les pinces. Une par une, elles sont décrochées des seins. Ainsi libérés, Sa langue les lèche, parcourant toute la peau jusqu'au téton.
"Retire-toi"
Elle s'exécute
Lui retirant le baillon-boule, Il lui pose un mord reliée à 2 petites pinces qu'Il fixe sur les tétons.
"Tu vas pouvoir mordre tout ce que tu veux, chienne !"
Rapprochant sa tête de la sienne
"Je veux que tu gémisses tout ce que tu peux, que tu cries même, que tu te lâches ! si tu te retiens, je te punis !"
Sans attendre de réponse, Il met sa soumise à 4 pattes, ligotant ses chevilles aux poignets.
La vue de sa soumise cambrée au maximum, sexe offert et prêt, ligotée, baillonnée le met hors de Lui. En 2 mouvements, il passe une corde autour des épaules de son Jouet et la noue. Sans oublier une petite caresse aux pieds enfermés dans les talons, Il saisir la corde et fait rentrer sa queue dans le sexe de sa soumise.
LA pénétration est longue, il fait durer pour savourer ce moment exceptionnel. Les gémissements de sa soumise trahissent un plaisir partagé.
Puis, s'agrippant à la corde, Il ressort, puis revient aussi sec dans ce sexe chaud et mouillé. Il ne laisse aucun répit à sa soumise qu'il prend avec de plus en plus d'énergie. Cette violence bestiale emmène directement sa soumise au 7e Ciel. Il augmente la cadence, elle gémit fort, limite de crier.
Il aime ca
N'écoutant plus que les cris de plaisirs, il se laisse partir lui aussi, libérant toute la pression qu'il retenait dans un moment de plaisir intense et unique...
Le calme revient
La corde se détend
Les poignes se desserrent
Un mousqueton s'ouvre, puis un autre....
Doucement, il la libère
Doucement, il la prend dans ses bras
Doucement, il la caresse
Doucement, il l’embrasse
Doucement, ils atterrissent...
Doucement, ils s'endorment dans les bras de l'un et de l'autre ....
...
Je t'aime, mon Amour
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par renaiSSance
1) Je suis une femme qui pendant longtemps à détesté les hommes et surtout les violents.
2) Je trouve énormément de plaisir d'offrir à l'autre sans en attendre forcément de retour.
3) Je suis fêlée du bocal, mais je me soigne ... rire, on l'est tous un peu
4) J'ai été une petite souris grise qui se cachait sous des vêtements informes La féminité était proscrit chez moi.
5) J'aime le calme, la nature et le chant des petits oiseaux.
6) Depuis mon entrée dans le BDSM, j'ai enfin fait la paix avec moi-même et les autres.
7) Je suis aussi une ancienne libertine, mais cette facette de moi, n'a plus vraiment cours. J'ai trop eu de richesse en étant soumise.
8) Je suis têtue comme une mule et ne démords pas de ce en quoi je crois même si ce n'est pas forcément le meilleur.
9) Pour moi la soumission est un équilibre à ma vie normale et je ne cherche pas le grand amour, juste le respect et la confiance.
10) Par l'écrit d'un blog, j'ai réussi à m'accepter et à vivre sereinement.
11) Je déteste le mensonge, l'hypocrisie et les grands détenteurs de la vérité
12) Ma famille proche et quelques amis savent ce que je suis.
13) Je ne cherche pas à revendiquer mon état d'esprit et je respecte tjrs l'autre et ses propres idées.
14) J'ai atteint un âge où je pense être assez sage et ayant la réflexion adéquate à la situation qui se présente
15) Ouf dur dur de dire ce que je suis....lol
16) Je suis une écorchée vive d'un passé incestueux digérer et qui ne me pourri plus. J'en parle sans honte et sans culpabilité.
17) Je sais que mon mari va lire cet article, alors je le remercie sincèrement pour tout l'amour dont il m'entoure et cet acceptation qu'il a de me laisser entre les mains d'autres personnes
18) Je pense que la communication et l'échange est un principal ingrédient dans toute relation que cela soit de couple, d'amis ou bdsm
19) J'ai été maso et je le suis tjrs, mais privilégie maintenant les plaisirs de l'esprit
20) Le masochisme était pour moi, une forme d'expier une culpabilité et j'en faisais une auto destruction.
21) Je remercie mon 1er maître pour m'avoir fait me découvrir, m'apprendre à me contrôler et de m'avoir protéger contre moi-même
22) J'ai peu d'interdits et les limites à mes yeux sont faîtes pour être dépassées. Bien entendu dans une relation dite bien posée.
23) Je ne joue pas à la soumise, mais vis et pense en soumission.
24) Dans la vie de tous les jours, j'ai tendance à être soumise par mes actes, mais je ne me laisse pas marcher sur les pieds.
25) Je reconnais vite les fantasmeurs et les "baiseurs" faisant leur emplette comme au supermarché
26) Je peux dire que j'ai un noyau d'amis dans le bdsm et que ce ne sont pas juste des amis virtuels, même si nous ne nous voyions pas souvent
27) L'amitié n'est pas à mes yeux un grand agenda rempli de pseudos
28) Je travaille et oui comme beaucoup rire et j'aime mon travail.
29) Ah une chose est sure, ce n'est pas facile de se dévoiler.
30) Enfin, sachez tous que nous sommes maître de notre destin dans le sens ou nous-même prenons les décisions et quelque soit les conséquences cela sera votre choix.
Bonne continuation à tous quelque soit la route empruntée
Défi réussi, mission remplie !
RAPPEL DES REGLES DU JEU :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Yuri »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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1) toute "neuve" ou presque, l'univers bdsm est en moi de longue date et Le lien de Vanessa Duriès a été un livre de chevet (ou presque) quand j'avais 22 ans2) Mon vrai livre de chevet était Le Petit Prince 3) J'adore la poésie, notamment la poésie érotique voire pornographique4) L'écrit peut être un véritable outil d'érotisme et de soumission, au même titre que des bas, des sex toys ou une corde.5) Le cerveau est une zone érogène majeure chez moi (ce qui fait de moi une future soumise avec des prédispositions, non ?)6) Je suis très sensuelle et dans la vie quotidienne comme dans ma vie sexuelle, j'utilise mes 5 sens, gouvernés bien sûr par le cerveau (cf ci-dessus)7) je respecte le calendrier des saisons et si j'adore les fraises (mais pas l'arôme de synthèse, n'est ce pas Maîtresse Maestria ?), j'aime attendre leur pleine maturité : la frustration fait grandir le désir et le plaisir...8) je suis gourmande, et surtout gourmet, je suis moi aussi BBW ;-) 9) je cuisine très bien (clin d'oeil à Monsieur) et ceci explique cela...10) et pourtant j'ai été entraîneur sportif dans mon jeune temps...11) qui dit gastronomie, dit vin. J'aime le déguster, le siroter, l'accorder aux mets.12) je ne porte pas de bijou13) j'aime me costumer 14) Je préfère une peau "nue" à un mauvais parfum15) J'aime la forêt, ses parfums d'humus et de résine 16) parfois j'embrasse les arbres17) je trie mes déchets depuis l'âge de 14 ans18) j'adore les comédies musicales des années 40/50 et le tap dance (que je ne pratique pas hélas)19) Je suis fan de Game of thrones20) Je hais les grains de sable qui restent collés à la peau mais je me soigne21) Je préfère l'Atlantique à la Méditerrannée22) Il m'arrive de sucer des cailloux (pour mieux goûter le terroir d'un vin)23) Je hais le Mistral24) Mais j'adore la douceur chaude du soleil25) je suis bordélique26) je suis blogueuse, activité chronophage28) j'aime glaner dans les champs et me rouler dans l'herbe29) L'un de mes auteurs favoris est Colette, et je l'admire également en tant que femme30) Dans la vraie vie, je suis une femme déterminée, sûre d'elle, qui n'a pas froid aux yeux, assumée et libérée. Ferai-je une soumise digne de ce nom ?Défi réussi, mission remplie !RAPPEL DES REGLES DU JEU : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Maestria », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Il avait mis plusieurs années à découvrir son don. Un don ou une mutation, en tous les cas quelque chose qui allait changer la vie sur terre.
Cela avait commencé par la sensation de voir au-delà de sa vision. Des fourmillements qui se rajoutaient à l’image vue. Un jour il s’était aperçu qu’il pouvait agir sur ces fourmillements. Une motte de beurre transformé en liquide. A partir de ce jour, il avait commencé à s’enfermer souvent pour faire des expériences. Et il avait approfondi son don en plusieurs autres années en ne faisant que cela, en oubliant de vivre.
Il voyait les cordes des particules et pouvait les faire vibrer. Et ces vibrations avaient la faculté de transformer la matière et le temps. Il pouvait transformer la matière. Le liquide en solide ou gaz, le solide en liquide ou gaz et le gaz en solide ou liquide. Ou une matière en une autre, comme le plomb en or. De quoi devenir riche, mais en perdant l’envie.
Il pouvait créer des courants électriques plus ou moins puissants, en tout endroit.
Il aussi pouvait créer une bulle temporelle, à distance ou autour de lui, un endroit ou le temps se ralentissait ou même s’inversait. Puis quand la bulle se rétrécissait le temps de l’endroit revenait doucement au même tempo que tout ce qui l’entourait.
Il avait finalement développer une sorte de force ultime. En même temps que cette force, cette puissance, cette capacité, une autre symétrique grandissait en lui. En même temps que cette force ultime, symétriquement venait en lui l’impossibilité de l’utiliser pour faire le mal.
De la même manière que si Dieu peut nous tromper, il ne peut pas le vouloir, sa force pouvait tuer mais lui ne pouvait pas le vouloir.
Un jour il s’était senti pleinement prêt. Prêt à aller affronter le monde. Et il était sorti de son enfermement pour aller le découvrir.
Sa première découverte fut sa moitié, celle qui lui permettait d’assouvir ses envies de domination en étant d’une soumission absolue.
Il n’avait pas eu à aller loin pour la trouver mais c’était un hasard quasi inouï. Invité au mariage d’une lointaine cousine, lui qui semblait s’être retiré de la vie du monde et n’était plus invité nulle part, il y était allé. Et il l’avait découverte au milieu de deux cent personnes la voyant comme si elle était seule.
Habillée d’une robe rouge s’arrêtant à mi-cuisse avec des chaussures plates. Une plastique de miss France et un visage plus joli encore encadré de cheveux blonds et lisses. Il s’était approché petit à petit, pour arriver à côté d’elle. Elle avait des boucles d’oreilles étranges, des losanges de points noirs qui se prolongeaient jusqu’à une flèche de cinq pierres jaunes taillées, la plus grosse à la pointe de la flèche. Elle l’avait regardé, leurs yeux au même niveau s’étaient alors plongés les uns dans les autres, comme accrochés, pendant plusieurs secondes. Elle avait presque exactement sa taille et les yeux d’une couleur indéfinissable, claire mais ni bleue ni verte ni marron, une sorte de mélange des trois couleurs.
Il avait alors en quelque sorte triché. Il avait utilisé son don pour titiller son sexe, le chauffer à distance. A travers sa robe, sans l’approcher, sans la toucher, il lui a fait ressentir du plaisir par une masturbation qu’elle ne pouvait comprendre. Elle avait aimé cela et s’en était étonnée en même temps. Ressentir du plaisir sexuel en voyant un homme pour la première fois cela ne lui était jamais arrivé auparavant.
Ils avaient fini la soirée dans le même lit, chez lui. Elle avait immédiatement dévoilé sa nature masochiste. Elle s’était déshabillée sans un mot et elle avait demandé à être attachée. Il l’avait ligoté au lit, sur le ventre. Elle avait réclamé une fessée et un bâillon pour étouffer ses cris. Le dominant avait obéi à la soumise, quel paradoxe. Et il avait asséné une fessée magistrale, lui rougissant les fesses pendant une bonne demi-heure. Son bras n’était pas retenu. Avec elle il pouvait avoir un comportement violent, sans la retenue de la symétrie de la force. Elle était sa moitié, il était la sienne.
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Voici un article fort bien écrit que je me permets de publier, avec l'aimable autorisation de son auteur, Claude LEGENDRE
Délivrez moi de moi...
Quel est donc la motivation première de la soumise? Celle qui la pousse à se faire dominer dans ses relations sexuelles, jusqu'à parfois ses limites les plus extrêmes ?
Sans doute parce qu'en ‘choisissant’ de perdre son libre arbitre, elle se libère ainsi de la peur primitive de l’humain envers l’écrasante responsabilité que constituent les innombrables décisions à prendre tout au long de sa vie. Contrairement aux idées reçues les femmes soumises sont presque toujours des femmes de caractère dans la vie. C'est souvent même une bonne manière de les repérer dans la vie de tous les jours !
Cette soumission consentie est pour elle un moyen de décompresser, de lâcher prise par rapport à un quotidien qu’elle aime ordinairement contrôler. Une façon d’inverser la tendance, de se laisser faire, de ne plus être en état de pouvoir réellement maîtriser cette nouvelle situation. Une sorte d’exutoire, d’oubli de soi...Sous contrainte maximale, la voici soudainement libérée de toute obligation d’action, de toutes responsabilités... Et puisqu'on décide de tout pour elle, elle n’a rien à délibérer, rien à trancher et réintègre ainsi le paradis perdu de la petite enfance ! Et un choix de transcendance spirituelle par l’oblitération du Soi qui ne passe plus par la prière enfantine, tombée en désuétude, mais par le masochisme et l’objectification sexuelle.
Bien sûr dans sa jeunesse notre soumise s'est trouvée confrontée à ces fantasmes qui lui faisaient peur et honte, en contraste total avec son éducation et plus tard, avec d'éventuelles idées féministes. Combien ai-je vu ainsi de féministes s'étonner de découvrir ces penchants si soigneusement cachés au plus profond d'elles-mêmes ? Mais après avoir franchi le pas, leur regard change et elles reconnaissent que dans un cadre limite, établi à deux, elles s’épanouissent pleinement. Même si dans la vie au quotidien elles sont toujours loin d'être soumises !
Force leur est de reconnaître que dans cette nouvelle condition elles se sentent respectées, admirées, même quand elles se font cracher au visage. « Parce que c’est plus profond que ça, parce que je le veux », « Je me sens respectée parce que je me respecte, parce que j’en ai envie et que l’autre est à mon écoute. »
Sans doute est-ce aussi parce que les relations avec leurs différents partenaires sont très profondes et nécessitent de part et d'autre, une implication totale de soi, contrairement aux relations classiques qui se succèdent, sans trop laisser d'empreintes sur les âmes et les corps... La confiance étant une chose essentielle dans cette relation, il faut accepter de se dévoiler totalement physiquement et mentalement, et accepter aussi tous les aspects de l’autre. Plus de tabous, les limites sont verbalisées, parfois repoussées, mais jamais dépassées sauf si les deux protagonistes l'ont souhaité. La confiance doit être totale mais suppose de se connaître parfaitement l'un, l’autre. Le dominant seul sait qu'un « non » peut vouloir dire « oui », qu'une muette acceptation peut être un signal pour aller plus loin et qu'un regard échangé peut signifier l'implicite acceptation de franchir une nouvelle étape, bien au-delà des limites convenues. Délicat : surtout pas se tromper et sentir parfaitement les besoins de l’autre...
Quant à la découverte de la douleur… La soumise découvre qu'elle est relative et se teinte vite de plaisir. Oui une claque fait mal, tout comme se faire étrangler, tirer les cheveux ou se faire pénétrer « violemment ». Mais c’est une douleur recherchée, consentie, différente des autres, presque apaisante lorsqu’elle arrive ! Et quel délicieux suspense avant que la claque n’arrive ! Et quels précieux instants que ceux qui voient lorsque l'esprit s'égarer indéfiniment dans l'infini du « subspace », signant ainsi, pour au moins un instant, pour un instant seulement,le moment si rare et si désiré du total oubli du soi !
Claude Legendre
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Mon (humble) avis sur le sujet…Un Maître est un être qui maîtrise ses sens, le plus pragmatiquement, et qui a pour but la révélation ultime de sa soumise. C’est à la fois son plaisir et son devoir, il guide, oriente, catalyse les possibilités cachées de sa soumise, il la révèle à elle-même, il est le jardiner d’une belle rose en devenir.Une soumise est une femme qui attend d’être guidée vers un plein épanouissement d’elle-même, dans une voie un peu spéciale mais qui lui convient. Elle délègue sa volonté à celui en qui elle a pleinement confiance. Elle se doit à une obéissance envers son Maître, à condition que celui-ci respecte sa part du contrat et, bien sûr, sa soumise. Elle est le jardin en friche, jardin qui sera, avec les bons soins du Maître, un hâvre pour les sens.Pour ce faire, il y a différentes voies, je dirais même, autant de voies que de soumises, car un bon Maître s’adapte, il ne conditionne pas, il magnifie doucement et sûrement ce qui est en germe chez sa soumise. Il n’est pas un petit chef tyrannique, elle n’est pas une bonne pâte flasque. C’est parce qu’elle le veut bien qu’il le veut pour elle.Nous avons donc, de part et d’autre, affaire à des personnes responsables dont le niveau d’échange, de don, d’ouverture et de maîtrise les place au dessus du niveau commun. Ce n’est pas toujours facile, mais, tous les deux, nous jouons à y parvenir…C’est mon point de vue… Et le vôtre ?
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À tous ceux, croyants ou suiveurs, qui croient encore que noël est l'anniversaire de Jésus, et le fêtent dans ce sens, il serait peut-être temps de connaître enfin la vérité.
1) Entre le 21 et le 25 décembre, le solstice d'hiver est la période où les jours recommencent à s'allonger, il était déjà célébré par tous les peuples envahis et convertis par les catholiques romains, car c'est le recommencement, le plus beau prétexte de fête de l'année.
2) Pour la plupart, c'était l'anniversaire du dieu Mithra. C'était aussi en Egypte l'anniversaire du fils d'Isis (fixé là encore en raison du solstice d'hiver). Et Yule est le mot caldéen pour l'enfant, le 25 décembre c'était une grande fête païenne, le jour de l'enfant, pour les anciens Saxons et Germains.
3) En Rome antique pré-chrétienne, il y avait une fête des Saturnales du 17 au 24 décembre, où les gens se livraient à tous les plaisirs (hem) et s'échangeaient des cadeaux. Donc avant de se convertir, les romains eux-mêmes célébraient le solstice d'hiver, le retour du cycle bénéfique du Soleil, dans un sens totalement païen.
4) Plus tard, sous prétexte de briser la foi en Mithra, l'église catholique romaine rusée avaient adopté le festival hivernal païen comme la prétendue date de naissance de Jésus, et y avaient joint quelques autres friandises païennes afin de les rendre acceptables. En plus, cette fête coïncidait avec leur ancien festival idolâtre des Saturnales. Peu à peu c'est la version "anniversaire de Jésus" qui a pris la place des anciennes traditions.
Le mot moderne pour ce genre de mélange de pratiques païennes et l’adoration du "vrai Dieu" est "syncrétisme". Quiconque faisait une telle chose dans l’ancien Israël était mis à mort (Lévitique 18:21, 29).
5) Les bons chrétiens l'ignorent en majorité, mais toutes les églises savent très bien que le 25 décembre ne peut pas être l'anniversaire de Jésus, néanmoins elles restent silencieuses. Luc (2:8 & 11) précise que les bergers étaient dehors avec leurs troupeaux de moutons au moment de la naissance de Jésus, ce qui est impossible à cette époque, et de surcroît la nuit.
6) C'est seulement depuis 354 ap. J-C que noël est célébré le 25 décembre (évidemment, les disciples et apôtres de Jésus n'ont jamais célébré noël ! ) et officialisée en 529 par Justinien. Et noël n'est ni établi par Dieu ni basé sur la Bible. Le Christ a dit : “C’est en vain qu’ils m’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes“ (Matthieu 15:9). Noël n’a pas été ordonné par Dieu. C’est une tradition d’hommes. Et le Christ poursuit : “Vous anéantissez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition“ (Marc 7:9).
Chaque année, dans le monde entier, des centaines de millions de personnes font exactement cela
7) Même le sapin de noël tire son origine du rituel païen du culte des arbres, et n'a donc rien à voir au départ avec la fête catholique.
8) L'image du père noël, du costume rouge et d'une barbe blanche a été créée en 1931 pour la pub de Coca Cola, illustrée par l'artiste Haddon Sundblom.
9) Selon "l’Encyclopedia of World History" de Langer (article Santa), le nom de ce personnage était un surnom commun de Nimrod (Baal) en Asie mineure. C’était aussi le même dieu du feu qui descendait dans les cheminées chez les anciens païens et le même dieu du feu pour qui des enfants étaient brûlés et mangés lors des sacrifices humains pratiqués par ceux qui jadis avaient été le peuple de Dieu.
Aujourd’hui le nom de Santa Claus vient de Saint Nicolas. En 1809, Washington Irving fut responsable d’avoir transformé ce sévère et vieil évêque original en un nouveau et "joyeux St-Nick" dans son Knickerbocker History of New York (la plupart des traditions de Noël de l’Amérique sont encore plus récentes que cela). L’expression anglaise "Old Nick", que l’on retrouve d’ailleurs dans le dictionnaire, est depuis longtemps reconnue comme un surnom du diable.
10) Les rites germaniques et celtiques de la bûche (de Noël) provenaient du temps de l’entrée en Gaule, en Bretagne et en Europe centrale des tribus teutonnes. La nourriture, la fraternisation, la bûche de Noël et autres gâteaux de la période, la verdure et les sapins, les cadeaux et les souhaits soulignaient tous différents aspects de cette période de réjouissances. Les feux et les lumières, les symboles de chaleur et de longue vie, ont toujours été associés aux festivals d’hiver
Noël n'a donc rien à voir avec Jésus Christ, hormis la manipulation des envahisseurs romains catholiques. Tout serait donc païen ou/et mensonger dans cette fête ; on ment même aux enfants pour qu'ils croient au Père noël, et rappelons que tout mensonge est censée être l'œuvre du diable (Jean 8:44).
Cette coutume de noël est donc une supercherie sur toute la ligne, qui avec le temps devient une tradition que tout le monde suit aveuglément, encouragée par le commerce et le consumérisme.
En conclusion je citerai Herbert W. Armstrong :
« Noël est devenue une saison commerciale. Cette fête est financée, exploitée, maintenue en vogue par un déploiement inouï de campagnes publicitaires les plus intenses de l’année… où vous voyez un Père Noël de mascarade dans plusieurs magasins. Des flots de réclames nous tiennent en haleine et nous trompent sur le "merveilleux esprit de Noël". La presse, qui vend les annonces, imprime des éditoriaux flatteurs, en langage fleuri, exaltant la saison païenne, et son "esprit". Un public crédule en est tellement inoculé, que beaucoup s’offensent quand on leur dit la vérité ! Ainsi se crée, année après année, "l’esprit de Noël", non point pour honorer le Christ mais pour vendre des marchandises. Chaque année cette débauche commerciale effrénée engloutit des sommes qui se chiffrent par milliards. Cela fait partie du système économique de Babylone ! »
Bref faites comme moi : boycottez noël et célébrez le solstice d'hiver, qui est à mon sens la chose la plus importante et naturelle à célébrer dans l'année. Rassemblez votre famille autour d'un bon repas quand ça vous chante et non pas quand le calendrier des traditions détournées vous l'ordonnent, relayé par la télé et le système.
Faites des cadeaux souvent et quand ça vous chante à vos proches, et efforcez-vous de les faire vous-mêmes, au lieu de consommer ce qui est prévu pour cela au dépens de votre créativité et de vos initiatives. Ne voyez pas tout cela comme une corvée dont il faut s'acquitter à tout prix pour faire absolument comme tout le monde comme si c'était un devoir. Résistez aux influences du système, pour être vous-mêmes !
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Telle une renaissance, il aura fallu attendre plusieurs mois avant de planifier une seconde rencontre dans la Maison du Fessarium, car certains évènements n'ont pas rendu possible ce nouveau rendez-vous. Je dois dire que j’ai également attendu de voir comment évoluait la relation qui a débutait entre Cerisa et les habitants de la Maison du Fessarium. J’ai pris cette distance par respect pour eux et afin de ne pas m’immiscer dans ce rapprochement qui se déroulait sous mes yeux. Cerisa faisant le choix de tenir le rôle de « soumise libre », la place de « soumise avec collier » restait vacante, et je la convoitais avec envie. Je n’ai jamais osé prendre contact directement avec cette soumise, mais un jour, pourquoi pas nous rencontrer pour échanger sur nos expériences respectives ?
Ces derniers jours, ces dernières semaines, Monsieur Sitaël, sa compagne/soumise énigma et moi, avons beaucoup échangé avant de nous mettre d'accord sur une date. Nous avons évoqué des tas de sujets tant la constitution d'un trinôme est une entreprise délicate...mais aussi une chance insolente ! Nous avons du lever les derniers doutes et répondre à toutes les interrogations afin que chaque protagoniste trouve naturellement la place qui est la sienne... Il y a quelques temps j’ai eu l’honneur de leur adresser en bonne et due forme ma demande d'appartenance, sous l'impulsion de Monsieur, afin d'exposer à mes hôtes les raisons qui me poussent à les choisir pour poursuivre mon chemin de soumise. C’est une façon également de me mettre à nu et de me dévoiler en toute transparence, permettant à notre Maître de toujours mieux pour me cerner pour adapter son enseignement. Voici quelques extraits du texte expédié à leur attention :
"Cher Monsieur Sitaël, Chère Énigma,
Il est important pour moi de respecter les directives de Monsieur Sitaël en formalisant par écrit les motivations qui me poussent à vouloir me soumettre dans les conditions que nous avions commencé à définir. En me pliant à cette volonté, je souhaite vous démontrer ma détermination et la place que je donne au dominant : celle d’un véritable guide.
I – Pourquoi me soumettre ?
Voilà une question essentielle, que je me suis déjà posé régulièrement, notamment sur les conseils de Monsieur Sitaël, fut un temps. J’ai appris tous les bienfaits d’une introspection poussée, permettant de trouver les réponses à nos propres interrogations.
Le fruit de ces réflexions m’a amené à comprendre que me soumettre est un besoin viscéral encré dans ma personnalité, et qui a émergé plus particulièrement ces dernières années. Il me permet d’assouvir mes fantasmes, mais aussi de faire écho à ma libido et cela est devenu un besoin au fil du temps. Je me sens plutôt à l’aise dans mon costume de soumise, un rôle qui n’en est pas vraiment un car c’est comme ça que je suis dans la vie de tous les jours : docile, mais pas dénouée de personnalité et de libre-arbitre pour autant.
Même s’il s’agit de « jeux », je prends les choses très à cœur, avec l’envie de bien faire, sachant faire preuve de patience, d’humilité (et d’humidité…), de gratitude et de rigueur.
Corps et âme, il m’est plaisant de me sentir appartenir pour exister. Paradoxalement cela me procure une liberté d’esprit. Je n’ai plus à décider, plus à être maître de mes actes et de mes choix, tout en conservant mon objectivité. Il est important dans ma vie de soumise de me sentir guidée et épaulée par une force.
J’ai besoin de donner, de me sentir utile pour accéder à une forme d’équilibre de vie, de liberté et d’expression de ma féminité.
Me soumettre, c’est remettre mon plaisir entre les mains d’autrui. C’est accorder une confiance en l’autre, permettant un lâcher-prise, condition sine qua none à l’expression de mes désirs les plus enfouis et les plus inavouables. C’est oser découvrir de nouvelles pratiques en toute sérénité, certaine que les choix de notre guide se feront pour notre bien. C’est avoir constamment tous mes sens en éveil pour travailler au mieux mon asservissement et tisser des liens très forts avec mon propriétaire. C’est admettre de repousser mes limites, dans un véritable dépassement de soi, sans pour autant se placer dans une escalade au « toujours plus », même si j’apprécie évidemment les sensations fortes.
De nature joueuse et curieuse, j’aime particulièrement le côté « artiste » de Monsieur Sitaël, car il sait mettre à profit sa créativité au service de notre histoire.
Être soumise, c’est être fière de porter les valeurs que l’on m’inculque pour en faire de véritables principes de vie, transposables dans mon quotidien : la droiture, la franchise, l’honnêteté et la constance…pour ne citer que ces quelques exemples.
Me soumettre c’est une façon de m’en remettre aux autres, de trouver appui, aide, sécurité et bienveillance pour me laisser façonner vers l’image que l’on souhaite faire de moi.
Me soumettre me permet d’accéder à un espace de liberté, sans peurs et sans tabous, dans lequel je suis libre d’exprimer tout ma chiennitude et ma sensualité sans me sentir jugée.
Je pense que le trinôme que vous me proposez est un cadre idéal pour évoluer et répondre à l’ensemble de vos et de mes attentes, bien que je ne connaisse peut-être pas encore tout de vos desseins.
II – Pourquoi me soumettre dans le cadre de votre couple ?
Tout d’abord parce que votre couple m’attire réellement et je peux l’affirmer maintenant que l’on se connait tous un peu plus intimement. Voilà seulement que je commence à pouvoir ouvrir les yeux sur les perspectives qui s’ouvrent à nous, sans pouvoir encore en mesurer toute la portée.
Avant tout, reformer ce trinôme est l’occasion pour chacun d’entre nous de réaliser ses fantasmes. L’occasion pour chacun de démultiplier les possibilités d’accès au plaisir tout en conservant son caractère unique aux yeux des autres intervenants.
Je dois aussi vous dire que je suis pleinement consciente du caractère exceptionnel de la situation. M’ouvrir à nouveau les portes de votre couple et de votre Maison (j’entends par là à la fois de votre toit et de la Maison du Fessarium) est un grand honneur et un privilège rare. À ce titre, je saurais démontrer toutes les qualités d’une soumise digne de son rang, dans la retenue et la discrétion, sans jamais me faire intrusive.
J’admire le couple que vous formez, et cela porte tant sur votre enveloppe charnelle, que votre intelligence respective. Les textes que vous m’avez adressés en sont les témoins. Je sens en face de moi un couple solide ayant à peu de choses près le même mode de vie que le mien.
Je pense que le dialogue et la simplicité sont la pierre angulaire d’une relation saine et épanouissante.
Ne plus vivre ma soumission seule dans mon coin est une véritable chance. C’est important d’avoir une confidente à qui je sais que je pourrais parler de ma soumission en toute transparence. J’en ferais évidement de même avec Monsieur Sitaël.
C’est très agréable pour moi d’avoir l’assurance que tous vos actes et décisions, donnés d’une seule voix, à travers celle de Monsieur Sitaël, émanent d’une concertation.
Voici donc ma demande officielle d’appartenance que je tenais à vous adresser. J’espère sincèrement que vous pourrez y puiser les réponses à vos interrogations et que vous y donnerez une suite favorable.
Bien à vous,
swann"
L'équation était posée. J'espérais plus que tout que ma demande soit acceptée et je n’avais qu’une envie : retrouver à nouveau ma condition de soumise privilégiée, sous l’aile protectrice de mon Maître, accompagné de sa moitié. C’est une position qui me séduit depuis un petit moment déjà. Nous avons tous pris le soin d’établir des « règles » simples permettant à chacun de ne pas outrepasser sa fonction et de rester à sa place. Les fantasmes et limites ont bien entendu été évoqués et sondés par notre Guide.
En attendant de nous rencontrer, Monsieur Sitaël a formulé une demande à mon attention : que je trouve une cravache à lui remettre entre les mains la prochaine fois que nous nous verrions, si ma demande est acceptée. Je tenais à offrir un bel objet raffiné et unique, à l'image de mon Maître et de sa compagne, qui symboliserait le travail de mon éducation de soumise. J'ai pris plaisir à dénicher cet outil artisanal que j'ai fait livrer directement chez Monsieur Sitaël...il me tardait de le voir autant que j'avais envie de les revoir ! J’espérais que ce présent répondrait à leurs attentes et les honorerait.
En ce jour de décembre, je me suis donc présentée à la Maison du Fessarium, selon les conditions définies avec mes charmants hôtes. J'étais évidemment un peu fébrile car impressionnée par la situation et son caractère exceptionnel, mais je me sentais beaucoup plus en confiance que lors de notre première rencontre lors de laquelle la peur me tiraillait les entrailles. L’excitation et le désir montaient déjà en moi, car je savais que j’allais me retrouver en présence de deux êtres qui m’attirent énormément. J'ai été accueilli par le large sourire d'énigma, que j'ai retrouvé telle que l'avais laissé lors de notre dernière entrevue. Elle était particulièrement élégante dans sa longue robe noire et décolletée, très féminine, sa fine silhouette mise en valeur. De jolies perles grises étaient accrochées autour de son cou qui lui donnaient un air de bourgeoise raffinée et coquine. Mais énigma m'évoque avant tout une gracieuse et belle danseuse étoile avec son port de tête incroyable et sa délicatesse, dans ses paroles, dans chacun de ses gestes et sa manière de se mouvoir. C'est une épouse et une soumise très avenante qui m'a tout de suite mise à l'aise grâce à ses nombreuses attentions. Elle m'a invité à la suivre et nous avons pu, en guise d'introduction, rester un moment entre femmes pour un temps d'échange libre. Il a fallu que je reste concentrée car la fente sur le côté de sa robe laissait par moment entrevoir le haut de ses bas et quelques idées lubriques me venaient déjà à l'esprit... Nous avons eu tout le loisir de reparler du cadre que nous nous étions fixés, d'aborder une dernière fois les sujets qui pourraient se poser à nous comme des barrières. Plus le temps passait et plus je me sentais à l'aise. Ce fut un moment de détente très agréable. C'est une idée de Monsieur Sitaël que j'ai trouvé remarquable. Quel sacrifie ! Quel dominant laisserait deux créatures seules sous son toit ?
Voici un extrait de ce qu'il a écrit à ce sujet dans son message de convocation reçu la veille :
"Pour votre information, j’ai pris parti ce soir, après une réflexion consciencieuse, de modifier partiellement « le programme » que j’avais initialement établi, ainsi que mon rôle dans ce programme, motivé par la volonté d’apaiser certaines craintes et d’assurer à chacune de vous un cadre rassurant et serein, souhaitant que ma démarche sera comprise et surtout, qu’elle ne sera pas vaine.
Telle une impulsion pour vous donner l’élan qui guidera vos pas, cette démarche n’a qu’un seul but, celui de faciliter votre rapprochement et vous permettre de vous apprivoiser mutuellement. Nul Dom en effet ne peut prétendre créer ou forcer une alchimie entre deux âmes. Il vous appartient donc de vérifier votre propre compatibilité relationnelle.
Tout en vous disant ceci, je ne peux m’empêcher de me remémorer la complicité naissante dont j’ai été le témoin et l’instigateur en ces mêmes lieux.
La vocation d’un Dom est sans doute parfois de savoir s’effacer pour permettre à la finalité dont il a la responsabilité de s’accomplir dans les meilleures conditions.
La relation que nous tentons de construire ensemble n’est pas simple à mettre en œuvre, quand bien même chacun de nous y aspire selon toute vraisemblance.
La réussite de cette équation relationnelle requière avant toute chose l’expression d’une volonté personnelle de s’y inscrire.
En vous souhaitant une très belle nuit, je me réjouis à l’avance de vous savoir sous le même toit demain.
Je vous embrasse et compte sur vous pour vous montrer digne de vous-même, avant de vous montrer digne du Maître, que je ne suis pas encore.
Sitaël"
Une fois ce temps de dialogue passé, énigma et moi avons rejoint avec hâte et envie Monsieur Sitaël... Au passage je remarquais qu'il avait mis à profit le temps libre que nous lui avions laissé pour transformer leur maison grâce à quelques astucieuses installations perverses, propices à créer une ambiance de débauche… et j’en avais déjà l’eau à la bouche. Cela lui ressemble : tout est méticuleusement préparé et il ne laisse jamais le hasard lui dicter sa conduite. C’est un trait de sa personnalité que j’admire particulièrement…et ce n’est pas le seul.
Me voilà donc à côté de ma sœur de chaines, devant celui qui nous fait vibrer au plus profond de notre chair...ce moment rare et précieux que j'avais attendu depuis si longtemps. Je suis ravie de le revoir enfin car je m'étais même demandé si j'allais finalement le rencontrer aujourd'hui ! Il est particulièrement élégant lui aussi, tout de noir et de gris anthracite vêtu. Ses yeux clairs nous scrutant toutes les deux. Il est toujours aussi beau...sa barbe de quelques jours renforçant sa virilité. Il est vraiment bien accordé avec énigma et à eux deux ils forment un couple harmonieux. Son ton est calme, rassurant, posé, mais ferme. Son niveau d'exigence est toujours aussi élevé... Cependant nous avons pu compter sur lui pour glisser quelques traits d'humour pour détendre l'atmosphère aux moments les plus opportuns...
Et puis tout à coup tout est devenu un peu plus grave et solennel. Monsieur nous fait comprendre que le temps de mon « sacrement » était venu. Agenouillée devant Monsieur, perdue dans la profondeur de son regard perçant...cherchant du soutien dans celui d'énigma...il était temps que Monsieur se prononce au sujet de ma demande d'appartenance. Je lui tendais nerveusement la cravache que j'avais choisie spécialement pour lui...et il l'a saisi en signe d'acceptation, me rappelant au passage combien ce geste m’engageait et combien il l’engageait lui-même. Quel ne fut pas mon bonheur ! Une certaine fierté m’envahissait et je comprenais à cet instant précis, plus que jamais, tout ce que cet acte impliquait autant dans mes devoirs que dans mes obligations envers ceux qui m’offraient à nouveau leur confiance.
Grâce à cette véritable cérémonie d’intromission, je passais concrètement du simple statut d’invitée à celui de soumise officielle sous la coupe de Monsieur Sitaël. J’ai été priée de baiser les chevilles d’énigma et le dessus de la main de Monsieur, en guise de respect…ce que je me suis appliquée à faire le plus méticuleusement du monde. En retour ils m’ont chacun gratifié d’un baiser sur le front. Ces gestes en disent longs sur la place de chacun et la considération que nous nous portons mutuellement. Ce fut un moment de grâce, de plénitude…comme une évidence, accompagnée d’un sentiment d’invincibilité, comme si notre trinôme était indestructible. Je suis venue ici librement, pour me sentir soumise et ressentir à nouveau l’appartenance de mon propriétaire…et j’étais en train de m’en imprégner totalement, pour la plus grande satisfaction de chacun.
Me voici donc à nouveau véritable soumise...sa soumise, au sein de la Maison du Fessarium...et à présent déculottée puisque ma lingerie de dentelle noire s'est retrouvée entre les mains de ma complice énigma...une façon de lui montrer que je suis toujours ouverte et disponible pour lui (et par extension pour elle). Je suis donc entrée dans ma période probatoire et c'est à moi de faire mes preuves de manière assidue pour leur démontrer que j'ai toute ma place à leurs côtés.
Monsieur a demandé à sa compagne de vérifier mon état d'humidité, du bout de ses doigts, et à partir de ce moment tout n'a été que volupté et érotisme exacerbé. Je m'engouffrais dans l'inconnu avec la peur d'être maladroite, mais le désir ardant, me laissant volontiers guider par la voix de mon Maître vers de nouvelles saveurs. Doucement les rapprochements physiques se sont fait naturellement, d'une manière subtile, par effleurements pour débuter, au son d'une musique envoutante. Chacun était à l'écoute des autres...des souffles, des respirations qui en disaient longs...de la chair de poule qui nous faisait frissonner.
J'ai particulièrement aimé le fait de ne pas avoir les yeux bandés, contrairement à notre première rencontre où j'en ressentais le besoin. Cette fois j'étais complètement désinhibée et décomplexée, comme si je m’élevais au-delà de mon enveloppe corporelle. J'ai ressenti la moindre de leur vibration, chaque onde de plaisir, à fleur de peau, comme si chaque contact était empli d'une puissance mystérieuse. Quel effet incroyable et quelles sensations indescriptibles de sentir sur mon corps ces quatre mains s'occuper de moi... Je me suis liquéfiée et laissée submergée par le plaisir... parfois avec un sentiment de gêne quand Monsieur m'a caressé devant énigma...gêne qui n'a pas lieu d'être étant donné que toutes leurs décisions sont prises de manière concertée et que chacun est évidement consentant. Je pense qu'il me faudra encore un peu de temps avant d'avoir l'esprit totalement libéré à ce sujet.
Je me suis mise à la totale disposition, de corps et d’esprit, de Monsieur et de son couple, pour leur plaisir et le mien. J’avais à cœur d’obéir à ses injonctions, de me laisser guider pour découvrir de nouvelles sensations fortes. J’ai toujours pris garde de ne pas prendre d’initiative malheureuse et de toujours m’en remettre à Monsieur. Je crois que l’écoute et l’attention sont les meilleurs moyens d’y parvenir. J’ai pris comme un cadeau tout ce qu’ils m’ont offert, fière de mon nouveau statut, mais toujours avec humilité.
Nous avons eu la chance de partager un moment rare et intense durant lequel toute la créativité de Monsieur a pu s'exprimer, en sachant nous étonner et nous surprendre de diverses manières (attitudes, paroles, accessoires...). Concrètement, cela s’est matérialisé par un simple élastique que Monsieur a fait glisser jusqu’en haut de ma cuisse (je crois qu’il aime détourner les objets usuels de leur fonction première !). Il s’en est saisi entre deux de ses doigts, à l’arrière de ma cuisse, pour faire claquer le caoutchouc sur ma peau…puis il a renouvelé son geste, mais cette fois-ci en se positionnant à l’intérieur de ma cuisse, ce qui a eu pour effet de me faire sursauter et serrer les dents car la morsure était encore plus incisive. Il s’agissait de me faire goûter à l’un des châtiments auquel j’aurais droit si jamais je désobéissais… Comptez sur moi pour qu’il n’ait jamais à renouveler ce supplice !
La cravache remise un peu plus tôt fut elle aussi inaugurée…tantôt pour nous effleurer, énigma et moi, tantôt pour me faire écarter les jambes, grâce à de petites tapes à l’intérieur de mes cuisses entrouvertes. Ma fente humide sentait l’air se déplacer entre mes jambes, comme une délicate caresse... Monsieur a ensuite entravé mes membres supérieurs et m’a présenté énigma offerte devant moi, allongée sur le dos sur la table…quel spectacle splendide de l’observer se caresser, en cherchant du regard notre Maître… Monsieur a pris délicatement mon visage dans ses mains pour me guider jusqu’à l’entrecuisse de sa compagne… Le bout de ma langue a visité délicatement ses petits replis rosés et doux avant de trouver la perle lisse qui la fit tressaillir… Je me laissais volontiers diriger par Monsieur, connaissant parfaitement les préférences de sa compagne, afin d’offrir le maximum de sensations à énigma. Je ne suis pas bisexuelle, mais plutôt dans une phase de découverte car je n’avais jamais eu de rapport aussi poussé avec une femme et je dois dire que j’ai particulièrement aimé cela, même si la bestialité et la masculinité m’attirent tout autant. C’est pour cette raison que la présence de Monsieur été indispensable et je ne me serais pas contenté d’un simple duo féminin qui ne m’aurais pas permis de ressentir pleinement mon statut de soumise.
Je me suis retrouvée plus d’une fois au bord du gouffre de ma jouissance…Mon dieu que c’était divin ! Notre Maître a fait preuve de beaucoup d'empathie, rendant les rapports charnels incroyablement sensuels et merveilleux. Parfois actrice de ma propre soumission, parfois simple voyeuse de ce majestueux couple en osmose, mais toujours de manière participative... j'ai pu endosser différents rôles tout aussi savoureux les uns que les autres, et je remercie Monsieur pour cela car diriger deux créatures de manière simultanée n’est pas chose aisée, surtout quand, comme lui, il y a une grande volonté de bien faire pour que chacun se sente bien.
Recueillir leurs jouissances respectives, telles des offrandes, fut un très grand honneur pour moi et une incroyable source de satisfaction. Je me suis sentie utile et bien utilisée telle la petite chienne docile que je suis. Vous comprendrez que je ne peux détailler ici chaque caresse, chaque parole, car cela nous appartient...mais je vous laisse imaginer toutes les délicieuses situations que nous avons pu expérimenter...
Le temps est passé très vite et il était déjà l'heure pour moi de m'en aller, à regret. Avant de les quitter, Monsieur m'a remis un objet hautement symbolique (le symbolisme tenant une part important dans l’univers que nous construisons) : j'ai eu le plaisir de sentir mon Maître attacher autour de mon cou, sous les yeux d'énigma, un magnifique collier de soumise qui ressemble plus à vrai dire à un bijou, ne laissant aucun doute sur la signification de cet objet de ce geste. J'aime beaucoup leur goût des belles choses que je partage. J'ai ressenti beaucoup d'émotions et une grande fierté à concrétiser mon appartenance de cette manière. Un petit anneau permet de relier une laisse au collier et j'avoue que je suis impatiente de sentir Monsieur et/ou énigma tirer dessus...
Je remercie à nouveau mon Maître, Monsieur Sitaël, et sa soumise énigma pour leur accueil chaleureux et pour avoir fait de cette nouvelle rencontre un moment magique qui laisse présager une belle progression à venir pour chacun.
Je suis donc allée au Fessarium, moi aussi, et j’y reste !
Vous faites de moi une femme et une soumise comblée.
swann
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Le soir était tombé. La nuit, promesse de plaisirs épicés, offrait déjà son tapis d’obscurité. Une première bougie sur une table basse en bois illumina soudainement la pièce. La lumière hypnotisait déjà par sa beauté et sa grâce naturelle. Une jumelle l’a rejoignit très vite bientôt suivie de trois autres. Une chaleur nouvelle se dégageait de ce pôle de lumière qui rompait les ténèbres envahissantes.
Se faisaient face deux personnes à la lueur des chandelles. Lui, debout, parfaitement immobile, ne portait rien mis à part une de ces prisons qui le privait d’exprimer son désir. Devant ce tapis lumineux, il attendait son bon vouloir. Elle, debout en face de lui, le regardait avec gourmandise, le détaillant, imaginant mille tourments. Se saisissant d’une longue corde qu’elle gardait doublée en la pliant en deux, elle entreprit de faire, au dessus de son poignet, un tour, puis deux et enfin trois avant enfin de nouer les deux morceaux d’un nœud savant. Le poignet se retrouvait ainsi soumis à la volonté de la corde et par là-même de l’attacheuse. Elle le plaça ainsi dans le dos et le remonta en s’aidant d’un enroulement autour de l’épaule. Lui ne pouvait rien voir de ce qu’elle faisait, mais sentait que la pression ferme de la corde l’immobilisait irrémédiablement sans nul doute. Retenant son souffle, il savait par avance que cela ne faisait que commencer.
Quelques minutes plus tard, l’autre poignet subit le même sort, d’une deuxième corde aussi longue. Les deux gardiennes de coton se rejoignirent alors dans un entrelacement sensuel autour de son buste à lui. Un ballet se dessinait, enserrant davantage encore son buste et ses bras. Fière de ce premier résultat accompli, elle ajouta pourtant une troisième corde à son œuvre qu’elle prit grand plaisir à passer entre ses cuisses, serrant fermement afin qu’il en ressente la morsure à chaque mouvement. Elle ne se départissait pas de son sourire espiègle, tout en restant concentrée sur sa tâche, tournant et retournant autour de lui. Ses mains n’étaient pas pressées et s’amusaient à frôler sa peau. Lui, ne pouvait s’empêcher de la dévorer des yeux en suivant sa progression, en ressentant les tours et détours si électrisants. Elle acheva enfin son œuvre en lui menottant les chevilles d’une nouvelle corde. S’écartant de lui un instant, elle l’admira ainsi paré, prenant le temps d’apprécier le spectacle qui s’offrait à sa vue.
Prise d’une idée soudaine, elle l’abandonna un instant, le privant de sa vue. Elle devinait ses interrogations, ses appréhensions, son excitation. Elle avait choisi cet instant justement pour dévoiler une tenue qu’il ne connaissait pas encore. Il la vit paraître, ainsi vêtue d’une longue robe de dentelle noire fendue sur le côté, dont seule, l’obscurité, pouvait dissimuler quelque chose. Elle avait aussi choisi de porter de très hauts talons gainés de cuir afin de lui emballer les sens ce que ses premiers gémissements confirmèrent. Elle s’approcha de lui, le frôla, encore et encore, suscitant son désir par sa proximité et ses mains s’égarant sur lui. Insaisissable, elle tournait et tournait encore autour de lui telle une prédatrice autour de sa proie, lui faisant humer son parfum si envoûtant. Ce soir-là, elle n’était que sensualité, provoquant de nombreux tourments contre les saillants de sa, si étroite, cage. Impuissant, il subissait sans mot dire, ne laissant échapper que quelques plaintes étouffées.
Satisfaite de ce qu’elle avait provoqué, elle lui détacha finalement les chevilles, afin de l’aider à s’agenouiller devant elle. Evidemment, l’ensorceleuse se plaça tout contre lui, le laissant poser sa joue contre elle. Grisé de l’instant, il ne put se retenir et glissa sur le dos, à terre. Sa proie, ainsi offerte promettait de délicieux jeux. Elle continua à le tourmenter de sa sensualité. Elle savait pertinemment qu’elle l’enchainait à elle, ainsi, bien plus efficacement que le moindre morceau de métal. Elle s’agenouilla finalement à sa tête, l’entourant de ses cuisses. Consciente de l’effet qu’elle provoquait, elle s’en amusait, le laissant si proche d’elle sans l’atteindre. Le temps s’était figé.
Le plaisir illuminait le regard de la belle. Elle ondulait par vagues juste au-dessus de sa bouche. Découvrant délicatement un sein, elle caressa ce dernier, puis, le surprenant, lui fit goûter. La langue timide de l’homme découvrit tendrement le sucré de sa peau, lui faisant clore les yeux gourmands. La scène, hors de la réalité, baignait de cette grâce qui n’est possible que lorsque deux êtres se rencontrent dans le vrai sens du terme. Joueuse, elle dénuda son autre sein et lui imposa le même supplice qu’au premier. Balayant les heures de douleur sous les multiples coups de cravaches, elle lui apparaissait comme le trésor qu’il avait tellement recherché. Inspirée par son chaleureux désir, elle lui fit alors toucher au paradis en le laissant la respirer. Il sentait son plaisir. Son humidité grandissante appelait avec force ce contact désiré.
Le ciel s’emplit d’étoiles lorsque, enfin, il l’atteignit…
Divine découverte…
Cadeau inimaginable…
Communion de deux êtres…
Elle le ressentait, elle vibrait…
Il lui appartenait déjà sans aucun mot émis…
Quelle délicieuse obscurité….
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"Venez demain, à onze heure" les mots s'étalaient sur l'écran de son portable et son cerveau en ebulition pesait chacun d'entre eux, avant de finalement pouvoir en accepter toutes les implications. Bien sûr, elle pouvait encore refuser le rendez vous mais elle savez qu'elle avez déjà pris sa décision, et ce bien avant de recevoir ce SMS.
Depuis quelques temps, sa relation avec son compagnon se dégradait; leurs séances de BDSM, pourtant si libératrices dans les premiers temps de leur vie de couple, s'étaient peu à peu transformées en une source d'enjeux dont elle ne parvenait pas à demêler l'echevau. Certes, depuis l'echec de sa relation avec son précédent amant, elle s'était un peu refermée sur elle même, mais cela n'expliquait pas pourquoi Guillaume était devenu si amer, et malgré sa bonne volonté, il semblait que rien ne puisse le satisfaire. Lors de leur dernière séance, il s'était carrément arrêté en plein milieu et lui avait dit qu'il vallait mieux arrêter là et que peut être qu'elle n'avait pas les qualités requises pour être une bonne soumise.
Sur le coup, elle s'était sentie mortifiée: ne pas avoir les qualités requises, elle l'avait un peu trop entendu ces derniers temps, au cours des différents entretiens d'embauche qui s'étaient tous soldés par un échec, et encore avant lors des oraux qu'elle avait passée pour les concours. Mais le pire, c'était de voir la déception dans son regard; elle ne le supportait pas. Elle avait l'impression d'avoir déçu tout le monde et que c'est pour ça qu'elle ne parvenait pas à garder une relation stable.
11h, c'était parfait; Guillaume allait rentrer du boulot épuisé et elle était plutôt du matin. Elle pretexterait un entretien d'embauche pour justifier son départ si matinal. Elle passa la soirée à choisir une tenue suffisament habillée pour garder une contenance mais pas trop formelle au vu du lieu où elle se rendait. Elle n'avait reçu que deux consignes à suivre: talons et jupe. Elle s'endormit tard, le chat sur le ventre et Douglas Kennedy en livre de chevet.
Evidemment, à 6h du matin, elle se precipita aux toilettes pour vomir, les boyaux contractés par l'angoisse qui ne l'avait pas quittée depuis hier soir. Le Domperidon fit son effet et après un thé léger, elle pu quand même avaler un café et s'habiller. Guillaume arriva à 9h30 comme prévu et après un bref petit dejeuner en amoureux, il plongea dans les bras de Morphée. Elle l'embrassa sur le front et sortit, prête à affronter ses démons.
Elle avait contacté Maitre V. deux semaines plus tôt, décidée à tordre le cou à ce serpent de mer qui s'était installé dans leur vie de couple: primo, elle ne voulait pas perdre son mec. Secundo, elle ne voulait pas perdre la face. L'echec lui avait toujours était pénible mais depuis sa mésaventure avec son amant, le domaine de la sexualité était devenu très sensible pour elle. Elle ne pouvait s'empêcher de se demander pourquoi, alors qu'il s'envoyait en l'air avec toutes les filles qui passaient à sa portée, leur relation, soit disant si importante pour lui, s'était résumé à deux étreintes plus ou moins assumées qui lui avaient laissé un immense sentiment de frustration. Bien sûr, l'idée qu'elle puisse perdre son compagnon lui était pénible mais c'etait aussi une blessure narcissique: Si sa vie sociale n'avait pas toujours été à la hauteur de ses espérances, elle avait au moins le sentiment que sur le plan sexuel, elle avait réussi à s'épanouir malgré les casseroles qu'elle se trimbalait depuis l'enfance. Sentir que ce domaine puisse aussi être remis en cause la touchait profondemment.
Maître V. était un dominateur professionnel et il avait accepté de la rencontrer après de multiples échanges de mails qui l'avait mise sur les nerfs; Il semblait en effet très sollicité ou bien très selectif dans sa clientèle car elle avait dû attendre 10 jours avant qu'il se décide à lui donner un rendez vous. Il habitait dans le centre ville, un immeuble sensiblement identique à celui qu'elle habitait, à quelques pâtés de maisons. Ses consignes étaient très claires: sonnez 3 fois très rapprochées et attendre son appel. Son téléphone sonna mais il s'agissait d'un SMS: "entrez dans le couloir, enlevez votre culotte et sonnez au premier étage, à gauche." Sidérée, elle relut le message deux fois avant de se rendre compte que la porte était ouverte. Elle hésita un bref instant, puis s'engouffra dans le couloir sombre et referma la porte derrière elle. Personne. Soulagée, elle retira sa culotte le plus rapidement possible, le dos collé à la porte d'entrée et monta les escaliers, le visage trempé de sueur et le souffle court.
La porte de Maître V. était ouverte, ne lui laissant pas la possibilité de se remettre de la brusque montée d'adrénaline qui l'avait traversée quelques secondes plus tôt. Elle entra dans un salon qui aurait pu être le cabinet d'un psychanalyste avec un divan en cuir, une table basse et un bureau. Maitre V. portait le masque du héros de V comme Vendetta et un costume noir assez élegant. Il lui demanda très poliment si elle voulait quelque chose à boire, avec l'air de ne pas comprendre le ton courroucé qu'elle employait pour lui répondre. Quelques verres de punch plus tard, l'atmosphère s'était un peu détendue. Maître V. lui avait demandé en quoi consistait sa demande et souhaitait qu'elle lui raconte par le menu quels étaient les tenants et les aboutissants de l'affaire qui l'amenait à le solliciter.
Elle trouvait assez pénible de ressasser encore toute son histoire mais Maître V. semblait boire ses paroles et malgré le masque qui dissimulait son visage, il semblait sensible à son histoire.
Lorsqu'elle arriva au bout de son exposé, Maître V. semblait plongé dans une reflexion profonde et elle restait pendu à ses lèvres, attendant on ne sait quelle parole liberatrice qui viendrait éclairer son propos d'une lumière nouvelle. Mais Valmont restait silencieux, l'observant avec une acuité de faucon guettant sa proie. Sa bouche s'ouvrit enfin, mais la voix suave qu'il avait utilisé jusque là pour la faire parler avait pris des consonnances métalliques et froides qui la pétrifièrent.
"Bien, Mademoiselle... si je comprends bien, vous souhaiteriez être éduquée, pour devenir une meilleure soumise. Je ne vous cache pas que le débourrage, c'est un peu fastidieux... je sens un potentiel, mais je pressens qu'il va falloir beaucoup de travail. Bon, ne serait-ce que pour le challenge, je veux bien faire un essai. Suivez-moi."
Interdite, elle le regardait, incapable de répondre tant elle se sentait mise à nue devant ce type suffisant. Elle le regarda s'éloigner sans un regard pour elle, sûr de son fait, et eut quelques secondes la tentation de claquer la porte. Mais elle n'avait pas fait tout ça pour rien, et une sorte de curiosité malsaine (selon elle) la poussait à le suivre. Il l'emmenait dans son donjon. Une pièce blanche occupée par une mezzanine metallique ou pendaient divers accessoires BDSM. Un matelas par terre recouvert d'un tissu noir semblait l'attendre. Maître V. lui tendit un cintre.
"Déshabillez-vous"
Le ton était sans appel. Elle se déshabillait, ou elle sortait. Pour elle, la deuxième option n'était déjà plus envisageable et elle s'exécuta, dans un état second. Maître V. lui tendit deux bracelets en cuir qu'elle mit à ses poignets pendant qu'il accrochait une barre d'écartement à ses chevilles. Le contact du cuir sur ses bras, la barre qui l'obligeait à ouvrir les jambes, la tension qui s'était installée entre eux, et la terrible alchimie était en marche. A sa grande honte, elle ne pouvait que sentir son sexe s'humidifier et son pouls s'accélérer alors que Maître V. s'activait autour d'elle. Elle finit debout bras tendus vers l'avant et jambes écartées, le cul tendu vers son bourreau.
La séance commença par un très long questionnaire sur ses préférences sexuelles. Elle n'avait le droit de parler que si le Maître l'interrogeait et ne devait faire que des phrases courtes à moins que le Maître ne le lui demande. Chaque manquement se soldait par un coup de cravache bien appliqué qui lui arrachait un gémissement. Les questions sur ses pratiques sexuelles étaient de plus en plus précises, et le Maître voulait tous savoir: si elle l'avait deja fait, avec qui, si ça lui plaisait, si elle souhaitait le faire dans le cadre de leur séance, à quelle fréquence... Les hésitations étaient également punies, le Maître n'hésitant pas à lui tirer les cheveux vers l'arrière quand elle ne répondait pas suffisament rapidement à son gout, l'accusant de chercher à lui mentir. Mais le pire, ce n'etait pas les coups, somme toute supportables, c'était que chaque coup s'accompagnait d'une caresse ou d'un petit surnom affectueux qui la faisait frémir de fureur et de désir.
Il l'appelait "sa petite pouliche", la félicitait sur son poil soyeux, ses belles jambes, sa croupe, lui passait la main entre les cuisses et venait titiller son mont de Venus, s'attardant juste assez pour la faire haleter avant de retirer ses doigts et de les lui faire lécher. Elle buvait sa honte, les larmes aux yeux, mais refusait de prononcer le mot d'urgence qui pouvait faire cesser son supplice à tout instant. Dans son dernier mail, il lui avait dit que ça ne servait à rien, qu'elle ne tiendrait pas une seule séance. Elle ne voulait pas lui donner raison, et surtout, tout au fond d'elle, elle devait admettre que ça l'excitait. Sa consience lui criait que c'était dégradant, humiliant et pervers mais son corps s'embrasait sous les doigts du Maître. Elle n'en pouvait plus.
Le questionnaire était terminé. Le Maître lui apporta un verre d'eau qu'il porta à ses lèvres avec une attention qui semblait bien réelle.
"Et bien ma petite pouliche a bien travaillé aujoud'hui, elle va donc avoir droit à une récompense. Qu'est ce qui ferait plaisir à ma petite pouliche?"
Le ton était enjoué, presque enfantin, et tout son corps le reclamait. Elle n'avait pas eut d'autre amant que son compagnon depuis longtemps et son corps était déjà tendu de désir. Elle murmura dans un soupir à peine audible: "Que vous me baisiez, Maître".
"Aaaaaaah mais nous n'avions pas parlé de ça... C'est tout à fait imprévu!" Le ton avait imperceptiblement changé, et elle sentit que le piège se refermait sur elle. "Si j'avais su que vous étiez si dévergondée... j'aurais prévu des preservatifs mais là vous me prenez de court."
"Vous me prenez vraiment pour une conne!" Les mots avaient jailli de sa bouche, avec une violence que seule sa frustration pouvait expliquer.
"Mais non ma belle pouliche, je sais ce qu'il te faut". Elle s'apprêtait à hurler le mot d'urgence quand elle le sentit derrière elle mais ce n'est pas sa queue mais c'est sa langue qui vint se nicher entre ses cuisses et glisser en elle. Elle se laissa enfin aller en gémissant, le corps secoué de frissons de plaisir trop longtemps contenu, partagée entre la honte et le soulagement. Les mains du Maître prirent la relève, un doigt explorant son sexe alors que l'autre s'enfoncait dans son anus. Une double pénétration qui lui soutira un nouvel orgasme.
Le maître la décrocha et la mit à genoux sur le ventre, le cul en l'air et les jambes écartées. "Il ne vous manque qu'un accessoire pour être une parfaite pouliche". La main cruelle, armé d'un vibro se glissa entre ses jambes ouvertes et vint exciter son clitoris. Implacablement, elle sentit le désir remonter à la surface et le supplia de continuer. Il s'exécuta, mais lui ordonna fermement d'écarter les fesses, ce qu'elle fit. Elle sentit d'abord le lubrifiant couler dans la raie de son cul et quelque chose lui froler les fesses alors que le métal froid se frayait un passage jusqu'à son anus. Le plug était très petit mais efficace et elle jouit encore, et cette fois, il la laissa se reposer.
Ce n'est qu'en se relevant qu'elle vit dans le miroir la queue attachée au plug et devant elle Maître V. qui venait de la prendre en photo. Elle voulu l'enlever mais le Maître la retint par le bras.
"Non! pas maintenant. Je vais retirer la partie queue que vous remettrez à votre prochaine séance mais vous garderez le plug et ne l'enleverez qu'à votre retour chez vous. Si votre anus se referme, votre esprit se referme aussi c'est la devise de la maison." Il lui tendit un cintre, où pendaient ses vetêments, impeccablement pliés, et sortit la laissant seule.
Sur le chemin du retour; elle trouva une note dans la poche de sa jupe: "A la semaine prochaine; même jour, même heure; soyez ponctuelle."
C'est un essai. Vos avis positifs et/ou négatifs sont les bienvenus. Bonne lecture
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Maître m'avait dit d'être chez lui à 16h précise. J'y arrive à 15h55, me gare devant chez lui et l'appele à 15h59 pour le prévenir que
je suis arrivée.
Nous entrons dans la maison, j'enlève mon manteau, pose mon sac à main, me dirige vers le salon. Maitre me dit qu'aujourd'hui, nous
irons dans une autre pièce de la maison. Nous arrivons dans une pièce où se trouve une sorte d'échaffaudage métallique et je me dis qu il va m'attacher aux montants et j'en suis toute excitée. Je vois aussi plusieurs martinets en cuir sur un escabeau.
Il me dis de me déshabiller et d'attendre. Maitre me pose une question et étourdiment, je réponds "oui" sans réfléchir. Je reçois alors une gifle à laquelle je ne m'attendais pas du tout et il me dit "oui qui" d'une voix changée et sourde, ses yeux noirs et grand ouvert sont devenus sévères et presque menaçant . Je m'empresse de répondre "oui monsieur". Cela me déstabilise quelque peu et me vexe.
Ensuite, il me met une sorte de cagoule sur la tête. Je ne vois plus rien ; il y a juste des trous pour la bouche et les narines.
Je l'entends bouger dans la pièce, fouiller dans ce qui me semble être un sac. Je suis debout, les mains dans le dos, en bas et porte-jarretelles et j'attends. Il me dit de poser mes mains sur l'étagère qui se trouve derrière dans mon dos .
Je sens qu'il s'empare de mon sein gauche et qu il enroule une corde autour. Puis il fait de même avec le sein droit et les relie ensemble, puis il passe la corde autour de mes épaules et l'attache dans mon dos.
J'adore cette sensation d'être contenue, emprisonnée, les seins très serrés avec la corde.
Ensuite, il me passe des attaches en cuir autour des poignets et des chevilles. Je sens un martinet me fouetter les seins doucement, puis plus fermement. Puis il me dit de me retourner. Il m'attache les bras aux 2 montants verticaux de l'échafaudage ; j'ai donc les bras tendus, écartelés, vers le haut.
Le martinet commence à s'abattre doucement pour me chauffer la peau, puis de + en + fort, sur mes fesses, mes hanches, mon dos, mes épaules, mes aisselles, le haut de mes bras, le derrière de mes cuisses.
Il me dit de bien me cambrer en avant et d'écarter les cuisses, de plier les genoux. J'essaie au maximum de répondre à ses désirs, mais je suis attachée par les poignets et cela tire beaucoup sur mes bras m'empêchant de bouger plus. En plus, le bracelet sur mon poignet droit est trop serré, je sens des fourmis dans ma main. Je le dis à Maître et il le desserre.
Il poursuit le fouettage, ainsi que sur mon sexe. Tout à coup, je sens un coup différent toucher ma chatte : un coup bref, sourd et je me rend compte qu'il a frappé avec son pied chaussé. Il recommence plusieurs fois à me donner des coups de pieds.
La douleur n'est pas forte, mais je me sens terriblement humiliée, avilie, les larmes me viennent aux yeux sous ma cagoule, sans que je sache véritablement pourquoi.
Et Il le sait parfaitement.....
Il me caresse doucement la chatte et me demande "tu mouilles petite salope ?". Je réponds "non Monsieur, pas avec le fouet".
Ensuite, il reprend son fouettage avec son fouet cette fois-ci sur mes épaules, mon dos et surtout mes fesses et j'adore ça. Je me sens entrer dans ma bulle : ressentir ce bien-être que j'éprouve quand je sens la lanière de son fouet s'abattre sur moi, puis toujours au
même endroit plusieurs fois de suite, que la douleur augmente ainsi à chaque coup.
Mes gémissements s'amplifient, je pousse des petits cris de douleur-plaisir, mon esprit s'envole doucement, je ne sais plus vraiment où je suis.
J'entends sa voix de très loin et il est obligé de répéter sa question un peu plus fort pour que je puisse l'entendre et lui répondre . Il me demande si je vais bien et je lui réponds dans un souffle "oui Monsieur".
Au bout d'un long moment à ce rythme, il me détache, m'ordonne de me tourner et m'attache de nouveau les poignets ainsi mes chevilles aux montants verticaux de l'échafaudage . Je suis écartelée comme sur une croix de Saint-André.
Il réajuste la cagoule qui a un peu bougé vers le haut de mon visage et me pince fortement les tétons de mes seins bondagés. Ils sont très sensibles et je pousse un petit cri de de surprise et de douleur mêlées.
Maitre me demande si ça va et si cela me plait, je réponds "oui , merci Monsieur".
Maitre prend un autre martinet et commence à me fouetter les seins assez doucement, puis beaucoup plus fort. Il vise les tétons ; cela est extrêmement douloureux. Je me tortille dans tous les sens malgré que je sois attachée et que je ne peux pas échapper aux lanières
en cuir qui me vrillent la peau.
Je gémis très fort, je crie parfois, ma respiration est de plus en plus ample. Maître me dit de sa voix calme et posée "si tu continues de crier, je vais te mettre un bâillon".
Ensuite, il me détache les chevilles et il me demande alors de m'asseoir sur l'un des montants horizontaux de l'échafaudage . Il m'attache alors les chevilles aux montants verticaux.
Je suis totalement à sa merci, la chatte exposée à sa vue et à ses prochains sévices. Durant quelques secondes, cela me terrifie un peu.
Je sens de nouveau la lanière du fouet que j'aime tant, me strier les tétons, s'attarder longuement sur mon ventre à en devenir très mordant et très douloureux, puis il frappe mon sexe. A ce moment-là, je repars dans ma bulle, car la douleur est très forte.
Je continue de me tortiller, je crie aussi par moment et dans un réflexe mes cuisses tentent de se serrer , mais ne le peuvent pas car j'ai les pieds attachés, les jambes tendues.
Maitre me répète : "si tu recommences à crier, je vais te mettre un bâillon". Je me concentre alors et ne crie plus. Je n'ai pas envie d'avoir un bâillon sur la bouche, mais je gémis toujours très fort cependant.
Maitre me demande de nouveau "ça va petite salope, cela te plait ?" et je réponds "oui beaucoup, merci Monsieur".
Il continue encore un peu à me fouetter le corps, c'est insupportable et délicieux en même temps.
Puis il me détache alors les chevilles et les poignets, je suis très fatiguée, mes jambes tremblent un peu et j'émerge difficilement de ma bulle.
Il me dit de m'allonger sur l'échafaudage et me met un coussin sous la tête. Il m'attache de nouveau à l'étagère, les bras au dessus de ma tête, les jambes pendantes et une corde autour de chaque genou.
Je me demande ce qu il va se passer et espère secrètement qu'il va cesser le fouettage.
Tout à coup, j'entends le bruit d'un briquet et mon excitation revient malgré ma fatigue. Maître va me faire le plaisir d'utiliser la cire de bougie. Je sens les premières gouttes brûlantes tombées sur mon pubis. Hummmmm , j'aime ça!
Les suivantes tombent sur mes grandes lèvres : ça pique fort, ça brûle. Maître ne s'arrête pas, continue inlassablement à faire tomber la cire de plus en plus prêt de ma peau. Ma peau me brûle! Je m'évade, je suis bien, je sens mon plaisir monter au fur et à mesure.
A un certain moment, je sens qu'il enlève une partie de la cire solidifiée et qu'il m'écarte les grandes lèvres. Je sens de nouveau la cire, mais cette fois-ci sur mon clitoris. Les premières gouttes sont une torture, pourtant j'adore ça.
Il continue imperturbable, concentré sur sa tâche et je commence à n'en plus pouvoir. Il s'arrête enfin.
Puis il m'enlève la cagoule et me détache. Mes jambes tremblent un peu, mes larmes coulent, je me sens ailleurs. Je ne me suis jamais sentie dans cet état d'abandon aussi fort, de lâcher-prise.
J'entends sa voix très loin qui me demande ce qui passe, étonné de me voir pleurer.
J'ai besoin de redescendre, je continue de pleurer sans pouvoir m'arrêter, allongée sur l'échafaudage , le bras droit sur les yeux, car gênée par la lumière.
Il s'inquiète pour moi, mais j'arrive à lui dire que tout va bien. Je lui dis que la lumière me gêne, alors il va éteindre la lumière. Nous sommes maintenant dans la pénombre, il vient s'asseoir près de moi et me caresse le bras doucement.
A ce moment là, je me tourne sur le côté vers lui et je prends sa main gauche que j'embrasse plusieurs fois et je le remercie pour le plaisir qu il m'a donné.
Je ne sais pas s'il perçoit mon émotion à cet instant précis, je pense que oui. Il me demande si je suis bien installée, je dis oui, que j'aimerais restée encore un moment ainsi.
Nous discutons un moment de ce qui vient de se passer.
Ensuite, il m'aide à descendre de l échafaudage en me demandant encore si je vais bien et je me dirige vers la salle de bain pour prendre une douche. Un fois rhabillée, je vais le rejoindre sur le canapé où il est installé et je pose ma tête sur son épaule.
Nous discutons longuement de tout et de rien en écoutant de la musique.
Puis je dois repartir et rentrer chez moi, épuisée. Il m'accompagne jusqu'au portail et nous échangeons de doux baisers. Il me redemande encore si notre rencontre m'a plu et je lui réponds de nouveau que j'ai adoré.
Et je rentre chez moi dans un petit nuage de bonheur et de satisfaction
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Je vais expliquer ici un peu mieux pourquoi je suis arrivée ici, ce que je recherche, ce que je suis.
Et je vais commencer par remercier Mctyl qui au détour d'une conversation où je lui ai avoué être égoïste, m'a dit que cela le gênait parce qu'une relation D/s est basée sur le partage et non sur l'égoïsme, et qui m'a donné envie de me dévoiler un peu plus afin de clarifier les choses.
Alors oui, je suis égoïste, et je ne le cache pas. Ce que je recherche dans la vie, que ça soit au niveau professionnel ou personnel est pour mon plaisir, pour mon épanouissement. Et je ne pense pas être la seule d'ailleurs. Je ne vois pas comment on peut donner du plaisir aux autres sans être un minimum bien dans ses baskets (ou chaussures à talons ). Et pour cela, il faut d'abord penser à soi.
Pour en revenir au bdsm, bien sur que ma démarche est égoïste, je cherche à me découvrir, à explorer de nouvelles sensations, à apprendre de nouvelles choses. Je cherche à m'épanouir plus pleinement, à lâcher prise, me laisser aller, ce que je ne peux pas faire au quotidien. Je cherche à me sentir vivante. Je cherche, si je le peux à apprendre à faire confiance, car c'est loin d'être dans ma nature. Je cherche à comprendre aussi ce que l'autre vient y chercher, ce qu'il ressent. Je cherche à échanger, parce que je suis curieuse, ouverte à beaucoup de choses et que (en dépit de mon jeune âge ) j'ai déjà eu la chance de vivre et d'apprendre beaucoup grâce aux autres.
Tous les articles ou topics que j'ai parcouru, à mon sens, révèlent la même chose : bien qu'étant soumis, on va avoir du plaisir à se soumettre, à dépasser ses limites, à abandonner sa petite culotte dans une station service, à être poussé dans ses retranchements, à avoir mal...
Mais pour un dom c'est la même chose, on ne me fera pas croire que c'est sans plaisir qu'on fesse, attache, et que sais-je encore.
Et je tiens à préciser qu'à mon sens égoïsme et partage ne s'excluent pas, puisque que nos buts peuvent être communs, satisfaire aux désirs de plusieurs personnes, et permettre à ces personnes d'avancer. C'est d'ailleurs bien ça, non, une relation bdsm? Une relation entre adultes, consentants, qui prennent le temps de communiquer afin de connaître les envies, peurs, désirs de l'autre.
En ce qui concerne mon arrivée ici, elle est due à beaucoup de hasard. Je suis tombée lors d'une de mes nombreuses exploration du net sur l'annonce de quelqu'un qui cherchait une soumise. J'ai hésité, j'ai repensé à certains rêves érotiques que j'avais eux, à certains fantasmes.. Oui, parfois, j'ai rêvé d'être dominée, j'ai rêvé d'être attachée en dépit de la peur que ça m'inspire. Et j'ai fini par envoyer un mail expliquant que je n'y connaissais rien, mais que j'étais curieuse. Après quelques échanges, j'ai été orientée vers ce site. Voilà donc comment je suis arrivée ici.
Je ne prétends pas «ETRE» soumise, ça n'est pas dans ma nature, mais c'est une facette de moi que j'aimerai explorer. Je ne peux pas dire que je vais désormais uniquement vivre des relations bdsm, ça ne sera peut-être qu'une passade et je me tournerai alors vers autre chose ou reviendrai à ce que je connais déjà. C'est une démarche personnelle que j'entreprends, étant blasée du vanille et des relations de couple où je manquais de liberté, me lassais vite, ne trouvais plus d'intérêt à rien.
J'ai sûrement oublié des choses, et j'en ai certainement dit qui ne plairont pas à tout le monde, mais bien avant de me définir comme soumise ou toute autre chose, je me définie comme une personne, un être humain, avec son vécu, son caractère, ses faiblesses et ses forces.
Lula.
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Sur la route, en ce vendredi, jour de mon départ en week-end, je reçois ce texto de la part de Monsieur Sitaël, le Maître qui, je l’espère, poursuivra prochainement mon éducation en compagnie de son épouse/soumise :
« Tu as peut-être dans ta valise une culotte un peu fatiguée. J’aimerais que tu la laisses derrière toi, dans la cabine d’essayage d’un magasin ou des toilettes publics par exemple, accompagnée d’un petit mot en hommage à ta condition et au Dom que tu convoites. Tu prendras soin d’immortaliser ce témoignage. Je te laisse libre de l’expression écrite ».
Pour relever ce « défi » (j'en avais la ferme intention !), je savais que je devrais faire preuve de rapidité et d’imagination, car une fois arrivée sur place, dans ce minuscule village niché au milieu d’un écrin de verdure, sans lieu public ni réseau, il me serait impossible de répondre à la demande de Monsieur Sitaël.
C'est donc sur une aire d'autoroute, quelque part dans la région Centre, que je décidais d'abandonner...non pas un chien lol...mais ma petite culotte, accompagnée d'un mot d'explication. Abandon réalisé non sans une pointe de regret car j'aimais bien cette culotte en soie rose pâle bordée de dentelle. Si j’avais pris connaissance plus tôt de ce défi, j’en aurais sans doute choisi une autre. Qu'importe si c'est le prix à payer pour commencer à ressentir ce sentiment d'appartenance que j'aime et qui me manque tant.
Je me suis donc soigneusement enfermée dans les toilettes pour femmes, soulagée que l'endroit soit désert...ce qui m'a facilité la vie. J'ai ôté mon jeans afin de pouvoir ensuite faire glisser le morceau d'étoffe jusqu'à mes chevilles, ravie de constater qu'il était légèrement humide...sans doute dû à un mélange d'adrénaline et d'excitation. Je l'ai soigneusement plié avant de me saisir d'un morceau de papier et d'un stylo pour expliquer mon geste par écrit, à celle qui trouverait ma petite culotte. La chaire de poule parcours mon corps... A mon sens il s'agit d'un symbole de soumission et une marque d'appartenance et montre aussi une certaine docilité et facilité à répondre aux demandes de mon Guide. Cela m'a fait bizarre de remettre mon pantalon sans ma lingerie...ça faisait bien longtemps que je ne m'étais pas promené ainsi ! Quel agréable effet de sentir la couture frotter mon intimité...Dans ces conditions, comment ne pas penser au couple qui m'attend ? Ils sont omniprésents...et ils l'ont été jusqu'au soir...tant que je sentais ma petite fente à nue, totalement disponible...
En sortant des toilettes, je me suis dirigée vers les lavabos pour me laver les mains et déposer ma petite culotte sur le rebord de l'un d'eux, avec le petit bout de papier posé dessus. Je me suis fait un plaisir d'immortaliser la scène avec mon Smartphone, pas peu fière d'honorer mon futur Maître et sa compagne...en espérant que l'envoie de cette photo leur démontrera toute ma motivation et détermination.
A peine ai-je fourré mon téléphone dans ma poche et tourné les talons qu'une jolie dame élégante, d'un certain âge, entrait dans la pièce... Je crois que j'ai rougi de honte et que mon cœur s'est un peu emballé au moment où je l'ai croisé et à l'idée qu'elle lise le petit mot que j'ai laissé, accompagné de ma lingerie ! Je me suis demandée qu'elle serait sa réaction... Serait-elle choquée ou envieuse ? J'aurais voulu être une petite souris pour voir sa tête au moment de sa découverte...
Je suis repartie fière de cet accomplissement, sentant à nouveau la soumise qui sommeille en moi pointer le bout de son nez... Voilà qui est prometteur !
Mes remerciements les plus sincères vont à Monsieur Sitaël et j'adresse à énigma mes respectueux hommages.
swann
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Point de suspension ou mille façon de s'en servir.Ma Maîtresse est une adepte du shibari, jusqu'à présent, elle n'avait pu me faire qu'une seule suspension chez un ami commun où cela est possible.En faisant du rangement il y a deux semaines en arrière, j'ai trouvé un gros piton rond, une idée a germé dans ma tête et, ni une, ni deux, me voilà parti dans le magasin de bricolage, le plus près de chez moi, où, j'ai trouvé mon bonheur. Des chevilles acier à expansion, résistant à un arrachement de trois cent kilos.Une fois rentré chez moi, j'ai donc calculer le point où j'allais la placer dans le plafond en béton de mon salon (j'habite en immeuble), une fois cela fait, j'envoie un message à ma Maîtresse qui devait me rejoindre pour le week-end, en lui demandant de bien vouloir, apporter l'ustensile qui doit lui servir d'anneau, en plus des bambous que je lui avait acheté la fois précédente.Ma surprise était prête, par retour de message, elle a bien essayé de savoir la raison de cette demande, mais je suis resté très vague.Cela donc été, un week-end de test, le premier la résistance, Ma maîtresse n'ayant pas trop confiance, on mis donc deux petits matelas en mousse en dessous pour le cas où cela lâcherais, ce qui ne fut pas le cas, on pu donc tester correctement la fixation, par contre, au niveau de l'anneau, quelques problèmes sont apparus, vu que ce n'est pas une anneau de suspension, mais nous avons réussi a trouver une solution, un autre problème surgi, pour les photos, pas top l'arrière plan, (on y voit tout mon salon et tout le déballage du matériel), mais nous avons fait avec pour cette fois.J'ai eu donc, une semaine avant ce week-end pour remédier à tous ces problèmes, achats de mousquetons d'alpinisme pour rajouter à l'anneau et une double manille à pivot, pour l'arrière plan des photos, une simple corde tendu en travers de la pièce, sur laquelle on pend un drap et le tour est joué.Ce samedi 29 Novembre, ma Maîtresse ma rejoint en début d'après midi et nous avons pu faire un après-midi et une soirée shibari, (je pense que vous aurez les photos d'ici quelques jours).Dimanche devait être studieux pour ma Maîtresse, car, elle avait des obligations du fait de son travail à faire depuis mon ordinateur, donc, après le petit déjeuner, elle devait s'atteler à celui-ci, pour une durée quelle pensait pour une heure ou deux.N'ayant point envie de rester là, a ne rien faire, j'allais chercher un foulard, que je lui ramenais et je lui proposais, quelle m'attache les yeux bandés le temps quelle fasse son travail, je pouvais ainsi rester sous sa surveillance et lui servir de dérivatif, lorsque elle prendrais une petite pause.Elle prit donc une corde et l'attacha à mes bracelets en acier que j'ai toujours à mes poignets, lorsque nous sommes ensemble, tout comme le collier qui orne mon cou. Elle passa celle-ci ensuite dans l'anneau et m'attacha, avant de me bander les yeux, il était approximativement 9h15.Je me trouvais donc nu, aveugle, les bras tendus au dessus de la tête attaché à l'anneau. Avant de se mettre à la tâche, elle en profita, pour jouer de ses griffes sur mon ventre, une de ses autres spécialités.De temps à autre, elle venait me surprendre par le passage de ses ongles, sur mes fesses, mon dos, mon ventre ou mon sexe, griffant ou caressant, au tout début, j'arrivais à savoir lorsqu'elle venait, (le fauteuil de mon bureau grince un peu), puis, au fil du temps qui passe, j'avais de plus en plus de mal à me situer dans celui-ci, impossible de dire si cela faisait une demi heure, une heure ou plus.J'étais surpris à chaque fois, mais quelques chose d'autre, se passait en moi, j'étais beaucoup plus réactif à ses griffures et celles-ci me chauffaient de l’intérieur, au moindre contact sur ma peu, je réagissais.Je pense mettre laissé aller, dans un genre de jouissance intérieure, ce qui fit, que je perdis aussi la notion de l'espace, je me savais dans mon salon, mais impossible de savoir de quel coté, j'étais tourné, au début, j'étais face à la télévision qui fonctionnait, ma Maîtresse se trouvait donc dans mon dos sur ma gauche.Là, je ne savait plus, j'entendais bien le son de la télévision, mais sans arriver à le situer, pour savoir si j'étais face à ma Maîtresse ou dans ma position initiale.J'attendais, le seul sens qui me restait aux aguets pour essayer de savoir quand elle allait a nouveau intervenir, mon esprit me disait «elle va prendre le stick et le fouet et te cingler le cuir».Étonnamment, je n'attendais que cela et lorsque je sentis le premier contact du stick, j'en été heureux, je crois même en avoir redemander, je n'avais qu'une envie sentir le mordant du cracker du fouet sur mon corps.Mais celui-ci ne vint pas, ma Maîtresse me détacha, il était plus de 11h30, (afin, que je puisse l'aider, pour avancer un peu plus vite dans certaines de ses vérifications). Pendant ce laps de temps, je crois que j'ai rejoins le «nirvana», celui où, le temps s'arrête et où, le plaisir, jailli d'une caresse ou d'une douleur, là où les deux se fonde pour ne faire qu'un!
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Le jeu de la D/S en raccourci (domination/soumission) est un jeu entre adultes consentants avant tout.
Les scénarios mis en place par ces jeux permettent à l’homme et à la femme de ressentir des plaisirs différents de ceux qu’il sont habitués dans leurs rôles habituels. Il y a donc un dominant et une soumise (même si c’est l’homme on parle au féminin), généralement nous avons chacun une préférence, mais parfois les rôles s’inversent on se dit qu’on est « switch ».
Voici quelques exemples de jeux:
•Le jeu de la contrainte, pour le plaisir de vos sens, vous serez retenue dans vos gestes, isolée de la vue ou réduite au silence
•Le jeu de l’éducation, apprendre les bonnes manières pour devenir la digne femme de son homme pour lui être soumise tout au long de votre vie (celle du jeu ou plus!)
•Le jeu de la punition consiste à la fois à faire subir et apprécier le châtiment corporel provoqué ou demandé (petite fessées, cravache, fouet etc..), elle invite au repentir pas à la douleur! Nous ne sommes pas dans le sado-masochisme, cela reste donc léger.
•Le fétichisme est la forme sado-masochiste basée sur la beauté d’une scène, issue des fantasmes des hommes (parfois de la femme): la beauté reste la priorité.
Le dominateur est en position supérieure en acceptant la soumise qui se donne à lui corps et âme, il doit respect et attention : elle devient son bien le plus précieux sa soumise se donne totalement à lui perd toutes défenses.
La soumise est en position inférieure offerte au dominateur, elle devient son jouet, son esclave sexuel le temps des jeux lui donnant le pouvoir sur sa personne, ce qu’on appelle l’échange de pouvoir et le plaisir intense qu’il procure au dominant.
Durant les jeux, il est important de pénétrer votre position et de jouer son rôle avec conviction, les premières fois ne seront pas faciles, gêne par manque d’expérience, foux rires etc.. Mais par la suite cela doit se transformer en art de vivre.
Les accessoires sont indispensables pour ces jeux, commencez à remplir votre tiroir à malice avec un bandeau, bâillon, contrainte poignets/chevilles, cordes, cravache, martinet, plug, god, lubrifiant etc…
Au départ, la soumise se présente nue à son dominateur et graduellement elle érotise son corps avec de la lingerie, des bijoux, des tenues sexy, cuire, vinyle etc..
Les premières séances peuvent être définies à deux, être soft, définir ce qui nous plaît finalement et ce qui ne nous plaît pas… Vous pouvez également chercher un maître ou aller dans un club spécialisé pour voir l’effet que ces jeux vous font mais attention, soyez prêts à voir de tout: à vous de trouver vos formes de domination et soumission.
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Envie de t'aider à te détendre, viens ma belle, approches toi... mets à toi à genoux, laisse moi caresser ton dos, faire glisser mes ongles, savoure cette sensation électrisante....
Ma main ferme sur ton épaule, mon autre main s' occupe de ton sein....le réveille délicatement, le pince. ..délicieuse sensation. ...mon autre main glisse sur ton ventre, se faufile entre tes cuisses. .. j'aime sentir ton dos contre moi... tu t'abandonnes doucement. ..je m'aventure dans ta douce toison. ...glisse un doigt.... pince un peu plus ton sein...me fait plus ferme, t'emprisonne dans mes bras...
Poursuis mes caresses un peu....te libère....encore humide....détendue....
"Mets toi à 4 pattes"...tu t'exécutes...un peu perdue et frustrée...
Ton cul se dresse...et ma main vient claquer dessus, tu es surprise, mais déjà je te sens attendre la suite..qui ne tarde pas. .. tes fesses se réchauffent, se colorent...
Je glisse 2 doigts en toi.... tu sembles des plus réceptive...je m'attarde un peu .... avant de revenir caresser tes fesses et les claquer.... alternant la droite et la gauche...avant de griffer ton dos ....saisir fermement ta chevelure, te redresser....te regarder dans les yeux. ... "Allonges toi! Laisse toi faire...."
Je plonge mon regard dans le tiens... "Caresse toi.... " tu t'appliques...à faire monter ton plaisir, ma main rejoint la tienne, mes doigts se mêlent aux tiens.... tu t'ouvres un peu plus pour me laisser passer... "Retire ta main. ..." Mes doigts remplacent les tiens, s'activent, te stimule encore et encore. ... mon pouce glisse doucement sur ton renflement. ... je sens ton corps réagir, se crisper légèrement. ...ta respiration est plus profonde.... j'aime observer ton plaisir grimper.... envie de le voir exploser encore. .. sentir ton corps se crisper sur mes doigts...couler...et pousuivre jusqu'à ce que tu me demandes d'arrêter. ... vider par le plaisir...
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Après la douche rituelle, la soumise mets son masque et la tenue que le maitre lui a préparé et se mets à genoux afin que son Maite lui mette son collier. Ensuite, elle se touche d’une main glissée au fond de son string afin d’être excitée à mort et bien lubrifiée quand le Maître va décider de la prendre. Le coeur de la soumise accélère tandis que le Maitre caresse son corps. Elle entend le maître lui parler doucement. Comme convenu, elle pose ses deux mains à plat, écartées au-dessus de sa tête. Ensuite, perchée sur ses hauts talons, elle écarte les jambes et se cambre pour exposer ses ravissantes petites fesses tremblantes de chienne en chaleur.
« Bien » fait le Maître à son oreille en lui caressant le creux des reins. « Reste là, je vais faire un brin de toilette ». Elle entend à peine l’eau couler dans la salle de bain. Elle sait que quand ce son va s’interrompre, son heure sera arrivée, et elle tremble de désir. Elle pense à la tapette de cuir noir qui est posée en évidence sure le lit. Elle halète déjà. Elle pense à sa petite chatte trempée dans son string et au sexe dur du Maître. Elle frissonne.
L’eau s’arrête de couler. Elle tend l’oreille, mais elle n’est capable de déterminer, ni où est le Maître, ni ce qu’il fait. Une minute passe, interminable. Soudain, il la touche en haut des fesses, son doigt se glisse sous la ficelle du string et la fait sortir des fesses. Elle se met à trembler et se cambre à fond pour exposer son volcan. Mais ce n’est pas le sexe du Maître qu’elle sent glisser entre ses fesses et s’approcher lentement de son sexe humide. Ce qui glisse là semble être un objet.. Elle réalise alors que le Maitre porte autour de sa taille ce God ceniture qu’elle avait entraperçu sur la table. Elle est confiante car elle sait qu’il est de taille normale et que le Maitre entrera doucement en elle. Mais c’est nouveau pour elle et elle ne peut s’empécher de frémir.
Le Maître la punit d’une claque sur la fesse puis la pousse contre la porte. En silence, le Maître y tient énormément, elle doit jouir en silence. Attachée à la porte , elle halète la bouche grande ouverte pour faire le moins de bruit possible tandis que le god du Maître commence à bouger doucement en elle et que des ondes de plaisir en émanent. Les mains du Maître lui tiennent les hanches avec force, son god la laboure consciencieusement. Elle va jouir en moins d’une minute, puis deux autres fois, et cela lui vaut de grandes claques sur les fesses, car elle n’a pas pu s’empêcher de gémir. Le god du Maître se retire, c’est un manque terrible. Ses fesses sont en feu.
On lui prend la main. On la guide sur le lit. Le Maître la couche sur le dos avec la tête dans le vide. C’est pour pouvoir s’enfoncer tout au fond de sa bouche mais cette fois ci c’est avec son sexe, tandis que de l’autre main, il commence à lui caresser la chatte. Elle a posé ses mains sur le ventre du Maitre, comme pour le repousser s’il va trop profond car ce n’est pas elle qui suce, c’est lui qui va et vient dans sa bouche. C’est inévitable, le Maître pousse les lents va-et-vient de son sexe dans sa bouche de plus en plus profond, tout doucement, mais inexorablement, et avec les caresses sur sa chatte, elle sent un autre orgasme arriver. Elle attend en tremblant de plus en plus fort le moment où le sexe du maître va lui donner envie de vomir, elle va le repousser, il se retirera puis entrera à nouveau car c’est là qu’il veut jouir. Elle sent la main du Maître abandonner ses caresses sur sa chatte et se refermer sur la pointe de son sein gauche qu’il pince et commence à secouer fermement en tirant vers le haut. Il avance son sexe dur comme du bois qui pulse dans sa bouche, très profond. Le Maître la laisse respirer un peu, puis il lui attrape une cheville qu’il attire vers lui pour soulever ses jambes. Ainsi repliée elle attends que le Maitre jouisse. Ce qu’il fait alors en la remerciant. Il lui demande alors de lire un texte qu’il lui remet pendant qu’il lui pose ses pinces à seins très douces et décoratives.
Il lui demande de se retourner et de lui présenter ses fesses pour les fouetter doucement puis de plus en plus fort. Elle crie alors, c’est trop fort. Le Maitre diminue l’intensité des coups de fouets pour arriver à ce subtil dosage juste avant la douleur. Ensuite, tout va recommencer, plusieurs fois, avec le god, en différentes positions, elle le sait. Le Maître la place alors le cul en l’air sur le bord du lit et il la prend en levrette. Doucement au début, puis plus fort. Il la pénètre longuement en lui claquant gentillement les fesses et en caressant son petit trou du cul. Après un court repos, le Maître joue dans son cul avec son mini god très fin et la repénètre par sa fente. Elle sait que pour éviter de le faire éjaculer, elle ne doit ni bouger d’un cheveu ni surtout avoir la moindre contraction. Il profite du cul de sa soumise. Il la presse contre le lit allongée à plat. Elle se concentre sur son cul. Allongé sur elle il jouit.
C’est maintenant, elle le sait qu’il va lui faire expérimenter de multiples positions avec son god. Après un bref répis, il s’assoit sur une chaise et lui demande d’approcher…. Le maitre lui dévoile alors les positions du Kamasutra qu’elle ne soupçonnait pas…. Il lui explique que son soucis principal est de la voir jouir tout durant de rendez vous…
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Je suis allée au Fessarium.......
Soumise à la recherche d'un collier, j'ai lu et relu l'impressionnant "casting" du Maître des lieux, désirant trouver une partenaire docile, complice, motivée, sincère.... pour une interaction à 3. Malgré mes critères de "sélection" bien définis, je me suis reconnue en partie dans la description détaillée de cet appel qui m'apparaissait comme une opportunité à ne pas manquer. Cependant mon côté réservé, mon manque de confiance en moi, me faisaient hésiter à déposer ma candidature. La barre était placée très haut, néanmoins la tentation était omniprésente et l'envie m'a fait dépasser mes doutes, je me suis lancée, j'ai répondu à cette offre, je me suis dévoilée et j'ai cliqué, sans grande conviction, sur le bouton "envoyer" de ma messagerie dans l'espoir impatient d'une réponse.
Celle-ci ne s'est pas faite attendre trop longtemps et à mon grand étonnement s'avérait plutôt positive. L'instigateur de cette annonce devant en référer à sa compagne et soumise, il me fallait encore patienter un peu pour connaître leur décision. Leur démarche commune m'a enthousiasmée. "E" est elle-même sur le chemin de la découverte, de l'apprentissage, et l'enjeu de cette coalition est non seulement que l'on devienne sœur de chaîne mais que l'on progresse ensemble dans notre soumission, sous l'éducation d'un directeur de conscience de qualité qui s'engage à nous faire cheminer vers l'épanouissement le plus complet.
Selon la formule, nous avons fait plus ample connaissance, ils m'ont accordé leur confiance et après avoir fait couler beaucoup d'encre, une rencontre s'est profilée, de façon minutieuse, à l'initiative perverse de Monsieur et à travers de nombreux échanges de mails réactifs.
A la veille de notre rencontre, Monsieur a écrit un message explicite sur son mur :
« Bonjour à toutes et tous... Le sens de la vie en communauté étant fondé sur le partage, je souhaite donc vous faire profiter de mon actualité.
Procédant à l'examen minutieux d'une candidature depuis maintenant quelques semaines, j'aurai demain soir, le plaisir et le privilège, d'accueillir sous mon toit, aux côtés de ma compagne vanille et soumise, un sujet féminin ayant manifesté sa volonté d'appartenance et présentant de sérieuses prédispositions pour rejoindre ma Maison et porter la marque de mon enseignement. Cette étape devant me permettre d'évaluer définitivement quelques éléments de compatibilité et de bonne adéquation, afin d'assurer à chacune des 3 parties concernées par l'équation relationnelle envisagée, que mon verdict final constituera la meilleure des décisions. Vous souhaitant une excellente journée, au bord de l'eau, ou ailleurs ! »
(Pour les habitués du forum, cette missive rappellera sans doute quelque chose ou quelqu’un !)
Il m'a également adressé son ultime écrit pour me donner les dernières instructions, dont voici un extrait :
« Nous voilà arrivés devant la frémissante perspective de notre rencontre...
Puisque vous avez confirmé votre présence, il convient donc désormais de vous adresser quelques informations pratiques mais aussi, quelques directives et autres consignes.
Concernant votre point de rendez-vous, vous vous présenterez à 18h00 précises, sur le parking que nous avions convenu.
Un chauffeur vous y attendra et vous prendra en charge pour vous conduire jusqu'à moi.
Une fois le véhicule identifié, vous monterez simplement à l'arrière, côté passager.
Quelques minutes suffiront pour parcourir la petite distance qui très sûrement, vous semblera une éternité...
A mi-parcours, votre chauffeur vous demandera de vous bander les yeux ! Je compte sur vous pour obtempérer...
A partir de cet instant, vous n'aurez plus qu'à vous laisser guider, en étant attentive aux quelques instructions que mon chauffeur vous donnera une fois arrivée et le moteur coupé...................»
Le ton est donné et la volonté d’y être au plus vite s'accompagne de cette boule au ventre qui s’empare de moi.
J'étais assez inquiète pour la route, je n'aime pas conduire vers un endroit méconnu, ce qui rajoute encore au stress de ce qui m'attendait.....
En arrivant, je repère la voiture indiquée sur un parking qui était loin d'être désert...... J'avais quelques minutes de retard mais j'ai encore patienté un peu pour m'assurer que ce véhicule était le bon...... j'étais un peu en panique quand j'ai reçu un appel de Monsieur me souhaitant "bon voyage". J'ai rejoins la voiture en suivant les consignes....... Une femme est au volant et me souhaite la Bienvenue......
L'aventure commençait.......
Depuis le début de nos correspondances, j'étais littéralement subjuguée par ce couple, de par la teneur d'une écriture habile mais surtout de nos envies respectives et de la notion d'une relation bdsm que nous partagions. Le feeling allait-il se concrétiser ce soir...... J'avais formulé mes intentions de soumission, m'accepteraient-ils au sein de leur binôme ? Trouverais-je en "E" une complice ? Consentirait-elle à partager son Maître ? Quelle décision Monsieur prendrait-il ? et tout simplement serais-je à la hauteur de ce qu'ils espéraient de moi ! Toutes ces questions me trottaient dans la tête.....
Ils avaient su être rassurants, tout était prévu, sécurisé, discuté, orchestré avec brio, mais je partais néanmoins vers l'inconnu et à l'aveugle pour vivre et ressentir ma condition de soumise......
Le protocole à mon arrivée suffisait à poser le climat me rappelant l'enjeu de cette rencontre qui se plaçait néanmoins sous le signe de la décontraction.
Ce récit n'a pas pour objectif de flatter l'ego de mes hôtes, mais je tiens à préciser que j'étais une invitée très attendue qu'ils ont su accueillir de manière chaleureuse dans un cadre convivial. Malgré ma nervosité je n'étais pas inquiète et me laissait guider en toute confiance. "E" m'amenait aux pieds de son Maître et me confiait les dernières consignes...... je sentais les palpitations s'accentuer, les choses devenaient concrètes, je la suivais d'une démarche incertaine, m'en remettant complètement à elle puis à la voix de Monsieur, me remerciant d'être venue à leur rencontre...... L'intonation était solennelle mais apaisante, la conversation amicale, tout en laissant planer de façon adroite et maîtrisée une certaine pression..... je retrouvais sa force de caractère, son côté subtil, cérébral, un peu calculateur, taquin, parfois pervers, mais très respectueux, jouant sur notre sensibilité à fleur de peau.
Le bandeau qui était au départ une contrainte devenait finalement un refuge.
Quand "E" m'a rendu la vue, sur injonction de son Maître, j'hésitais à ouvrir les yeux de peur de sortir de mon rêve, mais la réalité fut merveilleuse, et l'harmonie des plus parfaite, bien au delà de ce que je pouvais espérer vivre.
Chacun a pu trouver sa place, sans jugement aucun, les limites étaient respectées et les actes se sont enchaînés de façon fluide, cohérente, progressive, comme une évidence qui nous attendait, mais sans douter un seul instant de la remarquable organisation, réfléchie et consciencieuse du Maître de maison qui a planifié cette rencontre avec finesse, rigueur et envie, qui a su combiner l'aspect troublant, excitant, suggestif, grisant...... qui a su souffler à merveille le chaud et le tiède.... jouant avec mes perceptions, me transformant en "objet" de plaisir.... mais un plaisir partagé à 3.
J'ai été charmée par les allusions subtiles de Monsieur, j'ai du puiser en moi même la force pour dévoiler mon ressenti quand il m'interrogeait, je suis passée par des sentiments de gêne, d'humilité, d'offrande, et il n'est pas toujours facile d'adopter la bonne attitude quand on s'introduit ainsi au sein d'un couple, craignant de froisser la sensibilité d'"E" et j'ai reçu en retour un cadeau inestimable de sa part....... Elle a été pour moi une alliée, une sœur, et pour son Maître non seulement une soumise hors pair mais une assistante au service de notre plaisir commun.....
Je n'entrerais pas ici dans le détail de notre soirée magnifiquement ficelée, j'ai bien sur exposé avec précisions mes émotions et perceptions à Monsieur et "E" en les remerciant sincèrement pour ces moments intenses.
J'ai pris conscience que ma docilité était bien une partie intégrante de ma personnalité, j'ai vraiment apprécié sentir vibrer ma fibre de soumise, et que l'on me montre le chemin, il est long à parcourir mais cela me donne l'envie de poursuivre mon apprentissage, pour atteindre l'abandon, la confiance en moi et l'appartenance dont j'ai besoin.
J'ai rencontré deux personnes formidables, attentionnées et touchantes par leur complicité, leur respect mutuel et envers les autres, leur délicatesse, le dévouement d'"E" pour son Maître et mari et je remercie la chance qui m'a été offerte d'attirer leur attention et de croiser leur route.
Je ne m'attarderais pas sur leur élégance, leur raffinement, sinon ils vont prendre la grosse tête ;-) mais j'ai été séduite par la féminité d'"E", par la prestance de Monsieur et par l'ambiance qu'il a su créer.....
Je suis fière d'avoir eu l'audace de répondre à leur invitation et de franchir le seuil du Fessarium. Y aura-t-il une seconde étape ?
Cette soirée magique restera longtemps gravée dans ma mémoire et j'espère qu'elle ne restera pas isolée.
Monsieur, votre pseudo est tellement représentatif de votre personnalité......
Prenant à cœur votre rôle de dirigeant pour nous amener là où Vous/nous le souhaitions et nous montrer les ressources qui existent en nous pour notre épanouissement, vous nous aidez à nous élever vers l'excellence.
Vous êtes notre Ange.....
Depuis cette rencontre, nous avons maintenu un contact très chaleureux.
Tenant compte de toutes les parties concernées et principalement de mon idéal relationnel, qui est avant tout de trouver LE Dominant auquel je pourrais appartenir de façon exclusive, Monsieur m'a fait une suggestion.
Il souhaite me prendre sous son aile éducative, protectrice, et me permettre de développer mon expérience aux côtés d'"E", en m'offrant une invitation permanente sous son toit, tout en aménageant notre relation de façon à ce que je puisse poursuivre ma quête.
J'ai donc accepté de devenir une "soumise libre" néanmoins placée sous la gouvernance du Maître du Fessarium qui n'en sera pas moins exigeant.
Monsieur Sitaël, puisque vous l'avez sans doute reconnu, est donc toujours à la recherche d'une soumise avec collier.......
cerisa
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Etat Second
Plus qu’ un moment
Plus qu’ un sentiment
Plus que des sensations
Un état second
Ce moment où
Le lâché prise ce créé
Ou tout autour de moi, le monde s arrête de tourner
Ou toutes mes pensées ne vont que vers lui
Ou j ai cette sensation que mon corps s’envole
Et mon cœur s’emballe
Ce soir la, les cordes étaient de sortie
J aime les voir dans les mains de mon Maitre
Car quoi qu il arrive
Je sais
Je sais que ce sera un moment intense
Il commença par les faire glisser le long de mon torse
S enroulant encore et toujours autour de mes seins pointant
Il les fie descendre dans le creux de mes reins
Caressant délicatement mes fesses irisées d envies
Je les sentie se rouler de part et d autre de mon intimité
Et remonter doucement sur mon ventre
Le corset se dessinait petit a petit
Et les cordes
Elles
Ce tendaient de plus en plus fort
Je sentais la chaleur monter
A chaque tour de plus
Ce n était pas une douleur
Mais bien un plaisir
Plus mon Maître serrer
Plus mon envie augmentait
Plus mon souffle s accélérait
Les liens une foi posés
il commença a me tourner autour
Posant délicatement ses mains
Sur cette peau à fleurs
Mon excitation se faisait des plus grandissante
Plus il me caressait
Plus je me sentais humide
Mon esprit commença à se déconnecter
A partir loin
Loin de tout
Je ne sentais que sa peau sur la mienne
Et ses liens qui augmentaient mon plaisir
Il commença alors a se frayer un chemin dans mon intimité
Satisfait de voir a quel point je dégoulinais d envie de lui
Tout en me masturbant
Il me maintenait par les cordes
Piégeant l'ensemble de mes membres
Etrangement, cela augmentait le bien-être
Il se glissa alors fermement dans mon fessier
Je ne demandais que cela
Il arrêta alors de me masturber
Voulant voir ma jouissance venir d ailleurs
Et il avait raison
Les coups de rein se faisaient insistant
J en tremblais tant c était bon
Une sensation qui m était des plus inconnue
Tant j étais loin de tout
Je ne sentais que lui en moi
Les cordes qu’ il tirait de plus en plus fort
Et son souffle dans mon cou
Il agrippa fermement mes seins
Ses vat et vient de plus en plus percutant
Et la
la...
Vint une jouissance sans égal
Une explosion d'une ampleur sans pareille
Me voyant jouir
Et dans cet état second
Mon Maître pris enfin son plaisir lui aussi
Dieu que j ai aimé ce moment
Il me blotti alors contre lui et me serra fortement
Voyant ma peau frissonner tant j avais froid
Je me sentais vidée de toute mon énergie
Il me recouvrit
Et m enleva délicatement les cordes
Prenant soins de les faire glisser doucement sur ma peau
Il sait que j aime cela
Une fois ses liens retirés
Il me fit m allonger
Petit a petit, je descendais de mon nuage
Il m enlaçait
J étais bien
Je planais
Ce fut un moment pour moi magique
Où l espace d un instant, j ai quitté mon corps
Et suis partie dans une autre dimension
Merci à toi mon Maître,
Merci de me faire partager tout ces plaisirs
Tous ces instants sans pareille
Merci de prendre soins de moi
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Je travaille sur l'ordinateur, concentrée. Je t'entend aller et venir, t'occuper dans ton coin. Je goûte la douceur de ce moment de vie. Je souris, en lisant certains mails...
Tu sors de la salle de bain, et tu viens te mettre debout, à côté de moi. Du coin de l'oeil, sans tourner la tête, je note que tu t'es préparée. Je vois tes escarpins, tes chevilles fines gaînées de nylon, mon regard glisse jusqu'à l'ourlet de ta robe...
"Je finis ce que je suis en train de faire". "Je vous en prie"...
Je prend tout mon temps pour terminer, pour fermer tous les onglets, pour éteindre l'ordinateur. Je ne me suis toujours pas retournée. Je sais que tu es en même temps émotionnée, et malicieuse, tu sais très bien l'effet que tu me fais, en mode allumeuse... Debout à côté de moi, tu patientes. Moment presque convenu...
Lorsque j'ai rabattu le capot du portable, je me retourne enfin. Et je te regarde.
A ton regard, je sais que mes yeux en disent long... Je me lève, je t'embrasse, te caresse un peu. Puis je te demande de t'assoir sur le fauteuil derrière toi. A genoux devant toi, je caresse tes chevilles, je remonte doucement jusqu'à la lisière de tes bas, j'embrasse la peau si douce du haut de ta cuisse. Je te mord, aussi, et je te lèche. Tu te pâmes... De longues minutes vont passer, entre excitation et douleur. Tu m'appartiens, ma chose, mon allumeuse, ma merveilleuse, ma salope...
Nous migrons sur le canapé, sous un plaid, pour papoter, entre tendresse, rire, sérieux, avec toujours, en filigrane, l'envie de jouer. Tes yeux tendres sont remplis d'émotions, de désir, de bonheur. De temps en temps, je prend possession de toi, à coup de caresses, de baisers au creux de ton épaule, de mordillements et d'agaceries. Tu gémis, heureuse, offerte à ma passion.
Puis soudain, je te demande de te mettre en position pour une fessée. C'est une envie qui m'est venue quand tu étais debout, devant moi. Je l'ai laissée mûrir, lentement, savourant à l'avance les préparatifs.
Tu t'exécutes, avec cette élégance qui te caractérise, très dame comme il faut. Tes escarpins reposent sur l'accoudoir, bien parallèles. La tête repose sur tes bras croisés. Tu attends, confiante.
Je remonte doucement ta robe, tout doucement. Je découvre ta culotte grise, en dentelle. Je la baisse, tu m'aides un peu, en soulevant rapidement ton bassin. Je l'arrête à mi-cuisses. Je regarde ta peau si douce, l'arrondi de tes fesses, la beauté de l'instant... Et je commence à frapper.
Rien de régulier, dans le mouvement, je veux te surprendre à chaque coup. Je frappe fermement, sans concession. Tes fesses rougissent vite, très vite. Tu restes imperturbable. Seuls tes gémissements de plaisir m'indiquent que tu es là, avec moi, bien que déjà loin, dans ton abandon. Je frappe, j'alterne les endroits, en haut, au milieu, sur les côtés, en bas. Notre excitation monte, tu commences à te tortiller, tu essaies d'écarter tes cuisses, en vain ! Elles sont entravées par tes dessous. Je te rappelle à l'ordre, tu ne dois pas bouger ! Tu te calmes, et tu me laisses faire. J'ai tellement de plaisir à sentir ma main s’abattre sur ton fessier !
Il est temps de passer à la vitesse supérieure.
Maintenant, je vise ton sillon, mes claques s'écrasent sur ton anus, tu deviens folle de plaisir. Tu halètes, tu te cambres, tu réclames ma volonté, tu t'ouvres et tu pousses des gémissements de plus en plus longs.
Je frappe fort, avec précision, vite. Je transpire, je suis emportée par le plaisir de te faire mal, de te faire mienne, de te faire du bien.
Le temps, un moment suspendu, reprend son cours normal avec ta jouissance qui fuse, qui explose, qui rempli toute la pièce de notre bonheur.
Alangui, mais le coeur gonflé de joie, tu te redresses, tu m'embrasses doucement ma bouche, en me disant merci, un grand sourire aux lèvres.
Nous qui n'aimions pas la fessée....
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Il marche sur le nuage. Entre coton et neige. Il n’a pas froid, pourtant il est nu. Sur sa droite et sur sa gauche des falaises arrondies s’élèvent, et plus il avance plus elles s’élèvent et se rapprochent.
Il est bientôt dans une vallée de plus en plus encaissée qui semble se rejoindre au loin en une grotte, une faille immense.
C’est son but, il le sait.
Plus il avance, plus son sexe s’érige, durcit, enfle. Lorsqu’il arrive au bout, là où tout se rejoint en cet énorme sexe féminin, son phallus est trop grand, trop lourd pour continuer : il dépasse d’ailleurs sa propre taille et continue à grandir ; sous le poids, il s’écroule en arrière.
La vulve cyclopéenne s’entrouve alors et se penche vers lui, mais il ne se sent pas menacé à cette vue. Il est allongé dans le nuage souple, rien ne l’inquiète, rien ne l’oppresse, au contraire le désir et le plaisir emportent sa raison, il n’est plus que cette immense tour de chair vibrant aux rythme de battements réguliers, cardiaques, dressée et tendue vers le ciel et vers cette gigantesque bouche verticale.
Connexion : elle s’empale enfin, l’enserre, il se laisse aspirer tout entier, il sait qu’il n’étouffera pas, pourtant il a chaud, très chaud, comme une chaudière sur le point d’exploser.
Mais il ne faut pas qu’il explose, non, pas tout de suite.
“Oui ! hurla-t-il.
Elle était accroupie, allant et venant sur lui, souriant les yeux fermés, sa peau luisant de sueur dans la pénombre.
Il était à présent complètement éveillé, du plus beau réveil de sa vie, dans sa chambre, du grand appartement !
- Oui, encore, pas de problème, Dom, je vais pas m’arrêter, oui, bouge aussi, prends-moi, plus fort ! BAISE-MOI !”
Ce qu’il fit.
*
Petit déjeuner à deux dans la grande cuisine ensoleillée.
Ils étaient tous deux affamés, n’ayant presque rien mangé la veille au soir. Ils avaient plutôt parlé jusqu’au milieu de la nuit, en grignotant du fromage et des biscottes, le tout bien arrosé de vin.
Dom n’avait pas osé faire l’ombre d’un premier pas, ni même réclamer sa récompense promise : la tombée du string.
Puis tombant de sommeil, il avait proposé à Dominique la chambre d’ami, où séchaient les vêtements, et était allé s’écrouler dans son propre lit, ignorant la surprise qu’elle lui réservait au petit matin.
“Tu m’as bien eu, cette nuit...
- Me dis pas que tu n’en avais pas envie.
- Bien sûr, mais je ne sais jamais m’y prendre.
- Je t’ai pourtant bien tendu la perche, dès qu’on est arrivé chez toi hier soir.
- Oh, je me suis dit que tu étais comme ça naturellement, sans pudeur aucune...
- C’est un peu vrai.
- Nympho, même.
- C’est un peu vrai aussi, selon ce qu’on veut dire.
- Et moi, je suis timide, je n’aborde jamais les femmes... Je passe mon temps à fantasmer, et c’est souvent suffisant.
- Pas possible ? Tu baises jamais ?
- Pratiquement.
- Non ? Je vais arranger ça, moi, tu vas voir !”
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Perle de bougie
La nuit s'offre, telle une promesse de plaisirs défendus,
Enivrant mon esprit vagabond de mes délicieux caprices,
Ouvrant cette porte, je te retrouve là, humble, les yeux baissés.
Je souris de te voir ainsi, si beau dans cette posture que tu as adopté,
Les mains paumes ouvertes, les cuisses écartées, tout ton corps mis à nu,
Laissant à ma main le pouvoir de m'emparer de ton intimité.
Immobile, tu attends le moindre de mes gestes, le moindre de mes ordres,
Assoiffé d'un simple contact, d'une simple attention de ma part,
Tout ton corps frissonne lorsque mes doigts dessinent des volutes,
Sur ton ventre qui se soulève haletant de cette simple attention,
Je me penche alors vers toi, mon regard se posant sur ton désir grandissant.
Esquissant une tendre caresse entre tes cuisses, je souris à la réponse de ton corps.
Ma main s'est maintenant emparée du premier de mes jouets,
Tes yeux brillants trahissent un mélange d'excitation et de crainte,
En découvrant la cage qui va restreindre ton désir, l'enfermer pour mon plaisir.
Ouvrant délicatement l'instrument de ton supplice, je te glisse dans ta prison,
Poussant doucement mais sûrement jusqu'à pouvoir refermer le verrou,
Bouclant ton plaisir, embastillant ta jouissance, internant ton désir.
Mon visage s'illumine en même temps que la bougie que je tiens.
Ton visage s'embellit à mesure que l'excitation grandit de la voir s'approcher,
Excitation contrariée par cette cage qui te blesse par son exiguïté,
Faisant naitre simultanément la douleur et le plaisir dans tes yeux.
Je me plais à te faire languir, je te devine impatient de goûter à la première larme,
La première perle de cire, provoquant ainsi, chez toi, un raz de marée de sensations.
Lorsque la goutte s'écrase enfin sur ton intimité furieuse d'être encagée,
Tes yeux explosent en une myriade de poussières d'étoiles,
Alors qu'une vague de plaisir naissante se répand dans tout mon corps.
Je détaille ta verge cloitrée enchâssée dans son sarcophage de métal,
Se tordre, cherchant à repousser les murs de sa prison si meurtrissante,
Alors que la délicieuse cire s'écoule de part et d'autre du gland humide.
Je vibre à la vue de ton corps qui lutte contre l'emprise de la cage,
Je frémis à chaque perle de cire qui tombe sur ma cible,
Tout mon corps ondule au rythme des gouttes qui s'écoulent.
Je te vois te cambrer, suppliant du regard pour ta délivrance,
Alors que que tu sens ta verge suppliciée par ta propre excitation,
Provoquant ma jouissance en lâchant l'ultime larme de cire.
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Il y a deux semaines de cela, elle arrivait sur le site. La première chose qu'il fit, c'est lui souhaiter la bienvenue, rien d'autre.Sur son profil, Elle avait écrit: «Je déclinerais toutes demande d'amitié, sans avoir un minimum discuté et toute offre de soumission, en guise de premier contact.»Elle lui répondit pour le remercier de son accueil.Quelques jours plus tard, elle lui envoya un message, pour lui faire savoir qu'elle aimait la justesse de ses commentaires sur les posts.Lui, la remercia et osa dire: «Peut être aurais je l'honneur de vous rencontrer un jour»Une semaine plus tard, suite à des commentaires qu'il fit sur les textes qu'elle déposa, un nouveau message lui parvint «aurais je trouvé un fan de plus?»Il y répondit, et ensuite s'ensuivit une discussion sur le petit chat, ils parlèrent, de tout et de rien, de l'écriture, au cours de celle-ci, il lui indiqua un texte qu'il avait écrit.Le lendemain, un petit mail «j'ai lu ton texte et trouvé cela fort plaisant»Là, les mails et les petits chat s’enchaînèrent, jusqu'au moment, où, elle lui dit quelle aimerait bien le rencontrer, il répondit de même, et tout naturellement, ils s'échangèrent leur numéro de téléphone et lui ses disponibilité, puisque elle était en congé, rendez-vous fut pris aussitôt pour une rencontre.Elle choisit le jour, étant libre trois jours consécutif, il lui offrit ces jours comme une offrande, précisant, «Je me présenterais à vous et après m'avoir testé la décision sera vôtre ou vous me jetterez dehors le soir même ou vous me garderez». Elle accepta.Elle lui téléphona, il entendit sa voix, une vois ensorceleuse, ils discutèrent et elle décida de garder le mystère sur elle, jusqu'au moment de la rencontre, comme il avait écrit sur son texte «Fantasmes», pour pigmenter le jour de la rencontre, elle décida qu'un petit jeu de piste serait de mise, la seule chose qu'il sait à ce jour, c'est qu'il doit lui envoyer un message, lorsqu'il partira de chez lui et ensuite arrivé au premier lieu la contacter par téléphone.Tous les jours, avant la date de ce rendez-vous, ils parlent par mail ou petit chat, même un soir sur «skype», il lui décrit son excitation, la fébrilité qui l'étreint.Il a préparé tous «ses jouets», dans sa valise, ils prennent plus de place que le reste de ses affaires, normal, pas besoin de grand chose lorsque l'on s'offre en pâture à une prédatrice.Aujourd'hui, 5 Août 2014, à quinze heures, il reste à peu prêt vingt quatre heures avant cette rencontre, il veut être à la hauteur, pour qu'elle ne le jette point dehors et qu'une relation se tisse.La tension monte, comment vous dire ce qu'il ressent, son corps réagit, d'une drôle de manière, mais son esprit est clair, il a l'impression de ne pas être lui même, sain d'esprit, mais pas de corps, il a l'impression que celui-ci est parcouru de mille frissons, du chaud, du froid, l'estomac se noue et se dénoue et il reste vingt quatre heures. Que va être demain?Dans trois heures, il part travailler, pour ne rentrer que douze heures plus tard, avant de se coucher, pour dormir un peu, raison pour laquelle, il ne la rencontra que dans l'après-midi, s’il arrive a dormir, vu déjà dans l'état où il se trouve actuellement, pourtant, ce n'est pas la première fois qu'il rencontre quelqu'un, mais jamais, il ne s'est senti dans un tel état, fébrile, fiévreux, anxieux.Mercredi 6 AoûtAprès sa nuit de travail, il n'arriva pas a dormir, il pris donc un bon bain et se nettoya les entrailles, avec le tuyau de la douchette, revérifia sa valise, vu qu'il n'avait pas d'heure précise pour se présenter à elle, il décida de prendre la route, après avoir pris la peine d'acheter un bouquet de fleurs un duo de roses rouge et blanche, car un gentleman, ne se présente jamais les mains vide à la porte d'une Dame, même si c'est pour se faire martyriser. Au moment de vraiment partir, il envoya un sms, «je démarre pour chez vous dans quelques instants.»Le trajet se fit sans encombres, il arriva donc à la sortie d’autoroute convenue, il se gara et jeta un œil, sur tous les véhicules garés, avant de prendre son téléphone et de l'appeler.«Bonjour Madame, je suis à la sortie d'autoroute»«Tu as vite fait, si pressé de me rencontrer?»«Non Madame, j'ai roulé à une moyenne de 110 kh, et oui je suis assez press黫 Bon, alors, tu vas prendre la direction de …..., puis la première à droite, toujours en suivant la direction de …....., tu passeras deux giratoires, et ensuite lorsque tu arriveras à …..., tu me rappelleras.»Allez, il démarre et en même temps, il regarda son rétroviseur, afin de vérifier si aucun véhicule ne le suit (car il a pensé que sachant approximativement le temps qu'il allait mettre, elle s'est peut être postée à l'endroit d'où elle lui a dit d’appeler pour le suivre et le guider au fur et à mesure des appels qu'il va lui passer, mais aucun véhicule ne fut repéré.Pourtant au bout d'un moment un sms arriva sur son portable. «Tu as du te perdre, tu aurais du déjà appeler» En effet, je me suis perdu, suite à une mauvaise indication, sur un panneau et pas de mon interlocutrice, il revint donc sur ses pas et pris la bonne direction. Étrange, toujours aucun véhicule derrière lui et pourtant, il avait l'impression qu'on l'épiait, puisque elle savait.Il arriva donc au deuxième point de rendez vous, et appela à nouveau «Madame, je suis arriv黫Oui, je sais, tu vois le panneau d'arrêt de bus?»Il descendit de la voiture et vit le panneau derrière lui «Oui Madame»«Tu vas donc faire demi tour, puis prendre à gauche, passer devant de garages, t'engager sur la voie réservé aux riverains et tu te gareras, il y a un bâtiment repeint de neuf, tu cherches l'entrée et descend de deux étages, là tu n'auras pas de mal à trouver ma porte.»Il suivit donc les instructions, trouva la porte sans difficultés, un masque de sommeil y était scotché, il le prit et le plaça sur ses yeux, puis frappa à la porte.«Ah, tu as trouvé, tu a mis le masque?»«Oui Madame, la porte s'ouvrit «Entre, pose tes affaires, suis-moi»Il posa ses affaire, lui tendit malhabilement le bouquet, ne sachant où elle se trouvait vraiment, elle prit le bouquet et sa main et le guida dans le noir, il suivit a petit pas.«Voilà, ne bouge pas!», il sentit des mains, lui retirer le masque. Le temps de retrouver sa vue, elle était là devant lui, légèrement plus grande que lui, de long cheveux noir, retenu en un genre de chignon, des yeux malicieux de noisettes foncés et un sourire carnassier.«Alors déçu?»«Non Madame, je désirais être entre vos mains avant de vous voir et non, je ne suis pas déçu.»Il est là devant elle intimidé, elle se rendit compte de son trouble. «Intimidé?, tu ne parle pas beaucoup!»«Oui Madame»Elle ouvrit le sac quelle avait préparé et lui menotta les poignets, puis entreprit de déboutonner sa chemise, laissant courir ses doigts sur son torse, ventre et bas ventre, sortant ses griffes de temps en autres, pour les planter dans sa chair et y tracer des sillons. Tout en continuant de parler. «Tu n'es pas un peu fou, de te jeter ainsi dans les griffes d'une inconnue?»Ça, pour les griffes, c'est sûr! «Oui, peut être un peu Madame, je suis en votre entier pouvoir, mais quelque chose depuis notre premier contact, me dit que je peux avoir confiance.» Elle lui posa la chemise et lui défit son pantalon, le laissant en string.«Va chercher ta valise et montre moi, ce que tu as apporté»Il alla donc chercher sa valise et l'ouvrit en face d'elle, en sortit une barre d’écartement, une boite contenant des bracelets de cuir, une autres des cadenas, une troisième, contenant des chaînes et autres objets, trois colliers, une chaîne laisse, elle en choisi un et lui passa au cou, il continua a sortir ses affaires, une perruque, une jupe écossaise style kilt, un chemisier, un soutien gorge et une culotte en dentelle blanche, deux paires de chaussure.Elle lui posa des questions, pour savoir comment et où, il avait acheté les affaires féminine, il lui répondit, dans un super marché pour la culotte et le soutien-gorge, un magasin de chaussure, pour les chaussures et sur le net pour le kilt.A son tour, elle lui présenta ses jouets, trois cravaches deux gentilles et une méchante, deux minis martinet, un whip (pas sur du nom), des menottes, des chaînes et des cordes.Elle prit des cordes et lui fit un shibari et une fois lié, elle l'aida à s'allonger à terre pour continuer, elle lui fit ainsi prendre plusieurs positions, plus ou moins sympathique, usant aussi du whip et de la cravache, en plus de ses griffes, l'après midi passa ainsi, pour le soir elle avait en tête d'aller au «Clair Obscur», car il y avait une démonstration de shibari, elle se tâtait encore, puis enfin se décida, il fallu donc se préparer, elle lui avait demandé s'il avait des vêtements noir et si c'était le cas de les prendre, ce qui lui avait immédiatement pensé a une soirée dress code, avant de se vêtir, il lui tendit un sachet, «Cela va peut être de rigueur!» et il en sortit une cage prison en silicone, acheté quelques jour plus tôt sur ABC, la boutique de Fessestivités.La bataille, fut un peut rude pour arriver à y enfermer la bête, ils durent faire cela à quatre mains, elle put enfin y passer le cadenas, dont elle garda les clés. Une fois habillé, et après avoir préparé un sac de matériels, ils se mirent en route. Arrivé sur place et après qu'il eut payé l'entrée, elle lui fit poser sa chemise et ses chaussures au vestiaire, garda juste son pantalon, ils se sont assis un moment, elle lui dit «Prend le collier et les bracelets dans le sac»Il prit le sac mais ne les trouva pas, ils sont restés sur la table du salon, pas grave, il est un soumis sans collier. Vu qu'ils étaient en avance, elle lui fit faire la visite des lieux et surtout un petit cachot, où se trouve un instrument, quelle aime bien, après l'avoir installé dessus et attaché, ses griffes sont de nouveau entrées en action, labourant délicatement les chairs, pour y laisser des stigmateset le faire râler sous elles, ensuite, ils retournèrent en salle et prirent une petite collation, attendant le début de la soirée et la démonstration, le club se remplit peu à peu, assis côte à côte, ils se susurrent des commentaires sur les tenues et autres des arrivants, comme deux personnes qui se connaissent depuis toujours.En changeant de salle, ils se rendirent comptent, qu'ils n'étaient pas dans la bonne et assistèrent a une ou deux démonstrations, ensuite, elle se leva et il la suivit, dans une nouvelle alcôve où, elle l'attacha, face au mur et entreprit de s'occuper de son dos et de ses fesses, avec le whip et la cravache, avant de le détacher et d'aller s'installer dans un petit recoin, ou, ils avaient une vue d'ensemble sur plusieurs alcôves, là, elle posa sa jambe sur ses cuisses et il se mit à la lui masser, sans quelle ne lui ai rien demander, puis elle changea de jambe, ils retournèrent à la salle de démonstration et virent encore quelques situations, Elle enregistrait au fur et à mesure, les éléments qui lui manquait dans l'art du shibari, quelle maîtrise déjà bien. L'heure de rentrer étant arrivé, ils reprirent la voiture.Arrivé dans l'aire de la Dame, elle le fit déshabiller, lui passa les bracelets aux chevilles et aux poignets, qu’elle cadenassa, et relia par une chaîne, le fit se coucher et attacha une chaîne au sommier quelle fixa a l'un des bracelets des chevilles et fit de même pour les poignets, elle le laissa ainsi pour la nuit.Il était heureux, la première partie de la rencontre s'était bien passé, puisque, elle ne l'avait point jeté dehors, comme il était convenu, s'il ne lui convenait pas.Jeudi 7 AoûtLorsqu'elle décida, qu'il était l'heure de se lever, elle vint le détacher, ils déjeunèrent, Il vu qu'elle avait l'air d'avoir mal au dos et il lui proposa un petit massage, qu'elle accepta aussitôt, cela lui fit du bien, ensuite elle joua un peu avec lui, avant de lui demander d'allumer le barbecue pour le repas du midi, qu'ils prirent en commun, après celui-ci, il fit la vaisselle et ensuite, il fut à sa disposition.Elle le fit agenouiller devant la table basse, lui lia chacun de ses poignets par une corde, quelle attacha aux pieds de la table, puis fit de même avec ses chevilles, la whip, et la cravache entrèrent en action, sur ses fesses et son dos, puis, elle s'occupa de sa petite rosette, quelle lubrifia, pour y faire pénétrer un petit plug, qui vilain, ne voulait point rester en place, elle le remplaça par un rosebud, qui lui aussi au bout d'un moment s'échappa.Après cela, elle le détacha et reproduit sur lui, exactement le même shibari que vu la veille, puis, lui dit d'ouvrir sa valise et se vêtir en fille, d'abord, la culotte, puis le soutien gorge, suivie du kilt et du chemisier, dont il dut boutonner les premier bouton et ensuite faire une nœud, avec le bas de celui-ci au niveau de son ventre, il mit ensuite les chaussures et se coiffa de la perruque, elle le trouva joli et le laissa ainsi toute la soirée, qui passa avec quelques jeux.Ils préparèrent le repas du soir ensemble et lorsque l'heure de se coucher arriva, le même scénario que la veille se reproduit, il fut enchaîné pour la nuit.Vendredi 8 AoûtAu lever petit déjeuner et vaisselle, il fit cela avec les entraves aux chevilles et au poignets, en suite quelques petites séances de griffure et de cravache, le repas de midi fut préparé et pris en commun, comme les autres jours, puis à nouveau un peu de shibari, là, elle s’aperçut, qu'il avait du mal a garder quelques positions et comme, il a de l’embonpoint, elle décida de s’improviser coach, avec des exercices au sol, qui firent la joie des deux, car en ces quelques jours, un complicité les a réuni, souvent, il la regarde droit dans les yeux, elle aime cela être regarder, alors souvent une question fuse, «A quoi tu penses?»La réponse est souvent « A rien Madame, je vous regarde, c'est tout» même si ce n'est pas toujours la vérité, elle le sait bien et le regardant toujours avec son sourire, dont elle ne se défait jamais lorsqu'elle le regarde, elle réitère sa question, la réponse et toujours la même.Il sait très bien et a compris, quelle ne veut pas d'une simple larve à ses pieds, il joue donc de cela avec des réponses à la normande, du style, je ne sais, aucune idée Madame, à certaine question après un shibari, du style «comment tu te sest?» la réponse et «comme un rôti, prêt à passer au four!» mais les réponses, même si elles sont données sur un ton un peu ironique le sont toujours dans le respect.Dans l'après midi, il était après un shibari, couché à ses pieds, elle joua un peu de la cravache, puis se réoccupa de sa petite rosette, quelle lubrifia et où, elle fit pénétrer un plug plus gros que la veille, ce qui occasionna, un petit déchirement des hémorroïdes et un peu de sang, il resta longtemps ensuite à ses pieds, les caressant.Après une nouvelle préparation du repas et la prise de celui-ci, elle décida de l'emballer, elle le fit donc asseoir, sur une chaise au milieu de la pièce et entreprit de le lier à la chaise avec du film plastique, une fois qu'elle eut fini, elle posa la question «Comment te sens-tu?» la réponse fut «Comme un steak, dans sa barquette, prêt à être mis sur le marché»La maligne, avait toutefois laissé deux accès au fondamentaux pour pouvoir jouer un peu, pendant, qu'il fondait un peu sous son emballage de plastique, à savoir une accès sur l'arrière pour la cravache et un sur le devant pour jouer avec ses griffes, la cage et ce qui en dépassent, puis elle le détacha et il passèrent le reste de la soirée côte à côte ou, il lui massant les mollets et les chevilles, à un certain moment, il aurait aimer faire quelques chose, mais il ne le fit pas de peur que cela fut mal interpréteé, (il sait que lorsque elle va lire cela, il va recevoir un message, lui disant «dit moi, ce que tu voulais faire?»), l'heure du coucher arriva et où se reproduit le même rituel que les soirs précédents.Samedi 9 AoûtÇa tire a sa fin, le lever est comme les autres jours, sauf que là, il va falloir ranger tout ce qui traîne partout depuis plusieurs jours, car, il va devoir prendre la route du retour, il travaille cette nuit.Avant de partir, il lui demanda de lui laisser une clé de la cage et un cadenas sans clé, qu’elle mit dans une enveloppe qu’elle scella, cela pour lui permettre de poser la cage en cas d'extrême besoin et de pouvoir la remettre et la refermer, avec l'autre cadenas, une chose qu’elle fit aussi, c'est de le peser, pour le cas d'une nouvelle rencontre dans son antre où, il aura intérêt a avoir perdu du poids, pour risque de se faire tanner le cuir.Pourtant, à l'heure qu'il écrit, il ne sait toujours pas si elle va le prendre comme soumis, il a un petit espoir, puisque il sait de sa bouche, qu'il a forcé quelques verrous, lui ouvrant l'antre de la belle, et qu'ils doivent aussi se retrouver d'ici quelques jours sur Vauvert.Je puis vous dire, que tout ce qui est décrit est véridique, il manque peut-être des choses, mais ces quatre jours, furent intense pour moi, et un très grand bonheur aussi, bien sûr, il y a des choses que je garde que pour moi.Ce fut les quatre jours, les plus merveilleux de ma vie, je pense que seul ce qui le vivent ou l'on vécu savent de quoi je parle et j'espère de tout cœur, que cela va continuer, que quelques verrous lâcheront encore, et que la Dame de mon cœur, accepte ce que je suis prêt à lui donner, mais que la chaîne avec laquelle elle m'enchaînera sera solide.Après la première rencontre, vu qu'ils devaient se retrouver au week-end Fessestivités du 16 et 17 Août, il s'était promis de ne pas accourir à ses pieds étant donné que seulement deux personnes étaient au courant de la première, sauf les petits génies qui avait su lire entre les lignes des textes publiés par les deux complices.Mais, arrivé sur place, après avoir salué toutes les personnes présentes, il s'assit d'office au coté de la belle Lady.Au cours de ce week-end, les liens se sont encore plus tissés et noués, normal, pour une adepte des cordes, qui ne sont pas les seules à son arc. D'ailleurs, les participants qui connaissaient Sacherm, virent en lui un changement évident. On lui fit savoir qu'il était rayonnant, étonnant, lui, qui n'a jamais été une lumière.Après le repas pris en commun, les jeux commencèrent entre les participants, à qui malmènerait le plus le dos ou les fesses des soumis, soumises ou adeptes de la fessée, les premiers, à coups de cravache, fouet ou martinet, les autres à mains nues. L'après midi passa ainsi. La Dame s'occupant aussi des autres soumis, avec une petite préférence pour Sacherm. Vint le moment où chacun commença à monter le bivouac pour la nuit. Le fond du jardin se transformait petit à petit en un mini camping.Sacherm, pour sa part, n'avait point de tente à monter, car lors de ces Week-ends, il avait pris l'habitude de dormir dans son break. Il aida donc la Dame à transporter son matériel et à monter sa tente, lui gonflant le matelas pneumatique. Ensemble, ils retournèrent ensuite vers les voitures, car, elle avait oubliée quelques chose dans la sienne pendant qu'il commençait à préparer son couchage. Elle revint alors, le plaqua dos à son véhicule et elle lui dit, après quelques échanges à jouer à deviner ce qu'elle pensait : « Je veux que tu dormes dans ma tente ce soir ». Agréablement surpris, il prit donc ses affaires et la suivit, pour les déposer sous la tente. La dame qui avait déposé sur le coté du matelas pneumatique, un tapis de plage lui indiqua alors : «Ce sera ta place».Il fut temps de rejoindre les autres, pour l'apéritif et le repas. Pendant la soirée, chacun reprit un peu les jeux pour le plaisir de tous. Quelques temps plus tard, certains partirent se coucher et d'autres restèrent pour discuter. Le maître des céans, demanda à chacun s'il avait de quoi coucher. Il posa la question à la Dame, qui lui répondit «J’ai ma tente pars là» en désignant le jardin. Puis, il se tourna vers Sacherm «Et toi?», la réponse fusa « J’ai ma tente par là». Celui-ci eut un regard surpris, ce qui fit ensuite bien rire les deux compères lorsqu'ils eurent gagné leur abri pour la nuit (Désolé Monsieur TSM, mais je ne pouvais éviter ce passage, qui nous fait encore rire lorsque l'on en parle).Une bonne partie de la nuit fut rythmé au son d'un concerto des animaux de Brème. Bon, je saute du coq à l’âne pour poursuivre mon récit. Les deux compères continuèrent à faire connaissance à voix basse et ajoutèrent quelques fous rires étouffé à chaque reprise de vocalises des artistes de la nuit. La nuit fut donc très courte pour eux deux.Le week-end passa très vite. Entre les discussions et les jeux, de nouvelles amitiés s’étaient noués, comme toujours lors de ces rencontres, et certains, repartirent, avec des souvenirs cuisants, comme de belles marques de cravache.Le moment de se séparer arriva et les deux complices décidèrent de se revoir, la semaine suivante pour quelques jours.Le samedi arriva assez vite. Il travaillait toute la journée, la veille, il avait préparé tout ce dont il aurait besoin et qui attendait sagement dans la voiture. À vingt heures, il prendrait la route. Une heure plus tard, arrivé à bon port, il sonna à la porte de l'antre de la Dame, elle lui ouvra. Il la salua, d'un «Bonsoir Madame» en lui baisant la main, puis ramassant ses sacs, il pénétra dans celui-ci, posa ses affaires.Elle lui dit «Tu as besoin d'une bonne douche ». Il se déshabilla, rangea ses vêtements, dans le dressing et se dirigea vers la salle d’eau, elle le suivit. «Avant, un petit contrôle» lui dit-elle en désignant la balance. En effet, le jour de son départ, lors de sa première visite, elle l'avait pesé, avec promesse de punition, s'il prenait des kilos.Il monta sur la balance confiant, n'ayant pas fait d'excès, mais la traîtresse, afficha un kilo quatre cent de plus, (je ne suis pas sur de la fiabilité de la balance). Elle dit «un kilo quatre cent, égale 1400 grammes, dix coups de cravache, par cent grammes, égale 140 coups (vous avez remarqué, elle sait super bien compter). Maintenant, allez hop, sous la douche!Ensuite tu me rejoindras nu».Il fit ce quelle lui ordonna et se présenta devant elle en tenue d'Adam, de son index, elle lui indiqua le tapis, lui intimant du doigt de se mettre à genoux devant elle.Après, lui avoir caressé la joue, du même doigt, elle lui indiqua un des tiroirs de la table basse «ouvre le et donne moi le paquet qui est à l'intérieur»Il s’exécuta, tendit à la Dame, le paquet, qu’elle défit et il découvrit le contenu. Surpris, il lui dit incrédule «si tôt». Elle lui répondit, je n'ai pas envie d'attendre». Et elle le para du collier et finit simplement par «Maintenant, tu peux m’appeler Maîtresse».Son cœur battait dans sa poitrine, zébrée, des griffures du dernier week-end, en quelques jours, le Graal, tant recherché et convoité depuis tant d'années, était la, rivé à son cou.Il s'était offert et le miracle avait eut lieu. Il n'aurait jamais cru cela possible, des années de quêtes et, en quelques jours, tous ses rêves ou presque étaient réalisés.Cette fois encore, il se donnait pour quelques jours, à celle qui était dorénavant sa Maîtresse, quel mot sublime à prononcer!Après la pose de son collier, sa Maîtresse lui dit: «j'ai acheté de nouveaux jouets, pour te torturer », elle se leva, partit un instant et revint avec un martinet en crin de cheval (Pauvre bête qui a du sacrifier les poils de sa queue pour mon tourment) et unfouet.Elle le fit se retourner et commença à le fouetter avec le martinet. Le pauvre y perdit quelques poils en se frottant au dos de Sacherm. Ensuite, elle prit le fouet, le regardant, le manipulant et le caressant, mais sans l'utiliser, pour des raisons, qui lui sont propres. Vint l'heure de se coucher, elle cadenassa donc une chaîne à son collier, et l'enchaîna ainsi pour la nuit, le laissant ressentir le collier et sa chaine comme ce nouveau lien entre eux. Le dimanche matin, après l'avoir détaché, ils prirent un petit déjeuner en commun, avant la correction à la cravache du matin. Ils partirent ensuite faire quelques emplettes, sur le marché de la ville, elle l'aurait bien féminisé pour l'occasion, mais étant assez connu, au vu de son métier, elle préféra n'en rien faire (dommage). Lors de cette sortie, il réussit, après de vives négociations, à ce que les cent quarante coups de cravache soient donnés en trois fois.Ils rentrèrent, déjeunèrent et elle reprit les jeux. Ce fut shibari.Ensuite, elle le fit se diriger vers sa chambre, où elle le fit agenouiller sur le lit, pour lui lier chaque chevilles à deux pieds du lit de manière à lui écarter les jambes. Elle lui attacha ensuite les poignets et, les lui tira entre les cuisses, avant d'attacher la corde.Il était donc là, le nez dans le matelas, les fesses en l'air pour sa vraie première correction. Elle lui dit: «Tu comptes et tu dis merci Maîtresse».Le premier coup, s’abattit sur ses fesses, il compta «un, merci Maîtresse!». Trente-neuf coups suivirent, elle le détacha et ils retournèrent dans la pièce principale, la soirée se poursuivit, par du shibari, jusqu'au coucher, où il fut enchaîné pour la nuit. Contrairement à la veille, il eut les chevilles entravées ainsi que les poignets, par une chaîne de trente centimètres, qui eux, furent relié à une chaîne attachée à son collier et au couchage. Ce qui contrairement à la nuit précédente, lui laissais beaucoup moins de liberté.Lundi, même scénario que la veille. Puis, ce fut une séance de fouet (je ne sais si c'est le fait d'avoir retrouvé un soumis ou le goût de manier cet engin qui lui était revenu). Quelques photos furent prises, pour immortaliser les traces qui disparaissent comme par enchantement en même pas une heure (cela la contrarie beaucoup d'ailleurs). La journée passa entrecoupée de coups de cravache et de fouet. Le soir, elle le fit appuyer sur la table et lui lia les poignets à deux pieds de celle-ci. Puis, elle lui glissa un chiffon dans la bouche, avant de compléter par un foulard. Il était ainsi muselé et ne pouvait crier afin de lui administrer cinquante coups de cravache, suite de la punition, sans être dérangée par ses plaintes. Après le repas du soir, la soirée continua avec divers supplices. Pour la nuit, ce fut comme la veille.Le lever se répéta à l’identique mardi. Ensuite, elle le fit asseoir à table et vint poser devant lui, un verre et une carafe d'eau, lui disant «Bois tout!», une fois la carafe vidée, elle en ramena une pleine qu'il dut aussi boire, un total de deux litre d'eau en un minimum de temps. Satisfaite, elle le fit lever, et entreprit, de le momifier avec du film noir d'emballage. Une fois sa tâche terminée, elle le fit basculer en douceur, contre le clic clac, avant de le laisser rouler à terre pour qu'il se retrouve sur le dos. Elle prit soin de lui mettre un coussin sous la tête, avant de lui poser un masque sommeil, pour lui occulter la vue et le priver de toute notion de temps qui passe. Elle partit, le laissant ainsi. Elle revint le torturer un peu, en lui pressant sur le ventre et la vessie, lui parlant, à plusieurs reprises.Lui, couché sur le dos, commençait à fondre, sous ce cocon de plastique, avec une vessie pleine, qui, suite aux petites misères qui lui furent infligées, ne put que se libérer par de longues saccades d'urine chaude qui remplirent la ganse de plastique. Il macéra ainsi, encore un moment, avant quelle ne vienne le libérer. (il passa plus de deux heures trente ainsi). Délivré de sa prison, elle le conduisit dans la salle d'eau, pour le doucher. Elle le frotta vigoureusement et méticuleusement. C’en était humiliant. L'après midi, elle lui fit ensuite, mettre la nouvelle perruque, qu'il avait amené, ainsi que sa jupe écossaise laissant ses fesses nues. Elle pu s’occuper de ces dernières ses fesses à coups de fouet, après la lui avoir fait relever. La journée passa en jeux divers, le coucher fut le même que précédemment.Mercredi, même scénario pour le lever, mais, avec une petite différence lors de la fessée à la cravache du matin. Contrairement aux autres jours, il en redemanda et au bout d'un certain temps, il éclata de rire, ce qui la déconcentra un moment. Plus elle tapait, plus, il riait. Elle refit l'expérience dans l'après midi, avec le fouet et le résultat fut le même. Elle filma même cet instant.Elle récidiva plus tard, avec les derniers cinquante coups de cravache de la punition, qu’elle filma aussi, bien qu'ayant pris le soin de le bâillonner, le résultat fut le même.La soirée continua, comme toujours avec divers jeux et le rituel du coucher termina la soirée.Jeudi, jour du départ, le lever traditionnel. Quelques jeux de fouet, puis, il fut temps de se séparer à contre cœur, mais maintenant, ils sont liés. L'histoire de Sacherm, va donc continuer, toutefois ses aventures se termine là pour le moment.
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C’est l’histoire d’une rencontre.
Quelques mots griffonnés sans destinataires.
Une justesse d’esprit, une finesse et une maturité dans les propos.
Le rêve de celle qui saurait saisir son essence, de désillusions en désillusions à rester dans son antre, loin de tous.
La perte de celui qu’elle croyait sien à en perdre un temps son âme, à voir son sourire disparaitre, repliée loin du monde et de tous ceux qui auraient pu la réconforter.
Qui aurait pu parier sur une telle rencontre ? Aucun des deux… sans nul doute.
Isolée, les pulsions grandissant de nouveau sans pouvoir les satisfaire, elle s’est simplement jetée dans la lecture de ces histoires différentes en guise de pis-aller. Elle découvrit bien davantage, un quelque chose de différent, une réelle envie de vivre, partager, de se rencontrer. Elle décida de poser ses valises et de se dévoiler un peu. Ses premiers mots tirés du passé comme pour l’en exorciser séduisirent. Elle en perdit son anonymat. Lui qui la vit arriver, resta en retrait, poli et prudent.
Le temps passa, quelques mots griffonnés échangés la rendirent curieuse.
Elle lut et lut encore ses mots. Il buvait déjà ses écrits sans oser trop lui avouer.
La sincérité de ses mots lui plut ainsi que sa sensibilité. Elle aimait tellement les textes qui offraient les émotions de celui qui prenait la plume.
Finalement, ils se rencontrèrent. L’observant, elle vit un être empli d’espoir de pouvoir s’offrir, conscient de ce qui aurait pu le faire renvoyer. Son émotion palpable, il n’osait émettre le moindre son de crainte de provoquer son déplaisir et le retour chez lui. Elle fut touchée de son émotion, elle le garda. Elle le testa évidemment et prit plaisir à le faire. Elle le malmena doucement. Pourtant, il ne se départit pas de son sourire et de cette lumière dans les yeux. Il la regardait comme elle aimait qu’il le fasse, lançant quelques petites phrases dans l’espoir de la faire rire de quelques taquineries. Elle gardait encore ses pensées pour elle, encore confuses. Pouvait-il être celui qu’elle cherchait ? Elle ne le savait pas encore. Il saisit pourtant son regard rieur et son expression joueuse. Ils s’apprivoisaient simplement, se découvraient.
Et puis, il y eut une étincelle, visible aux yeux de ceux qui les entouraient ce week-end là, l’impatience de se voir, de se toucher, de s’entendre. Elle ne pouvait nier avoir désiré son arrivée. Il ne put s’empêcher de se poser tout prêt d’elle. Une complicité s’était déjà installée. Profitant de chaque conversation, chaque petit jeu de ses compagnons, elle sentit une sérénité s’installer. Elle était bien, se sentait revivre au milieu de tous. L’envie de se joindre aux réjouissances la gagna. Sa proie toute trouvée n’attendait que cela. Elle en profita et sentit le plaisir la gagner. Elle s’amusa des compliments que l’on fit sur lui. Elle constatait que tous espéraient le début d’une belle histoire. Elle sentait le désir de le prendre sien grandir. Elle le voulait. C’était enfin là dans son esprit. Pouvoir le posséder entièrement, lui infliger ses délicieux tourments et le laisser lui rendre ce sourire perdu. Le moment n’était pas encore venu. Elle attendit, ressentant son emprise se renforcer.
Ils se retrouvèrent. Là, il était de nouveau à ses pieds, heureux de l’être. Il attendait son bon vouloir. Elle lui caressa la joue. Lui faisant ouvrir un tiroir, il sortit le paquet qu’elle lui avait indiqué et lui présenta. Elle l’ouvrit et il découvrit le contenu. Surpris, il lui dit incrédule : « si tôt ?». Elle lui répondit : « Je n’ai pas envie d’attendre ». Elle le para du collier et finit simplement par : « Maintenant, tu peux m’appeler Maitresse »
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Addictive, addiction
Passion, fusion
Nul besoin d'addition
Son compte était bon
Un, deux, cinq, six
Dix, onze, ... vingt-six
Trente-deux, trente-cinq
Quarante-deux, cinquante-cinq
Elle compta jusqu'au bout
Attachée, abandonnée à Vous
Droite, cambrure obligée
La pose autorisée, ordonnée
Emue d'être pardonnée
Aucune issue d'y échapper
Sous quelques sanglots
Elle vous accordait ces maux
Passion, abandon
Il fut hors de question
De vous livrer un 'non'
Vous étiez son 'démon'
Sous votre merveilleux fouet
Ceinture, cravache, martinet
C'est ainsi, que vous l'aimiez
Même si des larmes, elle versait
Délicieuse peau lacérée
De votre puissant fouet
En biais, bien fuselées
Vos marques, Vous y laissez
Certes, méritait-elle punition
Pour vos affolants 'plaisirs'
Terribles failles, vos désirs
Addition, addiction
La punition acceptée, apaisée
Dernier ordre, ne pas recommencer
Vacillante, elle pouvait se relever
Sans omettre de Vous remercier
Sur son visage les émotions passaient
Pas de feinte chez elle, Il appréciait
Même si des larmes, elle versait
C'est ainsi qu'il l'aimait.
Le 27 octobre 2014
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Je me cherche...et te recherche
Un chemin que j'ai entrepris depuis quelque temps, soulever un à un, les voiles du mystère. .. J'ai pris une direction, la moins contraignante. .. pas forcément la plus évidente. .. Avec douceur, et patiemment j'avance à mon rythme, teste et détermine, j'aime ou j'aime pas. Je me découvre, me surprends et savoure ces instants partagés... le plaisir, l'abandon que je crée ..il faudrait m'apprendre, me guider.... Ces univers, si vaste, glauque, froid, dur, douloureux, impressionnant me terrifie...il y a d'autres chemins, d'autres endroits..faut il savoir où aller? Fermer les yeux et rêver....
Sereinement, s' avancer en confiance, une main tendre et ferme...patience, subtile caresse, douceur sécurisante des cordes...s' accrocher pour ne pas tomber, juste se balancer avec un sentiment de liberté. L'étau se resserre peu à peu....sans crainte?
Où allons nous?
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12 : 30 : Réveil tête dans le guidon. Heureuse. Encore toute retournée… Pleine, remplie, épanouie… J’émerge tout doucement, mes membres s’animent d’eux-mêmes et je m’extirpe tant bien que mal du lit, avec la grâce et l’élégance d’un pachyderme. Mes membres tirent. J’ai des courbatures absolument partout, des bras jusqu’aux jambes ! Je crois que c’est le signe d’une nuit bien remplie et surtout, réussie…
Il y a quelques heures tu étais dans mon lit, il y a quelques heures j’ai fermé les yeux avec tes caresses, avec tes mains dans mes cheveux, sur mes seins, sur mes joues, sur mon ventre et partout ailleurs. Il y a quelques heures, je me suis endormie avec nos regards entrelacés, bercée par ton aura douce et bienveillante…
Le temps d’un chocolat chaud à la cuisine et je me souviens… Le commencement, la genèse de notre nuit. C’est dans cette pièce que tu m’as déshabillée, d’abord du regard, ensuite de tes mains. Tout un début, les préliminaires du plaisir. Il y a toujours ton sachet de thé vert, nos deux tasses, le souvenir du mug brûlant entre mes mains qui tremblaient de désir.
Je sors de la cuisine et m’arrête un instant dans l’entrée. C’est ici d’où tu es parti ce matin, c’est à cet endroit où nous nous sommes serrés l’un contre l’autre, pour notre dernière étreinte, dans la pénombre avec le son des oiseaux qui commençaient déjà à gazouiller. C’est dans cette pièce où, en entrant à la maison, tu as demandé où était ma chambre…
Mon regard s’arrête sur le salon qui est ouvert. Si la cuisine est l’incipit, le salon est pour sûr l’intrigue principale. Il y a encore quelques vestiges de ta présence : la bouteille et nos verres, les traces, le cendrier… Tellement de choses auxquelles penser ! Tellement de gestes, de paroles et d’actes… Tes petits mots chuchotés sans détour, ton regard tantôt doux, tantôt sévère… Le contact rugueux du tapis, celui du canapé… Tes cordes… Ta peau douce, ta queue dure comme du bois sur mes lèvres, la brûlure de ta tige de bambou… Tes claques sur mes fesses, tes mains agrippant mes hanches… Pffiou…
En me dirigeant vers ma chambre, je passe devant la salle de bain qui a elle aussi été un élément significatif de nos ébats. J’ai croisé ton regard dans cette glace, pendant que j’appliquais mon rouge « rouge pétasse » en arrondissant les lèvres. A cet endroit, tu t’es approché de moi, toujours devant la glace, tes mains se sont accrochées à mon corps et m’as enculée sans préambule. Les yeux dans les yeux...
Enfin, ma chambre. Là où nous avons fait l’amour pour la dernière fois de la nuit (ou du petit matin), collés l’un à l’autre, doucement, dans un océan de tendresse… Combien de fois d’ailleurs ? Beaucoup, c’est sûr. Là où tu m’as offert ta jouissance. Je connaissais déjà ton incroyable douceur, mais à cet endroit si particulier, c’était encore plus puissant… Tu étais là il y a quelques heures, allongé tout contre moi…
Dans cet appartement j’ai découvert beaucoup de choses avec toi. J'ai passé un moment merveilleux, magique et teeellement agréable ! Heureusement que tu es venu. L’occasion était trop belle…
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Petite morsure
A mon regard, tu t’es offert, pieds et points liés comme le dit si bien l’expression.
Tu es donc là devant moi, attentant mon désir, ma volonté, confiant, au mépris de la raison ou de la prudence. Tu ne crains pas l’inconnue qui est devant toi. De ma main, j’ouvre le sac de satin rouge que je tiens pour saisir l’outil de mon plaisir. S’il est bien une chose dont je raffole, c’est d’apposer de petites morsures sur le corps d’un homme avec ce que je tiens entre mes mains. Ce délicat pinceau de ma volonté sur ta peau qui laisse de si excitantes marques. Je le caresse du manche qui permet ma prise jusqu’à son extrémité si mordante, ce petit rectangle de cuir qui s’imprègne si facilement dans ta peau.
Dans tes yeux, je lis le désir, le plaisir, l’attente mais aussi l’appréhension sans doute de ce futur contact. T’attachant les poignets, les chevilles, tu te retrouves à ma merci, les fesses nues, offertes. Je me grise de cet instant qui précède l’impact, percevant dans mon ventre les papillons d’excitation. Armant mon bras, je laisse filer le fusain qui fend l’air d’un sifflement jusqu’à ressentir l’impact dans mon poignet. Le frémissement de tes fesses se joignant au claquement sec de cette cravache qui te mord enfin provoque en moi une onde de plaisir. Rééditant le geste, un deuxième « schlack » sonore engendre un petit mouvement de recul de ta part. Je m’en délecte.
Puis, j’enchaîne encore et encore, sous les regards attentifs des curieux autour de nous. Mes paupières mi closes, je ronronne intérieurement de tes soubresauts. Je sens mon plaisir s’accroitre à mesure que ta douleur grandit. Mon instrument qui te caresse l’esprit, dessine ces petites morsures que j’aime tant voir sur ta peau, qui rougit de timidité d’avoir rencontrée une telle dame. Une deuxième lady rejoint la première pour un nouveau ballet ambidextre. Les coups s’accélèrent afin d’infliger mes plus plaisants tourments, lorsqu’un coup porté plus fort que les autres provoque un gémissement. Je récidive encore et encore. Tantôt fouettant, tantôt marquant, tantôt caressant, et reprenant cette ronde de sensations qui t’ensorcèle.
Mes sens enflammés, je choisis cet instant pour me parer de cet autre pinceau. Manié latéralement, il fouette en laissant des zébrures très peu espacées sur tes flancs. Je continue en descendant sur tes cuisses puis remonte sur tes épaules. Le sifflement du stick qui te mord et tes gémissements sous les impacts génèrent cette humidité entre mes cuisses. Une vague puissante de plaisir monte en moi alors que j’abats ma baguette imprimant le tempo de notre concerto sous les yeux envieux des spectateurs.
La symphonie se fait plus rapide. Je te mords de plus en plus fort. Tu halètes.
Prêt à rendre les armes... Je poursuis…
Ma voix…
Telle un couperet,
tranchante,
te murmure
tout la puissance de ma volonté.
Sous mon emprise,
tu es en cet instant mien,
la partition de mon concerto,
la toile de ce portrait.
Si douces petites morsures, si délicats plaisirs …
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50 kilomètres à l’aller. 50 minutes ensemble. 50 kilomètres au retour. Certains diraient « tout ça pour une pipe ? ». Mais, pour nous, c’était bien plus que ça !
50 étoiles au-dessus de nos deux têtes. 50 lumières éclairant la piste d’envol de l’aéroport d’Hyères à nos pieds. 50 bateaux parsemés sur la mer devant nous. 50 fantasmes tourbillonnant dans nos esprits…
Lutcha, mon amie soumise, m’avait accompagnée de la pensée dans mon chemin vers cet endroit mystique. Elle était comme témoin silencieuse, muette et quasi-virtuelle de notre rencontre clandestine.
Il faisait nuit. Je l’attendais sous la croix de Notre Dame de la Consolation. Emmitouflée dans un superbe manteau de fourrure blanche, je portais une guêpière blanche, des bas assortis agrippés par les jarretelles, des bottines blanches et notre collier de cuir blanc. Telle une Blanche Neige indécente, j’attendais l’arrivée de mon Maître en ce superbe site !
Une voiture avait gravi la côte et s’était arrêtée sur le parking. Je lui tournais le dos et me postais face à la mer. J’étais attentive aux pas. Je ne pouvais prendre le risque de me découvrir et m’exposer quasi-nue à un promeneur nocturne de chien… Je reconnaissais sa démarche assurée, le bruit félin de ses pas posés sur les graviers... C’était lui, il s’approchait de moi, en silence…
Lentement, je laissais glisser mon manteau lui découvrant la tenue que j’avais pensée pour lui et la courte laisse en métal pendante sur mon dos nu.
Il avait jeté un regard circulaire se délectant de la vision de l’ensemble et avait étouffé un sifflement d’admiration et de surprise !
J’adorais surprendre mon Maître, l’étonner, lui en donner toujours plus dans la phase des retrouvailles. Je mouillais à le savoir ainsi tout proche de moi et je fermais les yeux pour m’isoler dans ce plaisir solitaire.
Ses doigts me visitaient. Je posai mes mains, emprisonnées de cordes, sur la table d’orientation, lui présentant ma croupe offerte. Sans un mot, il me donnait son salut en me pénétrant directement. Je le savais ! Je l’avais souhaité ! Je voulais ça !
Il avait passé sa main dans la dragonne métallique de la laisse et il tirait dessus pour m’asphyxier délicieusement et doucement. J’avais fait exprès de le provoquer ainsi car je voulais l’amener à l’étranglement maîtrisé. Je le savais capable de nous mener à cette forme de plaisir partagé qui aurait pu se révéler dangereuse entre deux protagonistes qui ne se connaîtraient pas. Je voulais revivre ces méthodes de foulardage qui transcendaient les acteurs avertis.
Il me prenait vigoureusement, alternant claques sur les fesses et coups de cravache. Il m’emmenait à nouveau sur le fil du rasoir de l’orgasme. Je sentais mon sexe enserrer le sien dans des spasmes délicieux, annonciateur de la jouissance imminente. Je contrôlais le flot de sensations qui menaçait de se déverser. Je voulais encore le ressentir, fort et viril en moi et haletant dans l’effort…
Qu’elle était bonne cette étreinte dans la quiétude de la nuit ! Sur ce lieu sacré, sous la bienveillance d’une croix à laquelle un instant j’aurais voulu être suspendue et attachée, fouettée et baisée.
Le ciel étoilé nous servait de couverture pour abriter cet instant de démence. De mes yeux à présents grands ouverts, je me remplissais de ce décor insensé qui entrait en résonnance avec les sensations délicieuses que je ressentais. J’imprimais à l’encre indélébile ce moment précis dans ma mémoire, afin d’y penser à volonté et d’y repenser encore lors de mon dernier souffle !
Il se retirait et m’invitait sur la terrasse inférieure à le sucer, sa main tirant mes cheveux, sa voix troublée me répétant à quel point elle était belle sa soumise… Il voulait que ma bouche engloutisse tout entier la cinquième patte de ce mouton étonnant et rare ! Je m’appliquais sur la méthode qu’il m’avait enseignée et pour laquelle on s’était entraîné mille fois. Je le désirais tellement que j’en ressentais des contractions qui me faisaient le réclamer à cris !
Il l’avait compris. Il me connaissait par cœur mon Master. Il savait décrypter chaque signal que lui envoyait mon corps ou mon esprit. Ce message subliminal faisait ricochet sur sa perversité, comme une alerte rouge ou un « pinch » électrique. A nouveau, il me faisait poser les mains sur la murette, écarter les jambes et lui tendre le cul.
Le passage était tellement lubrifié qu’il aurait pu accueillir deux bites comme la sienne en son antre. Je le sentais me besogner, ahanant tel un bûcheron déterminé à faire tomber un arbre récalcitrant… Il me cravachait les tétons tendus comme des ogives arrogantes ainsi présentés sur la structure bustière. Il me serrait à nouveau le cou à l’aide de la laisse. Il était soudain ambidextre et multitâche mais dans le contrôle, comme toujours…
Il anticipait et réfléchissait à l’endroit qu’il allait choisir pour jouir. Il me faisait ouvrir la bouche et tendre la langue vers son gland, mais il avait élu ma gorge et mes seins à maculer de son foutre.
Masterlau me gratifiait toujours d’un large sourire durant cet instant préparatoire où il se branlait en me demandant de lui caresser les couilles et de le rejoindre dans sa sphère orgasmique et cérébrale.
Les jets de son éjaculation arrivèrent par saccades comme des fléchettes sur ma poitrine. La chaleur de son sperme rivalisait avec l’air ambiant qui s’était rafraîchi…
Quelque soit la méthode, ce moment où il donnait de lui, abandonnant un court instant le contrôle, était pour moi, gratifiant et je me sentais honorée dans ma vanité de soumise de détenir cette forme infime de pouvoir sur lui…
« Viens, rhabille toi ». Ensemble on regardait le panorama qui se déroulait à nos pieds. L’envol de quelques avions nous rappelait que, de cet endroit, nous étions partis nous réfugier à Paris pour vivre un séjour BDSM et amoureux.
Nous partagions une cigarette en nous couvant du regard mutuellement. Je laissais volontairement mon manteau de lapin blanc ouvert sur mon corps. Je savais à quel point il me trouvait désirable et dans cet ensemble de lingerie là, j’étais sûre d’avoir tapé juste !
Chaque attention que j’avais préparée et peaufinée pour lui, faisait profit. Rien n’était inutile avec Masterlau. Il voyait tout ! Chaque détail avait son importance : la couleur, l’harmonie, la lumière. C’était un intuitif, un sensitif et un perfectionniste…
Avec lui, même s’il disait que ces artifices étaient sans valeur, je savais qu’ils lui étaient nécessaires. Je connaissais sa puissance imaginative et la suractivité cérébrale dont il était capable. Je me devais d’aiguiser sa convoitise et de titiller son pouvoir érotique pour le transcender encore, tout à l’heure, demain, la semaine prochaine, dans un an et dans dix ans…
L’heure de la séparation avait sonné. La longue séance des « au revoir » débutait, tel un rituel désarmant. Je connaissais le triste parcours qui mène à cette phase de néant mais je ne m’y habituais pas. Mon cœur se serrait et je luttais afin de lui obéir, ravalant cette boule d’angoisse qui m’étreignait la gorge : « ne pleure pas ma belle ! ». « Non, promis Maître ». Ce petit mot de respect, d’admiration et d’amour lui arrachât un soupir de douleur qui me fît un pincement au cœur.
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Cela faisait déjà an qu'il l'avait quittée. Caroline, depuis ce temps, était restée prostrée, abattue. Cinq ans de vie commune pour qu'un matin on vous dise "regarde toi comme tu es grosse tu me dégoute!"... C'était une des raisons de son enfermement. Alors qu'elle était belle femme. Mais psychologiquement son ex l'avait détruite au point que la masturbation ne lui étai même pas venue à l'esprit. Le pire c'est qu'elle avait prit du poids, 30 kilos de plus, ce qui la portait autour des 120 kilos aujourd'hui. Caroline a allait au travail point. Pas de sorties, on la regardait trop mal. Biensur quelques mecs la draguaient, elle avait un visage doux et pervers, et des seins imposants ; mais ils l'agressaient, elle se sentait traitée comme une viande lorsqu'ils l'abordaient.
Chaque sortie était un périple, mais il fallait bien faire des courses par exemple, ou comme ce soir, acheter des cigarettes. Elle sortait du tabac quand elle croisa le regard d'un homme qui lui rentrait. Plutôt costaud, c'était un ouvrier du batiment à en juger à son bleu plein d'eclaboussures et de poussière. Il la laissa passer en la reluquant de haut en bas, cherchait explicitement à regarder dans son soutien gorge. Caroline en tressailllit interieurement et accélèra jusqu'à son immeuble à deux coins de rue. Mais la présence derrière elle se rapprochait. Elle tourna la tête oui, il la suivait ce malade! Ca la décida à courir, mais lui se rapprochait quand même.
En refermant la porte d'entrée elle entendit qu'on l'appelait effectivement "Madame, mademoiselle, vous avez fait tomber votre paquet!" Un rapide coup d'oeil dans son sac, oui, dans son trouble elle ne l'avait pas vu. L'ouvrier s'infiltra dans le hall, et lui remit avec un grand sourire. Caroline ne savait pas quoi penser, elle avait fait tomber son paquet mais le désir de cet homme, si lisible, l'inquiétait :
Merci monsieur. Je vous souhaite une bonne soirée.
Mais attendez, il la reteint par le bras.
Ce contact, cette force virile la tétanisa. Elle babilla deux trois incohérences et lui du lire une faiblesse dans ses yeux. Il en profita pour la raprocher de ses lèvres ; elle se laissa faire. Très vite il la pelotait, les seins, les fesses, les hanches, les cuisses, les bourrelets ; semblait prendre un plaisir inoui a la pétrir. Et Caroline, elle s'abandonnait à toutes ces mains, chaque caresse imprimée sur son corps devenu sensible comme une vierge. "T'es bonne", "tes gros seins seins", "ton cul, oui ma grosse tu es bonne". Tous ces mots qui d'habitude l'exaspéraient faisaient monter son ardeur... A cette heure là n'importe qui aurait pu descendre. Lorsqu'il entreprit de passer sa main dans sa culotte elle eu un sursaut, comme une décharge électrique. Elle était trempée et avait joui au premier touché.
En saisissant son avant bras elle l'invita à s'enfoncer plus profondément, lui fit faire des allers et venues. Caroline perdait son esprit à se masturber avec les doigts d'un inconnu, dans son hall d'entrée...
A suivre...
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Tous commence samedi soir, arrivée à la gare avec un peut d'avance, je regarde ce qui ce passe autour de moi. Pas grand monde à cette heure si, sauf cette ambulance qui s'affaire à je ne sais quoi, et j'avoue que mon intérêt était porté sur toute autre chose. Un sms fait frissonner mon portable, sa y est Eden est arrivée, je m'approche de la gare, et je vois une ravissante jeune femme, un peut apeuré et tendu, ce qui peut ce comprendre, elle débarque dans une ville inconnu pour rencontrer un Dom qu'elle a découvert quelques jours plus tôt via notre site fétiche.
Je m'approche d'elle doucement, sans l'effrayé, lui dit bonjour et commence a discuter avec elle, il paraît que cela s'appelle briser la glace, je pense en effet que le terme est bon, je sens qu'elle se détend relâche certaine défense. Elle me suit, dans la voiture nous échangeons pas mal de chose qui tourne essentiellement sur son voyage, la qualité des transports et le petit «cadeau» fait dans le métro.
Enfin on arrive, enfin avant d'arriver, je la voie se déchaussé, la raison, j'ai osé lui dire de marcher doucement car les murs ont des oreilles. Donc pied nues elle s'avance vers l’ascendeur, nous montons durant les 7 étages elle dit une petite bêtise....ce qui lui vaut une fessée rapide sur son adorable fessier, elle prend cette fessée adorablement, son regard navigue entre surprise et plaisir de découverte.
Première soirée dans l'appartement.
Après l'avoir invité a entrer, nous nous installons et discutons de tout et de rien, puis vient le début. La soirée débute, je demande à Eden de se mettre a genoux devant moi, je la déculotte pour mon plus grand plaisir. Dans cette position elle est vulnérable et parfaitement soumise, je lui explique les règles du «jeu». Je l'allonge doucement sur mes genoux, sa y est Eden va découvrir la fessée, la vrai, claquante et rougissante. Son anatomie et ses réactions m'informe qu'elle aime cela, qu'elle prend beaucoup de plaisir son sexe devient humide. Puis vient la découverte du martinet, une petite appréhension se fait ressentir, les lanières caresses ses fesses, puis le martinet commence a claquer sur ses fesses, doucement, puis plus fortement, elle aime cela, elle en redemande même. Cette découverte lui plait, et cela me fait plaisir de voir le plaisir qu'elle prend durant cette séance. J'épice cette séance de martinet.....avec l'arrivée des pinces que je place délicatement sur chaque cuisse, c'est qu'elle aime cela, le mixte martinet pince la fond frémir de plaisir son sexe est de plus en plus humide. La déculottée au martinet se termine, je l'invite a se retourner, son sexe est en ébullition, je lui ordonne de se caresser, elle commence, avec une gêne qui se voit sur son visage, mais quel délice de voir cela, pendant qu'elle se caresse, j'ajoute de nouveau des pinces sur ses cuisses, après avoir rougi les cuisses avec ma main. La gène est trop présente, elle s’arrête le plaisir est la mais, la caresse intime en ma présence est trop gênante (j'aime cette gêne, je la savoure et elle le sait, elle le voit, elle voit mon coté taquin et sadique ce révéler à ses yeux). Cette première séance s’achève sur cette découverte.
La suite de la soirée est vanille, on discute, on regarde quelques vidéos sur le web, puis vient l'heure d'aller chercher une amie qui a participé a la nuit Elastique. Une chose simple en soit, mais les bords de Seine réserve quelques surprises notamment sur le choix de la Péniche....Évidemment je me trompe de Péniche ce qui entraîne une visite des bords de Seine, il fait frais, mais Eden savoure ce moment en ma compagnie, chose que je partage également, le plaisir est la.
L'amie récupéré, nous rentrons, l'heure est au repos, Eden se couche en se blottissant a mes cotés.
Dimanche
Réveil fait sous le parfum d'une tarte que je prépare, une tarte aux pommes caramel beurre salé (maison) le parfum de cette tarte réveil Eden, du lit elle me regarde, regarde ce que je fais, alliant surprise et plaisir, elle se lève doucement, me rejoint, regarde les pommes revenir dans le caramel beurre salé, elle en salive un peut, je lui fait goutter, elle adore cela. L'amie ce réveil aussi, plus que de la surprise elle n'en revient pas qu'un Dom prépare un repas, j'aime cette surprise elle me fait plaisir.
Après le déjeuné, et douche prise (et partagé avec Eden)
une nouvelle séance se profil, l'amie ouvre le bal en donnant une première rasade de martinet de forte intensité, avant de me laisser la main et de reprendre le jeu la où elle l'a laissé, les coups pleuvent aussi intense et puissant les uns que les autres, Eden réagit, des petits cris, bouge un peut et prend les coups de martinet avec plaisir, et en redemande, quel plaisir je prend à voir ma chère soumise réagir de cette façon. Entre caresse et martinet Eden ne sait plus où donner de la tète, elle prend beaucoup de plaisir. Je fini la séance, la laisse dans son plaisir et surtout récupérer, elle en a besoin, ce week end découverte a pris en intensité.
Nous repassons en mode «vanille» avec l'amie et nous discutons de tous et de rien, l'heure du départ de l'amie arrive, nous l'accompagnons à la gare, elle a bien aimé ce week end.
Retour a l'appartement, nous discutons et je vois qu'Eden veut une nouvelle séance, que je lui offre avec plaisir, de nouveau le martinet, elle aime cet objet, elle le savoure, elle le veut et elle le prend, le plaisir est intense entre coups et double doigté intime, le plaisir est mutuel. J'aime ce moment, elle aussi, nous prenons beaucoup de plaisir, je ne regrette vraiment pas mon choix. Cette séance ce termine, retour à la normal, soirée tranquille et fort sympathique.
Lundi
Dernière matinée avant le départ d'Eden, réveil du matin fort agréable avec ma soumise blottit, telle une petite chatte, contre moi. Nous n'avons aucune envie de nous lever, son train lui ne l'attendra pas. Après un long moment sur le balcon a discuter, avec un échange de câlin, je souhaite lui faire découvrir une nouvelle chose....le coin. Je la prend par la main, l’amène devant ce coin, la déculotte....mais mains se perdent sur ses fesses....commence a la fesser, la seconde main elle va trouver son sexe, elle aime cela, sa respiration devient saccadé, l'alternance fessée/caresse lui plait beaucoup, son sexe est humide, un vrai délice, j'aime cela, j'aime la voir prendre beaucoup de plaisir. Le temps nous arrête.
Dernier moment en gare, nous partageons un dernier rafraîchissement, tout en câlin, puis le moment est venu le train est en gare.....elle monte, le train part....Le week end ce fini.....à regret
La suite à la prochaine rencontre.
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Veroso (17/09/2014)
Cela faisait un moment qu'on se cherchait... et pas que cette aprés-midi.
Cela faisait même pas un mois qu'on avait échange nos numéros de téléphone, qu'on apprenait à se connaître.
Cela faisait aussi un moment qu'on voulait en savoir plus de l'autre.
Et cette fois, c’était une joute de SMS qui rythmait notre après-midi.
Tels des chevaliers lors des tournois, c'est à celui qui cherchera le plus l'autre.
La décision est prise.
Au pied levé
A la dernière minute
De retour chez moi, le sac à faire fut rapide à boucler, mon bolide fut prêt et me voilà au volant.
Il faisait encore bien jour. A tel point que le couchant m'éblouissait. J'avais fait mon plan de route pour me repérer le long de ce parcours de plusieurs centaines de Km. Autant j'aime voyager, mais c'était une premiére de décoller ainsi pour un si long parcours, sur un coup de tête. Je l'avais déjà vu, on s'était déjà parlé via Skype, au téléphone … mais cette fois, cela allait être du réel.
Réel...
Le mot magique, celui qui embrase les sens, qui éjecte les fantasmeurs et autres mythos, qui bouscule les rêves pour les réaliser.
Je savais où j'allais, sans trop le savoir en même temps. Étranges sensations, mélange d'excitations, d'appréhension, de méfiance, de joie intense, de contradictions, de motivation inébranlable …
Ce couchant m'aveugle, sur la route. C'est le WE. Ca roule beaucoup; je ne suis pas spécialement fan de la route. J'aime rouler, mais je ne prendrai pas mon pied avec un volant dans les mains. Mais la perspective du Trésor que j'allais rejoindre me fit oublier la lassitude de ces autoroutes.
Le soir tombe et je sors enfin de ce ruban noir de bitume …
Le meilleur arrivait: trouver cette douce inconnue que je connais depuis 1 mois
C'est la campagne. J'aime. C'est calme, noire, reposant... sauf qu'il faut trouver la route. Elle me guide. A mesure que je m'approche, l'excitation monte en flèche.
Je n'avais jamais eu le bonheur de bavarder, partager ma passion du BDSM avec une vraie personne, digne de ce nom. Cela se faisait toujours au travers de tchat douteux, forums, plus ou moins intéressant et toujours avec des pseudos.
J'aime le BDSM, depuis longtemps. J'avais découvert le bondage qui m'a tout de suite attiré. Je me souviens. C'était une photo que j'avais trouvé, à l'époque où Internet se payait à la minute et les photos étaient au format timbre-poste.
J'ai appris par moi-même ce que pouvait être cet univers, ses régles, les sensations qu'il pouvait dégager. Mais à part des pixels, il y avait rien. L'imagination devait fonctionner, mais se faire des films devient très vite lourd...
C'est ainsi que j'étais à l'aube de découvrir quelque chose de nouveau, la réalisation d'un rêve, l’assouvissement d'un fantasme, de partager en réel quelque chose qui me taraude depuis si longtemps …
Enfin, sa maison. En me garant, pas un bruit dehors, si ce n'est celui de mon cœur qui n'en peut plus de battre d'excitation.
En traversant la route pour rejoindre sa porte, pas une lumière si ce n'est celle de son salon encore éclairée.
Je sonne
J'attends
Un bruit de pas approche.
La porte s'ouvre.
Elle est là. Elle ne me laisse à peine le temps de lui dire bonjour qu'elle me prend dans ses bras et pose sa tête sur moi. Le temps s'est arrêté.
Enfin, nous voilà ensemble, pour la première fois. Je ne m'attendais pas à pareil élan, mais je savoure, tout comme elle ne se lasse pas de m'enlacer.
Fini les pixels et les pseudos. Elle est là. Dans mes bras. Je peux la toucher, la sentir, entendre son cœur battre aussi, la voir en vrai....
Réel...
Tout cela est bien réel...
C'est face-à-face, autour d'un café et d'une bonne assiette que nous pouvons profiter l'un de l'autre. Curieuse sensation d'avoir l'impression de faire connaissance, alors que nous discutons tellement depuis que nous nous connaissons...
Je n'étais pas venu les mains vides. La maison est froide, et d'avantage à la sortie de la douche. C'est ainsi que je lui offre ce qui allait être son premier cadeau (toujours utilisé). C'est non sans émotion que je la vois déballer son peignoir. En échange, elle m'offre, je le porte toujours, une chaîne.
La soirée se prolonge, plus intime. Une autre réalité me fait face: très facile de fantasmer sur des pixels ou dans son imagination. Mais quand cela devient réel.... cela fait bizarre.... Cela n'empêche pas de passer un bon moment et de vivre une soirée merveilleuse......
Le lendemain est une courte journée. Nous faisons d'avantage connaissance, mais le temps passe très vite, et je dois déjà plier bagage.
La séparation n'est pas des plus évidentes. La sensation d'avoir vécu qq qui risque de chambouler sa vie est là. Mais quel WE délicieux.
Le retour est couvert de rêve, d'espoir, de questionnements sur l'avenir, de joie, d'excitation (et de phares en pleine gueule … ).
Je rentrais ainsi chez moi avec la certitude que ce voyage ne serait pas le dernier et que ce petit bout de femme que j'ai eu l'honneur, le plaisir, la joie de rencontrer et de serrer contre moi.
Le très proche avenir me dira que je ne suis pas seul à m'interroger. Une petite semaine qui, à mon sens, scellera notre avenir, notre présent aujourd'hui, notre destin. Une petite semaine pour lever certains doutes où nos âmes ont été mises à rude épreuve.
Mais à la sortie, il y a eu d'autres voyages, d'autres cadeaux, d'autres émotions et sensations.
Aujourd'hui, nous vivons sous le même toit, Homme et Femme.
Aujourd'hui, nos instants d'émotion sont quand tu es dans mes cordes, quand je les fais serpenter pour sublimer ton corps et que tu t'abandonnes à moi, ma soumise.
C'était il y a un an, jour pour jour.
C'était la première fois que nous nous voyions en vrai.
C'était le début d'une Histoire merveilleuse que nous bâtissons tous les jours
C'était le début d'une Nouvelle Vie pour chacun de nous 2
Ma fiancée, je t'aime
Ma soumise, je t'aime
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Après une soirée, chez des amis, assez ennuyeuse. Je décida de rentrer et comme souvent, quand une personne se lève pour partir, d'autre en profite pour en faire de même. Après avoir saluer pour rentrer chez moi, je ferme la porte derriere mon amie, qui me dit "Tu rentre chez toi ou tu sors?""Non je rentre, je m'ennuie un peu. Je vais surement me coller devant la télé""Tu veux venir chez moi, j'ai une bouteille de vin" Aussitôt j'accepte l'invitation, pas forcement envie de dormir. Les heures défillèrent tellement vite, que je m'aperçu que la bouteille etait vide. On avait parlé de beaucoup choses, de nos ex, mais surtout de nos expériences et fantasmes. Tout cela devenait excitant et tentant, le plus marrant c'est qu'on aurait beaucoup de mal à s'entendre, 2 dominateurs et aucun soumis, dommage.Une fois couché sur le canapé, bien evidement je dormais sur place, trois verres mon suffit à ne prendre le volant, je ne tardis pas à m'endormir.Mon rêve devenait très interessant, mon amie sortie de la chambres en fine lingerie et moi je n'avais plus de boxerune demi érection et elle se pencha pour me mettra mon sexe dans sa bouche...hmmm... cependant je ne pouvais pas les bras, comme cloué. Elle fit clisse ses levres et sa langue, le long de ma verge, jusqu'à la resortir et me masturber en chuchotant "reveille toi" au bout de 2 ou 3 fois j'était tellement excité mais un peu dans le coltar et ouvrit les yeux, elle etait nue et moi les mains attachées au pied du canapé, elle mit ma tête dans son entre jambe. Ce parfum et ce goût me donna envie de la dévorer à fond. Je lechais, mordillait et passait ma langue entre ses levres pour l'enfoncer dans son vagin. C'est agaçant de servir d'objet quand on refuse de l'être à la base. Elle me dit " doucement, sort ta langue". Je m'executa et elle frotta son clito sur la pointre de ma.langue. Ces gemissements m'excitait et me frustrait. Attaché et ne rien pouvoir faire ma vengance sera aussi agrèable pour moi. Je sentais qu'elle venait et "ne t'arrete pas, tu vas me faire venir, hmmoui" Elle se tordi dans un jouissement, un rale de plaisir. Je sentais ses petits jets de qui me giclait en bouche. J'esperait que les menottes ne soit pas solide pour me detacher, mauvaise sirprise, elle retourna se coucher et moi toujours attaché.
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Cheyenne est là, devant moi, corps en croix. Ses poignets enserrés dans les bracelets de cuir supportent le corps et le tendent, ses jambes sont grandes ouvertes maintenues fermement, la ceinture équipée de deux mousquetons sur le côté lui comprime le ventre, et les liens entrelacés dans ceux-ci la plaque contre la croix improvisée, aucun bandeau pour dissimuler son regard fier et provocateur.
Après la « mise en croix », l’attente… Tout est prêt…Tout peut commencer ou finir, ce moment où seul le silence a sa place, les seuls mouvements autorisés sont le battement des cils, les regards qui s’accrochent, se défiant dans la connaissance de ce qui va suivre… Minute interminable sans doute pour Cheyenne, ô combien délectable, mais c’est le jeu ; mon plaisir ; son plaisir qui monte aussi et surtout, ses angoisses, ses peurs mélangées d’excitations, ses interrogations, tout cela très vite refréné car elle est en pleine confiance. Elle m’a choisi, son Loup Noir comme elle aime à m’appeler, et je suis fier d’être son Maître. Elle m’a fait don de son corps et de son esprit, à moi maintenant d’être à la hauteur et de lui donner... Et comme à chaque fois, mes doigts prennent possession d’elle, la fouillant au plus profond de son intimité comme pour me persuader qu’elle est prête, et comme à chaque fois mes doigts trouvent ce qu’ils cherchent, son ventre coule, et ma dextre rythme le va-et-vient dans un doux clapotis, présage de la fin d’une attente, début d’une fusion et d’un échange consenti. La scène et les acteurs sont en place, mais dans ce cas-ci : pas de « silence, moteur, coupez, elle est bonne ». Il n’y a aucune place pour la comédie, tout est réel, la réalité a rejoint et dépassé le fantasme depuis longtemps, deux regards unis, conscients de ce qui va suivre, de ce qui les pousse l’un vers l’autre ; aller au plus profond d’eux-mêmes, au-delà d’eux-mêmes, dans un autre espace temps…le leur.
Quel est mon plaisir à ce moment-là ? Qu’est-ce qui me pousse à dominer ? A faire mal par pur sadisme ? Où est mon plaisir ? Quelle est ma jouissance dans sa douleur ?
Je suis dominant, au plus loin que je me rappelle, j’ai toujours aimé dominer. J’ai appris au fils des années à canaliser ce sentiment de puissance et de pouvoir sur un ou des corps, sur un ou des esprits, pour transformer ces pratiques et ces jeux Sm, en un plaisir immense donné et pris. De la préparation au probable subspace final, la jouissance est cérébrale, forte, l’adrénaline mon compagnon de route, la lente montée du plaisir qui parcoure le corps de Cheyenne je le ressens jusque dans mes tripes, chaque gémissement émis est un étage pour en gravir un autre, les yeux maintenant clos, elle est dans son univers, je ne suis plus que l’instrument de son plaisir, livrée, offerte elle s’abandonne dans une confiance absolue. Tromper un aussi grand don ? C’est la perdre, perdre la maîtrise de mes gestes et de mon esprit et laisser mon excitation me dépasser, c’est la trahir et me trahir.
Pendant des heures elle se donnera, pendant des heures elle jouira dans ces plaisirs qu’est son masochisme, pendant des heures, je jouirai cérébralement de sa douleur, de ses cris, de son corps secoué de soubresauts, puis lorsque plus un son ne sort de ses lèvres, lorsque chaque coup asséné amène un sourire, lorsque les yeux dansent derrière les paupières, lorsque son corps se tend pour en avoir encore, et encore… Moment suprême… Je suis seul au monde, elle n’est plus là, elle est dans son monde merveilleux d’où elle ne veut revenir, reliée à moi par le fil de sa douleur transfigurée par un immense bien-être. Je suis seul…et à chaque fois la même question qui revient, continuer ? La canaliser ? Stopper ? Et c’est là que la fusion entre un Maître et sa soumise prend toute son importance… Chaque geste compte, je diminue, remonte, attentif à chaque réaction, elle sent que c’est la fin, son sourire devient encore plus éclatant, et son corps tombe, retenue par mes bras déjà prêt, je la détache, la prend dans mes bras et la couche, la recouvre, et la regarde… Où est-elle ?
Moi ? Je suis vidé... comme elle le sera à son réveil. Jouir à ce moment dans le propre sens du terme ne me vient pas à l’esprit, j’ai joui au plus profond de mon être, de cette fusion, et lorsque je la regarde son sourire aux lèvres loin dans un autre monde, je me demande qui a dominé l’autre ….
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Un autre monde.
Le retour sur terre ne fut pas simple. En effet, 2 ans avec Christine et sa libido volcanique, son absence totale de tabou, tout me manquait. J’avais beaucoup d’amies et naturellement j’allais vers les demoiselles de mon âge. Hélas, je ne retrouvais pas la saveur, l’élan, les jeux si excitants que j’avais connus. La sodo devenait sale... La fellation, c’était beurkkk ou « Je ne mets pas [Ça] en bouche »… Je virevoltais de copine en copine, ne trouvant plus dans le sexe que de nouveaux corps, mais la découverte passée, je me lassais vite. Je découvris alors les boîtes, de nouveaux amis, et un soir, le remplacement d’un ami videur, m’ouvrit des portes dans lesquelles je ne manquais pas de m’engouffrer.
Bruxelles…Un de mes amis m’emmena en virée. Il voulait me présenter à ses potes qui tenaient un club SM. Je m’attendais à un club orné de lumières plutôt bleutées, une enseigne au nom quelconque à connotation sado-maso mais non, rien de tout ça. La censure sévissait encore méchamment en Belgique à cette époque et tout produit approchant de près ou de loin au sexe était interdit. Les Belges allaient donc tout naturellement en Hollande, à Sluis ville frontalière, où les sex-shop et autres foisonnaient. Nous nous arrêtâmes devant une maison près de la place Meiser, très haute, à 4 étages, avec un double escalier pour accéder à la porte d’entrée. Sobre, sans aucun signe apparent qui aurait pu dévoiler que l’intérieur recelait des merveilles. Enfin pour moi, car pour la police des mœurs cela devait représenter bien autre chose.
Je découvrais un univers paré de rouge et de noir à l’ambiance feutrée. Au bar je fus présenté à Jan le patron néerlandophone qui parlait un français où le tu était de rigueur, son regard était franc, des yeux bleus qui vous transpercent, entrent en vous, font le tour du cerveau et de ses pensées et lui renvoient la réponse : peut-il vous faire confiance ? Le regard est le reflet de l’âme dit on, Jan s’en servait apparemment pour vous sonder mieux qu’un lavement, je me servirai bien plus tard de cette façon d’examiner, d’observer les âmes et les corps. Première rencontre avec les croix de St André, les carcans et autres meubles de « torture ». L’examen passé et apparemment réussi, je fus introduit, (si j’ose dire) dans l’antre des plaisirs essémiens, (et non pas esséniens, moines de la tribu d’où fut issu Jésus, mais cela…ne nous regarde pas) où l’atmosphère restait très conviviale malgré le lieu à thème spécifique. Bientôt je fus embauché comme videur, Jan préférait le mot « sécurité ». Par ce biais j’apprenais les doms, les soumises, les soumis. Jan me parlait de philosophie SM. Je n’étais qu’un petit jeune sans grande expérience du milieu mais j’apprenais vite dans un tel contexte un peu « familial ». Les soirées n’étaient jamais prises de tête, je n’ai eu que très peu de fois à intervenir, les habitués des lieux connaissaient parfaitement la politique de la maison, celle dont je me sers encore aujourd’hui : le respect d’autrui, jamais aucun jugement, l’écoute des soumis (es), personne n’était meilleur qu’un autre, c’est là que j’ai fait mes armes. Lorsque j’ai du quitter Bruxelles, j’étais empli de souvenirs, je n’avais qu’une hâte, trouver celle qui serait mienne, celle que je façonnerai…mais le chemin était encore long…et sans oublier qu’à l’époque Internet n’existait pas enfin pas encore chez le particulier. C’est avec son mental qu’on arrive à persuader une nana vanille d’accepter d’entrer dans ce monde. Est-ce de la manipulation ? Peut être, mais toutes celles qui ont connu cet univers, n’ont pas eu cette impression d’être manipulées, mais plutôt guidées, gentiment mais fermement vers d’autres plaisirs. Nous n’étions pas derrière un écran, il fallait aller au charbon, oser dire ce que nous aimions de vive voix! Certes j’ai pris quelques râteaux, je fus qualifié « d’obsédé » Et je répondrais…affirmatif.
A suivre…
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La sensation de mon pouce entre ses fesses, lui fit un moment de recul.Je pris ses chevilles de pleine mains et lui dit:"Ne bouge pas et laisse toi faire, sinon je serais contraint de t'attacher"Elle me regarda et ne put s'empecher de cacher son sourire et me provoqua en se débattant des jambes en me lançant un... "Tu n'es pas un dominateur, juste un fantasmeur", dur à dire avec une petite culotte dans la bouche, mais plus compréhensible, quand je l'ai retirer pour mieux entendre et puis remettre pur qu'elle ne cherche plus à etre insolante. Je me leva, pris son foulard pour lui bander les yeux et alla chercher des cordes dans le garage (bien sur, à la base, ça me servait plus à mon travail qu'à la maison). Je retourna dans la chambre et l'attacha des genoux au barreaux du lit, la position n'était pas confortable pour elle. Je recommença ce que j'avais commencer. Ma langue passait et titillait son clitoris, mon pouce faisait des petits cercle à l'entrée de son anus, puis ma main passa le long de son corps pour finir sur son seins pour glisser et rouler mes doigts sur ton téton.Son plaisir se faisait sentir, par ses gemissement et l'humide plaisir qui coulait sur ses levres jusqu'a son anus, qui d'ailleurs s'ouvrait à mon pouce.Quand la sonnette d'entrée se mis à retentir. J'arrêta pour défaire des cordes aux jambes mais la laissa attaché aux mains solidement fixé aux barreaux, le bandeau qui cachait ses yeux resta aussi.A la porte c'était un ami, je lui offrit à boire et au bout de 10min, je l'accompagna dehors à sa voiture pendant, peut etre 5 min.Sans bruit, je rentra dans la chambre, me deshabilla et alla retirer la culotte de sa bouche. Elle me dit "C'est toi?", je sentais la peur qui lui prennait, je mis mes doigts dans sa bouche et s'executa pour les lecher. J'etait decider à ne plus paarler.Mes doigts humides se mirent entre ses cuisses et s'enfonça dans son vagin."C'est toi? Hmmm, j'aime ce que tu fais mais je veux etre ta salope et pas à un... hmm, un inconnu. Répond moi".Je me positionna en 69 et lui mis ma verge sur sa bouche.D'un coup de tête et refusa. D'une main, je lui pris la tete et entra mon sexe dans sa bouche, elle me suça, puis me remis à la lecher en enfoncant mes doigts dans son vagin.Après un moment, je me mis en missionnaire pour nos corps excités, nos mouvements devenait sauvage. Quand le moment où elle est venu et je sentis que moi aussi je devais venir. Je sortis mon sexe et 2/3 va et vient de ma main, fit jahir ma semence chaude sur son corps. J'enleva la ceinture qui la tenait prisonnière et aussi vite qu'elle put retira son bandeau "Je suis contente que ce soit toi, mais cela m'as donné d'autre envie", je lui rétorqua "Peut être un jour, tu seras en pâture".THE END Ceci n'est qu'une fiction, mais je voulais tester mes talents de conteur. Ça vous à plu? N'hésiter pas à me laisser des commentaires.
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Il est des petites choses dans la vie
Qui peuvent paraître banals et pourtant qui sont si agréables!
Ce sont ces instants, les plus simples qui sont les plus beaux !
Mais malheureusement, ce sont ceux que l on oubli bien souvent de partager.
Un dimanche de Juin, mon Maître a eu une idée des plus agréable !
« Prends un sac et de bonnes chaussures, nous partons en pique nique! »
En dix ans de vie à deux, c’est la toute première fois que nous faisons cela.
Partager un moment doux et agréable en toute simplicité.
Tout fut prêt très vite tant l’excitation de la nouveauté était là.
Il me demanda alors de prendre le sac avec les cordes car il avait sa petite idée en tête
Nous sommes donc tout deux monté en voiture pour une destination inconnue .
Ce qui en rajouter encore au charme
Il prie une petite route sinueuse.
Longeant, une rivière que je ne connais que bien mais dont je ne me suis jamais approché.
Apres quelques kilomètres et quelques minutes de recherches.
Il trouva le coin idéal pour passer un moment de détente et de partage.
Une petite plage de sable recouverte d’un grand sol pleureur nous tendait les bras
Cet endroit était magique et envoutant à mes yeux!!!
Apres avoir disposé au sol des serviettes
Nous nous sommes tout deux installés sous ce petit coin de paradis
J ai eu un moment d’absence, profitant de cet instant.
Et surtout regardant cet homme à mes cotés qui fait palpiter mon cœur et briller mes yeux de mille feux.
Je sors de la glacière ce qui fera notre repas .
Mais ne peut m empêché d’avoir cette larme de joie que j essaie de dissimuler à mon Maître
Je suis heureuse avec des choses toutes simples
Et là je crois qu’ il s en est rendu compte en voyant mon regard empli de joie et d amour
Apres s’être restauré nous décidons de ce prendre un petit moment de tendresse.
Ma tête sur son torse, des caresses à son visage et le soleil effleurant nos peaux
Quel pur bonheur de sentir son cœur dans sa poitrine battre à l unisson avec le mien.
Apres de longues minutes de tendresse et de repos ...
Il me demande de lui remettre le sac de cordes que je n avais oublié pour le moins du monde
Seul au monde sur cette jolie plage
Il sorti ces fameux liens qu’il sait que j’apprécie tant !!!
Il commença part ôter mon soutient gorges et me mettre à nue
Je lui faisais confiance et me laissais faire avec fierté
La corde glissait sur ma peau tel un serpent chassant une proie
J aime cette sensation de douceur et les frissons que cela me procure
J aime quand il se concentre et fait tout pour me sublimer
Et me donne toute son attention
Je sentais ces liens se resserrer
Mais une envie qu'il me serre encore plus fort ...
Etre sa Proie!
Je me sentais bien sous les ordres de mon Maitre
Sentant son amour et sa joie de faire glisser les cordes sur mon dos
Après de longues minutes de travail sur mes bras
Il me fit m asseoir au bord de l eau
Souhaitant immortaliser son œuvre
A quelques pas, un groupe de baigneur était là depuis le début et me regardait au loin
Tout en confiance, je me laissais guider par les mains de mon partenaire
Sans penser au regard des autres
Nos deux être présent ... sans rien d'autre!
Il en fu très étonné
Me sachant complexé par le passé
Mais cette envie de voir la fierté dans son regard était plus forte
Se succédaient plusieurs clichés
Toutes étaient sublimes et me plaisaient
Je prenais plaisir à poser pour cet homme que j aime tant
Apres avoir eu l image qu’ il souhaitait garder
Il m aida à me relever et commença à retirer son œuvre de ma peau
Quel plaisir ces caresses de lien qui fuit mon corps
Me retrouvant à nue, je me blottis contre lui
Profitant de cet instant que nous venions de partager
Souhaitant arrêter le temps
J aurais toujours en tête ce petit coin de paradis
Cette bulle que nous avons partagé
Cette tendresse et cet amour se dégageant de nos cœur
Mon amour pour mon Maître est d une force que je ne saurais pas même m expliquer
Ma confiance en ces mains n’a d’égale que la tendresse que je lui porte
A toi Mon tendre Amour,
Merci pour ce doux moment partagé à tes cotés !!!
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Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors :
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-nous juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-nous en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça. Si vous vous êtes plié à l’exercice sur Fetlife, soyez sympa, publiez votre portrait sur bdsm et prévenez ici en commentaire,
ortrait québécois en 23 points
1 je suis switch , Domina. ..et soumise uniquement à mon conjoint, on ne s abandonne pas si facilement. ..
2 je vis dans le Noooorrrrd!!
3 j aime cuisiner
4 je griffe et je mords
5 j attends un bébé
6 j ai connu la pma (procréation médicalement assistée)
7 j ai un chat
8 je fais du GN (jeu de rôle grandeur nature)
9 j ai fais de la danse classique, contemporaine, voltige
10 mon première amour avez 20ans de plus que moi
11 j ai déjà eu une relation à 3
12 je fais de la couture
13 je tricote
14 mon conjoint fais 40cm de plus que moi
15 j ai perdu ma virginité seule
16 je suis sous prozac
17 je n'aime pas la chantilly
18 j aimerais aller au Japon
19 j'ai perdu mon fils a 4 mois de grossesse, l'an dernier
20 je me fiche des dites règles du bdsm, chacun sa vision des choses
21 plus que 2...
22 en Domina j'aime guider, aider et donner du plaisir
23 je suis une insoumise
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La révélation.
Christine.
Ha Christine... Après avoir joué avec Rita à des jeux de gosses et de découvertes style « touche pipi » qui m’ont fait découvrir les premiers halètement d’aise d’une fille dès que je touchais à certains endroits, je me suis vite aperçu que quand mon "pissou" devenait tout dur, elle avait peur, ce que je comprends bien, non pas par la taille du bâton (susdit), mais parce que je devenais trop entreprenant pour mes 13 ans. Avec Rita nous avons joué souvent aux cow-boys et aux indiens et je pense qu’elle aimait être attachée, peut être a-t-elle eue plus tard une vocation, je ne le saurai jamais, car je ne l’ai plus revue...A 15 ans je mesurais déjà 1 m80.
Ma mère avait une amie, Christine, belle brune aux yeux verts, grande, classieuse et âgée de 39 ans. J’avais déjà remarqué certaines œillades, mais ne pensais pas une seconde à ce qui allait se passer. C’est lors d’un déménagement que tout c’est précipité. Nous étions seuls dans son nouvel appart, son mari au doux nom de Léon était au taf. Comment s’est elle retrouvée dans mes bras ? je ne sais pas, mais j’étais plus dans ses bras qu’elle dans les miens…C’est la première fois que j’embrassais une femme avec sa langue qui me fouillait les amygdales. J’aimais vraiment, et ça dura une éternité. Puis le fifi fut extrait de mon jean et pour la première fois de ma vie je fus aspiré littéralement, j’explosais dans sa bouche au bout d une minute…Relevé, je me confondais en excuses, et elle me remit sa serpillière dans la bouche mais le goût n’était plus le même et je compris que je léchais mon propre jus au travers de sa bouche. La nouille dégoulinante se répandait sur mon futal, elle me reprit en main en me parlant doucement, « qu’elle avait eu envie de moi, de ne pas m’en faire pour Léon, ni pour ma mère, qu’elle allait m’apprendre des jeux que je ne soupçonnais pas ». Ça, c’était clair, en deux minutes j’avais fait plus qu’en 15 ans de pensées masturbatoires.
Ce n’est pas ce jour là que je découvris mon premier corps de femme. Mais la relation allait perdurer, pendant deux ans je fus son amant, elle m’apprit tout ce qu’un jeune puceau avait à apprendre au niveau sexe, sodo, cunni, de n’avoir aucun tabou, mais surtout le respect que tout homme devrait avoir pour les femmes, l’écoute de leurs plaisirs, de leurs corps, les « apprendre » les goûter, les aimer…les boire aussi...
Puis un jour elle me demanda ce que j’aimerai lui faire… « T’attacher » C’était sorti comme ça, de je ne sais où. Je savais qu’elle était « ouverte » à tout, je savais ne pas être jugé pour quoique ce soit. Je revois ces yeux malicieux s’allumer. Ce fut la révélation ! J’aimais ça, et quand elle me dit de la fesser et devant mon désarroi, elle m’expliqua que je ne lui ferai pas de mal mais au contraire beaucoup de plaisirs. Ma première fessée fut sûrement maladroite, mais au plus son cul rougissait plus elle jouissait et plus j’étais bien. Avec Christine j’appris tout ce que j’aurai du apprendre en 5 ans voire plus. Deux ans…Puis elle est partie, ailleurs, avec son Léon vivre loin. Les adieux furent pénibles, mais je ne demandais aucunes explications, chacun avait le droit au choix, et le sien était son mari. Avait-elle eu conscience de la différence d’âge ? Peut être. Jamais je ne la revis, mais ce que je sais c’est qu’elle a mis en moi une drogue plus forte que toutes les gitanes inhalées dans ma vie. De puceau j’étais passé dominant, je ne savais pas encore ce que c’était, mais bon dieu j’aimais ça, j’en étais parfaitement conscient, ça coulait dans mes veines, j’avais presque 18 ans…
A suivre…
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".... Un soir, je me suis assoupie en rentrant du travail. Peu de temps après, je suis allée prendre une douche brûlante en laissant une vague de désir s’immiscer en moi ... Vous veniez manger ce soir-là et je vous imaginais déjà tout près de moi, j’imaginais nos baisers fougueux, nos très longues conversations teintées de passion autour d’un verre de vin et puis des scènes plus intimes ...Bref, je me suis donc mise à vous préparer un délicieux repas. Ensuite, j’ai mis de doux draps dans le lit qui sentaient délicieusement bon, j’ai étalé quelques bougies, préparé quelques huiles de massage ... Lorsque vous êtes (enfin!) arrivé, nous nous sommes longuement embrassés. Vous étiez, comme souvent, tendre et ferme, sérieux et joueur, directif et intransigeant, empli de douceur et de bienveillance ... Toutes ces ambivalences qui me déstabilisaient au plus haut point depuis quelque temps déjà ...Je vous ai servi un verre de vin et vous ai glissé dans l’oreille que vous aviez besoin de détente après une aussi longue journée de travail et que j’allais vous faire un délicieux massage. Amusé, surpris et joueur, vous êtes entré dans la chambre ... Une douce musique sulfureuse en fond sonore, je vous ai deshabillé avec beaucoup de sensualité puis vous vous êtes allongé en essayant de profiter de cet instant. J’ai versé de l’huile chauffante dans le creux de mes mains et ai parcouru votre torse, vos bras, vos jambes, votre cou, votre jolie bouche pendant de très très longues minutes... Je sentais vos muscles se détendre un à un ... J’ai effleuré votre intimité des dizaines de fois ... Puis, vous vous êtes allongé sur le ventre, et je me suis attardé sur votre dos, vos fesses si musclées, vos jambes, vos pieds ... Mes mouvements ressemblaient maintenant à des caresses très sensuelles et j’alternais avec de nombreux baisers ... Après avoir pris tout mon temps et en laissant tout doucement le “lâcher prise” s’emparer de vous, je vous ai demandé de vous remettre sur le ventre. J’ai joué avec votre désir pendant longtemps prenant plaisir à le voir monter pas à pas ....Ensuite, je vous ai longtemps embrassé et ai passé du temps à découvrir chaque cm2 de votre corps et ai appris à découvrir toutes ces zones qui vous faisaient frémir ...Lorsque je m’attardais sur votre intimité de mille et unes manières différentes, je vous ai soudain entendu dire “ça suffit! Il est hors de question que vous contrôliez les choses comme ça” d’un ton ferme et amusé à la fois.Là, avant même que j’ai eu le temps de réagir, vous étiez déjà assis dans le lit, vous m’avez saisi les poignets et m’avez fermement allongée ... Surprise par la situation et à la fois peu étonnée, je vous ai laissé reprendre un peu le “contrôle” ... Là, vous m’avez, avec une précision difficilement descriptible deshabillée puis attachée un membre après l’autre... Mon cœur battait très très vite et je savais tout au fond de moi que la suite de la soirée allait, en partie, m’échapper ...Il était 20h ! Vous m’avez dit, amusé mais très fermement, “Regardez l’heure, le jeu est très simple; je vais moi aussi découvrir chaque petite parcelle de votre corps, faire en sorte de vous destabiliser un peu et jouer avec votre plaisir. Si vous avez un orgasme avant 21h, vous serez punie ! Il est fondamental que vous contrôliez un peu les choses et que vous arrêtiez de vous comporter comme une jeune fille ... “ !En entendant ces mots, j’ai senti mes joues rougir, mon cœur s’accélérer encore plus et j’ai ressenti une vague de désir incontrôlable ... Je savais que je ne pourrais pas m’extraire de la situation ... Je savais aussi que vos gestes si précis seraient irrésistibles et je me répétais que je risquais d’être “punie” ! ...Et là, en prenant tout le temps du monde, vous avez commencé à effleurer mon corps, à alterner différentes caresses, à jouer avec mon corps ... Vous vous amusiez du moindre gémissement, de ma peau qui frissonnait, de mes muscles qui se contractaient ... Comme pour renforcer les choses, vous verbalisiez ce qu’il se passait et me rappelez ce que je risquais ...Vous alterniez des mouvements extrêmement lents et précis avec des mouvements plus rapides. Chaque fois que le désir montait un peu trop, vous arrêtiez quelques secondes ...Je regardais l’horloge en me disant que je ne tiendrais jamais ....Bref, ce petit jeu a duré très longtemps, j’étais à deux doigts d’imploser ... Vous poursuiviez ces alternances de rythmes, je voyais l’heure qui défilait et je commençais à me dire que j'allais réussir à tenir ...En fait, vous ne faisiez que me faire croire que j’allais y arriver, c’était une belle illusion.Vers 20h55, vos mouvements ont été encore plus précis, plus rapides, mon cœur s’est accéléré très très fort et je ne rêvais plus que d’une chose, c’était d’avoir enfin cet orgasme...Je vous ai supplié et vous m’avez dit : “quelle heure est-il? Si vous avez un orgasme maintenant que se passera-t-il?” Je vous ai supplié d’en finir et vous m’avez fait dire dans cet état de désir indescriptible que je serai donc punie ... “ L’intensité de nos regards et la complicité qui émanaient de la situation étaient indescriptibles!Il était 20h57, un orgasme extrêmement puissant m’avait submergée mais je savais que j’allais bientôt être punie ....
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Les jambes flageolantes, je reprenais doucement contact avec la réalité quand une main me saisit par les cheveux et me releva la tête.
- Regardez, madame, l’état dans lequel vous avez mis mon gant … il est dégoulinant de votre plaisir animal … vous allez réparer cet état et le nettoyer soigneusement d’une langue consciencieuse !
- Monsieur, non … s’il vous plait …
- Léchez !!! ce dernier ordre fut ponctué par le sifflement d’une badine qui cingla mes fesses exposées.
Que pouvais-je faire d’autre, maintenue et fouettée, que de m’exécuter ? Docilement je réparais ma faute d’une langue trop malhabile ou trop lente au gout de mes tortionnaires. Cela me valut encore quelques cinglantes volées de badine, alternées par la caresse de mains vérifiant que la peau fine de mon fessier gardait bien en mémoire les traces de mes tourments.
Tout se brouillait dans ma tête. La position était physiquement dure à tenir. Je ne sais si c’est la honte, l’humiliation de la situation, la peur ou l’inconfort mais des larmes brouillèrent peu à peu ma vue. Des larmes de frustration aussi car je sentais bien dans mon fort intérieur, sans totalement oser me l’avouer, que je ne désirais qu’une chose … c’est qu’ils continuent …
Et pour tout dire je fus perversement exaucée bien au delà de mes attentes. Un des motards se glissa derrière moi et descendit mon string sur mes chevilles.
- Donnez votre petite culotte … et écartez vos jambes … encore ! … encore un peu … voilà !
Je m’exécutais maladroitement à la fois inquiète, impatiente de la suite, et soulagée de pouvoir changer de position. La badine qui avait servi à me fouetter vint cette fois doucement se poser sous mon menton qu’elle releva :
- Relevez la tête et regardez nous, madame … avez vous déjà été prise par derrière devant un public de connaisseurs … ?
- Oui messieurs, répondais-je dans un murmure
- Je n’ai pas entendu ! vous avez entendu, messieurs ? répétez à haute voix madame !
- OUI MESSIEURS, mon Maitre m’a déjà fait connaître cela !
- Et il vous serait agréable madame de renouveler cette expérience … ?
- Ais-je le choix Messieurs ?
- Pas vraiment Madame.
… et tandis que trois de ces messieurs m’imposaient de les regarder, le dernier vint derrière moi, et tranquillement entreprit de m’écarter afin de présenter son sexe turgescent à l’entré de mon plus intime orifice. Habituée par mon Maitre à être utilisée de la sorte, la pénétration ne fut qu’une formalité ; et j’engloutis sans difficulté, et jusqu’à la garde, ce membre que mon assaillant, accroché à mes hanches, s’ingéniait à vouloir enfoncer aux tréfonds de moi-même.
Alors ils ont fait de moi leur esclave sexuelle, se sont relayés et se sont délectés à m’utiliser de la sorte et à lire au fond de mes yeux et sur mon visage le mélange de honte et de plaisir qui me transportait.
A peine lâchée par le premier, qu’un second se présente derrière moi et m’ajuste sur son sexe. Docile, je relève et tend ma croupe tant j’ai hâte qu’il m’enfile. Il passe ses pouces entre mes fesses qu’il écarte et commence sa lente progression anale. Chaque centimètre enfoncé dans mon fondement me procure plus de jouissance. Une fois la verge totalement enfouie il se livre à maint va-et-vient pour ne faire de moi plus qu’un immense plaisir de femelle exhibée, offerte et prise.
Tandis que le troisième se prépare à m’honorer, mon chauffeur, n’a pas lâché sa badine qu’il maintient toujours sous mon menton.
- Remerciez, madame ces messieurs d’aussi bien prendre soin de la chienne que vous êtes …
- J’attends !
- Merci messieurs … d’aussi bien me … oh !
Mon chauffeur ouvre son pantalon d’où il extrait une verge de fort belle proportion, longue et large à souhait qu’il approche près de mon visage
- Voici, madame le seul objet que vous devez vénérer et auquel vous devez vous soumettre dans l’instant. Léchez ce gland en signe de soumission !
Je m’exécute du mieux possible, tandis qu’il promène sa verge sur mon visage et qu’il me gifle avec.
- Les couilles maintenant, madame, léchez les couilles …
J’obéis à nouveau avec gourmandise, tant ce rôle d’objet m’excite au plus haut point. Je ne peux plus me retenir. Apparemment, je ne suis pas la seule à en juger par les halètements qui m’entourent. Soudain, alors que monte en moi une formidable envie de jouir, mon motard m’envoie au visage son délicieux liquide, relayé de concert par ses deux comparses. Ces douches masculines achèvent de libérer mon plaisir et j’explose en un interminable orgasme totalement empalée sur mon dernier assaillant.
C’est dans un état second que j’entends vaguement mes bourreaux d’un soir se séparer et les motos démarrer et disparaître au loin. Mon motard, le sourire aux lèvres, me délie et m’accorde le droit de me rhabiller tant bien que mal. Par contre je n’ai pas le droit de m’essuyer, et c’est dans cette équipage qu’il me ramène (sans détour cette fois) jusqu’à ma voiture.
Assise derrière mon volant, je mets un long moment à retrouver mes esprits … je tourne et retourne cet épisode dans ma tête, essayant de comprendre pourquoi je prends tant de plaisir à de tels tourments.
Le retour jusqu’à la maison est rapide … Lorsque je passe le pas de la porte, je sais déjà qu’Il est là, sa voix m’appelle et je viens me placer à genoux devant Lui.
- Bonjour Janice, ces messieurs se sont-ils bien occupés de toi ? et leur as tu donné entière satisfaction ?
- J’espère Maitre.
- Cette petite leçon t’a-t-elle appris quelque chose sur ta nature profonde, et sur ta condition de soumise telle que je la veux ?
- Oh oui Maitre
- Nous allons voir cela … raconte moi tout en détail et ensuite je passerais un coup de fil pour avoir un second éclairage.
- Oui Maitre … voilà … Il n’était pas de la région, je ne le connaissais pas, Maitre … pourtant depuis plusieurs jours nous dialoguions sur internet …
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Il n’était pas de ma région, je ne le connaissais pas … pourtant depuis plusieurs jours nous dialoguions sur internet et il m’avait entrainée dans un fantasme érotique que nous écrivions à quatre mains. Celui-ci se déroulait ainsi …
Je devais le rejoindre dans une petite ruelle où il m’avait fixé rendez-vous. Et oui, à force d’arguments, il avait fini par me convaincre de le rencontrer. Approchant du lieu du rendez-vous, je l’ai aperçu au loin assis sur sa Harley. Il était vêtu de cuir comme le sont souvent les motards, et avait conservé à dessein son casque sur la tête de sorte que je ne pouvais distinguer ses traits. Comme il me l’avait demandé je me suis approchée, non sans une certaine appréhension, et timidement je me suis adressé à lui pour m’assurer qu’il était bien celui qui m’avait convaincu de le rejoindre ; il a acquiescé d’un hochement de tête.
Suivant ses instructions, pour cette rencontre j’avais passé une courte robe d'été, très féminine, qui épousait littéralement les contours de mon corps. Le port d’un string m’avait aussi été autorisé.
Sans plus de préambule, il m’a ordonné de me retourner et de m’appuyer au mur de la façade, tout en sortant un plug de sa poche. Il a glissé doucement ses mains sous ma robe, parcourant mes jambes de bas en haut et m’a ordonné de les ouvrir. Son exploration est douce mais précise et rapidement il est remonté jusqu’à mes fesses qu’il a écartées sensuellement avant d'y introduire le plug en douceur ... La peur d’être surprise, la honte d’être ainsi explorée par un inconnu et le plaisir d’être exhibée et fouillée s’entrechoquent alors dans ma tête.
Sans plus de paroles inutiles, Il m’a tendu un casque intégral, m’a enjoint d’enfourcher la moto derrière lui et nous avons commencé à rouler dans la ville.
Ne pouvant ni la tenir, ni la coincer le vent de la course faisait flotter ma robe autour de mes anches, découvrant largement mes cuisses et parfois bien plus. A chaque feu rouge, il se portait malicieusement à hauteur des conducteurs de sorte que quelques uns nous ont klaxonnés et parfois nous ont interpellés vertement, agrémentant leurs discours de quelques propos obscènes et de propositions sans équivoque.
Nous avons roulé ainsi quelques minutes, ne négligeant aucun des endroits les plus fréquentés. Je n’avais pas l’autorisation de tirer sur ma robe et j’offrais ainsi mes jambes et parfois fugitivement mon dos à la vue de tous. Heureusement pour moi, dissimulée par le casque intégral, nul ne pouvait me reconnaître ni deviner la honte qui colorait de pourpre mes joues.
Après plusieurs minutes de ce petit jeu d’exhibition, il a décidé de sortir de la ville.
Manifestement il savait où il allait, car, après quelques km, il emprunta une route secondaire puis un chemin qui longeait un petit bois et pénétra dans une clairière au centre de laquelle trônait un arbre majestueux aux racines émergeantes du sol et aux branches basses.
Toujours silencieux, il a coupé le moteur et m’a invité d’un geste à descendre de la moto, puis il m’a attirée près du vieil arbre. Pour la première fois j’ai pu l’entendre parler et d’une voix male il me dit :
- Madame, constatez vous-même ! vous avez laissé une trace humide sur la selle de ma moto ! c’est indigne d’une femme telle que vous, vous méritez d’être punie … enlevez votre robe !
Puis sortant une paire de menotte, une corde et un collier de cuir des sacoches de l’engin, il enchaina (si je puis dire) …
- Et mettez ce collier de cuir autour de votre cou !
Docilement et en silence, je mis le collier et enlevais ma robe qui tomba a terre … Puis il m’ordonna de me retourner et saisissant mes poignet il me posa les menottes si bien que les mains attachées dans le dos je me retrouvais a présent a sa disposition et sans la moindre possibilité de me soustraire.
D’autres auraient profité de la situation pour caresser, voire explorer la proie que j’étais, lui non, il semblait n’avoir pas encore terminé sa mise en scène, et très concentré il commença par faire passer la corde au dessus d’une branche basse, puis il en fixa le mousqueton aux menottes. Doucement, mais fermement il tira sur la corde si bien que pour suivre le mouvement sans douleur je du me pencher en avant.
Lorsque mes bras furent, à son gout, suffisamment dressés vers le ciel ; il passa la corde sous une racine et fixa l’autre extrémité à l’anneau de mon collier.
La position de contrainte, l’humiliation de l’exposition devant cet homme presqu’inconnu m’excitait au plus haut point si bien que je sentais ma petite chatte ruisseler et tout mon être réclamer la caresse de ses mains et de son corps.
Insensible à mes pulsions érotiques, mon jeune motard s’était éloigné de quelques pas et je l’entendis qui téléphonait sans toutefois comprendre ce qu’il disait. Ce n’est que lorsqu’il revint près de moi que je fus instruite de ses perverses pensées :
- Madame, vous êtes une chienne, c’est pourquoi j’ai décidé de vous traiter comme une chienne et de vous offrir ainsi présentée, à quelques-uns de mes amis motards ! Préparez vous à les accueillir et a leur donner le meilleur de vous même … naturellement il vous est interdit de prendre du plaisir … et si vous désobéissez vous serez punie à la hauteur de vos fautes !!
- Monsieur, non, je vous en prie …
- Taisez-vous !
Puis il s’approcha de moi, et descendit mon string plus qu’humide à la hauteur de mes genoux. C’est dans cette posture humiliante, la culotte baissée et le plug au creux des reins que me découvrir les trois motards qui nous rejoignirent dans la clairière.
- Messieurs, elle est à votre disposition, faites en bon usage, et hésitez pas à l’humilier un peu !
- Avec plaisirs, nous allons déjà tester son degré d’humidité !
Je sentis les trois hommes s’approcher. Deux d’entre eux m’encadrèrent ; d’une main ils saisirent mes tétons qu’ils commencèrent à étirer et de l’autre ils m’écartèrent les fesses sans ménagement. Constatant qu’en plus ils avaient conservé leur gants de moto, je laissais échapper un cri de surprise et d’effroi ; peine perdue, mes bourreaux n’étaient pas décider à tenir compte de mes objections. Le troisième s’était placé derrière moi et il m’arracha le plug de mon petit trou ce qui me fit sursauter ; puis il commença à enfiler ses doigts gantés dans ma chatte ruisselante. Durant quelques secondes il fit des mouvements de va et vient. Enfin j’étais remplie après tant d’attente, aussi j’accompagnais de mes reins son mouvement afin de m’empaler autant qu’il m’était possible. Toujours tenue par mes deux cerbères, et fouillée par le troisième je ne mis pas longtemps à lui jouir sur les doigts dans un long gémissement de plaisir.
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Il est de ces êtres indélicats que l’on croise furtivement dans une vie et qui ont le chic malvenu de vous heurter dans votre sensibilité, mettant en péril, le temps d’un instant la confiance placée en votre être cher, Maître de votre cœur, de surcroît…
Une allusion, une attitude, et vous voilà, le cœur serré d’une contrariété idiote dont vous ne réussissez à gérer la progression. Les autres voient le trouble en tentant de l’interpréter, parfois faussement, parfois dans une véracité qui pose des mots inquiétants sur votre anxiété du moment.
Masterlau a beaucoup hésité avant de me dire oui pour que l’on se rende ensemble à cette soirée de Pelissanne. J’ai très envie d’y aller car j’aime retrouver nos amis et faire de nouvelles rencontres.
Je ne regrette pas d’arriver et de saluer les têtes connues et aimées.
Mon Maître est rayonnant et papillonne volontiers d’un groupe à l’autre, pour se présenter aux nouveaux ou échanger avec ceux que l’on connaît. Je le regarde évoluer, de son sourire avenant, de sa poignée de main franche, dans son humilité affirmée et virile. Il est beau dans son assurance, il inspire confiance, il est convoité et je crois que sincèrement c’est de ça dont je suis la plus fière, lorsque l’on sort ensemble ! Je me fais discrète et aimable, à ses côtés ou pas, j’attends avec envie ce moment où, d’un mouvement de la main, il m’invitera à rejoindre son groupe de paroles.
Je fais la connaissance avec plaisir et curiosité des « petits nouveaux » pour qui, première soirée BDSM oblige, gardent bien au fond d’eux toute la perversité dont ils sont capables.
Elle arrive de nulle part. Elle porte un pseudo de Domina. Sa tenue est composée d’une vulgaire robe de plastoc, de bas de supermarché vaguement maintenus par un porte-jarretelles sans goût, le « tout » perché sur des chaussures à talons d’une banalité déprimante.
Elle tente une première approche, sans même se présenter au groupe de quatre que nous formons pour demander du feu à Masterlau. Elle le remercie discrètement et lui en accuse réception poliment.
Nous dînons dans la bonne humeur. La conversation bat son plein et mon Maître contribue volontiers aux débats. Elle revient…
Elle me marche presque sur les escarpins pour me passer devant sans égards et accéder à Masterlau. Elle lui chuchote un « je ne sais quoi » à l’oreille. Il se lève et ils partent ensemble s’isoler à l’écart.
Le café qu’il a commandé arrive devant moi. Comme à mon habitude, j’y mets les deux sucres qu’il souhaite et je le lui tourne, pensant qu’il va revenir le boire. Il ne revient pas…
Je reste là, le regard perdu dans le jus du marc de café, comme à la recherche d’une vérité. Je n’ose même pas le regarder, je ne veux pas qu’il lise l’incompréhension ou une forme de détresse dans mes yeux. J’attends…
Je vois Mira. Elle me regarde. Elle a vu le « manège ». Elle désapprouve du regard sans pour cela ne faire aucun commentaire. Elle a de la classe, Mira, elle voit tout, comprend tout mais garde pour elle ce qu’elle pense.
J’ai puisé de la force dans cet échange furtif de nos regards. Je me lève et m’immisce dans ce « couple » afin de poser avec discrétion et déférence, la tasse de café devant mon Maître.
Il semble brutalement prendre conscience de ma présence et se sent « contraint » de me présenter à l’intruse. Je fais vite, je ne fais que passer, leurs échanges ne m’intéressent pas, je le sens !
Je rejoins Philgard et Mira. Amis et complices, ils sont intéressants, sages et se montreront réconfortants pour moi dans ce malaise qui m’angoisse.
Mira me caresse amicalement l’épaule. J’aime sentir le contact de sa main, maternelle, chaude et parfumée sur moi. Je sais que c’est un signe d’apaisement mais aussi un élan d’amour de sa part. Je le reçois ainsi, savourant ce moment langoureux, comme lorsque quelqu’un vous frotte la main alors que vous souffrez ailleurs dans votre corps.
Toute sa générosité passe par ce petit geste amical et anodin. Elle sait qu’il me fait du bien. Elle me connaît, elle sait bien que même si je ne me plains jamais, je ne suis pas insensible…
Masterlau et la « dinde » s’approchent de nous. Il m’informe que cette soumise novice l’a élu pour lui faire découvrir les joies du BDSM et qu’ils vont donc jouer ensemble.
L’autre me toise sans autre forme de remerciement. Philgard ne comprend pas pourquoi il n’a pas été retenu pour cet apprentissage alors qu’il est seul et disponible. Mira dit froidement à Master qu’il a tort de laisser sa belle soumise seule... Je ne dis rien. Je le regarde. Je lui souris. J’ai confiance. Je lui demande l’autorisation de jouer avec Mira et il me l’accorde volontiers d’un sourire et d’un baiser.
Mira semble surprise de ma demande mais elle est honorée ! Cela fait longtemps qu’elle avait envie de m’attacher et je rêve d’une suspension avec elle depuis que j’ai vu le confortable hamac qu’elle a « tricoté » pour Jennyfer, lors d’une soirée.
Dans sa vivacité mais sans nervosité, elle bondit sur ses jolis souliers, déjà en quête de ses cordes, comme si elle s’attendait à ce que je change d’avis ! Cela me fait sourire intérieurement. Je suis comme elle, je vois et je ressens tout…
Nous nous rendons ensemble sur l’esplanade de jeux. Je cherche mon Maître du regard et je le vois qui œuvre sur la fille encordée, d’une caresse langoureuse avec ce plumeau qui lui a été offert à notre cérémonie de la rose par Morgane et dont je n’ai pas encore eu les honneurs.
Une voix gronde au fond de moi qui me rappelle que mon Maître n’est pas ma propriété, que le BDSM est avant tout un échange, que je n’ai pas forcément la primeur du matériel neuf de Masterlau, que je ne suis que sa soumise et qu’ayant accepté cette condition, je n’ai pas le droit de revendiquer quoi que ce soit.
Cela n’empêche que j’ai mal…que je connais la fougue et l’amour avec lesquels mon Maître pratique ses arts et que là, c’est une autre qui en profite, parce qu’il m’a mise à l’écart…
Le mot « jalousie » arrive brutalement à mon esprit ! Il toque effrontément à mon cerveau comme un facteur pressé apportant un colis trop lourd.
Je le regarde ce mot sorti de nulle part. Il ne me parle pas. Non, vraiment, je ne vois pas ! J’ai toujours pris plaisir à partager Masterlau. Je me dis que ce serait un crime contre l’humanité BDSM que de vouloir garder son savoir-faire pour moi seule. Je suis généreuse et partageuse de nature. Alors quoi ? La méthode utilisée, je crois que c’est ça qui me dérange profondément. Et j’analyse…
Elle ne s’est pas présentée. Elle me marche quasiment sur les pieds et s’interpose entre mon Maître et moi alors que nous sommes ensemble. Elle chuchote à son oreille une proposition de quémandeuse qui la destitue de fait de ce qui pourrait faire d’elle une future soumise. Elle enfreint avec démesure plusieurs règles de notre monde, d’entrée !
Lui me « déçoit » aussi dans son comportement. Il a bondi comme un diable de sa boîte pour s’isoler avec elle sans même m’adresser la parole. Je l’ai visiblement « dérangé » avec ma satanée tasse à café. Il s’est empressé d’accéder à sa demande, flatté comme un marin à l’appel des sirènes…
Je les vois tous les deux, partis comme dans un même lit avec un gros polochon entre leurs deux corps, à tenter de jouer au BDSM de rue. Lui est sincère et participe activement à ses envies de découverte, mais, elle, en libertine frustrée, ne subit que dans l’attente du moment où il posera ses mains sur elle pour la gratifier. Elle couine et se plaint. Elle parle trop. Elle m’agace, je « m’enfuis »…
Mira a encore ce regard empli de bienveillance, elle a posé l’anneau qui va me suspendre. Elle m’invite du regard et de sa voix douce et m’explique ses plans. Je n’arrive pas à me concentrer sur ce qu’elle me dit. Là, j’ai juste envie qu’elle se taise et me laisse gamberger !
Elle n’en fait rien, elle s’impose, elle est Maîtresse et je deviens sa chose ! Elle me rembarre et continue ses explications. Son ton ne mérite aucune objection et c’est avec attention que j’écoute et approuve ses recommandations. Elle ne veut pas être exutoire de ma colère, elle veut que je vienne, volontaire et soumise, avec elle dans cet espace dénué de tout. Elle a raison, j’y vais !
Elle me tourne dos aux démonstrations de Masterlau, elle stoppe ce qui nourrit mon angoisse et déjà me caresse de ses cordes pour me les faire aimer et m’y soumettre… J’arrive !
Mira a dû naître dans un flacon de parfum ! Tout sur elle, avec elle, autour d’elle, respire une odeur agréable, légèrement fleurie. C’est enivrant sans être entêtant. C’est subtil sans puer la cocotte de basse manufacture. C’est apaisant et rassurant aussi. C’est comme l’odeur du lait maternel pour un bébé. L’espace d’un instant, elle sent comme ma maman…
Elle ne commence pas par les mains, c’est étonnant mais Masterlau procède ainsi, donc, je ne suis pas déstabilisée. J’impose à mon esprit de détacher cette dernière image de mon Maître caressant « l’autre », je vais chercher la quiétude dans les cordes.
Je me livre à Mira sans retenue et participe activement à l’œuvre qu’elle tente de créer avec mon corps. J’ai confiance en elle. Elle est belle et méthodique, rassurante et caressante aussi. J’ai besoin de sa bonté pour m’apaiser, je me laisse faire.
Les premiers passages de cordes me calment d’emblée et m’emmènent aux portes de ce « no man’s land ». C’est la première fois que je vais faire ce chemin avec quelqu’un d’autre que mon Maître. C’est étonnant comme si, brutalement, j’étais devenue assez « grande » pour y aller seule !
J’ai un peu peur. Je lutte. J’ai l’impression d’être sur le chemin de l’école et ne plus me souvenir où est le passage clouté pour traverser en sécurité…
Bêtement, je tente de rappeler la dernière image que j’ai de mon Maître à mon esprit comme lorsque l’on s’interroge sur une plaie récente et que l’on touche pour savoir si on a encore mal ! Bingo, j’ai mal…mais plus de colère, juste du chagrin, une profonde tristesse de celle qui donne envie de sangloter ! Il faut que j’arrête de penser à ce duo machiavélique qui cherche à me nuire sans en avoir la réelle intention. Je renvoie ma maligne sinistrose d’un revers de main, je veux rester avec Mira et puiser dans sa chaleur tout le réconfort qu’elle m’offre généreusement.
Je la regarde. Elle est concentrée, calculatrice. Elle est forte aussi car elle me soulève aisément ; je me sens plume entre ses mains.
Bon Dieu qu’elle est belle La Dame ! De ses traits fins transpirent toujours un sourire empli de bienveillance, de ses yeux tendres une générosité débordante. Elle respire l’humilité et la sagesse. Elle est un empire de bonté dans une carcasse élégante et subtile. J’ai beaucoup d’admiration pour elle. Elle est ce mythe du BDSM qui m’a accompagnée dans mon noviciat ; son blog a été référence dans mes premiers pas. Elle m’a toujours inspiré sagesse et curiosité. Elle est comme faisant partie de mes « chanteurs préférés » d’adolescente qui m’auraient invitée dans leur carré VIP… Je crois que je l’aime, tout simplement ! D’une forme d’amour maternel, sans aucune connotation sexuelle ni passionnelle. Je l’aime comme par évidence, c’est tout !
Je ne m’en suis pas aperçue mais je suis partie… En fait, je ne me souviens plus de rien depuis que mon premier pied a été levé. Je n’ai plus conscience de mon corps. Je tente de savoir si mes mains sont liées ou de deviner l’attache qu’elle m’a faite mais finalement ça n’a pas d’importance et ça m’épuise d’y réfléchir. Je plane ! Je regarde à « l’intérieur de moi ». « Dehors », tout est sourd et parfois un éclat de voix ou une lumière me parvient de loin, comme un coup de klaxon qui résonne brutalement durant un profond sommeil.
Je ne suis pas sur une route sur laquelle j’aurais besoin de marcher. Je me sens libre d’aller et venir sans respecter aucun code. J’ai la sensation d’avoir un après-midi de liberté, libérée de toutes obligations et sans culpabilité ! J’ai envie d’aller là puis là, sans respecter aucun itinéraire, d’errer sans but, ni surveillance. C’est bien, c’est bon ! Je poursuis sur ce terrain vague, j’ai laissé mon corps trop lourd à Mira. Elle en prendra soin, je le sais, elle me l’a dit.
Parfois je la « vois » qui me sourit, me caresse, m’embrasse. Elle me rappelle ce moment de mon enfance où mon père, rentrant tard de son travail, croyait venir m’embrasser endormie alors que je faisais semblant pour pouvoir le sentir. Je ne trouvais le sommeil qu’après son baiser.
C’est dingue comme des souvenirs disparates apparaissent à mon esprit. Ces bribes de mon enfance sans vraiment d’importance, je me sens infantilisée et j’y trouve une forme de bien-être.
J’ai soudain envie de pleurer mais c’est comme un éternuement qui n’arriverait pas à sortir ! Mira me surveille. Elle me bande les yeux. Elle ne veut pas que je sois perturbée car elle sent bien que je suis comme morte, totalement immobile.
J’ai presque envie de la rassurer en bougeant pour lui dire que je suis encore vivante mais aucun de mes membres ne répond aux commandements que mon cerveau envoie. Tant pis, je sais qu’elle comprendra que tout va bien.
Je rêve ou mon corps tremble ? Pourtant je n’ai pas froid, pas peur…c’est déjà l’adrénaline qui arrive, je sens le moment imminent du retour qui s’impose. Je réintègre doucement ma dépouille mais je n’ai pas envie de « rentrer » maintenant. Je reste encore dans un état extatique alors que je suis désencordée et debout. Mira me parle doucement, avec une pointe d’inquiétude. Elle veut que personne ne me touche, pas même mon Maître. Elle me tient d’une main ferme et quête de l’aide. Je m’en veux de l’inquiéter bêtement mais rien n’y fait, le retour de ma conscience est difficile et à contre-coeur…
Et pourtant, Il est là, mon Maître, mon amour, tout souriant car lui n’est pas inquiet. Il sait combien je suis sereine dans les cordes. Il me prend dans ses bras car c’est le moment « d’aller au soleil ». Il me couvre de ma cape en fourrure, mon inséparable « peuillon », complice de mes fins de séance. Il m’entoure de sa tendresse et de son humour. Il me « revient » sans culpabilité aucune, comme on vient rechercher son enfant à la crèche après une dure journée de travail.
Mira paraît presque soulagée de se débarrasser de cet « âne mort » mais elle est surtout ravie de m’avoir fait vivre un tel voyage. Elle dit, à plusieurs reprises, combien elle aurait aimé être à ma place et comment elle m’a trouvée belle dans cet apaisement quasi-mortuaire.
La sensation de toute puissance de l’encordeur se voit récompensé par l’abandon de l’encordé, proie sans défense et prisonnier de son art divin…
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Le point de Gräfenberg (sexologue à l'origine de la théorie, en 1944) désigne la zone antérieure du vagin à 2 cm de profondeur en moyenne, léger renflement érectile et notoirement plus sensible que le reste autour.
Plusieurs théories s'affrontent sur cette sensibilité particulière, depuis le début des années 80 où le point G est devenu un sujet public , mais il est de plus en plus évident que :
- Le clitoris (zone bleue sur le schéma), glande du plaisir féminin (correspondant anatomique du gland masculin) est plus volumineux que sa partie émergée le laisse croire, comme un iceberg, et sa partie interne s'étale jusqu'au vagin qu'elle entoure en partie, en deux branches symétriques de part et d'autre. Elle est aussi stimulable et érogène que la partie supérieure émergée, et comme celle-ci, elle entre en érection, ce qui se constate par un gonflement qui enserre la partie antérieure du vagin, et aussi qui expulse des fluides (dont la cyprine, lubrifiant naturel proche du liquide pré-éjaculatoire masculin), un mucus issu en partie du mélange de sécrétions vaginales mais aussi des glandes de Bartholin, situées à l'extérieur du vagin).
- Les glandes de Skene (en orange sur le schéma), sortes de "prostate féminine", situées autour et le long de l'urètre, sécrètent par contraction un liquide translucide ayant peut-être pour fonction chez certaines femmes, pendant un rapport sexuel, de pallier un manque de lubrification vaginale. Elles se contractent alors à mesure de la montée du plaisir, et l'écoulement (généralement peu abondant) se fait par deux petits orifices situés de part et d'autre du méat urinaire. Par celui-ci, l'urine accompagne et complète plus ou moins le flux ensuite en prenant le relais.
Une théorie veut que les glandes de Skene soient également érogènes, et qu'elles soient stimulables par la zone qu'on appelle le point G.
Aucune étude scientifique n'a encore pu confirmer ou infirmer cette double théorie. Difficile en effet de procéder à une autopsie pendant l'acte sexuel, pour examiner la nature exacte du phénomène !
Ce qui est sûr, c'est que le point G est lié au clitoris qui est érogène par seule vocation.
«Le point G, c'est l'arrière du clitoris", dit d'ailleurs Damien Mascret, médecin sexologue, "voilà qui ne nécessite pas des milliers de pages de littérature.»
Mais ce qui est sûr aussi, et que j'ai constaté, c'est qu'une stimulation particulière et précise du point G, idéalement avec deux doigts et vers le haut, provoque 4 fois sur 5 la sécrétion des glandes de Skene, jusqu'à des giclées conséquentes. C'est quasiment imparable sur la plupart des femmes (s'il y a des volontaires, je leur montre avec plaisir ! ).
L'effet obtenu est communément appelé éjaculation féminine, expression désignant normalement les sécrétions des glandes de Skene, avec ou sans émission du fameux liquide, qui s'associe ou non à l'urine, mais aussi vaginales lubrifiantes lorsqu'elles sont abondantes au point de s'écouler plus que la moyenne et de gicler sous l'effet piston de la pénétration. La contraction du vagin (surtout lors de l'orgasme) peut les rejeter en giclées même à vide.
Ce phénomène est caractéristique, mais l'amalgame est courant avec celui où l'orgasme fait uriner certaines femmes (par perte de contrôle notamment), phénomène plus répandu.
Ces deux phénomènes sont populairement confondus, et le terme de "femme-fontaine" leur est associé (la plupart des femmes se prétendant "fontaine" lancent des jets en fait par voie urinaire plus que par les deux orifices de Skène), pourtant il suffit de renifler ensuite le liquide de la "fontaine" pour comprendre, lors d'un bon débit, qu'il s'agit d'urine au moins à 80% dans la plupart des cas.
Il est donc compréhensible que ce point G soit associé aux glandes de Skene, mais à mon avis la fonction de ces dernières n'est que de se contracter (peut-être par l'effet du gonflement du clitoris) et sécréter, et celle du clitoris est d'être érogène, érectile et stimulable ; d'autant que les deux zones se superposent.
Le point G serait peut-être l'association des deux. Ce qui est certain c'est qu'il est là et bien là, à environ 2 à 3 cm après l'entrée du vagin, sur sa partie haute (plafond), un léger renflement s'y sent d'ailleurs chez beaucoup de femmes.
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En général, les deux tiers des femmes n'aiment pas, car elles se sentent impures, sales ; mais n'est-ce pas un héritage junguien du conditionnement religieux ?
Certes il y a la vue du sang, l'odeur...
Selon les médecins il n'y a aucune contre indication (excepté le fait qu'avec un écoulement de sang, les MST sont plus facilement transmissibles, même si le sang des règles est parfaitement stérile sinon) ; bien que certaines femmes ressentent des douleurs qui entravent l'excitation éventuelle. D'autres sont plus sensibles et ressentent plus de plaisir. En effet, chez certaines femmes, les zones érogènes et les corps érectiles sont plus efficacement stimulables à cette période.
Personnellement j'avais une compagne qui était autant excitée pendant ses règles qu'une femme sans pilule l'est pendant l'ovulation ; peut-être était-ce justement une réaction au tabou d'origine monothéiste qui faisait partie de son éducation, car il faut remarquer que pour les musulmans et les juifs c'est encore plus gravement proscrit que pour les chrétiens. Les femmes autant que les hommes considèrent que c'est un péché gravissime, et elles ne doivent pas être touchées, parfois même 5 jours avant et après les menstruations. Bref, pour eux, une manifestation limite sataniste.
Mais bon, ils pensent pareil de l'homosexualité (en théorie).
Mais sachant que la pilule atténue souvent la libido, la période des règles est également une semaine sans pilule, et donc où le désir est au maximum pour certaines femmes sous pilule.
Il est toujours possible d'utiliser un préservatif, qui reste efficace, d'autant plus que le sang réduit les risques d'une éventuelle rupture par son effet lubrifiant.
Surtout que la possibilité de tomber enceinte n'est pas écartée : pour peu que les règles durent longtemps et que l'ovulation intervienne assez tôt (par exemple 6e jour du cycle, si si ça peut arriver), la fécondité est alors un risque à ne pas écarter.
J'en vois déjà qui diront que le sexe pendant les règles, c'est tout de même assez limité.
En fait, au delà des problèmes de douleur, des tabous et idées préconçues cités plus haut, tout dépend de l'envie partagée, mais rien n'est impossible.
Par exemple le cunnilingus n'est pas exclu. Il suffit de garder le tampon si on est trop dégoûté, mais même sans, le clitoris est tout de même à une certaine distance de l'entrée-même du vagin, et on peut ne se cantonner qu'à lui si on est trop dégoûté.
Enfin sachez qu'il arrive souvent que le coït atténue le saignement pendant quelques heures suivant la pénétration ; ça peut s'avérer pratique. D'autre part, pour une femme qui va avoir ses règles, qui les attend sans que ça vienne, le fait de faire l'amour arrive parfois à les déclencher ensuite.
Bref, s'il y a un problème à faire l'amour pendant les règles, c'est avant tout un problème d'éducation. Les détracteurs avancerons souvent que c'est "dégueu" s'ils ont un passif religieux sans trop vouloir le reconnaître, ou s'ils ont été élevés par des parents à tabous ; certains hommes ont peur de tout ce sang aussi, ils ne sont pas habitués et préfèrent rejeter plutôt que changer leur point de vue.
En conclusion, faire l'amour pendant les règles ne comporte aucun risque particulier (sauf MST), et ne devrait pas interdire le plaisir sexuel à un couple 80 jours par an, sous le prétexte d'impureté ou de désinformation, sauf problème particulier de forte odeur.
Ensuite, il y a le cas particulier des soumis (souvent également uro ou/et scato) qui se délectent particulièrement de changer le tampon d'une dom, avec nettoyage à la langue. J'en connais un qui ne voit une amie qu'une fois par mois dans ce but précis.
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Cruel dilemme...qui retint mon attention, au point ou mon Elle se mit à bouger de cette attente...Me ramenant de suite à Son sujet....
Je tendis le bras vers cette table...le premier que ma main rencontrera, sera ce Premier....tandis que l'autre, appuya en son creux de rein, pour lui faire comprendre qu'Elle ne devait pas bouger....
Elle s'arrêta net....
Je vis ses muscles se tendre par cette pression...
Un sourire d'Ange se fit sur mon Visage...Un simple geste, pas de mot...mais juste un geste...et la voilà s'exécutant....Plaisir divin de posséder ses gestes, ainsi, d'en avoir la Clé précieuse...et en être le gardien....
Ma main saisit le verre de Vin, et je l'amenai en remplacement de ma main....
Le contact du froid, après la chaleur de mon emprise, la surprit....aussi par la brusquerie du changement...
Son corps se contracta, dans un geste de tête vers l'arrière...
Sa peau se recouvrit de ces petites protubérances de frissons...
L'instant d'après, sa tête s'enfonça doucement dans ses épaules, comme pour mieux braver cette sensation....
Ses bras se firent plus fermes dans l'emprise du dossier, au point où je voyais une partie de ses doigts devenir rouge et blanc...par cette étreinte...
J'attendis, sans la toucher, que cette sensation se fasse plus diffuse...Ou la chaleur de son corps avait pris possession de cette froideur de corps ...
Les muscles se relâchaient doucement....
Sa tête sortit peu à peu de ses épaules....
Et je retirai ce verre de son pied d'éstale ...
J'y trempai un doigt, pour en récolter un peu de liquide...juste au-dessus de sa fente, vers cet endroit « Interdit » qu'emprisonnaient à peine ses Lunes...
Je laissai perler et tomber doucement quelques gouttes...juste à la naissance de cette descente interdite...
Ses Lunes, immédiatement se refermaient comme des mâchoires sur ce corps liquide et froid venant troubler sa plus intime personne...
J'apposai mes doigts justes à l'entrée de ce couloir qu'Elle venait de fermer...pour en forcer doucement l'ouverture...
Le liquide descendit doucement, suivant les courbes de ses intimités...
Mais ces quelques gouttes n'étaient pas suffisantes...le peu de liquide disparu rapidement lorsqu'il toucha sa Fleur bien vive déjà, et se noyant dans sa Rosée qui se fait visible....
Son rein dessinait un petit creux, et j'y fis couler de ce Vin jusqu'à l'en faire un peu déborder...Ce nouveau contact lui fit fait un bref sursaut de son corps
Un filet de cette saveur vint s'écouler le long de sa hanche, qui lui provoqua un mouvement rapide du bassin...Comme pour tenter de retenir ce flux...
Ma main libre se posa sur sa hanche en léger mouvement...pour l'intimer à ne pas bouger...
Cette nouvelle sensation, chaude et cette emprise que je lui appliquai, l'arrêta....et à nouveau le sourire me fut de satisfaction de par réaction
Obéissant, suivant une nouvelle fois, sans mots de ma part, chacun de mes actes....sur Elle
Je posais le verre...
J'approchai ma bouche de ce petit lac artificiel, jouant de mon souffle chaud et de doigts pour dessiner le chemin de « libération » de cette essence divine vers sa Fleur....
Le liquide vint rapidement s'écouler entre ses Lunes...
A nouveau, je sentis leurs contractions sous ma main toujours présente en cet endroit...mais je gardais toujours la pression des doigts en ce chemin pour le garder toujours « ouvert »
Le liquide était cette fois plus important...et au contact de sa Fleur... Elle poussa un petit murmure plaisant et évocateur d'un plaisir présent en Elle...
Je tourmentais alors de ma langue ses pétales, ainsi humidifiés d'avantages....
Jouant, ouvrant, faisant glisser la totalité de ce liquide sur ses intimes parties....
J'aimai ce parfum, cette saveur divine du mélange de sa Saveur et de ce Vin....en ma bouche....un goût particulier, mais si plaisant d'en avoir la pitance....
Je la sentais, à mesure de ce tourment, prendre le plaisir de cette « torture »...Son corps réagissant, ses hanches cherchant, dans leurs danses, la prise de ma langue...
Mélange de ma bouche, de ma langue et enfin de mes doigts, je dessinais chaque intimité de sa personne...
Contournant son « Puits de plaisirs » avec subtilités et vices pour ne pas en prendre encore l'entreprise...
Sa saveur devint encore plus plaisante...
Elle dansait d'avantages encore...
Son souffle se faisait plus présent, plus significatif du plaisir venant....
Le liquide disparaissait à mesure de mes « jeux »...
C'est alors que deux doigts vinrent prendre ce qu'Elle espérait...en ses deux gouffres....
Doucement, et sans peine, ils prirent leurs places progressivement....
A mesure de leurs entreprises en Elle, Elle s'y enfonçait avec plaisir....Mais de ma main libre je devais ralentir sa volonté....que son bassin voulait prendre...
Ma main libre, s'apposa sur ses Lunes...refroidies...ce qui lui procura une contraction que je pus sentir autour de mes doigts la possédant....
Un plaisir fort savoureux, étrange emprise que l'on ressent de l'intérieur de l'autre...accentuant alors aussi, pour Elle le ressenti de mon mouvement en Elle...
Lorsque mes doigts furent à leurs limites de leurs avancés...je m'arrêtai à nouveau...contemplant cette possession de Son corps...
Je sentais son « jeu » à Elle, de contractions autour de mes doigts qu'Elle maîtrisait fort bien...et souriant, j'appréciai ces instants qu'Elle m'offrait ainsi possédée...
Je la laissai jouer d'Elle-même, savourant la montée en Elle d'un plaisir certain que son corps, par ses mouvements, me laissait entrevoir....
Et je regardais aussi cette bougie, cette flamme qui semblait suivre la Cadence de mon Elle dans ses mouvements....
Il était alors temps...qu'Elle goutte de ce Tourment qu'Elle n'avait jamais jusqu'à présent....
Ma main libre, saisit ce verre de Flamme et le déposa en lieu et place du verre de Vin....
Ses hanches, à ce nouveau contact, s'arrêtèrent d'un coup et je sentis tout son corps se contracter à nouveau....
Mes doigts ressentirent cette pression bien différente, plus forte que lorsqu'elle jouait d'Elle...
Je souris à cette nouvelle réaction...
Elle tourna la tête, pour voir ce nouvel être sur Elle et en connaître la nature...
Je la laissai faire, sachant que c'était une « découverte » pour Elle et ne voulant pas brusquer l'inconnu, je désirai qu'Elle en devine la nature....
Lorsque son regard se posa sur cet objet, un sourire se fit...ses yeux se mirent à pétiller d'envies, d'étonnement aussi...et alors, elle pinça le coin de ces petites lèvres, comme à chaque fois que je la surprenais, déroutais par mes faits et gestes....mais aussi par cette envie des plus fortes qui l'envahissait alors....
Mon regard croisa le sien, et je lui souris avec tendresse...
« N'ayez crainte, Vous le savez....Avec délicatesse, je vous offre cette découverte... »
Ses sourcils se redressèrent, ses yeux se firent plus grands...un frisson parcourra tout son corps....et je savais qu'Elle appréciait la tournure des choses....
« Fermez les yeux, ma Chère Lumière....et Savourez ces instants... »
A ces mots, Elle retourna sa tête...en fermant les yeux....
Je sentis à nouveau la contraction de son corps, quand je retirai cette bougie de son corps...
Puis, je vis tout son corps se dresser, attendant le couperet des sensations plus fortes, mais surtout inconnues pour Elle....
Je regardai juste cette Flamme, avec laquelle je jouai en cette bougie, pour que de cire elle se fasse liquide...
Je laissai quelques instants passer pour laisser flotter le temps de l'attente...mais aussi pour que son corps se fasse moins résistant....
J'approchai la bougie de l'une de ses Lunes....
Pencha légèrement la bougie....
Et attendit doucement que le liquide s'échappe...mais pour n'en faire qu'une petite goutte.
La goutte tomba...doucement....
Et à son impact....tout le corps de mon Elle se cabra...
Ses bras se tendirent, son corps se contracta avec force...et sa tête partie en arrière....
La petite goutte resta en place...je soufflai dessus...pour la solidifier...et adoucir cette première « impact » de Chaud et rendre cette première assez rapide....
« Ça va ? »
Elle ne répondit pas de suite...
A mesure, Elle se détendait...j'attendais qu'Elle me réponde....Sa tête se mit en arrière...
« Encore, Mon Seigneur et Maître....Continuez, je vous en prie »....
Je souris à ces mots...plaisir divin qu'Elle m'offrait dans sa phrase...désire absolu alors de lui offrir encore plus
« Alors, continuons... »
Je fis tomber une deuxième goutte...mais sur son autre Lune....
Sa réaction fut la même...Mais Elle ajouta, en tournant sa tête vers moi....
« Salop ! » dans un ton de plaisir et de taquinerie qui lui était quand Elle s'attendait de ma part une action et que j'en prenais un autre chemin
Je me mis à rire...
« Non, Votre Salop...Vous le savez bien....Vous m'avez fait Votre en ses Dessins, vos Dessins...et Vous m'avez donné d'être Votre Seigneur et Maître.... »
A ces mots, je fis un geste de la tête pour lui intimer de détourner la sienne...
Elle s'exécuta, tournant sa tête avec un sourire qui se dessinait...
Je fis tomber à nouveau une goutte, puis deux, puis trois....
Son corps se cambrait à chaque impact que je rapprochai, variant d'une Lune à l'autre...
Ses hanches suivaient, dans leurs mouvements brusques, le lieu d'impact de ces gouttes
Mes doigts sentaient chacune de ses contractions...
Et bientôt, de sa Rosée la présence se fit plus «entendant » ...délicieux son de l'eau...de mon « O »....
Son souffle devenait plus présent aussi....Complainte progressive de la Belle et de son Chant de plaisirs...
Je retirai mes doigts en Elle...Les portants à mes lèvres, pour savourer cette délicieuse saveur...et enfin les poser ...trempés...sur l'une de ses Lunes...
Ils enserraient cette rondeur...enfonçant doucement mes ongles...
Un frisson dont les épaules, jetées en arrière, me firent percevoir...
Et d'un coup...de gouttes, je laissai alors tomber un grand filet sur sa Lune libre....
La cire descendit doucement tout le long de sa jambe...jusqu'à la naissance de son bas...
Je répétai plusieurs fois cette action, jusqu'à y voir une dizaine de « filets « de cire...
Laissant se refroidir ces files "éphémèrement" liquident...
Je marquai une pause...
Contemplant alors ces dessins de Cire ornant cette Lune....Une œuvre éphémère, mais dont les délices étaient à la hauteur, de par le plaisir qu'Elle en avait...
Regardant l'heure, je posais la bougie sur la petite table....
Et délicatement, un a un je retirai précautionneusement chaque de ses filets...
Elle se tourna...d'un air étonné....
« Il va être l'heure....de nous restaurer.... »
Elle sourit, d'une mimique entre satisfactions, mais désir de poursuite...
« Tsts, mon Elle.... »
Elle se tourna davantage....
Je finis de lui retirer les derniers « files »
« Vous avez fini ? »
Je déposai un baiser doux sur sa Lune en signe de réponse positive.....
«Allons diner en ce Château dont Vous m'offrez la Résidene...notre table doit être mise....»
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Nous avions parlé de cela déjà, et souvent, lors de nos rencontres, le sujet revenait sur la table....
Mais, je ne suis pas de ceux qui réalisent les envies dès qu'elles sont évoquées... mais dans cette mesure qui est mienne, j'en appréhende tous les contours et surtout et avant tout la personne en elle-même....
Elle m'avait évoqué ce goût particulier, qui depuis son enfance la fascinait...
Il est vrai de qui n'a jamais trouvé amusant de jouer de cette cire, d'une bougie allumée, tombante encore chaude sur la peau.... attendre délicatement que celle-ci devienne solide et craqueler cette dernière en pliant doucement le doigt....
Elle en aimait différents aspects....
celui, premier, de cette petite douleur à la rencontre de la chaleur... mais pas si douleur que cela.... un « mal qui fait du bien » comme elle me disait...
Et celui, encore, lorsque de la solidité ce corps liquide, il se fait, soit à mesure du temps soit, plus prestement en soufflant dessus.... sentant ainsi sa peau devenir prisonnière, en quelque sorte...
Et enfin, en craquelant cette carapace éphémère, à la fois empoisonnante, solide... mais si fragile, et si lisse.... sans laisser de traces si ce n'est ces sensations disparaissant....
Elle avait mis les « grandes manœuvres » pour m'accaparer trois jours durant, pas loin de chez Elle....
Elle connaissait ce goût que j'aie des lieux particuliers, riches d'histoires et de décalés...ou tous est fait pour s'évader du temps et se retrouver hors du temps.... Couper ainsi notre routine de vie des plus mornes... pour en évacuer tous les incommodants et oublier ce métro/boulot/dodo que nous connaissons tous.... pour savourer d'avantages ses retrouvailles.... et Nous en offrir toutes les Saveurs des Sens....
Nos retrouvailles eurent lieu en un petit château de ses trouvailles.... passant sur les instants de comment elle me le fit découvrir et quelques savoureux moments qui furent avant-coureurs du sujet....
Nous étions dans notre « Chambre » à laquelle elle avait ajouté sa petite touche personnelle....
Nous étions au deuxième jour de ses trois que nous nous offrions......
Assis en ce fauteuil de Louis XV remontant bien haut dans le dos et d'une assise bien large qu'ornait deux grands accoudoirs, j'humais un Vin pour accompagner notre apéritif, avant de nous rendre dans la salle à manger ou un met une nouvelle fois raffinée nous attendait auprès de ce feu de cheminé....
Elle me faisait face, vêtue d'un ensemble bien Sombre, une robe longue, un boléro recouvrant ses épaules....
Elle souriait par avance de la suite des évènements...
Elle avait pour habitude de vouloir ce « combat » où, de Femme de Force, je la faisais plié... d'un regard, d'un geste ou plus encore... Mais où elle aspirait que de « dessus » elle l'en perde la nature pour que j'en prenne la Force et la position qu'elle escomptait de moi...
De joutes verbales en gestes, elle cherchait continuellement cet état ou en enfin elle lâchait prise, ou de Femme elle devenait mienne, mon Elle.... à mes pieds...et qu'elle ne fut plus cette femme... mais simplement mon
Elle...s'abandonnant à mes tourments...
Elle alla chercher un Loup dans ses bagages, qui avait cette particularité d'être en forme de serre-tête et d'un petit mécanisme permettant de lever et baisser ce masque à la convenance...
Elle s'avança devant moi... Ce loup levé... posant ses mains chaudes et délicates sur mes genoux... me laissant entrevoir cette vallée délicieuse que son décolleté m'y autorisait...
Son sourire se fut plus présent...
Elle commença à s'agenouiller entre mes jambes qu'elle écarta avec douceur pour se frayer un passage...
Je ne bougeais pas, répondant simplement d'un sourire et continuant, par intermittence de savourer mon verre...
Mon regard se faisait plus perçant sur le sien, devinant ses intentions en pareille situation...
Elle se cala entre mes jambes reposant sa tête sur une de mes jambes...
Levant doucement alors le regard vers le mien, Elle me dit alors :
« Faites, Monsieur Seigneur et Maître, faites de ce Loup j'en devienne Votre Elle... »
Je sourirai avec passion de ses mots résonnants... Si simple, mais si fort de son envie d'Etre...
Je me décalais du dossier de ce fauteuil pour me rapprocher d'avantages en laissant mon verre sur l'un des accoudoirs, mes mains vinrent caresser délicatement son visage...
L'une d'Elle, baissa doucement ce Loup sur son regard...
Je me souviens, en l'instant précis de la fin de course du Loup, de son regard si pétillant, éclatant, si désireux et si tendre....L'envie de plus me fut présente, mais... je voulais attendre encore... pour savourer toute l'émotion de ce regard si chargé de Désirs de sa part...
Je lui déposai un doux baiser, effleurant juste ses lèvres... Marquant un sourire prononcé de satisfaction en reprenant mon assise confortable sur ce dossier... je repris mon verre... Attendant qu'Elle agisse.... de son envie... que je devinais...
Elle ajusta sa position pour me faire bien face...
A genoux devant moi, elle reprit l'apposition de ses mains sur mes genoux...
Son regard se fit plus « entreprenant » dans son envie... Et à mesure que ses mains avançaient doucement vers sa convoitise que je devinais sans peine... mon sourire se fit plus malin...
Imperturbable, Elle avançait doucement vers ses dessins... Je la laissai venir... sirotant toujours mon Vin... tout aussi imperturbable et la fixant du regard...
Je sentis ses mains venir se poser sur cette boucle... Elle eut un moment d'étonnement... car je ne bougeai toujours pas contrairement à mon habitude en pareille situation...
Elle sourit entreprenant alors de défaire cette attache...
Quand alors je me redressai doucement... posant d'une part mon verre sur la petite table présente à côté de moi... et d'autre part, posant une main ferme sur ses deux mains agissantes...
« Tststs...Ma Chère Elle....Là n'est pas mon Dessin...Il m'en est d'autres à Vous offrir »...
En disant ses mots, de mon autre main libre à présent, je saisis son cou... serrant légèrement les doigts et la bloquant totalement...
De l'autre main, j'en saisis ses poignets... l'emprisonnant le temps d'un instant, la privant de ses mouvements certains...
Je me redressai, la repoussant tout autant et la redressant de sa position...
Son regard changea alors... d'assuré, il devient suspicieux, étonnant... avec ce petit mouvement de tête que l'on a bien souvent dans l'étonnement de la situation et où l'on sent que l'on perd doucement, mais surement le contrôle de la situation
Je souris... à cela...
Elle voulut se dégager... pour reprendre une part de contrôle... Mes mais se furent plus serrant tant en ses poignets qu'en son cou...
Je luis souris à nouveau... d'un sourire plus marqué... de ceux que l'on a tout simplement quand on devient assuré de la situation....
Je fis un pas de côtés... sans la lâcher...
Elle voulut ouvrir la bouche... pour dire des mots... Mon regard se fit inquisiteur et de ma main serrant son cou, un doigt rapidement se dégagea pour se positionner sur sa Bouche... l'intimant de ne rien dire...
J'attendi quelques secondes qu'elle prenne nature de cette nouvelle situation. Bien qu'elle ne savait pas où je voulais aller... avec Elle...
Elle voulut par plusieurs fois se défaire de cette emprise... mais je tenais bon et ferme... Tout en lui souriant... d'un air de grande satisfaction personnel...
Je sentis ses muscles se relâcher. Je relâchai légèrement mon étreinte... Mais Elle tenta alors de cette relâche de se défaire... De mon Emprise... Mais je fus plus brusque dans mes gestes, plus ferme encore qu'avant... dans l'étreinte de ses membres...
Je lui relevais également la tête, de par ma main serrant son cou ...l'obligeant presque à être sur la pointe des pieds...
Elle resta un peu pétrifiée de par la brusquerie du geste et de l'inconfort de sa position...
Son regard se fit plus dans la crainte... Je relâchai alors un peu mon étreinte... pour que son regard devienne plus doux...
Elle recommença cependant à vouloir à nouveau s'évader... et par plusieurs fois je fis les mêmes gestes...mais avec une intensité graduellement plus forte...
Elle se laissa enfin aller à ma gouvernance....Baissant la tête, se relâchant et attendant la suite des évènements....
Je souris à son premier abandon....sachant qu'il n'était qu'un Pas...et qu'il me fallait toujours veiller à ses « rebellions »....
Je déposai, cependant, un doux baiser à la commissure de ses lèvres, pour la félicité de ce Pas...
Nos regards tendres alors, s'échangeraient...
J'abandonnai mon emprise à son cou, mais me gardai bien fermement ses poignets emprisonnés...
Je guidai ses mains vers le dossier de ce fauteuil, pour qu'elles y prennent demeure...
Ses doigts se refermèrent sur le haut du Dossier
Elle pensait rester ainsi... simplement, dans cette position d'attente...mais je lui fis comprendre que je désirais bien une autre position...
Je me mis derrière Elle, apposant mes mains sur ses chevilles...et entreprenant un long chemin remontant vers ses hanches en prenant en chemin cette étoffe qui recouvrait le bas de sa personne...
Quand cette étoffe fut à ses hanches :
« Mettez-vous à genoux sur ce fauteuil »....
Elle fit sans se faire prier...Posant délicatement ses genoux sur l'assise du fauteuil et gardant ses mains bien solidement ancrées sur le dossier.
Elle courba l'échine pour trouver son équilibre...me laissant pleine vue sur ses Lunes aux formes délicieusement arrondies.
Je posai une main assurée sur le haut de ses astres fort appétissant....
Un frisson, que je pus aisément voir, la parcourra brièvement recouvrant sa peau de ces petites protubérances que provoque le choc du Chaud et froid....
Ce « Chaud et Froid »... plaisir futile parfois, plaisir intense bien des fois... Glace, Feu, Fondre, chaleur, liquide, solide...bien des mots me vinrent en tête... et je souriais simplement....
Et là.... Germaient en mon Esprit diverses images de tourments plus plaisants les uns que les autres... Me faisant marquer un temps d'arrêt dans mes Actes....
Il faut dire que je ne savais pas encore ce que j'allais faire...et que je suis plus dans le réactif des actes que le préparatif, si ce n'est dans les grandes lignes...
Elle m'en tira lorsque je vis sa tête commencer à se tourner....
Ma main libre vient se poser à sa nuque rapidement, sans serrer, juste posée...
Elle réagissait comme une chatte recevant la caresse, la tête se courbant, se tournant avec délicatesse...les épaules se balançant...les hanches se déplaçant....
Un délicieux spectacle de la Femme devenant ce petit animal docile....Adorable et n'aspirant que de caresses et de tendresses.....
Brusquement, je saisi sa chevelure, arrêtant nette ce doux manège....Bloquant sa tête dans son mouvement de tendresse...
Ma main de ses hanches descendit lentement, ne touchant que la chair des jambes....pour se faufiler dans son entre-jambes serré que l'horizontalité de cette main vint perturber l'harmonie....
« Ecartez ! »
Un simple mot, que le geste assurait...ni avec force, ni avec violence...mais juste le ton sec...pour qu'Elle fasse...
Elle écarta les jambes pour qu'elles rencontrent chacune l'accoudoir avec ce petit mouvement de rein montant et descendant....Subtil moment encore anodin... mais si évocateur parfois...
Ma main quitta les cheveux, descendit prendre place aux creux de ses reins... je m'écartais de sa personne....
Je pouvais voir cette Précieuse « Fleur au bouton d'Or », convoitise de biens des hommes... et des femmes aussi... dont le gonflement c'était fait certain, couvrant d'un Rouge plus fort que d'accoutumé....qu'une légère Rosée des Sens venait rehausser....
J'aime à voir ces premières palabres de cette Fleur, sans la touché, juste à mirer et la voir seule se transformer par les simples faits de l'imagination de mon Elle quand les images la parcouraient....quand les Sens s'éveillent en elle...
« Chaud-Froid »... « Froid-Chaud »...ces mots me revenaient...
Mon regard quittant un instant ce beau spectacle...se posa sur la petite table....
« Chaud-Froid »... « Froid-Chaud »....
Mon verre y était posé, non encore fini....Juste à côté d'une bougie d'un diamètre presque aussi gros que le verre....
« Chaud-Froid »... « Froid-Chaud »
« Froid-Chaud » ... « Chaud-Froid »
« Eau »... « Feu »
« Feu ».... « Eau »
De nouveaux mots....de nouvelles images arrivaient....
« Eau » ... « Feu »....
« Liquide »... « Solide »
« Vin »... « Flamme »....
« Liquide »... « Solide »
« Vin »..... « Bougies »
Le sourire m'était des plus grands....Mon choix de la suite avait fait son chemin
De cette main libre, mon geste fut pris d'hésitation....le temps d'un instant...
Le « froid » d'abord ou le « Chaud ».... ?
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NDLR :suite réelle et imaginée de l article d 'OPIUM intitulē la frustration1
Le reste de la soirēe fut une suite de jeux et de provocation qui prit un tour presque désagréable.Mon humeur avait changē.Je voulais goûter un moment de solitude mais elle etait restēe dans le jeu. Elle s ētait parēe de ces sous vêtements que , comme toute femme, elles imaginent irrésistibles.Mon absence de réaction avait été perçue comme une indifférence mēlēe sinon de mépris du moins d humiliation.
La situation devenait lourde , les propos acides.
Mon esprit vagabondait, tandis qu en arrière plan je la voyait passer dans ces tenues qui en temps normal sont un appel à une soirēe de stupre et de fornication.
Je restais de marbre vitupērant intérieurement contre cette soumise bien rebelle dont j ētais devenu sans le dire l esclave sexuel , rēpondant à toutes ses sollicitations, sans jamais marquer de refus.
Je me maudissais de cette contradiction que j avais moi même suscitē : la libérer de ses carcans et lui laisser exprimer envies et phantasmes sans retenue et me retrouver ensuite au service de ceux ci au grē de ses envies.....
Je décidai intérieurement que ce soir il n y aurait ni corde ni cravache ni ceinture .
Je décidais d 'allumer la tēlē afin de bien marquer mon dēsintērêt .
Elle alla se coucher, marquant par mille dētails son agacement .
Je fis de même plus tard dans la soirée.
Vers 06 h du matin je sentis sa main glisser sous mon dos et prendre dans son creux ma paire de couilles.Je sentis ensuite sa bouche venir lécher mon gland ...je restais immobile , silencieux .
Je compris ensuite òu elle voulait en venir.Brusquement elle m enfourcha. L 'idée me traversa de la désarçonner mais je ne le fis pas .Elle s activa sur moi avec la rage de celle qui veut trouver son plaisir mais je restai toujours immobile , bras étendus avec cette froide et indifférente érection qui vous transforme en pieu de bois ou métal.
Je savais sa frustration.je savais ce qu'il aurait fallu que je fasse pour remplir son plaisir : mais il aurait fallu que je me redresse la mette à 4 pattes la prenne violemment la fèsse de mille manières l 'attache etc et je n en avais nulle envie car il était 6 heures.
En désespoir de cause elle me pris brusquement les mains pour les plaquer contre ses reins. Je laissais faire .elle continua a s activer sans arracher de ma bouche le moindre son de plaisir . J attendis qu elle eut joui.je me levai sans un mot et quittai la chambre pour prendre un cafē.
Je pris mon i Pad et décidai de faire une suite à cet article d opium que j avais lu la veille,.il est dimanche , je suis sur le balcon ,le temps s est adouci.
Je réfléchis.
Je vais aller tout à l heure poser un baiser sur son anus sans un mot , pour lui dire bonjour.
Et revenir dans le respect du code et de la règle.
Bon dimanche à tous
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