La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 29/03/24
"Même absent, il m'observe..." - Noir. Souffle, frémissement. Sons métalliques, froissements de cuir. La captive s'éveille, en douceur, et en cage. Elle sort lentement de sa torpeur ; ses membres s'étirent et sa peau frissonne, un gémissement s'échappe de son bâillon alors qu'elle les déploie malgré les chaînes. Hormis sa tête cagoulée, son corps tout entier palpite et tressaille ; ni l'air frais ni le sol dur ne l'empêchent plus de dormir, désormais, mais il lui faut néanmoins affronter chaque matin leurs empreintes. Non qu'elle ne s'en plaigne. - Quand bien même le voudrait-elle qu'elle ne se le permettrait pas ; courbatures et chair de poule ne sont au pire que de mineures et temporaires inconvéniences. Elle s'y est depuis longtemps habituée. De par sa force d'esprit et son désir de discipline, elle les a même apprivoisées ; le frisson matinal lui est devenu délicieux, et les douleurs musculaires des obstacles à franchir pour mieux savourer les étirements. Sans compter qu'il serait ridicule de geindre pour de telles peccadilles, quand cette même peau est subtilement tavelée de tâchées bleutées, de marques d'impact et de traces de lanières de cuir, dont chacune se fait encore ressentir... Et dont chacune fait sa fierté. - Elle se redresse. Elle s'agenouille. Elle est maintenant bien réveillée. Cela lui prend parfois un peu de temps pour émerger, ou même pour le réaliser ; en ce lieu enténébré sur lequel elle ne pose que rarement ses yeux bandés ou ceints de cuir, le jour et la nuit sont ardus à distinguer. Comme pour tout le reste, sa discipline durement acquise et ses ordres permanents ont pris le pas sur le désarroi des premiers temps, et l'exercice ainsi que l'habitude ont comblé les manques. Lorsqu'elle se redresse, elle évite désormais de se cogner aux barreaux de la cage. Lorsqu'elle s'agenouille, elle sent d'instinct la direction de la porte du cellier ; il lui faut exposer son corps nu et enchainé face à l'huis chaque matin dans l'attente et la patience... du moins chaque fois qu'elle est rangée ici pour la nuit. A l'hésitation originelle à maintenant succédé une calme et prudente expertise. Tatonnements aveugles et emmêlements de chaînons la feraient aujourd'hui davantage rougir que n'importe quelle gifle. Son dos est droit, sa tête basse, son buste relevé pour flatter sa silhouette emprisonnée. Dans la pénombre, on peut croire à une sculpture, tel un hommage à quelque nymphe tutélaire des captives d'un divin geôlier. Mais la jeune femme n'est pas de marbre ; comme toujours, la contemplation de son sort éveille chez elle aussi bien ses sens que son esprit. Ses lèvres et sa langue se font plus sensibles autour de son baillon, alors que son souffle en s'approfondissant roule dans sa gorge enserrée d'un collier. Le fer et le cuir s'échauffent de concert avec sa chair. Elle sent sa peau rosir, ses tétines se raidir, et sa fleur perler d'une frâiche rosée. Cela n'a rien d'une distraction... c'est un impératif, car c'est ainsi qu'elle est désirée, et de tels désirs sont, pour elle, des ordres. En silence, le temps passe. Son maître viendra.
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Par : le 09/03/24
Apprenant que son maître passait une nuit au camping municipal de La R**, elle s'est précipitée pour le rencontrer, juste le jour où elle aurait dû fêter son anniversaire en famille. Connaissant ses goûts, elle s'est présentée nue sous sa robe, la taille corsetée par une large ceinture serrée au maximum, et prête à assouvir tous ses désirs (et les siens). Il avait préparé ses cordes, ses menottes, ses baillons, ses fouets, tous les accessoires qu'elle craignait et espérait secrètement. Elle s'est fait délicieusement violée sous la tente mais tous deux en voulaient plus, et dans un lieu plus discret. Il lui a proposé de la ramener chez elle. Elle a dit oui, la maison devant être déserte. Pour corser le trajet en auto, il a exigé qu'elle soit nue, les mains liées derrière le dos et les seins étroitement ligotés à leur base, de façon à ce qu'ils s'érigent de façon indécente, les pointes dardées et tuméfiées. Il lui a uniquement accordé un bout de couverture pour se protéger de la vue des passants. Arrivés près de chez elle, elle l'a supplié de garer la voiture à l'arrière et de rentrer discrètement par le jardin. Arrivés dans la cuisine, il lui a annoncé que, à cause de cette demande stupide, elle serait immédiatement fouettée. Elle a été obligée de se placer face à la double porte qui ferme l'accès entre la cuisine et la salle à manger pendant qu'il vissait quatre crochets dans les parois latérales pour l'attacher, les bras et les jambes en croix, toujours nue et entravée, de plus en plus excitée. Vas-y, cria-t-elle, je n'en peux plus de désir. C'est à ce moment précis que la double porte s'est ouverte largement, qu'une éclatante lumière s'est allumée et que toute la foule de ses amies et amis présents dans la salle s'est mise à chanter "bon anniversaire" à tue-tête.   Va-t-elle mourir de honte ou jouir comme une folle ?  
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Par : le 10/02/24
-Bravo Général Valeri, la mise sous contrôle de Donald est une totale réussite.  -une opération très amusante. Et qui pourra servir de modèle, camarade Président.  -elle m'a beaucoup fait rire, il est vrai. C'est toujours un plaisir de travailler avec vous.  L'opération "une chatte pour Donald" à pris du temps. Comment sélectionner une bonne espionne? D'abord, il faut une fidélité et loyauté à toute épreuve. Rien de mieux qu un conditionnement extrême sur mode bdsm. Au bout de quelque mois, l'espionne n'obéira plus qu'à son Maître qui pourra tout lui demander. Ce n'est toutefois pas le plus important. Ce qui compte c'est de réussir et donc d'alpaguer si fort la cible qu'elle passera sous contrôle.  Donald s'est vanté de choper les femmes par la chatte. Valeri a donc fait en sorte de lui en fournir une qui le rende fou. Comment savoir si une femme est vraiment bandante. Ce n'est pas nécessaire qu'elle soit sublimement belle, non, c'est autre chose. Valeri, en bon militaire a voulu tester. Il a sélectionné des hommes de la façon la plus variée possible et les à mis par groupes de douze, nus, dans une pièce, avec une grande baie vitrée et une glace spéciale pour qu'ils puissent voir sans être vus. Interdiction de se toucher le sexe. Les filles devaient attendre une par une, une dizaine de minute, dans la pièce en face, avec une simple chaise pour s'assoir et rien d'autre  et vêtues comme elles avaient l'habitude de l'être dans la vie courante.  Aux hommes de choisir. Pour chaque fille un numero et un vote de zéro à dix. Cela n'était en fait qu'une sorte de leure ou de mise en condition. Les hommes nus étaient observés sans qu'ils le sachent, et plus. Les votes n'avaient de fait aucune importance. La seule chose prise en compte était le désir réel. Ne fait pas bander qui veut. Et c'est de la sorte que la milice privé Stalin recruta ses meilleures espionnes pour ces missions très spéciales reposant sur le sexe. Laura fut vite repérée comme la championne toute catégorie. Sa seule présence faisait lever les bites comme des régiments levent les baillonettes. Aucun raison, aucune explication. Laura fait bander un homme par sa seule présence et ensuite par le souvenir.  Des que Donald a vu Laura, il a voulu la chopper par la chatte et pas que.  Il en est devenu raide dingue.  Et donc, fini les aides à l'Ukraine, fini les ambiguïtés. Pour avoir sa drogue quotidienne, une bonne baise avec Laura, il a du obéir.  En conclusion  la bite est elle le véritable cerveau de l'homme ? 
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Par : le 10/02/24
Les aventures de S.    En route…   Dans le taxi qui me conduisait jusqu’à ce premier rendez-vous, je frissonnais malgré moi, d’impatience bien sûr, mais également d’une certaine appréhension. Je n’avais aucune idée de ce qui m’attendait, de ce qu’il allait faire de moi. Le trajet semblait durer étrangement longtemps et j’en profitais pour me repasser les consignes: il me fallait me présenter devant sa porte, en robe, sans culotte ni collants. En prévision, j’avais pris une longue douche, épilé mes jambes et ma toison, qui n’avait pas vu de rasoir depuis plusieurs années, je m’étais légèrement maquillée et j’avais retourné tout mon placard dans l’espoir de trouver une robe qui m’aille. Pas trop courte, pas trop longue, un peu sexy, je voulais lui laisser une bonne première impression. Il y avait longtemps que je n’avais pas pris autant de soin pour me préparer, pour m’apprêter et en partant, je me sentais tantôt presque belle, tantôt ridicule. La jupe était trop courte, le décolleté trop prononcé, mes cheveux courts pas assez féminins… Qu’en penserait-il? Mes pensées vagabondaient dans tous les sens pendant que la voiture se faufilait dans les embouteillages parisiens.  Qu’en penserait-il? Comment pouvais-je le savoir? Je ne savais presque rien de l’homme que j’allais rencontrer. Certes, nous avions échangé de nombreux messages depuis une dizaine de jours. Au début presque amicaux, prenant des nouvelles l’un de l’autre (nous avions eu une relation d’une nuit une dizaine d’années auparavant), les messages étaient rapidement devenus plus directs, plus personnels, plus chauds. En quelques jours, j’étais devenue S., sa soumise et il était devenu mon maître. Ne me demandez pas comment c’est arrivé, j’en serais bien incapable. Toujours est-il que je me rendais donc au 1er rendez-vous avec mon maître. Même en me le répétant encore et encore, cela me fait frissonner des pieds à la tête, toujours partagée entre la peur et l’excitation. Au fil des messages, nous avions échangé sur nos souhaits, nos fantasmes, nos attentes, nos limites également. Petit à petit, j’avais appris à modifier mes propos, passant au vouvoiement, demandant la permission de poser des questions, acceptant quelques missions à distance, qui, avec un peu de recul, étaient complètement folles pour moi. Comment en étais-je arrivée à prendre des photos de mes seins en plein milieu d’un train bondé pour les lui envoyer? Au fur et à mesure des jours nous rapprochant de ce premier rendez-vous, l’excitation était montée crescendo et je ne me reconnaissais plus. Je n’avais qu’une hâte, enfin arriver et le laisser faire de moi ce qu’il voulait. J’avais accepté, en tout cas je le pensais, de lui céder tous les droits sur moi, de devenir sa chose pendant l’espace d’un moment. Bien entendu, nous avions posé des garanties, j’avais exprimé mes peurs et mes limites et je comptais sur lui pour les respecter. Une petite voix au fond de moi me disait bien que j’étais folle, qu’une fois sur place, rien ne l’empêcherait de faire de moi ce qu’il voulait, bien au delà des limites posées, que je n’avais prévenu personne. Les pires faits divers repassaient dans mon esprit mais je les chassais au loin. Au moins, j’aurais vécu follement mes derniers instants. Je ne pus retenir un rire et lorsque le chauffeur me jeta un regard dans le rétro, je devins rouge écarlate comme s’il avait deviné ce à quoi je pensais.    Lorsque la voiture s’arrêta enfin devant la rue indiquée, je sortis de la voiture chancelante. Le souffle me manquait. Allais-je vraiment aller jusqu’au bout ou m’enfuir en courant? Paniquée, je ne savais plus où je devais aller, quel code taper pour entrer… À deux doigts de faire demi-tour, mon téléphone vibra. Un message de J. Il voulait savoir si j’étais bientôt là et me dit qu’il m’attendait avec impatience. D’un coup, mes pensées négatives s’estompèrent et le désir s’insinua au plus profond de moi. Rapidement, je trouvais la porte de son allée, déverouillait la porte avec son code et pénétrait dans la petite cour qui menait à son appartement. La lourde porte cochère en se refermant sur moi m’isola totalement du monde extérieur et le silence se fit. La petite allée qui menait à l’entrée de son immeuble était un de ces petits coins de paradis parisien qui vous emmène à mille lieux du périphérique et de la rue grise et encombrée. D’ordinaire, j’aurai été subjuguée par cette petite alcôve, mais aujourd’hui, je n’avais qu’une envie, traverser à toute vitesse ce passage et grimper les marches à la volée. Le 2ème code entré et la porte franchie, je me retrouvais en face d’un petit escalier qui montait dans les étages. 4ème gauche m’avait il indiqué. Je commençais donc mon ascension tout en commençant à me préparer. Petit coup de brush sur les lèvres, recoiffage rapide. Au 2ème, je fais une pause pour enlever mon manteau, mon écharpe afin d’être un peu plus “disponible” à mon arrivée. Oups, la voisine sort de son appartement et me regarde bizarrement. Je pense que je suis aussi rouge que les carreaux au sol. Je continue jusqu’au 3ème étage en priant pour ne croiser personne d’autre. Car j’ai une mission, enlever ma culotte et mes collants pour satisfaire la demande de mon maître. En plein mois de janvier, je ne me suis pas risquée à venir sans. Rapidement, sous le stress de voir quelqu’un débarquer, j’enlève mes bottes, mes collants, ma culotte et remet mes bottes. Je manque tomber dans le processus, oscillant entre le fou-rire et le manque de souffle dû à la peur. Cela crée en moi une excitation proche de la jouissance, alors que la soirée n’a même pas commencé. Je prends une seconde pour me calmer, range toutes mes affaires dans le grand cabas que j’avais préparé et entame la montée du dernier étage. A peine arrivée sur le palier, la porte s’ouvre. J. s’impatientait, se demandant ce qui me retenait. Je suis sur le pas de sa porte, essoufflée, excitée, pétrifiée.    Dans l’antre de mon maître   Mon maître, sans un mot, me fait signe de rentrer. Je me sens toute petite, même si mes bottes me font prendre quelques centimètres. Son regard sur moi, sur ma robe, sur mon décolleté me coupe le souffle. Je rentre, me retrouve devant lui et il m’embrasse sur le bout des lèvres, en douceur, puis se place sur le côté pour que je passe. Je me retrouve à l’intérieur, un peu gauche, et décide de poser mon gros sac sur le côté, faisant tomber au passage une pile de livres. Je me fonds en excuses mais mon maître ne semble pas m’en tenir rigueur. Je me redresse finalement et par instinct, place mes mains jointes devant moi, la tête baissée. Est ce la posture requise d’une bonne soumise? Cela semble plaire à mon maître. Il reste quelques secondes à m’observer puis soudainement, lève ma robe au-dessus de mes fesses.  “Je vérifie que tu as respecté notre marché”. Ce simple contact m’envoie une décharge électrique et je suis à deux doigts de lui demander de me prendre à l’instant. Mais, la situation impose le silence et je me prête au jeu.  Je prends peu à peu mes repères pendant que mon maître admire ma croupe (enfin, j’espère) et je regarde un peu plus autour de moi. A quelques pas, la petite table du salon attire mon regard. Cravache, fouet, godes, liens, boules de geisha, baillon… mon maître a exposé sur la table toute sa collection BDSM.  Depuis quelques semaines, je me suis renseignée sur ces instruments de soumission, de sado-masochisme. Certains me font peur, d’autres me rendent curieuse et je regarde avec intérêt cette exposition. J. surprend mon regard et sourit.  Ça te plait?  Je crois  Pardon? Je crois? maître?  C’est mieux. C’est une partie de ma collection Une partie? le mélange d’émotions que je ressens depuis quelques minutes me dépasse. Je ne sais plus où j’en suis, hésitant entre partir en courant ou m’offrir totalement.  J. contourne la table et s’assoit sur le canapé. Il me fait signe de venir vers lui, ce que je fais après un temps d’hésitation. Je m’assois à côté de lui et il sourit.  M’as tu demandé la permission de t’asseoir? Oups, je me relève comme si j’étais assise sur un ressort.  Je rigole, assis toi, mais relève un peu ta robe.  Je me retrouve donc assise sur le canapé en cuir blanc, les fesses directement en contact avec celui-ci. Le froid me surprend et me fait sursauter. Mon maître, à l'affût de mes réactions, sourit de nouveau.  Est ce que tu aimes ce que tu vois?  Oui, oui. Heu, oui maître.  Est ce qu’il y a des choses que tu ne connais pas? Ou qui te font peur?  Je regarde de nouveau, sans me cacher cette fois et je suis assez fière de moi car je crois tout reconnaître. J’ai bien travaillé mes devoirs et je suis heureuse de lui montrer que je ne suis pas si débutante que cela.  Il commence alors à me présenter tout ce qu’il y a sur la table:  Il y a des objets de plaisir: vibros, gode, petit œuf à insérer et que je peux commander à distance. Il y a des outils de contrainte pour te maintenir: des liens pour les pieds, les poignets, des baillons (dont un avec une boule), des tissus pour le bondage. Et il y a mes outils préférés: cravache, fouet à lanière, spatule.  Spatule?  Oui, une spatule, tu verras, c’est… intéressant.  Je suis immédiatement pétrifiée de peur. Je me permets de lui rappeler que l’une de mes limites est une trop grosse douleur et la deuxième, de ne pas avoir de traces qui restent. Il rit et me dit de ne pas m’inquiéter, qu’il a bien noté mes limites, même si son rôle est de les repousser, à chaque fois un peu plus. Je me rends compte que je transpire un peu sous le coup du stress, mais qu’en même temps, je mouille comme cela ne m’était pas arrivé depuis très longtemps.  Déshabille-toi.  Cet ordre, comme un claquement au milieu de mes pensées, me fouette d’un coup. Je m’arrête de respirer. C’est maintenant ou jamais. Et, sans savoir moi-même d’où ça me vient, je quitte ma robe d’un seul coup et me retrouve en soutien-gorge sur son canapé. Quelle sensation incroyable! J’ai honte de mon corps, pas vraiment idéal, avec mes bourrelets, mon ventre qui est loin d’être plat, mes cuisses épaisses. Mais mon maître ne semble pas s’en soucier et m’observe intensément.  J’ai dit: déshabille-toi.  Oups, mon soutien-gorge. Mes doigts glissent sur la fermeture comme si c’était la première fois que je l’enlevais. Mes seins se libèrent et je vois les yeux de J briller un peu. Je me sens presque désirable et mon désir augmente au creux de mes reins.  Il attrape quelque chose sur la table.  Ceci est ton collier. Je t’en ai commandé un, spécialement pour toi, mais pour le moment, tu auras celui-ci. Ce collier signifie que tu m’appartiens, que tu dois m’obéir. Tourne toi!  Je lui tourne le dos et il glisse cet épais collier en cuir autour de mon cou. Il serre le collier et le ferme. Il ne m’empêche pas de respirer mais me sert assez pour que je sente déjà une certaine contrainte. Et son poids empêche de l’oublier. Il est relié à une laisse sur laquelle mon maître s’empresse de tirer, me montrant ainsi que c’est lui qui dirige maintenant mes mouvements. Puis, il attrape sur la table des liens épais qu’il place à mes poignets puis les attache entre eux. Puis à mes chevilles afin d’attacher mes pieds entre eux. Enfin, il place un masque opaque sur mes yeux, me coupant ainsi de toute sensation visuelle.  J. me demande alors de m’allonger sur le dos sur le canapé. Je me retrouve ainsi pieds et poings liés, nus sur son canapé. Pendant quelques secondes, plus rien ne se passe et cette attente, dans le noir, attachée, est tellement excitante et stressante que mon souffle s’accélère. Mon maître me glisse alors entre les doigts un objet vibrant que je reconnais de suite. J’en reste bouche bée.  Je vais aller prendre une douche. Tu dois garder ce vibromasseur sur ton clitoris jusqu’à mon retour, mais tu n’as pas le droit de jouir. Tu peux jouer avec la vitesse, mais interdit de l’enlever.  Mais je ne peux pas, me masturber devant toi, c’est impossible.  Pardon? Je ne pourrais pas.  Un silence s’ensuit et d’un coup, je ressens un grand coup de fouet sur les cuisses, me faisant sursauter et gémir.  Tu viens de me tutoyer? C’est interdit.  Je me tortille sous la douleur pendant que j’essaie de remonter le fil de notre discussion.  Je suis désolée, maître, je n’ai pas fait exprès.  Commence! La honte me paralyse. Me masturber devant lui? Vraiment? Jamais je n’aurais imaginé qu’il me demande cela et je suis certainement plus rouge qu’une tomate. Mais docile, je place le vibromasseur frémissant sur mon clitoris. Malgré mon masque, je sens le regard de mon maître sur moi pendant quelques instants, puis je l’entends qui s’en va, tranquillement vers la salle de bain. Alors, je relève instantanément le vibro.  Je respire quelques instants, hésitant à poursuivre la mission confiée par mon maître ou à attendre son retour. Mais, la tentation est trop forte et sans écouter la petite voix pudibonde au fond de mon esprit, je pose de nouveau le plastique froid et vibrant contre mon clitoris humide. Me détendant petit à petit, je sens le plaisir qui monte petit à petit en moi, la chaleur me gagne, je commence à gémir un peu. J’entends la douche au loin et me rappelle soudain que je ne dois pas jouir. Je baisse donc le rythme du vibro pour ne pas aller trop vite.  Pendant les prochaines minutes, j’arrive plus ou moins à contrôler mon excitation même si elle monte crescendo. La situation est ubuesque mais j’oblige mon cerveau à se mettre en retrait.  Soudain, je sens quelque chose et mes sens sont de nouveau en éveil. Mon maître m’observe et je le sens regarder chaque centimètre de ma peau. Je respire difficilement tant l’excitation monte. Il s’approche doucement, sans un mot et récupère le vibro qu’il colle à fond sur mon clitoris. Je commence à monter en pression, à gémir, à me débattre un peu et au moment où je vais jouir, il s’arrête soudainement. Cette sensation me frustre au plus au point et j’entends mon maître qui quitte la pièce. L’attente de son retour fait monter l’angoisse pendant que le sang pulse dans mon clitoris, en manque, en douleur, gonflé à bloc. Il revient quelques instants plus tard et me demande si ça va . Je ne peux que gémir.  Que veux tu?  S’il vous plaît, maître Que veux tu?  Encore un peu maître Que veux tu ?  Je veux, je veux, je…  Que veux tu?  Je veux jouir maître.  Supplie moi Je respire profondément, comment pourrais-je oser dire cela?  Que veux tu?  S’il vous plaît, maître, est ce que je peux jouir?  Je lance cette phrase dans un souffle,  rouge de honte.  Mon maître reprend son jeu avec le vibro et de nouveau, je me sens partir vers les chemins du plaisir. Je monte, gémit, mon corps se tord et quelques secondes avant de jouir, mon maître éloigne le vibro et place sur mon clitoris un glaçon, qu’il venait d’aller chercher dans la cuisine. Je crie de plaisir, de stupeur et le plaisir s’estompe de nouveau.  Je ne sais plus où j’en suis, j’aimerai hurler, pleurer, crier, le supplier de me laisser jouir.  Tourne toi sur le ventre.  Stupéfaite, je reprends un peu mes esprits, et essaie, comme je peux, de me tourner le ventre. Gentiment, il détache mes mains pour faciliter la transition puis, une fois sur le ventre, me les attache dans le dos.  Tu te rappelles qu’au fil de nos discussions, je t’ai dit que tu recevrais des punitions lors de notre première rencontre? Pour quelles raisons?  Parce que j’oubliais souvent de vous tutoyer? Parce que vous m’aviez demandé de me masturber un soir sans jouir et je n’ai pas résister?  Tout à fait. Je vais donc administrer ta première punition. Tu as le droit de crier, de pleurer, mais tu dois compter à haute voix chaque coup. Est ce bien compris?  Je suis en  stress total. Il va me fouetter, là maintenant?   Au secours. Je suis à deux doigts de pleurer et l’excitation a totalement disparu.  Est-ce bien compris?  J’hésite à lui dire que je ne suis pas prête, que je ne suis pas d’accord, que je ne veux pas avoir mal. Mais dans un souffle, d’une toute petite voix, je réponds Oui Pardon?  Oui maître Quelques secondes se passent pendant lesquelles j’ai l’impression de ne plus respirer, que mon cœur s’est arrêté, que je vais mourir sur le champ.  Le premier coup de fouet sur mes cuisses m’arrache un petit cri.  Ça va?  Oui (dans un souffle) Alors, compte! De nouveau, les lanières du fouet se répandent brutalement sur ma cuisse, et je crie de nouveau.  2!  Non, tu recommences au début.  Au début?  Il ne prend pas la peine de répondre et son poignet s’abat de nouveau.  1  Bien! Tu en recevras 20! C’est compris?  Heu, oui, maître.  Les coups commencèrent à pleuvoir, certains un peu plus fort que d’autres. Je sursautais à chaque coup, mais je me rendis vite compte que la douleur n’était qu’éphémère et qu’au contraire, elle commençait à me procurer des sensations inédites. Mon souffle s'accéléra, mon bas-ventre devint très humide.  A 8 coups de fouet, mon maître s’arrêta pour me demander pourquoi je respirais aussi vite. Avec un peu de honte, je lui dis que je sentais l’excitation monter en moi. Je l’entendis presque sourire.  On continue.  Sauf que la seconde suivante, je sentis une brûlure très forte sur ma fesse. Ce n’était plus du tout la même sensation et je criais stupéfaite.  Tu aimes aussi la cravache?  Il enchaîna ensuite quelques coups, un peu partout sur mes fesses,  10, 11, 12.  Je ne savais plus si j’avais mal, si je prenais du plaisir, si je voulais que cela s’arrête ou continu.  Je vais maintenant essayer la spatule.  Non, maître, non, s’il vous plaît.  Ce n’est pas toi qui décide.  J’étais au bord des larmes, en revoyant cette large spatule sur le bord de la table. La douleur devait être intense et ma peur me pétrifia.  Tu es prête à compter.  Non, non, non  Tu connais le mot de passe si c’est trop pour toi, mais tu ne dois l’utiliser que si vraiment tu ne peux plus tenir.  Pendant nos discussions par message, mon maître m’avait donné un mot de passe, un safe word, pour pouvoir arrêter nos “jeux” si cela dépassait mes limites. Mais il m’avait aussi alerté sur le fait de ne l’utiliser que dans des situations extrêmes. Étais-je prête à l’utiliser maintenant? Sans même avoir essayé? Je lui avais dit que j’étais prête à subir ce qu’il voulait, n’étais ce pas un peu prématuré? Je sentais dans sa voix qu’il était un peu déçu que j’abandonne aussi facilement. Mais j’aurais bien aimé le voir à ma place.  Je pris une grande respiration et décidais de serrer les dents. Je savais (plus ou moins) à quoi je m’engageais en venant. Je fis non de la tête et serrais les poings.  Mon maître me tapota la croupe, satisfait.  On y va.  La spatule s’abattit sur ma fesse d’un seul coup. Et mon souffle se coupa. La sensation se répandit dans tout mon bassin et je me mis à gémir.  Oh putain, c’est bon!  Tu aimes? Heu oui, maître.  Cette sensation de décharge, mêlée à l’adrénaline de la situation, m’avait envoyé aux portes du plaisir.  Alors compte, dis mon maître dans un souffle. Mon plaisir semblait le satisfaire au plus haut point.  Les 7 coups suivants se succédèrent entre cris, gémissements. Parfois, mon maître frappait fort, d’autre fois, il l’utilisait en douceur et cet enchaînement incertain était extrêmement excitant.  20  Je m’affaissais totalement sur le canapé, et je ne m’étais même pas rendu à quel point, je m’étais dressée au fur et à mesure, levant ma croupe de plus en plus haut pour rejoindre les coups.  Mon maître me caressa les fesses, doucement et cette sensation était extraordinaire.  Hum, tu es bien rouge, j’aime voir ça.  Je ne pouvais répondre, perdu dans mes ressentis, subjuguée par ce que je venais de vivre.  J. me laissa quelques secondes pour reprendre mes esprits, reposant tout son matériel sur la table, prêt à servir de nouveau.  Puis, il tira sur ma laisse, me rappelant ainsi à ma condition de soumise enchaînée.  Lève-toi!  Un peu difficilement, je l’avoue, j’arrivais à m’extirper du canapé, les yeux toujours bandés, les poignets attachés dans le dos, les chevilles attachées entre elles, avec juste assez de chaîne pour me permettre de faire de tout petits pas. Il me promena ainsi quelques instants puis s’arrêta net.  A genoux!  Instantanément, je sus ce qui allait se passer et j’étais tellement excitée par la séance de punition et mes liens que lorsqu’il me présentait sa queue, je sautai littéralement dessus, ce qui le fit rire.  Stop! Tu ne m’as pas demandé si tu pouvais.  Quoi?  Demande moi De nouveau, la honte m’empêcha de parler quelques instants. Mais, que risquais-je étant déjà nue, attachée à ses pieds, je ne voyais pas comment je pouvais me ridiculiser davantage.  Est ce que je peux te sucer? Pardon?  Oups! Est ce que je peux vous sucer maître?  S’il vous plaît.  Me prenant au jeu, je répétais donc chaque mot comme une bonne petite soumise Est-ce que je peux sucer votre queue, maître, s’il vous plaît?  Je t’en prie, fais toi plaisir.  A ce point, j’étais totalement excitée et je pris son sexe dans ma bouche avec le plus grand plaisir. On ne peut pas dire que je suis une grande fan de fellation. J’en ai fait quelques-unes dans ma vie, mais plutôt pour faire plaisir à mon partenaire, sans vraiment trouver cela intéressant pour moi. Mais dans cette situation-là, on peut dire que j'ai pris mon pied comme jamais en le sucant. Je m’appliquais intensément et je sentais le plaisir que prenait mon maître au fur et à mesure que sa queue grossissait dans ma bouche.  Hum, tu t’y prends bien, une vraie soumise, bien salope comme je les aime.  Ces quelques mots me firent mouiller encore plus fort et j’étais au comble de l’excitation. Je léchait, suçait avec énergie et lorsque mon maître appuyait un peu sur ma tête, je le prenais jusqu’au fond de ma gorge sans rechigner. Je le sentais respirer fort, gémir, et ma langue, ma bouche était remplie de son sexe. Au point que lorsqu’il vint dans ma bouche en criant, je m’employais à lécher et avaler chaque goutte pour n’en laisser aucune. Pendant quelques secondes, il resta dans ma bouche, savourant mes petits coups de langue gloûtons puis se retira en me félicitant de ce beau travail. Sa queue était toute propre.  Il m’abandonne ainsi quelques minutes et je me retrouvais nue, à genou sur le plancher, toujours attachée, épuisée par cette séance.  Mon maître eut alors la gentillesse de me détacher et me rendre la vue. Je ne gardais que mon collier. Il m’offrit un verre d’eau pour me remettre de mes émotions. Je me sentais rouge écarlate, un peu ébahie par tout ce que j’avais osé faire sur cette fin d’après-midi.  Comment tu te sens?  Épuisée, dis-je dans un petit rire.  Tu t’es bien dépensée, il faut dire  Pendant un petit moment, nous nous sommes mis à parler de différentes choses, sans rapport avec notre jeu de rôle, mais par précaution, je préférais garder le vouvoiement. Je crois que je commençais à apprécier de lui parler ainsi, avec prudence et respect, même lors de conversations diverses.  Au bout d’un moment, mon maître m’indiqua qu’il me libérait et que je pouvais rentrer chez moi. J’étais un peu déçue d’un côté car j’aurais presque aimé recommencer mais en même temps, j’étais épuisée.  Pour une première séance, c’était bien. N’allons pas trop vite. Par contre, je te laisse repartir à 2 conditions. D’une part, tu me laisses ta culotte. D’autre part, tu mets ceci à l’intérieur de toi.  Il me tendit alors deux boules de Geisha, reliées entre elles par un lien en silicone. Je restais un peu figée en les voyant car elles me semblaient énormes. J’en avais déjà vu sur des sites en faisant des recherches mais totalement novice, je ne savais pas par où commencer.  Maître, vous voulez que je mette ces 2 boules en moi? Mais heu, dans le vagin, pas dans le…, enfin vous voyez.  Cela le fit éclater de rire.  Oui, pas dans ton anus, il n’est pas encore prêt pour ça. Tu peux aller dans la salle de bain si tu préfères.  Je partis donc dans la salle de bain et essayais tant bien que mal d’introduire ces boules à l’intérieur de moi. C’était très bizarre car elles vibraient en bougeant, créant une sensation spéciale lorsque je les avais en main. Je n’osais imaginer l’effet que cela ferait une fois dedans. Mon pauvre vagin n’avait pas reçu de choses aussi imposantes depuis un certain temps, il eut donc beaucoup de mal à les avaler, mais je réussis finalement à les faire entrer. Ce n’était pas vraiment confortable ou agréable, et j’avais l’impression qu’elles allaient tomber à chaque instant. Je revins dans le salon un peu gauche, ce qui le fit sourire. Il me tendit ma robe et je me rhabillais tant bien que mal, prenant seulement conscience que j’allais partir sans culotte, avec 2 boules susceptibles de s’échapper à chaque instant.  Enfin prête, je pris mon sac, mon manteau et m’approchais de mon maître qui m’observait avec intensité près de la porte. Il me fit me tourner et m’enleva mon collier, dernier symbole de ma soumission de l’après-midi et bizarrement, je me sens presque nue sans lui.  Rentre bien! Et tu me dis quand tu es chez toi, que l’on décide ce que l’on fait avec les  boules.  Oui maître Il m’embrassa doucement et je sortis sur le palier. Un dernier petit coucou et je descendis les 4 étages de son immeuble. Chaque pas me rappelait que mon vagin était plein et le mouvement des billes à l’intérieur des boules de Geisha était vraiment très intéressant. De nouveau, je me sentais gagnée par l'excitation. Décidément, ça ne s’arrêtait jamais. Je me rappelais alors que je n’avais pas encore joui malgré tout le plaisir que j’avais pris.  Une fois dans la rue, je commandais un VTC car je ne me voyais pas prendre le métro, sans petite culotte et avec ces boules en moi. En attendant mon chauffeur, je marchais un peu sur le trottoir pour oublier le froid piquant qui remontait le long de mes cuisses et jusqu’à mon clitoris. C’est fou cette impression que tout le monde sait exactement ce qui se passe, que chaque personne passant à côté, sait que je viens de tirer une pipe à un quasi inconnu, que je ne porte pas de petite culotte. Il est difficile de décrire les sensations que je ressentais à ce moment-là, plus je marchais et plus les boules m’excitaient, plus je pensais à ce que je venais de faire ou à ce que les autres pensaient, plus je montais en pression. J’avais l’impression que j’allais jouir là, sur ce trottoir, devant tout le monde.  Ma voiture se gara devant moi et je revins sur terre immédiatement. Arrivant difficilement à parler, je montais rapidement à l’arrière, mis ma ceinture et me concentrai sur mon téléphone. Heureusement, le chauffeur n’était pas très bavard non plus. Je jetai un œil vers lui et fut surprise de voir un beau jeune homme, plutôt bien fait. Manquait plus que ça. La voiture démarrra tranquillement et mon calvaire commença. Chaque accélération, chaque coup de frein faisait vibrer intensément les boules dans mon vagin et comment vous dire, mon chauffeur n’était pas des plus doux avec ses pédales de voiture. Je sentis la chaleur monter en moi petit à petit, et bien sûr, j’étais persuadée que le chauffeur savait exactement ce qui m’arrivait.  J’envoyais un message à mon maître.  C’est très intense avec les boules. Et le conducteur conduit très brusquement.  Tu n’as pas le droit de jouir. Est-ce que le chauffeur te regarde?  Bien sûr que je n’allais pas jouir sur la banquette arrière d’un VTC. Enfin, non, pas si sûr. Des vagues de plaisir me submergeaient par moment et il me fallait garder toute ma tête pour ne pas sombrer. J’essayais donc de me concentrer sur ma discussion avec J ou sur le paysage. Mon maître semblait apprécier mon désarroi et relançait régulièrement pour savoir comment je m’en sortais. Comme à l’aller, le trajet me parut durer une éternité.  Arrivée en bas de chez moi, je sortis comme je pouvais du taxi, en bafouillant un “merci”. Ma plus grande peur était que les boules tombent au moment où j’allais passer les jambes en dehors du véhicule mais fort heureusement, elles restèrent bien au chaud dans mon trou.  Sans trop savoir comment, je réussis à ouvrir la porte de mon immeuble, monter les escaliers jusqu’à mon appartement, trouver ma clé, entrer chez moi et refermer, quasiment sans respirer.  Ouf, j’étais chez moi, en sécurité.  Après quelques secondes de répit, j’enlevais mon manteau puis envoyais un message à mon maître.  Je suis rentrée. C’était vraiment très très bizarre.  Tu es excitée.  Oui, très excitée.  Alors, je veux que tu te masturbes, avec les boules de Geisha en toi. Tu as le droit de jouir. Tu pourras enlever les boules une fois que tu auras terminé.  J’envoyais un message pour remercier mon maître (je suis une soumise qui apprend vite) puis, je m’installais dans mon canapé et attrapait mon vibromasseur. Mon clito était fin prêt, tendu à souhait, mes seins étaient extrêmement sensibles et je sentais les boules de Geisha bien positionnées en moi.  Il ne me fallut pas longtemps pour atteindre la jouissance tant mon attente avait été longue, et la décharge électrique dura un long moment, pour mon plus grand bonheur.  J’étais épuisée et je mis un moment à me lever pour aller enlever les boules (ce qui de nouveau fut plus facile à dire qu’à faire tant mon vagin était serré, je comprenais mieux pourquoi mon maître voulait l’entraîner avant d’y mettre son sexe). J’envoyais ensuite un message de remerciement à J pour cette incroyable première rencontre et sombrait rapidement dans un profond sommeil, en planifiant mentalement de prévoir rapidement une nouvelle séance.
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Par : le 15/11/23
Petit rappel même s'il est complètement évident que tout le monde, maintenant, connaît cette série :D Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. NDM: je ne considère pas le collier et la laisse comme 2 objets. C'est discutable mais, pour moi, ils sont indissociables de mon esclave. J'aurais aimé ajouter un gag à mon esclave. Je ne l'ai pas fait, par contre. Partie 1 (sofa) - Partie 2 (grande et belle table en bois) Comme à chaque séance, tu réponds quand je t'appelle pour entrer dans notre pièce. A genoux, en lingerie noire. Maquillage soigné, rouge vif qui décore non seulement tes lèvres mais barre ton front d'une SALOPE. Tu es prête à être utilisée comme je voudrais. Tu as conscience que tu es ici pour ton éducation et mon plaisir. Je ne rentrerai pas dans les détails mais tu sais très bien que tu m'as déçu ces derniers jours. J'imagine que tu sais que tout va se régler aujourd'hui. Je prends la laisse et je traîne jusqu'à la table que je fais descendre. - Regarde moi. Tu sais que tu vas être punie pour ton comportement récent ? - Oui Maître, je le sais, je le sens et je le veux. Je le mérite. Je suis ta salope et je veux que tu m'utilises. Mais je comprends que je dois mériter ce droit et je suis heureuse de payer pour te servir ensuite. Si tu le souhaites, bien évidemment Maître. - Monte sur la table ! Prends ton string et mets-le dans ta bouche. Je n'ai pas envie de t'entendre dire Merci ou plus fort quand je te fesserai. Je n'ai pas du tout envie de t'entendre, d'ailleurs. Tu te mets en position. Tu as remarqué les liens sur la table. 4 liens dont la largeur est ajustable. 2 pour les mains, 2 pour les pieds. Tu vas naturellement positionner tes mains dans les menottes que je serre fort. Pas encore de baillon dans cette pièce et c'est bien dommage mais ton string fait l'affaire pour l'instant. Ni de paddle ou de fouet. Mes mains devront suffire. Et elles suffisent jusqu'à ce que ton cul soit rose foncé. La marque des mes mains disparaît au fur et à mesure que tout ton cul se colore. Je te traite de tous les noms. Je cite également tout ce que je veux ajouter à cette pièce. Un objet à chaque fois, c'est finalement trop peu. Je voudrais que ton dos, tes cuisses soient zébrés maintenant. Pas juste ton joli cul. Mes mains chauffent, je me rapproche de ton cul pour le mordre et il dégage une belle chaleur également. Sans même y réfléchir, je retire ma ceinture. Ce n'est pas tricher, de toute façon. Je l'avais sur moi et je fais les règles. Quelques minutes intenses et ton corps est zébré, des épaules au bas des cuisses. Quelques minutes de plus encore. Je n'arrive pas à m'arrêter. Je pense, non, je suis certain que je n'ai jamais été aussi prêt de perdre le contrôle et je sais que tu sentiras la douleur pendant toute la séance. Sans doute même bien les soins post-séance. Je détache tes mains. Tourne-toi salope ! Dos contre la table. Remets tes mains en place. Je les menotte et j'écarte tes jambes pour fixer tes chevilles également. Tu es écartelée au maximum supportable. Ton corps est sur la table, ta tête dans le vide. Je me déshabille et m'approche de toi. Dès que je retire ton string de ta bouche, tu commences à lécher comme l'immense salope que tu es. J'en profite pour m'occuper de tes seins et de ton sexe. Pas question de les laisser jaloux de ton dos et de ton cul. Eux aussi ont le droit d'être maltraités, claqués. Je m'écarte de toi et je t'ordonne d'essayer de cracher sur ma queue. Pas facile mais je viendrai m'essuyer contre ton visage jusqu'à ce qu'il soit luisant, recouvert de salive. Encore. tant pis si ça commence à te couler dans les yeux et le long des cheveux. Je te crache dessus pour accélérer les choses. - Voilà maintenant ouvre grand la bouche. Je sais que tu ne maîtrises rien. Je sais que la position est inconfortable et que tes abdominaux ne peuvent plus te permettre de te redresser. Tu vas juste subir. Je presse mes mains autour de ton cou. Je serre jusqu'à ce que ton visage soit aussi coloré que ton cul. Tu sembles avoir du mal à récupérer et tu es obligée de déglutir et ton visage devient encore plus luisant. Ton mascara coule et ça m'excite. Je recommence. Encore et encore. Tu sens enfin que mes doigts ouvrent ta bouche et que ma main commence à la baiser. Quel plaisir de la retirer et de la sécher sur ton corps ou ton visage. J'aime que tu sois recouverte. Mais là il est temps de mettre ma queue et de te baiser encore et encore. Parfois rapidement, parfois avec une lenteur calculée jusqu'à ce que tu puisses lécher mes couilles. Parfois en agrippant tes cheveux pour forcer ta tête à aller et venir. Ton visage est blanc. Blanc de salive. Avec des très jolies nuances de mascara. Je te détache. - À genoux salope. Tu sais que tu n'auras pas l'honneur de me faire exploser. Mais tu as trop envie de recevoir mon sperme sur ton visage méconnaissable pour ne pas obéir prestement. Tu ouvres la bouche, tu tires la langue. Je viens me branler à quelques centimètres de toi. Parfois contre ta langue. Je jurerais t'entendre gémir comme la chienne que tu es. Je regrette de ne pas avoir encore équipé la pièce d'un simple verre car c'est en te regardant boire mon sperme que je voudrais finir. Tant pis, je m'arrête. Une petite distorsion des règles et je reviens 30 secondes plus tard avec une flûte à champagne. Je me tourne, je fourre ta langue dans mon cul et, en même temps que tu essayes de l'enfoncer le plus profondément possible, j'explose et je remplis le verre. Je vais me mettre dans le sofa et tu accours. Enfin accours à 4 pattes. - Maître je t'en supplie. Je veux vous boire. Je lui tends la flûte. Tu as interdiction de boire. Je reste interdit quand elle vide le verre mais je comprends quand elle la remplit en recrachant tout à nouveau. Elle bascule la tête en arrière et vide, précautionneusement le contenu sur son visage. Le dressage avance bien !
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Par : le 03/11/23
Léa était une jeune cadre dynamique d’une entreprise de conseil de La Défense. Elle était sortie de la fac de droit il y a deux ans maintenant et travaillait désormais dans le service juridique d’une firme possédant une des plus hautes tours du quartier. Son bureau était au 45e étage, bien loin des préoccupations de ceux qui marchaient au sol. Elle ne les côtoyait d’ailleurs pas. Chaque matin, elle garait sa voiture au parking situé au sous sol et montait directement par l’ascenseur jusqu’à l’open space qui lui servait de bureau. Elle avait beau avoir ce qu’on appelait “une place en or”, elle regrettait l’époque où elle pouvait sortir avec ses amies après la fac. À cette époque elle couchait avec de nombreux garçons, bien qu’aucun ne lui avait vraiment apporté de réelle satisfaction. Elle avait même essayé quelques filles, même certaines de ses amies proches, mais le constat restait le même. Mais enfin à l’époque au moins elle expérimentait.    Ce soir, comme chaque soir, elle sortit à 20h, prit sa voiture et rentra dans son appartement de Nanterre, spacieux certes mais “loin de tout”, comme lui avait dit son amie Nathalie avant de l’acheter. Comme à son habitude, elle sortit des lasagnes Picard de leur carton et les plaça dans le micro-onde. Elle s’alluma alors Netflix et se lança un episode d’une série qu’on lui avait recommandé. Elle mangea son plat devant le premier episode qui ne la séduisit que moyennement. Le second épisode n’était pas plus entrainant mais une scène légèrement érotique apparaissait à la 20e minute. Elle profita de ce rare moment pour passer sa main dans son pantalon et en ouvrir le bouton. Avant que la série ne passe à une autre scène, elle fit pause sur une magnifique image de cheveux tirés. Ses doigts s’activaient de plus en plus vite, de plus en plus sensuellement. Elle descendit son pantalon jusqu’a chevilles et alla chercher le vibro dans la commode de sa chambre, elle s’alluma et continua ce doux moment dans son lit. Après 20 minutes d’intense plaisir elle jouit une première fois, explosive. Elle chercha le deuxième mais la fatigue de la journée la contraint à arrêter et à aller se coucher.    Se toucher était devenu une habitude quotidienne pour Léa. Cependant l’aspect répétitif l’avait poussé à innover et depuis quelques semaines elle se filmait régulièrement en le faisant. Elle imaginait qu’on la regardait et cela l’excitait. Elle ne regardait que très rarement les vidéos mais elles étaient toutes archivées dans un fichier de son iPhone protégé par un mot de passe. Elle se disait souvent qu’elle aimerait que quelqu’un d’autre ne la filme mais elle avait trop peur pour son image et ses rares plans tinder ne lui avait pas donné le courage de demander.    Le lendemain, sur le chemin de son bureau, elle s’arrêta chez Starbucks. Ce n’était pas dans son habitude mais le café de la machine était vraiment imbuvable et tenir la matinée sans café lui semblait insurmontable. Habillée d’un grand manteau beige et d’un pantalon taille haute elle s’approcha du comptoir et commanda son café -Un Venti sans sucre et sans crème s’il vous plait, dit elle, sans savoir si elle devait tutoyer ou vouvoyer ce vendeur qui lui semblait bien avoir son age.  Quelques instants d’attente plus tard, un “Léa” se fit entendre, son café était prêt. Elle alla le chercher, le saisit et, en se retournant, bouscula un jeune homme en manteau noir, lui renversant du café dessus.  -Oh je suis désolé monsieur, dit elle désolée, sortant un mouchoir de son sac -Ah bah bravo jeune fille, répondit-il sèchement alors qu’une fois encore   Léa comprenait l’agacement de l’homme mais lorsqu’elle releva les yeux, elle vit l’homme, qui devait également avoir le même âge qu’elle à quelque chose prêt, sourire en coin. Elle compris alors que l’homme avait utilisé un ton humoristique.  Toujours avec un large sourire, il dit:  -Soit tu me paies la teinturerie, ou un verre ce soir.  Puis il accompagna cela d’un clin d’oeil.    Léa tenta de s’échapper malgré le charme évident du garçon aux cheveux mi-longs:  -C’est que euh, je termine tard le soir, bredouilla-t-elle.   -Quand on veut on peut, répondit-il, rendez vous au bar du plaza athénée à 18h, je compte sur toi, et mon manteau aussi…   Sur ces mots, il lui embrassa la main et tourna les talons avec un grand sourire.    Toute la journée, cette interaction la perturbait, devait-elle y aller? Certes elle lui devait quelque chose et le boulot était plus une excuse qu’autre chose mais tout de même, elle ne le connaissait pas. A 17h, elle décida que le fait que ce soit en bar ne la faisait pas courir beaucoup de risque et qu’elle irait simplement pour lui payer le teinturier puis repartirait. Elle quitta donc son bureau en douce prétextant une fatigue et monta dans sa voiture. Waze lui prévoyait une heure pour aller dans le centre de Paris, évidemment, à 17h30… Elle abandonna l’idée de la voiture et pris le métro. A 18h10, elle arriva enfin devant l’hotel et se dirige vers le bar. Du haut de ses talons, on l’entendait arriver. Elle ne se sentait pas dépayser dans un hotel de ce style mais le fait d’aller à un rendez vous dans un endroit comme celui ci lui faisait un sentiment étrange. Elle vit l’homme, le salua et lui proposa de payer le teinturier. -Voila 15 minutes que je t’attends, non seulement tu me dois un verre mais maintenant tu m’en dois au moins deux en lui prenant son manteau et en la poussant doucement vers le fauteuil.    Le charme et la galanterie du jeune homme eurent raison de son plan initial. Elle s’assit et tenta d’apprécier la musique jazz provenant du piano.    -Gaspard Du Daguet, enchanté, dit-il -Euh Léa Malroit, répondit comme en hésitant Léa.    Gaspard lance alors la conversation sur la beauté des moulures et deux cocktails plus tard, la conversation était maintenant equitable. Souvenirs d’enfance, études, rêves, la conversation variait sans cesse mais elle n’en était pas moins passionnante. Léa s’aperçut vers 23h qu’elle se confiait un peu trop à un inconnu et savait de dates précédents que c’était rarement bon signe. Elle proposa alors dans l’objectif de changer de sujet et d’arrêter ce déroulé de sa vie: -Tu veux venir chez moi prendre un verre Gaspard ?   Gaspard hésita et répondit:  -Non cela ne va pas être possible, j’en suis désolé, j’ai à faire ce soir.    Il se leva alors et la raccompagna vers la sortie, lui refit un baise main, lui dit un “à très bientôt” et parti   Alors qu’il s’éloignait, Léa réalisa qu’il n’avait aucun moyen de la contacter, encore un qu’elle avait fait fuir… Elle rentra alors en RER chez elle, se toucha comme à son habitude et s’endormit frustré d’un énième échec sentimental.    La nuit passa avec son lot de rêve et le réveil sonna à 7h comme à son habitude. La tête endolorie, elle se leva, se maquilla, et elle s’approcha de son dressing. Elle ouvrit le tiroir des sous-vêtements mais impossible de trouver une culotte, elles devaient toutes être au sales. Elle se dirigea alors vers le panier, rien. Dans la machine, rien. Elle ne comprenait décidément pas. Elle se dit qu’elle allait s’en passer pour aujourd’hui et se dirigea vers la pile de pantalon qui avait également disparu. Elle ne se souvenait pas avoir fait de rangement et se dit que sa femme de ménage avait du les ranger autre part. Elle n’avait pas le temps de trouver où cette incapable les avait mit. Elle saisit un tailleur jupe et enfila le bas, puis le haut, un petit manteau noir, un coup de rouge à lèvre et sortit. Une fois dehors, elle se rappela que sa voiture était toujours à La Défense… Elle s’apprêtait à appeler un taxi quand un passa juste devant. Elle monta dedans: -Tour Ivoire, La Défense s’il vous plait. Le chauffeur verrouilla les portes et démarra. Fatiguée, Léa terminait les dernières retouches de maquillage sur ses yeux. Au bout de 10 minutes de route, le taxi s’arrêta, ils n’étaient pas devant son travail. Elle s’apprêtait à engeuler le chauffeur pour son incompétence quand sa porte s’ouvrit, dernière se trouvait Gaspard dans un costume noire obsidienne qui lui tendait la main.    -Qu’est ce que tu fais là, c’est toi qui a demandé au taxi de m’amener ici, dit elle visiblement énervée, qu’est ce que tu crois, j’ai un boulot, je peux pas le rater, je vais me faire virer -J’ai appelé, répondit Gaspard d’un calme absolu, tu seras en retard, c’est cohérent avec ta fatigue d’hier -Non mai…, commença Léa  -Silence, suit moi, tu ne le regretteras pas.    Il la prit par la main et la tira assez énergiquement vers le resto juste devant. Il la fit s’assoir sur une banquette, prit une chaise et s’assit dessus à l’envers, le dossier vers Léa. Il sortit son téléphone, le pencha à l’oreille de Léa et appuya sur play.    Soudain, des gémissements furent emit sur le haut parleur, c’était la voix de Léa. Horrifiée, elle regarda le téléphone, c’était elle. C’était une vidéo d’une de ses jouissances.  -Quoi mais comment as tu pu av…, commença t-elle -Je les ai toutes, l’interrompit-il, écoute moi bien attentivement, je ne veux pas te nuire donc je te propose un marché. Tu peux aller travailler aujourd’hui, ce soir, tu rentreras, tu mettras le contenu de ce paquet -lui tendant un paquet blanc- tu te mettras à genoux face à la porte tu laissera la porte entre-ouverte. Tu m’accordes une soirée et j’efface tout, une simple soirée tous les deux contre le fait que tout tes collègues et amis voient ces vidéos, c’est équitable   Elle hésita quelques instants et dit:  -Une seule soirée et tu effaces?  -Exactement, dit-il -D’accord…, répondit-elle à contre-coeur -Tu vois que tu ne pouvais pas refuser, dit-il avec un sourire   Ils sortirent du restaurant, il lui ouvrit la porte du taxi.  -A ce soir dans ce cas, dit-il, attention aux courants d’air…, rajouta t-il avec un sourire   Se pouvait-il qu’il sache pour son entrejambe dénudé, comment était-ce possible… Pouvait-il être la cause de tout ca… Et ces pensées la poursuivirent durant tout le chemin du taxi et durant l’entièreté de la journée de travail. Même son habituelle pause série du midi ne lui permit pas de se changer les idées. 17h, il lui fallait partir avec le paquet pour ne pas etre en retard. Elle monta dans sa voiture, et avant de démarrer, elle ouvrir le paquet et regarda rapidement, de la lingerie fine, “pas étonnant”, se dit-elle. Il y avait aussi des lanières de cuire rembourrées. Elle se dit qu’elle trouverait la fonction chez elle. Elle démarra pensive. Arrivée chez elle elle étala le contenu du paquet, un justaucorps en dentelle noir, des jarretelles, un grand morceau de cuire avec un anneau et deux plus petits avec des demi-anneaux. Il y avait également un plug anal. Elle en avait utilisé un une fois donc elle le reconnaissait. Une petite etiquette y pendait “tout doit etre mit ;)” y était inscrit en écriture noire. Elle mit les jarretelles et le porte jarretelle, elle eu quelques difficultés mais réussit, puis elle mit le justaucorps, une fois ajusté, elle s’aperçut qu’elle avait oublié le plug, elle enleva tout et remit le plug avec un peu de lubrifiant et remit le justaucorps. Désormais elle ne pouvait plus l’enlever rapidement et le justaucorps, assez serré malgré la dentelle, poussait dessus. Après quelques minutes elle plaça la longue lanière de cuir autour de son cou, bien que ca ne tienne pas bien et les deux lanières plus petites autour de ses poignets.    Elle entrouvra la porte et se plaça à genoux, il ne lui avait pas donné d’heure… Elle entendit comme cela une heure avant que la porte s’ouvre. Elle sauta, ca pouvait etre n’importe qui! Mais non ouf, c’était lui. “Ouf?” pensa t-elle, “non pas ouf, tu ne le connais pas enfin, qu’est ce que tu fais”, continua la voix dans sa tête.    Un “bravo” vint interrompre ses pensées. Il enleva son manteau, passa à coté d’elle, lui caressa les cheveux. Il émit un léger rire, se baissa derrière elle et alors qu’elle sentit un souffle chaud sur sa nuque, il enleva la lanière de cuire sur son cou;  -C’est pas un collier ça ma belle, dit il en plaçant l’anneau devant sa bouche, c’est pour que je n’entende pas ta voix ce soir, continua t-il en fermant fermement le baillon autour de sa tête. Léa fut surprise mais extrêmement excitée… L’idée qu’elle n’aurait pas du accepté était au premier plan de ses pensées, mais elle ne pouvait pas s’empêcher d’être excitée d’être aussi impuissante…   Il saisit les deux anneaux des poignées et leva les deux mains de Léa en l’air. Il passa un mousqueton entre les deux et y attacha une chaine.  -Debout, dit-il fermement Il se plaça alors face à elle et dit:  -Maintenant après une journée de travail,  tu vas me laver, et il prit la chaine et emmena Léa enchainée jusqu’à la salle de bain de cette dernière.  La marche était compliquée par le plug mais elle parvenait à suivre cette homme qui avait désormais tout contrôle sur elle, y compris son droit à la parole. Comment savait-il où était la salle de bain? Se demanda t-elle? Mais il semblait savoir, il ouvrir une porte, fit entrer la jeune fille, s’y engouffra également, et dit d’un ton ferme:  -Déshabille moi   Ce qu’elle redoutait allait arriver, elle allait être abusée… Effrayée mais excitée, elle enleva la chemise du jeune homme, tache qui fut compliqué par les mains attachées. Elle enleva ensuite la ceinture, ce pour quoi elle eu besoin de l’aide de son ravisseur, puis son pantalon. Il n’y avait plus que son caleçon. Elle passa les mains, puis descendit tout doucement. Son penis sortit du caleçon, il était dur comme un roc. Elle se demandait s’il elle devait être flattée ou effrayée.  Sur ces pensées qui ralentirent son action, elle senti Baptiste la saisir par les cheveux et lui dire:  -Ou tu te dépêches, ou je remplace le plug par autre chose, et ca risque de ne pas être confortable.    Prise de panique, elle s’activa. Il était maintenant nu et elle habillée comme une prostitué, ou une esclave…, se dit-elle   Malgré la situation, son ravisseur était très bel homme. Et lorsqu’elle du le laver à l’éponge, elle sentait ses muscles sous le savon. L’anneau qui maintenait sa bouche ouverte lui rappelait à chaque instant son trou du cul également ouvert de force et pensait que le seul trou qu’elle lui aurait offert la veille semblait être le seul auquel il ne s’intéressait pas. Mais elle se trompait. Aussitôt la douche terminé, encore mouillé, il sorti de la cabine à l’italienne et attacha la chaine et donc les mains de Léa en hauteur. Il descendit alors doucement et passa sa langue dans sa fente, à travers le justaucorps. Lentement il tourna en rond avec de petits cercles, passant entre les grandes et petites lèvres. Soudain, il mordit le justaucorps et en arracha un bout qui lui permettait d’avoir un accès total. Il continua et s’arrêta sur le bouton. Il le titilla, il sentait la mouille couler. Il accéléra, elle gémissait et soudain il s’arrêta. Il reproduisit le scénarios de nombreuses fois, s’arrêtant à la limite de la jouissance une dizaine de fois. Mais à la onzième, il s’arrêta pour de bon. Frustrée, Léa ne comprenait pas. Il sorti de la salle de bain quelques instants et revint avec une ceinture de chasteté petit format. Il dégagea les restes du justaucorps et fixa la ceinture. Il y attacha un cadenas qu’il verrouilla. -Ce cadenas s’ouvrira dans un mois, c’est comme cela que je l’ai programmé, dit-il, sauf si j’utilise cette clé, rajouta t-il avec un sourire en montrant la clé pendant à son cou. Avant de libérer Léa, il la regarda droit dans les yeux et dit: -Je dois y aller, demain tu laisseras à nouveau la porte d’entrée ouverte, si elle est fermée je n’insisterai pas et je considérerai que ta nouvelle chasteté te convient bien, si elle est ouverte, il n’y aura plus de demi-tour, je ferai de toi ce que j’ai envie… Puis il prit son téléphone et supprima devant elle toutes les vidéos -Le choix est le tien, ajouta il en enlevant la chaine et le mousqueton des menottes. Léa s’effondrât sur le sol de la salle de bain en silence, toujours bâillonnée, pleine de sueur, de mouille, et de bave coulant de son anneau buccal. Mais elle était surtout frustrée comme elle ne l’avait jamais été. La dernière vision qu’elle eu de la journée était celle du corps à peine rhabillé de Baptiste sortir de son appartement.    Voici le premier chapitre de l'histoire de Léa, si vous voulez une suite, faites le moi savoir en commentaire Un récit par Monsieur N.  
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Par : le 13/10/23
Première partie : https://www.bdsm.fr/blog/8979/Dresser-mon-esclave---partie-1---le-canap%C3%A9/ Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. NDM: je ne considère pas le collier et la laisse comme 2 objets. C'est discutable mais, pour moi, ils sont indissociables de mon esclave. J'aurais aimé ajouter un gag à mon esclave. Je ne l'ai pas fait, par contre. La limite est fine. Ah, et pour cette partie, j'ai triché. J'ai mon téléphone avec moi. Mais un Maître ne triche jamais. Il fait les règles. Second texte / second  élément : une belle et grande table en bois Je t'appelle et tu arrives tout de suite. Collier, laisse et lingerie sur tes mains et tes genoux. Je crois qu'excepté couverte de ma semence, avec un baillon dans la bouche ou avec un crochet dans le cul, c'est ainsi que tu es la plus désirable. Mais ne nous laissons pas distraire. Place à la seconde séance de dressage. Je suis confortablement installé dans le canapé. Je tapote sur mes genoux pour appeler ma chienne. Tu as pour instruction de regarder le sol et je sais que tu as quand même jeté un coup d'oeil pour voir ce qui t'attendait. Une simple table. Je te laisse approcher. Tu commences à lécher mon jean à hauteur de ma queue comme si tu pouvais faire ce qui te plaît. Cette erreur te coûte une claque retentissante. - Pardon Maître, j'en avais tellement envie. - Ouvre la bouche. Tu sais que tes erreurs se payent et j'aime tellement cracher dans ta bouche offerte que je te pardonne trop facilement. - Maître, s'il vous plaît, laissez votre esclave lécher votre jean - Tu peux ! Et je vois ta langue se précipiter. Je te sens même prendre ma queue à travers jean et boxer. Je sens ta joue la presser aussi. - Notre nouveau jouet est une table. Tu te retournes pour la regarder. Une belle table en bois massif. Carrée mais suffisamment large pour que tu puisses tenir allongée dessus sans problème. Un sofa et une table. On ne dirait pas l'aménagement d'une pièce spéciale mais ça va venir. Tu as repris ton activité et tu me suces comme si j'étais nu. J'ai envie de sentir ta bouche de plus près. - Enlève mon pantalon. Non seulement tu l'enlèves dans les 10 secondes mais tu fais glisser la ceinture et me la tends avec référence. - Au cas où vous vouliez vous en servir Maître Je me lève. J'atttrape tes cheveux pour te forcer à coller ta figure contre mon bassin. Je récupère la laisse et je la passe autour de ta nuque pour pouvoir serrer encore plus fort. Je te sens t'agiter mais il faut que tu apprennes à devenir encore meilleure pour respirer quand tu peux ou avec une queue coincée au fond de ta bouche. C'est pour ça qu'on t'entraîne. Je profite de ce moment et je le fais durer. Je te libère de temps en temps pour te voir reprendre péniblement ton souffle. La salive s'écoule de tes lèvres. - Tourne-toi mon esclave. Direction la table. Monte dessus. Tu te relèves tout de suite et tu comprends que c'était une erreur. Tu te remets tout de suite à 4 pattes mais tu sais que tu paieras pour ça. Je te soupçonne même d'avoir commis cette erreur de débutante exprès. Tu es à 4 pattes sur la table, le regard tourné vers le bas. Je t'attrape par les cheveux. Première claque - Tu l'as fait exprès ? - non Maître - (seconde claque plus forte) Tu l'as fait exprès ? - quoi, Maître ? - (troisième claque, crachat) tu sais très bien quoi. Arrêter de marcher comme la chienne que tu es bien avant la table - (baissant encore plus a tête) sans doute Maître que je voulais être punie. - A 4 pattes, les avant-bras posés sur la table, la tête entre. Offre-moi ton cul bien en l'air. Tu t'exécutes et, en même temps, tu sens la table bouger. Les plaisirs de la technologie. Offrir à un Maître une esclave à parfaite hauteur de fessée. Comme souvent, je commence par te fesser à main nue. Tes fesses se colorent et, quand elles sont d'un rose suffisamment soutenu, je tends la main pour me saisir de la ceinture. Je commence par changer de cible et je m'occupe de tes cuisses, de ton dos. Tu gémis de plus en fort mais ça ne t'empêche pas, de temps en temps, de me supplier de taper plus fort. Retour à ton cul jusqu'à ce qu'il soit d'un beau rouge. - C'est fini pour l'instant mais ne bouge pas. Je sors mon téléphone pour prendre quelques photos. Puis j'enclenche la vidéo et je fais plusieurs fois le tour de la table. - Tu peux me regarder ma salope. Tu aperçois le téléphone. - Enlève ton string. Donne-le moi. Montre-nous à quel point tu es trempée. Au nous, tu réalises que cete vidéo va finir uploadée sur internet. Tu me tends le string. Je l'expose devant la caméra. Il est très facile de voir qu'il est trempé. Mes doigts se glissent contre ton sexe. Wow oui tu es carrément trempée. Ouvre la bouche. D'abord mes doigts. Oui suce-les comme si ta vie en dépendait même si ce ne sont que mes doigts. Puis le string. Voilà, c'est pas un baillon mais ça sera mieux que rien. Gros plan sur cette bouche de pute qui prend tout ce qui passe à proximité. - A genoux chienne ! Regarde droit dans la caméra. Que tout le monde te regarde exploser. Aujourd'hui c'est une séance pour te préparer à aimer les regards qui se posent sur toi. Je sais à quel point tu aimes que tout le monde sache que tu es mon esclave. Regarde la caméra, montre à tout le monde à quel point tu es bien dressée. Tu prends le bout de la laisse, tu la glisses contre ton sexe et tu tires. Tu la presses avec ton autre main et je vois tes doigts qui commencent à s'agiter contre ton sexe. Tu arrives à regarder la caméra jusqu'à ce que tu commences à gémir très fort. Ta tête bascule en arrière et il ne faut que quelques secondes de plus pour que ton corps tressaille, pour que tu exploses bruyamment. Tu reprends tes esprits, tu me regardes, - Merci Maître !      
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Par : le 04/10/23
Ne me regarde pas, salope ! Baisse les yeux ou tu prendras une décharge électrique. Oui, juste comme ça. C'est toujours si bon quand tu es dans cette cage et que je peux faire ce que je veux de toi. Juste ou injuste, peu importe. Je me demande même si te traiter injustement c’est pas mieux. Si, bien sur que c'est beaucoup mieux. Tellement bon de cracher sur ma chienne, d'utiliser l'ouverture sur le dessus de la cage pour pouvoir utiliser le vibro, le crochet ou tout autre outil que j'ai envie d'utiliser. Tu as passé l'après-midi à travailler dans la cage en attendant ton Maître. J'espère que ta visio-conférence s'est bien passé. Et que le floutage du fond a bien fonctionné. En fait non. Il faut que j'arrête de me mentir. J'espère le contraire et que tous tes collègues savent que tu es ma salope. Je viens de m'asseoir devant toi. Et non, tu ne peux pas regarder. Je suis quelques centimètres en dehors de ton champ de vision. Si tu regardes, tu sais que tu seras punie en conséquence. Et que tu m'auras déçu, surtout. Rangeons cet ordinateur portable. La journée de travail est terminée. Laisse-moi te mettre ton bâillon. Celui que je préfère. Le baillon araignée qui ouvre ta bouche en grand. Tu es superbe en lingerie de salope, en rouge à lèvres et avec mon gag préféré. Je suppose que tu as enlevé ta robe la seconde d'après ta réunion. Je suppose également que tu seras encore plus superbe avec la machine qui te baise le cul. Pas vraiment une punition pour une pute comme toi mais c'est ce que je veux ce soir. Te regarder te faire prendre par une machine. Continue à baisser les yeux et ne bouge pas pendant que je la branche et la laisse te pénétrer. La cage a une grande ouverture sur le dessus et il est tellement agréable d'y verser de la cire chaude pour te peindre. Si j''entends ne serait-ce qu'un soupir, tu prends une décharge et tu le sais. Rien de mieux que les réflexes pavloviens pour dresser sa chienne de compagnie. J'aime quand ton corps est peint. J'aime que les couleurs de cire commencent à se mélanger. La couleur qui te va le mieux est incontestablement le blanc, celui de mon sperme qui te dégouline dessus. Mais n'importe quelle "peinture" sur ton corps m'excite. La machine sexuelle te baise lentement mais le gode est GROS et tes yeux commencent à couler et ton mascara à se répandre. Ton dos est maintenant couvert de crachats et de cire. Ne me regarde pas, esclave ! Continue à fixer le sol. Je commence à me branler maintenant à quelques centimètres devant toi. Je sais que tu veux me voir. Je sais que tu es excitée. Je sais que tu veux même me prendre dans ta bouche. Je sais tout ça mais tu ne le mérites pas. Ce que tu mérites arrive. J'ouvre le bas de la porte de la cage que je fixe en haut. Tu sais que tu dois en profiter pour passer ton visage. Tu procèdes doucement pour ne pas perdre le gode qui va et vient dans ton cul. Mon pied gauche vient sur ta tête pour que ton visage soit bloqué contre le sol. Quand je sens que je vais exploser, je m'agenouille, mes genoux qui encadrent ton visage plaqué au sol.. Tu peux me sentir exploser dans ton dos maintenant. J'ai même laissé le haut de ton dos sans cire que tu puisses sentir que j'explose sur toi. Je recule et tu sais que tu dois te redresser, ouvrir la bouche pour que je puisse te la remplir au moins un peu. Je finis par exploser sur le sol. Je ne suis pas sans cœur. J'arrête la mchaine. J'enlève le bâillon. Tu peux maintenant supplier de nettoyer le sol. Je sais à quel point tu aimes que tout soit propre.
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Par : le 01/10/23
Préambule: Merci de ne pas poursuivre la lecture si vous n'êtes pas à l'aise avec l'idée de sexe non-consenti. C'est une histoire et si ça n'en était pas une, bien sûr que ce fantasme aurait été discuté au préalable et que l'idée aurait été acceptée.     Mon Maître m'a offert ce collier de jour et, transportée par la joie, j'ai bien évidemment accepté ce cadeau venant de Lui. Il me l'a immédiatement attaché autour du cou. Je l'ai senti au ras de mon cou toute la journée et, à chaque fois, j'ai ressenti une dose d'excitation. Malheureusement Il m'a interdit de me toucher depuis le début de la semaine. C'est donc avec une excitation non dissimulable que je l'accompagne à l'aéroport, direction quelques jours dans le sud de la France. Il m'a ordonné de porter des talons hauts, un haut relativement décolleté et une jupe volante que je n'ai pas le droit de tirer malgré sa longueur qui pose problème car je n'ai, bien sûr, pas le droit de porter de sous-vêtements. Il a raison, je suis une salope. Aucune raison de le nier. Mais je suis Sa salope. Nous prenons un café juste assez de temps pour que mon Maître m'ordonne d'écarter les jambes suffisamment pour que le couple en face de nous profite de ma chatte parfaitement épilée. Je suis trempée déjà mais je sais que j'aurai très certainement le droit de me toucher devant mon Maître ce soir. Ça m'aide à tenir. J'ai envie de lui offrir un orgasme en le regardant droit dans les yeux s'il me le permet. Ma valise me semble relativement lourde mais Il s'en est occupé donc rien d'alarmant. Plus alarmant, par contre, est ce portique de sécurité qui se profile. Je Le regarde et son sourire, que je qualifierais volontiers de pervers faute de meilleur mot, m'indique qu'il n'a aucune intention de me permettre d'enlever le collier de soumission. C'est bientôt à moi. J'ai posé ma valise sur le tapis. Mon coeur s'emballe. Je dois essayer d'enlever le collier. Il ne verra peut-être pas ou Il me le pardonnera. Pour une fois. J'ai beau essayé de défaire le mécanisme mais rien n'y fait. Manque de temps, stress ou mécanisme volontairement inviolable, je n'y arrive pas. Je sens mon Maître derrière moi qui me force à avancer au lieu de m'aider. Je ne comprends pas ce qui se passe. Je ne crois pas avoir rêvé. Il m'a poussé et le portique s'est mis à bipper. C'est moi ou l'homme devant moi a un grand sourire et regarde derrière moi ? Je me retourne pour Le vois arborer, lui aussi, un très grand sourire. Madame, veuillez enlever votre collier et repasser le portique. Je balbutie mais je ne peux pas l'enlever, je n'y arrive pas. Dans ce cas, merci de bien vouloir me suivre en prenant votre bagage avec vous. Tout s'est passé très vite. Trop vite en fait. L'agent de sécurité me fait entrer dans une salle sans fenêtre qui ressemble à une salle d'interrogatoire avec une grande table et quelques chaises et pose la valise dessus. Je reviens. Ne bougez pas. Je n'ai pas le droit de vous fouiller Madame. Je suis un peu rassuré mais mon coeur s'emballe quand je vois arriver deux femmes dans la salle et qu'elles laissent également entrer mon Maître. Elles se tournent vers lui comme pour demander une confirmation et je l'entends très clairement dire que je suis, maintenant, à leur disposition. Madame vous avez refusé d'enlever votre collier et nous allons devoir vous fouiller. Je ne comprends pas très bien et je commence à avoir peur. Je suis au bord des larmes en imaginant que je suis habillée comme une pute ou plus exactement comme une salope en chaleur. Madame posez les deux mains sur la table s'il vous plaît et écartez les jambes. Je m'exécute et je sens mon Maître sourire tellement fort que je crois l'entendre. Je suis appuyée sur la table, le corps légèrement penché en avant. Je sens que la première agent appuie quelque chose contre ma jambe pour me les faire écarter. Je me retourne légèrement pour voir qu'elle pousse avec la matraque qu'elle a sorti pour que j'écarte les jambes. J'écarte les jambes en demandant si c'est vraiment nécessaire d'en arriver là. Les deux femmes se mettent de chaque côté de moi. Je sens la première qui passe sous mon haut et je sens qu'elle commence à palper mes seins. Hé, qu'est-ce que vous faîtes. Et en même temps que je proteste l'autre s'aventure sous ma jupe et remonte le long de mes cuisses. Elle n'a pas de soutien-gorge. Ni de culotte non plus. Ok c'est une chienne mais elle ne cache rien sur elle. Mais je ne vous permets pas. Et aussitôt que j'ai prononcé ses mots, Mon Maître me gifle. Tu ne leur réponds pas, esclave. Tu vas les laisser faire leur boulot. Et même ce qu'elles voudront faire de toi, c'est compris ? oui Maître. Comme si elle n'avait rien écouté, j'entends l'agent continuer. Ok rien sur elle. Empêche la de bouger, je vais fouiller sa valise. Et je sens un genou appuyer contre mes reins. Je suis plaqué contre l'arrête de la table et je sens ses mains continuer à palper mes seins sans aucun ménagement. En même temps que la valise arrive sur la table et s'ouvre en grand, je sens une douleur sourde envahir mes seins. Cette salope vient de me pincer les tétons si fort que je ne peux pas m'empêcher de crier. Va chercher du scotch qu'on l'empêche de faire un esclandre dans l'aéroport. Mais aussitôt l'autre lui répond victorieuse. J'ai mieux et en agitant le baillon boule qu'elle a trouvé dans mes affaires. 10 secondes après je l'ai dans la bouche. Elle repart examiner la valise et j'entends une exclamation, un OH sonore qui retentit dans la pièce. Je l'aperçois se saisir de quelque chose et elle se ramène devant moi et je vois une espèce de reveil en plastique. Un jouet d'éveil fait pour les 3-6 ans. Un détonateur ! Un putain de détonateur ! Quoi [enfin quoi si je n'avais pas le baillon dans la bouche]. Mais elles sont folles. Et je Le vois rigoler. Ce n'est plus un sourire mais un rire franc et massif. J'ai été piégée. Je lui avais parlé de ma fantaisie de me retrouver à la merci d'autres personnes qui feraient ce qu'elles voudraient de moi. ça se confirme et je me sens curieusement rassurée. Et aussi complètement trempée malgré la douleur que je continue à ressentir. Ok on a affaire à une terroriste je pense. Hereusement que j'ai trouvé ces menottes dans sa valise. On va lui attacher les mains dans le dos. Enlève-lui son haut d'abord. ça sera plus sûr. Bah enlève lui tout. Laisse lui ses talons, je trouve que ça lui va bien. Et une minute plus tard, je suis penchée sur la table, mains attachées dans le dos avec un baillon dans la bouche. Un début de week-end pas tout à fait banal. Le contenu de ma valise est renversé sur la table. Je comprends qu'elle était lourde. S'y trouve tous mes jeux habituels ainsi que quelques dildos supplémentaires dont la taille me semble terrifiante. Oh mais quelle pute, sérieux ! Une pute-terroriste, ça existe tu crois ? On dirait en tout cas. Va chercher un miroir. On va essayer ces jouets sur elle et je veux qu'elle nous voit faire. Prends la caméra aussi qu'on reste dans la loi en enregistrant. Bon on a pas d'avocats mais préviens peut-être les autres agents que ça pourrait intéresser. Je secoue la tête, je ne suis pas prête pour ça. Mais le temps qu'elle revienne, j'ai prix un plug dans le cul et des clamps descendent de mes seins et je vois les lests les tendre. Je sens une douleur bien plus forte que d'habitude. Mon Maître a visiblement fait du shopping spécialement pour ce week-end. Quand la première agente revient, elle va mettre en place le miroir afin que je ne puisse pas perdre une miette de ce qu'il se passe et commence à ranger les dildos du plus petit au plus gros. Je ne vois que les 2 femmes et mon Maître. Pas de renfort et je suis soulagée. Je sens qu'on tire mes cheveux et qu'on me force à me tirer. C'est la brune, plus grande, plus costaude. On va tous les essayer un par un. Et en même temps elle me touche. Mais elle est trempée cette chienne. Complètement trempée. Elle me crache au visage et me remet sur la table. S'ensuivent des très très longues minutes pendant lesquelles elles vont m'insérer dans la chatte et le cul tous mes jouets anciens et les nouveaux qui ont, visiblement, rejoint ma collection aujourd'hui. Elles prennent leur temps, elles rigolent et n'hésitent jamais à m'humilier en me faisant remarquer à quel point je suis trempée. Je perds la notion du temps mais durant ce qui me semble être une heure, la pièce se remplit petit à petit. Elles finissent par me susurrer chacune à une oreille. Allez c'est bientôt fini. On ba te faire exploser. Tu dois bien ça au public et après tu les remercieras. J'étais distraite et je n'avais pas vu que ledit public se composait maintenant de 8 hommes. Quelques-uns le pantalon sur les chevilles ou carrément enlevé. Grimpe sur la table salope. A quatre pattes. Écarte bien les genoux. Je regarde dans le miroir et je les vois chacune avec leur matraque. Je sens la première s'enfoncer dans mon cul et j'ai envie de hurler malgré le gag. Les dildos m'ont préparé mais la douleur est forte quand je sens l'autre matraque s'enfoncer dans mon sexe. Elles me hurlent d'exploser. Me traitent de chienne. je regarde autour de moi. Je me regarde dans le miroir. La vérité est que j'ai envie d'exploser. Besoin d'exploser. Mon sexe commence à papillonner. Je vois ma salve faire une longue traînée qui coule depuis le gag jusqu'à la table. Je ne veux pas leur obéir. Mais le mouvement de leurs bâtons ne me laisse pas le choix. J'ai l'impression d'exploser, de hurler comme une possédée. Une vague inouïe de plaisir me parcourt. Je regarde mon Maître qui doit lire la gratitude dans mes yeux. Je lis dans les siens que ce n'est pas fini. Il me saisit par les cheveux en me disant que je l'humilie devant tout le monde. Il me fait descendre par terre. A genoux. Face aux hommes. Mes cheveux me font mal mais il lâche prise. Je l'entends dans mon dos et, quand il revient, il m'enlève le baillon. À la place, il m'enfile une cagoule. Je ne vois plus rien. Je sens qu'il n'est pas facile de respirer mais je sens que ma bouche est libre. Messieurs, merci de baiser ma soumise. Je suis au regret de vous demander, pour des raisons de fatigue de ces autres trous, de bien vouloir la prendre par la bouche. En attendant votre tour, elle a 2 mains bien sûr et sait très bien s'en servir. Merci de bien vouloir lui faire savoir quand vous êtes sur le point d'exploser afin qu'elle puisse ouvrir grand sa bouche pour avaler tout ce qui ne finira pas sur la cagoule ou sur ses seins. Et je vais passer le quart d'heure suivant à branler et sucer férocement toutes les queues qui se présentent à moi. Je veux rendre mon Maître fier de son esclave. Il sait que je fais ça pour lui, pour lui montrer qu'il peut tout me demander. Huit, ça y est. Il a explosé longtemps et m'a fait léché sa queue pour ne rien perdre. Tu peux enlever ta cagoule et la poser sur le sol. C'est la voix d'une des deux femmes. Je sens qu'elle me prend les mains pour les rattacher dans le dos. Tu as une minute pour qu'il n'y ait plus aucune trace de blanc sur cette cagoule. Si tu y arrives, nous considèrerons que tu as fait preuve de bonne volonté et que tu ne présentes pas une menace pour la sécurité. J'entends le décompte final 5 ... 4 ... 3 ... 2 ... 1 À zéro, je suis tiré violemment en arrière. Je vois la fierté dans les yeux de mon Maître. La cagoule est brillante de salive mais elle est entièrement noire.  
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Par : le 25/09/23
CNC. Merci de ne pas lire plus loin si l'idée de sexe consenti non consenti, de simulation de viol vous rebute. Pour les autres, bonne lecture et sachez que je suis preneur d'un commentaire. Idéalement pour dire que cette lecture vous a emoustillée mais tout autre commentaire, même critique bienveillante me poussera à oser vous proposer ma prose. Tu ouvres la porte. Aussitôt je te pousse violemment et  la referme derrière moi. [note pour les exhibitionnistes, merci de considérer que la porte reste ouverte [pas la peine de me remercier, ça me fait plaisir]] Ma main s'est enroulée autour de ton cou et je te pousse quelques mètres jusqu'à te plaquer contre le mur. La surprise semble toujours présente. Est-ce ton Maître, tout de noir vétu. Celui même qui devait s'absenter pour un imprévu. L'excitation se lit dans tes yeux quand j'arrache ton chemisier de ma main disponible. Je voulais ne pas me trahir mais trop dur de ne pas parler. Je vais te forcer à jouir salope. Je m'introduis chez toi. Tu ne fais rien pour m'arrêter. Tu es déjà offerte. Je vais te violer et tu vas exploser comme la pute que tu es. Ma main passe sous ta jupe pour découvrir que ton string est déjà complètement trempée. Je te l'arrache. Ouvre la bouche. Je sais que tu ne vas pas crier. Enfin pas pour alerter qui que ce soit mais tu es bien plus bandante avec quelque chose dans la bouche. Et aujourd'hui ça sera ton string. Je saisis le vibro que j'ai amené et je te le carre contre le sexe. Sois une gentille fille, tiens-le pendant que je joue avec toi. Interdiction de l'écarter sous peine de représailles giflesques. Un semblant de oui Monsieur semble s'échapper de ta bouche mais dur de comprendre avec le string qui rend ta prononciation hésitante. Je te demande en chuchotant. Mais quelle chienne fait ça ? Laisser rentrer un visiteur, se fait arracher ses vêtements et prendre le vibro pour se branler avec ? Sérieusement quelle genre de chienne en chaleur fait ça ? Une grosse salope je crois. Une énorme salope en chaleur. En même temps je te presse contre le mur cette fois en saisissant tes seins. Je pince et tire très fort les pointes jusqu'à voir apparaîtres les prémisses de larmes. Continue de te branler ! Je veux que tu exploses, que tu sois tellement trempée que tes cuisses soient luisantes. J'enlève le baillon de fortune. Ouvre la bouche, je vais te la fister. Un rapide oui Monsieur et ta bouche s'ouvre en grand et mon poing commence à aller et venir. D'avord doucement puis de plus en plus vite. Les larmes dans tes yeux commencent à couler quand je décide de laisser ma main à l'intérieur de ta bouche. Je crois qu'il n'y a rien de plus beau que le visage d'une soumise ruiné par son mascara. [note pour plus tard ou pour les commentaires: est-ce plus ou moins beau qu'un visage couvert de sperme ?] Je sens que tu es sur le point de squirter (come on dit an ardéchois ou en drômois) et je m'approche de ton oreille pour t'ordonner dans un murmure: "vas-y explose salope". Il est trop tard, de toute façon. Mais je sais que la permission de ton Maître te fera exploser encore plus fort. Et c'est le cas. Explosion après explosion, tu giclais sans pouvoir t'arrêter. Après avoir enfin fini, tu t'es naturellement mise à genoux, appuyé ta tête contre le mur et gémi Baise ma bouche contre ce mur. Explose-la Maître. Je t'en supplie. Et peins-moi en blanc    
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Par : le 14/08/23
Une voiture de gendarmerie se gare devant chez moi. Une superbe femme en sort, athletique, bronzée, en tenue civile, élégante et pleine de charme. Surprise, je reconnais mon adjudante préférée, celle qui aime me contrôler chaque fois que je la croise et qui s'amuse avec mes papiers où il est marqué "sexe masculin", ce qui ne correspondant pas du tout à ce que je suis, une femme trans. Elle tape. Maso est tout nu, il fait le ménage. Je l'envoi ouvrir la porte. L'adjudante rit en le voyant. Maso baisse les yeux et la fait entrer.  -Bonjour, fait l'adjudante. Alors vous m'adressez des bisous de la main au carrefour. Cela la fout mal devant mes hommes. J'apprécie pas beaucoup.  -Bienvenue, vous prendrez bien un thé ou un café. Veuillez m'excuser, mais c'est plus fort que moi lorsque je vous vois.  Je vous trouve si belle. J'ai adressé un bisou à la vie. Comment vous appelez vous? Moi c'est Toinette pour les intimes.  -Clara. J'accepte volontiers un café. J'ai eu une rude journée.  Nous papotons comme deux amies. Maso fait le service, toujours tout nu. Clara s'en amuse de plus en plus, surtout qu'il n'a pas le droit de regarder plus haut que nos genoux. Un service impeccable. Je l'envoie au piquet, mains sur la tête. Il nous montre ses superbes fesses bien musclées.  -Je suis domina Clara. C'est mon homme qui a voulu cela. Au debut j'ai fait cela pour lui faire plaisir et maintenant c'est notre quotidien.  Clara me regarde troublée. Elle est vraiment très belle, avec de tres belles formes. Je croyais que c'était une femme phallique. Non, pas du tout, sans son uniforme, c'est une femme tout court. Je devine qu'elle est celibataire et en manque de calins. Ce doit pas etre facile de diriger une brigade. Beaucoup de stress, des heures et des heures de boulot.  -Tu as envie de te détendre et d'essayer.  Clara est de plus en plus troublée. elle écarte doucement les jambes. Je lui empoigne les cheveux et je l'embrasse à pleine bouche. Ses lèvres sont si douces. Mes mains descendent sur ses beaux seins biens lourds. Elle se déshabille. Elle est encore plus belle nue. Je lui ecarte les jambes  et lui empiogne ses belles fesses charnues. Sa chatte est offerte. Je lui mange le clitoris. Elle jouit très fort dans ma bouche plusieurs fois. Je masse ses seins.  Et puis voilà, l'instinct de la domination ressort. Je la retourne et commence à lui claquer les fesses. Je sais faire très très mal. elle gémit. -plus fort, c'est trop bon. -une gourmande je vois. Allez zou, à coté de Maso et mains sur la tête.  Je vais chercher un tube de pvc. Un truc que m'a montré mon amant, Mael, et qui fait horriblement mal sans laisser de traces. Une vraie torture ce truc.  J'attache clara sur la table de la cuisine. Je devine que Maso est hyper excité de tout ce qu'il entend. Je vais donc le voir et lui flanque quelques coups de tube. il se contorsione aussitôt sous la douleur. -On ne bande pas quand Maitresse reçoit ! compris !.  Cela rassure Clara que Maso ne puisse pas la voir,  ni etre en erection pour elle. Elle n'est pas lesbienne, juste célibataire en manque.  -Tu n'aimes pas trop les hommes, je vois et tu trouves les femmes casse couilles. Je me trompe. -Non Maitresse. -Tu as des fesses superbes tu sais. Je vais bien te faire circuler le sang. Mais avant un baillon car tu vas hurler. Ici, il faut hurler en silence et pas me demander d'arreter. Tu es toujours ok, Clara. Elle tend les fesses. Elle meurt d'envie. Je commence par la caresser. Sa chatte dégouiline de douce cyprine qui sent très bon. Les coups pleuvent à présent. Clara se tord de douleur. C'est dingue ce truc de Mael pour faire si mal sans marquer. Juste de superbes rougeurs. Clara pleure. Larmes ou plaisir ? Ca y est, elle est prête pour la deconnection, lorsque le cerveau débranche pour ne plus sentir la douleur. Je vais toujours au bout. inutile de m'implorer. c'est ce moment là que je guette.  J'arrete enfin et laisse Clara récupérer. Elle tremble. elle est secouée de vagues ou douleurs et plaisirs s'emmelent. Une maso. et moi qui ne voulait plus prendre de nouveau partenaire de jeu. Je suis très fidele. Je ne cherche pas d'aventures. Mais là, comment refuser cette femme si belle et qui s'offre d'elle même. Je vais voir Maso. -Tu vois, avec une femme c'est pas te tromper. Avec mon unique amant non plus. Allez tu vas nous servir des rafraichissements. De bons jus de fruits ou de légumes. Zou ! Je détache Clara qui se love aussitôt dans mes bras. je lui caresse la nuque. Elle se rhabille. Nous papotons à nouveau comme de vielles amies en dégustant de délicieuses boissons, très vegan, très saines.  Je propose à Clara de rester pour dîner. Elle accepte. Maso fait le service, nu, debout derrière nous,  très heureux de son sort. C'est un excellent cuisinier. Un bip. Clara décroche. Elle doit partir. Son boulot et son devoir qui l'appele.  Je la racompagne  à sa voiture. -repasse quand tu veux ma chérie. tu seras toujours la bienvenue chez nous.  Elle doit repartir, très préssée, les yeux humides. Je souris en pensant qu'elle va avoir mal aux fesses toute la nuit. -ok, plus de bisous de la main au carrefour. Discrétion totale de rigueur à présent.  Clara apprécie beaucoup ma remarque. Je la sens heureuse et en confiance. Il n'y a pas de mal à prendre son pied dans les douleurs bien cuisantes.  Je garde mon bisou dans ma main.       
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Par : le 12/08/23
John Willie, considéré comme l'une des figures emblématiques du monde BDSM et du bondage, est surtout reconnu pour son apport indéniable à la culture fétichiste. Fondateur et rédacteur en chef du magazine avant-gardiste "Bizarre" dès 1946, ses travaux reflétaient un intérêt profond et artistique pour l'érotisme lié à la contrainte. Sa bande dessinée, "Sweet Gwendoline", est devenue une référence majeure dans l'univers du bondage, illustrant sa fascination pour les situations de soumission féminine. Dès son plus jeune âge, influencé par la littérature fantastique, Willie développe une fascination pour les scénarios de jeunes filles en détresse, rappelant la quête des jeunes garçons souhaitant sauver des princesses emprisonnées. Outre son talent de dessinateur, il était aussi un photographe accompli, spécialisé dans la capture de femmes ligotées. Même si techniquement certaines de ses photos pourraient être considérées comme imparfaites, elles possèdent une esthétique raffinée, mettant en scène des accessoires tels que chaînes, cordes, rubans, menottes, baillons, scotchs et bottes en cuir. Son parcours personnel est aussi singulier que sa carrière. Sportif émérite, il servit en tant que lieutenant dans l'armée écossaise avant d'épouser  une danseuse de boîte de nuit. Après avoir été renié par son père et quitté l'armée, il émigra en Australie où il finit par divorcer. C'est lors de son séjour australien qu'il découvre sa véritable passion. En croisant la route du "Club des hauts talons", une association de fétichistes de chaussures, il rencontra Holly, sa future seconde épouse. Elle devint son modèle fétiche, souvent photographiée chaussée des talons vertigineux qu'il créait lui-même. Talons dont on dit qu'ils étaient particulièrement inconfortables. John Willie aura deux temps forts dans son existence : l'Australie (1937-1945) et les États-Unis (1948-1961). Pour subvenir à ses besoins pendant la guerre, Willie travailla en tant que matelot professionnel. Il fut également un alcoolique notoire et déménagea fréquemment, vivant à Montréal, New York et Los Angeles. Il décéda à Guernesey des suites d'une tumeur cérébrale. Au-delà de son univers BDSM, John Willie était également un musicien, jouant du banjo dans les boîtes de nuit. Le choix de son pseudonyme "Willie" reflète son humour, faisant référence au double sens du mot Willie :  à la fois au sexe masculin et à l'innocence d'un petit garçon en anglais. Des livres sur John Willie
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Par : le 15/07/23
Agée de 30 ans, Léa est une lesbienne dans l’âme. Elle compte Julie comme amie intime de longue date, une jeune hétéro adepte de jeux de bondage. Si elles se font des confidences sur leurs plaisirs respectifs, elles n’ont jamais fait quoi que ce soit entre elles. Ce ne sont pourtant pas les occasions qui ont manqués puisqu’il leur arrive de dormir ensemble lorsqu’elles partent en vacances entre femmes pour de longues randonnées en montagne. Tu as vu la publicité pour le gîte fétichiste en Espagne ? Cela à l’air sympa, qu’en penses-tu ? Demande Julie à sa copine. Oui, mais cela me semble loin et il doit y faire horriblement chaud ! Lui répond Léa. Avec la nouvelle ligne de TVG espagnole, ce n’est qu’à quatre heures de train ! En plus, ce n’est pas au sud de l’Espagne et hors périodes estivales, cela doit être sympa. Lui rétorque Julie avant de continuer de lui vanter ce gîte. Et si tu me disais ce que tu as derrière la tête ? Finit par lui dire Léa. Ben, heu, comment dire ? Allez, je me lance. Tu sais que j’adore le bondage et que je fais parfois du selfbondage. Ce site se propose d’accueillir des célibataires et de les sécuriser dans leurs selfbondages en intérieur et en extérieur. Même si cela me semble sérieux, j’ai un peu peur d’y aller toute seule. Cela te dirait que l’on y aille toutes les deux ? En plus, il y a plein de randonnées à faire autour du gîte. Lui explique Julie. Pourquoi pas, cela serait sympa ! Lui répond Léa en surfant sur le site ***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo *** en plus, cela me plairait bien de te voir ramper nue dans le parc en plein soleil. Je n’en doute pas, espèce de perverse. Il leur reste de la place fin septembre, si tu veux, je m’occupe des réservations, tu me rembourseras après ! Propose Julie. Je regarde mon planning, fin septembre cela doit être possible, en plus, il fera moins chaud ! ..................... Trois mois plus tard, les filles arrivent à la gare de Saragosse avec leurs bagages. Elles récupèrent la voiture louée à la gare au tiers du prix de la France puis prennent la route pour se rendre au gîte. A leur arrivée, si l’accueil chaleureux leur est agréable, c’est la visite des lieux fétichistes qui met le feu aux poudres de leur libido respective. Léa flashe sur la chambre Love et Julie sur le donjon puis le matériel mis à leur disposition. La piscine couverte mais s’ouvrant sur le côté, leur fait également de l’oeil, si bien qu’après une douche, elles ne tardent pas à aller se prélasser nues dans une eau à 28 degrés. Le gîte étant également naturiste, elles ne se gênent pas pour parfaire un peu leur bronzage. La faim se fait sentir, elles n’ont pas à attendre puisque Julie avait commandé les repas à 9,50€ livrés dans le réfrigérateur du gîte. Ce repas inclut en principe une entrée et un plat mais un plateau de fruits du verger leur a été offert avec deux roses, autant dire que les filles apprécient. Pendant que Léa étudie le classeur réservé aux touristes vanilles, Julie s’excite toute seule en lisant « le classeur des vraies bonnes mauvaises idées » réservé aux coquins. Elle ne peut s’empêcher de commenter ce qu’elle y découvre, ce qui finit par donner des envies à son amie. Tu comptes uniquement lire ou t’amuser un peu au donjon ? Parce que là, on dirait juste une fille qui fantasme..... ! Lui demande Léa en se moquant d’elle. Oh, ça va, laisse-moi le temps de me mettre dans l’ambiance ! Et puis, je n’ai pas eu le temps de préparer un ice-timer ou de demander une serrure de selfbondage. Si tu veux, je t’accompagne, comme ça on découvre ensemble et je peux même t’aider à t’attacher ! Lui propose Léa. Julie réfute un peu pour la forme avant d’accepter. Elles se rendent donc au donjon où, uniquement vêtue de son bas de maillot de bain, Julie teste les entraves du lit de la chambre Love. Léa participe activement en l’aidant à faire les réglages en lui demandant si cela ne serait pas mieux avec quelques sextoys ou un vibro bien placé. Devant les yeux brillants de son amie, Léa va chercher un magic wand massager puis un gode qu’elle désinfecte avant de revenir s’occuper de son amie. Julie refuse que Léa lui mette le gode dans la chatte, elle est trop gênée. Son amie lui libère donc un de ses poignets avec regret pour la laisser faire et se le mettre sans aucune difficulté. Et bien, on voit que les lieux t’excitent grave ma belle ! Se moque Léa en rattachant le poignet de Julie se retrouvant attachée bras et jambes en croix. Non sans une certaine excitation, Léa lui place le magic wand massager dans le bas du maillot pile poil au bon endroit, le savoir faire d’une femme se fait donc sentir. Julie ronronne quasiment dès cet instant en fermant les yeux de plaisir. Putain tu m’excites toi, je vais te laisser seule pour ne pas te croquer, je viens te libérer dans combien de temps ? Lui demande Léa. Oh une petite demi-heure, cela devrait être bien pour ce soir ! Lui répond Julie. Attends, je vais compléter un peu, il te manque des choses ! Sans demander l’avis de son amie, Léa lui rajoute des pinces à sein, lui impose un bâillon puis lui pose un bandeau sur les yeux. Pour Julie, c’est une première que d’être prisonnière du plaisir et d’être entravée par quelqu’un. Elle tire sur les entraves par principe et pour en tester la solidité, bien qu’elle n’ait aucune envie de s’échapper ! Léa s’installe sur la confortable chaise de Maîtresse pour s’accorder elle aussi un moment de plaisir. La musique « humaine » en fond est pour elle un puissant vecteur d’excitation. Quelques instant plus tard, la vision de son amie se débattant dans les jouissances à répétition la fait jouir à son tour. N’y tenant plus, elle monte sur le lit de la chambre love pour venir caresser et griffer la poitrine offerte à ses monstrueuses envies. Même si Julie est en plein délire, elle a bien conscience que les doigts taquins sont ceux de son amie mais le plaisir est si fort dans les entraves, qu’elle ne réfute pas, ni ne cherche à les fuir. Le concerto des gémissements ne tarde pas à se muer en un concert de rock métal ! C’est à ce moment là que Léa lui retire les pinces à sein, elle sait par expérience que c’est le meilleur moment pour que la douleur soit agréable. Comment résister à deux beaux tétons féminins pointant fièrement sur une belle poitrine quand on est lesbienne ? Léa résiste à son envie de lui sauter dessus et se contente de goûter les deux belles fraises épanouies. Cette dégustation se déroule encore une fois sans réfutations Julie semble même dire « encore » dans ses gémissements. Après de multiples jouissance, Julie demande grâce, elle n’en peut plus. C’est là que Léa commence réellement à s’amuser en lui disant qu’une soumise fait ce que sa Maîtresse désire et qu’elle ne s’arrêtera que quand l’envie lui viendra. En guise de pause, elle lui dévore à présent les tétons en s’acharnant sur le clitoris de son amie avec le magic wand massager. Son jeu de Maîtresse n’ira pas beaucoup plus loin, Léa avait décidé qu’une jouissance supplémentaire serait bien. Exténuée, la pauvre Julie ressemble à présent à un légume lorsque son amie la libère. Lorsque Léa la prend dans ses bras pour l’aider à revenir sur terre, Léa l’enlace et la serre fort contre elle en murmurant des « merci ». Quelques instants plus tard, la piscine leur fait de l’oeil lorsqu’elles quittent le donjon. Elles y piquent une tête pour se remettre de leurs émotions. LE LENDEMAIN Le tourisme classique et une randonnée sont au programme. Elles s’étonnent de la courtoisie espagnole lorsqu’elles croisent des anciens de la région comme ce vieux paysan comme sorti de nulle part avec une bêche à la main. Il leur a demandé si elles étaient perdues et voulaient de l’aide. Ce n’est qu’avec le traducteur du téléphone qu’elles ont pu discuter avec lui. Et là, le gag, c’est que le papy a sorti son mobile pour faire google map et leur faire voir leur chemin ! Après la douche salutaire prise immédiatement arrivée au gîte, les filles se rendent à la piscine pour prendre un bain. Julie est surprise de voir que le pilori a été sorti. Tiens, ils ont sorti le pilori ! Oui, c’est moi qui l’ai demandé à Marc ! Lui répond Léa. Il faut bien que tu profites des installations non ? A la sortie du bain, pris intégralement nue, nous dirons que chacune trouve sa place, Julie entravée dans le pilori et Léa sur un transat pour parfaire son bronzage. Pour s’amuser un peu avec son amie, lorsque Léa va chercher de, quoi se désaltérer, elle prend son temps en la laissant mariner seule entravée nue au pilori. A son retour une négociation voit le jour, lorsque Julie demande à être délivrée. Tu me donnes quoi en échange de ta libération ? Demande Léa. Je te masse le dos et les jambes, la randonnée était difficile, je pense que cela te fera du bien ! Propose Julie. D’accord mais avant je te masse les fesses au martinet, tu as été vilaine ! Lui répond Léa en se rendant au donjon prendre le nécessaire. A son retour, elle n’a pas que le martinet dans les mains, mais également des pinces à sein avec des clochettes. Malgré les réfutations de Julie, ayant très peur que Marc ou sa compagne viennent prendre un bain et les voient, les pinces trouvent leur place sur les tétons un peu étirés pour la circonstance. Léa claque ensuite les fesses de son amie gesticulant par réflexe sous les lanières. J’aime beaucoup le bruit de ces clochettes, cela donne envie de taper plus fort ! La fessée au martinet dure un peu, et pour cause, Léa a constaté que le sexe de son amie s’humidifie grandement pendant qu’elle la martyrise. Je découvre que tu es maso, tu m’avais cachée ça, salope ! Ce n’est pas vrai ! Tu exagères ! Ah bon ! Lui répond Léa en caressant le sexe trempé de son amie avant de lui faire voir ses doigts couverts de mouille. Et ça, c’est quoi ? De la transpiration salope ? Lèche-les, cela t’apprendra à me mentir ! Se sentant comme obligée, Julie s’exécute et se laisse même fouiller la bouche par les doigts parfumés de ses effluves. Être entravée et un peu malmenée l’excite vraiment comme le constate Léa en retournant voir le fessier légèrement rougi. Mais tu coules, toi tu as tout d’une soumise, je crois que je vais devenir ta Maîtresse et t’apprendre à ne plus mentir ou me cacher des choses ! Ponctue Léa en claquant à la main et de bon coeur, les fesses de son amie. De plus en plus excitée elle aussi, son sexe s’est grandement humidifié. Elle se caresse la moune avant d’aller lui faire déguster ses doigts. Perdue dans son monde de soumise, Julie ne se rend pas compte du subterfuge jusqu’au moment où Léa lui demande si elle a bon goût ! Salope !!!!! On ne parle pas comme ça à sa Maîtresse, tu seras punie pour ça, d’ailleurs, je vais demander à Marc de me donner des conseils ! Oh non, pas ça, j’ai trop honte ! Ok, alors en plus du massage, tu me boufferas les seins pendant que je me branle parce qu’il n’y a que toi qui a du plaisir depuis qu’on est arrivées ! Non.... Je vais donc expliquer tout cela à Marc et lui demander de te punir, je suis sûre que tu apprécieras son expertise en la matière ! Bon d’accord, mais juste une fois ! Lui répond Julie. ................... Lors du repas, cette fois offert et pris dans la salle de restauration du gîte avec les propriétaires, les filles apprécient l’ambiance ultra décontractée, si bien, que les confidences commencent à se faire. Elles constatent qu’en ces lieux, on peut parler de tout, de tourisme, de jardinage, de produits bios et surtout « de cul » sans être jugé. A priori, qu’elles soient entre femmes et ce qu’elles peuvent faire entre elles, ils s’en moquent éperdument. Lors de la conversation, la venue des célibataires au gîte est abordée. Ayant trop envie de savoir ce qu’ils font Julie pose des questions. Les réponses sont simples, ils fonctionnent sur le principe du selfbondage et de la self servitude en bénéficiant de conseils et d’assistance en cas de besoin. C’est là que Marc aborde le principe de l’espace game pouvant être adapté aux fétichismes de chacun. Léa saute sur l’occasion pour lui demander d’en préparer un pour « sa soumise ». Julie plonge aussitôt son nez dans son assiette, que son amie ait dévoilé ses fantasmes la gêne horriblement. Pas de problème, dites-moi ce dont vous avez besoin, je vous le prépare, je vous explique si besoin puis vous laisserai jouer tranquilles entre vous ! Répond Marc comme si elle lui avait demandé un café ! Ma soumise est timide mais très cochonne, avez-vous des idées ? Oui, ce n’est pas les idées tordues qui lui manque ! Intervient son épouse amusée. L’espace game peut être en chienne, pour cela il faut lui attacher les pattes pliées et lui mettre un plug queue de chienne avant de l’envoyer chercher les clés. Cela peut être intégralement nue avec des fers aux pieds et des menottes puis ce que vous déciderez de lui ajouter. Dans ce cas, l’espace game se fera également dans le verger. Cela peut être en couche si ce fétichisme compte des vôtres ou vêtue si elle a très envie de faire pipi. Dites-moi ce qui vous fait vibrer, je vous trouverai des idées ! J’aime beaucoup l’idée de la chienne, vous pourrez m’aider car je n’ai jamais fait de bondage ? Demande Léa avant d’aller lui chuchoter quelque chose à l’oreille. Avec plaisir, quand voulez-vous que je vous prépare ça ? Demande Marc Pour demain soir si cela ne vous dérange pas ! .............. Arrivées dans leur gîte, Julie est un peu furieuse que son amie ait dévoilé des choses sur leur intimité. Mais ma belle, si on est ici c’est pour s’amuser, ou alors il fallait choisir Disney ! Franchement, avec tout ce qu’ils voient et font, ils n’en ont rien à faire de nos jeux. Et puis il serait temps que tu grandisses un peu et que tu t’assumes, tu aurais bien plus de plaisir si tu ne jouais pas la coincée ! Lui répond son amie un peu en colère. D’ailleurs, tu me dois un massage que tu vas me faire de suite dans la chambre Love. Allez, on bouge ! Un peu perturbée, Julie suit donc son amie qui prend une serviette de bain et de l’huile de massage. Elles traversent le donjon où Léa prend une paire de menottes au passage. Après s’être couchée intégralement nue, elle lui tend le flacon d’huile de massage en lui ordonnant de s’appliquer si elle ne veut pas recevoir une vraie fessée ! C’est donc un peu contrariée qu’elle masse son amie tout en se demandant à quoi vont servir les menottes. Bien, j’ai envie de me faire plaisir, attrape-moi le magic wand massager et grignote doucement mes tétons pendant que je me branle, j’adore ça ! Ordonne Léa. Julie est assez perturbée lorsqu’elle prend un des tétons de son amie entre ses lèvres. Bon gré mal gré, elle essaye de lui donner du plaisir. Le bon dieu t’a donné des mains, ce n’est pas que pour travailler ou pour faire joli, caresse-moi en même temps ! Fais des efforts pour donner du plaisir à ta Maîtresse. Petit à petit, Julie prend elle aussi du plaisir à en donner. Tout en titillant un téton, elle fait courir ses doigts sur la poitrine de son amie commençant à gémir. Contribuer dans cet acte en principe intime, lui donne l’impression d’être voyeuse et l’excite un peu. Allez, prend le magic et occupe-toi de ma chatte, elle ne te griffera pas ! Julie s’exécute et finalement ne trouve pas cela déplaisant de s’occuper de son amie. Elle s'engaillardit même un peu en osant insinuer ses doigts dans le temple de l’amour. Quelques instant plus tard, ressentir les premières contractions la surprend agréablement, tout comme le bouquet final quand les cuisses de Léa emprisonnent sa main. Lèche-moi la chatte, j’ai encore envie ! Ordonne Léa. Non, désolée, je ne fais pas ça ! Répond aussitôt Julie. Refuser de donner du plaisir à sa Maîtresse, cela mérite une fessée parce que là, tu fais la gamine ! Donne-moi tes poignets ! Julie n’ose pas refuser, Léa ne lui laissant pas réellement le choix, elle se laisse menotter mains devant. Basculée prestement sur ses jambes et déculottée, la vilaine ne tarde pas à goûter à la fessée se disant « punitive ». Se sentir entravée et ainsi obligée de subir sa « punition » l’excite car les claques sont très modérées et un peu comme des caresses piquantes. Ces sensations forts agréables la pousse même à tendre un peu les fesses pour aller à la rencontre de la main. Après le prélude il y a parfois un postlude qui est, son contraire dans le domaine de la composition musicale. La puissance de la fessée monte donc d’un ton, les claques sont de plus en plus appuyées et deviennent bruyantes. Le fessier de Julie s’embrase rapidement, elle aimerait modérer un peu son amie, se protéger mais les menottes l’en empêchent, mais en même temps, l’aident à entrer dans la bulle de l’abandon. Lorsque Léa s’arrête de la fesser, son épiderme semble recouvert de fourmis décidées à la grignoter. Il n’y a pas que cette partie de son anatomie qui la démange, entre ses cuisses, l’humidité est généreuse. Mais ce n’est pas une punition ça pour toi, tu mouilles espèce de maso ! Déclare soudain Léa lorsqu’elle s’en rend compte. On va changer de registre, couche-toi sur le lit et retire ta culotte, j’ai une surprise pour toi ! Pendant que son amie s’exécute, Léa passe derrière le coin bar pour aller chercher une couche. En la voyant, Julie réfute, l’ABDL ce n’est pas du tout son trip, la couche lui rappelle celles de sa pauvre mère. Sa Maîtresse lui explique que ce ne sera qu’une précaution pour la suite et qu’elle n’est pas obligée de l’utiliser. Sans lui laisser le choix, elle l’oblige à soulever ses fesses rouges pour glisser la protection sous ses reins avant de terminer de la langer. Prise par l’oreille comme une gamine effrontée, Julie est guidée aux pieds du lit où Léa ouvre la porte de la cage. Allez, tu rentres dans la cage et tu ne mouftes pas ou tu te reprends une deuxième fessée mais avec un de leurs instruments, cela doit faire vraiment mal ! Julie abdique mais fait voir que les menottes sont toujours à ses poignets. Une fois retirées, elle entre donc dans la cage située sous le lit. Si elle est réellement perturbée par tout ce qu’il lui arrive, l’expérience de la cage ne la laisse pas de marbre. Après avoir verrouillée la porte, Léa va éteindre la lumière pour venir se coucher dans le lit, juste au dessus de son amie. Entre la randonnée, la piscine et les jouissances, la Maîtresse d’opportunité, et appréciant de l’être, ne tarde pas à s’endormir contrairement à Julie. Elle revit mentalement les évènements de la journée, son expérience au pilori, sa fessée puis les câlins qu’elle a du faire à son amie. Ce n’est pas l’envie qui lui manque de se caresser mais elle n’ose pas et se limite à « explorer » secrètement l’intérieur de la couche. Elle constate que c’est toujours bien humide et se pose des questions sur toutes ses envies, ses fantasmes. Si sa nuit est un peu perturbée par l’étroitesse du lit cage, elle est également peuplée de rêves très érotiques. Elle s’imagine même entravée sous la chaise percé et obligée de lécher son amie, c’est dire si tout cela la perturbe puisqu’elle est hétéro. Ce n’est que lorsque le soleil se lève, qu’elle est rattrapée par les choses naturelles de la vie : l’envie de faire pipi ! Absolument pas décidée à se faire dessus, même avec une couche, elle se retient. Se retenir ne l’aide pas à retrouver le sommeil et rend le temps fort long. Au environs de huit heures, elle est au bord de l’implosion et appelle Léa pour qu’elle lui ouvre la porte de la cage. Elle sait que la réveiller n’est pas une bonne idée, mais c’est plus fort qu’elle, la couche ce n’est vraiment pas son truc. Effectivement, ayant un réveil difficile Léa est furieuse. Elle commence par l’envoyer paître et devant l’insistance de son amie, décide qu’une réelle punition s’impose. Elle lui donne les menottes à travers les barreaux de la cage et lui demande de se les mettre pour aller faire pisser « la chienne soumise ». Convaincue d’être libérée de la protection, Julie abdique, ce n’est pas de pisser devant son amie qui la traumatisera. C’est une fois sortie de la cage en la remerciant, qu’elle est guidée vers la sortie. Un arrêt brutal la surprend au moment où elles passe sous le treuil. Léa lui remonte les poignets et bloque la chaîne des menottes dans le crochet. Malgré ses bruyantes réfutations, c’est en voyant ses poignets monter vers le plafond que le piège lui saute aux yeux. Debout et quasiment sur la pointe des pieds, elle n’a aucune chance de s’échapper. Léa lui enfile une culotte et bloque le magic wand entre la couche et la dite culotte servant de maintien sextoy. Après l’avoir mis en route, Léa la laisse accrochée ainsi au donjon pour aller se faire un café sans tenir compte des cris de la révoltée. Désespérée, Julie comprend rapidement qu’elle ne pourra pas se retenir. Entre l’envie devenue ultra pressante et les vibrations sur son bas ventre juste au dessus de sa vessie, il est impossible de résister. Un moment plus tard, c’est en criant de désespoir qu’elle finit par abdiquer et à se lâcher un peu pour libérer, partiellement, la pression devenant douloureuse. Si cet acte ne lui a pas plus du tout, par contre, se retrouver menottée debout toute seule dans le donjon avec un magic wand presque en bonne place ne lui déplait pas. Bien au contraire, elle essaye même de le faire glisser et descendre un peu avec une de ses cuisses. Dans sa tête, elle devient la victime d’un beau sadique bien membré ayant prévu de la mâter avant de la sauter. Elle l’imagine derrière elle en train de jouer avec ses seins puis ses tétons qu’il martyrise un peu. Les yeux fermés et en plein dans ses fantasmes puis les agréables sensations du magic wand sur la couche, elle ne voit pas son amie Léa entrer dans le donjon. Ce n’est que lorsqu’une bouche se colle contre la sienne et qu’en même temps le magic est appuyé sur le devant de sa couche, qu’elle se rend compte qu’elle n’est plus seule. La langue de son amie fouille sa bouche avec une certaine virilité pendant que ses mains s’attaquent à ses tétons sans défense. En pleine perdition dans les sensations diaboliques et perdue dans ses émotions, Julie ne fuit pas le baiser sauvage imposé. Au contraire, devenant fusionnel, elle y trouve presque une sorte « d’échappatoire » à sa pudeur. A la fois désiré et redoutée, l’explosion fatale pour sa pudeur lamine toute forme de résistance psychologique. Dans sa jouissance paroxystique, Julie hurle à plein poumons, pendant ses contractions et sa jouissance, elle finit de vider sa vessie dans la couche sans rien ne pouvoir contrôler. A bout de souffle, elle pend quasiment dans les menottes lorsque Léa fait descendre le treuil. Libéré du crochet, elle se couche en chien de fusil à même le sol pour se remettre de ses émotions et de cette jouissance d’une puissance jamais éprouvée jusqu’à présent. Léa s’est aussi assise par terre, elle a pris la tête de Julie pour la poser sur sa cuisse en guise d’oreiller. C’est avec une extrême douceur qu’elle la caresse comme si c’était un bébé qu’il faut consoler. Tu veux ma mort ! Indique Julie à son amie au bout d’un moment. Non, je veux que tu vives tes passions, tes fantasmes et, à priori, vu ce que je viens de voir, tu ne devrais pas t’en plaindre. Mais tu sais, cela ne me déplait pas du tout de m’occuper de toi comme ça. Je prends réellement du plaisir à t’en donner même si mon truc à moi, c’est plus doux et plus sensuel. .......... Les tourterelles en vacances partent à l’assaut des montagnes locales dans le parc naturel Moncayo. Il s’agit d’une chaîne de montagnes de 15 km de long et d'environ 7 km de large qui donne son nom à la comarque Tarazona y el Moncayo. Lors de la balade, Léa propose à Julie de devenir sa Maîtresse pour lui permettre de vivre réellement ses fantasmes. Elle lui précise que si c’est par amitié, l’idée ne lui déplait pas même si elle manque cruellement d’expérience et de savoir faire. Après une petite discussion Julie accepte, sous la condition qu’elle ne soit pas trop dure avec elle. A leur retour au gîte, après une douche salutaire, elles prennent un bain dans la piscine. A la suite de quoi, Julie part à la recherche de Marc pour savoir comment se déroule l’espace game. Je vous ai préparé un des classiques dans le verger mais vous ne m’avez pas précisé si vous voulez jouer Pets-play dans le parc ou un jeu plus grand. A la limite, vous pouvez faire les deux, ce soir le Pets-play et demain celui qui se fait dans le verger, les indices sont dans des boites en plastique lestées, ils ne s’envoleront pas. Je vais suivre vos idées mais il faudrait m’aider, je débute en BDSM ! Lui répond Léa. Pas de souci, je vais vous chercher le nécessaire pendant que vous emmenez votre amie, de préférence nue, sur la terrasse ! Lorsqu’elle va chercher Julie et lui ordonne de se dévêtir pour l’espace game, celle-ci réfute et souhaite conserver au minimum son bas de maillot. Pendant ce temps, Marc a préparé des cordes, une paire de menotte, une chaînette et un cadenas pour lui faire un collier. Sur la table, un plug queue de chienne fait aussitôt rougir le futur « caniche » ravi d’avoir gardé son bas de maillot. Mettez-vous à quatre pattes, je vais faire voir à votre amie comment réaliser ce bondage finalement assez simple ! Demande Marc au « modèle » dont la gorge vient de se serrer. Le bondage est finalement assez simple et rapide. Marc fait plier une des jambes de Julie qu’il enroule de corde en version shibari en expliquant à Léa comment faire la même chose avec l’autre jambe. Sans leur demander leur avis, il fait un collier à Julie avec la chaînette qu’il ferme avec un cadenas. A la suite de quoi, il ferme une des menottes sur son poignet, fait passer l’autre dans le collier avent de la fermer sur le poignet encore libre. Dans le carton qui est sur la table, il y a des boites en plastique, ce sont les indices qu’il faudrait aller cacher dans le parc. Mais pour cela, il faudrait occulter sa vue sinon elle n’aura qu’à vous regarder les placer. Si vous le souhaitez, je vais les cacher pour vous pendant que vous l’aveuglez avec une serviette de bain par exemple. Dans le carton vous trouverez une laisse et un petit martinet en cas de besoin puis un bâillon os, à vous de décider ce que vous utiliserez. Pour le plug queue de chienne, je vous laisse vous en occuper, je suppose que vous savez où il va ! Indique Marc en partant avec les indices. Immédiatement aveuglée par une serviette de bain, la respiration de Julie s’est emballée. Elle transpire même un peu, non pas de la chaleur mais parce qu’elle est émue, gênée, excitée, perturbée par sa Maîtresse transformant son bas de maillot en string. Léa mouille généreusement l’anus de son amie puis le petit plug qu’elle entreprend de lui introduire malgré ses réfutations. Le premier indice se situe aux pieds de la petite statue. Leur indique Marc à son retour. Si vous désirez déplacer un transat et le mettre dans le parc pendant qu’elle cherche n’hésitez pas ! Ajoute Marc à l’attention de Léa. Je vais vous laisser tranquille, amusez-vous, vous êtes là pour ça ! Pendant ces indications, Julie était ravie d’être aveuglée, c’était un peu comme si la serviette diminuait un peu sa honte. Le tissu retiré, c’est avec une grande claque sur ses fesses que le top départ lui est donné. La chienne humaine prend rapidement conscience que le jeu risque de durer car se déplacer sur les genoux et les coudes n’est pas aussi facile qu’on ne l’imagine. La seule chose qui l’amuse pour l’instant, c’est qu’à chaque mouvement la queue du plug caresse ses cuisses. Il n’y a pas qu’elle qui trouve cela amusant, Léa apprécie énormément les effets de son petit cul s’agitant ainsi. Elle se saisit du martinet pour aller motiver sa « chienne » en lui disant qu’elle est vraiment très belle comme ça avant d’ajouter : « je vais chercher mon portable et faire quelques photos ». Que Julie réfute n’y change rien, elle est abandonnée seule entravée en chienne dans le parc. Les caresses du vent l’accompagnent dans cette expérience troublante, être entravée quasiment nue, seule avec un plug queue de chienne commencent réellement à la troubler. Devenue une Maîtresse perverse par opportunité, c’est après avoir pris quelques photos que Léa va retrouver sa soumise en prenant avec elle la laisse et le martinet. En la voyant arriver, Julie comprend immédiatement qu’elle va devenir le jouet de sa Maîtresse, et elle ne se trompe pas. Entre femmes, quand on s’amuse ainsi, la perversité prend tout son sens. Une fois la laisse posée, Léa s’amuse à faire « marcher » son amie, à la faire asseoir, à faire la belle sans se priver de la motiver avec le martinet. Mais tu es en chaleur ! Déclare Léa en voyant que le maillot est mouillé à l’entrejambe ! Il faudrait que je trouve un beau mâle pour te faire couvrir ! Salope ! Un coup de martinet très appuyé s’abat aussitôt sur ses fesses ! Une chienne ça ne parle pas et en plus, une soumise n’insulte pas sa Maîtresse, ton dressage laisse à désirer ! Embrasse mes pieds et vite pour te faire pardonner ou je récupère les clés et te laisse comme ça pour la nuit ! Ordonne Léa. Julie abdique aussitôt sous la menace. Elle fait donc de petits bisous bruyants sur les pieds de sa Maîtresse avant que la laisse l’oblige à faire la belle. Par surprise Léa plaque le visage de la chienne au creux de ses cuisses en mourrant d’envie de se faire brouter le minou. Fais aussi des bisous là, allez chienne ! Lui ordonne Léa en claquant les fesses de son amie avec le martinet. Tenue fermement par les cheveux avec son visage plaqué contre le sexe de sa Maîtresse, Julie ne tente pas de fuir, les entraves libérant des carcans de ses interdits, elle lèche de bon coeur. Léa sent bien que sa chienne apprécie d’avoir la tête logée entre ses cuisses, cela lui fait prendre conscience que par le BDSM, son amie pourrait au moins devenir bi à défaut d’être lesbienne. Gardant cette idée en mémoire, elle libère sa « chienne » en lui disant « cherche, aller cherche ». Tout aussi perturbée, Julie prend à présent son rôle très à coeur. C’est avec quelques douleurs aux coudes et aux genoux qu’un moment plus tard, elle rapporte les clés des menottes avec ses dents. C’est trop bien ce jeu, j’ai bien aimé. La prochaine fois, je te ferai boire en gamelle et t’attacherai peut-être à la niche, cela serait amusant de t’y laisser un moment ! Ponctue Léa en serrant son amie dans ses bras après l’avoir libérée. Après avoir dîner en tête à tête, elles surfent sur leur téléphone avant de décider de se coucher. Oh, j’ai une idée, je vais t’attacher pour la nuit ! Déclare soudain Léa. Elle sort du gîte pour aller récupérer les cordes, la chaîne, le cadenas et les menottes puis le martinet. Dix minutes plus tard, après avoir eu le droit d’aller faire pipi, Julie se retrouve entravée nue jambes écartées sur le lit du haut. Ses poignets menottés sont fixés à la tête du lit avec la chaînette. Voir les tétons de son amie pointer fièrement donne des ailes à la lesbienne en manque de câlins. Après avoir éteint la lumière, elle rejoint la « captive » pour d’énormes câlins de plus en plus fusionnels. Caressée, embrassée, fouillée par des doigts experts, Julie est au bord de l’implosion, Lorsque Léa entreprend de brouter le chaton sans défense, elle est obligée de refreiner ses ardeurs, sa « victime » est sur le point d’exploser. Après un énorme baiser, Léa lui murmure que si elle ne lui bouffe pas la chatte, c’est la sienne qui sera fouettée au martinet. Lorsqu’elle enjambe la tête de son amie, Léa s’étonne de n’avoir aucune réfutation. Avec douceur, elle frotte son sexe sur le nez de son amie tout en caressant sa poitrine, en titillant ses tétons et n’a aucune réaction négative. Elle prend donc le martinet qu’elle fait tomber doucement sur le sexe de Julie avant de faire glisser lentement les lanières sur les lèvres trempées. Léa comprend que son amie est prête à sauter le pas. Elle recommence le petit jeu avec le martinet et s’assoie doucement sur son visage rencontrant aussitôt une langue peu expérimentée mais très motivée. Le facesitting ne tarde pas à évoluer en 69, Julie n’a plus besoin d’être menacée pour donner du plaisir avec sa langue, ni pour en prendre avec celle de l’experte lutinant sa perle clitoridienne. Ces échanges « linguistiques » portent leurs fruits plusieurs fois dans un concert mélodieux de gémissements de plaisir. Enfin rassasiée, la lesbienne devenue dominatrice ne libère pas sa soumise, non pas pour lui faire des misères mais pour se lover contre elle et la câliner. Les bisous sont forts tendres avant que le sommeil les rattrape dans ce grand lit king size. Libérée au milieu de la nuit pour un besoin naturel, Julie revient aussitôt se lover contre son amie, contre sa Maîtresse. Ce besoin de contact est soudainement plus fort qu’elle, par peur de la réveiller et de se faire gronder, elle n’ose pas lui faire des câlins. ............. Le lendemain, en revenant de visiter la gigantesque et sublime (abbaye appelée le Monastère de pierres]( https://***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***/fr/sex-toys/739-baillon-os.html?search_query=baillon+os&results=39), Léa demande à Julie d’où lui viens cette passion pour le bondage, les contraintes, la soumission. En fait, lorsque je suis attachée je ne me libère que mieux. Grâce aux entraves, je suis moins pudique et surtout moins timide. En fait, le gros paradoxe c’est que je me sens sécurisée, ce n’est pas ma faute, je suis obligée. Je sais que c’est complètement fou et illogique. En plus, mes jouissances sont dix fois plus fortes. Et toi, cela te plait de me dominer ? Initialement ce n’est pas ma tasse de thé. Je suis beaucoup plus portée sur la sensualité, les câlins mais j’avoue que je me découvre. Ce n’est pas déplaisant du tout. Ce qui m’amuse particulièrement avec toi c’est de t’obliger à te faire plaisir, à sauter des pas, à faire des choses que tu t’interdisais. Et puis avec une soumise aussi belle que toi, cela n’est pas déplaisant du tout, si tu vois ce que je veux dire. Lui répond Léa. Cela me gêne que tu m’appelles soumise, cela n’est pas du tout ma nature de me laisser marcher sur les pieds ! Là encore tu confonds tout. Tu peux être dominante dans la vie et aimer lâcher prise et donnant le contrôle à quelqu’un sous la couette. En amour tout comme pour le sexe, les interdits sont castrateurs de plaisir. De toute façon, nous sommes toutes des soumises ! Tu es soumise parfois ? Demande Julie. Non, quoi que me laisser attacher et dévorer à coups de langues par trois ou quatre filles ne me déplairait pas. Je disais que nous sommes toutes soumises à une autorité. Le pire est que l’on n’a pas le choix. Par exemple, quand un flic t’arrête pour contrôler tes papiers, tu obtempères, quand tu fais le chèque pour tes impôts, tu n’as pas le choix, tout comme quand ton chef de service te donne un ordre. La différence est que en amour, c’est toi qui décide de t’offrir, d’offrir le contrôle de ton corps. Arrivées au gîte, les filles prennent une douche et vont prendre un bain à la piscine. Léa s’allonge sur le matelas pneumatique avant d’ordonner à Julie de venir faire des bisous à son chaton. Julie refuse par peur d’être vue par Marc jusqu’au moment où Léa lui rappelle qu’un espace game l’attend, et cela en précisant qu’il pourrait se corser si elle ne s’exécute pas immédiatement. Ultra gênée, Julie s’exécute mais sans grande conviction, son regard étant en permanence tourné vers la porte de la piscine. Ne t’habille pas, va chercher les menottes, tu les mets puis tu les accroches au crochet du treuil de façon à être sur la pointe des pieds ! Lui ordonne Léa lorsqu’elle sortent de la piscine. Léa souhaite pousser un peu son amie dans la soumission. Après avoir fait monter un peu le crochet du treuil, pour être sûre que sa soumise ne s’enfuit pas, elle va demander à Marc de venir la conseiller. Réellement généreux dans l’âme et pas que pas intérêt, il se rend donc au donjon et découvre Julie nue en mauvaise posture. Étant débutante en BDSM, j’avoue ne pas savoir comment lui organiser l’espace game. Pouvez-vous m’aider ? Bien sûr, que désirez-vous comme jeu ? Quelque chose de très gênant pour une nana pudique et trop coincée ? En entendant ça, Julie a des envies de meurtre, en plus d’être exposée nue, son amie cherche à l’humilier. Oh il faut donc jouer sur le plaisir sexuel en même temps que le bondage. Vous pouvez par exemple combler ses orifices, bloquer ensuite le magic wand sur son sexe, ajouter des pinces à sein à grelot avant de l’envoyer chercher les clés ! Lui répond Marc comme si on lui avait demandé la recette de la sauce de ses aubergines grillées. Génial, mais je ne sais pas comment attacher le magic ni même comment faire tenir le plug et le gode, pouvez-vous m’aider au moins pour ça ? Pas de problème je vous laisse « combler » votre soumise pendant que je vais chercher ce qu’il vous faut ! Furieuse et morte de honte, Julie tente d’échapper à l’emprise de son amie. En vain, cette dernière ne lâche pas prise et s’acharne pour placer le gode et le plug entre les cuisses s’agitant. A son retour, Marc réalise un string de chaîne en faisant plusieurs passage entre les cuisses de Julie. Cette dernière est blême de honte, le sadique de la maison qu’elle trouvait sympa est soudainement détesté. Il ne loupe rien de son intimité comblée, au contraire, au passage des chaînes, il appuie même sur les sextoys pour bien les bloquer. A la suite de quoi, il propose à Léa de placer elle même les pinces à sein. Pendant ce temps, accroupi derrière les fesses comblées, et donc avec une vue imprenable, il lui pose des fers de bagnard. Vous pouvez descendre le treuil et passer les menottes derrière dans le string de chaîne, ainsi, elle ne pourra pas retirer ses pinces à sein. Consciencieux dans ses actes, Marc réalise un second string mais cette fois avec une corde de shibari. Ce string spécial ressemble à un petit harnais avec en son centre, le magic wand bloqué dans le triangle devenant comme celui des Bermudes pour la pauvre Julie. Je vais vous aider à la sortir, car avec les fers de bagnard aux chevilles, elle risque de tomber et se blesser. Vous pourriez peut-être lui poser le bâillon ouvert, sera nous fera un peu de silence car votre soumise râle beaucoup ! Propose Marc très provocateur. Attrapée à bras le corps, Julie se retrouve rapidement dehors près de la piscine. Marc lui indique où se trouve le premier indice avant de leur souhaiter « bon jeu » puis de quitter les lieux. Bâillonnée, la pauvre Julie sait qu’elle n’a pas d’autres choix que de partir ainsi « équipée » et pire que nue à la recherche des indices qui la conduiront aux clés. Si ce jeu l’amusait au départ, elle le trouve soudainement moins amusant. Léa ayant démarré le magic wand, entre les grelots de ces pinces à sein et le bruit du sextoy vibrant, il lui est impossible d’être discrète. C’est avec la rage au ventre qu’elle entreprend le parcours tant bien que mal. Obligée de se baisser au premier indice facile à trouver dans sa boite en plastique, Julie constate comme elle s’y attendait que le prochain se situe dans le verger. Sauf que pour s’y rendre, elle est obligée de passer le long du potager qui est complètement à découvert. Un quart d’heure plus tard, Julie découvre la petite statue aux pieds d’un plaqueminier. Encore une fois obligée de se baisser, sans le vouloir elle replace au bon endroit de son anatomie le magic wand qui avait bougé pendant ses déplacements difficiles. Enfin à l’abri des regards dans le verger, être ainsi entravée, caressée par le vent venant de se lever et avec le magic en bonne place, Julie commence à savourer les plaisirs de ce jeu. Au lieu de partir de suite jusqu’au fond du verger chercher les clés, elle s’accorde un moment de plaisir par peur de déplacer le vibro. Jouir ainsi, comblée, entravée, nue en pleine nature va être divin. Avec prudence, Julie va s’appuyer contre l’arbre pour ne pas tomber quand elle va exploser dans cette jouissance s’annonçant torride. Si de nature elle est discrète dans ses jouissances, entre la puissance de l’orgasme qui la terrasse et le bâillon bouche ouverte, elle en arrive à faire peur aux oiseaux venus assister au spectacle. Sa jouissance dure un peu, le magic ne lui accordant aucune pause. Si elle ne s’était pas appuyée contre l’arbre, elle se serait sûrement écroulée dans l’herbe. Si en d’autre temps, Julie apprécie ce sextoys, le fait de ne pas pouvoir l’arrêter un moment le rend soudainement moins agréable. Elle reprend donc le parcours en bavant sur sa poitrine, la jouissance paroxystique lui a donné si chaud qu’il lui est difficile de déglutir correctement. Léa l’attend à l’arrivée. Assise sur la chaise située sous la cabane naturelle, elle joue avec la ficelle reliant les clés ensemble. Elle en profite pour faire quelques photos au grand dam de son amie un peu honteuse. Regarde ce que Marc m’a prêtée ? Indique Léa en faisant voir une corde. Il m’a dit que je pouvais l’accrocher à l’arbre et te laisser mariner un peu avant le repas. oonnn en eu us ! Supplie Julie. Comprenant que son amie voulait dire « non, j’en peux plus » dans sa grande gentillesse, Léa lui retire les fers de bagnard puis le magic avant de lui passer la corde autour du cou comme pour ramener une esclave. Arrivées à la terrasse couverte située avant la piscine et le donjon, Léa lui donne à boire, essuie son visage trempé de transpiration et exige un bisou. Pendant ce bisou, Léa trouve que son amie mérite de prendre un bain. Sans lui retirer les menottes et les chaînes, elle la conduit à la piscine avant de la pousser sous la douche solaire. Puis, elle la fait dans l’eau. Aussitôt rejointe dans cette piscine où l’on a pied, c’est la fête à la grenouille, caresses, bisous et câlins sont au rendez-vous. Libérée des menottes un peu plus tard, Julie peut enfin prendre son amie dans ses bras pour une étreinte très câline. L’étreinte est associée de quelques mots « d’amour » du type salope, t’es malade, t’es folle » et d’un « je t’aime ». ................ Lors du repas du soir, offert par Julie, Léa demande à Marc si il pourrait lui donner un cours de bondage et quelques idées à faire lorsque son amie sera attachée. Julie sent aussitôt ses joues s’empourprer. Même si elle sait à présent qu’il ne la touchera pas et ne la jugera pas, se faire attacher quasiment nue ou peut-être pire par lui, la gêne énormément. Étant en pleine forme, il leur propose de le faire juste après le dîner. Si bien qu’une heure plus tard, il les rejoint au donjon. Toujours aussi zen, Marc apprend à Léa à faire un harnais. Pendant son cours, il lui donne des idées perverses du type, « cela peut être pratique pour bloquer des choses dans les orifices, entraver rapidement les poignets par surprise, l’envoyer faire des courses avec le harnais sous ses vêtements, ou se servir du harnais pour rebondir et faire autre chose ». Je peux aussi vous faire voir comment faire un Hogtied ! Volontiers ! Répond Léa très motivée. Comme c’est beaucoup plus contraignant, Julie pourrait s’allonger sur le lit de la chambre Love, ce sera plus confortable pour elle ! La proposition est actée. Le modèle peu rassurée s’allonge donc sur le ventre. Marc la fait descendre un peu sur le lit afin de proposer plus tard, une idée de jeu à Léa. En un rien de temps, les bras de Julie sont entravés dans son dos, puis reliés aux pieds de cette dernière dont les jambes sont également attachées et repliées. Vous pouvez également le compléter avec le cochet anal de bondage et une petite corde à fixer, soit à un bâillon, soit dans sa queue de cheval. Cela rajoute une touche de BDSM et impose au modèle de garder la tête haute. Et si j’osais, je vous dirai bien quelque chose de plus..... Osez chez Marc, oser, ma soumise fait semblant de ne pas apprécier vos idées, après elle coule comme une fontaine ! Répond Léa curieuse. Si vous y mettez le cochet de bondage dans les fesses, je vous fais voir pour les noeuds et vous donnerai l’astuce ! La pauvre Julie ! Ses joues s’empourprent alors qu’elle détourne le regard, essayant de préserver sa timidité face à l’idée que l’on insère quelque chose dans ses fesses devant quelqu’un ! Sa jolie petite culotte est donc transformée en string, ses petites fesses écartées pour l’insertion du crochet anal de bondage. Pendant que Marc y fixe la corde, malgré la gêne, elle est particulièrement troublée en sentant son anus profondément pénétré surtout lorsqu’il attache ensuite la corde à sa queue de cheval en relevant sa tête. Voilà qui est fait, il ne vous reste plus qu’à la laisser mariner ou vous amuser avec elle par exemple, en vous allongeant jambes écartées sous son visage pour une dégustation de minette ou dans l’autre sens si vous aimer que l’on lèche votre petite rose. Et puis, si elle ne s’applique pas et ne vous donne pas pleinement satisfaction, demain je vous prête la machine à fessée ! En entendant ça, la pauvre Julie se décompose. Il sait donc qu’elles câlinent ensemble. Après leur avoir souhaité une bonne soirée, Marc se retire afin de les laisser s’amuser en toute intimité. J’adore ce mec, il est aussi pervers que respectueux, qu’en penses-tu ? Demande Léa. J’en pense que j’ai horriblement honte ! Pourquoi, il fait tout pour nous mettre à l’aise et que l’on s’amuse. Et encore, à mon avis, là il doit faire dans le soft.... Bien, passons aux choses sérieuses, j’ai envie d’une minette pour commencer et puis, après on verra..... Ni une ni deux, Léa se dévêtit, ajuste les lumières et démarre la musique avant de se coucher sur le lit en offrant son chaton à la dégustation. Tu as intérêt à t’appliquer, regarde j’ai aussi pris la cravache et le magic, au cas où... En plongeant le nez entre les cuisses fusées de son amie, Julie constate qu’à chaque mouvement de tête qu’elle fait, elle masturbe son anus légèrement en tirant sur la corde. Ses petits mouvements cumulés au bondage qu’elle adore, la belle petite soumise gravit peu à peu les échelons de l’excitation. Pour le jeu, Léa donne de temps en temps quelques petits coups de cravache, rien de bien méchant mais simplement pour pousser son amie dans ses retranchements. Soudain, l’idée proposée par Marc de se faire « bouffer le fion » lui vient à l’esprit. Tu ne t’appliques pas, je vais être obligée de prendre le magic si je veux jouir. Puisque tu es mauvaise avec mon clito, peut-être seras-tu meilleure avec mon petit, comment a t’il dit déjà ? Ah oui, ma petite rose ! Julie est un peu en perdition quand son amie se tourne et descend un peu sur le lit en écartant les fesses. Si elle n’avait pas été sous bondage, elle ne serait pas parvenue à lécher « un trou du cul ». Petit à petit, sa langue ne lui rapportant rien de particulier hormis une autre forme de contact charnel, cet acte ne lui déplait pas tant que ça. Si bien qu’elle met du coeur à l’ouvrage et va même jusqu’à se servir de sa langue comme un petit sexe. De l’autre côté de l’anatomie de son amie, le magic ronronne contre le clitoris. Sous ces si agréables sensations le cratère étoilé semble se mettre à « convulser », exposant ainsi que sa propriétaire apprécie. Après plusieurs orgasmes, Léa coupe le magic pour s’accorder une pause syndicale pendant que dans la hiérarchie, sa subalterne continue d’oeuvrer. Le patron serait furieux si il apprenait que Léa s’est endormie ainsi jusqu’au moment où, elle est réveillée par une morsure. Aie ! T’es folle ou quoi ? Ben quoi, tu dormais en me délaissant complètement comme si j’étais un simple sextoy ! Tu m’as fait réellement mal et puis il y a façon et façon de réveiller les gens. La tienne va te coûter cher demain ! Répond Léa sur le ton de la colère. Libérée des cordes, Julie n’est pas invitée à se coucher avec son amie mais mise au coin du gîte mains sur la tête comme une gamine punie. La pauvre Julie ne sait plus où elle en est. Particulièrement triste d’avoir fait mal à Léa, elle se morfond en se demandant également si elle l’a déçue. Les yeux pleins de larmes, elle finit par se retourner (sans permission) pour demander pardon. Tu ne vas pas me faire une dépression parce que tu t’es faites engueuler ! Mais oui tu es pardonnée mais demain, tu ne couperas pas à la machine à fessée. Allez, viens te coucher contre moi mais sèche tes larmes de crocodile ! Cette réponse éveille en elle des sentiments qu’elle ne peut ni ignorer ni comprendre pleinement. Dans un sens elle est rassurée, dans l’autre elle a peur de la fessée, tout en se sentant coupable mais heureuse de savoir que son amie devenue sa Maîtresse la punirait et donc, qu’elle l’aime encore. A L’ATTENTION DES LECTEURS Quand l’amitié devient Amour, le risque de voir exploser la relation amie et sexfriend est grande. Ah cela se rajoute que si à cet amour s’ajoute le BDSM, l’affect de la personne soumise est si décuplé qu’une rupture ou un simple écueil peut être vécu comme un traumatisme. Il est donc sage de le savoir afin d’être prudent dans ce type de relation parfois si belle, si magique. DERNIER JOUR DE VACANCES Le lendemain, il est décidé de se rendre à Saragosse pour faire du tourisme et du shopping. Avant de partir, les filles ont demandé à Marc si elles pourraient utiliser le service « Eco tourisme » proposé par le gîte. Ce service gratuit permet aux touristes de faire des achats sans trop se soucier de la place dans leurs valises. Il leur permet également de faire de sérieuses économies puisque beaucoup de produits sont nettement moins chers en Espagne. http://***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***/eco.html A leur retour, Marc leur donne un assez gros carton afin qu’elles puissent y ranger tous leurs achats. A la suite de quoi il le pèse puis les installe devant un ordinateur pour qu’elles puissent réaliser leur expédition puis payer les frais de port. Le colis avec toutes les folies réalisées dans les magasins ne sera expédié que le lundi après leur départ. Est-ce que vous pouvez nous prêter la machine à fessée, ma soumise a osé hier soir mordre mes parties charnues. Cela mérite donc une punition mais comme je ne me sens pas capable de la lui donner, la machine à fessée pourrait le faire à ma place ! Demande Léa La pauvre Julie pique un far de honte, sa gorge se serre aussitôt car elle se doute que Léa demandera de lui faire une démonstration qui aura lieu où ? Sur ses pauvres fesses évidemment ! Elle ne se trompe pas puisque Marc répond qu’il prête volontiers sa machine à fessée, mais qu’il y a une petite formation préalable afin d’éviter de casser les accessoires ou pire de faire tomber sa machine. Ils se rendent donc au donjon où il installe la machine en la fixant sur la chaise d’inquisition, une sorte de chaise haute pour adulte avec des possibilités autres que de nourrir un bébé ! Il précise à ce moment là qu’il est parfois intéressant d’y faire asseoir la personne punie juste après la fessée. Il suffit d’y déposer une sorte de paillasson plastifié avec de nombreux picots. La personne entravée dessus apprécie moins cette chaise que d’être au coin comme une gamine. Autant dire que Julie s’imagine bel et bien installée nue avec les fesses rouges sur cette maudite chaise. Après avoir installé le banc à fessée contre la fameuse chaise, Marc propose à Léa d’installer la fautive et surtout de bien serrer les entraves. En effet, si par réflexe elle mettait ses mains sur ses fesses au mauvais moment, elle aurait extrêmement mal aux doigts. Léa n’hésite pas un instant à relever la jupe et déculotter son amie pendant que Marc lui explique comment fonctionne la machine. Vous pouvez régler ici la puissance de un à dix, et sur la télécommande la durée de la fessée, le mode aléatoire ou programmé ! Explique Marc. Puissance maximum, cette vilaine mérite une bonne fessée ! Je vous le déconseille pour plusieurs raisons. La première est que puissance maximum avec une canne, ce sera extrêmement douloureux. La deuxième est qu’il est bien de « chauffer » un peu les fesses en démarrant progressivement, un peu pour faire chauffer un moteur avant de lui demander pleine puissance. Cela permet de jouer plus longtemps et surtout, d’inscrire dans le délicat fessier une punition qui se prolonge dans le temps. En clair, demain elle trouvera tous les sièges inconfortables et se rappellera de sa punition. Démarrez doucement, vous pourrez toujours augmenter la puissance. Je vous laisse entre vous gérer la suite, punition ou plaisir ou les deux ! Leur indique Marc avec un grand sourire juste avant de les laisser tranquilles. Si Léa était bien décidée à aller au bout de sa promesse, l’idée de faire réellement mal à son amie la perturbe En effet sa tirade précédente indiquant « puissance maximum » était juste pour s’amuser à faire peur à sa soumise. Elle démarre donc la machine à fessée avec prudence en mode « puissance 2 » et règle la durée sur trois minutes. Si son intention n’était pas de réellement punir par la douleur, elle constate rapidement que puissance deux, la fessée ressemble plus à des caresses qu’une punition. Julie semble même très apprécier, le comble de la déception pour une Maîtresse. Ça c’était pour t’échauffer les fesses, nous allons donc passer à la puissance supérieure ! Indique Léa en passant à « la puissance 4 » et en réglant la durée sur cinq minutes avant d’aller s’installer sur le fauteuil de Maîtresse. Son but est de savourer les expressions du visage de cette amie et soumise que secrètement elle commence à aimer d’Amour. Lorsqu’elle lance la machine, Léa peut constater que Julie se pince les lèvres de douleur, en réalité ce n’est que de surprise. Pendant que les minutes de fessée mécanique s’égrainent, elle s’étonne de voir le visage de Julie s’épanouir comme si elle prenait du plaisir. En effet, elle entrouvre régulièrement les lèvres, affiche même le visage d’une fille « satisfaite ». Pour Julie, c’est une réelle découverte. Si être attachée et « contrainte » compte de ses principaux fantasmes, elle découvre lors de cette deuxième série, le plaisir que procurer la fessée. La deuxième série de fessée terminée, Léa se lève pour aller voir l’état des fesses de son amie. Les stries rouges qu’elle découvre lui pince le coeur. Ça va tu as compris que tu ne dois pas mordre ta Maîtresse ? Demande Léa pour jouer son rôle. Non Maîtresse, je n’ai pas compris et il est fort probable que je recommence de vous mordre ! Répond Julie. « ??????? » (Résumé des premières pensées de Léa) En effet, elle ne comprend pas qu’après avoir eu mal et les fesses marquées son amie en redemande en la provocant de la sorte. Pour en avoir le coeur net, elle laisse glisser ses doigts sur les fesses chaudes et striée en générant des frisons et un gémissement de satisfaction. Bien décidée à pousser ses investigations, le meilleur (doigt communément appelé le majeur) glisse dans la vallée pour aller mesurer l’hydrométrie du temple des plaisirs féminins. Elle s’étonne et s’émeut de découvrir un véritable « marécage ». Mais tu es maso des fesses toi ! Oui Maîtresse, ai-je droit à une autre série un peu plus forte ? En guise de réponse, Léa passe la machine à « la puissance 5 » et en réglant la durée sur cinq minutes avant d’aller chercher une chaise et le magic wand. Elle lance la machine qui, régulièrement fait son office en claquant les fesses avec la régularité d’un métronome. En évitant les coups de canne, Léa allume le gros vibro qu’elle pose sur le clitoris de son amie. Moins d’une minute plus tard, Julie se met à chanter puis crier son plaisir sans aucune pudeur. Léa s’étonne même de l’intensité de cette mélodie. Noyée dans le plaisir des contraintes, ses fantasmes, la douleur devenant plaisir grâce aux endomorphines et ses jouissances à répétition, Julie en arrive à espérer que cela ne s’arrête jamais. Par contre, en voyant le fessier se marquer sérieusement, Léa se demande si elle doit poursuivre ou pas. Lorsque la machine s’arrête, elle la débranche aussitôt, estimant devant l’état des fesses que cela suffirait. C’est lorsqu’elle la délivre des entraves que Julie craque et se met à pleurer. Ultra perturbée, Léa l’aide à se relever pour la guider vers le lit de la chambre Love pour un gros câlin consolateur. Désolée ma puce, je ne comptais pas aller si loin ! Lui murmure Léa entre deux bisous doux et sages. Ne soit pas désolée, je pleure de bonheur, de trop de sensations ! Répond Julie en plongeant son visage dans la poitrine de son amie comme si ses seins devenaient un refuge. Un gros quart d’heure plus tard, enfin remise de ses émotions, Julie demande dans quel état sont ses fesses. Elles virent au bleu à certains endroits ma puce. Je m’en moque, c’était vraiment trop bon ! Je peux en acheter une ? Demande Julie. Si tu veux, ce sont tes finances mais à condition que je sois ton « garde folle » car tu risques de finir par te blesser. Maintenant c’est ton tour ! Déclare Julie spontanément. Jamais, il est hors de question que je prenne une fessée ! Mais non, ce n’est pas de ça que je parle, j’ai envie de te faire l’amour, de te rendre heureuse. Laisse-toi faire, tu ne le regretteras pas ! Léa se laisse donc entraver nue bras et jambes en croix sur le lit de la chambre Love. Le but de Julie étant de la rendre « chèvre » de plaisir, elle s’investit totalement dans cette mission impérieuse en semblant se fondre harmonieusement dans des étreintes passionnées. Pas un pore de la peau de sa Maîtresse n’est épargnée par les lèvres avides et la langue goulue de l’amoureuse. Ses doigts, ses ongles et les sextoys font aussi cause commune dans cette « monstrueuse vengeance » visant à combler de bonheur celle qui lui a appris qu’entre femmes, le plaisir pouvait être divin. Nos amoureuses sont quasiment à l’état de légume sur pattes lorsqu’elles se rendent au gîte pour se coucher. Elles sont si épuisées que l’idée d’une douche ne les a même pas effleurées. Toutes deux, elles quitte le lendemain le gîte fétichistes avec le coeur gros tant ces vacances ont été merveilleuses. EPILOGUE Depuis ces vacances au gîte fétichistes, elles ne sont plus quittées et se sont décidées à emménager ensemble. Léa n’est toujours pas une vraie Maîtresse, elle ne pratique la domination et le bondage que par jeu et surtout par amour. Julie s’est mise aux plaisirs saphiques, elle n’a plus envie de quoi que ce soit avec la gente masculine, avec Léa elle a trouvé le bonheur et son épanouissement personnel. FIN TSM Note de l’auteur • Si Marc existe réellement • Si le gîte fétichistes existe réellement • Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes • Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes. Visiter le SITE du gîte fétichistes en cliquant ICI Visiter le gîte fétichistes en vidéo sur Youtube
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Par : le 08/05/23
Article d'origine : https://intime-photographie.fr/incontournable/comment-debuter-une-relation-bdsm Comment débuter une relation BDSM ? Vous vous sentez attiré par le BDSM, mais vous ne savez pas comment débuter une relation BDSM ? Cette page est faite pour vous ! Après avoir répondu à de nombreux lecteurs, je vais mettre ici quelques-unes des questions les plus posées et y apporter mes réponses. Si vous avez d’autres questions  venez sur le forum ou contactez-moi via ce formulaire. Je ferai souvent référence à notre jeu pour soumise, pas forcément parce que je pense que c’est la meilleure solution mais parce que les conseils que je donne je les ai intégré à notre jeu. Comment dresser une soumise ! Cette page évolue au fur et à mesure des questions. Elle peut s’appliquer quel que soit le sexe de la personne dominante et de la personne soumise. Afin d’éviter les lourdeurs dans le texte, je ne mettrai pas systématiquement toutes les versions de “le” ; “la” “soumis” dominatrice etc. Attention Les conseils prodigués ici ont pour but d’amener deux personnes consentantes à avoir une relation BDSM (ou Maître(sse) / esclave ou Dominant(e) / soumise) pour le plus grand plaisir des deux. Si votre question est “comment faire pour que ma femme soit mon esclave” mais sans s’occuper d’elle ni s’intéresser à ce qui lui plaît, vous pouvez d’ors et déjà fermer cette page. Ça doit rester ludique et amusant pour vous deux. Bon, oui, il y aura des moments un peu difficile, ça peut chauffer durement une fessée… De quoi parle-t-on exactement ? BDSM sont les initiales de Bondage et Discipline, Domination et Soumission, Sadisme et Masochisme. Il s’agit d’un ensemble de pratiques sexuelles faisant intervenir le bondage, les punitions, le sadisme et le masochisme, ou encore la domination et la soumission. C’est un jeu sexuel où chacun décide de prendre une position définie. Il y a plusieurs types de relations BDSM, en fait il y en a autant que de couples (ou de groupes…). C’est a vous de créer ce qui vous ressemble, ne vous intéressez pas à “ce qui se fait” ou “ce qui doit être fait”. On peut être masochiste ou pas, sadique ou pas, aimer l’humiliation ou pas, être libertin ou exclusif… Tout est possible. Vous pouvez tout de même jeter un œil à une référence “les 9 niveaux de soumissions dans le cadre BDSM” Comment trouver une soumise / Comment trouver un soumis ? Dans la vie de tout les jours ! Et oui, parfois on trouve juste un(e) partenaire et on se dirige lentement vers une relation dominant(e) / soumis(e). Les forums et sites dédiés au BDSM. Attention si vous allez sur des forums, ne postez PAS de petite annonce, en plus d’être parfaitement inutile c’est souvent mal pris. Ces lieux sont des communautés, vous ne pouvez pas demander quelque chose d’aussi intime à un groupe 15 minutes après vous y être inscrit. Je suis sur quelques forums / sites : Sur notre forum BDSM, ici www.bdsm.fr https://fetlife.com/ Les munchs Il s’agit de rencontres réelles de gens intéressés par le BDSM. Lors de ces réunions on discute, parfois on boit et on mange. Généralement, ces échanges se font dans des lieux tout public : il faut être habillé normalement, pas de relation sexuelle, bref comme on fait dans un bar. C’est plus rassurant pour tous, d’ailleurs ! Rien n’empêche après, si des affinités se créent, d’aller finir la soirée ailleurs. Comment trouver une Maîtresse ? Comment trouver un Maître ? (Ou un(e) dominant(e). Voir réponse ci-dessus ! J’ai trouvé un soumis / une soumise / un dominant / une dominante sur internet, et ça a l’air d’être une perle rare. Attention. C’est peut être tout à faire vrai, et la personne est peut être totalement honnête. Ou pas. Il y a beaucoup de ce qu’on appelle des “fantasmeurs”, ce sont des gens qui vont se projeter, pour un temps dans un jeu de rôle qui les excite. Cela agit pour eux comme un jeu de rôle (RolePlay BDSM). De votre côté, vous vous investissez beaucoup : soit à créer des scénarios, des ordres, établir et entretenir un lien. Soit en étant obéissant, en montrant votre dévotion. Dans les deux cas en vous rendant disponible. Sauf que, d’une part, du jour au lendemain l’autre personne peut tout plaquet. D’autre part, êtes vous certain que la personne à qui vous écrivez est celle qu’elle prétend être ? J’ai déjà un(e) partenaire, comment lui faire savoir mes penchants ? Et oui, c’est compliqué ! Peur d’être honteux, rejeté, moqué… Surtout si on est jeune et qu’on craint que ça ne se répande dans le cercle d’amis ou de connaissances. Si vous êtes dans ce dernier cas, faites très attention, car le harcèlement peut prendre des proportions énormes en un rien de temps. En cas de catastrophe ne restez pas seul(e), parlez avec un(e) ami(e) sûr(e), ou parlez en sur un forum ou ici, je ferme la parenthèse. Si vous êtes un peu anxieux(se), pour en parler à votre partenaire optez pour une solution qui ne laisse pas de trace : l’oral, des exemples sur votre téléphone ou ordinateur, mais rien d’écrits que vous envoyez. Ensuite, vous pouvez opter pour plusieurs choses :  Un SMS, si comme moi vous avez du mal à parler directement, “tu connais le BDSM ? Je découvre quelques photos que j’aime bien” et ajoutez en une ou deux pour amorcer la discussion. C’est un peu bateau mais ça peut se mêler dans la vie de tout les jours. Une lettre manuscrite ou écrite à l’ordinateur et imprimée ou envoyée par courriel. Il faut se poser et l’écrire, la relire, peut être attendre un peu… Et envoyer ! Ça permet de bien choisir ses mots et son moment. Lui parler, lui expliquer, pendant un repas, un RDV ou un apéro. Mais qu’est ce que je lui dit ? Ce que vous ressentez, pour elle / lui, ce que vous aimeriez lui faire, ou qu’elle vous fasse. Ce que vous aimeriez en plus, ce que vous avez déjà fait et que vous avez apprécié. Vous pouvez ajouter des photos et / ou vidéos, ou des liens vers des photos et vidéos qui vous plaisent. Essayez de savoir un peu ce que vous voulez avant d’aborder le sujet avec l’autre. Est-ce que la personne va refuser ou accepter ? Ça je ne peux pas le savoir. Mais honnêtement, aucune des personnes avec qui j’ai parlé est revenu me dire “bon, elle n’a pas voulu”. Et si mon (ma) conjoint(e) décide de me quitter ? Concrètement, si vous ne pouvez pas parler de sujets comme celui-ci à votre partenaire… Avez vous vraiment un partenaire ? Autant ne pas perdre de temps, si vous vous rendez compte que ça vous est “vital” et que c’est hors de question avec votre conjoint(e), l’un, l’autre, ou les deux risquez d’être malheureux et de vous abîmer. Elle semble partante pour essayer et elle voudrait en savoir plus, que faire ? Discuter, encore. Échanger vos préférences. Pourquoi ne pas lui indiquer ce site ? La personne pourra lire des questions réponses, et poser toutes celles qu’elle veut ! Je pourrais également transmettre les questions à ma soumise qui répondra directement. Mon conjoint semblait partant, mais tarde à prendre des initiatives pour me soumettre. Déjà un homme très excité (ça marche aussi pour les femmes…) aura probablement beaucoup plus tendance à se lâcher et à aller vers ce que vous souhaitez. Vous pouvez essayez de créer un scénario, même des grandes lignes, et  lui présenter afin de le réaliser. Sinon essayez de savoir ce dont vous avez envie, puis pendant une partie de jambe en l’air bien chaude, lui dire de vous fesser, de vous baiser bien fort à 4 pattes. Vous pouvez essayer de bien l’exciter : en le suçant à genoux, en écartant votre cul, votre chatte pour le mettre dans l’ambiance. Attention, si le but est d’avoir un(e) partenaire soumise, le vous déconseille de bien l’exciter pour ensuite le / la soumettre par surprise : c’est de l’abus. Comment savoir ce qu’on aime, il y a une liste ? Hé bien… Oui, j’ai une page dédiée à cette liste : Liste de préférence sexuelle (Checklist BDSM, questionnaire bdsm) je vous conseille de la remplir chacun de votre côté et de mettre en commun ensuite. Il faut clairement poser vos limites, l’un comme l’autre. Allez, on se lance ! Faut-il du matériel en particulier ? Absolument aucun. Ça viendra avec le temps ! Pour démarrer, vous avez déjà vos mains pour fesser, pourquoi pas une spatule de cuisine. A-t-on besoin de quelque chose pour se mettre à genoux ? Au gré des envies, des cadeaux, des promos, vous ferez votre stock d’accessoires et de tenues. Le but est de prendre du plaisir à deux : votre corps suffit. Je manque d’idée… Qu’est-ce que je peux faire ? C’est précisément pour cette question que je partage notre jeu : allez voir sa page ou celle de la version vanille. Il y a au total plus de 200 idées pour soumettre sa femme, ou pour se soumettre. Une version pour homme soumis devrait arriver. Mademoiselle (ou Madame, ou autre) accepte d’être ma soumise une soirée, qu’est ce que je fais ? C’est toujours compliqué de répondre à ce type de question, car elle dépend vraiment de vous, du couple que vous formez et de vos préférences. Parmi les idées que je propose, c’est à vous de créer votre projet. En revanche je vous conseille de créer un SafeWord (mot de sécurité, mot de secours, vous ci-dessous). Respectez ses limites et son consentement. Comment débuter une séance ? Il y a mille manières ! Mais si on est ensemble, je conseil de la mettre à genoux, de lui mettre un collier (voir plus bas), ou autre signe distinctif et de lui demander “qu’est ce que tu es ?”, elle répond alors “Je suis ta chienne” ou quelque chose comme ça. Plusieurs propositions sont intégrées dans les règles de notre jeu. Qu’est-ce que le SafeWord ? Il s’agit d’un ou plusieurs mot, qui, lorsqu’ils sont prononcés, font baisser l’intensité du jeu, ou arrête tout. Soit le temps de reprendre ses esprits et de ce mettre d’accord, soit complètement jusqu’à un prochain jeu. Dans notre contrat nous en avons plusieurs : « Orange » on calme un peu. « Rouge » on arrête tout et on discute. « Câlin », tu te mets contre moi et je te câline, tu me redis quand tu te sens prête à continuer. Lorsque le safeword est prononcé faites ce qui est prévu : calmez-vous ou arrêtez-vous immédiatement. Vraiment, sinon vous torpillez la confiance de votre partenaire -et à juste titre- vous ne la méritez pas. Pour les premiers jeux, évitez les baillons pour que votre partenaire puisse s’exprimer librement. Faut-il créer un scénario complet ? Vous pouvez, mais je vous conseille de faire quelque chose de vague : quelques idées notées, quelques pratiques, un déroulement schématique. Sachez inviter l’inattendu ! Sur le moment vous aurez probablement d’autres envies, d’autres idées. Vous pouvez également créer un scénario très précis et essayer de le respecter à la lettre, c’est autre chose et ça peut rassurer de savoir à l’avance ce qui est prévu. Quelque chose ne se passe pas comme prévu, je fais quoi ? Il faut savoir s’adapter : il y aura des bonnes et des mauvaises surprises. Ne vous vexez pas et avancez. Vous trouverez d’ailleurs des exemples de mes “échecs” sur ce blog, nous sommes humains et je tiens à montrer que nous ne sommes pas différents, quel que soit le côté du fouet où on est. Elle refuse un truc, je la punis ? C’est très excitant, on est bien lancé… Mais elle n’agit pas comme prévu. Clairement, surtout au début, je vous déconseille de la punir si ça ne va pas comme vous voulez, ça braquerait encore plus. Vous êtes dans la vraie vie : prenez soin l’un de l’autre. Attention à l’effet que ça peut avoir sur elle, restez bien à l’écoute. S’il s’agit d’un jeu entre vous, qu’elle vous teste, vous pouvez insistez en restant dans le cadre définit au départ. Si vous avez essayé de faire quelque chose alors qu’elle vous avait dit que c’était en dehors de ces limites, vous êtes fautif, présentez vos excuses et rassurez votre partenaire. Si vous avez juste proposé pour voir si elle pouvait aller plus loin, revenez en arrière. Mais, ma compagne n’est pas forcément prête en même temps que moi. Je suis personnellement parti du principe que le dominant serait toujours plus ou moins prêt et que c’est à la personne soumise de définir lorsqu’elle est prête. C’est pour ça que dans notre jeu, la soumise ou l’apprentie pioche deux actions par mois et les réalise quand elle veut dans le mois. Ça permet qu’elle se sente bien, prête, et qu’elle ait pu faire tout ce qui lui semble nécessaire pour le bon déroulement de l’action et du jeu. Cette article peut également aider : Je suis soumise mais je n’ai pas envie, que faire ? Est-il possible de lui imposer un moment où elle est soumise ? C’est à vous de voir. Surtout, ne vous précipitez pas. Dans une situation comme la notre, à mon avis il peut être nécessaire à un dominant de choisir un moment ou Mlle ou Mme DOIT être soumise quoi qu’elle en pense -à partir du moment où elle a accepté cette possibilité-. Dans le cadre de notre jeu, ma soumise l’est : pendant ses actions, pendant 96h à la suite une fois par an (la date est choisie ensemble), 3 fois 24h répartie dans l’année quand je veux. Je lui envoie ou lui dis simplement quelque chose du type “à partir de maintenant et pour 24h tu es ma soumise”, elle signe son contrat et débute sa période de soumission. Lorsque l’ordre est donné par SMS le contrat est signé plus tard. Un contrat est-il obligatoire ? Absolument pas. Alors pourquoi on en fait un ? Déjà, pour entrer dans le rôle, ça a un côté solennel, comme le collier. Ensuite, parce que ça peut permettre de mettre noir sur blanc les limites, les obligations, les rôles de chacun. Dans le BDSM, tout est souvent du spectacle ! Si vous en faites un, ne signez pas ce avec quoi vous ne seriez pas d’accord. Nous proposons un grand nombre de contrats BDSM ici. Comment être guidé ? Il y a plusieurs solutions, les forums, les réseaux sociaux, vous connaissez tout ça. Il y a aussi le mentorat BDSM : il s’agit de choisir un mentor, un compagnon de route a qui poser nos questions, construire avec lui le cheminement. Les personnes dominantes et les personnes soumises peuvent demander ceci, et à mon sens même si le mentor est souvent un dominant pour un autre dominant : il n’y a pas de règle. J’ai moi même conseillé plusieurs soumises, qui se posaient des questions sur le chemin que prenait leur relation. Vous pouvez me contacter via le formulaire, via instagram,  Le collier est-il obligatoire ? Ma femme refuse de porter un collier. Absolument pas. Si elle refuse, elle refuse, point. Elle trouve peut être cela trop dégradant. La situation changera sûrement si elle comprend, ou plutôt lorsque vous lui aurez montré que devenir “une chienne” ne ternit pas son image à vos yeux, mais au contraire vous rend fier. Pourquoi ne pas lui proposer de porter un joli ruban au départ ? Ou un petit bracelet, ou une petite chaîne de cou, sans connotation autre que pour vous. Ça peut être l’occasion d’un petit cadeau ! Par ailleurs certains dominants estiment que le collier doit se mériter et s’obtenir après un certain temps. Est-ce qu’on peut inverser les rôles ? Absolument ! Dans le milieu ça s’appelle “switcher”, on appelle “switch” ceux qui inversent régulièrement. Je trouve que c’est très positif : ça permet à celui / celle qui prend le rôle de dominant de se rendre compte de la responsabilité, de savoir à quoi il faut penser, de préparer des choses, de prendre soin de l’autre. Pour celui / celle qui devient soumise, ça permet de savoir la difficulté d’obéir en tout, voir de souffrir pour son / sa dominant(e). Je souhaite faire du Shibari / bondage, ligoter mon / ma partenaire ? Tant mieux ! Renseignez vous bien sur les consignes de sécurité avant de vous lancer. Vous trouverez quelques tutoriels de bondage simple ici: https://*** Lien en cours de validation (=attente du lien retour sur le site mentionné) ***/tag/tutoriel Mon / Ma conjoint(e) veux me soumettre, est ce qu’il m’aime ? Je ne connais pas votre couple, je ne peux pas être catégorique. Pour savoir s’il / elle vous aime : il faut lui demander. En revanche, est-ce qu’on peut être fou amoureux de quelqu’un et vouloir la soumettre ? Oui, c’est mon cas. Est-ce pour me punir, j’ai fais quelque chose de mal ? Non. Si d’ailleurs vous devez prendre une punition violente parce que vous “avez raté quelque chose” dans la vie de tous les jours, vous êtes probablement victime de violence domestique, pas acteur d’une relation équilibrée avec un jeu dominant / soumise. Dans le cadre BDSM, les erreurs sont bien souvent un prétexte pour jouer. On trouve d’ailleurs souvent des soumis(e)s qui disent “fauter” exprès pour que leur dominant(e) sen occupe. Mon mari veut me faire porter un collier en public, je ne veux pas ou Mon mari veut me prêter à d’autres hommes, je ne veux pas. D’une manière générale : mon (ma) conjoint(e) veut m’imposer quelque chose que je ne veux pas. Hé bien, ne le faites pas ! Si vous pensez qu’il / elle risque de vous quitter : avez vous envie de rester avec quelqu’un qui vous dit “soit tu fais ça soit je te quitte ?” ça finirai comment ? Après, oui, ça peut demander quelques efforts. Ne faites pas ce qui n’est pas tolérable pour vous, mais si un petit effort fait de gros effets ? J’essayerai bien, mais j’ai vu des photos de choses terrifiantes. Voir réponse ci-dessus : ne faites que ce que vous voulez. Savez vous ce que veut votre conjoint(e) ? Je n’y arriverai jamais ! Les soumis(es) sur internet font des choses extraordinaires, je vais forcément être une déception. Ayez confiance en vous ! Parlez avec votre partenaire, énoncez-lui vos craintes, vos limites, vos efforts. À chaque progrès il / elle sera comblé(e), promis. De nouveau, ne faites que ce que vous voulez, et que ce que vous pouvez assumer. Savez vous ce que veut votre conjoint(e) ? Il n’a peut être pas prévu de vous percer les seins à l’agrafeuse, il veut peut être juste vous contempler à genoux avec un beau collier. Mais si je me mets à ses genoux, si je me soumets… Il ne va plus me voir que comme une chienne ?! Si c’est quelqu’un de bien dans une relation équilibrée, non. Si ce n’est pas quelqu’un de bien : il vous voit déjà comme un trou. Personnellement, plus ma soumise accepte volontairement d’être soumise, humiliée, baisée… Plus elle est grande et merveilleuse à mes yeux. Il / elle veut me rabaisser en dehors des séances de BDSM Alors ce n’est pas un jeu, vous êtes juste victime de violence domestique, pas acteur d’une relation équilibrée avec un jeu dominant / soumise. Dans le cadre BDSM sain, les erreurs sont bien souvent un prétexte pour jouer. Personnellement, je pense que plus la soumise est forte dans tous les aspects de sa vie, plus sa soumission volontaire et joyeuse à de la valeur. Le rôle du (de la) dominant(e) est de soutenir son (sa) conjointe dans la vie de tous les jours, de le (la) rendre fort(e) et autonome. Voir cet article : BDSM sain ou violences. Que faire pour ne pas avoir de marque ? (Pour les enfants, le sport, l’été…) Privilégier les techniques qui ne laissent pas de marque : pincement de tétons et de lèvres, jeux d’humiliation, doigts dans la gorge, dilatation, déni d’orgasme… Plus les objets sont larges, moins ils marquent facilement : le paddle, la main sont donc à privilégier. Bien entendu, ne pas utiliser d’objet qui laissent des marques ou les utiliser doucement. Avec l’habitude, la peau durcit et on marque moins. Nous, nous pratiquons peu la douleur la peau est donc sensible en permanence.   Article d'origine : https://intime-photographie.fr/incontournable/comment-debuter-une-relation-bdsm
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Par : le 29/04/23
La jeune femme en voulait à son mari qu'il n'eût pas su trouver en lui cette virilité sûre qui n'affleurait toujours pas dans ses gestes d'homme trop vert. Elle le sentait incapable d'encaisser le choc des initiatives érotiques déroutantes qui lui laisseraient à elle la divine possibilité de ne se maîtriser plus du tout, de libérer tout à fait ses instincts. Pour cela, il lui fallait un Maître, éperdument masculin et viril, pas un gringalet terrifié à l'idée de goûter à une telle liberté. Elle avait des fantasmes profonds et prégnants de soumission, et non un mince reliquat d'attention sexuelle. Elle se rendit dans sa chambre et mit une rage tatillonne à ordonner le contenu de ses placards. Elle replia chacun de ses chemisiers, dépensa un soin extrême à trier ses paires de bas, rebâtit au cordeau ses piles de culottes, usa sa maniaquerie jusqu'à ce qu'elle eût contenté son besoin d'ordre. Charlotte ouvrit le tiroir où s'entassaient pêle-mêle ses sous-vêtements. Tout au fond, planquée sous des dizaines de strings et de soutiens-gorge, il y avait une enveloppe de papier kraft. Elle s'assura d'un rapide coup d'œil que son mari était bien vissé devant son écran avant de l'ouvrir. Sur le premier cliché, elle posait nue, debout devant sa coiffeuse, les chevilles liées au pieds du meuble. Des cordelettes enroulées autour de ses cuisses et fixées aux poignets des tiroirs l'obligeaient à maintenir les jambes très écartées et légèrement pliées. Elle avait les bras relevés au-dessus de la tête mais on n'apercevait pas ses mains que Xavier avait croisées, ligotées ensemble, et qu'un bracelet fixé autour du cou lui maintenait derrière la nuque. Une corde longue et épaisse, passée autour du torse, juste au-dessus de ses seins, et tendue jusqu'à la base du miroir la contraignait à se tenir très cambrée. C'était une position difficile à soutenir, indécente à l'extrême avec ce ventre lisse jeté en avant comme une figure de proue. Pourtant, elle souriait, les yeux mi-clos. Le second cliché était identique au précédent, à ceci près que Xavier était présent sur la photo. De lui, on ne distinguait que son torse, un peu de son dos, l'amorce de ses fesses et surtout, son sexe tendu, se pressant contre celui de Charlotte qui, cette fois, levait le menton au ciel et semblait inondée de plaisir.   Plus le temps passait, plus l'homme était atteint au cœur par cette confession sévère qui le giflait, le disqualifiait presque. L'air humide se chargeait autour de lui d'un lymphatisme exténuant, épaissi de l'écho de ces reproches. Mais si sa femme ressentait des désirs de plus en plus attractifs de soumission, comment son mari réagirait s'il tombait un jour dessus. Quant à la tête de sa mère, si elle la surprenait un jour dans une telle situation, elle ne pouvait même pas l'imaginer. Chaque fois qu'elle envisageait cette éventualité, un frisson la parcourait toute entière. Xavier et elle prenaient des risques insensés. Ils étaient tous les deux fous. Xavier élaborait des liens si complexes qu'il fallait beaucoup de temps ensuite pour la libérer. Si, comme elle avait l'habitude de le faire, sa mère débarquait à l'improviste en plein milieu d'une de leurs séances, il leur serait difficile de lui faire croire à une simple visite de courtoisie. Quelle honte si elle la découvrait ainsi, intégralement nue, ligotée et bâillonnée. Mais quel plaisir étrange à seulement envisager que cela puisse arriver. Charlotte y pensait souvent tandis qu'elle éprouvait l'étroitesse des liens tout autour de son corps et cela ne faisait qu'accroître son excitation. Peut-être rêvait-elle alors que la porte s'ouvre tout à coup sur le visage sévère, qu'elle le voit s'allonger de stupéfaction et qu'elle réussisse à lui sourire. Enfin, tout serait dit. Sur le troisième cliché, elle était assise à l'envers sur un fauteuil, les cuisses sur les accoudoirs, la poitrine écrasée contre le dossier, les bras pendant de l'autre côté. Ficelles, cordes, lacets, sangles, lanières, tout un entrelacs de liens étroits la pétrifiait dans son attitude. Elle aimait bien cette photographie parce que l'ombre noyait de nombreux détails, ne laissant à la lumière que son dos courbé, le galbe d'une cuisse et l'arrondi de ses fesses. Elle se souvenait de ce soir-là. La neige était tombée en abondance et ouatait tous les bruits de la rue. L'appartement n'avait jamais été aussi calme.   Il commençait à éprouver toute l'insupportable tristesse qui accaparait sa femme, elle témoignait en termes exaspérés que lorsqu'il rectifiait la réalité pour la colorer plus vivement, elle se sentait appartenir elle aussi à cette foutue réalité en demi-teintes qu'il regardait comme insuffisante; et comment un découragement immense, drastique, la mordait chaque fois. Xavier avait pris tout son temps. Il était allé chercher une bouteille de champagne chez lui, s'était assis sur un tabouret face à Charlotte et l'avait aidée à boire, portant alternativement la coupe de ses lèvres aux siennes. Elle avait adoré qu'il s'occupe d'elle de cette façon. Ils avaient parlé longtemps. Elle lui racontait sa vie avec son mari, sa crainte de sa mère, ses rêves d'évasion. Peu à peu, Xavier s'était arrangé pour orienter la conversation sur le sujet qu'il voulait aborder. "- C'est quoi les fantasmes d'une fille comme toi ? lui avait-il demandé avec son sourire le plus doux. Elle avait pouffé de rire d'une façon un peu stupide. "-Des fantasmes ? Je n'ai pas de fantasmes." "- Allons, allons ... avait-il insisté. Ne va pas me faire croire cela. Ose donc prétendre que certains soirs, ton esprit ne s'en va pas vagabonder sur des territoires interdits ... Ose donc essayer me faire croire que tes doigts distraits jamais ne s'égarent sur ton ventre ... Par exemple, en t'imaginant au lit avec une de tes amies ... - Faire ça avec une femme, ça ne m'est jamais venu à l'esprit, mentit-elle cependant. - C'est bien vous, les mecs, qui entretenez ce désir de voir des filles ensemble ! Comme si nous ne rêvions toutes que de cela ! Tu l'as déjà fait avec un garçon, toi, peut-être ?" La coupe au bord des lèvres, Xavier attendait la suite avec intérêt mais voyait que Charlotte hésitait. Des dizaines de fois comme ce jour-là, elle lui avait permis de contempler sa plus intégrale nudité. Il manipulait son corps, comme on s'amuse avec un jouet et pourtant, capable de se livrer physiquement à lui de la façon la plus osée qui soit, mais elle éprouvait encore des réticences à lui ouvrir toutes grandes les portes de sa libido la plus intime. "- Parfois, je pense à des situations dingues ... amorça-t-elle. Au milieu de la salle, il y a une sorte de podium circulaire couronné d'anneaux d'acier ... Tu m'y fais monter et tu me passes des bracelets aux poignets. Tu me passes aussi des bracelets de cuir aux chevilles avec une chaînette, des cadenas et me voilà clouée à l'estrade, les jambes ouvertes. Dans le plafond, on a aussi rivé des anneaux auxquels tu m'attaches. Je dois me tenir courbée, tant le plafond est bas. Il y a des mains épaisses qui s'approchent de mon corps.   M'ayant entraînée dans la chambre, il me force à m'allonger sur le ventre, les bras et les jambes, attachés en position d'écartèlement extrême aux montants du lit. Après m'avoir muselé fermement à l'aide d'un baillon-bouche, il commence à me caresser. Il s'empare d'un martinet et  me travaille le corps en l'échauffant lentement, alternant les caresses des lanières avec des coups cruels et violents. Plus il frappe fort, plus je m'offre. J'ai les lèvres brûlantes et la bouche sèche, la salive me manque, une angoisse de peur et de désir me serrent la gorge. Elles me palpent comme on évalue la santé d'une pièce de bétail. Elles malaxent mes seins à travers ma robe. Elles claquent sur mes fesses. Elles me fouillent le ventre. Mon corps subit les pires injures. les fines bretelles de ma robe ne résistent pas longtemps. Me voilà déjà presque nue, offerte en pâture à leur désir brutal. Je ne sais combien de mains me touchent. Elles s'acharnent sur moi impitoyablement. Elles choisissent les points les plus sensibles. Elles me tordent les pointes de mes seins, elles écartent mes fesses comme si elles voulaient les séparer l'une de l'autre, elles s'agrippent comme des griffes à mes hanches. Ma culotte est en lambeaux. Je sens mon sexe forcé par ces mains avides dont j'ignore tout, hormis leur brutalité. C'est l'orgie ... Je suis leur veau d'or. Un corps massif se frotte contre le mien. Sa sueur me colle à la peau. Un sexe raide, large comme un poignet, tâtonne entre mes fesses, cherche l'entrée, s'y engouffre férocement, sans ménagement. Je pousse un cri de douleur. Je parviens presque à oublier cette queue sauvage qui me défonce les reins, ces mains qui toujours m'assaillent, ces doigts qui maintenant me fouillent de l'autre côté. Un d'abord, puis deux, puis trois. Mon anneau anal est dilaté à l'extrême. On l'enduit d'un liquide gras et tiède. L'instant d'après, quelque chose de dur et de froid s'enfonce puissamment dans mes entrailles en élargissant l'étroit passage. Chaque fois que le sexe de l'homme plonge dans mon ventre et cogne contre ce truc, j'en éprouve une douleur effroyable. J'ai l'impression que je vais exploser sous les coups de cette double pénétration. Je halète. Je suffoque. Je me mords les lèvres. Ils y sont tous passés, par devant et par derrière. Je sens les ruisseaux de sperme dont ils m'ont éclaboussée me couler le long des cuisses. Des mains à peine moins agressives que les autres, des mains de femmes sans doute l'étalent sur les fesses, le ventre, les seins et même le visage. Elles ne veulent pas être en reste. Elles prennent part à la fête, elles aussi. Jalouses, elles m'enduisent le corps tout entier de la semence de leurs mâles, prenant bien soin de me griffer les flancs, des aisselles jusqu'aux cuisses. Charlotte s'éveilla de son rêve. Xavier ne souriait plus du tout. "- Hé, c'est toi qui as voulu que je te raconte mon pire fantasme ! " Xavier n'avait pas répondu. Il lui avait fait l'amour sans enthousiasme et l'avait quittée peu après, l'air préoccupé, sans avoir oublié toutefois de la ligoter auparavant.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 19/04/23
Je lui ôte ses menottes afin de finir de la dévêtir. D’un pas, elle enjambe sa jupe au sol, son chemisier tombe à son tour. Elle cherche machinalement à deviner ce lieu que ses lentilles opaques l’empêchent de voir. Je verrouille sur ses poignets de larges bracelets d’acier, puis à ses chevilles. Ses bas noirs font ressortir le brillant de l’acier, je suis aux anges. La prenant fermement par la nuque, je la pousse vers le salon. J’en profite pour observer son corps nu que je possède pour la première fois. Elle est belle. Elle n’a rien d’extraordinaire mais son corps dégage une douceur, une sensualité incroyable. Les talons très hauts de ses escarpins imposent à ce corps une délicieuse cambrure qui exacerbe sa féminité incroyable. Nous y sommes, je la retourne et la fais s’assoir sur la table basse du salon que j’avais préparée. Je la fais s’allonger et passe ses jambes de part et d’autre de la table. Avec la chaine que j’avais disposée, je relie les bracelets de ses chevilles. Je fais de même avec ses poignets les fixant au-dessus de sa tête aux pieds de la table. Une dernière chaine vient s’arrimer à son collier pour lui interdire de se redresser. Enfin, un beau bâillon gag en cuir noir vient la réduire au silence. La position de ses jambes, maintenues écartées par la table basse offre son sexe au regard. Sa fine toison est ornée de perles de rosée, son excitation est manifeste. Lors de notre repas, la semaine dernière, elle m’avait indiqué qu’il fallait en prévision de ce soir qu’elle se rase le sexe, chose qu’elle avait négligé depuis un certain temps, ce que je lui ai formellement interdit sans plus d’explication. Quelle plus belle façon de s’approprier ce corps que de le faire moi-même. J’attrape une petite tondeuse que j’utilise pour ma barbe et entame délicatement le travail. Très vite, la voilà à nue. Un peu de gel et un rasoir permettent d’obtenir enfin la douceur attendue. Nous y sommes, elle est prête. Elle est restée parfaitement immobile tout ce temps. J’ai pourtant envie de la voir se contorsionner dans ses entraves, se débattre, tenter en vain de se soustraire. J’attrape un vibro énergique et commence à caresser ses lèvres puis à approfondir les choses. Des gémissements se font vite entendre, elle gigotte et tend ses chaines. Ses poings se ferment, des vagues la font onduler. Enfin, une grande contraction de tout son corps et un hurlement de bonheur, étouffé par son bâillon, marquent la délivrance. Mes mains caressent son corps et finissent par vérifier avec attention le travail que je viens d’achever. L’excitation est totale. Ses chaines otées, je me pose sur le canapé et la tire vers moi. A tâtons, elle cherche mon corps et s’agenouille spontanément devant moi. Maladroitement à cause de sa cécité elle défait mon pantalon. Il y a des initiatives agréables qu’il faut savoir encourager. Je la caresse avec tendresse alors qu’elle me met à nu. Il devient urgent de lui oter ce bâillon qu’elle frotte tendrement sur mon sexe. Ses lèvres sont douces, tendres et fermes à la fois. Puis elle m’honore de sa langue et la douce chaleur de sa bouche. Le plaisir est total. Elle arbore maintenant un sourire incroyable, la fierté du travail accompli, du plaisir donné.  Je la hisse sur le canapé. Machinalement, elle vient se blottir dans mes bras, elle semble tellement paisible, heureuse, je suis bouleversé. Comme nous n’étions pas là pour passer du temps à table et faire un repas gastronomique, nous avions convenu de nous commander un repas par livreur. Je passe un coup de fil et nous attendons le livreur enlacés sur le canapé à papoter et prendre soin l’un de l’autre. Le livreur sonne. J’enfile rapidement mon pantalon et reviens avec notre repas. La logique voudrait que je lui enlève ses lentilles opaques mais je n’arrive pas à m’y résoudre. J’aime trop cette dépendance et la douceur que l’hésitation donne à ses mouvements. Nous mangeons l’un contre l’autre. Entre deux bouchées, je la nourrie, telle la personne dépendante qu’elle est.  Notre repas fini, nous allons dans la chambre. Notre soirée ne fût que jeux et tendresse. Elle n’avait que peu d’expérience, nous avons donc testé plein de choses… Menottes, armbinder, baillons et harnais en tout genre, camisole de cuir,… J’affectionne particulièrement ma camisole de cuir. Elle offre une contrainte absolue et le contact de cuir est d’une sensualité incroyable. Par chance, elle a adoré également. Je pense que la camisole n’aura pas l’occasion de prendre la poussière. La nuit avançant, nous arrêtons nos jeux pour ce soir. Je lui laisse ses lentilles et les bracelets d’acier qui ornent ses chevilles et poignets. Elle blottie dans mes bras, nous nous endormons. Le réveil fut bien agréable. Je fus étonné que ses lentilles résistent à une nuit de sommeil mais elle était toujours aveugle. Comme il fallait qu’elle parte tôt pour un repas de famille, je lui propose de commencer par une douche. Je la conduis sous la douche avec ses bracelets et la nettoie avec de grandes caresses savonneuses. Elle me demande le savon me tendant la main et s’occupe à son tour de moi.  Sa cécité donne une infinie douceur à ses gestes, parcourant mon corps à tâtons. Ses caresses sont divines.   Une fois propre et sèche elle me demanda si elle pouvait revenir ce soir, après son déjeuner en famille. Comment refuser un tel plaisir ? Du coup, une vilaine idée me traversa l’esprit. « Oui, il n’y a aucun problème mais je vais mettre un peu de piment à ton repas de famille ». Je la ramena sur le lit et attacha ses poignets et chevilles aux chaines des quatre coins du lit. Un bâillon la priva ensuite de toute possibilité de protestation. Je pris un sac dans le placard et alla chercher quelques outils. Ensuite, je pris un moment à régler à sa taille une ceinture de chasteté. Une fois suffisamment ajustée, je la verrouilla. Même loin de moi, elle restera mienne. Une fois ainsi « vêtue », je la détache, lui enlève bracelets et enfin ses lentilles. Elle découvre enfin les lieux. Voyant le grand miroir de la chambre, elle se lève et va observer ce que je viens de fixer sur son corps. Elle n’ose rien dire mais je sens bien ce mélange de plaisir et de crainte que cela se voit. Il est certain que si elle passe la journée avec la jupe courte et légère qu’elle avait hier, il faudra pas qu’elle se penche ou qu’il y ait du vent. Nous descendons prendre le petit déjeuner, nus. Elle passe machinalement ses mains de façon régulière sur sa ceinture. Une fois terminé, nous nous habillons puis, après une tendre dernière embrassade, elle me quitte pour renter chez elle. Que les heures vont être longues en attendant son retour
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Par : le 20/01/23
  Il y a six mois que le renouvellement de mon serment d'allégeance a eu lieu , il est donc temps de relater cet évènement .   Ce projet avait commencé par le constat de l'estompement inéluctable de la marque au fer rouge que Lady Gabrielle avait gravée dans ma chair en 2010. En outre elle n'appréciait pas l'usure de notre relation BDSM .Elle trouvait que cette relation devenait trop << vanille >> . Elle avait donc émit le désir de remettre nos rôles dans le bon ordre .Elle me trouvait un peu trop << brat >> si je peux employer cette expression pour ce qui me concerne . Il me faut bien avouer que je suis un soumis quelque peu rebelle .   Lady Gabrielle avait donc décrété qu'il me fallait réitérer mon serment d'allégeance envers elle au cours d'une cérémonie durant laquelle je serai , une nouvelle fois , marqué au fer rouge de son initiale . J'éprouvais depuis quelques temps le fantasme de subir à nouveau cette << flétrissure >>. Mais d'entendre les premières paroles annonçant sa concrétisation m'emplissait , immédiatement, d'un stress que je ne connaissais plus depuis longtemps .   L'organisation de la cérémonie du marquage mûrit tranquillement à l'intérieur même de nos fantasmes pour aboutir au 2 juillet 2022 . Après moult recherches nous découvrîmes le lieu idéale à tous points de vue pour célébrer cet événement : la maison d'un couple tout à fait charmant , Lux et Ivy . Leur maison sise près de Bézier est entourée d'un magnifique petit parc végétalisé qui dispense une ombre agréable et fort bien venue par les chauds après midi d'été particulièrement en cette année 2022 qui connu une terrible canicule . Ce parc entouré de hauts murs , planté de bosquets de buis , de figuiers , de chênes , de catalpas et autres essences ménageant de nombreux recoins invitent à l'intimité , aux jeux sensuels en toute discrétion et a fortiori aux jeux BDSM .   Avec le maître des lieux , nous installâmes différents agrès et meubles de tourments dont un grand nombre fût prêté par les propriétaires d' un club privé SM de la région . Il y avait là , croix de Saint André , pilori , banc à fesser , cage de compression en lanière de cuire , cage en métal , barres en bambou etc . Le tout disséminé dans les espaces aménagés dans la végétation . Et tous ces petits espaces étaient subtilement éclairés conférant au parc une ambiance mystérieuse . Sous les ordres de Lux nous l'aidâmes à monter un chapiteau sous lequel nos invités purent dîner d'un buffet d'entrées d'été , d'une salade piémontaise d'anthologie confectionnée par Lux en personne , d'un << rougaille saucisse >> , spécialité réunionnaise , cuisiné par Ivy la charmante hôtesse de la maison . De nombreuses bouteilles de vin de la région étaient à la discrétion des convives mais les boissons soft eurent plus de succès en raison des fortes chaleurs .   Nos invités commencèrent à arriver aux alentours de dix neuf heures . Tous ces gens charmants avaient fais d'énormes efforts d'apprêts vestimentaires et de maquillage . Avec un petit discours Lady Gabrielle porta un toast de bienvenue à chacun et à chacune .   Il était vingt trois heures quand arriva enfin la cérémonie de mon marquage . J'attendais avec une appréhension grandissante ce moment . Lady Gabrielle , ses deux assesseurs et moi même tenu en laisse arrivâmes en procession . Lady Gabrielle prononça une petite oraison en préambule à cette célébration pour expliquer son désir de réaffirmer son autorité sur son mari soumis .     Ses assesseurs étaient vêtus d'aube blanche . L'un portait sur un coussin , le fer représentant un G majuscule qui après avoir été chauffé me marquera et l'autre portait un petit coffret où se trouvaient les anneaux de notre union BDSM . Lux entra dans le rôle de maître de cérémonie pour nous inviter à procéder à l'échange des alliances , en prononçant lui aussi une petite oraison . Puis vînt le moment où je réitérais mon serment d'allégeance.   En voici le texte :     Lady Gabrielle , il y a maintenant 17 ans que vous m'avez demandé d'être votre soumis .   Le 31 juillet 2005 j'ai accepté . Depuis ce jour je vous appartiens sans possibilité de retour en arrière pour ce qui me concerne .   J'étais au crépuscule d'une vie terne , vous avez fais de ce crépuscule une aube claire . Vous avez su voir dans le brouillard de mon existence , de la votre aussi , la lueur qui éclairerait notre relation .   Depuis le jour où nous nous sommes rencontrés , je vois le monde d'une autre façon .   Depuis le jour où vous m'avez choisi , je n'ai plus de sentiments que pour vous .   Depuis le jour où je suis devenu votre jouet sous votre fouet , mon désir d'appartenance s'est réalisé .   Toutes ces raisons et tout ce que nous avons vécu depuis ce 31 juillet 2005 m'ont convaincu que le bonheur existe , que ce n'est pas une vue de l'esprit .   C'est pourquoi en ce jour du 2 juillet 2022 je réitère mon serment d'allégeance envers vous . Vous savez que vous êtes propriétaire de mon corps et de mon esprit pour le temps qu'il vous plaira . Je souhaite , désormais , qu'il en soit ainsi jusqu'à ce que la mort nous sépare .     Lady Gabrielle , je suis prêt à recevoir , une nouvelle fois , votre marque .       Après ma prise de parole je m'installais en prenant appuie sur un chevalet en bois pour attendre ma << flétrissure >>. L'un des assesseurs me banda les yeux tandis que l'autre me débarrassait de ma cape noire dont j'étais vêtu . C'était donc nu et libre de toute entrave que j'attendais dans l'anxiété . J'avais formulé le voeux de n'être ni attaché ni contraint d'aucune façon pour subir cette épreuve . Lady Gabrielle avait accédé à ma demande énonçant ses propres exigences : je ne devais ni bouger ni gémir ni crier sous la douleur . Je devais rester impassible et stoïque . Après un temps qui me parut une éternité , le ronflement du chalumeau chauffant le fer se fit entendre. Le ronflement cessa , Lady Gabrielle prononça des paroles dont je n'ai aucun souvenir en raison de la concentration de mes pensées à ce moment là . Enfin elle appliqua le fer chauffé à blanc sur ma chair au dessus de ma fesse gauche . Je n'émis aucun son mais je fus pris d'un réflexe irrépressible , je fléchissais les genoux au moment du contact du fer . Ce réflexe m'emplit aussitôt d'une grande déception : je n'avais pas obéi aux ordres de Lady Gabrielle . Dans un effort de volonté je reprenais ma position initiale , Lady Gabrielle appliquait une deuxième fois le fer exactement au même endroit sur mon corps et le laissait les trois secondes nécessaires au marquage .           Quelques instants plus tard , dans un semblant de retour à la réalité , je me prosternais , à genou, aux pieds de ma Maîtresse , démontrant mon incontestable , si cela était encore nécessaire , soumission envers elle .     Plus tard le sentiment de déception s'estompa car je m'étais remis en position et le temps de contact du fer avait été quasiment doublé . Surtout Lady Gabrielle exprima sa fierté devant le fait que je n'avais émis ni gémissement ni cri .       Durant la soirée nos invités nous avaient offert des cadeaux : fouet , baillon boule , bandeau aveuglant, meuble plug . . . etc etc etc . Lady Gabrielle se fit un point d'honneur à essayer tous ses nouveaux joujoux . Elle fût bientôt imitée par les participants à cette soirée qui se disséminèrent dans le parc profitant des bancs à fessée et autres agrès de tourments .   Inutile de dire que la nuit fut longue à devenir demain . Berny de Lady Gabrielle
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Par : le 09/01/23
Qu'est-ce que le candaulisme ? S'il fallait en donner une définition simple, on dira que le candaulisme et le cocufiage sont des pratiques sexuelles qui dans l'acte se ressemblent mais qui dans la cérébralité sont assez différente. Dans tous les cas, il s'agit pour l'un des partenaires de regarder l'autre avec une personne extérieure au couple. A bien des égards, cette pratique sexuelle peut se rapprocher du fétichisme puisque le candaulisme joue en partie sur la fascination de l'observation, le voyeurisme... Ce n'est pas de l'échangisme (qui ne nous intéressait pas du tout). Au niveau le plus élémentaire, le candaulisme se caractérise par l'excitation de l'homme candauliste de voir sa femme avoir une relation sexuelle avec un autre homme Le candaulisme peut être très teinté BDSM si l'acte est mis en scène dans un cadre de soumission de l'homme. Candaulisme et BDSM Le candaulisme a un caractère très transgressif, au regard de la culture judéo-chrétienne, de la monogamie et le rapport à la fidélité et son pendant, donc l'adultère. Il se dit que plus de la moitié des hommes et un gros tiers des femmes ont déjà fantasmé sur le candaulisme et rêvés de voir leur partenaire gouter au plaisir de cette pratique sexuelle. Du fantasme candauliste au passage à l'acte, il y a certes une sacrée différence, et celles et ceux qui ont ainsi fantasmé ne sont pas nécessairement dans une relation de Domination (de la femme) soumission(de l'homme). Le désir candauliste dans le couple J'avoue avoir clairement fantasmé sur le candaulisme, depuis bien longtemps, et que dans le cadre de notre exploration du BDSM avec Chouchou, nous avons pu faire cette expérience de couple (ne jamais oublier que ces de cela qu'il s'agit pour les candaulistes, une démarche de couple, résolument). Même si c'était plus facile à gérer, je pense, dans un jeu D/s (en plus de me voir prendre du plaisir avec un autre homme, Chouchou était attaché et bailloné), même si j'ai pris énormément de plaisir pendant, et même après, et que lui aussi a été serieusement emoustillé de me voir jouir avec un autre ... (et de me prendre ensuite), il faut avouer que cela "secoue" quand même dans un couple, une fois l'excitation passée. Ou du moins, cela fait s'interroger grandement, sur son rapport à l'autre, mais aussi sur soi-même. Surtout quand on se rend compte qu'on a vraiment aimer ça, et que l'envie de recommencer est patente. Et cette expérience est devenu un levier de Domination/soumission. Dans nos séances de DS, j'use parfois de ces souvenirs de candaulisme pour lui rappeler le plaisir que m'avait donné un autre homme. Du fantasme candauliste à la pratique Notre chemin vers le candaulisme a été progressif, à la base on était encore très vanille et on s'était amusé à se raconter nos relations passées, avec nos ex ... nos meilleurs orgasmes, les positions que l'on pratiquait avec eux ... et je m'étais risquée (à sa demande hein ! Consensuel) à lui raconter ce que mon ex faisait mieux que lui dans le cul. On a compris que cela nous exciter ... Le désir grimpait à chaque fois que l'on échangeait sur le sujet... La graine du candaulisme était plantée dans notre jardin secret !!! Évidemment, la jalousie rode (surtout chez les femmes, il parait, quand il s'agit de voir son homme avec une autre, mais ca n'est pas mon sujet ici, car nous n'avons pas testé cela) ... L'excitation vient aussi de jouer avec ce risque, avec cette jalousie, de jouer avec le feu. Et accepter de s’accommoder de cet instinct initial est finalement une belle preuve d'amour dans un couple. Le candaulisme vécu  Lors de nos quelques expériences candaulistes, nous sommes allés assez loin ensemble (enfin je trouve). Mon souvenir le plus troublant et quand est quand j'avais choisi un Dom sur ce site après des recherches assez poussées, et que j'étais allée me donner à lui lors d'un rendez-vous (pour du bondage et un rapport sexuel très bestial poussé à son terme, le Monsieur se finissant dans ma bouche...) et que Chouchou m'attendait en bas dans la voiture. J'étais redescendue en sentant la baise à plein nez et une fois en voiture, je lui avais roulé une pelle monumentale pour partager le goût du sperme qui subsistait dans ma bouche... Puis lui ai raconté par le menu ce qui s'était passé avec mon Maitre d'un jour et cerise sur le gâteau, mon dominateur d'un jour avait fait des photos (dont une envoyé tandis que Chouchou attendait dans la voiture). Mon récit à mon conjoint de ce qui s'était passé avait été fait sans prendre de gants, en ne lésinant pas sur les détails de ce que nous avions fait avec mon amant, mais aussi en essayant de retranscrire le plaisir que j'y avais pris. Chouchou écouta mis excité (c'était ... visible), mi agacé ... vous auriez vu son regard !... Puis il me posa plein de questions. Certaines dictées par une vraie curiosité, d'autres avec un petit côté maso. En mots très crus (en mode, "tu es une salope"). Autant perturbant que ludique. Et cela m'a "décoincée" pour lui faire comprendre que dans cette phase de jeu, il avait été mon soumis cocu, comme je lui rappelai quand nous nous sommes retrouvés à la maison pour faire l'amour (moment très complice et très libérateur) Quelques conseils avant de se lancer Si vous décidez de vous lancer dans une expérience de candaulisme, le premier des conseils, c'est de trouver le bon partenaire. Nous l'avons cherché dans le milieu BDSM car c'était finalement commode de ranger cela dans la case de notre histoire D/s (et nous épargner une approche dite "libertine" qui finalement aurait, je crois, était plus compliquer à gérer pour notre couple). Trouver un homme pour un plan à trois, est d'une simplicité déconcertante, mais il y a vraiment de tout. J'avais exploré les sites libertins pour cela, mais cela m'a semblait beaucoup beaucoup beaucoup moins fin que les sites BDSM. Dans tous les cas, il faut sans doute être plus exigeant dans le choix de la personne que vous allez rencontrés. C'est un rôle, il y a de la théâtralité, et pour ne pas que cela finisse en bain de sang dans le couple, il faut que l'homme soit "de confiance". Ce qui semble clair, c'est qu'il ne faut pas se lancer sur un coup de tête. D'abord parce que comme toute activité BDSM, il faut que ce soit consensuel. Ensuite, parce que comme je le disais, la "montée en puissance du fantasme" est une grande partie du plaisir (des divagations solitaires, à l'aveu de l'envie, des explorations d’encanaillement par confidence de relations passées à une démarche active d'un cocufiage, des rencontres à trois à la rencontre a deux avec confessions au retour ...) . Ce serait bête de ne pas profiter de tout cela. Parler, parler, parler avant de se lancer Les choses doivent être dites en tout cas. Votre mari ou compagnon se contentera-t-il de regarder de loin ? Ou va-t-il s'impliquer, faire des suggestions ou diriger l'action ? (certaines personnes dominatrices le voit plus plutôt comme ca, même si nous en l'a abordé en mode "cocu soumis"). Tout doit être discuté à l'avance, car il n'y a rien de pire qu'une expérience de ce type "mal goupillée", le candaulisme devient l'enfer si la jalousie s'en mêle, ou du moins si elle n'est pas "domptée" sereinement. Là aussi, il faut sans doute un safeword ! Il faut être attentif à la réaction de son compagnon car si "sur le papier", dans le scénario tout semble géré, lorsque nous voyons notre partenaire prendre son pied avec quelqu'un d'autre, la pression sociétale peut se réveiller et nous pousser à la révolte et nous faire enclencher la marche arrière ! Quelle que soit votre fascination pour le candaulisme, il existe bien des manières de vivre l'expérience. Des confidences un brin salace au plan à 3 sous l'oeil du soumis cocu, la clef reste la bonne communication, le respect mutuel et de vérifier régulières que vous êtes toujours avec votre partenaire, sur la même longueur d'onde et que tout le monde y prends plaisir. Ce n'est pas simple mais, croyez-moi, le jeu en vaut la chandelle, cet article se voulait un partage de ce que notre couple a pu tirer de l'expérience candauliste.
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Par : le 06/11/22
TIRE AU SORT : Un soir, je reçois un courriel d'un soumis qui serait tenté par une expérience de domination : je lui propose de tirer au sort le premier qui dominera et ensuite d'inverser les rôles ! Je me présente donc chez cet homme et en prenant un verre, je lui montre deux ficelles pour le tirage au sort : la plus longue désigne la MAÎTRE en premier ! Je tire la plus longue et lui demande aussitôt de se déshabiller lentement et sensuellement en se caressant. Il était entièrement rasé! Tout nu, je lui pose la cagoule cuir que j'avais pris soin d'apporter avec moi, ainsi que pas mal d'accessoires! Je l'attache de mieux que je sais faire et assez serré, les bras fermement liés dans le dos, ensuite je lui pose un collier et déjà il se met à "bander sérieusement) ! J'avais pris soin lors de mon bondage de laisser les seins bien accessibles ! Faute de bâillon, je lui mets un foulard dans la bouche. Il ne savait pas trop ce qui risquait de lui arriver et je pense que pour cette première partie, il n'a pas été déçu ! Debout, bien attaché, je commence à poser des baguettes chinoises autour de ses deux seins, peut-être aurais du commencer par la cage de chasteté que j'avais aussi apporté! L'avantage des baguettes c'est que l'on peut régler le pincement jusqu'à la limite de l'insupportable ! Les seins sont bien pincés et j'augmente progressivement leur pression ! Difficile, vu son excitation sexuelle de poser ma cage de chasteté, mais après de nombreuses tentatives, j'y arrive enfin! Je prends un pose de 5 minutes et contemple mon soumis ainsi exposé ! Je reviens au seins et les libère de leurs baguettes. Je mordille les seins mis à ma disposition charnellement et très sensuellement. je passe ma main dans sa bouche entravée et sens la salive qui commence à poindre comme également un perle de rosé suinte à la pointe de son sexe humide et bien rigide bien enfermé dans la cage !. La suite va pour lui être terrible, puisque le sort a décider que je commençais à être le MAÎTRE et qu'il devait bien s'en rendre compte désormais! ( Je ne dois pas non plus être trop sévère, parce qu'ensuite je risque d'être son soumis !) Je retrouve dans mes affaires un bâillon à boule qui remplace le foulard déjà trempé de salive! Je masse voluptueusement un sein après l'avoir copieusement enduit de lubrifiant pour lui poser une magnifique pompe à seins de gros diamètre : lentement et précautionneusement j'aspire le premier sein sans remplir toutefois tout l'espace vide, ensuite je lubrifie généreusement l'autre sein avant de commencer l'aspiration. Ses deux seins commencent à prendre des couleurs sous l'effet de l'aspiration que j'augmente à la limite de la possibilité des pompes ! Désormais la pointe de ses deux seins touche le haut des pompes et je m amuse ainsi à faire tournoyer de gauche à droite puis inversement les deux pompes! J'ai un peu oublié dans le feu de l'action, je crois me rappeler qu'à un moment il a du hurler de douleur ou de plaisir ? Je lui chuchote à l'oreille que sa douleur doit devenir son plaisir agréablement partagé, sans me soucier de ce qui pourrait alors m'arriver en retour de tirage au sort! Il bande fort et remplit entièrement la cage de chasteté! Je lui libère alors les mains dans le dos( toujours bien debout!) pour lui attacher les mains au dessus de la tête et ainsi augmenter sérieusement la traction sur ses seins qui deviennent de plus en plus rouges ! Je m'amuse à nouveau à faire tourner les pompes autour de ses seins, ce qui provoque un long et fort gémissement, de douleur ou de plaisir ? Il y a déjà un bon moment que j'ai été désigné comme son MAÎTRE et j'essaye compléter ma panoplie de Dominateur temporel ! Bracelets aux chevilles, je lui écarte progressivement les chevilles avec une barre d'écartement et me permet délicatement d'introduire mon index dans son anus bien lubrifié ! Je reprends un pose de 5 minutes et contemple mon soumis ainsi exposé, que se passe-t-il dans sa tête : satisfait ? heureux ?? J'e n'ai jamais su s'il avait regretté le tirage au sort, car à cause du temps passé à le dominer, il m'avait demander d'être libre pour 18 h et j'avais bien envie de continuer cette première fois la séance jusqu'à 17h55! (cela dure depuis plus d'une heure trente !) Avec peine et délicatesse, j'arrive à lui enlever la cage de chasteté outrageusement rempli de son sexe et me prépare à l'assaut final : lui enlever les pompes des seins et lui imposer une fellation inoubliable ( même si je n'aime pas sucer un sexe, l'inverse OUI!) Son sexe est en totale explosion et tandis que mes mains massent vigoureusement ses deux seins bien gonflés, je sens monter l'éjaculation tant attendue et espérée comme une libération et un point final à notre première rencontre inoubliable! J'ai juste le temps de sortir son sexe de ma bouche avant l'éjaculation! Le sperme assez abondant inonde mon torse et le sol et après m'être bien essuyé. Je profite d'une dernière pose de 5 minutes et contemple mon soumis ainsi exposé et soulagé ! Je me lève et libère enfin mon compagnon de ses liens pour voir son corps bien marqué pars les cordes serrées ! : il s'assied au sol pour se reposer un peu! Depuis à mon grand regret, je n'ai plus eu de nouvelle ! Pourtant j'étais prêt à renouveler l'expérience dans l'autre sens ! Conclusion : un soumis fait souvent un excellent domi ! ! ! !
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Par : le 01/11/22
Elle m’avait proposé de passer chez elle vers 21h, trop tard pour m’inviter à dîner. J’avais donc une petite idée de ce qu’elle attendrait de moi ce soir-là. Quand je suis arrivé, son petit air malicieux dans le sourire, et la chaleur avec laquelle elle m’a embrassé ne m’ont pas détrompé, au contraire. J’aime sentir qu’elle me désire, mais ça me fait aussi un peu peur parfois. J’ai senti mon bas-ventre s’échauffer doucement, en la voyant virevolter dans sa belle robe d’été, aux motifs illisibles, surmontée d’une bande de soie bleue qui lui barrait la poitrine et laissait entrevoir les tétons sous l’étoffe. Je me suis senti déjà mangé par elle, par son regard coquin ; je me suis senti pris au piège et quelque chose en moi souhaitait exactement cela. Il s’est passé un peu de temps, pendant lequel nous avons échangé quelques banalités d’usage. Je me suis senti très empoté, il me semblait que j’aurais dû lui sauter dessus, arracher sa robe et la prendre brutalement. Mais je me sentais tout à fait incapable de ça, et pour tout dire j’évitais même plutôt son regard ardent et les sujets de conversation trop glissants – tout en m’en faisant le reproche. Soudainement, elle s’est levée et m’a demandé : « ça te dit qu’on fasse un jeu ? ». L’excitation et une forme de peur, aussi, pointaient clairement dans le son de sa voix. J’ai dit « d’accord. Quel genre de jeu ? ». « Viens, assieds-toi ». Elle m’a installé autour de sa petite table ronde, une chaise pour chacun. Elle m’a dit : « c’est tout simple, c’est un jeu de mémory. Tu sais, comme le jeu pour enfants, il faut trouver les images qui vont par paires. Sauf que celui-là n’est pas pour les enfants ! » et elle a laissé échapper un petit rire, tout en me montrant les cartes. Il y avait un peu de tout, du plus mignon (une jolie fille dont on aperçoit la culotte, un couple qui s’embrasse sensuellement) au plus hard (un gros plan de sodomie, un type ligoté en train de se faire pénétrer par une femme équipée d’un gode-ceinture), en passant par le bizarre (un couple de vieux gros en pleine fellation, une femme qui se fait laper par son caniche). Je trouvais ça tantôt franchement excitant, tantôt plutôt dégoûtant, et assez souvent disons, amusant. Elle a installé les cartes, et m’a dit : « vas-y, commence ! ». Evidemment, au début on ne trouve rien, mais au fur et à mesure du jeu, si on reste bien concentré, on retrouve assez facilement les paires d’images. C’est elle qui a reconstitué la première paire, et en empochant les cartes elle m’a regardé en me disant : « bon, pour corser un peu le jeu, il faut qu’il y ait un gage. Je te propose que pour la première partie, celui qui perd se retrouve à poil. Tu joues ? ». A dire vrai j’avais déjà commencé à jouer, donc la question n’était que rhétorique. Ce qui est sûr, c’est que sa proposition a instantanément rallumé la chaleur au creux de mes jambes, comme si en disant ça elle venait juste de trouver le chemin vers elle, vers son corps et mon désir, que je cherchais malhabilement depuis le début de la soirée. Au passage, je me suis rendu compte que j’avais à peu près autant envie de me retrouver nu devant elle, et elle encore habillée, lui montrer la belle érection que cela n’aurait pas manqué de provoquer ; que de la voir se dévêtir pour moi et profiter de la situation en conservant mes oripeaux. J’ai dit « OK », et je l’ai laissée soulever deux autres cartes. Je ne sais pas trop comment, mais de fil en aiguille je me suis retrouvé à enchaîner les réussites, et j’ai fini la partie en encaissant un nombre considérable de paires. Elle a fait la moue en voyant que mon tas était bien plus conséquent que le sien, mais bonne joueuse, elle a retiré sa robe en un clin d’œil. Elle s’est retrouvée en culotte, et a pris un peu de temps pour l’enlever, comme à contrecœur, ou pour me laisser le temps de l’admirer peut-être. Elle est allée chercher une caisse posée sur une étagère, et m’a dit : « bon, le gage d’après ça se corse un peu. Celui qui perd, doit faire la partie d’après avec ça » dit-elle en sortant une paire de menottes. Elles étaient en acier, pas du tout le genre de trucs en plastique qu’on trouve dans les sex shops, je me suis demandé où elle avait déniché ça. Et je dois dire que je me suis tout de suite rendu compte qu’avec ça aux poignets, il me serait tout à fait impossible de lui échapper. Elle a ajouté : « attention, tout se rejoue à chaque partie. Ça veut dire que si c’est moi qui gagne, je me rhabille et toi tu te mets à poil, avec les menottes. Mais du coup, tu pourras tenter d’inverser à nouveau à la partie d’après ». « Euh, OK, et c’est quoi le gage d’après ? » « Tu veux savoir déjà ? Hé bien, il faut faire preuve d’imagination. Il y a de quoi faire là-dedans ». Et en effet, il y avait tout un attirail dans sa caisse, de cordes, chaînes et autres cravaches, dont elle avait déjà sorti quelques éléments à l’occasion de nos ébats – mais j’étais loin de me douter que sa collection était aussi fournie. Nous avons donc refait une partie, et c’est moi qui ai gagné à nouveau. J’ai senti qu’elle en était un peu contrariée, qu’elle avait envie de prendre le dessus sur moi, de me tenir à la merci de son désir, et de faire exprès de le contenir jusqu’au moment où il exploserait. Je crois vraiment qu’elle avait proposé toute cette histoire de jeu pour m’amener à cette situation, et qu’elle n’avait pas trop envisagé de perdre. C’est précisément ce qui m’a excité, de sentir que la situation lui échappait, et qu’elle n’était pas disposée à me laisser faire si facilement. Je me suis levé de ma chaise, elle toujours nue sur la sienne. Il était palpable que ma grande taille, et ma force physique, provoquaient immédiatement un effet sur elle. Je suis passé derrière sa chaise, j’ai saisi les menottes, et j’ai volontairement pris tout mon temps. J’ai fait cliqueter le mécanisme cran après cran, la sentant bouillir d’impatience et de rébellion. J’ai attrapé d’abord sa main droite, délicatement, son poignet si fin et soyeux, et j’ai lentement refermé le cercle de métal dessus. L’impression de robustesse de l’appareil m’a à nouveau frappé. Légèrement fébrile, j’ai saisi son autre main, je l’ai passée derrière son dos, et j’ai lié ses poignets l’un avec l’autre. La chaîne reliant les deux menottes m’a paru incroyablement courte, la liberté d’action permise par le dispositif extrêmement restreinte. J’ai eu très envie de profiter de la situation, de lui saisir les seins, les caresser et les pincer, lui embrasser la bouche à petites touches et goulûment, mais je me suis retenu. Je trouvais ça encore plus intéressant de la laisser poireauter, le feu au ventre de colère et de désir, prise à son propre piège. Nous avons lancé une autre partie, en s’accordant sur le fait qu’elle montrerait les cartes qu’elle souhaitait retourner à l’aide d’un crayon qu’elle tenait dans la bouche. A cause de ça, elle ne pouvait que difficilement retenir sa salive, et j’ai vu une fois ou deux un trait de bave s’échapper de ses lèvres. C’était plutôt humiliant pour elle, et sans m’y attendre, j’ai instantanément adoré ça. Soudain, j’ai commencé à avoir très envie de gagner cette partie – et pour tout dire ça n’a pas été très difficile. Déjà parce que moi j’étais, du coup, très concentré ; mais également parce qu’elle, en ébullition, n’arrivait pas à se focaliser sur le jeu, et se trompait régulièrement. Elle n’avait pas cherché à fixer avec précision l’enjeu de cette manche qu’elle venait de perdre, probablement parce que dans son esprit elle devait être certaine de la gagner ! De mon côté, je ne savais pas trop comment poursuivre l’aventure, proposer un barreau supplémentaire à l’échelle de son plaisir et de sa frustration. J’ai déballé les objets entreposés dans sa caisse, et j’ai fini par trouver quelque chose qui m’inspirait. Il s’agissait d’un collier en cuir, que je lui ai passé autour du coup, comme on ferait à un chien. Ce collier avait la particularité, toutefois, de se fermer à l’aide d’un petit cadenas, qui empêchait de l’enlever sans posséder la clé. J’ai placé les deux clés bien en évidence de mon côté de la table, pour lui montrer le pouvoir que j’avais sur elle, et j’exultais en silence. J’étais sur le point de m’asseoir, mais je me suis ravisé. Le collier présentait un anneau de métal, qui me permit d’y accrocher une chaînette. A l’autre bout de cette chaîne, je suis allé chercher ses menottes, et j’ai doucement forcé ses mains à remonter le long de son dos. Puis à l’aide d’un autre cadenas, j’ai attaché la chaîne venant de son cou à celle qui reliait ses mains, les maintenant ainsi au-dessus de ses reins. Ça l’a forcée à se redresser, à cambrer un peu son dos, et ça lui a arraché un petit gémissement. Forcément, ses seins se sont mis à pointer vers l’avant, les tétons gonflés, moi j’avais une érection pas possible dans mon pantalon. Je l’ai regardée et j’ai bien vu qu’elle était au comble de l’excitation, et que sa frustration du début s’était à moitié transformée en désir impérieux d’être possédée, de m’appartenir. Je pouvais voir la cyprine doucement déglutir sur son siège. Je lui ai dit : « tu veux encore faire une partie ? Ou on arrête ? » « On continue ! Souviens-toi que si je gagne, on inverse les rôles » m’a-t-elle lancé sur un ton de défi. Cette partie-là était particulièrement serrée. Nous étions tous les deux déterminés à gagner, concentrés à mort sur le jeu. Je ne sais pas trop pourquoi, j’ai machinalement compté les paires que l’un et l’autre encaissaient, et à la fin du jeu je me suis rendu compte qu’elle en avait une de plus que moi. Alors, j’ai fait quelque chose presque sans m’en rendre compte, guidé par l’instinct du prédateur qui tient sa proie entre ses griffes, et qui est prêt à tout pour ne pas la laisser filer. Comme elle avait les mains liées, c’était forcément moi qui devais compter les paires. En commençant par les siennes, j’en ai escamoté une que j’ai transférée vers mon propre butin. Elle ne s’est rendue compte de rien, mais elle fulminait d’avoir encore perdu, c’était tellement beau à voir, ses jolis seins rebondis qui s’agitaient de rage sur sa poitrine exposée et vulnérable. Je jouissais de ma fraude presque autant que de son impuissance, et je me suis retenu à grand-peine de la culbuter sur-le-champ, pour voir jusqu’où je pourrais pousser le procédé. J’avais déjà décidé, depuis le début de la partie précédente, ce que je lui ferais subir. Plutôt que de piocher dans son attirail, je me suis dirigé vers la penderie, et j’y ai pris des foulards en soie. J’ai fait un nœud dans l’un d’entre eux, puis j’ai refait un deuxième, et même un troisième nœud par-dessus le premier, jusqu’à obtenir une boule de la taille d’une petite pêche. Je lui ai fourrée dans la bouche, et j’ai attaché le foulard derrière sa tête. Elle a protesté, bien sûr, et j’ai vu qu’il lui serait peut-être possible de pousser avec sa langue la boule hors de sa bouche. Alors j’ai pris un autre foulard, que j’ai ajouté sur le précédent, en plus large, de manière à lui couvrir tout le bas du visage, du menton jusque sous le nez. Là, j’ai bien vu que ça tiendrait en place, et surtout qu’il lui était à présent impossible de s’exprimer clairement. Le plus calmement que j’ai pu, je me suis rassis en face d’elle, et j’ai étalé les cartes pour lancer une nouvelle partie. Elle m’a regardé d’un air noir, et j’ai fait semblant de ne pas comprendre où était le problème : « ah oui, c’est sûr, ça va commencer à être plus difficile de me montrer les cartes maintenant », j’ai lancé avec un petit rire. Je lui ai dit de me les désigner avec son nez, et j’ai joui du spectacle de son petit derrière se soulevant de sa chaise, ses tétons touchant le bord de la table, alors qu’elle s’acharnait laborieusement à essayer d’inverser le sort. Ça m’a même donné envie de devenir cruel, si bien que j’ai fait exprès, à un moment, de lui laisser une paire facile à trouver. Enragée, sûre de faire un pas vers sa libération, elle m’a montré les cartes qui allaient ensemble – mais moi j’ai commencé à abuser franchement de la situation : je lui ai montré la carte d’à côté et je lui ai dit : « celle-là ? » « Non ! » elle a fait de la tête, en poussant un grognement, et moi : « celle-là ? » en montrant une autre mauvaise carte. J’ai joué à ce petit jeu deux ou trois fois, et puis j’ai carrément fini par en retourner une qui ne faisait pas la paire, annulant le bénéfice de son action. Et bien sûr, en suivant j’ai trouvé la bonne paire, devant ses yeux illuminés de rage impuissante et d’incrédulité. Il fallait la voir, commencer à se débattre en vain, à protester dans son bâillon ! Il fallait la voir, secouer ses nichons pour dire « c’est pas juste ! », la vulve toujours en ébullition ! Je n’en pouvais plus, je suis passé derrière elle, et tout en la maintenant fermement, j’ai attrapé un autre foulard et je lui ai bandé les yeux. Ça lui a arraché un gémissement qui voulait autant dire « prends-moi » que « tu as intérêt à me libérer dans la minute ». Je ne sais pas comment, mais je me suis senti capable de l’emmener encore plus loin. Avec les cordes que j’ai trouvées dans sa caisse, je lui ai attaché les chevilles aux pieds de la table, lui maintenant les jambes écartées, le buste sur les cartes encore disposées. Sa chatte et son cul m’étaient offerts, luisants, et elle elle se débattait encore, peut-être plus pour jouir de son impuissance que dans l’espoir réel de s’échapper. J’ai pris la cravache et j’ai commencé à frapper, sur ses fesses, ses reins, ses cuisses, même un petit peu carrément sur son sexe, alternant les coups durs et les coups effleurés. Et puis j’ai baissé mon pantalon, et entre deux coups de cravache j’ai mis mon sexe dans sa vulve, la laissant sans savoir ce qui allait lui arriver, douleur ou plaisir, mais saisissement à chaque fois. J’ai pris un malin plaisir à espacer de manière irrégulière tout ce que je lui faisais, pour qu’elle ne puisse s’attendre à rien. Et au fur et à mesure, j’accentuais mes pénétrations, les faisant plus profondes et plus fréquentes ; et mes coups de cravache devenaient aussi plus intenses. Le tout lui arrachait invariablement des cris étouffés dans lesquels il devenait impossible de démêler le plaisir de la plainte. Quand le rythme s’est accéléré, je l’ai sentie pas loin de jouir, et moi-même ça poussait gentiment au portillon. J’ai attrapé ses cheveux, la forçant à lever la tête et à dégager son buste de la table. Et tout en la fourrant avec ardeur, je me suis mis à lui cravacher le ventre et les seins, ce qui l’a rendue absolument dingue. Ses mains s’agitaient en vain dans ses menottes, qui commençaient à lui laisser des marques rouges sur les poignets. J’ai eu envie de lui fourrer quelque chose dans le cul, mais il était trop tard : elle s’est mise à hurler comme je ne l’avais jamais entendu faire, moi je continuais à la prendre et à la battre aussi fort que je pouvais, et d’un geste rapide je lui ai arraché son bâillon, pour que tout le quartier puisse l’entendre gueuler, qu’elle se sente au moment suprême de son plaisir et de son humiliation, incapable de retenir les cris dont je l’avais privée jusque-là. Elle a eu des spasmes énormes dans le bassin, moi j’ai juté en elle en poussant mes propres cris rauques et aigus, et pendant de longues secondes on a joui l’un dans l’autre comme ça, moi la possédant et elle me dévorant, moi la dominant et elle me subjuguant, toute notre énergie focalisée en éclaboussure dans nos sexes. J’avais ma tête sur son dos, un de ses seins dans ma main, elle m’agrippait le poitrail avec ses mains immobilisées. Je lui ai léché doucement l’échine, et sans retirer mon sexe encore, j’ai attrapé les clés qui par miracle étaient encore sur la table, et j’ai défait ses menottes. Elle a laissé passer plusieurs secondes, longtemps, avant de dégager ses mains et de retirer son bandeau, comme pour me faire comprendre qu’elle voulait faire durer le plus longtemps possible la soumission, l’appartenance que je lui avais arrachées. J’ai pris sa joue au creux de ma main, lui ai tourné délicatement la tête sur le côté, et toujours en elle de mon pénis moins dur, je l’ai couverte de baisers, sur les yeux, le nez, au coin des lèvres et sur le menton, j’ai léché sa langue délicatement, et elle se laissait faire avec des soupirs et des gémissements, en fermant les yeux avec délice. Enfin, j’ai sorti mon sexe et j’ai détaché ses pieds. J’étais à genou devant elle, esclave et déesse, j’ai eu envie de lui lécher la chatte, j’ai eu envie de lui laisser son collier et sa chaîne et de la garder à poil, à ma disposition, pour quand il me plairait à nouveau de la fourrer. Je me suis relevé en embrassant son ventre, ses seins, je l’ai prise dans mes bras. Elle s’est blottie contre moi. Quelque chose de nouveau venait d’apparaître entre nous. Pas seulement un orgasme, pas seulement un jeu : un pacte.
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Par : le 10/10/22
Il y a des gens classes, comme je pensais. Il y a aussi deux actrices que je reconnais... et puis des esclaves pas maquillées et avec les cheveux tirés. On va s'asseoir dans un divan... Une servante vient aussitôt me proposer du champagne. Tandis que je bois avec classe, mon pote John me dit : — J'ai pensé que tu aimerais assister à la punition de ces filles... — Oh oui... m'sieur... euh... John. Ce sont des esclaves qui ont fait une bêtise ? — Non, pas du tout. Ce sont des étudiantes en droit qui ont fait un site qui me dérange beaucoup. Alors, on va les punir un peu. Celles qui vont faire amende honorable en seront quittes pour avoir passé un moment un peu désagréable, celles qui persisteront dans leurs erreurs seront vendues comme esclaves à Djibouti ou à Shanghai... quelque part loin ! — Super idée... Je vous rappelle que ces filles attaquent les États-Unis à travers notre Président... Il ajoute : — On les fait mariner un peu. La peur de la punition à venir est déjà une punition. Quel homme raffiné... C'est un peu cruel, mais ces filles l'ont cherché... Je réponds : — Elles n'ont que ce qu'elles méritent. — Viens, je voudrais te parler en privé... Oui, mais moi, je voudrais voir les filles fouettées... mais bon, qu'elles attendent... On va au 3e et dernier étage de l'hôtel. Je me doute qu'il en veut à ma vertu... Mais tirer un coup, je ne dis jamais non, surtout au Président... Je me déshabille. Quand je suis nue, je le regarde... Il est toujours habillé... Et alors, on fait quoi ? Il me dit : — J'aimerais te voir avec un homme... Tu serais d'accord ? — Ben... oui. — J'arrive. Il sort et revient quelques minutes plus tard avec un grand mec costaud. Belle gueule de baroudeur... mon genre. Le mec me sourit et se déshabille... Ouaouh ! Il est musclé et il a une bite qui vise déjà ma chatte. John me dit : — Suce-le. Alors là, c'est pas de refus. Je mets à genoux et je commence par embrasser le bout mouillé de sa bite, ses couilles gonflées, les poils du pubis... Le Président vient tout près regarder ma langue tourner autour du gland du costaud... Il me dit : — Je voudrais te voir lui lécher le... Il cale. Aller, accouche ! Je lui propose : — Le trou du cul ? — Ouiii... Il est ravi. Je commence à le trouver un peu spécial, le Président. Le costaud se met à quatre pattes et moi, je me mets à genoux derrière lui. J'écarte ses fesses musclées avec les mains. Il a une odeur de transpiration mélangée à un parfum pour homme, une odeur plaisante. Le Président vient à nouveau regarder de tout près. Tu veux du spectacle ? OK. Je lèche l'anus du gars et y enfonce même la langue. Il me dit : — Tu aimes faire ça... — Oui m'sieur... euh, oui John. — Tu as envie de te faire baiser ? — Grave : je suis toute mouillée. — Allez-y. Le costaud se relève et me prend dans ses bras aussi facilement que si j'étais une poupée Barbie. Il me met sur le lit, se couche sur moi et m'enfonce 25 cm de sexe dur dans la chatte. Aïe ! Non mais dis donc, toi, je ne connais même pas ton prénom ! Heureusement que je suis une fille accueillante. Je vois plus au moins le Président derrière le cul du gars observer nos sexes aller venir l'un dans l'autre. Je ferme les yeux pour mieux apprécier ce sexe violant ma chatte à grands coups de reins... Je gémis... et je dis les trucs que les filles disent quand elles se font tringler, genre : — Ah oui... je te sens bien... c'est booonnn... plus foooort...   Je croise mes chevilles sur ses reins pour qu'il me pénètre encore plus profondément. Pas longtemps, car je sens mon vagin se crisper sur le sexe qui le transperce et... — Oh ouiiii... je jouuuuis... Ah putain de merde, c'est bon... Quelques coups de reins de plus et mon baiseur jouit aussi, inondant ma chatte de son sperme... Il grogne un peu en jouissant. Je veux le garder en moi, mais il me dit à l'oreille : — C'est au tour du Président... Oh ! Il va me baiser ? Non, dès que le sexe de mon partenaire quitte mon vagin, le Président colle sa bouche et il aspire le sperme qui est en moi. Je me demande si tous les Présidents font ça ! Le Président de la 2e puissance mondiale suce ma chatte pleine de sperme. C'est un peu surprenant, non ? Si c'est le genre d'apéro qu'il aime, ça ne me dérange pas. Au contraire, je ne devrai pas me laver. Quand il a fini de boire son apéro à ma chatte, on se rassied... Le costaud va dans la salle de bain. Il y a un silence, faut que je trouve quelque chose à dire... Ah oui : — J'ai adoré cette petite partie à trois, John. — Moi aussi, ma chère Ashley, moi aussi. C'était un peu spécial. — Non, non, ça me plaît. — On pourrait dire que j'ai des goûts un peu... spéciaux... — Vous savez, moi j'aime lécher Summer quand elle vient de faire pipi... Je dis ça pour le rassurer. Il continue : — Des méchantes langues disent que je suis gay... Tu m'étonnes !! — Alors... il faut que je trouve une femme très belle et aussi très compréhensive au sujet de mes goûts.... Il ne va quand même pas... — Alors Ashley, veux-tu m'épouser ? C'est rien, je vais me réveiller ! Figurez-vous que je rêve que le Président des USA veut m'épouser ! Dingue non ? Dans mon rêve, je réponds : — Avec grand plaisir. Si je ne rêve pas, c'est juste une farce, genre caméra cachée. Il me dit : — On descend, je vais annoncer la nouvelle à nos amis. Bien sûr. Je joue le jeu... Je remets ma robe transparente. En bas, Summer est là et elle discute avec Monsieur Sam. Le Président annonce : — Une grande nouvelle, mes amis : Ashley et moi, nous allons nous marier. Tout le monde vient nous féliciter... Je vais près de Summer et je lui dis tout bas : — On se fout de moi, hein ? — Non, il a besoin d'une épouse charismatique et qui, accessoirement, couche avec n'importe qui... — Eh, tu exagères ! — Tu as oublié qu'on s'est rencontré au "House of Pussies". — Pardon, mais, c'est que... je suis perdue... et... snif... — Ah, ne te mets pas à pleurer ! Tu acceptes et si un jour tu en as marre, tu divorces et tu auras une énorme pension alimentaire. Avec elle, c'est aussi simple que ça ! Je la regarde et elle me dit : — Ferme la bouche ! Je la ferme... Je m'imagine à Paris reçue par la nouvelle Présidente... J'irai manger au sommet de la tour Eiffel et puis aux Folies Bergères.... Il y a deux choses que je veux garder : Summer et la maison de Malibu. Oui, Summer, c'est une addiction. Mon futur mari vient me dire : — Ma chérie, si on châtiait ces petites garces ? — Excellente idée, John. Il m'appelle "ma chérie" ! Le Président !! Je commence à y croire un peu. En ce qui concerne les filles, je regrette qu'elles soient bâillonnées... J'aime entendre les cris et les supplications des filles fouettées. Quatre gardes que je connais viennent se mettre derrière les filles, armés d'un fouet. Je les ai déjà vus à l'œuvre, ils sont très adroits. Le Président dit : — Vingt coups, ensuite on leur demandera leurs impressions. C'est pas beaucoup. Un signe de tête du Président et les trois lanières des fouets viennent claquer sur les fesses des filles. Elles font : — Mmmffffmmmma ! Je sais ce que ça veut dire "Aaaaiiieee!!! Ça fait maaal..." Elles sont aussi douillettes que des esclaves. Les quatre gardes ont dû répéter, car ils nous font quasiment un ballet : les fouets qui sifflent dans l'air, le bruit mat quand ils zèbrent les fesses des filles... les cris étouffés. C'est beau. J'ai un petit problème : regarder les filles fouettées, ça m'excite, je vais mouiller ma robe transparente. Les gardes repeignent les fesses des filles en rouge... Le haut des cuisses, aussi. Je pense qu'elles vont faire "kaï kaï" quand elles vont s'asseoir, les prochains jours... Ils s'arrêtent ! Oh déjà ? Ils enlèvent les bâillons. Là, je les entends enfin pleurer et gémir... Quelles moules ! Quand elles sont calmées, mon fiancé... va devant elles. Il parle bas, comme quelqu'un qui est habitué à ce que tout le monde l'écoute avec attention. Il leur dit : — Je trouve votre site très bien, mais pas la cause que vous défendez. Si vous êtes prête à travailler pour moi, vous aurez beaucoup d'avantages. Dans le cas contraire... Les filles sont là, les fesses en l'air et bien rouges. Elles doivent relever la tête pour le voir... Une belle brune dit d'une petite voix enrouée : — Nous irons en prison ? — Non, vous serez vendue dans un bordel de Tombouctou. Une blonde répond très vite : — Moi, j'accepte Monsieur le Président, À tour de rôle, les trois autres acceptent. Et voilà, on leur tape un peu sur les fesses et elles renient leurs idées ! On les détache et elles se mettent debout, les jambes tremblantes, les fesses et les yeux rouges. Faudrait les envoyer chez Madame Stone, là elles feraient vraiment connaissance avec le fouet. Le Président leur dit : — Vous allez signer quelques papiers et on vous reconduira chez vous... Elles bredouillent un truc du genre : — Oui, Monsieur le Président... Ensuite, on discute du mariage. On va s'asseoir avec Monsieur Sam, Madame Wolf et sa chérie, Sara, je crois. Il y a aussi un homme aux cheveux gris. Le Président me dit : — Tu es décidée à devenir mon épouse ? En fait, non, pas du tout, mais je veux devenir la Première Dame des États-Unis, alors je réponds : — Absolument, cher John. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin. Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 30/09/22
Madame Stone se tourne vers moi. J'ai un petit mouvement de recul. Elle me dit : — Vous voyez, pour que la punition soit efficace, il ne faut pas se dépêcher. La douleur met un moment à se répandre et puis il y a l'appréhension des coups à venir... Elle en parle avec gourmandise. Pas de doutes, elle adore faire ça. — On continue, Moucheron ? — Ouiii, Madame. Moucheron est toujours les fesses en l'air, tremblante et gémissante. Le fouet claque deux fois de plus sur ses fesses déjà bien rouges. Là, elle reconnaît qu'elle est une voleuse, ce qui est sûrement faux. Deux coups de plus et ses fesses s'ornent de nouvelles bandes du plus joli effet. Moucheron dit qu'elle mérite ces deux coups parce qu'elle suçait la bite de son frère et de son père. Oh ! Ça plaît à Madame Stone, ça. Elle lui dit : — Tu aimais faire ça ? — Oui Madame, j'aimais les sucer et leur lécher le cul... — Bon, la punition est terminée... À condition que tu me remercies comme il faut. Moucheron se jette aux pieds de Madame Sone et couvre ses chevilles de baisers en la remerciant de l'avoir fouettée. Aucune fierté, ces esclaves. Madame Stone dit : — Remettez-vous toutes au travail, sauf Banane. Tu viens avec moi. — Oui Madame J'ai l'impression que Banane va se retrouver entre les cuisses de Madame Stone dans peu de temps. Je lui dis : — Je voudrais garder Moucheron, le temps de faire un selfie. Elle fait un geste, genre "rien à foutre". Elle est vraiment désinvolte avec moi. Je réglerai ça plus tard. Moucheron vient se mettre à côté de moi, elle a peur. Je lui dis : — Montre tes fesses, je vais faire un selfie. Je m'assieds et je mets mon visage à côté de ses fesses toutes rouges. Je fais quelques photos, pour le site de Sandra Mae. Je mets la main sur ses fesses, elles sont brûlantes, c'est mignon. Je lui demande : — Quelle est la fille qui lèche le mieux ? — Je crois que c'est Poussière, Maîtresse. Oui, je pense à Madame Stone qui s'envoie en l'air sous la langue de Banane et pourquoi pas moi ? Je lui dis : — Va la chercher. — Oui Maîtresse. Poussière arrive bientôt. C'est une jolie Hispanique. Je lui dis : — Suis-moi. — Oui, Maîtresse. On va sur la terrasse. Toujours nue, je m'assieds dans un des fauteuils et pose un pied sur le bord de la table. Je lui dis : — Déshabille-toi ! Quand elle est nue, je lui montre ma chatte du doigt. Poussière se met aussitôt à genoux entre mes jambes et elle couvre ma chatte de baisers... Je crie : — Une fille, sur la terrasse. Une fille arrive aussitôt, je ne me souviens pas de son nom. Je lui dis : — Café. — Oui Maîtresse... Oooh ! J'ai l'impression que la langue de la fille me caresse le nombril... de l'intérieur, tellement elle va loin. C'est cool, la vie ici. Même pour les esclaves ! Prenez Poussière : elle a le grand honneur de me lécher la chatte. Des millions de spectateurs de Cléopâtre rêvent d'être à sa place. Bon, il y a Madame Stone et le fouet, mais ils sont spécialement étudiés pour ne pas blesser. Je crois que les esclaves font beaucoup de cinéma... Poussière se démène et je m'apprête à larguer les amarres et à voguer vers une mer de félicité, quand Summer arrive essoufflée et en sueur. Elle me dit : — Viens avec moi. — Mais... — Je dois répéter ? Je repousse Poussière, je me lève et je suis Summer. On va dans "sa chambre". Là, elle enlève son short en jean en disant : — Ce truc est trop étroit ou alors j'ai grossi. L'entrejambe n'a pas arrêté de me masturber pendant que je courais. Elle se couche sur le lit, les jambes écartées, sa chatte humide bâille un peu parmi les poils noirs. Pas besoin d'un dessin je me transforme en Poussière et je lèche sa chatte aux senteurs marines puissantes après le jogging et avant la douche. J'ai l'habitude et j'aime bien, même si aujourd'hui, c'est fort... Je la lèche, suce ses grandes lèvres, enfonce ma langue dans son vagin et son anus. Elle me donne une claque sur la tête en disant : — Pas de fantaisies, clito ! Je le suce doucement tout en le léchant et quelques minutes plus tard, elle serre ma tête entre ses cuisses et jouit... Quand elle les desserre, je dois avoir les oreilles toutes rouges. Elle me dit : — Tu ne vas pas passer ton temps à te faire lécher par toute les esclaves, tu as des scénarios à lire. Demain, jogging à 8 h. C'est un comble, je dois la lécher et elle, elle m'empêche de jouir. Elle doit voir que je râle, ce qu'elle ne supporte pas. Et, évidemment, c'est là une nouvelle occasion de me montrer quelle est ma place. Elle me prend par la nuque, on est à nouveau les yeux dans les yeux, je les baisse, tandis qu'elle me dit : — D'ailleurs, je veux que tu me demandes la permission pour jouir... Et puis, va te laver le visage, tu sens la chatte pire qu'un congrès de gouines ! Je vous rappelle qu'elle est armée et qu'avec elle, je ne crains rien.... cela vaut bien quelques humiliations. Ce qu'elle veut, c'est me contrôler. Elle est payée par Sam pour s'occuper de moi et elle fait bien son job, voire trop bien. D'un autre côté, je suis contente qu'elle me demande de la lécher, plutôt que la première esclave venue... *** Je deviens célèbre. Je suis interviewée par différentes chaînes de télé et j'ai de plus en plus de fans. Summer me fait lire, enfin parcourir, un scénario par jour... Je dois dire que ma vie ici me plaît. Tous les jours, j'assiste à la punition de la servante qui a démérité, puis je me fais lécher par une des huit filles... Pas celle qui vient d'être fouettée : je n'ai pas envie qu'une fille en larme et avec le nez qui coule le fourre dans ma chatte. L'après-midi, je fais des courses avec Summer, on va à la plage et on rejoint souvent nos amis à Venice. Les gens me reconnaissent et font des selfies... Cependant, Monsieur Sam s'impatiente. Il nous a convoqués dans son bureau, la semaine prochaine. *** Ce midi, Summer a un message et elle me dit : — Ce soir tu es invitée à une soirée à l'hôtel du "Slave Paradise." — On va à quelle heure ? — Je ne suis pas invitée... — Alors, j'y vais pas. Soupir exaspéré de Summer qui me dit : — Monsieur Sam insiste. Il y aura des gens importants qui veulent te rencontrer. Je ne réponds pas... elle ajoute : — Je te conduis jusqu'à l'hôtel... et je viens te rechercher. Je soupire et réponds : — Bon, d'accord. L'après-midi, on m'apporte la robe que je dois mettre. C'est une robe blanche tellement transparente qu'on pourrait lire ce qui est écrit sur l'étiquette de ma culotte... si j'en avais une. Vers 20 h, on est dans le parking du Slave Paradise. On embrasse les gardes qu'on connaît. En chemin vers l'hôtel qui est au bord de la mer, je me colle à Summer. J'ai pas envie d'aller seule. L'hôtel est très éclairé. Il y a des servantes en uniforme un peu partout. Venant d'un salon, on entend de la musique, des rires... Je dis à nouveau : — J'y vais pas sans toi. Elle ne râle pas, mais elle s'éloigne et téléphone. Je suis assise dans un canapé, les bras croisés en mode "J'irai pas". C'est vrai quoi, je suis une vedette et j'ai besoin de ma garde du corps... Je lui dis : — Ils vont t'inviter et... Et là, un homme entre dans la pièce. Il est... quelconque... Il s'approche de moi, je me lève et il prend mes mains dans les siennes en disant : — Ravi de vous rencontrer, Mademoiselle Stirland. Il me baise la main. Alors ça, c'est la première fois, pas qu'on me baise, mais qu'on me baise la main. Je réponds : — Je suis ravie aussi... mais... Je le connais ! Je lui dis  : — Vous êtes... euh... un sosie ? Il rit et répond : — Non, non, je suis le vrai. — Désolée, Monsieur le Président, je m'attendais si peu.... — J'ai vu votre film et je vous ai trouvée sublime... J'ai eu envie de vous rencontrer pour vous baiser... la main. — La main et le reste, si vous le désirez, Monsieur le Président. Il rit. Vous vous rendez compte : je fais rire le Président des États-Unis, l'homme le plus puissant du monde... après le Président Chinois, bien sûr. Il s'éloigne un peu de moi pour me regarder et dit : — Tu es ravissante. Tourne... Je prends des poses de pin up de dos et de face. Il ajoute : — Tu es d'accord pour m'accompagner à cette soirée. ? — Je vous suivrais jusqu'au bout de monde Monsieur le Président. Il rit à nouveau. Je lui dis : — C'est que je ne suis pas très habituée aux mondanités. Je suis née à la campagne... — Je sais, tu es née et tu as vécu à Notasulga, tu es très intéressée par les esclaves, tu as envie de devenir une star ou alors d'épouser un homme riche et de vivre dans une grande maison coloniale avec beaucoup d'esclaves... Ah oui, et tu as la trouille dès que tu es loin de Summer... Je le regarde, bouche bée et les yeux ronds. Summer me dirait : ferme la bouche, Ashley. Il est devin ou alors la CIA surveille mes moindres faits et gestes. Il me dit : — Viens... Il me prend par le bras, une servante nous ouvre la porte et je fais mon entrée dans une robe transparente qui doit venir d'un sex-shop, mais je suis au bras du Président des États-Unis. Quand j'entre dans la pièce, tout le monde nous regarde. C'est intimidant sauf si on est au bras du Président. À moins que... je me tourne vers lui en disant tout bas : — C'est sûr que vous... êtes bien le Président ? — Mais, oui, Ashley. Tu veux voir le drapeau américain qui est tatoué sur mes fesses ? Il rit... moi aussi. On est amis ! Dans la pièce, la première chose que je vois, ce sont quatre derrières de filles. Elles sont attachées sur une structure composée de deux barres asymétriques. Une haute sur laquelle elles sont appuyées et une très près du sol pour attacher leurs poignets. Elles sont bâillonnées au moyen d'une balle dans la bouche, un accessoire pour le bondage. Les filles sont nues et elles ne ressemblent pas à des esclaves, car elles sont bien coiffées et maquillées. Je fais un gros effort pour détacher mes yeux de ce spectacle. Je regarde les gens, Monsieur Sam vient à ma rencontre en disant : — Bienvenue Ashley. Notre Président avait très envie de te rencontrer. Je l'embrase et réponds : — Oui... euh... moi aussi... N'importe quoi, Ashley ! Mais, bon, je n'ai pas l'habitude des mondanités. Madame Wolf est là avec sa bête copine, Sara, je crois. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins. Les tomes 1 à 5 de "Mia sans dessous" sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search   Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Par : le 13/09/22
Confessions d'un soumis à son futur MAÎTRE : J'apprécie beaucoup la possibilité de pouvoir rencontrer un dominateur à qui je conviendrais ! J'accepte volontiers l'opportunité de pouvoir livrer l'ensemble de mon modeste corps à un MAÎTRE ! Quelles différences entre un soumis et un esclave ? A mon avis, le soumis est volontaire ! Votre avis ? Et l'esclave à Votre avis ? Le MAÎTRE est . . . . .à Vous de compléter ! Le DOMINATEUR est . . . . .à Vous de compléter ! Un MAÎTRE qui saura me recevoir discrètement. Un MAÎTRE qui saura me bander les yeux pour commencer! Un MAÎTRE qui saura ensuite me déshabiller lentement et sensuellement en découvrant petit à petit ma nudité totale de mon modeste corps librement & volontairement offert! Un MAÎTRE qui saura pratiquer l'art du bondage afin d'immobiliser mon corps pour une disponibilité encore plus complète! Un MAÎTRE qui saura varier toutes les formes de contraintes physiques, tels que liens serrés et/ou momification sous film plastique, dans les positions qu'il lui plaira de m'imposer ! Un MAÎTRE qui saura me poser et m'imposer une cage de chasteté ! Un MAÎTRE qui saura perfidement s'occuper de mes seins avec les pompes pour les faire gonfler outrageusement de plaisirs! Un MAÎTRE qui saura perfidement s'occuper de mes seins en les travaillant avec différentes pinces! Un MAÎTRE qui saura perfidement s'occuper de mes seins en utilisant les baguettes chinoises ! Un MAÎTRE qui saura malicieusement retarder mon éjaculation afin de mieux faire durer le plaisir ! Un MAÎTRE qui saura opportunément passer de la domination physique à une sensualité délirante! Un MAÎTRE qui saura prendre un immense plaisir à prendre le total contrôle de mon corps soumis ! Un MAÎTRE qui saura alterner les contraintes physiques avec une sensualité des plus perverses! Un MAÎTRE qui saura prendre autant de plaisirs que j'en aurai à lui être soumis ! Un MAÎTRE qui saura apprécier la mise à totale disposition de mon corps offert à ses envies ! Un MAÎTRE qui saura respecter mes limites préalables établies avant la première rencontre ! Un MAÎTRE qui saura me convoquer chaque fois qu'il aura envie de me dominer ou me faire dominer ! Un MAÎTRE qui saura m'emmener à la jouissance, par exemple en toute fin de séance ; une fellation tandis que ses mains me travaillent vigoureusement mes seins! Un MAÎTRE qui pourra me momifier et me faire transpirer autant qu'il le souhaite ! Un MAÎTRE qui saura me recevoir en toute discrétion ! Un MAÎTRE qui saura s'il le désire procéder à un lavage interne et/ou externe ! Un MAÎTRE qui pourra me raser intégralement, ou du moins ce qu'il en reste de poils ! Un MAÎTRE qui saura prendre du plaisir à me voir ainsi contraint, physiquement, sexuellement, tout le temps qu'il lui plaira de me voir ainsi à sa totale disposition ! Un MAÎTRE qui saura faire monter progressivement le plaisir partagé de me contrôler totalement, tandis que de mon coté je prendrais plaisir à lui être intégralement offert ( dans les limites prévues!) Un MAÎTRE qui aurait envie de m'attacher nu en plein soleil en croix pour ensuite m'arroser d'eau, d 'huile ou/et de son urine! Un MAÎTRE qui m'imposerait une cage de chasteté ou de lier mon sexe et mes testicules ! Un MAÎTRE qui me mettrait une cagoule, ou un bâillon et un bandeau ! Un MAÎTRE qui s'occuperait bien volontiers de mes seins ainsi exposés et offerts pour commencer en 1 la pose de baguettes chinoises, en 2 les pinces aux seins et en 3 pour finir les pompes à seins! Un MAÎTRE qui délicatement m'introduirait un petit plug de lavement interne ! Un MAÎTRE qui prendrait du plaisir à palper mon corps exposé au soleil et bien huilé ! Un MAÎTRE qui prendrait du plaisir à me voir ainsi écartelé au sol en plein soleil, nu ou attaché à un poteau, ou suspendu par les bras, voire même par les pieds ! Un MAÎTRE qui saura me faire agréablement et utilement progresser dans mon appartenance à un MAÎTRE que j'aurais choisi bien librement et volontairement ! Un MAÎTRE qui aura envie de me revoir pour d'autres pratiques du BDSM ! Un MAÎTRE qui saura à chaque nouvelle rencontre varier nos plaisirs bien partagés !
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Par : le 08/09/22
"Hey! Hey réveille toi! Ne me dis pas que tu as oublié. Ton entretien d'embauche c'est bien à 10 heures non?" De l'état comateux où je me trouvais, je passe directement en mode panique. Ce n'était peut être pas une bonne idée d'avoir assisté à l'enterrement de la vie de garçon de mon meilleur pote. Mes paupières pèsent une tonne, un marteau piqueur résonne dans ma tête. J'ai un mal de crâne à tendance gueule de bois mais tant pis. Mon premier entretien d'embauche en 6 mois. Après avoir écumé les jobs dating, on s'aperçoit qu' à passé 35 ans, les offres d'emplois sont plus rares. Je me lève puis passe mécaniquement sous la douche. L'eau froide réveille mes neurones endormis. L'odeur du café envahit la chambre et la salle de bain. Cloé me tend un café tandis que j'enfile ma chemise. Cloé,au départ, c'était ma coloc. Maintenant c'est aussi une mère, une copine et parfois un peu plus. Disons que nous partageons un peu nos galères.  Après un café brûlant, je dérobe un croissant posé sur la table du petit déjeuner ainsi qu'un baiser à cette jolie blonde de presque 10 ans de moins. En face de chez moi, une file de voitures patientent à un feu. Montparnasse n'est qu'à quelques minutes à pied. La fraîcheur du matin mélée aux klaxons des automobilistes finit par me réveiller totalement. Machinalement, je vérifie la présence de mon pass navigo avant d'entrer dans cette nouvelle galerie commerçante qu'est devenue la gare. Dernière ligne droite direction Rambouillet, un territoire perdu au sud des Yvelines. Le job n'est pas très bien payé et ne correspond pas tout à fait à mon profil, il a juste l'avantage d'être situé sur la ligne de TER donc d'être relativement proche.  Je débarque dans la ville, tape l'adresse sur google: 21 rue du petit parc puis consulte ma montre. Je vais être en retard...Pas de beaucoup, peut-être 5 minutes. J'accélère le pas, passe un pont et monte une rue embouteillée.Je me surprend à penser à Cloé, à ses désirs de campagne et de tranquillité. Si j'obtenais ce job, nous pourrions partir ici. Ma rêverie s'achève devant l'interphone d'un bâtiment anonyme des années 80.Je jette un oeil rapide aux boîtes aux lettres du hall d'entrée. Plusieurs sociétés ont mis la clé sous la porte et l'entreprise de comptabilité dans laquelle je postule semble la seule encore en vie. "Oui?" demande une voix à l'autre bout de l'interphone "M S." dis-je après m'être raclé la gorge pour renforcer mon assurance. "Vous êtes en retard" réplique sèchement la voix. Après quelques secondes d'attente, la gâche se déclenche m'autorisant l'accès aux bureaux. Les locaux se situant au second étage, j'erre quelques minutes dans les parties communes à la recherche de l'ascenseur. Une porte s'entrouvre sur mon passage, je devine le regard méfiant d'une petite vieille, probablement la gardienne, dans la pénombre de son appartement. Il y a du marbre et des dorures aux portes, l'apanage d'un luxe maintenant désuet. J'arrive finalement au second. Une porte s'ouvre sur un homme d'une trentaine d'années blanc comme un linge. Il devait postuler également mais vue sa démarche bizarre et le rouge qui cuit ses joues, je devine que l'entretien ne s'est pas bien passé. Je sonne. Des talons claquent derrière la porte qui s'ouvre grande.  Une femme d'une cinquantaine d'année me fait face. Élégante, juchée sur des talons impressionnants, elle rajuste ses lunettes en me dévisageant. Ces lèvres fines esquissent un sourire mi moqueur mi méprisant. "C'est vous le retardataire?" lance-t-elle en me toisant comme elle le ferait pour un garçon pris en faute. "Euh...Oui, excusez moi" dis je un peu penaud de la situation. "On ne dit pas excusez moi mais veuillez m'excuser, je vous prie et on ajoute à la fin Madame"  tance celle qui ,maintenant, s'efface pour me laisser entrer.  J'avance  sans qu'elle ne fasse un pas pour reculer. Involontairement, nous nous retrouvons face à face, nos deux corps se touchant. Les effluves d'un parfum entêtant, délicieux comme un doux poison, envahissent mes narines. Étant petit, mes yeux se perdent dans le chemisier blanc de mon hote qui fait mine de ne rien voir. "Attendez sagement ici" dit-elle en me désignant une salle aux murs nus garnie de chaises en plastique inconfortables .  J'attends quelques minutes, bras croisés sur les genoux comme durant mon enfance, mais très vite le réflexe du portable me gagne. Je sors cette extension un peu trop familière de la main et de la pensée et constate avec résignation qu'il n'y aucun réseau. Rambouillet n'est pas une zone blanche, j'en déduis que mon hôte, Madame K., a dû installer un brouilleur de communication. Les chaises étant réellement inconfortables, je me mis à faire les 100 pas dans cette salle anonyme et morose lorsque la porte s'ouvre. "M S. , c'est à vous " Je suis le tricot des talons aiguilles jusqu'à un bureau à la porte tapissée de cuir.  Mon interlocutrice prend place face à un bureau de verre et d'acier. Je devine sa jupe courte et ses jambes fuselées à peine masquées par les quelques papiers qui encombrent le bureau.  "Je me nomme Mde K."  dit-elle en croisant les jambes.  "Vous êtes M S., agé de 35 ans, célibataire et sans enfant, vous logez à Paris, proche de Montparnasse. D'après votre C.V. je lis que vous avez travaillé dans de nombreuses entreprises internationales. Je vois aussi que vous avez visiblement un problème d'attention" "Euh...Quoi? Dis-je en bredouillant. "Cessez de regarder mes jambes et concentrez vous un peu. " lâcha t elle d'un ton méprisant "Pardon" Fais je d'un air contrit "Veuillez, je vous prie, Madame avoir l'obligeance de m'excuser. Dites le, vous le retiendrez mieux pour la suite, il faut que cela devienne un réflexe." Attaqué dans ma fierté, je restais mutique.  "Bon...Nous avions démarré sur de mauvaises bases, je ne vous retiens pas. Sortez!" lâcha froidement celle qui bientôt changerait ma vie.  Ce job, pourtant, il me le fallait. je bredouillai  les excuses qu'elle désirait  et cherchai, du regard, un siège pour éviter d'avoir à plonger sur les formes parfaites de mon employeur. "Restez debout pour le moment et opinez pour me montrer que vous avez compris." "Je cherche un employé disponible souvent, parfois le weekend. Cet employé devra être fiable et me faire une confiance absolue. Est-ce clair?" Je fis oui de la tête, heureux de montrer que je comprenais ses simples consignes.  "Voyez, vous commencez à comprendre ce que je désire. Si nous travaillons ensemble, vous devrez obéir à chacune de mes décisions. Aucune protestation ne sera tolérée." Je commençais à croire qu'elle était devenu folle mais opinai en souriant de façon narquoise.  "Mes remarques vous font rire? Vous savez, je me trouve suffisamment bonne et ouverte d'esprit pour donner une chance à un type comme vous." Je voulus prendre la parole mais sa main était venue chercher une cravache qu'elle maintenait cachée. L'objet s'abattit violemment sur la table projetant un dossier qui s'éparpilla au sol. " Des photos, des adresses de sites pornographiques, des conversations que j'avais eu répandaient à terre mes penchants peu glorieux. "Alors comme ça, vous aimeriez être humilié et fouetté." aboya Madame K qui maintenant tournait autour de moi la cravache à la main. Elle s'arrêta dans mon dos. je sentis son enivrant parfum anesthésier ma volonté. J'aurai dû partir, protester vivement et quitter la pièce avec fracas mais ses mains gantées de cuir frôlèrent mes hanches avant de s'y attarder. Lentement mais inexorablement elle mimait l'acte sexuel tandis que ses lèvres me susurraient  "Vous avez également écrit que vous aimiez les femmes phalliques et que vous désiriez être défoncé comme une petite chienne en chaleur. Est-ce vrai?"  D'un bond, je me raidis et protestai mais la cravache s'abattit violemment dans mon dos et sur mes épaules. Surpris je chutais me protégeant comme je pouvais et les coups se mirent à pleuvoir sur mes mains, mes avant bras et chaque partie de mon corps facilement atteignable.  "Tu ne parles pas tant que je ne t'ai pas donné la parole tu comprends? " Acculé dans un coin de la pièce, recroquevillé sur moi même, j'opinai du chef à la grande satisfaction de Madame. "Alors voilà, j'ai ici un dossier assez épais sur tes petits penchants. Ce dossier a été monté par ton prédécesseur  depuis plus de deux ans. Si tu ne veux pas voir cette petite bombe diffusée un peu partout, je te conseille de faire ce que je t'ordonne. Est ce que ça rentre dans ta petite tête de soumis ça?" Assommé par les évènements, je n'osai prendre la parole, du coup, ma tortionnaire s'imposa.  "Maintenant mets toi à poils, vite!"  Comme j'hésitai et essayai de me relever, elle m'envoya un coup de pied avant d'entamer une deuxième séance de flagellation. Cassé, je m'exécutai pour aussitôt être menotté et paré d'un collier. Puis, elle me tira vigoureusement les cheveux en arrière et me contraignit à ouvrir la bouche pour y glisser un baillon de latex.  "Tu aimes" ça dit elle en caressant mon sexe qui se dressait avec hardiesse.  "Tu aimes quand ta maîtresse te fait du mal? "  Sans attendre la réponse, elle m'installa sur un siège roulant. Des  sangles s'ajoutèrent à mes menottes pour m'immobiliser entièrement face au bureau. En me regardant dans les yeux, elle composa un numéro de téléphone. "Allo? Cloé M? Oui ici Madame K. de la société les chasseresses de Diane. J'appelle de la part de M S., il a eu un léger contretemps à Rambouillet. Il m'a donné votre numéro pour vous dire de ne pas vous inquiéter....Non...non, je ne sais pas quand il reviendra mais j'imagine qu'il vous donnera des nouvelles." J'aurai voulu crier mais le bâillon étouffait chacune de mes protestations me faisant baver lamentablement. Madame K raccrocha avant de m'offrir son plus merveilleux sourire. Ma soumission ne faisait que débuter.
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Par : le 29/08/22
Les 3 S : Soumission Sensualité et Sexualité : personnellement, ce que je cherche dans les 3 S : 1 Soumission : Je commencerais donc par le plus important = une soumission physique qui exclut la brutalité et l'avilissement personnel. Je cherche une domination physique qui va contraindre l'ensemble de mon corps pour signifier qu'il appartient réellement à MON MAÎTRE ! Commencer en premier par un lent déshabillage intégral TRES sensuel ou laisser un tee-shirt et un string pouvant être ensuite déchirés! Le MAÎTRE, une fois son soumis nu avec un bâillon et un bandeau sur les yeux pourra s'il le désire raser intégralement son soumis offert et lui imposer de tenir les mains sur la tête ( ce qui va permettre le rasage des aisselles) Une fois nu, possibilités de commencer ou continuer l'immobilisation du soumis: Toutes les formes de contraintes physiques sont possibles telles que bondage assez serré, momification sous film plastique, écartèlement au sol, sur un lit ou à la verticale, suspension par les mains, le torse ou les pieds! Ainsi bien immobilisé le MAÎTRE pourra plus facilement disposer à sa guise de mon corps offert librement et volontairement ! ( ni sodo, ni fist SVP) Une fois mon corps bien contraint, le MAÎTRE pourra poser des pompes à seins ( sur une peau préalablement bien huilée afin d'être encore plus aspirés, fréquemment re-pompés pour mieux les gonfler pour ensuite les mordiller, les pincer, les étirer! Dans une quasi immobilisation, Le MAÎTRE pourra également et bien délicatement introduire un petit gode dans mon anus bien lubrifié au préalable, pourra aussi poser une cage de chasteté, voir si possible imposer un lavement externe et éventuellement aussi bien sur un lavement anal délicatement! Toute liberté bien sur à MON MAÎTRE de disposer ensuite de l'intégralité de mon corps pour en disposer voir l'offrir à qui il voudra et comme il voudra. Les 3 S : Soumission Sensualité et Sexualité : 2 Sensualité : les relations de domination n'excluent pas la sensualité, bien au contraire ! Rien ne pourra en effet désormais empêcher " le propriétaire" de palper sensuellement tout l'ensemble de mon corps ainsi totalement offert et volontairement disponible! Libre à lui, bien sur de passer ses mains, sa langue sur les parties offertes ( mon sexe, mes seins et mon anus, voir mes aisselles !!) Libre à LUI, de l'amener ainsi au bord de l'éjaculation, sans l'atteindre de suite! Par exemple, un corps ruisselant de sueur, c'est sexy et excitant, voir même un corps bien bondé sous une fine douche qui dégouline tout le long du corps ainsi exposé ! Immobilisé sur un lit et bien offert, pourquoi pouvoir/vouloir s'opposer à un massage bien huilé, sensuel à ne pouvoir difficilement s'empêcher de jouir ! Autre exemple, lorsque le corps est entièrement immobilisé, et qu'il ne peut empêcher les mains baladeuses ou même la langue sur les parties délicates ! Passer une nuit légèrement entravé à coté de son dominateur qui pourra régulièrement tâter de ce corps librement offert ! Les 3 S : Soumission Sensualité et Sexualité : 3 Sexualité : Le MAÎTRE peut alors disposer également de ma sexualité : à LUI seulement de décider quand et comment ou avec qui je pourrais jouir sans précipitation et dans un total contrôle ! Le MAÎTRE saura alterner les 3 S afin de jouir pleinement de mon corps offert à son bon plaisir, le temps qu'il voudra et autant qu'il voudra bien en profiter ! Le MAÎTRE pourra alterner les contraintes physiques, avec la nudité, la liberté de mouvement, la disponibilité et l'offrande de mon corps. Le MAÎTRE sera libre de choisir un des 3 S en priorité, pour ensuite diversifier, voir donner plus d'importance soit à la Soumission physique, soit à la Sensualité et enfin à la Sexualité ( sans chronologie obligatoire bien sur!) Libre à LUI, de m'amener ainsi au bord de l'éjaculation, pour me permettre de jouir quand et comme il le voudra !
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Par : le 23/08/22
Voilà, c'est fait, mes 4 nouvelles galeries sont ouvertes. Enfin de compte le projet de Chicago a été annulé et remplacé par Las Vegas. Ca n'aura pas été sans mal, surtout celle de Las Vegas. Dans cette ville ou l'argent est roi, tout se monnaye, tout s'achète, j'en ai fait les frais. Pour obtenir les autorisations d'ouverture, nous avons rencontré à la galerie un responsable chargé de donner son accord, mais ce monsieur a exigé de moi, que je me livre dans une soirée privée avec quelques amis. Après quoi cette autorisation d'ouverture sera acceptée. Il nous communiqua son numéro privé pour qu'on lui donne notre accord. Un chantage odieux, mais comment faire, porter plainte et se voir refuser cette autorisation. Je n'avais pas eu de problème à Miami, Los Angelès et San Francisco. John était furieux d'être devant le fait accompli. Autant il est d'accord pour que me fasse sauter, avec mon accord, si ça venait de lui, mais être obligé de me "prostituer" pour obtenir une autorisation d'ouverture, il n'a pas apprécié et moi non plus. Nous avions donc le marché en main et ce salaud savait pertinemment que j'accepterai, car il a attendu la fin des travaux et à 12 jours du vernissage pour nous faire connaître ses intentions. Il avait également exigé que je vienne seule. John était à deux doigts de tout laisser tomber quitte à perdre beaucoup d'argent dans les travaux de cette galerie. Après une nuit de discutions, d'enguellades, j'ai fini par le convaincre de me laisser aller à cette soirée, Après tout se ne serait pas la première fois que je me ferais sauter par plusieurs hommes. Je téléphonais au responsable sur son portable, en lui disant accepter cette soirée privée en présence plusieurs hommes. Mais une question me troublait, "combien seront-ils". Le lendemain toute la journée cette question est restée dans mon esprit. Quels étaient les intentions de cet homme. Nous étions mercredi et le rendez-vous avait été fixé dans 3 jours, soit le samedi soir, dans une suite de l'hôtel Wynn. N'étant pas en confiance, John s'est rendu dans cet hôtel et après avoir graisser la patte du réceptionniste, il obtins le numéro de la suite réservée pour cette soirée. Par une chance extraordinaire il réserva une suite libre la plus proche du lieu de débauche. Nous avons convenu d'un code, si j'avais le moindre problème, je devais demander à mon hôte de téléphoner au service d'étage pour commander une bouteille de champagne bien spéciale qui ne figurait pas dans le bar de la suite. Bien entendu John serait prévenu immédiatement. Je vous ai dis que tout s'achète à Las Vegas, il suffit d'y mettre les moyens. Nous étions descendu à l'hôtel le Venetia, là ou nous étions lors de notre mariage. Les trois jours précédents la soirée et pour nous changer les idées, nous avons profiter de tout ce que Las Vegas peut vous offrir, casinos, restaurants, spectacles etc.. Nous avons même ramener dans notre suite une charmante jeune femme, avec qui nous avons passé une formidable nuit. Le samedi arriva très vite, j'avais rendez-vous à 21h. Je me préparais, je me suis fais une toilette intime, sachant pertinemment qu'ils me sodomiseraient, fantasmes de tous les hommes. J'avais décidé de porter une robe longue très chaste pour ne pas les provoquer trop vite. John me regardait me faire belle pour cet homme que je ne connaissais que par un rendez-vous de travail en vue de l'ouverture et dont je dépendais totalement pour la suite. A 20h30, John appela un taxi, et à 21h je frappais à la porte de la suite. John s'étant rendu dans sa suite et attendait quelles tournures prendraient cette soirée. Un homme m'ouvrit la porte et me conduisit dans un salon ou je reconnu l'homme avec qui j'avais rendez-vous. Je fus étonnée car il était seul dans ce salon hormis celui qui m'avait ouvert la porte. Je ne vous l'avais pas décrit, la cinquantaine. un peu bedonnant, les cheveux noir comme du jais, Il nous avait dis se prénommer Baldonero. Il me baisa la main, en sachant qu'il me baiserait autrement plus tard et après m'avoir complimenter sur ma tenue, il me conduisit dans un deuxième salon où là nous attendait un dizaine d'hommes de tout âges. Le salaud, il avait du ameuter ses amis en leur disant qu'ils allaient passer une très bonne soirée. Ce salon donnait directement sur une immense chambre ou le lit immense lui aussi trônait en son centre. Face au lit un écran de télé couvrait une grande partie du mur. Ce qui m'intrigua c'est cette caméra sur pied placé en face du lit. Après tout je me dis qu'il voulait garder un souvenir pour ses vieux jours en se branlant. Il me présentât à ses amis qui me regardaient comme une bête qu'on traque à la chasse et prévoyant l'hallali, puis il me demanda ce que je voulais boire, j'en profitais pour jeter un œil sur les bouteilles de champagne du bar. J'avais déjà la marque du champagne qui manquait, c'était déjà ça. J'étais au centre du salon et tous les hommes m'entouraient prêts à me sauter dessus dès le coup d'envoi du maître de maison. Baldonero s'approcha de moi, me pris ma coupe de champagne, la posa sur une table et me demandât comment je désirai que la soirée se passe. Je m'attendais à tout sauf à cela. Prise de cours, je me souviens avoir dit que c'était comme il voulait. Et là j'aurai du me taire. Il acquiesçât et me dit que comme je n'avais pas de préférence, ce serait lui qui déciderait. Il me prit par la main et me conduisit dans la chambre suivi par la meute. Puis il fit descendre la fermeture éclair de ma robe, la dégageât des épaules. Elle tombait à mes pieds me laissant en sous-vêtements de dentelles noire. Il s'éloignât en me regardant et me demandât de retirer tous ce que j'avais encore sur le dos. J'obéi et je me retrouvais nue et vulnérable. J'étais pas dans mes petits souliers comme dans des soirées où j'avais déjà participé. Je me doutais de ce qu'ils allaient me demander, mais j'étais loin du compte. Tout ce petit monde se rapprochât de moi, et commencèrent à me caresser, à pincer les pointes de mes seins, à pénétrer leurs doigts dans mes parties intimes. Un homme assis parterre et placé entre mes jambes ouvertes, essayait de faire pénétrer sa main dans mon vagin. J'étais sèche par cet assaut brutal et il me faisait mal. Il ne réussit pas et pour se venger, il pinçat violement mon clitoris. Pendant tout ce temps, je ne vis pas arriver derrière moi Baldonero, il me prit les mains derrière mon dos et je sentis aussitôt le métal froid de menottes. Je me débattis, mais c'était trop tard, j'étais immobilisée. Il appuya sur mes épaules m'obligeant à me mettre à genoux. Aussitôt tous les hommes émoustillés par le scénario me présentèrent leurs sexes tendus comme des arcs, . Tour à tour je les ai avalés. Il pesait derrière ma tête pour s'enfoncer le plus loin possible dans ma gorge. J'étouffais à plusieurs reprises, mais rien n'y faisait, ils continuaient à me forcer à les avaler. Aucun d'eux n'a joui. ce qui me désespérât car au moins ils auraient été moins en forme pour la suite. La séance a durer longtemps. j'avais mal à la mâchoire. Je sentais mon maquillage couler sur mes joues. Puis il arriva avec un bâillon, une boule qu'il me mis dans la bouche et munis d'une lanière qu'il m'attachât derrière le tête. Je commençais à paniquer. J'étais consentante, alors pourquoi m'attacher les mains et me bâillonner ? Qu'avait il derrière la tête ? La réponse arrivât très vite. Il m'obligèrent à me mettre en levrette la tête posée sur le bord du lit, puis je sentis qu'on m'écartait mon sexe et qu'on m'introduisait ce qui n'étais pas un sexe d'hommes mais un phallus dur et froid. Pourquoi ils ne me baisaient pas normalement. Ce sexe en plastique était énorme, il forçât pour le faire pénétrer, je m'étouffais dans mon bâillon, puis il entra d'un seul coup jusqu'au fond de mon vagin. Il le retirera pour le faire entrer de nouveau plusieurs fois en le faisant tourner sur lui même. Puis je sentis qu'il le présentait devant mon orifice le plus étroit. J'essayais de me relever mais ils me ternaient fermement. Il appuya dessus de toute ses forces et millimètres par millimètres je le sentis pénétrer en moi. J'essayais de me détendre le plus possible pour ne pas être déchirée et comme dans mon vagin je le sentis taper au fond de mes intestins. Le supplice dura on long momement puis ils le retira. Il se tourna vers moi et me dit : "Maintenant que tu est bien élargie on vas te baiser à plusieurs en même temps" et il ajouta :"tu vas voir tu vas aimer". J'étais prise au piège, je ne pouvais même pas prévenir John par le code que nous avions mis au point. Ils me portèrent sur le bord du lit, un homme se coucha sur le dos, les jambes dans le vide, ils me forcèrent à l'enfourcher pendant qu'un autre me pénétrait l'anus dilaté par le phallus en plastique. Mais ce n'était pas tout, celui qui me sodomisait se retira et forçant mon vagin retrouva son copain de jeu. J'en avais deux à la fois. Ils allaient et venaient de plus en plus fort quand je sentis le liquide chaud m'inonder. Il se retirèrent aussitôt remplacer par deux autres mais qui choisirent l'autre voie. Mon cul déjà dilaté par la première pénétration acceptât sans trop de mal ces deux sexes. La séance continua jusqu'à ce qu'ils se vident presque en même temps. La dizaine d'hommes présents se suivirent deux par deux en alternant mon cul et mon sexe. Sur l'écran de télé, étaient diffusées en direct les images de la caméra ce qui accentuait le côté porno de la soirée. Baldonéro n'avait pas encore participer, il attendait quoi ?. Il s'approcha de ma tête et me dis à l'oreille: "Maintenant on vas passer aux choses sérieuses". J'essayais de murmurer quelque chose dans mon bâillon, il me le retirât et me demandât de promettre de ne pas hurler. Je lui demandait d'aller dans la salle de bain, car j'étais inonder de leur sperme. Il acceptât mais sans me retirer les menottes. il me conduisit dans la douche, pris la pomme de douche ouvrit l'eau et me planta la douchette dans le vagin. J'ai retenu un cri de douleur, présageant qu'il serait encore plus sadique si je criais. Il en fit de même dans mon cul. Comment j'allais sortir des mains de ce monstre. Revenant dans le salon, j'en profitais pour lui demander une faveur, qu'il me fasse monter mon champagne préféré, prétextant qu'après ce que j'avais déjà enduré, je méritais bien ça. Ill eu un moment d'hésitation puis il me dit "si t'as soif il y a ce qu'il faut dans le bar" C'était foutu, il me ramena dans la chambre, un des hommes qui m'avait prise au début rebandait comme un âne, il se coucha sur le dos, ils me portèrent sur lui et pénétrât mon cul d'une seule poussée. J'étais sur lui son sexe enfoncé jusqu'à la garde, les jambes largement ouvertes, mon sexe ouvert près à recevoir un autre participant. Ils ne furent pas un, mais deux à pénétrer mon vagin. Je me sentais ouverte en deux, je commençais à avoir très mal. C'est après une temps plus long que la première fois qu'ils éjaculèrent au fond de moi. Un autre homme s'allongeât aussitôt sur le dos mais cette fois-ci il pénétrât mon vagin. Je fus prise de panique, présentant qu'ils allaient me sodomiser à deux, et c'est ce qu'il firent. J'allais crier quand Baldorero se mis devant moi me força la bouche en enfonçant son sexe dans ma gorge. J'avais quatre hommes en moi. Ils firent durer le plaisir le plus longtemps possible puis n'y tenant plus le premier à jouir fut mon bourreau qui me me tenat la tête, m'obligea à avaler tout le sperme qu'il déchargeait en longs spasmes de plaisir, puis les trois autres successivement. Je tombais sur le côté les mains toujours entravées, un homme se mit derrière moi et me sodomisât à son tour, puis un autre, puis un autre. Je les avait tous subis deux fois. Je ne savais pas depuis combien de temps je subissais leurs assauts mais je n'en pouvais plus, je regardais Baldonéro en le suppliant d'arrêter. Il fut pris d'un énorme rire, et me dit: "Quand on a la chance d'avoir à sa disposition une fille comme toi et en plus consentante pour participer à une soirée privée, il faut bien en profiter". Je le vis aller dans le salon et revenir avec un petit dictaphone, il l'approchât de mon oreille et j'ai entendu ce qu'il avait enregistré. Ce salaud avait enregistré la conversation lorsque je lui avait téléphoné pour accepter cette soirée. Je regardais autour de moi, comment faire pour me sortir de là. Une pendule sur un meuble marquait 1h. Ca faisait quatre heures qu'ils m'utilisaient à leurs guises. J'avais mal au ventre. Les hommes vidés pour la deuxième fois étaient déjà moins en forme et leurs sexes pendaient un peu lamentablement. C'était une bonne chose. Baldonero s'adressât à moi en me proposant une autre petite séance. Mais laquelle ? ils ne bandaient plus. Il s'absentât un moment, j'ai entendu une porte se refermer, et entrer dans la chambre trois hommes blacks. Je me sentis blêmir et presque tomber dans les pommes. Il s'adressa aux trois hommes en leur disant qu'ils pouvaient faire de moi ce qu'ils voulaient. Et puis me regardant dans les yeux à dix centimètres, il me dit : "Tu vas voir, tu te souviendras longtemps de cette soirée.". C'était sûr, j'allais certainement ne pas l'oublier. Si seulement John avait l'idée de venir voir si tout allait bien. Mais j'étais seule face à mes bourreaux. J'ai participée à de nombreuses soirées ou je me suis faite baiser de toute les façons, mais pas comme ça. Les trois blacks se déshabillèrent, et j'ai pu voir leurs sexes monstrueux. Je m'étais faite baiser et sodomiser par des blacks hyper montés, mais là ils battaient des records. Je présentais le pire, surtout s'ils décidaient de faire la même chose que leurs prédécesseurs. Le plus grand des trois pris un tube de gel, s'enduisit le sexe et s'approchât de moi, me détacha les menottes, ce qui m'a fait un bien fou, mais de courte durée. Il se mit derrière moi, me pris par la taille et s'assit sur le lit. Un des autres blacks m'écartât largement les jambes, puis il me leva sans effort et me déposa le cul sur son sexe raide et droit comme un I. Imaginer une batte de baseball, mais en taille XXL. Me tenant par les hanches, il me força à descendre inexorablement. Je ne pu réprimer un cri de douleur intense par ce sexe disproportionné qui pénétrait en moi. Les hommes qui regardaient ce spectacle recommençaient à bander, ils se masturbaient en pensant sans doute à ce qui allait suivre. La moitié de son sexe était en moi et il tapait au fond. Un deuxième black, son sexe dont le gland énorme bandait à fond s'approcha et sans aucun ménagement essaya de le faire entrer dans mon vagin. Mais là problème, la place prise par le premier ne permettait pas une deuxième pénétration. Il se releva et je vis s'enduire de gel et revenir à l'assaut et en appuyant de touts ses forces je le sentis me pénétrer, puis plus rien, je ne me souviens plus de ce qu'il c'est passé après. Le noir total. Quand je me suis réveillée, j'étais allongé sur le lit, John était à côté de moi. Mon sexe saignait et débordait de sperme, ils m'avaient déchirée. Je me sentais salie en espérant qu'aucun de tous les bourreaux ne m'aient contaminé. Il me regardait des larmes dans les yeux. Je regardais la pendule, il était quatre heures du matin. Je demandais à John ce qu'il s'était passé, il m'expliqua que pris d'un doute, il avait décidé de demander au concierge des renseignements sur la personne qui avait loué cette suite. Le concierge rétissant au départ fut plus loquace après un généreux pourboire, il lui dit ne pas connaître personnellement ce monsieur, la chambre avait été payée par carte par un certain R.Baldwin. Alors que quand John était venu pour louer à son tour une suite ou il devait m'attendre on lui avait donné le nom de Baldonéro. Commençant à comprendre que j'étais peut-être tombé dans un piège, il appela un de ses amis qui est procureur, il lui expliqua la situation en insistant sur l'urgence de l'affaire. Réveillé en plein sommeil il accepta de téléphoner à la Police, une demie heure plus tard, ils pénétraient dans la suite. Tout le monde fut emmené au poste de Police, et moi dans une clinique pour me faire recoudre. Ils ont emmené la caméra, John leur ayant demandé une copie de l'enregistrement. Nous avons appris le lendemain que ce fameux Baldoreno n'avait aucune responsabilité dans les autorisations d'ouvertures, qu'il travaillait bien dans ce service, et qu'il avait prétexté qu'après s'être présenté à la galerie pour faire l'état des lieux, en me voyant très sexy et connaissant le style d'oeuvres d'arts que je présentais, il s'était dit qu'une petite soirée avec des amis pourrait être sympa. En fait la véritéil était tout autre, Baldonero était en cheville avec R.Baldwin qui se faisait par ces soirées préméditées, une collection de vidéos sadiques. Un bon nombre de ces vidéos ont été trouvées à son domicile lors d'une perquisition. Mais les autres victimes n'ont pas eu la chance qu'on vienne les secourir avant la fin de ces soirées sadiques. Huit jours plus tard, remise de mes émotions et en forme, nous avons ouvert cette dernière galerie où était présent bon nombre de personnalités. Un mois plus tard j'ai reçu le résultat les tests, ils étaient négatifs. John avait récupéré la copie de la caméra, nous l'avons visionnée plusieurs jours plus tard. J'ai vu ce que les 3 Blacks m'avaient fait subir tour à tour et pendant un long moment, après avoir subi d'autres pénétrations par d'autres participants et après que je sois tombée dans les pommes, pas étonnant qu'ils m'aient déchiré, des beaux salauds sans scrupule. Dans d'autres circonstances j'aurai apprécier leurs sexes en moi, mais surement pas de cette façon. à suivre...
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Par : le 16/08/22
-Colonel Valeri, j'ai encore une mission spéciale pour vous. -S'il s'agit d'aller botter le cul des $$££#!! américains, des anglais et autres qui se battent en Ukraine, je suis toujours partant. Vous le savez bien. -Oui, c'est de cela dont il s'agit. Les Américains et les anglais bombardent la centrale de Zaporijia pour essayer de provoquer une catastrophe nucléaire. Ils pensent qu'ils ne risquent rien sur leur ile ou de l'autre coté de l'Atlantique. Les nuages radioactifs seront pour l'Europe. -on pourrait raser toutes les villes américaines et anglaises et couler tous leurs portes avions. Ils ne peuvent pas arrêter nos missiles hypersoniques. Le général Makarov rit de la boutade et sort une bouteille de Vodka. -Pour l'instant les ordres c'est de les laminer sous des déluges d'obus et de missiles et d'avancer doucement pour protéger nos hommes. Rien ne presse. Votre nouvelle mission c'est d'aller repérer des batteries étrangères à 50 km de Zaporijia et de les signaler. Nos missiles feront le reste. Ce qui va vous intéresser c'est qu'un ensemble de lance missiles est tenu par une générale US, Jennifer, gradée de Wespoint, une lesbienne pure, une folle qui oblige ses marines à pisser accroupis comme des gonzesses. C'est pour leur sécurité il parait. Pisser debout c'est faire de vous des cibles, qu'elle leur raconte. Voici ses photos. Elles vont vous plaire. -Pas mal du tout cette bouffeuse d'hamburgers et de chattes humides. Pas mal du tout. Elle doit avoir un cul bien serré. -Vous aller avoir l'occasion de vous la taper. Nous avons réussi à l'alpaguer avec la sublime Lena, notre agent spécial parmi les forces ukrainienne. Jennifer est devenue complètement folle de sa chatte blonde. Elle se la tape tous les soirs. Nous la tenons. -Da, entre des cuisses bien humides. Le général remet une enveloppe avec toutes les instructions au Colonel Valeri. Ils trinquent encore, avec une excellente Vodka. -A la Russie éternelle. -Au joli cul de cette $$$###! de jennifer. Avant il faut que je passe aux transmissions voir mon officier de liaison. Ils rient de bon cœur et trinquent encore. Le Colonel Valeri s'eclipse et file vers le bunker des transmissions retrouver la sublime Assya, une bombe sexuelle, blonde et bien galbée de partout avec des yeux de félin gris bleu avec des pointes d'émeraude. Il la trouve devant son ordi et des écrans. Il se glisse comme une ombre, l'empoigne par la crinière, la couche sur son bureau, la trousse et la sodomise d'un coup violent. Assaya hurle de douleur. Valeri n'en a que faire. il la pistonne comme un sauvage. A présent elle hurle de plaisir. On doit l'entendre dans tout le bunker. Valeri explose sa jouissance en elle. Il n'en a rien à foutre du plaisir d'Assya. De toute façon, les femmes russes sont comme des poêles en céramiques. Longues à chauffer et inarrétables ensuite. Quelle belle salope cette Assya. Elle en redemande encore et encore. Il faut être le colonel Valeri pour tenir la cadence avec cette championne nympho de l'armée russe. Assya ne le laisse qu'après l'avoir complètement vidé de tout son sperme et plus. Elle rajuste sa jupe et reprend son travail comme si rien n'était, redevenue plus froide qu'un glaçon de l'Arctique. -On fait comme d'hab. Allez file. Je vais prendre soin de toi. Veleri s'éclipse, sa grosse enveloppe à la main. Il va l'étudier dans sa cabine. Il est entrainé à tout mémoriser. aucune note. Il est heureux d'avoir Assya comme officier de liaison. C'est presque une partie de lui même. Elle ne fait jamais défaut dans cette guerre impitoyable du renseignement militaire. Ce que le Colonel Valeri adore c'est traverser les lignes ennemies comme une ombre. Le loup de l'Oural, c'est son surnom, est vraiment incroyable. Personne ne le voit, ne l'entend, pourtant lui observe tout et transmet tout à Assya qui fait le reste pour l'artillerie. Plus de 50 km parcourus, il se rapproche des lances missiles commandés par Jennifer. Cela l'amuse. Il adore prendre des risques et cela lui donne toujours une furieuse envie de baiser. Il contourne des postes de sentinelles, toutes américaines. Cela le fait sourire quand il pense à la propagande occidentale et à ses conneries sur le rôle défensif de l'otan, la non belligérance et j'en passe. Ils sont bien là et tirent bien sur l'armée russe avec le meilleur de leur technologie. Il repère le logement de Lena à l'intérieur du périmètre de défense des américains. Encore une sentinelle, une femme black superbe avec son fusil d'assaut sur la poitrine. La garde du corps de Jennifer probablement. Il en renifle la présence. Il neutralise cette sentinelle au couteau, sans le moindre état d'âme. De toute façon elle n'a rien senti avec sa lame noire plus coupante que le meilleur des rasoirs. Valeri arrive dans la chambre. Il trouve Jennifer en train défoncer la chatte de Lena qui couine au feeldoe. Un bon atemi derrière la nuque et Jennifer s'effondre ko. -Nous n'avons pas beaucoup de temps. Allons à la cave. Il soulève jennifer, qui pourtant fait bien son poids comme beaucoup d'américaines, comme si de rien n'était. A la cave il trouve de quoi l'attacher et la bâillonner. Quelques baffes suffisent pour la réveiller. Elle est tétanisée de peur. Elle se pisse dessus. C'est vrai que Valeri pue la mort. Elle sait qu'elle vit ses derniers instants. Valéri la retourne et la sodomise d'un coup. Le pire outrage pour une lesbienne. il lui remplit les fesses et la chatte de son sperme puis la neutralise pour toujours. Il remonte avec Lena dans la chambre. Là il ne fait pas semblant. il la bâillonne, la tabasse hard et l'attache. Puis il prend une latte en bois et lui marque bien son joli cul bombé. Il lui enfonce dans les fesses le feeldoe de Jennifer. Il essaie de bien maquiller pour faire croire à une agression par un détraqué sexuel. La survie de Lena en dépend. Il pose un baiser d'adieu sur son front et repart comme une ombre. Dans quelques heures l'alerte sera donnée et les ricains voudront couper les couilles du détraqué qui a liquidé leur générale. Il est temps de refranchir les lignes ennemies comme une ombre. Il transmet toutes les positions à Assya. les missiles russes ne tardent pas à faire un bon nettoyage. Cela lui donne du temps. Quelques jours plus tard il retrouve Assya dans son bunker. -Cela te dit quelques jours de permission avec moi en Crimée? La bombe sexuelle ne s'est pas faite prier. De toute façon elle dit toujours oui au Colonel Valeri. Elle aussi adore son job. La morale de cette histoire c'est que les hommes ne doivent pas pisser assis comme des gonzesses.
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Par : le 11/07/22
Vers 10 h, Summer dit : — On doit y aller, la petite travaille demain. Donc j'ai le choix, je suis soit une esclave, soit "la petite". On embrasse tout le monde, sauf les esclaves bien sûr : on n'embrasse pas un sex toy qu'on vient d'utiliser. J'ai déjà fait une comparaison du même genre mais j'aime l'idée... On va dans le parking. Je me doute qu'elles vont encore s'amuser à mes dépens... et ça ne manque pas : Sarah ouvre le coffre de sa voiture en disant : — C'est ta place, non ? Je m'y attendais. Je vais dans le coffre. Summer soupire et dit : — Elle est incapable de jouer, cette gamine ! Tout ce qu'elle arrive à faire, c'est jouer les martyrs. Allez, monte à l'arrière, pôv' petite. Et cesse de bouder. — Je ne boude pas, mais c'est violent de voyager dans un coffre, bâillonnée, pieds et poignets liés et puis d'être enfermée dans une cage. Je ne suis pas aussi courageuse que vous. Là, elles ne répondent rien. Ah si, Sarah me dit : — On t'a dit que c'était un jeu. Arrête de jouer les victimes... Summer ajoute : — D'autant que tu t'es bien amusée avec Steve et mulot... Aaah, Tex s'appelle Steve... Je préfère Tex. Summer ajoute : — Elle va bouder, mais subtilement, pas trop pour ne pas être punie, hein Ashley ? — Steve m'a dit que tu avais été quatre ans dans les Marines et Sarah dans les forces spéciales israéliennes. Moi, je viens de familles d'accueil. Alors, c'est facile pour vous de me terroriser. Voilà, je l'ai dit. Elles ne disent plus rien, peut-être pas fières de me tourmenter. Elles ne disent rien, mais... elles éclatent de rire. Quelles garces sans cœur ! Quand elles sont un peu calmées, Sarah me dit : — Tu veux voir ce que c'est, terroriser quelqu'un ? — Non, je vous en prie... Summer lui dit : — Raconte. — Quand j'étais à l'armée, on a voulu donner une leçon à une fille qui avait la langue trop longue avec les officiers. Une nuit, on l'a attachée et bâillonnée. Puis, on l'a amenée en haut d'un pont et on a enlevé son bâillon. Elle criait bien ! On a attaché un élastique autour de ses chevilles et on l'a balancée dans le vide. Une fille a crié : « Merde, on a oublié d'attacher l'élastique ». Putain ! Ce cri qu'elle a poussé, on se marrait comme des folles. Par la suite, elle a fermé sa gueule. Ça te dirait, petite ? — Si vous me faites ça, je meurs. Elles rient à nouveau ! Elles s'amusent bien avec moi. Elles continuent à se raconter leurs exploits. J'écoute plus leurs conneries. Sarah nous dépose au motel. Elle me dit : — Sors de la voiture et dis-moi qui je suis. Cette fille, c'est un démon femelle ! Je sors et me mets à genoux devant elle en disant : — Vous êtes ma Maîtresse. Oui, j'ai été conditionnée. C'est ce qu'elle voulait. On rentre au motel. Là, Summer prend la relève des blagues idiotes. Quand je reviens de la salle de bains, je me couche dans mon lit, je n'ai pas envie de dormir avec elle. Elle me dit : — Tu as bien regardé sous ton lit ? — ... Euh, non. — Il paraît qu'il y a une invasion d'araignées recluses. Trop drôle... mais aussi trop effrayant. La morsure de ces araignées laisse d'horribles cicatrices. Je lui dis : — Je peux venir dans ton lit ? — J'sais pas... — Steupléééé... — Allez, viens, mais moi je dors. Près d'elle, je ne crains rien, même les araignées en ont peur. ***   — Aïe ! Il est 6 h du matin et je suis réveillée par la méthode Summer : elle tire le drap et elle me donne une bonne claque sur les fesses en criant : — Il est 6 h, tu as une heure et demie pour apprendre ton texte ! Elle allume sa tablette et ne s'occupe plus de moi. Je vais me mettre de l'eau froide sur le visage. Ensuite, je prends mon texte et je l'apprends. Je sais bien que sans Summer et la crainte que j'ai d'elle, je n'apprendrais pas ce texte en 1 h et demie. À 7 h 30, elle me fait répéter, je n'ai oublié qu'une phrase. Je lui dis : — Je le saurai, je te jure. Je vais tout relire au maquillage. — J'espère. Bon, j'ai un boulot à faire. Tu vas seule au studio. Vas-y directement et ne parle pas aux inconnus. — Oui m'man. Elle m'embrasse sur le front et s'en va. Je m'habille et je sors. Quand j'arrive devant le studio, le garde me dit : — Vous êtes seule aujourd'hui, mademoiselle Ashley ? — Oui, je deviens une grande fille. — Une grande fille ravissante. Le l'aime bien, lui. Kim arrive et je l'embrasse. Je vais au maquillage et elle m'apporte un petit déjeuner. Ensuite, je vais chez le coiffeur et l'habilleuse qui me colle quelques voiles sur les fesses. Je continue à lire mon texte et ça va, je le connais. Quand je suis déguisée en reine d'Égypte, je vais au studio avec Kim. J'ai toujours un franc succès quand je circule d'un studio à l'autre, vêtue de quelques voiles et parée de bijoux. Lee Varella m'embrasse. Il est devenu... très amical. Mes partenaires m'embrassent aussi et tous ceux qui veulent, je suis une reine proche de son peuple. Bonne nouvelle, la "snipeuse" israélienne n'est pas là. J'en ai plus peur que de Summer. Je suis terrifiée par son histoire de saut à l'élastique de nuit ! Première scène, je suis couchée sur un canapé, une esclave m'évente à l'aide d'une palme, tandis qu'une autre me masse les pieds... Elles sont très peu vêtues. Je discute de l'avenir de l'Égypte avec mon frère et mon général en chef. Mon frère me dit : — Accepte les avances de César, il deviendra fou de toi... Il s'agit là de la scène normale. Monsieur Varella me dit : — Pour la version érotique, j'ai pensé... Il bloque. Je l'aide en disant : — Vous avez pensé que je devais être nue ? J'enlève mes quelques voiles. Il n'y a plus un bruit dans le studio, c'est ma nudité qui produit cet effet. Varella s'éclaircit la voix et il me dit : — J'ai pensé que... la reine a un besoin urgent et... une esclave apporte un récipient en or pour que la reine... euh... — Pisse dedans ? — Ouiii... — Eh bien voilà, pas de problème ! — Tu veux que je demande une équipe réduite ? — Ben non, pourquoi ? Bon... Je reprends la scène, mais nue cette fois-ci. À la fin du dialogue, je dis : — Une envie pressante, Messieurs. Lydia ! Un récipient ! Aussitôt, une esclave arrive avec un pot de chambre... ou plutôt un délicat récipient en or ou doré. Elle s'assied par terre et tient le récipient contre ses seins. Je m'accroupis en lui tournant le dos. Ce n'est pas très poli, mais c'est une esclave.   Ce qui est encore moins poli, c'est que je pisse en reculant, donc j'arrose un peu son visage. Je pousse pour bien vider ma royale vessie, et ça s'accompagne d'un petit bruit. Un peu gênant, sauf si vous êtes la reine d'Égypte et que vous faites ça dans le visage d'une esclave. Je me relève en lui disant : — Maladroite, tu as bougé, tu mérites d'être fouettée. Oui, c'est injuste, mais on est en 50 avant Jésus Christ. Je dis à l'autre esclave, celle qui est sèche : — Couche-toi par terre, sur le dos. Elle obéit aussitôt et je m'assieds sur son visage. Je me frotte sur elle pour me sécher... je suis bien comme ça... La fille va connaître mes pensées.  Je reprends mon texte : — Voilà, je me sens plus légère, alors Messieurs.... Quand la scène se termine, je me relève... Dommage, j'étais bien. Je regarde mon esclave-siège et, oui, elle vit toujours. J'ai des fesses, mais pas au point de tuer les gens en m'asseyant sur leur visage. Lee vient m'embrasser la main en disant : — Magnifique, Ashley. Je pisse sur le visage d'une esclave et je m'assieds sur le visage d'une autre et lui, il est ravi : facile, le cinéma. Ensuite, on repasse à la version convenable, c'est nettement moins marrant. Vers 1 h, on arrête pour aller manger. Lee Varella me dit : — Tu es vraiment très bonne, Ashley... Il me prend par le bras, on s'éloigne et il me dit nettement plus bas : — Est-ce qu'à l'occasion, tu pourrais refaire la scène de tout à l'heure... en petit comité ? Je te revaudrai ça... Par moment, j'ai l'air pas trop maligne comme lorsque j'ai peur des araignées sous mon lit, mais en fait, je suis beaucoup moins conne que j'en ai l'air. J'ai compris ce qu'il voulait, je lui réponds : — Vous aimez le champagne tiède, Monsieur ? — Ouiiii... — Demain matin, si vous voulez. Il embrasse ma main en disant : — Tu es un amour. J'ai entendu dire que Lee Varella était un grand amateur de pieds de filles... Il pourra aussi me sucer les orteils. On va manger. J'envoie un SMS à Monsieur Sam : "Pourrais-je vous voir 5 minutes." Trois minutes plus tard, j'ai la réponse : "Monte". Je montre le SMS de Monsieur Sam à Lee. Je vais l'appeler par son prénom. Pas besoin de faire des manières avec un Monsieur qui va s'abreuver à votre source... joli, non ? Je lui dis : — Je peux monter 5 minutes ? — Oui, bien sûr, Ashley. On est amis. Je dis à Kim : — Viens avec moi. — Oui Mademoiselle. Pas besoin de lui dire où on va : c'est mon assistante. Je suis toujours vêtue de mes voiles transparents. On va dans le grand building. Un garde me dit : — Monsieur Sam vous attend, Mademoiselle Ashley. Et vous êtes très belle en Cléopâtre. Je lui fais un grand sourire, je l'aime bien aussi, lui. On prend l'ascenseur extérieur transparent. Je me colle à Kim ! Surtout ne pas regarder le vide qui augmente sous nos pieds. Ouf ! On arrive saines et sauves au sommet du building, dans la forêt.  À suivre Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin. Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Par : le 08/07/22
Gange déversait son flot argenté dans le petit matin déjà chaud. Un héron prit son envol, dépassa les roselières des berges avant de plonger au cœur du fleuve sacré et d’y revenir un poisson au bec. Heureux de sa prise, l’oiseau s’apprêtait à engloutir le malheureux piscidé lorsque des cris et des lamentations venus de l’autre rive lui firent lâcher sa proie. Sur la berge d’en face, un noble cortège escortait la dépouille du Maharajah Abishek vers le bucher funéraire. Suivie de son aéropage de courtisans et de conspirateurs, la princesse Asha marchait fièrement derrière son défunt prince. En ce moment, elle n’écoutait ni les cris de douleurs des 36 pleureuses ni les conseils de l’ambassadeur anglais qui, servant les intérêts de la couronne, avait jugé bon de venir à la crémation. Lord Keningthon, d’ailleurs, ne voyait pas d’un mauvais œil le décès de ce jeune prince, mort en pleine nuit, dans le lit conjugal. Emporté, dépensier, il était jugé par ses paires comme par le peuple comme un homme superficiel qui aurait mené la région à sa perte. Pour l’heure, il convenait de compatir. Asha, à peine âgée de trente ans, aurait besoin de conseillers avisés pour administrer l’une des provinces agricoles les plus fertiles des indes. Keningthon, en était persuadé, sa carrière au service de sa Majesté, allait enfin décoller. Il jeta un regard compatissant sur la princesse nouvellement veuve. Elle était fière et marchait avec résolution vers le bucher. La foule s’était amassée pour partager la souffrance de cette femme. Tous voulaient voir leur nouvelle souveraine, elle était si jeune et si belle. Saurait elle gouverner la région sans avoir les mêmes travers que son mari ? Saurait elle refuser l’aide intéressée des anglais tout en coupant l’herbe sous le pied aux différentes factions religieuses ? A la fin de la prière, des fleurs furent jetées sur la barque funéraire de Rajyhv le prince abhorré. Contrairement aux usages, Asha se saisit du brandon que tenait le prêtre. Celui-ci se garda de protester mais un murmure parcourut la foule. Décidée, la princesse s’avança avec gravité vers le Gange. Elle se tourna vers la foule avec solennité avant de bouter le feu au vaisseau qui emmènerait son mari vers Shiva. Une ère nouvelle démarrait. 01 juillet 1922 Les hérons, dans le bassin du palais, se rafraichissaient à la recherche d’insectes. Le soleil, en pleine été, mordait les habitants, les bêtes et les cultures. Pourtant, depuis un an, la région prospérait. Un système d’irrigation assurait une eau abondante. Des dispensaires, négociés avec la couronne anglaise, partout se construisait mais la fierté de la princesse était d’avoir multiplié les écoles. Les filles, désormais, avaient non seulement le droit mais aussi l’obligation de se rendre chaque jour en classe. Asha voulait faire de sa région un modèle économique et social. Les hommes seraient occupés par les travaux des champs, la construction d’édifices publiques, l’assainissement des villes et des villages. Elle avait eu, au début de son règne, maille à partir avec une administration masculine peu encline à céder leurs privilèges mais d’habiles combinaisons politiques dont elle était la reine avaient écarté ses males dominants et paresseux hors des postes importants. Le peuple l’appréciait, elle le savait. Souvent, lors de ses visites, des enfants jetaient des pétales de roses sur son chemin. Les femmes la remerciaient, leurs rôles dans la société peu à peu évoluaient. Bien sûr, ces réformes en avaient froissé certains. Les communautés de fanatiques étaient traquées et leurs dirigeants effroyablement tués en place publique. Les nobles, les anglais, les fanatiques religieux perdaient leur influence dans cette région prospère à la population heureuse. Ainsi allaient les pensées d’Asha en cette chaude matinée. Aujourd’hui, pas de conseil, pas de réunion, pas d’inauguration, cette journée serait oisive. Destinée à elle seule. Elle sortit du lit et défit son sari. La soie épousa un instant ses seins, s’attarda sur ses hanches avant de tomber sur le parquet. Elle s’assit face à sa coiffeuse et énuméra mentalement le nom des parfums et des onguents alignés. Groseilles et jasmin, ambre et benjoin, poudre de coton, fleurs d’oranger, baume apaisant, khôl, maquillage venu de France défilaient sous les doigts de la délicate princesse. Son doigt s’arrêta sur un bocal noir qui prenait la poussière. Un bocal qu’elle n’avait pas eu à utiliser depuis un an. Un bocal qui avait libéré son peuple et fait d’elle la femme la plus puissante du Kerala et peut être même des Indes. Ce bocal quelconque, qu’elle époussetait en souriant, contenait de la poudre de digitales et de laurier. Deux puissants poisons qui avaient eu raison du cœur de son époux. Elle se contempla dans le miroir, agrandit son regard d’un trait de khôl avant de sonner un domestique. Un bruit mât retentit dans le couloir suivi quelques secondes plus tard par l’arrivée d’une jeune femme tremblante malgré la chaleur. Comme le protocole l’exigeait et pour des raisons évidentes de sécurité, elle se déshabilla à l’entrée de la pièce. Asha apprécia la jeune femme du regard, son corps frêle échappé de l’adolescence, son sage chignon maintenu par une pointe en os traduisait son appartenance à un village en bordure de la ville. « Comment t’appelles-tu ? » Dit doucement princesse pour rassurer cette jeune paysanne qu’on envoyait à la capitale pour trouver un complément de revenu. « Fraya » Chuchota celle dont le dos était recouvert de tatouages rituels. « Qui t’as fait ça ? » Lança la princesse en désignant les glyphes étranges qui marquaient la peau délicate de sa femme de chambre. « Des gens du village, des gens méchants » « Nous verrons cela plus tard, masse-moi le dos veux-tu. » La jeune fille contemplait les courbes de sa maitresse. Elle posa ses doigts sur la peau délicate et parfumée, glissa quelques gouttes d’huile dans le creux des épaules d’Asha qui l’invita à monter sur le lit. La princesse se doutait du trouble qu’elle suscitait mais préféra l’ignorer pour le moment. « D’habitude, c’est Aajay qui a ce privilège. C’est le plus merveilleux des eunuques qui soit, ses mains valent de l’or tu sais ». La jeune fille marqua un temps d’arrêt, un peu confuse puis se rattrapa. «Ajaay m’a fait dire qu’il ne pourrait pas venir maîtresse, il est au chevet de sa mère qui est gravement malade ». « Tu le remplaces à merveille Fraya » Elle plaça quelques gouttes d’huile entre ces fesses et demanda à sa servante de masser. « Je veux être parfaitement détendue » L’autre comprit ce que sa maîtresse attendait, tremblante d’excitation, elle écarta avec délicatesse les magnifiques lobes fessiers avant de masser sa princesse. Elle sentait les lèvres se détendre sous ses doigts, le clitoris doucement gonfler. Elle glissa un doigt dans le sexe humide puis entama un long vas et viens. La princesse écartait davantage les cuisses, son bassin remuait en quête de plaisir. Aussitôt Fraya enfourna un deuxième doigt dans les profondeurs parfumées d’Asha. Selon les principes du Kama Sutra, son pouce vint titiller l’anus brillant d’huile de massage. L’anneau rapidement s’ouvrit et se referma sur le pouce de celle qui n’était plus une simple servante ou une paysanne et qui devenait amante et concubine. Fraya cessa ses massages pour introduire sa langue dans le Yoni de sa maitresse. Sous ses habiles caresses, Asha sentit son sexe s’électriser puis fondre. Elle se cambra davantage pour permettre l’accès à son clitoris. Aussitôt, la féline Fraya pompa le dard érigé, sa langue aspirait le nectar qui s’écoulait de sa bienfaitrice. Elle sentait sa compagne proche de la jouissance, le moment était venu. Elle plaqua sa bouche sur le clitoris et l’embrassa avec volupté tandis que son majeur s’enfonçait profondément dans le cul d’Asha qui s’agrippa au lit, crispée, par une jouissance intense et fulgurante. Repue par le plaisir, l’esprit d’Asha vagabondait. Elle contemplait la pièce d’un regard brumeux, perdu de plaisir. Les cris des hérons, le bruit de l’eau, les croassements des grenouilles et le tumulte du palais se mélangeaient aux tapis, aux étoffes, aux parfums sur la coiffeuse. Fraya, toujours sur elle, défit son chignon, ses cheveux noirs de jais tombèrent sur ses frêles épaules. De la détermination s’affichait dans son regard lorsqu’elle brandit la broche en os acéré dans le dos de la princesse. Pour qui se prenait cette idiote, de quel droit pouvait-elle défier les Dieux et les coutumes ancestrales. Il fallait qu’elle paie. Elle voulut abattre le poignard entre les omoplates mais la princesse l’interrompit froidement. « Tu crois que je ne sais pas qui t’envoie ? Tu crois que je n’ai pas compris ? Le bruit dans le couloir, ce bruit sourd à peine masqué, c’était le corps d’Ajaay que tu venais d’assassiner, n’est-ce pas ? Et tes tremblements à ma vue provenaient non pas de ton trouble mais de la peur que tu eus en égorgeant cet homme ? » Fraya troublée par les déductions d’Asha ne vit pas partir le coup puissant que la princesse lui asséna au visage. Quand elle se réveilla, elle était enchainée dans un sombre cachot. Chapitre 2 Le 02 juillet 1922 Le regard d’Asha embrassait la cour de son palais, les artisans s’activaient en contrebas, un dais immense se dresserait dans les jardins d’ici quelques jours. Sur une estrade, une femme au sari vaporeux dansait autour d’un cracheur de feu. La saltimbanque, d’une rare beauté, semblait planer aux sons d’un joueur de veena, sorte de guitare indienne. Ses poignets et chevilles portaient des clochettes de cuivres qui rythmaient la représentation. L’ensemble onirique hypnotisait quelques paysans venus discuter le prix de moutons, de poulets et d’autres victuailles qui seraient dégustés lors d’un important gala réunissant l’ensemble des protagonistes de la région. Il fallait afficher sa puissance et sa prospérité sans en faire trop. Il fallait faire en sorte que chaque convive apprécie les mets qu’il avait dans l’assiette car un bon repas fait souvent mieux passer les réformes qu’une armée de diplomates. Les plans de la princesse s’affinaient mais une ombre passa sur ce regard qu’on pourrait croire d’une infinie douceur. Il lui fallait trouver deux nouveaux domestiques pour remplacer Fraya et le pauvre Aajay. Elle sonna un domestique et reçut quelques minutes plus tard son plus fidèle guerrier, Padmahdar. La montagne de muscles, comme l’appelaient ses détracteurs, pénétra dans le bureau, se prosterna aux pieds de sa maitresse. Asha sourit, elle savait que ce noble guerrier, loin d’être une simple machine à tuer, était un brillant stratège et un homme de cœur. A la façon prolongée qu’il avait de rester à genoux, à son regard peut être également, elle devinait qu’il lui portait un amour profond et sincère. Elle le fit relever et l’invita à s’assoir. « Aujourd’hui Aajar est mort, sa meurtrière croupit dans les geôles du palais ». Elle connaissait bien Padmahar et pouvait voir sous ses traits impassibles bouillir le désir de laver l’offense faites à sa princesse. Elle prit les devant comme pour le rassurer. « Ne t’inquiète pas, Je punirai personnellement la coupable. En revanche, je te charge de me trouver deux nouveaux domestiques. Une jeune femme et un jeune homme. Je les veux en bonne santé, apeurés et reconnaissants » Dit celle qui tournait autour de la chaise de son guerrier l’obligeant ainsi à la chercher du regard. Délicatement, elle se plaça derrière la chaise et lui susurra à l’oreille ce à quoi étaient destinés les nouveaux domestiques. L’impassible guerrier rougit visiblement troublé par les paroles d’Asha qui affichait un sourire étrange. L’entretien se porta ensuite sur l’intendance puis les préparatifs du sommet où siègeraient les anglais, les principales factions du Kérala ainsi que quelques religieux dont certains s’étaient élevé contre les lois affirmant la liberté des femmes. Une fois Padmahar congédié, Asha se changea. Habillée de cuir, elle descendit dans les profondeurs du palais. Ceux qui la croisèrent ce jour-là purent voir cette femme aux formes envoutantes, réputée pour sa bienveillance, afficher un regard sombre et déterminé. Elle ne tint aucun compte des supplications des prisonniers de droits communs qui essayaient, en vain, de l’apitoyer. Son parcours la menait plus bas encore, dans les tréfonds du palais, dans un endroit oublié de tous, un endroit sombre, un endroit humide où nul homme ne méritait de séjourner. Arrivée devant une porte blindée mangée par la rouille, elle décrocha un lourd fouet d’une patère proche. Le châtiment allait débuter. Elle ouvrit la porte du garde mangé et appela ses enfants. Il ne restait à la famille de Sunita qu’un maigre sac de riz et quelques fruits secs pour tenir jusqu’à la fin du mois. Agée de quarante ans mais en paraissant soixante, la cheffe de famille n’arrivait plus à subvenir aux besoins de ses 5 enfants. Les réformes de la nouvelle princesse allaient dans le bon sens. Scolariser les filles, astreindre les hommes aux tâches agraires et à l’artisanat bénéficiaient aux femmes. Elles pourraient, une fois éduquées, revendiquer les plus hautes fonctions administratives, entrer dans le négoce et pourquoi pas à la avec la compagnie des Indes. Mais, pour le moment, Sunita voyait surtout ces changements de façon négative. Mira sa fille de 25 ans pouvait déjà travailler mais Arya et Neela âgées de 10 et 13 ans ne pourraient plus aider aux champs. Si l’éducation était nécessaire, elle prenait du temps. Temps dont la mère de famille ne disposait plus. Elle fit part aux ainés de ses soucis et tous cherchèrent une solution pour pouvoir passer ce mois difficile. On vendrait quelques meubles. On braderait l’uniforme et le sabre de Samkar, le père tué lors d’un conflit avec les sectateurs de Kali. En rationnant encore davantage, on passerait probablement la fin du mois. Mira soupira, elle savait que dans un mois, les ennuis les rattraperaient. Une idée traversa son esprit empli de tristesse. Elle avait une décision à prendre, elle n’avait que trop tardé. Une fois le conseil familial passé, elle se rendit directement dans le quartier le plus mal famé de Kochi. On murmurait que, là-bas, l’air était empoisonné par le vice des habitants. Des pactes avec les démons étaient scellés dans le plus grand des secrets et que les sacrifices humains étaient monnaie courante. La garde, elle-même, n’osait y mettre les pieds. Discrète, Mira gagna pourtant une taverne qu’elle connaissait de réputation. Elle avait choisi de donner son corps pour les besoins de sa famille. Mais la pauvre n’eut pas le temps de rentrer dans l’établissement sordide. Un homme immense s’avança vers elle. Il portait une mante dont l’ombre masquait le haut du visage. Elle chercha à s’enfuir dans le labyrinthe des ruelles mais chaque fois, l’homme apparaissait au loin. Prise de panique, elle s’enfonça dans le dédale de ce quartier formé de bric et de broc lorsqu’une main puissante lui saisit le poignet. « Que cherches tu par ici ? » L’interrogea l’homme qui, sous sa cape, portait le coutelas de la garde princière. « Laissez-moi. Vous avez très bien ce que je fais ici » Lança Mira les yeux pleins de colère. L’homme, la regarda plus calmement. Elle était gracieuse, s’exprimait bien pour une fille du peuple. Au lieu de lâcher sa prise, il la serra un peu plus fort. « J’ai besoin d’argent…Ma famille doit se nourrir…Lâcher moi monsieur, je ferai tout ce que vous désirez ». Touché, Padmahar répondit que les raisons qui le poussait à fréquenter ce quartier étaient secrètes. Il recherchait des domestiques pour la princesse Asha afin de la servir en toutes circonstances. Cela impliquait, hélas, qu’elle ne verrait plus jamais sa famille mais qu’une somme mensuelle serait allouée pour permettre à ses frères et sœurs de vivre honorablement. Asha était sur le point d’accepter lorsque son frère sortit d’une ruelle adjacente. La crainte l’avait poussé à suivre sa sœur puis la peur s’était emparée de lui lorsqu’il vit cet homme à la musculature imposante empoigner sa sœur. N’ayant pour arme que sa colère, il courut droit vers Padmahar qui ne semblait pas vouloir bouger. Au moment de l’impact, le militaire esquiva le jeune homme qui s’effondra dans un amas de caisses et de détritus. D’un geste rapide le chef des gardes assomma le jeune homme à l’aide du pommeau de son coutelas. Refusant de se calmer, Mira se mit alors à crier alertant quelques mendiants qui erraient en quête de nourriture. Padmahar n’eut qu’à monter son arme pour faire détaler les curieux. Il attacha Mira et son frère avant de les bâillonner et de les hisser dans une charrette. Pour lui, la journée n’avait pas si mal commencé.
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Par : le 04/07/22
Samedi 25 juin, je déambulai seul, au hasard, dans les rues de Rambouillet. Mon ami m'avait planté, à la dernière minute, dans cette fête de la musique bruyante et colorée. Maudissant les pitoyables excuses de mon ancien camarade d'université, je fis contre mauvaise fortune bon coeur et décidai de flâner d'un groupe de musiciens à l'autre. La gaieté d'un jazz manouche côtoyait des nappes de synthé new wave d'adolescents depressifs sortis du lycée. Plus loin, une bière à la main, je me laissai porter par quelques notes de Blue lorsqu'une batucada assourdissante vint disperser ma mélancolie et le petit attroupement nous formions. Fuyant cette agression auditive, je me repliais sur une placette, une sorte de renfoncement qui donnait sur un joli palais au nom napoléonien. Là, de jeunes artistes réinterprètaient des standards de la scène française. Brel en reggae, Brassens revisité à la guitare électrique, Gainsbourg en accoustique attiraient un public de plus en plus important. L'ambiance nacquit devant moi. On dansait, on reprenait quelques refrains connus, les rires se propageaint, la bonne humeur se faisait contagieuse. Un peu esseulé dans cette foule complice, j'allai au bar le plus proche commander un verre. C'est là que je la vis, pour la première fois, juste derrière moi.Elle était là, juste derrière moi, ses longs cheveux bruns cascadait sur ses épaules nues et venaient s'enrouler sur une rose écarlate qu'elle avait tatoué sur sa peau bronzée. Je me retournai, le plus discrètement possible au passage de mon inconnue. vêtue de nuit, elle portait un bustier sombre où s'entrelaçaient des motifs complexes ainsi qu'un pantalon de cuir qui mettait en valeur ses hanches superbes. Conscient du trouble que me procurait cette vision trop parfaite, je baissai aussitôt les yeux conscient. Une beauté sauvage et vénéneuse ne pouvait s'intéresser à moi, elle devait avoir une foule de prétendants plus jeunes, plus beaux à la conversation bien plus passionnante. Contre toute attente, elle posa son regard dans le mien, ses lèvres pulpeuses esquissèrent un sourire et émirent des paroles que je ne parvins pas, sur le coup, à comprendre. J'étais happé, je plongeais dans l'abyme sombre de ses prunelles et imaginai, naïvement, m'y noyer tel le marin en contemplant les sirènes. Les lèvres d'un rouge profond remuèrent encore me sortant de ma rêverie. "Ton sac est ouvert" dit elle en s'approchant davantage. "Oh pardon" bredouillai je en le refermant maladroitement avant de laisser ma place au bar. Regagnant la scène, je me remémorai le parfum de la belle. Des notes florales lourdes, capiteuses constituaient une essence qui ne me laissa pas indifférent. Cette effluve subtile devait imprégner chaque partie de son corps, se perdre dans sa chevelure, s'épanouir sur ses seins. "Pouvez pas faire attention?!" Pris par la foule, un ado venait de me donner une bourrade renversant à demi mon gobelet de bière. le jeune maugréa un début d'excuse avant de s'éclipser, anonyme, dans la foule. J'épongeai comme je pus ma main mouillé et vis la mystérieuse inconnue me sourire. Maladroit, je lui renvoyai une moue dépitée mais la brune était passé à autre chose et entamai quelques pas de danses aussi subtiles que maitrisés. Je m'en voulus aussitôt d'être aussi timide. Si j'avais su surpasser ce défaut, je l'aurai abordé, peut être même aurai je même entamé quelques pas de danse pour briser la glace. Mais, accablé par une récente rupture, délaissé par les copains, j'avais, à l'époque, assez peu confiance en mes capacités de séducteur. Entrainé par l'ambiance, je "suivais le groupe" applaudissant et chantant aux reprises de "la bombe humaine" et de "l été indien". Parfois, je lançai un regard discret vers celle qui avait réveillé en moi cette envie que je croyais disparue et à chaque fois, il me semblai qu'elle aussi me fixait. Ses regards, loin d'être rieurs, étaient longs, insistants, presque intimidants. J'étais troublé. Comment cette femme splendide et hautaine pouvait jeter son dévolu sur quelqu'un comme moi, ou plutôt, quelqu'un d'aussi insignifiant que moi. Esprit cartésien, je mis mes visions sur le compte de la bière, de la fatigue et de mon imagination. Je passai la soirée à ignorer celle qui bientôt changerait ma vie. Vers minuit, le groupe nous salua et acheva son tour de chant par mistral gagnant. Tandis que les derniers projecteurs s'éteignaient, l'odeur enivrante du parfum de la belle me fit me retourner. Elle était là, face à moi et me dominait par sa taille et son regard. Sans un mot, elle me prit par la main et m'entraina entre les groupes de badauds. Nous gagnâmes la rue principale, laissâmes le passage fleuri derrière nous pour entrer dans une cours pavée. La sombre inconnue libéra son étreinte tandis qu'une fille en tenue de soirée pailletée regagnait son logis. J'étais seul dans cette cours pavée éclairée par la pleine lune. Celle qui m'avait amené là avait disparu derrière une porte à l'étage. Je compris que je devais prendre cette ultime décision moi même. Je la suivi. Les escaliers gravis, je perçus des cris étouffés provenant de cet ancien corps de ferme bâti à la renaissance. Je montai les marches, intrigué, et franchit la porte entrouverte. Face à moi, la belle inconnue languissait dans un canapé tendu de velours rouge. Des bougies disposées sur les meubles et la table basse éclairaient faiblement le salon renforçant le côté irréel de la scène. Peut-être en était-ce un? Si tel était le cas, je devais en profiter car même les plus beaux rêves ont une fin. J'affichai un sourire séducteur et me dirigeai vers la belle qui, maintenant se caressait langoureusement de ses mains gantées de noir. Enfin j'arrivai face à l'égérie de mon rêve, celle-ci me toisait d'un regard dur, presque carnassier. Décontenancé, je rougis. je sentais que ma place n'aurait pas dû être ici. J'allais bredouiller une quelconque excuse ou me pincer très fort pour revenir à la réalité lorsqu'une main puissante m'agrippa pour me faire une clé de bras. La poigne était si forte et la douleur si vive que je tombai à genoux. "Attache-le solidement mais ne l'abîme pas trop, nous aurons encore besoin de lui" lâcha mon inconnue d'une voix cassante à l'homme de main derrière mon dos occupé maintenant à me menotter. "Tu es vraiment trop naïf toi. Comment crois tu qu'une femme de mon importance puisse s'enticher d'un type aussi quelconque" railla t elle avant de m'ordonner de lécher ses bottes. Comme je refusai, l'homme derrière moi plaque ma bouche contre le cuir récemment ciré. Je ne voyais plus ma tortionnaire mais devinais qu'elle se délectait de cette soumission forcée. "Ta mère ne t'a -t- elle jamais dit de ne jamais suivre les inconnues?" poursuivit celle qui serait bientôt ma maitresse. Servilement je tendis ma langue et vint lécher le haut de ses bottes. Curieusement, je sentais mon bas ventre réagir à cette situation humiliante. Mon sexe se dressait et tendait vigoureusement la toile de mon jean. J'étais perdu. "Tu m'appelleras Madame désormais; tu ne mérites pas de connaître mon prénom et encore moins mon nom. Tu seras désormais mon esclave, ma bonniche où ce dont je jugerai bon". Joignant le geste à la parole, elle me tendit les semelles à nettoyer. Comme je m'y refusais, l'homme derrière moi me plaqua au sol et "Madame" écrasa ma joue de ses bottes. Une jeune femme entra alors dans la pièce. La coupe à la garçonne, la jeune femme ne devait pas avoir plus de 20 ans. Elle était nue ou presque, De fines lanières de cuir soulignaient les formes parfaites de la nymphette, un collier et des piercings sur ses aréoles témoignaient de sa servitude. Elle disposa un plateau avec une coupe de champagne et divers instruments à portée de la maîtresse des lieux. Je voulus protester, prendre la jeune fille à témoin mais celle-ci prit un air résigné face à mes protestations tandis que l'homme de main derrière moi me tirait par les cheveux pour me faire lever la tête. Ma bouche fut forcée et Madame y plaça une balle de latex rouge. "A ta nouvelle condition!" lança-t-elle tandis que mes protestations se perdaient, grotesques, assourdies par le baillon. Pendant ce temps, je réalisai, stupéfait, que l'on découpait mes vêtements. Enquelques secondes je fus nu et commençais ma nouvelle existence. Celle que je devais maintenant vénérer se saisit d'un objet sur le plateau d'argent apporté par sa servante. Il s'agissait d'un martinet tressé de cuir noir et rouge. L'objet, qu'elle soupesait dans sa main, semblait particulièrement lourd. Je voulus me relever pour protester mais les mains fermes de type derrière moi me maintenirent au sol. Là, sans raison aucune, une pluie de coups me cingla le corps. Affalé par terre, la tête plaquée au sol par le pied de l'homme de main, je ne distinguai que les bottes de celle qui tournait autour de moi et me tannait la peau. Parfois, le martinet tournoyait et venait meurtrir mes fesses, d'autrefois, des frappes puissantes s'abattaient sur mes cuisses et mon dos. Le supplice sembla durer des heures, les larmes me montaient aux yeux sans que mes tortionnaires ne manifestent de la pitié. Brutalement, la punition prit fin. Je restai sans pouvoir bouger affalé sur le sol. J'imaginais les morsures des lanières de cuir qui boursoufflaient horriblement mes chairs. Je sentais la douleur et la chaleur sourdre des plaies. Anéanti, je me laissai passer un collier autour du cou, une cagoule de cuir ainsi que des bracelets de cuir aux chevilles et aux pieds. J'étais plongé dans le noir, à la mercie de ce trio étrange et pervers mais je savais que protester était vain. il fallait que j'attende la fin de ce mauvais rêve. Mes pensées furent interrompues par Madame qui tirait sur ma laisse. Je tatonnai dans les ténèbres de ma cagoule vers le canapé jusqu'à ce qu'elle me saisisse la tête pour la plaquer sur sa chatte épilée. "Lèche moi et fait ça bien sinon..." Elle ne termina pas sa phrase et joignit le geste à la parole. une badine déchira l'air et vin met s'abattre sur mon dos. Ma langue vint lapper les grandes lèvres de Madame qui poussa un soupir d'aise. Elle mouillait déjà abondamment. A croire que les supplices qu'elle m'imposait lui donnaient du plaisir... J'appliquai de longues caresses profondes et m'imprégnai de l'odeur enivrante de ma nouvelle propriétaire. Je pouvais sentir les mouvements larges du bassin sur le canapé, je percevais les cris contenus prémices de la jouissance. La moindre caresse sur son clitoris pouvait la faire jouir. Je pompai cette tige dressée lorsqu'un mouvement de la laisse me projeta en arrière. "Sonia, viens ici". Des talons claquèrent sur le parquet tandis que la jolie garçonne s'approchait. "Il ne mérite pas de me faire jouir, n'est ce pas?" "Non Madame" dit Sonia de la voix la plus neutre possible. "Et pourquoi donc ma petite" répliqua faussement ingénue celle qui m'avait privé de son nectar. "Parce que ce n'est qu'une petite salope, Madame. Un trou à bites qui ne rêve que d'être tringlé." poursuivit Sonia sur le même ton. "C'est vrai Sonia, tu as raison, ils sont tous les mêmes" se plaignit Madame. "Sébastien approche et t'assieds toi." Il s'exécuta et vint auprès de maitresse déjà assaillie par les coups de langue de Sonia. Elle plaque ma bouche sur le sexe mou de l'homme de main. Comme je refusai de le prendre en bouche, elle me cingla de nouveau le dos. Mes lèvres roulaient du sexe aux couilles. Il se servait de ma tête pour se branler. Lorsque sa queue fut de bonne taille, il me plaça un bâillon qui me maintenait la bouche ouverte puis vint engouffrer sa queue en moi. Il me forçait littéralement et se servait de ma bouche comme d'une chatte. Ses mains guidaient ma tête en impulsant des mouvements de vas et viens puissants. Sa bite grossissait sous ma langue, son odeur forte me dégoûtait. Lorsque je finis par m'étrangler sous les coups de butoir, Madame rit franchement. 'Cette petite traînée manque d'expérience mais elle semble t'exciter. Sonia, öte lui sa cagoule, il faut qu'il voit comment aimer une femme". La lumière tamisée des bougies éclairait Madame. A demie étendue sur un lit à baldaquin, non loin du canapé, elle prenait en main la queue de Sébastien. Le sexe énorme, au gland démesuré, tenait à peine dans les mains de celle qui le dirigeait vers sa chatte. Vicieusement, Sonia me conduisit devant le couple. J'étais à quelques centimètres du coît et pouvait voir le pieu de chair pénétrer profondément ma perverse tortionnaire. Elle poussa un long feulement de satisfaction avant de frapper d'une cravache les fesses musclés de l'Apollon. La cadence des coups imprimait le rythme voulu par ma domina. De là où j'étais, je pouvais voir son sexe se distendre, se dilater de plaisir et de mouille. Je pouvais voir les efforts crispés de Seb pour ne pas jouir dans cette chatte tant désirée. Je pouvais voir le plaisir des deux monter. Soudain, Madame se cambra et lacéra violemment le dos de son partenaire. Son emprise se figea, ses yeux se perdirent au loin. Ses ongles constituaient maintenant les seuls points d'amarrage à la réalité. Madame était loin, sur les rivages de la jouissance. En quelques assauts Seb partit dans un râle viril. Ils restèrent ainsi un moment, arrimés l'un à l'autre, partageant un sentiment que je ne connaîtrai sans doute jamais. Puis, lentement, ils se désunirent. Sonia accompagna le colosse culturiste à la salle de bain tandis que je restai agenouillé face à Madame et sa perversité. "Approche et embrasse-moi" dit-elle, sensuelle. Je lui donnai un baiser sur ses lèvres pulpeuses puis un autre dans le cou, sur les joues. Je retrouvai avec plaisir le parfum de notre rencontre. Un parfum suave et capiteux qui m'avait littéralement hypnotisé. Sa main traîna à proximité. J'embrassais sa paume avec dévotion, je baisais chaque doigt avec douceur. Je suivais de mes lèvres le trajet de sa main, je m'attardai sur ses seins aux tétons dressés par l'amour, mes lèvres descendirent dans le creux de son ventre pour y découvrir un piercing au nombril. Enfin, Madame me prit délicatement par les cheveux et m'indiqua son entrejambe.Un filet blanchâtre de sperme et de mouille s'écoulait paresseusement sur les draps souillés. "Maintenant, lèche salope" ordonna-t-elle sèchement.
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Par : le 04/07/22
Samedi 25 juin, je déambulai seul, au hasard, dans les rues de Rambouillet. Mon ami m'avait planté, à la dernière minute, dans cette fête de la musique bruyante et colorée. Maudissant les pitoyables excuses de mon ancien camarade d'université, je fis contre mauvaise fortune bon coeur et décidai de flâner d'un groupe de musiciens à l'autre. La gaieté d'un jazz manouche côtoyait des nappes de synthé new wave d'adolescents depressifs sortis du lycée. Plus loin, une bière à la main, je me laissai porter par quelques notes de Blue lorsqu'une batucada assourdissante vint disperser ma mélancolie et le petit attroupement nous formions. Fuyant cette agression auditive, je me repliais sur une placette, une sorte de renfoncement qui donnait sur un joli palais au nom napoléonien. Là, de jeunes artistes réinterprètaient des standards de la scène française. Brel en reggae, Brassens revisité à la guitare électrique, Gainsbourg en accoustique attiraient un public de plus en plus important. L'ambiance nacquit devant moi. On dansait, on reprenait quelques refrains connus, les rires se propageaint, la bonne humeur se faisait contagieuse. Un peu esseulé dans cette foule complice, j'allai au bar le plus proche commander un verre. C'est là que je la vis, pour la première fois, juste derrière moi.Les escaliers gravis, je perçus des cris étouffés provenant de cet ancien corps de ferme bâti à la renaissance. Je montai les marches, intrigué, et franchit la porte entrouverte. Face à moi, la belle inconnue languissait dans un canapé tendu de velours rouge. Des bougies disposées sur les meubles et la table basse éclairaient faiblement le salon renforçant le côté irréel de la scène. Peut-être en était-ce un? Si tel était le cas, je devais en profiter car même les plus beaux rêves ont une fin. J'affichai un sourire séducteur et me dirigeai vers la belle qui, maintenant se caressait langoureusement de ses mains gantées de noir. Enfin j'arrivai face à l'égérie de mon rêve, celle-ci me toisait d'un regard dur, presque carnassier. Décontenancé, je rougis. je sentais que ma place n'aurait pas dû être ici. J'allais bredouiller une quelconque excuse ou me pincer très fort pour revenir à la réalité lorsqu'une main puissante m'agrippa pour me faire une clé de bras. La poigne était si forte et la douleur si vive que je tombai à genoux. "Attache-le solidement mais ne l'abîme pas trop, nous aurons encore besoin de lui" lâcha mon inconnue d'une voix cassante à l'homme de main derrière mon dos occupé maintenant à me menotter. "Tu es vraiment trop naïf toi. Comment crois tu qu'une femme de mon importance puisse s'enticher d'un type aussi quelconque" railla t elle avant de m'ordonner de lécher ses bottes. Comme je refusai, l'homme derrière moi plaque ma bouche contre le cuir récemment ciré. Je ne voyais plus ma tortionnaire mais devinais qu'elle se délectait de cette soumission forcée. "Ta mère ne t'a -t- elle jamais dit de ne jamais suivre les inconnues?" poursuivit celle qui serait bientôt ma maitresse. Servilement je tendis ma langue et vint lécher le haut de ses bottes. Curieusement, je sentais mon bas ventre réagir à cette situation humiliante. Mon sexe se dressait et tendait vigoureusement la toile de mon jean. J'étais perdu. "Tu m'appelleras Madame désormais; tu ne mérites pas de connaître mon prénom et encore moins mon nom. Tu seras désormais mon esclave, ma bonniche où ce dont je jugerai bon". Joignant le geste à la parole, elle me tendit les semelles à nettoyer. Comme je m'y refusais, l'homme derrière moi me plaqua au sol et "Madame" écrasa ma joue de ses bottes. Une jeune femme entra alors dans la pièce. La coupe à la garçonne, la jeune femme ne devait pas avoir plus de 20 ans. Elle était nue ou presque, De fines lanières de cuir soulignaient les formes parfaites de la nymphette, un collier et des piercings sur ses aréoles témoignaient de sa servitude. Elle disposa un plateau avec une coupe de champagne et divers instruments à portée de la maîtresse des lieux. Je voulus protester, prendre la jeune fille à témoin mais celle-ci prit un air résigné face à mes protestations tandis que l'homme de main derrière moi me tirait par les cheveux pour me faire lever la tête. Ma bouche fut forcée et Madame y plaça une balle de latex rouge. "A ta nouvelle condition!" lança-t-elle tandis que mes protestations se perdaient, grotesques, assourdies par le baillon. Pendant ce temps, je réalisai, stupéfait, que l'on découpait mes vêtements. Enquelques secondes je fus nu et commençais ma nouvelle existence. Celle que je devais maintenant vénérer se saisit d'un objet sur le plateau d'argent apporté par sa servante. Il s'agissait d'un martinet tressé de cuir noir et rouge. L'objet, qu'elle soupesait dans sa main, semblait particulièrement lourd. Je voulus me relever pour protester mais les mains fermes de type derrière moi me maintenirent au sol. Là, sans raison aucune, une pluie de coups me cingla le corps. Affalé par terre, la tête plaquée au sol par le pied de l'homme de main, je ne distinguai que les bottes de celle qui tournait autour de moi et me tannait la peau. Parfois, le martinet tournoyait et venait meurtrir mes fesses, d'autrefois, des frappes puissantes s'abattaient sur mes cuisses et mon dos. Le supplice sembla durer des heures, les larmes me montaient aux yeux sans que mes tortionnaires ne manifestent de la pitié. Brutalement, la punition prit fin. Je restai sans pouvoir bouger affalé sur le sol. J'imaginais les morsures des lanières de cuir qui boursoufflaient horriblement mes chairs. Je sentais la douleur et la chaleur sourdre des plaies. Anéanti, je me laissai passer un collier autour du cou, une cagoule de cuir ainsi que des bracelets de cuir aux chevilles et aux pieds. J'étais plongé dans le noir, à la mercie de ce trio étrange et pervers mais je savais que protester était vain. il fallait que j'attende la fin de ce mauvais rêve. Mes pensées furent interrompues par Madame qui tirait sur ma laisse. Je tatonnai dans les ténèbres de ma cagoule vers le canapé jusqu'à ce qu'elle me saisisse la tête pour la plaquer sur sa chatte épilée. "Lèche moi et fait ça bien sinon..." Elle ne termina pas sa phrase et joignit le geste à la parole. une badine déchira l'air et vin met s'abattre sur mon dos. Ma langue vint lapper les grandes lèvres de Madame qui poussa un soupir d'aise. Elle mouillait déjà abondamment. A croire que les supplices qu'elle m'imposait lui donnaient du plaisir... J'appliquai de longues caresses profondes et m'imprégnai de l'odeur enivrante de ma nouvelle propriétaire. Je pouvais sentir les mouvements larges du bassin sur le canapé, je percevais les cris contenus prémices de la jouissance. La moindre caresse sur son clitoris pouvait la faire jouir. Je pompai cette tige dressée lorsqu'un mouvement de la laisse me projeta en arrière. "Sonia, viens ici". Des talons claquèrent sur le parquet tandis que la jolie garçonne s'approchait. "Il ne mérite pas de me faire jouir, n'est ce pas?" "Non Madame" dit Sonia de la voix la plus neutre possible. "Et pourquoi donc ma petite" répliqua faussement ingénue celle qui m'avait privé de son nectar. "Parce que ce n'est qu'une petite salope, Madame. Un trou à bites qui ne rêve que d'être tringlé." poursuivit Sonia sur le même ton. "C'est vrai Sonia, tu as raison, ils sont tous les mêmes" se plaignit Madame. "Sébastien approche et t'assieds toi." Il s'exécuta et vint auprès de maitresse déjà assaillie par les coups de langue de Sonia. Elle plaque ma bouche sur le sexe mou de l'homme de main. Comme je refusai de le prendre en bouche, elle me cingla de nouveau le dos. Mes lèvres roulaient du sexe aux couilles. Il se servait de ma tête pour se branler. Lorsque sa queue fut de bonne taille, il me plaça un bâillon qui me maintenait la bouche ouverte puis vint engouffrer sa queue en moi. Il me forçait littéralement et se servait de ma bouche comme d'une chatte. Ses mains guidaient ma tête en impulsant des mouvements de vas et viens puissants. Sa bite grossissait sous ma langue, son odeur forte me dégoûtait. Lorsque je finis par m'étrangler sous les coups de butoir, Madame rit franchement. 'Cette petite traînée manque d'expérience mais elle semble t'exciter. Sonia, öte lui sa cagoule, il faut qu'il voit comment aimer une femme". La lumière tamisée des bougies éclairait Madame. A demie étendue sur un lit à baldaquin, non loin du canapé, elle prenait en main la queue de Sébastien. Le sexe énorme, au gland démesuré, tenait à peine dans les mains de celle qui le dirigeait vers sa chatte. Vicieusement, Sonia me conduisit devant le couple. J'étais à quelques centimètres du coît et pouvait voir le pieu de chair pénétrer profondément ma perverse tortionnaire. Elle poussa un long feulement de satisfaction avant de frapper d'une cravache les fesses musclés de l'Apollon. La cadence des coups imprimait le rythme voulu par ma domina. De là où j'étais, je pouvais voir son sexe se distendre, se dilater de plaisir et de mouille. Je pouvais voir les efforts crispés de Seb pour ne pas jouir dans cette chatte tant désirée. Je pouvais voir le plaisir des deux monter. Soudain, Madame se cambra et lacéra violemment le dos de son partenaire. Son emprise se figea, ses yeux se perdirent au loin. Ses ongles constituaient maintenant les seuls points d'amarrage à la réalité. Madame était loin, sur les rivages de la jouissance. En quelques assauts Seb partit dans un râle viril. Ils restèrent ainsi un moment, arrimés l'un à l'autre, partageant un sentiment que je ne connaîtrai sans doute jamais. Puis, lentement, ils se désunirent. Sonia accompagna le colosse culturiste à la salle de bain tandis que je restai agenouillé face à Madame et sa perversité. "Approche et embrasse-moi" dit-elle, sensuelle. Je lui donnai un baiser sur ses lèvres pulpeuses puis un autre dans le cou, sur les joues. Je retrouvai avec plaisir le parfum de notre rencontre. Un parfum suave et capiteux qui m'avait littéralement hypnotisé. Sa main traîna à proximité. J'embrassais sa paume avec dévotion, je baisais chaque doigt avec douceur. Je suivais de mes lèvres le trajet de sa main, je m'attardai sur ses seins aux tétons dressés par l'amour, mes lèvres descendirent dans le creux de son ventre pour y découvrir un piercing au nombril. Enfin, Madame me prit délicatement par les cheveux et m'indiqua son entrejambe.Un filet blanchâtre de sperme et de mouille s'écoulait paresseusement sur les draps souillés. "Maintenant, lèche salope" ordonna-t-elle sèchement.
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Par : le 30/06/22
On va dans le parking et ces garces ouvrent le coffre d'une voiture. Les hommes me mettent dedans, tandis que Sarah me dit : — Sois sage. La voiture démarre. Je suis attachée et bâillonnée dans le noir. Je panique, mais bien ! Une pensée un tout petit peu rassurante tourne en boucle dans ma tête : demain, je dois jouer Cléopâtre. Impossible qu'elles me vendent pour de vrai ! On est dans la voiture de Sarah et elle roule vite, je suis secouée dans ce coffre. On roule un bon moment, tandis que je récite mon mantra : elles ne vont pas me vendre – je tourne un film. Enfin, on s'arrête et les deux femmes me sortent du coffre. Je reconnais le parking du "Slave Paradise". C'est une sale blague, c'est tout. On coupe les cordes qui lient mes chevilles et Summer me dit : — Marche derrière nous. Elles se dirigent vers l'ascenseur. Je ne bouge pas. Elle ajoute : — Faut qu'on trouve un fouet. Je vais vite me mettre derrière elles. On prend l'ascenseur. À l'accueil, quelques gardes nous attendent en souriant. Comment on dit encore ? Un coup monté, voilà, c'est ça. Et ils jouent tous, les rats. Un homme dit : — Bravo les filles, vous l'avez rattrapée. N'importe quoi ! Je suis un cocktail : 50 % de trouille, 50 % de rage ! Elles me le paieront ! Avec les mains attachées dans le dos, si je tombe, je me casse le nez. On va dans le hangar où des dizaines de filles sont enfermées dans des cages. Maintenant, c'est 75 % de trouille. Summer me dit : — J'espère que tu te souviens des positions que doit prendre une esclave. Un garde défait les liens de mes poignets et arrache le morceau de tape que j'ai sur la bouche. Un autre avec qui on a mangé à Venice arrive, armé d'un fouet. Ils sont une dizaine devant moi. Le garde fait claquer son fouet en disant : — Position 1, esclave. J'écarte les jambes et je me cambre les mains dans la nuque. Le fouet claque. — Position 2. Je ne sais plus ce que c'est, mais je me mets à genoux, puis je pose mon front sur mes mains. Le fouet claque et le garde dit : — Debout et saute. Je me relève et sautille. — Plus haut, esclave ! Je saute bien cinq minutes, tandis qu'ils rigolent en regardant mes seins et mes fesses danser. Claquement de fouet et cri du garde : — Stop ! Je suis en nage. Cette garce de Sarah va encore dire que je sens la sueur. Summer dit : — Mesdames et Messieurs, ce soir, on vend une esclave un peu défraîchie, mais à un tout petit prix. Qui la veut ? Un garde dit : — 50 cents ! Ça monte jusqu'à 5 $. Summer dit : — Adjugée à Mademoiselle Sarah. Esclave, va aux pieds de ta maîtresse. Le fouet claque et je cours me mettre à genoux. Le garde crie : — Mieux que ça. Je me baisse et j'embrasse les chevilles de Sarah. M'en fous de faire ça, moi !  Elle me dit : — Tu as quelque chose à me dire, esclave. — Oui maîtresse, votre esclave attend vos ordres. Elle me tend la main, je l'embrasse. Les gardes rigolent et applaudissent. Sarah leur dit : — J'ai pas envie de la prendre ce soir. Vous pourriez me la garder jusque demain, les gars ? Un garde répond : — Oui, bien sûr. Les cages sont pleines, mais les filles n'auront qu’à se serrer. C'est un jeu de rôle ! Un garde me prend par une oreille. Je crie et je le suis jusqu'à une cage,  courbée en deux. Il sort une grosse clé, ouvre la porte et me pousse contre les autres filles. Il y a déjà 10 filles dans cette cage et elles ont vraiment besoin de déodorant. J'entends Summer dire : — Pour vous remercier, Sarah et moi, on vous invite à un barbecue sur la plage. Homards grillés, T-bone steak, gâteau au chocolat, bière et tequila. Les gars sont ravis. Je me suis assise contre les barreaux, les jambes repliées contre la poitrine. C'est un jeu de rôle !! Le Texan, qui m'a... emmenée dans les toilettes du restaurant dit : — Il faudrait des esclaves pour nous servir. — C'est vrai. Le garde qui a la clé ouvre la porte et désigne des filles en disant : — Vous deux, dehors. Sarah crie : — Prend aussi Ashley. Il me dit : — Va vite aux pieds de ta Maîtresse ! Je bondis hors de la cage... et je vais me mettre à nouveau genoux devant Sarah qui me regarde en souriant. C'est un jeu de rôle !  Je suis nue comme les deux autres filles, mais moi, je ne suis pas marquée et demain, je serai la vedette du film. Un garde nous montre ce qu'on doit prendre : des frigos portables, des boîtes de gâteaux, des bouteilles. À trois, on porte les provisions et on va vers la plage. C'est lourd... J'aime pas faire l'esclave, mais alors, pas du tout ! Même si c'est un jeu. Quand est-ce qu'une des filles va dire "Pouce, le jeu de rôles est fini, tu redeviens la future star d'Hollywood" ? Dans peu de temps, j'en suis sûre... En attendant, je suis nue et je fais le service. Les gardes allument le feu en dessous de la grille. Les deux filles cuisent la viande et les homards, pendant que moi, je sers à boire, bière, tequila... J'allume des cigarettes... Ils ont tous quelque chose à demander et pas gentiment, genre "Et ma bière ? Tu dors ?" C'est un jeu... À un moment, je prends mon courage à deux mains et je vais me mettre à genoux devant "ma maîtresse". Elle est à côté de Summer et elles parlent. J'attends qu'elle me regarde et je lui dis : — J'ai compris la leçon. Je vous obéirai. S'il vous plaît, je voudrais arrêter le jeu. Elle se tourne vers Summer en disant : — T'en penses ? — On dirait qu'elle a compris. On peut arrêter. Ouf !! Je leur dis : — Merci. Vous voulez bien enlever le collier, s'il vous plaît. Summer le fait. Il n'était pas fermé à clé. Elle me dit : — Pas plus de deux bières pour toi, sinon tu passes la nuit en cage. — Oui Summer. J'appelle une esclave et je lui dis : — Apporte-moi une bière. Trois minutes plus tard, elle me la tend en s'inclinant. Je la bois en 3 fois... J'avais trop soif... Ensuite, je m'assieds dans le sable. Faut que je récupère... En fait, je n'ai pas envie de m'amuser... Je ne suis pas obligée, je ne suis pas une esclave. Je trouve que les gardes ont trop bien joué le jeu. Il y en a un qui aurait pu me faire un clin d'œil, genre "c'est un jeu". Non, tous des sales rats. Sauf, peut être le beau Texan qui est arrivé à la fin du "jeu". Il vient s'asseoir à côté de moi et me tend une assiette avec un grand morceau de tarte aux noix de pecan. J'adore ça, mais je réponds : — Non merci. Il murmure : — C'est une sale blague qu'elles t'ont faite, mais change d'humeur, sinon Summer va te faire passer la nuit dans une cage. Il met son bras autour de mes épaules et là, je craque, je mets mon visage dans son cou et je pleure mais en faisant le moins de bruit possible. La nuit est tombée et personne ne va remarquer que je pleure. Enfin, presque personne, parce que Summer, qui est occupée de se faire baiser par un garde, dit bien fort : — Y a un bébé ? J'entends pleurer. Pas besoin de chercher quelque chose à répondre, parce que, malgré mes larmes, Tex m'embrasse sur la bouche... Oui, ça dégénère, dans le bon sens du terme. Une des deux esclaves suce un garde. Tex appelle l'autre : — Mulot, viens lécher la demoiselle. Hé oui, ils donnent des noms amusants aux esclaves. Mulot bondit, se met entre mes jambes et colle sa bouche à ma chatte. Tex me dit : — Tu veux que je la fouette pour la stimuler ? — Euh, non... ça va... Impossible de dire que mulot ne fait pas ça bien ! J'ai l'impression que ma chatte est dans une machine à laver, qui la fait tourner, l'essore, la malaxe... C'est trop bien, je vais battre le record du monde de l'orgasme le plus rapide. Sale mulot, je vais le faire fouetter pour lui apprendre à lécher trop bien... Aïe, ça, c'est la goutte de sécrétion qui fait déborder le vase ! Quelques minutes plus tard, je grimpe aux rideaux de la nuit... C'est une image... Sarah dit : — Vous entendez ? On dirait que le bébé ne pleure plus, il a l'air très content. M'en fous de ce qu'elle dit. Je me sens un peu apaisée, enfin....Tex me prend contre lui... Je lui dis : — Tu es le seul gentil. — Ce jeu, c'est pour que tu acceptes l'autorité de Sarah. Je réponds tout bas : — Ce sont des sales garces. — Ce sont des dures, Sarah a fait son service militaire dans les forces spéciales en Israël et Summer a été 5 ans dans les Marines... — Tu connais bien Sarah ? — On se connaît tous. Il m'embrasse. Je lui dirais bien, "Mais Monsieur, je ne connais même pas votre vrai prénom. Qu'est-ce que vous me faites ?" Mais bon, quand on s'est fait tirer dans les chiottes par un Monsieur, difficile après de jouer, les oies blanches effarouchées... J'appelle Mulot pour qu'elle me serve d'oreiller. Tex se couche sur moi et aussitôt, je lève les jambes et mes chevilles se croisent sur ses reins. Son gland humide vient flairer ma chatte qui devient encore plus humide. Oh putain ! Je suis plus chaude que les braises qui ont servi à faire griller les homards. Ensuite, je chante... enfin, les paroles ne sont pas très originales, c'est "oh oui... oh c'est bon... oui... défonce-moi, oooohhhh..." Summer dit : — Y a le bébé qui reprend son pied. Mais, qu'elle change de disque ! M'en fous d'elle. Je regrimpe aux rideaux... en enfonçant le plus profondément Tex en moi... Il arrose mes petits organes intimes ravis de cette douche tiède... Quand je le relâche, après quelques minutes, il se me à côté de moi et crie : — Mulot ! — Oui Maître. — Nettoie la demoiselle... Elle colle à nouveau la bouche à ma chatte et aspire le cocktail de mes sécrétions et du sperme de Tex.   À suivre Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins. Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 30/06/22
BDSM La sodomie du soumis et de l’esclave Il existe mille façons pour une Maîtresse de prendre son soumis ou son esclave, de l’enculer, de le sodomiser.   Il peut s’agir d’une punition ou au contraire d’un moment de plaisir partagé, d’une sorte de récompense pour le soumis, parfois aussi, mais, dans un cas comme dans l’autre, c’est surtout le moment privilégié durant lequel la Maîtresse va symboliquement affirmer son pouvoir sur le soumis : elle devient le mâle, lui devient une femelle. 1. Les milles et un visages de la sodomie   Les hommes soumis commencent très souvent leur éducation à la sodomie en portant un plug anal dont la taille augmente généralement avec le temps. La durée de port change, elle aussi, en fonction des ordre de la Maîtresse. A ce stade, pour la Maîtresse, il s’agit avant tout de préparer au mieux l’orifice qui va bientôt l’accueillir, pour le soumis de s’habituer à être pris et à sentir physiquement la Maîtresse en lui. Certaines Dominatrices préfèrent conserver le « petit cul » de leur soumis bien serré et n’abusent donc pas des plugs, d’autres au contraire ont pour objectif de faire avaler à leur soumis des godes ou des strap-on de plus en plus gros et utilisent les plugs (parfois gonflables). On entre alors dans une dimension plus punitive de la sodomie puisque ces pratiques extrêmes font mal et ne constituent jamais une source de plaisir, sauf pour les soumis les plus masochistes. Une fois, l’orifice préparé, la Maîtresse dispose de dizaines de façon de prendre son soumis. A l’aide d’un gode ou d'un gode-ceinture, en levrette ou face à face, par elle-même ou en ordonnant au soumis de s’enculer sous ses yeux. Elle peut le prendre habillée ou nue, lui ordonner de baisser simplement son pantalon et le prendre directement sur la table du salon ou, au contraire, entourer la sodomie de rituels préétablis. Elle peut enfin, tout à loisir, ordonner au soumis de couiner quand elle l’encule ou au contraire lui intimer de se taire ou même le bâillonner. C’est l’imagination et la symbolique que la Maîtresse veut donner à cette pratique qui sont les chefs-d’orchestre de la « cérémonie », chaque Dominatrice et chaque soumis a donc sa propre expérience de ce rituel incontournable des rapports D/s. Les milliers de vidéos disponibles sur Internet montrent à ceux qui auraient envie de pratiquer la sodomie, toute l’étendue des possibilités, il n’est donc pas nécessaire, et surtout impossible;-)  d’en dresser ici le catalogue exhaustif. 2. Une symbolique essentielle Certaines Maîtresses – rares – refusent de sodomiser leurs soumis, elles n’y prennent pas de plaisir, mais dans l’immense majorité des rapports D/s la sodomie provoque un plaisir partagé par la Maîtresse et par le soumis. Il existe bien d’autre pratiques SM dans lequel le plaisir est tout aussi partagé mais aucune d’entre elles – si l’on excepte les punitions – ne porte en elle une telle charge symbolique. Dans l’acte d’enculer le soumis, toute la volonté dominatrice de la Maîtresse s’exprime puisqu’elle va lui permettre de renverser complètement les codes hétérosexuels classiques où l’homme pénètre la femme. Ici c’est l’inverse qui se produit, et cela explique que le soumis en train de se faire sodomisé soit souvent traité de « salope » ou de « chienne » par sa Maîtresse, puisqu’il lui offre son cul comme le ferait une femme à un homme, dans un rapport sexuel « classique ». C’est aussi la raison qui explique que les préparatifs de la sodomie soient fréquemment ritualisés : Le soumis est très souvent obligé de fixer le gode-ceinture sur sa Maîtresse et de sucer sa queue avant d’être pris, puis de présenter convenablement son cul  : à poil, épaules à terre, cul bien relevé, jambes écartées – afin qu’elle puisse s’introduire en lui plus facilement. Être symboliquement cantonné au rôle habituellement tenu par la femme dans l’acte hétérosexuel et aiment être sodomisés, pour la plupart d’entre eux, ne signifie pourtant pas que les soumis libèrent ainsi un désir homosexuel refoulé. Ce peut-être le cas parfois, bien entendu, mais pour l’immense majorité des hommes soumis être sodomisé ne peut se concevoir que si c’est leur Maîtresse, ou une autre Dominatrice, qui le fait. 3. Le sort particulier de l’esclave Dans leur immense majorité, soumis comme esclaves connaissent donc les joies de la sodomie, toutefois le sort réservé aux esclaves gynarchiques diffère parfois profondément de celui – plus enviable – que les Maîtresses réservent aux « simples » soumis. Comme dans toutes relation D/s, la sexualité de l’homme est réorientée vers la satisfaction du plaisir féminin, mais dans la relation gynarchique cette réorientation est souvent beaucoup plus radicale que dans une relation SM ou D/s moins élaborée. Dans ce cadre, la sodomie pratiqué par les Dominatrices gynarchistes peut avoir plusieurs finalités. Réalisée le plus souvent , elle permet de signifier à l’esclave que dans l’acte de sodomie seule la Maîtresse est autorisée à prendre du plaisir. Lui n’a pas d’autre droit que d’offrir convenablement son cul et très souvent il n’est même pas autorisé à couiner. Une fois le travail de dressage totalement achevé, la Maîtresse gynarchique n’aura aucun mal à faire accepter à son esclave de se faire sodomiser par un ou plusieurs autres hommes , l’amenant progressivement à une bisexualité forcée.
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Par : le 22/06/22
Je m'avancai vers Prune qui tortillait son cul de façon obscène. A la portée de ses fesses dodues, je m'agenouillai pour les couvrir de baisers et de caresses mais ceci ne fut pas du gout de Madame K. Le fouet vibra dans l'air et s'abattit sur mon dos. Une fois, deux fois, trois fois, la douleur intense me fit plier le genou, ma tête plongea bien malgré moi entre les fesses de la plantureuse servante. Aussitôt une main ferme appuya ma tête contre le fessier rebondi. "Je te paye pour m'obéir, tu comprends" Je voulus répondre mais mes paroles étaient étouffées par les doux vallons de celle que j'aurai du rosser de coups. Madame renforça son étreinte et m'ordonna de lécher la raie de la prisonnière. Je résistai quelques secondes mais compris que ma tortionnaire me privait peu à peu d'oxygène. Mon nez, ma bouche s'imprégnait des odeurs de la domestique, des odeurs de transpiration, des odeurs de jouissances et d'autres encore plus subtiles. "Met la langue maintenant. Lubrifie bien son conduit." Nouveau refus et de nouveau cette privation d'oxygène. je n'avais plus d'autre choix que d'obeïr. Ma langue pénétra comme dans du beurre dans ce conduit déjà dilaté. Prune gémit tandis que je tournai et aspirai son cul sous les recommandations de Madame. Je sentis alors les chairs autour de moi se contracter, La belle blonde se crispa avant de jouir abondamment sur le gode enfoncé en elle. Maitresse me fit m'agenouiller et me donna le gode à sucer. Il était chaud, odorant, j'avais l'impression moi aussi d'être une trainée soumise en acceptant cette nouvelle humiliation. "Embrasse la maintenant' m'ordonna Madame d'un sourire pervers. Nos lèvres s'approchèrent, je lisai dans les yeux de celle que j'embrassai le manque de sommeil, les humiliations successives des derniers jours et je devinai, par dessus tout, son corps fatigué d'avoir tant souffert et tant joui. Nos langues s'apprivoisèrent et entamèrent un ballet langoureux mêlée de salive à l'odeur de cyprine. Un coup d'œil sur ma droite confirma mes plus sombres pensées. Madame avait installé un trépied et une caméra, elle filmait la scène avec délectation. "Les films amateurs rapportent énormément sur internet, cela aidera à payer les frais de la propriété...continuez." Elle revint vers nous masquée d'un loup de dentelle qui ajoutait encore à son charme. D'un geste brusque, elle se saisit d'un sein de Prune toujours à cheval sur son arçon. Elle caressa un téton puis l'autre jusqu'à ce que les 2 framboises se raidissent. Puis elle y fixa deux pinces fines reliées à des câbles. je voulus protester mais par lâcheté sans doute me laissait faire lorsqu'elle entoura ma verge et mes couilles d'un anneau de plastique reliés au même réseaux électrique. "Encule ce gros cul, tu en as tellement envie" Comme je tardai, elle appuya sur un boitier, une décharge électrique intense parcourut ma verge et les seins de la domestique. Maitresse ne put s'empêcher de rire en voyant notre surprise. Elle m'enfila un préservatif retardant, prit mon sexe en main et l'introduisit au bord de la rondelle palpitante. Une dernière décharge m'invita à tringler la bonne. Je limai son cul déjà bien ouvert appliquant les conseils de Madame. "Avec un cul si large, je suis sur qu'elle pourra accueillir ceci" dit Madame en se fixant un impressionnant gode ceinture fuschia. Lorsqu'elle jugea la jeune fille bien distendue, elle me poussa sans ménagement et appliqua ce membre surhumain à l'entrée du trou déjà béant. Prune gémit de douleur lorsque le membre viril s'enfonça en elle mais ces cris furent vite masqués par ma queue qui forçait sa bouche. Un plaisir bestial s'emparait de moi tandis que je faisais suffoquer la jeune femme mais le préservatif lubrifiée de crème anesthésiante entravait mon plaisir. La jouissance ne m'était pas permise. Prune prise par devant et derrière ne tarda pas à jouir une nouvelle fois. Elle émettait des cris de plaisir semblable à des jappements que Madame fit cesser en nous envoyant de puissantes décharges électriques. Victorieuse, elle sortit l'immense sexe maculé et força les lèvres de Prune contrainte de subir une énième humiliation. L'engin "nettoyé" elle enchaina l'infortunée jeune femme dans un coin de l'écurie. Une litière paillée comme unique couchage. Madame fixait maintenant Sonia des yeux. Attachée sur une croix de saint André, la pauvre essayait vainement de se débattre. Son regard se tourna vers moi et se fit implorant. J'aurai dû agir mais ma volonté fondait devant la détermination de notre geôlière. Madame s'approcha de Sonia et la toisa d'un regard malsain. Puis, elle prit deux gros élastiques qu'elle plaça à la base des seins la domestique. La pauvre la suppliait des yeux, un filet de bave coulait misérablement de ses lèvres closes par un baillon de latex. Maitresse se détourna de sa victime quelques instants pour aller farfouiller dans un box. Moi, je restais à genoux, impuissant, incapble de réagir aux muettes suppliques de la prisonnière. Quand notre hôte revint, elle avait dans ses mains gantées une botte de paille. Avec perversion, elle regardait les seins de Sonia gorgés de sang. Les tétons mordus par les lèvres métalliques de puissantes pinces viraient maintenant au violet. "Approche" m'intima celle qui quelques minutes plus tôt m'avait fixé au cou un collier de cuir munis d'une laisse. "Le BDSM doit mêler plaisir et souffrance. Si la victime prend trop de plaisir, la tension sexuelle diminue et si la douleur prend le pas sur le plaisir, cela s'apparente plus à de la torture. L'art d'une maitresse et de trouver l'équilibre fragile entre les 2 faces de cette discipline.Je vais battre cette truie lubrique avec cette botte de paille. Vois tu, ses seins sont gorgés de sang, réceptifs à la moindre caresse, à la moindre douleur." Sonia remua fébrilement sur sa croix lorsque Madame chatouilla les aréoles boursouflés par les pinces. On pouvait lire un cruel sourire s'esquisser sur les lèvres de notre tortionnaire lorsque Sonia poussa un cri rauque assourdi par le bâillon. "Approche simon et vient bouffer la chatte de cette salope, regarde comme elle mouille" Je m'agenouillai et vis l'abondante cyprine ruisseler sur les cuisses de la domestique. Je glissai ma langue entre les grandes lèvres pour avaler ce nectar à la source lorsque Madame asséna sur les seins meurtris les premiers coups avec la botte de foin. Sonia ruait, essayait par tous les moyens de se soustraire à l'implacable châtiment mais ces dérobades semblaient accentuer la perversité de Madame. "Cale lui le bassin et continue de la brouter, si tu ne l'as pas fait jouir dans les prochaines minutes, il t'en cuira." Je m'appliquai à maintenir ma partenaire d'infortune en lui pompant le clito. Maitresse, de son côté, alternait griffures et baisers les tétons de la jolie garçonne qui prenait maintenant plaisir à cette double caresse. Sans prévenir, Madame retira les pinces qui entravaient ses mamelles. Le sang afflua massivement provoquant une vive douleur au moment même où elle jouit. Sous les ordres de maitresse, je détachait la jeune esclave pour la déposer sur un matelas crasseux. Maitresse m'ordonna de la tringler avec force. J'avais 5 minutes pour jouir après quoi, mon sexe retournerait dans sa cage. Aussitôt, je pénétrai le sexe chaud de Sonia. vaincu par tant de perversité, elle poussa un léger gémissement lorsque je lui fis relever les jambes pour que mon sexe vienne buter au fond de sa grotte humide. Puis je la ramonai d'abord lentement puis plus vigoureusement. Il fallait que je jouisse, Madame chronométrait. Mais le préservatif retardant anesthésiait complètement ma queue. "1 minute" lança Madame Je m'activai plus que jamais, mes couilles claquaient avec frénésie le pubis de la domestique languide. J'étais au bord de la jouissance quand Madame annonça avec satisfaction la fin du temps imparti. "Tu n'es qu'un bon à rien" me dit-elle en contemplant ma queue encore raide. "Tu es incapble de jouir avec une femme..." Elle fixa mon collier à un anneau puis amena Sonia dans un box voisin. "Tu t'occuperas des domestiques, tu me les remettras d'aplomb, elles doivent encore servir cette semaine..." lâcha Madame mystérieusement. Pour le moment, couche toi. Je m'executai croyant pouvoir profiter des faveurs de Madame. Après tout, j'avais obéi scrupuleusement à ses ordres. je me laissai menotter au sommier et lorsqu'elle banda mes yeux, je crus que le moment tant attendu arriverait. Madame avait retiré le préservatif et me branlait langoureusement. Ma queue, peu à peu, retrouvait des sensations. Puis tout cessa. Mon sexe sous l'effet du viagra quémandait encore quelques caresses, quelques minutes pour pouvoir libérer ses tensions. Soudain, quelque chose vint se fixer à ma verge. Puis un bruit mécanique et ma queue fut aspirée par une trayeuse. Madame me retira le bandeau des yeux pour que je puisse voir le spectacle. "Je reviens dans une heure pour te remettre sous cage" susurra-t-elle. "Toi qui voulais jouir, te voilà servi".
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Par : le 21/06/22
Au 'chômage depuis un moment, je voyais le marché de l'emploi se refermer peu à peu. Les aides déjà s'amenuisaient et la perspective du RSA n'avait rien de réjouissant. Il n'est pas si facile de trouver un boulot en passant de l'autre côté de la rue pour un presque quarantenaire dont les jobs consistaient essentiellement à traduire des notices d'appareils ménagers domestiques et à cachetonner dans les piano bars. L'arrivée des traducteurs en ligne avait définitivement mis fin à ma carrière de traducteur et les bars en cette période de COVID ne recrutaient plus. Bref, je ramais depuis un moment regardant l'argent fondre de mon compte en banque comme l'ours blanc regarde la banquise fondre sous lui. Sans véritable attache familiale, sans véritable ami, trop fier pour demander de l'aide, je restai enfermé chez moi par cet été caniculaire. Les journée étaient rythmées par des recherches sur pôle emploi et le visionnage de films pornos. Si ces sites étaient payants, j'aurais sans doute été ruiné depuis bien longtemps. Sur un forum dédié à la recherche d'emploi, une annonce un peu étrange attira mon regard. "Recherche valet pour entretien de notre demeure "Cette personne devra effectuer des tâches ménagères, de jardinage et d'intendance "Elle aura la possibilité de distraire Madame "La maîtrise du piano serait un plus "Le savoir vivre, la discrétion ne sont pas une formule mais une règle que le postulant devra appliquer avec la plus grande fermeté "La propriétaire assure le gîte et le couvert ainsi qu'un salaire d'un montant de 1900 euros brut par mois (primes non incluses) "Contacter Madame K pour tous renseignements au "56 chemin du Petit Parc Rambouillet, Domaine Les chasseressesannonce était pour le moins bizarre, le ton employé avec le mot "fermeté", la "possibilité de distraire Madame", tout cela faisait vraiment très 19ème siècle. Je souriais intérieurement en imaginant une vieille rombière pleine de principes. Le genre de vieil maudissant à l'époque actuelle tout en regardant avec tendresse la photo de son défunt mari. La fin du message confirma ma première impression. il n'y avait pas de téléphone, juste une adresse où postuler. Peut être cela valait il la peine d'essayer. Le domaine des "chasseresses" offrait un bon salaire et sûrement pas mal de temps libre. L'idée de quitter Paris, de me rapprocher de la nature m'avait traversé l'esprit en cette période de confinement. Coincé sous les combles, mon logis devenait par cette chaleur un vrai four, se rapprocher de la forêt, de sa fraicheur me ferait le plus grand bien. Je pris donc ma plus belle écriture afin de répondre à l'annonce. Je laissai mon mail et mon numéro de téléphone souriant intérieurement de l'incongruité de ces renseignements pour celle qui, j'imaginais, serait une octogénaire à cheval sur les principes. Le lendemain, je trompais l'ennui sur internet lorsqu'un message me parvint d'un étrange Domainedeschasseresses@gmail.fr "Monsieur, votre candidature a été étudié avec attention, "Veuillez vous rendre au domaine pour subir une période de mise à l'essai dès demain 11 heures afin d'évaluer vos compétences Encore une fois, cette Madame K ne manquait pas d'audace, elle m'ordonnait de me rendre chez elle pour "subir" selon ses mots une mise à l'épreuve. Je l'imaginais plus jeune en maitresse d'école. Peu souriante, vêtue d'une robe longue et austère , elle devait régner sur sa classe à la baguette. Moi qui avait toujours eu des rapports complexes avec l'autorité, je me voyais déjà me prélassant dans cette vaste demeure pendant les longues siestes de Madame. Et puis, 1900 euros, la possibilité d'une bonne paye, même pour quelques mois, me plaisait aussi. Le lendemain, j'enfilai mon unique costume, pris le train jusqu'à Rambouillet. Arrivé à la gare, il m'a fallu louer un "Uber" pour me rendre chemin du Petit Parc. L'adresse était en dehors de Rambouillet, perdue dans la forêt. Les arbres centenaires se refermaient sur mon taxi d' (in) fortune recouvrant de leurs couverts ombrageux le chemin mal carrossé que empruntâmes. "C'est paumé chez vous," lança le chauffeur pour rompre la glace. oui possible, mais c'est aussi là que je postule pour un job...Un travail d'homme à tout faire" dis je, fier à l'idée de gagner de nouveau de l'argent, de retrouver une dignité." "C'est encore loin? " Dis je maussade à l'idée de passer mes journées loin de toute grande ville et de toute distraction. Le chauffeur sourit de toutes ses dents comme pour partager mon bonheur. Il me détailla ses difficultés, l'idée de faire Uber mais voyant que je n'écoutai qu'à demi son monologue, il m'annonça que 8km me séparait désormais de mon nouvel emploi. Un peu stressé, j'avais arrêté d'entretenir la conversation "Ca vous dérange si je met RTL?" S'enquit celui qui sans le savoir allait bouleverser ma vie. "Faites" dis je en consultant mon téléphone portable. La radio crachota quelques paroles indistinctes tandis que mon portable annonçait la fin du réseau. Le chauffeur me regarda ennuyé et presque navré pour moi. "Ce doit être une zone blanche" Nous arrivâmes à destination. Il s'agissait d'une porte d'acier forgée il y a bien longtemps, les arabesques dessinaient un K stylisé comme à l'époque victorienne. Le chauffeur déposa mes bagages au sol et repartit rapidement, heureux de regagner la civilisation. La grille s'ouvrit seule, majestueusement. Sur le moment, j'étais presque inquiet mais je compris lorsque je perçus une caméra perchée sur un chêne en bordure de la propriété. Je m'engageai dans le domaine non sans jeter un œil aux hauts murs couverts de tessons qui jetaient leurs ombres sur l'allée principale menant à la propriété. J'étais déjà dans le sous bois menant au jardin lorsque la porte se referma dans un bruit métallique. A l'époque j'étais loin de penser que cette porte scellerait celle de ma vie passée. Le sous bois franchi, le domaine des chasseresses s'offrait à moi. La demeure, plutôt massive, comportait 2 étages avec balcon. deux petites tours défiaient la cime des arbres, donnant aux propriétaires une vue imprenable sur la forêt. Je longeai un joli jardin à la française qui, comme moi, aurait eu besoin d'un rafraichissement, puis je contournais une fontaine où une diane d'albâtre terrassait un serpent en le foulant de ses pieds. Finalement un double escalier de marbre me permis d'arriver sur le perron. Une jeune fille en livret de domestique m'y attendait. Mains jointes, les yeux rivés sur son tablier de dentelle, elle rajusta sa coiffe lorsque je vins à sa hauteur. "Madame vous demande de l'attendre un moment " dit elle en m'indiquant le hall d'entré où une banquette m'y attendait. Je m'assis, heureux de trouver un peu de fraicheur tandis que la domestique montait à l'étage. La fille était jolie, belle même. Son uniforme quoique strict mettait en valeur la jeune fille. Derrière le chignon serré, on imaginait une chevelure fougueuse, blondie par le soleil. Sous le triste tablier blanc et la chemise noire brodée des seins lourds aux aréoles dressés pointaient. Le rouge à lèvres légèrement vulgaire dessinait ses lèvres charnues. Une tension sexuelle habitait visiblement ce lieu. Je fus dérangé dans ma rêverie par le bruit de talons aiguilles martyrisant le damier du sol. Une silhouette me faisait face dans le contrejour du couloir. Aveuglé, je cherchai à distinguai celle qui de son ombre me dominait. "Allons à mon bureaux" dit elle en gagnant prestement l'extrémité du couloir. "Dépêchez vous un peu" lança t elle sèchement tandis que je ramassai mes bagages. Le bureau était spacieux et Madame déjà installé lorsque je franchis la porte. Assise, elle me regardait admirer les curiosités et les objets rares qui peuplaient le lieu. Ses yeux aciers vinrent se poser dans les miens. Contre toutes attente, Madame n'était pas octogénaire. La cinquantaine tout au plus. Ses traits étaient fins et pouvaient certainement être durs. Sa coupe de cheveux, un carré dégradé renforçait ce coté dynamique qu'elle avait. Elle se cala dan son fauteuil, ajusta sa veste de chasse sur son chemisier blanc et me fit signe d'approcher. Je cherchais une chaise mais n'en vis aucune et restai donc debout face à elle. Mon embarras parut la satisfaire. Un mince sourire s'affichait sur ces fines lèvres. Quelque chose de magnétique m'attirait chez cette femme, quelque chose d'indéfinissable, comme un penchant un peu malsain. "Bonjour Simon, tu permets que je t'appelles ainsi puisque c'est ton prénom" Le ton était froid, presque tranchant. il n'impliquait en aucun cas une forme de réciproque. "Je lis que tu as une expérience de jardinier, quelques mois dans un restaurant également ainsi qu'une formation au conservatoire, un premier prix de piano." J'opinai du chef, la bouche un peu sèche à l'idée qu'elle découvre les petits mensonges distillés dans le CV concernant mes compétences dans les domaines manuels.Madame jouait avec son collier de perles tout en me parlant. Sans le vouloir mon regard fut attiré par ses mains blanches qu'on devinait douces, ses mains qui manipulaient de façon hypnotique les perles et dessinaient de mystérieuses arabesques. "Dites, vous m'écoutez ou vous regardez mes seins!" se fâcha celle qui dirigeait le domaine. Je bafouillait, m'excusant confusément mais elle ne parut pas satisfaite. L'obéissance, au domaine devait être totale, il n'était pas permis de resquiller ou d'avoir des pensées d'ordre sexuel. Madame avait du personnel à gérer, elle n'entendait pas que sa demeure se transforme en un "bordel". Elle sonna Mademoiselle Sonia, une jeune fille d'une vingtaine d'année. Sonia portait une jupe et un sous pull en fines mailles noires. Comme l'autre jeune fille, elle n'avait pas de soutien gorge et on pouvait deviner les piercing qu'elle avait sur chacun de ses tétons. Sans rien laisser paraitre, la brunette à la coupe garçonne me fit faire le tour des cuisines, du salon et du jardin précisant les tâches les plus urgentes à accomplir. Elle me présenta ma chambre. Celle ci était au second, un œil de bœuf donnait sur la piscine du jardin. La chambre ou plutôt la cellule était monacale, un lit à ressort, une table de chevet, une penderie et un tapis de sol constituaient avec le lavabo les quelques aménagements de ces 9m². Je remerciai Sonia qui quitta la chambre non sans l'avoir fermée et vis qu'on avais posé sur le lit un uniforme noir ainsi qu'un bouillon clair et une tranche de pain sur la table de chevet. Il était passé midi et mon estomac gargouillait. J'allai entamer mon maigre déjeuner quand un objet attira mon attention. Il s'agissait sous l'uniforme d'un objet oblong, court et courbe. A coté, une notice pour l'enfiler avec une note de Madame. "Nous ne tolérons pas les écarts à la conduite, "Toute faute fera l'objet de sanction "Lisez la notice et enfilez cette cage de chasteté. "Vous pourrez sortir de votre chambre après la sieste soit dans 2 heures. J'hallucinai! Mon employeur ne maquait pas de culot. Je voulus lui dire en face que les employés avaient des droits, j'essayai d'ouvrir la porte avant de me souvenir qu'elle était close. Je pestai, tournai en rond dans ma cellule puis finalement, appâté par le salaire et l'ambiance étrange du domaine, je me résolus à porter cette cage. Lorsque Sonia ouvrit la porte de ma chambre, ses yeux trainèrent sur mon pantalon. On pouvait clairement deviner la bosse dessinée par la cage qui enfermait mon sexe. "Je vois que tu as accepté" me dit-elle d'un sourire énigmatique. Humilié, je fulminai. Même les employées étaient au courant de cette chasteté imposée. Je devins rouge pivoine et tentai une échappatoire. J'allais me plaindre auprès de Madame, cela ne pouvait se passer comme ça. On ne pouvait isoler ses employés en les enfermant dans leur chambre et les traiter ainsi. Remonté comme une pendule, j'ouvris la porte du bureau un peu violemment. Madame pianotait sur son ordinateur et mon entrée fracassante lui fit froncer les sourcils. Elle se leva et pris machinalement une cravache qui trônait sur son bureau. Elle était magnifique. Sa tenue de chasse mettait en évidence ses formes et j'eus du mal à me concentrer lorsque ses yeux perçant s'abattirent sur moi tels des rapaces sur leur proie. Elle se leva et fit claquer dans ses mains la cravache comme pour tuer dans l'oeuf toute forme de contestation de son autorité. "Je suis occupée simon, qu'as tu à me déranger? Elle tournait maintenant dans la pièce et vint se placer derrière moi. je sentais son parfum capiteux m'envahir. Mes pensées se bousculaient dans ma tête, je ne savais plus quoi dire. Curieusement, mon sexe se débattait dans sa cage métallique. Complètement confus, je me perdis en excuses. "Vois tu, pendant que tu penses à ton petit confort personnel, à ta queue qui en ce moment aimerait bien pouvoir se raidir devant mes domestiques; moi je travaille. Je passe des contrats. Je fais en sorte que mes serviteurs ne manquent de rien. "Annonça t 'elle en s'asseyant sur son bureau. J'étais maintenant face à elle qui écartait largement les cuisses les 2 mains refermées sur sa cravache. "Maintenant, que ta minute de protestation est passée, je te conseille de te mettre rapidement au travail. La taille des arbres et des arbustes doit être exécutée rapidement. Quand tu auras fini, ce ne sera pas du luxe de rafraîchir les peintures dans vos chambrées. Et puis... Tu es trop gras, il est plus que temps de te mettre à l'exercice et à la diet. Tu peux disposer, je n'ai plus besoin de toi ici." Je retournai à mon nouvel emploi penaud. Les filles préparaient déjà le déjeuner. Je m'assis pour prendre mon petit déjeuner voyant le plateau qu'avait à peine touché Madame. Les viennoiseries, le jus d'orange pressé dans sa carafe de cristal me faisaient de l'oeil. lorsque Prune, la blonde pulpeuse déposa devant moi un porridge froid et gluant,je m'esclaffai. "Tu ne peux pas me donner ce truc à manger alors qu'il y a des croissants et du jus d'orange pressé sur la table!" "Ordre de Madame" décreta Prune dont les seins lourds et les hanches rebondies invitaient tant à la caresse. Je mangeais la bouillie insipide rapidement sans prêter attention aux chuchotis et rires étouffés des filles. La journée fut consacrée au jardin et particulièrement à l'art topiaire. Même avec la meilleure volonté du monde, le résultat ne fut pas des plus brillants. Le soir tomba rapidement et après un bref dîner avec Sonia et Prune (un bouillon clair), on me renvoya dans ma chambre. Je notai cependant un changement, on avait laissé la porte ouverte de ma "cellule". La confiance semblait tout de même se gagner. La nuit, je fus réveillé par des bruits étranges provenant du bureau. Des plaintes s'échappaient de la nuit entrecoupées de claquements secs. Intrigué, je descendis à pas de loup pour surprendre un éventuel cambrioleur. La porte du bureau était ouverte. J'y jetai un oeil discret. Prune avait les deux mains sur le bureau de Madame. Complètement nue, elle présentait son cul rebondi aux lanières de cuir qui claquaient et imprimaient de jolies boursouflures sur la peau de pêche de la domestique. Pour éviter qu'elle ne crie, un bâillon l'entravait. Un filet de bave s'échappait rendant la scène un peu plus obscène. "Tu as mérité ce qui t'arrive ma petite Prune et tu connais le châtiment. Je vous ai vu vous caresser toi et Sonia. Avez-vous eu mon autorisation?" Sans attendre la réponse, elle cala un énorme gode ceinture entre les fesses de l'infortunée soubrette. L'engin était de bonne taille et comportait des aspérités qui le rendait à proprement parler terrifiant. Sans plus de formalité, elle s'empala dans la chatte mouillée de Prune qui émit un long feulement. "Tu veux jouir, petite salope, tu veux savoir ce que c'est d'avoir d'être bien ramonée" lança Madame comme pour l'humilier davantage Les pénétrations qui suivirent furent profondes, chaque coup de boutoir de Madame amenait sa victime à gémir. De ma cachette, je pouvais voir les joues de Prune en feu, son sexe baveux répandait sa mouille sur le parquet lustré. Madame passa à la vitesse supérieure. Elle agrippait maintenant les seins de sa victime, griffait ses hanches. L'autre beuglait assaillie par des vagues de plaisirs. Mon sexe cognait maintennant dans ma cage. j'imaginai Sonia en train de me sucer pendant que Madame besognait Prune. Avais-je fait du bruit? Madame jeta un coup d'œil dans ma direction et cessa ses mouvements. Le plus discrètement possible, je me retirai de ma cachette. la dernière image que je vis ce soir là c'est l'énorme sexe de latex sortir du con dilaté de la jeune domestique et le regard perçant les ténèbres de ma patronne. Si j'avais su ce qui m'attendai, j'aurai, cette nuit-là, agi tout autrement. lendemain et les jours qui suivirent furent relativement calmes. Madame K, comme elle désirait être appelée, m'ordonna de faire de multiples tâches. Je progressais peu à peu et trouvais un certain plaisir à ne plus réfléchir, à m'abandonner aux décisions de la maîtresse de maison. Le régime strict et l'exercice physique qu'elle m'imposait depuis mon arrivée avait fait fondre mes quelques kilos superflus. Affûté, j'étais assez heureux de ma nouvelle condition si ce n'est cette cage qui contraignait ma queue de jour comme de nuit. Cette tension peu à peu me pesait et je devenais plus irritable. J'avais l'impression que Sonia cherchait, en permanence, à m'exciter. Ces jupes toujours d'un noir sobre et rigoureux se faisaient de plus en plus courtes. Un jour, lors du déjeuner, Madame fit tomber sa fourchette. Sonia qui avait pour ordre de veiller à ce que notre patronne ne manquât de rien se baissa pour ramasser le couvert. Venant de la cuisine, je m'arrêtais à la hauteur de Madame pour voir l'appétissant spectacle. Les fesses musclées de la servante étaient mises en valeur par un porte jarretelle maintenant ses bas coutures. Madame referma sa main sur la mienne et me chuchota. "Vois tu Simon, ma demeure est pleine de petites salopes. regarde Sonia, elle n'a même pas pris la peine de mettre une culotte aujourd'hui" Tandis que la jeune domestique se relevait, Madame poursuivit ses confidences. "Je crois que Sonia mérite une bonne correction, elle sera punie comme Prune, elles veulent de la queue, elles vont en avoir". La froide étreinte se relâcha sur mon poignet puis d'un revers de main elle me chassait. J'étais sur le point de quitter la pièce lorsqu'elle m'ordonna de me rendre aux écuries à 16 heures précises. Je n'étais jamais allé dans cette partie du parc et il me fallut du temps pour retrouver le lieu isolé. Le SUV BMW de Madame m'indiqua qu'elle était déjà à l'intérieur. Dans ma tête je cherchais mille et une excuses pour éviter une sanction mais cette fois, je n'en eu pas le temps. Madame sortit d'un box, elle portait un legging en simili cuir qui mettait ses formes parfaitement en évidence. Instinctivement, je baissai la tête mais elle me releva le menton de sa main de cuir gantée. Ses yeux plongèrent dans les miens comme pour juger de ma valeur, je voulus baisser la tête mais sa main s'était refermée sur mon menton. Madame me parlait mais j'étais hypnotisé par ses lèvres d'un rouge carmin, son maquillage loin d'être austère réhaussait la beauté opaline de son fin visage. La sève montait dans mes bourses, gonflait inutilement mes testicules d'un plaisir qui m'était défendu. Madame lut mon malaise. "Déshabille toi " "ici?" Dis je très mal à l'aise. "Tu crois peut-être que je n'ai jamais vu une queue?" répliqua t elle d'un ton qui n'admettait aucun refus. Je m'exécutai et tentai de masquer mon sexe enferméedans sa cage chromée. Un coup de cravache s'abattit sur mes doigts qui cachaient mon pubis. Puis un autre. "Mains dans le dos!" aboya celle qui m'avait progressivement dressé à obéir. Sous le choc, j'obtemperai évitant de croiser les prunelles d'aciers de celle qui affichait un sourire sadique de satisfaction. D'un geste souple, presque habituel, elle libéra mon sexe de ses entraves. Aussitôt, le sang se mit à affluer et ma verge entra en érection. "Ce n'est pas si mal" lâcha Madame qui scrutait mon malaise avec délectation. Elle s'approcha de moi et m'enlaça. Je sentai ses tétons sous son fin chemisier. Ses cuisses serrées contre ma jambe, elle vint de sa main gantée de cuir presser mon sexe déjà dur. D'autorité, elle m'embrassa ou plutôt, elle prit possession de ma bouche. Sa langue imposait un jeu électrique à la mienne, tournait autour de la mienne comme un serpent autour de sa proie. Lorsqu'elle vit qu'un peu de liquide séminal perlait sur la paume de son gant, elle me le fit lécher de force avant de me glisser dans la bouche un comprimé bleu. "Du viagra..., tu en auras besoin pour ce qui t'attend". Entre dit elle en ouvrant les portes de l'écurie. Le spectacle, que je contemplai, aurait fait pâlir d'envie le marquis de Sade en personne. Sonia était crucifiée nu sur une croix, des traces rouges de flagellation parcouraient son corps. Ses seins étaient mordus par des pinces à linge qui lui faisaient déjà des ecchymoses. Des poids maintenus par une chaîne étaient fixés aux piercing de ses aréoles. La jeune fille nous regardait avec des yeux horrifiés se demandant quels jeux pervers Madame allait inventer. En face de la jolie brune, Prune était attachée à un chevalet. Un bâillon et un loup privaient la blonde plantureuse de la parole et de la vision. Si elle avait vu la scène, elle aurait rougi de honte, elle aurait vu le porte jarretelle de latex qui entravait son joli cul, elle aurait vu les marques rouges virant au parme sur ses fesses, elles aurait vu l'énorme gode qui pénétrait sa chatte humide et lubrifiée mais elle n'aurait pu crier. "Occupe toi de ces traînées simon" me dit-elle en me tendant une paddle cloutée.
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Par : le 13/06/22
Ce jour là, nous nous sommes donnés rendez-vous sur une route calme et forestière. Pique nique au fond du sac, je vous rejoins en lisière de forêt. Quelques jours plus tôt, vous m'aviez demandé de trouver un coin tranquille pour nous retrouver. Les roches d'Angennes s'offrent à nous, vous me tendez un sac assez lourd qui pèse un peu sur mes épaules. J'imagine des jouets bdsm en pagaille, mon sexe s'affole dans sa cage. Vous sentez mon trouble, sourire avant de m'embrasser avec fougue. Je sens votre main descendre sur ma cage, caresser le conduit de métal et descendre jusqu'à mes bourses. Sans prévenir, vous frappez doucement mes testicules tendues dans leur cage chromée. Doucement je gemis et reste debout jambes écartées, offrant mon sexe à cette première punition. Comme pour me tester, vous portez un coup plus appuyé qui me courbe en 2. Satisfaite, vous m'invitez à démarrer notre balade de 30 minutes. Nous parlons de tout et de rien, de bdsm, de cette envie qui ensemble nous lie. Enfin, nous cheminons vers un promontoire. Les cimes des arbres en contrebas dessinent une mer ondulante sous la brise légère. Le temps est beau, la vue superbe. J installe la nappe et dresse notre rapidement notre déjeuner. Je vous vois sourire devant ma maladresse. Assise sur un transat, vous interrompez votre lecture. " enlève tes habits, tu n'en as plus besoin " me lancez vous espiègle. Je rougis, un sentiment de honte me gagne . Si quelqu'un nous découvrait, je serai non seulement nu mais aussi encagé. Ma soumission serait visible de tous... Pourtant je m'exécute. Rouge pivoine. Comme pour me féliciter, vous me faites allonger sur le ventre et m'enduisez le dos de crème solaire. Pourtant, vous ne passez pas partout et je n'ose faire une remarque de peur d'une sanction. ( je verrai la surprise que vous m'avez réservé quelques heures plus tard ) Le soleil est maintenant au zénith. Tandis que vous vaquer dans les bois, j'installe le déjeuner. Une salade composée, quelques toasts accompagnent un bloc de foie gras. La bouteille de champagne est encore fraiche lorsque vous sortez de l'ombre des bois de jeunes branches de noisettiers à la main. Nous trinquons à cette belle journée. Les bulles pétillent, le paysage s'offre à nous, un sentiment de bien être m'envahit. Je me sers un peu de salade lorsque soudain vous m interrompez. "As tu oublié avec qui tu es ?" Je souris, gêné, cherchant ma faute. "Non maitresse " dis je un peu confus " Tu n'es pas avec une amie, tu es avec moi, ta maitresse..."Dites vous en fixant mon assiette déjà pleine. "A genoux " lancez vous d'un ton sévère. Vous me toisez nu et à genoux, prenant le temps de finir votre coupe. Mes genoux me font mal mais je n'ose me plaindre de cette juste punition. Pourtant, mon tourment ne fait que débuter. Vous m'attachez un collier autour du cou et tirez sans ménagement sur la laisse qui me lie à vous. Je suis comme je peux mais ce supplice est de courte durée. Rapidement vous m'attachez les mains et les chevilles à un pin. Les liens sont serrés, presque douloureux. D'un geste impérieux vous m ordonnée d ouvrir la bouche pour y fourrer un tissu soyeux. "Jespere que tu apprecies ma culotte d'hier. Je savais qu'elle aurait son utilité. " Vos odeurs imprègnent ma bouche, j'essaie une excuse tardive qui se perd dans ce bâillon improvisé. Soudain, l'air vibre non loin de moi. Puis une morsure brûlante s'abat sur ma fesse droite. Mon corps se cambre, surpris par la douleur mais déjà le fouet marque ma fesse gauche. Une chaleur envahit mon cul, une chaleur mêlée de douleur. Les morsures du fouet dessinent des courbes, des traits, des boursouflures sur mon postérieur. Mes liens sont si serrés qu'il n y a aucune échappatoire. La punition cesse aussi brutalement qu'elle avait débutée. Je sens vos mains caresser mon cul, admirer le travail. Frôlant mon oreille vous murmurez "As tu compris la leçon simon?" Ne pouvant parler, j'opine du che, je devine alors un sourire s'esquisser. Rapidement vous me détachez pour poursuivre ce charmant déjeuner soleil darde ses rayons sur notre déjeuner improvisé. Demain, j'aurais quelques coups de soleil me dis je en débarrassant les restes de notre repas. Dépêche toi lancez vous en me cinglant les fesses d'une jeune branche de noisetiers alors que je passe à votre portée. Le dos tourné, jambes écartées, je sens vos doigts descendre sur mes fesses. Un doigt se glisse dans le repli et s'insinue doucement dans mon intimité. Votre âtre main, agile, caresse mes bourses. Mon sexe lutte contre les barreaux de sa cage sans pour autant pouvoir bander. Un filet de sperme s'échappe mollement de mon meat. Le plaisir me fait mouiller, je me cambre davantage pour sentir votre doigt jouer en moi. Hmmm, qu il est bon de vous appartenir. Mais soudain, vous cessez le va et viens de vos caresses et saisissez mes coquilles pour les étirer. Surpris, je me cambre et reçois une volet de claques sur les bourses. Bâillonné par votre culotte, je ne peux crier et me tortille essayant, en vain, d'échapper à vos coups. "C'était trop tentant" dites vous de votre plus beau sourire. "Finis de débarrasser et met moi de la crème solaire " Je m'exécute rapidement en prenant soin de vous servir une nouvelle coupe de champagne. Mes gestes sont doux, rapidement, je vous vois soupirer d'aise. Après m'avoir remercier, vous retirez votre culotte et m'ordonnez de me coucher. Vous placez le transat au dessus de ma tête mais celui-ci est d'un genre particulier... Largement découpé, le tissu permet un accès direct à votre sexe, à votre cul. " Lèche moi, maintenant " Je titille vos lèvres, joue avec votre clito qui rapidement se gonfle de désirs. La branche de noisetier cingle l'intérieur de mes cuisses pour m'inciter à enfoncer ma langue en vous. Je vous bois, je vous pénètre. Sensation douce de vous appartenir totalement. Vous vous crispez aux accoudoirs tandis que vos mains caressent votre bouton. Votre sexe se contracte lorsque votre jouissance m'envahit. Je suis,à ce moment précis, le plus heureux des soumis L'horizon azur est troublée par l'ascension d'un rapace qui profite des colonnes d'air chaud. Vous vous perdez un moment dans sa contemplation profitant de ses vagues successives de plaisir qui tel le ressac se rappellent à vous. Ma langue caresse votre sexe doucement pour prolonger cet instant. Le temps se cristallise en cet instant. Après un moment, votre esprit joueur s éveille. Vous descendez le transat et après un repositionnement vos fesses s'imposent à ma vue. "Embrasse moi " Je tente quelques chastes baisers sur vos globes d'albatre mais soudainement vous me pincer les tetons. "Ne fais pas ta fillette, n'as tu pas dit que tu aimerais tout ce que je t'ordonnerai de faire?" Je sens deux tubes se plaquer sur mes tetons et aspirer, la douleur est soutenable mais déjà envahissante. "Lèche ou ..." sans terminer votre phrase vous accentuez la pression sur mes aréoles. La douleur est plus lancinante, j'imagine 2 ecchymoses se dessiner sur mon torse. Je tente un baiser sur votre rondelle. Je vous sens vous caler sur le transat comme pour m'inciter à continuer. Je lèche et embrasse votre bouton de rose lorsque vous m'ordonnez d'y mettre ma langue. Pour m'inciter, vous accentuez la pression sur mes seins avant de cingler l'air d'une branche trouvée plus tôt. "C est un honneur de pouvoir me lécher, quand tu y auras pris goût, tu ne pourras plus t'en passer " dites vous d'un ton coquin. Écartant légèrement vos fesses, vous m'engager à une nouvelle expérience. Ma langue s'insinue en vous...lèche, lappe, longuement votre croupe tendue. Je vous sens prendre un réel plaisir à ces caresses. Vos mains agrippent un objet oblong qui vibre au contact de votre sexe. Je me tortille jusqu'à votre con et tente de le lécher. Une volée de coups viennent rougir mes cuisses. "Occupe toi de mon cul, c'est tout ce que tu auras pour aujourd'hui." Tandis que le vibro vous pénètre, je joue avec votre rondelle. La pénétration de ma langue, celle du vibro, vos caresses intimes bous font jouir une seconde fois. J'embrasse vos fesses adorées pendant un moment délicieux. Je vous imagine le feu aux joues savourant ce second plaisir avec volupté. Mais l'humiliation est une condition nécessaire à mon devoir de soumis. Après ce moment de plaisir, vous ouvrez ma cage de chasteté. Monsexe ainsi libéré s'érige en quête de plaisir. D'un air joueur, vous m'ordonnez de me branler. " Tu n auras que 3 minutes pour jouir et tu ne le feras que sur mon ordre sinon..." Aussitôt je m'active sous votre regard impassible. Pour m'aider, vous vous mettez au dessus de moi. Votre sexe gonflé de désir, votre cul que j'ai apprivoisé me font rapidement mouiller. Mes mains jouent sur ma queue, mes doigts parcourent mon gland mais le temps file...Au bord de l'extase, je parviens à vous demander la permission de jouir et là... Sur le point de partir, vous couvrez mon sexe d'une douche dorée abondante. Mon foutre se mêle à votre nectar généreux qui cascade et inonde maintenant mon corps. Plus tard, nous reprendrons nos esprits ravis de ces jeux improvisés. Je vous demanderai une serviette et vous me repondrez qu'ainsi, je garderai votre odeur Rentré chez moi, nos jeux tumultent encore dans ma tête. Je vous revois m'innondant de votre champagne, je revis vos orgasmes et vos délicieuses punitions. Fatigué de nos jeux et le fessier douloureux, je me vautre devant la télé. Ma cage de chasteté, directement réinstallée après ma jouissance, gêne un peu mes mouvements comme pour me rappeler ma nouvelle condition de soumis. Peu à peu, une torpeur me gagne. Je suis brutalement réveillé par ma fille réclamant son émission préférée. "Ça sent bizarre" dit elle en fronçant sa jolie frimousse. Je réalise soudain que je porte encore l'odeur de nos ébats. Le goût de votre sexe imprègne mes lèvres, mon nez. Je file aussitôt dans la salle de bain. Nu, je constate les marques qui zebrent mes fesses. Elles partiront d'ici 2 jours mais pour le moment, elles me chauffent le postérieur. Après une telle promenade, je scrute les empreintes de nos ébats passés comme on chercherait à remonter un fil d'Ariane. Soudain, mon regard s'attarde sur mon dos. Il est rouge écrevisse car ce midi, le soleil dardait. Mais, au centre, un K magistral de peau blanche est tracé. Je me rappelle alors la crème solaire que vous m'aviez passé sur le dos dès le début de nos jeux. Intérieurement, je souris de cette ultime perversité.
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Par : le 10/06/22
Après une rapide sodomie, Maitresse Julia se retire de moi et va chercher quelque chose dans mon dos. Soudain, une violente douleur se répand à travers mon corps. Et le premier endroit qui souffre est mon pénis. Je comprend alors que les deux sangles qu'elle avait passé autour de mon pénis permettent d'envoyer des décharges électriques ! Et ces décharges me font un mal de chien. Maitresse Julia gère les décharges comme elle le veux. Puis elle actionne le mode automatique et part chercher une cravache. Les décharges sont très douloureuses. Leur fréquence sont comparable à un code morse : une décharge longue, une décharge courte, une décharge longue, deux décharges courtes, une décharge longue. Puis ce schéma en boucle. Et chaque décharge est à chaque fois plus douloureuse que la précédente. Je ne peux pas me retenir de crier. Maitresse Julia dit entre 2 cris : - "Mais c'est qu'elle a de la voix, cette grosse salope ! Tu me fais mal aux oreilles et je n'aime pas ça". Elle se dirige alors  vers une armoire, l'ouvre, en sors un baillon boule avant de revenir vers moi et me l'enfonce dans la bouche. - "Voila, comme ça, je ne t'entendrais plus". Maitresse Julia se saisit alors d'une cravache et retourne s'occuper de mon cul. Entre les décharges sur le pénis et les coups sur les fesses, mon corps entier est en souffrance. De plus, je commence à baver à cause du baillon que j'avais en bouche. Une fois satisfaite de sa punition, Maitresse Julia interromp les décharges et arrête les coups de fouets. Elle me détache de la table et ne peux me retenir de glisser au sol, victime de l'immense douleur que je ressent. - "Debout !" Ordonne t elle. "Si tu crois que c'est fini, tu te trompes. Je t'ai encore préparé quelques surprises". Encore au sol, je répond à voix basse : -" Merci Maitresse. Je sais que je mérite ce qui m'arrive et je vous en remercie". -" Parfait. Comme ça te plaît, on continue. Ne bouge pas, je reviens". Je ne bouge pas d'un poil tandis que Maitresse Julia se dirige de nouveau vers l'armoire. Que va t elle rapporter cette fois-çi ? A suivre...
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Par : le 02/06/22
Comme souvent quand je viens passer une semaine à tes côtés, nous commençons tranquillement avant d’en venir à nos jeux préférés. Jeudi matin, alors que je suis en train de ranger quelques bricoles dans la chambre, tu débarques par surprise derrière moi avec le nouveau collier en acier et tu commences à le mettre en place. Surprise. Puis à le verrouiller. Pas si simple, si près du cou. Mais tu t’en sors bien avec un peu de patience. La bête est belle …. Et pesante. Je ne risque pas de l’oublier avec son poids. Quel contraste avec les autres : plus encombrant, plus pesant, mais tellement chouette aussi. On pourrait presque croire qu’il a été fait sur mesure pour moi. Tu m’annonces aussi que je vais le porter jusqu’à la fin de mon séjour. Pour une première, tu commences fort. Par chance, j’arrive à le supporter sans encombre. Les premières heures se passent bien et tu sembles apprécier de me voir ainsi paré. A croire que ce collier a quelque chose de spécial. Je suis curieux de savoir. En tout cas, c’est une initiative bienvenue que l’acquisition de ce collier. Tu attends la soirée pour me « passer à la casserole ». A ma parure de cou qui n’a pas quitté sa place (difficile de la retirer sur un simple claquement de doigts), tu me fais d’abord ajouter les bracelets, à la fois aux poignets et aux chevilles pour un meilleur équilibre esthétique, et enfin, la cagoule en cuir. Me voilà déjà « habillé » pour la soirée. Il suffit d’un rien … Pourtant si, il manquait une dernière touche, la patte colorée. Et pour cela, tu as l’objet idéal : le bâillon-nonos rose. Pas facile à mettre avec la cagoule, mais nous y parvenons et tu boucles la fermeture sur ma nuque. Je suis désormais prêt pour présenter ce nouveau collier à mon cou, comme il se doit : agenouillé devant toi (sur un coussin confortable bienvenu, merciiiii), bras posés le long des cuisses, paumes tournées vers le haut en guise d’offrande. D’ailleurs tu les mets rapidement à contribution pour y déposer le strap à cœur qui illustre si bien nos liens, notre relation. Evidemment, celui-ci ne pouvait pas rester inactif bien longtemps. Tu flattes mon postérieur avec. Je qualifierai cette introduction de « caresses ». Il faut commencer doucement, tranquillement, paisiblement. Puis tu me fais enlever la cagoule pour mieux mettre en valeur le collier. Toujours confortablement agenouillé, tu me fais désormais pencher le buste en avant pour reposer sur le bord du lit. Ainsi, tu vas pouvoir abuser de moi tout en t’assurant que je suis le mieux installé possible. Cette fois, le strap « amoureux » se fait plus pressant et plus claquant. Galant, il finit par laisser sa place à la tapette main qui m’avait échappé. Tu fais monter la température graduellement, histoire d’éviter tout claquage. Tiens, ne viendrais-tu pas d’inventer le traitement anti-claque à base de claquements ?  Toujours est-il que la suite me semble plus mordante bien tu y ailles crescendo. C’est d’abord un sentiment de léger mais régulier battement que je ressens avant que les impacts s’espacent et se fassent plus mordant. Il me semble bien que tu dois être en train de strier mes fesses avec une baguette. Cette fois, le thermostat est réglé sur la position « chaud ». Tu te hasardes à flâner jusque sur les cuisses, presque plus sensibles à cette stimulation que les fesses. Petite surprise de sensation. C’est alors que je reconnais (enfin j’espère …) le baiser de la langue de dragon, probablement la petite. Etonnamment, elle se fait plus bruyante que mordante sur le fessier et vice-versa sur le dos. Bizarre, bizarre tout cela. Du coup, tu alternes entre les deux cibles qui te sont offertes. Mais c’est encore mieux de la remplacer par la grande. Là, tu sembles t’évertuer à bien viser le milieu de mon dos …. Au début …. Avant que tout le dos soit visé, d’une épaule à l’autre. A en croire tes propos, tu serais en train de me marquer en forme d’éventail. C’est nouveau ça. Néanmoins, ce modèle n’est pas des plus pratiques à manipuler quand on veut se rafraichir ! Après cette première partie impactante, tu as décidé de faire une pause toujours à visée réchauffante. Mais pas tout de suite. Je comprends que tu essaies de coincer une bougie entre mes fesses. Pourquoi ai-je donc la sensation qu’elle va tomber dans quelques secondes ? Peut-être n’est ce qu’une fausse impression puisqu’elle semble tenir, tant qu’elle n’est pas allumée. Le craquement caractéristique du briquet m’indique que je vais désormais avoir le « feu au cul ». J’essaie de me concentrer pour bien la maintenir en place. Les premiers impacts de cire chaude sur mes mollets me surprennent mais ne me perturbent pas : elle reste en place le temps que tu puisses immortaliser cette première. Y a plus qu’à trouver une mise en place plus pérenne si jamais nous voulions faire durer. Pour cette fois, tu récupères la dite bougie de son bougeoir humain pour en user sur le bas de mon dos et les fesses. Il me semble que tu vas et tu viens de part et d’autre sans insister à un endroit précis. Et pour cause, tu me parles de me transformer en coccinelle (encore un nouvel animal dans ta ménagerie personnelle). Moi je songe plutôt à une espèce hybride : la noursinelle. Mais ce sont là de simples détails. Toujours est-il que les petites pastilles de cire commencent à consteller mon arrière-train. Une fois satisfaite de la quantité pour la suite, je t’entends souffler la flamme. Maintenant il faut nettoyer ce nounours tout taché de noir. Le « décirage » est incontournable. J’ai d’abord l’impression que tu emploies une cravache en mode ventilateur frôlant, une technique que tu te plais à user et abuser. Malgré tout, il semblerait qu’elle ne donne pas beaucoup de résultat ce soir, si ce n’est de me faire frétiller du croupion. Cette tentative étant vaine, tu te sers de quelque chose de plus « lourd », probablement le flogger puis un des martinets, en tout cas, des jouets aux multiples lanières. Si leur contact se fait bien présent sur mon corps, ce qui n’est ni négligeable ni désagréable, la cire noire semble vraiment s’accrocher à sa cible. Décidément … Finalement tu décides d’appliquer la cravache de la manière la plus classique qui soit : mon postérieur chauffe bien sous les impacts mais pas suffisamment pour faire fondre et couler les pastilles de cire. Il ne reste plus qu’une seule option : les laisser en place et me laisser me débrouiller tout seul quand la soirée sera terminée. Le fait que tu viennes ensuite t’asseoir à ma gauche ne me dit rien qui vaille pour la suite. Je sens d’abord le doux contact du mini martinet sur mon intimité. Sauf qu’à cet endroit-là, nul besoin de mordant pour me faire réagir. Je crois que je commence à légèrement couiner. Mais ce n’est rien comparé à la suite. Etant donné que je suis passé en mode « hibernation », tu décides de prendre la chose en main avec tes griffes acérées. Ouille …. Et surtout j’invente une nouvelle technique de marche avant ce qui a le don de t’arracher un franc éclat de rire. Bien évidemment, ta curiosité te conduit à vouloir en savoir plus. Donc tu reviens à la charge. Est-ce que ton nounours aurait aussi la marche arrière : réponse positive. Ca fonctionne presque aussi bien. Et voilà que tu retentes une marche avant. Je vais finir par devenir fou sous ce genre d’assaut. Si tu avances, si tu recules, comment veux-tu ? Comment veux-tu ? (oui mais non, ce n’était pas au programme ce soir) Histoire de redescendre tranquillement, tu me fais étendre sur le lit à plat ventre. Tu commences par quelques griffettes sur les fesses avant de venir t’asseoir à califourchon sur mon dos non sans t’être assurée de mon confort. Comment dire ? Je ne risque plus de bouger : sa Maitresse sur son dos est une contrainte très simple, et Ô combien efficace. Ainsi installée, tu peux t’en donner à cœur joie pour une bonne séance de fessée. Les grands classiques, ça a du bon. Toujours bon d’y revenir. Ma foi, j’aime bien aussi cette variété d’impacts. A priori, tu ne sembles pas bouder ton plaisir non plus. Quand la contrainte se fait moindre, je pense que tu en as fini. Mais non ! Ce n’était qu’un changement de position, genre un demi-tour sur place pour désormais pouvoir te concentrer sur mon dos. Là, on oublie la paume des mains : ce sont les griffes qui rentrent en action. Et tu connais d’avance le résultat de mon péché mignon : frissons, ondulations, ronronnements … la totale. Un nounours satisfait…Surtout que tu fais durer un bon moment le plaisir, y compris une fois que tu as quitté mon dos pour t’installer à mes côtés. Salade de griffes finale au menu pour terminer cette agréable soirée. Terminée ? Pas tout à fait. Je découvre la surprise que tu m’as réservée en rejoignant ma chambre. Pas besoin de mot, ni de consigne. Ton souhait est très clair. La nuit qui vient me verra paré de la nuisette noire que tu avais eu l’occasion de m’imposer il y a quelques temps déjà. Vendredi, Avec une telle tenue si « inadaptée » à ma morphologie, on va dire que je n’ai pas dormi très couvert. C’est d’ailleurs le détail qui te satisfait au plus haut point. Il n’y a qu’à voir ton large sourire de satisfaction quand tu me vois descendre l’escalier en ce vendredi. Tu te régales de la situation alors que j’essaie en vain de la faire descendre le plus bas possible. Oui, je dois sembler naïf sur ce coup-là. Tu lèves les contraintes et consignes pour le reste de la matinée. Néanmoins, j’ai déjà une mission dès après le repas : mettre en place ma cage de chasteté. Une fois reposée après une bonne sieste, nous montons nous amuser à nouveau. La cage et le collier étant déjà en place, il faut songer à me vêtir un peu pour ce que tu as en tête. Tu me demandes donc d’enfiler une paire de bas, avant de passer la robe rouge. J’avais oublié qu’elle était si courte. D’ailleurs, en la voyant dans le placard, je ne la reconnaissais pas du tout. Heureusement que tu étais là pour me guider. Tout compte fait, en la faisant bien tomber sur les bras, elle ressemble bien à une robe, même sur moi. Certes, elle reste courte : tout à fait adaptée à ton programme. La cagoule garantit mon anonymat tandis que les escarpins finalisent mon look de l’après-midi. Je comprends vite que tu as bien l’intention de faire ressortir mon côté impudique, très impudique. Me voici transformé en nounourse (oursonne) bien (vile) exhibitionniste. Je me demande encore pourquoi j’ai essayé de mettre en place la robe sur mes cuisses étant donné que tu me demandes tout du long de la relever, histoire de montrer tantôt ma chasteté, tantôt mon popotin. J’exagère un peu. Au tout début, perché que je suis sur le nouveau tabouret haut, tu me fais croiser les jambes comme le recommande toute bonne éducation et on devine juste le haut des bas. Mais cela ne dure pas. Il faut bien que je commence à écarter les cuisses pour révéler ma cage à ton regard (et accessoirement à ton objectif). Plus ça va, moins elle est dissimulée … Si bien que je finis par me retrouver avec la robe remontée au-dessus des fesses (à se demander pourquoi je m’habille…). A ce stade, tu te dois d’en profiter. Je descends de mon perchoir pour m’y accouder t’offrant ainsi ma croupe que tu t’empresses de flatter avec une baguette naturelle de noisetier. La sadique en toi n’est jamais bien loin ! Et ne serait-ce pas possible d’exploiter ton coffre à malices dans le même but ? Aussitôt dit, aussitôt essayé … et validé. Je remets de l’ordre dans ma tenue pour quelques poses aussi suggestives que possible, étendu sur ce même coffre, ou encore de retour près du tabouret. Il est temps de m’agenouiller devant toi pour honorer le divin pied que tu me présentes. Après la récompense, l’obligation : tu me fais coucher à tes pieds avant que ton talon acéré vienne peser d’abord sur ma cuisse puis sur mes couilles. Je suis douillet dans cette zone ! Tu as le don de m’imaginer dans des situations auxquelles je ne penserais pas moi-même, et que je prends plaisir à vivre sous ta direction. Tout ceci nous aurait presque donné faim. Il est temps d’aller se restaurer avant de clôturer la journée et mon séjour à tes côtés. Toujours équipé de mes extensions en métal, tu me fais enfiler la combinaison noire. Une fois n’est pas coutume, tu me demandes de l’ouvrir à l’entrejambe. Initialement, tu avais l’intention d’exploiter cet accès pour me glisser un crochet anal mais cela se révèle incompatible. Qu’à cela ne tienne, ce sera a minima la cage qui sera à l’air libre et exposé à ton regard et à tes liens. Tu commences par « tisser » ce qu’on pourrait assimiler à une cravate rouge qui va de mon collier à ma cage. De cette base, tu peux réaliser une parure qui enserre tout mon buste. Puis, en changeant de couleur, tu fais de même pour mon bras gauche et ma jambe droite. Le style, toujours le style. Néanmoins, je vois que tu cherches de l’inspiration pour la touche finale. Visiblement, la maturation prend du temps. Avant que tu viennes t’asseoir devant moi pour farfouiller la pointe de ma cage. Aie, ça pince ! Tu t’évertues de passer une cordelette à cet endroit histoire de pouvoir l’arrimer comme bon te semble. Je n’avais pas vu venir l’option coffre. En quelques minutes, je me retrouve relié à ses deux poignées par l’intermédiaire de mon pénis enfermé et enserré. On dirait que tu as fixé un « antivol » sur ton nounours. Pervers à souhait, mais effet réussi. Tout autant que d’utiliser la même cordelette comme pseudo-laisse à queue. Tu as vraiment l’esprit tordu. Tu me libères enfin de presque toute ma panoplie. Mon cou devient soudain plus léger. J’ai fini par m’habituer à cette surcharge cervicale, à tel point que je me suis même surpris à sortir dans le jardin sans même imaginer qu’il pourrait être aperçu… Presque car tu décides que vu que le collier a retrouvé son écrin, il faut bien que je conserve un peu de métal sur moi pour ma dernière nuit. Aussi ce sera une nouvelle nuit en nuisette mais encagé. Perverse que tu es jusqu’au dernier moment. Samedi matin, ton regard est tout aussi illuminé quoi qu’un peu plus endormi que la veille en me voyant descendre dans cette tenue que tu as voulue pour moi. A se demander tout ce que cela t’inspire de me voir ainsi. Vivement notre prochaine rencontre.
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Par : le 29/05/22
Voici la derniere partie du texte appelé " l appel de la forêt " , merveilleusement ecrit par une ex merveilleuse soumise qui reste dans mon coeur et pensées.. Bonne lecture Il dirigea une main vers son sexe, la caressa, elle était toujours aussi mouillée, Il chercha et trouva rapidement son petit bouton et joua avec. Instantanément, elle se dirigea autant que possible vers ses doigts... De l'autre main, Il jouait un peu avec une des pinces qu'Il avait mis sur ses tétons... Il tirait, vrillait... et fit de même avec l'autre... Il n’insistât pas trop longtemps... Il voulait la voir et l'entendre jouir, là debout attachée, entièrement livrée à Ses moindres envies ... L'entendre oui, mais pas trop fort tout de même... Il en profita pour la gêner un peu, Il aimait ça... - étant donné que tu es moins discrète quand tu jouis que quand tu souffres, je suis obligé de te bâillonner ma petite chienne, sinon tu vas ameuter tous les promeneurs du coin... quoi que ça pourrait peut être satisfaire tes nouvelles envies d’exhibition....lui dit il taquin . Elle ne répondit pas - alors qu'est ce que tu en penses? je te bâillonne ou je te laisse libre de t'époumoner avec le risque d'attirer des voyeurs ? - je préfère le bâillon, Maître - je pensais bien.... Il s'éloigna pour aller chercher le bâillon boule dans son sac. Elle n'aimait pas ne plus Le sentir près d'elle, pourtant Il n'était pas loin, mais c'était tout de même trop pour elle quand elle était dans le noir en extérieur... Elle tendait l'oreille, elle écoutait le moindre bruit qu'Il faisait.. . Il ne revint pas tout de suite, vers elle, Il avait repris son appareil photo et la photographiait... Une fois fait, il vint lui mettre le bâillon dans la bouche... Lui caressa le visage, l'embrassa... Il était doux avec elle... Puis, Il tira sur les pinces, elle ne s'y attendait pas, elle mordit dans la boule de son bâillon... Il continua, elle sentait Son regard rivé sur elle.... Elle sera les dents.... Il continua jusqu’à ce que les pinces lâchent prise... Il lui caressa un sein et pris l'autre en bouche, titilla son téton douloureux avec la langue, mordilla doucement, puis passa à l'autre....c'était bon.... Elle se tendait vers lui... Il lâcha ses seins pour descendre vers son petit bouton qu'Il se mit à lécher, tout en la pénétrant avec ses doigts d'une main, lui malaxant les fesses et jouant avec son petit trou de l'autre... plus ça allait, plus elle gémissait, se trémoussait, sa respiration s’accélérait... jusqu'à ce que la déferlante la submerge... Les cris de son plaisir furent atténués par le bâillon ... Elle était emportée en dehors du temps, de l'espace, il n'y avait plus que le plaisir que lui procurait son Maître.... Elle finit par se laisser pendre par les poignets, n'ayant plus de force pour se tenir debout... Il se releva, lui enleva le bâillon, la soutint et lui détacha les mains, elle Le prit dans ses bras, se laissa aller contre Lui jusqu’à ce qu'Il lui dise : - a genoux un sourire se dessina sur son visage... huumm ce ton.... elle savait ... elle attendait ce moment avec impatience... Elle ne se fit pas prier pour se mettre à genoux.... Il appuya sa tête contre Sa verge dressée, elle l'embrassa à travers Son pantalon... Elle défit le rempart qui la séparait de ce qu'elle voulait.... A elle, enfin, de jouer de la bouche et de la langue.... Elle adorait ça.... Elle adorait Lui donner du plaisir, entendre Sa respiration changer, Ses soupirs de plaisirs... tout ça l'excitait, lui donnait envie de Lui donner encore plus... alors elle s'appliquait à être à l'écoute de Son plaisir et à Lui faire ce qu'Il aimait le plus... des décharges de plaisir continuaient à remonter dans son bas ventre pendant qu'elle suçait et léchait son Maître... son bassin ondulait au même rythme que les décharges qui arrivaient.... Il se retira de sa bouche, comme toujours c'était une frustration pour elle... mais celle ci disparu quand Il lui dit de se mettre à quatre pattes... Il vint se positionner derrière elle et la prit comme Il aimait le plus et elle aussi d'ailleurs... là c'était parfait... Il était en elle... Elle se cambrait le plus qu'elle pouvait pour bien Le recevoir... Et ce fut une nouvelle vague qui monta en elle et explosa, elle finit par s’écrouler sur le sol, elle était comblée, heureuse que son Maître est aussi prit Son plaisir... Il se retira, se rajusta et vint la prendre une nouvelle fois dans Ses bras.... pas besoin de parler, juste être là ensemble pour savourer la présence de l'autre... Il lui retira son bandeau et l'autorisa à Le regarder, Il l'embrassa.... Elle aurait voulu que le temps s'arrête pour rester là dans Ses bras... Elle avait complètement oublié où elle se trouvait et le risque d'être surprise nue au milieu de la forêt... Il finit par se relever, Il lui détacha les chevilles, lui rapporta ses vêtements. Il était temps de se préparer à rentrer, de sortir de cette bulle qu'ils avaient partagé, retourner dans le monde réel.... Elle se rhabilla et retourna à sa gamelle boire un peu avant de ranger, elle entendit son Maître la prendre de nouveau en photo... et ils retournèrent à la voiture. -- Soumise Lildya
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Par : le 01/05/22
Nous voici donc seuls dans la chambre d’hôtel, moi assise dans ce fauteuil, Sextoy couché à mes pieds. J’ai besoin de récupérer un peu, et de mettre mes idées au clair pour la suite du programme. Je connais vos consignes, Monsieur, j’espère simplement avoir le temps nécessaire. Après quelques instants, je me relève puis vais chercher dans un sac quelques objets que je pose sur le lit : une cravache, un collier, une laisse et un jouet en plastique pour chien, ainsi qu’un sachet de biscuits. Puis, tout en claquant des doigts et en pointant l’index vers le sol, j’intime « au pied ! ». Sextoy comprend assez rapidement. Il se relève et vient me rejoindre, à quatre pattes. Une caresse sur la tête pour le féliciter. - bien, à partir de maintenant, et jusqu’à ce que les invités de Monsieur soient repartis, tu seras un bon petit chien, et devras te comporter en tant que tel, compris ? - oui Duchesse Vlan, un petit coup de cravache sur les fesses : « a-t-on jamais entendu un chien parler ? » Il baisse la tête, légèrement penaud. « Je sais que tu as des chiennes chez toi, tâche de t’inspirer de leur comportement. Pour commencer, la posture. Lorsque tu es à quatre pattes, en position d’attente, ou que tu marches, tu dois être cambré, ton petit cul bien offert à qui voudra. Allez, avance un peu, que je te voie ». La posture n’étant pas habituelle, il a du mal à la conserver longtemps… du moins au début. Chaque erreur est sanctionnée d’un coup de cravache. Les coups, fréquents les premiers temps, se sont espacés jusqu’à disparaître. Il faut dire qu’ils étaient de plus en plus appuyés… En même temps, je l’appelais régulièrement « au pied ! », avec claquement de doigts et index pointé vers le bas, jusqu’à ne plus prononcer et un mot et qu’il obéisse au claquement de doigts. Cette première phase terminée, je suis allée m’asseoir sur le lit pour commencer la seconde. Après lui avoir retiré la laisse : « assis ! », le tout accompagné d’un claquement de doigt suivi du poing fermé ; puis « couché ! », claquement de doigt et main à plat. Chaque séquence correctement exécutée est suivie soit d’une caresse sur la tête, soit récompensée d’un biscuit, que je lui fais manger dans le creux de la main. Ces exercices sont répétés plusieurs fois, jusqu’à ce qu’il les ait acquis uniquement par le claquement des doigts et le geste, comme pour la première phase. Comme il fait chaud, je bois un peu d’eau, avant de lui en verser dans une gamelle prévue dans le sac à cet effet. Il n’a pas encore l’habitude de laper, mais, la soif aidant, il s’y met rapidement. Comme il a été bien attentif à ses leçons, il a le droit de jouer un peu. Je vais donc prendre le jouet et le lui lance. Premier réflexe de sa part, tendre la main pour l’attraper… mauvaise option. Un coup de cravache sur la main pour le ramener à la réalité. Il comprend vite, mon petit chien. Il va donc s’amuser avec son jouet, me l’apportant de temps en temps pour que je le lui lance. Pendant ce temps, je me repose un peu dans le fauteuil, car je me doute que je n’en n’aurais plus l’occasion avant un bon moment. J’allais oublier une dernière chose… Claquement de doigts et index pointé vers le sol, il accourt aussitôt. - c’est bien… Tu as bien appris toutes tes leçons ; il manque cependant un petit quelque chose… Il te manque un élément pour pouvoir montrer que tu es content, puisque tu n’as pas droit à la parole… Et tu vas pouvoir le faire comme un bon petit chien, avec ta queue. Je vais donc te retirer ta cage, on va voir si tu aimes ça, d’être un bon toutou. Et, tout en parlant, je lui retirai sa cage en plastique, pour me rendre compte très rapidement qu’il était heureux de sa condition. Il était temps. Un sms venait d’arriver sur mon portable, par lequel vous m’annonciez que vous seriez là avec vos invités dans quelques instants. Je me dépêche de faire place nette sur le lit et de mettre un peu d’ordre dans la chambre. Il nous fallait nous mettre en position. Je me plaçais face au mur libre, jambes écartées. Puis, après avoir ordonné à Sextoy de se tenir tranquille à mes pieds, lui aussi face à ce mur, je croisais les mains dans le dos, bien droite, poitrine en avant, mais regard baissé. Bruits de voix dans le couloir. Je vous sais proche, Monsieur, mon cœur bat un peu plus vite. Après quelques instants, les deux panneaux coulissant qui formaient le mur s’ouvrent sur une suite, dont nous n’avions occupé jusque là qu’une petite partie. C’est une surprise pour Sextoy, mais non pour moi. Il y a un coin salon, avec un canapé convertible, en mode lit, un petit coin cuisine, une grande salle de bain et, plus loin, le coin chambre, pour l’instant isolé du reste grâce à des panneaux coulissants Vous êtes accompagné de trois personnes. Une grande femme blonde, aux formes légèrement pulpeuses, qui porte un corset noir et une longue jupe aérienne en voile noir, chaussée d’escarpins ouverts noir vernis dont les talons sont rouges. Vous me la présentez comme étant Lady Venus. A ses côtés, regard baissé comme le mien, Bijou, sa soumise, petite brunette qui me semble assez jeune ; elle est vêtue d’une courte robe moulante en latex blanc, chaussée d’escarpins noirs. La troisième personne est un homme, très grand, bien proportionné, cheveux noirs coiffés en brosse. Maître Sévère. Il porte son nom sur son visage mais, curieusement, je n’en n’ai pas peur. Puis vous nous présentez : Duchesse, et notre chien Sextoy…. J’espère que ce dernier va réagir, et aller saluer son Maître. Mais je le sens un peu interdit. Comme je baisse la tête, je le vois qui me regarde, m’adressant un regard interrogatif. Je lui fais signe discrètement de bouger un peu. Mais, ce qui le motive le plus, est de vous entendre dire à vos amis, d’un ton légèrement menaçant : « nous allons voir si Duchesse a bien dressé ce chien ». S’il ne réagit pas, c’est moi qui serais punie. Mais il m’évite cela, en rejoindre vous rejoindre et lécher la main que vous lui tendez. Une caresse sur la tête est sa récompense. - « brave chien. Va saluer mes invités, maintenant » Je ne lui ai pas donné de consignes à ce sujet, et ne sais pas comment il va réagir. Il se dirige vers chacun d’eux… et leur lèche les chaussures. Je suis rassurée… Puis un claquement de doigts se fait entendre. Aussitôt il regarde vers moi, pour voir de quel ordre il s’agit, mais j’ai toujours les mains croisées dans le dos. Nouveau claquement de doigts. Il tourne alors la tête et s’aperçoit que c’est vous qui l’appelez ainsi, à venir à vos pieds. Il s’exécute aussitôt, ce qui me fait obtenir vos félicitations. J’en suis heureuse. Après cette brève démonstration, vous invitez Lady Venus et Maître Sévère à s’asseoir autour d’une petite table basse. C’est le signal pour que j’aille servir des rafraîchissements, bienvenus par cette chaude journée. Tandis que je me dirige vers le coin cuisine, Bijou, pour obéir à sa Maîtresse, retire sa robe et s’agenouille à sa droite. J’apporte un plateau avec boissons et verres. Du thé glacé pour Lady Venus, un pastis bien frais pour vous et Maître Sévère. Bijou et moi prendrons un verre d’eau. Pendant ce temps, Sextoy, qui commence à prendre son rôle au sérieux, est allé chercher son jouet et commence à tourner autour de la table, le déposant au pied des uns ou des autres pour qu’on le lui lance. Amusant au début, ce petit jeu finit par vous lasser. Claquement de doigts et main à plat, Sextoy vient se coucher derrière votre siège, tandis que je m’agenouille à votre droite après avoir fait le service. Vous discutez entre Maîtres, nous attendons sagement. Sextoy, qui a soif lui aussi après avoir joué, finit par se lever pour aller boire à sa gamelle, dans la petite chambre, puis revient se coucher à côté de moi, la tête sur mes genoux. Je le caresse, il l’a bien mérité. Puis vous m’informez que Bijou n’a jamais connu de contact masculin ; c’est pourquoi Lady Venus vous a demandé de l’initier. Je connais votre douceur et ne me fais pas de soucis pour Bijou, je sais qu’avec vous elle est entre de bonnes mains. Mais, continuez-vous, elle aura peut-être besoin de moi pour la rassurer. Je hoche la tête. « Oui Monsieur ». Je redresse la tête pour adresser à Bijou un sourire rassurant, et je sens alors qu’elle va en avoir besoin, elle a l’air terrorisée. Vous vous levez et donnez ainsi le signal pour commencer les « festivités ». Tandis que Maître Sévère se dirige vers la chambre, Lady Venus va s’asseoir dans un fauteuil à côté du canapé-lit et demande à Bijou de rester debout face à celui-ci, tandis que vous vous déshabillez. C’est toujours un plaisir de vous voir nu, Monsieur, j’aime votre corps, que vous êtes beau…. Je reste en retrait, jambes écartées, mains dans le dos. Vous vous asseyez sur le lit et attirez doucement Bijou à vous. Vous commencez par prendre ses seins dans vos mains, à les caresser, avant de les prendre en bouche. Je la regarde, avec envie. Je ressens presque la sensation de votre bouche sur ma poitrine tandis que vous vous occupez d’elle. Puis vous vous relevez et vous écartez du canapé-lit, avant de la faire s’agenouiller devant vous. Vous invitez Bijou à regarder, puis toucher votre sexe déjà en érection. Elle vous regarde, mais n’ose pas vous toucher. Vous vous tournez alors vers moi et, sur un signe de vous, je vais m’agenouiller à côté d’elle. Je lui prends alors la main et, délicatement, la pose sur vous. Nos deux mains, devenues siamoises, vous caressent le sexe, doucement, lentement. Sa Maîtresse l’encourage de la voix, lui caressant parfois la tête, le visage. Lorsque je la sens un peu plus assurée, je la lâche, l’invitant d’un sourire à avancer seule à votre découverte. Elle regarde, compare les différentes textures du gland, de la verge, et ose même descendre jusqu’à vos testicules. Vient le moment où vous l’invitez à vous goûter. Léger mouvement de recul ; de nouveau je viens à son aide. D’abord je l’embrasse, doucement puis plus intensément. Ses lèvres sont douces. Tout en l’embrassant, j’attire sa tête vers votre sexe, jusqu’à ce que nos lèvres se posent sur votre gland. C’est alors une bouche à quatre lèvres qui vous prend le sexe. C’est ce moment que choisit Maître Sévère pour faire son apparition à vos côtés. Lui aussi est nu, et son sexe dressé ne demande qu’à être honoré. Je vous regarde, et, sur un signe de confirmation de votre part, je vais m’occuper de Maître Sévère. Je commence par le lécher sur toute sa longueur, faisant ainsi doucement connaissance de ce sexe. Mes lèvres s’emparent ensuite du gland, que j’aime particulièrement téter, aspirer, tandis que d’une main je lui caresse les testicules. Vous en profitez pour inviter doucement Bijou à regarder pour apprendre. Je m’applique : non seulement je dois montrer l’exemple, mais je souhaite également vous faire honneur vis-à-vis de Maître Sévère. Et, de plus, j’ai enfin une queue pour moi seule, même si ce n’est pas la vôtre. Je m’en délecte donc, la suce, l’aspire, la lèche. Tout ceci ne m’empêche pas d’entendre Lady Venus vous demander de lui prêter Sextoy. Etant quelque peu inoccupée, elle demande alors à ce dernier de s’occuper d’elle, en lui faisant subir un face-sitting. Je jette un coup d’œil rapide : Lady Venus assise sur le visage de Sextoy, Bijou qui s’est décidée à franchir le pas pour vous sucer. La scène m’excite au plus haut point, et je passe discrètement une main entre mes cuisses ; je dégouline. Mon geste ne vous a pas échappé, ce qui me rend confuse. Mais vous aimez cela, me savoir ainsi dégoulinante d’excitation, n’est-ce pas, Mon Seigneur ? Je n’ai cependant pas le plaisir d’honorer Maître Sévère jusqu’au bout car, après quelques instants, il m’invite à me relever et m’entraîne à sa suite, vers le grand lit. Avant d’ouvrir les panneaux coulissants, il me met un bandeau sur les yeux. Je frisonne légèrement. D’habitude, lorsque vous me prêtez à un autre dominant, c’est avec les yeux que je communique avec vous pour vous faire savoir si tout va bien ou si j’ai besoin de vous. Mais là je ne vais pas pouvoir. Vous devez le sentir, car vous tentez de me rassurer en me disant que vous restez là, attentif. Je n’ai pas le choix. Le fait de n’être pas bâillonnée est également un gage pour moi, signe que je ne serais pas totalement à la merci des angoisses qui pourraient surgir… Ce que vous ne m’aviez pas dit, c’est que Maître Sévère excelle dans l’art du bondage, et, sachant que j’aime cela, vous avez souhaité m’offrir à ses cordes expertes. C’est pour ne pas que je voie ses cordes, et autres matériels, qu’il a sortis et posés sur le lit, que j’ai les yeux bandés. Il commence par prendre une longue corde noire, pliée en deux, d’une quinzaine de mètres, à laquelle il a déjà fait deux nœuds, avec une petite boucle et une plus grande. Il me passe la plus grande autour du cou, en laissant pendre la petite dans le dos. J’ai ainsi les deux brins de la corde qui pendent devant moi. Nouveau nœud, sous les seins, puis un autre, au niveau du pubis, avant de passer les deux brins entre mes lèvres. Nœud au niveau du périnée, cordes entre les fesses puis deux nœuds dans le dos avant de passer les brins dans la petite boucle et d’y faire un nœud. Chaque brin est ensuite passé sur le devant, entre les nœuds, puis repassé en arrière. Il réalise ainsi ce qu’on appelle un diamant Kikkou. Chaque nouvelle tension par les brins horizontaux sur les brins verticaux fait se tendre de plus en plus ces derniers. Le nœud sur le pubis appuie désormais sur le clitoris, et le suivant sur l’anus, ce qui est très excitant. C’est une version quelque peu améliorée qu’il exécute sur moi : après avoir terminé ses allers-retours horizontaux, il descend sur chaque jambe, y exécutant des motifs du plus bel effet visuel. Il prend ensuite une corde, plus petite et rouge, et entreprend de m’attacher les mains dans le dos, bras le long du corps, avant-bras à l’horizontale, mains relevées à la verticale. Puis, avec de fines cordelettes noires, il entreprend de bien resserrer à la base les cordes qui entourent mes seins, afin de bien faire ressortir ces derniers. Il prend enfin deux fines cordelettes blanches pour entourer serré mes tétons, sous les piercings. Tirant sur les extrémités de ces dernières, il me mena à vous pour que vous puissiez admirer son ouvrage. Marcher ainsi attachée, les yeux bandés, avec des nœuds excitant entre les cuisses, n’est pas la plus aisée des choses… C’est vous qui me retirez mon bandeau, avant de tendre un peu, de votre main, les cordes, pour m’exciter encore plus. Je vous murmure un merci pour ce joli cadeau que vous me faites. Puis Maître Sévère me ramène vers le lit, et prend quelques photos, avant d’attacher une barre d’écartement entre mes chevilles. L’équilibre devient précaire. Quelques coups de badine là sur les cuisses, entre les cordes, sur les fesses, sur les seins biens tendus. Je dois veiller à ne pas tomber, et pour cela ne rien chercher à esquiver, mais ce n’est pas trop dans ma nature. Le temps ensuite pour Maître Sévère de prendre quelques photos, à votre demande, et il faut déjà dénouer tous ces liens pour éviter des blessures qui pourraient être graves. Mais je n’en n’ai pas terminé pour autant, car ma peau conserve la marque de ces cordes. Je secoue un peu mes bras pour les dégourdir, le sang afflue de nouveau un peu partout, cela picote légèrement. Bien qu’étant resté concentré sur son travail, Maître Sévère n’en n’est pas pour autant moins excité que tout à l’heure. J’entreprends donc de le remercier comme il se doit, à genoux devant lui, cette fois jusqu’au bout. Durant tout ce temps, non seulement du fait du bandeau, mais aussi de l’examen de mes propres impressions, je n’ai prêté attention à ce qui pouvait se passer ailleurs. Je n’ai pas vu Sextoy faire jouir Lady Venus après qu’elle a longtemps joué avec son visage. Je n’ai pas vu Bijou se lancer à vous sucer, mais n’osant pas encore aller jusqu’à vous avaler, et vous ne l’avez pas forcée. Mais sa Maîtresse voulait qu’elle goûte tout de même à votre nectar. Je ne vous ai donc pas vu jouir dans la bouche de Sextoy, et lui avez demandé de partager un peu avec Bijou. Je n’ai pas vu non plus Bijou être autorisée à jouir par Lady Venus, de la bouche de Sextoy. Non, de tout cela je n’ai pas eu conscience. C’est Sextoy qui me racontera plus tard ce qui s’est passé tandis que j’étais dans mon monde de cordes... (Texte écrit il y a très longtemps, dans une autre vie.)
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Par : le 28/04/22
Plusieurs cages à chiens sont disposées, les unes sur les autres, sur 3 niveaux. Chacune est numérotée de 1 à 15. Mais il n'y a pas de chien dans les cages. Il y a des hommes. Chaque cage est occupée par un homme attaché, nu évidement et parfois cagoulé. Maitresse Sylvie me tire vers la cage numéro 7, au deuxième niveau. - "Montes la dedans, petit chien. Tu fermes ta gueule et tu n'a pas intérêt à faire du bruit ou tu regrettera d'être revenu." Je rentre dans la cage difficilement. Elle est vraiment petite pour un homme. C'est l'objectif recherché en même temps. Je ne peux que me placer en position fœtale. Maitrese Sylvie referme la cage, y pose un cadenas et s'en va en éteignant la lumière. La position n'est pas du tout confortable. Je peux à peine me tourner et je n'ai pas chaud. De plus, les barreaux de la cage renforcent la sentation de froid. Je n'ai aucune couverture pour me réchauffer ou quoi que ce soit pour mes besoins. J'approche ma tête de la cage du dessous et chuchote : - Hey, salut. Tu sais comment ça se passe pour la nourriture ou les besoins ? Quand est ce qu'il nous font sortir ? N'obtenant aucune réponse, je répète ma question : - "Hey oh ! Tu peux me renseigner ? C'est la première fois que je viens ici, je suis un peu perdu". Mais c'est une voix sur ma droite qui me répond : - il peut pas te répondre, il est bâillonné. Il a trop parlé et ils l'ont fouetté avant de l'enfermer dans sa cage pour 2 jours complet. Maintenant tais toi ou on va être puni aussi. Ils nous surveillent avec des caméras et des micros" - "Mais il fait noir ici". - "caméras infrarouges. Pour répondre à ta question, on mange quand ils ont envie, on sort pas et tu fais tes besoins dans ta cage. T'as de la chance, t'as personne au dessus de toi. Maintenant, ferme là". Je met plusieures secondes pour encaisser ce que je viens d'apprendre. Je vais rester enfermé ici pour une durée indéterminée et sans manger probablement pendant un long moment. Je me recroqueville dans ma cage en me demandant combien de temps je vais devoir rester là à attendre... A suivre...
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Par : le 20/04/22
Bonjour Voici le chapitre 8 de mon histoire. J'attends vos retours avec impatience ! —————————————————————————————— Nous sommes 3 semaines après cette folle expérience. Je me réveille avec l'envie de reprendre une séance. La menace de Maitresse Lucy est toujours présente mais je ne peux résister à l'idée d'y retourner. Je me connecte de nouveau sur le site et réserve une nouvelle séance. Apres m'avoir authentifié, je remarque que je ne peux prendre qu'une séance de 1jour/1nuit. Je me demande pourquoi la séance est aussi longue. Une demande importante sans doute. Le jour venu, je me rend au château, comme la première fois. A l'entrée, Maitresse Sylvie ne me jete qu'un rapide coup d'oeil avant d'ajouter : -"Tu connais le processus. A poil, en cage, Maintenant". Bonne ambiance. Sagement, je m'exécute et me déshabille complètement, enfile ma cage de chasteté et me met à genoux en attendant Maitresse Sylvie. - "Tu as été une vraie pute la dernière fois. Tu as as désobéi à une maitresse volontairement. Il va falloir qu'on règle ça." Je veux répondre que je n'avais pas fait exprès et que j'étais prêt à obéir mais je me retint. Pas la peine de provoquer Maitresse Sylvie. Elle me passe un collier au cou, y accroche une laisse et ajoute : - " Maintenant, tu n'es plus qu'un puceau soumis, une petite pute a dresser, un chien de merde à éduquer. A 4 pattes !" J'obéit immédiatement. Elle me met un baillon en forme d'os dans la bouche et me tire dans le même couloir que la première fois mais s'arrête avant la cellule collective. Je comprend où je vais aller. La fameuse pièce "Animaux de compagnie". Maitresse Sylvie ouvre la porte. La pièce est noire. Elle me tire à l'interieur et allume la lumière. A suivre...
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Par : le 03/03/22
Je suis debout, face au soumis de Maîtresse Rachelle. Les Reines de la soirée sont assises autour de nous et ont fait silence. Ennia et la soumise s'activent pour remplir les verres vides. Je ne sais pourquoi, mais cela me soulage qu'Ennia ait autre chose à faire que d'assister à mon supplice. Je me sens meurtri, ce soir. Je ne me l'explique pas. Particulièrement humilié, comme s'il restait en moi une part de mâle, fier, dominant. Une part qui refuse encore son état, sa soumission. Et cette part masculine rebute à donner du plaisir à un homme, à devenir sa femelle. Je croyais cette part effacée, à jamais. Enterrée sous le plaisir d'obéir, de servir mes Déesses, de vivre mes fantasmes aussi, aussi loin que possible. Mais ce soir, cette part se réveille et Maîtresse Caroline le perçoit. Je ne sais comment. Peut-être possède t-elle un sixième sens ou bien me connaît-elle bien mieux que je ne me connais. Ma divine Maîtresse se lève, empoigne ma cage de chasteté et me tire vers mon "amant" avant de me murmurer à l'oreille "excite moi, je veux être fière de toi ma chienne... laisse une fois de plus la femelle s'exprimer, se libérer... je sais qu'elle est en toi. Et je veux la voir se déchaîner". Ses mots ont un effet immédiat. Je me sens libéré, libre d'être ce que ma Reine désire. Une femelle amoureuse, avide de plaisir, avide de se donner, avide de se sentir un instrument de plaisir pour le mâle qui me fait face. La honte que je ressentais s'évanoui. Je sais qu'Ennia s'est agenouillée aux pieds de Maîtresse Caroline et qu'elle me regarde. Je sais qu'elle sera fière elle aussi. Je sais que me voir me donner, être prise par ce soumis va la rendre folle de désir. Et je me sens protégé derrière ma tenue de latex, ma cagoule qui me rend anonyme et m'affranchit de devoir assumer à visage découvert. Cette sensation de protection achève de briser mes barrières, mes derniers tabous. Maîtresse Rachelle se lève à son tour et vient murmurer à l'oreille de son serviteur "Baise la, c'est ta pute, ton esclave sexuelle. Amuse-toi... et amuse-nous !" Mon mâle m'attire à lui et me plaque contre son torse. Je sens sa queue, dure, contre mon ventre. Sa bouche vient à rencontre de la mienne et sa langue ouvre mes lèvres. Je lui rends son baiser, profond, et nous nous embrassons à pleine bouche. Ses mains pétrissent mes fesses, les ouvrent, un doigt vient caresser mon anneau. Je caresse son corps, comme je ne l'ai jamais encore fait avec un homme. Je lui offre ma bouche sans retenue, ma langue, je l'embrasse dans le cou, je lèche... ma bouche descend sur ses tétons et mon mâle semble apprécier ma caresse. Il m'encourage même. "hmmmm vas-y, occupe toi de me seins j'adore ça... montre moi que tu en as envie...je vais te baiser, te faire hurler ma petite pute...". Je continue ma descente, embrasse, lèche son ventre plat et musclé, sans cesser de le regarder. Je tombe à genoux et mon regard se fixe sur sa hampe. Grosse, dure... je l'avoue, j'ai envie de cette queue. Envie de lui donner du plaisir, de la sentir vibrer sous mes doigts, sous ma langue. Envie qu'elle me prenne aussi. Oui, en cet instant, je suis une femelle amoureuse, dévouée au plaisir de son mâle. Baisers le long de sa hampe, effleurements de mes lèvres sur son gland, mes doigts qui l'enserrent doucement, caressent ses couilles... j'entends mes Maîtresses commenter, sans vraiment comprendre leurs mots, je les entends applaudir et rire. Je suis ailleurs, dans un autre monde, où seul le plaisir et la jouissance de la queue qui coulisse entre mes lèvres m'importe. La jouissance de mon mâle. Celui-ci a posé une main sur ma nuque, et me presse contre lui. Il me pilonne de plus en plus fort, s'enfonçant au maximum ce qui m'arrache des hauts le coeur mais semble beaucoup faire rire mes Déesses qui l'encouragent : "Vas-y, gave le bien... baise lui la bouche plus fort... allez la chienne, avale-le...". J'ai les yeux noyés de larmes, et je ne suis plus qu'un instrument de plaisir, totalement déshumanisé. J'avais envie de prendre mon temps, de montrer mon désir de faire jouir cette queue, lui montrer ma dévotion de femelle amoureuse. J'avais juste oubliée que je suis sa femelle, sa soumise, son esclave... et que lui est mon Dominant. Et il est déterminé à me le faire sentir. Il se retire de ma bouche et me gifle "Petite pute, c'est tout ce que tu sais faire ???" Je ressens une profonde humiliation, incontrôlable. Mais je n'ai pas le temps de m'y appesantir. Lécher ses couilles, sucer, le masturber, le sentir de nouveau pilonner le fond de ma gorge... le temps n'existe plus. Il quitte ma bouche pour me forcer de nouveau à l'embrasser, pendant qu'il claque mon cul et m'ouvre avec ses doigts, sans aucun ménagement. Il me retourne et me pousse à quatre pattes avant de s'enfoncer d'un coup dans mes reins ce qui m'arrache un hurlement, aussitôt puni par une fessée musclée. Je le sens se retirer plus replonger en moi, m'ouvrir. Mes Maîtresses rythment ses coups de reins en tapant dans leurs mains. Je subis ses assauts, sans aucun plaisir. Je ne suis qu'un objet, un instrument qu'on utilise. Position différente, pénétration brutale, sa langue dans ma bouche, ses seins sous ma langue. Puis mon mâle s'allonge et m'ordonne de venir m'empaler sur sa hampe. Je me sens vulnérable à le chevaucher ainsi. D'ailleurs je le suis. Et Maîtresse Christelle ne se prive de jouer avec sa cravache sur mes reins. Je gémis de douleur à chaque coup, mais je me surprends aussi à gémir de plaisir en m'empalant sur cette queue toujours aussi dure et grosse. Maîtresse Rachelle a dû lui faire prendre du viagra pour qu'il soit aussi endurant. Je me sens observé, totalement nu malgré ma peau de latex rose. Je traverse ce moment comme une épreuve supplémentaire, presque un défi que je dois relever pour l'honneur de Maîtresse Caroline. Je veux qu'elle soit fière, et je me lâche totalement. Le rythme s'accélère, et mes gémissements, mes suppliques de plaisir redoublent. Je stimule mon amant pour qu'il me baise encore plus fort...Je ressens son plaisir qui monte, sa queue qui vibre de désir.. ses halètements me grisent. Il est prêt à jouir, je le sens. Sa Maîtresse aussi le sait. "Retire toi, je veux que tu te vides dans sa bouche, que ta petite salope puisse te déguster... nourris la ! " Je suis à genoux. Mon mâle se masturbe frénétiquement pendant que je lèche ses couilles. Râles de plaisir, langue sortie, il se vide dans ma bouche, me nourrit de son fluide, épais, abondant. Mes Maîtresses se sont levées et nous entourent. Maîtresse Caroline s'adresse à moi : "N'avale pas ! Garde le bien en bouche.... Ennia ma pute, approche ! Un nectar pareil, ça se partage ! Allez, on déguste !" J'échange un long baiser gluant avec mon amour, nous jouons avec son sperme, elle l'aspire dans sa bouche avec de le faire de nouveau couler sur ma langue puis de m'embrasser profondément. Je presse son corps contre moi. Enfin, enfin je peux de nouveau la prendre dans mes bras, caresser ses courbes, me nourrir de sa chaleur. Elle me fait tout oublier. Comme elle l'a toujours fait. Dans ses bras plus rien ne peut m'atteindre. J'y suis heureux, simplement. Nous jouons ainsi de longues minutes, puis nous nettoyons la hampe de mon mâle, toujours dressée. Sa jouissance ne l'a pas fait débander et Maîtresse Caroline a encore envie de jouer... "Puisque tu bandes encore, tu peux encore baiser. Mon autre pute aime la queue elle aussi, tu vas voir ! Et elle adore être enculée ! Vas-y, fais la souffrir un peu... ça m'excite !" "Toi viens là, j'ai envie". C'est Maîtresse Chloé qui a parlé. Elle plaque ma bouche contre son sexe et ne me donne qu'un ordre : "Avale !" Et elle se soulage dans ma bouche. Son champagne est abondant, et je manque de m'étouffer. J'avale comme je le peux, en laissant une partie s'écouler sur moi. "Tiens, moi aussi j'ai envie !" Maîtresse Christelle prend aussitôt sa place pour continuer à m'abreuver. Je n'arrive plus à avaler. Maîtresse Sophie s'est approchée et patiente jusqu'à ce que Maîtresse Christelle est fini de se soulager. "Moi aussi j'ai envie.... mais de jouir ! Ce spectacle m'a fait mouiller comme une folle ! Allonge toi le chien !" Je m'exécute et Maîtresse Sophie vient aussitôt s'asseoir sur mon visage. Elle coule littéralement et se frotte sans ménagement sur ma bouche. Je lèche, aspire, respire son parfum, goûte son divin nectar. Elle jouit rapidement, remplacée aussitôt par Maîtresse Céline. "Moi aussi je veux jouir ! Allez, on lèche bien sa Maîtresse !" La tête enserrée entre les cuisses de Maîtresse Sophie, j'entends vaguement des gémissements. Plus de douleur que de plaisir. Et des voix qui haranguent : "défonce-la, fais rougir son cul, encule-la plus fort, fais-la hurler !" Maîtresse Cécile met plus de temps à jouir. Elle a envie de faire durer le jeu du plaisir. M'ordonne de me consacrer à son anneau, avant de m'offrir à nouveau son calice délicieux, puis de m'abreuver de sa liqueur. Je sens des mains qui me redressent, et je suis à genoux. Devant mes yeux, mon amour se fait prendre, violemment. La queue du soumis enfoncée dans sa bouche, et Maîtresse Rachelle, harnachée d'un énorme god-ceinture, ouvrant ses reins au rythme de la cravache qui vient frapper le cul d'Ennia. Je vois les marques rouges qui se croisent. J'entends les cris d'Ennia, étouffés par la colonne de chair qui la bâillonne. J'entends le cri de libération, de jouissance du mâle qui se vide dans sa bouche. Et le god qui se retire de ses reins. Mon amour s'effondre au sol, ravagée. Je ne sais si c'est de douleur ou de plaisir. Mais le doute ne subsiste pas longtemps. Le sourire de bonheur qui irradie son visage et son regard qui accroche le mien répondent à mon interrogation. Je l'aime. Et ce soir, nous sommes fiancés.
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Par : le 01/03/22
Les mesures de confinement s’assouplissant quelque peu, mon amie et moi avions décidé de nous revoir après trois mois d’abstinence complète de nos jeux de liens et de prisonnier, tout en respectant les indispensables mesures de distanciation sociale édictées par le gouvernement, bien évidemment. Le train étant à éviter, nous avons convenu de nous retrouver sur un parking situé près d’un terminus du métro, à proximité de l’autoroute, et qu’elle viendrait avec sa fourgonnette tôlée, plutôt que sa petite voiture, et que je mettrais un bâillon sous mon masque de protection. Et pourquoi pas des menottes, avais-je ajouté en riant … J’aurais mieux fait de me taire … A l’heure dite, la fourgonnette s’engageait sur le parking, mon amie en descendit vêtue d’une longue jupe verte et d’un splendide veste de laine jaune sous lequel elle semblait dissimuler quelque chose … Elle ouvrit la porte latérale du compartiment arrière, me dit de monter, de m’agenouiller, le temps de mettre mon bâillon et mon masque (une cagoule de laine très serrante), puis de mettre les mains derrière le dos. Ecartant le bord de sa veste, elle me fit entrevoir l’éclat métallique d’une paire de menottes monobloc, laquelle deux cliquetis et moins d’une minute plus tard m’enserrait les poignets heureusement protégés par les très longues manches de mon pull. Puis la porte latérale se referma me laissant dans l’obscurité complète. Mon amie remonta dans le compartiment avant et démarra, le premier virage qu’elle prit me jeta presqu’à terre et m’incita à me coucher, les jambes repliées … Après l’autoroute, ce furent les petites rues de campagne, puis le très mauvais chemin pavé menant à sa vieille ferme. J’étais secoué dans tous les sens sur le plancher métallique. Enfin le véhicule s’immobilisa et le moteur s’arrêta. Lorsque mon amie ouvrit enfin la porte latérale du compartiment arrière et m’ordonna de sortir et de la suivre, bâillonné et toujours menotté les mains derrière le dos, j’étais en nage … Elle me fit pénétrer dans un vaste garage ou, sur une table, elle avait disposé un lange pour incontinent, un petit gilet en laine irlandaise écrue et sans manche, de longs gants de laine rose et de vieilles chaussettes chinées très épaisses. « Tu te déshabille complètement, tu enfiles ce que je t’ai préparé et tu me rejoins dehors, près des écuries ! » me dit-elle avant de me libérer les poignets. Puis elle s’empara des chaînes et menottes qu’elle avait préparé pour la suite et sortit. Bâillonné comme je l’étais, impossible de discuter, il ne restait plus qu’à obéir et sans traîner… Une fois prêt, je la rejoignis, bras et jambes nues, près d’une sorte d’établi installé devant les trois box à chevaux au bord de la prairie. Comme je frissonnais quelque peu, elle dit « tu vas voir, il n’y a pas que le vent qui est piquant aujourd’hui ! Il y a un buisson d’orties sur ta droite, tu m’en ramènes une pleine brassée et en vitesse ! » Heureusement que j’avais les mains protégées par les gants de laine pour procéder à la cueillette que je fis le plus rapidement possible et sans trop réfléchir, pour venir déposer ma récolte sur l’établi à côté des chaînes et d’une espèce de petit sac noir qu’elle me tendit. C’était une cagoule en lycra à renfort oculaire destinée à me rendre totalement aveugle pour la suite des événements. Je la passai par-dessus le bâillon et la cagoule serrante que je portais déjà depuis mon enlèvement une demi-heure plus tôt. J’étais désormais dans l’obscurité la plus complète. Après divers bruits métalliques, elle m’ordonna d’à nouveau mettre les mains derrière le dos et me passa aux poignets une nouvelle paire de menottes à laquelle une chaîne pendait … Puis tout se précipita. Mon lange fut descendu et brutalement remonté avec toutes les orties dedans. Etant donné le bâillon, je ne pus émettre qu’un long mugissement … Je fus ensuite tiré à l’intérieur de l’un des boxes où elle me poussa contre une espèce de tabouret de bar sur lequel elle m’ordonna de m’assoir. Nouveau mugissement … Je dus ensuite passer mes bras menottés derrière le dos par-dessus une espèce de petit dossier pour lui permettre de fixer la chaîne pendante à un anneau, avant de passer à mes chevilles, de les menotter et d’en fixer la chaîne à la barre d’appui de la chaise. Ce fut tout, je m’entendis dire « à plus tard » avant que la porte inférieure du box ne soit refermée, mais pas la supérieure, de manière à laisser mes bras nus en plein vent et mes fesses et tout le reste en feu … Ai été libéré deux bonnes heures plus tard, autorisé à rapidement me rhabiller, avant d’être remenotté, par devant cette fois, contraint de remettre la cagoule aveugle, embarqué à l’arrière de la fourgonnette et ramené à mon point de départ, sans qu’à aucun moment les mesures de distanciation sociale n’aient été foulées aux pieds, mais, le lendemain matin, les fesses me brûlaient encore.
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Par : le 27/02/22
20h22, le train était à l’heure à la gare de G* et je fus le seul à en descendre ; une petite fourgonnette tôlée gris foncé semblait m’attendre, je dus monter à l’arrière et m’allonger sur le plancher. Le véhicule arriva à bon port dix à douze minutes plus tard. Lorsqu’on m’en fit descendre, je constatai que nous étions dans la cour d’une haute maison de style 1900 bâtie à l’orée d’un bois. Je fus poussé vers l’entrée de service, une personne tout de noir vêtue m’attendait dans le corridor et exigea que je lui remette immédiatement mes papiers, mon GSM, ma montre et mes lunettes, après quoi elle m’ordonna de complètement me déshabiller et d’enfiler les vêtements qu’elle me tendit, soit, une protection anatomique, une combinaison de toile orangée marquée au sigle d’une prison américaine, un espèce de pull body en grosse laine de la même teinte et dont le col était muni d’un collier de cuir porteur de plusieurs anneaux, une cagoule de laine orange à trois trous et des vieilles chaussettes qui en avaient plus de trois (de trous), ni sandales, ni autres chaussures. Une fois labellisé « Guantanamo », mon équipement fut complété d’entraves de même style, soit des menottes métalliques pour chevilles reliées par une chaîne de taille moyenne, des menottes pour poignets à un seul maillon (m’obligeant à garder en permanence les mains jointes) et qu’une autre chaîne me rattachait au cou et une ceinture ventrale. Ainsi équipé, je dus pénétrer dans la pièce suivante où je fus contraint de m’agenouiller pour écouter l’énoncé de ce qui m’était reproché. Comme je ne vois quasi rien sans lunettes, je distinguai une personne assise à une sorte de table de cuisine et me tournant le dos. La litanie commença, certaines choses me semblaient risibles, mais … quand soudain mon accusateur annonça : tentatives d’évasion répétées avec destruction de matériel d’Etat et humiliation du personnel commis à ma garde … aïe, celle-là, je ne l’avais pas prévue et, pour avoir croisé dans le couloir l’un ou l’autre de ces gardes, je devinai que j’étais mal embarqué. L’un de ceux-ci prit d’ailleurs un gobelet sur la table et m’ordonna d’en boire le contenu, je m’exécutai, c’était à la fois odorant et un rien salé, mais laissait un arrière-goût peu agréable. Ce fait, je fus relevé d’autorité et mes poignets menottés dans le dos. Il faisait presque noir à présent, il devait être dans les 21h00, on me fit sortir de la maison et pénétrer dans le bois, j’allai à petits pas, sans chaussures et sans lunettes, sur les chaussettes trouées en prenant bien garde à ne pas marcher sur la chaîne des menottes qui commençaient à me meurtrir les chevilles et tête baissée pour tenter de distinguer les éventuels obstacles qui auraient pu me blesser. Au bout de 200 ou 300 mètres, nous nous retrouvâmes face à une petite cabane sans fenêtre, une resserre de bûcheron d’après ce que je croyais distinguer. On m’y fit pénétrer, agenouiller et, pendant que l’un des gardes me plaçait une cagoule aveugle par-dessus la première, en la fixant bien aux anneaux du collier de cuir, l’autre resserra les menottes qui m’enserraient poignets et chevilles, de manière à, par la douleur, réfréner un tant soit peu mes éventuelles nouvelles velléités d’évasion. Après que l’on m’ait annoncé que le baillon était inutile, vu que là, personne ne m’entendrait jamais, la porte se referma sur moi, combien de temps allais-je rester là, aveugle, entravé, abandonné, l’on ne me l’avait point dit. La première chose à faire était d’assurer un peu de confort et, par un tour de passe-passe que j’affectionne, les menottes de mes poignets, du dos furent ramenées vers l’avant, ce qui me permettait de découvrir par le seul toucher la composition de ma cellule. Tentai de me mettre debout pour procéder plus rapidement, mais immédiatement une vive douleur aux chevilles me fit comprendre que c’était à éviter. Peu à peu, allongé sur le dos, je tombai dans une longue et étrange torpeur, sans pour autant pouvoir trouver le sommeil, la morsure des fers de mes poignets et de mes chevilles ne me le permettant pas. J’étais aveugle et il n’y avait aucun bruit dans le bois ; c’est grâce au chant des oiseaux que je devinai que la nuit s’achevait, puis il y eut un hennissement, un cheval passait donc à proximité, mais j'eus beau appeler, son cavalier (peut-être un des gardes ?) ne se soucia guère de moi … Il devait faire grand jour à présent et, à force de frottement, la cagoule aveugle s’étant légèrement déplacée, je parvins à percevoir l’un ou l’autre rayon du soleil au travers d’une paroi. Je me dirigeai vers celle-ci et, à tâtons, découvris qu’elle comportait un ouvrant, mais que celui-ci avait été condamné par une vis en bloquant le loquet … En cherchant bien dans le foutoir de la resserre qui me servait de cellule depuis au moins douze heures, je finis par découvrir l’objet qui me permettrait d’en échapper. Lentement, méticuleusement, j’entamai de dévisser la chose, malheureusement, lorsque l’ouvrant s’ouvrit enfin, la femme en noir était face à moi …
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Par : le 20/02/22
Je sens de plus en plus d'agitation autour de nous. Des voix, des rires étouffés. Oui, il y a des invités. Mais qui ? Je suis toujours privé de la vue, et j'ai toujours le casque sur mes oreilles. Plus de bande son, plus de cris de jouissance, mais je n'entends pratiquement rien. Ma queue est toujours dressée, dure. Je la sens ultra-sensible, brûlante. Une demi-heure plus tôt, Maîtresse Caroline, enfin je suppose que c'était elle, m'a enduit de crème ou quelque chose comme ça. L'effet a été immédiat : une sensation de feu et l'impression que ma queue gonflait encore, comme si c'était possible. La sensation de brûlure m'a fait ruer et crier à travers mon bâillon. La cravache a aussitôt cinglé mes reins. Un rappel à l'ordre douloureux, que j'ai eu toutes les peines du monde à respecter. 30 minutes plus tard, le feu s'est atténué mais je suis toujours dur à éclaté, et le moindre courant d'air me fait l'effet d'une caresse. Je n'ai qu'une envie, jouir ! Mais je sais bien que je vais devoir attendre, peut-être attendre longtemps. Maîtresse Caroline sait se montrer particulièrement perverse et elle est tout à fait capable de me priver d'orgasme pour toute la soirée. Je sens des mouvements autour de moi, mais je n'entends plus aucune voix lointaine. On me frôle, on effleure ma queue, puis on me détache pour me lier aussitôt les mains dans le dos et on retire mon casque et mon bandeau sur les yeux. "A genoux !" L'ordre vient de Maîtresse Caroline. Je garde le regard baissé, tout en essayant de deviner qui est dans la pièce. Je sens Ennia à mon côté, mais je n'ose la regarder de peur d'une punition immédiate. Plusieurs personnes nous font face, assises dans le canapé et les fauteuils. Je distingue la lumière chaude de nombreuses bougies. Maîtresse Caroline semble avoir préparé le salon avec soin pour cet événement mystérieux, cette annonce que nous allons enfin découvrir... "Mes esclaves... je vous l'ai dit, ce soir est à marquer d'une pierre blanche. Vous ne l'oublierez jamais. Cette décision, je l'ai prise il y a quelques mois. Elle a longuement murie. Je vous ai observés, épiés... et c'est devenu une évidence. Sachez cependant une chose : c'est vous qui allez, au final, décider. Je ne peux m'engager pour vous. J'espère, et j'en serai la plus heureuse, que vous suivrez mon jugement, que vous ferez le choix qui est pour moi évident. Ce soir, j'ai réuni nos plus proches amies. Celles qui connaissent tout de vous deux, celles qui vous ont vu évoluer, qui ont abusé de vous, vous ont fait souffrir et jouir... Elles seront les témoins de cet instant". Je me sens à la fois rempli d'espoir et totalement perdu... Je n'ai qu'une envie, qu'un besoin impérieux, qui concentre toute mon énergie et mes pensées... serrer Ennia contre moi. J'ai besoin d'elle, tellement besoin que j'en ai mal. Une douleur totale, qui me serre le cœur, me coupe la respiration et me maintient au bord des larmes. Je la veux contre moi, je veux la sentir et la ressentir. Me perdre en elle. Je veux ses baisers, son odeur, sa chaleur, ses mots. Je tremble de désir, un désir d'elle plus absolu que simplement sexuel. Maîtresse Caroline reprend la parole, et le moment se fait plus solennel... "Honorables membres de l'assistance, il est temps de vous révéler le pourquoi de votre présence ici ce soir. Les deux esclaves qui nous font face s'aiment. Intensément et profondément. J'ai vu leur amour évoluer, grandir et devenir si évident que je ne vois aucune raison de ne pas... les unir par le mariage !!!" Je suis atomisé, incapable de réfléchir... j'ose lever les yeux vers ma Reine et les larmes se mettent à couler sur mon visage. Puis je me tourne vers Ennia. Mon amour me regarde, pleure elle aussi, et elle semble dans le même état d'hébétude que moi. Totalement bouleversée. Une boule d'angoisse explose dans ma gorge... "Chloé, veux-tu bien les détacher s'il te plaît ? " Maîtresse Chloé se précipite et nous rend l'usage de nos mains. Ennia ne cesse de me regarder. Nos regards sont comme soudés et l'intensité que je lis dans le sien me fait tomber dans un puit insondable de désir et d'amour. "Levez-vous ! " Nous nous redressons, péniblement, et nous nous rapprochons. Nous sommes tous les deux dans un état second, déchirés entre l'envie de nous précipiter l'un sur l'autre et une envie inconsciente de lenteur. Comme si le temps avait suspendu son vol. "Victor, acceptes-tu de t'unir à Ennia, de devenir la moitié d'elle, son mari, son soumis et son amour absolu ?" Je me sentais comme hors de moi. Comme si je voyais cette scène, d'une beauté et d'une intensité irréelle, de l'extérieur. Et je m'entendis répondre, d'une voix assurée dont je ne me serais jamais senti capable en cet instant : "Oui Maîtresse Caroline, je le désire, je le veux. Plus que tout". "Ennia, acceptes-tu de t'unir à Victor, de devenir la moitié de lui, sa femme, sa Maîtresse et son amour absolu ? Oui, Maîtresse Caroline. Je le veux ! " Ennia avait presque crié, sans détacher son regard du mien. Nul besoin de mots. Il n'y avait rien à ajouter. Juste à ressentir. J'explosais. D'amour, de désir, d'absolu, de quelque chose qui me dépassait, que je n'avais jamais ressenti. Pleurer, rire, m'évanouir de trop d'émotion, j'hésitais... "Ennia, Victor, je vous déclare officiellement fiancés !!!". Les applaudissements avaient fusés immédiatement... nous étions Ennia et moi, comme tétanisés. Attirés inexorablement, mais n'osant pas.... pas sans l'autorisation de notre Déesse commune. "Allez mes esclaves.... vous pouvez vous embrasser... je vous laisse un moment pour vous savourer. Après, place à la fête ! C'est de nous dont vous allez nous occuper !!! Lentement, nous nous rapprochons. Nos corps se touchent, nos courbes s'épousent, nos chaleurs se mêlent. Pas un mot. Nos bouches se soudent. Nous nous serrons l'un contre l'autre comme jamais nous ne l'avons fait. Si fort à nous briser les os. Je ne veux plus jamais la lâcher, plus jamais la perdre, ne serait-ce du regard. A jamais être à elle. Je l'aime d'un amour totalement dingue. Enfin, au milieu des étreintes, des baisers, des caresses, des sanglots libérateurs... les mots sortent, explosent, un flot qui ne se tarit pas et qui puise sa source à nos deux bouches, nos deux cœurs. "Je t'aime, je suis à toi, je t'aime, mon amour, mon désir, mon absolu... ne me quitte plus jamais, aime-moi, baise-moi, ma femme, mon homme, je t'aime, je t'aime, je t'aime....." Autour de nous, le champagne coule, il y a des rires, des discussions, la vie.... mais notre bulle est trop intense pour y laisser pénétrer l'extérieur. Nous ne sommes qu'émotion, besoin, manque... soudés l'un à l'autre mais cela ne nous suffit pas, cela ne nous suffira jamais. Nous sommes un tout, désormais réuni. "N'oubliez pas, vous êtes fiancés, pas encore mariés..... et on ne baise pas avant le mariage, hein mes putes ?!!!"
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Par : le 15/02/22
Etais à mon bureau en train de peaufiner le texte d’une conférence à donner le mois prochain et où il sera notamment question des exactions d’un seigneur pillard du haut moyen âge, quand un bruit de l’ordinateur vint m’annoncer l’arrivée d’un nouveau mail : un bref texte en flamand m’intimant l’ordre de me présenter à la sortie du tunnel pour piétons de la gare de L*****, le soir même à 21h10 précises, soit moins de douze heures plus tard ! Pourquoi 21h10, me demandé-je ? Un rapide coup d’œil à l’annuaire des chemins de fer suffit à me faire découvrir qu’un train pouvait m’y amener pour 21h08. Mais que me voulait-on encore ? La journée se passa plus ou moins calmement jusqu’à la tombée de la nuit. Car, à cette saison, depuis le changement d’heure, il fait déjà nuit noire avant 18h00. 19h00 sonna ; temps de me préparer … J’optai pour un vieux pull militaire allemand, dont les manches étaient suffisamment longues que pour me couvrir la moitié de la main, et une veste à capuche en grosse laine grise. A 20h00, je fermai la porte de chez moi et me mis en route pour la gare, un petit pincement au cœur, qu’allait-il m’arriver ? Le train était à l’heure et j’étais le seul passager de mon compartiment … Arrivé à la gare de L*****, je m’efforçai au calme, suivis les instructions reçues, trouvai sans problème le tunnel pour piétons et m’y engageai. A la sortie de celui-ci, je ne distinguai tout d’abord rien, puis à une dizaine de mètres sur la droite un véhicule noir, portière ouverte, auprès duquel se tenait un géant vêtu de gris sombre qui m’interpella par mon nom. Je me dirigeai vers lui, il me fit grimper, me tendit une cagoule aveugle et, dans un flamand plus que rocailleux, m’ordonna de l’enfiler, tandis que je m’asseyais. Une fois la ceinture de sécurité bouclée, il me menotta les mains par devant (j’avais bien fait de veiller à me protéger les poignets) et me rabattit la capuche par-dessus la cagoule. Le véhicule démarra ; peu de circulation à cette heure ; où m’emmenait-on ? Au nombre de fois que le véhicule vira à droite, je me doutai que l’on tournait en rond pour me faire perdre toute notion de temps et d’espace … Soudain, un virage serré à gauche, suivi d’une rapide marche arrière et l’arrêt du moteur … J’étais à destination. La ceinture fut détachée et une traction sur la chaîne des menottes m’indiqua qu’il me fallait sortir du véhicule, tandis qu’on m’ordonnait de me taire. Que faire sinon obéir et suivre le mouvement. L’on m’emmena devant une première porte qui, une fois franchie fut refermée à clef, de même qu’une deuxième et une troisième. J’étais bel et bien prisonnier. Mon accompagnateur me fit alors pénétrer dans une quatrième pièce et me donna ses instructions dans ce flamand rocailleux qu’il m’était parfois difficile de comprendre : sans pouvoir à aucun moment ôter ma cagoule, j’avais cinq minutes pour me déshabiller complètement et attendre à genoux, mains sur la tête, la suite des événements. Il me libéra ensuite des menottes, sortit de la pièce et verrouilla la porte. J’en profitai pour rapidement soulever un coin de la cagoule et réalisai que je trouvai dans un débarras de quelque quatre mètres de long sur un mètre et demi de large, lequel devait à la fois servir de cabinet de toilette et de buanderie. Un détail attira cependant mon attention une espèce de fenêtre transformée en miroir, sans doute était-ce une glace sans tain permettant de me surveiller … Je réajustai rapidement la cagoule, me déshabillai complètement et m’agenouillai, mains sur la tête, comme ordonné. Je ne dus pas attendre bien longtemps que la clef grince à nouveau dans la serrure … Mon futur tortionnaire était de retour. Après m’avoir rapidement examiné sans me toucher, il m’expliqua, dans son flamand rocailleux, que j’avais cinq minutes et pas une de plus pour revêtir ce qu’il avait apporté et posé sur la tablette, puis sortit et verrouilla à nouveau la porte. Une fois la cagoule arrachée, je regardai ce qu’il avait apporté : il y avait là pêle-mêle des trucs noirs, blancs et orangés. J’enfilai donc rapidement et successivement, sans trop réfléchir, deux protections anatomiques de taille différente, un collant de laine noire, d’épais chaussons gris foncé, une espèce de longue tunique de laine noire à col roulé, m’enfonçai dans les oreilles ce qui ressemblait à des suppositoires de mousse orange, avant de repasser la cagoule et d’à nouveau m’agenouiller, face au mur, mains sur la tête. A l’instant la serrure grinça et je m’entendis ordonner « handen omhoog » c’est-à-dire « haut les mains ». Que faire, sinon obéir, on m’enfila alors une nouvelle tunique beaucoup plus épaisse et plus longue que la précédente, mais sans manche cette fois, ainsi que des espèces de fourreaux aux mains. Le temps de réaliser que les vêtements que l’on m’avait contraint à endosser étaient plus que probablement féminins, que les mains, dans leurs étuis, m’étaient brutalement ramenées dans le dos, tandis que le cliquetis caractéristique des menottes que l’on verrouille se faisait entendre ; dix secondes plus tard, c’était au tour de mes chevilles à devoir subir le même traitement. « Sta op », « debout », entendis-je, tandis que l’on me soulevait par les épaules. Pas le choix, de toute manière … A nouveau, je fus amené dans une autre pièce face à un mur, tandis que retentissait un ordre que je ne compris pas. Comme je ne comprenais toujours pas l’ordre répété une seconde fois, une bourrade et un coup de pied au niveau des chevilles m’appris que quelque chose comme « spreiden » devait signifier écarter les jambes … Aussitôt une chaîne supplémentaire fut placée entre celle des menottes qui m’enserraient les poignets et celle qui reliaient mes chevilles. L’instant d’après, un bandeau serré m’était appliqué sur la cagoule et les questions, toujours en flamand, commençaient à fuser. Un moment, j’hésitai à répondre en français ou à le faire en flamand en prenant un accent parisien, mais je me ravisai et commençai à répondre en flamand, avec l’accent le plus neutre possible et des phrases simples et courtes : sujet, verbe, complement ou attribut, point. Au terme de cet interrogatoire soutenu, ma cagoule fut rapidement à moitié remontée tandis que trois couches d’épaisses bandes collantes m'étaient plaquées sur la bouche et la cagoule rabattue. Je fus ensuite emmené dans une autre pièce, toujours maintenu par les épaules et contraint de m’allonger sur le sol, avant que la chaîne qui me reliait poignets et chevilles ne soit raccourcie et un plaid ou une espèce de couverture jetée sur moi … C’est à ce moment qu’autour de moi, j’ai commencé à entendre des voix s’exprimant en anglais, en quelles mains étais-je donc tombé ? Ce ne fut que lorsque qu’outre les voix, j’ai perçu un fond de musique, que j’ai réalisé que mon tortionnaire était probablement en train de regarder un film policier à la télévision, tout en me laissant moisir ... J’avais fini par tomber dans une sorte de torpeur quand je me suis senti secoué et qu’il me fut ordonné de me relever, j’essayai à trois reprises, sans succès … je fus alors relevé de force, sentis arraché le baillon et détachée en partie la chaîne, ainsi qu’une des menottes qui me meurtrissaient les poignets, mais ce aussitôt pour me la rattacher devant, me présenter un verre d’eau, rapidement englouti, merci, et m’entraîner. A nouveau le jeu des portes successives et des clefs … L'on m’a soudain fait pivoter, j’ai buté contre quelque chose, tandis que l'on me tirait les mains vers l’avant et le haut … J’étais au pied d’un escalier … Pour chaque volée à grimper et il y en avait quatre au total, l'on m’a indiqué le nombre de marches à franchir, mais c’était sans compter la chaîne de merde qui unissait mes chevilles et ne manquait pas de venir se placer sous mon pied, sans crier gare … je n’ai donc plus eu qu’à me résoudre à écarter les chevilles au maximum, ce qui avec les vêtements dont on m’avait affublé n’était pas toujours évident, pour suivre et grimper là où on m’emmenait, toujours aveugle, menotté et enchaîné … A un moment donné, je dus pivoter d’un quart de tour et fus contraint de m’asseoir. C’était manifestement le bord d’un lit sur lequel l'on m'ordonna de m’allonger, tout en me demandant si je connaissais « Segufix » Ai failli lui répondre « tout comme Idefix connait Obélix », mais ai préféré m’abstenir … ayant déjà suffisamment d’hématomes comme cela … Une fois allongé, l'on m’a fait remonter d’une dizaine de centimètres et tirer les mains toujours menottées par-dessus la tête pour immédiatement me verrouiller ce qui ressemblait à une large sangle fixée au matelas autour du ventre, puis s'occuper de mes chevilles et de mes cuisses, autour desquelles, l'on a chaque fois enroulé serré une large sangle avant de la fixer au matelas et de me libérer des fers que je portais aux pieds depuis mon arrivée ; puis cela a été le tour des mains qu’une fois menottes ôtées, l'on a tout d’abord enfourné dans des sortes de moufles rigides maintenues en place par plusieurs couches de bande collante avant de les enrouler dans la sangle et fixer au matelas. J’étais donc à présent maintenu au matelas par les chevilles, les cuisses, le ventre et les poignets, à moitié sourd et totalement aveugle, entièrement à merci. Ce qui avait pris pas mal de temps … L'on m’a ensuite souhaité de bien dormir, avant que je n’entende les pas de mon tortionnaire décroître dans l’escalier … J’étais piégé et en rage … Je me donnai le temps de la réflexion pour analyser froidement la situation et, membre par membre, le débattement qu’il me restait et, s’il y en avait, les éventuelles possibilités d’évasion … Au niveau du bas du corps, pour le moment, rien à faire, jusqu’au nombril tout était verrouillé, mais au dessus, du côté gauche, il y avait un rien plus de jeu qu’à droite et, à partir du moment où je pensais avoir la nuit devant moi, je résolus de tenter le tout pour le tout … Après quelques essais, je réussis tout d’abord du bout des doigts de la main gauche, à relever quelque peu le bas de la cagoule, de manière à avoir la bouche découverte, puis j’entrepris avec les dents de dégager peu à peu cette main de tout ce qui la recouvrait : bande collante, espèce de moufle, chaussette de laine … cela fut long et laborieux et j’y laissai même un fragment d’incisive … mais finis tout de même par y parvenir … J’étais en nage … Après avoir soufflé un moment et tendu l’oreille pour vérifier que mes efforts physiques n’avaient point donné l’alerte, je tentai de faire de même pour la main droite, c’était beaucoup plus difficile, il y avait davantage de bande collante et, vu la sangle plus courte, mes dents y arrivaient plus difficilement … Néanmoins je tentai le tout pour le tout et mes efforts pour y parvenir commençaient à porter leur fruit quand tout à coup des pas précipités se firent entendre dans l’escalier … J’avais joué, j’avais perdu … Au vu de ma main gauche libérée et de la droite qui l’était presque, mon tortionnaire avait compris … Tentative d’évasion me dit-il, manifestement pas très heureux de ce que j’avais fait de son beau matériel … je ne répondis même pas, me jurai de ne plus émettre le moindre mot, ni la moindre plainte jusqu'à ce qu’on en finisse, et demeurai, dents serrées, lèvres pincées, en attendant les coups qui allaient arriver, mais qui heureusement furent moindres que ce à quoi j’étais en droit de m’attendre. Il arracha rageusement ce que je n’étais pas parvenu à détacher et, après avoir réassujetti la cagoule destinée à me rendre complètement aveugle, sans attendre, recommença le travail, plus serré, beaucoup plus serré, rajoutant de multiples sangles à celles qui étaient prévues (ou déjà en place) et me collant au matelas depuis les chevilles jusqu’au cou m’immobilisant au passage les bras le long du corps, ainsi que la poitrine, par de multiples croisements de sangles et autres courroies … Conforme à ma décision, je restai, lèvres pincées, sans rien dire, opposant une sorte d’indifférence méprisante à la force dont l'on faisait preuve à mon égard. Une fois le travail terminé et après avoir vérifié une à une la tension de chacune des sangles rajoutées, mon tortionnaire me souhaita à nouveau de bien dormir et s’en alla. J’écoutai son pas décroître dans l’escalier et le silence revenir … A nouveau, mais moins bruyamment, je tentai de tester mes liens, mais à part deux nœuds d’une vague sangle croisée rajoutée entre mes épaules et le bas du corps, je ne pus plus rien détacher … J’étais bel et bien prisonnier et totalement au pouvoir de ce tortionnaire le temps qu’il jugerait nécessaire … Alors étrangement, quasi inconsciemment, je commençai à prier, non pas comme je l’avais déjà fait dans la voiture, simplement pour calculer la durée du trajet (un chapelet se dit en un quart d’heure), ni pour moi, ce n’est pas mon genre, non, je me remémorais surtout le regard profond et le sourire d’une amie trop tôt disparue, lâchement assassinée par une autre femme (à qui elle avait eu le malheur de faire confiance) et dont le corps avait finalement été retrouvé dans un canal, je ne pouvais m’empêcher de penser aux moments de grande intensité, tant bonheurs que désespoirs partagés entre elle et moi, mais surtout à ses trois enfants désormais orphelins et à la petite-fille, âgée de près d’un an à présent, mais qu’elle n’aura jamais eu le bonheur de serrer dans ses bras. J’ai prié en pensant à Toi V*** et à tous ceux qui se sentent seuls face à l’adversité, la maladie et la mort ; je ne sais combien de temps cela a duré, mais je sentais, malgré les crampes causées par l’immobilité et les entraves, une grande plénitude m’envahir … Je n’ai été tiré de cette sorte de torpeur que par le bruit d’un et puis de plusieurs avions au décollage, mon lieu de détention devait donc manifestement se trouver à proximité de l’aéroport de Z******* ou dans l’axe de l’une de ses pistes … Vu le bruit du trafic aérien, la nuit devait donc peu à peu toucher à son terme, mais il est des moments où les minutes peuvent sembler des heures, surtout lorsqu’on est totalement privé de la vue, incapable du moindre mouvement et entièrement ignorant des événements à venir, ne pouvant plus se fier qu’à la seule ouïe … Les douleurs à la nuque, au haut du bras et à l’épaule droite devenaient de plus en plus lancinantes, mais depuis l’échec de mon évasion de début de nuit, je m’étais juré de, quoi qu’il arrive, ne plus émettre le moindre mot, ni surtout la moindre plainte ; ne me restait donc plus qu’à serrer les dents, les poings, et tenter à penser à autre chose … Facile à dire …, étais totalement réveillé à présent, bien que toujours plongé dans la plus complète obscurité, depuis sans doute près de neuf heures à présent. C’est à ce moment que j’ai cru, dans le lointain, entendre sonner un réveil, mais sans plus, et les minutes longues à vivre et éprouver. Avais mal partout et plus aucune volonté, à part celle de me taire quoi qu’il arrive, et de voir cette aventure se terminer au plus vite … Une éternité a semblé s’écouler avant qu’enfin des pas résonnent dans l’escalier. A la question de savoir si j’avais bien dormi, pas un mot ne sortit de ma bouche ; les sangles extérieures furent une à une, et avec peine, détachées et lentement roulées, puis les « segufix » ; mais avant de procéder, mon tortionnaire m’avait déjà fixé une menotte au poignet gauche et je savais que le poignet droit suivrait bientôt, sans le moindre mot, cri ou plainte de ma part, je m’y étais juré et je m’y tiendrais … Mon corps était tellement engourdi que l'on dut m’aider à me relever, après avoir replacé le bandeau serré par-dessus la cagoule, et me guider jusqu’à l’escalier que l'on me fit descendre à reculons, marche par marche, volée par volée, en m’indiquant les prises et points d’appui … A nouveau, jeu des portes et des serrures ; me voilà donc revenu à la case départ, toujours aveugle et menotté. Face au mur, je m’entendis dire, en flamand toujours, que j’allais avoir dix minutes et pas une de plus pour reprendre une apparence normale et répartir ce que j’ai été contraint de revêtir entre deux sacs, l’un pour la poubelle et l’autre pour la lessive ; je n’écoutais qu’à moitié, n’espérant que la fin de cette aventure … Les menottes et le bandeau me furent enfin ôtés et je fus poussé dans le cabinet de toilette de la veille où, une fois enfermé, je pus temporairement tirer la cagoule et me ruer sur la toilette pour pouvoir me soulager, avant que dans la glace me découvrir vêtu d’une robe chasuble de grosse laine turquoise, par-dessus la tunique noire, et les cheveux hirsutes. Il me restait huit minutes … je m’empressai de me déshabiller, en suivant les consignes reçues, et de remettre les vêtements qui étaient mien encore hier, puis la cagoule et le capuchon rabattu par-dessus, comme ordonné. Déjà, la clef tournait dans la serrure … Instinctivement, je tendis déjà les poignets, m’attendant à ce que l'on me passe les menottes, mais ils furent repoussés, je fus empoigné par les épaules et entraîné vers la sortie, toujours aveugle … Jeux de portes et de serrures, je sentis l’air froid du dehors, tandis que l’on me poussait vers une voiture, m’y faisait pénétrer, asseoir et fermer la ceinture de sécurité … Le moteur démarra, tandis que le chauffeur m’ordonnait de me pencher en avant, les mains sur la cagoule et la capuche, pour être certain de ne voir, ni être vu … Je n’essayai même pas de savoir où j’étais emmené, ni, comme à l’aller, de tenter d’estimer la durée du trajet. A un certain moment, la voiture s’arrêta et ordre me fut donné d’ôter la cagoule, de descendre et de décamper sans me retourner. Il faisait toujours nuit, j’étais face au tunnel qui m’avait vu débarquer la veille et m’y engouffrai … Un train était à quai, celui de 07h19, je le pris … Une heure plus tard, j’étais de retour chez moi, pris un rapide bain, puis m’effondrai sur mon lit …
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Par : le 21/01/22
Il arrive souvent que la vie séparent deux êtres chers. Pour une raison familiale ou professionnelle, les contacts physiques ne sont plus possibles et ce sur une période de temps variable mais toujours interminable. Ce guide va vous donner des pistes et des idées pour vous occuper et faire passer le temps plus vite. Afin de puiser au maximum dans le savoir accumulé sur ce site, j'ai décidé d'en faire un espace collaboratif et d'utiliser des outils modernes. N'hésitez pas à en parler à vos amis, chacun peut y apporter sa connaissance ou son ressenti. 1 - Les outils : a - Pour communiquer : On vit à l'ère du téléphone portable. Tout le monde est joignable 24/7. Et là, c'est une question de choix personnel. J'ai testé presque toutes les applications et au final, c'est une question de choix personnel : Skype, Messenger ou autre, elles fonctionnent toutes très bien et il n'y a pas vraiment de différence. D'un point de vue sécurité informatique, on dit que Signal est la plus populaire chez les terroristes. Comme c'est l'un des rares cas où ils peuvent vous faire une bonne publicité. b - Pour le plaisir : Herbert Léonard n'en a pas parlé dans sa chanson, mais il existe quelques jouets connectés qui en valent vraiment la peine. Je citerai sans hésiter "Lovesense" qui fait vibrer des milliers de camgirls tout autour du monde. Le principe est simple : un oeuf vibrant dont la télécommande est dans les mains de votre Maître, où qu'il soit sur la planète du moment qu'il y a internet. c - Pour soumettre : Des menottes, un collier, un bâillon, un sex-toy et c'est parti. Il n'en faut pas plus pour débuter. Ce n'est pas une relation en présentiel, on ne cherche pas à immobiliser la personne soumise ! Ici, la contrainte est dans la tête, on joue à se ligoter. Et heureusement d'ailleurs car le dominant n'est pas là pour détacher sa victime. Du coup, il faut pouvoir tout faire soi-même : s'attacher, se bâillonner, se libérer, etc. d - Pour contrôler : Il existe une multitude de systèmes de cadenas et cages de chasteté sur le web. Comme le fameux CellMate de Qiui. Pourquoi célèbre ? Parce qu'en janvier 2021, un pirate informatique a pris le contrôle de l'application et a demandé une rançon avec le message suivant : "Your cock is mine" ("Ton gland est à moi"). 0,02 BTC soit 600 € pour être libéré. Il a dû se faire des "couilles en or" ;-) e - Pour ne pas se ruiner : Le quotidien regorge d'objets tous plus utiles les uns que les autres. Les collants font de très bonnes cordes, les chaussettes et culottes de très bons bâillons. Régalez-vous avec des pinces à linge et mon accessoire préféré : un sac de riz ! Le riz, c'est magique ;-) On peut en faire compter une poignée, faire des carrés, des ronds, les peindre, les mettre dans sa culotte ou dans sa chatte, etc. Et bien entendu, on peut en faire deux petits tas et faire s'agenouiller sa soumise dessus.
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Par : le 14/01/22
Voici venu le temps de nos traditionnelles retrouvailles pour changer d’année côte à côte. Après les préparatifs puis les incontournables, quoi que raisonnables, agapes, nous passons ces premiers jours de 2022 à prendre quelques plaisirs. Pendant ma douche dominicale, je t’aperçois changer quelque chose sur le rebord du lavabo. En sortant de la cabine, je découvre un shorty noir qui m’attend, le wetlook percé de trous. Le message est assez clair : je l’enfile … Dans la chambre, c’est un collier et un corset qui m’attendent sur le lit … On dirait bien que tu as préparé le « jeu de piste » que nous avions évoqué. Malgré tout, je n’ai rien vu venir, mes sens seraient-ils au ralenti ? Ou bien anesthésiés ? … au palier intermédiaire de l’escalier, c’est une paire de bas qui a pris place sur la colonne. Pas pratique de les enfiler en faisant le pied de grue. Tant bien que mal, je parviens à les enfiler sans tomber. Mais je dois reconnaitre que la situation se révèle « stimulante » … Enfin, au pied de l’escalier, je tombe sur une tenue un peu plus « couvrante » : un sweat-shirt. Il faut atteindre le salon pour dénicher la dernière étape de ta piste : tu y as laissé à mon intention un pantalon de survêtement et des chaussettes. Vanille à l’extérieur, mais dissimulant des atours plus adaptés à ma condition de soumis. Je suis donc probablement parti pour porter cette tenue toute la journée. Pourquoi n’y a-t-il donc pas de jarretelles sur le shorty ? Les bas n’ont cessé de tomber toute la journée. Dure, dure la vie de porteur de bas ! Le soir venu, il est temps de préparer notre présentation de vœux. Dans l’absolu, je suis presque déjà prêt: il suffit de changer la paire de bas pour une plus photogénique, chausser mes talons et le tour est joué. Enfin presque ! C’était sans compter la touche spéciale que tu avais imaginée depuis plusieurs mois déjà pour ce jour particulier. Tu as imaginé agrémenter mon popotin d’une série de plumes d’autruches, de quoi réaliser la toile de fond idéale pour commencer à souhaiter tes vœux. Mon dos et mes fesses reçoivent donc tes écrits. Mais ceci n’était qu’une première version. Une fois n’est pas coutume, tu décides de recommencer avec une légère adaptation, après avoir toi-même effacer tes traces. Pour la deuxième tenue, tu me fais changer de shorty. Cette fois, tu me demandes de mettre celui qui laisse visible mon postérieur, et d’enfiler la cagoule en cuir. Tu peux alors recommencer mon plumage, bien évidemment tout autour de mon arrière-train mais aussi quelques plumes dans ma bouche. Il ne te reste qu’à écrire sur ta nouvelle toile pour une seconde salve de vœux. A nouveau tu te charges de me laver les fesses : il ne faudrait pas que j’en prenne l’habitude. Une fois « propre », tu me fais étendre sur le drap en vinyle pour terminer avec une des toutes dernières cordelettes que tu as dénichées. Ces brins rouges à liseré noir viennent rehausser à merveille mes jambes parées de bas noirs. Simple mais diablement efficace. Le lendemain soir, il est temps de passer aux choses plus sérieuses, ou pour l’exprimer plus précisément, aux choses plus marquantes, plus impactantes. Après un dimanche plutôt couvert, assez éloigné des standards que tu m’imposes habituellement, ce lundi soir me voit simplement paré du collier, de la cagoule et des bracelets aux poignets et chevilles. Difficile de faire plus minimaliste. Un peu plus et je pourrais avoir froid … Si tu as opté pour si peu, c’est peut être parce que tu as prévu d’essayer les sangles que tu avais acquises il y a quelques semaines déjà. Tu commences par les chevilles que tu souhaites relier aux pieds du lit. Je crois que tu avais légèrement surestimé mes capacités de grand écart, ma souplesse légendaire n’est pas totalement d’accord avec tes attentes. Malgré tout, moyennant quelques adaptations, tu parviens à tes fins. Tout comme tu réussis beaucoup plus aisément à mettre en place de nouvelles sangles au niveau des cuisses, grâce auxquelles tu viens immobiliser les poignets. Je me trouve soudainement plus restreint malgré les apparences. Surtout, je ne risque ni de m’échapper, ni de tenter de me protéger ; au mieux, je pourrais éventuellement me plier dans une vaine tentative d’échapper à un impact. Le simple fait de penser à ma situation a tendance à faire monter l’excitation que la suite va petit à petit faire retomber ;-) Quand au risque de prendre froid, tu as déjà pensé à ta façon comment m’en préserver … A priori tu commences doucement avec la mini tapette souple, autant elle n’a presque pas d’effet sur mon postérieur, autant elle se révèle stimulante sur la poitrine histoire de faire monter la tension, et que dire au niveau de mon intimité où sa taille réduite lui permet de s’immiscer sans contrainte pour me tirer les premiers couinements. Si ce n’était pas elle, c’est assurément une cravache que je subis juste après : l’insistance sous et sur mon intimité, mélange de frôlements et d’impacts, me rappelle quelque chose de connu. Et les morsures qui suivent au niveau de mes globes fessiers ne laissent plus le moindre doute. Après quelques années de faible utilisation, tu as trouvé un regain d’intérêt certain pour ce grand classique ! En guise d’interlude, tu gratifies tout mon dos et mes épaules d’une petite séance de griffes : premiers frissons de satisfaction. Même en 2022, je reste encore et toujours réceptif à ce traitement. Je ne suis pas près de me défaire de cette plaisante addiction. Trop de douceur serait une faute de goût … C’est donc la lourde tapette à clous que je crois reconnaitre à la fois sur mes épaules et sur mes fesses, et encore je pense que tu ne l’appliques que du côté lisse … Néanmoins la température est désormais à un niveau raisonnable. J’ai la sensation que mon postérieur commence à chauffer. Le martinet clair vient se joindre à la danse ciblant plus particulièrement la partie supérieure de mon dos. Si ses lanières sont individuellement assez peu mordantes, réunies, elles infligent un caractéristique impact lourd à souhait, de quoi bien stimuler les chairs réceptrices. Je dois probablement être prêt pour les suites plus mordantes encore. Du moins c’est la déduction que je fais en reconnaissant la morsure de ta langue de dragon qui vient à plusieurs reprises claquer au creux de mon dos, de quoi me faire creuser l’échine quand bien même cela n’apaise en rien l’impact. En revanche, les verticales rouges commencent à s’aligner derrière moi. Pour des traces plus horizontales, et plus enveloppantes, tu termines avec un des fouets … qui s’égare parfois sur mon ventre … ouch. Mais dans l’immense majorité des cas, il atteint a priori sa cible. Après ces tourments accessoirisés, tu t’attardes longuement sur mon intimité que tu taquines d’abord avec la cravache vite remplacée par tes mains. Tu ne résistes pas à mes réactions dès que cette zone qui m’est si chère est approchée. D’ailleurs, tu insistes lourdement en attaquant directement et longuement à coups de griffes. Je ne peux que gigoter, gémir, rire, … Comment puis je rester insensible à un tel assaut de tes serres. On dirait une rapace qui s’attaque à sa proie. J’ai l’impression que tu ne vas pas cesser et y passer toute la nuit. Par moment, je me demande même si tu ne serais pas en train d’essayer d’arracher tout ça. Mais quelle furie tu es ce soir ! Accessoirement, tous ces traitements et les effets qu’ils produisent sur moi finissent par me faire glisser : j’ai de plus en plus le sentiment de m’étirer dangereusement. Nous n’avions pas songé à prévoir des cales. Tu m’aides à plusieurs reprises à reprendre un écartement acceptable et supportable avant de reprendre ton œuvre. Tu termines avec une fessée à mains nues de quelques minutes avant de me libérer de ma contrainte. Cela fait du bien de reprendre une position plus naturelle. Avant que mon séjour se termine, nous terminons par une touche bien plus contraignante pour toi que moi. Car finalement, une fois paré, je suis confortablement étendu sur le lit tandis que tu ne comptes pas ton temps à compléter les tableaux du soir. La combinaison est ressortie du placard où elle était enfermée depuis un bon moment. Je reconnais qu’elle restreint grandement les accès. Par-dessus, tu me fais enfiler le corset, a priori pour mieux souligner mon buste. Tant que j’arrive encore à me mouvoir, tu me fais installer sur le drap violet pour mettre en place les derniers éléments de ma parure, en l’occurrence les cuissardes. Sans ton aide, j’aurais difficilement pu les mettre et lacer correctement. Il ne te reste qu’à me fixer le gros collier histoire de bien marquer le côté contraignant de ma situation nocturne. On dirait bien que tout cela ne laisse déjà pas insensible, ce qui va devenir « perturbant » par la suite. J’allais presque oublier la cagoule en cuir qui est venu finir de recouvrir les dernières parcelles de peau encore à l’air libre. Tiens, il semblerait que quelque chose manquait : je sens que tu viens rajouter un bâillon par-dessus. Par élimination, cela doit sûrement être le rose en forme d’os. Désormais, je crois que tu as fini les préparatifs. Tu me demandes de bien écarter jambes et bras, en croix, histoire de pouvoir fixer chacun de mes membres à un pied du lit. Désormais, je ne fais plus qu’un avec lui. Elle est pas belle la vie de nounours de Maitresse Samantha ? Même elle n’abuse de la situation, respectueuse encore et toujours. Une fois libéré de la cagoule et du corset, non sans difficulté pour ce dernier, tu entreprends de te lancer dans un dernier exercice de cordes sur fond noir. Je sens bien que tu galères à me ficeler allongé. Mais fidèle à tes principes, tu tiens à finir ce que tu as commencé, quitte à adapter partiellement ton idée d’origine. C’est là que je ne t’aide pas, la combi ne canalisant pas vraiment mes tensions naturelles, il faut intervenir pour caser la « marchandise » au bon endroit parmi tes liens …La touche finale se révèle une étoffe rouge en guise de masque, tout juste sortie de ton tiroir de sous-vêtements ….
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Par : le 11/01/22
Dès que la fille a entendu le nom de Monsieur Sam, elle s'est aussitôt excusée. Je la prends par la taille et je dis aux touristes : — Vous avez deux Marilyn pour le prix d'une. Là on est mitraillées, surtout quand je lui dis : — On s'embrasse ? Nos lèvres se touchent. Les touristes raffolent, on fait des selfies. On a plein de petits billets dans les mains comme à "House of Pussies". Je donne tout à la fille en disant : — Regarde ce que tu dois faire. Je tourne sur moi-même, et ma jupe s'envole. Les flashs crépitent... peut-être parce que je n'ai pas de culotte....  J'entends une grosse voix d'homme : — Qu'est-ce qu'il se passe ici ?? C'est un agent. Summer lui répond : — C'est une starlette de Monsieur Sam... Là, il change de ton lui aussi, dingue. Il me dit : — Quand tu fais voler ta jupe mets quand même une culotte. — Oui Monsieur l'agent. Chouette ambiance, non ? La fille est ravie de la recette qu'on a faite. Elle me dit : — Merci beaucoup. Si tu as besoin d'une doublure pense à moi. Je lui donne mon n° de Gsm et je pars avec Summer qui m'a fermement prise par le bras. On fend la foule des touristes qui me photographient encore. Elle me dit : — Tu es douée pour te faire remarquer toi. Eh oui ! C'est comme ça quand on est une future star. On reprend sa voiture. Je lui demande : — C'est loin ? — A côté de Malibu.  — Tout ça appartient à Sam ? — Oui. Monsieur Sam et ses associés ont acheté un grand terrain dans le parc de Topanga et plus exactement dans le lagon. Il voit les choses en grand. Il y a déjà un bar et un restaurant et on construit un genre de parc d'attractions... Et il y a déjà des bureaux, les logements des esclaves, les pistes d'entraînement... — et... euh... si les esclaves n'obéissent pas.... — Dis tu es un peu obsédée, non ? Je lui explique : — Il n'y a pas longtemps, j'ai vu une femme qui fouettait une esclave devant une grosse ferme... et, depuis, j'y repense souvent. — Tu pourras en fouetter une si tu veux — Moi ? — Ben oui, toi... — Je préfère assister — Comme tu veux. Je ne sais pas pourquoi, mais, c'est surtout voir une file fouettée qui me plairait et bien sûr, s'il y a une raison. On prend la route qui longe les plages vers le nord. On arrive à Malibu... Je lui dis : — Oh ! La mer ! C'est la première fois que je la vois en vrai. On peut aller à la plage ? — Il y a la mer et une plage aussi où on va... On ira se baigner. Et puis tout à coup, je me dis que tout se passe trop bien. Une fois sur place, qu'est-ce qui l'empêchera de me vendre comme esclave ? Elle m'a dit qu'elle était un genre de mercenaire travaillant pour Monsieur Sam, mais si son boulot c'était justement de trouver des filles et de les amener... Elle me dit : — On est là dans 5 minutes. Je ne réponds rien. Elle me jette un coup d'oeil, en disant : — Qu'est-ce que tu as ? — Dites, vous n'allez pas me laisser là ? Elle rit et répond : — T'es une vraie paniqueuse. Si je voulais te vendre, tu ne serais pas assise à côté de moi, mais ligotée et bâillonnée dans le coffre... Je ne dis toujours rien, alors elle ajoute : — Quoique tu me donnes une idée, là ! Je suis sûre que je pourrai te vendre un bon prix. Allez, c'est dit, je te vends ! Je pousse un bête petit gémissement de trouille et elle dit : — Je ne vais pas te vendre mais je te ferai fouetter, puisque tu aimes ça.... — NON ! J'aime juste voir et pardon d'avoir un peu la trouille, mais tout est tellement nouveau pour moi. Vous n'êtes pas fâchée... s'il vous plait... Elle rit, mais ne répond rien. On arrive devant une entrée monumentale : deux esclaves enchaînées et vêtues de haillons se font face des deux côtés de l'entrée. Entre elles, il y a l'entrée d'un parking souterrain. J'ai envie de faire pipi de trouille. Je me raisonne, Summer a l'air gentille... En fait, non, elle n'a pas l'air gentille. Elle se gare et je mets ma main sur sa cuisse en disant à nouveau : — Vous n'êtes pas fâchée ? Elle sort de la voiture. Un homme vient vers nous en disant : — Summer, ma belle, comment ça va ? Elle l'embrasse et répond : — J'amène une esclave, combien tu me l'achètes ? — Faut voir la marchandise. Je suis sûre qu'elle lui a fait un clin d'oeil ! Si, si... Elle me dit : — Viens te montrer petite esclave. Je sors de voiture, l'homme me prend par le poignet et lève mon bras puis il me fait tourner sur moi-même. Il fait une grimace et dit : — Pas bien grasse. Je te l'échange contre un pack de bière. — OK, vendue. Au revoir Ashley. Il lâche mon poignet et il met une main sur mes fesses et l'autre sur mes seins. Je lui dis très vite : — Je vais faire du cinéma pour Monsieur Sam. Summer lève les yeux au ciel et dit : — C'est vrai, ça ! Et dire que j'ai failli te vendre. Ils rient tous les deux. Qu'est-ce qu'ils sont bêtes ! Oui, moi aussi ! L'homme lui dit : — On a reçu des belles filles... — On va aller les voir. — A tout à l'hure, Jo — A tout à l'heure les filles. Puis il ajoute en me regardant : — A tout à l'heure... sauf si elle te vend. Ils s'amusent ! N'empêche j'ai paniqué et je suis toujours un peu mal à l'aise. Le parking est immense, mais il n'y a qu'une vingtaine de voitures et de camionnettes. Je vois une flèche indiquant - 1, il y a donc des parkings en dessous de celui-ci. On prend un ascenseur et on se retrouve dans une grande pièce entourée de vitres. Le soleil me rassure. Plusieurs personnes viennent embrasser Summer et moi par la même occasion. Heureusement, elle ne me charrie plus. Il y a des ouvriers qui travaillent un peu partout mais manifestement, ce sera bientôt terminé. Je lui demande : — On va bientôt accueillir les gens ? — Dans quelques jours, je pense. On va voir les esclaves et puis je te montrerai la plage. — Merci... — Tu n'as plus peur ? — Plus trop... Elle rit... Je l'amuse, donc elle ne me laissera pas ici... On passe devant diverses attractions, un peu comme dans une foire... Derrière une rangée d'arbres, il y a un entrepôt qui n'est que fonctionnel. Summer prend son téléphone et appelle quelqu'un. Elle dit : — C'est Summer Hunter. Amusant, parce que Hunter veut dire chasseur et elle m'a dit qu'elle était une sorte de mercenaire et de chasseur de primes. Un homme vient ouvrir et ils s'embrassent. Il lui dit : — C'est gentil de nous rendre visite. Tu nous apportes un cadeau ? Il me regarde en disant ça. Comme une gamine, je prends la main de Summer. Elle rit et dit à l'homme : — Elle s'est mis dans le tête que je venais la vendre. C'est la nouvelle pouliche de Monsieur Sam. L'homme est un grand blond, il me regarde et dit : — Tu es une bien jolie pouliche Avec un petit chat dans la gorge, je réponds : — Merci M'sieur. Il dit à Summer : — Tu connais les lieux, fais comme chez toi. On est dans un petit bureau. Il pousse sur un bouton, un panneau coulisse et on se retrouve sous le hangar. Il y a une musique assez rythmée. Le long des murs, il y a des filles nues dans des dizaines de cages. Les grandes cages contiennent une dizaine de filles, collées les unes aux autres. Il y a aussi des filles seules dans des toutes petites cages. Une dizaine d'esclaves se trouvent sur un rang au milieu d'une piste. Devant elles, il y a une jeune fille et un homme avec un stetson, ils ont tous les deux un fouet en main. Les esclaves sont une dizaine, nues, à part un collier de fer. Je pense qu'elles répètent un numéro de "Pompom girls". Les filles sont jolies, bien faites et de toutes les couleurs depuis une rousse à la peau très blanche jusqu'à une Noire couleur ébène en passant par des Hispaniques, des Métisses et des Asiatique. Un très bel échantillonnage des articles qu'on peut acheter dans la maison. Elles dansent en marquant la cadence avec le pied, ce qui fait trembler leurs seins et leurs fesses... Quand elles sont de dos, je vois les marques rouges des fouets sur leurs fesses, leurs cuisses et leurs mollets... Ouch ! Mes jambes deviennent molles et mon bas-ventre, humide. A la fin du numéro, un garde crie : — Numéros 1 et 7, vous n'étiez pas en rythme. Aux pieds ! Les filles viennent se mettre devant lui en grimaçant un peu. Summer s'avance vers le garde en disant : — Salut Ted, mon beau Texan — Oh salut Summer. Ils s'embrassent sur la bouche, puis il m'embrasse et il lui dit : — Tu promènes ta petite soeur ? Elle secoue ma main qui serre toujours la sienne en disant : — C'est la nouvelle pouliche de Monsieur Sam et elle fantasme sur les esclaves et le fouet. Le Texan me dit : — Ces deux-là doivent être punies, tu veux le faire ? C'est Summer qui répond : — Bonne idée. Vas-y Ashley. — ... euh... c'est que... — Tu préfères que Ted te fouette ? — NON!!! Je veux bien, mais je ne sais pas comment faire.   A suivre.   Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 31/12/21
Chap 8 Sidonie efface une rivale mais payera les conséquences. La vente s’est bien passée. Brigitte assure que son mari et elle sont comblés par les jouets qui leur apportent un réel bonheur. Elle avoue que parfois le couple échange les jouets car ceux-ci sont très efficaces quelque soit ce qu’on leur ordonne. Sidonie, depuis qu’elle est rentrée chez elle, pense nuit et jour à Vanessa et à la relation de celle-ci avec Anna. Sidonie en ressent une grande jalousie envers Anna qui est le jouet indéfectible de Vanessa. Sidonie estime qu’elle ferait un meilleur jouet pour Vanessa et ronge son frein. La semaine passée à être dressée par Vanessa lui laisse un merveilleux souvenir. Un peu douloureux lors des piercings mais obéir à tous les ordres de Vanessa pour lui plaire était un vrai bonheur pour Sidonie. Elle a aimé être couchée aux pieds du lit de Vanessa, la servir dans une tenue de soubrette, la laver sous la douche et prendre son de son corps. Elle a particulièrement aimé être à genou près de Vanessa à lui lécher le sexe en présence des amies de Vanessa. Maintenant elle voudrait qu’Anna disparaisse afin qu’el prenne sa place. Elle sort avec Léo, un garçon macho qui est très directif et elle se console avec ça faute de servir de jouet à Vanessa. Un jour il l’invite chez lui. Il vit avec son frère plus âgé qui est encore plus dur que lui. Pour lui les femmes sont des objets qui ne sont là que pour servir les hommes sans poser de question. Bien sûr il n’a pas de petite amie car les rares qui l’ont côtoyés se sont sauvées rapidement devant son caractère. Ils vivent dans une grande maison. Leo lui fait visiter la maison et son frère les accompagne donnant des frissons à Sidonie surtout quand il s’agit de visiter la cave. Celle-ci est immense et forme une grande pièce sans ouverture vers l’extérieur sommairement aménagée. Le frère de Leo dit à Sidonie que s’il avait une femme sa place serait dans cette pièce ou elle passerait sa vie à assouvir les besoins des hommes de la maison. Leo rit et propose à Sidonie de devenir cette femme-là. Celle-ci commence à flipper et rit mais plutôt jaune. Puis alors qu’ils remontent au rez de chaussée une idée perverse lui vient. Et si je vous trouvais une telle femme vous me donneriez combien ? Les deux frères intéressés avancent un prix dérisoire et Sidonie leur dit qu’ils ne sont pas assez généreux pour qu’elle leur donne un tuyau. Les deux frères se concertent et ce coup-ci font une offre beaucoup plus alléchante. Sidonie leur dit alors. Le problème c’est qu’elle ne sera pas d’accord et qu’il faudra la garder de force. Les deux frères se rengorgent et lui disent que des qu’elle aura passé le seuil de la maison el en pourra plus sortir sans leur aval. Sidonie promet de leur montrer la photo d’une femme qui pourrait les intéresser. Trois jours après elle leur montre une des copies des photos réalisées par martine. Les deux frères sont comme fous et lui demandent ce qu’ils doivent faire. Elle leur répond d’attendre deux jours plus tard et qu’elle piégera la fille qui viendra sans se douter du piège mais qu’ils devront la maitriser une fois qu’elle sera là. Deux jours plus tard Sidonie attend Anna à la sortie de son travail. Elle lui dit que Vanessa a des problèmes avec un futur jouet et qu’il faut qu’elles aillent toutes les deux lui prêter main forte immédiatement. Anna craint pour Vanessa et suit Sidonie en voiture jusqu’à une maison isolée. Les deux femmes font le tour de la maison et ont chacune dans la main une seringue qui rassure Anna. La porte arrière est entrouverte et elles pénètrent dans l’arrière cuisine en silence. A peine entrées elles sont agressées par deux hommes qui les plaquent au sol. Anna utilise sa seringue mais celle-ci n’a aucun effet. Sidonie lui a donné une seringue vide. Rapidement Anna est ceinturée ligotée et un sac est posé sur sa tête. Elle est portée en bas en se demandant ce que devient Sidonie et dans quel état doit se trouver Vanessa. Sidonie se laisse plaquer au sol sans résistance. Elle joue le jeu pour qu’Anna ne voie pas qu’elle la conduit dans un traquenard. Le frère de Leo qui se charge d’elle joue bien son rôle et lui met un sac sur la tête comme pour Anna. Elle est portée en bas et se demande s’il n’en fait pas trop. Elle comprend qu’elle a aussi été piégée lorsqu’un collier se verrouille autour de son cou. Ses mains sont attachées par un zip derrière le dos et elle crie à travers le sac mais le son est étouffé. Elle est jetée par terre et se reçoit durement. On s’assoie sur elle et le sac est enlevé. Elle voit avec horreur le sourire satanique de Léo qui finit de déshabiller Anna qui est dans le même état que Sidonie avec un bâillon boule en plus. Le frère de Leo lui met le même bâillon et entreprend à son tour de la déshabiller. Une fois les deux filles nues chaque garçon se baisse son pantalon et viole la fille qu’il détient. Ils son hilares en voyant la tête désespérée d’Anna mais surtout de Sidonie. Une fois qu’ils ont terminés les garçons se reculent et les filles peuvent se relever. Leur collier est relié par une chaine à un anneau au mur et elles n’ont que quelques pas de liberté au sein de la pièce ou deux matelas ont été disposés. On vous laisse les filles on doit s’occuper de vos voitures et de vos téléphones. Vanessa en rentrant ne trouve pas Anna à l’attendre. Elle l’appelé au téléphone mais la ligne est occupée. Inquiète elle appelle madeleine et Monique qui ne l’ont as vues. Elle veut appeler Sidonie et martine mais elle tombe sur la messagerie de Sidonie et martine n’a aucune idée de l’endroit où se trouve Enna. Trois mois ont passés. Vanessa est toujours effondrée et le moral ne revient pas. Madeleine et Monique pensant qu’Anna s’était enfuie volontairement essayent de remonter le moral de Vanessa et de la brancher sur d’autres captures de jouets mais celle-ci n’a plus de gout à ça. Martine finit sa journée et se rend vers sa voiture. Au moment où elle quitte le parking ses yeux se posent sur le conducteur de la voiture et elle reconnait le petit ami de Sidonie qu’elle avait complétement oublié. Par acquis de conscience elle le suit discrètement. Il roule quelques minutes et se gare près d’une grande maison isolée. Elle se gare un peu plus loin et le regarde sortir de sa voiture. Quelque chose dans son attitude interpelle martine. Il jette un œil à droit à gauche comme s’il craignait d’être suivi. Elle note l’adresse et rentre chez elle. Elle en fait part à Vanessa par téléphone. Vanessa qui est toujours persuade qu’il est arrivé quelque chose à Anna se raccroche à ce petit espoir même si Anna ne connaissait pas ce type. Elle en parle à madeleine et Monique qui sont septiques mais qui acceptent de faire quelques planques avec elle. Au bout d’une semaine elles savent que la maison est occupée par deux hommes mais qu’il y en a toujours un qui reste à la maison quand l’autre sort. Cette attitude est suspecte et elles décident de pénétrer dans la maison quand il n’y aura qu’un individu. Deux jours plus tard Vanessa sonne à la porte de la maison. L’un des individus est parti et il ne doit en rester qu’un dans la maison. Celui-ci finit par arriver, entrouvre la porte et d’une voix peu loquace demande ce qui se passe. Vanessa lui dit qu’elle a percuté une voiture devant la maison et demande si c’est la sienne pour faire un constat. Elle montre la voiture de l’homme qui se met à gueuler en la traitant de connasse. Elle fait front, s’excuse et lui demande de venir pour le constat ou éventuellement le prix du dédommagement qu’elle pourrait lui donner pour l’éraflure. En colère il se décide quand même à sortir de la maison et se diriger vers la voiture. Il y a une éraflure sur l’arrière de la voiture. Il râle et exige 200€ pour le dédommagement car il ne veut pas de constat. Vanessa lui demande de l’attendre une minute le temps qu’elle aille chercher la somme dans sa propre voiture garée à quelques mètres. Pendant ce temps madeleine et Monique cassent une vitre de la porte arrière et pénètrent dans la maison. Elles font fissa. L’une grimpe à l’étage et l’autre descend à la cave. Bingo. Une porte de la cave est blindée et verrouillée avec une grosse serrure de sécurité. Le cœur battant madeleine appelé en espérant être entendue. Sidonie Anna vous êtes là ? Un faible cri se fait entendre. Elle colle son oreille à la porte et recommence l’appel elle entend clairement la réponse. Oui on est prisonnières de deux malades fait attention à toi. Madeleine leur dit de tenir encore un peu et remonte rapidement rejoindre Monique. Les deux femmes vont jusqu’à l’entrée de la maison et se dissimulent comme elles peuvent et attendent l’homme chacune avec une seringue dans une main et un tazer dans l’autre. L’homme a failli gifler Vanessa quand elle lui a remis l’argent. Il retourne en vociférant vers la maison. Le téléphone de Vanessa bip. Un simple texto qui dit « Bingo ». Elle reste sur place et suit des yeux l’homme qui pénètre dans la maison. Quelques secondes plus tard un autre texto. « Ok tu peux venir ». Elle se précipite et entre dans la maison ou les deux femmes finissent de ligoter un homme inconscient. Elles sont là toutes les deux dit madeleine. A la cave. Vanessa se précipite et tombe sur la porte blindée qu’elle essaye d’ouvrir en vain. Monique et madeleine la rejoignent et lui tendent une clé. Tu y arriveras mieux avec ça. Une fois la porte ouverte elles voient avec rage Anna et Sidonie amaigries crasseuses l’air abattu qui les regardent avec crainte et espoir. Elles sont attachées au mur par des chaines reliées à des colliers. Les femmes les prennent dans les bras et s’acharnent pour les libérer. Impossible sans les clés. Elles retournent en haut et descendent l’homme qui est ligoté comme un saucisson. Après une volée de coups non retenus il finit par dire ou sont les clés et les filles son libérées. Vanessa veut tuer l’homme mais madeleine la retient. On va se venger autrement. Pour l’instant il faut préparer un piège pour le retour du deuxième. Lorsque Leo rentre chez lui il est étonné de ne pas voir son frère. Il se dit qu’il doit sauter une des poufs du bas. Il descend tranquillement et effectivement la porte est entrouverte et une des deux filles gémit avec force. Désirant se mêler à l’orgie il entre dans la pièce et tombe sur trois furies qui le tazent et lui administrent une piqure. Quelques minutes plus tard il est ligoté à côté de son frère. Madeleine qui garde son sang-froid organise le transport des deux hommes dans le coffre d’une des deux voitures qu’elles ont prises et la remontée des deux ex prisonnières. Une demi-heure plus tard tout le monde se retrouve chez Vanessa. Rapidement les femmes comprennent la traitrise de Sidonie qui se fait toute petite. Madeleine dit alors. He bien on a trois jouets à dresser très durement et on les vendra. Je pense que c’est tout ce qu’ils méritent. Tout le monde est d’accord. Sidonie est effondrée. Les deux frères subissent un dressage particulièrement difficile. Ils passent le plus clair de leur temps dans une cage exiguë qui les force à se serrer l’un contre l’autre en permanence. Is son installés en 69 et Comme ils sont abreuvés à la potion de madeleine ils sont toujours en érection. Malgré le dégout initial ils passent une partie du temps à se sucer l’un l’autre. Ils ne peuvent recracher le sperme car alors les coups de fouets pleuvent. L’autre partie du temps ils sont dressés comme les jouets précédents et sont piercés partout où c’est possible. Sidonie pour sa part n’a pas droit à la cage mais lorsqu’elle n’est pas en atelier de dressage elle doit suivre à quatre pattes Anna ou que celle-ci aille et dès qu’Anna s’arrête Sidonie doit lui lécher les pieds ou ailleurs si Anna lui ordonne. Anna garde une dent contre Sidonie et se demande si elle ne la garderait pas comme chienne plutôt que de la revendre. Les autres femmes lui laissent le champ libre avec Sidonie et selon les désirs d’Anna Sidonie a la tête rasée en permanence. Elle met des perruques différentes aux gouts d’Anna. Après deux mois de dressage les deux jouets males sont présentés à Brigitte. Sidonie souffle car Anna n’a pas souhaiter la vendre. Pour remercier Anna de ce geste Sidonie doit subir une énorme augmentation mammaire. D’un 90C initial, progressivement, à la suite de trois opérations elle est passée à un 130D. Ses énormes seins la forcent, quand elle en a le droit à marcher en rejetant les épaules en arrière pour ne pas être déséquilibrée ce qui les rend encore plus impressionnants. Brigitte veut acheter les deux jouets mais elle a une commande spéciale. Il s’agit de lui fournir deux sissys bien dressées. Elle propose aux filles de prendre les jouets une semaine, le temps de leur faire subir un peu de chirurgie puis de les ramener pour le dressage en sissy accompagné d’un traitement hormonal. Madeleine Monique et Vanessa acceptent le deal car le prix est conséquent et leur vengeance sur les deux frères pourra continuer encore un peu. Deux semaines plus tard les deux jouets sont ramenés par Brigitte. Ils ont subi une épilation définitive totale cheveux inclus et une chirurgie de la face qui adouci leurs traits adoucit le nez et gonfle exagérément les lèvres. Le plus important se situe au niveau de la poitrine ou ils affichent chacun un bonnet C qui d’après Brigitte passera à D ou E après traitement hormonal. Les deux frères sont désespérés. Les trois filles les mettent sur des croix de saint André pour examiner avec attention les modifications. Le sexe n’a pas été touché. Puisqu’ils sont destinés à devenir des sissys, les femmes leurs posent chacun une cage de chasteté scellée définitivement. Ils n’auront plus le droit de se servir de leurs bites. Et pour les entrainer à leur futur quotidien ils sont plugués en permanence et tous les trois jours la taille du plug augmente afin qu’ils puissent recevoir tout calibre sans rechigner. C’est la fête pour Kevin et Jonathan qui sont mis à contribution pour visiter les orifices des apprentis sissys. Au moins une fois par jour chacun des frères est pris simultanément dans la bouche et dans le cul par les deux jouets males qui s’en donnent à cœur joie. Les deux sissys doivent être près en permanence à s’occuper de la moindre queue qui passe à leur portée. Ils sont entrainés pour cela. L’un des jeux favoris d’Anna est de les mettre à genou les mains menottées dans le dos et un bandeau sur les yeux. Kevin ou Jonathan passe au milieu d’eux et les touche en même temps. Dès que le sissy sent le contact il doit se jeter sur sa queue et la prendre à pleine bouche. Celui qui arrive deuxième est sévèrement réprimander par des coups de fouets. Au bout de quelques jours de mise en condition ils deviennent habiles et, n’aillant plus aucune dignité, ils gobent immédiatement et sans hésiter la moindre queue qui passe. C’est le jeu favori de Kevin et Jonathan. Brigitte prévient les femmes que l’acheteur potentiel des sissys passera voir ou en est le dressage chez madeleine. Lorsque celui-ci arrive il trouve les deux sissys à genou dans le salon les mains menottées dans le dos maquillés à outrance et attendant sagement qu’on leur donne des ordres. En le voyant l’acheteur est pris d’une érection massive. Madeleine lui propose d’ouvrir son pantalon et des qu’il a le sexe sorti les deux sissys rivalisent de vitesse pour venir lui donner une somptueuse fellation. Il se fait sucer alternativement par l’un et l’autre et leur dit de se mettre en position pour l’autre orifice. Les deux sissys se retournent et baissent la tête en relevant la croupe. L’acheteur touche les cages de chasteté et voit qu’elles ne peuvent plus s’ouvrir sauf à utiliser une scie. Ça lui convient parfaitement car les sissys ne devront que s’occuper du plaisir des autres sans qu’eux puissent jouir. L’acheteur, après avoir bien testé les culs, ressort extrêmement satisfait de sa visite. Quelques jours plus tard les deux sissys jouets sont emmenés vers de nouveaux horizons. Les deux frères macho sont désespérés car ils savent que leur destinée est tout autre que ce qu’ils avaient imaginés. Sidonie n’a pas repris le travail et vit désormais comme jouet au domicile de Vanessa. Lorsque martine est appelée pour une séance photo elle a la surprise de reconnaitre Sidonie dans la femme blonde platine aux énormes seins et couverte de piercings. Sidonie n’a pas le droit de parler et martine ne saura jamais si Sidonie est là volontairement ou pas. La vie de Vanessa et Anna a repris un cours normal et elles filent le parfait amour avec leur deux jouets, Jonathan et Sidonie qui leurs sont entièrement soumis. Madeleine et Monique cessent le dressage et la revente de jouets mais gardent précieusement Kevin et Magalie à leur botte. Fin. Pour info : La nouvelle vie des sissys Hakim et Fred sont invités chez Igor celui a dit à Hakim qu’il avait des surprises à leur montrer qui valaient le coup. Hakim et Fred sont des riches importateurs de produits exotiques et font souvent affaire avec Igor. Ces derniers temps ils ont un peu délaissé Igor et certainement qu’il veut leur faire passer une soirée avec des putes le truc traditionnel pour renouer les liens. Ils se rendent néanmoins à la demeure d’Igor même si les putes ne sont pas leur truc préféré. Il faut quand même garder de liens avec Igor on ne sait jamais comment marcheront les affaires. Ils sont reçus par Igor et pénètrent dans la salle de réception ou deux femmes voilées attendent de chaque côté du fauteuil d’Igor. Celui-ci ne les présente pas mais offre du champagne aux deux invités qui s’assoient dans un vaste canapé. Les deux femmes n’ont pas bougé d’un poil. Elles sont grandes ont une belle paire de sein mais leur visage et une grande partie de leur corps est masquée par des voiles. Is trinquent puis Igor tape dans ses mains et une musique orientale envahit la salle. Dès les premières mesures les femmes bougent et ondulant du postérieur vont se mettre à trois mètres face aux invités et commencent une danse du ventre très suggestive. Les deux hommes regardent d’un air distrait les femmes qui enlèvent le voile qui recouvre leurs seins. Elles ont des beaux seins bien fermes qui sont certainement siliconés. Bien que normalement pas intéressés les deux hommes sont un peu hypnotisés par ces femmes qui ont quelque chose d’inhabituel sans qu’on puisse dire quoi. L’effeuillage continu et les ventres plats des femmes ondulent maintenant face aux hommes. Les foulards cachant les visages s’envolent et il ne reste plus qu’un voile sur les hanches des femmes qui extrêmement maquillées on toujours quelque chose qui intrigue les deux hommes. Soudain en même temps elles ôtent leurs derniers voiles et les deux hommes voient qu’en fait ce sont des hommes ou plutôt des sissys avec une cage de chasteté. Elles continuent à danser en se rapprochant des deux hommes. Là ceux-ci sont subjugués et leur imagination commence à les travailler et à les faire bander. Les femmes sont à moins d’un mètre et se mettent à genou face aux hommes qui ne peuvent plus cacher leur érection. Igor a fait mouche. Il s’est discrètement éclipsé quand les femmes se sont mises à genou. Celles-ci tendent les mains et entreprennent d’ôter les ceintures de deux hommes qui abasourdis ne bougent plus. Les deux pénis gonflés sont mis à l’air libre et les deux sissys entament simultanément une fellation. Hakim est le premier à reprendre ses esprits et il pelote avec vigueur la sissy qui le suce avec un talent incroyable. Il doit repousser son visage pour ne pas jouir. Il la retourne et elle se met tout de suite en position de soumission avec la croupe levée. Un plug verrouille son cul. Hakim retire le plug et plonge sa bite dans le cul ouvert et lubrifié. Il se met à genou derrière la sissy et lui attrape un sein d’une main et le sexe encagé dans l’autre. Fred s’est aussi mis à l’ouvrage et perfore l’autre sissy. Experts, les sissys devinent le moment ou le male va jouir et se retirent juste avant pour kuî faire reprendre son souffle. Hakim et Fred pilotent tâtent sodomisent et se font sucer par les deux sissys. Ils changent à un moment de partenaires et finissent par jouir dans un orgasme intense. Les deux sissys se lèvent alors et disparaissent de la pièce. Hakim et Fred se rhabillent et quelque minutes plus star Igor tout sourire rentre dans la pièce. Il dit j’espère que le spectacle vous a plus. Il s’assoit sur son fauteuil et ressert du champagne frais aux deux hommes. Ceux-ci ne savent pas quoi dire. Ils sont encore en train de fantasmer sur les sissys. Ceux-ci reviennent ils sont nus et ont les mains menottées dans le dos. Ils se mettent chacun à genou de chaque coté du fauteuil et Igor fixe une chainette accrochée au bras du fauteuil au collier que portent les deux sissys. Ceux-ci baissent la tête jusqu’au sol et restent figés dans la position. La discussion commence sur les affaires et Hakim et Fred lâchent beaucoup de lest en promettant de nombreuses associations avec Igor. Celui-ci est satisfait. Il fait relever les deux sissys qui jettent leurs épaules en arrière pour faire ressortir leur poitrine et leur cage de chasteté. Les deux hommes ont du mal à avaler leur salive. Igor désigne les deux sissys et dit : ils sont beaux n’est-ce pas. Si vous êtes intéressés ils sont à vendre. Fin ?
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Par : le 31/12/21
Chap 7 trois nouveaux jouets sont dressés pour être revendus. Avant que Vanessa ne soit libérée par madeleine celle-ci se demandait comment la revendre car elle n’était pas certaine de la garder. Une des clientes de la pharmacie de madeleine, Brigitte, est une femme mure d’origine incertaine qui est particulièrement loquace sur le sexe et qui se plaint souvent en aparté avec madeleine de ne pas avoir comme au Pays la possibilité d’acheter et de posséder des esclaves. Madeleine fait semblant d’être offusquée mais la femme lui rétorque que ce serait surtout pour que son mari insatiable la laisse un peu tranquille mais qu’elle-même ne cracherait pas sur un male bien monté entièrement à sa merci. Madeleine la corrige en lui disant ce n’est pas d’un esclave que vous avez besoin c’est d’un jouet sexuel. Brigitte acquiesce et lui dit qu’elle serait prête à payer cher pour un tel jouet. Elles en rigolent mais madeleine lui dit en passant si je trouve un tel jouet je vous en parlerais en premier. Elle pense à Vanessa qui désormais a rejoint le cheptel. Brigitte lui dit qu’elle est prête à payer un chiffre avec cinq zéros. Madeleine est estomaquée. Un tel prix ça fait réfléchir. Quelque temps plus tard Brigitte se présente à la pharmacie et discute avec madeleine en lui demandant si elle a trouvé un jouet pour elle. Madeleine lui dit qu’elle a peut-être une piste. Brigitte est immédiatement intéressée. Finalement madeleine décide d’inviter Brigitte chez elle pour lui montrer ses jouets. Brigitte croit au gag mais accepte l’invitation. Le samedi soir Brigitte sonne chez madeleine qui va lui ouvrir. Elles se rendent dans le salon ou Monique les attends. Brigitte jette des regards partout en cherchant des indices mais rien ne parait. Elle finit par demander où se trouve la fameuse piste de madeleine pour acheter un jouet sexuel. Madeleine et Monique sont évasives mais elles font comprendre à Brigitte que la piste est sérieuse. Vanessa ayant été finalement libérée par les deux femmes celles-ci ne pensent plus à Brigitte jusqu’au jour où celle-ci frappe à leur porte. Brigitte est venue avec un énorme sac à main l’ouvre et sort une énorme liasse. Il y a 10000 € Elle dit ceci pour vous prouver que je suis bien à la recherche d’un jouet et je peux rajouter dix liasses identiques si le jouet vaut le coup. Madeleine et Monique se concertent et finalement invitent Brigitte à les suivre. Elles se rendent dans la pièce des jouets. Les deux jouets sont ligotés sur une croix de saint André avec une cagoule sur la tête. Brigitte et ébahie mais reprend rapidement ses esprits. Ils sont magnifiques. Ils sont à vous ? Madeleine et Monique acquiescent. Voua pouvez m’en dire plus demande Brigitte. Non dit madeleine. Ce qu’on peut vous dire c’est qu’ils sont rusés et cherchent à s’évader à la première occasion. Pas de problème pour ça dit Brigitte notre maison est une véritable forteresse et une fois entré il ne pourra plus en sortir sans mon autorisation. Et vous pouvez en faire ce que vous voulez demande Brigitte. Tout ce qu’on veut répond Monique en frôlant Kevin ce qui le fait immédiatement bander à la grande satisfaction de Brigitte. Ils sont toujours prêts sexuellement et on peut les positionner comme on veut sous réserve de bien veiller à ne leur laisser aucune chance de se libérer. Joignant le geste la parole madeleine et Monique détachent Kevin et le font mettre sur le dos couché sur la table basse. Son bâillon est enlevé et sa bouche et son sexe tendu sont exposés et utilisables à loisir. Il est très endurant et repart rapidement après coup déclare madeleine. Puis elles détachent Magalie et la font mettre à genoux face à Brigitte qui est assise sur le canapé. Elle est docile et sa langue et sa bouche sont démoniaques. Brigitte est toute tourneboulée mais n’ose pas en profiter devant Monique et madeleine. Celles-ci font alors chevaucher Kevin par Magalie. Les deux jouets ne demandent pas mieux et un véritable rodéo se déroule devant Brigitte qui a les yeux brillants. Je vous en offre 80000€. Madeleine et Monique répondent que ces deux-là ne sont pas à vendre mais qu’elles pourraient prendre une commande au cas où à condition d’être sure que les jouets seront bien traités. Brigitte leur assure qu’elle achètera des jouets comme ceux-là mâle ou femelle. Et que madeleine et Monique pourront à tout moment venir voir les conditions de vie des jouets. Le deal est conclu. Les 10000€ changent de main pour la commande. Maintenant que le command est prise madeleine et Monique sont dans le pétrin elles avaient un jouet en rab avec Vanessa mais maintenant elles n’ont plus que Kevin et Magalie qu’elles veulent conserver. Vanessa les a d’ailleurs invitées pour leur montrer sa toys room. Vanessa leur a dit qu’elle vivait le parfait amour avec Anna et qu’elles avaient désormais une grande maison avec une pièce réservée aux jouets. Elle les a invités pour visiter la pièce. Madeleine et Monique désirent en profiter pour y emmener les jouets pour voir leur comportement à l’extérieur. Ce matin-là les jouets ont juste les mains menottées dans le dos et un collier anti aboiement. Ils voyagent allongés dans le break de Monique dont les sièges arrière ont été rabaissés. Les jouets sont calmes mais madeleine et Monique ont toutes les deux une seringue au cas où. Arrivés chez Vanessa les jouets suivent docilement leurs maitresses et Vanessa accueille tout le petit monde. Anna n’est pas là pour les accueillir mais les deux femmes ne sont qu’à moitié étonnées. Vanessa les invite à la suivre pour visiter la pièce. Les deux femmes sont épatées de voir les photos grandeur nature d’Anna qui habillent les murs de la pièce. Certaines sont en couleur et d’autres en noir et blanc. Le rendu est formidable et Vanessa jubile en voyant le regard envieux et les compliments dithyrambiques des deux femmes. Anna qui est accrochée à la croix de saint André est dépitée. Elle porte comme à chaque fois qu’elle pénètre dans cette pièce son bandeau et n’a toujours pas pu voir la pièce et encore moins les photos qui font la fierté de Vanessa. Elle enrage et les compliments accompagnés de caresses de madeleine et Monique la désespèrent. Enfin Vanessa est heureuse c’est déjà ça. Madeleine et Monique enlèvent les gabardines qui sont sur les épaules des jouets et cachaient leurs nudités. Ils regardent avec attention les photos et Kevin commence à bander rapidement. Les deux jouets sont mis à genou près du canapé et les trois femmes peuvent faire le tour de la pièce tranquillement. Madeleine et Monique demandent qui a fait les photos et Vanessa raconte la soirée shooting et propose de demander à martine si elle veut en refaire avec les jouets. Les deux femmes sont ravies et plus encore lorsque martine répond favorablement en indiquant qu’elle pourra passer un soir sans problème. Le reste de la journée se passe dans de bonnes conditions. Les trois jouets sont mis dans diverses positions en vue d’une future séance photo et la température monte rapidement. Après quelques débauches ou les jouets sont mis à contribution les trois femmes se retrouvent côte à côte sur le canapé avec chacune un jouet pour s’occuper de son entrejambe. Puis madeleine aborde le sujet de Brigitte. Vanessa comprend qu’elle a échappée à la vente à une inconnue et remercie en aparté Anna qui lui a donné l’occasion de se racheter auprès des deux femmes. Elle leur dit qu’il faudrait capturer des garçons ou des filles et les dresser comme pour Kevin et Magalie. Elle ne parle pas d’Anna qui a accepté sa situation en connaissance de cause. Capturer des jouets n’est pas facile il faudrait qu’ils soient mignons, qu’ils viennent dans la maison sans que personne ne le sache et qu’il n’y a pas de monde qui les recherchent en cas de disparition. Elles pensent à Kevin mais il faudrait un miracle pour que ce genre de situation se reproduise. Elles pensent alors à Magalie que personne n’a recherchée et qui est venue de son plein gré chez Monique. C’est de se coté là qu’elles cherchent. Finalement Vanessa dit que dans la grande ville d’à côté il y a pas mal de sans-abris jeunes qui squattent un quartier à l’abandon. Peut-être qu’il y aurait des ouvertures de ce coté-là. Ce soir-là les trois femmes se quittent en décidant de vérifier cette piste. Quelques jours plus tard Vanessa et Anna se promènent dans le quartier à l’abandon. Effectivement il y a pas mal de zonards et parmi les nombreuses épaves humaines il y a des jeunes qui ont l’air dans la rue depuis peu. A un feu rouge un jeune zonard fait la manche. Il est pas mal malgré la crasse et il tend sa main pour quelques pièces. Vanessa engage la conversation il s’appelé Rodolphe et a été viré de chez lui par un père ivrogne qui n’a pas supporté que son fils abandonne l’école et devienne un petit délinquant. Rodolphe a les yeux fixés sur Anna qui est vêtue du strict minimum et lui sourit poliment. Vanessa demande à Rodolphe s’il a des amis et des contacts avec sa famille dans les deux cas la réponse est négative. Il tend la porte de la voiture comme un naufragé tient une planche flottante. Vanessa joue la bonne samaritaine et lui dit que chez elle il y a des habits en bon état venant de son père décédé et que si Rodolphe veut il peut venir les voir et en même temps les filles lui paieront un bon repas. Quelques secondes plus tard Rodolphe est assis sur la banquette arrière certain que sa bonne étoile l’a enfin aidé. Lorsqu’elles arrivent à la maison Vanessa et Anna font entrer discrètement Rodolphe et lui proposent de commencer par un encas. Il est aux anges et mange avec avidité ce qu’elles lui présentent, d’autant plus qu’il y a de la bière en quantité pour faire passer ça. Il ignore que Vanessa a soigneusement mis la dose de produit que lui a donné madeleine. () Vanessa excitée veut repartir en chasse. Elles reprennent la voiture et errent dans le quartier. En vain. Au moment où elles vont repartir bredouilles elles tombent sur un couple du genre punk à chien très jeune qui les hèle dans leur voiture de bourges. Vanessa s’arrête et engage la conversation. Rapidement les deux jeunes persuadés qu’il y a de la thune à se faire montent dans la voiture et sont emmenés chez Vanessa. Là pas question de manger mais ils ne crachent pas sur de l’alcool et vident le bar de Vanessa. Très excités Ils deviennent agressifs et Vanessa à toutes les peines du monde à les calmer mais ceux-ci veulent faire main basse sur les choses de valeur de la maison. Au moment où ils vont en venir aux mains Anna et Vanessa font usage des seringues que madeleine leur a donné en cas de problème. Le couple en rage se calme en quelque secondes et Vanessa et Anna les emmènent dans la toys room afin de les préparer à la suite des opérations. Anna peut enfin voir l’intérieur de la toys room et est ébahie des photos qui parsèment les murs de la pièce. Si l’heure n’était pas au travail elle sauterait au cou de Vanessa. Enfin les trois nouveaux jouets sont solidement attachés nus comme des vers. Vanessa jubile. Elle a décidé de garder un jouet male pour elle et de revendre les deux autres à madeleine et Monique. Le choix n’est pas évident entre les deux garçons qui ont à peu près le même age et sont crasseux et trop poilus. Finalement elle se dit qu’elle va attendre de les voir propres et imberbes. Emilie a ressenti la piqure au moment où elle donnait une baffe à l’une de filles qui ont eu la mauvaise idée de les faire entrer dans la maison. Elle a bien l’intention de leur mettre une raclée et de piquer tout ce qui peut de revendre facilement. Jonathan s’est rué sur l’autre fille. Ça ne devrait pas être compliqué. Puis une espèce de brouillard commence à la gêner. Ses gestes ont l’air ralentis et la fille la regarde d’un drôle d’air. Puis ses jambes ne la soutiennent plus et elle tombe comme une feuille. En tombant elle peut voir que Jonathan titube en tenant l’autre fille. Puis elle est par terre bien consciente mais incapable de faire le moindre geste. La fille qu’elle a frappé la regarde intensément. Puis la fille commence à la déshabiller entièrement. C’est quoi cette gouine se dit-elle. La fille s’éloigne et revient quelques temps après avec un sac. Elle sort du sac des menottes et d’autres accessoires bizarres. En quelques instants Emilie est ligotée comme un saucisson. La fille lui met un collier pour chien et un bâillon dans la bouche. Puis une cagoule qui la rend aveugle. Elle ressent une deuxième piqure. Peu à peu elle redevient maitresse de son corps. Malheureusement elle ne peut pas bouger. Elle insulte la fille mais au premier mot une puissante décharge la secoue. On dirait que ça vient du collier. Elle veut recommencer à crier mais de nouveau elle reçoit une puissante décharge. Elle comprend qu’il doit s’agir d’un collier anti aboiement comme sa mère mettait à ses chiens. Elle retente une fois mais le résultat est le même. Elle est à moitié groggy. Elle décide de taire et d’attendre tout en essayant de se défaire de ses liens. Elle se dit que les filles ont dû appeler les flics et que ces derniers ne vont plus tarder. Les flics semblent tarder. Emilie commence à trouver ça bizarre. Elle commence même à craindre un peu. Elle ressent un contact sur elle. On est en train de libérer ses jambes. Enfin. Elle est relevée et se tient debout sans savoir où elle est et avec les mains menottées dans le dos. Le collier la tire en avant. Il doit y avoir une laisse ou un truc comme ça. Elle se bloque et refuse d’avancer. Un coup de martinet la surprend. Elle reste figée un deuxième coup plus appuyé la fait sursauter et elle sent les larmes lui venir. Un troisième coup. Ce coup-ci vaincue elle avance. Les filles lui paieront ça quand elle sera libre. Elle est arrêtée sur du carrelage. Soudain une pluie d’eau froide lui tombe dessus. Elle crie de surprise mais prend une décharge par le collier. Elle se tient coite. L’eau se réchauffe un peu et elle sent des mains la savonner entièrement. La douche dure cinq bonnes minutes et elle est allongée à même le carrelage. Elle sent une odeur bizarre. Une crème lui est appliquée sur les jambes et sur le pubis. Elle se rappelle de l’odeur c’est de la crème dépilatoire. Une demi-heure plus tard elle sent que sa chatte et son cul son entièrement glabres. Elle est relevée et de nouveau la laisse la tire en avant. Elle suit ne voulant pas recevoir de coups de martinet. Après un petit déplacement elle est reculée contre une espèce de poutre en bois. Puis elle est ligotée en croix sur la poutre ou plutôt les deux poutres qui se croisent. Elle panique. Elle est tombée chez des sataniques qui vont la sacrifier. Puis elle se retrouve seule pendant quelques temps. Des pas se font entendre et quelqu’un passe près d’elle elle a juste le temps d’entraide un cri vite ravalé à ses côtés. Elle se dit que c’est Jonathan qui subit le même sort qu’elle. Vanessa et Anna ont enfin terminé le récurage et l’épilation des trois jouets. La fille est sur la croix de saint André et les deux garçons accrochés à des anneaux fixés au plafond. Des barres d’écartement leur maintiennent les jambes grand ouvertes et ils ont chacun un chocking bien serré qui sépare bien le sexe du corps. Satisfaite Vanessa va appeler madeleine pour lui dire que la marchandise est prête. Elle veut se garder un male et comme ils sont à peu près pareil elle décide de leur faire boire de la potion de madeleine pour voir lequel à la plus belle érection. Les garçons essayent de ne pas boire mais avec le nez pincé ils sont obligés d’ingurgiter le liquide. Vanessa en profite pour faire boire la potion pour femme à Emilie. Une demi-heure après les deux garçons bandent comme des taureaux. C’est difficile de choisir. Ils semblent un peu moins bien montés que Kevin mais c’est quand même pas mal. Elle veut tester leur endurance et dit à Anna de les sucer pour voir ce que ça donne. Anna n’est pas chaude mais ne refuse rien à Vanessa. Lorsque madeleine et Monique débarquent les deux garçons ont déjà giclé deux fois et ils recommencent à bander. Rodolphe ne comprends pas ce qui lui arrive. Il passait un super moment avec deux canons et maintenant il est ligoté comme un saucisson nu à priori lavé et épilé et il est accroché au plafond. Cerise sur le gâteau on lui a fait boire un truc qui le fait bander sans arrêt et on le suce super bien. C’est moitié l’enfer moitié le paradis. Le pire c’est qu’aucune parole n’a été prononcée depuis qu’il s’est réveillé. Le silence est soudainement rompu. Voilà le travail dit Vanessa. Trois d’un coup. Deux sont pour vous la fille et un garçon. Moi je me garde celui-là. Madeleine et Monique sont épatées. Les trois jeunes sont beaux et visiblement les garçons sont en pleine forme. Vanessa les a bien attaché et ils ne peuvent ni parler ni voir ce qui se passe. Madeleine prend la parole. Bon on va les dresser ici comme prévu. Il faudra faire très attention car il y en a trois et ils vont tenter de s’échapper. Les trois nouveaux jouets écoutent avec attention ces paroles et commencent à flipper. Apparemment c’est d’eux dont on parle. Tu leur as mis un collier c’est impeccable. Ils ne vont pas nous casser les oreilles et il faut qu’ils comprennent que désormais ils n’ont plus besoin de parler. Ils ont juste besoin d’exécuter sans rechigner tous nos ordres. Les trois jouets ruent dans leurs liens en signe de protestation. Vanessa Monique et madeleine prennent chacune un martinet et s’en servent pour calmer les ardeurs des jouets. Après une douzaine de coups chacun ils finissent par se tenir cois. Bien on peut commencer dit madeleine. On va déjà voir si la fille suce bien. Elle a bu ? demande-t-elle à Vanessa. Oui elle a pris une bonne dose. Répond celle-ci. Quelques minutes plus tard Emilie est à genou avec un écarteur de bouche l’empêchant de refermer celle-ci. Elle est tirée en avant par sa laisse et sa bouche tombe sur le sexe d’une femme elle a un mouvement de recul mais la laisse est maintenue fermement et des coups de martinet lui font comprendre qu’elle doit rester au contact. Soudain elle sent qu’un objet cogne contre son propre sexe. Un énorme gode vibrant est inséré et mis en route. Elle rue un peu mais se calme après quelques coups. Le pire c’est qu’avec la potion qu’elle a pris le gode commence à lui faire un effet maximum. Un orgasme la surprend à sa plus grande honte et déjà elle sent qu’elle repart. Bien elle a l’air d’apprécier dit une voix. Elle réagit bien au gode. Maintenant à toi de bosser dit la voix. Et sa tête est poussée contre le sexe féminin. Elle rechigne reçoit deux coups de martinet et on lui pince férocement les seins. En larme elle commence à lécher le sexe. Puis petit à petit après quelques pinçons supplémentaires elle y met plus de fougue et lèche avec vigueur le sexe humide. Ce qui la désespère c’est qu’elle y prend peu à peu du plaisir en même temps que le gode l’envoie au septième ciel. Après quelque minute elle est retirée en arrière et elle croit que c’est fini quand on lui pousse la tête vers un autre sexe. Elle recommença trois fois, les trois femmes ayant décidé de voir ce que ça donnait. Puis ses mains sont attachées à ses chevilles et elle reste à genou sans qu’on s’occupe d’elle. Il reste juste le gode bien inseré qui continue à la secouer de temps en temps. Bon elle a encore des progrès à faire mais ça devrait finir par donner un jouet efficace dit une voix. Maintenant on va voir comment se débrouillent les males. Une heure plus tard vaincus Rodolphe et Jonathan après avoir lécher plus que dans toute leur vie se retrouvent dans la même position qu’Emilie avec un plug bien ancré dans le cul. Bon c’est l’heure de l’apéritif dit Monique. Vanessa dit à Anna de les servir en tenue de soubrette. Quelques minutes plus tard les trois dominantes sont assises sur le canapé et contemplent les trois nouveaux jouets. Tu as fait un bon choix en gardant celui-ci dit madeleine à Vanessa. Il a l’air revêche et tu vas devoir le traiter avec sévérité car il va t’en faire baver. Vanessa sourit au compliment et assure qu’elle va bien gérer le dressage de ce jouet. Les deux garçons sont sidérés ils sont traités comme du bétail. Bon on va passer à table dit Vanessa et ensuite on va offrir des cadeaux aux jouets. Ça tombe bien j‘ai acheté trois kits pour cela et maintenant j’ai la technique n’est-ce pas Anna. Celle-ci à genou aux pieds de Vanessa opine du chef. Le repas est expédié et le premier jouet est installé très serré sur la croix de saint André. C’est Jonathan qui fait ce qu’il peut mais n’arrive pas à se libérer ni même à gêner les trois femmes qui l’ont garroté comme un poulet. Il ne peut s’empêcher de pousser un cri vite refréné par le collier lorsque son mamelon est transpercé par une aiguille provoquant une douleur intense. Le deuxième mamelon, le nez le gland et les deux couilles subissent le même sort. Il est tétanisé par la douleur et n’hésite pas à boire ce que madeleine lui propose en lui indiquant qu’il s’agit d’anesthésiant pour la douleur. Il est surpris de bander comme un âne un quart d’heure plus tard mais la douleur a légèrement diminué. Puis c’est le tour de Rodolphe et enfin d’Emilie. Les trois jouets sont prostrés par terre couché sur le côté avec les mains liés aux chevilles et une cagoule aveuglante sur la tête. Les trois femmes leur souhaitent une bonne nuit et quittent la pièce laissant les trois jeunes dans le pire des désarrois. Ils ont faim soif et souffrent de leurs multiples piercings. Ils ne dorment pas de la nuit. Le plus gênant c’est qu’ils ont une envie folle de baiser ils se tortillent pour espérer toucher quelque chose afin de se frotter le sexe contre. En se tortillant Emilie finit par toucher le corps de Rodolphe. Ils se tortillent ensembles et finissent par réussir à bouche à sexe. Heureusement qu’ils n’ont pas de bâillon. Ils se bouffent mutuellement et passent une bonne partie de la nuit à se faire jouir. Emilie n’a jamais reçu autant de sperme dans sa bouche mais ne peut s’empêcher de sucer. Jonathan a beau se tortiller cela ne le mène à rien et il doit attendre le lendemain avec une nuit peuplée d’érections massives. Le lendemain Anna qui est la première à entrer dans la salle trouvent les deux en position de 69 visiblement repus et le troisième avec une érection monstrueuse. Les autres femmes ne sont pas réveillées elle se prend de pitié pour lui et le branle vigoureusement. Il explose rapidement et peut enfin se calmer un peu. Ce que ne sait pas Anna c’est que Vanessa a tout vu et s’apprête à punir sévèrement cette dernière. Les trois femmes finissent par arriver dans la pièce pour continuer le dressage des jouets. D’abord la toilette. Les trois jouets sont emmenés à la douche et aux toilettes ou ils sont humiliés d’être torchés lavés étrillés récurés et frottés vigoureusement avec des serviettes rêches. Puis ils sont ramenés dans la toys room ou ils sont mis à genou en face du canapé. là Vanessa prend enfin la parole et leur dit. Maintenant on va voir si vous savez retenus la leçon d’hier et si c’est le cas vous aurez un petit déjeuner sinon rien à manger aujourd’hui et on recommence la leçon. Rodolphe résigné se met aussitôt à l’œuvre et lèche consciencieusement le sexe qui lui est présenté. Emilie et Jonathan se rebiffent et ont droit au martinet comme la veille jusqu’à ce qu’ils cèdent. Quelques minutes après la leçon ils entendent à côté d’eux Rodolphe qui mange comme un chien dans une gamelle au contenu émettant une odeur qui fait gronder l’estomac des deux rebelles. Le reste de la journée est consacré à l’apprentissage de nouvelles positions. Emilie est la plus rétives mais à la fin de la journée elle ouvre la bouche, tire la langue, arque ses épaules pour faire ressortir sa poitrine, se prosterne jusqu’au sol, écarte les cuisses en projetant son bassin en avant pour faire admirer son sexe qui exhibe ses anneaux de piercings. Elle est extenuée et ne cherche plus à résister. La seule chose qu’il lui compte c’est de faire ce qu’on lui demande en espérant en retour être caressée car elle a toujours le corps en feu avec ce que les femmes lui ont fait boire. Rodolphe et Jonathan ont cédés bien avant elle au grand bonheur des trois femmes. Enfin ils sont nourris et peuvent boire dans des gamelles ce qu’ils font sans demander leur reste. Pour l’instant aucun des trois n’a trouvé de moyen de s’échapper ou d’enlever ses liens mais ils ne désespèrent pas. Ils passent la nuit dans la même position que la veille mais ils sont accrochés à des anneaux ce qui les empêchent de se rejoindre pour se satisfaire mutuellement. A leur coté Anna passe la nuit sur la croix de saint André après avoir dû boire une double dose de stimulant. Elle passe une très désagréable nuit réveillée tous les quarts d’heure par le gode vibrant programmé par Vanessa. Il provoque systématiquement un orgasme bruyant qui énerve encore plus les trois jouets qui entendent les halètements qui reviennent tous les quarts d’heure. Trois semaines plus tard les trois jouets sont dressés et obéissent au doigt et à l’œil. Les deux garçons ont été sodomisés de nombreuses fois par Kevin ou par l’autre jouet et ont apprit à faire des fellations sans rechigner mais avec beaucoup de classe. Emilie lèche suce caresse embrasse sans se poser de question et elle finit par aimer se mettre dans des positions extrêmement excitantes. Martine est venue prendre des photos des nouveaux jouets et des deux anciens. Sidonie l’accompagne systématiquement et se lâche de plus en plus finissant systématiquement nue après avoir usé et abusé des jouets. Enfin les deux jouets à vendre sont emmenés chez madeleine pour être présentés à l’acheteuse et seul Jonathan qui a eu la faveur de Vanessa reste chez elle. Vanessa propose une dernière séance photos ou Sidonie sera la vedette. Celle-ci accepte volontiers et teste avec un entrain qui donne des idées sérieuses à Vanessa les positions et bondages des jouets. Finalement quand martine remballe ses appareils Sidonie est toujours nue sur la croix de saint André avec un bâillon et ouvre des yeux exorbités lorsque Vanessa dit à martine. Tu peux rentrer seule je garde Sidonie en stage pour une semaine. Je sais qu’elle est en congé cette semaine et elle va passer ses congés avec nous. Martine hésite puis se dit que ça n’est pas son problème et laisse Sidonie entre les mains de Vanessa. Vanessa dresse Sidonie avec la même sévérité qu’Anna. Sidonie a droit aux piercings sans anesthésie et à la fin de la semaine elle est aussi soumise à Vanessa qu’Anna qui voit cette concurrence d’un mauvais œil. Heureusement pour Anna et Sidonie la toys room de Vanessa est momentanément trop pleine et Sidonie est libérée en fin de semaine. Brigitte a rapidement pris rendez-vous pour venir voir les nouveaux jouets et les acheter s’ils conviennent. Elle en profite pour annoncer que si les filles ont d’autres jouets elle connait des acheteurs et acheteuses très intéressés. A suivre.
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Par : le 30/12/21
Madeleine chapitre 6 : la relation Anna Vanessa évolue. Anna à un sourire contrit. Elle ne sait pas comment faire pour utiliser Vanessa. Elle décide de prendre exemple sur Monique et madeleine et pour commencer estime que Vanessa sera chargée de satisfaire tous ses besoins et le premier c’est voir ou elle pourrait positionner son jouet pour qu’il soit décoratif. Elle s’ingénie à ligoter Vanessa dans des positions humiliantes. Elle commence par lui faire prendre une position couchée sur le dos les bras et les jambes liés ensemble et écartés au maximum pour que son sexe soit le plus offert possible. Sur les conseils de madeleine elle teste dans cette position différents godes vibrants et magic wand. Les réactions de Vanessa sont diverses entre le fou rire dû aux chatouilles et les gémissements lorsqu’Anna retire l’engin juste au moment où Vanessa allait jouir le tableau est plaisant. Ensuite elle la positionne à genou les mains sur la tête tenant un petit plateau pour déposer un pot de fleur. La position n’est pas difficile à tenir, il y a juste le vibro inséré dans ses entrailles qui empêche Vanessa de rester totalement immobile. Enfin elle teste le canapé et Vanessa à quatre pattes lui sert de repose pieds. Monique et madeleine rient des efforts d’Anna pour se montrer une bonne dominatrice elles lui disent qu’il y a encore du taf et qu’elle est trop gentille avec sa copine. Pour le repas du soir Vanessa sert sa nouvelle maitresse en y mettant de la conviction pour être à la hauteur des deux autres jouets. Enfin pour la nuit Anna peut disposer de la chambre d’ami en emmenant Vanessa avec elle. Tôt le matin Monique et madeleine entrouvrent la porte de la chambre d’ami et voient qu’Anna et Vanessa sont pelotonnées l’une contre l’autre sans aucune attache pour Vanessa. Lorsqu’Anna et Vanessa arrivent dans la cuisine pour le petit déjeuner l’accueil est convivial et Vanessa s’acquitte de sa tache de jouer avec servilité. Mais lorsque le petit déjeuner est terminé Monique et madeleine décide qu’Anna n’a pas été à la hauteur et qu’elle est trop douce avec Vanessa. Elles décident donc d’inverser les rôles. Anna est déçue mais effectivement la domination n’est pas son fort. Elle se dit que Vanessa va faire comme elle et n’est pas trop gênée. Vanessa qui ronge son frein depuis plusieurs jours n’a qu’une envie c’est de montrer à tous qu’elle peut être particulièrement efficace dans ce rôle. Elle essaye de cacher sa joie mais décide de surprendre tout le monde en se montrant particulièrement dure. Elle commence par ligoter Anna comme un saucisson de la tête aux pieds. Anna est couchée par terre et ne peut pas bouger du tout si ce n’est en rampant come un ver de terre. Vanessa la tire par les pieds pour que son corps soit parallèle au canapé. Puis Vanessa prend le martinet et ordonne à Anna de lui lécher les pieds. Anna hésite mais un coup de martinet la décide et elle se tortille pour arriver au niveau des pieds de Vanessa. Celle-ci lui ordonne d’y mettre plus de cœur et lui donne un coup de martinet. Anna fait ce qu’elle peut mais un autre coup la surprend. En larmes elle atteint enfin le pied de Vanessa avec sa langue et commence doucement à la lécher. Tu vas y mettre plus d’ardeur dit Vanessa en lui donnant un autre coup de martinet. Anna lèche avec frénésie. Elle ne veut plus recevoir de coup et y met toute son énergie. Les coups s’arrêtent. Puis quelques minutes plus tard Anna épuisée ralentie et aussitôt un coup de martinet la surprend. Je ne t’ai pas dit de ralentir petite chienne dit Vanessa avec colère. Anna replonge sa langue avec frénésie. Cela dure encore dix minutes et Anna est épuisée. Vanessa la repousse enfin durement avec les pieds et lui dit de rester là en silence sans bouger. Vanessa voit qu’une des croix de saint André est libre et décide d’y mettre Anna. Elle ordonne aux deux jouets de l’y mettre en serrant bien les liens et en mettant le bâillon boule. Quelques minutes plus tard Anna toujours en larmes est solidement attachée à la croix. Vanessa va chercher son sac à main et sort un kit de piercing qu’elle s’était acheté dans la semaine après avoir vu le corps orné de Magalie. Elle voulait l’utiliser sur elle mais l’occasion de s‘entrainer sur un autre corps lui est offerte. Anna qui a une cagoule sur la tête ne voit pas arriver Vanessa mais sent l’odeur de l’antiseptique. Elle sent qu’on lui triture un mamelon qui s’érige malgré elle. Le mamelon est pris par une espèce de pince. Soudain une douleur incroyable la tétanise. Vanessa vient de lui enfiler une aiguille en travers le téton à vif. Elle hurle dans le bâillon mais seul un gémissement étouffé est entendu. Puis elle sent que l’aiguille est remplacée par autre chose. Elle n’a qu’une crainte c’est que le deuxième sein y passe. Ce qui arrive quelques secondes plus tard. De nouveau la douleur est insupportable et elle crie autant qu’elle peut en vain. La douleur est lancinante. Elle avait bien pensé à se faire percer les seins mais pas dans ces conditions. Alors qu’elle reprend son souffle elle sent une main lui tâter le sexe. Elle s’affole car elle a les plus grandes craintes. Ses craintes sont justifiées car bientôt son clitoris est pris dans la pince. La douleur est encore plus grande que pour les seins. Bientôt Vanessa la laisse enfin tranquille. Elle pleure et la douleur est intense. Madeleine propose à Vanessa de faire boire un verre avec un sédatif pour la douleur. Elle ne précise pas qu’elle a mis de sa potion réservée aux femmes dedans. Anna boit avec circonspection le verre que Vanessa lui met dans la bouche. Après quelques minutes l’effet se fait sentir et Anna ressent moins la douleur. En revanche elle a envie de baiser ce qui la surprend. Vanessa voit qu’Anna va mieux. Elle la décroche de la croix de saint André et lui laissant toujours la cagoule elle la fait s’agenouiller face à elle assise dans le canapé. Un coup de martinet cingle les fesses d’Anna. Elle est surprise et tente sa chance en plongeant la tête vers l’endroit où elle suppose être l’entrecuisse de Vanessa. Celle-ci lui dit. Tu as bien compris ton unique but dans la vie est de me faire plaisir. Alors mets du tien petite chienne. Anna broute avec vigueur le sexe de Vanessa qui ronronne sous la caresse. Anna poursuit son œuvre pendant un temps qui lui semble infini. Vanessa somnole sur le canapé mais ne dispense pas Anna de lécher. Elle se réveille complétement lorsque madeleine annonce qu’il va être l’heure de l’apéritif et ordonne aux deux jouets d’aller le préparer. Vanessa fait stopper Anna et la détache complétement en lui enlevant la cagoule et le bâillon. Elle lui dit de se mettre face à elle en bombant la poitrine et en mettant ses mains derrière le dos. Anna hébétée s’exécute et peut voir l’air satisfait de Vanessa. Celle-ci la fixera pendant tout l’apéritif qu’Anna pourra juste regarder. Le repas se passe dans la cuisine mais Anna n’est pas conviée elle doit rester dans la position que lui a indiqué Vanessa. Après le repas Vanessa indique qu’elle veut faire une sieste et emmène Anna avec elle dans la chambre. La alors qu’Anna croyait que Vanessa allait relâcher la pression celle-ci lui met les menottes dans le dos et un bâillon boule. Anna est surprise et veut le faire savoir en gémissant dans son bâillon mais Vanessa lui assène deux coups de martinet en lui disant que désormais elle resterait son esclave pour toujours. Anna est sidérée et s’allonge au pied du lit sans rechigner quand Vanessa lui ordonne. Vanessa se couche et réfléchit à sa relation avec sa meilleure copine Anna. Elle n’a jamais autant jouit d’avoir tant de prise sur sa copine qui lui obéit au doigt et à l’œil. Anna de son côté se demande ce qui lui arrive. Elle est outrée d’être ainsi malmenée par sa meilleure opine, surtout l’épisode du piercing qui lui laisse une douleur diffuse lancinante mais en même temps elle aime être traitée comme cela. Elle sent une profonde chaleur dans tout son être et se demande si cela vient de la potion de madeleine ou de ce que lui fait subir Vanessa. Vanessa se sent forte et puissante. Elle a envie d’avoir plusieurs jouets mâles et femelles comme madeleine et Monique. Elle se voit dans une grand pièce réservée aux jouets exposées dans toutes les positions les plus humiliantes et suggestives possible. Ça l’excite au plus haut point et décide de continuer son rêve éveillé en chevauchant la bouche d’Anna qui s’applique à la faire jouir sans rechigner. Elle n’a pas les moyens dans son appartement actuel de créer une telle pièce mais si elle contraint Anna à vivre avec elle comme jouet elles pourront louer une plus grande maison avec la possibilité de faire une pièce d’exposition de jouets encore plus grande que celle de madeleine et Monique. Après un nième orgasme elle se relève et suivie de son nouveau jouet elle rejoint les deux femmes qui la félicitent pour son travail de dresseuse. Le reste du weekend se déroule à merveille pour Vanessa qui a gagné le respect des ainées et qui a gagner un jouet en prime. Elles quittent ensemble les deux ainées et au moment où Anna veut récupérer sa voiture, Vanessa la plaque contre la portière de la voiture et lui dit n’oublie pas que tu es mon jouet maintenant. Retourne-toi et enlève ta veste. Étonnée Anna se retourne enlève sa veste. Vanessa lui menotte les mains dans le dos, repose la veste sur les épaules d’Anna et la referme. Tu vas passer la nuit chez moi j’ai des grands projets pour nous. Anna ne veut pas faire d’esclandre et suit malgré elle Vanessa jusqu’à la voiture de cette dernière. Vanessa la force entrer dans le coffre et démarre la voiture. Anna dans le noir du coffre hésite entre la gêne et l’euphorie. Elle a kiffé être à la merci de sa copine qu’elle ne connaissait pas si perverse. Poursuivre un peu le jeu ne lui déplaît pas. Arrivées chez Vanessa celle-ci fait sortir Anna du coffre et l’emmène jusque dans son appartement ou dès l’entrée elle déshabille entièrement Anna. Tu seras mieux comme ça lui dit-elle. Il faut qu’on voie tes beaux piercings. Malgré elle Anna redresse les épaules pour mieux montrer ses seins ornés de deux magnifiques anneaux en or que madeleine à prêter à Vanessa. Vanessa lui laisse les mains attachées et elles passent la fin de la soirée dans le salon l’une assise sur le canapé et l’autre à genou face à elle occupée à la lécher. En fin de soirée Vanessa lui dit il faut qu’on habite ensemble. Comme ça je pourrais mieux profiter de toi. Anna ne sait pas quoi penser. Elle aime la situation présente mais elle n ne sait pas si elle veut aller plus loin. Elle se donne le temps de la réflexion et passe la nuit au pied du lit de Vanessa. Le lendemain très tôt les filles se lèvent. Il faut aller récupérer la voiture d’Anna et se préparer pour aller à leur travail respectif. Anna promet à Vanessa de revenir chez elle après le travail. Vanessa et Anna ont pris leurs marques. Chaque soir Anna passe rapidement chez elle pour le courrier et prendre des habits pour le lendemain et ensuite se rend chez Vanessa ou elles passent une soirée torride entre elles. Anna se laisse conduire par Vanessa qui assoit de plus en plus son emprise. Un soir Vanessa lui dit qu’elle a trouvé la maison idéale pour qu’elles habitent ensemble. Docile Anna libère son propre appartement comme Vanessa et trois mois plus tard elles emménagent dans la belle maison choisit par Vanessa. Anna n’a pas droit à une chambre. Le futon au pied du lit de Vanessa est suffisant et elle a droit à une minuscule partie du dressing de Vanessa pour ses propres vêtements. Sur les ordres de Vanessa elle ne porte plus de sous-vêtements et ne dispose que de quelques tenues très sexy qui attirent autant le regard des hommes que des femmes. Anna se sent désirée et sait que ça fait plaisir à sa maitresse. La plus grande pièce de la maison est transformée en toys room. Anna n’a pas le droit d’entrer dans cette pièce tant que Vanessa n’a pas fini de la réaliser. Anna se doute qu’il doit s’agir d’une pièce réservée à des jeux sexuels dont elle sera la victime. Elle est excitée par avance et a hâte de découvrir la pièce. Enfin la pièce est terminée Vanessa met un bandeau sur les yeux d’Anna et la fait pénétrer dans la pièce. Anna est désappointée car elle ne peut rien voir. Le sol est en parquet mais après quelques pas elle marche sur un tapis épais. Vanessa la retourne et la fait reculer. Son dos heurte une poutre en bois. Elle est adossée à une croix de saint André. Vanessa la ligote sur la croix et Anna doit passer la nuit-là sans rien n’avoir vu de la pièce. Le lendemain matin Vanessa la détache et la sort de la pièce avant de lui enlever le bandeau. Quelques semaines plus tard Vanessa dit à Anna : Ce soir je reçois du monde. Je compte sur toi pour bien te tenir. Anna est inquiète. Se balader nue et obéir à tous les ordres de Vanessa quand elles sont deux est très excitant mais elle n’a pas envie de s’exhiber devant des inconnus. Elle fait une grimace et Vanessa lui dit rasure toi ça se passera bien ce sont deux de mes copines. Anna n’est pas rassurée pour autant. Vanessa voit son visage chiffonné et lui dit de toute façon je ne te demande pas ton avis tu feras ce que je t’ordonne et c’est tout ce que tu dois penser. D’ailleurs on va répéter ta prestation. Le soir Sidonie et martine deux copines de Vanessa mais aussi d’Anna sonnent à la porte de la maison. Vanessa les accueille chaleureusement. Elle leur propose de prendre l’apéritif ensemble avant de visiter la maison. Les deux filles suivent Vanessa dans le salon. Anna n’est pas là demande martine. Si répond Vanessa elle prend la pose pour la première photo. Martine qui est photographe professionnelle a, sur la demande de Vanessa, emmené son appareil photo. Elle dit : Mais on ne va pas la laisser tenir une pose pendant qu’on prend l’apéritif. Pas de problème la position n’est pas fatigante tu verras dans quelques minutes. Martine attend, impatiente de voir dans quelle pose sera Anna pour la première photo. Les trois filles prennent un verre en devisant sur leurs conquêtes respectives et Vanessa leur dit qu’elle aimerait bien se trouver un garçon pour elles seule. Finalement Vanessa leur propose d’aller voir Anna pour faire la première photo. Elle leur dit que c’est une photo un peu particulière et qu’elles vont être surprises. Martine et Sidonie sont impatientes de voir ça. Vanessa au moment d’ouvrir la porte de la toys room leur explique que c’est une pièce destinée aux jeux entre Anna et elle mais qu’elle est ouverte à d’autres volontaires. Puis elle ouvre la porte et les filles pénètrent dans une pièce entièrement dédiée au bondage. Là elles n’ont pas le temps de voir tous les accessoires car face à elles, Anna est exposée ligotée sur une croix de saint André. Elle est nue juste ornée de bijoux sur les seins et avec un bandeau sur les yeux et un bâillon boule qui la fait un peu baver sur son corps. Vanessa leur dit. Au fait je ne vous l’ai pas dit mais Anna est ma propriété désormais. N’est-ce pas Anna. Celle-ci hoche la tête. Les filles sont abasourdies. Elles s’approchent d’Anna et contemplent le corps magnifique de celle-ci. Elles ont presque envie de toucher la peau appétissante sur laquelle perle un peu de sueur. Voilà dit Vanessa je voudrais mettre quelques photos d’Anna sur les murs de cette pièce. J’aimerais qu’elles soient grandeur nature. Ça donnera de la chaleur à la pièce. Tu te sens capable dit-elle à martine qui est toujours estomaquée. La professionnelle reprend le dessus et martine répond qu’elle peut faire de belles photos. Elle se propose d’aller chercher le trépied et quelques accessoires de prise de vue dans la voiture. Pendant qu’elle est partie Sidonie demande à Vanessa comment elle a pris possession d’Anna. Celle-ci lui raconte leur expérience chez madeleine et Monique en omettant la tentative d’enlèvement avortée et lui dit que c’est venu naturellement entre elle et Anna. Sidonie lui dit moi je n’aimerai pas être un jouet ou une esclave de quelqu’un. Tu n’as jamais essayé lui répond Vanessa tu es peut être une dominatrice qui s’ignore ou une esclave qui n’a pas trouvé son maitre. Sidonie reste songeuse. De quel côté aimerait elle se retrouver. Elle n’a pas de réponse mais trouve la position d’Anna très excitante. Martine revient. Elle installe son appareil et prend plusieurs photos d’Anna. Vanessa décide de faire une autre pose. Elle décroche Anna de la croix et la mets à genoux sur une table basse avec les bras tendus en hauteur accrochés par une chainette à un anneau fixé au plafond. Martine prend des photos avec ou sans bâillon. Puis la position suivante est à genou les mains derrière la tête et les épaules arquées pour faire ressortir la magnifique poitrine d’Anna. Les genoux sont bien écartés pour laisser apparaitre l’anneau d’or qui travers le clitoris d’Anna. Sidonie aide Vanessa à positionner et ligoter Anna. Elle frôle plus que besoin la peau d’Anna et ressent une profonde excitation. Enfin après plusieurs positions Vanessa décide de faire une photo de couple avec elle assise nue sur le canapé les jambes écartées et Anna à genou face à elle le visage plongé dans l’entrejambe. Martine essaye de rester pro mais ressent un profond trouble en voyant la scène. Sidonie qui continue à aider plus que de besoin Vanessa fini par dire qu’elle aimerait bien être à la place de celle-ci. Vanessa lui propose alors de la remplacer et de faire quelques photos avec elle. Sidonie hésite et Vanessa lui dit que ce genre d’occasion ne se présente pas tous les jours. Sidonie finit par craquer et se déshabille en un tournemain. Elle est bien foutue et Vanessa se dit qu’elle l’ajouterait bien à sa collection. Sidonie prend la place et les lèvres d’Anna touchent son sexe humide. Aller Anna fait ton boulot ordonne Vanessa. Après quelques secondes d’hésitation Anna commence à lécher Sidonie qui grimpe rapidement aux rideaux. Martine est en sueur et son regard est fixé sur la scène qui se déroule devant elle. C’était la dernière prise. Sidonie se relève à contre cœur et Anna reste dans sa position attendant le prochain ordre de Vanessa. Celle-ci fait signe à martine de prendre la place encore chaude de Sidonie. Martine dit non mais Sidonie lui dit tu devrais en profiter c’est magique. Vanessa l’encourage de la main et finalement martine craque aussi et se retrouve assise sur le canapé en se disant qu’elle faisait ça pour ne pas avoir l’air bloquée devant ses copines. La bouche et la langue d’Anna sont démoniaques et elle en profite merveilleusement. Finalement ça valait le coup. Vanessa sonne la fin du jeu et propose aux filles de passer à table. Celles-ci sortent à regret de la pièce et se dirigeait vers la salle à manger tandis que Vanessa détache Anna et l’embrasse pour son comportement magnifique. Elle rejoint les convives et elles passent à table. Quelques minutes plus tard Anna habillée en soubrette vient les servir. Sa tenue ne cache rien elle a un minuscule tablier sur le nombril et un soutien-gorge qui ne fait que souligner le bas de ses seins qu’il expose aux regards. Des talons aiguilles interminables lui font des mollets galbés magnifiques et un petit collier en tissus autour du coup et un bâillon boule complètent la tenue. Anna aime le regard envieux des deux filles qui sont surement jalouses d’elle et de Vanessa. Elle fait le service en silence et accepte avec joie les caresses que Vanessa lui donne chaque fois qu’elle la frôle. La soirée est presque plus normale et les filles prennent un dernier verre dans le salon ou Anna se tient à genou aux pieds de Vanessa. Lorsqu’elles repartent les deux filles sont déçues de quitter le couple qui les a fortement marquées. En leur for intérieur elles se demandent si elles n’aimeraient pas être à la place de l’une des deux hôtesses même si en discutant elles affirment ne pas être intéressées. A suivre.
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Par : le 30/12/21
Madeleine : Chapitre 5 : La trahison de Vanessa. Comme prévu les deux jeunes femmes ont quitté la maison le dimanche en promettant de revenir le weekend suivant. Monique et madeleine décident de profiter du temps qu’elles ont avant le retour des jeunettes pour penser à ce qu’elles pourraient inventer comme scénarii pour le weekend à venir. En consultant les sites spécialisés elles font quelques achats idoines. De son côté Anna est encore sous le choc de ce weekend incroyable. En fait elle n’avait jamais fait un dixième de ce qu’elle avait prétendu et découvert beaucoup de choses lors de ce weekend. Depuis elle fantasme chaque instant s’imaginant à la place de Magalie subissant les outrages les plus pervers de la part de nombreux personnages plus lubriques les uns que les autres. Elle se réveille à chaque fois en sueur et excitée comme jamais. Finalement elle a hâte d’être au weekend pour vivre ses fantasmes. Invariablement dans ses rêves elle est ornée de bijoux encore plus beaux et voyants que ceux de petgirl. Peut-être devrait-elle songer à visiter un atelier de piercing. Vanessa pour sa part garde un souvenir plus mitigé du weekend passé. Elle n’avait qu’une vague idée de ce qu’elle prétendait et a été extrêmement surprise de ce qui lui est arrivé. Elle garde une dent contre les deux ainées à qui elle voudrait rendre la monnaie de leur pièce. Elle y réfléchit mais n ne sait pas comment s’y prendre. Si seulement elle pouvait leur piquer un des jouets. Elle en parle avec un de ses ex avec qui elle a gardé de bonnes relations. Il se voit déjà faisant une partie à trois avec la captive que lui décrit Vanessa. Il se propose avec un de ces potes un peu louche d’aider Vanessa en surprenant les deux propriétaires actuelles de la captive. Les garçons proposent d’accompagner Vanessa puis de maitriser les deux femmes et d’embarquer la captive directement et de repartir. Les femmes n’oseront pas prévenir la police car elles sont déjà grandement hors la loi. Vanessa est d’accord. Elle se présentera au rendez-vous le vendredi et ses deux complices surgiront lorsque la porte s’ouvrira. Le weekend arrive vite. Anna contacte Vanessa pour lui demander si elles se rendront ensemble chez Madeline et Monique. Vanessa hésite et lui dit qu’elle n’est pas sure d’y aller. Tant pis pour la parole donnée. Anna est déçue mais ne lui fait aucun reproche. Elle a vraiment envie d’y aller au-delà du pari et de la parole donnée. Elle est persuadée qu’elle va encore découvrir des jouissances inconnues jusque-là. Le vendredi soir Anna se présente seule au domicile de Madeline et Monique. Celles-ci l’accueillent avec enthousiasme et la félicitent de tenir sa parole. Anna est emmenée dans la pièce des jouets. Là elle voit une panière dans laquelle elle doit mettre tous ses vêtements et à coté un collier en cuir qu’elle devra mettre autour de son cou. Puis attendre les ordres. Vanessa commence à se déshabiller lorsque la sonnette retentit. Ça doit être Vanessa qui remplit sa part du deal. Monique va ouvrir. Effectivement c’est Vanessa. Au moment où celle-ci entre, deux hommes qui s’étaient dissimulés surgissent et sautent sur Monique qui n’a pas le temps de crier. Une main est posée sur sa bouche et son bras est tordu en arrière. Elle voit que Vanessa est complice car celle-ci dirige les hommes vers la pièce des jouets. Madeleine est aussi surprise que Monique et ne peut pas résister à l’homme qui lui saute dessus. Anna n’ose pas bouger. Vanessa montre Magalie et dit aux hommes c’est elle qu’on embarque. Elle se tourne vers Monique et madeleine et dit c’est en dédommagement de ce que vous m’avez fait subir. Magalie et Kevin qui sont aveuglés par leurs cagoules sont impuissants. Vanessa approche de Magalie et les deux hommes regardent la captive avec des yeux exorbités. Elle est vraiment canon et ses bijoux intimes soulignent ses formes voluptueuses. Les hommes sont déjà en train d’imaginer ce qu’ils vont pouvoir faire avec ce bibelot royal. Madeleine et Monique profitent de la négligence des hommes pour se concerter et sortent subrepticement leurs seringues qui ne les quittent jamais. Ensemble elles chacune piquent la cuisse de l’homme qui la maitrise. Les hommes sursautent à la piqure. Ils veulent tabasser les deux femmes pendant que Vanessa commence à détacher Magalie. Monique et madeleine parent les coups comme elles peuvent. Heureusement, au bout de quelques secondes les coups ralentissent et cessent alors que les deux hommes s’effondrent. Monique et madeleine se relèvent et ensemble, poussées par la colère, elles sautent sur Vanessa qui est surprise de voir ses deux complices effondrés. Elle se défend comme une tigresse mais est tout de même maitrisée par les deux femmes. Bientôt elle est menottée, bâillonnée et jetée dans un coin de la pièce. Effarée elle voit les deux femmes détacher Magalie et Kevin et installer les deux hommes à leurs places. Puis les femmes refont tune piqure aux hommes qui peut à peu sortent de leur léthargie. Ils ruent comme ils peuvent mais les liens sont solides et le bâillon qui leur a été mis les empêche de crier. Madeleine et Monique reprennent leur souffle assises sur le canapé. Elles invitent Anna à rentrer chez elle en lui disant que sa peine est levée pour ce weekend. Anna disparue les deux femmes se demandent ce qu’elles vont faire. Elles ne peuvent pas appeler la police et si elles relâchent les deux hommes ceux-ci seront des dangers permanents pour elle. Sauf si on a un dossier contre eux dit madeleine. Monique lui demande quel dossier. Madeleine lui répond des images et des films ou ils sont en positons peu glorieuses qu’on pourrait jeter sur le net. Monique comprend enfin. C’est sûr que si on poste des photos ou ils se font enculer ils perdront toute crédibilité dans leur entourage. Les hommes qui ont compris n’ont pas l’intention de se laisser faire. Ils ne peuvent pas empêcher les deux femmes de les déshabiller intégralement. Utilisant le protocole déjà bien rodé avec Kevin elles détachent le premier qui se retrouve à genou les mains menottées dans le dos. Elles lui installent un collier anti aboiement et lui ôtent le bâillon. Il jure et crie quelques secondes avant que les décharges successives le laissent quasiment ko et silencieux. Elles remplacent le bâillon par un écarteur de mâchoires. Elles détachent Kevin et le font assoir sur le canapé. Puis elles fouettent l’homme pour qu’il se rapproche de la bite de Kevin. Il faut une trentaine de coups pour qu’il craque. Prenant son visage à deux mains madeleine lui enfourne la bite de Kevin entre les lèvres. Kevin qui bandait sans retenu et qui est toujours aveugle apprécie qu’on le suce et fait des va et vient pour se branler dans la bouche de ‘homme. Au moment où il va tout lâcher madeleine lui retire la bite de la bouche de l’homme et le puissant jet de sperme arrose la face de l’homme qui enrage. C’est le tour du deuxième qui n’a pas perdu une miette de ce que vient de subir son pote. Il résiste à peu près autant et finalement a droit aussi à une belle giclée de sperme de Kevin. Les deux hommes sont rattachés et madeleine leur fait boire un verre d’eau dans lequel elle a mis une dose massive de cocktail stimulant. Les deux hommes ont rapidement le sexe en érection. Elles reprennent le premier et le remettent dans la même disposition. Puis elles détachent le deuxième et à coup de martinet comme auparavant elles l’amènent face au cul de son pote. Il est mis à genou et il est guidé et pénètre le cul. Malgré lui, la puissante envie de baiser lui fait faire des mouvements d’avant en arrière pendant que son pote toujours en érection est maintenu par une femme et rue en vain. La jouissance finit par arriver au grand dam des deux hommes. Les femmes inversent les rôles et bientôt le deuxième se déverse dans le premier. Quelques minutes après les deux hommes sont de nouveau en érection. Monique et madeleine s’équipent avec des godes ceintures et sodomisent gaillardement les deux victimes. L’heure qui suit est consacrée à d’autres humiliations des hommes. Enfin madeleine leur annonce qu’elle a transmis les films à plusieurs amies qui ont pour consigne, si quelque chose arrive aux deux femmes, de les semer sur les sites pornos de la toile et promet qu’elles feront en sorte que leurs connaissances soient avisés des jolis films dans lesquels ils tiennent la vedette. Les hommes sont atterrés. Vanessa est recroquevillée dans son coin. Elle est sure de passer un sale quart d’heure. Monique et madeleine proposent aux hommes de les libérer et de les laisser partir si elles n’entendent plus jamais parler d’eux. Ceux-ci sont d’accord d’autant plus que Monique les a mis en joue avec un fusil de chasse. Une fois détachés les hommes se rhabillent rapidement et quittent la maison sans un regard pour Vanessa. Monique et madeleine se retournent vers elle. On a gagné un nouveau jouet je crois dit Monique. Ça tombe bien dit madeleine j’ai un bon ami qui m’a passé commande pour un jouet bien dressé. Vanessa est livide. Et ce n’est que le début pour elle. Monique et madeleine laissent Vanessa ligotée par terre. Elles sont épuisées de leurs aventures et ont quelques bleus et courbatures qui leur rappellent le combat avec les deux malfrats. Elles se servent un verre car le temps a filé. Puis elles détachent en partie Magalie et Kevin pour qu’ils aillent faire le repas pour tout le monde. Une demi-heure après Monique et madeleine mangent un plateau repas pendant que les deux jouets mangent dans leur gamelle par terre. Vanessa git toujours dans son coin. Madeleine s’adresse à elle. Avec ce qu’ont subis tes copains tu vas passer un sale quart d’heure quand ils vont te retrouver. Vanessa blêmit. Ses copains ne sont pas des anges madeleine continue. On va te garder ici le temps qu’ils t’oublient et le temps que tu payes ta dette. Il est hors de question que tu retournes au travail lundi. Vanessa baisse la tête elle ne s’attendait pas à mieux. Tu vas apprendre à devenir un bon petit jouet. Pour commencer tu vas apprendre à te servir de ta langue pour nous faire plaisir. Madeleine s’approche de Vanessa et change ses liens. Vanessa se retrouve à genou face au canapé les mains liées dans le dos et une cagoule aveuglante sur la tête. Voilà. Tu vas attendre ici et des que quelqu’un te touchera la tête tu te mettras au boulot immédiatement sans une seconde de délai. Sinon c’est le martinet. Tu verras avec lui on progresse vite. Joignant le geste à la parole madeleine touche la tête de Vanessa qui hésite car elle ne voit rien et ne sait pas comment faire. Un bon coup de martinet lui cingle les fesses. Elle avance la tête tout doucement. Un deuxième coup un peu plus appuyé. Elle ne peut s’empêcher de pousser un cri et cherche plus avec sa tête. Enfin elle touche une cuisse. Un coup de martinet encore plus fort la fait sursauter et elle plonge sa tête en avant vers ce qui semble être sa cible. Elle butte contre une bite en érection. Elle a un mouvement de recul car elle s’attendait à un sexe féminin. Un coup de martinet et elle se jette sur la bite en l’enfournant prestement. Voilà ! Tu ne comprends pas vite mais je pense que tu vas faire des progrès. Vanessa s’applique à sucer et bientôt un puissant jet de sperme lui envahit la bouche. Elle avale autant qu’elle peut et ne cesse pas de sucer pour autant. On lui repousse la tête et la bite sort de sa bouche. Elle hésite et attend tous le sens en éveil le coup de martinet ou la tape sur la tête pour lui indiquer de recommencer. C’est la tape sur la tête. Immédiatement elle plonge la tête en avant et en moins de deux secondes elle trouve un sexe et le lèche consciencieusement. Ce coup-ci elle n’a pas de coup de fouet. La soirée se passe ainsi. Elle est en attente et plusieurs fois elle est mise à contribution. Elle prend ses marques et maintenant elle tombe quasiment juste sur le sexe dès qu’on effleure sa tête. Bien ! Reprend madeleine. Tu vas passer la nuit à ta place. Les ordres ne changent pas si on te touche la tête tu réagis immédiatement sinon… Vanessa sent la caresse des brins du martinet sur ses fesses t comprend bien l’allusion. Elle passera une nuit difficile à cause de la position et les sens aux aguets du moindre bruit. Au milieu de la nuit alors qu’elle somnole elle entend des pas légers près d’elle. Elle se préparer et au moment où on lui touche la tête elle plonge droit devant et butte sur un sexe féminin qu’elle lèche immédiatement. Elle ne saura pas qui elle a léché. Le lendemain elle est amenée à la douche par Kevin et Magalie sous la vigilance des deux femmes. Elle a droit à une gamelle pour le petit déjeuner qu’elle avale consciencieusement. Puis elle retrouve sa position à genou dans la salle des jouets. La journée est très longue et elle n’est mise à contribution que trois ou quatre fois. Elle décide de faire avec diligence tout ce qu’on lui demandera pour qu’elle soit un peu mieux traitée comme le sont les deux jouets maintenant. Au bout d’une semaine sa bonne conduite commence à payer et elle n’est plus constamment anchée avec la cagoule. Elle porte en permanence un collier anti aboiement et goutte plusieurs fois à la croix de saint André. Le vendredi soir Anna se présente comme promis pour respecter son pari perdu avec madeleine. Elle est surprise en arrivant dans la salle des jouets de voir une jeune femme à genou devant le canapé avec une cagoule sur la tête et semblant attendre quelque chose. Monique lui demande par gestes de se déshabiller entièrement et de s’assoir sur le canapé en face de la jeune femme. Au moment où elle s’assoit elle voit que la jeune femme se tend. Ça l’étonne mais lorsque Monique touche légèrement la tête de la jeune femme celle-ci se jette immédiatement en avant et écartant avec vigueur les cuisses d’Anna elle commence à la brouter avec conviction. Bien Vanessa tu a du reflexe maintenant on va pouvoir faire quelque chose de toi. Anna est sidérée. C’est sa copine Vanessa qui la broute avec acharnement. Qu’en penses-tu Anna elle a du talent non ? demande Monique à haute voix. Vanessa s’arrête de lécher sous l’effet de la surprise. Un coup de martinet et elle reprend son travail complétement désespérée de se comporter en esclave devant sa meilleure copine. Anna déglutit et dit : effectivement elle est douée pour ça. Si elle ne va pas assez vite n’hésites pas à utiliser le martinet elle comprend bien avec ça. Dit Monique. Anna est sidérée mais peu à peu la langue agile et les lèvres douces de Vanessa la propulsent vers un orgasme inattendu. Ce weekend Vanessa sera ton jouet. Il faudra que tu en uses et abuses sinon on inversera les rôles. A suivre.
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Par : le 27/12/21
La Checklist BDSM est un outil d’expression pour connaître les possibilités du dominé Accessoire indispensable au Maitre ou à la Domina, la Checklist BDSM est un outil de travail à mettre en place dans toutes relations sexuelles SM et BDSM. Elle permet de se connaître mutuellement et de jouer en respectant les envies, les désirs et les limites de chacun. Chaque protagoniste a des fantasmes et des possibilités qui lui sont propres. Il a également des devoirs et obligations afin que la relation D/s soit aussi enivrante qu’enrichissante. Plus qu’une lecture coquine, cette check list est le recueil des envies et possibilités de l’esclave. C’est le seul moyen connu pour laisser libre expression à la soumise ou au soumis en ce qui concerne ses goûts et dégoûts pour toutes les activités sexuelles qui peuvent entrer dans une relation Dominant /soumis. Aussi indispensable que le contrat BDSM, cette liste non exhaustive est mise en place simultannément au modèle de contrat BDSM afin d’asseoir toutes les pratiques pouvant être effectuées avec la personne dominée. En cas de pluralité d’esclave, chacun a la sienne qui lui reste propre. La future partenaire s‘oblige à remplir le plus honnêtement possible chacune des colonnes en gardant l’esprit libre de ses réponses. Le Maitre n’est pas autorisé à juger, il prend simplement note des indications pour concrétiser les jeux érotiques en fonction de celles-ci. Parfaite pour mettre à nu les sentiments profonds vis-à-vis de certaines pratiques SM et sexuelles, le partenaire répond au questionnaire avec franchise et rigueur en ayant pleine conscience de ce qui lui est demandé. Checklist BDSM, un accessoire intime évolutif et ludique Essentielle, la Checklist BDSM reste un pilier majeur de la relation erotique liant la Maitresse et son esclave. Souvent, le Dominant remplit lui aussi le même document pour dévoiler ses envies et attentes, mais certaines soumises attestent que cela enlève parfois un peu de piment et de mystère à la relation. Associée à un univers sexuel empli de confiance, elle n’a de reste d’être en constante évolution avec l’âge, les mœurs et la pratique. Bien entendu, une fois remplie, la checklist BDSM ne doit pas être prise comme une liste de pratiques à faire immédiatement, les unes après les autres. Elle ponctue plutôt le chemin de l'évolution de la personne dominée. Une soumise peut toujours, avec l’accord de son Dom, ajouter ou exclure des agissements contenus dans la liste initialement mise en place. Celle-ci n'est jamais figée ou statique mais évolutive pour le plaisir des partenaires. La Checklist BDSM doit être mise à l’étude pendant des moments de repos où l’élève prend son temps pour répondre et analyser. Une fois terminée, elle est relue autant que nécessaire pour s’assurer de ses choix et apporter les corrections voulues. Une fois dans les mains du Dominant, elle lui ouvre cérébralement toutes les portes du désir pour mettre en place lors de séances ou de jeux extrêmes propices à la satisfaction de la soumise. La Checklist BDSM est le lien direct entre la soumise et son Maitre La Checklist BDSM se doit d’être simple et compréhensible de tous. Si un doute survient, le soumis doit demander conseil à sa Maitresse. La check est bien entendu rédigée dans la langue de l’esclave. Elle est le lien direct entre les participants et sa présence rassure afin que les pratiques choisies par le Dom soient en adéquation avec le plaisir du dominé. Un document unique et personnel qui vous suit dans toute votre sexualité BDSM. Une façon de se dévoiler qui à prendre au sérieux et qu’il faut éditer avec attention. Le Maître et la Maîtresse sont guidés par cette liste dans toute approche, démarche et choix BDSM. Pour vous aider dans votre démarche notre magasin, vous propose une checklist BDSM et son mode d'emploi. Il va de soi que chacun doit l'adapter en fonction du contexte. Pour un BDSM soft certains paragraphes sont à supprimer. Pour des jeux plus extrêmes, chaque ligne à son importance. L'usage et toute utilisation de cette checklist BDSM gratuite ne saurait en aucun cas relever de la responsabilité du sexshop ilxelle. Elle s'adresse à des personnes majeures, responsables et consentantes qui peuvent l'utiliser en usage privé. Checklist BDSM mode d’emploi Pour remplir votre check-list, notre sexshop BDSM vous conseille d’apporter les annotations nécessaires à chaque colonne. 1. Dans la première colonne, se trouve la mention "Essayé". Vous annotez : • O comme Oui si vous avez déjà essayé • N comme Non si vous n’avez jamais essayé • SO comme Sans Objet si vous estimez ne pas être concerné. 2. La seconde colonne de la Checklist BDSM est une ressource pour connaître votre degré d’envie. Une notation de 0 à 5 permet à votre Maitre ou Domina de vous situer dans votre désir. Vous annotez : • 0 - vous n’en avez pas envie • 1 - la pratique vous indiffère • 2 – vous avez une envie faible • 3 – vous aimez • 4- vous aimez beaucoup • 5 – vous ne pouvez vous en passer 3. La troisième colonne est un indicateur de difficultés. La graduation de 0 à 5 permet à la Maitresse ou au Maître de connaître votre réticence à effectuer une pratique sexuelle. Vous annotez pour cette colonne : • 0 – trop difficile. Impossibilité pour l’instant. A revoir ultérieurement avec plus de pratique ou jamais. • 1 – très difficile mais faisable avec progression, pas d’un seul coup • 2 – difficile mais réalisable • 3 – assez facile • 4 – facile • 5 – ne pose aucun problème Prévoyez un long moment de tranquilité avant de commencer et bonne analyse de vos désirs ! ;) Exemple de checlist BDSM Essayé Envie Difficulté Observations Abrasion de la peau Adoration de la chatte Adoration des bottes Adoration des mains Adoration des pieds Adoration des talons hauts Adoration du pénis Agacement sexuel ou teasing Anuslingus Asphyxie Attache bras dans le dos levés Attache debout bras écartés Attache debout bras levés Attache sur tréteau Baguette ou badine Bâillon Bâillon avec tape bondage Bâillon Ball Gag ou harnais Bâillon en tissus (linge ou sous vetement) Bandeau sur les yeux Barre d'écartement Bestialité Bondage avec barre Bondage avec cordes Bondage avec sangles Bondage difficile Bondage léger Bondage Shibari Bondage sur longue période Boule Quiès Brosse à cheveux Brûlure au fer rouge Cage Cage de chasteté Cagoule Camisole de force Canne rigide Canne souple Carcan stocks Ceinture de chasteté Chaîne Changement de nom Chatouilles Chiot humain Cire chaude Claques au visage Claques aux seins Collier en cercle privé Collier porté en public Contrôle orgasmique Correction douce Correction dure Corset Corvée domestique Cravache Crochet anal Dilatation Domestique ou bonniche Dormir attaché Échangisme Égratignures Electrosexe Emprisonnement Enfantilisme Épilation à la cire Épilation complète Épingle à linge Etirement des testicules ou ball stretching Étouffement Étranglement Examens medicaux Exercice physique forcé et obligé Exhibitionnisme Exhibitionnisme avec des amis Fantasme de viol Fantasme de viol par un groupe Féminisation forcée Fessée Fessée avec accessoires Fessée avec martinet Fessée sur les genoux Fétichisme Fisting Fouet à lanière Fouet de dressage Fouet single tail Fouettage de la chatte Fouettage des seins Fouetter le corps entier Fouetter le dos Fouetter le penis Fouetter le ventre Fouetter les cuisses Fouetter les fesses Fouetter les mollets Gifle Glaçon Gode ceinture Harems servitude avec d'autres soumises Harnais cuir Harnais d'orgasme forcé Harnais en corde Hommage avec la langue Homosexualité forcée Huiles érotiques Humiliation Humiliation en privé Humiliation en public Humiliation verbale Injection Interrogatoire Jeu de groupe Jeu de rôle Jeu d'urine Kidnapping Lavement anal Ligotage des seins Ligotage japonais Ligotage léger Ligotage par Sarah wrap Lutte Marquage au fer rouge Massage Masturbation avec les seins Masturbation forcée Menottes cuir Menottes en sangle Menottes métal Menottes pour pouces Mise au coin Mise aux enchères Model pour photo érotique Mors de cheval Morsure Nudité forcée Nudité partielle ou complète imposée Obéir aux ordres Orgie Pénétration double Pénétration triple Perçage temporaire Piercing Pilori Pinces à linge sur le corps Pinces aux seins Plug anal Poids pour seins Pose de cathéters Position à genou Privation de sommeil Privation sensorielle Privation sexuelle Prostitution fantaisiste ou réelle Rasage Restriction de parole Restriction des contacts visuels Rites d'initiations Scarification Scatophilie Scène de prison Scène extérieure Scène filmée Scène médicale Scène religieuse Se faire battre doucement Se faire battre durement Se faire battre par une canne Se faire choisir la nourriture Se faire choisir les vêtements Se faire donner à une autre personne dominante Se faire donner la morale Se faire imposer de la nourriture Se faire imposer des vêtements/sous-vêtements Se faire mordre Se faire servir sexuellement Se faire vendre à une autre personne dominante Sermon, leçon en cas de mauvaise conduite Servir comme mobilier, pièce d'art Servir comme toilette Servir comme un poney servir oralement Servitude forcée Servitude imposée Sexe anal Sexe génital Sexe par téléphone Spéculum Strapping Suspension Suspension bras attachés derrière Suspension en position debout Tatouage Tenue en laisse en cercle restreint Tenue en laisse en privé Tirer les cheveux Tirer ou tordre les parties génitales Tirer ou tordre les tétons Uniforme Vêtement de latex Vêtement de lycra Vêtement érotique Vêtements osés en cercle restreint Vêtements osés en privé Voyeurisme
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Par : le 26/12/21
Il dit alors "Il y'a eu un petit problème de position si je ne m'abuse" Il retira alors son pied puis saisit d'une poigne le collier sur le cou de celle quui gisait à ses pieds. D'un coup, il serra ses muscles saillants et releva l'avant bras, portant par cela la jeune femme quiu se trouvait devant lui. Il l'emmena alors sur le lit, serrant le cou d'une main et entourant son entrejambe de l'autre. Il remarquat alors l'abondante humidité se dégaeant de la partie basse. Il jeta alors la jeune fille sur le lit qui, toujours enchainer, ne put s'empecher de s'ecraser sur le matelas. Il s'approcha alors et il posa sa main sur le haut de ses fesses, il remonta alors le long de la colonne vertebrale, décrochant des tremblements qui firent chavirer aussi bien le coeur que le corps de la créature. Etait elle encore humaine ou n'était elle qu'un objet qu'elle avait elle meme offert à cet homme? Toujours est il qu'elle murmura à travers le baillon qui lui serrait la bouche: "baiser moi s'il vous plait". Il s'approcha, retira le baillon et dit: "Je n'ai pas bien compris" Génée, elle repeta "Pouvez vous me baiser, s'il vous plait" Il se mit alors à rire, accentuant la gène de la jeune femme avant de lancer un "Tu es directe toi". Il enleva alors sa braguette et se positiona legerement à l'arrière, posant sa main sur la croupe... Il saisit alors la croupe qui se positiona devant lui et se mit à la pénétrer comme jamais elle n'avait été penetrée. Elle mouillait tellement que chaque mouvement faisiat virer un jet de cyprine sur le matelat. D'un coup de main, il lanca depuis son téléphone la VIIe symphonie de Bethoven. Les premieres notes retentierent et soudain, elle s'appercu que les coups de reins se synchronisèrent avec la mélodie. Son plaisir montait malgré l'inconfort de la position. Soudain, tout s'arreta, il sorti et d'un coup applatit la paume de sa main sur les fesses qui rougirent d'un coup, puis un deuxieme puis un troisieme. Il defit alors les entraves de la pauvres femmes et d'un coup se saisit de ses cheveux et plongeat son regard dans le sien... -------------- Partie 1: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#1/ Partie 2: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#2/ Partie 3: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#3/ Partie 4: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#4/ Parties 5: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#5/
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Par : le 26/12/21
J’ai trouvé un nouveau jouet pour ma soumise alors ce soir ça va être un peu trash. Je l’ai conviée à me rejoindre dans la salle de jeu, j’ai fait un peu de place, les mômes sont couchés nous avons tout le temps de nous amuser. Elle entre dans la pièce, nue comme demandé. Je me place derrière elle, une corde à la main. J’attache ses poignets dans son dos et monte un harnais de poitrine (gote), très sévère, très restrictif. - Mets toi à genoux. Elle s’exécute. J’attache alors ses chevilles et monte deux harnais jambes repliées (futomomo) Je me penche sur elle et l’oblige à se pencher en avant, le buste entre les genoux. Je reprends une corde sur un harnais de jambe, l’enroule autour de sa taille, noue l’ensemble et me reprend sur l’autre jambe. J’attache une dernière corde dans le dos du gote, me reprend sur l’ anneau au plafond et suspend son buste. Attachée ainsi, elle ne peut plus se relever et reste parfaitement cambrée. Elle offre son cul, son anus à mon regard et à mes jeux. Elle commence à gémir un peu, la position est très inconfortable. Je lui pose un bâillon, ses gémissements étouffés m’excitent. Je l’embrasse un moment, caresse son dos, ses fesses, ses seins. Je l’encourage un peu, c’est difficile mais le plaisir, l’orgasme n’en sera que plus fort, plus jouissif. J’enduis mes doigts de lubrifiant et caresse son anus, me glisse doucement en elle, un doigt, puis deux, je la dilate et la lubrifie doucement. Elle gémit encore, elle tente d’ouvrir un peu plus ses cuisses. J’ai un «crochet» en acier, avec une boule de trois centimètres et demi de diamètre à son extrémité et un anneau à l’autre bout, je la fais pénétrer dans son anus doucement, la fais tourner sur lui même, pousse un peu, elle s’ouvre et laisse entrer l’objet en elle. Je le pousse bien au fond, plaque la tige en acier sur ses reins et la noue sur la corde autour de sa taille. Paf,Paf. Deux petites claques sur les fesses, un gémissement je la laisse ainsi un petit moment, l’incite à bouger un peu son bassin, aller chercher son plaisir. Paf,Paf….Paf,Paf,Paf… Quelques claques bien posées sur les fesses. Elle se tortille encore. Paf,Paf… Encore quelques unes, elle continue à tortiller du cul. Elle adore ça (putain si ça me plais, plus elle prend son pied et plus j’aime ça). Avec une petite cordelette, j’attache le vibro magique sur sa taille et le plaque sur son clitoris. Je tourne la molette et monte très vite en régime (avec ça ma chérie, tu vas jouir comme jamais) j’enlève mon caleçon et lui retire le bâillon, j’ai une érection canon. - Prends moi dans ta bouche. - Oui, viens. Elle ouvre la bouche et je m’enfonce doucement en elle, sa langue s’active, elle me pompe , elle me suce, elle la veut (putain si c’est bon) - Vas-y ma belle, suce moi bien, à fond, avale moi. Elle ouvre sa gorge et m’avale tout entier. (ça lui à pris des années avant d’y arriver, mais c’est magique et elle adore ça) Le vibro fait son petit effet, elle gémit, elle jouit, elle m’avale, me suce, s’étouffe avec ma queue et jouit encore plus. Je me retire, je ne veux pas jouir maintenant et j’avoue qu’avec une pipe pareille, il est très difficile de se contenir. Je passe derrière elle, défais le nœud qui maintient le crochet en place et retire doucement la boule de son anus. Je décroche la corde au plafond et la laisse reposer les épaules au sol. J’appuie mon gland sur son anus et la laisse s’ouvrir, elle m’accueille en elle en gémissant. Mon va-et-vient devient rapidement pressant, en plus le vribro envoie tout ce qu’il peut, c’est dément.. Je me calme un peu en dénouant le gote pour libérer ses bras, lui permettre de prendre appui au sol et retrouver le contrôle (partiel) de son corps. Je m’active à nouveau en elle, elle m’offre ses fesses, se tend, gémit encore et encore, je n’en peux plus, ce petit jeu était vraiment trop excitant. - Je vais jouir ma belle, rejoints moi. - Oui, viens, jouis en moi. Il n’en fallait pas plus, pour me faire jouir, j’éjacule, j’explose en elle, le plaisir m’envahit tout entier, les spasmes de ma queue sont puissants. Je suis repus, épuisé. Je me retire, arrête le vibro et commence à dénouer les cordes pour la libérer complètement. Elle étant ses membres doucement et me sourit. -Merci mon amour. - Merci à toi ma belle. Ça t‘a plus? -Oui, c’était vraiment spéciale. - Oui, très. Je l’embrasse, me relève et range un peu tout ça, il ne faudrait pas que les enfants tombent sur nos jouets demain matin.
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Par : le 23/11/21
Nous avons attendu que les vacances scolaires passent pour nous retrouver quelques jours à une période de l’année où l’arrivée du froid incite à rester dedans, voire même d’inventer d’originales manières de se réchauffer, ou du moins des peu banales méthodes pour le commun des mortels. Oui mais voilà, nous ne sommes pas ainsi… En ce mercredi soir, tu décides de commencer en douceur avec des cordes. Aujourd’hui ce sera les rouges et seulement elles. Du coup, je troque mon collier personnalisé pour le petit et simple rouge, bien mieux coordonné. Tu te lances dans une sorte de harnais de bras dans le dos, délicatement organisé autour d’un axe central « tressé » le long de ma colonne vertébrale. Tu réussis un savant équilibre entre esthétisme et contrainte modérée. Bien sûr, le résultat s’est un peu éloigné de l’inspiration de départ. Mais après tout, c’est ta touche personnelle qui ressort ainsi. Après cette prise en main tout en douceur, tu me débarrasses des nœuds et liens pour la suite. Les nouveaux bracelets de poignets et de chevilles constituent ma nouvelle parure, finalisée par la cagoule épaisse en cuir. Tu termines tes préparatifs en me fourrant le bâillon gode dans la bouche. Bien que la cagoule ne s’y prête pas trop, tu arrives à tes fins et le boucle derrière ma tête. Tout ceci pourrait laisser présager la visite prochaine de lanières et une cagoule humide à la fin. En attendant, tu me fais prendre position à quatre pattes sur le lit recouvert de notre désormais traditionnel drap violet en vinyle, le croupion tendu vers toi. Une fois n’est pas coutume, tu ne t’arrêtes pas là. Les bracelets n’étaient pas là que pour la décoration. Tu me tires la main droite vers le pied du lit le plus proche. Une corde va assurer que je ne puisse plus trop la bouger. La main gauche subit le même traitement : je ne risque pas de beaucoup me déplacer ainsi arrimé au lit. En revanche, il faut que je trouve une position pour ma tête qui me permette de respirer sans mal, sans me noyer dans une salive qui s’annonce abondante avec ce bâillon aux conséquences si perverses. J’ai dû oublier de cocher la case « confort » avant de monter. J’entends que tu « bricoles » dans mon dos. A quoi m’attendre ? Mystère ! Je sens bien que tu viens insérer quelque chose dans mon fondement. Mais impossible de dire quoi. Je ne reconnais rien de connu. Un « ne bouge plus » accompagné du crissement caractéristique d’un briquet me fournit un indice. Tu dois être en train de m’allumer ;-) ….à ta façon … C’est ce qu’on appelle avoir le feu au cul …. mais l’allumage n’est que fugace. Il ne faudrait pas non plus enflammer son jouet. En revanche, tu ne tardes pas à la rallumer histoire de consteller mon dos d’une modeste mais néanmoins remarquable constellation dite du nounours. J’ai beau connaitre cette sensation, les impacts me picotent et m’arrachent de petits couinements, au moins au début, avant que je ne profite à fond. De la profondeur, voilà que tu en reprends, et sans prendre de gants … une fois n’est pas coutume. Tu tentes une introduction sans douceur. Malgré la présence du préservatif et d’une dose de lubrifiant, ce manche de martinet peine à pénétrer. Il faut dire qu’il est plus gros que ton habituel gode. La première boule m’arrache un cri, la deuxième aussi d’ailleurs. Je ne te connaissais pas brutale. J’ai l’impression d’avoir le fondement en feu. A posteriori, je découvre que cela me fait néanmoins une amusante queue de cheval ! La douleur initiale baisse très légèrement, mais pas suffisamment avant que tu ne retires rapidement l’intrus. Néanmoins, j’ai pendant plusieurs minutes la sensation de toujours être possédé par cet envahisseur. C’est troublant comme sensation quoi que temporaire. Tandis que celle-ci se dissipe lentement, ce sont deux pincements sur les couilles qui mobilisent mes sens. Je suppose que cela doit être l’effet de ta toute dernière acquisition. Bizarrement, je ne les trouve pas aussi douloureuses que ce que tes propos avaient pu me laisser imaginer. Méfiance quand même … Affaire à suivre. Le contact qui vient claquer à de multiples reprises sur mon dos, mes épaules, mes flancs, et mes fesses ne peut être que l’œuvre de ta nouvelle langue de dragon à tige courte. Tu sembles t’éclater avec. Et, si j’en crois tes marmonnements de satisfaction, tu dois même être en train de laisser des marques. Et après, on va encore dire que je ne marque pas. Comme quoi, cela tient plutôt de la légende urbaine. Comme nous semblons tous deux en phase, tu fais durer le plaisir. Je crois que cette nouvelle acquisition est validée par les faits ;-) Pratique, efficace … sauf pour faire sauter la cire. Elle s’accroche sur mon dos malgré les multiples allées et venues de ta langue de feu. Tu me laisses perplexe avec tes derniers impacts. Je peux simplement dire que cela claque fort sur mes fesses sans pouvoir dire quoi. Mais là encore, je perçois ta satisfaction, comme si tu avais de nouveau réussi à laisser ta marque. Deux fois dans la même heure, ce serait une grande première. Et a posteriori, je découvre que c’était bien le cas. Et tout ça naturellement, sans substance « illicite » ! Pour la petite histoire, la photo des marques me révèlent la coupable : une bien traditionnelle cravache. La soirée se termine avec une douce séance de griffes qui me font toujours autant d’effet. Mais avant de conclure, tu souhaites faire un essai de tes nouvelles pinces sur mes têtons. Comme tu l’avais identifié, l’une d’elles est particulièrement transperçante à cet endroit-là. L’autre doit être supportable un poil plus longtemps ;-) Le lendemain matin, j’avais comme consigne de revêtir ma dernière parure, un ensemble boxer et bas en wetlook, tout de noir vêtu. Et rien d’autre bien évidemment si ce n’est mon collier. Visiblement, ma nouvelle tenue semble te plaire. Surprise quand je débarque dans la cuisine, la pièce a légèrement été réaménagée. Deux chaises sont ficelées dos à dos au milieu de la pièce. Sans aucun doute, elles sont là pour moi. Tu me demandes de m’agenouiller sur la première tout en prenant appui avec mes coudes sur la seconde, le ventre reposant sur les deux dossiers. Au cas où l’envie me prendrait de fuir mon trône d’un jour, tu viens nouer le bas de mes cuisses au dossier. De la même manière, mes poignets se retrouvent noués. J’ai un peu l’impression d’être sur un prie-Dieu revisité par tes soins ! Ma tenue, bien que réduite, semble néanmoins ne pas être totalement adaptée pour la suite. Je suppose que l’accès à mon fessier est incontournable vu que tu descends le boxer sur mes cuisses. Cela se confirme quand une des baguettes naturelles vient flageller à plusieurs reprises mon postérieur. Finalement, ce n’est pas si mal cette position, limite confortable, selon les standards qu’on retient ;-) Je me demande si cette mise en bouche avait pour but de m’ouvrir l’appétit. Si c’est le cas, je risque d’en redemander ;-) L’après-midi je reprends ponctuellement la main pour t’immortaliser dans cette délicieuse tenue qui te va de mieux en mieux à chaque mois qui passe. Le chapeau noir dissimule subtilement ton regard, mais celui-ci parvient si nécessaire à bien accrocher l’objectif, et moi avec, par conséquence. Le corset noir, souligné de dentelle met avantageusement en valeur ta poitrine. Des longs gants noirs viennent souligner un standing certain. Vient ensuite cette magnifique jupe noire, si longue qu’elle dissimule tout autant qu’elle révèle tandis que tu te déplaces. En particulier, elle me laisse apercevoir de temps en temps de bien alléchantes plateformes rouges sang qui apporte la touche de couleur indispensable pour compléter ta tenue de parade. Ta canne à pommeau rappelle ton côté autoritaire et majestueux. Le photographe que je suis devenu pendant quelques minutes ne peut pas rester insensible : je prends un plaisir certain à te « mitrailler » sans idée préconçue. Je mesure la chance que j’ai d’avoir un modèle comme toi. En ce vendredi soir, après ta longue journée de travail, je ne m’attendais pas à passer à la casserole une dernière fois avant de repartir pour quelques semaines. C’est une bien agréable surprise quand tu m’invites à te suivre jusqu’à l’étage. Après quelques préparatifs pour tout avoir sous la main dans le feu de l’action, tu m’invites à te rejoindre non sans m’avoir fait mettre les bracelets de cheville. Hop, à quatre pattes sur le lit, toujours paré de violet. La première épreuve consiste à mettre en place le humbler. On a beau avoir identifié un semblant de méthode, cela reste tout sauf facile. Malgré tout, tu parviens à me le mettre en place. Désormais mes mouvements sont plutôt restreints. Je ne risque pas de quitter la position du pénitent. Je perçois un serrement certain au niveau de mon intimité. Suis-je bête, c’est un des buts recherchés ! Ce soir, tu as enfilé des gants pour apporter un peu de douceur à ce qui suit. Je sens un liquide frais couler entre mes fesses, un puis deux doigts s’évertuent à préparer mon fondement, de l’assouplir un minimum. Merci pour cette attention. Malgré tout, l’envahisseur d’avant-hier reste toujours aussi envahissant ce soir. Mais j’ai l’impression de moins gémir sous la pression de la première puis de la deuxième boule. Cette nouvelle douleur me fait oublier la pression du humbler, non pas qu’il ne soit plus là, mais son étreinte se fait moins mordante. Puis c’est le manche du martinet qui, petit à petit, se fait accepter. J’ai juste un manche planté dans le cul. Quoi de plus normal ? Me voici de nouveau avec cette apparence quasi chevaline. Ainsi équipé, je devine à certains contacts fugaces, ou certains cliquetis que tu es en train de mettre en scène une nouvelle aventure de mininours à mes dépens, ou plutôt avec moi comme toile de fond contrainte. J’ai l’impression que cette boule de poils prend son temps, histoire de faire durer mes tourments. Jusqu’à ce que je sente la mine d’un feutre sur le bas de mon dos. C’est vrai que tu avais une idée en tête. Une fois encore, je sers volontiers d’écriteau. Certes dans ma situation, je n’avais pas grande latitude pour m’y opposer, des fois que l’envie me serait venue par un improbable mystère. Une fois ton œuvre terminée, voilà que tu m’administres une dernière fessée avec la main de cuir. Astucieuse façon de détourner mon attention pendant que tu me libères de mon gode improvisé. Etonnamment, cette fois, je n’ai pas l’impression de l’avoir encore en moi une fois libéré. J’ai dû finir par m’y habituer avec le temps qu’a duré ta distraction peluchée ;-)
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Par : le 18/10/21
Bonjour la communauté ! J'ai décidé de me mettre à écrire, je ne sais pas ce que ça vaut, j'attends vos retours pour savoir si je continue à publier. Ce récit est fictionnel. Toute ressemblance avec les fantasmes de l'auteur seraient totalement fortuites. Quoique... Bonne lecture ! CHAPITRE 1 Attiré depuis bientôt 5 ans par le BDSM et spécialement par la soumission, j'ai décidé de m'y investir un peu plus intensément. Jusqu'à présent, je n'avais fait qu'un peu de selfbondage avec ce que j'avais sous la main comme du scotch pour remplacer le baillon, ou un tee-shirt en guise de bandeau. Il me fallait passer au niveau superieur. J'ai donc cherché un endroit pour une séance de soumission. J'ai fini par trouver ce que je cherchais : un hôtel qui propose des séances de soumission. J'ai envoyé un mail pour prendre rendez-vous. En guise de réponse, j'ai reçu un questionnaire à remplir. Allons-y. Nom : Xavier Age : 23 ans Situation sentimentale : célibataire Nombre de visites au donjon : 1ère fois Experience BDSM : Aucune Experience sexuelle : Aucune Un vrai puceau quoi. Suivaient d'autres questions sur les pratiques, les limites, un rappel sur le consentement... Quelques heures après avoir renvoyé mon questionnaire, j'ai reçu un message me donnant les indications pour me rendre sur place ainsi que quelques informations comme le fait de ne pas prendre d'affaires personnelles, excepté la cage de chasteté qui n'est pas fournie. La date était également mentionnée : le mercredi de la semaine suivante. L'attente allait être longue. Le mercredi suivant, au matin, j'ai décidé  de passer la journée avec ma cage de chasteté afin d'éviter une excitation trop précoce. Comment dire que la journée a été longue ? Je ne cessais de me demander comment allait se passer la soirée. Vers 20 heures, j'arrivais à destination. De l'extérieur, cela ressemblait à un petit château ou une grande maison d'hôtes. Un mélange d'excitation et d'appréhension s'est emparé de moi. J'hésitais à entrer... A suivre...
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Par : le 16/10/21
Vous m’aviez demandé Maîtresse de trouver des bogues lors de mes randonnées Alors, avec ce sac plein d’enveloppes piquantes de châtaignes Vous arborez un large sourire. A peine arrivé, Vous me faites déverser ces belles châtaignes dans un grand bac plastique qui devient ma niche. Vous m’intimez l’ordre de m’asseoir sur ce tapis digne d’une planche de fakir et c’est douloureusement, dès les premiers contacts, que je pose mes pieds et mes fesses dessus. Les genoux recroquevillés contre mon ventre, Vous m’attachez les chevilles, puis les poignets que Vous passez derrière ma tête avant de me fermer la bouche avec un bâillon boule. Vous m’expliquez attendre de la visite et c’est ainsi que je patienterais. Les bogues me pénètrent de plus en plus les fesses et même l’anus. Le moindre mouvement est une souffrance. Vous accueillez et discutez avec Votre invité qui ne semble pas surpris de voir au milieu de votre salon un homme assis nu, ligoté dans une boite en plastique remplie de bogues ! Je suis tellement concentré sur ma position épineuse que votre discussion m’échappe. J’attends seulement qu’elle s’achève. Ma posture est des plus inconfortables; les cervicales contraintes par mes bras me font souffrir, les bogues attaquent la peau tendue de mes fesses. Je serre la boule du bâillon avec mes dents comme si cela pouvait améliorer ma situation. Avez-vous remarqué comme l’attente est longue quand vous en ignorez l’issue ? Et bien là, c’est l’éternité qui défile. C’est avec soulagement que je Vous entends raccompagner Votre visiteur. Quelle soulagement d’avoir Votre sourire devant moi même si Votre main tient fermement une cravache que Vous baladez sur mon corps offert. Les bogues Vous inspirent et Vous construisez un petit château entre mon sexe et ma Mâchoire. Elles tiennent difficilement. Vous arrivez quand même à Vos fins et c’est avec la cravache que Vous les expulserez sans ménagement de mon entre-cuisses, m’arrachant quelques rictus de douleur. Vous prolongez Votre jeu avec un plaisir évident Vous servant de Votre cravache pour placer idéalement les bogues sous mes fesses meurtries. J’ai bien bavé sur mon ventre avant que Vous retiriez mon bâillon et que Vous libériez mes membres entravés. Vous me rendez un semblant de liberté pour ouvrir toutes les bogues avec mes pieds puis avec mes fesses. Ma douleur vous fait sourire. Malgré cela j’accélère le mouvement comme Vous me l’intimez. Je tente timidement d’en ouvrir quelques unes avec mes mains, Votre cravache m’en dissuade instantanément ; aïe mes doigts ! Je maudis ces bogues bien vertes qui refusent désespérément de s’ouvrir malgré les coups que je leur porte avec mes fesses. Elles me répondent du tac au tac en enfonçant leurs piquants dans ma peau meurtrie. L’envie d’en finir et Vos sourires quand je me tortille sur les bogues décuplent mon énergie. Je me hâte autant que faire se peut pour toutes les ouvrir. Encore une ou deux qui tentaient d’échapper à mes fesses. Enfin j’arrive au bout de mon supplice. Le moment du verdict est arrivé. Après m’avoir demandé si j’avais bien tout ouvert les fruits, Vous vérifiez avec la cravache qu’aucune châtaigne n’ait résisté à mes fesses. Vous me punirez pour chacune d’entre elle restée figée dans leur bogue. Finalement, je m’en sort plutôt bien et Votre main ne récupère que trois bogues encore fermées. Vous me les faites ouvrir avec mes fesses. Les aller retour sur les fruits sont encore plus douloureux car ma peau avait eu le temps de se détendre. Enfin elles cèdent. Énorme soulagement car j’étais à bout, prêt à verser les larmes de l’impuissance. Vous me demander de me relever et je verrais plus tard que mes fesses ont des airs de surfaces lunaires. En attendant un simple contact de mes mains me fait deviner un beau champ de labour et une sensitivité à fleur de peau. Je pensais être sorti d'affaire avec ces maudites châtaignes en me retrouvant attaché, les yeux bandés à me faire fouetter. Mais ce n’était qu’un intermède. Vous me ramenez finalement à ma niche piquante. Vous me guidez car Vous m’avez maintenu aveugle, et je me retrouve assis sur ce matelas de douleur que Vous avez soigneusement étalé au fond de ma niche. Elles sont bien plus résistantes que mes fesses car ma peau est de nouveau soumis à leurs pics dévastateurs. Je suis tendu comme un arc, leur offrant un terrain de jeu propice à leur agression. La nature est impitoyable surtout quand Vous la détournez à vos fins. Vous en extrayez habilement la quintessence pour Votre unique et immense plaisir. Je me cramponne, mon équilibre est instable et la douleur toujours aussi intense. Vous passez discrètement au-dessus de moi et je suis surpris de sentir un filet chaud qui me coule sur les épaules, le long du dos, me noyant de Votre urine. - Qu’est que j’aime t’utiliser comme chiotte Mon soumis. Ma place est là et je m’en contente malgré l’humiliation. - Merci Maîtresse Vous me libérez de mon bandeau et voir Votre sourire épanoui me réjouit après cette dure épreuve. Il est à la fois mon soulagement et ma récompense Maîtresse. Je comprends mieux pourquoi je repousse sans cesse mes limites en voyant Votre sincère satisfaction. J’ai enfin découvert ma raison de vivre même si Vous appartenir Maîtresse n’est pas de tout repos. Maudites châtaignes !!!
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Par : le 16/10/21
- Hum Petite chienne, me revoilà dit Cassandra en me caressant les cheveux. Elle caressa mon visage. Elle avait sur ses doigts ces griffes que je reconnais. Elle les passa sur mon corps. Elle me fixait. Je devinais Monsieur qui nous regardait, je le regardais d’un air inquiet, l’envie de résister et de l’autre l’envie de céder à cette nouveauté. Cœur et raison. - Alors tu as aimé que ma langue s’occupe de ta chatte ? Je ne voulais pas avouer, non. Je n’arrivais pas à le dire. Elle saisit de sa main ma bouche et plaça sa main sur ma chatte. L’effet des griffes sur les lèvres de ma chatte captaient toute mon attention. Elle s’amusait à les passer tout doucement. Je la regardais avec ce regard effrayer. Elle avait lâcher son emprise sur ma mâchoire pour à nouveau me caresser. - Je vois, tu ne veux pas me répondre. Je pense qu’on va trouver la punition adéquat. Elle détacha mes liens et me tira par les cheveux. - Lève toi, plus vite, allez plus vite que ça. Je sentais sa poigne ferme, elle me força à avancer ainsi et me jeta au sol devant Monsieur. Avec son pied elle maintenant une pression pour que ma tête reste au sol. Aucun mot ne sortait, je ne savais pas ce qui allait se passer mais j’étais dans un tel état. Elle continua à caresser mes cheveux pour les mettre en queue de cheval me forçant à me redresser. Je la sentais au- dessus de moi. - Tu vas être une chienne bien obéissante dit-elle en me passant ses griffes sur la bouche. Je déglutissais. Je sentais le regard de Monsieur. Assis sur le canapé, il se redressait. Il ne disait pas mot. Je sentais son regard sévère à mon égard. - Punissez- la bien lui demanda-t-il - Ouvre ta bouche m'ordonnat-elle. - Sors ta langue. - Regarde comment tu es belle ainsi, juste à attendre qu’on te fourre. Elle continua à me caresser ainsi le cou. Je sentais les griffes acerrées dans ma chair. Elle plaqua sa main sur ma bouche. La pression se faisait plus forte. - Je sais, il sait que tu adores cette situation dit-elle en murmurant ces mots. Elle relâcha la pression de ses mains et me jeta à nouveau au sol. Elle posa son talon sur mes cervicales, m’obligeant à ne pas bouger. - Allez tourne toi ! Elle s’agenouilla et se plaça entre mes cuisses. Je sentais cette proximité. Elle me toisa du regard. J’étais au pied de mon maitre. Je ne savais qui regarder à ce moment là. Elle m’hypnotisait. Elle plaqua mes mains de part et d’autres à coté de mes oreilles, se frottant à moi. Je la regardais faire, je me laissais faire petit à petit. Elle était si sensuelle, si belle. Elle continua avec sa main griffée à parcourir mon corps, commençant par mon cou. Elle me regardait. Ses griffes s’aventurèrent vers mes seins. Je sentais cette pression piquante. Je soupirais. Elle savourait de me voir résister pour mieux céder. A nouveau, elle se pencha vers moi. Elle me respirait. - Humm, tu sens la bonne chienne. Elle commença par aspirer le téton droit. Je soupirais. Douceur et fermeté. Mes yeux se fermaient. Je savourais. Je soupirais. Je commençais à me déhancher. - Ne bouge pas ! Pendant qu’elle s’occupait de mon téton droit elle en profitait pour me griffer encore et encore le sein. - Aiiihhhhh Elle rigolait. Elle changea alors de téton. Elle se redressa. J’étais à son écoute, je ne voulais plus résister. Je voulais encore et encore. Elle me souriait. Tout en me regardant elle ôta ses griffes. Je ne la quittais pas des yeux. Elle me regardait comme si j’étais la souris que la chatte allait dévorer. - Humm ces jolis seins… Elle commença à les gifler. Encore et encore - Aieee… - Chut, je ne veux rien entendre ! Elle me gifla le visage puis en profita pour mieux écarter mes jambes. Elle me regardait jouant entre gifle ou lcaresse. Je ne savais ce qui allait m’arriver. Elle caressait l’intérieur de mes cuisses - Oh déjà bien trempée petite chienne. Hum je vais bien m’amuser ! Elle saisit alors un gant noir. Elle me regarda le mettre. - Chut, tout doux ma belle. Elle me montra alors les pinces. Mes yeux s’agrandissaient. - Je vais fermer ce petit trou à bite pour le moment. Je criais, sentant la pression de ces trois pinces fermer ma chatte. Doucement elle tapait sur mon clitoris ; Je sentais l’afflux sanguin tambouriner mon clitoris. Je gémissais. - Offre ta bouche de petite pute. Elle aventura ses doigts dedans, les entrants les sortants. - C’est ça que tu veux n’est ce pas ? Oui je sais tout cela ma belle dit-elle en me parlant au creux de l’oreille. Elle saisit ma laisse au niveau de mon collier et me força à me lever. J’étais debout face à Monsieur. Je voyais son regard bleu sur moi. Je le regardais de manière suppliante. Je me laissais succomber. Je comprenais tant de choses à cet instant. Elle était derrière moi, elle embrassait mon cou., ses mains se placant sur mes seins. Monsieur ne cessait de nous regarder. - Regarde ce que j’ai pour te décorer. Prends une respiration ! Je sentais une pince sur mes tétons… puis une autre. - Aiiiiieeeeee. Je serrais les dents, couinant voulant les éviter. Elle prie le temps de bien les placer. Les pinces était reliées entre elles par une chaine - Ecarte tes jambes, mains dans le dos. Elle s’était éloignée pour mieux revenir. Je vis alors le martinet. Je savais que j’allais à nouveau rougir. Elle commença doucement par me donner quelques coups, elle s’appliquait à ne pas oublier une parcelle de mon corps. - Penche toi maintenant, tends ton fessier. J’étais face à mon maitre, mon regard se plongeant à nouveau dans le sien. Je devinais un léger sourire. Elle s’occupa de mon fessier déjà bien douloureux. - Aieee.. J’avais envie de me soustraire. Elle se rapprocha de moi et me caressa pour me soulager ; Ses mains étaient douces et bien chaudes. Elle me fit avancer sur le coté du canapé en posant mes avants bras sur l’accoudoir du chesterfield. Mon maitre s’était levé pour aller se servir un verre. Je le regardais, il feignait à ce moment là de ne pas nous regarder. Cassandra se plaqua derrière moi. Elle se frottait tout en prenant dans ses mains mes globes, jouant ainsi avec mes pinces. Je l’entendais sourire. Je m’en voulais de céder à ses envies. - Je sais c’est bon ma petite chienne. Elle m’embrassa le dos. - Reste comme ça. Monsieur lui avait également servi un verre. - Elle est d’une telle docilité. Elle est bien éduquée. Elle a un parfum particulier qui fait qu’on a envie de la baiser. - Humm j’aime comment vous vous occupez d’elle Cassandra. - Oh mais je n’en ai pas fini de l’utiliser. - Mais elle est toute à vous. Elle s’approcha de moi, mis le verre à ma hauteur. - Tiens ma belle, une petite gorgée. Je savourais ce nectar me réchauffer ma gorge asséchée par le désir. Elle reposa le verre et saisie un bâton orné de deux gros anneaux sur les côtés. Elle le fixa dans ma bouche et l’attacha fermement à l’arrière. Cassandra plaça un tabouret pour que j’y mette mes jambes. - Vous êtes sublime ainsi ma chère, dit Monsieur à mon attention. Cambrez mieux vous que cela, je vous prie. Je veux voir vos seins valsés. Je m’exécutais. J’offrais alors à sa vue ma vulve fermée par les pinces. Il s’amusa à passer sa main dessus me faisant sursauter puis se diriger vers le canapé pour s'asseoir. Je le regardais avec fierté pour le rendre fou de désir. Je voulais me venger. Cassandra mis alors une nouvelle paire de gants à chacune de ses mains. J’entendais ce bruit si caractéristique de ces gants fins . Ses mains commençait à jouer avec les pinces sur ma chatte. Je sentais mes lèvres en feu. Je couinais à travers mon bâillon. Doucement elle retira le plug que Monsieur avait mis dans mon petit trou. - Ohhh doucement chérie, voilà.. tout doux… Je savourais cette libération, tout comme ses doigts qui cajolaient mon petit fion. Elle poursuivait sa petite torture avec les pinces.. - Non .. non.. S’il vous plait tentais- je de dire. - Hummm tu mouilles trop petite chienne.. regarde toi. Chuttttt… Avec douceur, elle retira les pinces. - Mais regardez-moi ça… Je retenais mon souffle, mes cris. Elle passa sa main gantée sur mes lèvres. - Regarde toute cette mouille ! Elle me montra les filets de mouille entre ses doigts au niveau de ses gants. Je bavais à travers mon bâillon. Je regardais toujours Monsieur. Je ne baissais plus le regard. Je voulais le rendre toujours plus fou à le faire céder pour qu’il s’occupe de moi. - Ecarte mieux tes jambes ma jolie. - Voilà… hummmm Elle donna un grand coup de langue sur mon sexe. - Vous ne la remerciez pas ? dit Monsieur à mon attention. Vous êtes une belle petite égoïste me railla-t-il. - Merci.. Madame, merci… Elle se plaqua contre moi. Je sentais son corps sur mon dos, ses bras m’enroulant, sa bouche voulant me dévorer. Je me laissais aller. Je fermais alors les yeux face à ces ressentis inédits. D’accepter cela pour autant je ne désirais pas les femmes. Que m’arrivait-il? Pourquoi elle ? Soudain, elle me redressa en agrippant mes cheveux, descendant sa main entre mes omoplates pour me baiser davantage. Je me cambrais au mieux. Sa main tournait autours de ma chatte, de mon fion s’imbibant de ma mouille. Avec sévérité elle me doigta. D’abord deux doigts qu’elle tendait qui s’engouffraient dans ma chatte. Ses va et vient me pilonner avec une telle rapidité. Je couinais, tellement j’aimais ça. Elle m’empoigna à nouveau par les cheveux. - Montre à ton maitre comment t’es une bonne petite putain. J’ouvrais les yeux, il me regardait en train de me faire doigter. Il voyait mon regard partir, s’abandonner. - Putain mais qu’est ce qu’elle est trempée ! - Oui elle adore ça ! dit-elle avec rire - Cambrez-vous, mieux que ça. Cassandra se stoppa.. Elle claqua ma fesse gauche Je sentis alors un troisième doigt me fourrer la chatte. - Allez doigte toi. Je bougeais mon corps d’avant en arrière pour m’empaler sur ces doigts. C’était si bon, puis Cassandra repris les rennes. Elle s’était avancé pour passer par l’avant sa main. Elle me masturbait le clitoris tout en me doigtant. Je chavirais à ce moment là. - Hummmmm, hummmm… merci… merci lui disais-je. - Humm c’est si bon merci merci.. - Petite putain, lâche toi, regarde toi… Elle ôta sa main pour mieux me fesser et enfoncer un quatrième doigts dans ma chatte. - J’arrive plus à tenir.. je.. tentais-je de dire. Je ne faisais que gémir à ses assauts. Je bavais encore et encore. - Regarde cette mouille… mon dieu… tu en veux encore ? Tu es si ouverte que je pourrais y fourrer ma main sans problème. - Oui Madame.. - Allez caresse toi pendant que je t’écartèle ta petite chatte ma chérie. Elle en profita pour s’enfoncer plus profondément. Elle reprit alors le contrôle et me pénétra fermement, en allant au tréfond de ma chatte. - Bonne chienne, c’est ça.. détends toi,. Je gémissais, si fort, encore et encore, j’en avais oublié Monsieur. Elle me redressa. Mes jambes toujours sur le petit tabouret. Elle mis ses mains sur mon cou. Elle me léchait le cou. - Regardez moi votre petite chienne comme elle se lache. - Oui je vois ça, elle ne sait même plus se tenir dit Monsieur. - Faites bien valser ses petits seins et jouer avec sa chaine dit-il d'un ton punissant. Elle continua à passer sa main sur ma chatte si trempée que cela faisait un tel bruit avec mon mouille. Elle mimait des mouvements sexuels. Je les mimais aussi tellement à ce moment là je voulais être prise peu importe par ou. Elle me pénétra encore avec trois doigts. Je me faisais ainsi baiser. - Merci… Merci… Madame. - Leve tes mains au dessus de la tete. Elle tapait mon pubis, mon clitoris. Je voulais me soustraire. Puis elle commença aussi au niveau de l’arrière. Je ne savais plus quoi ressentir, le plaisir cédant. Ces gestes étaient précis ferme. Quand elle arrêta, elle continua à faire glisser sa main gantée entre mes lèvres, provoquant en moi toujours plus d’abandon. - C’est bon, mains dans le dos. Pas bougé. J’en profitais pour regarder mon maitre, qui la regardait. Je me sentais pas pour autant abandonner bien au contraire. Je savais qu’il adorait vivre cela tout comme moi. Ces nouvelles sensations. Je comprenais la différence de mes ressentis, de mes sentiments. Elle m’agrippa les cheveux et me força à me mettre à genou au sol. Elle ôta mon bâillon. Je vis alors qu’elle avait mis un gode ceinture. Sans ménagement elle le fourra dans ma bouche, me forçant à le sucer comme une vrai queue ; J’y mettais toute mon ardeur. - C’est ça suce bien petite chienne, Montre nous tes talents. Elle empoignait mes cheveux, fermement. Elle me l’enfonçait davantage en bouge avec des petits mouvements de bassins. - Allez mouille la bien ! - Mets la au fond, bien au fond, c’est ça chérie. - Calme toi, maintenant, doucement, tout doux tu vas la prendre et la garder - Hum je vois qu’elle bonne suceuse tu es… - Maintenant ne bouge plus. Elle tenait ma tête ainsi et me baisait simplement la bouche. - Continue, ne t’arrête pas, cela te fait un bon entrainement. Elle m’empoigna à nouveau et plaqua ma tête contre la queue de mon maitre. Je vis alors un sourire sur son visage. Il m’ignorait, il la regardait. Elle se plaçait alors derrière moi. A nouveau elle me redressa en me tirant par les cheveux. Je mis alors mes mains sur le canapé entre les genoux de Monsieur. Elle appuya sur mon dos pour que je me cambre. Monsieur me regardait à ce moment précis, celui où elle me pénétra. Je sentis son premier coups, puis le seconds. Des coups intenses, profonds que je m’avançais presque pour lui tomber dans les bras. Avec rapidité elle me força à me redresser en tenant par les épaules. Monsieur, alors profitait ainsi de ma poitrine offerte. Avec un sourire sévère, il me regardait , les seins valsant, il jouait avec la chaine. Puis quelques secondes après, il ôtait mes pinces à seins. - Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh La douleur fut si vive. Il cajola alors mes tétons pendant qu’elle me prenait. - Petite salope qui se laisse baiser n’importe où me dit-il. Il me gifla. Cassandra riait. - Oui elle adore ça… Il suffit de voir combien elle est ouverte. Elle se retira. Sa queue en moi me manquait. Allait-il me laisser ainsi, frustrée ? - Allez viens sur le lit petite chienne. Elle me redressa me tenant solidement par le collier. Elle me jeta sur le lit. Avec savoir faire, elle me sangla alors les cuisses et les jambes ensemble. - Humm tu vas être si accessible, une petite poupée. J’étais sur les avants bras, je regardais Monsieur. Elle serra fermement les sangles. Puis elle commença à sangler aussi l’autre jambe. Je me retrouver ainsi les jambes repliées à ne plus pouvoir m’échapper. - Tes mains dans le dos ! De même elle les attacha solidement. Je couinais.. - Ah mais j’ai oublié. Elle reprit la gag-ball posé sur le lit pour me bâillonner. J’adorais cette sensation là d’être à sa merci, de subir, d’être contrainte. - Voilà tu es prête maintenant. Je me tortillais, je me retrouvais ainsi sur le dos. - Ah tu préfères être prise ainsi.. ma foi. Sans ménagement elle me prenait à nouveau la chatte. - Hum si étroite ma chérie. Elle commençait à me baiser ainsi. Je sentais les mouvements du lit. Elle regardait mes réactions. Elle se redressa pour admirer le gode entrer et sortir, puis se pencha sur moi. Je sentais le poids de son corps sur le mien en profitant pour embrasser mes seins, titiller mes tétons. Je gémissais encore et encore. Elle me retourna sur le ventre. D’une main toujours ferme, elle sangla cette fois ci mes coudes. - Je veux que tu sois bien à disposition comme si n’importe qui pouvait venir te baiser ma chérie. Je commençais me dire, mais qu’avait-il prévu ? - Hum je sais que ça te plairait, n’est ce pas ? en attendant tu vas te contenter de celle-ci. Elle écarta mes fesses. - Oh ce petit trou est déjà bien écarté… Elle plaça la queue au bord. - Voilà, tout doux tout doux..Je vais te la mettre à sec. il est déjà ouvert. Elle prenait son temps me caressant les fesses. - Voilà, nous y voilà.. tu n’attendais que cela. Je bavais tellement elle avait serré le bâillon. Ces coups étaient au départ très doux, profond. Elle remonta mes fesses pour mieux me prendre. Elle passa une sangle sous mon ventre et s’en servit pour mieux me pénétrer bien au fond. Elle me sodomisait. Petits coups, coups plus intenses, d’autres plus profonds, d’autres plus pilonnant. Je ne pouvais bouger, que subir ses assauts. - Regarder votre petite chienne comme je la baise Monsieur, cela vous plait - Humm oui… continuez. Il s’était approché de moi, s’agenouillant. Il me regardait droit dans les yeux savourant ma sodomie. Il caressa mes cheveux. - Bonne petite chienne me félicita-t-il. Il ôta mo bâillon. Il caressa de ses doigts mon visage. J’appréciais tant cette marque d’attention. - Ahhh ahhhhhh… je gémissais, encore .. encore et encore.. Il plaça alors son doigt dans ma bouche. Je le suçais, le savourant, lé dégustant. - Imaginez si c’était une autre queue à la place de mon doigt… sucez le comme si vous aviez une autre queue. - Voilà c’est ça… ma petite chienne. Cassandra se retira de mon petit cul. Elle en profita pour le retourner. Elle se plaça à nouveau entre mes cuisses. Elle continuait à me caresser, me lécher, à me doigter. Monsieur quant à lui me parler à l’oreille. - Avouez que vous aimez vous faire lécher la chatte par n’importe qui ? - Je… Il avait placé sa main sur mon cou et serré. Il augmentait mon excitation. - Oui Monsieur.. - Avouez que vous aimeriez être fourrée de partout ? - Je…. Hummmmm… ouiii Monsieur. - Avouez-vous que vous aimez être baisée. - Je… ouiiiiiiiiii.. ahhhh… Monsieur. - Avouez que vous êtes ma putain. - Je suis votre putain Monsieur. J’étais au bord de l’explosion. J’allais à nouveau jouir.. - Allez y petite catin, jouissez.. jouissez… Je ne tenais plus sous la langue de Cassandra, elle me rendait complètement folle. Cassandra semblait satisfaite, elle se redressait. - Laissons la ainsi. A disposition. - Humm avec plaisir. J’étais là à observer Monsieur partir avec Cassandra.. Jalouse comme toujours, mais j’avais compris que notre lien était unique.
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Par : le 15/10/21
Madeleine chapitre 3. Magalie se joint involontairement à l’équipe Quelques semaines plus tard une occasion inattendue se présente chez Monique. Sa nièce d’une vingtaine d’année a quitté le domicile familial pour suivre un mec bizarre et vit désormais dans un squat à l’autre bout de la ville. Magalie est bien foutue avec une poitrine généreuse même si elle est un peu maigre avec la vie qu’elle mène. Elle vient parfois taper un peu d’argent à Monique qui commence à en voir marre. Ce jour-là Magalie insiste beaucoup et exaspère Monique qui ne sait plus comment s’en débarrasser. Elle finit par appeler madeleine pour lui demander conseil. Madeleine lui dit de patienter un peu et promet de la rejoindre dans les minutes qui suivent pour l’aider à se débarrasser de Magalie. Lorsque madeleine arrive le ton monte entre Monique et Magalie. Madeleine propose de boire un verre pour se calmer et trouver une bonne solution. Magalie rechigne mais fini par accepter un grand verre de whisky. Monique est perturbée. Madeleine prend les choses en mains et va servir les verres. Magalie boit le sien cul sec et demande à Monique combien celle-ci est disposée à lui donner. Monique s’énerve un peu mais madeleine calme le jeu en indiquant qu’elle venait de trouver une solution qui satisferait Monique et qui permettrait à Magalie de ne manquer de rien. Les deux femmes se calment et demandent quel miracle permettrait de faire cela. Madeleine leur demande de patienter quelques instants et propose un autre tournée. Les femmes trinquent avec circonspection. Puis madeleine dit à Monique qu’elle venait de lui trouver un jouet comme elle souhaitait. Magalie commence à dodeliner de la tête. Monique comprend tout à coup ce qui se passe. Elle regarde Magalie de la tête aux pieds et se dit qu’elle ferait un beau jouet même si il lui manque un appendice bien utile. Magalie finit par s’effondrer et s’endormir sur le canapé. Madeleine retourne à sa voiture et revient avec une valise contenant le nécessaire pour équiper Magalie. Magalie a une sacré gueule de bois. Elle ne sait plus où elle est et ne se souvient de rien. Elle est couchée dans une position insupportable. Elle ouvre les yeux mais reste dans le noir. Elle veut bouger mais ses mains sont bloquées dans le dos et ses chevilles sont tirées en arrière. Elle veut crier mais une espèce de balle souple rempli toute sa bouche et elle n’arrive pas à la recracher. Magalie se réveille complétement. Elle est sur une moquette ou un tapis mais ne peut pas bouger. Elle entend du mouvement devant elle. Elle se réveille enfin. Elle reconnait la voix de sa tante Monique. Voilà ton nouveau jouet est tout à toi. Il est vraiment très beau. C’est la voix de madeleine. Maintenant les souvenirs reviennent à Magalie. Elle était chez sa tante pour lui taper de l’argent et elles ont bu mais pas assez pour tomber dans le coma. Bon ma petite maintenant c’est moi qui donne les ordres. Tu vas voir que tu ne manqueras de rien chez ta maitresse. Il faudra juste bien obéir aux ordres. Magalie rue et essaye de crier en vain. Un coup de fouet la fait sursauter. En sursautant elle s’aperçoit qu’elle a un engin enfoncé dans le cul et un enfoncé dans sa chatte. Ces femmes sont folles il faut que je me tire de là. Madeleine dit à Monique tu as vu ton jouet est piercé de partout, les seins, le nez, la lèvre, le clitoris les lèvres du bas. Tu vas pouvoir la décorer comme un sapin de noël. Monique est enthousiaste et frappe des mains. Super j’ai hâte de la décorer. Bon dit madeleine il faut passer aux choses sérieuses. Tu vas l’appeler comment ton nouveau jouet. Petgirl répond Monique. Ça lui va bien. Cool dit madeleine. Petgirl écoutes moi bien. On t’a mis un joli collier de chien à la place du collier moche que tu portais. Celui-là a une particularité intéressante il est anti aboiement. On l’a réglé sur puissance maxi et bruit mini. Au moindre chuchotement tu prendras une décharge intéressante qui t’inviteras à fermer ta gueule. Magalie enrage. Se faire appeler Petgirl c’est trop. Elle rue mais est vite calmée par le martinet. Maintenait dit madeleine on va enlever ton bâillon mais gardes bien le silence sinon c’est décharge, fouet et retour du bâillon. Elle joint le geste à la parole. Magalie veut crier mais son cri s’arrête net sous l’impulsion du collier. Elle sursaute et veut recommencer mais elle est de nouveau secouée. Elle veut se plaindre doucement mais encore une décharge. D’une toute petite voix elle susurre s’il vous plait détachez moi maintenant je ne demanderais plus de thune à ma tante. Monique lui répond tu n’auras plus besoin de thune je vais subvenir à tous tes besoins. En échange tu devras juste me faire plaisir. D’ailleurs tu vas commencer maintenant. Madeleine et Monique installe un écarteur de bouche à Magalie. Elle a les mâchoires écartées au maximum et ne peut plus fermer la bouche. Monique désolidarise les attaches des poignets et des chevilles et met Magalie à genou en face d’elle. Maintenant petite Petgirl tu vas brouter ma chatte pour me faire plaisir. Magalie regimbe et veut se reculer mais des coups de martinet pleuvent sur ses fesses et Monique tient le collier avec fermeté. Finalement la bouche de Magalie se colle à la chatte rasée de Monique. Vas-y petite Petgirl. Fais ton travail. Magalie essaye encore de se retirer mais sans effet si ce n’est quelques coups de martinet beaucoup plus appuyés que les précédents. En larmes elle obtempère et darde timidement la langue dans le sexe de sa tante. Plus loin plus d’entrain ma petite Petgirl. Tant que je n’aurais pas joui tu devras me lécher et après tu passeras à maitresse madeleine. Magalie pleure mais s’exécute et après plusieurs minutes Monique commence à pousser des soupirs de jouissance. Bien ma petite Petgirl tu comprends bien maintenant au tour de maitresse madeleine. Magalie est retirée et sa tête cogne la chatte épilée de madeleine. Elle recommence à lécher sans attendre le martinet. Un quart d’heure qui lui semble très long passe. Puis Monique décide de mettre en action le vibro masseur qui est enfoui dans Magalie. Malgré toute sa volonté elle commence à ressentir de la chaleur dans son bas ventre. Elle redouble de vigueur sur la chatte de madeleine sans s’en rendre compte. Finalement elle est fauchée par un orgasme contre toute attente. Elle en subira plusieurs autres dans la demi-heure qui suivra. Bien Petgirl tu es efficace. Tu as mérité l’apéritif avec nous. Monique va chercher deux verres d’alcool et une gamelle avec de l’eau pour Magalie. Pendant que les femmes trinquent elle lape l’eau car elle crève de soif après ses léchages à rallonge. On va passer à table dit Monique tu viens avec nous. Elle détache les genoux de Magalie et la tire par la laisse. Magalie veut se lever mais un coup de martinet et un geste de Monique la font comprendre qu’il faut quelle avance à genou derrière Monique. Les deux femmes s’assoient et déjeunent en devisant joyeusement. Magalie est glissée sous a table et doit lécher tour à tour les pieds nus de madeleine et Monique Ce midi elle ne mangera rien. L’après-midi est consacrée à tester des nouvelles positions pour mettre en valeur Magalie. Très souple après des années de gymnastique elle se prête bien même si ce n’est pas volontaire pour des postions en grand écart. Pour finir elle monopolise le canapé en étant assise dessus les bras attachés tendus en arrière et les jambes aussi attachées grandes ouvertes qui remontent jusqu’à toucher le dos du canapé. Ainsi exposée sa chatte fait l’objet de toutes les attentions de madeleine et Monique. La première chose étant de la raser intégralement. Puis Monique s’enhardit à lécher le sexe de Magalie qui a son corps défendant ne résiste pas et finit par en redemander. Madeleine prend la relève car Magalie est insatiable sans comprendre d’où ça lui vient. En aparté Monique félicite madeleine pour son cocktail pour femme. Magalie est une vrai tigresse et ne se fait pas prier pour lécher Monique qui est montée sur le canapé et lui présente son sexe. Enfin les deux femmes étant épuisées, elles enfilent le gode vibreur dans le sexe de Magalie et le laisse fonctionner en continu jusqu’à l’apéritif du soir. Magalie ne comprend pas ce besoin impérieux de faire l’amour et voudrait encore plus de contacts avec les deux femmes. Finalement madeleine et Monique se disent que ça ne sera pas trop difficile de dresser Petgirl. Le repas est pris avec un plateau repas dans le salon. Les deux femmes se sont mises en face de Magalie et la font manger des petites bouchées qu’elles lui mettent directement dans la bouche. Celle-ci est affamée et avale tout ce qui se présente. Pour la nuit elle est mise par terre sur le tapis et strictement menottée sa cagoule aveuglante ne lui a pas été retirée de la journée. Il n’est pas utile de lui mettre un bâillon, le collier fait très bien son office. Une fois Magalie sécurisée Madeleine prend congé de Monique qui reste encore quelques longues minutes à admirer le joli corps de Magalie qui dort comme un nouveau-né. Demain pense t’elle va apprendre les tâches ménagères. Le lendemain Magalie est conduite à la douche suivant le même protocole que Kevin. Elle se rebelle plusieurs fois mais en vain et en plus elle reçoit quelques coups de martinet. Après la toilette elle est employée aux tâches ménagères. Monique ne la quitte pas d’une semelle et motivée par le martinet Magalie exécute toutes les taches ordonnées par Monique. En fin de matinée Magalie est installée sur le canapé en grand écart dans la position de la veille. Monique lui enfile le gode vibrant et une fois que Magalie est bien chauffée Monique lui présente sa chatte que Magalie lèche avec application. Les jours défilent. Monique casse sa tirelire et achète de magnifiques bijoux corporels pour Magalie. Elle a désormais les mamelons ornés de belle créoles de cinq centimètres de diamètre un anneau plus petit est inséré entre ses deux narines et son sexe est parsemé d’une demi-douzaine d’anneaux en or du plus bel effet. Malgré elle Magalie exhibe fièrement ses bijoux à sa tante ou à madeleine quand celle-ci vient leur rendre visite. Magalie se demande toujours comment faire pour se libérer et retrouver sa liberté même si à chaque jour qui passe son envie d’évasion diminue. Elle n’a pas à dormir avec des zonards dans un squat immonde, ne doit pas se lever chaque matin en cherchant comment trouve la pitance du jour à ne se laver que de temps en temps et à porter les mêmes frusques plusieurs jours de suite. Ici elle est toujours propre et nette, nourrie convenablement même si c’est humiliant de manger dans une gamelle et elle n’a pas besoin de rechercher de la thune ou de quoi subsister chaque jour. Elle en veut de moins en moins à sa tante. D’autant plus que sexuellement elle est plus qu’active et se demande d’où lui vient cette envie permanente de baiser. Pour sa part Kevin a cessé de se rebeller et finalement commence à supporter cette vie d’objet sexuel et de décoration. Pas trop de travail, pas d’angoisse et tirer son coup plusieurs fois par jour. En plus le cocktail quotidien de madeleine agit sur sa volonté et il pense de moins en moins à sa vie d’avant qui apparait dans un brouillard noir à coté de ses journées actuelles peuplées de fantasmes et de sexe. Un jour ou Monique lui rend visite madeleine dit que c’est un peu dommage qu’elles ne puissent pas profiter de leurs jouets en même temps. Monique répond en lui disant que ce serai joli d’avoir les deux jouets exposés sur deux croix de saint André l’un en coté de l’autre. Une idée en entrainant un autre elles conviennent que ce serait plus simple d’habiter ensemble pour pouvoir mieux surveiller les jouets quand l’une d’entre elles doit s’absenter. Finalement elles font le tour de la maison de madeleine et se rendent compte qu’elles pourraient cohabiter sans problème. Il y a assez de chambres et elles pourraient consacrer une pièce pour exposer leurs jouets afin de libérer le salon en cas de visite. La grande pièce destinée aux jouets est meublée d’une table et de chaises, d’un vaste canapé d’un grand tapis très épais et de deux croix de saint André mises contre le mur face au canapé. Des photos des jouets dans des positions extrêmement suggestives ornent les murs. Le transport de Magalie se fait dans une grande malle en osier Magalie est légèrement anesthésiée et ne pose aucun problème au couple. Kevin voit avec une certaine allégresse la venue de la belle Magalie. Il en tombe immédiatement amoureux et fait tout pour contenter ses geôlières afin d’espérer qu’elles le fassent rapprocher de Magalie. Celle-ci regimbe toujours. Même si elle aime parader devant Kevin avec son corps parfait et ses ornements de corps. Et puis le , Exacerbé par la potion qu’il ingurgite chaque jour à son insu , le membre quasiment toujours en érection de Kevin la laisse rêveuse. Elle a envie de sexe avec ce male bien monté. Néanmoins tout se passe bien pour madeleine et Monique qui disposent toujours de jouets magnifiques. En plus les deux femmes s’aperçoivent que les jouets sont plus en plus dociles et nécessitent de moins en moins de précautions dans le bondage. Elles se prennent à rêver à des jouets complètement dociles. Et puis désormais elles peuvent recevoir des visites sans montrer leurs jouets. A suivre.
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Par : le 15/10/21
Chapitre 2 : Monique remplace Madeleine. Malheureusement un incident vient ternir le bonheur de Madeleine. Elle doit absolument suivre une formation de mise niveau pour son taf. Cette formation dure une semaine et a lieu à l’autre bout de la France. Elle ne peut pas laisser son jouet seul pendant huit jours. Si elle lui laisse trop de champ libre il arrivera à s’évader si elle le ligote trop il pourrait lui arriver malheur. Elle réfléchit à ce problème quand elle reçoit un appel téléphonique de Monique sa meilleure amie. Celle-ci est délurée et doit beaucoup à Madeleine qui l’a déjà sorti de grosses galères par le passé. Monique devine à son ton que Madeleine est anxieuse. Elle lui demande ce qui ne va pas et l’assure qu’elle peut compter sur elle pour tout ce qu’elle veut. Madeleine réfléchit vite et se jette à l’eau. Oui j’ai un petit problème je dois aller en formation une semaine mais il faut absolument que quelqu’un s’occupe de mon nouveau jouet à la maison. Monique est intriguée. C’est quoi ce nouveau jouet qui nécessite qu’on s’occupe de lui pendant ton absence ? C’est compliqué dit Madeleine. Mais il faut quelqu’un en qui j’ai absolument confiance car ce n’est pas très légal. Monique est curieuse. Tu sais que tu peux tout me dire je te dois tout et j’irai en enfer pour toi. Madeleine lui répond c’est presque ça. Tu dois me jurer que tu garderas le silence absolu sur ce que tu verras. Monique est étonnée mais aussi très curieuse et lui jure de garder le silence. Bon vient passer le weekend à la maison je te montrerai mon jouet et comment il faut s’en occuper. Attend toi au choc de ta vie. Monique trépigne d’impatience. Le samedi midi elle rejoint Madeleine qui quitte son taf et elles cheminent ver la maison de Madeleine. Monique la bombarde de question. Madeleine gênée finit par lui dire que c’est très hot. Monique est toujours impatiente mais en même temps elle est maintenant excitée. Un beau male ? Elles arrivent à la maison. Madeleine entre et dit à voix haute : Ta maitresse est rentrée mon petit jouet j’espère que tu es en forme. Monique est interloquée mais personne ne répond à Madeleine. Celle-ci invite Monique à la suivre dans le salon. Là Monique est sidérée. Un jeune homme est à genou sur la table du salon il est attaché comme un saucisson et montre une érection monumentale. Je te présent mon jouet dit Madeleine. C’est de ça que tu devras t’occuper pendant mon absence si tu veux bien. Monique ne sait pas quoi répondre. Madeleine voit qu’elle est perturbée et l’invite à s’assoir sur le canapé. Monique s’assoit et accepte volontiers le verre d’alcool que lui propose Madeleine. Monique reprend enfin ses esprits. Raconte-moi comment il est arrivé ici. Demande-t-elle. Madeleine lui raconte la soirée ou Kevin a tenté d’abuser d’elle pour lui refourguer une assurance bidon. Puis la façon dont il se comportait comme si il était chez lui. Et finalement l’idée du laxatif qui s’est transformée en somnifère. Et depuis il est à la disposition sexuelles de Madeleine pour tous ses besoins. Monique reprend peu à peu une contenance et s’enhardit à contempler le joli corps imberbe jusqu’au dernier poil pubien. Elle se lève et tourne autour de Kevin. Il a quelque chose dans le cul dit-elle. Oui répond Madeleine il doit toujours être offert à sa maitresse cul inclus. Monique a fini le tour et s’approche du pénis de Kevin. Je peux toucher ? Bien sûr tu verras il est bien dur. Monique prend le pénis dans la main et constate qu’il est tendu comme un arc. En plus Kevin ondule sous la caresse. Il réagit vite dit Monique. Oui il aime qu’on le malaxe de ce côté-là. Si j’osais j’y mettrais la bouche dit Monique ragaillardie. Vas-y. Ce n’est pas lui qui dira non. Monique se penche et ouvre grand la bouche pour avaler le chibre palpitant de Kevin. Elle fait quelques allers-retours et s’arrête avant que Kevin n’explose. Il a une super bonne queue ton jouet. Madeleine est aux anges. Monique a l’air de décoincer rapidement. Tu veux voir ce qu’il sait faire avec sa langue dit Madeleine. Monique dit oui sans hésiter. Je vais te montrer comment on le descend de sa position favorite en toute sécurité dit Madeleine. Elle détache Kevin du plafond et lui remet les menottes dans le dos. Elle accroche la laisse au collier et le fait descendre par terre ou il se retrouve à genou. Il n’a pas le droit de se lever. Il doit tout faire à genou ou à quatre pattes. Je vais enlever son bâillon. Elle enlève le bâillon de Kevin qui commence à crier pour qu’on le détache. Quelques coups de martinet fusent. Il finit par se taire. Tu vois il essaye parfois de se rebeller mais il finit par comprendre avec quelques coups de martinet. Elle lui donne l’ordre de lécher ses pieds. Kevin s’exécute. Monique est pensive. Il est costaud il n’a jamais réussi à s’échapper demande t’elle. Non il faut bien suivre le protocole pour changer ses liens. Je t’expliquerais tout ça mais pour l’instant profitons de sa langue. Elle s’assoit sur le canapé et guide Kevin jusqu’à son entrejambe. Là il commence un cunnilingus. Monique est troublée et voit que Madeleine est prête à exploser. Il a l’air doué. Oui dit Madeleine en reculant la tête de Kevin. Tiens prend la laisse et viens t’essayer. Monique s’assoit à coté de Madeleine et prend la laisse. Doucement elle approche la tête de Kevin de son sexe et finalement il commence à la brouter avec vigueur. En quelques secondes elle est au septième ciel. Il est doué le bougre. Maintenant les deux femmes ont bien profité de la langue de Kevin. On peut en profiter en même temps dit Madeleine elle reprend la laisse et couche Kevin sur le dos. Elle l’enfourche et vient poser son sexe sur la bouche de Kevin. Elle montre la queue de Kevin à Monique. Celle-ci enfourche à son tour le beau male et s’empale sur la queue vibrante. Kevin se montre à la hauteur et quand il les lâche enfin les deux femmes sont comblées depuis longtemps. Les femmes se relèvent un peu échevelées. Bon, on le passe à la douche et ensuite on mange dit Madeleine. Elle montre à Monique les protocoles pour qu’il soit douché sans qu’il puisse espérer se libérer. Une fois Kevin essuyé elles se dirigent vers la cuisine pour déjeuner. Elles mangent à table pendant que Kevin mange dans sa gamelle par terre. Elles prennent un café tranquillement pendant que Kevin tiré par la laisse jusque sous la table les broute tour à tour. Après le repas Kevin est remis sur la table du salon. Il bande de nouveau prêt à une autre séance de sexe. Tu vois dit Madeleine il est toujours disponible et sa seule raison de vivre c’est de me satisfaire. Monique demande si elle peut en profiter encore et Madeleine lui dit que c’est l’occasion pour Monique de changer la position de Kevin toute seule. Monique respecte bien le protocole et Kevin désabusé reste docile. Monique se fait prendre en levrette et finit par une fellation complète de Kevin. Elle exulte. Il est trop bon. Et inépuisable. Madeleine a profité des ébats pour s’installe un gode ceinture. Bon je vais lui rappeler qu’il est bien un jouet à ma disposition pour tout et elle encule vaillamment Kevin après lui avoir enlevé le plug. Après la séance Kevin est réinstallé sur la table ou il patiente pendant que les femmes discutent chiffon. De temps en temps Kevin se remet à bander et Madeleine explique à Monique qu’elle a mis au point un petit cocktail le maintenant en érection presque en permanence. Le lendemain matin c’est Monique qui est chargée de la toilette de Kevin. Elle s’en sort bien et est récompensée par une matinée de sexe dont elle ressort pantelante. Elle n’a jamais joui autant et pourtant elle n’est pas à son premier club libertin. Les filles sont d’accord Monique gardera la maison de Madeleine pendant la semaine d’absence de cette dernière. Après un cocktail bien chargé les femmes décident de chercher d’autres positions pour Kevin afin qu’il représente un beau trophée de chasse. Il est d’abord assis dos au canapé et ses jambes sont écartées au maximum attachées aux pieds du canapé les bras sont aussi écartés et tirés en arrière. Le tableau est joli mais le sexe tendu de Kevin n’est pas aisément utilisable alors elles le mettent couché sur le dos sur la table du salon les bras et jambes accrochés fermement aux pieds de la table. Là les femmes trouvent que c’est pas mal car la bouche et la bite de Kevin sont faciles à utiliser. Elles font l’essai et l’une sur la bouche l’autre sur la queue elles alternent les positions en prenant des paris sur celle qui recevra la giclée de Kevin. Monique gagne et parade dans le salon. Finalement elles trouvent que la position est trop facile pour Kevin. Il est trop à l’aise et recommence à bander. Il est positionné debout sur le côté du canapé orienté face vers le canapé les jambes légèrement écartées et liées aux pieds du canapé et les mains dans le dos. Un cockring est positionné sur sa queue et une cordelette joint la queue au bas du canapé. Il a la bite horizontale rendue violette par la tension. La position est assez pénible pour lui mais la femme qui s’assoit dans le canapé doit juste tourner légèrement la tête pour avoir la bite à portée de bouche. Elles refont les paris et se positionnent tour à tour pour une fellation pendant cinq minutes chrono. Ce coup-ci c’est Madeleine qui reçoit la décharge. Kevin est épuisé. Les positions subies sont pénibles et la tension sexuelle multipliée par le cocktail secret de Madeleine le fatiguent durement. Les femmes décident de le préparer pour la nuit. Le bâillon est remis en place et il regagne la table du salon sur laquelle il est mis à genou les mains dans le dos. Ce soir comme il a été à la hauteur il n’aura pas les bras tendus en l’air. Habitué maintenant il trouve une position pas trop inconfortable et s’endort rapidement. Les femmes qui sont restées dans le salon boivent un dernier verre en discutant. Tu vas le garder longtemps demande Monique. Je ne me suis pas posé la question pour l’instant. Je vais le garder tant qu’il me fera de la distraction et qu’il satisfera ma libido qui n’a jamais été aussi épanouie. Monique répond si tu n’en veux plus je suis preneuse il vient de me faire rajeunir de 20 ans. Monique demande si ce serait possible de lui faire faire les tâches ménagères, passer l’aspirateur, faire la vaisselle, servir à table ou autre tâche d’un parfait esclave. Madeleine avoue qu’elle n’y a pas pensé mais que ça pourrait être marrant. Il faut juste bien prendre garde qu’il ne puisse pas s’évader. Il est très rusé et habile il a déjà essayé plusieurs fois et je dois toujours rester sur mes gardes quand je le change de position. D’ailleurs je te donnerais une petite seringue de secours. Elle est autoinjectante et paralyse la victime en quelques secondes. Il faut juste penser à lui administrer l’antidote dans les vingt minutes qui suivent, le temps de le maitriser. On ne sait jamais. Demain si tu veux on verra comment on pourrait faire pour le faire servir l’apéritif. Monique et Madeleine imaginent Kevin à genou à côté d’elles avec un plateau dans les mains. Finalement elles vont se coucher des idées plein la tête. Le lendemain le réveil et la toilette de Kevin sont réalisés par Monique qui respecte à la lettre les consignes de Madeleine pour les attaches. En récompense elle bénéficie de la langue de Kevin durant tout le petit déjeuner. La journée commence bien. Puis les femmes installent Kevin sur la table et sortent le matériel restant dans la caisse bondage de Madeleine. Elles jettent leur dévolu sur un harnais pour homme et des menottes de cheville avec une petite barre d’écartement qui les relie. Ça permettra à Kevin de marcher en faisant des tous petits pas d’une dizaine de centimètres. Elles lui enfilent le harnais et le règlent à sa taille. Une sangle du harnais permet d’enserrer la bite et les couilles de Kevin qui sont bien exposées en évidence. Kevin bande déjà comme un taureau. Pour le haut il faut que les mains puissent attraper un plateau mais sans lui donner beaucoup de marge pour autant. Elles menottent les mains devant et passent la chaine dans une boucle du harnais. Les mains ne peuvent pas être tendues et sont presque collées à la poitrine de Kévin. Il est bâillonné et la cagoule est enlevée. C’est rare qu’il soit debout et non aveuglé il est surpris. Les femmes lui disent de les suivre dans la cuisine. Il les suit péniblement avec de tous petits pas. Dans la cuisine Madeleine sort un petit plateau et met deux tasses sur l’évier. Elle explique le fonctionnement de la machine à café à Kevin et lui dit de leur préparer un café et de leur apporter au salon sans tarder. Les femmes s’éloignent vers le salon. Kevin croit pouvoir saisir sa chance et se dirige sans bruit vers l’entrée de la maison. Hélas pour lui la porte est verrouillée et les clés ne sont pas dessus. Il retourne en cuisine et cherche un morceau de fil de fer pour essayer d’ouvrir ses menottes. Trouvant une brosse métallique il essaye d’enlever un fil de fer mais à ce moment-là Madeleine le rejoint dans la cuisine. Elle lui donne un coup de martinet en lui disant n’y pense même pas. Elle se dit en elle-même qu’il faut sécuriser les menottes pour qu’il ne trouve pas de moyen de les ouvrir. Elle réfléchit et trouve la solution pour qu’il ne puisse pas se servir de ses doigts. Elle va dans sa chambre et revient avec une paire de moufles d’hiver. Elle enfile les mains de Kevin dans les moufles et scotche celle-ci avec du ruban adhésif. Kevin peut encore faire le café et poser les tasses sur le plateau mais il ne peut pas faire plus pour se libérer. Cinq minutes plus tard il reparait dans la cuisine avec le plateau dans les mains. Madeleine lui indique de se mettre devant elle et de se mettre à genou en tendant le plateau tout en baissant la tête. Vaincu il obtempère. Les femmes sont ravies. Elles prennent leur café pendant que pour ne pas perdre les bonnes habitudes Kevin les broute tour à tour. Pour son bon café il a droit à une fellation complète de Monique. Puis il passe l’aspirateur dans le salon et va préparer l’apéritif des femmes. L’apéritif ressemble au café du matin et ce coup-ci il a droit à une fellation de Madeleine. Le midi elles déjeunent sur la table du salon. Kevin doit mettre la table et servir les femmes. Il doit se tenir debout à côté de la table ou elles déjeunent face à face. Il désespère toujours de se libérer de ces folles mais au moins il n’est pas cantonné à rester immobile sur la table. Pour la vaisselle ses moufles sont ôtées mais les femmes restent à proximité de lui. L’après-midi les femmes décident d’aller visiter le sex shop de l’autre côté de la ville. Il retrouve sa place sur la table et est consciencieusement ligoté. Deux heures plus tard les femmes sont de retour. Elles sont visiblement très contentes de leurs achats et posent deux grands sacs sur le canapé. Kevin ne voit rien mais devine que les femmes sont de bonne humeur. Quelques minutes plus tard il sent qu’on enfile son pénis dans un truc bizarre. C’est comme un vagin il sent que le truc a été lubrifié. Puis soudain le truc se met à vibrer et il ressent des mouvements de va et vient en même temps que les vibrations. C’est une espèce de branleuse automatique ultra efficace. En moins d’une minute il gicle comme un fou. Les femmes se marrent et Monique dit j’ai gagné le pari. Tu me dois dix euros. Deux pinces son appliquées sur ses mamelons c’est supportable mais douloureux et il essaye de s’en débarrasser en secouant son torse en vain. Un nouveau collier lui est installé. Il se demande pourquoi quand Madeleine lui dit que c’est un collier anti aboiement. Elle lui ôte le bâillon. Si tu parles ou crie tu te prends une décharge. Essaye pour voir. Il se garde bien de tenter l’expérience. Le bâillon est remplacé par une espèce de petit gode qui lui remplit la bouche. Il se demande à quoi sert ce truc quand les femmes le descendent de la table. Toujours aveuglé il se retrouve à genou face au canapé. La laisse est tirée et son gode le force à bouger la tête en avançant. Puis il comprend qu’un autre gode est installé au bout du sien. Il doit effectuer des va et vient et bientôt entend Monique haleter. Puis c’est le tour de Madeleine. Pendant qu’il besogne Madeleine Monique se positionne derrière lui et lui enfourne un gode ceinture de taille respectable tout en lui malaxant la bite avec une main passée devant. Il gicle en quelques minutes en même temps que Madeleine prend son pied. Toujours aveuglé il entend la femme qui portent un lourd colis. Des bruits de perceuse puis de visseuse se font entendre. Il se demande ce que c’est que ce ramdam. Environ une heure plus tard il est positionné sur la croix de saint André que les deux femmes ont installé contre le mur du salon. Contentes d’elles elle le laisse là pour le reste de la journée. Ça y est Madeleine est partie en laissant Monique seule avec Kevin. Celui-ci ne doute pas qu’il va pouvoir se libérer enfin car Monique est plus frêle que Madeleine et ne semble pas aussi appliquée pour les attaches. Le premier matin alors que Monique l’emmène faire sa toilette il saisit sa chance. Il la bouscule de toutes ses forces et elle cogne rudement le mur de la salle de bain. Il se jette assis sur elle dans l’espoir de récupérer les clés des menottes. A moitié inconsciente Monique reçoit tout le poids de Kevin sur elle et a le souffle coupé. Il réussit à se saisir des clés et jubile déjà pour sa réussite. Dans un dernier effort Monique saisi la seringue dans sa poche. Kevin toujours assis sur elle commence à insérer une clé dans les menottes quand il sent une brulure intense dans la cuisse. Cette salope lui a donné un coup de couteau ou quelque chose comme ça. Il réussit à se libérer une main. Cette salope va payer pour deux se dit-il. Puis ses gestes sont un peu ralentis. Il se demande ce qui se passe. Puis tout se passe comme s’il était au ralenti. Monique le renverse et se trouve libre alors qu’il s’effondre par terre sans pouvoir se relever. Il a juste le temps de comprendre que le couteau était en fait une seringue quand il s’effondre complètement. Il reste conscient et voit Monique se relever péniblement. Impuissant il la voit reprendre son souffle et saisir les clés des menottes. Elle s’assure que les liens sont suffisamment tendus et quitte la salle de bains. Il git toujours à terre impuissant quand elle revient quelques minutes plus tard. Elle lui injecte une autre seringue et commence à rajouter des cordes autour de lui . Elle le ficelle comme un rôti et quand peu à peu il émerge du flou sous l’effet de l’antidote il réalise qu’il est incapable d’esquisser le moindre geste. Monique attend patiemment qu’il reprenne complétement ses esprits et quitte quelques secondes la salle de bains pour revenir avec le martinet dans la main. Tu as voulu jouer au con mon salaud tu vas le payer cher. Elle lui dit maintenant tu vas retourner au salon en rampant et fissa. Elle lui donne des coups de martinet jusqu’à ce qu’il entreprenne une reptation vers le salon. Les coups pleuvent et il fait aussi vite qu’il peut. Il veut crier de douleur mais le collier anti aboiement le rappelle à l’ordre en lui infligeant une décharge terrible. Les larmes aux yeux il rampe jusqu’au salon. La enfin Monique arrête les coups. Il passera la journée prostré au pied du canapé. Il ne mangera rien de la journée. Il aura juste droit à une gamelle d’eau qu’il aura le plus grand mal à avaler. Maintenant Kevin ne se rebiffe plus. La leçon a servi et il exécute sans attendre tous les ordres de Monique. Il passe ses journées à nettoyer la maison sous le contrôle permanent de Monique. Quand il ne fait rien il doit se mettre à genou et brouter Monique. Quand Madeleine rentre de sa formation elle retrouve Monique rayonnante et Kevin complétement maté par la belle copine. Celle-ci dit à Madeleine qu’elle a passée une semaine formidable. Elle a dû utiliser la seringue le premier jour mais le reste de la semaine a été génial et maintenant le jouet est une véritable soubrette qui fait briller la maison. Madeleine est ravie. Monique lui avoue qu’elle aimerait bien posséder un tel jouet. Madeleine lui promet que si elle en a l’occasion elle ne manquera pas d’en parler à Monique. A suivre.
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Par : le 10/10/21
Madeleine: chapitre 1 Madeleine rencontre son jouet. Madeleine est ce qu’on appelle une vieille fille et à la quarantaine et ne s’est jamais mariée. Elle a bien eu des amours de passage mais jamais un seul n’est resté. Peut-être que son caractère un peu fort a fait fuir les prétendants mais tant pis elle est toujours restée maitresse de sa vie et ça n’est pas parti pour changer. Pourtant elle est encore bien foutue. Elle ferait une couguar magnifique avec sa taille contenue et sa poitrine opulente qui fait se retourner pas mal de garçons encore maintenant. Elle pense parfois au sexe et aimerait avoir un homme juste à se disposition pour assouvir ses pulsions quand elle en a. Mais ce genre d’homme ne doit pas courir les rues. Tant pis elle se contente de s’acheter parfois des dessous coquins juste pour elle. Kevin est représentant en assurance à l’ancienne du genre de ceux qui bloquent la porte avec leur pied et sont indécrochables. Il a vingt-cinq ans et une belle gueule dont il abuse pour faire signer les ménagères mures qui représentent son gibier favori. Aujourd’hui ça n’a pas marché terrible. Il est tombé sur beaucoup de portes closes et les rares qui se sont ouvertes cachaient des hommes pas vraiment impressionnés par sa beauté féline. Il est tard mais il veut absolument conclure un contrat aujourd’hui. Il a fait tout le secteur qui était programmé et maintenant il se balade au hasard comptant sur son instinct pour trouver une rombière à croquer toute crue. Encore une tentative. Il sonne et entend des pas lents approcher de la porte. Celle-ci s’entrouvre. Miracle c’est pile poil son terrain de chasse une femme mure encore bien foutue qui va forcément tomber sous son charme. Madeleine s’en veut d’avoir ouvert sans regarder dans le judas. Ça va être coton de se débarrasser de ce minet. Pendant qu’il déballe son boniment elle se fait la remarque que c’est pile le genre de jeunot qu’elle aimerait avoir à sa disposition quand elle en a besoin. Il voit que son charme agit et réussit sans qu’elle ne s’en aperçoive à pénétrer dans la maison elle est en colère contre elle-même. Maintenant ça va être encore plus coton. En vainqueur il la pousse quasiment dans le salon où il s’installe en enlevant sa veste pour montrer sa belle musculature. Décidément il m’en faudrait un comme ça dans un placard se dit elle malgré elle. Il étale ses prospectus et la pourri de compliment sur sa forme éblouissante et ses yeux malicieux. Des ficelles usées qui ne font que l’énerver. Mais qu’est ce qu’il croit ce butor il me prend pour une faible. Il mériterait une bonne leçon. Se dit-elle. Il lui raconte que c’est e bon dieu qui a guidé ses pas jusque chez elle alors qu’elle n’est pas sur son secteur de prospection. Il tousse un peu et se racle la gorge puis demande si elle a un verre d’eau à lui offrir. Elle décide de lui donner une leçon. Elle lui propose de lui faire un café c’est mieux qu’un verre d’eau et surtout se dit elle ça cachera le gout du laxatif que je vais lui faire boire. On verra s’il est toujours vaillant après ça. Il accepte et la remercie pour sa bonté. Elle le laisse pour aller préparer le café. Elle fouille en passant dans sa pharmacie pour trouver le laxatif. La première chose qui’ lui tombe dans la main est un puissant sirop pour lutter contre les insomnies. Elle s’en sert parfois mais c’est très fort et deux gouttes suffisent pour l’assommer net. Elle hésite. Et si … Il parade comme un coq dans le salon. La rombière lui fait un café. C’est dans la poche. Il va conclure et lui faire un contrat béton sur lequel il va bien toucher. Il kiffe sa vie. Madeleine revient. Elle a deux tasses café fumantes dans les mains et lui en donne une. Il boit rapidement le café car il est temps de passer l’estocade. Il a le temps de se dire que la mamie n’est pas la reine du café car il a un gout bizarre. Elle lui demande ce qu’il a comme voiture. Il lui répond une Clio jaune garée juste en bas. En se demandant pourquoi elle lui a posé cette question. Elle lui demande s’il est marié ou en couple. Ça y est elle va lui proposer un coup. Pourquoi pas comme ça je la niquerais de tous le cotés se dit-il. Il lui assure qu’il est libre comme l’air. Elle sourit. Il veut passer au contrat mais il sent que sa journée a été longue car il est crevé. Sa tête semble trop lourde pour son cou. Elle le prend dans ses bras et le couche gentiment sur le canapé. Il n’a pas le temps de la remercier. Madeleine est stupéfaite de ce qu’elle a osé faire. Et maintenant je fais quoi se dit-elle. Elle fouille les poches du jeunot et trouve les clés de la Clio. Elle prend le portefeuille et le téléphone du gars et sort de la maison. Il en a pour un bout de temps avant de se réveiller. Elle trouve rapidement la Clio et monte dedans. Elle roule quelques pâtés de maisons et arrête la Clio dans la cité terrible de la ville. Elle laisse le portefeuille le téléphone et les clés sur le contact et rentre tranquillement chez elle. Il lui faut près d’une heure pour arriver chez elle. Elle va dans le salon ou le jeune dort comme un bébé. Elle s’en approche et le déshabille complètement. C’est vrai qu’il est pas mal elle lui masse la queue qui petit à petit se met à durcir. Il est très bien monté et elle se dit qu’il ferait un parfait porte sexe pour assouvir ses pulsions qu’elle sent d’ailleurs monter en force. Elle n’a pas été excitée comme ça depuis de lustres. C’est pas tout il va bien finir par se réveiller et ne sera pas très content de son sort. Elle va dans son garage pour récupérer de l’adhésif et du cordage. En passant elle repense à la boite qu’un de ses anciens amants un peu pervers a laissée quand elle l’a viré. Elle prend la boite qui est assez lourde et l’ouvre dans le garage. Dedans il y a une panoplie BDSM. Des menottes, des bâillons boule, des cordes, des accessoires dont elle n’a aucune idée de l’usage et une cagoule aveugle en latex. Elle emmène la boite dans le salon et la vide à côté du dormeur. Bon je vais le mettre où. Elle pense le mettre dans un placard mais ce serait dommage de ne pas l’avoir en expo dans son salon. Elle regarde autour d’elle et petit à petit une idée se précise. Kevin a une grosse gueule de bois. Il émerge peu à peu du sommeil. Il a mal partout et prend peu à peu conscience de son corps. Sa position n’a rien de naturel. Affolé il ouvre les yeux mais reste dans le noir. Il est à genou sur quelque chose de dur et ses pieds sont maintenus écartés par des liens. Il ne peut pas serrer les jambes. Ses bras sont tendus au-dessus de lui et attachés en hauteur. Il ne peut pas se reposer sur ses fesses. Quelque chose lui écarte la mâchoire et l’empêche de parler. C’est quoi ce bordel. En plus quelque chose lui enserre la queue et les testicules et il a un truc genre gourdin enfoncé dans son cul. Il gigote et essaye de se défaire de tout ça mais les liens sont solides et ne bougent pas d’un millimètre. Il veut crier mais juste un vague gémissement sort de sa bouche. Je crois que mon jouet se réveille dit une voix féminine. Il reconnait la voix de la cliente Il rue mais en vain. Elle attend qu’il se calme. Après quelques minutes elle lui dit tu es beau comme ça. Dommage que tu ne bandes pas j’aurai bien aimé que tu bandes pour moi. Mais je pense que tu dois avoir envie de pisser. Elle s’approche et lui prend la bite dans la main. Elle approche un flacon et lui dit tu peux y aller. Il ne veut pas mais l’envie arrive et il finit par se soulager. Bien dit-elle. Elle va vider le flacon et revient vers lui. Elle lui reprend la bite et entreprend de la malaxer. Elle passe la main derrière lui et active les vibrations du plugs annal qui est bien enfoncé dans son cul. Les caresses et les vibrations commencent à agir il commence bien malgré lui à bander. Elle l’encourage en lui susurrant des mots pervers. Il finit par avoir une belle trique. Elle le prend en bouche et le suce avec application. Il commence à onduler mais au moment où il sent que ça vient elle s’arrête et le laisse en plan. Bien tu as une bonne queue. Je pense qu’on va passer du bon temps tous les deux maintenant que tu m’appartiens. Il débande aussitôt. C’est quoi ce délire. Elle lui explique que sa voiture son téléphone et son portefeuille ont disparus dans la cité terrible. Et qu’on se demande ce qui a bien pu lui arriver. Mais qu’il se rassure. Tant qu’il bandera comme ça il sera bien traité. Kevin se demande comment il va bien pouvoir s’échapper de ce piège. Pour le moment il est trop bien ligoté. Il se contente d’écouter la sorcière. Madeleine voit que Kevin l’écoute. Elle lui dit que désormais il s’appellera jouet car il est le jouet de madeleine. Elle lui précise qu’aujourd’hui il ne mangera rien et servira d’ornement au salon. A partir de demain il pourra manger mais pour cela il devra la satisfaire dans tout ce qu’elle demandera sinon ça sera diète et coups de martinets. Elle lui montre un martinet avec des lanières en cuir qui ne présage rien de bon. La matinée se passe. La position de Kevin est douloureuse et il ne peut pas se reposer. Il commence à avoir faim et surtout soif. Midi approche. Madeleine se concocte un plateau repas et vient déjeuner au salon face à sa statue vivante. Elle lui enlève la cagoule et il peut enfin y voir. Elle est en sous-vêtements très vaporeux qui mettent en valeur son corps bien foutu. Elle lui montre un verre et lui demande s’il a soif. Il hoche la tête. Elle lui dit alors qu’elle va lui enlever le bâillon le temps qu’il boive mais que si il parle ou crie elle lui remet le bâillon, le fouette et ne lui donne pas d’eau. Il hoche la tête. Elle lui enlève le bâillon et il se met à crier comme un sourd pour appeler à l’aide. Elle a tôt fait de lui remettre le bâillon et lui dit qu’ici personne ne peut l’entendre mais comme il n’a pas tenu parole il doit être puni. Elle passe derrière lui et lui assène dix coups de martinets bien appuyés. Il a les larmes aux yeux et ses fesses le brulent. Il est persuadé qu’il n’a plus de peau sur le derrière. Madeleine se replace en face de lui et déjeune tranquillement. Elle s’absente pour faire la vaisselle et revient dans le salon pour regarder la télévision. Il est toujours attaché et la douleur est insupportable entre la position qui est difficile à tenir et les fesse qui le cuisent. En plus il a une soif pas possible. L’après-midi passe. Madeleine décide de profiter un peu de son jouet. Elle s’approche de lui et lui attrape le pénis et les couilles à pleine main. Maintenant mon beau jouet il va falloir me faire plaisir sinon c’est le fouet. Kevin est effaré il n veut pas regouter au fouet. Il se force à penser au sexe et peu à peu une érection arrive. Madeleine sent le sexe palpiter et le malaxe avec vigueur. Puis une fois qu’il a pris de bonnes proportions elle le prend dans la bouche et entreprend une fellation experte. Kevin réagit à la fellation et bande au maximum. Comme dans la matinée au moment où il va jouir elle arrête et se recule en regardant le chibre palpitant. Eh non mon jouet c‘est pas encore le moment de gicler tu dois d’abord me faire plaisir. Tu vas comprendre. Elle lui remet la cagoule et il se retrouve dans le noir. Il sent qu’elle modifie les liens et en quelques secondes il se retrouve par terre toujours à genou mais ce coup-ci ses mains sont menottées dans le dos. Elle lui a mis un collier avec une laisse. Je vais t’enlever le bâillon mais tu ne parles pas et ne crie pas sinon c’est le martinet, 20 coups cette fois et pas que sur tes petites fesses. Il hésite mais ses fesses le cuisent encore suffisamment pour qu’il se résigne à se taire. Le bâillon est enlevé. Elle tire la laisse vers le bas et il se retrouve la tête collée aux pieds de Madeleine. Lèche-moi les pieds petit jouet et mets-y du cœur. Abasourdi il veut relever la tête mais la laisse est bien tenue et un petit coup de martinet lui cingle les fesses. Il se rebaisse et lèche les pieds de Madeleine. Elle exulte et le laisse faite pendant quelques minutes. Maintenant tu vas monter un peu plus haut dit elle et elle tire sur la laisse pour amener le visage de Kévin dans l’entrecuisse. Aller petit jouet fais-moi voir ce que tu vaux avec ta langue. Il hésite mais un petit coup de martinet l’aide à se décider. Il commence à lui brouter la chatte. Madeleine commente les opérations et lui indique ce qui est bien ou pas. En quelques minutes il est expert et madeleine part plusieurs fois en live. Elle est essoufflée et éloigne la tête de Kévin de sa chatte. Entre temps il a fini par bander durement. Elle le voit et se dit autant en profiter. Elle le couche sur le dos sur le tapis du salon et l’enfourche avec joie. Elle s’empale et lui dit que maintenant il peut ruer comme il le sent. Il finit par lâcher prise et donne des grands coups de rein. Ce coup-ci il est autorisé à gicler et peut enfin se lâcher complétement. Il est hors d’haleine. Elle pèse son poids et l’a chevauchée comme une furie. Elle se relève et dit bien mon petit jouet tu t’es bien comporté et tu vas avoir une petite récompense. Elle le remet à genou. Puis lui enlève la cagoule. A côté de lui il y a une gamelle pour chien remplie d’eau. Tu peux boire mon petit jouet autant que tu veux. Ensuite tu regagneras ta place sur la table. Il se retourne et voit la table du salon sur laquelle il a dut passer une partie de la journée. Et si tu es sage tu n’auras pas les bras attachés au plafond. Il regarde le plafond et voit un anneau en métal dédié normalement à l’accrochage d’un lustre. Il est interloqué comment peut-il boire ? Elle devine sa gêne et lui dit tu n’as qu’à faire comme un chat ou un chien il faut laper. Elle lui montre le martinet et le remue dans sa main. Il baisse la tête et commence à laper. C’est très dur et très long de boire de cette façon. Il met plusieurs minutes à étancher sa soif. Quand il a fini elle le raccompagne fermement sur la table ou il se met à genou face à elle. Elle lui menotte les chevilles et relie les menottes des mains à celle des chevilles et lui remet la cagoule. Il ne peut pas descendre de la table au risque de se casser la gueule. Ecartes bien les genoux que je vois tes attributs dit-elle. Il écarte les genoux. L’après-midi se termine. Madeleine se fait un plateau repas et revient au salon avec le plateau et une bouteille de vin. Elle se met face à lui et commence à diner en arrosant le repas avec le vin. Il est affamé et sent avec envie ce qu’elle mange. Si tu bandes pour moi je partage mon assiette avec toi dit-elle sinon je te fouette. Encore une fois il doit puiser dans son imagination pour se faire bander. Ravie de l’érection madeleine s’approche de Kevin et lui fait manger par petites bouchées une partie de son repas. Il picore et ça fait du bien de manger enfin quelque chose. Madeleine une fois son repas fini se rapproche de Kevin et lui fait une fellation enfin jusqu’au bout. Il se rend compte qu’elle est insatiable. Dommage qu’il n l’ai pas connu dans d’autres circonstances. La soirée avance et madeleine décide d’aller se coucher. Kevin est effaré il ne veut pas passer la nuit à genou sur cette table. Pourtant il va passer la nuit dans cette position inconfortable. Madeleine pour sa part savoure sa journée délicieuse. Elle se demande ce qu’elle va pouvoir inventer demain pour profiter de son jouet chéri. La nuit est compliquée pour Kevin. Il dort par petites touches vite réveillé par la position inconfortable. Enfin il entend madeleine qui se lève. Elle vient dans le salon et lui demande s’il a été sage. Il attend la suite. Elle lui dit qu’il est l’heure de passer à la douche et après lui avoir libéré les chevilles l’emmène par la laisse jusqu’à la salle de bains. Elle le douche lui lave les dents et le frictionne rudement. Enfin elle l’entraine vers la cuisine pour le petit déjeuner. Là elle lui remet la cagoule et le fait mettre à genoux. Si mon petit jouet veut un petit déjeuner il va falloir d’abord qu’il fasse plaisir à sa maitresse. Elle tire la laisse et il se déplace péniblement à genou jusqu’à ce que son visage rencontre l’entrejambe de madeleine qui ne porte pas de culotte Un petit coup de martinet et il entame un cunnilingus matinal pendant que madeleine prend son café. Elle est aux anges. Après quelques minutes elle est repue. Elle lui enlève la cagoule et il voit une gamelle pleine de céréales à côté de lui. Affamé il se jette dessus et mange sans pouvoir s’aider de ses mains. Une fois sa gamelle vide madeleine lui dit maintenant tu vas aller faire un petit pipi car tu vas devoir m’attendre jusqu’à midi quand je rentrerais du taf. Elle le remet debout et l’emmène aux toilettes. Puis retour dans le salon où il reprend sa place d’objet décoratif sur la table du salon. Cagoulé il ne peut rien voir et après avoir tenté en vain de se détacher il prend son mal en patience. Les heures sont longues et la position toujours inconfortable l’empêche de s’endormir complétement. Soudain un bruit le réveille c’est madeleine qui rentre. Elle vient près de lui et lui saisit le sexe. Ça m‘a manqué ce matin. Heureusement je vais jouer avec cet après-midi mais d’abord un apéritif. Il doit attendre que madeleine ai pris son apéritif et déjeuné pour qu’elle se rapproche de lui. Je pense que tu serais beaucoup plus beau et excitant sans tous ces poils. On va s’occuper de ça. Il se demande ce qu’elle va faire quand il sent qu’elle modifie ses liens. En peu de temps il retrouve la position dans laquelle il s’est réveillé la veille, les bras tendus vers le haut et les genoux écartés au maximum. Il sait que sa queue et ses couilles sont offertes à la vue de madeleine. Il sent tout à coup le bruit d’une tondeuse qui rase les poils pubiens. Puis une espèce de crème est déposée sur sa peau du cul jusqu’aux contours de sa bite. Madeleine dit c’est une bonne crème dépilatoire. Tu vas être beau comme un cœur. Après quelques minutes elle essuie la crème et le rince avec un gant de toilette qu’elle humidifie dans une bassine. Enfin elle sèche et commence à le malaxer. L’absence de poils lui donne l’impression d’être encore plus nu et plus vulnérable. En même temps le contact des doigts de madeleine directement sur la peau l’embrase littéralement. Il est pris d’une érection massive. Madeleine le félicite pour sa tenue et masse tendrement les couilles et la bite de Kevin. Elle y goute avec la bouche ce qui rend fou Kevin qui ne pense plus à sa situation mais voudrait surtout mettre sa bite dans une chatte brulante. Quelques minutes plu tard madeleine le décroche du plafond et le fait descendre de la table avec les mains menottées dans le dos. Ne voyant toujours rien il est guidé par la laisse et finalement sa bite tendue rencontre l’arrière de madeleine qui s’est penchée en avant jusqu’à reposer ses mains sur le dossier du canapé. D’une main experte elle guide le membre palpitant dans son sexe qui est ruisselant d’excitation. Kevin ne pense qu’à fourrer cette chatte accueillante et il la pilonne avec toute l’énergie qu’il peut y mettre. Trois mois ont passés Kevin malgré toute sa volonté n’a pas réussi une seule fois à déjouer la méfiance de madeleine qui ne relâche jamais son attention. Il est toujours garroté comme un gibier et la plupart du temps il a la cagoule qui le prive de la vision Sa seule distraction est de tirer un coup plusieurs fois par jour car madeleine est insatiable. Il la soupçonne de lui faire boire une mixture pour qu’il soit tout le temps avec la gaule et qu’il récupère si vite. Finalement il attend chaque jour avec impatience qu’elle rentre du taf pour pouvoir niquer. Madeleine est contente. La petite potion qu’elle fait boire à son jouet est maintenant bien au point et il est toujours disponible avec une gaule appréciable. A suivre.
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Par : le 10/10/21
Me voilà les yeux bandés, installé soigneusement par tes soins sur cette chaise. Je sens différents type de liens se poser autour de moi, des cordes, mais aussi des colliers de serrage en plastique. J'entends le "ziiiiip" de ces derniers et mon corps est totalement contraint. Il m'est donc impossible de me libérer sans une pince coupante. Mes bras sont encordés au dos du dossier de siège et arrimés à ce dernier avec des zips. Mes chevilles zippées aux pieds de la chaise, mes mollets également...des cordes aux cuisses... D'autres cordes passent autour de ma poitrine... Tu me fixes un collier de cuir épais et l'ajuste au plus près. Tu pars te changer... De longues minutes... Où je tire sur mes liens... J'adore sentir le sérieux de ton œuvre. Soudain j'entends des talons cingler le sol, se rapprochant dangereusement de moi. Tu t'arrêtes derrière moi. Tu me caresses les cheveux, le menton, le torse... Puis tu te penches en avant, je sens tes cheveux à mon épaule droite... Tes mains glissent de mon torse à mon sexe. Tu l'empoignes fermement et me masturbe... Tu me sussurres à l'oreille des insanités. Mon sexe se gorge... Tu stoppes... Et fait plusieurs tours autour de moi. Je sens comme une cravache qui parcours tout mon corps en même temps que tu tournes autour de moi. Tu tapotes sur ma queue, mes bourses... Je gémis... Tu m'enfonces alors un linge en bouche... Je me rends vite compte que c'est une culotte que tu as porté toute la journée... J'ai ton odeur en bouche. Ma bouche est totalement comblée et tu complètes d'un bandana autour de ma tête pour m'empêcher de recracher cette culotte souillée. Tu serres fort ce dernier au dos ma tête... Tu m'enlèves le bandeau sur les yeux... Et je ne peux que constater ta tenue... Bottes en cuir de 12cm avec plateforme, serre taille et porte-jarretelles, tes seins sont nus. Enfin, tu portes un tanga. L'ensemble est noir. Tu me chevauches et t'assoies sur moi. Tu poses tes bras sur mes épaules et m'encercles la tête. Tu plonges ta poitrine contre mon visage. Je me niche dedans. Tu frottes tes dessous contre mon sexe. Je pousse de petits bruits. Mon sexe se remet à durcir. Tu te relèves. Et pose ton pied gauche sur la chaise pile entre mes jambes. Tu ne bouges plus comme un chasseur qui pose fièrement sur sa proie capturée. Puis... Tu te mets à caresser mon sexe du bout de ta botte, doucement... Puis, tu me poses ton talon aiguille sur mes bourses... Tu y vas doucement mais fermement. Tu poses ta cravache sur une de mes joues. Mon bandana me protège un peu, tu tapotes sur ma joue puis tu me gifles d'un coup... Tu recommences tu tapotes plusieurs fois et vlan... J'ai des larmes de honte. Tu fais cela sur l'autre joue également. Tu me rebandes les yeux. Je t'entends alors partir. Et revenir aussi vite. Tu prends mon sexe en main, et le masturbe de façon à ce que je bande follement. Puis... Je sens alors un lien de satin venir serrer la base de mes bourses, la base de mon sexe... Et ce lien continue entrecroisé comme un laçage de serre taille tout le long de mon pénis. C'est très serré et j'adore ça. Je suis à deux doigts de jouir. Tu termines par un noeud juste en dessous de mon gland. Tu liberès ma bouche... Tu accroches sous mon gland une cordelette... Et je t'entends faire glisser un tabouret. Tu te places face à moi... La cordelette est longue... Tu tires dessus... Mon sexe palpite... tu m'offres un talon aiguille... Et tu me dis "suces moi ça". Tu joues de la cordelette... Pendant que je suce assidûment ton talon. Tu arrêtes le jeu. Enlèves le nœud de la cordelette. Tu réduit le lien de satin à la base de ma queue et de mes bourses... Tu serres encore plus fort. Ma bite est veineuse. Je vais exploser. Tu déroules une capote... Lentement. L'effet du latex m'excite encore plus. Tu me caresses les bourses. Longuement. Je jouis dans la capote. Tu me détaches de la chaise. Clipse une laisse à mon collier. Mes yeux sont toujours bandés. Tu m'emmènes dans la chambre comme un chien en laisse... J'avance doucement les yeux bandés. Tu me poses ma cage de chasteté et t'installes sur le lit. Jambes écartées. Tu retires mon préservatif plein. Et le déverse sur ton sexe... Je ne le sais pas mais ma semence coule jusqu'à ton petit trou. Tu m'enlèves le bandeau, m'attache les mains dans le dos... Tu m'ordonnes de tout nettoyer. Tu me dis d'ouvrir la bouche pour prouver que j'ai tout avalé. Je dois reprendre le cunnilingus...tu n'as pas jouis... De longues minutes... Avant que tu y parviennes. Tu as jouis si fort, tes jambes ont écrasées ma tête. Je suis épuisé. Tu me laisses là. Inerte. Au pied du lit. Tu pars te repoudrer. Me voilà comme tu souhaitais, attaché sur une table, en "L". Le torse à plat sur la table, les bras devant moi, ligotés, mes jambes écartées attachées également. J'ai toujours ma cage de chasteté. Tu viens m'embrasser. Et me pose un gros bâillon boule rouge "pute". Tu le sers jusqu'au cran. L'attache pénètre mes joues. Tu me bandes les yeux. Tu regardes ton œuvre. Tu tournes autour de la table. Tu t'arrêtes sur un détail, le bâillon boule me fait saliver... Tu en joues en métalant la salive sur mon visage et mes cheveux. Tu retournes derrière moi. Quelle vue. Ta chienne encagée, son petit orifice, ses jambes écartées... Tu attaches à la base de mes bourses un petit collier de chaton, ce dernier possède un grelot, le grelot tinte à chacun de mes mouvements. Tu m'ordonnes qu'il ne sonne pas... Tu lances le fouet, le grelot tinte... Tu recommences... Encore et encore... Mon petit cul en rouge. Je tremble de douleur, je hurle dans mon bâillon. Tu me dis que c'est terminé... Tu embrasses mes fesses, puis. Tu fais glisser ta culotte encore immaculée de reste de nos semences. Tu la glisses sur ma tête, la partie la plus odorante tombe pile sur mon nez. Je suis soulagé. Je sens un liquide couler sur mon anus... Oui c'est bien gras. Du lubrifiant. Gloups... J'ai mon bandeau, ta culotte, mais tu enlèves mon bâillon. Je découvre alors un goût de plastique. Tu m'enfonces un god ceinture en bouche. Je n'arrive pas à le sucer convenablement du fait de ma position. Tu me remets le bâillon en bouche. Le serre un cran de plus. Et tu dis "tu vas en avoir besoin ma belle". Tu m'insères un doigt, lentement, puis deux. Mon grelot tinte... Cela t'excite. Tu me prends avec tendresse. Je gémis face à ta douceur, ton onctuosité... Tu es parfaite. Le godemiché est juste à la bonne taille. La stimulation de ma prostate me déclanche un orgasme comme je n'ai jamais connu. Mon sperme se déverse au travers de ma cage. Tu passes sous la table le lécher... Et tu m'abandonnes ainsi...
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Par : le 05/10/21
A lire sur Massive Attack - Everywhen. Cher(e)s Lecteurs/rices. Prenez le temps de me dire ce que vous en avez pensez, ce que vous avez ressentis, faites moi part de suggestions ******************************************************************************** Chapitre 3 : Asylum Mickael saisit ma laisse. - Ote tes chaussures et suis moi. Il m’emporta avec lui dans le couloir vers cette lumière sombre rouge et dorée. Des sons derrière des portes. Je n’avais jamais vu un tel endroit. Je tournais ma tête tentant de voir s- IL était là. Il me laissait à lui. Mon cœur en avait pris un coup. Comment ai-je pu aimer à ce point ce moment et là de me sentir abandonner? je me sentais coupable. Ma connexion a lui était si forte. Ce lien je l’avais tout de suite senti, sans chercher à comprendre pourquoi. Ses actes parlaient. Il ne cessait de me rappeler combien il serait toujours là, bienveillant à me protéger, me punir, m’élever, m’accompagner. C’était la première fois qu’il me laissait à un autre homme. En avait-je envie s’il n’était pas là ? Mickael me fit pénétrer dans une pièce sublime, une grande salle de bain avec une baignoire ronde au centre où la douche fixée au plafond laisser perler une pluie chaude et fine. Le choix des matériaux nobles. Qui était derrière la conception de ce lieu ? - Va te détendre maintenant. Prends un bon bain. Cassandra va venir te voir. - Mais vous ne restez pas ? - Je peux faire de toi ce que bon me semble, je veux que tu reposes. Crois-moi tu vas en avoir besoin. - Que voulez-vous dire ? - Chut et détends toi. Je restais interrogative. Nue avec mon collier, je ne voyais pas comment j’allais pouvoir me laver correctement. Je me glissais alors dans ce bain chaud qui m’avait été préparer. Mes muscles en avaient besoin. J’avais été mise à rude épreuve. Une femme entra, celle de l’entrée. - Mademoiselle Lane, un moment de détente pour vous soulager. Votre maitre a prévu qu’on vous chouchoute maintenant. - Vous êtes Cassandra ? - Oui, je suis Madame Cassandra. - Quand pourrais-je le voir ? - C’est lui qui décide quand il souhaite voir son esclave et non l’inverse. Vous êtes à sa disposition me rembarrait-t-elle. Un sentiment de tristesse m’envahit. Je repensais à ce qu’il me disait. Qu’il sera toujours présent, même s’il n’était pas là. - Je laisse une chemise de nuit, on viendra vous chercher pour vous conduire à votre chambre. Une esclave viendra vous prodiguer un massage. Je n’en revenais pas, ce lieu était si déconcertant. Comme un rêve où tout est permis. Cassandra semblait être la maitresse des lieux. Tout était sous contrôle. Je fermais les yeux, doucement, je somnolente. Le bruit me réveilla. Une jeune femme était entrée. - Habillez-vous et veuillez me suivre, Mademoiselle. En sortant de l’eau, elle me donna une serviette, m’aidant à m’essuyer, c’était si troublant. Une femme un peu corpulente, le teint clair et toujours ce rouge à lèvre rouge. Elle portait une tenue presque médicale. Je voyais dans son regard qu’elle prenait un plaisir à m’essuyer. Elle s’agenouillait même pour sécher mes pieds. J’en étais gênée. Elle me tendit ma chemise de nuit. A vrai dire je la trouvais affreuse. Simple, verte. on aurait dit une blouse d'hôpital. Elle me guida jusqu’à ma chambre. J’étais complètement désorientée dans ce labyrinthe. Quand je la découvris, elle était très grande, un papier de velours noir baroque au mur ; de nombreuses pièces dorées, un mobilier plein d'âme et une coiffeuse. - Vos affaires ont été rangés dans ce dressing, ici vous avez vos produits de maquillage. Votre repas vous sera apports à 20h. Il est temps de vous mettre nue et de profiter du massage. J’avançais vers la table de massage. J’en avais temps besoin. Elle avait la main masseuse, cela semblait bien prometteur. L’eau du bain avait mis mes muscles à bonne température. Je savourais. Une fois qu’elle eut terminé, elle m’aida à m’habiller, me coiffa et me laissa, seule dans ma chambre. Mon premier moment, seule. Il me manquait. Je pensais à lui. Je fis le tour de la pièce. Ma curiosité me poussant à vouloir sortir. Je ne le pouvais , la porte était fermée à clé. Les battements de mon cœur accéléraient. Je vis dans le coin de la chambre, une caméra. Etait-il en train de me surveiller ? de veiller sur moi ?. Je trouvais cela excitant. Je tentais de profiter de ce moment pour moi. - Ta musique est sur le chevet entendis-je. Mais… je tournais la tête pour voir d’où sa voix provenait. J’étais si heureuse de voir mon vieux téléphone portable qui avait temps vécu qui contenait toute ma musique. La musique me canalise. Il avait eu cette attention avec ma petite enceinte qui me suit partout. Juste avant de partir je ne l’avais pas retrouvé. Cela m’avait tant ennuyée. - Maintenant il est l’heure de manger. Je te regarde, je t’observe. Bon appétit mon ange. Le repas qu’on m’apporta était divin. Je devais rester dans cette pièce. La musique me transportait. Mon esprit repensait à ce que j’avais vécu, mes ressentis. Tout était en désordre, même mes certitudes. Il me faisait sortir de ma zone de confort. Que pouvait-il ressentir à m’avoir offerte ainsi ? Il savait que j’en rêvais mais je ne voulais jamais allé plus loin car cela voulait dire aussi accepter que lui aussi puisse profiter d’autres femmes. Mon esprit ne tolérait pas cela. J’avais cette peur de l’abandon terrible. J’en avais conscience et c’était mon démon. J’avais fait un travail sur moi pour devenir la femme que je suis. J’avais une tendance à me couper des gens pour me pas souffrir. Mon éducation stricte avec une mère dépressive, une père autoritaire avait semé cette graine en moi. « Avec le caractère que tu as-tu ne trouveras personne ? qui voudrait de toi ? Tu es grosse, il faut faire quelque chose ? et j’en passe. Le coup de grâce fut ma mère qui me laissa à mon père pour partir et s’occuper de « ses enfants ». Et qui étais-je moi ? Cela est une de mes grandes blessures. Je cogitais toujours et encore, parfois enfermée dans ma logique. Il m'en faisais sortir. Je ressens tout à 200%, et lui, savait me canaliser, me rassurer quand il le fallait. Il me faisait me questionner, avancer mais il était toujours là. Bienveillant. Je me sentais égoïste de vouloir tant de choses, et à l’inverse de toujours vouloir garder le contrôle, à penser à ce que les autres pensent. Avec lui, j’avais dû apprendre à lâcher prise. Une relation qui s’est construite sur le temps. Il me testait, je le testais, toujours à le défier jusqu’à ce que je m’abandonne totalement à lui. Je me couchais avec différents sentiments. Me regardait-il ? Je m’endormais avec la sensation de sa présence. J’aimais savoir qu’il veillait sur moi. - Laissez moi, laissez moi. On m’extirpa du lit, je me débattais. On m’avait sorti du sommeil. - Lâchez moi. Lâchez moi !!! Deux hommes m’avaient saisi par les bras, c’est là que je vis Mickael. - Tu es à moi pour la nuit.. tu sembles l’avoir vite oublier. Telle une furie je luttais. Pour éviter de me débattre, on m’enfila une camisole. J’étais complètement désorientée. On m’amena dans une pièce vide, avec une chaise et une table. Les murs étaient capitonnés comme dans un hôpital. On me força à m’asseoir sur une chaise. Mickael appuyait sa main sur mon épaule. - Ne bouge pas ! le médecin va arriver, dit-il d’une voix autoritaire. La lumière blanche m’aveuglait, je détestais cette atmosphère. - Mademoiselle Lane! Au loin je vis un homme entrer, vêtu de blanc habillé comme un médecin. La mise en situation était incroyable. Le regard pénétrant de Monsieur me réchauffa. - Monsieur, c’est si bon de vous voir. - Taisez-vous, vous êtes ici pour qu’on vous soigne de vos maux. - Mes maux.. je souriais. Laissez moi venir avec vous, je vous en prie quémandais-je suppliante. - Non non… Nous devons soulager cette perversion qui vous habite, de vos doutes qui vous empêchent d'avancer. - Je… - Bâillonnez là. Je me débattais, le regard suppliant. - Cessez de toujours répondre quand on ne vous demande rien! Je préconise une nuit en observation. Attachée fermement au lit afin qu'elle réfléchisse. Mickaël, veillera sur vous me dit-il . - Emmenez là Mickael Je me débattais, ne voulant me laissez faire. Il m’observait pendant qu’on m’emmenait je ne sais où. - Allez arrête de te débattre! ça ne sert à rien. On va bien s’occuper de toi. Crois-moi! me dit-il avec autorité. Je vis son sourire. Je regardais une ultime fois en arrière pensant qu’il me reprendrait. Mickaël me poussa sur le lit. - Laisse toi faire, j’en ai maté plus d’une qui voulait résister. Plus tu résistes, plus je sévirais. Il défit ma camisole. Je ne pouvais lutter contre lsa force malgré ma résistance. - Sage! sois docile!. Je me retrouvais attachée, sanglée au lit. Mickaël se pencha sur moi. Il caressa mon visage. - Je vais bien m’occuper de toi, ne t’inquiète pas. Tes yeux apeurés sont si excitant. Il embrassa mon front. - Dors maintenant petite chienne. Je voulais lui répondre d’aller se faire voir mais impossible avec ce bâillon qui était si serré que j'en salivais. Dans ma tête, je cogitais, encore et encore. Je tentais de me défaire mais impossible. Je cessais de combattre, prenant de grande respiration pour me calmer. Je m’endormais tout doucement. C’est à ce moment que je sentis une forme de décharge électrique me réveiller. Je tentais de me défaire de cela. Je vis Mickael au dessus de moi, s’amuser sur mon corps. - C’est ça excite- moi davantage. Sa main parcourait mon corps, insistant à travers la chemise de nuit sur ma poitrine. Il descendait vers mon ventre, puis , mes cuisses, mes jambes. - Humm ta peau est si douce. - Quel beau pied vernis. Tu sais que je raffole des pieds. Il commença par me chatouiller. J’avais horreur de ça. - Non non tentais-je de dire. Puis il déposa un baiser sur mon pied, commençant à les embrasser, les lécher, les masser. - Laisse-toi faire où je te donne encore quelques décharges pour te rendre docile. Je ne pouvais rien faire, j’étais à sa disposition comme mon maitre le souhaitait. - Quel plaisir de te déguster. Tes pieds sont sublimes, ta peau si douce. Plus tu vas te débattre et plus je serai exciter tu sais. Il s’était relevé, assis sur le coin du lit, il plongea son regard dans le mien. Il me saisit par la mâchoire et me lécha la joue, les lèvres. - Bonne petite chienne obéissante. Je vais te donner ton traitement. Il me donna une gifle puis une autre. Je me débattais. Il ôta les liens u de mes pieds. - Va-y débats toi que je rigole un peu. Tu ne peux pas m’échapper. Il sangla mes pieds ensemble. Il sortit sa queue et la plaça entre mes pieds. Il se masturba avec. Il les tenait bien fermement. - Hummm putain.. c’est bon… Il s’amusait encore à me donner quelques coups électriques. Je voyais son excitation. - Oh putain tu vas me faire juter petite salope. Il avait pris sa queue dans sa main. Il me tourna sur le ventre, me contorsionnant. Je sentis son sperme sur mes fesses. - Merci ma belle de t’être si bien occupé de moi me murmura-t-il à l’oreille. Il revint quelques minutes plus tard avec une bassine et une éponge. - Je vais te nettoyer ne t’inquiète pas. Il passa l’éponge rugeuse froide sur mon corps. Je frissonai. - Hum ta peau rougit.. Je tentais de me défaire toujours et encore. Cette éponge était si rugueuse, elle me faisait mal. Il y prenait plaisir. Son regard pervers me donnait l’envie de me soustraire à lui e de l'autre, t je repensais à comment il m’avait prise hier soir. - Je veux aller aux toilettes.. tentais-je de dire - Je ne comprend pas ma chérie.. que veux tu ? - Je veux aller aux toilettes… Le son de ma voix était étouffé par le bâillon. Il l’ôta. Ses lèvre proches des miennes puis il tendit son oreille. - Répète ma chérie, que veux tu ? - Je veux aller aux toilettes. - Ohhh c’est si mal demandé…. - Je veux aller aux toilettes, s’il vous plait.. Monsieur. - Humm voilà qui est mieux… Il me détacha. - Allez lève toi dit-il en me saisissant par le bras. Il me fit marcher une dizaine de mettre. Quel bonheur de pouvoir se soulager. Mickael pénétra avec moi dans les toilettes et y resta. - Puis-je avoir un peu d'intimité. - non! pisse. - Retournez vous! - tu n'as pas à me donner d'ordre. Je me soulageais, il me regardait. Je me sentais humiliée. Quand j'eusse tirer la chasse d'eau, il m'empoigna par le cou et me plaqua contre le rebord du meuble du lavabo. Il plaqua sa queue contre mes fesses. Je sentais à nouveau son désir. - Lave toi les mains. Il mis sa main sur ma chatte. - Si trempée, petite chienne. - Non je vous en prie, laissez moi. - Te laisser.. trempée ainsi… Il tira mes cheveux pour plaquer ma tête contre la porte. Il ferma à clé la porte des toilettes. - On va passer un bon moment toi et moi… - S’il vous plait Monsieur, je ne veux pas. Il me retourna avec brutalité mettant ses bras de part et d’autres de ma tête. - Encore un refus, et je serai moins gentil. Tu vas être très gentille et obéissante. Je ne pouvais me soustraire à lui. Il plaqua sa main sur ma bouche. - Pas un son, pas un bruit, compris ? sinon après je vais devoir te punir que tu ne pourras plus d’asseoir après. Et que dirait ton Maitre si je lui disais que tu n’as pas exécuté ses ordres ? Celui de m'obéir comme si c'était lui?. Je hochais la tête pour dire oui. Il plongea son regard dans le mien. - Bonne chienne… dit-il en possédant ma bouche. Il me tenait au mur par la gorger. Je mettais les main dessus pour m’en libérer. Il serra si fort, que j'en devenais docile. Il me gifla et pris mes cheveux avec vigueur. - Montre moi tes seins ! Comme je n’obéissais pas, il me gifla à nouveau - Montre moi tes seins. Sa gifle fut intense. Je soulevais ma robe de nuit pour lui exhiber mes seins. - Tu sais que j’ai aimé les martyriser, et je vais encore les martyriser. Voyons ton degré de résistance. Si tu cris, je pince encore plus fort. Le premier, sa pression était vive, il observait ma réaction. Je fermais les yeux pour soutenir la douleur à mon téton gauche. - Hummm regarde ça… dressé…. Parlait-il de moi? de mon téton? Il s’occupa alors de l’autre.. Relâchant mes cheveux pour prendre mes seins en main, il les malaxait si rudement. Je tentais de me soustraire. Il serra ma gorge, plongea son regard à nouveau dans le mien. Il les gifla encore et encore. - C’est ça que tu voulais petite putain… Je gémissais doucement. - Avoue que tu es excitée.. Je n’osais rien dire, il est vrai que cette situation était excitante. J’aimais la contrainte. Je ne voulais pas céder mais mon coeur, mes désirs le voulaient. - Regarde comme t’es mouillée. Il mis son doigt mouillé dans ma bouche… - Déshabille toi ! Je me faisais doucement obéissante. Je ne pouvais nier mon désir. Il serra encore davantage. Je mis mes mains par dessus. - Dis moi que tu aimes ça ! - Je… oui Monsieur j’aime ça. - Tu aimes avoir des doigts dans ta bouche. Hum hum tentais je de dire alors qu’il pénétrait ma bouche. - Tu veux que je te saute sauvagement. Hum hum… Il mit sa main sur ma chatte et commença à me caresser. - Hum tu aimes ça.. ta chatte réclame qu’on s’occupe d’elle. Ecarte mieux ! Sa main puissante faisait que j’écartais naturellement mes cuisses. Il remonta sa main et me gifla. - Voilà le traitement qu’on donne aux chiennes. Il ôta sa ceinture et lia mes poignets. Il m’attacha au crochet de la porte avec sa ceinture. - Tout doux ma belle. Ca ne sert à rien de larmoyer. Tu ne renforces que mon excitation. Il remit mon bâillon en place. - Avec ton bâillon tu es à croquer.. cette vulnérabilité, cette pauvre petite chienne prise au piège murmura-t-il à mon oreille. Il me retourna et souleva ma jambe. Il plaça sa queue dans ma chatte sans aucun ménagement. - Sens ma queue qui va te prendre petite salope. Tu aimes? Je ne pouvais répondre. - Oui tu aimes ça se voit, que tu aimes ça. Ses coups de queues étaient intenses. Je remis ma jambe au sol. - Cambre toi ! Il me saisit les hanches pour me pilonner sauvagement. A un moment il empoigna mes cheveux, je me cambrais d’avantage. Mes gémissements étaient étouffés. Il claqua mes fesses. - Hum… si chaude… Il mis ses mains sur ma gorge et continua de me baiser. Son sexe était si dur. Quand il me lâcha, je me retournais, avec un regard apeuré qui sembla l’exciter au plus haut point. Il me détacha du crochet et me força à m’agenouiller. Il ota le bâillon qui tomba autours de mon cou. Tenant son sexe dans sa main, il le plongea sans ménagement dans ma bouche tout en agrippant mes cheveux. - Allez suce moi ! Comme je ne le laissais pas faire, il prit le contrôle. Sa main sur ma tête. Il effectuait des vas et viens avec fermeté. - Regarde moi ! Je levais les yeux vers lui. - Hummm… râlait-il te plaisir. Oh ouiiiiii, t’es si bandante Il l’engouffra bien au fond de ma gorge, tout en tenant ma tête d’une main et de l’autre mes cheveux. Cette étreinte forcée me fit baver. - C’est ça.. oui.. prends la bien au fond de ta gorge de petite pute. Je bavais. Il se retira de ma bouche. Toujours en tenant mes cheveux, - C'est ça mets ta salive sur ma queue. Puis, il me força à mettre ma bouche sur ses couilles. - Lèche mes couilles ! Voilà c’est ça. Lui se masturbait. Il caressa mon visage avec sa queue - C’est ça continue de bien lécher… humm J’étais à genou, les cuisses posées sur mes jambes, offerte à ses envies. Je pensais à mon maitre. - Ouvre tes yeux, regarde moi… Je le regardais, je me sentis si soumise à ce moment là. Excitée aussi d’avoir été prise ainsi. - Joins tes mains devant toi et mets les devants ta bouche. Allez sors ta petite langue de pute. J’appréhendais. Il serra son emprise au niveau de mes cheveux pour me faire comprendre d'arrêter de vouloir prendre le contrôle. Je sortais alors ma langue. Il plongea une dernière fois sa queue et éjacula dans mes mains. Il me gifla ensuite avec sa queue. - Humm tu m'as bien vidé. Allez va t’essuyer ! Il m’aida à me relever. Il ôta sa ceinture de mes poignets. Je commençais à laver mes mains quand je sentis la morsure de la ceinture. - Je vais te punir maintenant ! tu vas compter jusqu’à 20. - Je…mais ? - Quelle chienne résiste, riposte! prends ses aises, souhaite garder le contrôle. Et ne remercie pas son Maitre? - Prête ? Allez 1… je te laisse suivre le décompte. Mademoiselle Lane. Je le regardais à travers le miroir. Son regard était impitoyable. Je tentais de faire un regard suppliant. - Tu les mérites. Tu vas me regarder te corriger dans le miroir et tu me remercier pour chaque coup. - Embrasse la ceinture maintenant. - Cambre bien tes fesses. Je respirais fortement. Je le regardais, sa main partant en arrière. - Je vais devoir recommencer, tu ne m'as pas remercier pour le premier. La ceinture frappa.. - 1... merci.. Monsieur.. Je sentais chaque coup arriver. C’était pervers. J'avais de plus en plus de mal à partlr. Je tentais au fur et mesure de me soustraire à lui, je me vidais, acceptant les coups si mérités. - 16… Merci... Monsieur Mon corps battait la chamade, la douleur était présente. Ma résistance hautaine me quittait. - 17…Merci... Monsieur Il me claque si fortement que mon cri s’entendait à travers mon bâillon.. - 18…m...mer..merc.. merci M... mo..monnsieur tentait-je de dire, épuisée. Je bégayais presque. Il savourait ce moment, me laissant aussi le temps de reprendre mon courage, mon esprit mais frappant au juste moment. une larme perlait. - 19... Me..merci.. Mon... monsieur Je sanglotais, je laissais faire, je m’abandonnais. Je tombais presque au sol. - le dernier ma chère.. le dernier. - 20.. Je tombais sans force contre le meuble, je ne regardais plus. - M...me...merci .. Il caressa mes cheveux, j'étais le buste allongé sur le meuble.. - Monsieur J’étais épuisée, sans force tellement il m’avait poussé dans mes retranchements. Il me releva avec douceur. Il me soutenait et m'enlaça. J’étais docile. Il essuya mes larmes. La chaleur de son corps me réconforta. Je sentais son coeur, je me laissais aller. Il s’empara de ma chemise de nuit pour me la remettre. Je frissonnais. Ce moment là de tension, de lâcher prise. Je ne pensais plus à rien si ce n'est à mes fesses. Je me laissais reconduire à mon lit après ce traitement intense. Délicatement, il me dit de m’allonger sur le ventre. Il prit une main pour l’attacher puis l’autre. Il fit de mêmes avec mes chevilles, attachées et écartées. Il écarta mes mèches de cheveux tombant sur mon visage, il se montrait si doux. - Repose toi maintenant tu en as besoin. Je vais t’apporter une couverture, le docteur passera demain. Il m’embrassa sur la joue. Mes fesses étaient douloureuses, je revivais cet instant où il m’avait corrigé me forçant à le regarder, à me regarder. Cela m’avait terriblement excitée. Je m’endormais épuisée et sans plus réfléchir. Je sentis une main caresser mes fesses… de l’huile sentant divinement bon. - Je vois que votre traitement a été efficace Mademoiselle. Il était là.. enfin… Je n'arrivais plus à parler. - Vous... - Je vais vous détacher maintenant. Je vais vous porter jusqu'à ma chambre. Je vais maintenant prendre soin de vous et vous aurez le temps de me parler de tous vos ressentis, vos doutes, vos sentiments. Mon fantasme (mardi 05 octobre 2021 12:55) : Deadalus- Chapitre 3 - Asylum MODIFIER SUPPRIMER A lire sur Massive Attack - Everywhen. Cher(e)s Lecteurs/rices. Prenez le temps de me dire ce que vous en avez pensez, ce que vous avez ressentis, faites moi part de suggestions ******************************************************************************** Chapitre 3 : Asylum Mickael saisit ma laisse. - Ote tes chaussures et suis moi. Il m’emporta avec lui dans le couloir vers cette lumière sombre rouge et dorée. Des sons derrière des portes. Je n’avais jamais vu un tel endroit. Je tournais ma tête tentant de voir s- IL était là. Il me laissait à lui. Mon cœur en avait pris un coup. Comment ai-je pu aimer à ce point ce moment et là de me sentir abandonner? je me sentais coupable. Ma connexion a lui était si forte. Ce lien je l’avais tout de suite senti, sans chercher à comprendre pourquoi. Ses actes parlaient. Il ne cessait de me rappeler combien il serait toujours là, bienveillant à me protéger, me punir, m’élever, m’accompagner. C’était la première fois qu’il me laissait à un autre homme. En avait-je envie s’il n’était pas là ? Mickael me fit pénétrer dans une pièce sublime, une grande salle de bain avec une baignoire ronde au centre où la douche fixée au plafond laisser perler une pluie chaude et fine. Le choix des matériaux nobles. Qui était derrière la conception de ce lieu ? - Va te détendre maintenant. Prends un bon bain. Cassandra va venir te voir. - Mais vous ne restez pas ? - Je peux faire de toi ce que bon me semble, je veux que tu reposes. Crois-moi tu vas en avoir besoin. - Que voulez-vous dire ? - Chut et détends toi. Je restais interrogative. Nue avec mon collier, je ne voyais pas comment j’allais pouvoir me laver correctement. Je me glissais alors dans ce bain chaud qui m’avait été préparer. Mes muscles en avaient besoin. J’avais été mise à rude épreuve. Une femme entra, celle de l’entrée. - Mademoiselle Lane, un moment de détente pour vous soulager. Votre maitre a prévu qu’on vous chouchoute maintenant. - Vous êtes Cassandra ? - Oui, je suis Madame Cassandra. - Quand pourrais-je le voir ? - C’est lui qui décide quand il souhaite voir son esclave et non l’inverse. Vous êtes à sa disposition me rembarrait-t-elle. Un sentiment de tristesse m’envahit. Je repensais à ce qu’il me disait. Qu’il sera toujours présent, même s’il n’était pas là. - Je laisse une chemise de nuit, on viendra vous chercher pour vous conduire à votre chambre. Une esclave viendra vous prodiguer un massage. Je n’en revenais pas, ce lieu était si déconcertant. Comme un rêve où tout est permis. Cassandra semblait être la maitresse des lieux. Tout était sous contrôle. Je fermais les yeux, doucement, je somnolente. Le bruit me réveilla. Une jeune femme était entrée. - Habillez-vous et veuillez me suivre, Mademoiselle. En sortant de l’eau, elle me donna une serviette, m’aidant à m’essuyer, c’était si troublant. Une femme un peu corpulente, le teint clair et toujours ce rouge à lèvre rouge. Elle portait une tenue presque médicale. Je voyais dans son regard qu’elle prenait un plaisir à m’essuyer. Elle s’agenouillait même pour sécher mes pieds. J’en étais gênée. Elle me tendit ma chemise de nuit. A vrai dire je la trouvais affreuse. Simple, verte. on aurait dit une blouse d'hôpital. Elle me guida jusqu’à ma chambre. J’étais complètement désorientée dans ce labyrinthe. Quand je la découvris, elle était très grande, un papier de velours noir baroque au mur ; de nombreuses pièces dorées, un mobilier plein d'âme et une coiffeuse. - Vos affaires ont été rangés dans ce dressing, ici vous avez vos produits de maquillage. Votre repas vous sera apports à 20h. Il est temps de vous mettre nue et de profiter du massage. J’avançais vers la table de massage. J’en avais temps besoin. Elle avait la main masseuse, cela semblait bien prometteur. L’eau du bain avait mis mes muscles à bonne température. Je savourais. Une fois qu’elle eut terminé, elle m’aida à m’habiller, me coiffa et me laissa, seule dans ma chambre. Mon premier moment, seule. Il me manquait. Je pensais à lui. Je fis le tour de la pièce. Ma curiosité me poussant à vouloir sortir. Je ne le pouvais , la porte était fermée à clé. Les battements de mon cœur accéléraient. Je vis dans le coin de la chambre, une caméra. Etait-il en train de me surveiller ? de veiller sur moi ?. Je trouvais cela excitant. Je tentais de profiter de ce moment pour moi. - Ta musique est sur le chevet entendis-je. Mais… je tournais la tête pour voir d’où sa voix provenait. J’étais si heureuse de voir mon vieux téléphone portable qui avait temps vécu qui contenait toute ma musique. La musique me canalise. Il avait eu cette attention avec ma petite enceinte qui me suit partout. Juste avant de partir je ne l’avais pas retrouvé. Cela m’avait tant ennuyée. - Maintenant il est l’heure de manger. Je te regarde, je t’observe. Bon appétit mon ange. Le repas qu’on m’apporta était divin. Je devais rester dans cette pièce. La musique me transportait. Mon esprit repensait à ce que j’avais vécu, mes ressentis. Tout était en désordre, même mes certitudes. Il me faisait sortir de ma zone de confort. Que pouvait-il ressentir à m’avoir offerte ainsi ? Il savait que j’en rêvais mais je ne voulais jamais allé plus loin car cela voulait dire aussi accepter que lui aussi puisse profiter d’autres femmes. Mon esprit ne tolérait pas cela. J’avais cette peur de l’abandon terrible. J’en avais conscience et c’était mon démon. J’avais fait un travail sur moi pour devenir la femme que je suis. J’avais une tendance à me couper des gens pour me pas souffrir. Mon éducation stricte avec une mère dépressive, une père autoritaire avait semé cette graine en moi. « Avec le caractère que tu as-tu ne trouveras personne ? qui voudrait de toi ? Tu es grosse, il faut faire quelque chose ? et j’en passe. Le coup de grâce fut ma mère qui me laissa à mon père pour partir et s’occuper de « ses enfants ». Et qui étais-je moi ? Cela est une de mes grandes blessures. Je cogitais toujours et encore, parfois enfermée dans ma logique. Il m'en faisais sortir. Je ressens tout à 200%, et lui, savait me canaliser, me rassurer quand il le fallait. Il me faisait me questionner, avancer mais il était toujours là. Bienveillant. Je me sentais égoïste de vouloir tant de choses, et à l’inverse de toujours vouloir garder le contrôle, à penser à ce que les autres pensent. Avec lui, j’avais dû apprendre à lâcher prise. Une relation qui s’est construite sur le temps. Il me testait, je le testais, toujours à le défier jusqu’à ce que je m’abandonne totalement à lui. Je me couchais avec différents sentiments. Me regardait-il ? Je m’endormais avec la sensation de sa présence. J’aimais savoir qu’il veillait sur moi. - Laissez moi, laissez moi. On m’extirpa du lit, je me débattais. On m’avait sorti du sommeil. - Lâchez moi. Lâchez moi !!! Deux hommes m’avaient saisi par les bras, c’est là que je vis Mickael. - Tu es à moi pour la nuit.. tu sembles l’avoir vite oublier. Telle une furie je luttais. Pour éviter de me débattre, on m’enfila une camisole. J’étais complètement désorientée. On m’amena dans une pièce vide, avec une chaise et une table. Les murs étaient capitonnés comme dans un hôpital. On me força à m’asseoir sur une chaise. Mickael appuyait sa main sur mon épaule. - Ne bouge pas ! le médecin va arriver, dit-il d’une voix autoritaire. La lumière blanche m’aveuglait, je détestais cette atmosphère. - Mademoiselle Lane! Au loin je vis un homme entrer, vêtu de blanc habillé comme un médecin. La mise en situation était incroyable. Le regard pénétrant de Monsieur me réchauffa. - Monsieur, c’est si bon de vous voir. - Taisez-vous, vous êtes ici pour qu’on vous soigne de vos maux. - Mes maux.. je souriais. Laissez moi venir avec vous, je vous en prie quémandais-je suppliante. - Non non… Nous devons soulager cette perversion qui vous habite, de vos doutes qui vous empêchent d'avancer. - Je… - Bâillonnez là. Je me débattais, le regard suppliant. - Cessez de toujours répondre quand on ne vous demande rien! Je préconise une nuit en observation. Attachée fermement au lit afin qu'elle réfléchisse. Mickaël, veillera sur vous me dit-il . - Emmenez là Mickael Je me débattais, ne voulant me laissez faire. Il m’observait pendant qu’on m’emmenait je ne sais où. - Allez arrête de te débattre! ça ne sert à rien. On va bien s’occuper de toi. Crois-moi! me dit-il avec autorité. Je vis son sourire. Je regardais une ultime fois en arrière pensant qu’il me reprendrait. Mickaël me poussa sur le lit. - Laisse toi faire, j’en ai maté plus d’une qui voulait résister. Plus tu résistes, plus je sévirais. Il défit ma camisole. Je ne pouvais lutter contre lsa force malgré ma résistance. - Sage! sois docile!. Je me retrouvais attachée, sanglée au lit. Mickaël se pencha sur moi. Il caressa mon visage. - Je vais bien m’occuper de toi, ne t’inquiète pas. Tes yeux apeurés sont si excitant. Il embrassa mon front. - Dors maintenant petite chienne. Je voulais lui répondre d’aller se faire voir mais impossible avec ce bâillon qui était si serré que j'en salivais. Dans ma tête, je cogitais, encore et encore. Je tentais de me défaire mais impossible. Je cessais de combattre, prenant de grande respiration pour me calmer. Je m’endormais tout doucement. C’est à ce moment que je sentis une forme de décharge électrique me réveiller. Je tentais de me défaire de cela. Je vis Mickael au dessus de moi, s’amuser sur mon corps. - C’est ça excite- moi davantage. Sa main parcourait mon corps, insistant à travers la chemise de nuit sur ma poitrine. Il descendait vers mon ventre, puis , mes cuisses, mes jambes. - Humm ta peau est si douce. - Quel beau pied vernis. Tu sais que je raffole des pieds. Il commença par me chatouiller. J’avais horreur de ça. - Non non tentais-je de dire. Puis il déposa un baiser sur mon pied, commençant à les embrasser, les lécher, les masser. - Laisse-toi faire où je te donne encore quelques décharges pour te rendre docile. Je ne pouvais rien faire, j’étais à sa disposition comme mon maitre le souhaitait. - Quel plaisir de te déguster. Tes pieds sont sublimes, ta peau si douce. Plus tu vas te débattre et plus je serai exciter tu sais. Il s’était relevé, assis sur le coin du lit, il plongea son regard dans le mien. Il me saisit par la mâchoire et me lécha la joue, les lèvres. - Bonne petite chienne obéissante. Je vais te donner ton traitement. Il me donna une gifle puis une autre. Je me débattais. Il ôta les liens u de mes pieds. - Va-y débats toi que je rigole un peu. Tu ne peux pas m’échapper. Il sangla mes pieds ensemble. Il sortit sa queue et la plaça entre mes pieds. Il se masturba avec. Il les tenait bien fermement. - Hummm putain.. c’est bon… Il s’amusait encore à me donner quelques coups électriques. Je voyais son excitation. - Oh putain tu vas me faire juter petite salope. Il avait pris sa queue dans sa main. Il me tourna sur le ventre, me contorsionnant. Je sentis son sperme sur mes fesses. - Merci ma belle de t’être si bien occupé de moi me murmura-t-il à l’oreille. Il revint quelques minutes plus tard avec une bassine et une éponge. - Je vais te nettoyer ne t’inquiète pas. Il passa l’éponge rugeuse froide sur mon corps. Je frissonai. - Hum ta peau rougit.. Je tentais de me défaire toujours et encore. Cette éponge était si rugueuse, elle me faisait mal. Il y prenait plaisir. Son regard pervers me donnait l’envie de me soustraire à lui e de l'autre, t je repensais à comment il m’avait prise hier soir. - Je veux aller aux toilettes.. tentais-je de dire - Je ne comprend pas ma chérie.. que veux tu ? - Je veux aller aux toilettes… Le son de ma voix était étouffé par le bâillon. Il l’ôta. Ses lèvre proches des miennes puis il tendit son oreille. - Répète ma chérie, que veux tu ? - Je veux aller aux toilettes. - Ohhh c’est si mal demandé…. - Je veux aller aux toilettes, s’il vous plait.. Monsieur. - Humm voilà qui est mieux… Il me détacha. - Allez lève toi dit-il en me saisissant par le bras. Il me fit marcher une dizaine de mettre. Quel bonheur de pouvoir se soulager. Mickael pénétra avec moi dans les toilettes et y resta. - Puis-je avoir un peu d'intimité. - non! pisse. - Retournez vous! - tu n'as pas à me donner d'ordre. Je me soulageais, il me regardait. Je me sentais humiliée. Quand j'eusse tirer la chasse d'eau, il m'empoigna par le cou et me plaqua contre le rebord du meuble du lavabo. Il plaqua sa queue contre mes fesses. Je sentais à nouveau son désir. - Lave toi les mains. Il mis sa main sur ma chatte. - Si trempée, petite chienne. - Non je vous en prie, laissez moi. - Te laisser.. trempée ainsi… Il tira mes cheveux pour plaquer ma tête contre la porte. Il ferma à clé la porte des toilettes. - On va passer un bon moment toi et moi… - S’il vous plait Monsieur, je ne veux pas. Il me retourna avec brutalité mettant ses bras de part et d’autres de ma tête. - Encore un refus, et je serai moins gentil. Tu vas être très gentille et obéissante. Je ne pouvais me soustraire à lui. Il plaqua sa main sur ma bouche. - Pas un son, pas un bruit, compris ? sinon après je vais devoir te punir que tu ne pourras plus d’asseoir après. Et que dirait ton Maitre si je lui disais que tu n’as pas exécuté ses ordres ? Celui de m'obéir comme si c'était lui?. Je hochais la tête pour dire oui. Il plongea son regard dans le mien. - Bonne chienne… dit-il en possédant ma bouche. Il me tenait au mur par la gorger. Je mettais les main dessus pour m’en libérer. Il serra si fort, que j'en devenais docile. Il me gifla et pris mes cheveux avec vigueur. - Montre moi tes seins ! Comme je n’obéissais pas, il me gifla à nouveau - Montre moi tes seins. Sa gifle fut intense. Je soulevais ma robe de nuit pour lui exhiber mes seins. - Tu sais que j’ai aimé les martyriser, et je vais encore les martyriser. Voyons ton degré de résistance. Si tu cris, je pince encore plus fort. Le premier, sa pression était vive, il observait ma réaction. Je fermais les yeux pour soutenir la douleur à mon téton gauche. - Hummm regarde ça… dressé…. Parlait-il de moi? de mon téton? Il s’occupa alors de l’autre.. Relâchant mes cheveux pour prendre mes seins en main, il les malaxait si rudement. Je tentais de me soustraire. Il serra ma gorge, plongea son regard à nouveau dans le mien. Il les gifla encore et encore. - C’est ça que tu voulais petite putain… Je gémissais doucement. - Avoue que tu es excitée.. Je n’osais rien dire, il est vrai que cette situation était excitante. J’aimais la contrainte. Je ne voulais pas céder mais mon coeur, mes désirs le voulaient. - Regarde comme t’es mouillée. Il mis son doigt mouillé dans ma bouche… - Déshabille toi ! Je me faisais doucement obéissante. Je ne pouvais nier mon désir. Il serra encore davantage. Je mis mes mains par dessus. - Dis moi que tu aimes ça ! - Je… oui Monsieur j’aime ça. - Tu aimes avoir des doigts dans ta bouche. Hum hum tentais je de dire alors qu’il pénétrait ma bouche. - Tu veux que je te saute sauvagement. Hum hum… Il mit sa main sur ma chatte et commença à me caresser. - Hum tu aimes ça.. ta chatte réclame qu’on s’occupe d’elle. Ecarte mieux ! Sa main puissante faisait que j’écartais naturellement mes cuisses. Il remonta sa main et me gifla. - Voilà le traitement qu’on donne aux chiennes. Il ôta sa ceinture et lia mes poignets. Il m’attacha au crochet de la porte avec sa ceinture. - Tout doux ma belle. Ca ne sert à rien de larmoyer. Tu ne renforces que mon excitation. Il remit mon bâillon en place. - Avec ton bâillon tu es à croquer.. cette vulnérabilité, cette pauvre petite chienne prise au piège murmura-t-il à mon oreille. Il me retourna et souleva ma jambe. Il plaça sa queue dans ma chatte sans aucun ménagement. - Sens ma queue qui va te prendre petite salope. Tu aimes? Je ne pouvais répondre. - Oui tu aimes ça se voit, que tu aimes ça. Ses coups de queues étaient intenses. Je remis ma jambe au sol. - Cambre toi ! Il me saisit les hanches pour me pilonner sauvagement. A un moment il empoigna mes cheveux, je me cambrais d’avantage. Mes gémissements étaient étouffés. Il claqua mes fesses. - Hum… si chaude… Il mis ses mains sur ma gorge et continua de me baiser. Son sexe était si dur. Quand il me lâcha, je me retournais, avec un regard apeuré qui sembla l’exciter au plus haut point. Il me détacha du crochet et me força à m’agenouiller. Il ota le bâillon qui tomba autours de mon cou. Tenant son sexe dans sa main, il le plongea sans ménagement dans ma bouche tout en agrippant mes cheveux. - Allez suce moi ! Comme je ne le laissais pas faire, il prit le contrôle. Sa main sur ma tête. Il effectuait des vas et viens avec fermeté. - Regarde moi ! Je levais les yeux vers lui. - Hummm… râlait-il te plaisir. Oh ouiiiiii, t’es si bandante Il l’engouffra bien au fond de ma gorge, tout en tenant ma tête d’une main et de l’autre mes cheveux. Cette étreinte forcée me fit baver. - C’est ça.. oui.. prends la bien au fond de ta gorge de petite pute. Je bavais. Il se retira de ma bouche. Toujours en tenant mes cheveux, - C'est ça mets ta salive sur ma queue. Puis, il me força à mettre ma bouche sur ses couilles. - Lèche mes couilles ! Voilà c’est ça. Lui se masturbait. Il caressa mon visage avec sa queue - C’est ça continue de bien lécher… humm J’étais à genou, les cuisses posées sur mes jambes, offerte à ses envies. Je pensais à mon maitre. - Ouvre tes yeux, regarde moi… Je le regardais, je me sentis si soumise à ce moment là. Excitée aussi d’avoir été prise ainsi. - Joins tes mains devant toi et mets les devants ta bouche. Allez sors ta petite langue de pute. J’appréhendais. Il serra son emprise au niveau de mes cheveux pour me faire comprendre d'arrêter de vouloir prendre le contrôle. Je sortais alors ma langue. Il plongea une dernière fois sa queue et éjacula dans mes mains. Il me gifla ensuite avec sa queue. - Humm tu m'as bien vidé. Allez va t’essuyer ! Il m’aida à me relever. Il ôta sa ceinture de mes poignets. Je commençais à laver mes mains quand je sentis la morsure de la ceinture. - Je vais te punir maintenant ! tu vas compter jusqu’à 20. - Je…mais ? - Quelle chienne résiste, riposte! prends ses aises, souhaite garder le contrôle. Et ne remercie pas son Maitre? - Prête ? Allez 1… je te laisse suivre le décompte. Mademoiselle Lane. Je le regardais à travers le miroir. Son regard était impitoyable. Je tentais de faire un regard suppliant. - Tu les mérites. Tu vas me regarder te corriger dans le miroir et tu me remercier pour chaque coup. - Embrasse la ceinture maintenant. - Cambre bien tes fesses. Je respirais fortement. Je le regardais, sa main partant en arrière. - Je vais devoir recommencer, tu ne m'as pas remercier pour le premier. La ceinture frappa.. - 1... merci.. Monsieur.. Je sentais chaque coup arriver. C’était pervers. J'avais de plus en plus de mal à partlr. Je tentais au fur et mesure de me soustraire à lui, je me vidais, acceptant les coups si mérités. - 16… Merci... Monsieur Mon corps battait la chamade, la douleur était présente. Ma résistance hautaine me quittait. - 17…Merci... Monsieur Il me claque si fortement que mon cri s’entendait à travers mon bâillon.. - 18…m...mer..merc.. merci M... mo..monnsieur tentait-je de dire, épuisée. Je bégayais presque. Il savourait ce moment, me laissant aussi le temps de reprendre mon courage, mon esprit mais frappant au juste moment. une larme perlait. - 19... Me..merci.. Mon... monsieur Je sanglotais, je laissais faire, je m’abandonnais. Je tombais presque au sol. - le dernier ma chère.. le dernier. - 20.. Je tombais sans force contre le meuble, je ne regardais plus. - M...me...merci .. Il caressa mes cheveux, j'étais le buste allongé sur le meuble.. - Monsieur J’étais épuisée, sans force tellement il m’avait poussé dans mes retranchements. Il me releva avec douceur. Il me soutenait et m'enlaça. J’étais docile. Il essuya mes larmes. La chaleur de son corps me réconforta. Je sentais son coeur, je me laissais aller. Il s’empara de ma chemise de nuit pour me la remettre. Je frissonnais. Ce moment là de tension, de lâcher prise. Je ne pensais plus à rien si ce n'est à mes fesses. Je me laissais reconduire à mon lit après ce traitement intense. Délicatement, il me dit de m’allonger sur le ventre. Il prit une main pour l’attacher puis l’autre. Il fit de mêmes avec mes chevilles, attachées et écartées. Il écarta mes mèches de cheveux tombant sur mon visage, il se montrait si doux. - Repose toi maintenant tu en as besoin. Je vais t’apporter une couverture, le docteur passera demain. Il m’embrassa sur la joue. Mes fesses étaient douloureuses, je revivais cet instant où il m’avait corrigé me forçant à le regarder, à me regarder. Cela m’avait terriblement excitée. Je m’endormais épuisée et sans plus réfléchir. Je sentis une main caresser mes fesses… de l’huile sentant divinement bon. - Je vois que votre traitement a été efficace Mademoiselle. Il était là.. enfin… Je n'arrivais plus à parler. - Vous... - Je vais vous détacher maintenant. Je vais vous porter jusqu'à ma chambre. Je vais maintenant prendre soin de vous et vous aurez le temps de me parler de tous vos ressentis, vos doutes, vos sentiments.
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Par : le 05/10/21
A lire sur Massive Attack - Azekel - RItual spirtit :https://youtu.be/fhI5T_NKYxc A vous qui lisez mes textes, que je prends le temps d'écrire, soyez adorable de laisser un avis, un commentaire, une suggestion... ******************************************************************************** Je fermais les yeux, je pensais à ce gode me pénétrant, à mon corps à sa disposition. Je ne pouvais bouger. Où était-il? Je sentis ce courant d’air. La pulpe de ses doigts caressant mon visage s’aventurant sur mon cou. Il sera son étreinte, je lâchais prise fermant les yeux pour savourer chaque seconde. Il serra mon visage et m’embrassa la joue avec une infinie tendresse. Les doigts de son autre main pénétraient outrageusement ma bouche. - C’est bon n’est ce pas ma petite chienne ? - Oui, monsieur, empêchée de parler par mon bâillon. Il ôta ce dernier puis avec langueur, défit mes liens. Je sentais son odeur, sa peau me frôler. attisant les sensations. Il stoppa la pénétration que je subissais au niveau de ma chatte. - Relevez-vous. Il me soutenait Mes talons hauts me donnaient de l'élégance mais la réalité me rattrapait. J’en profitais pour me blottir à lui malgré sa froideur apparente, j’aimais chacune de ses facettes. Il avait toujours ce geste doux au bon moment. Ce sentiment que rien ne pouvait m’arriver de mal en sa présence. Il m’accompagna pour me mettre à califourchon sur un meuble que je devinais être une sorte de cheval d’arçon, qui avait sur les cotés des rebords pour y déposer mes jambes. Je sentais le cuir sur mon sexe, mees genoux étaient au bord, tout comme mes fesses. Fermement il prit mes poignets et les attacha dans le dos. Il ne parlait pas, mais toujours le jeu des sens, le toucher, les odeurs. Tout était en éveil, comme jamais. - Redressez vos épaules s’il vous plait, tenez vous droite ! Durant cette semaine où vous serez ici, je veux que vous vous rappeliez ce que je vais vous dire. - Oui.. Monsieur. - Premièrement, le code d’urgence : RED. - Oui, Monsieur. Merci. - La seconde - De me faire confiance, je serai toujours à vos cotés. Tout est sous mon contrôle. - Oui... Monsieur. - Troisièmement, vos sens. - Mes sens ? Il caressa ma joue. - Oui vos sens. Vos sens vous conduiront au lâcher prise. Ressentez. Les odeurs, les sons, regardez, imaginez, gouter. Libérez vous de votre morale qui n’a lieu d’être ici. Aucun jugement alors ressentez et libérez vous! Puis marquant une pause, il continua - Quatrièmement, ne fuyez pas vos envies. - Que voulez-vous dire ? - Vous verrez bien. Acceptez vos envies, vos désirs. Ne les freinez pas à réfléchir, à vous tourmenter comme vous savez si bien le faire. Soyez vous! Ne pensez pas, ne pensez pas à ce que je peux penser de vous. Vous savez combien vous m'êtes précieuse, unique et mienne. - Hummmm… - Maintenant nous allons jouer à un petit jeu. - Messieurs entrez. Soudainement je sursautais, que faisait-il ? - Nous allons voir si ma chienne sait me reconnaitre. Nous sommes 3 ma chère. A vous de me choisir pour votre soirée ou non? - Je suis attachée Monsieur, comment pourrais-je vous reconnaitre sans pouvoir utiliser mes mains. - Utilisez vos sens ma chère. Pourquoi me choisir? Mais pour rendre le jeu plus pimenté, nous portons tous le même parfum. Je connais votre attrait à mon odeur. - Que se passe-t-il, si je ne vous choisis pas ? - Eh bien je vous regarderai avec cet homme, comment il s’occupe de vous. Je rougissais, coupable presque en avance si je choisissais mal. Il caressait délicatement mes seins. - Profitez ma chère. Laissez vous aller. Découvrez ce dont vous êtes capable. Je serai toujours là. - Mais, je - Arrêtez maintenant de vouloir contrôler ! Soyez soumise. Je prends le contrôle sur vous. Profitez ! - Messieurs, elle est à nous. Je sentis une première main venir me caresser. Ma bouche s’entreouvrait, des mains d’une douceur caressant mon sein gauche. J’en frissonnais. Cette main parcourait avec légèreté ma poitrine puis la fermeté saisissait mes seins. De l’autre, je sentis soudainement une plume effleurer ma peau au creux de mes reins, remonter sur mon omoplate. Cette zone qui était si érogène et qui me rendait folle. Cela ne pouvait être que lui ! Je tentais de deviner, démêler qui était qui. Puis au bout de quelques secondes, je sentis la morsure du martinet s’abattre sur mes seins, mon ventre, mes cuisses. Surprise. Je gémissais., la brulure s’emparant de moi. Elle laissa la place à une sensation que je n’avais jamais ressentie. Les griffes. Les doigts portaient une bague avec des griffes au bout des doigts. Elle passait sur mon pubis remontant sur mes seins, les griffant légèrement. Je sentais l’homme derrière moi me tenir de son autre main pour me plaquer à lui. C’était d’une telle sensualité. Ma poitrine de soulever, symptôme de mon désir. Au bout de quelques secondes, je sentis une chose froide effleurer ma joue, s’introduire dans ma bouche. Je compris que c’était un plug. Il s’amusait à le mettre au niveau des lèvres de mon sexe, à faire des petits va et viens. Je gémissais de plaisir. Il saisit ma queue de cheval pour me redresser, puis avec dureté, prit mon téton en main pour les pincer bien fermement. Encore une fois, je gémissais encore et encore. Ma surprise fut quand je sentis la froideur du glaçon remplacer le pincement. Je ne savais plus à quel saint me vouer, mes sens étaient perdus, tout se mélanger. Je tentais de trouver une logique, mais je ne devais pas. C’est ce que je compris à ce moment là. Je ne distinguait plus rien. Je ne devais pas penser à mon choix mais à mes envies et me laisser aller. Quand une main saisit mon menton pour m’ouvrir la bouche, je sursautai. Naturellement, je sortis ma langue. Drôle de sensation, cette roue à pic roulant et roulant avec la juste mesure., descendante sur mon corps. Je pinçais mes lèvres quand je sentis une mains se poser sur ma cuisse gauche à deux doigts de mon sexe. Je voulais plus. Il aventura un doigt dans ma bouche pour que je le suce. J’ouvrais ma bouche à ces plaisirs, demandeuse et soupirante. Ma langue attendant, je sentis un liquide se déposer, c’était le goût velours du miel. Puis le coup de grâce fut de sentir la douceur de ces deux mains caressant le contour de mon visage. - Je vous veux. Je veux celui-ci. - Tu as bien choisi ma chienne. - Je… J’ai bien choisi vous Monsieur ? - Quoi que vous auriez choisi, vous auriez fait le bon choix. Je vais vous garder les yeux bandés. Vous ne saurez qu’à la fin qui vous avez choisi. Nous allons expérimentés des choses , vous poussez à vous dépassez, à faire des choses que nous n'avons jamais expérimentées. Etes vous prête ? - Oui Monsieur.. Je sentis à nouveau ses mains douces sur mon visage plaquant son front contre le mien. - Qu’allons nous faire Monsieur ? - Nous allons jouer avec votre corps dit il en s'emparant de mon téton gauche puis en caressant de ses mains ma poitrine, prenant de pleine main mes seins pour mes malaxer. - Vous allez être docile ? m’écouter ? - Oui.. Monsieur. Son doigt releva mon menton. - C’est bien ma petite chienne. Nous allons voir ça. Il murmura à mon oreille. - Si vous ne m’appelez pas Monsieur, vous serez puni dit-il en claquant fermement ma fesse gauche. - Si vous n’obéissez pas, vous serez punie dit il en claquant l’autre tout aussi fermement - Oui Monsieur c’est clair. Il passa à nouveau son doigt sous mon menton pour redresser mon visage et m’embrasser. Il saisit ma queue de cheval et tira mes cheveux en arrière. Sa bouche prit possession de mon cou, de mes seins. C’était si intense. Je chavirais. De nouvelles sensations. Etait-ce lui ? Je me devais d’arrêter de penser, de culpabiliser. Je sentais que ce n'était pas sa manière de s'occuper de moi et pourtant il me parlait. Il lécha mon sein gauche, le susurra tout en caressant l’autre. Je gémissais. - Oui c’est bon petite chienne. Puis il claqua mon sein pour me faire comprendre ma condition. Il s’occupa du second en alternant douceur, coups de langue, baisers et malmenage de mes seins. Il les gifla doucement, puis plus rudement pour mieux les embrasser pour les apaiser. - Quelle belle poitrine ! Encore ? - Oui Monsieur, encore. Il continuait à s’occuper de mes seins. Il frôla mon pubis avec le bout de ces doigts. Je me dandinais sur ce cheval d’arçon, je ne tenais plus en place. Je voulais qu’il me touche de partout. Je sentais ma mouille baver sur le cuir. - S’il vous plait Monsieur, S’il vous plait, touchez -moi. - Non non.. pas si vite ma belle dit il en posant son doigt sur ma bouche. Avant que j’aille plus bas, je vais vous préparer davantage. Je sentais ses pas puis ce fût les lanières du martinet caresant mon sein gauche de bas en haut, passer derrière ma nuque pour faire la même chose avec mon sein droit. Je soupirais, presque souriante, reconnaissante. Il s’approcha de mon cou l'embrassant, le mordant, sa langue aspirant ma peau. Je sentais son souffle plein de désir et d’excitation. Tout en continuant à me rendre folle , il commença à me donner des coups légers de martinet sur les seins tout en passant parfois sa main pour les réconforter, les sous peser. Il se plaça juste derrière moi et redressa ma tête en me maitrisant avec ses doigts sous la mâchoire pour la plaquer contre son ventre. - Encore Monsieur, Encore, je vous en prie. Il me rendait complètement folle. Il me flagella encore… - Comme ça ? - Ohhhh…ohhhh.. Oui monsieur. Son visage rester collé au mien à me tenir fermement le visage contre lui. Sa main serrait mon cou. Je me sentais littéralement possédée à accepter tout ce qu’il voulait faire de moi. Il relâcha son étreinte et commença à me flageller les cuisses, le ventre le dos, mes jambes. Je tentais de me défaire de cela, mais rien à faire, ses coups étaient bien intenses. Reprenant sa place derrière moi. Il passa les lanières du martinet autours de mon cou et m’étrangla doucement pour me redresser. - Droite, tenez vous droite au lieu de vous dandiner comme une petite chienne sans prestance! Je hochais la tête à l’affirmative ; - C’est mieux ma petite chienne, beaucoup mieux. Il passa ses doigts sur mon pubis . Je mouillais terriblement. - Vous voulez plus ? - Oui. Monsieur, quémandais-je dans un souffle d’excitation. - Bonne petite chienne. - J’ai quelque chose pour toi. J'entendis qu'il ôtait son pantalon. Il me poussa vers l’avant. Mon cul était au bord et ma tête à l'autre bout. J’ouvrais ma bouche, sortait ma langue. Je sentis alors le bout de son gland sur mes lèvres, les caresser, s'engouffrer puis repartir, revenir, repartir. Il se jouait de moi. A me voir salivante à l’idée de m’occuper de sa queue. - Croyez-vous la mériter ? - Je… ouiii Monsieur, s’il vous plait. - Demandez moi mieux que cela. - Je vous en prie Monsieur, je veux votre queue. Je veux l’honorer. - Tellement mieux dit-il en appuyant sur ma tête pour me baisser et me mettre à hauteur de sa queue. Je ne tenais plus. Il me retenait par la queue de cheval. En attente. - Ouvrez votre bouche, sortez votre langue comme une petite salope sait le faire. Puis il s’engouffra dans ma bouche, me tenant par la tête, m’imposant son rythme, me baisant la bouche profondément et en douceur. - Gardez la bien au fond. Soudainement, je sentis un doigt saisir mon anus. Je sursautais. Je compris… Je compris qu’il était peut être deux.. ou trois et qu’aucun était parti. Seul mon maitre me parlait depuis le début. Il sortait de ma bouche, je salivais. - Donnez moi plus, s’il vous plait. A nouveau il appuya sur ma tête , me baisant cette fois ci fermement puis à nouveau garda ma tête appuyer fermement contre lui. C’est à ce moment là qu’il ôta mon bandeau. Le doigt dans mon anus se faisait inquisiteur, je mouillais tellement. Je n’osais pas ouvrir les yeux. Je sentis alors deux autres doigts me prendre le cul et commencer à me dilater pendant que je suçais. Mais qui me dilatait? qui suçais-je? Tout ce que je sais c’est que j’étais au nirvana du plaisir. Il m’avait dit de ne pas réfléchir. Pas de jugement et pourquoi j'osais pas ouvrir mes yeux? ce poids de toujours vouloir réfléchir. Les coups de doigts dans mon cul donnait le rythme. tenant mes mains ligotées. Il écartait bien mon inter-fessier pour mieux me dilater et faire que la queue de cet homme s'engouffre bien au fond. - Bonne petite putain… c’est si bon de te dilater et de te voir être prise par la bouche…. Défoncez lui bien sa bouche, elle ne mérite que ça et ne veut que ça ! N'est ce pas ma petite chienne? Je ne pouvais même pas répondre. Je ne pouvais même plus réfléchir. Je n’avais toujours pas ouvert mes yeux pour savoir qui était qui. - Retournons la sur le dos. Il me détachait les mains. Monsieur me saisit les mains pour les maintenir au dessus de ma tête fermement. . - Ouvrez-vos yeux ! Son regard était plongé dans le mien. Je sentis alors une paire de main écarter mes cuisses. - Ecartez mieux vos cuisses voyons ! Je le regardais, presque pudique. - Arrêtez de faire votre timide, comportez vous en chienne que vous êtes. Vous la voulez cette queue ? cette langue dans votre chatte ! - Je.. Oui Monsieur. Oui je la veux. - Mieux que ça. - Oui Monsieur, je veux cette langue, cette queue dans ma chatte. - Hummmmm… Il m’embrassa, tout en me tenant fermement. L’autre homme ne disait rien. Il releva ma tête par ma queue de cheval. - Je veux que vous regardiez comment il vous prend, comment il va vous lécher, vous baisez. Je vous l’ai dit.. de nouvelles sensations ! Libérez-vous. REGARDEZ LE! L’homme positionna sa queue sur ma chatte et me giflait avec, tout en s'amusant à l’enduire avec ma mouille. - Mes trous sont à vous Monsieur, prenez moi, s’il vous plait. - Allez-y prenez là ! maintenant. Il plongea son regard dans le mien tant que je sentais cette queue m’envahir. Il saisit mes cuisses pour me rapprocher à lui et me prendre plus profondément. - Vos pupilles, vous adorez ça ! n’est ce pas me dit Monsieur. - Je… - Avouez !!! - Oui.. Monsieur, j’adore ça. - Qu’adorez vous ? - Être prise, ainsi, d’avoir d’autres partenaires. - D’être baisée, gâtée de cette manière. - Oui.. Monsieur.. - Maintenant regardez le vous prendre . Mon regard se plongea dans le regard bleu de cet homme. Il avait un corps magnifique, des yeux bleus pénétrant. Une forme d’intransigeance. Il se déchaina à gifler mes seins, les prendre de pleine main. Il me dominait. Monsieur me dit à l’oreille - Nous allons devoir vous punir la chatte maintenant ! debout - Mais pourquoi ? - Pourquoi ? parce vous avez résisté à lâcher prise. - Debout, allez ! Je me relevais, j’étais assise sur le cheval d’arçon. Monsieur tendit une cravache à cet homme. - Je vous laisse la laisse, faite en bonne usage. - Mademoiselle, obéissez lui ! Il partit s’asseoir. Je le suivais du regard. J’étais relevée, toujours assise sur le cheval d’arçon. - Ouvrez votre bouche dit la voix suave de cet homme. Il introduisit plusieurs doigts dans ma bouche, allant au plus profond, à me faire tousser. Il plaça la cravache sous mon mento et de l’autre mis sa main sur mon sexe. - Ta chatte mérite plus de punitions… - Oui… Monsieur répondais-je soupirante - Allez lève toi, lève toi, plus vite. - Oui.. monsieur. - Tourne toi ! - Mains sur le cheval d’arçon, et tends tes fesses. Il donna un coup de cravache sec sur mon postérieur. - Mieux que ça ! Je regardais mon maitre avec son sourire satisfait. Il commença à me cravacher. Il força à écarter mes cuisses avec le bout de la cravache. Ses coups était parfait secs, violents, souvent au même endroits; Ses mains soulageait aussi la brûlure. Parfois il me faisait attendre la peur du coup suivant qui ne venait pas. - Ecartez vos fesses maintenant ! Je mis mes mains sur mes fesses pour lui exhiber mon petit trou. Mon maitre me regarder ainsi, punie par un autre. Je prenais du plaisir, presque honteusement. Je culpabilisais, car je ne supportais pas qu’une autre femme l’approche, et là , je faisais ce que je ne voulais pas qu’il me fasse subir. Je sentis alors sa langue passer sur mon petit trou puis donner ensuite un bon coup de cravache, qui me fit me redresser. Il appuya sur mon dos pour me remettre en place. Il replaça sa queue à l’entrée de ma chatte. - Merci.. Monsieur.. merci. Il caressa mon dos avec la cravache faisant de doux va et viens. Sa main prenant à chaque fois le plaisir de saisir ma queue de cheval pour mieux me cambrer. Il me pénétra. - HUmmm hummm c’est si bon, encore encore murmurai-je. Cette fois ci, sa main se mit autours de mon cou, me redressant davantage .Il m’embrassa si sensuellement, son souffle noyé par le désir. - Je n’en ai pas fini de m’occuper de toi !... Il me claqua les fesses. - Reste ainsi. . Je vis qu’il prit quelque chose en main sans voir ce que c’était. - Ouvrez ta bouche. Il y plaça comme un mors de cheval avec deux rennes sur les cotés. Il me redressa tout en me tenant fermement par la bouche contre lui. Je sentais tout son corps derrière moi. Il me redressa pour me présenter à nouveau à mon maitre. J’étais leur objet. - Voici votre chienne Monsieur. Regardez combien elle est docile. - Oui je le vois. J’aime la voir ainsi. Il s’assit sur le bord du cheval d’arçon là . Cela faisait comme une chaise, un fauteuil. - Allez viens t’asseoir sur ma queue. Choisis ton trou. Ma chatte souffrait d’avoir été si prise. Je n’avais pas le choix, que de choisir mon petit trou. - Prenez-moi s’il vous plait par le cul, Monsieur. J’étais face à mon Maitre, Ce dernier rapprocha sa chaise pour se placer face à moi, plus près encore. Je le regardais tandis que cet homme me prenait par le cul. Tout doucement. - Allez tout doux, belle jument.. Empale toi.. voilà.. doucement. Je pleurnichais à l’idée d’être vue ainsi, de sentir cette queue ouvrir mon cul. Mon maitre s’était redressé. Il caressait ma poitrine. Il se releva et me caressa le visage. Puis, il me murmura. - Fais toi bien prendre le cul ma chienne. Je suis fière de toi. L’homme me laissa prendre mon rythme pour ma sodomie. Je montais, descendais, montait descendait. Lui me tenait par les rennes. Au bout de quelques minutes, il les lâcha pour mettre sa main sur mes hanches et me guider, à ce que je m’empale plus profondément. Il appuyait sur mes épaules pour ensuite me garder bien au fond. Il jouait avec sa queue en étant assis. . - Allez déhanche toi, montre moi comment tu es chienne. Je ne m’appartenait plus quand il mit sa main sur mon clitoris pour m’exciter davantage. Son autre main, sur mes seins, puis prenant fermement mon sein gauche. - Tu aimes ça être baisée ainsi ? - Oui… Monsieur tentai- je de répondre. Il me redressa pour me plaquer contre lui et soulever mes jambes. Il reprenait le contrôle. Ses coups de queues étaient si violent. Je ne cessais de gémir encore et encore. - Redresse toi. Mes seins virvoltaient. - Regarde moi m'ordonna mon Maitre - Quelle bonne petite putain vous faites. L’homme saisit mes poignets et mis mes bras en arrière me forçant à me pencher en avant vers mon maitre. Il me pilonnait fortement. Mes seins valsaient encore et encore. Il plongea son regard dans le mien. - Défoncez lui bien son petit fion. - Je prends mon pieds avec les bonnes petites salopes comme elle lui répondait-il. - Allez relève toi m’ordonna-il. Il était épuisé, je sentais son souffle. Il ôta mes mors. Il me saisit par le cou avec sa main, j'étais sa poupée. Il plaquait mon visage contre le sien, tout en m’embrassant avec une infinie sensualité. - Tu as aimé que je te baise ? - Oui.. Monsieur… - Tu en veux encore ? - Oui.. Monsieur.. Je relevais mes mains pour le caresser. Lui en profita pour s’attarder sur mes seins. - Assieds toi ! m'ordonna t-il en caressant mon sexe. J’obéissais laissant mon fessier sur le cheval d’arçon et les pieds sur le repose jambes. - Oh oui Monsieur, j’aime vos doigts.. - Oui me murmura-t-il au creux de l’oreille. Oui je sais que tu les aimes. Il activa la masturbation sur mon clitoris tout en me tenant fermement le cou. Je n’en pouvais plus. Je m’abandonnais complètement. Sans ménagement, il écarta davantage mes cuisses et pris possession de ma chatte en me pénétrant de plusieurs doigts. - Regarde ton Maitre, pendant que je te doigte. Je défaillais complètement, j’étais au bord des larmes tellement ses doigts savaient parfaitement ce qu’il fallait faire. Je n’arrivais plus à me retenir. Il me prit dans ses bras au moment où je jouissais. Je hurlais ma délivrance. J’étais épuisée. - Chut… voilà… viens contre moi… Mon maitre se releva et s’approcha de moi. Il m’embrassa. - Tu es si belle dans la jouissance, dans l’abandon. - Je… Je… vous remercie.. Monsieur de me faire vivre tout cela confessais-je. J’étais épuisée, je n’arrivais presque plus à parler. - Je vous la laisse pour la nuit dit -il à l'homme. - Quant à vous, Vous me rapporterez tout demain par écrit de votre nuit Il m’embrassa sur le front et me laissa entre ses mains…
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Par : le 05/10/21
Vous voulez entrer dans l'ambiance de ma nouvelle. Voici sur quoi j'ai écris : Massive Attack - Butterfly caught. https://youtu.be/g45PgMJMqLY ********************************************************************** Deadalus - Signature - Chapitre 1 Je n’attendais qu’une chose. Mes vacances ! J’étais chargée émotionnellement. Un trop plein où je vis tout intensément. Le bonheur à 200%, la joie à 200%, le désir à 200%... mais la mélancolie, la tristesse de manière identique. Ce mode de vie où tout est sinusoïdale. Monsieur, lui savait me canaliser, il acceptait de me prendre comme j’étais. Il savait me rassurer, me booster, me recadrer, ce dont j’avais besoin. Cet alpha avait une telle exigence mais surtout avec lui-même. Aujourd’hui, je suis fatiguée. J’avais toujours cette peur incroyable de l’abandon. A toujours tester des limites pour voir si je comptais. Je pouvais lâcher prise en étant totalement moi. Cette connexion unique et magique. Il avait organisé mes vacances, tout en restant mystérieux. Je ne savais pas ce que nous allions faire. Je rentrais du travail. Je relevais mon courrier. Une lettre bien atypique. D’un papier noir légèrement satiné, si doux au toucher avec juste mon adresse et un logo D. . J’étais bien intriguée. Avec hâte, je rentrais dans ma maison pour m’empresser de l’ouvrir. Coupe-papier en main, je sortais le carton d’invitation que je devinais. Le papier également doux au toucher semblait bien précieux. Toujours ce Logo en en filigrane composé d’une forme de labyrinthe de couleur Or. Et le nom. Deadalus. Qu’étais-ce ? « Vous êtes conviée à venir vous perdre dans le labyrinthe des plaisirs ».. Samedi 02 Octobre à 17h. Des coordonnées GPS, un plan, et un numéro de téléphone à appeler en cas de besoin. Aucune autre explication. C’était bien étrange. J’étais curieuse, comme une enfant voulant découvrir son cadeau avant l’heure. Lui.. il ne me disait rien sur nos vacances. « Tu verras ». Malgré mon insistance, il arrivait à tout contrôler, maitre du jeu. Je regardais sur google, je ne trouvais rien sur ce lieu, sauf les informations mythologiques ou d’artistiques. Je ne pourrais le voir que demain, ce samedi 02 Octobre. Il était dans l’impossibilité de partir avec moi. J’avais réceptionné un colis directement au travail. Un sublime carton blanc satiné, avec un nœud, avait intrigué mes collègues de travail. Il savait que cela allait provoquer des bavardages. - Mais qu’est ce que c’est ? ouvre le… ne cessaient de me demander mes collègues voulant satisfaire leur vilaine curiosité, mais j’avais gardé les choses pour moi. L’heure de partir était arrivée, à peine dans la voiture, je prenais sur moi pour savourer le moment où j’ouvrirais ce colis si précieux. Doucement, je défis le nœud rouge, je descellais les points de colle pour découvrir une lettre.. Je me sentais gâtée. Une lettre. J’aimais cette manière d’antan à écrire encore des lettres. Ce temps qu’on s’accordait, à éviter cette routine, cette immédiateté des SMS ou autre échange whatsapp, qui enlevait souvent bien la saveur du désir. Là il ne faisait que le rendre exponentiel. Prenant la lettre dans mes mains je lisais : « Mademoiselle Lane » Il est temps pour vous de vous libérer de votre quotidien. Je vous emmène dans un lieu où vices et plaisirs seront là pour vous faire lâcher prise. Vous avez reçu le carton d’invitation de Deadalus. Vous allez suivre toutes les instructions suivantes : vous porterez uniquement ce qu’il y a dans ce carton. Vous n’aurez que comme seul choix un manteau long pour vous couvrir, rien d’autre. Vous vous parerez de magnifiques talons rouge vernis que j’affectionne. Rouge à lèvre rouge, cheveux attachés en queue de cheval haute. Vous serez sublime. Laissez vous surprendre. La sonnette marquera le début de votre abandon. Monsieur. Je sentis une vague de désir m’envahir à ce moment précis. Je n’osais imaginer ce qu’il avait prévu. Il avait une telle capacité à orchestrer des choses d’une main de maître. Jamais de faux pas. Il me protégeait, il veillait sur moi mais savait aussi me sortir de ma zone de confort pour m’assumer et nous faire plaisir à tous les deux. Dans le carton, un ensemble de lingerie fait de dentelle, de lacets, un harnais. Un sublime porte jarretelle avec des petites franges tombant sur mes fesses, une culotte fendue laissant un accès libre à ma chatte, à mon petit cul. Je savais ce qu’il allait m’attendre, mais pour une semaine, qu’allais-je être ? qu’avez-vous prévu de faire de moi ?. Vous vous demandez, moi aussi. Je ne pouvais rien contrôler. J’étais destabilisée. Je prie la direction de l’adresse, à 3h de route de chez moi. J’avais peur de me faire arrêter ou contrôler. Même si je portais ce manteau, je sentais les frissons me parcourir. Je sentais sa présence, son emprise. Je ne pensais qu’à lui, à ses mains sur moi, sa voix, son souffle dans mon cou. Ce besoin terrible de m’abandonner à lui. Je ne pouvais lutter. Pouvez-vous lutter à qui vous êtes ? Je me retrouvais dans une zone industrielle. Pour des raisons confidentielles, je ne peux indiquer aucune informations sur le lieu. Le lieu était quelque peu lugubre, il semblait presque abandonné. On devinait la période de faste de ce lieu passé. Un des bâtiments avait des carreaux cassés, le chemin de fer semblait passer ici Jadis. La pleine période industrielle. J’avais indiqué les coordonnées GPS. Un sentiment de peur, d’excitation. Et si je faisais une mauvaise rencontre ?. Mon cœur palpitait terriblement. Je respirais fortement. Je ne me sentais pas rassurée. Au loin je vis une maison faisant presque peur, cette sensation où vous allez vous faire dévorer si vous entrez dedans. Une porte noire, deux lampadaires. Etait- ce là ? Pas de voitures aux alentours. C’était bien étrange. Je décidais de me garer. Sortant d’un pas craintif, je m’avançais vers cette porte. C’est là que je vis une sonnette avec l’inscription : D. Je compris alors que j’étais au bon endroit. Ma main tremblante, je sonnais. J’entendis des mouvements métalliques. La porte s’ouvrait. La porte était si épaisse, je n’en revenais pas. On aurait dit une porte de coffre fort. Je vis une femme sublime ouvrir. Une grande femme élancée, fine, cheveux noirs habillée d’une robe fourreau noire stricte laissant apparaitre son soutien gorge. Elle avait une poitrine généreuse. Des yeux de biches.. Elle arborait un rouge à lèvre rouge. La nature l’avait bien gâtée. - Bienvenue à Deadalus. Vous devez être Mademoiselle Lane. - Je.. oui Je suis Mademoiselle Lane. - Parfait ! Vous allez me donner vos affaires, vos clés de voiture et téléphone. - Je… - Ce n’est pas une requête, mais un ordre. Sans broncher, je tentais mes affaires et mes clés de voiture. - Nous allons nous charger d’installer vos affaires dans votre chambre. Mickaël va enlever votre voiture et la mettre en sécurité. - D’accord. Je me sentais quelque peu déconcertée par ce lieu. L’entrée où une lumière rouge feutrait l'atmophère. Il y avait une sorte d’alcôve , sorte de préambule. La jeune femme se tourna et m’indiqua : - Veillez me suivre je vous prie. Elle avait une allure incroyable inspirant une forme de respect. Ses longues jambes, ses bas coutures et des talons vertigineux. Le lieu était éclairé par des torches laissant planés une forme de mystère. Je devinais des portes cachées, j’entendais des soupirs, des cris et parfois du calme. Au bout du couloirs, un ascenseur. Au mur des cages pour humain. Nous passions devant un homme emprisonné, nu et bâillonné. Plus loin, les jambes écartées d’une femme sortant du mur, chevilles attachées au mur, laissant à disposition sa chatte et son cul. L’inscription : « A disposition ». Je n’osais pas parler, intimidée. Nous descendions dans un sous-sol. Le silence planait. En sortant de l’ascenseur un dédale de tunnels, sombre, de canalisation. Je devinais différentes pièces en marchant. Une lumière vive cette fois-ci m’aveugler. - Entrez. Je m’avançais dans une pièce incroyable. Le sol était couvert d’une moquette rouge opéra. Un sublime bureau en bois de rose, un canapé chesterfield, une cheminée. Il y régnait une atmosphère incroyable. On entendit une musique où le son n’était ni trop fort, ni pas assez. Au mur différentes objets : martinets, gode, cagoule, cravache et des accessoires dont je ne connaissais pas l’utilité. Elle se dirigea derrière le bureau. - Mademoiselle Lane. Deadalus est un lieu confidentiel accessible uniquement à nos membres. Je vais vous faire signer un contrat avec une close où vous ne devrez jamais parler de ce lieu à qui que ce soit. Est-ce bien compris ? - Je… oui je comprends. Je suis juste encore surprise par ce lieu. - Je comprends me dit-elle froidement. - Nous prenons ici votre sécurité et la notre très au sérieux. Vous vous abandonnez à nous sous la bienveillance de votre propriétaire Monsieur. A ces mots là, je sentis le désir m’envahir. Qu’avait-il programmé? Quand le verrai-je ? - Merci de votre collaboration. Maintenant nous avons des instructions à votre sujet. Ôtez votre manteau je vous prie. - Quoi ? maintenant ? - vous devez comprendre que je me substitue à votre Maître, mes ordres émanent de lui. Vous ne devez parler que si je vous y autorise. Est-ce clair Mademoiselle Lane? Je hôchais la tête par l’affirmative, intimidée. Je laissais alors glisser mon manteau au sol me dévoilant à cette femme. Elle tourna autours de son bureau pour se mettre face à moi. - Tenez-vous droite ! Je me redressais. Je lui obéissais naturellement malgré moi. Elle inspirait tant cette autorité. Ses mains parcouraient mon visage, ses doigts me caressait. - Sublimes lèvres. Ce rouge donnent envie qu’on s’en occupe. Parfaite.. vous êtes. Elle tournaient autours de moi. - Je vous invite à bien redresser vos épaules pour mieux exhiber vos seins. D’une main ferme elle tira sur mes épaules . - Voilà qui est bien mieux Mademoiselle Lane! Tournoyant toujours autours de moi, elle plongeait son regard dans le mien. Elle défit mon soutien gorge, elle caressa mes seins puis mes tétons. Elle les saisit fermement, les pinça. - Hum parfaitement dressés. Puis elle les gifla alternant pincement et giflfes à me faire gémir. - Chut.... Baissez votre culotte et maintenait à hauteur de vos genoux. Je m'exécutais, laissant la culotte à hauteur de mes genoux. J'écartais mes jambes pour accéder à sa demande. Elle passa alors sa main sur mon pubis. - Hum Lisse, parfait. Voilà j’ai terminé l’inventaire. Je vais maintenant vous faire signer un second contrat. Restez ainsi petite chienne. Elle se posa dans le fauteuil du bureau et composa un numéro. - Oui elle est face à moi. Je vous confirme que votre chienne s’est présentée comme convenu. Elle a bien suivi vos instructions. Je lui ai ôté son soutien gorge et sa culotte. Son sexe est doux et lisse. Elle est juste face à moi la culotte baissée sur ces genoux. Voulez-vous une photo.? Pendant qu'elle parlait elle avait saisi son téléphone pour me prendre en photo. - Oui Monsieur, elle semble bien excitée. Je vais lui faire signer le contrat maintenant. Je n’entendais pas sa voix.. mais je devinais l’issue de cette conversation.. Elle me tendit un questionnaire à remplir. - Vous allez indiquer ce qui convient, ce qui ne convient pas. Vous trouverez les informations liées à l’inconfort, aux urgences. Sachez que quoi qu’ils arrivent nous disposons des ressources nécessaires à votre bien être. Médecin, Kiné, dentiste. Nous avons un vaste réseau pour que votre séjour parmi nous se passe au mieux. A partir du moment où vous signez, nous sommes en charge de vous pour une semaine. - D’accord.. Je commençais à lire le début du questionnaire. Il y avait différentes questions avec les mentions : déjà vécu, a aimé, pas aimé, souhaite vivre cela, l’intensité du choix de la douleurs.. cela allait de la pratique de la sodomie, au fist, au doigtage, à l’utilisation d’appareils godes, fouet, cravaches, en passant si je voulais avoir plusieurs partenaires ou non.. je n’en revenais pas. 10 pages à remplir. Une introspection où je me livrais totalement. Je ne pouvais qu’y répondre honnêtement. Je savais qu’il était ici, qu’il m’attendait. - Vous avez terminé ? - Presque oui. Je n’ai pas encore rempli le dernier item. - Ce n’est pas bien grave. Vous allez maintenant me lire à haute voix chaque chose écrite. Je vais vous enregistrer. Je salivais de peur. Elle me regardait. Je tenais mes feuilles devant moi à dire à une inconnue tout sur ma sexualité. Mais n’étais-je pas dans le bon lieu ? Deadalus.. le labyrinthe pour arriver à lâcher prise. J’avais toujours eu du mal à assumer de dire les choses, l’écrit était plus simple pour moi. Une grande réserve, honte à m’assumer. Mais là pas de jugement, je le sentais. Partie 1 : les accessoires : Il s’agissait de faire le point sur tout ce que j’aimais, ce qui m’effraient, ce que j’avais testé ou non … Elle me regardait me faisait répéter. Où j'aimais être cravachée par exemple, si j'aimais être plugée ou si j'aimais qu'on me pompe les tétons et pleins d'autres possiblités... Partie 2 : les sens. Je lui faisais part que j’étais très sensible aux sons, aux odeurs, à la voix. En même temps pour une hypersensible. J’adorais qu’on m’occulte la vue. Cela me permettait bizzaremment d’assumer qui j’étais. Je ne saurais l’expliquer. J'aimais qu'on me parle, j'avais besoin de cela. Partie 3 : la gestion de la douleur. Nous parlions de l’intensité. Jusqu’au je voulais aller. Monsieur savait que j’aimais la douleur mais pas à haute dose comme certain(e)s pouvaient aimer.. Tout était surtout cérébral, et cet état de transe où on lâcher prise nous fait accepter plus de choses qu’en temps normal. Partie 4 Les mises en situations. Je devais dévoiler ce qui m’excitait, mes désirs les plus sombres. Je lui faisais part aussi de ma peur de réaliser certains fantasmes de peur de ne pas les assumer. Que certains doivent rester à l’état de fantasme. Nous passions en revue, la pluralité, le fantasme de la petite écolière, le kidnapping, le viol simulé, l’exhibition, le partage, le gang-bang… et ce n’était que le début. Partie 5 Mes limites. Mon dos, mon opération me limitaient dans certains mouvements positions. Pas de sperme dans ma bouche. Pas de scatophilie, de sang, urophilie, zoophilie. Tout était clair. Son interrogatoire avait duré plus de 2 heures. Elles prenaient des notes, ne disaient rien. - Maintenant vous allez signer ce document. Si vous ne souhaitez pas le signer, nous arrêtons là et vous repartez chez vous. Je, soussignée, Mademoiselle Lane, offre ma soumission à Monsieur et accepte que Deadalus m’amène dans un labyrinthe de plaisirs. J’accepte d’être esclave, de subir les châtiments, punissions et jouissances. Durant 7 jours, je serai une esclave de Deadalus. J’avalais ma salive prenant le temps d’une seconde de réflexion. Mon excitation était au plus fort. Je signais. Elle prit alors le contrat dans ses mains et le plaça dans un porte document. - Allez cherchez le plateau qui se trouve sur la table là bas sans faire tomber votre culotte. Je m’avançais ainsi, frissonnante. Je prie dans mes mains la plateau en argent. - Revenez ici. Présentez moi ce plateau comme une bonne esclave sait le faire. Je baissais le regard me replaçant au milieu de la pièce face au bureau. Elle avait les fesses posées sur le bureau. - Redressez vos épaules. Soyez fière de qui vous êtes ! Faites que votre poitrine soit bien dressée ! Regardez devant vous ! Elle se leva vers moi. Je la regardais. - Regardez devant vous. Nous allons vous parer maintenant. Sur la plateau, des bracelets, un collier, un cadenas, une laisse, un bandeau. Un à un elle prit les bracelets en cuir pour les positionner autours de mes chevilles, de mes poignets. Elle prenait soin à prendre son temps, effleurer ma peau. Elle était dans mon dos. Je sentais son souffle au niveau de mon épaule droite. Elle prit en main mes deux seins puis s’aventura sur le plateau pour saisir le collier. Elle s’amusa à mettre le collier à hauteur de mes yeux, pour que je puisse lire une inscription. - Esclave LANE, propriété de Monsieur G. Mon cœur battait à la chamade. Je sentis sa rudesse quand elle entoura mon cou fermement. Elle saisit ensuite le cadenas. J’entendis la cliquetis. J’étais maintenant son esclave. Elle se plaça face à moi. - Parfaite. Elle plaça alors mon contrat signé sur le plateau. Elle me montra la clé du cadenas et la posa dans un écrin de velours sur mon plateau. Je suivais chacun de ses mouvements du regard. - Regardez devant vous ! Dois je vous reprendre avec fermeté ? - Je… non .. Madame. - Parfait. Elle saisit le bandeau en dentelle. Le plaçait sur mes yeux. Je pouvais légèrement entrevoir les formes, mais sans tout voir correctement. - Maintenant je vais m’assurer que vous êtes prête à la présentation. - Entre-ouvrez vos lèvres. Elle me remaquilla les lèvres. Me repoudra le visage et s’assura que j’étais présentable à Monsieur. Elle passa sa main au niveau de ma chatte. - Humm légèrement humide. Laisser tomber votre culotte. Je vais maintenant vous emmener. Je ferai le point à votre Maitre pour savoir ce qu’on va faire de vous. Si vous faites tomber votre plateau, vous serez punie. Elle accrocha la laisse au collier. J’avançais avec un pas peu certain lentement. - Allez pressez vous! J’entendis une porte s’ouvrir. Elle m’avança, je devinais uniquement quelques lumières rouge et dorée. Ma poitrine se soulevait d’appréhension et d’excitation mêlée. - Ne bougez plus ! Elle replaça ma queue de cheval dans le dos et s’éclipsait. Ma laisse pendante entre mes seins. Je n’osais pas bouger pour être curieuse. Je me laissais doucement aller à me faire surprendre. Il avait organisé cela pour moi. J’avais du mal à tenir la position sans bouger. Je sentais mon dos avoir quelques douleurs. Soudainement, je le sentis. Il avait passé pris ma queue de cheval pour la placer sur le côté. Je sentis alors son souffle pendant qu’il plaçait ses mains autours de mon bras. Il ne disait pas un seul mot. Doucement ses mains montaient vers ma nuque. Sa respiration me canalisait. Je devinais son envie de m’embrasser sans le faire. D’une main ferme il saisit ma queue de cheval tirant ma tête en arrière. Elle se posa contre son torse. Ce contact me rendit folle, sereine. Sentir sa chaleur, son contact était mon repère. - Que me présentez-vous sur ce plateau ? Sa voix était ferme, intransigeante. - Je vous présente, mon contrat Monsieur, ainsi que la clé de mon collier.. Monsieur. - Humm votre contrat ? dites moi en plus. - Je.. je vous offre ma soumission Monsieur. J’ai répondu au questionnaire. - Humm je vais me faire un plaisir de le lire pour voir ce que ma petite chienne a écrit. Il saisit alors la boite contenant la clé. Toujours en me tenant fermement par les cheveux, il passa sa main sur mon cou pour l’enlacer. - Prête à être mon esclave ? - Oui… Monsieur. Sans crier garde, il me donna un coup derrière les genoux pour me mettre à genoux, tout en m’aidant à ne pas me faire mal. - Voici la position que je préfère, vous, à mes pieds !. La plateau était tombé. Au bout de quelques secondes, il revint. Il saisit alors la laisse, la tenant courte. Je sentais qu’il me regardait. - Ouvrez votre bouche. Je sentis qu’il y plaça un bâton. Il me fit marcher ainsi à côté de lui. Je ne sais pas où nous allions. Mes mains sentirent comme une sorte de coussin. Il me positionna dessus. Il me força à me redresser par la laisse pour me rendre droite. - Ecartez vos cuisses et placer vos mains dessus, paume vers le haut. Je m’exécutais. - Voilà qui est parfait. Je sentis alors son corps derrière moi. Sa main plongeante au creux de ma poitrine, prenant possession de ce qui lui appartenait. Ses deux mains s’en occupait fermement. Il remontait ses mains à nouveau vers mon visage. Je cherchais son affection, je tendais mon visage dans sa main, comme une chatte recherchant ses câlins. Il repassa devant moi, je sentais alors sa jambe et son pied se positionner sur la chatte. Il tira ma tête vers lui pour plaquer mon visage sur son entrejambe. Je sentais son désir. - Ouvrez votre bouche. Il prit avec douceur le bâton. Il s’amusa à le passer sur mon ventre, remontant ainsi et relevant mes seins, puis les écrasant fermement. Un léger cri de douleur s’échappa, puis il remonta jusqu’à ma gorge. - Vous êtes à moi. Il saisit mon cou et me posa vers l’avant sans ménagement. Ma joue collée au sol. La laisse tomba au sol, il marcha dessus pour me faire rester ainsi. Son autre main m’encourageant avec ce bâton qui n’était rien d’autres qu’une cravache. - Bonne petite chienne. Montrez- moi comment une esclave exprime son affection ? Je savais ce qui m’attendait, ce qu’il voulait. Je résistais. - Vous ne savez pas ? dit il en tirant avec son pied sur la laisse me ramener devant son autre pied. La cravache parcourait mon dos terminant sa course sur ma joue, mes lèvres. Avec rébellion, je mordais le bout de la cravache. - Humm rebelle.. D’accord. Votre punition ne sera que plus rude et vous le savez. Mes fesses tendues, mon cul offert à ses caprices, il assena un coup de cravache sur mon fessier, puis un autre. Mes fesses se dandinaient pour tenter de se dérober. Rien n’y faisait il continuait. Je sentis la chaleur m’envahir. Il passait alors le manche de la cravache au niveau de mon inter fessier pour atteindre la chatte. Il donna un coup ni trop fort ni pas assez. - Le prochain sera rude pour vous. Je vous laisse le choix . Il se replaça à nouveau face à moi. Lâchant la laisse de son pied. Je me redressais naturellement pour commencer à embrasser ses chaussures. - Hummm… Je continuai à embrasser l’autre également. - Parfait. Maintenant, vous allez les cirer avec votre mouille. Redressez vous. J’obéissais. Il prit alors la laisse et l’enroula autours de sa main pour me tenir fermement. Je sentis sa chaussure se placer contre mon sexe par l’arrière. - Allez y frottez vous ! Je faisais des vas et vient avec mon sexe sur sa chaussure. Indéniablement je mouillais terriblement. Il changea ensuite de chaussure. - Bonne chienne ! dit-il en me caressant la tête. Il s’arrêta. - Suffit maintenant. Il me promena à nouveau en laisse. - Tendez vos mains. Il me guida jusqu'à ce que je sente un gode. . J'en sentis la fraicheur dans mes mains. - Maintenant vous allez vous entrainez à bien sucer. Allez prenez le en bouche et sucez comme si c'était moi. Il appuya sur ma tête pour que ma bouche s'empale dessus. Il me fit faire des mouvements de va et vient. - Voilà comme ça bonne petite chienne. Appliquez vous! Il me laissait ainsi à sucer ce gode. Je sentais qu'il m'observait. Au bout de quelques minutes il me dit - Je veux que vous vous empaliez correctement sur ce gode maintenant que vous l'avez bien réchauffer. Il m'aida à m'asseoir sur ce que je devinais être une chaise. - Introduisez le dans votre con je vous prie. Doucement je m’empalais dessus. - C’est bon n’est ce pas ? - Humm.. oui Monsieur… - Je m'en doutais. Je vais vous mettre un bâillon. Ouvrez votre bouche. Il me mit ce bâillon sans aucun ménagement. Il y avait un anneau, offrant ma gueule à ses doigts, sa queue. . Il me poussa contre le dos de la chaise sans ménagement. Il enchaina mon collier à la chaise. Il prit mes mains pour en faire de même et les tenir écarter en croix. Au bout de quelques minutes je sentis les vas et viens du gode me prendre. Il semblait avoir une télécommande pour s’amuser. La bave commençait à parler de ma bouche. Il me laissa ainsi dans l'inconnu ne sachant pas où j'allais. Je venais juste d’arriver..
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Par : le 28/09/21
Hum Isabelle et Jean nous invitent ce week end à nouveau.. Je sens qu’on va bien s’amuser ma chérie. Je le regardais entre l’envie folle d’y aller et celle à appréhender ce qui va se passer.. ou pas. Il m’enlaça et me serra fort dans ses bras. - Laisse toi aller ! il n’y a pas de problèmes. - Tu sais très bien que je ne veux pas que ça aille trop loin. - Ecoute, laisse Isa faire, Jean ne te touchera pas. Je serais là donc ne t’inquiète pas. Il me réconforta. Je sentais son sexe se durcir à l’idée de ce week-end mais j'étais aussi dans cet état. - Hum je vois ce que cela te procure. - Humm tu n’as pas idée combien j’étais dans un état l’autre jour, alors là je veux te voir avec Isa. - Tu sais bien que je ne suis pas bi et que je ne veux pas lécher une chatte, ça ne m’intéresse pas. - Calme toi, rien n’est écrit, rien n’est forcé, ce n’est que partage et plaisir. Tu ne feras jamais quelque chose que tu n’as pas envie de faire. Mais avoue, tu as adoré son massage, qu’elle te caresse… - Je.. oui j’avoue. - Bon sujet clos ! - Viens ici ma chérie. Il me poussa sur la table. - Tends moi ton ptit cul. Je m’exécutais. Il releva ma robe et descendit ma culotte. - Je crois que tu n’auras pas besoin de la porter. Nue en talon c'est parfait! - Ouvre ta bouche et sort ta langue. Il mouilla le plug et le mis en place dans mon petit cul. - Il faut rendre à César ce qui lui appartient. Il tapota sur mes fesses. - Voilà, tu es parfaite et si sexy humm… Suce moi là - Mais on est déjà en retard ! - Suce moi. Je m’agenouillais et le pris dans ma bouche. Sa cadence était à la hauteur de son désir. - Bonne petite suceuse hummm. Suffit, on y va. Le porte s’ouvra. - Hum si bon de vous voir ! Entrez. Nous avions rapporté une bonne bouteille de Joseph Perrier. - Comment allez vous c’était bon de vous accueillir l’autre fois. J’imagine que Véronika a bien dormi.. non ? Elle me fixait du regard tout en passant devant moi. Cette fois-ci elle assumait et était à l’aise. Nous savions parfaitement pourquoi nous étions là. Pour ma part, c’était la grande inconnue. M. contrôlait la situation. Jean se rapprocha d’Isabelle et lui dit : - Voilà ton petit bonbon ma petite chienne. M. me claqua les fesses et me poussa contre la table de la cuisine américaine. IL leva ma robe. - Tout est bien en place. Je rougissais. - Deux bonnes chiennes avec leurs Maitres. Humm dit Jean. - Isabelle a pris soin de tout préparé au sous-sol. Ma chienne a dévoré la tienne l’autre jour et ne nous a même pas conviés à les regarder. - Oui, il est vrai, mais j’ai dû punir Véronika durement. Elle a pris cher, dit il en prenant fermement mes fesses. - Véronika, accompagne Isabelle et écoute là ! Isabelle me prit par la main et m’attira au sous sol. J’avançais d’un pas timide. Nous retournions dans cette pièce où ils avaient installés un sofa et un grand lit. La table de massage avait changé de place. Je vis, interloquée sur la table de nombreux jouets sexuels.. - Oui ma chérie, tu vois bien dit-elle. On va bien s’amuser ce soir. Elle s’approcha de moi. - A genou belle chienne. Naturellement je lui obeissais. Elle coiffa mes cheveux avec douceur. M. m’a donné ton collier à te mettre. Il m’a dit que tu étais bien obéissante. Je compte sur toi pour l’être. Elle sera fortement mon collier. - Voilà, tiens toi bien droite. Tu es magnifique et si racée. j'adore. Je baissais la tête, honteuse de lui obéir ainsi et d’être nouveau soumise à ses caresses que j'aimais malgrémoi. Soudain, j’entendis la voix de Jean et M. - Hum quelle belle pièce ! - N’est ce pas, je l’ai aménagé spécialement pour nos petites soirées. - Ta chienne est superbe M. Isabelle adore les mater. Il semblerait que la tienne soit très sensible au doigté et à la prise en main ferme d’Isabelle. - Eh bien laissons le soin à Isabelle de la mater, avec les règles que nous nous sommes fixées. J’ai toujours voulu voir ma chienne dressée par une autre femme. - Oh Voilà qui est parfait, nous pouvons toujours reprendre les rennes quand bon nous sommes. Isabelle m’agrippa les cheveux et me tourna vers la table de massage. Elle tenait une cravache en main. Elle me fit mettre à plat ventre, les jambes sur le sol. - Relève ta robe m’ordonna t-elle en me claquant les fesses avec la cravache - Hum parfait, tu t'éxécutes à la perfection. Elle caressa mes fesses. Je sentais ses cuisses contres moi. - Humm si douce.. Ce plug a sa place. As-tu aimé ce que j’ai fait l’autre fois ? J'hésitais à répondre... Elle me cravacha avec force. -Oui.. j’ai beaucoup aimé, répondais-je à peine audible. - Je m’en doutais petite chienne. Tu es déjà là toute trempée à l’idée que je m’occupe de toi. - Tiens ma cravache en bouche! Elle écarta alors mes fesses et donna de gros coups de langue partout. - Hum ma mouille est un réel nectar. Tu mouilles tant. Nous n’aurons aucune résistance à te prendre je crois. Elle glissa ses doigts sur ma chatte… - Mais regardez moi cette cochonne !!! J’en ai plein ma main. Je tentais de me relever. - Qui t’a permis de te relever ma chérie ? Elle appuya sur mon dos. - Couchée ! - Je vais te bâillonner avec ce gag-ball pour éviter de t’entendre gémir. Ouvre ta bouche et rends moi ma cravache. - Je vais la mettre sur ta croupe, ne la fais pas tomber sinon je devrais te punir. Voilà, tu es parfaite ainsi. Elle repris la cravache en main - Relève toi maintenant. Sans ménagement elle me retourna. Je regardais M. dans les yeux. Son regard était des plus tendres et à la fois des plus pervers. Elle était juste derrière moi, caressant mes bras, mon cou. Je sentais son souffle dans mon cou, sa langue me lécher. Elle passait la cravache sur mon entrejambe. Avec douceur, elle ota ma robe. Tombant au sol, elle dévoila ma nudité. Je me laissait faire, mes bras long du corps, je regardais toujours M. dans les yeux. Elle tourna ma tête vers elle et donna un coup de langues sur le gag-balle et mes lèvres. Elle passa la cravache sur mes seins et les écrasa avec, contre moi. - Mets tes bras devant toi et tiens la cravache! Elle la déposa sur le revers de ma main. - Je ne veux pas voir descendre tes bras, ni la faire tomber. Est ce bien clair? même quand je te doigte. Sans prévenir, elle saisit brutalement mes seins, jouant avec les malmenant avec une certaine fougue. Elle mit sa main sur mon cou pour me maintenir et descendit l’autre vers mon sexe. Elle s’accroupit, et me fit comprendre avec ses mains d’écarter mes pieds. Je sentis alors sa main passer par l’arrière au niveau de mon sexe. Elle l’englobait. Passant de l’arrière à l’avant. M. demanda : Est-elle bien humide ? - Oui Monsieur, elle l’est. Elle continua de me caresser allant toujours d’avant en arrière, jouant avec mon petit clitoris. Je voyais M. avoir le sexe dur, tentant de se contrôler pour me pas se caresser. Jean semblait plus lui dans le contrôle. M. prit alors ma laisse et m’attira à lui. Je me retrouvais pencher en avant, les fesses tendues avec la cravache ne devant toujours pas la faire tomber. - A genou m'ordonna M. IL sortait sa queue de son pantalon, la caressant. Il prit la cravache en main. Il tirait sur la laisse pour que je sois courte et colla mon visage à ses couilles. - Sens le désir que j’ai pour toi… sens la. Isabelle s’était redressée et appuya ma tête contre la queue de M. - Bonne chienne qui veut ronger son os. M. s’amusa de la situation. Il bloqua ma tête ainsi contre sa queue. - Cambre toi mieux que ça ! dit-il en claquant mes fesses. Je sentais Isabelle à quatre pattes en train de me lécher la chatte comme une belle minette qui lèche son lait. Je vis Jean s’approcher pour admirer sa chienne à l’œuvre. Elle écarta mes fesses offrant mes orifices à la vue de ce dernier. Cela me rendait excitée d’être ainsi exhibée. Jean appuya sur la tête d’Isabelle pour qu’elle enfonce sa langue dans ma chatte. - C’est ça.. lèche mieux que ça ! Elle me dévorait littéralement sous l’emprise de Jean. M. me tenait toujours fermement la tête, m’empêchant de me mouvoir. M se leva. Il tira sur la laisse me forçant à marcher à quatre pattes à ses cotés. Il me conduisit vers la table de massage. Au milieu de la table, il me força à me mettre sur le dos dans la largueur de la table. Ma tête était dans le vide. - Humm une barre d’écartement. Puis je ? Il m’attacha ainsi et remonta les jambes vers un système de poulie au plafond. M. positionna au mieux ma tête pour qu’elle soit à hauteur de sa queue et si l’envie lui prenai de me prendre ains par n'importe lequel de mes trous, tout était à bonne hauteur. - Isabelle, maintenant, peux tu me montrer comment tu dilates ma petite putain ? - Hum oui avec grand plaisir. La sienne est particulièrement étroite. En plus avec un plug dans son petit cul, humm… Elle commençait par s’amuser avec le plug. De mon coté je salivais, la bave coulant de ma bouche. Je sentis Isabelle me caresser avec douceur, puis insistance. Sa bouche se posa sur mon clitoris, l’aspirant, encore et encore. Elle jouait avec le contour de ma chatte afin que je me dandine à l’implorer de me doigter. Je voulais qu’on me fourre maintenant. M. s’était agenouillé pour me parler. - Humm tu es divine ma chienne. Te voir ainsi me comble. Ma petite pute. Il se releva et alla s’asseoir et admirer en live sa chienne. Elle glissa un doigt dans ma chatte, un seul. J’étais frustrée.. Elle savourait. Elle récoltait avec son doigt ma mouille. Je la devinais en train de le lécher tout en regardant Jean. - Doigte la entendis-je. Elle glissa alors un autre doigt dans ma chatte. - Tu en veux plus n’est ce pas ? me questionna Isabelle. Je fis oui de la tête. - Oui bien sur que tu en veux plus, petite chienne en chaleur. Elle enfonça un troisième doigt, au plus profond comme pour m’arracher un cri de plaisir. Elle s’était redressée me toisant de haut. Elle caressait en même temps mon clitoris avec son pouce. Je me dilatais doucement.. - TU es si accueillante, si ouverte… le quatrième va passer sans souci. Elle me donnait de sacrés coups à son poignets. Puis sans prévenir, elle me doigta si forcement, si vivement. - Allez ... montre nous la fontaine que tu es! petite pute. - Messieurs regardez moi ça!! elle en met partout, incapable de se retenir. Mes cris de gémissements se terminait dans mon gag-ball. Elle avait complètement pris possession de ma chatte, j'étais si trempée. Je sentis alors son pouce vouloir franchir mon tunnel. - Hummmm… hummmmmm…… Hhhhhhhhhhhhhhummmmmmmmmmmm - Cesse de crier… voilà ça passe…. Regarde comment ma main va te baiser. M. s’était levé. Il avait redressé ma tête pour forcer à regarder ma chatte avec le poing d’Isabelle. Il était frénétique. - Oh oui c’est bon.. je sais…me dit Isabelle. De l’autre, je sentis la main d’Isabelle prendre un certain rythme. Alain était en train de la prendre alors qu’elle me fistait. Ne tenant plus, M. ôta le gag ball pour le mettre sur mon cou. Il enfonça sa queue dans ma bouche. Ma tête à l’envers, que de sensation. Il avait mis sa main sur ma gorge, j’adorais cela. Il tenait alors mes seins bien fermement. Je prenais des coups de partout. Ma bouche, ma chatte. J’étais leur jouet sexuel ce soir. Alain tenait Isabelle par les épaules. Elle se redressa . Elle ôta sa main. IL l'attrapa par les cheveu et appuya son visage contre la chatte - Lèche la bien. Prends toute sa mouille !!! bonne chienne que tu es lui lança t il. Au bout de quelques minutes il lui ordonna: - Allez file, va chercher un gode ceinture. tu meurs d'envie de te la faire. Il lui claqua les fesses. M. savoura la bave qui coulait de ma bouche, ne me laissant aucun répit. Il était comme possédé. j'adorai sa perversion. Il tourna autours de la table et admira ma chatte écartée, offerte. Il donna un claque dessus puis un bon coup de langue.. Pendant que M. avait donné son coup de langue, isabelle empala le gode dans ma bouche. - Petite salope….ça se sent que tu aimes sucer des queues. Elle étrangla mon cou et me donna des tapes sur le visage. Elle agrippa ensuite mes seins, et tritura mes tétons comme il se doit. J’étouffais mes cris. Elle me torturait. - Suffit maintenant, lache ton nonos. Elle planta le gode dans ma chatte et commença à me baiser* - Voilà petite chienne… on y est. Je vais prendre un plaisir à te prendre ainsi.. Elle encercla mes cuisses de ses mains et me culbutait ainsi. Je sentais chacun de ses coups. M. était venu à nouveau prêt de moi, me planter à nouveau son sexe dans sa bouche. - Quel joli tableau dit Alain. J’adore quand ma femme en baise une autre… - Tu en as eu assez Isabelle, vient t’occuper de ton Maitre. Elle se retira. - Que diriez vous d’aller sur le lit ? M. me détacha de mes contraintes. Isabelle reprit ma laisse en main. Nous nous disposions l’une en face de l’autre sur le lit à quatre pattes. - Ne bougez pas mesdemoiselles, vous êtes sublimes. Isabelle me regardait droit dans les yeux. Alain se plaça derrière elle et commença par la prendre. M. me força à la regarder ainsi en tenant ma tête face à elle. Il me tira par les cheveux pour qu’Isabelle puisse disposer de ma chatte. Alain lui força sa tête contre ma chatte. - Léche ! leche moi cette salope. Il lui claqua les fesses avec une telle rudesse. Je sentais sa langue jouer encore et encore sur mon sexe. M. lui malaxait mes seins et regardait Isabelle s’occuper de mon con. Il me disait combien j’étais une belle salope. Alain était frénétique. Je sentais combien il la possédait violemment. Sans aucun ménagement il lui enfonça des doigts dans son fion alors qu’il l’a prenait. Elle se redressa, criant.. oh ouii encore, défonce moi bien !!! Il lui tirait les cheveux, exposant alors sa poitrine à notre regard. Ses seins volaient. Il la baisait rudement. Sa tête était à présent contre le lit. Il avait saisi ses mains qui était le long du corps e M. me parlait. - Ca t’excie hein ma chienne ? de voir qu’elle est prise ainsi ? - Je.. - REgarde la bien.. ouvre tes yeux. J’hochais la tete par l’affirmative. IL la jeta sur le lit. Il n’avait pas fini son affaire, mais il avait besoin de faire tomber la tension. Isabelle était haletante, elle restait en position. Jean lui avait interdit de bouger. Quant à moi, M. m’avait demandé de me mettre sur ses genoux et de lui présenter mes trous en écartant mes fesses. Il s’assura que mon gag ball soit à nouveau bien à sa place à me bâillonner. -Isabelle ? viens récupérer ton plug qui est dans le fion de Véronika. Alain était assis à côté de M. Mes jambes étaient sur les cuisses d’Alain. Je sentais ses mains me maintenir fermement les chevilles et profiter de la vue sur mon anatomie. M. écarta mon inter fessier. Il regardait Isabelle enlever mon plug. Elle passa ensuite sa langue sur mon anus. Je lâchais un cri malgré moi de soulagement, de désir. Elle continua a se délecter autours de mon petit anus. M. lui offrant un accès illimité. - Humm elle est si bonne. - Elle est toute à toi, fais en ce que tu veux Isabelle lui lança M. Elle prit la place des mains de M. Elle écarta au mieux mes fesses. Elle glissa sa main. 4 doigts et son pouce qui se baladait autours de mon anus. - C’est bon ma chienne ? Je hochais toujours la tête.. oui… Elle entreprit alors de me fouiller l’anus. - J’adore aussi élargir les petits fions étroits. Je couinais. Ses doigts rentraient comme si c’était du beurre fondu.. Mon maitre récolta ma salive pour m’enduire l’anus. Isabelle quant à elle avait tout préparé.. elle huila sa main. - En douceur ma belle, en douceur. Elle me pénétra d’abord avec deux doigts . - Hummm j’adore voir quand ça cède.. Regardez moi cette petite cochonne… encore un troisième… Tu peux couiner autant que tu veux, si tu voyais ta mouille. Je me dandinais.. hummmm.. hummmm… - Juste quatre doigts, la prochaine fois on travaillera encore plus ton anus.. ne t’inquiète pas. M. me parlait et me complimentait en me disant combien je suis une belle perverse. - VIens sur moi m'ordonna M. Je vais t'enculer maintenant que tu es dilaté. - Prends ma queue et empale toi.. - Hummm Oui comme cela. bien au fond. Il m'attira à lui, mon dos contre son torse. Il m'embrassa le cou. Alain ordonna à Isabelle de se mettre à quatre pattes devant nous et de m'observer quand j'étais sodomisée. De sortir la langue. M. me giflait les seins, parfois la joue. Il m’agrippa par le cou et serra aussi fort qu’il avait jouis… Il me plaqua à lui et resta ainsi. Epuisé. - C'est bon tu peux lui lécher la chatte ! Isabelle venait me lécher la chatte, la queue de M. toujours en moi. Elle me caressait le clitoris. J'étais si trempée. Elle s'amusait en meme temps qu'elle aspirait mon clitoris à me doigter.. - C'est ça ma chienne, fais toi bien léchée.. après avec été fistée et défoncée de partout. regarde toi!!! une bonne putain... - Hummm hummmm.... Mon corps tremblait par la jouissance et les coups de langue d'isabelle. Son doigté... - Isa, viens t'occuper de ton Maitre, maintenant; Elle se plaça a quatre pattes devant lui. Ouvrant sa bouche, sortant sa langue. - Leche moi les couilles , et nettoie mon anus! Elle le dévorait. Il éjacula dans sa bouche. Elle avala tout ne laissant rien. Nous étions épuisés par ce début de soirée. Isa… allez va laver ta chienne ! Allez vous au lit, on vous rejoint...
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Par : le 28/09/21
Un peu plus de deux mètres me séparaient du canapé sur lequel Mademoiselle était assise. Elle se leva, cravache a la main. La peur commençait à monter en moi. Je n’avais jamais vécu cela, et ne savais pas du tout à quelle intensité de douleur m’attendre. Debout devant moi, elle commença par caresser ma peau avec l’extrémité de sa cravache. Les épaules, le coup, le torse, les jambes, elle passa partout, zig-zaggant entre les pinces positionnées sur mon corps. Au passage sur mes jambes, elle s’amusa à mettre des petits coups de cravache sur l’intérieur de mes cuisses, ainsi que sur ma verge emprisonnée. Elle pris un peu de recul, et me fixa du regard. Ses yeux persans sondaient les miens. Ces quelques secondes de silences furent magiques, tant l’intensité de notre échange était puissante. Mais cet instant fut vite oublié quand elle se mis à s’amuser à retirer les pinces, une a une, avec son outil. Son geste était précis. Chaque pince enlevée était accompagné d’une douleur vive. Je sentais qu’elle se retenait, pour ne pas les retirer trop vite. Elle voulait faire durer son plaisir. Mais au bout de quelques minutes seulement mon corps fut démuni de pinces, à l’exception de celles placées sur mes testicules ainsi que celle agrippée à ma langue. Elle se colla a moi. Elle avait posé sa cravache sur le canapé. Une main me caressait les cheveux, alors que l’autre passait sur chacune des marques faites par les pinces retirées. Elle appréciait observer son œuvre. Elle descendit sa main sur mes couilles, meurtries par les pinces. Elle me mis quelques tapes légères sur mes bourses pour les faire vibrer. Mon regard implorait du répit, mais ce ne semblait pas être dans ses plans. Mademoiselle passa derrière moi. Je ne voyais pas ce qu’il se passait. Mon corps se raidit. Les ongles de ma tortionnaire, se plantèrent dans mon dos. Elle se mit a me griffer. De haut en bas. Elle n’appuyer pas excessivement, le châtiment était donc presque supportable, voir même presque agréable après la session de pinces/cravache. Cette courte séance de gravure, fut rapidement conclu par une intense double fessées. Elle revint face a moi. La pince accrochée à ma langue me faisait baver excessivement, j’avais honte. Mademoiselle saisi mon t-shirt, pour essuyer mon torse couvert de bave, puis se blotti contre moi. Son parfum m’enivra. Ses deux mains dans mes cheveux, elle me regardait. Le temps était suspendu. Elle retira la pince de ma langue avec les dents, la laissa tomber, et m’embrassa langoureusement. Wow quel moment. La douleur de la pince me tranchait toujours la langue, alors que la douceur de la sienne essayait de me calmer. Ce baise dura quelques seconde. Je n’osa pas passer mes bras autour d’elle. De peur de la décevoir, je les garda croisé dans mon dos. Apres avoir retiré ses lèvres des miennes, elle recula un peu et m’observa. « Alors, ça t’a plus, petite chose ? » « Oui, Mademoiselle. Merci beaucoup, ce fut magique, Mademoiselle. » « Que dirais-tu de poursuivre ? » « Avec plaisir, Mademoiselle. » Je ne savais pas a quoi m’attendre pour la suite. Son sadisme me faisait peur, mais sa passion m’envoutait. « Va te mettre devant le bureau penché en avant, les mains sur le bureau, croupe offerte. » Enivré par ce qui venait de se passé, je m’exécuta sans attendre. « On va reprendre le travail de ta rondelle. » Je l’entendit fouiller la caisse. « Malheureusement, je n’ai pas de plug plus gros a te mettre dans le cul. » Elle se tut un instant, avant de reprendre. « Enfin si, j’en ai un mais il n’ai pas disponible pour l’instant. » Me dit-elle sur un ton espiègle. Je l’entendais s’agitait vers le canapé. De peur de reprendre des coups de fouets, je n’osais pas tourner la tête pour observer. Elle s’approcha de moi. Je senti un gode caresser mes fesses. « J’ai des godes plus gros pour t’élargir le fion, mais là, j’ai juste envi de t’enculer petite chose. » Elle s’amusait a taper le bout du gode sur mon cul. Sans prévenir, une fois de plus, elle abattit ses mains sur mes fesses. Je ne pus m’empêcher de lâcher un cri de douleur. « Oh, tu t’es cru ou la ? » me dit-elle en haussant la voix. « Tu crois que tu peux bramer comme un cerf, à ta guise ? » « Je vous présente mes excuse, Mademoiselle. J’ai été surpris, et ne suis pas parvenu a garder cette surprise pour moi. » « Je m’en branle de tes excuses petite chose. », me dit-elle en me tirant les cheveux pour que je la regarde. « Avant de t’enculer, je vais te corriger un peu. » me dit-elle après m’avoir craché au visage. Elle alla se saisir du martinet posé sur le canapé. « Tu as droit à huit coups de fouet. Je veux t’entendre les compter, sans nous faire part de ta sois disant surprise. » Les huit coups fut plus forts que ceux auxquelles j’avais eu droit plus tôt. Quatre d’entre eux fut dédiés a mes fesses. Les quatre autres se concentrèrent sur le milieu de mon dos. « J’aimerai te faire confiance et pensé que tu ne vas pas te remettre a exprimer ta "surprise" oralement, mais je n’y arrive pas. » Me dit-elle en contournant le bureau pour se diriger vers son téléphone. « Chloé, excuse-moi de te déranger. Est-ce je pourrais te demander un petit service ? » « Oui, merci. Est-ce que tu pourrais me monter un bâillon boule s’il te plait ? » « Oui » « N’importe lequel ferait l’affaire. » « Oui, t’inquiète. » « Merci Chloé. » Se coup de fil fut pour moi l’occasion de voir Mademoiselle équipé de son gode ceinture. Il faisait une bonne taille, mais n’étais pas démesuré. Il faisait 25 cm de long pour 4-5 cm de large, a vu d’œil. Sous le harnais du gode, je pus apercevoir une culotte en coton gris souris, ornementée d’un fin liseré de dentelle blanche sur les bords. On frappa à la porte du bureau. « J’arrive », dit Mademoiselle en se dirigeant vers l’entrée. « Voilà, celui-là te convient ? » « Oui très bien! Merci Chloé, t’es une cheffe ! » « Dis-dont je vois que ça s’amuse ici. » J’entendis la porte se fermer sans un mot de plus. J’étais couvert de honte. Cette Chloé avait dû me voir, penché sur le bureau, offert. Même si elle ne m’avait pas vu, ses derniers mots ne sortait pas de nulle part. Elle avait du voir le gode ceinture de Mademoiselle, et avait dû faire le rapprochement. Je nu pas le temps m’apitoyer sur mon sort. Mademoiselle m’équipa du bâillon. « Voila, petite chose. J’espère que ça calmera tes ardeurs. » Le plastique de la boule avait un gout vraiment désagréable, mais je n’imagina pas un instant m’en plaindre. Le bâillon me fit rapidement baver. Mademoiselle s’en rendit rapidement compte et disposa à l’aplomb de ma bouche, mon t-shirt, afin de ne pas baver sur le sol. Je senti ses mains se poser sur mes fesses. J’eu peur de recevoir une nouvelle volée de fessée. Mais ce ne fut pas le cas. Elle joua un peu avec le plug dilatant mon anus, en faisant quelques aller-retour. Puis le retira complètement et le posa sur le bureau, devant moi. Mademoiselle se positionna derrière moi. Je senti un filer de lubrifiant couler entre mes fesses. Puis, le gode de Mademoiselle se frayât un chemin en moi. Elle commença par de petit va et viens, délicats et prudents. Rapidement le plastique du gode se faufila plus profond. Quelques instant après m’avoir fourrer, Mademoiselle parvint à enfiler l’entièreté du gode dans mon anus. Elle resta comme ça quelques seconde, surement pour me préparer a la suite. Cette sensation d’être rempli, je la connaissais. Ce plaisir d’avoir un objet phallique dans le cul, qui le remplis, mais qui ne bouge pas. J’adore. Je n’eu pas le temps de vraiment en profiter. Mademoiselle se mit a faire de grand aller-retour avec son gode. Utilisant tout la course pour me pénétrer, je l’entendais gémir de bonheur. Pour ma part, c’était moins rose. Les grands coups de gode que je subissais n’étais pas des plus agréable. Certes je m’étais déjà godé ou fait enculé, mais pas avec ce combo taille/intensité. Un jour un homme m’avait pris en levrette part terre, et m’avait baiser comme un lapin. Mais son sexe n’était pas aussi gros que ce gode. Je luttais intérieurement pour encaisse les assauts de Mademoiselle, sans broncher. Après quelques minutes de sodomie intense, le rythme se calma. Les mains de mon enculeuse caressèrent mon dos. Son sexe était toujours en moi. Ses mouvements de hanches faisait aller et venir tendrement le gode dans mon anus. Ce répit fut de nouveau perturbé par une fessée. Elle enfonça son gode au fond de mon âme, et se mis a me griffer le dos, tout en reprenant de grand va et viens. Je ne savais plus ce qui étais le plus supportable, la sodomie intense, le griffage de dos, ou la fessée entre deux coup de gode. Je bavais énormément sans m’en rendre compte. J’étais en train de m’abandonner complétement a Mademoiselle, devenant son pantin. Voyant que je commençais à trembler et que mes jambes étaient à deux doigts de cesser tout support, elle cessa toute activité. Elle enfonça une dernière fois le gode au fond de mon cul et se pencha sur moi. Ses bras m’entourèrent. Elle me fit comprendre, sans un mot, qu’elle voulait que je me redresse. Son gode toujours en moi, je me mis debout devant elle. Ses bras m’enlaçaient. Elle me pressa contre elle. Je senti même ses lèvres déposer quelques baiser sur mon dos et mes épaules. L’extrême contraste entre ce moment de douceur et ce qu’elle m’avait fait subir juste avant, était incroyable. Je ne saurais décrire la sensation de bien-être qui me traversa, tant elle était unique. Je senti ses bras me lâcher. En reculant, Mademoiselle fit sortir le gode de mon antre. Elle me fit me retourner vers elle, et me dit : « C’est pas tout, mais avec ces conneries, j’en ai trempé ma culotte. » Suite au prochain épisode.
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Par : le 28/09/21
Ecrit avec en toile de fond Harlem River, Kevin Morby Des semaines s’était passées depuis que nous avions fuis l’Allemagne. Les tensions montaient, le climat politique ne laissait présager rien de bon. Claudia était retournée en France. Nous avions dû nous cacher durant des semaines. Le meurtre de Herr Lintzer avait déclenché une chasse à l’homme, celui de Hans Ludwig et de moi-même pour assassinat et espionnage. Cet homme méritait ce qu’il lui est arrivé. Mon cerveau a été mis sur pause, je ne me souviens de plus trop de choses. Même si je compartimente beaucoup de choses dans ma vie, je reste encore marquée par cet homme qui m’a laissé son empreinte. Se reconstruire. Ne pas associer ce que j’ai pu vivre avec lui à cet odieu personnage. Hans me disait que j’étais une battante. Il avait cet aura protectrice, bienveillante. Il s’en voulait tellement de n’avoir pas pû me protéger. Il n’y pouvait rien. Nous ne pouvons contrôler les hommes qui pensent que les femmes sont des objets, ceux qui sont misogynes ou qui pensent qu’ils peuvent posséder, prendre, abuser. Dans le quotidien, une femme doit toujours se défendre car il y a aura toujours ce type d’hommes. Ce sexisme presque invisible mais qui est bien là. Cet homme qui parce qu’il vous aura juger jolie, voudra juste vous baiser, ou vous méprisera car il ne peut pas vous avoir. L’homme est un animal, qui a la faculté de penser. Mais tous ne pensent pas avec bienveillance. Leurs comportements semblent pour eux normal. Une femme c’est : tu es trop sexy, tu es trop mince, trop grosse, tu n’as pas assez de seins, tu as trop de seins, tu n’est pas en couple ? quel est ton problème ? tu n’as pas d’enfant ? mais pense y tu as vu ton âge. La société nous conditionne dans nos schémas de penser. Mais les hommes se sont-ils regarder? sont-ils à la hauteur de leur exigence, de leur ambition? Hans, lui avait cet beauté d’âme qui faisait que j’étais juste bien. Un homme rare. Notre sexualité était peut être débridée mais nous partagions, nous échangions, simplement nous. Deux personnes entières. Dans notre appartement à Vienne où nous nous étions réfugiés chez un de ses cousins, Hans me surprit en rentrant d’une promenade. - Ma douce demoiselle, laissez moi m’occuper de vous… vous êtes si tendues.. - Je… - Chut… taisez vous et laissez vous bercer… Il me banda alors les yeux. Surprise sur le coup, je me sentais tant en sécurité avec lui.. - Puis- je vous déshabiller ? - Hum… oui… cher Monsieur.. Ses mains douces parcouraient ma joue, descendant sur mon chemisier. Bouton après bouton.. Il caressa mes seins à travers le tissu. - Vos tétons pointent ma chère… Je rougissais, timide comme une petite écolière. Il continuait son dessein, je me retrouvais nue.. Prenant ma main, il me dirigea vers le lit. - Venez, allongez vous sur le ventre. N’écoutez que le son de ma voix. Elle était si chaude et suave. Je sentis alors son corps se poser sur moi. Sa chaleur, ses abdominaux au contact de mes reins. Je frissonnais. Sa sensualité, sa douceur. Nos bras se mêlèrent comme deux serpents. Je sentais les mouvements de son bassin sur moi. C'était d'une telle sensuailité. Ses mains conquérantes venaient jusqu’à mes doigts pour les serrer si fort. Il embrassait mon cou encore et encore.. - Humm vous êtes si désirable ma chère. Chaque parcelle de mon corps vous désire à un point. Chaque centimètre carré de votre être va être choyer, aimer, désirer… Sa voix était un murmure au creux de mon oreille. L’excitation montait. Il se releva et commença à m’effleurer le dos. Ses mains se firent de plus en plus insistantes. Il s’attarda sur mes cervicales qui étaient si nouées, ses doigts descendaient le long de ma colonne vertébrale, montant, descendant… Il massait divinement. Parfois sa bouche venait prendre le relais au niveau de mes omoplates. Je me noyais dans ce tourbillon de sensations. Il connaissait chaque recoin de mon corps qui me rendaient folle. Je gémissais doucement. Je commençais à m’onduler, le réclamant. - Humm vous sentez si bon ma chère… Il empoigna passionnément mes cheveux pour me faire tourner délicatement ma tête sur le coté et me lécher sauvagement, puis m’embrasser tout en remuant son bassin sur moi. - Humm, je sens combien vous vous détendez. Il entoura ma gorge de part et d’autres avec ses avants bras. Il m’enlaçait complètement. Son sexe dur exerçait une telle pression sur mes fesses. Il se déhanchait comme s’il me prenait. La pression de ses bras sur ma gorge m’excitait tant. Ses baisers me faisait chavirer. Je le désirais terriblement. Puis il me retourna sur le dos. Otant mon bandeau. - Laissez moi vous regarder. Il plongea son regard bleu dans le mien. Il était un tel tentateur son corps était un appel au désir. Ses mains s’attardèrent sur mes seins. - J’aime beaucoup vos seins. Les voir se balancer quand je vous prends. Les prendre en pleine main, les malaxer, les caresser... - Hummmmm.. râlais-je. Sa bouche avait saisi mon téton droit, ses mains englobaient mes seins comme pour les faire dresser fièrement vers sa bouche. Il les léchait, les titillait, les pinçait. Mon excitation était fievreuse. Je râlais, je gémissais. - Je.. - Chut, pas un mot, profitez… Il passa son pouce sur ma bouche, j’entrouvais mes lèvres. Il y fit pénétrer son pouce. Naturellement je le suçais avec passion pendant qu'iI redescendait sa main de ma gorge vers mon entrejambe. Je pliais mes jambes, cédant à ce délice qui s'offrait à moi. Il regardait chacune de mes réactions. Sa bouche saisit mon clitoris. J’émis un son de délivrance. - Hum si humide… Il l’aspirait. Ecartait davantage mon sexe pour jouer avec. Ses coups de langue était parfois d’une telle douceur et parfois si animal. Je me déhanchais tellement ça en était presque insoutenable, je voulais tellement plus. Je voulais le sentir en moi. C’était si violent. Ne tenant plus, je le repoussais. A mon tour , je lui dis de se mettre sur le dos. Je montais à califourchon sur lui. Avec provocation, je posais mon sexe sur le sien. Ma mouille se posant sur son sexe dressé. Doucement je faisais des mouvements de vas et viens, tenant une partie de son sexe dans ma main et l’autre glissant contre mon sexe. Je le masturbais ainsi. Je le voyais complètement partir. - Ohh ouiii, continue.. oh pu… Pendant que je masturbais ainsi, je décidais de lécher ma main pour ensuite caresser ses couilles qui était juste derrière mon fessier. Ses mains prirent possession au bout de quelques minutes de mes fesses. - Vous jouez à un jeu dangereux ma chère. - Ah oui ? dangereux comment ? laissez vous faire ! Avec sensualité je me déhanchais ainsi me cambrant d’avant en arrière, jouant avec son sexe, le masturbant. Il était si tendu. Il prit alors mes seins en main. - Vous êtes une diablesse ! - N’est ce pas ce que vous aimez ? - Humm si… j’ai toutes vos facettes. Il agrippa alors violemment mes fesses pour mes saisir et jouer avec mon postérieur pour le faire aller d’avant en arrière encore plus fermement. Avec ferveur, je m’appliquais à ma tâche. - Vous êtes une telle tentatrice ! Je saisis alors son sexe en main et je l’introduis dans ma chatte. - Chut.. Monsieur, laissez vous faire ! Je mis ma main sur sa bouche. Je me plaquais à lui, l’embrassant dans le cou. Mes mains entourant son visage. Je dévorais ses lèvres. Ma langue se faisait, elle inquisitrice. - Vous êtes si tentateur.. Herr Ludwig. Je vais vous baiser là sur le champ. Je vis alors son sourire. Je me redressais. Je commençais cette longue danse frénétique à abuser de son sexe en moi. D’avant en arrière. Puis je me mettais sur mes pieds, jouant de bas en haut. Je le baisais avec frénésie. Cette passion que nous avions l’un pour l’autre. Ce mélange torride de passion, de désir nous poussait à nous mettre à nu. A vivre ce besoin animal. - C’est ça, oui… continuez ne vous arrêtez pas ! Il me plaqua contre lui, il pris alors le contrôle de ses coups de queues. - HUmmmm… hummmm.. Il avait mis ses bras autours de moi, je ne pouvais plus bouger. Ses coups de queues étaient si rapides que je ne pouvais rivaliser. - Vous vouliez me baiser.. mais qui baise qui ma .. demoiselle ? Je n’arrivais pas à parler, j’étais possédée littéralement. Lui, Prenant mes fesses de pleine main, les écartant, je ne savais même plus ce qui m’arrivait. Il me claquait les fesses avec cette douce sauvagerie. Il m’agrippa la taille pour que je m’empale au mieux sur son sexe. Nous nous regardions. Mes mains agrippaient les siennes, nos doigts s’entrecroisaient. Nous faisions l’amour comme ses vagues qui se soulèvent en mer, petites, plus hautes, ondulantes parfois scélérates, puis de nouveaux douces et calmes. Ce rythme frénétiques qui nous poussaient à nous abreuver encore et encore. Son regard si pénétrant, il me souriait, je lui souriais. Le temps s’arrêtaient. Il me poussa sur le dos, à nouveau. Il me tenait les poignets de part et d’autres de ma tête avec ses mains. Son regard pénétrant. Je tenais son sexe dans ma main, le caressant. - Je vous veux… je vous veux dans ma bouche. - Est-ce que vous voulez ? réellement ? - Taisez-vous. - Je vous demande juste de ne pas venir … - Chut.. je sais… Il s’avança au dessus de moi emprisonnant mon visage entre ses cuisses. Il tenait son sexe en main. Il le passait sur mon visage, mes lèvres. - Avec désir, j’ouvrais ma bouche, sortais ma langue. - Hum vous êtes si…. - Si… - Si chienne… veuillez me pardonner ! - Taisez-vous, cessez, prenez ma bouche ! Il dirigea son sexe dans ma bouche. - Ahhhhhhhh.. votre bouche, si chaude, un véritable écrin. Il faisait quelques mouvements de bassins, un rythme si doux. - Léchez le seulement ! Je sortais ma langue, elle était son instrument pour le plaisir de sa queue. - C’est ça ma belle, sortez votre langue.. hummmmm… ohhhhhhhh Puis sans se retenir il la glissa dans ma bouche. D’abord le début de son gland, prenez la température. Des petites entrées et sorties, puis il testa la profondeur de ma gorge. - Hummm ouiiii prenez là bien au fond…. Rahhhhhhhhh… rahhhhhhhhhh bonne petite suceuse ! J’approchais mes mains pour m’ateler au mieux à mon œuvre, il les immobilisa sous ses cuisses. - Vous êtes ma douce prisonnière. Il me souriait puis je vis la gravité dans son regard, le loup qu’il était. - Vous êtes mienne. J’allais répondre quand il me bâillonna de sa queue. Il s’avança pour s’appuyer contre le lit et me prendre ainsi. - Votre bouche est aussi douce que votre chatte ma chère. - Continuez ! ohhhhhhhhhhhhh Et toujours ce jeu, ce rythme doux, parfois vif et possédant, puis à nouveau cette douceur. Parfois il se stoppa au fond de ma bouche, me regardant. Je le regardais. Je le dégustais, j’adorais lécher ses couilles, les prendre dans ma bouche, l’honorer comme il m’honore. La partie entre ses couilles et son anus était si sensible. Il me laissait me lécher où je voulais. J’adorais le voir s’abandonner. J’aimais tant cela. - Vous me rendez vous, arrêtez ! je ne tiendrais pas… Il se retira, ne tenant plus, il continua de se caresser tout en me regardant. La violence de Lintzer avait laissé des traces. La vue du sperme, l’odeur du sperme provoquait toujours en moi cette envie de vomir. Il le savait en avait parfaitement conscience. J’écartais au mieux mes jambes, je me caressai en le regardant… - Venez, mettez votre semence sur mon ventre. - Non.. je… - Je vous l’ordonne ! Le temps passait mais je ne voulais pas que cet homme qui m’avait violé prenne une place pour troubler ce que je vivais avec Hans. J’avais avec moi un homme patient et surtout je voulais surmonter tout cela. Le voyant sur la retenue, je me relevais, il s’était mis debout devant le lit. Je me mis à quatre pattes devant lui, me cambrant, me faisant des plus chienne et provocante. Il caressa mon dos, mes seins. Il caressa le creux de mon dos.. et se plaça devant moi. Je pris alors son sexe en bouche à nouveau. Ma main se fermait sur son sexe, aspirant son gland, comme une douce sucette. J’adorai cela. J’aimais son sexe. - Cessez de penser à ce que j’ai vécu, prenez moi comme la première fois dans votre salon. Devrais-je vous punir ? Il me souriait. Il caressa ma chevelure puis enfonça son gland jusqu’à ma gorge et me tenait ainsi. - C’est ça que vous voulez ? Je hochais de la tête par l’affirmative. - Vous voulez que je vous prenne par la bouche fermement ? Je hochais toujours par l’affirmative. Il mit alors sa main sous ma gorge et dirigea son sexe bien au fond. - Voulez-vous êtes ma chienne? je hochais toujours par l'affirmative. - Voulez-vous êtes ma putain? J'avais senti l'hésitation dans sa voix mais ma réponse fût la même , je hochais par l'affirmative. - Arghhhh, ma …. put... ain Ses va et vient si passionnés. Il se retira, poussa ma tête contre le lit, mes fesses toujours relevées. Il éjacula sur mon dos. - Je…. Je…. Restez ainsi, je reviens. Il revint avec une serviette et me nettoya. L’odeur du sperme, malheureusement provoquait en moi toujours cette sensation de vomir. Mes sentiments pour Hans m’avaient tant aidés, tout comme le respect qu’il avait pour moi. Nous surmontions cela. - Je suis certain que vous n’avez pas joui ma chère ! Je vous ai préparé un bain. Il doit être maintenant à bonne température. Venez , je vais vous laver. Avec douceur, il me prit par le bras. Il mit la main dans le bain pour tester la température. Il avait allumé plusieurs bougies. Quelle chanceuse j’étais, j’avais la sensation de rêver. Il me souleva et me déposa dans la baignoire. Nous avions ce privilège d’en avoir une. Je me glissais dans la chaleur de cette eau, la vapeur s’échappant. J’étais assise dans l’eau, il avait saisi une cruche en porcelaine. je relevais mes cheveux sur ma nuque. Il prenait l’eau pour me rincer à partir de l’omoplate, la faire couler le long de la colonne vertébrale. Il avait saisir le savon et commença à me nettoyer le dos, là où il avait éjaculé. Ses doigts étaient si doux et réconfortants. - Vous m'avez honoré aujourd’hui. Je ne voudrais jamais vous brusquer ! - Je vous l’ai demandé ! alors arrêtez !. - D’accord. - Vous n,'êtes pas lui etvous ne le serez jamais ! Vous me voyez telle que je suis. Ne pensez pas à ce que j’ai pu ressentir ou vivre, c’est moi à d’aller de l’avant et vous êtes tellement bienveillant avec moi ! Ma blessure est la mienne et vous avez la vôtre e, mais nous allons nous élever au dessus de cela. Il se glissa alors lui aussi dans l’eau, derrière moi. Il s’allongea puis plaqua mon dos contre son torse. - Venez. Il s’amusait à déposer de l’eau sur mes seins, à passer le savon sur mon ventre, mes bras. Il embrassait mon cou. Ma tête se reposait sur lui, comme tout mon corps d’ailleurs. Sa main s’aventura sur mon sexe. Il mit sa main sur ma gorge, sachant pertinemment ce que cela provoquait en moi. - Ma petite espionne. Ecartez vos jambes ! Il murmurait au creux de mon oreille. - Donnez moi votre sexe. Sentez mes doigts sur votre petit clitoris. - J’ai adoré votre langue sur mon sexe, vous regardez m’avoir en bouche. Vous étiez une si belle chienne.. et vous adorez cela. - Hummmmm… oui…. Je sentais l’insistance de ses doigts. Mes mains avaient rejoint ses doigts. - Doigtez vous pendant que je vous caresse. Je sentais son sexe se durcir à nouveau. - C’est ça doigtez-vous ma petite chienne… voilà… Je me détendais au son de sa voix, il me rendait fou. - Vous aimez que je vous parle ainsi, n’est ce pas ? - Je l’avoue Monsieur… - Parfait… Voulez-vous que je continue? - Hummm oui c’est si bon.. - Je ne comptais pas m’arrêtez. Je sentis qu’il prit alors son sexe en main. Il le plaça à l’orée de mon anus. - Je vais le faire doucement céder, continuer de vous caresser ! Je gemissais Je gémissais - Chut….. je sens combien vous êtes trempée, même dans l’eau. - Vous cédez… voilà… ma belle. Je sentais son sexe me pénétrer doucement, mon anus l’emprisonnant. - Là… voilà….. sentez comme je vous pénètre. Il replaça sa main sur mon clitoris. Il m’embrassait le ou. Je tournais la tête, nos langues se mélangèrent, ses caresses me faisait partir. - Vous… vous me rendez folle.. J’avais du mal à finir ma phrase tellement j’étais bien. Ses va et vient était si doux. j'étais la tête dans les étoiles. - Vous aimez être prise ainsi par votre petit anus, qu’on vous caresse ainsi.. - J’… j’ad… ore - Vous êtes divine… - Voulez vous que je continue ainsi?. Ses doigts s’intensifiaient sur mon clitoris… - N’hésitez pas à vous doigter si vous souhaitez encore plus de plaisir. Lui tenait mes seins en mains, bien fermement. Je me déhanchais donnant le rythme de notre ébat. - Je… je… ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh….. ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh J’avais des spasmes. J’avais étouffé le bruit de ma jouissance en me pinçant les lèvres. Il s’arrêta, laissant son sexe dans mon anus. Je me reposais totalement contre lui. Heureuse, si détendue. Il caressa mes cheveux. Les larmes commençaient à jaillir, des larmes de jouissance de bonheur. Il les sécha avec le revers de sa main.. je somnolais ainsi…. Le temps n’avaient plus aucune importance, l’eau chaude laissa place à la fraicheur. Je ne voulais pas bouger. Hans me souleva et attrapa une longue serviette. Il m’enveloppa dedans, me sécha.. - Va t’allonger maintenant ma chérie.. j’arrive pour te réchauffer…
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Par : le 28/09/21
C'est une pure fiction abordant la thématique du viol et du harcèlement. Un sujet tabou, qui laisse des traces, des blessures ouvertes, des séquelles. j'aborde un sujet que j'ai malheureusement connu et où je me suis tue. J'avais 21 ans. Ne restez jamais silencieuse face à cette situation! Aujourd'hui je vis pleinement ma sexualité et malgré ce que j'affectionne, je ne fais pas d'amalgame.. mes envies sont les miennes et le bdsm est si méconnu. Quand on est avec la bonne personne, on est justement protégé et sincèrement désiré. Tout n'est que partage et sentiments. Ceux qui prennent la soumission domination pour assouvir des pulsions ont malheureusement bien tort. C'est pour moi la relation la plus fusionnelle qui existe! ******************************************************************************* Je sentais chacun de ses coups de rein. Il me pilonnait fermement, avec passion. Il agrippait mes fesses. Je sens encore l’empreinte de ses doigts dans ma chair. Il me prenait si sauvagement. La seconde d’après je sentais ses baisers dans mon dos, ses caresses. L’œil du cyclone, puis la tempête reprenait vigueur. Il empoigna mes cheveux, me forçant à me relever. Je me redressais lui offrant ma poitrine. Ses mains prenaient un réelle plaisir à les malaxer fortement. alors que sa queue se frayait son chemin dans ma vulve. Il passa sa main sous ma gorge me forçant à me cambrer, de l’autre il plaça son bras derrière mes deux coudes qui était dans mon dos. Sa frénésie me faisait défaillir. Ses couilles battaient mes fesses. - Rahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh. Ces derniers coups furent si violent que la table en avait bouger. Il claqua une dernière fois mes fesses puis me retourna pour me mettre sur le dos. Il agrippa mes jambes les refermant contre lui et continua de me prendre. Je sentais sa verge si dure en main. Il me regardait. Soudainement il écarta mes jambes et observa sa queue entrer et venir dans ma chatte. - Hum du beurre. Puis il posa son pouce sur mon clitoris et le caressa en même temps qu’il me prenait. - Ahhhhh.. ahhhhh - C’est bon.. ma belle, prends ton plaisir… - Je….. - Ahhhhhhhh.. je vais… - Jouir ? jouis, je veux te voir t’abandonner.. jouis ! Il augmenta ses coups tout en me caressant. Mes seins valsaient. La vague de plaisir qui m’envahit fut si intense. Lui continuait de me posséder. Il se pencha sur moi et me bâillonna de sa main. Je sentais tout le poids de son corps. J’aimais ce contact, la chaleur de sa peau. Il me murmura. - Tu est ma petite putain. Tu es si bonne. Je voulais protester - Tais toi ! Il me tringlait encore et encore. Il se releva et me gifla avec une certaine douceur jusqu’à ce qu’il explose. Il m’avait saisi sous les cuisses pour mieux me prendre. Puis au moment de jouir il se retira et éjacula sur mon ventre. Il se retira, épuisé, transpirant et vidée. - Tu es sensationnnelle ma belle. - Viens dans mes bras. Il me releva et me prit dans ses bras. Il m’invita sur son canapé. Je me lovais contre lui. Il caressa doucement mes cheveux, m’embrassait tendrement. - Je suis navré d’avoir était si brutal.. mais vous me rendiez si fou. - J’ai aimé que vous me preniez ainsi. Je ne me suis jamais sentie autant possédée, désirée. C’était si intense. - Hum.. laissez moi vous initier à ces plaisirs. Laissez moi faire de vous mon égérie, mon tout. Je me sentais complètement surprise par la tournure des événéments. - Maintenant taisez-vous et venez vous blottir contre moi. J’entendais les battements de son cœur, je m’endormais doucement. Il m’avait porté jusqu’à sa chambre. Le lendemain matin, il n’était plus là. Je voulais sortir, mais impossible, j’étais toujours enfermée. Les larmes me montaient. Je ne voulais pas rester prisonnière. - Pourquoi cette porte est elle fermée entendais-je ? J’entendis la voix de Peter, c’est la chambre d’Herr Ludwig, elle est toujours fermée car elle contient des dossiers confidentiels. - Ils ferment sa propre chambre à clé ? vous rigolez, ouvrez ! Je reconnus la voix de Lintzer. J’allais me cacher tout de suite sous le lit. La porte s’ouvrit. Je vis les bottes de cet horrible homme. Il semblait fouiller la chambre. Quand soudain il pris en main la robe que j’avais que j’avais laissé dans la salle de bain, celle que je portais au bal. Je la vis retombée au sol. - Intéressant… Puis il quitta la pièce. Je n’osais plus faire de bruit. Peter vint m’ouvrir la porte - Comment allez-vous Mademoiselle Lane ? - Je vais bien mais cet homme, que faisait-il ici ? - Je ne le sais pas mais il est clair qu’il cherche quelque chose ou quelq’un. - Quand revient Herr Ludwig ? - Pas avant demain. Il m’a dit de m’occuper de vous, de vous faire apporter quelques toilettes et en aucun cas de vous faire sortir de la chambre. - Très bien, je ne bougerai pas. Un peu plus tard dans la journée, j’entendis du grabuge plus bas. Je n’ai pas eu le temps de me mettre sous le lit, que la porte fût défoncée. - Je le savais ! je savais que ma Prinzess était ici. Face à moi Herr Lintzer. Son regard était menaçant. Il s’approcha de moi, je reculais dans le coin de la chambre. - Nous n’avions pas fini notre entrevue la dernière fois. Il agrippa mon bras si fermement. - Suivez-moi ! - Lâchez moi connard ! lâchez moi ! Je me débattais. Il me força à descendre les escaliers. Arrivés au rez de chaussée, il me regarda. - Amenez là dans mes appartements privés et attachez là fermement. C’est une sacrée sauvage ! - Lâchez moi !!!!! - Taisez-vous sinon vous aurez la mort du majordome sur la conscience. Je tentais de me calmer. Je vivais un réel cauchemar. - Peter, Peter… - Hans… je suis navré, il l’a trouvé ! Il l’a emmenée - Quoi ? il l’a emmené ? où ça ? il a parlé de ses appartements privés. - Le salaud, je vais le tuer. On me jeta dans une voiture comme un vulgaire paquet. On me mit un tissu sur le visage. Je ne savais pas où j’étais. Je sentais des bras vigoureux me diriger puis au final m’attacher fermement à une chaise. J’attendais, tremblante. Soudain, je sentis une main appuyée sur mon épaule. Puis une gifle s’abattre à travers le tissu. Elle me sonna par sa puissance. Je compris qu’il était là. Je sentais alors sa matraque parcourir mon corps. - Je dois reconnaitre que tu es une sacrée belle putain. Cela fait des semaines que tu m’as échappé. Et on ne m’échappe pas et tu n’aurais jamais dû tenter de t’échapper. Il ôta le tissu sur mon visage. - Je t’avais repéré à la soirée, tu pensais que tu allais passer inapercue ! Ton amie Claudia a été coriace mais j’ai réussi à lui délier la langue. - Claudia, que lui avez-vous fait ? - Oh rien, ne t’inquiète pas, elle est bien au chaud, elle réconforte mes collègues. Je lui ai montré comment elle doit être, elle est devenue bien obéissante maintenant, comme toi tu vas l’être. Je le regardais et je lui crachais au visage. - Vous êtes un fou ! Il ôta mon cracha avec ses doigts et les mis dans sa bouche. - Hummm… - J’aime les sauvageonnes comme toi. Je vais te faire manger dans ma main. - Allez vous faire voir ! - Amenez moi Claudia, tout de suite ! Je vis ma Claudia quelques minutes plus tard. Elle portait une robe rouge de soirée, un maquillage outranciel. - Messieurs, baisez moi ça de suite. Je voyais Claudia, comme droguée, elle se laissait faire. - Non arrêtez je vous en prie, ne faites pas ça.. Je.. - Oui vous ? - Que voulez-vous de moi ? - Que tu sois ma petite chose obéissante. Tant que tu seras gentille et que tu obéiras, Claudia sera épargnée. Un seul faux geste de ta part… - C’est bon j’ai compris… - Ramenez là dans sa chambre ! et détachez notre invitée Messieurs. Je vous convie à une petite séance de dressage ce soir. Je vais vous montrer comment on mate les pouliches. Un des gardes me détacha. Je mettais ma main sur ma joue, sa gifle m’avait sonnée. - Deshabillez-vous ! - Je…. Non je vous en prie. - Deshabillez-vous ! - Messieurs, arrachez lui ses vêtements ! - Non c’est bon, je vais me déshabiller. Vous êtes abject ! - Toutes vos rébellions, je les note. Je punirais Claudia personnellement. Je me retrouvais ainsi nue, face à ses hommes. Je tentais plus bien que mal de cacher mes seins et mon sexe. - Ne te cache pas. La beauté ne se cache pas voyons ! Il se leva de sa chaise et se mit à ma hauteur. Il était plus petit que moi mais vous compreniez à son regard qu’il ne plaisantait pas. J’aurai tout fait pour lui prendre sa matraque. Il releva ma tête avec sa matraque. - Très très jolie… Il passa sa matraque sur l’ensemble de mon corps. Il me força à écarter les jambes en tapotant sur l’intérieur de mes cuisses. - Mains sur la tête. - Voilà une belle position de présentation. - Messieurs, voici Mademoiselle Véronika. Espionne française, complice de Claudia. Une belle femelle blanche avec des seins en pomme parfait. Elle sera parfaite pour la baise. Quand je sentis sa matraque passer sur mon sexe, je refusais de céder à qu’ils voient mes pleurs. - A genou ! Je ne voulais pas céder, je me souviens de la dernière fois. Il m’agrippa le cou et me força à me mettre au sol, à genou. Il me donnait quelques coups dans les reins avec ses chaussures puis il alla s’asseoir. - Viens jusqu’à moi maintenant à quatre pattes. - C’est ça.. applique toi, j’aime que l’on soit racée et digne. Dans ma tête je voulais le tuer. Je pensais à mes moments avec Hans. Il devait me chercher, je l’esperais. - Maintenant, nettoie mes bottes. Je me relevais. - Allez vous faire… - Tssss… pas de rébellion, n’oublie pas. - Allez y tuez nous toutes les deux maintenant ! Ma réaction l’avait surprise. - Allez y tuez moi maintenant ! n’est ce pas ce que vous allez faire de toute façon, c’est bien ce que vous voulez non ? Vouloir soumettre une femme car vous n’êtes pas capable d’attirer une femme et de vous faire aimer autrement qu’en la torturant ? Il sortit son pistolet et le braqua sur moi. - Ouvre ta bouche, sale petite pute. Il m’enfonça le pistolet dans ma bouche. Je ne faisais que penser à des moments heureux, je faisais tout pour ne pas sangloter. Ne pas lui donner se plaisir de lui supplier. - Suce le… - J’ai dit suce le ! Voyant que je n’obéissais pas, il faisait des vas et viens avec le canon. - Maintenant LECHE MES PUTAINS DE BOTTES ! Je tremblais si fort, mon corps trahissait mes émotions. Je commençais alors à m’exécuter. Léchant ses bottes. - Vous voyez messieurs, comme elles deviennent rapidement dociles. Elles ne demandent que ça. - Suffit maintenant. Retourne toi, mets toi en boule, que je vois tes jolis orifices. - Quel sublime objet d’art, ne trouvez-vous pas messieurs ? C’est là que j’entendis une porte claquer et je reconnus la voix d’Hans, il était venus me chercher. - Eh bien voilà ! je savais bien qu’il était aussi un espion. D’ailleurs il est sous surveillance lui aussi. Je vais me faire un plaisir de me débarrasser de lui devant toi ma belle. - Arrêtez, je vous en prie.. faites de moi ce que vous voulez mais laissez le ! Il m’agrippa par les cheveux et me plaça devant lui. Hans pénétra dans la pièce avec ses hommes. - Lâchez La Lintzer. - Vous êtes une honte pour notre pays Ludwig. Lâchez vous arme où je lui colle une balle dans la tête. C’est ce que vous voulez ? - Hans, ne l’écoute pas tue le ! Je vis Hans, rendre les armes, mes yeux commencèrent alors à se mouiller. - Humm, je crois qu’avant de le tuer, je vais d’abord abuser de toi devant lui et lui comment on possède une putain. - Messieurs attachez le. Enfermés les autres. Hans se retrouva attaché à une chaise. - Je suis si désolée…lui répondis je - C’est moi qui le suis de ne pas t’avoir protégé de lui… Nous voilà en pleine fête ! Champagne !!!! je veux du champagne. - Lintzer, laissez la partir ! elle n’a rien à voir dans notre affaire d’égo. - Oh que si, vous me l’avez enlevée Vous l’avez laissé s’échapper. Depuis on vous surveille. Je vais m’occuper d’elle personnellement. Elle ne craint rien avec moi. Je la sauterai quand je le voudrais, sinon elle sera baisée tous les soirs par mes hommes, elle avec sa copine Claudia. Et quand je me serai lassée d’elle, je lui collerai une balle dans la tête. Il venait de me glacer. Il venait de me faire perdre le dernier espoir qui me restait. Je venais de trouver un homme, des sentiments naissants et tout était piétiner, en une fraction de seconde. - Veronika, allez viens me sucer maintenant. Il défit sa braguette et en sorti sa queue. - Si je sens tes dents, je lui colle une balle, compris. Il fourra sa queue dans ma bouche et tenait ma tête. Il me for(cait ainsi à prendre un rythme soutenu. - Oui prends la bien au fond… rohh mais quelle suceuse ! - Ludwig, regarde ta putain comme elle est douée ! je comprends ce que tu lui trouves. - Ne t’arrête surtout pas.. Continue, allez applique toi ! De ses deux mains collés à la tête il me forçait vigoureusement. Quand il fut sur le point d’éjaculer dans ma bouche, j’ai profité de ce moment là pour le mordre si férocement qu’il n’avait pas son pistolet pointé sur Hans. Il hurlait pissait le sang. Je me retrouvais la bouche avec son sperme, l’envie de vomir. Juste une demi seconde pour me saisir de son pistolet. Les deux autres soldats ne bronchèrent pas. Je mis le pistolet sur la tempe de ce connard. - Détachez le ! tout de suite. - Jetez vous armes aux sols. J’étais en crise de nerf. Je pleurais comme il n’était pas possible de pleurer. Comment un homme pouvait détester à ce point les femmes ! Il m’avait poussé à bout. J’attrapais la bouteille de champagne pour enlever le gout répugnant de son sperme dans ma bouche. J’étais si écoeurée. L’odeur reste, le gout aussi. Je me suis mise à vomir sur le sol. Hans avait pris ma place. - Tourne toi Véronika, je ne veux pas que tu vois ça. J’entendis une détonation. Lintzer tomba sur le sol. Mort. Il me prit alors dans ses bras et m’enlaça si fortement. - Tu es une femme forte ! je suis là ! Je n’arrivais plus à réfléchir. J’étais en état de choc… Je criais juste. Claudia… - Claudia.. claudia, ton amie est ici ? Je fais un hochement de la tête. Ses hommes libérés, ils firent le tour de la maison. Ils trouvèrent Claudia enfermée dans une chambre, complètement droguée. Homme me prit dans ses bras et m’emporta loin de ce lieu atroce. La suite : Chapitre 5
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Par : le 23/09/21
A lire avant, le chapitre 1, Clandestine, le Chapitre 2, l'interrogatoire Claudia ! Claudia… criais-je - Chut Véronika.. calme toi ! je suis navrée de ce qu’il t’arrive, je n’ai jamais voulu cela. Je vais te sortir de là, ne t’inquiète pas. - Qui es tu Claudia ? - Je ne peux pas te le dire mais fais moi confiance, je te sortirais de là ! Ne dis plus rien sur moi, juste le minimum. Son apparition fût si soudaine et rapide. La fièvre me gagnait. Je ne savais même plus si j’avais rêvé. J’avais senti le parfum d’Herr Ludwig, ou bien était-ce mon imagination? Cet homme me réconforterait malgré lui, après tout ce que je traversais. - Comment est-elle ? est-elle capable d’être interrogée ? compris-je… la voix d'Herr Ludwig - La voie féminine répondit Nein.. Puis, je me rendormais. J’avais si froid, si chaud., si fro id. Je sentis alors une main sur mon front. J’ouvrais les yeux. - Mademoiselle Lane, reposez-vous, reprenez des forces. Votre périple ne fait que commencer. On me demande un rapport à votre sujet. Je ne sais pas si vous êtes notre espionne ou non. Je dois tirer les choses au clair. - Herr Ludwig.. merci. Merci de m’avoir tirer de ce lieu. - Vous n’avez pas à me remercie. Herr Lintzer a eu quelques méthodes que je n’approuve pas. Je n’aime pas qu’on frappe une femme inutilement. Et ce n’est pas ainsi qu’on fait avouer à une personne. Sinon elle peut avouer n’importe quoi. Vous a-til… - Violer ? non heureusement. - Herr Ludiwig, je ne saurai vous remercier pour votre bienveillance. Je puis vous assurer que je n’ai rien à voir dans votre affaire d’espionnage. Je n’ai rien qui peut prouver ma parole. - Reposez-vous. Mes supérieurs ont ordonné que les interrogatoires se poursuivent d’ici demain. J’étais lasse, si lasse. J’aurai aimé que le temps s’arrête avec cet homme. Je me sentais si bien quand il était présent. Pourquoi l’avoir rencontrer dans de telle circonstance. Je devais me sortir de ce mauvais pas. Claudia.. je ne l’avais pas rêvé. Qu’allait -elle faire? Dans la nuit, j’entendis une voix chuchoter. - Veronika.. Véronika. Je me levais doucement.. Claudia? - Viens, je vais te faire sortir. Mets ce manteau et viens. Ce soir là je fuyais Munich… Je ne savais pas où nous allions. Claudia était là. Elle m’avait donné le minimum d’explications. - Je travaille pour les renseignements français. Nous surveillons des officiers allemands. Il se passent des choses en ce moment en Allemagne, nous devons être très prudents. Quand je ‘ai vu, ton allure, ta beauté, je me suis dite que tu étais la bonne opportunité pour aller à cette soirée. - As-tu tué Franz ? - Je.. je n’ai pas eu le choix Véronika. Je ne peux pas t’en dire plus mais il fallait le faire. - Et me faire accuser ? - Je ne voyais que cet échappatoire, mais je vais te sortir de cette situation. Nous allons te donner une nouvelle identité et tu vas fuir l’Allemagne. On va t’envoyer en Suisse. - Mais que fais tu de ma famille !? Claudia.. ou quelque soit ton vrai prénom, que vais-je devenir ?. Ne me laisse pas ! - Ton autre option est de venir avec moi, de m’aider à renseigner notre pays. Belle comme tu es, tu seras parfaite. Tu as cette innocence.. je t’apprendrais à user de tes charmes pour arriver à tes fins ? - Je.. - Tu vas vivre parmi les gens importants de ce pays, te fondre dans cette masse, reste inaccessible, fais que les hommes ne puissent se passer de toi, fais en sorte qu’ils se confient à toi sur les décisions importantes. Nous avons quelques cibles. Dommage que tu doives fuir car Herr Ludwig est une de nos cibles. Nous étions arrivés à Berlin, cette fois ci. Je me rapprochais de la terre de mes grands parents. Claudia s’occupait de moi, elle avait réussi à me transformer.. J’avais une sublime garde robe, elle m’apprenait à me mettre à mon avantage, à avoir confiance en moi. Malgré cette situation, je savais que c’était une femme indépendante, de conviction, se battant pour son pays. Elle m’impressionnait. Plusieurs semaines s’étaient écoulées. Nous passions de soirées en soirées mondaines. Une certaine tension se faisait sentir dans le pays. C’était si simple, si plaisant. Claudia était devenue mon amie. J’avais eu raison de lui faire confiance. - Robe dos nu, ce magnifique bijou de dos, ce masque.. ma mystérieuse Véronika.. pardon Elena.. tu vas faire tourner les yeux de beaucoup d’hommes ce soir ! - Et toi, robe blanche, une chute de rein incroyable, ne parlons pas de ce fessier, les hommes seront au pied de l’ange que tu es.. rire… lui répondis-je. L’ombre et la lumière, ensemble. Nous nous entendions si bien. Nous nous rendions à une soirée masquée dans cette maison d’un politique proche d’Hitler. Cet homme faisait froid dans le dos. Je l’avais aperçu une première fois à une soirée. Il me faisait penser à ce Herr Lintzer. Froid, implacable, le regard vide, fou et maitre de lui. La fête battait son plein. Chanteurs, chanteuses, du champagne, des hommes toujours élégamment vêtus.. Nous avions nos deux cibles pour la soirée, à pister. Notre plan se dérouler à merveille. J’avais réussi à appâter ma cible. Il parait que mon regard même à travers mon loup est saisissant. Je regardais toujours droit dans les yeux, ne baissant jamais le regard. Et là je feignais d’être parfois cette femme fragile. Quand ma cible se rapprocha de moi, un autre homme lui emboita le pas.. je le reconnu immédiatement.. Herr Ludwig. Je tentais de partir faisant quelques signes à Claudia mais trop tard. Je m’étais présentée sous le nom d’Elena. Mon allemand s’était nettement améliorée au fil des semaines. - Oh Herr Ludwig, laissez moi vous présenter un ange ou plutôt une tigresse, Elena… dit -il en allemand. - Enchantée Herr Ludwig.. Je m’appelle Elena. Mon corps tremblait à sa vue. Toujours ce parfum, cette prestance qui me faisait perdre tous les moyens. Je devais me ressaisir. Je tentais de prendre une sorte de fuite qu’Herr Ludwig me rattrapait par le bras. - Vous partez déjà ? - Ja… je vais rejoindre mes amis. - Ne nous sommes nous déjà pas rencontrés ? - J’en doute Herr Ludwig, je m’en serai souvenu, répondais je en allemand. - Vous avez cet accent charmant. Etes vous Française? - Du côté de ma mère oui. Je viens de Baden Baden. Claudia m’avait crée toute une identité et une vie que j’ai du apprendre par cœur. - Accepteriez-vous de danser avec moi ? - Je ne crois pas que ce soit une bonne idée. - Je vous l’ordonne, vous n’avez pas le choix. Il saisit ma main gantée. Puis face à face, je ne pouvais que baisser mon regard. J’étais si troublée mais je devais résister. Je sentis sa main ferme dans le creux de mon dos. - Elena, votre maintien et votre port de tête sont des plus exquis. Vous dansez à merveille. - Je vous en remercie Herr Ludwig. - Vous etes certaine qu’on ne s’est jamais rencontré ? j’ai la sensation que si… votre odeur, votre peau.. - Je.. vous vous méprenez je le crains. - Moi, je ne crois pas… Véronika… Je tentais de me défaire de son étreinte. Il me plaqua à lui. - Vous voyez les apparences sont trompeuses. Jamais je ne vous aurai pris pour une espionne quand vous étiez allongée, fièvreuse et si vulnérable. Là, je découvre une femme sure d’elle. Que tentez-vous de faire ? - Je… vous vous méprenez à nouveau sur la situation. - Vous ne me laissez pas le choix Véronika… vous allez me suivre sagement jusqu’à ma voiture, vous allez me suivre, m’obéir ou alors, vous voyez l’officier là bas… je vous laisse entre ses mains. Et croyez-moi, à côté de Herr Lintzer, lui est bien pire… Que choisissez-vous ? - Je… Ma gorge s’était asséchée. Il me tenait le poignet fermement. Je cherchais Claudia mais impossible de la voir. Il m’emportait avec lui. Soudain, je vis Herr Lintzer, mes jambes se mirent à ne plus me soutenir. C’est là qu’il me plaqua contre le mur. - Embrassez moi ! m’ordonna t’il. Il plaqua ses lèvres contre les miennes, m’imposant ce baiser, laissant mes lèvres céder la place à sa langue inquisitrice. Le temps s’arrêtait. Je me laissais emporter par ce tourbillon. - Je vous ai reconnu, lui aussi vous reconnaîtra. Vous êtes une très belle femme. Il vous recherche depuis des semaines, vous êtes pour lui, je pense une obsession. - Cet homme , je ne veux plus jamais me retrouver avec lui. - Pourtant vous.. votre activité fait que vous n’y échapperez pas. Je vais devoir prendre les choses en main et vous mettre hors d’état de nuire. - Je.. - Chut…. Suivez-moi. Il m’attira dehors. - Apportez moi ma voiture. Il me poussa sans ménagement dans sa voiture. - Où m’emmenez-vous ? Qu’allez vous faire de moi ? - Ma prisonnière. - Je vous en supplie ne faites pas cela. Je vous promets que je ne fais rien de mal. - De mal ? vous espionnez mon pays. - Il se passe des choses pas très claires dans votre pays et vous ne pouvez le nier. - Ainsi, vous ne niez pas être une espionne. - Vous vous trompez sur mon compte. Quand la voiture s’arrêta à un carrefour, je pris mon courage à deux mains pour tenter de sortir de la voiture. Il m’attrapa par la taille et me jeta vulgairement sur le fauteuil arrière. - Lâchez moi ! - Lâchez moi je vous en prie Herr Ludwig… Je me retrouvais le dos sur la banquette, lui dessus de moi, me dominant . - Lâchez moi je vous en conjure. - Vous savez que c’est impossible, cessez de vous débattre. Je luttais de toute mes forces. Il était bien plus fort. Sa stature, il faisait au moins 1m85, ses muscles, je les sentais à travers son smoking. Je devinais aussi que le désir l’avait saisi. - Vous… vous méritez que je vous corrige ! Maintenant taisez-vous ! Arrivés devant un immeuble, il sortit et me tendit sa main. - Avancez maintenant. - Non.. je vous en supplie, laissez-moi repartir. Je vous promets de rentrer en France, vous ne me verrez plus ! - Avancez, ce sera de gré ou de force. Vous ne repartiez nulle part. - Voulez vous que j’utilise la force ? ça risque de ne pas vous plaire. Je me redressais fièrement, passant devant lui. - Voilà qui est mieux. - Peter, merci de préparer la cellule en bas, je vous prie. Je me retournais, en colère. Il s’approcha de moi. Il me plaqua à nouveau contre le mur de ce couloir. Il plongea ses yeux dans les miens. -Voilà qui est mieux., dit-il en ôtant mon masque. voir vos jolis yeux de biches. - Je… Il me rendait complètement folle. Comment résister à ce désir, cette tension que nous avions depuis le début, cette évidence. Devais-je lui faire confiance, céder ou résister ? Je restais là les bras contre le corps. Je voyais son sourire satisfait sur les lèvres. - Humm, déjà apprivoisée ? Je fronçais déjà les sourcils. - Peter va vous conduire à votre cellule. - Vous m’emprisonnez ? vous n’avez pas le droit de faire cela, sans motif. - Sans motif ? Vous rigolez Véronika. Je peux faire ce qu’il me plait de vous maintenant. Vous êtes soupçonnée d’espionnage. Soit vous restez ici, soit je vous libre à mes autorités.. Avec résignation, je suivais Peter. Il me fit descendre dans une cave aménagée. Je devais reconnaitre, que le confort était un peu plus présent que ma première cellule. Herr Ludwig avait suivit Peter. - Un si bel oiseau en cage. - Allez au diable ! Cela l’avait fait rire. - Peter, la clé je vous prie. Il ferma ma cellule en me regardant. - Vous voyez, pour atteindre la clé, il faudra venir la récupérer ici… Il la mettait dans un trousseau de clés qui était dans sa poche. Il semblait si satisfait. Je tenais les barreaux ma tête se plaquant contre eux. - Je vous souhaite bien du courage pour me supporter. - J’ai tout mon temps pour vous apprivoisez.. Mademoiselle l’espionne. Je fronçais les sourcils à nouveau. - Arrêtez, vous mourrez d’envie que je m’occupe de vous ! - Que vous vous occupiez de moi ? mais vous rêvez je crois.. Herr…Ludwig - Humm j’aime quand vous m’appeler Herr Ludwig, on y décèle une certaine pointe d’ironie… - Je ne connais pas votre prénom. - Et c’est bien ainsi. Je serai toujours Herr Ludwig. Je pestais. - Vous n’allez pas quand même me garder ici ? - Vous croyez quoi ? vous avez déjà fuit à Munich, dans ma voiture ? vous ne me laissez pas le choix.. peut être préférerez vous dormir attachée avec moi au lit. - Vous… vous êtes .. un .. - Un quoi ? - Je préfère ne rien dire, vous ne le méritez pas. - Sur ce, je vous laisse râler dans votre coin, bonne nuit chère Mademoiselle Lane. - Bonne nuit Monsieur Herr Ludwig… Der Kommandator !!! Il y avait des couvertures bien chaudes, un lit, et un petit cabinet de toilettes bien agréable. J’avais une petite bougie pour m’éclairer. Je ne savais pas à quelle heure je m’étais réveillée, ni quelle heure il était. Ce fut le bruit des pas suivi de l’odeur d’un vrai repas qui m’enlevait de ma torpeur. - Bonjour Mademoiselle Lane. Avez-vous bien dormi ? - Parce que vous dormez bien vous quand vous êtes prisonnier ? - Ah je dois dire que cela ne m’est jamais arrivé. Vous ne semblez pas si maltraitée que cela ? - Je… Il ouvrit ma cellule et m’apporta un plateau repas des plus soignés. Des fruits, des œufs, du pain.. et un chocolat chaud… hummm je me remémorais ma grand-mère qui me préparait un chocolat chaud. Elle faisait chauffer du pain sur les fourneaux, y mettait un peu de beurre puis elle râpait le chocolat. Si précieux. - Aller manger maintenant. - Ne m’infantilisez pas ! je mangerai si je le décide. - Vous ne décidez de rien, vous ne comprenez pas votre situation je le crains. Sachez que je suis là pour vous protéger bien que je sache que vous êtes une petite espionne. Je ne savais quoi répondre. Il avait raison. Je me devais de faire profil bas. - Je viendrais plus tard vous interroger. J’ai quelques affaires qui m’attendent. Vous avez intérêt à coopérer. - Vous ne voulez pas manger, tant pis pour vous. Il reprit alors le plateau et quitta la cellule et remonta. Je constatais qu’il avait laissé la porte ouverte. J’en profitais pour me faufiler. Remonter au plus vite. - Lâchez moi !!!! Peter m’avait récupérer à peine en haut de l’escalier. - Attachez là au lit ! quelle lionne vous êtes. Je me débattais. Peter, sans ménagement, m’enchaina au lit. J’entendais le cliquetis des chaines. Je reconnus les pas d’Herr Ludwig... ses pas. - Je vais devoir m’occuper de vous plus tard. En attendant je vais devoir vous bâillonner. Je reçois du monde et je ne voudrais pas qu’il tombe sur vous ce cher Herr Lintzer. - Je me tairais promis, je ne ferais pas de bruit. Son parfum m’envoutait malgré moi tout comme sa présence. Je sentais sa bienveillance. Je le savais aussi juste et strict. - Je vais quand même bâillonner cette jolie bouche. Il m’attacha plus fermement les mains au dessus du lit. J’étais ainsi incapable de bouger, sans pouvoir parler. - Humm vous êtes si belle surtout quand vous ne parlez pas ! Je fronçais les yeux, je le savais taquin, ce jeu qu’il y avait dès le départ entre nous deux. En partant il m’embrassa le front. - A plus tard petite espionne. Je trouvais le temps long, j’avais terriblement envie d’aller aux toilettes. Il m’avait tellement bien ligotée que je ne pouvais même pas sortir du lit. Je n’allais quand même pas me faire dessus. Je n’arrivais pas à tenir. N’en pouvant plus, je me lâchais. Quel soulagement mais quelle honte aussi !. Je commençais à ressentir ma pisse froide me picoter, mes vêtements imbibés de l’odeur. Quand j’entrevis la lumière, j’étais éblouis. - Humm si sage et docile. Un enchantement pour les yeux. Je protestais. - Quelle odeur est-ce ? Il se rapprocha de moi. Il s’assit sur le côté. - Mais c’est vous ! Il ôta mon bâillon. - Oui c’est moi j’avais tellement envie d’aller aux toilettes, vous avez vu combien de temps vous… Et là il me remit le bâillon. - Tellement mieux ainsi. Il me détacha du lit et me souleva sans aucun effort. - Venez. Il me poussa avec vigueur, jusqu’à l’étage, puis nous montions un nouvel étage. - Peter, préparez moi un bain, nous devons nettoyer notre petite souillon. Il m’avait attaché les mains dans le dos à une chaise, toujours bâillonnée - Maintenant vous allez me dire ce que je veux savoir. - Le bain c’est deux options : soit je vous interroge avec rudesse pour obtenir ce que je veux savoir ou alors vous prenez simplement un bain. Il releva ma robe sur mes cuisses. - A votre âge, vous faire pipi dessus. Il avait saisi une serviette. Il commença doucement à me nettoyer les cuisses. Je pinçais mes lèvres. Cette sensation m’était impossible. Cette proximité. Je voulais plus et je savais que je devais rester éloignée de lui. Il prenait son temps, me regardant fixement dans les yeux. - J’aime que ma prisonnière soit propre, très propre. Je ne pouvais répondre. - Voulez-vous que je vous nettoie de partout ? Je faisais les yeux gros. A quoi bon protester, il avait réponse à tout.. - Je vous sens bien chaude, votre corps vous trahit ma chère. Vous aimez être traitée ainsi. Cela vous excite n’est ce pas ? Doucement, il commença à tamponner mon entrejambe. Je protestais. - Laissez vous faire ! Ecartez vos jambes ! Obéissez. Vous mourrez d'envie de lâchez prise! Il me regardait droit dans les yeux. Il m’embrassa à travers mon bâillon. Je tentais de me défaire. Je sentis sa douceur lorsqu’il nettoya mon intimité. - Dois-je utiliser la manière douce ? ou rude pour obtenir mes informations ? Il ôta mon bâillon. - Allez au diable. - Ah je vois le retour de la véritable tigresse. Laissant passer sa véritable nature. Si je vous libère, je vais devoir rester méfiant sur vos techniques fourbes. Mais je vais avant cela vous interroger et cela ne va pas vous plaire, croyez-moi. Vous allez m’obliger à faire ce que je n’aime pas faire ! - Alors ne le faites pas. Laissez moi partir, je ne dirais rien. - Ah parce que vous souhaitez le dire à qui ? laissez-moi rire? Il empoigna mes cheveux par l’arrière. - Allons nous occuper de votre cas, chère Véronika. Il me détacha, et me retenait les poignets d’une manière ferme dans le dos. - Peter, comment est l’eau du bain ? - Excellente température. - Parfait ! - Donc Mademoiselle Lane, quelle information recherchiez vous ? - Je ne vous dirais rien. Sans que je comprenne ce qui se passe, il plongea ma tête sous l’eau et la ressortit. - Vous ne voulez toujours pas parler ? - Non… Et il la replongea encore, et un peu plus longtemps. Des vas et viens réguliers. Il testait mes limites, je testais sa résistance.. - Parlez ! - Non ! Cette fois-ci, il me laissa la tête sous l’eau. Je tentais de me débattre, mais il la maintenait fermement. Je compris qu’il ne plaisantait pas. - Alors ? toujours pas envie de parler ? - Je.. d’accord, je vais parler. - Voilà j’aime mieux cela. Je vous écoute ! - Nous sommes ici car nous nous inquiétons de cet homme Adolf Hitler, nous le surveillons depuis quelques temps. Nous devons glaner le maximum d’information pour les renseignements français. - Depuis combien de temps êtes vous en mission ? - J’ai commencé il y a quelques semaines après le meurtre de ce Franz.. je vous jure, je n’avais rien à voir avec tout cela. Il replongea ma tête sous l’eau. - Je vous jure c’est la vérité. J’avais de plus en plus de mal retenir mon souffle. Je lui livrais tant d’informations. Une fois qu’il eut terminé, il rajouta de l’eau chaude. - Vous allez l’avoir votre bain ! Vous le méritez. Je vous laisse quelques vêtements pour vous changer. Merci de votre coopération ! J’obtiens toujours ce que je veux , sachez-le ! Je n’arrivais plus à parler, j’étais fatiguée. Je ne résistais pas à un bon bain. Cela faisait si longtemps que je n’en avais pas profité. Je sentais mes muscles se détendre. Je savourais cette parenthèse. Comment cet homme arrivait tant à me troubler. J’étais incapable de lui résister avec force. En arrivant dans la chambre, sa chambre, je vis la finesse des meubles . Il avait si bon goût. Je découvris alors sur la table une robe somptueuse, quelques affaires pour la nuit. Je tentais de glaner des informations en fouinant mais rien... Dans la salle de bain, je vis son rasoir.. il avait oubliez son rasoir.... En revenant dans la chambre, je vis ce mot tomber au sol: Soyez prête à 19H. Il voulait jouer, nous allions jouer. Mais cette fois je je lui céderai rien. Je tentai d’ouvrir la porte mais j’étais enfermée. Soudain, j’entendis toquer. - Prête ? - Oui.. Il ouvrit la porte et pénétra dans sa chambre. - Vous êtes somptueuse. - Je.. que voulez-vous de moi ? a quel jeu jouez vous ? - Je vous l’ai dit, j’obtiens s toujours ce que je veux. - Et que voulez vous ? - Vous… Sa réponse m’avait surprise tellement son regard était rempli de sincérité. Il était si troublant, ce coté lumineux, l’autre si sombre. J’aimais sa poigne. J’aimais lâcher prise malgré moi avec lui. Je me sentais protéger et en sécurité. Il me tendit son bras. - Venez, allons dîner. Nous descendions ensemble les escaliers. Cette tension sexuelle entre nous deux était si évidente. - J’ai pris soin de choisir vos vêtements et vos sous-vêtements. Je n’ai qu’une hâte les découvrir. - Vous.. - L’idée vous plait, avouez le vous ! Nous dinions à l’opposé l’un de l’autre. Il avait mis un sublime phonographe. Des bougies allumées,. - Vous dansez ? - Je.. Je baissais les yeux. Il m’avait tendu sa main. Je m’avançais à lui. Il mis sa main dans mon dos et m’attira à lui. - Je sens votre cœur battre ma chère. Vous êtes là où je veux que vous soyez. Je vous veux libre et docile à la fois, libre et prisonnière. Je vous veux tout simplement. Je veux vous posséder. Je n’osais pas répondre.. - Où est passé la femme qui me résiste ? Je n’arrivais pas à résister car au fond de moi c’est ce dont j’avais envie. D’etre protégée, d’etre désirée ainsi. - Allez vous asseoir sur la table. Je l’écoutais, je m’assis sur la table. - Remontez votre robe et laissez-moi admirer vos bas. Doucement je remontais ma robe, dans ce moment si érotique. - Humm quelle déesse. Il se rapprochait de moi, il glissa ses doigts sous mes bas de soie, caressant ma peau. - Votre peau est un délice le savez vous. C'est à ce moment que je sortis le rasoir.. - Laissez moi partir maintenant. - Allez y égorgez-moi! vous en êtes incapable. Il prit mon poignet et saisit le rasoir avec tant de facilité. Il se mit alors à genou, commençant à embrasser l’intérieur de mes cuisses. Il se délectait. Il me forçait à écarter davantage mes cuisses. Il se redressa. - Humm vous êtes une telle invitation au plaisir de la chair.. chère Véronika. Je vais prendre un plaisir à vous prendre sur cette table. J’allais parler quand il prit possession de ma bouche. Une de ses mains s’égarant dans mes cheveux avec fermeté. Mes lèvres s’égaraient alors sur son cou. Il me redressa en me tenant les cheveux. - Tout doux ! Il avait pris le rasoir et couper le haut de ma robe. Voilà, vos seins ne méritent pas d'être cachés plus longtemps, exposez les que je les admire. Exhibez-vous ! Non.. je.. - Exhibez-vous ! - Caressez-le, faîtes moi pointer vos tétons. Pincez-vous comme vous aimeriez que je le fasse. Mes lèvres s’entrouvraient. - C’est ça caressez le bien. Comme vos tétons pointent ! Continuez, vous aimez cela ! Je n’arrivais plus à parler, il m’hypnotisait, comme s’il me connaissait, ce dont j’avais besoin. - Hummm, je devine combien vous êtes déjà humide. Laissez moi vérifier. Il prenait ce qui lui appartenait. Il prit ma chatte de pleine main. - Frottez-vous maintenant… frottez- vous comme la chatte que vous êtes. - C’est cela.. humm je sens votre mouille sur toute ma main. Quel délice. J’ai hâte de vous goûter. Il ôta sa main et la lécha. - Quel nectar. Il commença à dessiner de ses doigts ma bouche puis les engouffra . Je les léchais naturellement. - C’est ça … léchez bien.. humm, léchez ces doigts qui vont vous pénétrer. Je me sentais interdite mais si excitée. Il me plaqua le dos contre la table Il poussa mon fessier contre le rebord. - Ecartez bien vos jambes que je vois votre con. Mademoiselle.. - Prenons la température de votre excitation. Je crois que vous êtes bien chaude. - Je…. - taisez-vous ! Il glissa trois doigts dans ma chatte. - Vous êtes déjà bien ouverte, vous le savez. Vous transpirez cela. Vous êtes destinée à cela. Avouez-le vous. Je vous veux suppliante, seule vous me direz quand je vous possèderais. Je vous veux entière.. entièrement. Il s’agenouilla. Je sentis sa langue se mêler à ses doigts faisant des vas et viens. Il me tenait les cuisses. Je tentais de me dégager, ne tenant plus. Il me léchait avec une telle intensité. Je sentais sa langue s’engouffrer dans mon être, écartant de ses doigts la peau autours de mon clitoris, y déposer des coups de langue, l'aspirer. Je gémissais encore et encore. - C’est bon hein ma belle…. - C’est ça écartez bien vos cuisses que je vous savoure plus. Votre chatte est divine. Il glissa à nouveau plusieurs doigts en moi. Il se releva. Je sentais toute sa puissance conquérir mon antre. Il prit mon sein droit puis gauche. Il les empoigna avec force pour mieux me prendre. Il était sauvage. Alors que je me relevais, il saisit mon cou et le serra fortement. - Vous me rendez fou. - Un quatrième doigt dans votre chatte vous fera peut être arrêter de gémir ? Il plaqua sa main sur ma bouche et me baisa avec ses doigts. - Je sais combien c’est bon, je vois combien vous dégoulinez de plaisir. Il me posa sa main alors sur mon ventre et ses va et viens étaient si intenses. Je n’arrivais plus à me contenir. Je me relevais, ma main tentant de l’éloigner. Il m’agrippa fermement le cou pour me maintenir contre la table. Il était si ferme. Cela m’excitait. - Vous allez jaillir ! allez !!! Je ne tenais plus, il me fît jaillir. C’était la première fois que cela m’arrivait ; Je voyais des jets de partout. - Femme fontaine.. le meilleur des champagnes. - Regardez ma main, petite putain. - Je ne suis pas une putain. l me releva. - Si vous êtes ma putain, là est la différence. Il me retourna, je me laissa faire docilement. Il avait mis mes mains dans mon dos, son avant bras contre mon dos. Je laissais aller ma tête contre lui. - Dites le.. que vous êtes ma putain. - Je.. ne suis pas.. votre putain…. Il lâcha son emprise au niveau de mon cou et claqua mes fesses, encore et encore. - Vous méritez votre correction ! Il tenait toujours fermement mes poignets dans le dos. Il écarta avec ses pieds mes jambes. Il saisit à nouveau son rasoir et découpa ma robe. Elle était en lambeau. Je me retrouvais nu avec mes jarretelles et mes bas. - Si vous êtes ma putain, regardez vous, le cul à l’air, prête à être cueiillie. Sentez-vous mon désir? Je sentais son sexe dur à travers son pantalon. - C’est ça que vous voulez dans votre con de petite putain.. - Non… - De quoi alors ? quelle terminologie vous préférez ? Chienne ? Femelle ? femme ? Putain.. Pour moi vous êtes un tout. Je sentais sa cuisse s’amuser à se plaquer contre mon sexe. Je me trémoussais. J’en voulais plus, malgré moi. Il m’avait mise dans un tel état. - C’est ça, dandinez-vous petite putain. Ne vous retenez pas, Soyez-vous avec moi. Vous me direz quand je dois vous prendre. - Je… - Maintenant… Monsieur… - Oh déjà maintenant… je vous que vous ne pouvez tenir à l’idée qu’on vous baise. Et vous refusiez de me dire que vous êtes une espionne. Il s’empara vigoureusement de ma chatte. D’un coup sec il prit l’assaut. Il tenait mes poignets. Les premiers coups étaient au départ doux. Il glissa bien au fond. - Hum si chaude ! je vais vous baiser comme vous le méritez. Il claqua alors mes fesses et me pilonna. Je ne cessais de crier mon désir. Chaque coup me remplissait bien au fond. Dans son élan, il mit un doigt dans mon anus..... *********************************************************************************
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Par : le 15/09/21
Il me semble être le matin mais ce n’est pas une certitude. Je me réveille dans une horrible puanteur qui ferait fuir un putois. Allan vient me chercher et me passe au jet bien plus longtemps que d’habitude. Malgré l’eau froide, j’ai l’impression de revivre. J’ai toujours mon collier, mes bracelets de poignets et de chevilles et maintenant un plug de bonne taille. Je reste à 4 pattes et Allan me traîne littéralement dans une grande pièce un peu dépourvu de tout et assez sombre. «Aujourd’hui, je ne voudrais pas être à ta place» me lance Allan qui est pourtant d’un naturel peu bavard. Agenouilles toi vite et prends ta position d’attente mains derrière la tête» J’ai à peine fini que rentre une nouvelle Maîtresse. Toute habillée de vinyl noir avec une crinière rousse, elle en impose. J’ai à peine le temps d’ouvrir la bouche, " Bonj….» que je reçois un grand coup de pieds dans les couilles qui me fais me rouler à terre " Elle se précipite sur moi, m’immobilise avec son genou sur les côtes et me saisit les cheveux à me les arracher. Elle me fixe et sur un ton furieux me lance : «Tu n’est qu’une merde, une larve et je ne t’ai pas autoriser à parler. Et puis je n’ai pas envie d’être salué par une merde. Moi les merdes je les jettes dans les chiottes...» Aïe, aïe, aïe, ça commence mal ! M’agrippant toujours par les cheveux, elle m’oblige à diriger mon regard vers elle et me crache au visage. « Ne te permet même pas de lever les yeux sur moi, sinon je te démonte » Et sur ce elle me jette vers le sol que je heurte violemment du front. A moitié abasourdi, elle me met à nouveau, un grand coup dans les parties avec la pointe de ces escarpins. Je crie de douleur ce qui ne la calme pas vraiment. « Une merde ça ne crie pas, alors ferme la ou je t’assomme. Joignant le geste à la parole, je reçois une gifle qui m’envoie encore au sol. » Me relevant par les cheveux elle me fait agenouiller en me frappant l’arrière des genoux qui se retrouve bientôt en compression sur un cintre. « Mains sur la tête et baisse les yeux avant que je ne me fâche » Ah bon, cela devait être son côté gentillet jusqu’à maintenant ! Je l’entends appeler Allan. « Allan, dépêche toi va chercher les autres soumis comme je te l’ai demandé. J’espère que tu les as bien préparé. Oui Maîtresse » s’empresse-t-il de répondre Il fait d’abord rentrer quatre soumis et les met à genoux, mains à plat sur le sol aux 4 coins de la pièce. Maîtresse Furie, comme je l’ai surnommé dans ma tête en fait le tour pour vérifier si leur position lui convient. Elle trouve à redire à chacun et leur assène des coups d’escarpin sur les couilles, côtes, cuisses selon ce qui lui tombe sous …. le pied. J’ai une position presque enviable, la tête tournée vers le centre de la pièce mais n’est ce pas un piège pour mieux me punir ? Enfin sur un signe, Allan fait rentrer presque solennellement le dernier soumis. Maîtresse Furie se saisit de sa laisse et l’amène au centre de la pièce, lui attache les bras en les tirant vers le plafond et lui impose une barre d’écartement aux chevilles. Elle n’a d’yeux que pour lui et tourne autour en le dévisageant avec envie. Un petit sourire narquois au coin des lèvres lui donne presque un visage accueillant. Elle a maintenant saisi une cravache qu’elle promène sur tout le corps sportif de son soumis. Et puis, l’orage arrive et une déferlante de coups de cravache commence à le marquer sérieusement. Je l’entends demander pitié mais rien ne l'arrête et, épuisé, il pend au bout de ces cordes. Le cintre fait son effet et la douleur devient lancinante. Je n’ose ni me plaindre, ni la regarder. Un silence pesant règne. Elle s’est sans doute mis en pause pour que son soumis récupère. Ne semblant pas être du genre à rester inactive, elle fait vite un tour des autres petites merdes selon ses termes avec un gros paddle qui marque nos fesses sans exception. Étant le seul à avoir une vue sur son activité, je me prends un gros crachat en pleine figure et deux gifles en aller retour qui me font vaciller. «mais…» tente-ai je de dire Et nouvelle grosse gifle avant de terminer ma phrase « Ferme la, tu ne m’intéresse pas, tu n’est qu’une merde qui pue » Ce fut ma dernière tentative de dialogue, si l’on peut dire cela d’un mot inachevé mais pas ma dernière gifle. Maîtresse Furie s’est ouverte une petite parenthèse mais repart bien vite vers le soumis qu’elle a semble-t-il adopté. Elle est sévère, bien sadique alors il faut avoir une sacrée santé pour la satisfaire. Elle s’en approche à petit pas et vient se frotter langoureusement contre lui mais rien ne dure avec Maîtresse Furie. Elle le détache et le plaque au sol sur le ventre. Elle lui monte dessus le dos et les fesses. Avec ses talons bien fins, elle lui pénètre la chair jusqu’au sang et le pauvre gémie de plus en plus fort. Dérangé par ce bruit, elle lui passe un bâillon boule qu’elle serre avec sa délicatesse habituelle. Reprenant le fil de son activité, elle lui griffe le dos comme pour marquer un chemin sous les traces de ses talons. On entend «Humm, Humm» malgré le bâillon Pas rassasié, Maîtresse Furie le retourne et le chevauche sur le ventre d’abord vers le torse, puis vers le sexe où elle lui écrase les couilles avec le plat de ses escarpins. Satisfaite, elle en descend et le relève sans ménagement, elle lui prend les tétons entre les ongles et serre si fort que son soumis sortira quand même un cri de douleur étouffé. Je ne peux deviner les sentiments de son soumis mais Maîtresse Furie ne cache pas son plaisir en poussant son soumis aussi loin hors de ses limites. Elle est constamment active et nous prenons quelques coups de paddle au passage comme des balles perdues. Vu son intérêt, elle ne nous sélectionnera probablement pas, nous autres les moins que rien qu’elle ignore de plus en plus. A tel point qu’elle rappelle bruyamment Allan pour qu’il nous enlève de sa vue. « Allan, ramènes ces merdes dans leur chiotte, il n’y a rien à faire avec de telles épaves » Nous faisons profil bas, honteux d'être ramené à des merdes. Allan s’exécute sans mot dire, et nous ramène en laisse à nos cellules. Le cintre a laissé des traces et c’est en rampant que je m’exécute, humilié encore un peu plus, incapable d'adopter une posture humaine. Maîtresse Furie en profite pour me lancer quelques coups d’escarpins dans les côtes et les bourses. Je rampe de plus en plus vite afin de lui échapper. Elle a su nous rabaissé plus bas que terre et c’est profondément humilié que je me remet sur ma couche puante en attendant la bouillie du soir. A suivre.... La fiction continue
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Par : le 12/09/21
Bonnes vibrations Elle est là, muette, offerte, immobile, lascive, provocante et narquoise, outrageusement cambrée sous une feinte innocence. Parée comme j'aime. Elle regarde même ailleurs, comme pour m'ignorer, sachant pertinemment que je suis là, augmentant encore mon désir. Perverse! Elle va devoir assumer et elle le sait. Comment ne pas se pâmer devant de telles courbes qui feraient bander un eunuque ? Je sais sa posture savamment travaillée pourtant je tombe à chaque fois dans le piège. Sachant mon fétichisme la sublime garce s'est parée de cuir. Hors de question de passer pour un type facile, pourtant... Je bave, je bande. Je m'approche, elle a gagné la salope, elle le savoure, probablement. Défaite en rase campagne pour votre serviteur. Mon regard parle pour moi, mon vit encore plus (il ne ment jamais, lui ...). Je l'imagine jubiler, piétinant un homme à terre. Mais ma reddition aussi rapide que consciente en sera récompensée, je le sais, et elle le sait. Ma main impérieuse et soudainement fiévreuse se pose sur son arrière train diaboliquement tentant. Puis remonte vers son encolure, épousant au plus près ses divines courbures. Toucher si doux, je sens ses odeurs mêlées et entêtantes. Elle frémit. Je tremble. Je m'arrête avant l'inéluctable, pour jouir du moment présent et plus encore de celui à venir. Elle s'apprête à s'exprimer mais semble s'abstenir au dernier moment : c'est moi qui en déciderai et elle le sait. Et sans la moindre forfanterie je sais trop bien comment la faire ronronner, miauler, ou crier à pleins poumons. Encore heureux après tant de chevauchées ensemble, toujours elle dessous. Alors que je fais mine de chercher son bouton d'amour dont je connais pourtant l'emplacement et le mode d'emploi par coeur, elle vibre déjà. Pâle vengeance. Comme une promesse d'un proche et endiablé moment. Ma pression se fait plus incisive, enlevant son baillon : potato, potato, potato. C'est quand même beau le son d'une Harley...
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Par : le 21/08/21
Je vous ai laissé en m’endormant très vite après ma journée en cage. Le matelas était le bienvenu et c’est Allan qui me réveille pour la préparation du jour. -«Nouvelle Maîtresse pour toi aujourd’hui alors je vais te refaire une beauté surtout qu’elle te veut féminisé, alors on se dépêche» Je n’échappe pas à la douche d’eau froide mais cette fois-ci, il me tend une serviette pour m’essuyer. -«Tu trouveras sur le lit tous ce que tu dois mettre avant de recevoir ta Maîtresse et après tu reviens dans la salle de bains» Je retrouve mes bracelets qui m’avaient été retirés, un plug de bonne taille, une paire de bas noir avec un porte-jarretelle, un string, une jupe courte en simili noir, un soutien-gorge et un chemisier dos nu noir, une perruque brune et des escarpins avec de hauts talons. Je me presse de m’habiller au mieux et je retourne à la salle de bains où je retrouve Allan qui me réajuste un peu tout pour que je sois présentable. Il m’assoit sur un tabouret et me maquille comme une star mais je ressemble quand même plus à une fille de joie ! C’est avec la laisse qu’il m’entraîne dans la pièce principale où il me lie les mains et m’attache à un anneau au plafond par une corde qui me tend les bras vers le plafond. Mes chevilles sont écartées par une barre et je suis bien incapable de bouger dans cette position. Comme d’habitude, Allan s’éclipse discrètement avant l’arrivée de cette Maîtresse. Je n’aurais pas longtemps à attendre. Je vois arriver ma nouvelle Maîtresse. Elle est assez grande, habillée d’un body en cuir rouge, sur des talons immense mais le plus étonnant sont ces longs cheveux rouges. Maquillée discrètement, elle en impose avec sa cravache en main qu’elle triture comme impatiente de l’assouplir. -«Bonjour Soumis, il faudra que tu me prouves que tu es capable d’être dévoué corps et âme» -«Bonjour Maîtresse, je ferais le maximum pour que vous ne soyez pas déçu» Sur ces quelques mots, elle m’impose le silence et tourne lentement autour de moi, sa cravache vient me caresser comme si elle aussi voulait me découvrir. Maîtresse me soulève ma jupe et lance un «bien, il y a de quoi s’amuser» . Toujours en tournoyant, elle continue à me découvrir écartant mon chemisier pour faire apparaître mes dessous. Sur le dos, le contact est plus dur. Il faut dire que le dos nu attire la cravache qui me cingle quelques fois mais sans insister. Maîtresse me détache poignets, chevilles et me tire vers un divan où elle s’assoit élégamment. Avec la laisse et la cravache, sans un mot, elle m’agenouille devant elle. Jambe croisée, elle me fait comprendre de lécher ces escarpins. Je lèche avec enthousiasme et le cuir brille de ma salive. M’intimant de le lui retirer, j’essaye de lui enlever avec douceur. Malheureusement, je ne suis pas très doué et je reçois vite un gros crachat en pleine figure comme signal de sa réprobation. C’est humiliant et je réussis à adoucir mes gestes. Je met sa chaussure de côté pour lui tendre la main où elle déposera une noisette de crème de massage. Je lui masse délicatement toute la cheville et le pied, puis les orteils un par un en les étirant pour les faire craquer légèrement. J’ai la tête basse mais je crois qu’elle apprécie. La preuve puisqu’elle me tend le deuxième pied pour un nouveau nettoyage de chaussure. Je réussis à lui retirer sa chaussure plus délicatement et j’entame un nouveau massage pour lequel je suis beaucoup plus doué. Maîtresse ne semble pas pressée et elle passe tranquillement quelques appels téléphonique à ses amies. Je commence à faiblir. Sans doute l’a-t-elle senti car je reçois l’ordre de la rechausser délicatement bien sûr comme je sais faire sous humiliation. Elle se relève et me fait faire le tour de la pièce à quatre pattes sans doute pour voir mon allure. Je reçois d’amples coups de cravache sur les fesses pour me faire avancer plus lestement. Satisfaite, elle me ramène au centre de la pièces pour s’asseoir sur mon dos. Je ne peux voir ce que Maîtresse fait mais je m’attache à rester immobile comme un vrai tabouret. Elle se relève prestement et me pousse avec son pied me retrouvant ainsi étalé sur le sol. Elle m’entraîne sur le ventre avec ces talons et grimpe sur mon dos en marchant tranquillement depuis mes épaules jusqu’à mes fesses. Je souffre car ces talons fins me rentrent dans les chairs, Je serre des dents mais je ne peux m’empêcher de gémir, la contrariant suffisamment pour qu’elle descende de mon dos pour aller chercher un bâillon boule qu’elle me met prestement en serrant fort la lanière. Elle refait quelques aller-retour sur mon dos avant de me retourner comme une crêpe et me monter sur le ventre. C’est largement aussi douloureux que l’autre face mais le bâillon boule fait son effet et je garde le silence. Finalement, elle redescend de son strapontin vivant et sors d’une armoire à supplice, un boîtier d’électro-simulation et les accessoires adéquats. Je n’en avais jamais vu de si imposant avec autant d’électrodes. Maîtresse me raccroche à l’anneau au plafond et me remet ma barre d’écartement. Je suis à sa merci. Elle me remplace le gros plug par un plug électro. Puis, elle dégage mon chemisier pour pincer des électrodes sur mes tétons relève ma jupe pour me sangler ma bite avec un autre accessoire. Une fois, toutes les électrodes raccordées, Maîtresse commence à s’amuser avec les différentes électrodes en passant du plug à mes tétons, puis mon sexe. Je me tord de douleur malgré que l’intensité ne soit pas excessive. Ah mince, elle m’a sans doute entendu car les frémissements augmentent. Mes tétons sont douloureux, puis mon anus, et je ne maîtrise plus rien. La douleur va de l’un à l’autre et même simultanément sur deux, voir les trois en même temps. Je suis à bout mais Maîtresse s’emballe et je finis par pendre lamentablement sur ma corde complètement vidé. Elle me détache et je m’étale au sol. Pas sûr que je puissent enchaîner d’autres misères, ce que Maîtresse a compris. Elle me libère de mes électrodes et fait appel à Allan qui me ramène à ma cellule complètement pantelant. Maîtresse s’est éclipsée sans avoir oublié de me rassurer sur cette première journée à ces pieds. -«Tu as été résistant mais demain, il faudra faire mieux et je te réserve une belle surprise. Alors repose toi bien, tu en auras besoin» A suivre …. Merci à Ma Maîtresse de m'autoriser à publier ces fictions.
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Par : le 21/08/21
Le début de matinée est consacré à la réalisation d’une surprenante idée. Comment en est on arrivé là, j’aimerais bien le savoir. Tu m’avais demandé d’apporter toutes les cravates que j’avais en stock (cela fait une sacrée quantité tout de même, presque une quarantaine). Tout cela avait pour but de me confectionner une jupe de cravates. Il n’y a que toi pour imaginer une chose pareille. Des fois, je me dis que c’est une bonne chose que tu ne partages pas tes loufoqueries ; je pourrais finir par m’inquiéter. Nous nous y mettons à deux pour les longs préparatifs nécessaires à me transformer en cravat_hitienne. Je me sens obligé d’onduler du croupion pour faire honneur à tous ces efforts créatifs. Après une pause bien méritée, et surtout indispensable à la survie de ma Maitresse (a minima un café…), c’est le retour du corset noir et de son string. On dirait qu’il te plait autant qu’à moi ;-) C’est l’écrin que tu m’as choisi pour user de ta langue de dragon : je suis plutôt étonné par les effets qu’elle produit. Elle se révèle être très progressive, d’abord relativement douce aux premiers impacts avant de virer au plus mordant. Mais il me semble qu’elle m’électrise uniquement en bordure de la langue. Elle ne donne pas l’impression de claquer de toute sa surface comme le font les fouets à langue de dragon. Cela offre des sensations différentes, selon les goûts et inspirations du moment. Changement de parure pour poursuivre l’après-midi. Ce mot est peut-être un peu excessif. De légèrement vêtu, je suis passé à simplement encordé, très légèrement même. Avec la corde rouge, tu me réalises un harnais de bassin et un second de torse. Finalement, c’est sûrement ma tête qui est la plus « couverte » : d’abord une culotte noire roulée en boule qui vient se loger dans ma bouche (comme quoi on se complique parfois la vie pour trouver des bâillons ;-) ) et ensuite une rouge posée sur mon visage en guise de masque (il faut bien changer de la cagoule, certes bien pratique). Je te l’ai déjà dit, et je te le redirai encore : tu trouves toujours la bonne combinaison pour parer au mieux ton nounours. Tu te réessaies à la langue de dragon, au cas où je remarquerais à nouveau, sur un malentendu. Décidément, je suis bien difficile à prévoir sur ce sujet  Hormis quelques légères marques rosées sur mon épaule, mon dos persiste à conserver sa couleur naturelle. Du coup, tu me fais étendre à plat ventre sur le lit. Nous allons finir par devenir inséparables, le drap en vinyle et moi ! L’autre jour, en rentrant des courses, tu m’as demandé de monter une nouvelle spatule en bois directement à l’étage. Il fallait bien vérifier qu’elle méritait de rejoindre ton arsenal. Rien à dire, bien au contraire. Elle mord allégrement les chairs rebondies de mon postérieur : à chaque contact, je suis électrisé. Si seulement la ménagère de moins de cinquante ans savait tout ce que peuvent produire certains de ces ustensiles de cuisine. Toi, il y a bien longtemps que tu as franchi le pas. Partisane du détournement à tout va, tu me fais tester ensuite une brosse de douche en plastique avec option massage à picots. Est-ce parce qu’il faut trouver la technique la plus appropriée ou parce qu’elle vient après la très efficace spatule ? Toujours est-il qu’elle me laisse une certaine impression de fadeur. Certes, l’impact est là mais il manquerait un effet de claquement. Mieux vaut revenir aux classiques aux résultats garantis. Sans hésitation j’associe immédiatement le lourd et mordant contact qui vient de s’abattre à ton paddle à clous. Tu le fais retentir et claquer sur presque l’intégralité de mon dos, depuis les épaules jusqu’au creux des cuisses, là où c’est le plus sensible. Ma température de surface commence à monter sérieusement. Vive le bâillon-culotte, je peux y mordre allègrement dedans, y gémir, marmonner même, sans déranger tes oreilles ! Le courant d’air qui survient juste après, à proximité immédiate de mes fesses, ne peut venir que de ta longue cravache. Légers effleurements de ma peau ici et là, parfois sur les cuisses. Mais pour la version impactante, tu te saisis du modèle court qui claque à merveille : moins lourd mais tout aussi efficace que le paddle. Dans tes bagages, de retour de notre escapade de la semaine dernière, tu as aussi ramené deux baguettes, une de noisetier, une de bambou. A priori, je n’ai pas su les différencier : toutes mordent énormément. Je devine déjà que mes fesses et que le haut de mes cuisses se strient à vue d’œil. C’est bien un des rares accessoires de ta panoplie qui est prévisible aussi vite dans l’action. Si j’aime bien le résultat bien rectiligne, n’empêche que ces petites choses toutes fines se font bien sentir là où elles flagellent. Etonnamment, pendant ton concert de percussions avec les deux à la fois, les morsures se volatilisent, laissant place à un agréable, presque délicat, martèlement. Je reconnais immédiatement le lourd contact du flogger qui commence à flatter mes épaules avant de poursuivre lentement son œuvre. C’est une sensation bien différente que j’apprécie volontiers en alternance avec des contacts plus mordants et électrisants, tout est une question d’équilibre, que tu gères à merveille. D’ailleurs, tu n’allais pas rester sur une touche trop « douce » ; ce n’est pas vraiment ton genre. Place à tes préférés, enfin non, il faut rester raisonnable, un seul d’entre eux. C’est parti pour une séance de fouet. Mes épaules sont les premières à recevoir son douloureux « baiser ». Du fait que je sois étendu sur le ventre, tu réussis à me strier jusqu’au creux du genou. Ouille, c’est encore plus sensible à cet endroit-là ! Et en plus, tu m’affirmes que tu n’y as pas touché. Heureusement que j’ai des photos comme preuve pour dépôt de plainte auprès des fouetteuses abusives ;-). Parce que je ne peux rien exprimer : il y a comme une boule d’étoffe qui m’en empêche toujours … A croire que tu essaies de laisser une marque sur la plus grande longueur possible ! Retour les pieds sur terre pour continuer cet après-midi déjà placée sous les meilleures auspices. Je savoure à fond ton regain d’énergie : cela me ravit pour de multiples raisons. Depuis longtemps maintenant, il était question de détourner une paire de collants. Il eut été trop simple de les utiliser de manière classique. D’autant plus que cela aurait été contraire à tes principes : je serais alors moins accessible ! Tu extrais non sans mal la culotte noire qui était fourrée dans ma bouche : elle en ressort gluante ……. de salive. Oups ! Ce en quoi, c’est la preuve qu’elle a parfaitement joué son rôle. Limite j’aurais presque soif. Mais ma bouche ne reste pas bien longtemps ouverte. Un nœud au milieu des collants et le tour est joué : le nouveau bâillon est tout aussi efficace. En plus, il peut être arrimé à ma tête en divers points pour une sécurité optimale. Ceci fait, la culotte rouge reprend vite sa place. J’adore que tu détournes ainsi tout ce qui te passe sous la main. Sur ce coup-là, tu en as même plusieurs en tête. Tu veux aussi vérifier si des collants peuvent avantageusement cohabiter avec la cagoule : c’est le cas. Une fois enfilés sur la tête, ils réduisent encore plus ma vision tout en te fournissant deux liens, juste à la bonne hauteur pour immobiliser mes poignets. Plus la journée avance, plus j’ai le sentiment d’être un pantin. Certes consentant et ravi, mais pantin tout de même. Comme si je devenais la cible soudaine de toute une série d’idées « bizarres ». Et ce n’est pas fini. Tu me transformes ensuite en porte-jouets. Un échantillon représentatif de tout ce que ta panoplie compte de lanières se retrouve suspendu à ton présentoir vivant. Je dois reconnaître que le résultat est visuellement sympa. De mon côté, j’essaie de rester le plus immobile possible. Heureusement, tu es restée raisonnable : tu ne m’as pas surchargé avec la totalité de tes « armes » ; sinon, j’aurais fini par crouler. Soudain tu te souviens que j’ai oublié une tâche hier. Qu’à cela ne tienne, même si je n’ai plus ma tenue de bonne soubrette, je n’échappe pas au lavage à la main de tes dessous, le tout sous ton contrôle strict et attentif. Je reconnais qu’il y a bien pire comme corvée pour un soumis ! Il ne faudrait pas que j’abîme quoi que ce soit. A priori, je me suis bien sorti de ma mission. Sinon, je n’aurais pas fini en composition florale. Quelle très belle journée ! Tu m’as comblé.
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Par : le 20/08/21
"Il la cravacha à toute volée. Il n’attendit pas qu’elle se tût, et recommença quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent nettes. Il avait cessé qu’elle criait encore, et que ses larmes coulaient dans sa bouche ouverte." Histoire d'O La flagellation, pratique prisée dans l'art du jouir, n’est pas seulement un adjuvant régulier des combinaisons sexuelles que la pornographie se plaît à inventorier. Elle est en réalité un moyen de mettre en mouvement, dans une relation S/M, la combinaison des vigueurs masochiste et sadique des partenaires en les unissant par un instrument. La ritualisation de la posture, la recherche de la douleur, de la cruauté font de la flagellation une discipline désormais autonome dans le BDSM. Les partenaires recherchant des sensations cinglantes et précises en raffolent. Elle fait partie intégrante de certains jeux érotiques, dits BDSM ou SM. Elle accompagne ou non, d’autres pratiques, bondage, soumissions diverses. Une personne flagellée devient beaucoup plus docile, et ouverte à d’autres expériences. Une femme qui aime dominer ressent une profonde excitation à la pratiquer. Là où d'aucuns recherchent la douleur, d'autres jouissent simplement du fait de subir et d'accepter l'humiliation. Certains optent uniquement pour des séances de flagellation, sans autre pratique érotique, d'autres considèrent fouet ou martinet comme un prélude (ou un intermède) à leurs divers jeux SM. Encore faut-il non seulement en posséder la technique, l'esprit, mais aussi en connaître les nuances et les dangers. Au début du XXème siècle, les adeptes de la fessée se sont pris de passion pour ces instruments faisant advenir la douleur et la cruauté dans la soumission. On parle alors de flagellomanie, de flagellophilie, de masochisme ou d’algolagnie (amour de la douleur). La présence du fouet, ou du martinet dans l’ordre des pratiques sexuelles n’a cependant rien d’une nouveauté. Leopold von Sacher-Masoch, auteur de "La Vénus à la fourrure" (1870) est loin d’être l’initiateur de la théorie. Cette doctrine de la jouissance dans la douleur a de tout temps existé, ayant des adeptes et des défenseurs. Parfois la douleur infligée ou subie est purement morale, c’est l’abnégation de soi-même envers l’être aimé. Mais le plus souvent cette abnégation va jusqu’à solliciter l'affliction de souffrances physiques. Cette forme d’érotisme n’est pas purement passive, elle est aussi active, car celle ou celui qui inflige la souffrance éprouve autant de jouissance que celle ou celui qui la subit. L’histoire ancienne et les mythologies abondent en exemples semblables. Bacchus et les Ménades, Hercule et Omphale, Circé et les compagnons d’Ulysse, Attis et Cybèle. Sacrifices à Moloch et à Baal, Thomyris la reine des Massagètes, Sémiramis fouettant les princes captifs devenus ses amants. Samson et Dalila, Salomon et ses nombreuses courtisanes réduites à le flageller pour exciter sa virilité. Phéroras, le frère d’Hérode, se faisait attacher et frapper par ses esclaves femelles. Le culte de Cybèle à qui Athènes, Sparte, Corinthe, Rome même, sur le mont Palatin, ont érigé des temples. Lors de ces orgies, le premier des devoirs était de se martyriser en honneur de la Déesse. Jetés dans une sorte d’extase par le recours à des danses frénétiques et autres stimulants, les fidèles s’emparaient de son glaive pour s'automutiler, au plus fort de leur délire. Les prêtresses de Milet s’armaient du fouet pour attiser le feu de volupté brûlant en elles. Les mêmes coutumes se retrouvent aux fêtes d’Isis, dont Hérode nous a laissé une peinture si frappante. Les fêtes des Lupercales semblables aux Bacchanales et aux Saturnales étaient l’occasion d'épouvantables orgies. Les prêtres, brandissant leurs fouets, hurlant et criant de joie, parcouraient les rues de la ville. Les femmes se précipitaient nues à leur rencontre, présentant leurs reins et leur seins, les invitant par leurs cris, à les flageller jusqu'au sang. Tacite, Suétone, Martial et Juvénal, révélant les secrets intimes des Néron et des Caligula ont fourni des détails égrillards et obscènes sur le raffinement de leurs débauches. Le christianisme, pour établir son influence, dut avoir recours à l’antique usage du fouet, non plus pour éveiller des désirs érotiques, mais au contraire pour maintenir l’homme dans la voie du devoir. Les cloîtres employèrent le fouet, pour mater les novices se révoltant contre les règles de leur ordre. Des congrégations se fondèrent imposant à leurs membres l’obligation d’une flagellation réciproque en vue de dompter les élans de leur chair. De même que le Christ avait été attaché à la colonne et frappé de verges avant d'être crucifié. Elles cessèrent avec le temps d’avoir un caractère disciplinaire et prirent la forme d’une obligation purement religieuse. Comme une expiation éminemment enviable des souffrances imméritées infligées à l’adorable corps du Maître. Tels les Flagellants et les Purificants, les Dominicains, pour les ordres masculins, et les Franciscaines et les Clarisses pour les ordres féminins. En littérature, Brantôme, Boccace, Pogge, l’Arétin, Restif de la Bretonne, citent fréquemment des cas de flagellation. Quant au trop fameux marquis de Sade, par nous étudié, son nom évoque le synonyme même de la pratique. La belle princesse Lubomirski faisait mettre à mort ses amants, après leur avoir fait subir les plus cruels tourments. Ils étaient empalés sur des pieux et fouettés jusqu'au sang, lorsque ces malheureux la laissaient insatisfaite. Pour autant, l'Histoire est trompeuse. Ce n’est pas du fait d’être ancienne ou anciennement admise parmi les manières d’user du sexe que la flagellation tire son implantation dans l’ordre des plaisirs. C’est tout le contraire, elle devient jouissance en s’arrachant à ces usages anciens. La volonté ramifiée de tout savoir sur le sexe, en ne laissant plus de place à l'imaginaire corporel, de traquer les perversions, d’en suivre obstinément les usages disparates et de susciter partout l’aveu des écarts, a eu pour effet de la faire proliférer, en lieu et place de la pudibonderie ou de l’interdit. Dans les sexualités disparates et les plaisirs spécifiques, la passion du fouet a pris sa place. Lieu d’une triple convergence, faisant d’elle à la fois une pratique S/M et une forme particulière du jouir. Dans le champ des perversions, forgeant la catégorie de masochisme, ou jouissance née de la douleur reçue, dans la littérature érotique, avec Gustave Le Rouge, Louis Malteste, Pierre Mac Orlan, enfin, dans la volonté des adeptes revendiquant sans fard la puissance extatique de la pratique, dans la la ritualisation des postures de soumission. Nue et debout, seins et ventre offerts, bras levés sur la pointe des pieds, ou en position de crucifixion, chevilles et poignets entravés sur une croix de saint André, la soumise ravalée à un état d’infériorité, comme une proie. La femme ou l'homme se soumet, celui ou celle qui fouette et qui bat se tient au-dessus, le geste ample, dans l’attitude féroce et cruelle de celui qui domine. Ce que disent ces scènes, c’est l’institution d’une sexualité qui joue de la domination en outrant ce qu’elle est. Toutefois, la recherche du plaisir entre partenaires consentants, responsables et conscients, lors d'une séance, ne doit pas occulter la sécurité. La dominatrice ou le dominateur devrait tester le matériel sur lui/elle-même avant de flageller son/sa partenaire. De même, elle ou lui vérifie le matériel avant chaque utilisation. En général, plus le matériau est léger, plus la pratique est sans danger, plus la séance peut se prolonger et plus la sensation est douce. Le visage, la tête, le cou, les doigts et doigts de pieds, la peau en cours de cicatrisation ne doivent jamais être flagellés, pour des raisons évidentes de sécurité. Les paumes et le dos de la main, sur les jointures quelles qu'elles soient, sur la surface entre le bassin et le bas des côtes (présence d'organes internes) peuvent l'être avec une extrême prudence et extrême légèreté. Les seins, bras, avant bras, intérieur des bras, intérieur des cuisses, zones génitales (vulve, pénis) avec légèreté. Un impact sourd (par opposition à un impact cinglant) sur des seins est à éviter. Les fesses, le haut du dos de part et d'autres de la colonne, les cuisses, le bas des épaules constituées d'os épais protégés par des muscles et une couche de graisse avec énergie, voire très énergiquement. En frappant très fort des ecchymoses peuvent apparaître, la peau peut se déchirer entraînant des infections. Enfin, la position du corps flagellé conditionne celle de la peau et des muscles. Lorsque le partenaire est penché en avant, les muscles tendus ne sont plus aussi épais et offrent donc une protection moindre. De la même façon, si la peau est tendue elle va réagir de façon plus forte que si elle était relâchée. Flageller quelqu'un qui se tient debout sans maintien risque de le/la faire chuter. A l'inverse, la ou le flagellée (é) défaillante (t) maintenu debout par des liens, se retrouvera en suspension partielle. Placer la (le) soumise (e) en position de se voir flageller lui apportera en général plus de jouissance. Des marques peuvent apparaître tout de suite, ne pas apparaître du tout ou apparaître après un jour ou deux. Quel qu'en soient les modalités, frapper le corps humain doit être considéré comme DANGEREUX. La flagellation doit être pratiquée par des personnes consentantes, responsables et conscientes. La ou le soumise (s) disposant toujours de la possibilité de mettre fin à la séance par un safeword. "O, je vais te mettre un bâillon, parce que je voudrais te fouetter jusqu’au sang, lui dit-il. Me le permets-tu ? Je suis à vous" dit O." Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 16/08/21
"On ne vous bandera les yeux que pour vous maltraiter, pour vous fouetter. À ce propos, s’il convient que vous vous accoutumiez à recevoir le fouet, comme tant que vous serez ici vous le recevrez chaque jour, ce n’est pas tant pour notre plaisir que pour votre instruction" Histoire d'O Anne Cécile Desclos, dite Dominique Aury alias Pauline Réage. Un sombre voile de plaisir recouvre la flagellation depuis l'orée des temps. Les antiques raffolaient déjà du fouet. Lors de cérémonies rituelles, ils l'utilisaient pour invoquer les divinités afin de rendre les femmes fertiles. Dans la Rome Antique, le culte de Junon, protectrice des femmes, leur commandait le fouet, afin de lutter contre la stérilité. Lors de la fête des Lupercales, après le sacrifice d'un bouc par les Luperques, prêtres de Faunus, deux jeunes pages le visage couvert du sang de l'animal, armés de lanières, fouettaient des femmes souhaitant devenir fécondes. Le culte de Diane chasseresse donnait lieu également à de véritables concours de fouettage. De même, la flagellation était prescrite par Hippocrate comme remède contre l'impuissance masculine. De nombreux textes anciens relatent avec lyrisme les liens entre douleur et jouissance. Ainsi, Hérodote décrit, non sans poésie, des scènes de flagellations érotiques au cours des fêtes d'Isis, où tous les fidèles munis de fouet se frappaient jusqu'à l'extase. Pas de fêtes orgiaques sans rituels du fouet, lors des Dyonisies en Grèce ou des Bacchanales à Rome. Plus tard, de célèbres dévots éprouvèrent en se meurtrissant les effets stimulants du fouet. Henri III , dernier Roi valoisien (1574 à 1589) , grand pénitent mais aussi voluptueux raffiné, aimait à se "tourmenter les chairs", en compagnie de ses mignons. Sade, étudié précédemment, en fit, dans l'intégralité de son œuvre , l'un de ses instruments de jouissance de prédilection. Comment la flagellation a-t-elle pris place dans l'art du jouir ? Selon Freud, le masochisme, est une perversion sexuelle suivant laquelle la satisfaction est liée à la souffrance, ou à l'humiliation subie par le sujet soumis. L'envie de fouetter ou d'être fouetté proviendrait de la connexion directe entre plaisir et déplaisir. Désir de faire souffrir la (e) soumise (s) ou l'esclave sexuelle (el), ou le sentiment opposé, recherche de la douleur par la (e) flagellée (é) . L'envie de se faire souffrir, ou masochisme, serait la forme de perversion la plus répandue. L'attrait pour la flagellation, selon le psychanalyste, viendrait de la fixation, au cours de l'enfance, d’une correction punitive mêlée à une jouissance. Le sadomasochisme représentant alors la satisfaction liée à la souffrance ou à l'humiliation subie par un sujet dépendant. Des comportements érotiques exacerbés conduiraient à une pratique sexuelle employant la douleur par la flagellation pour parvenir à la jouissance. Un sadique étant toujours un masochiste, selon le neurologue autrichien, le flagellant prend plaisir à fouetter, aurait pour partenaire, un flagellé recherchant l'extase sous le fouet. Dans une relation D/S entre un dominant et un dominé, un Maître et un esclave, ou un masochiste et un sadique. La représentation religieuse de la flagellation l'associe à l'expiation d'une faute commise en vue de se punir de péchés. La mortification de la chair, dans une recherche mystique d'accaparation des douleurs du christ, permet de se rapprochant de Dieu. Quel qu’en soient les origines, apparaît de façon sous-jacente l'union entre le corps et l'esprit. En punissant, on veut faire entendre raison, en meurtrissant le corps, on pousse l'esprit à s'élever en se surpassant. Les informations cérébro-dolorosives transmises au cerveau agissent comme des détonateurs forçant l'esprit. Celui ci transmet à son tour au corps l'ordre d'endurer et de résister. Ce schéma synaptique neuromusculaire se produit lors d'une séance de flagellation. Clairement exprimé, la flagellation permet d'explorer le côté animal en transgressant les codes d'une sexualité classique. Elle confronte les partenaires, à la vulnérabilité ou à la puissance, au cours de jeux de rôles sexuels extrêmes, comme de puissants leviers d'excitation sexuelle. La ritualisation, en particulier, la mise à nu de la soumise exacerbe l'érotisation de la préparation à la séance de flagellation. Elle offre à son Maître, en signe d'offrande, le spectacle de sa nudité. Libre à lui, de se livrer à un examen approfondi des parties corporelles à travailler. Les yeux bandés et bâillonnée, elle est attachée avec des menottes, ou des cordes, sur du mobilier, un carcan, un cheval d'arçon, le plus souvent, une croix de saint André. S'infligeant une souffrance physique, le masochiste produit des endorphines, hormones sécrétées en cas d'excitation, et de douleur. Les endorphines ou endomorphines étant des composés opioïdes peptidiques endogènes secrétées par l'hypophyse et l'hypothalamus, lors d'activités physiques intenses, sportives ou sexuelles, d'excitation ,de douleur, et d'orgasme. Elles s'assimilent aux opiacés par leur capacité analgésique et procurent une sensation de bien-être. Lors d'une séance de flagellation, la douleur se transforme peu à peu en plaisir. Elle procure un plaisir à la fois corporel et mental, pour la (e) sadique ou dominatrice (eur),comme pour la (e) masochiste, ou soumise (e). Les sensations de morsures, brûlures, et de douleurs précèdent toujours plaisir et jouissance. La flagellée, par soumission et par volonté de se surpasser, atteint progressivement un état relatif de confort. Son corps mobilisé secrétant des analgésiques ou euphorisants, elle supporte alors mieux la douleur quand approche l'orgasme. Le secret de l'alchimie résidant dans l'expérience du Maître, dans sa technicité et sa maîtrise de l'art du fouet. La caresse de la zone à fouetter, ou à pincer, au cours de la période d'échauffement, précède toujours la flagellation. Le dépassement de soi, en continuant à subir ou à frapper, plus longtemps et plus fort, s'acquiert avec le temps. À la douleur, s'associe le fantasme de la domination. Véritable raffinement érotique, la flagellation, pratique fétiche, source de sensations corporelles voluptueuses, est véritablement au cœur de la littérature érotique: Plus de sept cents livres lui ont été consacrés entre 1890 et 1940. Gustave Le Rouge, Louis Malteste, Hector France ou Pierre Mac Orlan la vénèrent en déifiant sa ritualisation. Citons "La Voluptueuse souffrance" de Max des Vignons (1930), "Coups de fouet" de Lord Birchisgood, "Le magnétisme du fouet" de Jean de Villiot (1902), ou encore "Monsieur dresse sa bonne" (1996) de Georges Pailler, dit Esparbec. La flagellation, pratique autonome, est devenue aujourd'hui un symbole érotique incontournable de la domination. Rappelons, avec force, que toute stimulation du corps par la flagellation, doit être librement consentie par des partenaires majeurs, idéalement expérimentés, utilisant du matériel sûr et révisé, avec le recours toujours possible à un safeword. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 09/08/21
Un air doux remplit sa chambre. Elle est le lieu de toutes les libertés, de toutes les expressions. Spacieuse, blanche, pour seuls meubles, en bois naturel, une commode ronde et une simple coiffeuse avec deux miroirs. Un grand lit au centre, encadré de voiles blancs qui accompagnent le moindre vent, deux grands fauteuils blancs au cadre en bois. La nuit est magnifique. Elle est au même diapason de son attente. Il n'y a qu'une heure qu'elles sont couchées, chacune dans une chambre, quand Charlotte perçoit du mouvement dans le couloir, puis dans sa chambre. Le clair de lune jette son halo fantomatique dans la pièce. Bien qu'elle tourne le dos à la porte, Charlotte aperçoit dans la glace Juliette qui s'avance vers son lit. Elle est nue, ses seins fermes et hauts placés ainsi que ses jambes galbées et bronzées lui confèrent une silhouette indéniablement désirable. Elle soulève le drap et se glisse dessous. Une légère brise tiède agite le rideau à la fenêtre. Juliette se blottit dans le dos de son amie, telle une amante. Charlotte peut sentir ses cuisses brûlantes et ses mamelons durs contre sa peau. Le désir comme tous les sens s'éveillent. - Tu voulais enfin que je te l'avoue ? J'ai très envie de te faire l'amour. Charlotte se retourne brusquement, Elle porte juste un tanga en soie noir. - Juliette ! - Quoi ? Ne me dis pas que tu ne t'en doutais pas, quand même ! Charlotte s'allonge dans le lit en ramenant le drap sur sa poitrine. - Je croyais que c'était un jeu, Juliette. - Eh, bien non, je n'ai jamais été aussi sérieuse de ma vie. Charlotte examine Juliette pour s'assurer qu'elle est sincère. - Je ne suis pas lesbienne, affirme-t-elle au bout d'un moment. - Comment tu le sais ? - J'ai un amant. - Et alors ? Tu as déjà essayé ? s'amuse Juliette. - Tu sais bien que non. - Alors, laisse-moi faire .. Après, tu prendras ta décision. Les mains de Juliette lui prodiguent des caresses d'une douceur infinie. Elle accueille d'abord passivement le baiser de son amie, avant de s'abandonner pour de bon et de lui rendre fougueusement la pareille. Juliette faufile une main entre les fesses de Charlotte, puis son index suit la fente de sa vulve. Profitant de la réceptivité de son amie, Juliette le pousse à l'intérieur, où elle découvre son sexe ouvert et humide. Ses cuisses sont moites et ses fesses, très chaudes. Le corps de son amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement rejetée en arrière. D’une brusque contraction, elle comprend que sa belle jouit. Les spasmes qui enferment ses doigts en elle se font plus forts et désordonnés. Elle n’est plus que frissons. Elle vibre. Elle gémit. Elle râle. Elle crie. C’est beau, une femme s’abandonnant à l’orgasme. Après un instant de calme, ses convulsions reviennent avec plus de force. La respiration de Charlotte se bloque. L’air de ses poumons est expulsé dans un long cri de plaisir. Un silence s’est fait dans la pièce. Contraste saisissant avec les sons de nos ébats. Ce calme est reposant. On est bien, dans les bras l’une de l’autre. Le réverbère éclaire légèrement la chambre. Une pénombre agréable noie la pièce et je devine plus que je ne vois le visage de Charlotte. Et, bercées par les caresses douces et régulières, le sommeil a fini par nous saisir. Bientôt, je me réveille. J’ai soif. Je me décolle du corps de mon amante de la nuit en tentant de ne pas la réveiller. Je reste quelques instants appuyée contre le chambranle de la porte. Je regarde sa silhouette, seulement éclairée maintenant par le halo de la lune qui éclaire faiblement la chambre au travers des volets. Elle est belle. Plus grande que moi, plus musclée aussi. Ses courts cheveux bruns lui donne un air androgyne irrésistible; j’entends son souffle. Son corps bronzé s’étale lascivement sur le drap blanc. Je souris en m’écartant de la porte pour gagner la cuisine. Il fait assez clair dans la petite pièce pour que je puisse me servir d’eau sans allumer la lumière. Je n’ai pas envie que les néons brisent la quiétude de la nuit. J’ouvre deux placards avant de me saisir d'un verre. J’ouvre le robinet et me sers un grand verre. Je sursaute. Un corps chaud se colle au mien. Des bras se nouent sous ma poitrine. Ses lèvres se posent contre ma jugulaire. Je ne peux m’empêcher de frissonner. Sa bouche est si douce. Je pose le verre au fond de l’évier et m’appuie sur elle, en murmurant: - Je connais ton corps, mais je ne connais rien de toi. Je la sens rire gaiement alors qu’elle pose son front contre mon épaule et que ses mains descendent contre mon pubis. - Tu apprendras à me connaître. Je frémis sous ses doigts. Je ferme les yeux. Mes doigts, au dessus de ma tête, se perdent dans les cheveux bruns de mon amante. Les siens s’égarent dans ma fente encore moite et ouverte de nos plaisirs de la nuit. Humide, je le suis. Son souffle dans mon cou, ses mains sous mes seins, je frémis de ses caresses. Charlotte me retourne dans ses bras. Elle se colle contre moi. Son corps est chaud et doux. Je tends mes lèvres en fermant les yeux. Sa bouche se pose sur la mienne dans un baiser plein de tendresse. Elle pose ses lèvres à de multiples reprises juste au dessus de ma bouche et sourit de mon agacement quand je veux les capturer. Elle retire son visage quand je cherche à établir un contact. Un affectueux sourire se dessine sur sa figure. - Tu es toujours trop pressée. Mes mains jusqu’alors posées sagement sur ses fesses attrapent ses joues qui me fuient. Nos langues se nouent. Sans hâte, mais dans une fièvre conviction. Je pose mes bras sur ses épaules. L’attire encore plus contre moi. Ma langue se fait plus fougueuse. On s’écarte à regret mais à bout de souffle. - J’ai raison d’être pressée ! Tu n’aimes pas mes baisers ? Son rire mélodieux me répond. Je fixe ses yeux. Un nouvel éclat transparait dans son regard sombre. Elle frémit dans mes bras. J'y vois du désir, de l’excitation, de l’appétit. Je devine dans son regard une soif inétanchable de plaisir et de passion. Son bras me décolle de l’évier. Elle me soulève pour me poser sur la table de cuisine. J’écarte les cuisses. Elle s'insère entre elles. Le haut de ses jambes frotte contre mon sexe ouvert. Un doux baiser sur mes lèvres et bientôt elle s’agenouille. Sa bouche est à la hauteur de ma vulve. Je suis trempée. Je la regarde. Elle est belle, comme cela. Cette vision m’électrise. D’un souffle, elle me fait me cambrer. Sa langue sort lentement de sa bouche et commence à me lécher. Charlotte écarte mes nymphes de ses lèvres. Ses légers coups de langues remontent vers mon clitoris déjà tendu. Elle tourne autour, sans jamais le toucher. Redescend vers mon sexe moite qui implore une pénétration. Je sens les contractions désordonnées. Sa langue me pénètre. Elle fouille mon intimité docile. Elle lèche l’intérieur de mon vagin. Je rejette la tête en arrière. Un gémissement de plaisir passe mes lèvres ouvertes, elles aussi. Son organe lingual remonte vers mon clitoris. Il est dur et elle le lape, l'aspire, le pince et le mordille. D’un geste saccadé, je maintiens sa tête entre mes cuisses. Je gémis. Mon bas ventre s'enflamme. Je geins. Une longue plainte m’échappe. Le bonheur m’empêche de respirer. Je lance mon ventre contre sa bouche. Je me déchaîne. Deux doigts me pénètrent profondément. C’en est trop. Je pousse un dernier cri avant d’être prise de tremblements. Chavirée de secousses, je jouis. Elle se relève, alors que son index et son majeur continuent à me fouiller. Elle me soutient le dos en passant un bras derrière mes épaules. Ses doigts en moi ont trouvé mon point G. M'amollissant avant de partir dans de longs soubresauts, je m'abandonne en giclant dans un orgasme parcourant mon corps tendu. Quand je rouvre les yeux, je suis allongée dans le lit de ma fabuleuse amante. Ses yeux brillants dans la nuit me fixent. Je l’enjambe, mon corps encore lourd de l’abandon s’écrase contre le sien. Nos lèvres se joignent encore. Son ventre et ses abdominaux que j’avais deviné au premier regard. Ma bouche s’écarte, je m’en vais agacer le bas de sa côte droite. Mes mains lâchent ses adorables seins pour découvrir ses flancs. Ma bouche découvre pour la seconde fois de la nuit ce sexe épilé, ce clitoris érigé et le goût si particulier de cette cyprine. Je donne un bref coup de langue sur ce bouton tendu qui fait frémir mon amante et poursuit mon inlassable descente. Le vagin qui a avalé une partie de ma main tout à l’heure m’appelle de nouveau. Je le pénètre, de ma langue, de mes doigts, suivant la respiration de Charlotte. Elle gémit, se tend, vibre. Je quitte ce lieu humide pour continuer la voie des délicieuses découvertes, non sans laisser mon index au chaud. Je lèche avidement le périnée. Je touche enfin mon but: le petit orifice entre ses fesses musclées. Je la bascule sur le ventre en écartant son genou pour pouvoir lui dispenser ma caresse buccale. Je lèche consciencieusement, passe sur l’anus qui se détend peu à peu, tourne, contourne et retourne. Mon doigt pénètre toujours plus profondément son intimité. Mon plaisir me guide entre ses reins, dans la vallée chaude de ses fesses, à l'entrée de l'étroit pertuis; elle se cambre pour aller à la rencontre de mes doigts inquisiteurs. Je souris aux encouragements de ma belle et fais tournoyer ma langue sur les pourtours de son anus pénétré. Quand je la sens complètement détendue, un second doigt entre en elle. Elle se redresse et se cambre encore plus en émettant une longue plainte. À genoux devant moi, soumise et débauchée. Le spectacle est beau et jouissif. Elle s'offre à moi. Le corps de mon amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement rejetée en arrière. D'une brusque contraction, je comprends qu'elle jouit. Les spasmes qui enferment mes doigts en elle se font plus forts et désordonnés. Elle crie. Elle n’est plus que frissons. Je continue mes mouvements de va-et-vient pour que perdure sa jouissance anale. Après tant de jouissances, nos esprits sont brumeux. Sa main douce contre mon flanc, mes lèvres contre les siennes. Des jolis moments tendres en attendant le sommeil, de nouveau. Réveillée, elle se lève, m’embrasse tendrement et m’entraine vers la salle de bain. Elle m’enlace en me faisant rentrer dans la douche. L’eau chaude coule sur nos corps amoureux. Rapidement, la buée envahit la petite pièce. La proximité que nous impose l’étroitesse de la douche est mise à profit. Mes mains redécouvrent ce corps magnifique. Sa bouche aspire mes seins tendus. Ses doigts agacent mon clitoris. De lents mouvements en douces caresses, je suis surprise par la jouissance qui me saisit. Je me retiens à elle, me sentant vacillante. Je dépose un baiser au creux de ses reins avant de me relever. D’une pression sur son épaule, Charlotte se retourne. Je prends du gel douche et poursuit amoureusement mon massage. L'intérieur de ses cuisses, ses fesses et le pourtour de son anus; je masse la zone sous les seins, si érogène. Je saisis sa poitrine, frictionne et agace les pointes. Elle gémit sous la caresse. Je souris. Je pose mes genoux contre la faïence du bac de douche. Je suis juste à la hauteur de son sexe qui semble toujours aussi demandeur. Mes mains jouent avec ses abdos et son pubis lisse. Je m’égare sur l’aine, j’embrasse le clitoris qui dépasse de ses lèvres. Elle s’appuie contre le mur. Ma langue écarte ses petites lèvres, guidée par les mouvements de bassin, j’amène mon amante à la jouissance. Elle roulèrent sans un mot sur le sol carrelé de la salle de bain. Leur envie réciproque de se posséder les transforma en lutteuses. Elles s'encastrèrent l'une contre l'autre en s'embrassant et en se griffant, seins contre seins, ventre contre ventre, en un combat furieux. - Raconte-moi ce que tu ressens quand ton amant commence à nouer des cordes autour de toi demanda Juliette. Quelle sensation cela procure de se retrouver nue et vulnérable ? - J'ai peur. Et en même temps, je suis impatiente. - Il te caresse en t'attachant ? - Non, il est comme absent. - Il t'a déjà fouettée ? - Non, jamais. - Et tu le regrettes ? - Peut-être, oui. Charlotte fut surprise de sa propre réponse, comme si ce n'était pas elle qui avait répondu mais une autre. Sans attendre, Juliette dit à Charlotte de se lever pour lui lier les poignets d'une épaisse corde de chanvre qu'elle attacha à un anneau au plafond, bien tendue pour l'obliger à se tenir bras levés et sur la pointe des pieds. Elle entendit le sifflement des lanières en cuir d'un martinet. - Qu'est-ce que tu fais ? - Je répare un oubli, répondit Juliette. - Tu veux que je te bâillonne ? Charlotte secoua la tête. Non, elle ne voulait pas être bâillonnée. Elle voulait sentir la douleur lui monter jusqu'à la gorge pour y exploser. Cela devait faire partie du rituel. Il fallait que quelque chose sorte d'elle. Elle osa un regard par dessus son épaule. Indifférente, bien campée sur ses jambes fuselées, ses seins dressés tressautant au rythme de ses larges mouvements. Juliette éprouvait la souplesse du ceinturon en en fouettant l'air. Ainsi nue et armée, elle ressemblait à une déesse antique. Charlotte ferma les yeux. Elle désirait être fouettée et Juliette seule pouvait lui faire subir cette épreuve. Ce serait non seulement s'offrir en captive à l'amour, mais mieux encore, se donner en esclave, à une autre femme de surcroît. Accepter ses coups, encaisser à travers elle, la fureur de toutes les femmes. Juliette la fouetta avec application. Ses coups précis, parfaitement cadencés, atteignaient alternativement une fesse, puis l'autre, parfois le haut des cuisses, parfois le creux des reins. Trente, quarante, cinquante coups Charlotte ne comptait plus. Aux brûlures locales d'abord éprouvées s'était substituée une sensation d'intense chaleur, comme si elle avait exposé son dos à un âtre crépitant. Le supplice était le prix à payer pour que son amante continuât à l'aimer, elle souhaitait seulement qu'elle fût contente qu'elle l'eût subi et attendait muette. Quand le cuir atteignit le renflement de sa vulve, subitement son corps fut traversé de part en part par une fulgurante flamme de couleur rouge orangé. Elle en sentit la chaleur l'irradier et plonger dans son ventre comme une boule de feu. La douleur et le plaisir fusionnèrent ensemble. Elle hurla à nouveau mais de plaisir cette fois. Juliette cessa aussitôt de la frapper et tomba à genoux devant elle. Posant avec une infinie délicatesse les doigts sur ses reins meurtris, elle attira jusqu'à sa bouche la peau empourprée des cuisses et du ventre qu'elle couvrit de baisers. Elle aspira entre ses lèvres, les lèvres de son sexe, les lécha avec douceur. Charlotte s'abandonna. Charlotte avait accepté secrètement non sans abnégation de se soumettre définitivement à Juliette. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 08/08/21
P arfum sucré d'une peau qui se donne E xaltation d'un corps qui s'abandonne R ugissements d'une taquine qu'on bâillonne V ibrations d'un coeur qui raisonnent E motions d'une âme qui frissonne R écompense suprême de deux êtres qui fusionnent S ensations brûlantes d'un corps qui bouillonne I ntensité des moments que rien ne raisonne T ourments délicieux d'une mutine polissonne E xtase de des êtres que le Diable cautionne Le 05 11 2020
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Par : le 08/08/21
Juliette n'était pas du genre à accepter l'échec dans quelque domaine que ce soit surtout auprès des femmes. Elle avait le sens de la compétition, exacerbé par la pratique de l'équitation qu'elle pratiquait encore régulièrement. Rien ne lui plaisait plus que l'odeur des écuries, monter et démonter des barres en carrière au petit matin, s'endormir dans le van au retour d'un concours de saut d'obstacles. Elle avait fait la connaissance de Sarah dans un club. Depuis, elle n'avait qu'une idée en tête, la pousser à se soumettre totalement à elle, corps et âme. Elle était déjà son amante attitrée depuis leur rencontre. Sarah s'était révélée chaque nuit de leur vie languissante toujours plus fougueuse dans leurs ébats d'alcôve. Toutes les femmes amoureuses ont le même âge, toutes deviennent des adolescentes exclusives, inquiètes, tourmentées. Sarah n'échappait pas à la règle. Mais cela ne déplaisait pas à Juliette. Elle était intelligente, sentimentale et charmante. Mais surtout, elle pressentait en elle, un réel potentiel de soumission. Guidée par la confiance qu'elle lui porterait, Juliette obtiendrait tout d'elle, la forcerait à concrétiser tout ce qu'elle désirerait, surtout ce qu'elle n'osait pas intimement s'avouer. Confiance aveugle indispensable pour Sarah lorsqu'un bandeau de velours ou un masque de cuir recouvrirait ses yeux, lors de séances de soumission, en des lieux et en présence d'inconnus. Les humiliations, les sévices sexuels et le fouet l'épanouiraient. Mais en respectant la sécurité. Tout être humain a ses limites, l'esclave a les siennes. Elles étaient devant une porte, à double battant, une antichambre étroite. Dans sa main, Juliette sentait les doigts anxieux de Sarah. Elle tremblait, non de froid, elle savait ce qui l'attendait de l'autre coté. Bientôt, elle connaitrait la révélation en pénétrant dans la cave du manoir. Un mélange de curiosité et d'angoisse surgissait en elle. L'inattendu est une arme de séduction. Le jeu des situations insolites l'excitait et le danger la grisait en la plongeant dans un état second où tout son être se sentait autoriser à se dédoubler, libérant ses pulsions refoulées. Elle portait une robe droite descendant sous le genou avec une fente arrière jusqu'aux reins, resserrée à la taille mais un peu lâche à la poitrine. Dessous, seulement une paire de bas noire tenue par un porte-jarretelle. Dans une des poches de sa Maîtresse, la laisse métallique qui lui était destinée lestait sa veste. Sarah frottait nerveusement ses cuisses et ses genoux les uns contre les autres faisant crisser ses bas. Elle semblait adorer l'appréhension qui précédait sa première mise à l'épreuve, excitée par la sensation d'être préparée ainsi à son sacrifice telle une vestale. Elle aurait seulement préféré être nue sous une longue cape. L’entrée passée, Juliette l'entraîna dans un petit salon dont l’un des murs était occupé par un grand miroir. Elle se glissa derrière elle, et souleva sa chevelure. Elle fit glisser la fermeture Éclair de sa robe de la nuque, jusqu’au bas de ses reins, dégageant ses épaules et sa poitrine. Son vêtement tomba à ses pieds. Elle ne portait plus que ses bas et une paire de talons hauts. Puis, elle dégrafa ses bas et les fit glisser le long de ses cuisses. Bientôt le porte-jarretelle rejoignit le reste de sa parure au sol. Juliette lui ôta ses chaussures. Elle était totalement nue. Juliette sortit de son sac un rosebud orné d'une couronne en rubis. Elle le prit dans ses doigts quelques instants pour le réchauffer. Sarah se pencha alors en avant en écartant ses fesses pour faciliter l'intromission. Il avait été décidé qu'elle serait privée de bâillon, pour l'entendre crier mais qu'en revanche un bandeau l'interdirait de voir ceux qui la fouetteraient ou ceux qui auraient envie de la posséder par tous les orifices naturels selon leur fantaisie. Sa Maîtresse lui enserra le cou d'un collier et lui passa à ses chevilles ainsi qu'à ses poignets des bracelets. Sarah se regarda furtivement dans le miroir avant que Juliette noue le bandeau sur son visage. Elle se trouva belle dans le secret de sa nudité et la noblesse du cuir. L'esclavage, c'est un peu comme l'amour, le vertige en plus. Le temps de réprimer son angoisse, la porte s'ouvrit. Elles reconnurent aussitôt Béatrice. Sa mince silhouette était entièrement vêtue de noir, du col officier de son chemisier, jusqu’à ses bottes en cuir. Juliette lui tendit sans hésiter la dragonne de sa laisse. Elle s'en saisit de ses mains gantées de cuir. - La nudité te va bien. Tu as un corps superbe, fait pour le sexe et pour le fouet. - Merci Madame, répondit Sarah. Elle ouvrit les deux battants et la guida vers son sacrifice; le lien pendait entre elles deux. Elle ne la tira pas, comme on mène un animal. Elle marchait derrière elle, les mains liées dans le dos, en se cambrant au maximum, projetant sa poitrine en faisant saillir ses reins. Attachée, mais libre, elle s'offrait. Au fond de la salle, éclairée par des projecteurs, l’attendait une croix de saint André. À coté d'elle se tenait une jeune fille brune aux cheveux très courts. - Je m’appelle Claire. - Et moi, Sarah, lui répondit-elle d’une voix respectueuse. - Nous allons beaucoup te faire souffrir. - Je sais que Juliette vous l’a demandé. - Madame a décidé: nous irons au bout de ce qu’elle a choisi pour vous, mais vous connaissez le code du safeword. - Je le connais et je suis prête. Claire lui entrava les chevilles et les poignets en fixant aux bracelets des cordes maintenus à la croix par des chaînes. Elle était écartelée, face à la salle plongée dans l'obscurité. Sarah savait que des yeux l'observaient, imaginant les tortures qu’ils aimeraient faire subir à sa fière poitrine, ou à son sexe ouvert. Mais seul, le regard de sa Maîtresse lui importait, en espérant qu'elle la trouve digne de lui appartenir. Atteindrait-elle le niveau de perfection qui sublimerait leur relation périlleuse. Il était essentiel pour elle de se donner sans réserve, sans rien attendre en retour que de mériter le rang et le titre d'esclave choisie parmi toutes, pour ne susciter aucun reproche, ou plus simplement par orgueil ou par fierté. Donner cet immense bonheur à la femme qu'elle aimait était une préoccupation majeure, bien plus que la concrétisation de ses fantasmes masochistes. L'une comme l'autre ne devaient pas se décevoir mais en respectant les limites à ne pas franchir. Sarah avait ses limites, l'esclave qu'elle allait devenir aurait les siennes. Juliette ne l'ignorait pas. Sur une table basse, un martinet à longues lanières en cuir, un fouet dont la mèche est tressé de deux cuirs différents, et une fine cravache. Claire prit le fouet, et lança son bras. La lanière s’enroula autour de sa taille et le serpent la mordit au centre de son ventre. Le coup fut doublé au même endroit par le martinet. Bientôt, ce fut le haut des cuisses qui attira l'attention. Jamais auparavant, ces parties de son corps n'avaient été touchées même par Juliette. Et quand les lanières s'attaquèrent à ses seins en lacérant leurs pointes, elle comprit qu'elle serait intégralement fouettée sauf au visage. Puis c’est le haut de ses cuisses qui fut l’objet de leurs attentions. En écho, les lanières atteignirent son pubis mais avec plus de délicatesse. Elle cria sa douleur, comme la femme qu'elle avait entendue dans le couloir. Elle aussi avait souffert, nue et crucifiée comme elle. Plus Claire frappait fort et plus Sarah s'offrait. Elle souffrait, mais elle dominait sa souffrance: le plaisir qui naissait insidieusement en elle la dépassait, la stigmatisait. Elle ressentait sa première jouissance cérébrale. Claire recommença méthodiquement à la flageller, lentement, alternant fouet et martinet, descendant et montant de ses épaules à ses cuisses, en quadrillant tout son corps, afin que les traces fussent nettes. La tête penchée sur le coté, elle pendait au bout de ses bras crucifiés. Bientôt, la croix qui la soutenait fut basculée vers l'avant parfaitement à l'horizontale. On lui ôta le rosebud puis une large olive métallique pénétra sans préparation son anus lui arrachant un cri de douleur. C'était un crochet anal. Claire attrapa le lien de sa chevelure et le passa dans l’anneau de métal, elle tira, cabrant sa tête en arrière. Une main adroite malaxa les pointes de ses seins pour les durcir avant de les prendre en étau par des pinces dentelées. Les deux mâchoires mordirent sa chair. Tout cela était nouveau pour elle, mais elle se montrait courageuse. Pas un instant, elle n'eut l'idée d'arrêter la séance en prononçant le code du safeword. Elle se découvrait plus masochiste qu'elle ne le pensait. Pour Claire, il était grand temps de franchir une nouvelle étape dans la séance. Ce furent les brûlures par une bougie. Les premières perles de cire brûlantes s'écrasèrent sur ses épaules. Bientôt les larmes de feu atteignirent ses seins zébrés par le fouet. Enfin la brûlure gagna son périnée entre les deux voies intimes. Dans son esprit échauffé par cette succession de peurs, de douleurs et de plaisirs entremêlés, des images fulgurantes de sacrifice déferlèrent en elle. Elle se surprit à chuchoter "merci" à chaque nouveau coup alors même que sa chair se déchirait et que son sang coulait. Elle allait gagner la considération de Juliette. Devenir esclave, digne de ce nom. C'était pour elle comme l'amour avec une excitation vertigineuse en plus. La fin de la soirée s'écoula comme dans un rêve. Après avoir ôté le crochet anal, on rétablit la croix de saint André à la verticale, pour la libérer de ses liens. Honteuse mais fière, elle avait joui des traitements infligés par la seule volonté de sa Maîtresse. Juliette la rejoignit, recouvra ses épaules d'une cape et l'embrassa. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 04/08/21
La pièce est terriblement sombre. Seul une veilleuse au plafond diffuse une lumière blafarde. Je m’approche à 4 pattes de la gamelle d’Allan. La bouillie n’est pas très appétissante mais c’est mangeable et puis mon estomac vide crie famine. J’ai soif et je lape l’offrande de Maîtresse Célia avec réticence au début, puis le goût assez délicat aidant, je reviens boire avec plus d’entrain. Mieux vaut s’habituer rapidement si je ne veux pas me déshydrater avant la fin des jeux. Rassasié, je vais m’occuper de ma couche mais surprise, j’arrive bien à saisir la couverture laissée par Allan mais la chaîne trop courte m’interdit de m’allonger sur la couche. Je n’ai que la solution de m’envelopper dans la couverture et de m’allonger à même le sol. La nuit risque d’être longue ! Rapidement je suis éveillé par le froid du sol. Je ne peux que me lever et marcher pour me réchauffer. Le cliquetis de la chaîne rythme mon exercice. Après un petit quart d’heure, je tente un nouveau sommeil. C’est seulement une forte envie d’uriner qui vient interrompre mes rêves. Je ne peux uriner que dans cette gamelle comme l’a exigé Maîtresse Célia. Ma pisse vient se mélanger au reste de son urine. La gamelle est maintenant bien pleine. Plus grande envie de dormir. Le temps s’égrène lentement jusqu’à cinq heures. Je m’assoupis, le bruit de la porte me sort de ma torpeur. C’est toujours Allan qui me drive. Je lui montre qu’il m’est impossible de m’allonger sur la couche mais cela ne l’émeut pas plus que ça. Allan remplace vite la chaîne par une laisse à gros maillons argentés. Il me tend des bracelets de cuir que je m’empresse de mettre à mes poignets et mes chevilles. Les bracelets sont reliés par des chaînettes courtes qui me contraignent dans mes déplacements. Nous n’avons pas encore quitté la cellule. Allan en profite pour me faire un descriptif des lieux. C’est une ancienne champignonnière aux multiples tunnels. Ils en ont équipés quelques uns en logement avec donjon, cuisine, salon parfaitement équipés pour tous les petites misères de la pratique SM. Habituellement, ils les louent à des clients fortunés. C’est pour cela que je n’aurais que peu de contact avec les autres soumis. Je me retrouve sous la table de la cuisine et ma gamelle est déjà là. Aucun doute, c’est toujours l’urine de ma nuit agrémentée d’un pain qui a du être sec avant de tremper ici. - «Dépêche de finir ton petit déjeuner, il faut encore faire ta toilette et te préparer pour ta première Maîtresse. Si tu veux avoir une chance avec elle, il te faut être présentable» Allan me tire avec la laisse en me laissant à genoux et toujours entravé pieds et mains, alors c’est compliqué. Je me retrouve dans une sorte de grande douche à l’Italienne. Allan a saisi une lance et dirige un fort jet d’eau froide contre moi. Je suis saisi, grelottant et écraser dans l’angle de la douche tant le jet est puissant. Allan me relève brutalement. Je suis bleu et je tremble mais les serviettes sont en option ici et je sécherais sur place. Il me retourne et m’accroupis de force, le cul bien relevé. Il m’enfile un tuyau dans l’anus pour un lavement profond. Allan reprends le gros jet pour me nettoyer et évacuer mon lavement dans un petit caniveau. C’est toujours aussi froid. Allan me fait allonger sur une table métallique aussi froide que l’eau. Sur le dos il m’examine et malgré mon épilation, il me rasera encore un peu plus et m’installe une cage de chasteté avec des piquants qui ne m’annonce rien de bon en cas d’érection. Il me retourne sur la table, continue d’enlever tous les poils visibles. Après cela, il m’enfile un plug de bonne taille dans mon cul. La douleur est là car il ne s’embarrasse pas de lubrifier mon petit trou. Il se fait tard et Allan s’empresse de me tirer dans le salon où trône sur un mur une grande croix de Saint André. Il m’attache poignet s et chevilles, me passe un bâillon boule qu’il serre tellement qu’il m’est même difficile d’exprimer le moindre grognement. Allan s’en va en me souhaitant , sourire au lèvres, une bonne journée. - «Ta Maîtresse du jour va arriver» Il s’éclipse rapidement me laissant planté là sans pouvoir bouger. Le temps me semble une éternité. Mais bientôt, une jeune fille vêtue d’un vinyle rouge brillant et de talons qui prolonge de belle jambes très fines. Au premier regard elle m’apparaît fragile mais j’apprendrais vite que c’est moi qui casserais le premier. - «Humm, tu es le premier candidat alors je crois que je vais bien me défouler» me lance-t-elle» Je lui fais face sur la croix et je la vois prendre un fouet noir très fin. Elle me tourne autour en me passant le fouet sur mon corps pour une caresse d’échauffement. En s’éloignant un peu elle commence par quelques coups qui me cinglent le ventre, le pubis, les cuisses mais je la sens encore se retenir un peu. A chaque coup, un cri étouffé tente de traverser le bâillon boule. Abandonnant son fouet, elle prend une roulette et me laboure le ventre, passe sur ma cage en piquant mon sexe, mes testicules et l’intérieur de mes cuisses. Je me tortille pour lui échapper mais la croix me retiens fermement. Excédée par mes mouvements désordonnés, je reçois un grand coup de pied dans mes couilles. Je ne serais pas attaché, je me roulerais de douleur à ces pieds. Satisfaite de son effet, elle me détache, me fait me retourner et me rattache sur la croix face au mur. Je sens de nouveau la roulette me labourer le dos puis ces griffes m’arrachent des cris de douleurs qui restent prisonniers de mon bâillon. Maîtresse m’ayant arraché suffisamment de peau, elle reprend son fouet. Je reçois une vingtaine de coups partant du côté droit puis autant du côté gauche. Mon dos doit être bien zébré maintenant. Finalement, malgré sa jeunesse, cette jeune Maîtresse est déjà bien expérimentée et très sadique. Elle me détache de la croix et je glisse au sol comme une vulgaire serpillière. Le fouet m’a lessivé mais il a donné beaucoup d’entrain à Maîtresse et en plus, il lui a ouvert l’appétit. Elle m’indique où trouver une assiette de tapas et un tonic que je m’empresse de lui apporter. Je me retrouve à 4 pattes devant elle et c’est moi qui lui servirai de table. Je me tiens le plus droit possible et Maîtresse vient piquer fort ces tapas avec une fourchette qui me rentre dans la chair. Je sens bien son plaisir m’irriguer quand elle revient piquer un tapas et une bonne partie de mon dos. Je viens seulement de bouger un petit peu et je reçois une grosse gifle qui claque sur ma joue, et un crachat au visage pour rabattre ma fierté. Je resterais parfaitement immobile jusqu’à la fin de son repas malgré la tasse de café brûlante qu’elle se sert sur mes reins. Maîtresse allume une cigarette en consultant sa messagerie de téléphone. - «ouvre la bouche, relève la tête» Je suis maintenant son cendrier moi qui ne fume jamais. Le repas de Maîtresse s’achève. Elle étend ses fines jambe sur moi et se détend en appelant ces amies. - «J’ai une belle lope à mes pieds» dira-t-elle à l’une d’entre elles. Tu pourras l’utiliser si je retiens sa candidature mais je vais encore m’en occuper quelques jours avant de faire mon choix. Cela me promet donc encore d’intenses moments avec elle. L’après-midi risque d’être douloureux….. A suivre .... Tout est fiction, aucun fantasme, seulement le plaisir d’écrire en me servant de mon vécu et de mes lectures. Je le dédicace à ma Maîtresse qui nourrit mon inspiration de grands et beaux souvenirs
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Par : le 29/07/21
Au delà des aspects esthétique et de douleur, le bondage est un bon moyen d'imprimer des sensation, des sentiments en s'appuyant sur un code kinésique naturelle. En effet, chaque posture renvoie à un type de sensation. Je vous propose d'en voir quelque uns. 1- Le rabattement On peut attacher quelqu'un pour qu'il soit plié ou courbé vers ses jambes par devant ou bien courbé vers l'arrière. a- Attaché rabattu vers l'arrière Cela impose de s'offrir sans pouvoir résister, cette posture donne un fort sentiment de vulnérabilité b- Attaché rabattu vers l'avant Cette posture a un coté rabaissant, c'est un bon moyen de punir ou de donner un sentiment d'inferiorité 2- Les mains Attacher les mains donne un grand sentiment de réduction à la passivité, une personne qui a les mains attaché ne pense plus à agir. a- Les mains attachés devant Cette position donne le sentiment d'être là pour suivre, pour se laisser guider b- Les mains attachés derrière On revient à un sentiment de vulnérabilité, on ne peut plus se defendre 3- Les jambes Quand on attache les jambe d'une personne, elle perd sa mobilité, cela l'infantilise énormément. A- devant ou derrière? a- Les jambes attachés devant Quand les jambes sont attachés devant, on peut les regarder, on se contemple soit même, cela donne un genre d'introspection. b- Les jambes attachés derrière Cela donne un sentiment de déséquilibre, de peur et de perte de contrôle, rien de telle pour stresser. B-jointes ou écartés a- Les jambes attachés jointes lorsque les jambes sont attachés jointes, la neutralisation est plus forte mais c'est aussi plus sécurisant b- Les jambes attachés écartés cela est plus anxiogene 4- Publique ou privé a- publique En publique, la notion de statu s'exprime automatiquement. Quand on attache une personne en publique et que tout le monde la regarde, elle peut avoir le sentiment de ne plus être au même niveau que les autres mais une sorte d'animale en dessous. Le sentiment qui en résulte est à la foi un sentiment de solitude (à moins que d'autres soit attachés en même temps) et de libération. b- privé En privé, c'est la confiance qui prime. Une personne que l'on attache en privé est obligé de donner sa confiance. 5- Matière du lien a- Foulard Il a un coté festif et amusant b- cordes La corde peut presque être perçu comme une partie de son propre corps quand elle reste suffisamment longtemps c- métal Il a un coté tragique, il est froid et absolut. Il fait peur car il est impitoyable. 6- La privation sensoriel a- les yeux Bander les yeux de quelqu'un et l'obliger a avancer l'oblige beaucoup à la confiance et le place en position d'hypervulnérabilité. b- les oreilles Si la personne ne peut plus entendre, elle se sent isolé comme si elle était dans une sorte de rève. c- le nez On en a tous fait l’expérience avec le masque, tout semble avoir moins de goux, tout semble plus terne sans ordeurs. 8- L'obstruction des orifices a- le baillon La personne ballonné ne peut plus parler, c'est bizard de voir a quel point ce bondage est inacceptable pour l'esprit. Une personne ballonné cherchera toujours a s'exprimer. Bref, je ne comprend pas trop... b- l'anus L'anus bouché, c'est un sentiment de fragilité et de proximité 9- La respiration a- au début Au début, bloquer la respiration envoi un signale fort. C'est plus le moment de rigoler. C'est une façon très brutale d'imposer le sérieux et le calme. b- à la fin, c'est de l'anxiété et de la terreur (à moins d'avoir affaire a quelqu'un de suicidaire ou qui n'aime plus la vie) 10- La durée a- Longue durée Le bondage longue durée est méditatif, on peut y perdre la notion du temps. Il peut aussi être très inconfortable et supplicié b- courte durée un bondage trop cour n'a pas le temps d'exprimer tout ses effets, on aura d'avantage la sensation qui accompagne le passage d'un état libre à un état restreint une foi encore, la présence d'un publique combiné à la durée ont un fort pouvoir d'amplification.
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Par : le 26/07/21
Juliette fut préparée dans l'attente de la soirée. Elle avait été avertie que Ka-Sandra serait accompagnée de plusieurs couples à qui elle l'offrirait, quoi qu'on pût exiger d'elle ou lui infliger. Il fut décidé qu'elle ne les verrait pas et que les mains attachées derrière le dos, on la conduirait dans une cave d'un manoir. On fixerait à son cou un collier et à ses poignets des bracelets. Ka-Sandra avait choisi sa tenue: une jupe courte en taffetas noire, dévoilant ses cuisses, et un chemisier clair marquant un corset en cuir resserré de façon à faire saillir ses seins. Elle s'assura que son ventre ainsi que le sillon de ses reins étaient parfaitement lisses afin que ses deux orifices soient ouverts sans frein à toutes ses exigences, ou à celles des inconnus à qui elle la destinait. Pendant qu'on lui liait les cheveux en queue de cheval, pour lui bander les yeux, un cri indubitablement féminin retentit, elle se mit à trembler. À force d'être humiliée, il lui semblait qu'elle aurait dû être habituée aux outrages, sinon au fouet, à force d'être fouettée; une affreuse satiété de la douleur et de la volupté devrait la résigner, comme le supplice d'une fille offerte comme elle, et même lorsqu'elle n'était pas livrée, de son corps toujours accessible. Un long silence suivit, troublé seulement par des chuchotements. Elle reconnut Ka-Sandra. Sa mince silhouette était entièrement vêtue de noir, du col officier de son chemisier, jusqu'à ses bottes en cuir. Elle déganta sa main droite et posa doucement son majeur et son index près de l'oreille gauche de Juliette. La Maîtresse des lieux, qui semblait particulièrement l'apprécier, l'entraîna au bout d'une laisse dans la cave, au beau milieu d'une réception où des couples contemplaient le spectacle d'une jeune femme nue se faisant prendre sauvagement par des esclaves mâles. Des hommes et des femmes en tenues de soirée, tous masqués, étaient éparpillés çà et là une coupe à la main; au centre de la salle, sur un grand lit en fer forgé noir, érigé en estrade, la femme qu'elle imaginait se faire torturer, était possédée par deux hommes aux corps d’athlètes qui la pénétraient frénétiquement dans la lueur des torches. Elle avait de petits seins fermes et des hanches à peine formées. Les participants se tournèrent vers elles et les saluèrent en s’inclinant en silence. Ses doigts glissèrent le long de sa mâchoire, puis de son cou, contournèrent son sein gauche, caressant sa taille, et s’arrêtèrent sur sa vulve, en appuyant légèrement sur la chair fragile; saisissant la dragonne de la laisse reliée aux anneaux d'or fixés sur ses lèvres intimes, elle ouvrit les deux battants du grand salon et la guida vers l'autel de son sacrifice. Au fond de la salle, éclairée par des projecteurs diffusant une lumière pâle, l'attendait la croix de saint André. Avançant vers sa crucifixion, tenue par ses anneaux. Ka-Sandra lui tendit la main pour l'aider à gravir les deux marches qui la menait à son calvaire; elle la plaqua le dos contre le bois, la laissant ainsi exposée de longs instants. Elle la présenta comme étant son esclave. Tout lui serait infligé sans pitié pour juger de l'efficacité du fouet. En elle, elle devinait une volonté ferme et glacée, que le désir ne ferait pas fléchir, elle devait obéir docilement; les yeux bandés, elle ne pouvait apercevoir les derniers invités qui descendaient dans la cave, grossissant l'assistance silencieuse; ainsi exposée et écartelée sur cette croix, seule dans le noir et le silence, elle se demandait pourquoi tant de douceur se mêlait à tant de terreur, ou pourquoi tant la terreur lui paraissait aussi douce. On la détacha enfin pour l'exhiber. À peine libérée, quelqu'un lui demanda de se tourner et on lui délia les mains en lui ôtant le bandeau des yeux. On la fit avancer, trébuchant un peu, vers un homme qui voulait la toucher. Il lui ordonna de se déshabiller, et de se présenter, ce qu'elle fit instantanément: debout les bras coudés derrière la tête en écartant les cuisses, comme on le lui avait signifié, afin de livrer avec le plus d'indécence possible le spectacle de son intimité. Se présenter de telle façon oblige l'esclave à s'abandonner, quels que soient ses réticences, à mieux se donner. Par cette mise à nu, le corps livré, déshabillé, disséqué, est comme bafoué, humilié, sans concession; la soumise ainsi exhibée apprend à se surpasser dans l'épreuve, poussée parfois au paroxysme de l'épuisement et de la souffrance physique; c'est ainsi qu'elle peut s'épanouir et accepter les châtiments les plus cruels de sa Maîtresse. Ka-Sandra apparut avec un esclave à demi-nu harnaché de cuir au bout d’une laisse. L’homme à l’allure athlétique était doté d’une musculature impressionnante et d’un sexe épais dont on osait à peine imaginer la taille en érection. Elle fit allonger l'homme sur le dos, puis la tirant par les cheveux, força alors Juliette à s’agenouiller entre ses jambes, la croupe en l’air et le visage écrasé contre son pénis. La soumise entendit alors des ricanements dans l’assemblée. Ce n'était pas la caresse de ses lèvres le long de lui qu'il cherchait, mais le fond de sa gorge. Il la fouilla longtemps, et elle sentait gonfler et durcir en elle le bâillon de chair qui l'étouffait, et dont le choc lent et répété lui tirait des larmes. Debout sur l'estrade, Ka-Sandra faisait voler sa cravache sur ses reins. Elle lui ordonna de lui lécher les testicules et le pourtour de son anus. Juliette s'exécuta, faisant glisser sa langue de la hampe jusqu'à l'entrée de sa cavité anale. L'esclave semblait apprécier et s'enfonçait dans sa bouche pendant qu'elle le couvrait de salive. Elle se plaça derrière elle et plongea ses doigts dans son vagin déjà humide de désir. Elle explora longuement sa vulve, remonta sur son anus, le caressa du bout des doigts, puis se redressa: “Enfile-toi un doigt dans le cul!”; sa cravache siffla dans les airs et s’abattit sur sa croupe: “Allez chienne, doigte-toi le cul!”. Ka-Sandra était sûre d'elle et faisait preuve d'une tranquille détermination. Les lèvres forcées par le glaive charnel, elle dut se cambrer pour atteindre la raie de ses fesses. Elle introduisit tant bien que mal un doigt dans la moiteur de sa voie la plus étroite pendant que Ka-Sandra continuait de la fouetter: “Tu aimes ça, chienne, te doigter l'anus devant des inconnus". Elle répondit d'un “oui” chevrotant en écho aux coups de cravache mordant maintenant l'intérieur de ses cuisses, espérant ainsi mettre fin à mon supplice. Mais sa Maîtresse avait décidé de la mener. Elle laissa tomber sa cravache et s’agenouilla derrière elle: “Enfile tes autres doigts, chienne !”. Elle s’exécutait docilement alors qu’elle forçait son anus en écartant ses fesses de ses doigts pour faciliter son introduction. Les invités semblaient goûter à la scène, se regroupant pour regarder. La situation était très humiliante. Juliette était partagée entre le sentiment de honte et l’étrange plaisir d’être utilisée comme un vulgaire objet sexuel, humilié et gémissant, une chose sans valeur. Mais ce ne furent que les préliminaires. Ka-Sandra la releva en tirant sur son collier comme on le ferait pour rappeler un chien à l’ordre: “Ça ira comme ça, salope. Maintenant assieds-toi sur sa queue!”; encouragée par ses coups de cravache, Juliette enjambait maladroitement l'esclave et s'accroupit dos à lui, tout en se demandant comment accueillir un sexe aussi monstrueux. Impatiente, Ka-Sandra maintint le sexe à la verticale et la força à descendre dessus en tirant sur son collier. Sa croupe s’écrasa sur la pointe saillante. Tous les invités se regroupèrent autour de la scène et elle put voir distinctement leurs regards lubriques et cruels briller derrière leurs masques dans la lueur des torches. Alors qu'elle s'efforçait de garder l’équilibre, l'esclave la força à s’empaler sur son sexe. Juliette tentait de résister, mais en vain; son membre surdimensionné défonça ses reins, distendant lentement son anus. Une bouffée de chaleur l'envahit, tout son corps était perlé de sueur. Ka-Sandra exultant, ordonna l'esclave mâle à la pénétrer tout en caressant ses testicules: “Allez, chien, défonce-lui son cul de salope!”; l’homme obéit sans sourciller et l’attira contre son sexe brutalement pour lui faire mal. Ses deux sphincters anaux se dilatèrent sous la pression et il la pénétra d'un seul coup. Elle manqua de s'évanouir. L’assemblée poussa un “Oh” d’étonnement mêlé d’admiration. Ka-Sandra demeura un instant interdite à la vue de ce membre à moitié emprisonné. Partagé comme elle entre douleur et plaisir, l'esclave mâle relâcha son étreinte, en la maintenant dans cette position grotesque, accroupie, empalée au sommet de son sexe. Ka-Sandra, agenouillée face à elle, lui meurtrissait les seins en lui pinçant les pointes tout en l’observant avec un regard pervers qui l'effraya. Elle quitta ses yeux, plongea sa tête entre ses cuisses, posa délicatement sa bouche sur sa vulve rougie par ses coups de cravache puis aspira son clitoris entre ses lèvres. La bouche de Ka-Sandra estompa peu à peu la douleur de la colonne de chair qui saccageait ses reins. Elle luttait pour ne pas jouir. Les invités regardaient dans un silence quasi religieux; le spectacle qu'elle offrait, haletante, empalée sur ce sexe monstrueux agissait sur l’assemblée comme un puissant aphrodisiaque. Ka-Sandra se dénuda alors et commença à se caresser en la fixant, les yeux brillants de désir. Non loin de Juliette, une femme s’était accroupie aux pieds de son compagnon et le gratifiait d’une fellation des plus passionnées. Juste à côté, deux hommes encerclaient une ravissante brune aux cheveux courts qui s'abandonnait totalement, basculée à la renverse, à leurs doigts qui la fouillaient. Une boule de chaleur explosa dans son ventre et irradia tout son corps; parcourue de spasmes, elle jouit en silence tout en éjaculant au visage de sa Maîtresse, ses jambes vacillèrent mais l'esclave la tenait toujours fermement embrochée au sommet de son sexe. Il ne s'était pas encore libéré mais son anus qui se contractait nerveusement le mettait au supplice. L’assemblée demeurait silencieuse. On entendait juste les sons de gorge profonds de la femme accroupie, étouffée par le sexe de son son compagnon qui lui tenait la tête des deux mains et déversait son sperme en elle. Les deux hommes qui étaient masqués, s'immobilisèrent pour la regarder, délaissant pour un instant la jeune femme brune, maintenant nue à leur merci, pour mieux l'envahir. Plus loin un homme qui se masturbait en l'observant n’arriva plus à se retenir et éjacula. Ka-Sandra s’essuya le visage du revers de la main et lècha sa cyprine sur ses doigts en lui adressant un sourire narquois. Elle se pencha à nouveau entre ses cuisses mais cette fois pour s’occuper de l'esclave. Elle commença par effleurer ses testicules du bout des doigts puis elle remonta sur sa hampe qu'elle caressa comme un objet sacré; elle semblait s'amuser de façon perverse avec ce sexe surdéveloppé pour faire souffrir l'homme. Elle glissa une main sous ses fesses musclées et stimula son anus en le masturbant de plus en plus fort. C'était excitant d'assister à son érection: il grossit et se déploya. L’effet ne se fit pas attendre. Dans un ultime effort pour retarder l’inévitable, il se cambra sous elle et rompit le silence de la salle par un long râle bestial. Elle sentit son sexe tressaillir, la remplissant d’un flot de sperme saccadé. La sensation fut divine et l’instant si intense qu'elle fut à nouveau sur le point de jouir. Visiblement satisfaite, Ka-Sandra se redressa, posa ses mains sur ses épaules et se pencha sur Juliette pour l’embrasser. Elle goûta à ses lèvres, les aspira, les mordilla puis pénétra sa bouche de sa langue mouillée. Fermant les yeux, vaincue, la soumise se laissa emporter par un nouvel orgasme. Alors qu’elle s'abandonnait à son étreinte, elle appuya de tout son poids sur ses épaules et força Juliette à s’empaler de nouveau sur le sexe redevenu raide. Le pieu de chair dégoulinant la pénétra facilement et l’envahit alors sans plus aucune résistance. Distendue, la sensation d’être remplie totalement dépassa tout ce qu'elle avait enduré auparavant. Son orgasme redoubla d’intensité et semblait ne plus vouloir s’arrêter. Ka-Sandra releva son menton du bout des doigts et la regarda jouir avec le sourire de la victoire. L'esclave mâle qui était resté passif jusque-là recommença à s'ébranler lentement dans son foutre tout en s’agrippant fermement par sa taille, n'ayant rien perdu de son ardeur, bien au contraire. Ka-Sandra l’abandonna à son sort. Elle s’accroupit juste derrière Juliette et écrasa sa croupe sur le visage de l'homme. Ce dernier sembla apprécier cette douce humiliation et continua de lui fouiller les reins en redoublant d'acharnement. Dans un bruissement gras et humide, rompant le silence, son corps se balançait au rythme de ce va-et-vient féroce. Elle faisait maintenant face à l’assemblée qui se pressait autour d'elle pour la regarder jouir. Ne prenant même plus la peine de se cacher, plusieurs hommes se masturbaient sans retenue, juste devant elle. Du haut de l'estrade, une jambe sur l’accoudoir de son fauteuil, la Maîtresse des lieux se caressait tout en se délectant du spectacle de la sodomie. Des mains glacées se posèrent alors sur sa peau et la firent tressaillir. Juliette s'offrit avec docilité aux caresses de plus en plus insidieuses. Un silence suivit, troublé par quelques chuchotements dont elle essayait vainement de percevoir le sens. Subitement, elle se sentit soulevée de terre, ses poings et ses chevilles furent liés par force de nouveau à la croix. Dans cette position qui favorisait l'examen de son corps, un doigt força brusquement ses reins et la pénétra avec douleur. Celui qui la violait ainsi, sans préparation, la menaçait durement. Soudain, on la cingla. Elle reconnut immédiatement les coups appliqués par sa Maîtresse. Elle a une méthode particulière, à la fois cruelle et raffinée se traduisant par une caresse de la cravache avant le claquement sec, imprévisible et toujours judicieusement dosé. Après le dernier coup, elle caressa furtivement son ventre enflammé et cette simple marque de tendresse lui donna le désir d'endurer encore davantage; quand le cuir s'attaqua à ses seins, elle comprit qu'elle serait fouettée intégralement sauf le visage. Comme une confirmation, les lanières atteignirent le bas de son ventre, en cinglant ses lèvres intimes. Elle laissa échapper un cri de douleur, comme un écho au hurlement entendu dans le couloir. On lui ordonna de se mettre à quatre pattes, dans la position la plus humiliante pour l'esclave. Elle reconnut à la douceur des mains de femmes qui commencèrent à palper son corps. Elles ouvrirent son sexe. Peu après, son ventre fut investi par un objet rond et froid que Ka-Sandra mania longtemps avec lubricité. On décida alors de la reconduire chancelante au premier étage pour la placer dans un trou spécialement aménagé dans le mur. Alors que l'on usait de tous ses orifices, un homme exhiba son membre qu'elle tentait de frôler avec ses lèvres puis avec sa langue, mais avec cruauté, il se dérobait à chaque fois qu'elle allait atteindre sa verge. Prise d'un besoin naturel, on lui refusa de se rendre aux toilettes. Confuse, elle vit qu'on apportait une cuvette et elle reçut l'ordre de se soulager devant les invités rassemblés. L'humiliation était là. Se montrer dans cette position si dégradante, alors qu'exhibée ou fouettée, prise ou sodomisée, sa vanité pouvait se satisfaire de susciter le désir. L'impatience qu'elle lut dans le regard attentif de Ka-Sandra parut agir sur sa vessie qui se libéra instinctivement. Lorsqu'elle eut fini de se soulager, sa Maîtresse lui ordonna de renifler son urine, puis de la boire. Au bord des larmes mais n'osant pas se rebeller, elle se mit à laper et à avaler le liquide clair et encore tiède. Après avoir subi les moqueries des invités, elle fut amenée devant Ka-Sandra dont elle dut lécher les bottes vernies du bout de sa langue. On lui ordonna ensuite de se coucher sur le sol et de relever ses jambes afin que chacun puisse la prendre facilement. Elle fut possédée par l'ensemble des invités qui se succédaient à la chaîne sur son corps. Puis on la releva pour la placer sur un tabouret hérissé d'un volumineux olisbos. Dans cette nouvelle position, son ventre devenait douloureux, mais ce fut pire lorsqu'on lui ordonna de s'asseoir sur le cylindre massif et de le faire pénétrer entre ses reins profondément. Elle sentait son anus s'écarteler au fur et à mesure qu'elle s'empalait sur le cylindre de latex. Alors, on la força à se pénétrer l'un et l'autre de ses orifices. La souffrance se mua en plaisir. " - Je suis fière de toi, tu te comportes comme je l'espérais, tu dois continuer". Ka-Sandra venait de lui signifier que son dressage n'était pas achevé. Sa peau subit aussitôt le contact de mains posées au creux de ses reins puis entre ses fesses. Une cravache noir la cingla brusquement avec une telle violence qu'elle poussa un véritable rugissement. La rigidité du cuir enflammait ses reins et mon dos. Les coups lacéraient sa chair, lui procurant de lancinantes sensations de brûlure. Lorsque la tige l'atteignit exactement entre les cuisses, sur le renflement du pubis, elle comprit soudain qu'elle allait jouir; une fois la fulgurante jouissance dissipée, elle osa implorer leur pitié. Juliette naïvement venait bien malgré elle de rompre le charme de la séance. Ils décidèrent de lui faire payer chèrement cette inqualifiable faiblesse. Elle fut à nouveau placée dans le mur comportant un trou en son milieu, de façon à ce que sa tête dépasse d'un coté et ses reins de l'autre. Elle allait être prise par l'arrière et contrainte par la bouche. Ce fut Ka-Sandra qui l'installa. Elle était en position, jambes docilement écartées, la bouche déjà ouverte, la croupe exagérément offerte, prête à être fouillée et investie. Ce fut l'abattage. Impatient de se satisfaire, un homme prit la place de l'autre, sa bouche servant d'écrin. Au même moment, un autre utilisait son vagin sans ménagement, avant de forcer brusquement ses reins, qui comme la totalité de son corps étaient à sa merci. Il s'enfonça sans préliminaire pour lui faire mal. Le silence soudain l'exaspéra, car elle ne pouvait rien voir de ce qui se passait autour d'elle. Espérant le fouet comme une délivrance, un troisième sexe plus dur encore pénétra sa croupe. Le ventre de Juliette se liquéfia alors. Elle était prise, on ravageait ses reins meurtris. Elle compris enfin que le membre qui la pénétrait était un olisbos à ceinture dont Ka-Sandra s'était ceint à la taille. Elle exigea d'elle qu'elle se cambre davantage, pour qu'elle puisse "la remplir jusqu'au fond." Juliette céda à l'impétuosité d'un orgasme qu'elle aurait voulu pouvoir contrôler. Ka-Sandra se détacha de Juliette qui glissa au sol. Elle récupéra ses appuis et réussit à se tenir debout, mais on la rattacha fermement sur la croix de saint André face à la salle plongée dans la pénombre. Juliette demeura ainsi le reste de la soirée, souillée de sperme et de sueur, les chevilles et les poignets entravés. Hommage à Ka-Sandra, la Maîtresse de Juliette. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 26/07/21
Je me met si souvent nu devant vous Maîtresse que j'en oubli le plus important, me mettre à nu. Un petit «à» de plus pour tomber les barrières de mon insensibilité. Vous m’humiliez si souvent, je suis une éponge à humiliation sans en perdre une goutte, Il est temps de m'essorer. Vous me crachez au visage, J’essuie la honte avec cette éponge pour la saturer un peu plus. vous m'urinez dessus, je bois et je stocke encore dans cette petite tête spongieuse. Et pourtant je pue, je suis défais, rabaissé plus bas que terre. Vous me faite rampez, vous m'écrasez. Je souffre et j'absorbe encore et encore. Vous me transpercez et c’est mon orgueil qui est piqué J'ai cette fierté mal placée qui me bloque même si vous me rabaisser chaque fois un peu plus. Vous m’emmener en ville, au bout de ma laisse je pense d’abord aux regards des autres alors que je devrais porter mon attention à vous servir Vous me lavez à l’eau froide comme un vulgaire objet. Ma fierté est bien ébranlée et je me renferme au lieu de vous témoigner ma reconnaissance. Je mange dans cette gamelle de chien à vos pieds Maîtresse , avilissement extrême. Je n'ose croiser votre regard de peur d’y déceler de la moquerie. Les mains écrasées par vos escarpins, j'attends lamentablement votre ordre pour plonger ma gueule dans cette gamelle. Comme un chien, je lèche pour ne rien laisser du repas que vous m'autoriser de peur d’être réprimander. Vous me ferez même boire dans cette gamelle ma propre bave qui a coulée de mon bâillon-boule. Elle sera mon urinoir pour toute une nuit. Vous ruinez mes orgasme mettant à mal ma virilité. Je me sens ridicule. Toutes ces gifles successives m'abaissent plus bas que terre. Elle me touche toujours plus intensément. Et aujourd’hui je le confesse pour que vous en récoltiez toute la satisfaction que vous recherchez à travers ces petits supplices. Je ne suis plus rien, même mes pensées sont vides. Je me laisse envahir sans résistance par votre divine volonté. Vous me manipulez à votre guise. Je suis votre marionnette mais comme elle, je manque d’âme et mon insensibilité vous prive de tous ces plaisirs que je vous dois en retour du temps et de l’énergie que vous me consacrez. Je ne me vanterais jamais de tous ces camouflets devant mes amis. Ma terrible fierté serait bien mise à mal, preuve que ces humiliations me marquent plus que tout. J’use de familiarités et d’humour déplacés, Je me souviendrais longtemps de ces 100 coups de badine que vous m’avez infligés qui ont marqués mon subconscient plus que mes fesses. Je faute, je cherche des excuses. Je comprends votre agacement. Je devrais être dans l’instant pour vous répondre, vous satisfaire Maîtresse. A me précipiter d’abord pour mon ego avant vous me couvre de honte. C’est une réaction qui devrait être instinctive Maîtresse sans qu’il soit nécessaire que vous me le rappeliez. A l’écrire, je m’aperçois que je reçois ces humiliations pour mon plaisir alors que c’est le votre qu’elles devraient exalter. Je confesse mes erreurs à vos pieds Maîtresse Il y a aussi toutes ces maladresses que ce soit des initiatives mal venues, outrepasser la place que vous m’accordez généreusement, utiliser des mots et des formes grammaticales interdits comme l’impératif, les négations, manquez d’humilité et bien d’autres qui échappent à ma mémoire mais que vous réprimandez dans l’instant ; la liste est si longue. Votre satisfaction passe forcément par cette introspection. M’aidera-t-elle à être plus ouvert ? Je le souhaite si ardemment. J’avoue humblement mes fautes pour que ma soumission évolue comme vous le désirez Maîtresse.
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Par : le 25/07/21
Un bruit de clés dans la serrure. Avec elles, mes oreilles tintent de joie ! Tes pas résonnent dans la maison tandis que Tu refermes la porte et investis l’espace. Attachée dans le coin qui m’est réservé, la position à laquelle Tu m’as contrainte toute la journée me rend folle depuis plusieurs heures déjà -et je sais que maintenant que Tu es rentré, ce n’est que le début de cette folle torture d’excitation. Tu m’as placée à plat ventre, les cuisses pliées, écartées à angles droits, et les bras placés de part et d’autre de ma tête, eux aussi pliés et écartés à angle droit. Les pièces de cuir qui m’attachent et me maintiennent en position, ceignant mes poignets, mes chevilles et mon cou, me procurent une sensation que j’apprécie hautement. Une barre placée perpendiculairement sous mon bas-ventre, à la jonction du pubis, maintient mon cul bien surélevé tout en évitant que je me frotte à autre chose qu’au vide. Un plug dans le vagin, les seins enchâssés dans des serres-tétons, des spasmes tentent de secouer mon corps immobilisé par la contrainte. Je sens toute Ta douceur et Ta puissance m’imprégner tandis que Tu te penches sur moi, Tes yeux plongeant dans les miens qui sont avides de Toi. Tu délies mon petit bâillon, car Tu m’as bien dressée et sais que j’arriverais à me contrôler, que seuls de petits gémissements s’échapperont de ma bouche. Tout doucement, Tu délies aussi mes chaînes pour pouvoir me promener. Tu sens que je suis à fleur de peau et Tes doigts se promènent et jouent délicatement à la surface de mon corps, accentuant mes frissons et mes spasmes. Tandis que Tu vas chercher ma laisse pour m’attacher, je suis de plus en plus excitée à l’idée de sortir me promener et ne peux me retenir de tenter de frotter mon cul, mes seins, sur le sol et les meubles, mais Tu t’en aperçois et accours d’un air furieux pour me réprimander à l’aide de claques à divers endroits de mon corps assoiffé de contacts, tout en maugréant et en m’insultant de petite chienne désobéissante. Tu m’attaches alors la laisse d’un geste brusque et me tire avec brutalité vers la porte de sortie. Avant de sortir tu m’aides sans délicatesse à passer un jean, des tennis et un sweat pour la promenade. Les plug et serre-tétons sont toujours en place sous mes vêtements. Tu me sors. L’air frais me fait du bien. J’oublie mes spasmes et me calme un peu en me concentrant sur cette sensation de frais. On marche ainsi, Toi sur deux jambes et moi à quatre pattes en se fichant des regards ahuris, jusqu’au supermarché.
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Par : le 16/07/21
La nuit livre le décor rouge de la chambre D'étranges ombres aux cravaches et plumeaux Elle imprègne d'ondes tout mon corps qui se cambre Martinets et fous désirs d'un badine en roseau Mon regard s'est voilé d'une étoffe d'envies Mains et pieds entravés comme l'est un forçat Je connais la sentence et me vois asservie Sous le joug d'un fouet qui fustige mes bas Soudain un bâillon mors est posé sur ma bouche Puis des picotements légers se font sur ma peau Une roulette de Wartenberg peu farouche Trace des arabesques se formant tel un sceau Son haleine, doucement, épouse mon derme Mes seins se sont tendus, mes tétons aux auguets Guettent la morsure d'une pince qui se ferme Et durcit un peu plus, mes mamelons coquets Dans la noirceur du bandeau qui m'ôte la vue Mes sens à l'affût, mes envies misent à nue J'alloue mes lèvres et mon bouton en revue A l'obélisque vibrant qui s'offre au menu Je bois à l'outrance le plaisir qui décuple Je me vêts de cette volupté qui me prend Et me fouille tels feraient des doigts aux centuples Je frémis, je feule, à cet instant en suspens Le 18 06 2018
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Par : le 15/07/21
Boujour aujourd'hui je voulais vous partager les ressentie que mon soumis ma écrit suite à une sceances il n'était pas sensée être partagée mais en lisant ses ressentis la fierté qui m'a envahit ma donné envie de le partager certain passage ne seront peut être pas forcément compréhensible pour tous j'aurai put le modifier ou lui demander de le réécrire pour l'adapter à une publication mais je n'ai pas voulu car je ne voulais pas le denaturer perdre l'authenticité et l'âme ainsi que la beauté du texte VOICI : "J'ai enfin un peu de temps pour t'écrire mes ressentis de notre dernière séance. J'étais donc un peu perdu en arrivant sur le parking, en jogging sans caleçon, tenu de sport.... Je pensais vraiment que tu allais me faire faire du sport !! Puis tu es arrivée, et tu m'as dit de monter dans ta voiture... je ne comprenais plus rien. Je pensais que l'on allait partir à pied du parking.. Et par dessus, tu me fais mettre des lunettes avec lesquelles je ne voyais vraiment rien même pas mes pieds !! Et je les ai gardé tout le temps !!! Nous arrivons à destination... et tu m'annonces que tu vas me laisser seul les yeux bandés en pleine nature ! J'entends ta voiture partir, mais j'étais décidé à respecter tes consignes donc je n'ai pas touché aux lunettes même si j'en avais très envie... mais j'étais certain aussi que tu allais me surveiller de loin. Déjà que j'allais recevoir des coups de ceinture alors si en plus je lève les lunettes je vais être encore plus puni. Je suis donc resté sage. Je n'entends plus ta voiture, je pense que tu es partie loin. Et tout d'un coup J'entends des pas derrière... ça ne peut pas être toi tu es trop loin en voiture... et là me reviens en tête ton histoire qu'il y aurait peut-être une personne avec nous... quand tu l'as écrit je n'y croyais pas du tout, je savais que tu bleuffais. Mais là à 6 ou 7 m de moi il y a quelqu'un qui s'approche en marchand dans l'herbe mais sans parler... là je n'en mène pas large ! Je me demande bien ce qui va m'arriver,, qui est cette personne qui marche vers moi... je flippe vraiment.... je retiens mon souffle, je ne peux rien voir avec ces lunettes et je ne veux pas trahir ta confiance, et toute l'organisation de cette séance, donc je prends sur moi et je garde mes mains contre mon corp je m'interdit de toucher aux lunettes. La personne qui marche derrière moi s'arrête, ne parle toujours pas.... et fait un bruit avec sa bouche... ouf c'est un cheval en fait !! Le soulagement !! Puis tu es très vite arrivée, me voilà rassuré J'ai une confiance aveugle en toi, donc j'étais impatient de la suite. Je pensais que tu allais m'enlever les lunettes pour me faire découvrir où nous étions... et non! Tu m'as guidée à travers des broussailles, je ne savais pas du tout où tu m'enmenais. Mais j'étais bien guidé par ma maîtresse qui m'avait préparé une belle séance ! Et chose que j'ai adoré nous nous sommes tenus par la main! On ne peut jamais faire ça normalement dehors ! Nous voici arrivés au lieu mystérieux. J'entends des gens parler pas très loin et des chiens aboyer... bizarre Je pensais que tu allais m'attacher à un arbre ou quelques choses comme ça... mais tu as fouillé dans mon sac à dos, et je me suis retrouvé avec le crochet anal et le bâillon harnais, la tête en arrière, complètement à tes ordres. Tu commences par ton jeu favori : martyriser mes tétons ! Tu fouilles de nouveau dans mon sac et je comprends que c'est pour attraper la ceinture ! Et l'heure de ma punition est arrivée. Je vais prendre 8 coups de ceinture. Les premiers coups je les ai à peine sentis, les derniers un peu plus. Donc je n'ai pas vraiment été puni. Il faut que tu tapes bien plus fort même si mes fesses deviennent violette ! Ensuite tu m'as posé des pinces sur mes tétons. Et j'ai entendu un briquet et l'odeur de la bougie qui s'allume. J'aurais dû y penser ... à l'extérieur c'est facile de jouer avec la cire qui en met partout sinon dans une maison ! La tête bien en arrière coincé par le crochet anal, tu as commencé à déposer la cire sur mes seins. Avec la position je comprenais que ce n'était pas simple pour toi! La brûlures de la cire était intense! Et je pensais déjà aussi à comment tu allais faire pour la retirer ! J'ai adoré ton application, comment tu communiquais avec moi, vraiment j'étais complètement transporté uniquement à ton écoute. Et oui tu as dû enlever la cire avec différentes ustensiles, toujours plus sadique et en me laissant les pinces. J'ai adoré la manière pendant cette séance où tu as géré le temps, tu étais calme et tu allais jusqu'au bout des choses... j'ai dû supporter les pinces et la position pendant longtemps, une éternité, mais je devais résister Ensuite la cire à coulée sur mon sexe... aïe aïe aïe... j'ai mordu le bâillon là ! J'imaginais mon sexe recouvert de cire. Et c'était sympa que tu prennes les photos comme j'avais eu les yeux bandés ! Mais finalement sur le sexe ça fait tellement mal quand on met la cire que de l'enlever c'est supportable ! Après mon sexe débarrassé de la cire tu m'as bien branlé et sucer... et moi je dois me maîtriser car c'est interdit de jouir. Je pensais que tu allais me libérer... et tu m'annonces que maintenant tu vas recouvrir mes fesses de cire. Je ne m'y attendait pas... mes seins commencent à me faire mal et le crochet me tire bien... mais je vais devoir résister pour toi. Je mets mes fesses en arrière comme je peux pour recevoir la cire chaude... je suis vraiment entre la douleur et le plaisir. Et le fait que tu continues que tu prennes ton temps c'était vraiment bien, tu m'as emporté loin très loin, tu as torturé toutes les parties de mon corp avec patience. J'étais sur mon nuage. Mais toutes les bonnes choses ont une fin...tu me retires les lunettes, et je découvre où nous sommes, la sensation était sympa. Et surtout je pouvais enfin t'embrasser sans ce bâillon Tu m'annonces que l'on va aller chez toi, je me dis ouf c'est terminé... mais tu me dis que tu vas me remettre le crochet... oh non j'ai déjà les fesses en feu 🔥! Et en plus de doit courir avec et escalader ta fenêtre ! Et arrivé chez toi, tu m'attaches toujours avec l'anus rempli ! Et là c'était vraiment dur...tu as été redoutable de me refaire vivre tes sévices après déjà avoir bien joué avec mes seins et mes fesses! j'avais mal aux fesses et les tetons en feu.. et tu as continué à jouer avec. A chaque fois que tu attrapais mes tétons c'était intense, une énorme douleur et en même temps une sensation unique Et le final est arrivé, tu m'as attaché le crochet au cou et surtout les testicules avec les instruments de cuisine qui me coince les testicules sur les cuisses. Zt tu m'as fait marcher ainsi, je ne pouvais presque pas avancer. Heureusement tu n'as pas été trop sévère, en par exemple me promenant un peu plus en laisse... mais tu avais trop envie que je te lèche ! Et oui ma récompense est arrivée, pouvoir lécher ton sexe goulûment, et te faire jouir, te rendre le plaisir que tu venais de me donner avec plus de 2 heures de sévices. Pour terminer nous avons baisé simplement, et ensuite j'ai adoré ton idée de jouir avec mon sexe dans ta bouche... c'était une sensation extraordinaire... je sentais ton corp vibrer car tu avais du plaisir et tu arrivais à garder mon sexe dans ta bouche.. je me suis dit vraiment cette fille m'étonnera toujours, je t'adore !! Merci pour toutes sensations folles et intenses que nous arrivons à nous apporter mutuellement J'ai une confiance aveugle en toi, donc j'étais impatient de la suite. Je pensais que tu allais m'enlever les lunettes pour me faire découvrir où nous étions... et non! Tu m'as guidée à travers des broussailles, je ne savais pas du tout où tu m'enmenais. Mais j'étais bien guidé par ma maîtresse qui m'avait préparé une belle séance ! Et chose que j'ai adoré nous nous sommes tenus par la main! On ne peut jamais faire ça normalement dehors ! Nous voici arrivés au lieu mystérieux. J'entends des gens parler pas très loin et des chiens aboyer... bizarre Je pensais que tu allais m'attacher à un arbre ou quelques choses comme ça... mais tu as fouillé dans mon sac à dos, et je me suis retrouvé avec le crochet anal et le bâillon harnais, la tête en arrière, complètement à tes ordres. Tu commences par ton jeu favori : martyriser mes tétons ! Tu fouilles de nouveau dans mon sac et je comprends que c'est pour attraper la ceinture ! Et l'heure de ma punition est arrivée. Je vais prendre 8 coups de ceinture. Les premiers coups je les ai à peine sentis, les derniers un peu plus. Donc je n'ai pas vraiment été puni. Il faut que tu tapes bien plus fort même si mes fesses deviennent violette ! Ensuite tu m'as posé des pinces sur mes tétons. Et j'ai entendu un briquet et l'odeur de la bougie qui s'allume. J'aurais dû y penser ... à l'extérieur c'est facile de jouer avec la cire qui en met partout sinon dans une maison !" Merci beaucoup pour ce beau texte Mimi tu est un merveilleux soumis ta maîtresse qui est très fière et honoré d'avoir un tel soumis
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Par : le 12/07/21
C’était un matin d’hiver. Cette aube naissante que j’admirais à travers la fenêtre. Les nappes de brouillard sur les champs dessinaient une toile vivante éphémère où les rayons du soleil essayer de se frayer un chemin pour colorer cette nature sauvage. Chaque saison a sa beauté, mais l’hiver semble figer le temps. Je m’apprête à partir un voyage que j’ai toujours rêvé de faire. Ces mois difficiles passés, je voulais respirer. Après ce moment d’égarement, je retourne à la préparation de ma valise. C’est toujours un casse-tête. Je souris toujours tellement je prends d’affaires. On ne sait jamais ce que les événements nous réservent, les rencontres inattendues, l’envie de rester dans une ville.. Je descendais les escaliers avec cette valise bien trop lourde. Je me disais bien qu’avec mon regard, des hommes m’aideraient à porter mes bagages. Il est bon d’être une femme. Je me rendis jusqu’à Paris, Gare de l’Est pour partir dans ce voyage fou, indécent que je m’offre. Habillée chaudement avec un manteau long noir, avec ce col en fausse fourrure, des gants en cuir et une chabka blanche sur la tête et chaussée de mes petites salomés fatiches , je me rend sur le quai de la gare d’où partais mon train. Ce train mythique, un voyage dans le temps. J’avais tant économisé. Quelle émotion de le découvrir. La teinte bleu, les lettres couleur or.. l’Orient Express - Bienvenue pour ce voyage pour Venise, Madame, entendais-je de cet homme vêtu d'un uniforme bleu et or. Je n’avais jamais goûté à tel luxe. J’avais ce regard d’enfant émerveillé. Poser mon pied sur la marche de ce train mythique m’avait fait un effet. Je prenais mon temps pour en savourer chaque seconde. On me conduit jusqu’à ma cabine. La cabine n° 11. Je n’en croyais pas mes yeux en découvrant l’intérieur de ce train. C’était plus beau que je n’avais pu l’imaginer. - Madame, voici votre cabine. Le dîner sera servi à 20h. Je suis à votre disposition. Je me prénomme Danielo. Je serai votre assistant pour votre voyage. Vous pouvez aller vous rafraichir dans notre voiture piano bar. Une fois que vous partirez dîner, je m’occuperai de préparer votre cabine pour la nuit. Je vous souhaite une belle installation. Mes mains ne purent s’empêcher de toucher les matières de cette chambre. C’était comme traverser le temps. Je commençais à m’installer et savourer chaque minute passée à bord. Je commençais tout d’abord par sortir la robe que j’allais porter ce soir. J’étalais mes affaires sur la salle de bain si petite, mais bien pensée. Je prenais une grande inspiration, je ne réalisais pas. Le train s’apprête à partir dans quelques minutes, il est 14h. J’ai prévu de quoi m’occuper durant le trajet. Ecriture et Lecture. Je sortis de ma cabine pour partir à la découverte de cette majesté. Je ne pouvais l’appeler autrement. A peine je refermais la porte de ma cabine, je croisai un homme seul allant à sa cabine. Il venait d’arriver. Mon regard se porta en premier lieu sur son chapeau qui lui donnait cette allure folle. Je baissais assez rapidement mes yeux, ne voulant pas être surprise à l’admirer. Puis en marchant jusqu’à sa rencontre, nous nous croisons. - Je vous en prie, Mademoiselle, passez. - Je vous remercie, Monsieur. Son regard pénétra le mien, en quelques secondes j’étais sous le charme. Ma timidité me poussa à rejoindre, avec une rapidité certaine ce fameux piano-bar. Mon cœur battait fort, je souriais. Son parfum était un véritable envoûtement. Etait- il seul ? - pourquoi est- ce que je suis partie si rapidement ? Pourquoi !!? me reprochai-je Arrivée avec excitation dans le piano bar je découvrais une pièce d’une telle beauté. Il y avait déjà quelques personnes installées dans ces magnifiques canapés bleu. Je me retrouvais à cette belle époque que j’affectionnais. Un serveur vint à ma rencontre, et me proposa de m’installer. J’avais envie de me pincer. Ce dernier me tendit une coupe de Champagne rosé accompagné de framboises et de maras des bois.. mes fraises préférées. Une atmosphère du passé régnait. Je me sentais tellement bien dans ce lieu. Mon esprit s’égara, mais je ne puis m’empêcher de repenser à cet homme que je venais de croiser. Je mis quelques framboises dans ma coupe de champagne. Mon regard se noya à les observer. J’adore l’effet que cela fait, de voir cette effervescence. Je savourais mon verre tout doucement.. Je scrutais la porte espérant secrètement l’apercevoir.. cet inconnu. Je ne devrais pas m’enthousiasmer ainsi. Un homme comme lui est forcément accompagné. Je ne devrais pas me réjouir autant. j’étais déçue,hélas, je ne le revis pas. Un pincement au cœur me rendit, durant quelques secondes, mélancolique. Je suis restée une heure, reprenant un autre verre de champagne. Mais pas d’inconnu en vu. Un brin nostalgique, je me levais pour rejoindre ma cabine et savourer son confort. Je déambule dans ce couloir fait de bois, matière si noble. Le train était parti il y a 30 min. Arrivée dans ma rame, Je pose ma main sur la clenche et rentre dans ma cabine. Quand soudain confuse, je me retrouve nez à nez avec lui. Je réalisais soudainement mon erreur. - Euh, désolée Monsieur, je me suis trompée de cabine. Quelle sotte je fais ! Veuillez me pardonner. Je commençais à repartir aussi vite que j’étais rentrée. - Cela arrive de se tromper, me dit-il avec un sourire taquin. - Je suis si maladroite, je suis confuse voyez-vous. Pardonnez -moi de vous avoir dérangé. - Oh mais vous ne m’avez aucunement dérangé. Au contraire. Je rougissais. Il avait un charme incroyable. Je ne pus m’empêcher d’admirer cet homme si classe, vêtu d’un costume bleu, sans parler du détail qu’il avait mis dans sa tenue. Puis il m’envoya un sourire si charmeur. Il était bien seul, pas accompagné. Avec mon regard malicieux, je lui renvoyais son sourire. J’étais envoûtée. Mon voyage prenait alors une autre dimension. - On peut dire que vous êtes une femme directe et aventureuse. Pénétrer ainsi dans ma cabine, c’est une première, me dit-il d’un ton taquin. - Oh… Vous êtes en train de vous jouer de moi. Cela est bien mérité. - Sasha, Mademoiselle, enchanté de faire votre connaissance. - Mademoiselle Lane.. Enchantée… ravie de faire votre connaissance. - Vous allez peut-être me trouver un peu cavalier, Mademoiselle. Mais êtes-vous prise ce soir ? - Eh bien, non. - Dans ce cas, vous l'êtes à présent. 20h. Je ne puis m’empêcher de sortir un oui plein d’enthousiasme. Il émanait de lui cette force, ce charisme du haut de sa stature. Il était grand. Je me sentais en sécurité sans comprendre pourquoi. - Je vous dis à ce soir, je vais prendre congé et vous laisser profiter de votre après midi. Je sortis honteuse de ma bêtise. Il a dû me prendre pour une cinglée. Je sortais en refermant la porte et j’émis un cri silencieux d’une adolescente qui a un rendez- vous. J’étais chipée, excitée. Ce soir, je me dis en plus de me faire belle pour moi, je me surprise à vouloir me faire belle pour lui. Je décidais à ce moment- là de me détendre dans ma cabine. J’avais tant envie de savourer chaque instant et cette envie d’être déjà ce soir. Je m’assis contre la fenêtre, et je voyais le paysage défilé. Je pris mon carnet, avec ce besoin de poser mes émotions par des mots. Mon esprit vagabondait. C’est alors que ne tenant plus, j’entrepris de commencer à me préparer pour la soirée exceptionnelle. J’aime beaucoup prendre le temps de me faire belle. Prendre le temps de me coiffer, de me maquiller, de mettre avec une certaine audace mes bas avec mes jarretelles, choisir une lingerie appropriée. Cela a toujours été pour moi un bijou caché. Mais ce soir, je le ferai pour lui.. peut-être qu’il ne le saura jamais. Je regardais le résultat dans le miroir. Je me trouvais assez jolie. J’étais en retard. Mais quelle femme ne fait pas attendre un homme?. La dernière touche.. Le parfum. Quel choix cornélien ! J’hésitais entre deux. Mais je savais au fond de moi lequel porter. Idéal pour un premier rendez -vous. Ne jamais trop en faire. Me voila prête. Juste avant de sortir, je m’emparais de mes gants en satin blanc. Mon cœur battait très fort. Je m’apprête à ouvrir la porte pour accéder à la rame suivante. Soudain, le train saccada un peu. Je perdis légèrement l’équilibre sur mes chaussures pailletée d’argent. Je sentis alors une main enlacée ma taille. Je sursautais. - Mademoiselle, il serait dommage de vous blesser. Je sentais la chaleur de ses mains à travers le tissu de ma robe. Quant à sa voix chaude et suave.. j’en perdais la tête. Que m’arrivai t-il ? C’est alors qu’il passa devant moi pour m’ouvrir la porte. - Mademoiselle, je vous en prie. Je ne pouvais cacher mon trouble. C'était animal, cette envie d'être à lui. - Prenons une coupe de champagne pour faire connaissance, qu’en pensez vous ? - C’est avec plaisir. Nous étions assis l’un en face de l’autre. Nous discutions de choses et d’autres. Tout était si simple, si naturel. Cette sensation de toujours se connaître. J’étais toujours en plein rêve totalement réel. La musique douce nous transportait. Nous n’arrêtions pas de rire, pendant tout le repas. Le temps défilé tout comme le train filait bien trop vite à mon goût. Il était temps de retourner à nos cabines respectives. Le cœur palpitant, j’avais juste envie de prolonger la nuit avec cet homme. Juste parler, se connaître. A mon grand regret, et très gentleman, il me raccompagna à ma cabine. Me baisa la main et me souhaita une très belle nuit. J’étais conquise devant ses manières, bien que j’eusse à ce moment une envie irrésistible de l’embrasser. Une fois le seuil de ma cabine franchi, je découvris que la banquette lit avait été mis en place. J’allumais cette lampe qui rendait une atmosphère chaleureuse à cette pièce. Malheureusement je n’arrivais pas à tenir en place. J’avais juste envie de sortir et d’aller frapper à sa porte. Il était si difficile de se retenir. C’est alors que j’entendis des bruits de pas à ma porte. Je vis un billet se glisser sous ma porte. Intriguée, je m’avançais pour le récupérer. « Pour que cette nuit continue, accepteriez vous une danse ? Vous savez où me trouver. S. Mon cœur battait encore plus. Je serai folle d’y aller, mais folle de ne pas y aller. Profiter de la vie, de ce moment présent. C’est alors que je pris mon courage à deux mains, serrant ce billet contre ma poitrine. Je passais rapidement me refaire une beauté, regarder si ma tenue est impeccable. Je me parfumais une dernière fois. J’étais toute tremblante en repassant le rouge à lèvres rouge, sur mes lèvres entre-ouvertes. Je pris une grande respiration. Ajusta mes cheveux. Je toque trois coups à sa porte. Il me donne un sourire tellement charmant. Son regard plonge dans le mien. La température monte tellement il me fait de l’effet. Il avait pris soin de mettre une musique de fond, qui nous transportait. C’est alors qu’il me tendit sa main. - Puis je ? C’est alors que je lui tendis la mienne. Le temps s’arrêtait. Il se pencha pour y déposer un doux baiser. Avec assurance il me tira à lui. Je frissonnais. Comment cacher mon émoi ? Ce fut le début de cette danse. Je sentais sa main en haut de mon dos. Sa joue se rapprochant de la mienne. Il était indéniable que le désir apportait une tension. Soudain sa main caressa mon dos. Je frissonnais à sa caresse. C’est là que je sentis sa bouche s’approcher de mon oreille - Vous êtes très séduisante, Mademoiselle Lane. Le savez-vous ? - Je.. je peux vous retourner ce compliment Sasha. Il remis une mèche de cheveux derrière mon oreille avec sa main droite, sa bouche douce sensuelle se perdit dans mon cou. J’aimais sentir son souffle. Puis son étreinte se fit plus intense et il m’empoigna avec fermeté les cheveux. Et d’une extrême sensualité m’embrassa Fougueusement. Je lui rendis son baiser. Mes jambes tremblaient.. intensément. - Je vous veux. Terriblement, me confessa- t -il. Je doute de pouvoir rester un parfait gentleman à vos côtés. - Vous êtes un parfait gentlemen, mais je ne vous garantis pas de ne pas être moi-même une Lady. Quand il souriait.. je fondais.. sa bouche était un appel au crime. Il se dirigiea vers le mini bar. Il se servit un whisky. Puis alla s’asseoir. D’une voix ferme me dit - Continuez à danser. Je suis si piètre danseur, je préfère vous admirer. Il prit une gorgée. Je l’observai. Je continuai à danser seule, tout en le regardant. J’étais là en train de danser, à me rendre lascive. Je promenai mes mains sur mon corps, d’une manière suggestive. J’imaginai que c’était ses mains qui me caressait. Je fermais les yeux pour apprécier ces caresses, puis je les ouvrais en le regardant droit dans son regard de velours. Je voyais ses lèvres se pincer. Je m’avançais vers lui. De mon genou, j’écartais ses jambes qu’ils avaient croisé. Toujours son verre à la main, je lui pris pour y tremper mes lèvres. Je descendai à hauteur de ses lèvres pour tendre mes lèvres.. L’effleurer. Il allait rendre mon baiser quant il comprit que je le taquinais en me relevant. - Petite joueuse, vous ne le paierez… me sourit il - Ah oui ? je ne vois pas de quoi vous parlez… Puis, de ma main j’entrepris de décroiser ses jambes. Mon genou se plaça entre pour jeter de part et d’autres ses jambes. Je me plaçais entre. Je me mis dos à lui et je descendais progressivement en m’ondulant avec sensualité. Je m’assis juste devant lui. Je sentais son désir entre ses jambes. Il ne pouvait voir le sourire qui se dessinait sur mon visage. Je m’amusai à onduler, à l’exciter sans qu’il entreprît de me toucher. Je le sentais qu’il savourait son whisky sans rater une miette du spectacle. C’est là qu’il me caressa les cheveux. Je sentais sa main me caresser le dos, puis remonter jusqu’à mon cou.. Sa main prenait possession de ma gorge. J’aimais sentir cette etreinte qui me rendait folle. Puis il m’attira en arrière et me dit à l’oreille - Vous êtes une très.. très vilaine fille. Mademoiselle Lane. Vous savez ce qui arrive au très vilaine fille qui joue avec le grand méchant loup ? - Non, dis-je avec une pointe de taquinerie. - Eh bien vous allez le découvrir me dit il avoir un sourire presque machiavélique.. Tandis qu’il me maintenait la gorge, je sentis que de l’autre, il defaisait sa cravate. - Vous allez être à moi, vous êtes à présent mon objet de désir. Je vais faire de vous ce que je veux. L’acceptez-vous ? Je.. (mon cœur palpitant par tant d’érotisme).. Je veux être à vous. Faîtes de moi ce qui vous plaît. - Vous m'appelez Monsieur. Fermez vos yeux. A présent, je vous interdis de parler, sauf si je vous l’y autorise. Est-ce bien clair ? - Oui, Monsieur, c’est très clair. -Si vous n’obéissez pas je serai obligé de vous punir chère Mademoiselle Lane Je.. (rougissante)… Oui Monsieur. Je sentis qu’il me bandait les yeux avec sa cravate. Toujours en me maintenant par la nuque, il me releva. Il me fit marcher ainsi jusqu’à la porte. Il plaqua mes mains contre celle-ci, au dessus de ma tête. - Ne bougez pas. Je sentis ses mains inquisitrice partir à la découverte de mon corps. Tout d’abord sur mes chevilles, il remontait le galbe de mes mollets. - Tenez votre robe ma chère. Je veux voir votre cul. Je descendai alors mes mains dans les dos pour tenir le bas de ma robe et lui offrir la vue sur ma croupe. Il continuait sa découverte. Arrivé à hauteur de mes bas, je sentais ses doigts pénétrer l’intérieur pour y caresser ma peau. Il me rendait folle. Ses mains si douces. - J’ai envie de vous voir indécente.. très indécente. - Je.. - Vous ai-je autoriser à me répondre ? C’est là que je sentis sa main s’abattre sur mon fessier à plusieurs reprises. - Restez dans cette position, vilaine petite provocatrice. - J’aime punir l’insolence et vous n’attendez que cela. Être punie. N'est ce pas Mademoiselle Lane? Répondez. Oui... Monsieur, avouais- je. D’un geste rude, il déchira ma culotte. C’était si.. intense. Il m’hypnotisait. - Cambrez-vous, penchez-vous. Je sais que vous attendez que cela. J’allais lui offrir une vue sur mon sexe, Offerte à son regard unquisiteur. - Quelle belle chienne vous faîtes. Vous remplir avec ma langue, ma queue sera un réel bonheur. Dîtes- moi que vous êtes ma chienne. - Oui.. Je suis votre chienne, Monsieur. - Je n'ai pas bien entendu me railla t il. - Oui.. Monsieur, je suis votre chienne D’un seul coup, je sentis deux doigts pénétrer la chatte, sans ménagement. Il effectuait des vas et vient. Que vous êtes trempée. Je doute que ces deux doigts suffissent pour vous remplir comme vous le méritez. Je vais en rajouter autant que votre chatte dégouillante en souhaite. Il s’approchait de mon oreille. - J’aime vous baiser ainsi. Sentir votre chatte qui se dilate. Vos trous sont ma propriété. J’étais honteuse de m’offrir ainsi à un inconnu rencontrer quelques heures plus tôt.. Il a ce côté animal qui me donne envie de lui appartenir. - Retournez vous et agenouillez vous. - Défaîtes tout de suite mon pantalon. Votre bouche a été un appel au crime durant cette soirée. Voyons quelle sont vos talents de petite suceuse. Il était rude dans ses gestes et sa voix. Cela ne me faisait que mouiller encore plus. Puis il pris mes mains pour les plaquer sur son sexe. - Sentez dans quel état vous m’avez mis. - Ouvrez votre bouche, Mademoiselle Lane. Il y mis son sexe sans ménagement et me baisait par la bouche, me soumettant le rythme grâce à ses mains sur ma tête. C’était érotique car je sentais son sexe dur me prendre, grossir. J’entendais ses soupirs de plaisir. J’aimais sentir son corps frémir. Avec la privation de ma vue, mes autres sens étaient plus en éveil. Dès qu’il me touchait cela ne faisait qu’augmenter mon excitation. Puis il me releva, me plaqua contre la porte et m’embrassa fougueusement tout en tirant mes cheveux en arrière. Il passa sa main sur ma joue, sur mes lèvres, sur mon cou avec une telle douceur. Il saisit mes seins à travers ma robe. Avec un geste assuré, il dégrafa ma robe pour la faire tomber à mes pieds. J’avançais dans le noir, il était mon guide. Je sentais sa bienveillance. Il m’assit sur son fauteuil. - Relèvez tes jambes .. voila.. ainsi c’est parfait. Ne bougez pas. Ma respiration était saccadée. Je me sentais à la fois honteuse d’avoir cédée si facilement à cet homme et si excitée par qu’ il était. Quand soudain, je sentis sa langue se poser sur mon clitoris. Je poussais alors un long soupir. Sa langue joueuse, aventureuse.. Je gémissais de plaisir, comme une bonne petite chienne. - Cessez de bouger. Je ne veux pas entendre un seul son, sinon je serai obligé de vous baîllonner. D’un seul coup, je sentais ses doigts s’insérer en moi tout en continuant à me lécher. Je ne m’appartenais plus. Je mouillais tellement. Il était fougueux, habile de son langue, de ses doigts. J’étais au bord de la jouissance quand il s’arrêta. Je poussais un cri de protestation. Il fît alors descendre sa cravate sur mon cou. Puis me releva en la tenant à la main. l avait ce côté animal… Mâle, dominant, qui m’avait tout de suite plu. Cela ne s’explique pas. Un sentiment d’appartenance, de désir, de passion dès notre premier regard. Il prit fermement en main la cravate et l’enroula dans sa main. Il me forca ainsi à le suivre vers la petite salle de bain. - Posez vos mains sur le rebord. Tendez bien vos fesses. - Regardez vous Mademoiselle Lane ! Tellement belle, tellement élégante, tellement putain. Demandez moi de vous prendre sur le champ. Je me sentais interdite de le faire, presque honteuse et pourtant j’en mourrai d’envie. D’un seul coup il me fessa comme une mauvaise élève. Un cri s’échappa. Puis une seconde fessée.. une troisième.. Alors, Mademoiselle ? Il passait sa main sur mon fessier rouge. C’était d’une douceur. C'est alors qu'il était derrière moi, tenant ma tête par les cheveux, me forçant a le regarder à travers le miroir. - Regardez moi dans le miroir, et demandez moi de vous prendre. J’attend ! - Monsieur.. Prenez-moi, maintenant, je ne tiens plus. Il me regardait, fixement, satisfait de me voir soumise à lui. Il placa son sexe à l’entrée du mien. Il me releva et me regarda dans le miroir. Il me pénétra avec une telle douceur, il me calma, me caressa le dos. Un peu comme un cheval qui se fait dresser, à comprendre qui est le maître. Il me chevauchait, me tenant par les cheveux à me pilonner avec une grande fermeté. Il prenait dans ses mains fermes mes seins. Il les serraient fort, il s’amusait avec mes tétons. Je sentis alors ses dents se planter sur mon épaule. Il ne me laissa aucun répit. C’est alors qu’il mit sa main sur ma bouche. Et il devient alors sauvage. - Regardez vous vous faire prendre, ainsi. Petite chienne. Si bonne à baiser.Quelle chatte ouverte. Puis il se retira. - Retournez vous, m'ordonna t il. - A genou tout de suite!restez ainsi. vous ne bougerez que lorsque je vous y autoriserai. - Quelle docilité! vous êtes si facile à prendre en main, Mademoiselle Lane. Il prit une gorgée de son verre et se dirigea vers le peignoir suspendu à côté de la salle de bain. Il en tira la ceinture. - Donnez moi vos mains. Je me retrouvais ainsi attachée,à ses pieds. C’est alors qu’il se positionna au dessus de moi. - Sortez votre langue. Léchez avec délicatesse mon gland, savourez-le. Petite putain. Ma langue se delectait de son sexe quand tout à coup, il planta son sexe au plus profond de ma gorge, tout en maintenant ma tête avec ses mains. J’avais envie de protester mais je ne pouvais pas. Il me baisa par la bouche puis se stoppa tout en remplissant ma bouche de son sexe. J'étais ainsi impuissante. Il se retira alors d'un geste brusque. Il me mena par la cravate qui faisait office de laisse jusqu'au fauteuil. Je me retrouvais alors à moitié allongé. Il fixa mes mains à la tringle des rideaux et m'écarta les jambes. - Quelle belle position, Mademoiselle Lane. Gardez bien vos jambes relevez sinon je serai obligé de vous punir. Il passa sa main sur mon sexe. Et découvrant le flot de mouille qu’il y avait, il sourit. - Je vois que vous aimez être traitée ainsi ma chère, n'est ce pas? - Avec un certain sourire, je ne pouvais qu'approuver. Je sens que je vais rentrer soit dans votre petite chatte ou dans votre fion, comme dans du beurre. Toute cette mouille..
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Par : le 29/06/21
J'ai toujours aimé voyager, découvrir d'autres horizons, d'autres cultures. J'ai adoré le Canada avec toi. Notre descente dans un sex shop de Toronto pour acheter le matériel que nous n'avions pas voulu emmener dans l’avion 😀 Notre fou-rire en sortant. Le plaisir que nous avons pris à l'essayer. Te sucer devant la fenêtre de notre chambre (au 17è étage quand même, l'exhibitionnisme ça n'a jamais été mon truc) face aux chutes du Niagara. Celle, immense, de l'hôtel que tu nous avais réservé dans le vieux Québec, qui t’a permis de laisser libre cours à ta "créativité". _______________ Covid oblige, l’an dernier, dernier, ce fût la Normandie. Les plages du débarquement. Des routes de campagne, propices à te prouver mon désir, mon envie de toi. Certes, en voiture, ça a été acrobatique souvent, mais rien de tel pour garder la forme 😀 Et goûter à la saveur de toutes ces nuits où j'étais à toi. _______________ Cette année, on verra. Nous n'avons rien décidé encore. Mais je te fais confiance. Tous les lieux sont beaux avec toi. _______________ J'adore notre appart parisien. Qui au départ était le tien. Ce quartier où je vis désormais. Qui n'était pas le mien mais qui l'est devenu pour moi grâce à toi. Où je me sens bien, puisqu'à tes côtés. J'aime la façon dont tu as voulu le réorganiser, virant des meubles, des objets auxquels tu tenais pourtant, pour m'y faire de la place, que je m'y sente chez "nous" et plus seulement chez "toi". Quand bien même je ne t'avais rien demandé. Surtout parce que je ne t'avais rien demandé :smile: Mais ça n'est qu'un appartement, grand certes, mais avec des voisins. Pas toujours commode pour certains types d’ "activités". D'autant que quelques uns de nos "jeux" peuvent difficilement se pratiquer en appartement. Puisqu’outre les aspects purement matériels liés à la place nécessaire, ils génèrent potentiellement des nuisances pour les voisins. Et que j’ai parfois tendance à manifester mon plaisir de manière quelque peu exubérante 😀 _______________ Mais il est un lieu qui pour moi restera toujours magique. C'est la maison de vacances dont tu as hérité de tes parents près de Deauville. Là où j’ai décidé que je serai ton esclave. Après avoir sur le trajet goûté pour la première fois à ta queue. En refusant contre tous mes principes que tu uses de cette « protection » en latex, en principe non négociable. Parce que déjà j’avais compris que je pouvais te faire confiance. Que je n’avais pas besoin de me protéger de toi. Et que je ne le voulais surtout pas 😀 _______________ J’aime cette vieille bâtisse, son charme désuet. Ses meubles anciens, de bric et de broc. La cheminée de la pièce principale, le feu qui crépite, pendant que tu t’emploies à éteindre en moi d’autres incendies. Les combles aménagées, qui te permettent de laisser libre cours à tes désirs débridés et à moi de m’exprimer sans crainte de gêner quiconque. Sans que tu ne sois obligé de me bâillonner :smile: Cet endroit où j’ai aussi connu pour la première fois la morsure et la jouissance du fouet. Administré par toi. Mais je l’aime surtout parce qu’elle me parle de toi. Qu'elle a été la maison de vacances, de ton adolescence, De tes premiers émois, avec d’autres qui t’ont permis de devenir toi. Ce qui en fait pour moi un lieu tout particulier, celui de ta mémoire et maintenant de la nôtre. _______________ Confinement oblige, cela faisait des mois que nous n'y étions plus retournés. Je l'ai retrouvée avec le même bonheur que la première fois. Et encore plus nos "occupations" qui vont avec :smile: Et non, nous n’avons pas fait notre devoir de citoyens pour ce deuxième tour 😀 J’ai choisi de ne voter que pour toi. Pour nous.
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Par : le 20/06/21
L'initiation Chapitre 6 : Croisement   Le second Jack Daniels commençait à me faire oublier l'inconfort de la banquette aux formes torturées. J'aimais le bruit du glaçon que je faisais machinalement tourner dans mon verre. Mon regard comme celui du reste de la population masculine de l'assemblée avait du mal à se détacher de la créature assise nonchalamment sur le tabouret en cuir du bar. Elle n'était pas que sublimement belle. Elle n'était pas qu'un sosie de Monica Bellucci incarné. Elle ne portait pas qu'une vêtue tout droit sortie de mes fantasmes. Non, elle possédait une rarissime qualité: une classe folle. Beaucoup d'autres qu'elle n'auraient eu l'air que d'une fille de petite vertu dans cette tenue délicieusement indécente. Elle, c'était la sensualité faite femme, la définition même du sex-appeal. Et elle le savait.     Je l'avais remarquée dans la rue déjà, m'approchant de ce club parfaitement inconnu. De dos, sans la voir. Sa démarche de mannequin, assurée, naturelle malgré ses bottines noires aux talons largement plus hauts que la moyenne avaient captivé mon attention. Ses bas noirs à couture également. Ses longs cheveux de jay flottaient au gré de son pas chaloupé sur son trois quart sombre. Je bénis le ciel qu'elle aille, pour quelques secondes au moins dans la même direction que moi. Elle semblait marcher sur un fil, sachant en outre parfaitement où elle allait, d'un pas serein.     Les battements de mon muscle cardiaque se sont accélérés quand elle s'engagea sous le porche qu'un ami m'avait indiqué. « Tu verras, l'immeuble est banal. Le nouveau club installé au rez-de-chaussée et en partie au sous-sol beaucoup moins. L'entrée est non seulement hors de prix mais en outre la clientèle soigneusement sélectionnée ». De fait après avoir franchit le barrage du portier puis le seuil du lieu après qu'une hôtesse outrageusement décolletée m'eût délesté simultanément de ma veste et de quelques billets, j'avais eu l'impression de pénétrer le saint des saints. Dire que certains feignent de croire qu'un minimum d'argent ne fait pas le bonheur...    C'est l'infarctus cette fois que j'évitai de justesse lorsque l'inconnue confia devant moi son manteau au vestiaire. Un demi sourire qui n'était en rien de la gène mais plutôt un amusement devant l'air niais que je devais avoir éclaira son visage lorsque délestée de sa protection contre le froid elle m'apparut uniquement vêtue d'un corset en cuir noir, de gants qui lui remontaient au coude, et de bas de soie noirs -un trop rare délice à l'oeil- reliés à son corset par 3 jarretelles. Sa peau blanche, presque laiteuse tranchait avec le rouge et le noir d'un entrelacs de roses tatoué sur son épaule droite. Il rappelait le carmin qu'elle avait soigneusement appliqué sur ses lèvres fines. Un mélange incongru mais terriblement sensuel de blanche neige et de Mata Hari. A sa démarche souple et féline lorsque elle s'éloignait feignant d'ignorer l'incendie qu'elle venait d'allumer, j'aurais juré qu'elle avait fait de la danse. Chapitre 5: Le lieu du crime Après avoir visité le rez de chaussée doté outre un vaste espace bar et d'un coin salon, d'une petite piste de danse, je m'étais assis sur cette banquette traumatisante pour mon auguste fessier. J'aurais été incapable de l'approcher. Tétanisé sans doute par un enjeu qu'il me plaisait d'imaginer à la hauteur de sa plastique parfaite. L'idée d'une Monica Bellucci de 25 ans , bien que je fusse passablement peu doué pour ce jeu de d'attribuer un âge à autrui- me revenait à la vue de profil de son somptueux 95C. J'admirais ses bottines en cuir vernis, lacées sur le devant, mettant parfaitement en valeur ses jambes fines, élégamment gaînées de ces bas voiles qui s'assombrissent comme d'une jarretière au fur et à mesure que l'on approche du Saint Graal...  A la serveuse qui se déplaçait de table en table je commandai cet alcool comme pour me redonner contenance. Cette dernière pourtant fort jolie et sexy dans sa courte et décolletée robe ivoire était transparente. Les jambes de ma Diva retenaient toute mon attention ; fines mais musclées, délicatement galbée, comme j'adore. Elle était sportive, j'en étais convaincu. J'en étais là dans ma pseudo analyse Sherlock Holmesque lorsque qu'un indésirable visiblement moins sur la retenue que moi l'aborda. Je dis indésirable, pour moi cela va de soi, étant évident désormais que quiconque parlerait à la déesse deviendrait de fait mon ennemi mortel. Mon incongrue jalousie étant renforcée par le fait que le mâle tentant sa chance était élégant dans son costume sombre et plutôt bien fait de sa personne. Je ne saurai jamais ce qu'elle lui répondit mais les talons qu'il tourna rapidement eurent le mérite de me dessiner un sourire d'une oreille à l'autre.  Pendant la demi heure qui suivi une demi-douzaine de pourtant dignes représentants de l'espèce mâle tenta sa chance, tous sans le moindre succès. Le plus méritant du tenir à ses coté 5 minutes, dont les 3 dernières sans le moindre mot ni regard de la belle. Finalement le scénario m'amusait, un peu sadiquement je l'avoue. Assez lâchement également j'en conviens vu que je n'étais pas suffisamment suicidaire pour courir moi aussi au désastre. Une icône inaccessible sortie des magasines...  La situation semblait aussi amuser une femme à quelques mètres de moi. Sans grand intérêt à vrai dire ; des traits fins pourtant, mais les affres du temps qui ne nous épargnera pas non plus, l'avaient affublée de quelques rondeurs pas forcément disposées aux meilleurs endroits. Une opulente poitrine certes, mais une opulence disons un peu généralisée. Sa robe stricte, aux genoux, au col ras de son cou était certes classe mais pas franchement un appel au viol. Pourtant elle dégageait quelque chose d'attirant ; sur l'instant j'aurais néanmoins été incapable de dire quoi. Peut-être son chignon impeccablement tiré ; tout sur elle était parfaitement ordonné. Elle sirotait tranquillement un alcool blanc, une vodka peut-être.  Deux couples et quelques femmes seules commençaient à prendre possession de la piste de danse. Sur la banquette à quelques encablures, deux femmes goûtaient visiblement avec plaisir aux lèvres l'une de l'autre, sous l'oeil égrillard de leurs conjoints respectifs. Visiblement l'affaire fut rapidement conclue, l'un des hommes entraînant sa moitié vers un court couloir donnant sur des marches descendant à priori vers un sous-sol, suivi par l'autre couple se tenant par la taille. Dur statut que celui d'homme seul dans ces lieux. Certes je découvrais cet endroit récemment ouvert, mais ce genre de club ne m'était pas inconnu. Depuis une bonne dizaine d'années. Généralement je les fréquentais avec ma conquête du moment, parfois seul, avec des fortunes il faut bien l'avouer assez diverses. J'en étais là de mon apitoiement sur mon pauvre petit sort lorsque le fantasme incarné fit mouvement. Chapitre 4: L'allégeance Elle entama quelques pas sur la piste, jouant avec une barre de Lap Dance sous le regard à la fois agressif, exaspéré, désespéré et il faut l'avouer envieux des représentantes de la gente féminine présentes. Sentiments probablement accentués par la bave coulant aux commissures des lèvres des mâles présents, auxquels je ne faisait pas exception. Elle n'était donc pas que sublimement belle, son corps ondulant avec une grâce infinie. Danseuse disais-je ? Rapidement elle se dirigea vers cette femme proche de moi et s'agenouilla à ses pieds sans mot dire, tête baissée, semblant lui tendre son cou gracile. Sans même un rictus de victoire qui n'eut pourtant rien eu d'exagéré celle ci y fixa un collier métallique de soumise. Elle la regarda avec une visible tendresse , lui caressa la joue en lui murmurant quelque chose d'inaudible sous la musique de fond.  Certains mâles semblaient désespérés, d'autres rassurés quant à leur pouvoir de séduction en découvrant que dès le départ ils n'avaient pas l'once d'une chance. Cette attelage hétéroclite, la maîtresse devant probablement avoir l'âge de la mère de la soumise, la première avec un physique et une tenue relativement banale alors que la seconde mériterait de faire la couverture de Playboy pour les 1.000 prochaines années, étrangement me parut parfaitement assorti. Presque une évidence. Je les comprenais, toutes les deux. Leurs différences complémentaires sans doute ajoutaient la pointe pimentée qui plaçait de cette relation dans le haut du panier de mes fantasmes. J'étais pourtant totalement novice dans ce type de relation qui m'attirait beaucoup, essentiellement par son coté fétichiste. Ces tenues, matières avaient toujours provoqué sur moi des effets étranges... En l'absence d'internet à l'époque et son flot d'information, j'ignorais tout en revanche du coeur de cette connexion si particulière.  La jeune femme resta un moment ainsi, finissant par poser sa tête sur les cuisses de sa maîtresse qui ne semblait pas prête à galvauder la fin de son verre. Celle-ci ne se privait pas, en caressant les longs cheveux de jais de proie, d'observer son environnement, plus par curiosité que par provocation. Je crois que c'est cela qui me fit le plus d'effet. Sobre dans la victoire, la marque des grands. Les questions se bousculaient dans ma petite tête tandis que j'observais ostensiblement la superbe croupe, absolument pas protégée par son string noir. J'étais abasourdi par le fait qu'elles aient toutes les deux été capable de jouer, feignant de ne pas se connaître, devant cette assemblée plus que troublée. Bien vu, bien joué. J'arborais un inexplicable sourire, d'une encore moins explicable tendresse à leur égard. Alors que désirs ou jalousie était plutôt la norme alentours. Je ne remarquai le pourtant imposant sac posé à coté de la maîtresse que lorsque elle s'en saisit en se levant. Point besoin de laisse, sa soumise la suivit avec un plaisir non dissimulé, prenant le chemin des catacombes. J'étais précisément en train de me dire qu'il me fallait absolument visiter plus avant les lieux que plusieurs mâles visiblement prêts à échanger sans drame un statut d'acteur pour celui de voyeur (faute de grives...) me devancèrent, s'engouffrant à leur suite. Chienne de vie. Le passage opportun de la serveuse me décida à changer de fesse sur cette maudite banquette et à recommander la même chose.   Il me fallut un bon quart d'heure pour remettre mon cerveau à peu près en état de fonctionner quand le coup de grâce arriva. J'en était à regarder enfin les autres présentes et à me dire que finalement , certaines méritaient un certain intérêt pour ne pas dire un intérêt certain, que la maîtresse remonta seule. Et vint s'asseoir sans l'ombre d'une hésitation à mes cotés. Mon regard ahuri du l'amuser un instant. Que voulait-elle? Je ne l'avais pas vu me regarder auparavant. Elle ne se départit pas de son sérieux pour autant en me posant cette question hallucinante: serais-je capable de respecter ses consignes et de lui obéir absolument strictement, condition sine quanon pour entrer momentanément dans leur univers. Je ne m'entendis pas répondre, ou peut-être prit-elle mon étranglement pour acceptation, toujours est-il qu'elle me dit sur un ton qui n'appelait ni réponse ni discussion: « suis moi ». Chapitre 3: Hypnotique Dire que j'étais fier comme Artaban en passant devant mes congénères atterrés est un euphémisme. Déjà en descendant l'escalier je me faisais l'impression d'être l'Elu. J'étais pourtant bien trop stressé malgré une ridicule apparente décontraction pour me la péter un minimum. On a tous notre heure de gloire parait-il, la mienne était visiblement venue. Un petit hall en bas donnait sur plusieurs couloirs, chacun abritant des pièces différentes, comme à thème. En suivant cette femme qui en imposait et semblait connaître les lieux comme sa poche, nous passâmes devant une salle vidéo, un glorihole, et divers « coins câlins », certains occupés, d'autres non. Des gémissements de bon aloi parvenaient de certaines alcôves.  Je ne me demandai pas longtemps où m'emmenait la Maîtresse en avisant plusieurs types attendant devant une porte désespérément close.  Elle s'arrêta devant, la mer semblant s'ouvrir devant elle. Elle me fixa: « à partir de maintenant, pas un mot si je ne t'ai questionné, pas un geste que je ne t'aie ordonné; aucune seconde chance, une seule sanction, la porte. Suis-je claire? ». Le fait qu'elle m'ait dit cela devant ces types dont certains arboraient un rictus aussi moqueur que jaloux me déstabilisa, ce qui était assurément son second objectif. Et peu compliqué à atteindre en outre tellement je me sentais flotter hors de mon corps. Dans un effort surhumain, je parvins à articuler « parfaitement clair »; c'est non sans un sourire vengeur et inutile vers les mâles destinés à rester dehors que je pénétrai dans cette salle à sa suite. Lorsqu'elle referma derrière elle, j'eus le sentiment que l'on venait de me passer les menottes. Sa soumise était là, immobile, assise sur ses talons, mains sur les genoux au centre de la pièce. Elle ne me regarda même pas. Rejet, indifférence, dans sa bulle de soumission? Mon questionnement intérieur fut interrompu par un signe du doigt de la Maîtresse, me désignant visiblement ma place. J'avais juste eu le temps de voir un chevalet derrière la belle, une croix de St André au mur, un anneaux auquel pendait une solide corde accroché au plafond que la maîtresse répondit involontairement à ma question. «Sophie est punie; elle déteste être observée en séance, qui plus est par un homme, elle qui, comme moi est purement lesbienne. Ta présence est donc une partie de sa punition». Si j'avais jamais rêvé d'être un cadeau... Le coup de grâce fut «à poil» ; je mis un certain temps à comprendre qu'il m'était destiné. Comme cette femme diabolique lisait en moi comme dans un libre ouvert, elle simplifia ma réflexion et nettoya mon esprit des centaines d'idées qui s'y carambolaient: "je déteste attendre ou répéter; je te rappelle que tu as toujours le choix". Ce n'est pas une hypothétique carotte qui s'annonçait que la certitude qu'il n'y avait pas autre chose de plus intelligent à faire qui me poussa à m'exécuter gauchement. Choix rapidement fait et tout aussi vite exécuté. C'est donc en tenue d'Adam que je m'installai sur une sorte de pouf en cuir rouge. Surtout ne pas poser la moindre question quant à la raison de la punition de sa soumise. Au moins n'aurais je pas de mal à me taire, assurément aucun son n'aurait pu franchir la boule au fond de ma gorge. Au fait pourquoi ma nudité ? Instaurer une sorte d'équilibre entre sa soumise et moi ? Se rincer l'oeil (quel prétentieux...) ? Gêner encore plus sa divine complice ? Participer d'une façon ou d'une autre ? Elle ne voudrait quand même me dominer au si, elle m'aurait demandé mon avis. Au fait, j'étais en train de faire quoi là à part lui obéir ? Tranquillement la Maîtresse sortit une cravache, un single tail, un martinet de son mystérieux grand sac, ainsi que des pinces et quelques sex-toys, sans oublier d'autres objets dont j'ignorais autant l'existence que l'utilité. Une sorte de balais commença alors entre les deux femmes, parfaitement réglé, absolument silencieux. La jeune femme se leva; sa maîtresse passa derrière elle pour défaire son soutient-gorge que je n'avais pas vu: en cuir noir aussi, se fondant avec le corset. Deux merveilles apparurent alors, à peine troublés par la loi de la gravité. Il me vint à l'esprit une autre réponse potentielle à mon questionnement : observer avec certitude l'effet sur moi produit. Chapitre 2: Dans le vif du sujet Privilège de la jeunesse. Injustice de la nature penseront d'autres. La façon dont elle enleva son string sur l'ordre de sa Maîtresse, se baissant sans fléchir ses jambes, la croupe tendue en ma direction eu un effet comment dire, Eiffelesque? Les tétons de la soumise furent amoureusement caressés, gobés, suçotés; je compris rapidement que l'effet recherché était loin d'une d'une intention de douceur,  mais pragmatiquement de faciliter la pose d'imposantes pinces japonaises sur d'appétissants tétons roses dardés. Sophie ferma les yeux en se mordant les lèvres lorsque son sein droit fut ainsi décoré. Nul attendrissement en vue de la domina qui équilibra le tableau sur le téton gauche. Après une caresse sur la joue de sa soumise, elle joua douloureusement avec la chaînette les reliant. Elle semblait admirer elle aussi cette poitrine somptueuse dont elle comptait bien user et abuser. Une caresse sous le dessous du sein me donna l'impression qu'elle voulait le soupeser ainsi paré. Imposants, ronds mais d'une absolue fermeté, je me serais aisément vu y apporter mon estimation personnelle. Dont elle n'avait bien entendu cure. Tournant autour de sa proie, elle multipliait les caresses, sur la croupe, sur le pubis totalement glabre de la belle. Elle finit par s'agenouiller devant elle, et après avoir embrassé ce mont de vénus si pâle, elle fixa deux autres pinces, plus petites sur chacune des lèvres. Je crus voir sa langue pointer pour goûter le résultat de son travail. Depuis le départ aucun mot n'avait été échangé. Un frisson me parcouru lorsqu'elle se saisit du martinet, me regardant. Mon visage inquiet devait lui dire  « non pas moi, il y a erreur, je ne suis que spectateur ! Privilégié, certes mais... ». Elle installa sa soumise les mains posées sur le chevalet, croupe tendue, jambes légèrement écart; cette dernière avait pris la position rapidement, semblant la connaître parfaitement. La maîtresse se tenait dans le dos de la belle, de sorte que celle-ci ne devait pas savoir ce qui l'attendait. Elle fut vite au fait de son futur immédiat lorsqu'un premier coup, que je jugeai assez violent pour le novice que j'étais, lui cingla la croupe, laissant une trace rouge. Sa peau blanche et fine marquait très vite. Elle devint en quelques minutes cramoisie sous l'avalanche qui s'abattait sur elle:  pas de brutalité, mais de la régularité, de la sérénité, un objectif bien précis. J'étais impressionné, la Domina enfin dans son élément irradiait étrangement désormais. Le ballet souple et coordonné de ses gestes précis, les lanières virevoltantes, les bruits secs. La belle se tortillait de plus en plus, dansant d'une jambe sur l'autre. Jusqu'à ce qu'une plainte sortit de sa jolie bouche. Un dernier coup fut appliqué entre ses cuisses... lui arrachant un véritable cri de douleur cette fois. Je me disais que la maîtresse devait se rendre compte qu'elle était allée trop loin lorsqu'elle cessa pour se diriger vers ses « jouets ». Elle en revint en fait avec un bâillon boule noire qu'elle fixa tranquillement, sa soumise ouvrant la bouche toute grande pour lui faciliter la tâche. Sa docilité me stupéfiait. Sans doute un long dressage... Elle reprit le martinet et c'est le haut du dos de Sophie qui fut cette fois durement marqué. Sa précision était diabolique, ses gestes sûrs et appliqués. Je vis une larme couler doucement sur la joue de la belle. Je me faisais presque violence pour ne pas bouger. La Maîtresse l'avait vu également. Elle l'avait même sûrement deviné avant moi. Elle repassa devant sa soumise, la regarda un moment, comme pour la jauger, essuya sa larme d'un revers de la main en souriant. Sans me regarder, toujours les yeux plantés dans ceux de la belle,elle lança: « va me ranger ça -me tendant le martinet- et ramène moi la cravache ».  Un instant interdit, tant par le fait qu'elle n'en était visiblement qu'au début de son œuvre que par le fait qu'elle s'adresse à moi, je m'exécutai rapidement. J'étais partagé entre le souhait de voir s'interrompre le supplice de Sophie qui devait vraiment souffrir, et l'envie égoïste de continuer à découvrir un spectacle aussi excitant qu'inédit pour moi.  Elle jouait avec la cravache sur le corps de mon fantasme incarné comme un musicien avec son archet sur un violon. C'était beau, enivrant comme un Gevrey-Chambertin; j'avais la sensation qu'elle pouvait en tirer le son qu'elle voulait. Pour l'heure il s'agissait de gémissements de plaisirs, déformés par le bâillon, lorsque l'instrument caressais lentement une peau qui semblait si douce. Lorsqu'elle passa entre les magnifiques cuisses de la belle, l'instrument ressortit luisant... C'est alors que le premier coup laissa une courte traînée rouge sur la fesse de la belle. Chapitre premier: la révélation La bave qui coulait aux commissures de ses fines lèvres carmin tombait sur ses seins. Obscène et aimantant à la fois. Sa croupe se striait de traces rouges foncé qui s'entrecroisaient. Pourtant rien de vulgaire, comme si sa classe et sa beauté fussent inoxydables, peu importe la situation. Ce spectacle pourtant trash , inédit pour moi, sonnait comme une révélation, comme si quelque chose émergeait peu à peu du plus profond de mon être. Un verrou sur un couvercle depuis toujours fermé venait de sauter. Mon avenir était dans ce monde, sans grande certitude quant à ma place. Evidemment bien davantage de questions que de réponses, mais quel immense espace de découverte s'ouvrait...  La Maîtresse recula de quelques pas; elle semblait contempler son œuvre, son coté artiste sans doute. Son inflexibilité intimement lié à une visible énorme tendresse pour sa complice m'impressionnait autant que la docilité de celle-ci. Le courage aussi de cette dernière. Encore que je ne savais pas trop s'il fallait parler de courage si elle recherchait ces sensations. Mes idées s'entrechoquaient, mes certitudes tombaient les unes après les autres ; par exemple quant les pinces furent enlevées c'est à ce moment précis que Sophie semblait avoir le plus mal. Un murmure à son oreille, une caresse sur sa joue, un baiser furtif sur ses lèvres, et la voilà attachée sur le chevalet par une corde. Nœuds rudimentaires mais efficaces ; les chevilles et les poignets en bas, sa poitrine s'écrasait sur le cuir usé. Sa croupe insolemment tendue était un véritable appel au crime. L'impressionnant plug en plastique dur et transparent dont la domina se saisit me confirma qu'au moins cet avis était partagé... J'aurais donné n'importe quoi pour qu'elle me fît participer à ce qui aurait pu ressembler à la récompense de sa soumise après les jeux d'impact. Mais c'est elle-même qui caressait le petit trou de la belle qui semblait enfin se détendre. Ces gestes tendres, sensuels, contrastaient avec la taille de l'objet qu'elle avait lubrifié avant de commencer à l'introduire de le fondement de sa proie consentante. Cela ne rentrerait jamais... Si. Un baiser sur la fesse, des doigts qui frôlent les lèvres et voici que la soumise entamait une plainte déformée par la bâillon. Le plug fut ressorti et rentré plusieurs fois, à chaque fois plus facilement. Ce n'était visiblement pas une première. La Maîtresse, qui semblait m'avoir oublié, caressait la belle, trouvant rapidement son bouton d'amour avec lequel elle jouait. Comme tout à l'heure avec sa cravache, elle semblait utiliser un instrument de musique. Obtenant de jolis sons... Sophie n'avait depuis longtemps plus le droit de ne jouir qu'ainsi, l'anus rempli.  Le plus hallucinant peut-être était que tout semblait naturel, j'allais dire «normal» si je n'exécrais pas ce mot. Oui on pouvait être impitoyable et tendre, oui on pouvait faire mal et donner du plaisir en même temps, oui on pouvait avoir une grande distance hiérarchique et une énorme proximité intellectuelle et affective... Sentiment étrange de découvrir autant de mes « certitudes » aussi rapidement qu'évidemment balayées, définitivement sans doute. Ce fut le moment que choisit la Maîtresse pour débâillonner sa soumise, sans doute parce qu'elle aimait l'entendre jouir. Un god vibrant se joignit bientôt au plug inerte, se frôlant à travers une frêle parois. La dextérité manuelle de la domina faisant le reste, ce fut bientôt une véritable symphonie qui bientôt empli la pièce.  Sophie haletante, en sueur, fut vite emportée dans une tempête de jouissance que sa Maîtresse organisait avec dextérité. Cette dernière me fascinait, gardant toujours sa maîtrise de soi, ne montrant rien sur son visage. Ses gestes aussi inflexibles qu'attentifs et tendres parlaient pour elle. J'aurais juré qu'il y avait de l'amour entre elles. Un hurlement emplit soudain la pièce. J'avais je n'avais vu un orgasme aussi intense, dévastateur. Et ce n'était pas fini... Prologue: l'ouverture Préciser l'état physique de votre serviteur me semble totalement inutile. Les pensées en revanche parvenaient à la vitesse grand V à l'infime partie de mon cerveau encore capable d'un semblant de réflexion. La domina envisageait-elle me faire participer autrement qu'en voyeur? Une fellation se Sophie en guise de punition finale pour sa soumise me semblait de plus en plus une excellente idée. Probablement qu'en  me concentrant très fort, la transmission de pensée ferait le reste... J'avais encore un peu de travail avec de devenir un véritable jedi. Le calme revenait peu à peu dans la pièce. La belle semblait émerger d'un quasi état de transe tandis que sa maîtresse caressait amoureusement son dos, ses cheveux, ses seins, sa croupe meurtie. C'est à peu près au même moment  que ma lucidité revint. A cet instant précis je me sentis furieusement de trop, comme gêné d'être là. Comme si la scène devenait tout à coup trop intime. On changeait d'univers. Je ne voyais plus l'utilité d'une quelconque participation et était plein de reconnaissance pour cette maîtresse femme qui avait ouvert tant de portes en moi, fait sauter tant de verrous. Sans jamais s'occuper de moi pourtant. J'avais le sentiment d'avoir vécu un instant incroyablement privilégié.  Convaincu que je devais les laisser seules pour partager sans moi cette intimité, je me levai et remerciai avec sincérité ces deux femmes. Je leur était infiniment reconnaissant et  le leur dit. Ma meilleur récompense fut un même sourire éclairant leurs deux visages. La domina me raccompagna vers la porte, instant pour que je la franchisse mes vêtements à la main, nu comme un vers. Pour la refermer aussitôt derrière moi non sans m'avoir glissé qu'elle était certaine que nous nous reverrions... C'est à ce moment précis que je compris ce que signifiait vraiment marcher sans toucher le sol.
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Par : le 16/06/21
Elle effleura des lèvres le duvet brun autour du pubis. Sous la peau souple et veloutée, les abdominaux se contractèrent à ce contact. Du bout de la langue, elle joua à en suivre les sillons. Un peu plus tard, le sexe de Xavier s'étirait comme après un long sommeil. Il se déroula paresseusement, se redressa un instant puis retomba contre le ventre mais sans cesser de grandir. Sarah observa la fascinante métamorphose de ce fabuleux objet de désir. Quelle chance pour les hommes d'avoir, greffé entre les jambes, un aussi beau jouet. Il semblait doué d'une vie propre. Voilà qu'il s'allongeait encore, comme tendant le cou pour mieux la regarder. Tout son corps cylindrique vibrait. Sa veine sombre et saillante palpitait et sous leur mince enveloppe, les testicules s'animaient comme d'un paisible mouvement de respiration. Sarah s'approcha de la bête. Elle posa le bout de la langue sur le sommet de sa tête et entama un délicieux mouvement de balayage. Le sang se mit à battre plus vite dans la veine. L'homme et son sexe se raidirent encore. Lorsque, léchant toujours, Sarah glissa vers la base du gland, Xavier étouffa un soupir. Il plongea la main dans les cheveux de la jeune femme. Ses doigts se refermèrent sur sa nuque. Sa langue continuait de frétiller le long de sa verge. Il se releva sur un coude et contempla le spectacle hallucinant de cette fille couchée à côté de lui, de ses mains liées dans le dos, de son échine courbée par les cordes, de ses fesses pointées vers le plafond, de sa jupe troussée jusqu'aux reins. Sarah changea de méthode. Elle plaqua la langue tout entière au creux des testicules et remonta la verge jusqu'à la commissure du gland, là où celui-ci semble se fondre en deux comme un abricot. Elle remarqua que l'étreinte de Xavier sur sa nuque se faisait plus pressante lorsque sa langue atteignait ce triangle rose pâle. C'était là qu'il fallait donc porter l'estocade. Ravie d'avoir découvert l'endroit sensible, elle continua de le torturer ainsi. Sous ses coups de langue, il perdait peu à peu le contrôle. Il tendait le ventre, ondulait des hanches. Brusquement, il accentua sa pression sur la nuque de Sarah jusqu'à lui écraser la bouche contre son pénis. Ce n'était pas une prière, c'était un ordre. Elle n'eut qu'à entrouvrir les lèvres pour que, propulsé d'un coup de reins, le sexe de Xavier s'engouffre tout entier dans sa bouche. La charge portée dans sa gorge fut telle qu'elle suffoqua. Pourtant, lorsque Xavier relâcha son étreinte, elle n'eut qu'un bref mouvement de recul, juste le temps de reprendre son souffle avant de le reprendre dans sa bouche et il éjacula. Quand aux liens, moi qui ne nourrissais jusqu'ici aucun fantasme particulier à leur sujet, je leur découvre une vertu que je ne connaissais pas. Au début de notre relation, je me contentais d'entraver les poignets de Sarah pour satisfaire à ce que je croyais n'être qu'un caprice de sa part. Mais peu à peu, nous nous sommes amusés à inventer des liens de plus en plus sophistiqués, des positions de plus en plus complexes auxquelles elle se soumet toujours sans protester. Je la pense, à dire vrai, incapable de s'en passer. C'est pour cela que je n'ai pas le sentiment de l'asservir. Comment expliquer cela ? Lorsque j'entrave Sarah, c'est comme si, à la manière d'un peintre ou d'un sculpteur, j'avais soudain le pouvoir de figer sa beauté dans l'espace et dans le temps. Nos rendez-vous prennent désormais des allures de séances d'atelier. J'arrive avec une nouvelle idée de pose et des tas de cordes, de sangles, de lanières. Le ficelage prend du temps. Ce sont de longues et excitantes prémisses. Les images de Sarah ainsi ligotée m'obsèdent. La voilà nue, assise sur une chaise, les bras légèrement fléchis. Je lui ai joint les poignets à mi-dos. Les cordes s'évasent jusqu'aux épaules, comme les nervures d'une feuille dont la colonne vertébrale serait la tige. Elles s'enroulent autour des cuisses, pressées contre la poitrine, remontent jusqu'à la nuque où je les ai nouées. J'ai entravé les chevilles l'une contre l'autre, tiré la ficelle entre les fesses. Je l'ai tendue au maximum pour la fixer aux poignets. Sarah est enroulée dans un cordon de cordes. Elle n'est plus qu'un souffle impatient du plaisir à venir. Souvent, elle-même m'encourage à plus d'excentricité encore. Elle veut ne plus rien pouvoir entendre, ne plus pouvoir rien dire, ne plus rien pourvoir voir, ne plus rien pouvoir faire que d'attendre le moment où je m'enfoncerai au fond de son ventre ou de ses reins. Alors, je comble sa bouche avec un morceau de tissu, je la bâillonne d'un large sparadrap, je l'aveugle d'un bandeau sur les yeux et je lui bouche les oreilles avec des boules de cire. Je l'attache avec un soin maniaque, centimètre par centimètre, jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus remuer du tout. Je la modèle sous mes doigts comme un sculpteur manipule la glaise. Et quand enfin j'ai terminé, je prends du recul, je l'admire, immobile comme une toile, aussi lisse qu'un marbre, statue de chair, chaude et tendre, inerte et pourtant vibrante de vie. Quiconque entrant dans la pièce à ce moment-là trouverait la scène choquante. Sans doute ne verrait-il pas que l'indécence extrême d'un corps emprisonné, la mâchoire distendue par sous le bâillon, l'obscénité des cuisses maintenues ouvertes, l'insupportable étirement des muscles, la brûlure des cordes serrées contre la peau. Il ne verrait que le sordide d'une femme soumise à un plaisir de mâle. Il ne verrait que l'humiliation. Pourtant, Sarah ne s'humilie pas en se livrant ainsi. Elle met en moi une telle confiance que je ne la respecte jamais autant que lorsqu'elle est ainsi asservie. Même tordue dans ses liens, elle conserve cette grâce qui fait souvent défaut aux amants, que je ne me lasse pas de contempler. Alors, au-delà de l'excitation physique que cette vision éveille en moi, je me surprends parfois à ressentir comme une fugace émotion d'artiste. Plus tard, je caresserai le satin de cette peau. Sous mes doigts, le tressaillement d'un sein frôlé. Plus tard, je la soulèverai. Il faudra bien alors que monte le désir. Je la fouetterai, je la fouillerai. Tenaillée entre deux douleurs, elle hurlera en me suppliant. Seulement plus tard. D'abord, je succombe à ce plaisir sadique de l'entraver. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 01/06/21
Ça me démange...  Déjà hier, j' avais cette envie et ce matin en me levant , elle est toujours là... Cette envie de fesser me démange les bouts des doigts... La matinée passe, l' envie reste...  Le confinement pèse dans la balance des restrictions.Fesser me manque...    Bon allez , c'est 13 h, mon taf est à jour,  je pars à la chasse... Je me connecte sur un certain  site BDSM,  j'adapte ma photo de profil à mon humeur, comme j'ai l' habitude de le faire . L' envie de fesser, ce n'est pas la plus simple à illustrer ... J'ai choisi de mettre une de mes  photos d'un fessier bien fessé .  Au moins j' annonce la couleur... En plus , je l' aime bien cette couleur violacée... Humm! j' ai les mains qui me démangent... Sur le chat, après avoir ignoré tous les "bonjour Madame" de l' autre bout de la France, mon attention se porte sur un message. Les mots clés : Annecy  et dispo  apparaissent dans les premières phrases. J'engage le dialogue, sonde ce jeune soumis qui  à tout du p' tit 4 heure. Joli  corps musclé qu'on en fait qu'une bouchée. Un plus fort agréable pour assouvir mon envie ...  Il est intéressé pour venir. Il questionne régulièrement sur l' usage du gode ceinture entre le où le , quand et le  comment...  Mes réponses sont on ne peut plus cash:  J'ai envie de te fesser dans les bois... C'est  un coin proche de chez moi... Oui, un peu de passage... Non,  je ne vais pas te baiser là-bas. (Comme si ça pouvait me gêner.  ) ... Non je ne reçois pas... Oui; je vais te fesser, et certainement un peu te griffer... Non, je ne prends pas mon stap-on ...  Je suis à peu près certaine que quelque part en lui, il garde l' espoir que. Peut-être... Je le laisse avec son espoir, moi c'est lui que je veux maintenant. En quelques minutes, le voilà ferré. L'heure du  rendez-vous  est basée sur l'horaire du bus qui  le  mène jusqu'à moi. Je suis contente, je me déconnecte et prépare mes affaires avec un sourire de satisfaction,..    Une heure passe et je sors de chez moi, mon petit sac à la main, un masque et mon attestation   dans la poche sur laquelle j'ai coché la case exercice physique à proximité du domicile .Je triche sur l'heure, peu probable que je sois contrôlée dans les bois ...  Hum! Ça me démange et ça m' excite de partir pour administrer une fessée...   J'arrive  près de l'endroit  indiqué. Je  le vois au loin. J'envoie un coup de sifflet, il tourne la tête vers moi. Je fais un signe de la main et il vient à ma rencontre...  Là , mon plaisir commence...   Je glisse une première fois ma main dans mon  petit sac... Il approche...  sur le boulevard il y a de la circulation... Je sors le collier... Les passants vont  autour de nous... Il est à ma hauteur quand je lui tends ... Il bafouille un bonjour, je lui fais un sourire: " Mets le! Son regard  balaie rapidement  les alentours... Je continue d'avancer... Il prend le collier et le met à son cou en me suivant...  Je plonge à nouveau ma main dans mon petit sac... J'en ressors  un  bracelet menotte.   Je lui tends   " Ça aussi! "  Tout en avançant , il s'exécute... je m'arrête au feu  et le dévisage en attendant que le p'tit bonhomme passe au vert. Il baisse la tête , essaie de dissimuler le bracelet sous sa manche... Une femme s'arrête à coté de nous... Je le sens gêné... Le bonhomme passe au vert en même temps que je sors le second bracelet de mon petit sac...  "Continue!" ... Il prend le bracelet  qu'il met en traversant la route... Je suis en jean noir avec mes bottes en cuir noires, une veste et un haut noirs et je sors de mon petit sac noir ma laisse en chrome... Humm!  Approche petite chose! Viens  te mettre au bout de ma laisse...  J'avance d'une bonne allure, mon soumis accroché à ma laisse. Je le tiens assez court  le temps qu'il se mette au pas puis je laisse pendre la chaîne. Il garde la cadence, veillant à ne pas laisser cette chaîne se tendre pour rester discret quand on croise des gens.  Le sentir  gêné me donne le sourire. Ça me plaît de le tenir ainsi jusqu'à mon petit coin en retrait. C'est  entre deux bosquets d'arbustes,  le long d'un petit chemin qu'emprunte de rare jogger. Nous y voilà!  Faut se faufiler entre les branches, bien lever les pieds à cause des ronces, Humm! Les ronces, "Ramasse Moi cette ronce!  Il se baisse et tire un coup sec sur la plante qui ne se fait pas prier pour participer à mon plaisir. Sourire jusqu'aux oreilles... Je lui indique sa place et prends la mienne.  J'ai la vue sur le chemin principal par lequel on est arrivé et celui d'en face. Ainsi, d'un simple mouvement de tête, je contrôle les aller venus sans être vu. Autre avantage de ce coin, et c'est pour ça que je l' ai choisi, il y a une branche solide qui surplombe un petit vide juste devant ses pieds. C'est à celle-ci que  j' accroche la laisse. A ma droite, il y en a une autre pour y mettre mon petit sac. Mais d'abord, je plonge ma main dedans et en ressors le bâillon boule." Mets ça!"  Il a un air un peu perplexe, me regarde,  regarde le bâillon, "Allez dépêche toi!  Tu es venu pour prendre une fessée, et bien voilà , tu y es! "  Il me réplique un dernier "oui Madame" puis se bâillonne. Je lui fait tenir la branche  et fixe les bracelets entre eux , autour.  Je profite de cette proximité pour le ressentir. Ce petit corps me plait bien. Il a bien une tête de plus que Moi mais quelle importance,  ses fesses restent à bonnes portées...   Encore une plongée dans mon petit sac pour prendre un bandeau.  En lui serrant  autour des yeux, je lui glisse quelques mots à l' oreille... Je fais descendre ensuite mes mains le long de ses bras jusqu'à sa taille. Je l' empoigne et tire ses hanches en arrière pour qu'il me soit bien offert. Mes mains s'affairent sur  l' ouverture de son pantalon. Je veux avoir accès à  ses fesses et son dos aussi. Je tourne son sweat vers le haut. Griffe en même temps... Redescends ... Fais glisser son pantalon au bas des cuisses... Il bande dur...   J'attrape ma jolie ronce fraîchement cueillie... Raye avec  ce joli fessier qui me donne envie... Fouette doucement ... Caresse, griffe et fouette à nouveau... Puis plus vite... Plus fort...  Continue en alternant avec des mots... Je lui parle de mon envie... Lui dit ô combien je suis contente qu'il soit venu jusqu'ici... La ronce s'effiloche rapidement et mes mains  ne veulent plus attendre... Je lâche le végétal , ajuste ma position et claque les deux fesses à l' unisson... Humm! Oui! Me voilà parti... Il s'ensuit des séries de claques sur ce cul rebondi... Mon  plaisir s'accroît en voyant rosir son derrière ... Les empreintes de mes doigts  se croisent ainsi que celles de mes griffes... Lui se met à gémir en aspirant la bave qui lui coule du bâillon... Je l' oblige à se  remettre cul tendu à chaque fin de série... J'augmente l' intensité , ça me fait mouiller. Ça me manquait tant...   Quand des gens s'approchent , je  plaque son cul contre moi et lui souffle" silence! " dans le creux de l' oreille. Il  fait bien moins de bruit que mes mains avec ses gémissements, c'est plus pour  rappeler à son cerveau   qu'il est  exposé à la vue des promeneurs. D'ailleurs, voilà un joggeur qui arrive...  je glisse mes mains sous ses vêtements, comme je le ferais avec un  amant.  Je plante mes griffes dans sa peau. Le gars passe un un mètre sans tourner la tête. Je griffe son dos jusqu'à la taille, ce qui le cambre magnifiquement bien. Du coup je recommence...  " Encore!" Je griffe, je claque.. Je claque, je griffe, mais surtout je le claque encore et encore... Il s'accroche à sa branche de toutes ses forces... Je ressens la tension de tout son corps... Il est dans un état de  soumission où sa volonté  est  de tenir pour que j' en prenne plaisir et c'est ce que je fais... Je me régale de le fesser... J'en avais vraiment trop  envie...  Il tremble, sa limite arrive... Je caresse entre de frappe... Sa peau est chaude... Rouge... Dure... Humm! j' ai besoin de le  toucher... Je m'approche  de lui... Plaque son cul encore une fois contre moi... Je l' aurais bien baisé  en fait! ... Humm! Encore une ou deux séries bien intenses... J'approche ma bouche de son cou... " 'j'aime te fesser, j' en suis toute mouillée... " En disant cela mes doigts ont trouvé le chemin pour atteindre ses tétons et ils les pincent  avec un plaisir non dissimulé...  Humm! Quel régal  de donner vie à ses envies... Doucement je le redresse... Lui retire le bandeau et le bâillon... J'attends un peu qu'il reprenne ses esprits. J'en profite pour faire ma photo souvenir, puis je lui décroche les menottes pour qu'il baisse les bras et les raccroche entre elles... Je lui fais lever la tête pour qu'il me regarde dans les yeux... "Maintenant , je te laisse deux minutes pour te faire gicler où je recommence tout!"  Sans perdre une seconde, il s'active sur sa queue avec frénésie et met à peine plus d'une minute pour gicler une grosse coulée de sperme ...  La fessée s'arrête donc là...  Je décroche la laisse, range le bâillon et le bandeau dans mon sac. Lui,  remet sa bite et ses fesses dans son pantalon et on  prend le chemin du retour...  50 mètres plus loin , on croise un groupe d'adultes. Il se rapproche vite de moi pour tenter de dissimuler la laisse. Les gens passent et il me dit : "Maintenant, vous pouvez peut-être  m' enlever la laisse. J'éclate de rire! " Bien Sûr que non!    Tu crois que ça y est, tu as éjaculé, c'est fini. ( RIRE) Allez! Avance!" " Dis toi que les gens s'en fiche que tu sois en laisse. La plupart ne le remarque même pas" .  Je le détache avant d'arriver sur le boulevard. Je fais un bout de route avec lui, histoire de le remettre dans la direction de la ville... Je récupère le collier, il me rappelle qu'il a encore les bracelets; Oup's!  Je les avais zappé ceux-là ...  Et voilà! Mes mains sont agréablement chaudes...  Mon esprit satisfait et serein...  Mon envie de fesser assouvie...  Je suis bien en rentrant chez moi et je reprends le cours de ma petite vie... Je n' ai plus eu de nouvelles de ce p'tit 4 heures... Plus jusqu'à il y a quelques jours... Ding!  SMS "Bonjour Madame! Vous vous souvenez peut-être de moi. Vous m' aviez fouetté avec des ronces et   fessé dans les bois.  J'ai mis longtemps à vous donner des nouvelles car j' ai beaucoup aimé vous servir ainsi mais j'étais  très gêné d'être exposé .. Etc... " Humm! En voilà une nouvelle qui me donne envie...  Il aura mis du temps à passer au-dessus de ses appréhensions... Le seul fait qu'il y soit parvenu et ose me recontacter 6 mois après  me plait...  Humm! Ça me démange à nouveau de le fesser...  
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Par : le 01/06/21
L’attente et le temps ont des vertus sur un soumis que la plupart des sévices ne peuvent qu’affleurer. C’est en tout cas ce que professaient mes premiers Maîtres. A leur service, je m’étais découvert des capacités insoupçonnées à rester à genou, accroupi, ou à rentrer serré dans la petite cage grillagée qu’ils me destinaient. Je devais leur être soumis depuis un peu plus d’un an. Étudiant, je passais la plupart de mes week-end chez eux, dans leur villa. Mes Maîtres n’étaient pas totalement débutants, ils avaient eu une soumise avant. Mais, ils aimaient à le répéter, j’étais leur “seconde création”. Ils voyaient d’ailleurs ce que nous vivions comme une sorte d’expérience artistique. Une sorte de happening dans la durée. J’étais la glaise et ils me sculptaient. J’adorais cette idée qu’en les servant, je devenais leur œuvre d’art. A chaque séjour chez eux, je m'apprêtais à découvrir quelle nouvelle idée de tourment ils avaient imaginé et, souvent, je découvrais combien mon imagination était limitée. Comme d’habitude, ils m’avaient récupéré en gare vêtu légèrement, et comme à chaque fois une halte entre la gare et leur villa avait permis que je termine le chemin nu, dans le coffre, une chaîne cadenassée au cou. La position était inconfortable: sous moi une roue de secours dont le métal brûlait ma peau et le caoutchouc la râpais venait ajouter à la chaleur étouffante de la fin d’été de la Côte d’Azur. Je n’étais pas lié, donc j’y recherchais vainement une position la moins inconfortable possible dans les cahots. Ce trajet, d’un quart d’heure peut être, était un sas qui me faisait passer d’humain soumis à jouet sans volonté propre. J’en sortit dans le garage et repris ma position d’attente appuyé sur le véhicule, membres écarté. Je devinais une agitation à l’extérieur sur la terrasse qui m’indiquait la présence de convives. Mais le temps d’apprécier la situation ne m’est pas laissé. Madame prends la chaîne autour de mon cou comme une poignée et me tire à sa suite. Je suis plié en deux, tête au niveau de sa taille, à moitié étranglé et je peine à suivre son pas. Mon champ visuel est réduit au carreaux et aux séduisants mollets de ma Maîtresse. Nous traversons la maison et allons vers la terrasse. Je ne sais pas combien de personnes sont autour de la table, je ne le saurais pas. Madame tire la chaîne qui enserre mon cou vers le haut. Je dois me mettre sur la pointe des pieds face au crépi pour suivre. Elle clippe un mousqueton et je me retrouve coincé: si je descends de la pointe des pieds les maillons viennent tirer douloureusement contre ma mâchoire. Autour de moi, des bruits de table, de discussion, quelques claquements de gifle ou fessées. Personne ne semble avoir remarqué mon arrivée. La chaîne est si tendue que si j’écarte la tête du mur, si je la tourne de côté, je perds de précieux millimètres qui accroissent la pression sur ma nuque et la mâchoire. Je vois quelques bribes en vision périphérique, mais aucun détail. De toute façon, l'inconfort de ma situation accapare toute mon attention. Je sens une main sur mes bourses. Quelqu’un les tire vers le bas, impossible de compenser en suivant des cuisses. La personne s’amuse à malaxer mes testicules, à les tirer. On m’y passe un parachute de cuir. Je sens son intérieur tapissé de petits piquants. Je ne connais pas encore l’instrument, mais j'appréhende les poids qui vont tirer dessus. J’avais raison, la personne qui joue de moi lâche brutalement un poids et j’ai d’abord l’impression que mes testicules vont s’arracher avant de sentir la piqûre de cent aiguilles autour du paquet. Malgré ma volonté de faire honneur à mes maîtres, un cri m’échappe et j’agite inutilement mes mains autour de moi comme pour me retenir à l’air. L’assistance s’en amuse. On commente sur mon côté douillet, je suis mortifié de ne pas avoir fait honneur à mes propriétaires. J’identifie à l’odeur la nouvelle présence derrière mon dos. Monsieur se saisit de mes poignets et guide mes mains au-dessus de ma tête. Je suis le mouvement sans résister. Avec un cordon mes deux coudes sont croisés, puis liés l’un à l’autre derrière ma nuque. La position presse ma tête vers le mur, tire douloureusement mes épaules et expose mon corps. Monsieur aime m’infliger cette posture à la fois simple et exigeante et qui enlève toute protection au corps. De contraignante, ma position devient vraiment douloureuse. Une main inconnue affleure mon dos. Je frissonne. Elle est remplacée par la brûlure de lanières de martinet. La surprise passée, ce n’est pas trop dur. Les coups tombent dru mais le martinet n’est pas trop méchant, même avec quelques mois d’expérience je les endure sans mal. En revanche, je dois contracter tous mes muscles pour éviter de bouger. Chaque mouvement fait balancer le poid qui tire sur mes couilles et glisse les gros maillons contre mon cou. Quelqu’un essaie de donner de la cravache sur mes testicules. Les coups me font peur, mais la plupart atterrissent sur le cuir du parachute ou les chaînettes des poids. Un ou deux touchent et me font crier. On me met un linge en bouche, un torchon ou une serviette. Je suis rempli de tissu et mes cris sont étouffés. Plusieurs se succèdent à jouer de moi et mon endurance est mise à rude épreuve. Dans les moments de pause, mes mollets tremblants de tétanie me tourmentent, ma nuque est raide et douloureuse, ma mâchoire meurtrie des frottements contre la chaîne. Mes mains sont gourdes d’être restées si longtemps au-dessus de ma tête. Je sens un corps chaud contre le mien, avant même qu’elle ne parle je reconnais ma Maîtresse. L’odeur, le toucher. Elle est très douce, chatte contre mes muscles tendus. Ses doigts sont caressants et ses ongles affleurent mon torse me donnant des frissons. “Je veux te faire crier, tu me donnerais ça ?” Elle connaît la réponse, je sais. Je suis à bout, mais je veux la satisfaire, je veux qu’elle fasse de moi, de ce corps son jouet, son plaisir. Elle me scrute en silence, toujours caressante. J 'hoche plus ou moins ma tête contrainte. Elle sautille joyeusement, “merci”, et m’embrasse en haut de la colonne avant de s’écarter. Le premier coup me fait bondir, oubliant la chaîne. Je connais cette morsure. C’est un martinet que j’ai tressé à la demande de mes Maîtres. Court, fait de cordelette synthétique noire terminée avec trois nœuds sur chacune des six queues. Ils m’avaient demandé de fabriquer un martinet qui me fasse peur, je m’étais surpassé. Cette cochonnerie était une horreur donc je n’avais testé l’efficacité qu’une paire de fois. Madame continue avec enthousiasme. Ses coups sont réguliers, tombant sur tout mon corps. Elle attend une ou deux secondes entre chaque coup pour me regarder encaisser. Je crie dans le baillon. Elle est enthousiaste, et accompagne la flagellation d’encouragement à danser d’un ton joyeux. J’ai l’impression que ma peau éclate en multiple endroits à chaque impact. Je ne sais plus ce que je fais, je lutte contre les liens, je sautille, je m’étouffe. Mais le supplice continue. Une crampe vient prendre mon mollet. Mais le supplice continue. A un moment, je pends au bout de la chaîne, ne luttant plus. Madame est collée contre moi, câline et me murmure “merci, merci”. Je n’arrive pas à interrompre mes sanglots. Monsieur vient aider Madame. Ensemble, ils détachent mes bras qui tombent sans force. La chaîne est détachée et sans leur soutien je m’écroulerai. Ils m’allongent au sol et me retirent le bâillon. Je sanglote encore. Ils me donnent un jus de fruit à boire avec une paille. Madame me parle doucement, me remercie. Mes mains reviennent à elles et piquent désagréablement. Je reprends un peu de vigueur. Je constate que mon corps est moucheté des traces du martinet, mais je ne vois qu’une ou deux petites plaies. Ce constat me rassure un peu. “Tu vas continuer” dit elle gentiment mais d’un ton sans appel. J’acquiesce silencieusement. Madame s’assoit sur une des chaises, écarte les jambes. Elle ne porte rien sous sa robe courte. J’obéis à l’appel sans qu’elle aie à formuler d’ordre. Tôt elle m’a entraîné à la satisfaire et je m’y emploie avec enthousiasme. Mon cou est raide, dur de l’immobilité subie. Mais j’y trouve une motivation supplémentaire à mon effort. Elle est très excitée, et elle vient vite plantant ses ongles dans mon cuir chevelu. Monsieur est à coté, sexe sortit. Elle le branle et elle relève ma tête vers sa verge alors qu’il jouit après elle. J’en attrape le plus possible au vol. La encore, je connais mon role et j’embouche le sexe qui débande pour le nettoyer de ma langue et mes lèvres. Autour de nous une paire de convives applaudit. Une femme demande si je peux la nettoyer, et Madame m’y enjoint. Son sexe est poisseux de foutre et je le lape propre. Excitée par le traitement, elle jouit dans ma bouche. Les invités sont moins nombreux que je ne croyais, deux couples en plus de mes Maîtres. Un des couples, la cinquantaine, est clairement purement dominant et est accompagné d’une soumise qui malgré sa quarantaine affiche un corps superbe. Le second couple dont j’ai servit la femme est un peu plus jeunes, la même trentaine que mes Maitres sans dout. Madame me récupère et je finis la soirée à ses côtés. Elle encourage des ébats, me fait lécher les bourses et la verge de son cavalier pendant qu’elle s’offre à une sodomie. Je termine la soirée à quatre pattes servant de support à la soumise que Monsieur couvre de cire. Les convives partent, je suis épuisé, agenouillé au pied de ma Maîtresse. Monsieur revient et me flatte de sa main sur le crâne “tu as été bien”. Je me sens très fier de les avoir honorés. “Nous avons prévu une autre surprise pour toi” me dit-il. Je reste silencieux sachant qu’en général leurs surprises sont éprouvantes. Je rentre dans la villa suivant sa traction sur mon collier de chaîne. Monsieur s'arrête à l’angle du couloir. “Voilà” Je ne comprends pas. “Voilà ton nouveau coin de nuit” Les briques nues rejoignent un sol de dalles roses en terre cuite. Je ne vois pas trop en quoi c’est aménagé. “Tu vas voir, ne bouge pas” Je reste assis sur place pendant qu’il s’absente. Il revient avec une sorte de muselière de cuir. Il me l’enfile. La chose me couvre du menton à sous le nez avec une excroissance qui entre dans ma bouche. Ce n’est pas inconfortable, mais je ne peux ni ouvrir ni fermer ma mâchoire. Il y’a un côté protecteur dans la pression du demi masque, mais je reste perplexe de la suite. Monsieur prends mes cheveux en main et guide ma tête vers le sol. A peut être 20cm du sol, un anneau fait saillie du mur. Jumeau de l’instrument de supplice du début de soirée, il permet d’y accrocher l’anneau qui fait saillie de devant ma muselière. Monsieur clipse un cadenas entre les deux et fait un pas en arrière. Madame nous a rejoint et c’est elle qui parle en premier. “Ah tu as découvert ton petit coin. Je suis certaine que tu vas en apprécier la perversité.” Les quelques secondes m’ont permis de tester les mouvements possibles: impossible de poser la tête à terre, impossible de s’adosser au mur. Même si mes mains et mes jambes sont libres, je suis coincé face au mur. Mes Maîtres me laissent. Ils débarrassent, rangent. Ma position est franchement inconfortable, mais surement, ils vont me détacher pour me faire dormir au pied du lit. C’est la soumise, que je croyais partie, qui m’apporte une couverture. Madame repasse, “Ah Marie a pris soin de toi. Pense bien à nous, c’est elle qui est dans notre chambre cette nuit”. Je ressens un pic de jalousie féroce qui doit se voir dans mon regard. Madame caresse ma joue, “Tu souffres pour ton Maître et moi. C’est pour t’apprendre la patience, et aussi pour le plaisir que nous avons à te savoir là. Profites-en, cette nuit, tu peux te faire jouir autant que tu veux.” Je suis perdu un instant entre plaisir, désir de plaire, frustration, jalousie. Mais surtout je me retrouve seul, dans le noir, dans une position qui empèche tout sommeil récupérateur et les moustiques pour seule compagnie. Malgré l’inconfort et la fatigue, ma plus grande frustration est que le bruit des grillons couvre les ébats que je devine derrière la porte close au bout du couloir. C’est en l’imaginant que je me fais jouir.
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Par : le 23/05/21
Chapitre 3 - le dernier Apres le depart de Christian, Alex reste couché sur le sol durant un long moment, menotté, pantalon en bas des genoux, le plug dans le cul et trempé de l'urine de Christian. Il n'avait jamais connu cet etat psychologique troublant, ou en etant humilié violenté et baisé pire qu'une pute, il avait finalement jouit. Cela le troublait de réaliser que finalement il avait aimé cette experience malseine. Il mis longtemps avant de retrouver ses esprits, se releva, puis defit les menottes et se rehabilla comme il pouvait, pour rentrer chez lui discretement a pied. Enfin Arrivé! Une fois la porte fermée, il se deshabilla et aller prendre sa douche. Pris un vieux rhum Clément d3 ceux que l’on savoure pour les grandes occasions et pour reflechir tout en grignotant. Puis alla se coucher. Il s'endormi rapidement l'esprit empreint de ses derniers souvenirs et passa une tres bonne nuit. Le lendemain, au reveil sa decision etait prise, il se rendrait au rendez-vous. Arrivé sur place, il s'agissait d'un hotel particulier dans un arrondissement cossu de Paris. Il fit un tour dans le quartier malgré tout hésitant, puis se lanca et sonna à la porte quelques minutes suivant 14h00. Apres quelques instants, la porte s'ouvrit, et il decouvrit le visage de son tortionnaire. "salut alex, nous étions sûr que tu viendrais, mais tu es un peu en retard..." "bonjour, oui, en effet..." alex n'eut pas le temps de finir sa phrase que Christian l'avait plaqué contre le mur le tenant à la gorge et lui mettre une taloche,"pour toi c'est Maitre Christian, compris" "oui ..." reclac "oui Maitre Christian" " c'est mieux, mais il va falloir apprendre plus vite, sinon tu finiras sans peau a force de te faire punir!" Il'continua, "voila c'est en quelque sorte notre quartier général, nous y pratiquons nombreuses de nos activités, confortable et bien equipé une belle reception. Mais ils nous arrivent parfois d'organiser des soirees ou d'autres activités ..." alex intervint "et qui est le proprietaire?" Il est aussitot plaqué contre le mur "tu parleras quand on te le demandera" "...ah ok..." nouvelle clac "oui oui maitre christian". Ils gravirent les marches du péron, puis prirent une porte à droite.  Celle-ci donnait sur une piece de taille moyenne ressemblant a un salon, pas trop haute de plafond, et alex, eut un reflexe de recule lorsqu'il realisa qu'il y avait 3 hommes assis sur un canapé en train de prendre le café ..."ah ! enfin voici ta nouvelle recrue! "  " OUI il est arrivé un peu en retard. Il voulait déjà scorer dans le tableau des punitions!" Rire general. Christian continu. "voici quelques membres éminents de notre club,  Maitre James, banquier et specialisé dans le bondage, maitre Kevin qui est tatoueur piercer pro, et maitre Jack, médecin. Nous allons tous participer à ton dressage, et comme tu le vois tu es entre de bonnes mains. Qu'en penses tu?"  ..." oui en effet maitre Christian" "à la bonheur, il finit par comprendre. Dans notre club il y a 4 castes, les apprentis slaves dont tu fais maintenant parti, les slaves qui peuvent dominer les apprentis sous controle d'une personne de caste superieure, les apprentis maitres et les maitres. Le club est dirigé par un petit groupe de maitres dont nous faisons parti tous les 4. Bien sûr il y a des hommes et des femmes dans toutes les castes, et tes preferences sexuelles n'ont aucune importance, nous sommes soit hetero, bi, ou gay aucune difference ou discrimination, ce qui compte c'est ce que le maitre veut. Compris?" ..."oui maitre Christian"... "maintenant fou toi a poil apprenti..." à ces mots alex rougi ayant peu l'habitude de se deshabiller devant des inconnus. Christian l'attrappa par les cheveux "quand on te donne un ordre tu obeis immédiatement sans réfléchir, compris?" "oui maitre christian" et il commenca a se déshabiller. Pendant ce temps Christian appuya sur une sonnette et aussitôt une superbe blonde, top less les seins percés par des anneaux, un collier de cuir enserrant son cou, en porte jaretelle bas coutures et haut talons entra dans la piece et commença à ramasser les affaires d'alex pour les mettre dans un sac sur lequel le prénom Alex etait brodé. Instinctivement il voulu couvrir son sexe que la blonde reluquait, car bien que gay il avait toujours été intimidée par les filles mais il reçu une clac, ainsi que la blonde, "concentre toi chienne vero, tu n'es pas là pour te rincer l'oeil, va chercher ta punition auprès de maitre kevin" "bien maitre pardonnez moi", elle se mis a 4 pattes puis alla se placer a genoux devant kevin les mains derriere la tete, celui-ci lui mit directement une baffe et l'attrapa par les seins " alors comme ça on regarde la queue de qulqu'un qui n'est pas son maitre? Un apprenti soumis en plus! Quelle honte"... la  blonde grimaça sans broncher... " tu recevras 10 coups de fouet tout à l'heure,... va te mettre en position d'attente!" La blonde repartie a quatre pattes se positionner dans un angle de la piece, jambes légèrement ecartées, mains dans le dos et regard baissé. Christian repris," bon, chien va saluer tes maitres" alors qu'alex se deplacait en marchant, il fut attrappé par les cheveux, puis par les couilles et mis a genoux de force " a quatre pattes chien..." rouge de honte et de douleur alex alla se placer sans dire un mot devant james a la manière de vero. " bien... ça commence a rentrer" James se leva, fit le tour d'alex en commentant " bien joli cul et joli corps, musculature pas trop mal, le bondage devrait bien t'aller. Un peu de muscu à ton programme et tu n'en seras que plus baisable." Il se pencha sur alex, le pris par les cheveux et l'attrapa par les couilles en les étirants vers le bas, lui roula un grosse pelle. "waouw, sexe" s'exclama Kevin "vient me voir maintenant. Alex se positionne devant kevin qui l'inspecte avec plus de details, "ouvre la bouche, tires ta langue,...hummm jolie, je sens qu'il doit etre super fort en fellation..." "je te confirme encherit Christian. Kevin lui tate les seins "humm pas mal du tout aussi, ce sera facile pour le signe d'appartenance..." puis il lui enserre les couilles avec sa main pour les étirer vers le bas. Alex grimace, en emettant un petit bruit, ce qui lui vaut un bonne paire de clac. Puis kevin racle un beau glaviot crache par terre et lui ordonne de lecher, apres un moment d'hesitation kevin l'attrape par les cheveux et le force à lecher le glaviot au sol. "voila, c'est bien... qu'est ce que l'on dit a son Maitre?"  "....euh merci Maitre Kevin?". A son tour Jack l'interpele "a moi, ... on va voir à quel point t'es une salope. Ouvre ta bouche et leche bien mes doigts...encore" en meme temps, jack retire le plug ce qui a pour effet de faire mouiller alex. Puis Jack lui fourre 2 doigts au fond de la gorge, alex s'etouffe mais recrache une bave bien visqueuse. Aussi Jack le plaque sur le canape et commence a lui lubrifier l'anus. Puis introduire un doigt. "vas y leche salope" puis Jack lui fourre 2 doigts dans le cul, alex emet un petit rale... " tiens on dirait qu'elle aime ça la salope." Puis 3 doigts, " a priori pas de soucis coté sodo, il faudra tenter un fist peut etre. Tiens ouvre la bouche" et jack lui fourre le plug dans la bouche et lui fait refermer. Christian reprends la main, "bon aller assez amusé, vient la chien", alex le rejoint a 4 pattes. "debout!" Une fois levé, christian retire le plug de sa bouche pour le replacer dans son cul, puis lui attache les mains à l’aide de grosses menottes en cuir que presente vero sur un plateau sur lequel se trouve aussi une tondeuse. A l'aide d'une telecommande, christian fait descendre un cable d'acier auquel il attache les menottes. Pendant ce temps vero a posé les equivalentes à ses chevilles et les a reliées a de courts cables au sol. Christian manoeuvre et alex se retrouve suspendu à quelques centimetres dans les airs les jambes ecartées. "vas y chienne vero, transforme nous ce pd en apprenti soumis" vero s'approcha tondeuse a la main et rasa alex des pieds au cou avec application. "Et voila, nu comme un ver, pour te rappeler que les slaves n'ont rien, qu'il ne sont rien, chaque fois que tu franchiras cette porte tu te mettras à poil, et tu devras etre tondu pareil a toi de t'entretenir desormais. Rasage, epilation, tu as le choix des armes! Attention tu seras inspecté à chaque fois, et en cas de défaut tu seras sévèrement puni, compris?" "oui maitre Christian" alex commençais a se prendre au jeu et trouvait cela ludique. Apres tout le soumis ne doit penser à rien si ce n'est qu'a obeir, subie et faire plaisir a ses maitres. "ah voici l'un de mes moments préférés!" Tous se levèrent et vinrent autour d'alex, toujours suspendu, en retirant leur ceinturon... " la correction!" Stupeur dans les yeux d'alex, alors qu'au meme moment, vero place un baillon boule dans sa bouche "La correction, differente de la punition, est un principe fondateur du bdsm. Tout soumis se doit d'etre battu, car c'est sa destiné. Celles ci se fond avec divers ustensiles de plus en plus sophistiquées ou cruelles, par forcement douloureuses, mais cela fait parti de l'entreinement en quelque sorte". Et la corection,commence, plutot douce, les ceinturons sont à mi longueur. Afin d'en reduire la force. D'abord les fesses, puis les jambes, le ventre, les bras, les ceinturons, les longueurs s'allongent, le rythme ralenti mais les coups sont plus forts, de plus en plus fort... Soudain Jack  dit " ok c'est bon là", alex est au bord de l'évanouisement, zebré sur tout le corps. On detache rapidement ces jambes puis on le redescent, on lui donne a boire... drole de gout...c'est pas que de l'eau puis on l'emène dans une cage se trouvant dans une piece attenante, ou on l'attache pas le cou et on l'enferme. Jack passe pour verifier son etat " ok tout va bien repose toi une heure...." il s'endore profondement, il avait été drogué. Lorsqu'alex se reveille il est assis sur une chaise, le basin un peu en avant, les mains attachées au dossier, les pieds à la chaise, et les yeux bandés. Il reconnait la voix de Kevin qui discute avec Christian. "Voila, je vois que docteur Jack a encore fait des miracles, apprentissage suivant..." dit Christian " jeu de cire" a peine la phrase terminée qu'il senti les brulures des gouttes lui tombant dessus. C'est la première fois qu'il ressent cela. la brulure est mordante mais tres furtive il se tortille dans tous les sens et bondi lorsque la cire coule sur sa bite mais il trouve cela très excitant et bande comme un ane. le traitement dure jusqu'a ce qu'alex soit bien recouvert. "Alors ça ta plus?" "oui maitre , merci maitre"... christian continu, le probleme avec la cire c'est pour la retirer, heureusement on a du personnel...vero?" Et aussi alex recoit un violent coup de martinet sur la poitrine... "oui vero adore retirer la cire "... les coups descendent progressivement et methodiquement au fur et à mesure que la cire se retire... " stop "dit kevin " là ses seins sont bien dégagés on va lui poser des pinces" "bien maitre" répond vero en lui apportant celles ci. Kevin malaxe et étire les seins d'alex pour le préparer, puis pose les pinces aux deux seins lui arrachant un cri de douleur. Il reçoit une clac de kevin "calme toi, fait pas ta fiotte, tu verras c'est beaucoup plus douloureux quand on les retire". A ce meme instant il rescend que les pinces sont attachees et sont tirees vers le haut.Pendant qu'il disait cela, alex percoit la porte qui s'ouvre et une nouvelle personne qui entre. Quelques chuchotements, et se sont les coups de martinet qui repartent. Calculant la direction des coups il en oublie sa douleur aux seins et commence a craindre le martinet sur ses couilles, arrivés au niveau du pubis les coups cessent "t'a eu peur hein slave?" Ne repondant pas il recoit un coup de martinet "le maitre n'a pas entendu ta reponse!" Dit vero "oui maitre christian j'ai eu peur"  ... " bien continuons" il sens que quelqu'un s'agenouille entre ses cuisses puis commence a retirer la cire de sa queue. La finesse des doigts la longueur des ongle et la subtile douceur inherente à la gente feminine le font penser a vero et soudain, il sent que la femme prend sa bite la porte à sa bouche et commence à le sucer. Cela à beau etre une femme, la situation est telle que l excitation monte et sa queue commence à gonfler. "tu vois qu'on est pas des sauvages dit kevin, le bdsm c'est le plaisir pour chacun, et chacun à sa maniere" ... "vous avez totalement raison mon maitre" entends t’il dire vero derriere lui !!! Mais qui est donc la mysterieuse personne en train de lui faire cette magistrale pipe, il commence a geindre, mais aucune reprimende ni coup de martinet,... il entant jack dire "tient mets une capote" et resent la femme lui mettre, cracher sur son sexe le porter à sa bouche puis monter sur alex et s'empaler dessus pas onde successive. Qu'elle ressenti incroyable, baisé par une femme sans savoir de qui il s'agit et sans pouvoir rien faire. Il resent une main qui s'agite pres de ces couilles, mais a priori pas pour les torturer. Il comprends que quelqu'un prépare sa partenaie pour une sodomie. Il sent le poid de la femme qui le chevauche augmenter. La femme tire sur les pinces de seins, il ne sait pas s'il pourra se retenir encore longtemps, d'un seul coup la femme émet un bruit roque suivi par un "ouuuui Christian, prends moi comme une chienne..." dans une voix déformée mais qui semble familière a alex sans qu'il ne puisse mettre un nom dessus. Le manège dure encore dix minutes et c'est l'explosion alex éjacule en premier suivi peu de temps par christian, et la femme qui jouie relachant plusieurs jets. Puis elle dit "ok je valide la candidature de cette nouvelle recrue, tu peux procéder kevin". La femme se retire et kevin lui retire le pinces aux seins, alex pousse un cris "et oui ça fait plutot mal...”, et quelque secondes plus tard il ressent une profonde douleur au sein droit " voila chien' c'est ta première marque d'appartenance a notre club, un piercing au sein droit. Alex a eu le soufle coupé par la douleur, mais un coton imbibé d'un produit special est immediatement mis pour soulager la douleur. "Et maintenant ton premier galon d'apprenti" alex sens qu'un epais collier de cuir lui est attaché autour du cou. On le détache, et on le mene à 4 pattes par le collier dans la salle de la cage, ou il découvre un pilori pas très haut. On le positionne ou il se retrouve le cul en l'air. D’autres personnes rentrent, "aller tu m'as excité ptit pute, je vais bien te baiser" il reconnait kevin qui sans plus de discussion le culbute. En meme temps il entend une autre personne avec ses tallon aiguille , s'approcher et lui donner des coups de martinet en riant. Puis elle s'arrete, passe devant le pilori, et lui pisse dessus, pendant que kevin jouis. Il se retire et sort les laissant seuls. " ah il t'a bien bourinné maitre kevin hein" et en disant cela retire le bandeau d'alex, ses yeux sont troubles il voit des bottes en cuir a talons, des bas une guepiere,... il sursaute et manque de s'etouffer..."Leaticia!!!???" ""Hahahahahahahah eh oui alex t'es pas rapide à comprendre. Merci pour le cadeau tout a l'heure, j’ai toujours revé qu'on baise ensemble, voir tu aurais pu rejoindre le club comme maitre, mais la fois ou tu m'as donné ton mot de passe pour que je verifie le dossier d'un patient, j'ai trouvé tes photos, tes sites, j'ai hacké tes comptes, on t'a tracé durant 2 mois.... quel plaisir, le beau male se revele etre une salope... donc maintenant, c'est mon tour de te baiser"... Sur ces mots elle chausse un gode ceinture et encule alex avec violence. Fin
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Par : le 16/05/21
Vous m’obligez à me mettre nu, m’inspectez, arrêtez votre regard sur mon sexe en érection et mes fesses. Vous portez dessus un regard mutin et m’observez ; je fais de même. Ma taille et mon regard sombre vous agacent. Mes testicules sont compressés et tirez vers le bas. Je comprends et baisse les yeux. Cela n‘est malheureusement pas suffisant et je sens votre agacement ; une gifle, puis une autre… « Vais-je te gifler encore longtemps avant que tu te mettes à genoux ». Je suis à genoux, vous cherchant du regard en train de tourner autour de moi… « Qui t’as dit de relever les yeux » « J’aime vous regarder » « Tu n’es pas autorisé à Parler sans mon autorisation, pour le moment tu répondras à mes questions, c’est tout » Je ne suis pas rassuré, mes fesses sont nues et je ne sais pas ce qu’il va m’arriver. Vous vous éloignez, puis prenez un siège. « Viens à moi » Je fais le chemin à 4 pattes et vous entends rire. J’enrage et jette un regard réprobateur ; ce qui me vaut une autre gifle… Décidément. « Je ne fais qu’obéir et attends vos ordre » « Ça suffit, j’en ai assez » Vous retirez votre culotte et me l’enfoncez dans la bouche. L’odeur, le goût, l’idée même ce que vous venez de faire… me rend tellement chaud que je me touche le sexe (maintenant et en projection). « Non mais je n’y crois pas, tu te touches devant moi, comme ça » Autant dire que, désormais, mon argumentaire est un peu restreint… « On va passer à la vitesse supérieure dès maintenant, tu vas voir, tu vas aimer » « Tu te touches devant moi comme un animal, je vais t’en empêcher et te le faire payer… » Ma tête bascula entre vos jambes et je gémis sous mon bâillon, autant par surprise que par excitation d’être aussi proche de votre intimité. Désormais j’étais coincé et je ne pus que constater que mes mains été rabattues dans mon dos. Je ne sais pas avec quoi mes poignets furent liés, mais un mélange de douceur et de fermeté m’envahit. Pas de douleur, pas de fourmis dans les doigts, mais j’avais beau essayé de détacher, rien à faire. Le prisonnier sans douleur… drôle de sensation. « Debout ! » Je m’exécute et vous m’attrapez le sexe et serrez avec fermeté mais avec mansuétude également. « A qui ça appartient ça ? » Seulement des gémissements de ma part, alors qu’une seule réponse aurait tout arrêté… puis je reçus un coup sur le gland, ouf… là ça devient chaud. « Je n’ai pas compris, est-ce que tu peux articuler ? » Gémissements plus forts, mais… gémissements quand même. Et le scenario se répéta 5 ou 6 fois, en prenant de l’intensité, malheureusement pour moi. De l’excitation et de la colère m’envahirent et le jeu s’arrêta net. Au revoir le prisonnier sans douleur…. « Je pense que maintenant tu as compris » Mes yeux furent bandés et mon bâillon retiré. « Merci Madame, oui j’ai compris mais ce n’était qu’un réflexe… » « Ne me remercie pas, tu ne sais pas ce qui va t’arriver. Et remets-toi à genoux, je reviens dans un instant pour te montrer un autre type de reflexe… » Vos pas s’éloignèrent, puis rien, puis revinrent… et là, vous m’ouvrez la bouche avec délicatesse mais fermeté et un objet s’engouffra dans ma bouche…. « Suce bien que je sois satisfaite, sinon, on va y passer un moment… » Je pense que la situation m’a échappée, je sais plus le pourquoi du moment ; la seule chose qui reste, c’est cette queue qui reste dure et que je ne peux pas toucher.
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Par : le 04/05/21
LMSD 8 Le (THE!) tuto pour sérial niqueur néophyte Un grand classique sans doute, mais à ce stade de ma carrière dévastatrice, reconnaissons le sans humilité superflue, je me sens en devoir de transmettre le fruit mon immense expérience à la jeune génération. Un tel savoir perdu, quel gâchis ! Evidemment sans me connaître jusqu'ici tu me détestais, une jalousie compréhensible devant un tel palmarès. Tu te demandais mais comment il fait softail ? En fait pas si simple mais t'as tes chances jeune Padawan sérial niqueur ; évidemment par rapport à moi tu pars avec de sérieux handicaps : toi t'as pas un physique de rêve, ni un QI très au dessus de la moyenne, ta culture ne rattrapera jamais la mienne, et ton compte en banque même après avoir gagné à l'euromillion manquera de quelques zéros. Alors, aucune chance, condamné à te branler ? Que Nenni ! La jeune génération (mais évidemment aussi les maîtres les plus confirmés en passant en invisible pour préserver leur égo ne manqueront d'apprendre ici) peut prendre ce qui suit comme un tuto. J'aurais pu appeler cet épisode de mes mémoires « comment pêcho à coup sûr, sans perdre de temps ». Etrangement je sens bien avoir capté l'attention du lecteur mâle (j'envisage un chapitre spécifique pour les femelles si mon lectorat vaginal me supplie à genoux, ce qui ne manquera pas, bref). Voici donc quelques règles d'or cher débutant (n'oublie jamais qu'après cette lecture qui semble au premier abord gratuite tu me seras redevable à vie). 1/ inutile de lire les fiches Ca ne sert à rien ; autant se concentrer sur l'essentiel : niquer de la chaudasse. D'une part les liens ne te regardent pas, c'est juste l'affaire de deux personnes. D'autre part la soumise qui naïvement fait part de sa recherche, quelle bonne blague ! Sérieux, c'est qui le patron ? Sans compter que t'as, à peine arrivé, quelques centaines de demandes d'amis à envoyer, alors on ne traîne pas, on ne perd son temps, hop, hop, hop! 2/ cherche directement le bon sexe, le bon statut Oublie que ce sont aussi des femmes ; on n'est pas là pour ça. Une femme t'en as déjà une de toute façon. Encore une fois se recentrer : on cherche une soumise. Oublie l'approche habituelle, la séduction, le romantisme et toutes ces conneries. T'es pas inscrit sur Baudelaire.com, mais BDSM.fr pour rappel. Alors soigne ton image: elles veulent un vrai, un pur, un dur (en gros essaie de te faire passer pour moi) 3/ ne perd pas de temps en formalités On a beau être en France, pays de la bureaucratie et des procédures, le site n'est une annexe gouv. quelconque. T'es arrivé, t'as envoyé 132 demandes d'amis aux femelles de ton coin (sans message d'accompagnement t'es pas là pour raconter ta vie), 6 ont accepté. Les autres étaient soient des fantasmeuses soit des frustrées (cumul probable). Tant pis pour elles, elles ne savent pas (ou si...) ce qu'elles perdent. A partir de là, ne perd pas de temps, pense que d'autres queutards rodent eux aussi les saligauds. Donc 2 messages en MP puis ton 06 direct. Efficacité, simplicité. 4/ donne le moins possible d'informations Déjà n'envoie jamais ta photo, ça te desservirait. Ensuite ne te laisse embrouiller par les intellos ésotériques qui vont te prendre le chou des heures avec leur cérébralité, le côté psy de la chose. Rappelle toi que c'est leur cul qui t'intéresse. Dans le doute, toujours se recentrer sur les bases. Pas de blabla qui ne sont que des pertes de temps, décline les « on pourrait se rencontrer dans un café histoire de mettre un visage sur un pseudo hi hi » . Non toi t'es là pour déglinguer alors rencart direct au formule du coin (sauf si c'est elle qui paie) ou rien. 5/ miracle ton rdv est fixé Oublie les fleurs, achète plutôt des capotes. Inutile de te faire beau, elle aura les yeux bandés. Tu peux te permettre d'arriver en retard, elle prendra ça comme un test de son envie. Oublie les mises en scène à la mord moi le nœud, le côté sordide d'un hôtel de passe ou les toilettes du bistro du coin l'exciteront à mort. N'investit pas dans des accessoires inutiles : de un ta bite est le seul qui vaille, et de deux contrairement aux promesses que tu as du lui faire tu ne la reverras jamais. 6/ tu reviens et tu remets ça Ne t'attache pas (elle à la rigueur et aux barreaux du lit) ; les sentiments tout ça c'est des conneries. Un palmarès ça se construit, ça ne tombe du ciel comme ça. Si un jour malgré le fait que tu resteras à des années lumières de moi tu veux aussi devenir un Maître respecté et envié, c'est l'unique voie. Tu n'as pas confiance en toi, tu bandes mou, tu n'as jamais manié un fouet ou une cravache de ta vie ? No stress, ce sera trop tard pour elle de toute façon. Après tout tu es aussi là pour te faire la main (en plus de la queue). Ah oui, au besoin, prend un bâillon...
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Par : le 20/04/21
Il y a 7 ans de ça, j'ai rencontré un homme jeune, 28 ans, un peu efféminé, avec qui nous discutions de BDSM. Il était homo à 80% et hétéro à 20% comme il me disait. Son coté hétéro, il l'acceptais uniquement dans le fait de se faire dominer par les femmes. C'était un soumis total. Il me savait Dom et je débutais dans le switch. Aprés plusieurs mois à nous raconter nos histoires, il me proposa de participer à une séance avec sa Domina. On s'est rencontré tout les 3 dans un bar de la région bordelaise. Sylvie était une femme de 45 ans, 1m70, trés fine, la peau brulée par le soleil, teinte en rousse sombre, et les yeux bleux gris. Pas vraiment jolie, peu de formes, et des cheveux plutôt long. Elle était une dom assez perverse mais se présentait comme étant une femme qui ne faisait que s'amuser comme elle disait. Cela faisait 3 ans que Nicolas (le jeune homme ) la fréquentait régulièrement. Sylvie était en couple mais ne disait rien de son coté SM à son mec. Elle cherchait un DOM pour l'accompagner dans un scénario à plusieurs avec des soumis dont un trés particulier qu'elle nous avait présenté comme un débutant. Pour me tester, elle nous a proposé une séance à 3. Lors de cette séance, elle s'est amusé avec Nicolas et m'a demandé de participer. J'ai fouetté, gifflé, fisté le jeune homme, et pour la première fois de ma vie je me suis fais sucer par un homme (je sais pas ce qui m'a pris de l'obliger à faire ça, ). Sylvie regardait, elle a été super excitée devant la scène, elle est venue prés de moi pour m'embrasser comme si elle venait s'abreuver dans ma bouche... j'ai cru qu'elle allait m'aspirer de l'intérieur tellement elle m'embrassait profondément. Suite à cette séance, elle me voulait absolument pour son plan à plusieurs. Quelques semaines plus tard, on s'est tous rejoint dans une maison dont elle s'occupait pendant l'abscence des propriétaires dans le périgord . Maison sympathique avec gros murs en vieilles pierres et piscine. Nous étions tout les 3 plus 2 autre hommes; Un autre devait arriver un peu plus tard . Avant son arrivée elle nous a briefé. C'était un ex à elle, une relation vanille, il était trés amoureux d'elle, et il avait accepté de participer en tant que soumis-cocu. Cela faisait 6 ans qu'ils ne s'était pas revu et là il venait se faire dominer. J'ai eu un mauvais préssentiment, la suite me donnera raison. Quand Pierre est arrivé, on s'est tous présenté. Je le voyais regarder Sylvie avec un air trés amoureux, ça ne sentait pas bon, il était là pour la reconquérir et il allait tout accepter par amour pour elle. Mais Sylvie n'était pas du tout dans le sentiment, elle le choyait certe, mais c'était malsain, trop. Plus comme quelqu'un qui carresse un animal pour le calmer avant de l'égorger, c'est ce que je ressentais, j'étais mal à l'aise. En discutant avec Pierre, il m'avait dit qu'il avait déjà pratiqué la soumission mais pas avec elle. Il aimait la violence, le god ceinture, mais pas le fist ni l'uro et le scato. Le rôle de Pierre était celui du soumis cocu attaché, et ça devait finir par un aftercare entre lui et Sylvie en dehors de notre présence, ils devaient baiser tranquille ensemble à la fin, comme pour le remercier à lui. La séance a commencé en attachant pierre, nu, bailloné, debout les mains en l'air accroché à une poutre. Devant lui nous avons commencé à carresser Sylvie, la lécher. Elle avait un bustier et porte jarretelle noir et un string. Nous étions debout devant pierre dans le salon. Puis J'ai pris mon rôle de DOM et SYLVIE de DOMINA. Nicolas et les deux autres hommes étaient les soumis, et Pierre regardait la scène. On a commencé à les fouetter, les tenir en laisse. de temps en temps, Sylvie allait voir Pierre pour le fouetter. Elle faisait le tour de l'homme en lui fouettant, tout le corps sans exception; Puis elle lui carressait le visage, l'embrassait sur les joues ou le front et revenait avec nous. Elle me demanda de tenir les 3 soumis en laisse à 4 pattes et les lui présenter comme une meute de chiens tour à tour. Elle était assise par terre, un drap devant elle et du lubrifiant. Je lui présentait les soumis tour à tour, et elle les fistait un à un. Parfois elle me demandait de me faire sucer pendant qu'elle les fistait, ce que je faisais sans problême. Au bout d'une heure de ce cirque, de vas et viens de Sylvie pour fouetter Pierre, elle décida que je devais m'occuper des soumis pendant qu'elle allait s'occuper de Pierre. Je pris les 3 chiens ensembles et je les ai forcé à se prendre mutuellement , ils étaient tous bi ou homo. Pendant ce temps là, je les fouettais de temps en temps et je regardais ce que faisais Sylvie. Elle avais détaché Pierre, le fouettait, le giflait, alternait la violence avec quelques carresses douces. Mais son regard à elle m'intriguait, il y avait un rictus trés pervers, trés méchant sur son visage, je n'aimais pas ça. Elle pris une ceinture god, et se mis à l'enculer sans ménagement; On voyait bien qu'il souffrait, il avait les yeux au bord des larmes. Il était à 4 pattes, elle l'insultait de tout les noms, et lui, les mains attachées dans le dos, la tête écrasée par terre, agitait ses mains en les ouvrant et les fermant frénétiquement. Elle le fouettait pendant qu'elle le sodomisait, lui hurlait dessus, ça me dérangeait elle criait trop fort, c'était un déferlement de haine et de rage contre lui. Puis elle s'arréta, en sueur, elle l'attacha à une chaise en fer forgé, les mains dans le dos, toujours bailloné. Pierre avait le regard triste, les yeux humides, mais aucun signe ou volonté d'arrêter. Il la regardait avec des yeux qui sortaient de ses orbites, un truc n'allait pas, il était trés énervé. Je le fis remarquer à Sylvie, mais elle me dit que ça faisait partie du contrat avec lui. Elle devait soi disant le pousser à bout de nerf, jusqu'à ce qu'il craque et pleure, c'était leur contrat. Bon, je trouvais ça bizarre, mais pourquoi pas. Aprés celà, nous devions terminer , les 3 soumis et moi par la baiser sous forme de gang bang classique devant le cocu attaché. Ce qui fût fait. Devant Pierre, elle a eu droit à tout, double pénétrations, double vaginale etc etc... Elle regardait Pierre de temps en temps en l'insultant "tu vois comment ils me baisent eux, pauvre merde"... etc etc... Et elle nous poussait à la baiser encore plus fort, plus violement. A un moment, je la regardais et son visage était en extase, elle regardait Pierre, et on voyais dans son regard un mélange de méchanceté et de plaisir extrême. Je regarda Pierre, il était en larmes, elle avait réussis son contrat. Pierre baissa la tête, en pleur. Sylvie se leva enragée, elle alla vers pierre et lui ordonna de continuer à regarder; Elle lui tira la tête en arrière , il pleurait, elle le gifla trés violement; Je voyais les mains de Pierre s'agiter de la même façon que tout à l'heure, il les ouvraient et les fermaient frénétiquement. Je me suis dit que c'était les menottes qui le serrait trop. Je me leva et dit à Sylvie "je crois que les menottes le serre trop, regarde ses mains". là elle se mit à me hurler dessus "de quoi je m'occupe toi ?". ça a mis un grand froid. Nous nous sommes regardés, les 2 soumis, Nicolas et moi, interloqués. On a décidés tout les 4 d'arrêter et de partir. Sylvie a été prise d'une crise d'hystérie contre nous, elle nous insultait, insultait Pierre en lui disant que tout ça s'était de sa faute, qu'il n'était qu' une merde, elle le giflait. Je l'ai agrippé par la main et là je lui ai collé une gifle monumentale qui la projeta à terre. Je lui ai dit d'arrêter, de le détacher et que c'était finis ses conneries. sans attendre les 2 soumis Nicolas et moi sont partis en les laissant tout les 2 pour l'aftercare que Pierre méritait bien à mes yeux. Il était 10h du soir, et avec Nicolas on s'est arrété dans un bar à 3 km pour boire un verre, on voulait débrieffer, on en avait besoin. Au bout d'une demi heure, Sylvie a débarqué dans le bar, elle y avait ses habitudes mais ne savait pas que nous étions là. J'étais surpris, 30 mn pour un aftercare aprés une séance si violente et Pierre absent, je ne comprenais pas. Elle ne nous avait pas vu et se pavaner toute souriante avec des amis à elle. Personne ne savait pour ses délires SM, aucun de ses amis ne nous connaissaient. Elle rigolait, s'amusait, tout allait bien, rien à voir avec la folle hystérique que nous avions quittés. Nicolas me regarda, inquiet et me dit "je crois qu'elle a fait une connerie, ça pu". On est tombé d'accord tout les deux, il restait là à l'observer et devait m'appeler si elle partait, pendant ce temps j'allais voir à la maison ce qui se passait. Quand je suis arrivé à la maison tout était éteint, fermé, mais la voiture de Pierre était encore là. Je commençais à monter en pression et sous le coup de l'énervement j'ai cassé une fenêtre pour entrer dans la maison. Quand je suis arrivé dans le salon, Pierre était là, encore attaché, et le visage tuméfié de coups. Je l'ai détaché, il était effondré, en larmes. on a discuté 5 mn, et il m'a dit que le coup des mains était le code pour qu'il arrête tout et devait être détaché, mais Sylvie ne l'a jamais respecté. Pendant notre absence elle l'a frappé comme une folle. Il m'a expliqué leur relation, que c'était un perverse , qu'il l'aimait encore et qu'elle lui avait menti sur le scénario; Il ne voulait pas la voir se faire baiser par d'autres ou alors juste en tant que domina se faire lêcher ou elle même sucer les soumis, c'était leur contrat, il m'a fait lire les sms et le coup du code aussi. Il s'est rhabillé, et là Nicolas m'a appelé, Sylvie sortait du bar. Alors je lui ai tendu un piège . J'ai envoyé un sms à Sylvie en lui disant que je devais revenir à la maison car j'avais oublié mes papiers et ma carte bleue. Je suis allé cacher ma voiture rapidement, et elle devait se retrouver seule face à Pierre dans la maison, il allait régler ses comptes. Elle est arrivé comme une folle, laissant la porte ouverte. Je me suis engouffré derrière elle et j'ai assisté à la conversation entre elle et Pierre; Elle a été surprise de le voir habillé et détaché. Ils se sont enguelé trés fort. En fait, elle avait organisé tout ça dans le but de lui faire du mal, elle voulait le voir chialer car elle n'avait pas supporté qu'il la laisse tomber. Une vraie malade mentale. Pierre a finis par lui mettre une correction qu'elle méritait bien à mes yeux. Elle l'a menacé de porter plainte, il a éclaté de rire et lui a dit "je crois que ce ne serait pas une bonne idée, il y a des témoins de ta manipulation et de tes mensonges, on est entre une forme de viol et d'actes de tortures et de barbarie" et là il pointa son doigt vers moi. Elle se retourna et son visage s'est déconfit. Je raconte cette histoire pour alerter certains et certaines qui débute dans le BDSM. Ce milieu ce n'est pas le SM de marc dorcel, il y a de vrais pervers et de vraies perverses. Il ne faut jamais accepter d'un dom ou d'une domina le total contôle sur la relation. Il faut, en tant que soum savoir imposer ses limites clairement. Et les dom, il faut savoir accepter que les soum ne sont pas notre "chose" ce sont nos partenaires, et ils doivent être respecté dans leur limites. Cette histoire n'est pas belle, pas jolie, mais il n'y a pas que de belles choses dans le BDSM.. et il ne faut pas se voiler la face car ce sont ce genre de choses qui donnent une mauvaise image du milieu.
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Par : le 18/04/21
1 Tous les soirs, son Maître lui raconte une histoire. Une histoire de soumission. Il improvise, il invente. Elle l’écoute en se caressant. Allongée dans le lit étroit, la tête sur l’oreiller, elle écoute et se laisse prendre. Littéralement. Assis au bord du lit, Il raconte. Ne la touche pas. Mais Ses mots la prennent. Et remplissent son ventre. Il la fourre de mots. Elle vit ce qu’Il imagine. Ce qu’Il pourrait lui faire subir. Ce qu’elle subira peut-être. Elle le ressent, elle le vit entre les cuisses. Et quand elle est au bord de jouir, elle guette son approbation. Qu’Il lui accorde ou non d’un battement de cils. Certains soirs, malgré tout, Il s’empare d’un sein. Qu’Il presse plus ou moins fort selon l’intensité de l’épisode. Quand Il broie son sein dans sa main, elle sait qu’Il l’autorise à jouir. Quand elle a retrouvé son calme après les spasmes de jouissance, il pose sa paume sur sa vulve encore chaude et frémissante de plaisir. Il la ferme pour la nuit. * 2 Chaque soir, elle passe de l’autre côté du miroir. Dans cet univers où, accroupie, écartant ses fesses à deux mains, elle honore la queue dure et dressée. Dans cet univers où Sa voix la mène, Il lui a appris les mots. A les entendre. A les accepter. A les prononcer. A les faire sien. Elle les cajole et s’en réjouit. – J’honore votre bite, mon Seigneur. Et elle pose son front contre la hampe fièrement dressée. Puis lentement elle parcourt de sa langue toute la tige. Des couilles jusqu’au gland. Elle lèche. Avec dévotion. Elle lèche la queue de son Maître. Elle doit seulement lécher. Chaque soir, elle doit d’abord honorer Sa bite avant d’oser relever la tête et voir le visage du Maître. Et Le laisser décider seul de la suite. * 3 Certains soirs, il lui interdit de se caresser. Et évidemment, l’histoire qu’il lui raconte est particulièrement excitante. Elle n’ose le supplier du regard. Elle se maintient. Rigide. Les bras le long du corps. Jambes serrées. Les yeux clos. Le désir sourd dans son ventre. Gronde. Mais elle serre les poings. Tente de calmer sa respiration. Maintient sagement ses reins bien à plat sur le matelas. Pourtant, elle voudrait tellement se cambrer et ouvrir les cuisses. Avant de la quitter, dans l’état où Il l’a mise, il attache, à chacun de ses poignets, un petit grelot. Ainsi, de la chambre voisine où il dort, pourra-t-il entendre si elle se caresse en solitaire. Il en sourira peut-être. Ou bien, déçu, calme ou énervé, se relèvera-t-il pour sévir ? * 4 Tous les soirs, elle entre en soumission. Elle s’allonge sur le lit étroit. Son Maître s’assoit à côté d’elle. Aux premiers mots de la nouvelle histoire, elle commence à se caresser. C’est un rituel. Même s’il lui a fait subir toute la journée son autorité. Même s’il l’a corrigée, baisée, fait jouir plusieurs fois. C’est un rituel. Un rituel d’apprentissage. D’éducation. Il lui apprend les mots. La différence entre « être offerte » et « être ouverte ». La différence entre « être limée » et « être enfilée ». Il est celle qu’il enfile et lime. Ou bourre. Ou enconne. Et chaque mot lui procure un plaisir particulier. Et les mots résonnent loin en elle. Mais si elle dit « verge », elle sait qu’elle risque d’être corrigée. Et qu’il empoignera une « verge », une badine souple pour lui en frotter le bas du dos. * 5 Ce soir, alors qu’elle est comblée, repus, c’est avec une douceur perverse qu’il promène les longues lanières de ses mots : sur sa peau. Les lanières glissent et ondulent : sur ses seins et sur son ventre. Se glissent entre ses cuisses. Elles lui font désirer et craindre leurs terribles morsures. Celles qu’il lui inflige quand il la flagelle. Pour son plaisir, il aime la corriger. L’entendre gémir. Et parfois supplier. Va-t-elle pleurer ? Sous les mots qui claquent comme des lanières de cuir. Qui la saisissent et la meurtrissent. Mérite-t-elle d’être ainsi punie ? Mais dans le plaisir qui inonde son ventre, son corps avoue et se rend. * 6 Tous les soirs, elle attend ce moment d’intimité. Une nouvelle histoire. De nouveaux mots. Ainsi elle apprend la grammaire de son corps offert. Qui subit. Obéit. S’ouvre. Ainsi elle découvre ses seins, sa bouche, ses cuisses, ses cheveux, sa nuque, sa croupe, ses hanches, ses flancs, ses mains, son dos, son ventre… Chaque soir, c’est un nouveau territoire que son Maître explore. Ainsi se dessine la carte de Ses désirs. Ses désirs qu’il lui impose. Ses désirs qui parcourent sa peau, remplissent son ventre, gonflent ses seins. Elle ouvre la bouche et tire la langue pour recevoir et avaler les mots. Elle écarte ses cuisses et ses fesses, elle ouvre ses trous pour les recevoir. Elle n’est que béance sous la voix du Maître. * 7 – C’est l’heure, dit-il. – Oui, mon Seigneur. Et elle s’allonge sagement sur le lit étroit. Nue. Pucelle et putain. Tous les soirs, ses mots la déflorent. Ils l’ouvrent et la font renaître. Elle attend fébrilement ce moment. Quand il la conduit d’une main dans la chambre. Chambre des délices, chambre des supplices. Et, assis à côté d’elle, il pose une main sur son ventre. Et de son autre main, enfonce deux doigts au fond de sa gorge. Elle va devoir subir tout le temps de l’histoire du soir. Se retenir de déglutir. De vomir. En se caressant. Subir la douceur de sa main sur son ventre. Subir l’impérieuse présence de ses doigts dans sa bouche. Prise par les mots. Le délice des supplices qu’il lui infligera peut-être le lendemain. Elle voudrait ne pas en jouir. Et pourtant. * 8 Chaque matin, elle se présente à lui pour le saluer. C’est un rituel. Mais aujourd’hui son Maître ne l’accueille ni avec un sourire ni avec des paroles bienveillantes. – Hier soir, tu m’as déçue. Elle reçoit ses mots comme une gifle. Hier soir, elle n’a pu reconnaître, elle n’a pu avouer. Elle n’a pu satisfaire les exigences du Maître. Cet aveu, qu’il attendait d’elle, est resté coincé au fond de son ventre. – Aujourd’hui tu seras fermée. Et il ferme sa bouche d’un bâillon. Et il enserre sa taille d’une chaîne épaisse. Passe, entre ses cuisses et ses fesses, d’autres chaines qu’il ferme avec un cadenas. – Ce sera ta punition. * 9 – Allons nous promener dans la campagne, dit-il. Mais avant de sortir, il attache ses poignets de plusieurs tours d’une autre chaîne. Et surtout : il relie ses chevilles par une très lourde chaîne. Nue. Alice est nue. Et elle doit marcher. Avancer devant son Maître qui la fustige d’une fine badine pour l’encourager. Sa marche est entravée. Le chemin est en pente. Et la chaîne qui relie ses chevilles ne lui permet pas de faire de grands pas. Elle manque de tomber. Et son équilibre est menacé par ses poignets liés. Sous ses pieds nus, l’herbe est douce. Mais il y a aussi des cailloux pointus, des brindilles. Alice souffre. Souffre d’être ainsi punie. Rappelée à l’ordre par la badine qui lui cingle les hanches. Honteuse d’avoir déçue son Maître, de l’avoir obligée à la punir. Et d’offrir à son Maître un tel spectacle. – Allez, avance… Elle a compris. Elle sait. Il la mène au supplice. * 10 Alice est au bord des larmes. Ses pieds sont meurtris. Elle n’en peut plus. Elle n’en peut plus de devoir avancer, en traînant cette lourde chaîne qui entrave sa marche. La pente est rude, le chemin escarpé. Plusieurs fois elle a failli tomber. Et le bâillon la fait baver. Sa salive coule sur son menton, dans son cou, entre ses seins. Mais son Maître est sans pitié. Alice est punie. Elle l’a bien mérité. Son Maître l’avait prévenue que ça serait difficile. – Je vais te dresser. Et comme un défi, elle avait répondu : – Dressez-moi, Monsieur. * 11 Alice monte, elle avance sous le regard du Maître. Et elle imagine le spectacle qu’elle lui offre. Sa croupe qui tangue à chaque pas, son dos, ses reins, tout son corps transpirant sous l’effort. Ses gémissements quand elle manque de chuter. Elle lui offre cette épreuve. Son repentir. Sa contrition. Mais elle aimerait tant savoir s’il bande. Voir sa queue dure et dressée. Elle aimerait tant sentir ses mains peser sur ses épaules. Pour la faire plier. La mettre à genoux au milieu du chemin. Et lui présenter son vit. Alors elle pourrait enfin prononcer ces mots. Ces mots qu’il lui a appris et qui la font mouiller. – J’honore Votre bite, mon Seigneur. Et engloutir le membre dans sa bouche. Lui donner le plaisir auquel il a droit. * 12 Alice est punie. Elle n’a pas su dire, reconnaître, avouer. Le bâillon l’empêche de s’en mordre la lèvre. Elle marche et souffre. Pour le plaisir de son Maître. Alors, pour son plaisir, il la punit. Et la fait couler. Pour lui faire rendre gorge. Et couler tout son jus. Arrivés en haut de la colline, son Maître détache ses poignets, la libère de la lourde chaîne qui entravait ses pas. Mais c’est pour l’attacher entre deux arbres. Jambes et bras écartés. Ecartelés. Docile, Alice subit. Elle est domptée. – Je t’attache. Puisque par tes silences, tu te détaches de moi. Nue, Alice est vulnérable. Elle l’a bien méritée. Et quand son Maître empoigne sa vulve, la caresse, la doigte, Alice se cambre. Attend, espère qu’ainsi il l’apaise. Qu’il lui manifeste ainsi tout ce par quoi ils sont liés. Il s’empare d’elle, lui impose son plaisir, il la fait monter. Mais quand elle est au bord du spasme : – Tu ne jouiras pas. * 13 Nue. Attachée, écartelée entre ces deux arbres. Frustrée. Alice attend le bon vouloir de son Maître. Son Maître qui s’assoit sur un rocher et la contemple. Il faut dire qu’elle est émouvante, Alice. Emouvante et tellement vulnérable. Il suffirait d’un geste pour que son Maître la fasse jouir. Ou bien qu’il cueille à pleine main nue une poignée d’orties pour venir lui en frotter les fesses. Ou bien casser une belle branche de noisetier pour la fustiger. Son Maître le lui dit : – Je pourrais… Alice craint. Alice redoute, tremble. Elle n’a jamais subi les orties ni été fouettée par une branche fraîche. Elle imagine… Elle imagine la brûlure des orties. La douleur que lui infligerait la branche… Et elle imagine comme son Maître doit la désirer, doit bander de la voir exposée ainsi. Elle voudrait voir sa queue dressée. Elle voudrait qu’il détache ses bras et la prenne. Qu’il la prenne ainsi, les jambes écartées, entravées. Qu’il l’enconne ou qu’il l’encule. Sentir et subir la puissance de l’Homme. Mais son Maître, souriant, sort de sa besace quelques livres. * 14 – Tu aimes les mots, Alice ? – Vous le savez bien, Monsieur. Un livre à la main, son Maître se lève et s’approche. Sourire malicieux de celui qui sait. Il lui fait face, mais Alice n’ose le regarder en face. Avec son pouce, le Maître caresse la tranche du livre. Il assouplit les pages. Il prend son temps. Avant de poser la tranche du livre contre sa vulve. Et de feuilleter le livre contre ses lèvres. Passer et repasser le livre. – Que les mots te caressent alors… C’est un plaisir doux, diffus, lancinant, irritant. Sa vulve, malmenée par les pages du livre qui passe et repasse, Alice mouille. Elle coule. Et les pages sont trempées. – Tu coules sous les mots, Alice. – Oui, Monsieur. Sa voix révèle son émotion. Son trouble. Alice prise par le désir. Caressée par les mots du livre, comme tous les soirs elle se caresse sous les mots du Maître. – Tu sais ce que j’attends de toi, Alice ? – Oui, Monsieur, je le sais. * 15 Alice comprend dans quel état de désir est son Maître. Elle comprend qu’elle le déçoit. Le Maître attend son aveu. Attend qu’elle vienne déposer certains mots à Ses pieds. Pourtant elle le nomme déjà « l’Homme ». Et ce H majuscule dresse Sa queue dure devant le visage d’Alice. Alors sans broncher, Alice subit les épreuves qu’il lui impose. Les épreuves qui remplissent son ventre de désir. Fébrilement, elle attend les mots qu’il glisse entre ses lèvres. Sur sa langue. Dans sa fente ouverte entre ses cuisses. Et à chaque fois qu’il lui donne à mâcher de nouveaux mots, à chaque fois qu’elle accueille Ses mots dans son ventre, elle s’ouvre. Elle s’ouvre davantage. Et dans sa tête résonne cette phrase : – J’honore Votre bite, mon Seigneur. Et l’obscénité de l’aveu la fait trembler. * 16 A chaque fois que le Maître parle à Alice, quand il lui raconte une histoire ou lui fait subir une épreuve, le sexe de l’Homme est dressé. Mais elle ne sait pas que le Maître voudrait la battre avec. Gifler son visage de sa queue dure. Flageller ses seins et sa vulve. Et quand son Maître le lui dit : Alice en est fière. Troublée. Les mots du Maître remplissent son ventre. Elle les sent dans sa bouche, sur sa langue, s’en délecte et s’en repaît. Les mots du Maître sont parfois durs, impérieux. Elle en est remplie. Pleine. Mais pour l’heure, toujours attachée, écartelée nue entre les deux arbres, Alice subit le désir de son Maître. Qui la travaille au corps. Il la palpe comme un animal. Comme une esclave vendue en place publique. Il pétrit. Empoigne. Presse. Ses épaules, ses reins, ses hanches, ses fesses, ses seins. Il ne la ménage pas. Il s’approprie son corps. Il le fait sien. Et s’en réjouit. Mais quand il empoigne sa vulve : – Tu n’es ni un animal ni une esclave. Tu es une femme. Libre sous mon autorité. Tu es une femme entre mes mains. Tu ne jouiras pas. * 17 Quand son Maître retire le bâillon et la détache enfin, Alice s’écroule à genoux. A ses pieds. – Atteindre le point ultime où le cœur manque, Alice, dit son Maître en relevant de sa main son visage. Caressant ses cheveux et ses joues. Dessinant d’un doigt ses lèvres. Avec douceur, il lui attache les mains dans le dos. Sort sa queue dure. Et violemment fourre sa bouche. Alice, en larmes, s’en étrangle. Subit, bavant, pleurant, l’impérieuse irrumation. Il lui fout la bouche. Maintenant son pieu dans la gorge pour qu’elle n’en puisse plus. – Tu honores toujours ma bite, Alice ? – Oui, Monsieur, répond Alice entre deux sanglots. La bouche aussitôt reprise. La tête maintenue par la poigne ferme du Maître. Jusqu’à ce qu’Alice, secouée de spasmes, rende enfin. Et se répande. – Tu es bonne à baiser, dit le Maître. Qui la retourne et enfourne sa bite dans son con trempé. Enfin baisée, Alice jouit quand son Maître se vide en elle. Son Maître, patiemment la mène et la malmène. Il lui apprend les mots. Et Alice, bonne élève, retient ses leçons.
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Par : le 18/04/21
1 Tous les soirs, son Maître lui raconte une histoire. Une histoire de soumission. Il improvise, il invente. Elle l’écoute en se caressant. Allongée dans le lit étroit, la tête sur l’oreiller, elle écoute et se laisse prendre. Littéralement. Assis au bord du lit, Il raconte. Ne la touche pas. Mais Ses mots la prennent. Et remplissent son ventre. Il la fourre de mots. Elle vit ce qu’Il imagine. Ce qu’Il pourrait lui faire subir. Ce qu’elle subira peut-être. Elle le ressent, elle le vit entre les cuisses. Et quand elle est au bord de jouir, elle guette son approbation. Qu’Il lui accorde ou non d’un battement de cils. Certains soirs, malgré tout, Il s’empare d’un sein. Qu’Il presse plus ou moins fort selon l’intensité de l’épisode. Quand Il broie son sein dans sa main, elle sait qu’Il l’autorise à jouir. Quand elle a retrouvé son calme après les spasmes de jouissance, il pose sa paume sur sa vulve encore chaude et frémissante de plaisir. Il la ferme pour la nuit. * 2 Chaque soir, elle passe de l’autre côté du miroir. Dans cet univers où, accroupie, écartant ses fesses à deux mains, elle honore la queue dure et dressée. Dans cet univers où Sa voix la mène, Il lui a appris les mots. A les entendre. A les accepter. A les prononcer. A les faire sien. Elle les cajole et s’en réjouit. – J’honore votre bite, mon Seigneur. Et elle pose son front contre la hampe fièrement dressée. Puis lentement elle parcourt de sa langue toute la tige. Des couilles jusqu’au gland. Elle lèche. Avec dévotion. Elle lèche la queue de son Maître. Elle doit seulement lécher. Chaque soir, elle doit d’abord honorer Sa bite avant d’oser relever la tête et voir le visage du Maître. Et Le laisser décider seul de la suite. * 3 Certains soirs, il lui interdit de se caresser. Et évidemment, l’histoire qu’il lui raconte est particulièrement excitante. Elle n’ose le supplier du regard. Elle se maintient. Rigide. Les bras le long du corps. Jambes serrées. Les yeux clos. Le désir sourd dans son ventre. Gronde. Mais elle serre les poings. Tente de calmer sa respiration. Maintient sagement ses reins bien à plat sur le matelas. Pourtant, elle voudrait tellement se cambrer et ouvrir les cuisses. Avant de la quitter, dans l’état où Il l’a mise, il attache, à chacun de ses poignets, un petit grelot. Ainsi, de la chambre voisine où il dort, pourra-t-il entendre si elle se caresse en solitaire. Il en sourira peut-être. Ou bien, déçu, calme ou énervé, se relèvera-t-il pour sévir ? * 4 Tous les soirs, elle entre en soumission. Elle s’allonge sur le lit étroit. Son Maître s’assoit à côté d’elle. Aux premiers mots de la nouvelle histoire, elle commence à se caresser. C’est un rituel. Même s’il lui a fait subir toute la journée son autorité. Même s’il l’a corrigée, baisée, fait jouir plusieurs fois. C’est un rituel. Un rituel d’apprentissage. D’éducation. Il lui apprend les mots. La différence entre « être offerte » et « être ouverte ». La différence entre « être limée » et « être enfilée ». Il est celle qu’il enfile et lime. Ou bourre. Ou enconne. Et chaque mot lui procure un plaisir particulier. Et les mots résonnent loin en elle. Mais si elle dit « verge », elle sait qu’elle risque d’être corrigée. Et qu’il empoignera une « verge », une badine souple pour lui en frotter le bas du dos. * 5 Ce soir, alors qu’elle est comblée, repus, c’est avec une douceur perverse qu’il promène les longues lanières de ses mots : sur sa peau. Les lanières glissent et ondulent : sur ses seins et sur son ventre. Se glissent entre ses cuisses. Elles lui font désirer et craindre leurs terribles morsures. Celles qu’il lui inflige quand il la flagelle. Pour son plaisir, il aime la corriger. L’entendre gémir. Et parfois supplier. Va-t-elle pleurer ? Sous les mots qui claquent comme des lanières de cuir. Qui la saisissent et la meurtrissent. Mérite-t-elle d’être ainsi punie ? Mais dans le plaisir qui inonde son ventre, son corps avoue et se rend. * 6 Tous les soirs, elle attend ce moment d’intimité. Une nouvelle histoire. De nouveaux mots. Ainsi elle apprend la grammaire de son corps offert. Qui subit. Obéit. S’ouvre. Ainsi elle découvre ses seins, sa bouche, ses cuisses, ses cheveux, sa nuque, sa croupe, ses hanches, ses flancs, ses mains, son dos, son ventre… Chaque soir, c’est un nouveau territoire que son Maître explore. Ainsi se dessine la carte de Ses désirs. Ses désirs qu’il lui impose. Ses désirs qui parcourent sa peau, remplissent son ventre, gonflent ses seins. Elle ouvre la bouche et tire la langue pour recevoir et avaler les mots. Elle écarte ses cuisses et ses fesses, elle ouvre ses trous pour les recevoir. Elle n’est que béance sous la voix du Maître. * 7 – C’est l’heure, dit-il. – Oui, mon Seigneur. Et elle s’allonge sagement sur le lit étroit. Nue. Pucelle et putain. Tous les soirs, ses mots la déflorent. Ils l’ouvrent et la font renaître. Elle attend fébrilement ce moment. Quand il la conduit d’une main dans la chambre. Chambre des délices, chambre des supplices. Et, assis à côté d’elle, il pose une main sur son ventre. Et de son autre main, enfonce deux doigts au fond de sa gorge. Elle va devoir subir tout le temps de l’histoire du soir. Se retenir de déglutir. De vomir. En se caressant. Subir la douceur de sa main sur son ventre. Subir l’impérieuse présence de ses doigts dans sa bouche. Prise par les mots. Le délice des supplices qu’il lui infligera peut-être le lendemain. Elle voudrait ne pas en jouir. Et pourtant. * 8 Chaque matin, elle se présente à lui pour le saluer. C’est un rituel. Mais aujourd’hui son Maître ne l’accueille ni avec un sourire ni avec des paroles bienveillantes. – Hier soir, tu m’as déçue. Elle reçoit ses mots comme une gifle. Hier soir, elle n’a pu reconnaître, elle n’a pu avouer. Elle n’a pu satisfaire les exigences du Maître. Cet aveu, qu’il attendait d’elle, est resté coincé au fond de son ventre. – Aujourd’hui tu seras fermée. Et il ferme sa bouche d’un bâillon. Et il enserre sa taille d’une chaîne épaisse. Passe, entre ses cuisses et ses fesses, d’autres chaines qu’il ferme avec un cadenas. – Ce sera ta punition. * 9 – Allons nous promener dans la campagne, dit-il. Mais avant de sortir, il attache ses poignets de plusieurs tours d’une autre chaîne. Et surtout : il relie ses chevilles par une très lourde chaîne. Nue. Alice est nue. Et elle doit marcher. Avancer devant son Maître qui la fustige d’une fine badine pour l’encourager. Sa marche est entravée. Le chemin est en pente. Et la chaîne qui relie ses chevilles ne lui permet pas de faire de grands pas. Elle manque de tomber. Et son équilibre est menacé par ses poignets liés. Sous ses pieds nus, l’herbe est douce. Mais il y a aussi des cailloux pointus, des brindilles. Alice souffre. Souffre d’être ainsi punie. Rappelée à l’ordre par la badine qui lui cingle les hanches. Honteuse d’avoir déçue son Maître, de l’avoir obligée à la punir. Et d’offrir à son Maître un tel spectacle. – Allez, avance… Elle a compris. Elle sait. Il la mène au supplice. * 10 Alice est au bord des larmes. Ses pieds sont meurtris. Elle n’en peut plus. Elle n’en peut plus de devoir avancer, en traînant cette lourde chaîne qui entrave sa marche. La pente est rude, le chemin escarpé. Plusieurs fois elle a failli tomber. Et le bâillon la fait baver. Sa salive coule sur son menton, dans son cou, entre ses seins. Mais son Maître est sans pitié. Alice est punie. Elle l’a bien mérité. Son Maître l’avait prévenue que ça serait difficile. – Je vais te dresser. Et comme un défi, elle avait répondu : – Dressez-moi, Monsieur. * 11 Alice monte, elle avance sous le regard du Maître. Et elle imagine le spectacle qu’elle lui offre. Sa croupe qui tangue à chaque pas, son dos, ses reins, tout son corps transpirant sous l’effort. Ses gémissements quand elle manque de chuter. Elle lui offre cette épreuve. Son repentir. Sa contrition. Mais elle aimerait tant savoir s’il bande. Voir sa queue dure et dressée. Elle aimerait tant sentir ses mains peser sur ses épaules. Pour la faire plier. La mettre à genoux au milieu du chemin. Et lui présenter son vit. Alors elle pourrait enfin prononcer ces mots. Ces mots qu’il lui a appris et qui la font mouiller. – J’honore Votre bite, mon Seigneur. Et engloutir le membre dans sa bouche. Lui donner le plaisir auquel il a droit. * 12 Alice est punie. Elle n’a pas su dire, reconnaître, avouer. Le bâillon l’empêche de s’en mordre la lèvre. Elle marche et souffre. Pour le plaisir de son Maître. Alors, pour son plaisir, il la punit. Et la fait couler. Pour lui faire rendre gorge. Et couler tout son jus. Arrivés en haut de la colline, son Maître détache ses poignets, la libère de la lourde chaîne qui entravait ses pas. Mais c’est pour l’attacher entre deux arbres. Jambes et bras écartés. Ecartelés. Docile, Alice subit. Elle est domptée. – Je t’attache. Puisque par tes silences, tu te détaches de moi. Nue, Alice est vulnérable. Elle l’a bien méritée. Et quand son Maître empoigne sa vulve, la caresse, la doigte, Alice se cambre. Attend, espère qu’ainsi il l’apaise. Qu’il lui manifeste ainsi tout ce par quoi ils sont liés. Il s’empare d’elle, lui impose son plaisir, il la fait monter. Mais quand elle est au bord du spasme : – Tu ne jouiras pas. * 13 Nue. Attachée, écartelée entre ces deux arbres. Frustrée. Alice attend le bon vouloir de son Maître. Son Maître qui s’assoit sur un rocher et la contemple. Il faut dire qu’elle est émouvante, Alice. Emouvante et tellement vulnérable. Il suffirait d’un geste pour que son Maître la fasse jouir. Ou bien qu’il cueille à pleine main nue une poignée d’orties pour venir lui en frotter les fesses. Ou bien casser une belle branche de noisetier pour la fustiger. Son Maître le lui dit : – Je pourrais… Alice craint. Alice redoute, tremble. Elle n’a jamais subi les orties ni été fouettée par une branche fraîche. Elle imagine… Elle imagine la brûlure des orties. La douleur que lui infligerait la branche… Et elle imagine comme son Maître doit la désirer, doit bander de la voir exposée ainsi. Elle voudrait voir sa queue dressée. Elle voudrait qu’il détache ses bras et la prenne. Qu’il la prenne ainsi, les jambes écartées, entravées. Qu’il l’enconne ou qu’il l’encule. Sentir et subir la puissance de l’Homme. Mais son Maître, souriant, sort de sa besace quelques livres. * 14 – Tu aimes les mots, Alice ? – Vous le savez bien, Monsieur. Un livre à la main, son Maître se lève et s’approche. Sourire malicieux de celui qui sait. Il lui fait face, mais Alice n’ose le regarder en face. Avec son pouce, le Maître caresse la tranche du livre. Il assouplit les pages. Il prend son temps. Avant de poser la tranche du livre contre sa vulve. Et de feuilleter le livre contre ses lèvres. Passer et repasser le livre. – Que les mots te caressent alors… C’est un plaisir doux, diffus, lancinant, irritant. Sa vulve, malmenée par les pages du livre qui passe et repasse, Alice mouille. Elle coule. Et les pages sont trempées. – Tu coules sous les mots, Alice. – Oui, Monsieur. Sa voix révèle son émotion. Son trouble. Alice prise par le désir. Caressée par les mots du livre, comme tous les soirs elle se caresse sous les mots du Maître. – Tu sais ce que j’attends de toi, Alice ? – Oui, Monsieur, je le sais. * 15 Alice comprend dans quel état de désir est son Maître. Elle comprend qu’elle le déçoit. Le Maître attend son aveu. Attend qu’elle vienne déposer certains mots à Ses pieds. Pourtant elle le nomme déjà « l’Homme ». Et ce H majuscule dresse Sa queue dure devant le visage d’Alice. Alors sans broncher, Alice subit les épreuves qu’il lui impose. Les épreuves qui remplissent son ventre de désir. Fébrilement, elle attend les mots qu’il glisse entre ses lèvres. Sur sa langue. Dans sa fente ouverte entre ses cuisses. Et à chaque fois qu’il lui donne à mâcher de nouveaux mots, à chaque fois qu’elle accueille Ses mots dans son ventre, elle s’ouvre. Elle s’ouvre davantage. Et dans sa tête résonne cette phrase : – J’honore Votre bite, mon Seigneur. Et l’obscénité de l’aveu la fait trembler. * 16 A chaque fois que le Maître parle à Alice, quand il lui raconte une histoire ou lui fait subir une épreuve, le sexe de l’Homme est dressé. Mais elle ne sait pas que le Maître voudrait la battre avec. Gifler son visage de sa queue dure. Flageller ses seins et sa vulve. Et quand son Maître le lui dit : Alice en est fière. Troublée. Les mots du Maître remplissent son ventre. Elle les sent dans sa bouche, sur sa langue, s’en délecte et s’en repaît. Les mots du Maître sont parfois durs, impérieux. Elle en est remplie. Pleine. Mais pour l’heure, toujours attachée, écartelée nue entre les deux arbres, Alice subit le désir de son Maître. Qui la travaille au corps. Il la palpe comme un animal. Comme une esclave vendue en place publique. Il pétrit. Empoigne. Presse. Ses épaules, ses reins, ses hanches, ses fesses, ses seins. Il ne la ménage pas. Il s’approprie son corps. Il le fait sien. Et s’en réjouit. Mais quand il empoigne sa vulve : – Tu n’es ni un animal ni une esclave. Tu es une femme. Libre sous mon autorité. Tu es une femme entre mes mains. Tu ne jouiras pas. * 17 Quand son Maître retire le bâillon et la détache enfin, Alice s’écroule à genoux. A ses pieds. – Atteindre le point ultime où le cœur manque, Alice, dit son Maître en relevant de sa main son visage. Caressant ses cheveux et ses joues. Dessinant d’un doigt ses lèvres. Avec douceur, il lui attache les mains dans le dos. Sort sa queue dure. Et violemment fourre sa bouche. Alice, en larmes, s’en étrangle. Subit, bavant, pleurant, l’impérieuse irrumation. Il lui fout la bouche. Maintenant son pieu dans la gorge pour qu’elle n’en puisse plus. – Tu honores toujours ma bite, Alice ? – Oui, Monsieur, répond Alice entre deux sanglots. La bouche aussitôt reprise. La tête maintenue par la poigne ferme du Maître. Jusqu’à ce qu’Alice, secouée de spasmes, rende enfin. Et se répande. – Tu es bonne à baiser, dit le Maître. Qui la retourne et enfourne sa bite dans son con trempé. Enfin baisée, Alice jouit quand son Maître se vide en elle. Son Maître, patiemment la mène et la malmène. Il lui apprend les mots. Et Alice, bonne élève, retient ses leçons.
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Par : le 16/04/21
Je vais te raconter une histoire. Installe toi bien car ça va être un peu long.... IMAGINE: Il est impatient de la rencontrer et la voir pour la première fois. Enfin croiser son regard. Il a tant envie de plonger ses yeux dans les siens. Il suit pour cela toutes les consignes données par écrit, sans exception... Il ne connaît pas non plus le timbre de sa voix ... Il entre pieds nus dans la pièce légèrement feutrée . Prend place à genoux sur le coussin posé au sol...Il est en pantalon chemise cravate. Tout se passe comme demandé... Il ne La voit pas... Elle a envie de le découvrir, le toucher, le ressentir. Des semaines qu'elle attend, se languit, s'impatiente. Maintenant il est là, dans son salon.Elle s'approche de lui, un bandeau de dentelle noué sur ses yeux. Elle aime casser les codes et adore frustrer. Le priver de son regard lui plaît et surtout, elle place ses envies bien avant les siennes... Elle veut sentir si ce nouveau jouet est aussi vibrant qu'elle le pense... Elle est en talons, bas, jupe et dessous de dentelle... Ses doigts s'agitent, signes de son envie qui grandit.D'abord Elle le frôle, le respire, le tente. Ses lèvres l' aguichent tandis que sa bouche le rappelle à l' ordre... Les boutons de chemise glissent à travers leur fente respective laissant entrevoir sa chair tant convoitée. Elle voudrait tout arracher d'un coup et le consommer sans plus attendre mais elle aime aussi sentir son propre corps se gonfler d'envie. Cette cravate l' excite.. Hum! Tirer dessus pour le mettre à terre, le retourner sur le dos et planter son talon sur son torse... Non pas maintenant. Elle contient ses pulsions. Rien ne presse... C'est lentement qu'elle choisit de dénouer sa cravate, libérant ainsi son cou pour y placer un collier... Elle le trouve davantage à son goût ainsi . La chemise ne restera pas longtemps... Elle caresse ce corps qui est là pour elle... Il ferme les yeux quand elle s'approche si près de lui. Il respire son parfum... Il se laisse guider. Lui obéit quand toujours sans parler, elle le fait se relever. Il frissonne au passage de ses mains sur sa peau...Il remarque ses doigts qui se crispent d'envie, content , il en sourit, il sait ce que ça veut dire... Elle fait glisser ses bras derrière son dos et attache ses mains avec la cravate. S'approprie ses tétons, les apprécie. Trépigne d'impatience... Puis ses doigts s'affairent sur la boucle de son ceinturon. Elle tire dessus pour la faire glisser le long des passants. Humm! Elle s'imagine frapper son cul avec. Clac! Lui à 4 pattes à ses pieds attendant non sans appréhension le coup suivant qui claquera au même endroit. Puis d'autres suivront... Elle inspire fort. S'il savait...Elle le fera plus tard. Pour l' instant elle savoure le moment. Puis elle ouvre son pantalon pour voir la cage dont elle possède désormais la clé... Lui, ne reste pas indifférent quand elle le tâte, le tire, le soupèse et le presse. Il connaît ses penchants. Il est resté chaste pour elle... Il sourit quand elle remet la ceinture de son pantalon autour de sa taille en lui disant qu'elle aime avoir une prise pour s'accrocher . C'est avec plaisir qu'il se soumet quand elle le fait se mettre à genoux face contre ses souliers. Il y dépose un baiser, puis deux, puis prend la liberté de continuer d'explorer ses droits. Son cul reçoit alors sa première réprimande. ....C'est une petite histoire tranquille, tout en douceur et en sensualité avec de la musique en arrière fond. Je continue.... IMAGINE: Il est à genoux devant elle , un bâillon boule percé accroché autour de sa tête. La laisse est fixée au collier ainsi que ses bracelets de restriction... Elle est assise à bout de fesses sur le canapé , laisse en main, jambes écartées. La jupe a volé de l' autre côté de la pièce. Seul son large porte jarretelle recouvre ses hanches qu'elle ondule pour faire glisser son intimité contre cette boule... Lui se contentera de baver en la regardant se branler ainsi sur sa bouche... Elle en prend plaisir, le sens prêt à bien se tenir alors lui retire le bâillon pour mieux en jouir... Lui aura appris qu'elle aime, dans ce cas précis, une langue passive et lui sert ainsi jusqu'à ce qu'elle atteigne l' orgasme... IMAGINE: Il est là, à ses pieds, nu comme un ver, à 4 pattes le cul offert... Elle est derrière lui et finit d'ajuster son gode ceinture. Déroule une capote sur son membre et l'insère dans son intimité... Lui ,retient son souffle, c'est sa première fois; se détend en constatant que ça passe... Elle le sent bien, le prend bien, s'enfonce avec délice en lui. Il se cambre pour mieux la sentir prendre son plaisir. Il s'offre et tend son cul bien ouvert pour qu'elle y glisse de plus belle ce qui ne manque pas de l' exciter et la faire jouir... IMAGINE: Elle lui tend une cordelette et lui demande de l'enrouler autour de ses couilles. Elle aime que cette partie de son anatomie soit bien tendue. Il fait de son mieux pour lui plaire mais ne réussit pas assez rapidement à bloquer le lien. Elle intervient, effectue un premier serrage puis le laisse terminer. Elle a envie de voir ses deux boules distinctement séparées donc va chercher un ruban à glisser entre. Le passage est difficile et ça lui plaît de forcer pour y glisser ses doigts. Elle Force aussi sur la cage pour la faire tomber... Elle la remettra plus tard... Lui la laisse faire, confiant et sûrement content, jusqu'à ce qu'elle y mette quelques douloureuses pichenettes . Elle savoure ... IMAGINE: Elle lui attache les chevilles et les poignets puis elle fixe sur sa tête un harnais double gode. Il est immobilisé tout en long quand elle vient s'empaler sur sa bouche mais il trouve néanmoins le moyen de bouger son cou comme pour la goder. Elle le calme direct regrettant de ne pas lui avoir bloqué également la tête. Il obéit , s'applique juste à maintenir l'angle parfait pour une pénétration plus savoureuse. Elle apprécie et prendra son pied ainsi... IMAGINE: Elle a eu envie de lui faire mal. Il se retrouve maintenant sous elle, à plat ventre, les fesses rougies par le martinet, le dos bien griffé. Elle est sur lui, vibrante d'un orgasme plus sauvage, ses griffes plantées dans sa chair. Il a mal mais s'en fiche, être là pour Elle l' importe plus. Il ressent son emprise jusqu'au fond de ses tripes et c'est bon. Elle serre son corps avec force, le ressens. Elle le possède et le lui dit... Il l'écoute et sait qu'il est à Elle... Il n'a pas le droit de bouger dans ces moments- là, il l'accompagne juste là-haut , tout là-haut... Elle l'entend respirer et se cale sur sa respiration. Elle détend ses doigts, relâche son emprise. Il la sent redescendre doucement et savoure ce moment d'une grande intensité. Elle se remet d'un orgasme fulgurant. Lui faire mal la transcende... IMAGINE: Elle saisit sa queue d'une main ferme et le mène jusqu'à la salle de bain. Il se retrouve à poils, sans bracelets ni collier, le cul dans la baignoire. Sûrement avec une vague idée de ce qu'il va se passer. Elle grimpe sur les rebords, approche son sexe au plus prés de sa bouche pour y déverser délicatement son urine. Lui s'efforce d'avaler de petites gorgées comme ordonné. C'est sa première fois. Elle s'amuse de ses hauts le cœur. En joue. Gicle plus fort, l'éclabousse puis dirige un jet abondant sur son ventre. Lui appréciera davantage recevoir ses fluides chauds sur son pénis, mais ce choix ne lui appartient pas. Elle termine, satisfaite et soulagée. Elle se redresse, attrape un gant qu'elle lui tend et approche son sexe mouiller prés de lui. Lui, gros bêta, utilise le gant pour éponger son visage. Elle le stoppe net! Lui retourne une mini gifle et lui gronde: Moi d'abord! Toujours moi d'abord...Il s'exécute, penaud , pendant qu' elle se moque de lui. Il grelotte. Elle ouvre le robinet d'eau chaude, dirige le pommeau de douche sur lui, le rince à grande eau. Il apprécie, la remercie, se réchauffe un peu. Si peu... Elle lui sourit, tourne le mitigeur du coté bleu et se régale de le voir se débattre sous l' eau froide... ....Des petites scénettes toutes aussi délicieuses à écrire les unes que les autres.Mais je me tais et te laisse continuer d'imaginer tranquillement.... IMAGINE: Elle le fait se mettre à quatre pattes devant elle, son cul à porté de main ou plutôt à portée de pied. Tranquillement assise, elle pose ses talons sur son fessier. Elle s'approche d'abord de ses testicules du bout de ses escarpins, puis glisse le long de la raie. Lui , tient bien sa position jusqu'à ce qu'il grogne après l'ongle qui vient de lui griffer le cul. Elle est confuse: Oups! Ce n' est pas mon ongle... Elle attrape vite une capote, la glisse sur son talon, consciente de son erreur. Préservatif obligatoire en toute circonstance. Il comprend ce qu'elle lui fait , ça le surprend puis vient à apprécier ce talon qui le gode. Elle, elle trouve ça tellement pervers... IMAGINE: Il est allongé à même le sol , les chevilles ligotées au pied de la table basse. Les mains, à l' opposé, encodées à la rambarde de l' escalier. Elle est debout au-dessus de lui, cramponnée à cette même rambarde. Elle n'a plus d'escarpin, plus de bas, les attaches de son porte jarretelle pendent sur ses cuisses, elle s'en fout, elle est bien. Lui a dans sa bouche son pied qu'il suçote avec gourmandise.Il s'arrange pour que l' un après l' autre chaque orteil entre en lui. Elle ferme les yeux et se laisse porter par ce qu'elle ressent. Son plaisir est grand, elle aime glisser dans cette cavité humide et chaude. Il bave sur ce pied qui s'enfonce de plus en plus en lui. Il l' entend et la voit jouir, ça l' encourage à tenir. Elle se laisse complètement aller au fond de cette gorge jusqu'à atteindre l' orgasme . Il ne sait jamais fait forcer la bouche de la sorte, mais il aime tant la voir comme ça... Elle adore jouir de ses pieds... IMAGINE: Elle farfouille dans ses affaires à la recherche d'un objet mystère. Il la regarde faire sans grande inquiétude jusqu'à ce qu'il voit la taille de l' engin. Elle est contente de l' expression qu'elle lit sur le visage de son soumis. Le plug est de bonne taille, bien plus large que son gode. Elle sourit en lui tendant. Il blêmit en le prenant. Son poids laisse penser qu'il va être dur à garder. Il se positionne pour le présenter devant son anus qui a déjà été bien sollicité. Elle le presse un peu, lui met la pression , ajoute du gel. Encore du gel , puis au final elle s'en mêle. Il se sent forcé. Avec ses mains, il tente d'élargir le passage en tendant ses fesses.Son anus résiste, ce truc est tellement gros... Elle est tenace et trouve le moyen d'arriver à ses fins.Elle aime jouer avec son cul. Quelques crachats, quelques doigts plus quelques mots d'encouragement et hop! Le tour est joué... Il se sent plein. Il l' entend s'en réjouir, du coup il est content d'y être arrivé. Elle joue avec son Plug, le fait tourner dans un sens puis dans un autre. Le tire pour évoquer une sortie, le repousse à peine pour le voir se faire aspirer. Elle aime aussi jouer avec son cul... IMAGINE: Elle a très envie de le baiser. Oh oui! Elle le veut encore.Elle lui dit où prendre place . Il fait suivre son petit coussin sous ses genoux. Il tiendra mieux sa position ainsi. Il pose sa tête sur le canapé et tend son cul au mieux. Elle s'assoit à ses côtés, son strap-on dans les mains.Elle lui fait retirer sa jupe , qu'elle enlève et remet. Il se retrouve la tête bien proche de son intimité, assez proche pour bien la voir insérer la boule du stap dans son vagin. Elle lui dit ô combien elle a envie de le baiser en lui tendant une capote. Il sent son excitation et a envie de l'exciter encore davantage. C'est avec sa bouche qu'il déroule le préservatif sur cet étroit manche rigide. Elle apprécie de le voir faire , l' aide un peu car elle a vraiment , vraiment envie de le prendre là. Il se retourne face au canapé, la sent se glisser derrière lui et sans ménagement elle le pénètre jusqu'à la garde. Ses fesses deviennent aussitôt mouillées.Il s'inquiète de son hygiène, ce sont des choses qui arrivent. Mais très vite il comprend. Elle a tellement envie de le baiser, elle le lime avec vigueur et son plaisir monte à une allure qui la surprend. Elle sent son foutre lui couler entre les jambes. Elle coule encore et encore et en jouit si fort. Elle le baise avec un plaisir dégoulinant. Elle atteint l' orgasme en un temps record. Il se retrouve sous elle et la sens couler sur ses fesses et sur sa cage... IMAGINE ENCORE: Elle le chope au milieu du salon. Prend soin de glisser un large coussin sous ses reins, un plus petit sous sa tête. Il n'a pas d'autre choix que de se laisser faire et se retrouve bien vite les 4 fers en l' air. Elle accroche tous les bracelets entre eux et le contemple ainsi offert . Elle aime le voir comme ça mais elle préfère clairement l' abuser ainsi. Elle sollicite la souplesse de son sphincter avec ses doigts. Son gode ceinture est déjà en place, juste devant son anus. Elle lui saisit les cuisses à bras le corps et le sodomise langoureusement. De profonds va et vient qui l' enivre de plaisir. Il se fait prendre sans pouvoir bouger, son corps est à Elle. Il est à Elle et Elle en profite grandement. Elle aime le limer ainsi, tenir son corps recroquevillé sur lui-même . Elle s'emballe au fur et à mesure que son plaisir monte. Ses coups de reins se font plus rapides, plus puissants. Ses mains s' empoignent avec force sur les bracelets. Elle aime avoir une prise pour se tenir. Il la sent bien s'emballer, mais surtout il l'entend gémir, il la sens vibrer.Il aime sentir tout cela. IMAGINE: Elle a les yeux mi-clos, le visage serein, le corps secoué de spams.Elle vient de jouir... Elle délivre son jouet de toutes ses entraves. Il retrouve la liberté de ses mouvements mais n'ose bouger. Il savoure ce moment rempli de tendresse. Elle lui attrape doucement les mains pour les poser sur elle. Sa respiration s'apaise. Il comprend qu'il a la permission de la caresser, ce qu'il fait avec respect. Il savoure, voudrait que le temps s'arrête. Elle laisse le temps tranquille et en profite aussi. Son plaisir, elle le prend blotti dans les bras de son soumis.Oui, elle casse les codes et elle ne se prive de rien.Elle relève la tête doucement, le regarde en lui souriant. Il lui sourit à son tour sans comprendre immédiatement que ce petit sourire est loin d'être innocent. Elle prend appui sur ses bras et se décolle juste de son corps afin de laisser toute l' accumulation de ses jouissances s'écouler sur lui. Il ressent alors ce fluide qui se répand sur son sexe, son ventre, ses cuisses.Il savoure autant qu'elle ce partage. Tout est si spontané , sensuel. Il est à Elle, dans Son monde, au cœur de ses multiples envies. Elle est contente, se sent bien... Savoure pleinement... ....Alors, elle te plaît mon histoire? Imagine une dernière chose... IMAGINE JUSTE: C'est un jour de semaine ordinaire. J'attend en retrait derrière le rideau qu'il entre dans mon salon... J'aime cassé les codes, j'aime être là où il ne m' attend pas. J'ai adoré sa cravate, le frapper de sa ceinture, le baiser en long en large et en travers... IMAGINE SIMPLEMENT: C'est mon sex-toy.
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Par : le 16/04/21
Chapitre 43 virginie est dressée voit arriver la cousine de mitsuko. Mitsuko est ravie d’avoir une nouvelle esclave à mettre au pas. En plus celle-ci parait autrement plus résistante que Maëva. Il semble que le fouet n’a pas beaucoup de prise sur elle. En revanche elle semble sensible des seins. Mitsuko décide donc de commencer réellement le dressage de virginie. Elle se rend dans la pièce aménagée qu’elle a appelle la ruche. Virginie est dans l’aquarium. Elle y est depuis son arrivée la veille et n’a été sortie que pour des besoins hygiéniques. De temps en temps Mitsuko met quelques bouchées de nourriture dans une soucoupe et pose le tout dans l’aquarium. Virginie à faim et soif et commence à trouver le temps long enfermée dans ce bocal dont toutes les faces sont des miroirs. Elle ne voit rien de l’extérieur mais a bien vu lors de son arrivée dans la pièce que les personnes de l’extérieur peuvent voir l’intérieur de l’aquarium. Elle pense qu’il s’agit de miroirs sans tain. Elle a essayé de casser les miroirs mais ceux-ci ont l’air extrêmement solides et les mains bleues et en sang elle a cessé de taper. D’autant plus que ce n’est pas facile avec les mains menottées dans le dos. Mitsuko observe virginie pendant de longues minutes et décide qu’il est temps de passer aux choses sérieuses. Elle se rend à la porte de l’aquarium et l’ouvre. virginie se rue tête la première par l’ouverture mais Mitsuko qui a anticipé ce comportement l’attend de pied ferme et l’évite facilement. Elle a une cravache électrocutante et touche le dos de virginie qui fait un bond involontaire et se retrouve par terre. Mitsuko en profite pour accrocher une laisse au collier de virginie et la tire sans ménagement vers la ruche. Virginie ne peut pas se relever et se laisse dans un premier temps tirée sur le sol. Mais le collier l’étrangle et avant qu’elle s’étouffe elle est obligée de se mettre à genou et à suivre docilement Mitsuko. Celle-ci la fait monter sur le plateau tournant et la suspend aux agrès faits pour ça. Les bras tendus et les jambes bloquées par une barre d’écartement arrimée au plancher du plateau virginie ne peut pas bouger. Mitsuko lui fait une queue de cheval sur le haut de la tête et accroche la queue de cheval à une cordelette qui est tendue en hauteur empêchant virginie de baisser la tête. Mitsuko se recule et admire son travail. Elle est satisfaite et va chercher le matériel préparé pour la séance. Elle a dans les mains une paire de menottes particulière. L’espace entre les deux menottes est réglable et les ouvertures sont aussi réglables. Virginie se demande à quoi cela peut servir. Mitsuko ouvre les menottes et les approche de la poitrine de virginie. Elle referme une menotte sur la base des seins de virginie. Celle-ci ne voit rien mais sent que son sein est comprimé par la menotte. Mitsuko fait pareil avec la deuxième menotte et se recule pour voir l’effet. Les seins de virginie sont poussés en avant et ressemblent à des ballons. Mitsuko s’approche et referme un peu plus les menottes. La base des seins de virginie est fortement comprimée et elle a l’impression que quelqu’un lui a saisi la base des seins entre les mains et serre très fort. Mitsuko referme encore d’un cran. Les seins de virginies sont gonflés et commencent à bleuir. C’est douloureux, elle a l’impression que ses seins vont exploser vers l’avant. Encore un cran. Mitsuko exulte. La base des seins d virginie est tellement serrée qu’elle pourrait en faire le tour avec ses doigts sans forcer. Virginie crie de douleur. Un bâillon réduit ses cris à de simples gémissements. Les mamelons sont érigés et dardent vers l’avant. Mitsuko les pince rudement. Les yeux de virginie roulent dans les orbites. Elle croit qu’elle va mourir. Mitsuko relâche un peu les pincements et enfile une barre d’acier qui va d’un sein à l’autre en utilisant les piercings larges de virginie. Les seins sont bleus violets. Mitsuko demande à virginie tu vas m’obéir maintenant comme un bonne esclave. Virginie la regarde furieusement et remue négativement la tête. Mitsuko accroche une chainette au piercing du clitoris de virginie et tend au maximum la chainette entre le clitoris et la barre qui relie les seins. Virginie est désespérée elle pense que quelque chose va céder en elle. Elle est sur le point de défaillir. Mitsuko s’en rend compte et petit à petit elle ôte les objets qui torturent virginie. Celle-ci a le corps en feu. Son sexe et ses seins sont douloureux à l’extrême et elle n’oppose aucune résistance lorsque Mitsuko la ramène dans l’aquarium. Elle ne peut même pas tâter avec ses mains les dégâts subis par son sexe et ses seins. Mitsuko regagne la ruche et s’installe sur le trône pour regarder virginie qui pleure ouvertement. Mitsuko a l’intention de rester là quelque temps et convoque immédiatement Maëva pour la mettre dans la cavité du trône. Tout cela l’a fortement excitée. En attendant Maëva elle s’approche de l’aquarium et dit à voix haute. Demain on mettra deux paires de menottes. Virginie en entendant ça est effondrée. Elle ne verra pas Maëva entrer dans la cavité et lécher longuement le sexe d’une Mitsuko exaltée. Le lendemain Mitsuko ouvre la porte de l’aquarium. Virginie n’essaye pas de foncer dans le tas. Elle suit docilement Mitsuko jusqu’au plateau et elle ne tarde pas à être suspendue comme la veille. Mitsuko montre deux paires d menottes. Virginie qui souffre encore de la veille n’en peut plus et dit pitié je n’en peux plus j’accepte tout mais plus ça. Mitsuko sourit et bâillonne virginie. Celle-ci est effondrée. Mitsuko lui impose la première paire de menottes mais ne sert pas aussi fort que la veille. Puis elle met une deuxième paire qui est beaucoup plus large à côté de la première. Les seins de virginie commencent à la faire souffrir. Ils sont enfermés comme dans un tube sur cinq ou six centimètres puis les bouts qui dépassent des tubes s’élargissent comme des champignons. Les tétons sont turgescents et violets alors que les seins sont plutôt bleus. Mitsuko se recule et admire son œuvre. Elle pince les seins et les agace avec sa bouche et ses dents. Maintenant les tétons pointent comme des crayons. Mitsuko les orne de pinces qui sont reliées par une chainette qui possède une troisième pince qui est rapidement agrippée au sexe de virginie. Celle-ci pleure et gémit dans son bâillon. Mitsuko referme d’un cran les menottes et virginie se tétanise. Mitsuko demande alors à virginie. Alors tu vas m’obéir maintenant. Virginie fait un hochement frénétique de la tête. Tu es mon esclave. Un autre oui. Tu feras tout ce que j’exigerais. Toujours oui . Tu ne parleras que lorsque je te l’autoriserai, tu ramperas à mes pieds dès que tu me verras. A chaque fois virginie hoche la tête. Mitsuko satisfaite détache virginie. Celle-ci n’a plus que les mains menottées dans le dos. Dès que Mitsuko se recule virginie se couche par terre à ses pieds. Bien dit Mitsuko on va sceller notre pacte. Elle saisit la laisse et traine virginie qui rampe jusqu’au trône ou virginie découvre la cavité. Une heure durant virginie lèche consciencieusement le sexe de Mitsuko. Elle dormira quand même dans l’aquarium. Virginie obéit maintenant comme une bonne esclave à Mitsuko. Elle n’a qu’une envie c’est s’échapper de ce traquenard mais en attendant de trouve un moyen elle ne veut plus être torturée et joue les soumises. Mitsuko est heureuse et contemple son cheptel chaque soir assise sur son trône. Il y a toujours une des deux esclaves sur le plateau tournant et une dans la cavité du trône. Son mari le rejoint souvent accroché aux espaliers. Ce soir-là elle est en train boire un thé assise sur son trône ne se lassant pas de voir tourner Maëva qui arbore maintenant tous ses bijoux de corps et ne se lassant pas de la langue experte de virginie sous selle. La sonnette de la maison retentie. Son mari ne peut pas aller rouvrir il est menotté au banc de cuir avec un plug dans le fondement. Mitsuko peste mais se décide à aller voir qui peut bien la déranger. A la porte elle aperçoit sa cousine micha qui lui dit : Je passais dans la région et j’ai décidé de te faire un petit coucou. Mitsuko est perturbée. Cette pimbeche insupportable l’a souvent rabaissée en public et Mitsuko lui en veut toujours. Minaudant micha demande si Mitsuko peut héberger pour quelques jours afin qu’elle puisse visiter la région avec un point de chute. Mitsuko réfléchit et lui dit ok je peux d’héberger ce soi mais ça va être difficile pour toute la semaine. Micha entre dans la maison de dit t’inquiètes pas on va s’arranger. Ou est ma chambre. Mitsuko enrage et soudain a une illumination. Viens je vais t’y emmener tu verras ça vaut le coup d’œil. Je suis sure que t’y plairas tant que tu ne voudras plus la quitter. Et elle l’emmène jusqu’à la porte de l’aquarium. Fermes les yeux et entre tu vas avoir une belle surprise. Micha ferme les yeux et pénètre dans l’aquarium. Elle sent le sable sous ses pieds et ouvre les yeux. Mitsuko a refermé » la porte. Et elle se retrouve seule dans un réduit avec des miroirs sur tous les côtés. Elle entend le verrou se fermer. Mitsuko ce n’est pas marrant sort moi de là je ne vais pas passer la nuit-là. Non répond mitsuko pas la nuit. La semaine. Micha s’énerve et frappe autan qu’elle peut les parois de verre mais rien n’y fait elle crie hurle mais rien ne lui répond. Mitsuko qui est repassée dans la ruche apprécie de voir micha enfin arrêter de se pavaner. Elle actionne un bouton sur le trône et les miroirs sans tain deviennent translucides. Micha a la surprise de voir autour d’elle. La première chose qui la surprend est une splendide femme attachée sur un plateau qui tourne lentement sur lui-même. Puis elle voit un homme ligoté sur un banc avec un énorme plug dans le cul. Enfin elle voit face à elle Mitsuko assise dans un énorme trône et qui la regarde avec attention. Tu aurais du prévenir lui dit celle-ci. Micha vocifère mais Mitsuko n’en a cure. Tu peux y aller c’est insonorisé ici. Quand tu te calmeras je t’expliquerai ce que tu devras faire. Micha arrête de crier et la regarde étonnée qu’est-ce que je dois faire pour sortir de là. Déjà te déshabiller entièrement. La seule personne qui a le droit d’être vêtue ici c’est moi. Micha la toise et dit jamais de la vie tu es folle. Mitsuko lui sourit et dit si tu veux boire ou manger il faudra te mettre à poil. Micha la traite de folle et les miroirs sans tain redeviennent miroirs. Elle se retrouve seule dans ce bocal. A demain chère cousine. Dit Mitsuko et elle va se coucher laissant les trois esclaves à leurs emplacements et micha pleurer doucement. Le lendemain matin Mitsuko se réveille de bonne humeur. Elle se rend dans la ruche ou elle libère son mari qui doit aller bosser et Maëva qu’elle laisse partir. Virginie est toujours dans le trône. Bonjour virginie. Aujourd’hui tu vas aller dans l’aquarium une fois que j’aurais sorti ma cousine. Puis elle approche de l’aquarium ou micha s’est endormie sur le sable. Mitsuko rend l’aquarium translucide et contemple micha. Elle lui dit. Salut cousine tu as bien dormi. Micha se lève d’un coup et se rappelle ou elle est. Relâche moi je t’en supplie dit-elle. D’abord tu te mets nue et ensuite on discute répond Mitsuko. Micha lui tourne le dos. Mitsuko remet l’aquarium en mode miroir. Mitsuko va sortir virginie du trône et l’emmène dans la salle de bains puis au petit déjeuner. Virginie tirée par la laisse la suit docilement. Elle se laisse laver par Mitsuko et mange dans la main de cette dernière. Puis Mitsuko la remmène dans la ruche ou elle la met à genou sur le plateau. Voilà ma belle. On va attendre tranquillement que micha se soumette. Midi. Mitsuko et virginie ont déjeuné. Mitsuko met l’aquarium en mode translucide. Micha a les yeux gonflés elle a pleuré toutes les larmes de son corps. Mais que me veux-tu enfin dit-elle. Que tu deviennes comme ça et elle montre virginie à genou sur le plateau. Jamais plutôt crever. Mitsuko quitte la pièce. Mitsuko dine avec virginie qui est à genou à ses pieds. Elles se rendent ensuite à la ruche. Mitsuko rend l’aquarium translucide . Micha est nue dans l’aquarium. J’ai soif et j’ai faim dit-elle. Mitsuko jubile. Bien on je vais s’occuper de ça. Et elle disparait de la vue de micha. Quelques instants plus tard la porte arrière s’entrouvre. Micha bondit pour bousculer Mitsuko mais elle tombe sur Maëva qui l’étreint à bras le corps. Avant que micha ne comprenne ce qui se passe Mitsuko lui a verrouillé une menotte à un poignet. Micha veut se débattre mais Maëva tient fermement et une deuxième menotte est verrouillée. Micha se débat encore mais Mitsuko la fait chuter et Maëva et Mitsuko s’assoient de tout leur poids sur elle. En quelques secondes celle-ci est menottée dans le dos et un collier muni d’une laisse lui a été mis. Pour finir une deuxième paire de menottes est appliquée sur ses chevilles. Elle hurle mais Maëva lui pince le nez et Mitsuko la force à engloutir un bâillon boule. Ouf dit Mitsuko tu es une vraie tigresse. Allons te mettre sur le plateau qu’on voit si tu vaux le coup d’œil. Micha fulmine et râle derrière son bâillon. Elle traine des pieds mais poussée par Maëva et tirée par Mitsuko elle est promptement ligotée sur le plateau tournant. Mitsuko admire sa cousine. Micha est mince avec une peau très blanche et des petits seins haut perchés. Une vraie sucrerie se dit Mitsuko. Le sexe de micha est complétement épilé. Et Mitsuko croit voir la trace d’un piercing sur chaque grande lèvre. La cousine est dévergondée pense Mitsuko. Micha est désespérée. Elle crève de soif et de faim et est exposée nue aux regards de sa cousine perverse et d’une belle femme nue. Mitsuko demande à micha si elle a soif celle-ci hoche la tête. Si je t’enlève le bâillon pour te donner à boire tu ne crieras pas et d’ailleurs tu ne parleras pas du tout d’accord. Micha hoche la tête elle a trop soif pour lutter. Le bâillon est ôté et micha peut boire à l’aide d’une paille Tu as faim lui dit Mitsuko micha hoche la tête. Très bien je vais te donner à manger mais pour ça il va falloir que tu le mérites. Micha la regarde étonnée. Mitsuko et Maëva la décrochent du plateau et l’emmènent les bras menottés dans le dos jusqu’à l’intérieur du trône. Là elle mette micha en positon. Pour l’occuper un gode ventousé sur le sol est bien inséré au fond de son sexe. Elle ne peut pas l’ôter. Micha se demande ce qu’il se passe quand la porte est refermée et Mitsuko s’installe confortablement sur le trône. Embrasse-moi bien et fais-moi bien jouir et tu pourras manger. Micha veut se reculer mais il lui est impossible de retirer sa tête du contact avec le sexe de Mitsuko. Le trône a été bien étudié. Pendant de longues minutes micha ne fait rien. Mitsuko lui dit j’ai tout mon temps on peut y passer la nuit si tu veux. A contre cœur micha commence à sortir la langue et lécher doucement les grandes lèvres de Mitsuko. Tu peux faire mieux lui dit cette dernière. Micha se met à lécher avec plus d’enthousiasme. C’est mieux di Mitsuko. Je retrouve ma cousine qui a une si grande langue. Mitsuko actionne la télécommande et le gode commence à vibrer tout en faisant des va et vient dans le vagin de micha. Micha continue à lécher et bizarrement telle commence à s’échauffer aussi. Elle redouble d’ardeur et bientôt Mitsuko halète gaillardement sous les coups de langue et de bouche de micha. Celle-ci est maintenant complétement excitée et lèche comme une folle. Elle ne tarde pas à se laisser aller à de puissants orgasmes. Enfin après avoir pris du bon temps Mitsuko décide que micha a mérité un en-cas. Elle envoi Maëva chercher de quoi manger et lorsque celle-ci revient les deux femmes nourrissent micha à la main. Mitsuko décide de récompenser sa cousine pour son bon travail. Elle la ligote à califourchon sur le banc et avec un gode ceinture elle prend sa cousine par derrière pendant que celle-ci à la bouche collée au sexe de Maëva qui s’est mise devant. Micha prend son pied plusieurs fois. Micha est rompue elle a dû satisfaire deux furies enragées. Constatant qu’elle était vierge su cul et très serrée Mitsuko n’a pas insisté de ce côté-là. Elle lui a quand même promis de lui faire le cul avec des plugs annaux progressifs. Elle se retrouve dans l’aquarium pour la nuit avec toujours les mains menottées dans le dos. En s’endormant elle se demande ce qui va lui arriver le lendemain. En repensant à sa journée elle s’aperçoit qu’elle a rarement été autant chauffée et cela la tracasse.
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Par : le 12/04/21
Chapitre 42 Emmanuelle Extraits : » … Le tableau excite Noémie qui se demande quelle conduite adopter. Voyant qu’Emmanuelle s’est mis un bâillon boule et un masque aveuglant, elle la félicite intérieurement pour ce self bondage d’enfer… Sidoine connaissant les penchants de Noémie lui dit : Non tu n’as pas… Si dit Noémie avec un grand sourire. Et elle kiffe ça tu vas voir par toi-même. Et elle invite Sidonie à rejoindre le salon. Là Sidonie voit Emmanuelle à genou à côté du canapé. Elle est nue parée de son harnais rouge qui lui fait ressortir sa peau laiteuse. Elle a un bâillon et un masque aveuglant. .. Sidonie est épatée. Sa tante ne contredit absolument pas Noémie et même sur un geste de cette dernière elle vient enfouir sa tête dans l’entrejambe écartée. Sidonie et Noémie se racontent leurs aventures et déboires divers pendant qu’Emmanuelle s’applique à sucer Noémie. Celle-ci lui dit maintenant fais profiter notre invité de tes talents. Et après l’ombre d’une hésitation Emmanuelle se met à embrasser le sexe de Sidonie…. » Noémie a retrouvé la liberté mais n’est pas sortie de la galère pour autant. Elle n’a plus de taf et les impayés de loyer de son appartement l’ont forcée à résilier le bail. Les rares meublés de Nevers disponibles sont assez chers et elle n’a pas un dossier suffisamment solide pour postuler. Elle est à la rue et en parle à sa meilleure amie Sidonie. Celle-ci lui dit qu’elle ne peut pas la loger car son appartement est trop exigu mais elle lui explique qu’elle a une tante dans la ville qui a un grand appartement et qui parfois loue une chambre à une étudiante. Noémie se raccroche à cette bouée et Sidonie promet d’intervenir auprès de sa tante pour qu’elle accepte de loger Noémie en lui laissant le temps de se refaire une santé financière. Emmanuelle, la tante de Sidonie est touchée et accepte de recevoir Noémie pour que cette dernière plaide sa cause. Noémie est reçue par Emmanuelle. Tout de suite Noémie est conquise. Emmanuelle est une femme mure mais belle comme un cœur. Grande, fine et élégante elle a un charme fou et doit certainement se faire draguer comme une ado. Noémie hésite entre milf et couguar. Emmanuelle trouve mignonne cette fille qui semble avoir du caractère. Elle lui fait visiter l’appartement et montre une chambre munie d’une petite salle de bains à Noémie. Celle-ci est enthousiaste et embrasse Emmanuelle lorsque celle-ci lui annonce qu’elle lui loue la chambre en acceptant d’être payée quand Noémie se sera refaite. Noémie exulte et la visite se poursuit. Emmanuelle lui dit qu’elle peut aller dans tout l’appartement sauf dans sa propre chambre qui possède aussi une salle de bains ce qui fait qu’elles pourront vivre chacune leur vie. Le soir même Noémie emménage. Emmanuelle a préparé un repas pour deux et elles passent une excellente soirée. Noémie se sent revivre et Emmanuelle est conquise par cette fille qui semble faire preuve d’une autorité naturelle. Quelques jours plus tard dans la nuit Noémie se réveille avec une soif pas possible. Elle décide de se rendre dans la cuisine pour y trouver de quoi se boire. Lorsqu’elle retourne vers sa chambre, en passant devant la porte de la chambre d’Emmanuelle, il lui semble entendre un petit gémissement provenant de cette chambre. Elle s’arrête et colle son oreille à la porte. Effectivement elle n’a pas rêvé et entend bien des gémissements. Elle s’affole et espère qu’Emmanuelle n’est pas malade ou à l’agonie. Doucement elle ouvre la porte de la chambre. Les gémissements sont nettement audibles. Elle s’approche du lit d’Emmanuelle en utilisant son portable pour s’éclairer chichement. Arrivée auprès du lit elle comprend l’origine des gémissements. Emmanuelle est ligotée nue sur le lit. Ses bras sont attachés ensemble à la tête du lit. Ses jambes sont attachées écartées à chaque coin du lit et un magic wand bien attaché entre ses jambes ronronne doucement la tête collée au clitoris d’Emmanuelle. Le tableau excite Noémie qui se demande quelle conduite adopter. Voyant qu’Emmanuelle s’est mis un bâillon boule et un masque aveuglant, elle la félicite intérieurement pour ce self bondage d’enfer. Elle prend délicatement la lampe de chevet et la pose par terre avant de l’allumer. La clarté diffuse ne semble pas avoir été remarquée par Emmanuelle qui continue à prendre son pied. Noémie voit les clés des menottes posées sur le lit à quelques centimètres des mains d’Emmanuelle. Elle est fortement tentée de les chaparder. Au dernier moment elle se ravise. Détournant à regret son regard du lit elle jette un œil au reste de la chambre. Sur les murs il y a quelques tableaux. Noémie s’en approche et voit qu’il s’agit de dessins magnifiques représentant Emmanuelle dans des positions de soumissions diverses. Là elle est à genou et tend vers le l’observateur la poignée d’une laisse qui est accrochée à un collie autour de son cou, là elle est la princesse Leila esclave de horrible Jabba et d’autres dessins tous plus suggestifs les uns que les autres. Rassurée sur la santé d’Emmanuelle Noémie quitte à regret la chambre et referme délicatement la porte. Elle mettra longtemps avant de se rendormir excitée comme une folle par ce qu’elle a pu voir. Emmanuelle est persuadée qu’elle n’a pas rêvé et que quelqu’un pénétré dans sa chambre pendant qu’elle était bondée. Elle sait que ça ne peut être que Noémie et est extrêmement troublée. Elle regrette presque que Noémie e n’ai pas profité de la situation. Elle se libère et veut allumer sa lampe de chevet. Celle-ci a été légèrement déplacée et elle comprend que Noémie est bien venue dans la chambre. Elle ne pourra plus dormir de la nuit s’imaginant esclave d’une reine sévère ayant les traits d Noémie. Le lendemain les femmes se croisent dans la cuisine et font comme si de rien n’était. Cependant elles se jettent des regards entendus. Noémie sort et passe sa journée à des entretiens d’embauche et la recherche de jobs. Le soir en rentrant elle est un peu désespérée car pour l’instant rien ne se profile à l’horizon. Emmanuelle l’attend et prépare un repas amélioré. Une bouteille de champagne trône sur la table du salon, et une bouteille de vin sur la table de la salle à manger. Devant le regard étonné de Noémie Emmanuelle explique que ça fait une semaine qu’elles partagent la maison et qu’elles s’entendent à merveille ce qui mérite une petite soirée spéciale. Les deux femmes font honneur au champagne et à la bouteille de vin en mangeant. Après le repas Noémie s’excuse pour aller passer dans la salle de bains et revenir au salon pour le reste de la soirée dans une tenue plus légère. Emmanuelle l’attend tranquillement. Noémie se douche et va pour mettre sa robe de chambre quand elle a une inspiration certainement aidée par l’absorption de champagne et de vin. Finalement elle ne met qu’une nuisette arachnéenne sans aucun sous-vêtement laissant par transparence voir tout son corps. Elle se dit qu’elle doit bien ça à Emmanuelle qu’elle a vu nue. Lorsqu’elle entre dans le salon elle voit du coin de l’œil une nouvelle bouteille de champagne posée sur la table basse. Mais elle voit surtout le regard ébahit d’Emmanuelle qui la fixe avec attention. Je suis plus à l’aise comme ça dit Noémie. Tu devrais aussi te mettre plus à l’aise. Emmanuelle ne sait pas quoi faire elle est troublée par ce tutoiement et la vue de la belle Noémie. Noémie se rapproche d’elle et lui susurre : Je suis sure que tu serais beaucoup plus à l’aise si tu te mettais nue. Emmanuelle est affolée et ne bouge pas comme une souris hypnotisée par un serpent. Mets-toi nue je te l’ordonne dit Noémie en souriant. Emmanuelle reprend ses esprits et dit : je vais me mettre à l’aise je reviens. Et elle part d’un pas hésitant vers sa chambre. Noémie ouvre la bouteille de champagne et sert deux coupes. Elle s’installe dans le canapé et attend le retour d’Emmanuelle. Celle-ci revient avec une nuisette charmante transparente qui laisse voir qu’elle ne porte pas de sous-vêtements mais un magnifique harnais en cuir noir qui épouse les contours de ses formes voluptueuses. Ce coup-là c’est Noémie qui a un regard hébété. Emmanuelle s’assoit aux cotés de Noémie. Et tend sa main vers une coupe. Noémie lui bloque la main et dit tu serais mieux à genou à mes pieds. Emmanuelle la regarde interdite. Oui je veux te voir à mes genoux. Je suis sùre que c’est ta place. Emmanuelle est affolée. Cette Noémie la met dans tous ses états et elle souhaite que ça continue. Elle se met à genou face à Noémie. Celle-ci lui caresse la tête et la fait boire directement dans sa coupe. Puis Noémie ajoute tu devrais aller chercher des menottes, un collier et une laisse. Emmanuelle se lève et part vers sa chambre. En passant tu enlèveras ta nuisette rajoute Noémie. Emmanuelle revient avec les accessoires demandés. Noémie lui menotte le bras dans le dos et lui met le collier et la laisse. Maintenant tu vas me montrer ce que tu sais faire avec ta langue. Emmanuelle la regarde interdite. Noémie tire sur la laisse et approche la tête d’Emmanuelle de son sexe. Emmanuelle plonge bouche en avant pour sucer l’abricot qui lui tend les lèvres. Emmanuelle et Noémie apprennent à connaitre le corps de l’autre. Tour à tour elles embrassent lèchent sucent. Noémie a aussi la possibilité de malaxer les seins et les fesses d’Emmanuelle qui ne peut rendre la pareille. Enfin sans s’en rendre compte elles se retrouvent dans le lit d’Emmanuelle ou elles s’endrameront tête bèche dans un bonheur partagé Tard dans la nuit Noémie se réveille avec un peu mal au crane. Elle se remémore soudain la soirée et voir Emmanuelle toujours menottée pelotonnée contre elle. Délicatement elle détache les menottes et recouvre Emmanuelle d’un drap. Elle lui pose un dernier baisé sur la bouche et retourne dans sa propre chambre. Une fois qu’elle a tourné le dos, Emmanuelle ouvre l’œil et lui envoie un baiser sans que Noémie ne le voie. Emmanuelle s’endort comblée. Le lendemain matin les deux femmes ont un peu la tête de bois. Elles se retrouvent dans la cuisine et ne parlent pas de la soirée précédente. Néanmoins au moment où Noémie va quitter la maison pour une nouvelle journée à trouver du taf Emmanuelle lui souffle : Reviens-moi vite. La journée de Noémie s’annonce radieuse. Le soie lorsqu’elle rentre Emmanuelle est à la porte et l’accueille avec un grand sourire. Les femmes vont dans le salon et confortablement installées sur le canapé elles se racontent leur journée. Le repas du soir a été préparé par Emmanuelle qui a mis un petit tablier sexy pour servir. Noémie apprécie et dit tu devrais me servir avec juste ce tablier sur toi ce serait vraiment cool. Puis elles mangent ensembles et passent une soirée amicale devant la télévision. Le lendemain matin lorsque Noémie se lève elle sent une bonne odeur de pain grillé et s’approche de la cuisine de bonne humeur. Emmanuelle l’attend pour la servir. Elle ne porte que le petit tablier. Noémie est radieuse et dit : ça te va super bien vraiment tu es faites pour me servir comme ça. Il ne te manque que le collier de cuir. Emmanuelle ne déjeune pas et sert Noémie qui est aux anges. En quittant la maison au lieu d’embrasser Emmanuelle elle passe derrière elle et lui saisit les seins à pleine main. Au revoir ma belle soubrette à ce soir. Le soir lorsqu’elle rentre Emmanuelle l’accueille elle est dans la même tenue que le matin et porte un large collier de cuir. Noémie l’embrasse et lui dit ce soir je dine dans la salle à manger. Emmanuelle la sert dans la salle à manger. Noémie lui dit entre deux plats. Puisque tu ne manges pas avec moi tu devrais passer sous la table et t’occuper de moi. Emmanuelle passe sous la table et commence goulument à prodiguer des caresses buccales à Noémie. Celle-ci ronronne de plaisir. Elles se retrouvent dans le canapé. Noémie s’est mis nue pour être à l’aise et se faire caresser par Emmanuelle. Noémie continue ses exigences. Le matin quand je me lève et le soir quand je rentre j’aimerai te voir nue à genou avec juste le collier et une laisse que tu me tendras. Ensuite je déciderais de ce qu’on fera. D’ailleurs ce soir je crois que je vais t’attacher pour la nuit dans ton lit. Emmanuelle est émoustillée. Elle se demande si Noémie raconte des bobards ou pas. En fin de soirée Noémie saisit la laisse et emmène Emmanuelle dans sa chambre. Là elle l’attache en croix sur le lit. En fouillant dans la table de chevet d’Emmanuelle elle découvre un plug annal et un gode vibrant. Elle bâillonne Emmanuelle et entreprend de visiter ses orifices restants. Elle constate qu’Emmanuelle mouille à l’extrême et lui insère les deux engins. Elle met en route le gode vibrant et rapidement Emmanuelle se laisse aller à des orgasmes puissants. Noémie tient le gode mais le laisse en place. Elle met une sangle bien serrée qui pousse les deux engins dans le fondement d’Emmanuelle et après l’avoir bâillonnée lui souhaite une bonne nuit. Dans la nuit elle va détacher Emmanuelle en lui précisant qu’elle ne voudrait pas se lever sans sentir la bonne odeur de café. Les jours se suivent et petit à petit les deux femmes trouvent leurs marques. Emmanuelle porte maintenant un harnais en cuir rouge qui lui fait un magnifique shibari bien serré sur tout le corps. Elle passe les soirées devant la télé à genou aux pieds de sa maitresse qui l’utilise comme esclave sexuelle. Emmanuelle kiffe cette vie. Elle a l’impression de revivre et d’avoir un but dans la vie. Plaire à Noémie et lui appartenir totalement. Noémie est aux anges. Elle a une bonne esclave, douée pour le sexe et qui ne lui refuse rien. Elle pense qu’il faudrait qu’elle fasse partager sa réussite avec quelqu’un. Pourquoi pas Sidonie sa meilleure amie qui doit toujours avoir son soumis à la maison. C’est décidé. Elle prévient Emmanuelle qu’elle a l’intention d’inviter Sidonie et son mari à la maison. Emmanuelle est effarée. Elle craint de se montrer en esclave à sa nièce Sidonie. Noémie la punit plusieurs fois et désormais Emmanuelle dort attachée au pied du lit de Noémie. De plus Noémie l’attache à un radiateur lorsqu’elle part le matin et ne la détache qu’à son retour. Au bout de quelques jours Emmanuelle est à bout et accepte l’idée de Noémie. Sidonie est enchantée de venir rendre visite à sa tante. Son compagnon n’a pas pu venir mais elle sera heureuse de voir Noémie et sa tante qui visiblement s’entendent à merveille. Elle sonne et la porte s’ouvre sur une Noémie enchantée. Celle-ci embrasse Sidonie et la remercie de lui avoir fait connaitre Emmanuelle. Sidonie la remercie mais demande ou se trouve Emmanuelle. Elle est dans le salon elle ne peut pas bouger. Sidonie s’inquiète aussitôt. Noémie rit : Non ne t’en fais pas elle va bien très bien même mais tu vas être étonnée en la voyant. Sidoine connaissant les penchants de Noémie lui dit : Non tu n’as pas… Si dit Noémie avec un grand sourire. Et elle kiffe ça tu vas voir par toi-même. Et elle invite Sidonie à rejoindre le salon. Là Sidonie voit Emmanuelle à genou à côté du canapé. Elle est nue parée de son harnais rouge qui lui fait ressortir sa peau laiteuse. Elle a un bâillon et un masque aveuglant. Tu vois dit Noémie ce qui fait tressauter Emmanuelle. Elle ne voulait pas que tu la vois à mes pieds mais elle est trop belle pour ne pas être exposée comme ça. Sidonie reprend son souffle et répond : Effectivement je n’imaginais pas qu’elle puisse être aussi belle nue. Et tu vas voir c’est une soubrette parfaite. Et Noémie enlève le masque d’Emmanuelle et lui dit : Ma chérie va nous chercher l’apéritif et vite. Et elle lui met une claque sur les fesses alors qu’Emmanuelle se dépêche de se rendre vers la cuisine. Noémie s’assoit dans le canapé et invite Sidonie à la rejoindre. Sidonie la regarde éberluée et lui demanda comment elle a fait. Noémie raconte comment elle a surpris Emmanuelle en plein self bondage et dit que tout test venu naturellement. Sur ses mots Emmanuelle qui a récupéré un peu de couleurs apporte un plateau avec des verres et des amuses gueules et le présente aux filles qui se servent . Une fois les filles servies Emmanuelle se repositionne à genou en face de Noémie qui lui caresse la tête. Noémie trinque avec Sidonie et fait boire Emmanuelle dan sa coupe. Elle ajoute à Sidonie en plus c’est une experte pour ce qui est du sexe. Tu pourras vérifier toi-même. Après ton verre. Sidonie est épatée. Sa tante ne contredit absolument pas Noémie et même sur un geste de cette dernière elle vient enfouir sa tête dans l’entrejambe écartée. Sidonie et Noémie se racontent leurs aventures et déboires divers pendant qu’Emmanuelle s’applique à sucer Noémie. Celle-ci lui dit maintenant fais profiter notre invité de tes talents. Et après l’ombre d’une hésitation Emmanuelle se met à embrasser le sexe de Sidonie. Emmanuelle sert le repas et reste derrière la chaise de Noémie pendant que les filles mangent. L’après-midi, Sidonie au moment du départ, embrasse sa tante qui lui souffle : je n’ai jamais été aussi heureuse. Sidonie les quitte le cœur joyeux. Ce soir-là Emmanuelle est déchainée et titille Noémie pour que celle-ci la punisse de toutes les façons possibles. Elle est heureuse d’avoir pu se montrer sans pudeur à sa nièce qui ne l’a pas blâmée bien au contraire. Elle finira la soirée avec quelques marques de martinet et empreintes de cordes sur tout le corps, particulièrement les seins qui ont été la cible de bondage de Noémie ce soir-là. Elle n’ose pas demander à Noémie de l’attacher pour la nuit mais celle-ci voyant son état d’excitation ne manque pas de l’immobiliser entièrement aux pieds du lit. Emmanuelle a du mal à trouver le sommeil à cause de l’inconfort de sa position mais aussi et surtout à cause de la journée mouvementée et kiffante qu’elle a vécue.
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Par : le 12/04/21
Chapitre 41 : marché aux esclaves. Extraits « … Baisse les yeux devant ta maitresse dit-elle. Virginie continue à la fixer avec fureur. Mitsuko reprend la cravache et repart pour une série de coups sur le corps déjà endolori de virginie. Celle-ci gémit dans le ballon mais de cède pas….Virginie qui n’en peut plus la toise une dernière fois puis baisse les yeux vaincue. Bien dit Mitsuko maintenant je vais t’enlever le bâillon. si tu oses parler ou crier je recommence tout à zéro. La cravache et les tortures… Enfin Frédérique se vide à grands jets sur les visages de Vanessa et d’Anna qui doivent se lécher jusqu’à la dernière goutte de sperme. Elles ont à peine finit que déjà Frédérique recommence à bander majestueusement… » Martine est décidée. Elle veut récupérer les filles qui sont désormais la propriété de morgane et Victor. Elle appelle morgane et lui propose de récupérer les deux garçons en échange des filles. Morgane refuse et après discussion demande un ou une esclave en prime pour accepter le deal. Martine est effondrée. Où va-t-elle trouver un esclave comme ça. De plus elle veut stopper sa participation aux activités du club de dominants et risque de se heurter à Laurent si elle retire les deux filles du jeu. Elle téléphone à Magalie pour lui exposer son problème. Magalie décide de faire une réunion entre amies pour discuter de ça et trouver une solution. Elle invite martine, la tigresse, Maeva et claire pour une réunion de crise. Les filles se retrouvent chez la tigresse qui s’est proposée pour les accueillir. Le soir de la réunion martine expose les faits et il s’avère que la priorité est de satisfaire la requête de morgane. A la surprise de toutes Claire propose Frédérique comme prime pour l’échange. Elle explique qu’elle commence à en avoir marre du comportement bovin de Frédérique que les pilules maintiennent dans la soumission et qu’elle veut désormais s‘en débarrassera. Les femmes finissent par convenir que c’est une bonne solution et qu’il faudrait le donner sans pilules pour faire une surprise à morgane et Victor lorsque Frédérique récupèrera sa lucidité. Ensuite le problème de Laurent est évoqué. Martine raconte le parrainage et le besoin de disposer de deux esclaves pour les soirées poker. Si elle se retire Laurent devra trouver une nouvelle partenaire et des esclaves. Maeva intervient et explique que pour Laurent Mitsuko aurait plus sa place que martine dans le club. Elle précise qu’elle fait office d’esclave et que Gisèle peut dépanner mais qu’un ou une esclave supplémentaire serait bienvenu pour que Maëva ne soit pas la seule à subir Mitsuko. Elle montre ses piercings qui impressionnent les filles et raconte sa visite de la pièce BDSM de Mitsuko. Les filles sont impressionnées. La tigresse rappelle à Magalie qu’elle peut donner Virginie qui nue est en train de servir les boissons. Magalie voit les yeux suppliants et de martine et de Maëva. Elle propose alors à la tigresse de donner virginie à Maëva pour que celle-ci l’offre à Mitsuko contre un traitement plus humain. L’accord est topé et les filles se séparent un peu rassurées. En rentrant chez elle Magalie se demande si elle ne devrait pas se séparer de Tristan qui n’a toujours pas de taf. Maeva appelle Mitsuko avec le portable que celle-ci lui a imposé. Mitsuko va pour se mettre en colère face à l’audace de Maeva mais quand celle-ci lui dit qu’el a un cadeau somptueux pour elle Mitsuko se calme un peu. Maeva lui propose de livrer le cadeau chez Mitsuko et promet qu’elle ne sera pas déçue. Mitsuko est intriguée et un rendez-vous est pris pour tard dans la soirée afin d’être discrètes. Mitsuko est de plus en plus intriguée. Cette nuit-là Maëva arrive devant chez Mitsuko et demande s’il est possible de rentrer sa voiture dans le garage afin de décharger le cadeau à l’abri des regards. Mitsuko sent la colère monter mais accepte et la voiture est rentrée. Mitsuko regarde Maeva qui ouvre le coffre et sort une magnifique femme menottée dans le dos avec un masque aveuglant et un bâillon boule. Mitsuko n’en revient pas. C’est une esclave pour vous maitresse mais elle n’est pas dressée et n’est pas consentante du tout dit Maëva. Mitsuko tape des mains saisit la laisse qui est accroché au cou de virginie et la traine derrière elle jusqu’à sa pièce dédiée. Maeva veut la suivre mais Mitsuko lui montre le sol et Maëva doit ramper jusqu’à la pièce. Ça n’est pas aujourd’hui que Mitsuko va relâcher sa domination absolue. Lorsque Maëva parvient enfin dans la pièce virginie est déjà suspendue sur le plateau tournant. Elle a encore le bâillon mais son masque a été enlevé. Elle est parée de tous ces bijoux de piercings et Maëva la trouve extrêmement joli en dehors des yeux furibonds qu’elle darde vers elle et vers Mitsuko. Puis Maëva aperçoit le mari de Mitsuko attaché aux espaliers le long du mur. Il bande comme un taureau en voyant la belle virginie tourner. Il a un bâillon et la salive qui coule long de son corps montre qu’il est là depuis un certain temps déjà. Mitsuko lui dit : si tu es bien obéissant tu pourras te la taper. Pour l’instant tu dois exécuter ta punition. Puis elle se tourne vers Virginie. Bienvenue ma belle tu es mon esclave désormais et je n’admets aucun écart. Tu vas vite comprendre. Virginie la toise du regard. Mais blanchie un peu lorsque Mitsuko se saisit d’une cravache et s’approche d’elle. Pour commencer dit Mitsuko on va te faire de jolies marques sûr ton corps si blanc. Et elle commence à cravacher virginie qui impuissante offre toutes les parties de son corps en tournant face à Mitsuko. Au bout d’une vingtaine de coups le corps de Virginie est marbré de stries bleues. Les coups ont été bien dosés car il n’y a aucune goutte de sang. Virginie pleure mais garde son air revêche. Mitsuko est visiblement contente de son œuvre. Elle conduit Maëva dans la cachette du trône et se fait lécher le sexe par cette dernière. Pendant ce temps virginie continue à tourner. Maeva comprend très vite que Mitsuko est particulièrement excitée par Virginie et le traitement qu’elle vient d’affliger. Elle mouille comme jamais. Au bout de plusieurs orgasmes Maëva sent que Mitsuko se calme un peu. Celle-ci se relève et s’approche de virginie. Baisse les yeux devant ta maitresse dit-elle. Virginie continue à la fixer avec fureur. Mitsuko reprend la cravache et repart pour une série de coups sur le corps déjà endolori de virginie. Celle-ci gémit dans le ballon mais ne cède pas. Maeva qui est toujours enfermée dans le trône ne voit rien mais peut entendre les coups et les plaintes étouffées de virginie. Elle admire la résistance de virginie. Mitsuko est en sueur et décide de changer de tactique. Elle arrête le plateau tournant et se positionne face à virginie. Là elle entreprend de pincer les seins et le sexe de virginie qui se tortille comme une folle. Le mari de Mitsuko est en pleine excitation il bande comme jamais. Enfin virginie fait un petit cri différent des autres. Mitsuko la regarde en face et lui dit alors tu vas baisser les yeux. Virginie qui n’en peut plus la toise une dernière fois puis baisse les yeux vaincue. Bien dit Mitsuko maintenant je vais t’enlever le bâillon. Si tu oses parler ou crier je recommence tout à zéro. La cravache et les tortures. Elle ôte le bâillon et virginie le visage en larme se tait. Mitsuko la détache et la couche sur le banc qui a servi précédemment pour le mari de Mitsuko et la sangle sévèrement. Elle va détacher l’homme qui se rue sur virginie et la pénètre avec vigueur. En quelques minutes il se répand en elle. Il aide ensuite Mitsuko à mettre virginie dans l’aquarium ou elle passera la nuit.. Mitsuko s’approche de Maëva et la félicite pour le cadeau. Néanmoins Maëva passer le reste de la nuit suspendue sur le plateau tournant. Martine est angoissée elle a proposé à morgane de voir le cadeau qu’elle veut lui faire en plus des deux garçons pour récupérer ana et Vanessa. Elle se présente chez morgane avec derrière elle Frédérique qui est toujours aussi passive et obéissante. Morgane et Victor sont immédiatement conquis par cette femme magnifique dotée d’un chibre impressionnant. Ils se voient déjà parader lors des soirées poker du club. Anna et Vanessa positionnées sur leur tapis commencent à espérer. Elles sont toujours tondues et martine en est affligée. Morgane dit à martine que le deal sera réalisé si Frédérique a une vigueur suffisante pour se faire les deux petites. Martine connait les capacités de Frédérique et la mort dans l’âme accepte ce dernier outrage. Les deux filles sous les ordres de morgane viennent exciter Frédérique qui répond avec ardeur. Son chibre disproportionné est tendu comme un arc. Il est trop gros pour que les filles lui fassent une fellation. L’une après l’autre il les pénètre avec force et elles sont écartelées tour à tour. Morgane pousse encore le bouchon et après avoir ordonné aux filles de retirer leurs plugs annal, elle incite Frédérique à les prendre par le cul. Heureusement qu’elles sont préparées par le port permanent de plugs imposants car sinon Frédérique les aurait défoncées. Enfin Frédérique se vide à grands jets sur les visages de Vanessa et d’Anna qui doivent se lécher jusqu’à la dernière goutte de sperme. Elles ont à peine finit que déjà Frédérique recommence à bander majestueusement. La démonstration a suffi et martine peut enfin récupérer les deux filles qui se pelotonnent contre elle. Morgane et Victor ont des projets plein la tête pour Frédérique.
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Par : le 28/03/21
Chapitre 37 MITSUKO maitresse infernale. Extraits »… Plus tard elles ressortent du salon. Enchantée pour Mitsuko et effondrée pour Maeva qui est endolorie de partout. Elle ne compte plus les piercings. … Un plateau tournant trône au milieu de la pièce. Sur ce plateau qui fait environ un mètre de diamètre est installé un portique permettant d’attacher son esclave debout les bras tendus vers le haut et les jambes écartées. ….Là elle voit un orifice dans le siège du trône. L’orifice correspond à l’ovale d’un visage. Mitsuko referme le trône et Maeva, bloquée dans la cavité voit l’utilité du système. Le sexe et le cul de Mitsuko sont situés pile sur l’ovale et sur l’injonction de cette dernière, Maëva doit inscrire son visage dans l’ovale. » Maeva ne quitte pas le téléphone que lui a donné Mitsuko. Elle a trop peur de cette dernière qui semble en plus avoir les faveurs de Laurent. Maëva ne peut pas compter sur lui pour empêcher Mitsuko de la martyriser. Ce jour-là elle est seule à la maison quand un sms s’affiche sur le téléphone Dans le sms il n’y a qu’une adresse et le mot Maintenant. Angoissé elle s’habille en vitesse et prend sa voiture pour se rendre à l’adresse. Elle panique. Arrivée elle se présente à la porte et sonne. La porte s’ouvre. Mitsuko la fait rentrer ferme la porte et regarde Maëva celle-ci se prosterne immédiatement aux pieds de Mitsuko. Bien esclave met toi nue maintenant. Maëva se déshabille et Mitsuko lui montre un harnais de bondage. Mets ça Maeva enfile le harnais. Mitsuko sert les sangles et Maëva se recouche aux pieds de Mitsuko Celle-ci se dirige vers une porte et Maëva la suit en rampant Mitsuko ouvre la porte qui donne sur un salon. Maëva la suit et s’aperçoit que plusieurs femmes sont installées dans le salon Voilà leur dit Mitsuko je vous présente mon esclave absolue. Maeva ne sait plus où se mettre les femmes se lèvent et entourent Maëva. Joli choix dit l’une. Elle est belle dit une autre. On peut toucher dit une troisième. Bien sûr dit Mitsuko : Maëva debout ! Maeva se lève et garde la tête baissée. Elle est pelotée par plusieurs mains. La conversation continue. Elle est douce et bien nantie. Ses seins sont magnifiques. Que sait-elle faire ? Tout répond Mitsuko. Il suffit que je donne l’ordre. Maeva lèche moi les pieds. Maeva se couche et lèche les pieds de Mitsuko. Au niveau sexe elle est très efficace dit Mitsuko. Elle ajoute : Maeva lève-toi et met tes mains sur la tête et cambre-toi qu’on voit ta belle poitrine. Maëva obéit. Dit leur que tu es ma chose. Maeva parle ; je suis votre chose maitresse Mitsuko. Elle rajoute ; je suis votre esclave votre propriété votre soumise et je me prosterne devant vous. Je vous appartiens corps et âme. En disant cela Maeva sent qu’elle le vit pleinement et est excitée à mort. Elle a envie que Mitsuko abuse d’elle et la fasse jouir comme une folle. Les femmes sont impressionnées et l’une d’entre elle met la main dans l’entrejambe de Maëva dit : elle le pense vraiment elle mouille comme une fontaine. Le regard de Mitsuko devient trouble. Elle regrette que ce moment ne soit pas plus intime. Elle culbuterait bien Maëva sur place mais doit se contenir. Elle veut reprendre la situation en main et remmène les invités vers le salon où elle fait mettre Maëva couchée à ces pieds. Le reste de la réception est une épreuve pour Mitsuko qui n’a plus envie d’exhiber son esclave mais qui voudrais être seule avec elle. Néanmoins elle les laisse déborder d’imagination pour créer des shibari sur Maëva. elle est encordée comme un saucisson et ses seins sont bleuis par les tours de cordes qui les enserrent et les font projeter en avant. Enfin les femmes prennent congé. Maeva est toujours aux pieds de Mitsuko. Celle-ci lui dit répètes moi ce que tu as dit tout à l’heure. Maëva répète avec enthousiasme ses paroles de soumission. Mitsuko n’en revient pas et pince les seins de Maëva qui ne recule pas. Mitsuko est perplexe. Maeva la rend folle. Avoir cette magnifique créature à ses pieds lui donne le vertige. Elle décide d’aller plus loin. Elle libéré Maëva et lui réitère l’ordre de ne pas quitter son téléphone. Quelques jours plus tard Maëva reçoit un sms. Une adresse et le mot Maintenant. Elle se précipite et l’adresse correspond à l’échoppe d’un institut ou sont réalisés des tatouages et piercings. Elle est affolée. Qu’a pu encore inventer Mitsuko. Celle-ci l’attend et la fait entrer dans le bâtiment ou un homme les prend en charge immédiatement et le emmène dans un petit salon isolé. Là Mitsuko prend les choses en main et Maeva ne peut que subir. Plus tard elles ressortent du salon. Enchantée pour Mitsuko et effondrée pour Maeva qui est endolorie de partout. Elle ne compte plus les piercings. Deux sur la langue dont un presqu’à l’extrémité de celle-ci. Deux sur les seins, six sur les grandes lèvres, un sur le clitoris et un sur le nombril. Deux orifices supplémentaires ont été rajoutés aux lobes de ses oreilles. Et enfin trois piercings ont été faits de chaque côté de son pubis verticalement à environ deux centimètres d’intervalle. Mitsuko exulte et lui promet de l’enjoliver lors de leurs futures rencontres. Laurent et Mitsuko laissent tranquille Maëva pendant quelques temps. Ceci n’empêche pas Mitsuko d’envoyer des messages à Maëva. Les messages sont souvent accompagnés de croquis ou photos de femmes très pierrées bondées à l’extrême. Elle comprend l’utilité des piercings du pubis en voyant des chainettes relier des piercings identiques reconstituant le triangle du pubis mais en métal au lieu de toison pubienne. Maeva se demande ce qu’elle va devenir lorsque ses piercings seront stabilisés. Mitsuko a transformée une pièce de sa maison pour y exposer son esclave. Elle convoque Maëva pour les premiers essais. Celle-ci arrive aussitôt effrayée par avance des sévices que lui fera subir Mitsuko. Mitsuko entre dans la pièce suivie de Maëva qui, comme elle en a le devoir, rampe aux pieds de sa maitresse. Un plateau tournant trône au milieu de la pièce. Sur ce plateau qui fait environ un mètre de diamètre est installé un portique permettant d’attacher son esclave debout les bras tendus vers le haut et les jambes écartées. Elle y installe Maëva. Celle-ci ne proteste pas, heureuse que ça ne soit pas douloureux. Une fois Maëva en place, Mitsuko va s’assoir sur un fauteuil qui ressemble à un trône de reine et appuie sur le bouton qui met en route le plateau. Maeva se met alors à tourner doucement sur elle-même. Mitsuko est enchantée. Elle peut voir son esclave sous tous les angles et s’imagine celle-ci couverte de bijoux de piercing plus beaux et plus gros les uns que les autres. Mais pour le moment les piercings sont trop récents pour cela. Il faudra d’abord qu’ils cicatrisent correctement et qu’ils atteignent les diamètres voulus par Mitsuko. Bien entendu le plateau peut servir à exposer l’esclave dans toutes les positions souhaitées par Mitsuko. Sur le mur opposé au fauteuil un grand aquarium est posé sur un socle. Il fait près de deux mètres de long sur un mètre de large et le fond est tapissé de sable blond. Les vitres vont jusqu’au plafond et l’accès à l’intérieur se fait par une porte dérobée située à l’arrière de l’aquarium et donnant sur une autre pièce. Mitsuko détache Maëva et la fait pénétrer dans l’aquarium. Elle revient s’assoir sur son trône et peut admirer l’occupante de l’aquarium qui semble perdue la dedans. Sur les murs il y a des espaliers et d’autres meubles dont l’utilisation n’est pas toujours aisée à comprendre pour les non-initiés. En alternance avec ses meubles des grands cadres destinés à recevoir des photos semblent attendre d’être ornés des futures photos de Maëva dans les positions de soumission les plus bandantes. Après quelques minutes Maëva est sortie de l’aquarium. Mitsuko l’emmène alors prêt du trône. Elle actionne un petit levier et l’avant du trône s’ouvre laissant apparaitre une cavité sous l’assise de ce dernier. Elle pousse Maëva dans la cavité ou cette dernière doit se tenir à genou la tête arquée vers le haut. Là elle voit un orifice dans le siège du trône. L’orifice correspond à l’ovale d’un visage. Mitsuko referme le trône et Maeva, bloquée dans la cavité voit l’utilité du système. Le sexe et le cul de Mitsuko sont situés pile sur l’ovale et sur l’injonction de cette dernière, Maëva doit inscrire son visage dans l’ovale. Ce qui met sa bouche en contact avec le sexe de Mitsuko qui lui ordonne de la lécher. Maeva à genou les mains liées dans le dos n’a d’autres choix que de satisfaire sa maitresse. Vu de l’extérieur personne ne pourrait voir que l’occupante du trône se fait faire un cunnilingus par une esclave. Mitsuko pense déjà qu’il lui faudra au moins un ou une autre esclave pour profiter des atouts de son trône tout en regardant le plateau tourne avec un ou une occupante. Après plusieurs orgasmes provoqués autant par la langue de Maëva que par l’excitation de son nouveau local Mitsuko libère Maëva et la raccompagne vers la sortie. En passant dans le couloir qui mène vers la sortie l’attention de Maëva est attirée par une espèce de plainte qui vient de derrière une porte. Mitsuko qui a aussi entendu ouvre la porte et Maëva peut voir un homme menotté pieds et mains sur un banc recouvert de cuir. L’homme a un bâillon et un système motorisé le sodomise avec un gode de bonne taille. Son sexe est inséré dans une espèce de trayeuse qui le pompe en permanence. Mitsuko lui donne deux ou trois coups de fouet qui ont pour effet de faire taire l’homme. Avant que Mitsuko ne referme la porte Maëva a le temps de voir que c’est le mari de Mitsuko qui est supplicié ainsi. Une fois Maëva sortie Mitsuko pense à la prochaine étape sera de trouver une autre proie mâle ou femelle.
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Par : le 23/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 36 Mitsuko Extraits « … En arrivant dans les toilettes elle voit avec stupeur une femme ligotée à genou. Elle est nue, porte un masque aveuglant et un système lui gardant la bouche ouverte. Sous elle un gode électrique effectue des va et vient permanents. … Je ne t’ai pas dit de rentrer ta langue et elle met la main entre les jambes de la femme et pince violemment le clitoris. La femme veut crier mais la main de Mitsuko s’est reposée sur la bouche de cette dernière. Mitsuko dit tu vas m’obéir maintenant…. La femme dit d’une voix déformée par l’écarteur et les sanglots. Tu es ma maitresse Mitsuko. Mitsuko repince les seins. Tu dois me vouvoyer. La femme hoquète et répète vous êtes ma maitresse Mitsuko. Mitsuko est ravie elle caresse maintenant les seins douloureux de la femme. … Une fois libérée celle-ci se lève et dit à Maeva. Couche-toi à mes pieds maintenant. Maeva soumise totalement à Mitsuko se couche sur le ventre et embrasse fébrilement les pieds de Mitsuko….» En attendant le parrainage Laurent organise une nouvelle soirée poker. Outre deux invités habituels il y a un nouveau couple. Robert, collègue de Laurent, est marié à une jeune japonaise, Mitsuko, qui a absolument voulu venir voir en quoi consistait ces parties de poker dont on parle à voix basse et qui semblent orientées sur le sexe. Robert a essayé de la dissuader car elle est très prude mais elle a fait des pieds et des mains pour pouvoir venir. Robert en a parlé à Laurent qui est d’accord pour qu’elle vienne, pourvu qu’elle sache se tenir et ne fasse pas d’esclandre. Robert promet que s’il y a un problème il repartira aussitôt avec Mitsuko. La soirée est prête. Gisèle et Aude sont à genou dans le coin de la salle qui leur est réservée. Lorsque robert et Mitsuko arrivent il se présente et prévient Mitsuko que dans la salle de poker elle risque d’être choquée. Les yeux brillants elle répond qu’elle veut absolument venir, qu’elle saura se tenir et qu’elle jouera un peu au poker. En entrant dans la salle Mitsuko est hypnotisée par les deux femmes quasiment nues ligotées à genou sur des godes. Elle a un mal fou à ôter son regard de cette vue qui la bouleverse totalement. Robert inquiet lui serre la main elle se retourne vers lui et fait un grand sourire. Pas de problème elles sont très belles ; je comprends que tu veuilles venir à ces soirées dit-elle espiègle. La partie commence. Mitsuko joue habituellement bien au poker mais elle ne pense qu’à ces deux femmes offertes. Elle perd régulièrement et au moment de la pause elle est déjà ratissée. Elle voit les deux femmes servir les en cas et les boissons puis passer sous les tables pour essorer les hommes présents. Elle ne demande pas de caresses buccales de la part des femmes car elle ne sait pas comment ça pourrait se terminer. Elle n’a jamais été aussi excitée qu’à ce moment. La pause terminée les joueurs retournent à leurs parties et les deux femmes se remettent en position à genou. Mitsuko décide d’aller aux toilettes. En arrivant dans les toilettes elle voit avec stupeur une femme ligotée à genou. Elle est nue, porte un masque aveuglant et un système lui gardant la bouche ouverte. Sous elle un gode électrique effectue des va et vient permanents. La femme est très belle et l’écriteau posée sur elle indique clairement qu’elle est à la disposition de celui ou celle qui passe. Mitsuko n’en revient pas. Elle va mettre le verrou sur la porte des toilettes et s’approche de la femme. Mitsuko dit : Bonjour. la femme répond un bonjour déformé par l’écarteur. Tu es à ma disposition ? dit Mitsuko. Oui répond la femme. Je peux faire ce que je veux la femme opine. Mitsuko pose la main sur un sein de la femme et en même temps lui met la main sur la bouche. Elle pince fermement le téton. La femme gémit mais son cri est étouffé par la main de Mitsuko. Chut ! Sinon je te fais vraiment mal. La femme se tait. Mitsuko pince le deuxième sein.la femme gémit mais essaye de le faire en silence. Mitsuko dit : tu es ma chose. La femme semble pleurer. Tire la langue dit Mitsuko. La femme tire la langue. Plus loin dit Mitsuko. La femme tire au maximum la langue que Mitsuko attrape et tient fermement entre ses doigts. Elle tire la langue au maximum. La femme se tortille et semble paniquer. Oui je fais de toi ce que je veux. Elle relâche la langue et la femme la recule aussitôt. Je ne t’ai pas dit de rentrer ta langue et elle met la main entre les jambes de la femme et pince violemment le clitoris. La femme veut crier mais la main de Mitsuko s’est reposée sur la bouche de cette dernière. Mitsuko dit tu vas m’obéir maintenant. La femme hoche précipitamment la tête. Mitsuko dit :je vais enlever ma main et toi tu vas titrer la langue au maximum. La femme hoche le tète. Mitsuko retire sa main et aussitôt la langue sort au maximum. Bien dit Mitsuko. Maintenant tu vas gonfler ta poitrine pour moi sinon je te repince les seins. La femme s’arque autant qu’elle peut pour mettre sa poitrine en avant. Bien lui dit Mitsuko. Souviens-toi de moi je suis Mitsuko et un jour tu ramperas à mes pieds. La femme semble perplexe et pour toi je serai maitresse Mitsuko. Chaque fois que tu me verras tu m’appelleras ainsi et tu ramperas à mes pieds. La femme ne réagit pas. Mitsuko lui pince sévèrement les seins. La femme est tétanisée et hoche précipitamment la tête. Dit le que je suis ta maitresse dit Mitsuko. La femme dit d’une voix déformée par l’écarteur et les sanglots. Tu es ma maitresse Mitsuko. Mitsuko repince les seins. Tu dois me vouvoyer. La femme hoquète et répète vous êtes ma maitresse Mitsuko. Mitsuko est ravie elle caresse maintenant les seins douloureux de la femme. On se reverra vite dit Mitsuko et elle se relève et quitte les toilettes. Robert commençait à s’inquiéter. Mitsuko revient vers lui avec un grand sourire. Elle lui dit j’ai fait la connaissance d’une femme nue dans les toilettes qui est ce. C’est Maeva dit robert. C’est la femme et l’esclave de Laurent. Mitsuko sourit et regarde Laurent. Elle pense tu vas devoir me la prêter mon ami. J’ai plein d’idées pour elle. Juste avant la fin de la soirée Mitsuko retourne aux toilettes. Elle s’approche de Maëva et dit :alors Maeva tu reconnais ma voix. Une petite voix apeurée dit oui vous êtes ma maitresse Mitsuko. Bien répond cette dernière. Je t’ai apporté un petit cadeau. Elle ôte sa culotte et l’enfonce dans la bouche de Maeva tout en pinçant un sein. C’est pour que tu te souviennes de moi et que tu comprennes que tu m’as bien fait mouiller. A bientôt ma petite esclave. Et elle pose un baiser sur le sein meurtri de Maeva. Lors du départ Mitsuko s’approche de Laurent pour le remercier de l’avoir laisser venir. Il est sensible à ses charmes et elle le sent. Si tu veux plus de moi il faut que tu me prêtes ta femme un weekend. Lui dit-elle en partant. Laurent est tout content et s’aperçoit plus tard qu’il a un numéro de téléphone griffonné sur un papier dans sa poche de veste. Après le numéro il y a un cœur et un m majuscule. Il sent que Maeva va faire un stage chez Mitsuko. Lorsqu’il libère Maeva celle-ci s’effondre dan ses bras. Elle veut lui raconter ce qu’elle a subi avec Mitsuko mais il ne la laisse pas parler et elle passera la nuit attachée et bâillonnée avec la culotte de Mitsuko dans la bouche. Quelques jours plus tard Laurent appelle Mitsuko. Celle-ci lui dit franchement qu’elle a kiffé la soirée poker, notamment les moments passés avec Maeva et qu’elle recommencerait bien une séance seule en tête à tête avec cette dernière. Laurent qui se verrait bien faire un cinq à sept avec Mitsuko accepte sous réserve qu’ils aient tous les deux une séance en tête à tête ensuite. Mitsuko promet qu’elle est d’accord. Laurent propose que la rencontre avec Maeva se fasse chez lui car il possède du matériel et une pièce adéquate. Mitsuko accepte volontiers et le rdv est pris pour le lendemain car robert sera absent pour la journée et la nuit suivante. Laurent se garde de prévenir Maeva et le lendemain il lui dit juste qu’elle n’a pas été visiter la pièce donjon depuis trop longtemps et qu’il va y remédier. Maeva ne se doute pas de la visite et accepte volontiers pour se changer les idées après sa soirée difficile. Le lendemain Maeva est attachée les bras tirés vers le haut par une chaine accrochée au plafond et les jambes écartées par une barre d’écartement. Elle a un masque aveuglant et un bâillon. C’est une position traditionnelle qu’elle aime. Quand elle entend des pas légers derrière elle elle commence à mouiller en pensant qu’elle va se faire prendre par un ou des hommes bien excités. Elle se tétanise quand elle entend la voix douce de Mitsuko qui lui dit. Je t’avais promis qu’on se reverrait ma petite esclave. Et aujourd’hui on a bien le temps de faire connaissance. Maeva rue mais ne peut rien faire, attachée comme elle est. Mitsuko commence par la caresser longuement elle s’attarde sur les seins faisant frémir Maeva à chaque fois par la peur engendrée. Puis elle pince légèrement les seins et le clitoris de Maeva qui se tortille. Mitsuko enlève le bâillon et demande à Maeva de tirer la langue. Celle-ci s’exécute immédiatement et tire la langue autant qu’elle peut. Mitsuko attrape la langue avec ses doigts et la maintient fermement mais sans la forcer. Maeva est terrorisée. Elle s’attend au pire. Mitsuko met alors une pince sur la langue de Maeva. La pince presse fermement la langue même si la douleur est encore supportable. Maeva sent que la pince est reliée à quelque chose. Puis Mitsuko met une pince sur le clitoris de Maeva. Encore une fois c’est très fort mais la douleur est supportable. Puis Mitsuko tire sur les deux pinces qui sont reliées à des chainettes ; celle de la langue vers le bas et celle du clitoris vers le haut. Maeva baisse au maximum la tête afin de soulager sa langue et essaye de remonter son bassin pour soulager la tension sur le clitoris. Mitsuko tend au maximum de ce que peut supporter Maeva et relit les deux chainettes. La tension entre les deux pinces empêche Maeva de faire le moindre geste tant elle est concentrée sur la tentative de limiter la tension. Mitsuko lui dit. Tu es jolie comme ça mais il ne faut pas oublier tes jolis seins. Et elle accroche une pince à un sein. La douleur est forte mais supportable. Mais Mitsuko passe la chainette qui relie les deux pinces autour du cou de Maeva et accroche la pince sur le deuxième sein en tendant au maximum la chainette. Les tétons de Maeva sont fortement tirés vers le haut et elle essaye sans succès de baisser le cou pour limiter la tension. Ainsi bloquée et endolorie elle est palpée partout par Mitsuko qui alterne les caresses et les claques nerveuses. Enfin alors que Maeva n’en peut plus et ruisselle de sueur Mitsuko enlève les pinces. Maeva respire enfin. Mitsuko détend la tension sur les bras et bientôt Maeva se retrouve avec les bras menottés dans le dos. La barre d’écartement est enlevée et les chevilles de Maeva sont menottées l’une contre l’autre. Mitsuko dit alors à Maeva de se mettre à plat ventre devant sa maitresse. Maeva se couche comme elle peut et se retrouve à plat ventre. Mitsuko lui enlève le masque et Maeva la voit enfin. Elle est nue juste vêtue d’un harnais de cuir rouge qui l’enveloppe complément. Lèche mes pieds esclave. Maeva rampe vers les pieds de Mitsuko et lui lèche avidement les pieds pour montrer sa totale soumission en espérant calmer la fureur de Mitsuko. Après quelques minutes celle-ci se dirige vers le grand lit de la pièce et ordonne à Maeva de la suivre. Maeva doit ramper sur le sol pour avancer. Elle arrive enfin au pied du lit. Là Mitsuko lui enlève les menottes des pieds et la fait se relever. Elle couche Maeva su le dos en travers sur le lit et entreprend de l’attacher en croix aux quatre coins du lit. Comme elle est en travers du lit les jambes de Maeva sont ouvertes à l’extrême et elle est quasiment en position de grand écart. Les liens sont très tendus et elle ne peut absolument pas bouger. Mitsuko admire son œuvre et palpe Maeva en alternant les caresses les claques et les pincements. Parle-moi. Dit moi que tu aimes ce que je te fais dit Mitsuko. Mets-y du cœur. Maeva dit : Vous êtes ma maitresse Mitsuko et je joui de vos caresses. J’adore ce que vous me faites et je me prosterne devant vous. Elle essaye d’imaginer ce qui peut faire plaisir à Mitsuko et pendant plusieurs minutes celle-ci continue ses actions. Puis Mitsuko détache Maeva, se couche sur le lit et lui dit maintenant tu vas me faire jouir esclave. Maeva caresse Mitsuko et l’embrasse partout. Celle-ci ondule mais semble insatisfaite. Maeva prend alors l’initiative d’utiliser les attaches qui viennent de servir pour attacher Mitsuko qui se laisse faire aux quatre coins du lit. Maeva tend autant qu’elle peut les liens et Mitsuko est maintenant tendue à l’extrême. Maeva la pelote en alternant les caresses et les claques. Puis voyant que Mitsuko commence à haleter. Maeva se met à genou enserrant la tête de Mitsuko et se penchant en arrière elle saisit le sexe de Mitsuko d’une main et le fouille sans ménagement. Mitsuko comme alors à haleter plus fort et embrasse goulument le sexe de Maeva. Celle-ci redouble de force sur le sexe de Mitsuko qui réagit aussitôt. Maeva ne fait plus attention maintenant et agrippe avec toutes ses forces le sexe de Mitsuko qui l’embrasse fébrilement. Maeva sent la jouissance venir et soudain Mitsuko se met à ruer comme un cheval sauvage. Elle jouit sauvagement sans cesser de lécher le sexe de Maeva. C’est un tourbillon de jouissance qui emporte les deux femmes. Maeva pantelante reprend son souffle. Mitsuko s’est calmée. Maeva se relève et contemple le corps le Mitsuko toujours attaché fermement. Maeva lui dit tu ‘as mis qu’on avait bien le temps de faire connaissance ma jolie. Je crois que tu vas rester quelques heures dans cette position ou tu es à ma disposition totale. Mitsuko la regarde sans peur. Mais blanchi un peu lorsque Maeva s’éloigne et revient avec une cravache dans une main et les quatre pinces qui viennent de servir dans l’autre. A mon tour de jouer dit Maeva en se préparant à mettre un bâillon à Mitsuko. Celle-ci la regarde sans ciller et dit. N’oublies pas que tu es à ma merci. Tu es mon esclave et je te ferais regretter mille fois ce que tu me feras si tu ne me détaches pas tout de suite. Maeva hésite. Elle a compris que Mitsuko pourra de nouveau demander à Laurent une séance ou elle sera à sa merci. Trop effrayée par ce qui peut lui arriver elle est vaincue et commence à détacher Mitsuko. Une fois libérée celle-ci se lève et dit à Maeva. Couche-toi à mes pieds maintenant. Maeva soumise totalement à Mitsuko se couche sur le ventre et embrasse fébrilement les pieds de Mitsuko. Bien dit celle-ci. La prochaine fois nous testerons quelques bondages shibari d’humiliation. Restes dans cette position jusqu’à mon appel et elle pose un téléphone portable près de Maeva. Et Mitsuko part. Maeva n’ose pas bouger. Heureusement que c’est bien chauffé ici se dit-elle. Le temps passe lentement. Maeva se demande si Mitsuko va appeler ou si c’est un piège. Plusieurs heures plus tard le téléphone sonne. Elle décroche. Tu peux disposer esclave. Je veux que tu ais toujours ce téléphone à ta portée. Je n’accepterais pas que tu ne répondes pas à un de mes appels. Et elle raccroche laissant Maeva pantoise.
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Par : le 22/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 35 : SAUVETAGE INESPERE. Extraits » …Et elle montre du geste la tigresse qui est couchée à ses pieds qu’elle lui lèche avec attention. Elle est juste nue avec un collier identique à celui de Magalie…. Enfin virginie lui fait ouvrir la bouche pour y insérer un bâillon à double gode qui fait qu’elle à l’équivalent d’une bite dans la bouche et une autre qui sort de sa bouche. Maintenant tu es prête à me servir et de toutes les façons. Bien sûr tu n’as pas intérêt à essayer d’enlever une seule chose sans mon ordre. Dit virginie… » Magalie reprend ses esprits. Elle est enfermée dans une cage et porte un collier qui ne lui augure rien de bon. Face à elle, elle reconnait virginie qui la toise avec un regard pervers. Tu te réveilles ma chérie. Tant mieux car on va passer du bon temps toutes les trois. Et elle montre du geste la tigresse qui est couchée à ses pieds qu’elle lui lèche avec attention. Elle est juste nue avec un collier identique à celui de Magalie. Le collier est accroché à un anneau fixé au sol. La tigresse ne peut bouger la tête que de trois ou quatre centimètres. Magalie veut demander à virginie pourquoi elle la traite comme ça. Au premier mot une puissante décharge la terrasse. Ça vient du collier. Virginie rit et lui explique le fonctionnement du collier. Magalie fait un geste pour montrer qu’elle ne comprend pas. Virginie lui rappelle que c’est elle qui l’a jetée dans les griffes de la tigresse. Magalie montre qu’elle ne comprend rien. Tu n’as pas besoin de comprendre. Maintenant tu es corps et âme à mon service comme une bonne petite esclave. Tu prendras exemple sur la tigresse qui a compris ou était son intérêt. Magalie regarde incrédule virginie. Celle-ci dit : Bon on va commencer ton éducation. Déjà tu sais que tu ne dois jamais parler sans mon ordre. Mais ça tu as compris. Lorsque tu ne seras pas occupée à faire une tache que je te commanderais tu te mettras à genou en position de soumission comme la tigresse en ce moment et tu me lécheras les pieds. Magalie est horrifiée. Voilà ce que tu dois savoir dit virginie. M’obéir ou te prosterner à mes pieds. C’est simple. Compris. Magalie hoche la tête. Je vais te sortir de la cage maintenant. Virginie approche de l’arrière de la cage et l’ouvre. Magalie sort en marche arrière et veut se lever. Une puissante décharge la sonne. Tu n’as pas compris tant que je ne te demande riens tu te prosterne à mes pieds. Magalie se remet péniblement à genou et baisse la tête vers les pieds de virginie. Cette fille est folle pense-t-elle. Virginie se dirige vers le campé. Magalie la suit à genou et dès que virginie est assise elle lui lèche les pieds. Pff ça va être long se dit Magalie. Virginie lui dit alors. Montre-moi si tu sais te servir de ta bouche sur un sexe et elle écarte les jambes. Magalie n’est pas lesbienne mais ne se pose pas de question. Elle plonge la tête dans le sexe de virginie. Virginie fait entrer la tigresse dans la cage. Voilà dit-elle. Maintenant je peux m’occuper pleinement de toi. Et elle se tourne vers Magalie qui n’a pas bougé. Celle-ci anticipe la décharge et se rue à quatre pattes vers les pieds de virginie qu’elle embrasse. Bien : dit cette dernière. On va te vêtir come il faut. Elle s’absente quelques minutes et revient avec un harnais en cuir noir qu’elle installe sur Magalie. Le harnais est réglable et virginie serre au maximum les sangles. Le harnais semble être incrusté dans la peau de Magalie. Tu as de beaux seins on va les mettre en valeur. Elle sort une corde de bondage et s’en sert pour bonder les seins de Magalie. Ceux-ci sont gonflés et deviennent bleus. Magalie a l’impression qu’ils vont éclater. Maintenant pour parfaire ta tenue des petits jouets pour toi. Elle fait se pencher Magalie en avant et lui met un gode énorme et un plug annal impressionnant. Une lanière du harnais qui passe entre ses jambes comprime puissamment les deux objets qui semblent vouloir aller plus loin dans les entrailles de Magalie. Satisfaite du résultat virginie lui dit que désormais elle sera tout le temps habillée comme ça avec les deux jouets bien insérés. Elle actionne une petite télécommande et les deux engins se mettent à vibrer de concert. Magalie se sent prête à éclater de partout entre ses seins, son sexe et son cul. Enfin virginie lui fait ouvrir la bouche pour y insérer un bâillon à double gode qui fait qu’elle à l’équivalent dune bite dans la bouche et une autre qui sort de sa bouche. Maintenant tu es prête à me servir et de toutes les façons. Bien sûr tu n’as pas intérêt à essayer d’enlever une seule chose sans mon ordre. Dit virginie. Elle entraine Magalie dans la cuisine ou cette dernière fait la vaisselle sous le regard de virginie. Une fois la cuisine propre Magalie doit passer l’aspirateur dans le salon. Son travail est interrompu lorsque virginie, assise sur le canapé, lui donne l’ordre de venir lui enfiler le gode facial. La journée est épuisante pour Magalie. Malgré elle, elle est de temps en temps fauchée par un orgasme provenant des vibrations des deux engins. Enfin il semble que l’heure du coucher est arrivée. Virginie sort la tigresse de sa cage, lui fait un passage aux toilettes et à la salle de bain et l’accroche à l’anneau prévu à cet effet au sol de sa chambre. Puis elle vient chercher Magalie et suit le même protocole. Elle n’oublie pas de remettre le harnais et les engins vibrants ainsi que le bâillon gode. Il n’y a qu’un anneau dans la chambre et elle lie Magalie à un des pieds du lit. Magalie voit du coin de l’œil que le regard de la tigresse s’est soudainement réveillée. Pendant que virginie attache Magalie elle voit que la tigresse lui fait des gestes avec a tête en montrant le tapis sur lequel est couchée Magalie. Virginie se relève et la tigresse cesse de regarder par là. Virginie souhaite alors une bonne nuit aux esclaves en éteignant la lumière. Magalie laisse passer quelques minutes et quand elle pense que virginie dort complétement elle se contorsionne silencieusement pour essaye de voir ce qui se cache sous le tapis. Après une demi-heure d’effort elle sent sous ses mains un petit anneau qui semble ouvrir une petite trappe. Elle réussit à soulever la petite trappe et essaye de tâter ce qu’il y a dans la petite cavité en dessous. Elle finit par toucher un objet muni de boutons qui semble être une petite télécommande. Puis un couteau, un cutter et une petite boite dont elle ne connait pas l’utilité. Elle se demande ce qu’elle peut faire avec ça et regarde du côté de la tigresse qui a les yeux rivés sur elle. Magalie tente alors de faire glisser les objets vers la tigresse qui tend ses jambes pour les attraper un à un. Après plus d’une heure d’efforts et de contorsions la tigresse a récupéré tous les objets. Quelques minutes d’effort plus tard Magalie voit que la tigresse semble s’être libérée. Celle-ci rampe vers elle et lui ôte les liens un par un. Elle finit par le collier quelle ouvre avec des minuscules outils bizarres. Magalie apprendra plus tard qu’il s’agit d’outils pour forcer les serrures. Elles sont libres. Virginie semble toujours endormie. La tigresse montre un collier à Magalie et lui indique le cou de virginie. L’affaire ne va pas être simple mais elles sont à deux contre une. Elles contournent le lit et la tigresse s’apprête à mettre le collier autour du cou de virginie. Elle montre les mains de virginie à Magalie pour lui signifier de les maitriser au moment de l’attaque. Puis elle fait le décompte trois deux un et elle se jette sur le cou de virginie pendant que Magalie attrape les deux mains. Virginie sursaute et fait preuve d’une force étonnante. Magalie ne parvient qu’à ralentir les mains de celle-ci. Mais la tigresse a réussi en une fraction de seconde à fermer le collier sur le cou de virginie. Cette dernière lutte en silence et réussit presque à se dégager des mains de Magalie. Un clic se fait entendre et la tigresse se recule vivement en brandissant une télécommande. Magalie ressent un choc terrible. La tigresse a envoyé une décharge avec le collier et la décharge a secoué virginie et Magalie. Virginie se tétanise sur le lit. Magalie reprend un peu ses esprits et se recule vivement. La tigresse allume la lumière. Virginie est couchée et les regarde avec horreur. La tigresse sourit. J‘ai toujours un nécessaire dans ma chambre en cas de problème avec les accessoires dit-elle en exhibant les objets contenus dans la cavité. Ils m’ont déjà servis et ils viennent de me sauver encore. Merci Magalie sans toi j’étais condamnée à rester l’esclave de virginie. Je te suis redevable d’un grand service. Magalie répond qu’elle n’y est pas pour grand-chose. Virginie veut se lever mais la tigresse lui montre la télécommande. C’est moi qui donne les ordres désormais ma petite. Tu vas réapprendre à m’obéir Laissant virginie prostrée sur le lit les deux femmes se débarrassent des restes de bondage. Magalie se sent revivre avec son fondement enfin libéré. Elles se rendent dans le salon ou la tigresse leur prépare un café. Que va-t-on faire d’elle demande Magalie. J’en fait mon affaire dit la tigresse. J’ai besoin d’une soubrette ici et virginie connait la maison et est très jolie en plus. Je suis sure qu’elle va m’apporter beaucoup de plaisir. Magalie n’en doute pas. La tigresse continue. Néanmoins si tu as besoin d’elle pour n’importe quoi je te la donne en reconnaissance de ton aide. Magalie la remercie et après avoir retrouvé se habits quitte la maison de la tigresse pour rentrer chez elle. Rétrospectivement elle se rend compte qu’elle a échappé au pire. De son côté la tigresse profite avec bonheur de virginie. Elle est désormais menottée dans le dos en permanence et doit suivre la tigresse partout où elle va. Virginie a pour mission de lécher le sexe de la tigresse dès que celle-ci est immobile. Et dès que la tigresse s’arrête même pour quelques secondes, virginie se met à genou et lèche avec vigueur pour ne pas recevoir de coups de cravache ou de décharges venant du collier. Elle a en permanence un plug annal et un gode énorme bien enfoncés dans ces entrailles et maintenus par une lanière qui est attachée au harnais en cuir rouge qu’elle porte en permanence. La nuit elle est attachée en travers du lit et sert d’oreiller à la tigresse. Lorsque la tigresse a une visite virginie doit se coucher sur le ventre aux pieds de la tigresse qu’elle doit lécher en permanence sauf quand la tigresse l’offre sexuellement aux visiteurs des deux sexes qui ne manquent pas d’imagination pour l’humilier autant que possible tout en la besognant. Elle prend ses repas à genou dans la cuisine et mange dans une gamelle les restes du repas précédent de la tigresse. Virginie ne voit pas comment elle pourra se sortir de cette situation et devient de plus en plus soumise à la tigresse afin d’éviter les punitions. La tigresse kiffe cette situation car ses invités ne tarissent pas d’éloges sur la réussite qu’elle a avec cette magnifique esclave.
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Par : le 22/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chap 34 : des ennuis en vue. Extraits « … Ceux-ci mettent des chaines aux filles qui se retrouvent à quatre pattes, des chaines reliant les poignets et les chevilles les empêchant de se lever.Les laisses sont décrochées des anneaux et la catcheuse saisissant les laisses emmène les filles qui suivent comme elles peuvent à quatre pattes. … Anna et Vanessa ne bougent pas elles ont juste de quoi tenir à quatre pattes sur le tapis. Toi ! dit Victor en montrant Anna. Vient me montrer que tu es une bonne petite chienne. Il sort son chibre et attend toujours assis. Anna hésite puis s’avance vers lui et entreprend de le sucer. … Elles sont consignées sur leurs tapis et servent uniquement de jouet sexuel pour le couple dominant et les nombreux visiteurs qui viennent se taper les deux petites soumises… » Martine n’est pas chaude pour que le couple embarque les deux filles pour un weekend. Elle n’a aucune garantie que les filles seront bien traitées. Elle les regarde et les questionne du regard. Celles-ci se concertent autant qu’elles peuvent et finalement acceptent le jeu. Après ça Laurent et Martine discutent entre eux et tombent d’accord ils veulent bien prêter les deux filles un weekend. Victor annonce que ce sera le weekend suivant et que les filles devront répondre à une convocation. Comme prévu Anna et Vanessa reçoivent la convocation. Elles se rendent à l’adresse indiquée avec de l’appréhension mais elles étaient volontaires alors il faut assumer. Elles sont accueillies par un jeune couple entièrement nu qui les fait entrer dans une pièce vide. Là la couple les déshabille entièrement et leur met des menottes dans le dos. Elles ont un peu d’appréhension car aucune parole n’est prononcée. Le couple leur met à chacun un bâillon et un collier muni d’une laisse. Puis se retire les laissant seules dans la pièce vide. Une femme très musclée genre catcheuse pénètre dans la pièce. Elle est nue et porte un collier et des bracelets aux mains et aux pieds. Ces ornements son très imposants et en métal couleur acier. On dirait des fers de bagnard. Elle porte de piercing aux seins et entre les narines, toujours de grande taille et de la même couleur. Pour finir le tableau, elle est entièrement rasée et tient un fouet dans la main. Les filles commencent à flipper. Elle n’a pas l‘air commode. La catcheuse leur fait signe de la suivre. Elles la suivent sans attendre craignant le coup si elles ne réagissent pas assez vite. Elles descendent dans ce qui ressemble à un sous-sol. Elles entrent dans une pièce nue à l’exception d’anneaux scellés dans les murs, au plafond et au sol. La catcheuse leur fait signe de se mettre à genou chacune à côté d’un anneau au sol. Puis la catcheuse accroche les laisses, raccourcies au maximum, aux anneaux du sol. Les filles doivent se pencher à ras terre et ne peuvent pas bouger du tout. La catcheuse repart puis revient avec une tondeuse dans les mains. Les filles s’affolent. Ça n’était pas prévu. Impuissantes et en pleur elles sont tondues entièrement. Des larmes de rage ruissellent sur leurs visages. La catcheuse sort quelques instant et revient avec le jeune couple de soumis. Ceux-ci mettent des chaines aux filles qui se retrouvent à quatre pattes, des chaines reliant les poignets et les chevilles les empêchant de se lever. Les laisses sont décrochées des anneaux et la catcheuse saisissant les laisses emmène les filles qui suivent comme elles peuvent à quatre pattes. La remontée d’escaliers est pénible mais les claquements de fouet à côté d’elles les encouragent à aller le plus vite possible. Elles finissent par arriver dans un salon ou Victor et Morgane les attendent confortablement installées dans un canapé. Devant le canapé il y a deux petits tapis. Ils font environ un mètre de long et 50 cm de large orientés vers le canapé. Anna est posée sur l’un d’eux et Vanessa sur l’autre. La catcheuse lâche les laisses. Voilà votre coin à chacune dit Morgane en montrant les tapis. Si vous quittez votre coin sans ordre vous gouterez au fouet de Silène. La catcheuse montre son fouet aux filles en souriant. Anna et Vanessa ne bougent pas elles ont juste de quoi tenir à quatre pattes sur le tapis. Toi ! dit Victor en montrant Anna. Vient me montrer que tu es une bonne petite chienne. Il sort son chibre et attend toujours assis. Anna hésite puis s’avance vers lui et entreprend de le sucer. Il caresse sa tête et se laisse tranquillement sucer. Apprend lui à rapporter dit Morgane à silène en montrant Vanessa. Silène va chercher un objet et le lance dans la pièce en disant : Rapporte à ta maitresse à Vanessa. Celle-ci comprend et va à quatre pattes chercher l’objet qu’elle ramasse avec sa bouche. Il s’agit d’un gode de bonne taille. Elle hésite pour savoir à qui ramener le gode. Puis elle se décide à le ramener à Morgane. Celle-ci lui caresse la tête et dit : bonne petite chienne elle a bien reconnu sa maitresse. Pendant une bonne heure Anna et Vanessa doive satisfaire Morgane et Victor avec la bouche et jouer les petites chiennes. Elles rapportent les objets, font le beau, aboient, jappent. Pour finir Victor sodomise Anna pendant que Morgane fait de même avec Vanessa avec le gode qui a servi de jouet. Puis Anna et Vanessa reçoivent l’ordre de regagner leur coin. Elles le font en se demandant ce qui va leur arriver. La sonnerie de l’entrée retentit. Un couple vient rendre visite à Morgane et Victor. Ils les félicitent pour leurs deux nouvelles acquisitions. Anna et Vanessa sont de nouveau mises à contribution sexuellement avant de regagner leur tapis. Morgane et Victor vont diner. Lorsqu’ils reviennent, silène pose un bol d’eau et une gamelle avec de la nourriture dans un coin de la pièce. Les filles ont faim et surtout soif. Elles sont tentées mais n’osent pas aller boire. La soirée n’est pas finie D’autres visiteurs arrivent et chaque fois les filles servent de jouet sexuel. Enfin Victor et Morgane se retirent. Silène donne alors l’ordre aux filles d’aller manger et boire. Elles se ruent vers le bol d’eau et lapent autant qu’elles peuvent. La nourriture est indescriptible mais elles mangent pour ne pas s’attirer les foudres de silène. Après ça silène prend les laisses et emmène les filles avec elle. Elles passent dans une salle de bain ou silène les douche en les frottant vigoureusement. Ensuite elle les ramène dans le salon où elle se couche entre les deux tapis dit aux filles faites-moi plaisir ou c’est le fouet. Comprenant, Anna et Vanessa s’approchent d’elle et avec leurs bouches lui font passer un bon moment. Une fois silène comblée elle leur dit de se remettre sur leur tapis et quitte la pièce en éteignant la lumière. Elle ne les a pas bâillonnées et elles peuvent converser à voix basse. J’espère que ça ne va pas durer longtemps dit Anna. Je commence à bien regretter cette aventure dit Vanessa puis vannées elles s’endorment rapidement. Dans la même après midi Martine reçoit de la visite. Il s’agit des deux garçons esclaves qui accompagnaient Morgane et Victor. Ils ne disent rien à Martine mais lui donnent une lettre. Elle les fait entrer dans la maison et lit la lettre. « Chère Martine voici un cadeau en échange de tes deux filles fais en ce que tu veux. Ils sont obéissants et très endurants. La clé des cages de chasteté est collée à la lettre. » Martine est perplexe. Puis se dit que c’est pour le temps du weekend end. Pendant qu’elle lisait les deux garçons se sont déshabillés et mis à genou à ces pieds. Elle se dit autant en profiter et détache les cages de chasteté. Les garçons savent s’y prendre. Elle est léchée embrassée pénétrée pendant près d’une heure jusqu’à ce qu’elle demande grâce. La soirée est longue et délicieuse. Elle finit par aller au lit accompagnée par ses deux amants elle se couche entre les deux et s’endort avec un sexe érigé dans la bouche. Plusieurs fois dans la nuit elle changera de bite. Elle est heureuse de son sort et pense très peu à celui d’Anna et Vanessa. Pour Anna et Vanessa les jours se suivent et se ressemblent. Elles sont consignées sur leurs tapis et servent uniquement de jouet sexuel pour le couple dominant et les nombreux visiteurs qui viennent se taper les deux petites soumises. Le weekend est passé et Martine commence à trouve le temps long. Elle essaye d’appeler Victor et Morgane mais tombe systématiquement sur la messagerie. Les deux garçons sont toujours là mais elle moins le cœur à ça même si elle se fait ramoner plusieurs fois par jour. De son côté Laurent fulmine. Lui non plus n’a pas de nouvelles et il passe ses nerfs sur Maëva qui désormais passe la moitié de son temps dans les toilettes à servir d’urinoir de fortune. Arrivée à la fin de la semaine Martine décide de s’en ouvrir à Magalie qui lui demande d’être très prudente et lui propose de demander l’aide de la tigresse qui ne manque jamais de bons conseils. Martine accepte et c’est Magalie qui devra reprendre contact avec la tigresse. Magalie tente d’appeler la tigresse mais celle-ci ne répond jamais. Magalie lui envoie un texto pour demander à la voir. Elle reçoit une réponse et est conviée à aller chez la tigresse dans la soirée. Le soir venu Magalie se rend chez la tigresse. Elle est surprise d’être reçue par une femme voilée. Celle-ci la fait entrer dans la maison et Magalie a la surprise de voir la tigresse nue enchainée sur une croix de saint André dans le salon. Elle se retourne vers la femme voilée qui lui met un coup de tazer qui tétanise Magalie. Quand elle reprend ses esprits elle est dans une cage et c’est virginie qui la contemple avec satisfaction. Bienvenue ma belle je voulais trouver un moyen de d’attraper mais tu es venue toute seule merci… Martine n’a pas de nouvelles de Magalie et la tigresse ne répond pas. Elle appelle Laurent qui lui aussi veut faire quelque chose. Ils décident d’aller directement chez Victor et Morgane pour aller chercher les filles. Laurent et Martine sont remontés. Martine n’a pas de nouvelles de Magalie et décide d’agir seule avec Laurent. Ils se présentent au domicile de Victor et Morgane. Ils sont reçu par le jeune couple de soumis et emmenés jusqu’au salon où Morgane et Victor les reçoivent. Dans le salon ils voient avec joie que les deux filles bien que fixées au sol à des anneaux semblent aller bien. Laurent dit à Victor que le délai est passé et qu’il vient récupérer les filles. Victor lui demande de se calmer et dit que tout ça est un malentendu. Il dit qu’ils vont pouvoir être de nouveau proche des filles et que cela sera aussi bien pour tout le monde. Morgane acquiesce. Elle propose de sceller le deal du parrainage avec une coupe de champagne. Laurent et Martine un peu rassurés acceptent et silène arrive nue avec un plateau accroché à sa taille et tenant horizontalement garce à deux chainettes qui relient des piercings au bout des seins aux extrémités du plateau. Celui-ci doit être lourd car quatre coupes de champagne sont posées dessus. Cependant les seins imposants de silène semblent ne pas être gênés par ça. Ils pointent droit devant. Laurent et Martine sont attirés par la vue de silène et ne prennent pas garde aux coupes. Les coupes son bues et d’autres suivent. Morgane prend la parole et dit à Martine : J’ai une proposition à te faire. Je t’offre les deux esclaves males que tu as pu tester et en échange tu me donne ces deux-là et elle montre Anna et Vanessa. Martine est prise de court. Eméchée par les coupes qu’elle a pris et quelle ne compte plus, son raisonnement n’est plus très clair. De leur côté les deux filles s’imaginent déjà esclaves de Victor et Morgane. C’est excitant mais en même temps elles n’auront plus la même liberté qu’avec Martine. Martine essaye de peser le pour et le contre. Il est vrai que les garçons possèdent des arguments que les filles n’ont pas. Et puis elle pourra les revoir si elle est admise au club. Euphorique elle dit banco. Une nouvelle coupe de champagne scelle le marché. Anna et Vanessa sont très perplexes. Que va-t-il leur arriver. Malheureusement elles n’ont pas la parole car silène veille près d’elles en agitant le fouet. La soirée se passe et un rendez-vous est pris pour le parrainage dans le club de dominants. Laurent est heureux quand il rentre. Bon il a perdu les deux filles qui étaient quand même bonne mais au moins il va entrer dans le club fermé. En arrivant à la maison il va détacher Maëva qui a passé la soirée dans les toilettes. Celle-ci est rompue mais doit encore subir l’excitation de Laurent que la perspective du parrainage a bien remonté. Maëva est visitée dans tous les orifices et doit finir par une fellation complète. Cette nuit-là attachée aux pieds du lit de Laurent elle s’endort comme une masse. Martine rentre chez elle perplexe elle a un peu dégrisé et se demande si elle n’a pas agit à la légère. Devant sa porte les deux garçons l’attendent. Cette nuit-là ils sont particulièrement habiles et elle s’endormira avec un chibre dans la bouche.
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Par : le 22/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 33 : le retour de virginie Virginie a réussi à échapper à son « propriétaire » en lui volant de nombreux bijoux qu’elle a revendu à un receleur. Elle est décidée à se venger de la tigresse et de Magalie. Elle prend un logement proche de la tigresse et entreprend de l’espionner avant d’agir. Elle suit les allers et retours de celle-ci et peu à peu arrive à connaitre ses habitudes. Virginie s’est bien renseignée et sait que la tigresse possède une alarme sophistiquée. Elle ne pourra pas forcer la maison il faudra donc agir différemment. Elle passe à l’action quelques temps plus tard. La tigresse se fait livrer une fois par semaine toujours par la même société. Virginie réussit grâce à son charme et une nuit avec le recruteur à se faire embaucher comme livreuse. Finalement, un jour elle est appelée pour livrer chez la tigresse. Il y a plusieurs gros cartons et dans ce cas elle sait que le livreur aide la tigresse à renter les cartons dans la maison. Elle essaye au maximum de modifier son look afin de ne pas être reconnue par la tigresse. Celle-ci ne se méfie pas et lui demande si elle peut l’aider à rentrer les cartons ce qu’elle accepte sans rechigner. Une fois dans la maison les choses se passent très vite. Virginie sort un tazer de sa poche et administre une décharge violente à la tigresse qui s’écroule tétanisée. Elle est tout de suite menottée et bâillonnée. Virginie termine de rentrer les cartons et quitte la maison en laissant la tigresse ligotée comme un saucisson accrochée à un radiateur. Elle prend les clés de la maison et termine tranquillement sa journée. Elle démissionnera le soir même. Sa journée de travail terminée elle retourne chez la tigresse. Celle-ci est toujours ligotée à son radiateur. Là, virginie se dégrime et la tigresse la reconnait. Virginie jubile. Alors on va jouer toutes le deux maintenant. Virginie fait le tour de la maison et trouve une cage dans un sous-sol. Cette cage permet juste à une personne de taille moyenne d’y entrer à quatre pattes. Virginie soupèse la cage. Elle doit pouvoir la monter dans le salon. Elle s’attelle à la tâche et ruisselante de sueur réussit à la poser dans le salon. Voilà ta nouvelle maison esclave dit-elle à la tigresse qui est toujours accroché à son radiateur. Les marques rouges sur les mains montrent qu’elle a essayé de se libérer. Virginie reprend son souffle et regarde la tigresse. Je crois que tu n’auras plus besoin d’habits maintenant. Elle cherche dans la cuisine et trouve une paire de ciseaux imposants. Elle revient avec sa trouvaille et lacéré les habits de la tigresse qui en cinq minutes se retrouve nue. Virginie décide de la faire entrer dans la cage. Elle la décroche du radiateur et la fait progresser à quatre pattes vers la cage ou la tigresse rentre à condition de rester à quatre pattes à l’intérieur. Virginie ferme la cage avec un cadenas. Elle dit à la tigresse : je voulais te tuer directement mais je crois que je vais d’abord profiter d’une belle esclave. Tu as intérêt à être bien obéissante sinon je t’égorge simplement. La tigresse se demande si c’est du bluff mais la lueur dans les yeux de virginie lui fait peur. Virginie fait le tour de la cage pour voir s’il n’y a pas de faiblesses. La cage est solide mais virginie découvre un volet à l’opposé de la porte. Il doit servir à rentrer une gamelle d’eau ou de nourriture. Il est assez grand pour y passer la tête. Virginie qui se sent poisseuse se dit que ça pourrait rendre service. Elle ouvre le volet et donne l’ordre à la tigresse d’y passer la tête. Celle-ci n’obéit pas mais virginie lui pique les fesses avec le bout des ciseaux. La tigresse passe la tête dans le volet. Virginie dit alors : j’ai bien sué pour monter ta nouvelle maison. Tu vas essuyer toute ma sueur avec ta langue. Et elle se met nue et approche son bras de la tête de la tigresse. Celle-ci hésite mais Virginie va dans la cuisine et ramène un couteau d’office qu’elle aiguise consciencieusement. Elle dit : Dommage on aurait pu s’amuser mais si tu veux que ça termine tout de suite pas de problème et elle approche le couteau du cou de la tigresse. Celle-ci crie : non je vais faire tout ce que tu veux je vais t’obéir complétement pitié ! Virginie hésite. Puis dit dernière chance. Et elle avance le bras vers la tête de la tigresse qui s’empresse de le lécher avidement. Virginie passe ainsi tout son corps devant la tête de la tigresse qui lèche consciencieusement. Enfin virginie estime que c’est bon et dit alors : maintenant récré on va jouer à bouffe minou. Elle avance un fauteuil jusqu’à la tête de la tigresse et s’assoit dessus les jambes écartées. La tigresse doit se tendre au maximum pour lui lécher le sexe mais y met tout ce qu’elle peut. L’heure du repas est arrivée. Virginie va dans le frigo et se fait un plateau repas. Elle rapporte le plateau qu’elle pose sur la cage et se rassoit les jambes écartées. Elle mange tranquillement pendant que la tigresse se démène pour la lécher correctement. Après son repas virginie donne l’assiette avec les restes à la tigresse en lui disant tu manges tout. La tigresse mange consciencieusement tout ce qu’il y a dans l’assiette et lape toute l’eau que contient un bol apporté par virginie. Virginie souhaite bonne nuit à la tigresse qui dit d’une petite voix qu’elle doit pisser. Virginie lui dit qu’elle se démerde et éteint la lumière. Quelques minutes après la tigresse pisse sur le carrelage. Elle passe toute la nuit à quatre pattes somnolant plutôt qu’autre chose. Virginie vit maintenant depuis un mois dans la maison de la tigresse. Celle-ci lui a gentiment tonné toutes les informations utiles. Elle a son code de carte bleu et tous les accès à ses comptes bancaires. Il faut dire que le fouet quand il est bien mené finit par délier toutes les langues. Virginie a trouvé une cage dans pièces du sous- sol. Elle l’a monté dans le salon et c’est dans cette cage que vit la tigresse quand virginie n’a pas besoin d’elle. C’est-à-dire rarement car entre les coups et le ménage la tigresse n’a pas beaucoup de temps libre. Celle-ci vit désormais nue en dehors d’un collier fort pratique que virginie avait elle-même testé à ses dépens dans cette maison. La tigresse a résisté une bonne semaine mais les coups, les privations de sommeil et de nourriture l’on ramenée à de meilleures dispositions. Elle est maintenant à la botte de virginie. Finalement la tigresse se révèle être une bonne brouteuse et virginie en redemande. Tous les soirs après le repas elle y a droit en regardant les infos à la télé. Maintenant que la première phase de sa vengeance est réalisée elle réfléchit à la deuxième phase qui concerne plus spécialement Magalie. C’est cette garce qui est à l’origine de tout et rien ne laisse à penser qu’elle n’était pas au courant des intentions de la tigresse quand elle a envoyé virginie chez elle. La vie tranquille de virginie avec son esclave est cependant si jouissive qu’elle remet à plus tard la vengeance. Ce matin-là elle est en forme. Son esclave l’a réveillée avec un cunnilingus d’enfer. Elle s’y prend vraiment bien. Virginie il y a quelques jours s’est fait draguer par deux mecs pas mal. Elle a un peu flirté avec les deux ne sachant lequel choisir et puis finalement se faire les deux ne lui fait pas peur. Elle leur a promis une surprise et les a invités chez elle pour diner. La journée se passe bien son esclave a nettoyé de fond en comble la maison et préparé un repas de fête. Pour l’occasion elle a habillé l’esclave en soubrette ultra sexy et ne lui a mis aucun bondage à l’exception du collier qui ne la quitte pas. Virginie se sent une âme de croqueuse d’hommes. Les invités sont à l’heure. Tirés à quatre épingles ils ont amené des fleurs et une bouteille de champagne. Virginie les remercie et les invite à s’assoir dans le salon. Pendant qu’Ils s’installent dans le canapé en laissant un place pour virginie entre eux virginie emmène la bouteille de champagne dans la cuisine. Elle revient les mains vides et s’installe confortablement entre les garçons qui sont visiblement chauds. Puis elle leur propose une coupe de champagne. Ils acceptent et elle élève la voix pour dire : Esclave du champagne pour trois et vite. Devant le visage incrédule des garçons la tigresse apparait habillée en soubrette avec les mains menottées dans le dos et un plateau de service collé à son ventre et soutenu par deux chainettes qui pendent depuis son cou. Sur le plateau trois coupes sont installées. Elle arrive devant le trio et se met à genou sans renverser les coupes. Ils n’ont plus qu’à se servir. Virginie se sert la première. Les garçons toujours stupéfaits tardent à réagir. Vous n’avez jamais vu d’esclave sexuel demande innocemment virginie. Non répondent t’ils en cœur. Vous mériteriez d’être à sa place dit virginien je suis sûre que vous feriez de bon petit esclaves pour moi. Ils ne savent plus où se mettre. Servez-vous pendant que vous pouvez encore dit-elle. Ils tendent les mains vers les coupes et se servent. Ils trinquent tous les trois mais les regards des garçons sont monopolisés par la tigresse. Vous voulez la voir à poil demande virginie. Ils la regardent ne sachant que dire. Alors déshabillez là dit-elle. Ils hésitent puis se lancent et après avoir enlevé le plateau ils ôtent les quelques accessoires de soubrette que porte la tigresse. Si vous voulez qu’elle vous fasse des choses déshabillez-vous dit virginie. Les garçons hésitent puis entreprennent de des déshabiller. Une fois qu’ils sont nus virginie dit à la tigresse suce-moi ces queues qui n’attendent que toi. La tigresse s’avance et prend en bouche le chibre le plus tendu. Le garçon qui n’est pas sucé se tourne vers virginie. Elle lui sourit et dit tourne toi que je te mette ça et elle montre une paire de menottes. Très excité les gars se retourne et tend ses poignets. Il est prestement menotté et virginie le retourne et prend son chibre avec la main. Tu bandes bien dit-elle. C’est parce que tu es attaché peut être. Le gars est rouge de confusion mais effectivement le fait d’être attaché à la merci de virginie le stimule violemment. Viens avec moi dit elle et laissant l’autre gars profiter de la tigresse. Elle emmène son prisonnier dans la chambre. Là elle lui met un masqué aveuglant. Il est toujours tendu. Elle le couche par terre sur le ventre et lui met des menottes aux chevilles quelle relie avec les menottes des poignets. Il ne peut pas bouger les genoux plié et le chevilles touchant les poignets. Tu ne peux pas faire grand-chose dit-elle à part me lécher les pieds et elle colle son pied à la bouche de l’homme. Celui-ci lui embrasse alors frénétiquement le pied. Virginie sent qu’elle va pouvoir faire des choses avec lui. Apres quelques minutes elle désolidarise les cheviller des poignets et le force à se relever. Elle l’emmène dans la salle à manger ou les trois couverts sont mis. Elle le fait se glisser sous la table au niveau de la place qu’elle s’est réservée. Attends-moi là. Lui dit-elle. Puis elle va dans le salon ou le couple est assouvi. Lui est assis sur le canapé et elle à ses pieds. Virginie dit à l’invite de venir à table en précisant que son ami ne dinera pas. Il est étonné mais suit la maitresse de maison tandis que l’esclave va vers la cuisine pour servir. Le repas est bon et les convives discutent de tout et de rien mais surtout de l’esclave de virginie. L’homme demande des nouvelles de son ami à virginie sans se douter que ce dernier est sous la table et lèche consciencieusement les pieds de celle-ci. Elle lui répond qu’il se repose et qu’il passera la nuit ici. Après le repas ils vont prendre le café dans le salon. Puis l’homme prend congé après un dernier regard vers la tigresse sagement installée à genou face à virginie. Virginie va alors récupérer son prisonnier sous la table de la cuisine. Celui-ci se remet à bander dès qu’il l’entend. Elle s’assoit à table et le nourrit à la main. Elle lui demande s’il veut du vin. Il acquiesce et elle se sert un verre et se penche pour l’embrasser. Il s’aperçoit qu’elle a gardé le vin en bouche et lui transfère de bouche à bouche. Il finit par prendre un copieux repas bien arrosé. Elle décide alors de l’emmener au salon. Elle lui a mis un collier et une laisse et elle le fait marcher à quatre pattes derrière elle. Arrivés au salon elle s’assoit dans le canapé et lui tire la tête vers l’entrejambes. Il ne se fait pas prier pour plonger la tête dans son sexe. Bruno se demande ce qu’il fait à lécher comme ça le sexe de cette belle inconnue qu’il n’a vu qu’une fois. Il n’arrive pas à comprendre comment le fait d’entre attaché et asservi comme ça le fait tant kiffer et bander comme jamais. Elle lui caresse la tête comme si c’écatit un animal de compagnie. Et il ronronne de plaisir. Après un bon moment elle le fait se relever. Il commence à être tard. Elle l’emmène dans sa chambre ou elle entreprend de l’attacher debout au baldaquin du lit. Il est attaché en croix face au lit elle lui enlève le masque et il peut la voir. Elle le contemple de la tête aux pieds. Puis elle lui met un bâillon boule et lui souhaite une bonne nuit. Elle fait venir la tigresse et se fait lécher par celle-ci. Bruno est méchamment excité mais ne peut que regarder cette femme qui est en train de prendre son pied devant lui. Puis virginie menotte la tigresse et la couche au pied de son lit. Elle éteint la lumière. La position de Bruno est inconfortable. C’est sûr qu’il ne dormira pas mais il se demande combien de temps il pourra tenir. Après une bonne heure il entend bouger virginie. Elle allume la lampe de chevet et le regarde avec un sourire carnassier. Il ne bandait plus mais rien que de la voir une érection massive arrive en un tournemain. Elle sourit encore plus et vient le palper avec les mains. Il se tortille sous les rudes caresses qu’elle lui administre. Puis elle le détache et lui met juste des menottes dans le dos. Elle le couche sur le ventre au milieu du lit et se recouche les jambes écartées à quelques centimètres de sa bouche. Il la lèche. Elle jouit plusieurs fois et lui dit d’arrêter mais de rester en place. Ils s’endorment ensemble lui la bouche collée au sexe de virginie. Il est réveillé par une caresse sur la tête que lui prodigue virginie. Il entreprend alors de lui embrasser le sexe. Elle se laisse faire et bientôt ses gémissements montrent à Bruno qu’il est sur le bon chemin. L’esclave s’est levée et est partie préparera le petit déjeuner de virginie. Repue de sexe elle s’étire come une chatte et se lève. Elle prend la laisse et le traine derrière elle jusqu’à la cuisine. Elle s’installe à table et le fait mettre à genou à ses pieds. Elle se fait servir par l’esclave et nourrit de temps en temps Bruno avec la main. Elle lui fera boire un café comme la veille de bouche à bouche. Elle donne la laisse a l’esclave et lui glisse quelques mots. Celle-ci emmène Bruno dans la salle de bains et le lave vigoureusement. Puis elle lui rase intégralement le torse et le sexe. Une fois ceci fait elle le ramène dans le salon ou l’attend virginie. Il se sent plus nu sans poils et visiblement le résultat plait à virginie. La matinée se passe à jouer au bon petit animal de compagnie qui doit faire au mieux pour satisfaire sa maitresse. En fin de matinée virginie demande à l’esclave de sucer Bruno. Ce qu’elle fait habilement et en quelques minutes il jouit enfin. Alors qu’il débande un peu virginie s’approche de lui et lui met le sexe dans une cage de chasteté. Tu vas pouvoir rentrer chez toi mais tu ne jouiras que si et quand j’ai envie. Tu attendras que je t’appelle pour venir sans aucun retard. Elle le détache. Il se rhabille en ne sachant pas trop quoi faire et se retrouve dehors un peu abasourdi de ses dernières 24 heures. Seule la cage de chasteté et l’impression bizarre d’être sans poil lui rappellent ce qui vient de se passer. Bruno regarde son tph et s’aperçoit que son ami lui a envoyé plusieurs texto pour lui demander ce qui c’était passé pour qu’il ne vienne pas au repas la veille au soir. Bruno le rassure en lui écrivant qu’il était trop crevé après avoir sauté la fille pour venir manger. Il n’a pas envie de dire exactement ce qui s’est passé.
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Par : le 22/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chap 32 : Martine retrouve Maeva Maintenant Maëva est devenue le jouet de Laurent. Elle passe ses journées nue ou habillée de façon provocante selon les désirs de Laurent. Elle dort au pied de son lit menottée et le réveille chaque matin par une fellation. En fonction de sa bonne conduite elle est démenottée ou reste ainsi toute la journée. Les amis de Laurent ont pris l’habitude de la voir ainsi et elle ne prête plus garde à leurs regards lubriques. Ce jour-là cependant tell est surprise de voir arriver martine chez elle invitée par Laurent. Cette dernière, désolée de ne plus avoir de nouvelles de sa copine s’en est ouverte à Laurent qui l’a invité à venir voir Maëva. Martine qui était resté sur l’assurance d Maëva d’arriver à dominer Laurent est surprise en pénétrant dans la maison de ne pas voir sa copine. Laurent dit à martine que Maëva finit un travail qu’il lui a donné et lui propose de la regarder faire. Intriguée martine suit Laurent dans le salon. Il l’invite à s’asseoir sur le sofa et allume une télé les images montrent la pièce « donjon « du sous-sol. On y voit Maëva attachée les mains dans le dos avec une barre d’écartement elle est penchée en avant car les mains sont reliées à une chaine qui et accrochée au plafond. Mais surtout elle est en train de pratiquer une fellation à un homme tandis qu’un deuxième la prend par derrière. Martine ne sait pas quoi dire. Laurent lui dit que les rêves de domination de Maëva sont loin derrière elle et qu’elle a compris qu’elle était beaucoup plus faite pour être dominée et qu’elle adorait cela. Martine reste bouche bée. Elle voit sur les images que Maëva semble prendre son pied. Quelques minutes plus tard les deux hommes repus quittent la pièce. Laurent dit à martine qu’il va chercher Maëva. Effectivement martine voit Laurent détacher Maëva et l’emmener hors de la pièce. Un quart d’heure plus tard Laurent revient en tirant Maëva par une laisse accrochée à un collier. Maeva est souriante et bondée dans un harnais en cuir noir ultra affolant. Il lui ceinture tout le corps et elle n’a pas de sous-vêtements en dehors de deux petites clochettes accrochées aux seins. Martine salue Maëva et Laurent indique à Maëva qu’elle a le droit de parler exceptionnellement. Puis il les quitte. Martine questionne Maëva. Celle-ci répond qu’elle est enchantée de son sort. Elle pensait être dominatrice mais elle a bien changé d’avis. Elle préfère de loin être commandée par Laurent. Elle a toujours eu le fantasme d’être exhibée et là elle est servie. De plus Laurent lui fournit des partenaires sexuels autant qu’elle peut en recevoir. En contrepartie elle doit obéir et être quasiment tout le temps nue ce qui la fait kiffer. Martine se demande si elle doit être jalouse ou pas et en même temps elle imagine Anna et Vanessa avec le même harnais rouge pour l’une et noir pour l’autre. Maeva lui demande si elle joue toujours avec Anna. Martine répond que c’est terminé. Maeva se mord la lèvre. Elle lui raconte les soirées poker qu’organise Laurent. Ça émoustille martine qui y participerait bien coté joueur ou coté service. Puis Maëva parle du couple qu’ils viennent de rencontrer et qui a proposé à Laurent de les parrainer pour entrer dans un club très fermé de joueurs de poker « dominants ». Martine est intriguée. Maeva lui explique de quoi il s’agit et lui dit que Laurent cherche une partenaire car les admissions se font par couple. Il faut un couple marié ou pas et deux esclaves qui sont partagés lors des soirées poker. Martine est chauffée. Elle qui en ce moment à une vie sexuelle proche du néant se voit bien avec Anna et Vanessa trainée derrière elle dans de telles soirées. A ce moment Laurent revient. Il dit à Maëva de se taire de se mettre à genou et il lui présente son sexe érigé qu’elle se met aussitôt à sucer comme si elle avait oublié la présence de martine. Laurent demande à martine si Maëva lui a parlé du club. Martine lui dit que oui mais qu’elle a rompu les ponts avec Anna. Laurent fait une grimace. Martine se lance quand même. Ecoute je vais voir ce que je peux faire. Je ne te promets rien mais je vais y réfléchir et je te tiens au courant. Laurent est ravi et laisse martine retrouver son chemin pour quitter la maison car Maëva continue sa fellation naturellement. Une fois revenue chez elle martine ne sait pas que faire. Elle finit par se décider à reprendre contact avec Anna. Anna est surprise de recevoir un texto de martine qui l’avait « larguée » quelque mois plus tôt. Le texto dit « salut ma chérie. Si tu veux on peut recommencer mais il te sera demandé beaucoup plus. Je peux t’en parler chez moi. Samedi soir serait très bien Le tiroir t’attend. » Anna est à la fois heureuse car elle regrette ce temps passé avec martine et intriguée. Que peut lui demander de plus martine. Elle en parle à Vanessa qu’elle ne quitte plus désormais. Celle-ci est aussi intriguée et dit à Anna qu’elle a de la chance car martine est très sympa comme dominatrice. Anna lui demande si elle veut entrer dans le jeu avec elle. Vanessa fini par consentir qu’elle est très alléchée. Anna répond au texto. « Tu peux compter sur Vanessa et moi samedi soir pense à doubler le tiroir. » Après tout ça ne coute rien d’écouter ce que propose martine. Le samedi soir Anna et Vanessa se présentent à la maison de martine. Comme Anna a toujours la clé elles entrent et regardent ce qui se trouve dans le tiroir de l’entrée. Il y a effectivement deux tenues identiques. Les deux filles jubilent. Il y a deux harnais en cuir un noir et un rouge. Deux baillons boules des menottes et deux anneaux de piercing avec une étiquette esclave de martine. Deux colliers de cuir avec laisse complètent la panoplie. Les filles se mettent en tenue et s’entradmirent elles trouvent que ça leur va super bien. Comme elles font quasiment la même taille tout leur va. Maintenant elles attendent que martine les invite à entrer. Celle-ci les laisse mijoter pendant cinq minutes avant de les convier. Elles entrent au plus grand bonheur de martine qui ne peut retenir un grand sourire. Comme dominatrice elle n’a pas bien réussi. Les deux jeunes femmes se précipitent vers elle et elle doit leur donner l’ordre de s’arrêter et de se mettre à genou avant qu’elles ne la télescopent. Pendant une bonne heure martine joue avec les filles comme avec des poupées. Elles sont très réactives. Martine décide alors d’enlever les baillons. Et ça devient vite torride. Les filles redoublent d’ardeur pour l’embrasser et s’embrasser aussi. Une fois les trois femmes repues martine parle alors de la suite. Elle explique le topo aux filles, la soumission consentie et heureuse de Maëva les parties de poker chez Laurent et enfin le club privé de dominateurs. Les filles sont perplexes mais bien excitées quand même. Martine leur propose de commencer par une soirée poker chez Laurent pour voir. Bien sûr elles seront certainement mises à contribution par les joueurs et la soirée ne sera pas de tout repos. Les yeux des filles brillent elles topent là et malgré un peu d’appréhension sont prêtres à essayer des choses nouvelles. La première soirée poker est annoncée. Martine est invitée avec ses deux esclaves. Laurent trépigne d’impatience de la connaitre. Lorsque martine arrive il est ravi de voir que les filles sont splendides. Il les amène dans la cuisine et elles sont rapidement habillées en soubrette. Aude n’étant pas là elles seront accompagnées de Gisèle qui leur expliquera par geste le travail. Les deux filles font un effet bœuf lorsqu’elles pénètrent dans le salon poker. Les invités sont ravis de voir de la nouveauté et les deux filles sont excitées de se voir ainsi exhibées devant plein d’inconnus. Lorsque Laurent les positionne à genou sur un gode mécanique il n’a pas besoin de lubrifiant. Les filles sont déjà chaudes et il en fait la remarque à martine qui est toute fière. Une fois appelées pour servir les convives les filles s’en donnent à cœur joie et apprécient les caresses intimes qui leur sont faites lorsqu’elles passent à côté des joueurs hommes comme femmes. Ensuite lors de la pose elles montrent que sans bâillon elles sont expertes pour satisfaire autant les hommes que les femmes. Martine est fière de ses pouliches. Laurent qui a bien essayé les deux filles est aux anges. Elles sont belles, elles sont très obéissantes et se déplacent et sucent comme des reines. Martine est heureuse de leur avoir appris à se déplacer de façon provocante « involontaire ». A la fin de la soirée l’accord est conclu. Laurent et martine vont inviter les hôtes susceptibles de les faire entrer dans le club et Anna et Vanessa feront les esclaves. Martine remarque alors qu’elle n’a pas vu Maëva de la soirée ni aux préparatifs ni pendant la partie. Elle en fait la remarque à Laurent. Celui-ci tout souriant lui répond que Maëva a fait une petite crise de jalousie envers les filles et qu’elle a été remise à sa place dans les WC. Martine ne comprend pas tout. Va dans les toilettes lui dit Laurent. Tu en profiteras pour la libérer si tu veux. Martine se rend dans les toilettes et là elle voit à côté des WC Maëva à genou les mains liées dans le dos un énorme gode en fonctionnement ainsi qu’un vibro masseur collé sur son clitoris. Elle a un masque aveuglant et un écarteur de bouche. Sa tête est bloquée dans un espèce de carcan et elle a la tête légèrement relevée. A son cou pend un écriteau. Urinoir ou fellation j’accepte tout. Martine comprend que pendant toute la soirée Maeva a attendu patiemment les bites qui venaient se faire sucer ou pisser voire les deux pour certains. Elle se souviendra de cette soirée. Amusée elle hésite à libérer Maëva. Puis finalement elle écarte les jambes et se fait brouter le minou par une Maëva incapable de voir qui profite de ses talents. Maeva sera libérée bien plus tard dans la soirée. Les hôtes VIP ont acceptés l’invitation. Afin de les mettre à l’aise Laurent a limité le nombre d’invités. Martine et les filles sont prêtes toutes excitées de voir qui sont ses inconnus pouvant leur permettre de rencontrer un monde nouveau. Ce coup-ci les filles ne feront pas les soubrettes mais seront nues menottées dans le dos et se tiendront derrière martine et Laurent comme le veut le protocole tel que l’a expliqué le dénommé Victor. Maeva revenue en grâce sera la soubrette avec Gisèle et Aude. Lorsque les invités pénètrent dans le salon martine, Anna et Vanessa ont la surprise de reconnaitre morgane qui accompagne un black Barraqué. Elles sont dubitatives car Morgane est un peu à l’origine de la brouille entre martine et les deux filles. Morgane ne fait aucun signe montrant qu’elle les a reconnues. Elle se tient de façon royale et d’elle comme du black émane une autorité incroyable. Deux hommes se tiennent derrière eux ils sont en tenue comme les filles avec une cage de chasteté en plus. Les salutations sont faites. Victor regarde les filles avec de yeux de fauve. Elles sont extrêmement impressionnées. Morgane toise martine du regard mais reste à peu près courtoise. La soirée avance. Morgane et Victor essayent et testent la docilité et l’obéissance des filles. Ces dernières jouent le jeu même si ça ne prend pas la direction qu’elle pensait. Finalement Victor et morgane acceptent de parrainer Laurent et martine mais ils posent une condition préalable. Il faut que Laurent et martine leur prêtent les filles pendant un weekend.
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Par : le 20/03/21
J’attendais ce collier avec impatience. Maîtresse me l’avait choisi. Il est enfin arrivé et Elle a décidé de me le passer officiellement à l'occasion de ce « Munch and play » organisé dans la région. Cette officialisation devant témoins me plaisait beaucoup. Ce Munch était aussi ma première sortie avec Maîtresse comme soumis officiel. Elle m'a imposé un dress code très féminisé avec bas, porte-jarretelles, robe, bottes à talons, perruque brune et boucles d’oreille. Maîtresse m’a mis mon ancien collier et me tenait en laisse dès que nous sortions de la voiture. Récemment Maîtresse m’a lancé un défi de chasteté totale, je suis donc encagé et plugué. Les dernières recommandations tombent avant d'accéder à ce Munch mais comme il est un peu tôt, Maîtresse en profite pour faire un petit tour en centre ville. J’appris plus tard qu’elle aurait bien fait un petit échauffement en extérieur, malheureusement le centre ville ne s’y prêtait pas et elle en fut probablement frustrée. En bon soumis, je me tiens tête baisée en retrait de Maîtresse tout en évitant que la laisse soit tendue. Les passants sont assez nombreux à cette heure-ci. Je n’ai pas encore l’assurance pour soutenir leur regard mais finalement me regardent-ils vraiment ? J’admire Maîtresse, sa démarche droite, élégante et sa belle prestance. Certes j'ai un peu honte mais au final, je suis heureux à ses pieds et puis Maîtresse semble tellement contente de guider son soumis à travers ces rues. Maîtresse s’arrête devant une porte cochère. Je lui ouvre la porte. Elle me précède dans l'escalier. Sur le palier de l’étage, Maîtresse sonne. La porte s’ouvre promptement. Tête baissée, je dis «bonjour» assez maladroitement me semble-t-il tandis que Maîtresse engage une conversation guillerette. Elle enchaîne immédiatement par les présentations aux invités déjà présents. Quelle fierté de I'entendre dire "Rnby, mon soumis". Je reste là, silencieux, tête baissée, debout ou agenouillé selon sa volonté. L'appartement est bien équipé en points de fixation, croix de saint André, et autres. Notre hôte, dominant expérimenté, ne manque pas d'accessoires. Maîtresse avait déjà tout organiser pour que son jeune contact ici puisse prendre les photos de ma remise de collier. L'émotion me submerge. Maîtresse me retire mon ancien collier et je lui présente mon nouveau à genoux, bras tendus au-dessus de ma tête comme elle m’a appris. Elle s'en saisit délicatement, l'ouvre et me le referme autour du cou. CLIC, c'est fait, je suis encore bien plus sa propriété. Je suis ému, au bord des larmes, admiratif en regardant Ma Maîtresse. Je la trouve resplendissante et me jure de la vénérée comme elle le mérite. Nouveau clic avec la laisse, elle me tire au sol. Elle me possède tellement que mon corps suit naturellement. Talon sur mon torse, elle sollicite la résistance de mon collier qui malheureusement se détache trop facilement. Il est beau mais fragile. Maîtresse préfère s’attacher à la symbolique «Tu le porteras quand tu sortiras, il est discret». C’est avec un collier plus solide que Maîtresse ma ramène à genoux contre le divan, quelques essais de cravaches me chauffent les fesses avant un petit repas canadien. Un buffet est dressée au centre de la pièce avec les plats amenés par tous mais aussi avec les délicieux Sushi préparés par nos hôtes. Maîtresse me demande d’aller chercher ma gamelle et je peux ainsi manger à 4 pattes dans un coin du salon. Je m’imagine égoïstement que tous les yeux sont tournés vers moi. Mais non, quelle bêtise, dans cette ambiance mon comportement ne dénote pas puisqu’il est la volonté de ma Maîtresse. Je sais que je suis à ma place ici ou ailleurs. Je mange naturellement et je lèche ma gamelle avec application. Dès le repas terminé, c'est Maîtresse qui lance les premiers jeux et bien sûr vous devinez qui est son jouet. Elle m’attache nu à un crochet qui tend mon corps, me passe un bâillon boule qui me fait baver d’emblée et me réduit au silence. Un bandeau sur les yeux ne tarde pas à me priver de la vue. Maîtresse m'introduit un crochet anal et en profite pour me diriger en tirant dessus. J'essaye de me présenter du mieux que je peux pour recevoir ses supplices. Elle dispose de plusieurs fouets qu'elle manie aisément. Les sensations sont différentes pour chacun d’eux mais je ne vois pas leur forme. Maîtresse m'annonce les impacts dos, dos, fesses délicatement avec le fouet puis les lanières s’abattent alors sur mon corps comme annoncées. D’autres séries suivent fesses, dos, fesses, dos, et bien d’autres encore. Maîtresse me réserve quelques surprises, ne suit pas les annonces, varie les coups pour me déstabiliser. Ma peau se lacère de bleu, de rouge, se pare de traces géométriques propres à chaque fouet. Maîtresse me souffle dans l’oreille «encore ?», j’acquiesce en hochant la tête et en gémissant un oui incompréhensible à travers le bâillon. Les mains tendues sur ma laisse, je résiste. La douleur est forte surtout quand les coups sont répétés aux mêmes impacts. Maîtresse me soulage en venant tendrement contre moi. Elle passe sa tête au-dessus de mon épaule et me souffle quelques mots «doux» comme «j’aime te fouetter ma salope», ou «tu es à moi» et bien d’autres. Sa tendresse me rassure, je retombe dans une sorte de sérénité. Maîtresse marque de plus en plus mon corps. Elle le fait avec la dextérité et la fougue que je lui connais. Je sens Maîtresse de plus en plus excitée, les fouets dansent entre ces doigts agiles, un puis deux simultanément. Les lanières virevoltes, sifflent à mes oreilles. Leurs extrémités effilées viennent meurtrir mon corps, tout à la fois cinglants et mordants. Maîtresse s’emballe et les lanières s’abattent avec force et rapidité sur ma peau. Je gémis, tire sur mes attaches, je me tortille mais je suis bien obligé de reconnaître que Maîtresse a encore gagné. Des «pitié» étouffés s’échappent de ma gorge même si je désire intérieurement que les lanières continuent leur travail sur ma peau écarlate. Bien sûr Maîtresse ignore mes premières supplications ; chaque fois elle repousse un peu plus mes limites. Les derniers coups me laissent pantelant au bout de mes attaches. Maîtresse me susurre à l’oreille qu’elle m’aurait bien baisé mais cela ne peut pas se faire ici. Elle prend soin de moi, réchauffe mon corps en détachant mes liens et mes bâillons. Je tombe à genoux épuisé mais fier d’avoir montré à Maîtresse que je mérite son collier. J’ai quartier libre pendant que Maîtresse s’entretient avec d’autres invités. J’en profite également pour faire connaissance et échanger sur les motivations de chacun. Deux couples s’encordent doucement. C’est élégant et le montagnard que je suis apprécie tout particulièrement l’élégance de ces entrelacements et de ces nœuds. Chaque personne a ses préférences mais l’on ne ressens que de l’admiration et jamais de jugement ou de jalousie, comme si chacun s’imprégnait du savoir de l’autre. L’après-midi avance et il faudra bientôt quitter ce lieu de plaisir. Prêt à partir, Maîtresse jette son dévolue sur une invité un peu trop bavarde au goût d'un certain nombre de convives. Maîtresse est joueuse et ça l'embête de partir sans avoir attrapé quelqu'un, alors elle l'attire dans ses filets, exécute sur  sa proie  un shibari improvisé avec les cordes que lui a mis à disposition notre hôte. Rapidement, sans même que la femme s'en rende compte, les cordes l’entourent et la bâillonnent. Maîtresse décide alors de partir la laissant immobilisé et sans voix, ce qui fait rire tout le monde. Satisfaite, Maîtresse m'indique la sortie puis elle salue  tout le monde d'un signe de la main et d'un large sourire. Je dis au revoir de loin,non sans un petit pincement au cœur. Indiscutablement Maîtresse a apprécié et me le fait savoir. Je ne vois pas le retour passer. Maîtresse en profite pour sélectionner les meilleurs photos et me les envoyer. S’ensuit un petit débriefing où elle me félicite pour mon comportement et me signale aussi mes erreurs de débutants. Finalement la passion l’a emportée sur le stress et je me suis senti à l’aise aux pieds de Maîtresse. Lui donner du plaisir est essentiel et ce ne sera probablement pas la dernière fois. 
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Par : le 20/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 31 l’échec de Maeva. Extrait ; » Les garçons font coucher les femmes sur le ventre sur le lit et leur fourrent un plug annal vibrant à télécommande de bonne taille. Ça ne présage rien de bon….Les garçons installent un plateau identique à Gisèle. Ils expliquent aux filles que pour charger le plateau elles devront se débrouiller ensembles. Et il mime le geste de remplir un plateau avec les mains dans le dos… » Maëva a fait transformer une pièce au sous-sol de sa maison en donjon. Elle a donné comme explication la vengeance qu’elle voulait obtenir sur martine et elle est arrivée à ses fins. Mais le but principal de ce donjon c’était de soumettre petit à petit son mari Laurent. Afin d’y aller progressivement elle lui a proposé de jouer ensembles en tenant le rôle du dominant chacun son tour. Laurent à qui les quelque jours passés à dresser martine ont laissé un souvenir génial n’est pas contre et entre complétement dans le jeu. Ils commencent ainsi un innocent jeu de bondage et domination au début très soft puis de plus en plus hard. Maëva a sa grande surprise aime autant être dominée que le contraire. Laurent est particulièrement ingénieux et elle finit toujours les séances ou elle est dominée en feu après des orgasmes mémorables. Maintenant contrairement au plan initial de Maeva c’est presque toujours elle qui est dominée. Mais elle kiffe trop ça pour imposer plus d’équilibre. Deux mois plus tard elle doit l’admettre. C’est toujours elle qui subit. Et elle voit que Laurent prend particulièrement son pied. Elle décide de prendre sur elle et de renverser la vapeur. Elle prévient Laurent qu’elle veut reprendre un peu la main et cesser pendant quelque temps d’être la soumise. Il réfléchit et accepte à la condition qu’il joue encore une fois le rôle de dominant avant d’échanger. Elle accepte. Laurent commence par l’attacher dans le donjon. En quelques minutes elle se retrouve debout, les jambes écartées au maximum par une barre d’écartement, les bras liés dans le dos et accrochée à une poulie au plafond ce qui la force à se pencher en avant. Elle a le torse à l’horizontale. Il lui met un écarteur de mâchoire et un masque aveuglant. C’est classique et elle trouve qu’il n’a pas fait preuve d’imagination. Mais elle n’est pas au bout des surprises qu’il a concoctées. Il lui annonce qu’offerte comme elle est, il serait dommage de ne pas en faire profiter un ami. Elle pense qu’il plaisante mais ça la chauffe quand même au fond d’elle-même. Puis un sexe dressé se présente à sa bouche et force sans difficulté l’entrée, l’écarteur obligeant Maeva à garder la bouche béante. Elle fait de son mieux pour faire une bonne fellation en imaginant qu’il s’agit d’un étranger. Une paire de mains attrape sa croupe. Et aussitôt elle sent une queue pénétrer sa chatte en force et alors qu’une autre paire de mains lui attrape les seins. Ce coup-ci c’est sur Laurent n‘est pas seul. Elle panique un peu. Elle ne peut rien voir et le deuxième homme ne dit pas un mot. Ils la besognent puissamment et elle s’abandonne à la jouissance en se demandant qui ça peut bien être. Après qu’ils se soient répandus en elle ils ne la détachent pas. Elle sent qu’ils quittent la pièce. Plus tard alors que les crampes commencent à la travailler elle entend des bruits de pas. Lurent lui annonce qu’un bon whisky remet en forme et que son compagnon en redemande. Elle est de nouveau prise en sandwich. Une légère différence d’odeur lui fait comprendre qu’ils ont échangé les places. Quand Laurent la détache enfin il est seul. Elle demande avec une colère feinte qui était la deuxième personne il lui répond qu’il fera partie de invités à la soirée poker prévu à la maison ce soir-là. Il ajoute que si elle ne le reconnait pas la prochaine fois il y aura plus de monde. Ça l’affole et en même temps ça l’excite profondément. Etre prise par un inconnu l’a déjà beaucoup allumée mais par plusieurs elle a du mal à l’imaginer. Ce soir elle est l’hôtesse des quatre amis de Laurent qui sont venus jouer. Elle cherche dans les attitudes ou regards celui qui l’a embroché plus tôt dans la journée mais ils ont tous l’air de la regarder avec un œil égrillard et elle les imagine tous en train de la posséder. Une fois les invités partis Laurent demande à Maeva si elle a reconnu son amant inconnu. Elle répond par la négative. Il lui dit alors que le lendemain elle devra repasser par la case donjon pour essayer de faire un effort pour reconnaitre le prochain invité. Elle veut refuser mais l’excitation et toujours là et elle accepte le challenge. Le lendemain elle est dans la même position et Laurent lui annonce qu’ils ont de la visite. Elle attend avec impatience et est vite comblée. Une bite dans la bouche et une dans le cul. Elle kiffe quand elle entend la voix de Laurent qui vient de l’autre bout de la pièce. Je vous avais bien dit qu’elle était docile et qu’elle était fait pour s’enfourner plusieurs queues en même temps. Maeva a un sursaut ils sont au moins deux en plus de Laurent. Elle veut ruer mais elle ne peut pas bouger et fini par se laisser fourrer. Tant qu’à faire autant profiter de ses bonnes queues. Lorsque Laurent vient enfin la détacher elle est incapable de mettre des noms sur les queues avec qui elle a fait connaissance. Il lui dit alors qu’elle aura un gage pour la prochaine soirée poker. Elle est interdite. Qu’à t-il inventé. En même temps elle est impatiente d’être à cette soirée. Le jour arrive et Laurent lui dit d’aller se mettre en tenue pour accueillir ses invités. Elle est étonnée car elle est déjà correctement habillée. Il lui précise que sa tenue est sur le lit. Curieuse elle va voir la tenue sur le lit. Il s’agit d’une tenue de soubrette très sexy en bas une mini jupette avec un tablier riquiqui et en haut une espèce de body avec balconnets qui soutient le bas de seins tout en laissant ceux-ci visibles. Un porte jarretelles et des bas assortis et enfin une petite coiffe mignonne. Elle ne trouve pas de sous-vêtements. Par défi elle met la tenue et va voir Laurent en lui disant qu’il manque les sous-vêtements. Heureusement elle en a qui iront bien avec la tenue et elle lui dit que cette tenue doit plutôt être réservée à des jeux entre eux deux. Il l’attire vers lui et lui dit de se retourner. Elle le fait volontiers pour montrer ses belles fesses. Il en profite pour lui passer les menottes dans le dos. Elle se retourne étonnée mais il lui dit qu’elle n’a pas besoin de sous-vêtements car ses amis connaissent tous son intimité profondément. Elle est interloquée et veut râler. Il lui insère de force un bâillon boule dans la bouche la réduisant au silence. Elle est à la fois en colère et à la fois complétement émoustillée. Il lui montre alors un plateau de service. Ce plateau dispose d’une espèce de sangle qui sert à ceinturer le plateau sur la taille et une chainette qui passée autour du cou de Maëva relie les deux coté du plateau gardant celui-ci horizontal. Tu pourras nous servir les rafraichissements comme ça lui dit-il. Elle commence à se poser des questions. Il a vraiment l’air sérieux. Pourtant elle ne veut pas être exhibée ainsi devant les amis de poker de Laurent elle en connait certains mais deux d’entre eux lui sont complétement inconnus. Comment pourraient-ils avoir participé aux jeux sexuels de Laurent et Maëva. La sonnerie de l’entrée retentit. Laurent va ouvrir et revient dans la chambre avec son ami Maurice et sa femme Gisèle. Maeva ne sait pas ou se mettre elle est exposée plus que nue devant ce couple d’ami. Puis elle remarque que Gisèle est enveloppée dans un grand manteau qui la couvre des pieds au cou. Maurice enlève alors le manteau et elle constate que Gisèle porte la même tenue qu’elle en dehors du bâillon. Elles sont magnifiques déclare Maurice en mettant les deux jeunes femmes l’une à côté de l’autre. Gisèle est un peu plus potelée que Maëva mais elle possède des fesses magnifiques et se poitrine opulente couleur de lait doit donner beaucoup de plaisir à son homme. Bon il ne nous reste plus beaucoup de temps dit Laurent. Gisèle n’a pas desserré la bouche mais fait un petit sourire contrit à Maëva. Elles sont dans la même galère. Les garçons font coucher les femmes sur le ventre sur le lit et leur fourrent un plug annal vibrant à télécommande de bonne taille. Ça ne présage rien de bon. Ils les relèvent et leur mettent un écarteur de bouche après avoir ôté le bâillon de Maëva. Elle n’ose pas râler devant giselle qui a l’air d’accepter son sort. Quand on aura besoin de quelques choses on vous appellera comme ça dit Maurice en actionnant les télécommandes. Le plug s’ébranle et Maëva ressent de puissantes vibrations dans le bas ventre. Oups ça risque d’être dur car en quelques secondes les vibrations font monter une grosse chaleur du tréfonds de Maëva. Elle voit la tête de Gisèle et se dit qu’elle aussi est sensible aux vibrations. Les garçons installent un plateau identique à Gisèle. Ils expliquent aux filles que pour charger le plateau elles devront se débrouiller ensembles. Et il mime le geste de remplir un plateau avec les mains dans le dos. La sonnette retentit. Les garçons emmènent les filles dans la cuisine et vont ouvrir la porte d’entrée. Laurent installe les trois autres participants dans le salon ou une table de jeu les attend. Ils tirent au sort les places et s’installent tranquillement. Le jeu peut commencer. Après quelques minutes Laurent demande aux invités s’ils veulent boire ou manger quelque chose. Tout le monde est d’accord pour une coupe de champagne. Laurent et Maurice montrent leurs télécommandes aux autres et les actionnent. Maeva et Gisèle qui se regardent un peu apeurées ressentent soudain simultanément les vibrations. Elles se regardent et Gisèle fait le premier pas vers la sortie de la cuisine. Elles entrent dans le salon ou elles font un effet bœuf. Les loups de Tex Avery seraient jaloux des réactions des convives qui s’en mettent plein les yeux. Du champagne pour tout le monde ordonne Laurent. Les filles retournent dans la cuisine et ouvrent le frigo. Plusieurs bouteilles sont dedans dont deux ouvertes. Laurent avait prévu le coup. Elles réussissent en s’aidant mutuellement à remplir de coupes et à les installer sur les plateaux. Puis elles se dirigent vers le salon. Elles font de nouveau de l’effet en entrant. Maeva a du mal à en convenir mais ça l’excite au plus haut point. Elles font le tour de la table chacune de son côté. Maurice dit aux invités elles sont à votre disposition vous pouvez toucher. Au passage de Maëva des mains lui flattent la croupe. Elle en ressent une délicieuse chaleur. Laurent et Maurice leur montrent chacun un coin de la pièce et elles s’y mettent attendant les nouveaux ordres. Plusieurs fois elles sont mises à contribution. Elles arrivent même à rire entre elles lorsqu’elles doivent taire des clubs sandwichs à l’aveugle avec les mains dans le dos. Vers la fin, de la soirée Laurent et Maurice viennent dans la cuisine féliciter les filles pour leur service. Ils ôtent les plateaux et leurs disent maintenant on va faire un jeu avec tout le monde. On va décerner le prix de la meilleure suceuse. Ne nous décevez pas ou la nuit sera pénible. Gisèle et Maëva se regardent interdites mais elles n’ont pas le temps de réfléchir que déjà Maurice et Laurent les entrainent dans le salon. Ils les font mettre à quatre pattes et les forcent à passer sous la table. Là elles peuvent voir que tout le monde s’est débraguetté et que les chibres sont plus ou moins raidis. Elles se regardent et ont un fou rire. Il y en a des grosses et de moins grosses des longues et des courtes. Puis ensemble elles commencent à pomper. Maeva a les mâchoires douloureuses à force d’être écartées mais elle fait au mieux avec sa langue. Gisèle semble absorbée par sa tâche. Soudain Laurent et Maurice ajoutent du piquant en activant les plugs. Les filles redoublent de travail mais elles sont de temps en temps fauchées par un orgasme. Enfin elles ont vidé les couilles de tous les garçons car les chibres sont maintenant au repos. Maëva a l’impression que certains ont remis le couvert pendant qu’elles s’occupaient des autres. Laurent et Maurice sortent les filles de sous la table et les remmène dans la cuisine après qu’elles aient été déclarées ex aequo. Ils les libèrent ôtent les écarteurs et les ramènent dans le salon. Elles ont un petit sourire en voyant l’air heureux des invités. Ceux-ci les féliciteront pour la magnifique soirée qu’elles leur ont fait passer au moment du départ. Laurent et Maurice laissent alors les deux filles seules un moment dans la cuisine. Elles parlent alors du cheminement qu’elles ont pris pour en arriver là et s’aperçoivent que c’est quasiment le même parcours. Laurent et Maurice avaient dû se concerter pour ça. Gisèle lui avoue que ça la fait kiffer grave et Maëva ne peut que lui dire qu’il en est de même pour elle. Gisèle lui dit que la prochaine soirée poker devrait avoir lieu chez elle. Maeva lui dit qu’elle pourra compter sur elle pour ne pas la laisser seule. Cette nuit-là Laurent est particulièrement doux avec Maëva. Elle espère que ce moment de douceur ne durera pas et qu’il trouvera qu’autres challenges pour elle. Elle a définitivement renoncé à dresser Laurent. Elle a trouvé bien mieux. Laurent a décidé de continuer l’éducation sexuelle de Maëva. Ce jour-là elle attend nue à genoux une nouvelle surprise. Elle est dos à la porte du donjon dans lequel elle passe de plus en plus de temps. La porte s’ouvre mais elle n’a pas le droit de se retourner. Elle entend des pas s’approcher. Elle essaye de compter pour voir s’il y a plusieurs personnes. Une main lui caresse le cou. Elle frissonne. Quelqu’un passe devant elle et elle reconnait un des amis de Laurent. La main sur son cou continue à la caresser. La main est douce et commence à descendre vers ses seins. Elle soupire d’impatience d’être pétrie. Elle sent que le propriétaire des mains la contourne elle va voir qui est cet homme aux mains si douces. A sa grande surprise c’est une femme très jolie et très jeune qui la regarde avec une certaine timidité dans le regard. L’ami de Laurent se recule et la femme se met à genoux face à Maëva. Elle lui embrasse les seins. Maëva est surprise par la douceur du baiser. L’ami de Laurent lui fait signe de participer. Elle caresse la tête de la jeune femme qui frissonne à son contact. Peu à peu elles se caressent de plus en plus intimement. L’ami de Laurent impassible observe le manège. La jeune femme fait relever Maëva et elle qui est restée à genoux embrasse le sexe de Maëva. Ça ne l’étonnerait pas que ce soit la première fois pour sa voisine. Petit à petit les deux femmes se Lâchent et finissent par oublier l’homme. Celui-ci se rappelle à elle en les menottant les mains dans le dos. Elles sont à genoux toutes les deux. Du bruit se fait entendre et Laurent entre dans la pièce. Il approche des deux femmes qui sont de nouveau à genou et sort son membre qui est bien érigé. L’une après l’autre elles le sucent. Laurent se retire et les attire jusqu’au lit et les fait monter sur le lit. Elles sont à genoux sur le lit attendant qu’il décide quoi faire. Il prend la jeune femme en levrette et indique à Maëva de se mettre allongée les jambes écartées au niveau du visage de la jeune femme. Celle-ci embrasse le sexe de Maëva tout en étant fourrée par Laurent. Puis Laurent les fait inverser les positions. Maeva n’a pas l’habitude de brouter une femme mais elle est bien excitée par la situation et la jeune femme lui plait. L’ami de Laurent observe toujours. Laurent se retire et les mets toutes les deux face à lui pour une fellation alternée. Il finit par gicler et les deux femmes sont aspergées. Il leur fait comprendre de se lécher pour avaler les gouttes de sperme. Ce qu’elles font sans déplaisir. Laurent quitte le lit et les laisse à genou. L’autre homme se déshabille enfin. Laurent revient avec deux godes ceintures qu’il pose sur Maeva et la jeune femme. Il donne une paire de menottes à Maeva et lui montre l’homme qui se retourne et présente ses poignets. Maëva va attacher les poignets de l’homme dans le dos. Il monte sur le lit et se met à genoux. La jeune femme se penche pour lui faire une fellation. Pendant ce temps Maëva passe derrière lui et l’embroche avec le gode. Il est résistant à la fellation et bientôt Maeva et la jeune femme échangent les places. Elle se retrouve à sucer l’homme pendant que la jeune femme le travaille avec le gode. Maeva voudrait que ça se conclue et pince les seins de l’homme . Il réagit aussitôt et son sexe se durci un peu plus dans la bouche de Maëva. La jeune femme voit l’effet et de son côté elle serre entre les mains les couilles de l’homme. Ruades. Ce coup-ci il a l’air de prendre son pied. Maeva pince plus fort les tétons et la jeune femme presse littéralement les couilles. L’homme se cabre et décharge dans la bouche de Maëva. L’homme se retire et Maeva et la jeune femme se retrouvent seules sur le lit. Je m’appelle Aude dit la jeune femme. Et moi c’est Maëva répond celle-ci. Très heureuse de te connaitre. L’intermède avec le couple bizarre n’a pas été totalement cool pour Maëva. D’autres visites se succèdent. Une d’entre elle est inoubliable pour Maeva. Laurent l’a attachée au piton situé au plafond elle a les bras tendu vers le haut et doit se tenir sur la pointe des pieds. Un homme masqué entre dans la pièce. Elle ne le reconnait pas. Il lui met un bâillon boule. Elle se dit qu’elle ne pourra pas le sucer. Il prend une petite cravache et se met méticuleusement à la cravacher pas trop fort pour ne pas l‘abimer mais les coups sont portés avec suffisamment de puissance pour qu’elle sursaute. Il la cravache ainsi longtemps s’assurant de ne pas oublier un centimètre carré de son corps. Au début elle résiste mais peu à peu elle est obligée de crier dans son bâillon et les larmes coulent sur son visage. Il n’en tient pas cure et continue sa besogne. Maintenant une douleur brulante couvre tout son corps elle n’en peut plus et se laisse pendre au bout de ses bras n’ayant plus la force de se tenir debout. Il arrête enfin et la détache elle pleure et se laisse faire il la porte jusqu’au lit ou il la couche. Elle se laisse faire n’ayant plus aucune force. Il la couche sur le dos et la pénètre vigoureusement. La douleur fait place à une chaleur qui vient du creux de ses reins. Elle a l’impression qu’elle n’a plus mal et elle se laisse emporter par une jouissance inconnue. Il se retire après avoir joui mais reste à côté d’elle dans le lit. Elle est la première surprise en se blottissant contre lui le plus près possible alors qu’il a été son pire bourreau. Maintenant les soirées poker se multiplient. La jeune Aude rejoint Gisèle et Maëva et elles servent durant les soirées. Elles n’ont plus besoin de l’écarteur car elles sont bien soumises. Lorsqu’elles sont seules en cuisine en attendant qu’on les appelle elles rient entre elles. Un soir Laurent les surprend à rire et désormais elles sont punies. Elles passent les soirées à genou dans le salon empalées sur des godes motorisés. Comme elles sont bâillonnées elles ne peuvent plus se parler. Il va sans dire que les bâillons sont ôtés pour les fellations qu’elles ne manquent pas de prodiguer. A la grande surprise de Maeva des femmes viennent maintenant jouer au poker et un soir elle voit une véritable amazone accompagnée d’un black Barraqué qui viennent participer à la soirée poker. Ils ont avec eux deux garçons qui se retrouvent vite nus menottés et debout derrière l’amazone. C’est la première fois que Maëva voit des cages de chasteté. Elle se dit que c’est dommage car les garçons ont l’air bien pourvus. Néanmoins la grand amazone la gêne et elle a l’impression que leurs petites soirées finalement sympas vont pâtir de ces nouveaux arrivants.
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Par : le 20/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 30 Nadia est vendue. Extrait « …Elle attache les quatre membres de Nadia aux pieds de la table en écartant au maximum les jambes. Elle a un vue imprenable sur le sexe offerte de Nadia et sur le plug qui lui orne toujours le cul. Elle commence à caresser rudement le corps d’ébène qui la séduit tant. Puis elle voit que Nadia n’est pas indifférente et elle approche son visage du sexe de Nadia. L’odeur musquée lui tourne la tête et elle plonge la langue dedans et lèche goulument. Nadia se cambre et halète ce qui renforce l’extase de Cloé. Le sexe est parfaitement épilé et semble fait pour être léché par elle. Elle est totalement excitée. Elle se relève et va détacher jean de la croix. Elle lui mes de menottes dans le dos et enlève la cage de chasteté. Jean qui voit les ébats depuis le début trique carrément… » Quelques temps plus tard une convocation arrive. Ils se rendent chez morgane. Morgane trône dans son canapé avec ses deux esclaves nues à ses pieds. Elles sont à genoux couvertes de chaines. Dans une position de soumission totale. Elles ont dû prendre cher avec morgane qui affiche un masque de sévérité absolue. Noémie n’aimerait pas être à leur place. Morgane prend la parole. Bon je n’ai pas envie de m’occuper de deux esclaves en même temps. Ça risque de m’énerver et lorsque je suis énervée je suis particulièrement mauvaise avec mes victimes. Nadia et la catcheuse font une tête d’enterrement. J’ai décidé de te vendre Nadia. Tu as intérêt à être particulièrement une bon esclave avec l’acheteuse c’est ta chance d’éviter le plug géant que je t’ai promis. Soit totalement soumise et montre toi sous ton meilleur jour. Nadia est terrorisée. Le gros plug risque de lui défoncer le cul sérieusement et elle craint ça par-dessus tout. En plus les sévices que lui a infligé morgane vont en grandissant et elle en a peur. L’acheteuse éventuelle entre. Noémie a la surprise de voir que c’est Cloé la fameuse acheteuse. Cloé la reconnait mais ne la calcule pas. Il faut dire que la position de Noémie nue derrière morgane n’est pas des plus intéressantes. Cloé salue morgane ne jette pas un œil aux esclaves et lui dit qu’est-ce que tu veux me vendre. Morgane répond celle-ci et elle montre Nadia. Nadia montre qui tu es à Cloé. Nadia avance vers Cloé sur les genoux. Elle lui embrasse les pieds avec ferveur. Cloé lui dit lève-toi et montre-moi si tu vaux le coup. Nadia se lève met les mains dans le dos et s’arque pour faire ressortir sa poitrine. Cloé lui fait un geste et Nadia se retourne montrant son cul bien cambré. Cloé lui tend la main et Nadia embrasse goulument les mains de Cloé. Effectivement elle est pas mal et à peu près éduquée. Je pourrais peut être en faire quelque chose dit Cloé. Le prix est abordé. Nadia souffle en elle-même elle va peut-être échapper au plug et Cloé a l’air sévère mais humaine. Au moment de conclure Cloé dit à morgane. Je veux ces deux-là aussi c’est les trois ou rien. Noémie devient pale. Elle esclave de Cloé et montrée à tous ses ex amis comme une esclave. C’est difficile à admettre. Néanmoins elle n‘est pas en position de refuser. Morgane donne un prix pour le lot et Cloé tope. Tu me les fais livrer demain dit-elle à morgane. Le lendemain Nadia Noémie et jean voyagent nus dans le SUV de Victor. Ils sont enchainé ensemble et pour bien faire il sont bâillonnés et munis d’un plug de bonne taille dans le derrière. Ils sont escortés par morgane jusqu’au salon où ils sont séparés. Noémie et jean d’un côté Nadia de l’autre. Cloé arrive aussitôt Nadia poussée par morgane se jette aux pieds de Cloé et les embrasse avec ferveur. Celle-ci lui ôte son collier et en met un nouveau en cuir et métal qui se cadenasse. Elle fait pareil avec Noémie et jean. Morgane et Cloé se saluent. Et morgane quitte la propriété. Cloé dit à Nadia Noémie et jean. Maintenant vous allez être des petits esclaves bien dociles. Je n’admettrais aucun écart ou vous goutterez du fouet. Nadia continue à embrasser les pieds de Cloé. Noémie veut préciser qu’elle et jean ne sont pas vraiment des esclaves mais juste des soumis à temps partiel. Cloé la regarde. Je ne t’ai pas autorisée à parler. Tu es mon esclave à vie et je fais de toi ce que je veux. Noémie va pour plaider sa cause auprès de Cloé afin de dissiper le malentendu. Elle veut parler mais une puissante décharge électrique venant du collier la secoue et elle se retrouve par terre sonnée. Jean veut aller la relever mais il est aussi victime d’une puissante décharge. Ils sont tous les deux hébétés. Pas besoin que je vous explique le fonctionnement de votre collier d’esclave. Comme vous vous êtes rebellés vous devez être punis. Nadia attache les à la croix. Nadia se relevé et s’empresse de les attacher écartelés sur la croix. Vous passerez le reste de la journée et peut être la nuit ici dit Cloé. Noémie et jean sont dos à dos et ne se voient pas. Ils commencent à flipper car Cloé n’a pas l’air jouasse. Nadia a regagné sa position au pied de Cloé. Celle-ci lui dit fais-moi voir si tu sais faire jouir une femme avec ta bouche. En parlant elle s’assoit sur le canapé et remonte sa jupe. Elle n’a pas de culotte. Nadia se met à genoux au pied de Cloé et commence à la brouter. Visiblement elle sait s’y prendre car Cloé se tord de jouissance. Cloé apprécie la langue experte de Nadia. Le corps de cette dernière la fascine. Elle ordonne à Nadia de se coucher sur le dos sur la table du salon ce que cette dernière fait avec célérité. Ceci plait un maximum à Cloé. Elle attache les quatre membres de Nadia aux pieds de la table en écartant au maximum les jambes. Elle a une vue imprenable sur le sexe offerte de Nadia et sur le plug qui lui orne toujours le cul. Elle commence à caresser rudement le corps d’ébène qui la séduit tant. Puis elle voit que Nadia n’est pas indifférente et elle approche son visage du sexe de Nadia. L’odeur musquée lui tourne la tête et elle plonge la langue dedans et lèche goulument. Nadia se cambre et halète ce qui renforce l’extase de Cloé. Le sexe est parfaitement épilé et semble fait pour être léché par elle. Elle est totalement excitée. Elle se relève et va détacher jean de la croix. Elle lui met des menottes dans le dos et enlève la cage de chasteté. Jean qui voit les ébats depuis le début trique carrément. Cloé se remet à embrasser goulument le sexe de Nadia et montre le chemin à jean celui-ci ne se fait pas prier et embroche Cloé. Celle-ci est carrément excitée elle fait libérer Noémie qui doit s’allonger sous Cloé et lui brouter le sexe en même temps que jean la fourre et qu’elle bouffe le sexe de Nadia. Des halètements rompent la sérénité du salon les quatre occupants sont concentrés sur leurs jouissances. Cloé est plus que comblée et pense qu’elle va passer du bon temps avec son esclave si envoutante. Dans un coin de sa tête Nadia reprend espoir elle entrevoit une faiblesse dans Cloé. Faiblesse à exploiter. Cette nuit-là Nadia dort dans le lit de Cloé elle est attachée en travers du lit et sert d’oreiller à Cloé. Noémie et jean passent la nuit sur la croix. Le lendemain Noémie et jean sont fixés sur leur sort. Ils seront les larbins de la maison. Cloé leur met une cagoule qui les rend anonymes. Ils ont les mains et les pieds munis de bracelets et une chaine joint les mains laissant une petite amplitude de mouvement. Les chevilles sont aussi reliées par une chaine qui ne permet que de faire des tous petits pas. Ils doivent composer avec. Nadia est debout au milieu du salon ses mains sont menottées et accrochées via une chaine à un piton au plafond. Une barre d’écartement l’oblige à avoir les jambes bien ouvertes. Cloé observe Nadia et feuillette des catalogues de lingerie SM. Elle trouve que le rouge devrait s’accorder à merveille avec le corps d’ébène. Il faut qu’elle trouve une tenue de soumission très sexy afin de pouvoir exhiber son esclave devant les invités en en faisant bander les hommes et mouiller le femmes. Elle finit par opter pour un corset en cuir soulignant les seins, une paire de cuissardes assorties qui montent jusqu’à quelques centimètres du sexe et une paire de très longs gants toujours en cuir rouge. Elle choisit encore deux anneaux de seins rouges aussi reliés par une chainette et un plug vibrant à télécommande pour qu’elle garde la main sur le corps de Nadia. Comme Nadia a toujours la tête rasée une cagoule rouge complète la panoplie. Cloé est contente de ses choix et est impatiente de voir son jouet ainsi habillé. Noémie et jean ont pris leurs marques. Ils servent Cloé avec ardeur car ils craignent le fouet qu’elle manie avec adresse. Le matin ils doivent se présenter au pied du lit de Cloé à genou leurs cagoules mises et attendre qu’elle veuille bien se lever. Ensuite ils la lavent entièrement et selon les envies de Cloé lui prodiguer les caresses buccales qu’elle souhaite. Puis ils préparent le petit déjeuner et doivent assister à genou au petit déjeuner de Cloé. Enfin viennent les tâches ménagères. Ce matin-là le colis avec la tenue de Nadia est arrivé. Ils doivent aller la détacher du lit de Cloé la laver car elle a toujours les mains menottées dans le dos et l’habiller avec la nouvelle tenue. Le corset est suffisamment serré pour faire ressortir les formes de Nadia. Une fois habillée elle est splendide. Noémie se fait la réflexion que c’est plus une tenue de dominatrice que d’esclave mais les choix de Cloé ne sont pas négociables. Nadia est amenée au salon. Cloé attend avec impatience. Elle est émerveillée du résultat elle a envie de culbuter Nadia immédiatement mais elle doit se contenir avec regret afin de ne pas montrer de faiblesse via à vis de esclaves. Nadia voit que Cloé est époustouflée. Elle gonfle la poitrine et des cambre afin d’offrir un silhouette incroyable. Nadia sent qu’elle va bientôt avoir un rôle à jouer. Quelques jours plus tard Cloé reçoit des invités. Initiés ceux-ci ne sont pas étonnés de voir deux esclaves cagoulés les servir. Ils sont loin de se douter qu’il s’agit de leurs amis Noémie et Jean. L’attention des invités est monopolisée par la grande femme noire vêtue de rouge qui est debout derrière Cloé qui la tient en laisse. Les hommes ont du mal à dissimuler des érections monumentales et les femmes haïssent cette femme qui les rend complétement banales à côté d’elle. La journée se passe bien et Noémie et jean sont mis à contribution surtout lorsque Cloé dit aux invités qu’ils sont entièrement à leur disposition pour tout besoin. Noémie et jean sont plus souvent à quatre pattes que debout. La mystérieuse femme noire est exclusivement réservée à Cloé. Et les invités libèrent leurs frustrations sur Noémie et jean.
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Par : le 16/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 28 : un petit couple soumis. Extrait « … Le véhicule démarre. A peine sortis du parking Victor actionne un bouton et le ciel de toit se rétracte en laissant place à un grand toit en verre panoramique qui illumine toute la voiture. Puis Victor s’engage sur le périphérique. Les voitures roulent au ralenti. Soudain Noémie comprend le but du jeu. Ils frôlent les camions et les routiers ont une vue plongeante sur le couple nu bondé et offert à toute vue. Noémie comprend aussi la raison du loup car souvent avec les ralentissements les routiers peuvent prendre des photos avec leurs portables. Ils passent ainsi près d’une heure dans un concert de klaxon de routiers hilares à s’exhiber nus et bondés. Le pire c’est que petit à petit la situation commence à plaire à Noémie qui sourit aux routiers et commence sérieusement à mouiller … » Quelques jours plus tard Noémie et jean sont invités à une soirée poker par Nadia le samedi soir. Ayant repris leurs esprits ils ne répondent pas à l’invitation même si jean ne suit que mollement Noémie dans cette décision. Le samedi soir alors qu’ils sont tranquillement installés dans le salon la sonnerie de l’entrée retentit. Noémie va ouvrir. Ça doit être Sidonie qui avait promis de passer dans la soirée. Elle ouvre et tombe nez à nez avec Victor et le grand black de l’autre jour. Avant qu’elle ait pu dire quoi que ce soit le grand black lui met la main sur la bouche et la fait rentrer de force dans l’appartement. Un sac est mis sur sa tête et ses bras solidement retenus. Pendant ce temps Victor et Nadia entrent dans le salon ou jean est resté. Interdit il les voit se ruer sur lui et en quelques secondes il est aussi recouvert d’un sac et menotté. Ils sont tiré vers l’extérieur de l’appartement et poussés dans un véhicule, apparemment une camionnette, car ils entrent debout Puis ils sont couchés à même le plancher et le véhicule démarre. Quelques minutes plus tard ils sont descendus du véhicule et emmenés quelque part. Le sac sur leur tête est enlevé. Ils voient Victor et Nadia qui les remercient en riant de bien avoir voulu participer à la soirée poker. Ils sont visiblement dans une grande entrée Noémie veut crier mais une main puissante se pose sur sa bouche. Silence ma chérie ou tu vas souffrir. Elle se tait. Nadia lui et un collier de chien et Victor fait de même pour jean. Ils accrochent une laisse et leurs mettent un bâillon boule. Puis ils les tirent dans la maison ou l’appartement vers un très grand salon ou déjà plusieurs personnes sont installées. Elle reconnait le copain black de Victor et sa compagne. D’autres couples ou personnes seules discutent. Le point commun c’est qu’ils sont tous et toutes visiblement des dominants. Victor et Nadia les amènent jusqu’à un mur le long duquel est fixée une grande barre genre barre de gymnastique. Il y a plusieurs personnes hommes et femmes déjà positionnées face au mur et la laisse accrochée à la barre. Elle reconnait Brigitte. Elle et jean sont accrochés comme les autres et Nadia lui dit. : Si on a besoin de toi on viendra te chercher. Bâillonnée elle en peut pas discuter avec ses voisins mais elle voit que certains sont fatalistes, ils doivent avoir l’habitude, et d’autres comme elle plutôt en colère et effrayés. Elle entend les conversations puis une voix domine le brouhaha et dit. Les tables sont ouvertes le tournoi peut commencer. Un bruit de pas nombreux puis un certain silence s’installe. Le temps passe lentement. Elle se demande ce qu’elle fait là. Un de ses voisins est récupéré par un homme qui l’emmène avec lui. Puis d’autres. Puis s’est son tour. Victor vient la prendre et elle le suit dans la grande pièce. En fait c’est un tournoi de poker. Victor regagne ce qui semble être sa place et met Noémie à genou sous la table devant lui. Il lui ôte le bâillon et dirige sa tête vers son sexe qui commence à gonfler. Elle prend le sexe dans sa bouche et commence à le sucer. Aussitôt il devient dur et imposant elle a un mal fou à ouvrir suffisamment la bouche pour l’avaler. Il la fait ralentir et elle passe un temps infini à sucer cet homme qui joue tranquillement au poker. Au fur et à mesure de la fellation elle s’enivre de la puissante odeur de musc de Victor et apprécie la queue dure et douce en même temps qui palpite le long de sa langue. Pour sa part jean a été choisi par un inconnu qui le tire sans ménagement vers une table de poker. Il ne s’assoit pas mais se positionne derrière une femme qui est assise à la table elle se retourne et hoche la tête. Sans ménagement l’homme fait mettre jean à genoux et le positionne sous la table la bouche dans l’entrejambe de la femme qui porte une jupe et pas de sous-vêtements. Jean lèche la chatte en silence. Une voix trouble le silence. Mesdames messieurs on fait une pause de trente minutes. Victor se lève et l’entraine derrière lui. Il va à un bar ou un serveur et une serveuse nus servent des boissons aux joueurs. Victor boit une bière. il tient toujours la laisse et Noémie attend sagement derrière lui comme plusieurs autres prisonniers et prisonnières dont certains sont encore bâillonnés. Surement emmenés ici contre leur gré. Une fois la bière bue il l’entraine dans un couloir qui donne sur de nombreuses portes. Certaines sont fermées et d’autres entrouvertes. Il pénètre dans une pièce entrouverte. C’est une chambre avec un lit King size à l’intérieur. Il se couche sur le lit et sans effort apparent prend Noémie par la taille et la met à califourchon sur lui. Il la guide et elle s’empale sur le chibre énorme. Elle a l’impression qu’elle va éclater. Il lui dit de faire le job. Elle commence alors à le chevaucher lentement puis elle sent monter la chaleur de son bas ventre et elle accélère le rythme. Finalement elle explose en même temps que lui dans un orgasme mémorable. Pendant ce temps jean a été emmené directement dans une chambre. La femme se positionne sur le lit pour que jean à genoux continue à la brouter. Il n’est que peu étonné quand il sent que l’homme qui les accompagnait le sodomise sans ménagement. Plus tard une voix annonce la reprise de jeux dans 5 minutes. Victor se retire se lève et la ramène à la barre de gymnastique. Jean n’y est pas. Il apparait quelques secondes après elle avec un inconnu. Il le rattache mais presqu’aussitôt c’est le copain de Victor qui vient le récupérer. En regardant autour d’elle elle s’aperçoit que ceux qui sont encore bâillonnés ont pour la plupart des marques de fouet ou de cravache sur le corps. Visiblement il y a du dressage en cours pour certain. Durant la soirée elle sera réquisitionnée deux fois encore par un inconnu puis une femme. Elle commence connaitre les dessous des tables de poker. Visiblement le tournoi est fini. Victor et Nadia les récupèrent. Nadia est aux anges elle a bien gagné. Victor est moins loquace. Visiblement ça s’est moins bien passé pour lui. Ils sont remontés dans la camionnette et au lieu d’être ramenés chez eux ils sont emmenés dans une maison inconnue. Surement la demeure de Victor et Nadia. A leur arrivée un couple de jeunes gens nus et portant juste un collier et un micro tablier de soubrette s’empresse d’accueillir Nadia et Victor. Nadia emmène Noémie dans le salon et la détache. Elle la remercie de s’être bien conduite devant ses amis et lui fait servir un verre de champagne par la mignonne soubrette. Victor de son côté a emmené jean avec lui. Voyant le regard inquiet de Noémie Nadia la rassure. Il va passer sa frustration sur jean. Ne t’inquiète pas il prend soin de ses propriétés. Tard cette nuit-là Noémie est attachée écartelée sur un grand lit et Nadia, aidée de la petite soubrette, alterne les moments de douceurs avec des baisers des caresses et l’utilisation de toys partout où c’est possible avec les moments de dressage avec la cravache, les pincements de tétons et de sexe. Finalement Noémie rompue devra lécher Nadia qui la chevauche jusqu’à épuisement et elle s’endort la bouche collée au sexe de Nadia. Nadia voyant que Noémie dort se relève et va rejoindre Victor dans le salon. Ils se félicitent d’avoir rencontré ce petit couple si docile et se promettent de les éduquer en profondeur. Quelques jours plus tard Noémie reçoit une convocation de Nadia. Pas une invitation mais une convocation. Jean a reçu la même chose de Victor. Ils hésitent mais se rappellent la dernière invitation ils préfèrent obtempérer. Ils se rendent à la convocation. Nadia et Victor les saluent et les mettent immédiatement dans les mains du couple nu qui semble être 24/7 à leur service. Ils sont déshabillés et le jeune couple expert en la matière leur applique un magnifique bondage shibari avec une corde rouge pour Noémie et noire pour jean. Le shibari leur bloque les bras et les mains mais les jambes sont épargnées. Ils peuvent marcher à leur guise. Nadia vient inspecter le travail et dit très bien. Préparez-les pour une sortie. Aussitôt leur chaussures sont remises et ils sont enveloppés chacun d’un grand imperméable qui descend jusqu’aux chevilles. Ils ont l’air un peu ridicule dans cet accoutrement. Victor et Nadia mettent leurs propres manteaux et entrainent Noémie et jean vers la sortie. On va faire un tour en ville. Pendant près d’une heure ils déambulent dans les rues de la ville. Noémie a l’impression que tous les gens qu’ils croisent savent ce qu’elle cache sou l’imperméable. Elle est atrocement gênée. Victor et Nadia s’arrêtent à un café et s’assoient en terrasse. Ils prennent tout leur temps pour prendre leur café. Pendant ce temps mortifiés Noémie et jean font le pied de grue sur le trottoir. Enfin Nadia et Victor se relèvent et prennent la direction du jardin public de la ville. L’époque est peu propice aux sorties car il fait froid et une bruine permanente humidifie le corps. Noémie commence à cailler sous l’imperméable. Arrivés dans un coin peut fréquenté du parc Victor et Nadia ôtent l’imperméable de Noémie et jean qui se retrouvent nus bondés à la vue de tous. Heureusement il n’y pas grand monde dans le parc. Pendant un quart d’heure ils se promènent dans les allées du parc. Ils croisent quelques personnes qui les regardent avec stupéfaction. Noémie voudrait être une petite souris pour échapper aux regards des passants. Enfin les imperméables sont repositionnés et ils prennent la direction de la sortie du parc. Ils rentrent chez Nadia. En arrivant Noémie est bleue de froid. Le jeune couple dans l’appartement les prend en charge et leur fait prendre une douche très chaude après avoir ôté les cordes. En sortant de la douche Noémie et jean sont menottés dans le dos et amenés à Nadia et Victor. Vous vous êtes bien comportés cet après-midi. Vous pouvez prendre vos récompenses. En fait de récompense ils sont autorisée à sucer Victor et brouter Nadia. La semaine suivante ils reçoivent une nouvelle convocation. La séance commence comme la semaine précédente mais au lieu de sortir à pieds ils sont couchés à l’arrière d’un SUV dont les banquettes arrières sont repliées. Ils sont couchés sur le dos et rassurés car les vitres arrières du SUV sont fumées. Nadia leur met un loup sur le visage . Le véhicule démarre. A peine sortis du parking Victor actionne un bouton et le ciel de toit se rétracte en laissant place à un grand toit en verre qui illumine tout la voiture. Puis Victor s’engage sur le périphérique. Les voitures roulent au ralenti. Soudain Noémie comprend le but du jeu. Ils frôlent les camions et les routiers ont une vue plongeante sur le couple nu bondé et offert à toute vue. Noémie comprend aussi la raison du loup car souvent avec les ralentissements les routiers peuvent prendre des photos avec leurs portables. Ils passent ainsi près d’une heure dans un concert de klaxon de routiers hilares à s’exhiber nus et bondés. Le pire c’est que petit à petit la situation commence à plaire à Noémie qui sourit aux routiers et commence sérieusement à mouiller. En rentrant elle et bien chaude et quand Victor la pénètre quelques minutes plus tard elle peut enfin jouir en pensant à tous se regards lubriques qui l’ont échauffé. Maintenant elle attend avec une certaine impatience les convocations. Elle se prête au jeu et ne recule devant aucun obstacle trouvant particulièrement jouissif d’être exhibée nue et encordée.
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Par : le 16/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 27 : Noémie Extrait « …Noémie veut protester mais la main puissante de Nadia pousse sa tête en butée sur son sexe. Elle sent que des menottes lui maintiennent les mains dans le dos. Elle ne se souvient plus du moment où elles ont été mises. Victor sans arrêter d’enculer jean le fait reculer et ensembles ils se tournent vers l’entrée de la chambre. Un deuxième black Barraqué vient d’entrer dans la pièce. En guise de salut il présent sa bite à la bouche de jean. Celui-ci le suce sans se poser de questions. Il est au septième ciel. Il a maintenant une bonne queue dans la bouche et imagine que c’est Victor qui le besogne devant et derrière en même temps… » Noémie et aux anges. Jean a totalement capitulé et fait tout ce qu’elle veut. Elle décide d’aller plus loin et invite leurs meilleurs amis à déjeuner. Léon et Sidonie forment un jeune couple branché. Noémie sait que Léon la mate avec attention et ne serait pas contre un coup de canif dans le contrat. Sidonie est volontaire et toujours la première à tenir des propos osées. Ce jour-là Noémie les accueille seule. Sidonie demande ou est jean. Noémie leur dit qu’il est puni mais qu’ils le verront sans tarder. Ils vont dans le salon et commencent à parler de choses et d’autres. Au bout de quelques minutes Noémie demande s’ils veulent une coupe de champ. Les deux acceptent volontiers. Noémie agite une petite clochette qui était posée sur la table du salon. Jean entre dans la pièce. Il est nu avec un bâillon et une cage de chasteté posé sur son sexe. Il porte un plateau avec trois coupes de champagne et vient se poser devant les trois convives. Sidonie et Léon sont surpris mais regardent avec attention jean. Il est puni pour un bon bout de temps et il est à mes ordres dit Noémie. Sidonie et Léon prennent leurs coupes et ils trinquent avec Noémie alors que jean reste planté devant eux. Sidonie est la première à réagir. Dommage tu ne peux pas te servir de ça. Elle montre le sexe de jean à Noémie. Celle-ci répond :Il lui reste sa bouche on peut faire beaucoup de choses avec. Sidonie admet. Elle commence à être chauffée. Léon dit : c’est sûr mais une bonne bite c’est mieux non ? Noémie rebondit sur le propos. Pourquoi tu veux nous faire une démo. Elle fixe l’entrejambe de Léon. Celui-ci regarde Sidonie qui lui dit : Aller fait nous voir ce que tu as. Léon baisse sa braguette et un chibre libéré se dresse vigoureusement. Noémie dit : Pas mal … elle pose la main sur le sexe érigé en regardant Sidonie qui lui sourit. Ensembles elles déshabillent Léon sous les yeux de jean. Léon est confiant. Il va se taper les deux gonzesses sous les yeux du cocu qui ne dit rien. Sidonie commence une fellation puis se ravise en disant il faut qu’on compare entre la bouche de jean et la bite de Léon. Noémie est d’accord et elle va enlever le bâillon de jean. Elle lui menotte les mains dans le dos et le fait mettre genoux devant Sidonie. Celle-ci se déshabille et assise sur le sofa écarte les jambes en montrant à jean son entrejambes. Il s’approche à genoux et enfouie sa tête dedans. Léon est déjà moins triomphant. Noémie s’approche de lui et lui fait mettre les mains dans le dos. Il accepte de se faire menotter. Elle le met sur le dos sur la table du salon. Elle se déshabille à son tour et se met à le chevaucher. Pendant une demi-heure Sidonie et Noémie alterne les positions. Elles vont jusqu’au moment où Léon va craquer puis lui laissent quelques secondes avant de le reprendre. Puis Sidonie propose d’échanger les rôles. Le sexe de jean est libéré. Il trique aussitôt gaillardement et est mis à la place de Léon. Celui-ci doit maintenant faire usage de sa bouche. Les filles s’en donnent à cœur joie sans laisser les garçons jouir. Finalement jean et Léon se retrouvent à genoux avec chacun une cage de chasteté et ils voient les deux filles qui se font l’amour entre elles. Après avoir bien joui les filles décident de passer à table. Jean et Léon font le service et jeunent tandis que les deux filles mangent avec joie. Après le café les garçons sont remis à contribution pour le plus grand plaisir des deux filles. Noémie propose à Sidonie de mater un film porno à la télé dans sa chambre. Sidonie accepte volontiers. Les garçons les accompagnent mais ne peuvent regarder le film car les filles regardent le film à genou sur le lit avec chacune un garçon couché sous elle et la bouche en contact direct avec le sexe de la fille. Elles profitent du film et des langues des garçons qui ne risquent pas de leur spolier le film. Au moment du départ Sidonie radieuse dit la prochaine fois c’est moi qui invite. Les garçons se feront un plaisir de nous servir. Le soir Noémie autorise enfin jean à jouir. Il passe quand même comme c’est l’habitude maintenant la nuit en laisse aux pieds du lit de Noémie. Noémie et Sidonie sont heureuses. Elles parlent beaucoup de leurs exploits. Brigitte et Tania deux de leurs copines semblent douter de la véracité de leurs exploits. Elles raillent ouvertement Noémie et Sidonie en présence d’autres copines. Finalement Noémie exaspérée leur dit qu’elles peuvent venir vérifier. Elle invite Brigitte et Tania à la maison un après-midi pour un café servi par des garçons nus avec une cage de chasteté. Brigitte et Tania acceptent l’invitation. Le jour J Brigitte et Tania se présentent chez Noémie. Celle-ci les accueille avec fierté et les deux invitées ont la surprise d voir deux males entièrement nus à part une cage de chasteté les attendre dans l’appartement. Les garçons font le service. Brigitte est enthousiasmée. Tania un peu plus sur la réserve. L’après-midi se déroule bien et lorsque les invitées repartent Brigitte promet de rendre l’invitation pour se faire pardonner de ne pas avoir cru Noémie et Sidonie. Quelques jours plus tard l’invitation arrive. Sidonie n’est pas libre. Noémie en fait part à Brigitte qui propose que Noémie et jean viennent seuls. Ils pourront discuter plus intimement. Noémie se demande ce que veut dire ce « intimement » mais accepte l’invitation. Ils arrivent chez Brigitte qui les accueille avec le sourire. Noémie se demande si Brigitte n’a pas une idée derrière la tête. Ils pénètrent dans le salon et ont la surprise de voir qu’un couple est déjà présent. C’est un couple de blacks entre deux âges. Les présentations sont faites. Ce sont des amis très chers de Brigitte et elle n’a pas résisté à l’envie de les présenter à Noémie et jean. Victor l’homme est une baraque et il a un regard et une voix imposants. Il impressionne Noémie. La femme est musclée et donne aussi une impression de puissance. Elle est habillée de cuir très ajouré et sa poitrine est particulièrement mise en valeur. Il ne lui manque que le fouet se dit Noémie. Jean aussi est subjugué par ce mâle dominant. Il ne peut s’empêcher de le regarder avec admiration. Malgré lui il lui trouve un charme vénéneux. Il se voit naufragé sur une ile déserte forcé de servir un maitre impérieux et exigeant qui le forcerait à une obéissance sexuelle totale. Il le rêve exhibant une bite monstrueuse que jean devrait s’occuper en permanence avec ses mains sa bouche son cul. Il n’arrive pas à détacher son regard du grand black. La conversation commence. D’abord sur des banalités, puis on en vient à parler de la visite de Brigitte chez Noémie. Victor dit tout à coup. On n’a pas eu la chance de voir ça. Jean tu devrais nous montrer. On aimerait aussi te voir nu avec ta cage de chasteté. Tout en parlant il caresse la cuisse de jean. Celui-ci rougit et regarde du côté de Noémie pour savoir que faire. Il en meurt d’envie afin de se soumettre à ce grand black si captivant. Noémie ne souhaite pas qu’il se déshabille mais Nadia dit à Brigitte. Apparemment Noémie a moins d’emprise sur jean que ce que tu nous as dit. Noémie est touchée dans son orgueil. Elle hoche la tête en regardant jean. Celui-ci se déshabille alors. Victor lui demande de s’approcher jean obtempère. Jean n’en peut plus. Seule la cage de chasteté l’empêche de bander comme un taureau. Victor sort une paire de menottes de sa poche et fait tourner jean. Il lui menotte les mains dans le dos. Noémie se demande ce qui se passe mais Nadia s’est approchée d’elle et lui prend les mains. C’est bien ma chérie tu as bien travaillé avec jean. Il est parfait. Je suis sure qu’on peut faire beaucoup de choses avec lui. Noémie est subjuguée par la voix ferme et envoutante de Nadia. Le contact de ses mains lui donne des frissons. Victor fait mettre jean à genoux. Celui-ci s’exécute sans rechigner et lorsque Victor sort un chibre palpitant il ne résiste pas à la main de Victor qui lui prend la tête et la met au niveau du chibre. Jean commence à sucer le black. Il a juste le temps de constater que le sexe de Victor est entièrement épilé et ça lui donne une beauté incroyable. Noémie est surprise jean n’a pas l’air de lutter. Brigitte a disparu. Nadia dit bon on va peut-être passer à table. La table est dressée mais il n’y a que trois assiettes. Noémie se demande pourquoi quand Brigitte réapparait nue les yeux baissés et dit que le repas est près. Victor se lève et se dirige vers la table en emmenant jean à sa suite. Il s’assoit et positionne jean à genou sous la table pour qu’il continue la fellation. Nadia prend la main de Noémie et la fait mettre à table en face d’elle. Brigitte fait le service. Elle est soudain très déférente envers Victor et Nadia. Noémie mange peu elle est dévorée des yeux par Nadia en face d’elle. Tu dois être très jolie sans tes vêtements lui dit Nadia. Noémie la remercie. Je suis sure que tu es au moins aussi belle que Brigitte. En parlant elle fait un geste à Brigitte qui vient se mettre près d’elle. Nadia caresse Brigitte. Noémie est presque jalouse elle perd pied. Tu devrais te déshabiller lui dit sur un ton autoritaire Nadia. Noémie ne bouge pas. Nadia se lève et prend Noémie par la main et l’entraine doucement vers le salon. Fais voir comment tu es Belle dit Nadia d’un ton qui n’admet pas de réplique. Noémie se déshabille sans vraiment en avoir conscience. Elle veut faire ce que la belle Nadia lui demande. Noémie est nue face à Nadia celle-ci se recule et observe Noémie de la tête aux pieds. Elle l’a fait se tourner pour voir l’envers du décor. Noémie est comme enivrée. Nadia s’assoit sur le canapé et attire Noémie près d’elle. Elle l’embrasse à pleine bouche. Puis elle la fait mettre à genou et ouvre ses cuisses sur sa jupe de cuir sous laquelle il n’y a aucun sous-vêtement. Nadia passe une main derrière la tête de Noémie et l’attire vers son sexe. Noémie embrasse ce sexe si enivrant. Pendant ce temps Victor a terminé de manger et sort de table en emmenant jean docile derrière lui. I ls entrent dans une chambre et Victor amène jean le long du lit et le fait mettre débout au bord du lit mais le torse penché jusqu’à reposer sur le matelas. Puis Victor pénètre jean par derrière. Heureusement pour jean Victor a bien lubrifié sa matraque. Il besogne jean avec ardeur. Jean est presque déçu de ne plus pouvoir sucer avec application le grand black. Son odeur musquée si enivrante et le sentir palpiter dans sa bouche lui manque même si il est heureux de plaire à Victor. Noémie est toujours ne train de lécher Nadia quand elle sent une présence derrière elle. Brigitte munie d’un gode ceinture la prend par derrière. Noémie se demande comment elle a pu en arriver là. Noémie a vaguement eu l’impression qu’une porte s’ouvrait. Mais elle voit avec surprise une autre femme black entrer dans la pièce. C’est le même genre que Nadia. Une reine de cuir. Celle-ci salue Nadia et caresse Noémie. Très belle dit-elle. Tu me la donnes. Nadia répond non je peux bien la partager un peu mais je me la garde elle est trop belle. Noémie veut protester mais la main puissante de Nadia pousse sa tête en butée sur son sexe. Elle sent que des menottes lui maintiennent les mains dans le dos. Elle ne se souvient plus du moment où elles ont été mises. Victor sans arrêter d’enculer jean le fait reculer et ensembles ils se tournent vers l’entrée de la chambre. Un deuxième black Barraqué vient d’entrer dans la pièce. En guise de salut il présent sa bite à la bouche de jean. Celui-ci le suce sans se poser de questions. Il est au septième ciel. Il a maintenant une bonne queue dans la bouche et imagine que c’est Victor qui le besogne devant et derrière en même temps. Noémie est dans un tourbillon de luxure. Nadia lui donne des ordres et elle ses exécute sans se poser de question. Elle lèche embrasse pelote deux corps de bronze qui envahissent tous ses sens. Quand Nadia lui dit d’arrêter et de lui embrasser les pieds elle se met à genou et embrasse les pieds avec ferveur. A côté d’elle elle voit que Brigitte fait de même avec la deuxième femme. Les deux femmes se rhabillent mais Brigitte et Noémie continuent à se prosterner à leurs pieds. Jean sent que le grand black va jouir. Il redouble de caresses buccales et tout à coup il reçoit une grande giclée de sperme dans la bouche. Heureusement qu’il s’y attendait car sinon il aurait été étouffé. Il prend bien soin de tout avaler et de lécher consciencieusement le membre toujours gonflé qu’il a dans la bouche. Victor le serre plus fort et d’un coup se vide aussi en ahanant bruyamment. Jean sent la semence le remplir. Il est presque déçu quand les deux hommes se retirent. Victor et un grand black entrent dans la pièce. Ils entrainent jean qui est ruisselant de sueur. Noémie se dit qu’il a dû prendre cher. Il est toujours nu et menotté alors que les hommes sont habillés. Victor a récupéré le 06 de jean et lui dit qu’il l’apprécie beaucoup et ne manquera pas de le rappeler pour des soirées amicales. Noémie soudain dégrisée est perplexe. Nadia se penche vers elle et lui susurre. J’ai parfois besoin de petites boniches pour mes soirées entre grandes fille. Je ne manquerais pas de t’appeler. Et les deux couples saluent Brigitte qui est en extase et quittent l’appartement. Il faudra un peu de temps pour que Brigitte retrouve les clés de menottes et libère le couple. Noémie l’assaille de question sur ses invités. Brigitte lui dit qu’elle les a croisés par hasard dans le train et qu’elle est immédiatement tombée amoureuse de Nadia. Et depuis elle se plie à tous les caprices de Nadia pour lui plaire. C’est pour ça que Victor et Nadia l’ayant entendu parler du couple souhaitaient absolument les rencontrer. Effectivement ils étaient devenus intimes physiquement parlant. Brigitte demande à Noémie si elle libérait parfois jean de sa cage. Noémie lui répond que oui et qu’il était alors un bon coup. Pour prouver ses dires elle libère jean et dit à Brigitte tu peux l’essayer si tu veux. Il a plus pris que donné aujourd’hui. Brigitte et jean n’hésitent pas et il la prend dans le salon pour un coït mémorable. Quand ils rentrent chez eux le soir ils se demandent s’ils ont rêvés tout ça et sinon s’il n’y avait pas quelque chose dans les boissons qui a annihilé leur volonté.
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Par : le 14/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 26 Cloé se venge. Extrait «… il reste faire une grasse matinée tu veux le voir demande Noémie avec un grand sourire. Cloé voit là une invitation. Elle dit : ok allons le voir et elle part avec Noémie vers la chambre qui a hébergé le couple. Effectivement Jean est là. En fait de grasse matinée il est attaché en croix au baldaquin coté pied du lit, debout, un bâillon dans la bouche, un masque aveuglant sur la tête et le sexe comprimé dans une cage de chasteté…. » Rodriguez vient de recevoir un coup de téléphone très alarmiste. Un de ces invités a été arrêté par les flics et pour sauver sa peau les a dénoncés. Une descente de police va surement avoir lieu dans la journée. Il prévient aussitôt ses compagnons et quittent précipitamment la maison en ne donnant aucune explication. Peu après la police se présente à la propriété. Les filles sont libérées et reconnaissent les trois garçons sur des photos que leur montre la police. Le cœur n’y est plus et Anna et Vanessa ne sont plus les bienvenues chez Cloé qui leur reproche d’avoir »pactiser » avec l’ennemi. Morgane veut aussi se changer les idées et Cloé se retrouve seule dans sa maison. Elle est particulièrement en colère contre les trois truands et se jure de se venger. Elle engage un détective privé qui a pour mission de repérer les trois gars avant la police. Celui-ci fait vite et quelques jours plus tard la planque des truands est identifiée. Cloé se dirige alors vers ses connaissances peu recommandables et une mission de représailles est montée. Les trois garçons se font surprendre par une équipe de mercenaires bien rodés qui surgit dans la planque et les mets en joue avec de vraies armes. Les trois garçons supplient de ne pas les tuer et conformément aux ordres de Cloé ils sont emmenés jusque chez elle. Là elle les fait mettre dans trois pièces dans le sous-sol. Ces pièces ont tout de geôle. Pas d’éclairage naturel et juste une paillasse et un pot de chambre. Pendant un mois ils sont enfermés et juste chichement nourris. Ils ne peuvent avoir aucun contact avec les autres. Au bout d’un mois Cloé leur donne chacun un collier et leur ordonne de le cadenasser sur eux. Ils apprendront à leurs dépens l’efficacité des colliers que Cloé a achetés à prix d’or à la tigresse sur les conseils de Magalie. L’un près l’autre ils sont remontés au rez de chaussée et dressés comme esclave par une Cloé revancharde qui manie le fouet avec rage. Pour celui qui est choisi pour quitter la cellule la matinée commence par la croix de saint André. L’homme est écartelé sur la croix et doit subir une douzaine de coups de fouet donnés par Cloé. Puis il est attaché sur la table du salon et doit se faire sodomiser par Cloé qui à chaque passage prend un gode ceinture de taille supérieure. Après l’engodage c’est l’insertion d’un plug annal de taille grandissante. Plug qui sera porté jusqu’au soir. Avant les corvées de la journée Cloé met un vagin artificiel autour du pénis de l’homme et par impulsion électrique le fait éjaculer plusieurs fois jusqu’à l’épuisement. Enfin c’est le tour des corvées qui sont ponctuées par des léchages du sexe de Cloé qui en profite plusieurs fois par jour. Au moment où Cloé va se coucher l’homme est attaché sur le ventre sur le lit, les jambes repliées et reliées aux bras à l’arrière du corps. Et dans cette position inconfortable l’homme passe la nuit la bouche collée sur le sexe de Cloé qui le force à la lécher jusqu’à épuisement. Enfin au matin l’homme est ramené dans sa cellule et Cloé prend le suivant. Trois mois plus tard ils ne pensent qu’à une chose : satisfaire Cloé pour ne pas gouter au fouet être enfermé dans une cage minuscule ou être attaché au piquet de la niche extérieure. Ils sont devenus très obéissants et Cloé décide de tester leur soumission. Ce soir-là Cloé invite trois couples de ses amis libérés. Parmi eux les deux qui avaient eu l’occasion de se partager Sophie et un jeune couple dont la femme plait beaucoup à Cloé alors que le mari est beaucoup plus réservé. Cloé a promis une surprise. L’apéritif et le repas se passent bien les conversations sont assez libres et il est beaucoup question de la partie de poker de Cloé et Sophie. Puis à la fin du repas Cloé entraine ses invités vers le salon. Là elle leur dit c’est l’heure de la surprise. Comme prévu vous passez la nuit à la maison et je vous ai préparé une chambre par couple. Mais j’ai aussi une petite surprise pour chaque couple. Et voyant la curiosité sur les visages elle dit un deux et trois au pied. Aussitôt trois hommes nus imberbes portant une cage de chasteté et les mains menottées dans le dos apparaissent et se mettent à genoux devant Cloé. Voilà vos cadeaux pour cette nuit. Tout est permis et elle donne à chaque femme deux clés celle des menottes et celle de la cage de chasteté. Elle fait un signe et les trois hommes viennent se prosterner un devant chaque couple. Après le moment de surprise les femmes sourient en pensant à la nuit qui vient. Cloé ajoute. Dans l’armoire de votre chambre vous trouverez de quoi épicer votre soirée. Je vous demande juste de les rattacher et de remettre la cage après utilisation. Les sourires s’élargissent et les couples saisissent la laisse de leur cadeau et se dirigent vers les chambres. Le lendemain Cloé voit arriver deux couples visiblement très satisfaits de leur nuit. Ils lui rendent l’esclave et racontent en partie leurs exploits de la nuit. Les esclaves se sont montrés à la hauteur. Tant avec leur bouche qu’avec leur cul voire leur sexe. Les deux couples sont ravis. Puis arrive Noémie la jeune qui plait à Cloé. Elle est juste accompagnée de l’esclave et a un sourire carnassier. Cloé l’interroge du regard. Noémie dit : Super l’esclave il m’a bien été utile cette nuit j’ai bien kiffé. Et Jean il a apprécié ? demande Cloé. Oui il a vraiment apprécié d’ailleurs il reste faire une grasse matinée. Tu veux le voir demande Noémie avec un grand sourire. Cloé voit là une invitation. Elle dit : ok allons le voir et elle part avec Noémie vers la chambre qui a hébergé le couple. Effectivement Jean est là. En fait de grasse matinée il est attaché en croix au baldaquin coté pied du lit, debout, un bâillon dans la bouche, un masque aveuglant sur la tête et le sexe comprimé dans une cage de chasteté. Cloé fait un sifflement admiratif. Effectivement il n’a pas dû s’ennuyer dit-elle. Elle fait le tour de Jean et voit qu’il a un énorme plug dans le cul. Il reste silencieux. Oui j’ai trouvé qu’il ne faisait pas assez d’effort cette nuit dit Noémie alors il a passé la nuit comme ça pendant que je me tapais l’esclave. On ne va pas le laisser là dit Cloé. Noémie fait la moue. Ne t’inquiètes pas ma chérie dit Cloé tu vas comprendre. Elle hèle les esclaves et leur dit quelques mots à voix basse. Elle raccompagne Noémie dans la cuisine ou les deux couples devisent ensemble sur leur nuit tout en déjeunant. Après le petit déjeuner Cloé les invite tous au salon pour discuter avant leur départ. A leur grand étonnement Jean est installé sur la croix de saint André. Ils regardent Noémie qui est gonflée de fierté. C’est sa place dit-elle. Il est très bien comme ça. Elle se penche vers Cloé et dit il n’a pas beaucoup profité des esclaves cette nuit on peut peut être rattraper ça. Cloé approuve et appelle les esclaves. En quelques minutes Jean est décroché les mains liées dans le dos à genou et le torse couché en travers de la table du salon. Il n’a plus le bâillon. Sur un geste de Cloé les trois esclaves se ruent sur Jean. Pendant une demi-heure il sert de vide couille. Tant par le cul que par la bouche avec laquelle après quelques claques il fait de son mieux pour satisfaire ses bourreaux. Les deux garçons des deux couples sont réservés. Ils ont peut-être peur que ça donne des idées à leurs compagnes. Celles-ci sont aux anges. Elles ne savent pas si elles doivent envier Noémie qui a pris l’ascendant sur Jean ou envier Jean qui doit quand même s’occuper de trois bonnes bites. Après coup Jean est emmené par Noémie au bout d’une laisse pour se laver. La matinée se passe tranquillement. Les filles sont invitées à faire de la carriole tirée tour à tour par les esclaves. Quand vient le tour de Noémie c’est Jean qui est attelé. Il est presque trop docile pour Cloé. Puis l’heure du déjeuner arrive. Les convives son tranquillement installés. Jean nu au bout de sa laisse est aux pieds de Noémie et mange ce qu’elle veut bien lui donner. Ensuite les convives quittent Cloé en promettant de revenir surtout s’il y a des surprises. Jean voyagera dans le coffre de Noémie qui annonce que pendant son année sabbatique Jean ne fera pas beaucoup de frais de lingerie. Rassasiée des trois hommes mais fatiguée de devoir les contrôler, Cloé les libère enfin un matin et leur donnant l’ordre de quitter la région. Toujours recherchés par la police et craignant les fréquentations de Cloé ils ne demandent pas leur reste et disparaissent.
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Par : le 14/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 25 : Les envahisseurs. Extraits »… Effectivement l’homme plutôt Barraqué se défend comme un diable et ils ont toutes les peines du monde à l’entraver et le bâillonner. Une fois que c’est fait, avec le pinceau de la lampe torche, ils s’aperçoivent qu’en fait il s’agit d’une femme très musclée et très dotée au niveau de la poitrine… Elles ont les mains attachées dans le dos et sont mises à quatre pattes sur le sol. Les garçons se déshabillent alors et baisent consciencieusement les deux filles. Les coups fusent et les filles finissent par faire tout ce qu’on leur demande. Elle suce bien celle-là .celle-ci aussi elle a des nibards de folie. Une fois les garçons rassasiés, ils rattachent les filles à la croix et vont se coucher en montant la garde chacun leur tour. Yvan Olaf et Rodriguez sont décidés. Ils vont cambrioler la belle propriété isolée qui semble peu occupée. Ils se sont bien renseignés et le système d’alarme est vieillot et peut facilement être détourné. A deux heures du matin ils escaladent le mur d’enceinte et se dirigent vers la maison. Comme prévu le câble téléphonique est facile à couper. L’alarme ne pourra pas sortir de la maison. La sirène située en hauteur n’est qu’un jeu pour Yvan qui grimpe comme un singe et pulvérise de la mousse expansive pendant un long moment sur la sirène. Ensuite ils font le tour de la maison. Ils trouvent une fenêtre mal fermée. Ils entrouvrent la fenêtre et Olaf qui est le plus fluet se glisse à l’intérieur de la maison silencieusement. Il visite la maison dans le noir avec juste un rai de lumière rouge qui sort d’une mini torche. Il arrive dans le salon et est étonné de voir une grande cage avec deux jeunes femmes nues entrelacées à l’intérieur. La cage dispose d’un cadenas. Il continue sa visite et finalement découvre deux chambres occupées chacune par une personne. Il sent qu’il y a du pognon à tirer de là et retourne faire un compte rendu aux deux complices. Ils décident de capturer les deux occupants libres et de leurs faire cracher la thune. Silencieusement ils se dirigent vers la première chambre. Heureusement elle n’est pas située trop proche de la deuxième et ils espèrent bien chopper la première personne sans réveiller la deuxième. Ils entrent dans la chambre. Deux d’entre eux se jettent sur le corps tandis que le troisième muni d’un rouleau d’adhésif se prépare à bâillonner. L’affaire est rondement menée. C’est une jeune femme qui totalement surprise n’a pas le temps de hurler ni même de se débattre. Elle gémit dans son bâillon mais entourée de ruban adhésif de déménageur elle ne peut pas bouger d’un pouce. Ils la balancent sur le lit et se rendent dans l’autre chambre. Ça doit être l’homme de la maison alors ils prennent beaucoup de précautions. Effectivement l’homme plutôt Barraqué se défend comme un diable et ils ont toutes les peines du monde à l’entraver et le bâillonner. Une fois que c’est fait avec le pinceau de la lampe torche ils s’aperçoivent qu’en fait il s’agit d’une femme très musclée et très dotée au niveau de la poitrine. Ils se séparent pour inspecter toute la maison à la recherche d’une personne supplémentaire qu’Olaf n’aurait pas repérée. Après dix minutes ils sont persuadés qu’il n’y a personne d’autre. Ils allument les lumières de la maison afin de faire le tour des trésors. Ils sont étonnés de trouver beaucoup d’accessoires bdsm. En plus de la cage ou sont recroquevillées les deux gamines il y a une grande croix de saint André et des photos suggestives de la grande femme nue. Ils sont tombés sur des lesbiennes SM. Afin de faire parler les deux habitantes de la maison ils les attachent de chaque côté de la croix de saint André dos à dos. Les filles sont nues et particulièrement appétissantes. Elles sont toujours bâillonnées. Rodriguez va voir les deux filles dans la cage et les menace de leur couper le cou. Les filles sont terrorisées. Il leur pose alors des questions sur la maison le nombre d’occupant si quelqu’un doit venir cette nuit ou demain à la maison et qu’est-ce qu’elles font dans cette cage. Les deux filles déballent tout sans réserve. Elles crèvent de trouille. Quand elles racontent qu’elles sont chacune esclave d’une de autres filles il commence à cogiter. Il laisse les pauvres filles dans la cage et va discuter avec les deux autres gars. Finalement on pourrait rester ici un peu et profiter de ces deux nanas dit l’un en montrant les deux femmes ligotées. Tu as raison on n’est pas pressé de partir ça me semble bien ici dit un autre. Bien excités par ce qu’ils voient ils finissent par s’intéresser de près aux corps offerts sur la croix. En quelques minutes Cloé et Morgane sont pelotées, trifouillées et descendues de leur croix. Elles ont les mains attachées dans le dos et sont mises à quatre pattes sur le sol. Les garçons se déshabillent alors et baisent consciencieusement les deux filles. Les coups fusent et les filles finissent par faire tout ce qu’on leur demande. Elle suce bien celle-là .celle-ci aussi elle a des nibards de folie. Une fois les garçons rassasiés ils rattachent les filles à la croix et vont se coucher en montant la garde chacun leur tour. Le lendemain matin ils se retrouvent dans le salon. Les deux gamines de la cage se serrent l’une contre l’autre terrorisées. Rodriguez leur propose alors de ne pas les tuer mais si elles font ce qu’on leur demande elles et les deux autres auront la vie sauve. Les filles hochent vigoureusement la tête. La cage est ouverte et Rodriguez demande aux filles d’aller préparer un petit dej. Elles se rendent dans la cuisine accompagnées par Yvan qui se méfie d’elles. Les filles ne cherchent pas à se couvrir ou s’habiller elles doivent avoir l’habitude d’évoluer nues. Elles se calment et apportent sur un plateau un copieux repas pour les garçons. Ceux-ci dévorent tout sous les yeux envieux des deux gamines. Yvan leur dit de le suivre dans la cuisine et de se préparer quelque chose pour elles. Ce qu’elles font avec grâce. Les deux autres filles fusillent les garçons du regard. Rodriguez se lève et leur assène quelques claques. Olaf lui montre le fouet de Cloé et lui dit qu’avec ça il se fera moins mal. Il s’adresse aux filles. Maintenant il va falloir répondre à mes questions vite et sans s entourloupes sinon c’est le fouet et je suis en plein forme je ne risque pas de me fatiguer. Il arrache le ruban adhésif de la bouche des filles et commencent à les questionner. Yvan revient de la cuisine et montre Cloé. C‘est elle la proprio dit-il. Rodriguez se concentre sur elle pour la questionner. Deux heures plus tard Cloé est épuisée elle a tout lâché. Les garçons sont satisfaits. Ils enferment la grande dans la cage où elle tient tout juste et appellent Anna et Vanessa pour qu’elles soignent Cloé. Elles l’emmènent dans la salle de bain accompagnées par Yvan. Rodriguez et Olaf s’assoient sur le canapé et se disent qu’ils sont tombés sur la poule aux œufs d’or. Deux putes pour se vider le poireau et deux gamines pour la cuisine et le ménage et éventuellement une gâterie. C’est décidé ils vont rester ici quelque jours. Anna et Vanessa sont rassurées les garçons n’ont pas l’air de vouloir leur faire du mal surtout si elles font tout ce qu’ils demandent. Elles restent nues car les garçons leur ont donné l’ordre de restée nues. Il y a longtemps que ça ne les gêne plus. Morgane et Cloé son moins bien traitées. Elles sont attachées en permanence. Cet après-midi-là elles ont fait la liste de course pour qu’un garçon aille au ravitaillement. Ils détiennent la CB de Cloé et en usent juste ce qu’il faut pour ne pas être dans le rouge et éveiller des soupçons. En revenant des courses Olaf dit qu’il a rencontré des copains et qu’il les a invités pour la soirée. Rodriguez et Yvan sont ennuyés mais c’est une bonne occasion de frimer avec leurs deux putes. Ils préparent leur soirée. Morgane et Cloé sont pomponnées par les deux gamines et elles sont attachées dos à dos sur la croix de saint André. Les invités arrivent ils sont cinq. Ils font des commentaires élogieux sur la propriété mais dès qu’ils voient Morgane et Cloé la conversation dérape. C’est cadeau pour tout à l’heure dit Rodriguez. D’abord on prend l’apéro on mange et après le diner elles sont à vous. Il appelle Anna et Vanessa qui sont cachées dans la cuisine. Celles-là vous ne touchez pas dit Yvan c’est privé. Le repas est joyeux et graveleux. Vanessa et Anna servent le mieux possible et n’évitent pas des mains aux fesses mais ça ne va pas beaucoup plus loin. Après le repas Morgane et Cloé sont décrochées de la croix. Elles ne sont pas rattachées mais elles sont trop prises en main pour songer à faire quelque chose. Elles ne comptent plus les bites qui les remplissent en permanence. Après quelques baffes elles sucent sans réfléchir et font au mieux. Elles passent de mains en mains. Les cinq acolytes se déchainent en riant. Pendant ce temps Anna et Vanessa sont hélées par le trio de nouveaux propriétaires. Elles sont pelotées et doivent sucer et se faire monter mais sans coups et plutôt tendrement. Elles finissent par y prendre gout et font de leur mieux pour satisfaire les trois garçons. Le gang band dure une bonne partie de la nuit. Enfin Rodriguez dit qu’il est temps de terminer car il n’a pas envie de tuer les deux putes. Celles-ci son prostrées au sol et ne réagissent plus. Les cinq invités finissent par partir en promettant de revenir. Anna et Vanessa doivent s’occuper des deux autres filles elles les mettent sous la douche et les lavent consciencieusement. Enfin les garçons portent Cloé et Morgane sur le lit à baldaquin et leur mettent juste une menotte à un poignet et à un montant du baldaquin. Tout le monde va se coucher. Les garçons tirent au sort et Anna et Vanessa partent chacune avec un compère. Le lendemain les Cloé et Morgane ont mal dans tout le corps. Elles restent au lit et sont juste nourries et soignées par les deux gamines. Le surlendemain Rodriguez passe les voir et leur dit que si elles sont particulièrement obéissantes et ne tentent pas de s’enfuir il n’invitera plus de copains pour des partouzes. Brisées les deux filles acceptent. Peu à peu Cloé et Morgane reprenne des forces et vont mieux. Elles font tout pour plaire au trio. Anna et Vanessa sont déchargées peu à peu des taches. Une semaine plus tard elles n’ont plus de travail tout est fait par Cloé et Morgane. Anna et Vanessa n’ont qu’une chose à faire c’est s’occuper sexuellement des garçons. Ce qu’elles font de mieux en mieux car elles commencent à les connaitre.
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Par : le 11/03/21
Je me souviendrais longtemps de ce 16 février où Maîtresse m’a annoncé : «je suis officiellement Ta Maîtresse. Rnby tu es à moi». Je deviens son soumis, son maso, sa propriété. Je l'ai tellement désiré que j'en deviens fébrile, la peur m'envahit. Peut-être ai-je pris conscience de la tâche qui m'attend. Respect et obéissance ne devraient être qu'une formalité pour moi qui la vénère, et bien non, je fais des bêtises ! Elle a beaucoup joui de moi, sa petite salope. Je ne devrais pas le dire car mes sentiments passent au second plan, mais j'ai aussi beaucoup joui de cette intense domination aux pieds de Ma Maîtresse et de toutes ses pénétrations lors de cette fameuse première nuit. Je reviens à ma niche empli de joie. Bien sûr Maîtresse est la seule à posséder la clé de ma cage me privant ainsi de cette jouissance masculine mais je sais que ma chatte m'apportera bien plus de plaisir. J'avoue ma naïveté car Maîtresse n'est pas du genre à laisser son soumis dans son égoïste petit confort. Je reçois très vite, comme une claque, le nouveau défi de Maîtresse : "Je garde la clé et tu gardes chaste ta petite chatte. Tu mets un plug que tu n'enlèveras que pour faire tes besoins"   Aïe aïe aïe abstinence absolue, je palis. Plus aucune jouissance sans la moindre idée de la durée. Je devine bien ses sourires tant pour ce défi que pour la petite surprise qu'Elle me fait. Pas le choix, Ma Maîtresse a tous les droits. Les jours suivants ont été difficiles. L'impression désagréable d'être en manque permanent dès le 1er jour. J'ai vite caché tous les godes qui me faisaient jouir de plus en plus souvent. Éviter à tout prix toute tentation. J'ai bien tenté une esquive dès le lendemain mais tellement maladroite que mes fesses ont pris chères. Maîtresse n’a pas goûté à mon humour quand je lui ai dis que mes godes protestaient. "Qu'ils osent! " M'a t'elle répondu... Première erreur, j’ai fait parler mes godes pour obtenir sa clémence. «On veut notre jouet». Oh la la ! Que n' ai-je pas dit là... Je suis le jouet de Maîtresse et de personne ni rien d'autre. Deuxième erreur... Et en plus, je ne me rends pas compte de suite que l' orage s'est levé sur moi et je continue à faire parler mes godes : «Allez, au moins une fois par semaine Maîtresse». Quand enfin je prends conscience de mon erreur, sa foudre s'abat sur moi. Elle me fera payer cash ce manque de respect par une mémorable fessée au paddle et une humiliation publique, promené en laisse , la tête et les oreilles basses comme le petit toutou que je suis devenu. Ne plus pouvoir jouir et s’asseoir, je pense que Maîtresse doit beaucoup en rire encore maintenant ! Oui, le début a été dur. Mais la situation se normalise. Je bascule toute mon énergie sexuelle vers le plaisir absolu à satisfaire Ma Maîtresse. J'ai de plus en plus besoin de sa présence, de sa mansuétude. J'ai seulement l'envie de tout lui donner pour sa seule jouissance. Et si cela était Sa réussite de ma soumission ? Sa domination se met en place inexorablement lors de nos rencontres mais aussi à distance lorsque je suis à ma niche. Tous les canaux sont bons pour m'éduquer, me mettre à ses pieds, me surprendre... Aujourd’hui dimanche, ce seront les SMS de Maîtresse qui me donneront la leçon : Apprendre à répondre correctement à ses textos. -Tu es seul ma salope ? -Oui Maîtresse, je fais du repassage. -Repasse en regardant du porno de domination féminine bien hard pendant une heure. Je m'affaire avant de répondre correctement le « bien maîtresse» attendu et il est bien trop tardif à son goût. Elle me rajoute du temps... Je lui écris mon contentement à lui obéir mais : « Tu parles trop ! Mets-toi un bâillon». Je vais terminer mon repassage et mon ménage en bavant partout. J'ai fini par recevoir 30 minutes de plus de porno. Vous me direz rien de bien méchant, au contraire... Sauf que, quand vous êtes chaste de tous plaisirs et en cage , elle vous semble bien vite étroite. Je souffre tendu derrière ces barreaux. 11H15, Maîtresse me libère de ses contraintes mais Elle n’en finit pas pour autant avec moi ; un SMS suit dans la foulée. -J’aime quand tu manges dans ta gamelle. Manger dans ma gamelle aux pieds de Maîtresse est la place qui m’est dorénavant dévolue. Je prépare un petit repas adapté que je mange difficilement en lui adressant quelques photos pour lui faire plaisir. Maîtresse me laisse sur une promesse urticante. -Surveille l’arrivée des orties. Grâce au réchauffement climatique, ils arriveront sans doute plus tôt pour satisfaire ma Maîtresse. J’imagine déjà ses grands sourires quand viendra ce petit supplice
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Par : le 11/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 24 : Le DEAL. Extrait. » …Elles contemplent une bodybuildeuse magnifique avec une paire de seins incroyablement haut perchés qui les regarde avec appréhension. C’est Morgane. Souris Morgane ! Un pale sourire sort de Morgane. Cloé prend son fouet et Morgane sourit plus. Cloé s’approche d’elle et la pelote .vous pouvez toucher les filles c’est du ferme. Martin et Magalie félicitent Cloé pour son trophée magnifique…. Elles ne sont pas rattachées mais elles sont trop prises en main pour songer à faire quelque chose. Elles ne comptent plus les bites qui les remplissent en permanence. Après quelques baffes elles sucent sans réfléchir et font au mieux. Elles passent de mains en mains. Les cinq acolytes se déchainent en riant. …» Cloé est contente de son trophée. Elle a hâte de la montrer à Magalie et Martine. Elle les invite un jour pour venir prendre un verre et voir sa dernière surprise. Magalie et Martine sont étonnées de cet appel car ça fait plusieurs mois qu’elles n’ont plus entendus parle de Cloé. Vanessa a dit à Anna qu’elle n’avait plus de nouvelles de Cloé et avait trop peur de lui rendre visite. Néanmoins intriguées par les paroles de Cloé Martine et Magalie décident d’aller voir Cloé. Celle-ci les reçoit dans sa propriété. La surprise est dans le salon. Une croix de saint André est fixée au milieu du salon et elle est occupée par une personne. Elles la voient de dos car le devant de la croix est orienté vers le canapé ou Cloé s’assit habituellement. Cloé leur présente son trophée de chasse. Elles pensent qu’il s’agit de Sophie car la forme est très musclée mais lorsqu’elles passent devant et voient la femme en face elles contemplent une bodybuildeuse magnifique avec une paire de sein incroyablement haut perchés qui les regarde avec appréhension. C’est Morgane. Souris Morgane ! Un pale sourire sort de Morgane. Cloé prend son fouet et Morgane sourit plus. Cloé s’approche d’elle et la pelote .vous pouvez toucher les filles c’est du ferme. Martine et Magalie félicitent Cloé pour son trophée magnifique. Cloé jubile. Le plus beau dit-elle c’est qu’elle est là complétement contre son gré. Je l’ai kidnappée et je me la garde. Martine et Magalie se demandent si c’est du lard ou du cochon n’est-ce pas que tu es bien ma prisonnière contre ton gré et que tu voudrais bien me tuer. Les yeux de Morgane lancent des éclairs et elle hoche la tête. Les filles se demandent quelle réaction avoir . Cloé ne leur laisse pas le temps de tergiverser et les emmène vers les murs du salon ou sont accrochées des photos noir et blanc magnifique montrant Morgane dans des positions extrêmement suggestives et les deux filles sont allumées par ce qu’elles voient. Ensuite Cloé libère Morgane de la croix et ne lui laisse que les menottes dans le dos. Elle met une musique langoureuse et Morgane se place au milieu de la pièce et commence à faire une danse extrêmement sensuelle. Elle a bien progressé depuis le départ. Les filles sont sous le charme mais se demandent toujours si Morgane est vraiment retenue contre son gré. Elle a l’air de kiffer son rôle et rien n’indique qu’elle n’aurait pas pu essayer de s’enfuir depuis le temps. Enfin après la musique Morgane montre ses prouesses sexuelles aux filles en venant loger sa tête dans l’entrejambe de Cloé. Cette dernière leur propose d’en profiter ce qu’elles acceptent avec joie. Magalie et Martine sont émoustillées et pelotent avec vigueur les énormes seins de Morgane qui semblent faits pour ça. Les tétons turgescents deviennent rouge vif et Morgane gémit sous les caresses. Elle a toujours la bouche qui lèche avidement le sexe de Cloé qui halète de plus en plus vite. Magalie s’excite et fouille le sexe de morgane avec les doigts. Celle-ci mouille abondamment et se tortille de plus belle sous les caresses expertes. Magalie s’enhardit et plonge sa tête dans ce sexe qui l’attire comme un pot de miel. Morgane râle de plaisir. Martine est aussi au comble de l’excitation. Cloé lui prend les cheveux et la guide à son tour vers son entrejambes. Martine remplace morgane et goute goulument au fruit que Cloé lui présente. Une fraction de seconde Cloé s’imagine avec Martine et Magalie comme soumises. Ça lui déclenche un orgasme de folie. Morgane qui a la bouche libre profite que Martine est à quatre pattes la tête dans le sexe de Cloé pour lui embrasser le sexe et le cul. Martine est au paroxysme de la jouissance. Par la suite aucune n’est capable de se souvenir de toutes les positions qu’elles ont testées. Mais ça restera un grand moment dans leur mémoire. Enfin morgane reprend sa place de soumise aux pieds de Cloé et les trois filles prennent un verre. Martine et Magalie félicitent une nouvelle fois Cloé pour sa recrue. Puis elles repartent toujours un peu circonspectes mais très excitées par ce qu’elles ont vu et fait. Une fois les filles parties Cloé se rapproche de Morgane. Tu as été superbe. Morgane jette un œil noir mais accepte quand même le compliment. Cloé lui dit. Maintenant on pourrait faire un deal. Il y a deux petites poulettes blondes que je voudrais comme animaux de compagnie. Mais gérer trois esclaves me parait difficile. Alors je te propose de t’associer avec moi. On aura chacune en charge notre petite chienne. Morgane n’avait pas pensé à ça. Elle s’imagine avec une femme tenue à la laisse réalisant tous ses caprices. Ça la trouble. Elle regarde intensément Cloé. Où est le piège. Cloé lui dit tu pourras profiter de la propriété tu vois que je ne manque pas de moyens et on pourrait finir par domestiquer des hommes. Là Cloé a bien frappé. C’est un fantasme de Morgane elle se voit avec des esclaves males membrés comme il faut et répondant à tous ses désire. Elle hoche la tête. Cloé sait qu’elle joue gros mais elle pense à Anna et Vanessa et voudrait bien les avoir à sa botte. Elle détache Morgane pour la première fois depuis des mois. Morgane se rue sur elle et la gifle violement. Elle dit je suis ok mais d’abord il faut que je me venge. Elle fout un raclée à Cloé qui ne peut rien contre le déchainement de violence. Puis alors que Cloé est prostrée par terre Morgane la saisi par les cheveux et lui met la tête dans l’entrejambes. Cloé fait acte de soumission et lèche immédiatement Morgane. Celle-ci se calme petit à petit et une heure plus tard les deux filles réconciliées se couchent dans le même lit. Quelques temps plus tard Anna et Vanessa reçoivent une invitation de Cloé. Elles sont perplexes. Martine et Magalie les ont prévenues que Cloé avait une nouvelle victime et elles ne savaient pas si c’était consenti ou pas. Anna et Vanessa sont curieuses. Finalement elles se disent qu’elles pourraient y aller car à deux elles pourront contrôler Cloé si celle-ci dérape. Et puis Cloé s’était très bien tenue lors de la visite cher Martine. Elles débarquent donc chez Cloé en réponse à l’invitation. Cloé les accueille avec une grande joie. Elle leur présente son amie Morgane. Une grande femme très musclée avec une poitrine hors norme qui rappelle quelque chose aux filles. On se connait dit Anna à Morgane. Celle-ci sourit et dit qu’elles se sont souvent croisées au gymnase. Anna et Vanessa remettent enfin Morgane. Elle a beaucoup changé. De garçon manqué elle est passée à amazone guerrière. Les quatre filles parlent de la pluie et du beau temps. Cloé semble très assagie. Anna et Vanessa se disent que la première impression de Martine et Magalie n’était pas la bonne car Morgane est libre et semble heureuse de son sort. Il doit y avoir une liaison entre elle et Cloé. Elles déjeunent ensemble et font une promenade dans la propriété l’après-midi. Sans s’en apercevoir Anna est accaparée par Morgane qui veut lui montrer de photos dans le salon et Vanessa par Cloé qui lui parle des bons moments qu’elle ont passé ensemble et de la merveilleuse journée chez Martine. Les deux jeunes filles sont un peu méfiantes d’être ainsi séparées mais le ton de leurs hôtes est si enjoué qu’elles ne font plus attention. Cloé qui avait récupéré les bijoux de corps de Vanessa lui demande si elle s’en est acheté. Vanessa répond par la négative ça coute cher et elle n’a pas eu l’occasion d’en mettre. Cloé lui propose de lui donner à condition qu’elle les mette devant elle pour jouir une dernière fois du spectacle. Vanessa est touchée de tant de générosité et lorsque Cloé lui montre un beau coffret contenant les bijoux elle décide de les mettre en souvenir des bon moments surtout chez Martine quand elle a cloué le bec à Anna. Elle n‘a rien vu venir mais quelque minutes plus tard elle et ligotée et bâillonnée comme un saucisson devant une Cloé hilare. Je te retrouve enfin ma petite chienne dit celle-ci. Cloé sort de la pièce et laisse Vanessa seule Vanessa se traite de cloche et espère que Anna pourra faire quelque chose pour la sortir de là. Quelques minutes plus tard Cloé revient la chercher avec Morgane qui soulève Vanessa comme si c’était une plume. Elles se rendent dans le salon ou Anna est enfermée dans la cage. Nue. Vanessa est à son tour mise dans la cage. Cette dernière déjà petite pour y mettre une personne oblige Anna et Vanessa à s’enchevêtrer pour pouvoir tenir. Elles ne sont plus bâillonnées. Vous nous libérez quand demande Anna. Quand on décidera répond Cloé. Morgane et Cloé tournent autour de la cage. Elles semblent regarder une marchandise. Laquelle te plait demande Cloé. Morgane dit : Elles sont top toute les deux. Peut-être celle-là et elle montre Vanessa. Ça tombe bien dit Cloé j’ai déjà bien profité d’elle. Bon c’est d’accord Vanessa est pour toi et Anna pour moi. Anna et Vanessa se demandent de quoi il s’agit mais au fond d’elles-mêmes elles savent qu’elles étaient venues pour ça. En fait elles attendent du sexe en position de soumises. Ce soir-là elles sont sorties de la cage. Elles ont les mains menottées dans le dos. Sur l’ordre de Cloé qui a mis une musique langoureuse elles dansent de la façon la plus équivoque possible. Morgane apprécie et sent le désir monter en elle quand elle voit les deux corps onduler et se frôler de façon suggestive. Elle est la première à attirer Vanessa entre ses jambes. La petite se met à genou et enfouit son visage contre le sexe de morgane. Elle embrasse consciencieusement et sa langue devenue experte fait grimper morgane dans l’extase. Elle tient fermement Vanessa par les cheveux et enfonce autant qu’elle peut le petit visage contre son sexe. Cloé fait un signe à Anna qui vient aussitôt prendre la même position que Vanessa. Cloé apprécie l’expertise d’Anna qui la chamboule immédiatement. Martine a été une bonne éducatrice pour elle et c’est Cloé qui récolte les fruits. Après une demi-heure de pur bonheur morgane et Cloé sont repues. Elles s’assoient confortablement dans le canapé et ordonnent aux deux soumises de continuer entre elles. Anna et Vanesse ne demandent pas mieux et se jettent carrément l’une sur l’autre. Elles se retrouvent rapidement en position de soixante-neuf et s’embrassent mutuellement avec langueur. Cloé et morgane sont sous le charme elles voient les deux corps parfaits s’enchevêtrer et se fondre en un seul orgasme continu. Morgane remercie silencieusement Cloé de lui avoir fait connaitre ça. C’est décidé elle est faite pour être dominatrice. Pour morgane les jours suivants sont l’occasion de tester ses capacités de dominantes sur les filles. Elle a un magnifique jouet qui réalise tous ses fantasmes sans hésiter et qui les vit avec bonheur. Elle n’a jamais autant joui et aimé une femme comme Vanessa. Quelques semaines plus tard Martine et Magalie inquiètes de ne plus revoir Anna et Vanessa demandent à Cloé si elle sait quelque chose. Cloé leur dit que les filles sont chez elle et les invite à venir leur rendre visite. En arrivant chez Cloé les filles sont accueillies par Cloé et Morgane. Celle-ci est habillée et visiblement libre. Finalement elle n’était pas kidnappée par Cloé. Elles entrent dans la maison et sont surprises d’apercevoir Anna et Vanessa nues sans aucun bondage et visiblement heureuses de leur sort. En partant le soir Martine et Magalie sont étonnées que leurs amies aient décidées de rester avec Cloé et Morgane mais elles ne veulent pas influer sur leurs décisions.
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Par : le 11/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 23 : CLOÉ rencontre les handballeuses. Extraits »… Bon dit Cloé maintenant on va passer aux choses sérieuses. A partir de maintenant tu es ma chose. Tu feras tout ce que je voudrai. Je vais penser pour toi tu n’auras à t’occuper de rien…. Elle se rue sur la gamelle d’eau….C’est difficile et dégradant de laper ainsi mais elle est trop assoiffée. Cloé met de la nourriture da sa gamelle… Pour la promenade équestre Cloé doit lui mettre un soutien-gorge très renforce pour ne pas abimer son investissement dit-elle… La cage mesure environ 1.20m de long 1 m de haut et 1 m de large. Elle tient tout juste à quatre pattes ne peut pas se retourner ni s’allonger la position est assez pénible. Cloé accroche la gamelle d’eau à un support adapté. Et la laisse jusqu’au repas. L’après-midi Cloé lui annonce qu’elle va pouvoir la montrer en public…. » Cloé est un peu dépitée. Elle n’a plus de nouvelles de Sophie. Celle-ci ne répond plus au téléphone. Cloé qui a de la suite dans les idées décide de pister Sophie. Elle sait que Sophie s’entraine avec l’équipe de handball le soir au gymnase. Ce soir-là elle entre dans le gymnase et va s’assoir sur les gradins en attendant de voir les joueuses. Celles-ci arrivent mais pas de Sophie. Cloé décide d’attendre et la fin de l’entrainement approche quand morgane la cheffe des handballeuses aperçoit Cloé dans son coin. Elle jauge Cloé qui lui semble bien foutue. Celle-ci la toise du regard. Morgane se dit qu’elle lui ferait bien le coup des jeunettes. Elle doit être canon à poil. Elle décide d’aller la voir de près. Cloé voit cette géante s’approcher d’elle. Elle l’imagine à la place de Sophie. Morgane lui demande ce qu’elle fait là. Cloé lui dit qu’elle est une copine de Sophie et qu’elle la cherche. Morgane lui répond qu’elle ne sait pas où se trouve Sophie mais que si Cloé cherche une sportive elle peut lui en montrer. Cloé a un sourire carnassier. Oui elle cherche une costaude pour m’amuser avec elle. Morgane est tout à coup intéressée. Elle hésite à appeler les autres car elle n’est pas sure de garder la donzelle pour elle le soir. Elle lui propose de se retrouver après l’entrainement à la sortie du gymnase. Cloé accepte. A la fin de l’entrainement morgane est chaude elle se voit bien forcer cette pimbeche à lui obéir sexuellement. Cloé est tout sourire. Elle propose à morgane de la suivre pour aller prendre un verre chez elle. Morgane est ferrée. Elle suit la voiture de Cloé jusqu’à la propriété de cette dernière. Morgane est sidérée par le luxe de la propriété de Cloé. Celle-ci la prend par la main et lui fait faire le tour du propriétaire. Morgane est admirative et elles se retrouvent dans un salon ou Cloé leur sert deux verres d’un cocktail très relevé. Morgane est aux anges et va pour se jeter sur Cloé quand celle-ci lui dit. Attend on va aller au sous-sol tu vas voir ma salle de sport tu vas kiffer. Morgane hésite elle culbuterait bien la donzelle maintenant mais elle est quand même curieuse de voir la salle de sport. Morgane émet un sifflement admiratif devant les accessoires de la salle de sport. Cloé lui fait le tour du propriétaire. Elle propose à morgane de tester les différents agrès. Arrivées aux espaliers Cloé demande à morgane de se mettre dos aux espaliers et de se tenir par les mains le plus haut possible. Elle caresse le ventre de morgane en même temps. Celle-ci commence à être sérieusement excitée et fait ce que Cloé demande. Je peux te bander les yeux dit celle-ci en caressant les seins de morgane. Vas-y. Cloé lui met un bandeau tout en se frottant à Morgane. Un dernier truc et je m’occupe de toi dit Cloé. Morgane attend. Elle sent que Cloé monte sur un tabouret juste à côté d’elle. Morgane se dit je suis trop grande pour elle avec mes 1m85. À ce moment elle sent simultanément deux objets métalliques contre ses poignets. Avant qu’elle comprenne les menottes se sont refermées. Elle veut lâcher la barre de l’espalier et baisser ses bras. La chaine qui relie les menottes passe autour de la barre et elle ne peut pas baisser les bras. Détache moi connasse crie-t-elle. Cloé lui répond tu rigoles on va passer du bon temps nous deux. Morgane essaye à l’aveugle de donner un coup de pied vers Cloé. Son pied rencontre le vide. Elle recommence. Une menotte se referme sur sa cheville au moment où elle veut reculer le pied. Puis elle sent que sa jambe est tirée sur le côté. Elle résiste mais peu à peu Cloé gagne du terrain. Au bout de quelques minutes la jambe de morgane est tendue sur sa droite. Elle est en équilibre sur sa jambe gauche quand soudain une deuxième menotte se referme sur sa cheville droite. La jambe est tirée au maximum et maintenant le poids de morgane repose sur les menottes des poignets. C’est trop douloureux et elle se maintient à une barre d’espalier avec ses mains. Un collier est passé autour de son cou. Elle rue mais a peu d’espace pour ça. Le collier est tiré des deux côtés et finalement elle a le cou immobilisé. Elle sent deux mains s’affairer sur ses cheveux. Cloé lui fait une queue de cheval. La queue de cheval est tirée vers le haut et fixée à l’espalier. Morgane est complémentent immobilisée. Une pince à linge est fixée sur son nez. Elle doit respirer par la bouche. Cloé dit alors. Maintenant je vais te mettre un bâillon tu vas ouvrir grand la bouche ou tu ne respireras plus. Morgane hurle et ferme obstinément la bouche mais elle doit respirer et petit à petit le bâillon boule s’insère dans sa bouche. Au moment où elle va suffoquer elle ouvre grand la bouche pour aspirer de l’air. Le bâillon pénètre de force et est solidement attaché. Elle croit qu’elle va mourir asphyxiée mais la pince à linge est ôtée. Elle peut enfin reprendre péniblement son souffle. Cloé lui enlève le bandeau. Tu vois qu’on peut s’amuser toutes les deux ici. Morgane jette un regard venimeux. Voyons si c’est joli en dessous dit Cloé. Elle sort de la pièce et revient avec un cutter. Morgane panique. T’inquiète pas je ne vais pas gâcher la marchandise dit Cloé en souriant. Elle taillade les vêtements de morgane qui en quelques minutes est nue comme un ver. Bon début dit Cloé. Elle relâche un peu la tension des cordes qui immobilisent se jambes et morgane peut enfin se reposer sur ses jambes. Bon il est tard on se reverra demain. En attendant mon retour fait de beaux rêves. Elle quitte la pièce en éteignant l’éclairage. Morgane panique elle est immobilisée come une conne chez une folle et n’a pas l’intention de passer la nuit ici… La lumière s’allume. Cloé entre dans la pièce et lance un joyeux salut ma chérie bien dormi. Morgane enrage. Elle est lessivée et à une envie de pisser pas possible. Cloé voit qu’elle se tortille. Elle sort de la pièce et revient avec un petit pot et le place entre les jambes de morgane. Vas-y dit-elle si tu pisses par terre tu vas le regretter. Morgane qui n’en peut plus se laisse aller à sa plus grande honte. Bon dit Cloé maintenant on va passer aux choses sérieuses. A partir de maintenant tu es ma chose. Tu feras tout ce que je voudrai. Je vais penser pour toi tu n’auras à t’occuper de rien. Morgane rue mais ça ne sert pas à grand-chose. Cloé sort de la pièce et revient avec du matériel. Morgane voit avec crainte que c’est du matériel bdsm. Au bout de quelques minutes elle est à quatre pattes. Trois barres d’écartement l’empêche de se relever de ruer ou de lever les bras. Elle peut juste marcher à quatre pattes avec très peu d’amplitude. Cloé a accroché une laisse au collier et lui dit. Maintenant la douche et le petit dej tu dois savoir faim. Morgane râle mais les coups de fouets ne sont pas retenus et les fesses violacées elle finit par accompagner Cloé comme un petit toutou. Elle entre à quatre pattes dans la douche italienne et Cloé la frictionne vigoureusement. Son sexe n’est pas épargné. Puis sans la sécher Cloé la conduit jusqu’à la cuisine. Là, une gamelle pour chien est posée dans un coin. Une gamelle d’eau est juste à côté. Je vais t’enlever le bâillon si tu ne parles et ne crie pas sinon c’est le fouet et pas de petit déj et bien sûr je remets le bâillon. Morgane ne dit rien mais lorsque Cloé lui ôte le bâillon elle se met à crier salope détache moi tout de suite. Les coups pleuvent sur tout le corps et le bâillon est replacé. Cloé attache la laisse à un radiateur et prend son petit dej en regardant distraitement Morgane. Tu es vraiment bien foutue dit-elle on va passer du bon temps ensemble. Ton corps est fait pour être enchainé tu feras une esclave superbe. Morgane l’ignore mais la faim et surtout la soif commencent à la tenailler. Cloé quitte la cuisine et laisse morgane seule à quelques centimètres de l’eau et de ce qui semble être des flocons d’avoine. Quelques minutes après Cloé passe la tête par la cuisine et dit. Je sors à plus tard ma chérie. Morgane est désespérée. Elle finit par s’endormir sur le carrelage. Finalement c‘est plus agréable que d’essayer de dormir contre l’espalier. Un bruit et c’est Cloé qui s’annonce. C’est moi ma chérie tu as bien réfléchit. Il va être midi. Si tu veux manger et boire il faut me promettre d’être sage. Morgane la regarde méprisante. Alors ? reprend Cloé. La soif est trop forte et morgane hoche la tête. Le bâillon est enlevé. Cloé lui dit en même temps tu ne parles que si je t’en donne l’ordre. Morgane opine. Elle se rue sur la gamelle d’eau. C’est difficile et dégradant de laper ainsi mais elle est trop assoiffée. Cloé met de la nourriture da sa gamelle. Ça se présente sous forme de bouchées. Morgane finit par manger et terminer la gamelle. Maintenant je veux te voir de près et bien exposée dit cloé Elle détache la laisse et emmène morgane derrière elle. Celle-ci doit s’évertuer pour suivre le rythme. Arrivées dans le salon Cloé fait coucher morgane sur le dos sur la table du salon. Morgane doit faire des contorsions dans tous les sens pour y arriver, motivée par les coups de fouets qui pleuvent. Elle est déjà bien marquée. Etape par étape Cloé lui attache les bras et les jambes aux pieds de la table. Elle attache aussi les genoux pour lui faire écarter les jambes. Enfin elle attache la queue de cheval et morgane a la tête immobilisée et ne peut que regarder le plafond. Cloé admire son œuvre. Tu es vraiment musclée. Tu as bien fait de me convaincre de t’inviter. En même temps elle fouille le sexe de morgane sans ménagement. Il faudra qu’on fasse une épilation définie dit-elle. Elle pince le bout des seins de morgane suffisamment fort pour que celle-ci geigne. Bon on va voir si tu es bonne dit Cloé. Elle lèche le sexe de morgane qui se contracte. Voyant ce refus Cloé va chercher un vibromasseur et le pose sur le clitoris de morgane. Celle-ci essaye de ne pas penser aux vibrations qui excitent son clitoris mais lorsque Cloé insère un gros gode et lui fait faire des va et vient morgane sent de la chaleur monter de ses reins contre toute attente. Son souffle devient plus fort et Cloé le remarque. Elle continue le travail et finalement morgane ne peut s’empêcher de succomber à un orgasme. Bien ma chérie tu me plais. Dit Cloé qui n’arrête pas pour autant de fouiller morgane. Celle-ci sent que ça repart. Puis après un temps infini pour morgane qui est en feu Cloé lui applique sur la bouche un bâillon qui possède un mini gode qui se met dans la bouche et un joli gode qui se dresse droit au-dessus du visage de morgane. Cloé scotche le vibro en fonctionnement sur la cuisse de morgane la tête du vibro bien positionnée sur le clitoris et vient chevaucher le gode sur la tête de morgane. Elle dit aujourd’hui tu n’as pas le droit de me brouter mais t’inquiètes pas tu te rattraperas. Après un bon moment Cloé se retire. Mais elle laisse le vibro agacer morgane qui sent qu’une nouvelle fois elle va partir. J’ai changé les piles ne t’inquiètes pas ça va tenir encore au moins une heure. A toute ma chérie et elle quitte le salon laissant Morgane le gode toujours érigé sur sa tête et le vibro en fonctionnement. Un peu plus tard Cloé revient. Bon tu es pas mal mais il faut que je te vois bien debout. Tu vas faire une belle statue dans l’entrée. Elle libère en partie morgane qui se retrouve bientôt les mains menottées dans le dos la laisse du collier accrochée à une rambarde d’escalier. Elle doit se tenir debout presque sur la pointe des pieds la tête face à l’entrée. Très bien lui dit Cloé tu feras sensation lorsque des invités viendront ici. Morgane est figée c’est quoi ce délire se demande-t-elle. Le repas du soir est plus tranquille. Morgane mange dans sa gamelle et Cloé n’a pas beaucoup d’occasions de manier le fouet. Il est l’heure de dormir dit Cloé. Elle met un deuxième collier à morgane. C’est un collier anti-aboiement très efficace et ne t’avises pas de parler ou crier car ça frite pas mal car il est programmé sur apprentissage dit Cloé. Elle emmène morgane toujours à quatre pattes dehors. Vers une grande niche à chien. Dans la niche il y a une couverture et Cloé attache le collier de morgane à une chaine reliée à un solide piquet elle sécurise le tout avec un cadenas. Bonne nuit ma chérie demain on commence le sport. Morgane est désespérée elle se demande comment elle va sortir de là. Elle finit par s’endormir après avoir pisser comme une chienne. Le lendemain morgane fait la connaissance de la carriole et aidée par des coups de fouets non simulés elle promène Cloé pendant plus d’une heure. Ensuite elle est promenée dans différents endroit de la maison et Cloé s’en sert comme déco. Debout, à genou, les jambes écartées à l’extrême dans des positions suggestives qui amusent Cloé au plus haut point. Le repas de midi se passe sans coups de fouet. L’après-midi morgane est amenée dans la salle de sport. Cloé lui explique. Je veux que tu gardes la forme et même que tu sois plus musclée. Pour ça j’ai programmé les matériels. Tu dois réaliser les nombre de répétitions qui sont programmées sur chaque appareil. Lorsque tu auras fini tu te mettras ici. Elle lui montre un point au centre de la pièce. Et tu te mettras ça. Elle montre un ensemble de quatre menottes qu’elle lui fixe aux poignets et chevilles. Elle défait le reste des liens sauf le collier anti aboiements. N’essaye pas de sortir la porte est blindée. Si tu fais bien tes exercices tu pourras manger ce soir sinon c’est un coup de fouet par répétition manquante sur chaque appareil. Si tu ne remets pas ça elle montre les menottes je ne t’ouvre pas la porte. Cloé lui souhaite un bon entrainement et quitte la pièce. Quelques secondes après un clic se fait entendre les quatre menottes se sont déverrouillées certainement pilotées à distance. Morgane est enfin libre. Elle se rue vers la porte pour tenter la résistance. Rien n’y fait. Alors elle décide de tout casser pour essayer de trouver une barre de fer ou quelque chose d’équivalent pour défoncer la porte. Elle va vers les appareils et détruit tout ce qu’elle peut. Pendant deux minutes elle massacre deux appareils et va vers le troisième quand la lumière s’éteint. Presqu’aussitôt le courant est coupé dans les appareils. Elle est dans le noir absolu. Elle cherche à tâtons les appareils suivants mais elle prend conscience de l’inutilité de ses actions. Elle s’assoit en tailleur et attend. Elle attend pendant des heures et aucun bruit ne se fait entendre. Elle commence à avoir soif et à être fatiguée .elle s’endort sur le sol. Elle dort mal et quand elle se réveille sa gorge est sèche comme un parchemin. Toujours aucun bruit. Elle crie pour se faire entendre et insulte autant qu’elle peut Cloé en lui promettant mille morts quand elle la rattrapera. Le temps passe très lentement elle a l’impression d’être là depuis des jours. Elle ne veut pas mourir de soif et appelle Cloé. Ok je me calme j’ai soif s’il te plait. Une voix se fait entendre derrière la porte. Tu boiras quand tu auras mis tes menottes. La lumière s’allume. Morgane va tambouriner à la porte et essaye vainement de la défoncer. Rien n’y fait. Elle veut bluffer et fait semblant de verrouiller les menottes et crie ça y est j’ai mis les menottes. Pas de réponses. Une bonne heure passe morgane ne tient plus de soif et de rage. Elle finit par fermer les menottes. Aussitôt la porte s’ouvre. Cloé entre le visage mauvais, le fouet à la main. Elle fouette longtemps morgane qui se tortille comme un ver pour essayer vainement d’esquiver les coups. La douleur est intense et des stries rouges et bleues sillonnent son corps. Piété dit-elle en pleurant. Cloé s’arrête et met la laisse à morgane. Elle la tire sans ménagement vers la sortie. Direction la cuisine. Cloé laisse morgane boire dans la gamelle. Elle lape consciencieusement pendant 10mn et à la langue en feu de faire ce geste inhabituel. Cloé lui donne un coup de fouet. Ça suffit crie t’elle et elle la tire vers le salon ou une croix de saint André a été installée. C’est pour toi dit Cloé. En quelque minutes morgane est écartelée sur la croix. Sa queue de cheval est accrochée en hauteur et morgane ne peut faire quasiment aucun mouvement à part bouger les yeux. Tu vas rester là jusqu’à la remise en état de la salle de sport. Ça devrait durer huit jours dit Cloé. Morgane est trop faible pour réagir. Elle n’est décrochée que pour une douche quotidienne et un passage aux toilettes. Cloé la nourrit à la main et lui donne à boire de la même façon. Au bout de trois jours morgane est désespérée elle a mal partout et Cloé la frappe chaque fois qu’elle passe par là. Alors que Cloé passe, morgane lui fait signe qu’elle veut lui parler. Cloé éteint le collier anti aboiements et lui dit tu as dix secondes. Morgane bredouille. C’est trop je t’en supplie arrête la croix je te promets de ne plus rien casser et de me taire même sans collier. Cloé a un sourire carnassier. Et qu’est ce qui me dit que tu vas tenir parole. Je le jure dit morgane. Cloé rallume le collier et s’en va morgane pleure de dépit elle n’en peut plus. Dix minutes plus tard Cloé repasse. On va faire un essai. Tu fais tout ce que je te dis et je réduis ta peine sur la croix. Morgane essaye de hocher la tête autant qu’elle peut. Cinq minutes plus tard elle est à quatre pattes avec les trois barres d’écartement limitant ses gestes. Cloé est assise en face d’elle sur le canapé. Pour commencer tu vas venir me bouffer la chatte dit Cloé. Morgane hésite une fraction de seconde mais se décide vite Cloé serait capable de changer d’avis. Elle essaye de bien faire même s’il elle n’a pas l’habitude. Cloé la flatte avec ses mains. Bonne petite esclave enfin tu te mets au travail. Après un long temps morgane doit maintenant embrasser les seins de Cloé qui s’est mis nue. Les pieds les fesses le cul tout y passe. Morgane fait de son mieux. Le repas du soir est calme alors qu’elle s’attend à rejoindre sa niche morgane est remmenée dans le salon par Cloé. Elle change de liens. Maintenant morgane a juste les mains menottées dans le dos. En plus du collier et de la laisse. Cloé met de la musique. Tu vas danser pour moi dit Cloé. Comme une danseuse de peep show. Ça ne dit rien à morgane. Danses comme si tu voulais baiser comme une grosse pute dit Cloé. Morgane essaie de faire une danse suggestive mais le résultat amuse plutôt Cloé. Au bout de 10 minutes celle-ci lui dit d’arrêter le massacre et la fait mettre à genou à ses pieds. Cloé appuie sur un bouton et un tableau mural se surélève pour laisser place à une télévision. Prend en de la graine dit Cloé et elle lance la lecture d’une prestation de gogo danseuses. Morgane regarde avec un maximum d’attention. Tous les soirs tu t’entraineras à ça et tu me feras une petite démo dit Cloé. Morgane opine du chef sans quitter l’écran des yeux. Les trémoussements s de la fille de la télé finissent par l’exciter. Cloé est aussi excitée. Cette nuit-là se passe dans le lit de Cloé. Morgane est écartelée sur le dos et Cloé la chevauche sauvagement. Alternant les facesitting avec des coups de gode ceinture. Les deux filles y trouvent leur compte. C’est la première fois depuis longtemps que morgane s’endort sans être malheureuse. Le lendemain les entrainements reprennent. Une heure de carriole une demi-heure de marche dans la piscine et les répétitions dans la salle de gym l’heure du repas est vite atteinte. Un soir sur deux se passe dans la chambre de Cloé. Les après-midis sont consacrées à l’éducation musicale de morgane et à des tests de bondage décoratifs qui passionne Cloé. Morgane prend toutes les positions jusqu’aux plus salaces sans rechigner. Elle en a pris son parti et attend sa chance de pouvoir renverser les choses. De 17 à 18h30 retour dans la salle de gym pour faire des séries. Petit à petit morgane se doute que Cloé lui fait ingérer des aliments qui donneraient une attaque à un contrôleur anti dopage. Elle prend du muscle partout et sa silhouette commence à ressembler à une body buldeuse. Ça ne lui déplaît pas forcement même si elle trouve que sa poitrine devient trop petite par rapport au reste. Malgré tout Cloé est très sévère et manie toujours le fouet à la moindre occasion. Cloé aussi trouve que la poitrine de morgane est le petit bémol de son corps d’amazone. Elle prend contact avec des connaissances peu recommandables et obtient ce qu’elle voulait. Un jour elle dit à morgane qu’elles vont sortir. Morgane est étonnée. On va dans une clinique pour te faire une poitrine de ouf dit Cloé. Morgane est effrayée. Je te préviens ils sont un peu roumains et ne poseront pas de questions s’ils te voient ligotées comme un saucisson. J’ai payé une blinde pour ton opération. Ne me fait pas regretter. En effet morgane voyage dans le coffre de Cloé et est prise en charge par des gens masqués qui ne posent aucune question. Un chirurgien vient la regarder et la palper il fait des croquis et montre des projections de la poitrine future à Cloé sans jamais adresser la parole à morgane ou lui montrer de croquis. L’opération se passe et le lendemain morgane est effarée de voir deux ballons de foot trôner sous des bandages à la place de sa poitrine. Elle passe quelques jours dans la clinique. Les bandages sont enlevé elle n’a pas de miroir et ne peut pas baisser la tête mais elle comprend qu’elle a une masse énorme sur ses pectoraux. Retour à la maison de Cloé. Cloé l’accompagne jusqu’à une chambre avec un grand lit à baldaquin. Cloé installe morgane sur le lit en prenant bien soin de lui attacher les quatre membres aux montants métalliques et solides du baldaquin. Pendant quelques jours Cloé est aux petits soins pour morgane. Au bout d’une bonne semaine Cloé décide que morgane est suffisamment rétablie pour reprendre leurs activités. Elle attache les mains dans le dos de morgane et avec la laisse reliée au collier elle la fait venir dans une salle de bain munie d’un miroir en pied. Morgane est sidérée et perplexe. Elle constate que sa nouvelle poitrine est énorme ferme très haute et ses tétons pointent directement vers l’avant. Elle se dit qu’elle pourrait poser deux verres de cocktail dessus sans que ça ne bouge. Lorsqu’elle marche les seins ballottent à peine. Elle est oblige de cambrer la poitrine pour pallier le déséquilibre nouveau ce qui fait encore plus jaillir sa poitrine agressive. Cloé est très contente. Tu vois encore un peu de muscle et tu seras parfaite. Les entrainements reprennent. Pour la promenade équestre Cloé doit lui mettre un soutien-gorge très renforce pour ne pas abimer son investissement dit-elle. Cloé multiplie les séances de poses dans toutes les positions et avec une imagination débordante sur les liens. A chaque fois elle prend des photos et bientôt les murs du salon sont ornés de nombreuses photos de grande taille en noir et blanc présentant morgane dans des positions de soumission ou de défi. Morgane est un peu fière même si elle cherche toujours le moyen d’échapper à cette furie. Mais Cloé est particulièrement vigilante et aucune occasion ne s’est présentée. Un tatoueur vient un matin et lui tatoue « trophée de chasse de Cloé » sur le pubis. Un matin en suivant Cloé dans le salon elle y voit une grande cage pour animaux dans laquelle Cloé la fait entrer . Une fois la porte de la cage refermée Cloé lui enlèves ses liens à travers les grillages. La cage mesure environ 1.20m de long 1 m de haut et 1 m de large. Elle tient tout juste à quatre patte ne peut pas se retourner ni s’allonger la position est assez pénible. Cloé accroche la gamelle d’eau à un support adapté. Et la laisse jusqu’au repas. L’après-midi Cloé lui annonce qu’elle va pouvoir la montrer en public.
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Par : le 09/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 21 : CLOÉ Extraits « … Cloé et les deux couples sont stupéfaits. Une magnifique jeune femme entièrement nue avec un collier de chien vient de se coller à leur copine Sophie. … Comment ça dit Sophie. Si je gagne tu es mon esclave jusqu’à la fin du weekend end dit Cloé sérieuse… Un lien de cuir et attaché à la queue de cheval et relié au dos du corset forçant Sophie à lever exagérément la tête. Son regard furibond et son corps athlétique mis en valeur sont magnifiques. Heureusement qu’elle est bien attachée se dit Cloé rêveuse. Un plug de bonne taille terminé par une queue de cheval lui est inséré…. Plus vite dit Cloé. Sophie accélère le pas. Le fouet claque Sophie trotte. Le fouet claque et Cloé incite Sophie giddap ! Sophie court le plus vite possible. La carriole est légère mais avec le poids de Cloé ce n’est pas si facile…» Samedi matin après le petit déjeuner Sophie que Vanessa colle toujours décide que les filles vont prendre une douche. Elles entrent ensemble dans la douche et Sophie se fait laver et lécher longuement par Vanessa. Puis après s’être habillée Sophie emmène Vanessa jusqu’au garage ou elle lui dit de monter à l’arrière de sa voiture et de se baisser. Vanessa panique. Elle va m’emmener où ? Mais elle obtempère craignant une raclée. Le voyage est court. Vanessa ne voit rien. Lorsque la voiture s’arrête Sophie ouvre une vitre et dit à Vanessa tu restes dans la voiture jusqu’à ce que je te siffle. Puis elle sort. Cloé accueille Sophie c’est une grande femme musclée très fliquée qui vit dans une magnifique villa isolée avec une grand piscine. Deux couples sont au bord de la piscine. Cloé voit que Sophie est radieuse. Alors c’est quoi ta surprise demande Cloé. Sophie lui dit : J’ai une petite chienne adorable. Ha : dit Cloé visiblement déçue et tu l’as ramenée. Sophie lui dit : oui. Tu vas la voir. Sophie siffle. Aussitôt Vanessa sort de la voiture et vient se positionner à moins d’un mètre de Sophie. Cloé et les deux couples sont stupéfaits. Une magnifique jeune femme entièrement nue avec un collier de chien vient de se coller à leur copine Sophie. Alors qu’est-ce que tu en penses demande Sophie. Je n’en reviens pas : Dit Cloé. Tu t’appelles comment demande telle à Vanessa. Vanessa regarde Sophie qui opine. Vanessa : répond-elle. Les deux couples se sont rapprochés. Les deux hommes ne peuvent cacher leur émotion avec leur maillot de bain. Cloé dit : hé bien Vanessa, tu fais de l’effet. Mais que fais-tu comme ça ? Je suis ma maitresse : répond Vanessa. Je ne dois pas la quitter de plus d’un mètre. Sophie exulte. Cloé est épatée. La journée se passe lentement. Finalement Sophie fait des jaloux. Surtout quand elle dit à Vanessa de la satisfaire sur un transat le long de la piscine. Cloé enrage à l’intérieur. Mais fait bonne figure. Après le repas du soir Cloé propose de faire un poker comme d’habitude mais propose que les mises soient relevées. Tout le monde acquiesce et ils se mettent autour de la table dans le salon dédié aux jeux. Après plus d’une heure il ne reste plus à la table que Sophie et Cloé. Les deux couples se sont installés sur les canapés et regardent les joueuses même si les regards sont attirés par la blonde nue qui se tient debout derrière Sophie. Cloé a un tas de billets devant elle alors que Sophie n’en possède plus qu’une petite poignée. Le dénouement est proche. Sophie retourne ses cartes. Elle a un full aux as par les rois. Cloé fait une petite grimace. Sophie fait tapis. Cloé hésite puis suit. Cloé demande à Sophie si elle veut miser plus. Sophie dit qu’elle n’a plus rien sur elle. Cloé lui dit à voix basse il te reste Vanessa. Tu peux me la jouer contre tout mon pot. Sophie ouvre de grands yeux et va pour dire non quand Cloé avance son tas de billets et rajoute une liasse sur le tout. Sophie se dit que l’occasion de faire un paquet de fric est trop bonne et dit : C’est quoi les conditions. Cloé répond. Tu me la laisse jusqu’à la fin du Weekend si je gagne. Si tu Gagnes tu empoches le tapis. Sophie accepte avec un sourire carnassier et abat ses cartes. Cloé hésite un peu et étale un carré de dix. Sophie est effarée. Cloé a un sourire carnassier et fait signe à Vanessa de venir derrière elle. Vanessa ne sait quoi faire et regarde Sophie. Celle-ci lui fait signe d’aller derrière Cloé. Sophie reste assise et se demande ce qui lui arrive. Les deux couples sont épatés de voir cette belle esclave changer de main. Mais Cloé n’en a pas fini. Tu peux te refaire si tu veux lui dit-elle. Sophie la regarde étonnée et montre ses mains vides. On peut faire quitte ou double. Je remets en jeu le fric et Vanessa et toi tu te mets en jeu. Comment ça dit Sophie. Si je gagne tu es mon esclave jusqu’à la fin du weekend end dit Cloé sérieuse. Les couples se lèvent et se rapprochent de la table. Si je gagne tu fais tout ce que je veux dit Cloé. Sophie ne digère pas d’avoir perdu Vanessa et veut se refaire. Jusqu’à la fin du weekend dit-elle. Oui dit Cloé. En un coup dit elle et elle brasse les cartes. Sophie distribue. Trois cartes demande Cloé Sophie respire elle a deux paires. Une carte dit-elle. La tension est à son comble. Les deux couple se sont rapprochés jusqu’au bord de la table. Tout le monde retient son souffle. Vanessa se demande comment ça va finir. Cloé étale ses cartes. Brelan de neufs dit-elle pas très heureuse. Sophie blanchit et montre se deux paires. Un long moment se passe .le temps que Sophie digère ce qui se passe. Debout lui dit Cloé Sophie hésite mais elle ne peut pas renier sa parole. Elle se lève. Approche esclave lui dit Cloé. Elle approche de Cloé. A poil lui dit-elle sèchement. Sophie regarde autour d’elle six paires d’yeux la dévisagent. Elle redresse la tête et se déshabille entièrement. Cloé lui dit attend là. Elle se lève et emmène Vanessa avec elle. Elle revient quelques instants plus tard avec une paire de menottes et un foulard. Tourne-toi dit-elle. Sophie se retourne et sent qu’on lui met les menottes dans le dos et le foulard est noué sur ses yeux. Elle ne voit plus rien La chaleur est montée en flèche dans le salon. Cloé s’adresse alors aux deux couples. Elle est à vous faites ce que vous voulez mais ne me l’abimez pas. D’abord interloquées les couples se rapprochent de Sophie. Une main se pose sur un sein de Sophie puis une autre puis une main fouille son entrejambe. On la force à baisser son torse vers l’avant. Elle sent un sexe érigé butter contre sa bouche. Elle suce la bite pendant qu’une deuxième bite se présente par derrière. Elle reçoit quelques petites claques sur les fesses et les seins pendant que les hommes la besogne. Elle entend Cloé lui dire. Tu nous avais dit que tu allais nous faire une surprise c’est réussi. Cloé s’assoit sur un canapé elle fait mettre Vanessa à genou et lui indique sa chatte. Vanessa s’exécute. Au moins celle-là ne tape pas se dit-elle. Pendant un temps infini Sophie est baisé par tous les bouts. Elle suce de la bite de la chatte et même du cul. Ses seins son douloureux à force d’être pincés pétris et malaxés. Elle entend une voix dire on va prendre un bain de minuit. Une main lui tint un téton et le pince en la faisant avancer. Elle est amenée au bord de la piscine. Puis on la laisse. Elle entend les rires et les bruits aquatiques. Après un temps qui lui parait infini elle sent que le bain est terminé. Elle entend une voix dire on la garde jusqu’à deux heures du mat et on vous l’amène. Top là répond une voix. La nuit de Sophie est mouvementée. Elle finit par s’endormir au pied d’un lit toujours avec son foulard autour des yeux. Vanessa s’acquitte avec conscience de sa tâche. Cloé est douce ce qui surprend avec son corps très musclé. Elle est très belle et totalement épilée. Vanessa est presque jalouse. Cloé finit par se lever et l’emmène à sa suite jusqu’à la chambre. Là les rôles s’inversent un peu et Vanessa sent que la dure Cloé du poker fait place à une femme docile qui se plie en quatre pour lui faire plaisir. Vanessa passe une super nuit en se disant que si elle devenait lesbienne se serait avec Cloé. Le lendemain matin les deux filles se réveillent dans les bras l’une de l’autre. Elles font l’amour gentiment comme deux chattes avides de caresses. Puis elles se décident à se lever et aller prendre un petit déjeuner. En arrivant dans la cuisine elles voient un papier sur la table. Les deux couples sont partis de bonne heure et ne voulaient pas les réveiller. Pour Cloé un petit PS précise que l’esclave est dans la salle de bains principale. Intriguées elles se rendent dans la salle de bain sou Sophie toujours les mains menottées dans le dos est attachée par une cordelette au radiateur sèche serviette. Cloé est la première à réagir. Bon esclave je vais te détacher et après t’être douchée tu viendras nous servir un petit déjeuner sur la table près de la piscine. Sophie a un œil noir mais ne dit rien. Cloé la libère et avec Vanessa elles se rendent près de la piscine. Là Cloé demande à Vanessa quel est le deal avec Sophie. Vanessa raconte tout depuis les coups jusqu’à la semaine qu’elles doivent passer ensemble. Cloé est choquée mais une lueur de tueuse passe dans ses yeux. Tu me dis qu’elle est libre toute la semaine. Oui répond Vanessa. Dommage que je ne possède pas d’autres accessoires que cette vieille paire de menottes dit Cloé songeuse. Vanessa lui dit la copine de mon amie vend de tels accessoires dommage. Cloé demande : tu crois qu’elle pourrait nous dépanner. Vanessa hésite puis à la pensée de voir le corps musclé de Sophie avec un bondage bien serré la chauffe un peu. D’accord je l’appelle. Elle appelle Anna qui promet d’appeler Magalie. Magalie est surprise par l’appel d’Anna mais se laisse convaincre. Elle promet de passer dans la matinée avec ce qu’elle a. Sophie apporte le petit déjeuner. Conformément aux ordres de Cloé elle assiste à genou au repas des deux filles. Puis la sonnette d’entrée retentit. Cloé va ouvrir à Magalie qui a le coffre plein de gadgets. Cloé est enthousiasmée et achète la quasi-totalité des accessoires de Magalie. Les accessoires sont amenés jusqu’à la table près de la piscine. Sophie qui n’a rien vu doit se coucher sur le ventre et écarter les bras et les jambes. Cloé et Vanessa se demandent par quoi commencer. Magalie et Anna sont venues avec elles pour les conseiller. Sur les conseils de Magalie Sophie reçoit un gros bâillon boule rouge qui lui distend la mâchoire rendant son air dur encore plus sauvage. Un corset de vinyle est ajusté à sa taille. Les lacets sont fortement serrés et la taille de Sophie est soulignée rendant son haut musclé encore plus impressionnant. Ses seins reposent sur le haut du corset et sont littéralement jetés en avant. Un lourd collier de cuir muni de plusieurs anneaux est mis autour de son cou. Vanessa fait une queue de cheval à Sophie. Un lien de cuir et attaché à la queue de cheval et relié au dos du corset forçant Sophie à lever exagérément la tête. Son regard furibond et son corps athlétique mis en valeur sont magnifiques. Heureusement qu’elle est bien attachée se dit Cloé rêveuse. Un plug de bonne taille terminé par une queue de cheval lui est inséré. Elle roule des yeux furibonds mais ne peut pas empêcher l’action. Les filles se reculent pour voir l’effet. Des pinces à tétons sont appliquées sur la poitrine déjà tendue de Sophie. Cloé enthousiasmée fait des photos souvenirs. Laissant Sophie piaffer dans sa tenue les filles consultent les catalogues de Magalie. Celle-ci propose une tenue de soubrette qui fait l’unanimité. Elle promet la livraison pour mercredi. Cloé cède. Puis les filles se lancent dans le shibari. Encordé de partout le corps puissant de Sophie se prête à merveilles aux cordes qui soulignent tous ses muscles. Il ne manque qu’un peu d’huile pour faire briller le corps de Sophie. Nouvelle séance photo. Puis Cloé se souvient qu’elle a dans une remise la carriole en osier que ses parents attelaient à un petit poney lorsqu’elle était petite. Laissant Sophie encordée et attachée à un lampadaire les quatre filles vont jusqu’à la remise. Magalie regarde dans ses catalogues les harnais de cuir qui pourraient être compatibles avec la carriole. Elle montre des équipements à Cloé qui commande immédiatement. Quelques autres gadgets son commandés. Magalie notant la plastique avantageuse de Vanessa qui est toujours nue propose quelques articles à Cloé qui interroge Vanessa du regard. Celle-ci impressionnée opine du chef et les accessoires sont achetés. Enfin Magalie et Anna se retirent laissant Cloé et Vanessa avec leur nouveau jouet humain. C’est l’heure du repas. Sophie toujours encordée et muni de son gros collier de cuir fait le service. Les filles mangent de bon cœur. Après le déjeuner c’est au tour de Vanessa d’être habillée. Sur les indications de Magalie Vanessa arbore un harnais en cuir qui souligne sa fine silhouette. Ses seins sont ornés d’anneaux dorés . Cloé lui fait une queue de cheval qui monte très haut derrière la tête. A ses poignets et ses chevilles des bracelets dorés sont en harmonie avec les anneaux de ses seins. Deux grandes créoles dorées pendent à ses oreilles. Cloé est soufflée par le sex-appeal de Vanessa. Sophie qui est à genou les bras menottés dans le dos est sidérée. Machinalement elle fait les va et vient verticaux que Cloé lui a ordonné sur un gode de bonne taille. Vanessa est aux anges. Elle voit l’effet qu’elle fait aux deux filles et est presque désolée qu’il n y ai pas plus de spectateurs. L’après-midi se passe autour de la piscine. Cloé et Vanessa se prélassent dans les transats alors que Sophie agenouillée et menottée passe de l’une à l’autre à leur demande pour prodiguer des caresses buccales sans se faire prier. Le repas du soir se termine. Sophie fait la vaisselle et vient s’agenouiller devant Cloé. Sophie demande à Cloé. Bon j’ai tenu ma parole j’ai été ton esclave ce weekend end. Tu peux me libérer maintenant. Cloé se penche vers elle et l’embrasse. Tu as été magnifique. Tu es née pour être esclave. C’est dommage de devoir habiller ton corps d’amazone tellement il est plus beau nu ou bondé. Sophie accepte le compliment mais regarde Cloé avec insistance. Cette dernière lui remet un bâillon boule bien serré et accroche une chaine au collier qui n’a pas quitté Sophie. Elle emmène Sophie dans le salon où Elle accroche l’extrémité de la chaine à un énorme radiateur en fonte. Tu es trop belle pour être libérée comme ça. J’ai décidé de te garder comme esclave plusieurs jours jusqu’à ce que je décide de te libérer. Sophie rue et se débat ses yeux furibonds lancent de éclairs elle émet des borborygmes à travers son bâillon. Cloé sort un petite cravache et donne un coup sur les fesses de Sophie qui sursaute mais revient à la charge. Cloé manie la cravache. Tant que tu ne te calmes pas tu en recevras dit-elle. Sophie revient plusieurs fois à la charge mais les coups maintenant bien portés commencent à lui rougir la peau. Voyant l’inutilité de ses ruades elle finit par se calmer. Cloé la félicite et lui dit de baiser ses pieds. Sophie hésite mais un coup de cravache la décide. Cloé lui dit maintenant je vais t’enlever le bâillon mais si tu dis un mot cravache et bâillon pour la nuit. Sophie lance un regard noir. Mais lorsque Cloé lui enlève le bâillon elle ne dit rien. Maintenant tu peux m’embrasser les pieds dit Cloé. Sophie hésite mais finit par embrasser les pieds de Cloé. Au bout de quelques minutes Cloé lui dit plus haut. Sophie lui lèche les mollets puis les cuisses. Puis s’enhardit vers l’entrejambe de Cloé. Qui s’ouvre un peu. Sophie passe sa frustration sur la chatte de Cloé qu’elle lèche avec avidité. Cette nui là les trois filles sont dans le même lit. Mercredi dans la matinée Magalie arrive avec des colis. Sophie attend auprès de la piscine. Elle est à genou un manche à balai dans le dos passe par la saignée des coudes qui sont solidement attachés au manche. Sa queue de cheval est liée au manche par un cordon en cuir très tendu qui l’oblige à tenir sa tête le plus en arrière possible. Un lien part du milieu du manche et est attaché à un anneau qui sert habituellement pour tenir la bâche hivernale de la piscine. Elle porte le bâillon boule rouge. Magalie apprécie le spectacle et facilite Cloé pour la présentation de Sophie. Sophie endure la posture douloureuse mais est très fière de plaire à la spécialiste. Elle s’efforce de rester complétement immobile. Les colis sont déballés et Vanessa va chercher la carriole qui a été dépoussiérée et graissée dans la remise. Sophie voit arriver la carriole avec un peu d’appréhension. Ce n’est quand même pas pour moi. Elles me prennent pour un cheval. Magalie et Cloé font lever Sophie et l’équipent du harnais de ponygirl. Les lanières de cuir sont ajustés sur tout son corps elle doit mettre des bottines noires qui lui semblent très confortable même si le talon très surélevé lui donne l’impression d’être sur la pointe des pieds. Un mors en cuir remplace le bâillon boule. Puis elle est attelée à la carriole. Là elle veut protester mais les trois filles utilisant les rênes et tirant sur les lanières finissent par l’atteler. Les brancards de la carriole sont ajustés au niveau de sa taille et désormais elle ne peut pas bouger sans bouger la carriole. Cloé tient les longues rênes à la main et les rênes son reliées aux deux côté du mors. Elle tire sur les rênes ce qui tire la tête de Sophie qui refuse de bouger. Cloé prend lors un fouet de cocher des mains de Magalie et lui fait claquer le fouet sur les fesses. La douleur est supportable mais Sophie sait que Cloé ne cèdera pas. Rechignant elle avance et la carriole s‘ébranle. C’est plus facile que prévu pour Sophie elle s’attendait à plus de résistance. La carriole n’a que deux roues comme un petit sulky et le siège double est en osier. Cloé passe les rênes au-dessus de la tête de Sophie et va s’installer sur le siège. Une fois installée elle dit aller hue ! Sophie ne bouge pas mais un claquement de fouet au-dessus de sa tête la force à avancer. Elle va tout droit ne sachant pas où aller. Au bout de quelques mètres le mors est tiré sur la gauche. Elle comprend et se dirige vers la gauche. Cloé jubile et lui fait faire des changements de direction pour finalement revenir devant Magalie et Vanessa qui sont impressionnées. C’est une bonne bête leur dit Cloé. Maintenant on va voir ce qu’elle a dans le ventre. Et elle fait repartir Sophie. Plus vite dit Cloé. Sophie accélère le pas. Le fouet claque Sophie trotte. Le fouet claque et Cloé incite Sophie giddap ! Sophie court le plus vite possible. La carriole est légère mais avec le poids de Cloé ce n’est pas si facile. Néanmoins elle fait de son mieux. Après quelques minutes de train d’enfer Cloé la fait ralentir. Maintenant Sophie trotte en maitrisant bien son souffle. Cloé l’arrête près des filles qui chacune leur tour font une promenade plus calme avec Sophie. Au bout de près d’une heure Sophie est harassée elle ruisselle de sueur et n’en peut plus. Cloé décide que la séance a assez duré et qu’elle recommencera chaque matin pour permettre à Sophie de garder la forme. Sophie est dételée ses lanières sont retirées mais elle garde les mains menottées dans son dos. Les filles la dirigent vers la piscine. Sophie reprend son souffle et attend alors que les filles déballent le costume de soubrette. Vanessa est presque vexée que le costume soit plus aux mensurations de Sophie qu’aux siennes. Elle aurait bien joué ce rôle mais ne dit rien. Cloé lui demande de doucher Sophie et Vanessa tirant Sophie par la laisse amène celle-ci sous la pomme de douche extérieure de la piscine et la lave consciencieusement. Sophie ronronne sous le lavage de Vanessa qui ressemble plus à des caresses qu’a autre chose. Elle se laisse faire docilement. Magalie montre alors à Cloé un carton contenant une tenue de soubrette à la taille de Vanessa. On ne sait jamais dit-elle. Cloé est ravie. Sophie séchée, les filles lui font essayer la tenue de soubrette. Ça lui va bien mais Sophie est trop musclée pour la tenue. Ses formes ne sont pas mises en valeur. Magalie sort alors un paquet qui fait bruit métallique. Un harnais de chaines de grosse maille avec des bracelets métalliques brillant est testé sur Sophie. Elle est splendide on dirait une combattante des arènes romaines. Les chaines sur son corps musclé font ressortir une impression de puissance contrôlée incroyable. Les filles sont admiratives. Deux petites chainettes partent des mamelons pour rejoindre le collier du cou en haut et deux autres vont jusqu’à l’entrejambe de Sophie ou elles sont tenus par des pinces aux grandes lèvres de Sophie. Elle se dresse fièrement devant les trois filles voyant l’effet qu’elle leur fait. Elle-même mouille abondamment et ça n’a pas échappé aux filles qui lui ont mis les pinces. Vanessa est remuée mais toujours un peu jalouse que Sophie attire tous les regards. Cloé se tourne vers elle et en souriant lui montre le paquet que Vanessa n’a pas encore vu. Elle va voir le paquet et comprend. Ce midi c’est toi qui fais le repas dit Cloé. Vanessa prend le paquet et file avec vers la cuisine. Magalie et Cloé tournent autour de Sophie qui se pavane inconsciemment. Sous prétexte de vérifier la bonne tenue des chaines les mains s’égarent de plus en plus sur la peau de Sophie. Quand Vanessa transformée revient avec un plateau contenant un apéritif et des accompagnements elle voit les deux filles autour de Sophie la pelotant et l’embrassant et Sophie qui ronronne de plaisir Magalie Cloé et Sophie regarde la nouvelle venue. Vanessa est superbe. Elle a un petit tablier qui ne cache que le nombril, un porte jarretelles auquel sont accrochés des bas résille du plus bel effet. Des escarpins avec de talons de 25 cm de haut qui la force à se tenir sur la pointe des pieds. Ses chevilles son menottées l’une à l’autre ne laissant que quelques centimètres de libres pour qu’elle fasse de tout petit pas. Un collier autour du cou duquel patent deux chainettes qui sont clipées sur les seins. Les poignets sont menottés l’un à l’autre et une barre passe dans son dos et passe dans la saignée de ses coudes ne lui laissant qu’une minuscule amplitude de mouvement. Elle tient un plateau sur lequel sont placés deux verres et entre les verres les clés de ses menottes. Elle ne peut s’empêcher d’avoir un regard envieux vers Sophie même si elle voit qu’elle-même fait de l’effet aux trois filles. Cloé lui dit approche ! Vanessa tout sourire approche. A genou ! ordonne Cloé. Le sourire disparait. Elle s’agenouille avec difficulté en tenant toujours le plateau devant elle. Cloé prend les clés et les jette dans la pelouse. Puis elle prend les deux verres et en donne un à Magalie. Pose ce plateau et embrasse mes pieds dit-elle. Vanessa rougit mais s’exécute immédiatement. Cloé s’empare du petit fouet de cocher et lui donne trois coups sur les fesses. Vanessa a les larmes aux yeux mais continue à lécher les pieds de Cloé. Tu vas nous servir à table et après la vaisselle tu reviendras ici et tu te mettras dans cette position jusqu’à mon retour. Vanessa opine en continuant à lécher. Aller lèves toi et vas-y. Vanessa se tortille pour se relever et part à tous petits pas vers la maison. Cloé et Magalie boivent leurs verres en devisant sur la grâce féline de Sophie. Celle-ci est aux anges. En plus la petite peste en a pris pour son grade. On y va finit par dire Cloé elle prend la laisse et entraine Sophie derrière elle. Le repas est bon. Vanessa les yeux rouges sert le mieux possible. Elle nourrit Sophie à la fourchette car Sophie est toujours menottées par derrière. A la fin du repas Vanessa fait la vaisselle puis sort de la maison pour se diriger vers la piscine. Magalie prend congé des filles en félicitant Cloé pour ses gouts et Sophie pour son superbe corps. Cloé remercie Magalie pour les accessoires et la raccompagne. Restée seule avec Sophie elle lui demande si elle ne lui en veut pas trop de l’avoir mise en esclave au-delà du pari. Sophie réfléchit et dit qu’elle lui en veut quand même. Cloé lui propose alors de la libérer. Sophie réfléchit et dit si tu veux on peut continuer encore un peu. Cloé reste silencieuse. Il lui semblait bien que Sophie kifait certains moments de sa situation mais au point t’en redemander. D’accord répond-elle. Tu vas manger sévère. Sophie fait sa bravache. Pourquoi tu as d’autres idées pour moi. Cloé réfléchit à toute allure. Oui mais ça va être plus hard. Sophie ne répond rien mais une grosse chaleur vient de son bas ventre. En attendant tu vas venir me brouter la chatte dit Cloé de but en blanc. Tu m’as bien chauffée tout à l’heure ma petite pouliche. Sophie vient lentement s’agenouiller la tête dans les cuisses de Cloé. Vanessa enrage. Elle n’a aucune idée du temps qu’elle a passé la tête contre le carrelage de la piscine. Cloé l’a oublié. Tout ça pour cette mastoc qui parade comme un cheval de cirque. Elle ne peut cependant pas s’empêcher de revoir le corps musclé de Sophie tirer avec ardeur la carriole et suivre ses mouvements de poignets sur les rênes. Dominer cette amazone lui a fait prendre un pied pas possible. Cloé arrive tranquillement. Vanessa ne bouge pas d’un iota. Cloé s’assoit sur un transat et regarde Vanessa qui ne bouge toujours pas et n’ose pas regarder de son côté. Viens là dit Cloé. Vanessa s’approche d’elle en restant sur ses genoux. Alors on est jalouse de Sophie dit Cloé. Vanessa ne répond pas. Une petite claque sur les fesses et Cloé dit j’attends ta réponse. Oui dit Cloé elle est trop belle et vous n’aviez d’yeux que pour elle. Je ne t’appartiens pas dit Cloé par contre toi tu m’appartiens. Vanessa ne répond rien Cloé dit .On dit oui maitresse. Oui maitresse répond Vanessa un peu soulagée d’intéresser enfin Cloé. Bon va chercher tes clés dans la pelouse. Après tu me rejoindras on a du travail pour faire le grand jeu à Sophie. Vanessa se demande ce que c’est que ce grand jeu mais va, toujours à genou, dans la pelouse vers l’endroit où se trouvent les clés. Quand Vanessa revient après avoir retrouvé les clés elle rencontre Cloé qui lui dit de la suivre. Elles descendent dans le sous-sol que Vanessa ne soupçonnait pas. Une porte dérobée s’ouvre sur un escalier qui mène à un couloir possédant plusieurs portes. Cloé ouvre l’une d’entre elle. Elle donne sur une salle de sport bien équipée. Tapis, rameurs, espaliers barres fixes etc. Mais elle ne jette pas un œil à tout ça car Sophie ruisselante de sueur est suspendue par les mains à une barre de traction. Elle touche le sol à l’extrême pointe de ses pieds mais ne peut pas se reposer dessus. Elle doit se maintenir à la seule force des bras. Deux pinces mordent ses tétons et une chainette est tendue entre les tétons et la barre. Sophie ne peut pas lâcher au risque de s’arracher les tétons déjà bien irrités par la tension extrême. Sophie est extrêmement concentrée et Vanessa ressent la douleur qu’elle doit supporter. Ca n’est plus soft mais là c’est difficile à voir. Cloé fait le tour de Sophie. Celle-ci n’a pas de bâillon. Cloé dit qui commande ici. Sophie répond c’est Cloé. Cloé lui donne un coup de cravache. Maitresse Cloé. Maitresse Cloé se reprend Sophie. Et qui est une esclave obéissante. C’est moi maitresse Cloé répond Sophie. Bien dit cette dernière. Maintenant on va jouer à un jeu toutes les trois. Elle enlève les pinces au grand soulagement de Sophie et de Vanessa qui est subjuguée. Puis Cloé menottes les mains de Sophie dans le dos et fait pareil avec Vanessa qui ne veut pas subir les foudres de Cloé et reste silencieuse. Cloé les met face à face sur le tapis central qui doit faire 10M2 voilà celle qui met l’autre hors du tapis a gagné. La perdante aura un gage qui durera tant que je l’aurai décidé. Vanessa est affolée. Sophie est bien plus costaude qu’elle. Sophie la regarde durement. A mon top. Allez ! Sophie se rue vers Vanessa qui parvient à esquiver le choc frontal. Pendant quelques secondes Vanessa parvient à éviter Sophie comme un toréador avec un taureau. Cependant Sophie finit par l’acculer dans un coin du tapis et l’éjecte durement. Vanessa tombe sans se faire mal. L’impact du corps de Sophie lancé l’a déjà bien meurtrie. Perdu lui lance Cloé. A partir de maintenant je veux que tu me broute le minou en permanence quoi que je fasse même si je bouge. Sinon c’est la cravache. Vanessa ne réfléchit pas et vient se mettre à genoux devant Cloé et lui embrasse goulûment la chatte. Bien dit Cloé. Et toi Sophie on n’en a pas fini. La soirée est difficile pour Sophie qui doit subir des écartèlements mises en tension et coups de fouets jusqu’à ce que Cloé soit fatiguée. Vanessa toujours à quatre pattes ou à genou se colle en permanence à Cloé pour la brouter. Finalement Cloé va se coucher. Sophie est attachée en croix face au lit de Cloé. Ça ne va pas être facile de dormir pourtant elle est rompue. Vanessa colle toujours Cloé et se couche sur le ventre la tête entre les cuisses de Cloé son gage n’étant toujours pas levé. Magalie a promis à Cloé de trouver une idée plus hard pour ses esclaves. Celle-ci l’a appelé hier soir entre deux séances. Malheureusement elle n’a pas vraiment d’idée. A ce moment-là elle jette un œil à Tristan qui lui fait sa gâterie orale du petit déj le sexe toujours dans sa cage. Claire se pointe à ce moment avec Frédérique. Un éclair traverse Magalie et si on lâchait nos deux bites ambulantes sur les esclaves bien entravées. Ça pourrait être valable. Elle en parle à claire qui est ok Tristan ne dit rien mais jubile ça fait 4 jours qu’il n’a pas pu ne serait-ce que bander il est prêt à tout. Cloé est ravie de l’appel de Magalie. Elle les attend à la maison. Joyeuse elle harnache Sophie qui a les yeux rougis par le manque de sommeil et la peau commence à être multicolore avec les coups qu’elle a reçu. Ses seins sont particulièrement sensibles après la torture d’hier soir. Vanessa les a accompagnées jusqu’à la remise car elle est toujours gagée. Cloé lui dit que le gage est suspendu pour la promenade mais attache la laisse qui équipe désormais Vanessa à la carriole. Elles partent en promenade équestre. Cloé est très dure avec Sophie. Elle la pousse à bout et les coups de fouets fusent. Après une demi-heure alors que Sophie peine à tenir debout la promenade s’arrête Sophie est dételée déharnachée et conduite à la pomme de douche ou elle est fixée pas la laisse le temps qu’elle arrête de suer avant d’être lavée. Vanessa a repris son gage. Magalie s’annonce et Cloé va à sa rencontre. Magalie descend de la voiture avec deux hommes ou plutôt un homme et une grande femme qui sont nus tous les deux. Cloé pensait que Magalie apporterait deux portes chibres bien montés. Elle est un peu déçue. Quand la grande fille se retourne vers Cloé celle-ci a un choc. Cette fille arbore un énorme chibre tendu qui contraste avec sa poitrine opulente. En plus des grands bijoux de seins et de nez sont son unique tenue. Cloé rêve de voir Sophie avec de tels bijoux. L’homme qui est aussi nu est un grand gaillard qui arbore aussi un chibre énorme. Tout cela laisse Cloé rêveuse. Elle n’aurait rien contre une partie à quatre avec les trois personnes qu’elle a en face d’elle. Alors qu’en penses-tu. dit Magalie. Cloé la félicite et s’approche pour voir les portes chibres de près. Formidable dit-elle. On va préparer les filles. Sophie est lavée séchée et emmenée dans le salon. Là Cloé l’attache à quatre pattes au milieu de la pièce. Les trois barres d’écartement aux pieds et mains et une reliant le tout l’empêchent de faire tout mouvement. Sa queue de cheval est tirée par un cordon qui l’oblige à se cambrer et la tête est à la verticale. Elle n’est pas bâillonnée mais a un écarteur de bouche qui l’oblige à avoir la bouche béante. Elle a une cagoule aveuglante. Vanessa est toujours dans l’entrejambe de Cloé. Une fois Sophie préparée les deux garçons font leur entrée .Ils ont pour ordre de ne pas être tendres avec Sophie. Soudain ils se déchainent. Sophie prend deux claques sur les joues et une énorme bite pénètre sa bouche. Suce la bien lui dit Cloé. Sophie s’exécute. Une claque sur les fesses la fait sursauter elle sent aussitôt un gourdin palpitant la prendre par derrière. Pendant une demi-heure elle est prise par devant derrière elle craint pour son cul mais elle sent qu’on lui insère du lubrifiant avant qu’elle soit littéralement défoncée par un des hommes. Vanessa entend mais ne peut pas voir ce qui se passe elle est toujours en train de brouter Cloé qui mouille come une fontaine. Puis à un moment Cloé repousse Vanessa et dit aux deux hommes c’est son tour maintenant. Vanessa se retourne et est effarée. Au début elle ne voit que les bites monstrueuses puis elle a le temps de voir que Frédérique a tous les attributs d’une femme avant d’être forcée dans la bouche et dans la chatte. Soit à la hauteur Vanessa di Cloé Vanessa y met tout son cœur même si les assauts sont incroyables. Elle ne sait plus si c’est la douleur ou le plaisir mais finalement elle ne peut plus compter ses orgasmes et le nombre de décharges des deux gaillards infatigables. Enfin la ruée se calme. Vanessa s’écroule par terre mais est rappelle à l’ordre par Cloé et elle retourne lui bouter la chatte à quatre pattes. Sophie est lessivée. Elle a mal partout mais en même temps elle n’a jamais sautant joui de sa vie. Et elle se sent bien attachée comme ça devant un paquet de monde. Cloé annonce la fin. Voilà les filles votre temps d’esclave est bientôt finit. Allez-vous laver et vous mettre en tenue pour nous faire un bon repas. La dernière épreuve sera après le repas. Vanessa détache Sophie et elles vont ensembles vers la salle de bains. Au passage Sophie voit enfin ses bourreaux. Elle est stupéfaite par l’apparence de Frédéric et ses bijoux de corps qui la font rêver. Le repas se passe dans la salle à manger. Vanessa à revêtue son costume de soubrette et Sophie ses chaines d’esclave gladiatrice. Tristan est subjugué par ce bel animal. Après le repas Magalie et ses deux acolytes se retirent après avoir promis à Cloé de se revoir plus souvent. Les trois filles se retrouvent seules. Cloé les invite à enlever leur tenue ce qu’elles font un peu à regret même si les dernières heures ont été particulièrement plus dures que ce qu’elles auraient pu penser. Cloé leur dit qu’une véritable esclave doit arborer en permanence les signes de sa condition. Et c’est le dernier test qu’elle veut leur faire passer si elles l’acceptent. Les deux filles se regardent sans comprendre. A ce moment-là Cloé va vers la porte de la maison et revient avec une femme qui tient une grosse mallette du genre mallette médicale. C’est une pro du piercing dit-elle en présentant la femme. Les filles commencent à comprendre. Alors une volontaire dit Cloé. Les filles hésitent se regardent. Dans leur tête elles voient le corps orné de Frédérique. Toujours bravache Sophie saute le pas et dit moi. La femme l’invite à se coucher sur une table. Sophie fait la fière mais se demande si c’est bien raisonnable. Le regard envieux de Vanessa la décide définitivement. Elle se couche. Une demi-heure plus tard elle a les seins et le nez percés. C’est douloureux mais elle en a vu d’autres. Elle va pour se relever mais la femme la retient et s’approche son sexe. Sophie panique un peu mais le regard de Vanessa suffit à la calmer. Son clitoris est maintenant percé et ses deux grandes lèvres aussi. Des bijoux provisoires sont insérés dans les piercings. Cloé est aux anges. Sophie se relève et toise Vanessa. Elle souffre mais ne veut pas le montrer. La femme regarde Vanessa qui semble se recroqueviller. La femme va refermer sa mallette quand Vanessa se jette à l’eau. Et sous le regard enjoué de Cloé monte sur la table. Elle possède maintenant les mêmes attributs que Sophie. Les larmes coulent de ses yeux mais elle reste fière. La femme donne alors les consignes pour les cicatrisations et se retire. Cloé est particulièrement fière de son dressage. Elle prend les filles dans ses bras et les félicite. Je fais une grande réception dans quinze jours. Il y aura un quinzaine d’invité. Je serais ravi de pouvoir montrer mes magnifiques esclaves ce jour-là. Sophie et Vanessa ne répondent pas. Elle s’imaginent parées de beaux bijoux en or et avec leur tenue préférée se pavane devant un parterre épaté. On en reparle leur dit Cloé et elle ouvre une bouteille de champagne pour clore cette semaine de folie.
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Par : le 09/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 20 : Anna rencontre l’équipe de handball féminine. Extraits »… Maintenant plusieurs filles malaxent le sexe les seins et le cul d’Anna. Celle-ci se débat mais ça semble surexciter les filles. Anna cesse de se débattre… La cheffe dit : Quel joli trophée. J’ai une idée on va s’entrainer au tir au but et celle qui marque peut disposer du trophée une minute. Les filles applaudissent. Anna est tirée par la laisse jusqu’ aux gradins du terrain de hand. … Anna réunit les liens qui l’attachaient et avec mille précautions commence à attacher la géante dans le lit. D’abord elle fait un tour des poignets avec du lacet puis les pieds… « Quelques mois après sa mésaventure Anna se décide à remonter la pente. Elle fait un peu de sport. Le soir avec deux filles qu’elle a rencontré elles vont au gymnase pour faire un peu de gymnastique. Anna excelle aux agrès. En général lorsqu’elles sortent de la douche l’équipe féminine de handball entre pour venir s’entrainer avant la fermeture du gymnase. Ces filles impressionnent Anna car ce sont des costaudes. Fortes musclées et pas trop féminines. Elles ne se parlent pas juste un signe de tête pour dire bonsoir. Ce jour-là Anna se retrouve seule au gymnase. Elle va quand même se défouler et après une bonne suée elle va vers les vestiaires. Elle se déshabille et va prendre sa douche. Comme elle est seule elle ne prend pas soin d’enfermer ses habits dans un casier. Lorsqu’elle sort de la douche elle se dirige vers l’endroit où se trouvait son sac. Le sac n’est pas là. Nue avec juste une serviette elle commence à chercher son sac quand soudain l’équipe de hand apparait. Elle salue comme d’habitude les filles mais celles-ci ne font pas mine de partir s’échauffer. Elles la matent visiblement. Mal à l’aise Anna se fait toute petite. L’une des filles, un vrai garçon manqué, la hèle. Alors mon cœur on a perdu quelque chose. Anna dit qu’elle ne trouve plus son sac avec ses habits. Les filles s’esclaffent. La grand fille s’approche d’Anna et dit. Tu n’as pas besoin d’habit avec un petit cul comme ça. Avant qu’Anna n’ai compris la fille attrapent un coin de la serviette et la tire brutalement. Anna se retrouve nue face aux filles. Les sifflets fusent. Anna se cache les seins et le sexe avec les bras. Les filles se rapprochent. Deux d’entre elles attrapent chacune un bras d’Anna et la force à les écarter. Elle est exposée aux regards qui s’allument peu à peu. Mais c’est qu’elle est appétissante dit l’une. La cheffe approche d’ana et lui attrape le sexe avec la main. Celle-ci crie mais une grosse main la bâillonne. Maintenant plusieurs filles malaxent le sexe les seins et le cul d’Anna. Celle-ci se débat mais ça semble surexciter les filles. Anna cesse de se débattre. . Tu dois être un bon coup dit la cheffe et elle commence à essayer de faire mettre Anna à genou. Celle-ci résiste mais la cheffe reçoit du renfort et Anna se retrouve vite à terre. La cheffe enlève on short et sa culotte et approche son sexe de la tête d’Anna. Aller montre nous comment tu broute ma belle. Son visage est projeté de force dans l’entrejambe de la cheffe. Elle garde la bouche fermée. Une main pince son sein et la douleur devient insupportable. Suce et ça s’arrête entend-elle dire. Elle ouvre la bouche et embrasse la chatte. Le pincement se réduit. Anna sent qu’on lui lie les bras dans le dos. Puis un lacet est mis autour de son cou. Les filles s’écartent pour regarder Anna. Elle est à genou et n’ose pas bouger. La cheffe dit : Quel joli trophée. J’ai une idée on va s’entrainer au tir au but et celle qui marque peut disposer du trophée une minute. Les filles applaudissent. Anna est tirée par la laisse jusqu’ aux gradins du terrain de hand. Elle est attachée couchée sur un banc. Les filles commencent à jouer. A chaque tir réussi une fille vient se faire lécher par Anna. Certaines préfèrent brouter Anna ou la caresser. Au bout d’une demi-heure la cheffe regarde sa montre et dit. Il reste un quart d’heure. Celle qui met le plus de but gagne le trophée. Un quart d’heure plus tard une fille très jolie mais hyper musclée rugit de joie. Elle vient détacher Anna du banc en gardant les mains liées et le lacet autour du cou. Les filles applaudissent. Puis elles vont se doucher. La gagnante emmène Anna avec elle sous la douche et la savonne méticuleusement puis la sèche. Les filles se rhabillent et une à un quittent le gymnase. La gagnante Olga rhabille Anna mais ne la détache pas. Elle lui bâillonne la bouche avec un tee shirt et la traine derrière elle vers la sortie. Anna se dit qu’on va les voir. Dehors c’est déjà la nuit il est tard et les deux filles arrivent jusqu’à la voiture d’Olga sans être vues. Anna est montée dans la voiture couchée en travers de la banquette arrière. Voyage. La voiture s’arrête Anna entend une porte de garage automatique qui s’ouvre la voiture entre dans le garage. Anna est sortie de la voiture et tirée pas la laisse emmenée dans un petit salon. Olga la déshabille et commence à lui faire l’amour maladroitement sans la détacher. Anna plaint cette fille qui est si gauche. Elle ne doit pas souvent conclure se dit-elle. Elle a presque pitié et petit à petit elle prend les choses en mains même si celles-ci sont toujours attachées. La fille est aux anges. Anna a l’impression que la fille est à son premier flirt. La fille l’emmène ensuite dans sa chambre ou elle couche Anna contre elle. Elle n’a pas parlé depuis le départ du gymnase. La fille s’endort. Anna a remarqué qu’un de ses liens devenait lâche. Elle s’escrime dessus et bientôt elle libère sa main. La fille dort toujours. Anna se libère entièrement et regarde le visage angélique de la fille endormie. Anna réunit les liens qui l’attachaient et avec mille précautions commence à attacher la géante dans le lit. D’abord elle fait un tour des poignets avec du lacet puis les pieds. Elle attache ensuite les brins libres qui vont des poignets jusqu’aux pieds du lit. Elle ne tend pas les liens pour ne pas réveiller la fille. Puis c’est au tour des pieds. Elle termine le deuxième quand la fille fait un geste en dormant un lien se tend et immédiatement la fille se réveille. Anna fonce au lien d’un poignet et tire de toutes ses forces pour le tendre. La fille rugit et se débat elle a une force herculéenne. Anna réussi quand même son coup elle va de l’autre côté et tend le deuxième lien. La fille rue se cabre et se débat comme une furie mais toujours en silence. Les deux bras sont totalement immobilisés. Anna entreprend de tendre les liens des jambes il lui faut 10 mn pour y arriver en profitant des moments ou la fille reprend son souffle. La fille est écartelée. Anna est ruisselante de sueur. Le combat a été dantesque. La fille la regarde sans ciller. Anna lui dit alors tu vois ce n’est pas cool de faire ça à une inconnue. La fille la regarde toujours sans parler. Anna met sa main sur un sein de la fille pas de réaction Anna caresse le corps musculeux. La fille la regarde toujours fixement. Anna s’enhardit et approche de l’entrejambe. Elle sent que la fille se crispe légèrement Anna met la main sur le sexe. La fille laisse échapper un soupir. Anna y va franco et caresse le sexe. La fille halète un peu. Anna la pétrit carrément et la fille tortille comme une furie. Anna arrête et approche ses mains du cou et du visage de la géante qu’elle caresse. La géante gémit et cherche les caresses. Anna se met à cheval sur le corps athlétique au niveau du nombril de la fille. Celle-ci la regarde fixement. Anna remonte petit à petit elle a l’impression que le fille se tortille pour aider la lente reptation. Enfin le sexe d’Anna est au niveau de la bouche de la fille. Celle-ci respire fort et doucement pose sa bouche sur le sexe d’Anna. Anna lui caresse le visage. La géante ouvre alors la bouche et suce maladroitement le sexe d’Anna .elle lui dit : Doucement on a le temps. Lèche profondément et n’oublie pas ça elle met le doigt sur son clitoris. Obéissante la fille fait ce que lui demande Anna. Pendant près d’une demi-heure Anna se fait brouter par la fille. Anna jouit plusieurs fois et sent que la fille est à chaque fois au bord de l’orgasme. Il est tard Anna lui dit maintenant je vais te libérer mais tu me laisse t’attacher les mains dans le dos on dormira ensemble ce soir il est trop tard pour que je rentre. Un hochement de tête. Anna met son plan en œuvre et vient se pelotonner contre les seins de la fille qui semble aux anges. Plusieurs fois dans la nuit la fille l’embrasse comme elle peut. Anna se décide à se remettre à califourchon sur la fille qui aussitôt la broute avec la plus grand attention. Anna la masturbe avec la main la fille gémit et se laisse aller. Au réveil Anna voit que la fille la regarde en adoration. Anna l’embrasse la fille réagit fougueusement. Anna la détache et la fille la serre dans ses bras. Elles prennent un petit déjeuner ensemble. Au moment où Anna va partir la fille lui souffle tout bas revient s’il te plait. Deux jours plus tard Anna retourne au gymnase ou elle revoit ses amies. Elles font leur gym et en sortant de la douche elles voient arriver les handballeuses. Certaines pouffent en regardant Anna mais lorsque la géante leur parle à voix basse les rires se figent net. Les amies d’Anna sont impressionnées par les carrures des handballeuses. Elles plaisantent entre elles et Vanessa une petite blonde dit. Ça doit faire drôle de se faire choper par ces filles. Michelle la brunette regarde les athlètes , songeuse. Vous voulez voir ce que ça donne leur dit Anna. Ses amies gloussent. Tu crois qu’elles nous sauteraient dessus comme ça ? Vous voulez ou pas demande Anna. Les filles la regardent étonnées. Tu crois que ça nous fait peur. Tu te trompes. Anna leur dit on n’a qu’à essayer. Ses amies la regardent rêveuses. Tu saurais les décider toi Anna. Ok dit Anna préparez-vous à une sacrée expérience. Puis elle se dirige vers la cheffe des handballeuses. Bonjour dit-elle. Mes amies pensent que vous n’oseriez jamais vous en prendre à elles. La cheffe la dévisage. Et toi tu en reveux. Anna n’a pas le temps de répondre que la géante s’approche et dit. Je l’ai gagnée elle est à moi. Et elle passe sa ceinture autour du cou d’Anna en lui faisant des gros yeux. Anna comprend qu’elle veut donner le change et se laisse faire. Il nous reste les deux autres dit la cheffe et elle se dirige vers Michelle et Vanessa qui commencent à flipper. Le team suit la cheffe et en quelques secondes Michèle et Vanessa sont nues pelotées attachées et obligées de lécher des sexes impatients. Anna sur la demande de la géante s’est déshabillée et se laisse promener tirée par son collier improvisé. Les victimes sont amenées dans les gradins elles font les fières mais se font quand même toute petites. Le challenge recommence. A la fin de la séance les deux gagnantes se mettent à califourchon sur leurs victimes sanglées sur les gradins. Elles font de leur mieux pour satisfaire leurs propriétaires. Les autres filles partent peu à peu. Anna part avec la géante. Elles passent une nuit heureuse Anna commandant et la géante entravée réalisant tous les désirs d’Anna. Le surlendemain Anna retourne au gymnase. Elle croise Michèle qui lui raconte sa soirée lesbienne involontaire. Elle ne garde pas un mauvais souvenir mais ça n’est pas sa tasse de thé Vanessa n’est pas là. Lorsque les handballeuses arrivent Anna pose la question à la géante. Il n’est rien arrivé à Vanessa ? La géante perplexe se dirige vers Sophie, celle qui avait « gagné» Vanessa. Celle-ci sourit et lui dit qu’elle est chez elle et que tout va bien. Elle vient voir Anna et lui propose de venir voir Vanessa . Anna qui commence à être inquiète accepte de voir Vanessa pour se rassurer. Sophie lui donne son adresse et lui dit qu’elle peut passer ce soir elle verra Vanessa. Le soir venu Anna accompagnée de Michelle se rend chez Sophie. Celle-ci les reçoit cordialement et leur indique que Vanessa est là car elle devait garder le jouet de Sophie au chaud pendant l’entrainement. Les filles sont intriguées. Sophie les mène dans sa chambre qui est vide. Puis Sophie ouvre la porte de sa garde-robe. Là, à genou, les mains liées dans le dos se trouve Vanessa qui les regarde en clignant des yeux. Une corde va du tour de son cou jusqu’à la barre horizontale sur laquelle on pend les habits. Les genoux sont légèrement écartés et les filles peuvent voir que Vanessa est empalée sur un gode. Sophie lui dit de dire bonjour à ses amies. Vanessa leur dit un bonjour timide. Sophie lui dit. Montre-nous comment tu réchauffes mon jouet. Vanessa commence alors des mouvements de haut en bas sur le gode. Les filles n’en croient pas leurs yeux. Sophie toute fière annonce qu’elle a passé un pacte avec Vanessa qui restera avec elle une semaine avant la reprise de ses cours. Vanessa acquiesce du chef. Bon alors si tout va bien on va vous laisser tranquille dit Anna. Sophie les raccompagne jusqu’à la sortie de la maison puis revient vers Vanessa. Bien ma belle tu as bien fait de faire ce que je t’ai dit sinon tu aurais reçu une raclée d’enfer. Vanessa se recroqueville dans son cagibi. Aller souris moi dit Sophie. Vanessa sort un petit sourire contraint. Bon je vais te libérer un peu mais tu ne t’éloigne pas de plus d’un mètre de moi ou que j’aille dit Sophie. Vanessa opine. Oui maitresse on dit. Oui maitresse dit Vanessa. Sophie la détache. Bien entendu tu restes nue et tu portes ce beau collier pour chien que je t’ai acheté à l’animalerie du coin. Vanessa se laisse mettre le collier et suit Sophie comme un toutou. Elle passe la soirée à chercher sans cesse d’être à moins d’un mètre de Sophie. Pour finir elle se colle à elle en permanence. Ce soir-là elle est attachée au pied du lit de Sophie qui lui promet une promenade le lendemain.
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Par : le 08/03/21
Aveux d'aiguilles. Quelle heure pouvait-il être ? Le rideau ne laissait deviner aucun jour, un bruit à l'étage de temps à autre. Madame avait pris soin de l'avertir de toute la déplaisance de quelque cri qui soit, et combien il serait vain. Un épais collier de chien fixée au cadre métallique entravait tout mouvement de la tête . Pieds et mains étaient immobilisés pareillement et rattachés au lit ; un harnais maintenait son entrejambe ouvert, son cul offert, macérant . Il essayait d 'émerger de son état vaseux, de reprendre pied. Il lui apparaissait de plus en plus que l'aspirine qu'il avait bue avant de s'endormir, juste après la fin d'un de ses plaisirs , n'en était pas vraiment une. Depuis combien de temps était-il resté couché là ? De minuit à maintenant? Deux minutes ? Un instant ? Il se revoyait pousser la porte après avoir sonné à l'interphone. «  Vous êtes ponctuel, j'apprécie. » . A demi-allongée sur l'ottomane, elle laissait pendre sa longue main, indolente, posée sur l'accoudoir. «  A genoux je vous prie. ».A ses doigts, quelques bagues; il les devinait dans la pénombre . Il trouvait leurs feux envoûtants et le lui avait dit. Elle avait souri. Les mots de sa toute première lettre, celle qui avait retenue son attention , lui revenait en mémoire. » Il n'est de sombre objet de désir que d'obéir à votre fol empire. Vous, jouant de ce corps rampant, esclave de sa jouissance, tout à vous. Vous, désireuse d'éteindre tout orgueil, ... /.... » Elle prenait grand plaisir à le prendre au piège de ses mots «  Qu'en savez- vous de ce qui me plaît ? Ne seriez-vous pas en train de me suggérer et les questions et les réponses ? ». Lui, de se troubler, ne savait plus que dire. Elle, petit sourire au coin des lèvres, goûtait de le mettre mal à l'aise. « Vos phrases sont maniérées. Aucune spontanéité n'en ressort, je suis un peu déçue. Vous êtes surtout esclave de vous-même. De vouloir tant vous contrôler, vous êtes autant perdu que perclus. » Je vais m'employer à vous défaire de cela... Plus tard, nu, dans cette pièce de la cave où il n'était jamais descendu qu'avec un foulard sur les yeux, il lui revint, sentant son souffle , avoir osé fixer un instant son regard. Dans ses yeux e cristal, il devina immédiatement le faux pas . Elle lui saisit le visage et, enfonçant ses ongles dans ses joues jusqu'au sang, elle le força à plier. Au sol s'ensuivirent les sifflements du jonc, sentence, claquements secs, cris retenus, silence, ….latence.  « Vos mains, je ne vous le redirai pas. ». Un bâillon mit un terme aux cris qu'elle ne parvenait à faire taire.  « Dix de plus si vous continuez votre cirque. » n'avait suffi. Elle entreprit dès lors de l'attacher sur ce qui tenait lieu de lit. De le goder, de le fouir consciencieusement, l'amusait. Sans jamais cesser de le faire glisser, elle tournait l'accessoire, gagnait en profondeur; elle le maniait lentement d'un geste sûr. Elle en jouait selon les gémissements de sa « chose ». Elle se piqua au jeu d'en rajouter un second, de taille plus modeste. Les reins de la « chose » baignaient désormais dans le gel et le foutre, sur ce film plastique jeté sur ce matelas taché et défoncé . Arrivée à ses fins, elle regarda son œuvre qui haletait, se tortillait dans son inconfort, son trou distendu, visage crispé. Au moindre petit mouvement, on entendait la peau poisseuse coller au plastique. Il n'avait encore lâché prise, elle attendait qu'il s'abandonne, qu'il arrête de réfléchir, qu'il se donne, qu'il sombre au-delà de ce qu'il avait imaginé. La confiance , voilà ce qu'elle voulait, qu'il s'en remette à elle sans gamberger, qu'il se perde. Elle le tenait. Madame en vint à ce qu'elle projetait pour lui, depuis quelques jours ; ce qu'elle s' était bien gardée de lui dire. D'une petite boite en nacre, elle sortit deux aiguilles creuses, assez grosses, proche d'une allumette. En soi, les aiguilles n'effrayaient pas le garçon attaché plus que ça , mais voyant leur taille, il ne put retenir un geste de recul. Du dos de sa main, elle lui caressa doucement la joue. Après le froid et l'odeur entêtante de l'alcool sur le téton, la rentrer ne fut pas le plus dur ; faire ressortir l'aiguille s'avéra autrement plus sensible. Il la sentait avancer dans la chair, millimètre par millimètre. La plasticité de la peau exigea d'appuyer à revers pour traverser l'aréole. En ville, les perceurs allaient vite; elle, au contraire, s'attachait à progresser tout doucement, avec des petits mouvements oscillants pour aviver la douleur. Rassurante mais ferme, elle s'appliquait à moduler l'intensité de l'élancement . Sa tête bourdonnait, sa bouche était sèche .Madame veillera plus tard à pallier cette gêne à sa manière. Le souffle de plus en plus court; il cherchait à se contrôler, à endurer mais, il se sentait perdre pied inexorablement. Si près de cette pointe biseautée et du visage détendu de cette femme, son cœur s'affolait. Quelques gouttes de sang perlèrent, puis un filet corail descendit son torse. Elle, concentrée, l'observant à la dérobée ; lui un peu pâle, en sueur.... Du fait de ce bâillon particulier à l'odeur si musquée qui occupait sa bouche, il peinait à respirer. Il n'était plus qu'un corps à disposition. Madame saisit un anneau épais de trois bons centimètres de diamètre qu'elle glissa dans le creux de l'aiguille qu'elle fit glisser en retour, Son pouls s'emballa de plus belle. La pose du second anneau le lança encore plus. Elle se repaissait de sa lenteur et des déglutitions de l'homme épris d'elle . La douleur n'est en rien une science exacte. La douleur de ce soir-là n'avait rien de commun avec celle, habituelle, qu'il lui arrivait de se donner, pour voir : les gros hameçons dont il polissait l'ardillon, des aiguilles de seringues qu'il était allé acheter dans un magasin pharmaceutique. « Vous êtes de profession médicale ?Laissez-nous vos coordonnées professionnelles, nous avons des offres promotionnelles régulièrement ... » lui avait proposé la vendeuse . Les 2 boîtes de 100 ne passaient pas inaperçues... Embarassé, il lui fallut très vite trouver quoi répondre … Les lèvres, le gland , le nombril ou les seins, …il testait, ...se testait, appréciait la douleur, se concentrait sur son geste... Seul, ce faisant, il ne dépendait de personne, ce n'était qu'un petit exercice de maîtrise de soi qui avait commencé jeune. Bien sûr, ses limites ne manquaient pas de le rappeler à l'ordre s'il les outrepassait. Il avait failli certaines fois tourner de l'oeil. Le sang, le sien, ne l'avait jamais effrayé ; depuis toujours il admirait l'intensité de ce rouge . Point commun avec le foutre il poissait et collait. De savoir jusqu'où la douleur, ou bien la répugnance, mêlée à la jouissance brouillait les perceptions  l'avait toujours travaillé. Pour autant, la répugnance ne fonctionnait pas comme la douleur ….qui crispe, qui chauffe, qui porte au cœur ; elle est plus cérébrale..autre. Ce qui le faisait fantasmer, ...non sans une certaine appréhension, c'était d'abolir son libre-arbitre. Se déprendre complètement de soi-même.... Mais surtout, qu' une femme le dépossède de sa volonté, une femme qui aurait tout pouvoir sur lui.... à qui il s'en remettrait. N'avoir à contrôler que ce qu'elle exigerait..... Pourquoi une femme ? Il lui arrivait plus rarement d'imaginer un homme.Il trouvait les femmes plus douées pour humilier et jouer avec les temps : tension, rupture, accelerando ….afin de ruiner toute attente. Il prenait conscience que la soumission lui importait plus qu'il ne le pensait....et il comprenait que seule l'expérience de la réalité le mettait au pied du mur. Avec elles, il repoussait ses limites ; s'il lâchait son safeword « kadish », c'était aux confins de lui-même. La chair prise comme lâcher-prise. Avoir mal est immédiat, irraisonnable ; un « ici et maintenant » réel, incontournable, insistant! ... Jouir vous emportait ailleurs, hors du temps, irréel... Le mixte des deux avait toujours attisé sa curiosité ; il le voyait comme une présence-absence impossible à définir, une sensation indicible. Le degré suprême étant la peur d'avoir mal; la crainte... Après l'avoir annelé aux seins , elle s'enquit d'orner son entrejambe d'une guiche conséquente. Le visage blême et toujours bâillonné, il s'efforçait en vain de calmer sa respiration, tout en goûtant l'avance de l'aiguille qui glissait dans ses chairs entre l'anus et le sexe....Dans un état flottant....il s'abîmait dans le regard tranquille de la femme aux aiguilles. Retrouvant vaguement ses sens, seul, il somnolait. Toujours menotté à ce cadre de lit, impossible de se retourner. Il ne l'entendit pas rentrer. Une porte accédait semble-t-il à l'arrière. Sans un mot,, une main se posa sur sa nuque , l'autre descendit, caressant sa poitrine. Elle fit bouger délicatement chacun des deux anneaux. « Regarde, tu es à moi. » Son visage quiet rayonnait … Son plaisir était le leur.
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Par : le 01/03/21
Au fond de Vos yeux, mon regard j'aime plonger Bâillonnée avec la vision de Vous poser sur moi Chaque moment passé avec Vous est une joie Dans l'iris de Votre âme, je me suis abandonnée Enserrant mon cou, ce collier redouté et porté avec fierté Frissons d'excitation quand Vos mains me touchent Gardien de mon intégrité, et douce est Votre bouche Hommage à Vous Mon Maître qui m'amenez à me libérer Il y a parfois par les aléas de la vie, des imprévues Je découvre avec Vous des sensations inconnues Kyrielle de maux colore ma peau d'une parure nacarat Laissant sous la lanière du cuir des marques incarnats Mon Maître, Vous savez me rassurer avec bienveillance Notre lien précieux, délice de notre commune attirance Oublier mes peurs de ces blessures enfantines infligées Pour avec Vous, accomplir enfin certains actes refoulés Qu'importe le temps, vivons les instants présents Respect mutuel, entre nous tout est transparent Sentir les pulsations de mon cœur, moi votre soumise Timbre de Votre voix, Vos gestes qui s'harmonisent Un bonheur de Vous appartenir au gré des saisons Vous devant qui je m'incline, offrant ma soumission Week-end où le silence et l'attente sont de raison X sont ces jeux à deux où perlent Notre passion Y a-t-il plus beau son que celui gémissant (au) Zénith de volupté de deux adultes consentants Le 23 mai 2012
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Par : le 27/02/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 15 la tigresse présente la nouvelle Virginie Les jours passent Virginie a perdu la notion de temps. Un matin la tigresse lui dit de se lever et de la suivre. Elles sortent de la pièce et remontent au rez de chaussée elles arrivent dans le salon ou un cercle est dessiné au sol. La tigresse montre le cercle et Virginie vient se mettre dans la position demandée. Tu as droit au salon à la salle de bains à la cuisine et à la chambre précise la tigresse. Maintenant va te regarder dans la glace de la salle de bains. Virginie ne se reconnait pas dans la salle de bains elle a bien perdu dix kilos et c’est une inconnue rasée qui la contemple dans le miroir. Elle est tristounette pour ses seins victimes du régime. Ne t’inquiète pas pour ça dit la tigresse on va s’en occuper. La tigresse lui explique comment se tenir pour cherche une boisson la présenter à genou la bouche collée aux pieds et attendre avec le plateau dans les mains. Le bon vouloir de sa maitresse. Elles font quelques répétitions et satisfaite la tigresse lui explique l’attitude à prendre suivant certains gestes de sa main. Virginie apprend ainsi à s’exhiber debout la poitrine jetée en avant, à venir se mettre à genou et lécher le sexe de maitresse, se mettre à quatre patte pour servir de repose pied ou de table de salon. A servir de bibelot en se mettant à genou sur un gode les mains sur la tête en gardant la pause aussi longtemps que la maitresse l’exige et d’autres encore. Elle apprend à laver sa maitresse sous la douche et à l’essuyer en n’utilisant que sa bouche pour tenir la serviette. Enfin elles visitent la chambre ou elle apprend quelques positions à adopter selon les désirs de sa maitresse. Maintenant elle mange dans la cuisine ou son bol et sa gamelle ont été apportés. Elle apprend à servir sa maitresse à table ou généralement elle doit se mettre sous la table et satisfaire intimement sa maitresse. Enfin elle apprend à réveiller sa maitresse en quittant sa couverture au pied du lit pour monter par le bas dans le lit et lécher le sexe de sa maitresse jusqu’au réveil de cette dernière. Les jours passent Virginie porte désormais en permanence un double gode qui lui remplit le sexe et le cul. Elle apprend à mettre les escarpins de bondage avec un talon de 25 cm qui la rende si grande mais qui sont si difficiles à supporter car elle doit se tenir sur l’extrême pointe des pieds. Un matin la tigresse lui annonce qu’elles vont faire un voyage en Roumanie. Virginie ne se pose pas de question elle a renoncé à réfléchir et accompagne docilement sa maitresse. Elles partent dans un mini van dans lequel elle dort quand sa maitresse couche à hôtel. Elles arrivent dans une clinique ou un homme les reçoit. Il étudie sa poitrine et discute beaucoup avec la tigresse. Finalement elle se retrouve en salle d’opération et le matin elle se réveille avec une douleur à la poitrine qui a plus que doublé de volume. Elle sent sa peau tendue sous les pansements. Les jours passent et enfin elle est invitée à regarder le résultat dans un miroir. Sa poitrine lui fait penser en plus gros à victoria l’ambassadrice de châteaux d’axe. Mais les hématomes résiduels gâchent un peu le résultat. Elles quittent la Roumanie et retrouvent la maison de la tigresse. Chaque jour Virginie peut constater les améliorations sur sa plastique et est toute frère de s’exhiber devant sa maitresse. Maintenant la tigresse invite des amies seules ou en couples qui viennent admirer le résultat. Virginie est heureuse de se montrer est à l’écoute des compliments qui fusent en permanence. De temps en temps elle doit montrer ses talents buccaux aux dames ou aux hommes qui en font la demande. Seule chose son sexe et on cul sont exclusivement réservés à sa maitresse. Un jour un tatoueur vient à la maison et elle a désormais sur la fesse les mots « esclave exclusive de Simone », prénom de sa maitresse. Environ un an après le départ de Virginie Magalie reçoit un coup de fil de la tigresse. La tigresse très enjouée invite Magalie à venir chez elle car elle a une belle surprise à lui montrer. Magalie se demande de quoi il peut s’agir et n’obtenant pas plus de précisions de la part de la tigresse accepte l’invitation pour prendre l’apéritif le soir même. Magalie arrive devant l’imposante maison. La tigresse l’attend et la fait rentrer dans le salon. La tigresse lui dit on va prendre l’apéritif mais avant tout je vais vous montrer la belle surprise. Viens ici dit-elle avec une voix plus forte. Aussitôt une femme entièrement nue au crâne rasé entre dans la pièce. Elle est très grande et vient se prosterner aux pieds de la tigresse. A genou la bouche collée aux chaussures de la tigresse et les bras écartés la paume des mains tournée vers le ciel. Magalie n’en revient pas. La femme dont Magalie voit la croupe est prise par un double gode qui est enfoncé à la fois dans le cul et dans le sexe. La tigresse à un sourire carnassier. Lèves toi et montre à Magalie comme tu es belle dit la tigresse. Aussitôt la grande femme se lève se met face à Magalie qu’elle regarde dans les yeux les bras jetés en arrière pour bomber son énorme poitrine. Magalie regarde la fille de la tête au pied. Très mince avec une poitrine énorme qui a du faire le bonheur d’un chirurgien esthétique. Des talons de près de 25cm qui la force à faire des pointes en permanence lui font des jambes interminables. Entre ses narines sur ses deux mamelons et visiblement sur le clitoris elle a un anneau épais qui doit bien faire 5 cm de diamètre. Sur ses fesses une inscription ne laisse aucun doute « esclave personnelle de Simone » . Le visage de la fille lui parait familier mais elle ne la reconnait pas. Je te présente mon esclave Virginie dit la tigresse. Magalie est estomaquée elle reconnait Virginie au moins dix kilos de moins et une poitrine incroyable. La tigresse dit : elle a voulu venir chez moi pour apprendre le bondage. Je ne pense pas qu’elle voyait les choses comme ça mais finalement on s’est arrangé. Magalie est toujours bouche bée elle murmure bonjour Virginie ça va ? Virginie ne bouge pas et la tigresse dit elle n’a pas le droit de parler et si elle essayait, son collier lui enverrait une décharge électrique pour la rappeler à l’ordre. Virginie va nous servir un cocktail ajoute-t-elle. Virginie part prestement. Aller venez-vous assoir on sera mieux pour discuter. Elles s’assoient et Virginie revient avec un plateau sur lequel sont posés deux verres elle se met à genou devant la tigresse baisse la tête et lève les bras contenant les verres. La tigresse en prend un et Virginie fait la même chose devant Magalie qui prend son verre. Virginie se met à genou devant les femmes et tient le plateau à une hauteur permettant de reposer le verre sans effort pour les deux femmes. Qu’en pense tu dis la tigresse à Magalie celle-ci reprend son souffle elle se dit que martine et elle sont des petite joueuses dans le domaine. Incroyable dit-elle Virginie est magnifique. Et très très obéissante dit la tigresse elle fait un petit geste de la main et Virginie pose le plateau et enfoui son visage dans l’entrejambe de la tigresse. Elle lèche très bien maintenant dit cette dernière. Touche son corps tu verras comme il est ferme je la nourris juste ce qu’il faut et elle fait beaucoup d’exercice. Magalie caresse le corps et découvre que Virginie s’est beaucoup musclée. Magalie est jalouse. Et le collier ça marche comment dit-elle pour se donner une contenance. La tigresse lui explique le fonctionnement du collier et Magalie se dit que ça serait idéal pour Tristan. Les avantages du bâillon et la bouche toujours disponible. Elle demande les références. Elle pose la question à la Tigresse : mais Virginie est bien volontaire ? Bien sûr dit la tigresse et elle a décidé de vivre avec moi un certain temps. Elles prennent l’apéritif et quand Magalie repart elle ne peut s’empêcher de jeter un œil à la sculpturale Virginie qui visiblement est en adoration devant la tigresse. Comment s’est-elle débrouillée se demande-t-elle. Ce soir-là couchée par terre au pied du lit de la tigresse Virginie repense à la dernière visite. Il lui semble que le visage de cette Magalie lui rappelé quelque chose mais elle l’oublie vite un peu déçue cependant de ne pas avoir été invitée à la satisfaire avec sa bouche.
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Par : le 23/02/21
CHAPITRE 14: Virginie et la Tigresse Petit à petit la froideur de Virginie envers Magalie disparait. D’abord uniquement dédiées au taf les conversations entre les deux filles sont devenues plus cordiales puis constate Magalie leur relation prennent une tournure amicale. Virginie n’aborde pas le sujet du pari mais Magalie devine qu’elle tourne autour du pot. Un jour enfin alors qu’elles sont seules dans la salle de repos Virginie lui demande si elle la vente d’accessoires de bondage n’est pas marginale. Magalie lui confirme qu’effectivement cette vente est plus marginale car souvent, même si ça les intéresse, les clientes n’osent pas commander devant leurs amies de tels accessoires. Magalie lui dit que bien souvent les clientes la rappellent au téléphone et Magalie va les voir spécifiquement avec le matériel concerné et promettant une discrétion totale elle réalise quand même pas mal de vente comme ça. Virginie semble intéressée. Et tu leur fait une démo comme à moi minaude-t-elle. Parfois j’ai l’impression que certaines n’attendent que ça. Mais ça reste très professionnel ajoute-t-elle. Virginie se lance : tu sais j’y ai repensé et je me demandais ce que ça ferait d’être de l’autre côté du jeu par rapport à notre rencontre . Magalie répond qu’une cliente lui a bien donné l’impression qu’elle apprécierait de tester coté soumise les accessoires. Virginie demande et alors tu as fait quoi. Rien dit Magalie je n’ai pas eu de nouvelles depuis. Virginie parait déçue. Si tu veux voir comment ça se passe je peux l’appeler pour lui proposer la nouvelle collection et tu feras la démonstratrice. Le regard de Virginie devient trouble. Tu crois que j’oserai dit-elle. Bah je crois que tu n’as pas froid aux yeux dit Magalie. Je vais l’appeler voir si elle est intéressée et si c’est le cas je te filerai les échantillons et tu feras le taf. Virginie hésite mais dit : banco visiblement excitée par cette aventure. La tigresse est reconnaissante envers Magalie qu’elle ne l’a pas oublié et quelques jours plus tard Virginie sonne à la porte de la tigresse. Impressionnée par la taille de la maison Virginie se dit que la tigresse doit être friquée. Cette dernière ouvre la porte et très affable invite Virginie à pénétrer jusqu’au salon. Elles boivent d’abord un café puis la tigresse dit : Passons aux choses sérieuses montrez-moi ce que vous avez. Virginie déballe les paquets sous l’œil brillant de la tigresse. Vous croyez que ça me va. Demande la tigresse. Si vous voulez on peut essayer dit Virginie. Mais ça se porte nue répond la tigresse l’air intimidé. Si vous voulez je n’y vois pas d’inconvénients dit Virginie la défiant du regard. La tigresse se déshabille ne gardant qu’une minuscule culotte. Virginie est impressionnée par la tigresse qui finalement n’est pas si vieille que ça. elle est canon. Elle n’a pas un pet de graisse, des seins visiblement refaits et arbore un anneau en or accroché par un piercing à chaque mamelon. La tigresse minaude. Je n’ai pas pu résister ça me donne l’impression d’être une esclave parfois. Virginie devient carrément excitée. La tigresse lui dit alors qu’elle avait follement apprécié la tenue de martine et Tristan lors de la séance hard et qu’elle fantasmait depuis la dessus. Elle explique à Virginie les accessoires nécessaires et Magalie ayant bien flairé le coup elle dispose justement de la panoplie idéale. Bientôt la tigresse est ligotée bâillonnée et arbore le collier munie d’un laisse. Virginie est excitée par ce tableau. La tigresse pousse des petits gémissements dans son bâillon. Virginie lui ôte à regret. La tigresse lui dit vous pourriez me faire faire un tour à la laisse dans la maison pour que je me rende compte. J’avais vraiment apprécié de voir martine tirée par la laisse et pelotée par toutes ces mains. Virginie lui remet le bâillon et la promène dans la maison elle hésite à peloter la tigresse Mais ça la démange furieusement. Enfin elle délivre la tigresse qui semble très reconnaissante. C’était super dit cette dernière. Très excitant. Virginie lui dit qu’elle aussi a apprécié. La tigresse se penche alors vers elle et dit si vous le voulez bien on pourrait reprendre rendez-vous et recommencer en allant beaucoup plus loin. Virginie exulte. Elle va pouvoir jouer le rôle de la maitresse et disposer d’une esclave pour elle toute seule. Elle accepte volontiers et elle repart de chez la tigresse. Elle n’a jamais été autant excitée à part peut-être lors de la séance chez Magalie. Le lendemain elle revoit Magalie et lui dit sobrement que ça c’est bien passé et que la tigresse a acheté le matériel mais elle ne parle pas du prochain rendez-vous. Quelques jours plus tard elle est de nouveau devant la porte de l’imposante maison. La tigresse lui ouvre tout sourire. Virginie trépigne mais elle doit prendre un café avec l’hôtesse comme les conventions l’obligent. Le café n’a pas tout à fait le même gout que la dernière fois mais c’est le cadet des soucis de Virginie. Après avoir devisé les femmes décident de commencer la séance. Virginie se sent toute flagada et ne comprend pas bien ce que lui dit la tigresse qui la prend par la main et l’emmène vers une chambre. Là, Virginie n‘arrivant plus à tenir debout est couchée sur le lit par une tigresse qui lui caresse la joue. Le trou noir. Virginie commence à revenir à elle j’ai dû faire un malaise se dit-elle. Elle veut porter sa main à sa tête mais se rend compte qu’elle ne peut pas bouger la main. Soudain paniquée elle se rend compte qu’elle est attachée écartelée par les quatre membres sur une espèce de table inconfortable et dans le noir. Elle veut crier mais un bâillon l’en empêche. Un néon s’allume au plafond bas de la pièce. Ça doit être une cave se dit-elle. Quelqu’un rentre dans la pièce. Au-dessus de sa tête elle voit la tigresse qui lui sourit. Bien dormi ma petite esclave. Virginie n’en crois pas ses oreilles. Tu es venu pour une séance de bondage. Tu vas être servie même si je crois que tu ne souhaitais pas cette place. Ne t’inquiète pas tu as tout le temps pour t’habituer. Bon désormais tu es devenue mon esclave. Félicitations . Virginie se dit que cette femme est folle. Laisse-moi t’expliquer le fonctionnement de ton collier. Elle touche le collier au cou de Virginie qui s’aperçoit de sa présence. Il a deux fonctions, la première c’est un anti aboiement qui marche très bien sur les humaines et la deuxième c’est comme les bracelets électroniques des condamnés mais beaucoup plus précis ça se règle au centimètre près. Dans la bonne zone tout va bien et dès que tu veux aller au-delà c’est le rappel à l’ordre. Maintenant je vais t’enlever le bâillon mais rappelle-toi ce que je viens de te dire. Le bâillon à peine ôté Virginie veut gueuler sur la tigresse mais avant qu’elle termine le premier mot une décharge inouïe la fait se cabrer sur la table et la laisse pantelante se demandant ce qui lui arrive. Bien dit la tigresse tu testes le matériel. Virginie veut protester une deuxième décharge le foudroie de nouveau. J’ai réglé le collier en mode apprentissage les décharges sont sévères n’en abuse pas. Virginie a compris et ferme sa bouche. Cette femme est folle se dit-elle. Maintenant deuxième point, chaque fois que tu me verras tu devras te mettre au milieu du cercle dessiné au sol dans cette position. Elle montre une photo à Virginie une femme se prosterne à genou le visage collée au sol et les mains présentées les paumes vers le ciel. Tu gardes cette position tant que je ne t’ordonne pas autre chose continue la tigresse. Maintenant dernière chose pour l’instant elle sort de son sac une tondeuse à batterie. Tu as vu sur la photo le crâne est rasé. Ça sera ta coiffure désormais. Et elle actionne la tondeuse et cinq minutes plus tard Virginie est tondue. La tigresse lui dit quand je reviens tu auras nettoyé tout ça. Et elle laisse Virginie. Un clic se fait entendre. Les quatre menottes se sont ouvertes simultanément. Elle saute au bas de la table et regarde autour d’elle. Elle voie le petit cercle près d’elle ce petit cercle est inclus dans un plus grand qui fait environ trois mètres de diamètre. Elle se dirige vers la porte bien décidée à se barrer. Au fur et à mesure qu’elle approche de la limite du grand cercle son collier se met à vibrer de plus en plus. Au moment de franchir la limite une puissante décharge la fait retomber en arrière. Putain de salope dit-elle en se rappelant les consignes de la tigresse. Elle retourne vers la table. Sous la table un pot de chambre une balayette et un ramasse poussière. Si elle croit que je vais obéir elle se trompe lourdement dit-elle. Le temps passe elle est assise au bord de la table et la faim commence à la tenailler. La porte s’entrouvre deux secondes se passent puis la tigresse pénètre dans la pièce. Elle regarde la tigresse d’un air de défi. Une puissante décharge la foudroie. J’avais oublié de te dire que je pouvais aussi déclencher le collier avec ça dit la tigresse en montrant la télécommande en indiquant le petit cercle de l’autre main. Virginie la toise. Nouvelle décharge Virginie est secouée et en pleurs rejoint le petit cercle ou elle se met dans la position souhaitée. Elle est honteuse de se soumettre ainsi mais elle ne pourra pas supporter une décharge de plus. C’est mieux comme ça dit la tigresse. Je vois que tu n’as pas nettoyé. Tu n’as donc pas besoin de diner ce soir dit-elle. Elle pose une gamelle pour chien remplie hors de portée de Virginie hors du deuxième cercle. Les bonnes nouvelles maintenant. Ta lettre de démission est partie et tu as rendez-vous avec Emmaüs pour vider ton appartement ce qu’ils ne prendront pas ira à la décharge. J’irais à ta place rassure toi. Tu n’as besoin de rien d’autre que ta maitresse ajoute * elle et ta garde-robe ne va plus t’aller car nous allons éliminer ces kilos superflus. Virginie est horrifiée mais n’ose ni bouger ni parler. Ha aussi ton portable est malencontreusement tombé dans l’insert de la cheminée il faudra songer à résilier l’abonnement. Virginie est désespérée. C’est tout pour ce soir à demain dit la tigresse et elle quitte la pièce. Virginie pleure à chaudes larmes maintenant. C’est trop pour elle. La lumière s’éteint. Elle se couche en pleurant sur la table et finit par s’endormir affamée et épuisée. Elle et réveillée par la lumière qui s’allume. Elle crève de faim. Rapidement elle nettoie la table et le sol faisant disparaitre toute trace de poussière. La porte s’entrouvre elle bondit dans le petit cercle et prendre la position de soumise. La tigresse entre. Bonjour ma chérie dit-elle je vois que ça rentre. Elle pose une gamelle odorante et un bol d’eau dans le grand cercle. Habitue-toi à manger sans les mains et à laper lui suggère la tigresse sinon je ne serais pas contente. Elle pose un rasoir une cuvette et de la mousse à raser sur le table. Ça c’est pour ton crane et ton sexe dit-elle. A tout à l’heure. Elle quitte la pièce. Virginie se précipite sur la gamelle méfiante elle regarde bien autour d’elle et voit qu’une caméra suit tous se mouvements. Elle se met à quatre pattes et commence à manger directement dans la gamelle. Ensuite elle fait ce que la tigresse a demandé et attend. Les jours passent Virginie sent qu’elle perd du poids elle se désespère de voir aussi sa poitrine maigrir et perdre un peu de sa superbe. Un matin la tigresse lui dit de se lever pour la première fois depuis le début. Elle se lève. La tigresse lui dit de se coucher et de verrouiller les menottes. Elle est inquiète mais obtempère. Une femme entre dans la pièce avec une grosse mallette. Elle porte un masque de chirurgien. Elle s’approche de Virginie et pulvérise un produit sur les mamelons de Virginie qui a l’impression que c’est un anesthésiant. La femme sort une espèce d’aiguille épaisse et du petit matériel. Virginie s’inquiète. Prenant un téton avec une pince trouée dans son milieu elle tire sur la pince et le mamelon est tendu. D’un coup adroit elle passe la grand aiguille dans le trou de la pince embrochant le téton de part en part Virginie se retient de crier malgré la douleur insoutenable. La femme passe un anneau dans trou et referme l’anneau en cliquant elle ôte la pince et entame le deuxième mamelon. Virginie panique elle avait déjà hésité à le faire mais là elle n’est pas vraiment volontaire. Le deuxième téton terminé la femme pulvérise le produit sur son sexe. La pince saisie le clitoris qui trois minutes plus tard possède son propre anneau. Puis c‘est au tour du nez et Virginie se retrouve avec quatre anneaux identiques sur le corps. Le dernier entre dans une narine et sort par l’autre comme pour un bœuf. La douleur est lancinante. La femme lui fait une piqure. La douleur reflue. La femme donne des consignes à la tigresse et s’éclipse. Pendant plusieurs jours la tigresse prodigue des soins à Virginie. Elle est délicate et tendre avec elle. Puis une fois les piercings bien cicatrisés elle enlève les anneaux provisoires et lui met à la place de magnifiques et lourds anneaux en or d’au moins cinq centimètres de diamètres.
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Par : le 23/02/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 13 ; Anna fait une bêtise Martine est décidée. Elle va rendre visite à sa tante âgée qui a fait une mauvaise chute il y a quelques jours. Elle est à l’hôpital très loin de là. Martine se dit qu’elle pourra passer la nuit là-bas dans la maison de sa tante pour aérer la maison et vérifier que tout va bien. Ce weekend Anna est de permanence à la pharmacie alors elle ne peut pas venir. Cependant une vague de cambriolages a lieu dans le quartier en ce moment et elle hésite vraiment à laisser la maison vide. Elle appelle une voisine pour lui demander si elle veut bien surveiller la maison et faire un tour de temps en temps devant. Martine lui a déjà rendu ce service. La voisine propose une solution plus fiable elle propose que son fils tom d’une vingtaine d’année qui est en fac de droit s’installe pour la durée de son absence dans la maison ça découragera les voleurs si la maison est occupée d’autant plus qu’un jeune se couchant tard et ne lésine pas sur l’éclairage. Martine est ravie elle a déjà vu ce jeune sympa poli et très gentil même si visiblement il est un peu trop sensible aux charmes de martine. Le samedi matin il se présente à la maison. Elle lui donne les clés quelques recommandations et lui assure que le frigo est copieusement rempli pour satisfaire un ou deux estomacs tout le weekend. Elle prend la route rassurée. Tom kiffe d’avoir la maison pour lui il appelle Kévin son meilleur pote qui ne tarde pas à la rejoindre. Le midi ils se font livrer une pizza. Le contenu du frigo peut attendre. Anna est ravie. Sa collègue l’a appelé pour lui demande d’échanger les tours de garde. Elle a accepté et compte bien faire une surprise à la grande perche. Vers 13h00 elle arrive devant la maison et comme elle possède un double des clés elle pénètre dans l’entrée elle entend la télé et se dit qu’il va y avoir un belle surprise. Elle ouvre le tiroir réservé, se déshabille et s’équipe. Le bâillon a avantageusement été remplacé par un collier anti aboiement que martine s’est procurée dans une animalerie. Elle met les menottes et les enclenche. Désormais elle est à la merci de martine et ça la chauffe déjà bien. Elle pénètre avec un grand sourire dans le salon. Au lieu de voir martine elle voit deux jeunots qui matent un porno à la télé. Ils se tournent vers elle et ont des yeux comme des soucoupes. Elle panique. Impossible de repartir en arrière elle ne peut pas enlever les menottes seule. Impossible d’expliquer la méprise le collier l’empêche de parler. Elle reste figée. Miracle dit un des jeunes en s’approchant d’elle. Il voit la laisse et prend la poignée. Il lit l’étiquette et dit à voix haute que martine cache bien son jeu. L’autre gars s’est approché. Bon martine nous a prêté sa maison et tout ce qu’il y a dedans. Comme elle appartient à martine c’est qu’elle nous la prête aussi. Surement pour nous remercier de garder la maison. Se contentant de ses explications ils amènent Anna au centre du salon. Ils la contemplent. Elle ne bouge pas. Une main puis deux puis quatre s’enhardissent à la toucher puis la caresser puis la palper furieusement des seins à la chatte. Malgré elle son corps apprécie les caresses et les garçons se rendent compte qu’elle mouille abondamment. Tom tire la laisse vers le bas et Anna doit se mettre à genou. Il déboutonne sa braguette et approche sa bite dressée de la bouche d’Anna. Elle hésite puis prend la bite dans sa bouche. C’est le début d’une longue journée de sexe pour Anna. Ils ne tardent pas à se mettre à poil tous les deux. La bouche d’Anna passe d’une bite à l’autre. Tom se couche sur le canapé et la fait le chevaucher elle prend son pied. Kevin se présente debout à côté d’Anna qui adroitement happe son sexe et tout en faisant des va et vient de haut en bas avec sa croupe fait la même chose mais horizontalement avec sa bouche. Un incident les tétanise Anna a voulu crier de plaisir mais le collier a fait son œuvre. Elle a sursauté violemment lorsque la décharge l’a foudroyée et les garçons se sont instantanément arrêtés. Tom lui demande si ça va elle lève la tête pour lui montrer le collier. Il comprend et ôte ce dernier. La partouse reprend. Anna toujours attachée. Un peu plus tard le trio se calme ils ont beau être jeune il faut parfois récupérer un peu. Ils s’installent l’un à côté de l’autre et allument la télé pour regarder un autre porno. Anna à genou entre les deux regarde aussi la télé. Elle est aux anges car quatre mains la caressent et deux bouches la couvrent de baisers. L’après-midi se passe ainsi alternant les périodes de rut et les temps de repos. Ils dinent dans la cuisine. Anna est assise entre les deux et ils lui donnent tour à tour la becquée. Ensuite nouveau déchainement dans le salon et très tard dans la nuit les garçons décident qu’il est temps de se mettre au lit. Ils emmènent Anna épuisée dans le grand lit de martine et se couchent de chaque côté d’elle radieuse. Elle s’endort collée de chaque côté par des corps chauds et caressant. Elle est réveillée le matin par un mouvement sur sa droite. Kevin s’est mis à genou près de sa tête. A quelques centimètres d’elle il exhibe une érection de bonne taille. Elle le prend délicatement dans sa bouche et lui fait une fellation lente et douce. Il tient le plus longtemps possible appréciant autant qu’elle se moment de béatitude. Il se laisse aller et elle avale consciencieusement le sperme jusqu’à la dernière goutte elle jette un regard à Kévin sui lui regarde derrière elle en souriant. Elle se retourne et voit Tom à genou comme Kévin arborant une bite dans le même état. Souriante elle le prend dans sa bouche. Le petit déjeuner se passe comme le repas d’hier. Le passage dans la salle de bains est épique. Ils se bagarrent presque pour la frotter et c’est avec des tonnes de caresses qu’ils la lavent intégralement. Ils l’emmènent dans le salon. Bizarrement ils se sont rhabillés. Ils la font mettre à genou sur la table du salon les genoux écartés. Puis tom reçoit un sms sur son portable et se dirige aussitôt vers la porte d’entrée Anna flaire un problème. Kévin tient la laisse fièrement dans la main. Tom revient mais il est accompagné de deux jeunes, surement leur copains qui restent bouche bée devant un si beau spectacle. Kévin et tom exultent fièrement. Elle est figée. Les deux jeunes s’approchent et tournent autour d’elle pour la voir sous toutes les coutures. Tom lui pétrit un sein et c’est le signal pour que huit mains puis quatre bouches et enfin autant de chibres viennent la besogner. Ce coup là pas de période de repos. Anna est remplie en permanence. Son cul jusque-là épargné prend aussi son content. Ils arrivent même à réaliser des positons ou ses trois orifices et ses mains sont investis en même temps par des sexes palpitants. Comme dans un rêve la matinée passe très rapidement. Anna est extenuée et ne compte plus les orgasmes car elle a depuis longtemps cessé de réfléchir et se lâche comme une tigresse. Midi arrive. Les copains de tom se rhabillent à contrecœur et les quittent. Celui-ci caresse encore un peu Anna qui s’est pelotonnée contre son épaule puis un dernier baiser et il la libère des menottes avec la clé qu’il a trouvée grâce aux précisions d’Anna. Elle se lève l’embrasse et après un rapide passage à la salle de bains retourne dans l’entrée ou elle redevient la Anna normale. Martine arrive vers 14h00. Tom lui assure que tout s’est super bien passé et qu’elle pouvait faire appel à lui quand elle voulait. Elle pense qu’il essaye de la dragouiller mais les pensées du jeune sont ailleurs. Il n’est pas près d’oublier ce weekend. Une fois le garçon parti martine aère la pièce car elle trouve que le salon sent le cul. Il ne devait pas être seul et a dû prendre du bon temps. Elle croie reconnaitre l’odeur fruitée du parfum d’Anna dans la pièce mais se dit qu’elle doit se faire des illusions.
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Par : le 18/02/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 11 : Magalie commande Cet après-midi-là Magalie ne travaille pas elle se promène dans la ville et au coin d’une rue elle voit Tristan sortir d’un hôtel miteux en tenant la main d’une inconnue. Prête à se jeter sur lui Magalie reprend son calme et prend une photo avec son portable. Malheureusement elle va devoir rompre avec Tristan qui est décidément bien trop volage. Rentrée chez elle en rage Magalie téléphone à la première personne qui lui vient à l’esprit, Martine. Elle lui explique tout. Martine la console en essayant de lui faire comprendre qu’elle trouvera surement mieux un jour mais qu’elle pourrait donner une dernière chance à Tristan en prenant des dispositions fermes lui interdisant de papillonner hors de la maison. Magalie est perplexe et je fais comment demande-t-elle ? Regarde sur ton catalogue de toys à la page 282 lui dit Martine. Propose lui ça ou la rupture. Magalie s’empare de son catalogue et page 282 il y a les cages de chasteté pour hommes. Martine lui dit poses lui l’ultimatum tu verras si il tient à toi. Profite en pour voir s’il ne serait pas sensible à un peu de domination féminine tu n’as rien à perdre. Martine réfléchit à la situation puis elle se décide. Elle commande une cage de chasteté qui peut être conservée toute la journée n’empêchant pas l’homme de faire son petit pipi et d’autres accessoires qui pourraient être utiles. Le soir même Tristan vient tout guilleret comme si tout était normal. Magalie est froide et ce soir-là c’est l’hôtel du cul tourné malgré les supplications de Tristan. Deux jours plus tard le paquet arrive. Magalie vérifie le fonctionnement et se prépare pour la soirée elle s’habille en véritable allumeuse maquillée à outrance avec juste une guêpière et des longs gants noirs. Tristan arrive il est subjugué et tout de suite excité comme un bouc. Magalie froide lui montre la photo. Tristan devient blême et tente d’expliquer que ça n’était qu’un coup de folie et que ça ne recommencera jamais. Bien sûr que ça ne recommencera pas car c’est fini entre nous dit Magalie. Tristan se jette à ses pieds en la suppliant de lui laisser une dernière chance. Magalie lui dit alors : Je te donne une dernière chance mais il faut que tu sois particulièrement obéissant à mes ordres désormais. Croyant s’en tirer à bon compte Tristan jure qu’il fera tout ce qu’elle lui demandera. On va voir dit-elle. Pour commencer à poil. Tristan se déshabille en un tournemain. Et apparait le sexe dressé au regard de Magalie. Retourne-toi. Il s’exécute. Elle lui met des menottes aux mains et un collier de cuir muni d’une laisse au cou. Tirant sur la chaine elle dit suis moi. Il fait un pas. Sur les genoux ordonne Magalie d’un air furieux. Il s’exécute. Dans le couloir de l’appartement Tristan a mis une barre de traction à quelques centimètres du plafond. Il s’en sert pour garder la forme même si Magalie ne l’a pas souvent vu faire. Elle a mis le pèse personne sous la barre. Elle lui dit de se lever et de monter sur la balance. Il monte en se demandant à quoi servira de voir son poids, mais il n’a pas l’intention d’énerver Magalie qui semble toujours furax. Montant sur une chaise, elle le fait mettre sur la pointe des pieds et tirant au maximum les menottes elle arrive à les accrocher à la barre. Tristan a les bras tirés au maximum vers le haut. Elle descend de la chaise et lui dit de se suspendre à la barre. Il s’exécute elle enlève le pèse personne il veut reposer les pieds par terre mais n’arrive qu’à s’appuyer sur l’extrême bout de la pointe des pieds. Il est tendu au maximum. Elle s’éloigne et revient avec des accessoires. Un bâillon un masque pour l’aveugler et des pinces à tetons. Maintenant Tristan toujours en érection est à la merci de Magalie. Elle lui empoigne fermement les couilles et serre bien fort. Il gémit. Elle lui met un anneau vibrant sur la bite et le met en branle. Aussitôt Tristan rue et se cabre. Voyant qu’il arrive à la limite de l’éjaculation elle coupe la vibration. Désormais tu ne jouiras que quand je le voudrais et comment je le voudrais. Tristan reprend son souffle. Je veux que tu me dises oui dit-elle. Il hoche la tête la bite toujours palpitante. Ce soir tu vas jouir mais pas tout de suite. D’abord je vais prendre l’apéro et un bon repas. Peut-être aussi que je vais inviter une copine pour voir ça. Tristan toujours sur la pointe des pieds se fige. Elle ne peut pas me laisser comme ça. Et j’aurai l’air con si ces copines me voient comme ça. Magalie quitte le couloir et appelle Martine. Elle lui explique que pour l’instant ça marche bien et qu’elle aimerait que Martine vienne l’aider pour la suite. Martine accepte un peu excitée par les choses. Quelques minutes plus tard elle sonne à l’entrée. Magalie la reçoit et l’emmène voir son prisonnier dont la bite commence à fléchir. Elle remet en route les vibrations en quelques secondes le membre est de nouveau tendu. Elle jubile et stoppe juste avant que Tristan n’éjacule. Bon on va se prendre un apéro et un petit quelque chose dit Magalie. Avec Martine elles boivent un cocktail et mangent quelques trucs plutôt intéressées par la suite que par le repas. Elles reviennent vers Tristan. Sa bite est redescendue. Magalie vient le peloter, lui tripoter la bite et les couilles et Tristan est de nouveau au garde à vous. Bon maintenant tu vas jouir comme ça dit Magalie en lui glissant une capote. Ça s’est pour que tu ne tâche pas mon couloir. Il rue mais s’arrête vite car il ne peut pas bouger sans tirer trop fort sur ses bras. C’est parti dit Magalie sous l’œil amusé de Martine. L’anneau se met à vibrer. Moins d’une minute après Tristan ne peut plus résister et décharge piteusement dans le vide. Sa bite se ramolli. Bien maintenant la prochaine fois que tu jouiras c’est quand je le voudrais à la condition que tu te comportes bien et que tu fasses tout ce que je te demanderai comme un bon petit esclave dit Magalie. Pour marquer le coup de ton infidélité tu vas avoir un gage que tu garderas toute la nuit et elle frotte un plug le long de la raie des fesses de Tristan qui serre les fesses le plus fort possible. A ta place je me détendrai bien sinon ça va faire très mal dit-elle. De toute façon ça finira dans ton cul. Elle enduit le plug de lubrifiant, lubrifie aussi le cul de Tristan en lui introduisant un puis deux puis trois doigt. Il mugit dans son bâillon. Du calme tu viens de gagner un jour de plus sans tirer ton coup dit-elle. Puis Tristan calmé elle introduit petit à petit le plug qui finit par orner le cul de Tristan. Ça c’était pour l’infidélité dit elle et ça c’est pour que tu sois bien chaste tant que je le voudrai. Elle retire la capote essuie sa bite avec un essuie tout et saisi sa bite quelle insère dans une petite cage métallique. Tristan se fige en se demandent ce que c’est puis une espèce de bracelet enserre ses couilles son pénis assez fort. Elle rapprocha la petite cage du bracelet et relit les deux parties un minuscule cadenas faire retentir son clic. Voilà mon chéri je sais que tu vas tenir parole maintenant dit Magalie. Qu’en penses-tu Martine. Impeccable dit cette dernière c’est joli comme tout. Il faut que tu vois ça mon chéri dit Magalie et elle lui ôte son bâillon. Hébété il regarde vers le bas et voie sa bite enfermée dans une petite cage courbée vers le bas. On va tester ça dit Magalie et devant Tristan elle se tourne vers Martine et commence à l’embrasser à pleine bouche. Tristan sent que sa queue reprend de la vigueur. Les filles se déshabillent mutuellement. La bite de Tristan rempli maintenant toute la cage mais ne peux aller plus loin. Impossible de bander. La douleur le rappelle à l’ordre et son début de bandaison s’arrête net. Hilares les filles commentent la chose. Pas cool lui dit Magalie Il va falloir que tu trouves autre chose pour me faire jouir ce soir dit elle et même en faire profiter Martine pour la remercier d’être venue m’aider. Tristan est perplexe. Magalie enlève le bâillon en lui disant te ne pas parler sans qu’on lui en donne l’autorisation. Il veut protester et Magalie dit tu viens de gagner un jour de chasteté en plus. Il se tait. Les mains menottées dans le dos il est ramené dans le salon tiré par sa laisse. Les filles s’assoient dans le canapé l’une à côté de l’autre. Au travail mon petit esclave dit Magalie en lui montrant sa chatte. Comprenant qu’il n’avait qu’un moyen de satisfaire Magalie il se met à genou et vient la brouter ce soir-là il passe un nombre incalculable de fois d’une chatte à l’autre recevant des petits coups de cravache dès qu’il ralenti. Tard dans la nuit martine prend congé. Magalie dit à Tristan qu’il est l’heure d’aller se coucher il se lève et la suit tiré par la laisse. Arrivée dans la chambre Magalie l’emmène près du radiateur et accroche la laisse à ce dernier avec un minimum de liberté de mouvement. Tu dors par terre ce soir. Je te dirais quand je t’accepterai de nouveau dans mon lit dit-elle. Bonne nuit mon esclave. Dans sa position inconfortable Tristan ne dort pas de la nuit. Son cul s’insurge contre la présence de l’objet qui le dilate au maximum. Sa bite et ses couilles sont enfermées dans une trop petite cage et il est dans une position très inconfortable les mains liées dans le dos et sans pouvoir bouger plus de quelques centimètres. Magalie se demande si demain quand elle le libérera il ne prendra pas ses cliques et ses claques pour toujours. Tant pis je n’accepte pas d’être cocue.
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Par : le 18/02/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 10 : le retour de Maëva A arrivant chez elle Maëva était encore complétement stressée. Martine avait dépassé les bornes. Même si elle devait s’avouer que la journée avait été particulièrement jouissive elle gardait une dent contre sa copine. Tu ne perds rien pour attendre pensait elle. Et elle essaya d’imaginer un plan pour rendre la monnaie de sa pièce à sa copine. Petit à petit l’idée faisait son chemin et l’obsédait de plus en plus. Enfin elle pensa avoir trouvé le moyen de se venger. Quelques jours furent nécessaires pour qu’elle se procure matériel. Puis elle téléphona à son amie celle-ci d’abord un peu gênée fut heureuse de voir que Maëva ne lui en tenait pas rigueur. Elle accepta de bon cœur une invitation à diner le samedi soir. Laurent le mari de Maëva étant en déplacement à l’étranger pour une semaine. Maeva lui demanda si elle prenait des vacances pour pâques et Martine lui répondit qu’elle devait rester tranquille seule à la maison pour se reposer d’évènements récents très fatigants. Ainsi le samedi soir munie d’une bouteille de champagne Martine se présenta chez Maëva qui l’accueilli avec joie. Les deux femmes se retrouvèrent autour de la bouteille de champagne qu’elles vidèrent assez rapidement, Martine ne s’apercevant pas que Maëva limitait ses propres doses pour charger le verre de Martine. Puis elles prirent des amuses gueules et Maëva proposa un cocktail à Martine. Celle-ci un peu embrumée mais contente de renouer avec Maëva accepta volontiers même si la tête commençait à tourner. Trois verres plus tard Martine avait un peu perdu le fil de la conversation alors que Maëva qui n’avait quasiment rien bu était bien consciente. Elle proposa un jeu à Martine qui accepta un peu pompette on va jouer au poker dit Maëva. Martine fut d’accord et quelques minutes après le jeu commença. Maeva proposa que ce soit sous forme de strip poker. Martine se souvenant de la belle plastique de Maëva accepta en se disant qu’elle aurait vite fait de se retrouver avec un Maeva à poil devant elle. Les choses ne se passèrent pas ainsi. Maeva trichait avec virtuosité, sans difficulté, Martine étant incapable de se concentrer sur les cartes. Après quelques minutes c’est elle qui se retrouva nue à table. Bon on va rajouter des gages dit Maëva Martine une double paire en main opina, la chance allait tourner. Maeva étala un brelan d’as au grand désespoir de Martine. Bon, premier gage dit-elle tu vas jouer avec une seule main car je vais menotter l’autre à ta chaise dit Maëva Martine tendit le bras et s’aperçu que ce n’était pas facile de jouer avec une seule main quelques minutes après la deuxième main était attachée à la chaise. Maintenant tu dois jouer avec ta bouche dit Maëva. Martine tant bien que mal retourna ses cartes installées sur la table et perdit encore. Maintenant il faut un gage plus sérieux dit Maëva elle est décrocha les menottes de Martine et entraina celle-ci dans une pièce meublée d’un lit et arrêta Martine au milieu de la pièce. Deux chainettes pendaient du plafond et Martine vit Maeva attacher ses poignets aux chainettes avec des bracelets de cuir. Elle reste interdite se disant que quelque chose clochait. Son enivrement disparait rapidement remplacé par une certaine angoisse. À un bout de la pièce Maëva actionne une manivelle Martine sent qu’un de ses bras est attiré vers le haut, la chainette passe par une poulie au plafond se raccourci par l’action de la manivelle. Le bras tendu Martine demande à Maëva d’arrêter celle-ci lui dit que le gage n’est pas terminé et s’empare de la manivelle située de l’autre côté. Le deuxième bras de martine est tiré vers le haut et rapidement elle se retrouve sur la pointe des pieds elle veut engueuler Maëva mais celle-ci surgissant par derrière lui insère avec force un bâillon boule énorme qui distend les mâchoires de Martine. Elle est incapable de remuer sa bouche ouverte au maximum même ses lèvres semblent tendues à l’extrême. Maëva se baisse et tranquillement installe une barre d’écartement reliées aux chevilles par d’autres bracelets de cuir. Ayant perdu quelques centimètres en écartant les jambes Martine est quasiment pendue par les bras. Heureusement les bracelets en cuir très larges et bien serrés repartissent la charge sur les poignets de Martine. Voilà maintenant je suis de l’autre côté de la cravache dit Maëva qui donne un puissant coup sur le fesses de Martine entrainant un gémissement étouffé. Maintenant Martine est complétement dégrisée. Maeva porte d’autres coups sur les cuisses les seins et le bas ventre de Martine qui ne peut pas bouger d’un pouce et encaisse les coups en pleurant. Je pense que tu es mure pour être une bonne esclave obéissante maintenant dit-elle. Martine hoche la tête elle ne veut plus recevoir de coups. Maeva s’active sur les manettes et la tension baisse. La barre d’écartement fixée au sol maintient Martine sur place. Maeva lui attache un collier de cuir autour du cou et attache ses bras derrière le dos. Une chainette est accrochée d’un côté aux bracelets de Martine et de l’autre cote à l’une des poulies du plafond. Une autre est accrochée au collier du cou. Maeva tire la chainette vers le bas obligeant Martine à se baisser en avant tout en restant pour soulager ses bras qui sont attirés par la plafond alors que le collier lui maintient la tête à moins d’un mètre du sol. Martine ne peut pas bouger d’un pouce. Maeva la contourne et entreprend d’enlever le bâillon. Le soulagement de Martine est de courte durée. Une espèce d’anneau est insérée de force entre les dents de la mâchoire du haut et du bas obligeant Martine à garder la bouche exagérément ouverte. Tu sais à quoi ça sert dit Maëva Martine se pose la question et essaye de répondre quand un puissant coup de cravache lui cingla les seins. Tu n’as pas droit à la parole tu te rappelles qu’une bonne esclave ne parle que sur ordre. Martine les larmes aux yeux complétement effarée se tait. Tu vas comprendre rapidement dit Maëva et elle sort de la pièce. Quelques minutes après Maëva réapparait dans la pièce mais elle n’est pas seule. Laurent, son mari et l’accompagne. Je t’avais promis un cadeau si tu aménageais cette pièce tu vois que j’ai tenu parole. Martine a perdu au strip poker et elle exécute son gage c’est mon esclave pour la semaine. Laurent à les yeux exorbités et s’approche de Martine. Salut Martine ne t’inquiètes pas tu ne vas pas t’ennuyer cette semaine et ses mains attrapent les seins opulents de Martine et commencent à la pétrir violemment. Humm ils sont aussi fermes que je l’imaginais. Voyons voir si tu suces aussi bien que dans mes rêves. Il enfourne son chibre dans la bouche béante de Martine qui comprend l’utilité de l’anneau elle ne peut pas fermer la bouche ni mordre l’intrus. Seule chose à faire, elle commence à utiliser sa langue experte pour lécher la bite de Laurent. Maëva passe derrière Martine et soudain celle-ci sent un objet oblong forcer la porte de son cul. Tu vas gouter au gode ceinture en même temps dit Maëva on ne va quand même pas te laisser te reposer. Le gode pénètre et Martine est embrochée de part en part. Après plusieurs minutes Martine est extenuée sucer, se tenir courbée pour ne pas blesser ses tétons prendre des coups de boutoirs dans le derrière ça fait beaucoup. Heureusement Laurent jouit et part dans de longs jets dans la bouche de Martine. Avale bien tout car tu n’auras que ça à manger ce soir dit-il. Malgré elle Martine doit avaler tout le sperme jusqu’à la dernière goutte. Bon on va passer au salon dit Maëva. Elle ôte la chaine des tétons et la chainette du plafond. Tirant Martine par la laisse elle l’emmène jusqu’au salon. A genou dit-elle Martine s’exécute avant le coup de cravache. Lèche-moi les pieds. Martine se penche en avant pour que sa bouche atteigne quasiment le sol afin d’embrasser les orteils de Maëva. Et relève moi cette croupe dit Maëva. Martine s’exécute. Laurent arrive et matte le cul de Martine. Maëva lui dit que ce cul est trop serré et qu’il faudrait l’assouplir avec un bon gros plug. Laurent part et revient avec un plug énorme et un flacon de lubrifiant. Quelques instants plus tard Martine est investie par le plug qui lui dilate l’anus. Maëva dit alors montre-moi comment tu te débrouille avec ta bouche. Elle tire sur la laisse et le visage de Martine se retrouve devant l’entrejambe. Elle colle sa bouche au sexe de Maëva avant de recevoir un coup de cravache elle se dit en elle-même qu’elle apprend plus vite qu’Anna. Après quelques minutes et visiblement quelques orgasmes de Maeva Martine est rincée. Laurent dit on devait mater un film ce soir sur canal. Maeva acquiesce. Elle fait se relever Martine et s’absente quelques instants. Elle revient avec un plateau qu’elle fixe par une ceinture à la taille de Martine et deux chainettes qu’elle fixe avec des pinces aux mamelons de Martine les chainettes maintiennent le plateau horizontal à condition que Martine jette ses épaules en arrière pour mettre en avant sa poitrine. Deux verres pleins sont posé sur le plateau. Martine doit encore plus se cambrer pour que le plateau reste horizontal ses mamelons son mis à rude épreuve et elle a l’impression qu’on va les arracher. Laurent et Maëva se mettent sur le canapé de chaque côté de Martine qui doit se mettre à genou face à eux tout en gardant la cambrure. Regarde devant toi dit Maëva Martine s’exécute. Le film commence. De temps en temps l’un ou l’autre prends son verre bois un petit peu et remet le verre sur le plateau. On va se faire un plateau télé dit Maëva suis moi Martine et elles se dirigent vers la cuisine. Là Maëva enlève les verres du plateau et enlève les chainettes qui martyrisaient les seins de Martine. Elle met à la place une plus grande chainette passant derrière le cou de Martine. Comme ça on va pouvoir charge plus le plateau dit Maëva. Des petites coupelles contenant de la charcuterie et des légumes sont posés sur le plateau. Quelques cures dents sont ajoutés et les deux femmes retournent vers le salon. Martine reprend sa place et l’estomac criant famine elle ne peut que voir la nourriture disparaitre petit à petit dans les bouches de Laurent et Maëva alors qu’elle n’a droit qu’à l’odeur. Enfin le film se termine Maëva montre une pièce à Laurent pile ou face dit-elle Laurent choisi la pièce est lancée et Maeva gagne. Ce soir elle est pour moi dit-elle. Bonne unit mon chéri. Sur ce elle empoigne la laisse et entraine Martine dans la cuisine pour enlever le plateau puis sous la douche ou Martine doit se laisser laver par Maëva qui semble kiffer ça. A peine sèches les femmes se dirigent, Martine se contentant de suivre la laisse qui la tire, vers la chambre de Maeva. Un lit King size trône dans la chambre. Bon on va te trouver une place idéale pour cette nuit dit Maëva elle couche Martine sur le ventre vers le bas du lit ses jambes sont attachées aux pieds du lit l’écartelant littéralement, Maëva se glisse dans le lit et écartant les jambes elle se retrouve avec le sexe à quelque centimètres du visage de Martine. Celle-ci comprend ne message et commence à lécher le sexe de sa maitresse provisoire. Elle ne peut s’empêcher de penser qu’elle devra essayer cette position avec Anna. Laurent passe la tête par l’entrebâillement de la porte et dit bonne nuit les filles tout en notant la position idéale de Martine. Celle-ci finit par s’endormir le visage toujours contre le sexe de Maëva. Au matin elle est réveillée par des mouvements légers venant de Maëva. Elle doit se réveiller se dit-elle. Afin de mettre Maëva dans de bonnes dispositions Martine commence à lécher délicatement les grandes lèvres de Maëva. Celle-ci ondule de la croupe et Martine approfondi son exploration. Maintenant Maëva gémit et se tortille sous les coups de bouche et de langue expertes de Martine. Après avoir bien joui Maëva décide qu’il est temps de se lever. Elle détache les jambes de Martine l’emmène aux toilettes et toujours l’une tirée par l’autre elles rentrent dans la cuisine où sur un geste de Maëva Martine se met à genoux à se pieds. Maeva se sert un café qui fait bien envie à Martine. Tu veux du café demande Maëva Martine hoche la tête. Maeva avale une grande gorgée de café et attire Martine vers elle pour l’embrasser sur la bouche. A la grande surprise de Martine Maëva lui fait couler la gorgée de café dans la bouche. Maeva répète plusieurs fois le geste et Martine a finalement pu boire un bon café. Une tartine dit Maëva Martine hoche la tête elle n’a eu droit à rien d’autre que du sperme de Laurent depuis hier midi. Maeva lui détache les mains et les rattache ensemble devant. Elle montre une bouchée de pain à Martine. Aller bon chien fait le beau si tu veux un tartine. Comprenant l’idée Martine se redresse sur ses genoux et mets les mains comme un bon chien. Je n’entends rien dit Maëva. Martine pousse alors des petits gémissements comme un petit chien à sa mémère. Une bouchée de pain lui est insérée directement dans la bouche par Maëva. Le petit manège est répété jusqu’à l’arrivée de Laurent en peignoir il embrasse Maëva pétrit les seins de Martine et lui flatte la croupe. Elle est bien dressée dit-il. Maëva demande alors à Martine si elle veut de la confiture. Martine opine et Maëva demande à Laurent de lui en donner Pas de problème dit il et ouvrant son peignoir il étale de la confiture sur son sexe turgescent et ses couilles. Martine doit lécher consciencieusement le sexe et les bourses de Laurent pour avaler jusqu’à la dernière goutte. Maintenant petite leçon de shibari annonce Maëva et elle emmène Martine dans la pièce donjon. Là Martine a de nouveau les mains attachées dans le dos. Maeva et Laurent munis d’une grande corde spécialement faite pour cela et d’une tablette avec un tuto entreprennent de faire un bondage shibari à Martine. Après quelques essais infructueux Martine finit par être entièrement saucissonnée. Ses seins autour desquels la corde fait plusieurs tours sont poussés en avant et prennent une couleur rose alors que les mamelons sont complétement érigés. Magnifique dit Maëva vient voir ce que ça donne elle prend la laisse et emmène Martine jusqu’à la salle de bains Martine peut se contempler dans le miroir. A sa grande surprise ça lui va superbement la corde souligne et mets en valeurs ses courbes opulentes et ses seins sont fièrement pointés vers l’avant. Mais oui tu es belle dit Maëva en lui assenant une légère claque sur la croupe. Martine tressaute mais ses pensées partent vers Anna. Il faudrait absolument essayer ça. Finalement Maëva fourmille d’idées. Bon on va voir si tu ferais un joli bibelot pour la déco du salon dit Maëva en l’entrainant derrière elle. Avec Laurent ils mettent en situation Martine comme une déco de salon. Debout contre un mur, à genou, en table de salon, en porte manteaux, en étagère avec un plateau porté à bout de bras par Martine agenouillée. Martine passe par toutes les positons. Pour la dernière Maëva lui fait une queue de cheval haut sur la tête et attache un cordon à la queue de cheval et tire sur le cordon pour l’attacher au shibari dans le dos de Martine elle est obligée de lever la tête complément vers le ciel. Maëva la fait s’agenouiller sur un gros gode fixé par sa ventouse au sol. Martine reçoit l’ordre de ne pas bouger et sert de statue humaine pendant dix minutes sous le regard ravi du couple qui tout à tour se fait prendre en photo à côté du trophée humain. Maeva souriante la fait se redresser pour ôter le gode et emmène ce dernier vers la salle de bains. Elle revient et tirant sur la laisse force Martine toujours fixant le plafond à la suivre en restant à genoux. Elles approchent du miroir en pied de la salle de bains Martine ne peut pas regarder vers le bas et Maëva la fait se mettre dos au miroir. Maeva défait le cordon et Martine peut baisser la tête. Maeva tire la laisse vers le bas Martine pose son visage par terre monte un peu ta croupe dit Maëva. Martine s’exécute. Recule doucement. Martine commence à reculer mais son postérieur bute sur le gode. Maëva lui dit de continuer et guide le gode qui pénètre dans la chatte de Martine. Remue toi maintenant dit-elle Martine commence à faire des mouvements d’avant en arrière Laurent les rejoint et pousse Maëva pour s’agenouiller en face de Martine le sexe bien érigé face à elle. Martine tout en continuant ses va et vient ouvre grand sa bouche et avale le membre de Laurent. Il finit par jouir et elle doit de nouveau prendre garde de bien tout avaler. L’heure du repas approche. Maeva entreprend de défaire le shibari qui laisse des traces rouges sur le corps de Martine on pourrait croire qu’elle est encore encordée. Une petite chainette est fixée entre les mains de Martine sur l’avant, même chose pour les pieds et une troisième chainette relie les deux autres par le milieu. Ainsi forcée de marcher quatre patte Martine est conduite dans la cuisine. Là, Maëva prépare des steaks frites et elle se met à table avec Laurent. Martine est poussée sous la table et de temps en temps une main compatissante lui donne un morceau de viande ou une frite. Martine n’hésite pas à accepter ce jeu car elle et affamée. Un bol rempli d’eau lui permet de se désaltérer en lapant. Le repas terminé Martine est de corvée de vaisselle la chainette reliant les deux autres est enlevée et Martine peut se lever faire des petits pas et des petits mouvements avec les mains. Maeva va lui chercher un tablier de soubrette et lui donne l’ordre de faire la vaisselle. Martine s’exécute au moins pendant ce temps-là ses trois orifices sont épargnés. Trop vite dit. Maeva lui impose un gros plug en lui disant qu’il fallait bien faire son éducation remémorant les termes utilisés par Martine quand Maeva avait vu le plug dans le cul d’Anna. Apres la vaisselle c’est le tour du ménage elle passe le plumeau l’aspirateur et le pliz sous les yeux amusés du couple. Au milieu du ménage elle doit cependant faire une pause en broutant la chatte de Maeva confortablement assise dans le canapé pendant que Laurent la besogne par derrière. Ses trois orifices sont mis à contribution. L’après-midi passe et le rituel du soir recommence comme la veille. Finalement Laurent dit cette nuit elle est à moi. Maeva opine et leur souhaite une bonne nuit. Laurent s’installe confortablement sur le canapé et Martine doit se coucher façon PLS sur le canapé perpendiculairement à Laurent. Sa tête est à quelques centimètres de la bite tendue qu’elle englouti et suce avec application. Après quelques minutes alors qu’il est au bord de l’explosion Laurent se retire et l’emmène derrière lui dans la chambre. C’est la même chambre qu’hier surement celle qui a le plus grand lit. Les mains attachées dans le dos Martine doit chevaucher Laurent qui s’est couché sur le dos. Elle sent l’orgasme arriver et est frustrée lorsque d’un coup menaçant lui aussi d’exploser il la fait culbuter sur le coté. Elle retrouve la position d’hier soir et sans se poser de question avale le membre de Laurent. Ce coup-ci il se laisse aller et éjacule finalement dans sa bouche. Elle avale tout consciencieusement et s’endort la bite ramollie de Laurent toujours dans la bouche. Au matin quelque chose la réveille c’est la bite de Laurent qui commence à gonfler dans sa bouche et prend des proportions sympathiques. Docile elle commence une fellation lente se disant que ça mettrait Laurent de bonne humeur. Elle doit de nouveau avaler. Le petit déjeuner se passe de la même façon que la veille. Puis Laurent et Maëva déclarent qu’ils doivent se rendre au taf. Maëva dit à Martine rassure toi on ne va pas te laisser comme ça. Et elle traine Martine jusqu’à la chambre ou elle la couche sur le dos écartelée les bras et jambes lies aux quatre coins du lit. Elle sort un engin et dit à Martine que c’est un magic-wand programmable qui va lui tenir compagnie. Utilisant un large rouleau d’adhésif elle fixe l’engin sur la cuisse de Martine, ce qui semble être la tête de l’engin collé fermement contre son clitoris. Maeva branche l’engin règle un petit boitier attenant embrasse Martine lui met un masque aveuglant et lui souhaite bonne journée ; au moment de franchir la porte elle appuie sur le bouton d’une petite télécommande et aussitôt une vibration provoquée par l’engin assaille son clitoris. Martine comprend vite que l’engin est diabolique la programmation alterne les temps morts et les longues séances de vibration. Après quelques minutes elle ne peut s’empêcher de se laisser aller et un puissant orgasme le transperce. Après quelques minutes de repos l’engin se remet à vibrer et Martine doit de nouveau renoncer à lutter contre l’orgasme. La matinée est interminable. Impossible de dormir son corps est brulant et elle ruisselle de sueur. Un Xème orgasme la foudroie et elle se tortille en gémissant sur le lit. La voix de Maeva la surprend. Alors il est sympa mon petit gadget lui dit-elle. Martine hoche la tête. Bon dit Maëva je pense que Laurent t’as un peu trop à la bonne et va finir par avoir des idées qui ne me plaisent pas. Je ne suis pas jalouse mais bon. De toute façon il mérite que je m’occupe de lui. Il ne le sait pas encore mais je me fais forte d’en faire mon esclave tout comme toi avec Anna. Je pense qu’on est quitte et que nous devons rester bonne amies comme avant et même plus maintenant qu’on se connait intimement. De toute façon il faudra bien que tu viennes voir un jour ce que je vais faire de Laurent. Martine répond qu’elle reste l’amie de Maëva et qu’elles sont vraiment quittes. Maëva détache Martine qui après un long passage dans la salle de bains quitte Maëva après un baiser sur la bouche.
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Par : le 17/02/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 9 : invitation chez Martine Quelques temps après la séance Martine repris contact avec Magalie. Elles parlèrent de la séance précédente et se demandèrent si elles devaient réellement continuer à organiser de telles séances. Le conséquent bénéfice qu’elles avaient réalisé les tentait quand même surtout que la bourgeoise avait promis à Magalie une clientèle encore plus fortunée. Elles décidèrent de reparler de ça devant un café et Martine lui proposa d’emmener Anna avec elle. Elle dit qu’Anna était valait vraiment le coup d’être connue et qu’elle serait vexée si elle n’accompagnait pas Magalie. Celle-ci amusée promit qu’elle ferait tout son possible pour qu’Anna l’accompagne. Plus tard Magalie appela Anna et lui dit qu’elles étaient invitées toutes les deux chez Martine Anna refusa prétextant qu’elle n’était pas libre. Magalie lui demanda si la dernière rencontre avec Martine c’était bien passée Anna lui répondit que oui. Magalie insista beaucoup et finalement d’une petite voix Anna dit qu’elle pourrait compter sur elle. Rendez-vous fut pris pour le lendemain soir chez Martine. Cette nuit-là Anna dormi très mal. Devrait-elle refuser devrai t’elle y aller et ne pas tenir compte des consignes de Martine. Et puis il y aurait Magalie. Même si elles avaient eu une expérience ensemble Anna ne se voyait pas se promener nue dans l’appartement de Martine devant les autres filles… Le soir venu Magalie vint la récupérer. Elle fut inquiète en voyant la mine chiffonnée d’Anna. Tu vas bien ? Oui répondit Anna j’ai juste mal dormi cette nuit. Elles quittèrent les lieux et se dirigèrent vers leur rendez-vous. Anna avait à la dernière minute mis l’étiquette dans sa poche. Martine les accueillies avec une grande joie et elles s’embrassèrent dans l’entée. Martine leur dit : Entre Magalie le salon est tout droit, Anna pour toi dans le tiroir de ce meuble. Magalie pénétra dans le salon suivie de Martine qui avait fermé la porte de l’entrée. Il y a un problème avec Anna demanda Magalie. Non non rassure toi tout va bien c’est un petit truc entre nous. Et elles allèrent s’assoir sur le canapé. Paralysée Anna n’avait pas osé aller plus loin. Elle ouvrit le tiroir et comme elle craignait le collier, la laisse, les bracelets, le bâillon et une pince à sein, une seule, s’étalaient sous ses yeux. Lentement elle se déshabilla, tout plutôt que perdre cette grande perche qui la fascinait tant. Elle mit le collier fixa la laisse, le bâillon boule, la pince à sein sur le sein gauche, l’étiquette clipée sur le sein droit. Enfin elle se mit les bracelets enclencha la fermeture les bras dans le dos et attendit anxieuse. Magalie et Martine sirotaient un cocktail puissant préparé par Martine. Celle-ci dit assez fort pour être entendue de l’entrée tu peux venir ma chérie. Magalie se retourna vers la porte et faillit avaler son verre de travers. Anna pénétrait dans le salon nue, harnachée bâillonnée une laisse tombant au bout d’un large collier de cuir. Chaque sein était orné d’un objet, un petit pendentif à gauche et une espèce d’étiquette à droite. Aller approche dit martine. Anna s’approcha à petits pas. Magalie se pencha et pu lire l’étiquette. Elle se retourna vers Martine l’air interrogatif. Je te présente Anna qui devient mon esclave personnelle dès qu’elle franchit le seuil de mon salon. Elle montra le sol devant ses pieds et Anna vient s’agenouiller aux pieds de Martine. Ben ça alors vous m’aviez caché ça les filles. Vous voulez que je vous laisse ? demanda Magalie. Mais non dit Martine tout en caressant la tête d’Anna. On est là pour le travail et faire le point sur la prochaine séance si on fait une prochaine séance. Reprenant ses esprits Magalie entrepris de parler du taf avec Martine. Anna n’avait pas assisté à la séance houleuse et n’aurait pas eu grand-chose à dire de toute façon. Anna semblait regarder Martine avec adoration. Martine cache bien son jeu se dit Magalie subjuguée par l’asservissement visiblement sans réserve d’Anna. Quelque part c’était un peu excitant. Après une demi-heure de causerie les filles étaient tombées d’accord on referait une séance pour essayer et on aviserait en fonction du résultat, le bénéfice attendu semblant être conséquent. Martine mis de la musique. Anna danse pour nous dit-elle. Aussitôt Anna se leva et commença une danse suggestive les yeux rivés dans ceux de Martine. Magalie était estomaquée. Merde j’aurai bien aimé avoir une esclave comme ça moi. Dire que Martine me l’a piquée. La chaleur montait dans le salon. Sans couper la musique Martine montra son entrejambes à Anna qui aussitôt vint s’agenouiller devant elle. Martine lui ôta le bâillon et Anna plongea sa petite tête vers le sexe de Martine, sa minijupe et l’absence de culotte facilitant les choses. Magalie restait bouche bée. Tu veux un autre verre demanda Martine. Magalie acquiesça et Martine tapota la tête d’Anna qui s’arrêta aussitôt et partie vers la cuisine en désignant Magalie à Anna. Aussitôt Anna s’approcha de Magalie et glissa son visage dans l’entrejambe. Le string de Magalie n’empêcha pas la petite langue affamée de fouiller son sexe. Martine revint avec deux verres et un bol. Magalie était intriguée. Surement le bol des cacahuètes se demandai-t-elle. Martine posa le bol près d’elle par terre. Aller les filles trinquons à notre prochaine séance de vente elle triqua avec Magalie. Anna sorti sa tête de l’entrejambe de Magalie et s’approcha du bol pour se mettre à laper le contenu. Les yeux de Magalie lui sortaient de la tête faisant fièrement sourire Martine. L’heure passant Magalie se dit qu’il était temps de prendre congé. Martine lui dit que finalement Anna resterait avec elle ce soir-là et quelle la raccompagnerait chez elle. Tu crois demanda Magalie en regardant Anna celle-ci regarda inquiète Martine qui hocha la tête Anna regarda de nouveau Magalie et hocha aussi la tête. Trop fort dit tout haut Magalie. Martine la jaugea du regard et lui glissa tu sais il me semble que ton Tristan est très amouraché de toi et n’a pas l’air de détester qu’on le prenne en main. Il ferait surement un bon esclave pour toi. Il suffit d’y aller progressivement je pense. Magalie en pensée voyait tour à tour Tristan et Virginie à la place d’Anna. Je ne sais pas si c’est si facile dit-elle. Penses y répondit Martine en la raccompagnant vers la sortie. Ce soir-là Anna compris qu’elle était complétement sous l’emprise de Martine et que finalement le rôle d’esclave était assez facile car il n’y avait pas besoin de réfléchir.
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Par : le 15/02/21
Parfois, pas d'ambiance musicale pour écrire.. mais après mon écriture une envie très ... HELL ambiance : Marilyn Manson - THe pale Emporor - mOBSCENE (Official Music Video) ******************************************************************************* L’enregistrement. - Aimes tu la queue ? me demanda t il. Cela faisait une dizaine de minutes qu’il m’interrogeait. Alors que j’étais en train de m’habiller pour notre soirée, il m ’ordonna de venir dans le salon. J’étais alors en porte jarretelle. Je portais un soutien gorge sans armature qui se fixait autours du cou. Le tissu remontait jusqu’à ce dernier avec une fente au milieu. - Assieds toi sur la table me dit-il en indiquant du doigt où je devais me positionner. Posté, face à moi, il posa son téléphone à coté de moi. Il me saisit par la gorge puis remonta jusqu’à ma bouche. Je gémissais tellement je voulais de lui. Intrusif il mit des doigts dans ma bouche. Son regard était froid, sévère et possédant. Je sortais alors ma langue pour lui lécher la main. Nous nous regardions intensément. Je le fixais. Il me gifla. Le coup me fit sursauter. IL me ressaisit à nouveau par la gorge. - Donne moi un chiffre entre un et 5 - 5 .. Monsieur. - Si douce, si délicate… me dit il Il me gifla une fois. Je sursautais. - Un.. Il tenait par le menton, je le regardais.. - Deux….. Ca te plait ? - Hummm, oui Monsieur… - Trois…. - Ahhhhhhhh, ahhhhh…. - Quatre - Cinq Il me saisit la gorge et m’embrassa langoureusement. Je pinçais alors mes lèvres. Tout en me fixant, il dégageait mes seins pour les sortir du soutien gorge. Il commença à gifler mes seins. Je sursautais encore et encore. Il y mettait du cœur. - Doucement, Monsieur.. - Doucement ? Il saisit alors mes tétons. - Hummmmmmm, hummmmmm… - Maintenant on va jouer à un jeu, je te pose des questions et tu réponds en reprenant les termes de la question. compris. - Oui… Monsieur. - Ferme les yeux et baisse la tête. Je sentais son souffle contre moi. - Tout d’abord, présente toi ? - Me présenter ? - Oui, c’est pas compliqué de se présenter non ? - Je m’appelle Véronika, j’ai 42 ans, je suis une chienne. - Est-ce que tu aimes la queue ? - Hum..humm…. - Ce n’est pas une réponse ? - Oui, Monsieur j’aime la queue. - Aimes tu te faire prendre la chatte, le cul et la bouche ? - Oui, Monsieur, j’aime me faire prendre par la chatte, le cul et la bouche. - Répète moi ce que tu es ? - Une chienne Monsieur, Pendant qu’il m’interrogeait, je sentais ses mains aventures se frayant un chemin dans mon entrejambe pour le pincer. - Est-ce que tu aimes être doigtée ? - Oui, monsieur, j’aime être doigtée. - Est-ce que tu aimes être fouillée bien profondément. - Oui, Monsieur j’aime être fouillée bien profondément. Oh mais tu es déjà trempée …. - Est-ce que tu aimes sucer ? - Oui, Monsieur, j’aime sucer. Ainsi tu aimes la queue… l’’autre jour tu me faisais par d’un fantasme, répète le moi je te prie. - Eh bien un de mes fantasmes Monsieur.. ohhhhhhhhhh Il caressait mon entrejambe…. - Un de mes fantasmes serait de me faire prendre par des hommes qui ferait de moi ce qu’il voudrait. - Humm intéressant… - Tu aimes être saillie alors ? - Oui Monsieur, j’aime être saillie… Qu’est ce que tu es trempée ma chienne. Il saisit alors un gag-ball et me bâillonna. - Voilà tu as fini de parler ma chienne dit il en restant ferme. - Il m’orna de mon collier. Il prit la laisse en l’enroula autours de sa main pour m’attirer à lui. - Comme ça tu aimes la queue ? - Hum hum… hochais je de la tête - Tu vas être une bonne chienne ce soir alors ? - Hum hum… - Lève toi et présente moi bien ton cul. Je posais mon ventre contre la table et avec mes mains, j’écartais mes fesses. - Je vais te sertir afin de rendre ton petit fion sensible. Je sentis le métal froid s’introduire sans aucun ménagement dans mon petit trou. - Allez lève- toi. - Avance plus vite. - Regarde ce que je t’ai préparé ? Tu vois ce gode, empale toi dessus. Je prie en main le gode pour le fourrer dans ma chatte. - C’est ça, tu aimes tenir une queue… - Allez…. En haut… en bas… en Haut en bas m’encourageait t il avec la cravache. - Mais c’est que tu fais ça bien.. ma petite salope. Il me regardait me baiser sur ce gode et me souriait. - Allez bien au fond.. avant, arrière, avant arrière.. - C’est bon ma chienne continue.. c’est bien… - Et arrête de couiner, tu fais trop de bruit. - Suffit maintenant. Je me relevais. Quand il me dit: - Ecarte tes jambes que j’y mette ces boules de geisha. Voilà tu es bien parée ma petite chérie. - Mets ton manteau. On y va. Dans le garage, il m’installa sur les places arrières allongée. - Maintenant je vais te bander les yeux. - Tu mériterais être dans ta cage dans le coffre ma petite chienne railla t-il en claquant mes fesses . Ainsi allongée, dans l’obscurité sans savoir ce qui m’attendais et où nous allions. Je n’arrivais pas à ressentir le temps. Quand j’entendis la voiture se stopper, il ouvrit la porte et m’aida à sortir. Voici le code : - Rouge, si tu veux que ça s’arrête - Orange, si tu es en inconfort ou que c’est douloureux. - Vert, pour continuer. - Hoche la tête pour me dire que c’est bon. Je hôchais par l’affirmative. Il me tenait par le bras comme si j’étais son esclave. - Tu ne risques rien, je suis là, avance, voilà doucement. J’entendis alors une sonnette retentir. - Ah vous voilà, parfait. - C’est votre chienne ? - Oui ça l’est. - Parfait, entré, les chiens sont en rut. Il m’ôta le manteau et m’ordonna de mettre à quatre pattes. Il tenait la laisse ferme et courte. Puis il me traina ainsi jusqu’à un salon je suppose. Je ne voyais rien. - Messieurs, je vous apporte une espèce rare de chienne qui rêve de se faire saillir par plusieurs chiens à la fois… Je vous propose d’écouter ses confessions prises tout à l’heure sous la torture pendant que je lui caressais son petit clitoris. C’est là que j’entendis ma voix. Il avait enregistré ma confession - Je m’appelle Véronika, j’ai 42 ans, je suis une chienne. - Est-ce que tu aimes la queue ? - Hum..humm…. - Ce n’est pas une réponse ? - Oui, Monsieur j’aime la queue. - Aimes tu te faire prendre la chatte, le cul et la bouche ? - Oui, Monsieur, j’aime me faire prendre par la chatte, le cul et la bouche. - Répète moi ce que tu es ? - Une chienne Monsieur, - Est-ce que tu aimes être doigtée ? - Oui, monsieur, j’aime être doigtée. - Est-ce que tu aimes être fouillée bien profondément. - Oui, Monsieur j’aime être fouillée bien profondément. - Est-ce que tu aimes sucer ? - Oui, Monsieur, j’aime sucer. Ainsi tu aimes la queue… l’’autre jour tu me faisais par d’un fantasme, répète le moi je te prie. - Eh bien un de mes fantasmes Monsieur.. ohhhhhhhhhh - Un de mes fantasmes serait de me faire prendre par des hommes qui ferait de moi ce qu’il voudrait. - Humm intéressant… - Tu aimes être saillie alors ? - Oui Monsieur, j’aime être saillie… Je me sentais alors honteuse, d’être exposée ainsi à des inconnus. - Je vous la laisse, faites en ce qu’il vous plait. Je vous ai transmis les choses permises et celles qui sont interdites. Puis, il me murmura à l’oreille. - Tu vas être une bonne chienne. Je suis là, tu le sais. - Maintenant profite bien d’être baisée de partout ma petite chienne. Il m’embrassa la joue puis retira mes boules de geisha. Je sentis alors un homme prendre la laisse, une main sous-peser mes seins et un autre jouer avec mon plug… - Allez viens… on va te soulager de cette chaleur ma belle.. Il me souleva sans ménagement et me jeta sur un lit. Je me retrouvais sur le ventre. Un des hommes s’agrippa à mes hanches pour que mes genoux reste au sol. Il retira alors mon plug. Je sentis des mains me tenir le cou pour m’immobiliser. L’autre me fessait. - Quel beau cul à baiser… dit-il en me caressant d’une voix presque réconfortante. J’entendis qu’il défit son pantalon. - Tiens lui ses mains dans le dos, je vais l’attacher. J’essayais de me débattre mais en vain. - Oh oui débats toi petite chienne, ça me donne encore plus envie de toi pendant qu'il embrassait ma joue Je sentis un doigt dans mon trou. - Humm il va falloir qu’on le travaille; il est si étroit.. Ne t’inquiète pas ma bite est bien large. Il sentait son doigt inquisiteur puis un second.. - Tu sais pourquoi tu es là ? - Hummm.. hummmm me débattai-je L’homme me retira le bâillon. - Réponds ! - Je suis là.. pour me faire baisée… - Oui te faire baiser, on t’a bien écouté.. D’ailleurs on va te remettre ton enregistrement .. - JE suis une chienne, J’aime être doigtée se moqua t il - Be tiens, regarde comme je vais te doigter ton petit trou. - Max, tiens là bien, je crois que je vais me la faire… L’autre écarta bien mon cul. - Regarde trois doigts. Donne moi un peu de lubrifiant, peut -être qu’elle aimera plus.. mon poing. Je me débattais, mais je ne disais rien… Un autre mis ma main sur ma bouche… - Chut.. tu es belle ainsi, si tu voyais comment on va te posséder. Et ta bouche on va aussi s’en occuper. On va prendre plaisir à te démonter, faire de toi une bonne petite esclave sexuelle. Quand il eut fini de me doigter, je sentis alors son gland me prendre. En effet, sa queue était bien large. L’autre me tenait la tête… et me caressait les cheveux. - Oh ta peau est si douce.. humm.. Il me respirait . Je sentais les va et vient aventureux. - TU aimes alors la sodomie. - Je… Il claqua mes fesses.. - Il remit l’enregistrement.. L’autre homme me fit redresser la tête et me releva. Il me força à mettre mes genoux sur un fauteuil. Je me retrouvais posséder à nouveau par le cul tandis qu’un autre engouffra sa queue dans ma bouche. - C’est ça, suce bien espèce de petite salope.. Il me tenait par les cheveux. Il me baisai. Les coups de queue dans mon cul me donnait aussi un rythme. - Regarde comme elle aime ça. Quand l’un se calmait l’autre me baisait toujours plus. - A mon tour, laisse moi lui baisser sa bouche. Il reprit la poigne sur mes cheveux. Il me redressa. Il caressa mes seins puis remonta à ma bouche pour me forcer à l’ouvrir et me dire - Demande moi si tu peux me sucer ? - Ohhhhhh, ohhhhhhh - Puis-je ? ooohhhh…. Vous… sucer ??? - Mais oui ma toute belle, voyons. Puis il me força à me rebaisser pour plonger sa queue dans ma bouche. Je me faisais baiser intensément. Je ne savais pas qui faisait quoi. Je savais juste qu’il était trois. Après quelques instants où j’avais perdu mes repères , on me poussa à nouveau sur le lit. Ils m’avaient détaché pour mieux m’attacher à des liens de part et d’autres du lit avec des cordes Au milieu du lit, l’homme replia les jambes sur moi et prit l’assaut de ma petite chatte. - Tu aimes petite chatte ? - Ohhhh… ohhhhhh - C’est ça que tu veux hein ? Il mit sa main sur ma gorge. Je reconnaissais que sa queue en moi était divine. -ohhhhhhhhhhh Je sentis des mains me tenir fermement pour que je ne bouge pas. Mes seins virvoltaient. A Au départ il était doux comme une jument sauvage qu’il voulait apprivoiser. Puis il prit rapidement un rythme pénétrant, me faisant bouger dans le lit. Je sentais le bord et ma tête chavirer. Il relâcha ses jambes et s’allongea sur moi. - Ta chatte est si bonne petite putain me murmura t -il - Ahhh, Ahhhhhhh. - Oui je sais tu aimes les bonnes queues hein… - Tiens, … prends ça.. On défit mes liens, et on me retourna comme une crèpe. Un nouvel assaut. - Ahhhhhhh, ahhhhhhhhhhhhhh J'étais à nouveau prise par la chatte Je reconnus l’homme qui m’avait sodomisé tellement il était bien membré. Presque un peu trop pour moi. - Viens lui baiser la bouche, là. Il me tira les cheveux pour exposer ma bouche. - C’est bien suce.. garde la en bouche m'ordonna t-on tout en caressant mes cheveux. Il s’amusait à mettre son sexe bien au fond de ma gorge et à ressentir les coups que je recevais dans mon petit cul. Sans comprendre, il me releva par les hanches. - Allez viens sur moi ma belle. Un des hommes me tenait comme une poupée et on me dirigea droit sur une queue. - Allez chevauche, bien au fond… ton maitre m’a dit que tu avais de l’entrainement… Je me déhanchai. Mes mains étaient sur son torse. L’homme m’attira contre lui et me caressa la nuque, les cheveux. Il reprit le rythme… Il m’embrassait. - Viens lui prendre son cul. - Je ? murmurai-je - Chut, on va y aller tout doucement.. ton maitre nous a dit que tu fantasmais sur ça.. on va te combler… tout doux.. D’une infini douceur, un des hommes se plaça derrière moi. - Tout doux. - Aiieeeee…. - Calme toi… calme toi… L’autre me caressait le dos. Doucement il commença un mouvement de va et vient. Sa queue n’était pas complètement rentrée. - Voilà… - Redresse toi me demanda t-on avec douceur. L’homme sur lequel j’étais empalée me caressait les seins, les prenaient de pleines mains. - On est doux.. voilà prends ton pied ma belle.. Trois queues rien que pour toi. - Allez ouvre ta bouche… Je me faisais baiser par tous les orifices… - Voilà suce bien… hummmmm. Lèche bien aussi mes couilles. Il me prenait avec force et douceur. Ils me parlaient à l’oreille, reagissant à chacune de mes réactions. - Ahhhhhhhhhhhhhhhhhh - Hummmmmmm - Rahhhhhhhhhhhh - Hummmmmmmm - Hum tes seins.. putain qu’est ce que tu es bonne… - Regarde là … - C’est bon ma belle.. - Ahhhhhhhhhh L’homme me replaqua contre lui et me caressa à nouveau le dos. Cette fois leur pénétration fut un peu plus intense. - Son petit trou est bien accueillant maintenant - -ahhhhhhhhhhhhh - Ohh putain qu’elle est bonne L’homme ne tenait plus, il éjacula dans son préservatif. - Putain tu m’as bien vidée les couilles petite salope, j’ai pas pu me retenir… L’homme sur lequel j’étais me jeta sur le coté. - Branle nos queues et sucent les aussi.. tu dois savoir faire ça ? C’était une première pour moi. Je me laissais complètement aller, diriger. Je branlais alors ces deux queues, qui s’amusaient parfois à aller et venir dans ma bouche. C’était aussi la première fois que je sentis des doigts de différentes personnes pénétrer ma chatte. - Ahhhhhhhhh, ahhhhh Un des hommes aimait malaxer les seins, les glfler, me prendre de force la bouche, l’autre était plus doux. - Regarde comme on s’est bien occupé d’elle.. et là on va voir combien tu sais être fontaine. - Tu sais que j’adore faire jaillir les petites chiennes comme toi Je ne savais pas qui parlait mais je sentis des doigts si vigoureux en moi que je n’arrivais à me contenir. - Ahhhhhhhhhhhh - Ahhhhh - Ouiiii, c’est ça.. va y … ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii - Rahhhh - Regardez moi ça comme elle gicle cette petite pute. J’étais épuisée. Un des hommes me sortit de lit pour me jeter au sol. L’un mit son pied sur ma tête pour qu’elle reste sur le coté et que je ne bouge pas. Je les sentais se branler sur moi… Le sperme chaud tombait sur mes seins et mon corps. Je ne me sentais salie, souillée. J’étais à la fois terriblement excitée aussi. - Bonne petite chienne, tu nous a bien pompé et vidé La porte se referma. Et je tentais de reprendre mes esprits. J’entendais encore dans le couloir. - Putain, j’en aurai encore bien profiter… Tu as vu son cul.. ses seins… une vraie salope. - C’est bon, tu peux ôter le bandeau. Je reconnue sa voix douce et réconfortante. J me sentais un peu aveuglée. Il avait ce coté voyeur à me regarder me faire prendre, à me faire dominer par d’autres. - J’espère que tu as aimé ? Tu étais si belle étant prise comme ça. J'aime quand tu te libères. Te voir accomplir un de tes fantasmes. J’espère que tu t’es sentie en sécurité dit il en me relevant. - C’est très étrange, mais je suis épuisée Je sens que demain j’aurai des courbatures. C’était parfois un peu douloureux. - Va aux toilettes et Va te doucher… je t’ai pris de quoi te changer et te laver. Il était d’une belle douceur et à la fois d’une telle perversité. Des sentiments paradoxaux et étranges. Pour moi je serai incapable de le partager. De l’imaginer avec une autre femme mais lui , ça ne le dérangeait pas de m’offrir pour que je puisse assouvir mes désirs. Je me demande si un jour je serai capable d’atteindre ce degré là. Mais c’était bien trop tôt pour moi.
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Par : le 08/02/21
Il arrive souvent que la vie séparent deux êtres chers. Pour une raison familiale ou professionnelle, les contacts physiques ne sont plus possibles et ce sur une période de temps variable mais toujours interminable. Ce guide va vous donner des pistes et des idées pour vous occuper et faire passer le temps plus vite. Afin de puiser au maximum dans le savoir accumulé sur ce site, j'ai décidé d'en faire un espace collaboratif et d'utiliser des outils modernes. N'hésitez pas à en parler à vos amis, chacun peut y apporter sa connaissance ou son ressenti. 1 - Les outils : a - Pour communiquer : On vit à l'ère du téléphone portable. Tout le monde est joignable 24/7. Et là, c'est une question de choix personnel. J'ai testé presque toutes les applications et au final, c'est une question de choix personnel : Skype, Messenger ou autre, elles fonctionnent toutes très bien et il n'y a pas vraiment de différence. D'un point de vue sécurité informatique, on dit que Signal est la plus populaire chez les terroristes. Comme c'est l'un des rares cas où ils peuvent vous faire une bonne publicité. b - Pour le plaisir : Herbert Léonard n'en a pas parlé dans sa chanson, mais il existe quelques jouets connectés qui en valent vraiment la peine. Je citerai sans hésiter "Lovesense" qui fait vibrer des milliers de camgirls tout autour du monde. Le principe est simple : un oeuf vibrant dont la télécommande est dans les mains de votre Maître, où qu'il soit sur la planète du moment qu'il y a internet. c - Pour soumettre : Des menottes, un collier, un bâillon, un sex-toy et c'est parti. Il n'en faut pas plus pour débuter. Ce n'est pas une relation en présentiel, on ne cherche pas à immobiliser la personne soumise ! Ici, la contrainte est dans la tête, on joue à se ligoter. Et heureusement d'ailleurs car le dominant n'est pas là pour détacher sa victime. Du coup, il faut pouvoir tout faire soi-même : s'attacher, se bâillonner, se libérer, etc. d - Pour contrôler : Il existe une multitude de systèmes de cadenas et cages de chasteté sur le web. Comme le fameux CellMate de Qiui. Pourquoi célèbre ? Parce qu'en janvier 2021, un pirate informatique a pris le contrôle de l'application et a demandé une rançon avec le message suivant : "Your cock is mine" ("Ton gland est à moi"). 0,02 BTC soit 600 € pour être libéré. Il a dû se faire des "couilles en or" ;-) e - Pour ne pas se ruiner : Le quotidien regorge d'objets tous plus utiles les uns que les autres. Les collants font de très bonnes cordes, les chaussettes et culottes de très bons bâillons. Régalez-vous avec des pinces à linge et mon accessoire préféré : un sac de riz ! Le riz, c'est magique ;-) On peut en faire compter une poignée, faire des carrés, des ronds, les peindre, les mettre dans sa culotte ou dans sa chatte, etc. Et bien entendu, on peut en faire deux petits tas et faire s'agenouiller sa soumise dessus.
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Par : le 03/02/21
"Elle se tordait avec une telle frénésie pour échapper aux morsures des lanières, si bien que le ventre et le devant des cuisses, avaient leurs part presque autant que les reins. Quand je t'aurai donnée aussi aux valets, je viendrai une nuit te faire fouetter jusqu'au sang. Une nuit, ils pénétrèrent dans sa chambre, saisirent chacun un long fouet et commencèrent à la flageller avec une vigueur qui lui fit mordre violemment les lèvres, jusqu'à ce que le goût de son propre sang l'eût empli la bouche." "Histoire d'O" de Dominique Aury. (1954) Comment le châtiment de la flagellation a pris sa place dans l'alchimie érotique de la partition des plaisirs ? De la naissance de la littérature "flagellante", à la multiplicité des études réalisées, en s'intéressant à la psychiatrie des perversions, le goût du fouet s'est imposé peu à peu, comme attirance spécifique, autonome de de la sexualité dans l'univers du sadomasochisme. La ritualisation attachée à ce châtiment, célébrant la beauté des sensations extrêmes, de la recherche de la cruauté et de la douleur, fait de lui, lors d'une séance S/M, dans cet art subtil et cérébral, une étape incontournable vers la jouissance sublimée. Défini comme un acte consistant à cingler le corps humain avec un fouet, des lanières, ou une tige souple, ou une cravache, le terme désigne une multiplicité de significations, religieuse, érotique, et disciplinaire, s'inscrivant dans un champ sémantique où sa compréhension sexuelle est pourvue de symboles, dans l'évocation imaginaire, de la verge au flagelle. Elle fut tout d'abord dans la religion une incarnation, utilisée comme un moyen de faire pénitence, telle une expiation de ses propres péchés, parfois même ceux des autres, et se pratique encore, aujourd'hui couramment dans certains ordres religieux ultra-catholiques. Dans l'histoire, la flagellation précédant la crucifixion était un préliminaire à la condamnation. Le nombre de coups portés très élevé pouvait alors conduire ni plus, ni moins, à la mort du supplicié. Elle fut utilisée par nombre de civilisations, encore employée aujourd'hui dans certains pays, comme ceux appliquant entre autres, la loi islamique, la charia. Les Romains l'employaient comme châtiment corporel. La fustigation était une peine appliquée aux citoyens ou aux émancipés jugée moins avilissante, que la la flagellation appliquée avec un fouet, le flagellum, réservée aux esclaves, dépourvus de citoyenneté, ayant commis des actes criminels, précédant dans la majorité des cas, la peine de mort. Aux XVIIIème et XIXème siècle, la bastonnade réalisée avec une longe calfatée, était une punition souvent pratiquée dans les pénitenciers avant l'arrêt de l'esclavage. La toute dernière flagellation publique, fut administrée, sous Louis XVI, en 1786 à l'encontre de la comtesse de La Motte, pour sa participation dans l'affaire retentissante du collier de la reine Marie-Antoinette. De nos jours, la flagellation demeure une sanction pénale encore appliquée en Iran et en Arabie Saoudite. En Littérature, l'œuvre de Sade, dans "Justine ou les Malheurs de la vertu" (1791) décrit, comme nous l'avons évoqué, au cours d'un précédent article, de nombreuses scènes de flagellation. "Thérèse philosophe", ouvrage moins réputé, attribué à Jean-Baptiste Boyer d'Argens (1748) y fait aussi largement écho. Sous l'Empire, l'actrice Émilie Contat, très courtisée à l'époque, vendait ses charmes en fouettant ses amants masochistes. Le sombre et intrigant ministre de la police de Napoléon, Joseph Fouché, fut le plus célèbre de ses clients, en fréquentant assidûment son boudoir. Dans la littérature érotique, ce sont les œuvres de Von Sacher-Masoch, et les études de Von Krafft-Ebing, fondateurs respectivement des concepts du "sadisme" et du "sadomasochisme" qui marquèrent les esprits. "La Vénus à la fourrure" de Leopold von Sacher-Masoch, parue en 1870 fait figure de roman novateur. les personnages Wanda et Séverin puisant dans la flagellation, leur source quotidienne de leurs jeux sexuels. De même, la flagellation chez Pierre Mac Orlan (1882-1970), auteur prolixe d'ouvrages érotiques, est largement présente. Dans "La Comtesse au fouet", "Belle et terrible", "Les Aventures amoureuses de Mademoiselle de Sommerange", ou "Mademoiselle de Mustelle et ses amies", enfin dans "Roman pervers d'une fillette élégante et vicieuse", récit de l'apprentissage de l'asservissement sexuel d'une très jeune fille. De même, on retrouve des scènes de flagellation, chez Apollinaire dans "Les Onze Mille Verges" (1907) et chez Pierre Louys en 1926, dans "Trois filles de leurs mère." Le roman "Histoire d'O" (1954), étudié précédemment, comporte de nombreuses scènes de flagellation. Plus proche de nous, la romancière, Eva Delambre, dans "Devenir Sienne" (2013), fait du fouet l'instrument de prédilection de Maître Hantz. Il en est de même dans "Turbulences." Un sombre voile de plaisir recouvre la flagellation depuis l'orée des temps. L'ancestral goûtait déjà du flagellum. Lors de processions rituelles, il l'employait pour implorer les dieux afin de fertiliser la femme. Ainsi, dans la Rome Antique, la dévotion pour Junon, tutélaire féminin, lui imposait alors la flagellation, afin de combattre l'infécondité. Lors des fêtes des Lupercales, après le sacrifice d'un bouc par les Luperques, prêtres de Faunus, deux jeunes pages le visage couvert du sang de l'animal, armés de lanières, fouettaient des femmes souhaitant devenir fécondes. Le culte de Diane chasseresse donnait lieu également à de véritables concours de fouettage. De même, la flagellation était prescrite par Hippocrate comme remède contre l'impuissance masculine. De nombreux textes anciens relatent avec lyrisme les liens étroits entre douleur et jouissance. Ainsi, Hérodote décrit, non sans poésie, des scènes de flagellations érotiques au cours des fêtes d'Isis, où tous les fidèles munis de fouet se frappaient jusqu'à l'extase. Pas de fêtes orgiaques sans rituels du fouet, lors des Dyonisies en Grèce ou des Bacchanales à Rome. Plus tard, de célèbres dévots éprouvèrent en se meurtrissant les effets stimulants du fouet. Henri III, dernier roi valoisien (1574 à 1589), grand pénitent mais aussi voluptueux raffiné, aimait se "tourmenter les chairs", en compagnie de ses mignons. Sade, étudié précédemment, en fit, dans l'intégralité de son œuvre, l'un de ses instruments de jouissance de prédilection. Comment alors, la pratique de la flagellation a-t-elle pris place dans l'art du jouir ? Chez Freud, le masochisme serait une perversion où le plaisir se lierait à une douleur recherchée, ou à l'avilissement voulu par l'individu soumis. Le désir de fouetter ou d'être fouetté proviendrait de la connexion directe entre plaisir et déplaisir. Plaisir de faire souffrir la soumise ou l'esclave sexuelle, ou de facto, à l'inverse, recherche de la douleur par la flagellée. L'envie de se faire souffrir, ou masochisme, serait la forme de perversion la plus répandue. L'attrait pour la flagellation, selon le psychanalyste, viendrait de la fixation, au cours de la petite enfance, d’une correction punitive mêlée à une jouissance. Le sadomasochisme représentant alors la satisfaction liée à la souffrance ou à l'humiliation subie par un sujet dépendant. Des comportements érotiques exacerbés conduiraient à une pratique sexuelle employant la douleur par la flagellation pour parvenir à la jouissance. Un sadique étant toujours un masochiste, selon le neurologue autrichien, le flagellant prend plaisir à fouetter, aurait pour partenaire, un flagellé recherchant l'extase sous le fouet. Dans une relation SM entre un dominant et un dominé, un Maître et un esclave, ou un masochiste et un sadique. La représentation religieuse de la flagellation l'associe à l'expiation d'une faute commise en vue de se punir de péchés. La mortification de la chair, dans une recherche mystique d'accaparation des douleurs du christ, permet de se rapprochant de Dieu. Quelles qu’en soient les origines, apparaît de façon sous-jacente l'union entre le corps et l'esprit. En punissant, on veut faire entendre raison, en meurtrissant le corps, on pousse l'esprit à s'élever en se surpassant. Tel est l'enjeu d'une séance de flagellation consentie. Car, on ne le répétera jamais assez, la flagellation est une pratique SM dangereuse si elle ne respecte pas des règles élémentaires de sécurité telles l'expérience du flagellant, l'écoute continue de la flagellée et l'existence d'un safeword. Les informations cérébro-dolorosives transmises au cerveau agissent comme des détonateurs forçant l'esprit. Celui-ci transmet à son tour au corps l'ordre d'endurer et de résister. Ce schéma synaptique neuromusculaire se produit lors d'une séance de flagellation. Plus clairement exprimé, la flagellation permet d'explorer le côté animal en transgressant les codes d'une sexualité classique. Elle confronte les partenaires, à la vulnérabilité ou à la puissance, au cours de jeux de rôles sexuels extrêmes, comme de puissants leviers d'excitation sexuelle. La ritualisation, en particulier, la mise à nu de la soumise exacerbe l'érotisation de la préparation à la séance de flagellation. Elle offre à son Maître, en signe d'offrande, le spectacle de sa nudité. Libre à lui, de se livrer à un examen approfondi des parties corporelles à travailler. Les yeux bandés, et bâillonnée, elle est attachée avec des menottes, ou des cordes, sur du mobilier, un carcan, un cheval d'arçon, le plus souvent à une croix de Saint-André. S'infligeant une souffrance physique, le masochiste produit des endorphines, hormones sécrétées en cas d'excitation et de douleur. Les endorphines ou endomorphines étant des composés opioïdes peptidiques endogènes secrétées par l'hypophyse et l'hypothalamus, lors d'activités physiques intenses, sportives ou sexuelles, d'excitation, de douleur, d'orgasme. Elles s'assimilent aux opiacés par leur capacité analgésique et procurent une sensation de bien-être. Lors d'une séance de flagellation, la douleur se transforme peu à peu en plaisir. Dès lors, elle occasionne un plaisir à la fois corporel et mental, pour le sadique ou dominateur, comme pour la ou le masochiste. Les impressions de brûlures, et de souffrance conduisent alors au plaisir, parfois à l'orgasme. La flagellée, par dévotion et par volonté de se dépasser, atteint peu à peu une forme relative de confort. Son cerveau exsudant des antalgiques ou euphorisants, elle supporte alors mieux la douleur quand approche le spasme. L'alchimie résidant dans l'expérience du Maître ou de la Maîtresse, dans sa technicité et sa maîtrise de l'art du fouet, du martinet, de la badine ou de la cravache. La caresse de la zone à fouetter, ou à pincer, au cours de la période d'échauffement, précède toujours la flagellation. Le dépassement de soi, en continuant à subir ou à frapper, plus longtemps et plus fort, s'acquiert avec le temps. À la douleur s'associe le fantasme de la domination. Véritable raffinement érotique, la flagellation, pratique fétiche, source de sensations corporelles voluptueuses, est véritablement au cœur de la littérature érotique. Plus de sept cents livres lui ont été consacrés entre 1890 et 1940. Gustave Le Rouge, Louis Malteste, Hector France ou Pierre Mac Orlan la vénèrent en déifiant ses rites. Citons "La Voluptueuse Souffrance" de Max des Vignons (1930), "Coups de fouet" de Lord Birchisgood, "Le magnétisme du fouet" de Jean de Villiot (1902), ou encore "Monsieur dresse sa bonne" (1996) de Georges Pailler, alias Esparbec. La flagellation, pratique autonome, est devenue aujourd'hui un symbole érotique incontournable de la domination. Rappelons que les séances de flagellation doivent être librement consenties entre des partenaires majeurs usant un safeword indispensable. Enfin, il est sage pour une novice en soumission de s'adresser à un Maître expérimenté. Bibliographie et références: - Marquis de Sade, "Justine ou les Malheurs de la vertu" - François Amédée Doppet, "Traité du fouet et de ses effets" - Leopold von Sacher-Masoch, "La Vénus à la fourrure" - Leopold von Sacher-Masoch, "Fouets et fourrures" - Bernard Valonnes, "Le règne de la cravache" - André Lorulot, "La flagellation et les perversions sexuelles" - Patrick Vandermeersch, "La chair de la passion" - Raymond-Josué Seckel, "La flagellation" - Guillaume Apollinaire, "Les Onze Mille Verges" - Eva Delambre, "Devenir Sienne" - Anne Cécile Desclos, dite Dominique Aury, "Histoire d'O" - Sigmund Freud, "Au-delà du principe de plaisir" - Sigmund Freud, "Trois essais sur la théorie sexuelle" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 02/02/21
Je vous attends, à genoux, mains posées, paumes ouvertes, bandeau sur les yeux. Je suis face à la porte que j'ai ouverte peu de temps avant l'heure de notre rendez vous. Mon coeur bas la chamade par l'excitation de vous rencontrer enfin. Par l'envie de vous servir et de vous sentir. Sentir votre puissance sur moi, sur mon corps. Je vous entends vous garer, la portière claquer, et franchir la porte d'entrée. Je me redresse pour mieux vous offrir mes seins. Vous êtes face à moi, j'entends votre souffle, vous m'observez je le sens. Vous vérifiez que tout soit en place et à disposition. Puis enfin vous vous approchez de moi. Vous vous saisissez des pinces tétons que j'ai posées à côté de moi. Vous prenez un premier tétons en main pour le faire davantage durcir. Ils le sont déjà par l'excitation. Vous posez la première pince et serrez jusqu'à ce que je réagisse... vous mettez ensuite la deuxième pince de la même façon. Mes tétons me brûlent, que c'est bon. J'avais perdu le goût de cette sensation. "Ouvres la bouche !" Je m'exécute et vous passez votre sexe sur mes lèvres et me le faite sentir, puis vous me pénétrez violemment la bouche avec. J'en étouffe presque. Puis vous me baisez la bouche ainsi quelques minutes. Vous stoppez au fond de ma gorge que vous forcez petit à petit, jusqu'à mettre tout au fond votre sexe durcit encore par l'excitation. Vous me laissez ainsi, suffocant, sans respiration et vous retirez. Je prends une grande inspiration sonore, puis petit à petit je retrouve mon souffle. Vous saisissez ma laisse et me faites marcher à 4 pattes dans le salon où nous nous trouvons. Vous savez que je déteste ça, peu importe... Vous me ramenez face à la porte, me faites monter sur un pouf à disposition. Vous me posez le baillon boule que j'ai laissé à porté de main. J'adore cet accessoire que j'ai longtemps abhorré. Vous faites le tour de mon corps et vous m'administrez une fessée puissante, claquante, vibrante ! Je manque de tomber du pouf. Vous malmenez ainsi mon fessié pendant quelques minutes, alternant vos mains, la cravache et le martinet. Je gueule de douleur mais ne peut pas prononcer pas le safeword, que je n'aurai de toute façon pas prononcé, tellement le plaisir est intense. Vous me laissez ainsi, le souffle court, et vous installez dans le fauteuil. J'ai mis à disposition votre boisson préférée. "Viens me masser les pieds Chienne" Je descends de mon pouf, me sachant la vue entravée, j'avais mis tous ce dont nous aurions besoin près de moi. Vous me retirez le baillon couvert de ma bave. Je saisi l'huile de massage et avant de commencer, je baise les pieds de Monsieur, mon mâle à vénérer... Je prends mon temps pour faire en sorte d'apporter à Monsieur le bien être qui lui convient. Je masse ses pieds consciencieusement, en appuyant bien sur la plante pour un meilleur effet. J'attends que vous me donniez un nouvel ordre avant d'arrêter. Vous vous levez et vous approchez de mon visage pour me faire sentir votre sexe, le frotter sur mon visage pour me faire sentir votre puissante virilité. Vous saisissez ma laisse pour à nouveau me faire marcher, cette fois jusqu'à la chambre, dont je vous avais indiqué la place dans la maison. Vous vous étiez saisi de l'huile de massage en quittant le salon. "Tu vas me masser le corps maintenant Esclave" "Oui Monsieur" En disant cela, je vous entends vous allonger sur le lit, je sens que vous mettez entre mes mains l'huile. Je m'approche du lit à taton. Je m'aperçois que vous êtes sur le ventre. Je me positionne à vos côtés et commence à vous masser le dos, je dois appuyer fort pour satisfaire ce corps musclé et puissant. Je m'attache à votre dos d'abord, avant de descendre au niveau de vos jolies fesses. Je sens sous mes mains un cul ferme, bombé, musclé, comme je les aime. Je prends le temps de vous caresser plus que vous masser, je profite un peu de cet instant... puis je viens écarter doucement vos fesses et y fourre mon nez à l'intérieur. Je viens humer l'odeur intime de votre sillon. Après m'en être imprégnée, je viens glisser ma langue sur votre rose, doucement. Je vous sens vous contracter et je donne des petits coups de langue afin de vous ouvrir petit à petit. Une fois suffisamment ouvert, je m'insère intimement en vous, et vos gémissements de plaisir me comblent de bonheur. Vous vous retournez sur le dos, et par ce geste votre sexe dur vient taper sur ma joue. Vous répétez ce geste manuellement. Vous posez votre sexe sur mes lèvres afin que je le sente. Que je sente toute votre virilité en cet instant. Je sens que vous vous délectez de cette situation. Je sens l'excitation battre dans votre magnifique queue. Je n'ose bouger. J'attends, à ma place. Vous vous assoupissez un peu. Je sens que vous vous relâchez et un sourire se dessine sur mes lèvres. L'instant n'a duré que quelques secondes, un moment de grâce pour moi. Il me saisit la tête "Ouvres la bouche" Je m'exécute et je sens votre tige envahir ma bouche. Vous vous levez, m'attrapez fermement et me positionnez en levrette au bord du lit, de façon à ce que nous soyons face au miroir qui se trouve dans ma chambre, à cet effet. Vous tapez sur mes fesses avec votre sexe dur. Vous le passez sur la chair tendre de mon sexe, sur ma rose, vous semblez hésiter mais il n'en est rien. Vous testez ma résistance à l'envie d'être remplie de votre chair. Après vous être frotté à moi, vous m'ordonnez de me lever. "Fais moi à manger et sers moi" Vous m'amenez dans la cuisine et m'enlevez mon bandeau. Je lève les yeux pour vous admirer, je vous savais grand mais en ma présence, votre taille et votre corpulence d'athlète sont encore plus impressionnantes. Je me reprends rapidement et prépare rapidement de quoi vous restaurer, selon vos consignes. Je viens vous servir dans le salon, où vous vous êtes installé. Je déjeune à vos pieds. Vous me faites signe de débarrasser et me rejoignez pour me mettre à nouveau le bandeau sur les yeux. Vous en profitez pour arracher les pinces tétons. Je laisse échapper un cri de douleur autant que de surprise. Pour faire durer la douleur, vous frappez à plusieurs reprises mes tétons, après avoir pris chaque sein en main pour en faire ressortir davantage l'objet de torture. La douleur est vive, intense, et tellement jouissive. Vous empoignez fermement ma laisse et m'emmenez, debout cette fois ci, dans la chambre. Là, vous vous allongez sur le dos et m'ordonnez de venir sur le lit avec vous. Je m'exécute avec plaisir, et ayant compris ce que vous attendez de moi, je m'approche doucement de votre corps. Je me place à vos côtés pour venir renifler vos aisselles. Je mets mon nez le long de cet endroit d'odeur masculine et virile par excellence. Je renifle chaque centimètre carré de cette première aisselle jusqu'à ce que vous me demandiez d'en faire de même pour l'autre. À taton, je descends du lit pour en faire le tour, venir me placer à vos côtés et renouveler mon action. Une fois satisfait de moi, vous insérez votre sexe dans ma bouche pour la baiser. Je bave de plus en plus sous les assauts de cette grosse queue dure. Je manque de vomir à plusieurs reprises, mais j'arrive à tout ravaler à chaque fois. A ce moment là, vous m'autorisez à venir m'empaler sur votre sexe en rute. Je me rapproche, passe une jambe de l'autre côté de votre corps et je viens prendre en moi, en entier, cette magnifique tige, tout en expirant un soupir de plaisir. Je porte ma main à mon sexe pour branler mon clitoris, alors que vous passez une main sous mon collier, autour de mon cou, afin de m'étouffer au rythme de mon plaisir qui monte. Les mouvements de mon corps sur votre queue, ma main entre mes lèvres et mon souffle coupé, je monte petit à petit à l'orgasme mais me retiens en attendant votre ordre. Je sais que je ne dois pas jouir tant que je n'en ai pas reçu l'autorisation de votre part. Je commence à perdre toute capacité respiratoire et mon clito est si dur entre mes doigts, vous sentez ma chatte comprimer votre sexe de plus en plus, et tout en relâchant ma gorge, vous m'ordonnez de jouir : "Vas y !" Un torrent électrique parcoure mon corps et dans la reprise de mon souffle, mon clito opère la contraction ultime qui fait que mon corps entier est secoué de spasmes violents de plaisir, au milieu de mes cris de femelles. Cet orgasme va durer quelques minutes, mon corps tressautant à chaque caresse de mon bouton, et mes cris de bêtes devenant peu à peu des soupirs d'apaisement. Avant même la fin de cet explosif orgasme, vous me basculez sur le dos, me relevez les jambes et insérez violemment votre sexe dans ma chatte. Vos coups de reins font taper le lit contre le mur dans un bruit répétitif. Votre puissance de mâle s'exerce pleinement sur mon corps, vous tenez mes jambes écartées et prenez appuie sur elles pour me maintenir dans cette position et me dominer de tout votre corps. Alors que vous sentez votre semence monter, vous accélérez vos coups de boutoir pour vous retirer en vitesse afin de m'arroser de votre semence. Le jet est si puissant qu'il vient jusqu'à mon visage. Je ne bouge pas. Vous savez que cela est tabou pour moi, mais je reçois ce jus sans bouger, je sais votre plaisir à l'instant...
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Par : le 02/02/21
Dominatrices et soumises inattendues : Chapitre 7 . le réveil chez Martine Martine ne tarde pas à s’endormir. Anna repense à cette après-midi d’enfer. Finalement elle a résisté et en est fière mais le pire c’était qu’elle a compétemment kiffé cette journée et adoré être l’esclave de la grande perche. Maintenant comment réveiller Martine ? Elle s’endort en cogitant cette question. Anna aux aguets voit que le jour commence à poindre à travers les fentes des volets. Elle se redresse et regarde l’heure sur le réveil posé sur la table de nuit de Martine. 7h00 encore une petite heure. Elle se rallonge mais elle n’ose pas se rendormir guettant de temps à autre le réveil. 7h56. Anna prie pour que sa façon de réveiller Martine soit la bonne. Elle se redresse et entreprend de monter délicatement sur le lit du côté des pieds de Martine. Elle se contorsionne pour passer sous les draps et en rampant elle remonte entre les jambes que Martine a, hasard, largement écartées. Martine ne porte pas de dessous et Anna la tête maintenant dans l’entrejambe de Martine lui embrasse tendrement le sexe. Pas de réaction. Anna darde sa langue et commence à lécher le sexe qui s’ouvre progressivement. Visiblement ça ne déplait pas à Martine. Soulagée Anna continue à brouter le minou de Martine qui maintenant se tortille et pousse des petits gémissements. Après un long temps Martine lui caresse la tête et dit bonjour à toi aussi ma petite esclave. Tu t’es bien débrouillée comme je t’ai demandé. Fière d’elle Anna ronronne de plaisir. Ouf pas de coup de cravache. Elles se lèvent. Anna est confuse de devoir faire son pipi du matin toujours enchainée et essuyée par Martine. Martine lui met ensuite des pinces vibrantes aux seins, le bâillon est réinstallé et un vibro introduit dans son sexe. Mais pas mis en route. Elles sont dans le salon quand la sonnette de l’entrée retenti. Anna est paniquée. Ne t’inquiète pas dit Martine c’est ma copine qui nous rapporte des croissants. Et prenant la laisse elle emmène Anna dans la chambre. Sans plus d’explication elle repart vers le salon. Soulagée Anna se dit qu’elle allait échapper à une exhibition devant un inconnue. Martine fait rentrer Maeva. Cette dernière a dans les mains un sac de croissant et suit Martine dans le salon surprise que Martine ne porte qu’une nuisette visiblement sans autres dessous. Alors c’est quoi cette surprise que tu veux me montrer demande Maeva à Martine. Martine souri et dit je vais t’épater j’en suis sure. Maeva regarde autour d’elle mais rien n’est visible. Tu vas voir dit Martine et élevant la voix. Anna vient ici dit-elle d’un ton impératif. Anna est paniquée. Non pas possible se dit elle puis repensant à la cravache elle se met en route vers le salon. Maeva a le souffle coupée Martine lui dit je te présente ma petite esclave Anna. Maeva ne peut détacher le regard des yeux angoissés d’Anna. Même si elle se retient de ne pas reluquer plus en détail le magnifique petit corps face à elle. Elle dit mais elle est consentante ? Martine rit bien sûr c’est même elle qui a demandé n’est-ce pas Anna. Celle-ci hoche la tête. Maeva S’autorise alors à contempler le corps offert. Martine défait le bâillon d’Anna. Redresse toi montre tes beaux seins et sourit intime Martine. Anna s’exécute en gonflant sa poitrine et tirant ses bras en arrière pour projeter ses seins fermes en avant. Elle ne parle pas demande Maeva. Elle n’a pas le droit répondit Martine. Et elle t’obéit sans rechigner. Elle n’a pas intérêt dit Martine d’ailleurs tu vas voir qu’elle est obéissante. Elle rajoute Anna vient embrasser ma copine. Immédiatement Anna se rapproche de Maeva médusée. Et n’oublie pas la langue ordonna Martine. Se hissant sur la pointe des pieds pour compenser sa petite taille Anna prend la bouche de Maeva qui sent aussitôt une petite langue s’infiltrer entre ses dents et la caresser délicatement. Ça suffit dit martine et Anna se recule. Allons-nous assoir pour manger ces croissants dit Martine. Maëva toujours songeuse s’assoit à côté d’elle. Anna ne bouge pas. Activant une télécommande Martine mis en route la sono et un air latino langoureux s’invite dans le salon. Danse pour nous dit Martine en fixant Anna. Celle-ci hésite. un coup de cravache la décide et elle commence à se trémousser lentement maladroitement. Mets y du cœur dit Martine plus sexe s’il te plait en même temps elle actionne la télécommande des vibros. Anna se tortille plus et entreprend de faire une danse digne d’une gogo danseuse. Fascinées les deux femmes ne quittent pas Anna des yeux. Celle-ci voyant l’effet qu’elle fait redouble de postures suggestives. Son bassin ondule de lui-même avec les vagues de jouissance que lui apporte le vibro intime. Après quelques minutes de pure tension la mélodie se termine. Martine éteint la sono et fait un geste. Anna se met immédiatement à genou à ses pieds. Au doigt et à l’œil dit Martine radieuse. Maeva acquiesce. D’un geste Martine montre son entrejambe à Anna qui y enfouit aussitôt son visage pour lui embrasser le sexe. Maeva a une nouvelle fois le souffle coupé. Tu veux en profiter proposa Martine. Maeva comprend pourquoi Martine lui a demandé de venir en jupe courte. Avant qu’elle ne réponde Martine tapote la tête d’Anna qui s’écarte et vient se positionner entre les jambes de Maëva. Aussitôt celle-ci sent une bouche fébrile lui fouiller son sexe elle a toujours son string mais la langue d’Anna est adroitement passée sur le côté. Voyant la croupe d’Anna elle voit qu’elle a un plug dans le cul. Martine suit son regard. Je lui fais son éducation lui dit-elle il faut bien qu’elle soit prête partout à répondre à tous mes désirs. Elles mangent les croissants en devisant tandis que Anna suivant les tapotements sur sa tête passe de l’une à l’autre pour prodiguer ses bons soins visiblement heureuse de son sort. Rêveuse Maëva dit tout haut ce qu’elle pensait. Je ne sais pas si je suis jalouse de toi ou d’elle. Martine la regarde avec un regard pervers. Mais on peut tout de suite voir si sa place est faite pour toi dit elle et libérant les poignets d’Anna elle dit à cette dernière. Anna prépare Maëva comme tu sais. Anna se redresse et commença à déshabiller Maëva en commençant par les escarpins. J’y crois pas se dit cette dernière maintenant nue. Anna lui met les bracelets aux poignets et avant que Maëva puisse réagir ses bras sont bloqués dans son dos et Anna lui installe le collier. Maëva veut protester mais déjà Anna lui impose le bâillon et un coup de cravache claque sur ses fesses. Tu n’es plus autorisée à parler dit Martine. Immobile effrayée Maëva se tient maintenant debout tenue en laisse par Anna. Tiens là dit Martine et elle va vers la chambre d’où elle revient avec quelques accessoires qui font pâlir Maëva. Un masque aveuglant lui est mis et maintenant dans le noir elle attend la suite avec appréhension. Quelqu’un lui pelote les seins sans qu’elle sache si c’est Martine ou la petite Anna. On tire sur sa laisse et elle se met à avancer. Ce n’est que le début d’une longue journée pour Maëva. Ruisselante de sueur Maëva est rompue elle a été fouillée sur toutes les parties de son corps engloutissant des objets de taille qu’elle n’aurait jamais cru. Elle ne compte plus les coups de cravache qu’elle a reçue et attend la prochaine humiliation. Il est tard mes chéries dit Martine .trop tard pour que tu te mettes à ma place Maëva n’est-ce pas Anna. Celle-ci se demande ce qu’il va encore lui arriver mais Martine ne poursuit pas. Elles libèrent Maëva qui commence à souffler. J’espère que tu ne m’en veux pas dit Martine. Maëva ne sait pas quoi répondre. Anna a retrouvé sa laisse et son collier et attend soumise qu’on lui donne un ordre. Maeva prend congé et s’éclipse rapidement. Songeuse Martine se demande si elle n’a pas été trop loin. A ton tour dit-elle à Anna. Prenant une étiquette munie d’un clip dans un tiroir inscrit quelque chose sur l’étiquette se rapproche d’Anna et clipse l’étiquette sur le sein droit d’Anna. Tu as passé le test avec réussite lui dit-elle en la poussant vers l’entrée. Un peu paniquée Anna se demande si Martine allait la mettre dehors dans son état. Martine l’arrête. Écoutes moi bien. Cette entrée est le seul endroit de la maison ou tu as le droit d’être habillée. Quand tu reviendras tu devras respecter cette consigne et arborer ton étiquette. Sinon nous ne serons plus amies. Elle détache complétement Anna et lui rend ses vêtements. Anna se rhabille oubliant d’enlever l’étiquette et sidérée quitte Martine en se promettant de ne jamais revenir dans cette maison. Arrivée chez elle, elle enlève enfin l’étiquette. Dessus il y a écrit « Esclave personnelle de Martine ». Elle jette l’étiquette dans la poubelle. Tard dans la nuit elle se relève et récupère l’étiquette qu’elle range dans sa table de nuit.
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Par : le 01/02/21
La dépréciation de la figure de proue du romantisme, prônant la sublimation des individus contre les mécanismes de reproduction sociale, a encouragé l’affirmation de théories relationnelles de l’amour. En même temps que décroît l'idée du sacrifice personnel et que devient centrale la composition des projets de vie, l’amour doit être dorénavant envisagé sous l’angle d'une visée virtuelle de l'union. Une telle redéfinition dans un contexte de modernité avancée ouvre dès lors un espace riche pour les sciences de l’information et de la communication qui peuvent examiner les processus amoureux inédits portés vers l’égalité des sexes et le respect des identités individuelles, les nouvelles représentations médiatiques et les inflexions des interactions proposées par l’Internet. Au-delà des oppositions philosophiques, la sphère intime contemporaine place la compréhension mutuelle au cœur de la communication amoureuse et s’avère pénétrée des problèmes de démocratie relationnelle, de rationalisation des sentiments et d’égalité de genre. La question est aujourd’hui de savoir quels codes remplacent l'entente valorisée par l’idéologie romantique à l'heure du numérique. Par la suspension, au moins virtuelle des distances spatiales et sociales entre individus, le Web permettrait dès lors un choix amoureux libre et ainsi d'engendrer plus rapidement un amour vrai. Chez Platon, dans "Le Banquet", éros, philia et agapè forment les trois inflexions de l’amour. Amour hypothétique, l’éros est une riposte imparfaite à la beauté d’autrui que la contemplation doit transfigurer en amour pur. Concernant la philia aristotélicienne, traduite en français par l’amitié, l’amour naît lorsque les hommes sont bons les uns avec les autres. En termes communicationnels, la philia est riche. Elle est partagée et implique réciprocité et évaluation des qualités d’autrui qui, si l’attachement est proportionnel à la qualité de l’individu, produisent une forme d’égalité. Lorsque la psychanalyse a érigé la libido, le narcissisme, le manque ou encore le transfert comme fondements psychiques du sujet, ces concepts sont devenus au mieux les seuls prismes par lesquels penser l’amour, ils l’ont au pire totalement enclavé et subordonné. Ces dieux cachés ont interdit d’envisager le sentiment amoureux en termes de liens communicationnels. Si l’on aime, c’est parce que l’autre est un miroir flatteur, que l’on éprouve un manque, que l’on se souvient ou que l’on transfère, mais jamais parce que l’on échange.Triste paradoxe.Tout amour ne serait que l’expression d’un psychisme inflexible, presque imperméable au monde extérieur, imperturbable dans son inertie. En psychanalyse, il apparaît plus opportun de relater non pas l’amour, mais un fantasme sexuel car le désir pour un autre rime avant tout avec celui pour soi-même ou pour une antique créature selon la mécanique constituante de l'abandon, du narcissisme ou de l'aliénation, trio conceptuel renvoyant la passion amoureuse au rôle de tendre auspice. Pourtant, les apports sont grands quand Sigmund Freud souligne la pluralité des manifestations qu’amalgame le seul terme d’amour et propose de nommer libido cette énergie qui, bien qu’elle émane de la sexualité, a trop souvent été réduite. Pour lui, les relations amoureuses sont la quête du sentiment de plénitude enfantin, dont l’individu cherche à combler la perte par une représentation parfaite de lui-même, nourrie par la libido narcissique. En conséquence, il n’y aurait pas d’amour pour l’autre, mais un amour de l’autre pour "les perfections que l’on souhaite à son propre moi." L’amour serait un trompe-l’œil dont la fonction serait de rendre viable l’expression du narcissisme, l’autre n’étant jamais une entité autonome avec laquelle se nouerait un échange mutuel, mais un simple miroir, un réceptacle ou un réservoir. Au dos de cette approche théorique est automatiquement visible le concept de l'homogamie, la tendance des êtres à constituer un couple avec un individu socialement semblable. Sujet courant en sciences sociales, l'homogamie fait l'objet de plusieurs travaux dont les résultats, les statistiques­ sont aujourd'hui connus au-delà du cercle académique. La foudre, quand elle tombe, ne tombe pas n'importe où. La ségrégation sociale des espaces de vie fait que les individus ont des opportunités de rencontres plus importantes lorsqu'ils sont proches dans l'espace social. Ensuite, et à l'intérieur de ces cercles de relations socialement restreints, l'homogamie advient du fait des préférences des acteurs. Les sites de rencontres mettent au défi ce modèle de la formation des couples. Déconnectés des lieux de vie, ils semblent désenclaver l'espace des rencontres amoureuses. Cela d'autant plus que, mettant en relation des individus sans interconnaissance préalable, ils suspendent la médiation des cercles de sociabilité. Cette apparente disparition du facteur homogame a conduit un certain nombre de commentateurs à voir dans ces sites un marché matrimonial plus libre et plus mouvant. Toutefois, ces sites se démarquent aussi des espaces de conjonction ordinaires par la manière dont les inclinations amoureuses vont pouvoir se formuler. Espaces numériques, ils se caractérisent par l'absence de face-à-face et par la communication écrite, proposant ainsi des conditions d'interaction différentes de celles hors ligne. Basés sur l'interaction à distance, les sites substituent un profil synthétique au corps physique pour remettre la rencontre de visu à un deuxième temps. Ces nouveaux services changent donc profondément les conditions de rencontres. Plus que de simplement annuler un des facteurs de l'homogamie, ils rendent difficile la mobilisation du modèle explicatif traditionnel de ce fait social. Dès lors, L’amour serait corrompu par une modernité libérale dont les acteurs seraient effrayés par les risques, la vérité et l’altérité. Dégradation de la sphère de l’amour qui ouvre trop grand le champ des possibles et appauvrit les liens amoureux, elle contribue à la prédominance d’une politique de la jouissance, une incapacité à connecter avec l’autre. Les individus postmodernes sont devenus "pervers" polymorphes et ne communiquent plus. Une fois de plus, l’individualisme est réduit à un égoïsme contrariant la mise en commun et bâillonnant de prolifiques échanges, là encore il est opposé aux logiques de reconnaissance sociale tirées d’une organisation plus globaliste. L'amour serait alors chargé d'imaginaire mercantile. Tandis que dans les espaces publics "offline" le corps matérialise l'existence d'un individu et renseigne sur sa personne, âge, genre, appartenance sociale­, sur Internet, pour y être, il faut se dire. C'est le cas sur les sites de rencontres où les utilisateurs sont présents à travers des profils largement textuels. Outre la photographie, facultative, les usagers sont invités à répondre à un certain nombre de questions à choix multiples et à des questions ouvertes. Il s'agit de se "profiler" à travers la mise en écrit, et donc en récit, de son identité sociale ainsi que de ses qualités et ses attentes dans le domaine des relations amoureuses et sexuelles. La fréquentation des sites de rencontres implique donc l'appropriation d'un outil technique où l'accent est mis, dans un premier temps, sur la présentation textuelle et visuelle de soi. L'annonce constitue un des éléments principaux du profil sur les sites de rencontres où les usagers sont invités à se présenter par un texte. Considéré comme un moyen de personnaliser une description de soi par ailleurs trop standardisée, ce champ libre est fortement investi par les personnes dotées de qualités empathiques et culturelles. Habitués et à l'aise avec la rédaction, ces usagers y voient un outil très privilégié pour se donner à voir à travers le contenu mais aussi la forme des annonces. Les fonctions du profil révèlent des usages de présentation de soi souvent très contrastées. Si l'objectif commun réside à s'offrir à voir et à mettre en avant ses aptitudes en tant que partenaire, la façon de l'effectuer diffère. Les éléments considérés valorisants et constitutifs de sa personne ainsi que la manière de manifester ceux-ci dépendent des ressources des acteurs et ne sont pas les mêmes d'un groupe social à l'autre. Pratique socialement marquée, l'expression verbale permet de situer socialement un individu inconnu. Cela est aussi vrai "offline" qu'"online" où l'interaction prend alors le plus souvent une forme écrite. La rédaction est l'objet d'une inégalité sociale qui s'exprime dans le degré de formalisme et de distance au langage parlé, d'une part, et dans la maîtrise de l'orthographe, d'autre part. Les sites de rencontres reposent ainsi sur un mode de communication fort inégalitaire. Les analyses révèlent que la rédaction devient un critère de choix ­ non prévu en tant que tel ­ dès lors que la sélection se fait par profil. Loin de rester un simple medium, l'écrit constitue en effet un moyen de filtrage central pour les interviewés scolairement dotés. Cela est particulièrement vrai pour l'orthographe. En effet, l'orthographe peut-être présentée comme un critère discriminant par la grande majorité des adeptes diplômés du supérieur, indépendamment du niveau et du secteur d'études. Il est aussi l'un des rares à être formulé en tant que tel. Une mauvaise expression écrite disqualifie immédiatement l'interlocuteur comme partenaire potentiel. Il constitue en cela un critère opérant une exclusion verticale nette vers le bas de l'échelle sociale. Lorsqu'il est motivé, le rejet s'inscrit dans un registre social mais avant tout dans celui du caractère. Sans être élitiste, la mauvaise orthographe n'en disqualifie pas moins la personne en tant que conjoint mais elle rebute plus largement. Intimement et implicitement liée à l'appartenance sociale, elle révèle alors que les préférences amoureuses ne traduisent pas seulement des goûts mais aussi des dégoûts. Puissant mythe, l’amour est un équilibriste qui oscille entre sentiments magnifiés et basse corporalité, l’antagonisme se résolvant dans le dialogisme et la communication, pour faire se rencontrer les plénitudes du corps et de l’âme. En effet, la littérature est à l’origine de ces codes. À partir de la seconde moitié du XX ème siècle, on observe une transformation des rapports amoureux portée par l’individualisme, les mouvements émancipatoires des femmes et des homosexuels (elles), et par la libération de la sexualité. Ce constat est décisif pour saisir les redéploiements communicationnels dans l’amour. On se satisfait d’un progrès laissant place à une liberté relationnelle et à l’épanouissement d’une vie sociale ne relevant pas d’un jardin secret parfois très culpabilisant, mais on peut aussi s’interroger, sur la difficulté à intégrer dans sa lecture aux dimensions modernes les joies d’un quotidien amoureux que d’aucuns peuvent juger aliénantes mais qui n’en sont pas moins réelles. De cet affaiblissement du romantisme et de la précarisation des relations, Internet est fréquemment perçu comme le témoin, voire l’opérateur. Affaibli par l’individualisme, le romantisme se rationalise. La rencontre de l’âme sœur se fait à partir des centres d’intérêts et de loisirs communs, ce qui ne favoriserait pas l’ouverture à l’altérité. La communication ne sort pas indemne des reformulations. La place du corps dans ces échanges en ligne est l’une des plus problématiques aujourd’hui. Internet réinstaure la distinction cartésienne entre esprit et corps, et écarte ce dernier. Pourtant, l’interaction textuelle en ligne ne saurait être qu’une facette des identités. Si la communication non verbale disparaît dans l’écrit, le corps ne disparait pas, dispersant des traces de son existence matérielle dans les photos ou les avatars, miroirs de ce que nous attendons aujourd’hui de nos corps réels. Internet propose des codifications qui font concurrence à celles des territoires sociaux classiques. En ligne, les femmes et les hommes, en âge de majorité, peuvent assumer leurs réels désirs sexuels. De même que les échanges virtuels, constitués de modèles amoureux divers, du romantisme banal à l’amour courtois médiéval qui, parfois, aboutissent à des échanges passionnels, les rencontres sont structurées par une définition de la sexualité comme loisir qui peine à se transformer en engagement conjugal. Toutes ces mutations peuvent finalement être résumées par le renversement du déroulement classique des rencontres amoureuses qu’induit Internet. L’intimité se dévoile avant la rencontre et la sexualité précède les sentiments amoureux, ce qui rend l’engagement d’autant plus compliqué. Ce qui serait aujourd’hui recherché par les individus ne serait pas tant le partenaire idéal que la relation parfaite en ce qu’elle respecterait le lourd travail identitaire effectué jusqu’ici par l’individu. En toute logique, ce nouveau mode amoureux suppose le minutieux travail d’une politique relationnelle pour communiquer ses envies et attentes, cela pour négocier le contrat amoureux et établir des compromis qui permettent au régime de se poursuivre. Un tel gouvernement relationnel s’exprime également dans la sexualité, entendue comme ars erotica, qui devient un pôle publiquement chargé d’électricité politique, un territoire personnel et social dans lequel se joue la liberté fondamentale à disposer et à jouir pleinement de son corps. L’approximatif et le lyrisme n’y sont imaginés que comme des fantasmagories romantiques qu’il convient rapidement de chasser au plus vite. Chat échaudé craint l’eau froide. Si la relation pure est prudente à l’égard de la fusion romantique, la poésie et le renoncement, c’est parce qu’elle a compris qu’hérité du romantisme, le sacrifice est celui de l’épanouissement, souvent féminin. Contrairement à une idée courante, les rencontres en ligne donnent rarement lieu à une longue relation épistolaire. Au contraire, lorsque les interlocuteurs s'apprécient par écrit, ils décident alors le plus souvent de se rencontrer rapidement en face-à-face. La volonté de voir l'autre se nourrit alors surtout du souhait d'apprécier esthétiquement l'autre. Nouveau lieu de rencontres, internet introduit un nouveau scénario de rapprochement. Alors que la rencontre physique constitue habituellement le prélude des relations intimes, elle intervient ici à la fin d'un processus de présélection des partenaires potentiels. Elle s'apparente à une audition où s'apprécient des candidats préalablement choisis par l'évaluation de fiches descriptives et par l'échange écrit. Ce nouveau scénario se traduit par un jugement processuel des partenaires. Modèle amoureux de référence depuis le XVIII ème siècle, le romantisme poursuit de sous-tendre les imaginaires et les pratiques dans les représentations culturelles et dans les nouvelles formes de rencontre amoureuse sur Internet. Mais ce mouvement moderne qui prédisait la liberté individuelle contre les codifications sociales s'avère être devenu ce contre quoi il s’était séculairement constitué, une nébuleuse virtuelle étouffant parfois les aspirations de ses adeptes. Dans une modernité avancée faite de liens distanciés, mais aussi plus nombreux et plus libres, la validation de l’identité individuelle par un autre genre, telle que le suppose le complexe sentimental, est un véritable enjeu et l’horizon de nouveaux modèles numériques à inventer. Compromis, concessions, renoncements, expression personnelle sont autant d’outils qui inciteraient à la tendre harmonie amoureuse pour certains auteurs compréhensifs ou à la tyrannie éloquente pour les auteurs critiques. Bibliographie et références: - S. Freud, "Pour introduire le narcissisme" - S. Chaumier, "L’amour virtuel, nouvel art d’aimer" - J. Habermas, "L'espace numérique" - Z. Bauman, "Le désir de la toile" - A. Casilli, "Les liasons numériques" - P. Flichy, "Le corps dans l’espace numérique" - N. Fraser, "Repenser la sphère virtuelle" - A. Badiou, "Éloge de l’amour" - J. Lacan, "Le séminaire" - P. Lardellier, "Écran, mon bel écran" - F. Bourin, "Sexe, amour et séduction sur Internet" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 01/02/21
Dominatrices et soumises inattendues : CHAPITRE six : Martine et Anna Le lendemain Magalie téléphone à Martine pour lui faire part des inquiétudes d’Anna. Martine lui avoue sans plus de précision que Anna a été assez loin mais qu’elle pourra compter sur elle le jour sans problème. Elle propose même que si Anna se sent meilleure pour le rôle elle peut la tester elle-même. Amusée Magalie lui dit qu’elle en parlerait à Anna. Lorsque Magalie lui relate la conversation Anna est un peu vexée. Bien sûr que je peux endurer plus que cette grande perche dit-elle à Magalie tu l’as bien vu toi-même. Magalie ne disconvient pas et propose que Martine la teste pour qu’elles se mettent d’accord. Fière par avance de donner une bonne leçon à Martine Anna récupère son numéro et appelle cette dernière. Martine est toute gentille et lui propose un rendez-vous chez elle dans l’après-midi pour qu’elles puissent juger sur pièces. Cet après-midi-là Anna, bravache, a remis la même tenue que la fameuse soirée chez Magalie. Son chemisier fin sur ses seins libres et sa minijupe en cuir sans rien dessous. Elle fait peut être une tête de plus qu’elle et au moins trois bonnets de plus qu’Anna mais la grande verra comment les seins d’Anna sont ferme et comment elle peut subir un mauvais traitement sans broncher. Martine l’accueille chaleureusement. Elle l’emmène dans le salon et lui dit. Bon on peut commencer tout de suite. Anna acquiesce et commence à se déshabiller en soutenant le regard amusé et expert de Martine. Puis Martine lui lie les mains dans le dos, la bâillonne et lui met la cagoule et le collier auquel elle accroche une laisse. Bien dit Martine on va te mettre dans la position d’attente. Et elle tire sur la laisse emmenant Martine dans ce qui semble être un garage car elle ressent le froid du béton sous ses pieds et la pièce n’est vraisemblablement pas chauffée. BRR dit Martine en accrochant la laisse à un solide piton. Il ne fait pas chaud ici, je vais te laisser pour aller prendre un thé et faire quelques courses. Je serais revenue dans un bon moment. Si tu as froid tu peux toujours sautiller sur place. Paniquée Anna se demande si c’est un gag mais lorsqu’elle est sure d’être seule dans le garage elle comprend que Martine n’a pas apprécié leur dernière rencontre et compte lui en faire baver. Après quelques minutes le froid s’insinue en Anna qui se décide à faire des mouvements sur place. Elle grelotte. Après un interminable moment elle entend la porte s’ouvrir. La voix de Martine se fait entendre. J’ai envie de mater un bon film ça ne te dérange pas de regarder avec moi lui dit-elle. Anna ne comprend pas mais elle sent la laisse la tirer et elle suit Martine heureuse de retrouver un peu de chaleur dans la maison. Mais tu grelotte lui dit Martine tu as eu froid. On va te réchauffer un peu. Elle fait coulisser le collier sur le côté du cou d’Anna et tend la laisse. Bon tu vas marcher un peu en rond lui dit-elle. Anna ne comprend pas. Un coup de cravache pas trop appuyé mais suffisamment pour la faire tressauter lui cingle les fesses. Aller avance mon petit cheval dit Martine Anna se met en mouvement. Un deuxième coup de cravache. Plus vite dit Martine Anna accélère le pas. Un troisièmes coup de cravache monte les genoux maintenant sois un bon petit cheval. Anna monte légèrement les genoux. Un coup de cravache. Plus haut aller giddap ma petite. Maintenaient Anna tourne depuis plus de cinq minutes elle est en sueur et applique sans attendre immédiatement les ordres que lui donne Martine redoutant le coup de cravache supplémentaire le froid est bien parti. Bon petit cheval dit Martine lui disant de s’arrêter Anna obtempère aussitôt. Tu vois que c’est simple d’obéir dit Martine en lui flattant la croupe. Il suffit de disposer des bons arguments et elle fait glisser la cravache le long des fesses d’Anna. Maintenant on va se mater le film. Anna est attirée en avant et après un ordre sec de Martine qu’elle exécute immédiatement elle se retrouve à genou devant cette dernière qui s’assoit sur le canapé. Tiens pour te faire du bien pendant le film on va te trouver un bon petit vibro. Ecarte les genoux. Anna se dépêche d’obéir elle a renoncé à se rebiffer et est matée. Elle sent les doigts de Martine la pénétrer en douceur puis un vibros remplace les doigts de Martine. Bon on va commencer à regarder ce film dit cette dernière et Anna entend la télé s’allumer. J’ai un bon petit film qui va te plaire c’est « Fire in her bed » c ‘est en anglais mais c’est sympa. Anna ne peut pas se retourner vers la télé mais de toute façon avec sa cagoule elle ne verra rien. Le film commence Martine lui cajole la joue et appuie sur la télécommande du vibros. Après quelques instants alors qu’Anna se félicite de ne rien ressentir, une vague chaude l’embrase. Elle commence à remuer la croupe au rythme des vibrations. Bon dit Martine maintenant tu as affirmé que tu étais très forte alors je ne devrais pas avoir besoin du bâillon pour que tu gardes le silence. Anna sent la cravache caresser ses jambes elle hoche rapidement la tête espérant que c’est la réponse attendue par Martine. Bien dit cette dernière tu comprends vite. Et elle entreprend de libérer Anna du bâillon. Soulagée mais prenant garde de ne pas parler Anna est soudain attirée en avant par la laisse elle se retrouve entre les genoux de Martine qui caresse sa tête. Puisque ta bouche est libre autant l’utiliser dit Martine écartant les cuisses Anna hésite se demandant ce qu’elle attend. Un coup de cravache et elle plonge la tête en avant sa bouche heurtant le sexe de Martine. Bien ma petite, voyons si tu as la langue bien pendue. Anna craignant le coup de cravache ouvre la bouche et darde sa langue aussi vite que possible. Très bien dit Martine tu peux continuer. Anna se met à l’ouvrage au moins elle ne reçoit pas de coup de cravache. Inexpérimentée, elle n’a jamais brouté le minou d’une femme, elle y met tout son possible pour plaire à Martine plutôt que de le fouet. Après quelques moments elle commence à être échauffe par l’odeur musquée et particulièrement agréable de la chatte de Martine et s’applique à être à l’écoute des réactions de Martine pour améliorer son œuvre. Elle se surprend à avoir envie de bien faire pour satisfaire Martine. La crainte du coup de cravache a fait place à l’envie de faire jouir la grande perche. Martine se tortille et son souffle court indique à Anna qu’elle va dans le bon chemin. Pour sa part Anna se laisse aussi emporter par les orgasmes provoqués par le vibro et aidé par ce qu’elle fait avec sa langue. Martine se laisse aller à l’orgasme trois ou quatre fois puis demande à Anna de prendre une pause. Celle-ci sans se retirer arrête de lécher. Bien ma petite esclave tu te comportes vraiment bien je me demande si tu n’y trouve pas ton compte dit Martine. Anna hoche la tête. Bon maintenant on va tester un gode dit Martine elle recule Anna qui a toujours les genoux écartés et retire le vibros. A la place elle pose un gode sur sa ventouse et demande à Anna de s’empaler dessus Anna obéit aussitôt et elle sent un gode énorme pour elle la remplir à fond. Tu as de la chance je ne t’ai pas mis big john dit Martine tu y auras droit si tu n’es pas un bonne petite esclave. Et elle enfouit la tête d’Anna entre ses cuisses. Cette dernière entreprend aussitôt de brouter la chatte de sa maitresse. Remue un peu tes fesses ordonne Martine Anna se met aussitôt à faire des va et vient de haut en bas tout en continuant à lécher consciencieusement la chatte si appétissante. La fin du film tire les filles de leur tête à chatte et Martine ordonne à Anna d’arrêter. Celle-ci sans se reculer obéit instantanément. Martine lui indique qu’elle peut se reculer. Anna étant maintenant à genou devant sa maitresse sans bouger. Il est bientôt 19 h dit Martine je prendrais bien un apéritif. Elle retire la cagoule d’Anna qui cligne des yeux sous la lumière. Retournes toi dit Martine elle s’exécute rapidement. Martine désolidarise les bracelets et rattache les mains d’Anna en arrière. Puis se ravisant elle les rattache devant en mettant une petite chainette entre l’anneau du collier de cuir et les bracelets des mains avant forçant Anna à garder ses mais dix cm de son cou. Elle prend aussi une chainette et l’accroche aux bracelets de cheville. Lève-toi. Anna s’exécute immédiatement. Tu vas aller me préparer un martini dit-elle. Débrouilles toi pour le trouver. Anna veut demander ou se trouve le martini mais à peine a-t- elle ouvert la bouche qu’un coup de cravache arrive. Tu ne dois pas parler je te rappelle dit Martine. Anna hoche la tête et à tout petits pas se dirige vers la cuisine. Tant bien que mal elle trouve le martini dans le frigo et peut remplir un verre. Elle va repartir quand une voie impatiente lui fait comprendre qu’un coup de cravache l’attendait à l’arrivée si elle ne va pas plus vite. Elle se démène pour arriver jusqu’à Martine. Tu as les seins bien fermes dit cette dernière. Ils ne bougent pas d’un pouce quand tu bouges. En disant ça elle pince les mamelons avec force tirant les larmes des yeux d’Anna qui pourtant décide de ne pas bouger. Flattée malgré tout Anna relève la tête au moins la grande perche admet qu’elle est canon de ce côté-là. Martine prend le verre. Anna reste immobile attendant l’ordre suivant. A quatre pattes dit cette dernière et dès qu’Anna est en position elle repose le verre sur sa croupe. Bonne petite esclave dit cette dernière. Anna ne bouge plus, fière quelque part d’être flattée comme ça. Martine boit tranquillement son martini et en commande un deuxième à Anna. Anna se dit qu’elle aussi en aurait bien bu un. Tu en veux un ? Demande Martine comme si elle a deviné ses pensées. Elle hoche la tête. Elle s’est remise à quatre pattes sur les ordres de Martine. Martine pose son verre sur la croupe d’Anna et se dirige vers la cuisine. Elle revient avec un bol à la main. Anna se demande de quoi il s’agit et Martine pose le bol au sol près de la tête d’Anna. Voilà pour toi. Tu peux le boire. Anna comprend enfin ce qu’il fallait faire avant qu’un coup de cravache n’arrive elle baisse la tête et commence à laper le martini. Bien lui dit Martine tu piges vite. Elles terminent leur martini et Martine décide que c’est l’heure de diner. Elle ramène une assiette pour elle et une gamelle pour Anna. Le repas a été consciencieusement découpé et se présente sous forme de bouchées. Martine commence à manger regardant Anna qui aussitôt penche la tête et commence à manger comme un bon animal de compagnie. Le repas terminé Anna doit faire la vaisselle. Martine vient derrière elle et lui dit il est tard tu vas dormir ici. Anna veut refuser mais un coup de cravache la ramène à d’autres dispositions. A la douche maintenant annonce Martine Anna la suit bien tenue en laisse .c’est une douche à l’italienne. Martine fait entrer Anna dans la douche et la lave consciencieusement. Anna ronronne, à sa grande honte, de plaisir. Puis Martine se déshabille à son tour et Anna peut observer de près la poitrine de Martine. Celle-ci lui fourre une éponge naturelle dans la bouche. Au boulot dit-elle. Anna commence à la frotter dans le dos et devant puis se met à genoux pour les jambes les fesses et finalement l’entrejambe. Martine lui retire l’éponge. Pour ça ta langue fera bien l’affaire. Anna se met à lécher consciencieusement la chatte brulante de Martine qui fait durer le moment. Enfin elles sortent de la douche. Une serviette entre les dents Anna essuie tout le corps de Martine. Maintenant on va se coucher dit cette dernière en entrainant Anna à sa suite avec la laisse. Arrivée à la chambre, heureusement c’est un grand lit, se dit Anna Martine la fait se mettre à genou puis appuyer son torse sur le lit Anna est perplexe. Écarte les jambes dit Martine. Elle obtempère. Martine s’absente quelques instants et revient avec des plugs dans une main et un flacon, certainement du lubrifiant dans l’autre. On n’a pas testé ta résistance de ce côté-là dit-elle. Elle lubrifie consciencieusement un petit plug et l’approche du trou encore vierge de Anna. Avec ses doigts elle enduit le cul d’Anna et enfonce délicatement le plug. Anna trouve a que ça ne fait pas mal mais tortille du cul car le plug s’y accroche bien. Le plug est retiré. Suivant dit Martine et elle montre un plug plus imposant presqu’aussi gros qu’une queue dans sa partie la plus épaisse. Le plug est plus dur à entrer et Anna sent bien sa présence entre ses fesses. Suivant dit Martine. Anna est effrayée. Le plug a largement l’épaisseur d’une queue. Détend toi dit Martine facile à dire mais Anna fait tout son possible détendre son anus. Le plug finit par rentrer Anna se sent écartelée et le plug modelé en conséquence ne manifeste aucune intention de sortir. Et le dernier dit Martine en montrant un gourdin énorme tu te rappelles c’est toi même qui m’a dit qu’il fallait faire un effort. Anna a les larmes aux yeux quand le plug s’immisce de force dans son intimité elle se sent écartelée. On va le garder pour la nuit dit Martine Anna hoquète mais se tait craignant plus le fouet qu’autre chose. Redresse toi et recule toi Martine vient se placer à genou face à Anna plus grande et se surélevant un peu elle affiche se seins à la hauteur des yeux d’Anna. Ils t’ont fait fantasmer je crois maintenait tu vas leur faire plaisir. Anna comprenant se penche et commence à téter les mamelons érigés. Passant de l’un à l’autre léchant les volumes harmonieux entre temps Anna se laisse aller à lécher l’opulente poitrine. Bien tu es une bonne broute minou déclara Martine et elle invite Anna à se coucher sur le dos sur le lit. Quelques instants plus tard Anna est écartelée en croix sur le lit solidement fixée par les bracelets tendus. Martine sort alors un gode ceinture de nulle part. Il n’y a pas que moi qui doit en profiter dit elle et elle commence à fourrer Anna qui se sent éclatée entre le plug et l’impressionnant gode. Cela ne l’empêche pas de jouir sous les coups et les baisers de Martine. Enfin celle-ci se retire. Elle détache Anna et la fait descendre du lit. Le couvre lit est jeté par terre et Martine rattache Anna en joignant les poignets dans le dos. Anna s’allonge sur le dos. Martine lui souhaite bonne nuit et tenant toujours la laisse en main éteint la lumière. Au fait dit elle n’oublie pas de me réveiller à 8h00 demain matin. Bien sûr tu feras ça bien.
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Par : le 01/02/21
Dominatrices et soumises inattendues : CHAPITRE cinq : Dernière répétition Extraits « …Elle prit la laisse et promena Martine dans le salon les mouvements gracieux de Martine et le balancement de ses seins mettaient Anna en émoi. Tout bas elle dit à Martine bon on va essayer les godes… Adroitement Anna lui mit des bracelets de cheville et quelques instants plus Martine avait les mains collées aux chevilles. D’une poussée Anna la fit basculer sur le dos. Ayant à peine repris son souffle Martine senti les doigts d’Anna s’insinuer dans son sexe… » Claire avait tout de suite accepté de servir de cliente test pour la simulation d’une séance de vente débridée. Magalie était restée vague mais lui avait demandé d’emmener le nécessaire pour épiler un torse voire plus. Elle avait accepté. Après tout elle était experte et n’allait pas faire payer sa copine. Anna avait été plus longue à convaincre. Le souvenir de sa dernière visite chez Magalie lancinait dans son esprit depuis ce temps-là et elle se demandait comment elle réagirait si la situation dérapait. Néanmoins elle finit par accepter de venir. Finalement elle devait s’avouer que ça lui avait plus comme jamais. Le fameux soir Claire et Anna se présentèrent ensemble à l’appartement de Magalie. Celle-ci les reçu dans le salon et après un verre de l’amitié elle leur expliqua la demande de la tigresse qu’elle avait acceptée et qu’elle avait trouvé des modèles pour tester les toys. Impatientes les filles cherchèrent autour d’elles mais ne voyaient pas les fameux modèles. Magalie souriante leur demanda de patienter et leur demanda ce qu’elles voudraient tester pour commencer. Une guêpière attira l’œil d’Anna. Je voudrais bien tester ça dit-elle. Pas de problème patientez quelques secondes je reviens dit Magalie qui partit vers la salle de bains. A la grande stupéfaction des filles elle revint trainant au bout d’une laisse une femme sculpturale cagoulée, bâillonnée et les mains attachées derrière le dos. Devant leur bouche bée Magalie précisa ne vous inquiétez pas elle est volontaire n’est-ce pas Martine cette derrière hocha la tête pour montrer son acquiescement. Magalie la mit face à Anna et lui proposa de mettre la guêpière sur Martine en précisant que la taille était bonne. Anna hésita mais elle n’allait pas se dégonfler devant ses copines elle installa la guêpière en frôlant le moins possible les seins de Martine qui pourtant l’attiraient comme un aimant. Claire amusée proposa les bijoux pour seins et tour à tour avec Anna elles accrochèrent les bijoux aux mamelons maintenant turgescents de Martine. Puis ce fut au tour des vibros les filles virent que ça fonctionnait sévère sur Martine qui ahanait de plus en plus. Magalie décida que c’était assez et leur demanda si elles voulaient essayer des trucs pour hommes. Claire fut ravie Anna acquiesça mollement en gardant un œil sur la femme exposée devant elle. Reprenant le même manège Magalie amena Tristan et le mis face à claire. Celle-ci fit honneur à la collection de Magalie en testant les cockrings, vibros colliers de cuir barres d’écartement et autres gadgets sur Tristan sous l’œil songeur d’Anna. Effectivement il y a trop de poil déclara claire. Si tu veux je peux y remédier dit-elle Magalie sourit et lui dit que ce serait une bonne chose et que Tristan n’avait qu’à dire s’il était contre ce qui n’était pas possible. Emmenons le dans la salle de bains proposa claire en choppant la laisse de Tristan qui suivit sans trop de conviction les deux filles. Anna tu n’as qu’à continuer avec Martine pendant qu’on s’occupe de Tristan proposa Magalie. Anna senti une grosse chaleur venant de son bas ventre et approcha de Martine. Elle prit la laisse et promena Martine dans le salon les mouvements gracieux de Martine et le balancement de ses seins mettaient Anna en émoi. Tout bas elle dit à Martine bon on va essayer les godes. Celui-ci possède une ventouse je suppose que la ventouse se colle par terre et qu’on se met à genou dessus. Reprenant la laisse elle emmena Martine dans la cuisine seul endroit avec la salle de bains déjà occupée qui avec du carrelage permettant la bonne adhérence de la ventouse. Tirant sur la laisse elle obligea Martine à se mettre à genou sur le carrelage froid. Puis elle fixa le gode de bonne taille et demanda à Martine de s’empaler dessus cette dernière hésitante Anna tira sur la laisse et donna une petite claque sur les fesses de Martine. Puis Martine ayant accepté son sort Anna guida le gode à l’entrée du sexe de Martine Anna la tripota dans le but de bien lubrifier naturellement le gode. Martine troublée elle aussi mouillait de plus en plus. Les gestes d’Anna étaient précis bien qu’impérieux et martine ne tarda pas à engloutir profondément le gode. Maintenant active toi dessus pour voir l’effet ordonna Anna. Obtempérant Martine se mis à faire des va et vient de haut en bas lentement. Plus vite ordonna Anna en lui pinçant un téton. On en a d’autres à essayer. Martine accéléra et ne tarda pas à ruisseler de sueur. Ça a l ‘air cool dit Anna. ne bouge pas je vais chercher la taille au-dessus. Un peu Inquiète Martine demeura sur place. Elle entendit Anna revenir et sur la demande de cette dernière elle se redressa suffisamment pour extraire le gode qui la fouillait depuis quelques minutes. Anna la fit encore se redresser en tirant sur la laisse. Celui-ci est plus gros et plus grand annonça-t-elle. Et elle tira la laisse vers le bas pour que Martine se baisse cette dernière senti en objet volumineux se présenter à la porte de son sexe. Aidée par Anna, impatiente, elle englouti petit à petit le gode énorme qui la dilatait comme jamais. Anna la fit s’activer et après quelques instants Martine fut fauchée par un orgasme énorme. Bon ça a l’air de bien te plaire dit Anna. Maintenant on va passer au big john. On va voir ce que tu en penses. Martine se tétanisa. Elle devait plaisanter mais elle fut terrifiée quand un nouveau gode visiblement énorme de présenta à l’entrée de son sexe. Elle eut beau faire, même avec l’aide d’Anna .il fut impossible de le faire rentrer. Anna lui assena deux claques bien appuyées sur les seins. Martine senti les larmes lui venir. Tu ne fais pas d’effort dit Anna. On va essayer d’une autre façon. Elle tira sèchement sur la laisse obligeant Martine à se relever puis la ramena vers le salon où elle l’a fit s’agenouiller. Martine était effrayée de rester seule avec cette furie. Adroitement Anna lui mit des bracelets de cheville et quelques instants plus Martine avait les mains collées aux chevilles. D’une poussée Anna la fit basculer sur le dos. Ayant à peine repris son souffle Martine senti les doigts d’Anna s’insinuer dans son sexe. Un puis deux puis trois et enfin les cinq petits doigts d’Anna la farfouillaient en tentant visiblement de l’écarter au maximum. Bon on dirait que tu es prête lui dit Anna et elle lui posa le bout du gode à l’entrée du sexe. Ayant plus de prise et sans retenir ses efforts Anna fit pénétrer de force le gode. Martine gémissait dans son bâillon mais inexorablement big john entrait dans son intimité. Enfin Martine englouti le gode. Elle se sentait écartelée à la imite de la déchirure. Tu vois lui susurra Anna en faisant faire des va et vient au gode tu apprends vite et si tu fais un effort on peut tout te fourrer dans ton minou. Enfin elle retira le gode au grand soulagement de Martine qui pleurait silencieusement. On a pas le temps d’essayer les godes ceintures mais tu ne perds rien pour attendre. Lui dit-elle mystérieusement. Anna aida Martine à se remettre sur les genoux. A ce moment-là le trio fit une entrée triomphante dans le salon. Tristan entièrement glabre le sexe toujours dressé suivait les deux complices satisfaites. Il fut décidé que la séance était terminée. Anna et Magalie détachèrent Martine et Tristan. Voyant la petite peste pour la première fois Martine ravala fièrement ses larmes et se promis de se venger un jour. Ils décidèrent que les répétitions étaient concluantes et les visiteuses quittèrent l’appartement. Au moment du départ Anna chuchota dans l’oreille de Magalie qu’elle ne pensait pas que Martine serait suffisamment à la hauteur et elle fila sans répondre au regard étonné de Magalie.
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Par : le 01/02/21
Dominatrices et soumises inattendues : CHAPITRE 4 : Magalie Martine et Tristan Extraits « Empoignant la laisse Magalie la fait pénétrer dans le salon. Pour voir l’effet que cela fait elle fait faire le tour de la table du salon à Martine et la plante face à Tristan qui devient écarlate…. Celle-ci sent qu’elle a les larmes aux yeux. Puis une onde de choc la traverse et un orgasme incroyable la foudroie. Elle n’arrive plus à tenir debout… Déshabille toi lui intime-t-elle. Il ne se fait pas prier. Voyant la taille de son gourdin et l’érection monumentale qu’il arbore elle lui dit qu’il est déjà bien en condition pour le taf. Et lui prend les mains pour fixer les bracelets. Bien harnaché, Tristan suit Martine tenant la laisse jusqu’au salon. Magalie est pensive, elle s’est un peu avancée lors de la séance de vente de toys auprès de celle qu’elle surnomme la tigresse. Elle a annoncé qu’elle aurait deux cobayes masculin et féminin qui serviraient pour l’essai des tenues, toys et comparaison des sensations entre tenir un toy et tenir un pénis en érection. Tristan serait surement partant. Il a visiblement apprécié son bondage devant les copines et serait content de s’exhiber devant un parterre de femelles motivées. Pour le modèle féminin elle pense à Anna qui est particulièrement bien foutue et qui a visiblement apprécié de lui servir de proie lors des essais intimes qu’elles ont faits ensemble. Cependant rien n’est moins sûr. Trop timide Anna n’osera jamais faire ça même sous couvert de l’anonymat. Elle réfléchit à la situation bien sûr il faudra que les modèles soient maqués pour ne pas être reconnus d’une part et pour que les femmes s’approprient mentalement le corps du modèle féminin lors des essais. Les mots de Martine lui reviennent en tête. Elle a mystérieusement annoncé à Magalie qu’elle pourrait peut-être l’aider dans ce projet. Peut-être connait-elle quelqu’un qui serait volontaire mais il faudra surement payer la prestation et Magalie n’a pas assez de marge pour payer une « prestataire ». Néanmoins comme elle a promis de le faire elle appele Martine qui lui a donné son 06. Celle-ci parait ravie d’entendre Magalie. Après avoir parlé de la pluie et du beau temps Magalie ne sait pas trop comment aborder le sujet. Peut-être que Martine a oublié l’affaire ou s’est un peu avancée dans l’euphorie du moment. C’est Martine qui aborde le sujet. Adoptant le tutoiement cette dernière dit alors tu as toujours l’intention de faire une séance plus hard de vente ? Oui répondit Magalie un peu mal à l’aise. Tu sais ce que je t’ai dit l’autre jour tient toujours. Je peux peut être te donner un coup de main. Soulagée Magalie la remercie et lui avoue qu’effectivement elle n’a pas encore trouvé de solution. Martine lui propose qu’elles se rencontrent pour en parler. Magalie est d’accord et elles se décident pour l’appartement de Magalie car c’est là qu’est rangé le matériel. Elles se donnent rendez-vous le soir même. Martine est en retard. Magalie pense qu’elle s’est peut être dégonflée et n’apportera pas de solution au problème. Magalie est en train de ruminer quand la sonnette retentit. Martine est bien venue. Celle-ci s’est mise sur son 31. Habillée très sexy une jupe courte et une paire de bas résille certainement accrochée à un porte jarretelle. Pour le haut elle découvre quand Martine retire son manteau un pull très échancré devant qui montre la naissance de ses gros seins certainement aidés par un soutien-gorge type push up. Pour réchauffer l’ambiance Magalie leur sert un verre de martini qu’elles sirotent tranquillement en se s’épiant mutuellement. Martine est la première à sortir du silence. Alors Magalie comment tu vois le déroulement de la séance. Magalie explique que son copain sera surement d’accord pour jouer le modèle. Elle dit qu’elle pense masquer les modèles pour préserver leur anonymat mais qu’elle n’a pas cogité plus loin manquant de modèle féminin. Martine lui dit que ça ne devrait pas poser de problème et qu’il fallait penser au déroulement. Afin de ménager le suspense et de surprendre les clients elle propose que les modèles soient cachés au début de la séance et ne seront appelés que lorsque leur présence sera nécessaire. Magalie trouve ça bien. S’enhardissant Martine lui dit que les modèles devraient avoir les mains liées dans le dos pour qu’ils ne puissent pas eux-mêmes tester le matériel et cela obligera les clientes à manipuler les divers toys. Magalie trouve ça un peu fort mais pourquoi pas ça pimentera encore plus les choses. Elle annonce à Martine que pour préserver l’anonymat des modèles elle songe à leur mettre une cagoule de bondage. Martine lui demande si elle avait des cagoules sans trous pour les yeux afin qu’ils ne puissent vraiment pas être reconnu. Allant toujours plus loin Martine lui dit que Magalie devrait aller les chercher à la demande et les ramener avec une laisse puisqu’ils seront attachés et ne pourront pas se déplacer seuls. Elle dit aussi qu’ils devront être bâillonnés afin qu’ils ne se laissent pas aller à parler toujours pour ne pas qu’ils soient reconnaissable. Sentant la chaleur monter Magalie ressert un martini puis après réflexion opte pour cette solution. Il faudra que les modèles soient d’accords et il faudra aussi faire des répétitions avant la séance. Martine acquiesce. Maintenant dit Magalie il me reste toujours le problème du modèle féminin. Martine la regarde bien dans les yeux et lui demande ce qu’elle pense d’elle. Se méprenant Magalie lui répond qu’elle est très imaginative et que ça l’a beaucoup aidé. Riant Martine lui rétorque : non je ne pensais pas à ça mais je parlais de mon corps. Commençant à comprendre Magalie la complimente sur sa tenue et lui dit qu’elle doit avoir un corps de rêve avec des seins comme ça elle devait être particulièrement convoitée par les hommes. Martine la remercie et lui propose de la juger de visu. Avant que Magalie ne réagisse Martine fait passer son pull par-dessus le tête elle ne porte que le soutien-gorge dessous elle se lève. Tu es canon bafouille Magalie. Martine ôte ses escarpins et sa jupe se retrouve aussitôt par terre. Dévoilant un porte jarretelle et un string à dentelle. Ouah dit Magalie se demandant encore ou veut en venir Martine. Le soutien-gorge atterri sur le sol. Des seins magnifiques lourds mais fermes sont libérés C’est un corps comme le tien qu’il me faudrait pour la séance dit Magalie comprenant enfin. Tu crois que je ferais l’affaire minauda Martine et quittant son string et dévoilant un pubis glabre digne des plus belles actrices pornos. Totalement tu ferais un malheur. Si tu veux bien je peux tenir le rôle du modèle en attendant que tu trouves une volontaire. Mais tu comprends que ça n’est pas si facile il faut être harnaché et tenir durant tout le temps de la séance. Tu as le matériel chez toi dit Martine on a qu’à l’essayer sur moi je verrais bien si je peux supporter ça. Interloquée Magalie opine. On commence tout de suite dit Martine qui visiblement était émoustillée par l’aventure. Si tu insistes ne bouge pas je vais chercher le nécessaire mais il ne faudra pas qu’on traine car mon copain va arriver dans moins d’une heure. Pas de problèmes il nous fera office de cliente et comme je serais anonyme je ne crains rien. Et elle tend les mains. Quelques minutes après Martine bâillonnée ligotée et aveuglée se promène derrière Magalie dans le salon guidée par la laisse que tient cette dernière. La démarche de Martine est particulièrement gracieuse, ses seins ballotant légèrement à chaque pas la rendent affolante. Visiblement elle cultive cette démarche indécente. Magalie accompagne Martine dans la salle de bains et lui dit qu’elle allait la laisser seule quelques minutes pour voir si elle ne paniquera pas, on ne sait jamais la claustrophobie pouvait survenir sans qu’on s’attende. Martine opine du chef, seul moyen qu’elle a de communiquer. Alors que Magalie patiente dans le salon la porte d’entrée s’ouvre et Tristan entre dans l’appartement. Salut lui dit-il en l’embrassant. Salut répondit Magalie. Ne t’inquiète pas mais je ne suis pas seule. Ce n’est pas un jules mais c’est une collaboratrice pour la prochaine vente de toys. Tu as besoin d’une aide maintenant dit-il et elle est où cette personne. Justement je t’explique en deux mots pourquoi j’ai besoin d’aide et comment on va agir. En deux mots elle raconte la séance avec la tigresse et la demande qui avait été faite. Puis elle explique sans préciser que Martine lui a suggérer une façon d’agir et qu’elles en sont aux répétitions avec le modèle. Tristan d’un seul coup intéressé lui demande mais elle est là cette Martine ? Oui répondit Magalie d’ailleurs je vais aller la chercher assieds-toi sur le canapé et imagine que tu es une cliente. Elle part vers la salle de bains là elle annonce la situation à marine en lui demandant si elle veut qu’on arrête le jeu Martine secoue la tête pour signifier son refus elle veut aller plus loin et c’est une façon de voir si elle peut garder son calme devant des inconnus. Empoignant la laisse Magalie la fait pénétrer dans le salon. Pour voir l’effet que cela fait elle fait faire le tour de la table du salon à Martine et la plante face à Tristan qui devient écarlate. Tu ne m’as pas dit que c’était une bombe que tu trimbalais on a envie de la croquer toute crue d’autant plus qu’elle ne peut pas dire non. Martine se tortille légèrement visiblement sensible au compliment. Magalie laisse Martine debout et explique à Tristan que Martine servira de mannequin aux clientes pour tester les accessoires et divers toys. Même les godes et vibros demande Tristan. Oui répondit Magalie alors que Martine toujours debout face à Tristan se tortille encore plus. Ça veut dire qu’elle va être touchée palpée même dans les parties intimes ? Oui répondit Magalie d’ailleurs si tu veux Martine on va commencer à faire comme si on était en séance Martine opine du chef. Cool dit Tristan on commence par quoi. Une guêpière annonce Magalie et elle va chercher une guêpière visiblement trop petite pour Martine elle se met en devoir de la mettre. Comme elle s’y attendait Martine est serrée dans la guêpière qui lui fait une taille de guêpe et fait rejaillir ses seins droit vers Tristan. Celui-ci ci s’empare d’un sein et le palpe. Apparemment c’est trop petit dommage les seins sont bien offerts comme ça. Il agace le bout du mamelon faisant faire un pas en arrière à Martine. Elle a encore du mal à se contenir dit-il. Martine s’avance et ne bouge plus lorsqu’il s’empare de l’autre sein. On essaye les pinces vibrantes ? Ok Magalie installe les pinces Martine tressaille mais ne bouge pas. Elle tressaille de nouveau lorsque la télécommande fait vibrer ses seins elle commence à suer et à se dandiner sur place. Et un vibro aussi dit Magalie. Elle met la main à l’entrejambes de Martine et constate que cette dernière mouille comme une fontaine. Le vibro pénètre sans difficulté et lorsqu’il se met en route la respiration de Martine devient saccadée et on peut entendre des petits gémissements malgré le bâillon. Après quelques secondes Magalie annonce : On passe aux godes et en prend un de bonne taille, le plus gros qu’a pu accepter Anna. Le gode pénètre sans difficulté accompagné de coups de rein involontaires de Martine. Bon on va essayer le gode xl dit Magalie et elle sort un chibre énorme de son paquet. En même temps on va tester le lubrifiant car il va falloir que tu t’ouvres bien Martine. Cette dernière angoissée sent une masse se présenter à l’entrée de son vagin. Millimètre par millimètre le gode se fore littéralement un chemin Martine se sent dilatée à l’extrême et pense que ça ne rentrera jamais. Au moment où elle va se reculer, d’une dernière poussée Magalie fait pénétrer le gode de quelques cms. Martine ne tient plus. Magalie avec des mouvements de va et vient fait pénétrer plus loin le gode qui remplit Martine. Celle-ci sent qu’elle a les larmes aux yeux. Puis une onde de choc la traverse et un orgasme incroyable la foudroie. Elle n’arrive plus à tenir debout. Tristan lui empoigne les seins pour la soutenir pendant que Martine retire le gode. Tremblante malgré elle Martine s’appuie de tout son poids sur Tristan. Je crois que ça suffit pour aujourd’hui déclare Magalie. Bravo Martine tu es vraiment résistante. Et elle entreprend de libérer cette dernière. Nue assise sur le canapé Martine reprend ses esprits. Tu es vraiment très canon et très belle lui déclare Tristan Martine lui envoie un sourire ravageur. Bon dit Magalie maintenant Tristan il faut qu’on parle. Il se retourne vers elle. Tu as compris que j’avais besoin d’un modèle féminin pour que les clientes puissent tester les toys à travers elle. Mais j’ai aussi des toys destinées aux hommes et les clientes souhaitent avoir un élément de comparaison pour tester le ressenti des godes, douceur, souplesse taille etc. voir le gout. Tristan comprend l’allusion. Tu veux que je fasse comme Martine ? Oui on chéri j’aimerais que tu fasses ça pour moi. Martine de son côté hoche la tête. Je ne sais pas si j’ai envie et encore moins si je peux résister annonce Tristan. Ben le meilleur moyen de savoir c’est de tester dit Martine en souriant. Magalie l’implore du regard. Sa fierté mise en doute et savoir qu’il allait être l’objet de l’attention d’une demi-douzaine de femmes excitées le décide. Bon ok qu’est-ce que je dois faire. Magalie commence à nettoyer et ranger les accessoires. Tu n’as rien à faire je vais te préparer dit Martine enthousiasmée. Elle invite Tristan à se rendre dans la salle de bains. Déshabille toi lui intime-t-elle. Il ne se fait pas prier. Voyant la taille de son gourdin et l’érection monumentale qu’il arbore elle lui dit qu’il est déjà bien en condition pour le taf. Et lui prend les mains pour fixer les bracelets. Bien harnaché, Tristan suit Martine tenant la laisse jusqu’au salon. Voyant l’air de Martine Magalie se dit qu’elle devrait quand même se méfier d’elle. Elle serait bien capable de lui piquer son mec. Puis la séance proprement dite commence elles prennent des godes et comparent la texture et le toucher avec le chibre de Tristan qu’elles prennent en main tour à tour puis c’est au tour des cokrings. Bien lacées et serrées sa bite et ses testicules semblaient gonfler à vue d’œil et l’ensemble palpite à la satisfaction des deux femmes. Dommage qu’il soit tant poilu du torse au bas ventre dit Martine. Effectivement Magalie voit que les poils gênent la pose des accessoires pour le membre. Il faudra que je demande à claire de s’occuper de ça se dit-elle. Elles testent aussi les vibros se posant sur la queue les faisant fonctionner jusqu’à la limite de jouissance par Tristan qui est chaque fois frustré que ça s’arrête aussi prêt de l’éjaculation. Elles testent aussi quelques capotes fantaisies en se demandant quel effet ça leur ferait si Tristan les défonçai avec ça. Enfin après une bonne demi-heure après avoir longtemps hésité à lui mettre un plug annal elles décident que la séance est terminée. Tristan stoïque est complètent en sueur. Elles le libèrent et tous les trois devisent sur les modifications à apporter au rituel tout en sirotant un verre bien mérité. Martine suggère qu’il y ai du champagne lors des séances ça désinhibe et les acheteuses sont moins timorées avec deux ou trois verres dans le gosier. Quand même étonnée de ce volontariat Magalie demande à Martine pourquoi elle se propose comme ça sans les connaitre et sans vouloir de retour financier. Martine répond qu’elle est jeune veuve, qu’elle touche une assurance vie confortable ne l’obligeant pas à travailler et qu’elle n’a pas de vrais amis dans la région. Quelques plans cul moyens mais pas de vrai piment dans la vie elle a tout de suite été en confiance avec Magalie et trouve que leur aventure est un bon moyen de mettre un peu de piment dans sa vie. Ils éclatent de rire et d’un commun accord décident que l’équipe est formée. Prudente et avec une petite arrière-pensée Magalie suggère qu’ils fassent une dernière répétition devant ses copines claire et Anna, tout en songeant à la pilosité de Tristan. Ils topent là et lorsque Martine quitte à regret les lieux, elle aurait bien tenté un plan à trois, Magalie et Tristan font l’amour comme des déments.
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Par : le 27/01/21
Deux ambiances intenses pour plonger dans ma nouvelle. J'ai écrit dessus.. donc.. bonne découverte en musique : - The Wolf - FEVER RAY - If I had a heart - FEVER RAY ( pour les amateurs de viking.. vous reconnaitrez tout de suite ) ================================================== Effrayée je sentie une cagoule se mettre sur ma tête. J’étais dans mon lit. Je devinais qu’il était rentré. Que me préparait il? Je me débattais.. - Arrête.. non.. je. Il mit sa main sur ma bouche. J’entendis le son de sa voix à mon oreille. - J’aime attrapée ma louve. Reste sage, compris Je gémissais doucement pour ne pas le laisser trop faire. Je sentis son poids sur ma taille. Il me retourna sur le ventre avec une telle dextérité. J’étais à sa merci ! Il me griffait le dos avec douceur. Je sentais ses baisers s’enivrer de ma peau. Il me respirait. - Hum ton odeur… me dit il.. elle me rend fou. Je sentais son nez me respirer comme un chien respirerait sa chienne. Je sentais ses crocs se planter dans mon cou, sa main saisir ma gorge. Doucement je lâchais la pression. Son être faisait que je me soumettais naturellement. Son intégrité, ses valeurs, il savait me faire sentir femme, un être considéré pour sa personnalité, mes valeurs, mon indépendance. Il était entier autant que je pouvais être entière. On s’était choisi. C’était si naturel qu’aucune question venait mettre un grain de sable dans notre relation. Aucun non dit, aucun mensonge. Une évidence. Jamais je n’avais rencontré un homme qui me faisait vibrer ainsi à me rendre si femme. Il me possédait autant que je le possédais. Parfois nous aimons garder notre indépendance ne pas nous voir. Mais quand on se retrouvait ensemble, le temps se suspendait. Il saisit mes mains pour les maintenir dans mon dos. Je sentais son sexe qui grossissait au niveau de mes fesses. Tout en me tenant les poignets il avait introduit son pouce dans mon cul.. - Ahhhhhh… humm - Oui je sais c’est bon ma louve… Il m’attacha les avant bras de manière parallèle dans mon dos. - Je veux que tu te laisses faire. Je ne veux rien entendre… dit il en m’embrassant à travers la cagoule. Des sons métalliques se firent entendre. Il s’empara d’une de mes chevilles. Je sentis le fer… Il m’enchainait. Je sentis le fer autours de ma cheville, qu’il referma fermement . Le cadenas se refermait. Puis l'autre.. - Je n’aime pas voir une proie sauvage m’échapper. Intérieurement je souriais. J’aimais ce côté animal qu’il avait. Mon alpha. Mon loup Je me retrouvais ainsi enchaînée avec des fers à sa merci. Sans prendre de gant, il m’enfonça dans mon petit trou un plug.. Je sentis qu’il était différent de ce que je connaissais. La douceur d’une fourrure me fit tressailir au niveau de mes cuisses. - Ma louve… à part entière. J’allais être son animal sauvage qu’il allait vouloir dresser, jouer, caresser, câliner, punir, prendre… Il me releva. J’avais la tête qui tournait un peu. Il mit autours de mon cou un collier qu’il serra fermement pour me faire comprendre que j’étais captive, sans échappatoire. Que je ne devais opposer aucune résistance sinon la sanction se ferait sentir. Il me dit descendre les escaliers. Je marchais avec nonchalance. Où m’emmenait-il? Je marchais avec prudence. Au bout de quelques minutes, il me jeta sur une sorte de lit pleine de couverture. Une tanière. Je sentais la chaleur d'un feu de cheminée. J'étais nue. Mon corps tremblait. Je sentis qu’il accrocha mes chevilles à un crochet et de même pour mon cou. Je me retrouvais ainsi immobilisée. A ne pas savoir ce qui m’attendais. Je sentis alors sa main saisir ma queue pour bien la replacer. Elle parcourait ensuite mon corps pour saisir mes seins et les tenir fermement. - Tout doux… tout doux dit il en me caressant avec tant de douceur. Maintenant je vais te laisser te calmer… Il mit quelques couvertures sur moi. il prenait soin de mon confort, de moi tout simplement. J’entendais le bruit de ses pas partir. Je gémissais.. Je m’amusais à tirer sur mes chaînes pour essayer naïvement de me défaire. Je sentais sa présence. Je savais qu’il m’observait. - Ca ne sert à rien. - Je… - Je ne veux pas t’entendre, une louve ne parle pas.. elle hurle, elle gémit, elle couine, elle mord, elle se fait prendre.. Voilà ce que tu es autorisée à faire ce soir. Compris ? Je hochais la tête. Il détacha mes poignets. Il me redressa et me fit comprendre que je devais me mettre sur mes quatre pattes. - Tends moi ce sublime fessier… Je sentis alors qu’il me dirigeait avec la cravache. - Tu sais ce que je tiens en main.. A toi d’être obéissante ou non . Je sentais la chaine me contraindre. Elle était courte. Il ôta alors la cagoule. J’étais éblouie. Je découvrais qu'il avait transformer cette pièce en antre, un éclairage avec de grosses bougies. Il était face à moi, agenouillé ,avec ses chaussures parfaitement ciré. Il portait une chemise blanche où il avait retroussé les manches, laissant deviner la force de ses bras. Il plaça la cravache sous mon menton pour me redresser la tête et me regarder. Nous étions alors face à face, gueule contre gueule. Il caressait ensuite mon visage avec… on ne se quittait pas du regard. Avec rapidité, je la saisis par les dents. Je ne voulais pas lui céder. Je résistais. - Lâche… m’ordonna t il. Je refusais de céder. J’aimais ce jeu, celui de ne pas lui céder, de lui résister. - Lâche, c’est la dernière fois que je te préviens. Je ne cédais toujours pas. Je grognais telle une louve ne voulant pas se laisser faire. Il se déplaça et me fessa si fortement que j’ouvris ma gueule, couinant de douleur. Il m'avait remise à ma place - Voilà ! - Tends ces fesses… Je ne voulais toujours pas céder. Il commença alors me cravacher… A plusieurs reprises il se lâcha au même endroit de ma fesse droite. Je pliais. - Accepte ta condition. Je veux que tu plies par choix et pas parce que je te punis. Est-ce clair ? Je baissais la tête en signe de soumission. Je tentais alors d’aller vers lui. Il tendit alors sa main vers moi. Naturellement je lui léchais pour lui faire comprendre mon allégeance. Il caressa alors mes cheveux. - Embrasse maintenant la cravache. J’obéissais. Il releva ma queue et commença à tapoter ma chatte. Je me redressais pour me retourner et me soustraire Sans crier gare, il était dans mon dos, plaçant son avant bras sur ma gorge. - Tu es ma louve, tu le sais… Il me mordit dans le cou puis passa sa langue sur ma jugulaire. Il me renifla encore et encore. Je me sentais possédée.. Une de ses mains s’aventura alors sur mon entrejambe. Une tension si érotique - Ton sexe m’appartient. Il pinça alors mon sexe pour le prendre en pleine main. - Ta bouche, tes seins, tes fesses, ta chatte, ton cul, tout m'appartient dit il dans un murmure sensuel qui me fit fondre. Je gémissais de plus belle.. - Hummmmmm.. humm.. - Hum tu couines ma belle… tu aimes, n’est ce pas.? . sentir des doigts caressant ton petit clitoris, ta peau, remonter le long de ta colonne vertébrale, s'aventurer sur tes seins ou te prendre la gorge... - C’est ça couine , gémit.... - hummmm.. hummmmmm Il engouffra son pouce dans ma bouche. Instinctivement je le léchais Il plaça ensuite ses mains vers mes seins. - Déjà dressées ces petites mamelles dit il en les empoignant d'une main de fer. - Ohhhhhh.. hummmmm J’émettais des petits sons plaisirs. il me rendait folle. J'aimais lui offrir ma soumission. Seulement à lui.. Il me comprenait, savait qui j'étais. - Ces mamelles que j’adore punir… comme ça.. Soudain il les gifla fortement. - Ahhhh… oohhhh… gémissais-je - Et ces tétons… je vois à quel point je peux les tirer… ça me donne des idées… Sans ménagement il jeta ma tête au sol. - Maintenant, sache que je vais te doigter à te faire gicler.. Il commença par quelques bonnes fessées. Je gémissais surprise de sentir à quel point mes fesses allaient rougir. Le feu s’empara de moi. Il tenait alors la queue de fourrure remontée? Violemment il pénétra ma chatte de ses doigts. J’étais déjà trempé. Sa main était perpendiculaire à ma chatte. Je devinais quatre doigt à l'exception du pouce. Il prenait malin plaisir à bien la tenir droite pour m’élargir le mieux qu’il pouvait. - Ohhh…. Oohhhhh… hummmm.. hummm.. Je couinais comme une petite chienne reconnaissante. Il se montrait de plus en plus sauvage. - Tiens ma belle.. tiens… Je sentais sa main pousser encore et encore, de plus en plus profondement.. Des vas des viens frénétiques. Je sentais que mon corps bougeait vers l’avant tellement il me pénétra bien au fond. - Ahhhhh… ahhhhhhhhhh… ahhhh.. Je haletais de plaisir.. encore et encore. Il aimait me faire couiner à me faire perdre la tête, le contrôle. - Ajhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh Il claquait mes fesses fermement pour les tenir sous le chaud. - Maintenant je pense qu’avec l’entrainement que tu as eu… je vais pouvoir mieux t’élargir ta chatte.. quoi que ce plug dans ton fion va peut être m’en empêcher… Seléna à la main pour te fister… Il força alors le passage avec son pouce. - Caresse toi ma belle. - C’est ça.. regarde comme tu t'ouvres... Cambre toi.. Il appuya sa main sur mes lombaires pour me cambrer davantage. - Si grande ouverte, je me demande ce qu’on peut y fourrer…. Il m’excitait. Il aimait me faire fontaine. - C’est ça marque ton territoire de chienne… C’est ça … - Oh mais regardez moi ça.. tu en mets partout. Il me redressa et me força à regarder tout ce que j’avais mouillé. Puis il me rejeta sur le dos sur cette place de fortune, notre lit. Il se colla contre moi pour m’embrasser sauvagement, prendre l’assaut de mes lèvres, mordre ma lèvre inférieure. Il me humait. - Ton parfum me rend fou Quand il plaçait son main autours de mon cou, je ne m’appartenais plus. Je me lovais naturellement contre lui. Son autre main sur mon clitoris, je me déhanchais pour me masturber sur sa main. - HUmmmmm… hummmm…….Ohhhhhh gémissais je Mes yeux se révulsaient de plaisir. Il me regardait. Il était attentif à tout ce que je pouvais renvoyer. Puis il reprit l’assaut de ma chatte pour me doigter encore et encore tout en étant plaqué contre lui. Je sentais sa force dans ses bras, la chaleur de son torse si réconfortante. Nous étions entier mais ne faisons qu'un. Je soupirais au creux de son cou de ces plaisirs qu’il m’offrait. Je sentais la jouissance arriver. Mon dansions sexuellement l'un contre l'autre. Nous appartenant. Ma tête partait en arrière. - Ahhhhhhhhh, ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh, ahhhhhhhhh Je bougeais dans tous les sens quand il se stoppa brutalement juste avant que je jouisse. Il se leva et m’abandonna à mon triste sort. Ma main s’aventura alors sur ma chatte, en manque de sa jouissance. Il savait faire monter le désir. - Je t’interdis de te faire jouir, tu as compris ? Je grognais pour lui montrer ma dévotion. Malgré mon indépendance, mon caractère, j’étais sous son contrôle incapable de résister au bonheur qu’il me donnait. Il me bâillonna et remit alors la cagoule sur ma tête et m’attacha à nouveau les mains dans le dos. - Ma louve… calme toi, dit-elle en me caressant. Je sens ta fougue. Ton envie, ton désir. Tu ne mérites pas encore que ta saillie. Puis il m’enchaina très court au niveau de l’anneau fixé au mur m’obligeant à rester allonger Je tremblais de désir, fatiguée, pleine de désir, tentée, triste . Je passais par tant d'émotion. La privation était terrible. L'attente était longue, il jouait avec mes nerfs. Quand il revint dans la pièce, Il détacha mes chaines. Voilà ce qu'il faut pour retenir une louve si puissante. Il enleva alors la cagoule. Son regard plongeant dans le mien. Il me montra comment il tenait la laisse de sa louve en main. - Viens, suis moi. Maintenant que tu es apprivoisée Il me fit avancer ainsi, haut et court provoquant un certain inconfort. Il me plaça au niveau de la pièce et alla s’asseoir sur le canapé. Assise sur mes genoux, je relevais la tête fièrement. Je ne le quittais pas du regard, lui non plu. Nous nous dévorions. Il claqua des doigts et m’indiqua ses chaussures. Il avait mis entre ses jambes une gamelle. Je compris alors que je devais venir vers lui pour ensuite laper dans la gamelle. Tout en le regardant avec effronterie, je m’avançais à lui. Je sentais le poids de la chaine. Le bruit métallique quand j'avançais vers lui. Arrivée à sa hauteur, je lui lançais mon regard de défiance. Il claqua à nouveau des doigts. - Lape. Je ne voulais pas céder. Je le regardais, je lui souriais. Il s’avança alors vers moi pour m’embrasser sauvagement pour mieux me rejeter au sol. - Lape… Je plaçais alors mes mains autours de la gamelle; Tout doucement pour faire durer le plaisir, lui résister pour mieux lui céder. Lâcher prise. Je lapais me prenant au jeu. Il avait eu l’audace de mettre du champagne. J’aimais cette délicate attention. Je m’amusais alors à prendre une posture des plus provocantes à bien me cambrer et tendre mes fesses. A être sa louve. Il se posa contre le dos du canapé. - Occupe toi de ton loup maintenant. Avec délectation, comme une louve en chasse je m'approchais de lui comme pour marquer mon territoire. Je me frottais contre lui. Ma tête sur sa cuisse cherchant son attention. Avec délicatesse, je sortis sa queue. J’allais la savourer. - Tout doux, renifle la ma douce. Il tenait alors ma tête contre sa queue pour me forcer à rester ainsi. Il m’observait quémander ce que j’aimais avoir en bouche. J’adorais le sucer, l’honorer de ma bouche, lui rendre le plaisir qu’il me donnait. Il saisit le collier avec la chaine . Son autre main sur ma tête Il me força la tête pour me donner la cadence. C'était doux, calme, sensuel. . Tout doucement il me laissait prendre l'assaut, la cadence. . - Ohhhh… ohhh.. cette bouche… continue… léche….ohhhh ouiiii.. Je sentais sa force me maintenir. - Ohhhhh… . ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii continue.. continue… - Ohhhh ouiiii… IL prit alors ma tête sauvagement, la main sur ma gorge et me baisa. Il engouffra si profondément sa queue que j’eusse envie de vomir. - Garde…. Garde…. Voilà…. - Regarde moi … Je levais les yeux.. - Hum j’adore t’étouffer avec ma queue. Tu es si belle ainsi. Il releva alors ses jambes. - Lèche moi de partout maintenant. Sors ta petite langue ma louve. Il maintenait encore sa main pour que je plonge ma langue sur son anus et sur cette partie sensible qui le rendait fou entre ses couilles,. Il adorait que je les lèche les aspire. Que je m’enivre de lui. - Quelle suceuse tu es !! - Ohhhhhh.. ohhhhh c’est ça.. sors bien ta langue, nettoie moi bien… voilà.. J’en profitais alors pour le lécher de partout. J’avais envie de tout son corps… - Doucement … Branle moi … pendant que tu lèches. J’aimais saisir sa queue dans ma main de faire des va et vient savant, de mouiller ma main avec ma langue, pour l’humidier, lui faire ressentir que mes mains pouvaient être aussi glissante et chaude que ma chatte ou non cul. J'aimais le regarder perdre pied. - Ohhhhhhh ouiiiiiii… - Il ne m’en.. a pas.. ouiiiiii…. Fallu longtemps pour que tu te soumettes - Suffit maintenant.. au pied.. Il m’attacha mains dans le dos. Avec son regard froid, il bonda mes seins pour les faire ressortir. Il les admira et les prit en main.A nouveau il les titilla. Il m’avait laissé au sol, assise sur mes genoux, attachée, offerte, jambes écartées. Il se ltournait autours de moi, mes sens en éveil - Pas bouger Il saisit un grand martinet avec des lanières longues. Il le plaça à ma vue. Il me caressa avec. Le dos, les seins, la gorge, le visage, l'entre cuisse. Il me donna un premier coup sur les seins. Puis un second et puis d’autres. Je sentais le vent des lanières. Je restais fière. Je me tenais bien droite ne voulant pas lui donner le plaisir de céder. - Hum magnifique. Tu es magnifique quand tu es punie. Avec ton regard si insolent. Je grognais de défiance encore et encore. Plus je grognais plus il me fouettais. Parfois, il se stoppait pour mbrasser fougueusement et passionnément tout en serrant ma bouche dans sa main. Je lui appartenais, la chaleur de son empreinte sur ma bouche, la fougue de ses baisers me faisait oublier les coups du fouet. Puis il recommença à me fouetter, me cajoler et pour finir à me faire baisser la tête en appuyant sur ma nuque. Il tournoyait autours de moi. Il passa alors le manche du martinet au niveau de mon cou, puis enroula les lanières autours de mon cou. Il m'étranglait aussi. il s'assurait de faire ce qu'il voulait de moi. Il me fît avancer vers lui en tirant sur le fouet. - Ouvre ta bouche ma louve. il replongea sa queue dans ma bouche. - C’est ça… prends la bien. Je sentais de la bave s’échapper de ma bouche. Il ne me laissait aucun répit.. - Humm c’est bon.. ohhhhhhh.. rohhhhhhhhh Il me baisa la bouche encore et encore. Il m’empoigna les cheveux pour me forcer à rester sexe en bouche tout en gardant la tension sur mon cou. Il aimait me voir me trémousser, à tenter de me défiler de cette emprise - Arhhhhgggggggggggg… hummm.. je faisais des bruits d’une louve se faisant prendre bien sauvagement par son alpha. La bave coulait de part et d’autres de ma bouche. Il se plaça au dessus de moi, forçant ma bouche à aller sur son anus.. - Humm je ne me lasserai jamais de cette langue oooohhhhhhhhh - C’est ça continue,. ouiiiiiiii Il plaqua ma bouche encore plus fortement en tirant vers le haut le fouet pour que ma langue le pénètre. - Bonne salope… Il avait pris sa queue et se caressait. - Tu me donnes envie de gicler dans ta bouche si accueillante. Il savait que cela me ferait fuir. Il était sur le fil… - Ouvre ta gueule. Il continuait à se caresser à mettre son gland au bord de ma bouche. J'avais confiance, il ne dépasserait jamais ma limite. - j'ouvrais ma bouche, je sortais ma langue - Ohhhh… oohhhhh Il plaçait son gland à l'orée de ma gueule. Il se retient et me rejeta sauvagement. Je sentais qu'il avait du mal à se contenir mais il se contrôlait. Je trouvais sa force admirable. - Assieds toi sur ma queue. Je me levais, je me mis à califourchon sur lui. Toujours attachée mains dans le dos, il m'aida à m'empaler sur son sexe si dur et dressé. Il saisissait mes seins avec tellement de force. Je sentais sa queue frénétique dans ma chatte. - C’est ça dandine toi bien, cherche la, mets la bien profondément. Il tira sur ma chaine pour me plaquer contre lui. Je sentais sa peau transpirante. Ses crocs se planter dans mon cou. - Humm ma louve… tu me rends fou…Il me léchait la bouche encore et encore. Ses baisers si passionnés. Sa frénésie n’avait aucune limite. Sa queue si forte et puissante me transperçait. Il tenait la queue de mon plug dans la main et la remonter pour jouer avec le plug… - Mets toi au sol, cul tendu vers moi comme une bonne petite louve que je vais saillir à nouveau. - Humm tu es si belle ainsi. Il était toujours assis au bord du canapé. Il saisit alors la queue de mon plug pour la remonter. IL caressait ma croupe et me pénétra à nouveau. - Allez cherche mon sexe , branle moi avec ta chatte. Il me laissait mener la cadence. - Hum j’aime voir les aller et venues de ce petit cul pour voir ma queue prendre ta chatte de salope.. Il caressait mes reins. Puis dans un mouvement frénétique, Il me prit par la taille . Nous fusionnons. Je laissons ma tête aller au sol, naturellement. Comme l'étais ma dévotion à son égard. - Ahhhhhh… ahhhh… ahhhhh.. gémissions nous ensemble. Je ne tenais plus. Il était si fort si vaillant. J’aimais être sa louve, comme il était mon loup. Nous nous étions choisi. - Rahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh… rahhhhhhh gémit il Ses assauts avant sa jouissance étaient toujours si fort. Je sentais mon sexe gorger par le désir . Il sortit de ma chatte pour répandre sa semence sur ma croupe. Il s’écroula, épuisé, par l’intensité de sa jouissance. Il était si beau. A la fois fort et sans défense. Mis à nu. Il m’aida à me relever, il me prit dans ses bras, il détacha mes poignets. il me prit avec douceur pour qu'on s'allonge l'un contre l'autre sur ce lit. Il me couvrait de couvertures. . Je sentais sa force réconfortante. Je m’endormais ainsi contre lui.. et lui contre moi. Le silence planait. Je sentais sa respiration ralentir. J'étais blottis dans le creux de son cou. Je l'embrassais tendrement. Je me lovais. Sa main avait saisi mon sein, il jouait avec un de mes tétons. Puis doucement je la sente s’immobiliser. - Je t’aime mon loup lui murmurai je. - Ma louve…. Dit il en me calinant… -
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Par : le 27/01/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE trois : Virginie Extrait « Dix minutes indique Magalie. Elle prend un large collier de cuir et le passe au coup de Virginie. Finalement tu fais un beau cobaye dit-elle… Vingt minutes. Une cagoule sans trous pour les yeux met Virginie dans le noir. Pff j’aurais dû fermer ma grande gueule… C’est quoi ce truc se dit-elle alors qu’elle sent ses seins durcir encore plus qu’ils n’étaient les mamelons tendus à faire mal.En même temps elle sent une onde puissante venir du fond de son bas ventre et en quelques secondes un orgasme incontrôlable la secoue. Elle a définitivement cessé de chercher à se délivrer. Elle gémit dans son bâillon en essayant de reprendre son souffle mais déjà une deuxième vague s’annonce…. Vaincue Virginie ouvre les lèvres et tente d’avaler le dard palpitant. Elle n’a jamais sucé un si gros membre et sans en prendre conscience elle suce avec ardeur… » Ca y est Magalie est maintenant vendeuse de sex toys à domicile. Elle espère que cette petite activité annexe mettra du beurre dans ses épinards. Les premières séances s’étaient bien passées mais la dernière séance la laisse dans l’expectative. Elle s’était avancée sur la question de la belle tigresse et devait maintenant trouver une solution pour honorer sa parole. Elle y pense en rêvassant à sa caisse, il n’y a pas foule, quand Virginie la cheffe caisse l’invite à prendre sa pause. Elle se rend dans la salle de repos du centre où elle n’est pas surprise de se retrouver seule car peu de temps s’est écoulé depuis l’ouverture du magasin et elle doit être la première à prendre sa pause. Virginie la rejoint avec un air triomphant. Alors Magalie on arrondi ses fins de mois avec des drôles de Tupperware déclare-t-elle de but en blanc. Un peu plus âgée que Magalie mais très arrogante, le poste doit lui monter à la tête, Virginie est pas mal foutue avec peut-être un ou deux kilos de trop mais une poitrine exubérante qui fait souvent se retourner les clients males. Elle n’aime visiblement pas trop Magalie et c’est bizarre qu’elle l’aborde comme ça. Magalie se méfie. Oui répond-elle je fais ça le weekend end ou parfois le soir quand je ne suis pas au magasin mais cela ne gêne en rien mon taf ici. Bien sur rétorque Virginie. Tu comptes faire une petite vente au magasin pour tes collègues. Non répond Magalie je ne mélange pas les deux mondes. Ok répond Virginie. Dommage j’aurai bien aimé voir ça. Magalie se demande si c’est du lard ou du cochon. Un silence s’insinue entre les deux femmes. Peut-être que je devrai lui montrer la collection en dehors du taf elle me laissera peut être tranquille après ça. Elle s’enhardie. Si tu veux tu peux venir un soir à la maison je te montrerais de quoi il s’agit tu verras que ça reste coquin main soft. Virginie qui visiblement n’attendait que ça répond ok pourquoi pas ce soir, on finit toutes les deux de bonne heure. Tope là dit Magalie je t’attends chez moi à 18h00, mon compagnon n’arrive que vers 19h00 on aura le temps de jeter un œil avant qu’il n’arrive. A 18h00 pétante Virginie sonne à sa porte, Ponctuelle. Elle doit quand même être curieuse. Magalie la fait rentrer et elles se dirigent vers le salon où des boites et paquets sont déposés sur la table. Magalie invite Virginie à ouvrir délicatement les boites qui l’intéresse. Virginie commence par les toys donnant un avis blasé sur les godes et vibros et autres gadgets puis s’intéresse à la lingerie coquine. Elle flashe sur une guêpière rouge avec porte jarretelles et une culotte assortie. Magalie lui indique que c’est vraisemblablement sa taille. Virginie reste dubitative. Magalie lui propose alors d’essayer l’ensemble pour voir ce que ça donne. Après une courte hésitation Virginie se décide et Magalie lui propose d’aller l’essayer dans sa chambre. Virginie acquiesce et effectivement l’ensemble semble fait pour elle. Cependant le tarif est un peu élevé. Dommage. Elle veut demander à Magalie si elle a un miroir pour qu’elle puisse voir ce que ça donne. Dans un coin de la chambre plusieurs paquets sont entreposés. Surement le réassort en cas de vente se dit elle mais curieuse elle va quand même jeter un œil de près. En fait ce n’est pas un réassort mais des accessoires beaucoup plus hard. Menottes, baillons, colliers et autres. Certainement pour un public plus averti. Elle sort de la chambre et Magalie lui indiqua le chemin de la salle de bain pour qu’elle puisse contempler ses atours. Elle se trouve particulièrement sexy dans cet ensemble. Maugréant pour le tarif elle retourne dans le salon sans se changer et montre sa tenue à Magalie. Celle-ci est épatée par le rendu. La poitrine opulente de Virginie déborde des balconnets qui la rehaussent et Magalie se dit qu’avec ça elle ferait tourner des têtes. Elle la félicite pour le rendu et lui indique que la culotte est fendue pour les moments d’impatience. Virginie la remercie et lui dit innocemment qu’elle a cru voir d'autres paquets dans la chambre. Magalie lui répond qu’effectivement il y a d’autres gadgets mais plus destinés au BDSM en expliquant à Virginie ce que cela voulait dire. Intéressée cette dernière demande si elle peut jeter un coup d’œil. Magalie obtempère et quelques minutes après Virginie peut de nouveau ouvrir des paquets. Le contenu provoque sur elle un émoi inattendu. Il faut dire qu’imaginer ce que l’on peut faire avec était particulier. Elle s’intéresse aux bracelets qui avaient déjà été utilisés avec Anna par Martine. Pff ces gadgets ne doivent pas être très difficiles à ôter si on veut déclare Virginie. Humm Je pense que tu t’avances un peu dit Magalie sachant bien que ces accessoires sont diablement efficaces et impossible de s’en défaire sans une aide extérieure. Je parie que je me m’en défais en moins de cinq minutes claironne Virginie. Pari tenu, Si tu veux on peut essayer dit Magalie confiante. Vexée de cet aplomb Virginie dit banco et on pimente le pari si je m’en débarrasse en moins de cinq minutes je gagne l’ensemble que je porte. Humm dit Magalie malicieuse ok mais si tu n’y arrives pas toutes les cinq minutes je te mets un de ces gadgets en plus jusqu’à soit tu te délivres soit que je n’ai plus rien de dispo. Les yeux brillant d’excitation à l’idée de gagner si facilement cette guêpière Virginie tend ses poignets à Magalie. Consciencieusement celle-ci applique les bracelets en souriant en voyant que les courroies n’arrivent qu’à deux crans de ce qui avait été atteint par Anna. Puis elle fait se retourner Virginie et actionne la fermeture. Top départ indique-t-elle à Virginie en regardant la pendule du salon. Tu as cinq minutes. Aussitôt Virginie se met à l’œuvre. Elle se contorsionne autant qu’elle pouvait mais la fermeture résiste. C’est peut-être un peu plus compliqué que prévu mais je n’ai pas dit mon dernier mot. La laissant s’acharner Magalie se sert un cocktail en cherchant quel gadget serait le premier appliqué. Cinq minutes indique-t-elle. C’est l’heure du premier gadget. Elle se décide pour le bâillon boule rouge qui ira bien avec la guêpière et entreprend de museler Virginie. Cette dernière rétive se laisse cependant faire un pari est un pari. Dix minutes indique Magalie. Elle prend un large collier de cuir et le passe au coup de Virginie. Finalement tu fais un beau cobaye dit-elle .Virginie se demande comment elle put se sortir de là elle ne peut même pas parlementer avec Magalie le bâillon étant trop efficace pour lui faire dire autre chose que des borborygmes. Quinze minutes. Les pinces à tétons viennent s’appliquer sur les bouts tendus de Virginie. Ça ne fait pas vraiment mal mais quelque part ces gadgets l’excitent un peu sans qu’elle ne puisse s’en empêcher. Vingt minutes. Une cagoule sans trous pour les yeux met Virginie dans le noir. Pff j’aurais dû fermer ma grande gueule maintenant il va falloir que j’attende qu’elle finisse de m’appliquer sa collection. Et puis je commence à fatiguer debout en cherchant à garder mon équilibre sans repères. Vingt-cinq minutes dit Magalie. Tu dois commencer à fatiguer mets-toi à genou sur le tapis ça sera moins inconfortable. Elle accompagne Virginie jusqu’au sol et en profite pour lui appliquer deux bracelets aux chevilles. Si tu n’y arrives pas je vais t’aider en séparant un peu tes mains et joignant le geste à la parole elle crochète les bracelets des mains aux bracelets des chevilles en vis-à-vis. Ça doit être plus simple comme ça dit Magalie. Soudain un bruit se fait entendre dans le couloir. Magalie a complétement oublié que Tristan doit la rejoindre ce soir-là. Avant qu’elle ne réagisse Tristan pointe son nez à l’entrée du salon et surpris il dit mais tu fais des heures supplémentaires avec tes clientes ? Tu les fais essayer ta panoplie ? Je te présente Virginie répond-elle. Elle est venue voir ce que j’avais et a absolument voulu parier qu’elle se délivrerait des bracelets en cinq minutes ça fait une demi-heure maintenant. Intéressant dit-il en se rapprochant de Virginie qui glapissait dans son bâillon. Apparemment ton matériel est solide mais tu devais lui mettre tout ça ? Oui ça fait partie du pari dit-elle d’ailleurs il va être l’heure de passer au gadget suivant. Tu veux m’aider à le mettre. Virginie paniquée ne songe plus à ôter ses liens mais veut disparaitre dans un trou de souris. Offerte ainsi harnachée à la vue d’un inconnu lui fait une grande chaleur dans le ventre. A son grand désarroi cette chaleur est autant provoquée par la honte d’être ainsi exposée et vulnérable que par l’excitation de savoir qu’elle est soumise au regard d’un étranger. Mais qu’est-ce que Magalie peut encore lui mettre. Elle sent que Magalie lui ôtait les pinces à tétons ouf. Elle a terminé. Mais alors qu’elle pense son calvaire terminé elle sent de nouvelles pinces s’accrocher à ses tétons. Le poids suspendu aux pinces est plus important et elle sent que ces poids viennent des pinces. Magalie lui dit que ça ne compte pas car elle a enlevé un gadget et entreprend en même temps de lui appliquer quelque chose dans l’entrejambe. Elle sent un objet oblong la pénétrer pas trop gros visiblement pas un gode et en plus il s’affine vers la fin Magalie se relève et l’objet reste bien au chaud dans le vagin de Virginie. C’est quoi ce truc se dit-elle. Magalie lui donne la réponse en disant à Tristan tiens voici la télécommande. Amusé il clique sur le bouton aussitôt les seins et le vagin de Virginie se mettent à vibrer de concert. C’est quoi ce truc se dit-elle alors qu’elle sent ses seins durcir encore plus qu’ils n’étaient les mamelons tendus à faire mal. En même temps elle sent une onde puissante venir du fond de son bas ventre et en quelques secondes un orgasme incontrôlable la secoue. Elle a définitivement cessé de chercher à se délivrer. Elle gémit dans son bâillon en essayant de reprendre son souffle mais déjà une deuxième vague s’annonce. Elle ruisselle de sueur et son corps brillant est particulièrement excitant tant pour Tristan que pour Magalie. Ça a l’air de bien marcher dit Tristan. Souriante Magalie s’adresse à Virginie visiblement tu apprécies on va voir les différents réglages permis par la télécommande. Tristan clique de nouveau et les vibrations changent de rythme. Virginie suffoque c’est trop. Apres quelques minutes alors que Virginie ne peut plus compter ses orgasmes Magalie décide que c’est fini. Bon Virginie il me semble que tu renonces à te libérer et que tu as perdu ton pari. Virginie hoche la tête. Son calvaire va enfin se terminer. Elle sent Magalie lui ôter la cagoule et elle revoit le jour. Devant elle, elle voit un garçon qui la regarde avec un regard qui en dit long sur ses pensées. Magalie lui ôte le bâillon aussitôt Virginie se met à l’insulter en lui disant que ça ne se passerait pas comme ça et qu’elle allait se venger. Elle n’a pas le temps d’aller plus loin. Magalie lui flanque une paire de claques sur les seins déjà malmenés et lui réajuste le bâillon. Ecoute bien c’est toi qui a voulu voir et tester mon matériel. Maintenant tu ne vas pas en parler ailleurs sinon je me ferais un plaisir de mettre le petit film que j’ai fait avec mon portable. Tu avais l’air de profiter plutôt que subir. Interloquée Virginie se tait tout de suite et lorsque Magalie enlève le bâillon elle ne dit rien. Maintenant pour te faire pardonner de m’avoir menacée tu vas devoir faire quelque chose. Elle lui montre Tristan qui ne demande pas mieux baisse sa braguette et exhibe un gourdin comme Virginie n’a jamais vu. Elle ne peut détacher son regard du membre. Tristan s’approche. Elle veut détourner la tête mais Magalie tenant fermement le collier toujours en place remet sa tête dans la bonne direction. Vaincue Virginie ouvre les lèvres et tente d’avaler le dard palpitant. Elle n’a jamais sucé un si gros membre et sans en prendre conscience elle suce avec ardeur tout en se demandant ce que ça ferait d’avoir ce truc au fond de sa chatte. Au bout de quelques instants Magalie décide que c’était bon. Et Tristan se retire donnant presque des regrets à Virginie. En un tournemain Magalie achève de la détacher et de lui ôter les artifices qui l’ont mise dans un drôle d’état. Toujours muette Virginie reste là ne sachant pas que faire. Magalie lui propose d’aller prendre un douche dans la salle de bain ce qu’elle fait avec soulagement. Lorsqu’elle revient dans le salon piteuse Magalie la remercie de l’avoir aider à tester son matériel et lui offre la guêpière et la culotte en récompense. Susurrant un merci pitoyable Virginie récupère son nouveau bien et prend congé sans tarder. Tristan ayant toujours la gaule et Magalie étant quand même bien échauffée après cette soirée ils baisent comme des morts de faim dans le salon.
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Par : le 27/01/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 2 Anna Extrait « …Joignant le geste à la parole elle fixe une courte laisse au collier de cuir et elle traine Anna derrière elle jusqu’à la salle de bains. Etre ainsi promenée fait un effet incroyable à Anna. Son bas ventre irradie et elle doit commencer à mouiller sévère. Elle ne s’attendait pas ce que ça lui fasse tant d’effet.… Ainsi le sexe d’Anna est exposé à portée de main. Quelques secondes plus tard elle sent un objet se présenter à l’entrée de son sexe elle veut se débattre mais ses mouvements désordonnés accélèrent la pénétration et elle se sent remplie par une queue de bonne taille… » Maintenant qu’elle a franchi le pas Magalie commande un lot de toys destiné à sa première séance de vente. Elle a pris des godes, des vibros, quelques nuisettes et guêpières enfin un lot de toys sages et repensant à la soirée poker elle a aussi pris quelques accessoires de bondage destinés on ne sait jamais à Tristan pour lui rappeler qui commandait ici. En réfléchissant elle en a pris aussi destinés à une victime plus féminine, peut être que cela intéressera une de ses futures clients. Le colis est livré chez elle et avant de l’ouvrir elle souhaite faire la primeur de l’ouverture avec ses deux meilleures copines. Celles-ci sont ravies mais à la dernière minute Claire du se décommander car on a besoin d’elle au taf. Tant pis Magalie et Anna découvriront ensemble le contenu du colis. Ce soir-là Anna est fébrile elle n’a pas dormi le fameux soir et a pas mal fantasmé sur ce qu’elle a vu. Surtout les propos de Magalie au moment du départ l’ont profondément retournée. Elle se dit que ces mots ont été prononcés dans l’euphorie du moment et que Magalie les assurément oubliés. Néanmoins elle y pense au fond d’elle-même et par défi elle se décide à s’habiller de façon suggestive. Une petite jupe en cuir s’ouvrant sur le côté et un chemisier léger feront l’affaire. Pas besoin de culotte et pas besoin de soutien-gorge, ses petits seins haut perchés et durs comme de la bakélite rendent ce dernier superflu. Une simple veste cache ses formes dans la rue, elle ne veut pas se faire remarquer. Comme souvent ses cheveux courts sont décoiffés ce qui lui donne un air de lolita renforcé par sa petite taille, elle entre facilement dans du 36 et son ventre ultra plat rend jalouses toutes les femmes qu’elle croise. Arrivée chez Magalie elle sonne en se demandant ce qui arrivera quand elle pénétrera dans l’appartement. L’accueil de Magalie est enthousiaste et cette dernière la félicite pour sa tenue extrêmement sexy sans faire d’allusion à leur dernière soirée. Anna accepte timidement les compliments en se demandant si elle doit et heureuse ou vexée de la promesse oubliée. Elles se dirigent dans le salon et entreprennent d’ouvrir les paquets. D’abord les toys féminins classiques et les tenues suggestives. Malgré leur sérieux affiché elles sont quand même un peu émoustillées par ce qu’elles voient. Ensuite elles passent aux accessoires de bondage. La tension monte d’un cran car toutes les deux se remémorent Tristan et l’imaginent ligoté avec ces menottes, baillons, masque colliers et autres accessoires qui auraient été utiles ce soir-là. Magalie lui montre les accessoires dédiées aux femmes se demandant si s’était adapté aux petits poignets et chevilles d’une fille de la taille d’Anna. Celle-ci fait aussi part de ses doutes la dessus. Magalie lui propose alors de servir de cobaye pour tester le matériel. Anna hésite un peu mais accepte de bonne grâce, après tout c’est uniquement pour le boulot. Elle enlève ses chaussures et se laisse passer des bracelets en cuir noir aux poignets et chevilles. Les bracelets ferment avec des courroies crantées et Il est nécessaire d’aller jusqu’au dernier trou pour serrer suffisamment. Magalie lui propose un large collier en cuir muni d’un anneau brillant devant certainement destiné à accrocher une laisse ou quelque chose de similaire. Anna semble apprécier ces essais Magalie lui propose d’essayer un bâillon boule rouge souple maintenu par une lanière du cuir. Enfin Magalie la contourne et lui joint les bras en arrière elle fait agir le cliquet qui solidarise les deux bracelets. Ainsi menottée Anna ne peut s’empêcher d’ouvrir sa poitrine projetant en avant ses seins qui semblent défier le monde. Admirant l’œuvre Magalie lui propose d’aller contempler tout ça devant le miroir en pied de la salle de bains. Joignant le geste à la parole elle fixe une courte laisse au collier de cuir et elle traine Anna derrière elle jusqu’à la salle de bains. Etre ainsi promenée fait un effet incroyable à Anna. Son bas ventre irradie et elle doit commencer à mouiller sévère. Elle ne s’attendait pas ce que ça lui fasse tant d’effet. Arrivées devant le miroir elles contemplent le résultat et Magalie la félicite pour porter aussi bien ces accessoires. Anna ne peut rien dire, le bâillon l’en empêchant mais elle ouvre de grands yeux devant son image ainsi exhibée. Magalie ayant remarqué les seins pointés en avant lui indique qu’elles allaient essayer un truc en plus. Et fixant la laisse à la tringle du rideau elle laisse Anna seule ne pouvant pas faire plus d’un pas toujours face au miroir. Quelques instants après Magalie reparait avec dans la main une petite chainette avec une pince chromée à chaque extrémité. Intriguée Anna se demande ce que s’est quand Magalie entreprend de déboutonner son chemisier, puis écarte celui-ci et ne pouvant l’enlever complètement le repousse jusqu’aux poignets d’Anna. Anna peut voir ses seins pointant gaillardement vers le miroir. Magalie époustouflée admire les rondeurs en et lui déclare que ce sont les plus beaux seins qu’elle n’a jamais vu et qu’ils méritent un traitement de faveur. A la surprise d’Anna elle saisit un mamelon et le triture le rendant encore plus rouge et turgescent De l’autre main elle approche une pince qu’elle fixe au mamelon tendu à l’extrême. Forte mais pas vraiment douloureuse la morsure de la pince fait gémir Anna qui se demande elle-même si c’est de douleur ou de plaisir. Magalie angoissée lui demande si ça fait trop mal. Anna secoue négativement la tête et quelques secondes après elle est affublée d’une nouvelle parure allant d’un téton à l’autre tendant ceux-ci comme jamais. Satisfaite de son travail Magalie lui dit qu’elle est encore trop habillée pour qu’on puisse se rendre compte vraiment et sans laisser à Anna le temps d’objecter elle dégrafe la jupe qui tombe à ses pieds. Voyant le petit triangle duveteux sur son pubis Magalie se fait la réflexion que là Claire n’aurai pas besoin d’intervenir. Finalement Anna se retrouve nue et ligotée dans l’appartement de sa copine comme cette dernière avait dit même si le cheminement avait été indirect. Fier de son œuvre Magalie dit qu’elles devaient arroser ça et reprenant la laisse elle promène Anna dans l’appartement jusqu’au salon. Laissant Anna debout sur le tapis de elle se sert un cocktail et trinque à sa santé. Immobile, ne sachant pas quoi faire Anna regarde sa copine l’implorant du regard pour qu’elle la libère. Voyant ça Magalie lui met un masque en cuir identique aux masques faite pour dormir et Anna se retrouve dans le noir. Magalie lui dit alors qu’elle hésite à faire venir Tristan pour qu’à son tour il contemple une œuvre d’art dans le salon. Puis l’alcool aidant Magalie glissa sa main dans l’entrejambes d’Anna et sans surprise y rencontra un sexe ouvert mouillant à l’extrême. Ça a l’air de te plaire mes petits gadgets. Il va être temps de passer à autre chose. Anna glapi derrière son bâillon mais ne peut rien faire de plus. Magalie la fait mettre à genou et passant derrière désolidarise les bracelets entravant ses bras mais au lieu de les relâcher elle fixe chaque bracelet au bracelet de cheville adapté. Maintenant toujours aveugle et muette Anna est à genou, les poignets collés aux chevilles. Magalie lui fait écarter les genoux et glisse une main experte dans la fente ruisselante. Anna gémit. Bon maintenant on va essayer les godes. Je ne pense pas qu’il y a besoin de lubrifiant tu as fait le nécessaire toute seule. Anna veut se rebiffer et rue mais sans effort Magalie la fait basculer sur le dos. Ainsi le sexe d’Anna est exposé à portée de main. Quelques secondes plus tard elle sent un objet se présenter à l’entrée de son sexe elle veut se débattre mais ses mouvements désordonnés accélèrent la pénétration et elle se sent remplie par une queue de bonne taille, notant inconsciemment que l’effet est multiplié par la situation. Magalie fait faire quelques va et vient au gode ce qui fait de l’effet à Anna vaincue. Cette dernière râle presque lorsque l’objet la quitte d’un coup. Bon ça semble bien fonctionner note Magalie. Voyons maintenant une taille plus conséquente. Anna est inquiète elle plaisante, ce gode me fourrait déjà pleinement je ne peux pas prendre plus gros. Alors qu’elle se pose la question un deuxième objet se présente à l’entrée de la grotte T’inquiète pas je l’ai lubrifié celui-là annonça Magalie. Anna sent que le gode est plus gros que le précédant car il pèse à l’entrée du sexe et n’ira probablement pas plus loin. Magalie manipule d’une main experte le gourdin et millimètre par millimètre celui-ci se fraye un chemin dilatant le vagin et remplissant Anna comme jamais ce n’était arrivé. Elle n’ose pas bouger de peur de se faire mal mais en même temps son bassin veut onduler pour avaler ce monstre. Enfin après quelques va et vient légers mais insistants le gode s’enfonce complétement. Bien joué ma chérie dit Magalie tu es bien remplie avec ça. Je ne pense pas que le modèle XXL puisse te convenir. Voyons ce que tu en penses. Et elle entame une série de va et vient qui surprend à chaque fois Anna qu’elle sent l’engin revenir et la remplir comme pas possible. N’y pouvant rien elle est obligée de jouir plus d’une fois et lorsqu’enfin Magalie retire le gode elle est pantelante et rompue. Maintenant pour finir on va tester les vibros. Comme dans un rêve Anna est la cobaye de tous les vibros de la panoplie et croit qu’elle va s’évanouir tellement elle est rincée par ses jouissances répétées. Magalie décide enfin que les tests sont concluants et entreprend de détacher Anna. Cette dernière un peu honteuse ne pipe mot. Magalie lui propose de prendre une douche et de revenir arroser ça avec elle. Sans rien dire Anna se rend sous la douche ou elle reste longtemps. Ne trouvant pas ses fringues elle revient nue dans le salon et boit son verre tranquillement. Elle n’a plus rien à cacher à Magalie de son intimité. Voyant que visiblement elle était crevée Magalie lui propose de dormir chez elle et de partager son lit. Elle accepte et elles se rendent vers le lit. Alors qu’elle allait se coucher elle est rattrapée par Magalie qui lui dit qu’elle devait encore faire une ou deux petites choses et quelques instants plus tard le collier et les quatre bracelets sont remis et Anna se retrouve par terre couchée sur le dos sur une épaisse couverture les bras et jambes tendus attachés en croix et l’extrémité de la laisse dans la main de Magalie qui pend hors du lit. Trop crevée pour s’insurger Anna s’endort rapidement dans un sommeil peuplé de fantasmes. Le lendemain lorsqu’elle se réveille elle est complétement détachée et Magalie l’attend un peu perplexe avec un copieux petit déjeuner. Anna la salue et Magalie lui demande innocemment ce qu’elle pense du déballage des toys. Anna se surprend à lui répondre qu’elle ne devrait pas l’oublier lors de la prochaine livraison mais que cette fois c’est Magalie qui testera les toys. La conversation part vers d’autres sujets et le petit déjeuner entre fille est cordial. Après le départ d’Anna Magalie se demande ce qui l’a poussé à faire ce qu’elle avait fait dans la soirée. Elle n’est quand même pas devenue lesbienne. Rentrée chez elle Anna se remémore la soirée. Elle se dit bien qu’elle aurait dû refuser et que Magalie avait exagéré mais son bas ventre lui hurle le contraire. Quelle attitude devra-t-elle prendre lorsque les copines se retrouveront ?
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Par : le 11/01/21
Abandon avec Vous, Vous appartenir. Bougie, coulée de cire se déversant sur ma peau. Croix de Saint André ou j'aime être attachée. Donner l'envie de recommencer. Envahie par le désir de nos passions communes. Fermer les yeux pour mieux ressentir. Garder jusqu'à la dernière minute le cri d'extase. Hurler quand le bâillon n'est pas mis ou là et qu'on ne peut se contenir. Inventer des jeux. Journées auprès de Vous, le temps passe toujours trop vite. Kilomètres qui nous séparent et qui nous lient. Limites à dépasser avec et près de Vous. Marquée par Vous. N'entendant que Votre voix qui m'enivre. Obscurité, j'ai sous le bandeau. Photos que je ne voulais pas au début et puis Vous voyez le résultat... Que le chemin avec Vous dure et perdure. Respect réciproque qui me comble. Sérénité avec Vous que j'apprécie et plus encore. Tendre mon visage vers Vous, et être heureuse. Un regard, le Votre posé sur moi. Vouloir et être votre au plus profond de mon esprit. Waouuuuu ! La réalité avec Vous et rien ne vaux cela. Xérès étanche notre soif. Y a-t-il quelque chose à dire : Kocham Master. Zeste d'humour, j'apprécie et Vous également. Le 30 11 2010
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Par : le 28/12/20
Retour du travail Dimanche 14 septembre 2014, 3h du matin. Je rentre après une longue journée de travail, commencée le samedi à midi. A travers la porte de l'appartement, j'entend encore des voix : Maîtresse n'est pas seule. Sa meilleure amie, M., est venu souper et passer une soirée entre filles. Un bon repas, quelques verres de blanc, papotage, ragots. Rien de bien inhabituel dans mon esprit légèrement embrumé, après mes 14h de boulot. Je franchis la porte : « Coucou chérie. » Je L'embrasse sur la bouche. Quand du monde est présent chez N/nous, je n'ai pas l'obligation de mettre mon collier et mes bracelets de poignets et de chevilles une fois entré dans l'appartement, de me mettre nu, puis de venir à quatre pattes devant Elle et Lui embrasser les pieds ; rituel obligatoire si Elle se trouve seule, ou si je rentre avant Elle, pour que Son chien soit prêt à L'accueillir. « Ca va bien, et toi ? Ca a été ? » « Oui oui, très bien. Salut M., tu vas bien ? » Trois bises, salutations classiques de deux amis qui se retrouvent. Je ne savais pas encore à ce moment là ce qui m'attendais plus tard dans la soirée. Je file dans la chambre me changer, enfiler quelque chose de plus confortable. Détour par la salle de bain. J'en sors au bout de 10 minutes, me sert un verre, et trinque avec les demoiselles. « Je vais sur le balcon fumer une cigarette ; je reviens. » « Prend ton temps, chéri », dit-Elle, avec Son sourire en coin, qui n'avait pas pour moi, à cet instant précis, de signification spécifique. Je n'imaginais pas encore ce qu'Elle avait prévu pour moi. Je prend mon temps à fumer ma clope, tout en voyageant dans mes pensées, par cette douce nuit de fin d'été. Un message sur WhatsApp : « Tu ne rentres pas avant que je ne t'en donne la permission. » « Bien, Maîtresse. » Du coup, je me rallume une deuxième cigarette. Mon téléphone en main, je vais faire un tour sur les réseaux sociaux, « like » quelques publications, vagabonde de pages en profils. Dix minutes passent. Nouveau message : « Rentre, tout de suite. » Je franchis la porte-fenêtre, et rentre dans le salon. Je fais quelques pas, commence à me diriger vers le canapé où sont assises les filles, quand Maîtresse se tourne vers moi avec Son regard strict, Ces yeux que je connais par coeur, ceux qui ne laissent aucune place au doute, et me dit d'une voix ferme : « A poil, maintenant ! » Le tournant inattendu Je reste figé. M., Sa meilleure amie, est bien là, assise sur le canapé, je ne suis pas fou ? Est-ce que mon esprit me joue des tours ? M. n'est en réalité pas là ? Ou j'ai mal entendu ce que Maîtresse m'a dis ? « Tu attends quoi ? A poil, j'ai dis ! » Apparement j'ai bien entendu. Je me décompose lentement. Il se passe une ou deux secondes, qui me semblent être une éternité, pendant lesquelles je me pose mille questions. Je n'ai pas le temps de répondre à la moindre de ces questions que je vois Maîtresse se lever, tandis que je La regarde toujours béatement, et se diriger vers moi. Elle me colle une gifle plus humiliante que douloureuse, sous le regard et le petit sourire amusé de M., que je perçois du coin de l'oeil, et m'attrape par les cheveux : « Troisième fois : met toi à poil ! Il n'y aura pas de quatrième, ce sera directement la cravache. Réfléchis vite, tu as trois secondes. » Elle me relâche les cheveux. Je dois tenter de sauver les meubles ; je viens de me faire gifler devant M. De toute évidence, le peu d'estime qu'elle avait pour le « mec » de sa meilleure amie vient de s'évaporer en une fraction de secondes. Alors je m'exécute. Automatiquement. A cet instant, je ne réfléchis plus. Je suis un robot. Mon cerveau d'humain à laissé place au cerveau du chien de Maîtresse que je suis. Je retire mes chaussures, mon pantalon, mes chaussettes, mon tee-shirt : « Garde ton string. » Mon string. Avec tout ça, je l'avais oublié, celui là. Au moins, je ne suis pas totalement nu. Le peu de dignité qu'il me reste va être sauf. Maîtresse m'interdisais de porter caleçons ou boxers. Uniquement strings masculins, slips qui laissent les fesses apparentes, ou jockstrap. D'un autre coté, ça empêche le bruit du cadenas qui tape contre le plastique ou le métal de ma cage de chasteté. Il faut toujours essayer de positiver les épreuves imposées par sa Maîtresse. Pendant le strip-tease imposé que j'exécute tout tremblotant, Maîtresse s'est rassise sur le canapé à côté de M. ; toutes deux m'observent, se délectant du spectacle. Une fois uniquement vêtu du bout de tissu qui me sert de sous-vêtements, Maîtresse me regarde fixement sans mot dire. Quelques secondes passent : « Tu attends quoi pour me saluer comme tu dois le faire ? » A ce moment précis, je comprend que rien ne me sera épargné, ce soir. Je suis donc le rituel : je me met à genoux, puis à quatre pattes, et j'embrasse Ses divins pieds, posés sur le tapis du salon : « Bonsoir, Maîtresse. » Le mot est lâché. Je me suis dévoilé devant M. La promesse d'une correction à la cravache a retiré tout amour propre en moi. Je la déteste de m'avoir fait ça. Mais bon sang, qu'est ce que je l'aime de m'avoir fait ça ! M., je l'aime pas, alors je m'en fiche qu'elle soit au courant. En fait si, je l'aime bien, alors c'est bien qu'elle sache pour N/nous. Une nuée de sentiments ambivalents me rongent l'esprit, tandis que je suis toujours front à terre, attendant la permission de me redresser : « A genoux. » J'obtempère, je me remet sur mes genoux. Maîtresse, s'adressant à M. : « Tu vois, je t'avais dis. » « Faut le voir pour le croire. J'aurais jamais imaginé ça de lui. Et encore moins de toi. Et il fait tout ce que tu lui demandes ? Tu donnes des ordres, et lui, il obéit ? » M. parle de moi à la troisième personne. Je ne suis devenu en quelques minutes qu'un objet à ses yeux. « Tout, oui. Et attend, tu n'as pas encore tout vu. » C'aurait été trop simple si ça s'était arrêté là. Au moment-même ou Maîtresse prononce la phrase, je me dis « non, pas ça, pitié » : « Baisse ton string. » Automate que je suis devenu, j'obéis. M. Découvre, effarée, qu'un tube de plastique enferme complètement mon pénis, retenu par un anneau, et fermé d'un cadenas sur le dessus : « Mais c'est quoi, ça ? », dit-elle dans un éclat de rire non dissimulé. « Sa cage de chasteté. Son pénis est ma propriété, il n'a plus le droit d'en avoir l'usage d'aucune manière que ce soit, sans mon autorisation, ou un ordre de ma part. Tu fermes bien ta maison quand tu sors ? Moi, je ferme mon pénis quand je n'en ai pas l'usage. » Eclats de rire de M. et de Maîtresse. J'entend tout ça comme si je n'étais pas là. J'ai les yeux au sol ; quand je suis à genoux, j'ai interdiction de regarder Maîtresse quand Elle ne s'adresse pas à moi. Revue de matériel et de comportement « Retire complètement ton string, et va nous resservir un verre. Et tu peux t'en prendre un. Par contre, tu vas et tu reviens à quatre pattes. Tu ramènes les verres un par un. » Un peu d'exercice ne peut pas faire de mal. Puis heureusement, le frigo est tout proche du canapé. J'amène le verre à M. - les invités d'abord -, puis à Maîtresse, et je fini par le mien. J'ai la permission de m'assoir par terre. Maîtresse prend soin de moi et de mes pauvres petits genoux, qui ne tiennent plus aussi longtemps qu'avant. J'écoute la conversation entre Maîtresse et M., tout en essayant par moment de réaliser ce qui m'arrive ce soir. Et je regarde aussi. Quand je suis assis par terre, j'ai la permission de regarder devant moi, ainsi que les interlocuteurs. Maîtresse répond aux nombreuses questions de M. Tout y passe : mes obligations de soumis, mes quelques droits et limites acceptées par Maîtresse, mon quotidien pour La servir, Ses nombreux avantages, comment je vis le fait d'être enfermé dans ma cage de chasteté... « Je pourrais te le prêter pour ton ménage, si tu as besoin, et si tu veux voir un mec récurer ta maison habillé seulement d'un collier et d'entraves aux poignets et aux chevilles. Et s'il ne va pas assez vite à ton goût, tu auras la cravache qu'il amènera avec lui ». Et Elle l'a fait : Maîtresse m'a prêté à M. pour un après-midi. Mais ça, c'est une autre histoire. Puis je suis interrogé, comme à chaque fois avec des non-initiés aux pratiques D/s, sur le plaisir que j'en retire. Comment expliquer à une novice que me prendre une gifle, et me faire rabaisser de la sorte devant des gens, me met dans un état au delà de l'orgasme psychique ? Et pourtant, M. Est une fille visiblement très ouverte, et le comprend parfaitement. Comme à Son habitude, Maîtresse sait choisir Son public. Une vingtaine de minutes se passe. Verres terminés, liste de questions achevée, Maîtresse et M. Se lèvent : « Maintenant, je vais te montrer la panoplie de dressage pour transformer ton homme en bon soumis obeissant. » Je me morfond de trouille ; là, M. va voir les instruments qui servent à m'éduquer. « Suis moi, chien. » De ma position assise, je me met à quatre pattes, et je La suis jusqu'à la chambre. « La caisse, sur le lit. » Je la précède, je sors la caisse de sous le lit, pour la mettre dessus, puis m'écarte d'un demi-mètre pour L/leur laisser la place : « Tu restes au pied », me lance-t-Elle, en claquant des doigts. Je me réavance donc au pied de Maîtresse, soupçonnant que ce n'était pas sans raison. Maîtresse commence l'inventaire par le collier. Bingo ! « Quand il est à la maison, dès qu'il franchit la porte, il doit se mettre nu, et enfiler son collier, et ses bracelets aux poignets et aux chevilles. Je veux pouvoir l'attacher à n'importe quel moment, si je dois le punir, ou juste si j'en ai envie. » Elle lui précise, si besoin était, que les chaînes qui descendent de la poutre au plafond sont juste à bonne hauteur pour que je sois suffisamment tendu, mais pas trop pour que ce ne soit pas trop inconfortable pour de la longue durée. C'est ce moment que Maîtresse choisi pour ajouter : « D'ailleurs, tu n'as pas encore tes entraves ce soir, du coup », et me passe le collier de cuir autour du cou, ainsi que les 4 bracelets. Aussitôt, Elle attrape la laisse, et l'accroche au gros anneau qui orne le collier. M. d'ajouter : « Pourquoi tu le tiens en laisse ? Tu as peur qu'il se sauve ? » Phrase maintes fois entendue, mais toujours aussi cinglante. « Non, c'est juste pour l'humilier un peu plus. Et un chien, ça se tient en laisse, c'est obligatoire. » Nouvel éclat de rire simultané de mes tortionnaires. Le passage en revue continue avec les instruments de dressage et de discipline : cravache, martinet, badine, et paddles. « Pourquoi de dressage ? C'est une forme de punition ? » « Non, quand il désobéit, ou qu'il commet une erreur, je le puni, durement, pour qu'il ai mal, et qu'il ne recommence pas son erreur. Mais une ou deux fois par semaine, je lui fait une piqure de rappel, pour qu'il se souvienne qui commande. Puis une bonne correction une fois de temps en temps, ça ne fait pas de mal. » Eclats de rire. Puis Elle passe aux objets « insérables » : « Ah, c'est un de tes godes ? » « Non, c'est un plug anal, pour lui. Plusieurs fois par semaine, il doit le mettre 1 ou 2 heures ; je veux qu'il tienne son cul prêt à recevoir mon gode-ceinture. » Nouveau regard à la fois surpris et intéressé de M., devant ce harnais, complété d'un long et large gode. « Mais ca sert à quoi ? Tu aimes ça, toi ? », demande M. « Oui bien sur que j'aime. Et c'est moi qui commande dans le couple ; normal que ce soit moi qui le prenne en levrette. Parfois en missionnaire, pour que je puisse voir son regard pendant que je l'encule. », répond Maîtresse, me regardant avec un large sourire. Même dans l'humiliation la plus totale, Maîtresse sait comment me faire rester complètement excité, pour que je vive ce moment de la manière la plus intense possible. Continuant de souffler le chaud et le froid, Elle continue Son descriptif de N/notre vie intime, et ajoute, pour mettre un coup de grâce à cette phase d'humiliation : « De temps en temps, je lui dis qu'il va être libéré de sa cage, et qu'on va faire l'amour ; mais à la place, je lui fait enfiler le gode-ceinture, et il doit me faire l'amour avec le gode, tout en restant enfermé en cage. C'est la frustration ultime pour lui, alors que je prend presque autant mon pied que quand on fait l'amour de manière classique, juste en voyant son air dépité ! » Je ne peux bien sûr qu’acquiescer. Et c'est reparti pour de grands éclats de rire. Puis vient le tour du baillon-gode, lui aussi classé dans le top 3 des instruments de frustration du soumis moyen. Puis les baillons classiques, les cagoules, et autres moyens de faire perdre un ou plusieurs de nos 5 sens. La démonstration se termine avec deux allers-retours, tel un mannequin dans un défilé de mode, paré des menottes aux poignets, des fers aux chevilles, le tout relié par une longue chaine qui part de mon collier pour descendre jusqu'à mes chevilles, en passant par la chainette des menottes, entravé comme un prisonnier dans une série policière américaine. Le point final reviendra aux chaines accrochées aux barreaux du lit, cachées jusqu'à présent par la couette, qui permettent de m'attacher au lit, des fois que je décide de me sauver en pleine nuit ; sait-on jamais. C'est à ce moment que se termine la séance de présentation de l'attirail de dressage du soumis. Une fois libéré de mes chaines, retour au salon, à quatre pattes pour moi, Maîtresse sur mon dos, M. qui nous suit, non sans un ricanement bien audible, Maîtresse montant fièrement son fidèle destrier. Arrivé vers le canapé, Maîtresse descend de mon dos, et s'assoit, suivi de M. Il est déjà presque 6 heures du matin « Ca nous ferait pas de mal, des croissants. J'ai un peu faim », dit Maîtresse. « Ah oui bonne idée. On va chercher ça à la boulangerie ? » « Non, IL va aller nous chercher ça à la boulangerie. » « Ah mais oui, tu as cette chance, toi », lance M., non sans un nouveau rictus, mêlé à un air d'envie. « Va t'habiller. » Je m'exécute. Je reviens au salon, me met à quatre pattes pour suivre le protocole, en déposant un baiser sur chaque pied de Maîtresse. Elle me dit alors, en me montrant M. du doigt : « Embrasse ses pieds, et file ! Tu as 15 minutes. »   Je suis dans un état second. Je suis proche du subspace. J'aime tellement cet état. Et Maîtresse le sait. Elle m'a poussé à me dépasser, ce soir : Elle sait jouer avec mon esprit, Elle a repoussé mes limites à l'extrême. Elle savait que cette humiliation extrême me ferait passer une des plus belles soirées de ma vie de soumis. Elle me connait, Elle à tout prévu. Je sais qu'Elle s'est assuré que ma réputation personnelle et professionnelle soient en sécurité avec Sa meilleure amie ; que tout ce qui se passe ce soir ne franchira pas les portes de N/notre appartement.
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Par : le 21/12/20
La soirée était bien avancée mais Maîtresse Adèle ne semblait pas vouloir s’arrêter à ces préliminaires. Profitant que ses amies étaient bien occupées avec mes collègues soumis, elle nous entraîna à l’étage. C’est Maîtresse Adeline qui tenait la laisse et me tirait sans ménagement tandis que Maîtresse Adèle lui caressait délicatement les fesses. J’étais un peu jaloux de temps de délicatesse mais je me tut pour ne pas risquer les foudres de ma Maîtresse. Je fut jeté sur le lit, sur le dos, et pendant que Maîtresse Adèle m’attachait les poignets à la tête de lit, Son élève Adeline me noua les chevilles aux pieds. J’étais à leur merci bandeau et bâillon vinrent compléter la contrainte. A ma grande surprise, je n’avais pas peur et j’étais très excité d’être à leur merci ainsi. Les tortures arrivaient toute en surprise et ceci me fit bien bander. Je devinais que mes Maîtresses se délectaient de cette érection car je recevait des coups de badines sur ce sexe tendu. Des pinces ne tardèrent pas à garnir mes tétons. Je senti la douleur quand elles tirèrent dessus. Une chaîne devait les relier ensemble car la tension semblait égale. Elle relâchaient la tension puis reprenait un peu plus fort. Cela dura, mais je ne sentais presque plus la douleur jusqu’au moment où mes Maîtresses libérèrent les tétons. C’était un éclair de douleur mais je ne pouvais même pas crier ce qui rendit le supplice des plus jouissif. La badine continuait à torturer ma bite et mes couilles maintenant toujours cette érection un peu contre nature. Rapidement, je senti Maîtresse Adeline s’empaler dessus et faire les va-et-vient qui firent monter mon désir et surtout mon envie de jouir. Maîtresse Adèle ne perdait pas son temps et était venu se placer à califourchon sur mon visage. En glissant d’avant en arrière, la boule de mon bâillon devait bien l’exciter car je sentais son liquide royale me couler sur la bouche. J’essayais désespérément d’en capter la moindre goutte. Maîtresse Adeline finit par me faire jouir et j’éprouvais une grande fierté à avoir éjaculer en elle. Presque au même instant, je sentis l’orgasme de Maîtresse Adèle déjà par un soupir de satisfaction et par une éjaculation abondante. Moi qui avait toujours rêvé de faire l’amour à une femme fontaine, j’étais servi. Mes Maîtresses se détournèrent de moi, me détachèrent et m’entraînèrent dans un sorte de panier, probablement plus destiné à un chien qu’à un humain. Abandonner dans ce panier sans avoir pu me débarbouiller et sans qu’elles m’aient libéré de mes baillons, je me recroquevillais pour trouver un peu de sommeil. Malgré la fatigue, je devinais bien que Maîtresse Adèle continuait l’éducation de Maîtresse Adeline en la soumettant à ces caprices. Finalement la fatigue fut plus forte et je m’endormis comme le chien que j’étais devenu. Mes rêves m’avaient abandonnés et je devais encore dormir profondément quand je sentis le jet chaud d’un liquide que je ne mis pas longtemps à identifier comme l’urine de ma Maîtresse. Lestement, elle avait retiré mes baillons et m’intima l’ordre de tout avaler. Un fois soulagé, c’est maîtresse Adeline qui est venu se soulager dans ma gorge. Pas de doute, j’avais eu droit à mon petit déjeuner ; Champagne royal. Mes Maîtresses étaient ravies. Elles me traînèrent dans la douche, toujours avec ma laisse attachée où vous savez et je déchantais vite en comprenant qu’elle n’avait aucune intention de me laver à l’eau chaude. Je grelottais mais j’avais quand même la satisfaction de ne pas sentir trop mauvais. Le chien que j’étais devenu ne bénéficia pas de la serviette et bien entendu il m’était interdit de m’ébrouer. Je fus emmené sur une petite terrasse et ce sont les premiers rayons de soleil de la journée qui me séchèrent. J’avais froid mais j’avais une telle fierté d’avoir découvert ce monde sans aucune concession que mon cœur réchauffait mon corps. Depuis notre arrivée Maîtresse Adèle ne m’avais que peu parlé et je ne savais pas trop si j’avais été à la hauteur. Alors quelle surprise quand je la vis venir me chercher sur la terrasse et me féliciter pour ma prestation d’ensemble. « Je suis fière de toi me dit-elle, tu as été digne de ta Maîtresse » Vous n’avez jamais été envahi par un sentiment d’importance ? Et bien j’étais subjugué. Mais je retombais vite sur terre, à ma condition d’esclave. « Aujourd’hui, nous allons organiser un jeu de cache-cache dans le parc alors tu reste comme cela, tout nu comme Adam et Eve » me lança Maîtresse Adèle. A suivre
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Par : le 09/12/20
Je passe la nuit avec le Russe. Il me rassure... On baise encore au petit matin, on se dit des choses... C'est sûr que je le reverrai. On déjeune tous ensemble, puis ils doivent partir. Mon Russe me donne plusieurs moyens de le contacter, il me fait même les apprendre par cœur et les lui répéter. On s'embrasse, mais bien, plus genre Hollywood que Vladivostok. Dès qu'il est parti, j'écris ce que m'a dit le Russe et je dis à Julien de tout apprendre par coeur aussi. Qui sait, on peut vraiment avoir besoin de lui un jour et puis... il me plaît. J'imagine que... je divorce, j'épouse le Russe et son gaz naturel. Puis je prends Julien comme témoin et comme bonne. Cool, non?? Djibril va être très occupé. Il nous donne un rendez-vous dans 3 jours à Marrakech pour signer les papiers de la petite maison. Ce n'est qu'à ce moment-là que je serai certaine que tout ça est vrai. Ce sera la fin des vacances, pour Josiane aussi. Les jumeaux nous font tout un travail pour retourner au bord de la rivière Al Abid où ils ont de si merveilleux souvenirs de mon cul et de celui de Josiane. Ils nous font même le coup du petit menton qui tremble, comme un bébé qui va se mettre à pleurer. Ils promettent... tout ce qu'on veut. C'est vrai que c'était cool au bord de la rivière des esclaves. Je finis par dire : — D'accord. Toi aussi, Josiane ? Elle pousse un gros soupir et répond : — Après la nuit que j'ai passée avec deux moujiks, j'ai la moule en compote... Je veux bien, mais sans baiser. N° 2 lui dit : — Et dans ton derrière, belle maman?? Un peu choquant comme phrase, non?? Josiane pousse à nouveau un gros soupir et répond : — Ils y ont été aussi, ces brutes. Je veux bien te sucer, mon chéri. Si tu veux baiser, y a Samia et Julien, enfin Giulia. Regarde comme elle est mignonne. C'est pas faux, Giulia est toute rougissante quand on parle de son cul. N° 2 répond : — Elle est trop serrée, Giulia. Hier, un Russe a poussé des cris, tellement il a eu du mal à entrer dans son cul et surtout à en sortir. Il a dit que c'était une vraie pucelle. Je réponds : — On va prendre deux ou trois godes qui étaient à la disposition des Russes. Un peu d'huile d'olive, un bon gros gode et il sera aussi accueillant que Josiane et moi. Elle est d'accord avec moi, elle dit : — C'est vrai, il faut élargir son cercle pour ses amis. Pas mal, on se marre. Djibril arrive et nous dit : — Dites, les filles, vous pourriez pas me laisser Julien ou Robert pour aider à ranger?? Je vous le rendrai ce soir. Manque pas d'air, l'autre?! Il pourrait me baiser les pieds pour me remercier car c'est en grande partie grâce à moi que les Russes vont signer. Josiane lui répond : — On vous laisse, Robert. Cool?! Il va sans doute travailler pour Tifa, la grosse cuisinière. Il n'a pas l'air ravi, mais est-ce qu'il a son mot à dire?? Vu sa façon d’obéir à Josiane, il va bien s'accorder avec Tifa, ses fesses peut-être moins. On peut prendre la nourriture qui reste. On choisit surtout des pâtisseries de miel au miel, du vin et des godes... Ils sont tous tellement contents de l'accord avec les Russes qu'on peut demander tout ce qu'on veut. On laisse Robert aux mains de Tifa et on prend la 4X4 de Djibril. Lui reviendra au village avec un ami. Je conduis car je suis une fille du voyage, si vous vous souvenez. Josiane est à côté de moi et elle geint à chaque cahot encaissé par sa chatte meurtrie. Elle a dû en prendre plusieurs à la fois. Derrière nous, Giulia est entre ses futurs amants. Elle n'est pas très à l'aise, il faut dire que les jumeaux sont quand même encore... spéciaux. Je suis contente de retourner au bord de la rivière... Et ce ne sera pas la dernière fois, puisque Josiane et moi, nous serons bientôt propriétaires d'un Riad dans le village de Djibril. Enfin, une petite maison entre un Riad et une cabane. On se gare au-dessus du cours d’eau et on descend le sentier. Il n'y a personne. C'est notre endroit secret. Josiane et moi, on se déshabille, on s'enduit l'une l'autre de crème solaire et on s'allonge sur des serviettes. Les jumeaux se déshabillent aussi, leurs sexes sont dressés vers nous. N° 1 me dit : — Toi, tu es en forme, hein Samia ? — Occupez-vous d'abord de Giulia, ensuite on fera des câlins. Grand sourire de N° 1... Il l'aime mon cul. Giulia doit se déshabiller. De dos, elle a de belles fesses, une vraie fille. Bon, de face, elle manque de nichons et son clito est très développé?! Je lance ma culotte à N° 1 en disant : — Mets-lui ça dans la bouche. Il pousse des cris aigus quand il se casse un ongle. N° 1 met le nez dans ma culotte. Ils sont surexcités, ces jumeaux?! Je pensais me reposer, mais je m'aperçois que les jumeaux ont déjà réfléchi à une façon bien vicieuse de transformer une Giulia coincée du cul en une Giulia capable de faire disparaître une balle de tennis en s'asseyant dessus?! Ils lui disent de se coucher sur le dos. N° 1 s'assied sur son visage. C'est vrai que dans ce cas, il n'a pas besoin de ma culotte. Il replie les jambes de Giulia sur son torse, dans la position qu'on utilise pour changer les langes d'un bébé. N° 2 lui met de l'huile sur l'anus, puis il y enfonce un doigt. Elle pousse déjà des petits cris sous les fesses de N° 1, qui se décide à se bouger pour lui enfoncer ma culotte dans la bouche. Il était temps, N° 2 enfonce deux doigts dans le cul de Giulia... Elle pousse des cris étouffés, grâce au bâillon et au cul de N° 1 qui est assis sur son visage. On a pris trois godes dans les gadgets destinés aux Russes. La bite de N° 2 est aussi large que le gode moyen. Il choisit de commencer d'une façon naturelle, c'est-à-dire avec sa bite. Il pose son gland rose et luisant sur l'anus de Giulia qui pousse un petit cri. Euh... Giulia pousse un cri, pas son trou du cul?! Et puis, han?! Il l'encule à fond jusqu'à ce que ses couilles viennent claquer sur les fesses de sa partenaire. Giulia pousse un cri de toute beauté, partiellement étouffé par ma culotte. Ouf?! Elle nous aurait transpercé les tympans, tout ça parce que N° 2 l’empale?! Josiane et moi, on l'applaudit. N° 1 retire ma culotte de la bouche de Giulia en disant : — Lèche mon cul. Ces jumeaux ont de l'imagination. Ils ont bien fait ça... Voir Giulia, en quelque sorte mon mari, si vous vous souvenez, se faire enculer, ça m'a mis des fourmis entre les cuisses. N° 1 dit à son frère : — On change, j'ai envie d'aller dans son cul. — D'ac. Ils échangent les places, sauf que N° 2 s'assied sur les seins (!) de Giulia vers son visage et se pose sa bite sur sa bouche : normal, c'est elle qui l'a salie... Josiane et moi on s'est levée pour mieux regarder et là, on entend : — Wunderbar?! Oh putain?! C'est pas normal, ça. On relève la tête et sur le talus on voit 5 barbares : 4 hommes et une femme. Habillés de cuir malgré la chaleur : des bikers. La femme a environ 25 ans. C'est une blonde avec des cheveux courts et même rasés d'un côté. Elle a des tatouages sur le cou et les bras et certainement sur le corps. À sa droite, il y a un mec genre cheveux longs et barbe et un basané au crâne rasé. À sa gauche, un homme très grand, les cheveux ramenés en queue de cheval, plus un grand Black. Je n'aimerais pas rencontrer cette bande le soir au coin d'un bois, comme on dit, et encore moins dans un endroit désert de l'Atlas. Vous avez vu "Orange mécanique"?? Ben eux, c'est les même mais en plus impressionnants. C'est la fille qui parle : — On peut jouer avec vous, les amis?? Elle n'a pas un accent allemand mais scandinave. C'est vrai qu'en suédois, wunderbar se dit underbar, ça ressemble. Ce n'est donc pas une barbare, mais une Viking. Josiane me regarde... paniquée. Bon, je me dévoue et réponds : — C'est que vous êtes... euh... impressionnants. — Mais non, on est très gentils... Enfin, presque toujours. Ils rigolent tous les cinq. Je n'ai plus des fourmis dans la chatte, mais des papillons dans l'estomac. Eh?! Je voudrais vous y voir?! Ils descendent vers nous, pas en file indienne, mais l'un à côté de l'autre, donc ils nous bloquent. N° 1 débande et sort du derrière de Giulia. N° 2 se bouge aussi. La fille nous dit : — D'abord on se déshabille, puis on se présente. Elle enlève sa veste en cuir et son pantalon. Les autres se déshabillent aussi. Ils sont tous... impressionnants : costauds, tatoués et avec des cicatrices. C'est des mercenaires ou quoi?? Quand le Black a enlevé son jean, on le regarde tous avec de grands yeux. Oui, c'est un cliché. Si ça se trouve, les Blacks ont souvent des petits zizis. Mais à mon avis, non. Surtout pas celui qui est devant nous. On est hypnotisés par son énorme sexe... encore au repos. La Viking est jolie, elle des beaux seins un peu lourds et quand elle s'étire, on découvre les buissons de poils blonds et luisants qui garnissent ses aisselles et qui recouvrent son bas ventre, aussi. Elle a des jambes musclées et sûrement un beau cul. Comme je la regarde, elle me dit : — Je te plais, petite Berbère?? Oh?! Elle m'a pris pour une Berbère, ça me fait plaisir... Elle continue : — Moi, c'est Kniv... — Euh... comme couteau?? Elle rit avant de répondre : — Oui. Ça ressemble à l'anglais, hein?? Elle me montre des cicatrices sur l'extérieur de son avant-bras gauche en disant : — Je ne suis pas mauvaise au couteau, contrairement ce qu'on pourrait penser en voyant mes cicatrices. Elle montre le grand barbu aux cheveux longs : — Lui, c'est Hans. Le Black, c'est Bludge (matraque) rapport à son sexe... Ils rigolent... nous aussi, mais mollo. Elle désigne le basané en disant : — Lui, c'est Attila, champion de lutte. Et enfin, TNT. C'est le mec avec la queue de cheval. Non, pas le Black, l'autre, sans doute quelqu'un qui aime jouer avec des explosifs. À nous de nous présenter. Je montre Josiane en disant : — Elle, c'est Josiane, mon amie et la belle mère des jeunes gens dont j'oublie toujours le prénom, alors on dit N° 1 et N° 2. Moi, je m'appelle Samia. Par terre, c'est Giulia. Enfin Julien, mon mari. Kniv demande : — Et que faisaient ces deux jeunes gens à ce pauvre Julien/Giulia?? Qu'est ce que vous voulez que je réponde?? A part la vérité : — Ils voulaient... euh... l'élargir... pour... Elle me coupe : — J'ai compris. Alors on va faire notre choix, prendre qui on veut. Vous n'y voyez pas d'inconvénient?? Ah ben si, on en voit des inconvénients?! On ne dispose pas des gens comme ça?! Je lui sortirais bien : "Non mais dites donc, vous, on n'a pas gardé les Yamaha ensemble?!", mais ma prudence naturelle m'incite à dire plutôt : — Non, non, je vous en prie... — Bon, moi, je te prends?! Viens près de moi. Je me lève pour aller me mettre à côté d'elle. Putain, elle est grande?! Elle me colle contre son corps moite. Elle sent la bikeuse viking qui traverse l'Afrique sans trop se soucier des douches. Elle continue : — Bludge va régler le problème de ton mari. Ouch?! Il va déguster. Après Bludge, il sera vraiment accueillant. Elle poursuit : — Attila, tu veux qui ? — La rousse. Un regard de Kniv et Josiane va se mettre à côté du Turc. Kniv continue : — TNT et Hans aiment bien les jeunes gens. Têtes des jumeaux qui ont comme l'impression qu'ils vont bientôt l'avoir dans le cul. C'est pas mal dans le cul, moi j'aime bien. Mais bon, je suis une fille. Kniv dit à Bludge... — L'enfile pas tout de suite. Fais-toi sucer d'abord.. J'ai l'impression qu'il va bientôt griffer les mains de sa mère, Julien. C'est une image car ma belle mère est dans le Ch'nord?! A suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins. Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de "Mia sans dessous" et "Samia, fille du voyage" sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 09/12/20
Comme je pouvais le pressentir, je me retrouvais vite frigorifié. Je me recroquevillais le plus possible et me frottait énergiquement pour ressentir un semblant de chaleur. La nuit s’écoulait lentement, je trouvais le sommeil par instant en me posant déjà plein de questions. Serais-je à la hauteur ? n’ai je pas présumé de mes forces ? de ma réelle motivation ? Heureusement Maîtresse Adèle écourta mes souffrances et mes états d’âme en sonnant le réveil de très bonne heure. J’avais eu l’imprudence de me soulager dans ma gamelle sans oser la vider. Maîtresse le remarqua très vite et s’exclama : « Tu ne crois pas que je vais vider tes chiottes, alors boit et vite. Tiens pour ta punition , je vais faire le niveau. » Elle releva sa jupe, s’accroupit au-dessus de mon écuelle, écarta son string et expulsa un large filet de pisse. Mon écuelle était pleine et j’absorbais tant bien que mal ce « doux » mélange. Elle semblait contente de son effet et m’intima de rejoindre sans tarder la cuisine. « Et puis laves-toi la bouche ma salope » Il me fallu lui préparer un petit déjeuner copieux dont j’eu l’honneur de terminer les restes. C’était peu, mais, mon corps revivait déjà au contact de la chaleur de la pièce. Maîtresse m’intima l’ordre de transporter les bagages dans le coffre de la voiture. J’attendais patiemment que Maîtresse Adèle soit prête et me rejoigne. Elle m’avait interdit de monter dans la voiture avant elle. Mais, je savais que mon état d’esclave ne me l’autorisait pas. Enfin Maîtresse Adèle apparue sur le pas de la porte. Elle était resplendissante et j’étais fort impressionné. Je lui ouvrais la porte côté passager pour qu’elle monta en premier dans la voiture. Après avoir refermé la porte, j’allais prendre place au volant. Elle m’indiqua seulement la direction à prendre. Nous étions parti depuis quelque temps et je n’avais toujours aucune idée de notre destination finale. Après quelques dizaines de kilomètres, Maîtresse Adèle me demanda de m’arrêter sur un parking isolé. J’allais lui ouvrir la porte, elle sortit rapidement et m’indiquait l’arrière de la voiture. Je commençais à redouter ce qui allait suivre. Maîtresse Adèle me banda les yeux et m’entrava les mains et les jambes avec des menottes. Elle ouvra le coffre et me poussa sans ménagement à l’intérieur. Je comprenais maintenant pourquoi, elle m’avait demandé de réserver une place parmi les bagages. Le coffre refermé, j’entendis Maîtresse Adèle prendre place au volant et démarrer promptement. Aucune idée du temps écoulé avant que je ne revois la lumière mais cela m’a semblé une éternité. Enfin, nous semblons pénétrer dans une propriété car j’entends le bruit des pneus sur une allée gravillonnée avant que la voiture ne s’immobilise. Le claquement sec de la portière m’indique que Maîtresse Adèle est sortie, à ces pas j’entends qu’elle se dirige vers le coffre mais avant de me libérer, Maîtresse Adèle salue ses hôtes. Le coffre s’ouvre violemment et le jour m’éblouit même au travers de mon bandeau. Maitresse me le retire et Il me faut quelques minutes pour distinguer la façade d’une maison bourgeoise qui semble plantée au milieu d’un parc immense. Maîtresse Adèle m’intime de me mettre nu. J’entends notre hôte appeler un soumis. Il arrive sans perdre de temps seulement habillé d’un veston comme en porte les huissiers à l’entrée des grands hôtels. Les ordres de Maîtresse Adèle tombent rapidement, je ressens qu’il n’est pas le moment de la contredire. « Mets toi à genoux, les mains en avant et le dos bien plat, tu serviras de brouette pour mes bagages. » Le soumis me charge le dos avec deux valises, sangle le tout, puis me prend fermement les pieds pour diriger l’objet que je suis ; une brouette. J’avance précautionneusement pour que les valises ne tombent pas mais Maîtresse Adèle considérant mon rythme trop lent à son goût me fouette violemment les fesses et m’invective fermement : « Avance plus vite chienne et ne fait rien tomber car il en cuira pour tes petites fesses » Après un nouveau voyage aussi contraint que le premier, je me retrouvais dans un grand vestibule à côté des bagages, à genoux et la tête au sol entre mes mains. Je ne devais pas bouger et je ne percevais pas grand-chose de la situation. Maîtresse Adèle papotât quelques instants avec son hôte qui lui indiqua sans doute sa chambre. Nous reprenons alors notre manutention, moi en brouette et mon collègue soumis en brancardier. Il n’y avait pas d’ascenseur et atteindre l’étage comme cela ne fut pas une mince affaire. La seule chute arriva à la porte de la chambre de Maîtresse Adèle qui fulmina contre moi : « Imbécile, j’espère qu’il n’y aura rien de cassé car ce sont tes fesses que je vais te casser. Maintenant, tu vas ranger mes affaires au fur et à mesure que j’ouvre mes bagages et les ranger soigneusement où je te dirais.» Après cela, nous sommes redescendu au rez de chaussée. C’était une grande pièce équipée principalement en donjon. Une grande table trônait pas loin d’un coin cuisine qui indiquait que les convives pouvaient être nombreux. Dans un coin de la pièce étaient disposées des cages grillagées. L’une d’entre elle était occupée par le soumis porteur et une autre par un soumis que je n’avais pas encore vu. Une troisième me fut attribuée avec interdiction de parler à mes voisins de cages. Un bâillon boule m'aida en ce sens. Ce fut quand même pour moi un moment de décompression tant l’arrivée avait été intense. J’attendais maintenant la suite avec impatience… Toute ressemblance avec des faits réels n'est peut-être pas aussi fortuite que cela :smirk: A suivre
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Par : le 09/12/20
Le vent souffle, soulève les feuilles abandonnées. Elles sont arrêtées par cette chevelure qui caresse le sol. En remontant le long de cette chevelure, un liquide s’entremêle, il provient d'un flux plus important le long du front, le long du nez, pour trouver source depuis ces lèvres écartées, contraint par un bâillon épais. En remontant le long de ce visage féminin, un cou fin se poursuit cerclé d'une chaine type chaine d'encre, affluent d'un buste à la peau rose pâle, pigmenté d'une chair de poule, ponctué de grain de beauté , magnifié par une poitrine modeste mais finissant par des tétons tendus. Le dos est marqué, mais guidé par ces deux bras attachés d'une corde. Les hanches creusées mais enveloppées d'une peau flasque paraissant douces à la fois, étaient cordées. En remontant le long de cette colonne, un fessier contracté, rouge, parsemé de petite bulle, de fines écorchures, et de longues traces de coups de fouet, gesticule. Il est caressé à vive allure par le fall hitch, effleurant la peau avec une précision jouissive. En remontant le long de la lanière, un manche est tenu par une main ferme, aux doigts fins et des ongles manucurés avec soin malgré de très légères bavures. Le poignet, orné de plusieurs bracelets en or jaune fins de luxe, effectue des rotations accompagnant les mouvements du bras de Maitresse B. En remontant le long de cette silhouette, partant d'un escarpin noir d'une grande maison italienne, ces jambes recouvertes d'un pantalon tailleur noir, dans lequel est rentré un chemisier blanc ample, aboutissant à la tête de cette femme quadragénaire aux lignes fines et dessinées, des yeux vert foncé et une chevelure châtaine asservit dans un chignon au crayon. Maitresse B, était ni plus ni moins en train de rappeler par le fouet, à sa soumise incarné dans ce corps suspendu à une corde et un treuil, l'exigence qui l'incombait. L’installation en extérieur était autrefois le lieu où l'on égorgeait les animaux de la ferme. Le cadre de ce corps de ferme, en vieille pierre jaune, joint gris, verdi par l'humidité et le temps, inspirait Maitresse B. Les claquements du fouet sur le fessier sonné comme un coup de fusil aigu, mais était suivi du gémissement excitant d'une soumise apprenante. Une fois la punition et la soumise délivré, Maitresse B préconisa les quatre pattes à celle qu'elle avait mise à terre. En déliant ces chevilles, maitresse B se tenait à sa hauteur et contemplait ce fessier qu'elle finit par caresser de satisfaction. Toucher son œuvre. Cette caresse se prolongea jusqu'aux cheveux de sa soumise, elle ne pouvait s’empêcher de caresser son visage pour la rassurer. Maitresse B se leva, et ordonna à sienne de se diriger vers l'étable. Une nouvelle fois Maitresse ne pouvait s’empêcher de rester en arrière d'un pas lent pour observer ce corps qui avait du mal à se déplacer dans la poussière et le gravier. Les genoux de notre soumise ne pouvaient frotter ou trainer sur le sol, il lui fallait dont soulevait toute la jambe pour avancer sans douleur, ce qui amenait ce mouvement de fessier abrupt mais sensuel à la fois. Une fois à l'étable maitresse ouvrit le battant d l'enclos pour y faire entrer sa soumise. Du doigt elle lui indiqua un amas de couverture au sol, ça serait sa place pour la prochaine heure, après la punition la méditation. Maitresse B sortit pour rejoindre la cuisine. C'était l'heure du thé, elle se prépara sa tasse, puis déambula jusqu'au salon pour s'installer dans un fauteuil année 60. Face au mur, décoré d'un tableau imposant, représentant une chasse à court mener par des femmes, peint et imaginé par une artiste Anglaise, son esprit se dilua dans une pensée philosophique sur son rôle. La tasse était vide et sa réflexion conclut, elle prit son roman en cours, l'histoire d'un monument architectural contemporain parisien et de son architecte romancé pour plus d’immersion. Il était temps d'aller chercher la punie, Maitresse B suite à un bref discours moralisateur et intransigeant, renvoya sienne à ces taches basse après une toilette. Maitresse B monte les escaliers, avec une allure nonchalante, les mains dans les poches, le regard bas. Ses talons résonnaient à un rythme très espacé. Arrivé dans son grand bureau, elle s'avachit sur le canapé cuir, attrapa ses cigarettes Corset, en alluma une, et regarda la fumée s'élever et disparaître. Son regard se posa finalement sur la fenêtre et cette vue grisâtre. Il y avait une fatigue et une insatisfaction qui se mélangeaient en elle. Elle n'était pas d'humeur à jouer avec sa soumise. Et c'était anormal pour elle, elle culpabilisait de ne pas être présente auprès d'elle. Elle sentait le poids de sa responsabilité qu'elle devait assurer, la pérennité de son pouvoir auquel avait souscrit. Ce sentiment qui venait se percuter à elle n'avait rien d'habituel, et le malaise qui s'installait dans ses pensées aussi. Etait-ce le moment de remettre en question son engagement ? Elle prit son smartphone, ouvrit une de ces applications préférées et commanda une manucure pour refaire celle ratée par sa soumise.
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Par : le 23/11/20
Vous êtes nombreux sur les sites à aimer les femmes phalliques. Vos  plus ou moins  jolis petits culs en photo en témoignent.  J'en trouve certain tout à fait appétissant . Mais même si vous êtes débordant de motivation et frétillant comme un jeune chiot en chaleur, vous n'en restez pas moins prévisible. Parfois, prévoir de vous culbuter perds de son attrait. Pas toujours heureusement... Mais c'est surtout que j' ai le grand avantage  de pouvoir assouvir ce genre d'envie  en allant au sauna.( Enfin ça c'était avant la covid. ) Comme le dit si bien le dicton: on est jamais mieux servi que par soi-même ;)  Me voilà donc décidé   pour y aller. Je mets mes dessous appropriés, mon gode ceinture dans le sac, rajoute ce jour là juste un bâillon boule. Rien d'autre. J'aime la chaleur  du sauna, le bois chaud, les corps de  ces messieurs dénudés. Leur attribut en main à peine dissimulé derrière leur serviette, se branlant mine de rien... Seule femme en dentelle noire  avec  à ses cotés son petit sac transparent. Petit chaperon noir à grand faim de loup.  Elle sort de son panier son membre rosé, le pose en vue le temps de  jouer de ses courbes  pour enfiler  son harnais.  En gardant à l' oeil ses deux proies dans l'étroite pièce surchauffer, elle érige son sexe bandant  artificiel sur le sien  bien réel et humide à souhait... Doucement elle commence à se branler les invitant d'un malicieux regard gourmand... L'un des hommes se rapproche, face à elle, l'autre s'assoit à ses coté , tout trois se mettent à se branler...  à se toucher...  Encore se rapprocher... Chaperon sait ce qu'elle veut, les loups  sont désormais à sa merci... Le premier, maintenant à genoux devant elle , suce goulûment sa queue  et le second aspire ses doigts. Elle s'immisce ainsi dans ces deux bouches au rythme saccadé de ses hanches , exprimant sa volonté de baiser... La température grimpe,  les loups sont à point...chaperon à chaud... Ses seins se tendent derrière sa dentelle... Elle les veux tous les deux...   Je les invite à me suivre dans un salon plus frais. Juste un petit couloir à traverser , quelques regards à croiser... C'est maintenant 2 agneaux que j'ai à mes pieds avec une attention particulière pour le second. Il flair bon la salope en herbe...   L autre, visiblement plus expérimenté me servira  de lèche cul le temps que j'explore de mon gode   la profondeur de la   gorge de cette petite gueule qui ne demande qu'à se faire baiser... L'un derrière moi, la tête à sa juste place entre mes fesses , l'autre devant la bouche grande ouverte... Mes mains les guident, mes mots les excitent, je me régale de les utiler ainsi... Pour en finir avec le premier, je lui  demande d'éjaculer sur cette petite chienne toute baveuse et  de fermer la porte derrière lui en sortant me laissant ainsi seule avec ce joli petit cul vierge... La suite se fera avec plus de douceur et de sensualité. L'envie, le désir, le gel aussi feront de ce moment un partage respectueux de plaisir . Lui s'offrant pour la première fois, moi savourant avec attention et délicatesse chaque centimètre de plus en lui... Limant doucement dans un sens... Les jambes bien relevées...Dans un autre... Le cul bien offert... Prenant garde de ne pas m'emballer... Juste savourer...  Jusqu'à trouver la position qui me mènera  à ma jouissance ...   Nul besoin d'une fiche sur un  site pour ça. Juste un peu de chance sur place. Ne me demandez pas leur nom, les connaître ne m' intéresse pas. Une prochaine fois je vous raconterais comment j' en ai baisé un 3ème ce jour là . Comprenez juste que si je ne cherchais qu'un cul à baiser, je n' aurais pas de fiche ici ;)   
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Par : le 10/11/20
Beaucoup de personnes ne font pas la différence entre dominer et profiter d'autrui, prendre en mains, éduquer, soumettre, appelez ça comme vous voulez, ce doit d'être avant tout bienveillant. Le but est d'épanouir et non de détruire autrui, cela n'est profitable ni pour le bourreau ni pour la victime... Si vous êtes repoussé par le BDSM, ne le pratiquer pas. Et surtout ne profitez pas du BDSM pour vous défouler sur une personne qui vous fait pleinement confiance et crois en vous ! L'imagerie BDSM imprègne la société et il peut semble facile de dominer et de prendre en mains, c'est pourtant une place de responsabilité à ne pas négliger. Henry Kissinger a jadis qualifié le pouvoir d '«aphrodisiaque ultime». Les rois et les nations se sont battus pour dominer les autres. Le capitalisme suppose un monde où réussir signifie exercer un contrôle. Et dans le sport, les joueurs s'efforcent d '«humilier» leurs adversaires. Mais dans le BDSM, le pouvoir est accompagné par de grandes responsabilité (oui comme le dit oncle Ben à Spiderman ;) ) Alors après on peu se demander quel genre de personne se sent sexuellement excité par la douleur? Beaucoup de gens qui sont parfaitement normaux à tous égards. Encore une fois, pensez au sport: lorsque les joueurs de football font des jeux brillants, les coéquipiers se tappent souvent les fesses, au football américain c'est même parfois bien plus violant. Les destinataires acceptent cet «abus» avec reconnaissance comme un signe d'appréciation et d'affection. Ou encore imaginons une randonnée sur une montagne. Vous avez des coups de soleil. Les épines vous griffent les jambes. Et au moment où vous atteignez le sommet, vous êtes endolori et épuisé. Pourtant, vous vous sentez euphorique. Malheureusement, les médias BDSM ont grossièrement déformé la douleur que subissent les soumis(e). C'est plus théâtral que réel. Lorsqu'il est exécuté par des dominants éthiques et bienveillants («doms» ou «tops»), le BDSM n'est jamais abusif. «C'est toujours consensuel», déclare Jay Wiseman, auteur de SM 101. «Les abus ne sont pas.» Vous n’avez pas besoin de contraintes, de bâillons ou de fouets pour maltraiter quelqu'un. Et heureusement un bon dominant n'a pas besoin d'accessoire pour inspirer l'envie à sa soumise de le servir. Mais entre des mains aimantes, l'équipement augmente l'excitation sensuelle, permettant aux deux pratiquants de profiter de leur interaction, ou «scène», comme un plaisir érotique, propre et agréable. » Lorsque le BDSM inflige une vraie douleur, il est toujours soigneusement contrôlé avec le soumis(e) («sub» ou «bottom») et les vrais dominants sont toujours dans la juste mesure. La douleur n'est pas un but mais un moyen, toujours. Le plaisir dans la douleur à une nuance et beaucoup préfèrent l'appeler sensation intense ce qui leur procurent du plaisir. «Ils ressentent la douleur des piqûres d'abeille ou d'un coup de poing au visage exactement comme n'importe qui d'autre», dit Wiseman, «et ne l'aiment pas autant.». Aussi tout est une question de forme. Et le plus important est de garder à l'esprit que le BDSM est surtout une relation humaine dans laquelle chacun se doit s'épanouir et se compléter comme deux organismes symbiotiques.
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Par : le 10/10/20
Désolée pour les éventuelles fautes, je suis prise en photo... La voix de Bono m'aura bien inspirée entre in a little while et le Very Best Of U2 - U2 Greatest Hits - U2 Collection *************************************************************************** 19h, je mettais la clé pour ouvrir l a porte d’entrée de son antre. Il m’avait demandé de lui faire les courses. Son travail le prenait énormément. Il avait prévu une soirée chez lui, un repas en tête à tête. L’automne s’était installé brutalement. Ces changements de température était fatiguant. Je ne savais même plus comment m’habiller. Il faisait si frais ce matin que je regardais dépiter mon dressing. J’avais ressorti mes collants couleur chair… A peine entrée dans le vestibule, je vis un immense bouquet de roses rouge avec une carte à côté. Je m’empressais d’allumer la lumière. Je souriais. Ses attentions étaient toujours surprenantes, parfois simples mais à me donner le sourire car c’était lui.. simplement lui. J’ouvrai le lettre jointe. « Ma petite chatte, Je sais combien tu as des envies en toi, inassouvies. Sache que quelque soi la situation je serai toujours à tes côtés" Que voulait il dire ?... Je continuais la lecture. "Ce soir, je veux que tu vives intensément cette soirée que je t’ai préparé. C’est mon cadeau." Je ne comprenais rien à son message. A coté du bouquet était posé un polaroïd avec ce post-it. - Vis ce moment instantanément Je ne saisissais toujours pas où il voulait en venir. En tout cas, comme majorité de femmes le ferai , je déposai mon nez au-dessus de ces roses pour en sentir le parfum. Quelle déception, aucune odeur. Je me remémorai toujours le rosier de mon enfance que ma mère avait planté et qui était si odorant, des roses blanches avec le bout des pétales d’un rose pale.. C’est au moment où je me relevai, surprise, je me retrouvais avec un sac en plastique sur la tête. Une main se déposa sur ma bouche l’autre me tenant par la gorge. Je tentais de me dégager de ces bras si forts. Dans ma tête, comme une panique. C’est là que je compris le sens de son message. L’inconnu me tenait si fermement que ma résistance était bien veine. Je me débattais quand même. La première minute me paru interminable. Il m’avait bloqué. Je savais que le sachet sur ma tête commençait à faire son effet. L’air allait commencer à me manquer. - Tout doux ma belle. Calme toi… Laisse toi faire. Je tentais une dernière fois de me défaire. L’air se faisait de plus en plus rare. Mes mains s’était posées sur son bras qui me tenaient par la gorge. Malgré le fait que mes griffes se plantaient dans son avant bras, il ne lâchait rien de son emprise. Doucement, j’acceptais sa présence, je tentais de rester calme, de gérer ma respiration. Quand l’air commençait à manquer, il me parla. - Calmée maintenant ? Sa voix était rauque, perverse et à la fois maîtrisée. - Tu vas être bien sage si j’enlève le sachet ? Je hochais la tête par l’affirmative. A moitié sonnée par le manque d’oxygène, il ôta le sachet. Je profitais de ce moment là pour tenter de m’échapper. Il bloquait le passage de l’entrée. Je me retrouvais ainsi sans défense face à cet intrut. Il était habillée en noir, il avait une cagoule sur la tête. Je savais parfaitement que cela n’était pas le hasard. Il avait organisé cela. Il savait que cela était un de mes fantasmes. Qui n’a jamais eu ce fantasme. Mais entre réalité et fantasme, il y a toujours une différence. Je savais qu’il avait le contrôle, malgré moi sur la situation. C’était à la fois terriblement excitant et à la fois je voulais me dégager de cette situation. Je luttais contre cet inconnu. Le fait de ne pas voir son visage me rassurait. Je ne percevais que ce regard bleu glaçant. Il était grand, je sentais un homme qui s’entretenait vu sa force, sa poigne. Il m’agrippa par la taille. Je tentais encore de me dégager. Mes escarpins tombèrent de mes pieds, témoin de ce qui allait se passer. Je tombai au sol, il se jeta sur moi. Je sentais le poids de son corps sur moi. - Tu veux jouer, on va jouer. Je commençais à hurler. Il me bâillonnait de sa main puissante. - Ta gueule ! - Si tu veux que je te remette le sachet sur ta gueule… continue de te débattre. Je me calmais, il était toujours sur moi. Je sentis sa main remonter ma robe. Avec mes mains, je tentais de l’empêcher de faire ce qu’il voulait. D’un coup brutal, il défit sa ceinture, saisit mes bras et m’attacha. - Je vous en prie arrêter.. murmurai-je. Il releva ma jupe pour qu’elle soit bien relever sur mon cul. - Des collants, comme c’est mignon… Il saisit le collant au niveau de mes fesses et les déchirer avec violence. - Oh cette petite culotte…. Je me faisais suppliante, telle une biche effarouchée. Il avait pris soin de réaliser mon fantasme. Il était fou, incroyable. L’homme déchira ma culotte. Je sentais sa force implacable. Je me débattais pour ne pas me laisser faire. Il se rallongea sur moi, mis sa main sur ma bouche. - Sache que plus tu vas te débattre et plus ça va m’exciter. Il força ma bouche pour y mettre ma culotte. Il saisit le scotch qu’il avait amené et me musela ainsi. - Oh quel regard, tu es bien excitante. Il s’était relevé et s’était agenouillé à ma hauteur pour bien me regarder. Il en profita ensuite pour m’attacher les chevilles à mes poignets. J’étais ainsi à sa merci au milieu du salon. Il me laissa. Qu’allait il faire de moi ? que faisait il ? Je pleurnichais. Soudain, j’entendais le bruit du polaroïd. - Il te faut de bons souvenirs de la soirée qui t’attend. Il caressa ma larme puis me claqua les fesses. - Je vois que tu as fait les courses… Il fouillait les sacs. Quand je le vis avec des légumes en main, je commençais à me débattre. Je tentais de hurler un non. Mes sons s’étouffaient dans ma culotte. Il s’était assis face à moi. Il me regardait, il se délectait de ce spectacle. Il prenait un plaisir à me prendre en photo pour me les montrer, les commenter et les jeter devant moi pour que je les vois attentivement. - Je sais que tu es une bonne petite salope. Ne prends pas ces airs effarouchés avec moi. Je vais très bien m’occuper de toi. Je ne te ferais rien de mal, je te donnerai juste du plaisir. Je devinais son sourire pervers. Il se leva. Je tentais de regarder au dessus mon épaule malgré ma position. Je comprenais. Il inséra le concombre dans ma chatte. Quelques secondes auparavant je me débattais.. là j'étais à son écoute. - Tu peux continuer à te débattre petite pute. Ta chatte et ton cul vient bien être tringlés ce soir. Il prit encore une photo de moi goder avec ce légume dans la chatte. Je me sentais humiliée et honteuse. - Quels jolis pieds tu as. Bien vernis d’un rouge que j’aime. Il les massa longuement. Je me tortillais. - Je vais bien m’amuser avec toi, ma poupée. Il s’était rallongé sur moi. Il tenait en main le concombre. Il commençait doucement à faire des va et vient. Son bras entravait ma gorge. - Profite ma chérie. Je vais te gâter. Tiens prend bien ça dans ta petite chatte. Je gémissais. Mon état était entre crainte et plaisir. Je savais au fond de moi que c’est lui qui avait organisé tout cela. C’était un jeu. Rien qu’un jeu. J’étais profondément excitée. - Allez lève toi. Attachée comme j’étais, je tentais de me relever. C’était compliqué. Il me regardait. Voyant que je n’y arrivais pas, il me saisit pour me lever. Il était derrière moi. Son souffle au creux de mon oreille. Il me lécha la joue. Je voulais résister de toute mes forces et en même temps je voulais être docile. C’était un sentiment étrange. Pourquoi ce fantasme du viol simulé que j’ai toujours eu?. Si excitant. Le sentiment de lâcher prise, de se laisser aller, tout en sachant que dans ce contexte précis, tout était bien sûr sous contrôle. Je m’étais déjà retrouvé dans une situation de contrainte dans ma vie, je n’étais pas dans cet état d’esprit. Le cerveau a une capacité à se figer face à une agression. Avec lui, Je pouvais tout lui dire, mes envies, mes désirs les plus sombres, j’étais un livre ouvert. Il avait une telle écoute, une telle maitrise. Je me sentais vulnérable et forte. Jamais je n’aurai organisé ce fantasme seule, trop de peur, trop de crainte de « mal tombé ». Combien de fois, j’ai eu la sollicitation d’hommes qui rêvaient que je les attende dans une chambre d’hôtel les yeux bandés, ou même pire chez moi ? Je me disais mais à quoi pensent- ils. Malgré la situation qui peut être excitante, on ne sait jamais sur qui on tombe. J’ai toujours été précautionneuse. Ne jamais se mettre dans une situation qu’on ne peut contrôler. Avec lui, je pouvais me laisser aller car il contrôlait la situation. Je savais son regard bienveillant. Peut être regardait il même ou était-il chez lui. Des deux je ne savais pas qui était le plus pervers. Sans ménagement il me conduisait à la chambre. Je ne me laissais pas faire. J’étais comme déchainée. J’avais envie de me débattre, cela augmentait bizarrement cette envie d’être prise si fortement. D’être contrainte, sans défense. Un schéma psychologique où au final cela me permet d’accepter toute ma sexualité, mes désirs sombres. Tout en me tenant par la gorge , derrière moi il me faisait avancer en direction de la chambre. C’est là que je le vis. Il était assis sur le fauteuil de chambre. Je devinais son ombre. Son parfum. Il allait être spectateur. L’homme me poussa sur le lit comme une marionnette. Il écarta avec son genou mes cuisses. Je sentais le contact contre mon sexe. Il détacha alors mes mains de mon dos. Il saisit des cordes qui attendaient là.. il m’écartela sur le lit. Attachée, jambes et bras écartées. Offerte. Il s’était levé. Je le vis alors à la main avec l’appareil photo. Il me regardait. J’étais rassurée de la savoir ici. Il ne disait aucun mot. Il prenait juste des photos indécentes. Il jeta le polaroid sur le lit. Puis il se remit sur son fauteuil. L’homme s’était mis à califourchon sur moi. Il m’embrassa à travers mon bâillon. Avec animalité il me lécha la joue tout en tenant mon visage entre les mains pour me forcer à le regarder. L’homme prit le polaroïd et saisit cet instant. - Humm ces yeux de biches larmoyant plein de noir. Mon maquillage avait probablement coulé. Je gémissais. Il me fit taire en mettant ses doigts sauvages dans ma bouche. - Ta gueule, tu as compris. Je me débattais. Cette situation m’excitait. Ses doigts remplissaient ma bouche, puis il mis sa main ferme sur ma bouche. De son autre main, il envahissait mon sexe, prenant d’assaut ma chatte. Ses doigts était gros, possessifs. Je râlais. C’était bon et en même temps je ne voulais pas de ce plaisir. Ce n’était pas lui.. mais il regardait. Un sentiment de lutte et d’envie. Il me baisait de ses doigts en me faisant taire. Ses doigts furent très rapidement remplacés par son membre. Il était moyennement grand, juste ce qu’il fallait. Cette fougue me rendait folle. Je tirais sur mes liens, je bougeais. Je sentais les cordes me cisaillaient. Je pouvais me lâcher. Quand il me recouvra à nouveau la tête avec un sac. Il allait jouer avec ma respiration. Il le tenait bien fermé, sur ma gorge. Il me prenait, tout en me regardant. - Tout doux ma belle… Chaque coup était intense, le sentiment de peur exultait. Quand il voyait que le manque d’air se faire un peu trop, il m’en redonnait puis refermait le sachet. Tout en me prenant, encore et encore. Je perdais doucement pied, mais tout était sous contrôle. J’étais devenue une marionnette. J’étais un peu au paradis, juste ce qu’il fallait, je pouvais maintenant me laisser complètement aller. Il me détacha pour me retourner sur le ventre. Il y plaça plusieurs coussins sous celui-ci. - Quel beau cul de salope. Je vais te saillir. J’entendis encore une fois le bruit du polaroid. - Il parait que tu aimes être fouillée petite putain. Il s’attarda alors sur mon cul. Sans aucune préparation, il m’encula. IL tenait fermement ma nuque. Il l’enfonçait dans le lit, comme pour m’étouffer. Je criais. - Ferme ta gueule. - Tiens, prends ça dans ton cul de pute. Je l’entendais râler. Il y allait avec une telle frénésie. IL me saisit alors par les cheveux pour bien redresser ma tête. Il me prenait encore en et encore. Je sentais ses couilles taper contre moi. Des coups précis, bien au fond, cinglant. - Dis moi que tu aimes ça ! - Je… j’aime encore murmurai-je Il se stoppa net. Il écarta de ses mains mes fesses. - Quel bon petit trou bien serré. Il ne m’a pas menti. Je savais qu’il parlait de lui.. Je me doutais qu’il n’en perdait pas une miette - Humm tu mouilles comme une chienne. Il avait de la mouille plein la main quand il décida de me la montrer et de m’en mettre sur mon visage. Il se mit bien à califourchon sur moi. Deux doigts dans mon cul. Il s’amusait avec, à tournoyer à jouer avec le pourtour de ma petite auréole. Il tenta de mettre sa queue avec ses deux doigts à l’intérieur. Je gémissais, je ne voulais pas. - Ferme ta gueule. - Mais regarde moi cette mouille !! Il me posséda et éjacula. Il enleva alors sa capote et la posa juste devant moi. - Hum tu m’as bien vidé mais j’en ai pas fini avec moi. Il se leva et prit alors un crochet anal. Lui.. Il avait sorti plusieurs choses pour notre invité. Il m’attacha alors les cheveux. Inséré la crochet sans ménagement dans mon cul. Il le rattacha à ma queue de cheval en y mettant une certaine contrainte. Je me déhanchais pour tenter de trouver une pose confortable. Qu’allait il faire. Puis j’entendis encore le son du polaroid. - Une belle position de soumise… contrainte me dit il au son de l’oreille. Un long silence. Etait il toujours assis ? Il prit soin de déchirer tout mon collant pour m’en défaire. IL était revenu avec une petite bassine. Il commença doucement à me nettoyer les pieds. Je ne me laissais pas faire. Le crochet jouait au fond de mon petit cul. Et j’en étais responsable. Je gémissais, encore et encore. Excitée et honteuse. Il les embrassait et s’en délectait. - Hum ces petits pieds… si délicats, si doux… Et ce vernis… Je sentis alors le coup de la badine s’abattre dessus. Je sursautais. Je me débattais. Des petits coups précis, puis il y passait sa main pour me chatouiller. Je ne tenais pas, j’étais bien trop chatouilleuse. Je tentais de me convenir. Contrainte.. Il massa ensuite mes pieds, puis s’aventura encore mes jambes, mes cuisses. Il me posséda cette fois par la chatte. Il était à nouveau frénétique. La douceur avait laissé place à l’emprise. Il me tenait par les cheveux. Il me besognait. J’entendis alors le polaroid. Ils s’était levé. Il était à mes côtés. Il me regarder en train de me faire prendre. Il ne disait toujours rien. L’homme me tenait fermement les cheveux, il me murmura. - Bonne petite chienne. Lui, me regardait. Je le regardais, il voyait le plaisir honteux que je prenais. Il voulait me voir prise, combler. Il me baisait si intensément, j’en avais presq ue mal. Je disais non.. il continuait jusqu’à sa jouissance. Une seconde fois, il posa a nouveau la capote devant mes yeux. Il claqua mes fesses. - T’es une bonne videuse de couille… Je rougissais , honteuse et humiliée. L’homme se releva. Je restais ainsi attachée. Ils quittèrent la pièce. Quand il revient, il s'assit sur le bord du lit me caressant la joue. - Si tu t’étais vu. J’ai aimé te voir ainsi. Je n’en ai pas fini avec toi. Il s’était approché du li. J’étais épuisée. Il me caressait les cheveux. Il saisit alors le Magic wand. Il le plaça sur ma chatte. Je sentais ses effets. Cela me grisait. - Je t’interdis de jouir ! Je savourais cette instant. - As-tu aimé ? - Je… oui j’ai adoré à vrai dire lui avouai-je - Ne sois pas honteuse. Je t’ai fait cette surprise. J’ai aussi pris beaucoup de plaisir. Tout en me parlant, je me retenais de ne pas jouir, j’en avais tellement envie. Il avait ramassé toutes les photos pour me les montrer. - Tu as été une bonne petite chienne ce soir. Je ressentais tellement de choses contradictoires. Un tel lâcher prise. Je n’arrivais plus à me retenir. - Allez jouis. Mes cuisses commençaient à trembler tellement la vague était immense. Je fermais les yeux. Il me parlait, me murmurait tellement il était heureux avec moi. Avec douceur, il détachait le crochet anal. Il passait ensuite sa main douce dessus. - Ton trou est béant. J’aime le voir ainsi. Mon petit trou était meurtri. Il m’embrassa le creux du dos. Il embrassait mes salières de Vénus. Ses doigts longtemps ma longue cicatrice tout le long de ma colonne vertébrale. Puis il remontait jusqu’à ma chevelure pour libérer mes cheveux. Tendrement il m’embrassait,, me léchait mais il n’était jamais loin de vouloir m’infliger encore des sévices pervers. Je sentais à nouveau sa main sur mon sexe… - Tout est à vous.. Monsieur.. tout.. je suis à vous…
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Par : le 07/10/20
Désolée pour les éventuelles, je suis partie tenir la chandelle. Ambiance musicale : Gortoz a ran - Denis Prigent et Lisa Gerrard. ************************************************************************************************************** La tempête approchait. Après des semaines sans se voir, il était si bon de se retrouver. J’avais trouvé un petit gite dans une de ces maisons en pierre typique nous plongeons dans le passé. Une chaumière avec un e chambre, une belle pièce à vivre avec des poutres et une cheminée. Tout invitait ici au calme, à la détente et à la luxure. Mon esprit pervers prenait vite le dessus quand nous recherchions des lieux pour nous évader. Ces poutres nous invitaient à des jeux attachants. Il avait allumé le feu dans l’âtre. Arrivé la veille, nous avions pris nos marques. Nous avons profité de l’air marin revigorant. Voir les vagues s’abattre sur les rochers. Elle était déchainée. Le vent virvoltait dans mes cheveux. Il ne laissait aucun répit même à mes yeux qui pleuraient. Ils nous poussaient même. Aujourd’hui la pluie n’avait pas cessé. J’entendais le son des volets claquer, le bruit du vent se faire menaçant. J’aime cette atmosphère. En tant normal je n’ai pas peur, mais je sentais le vent terrifiant comme jamais. Il était derrière moi. Je regardais dehors cette sublime forêt qui nous entouraient. IL me massait doucement les épaules tandis que mon regard se perdait au loin. - Hum, tu sens si bon. J’aime ton parfum si envoutant. Ma main se releva pour se lover sur la sienne. Je me retournais vers lui. Je souriais du bonheur que nous avions, de la chance que j’avais. Je me blottissais contre lui cherchant le réconfort, la protection. Il mis sa main à l’arrière de ma tête pour me maintenir avec tendresse contre lui. Tendrement il m’embrassa le dessus de ma tête. Nous étions dans notre bulle. Passant, jouant de ce que nous étions. Lui, un homme tendre, à l’écoute, empathique et si respectueux. De l’autre, une femme enfant, parfois une femme fatale qui avait besoin malgré l’apparence de lâcher sa vulnérabilité et de se sentir protéger et que rien ne puisse lui arriver. Je me suis longtemps posé la question si tout cela était lié au rapport à l’enfance, mes rapports avec mon père autoritaire. Il me traitait un peu comme sa princesse et une mère au foyer très fragile. J’avais peur de ressembler à ma mère. Je ne voulais jamais être dépendante d’un homme. Pourtant ces jeux que nous affectionnions nous rendent dépendant l’un de l’autre. - Regarde comme tout est noir dehors. Je me retournais. Il faisait presque nuit en plein milieu de la journée. Je sentis ses mains passés sur mes seins alors qu’il respirait mes cheveux. - Humm tu m’enivres. Je souriais intérieurement. IL prie plus possession de mes seins. Cela éveillait en moi l’envie à la fois de douceur mais l’envie de choses bien plus sombres. Il abaissa soudainement mon pull bleu marine qui faisait ressortir la blancheur de ma peau. Je me retrouvais ainsi avec le pull autours de la taille. Il défit mon soutien gorge. - Il est dommage de les laisser enfermer ces petits seins. Il les pris à pleine main alors qu’il m’embrassait dans le cou. Ses mains possessives s’emparaient de mes petits tétons. Il s’amusait à les tourner. Je gémissais. - Chut… me murmura t il. Il me plaqua subitement mon torse contre la fenêtre. Mes seins se retrouvaient glacés par le contact avec celle-ci. Il m’écrasait fermement au nouveau de mon dos pour que mes seins soient le plus comprimés. Si un passant errait dans le secteur il aurait eu un magnifique spectacle. Il remonta ma robe pull jusqu’à la taille. - Cambre toi ! Naturellement j’étais déjà cambrée, appelant son attention, ses caresses. Ma joue était contre la vitre, il la tenait appuyer tout en vérifiant l’étant de mon excitation. IL me fourra deux doigts dans mon con. Je ne pus m’empêcher de quémander davantage. Je sentais que cela était peine perdue. Il me releva en m’empoignant les cheveux et il m’amena à lui. Il s’empara de mes lèvres avec tant de fougue et de passion. Je lui rendais son baiser. - Mets toi en position d’attente ! Je me mis alors a genou, les jambes bien écartées, me tenant droite et fière. La tête baissée. En revenant il appuya sur ma tête pour que je comprenne qui j’étais. Je sentis alors rien qu’à la manière dont il me touchait la virulence de son désir. Il s’assit alors sur le canapé si confortable. - Viens ici à mes pieds. Mes chaussettes hautes me réchauffaient et je glissais presque sur le parquet. C’était agréable. Félinement j’allais vers lui, à quatre pattes. Je me mis naturellement entre ses jambes. Avec audace, je posais alors ma tête sur sa cuisse. D’un geste tendre il me caressait avec les cheveux. Il aimait que je sois ainsi, douce et câline. - J’aime tes cheveux soyeux. Ta nuque est si délicate. J’aimais tant son affection. Quand sa main se fît plus dure, il saisit ma nuque pour la mettre sur son membre. Je sentais son excitation à travers son pantalon. - C’est ce que tu attends, n’est ce pas ? - Je… - Tais toi… me railla t il. - Je sais parfaitement qu’une bonne petite chienne n’attend que cela. Il me rejeta alors en arrière. - Regarde ce que j’ai pour toi. Lève toi et va me servir un verre. Puis tu t’empaleras sur ce gode que j’ai posé sur la table et tu te baiseras. Je lui envoyais alors un regard lui faisant comprendre que je n’en avais pas envie. - Oh, ma toute jolie.. je vois que tu n’es pas très obéissante. Je vais devoir te punir… Je me levais pour aller lui chercher son verre de Whisky qu’il affectionnait et je lui posais avec une certaine nonchalance sur la table. - Est-ce une manière de me traiter ? Je lui souriais d’une certaine défiance. - Alors comme ça.. tu veux que je te punisse… soit… Il pris une corde et la fît passer autours d’une poutre. Il connaissait pas les nœuds surtout les coulissants. Puis il m’attacha les poignets à la corde. Je me retrouvais livrée à mon châtiment. Puis il saisit un gag-ball pour me bâillonner. - Tu sais que je vais te punir pour ta désobéissance… Tu peux me faire ton regard suppliant, rien ne marchera. - Pardon.. Monsieur tentai-je de dire avec mon bâillon. Il choisit alors un martinet. Sans aucun ménagement il commença à m’assener des coups. Certains s’abattaient plusieurs fois au même endroit. Je me dandinais presque pour éviter les coups. - Ne bouge pas, sinon j’en ferai de plus fort. Tu sais que c’est pour ton bien que je te punis. - Regarde moi quand je m’occupe de toi et remercie moi ! Il lâcha plusieurs coups sur mes seins, mes cuisses. - J’entends rien… - Merci monsieur répondais-je difficilement . J’avais la sensation que la tempête était dans la maison, je sentais le vent du martinet me rafraîchir pour laisser ensuite place à la morsure. Il reposa alors le martinet. Il prit mes tétons en me forçant à avancer vers lui. Puis il me murmura. - Hummm, tu n’as que ce que tu mérites. - Me..rr..cii Monsieur, avec mon regard suppliant. - J’ai une petite surprise pour toi , ma petite fée clochette. Il mit devant mes yeux des pinces à tétons. Il prit d’abord mon téton droit. Il le pinça comme il faut pour y mettre la pince. Il ne me ménageait pas. Il me regardait. Je prenais sur moi un peu comme une fierté, cette femme enfant qui voulait dire.. même pas mal. Il fit la même chose avec l’autre téton. Il accrocha ensuite des petites cloche. Puis il remonta encore plus haut la corde pour queje sois sur la pointe des pieds. Il malaxa ensuite les seins.. - Quelle douce musique. Je vais à présent m’occuper de ton petit cul. Plus j’entendrais de musique, plus que je punirais fortement. - Alors que vais-je prendre ? Il présenta en premier la badine à mes yeux. Je les écarquillais. - Ah non ? bon, je vais être clément… Il se plaça derrière moi et passa le manche du martinet sur ma gorge. Il murmura à mon oreille. - Je préfère continuer avec ca. Je vais que tu sois rouge de honte. Je ne veux rien entendre tu as compris ? - Je hochais la tête. Il commença par s’attaquer à mon dos, mon épaule gauche, puis droite. Je faisais tout pour ne pas bouger. Je savais qu’il maitrisait ses coups pour que ce ne soit pas souffrance inutile. Le juste dosage pour me faire du bien. - Cambre toi ! A peine cambrer il commença son travail sur mes fesses. Plusieurs fois au même endroit, encore et encore. Parfois il passa sa main pour m’apaiser. Je me dédouanais parfois et les cloches sonnait. Il tirait alors sur les cheveux pour me dire. - Tu sais ce qu’il va se passer. Je hochais la tête. Il frappa sur ma croupe que je criais. Un seul coup. Puis il posa le martinet. Il me caressa les fesses puis les seins. Il me mordait le cou, l’épaule, il aspirait ma peau, il me sentait. Je lui appartenais. Je sentais son odeur. Il m’enivrait. Sa voix était chaleureuse et elle me rassurait durant nos jeux. - Je vais te laisser méditer à ton sort. Il me mit un bandeau sur les yeux. Je restais ainsi attachée au milieu de la pièce. Le feu de cheminée me réchauffait. Le vent dehors me donnait la chair de poule. Il allait vaquer à ses occupations. Parfois je le sentais passer à côté de moi. Il m’ignorait. Je me demandais ce qu’il faisait. Quand, alors que le temps semblait s’être figé il ôta une pince. Je hurlais intérieurement. Cette morsure me saisit pour ensuite être cajolé par le baiser qu’il lui infligeait. - Hum il est si délicieux. A l’autre maintenant. Idem, je voulais crier sans le pouvoir. De la bave s’écouler de ma bouche. Il prit alors ma salive avec son doigt pour adoucir mes tétons. - Ils sont si bien dressés maintenant… Ses deux mains s’emparait, sa bouche se délectait. Ma tête retombait en arrière de ces délicates caresses. Quand je sentis qu’il me détachait, mes bras étaient endoloris. Il ôta mon gag ball mais me laissait dans la compagnie du noir. - Ne bouge pas. Je sentis alors un bruit métallique. Je compris alors qu’il me mis des fers à mes cheville. La dureté du métal n’était pas confortable. Les fers étaient reliés. Quand il me fit avancer j’entendais le son de la chaine, comme une esclave qui allait subir ses sévices. Il me guidait ainsi vers un lieu de la pièce. J’étais complètement désorientée. Je n’entendais que le vent et le bruit métallique de mes fers. - Ne bouge pas. Tiens toi bien droite. Je nous ai préparé un repas. Il me saisit par le bras pour me montrer où je devais me placer. - Voilà assied toi. Va y doucement. Je sentais alors sa main sur mon cou et l’autre sur le bas de mes fesses. Quand mon sexe butta contre quelque chose de mou. Je compris. - Tu vois, maintenant tu es toute à l’écoute. Tu vas empaler ta petite chatte sur ce gode. Une fois bien empalée dessus, il appuya fortement sur mes épaules. Il m’attacha les mains sur les bras de la chaise. Il était derrière moi, son souffle juste à coté de mon oreille gauche. - Maintenant, je veux te voir baiser sur cette chaise ce gode pendant que je déguste mon entrée. Je commençais alors à faire des va et viens sur ce gode qui me transperçait. - Applique toi, je veux plus d’entrain ma petite chienne. Je gémissais, cela me procurait un certain plaisir le fait qu’il me voit me prendre sur ce gode. J’aimais quand il me matait, j’aimais être mater tout court. Je sentais ses coups de fourchette, quand il prenait une gorgée de vin, je supposai. - Suffit maintenant. Garde le bien au fond. - Maintenant je vais m’occuper de toi. Tu dois être affamée. - Ouvre ta bouche, je vais te donner une gorgée de vin. Ce vin était un divin nectar. En effet j’étais affamée. Il passait ensuite son doigt sur ma bouche pour être certain que rien n’avait coulé. Il allait me nourrir. Je ne savais pas ce que j’allais manger. Il avait préparé du poisson. C’était exquis. Il prenait son temps. Il me parlait à l’oreille, cela m’excitait. Un moment de pure complicité. Puis il empoigna mes cheveux et les tira en arrière et s’approcha de mon oreille Soudain il jura. Les plombs avait lâché. - Voilà qui est parfait et qui tombe à point nommé se reprit il. Sur le coup je ne comprenais pas. Mais vu ma position, je savais qu’il savait parfaitement ce qu’il allait faire. Il relâcha mes cheveux et jeta ma tête vers l’avant. Ma respiration se faisait de plus en plus forte, comme le vent d’ailleurs. Les volets claquaient. J’étais ainsi, sur cette chaise complètement à sa merci. Attachée et empalée. Je ne pouvais plus faire de mouvement. Je ne pouvais rien voir. J’étais attentive au moindre son. Une vague de chaleur se fit sentir au niveau de mon entrejambe. Elle remontait ensuite au niveau de mon vente puis au niveau de mon sein droit, puis gauche. Quand je sentis alors la cire chaude s’abattre entre mes seins je compris. La bougie…. Etait-ce ce qu’il avait prévu ou c’est cette coupure de courant dont il s’était inspiré. Il me voyait sursauter à chaque fois que la cire tombait. - Tout doux ma belle. - Je vais encore te recouvrir de rouge. Tu sais que j’aime voir le rouge sur ta peau blanche. Je sursautais encore et encore. Il jouait de la distance. Parfois la cire était plus chaude, à la limite du supportable parfois plus agréable. Je devinais qu’il observait chacune de mes réactions. Puis il défit mon bandeau. Il avait allumé plusieurs bougies de partout. Je ne me sentais pas aveuglée. Naturellement je baissais la tête pour voir son œuvre. Il y avait plus de petits points de cire partout. - Je n’en ai pas fini avec toi. Il voyait la crainte dans mes yeux. Voir cette flamme danser devant moi et attendre que la cire perle sur mes seins. Il y prenait un malin plaisir. Il ne ratait aucune partie de mon corps. Je plongea parfois mes yeux dans les siens me faisant implorante. - Alors ? tu es bien ingrate à nouveau… - Je tenais à vous remercier pour votre repas… cher Monsieur. Il avait approcher la bougie très près que je sursautai quand la cire arriva sur mon mont de Venus. Il Prit ma bouche avec sa main et serra fermement, puis il s’empara de ma bouche pour me voler un baiser sauvage. Il retourna la paume de mes mains et y installa deux bougeoirs chandelle. - Voilà à quoi tu vas me servir, tu vas le plus beau chandelier vivant. J’avais juste envie de lui répondre je ne fis rien. Il avait lu dans mon regard ma défiance. Il souriait de me voir ainsi. Il partit dans la cuisine et revint avec son repas. Puis il mangea ainsi à la lueur de la bougie. Moi, parfaitement immobile. Je sentais la cire des chandelles s’abattre sur mes mains. Je sentais son admiration, sa fierté. Une fois qu’il eut terminé il sortit alors le désert glacé qu’ll avait préparé. Je vis qu’il avait également sorti des glaçons. Il servit la boule de glace pistache sur un cône. Il le tenait à la portée de ma bouche. - Allez lèche, cela ne va pas être compliquée pour toi. Délecte toi. Doucement avec ma langue, je léchais, je le provoquais du regard pour le rendre fou, comme si je m’occupais de son membre. Je le voyais saliver. Mon regard se faisait intense et passionnée. Il ne peut s’empêcher alors de venir m’embrasser. - Hum cette glace est si bonne. Nous délections avec notre langue cette glace envoûtante. La bougie fondaient de plus en plus. Il me regardait. - Tu es si belle. Ton regard me transperce. Je lui souriais. - Je vais t’enlever toute cette cire. Il prit alors un glaçon et le passa en premier lieu sur mes seins. Ils réagissaient immédiatement. De l’autre, il avait pris un couteau pour la retirer. Je sentais le métal caresser ma peau. Le glaçon aidait à ce qu’elle parte facilement. C’était d’un tel érotisme. Je me sentais si femme à cet instant. Il me pénétrait de toute son attention. Ses mains se faisaient douce. Il me caressait tout en dégageant la cire. Je n’osais plus parler. Nos échanges de regards en disait longuement. Il me détacha. - Relève toi. J’écoutais naturellement. Il me poussa vers ma table. Mes mains, naturellement s’y posait. Il plaça sa main sur mon cul et ma chatte. - C’est à moi. A moi. - Oui.. Monsieur c’est à vous, lui répondais-je en souriant. Il écarta alors mes fesses. Je le vis saisir un glaçon. - Il va falloir calmer cette ardeur. Il plaça le glaçon sur mon auréole. Je sursautais, puis je sentis qu’il le poussait pour que mon petit trou se rafraîchisse. - Maintenant, au tour de ta petite chatte.. Il commença à en insérer un tout en jouant avec plusieurs doigts à l’intérieur. C’était une sensation sur curieuse. Je mouillais de partout, de la chatte, du cul. - Ecarte tes jambes. - Ecarte tes fesses. Il mis alors deux doigts dans ma chatte, deux autres dans mon cul. Il me pénétra ainsi. Il me fouilla si profondément. - Je veux te voir jouir, que tu hurles. - Allez prends bien ça petite chienne. Je sentais encore la fraicheur du glaçon dans ma chatte et dans mon cul. L’eau perlait de partout, elle se mêlait à celle qu’il avait fait jailiir. Il y avait mis une telle intensité. Il avait mis presque une main dans ma chatte tout en me tenant par le cul. Je hurlais je ne tenais plus de ses assauts au fond de moi. Il me pénétrait si fortement, si fermement. - Allez jouis ! - Caresse toi. Je n’arrivais plus à me contenir, je pleurais presque… Je gémissais si fortement, je râlais longuement… - Ooohhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii - Oooohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh J’étais au bord de la délivrance. - Tiens ma belle.. prends tout ça… je suis fière de toi. Jouis J’étais toute contractée. Je sentais cette chaleur dans mon bas ventre. Cette libération. Il m’avait complètement épuisée. Ce jeu m’avait vidée. Il resta quelque instant avec ses doigts en moi, le temps que je me calme. Il donnait encore quelques coups. Je n’en pouvais plus. Il comprit. Il les retira. Il me releva avec douceur. J’entendais les fers à mes chevilles. Je me sentais totalement possédée et libérée. Il nous dirigea vers le canapé. Il s’assit et m’ordonna de poser ma tête sur ses cuisses. Il me cajolait. Il passa ensuite sa soirée à s’occuper de moi avec tendresse. La tempête grondait, il pleuvait violemment, et lui me berçait… Je fermais les yeux, Morphée me kidnappant.
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Par : le 05/10/20
Vous appelez cela cirer ? Il me regardait fixement en me serrant la gorge. Il plaçait sous mon nez ses bottes d’équitation. - Alors ? j’attends vos explications ? - Je.. commençai-je hésitante, je n’ai pas eu le temps de les cirer, Monsieur. - C’est bien ce que je constate. Vous savez j’aime que lorsque je vous donne un ordre et que vous vous engagiez à le faire, que ce soit exécutez. - Oui.. Monsieur. - Donc, vous savez ce que vous me contraignez à faire ? je crains que vous manquiez de discipline. Nous allons remédier à cela. Devant moi il mis alors ses bottes. - Vous allez les nettoyez maintenant. J’allais chercher avec hâte le nécessaire pour cirer ses bottes. Il s’installa dans son fauteuil chesterfield fétiche. Il tenait dans sa main la cravache. Je savais que j’allais être punie. J’avais fauté. Après tout, j’avais fait exprès. Ma journée avait été pleine de tensions, j’avais besoin de lâcher prise. Je m’assis devant lui sur mes genoux, la boite de cirage juste à coté. Je commençais ma tâche. Il ne me regardait pas puis quand je jetais un regard furtif, je sentais son intransigeance. Son regard était froid, possessif. Je savais qu’il ne me laisserait rien passer. - Appliquez-vous mieux que cela, je vous prie. - Oui.. Monsieur. - Frottez bien, mieux que cela ! Soudainement il releva mon visage avec le bout de la cravache sur le menton. - Vous savez que je vais vous punir. Je le regardais avec une certaine gravité. Je hochais la tête pour lui dire que je comprenais. - Allez continuez de frotter ! plus fort ! allez. Je m’attelais à ma tache pour faire briller ses bottes. - Remontez moi votre robe sur votre cul, écartez moi donc ces jambes. Avec sa cravache, il savait me faire exécuter ses ordres. Son autorité était naturelle. - Parfait, je vois que vous n’avez pas de culotte. Maintenant mettez votre chatte sur ma botte que vous venez de nettoyez et faite la luire de votre mouille de petite chienne. J’obéissais. - Allez encore ! Voilà c’est bien. Je baissais la tête. Je savais qu’il ne ratait pas une miette de me voir en train de me masturber sur sa chaussure. - Je vais vous enseigner de rester à votre place. Je continuais encore à me déhancher d’avant en arrière sur sa botte, quand il m’ordonna de me reculer. Il leva sa botte et la regarder. - Humm voilà c’est presque parfait. Maintenant lécher. Je m’abaissais lentement. Il se releva tout en restant assis pour s’avancer vers moi. - Suffit maintenant vos petites provocations. Il indiqua de son doigt sa botte. Il me gifla sans trop de force. Il n’aimait pas me faire plier par la force. Bien au contraire. Et c’est ça que j’aimais chez lui. Ce respect que nous avions l’un pour l’autre. Certain ou certaines pourraient juger cela irrespectueux, mais au fond pourquoi est ce que je ressens ce désir en moi ? faut il en chercher des causes alors que nous sommes en train de nous satisfaire l’un de l’autre. Je baissais alors le regard et j’avançais ainsi vers le bout de sa botte. Je sortais ma langue et je commençais à lécher avec une certaine délectation comme si je léchais une sucette. Au bout de quelques instants, après s’être délecter de ce spectacle, il m’ordonna de me releva. - Venez ici. J’étais alors sur mes genoux, mon ventre se mit contre sa cuisse ferme et réconfortante. Je sentais sa chaleur comme une étreinte. Il me fit poser mes coudes sur la table basse en bois. Il releva davantage ma robe légère que je portais. Elle était noire et blanche, avec un col qui se fermait de manière assez stricte. J’étais parfaitement dans le jeu de rôle que nous jouions.. Il commença alors sa fessée. Je sentais sa main forte s’abattre sur mes fesses. Il me parlait. - Alors pensez vous mériter que je vous punisse. - Oui.. Monsieur. - Savez vous que c’est pour votre bien. Je veux que vous gardiez cela à votre esprit. Vous devez chaque jour vous améliorez dans votre tache. Ses fessées se faisait de plus en plus forte. J’avais de plus en plus chaud. Je gémissais. Il ne s’arrêtait pas. Je gémissais, quand il fessa encore de plus belle. - Vous pouvez gémir autant que vous voulez. Vous n’avez que ce que vous méritez. Je contractai mes fesses comme pour atténuer la douleur. Je devinais qu’elles étaient rouges, bien rouge. Marquées en signe de punition pour mes manquements. Chaque coup de sa main était déterminé et ferme. J’entendais chaque claquement résonner. - Je n’accepterai plus que vous preniez vos libertés sans demander permission. - Aller mettez vos mains au sol et posez votre tête dessus. - Bien. Quelle belle posture. - Maintenant écartez vos jambes. - Parfait ! Il caressa alors mes fesses puis les malaxa fortement. Puis il repris de plus belle la belle fessée que je méritais. - Je crois que chaque jour je devrais vous fesser, pour que vous rougissiez de honte d’avoir été vilaine. Encore une fois chacun de ses coup de main étaient déterminés. Intérieurement je me demandais comment il faisait pour ne pas avoir la main qui le démangeait à force de me fesser. Quand il s’arrêta, il se replongea sur son fauteuil et déposa sa botte sur mon dos. - Voulez vous que je vous laisse encore une dernière chance ? de bien faire ce que je vous demande ? ou dois je bien vous faire comprendre que je serai de plus en plus intransigeant ? - Alors ? que dois-je faire de vous ? Je savais que je devais me taire, ne pas répondre. Je sentis alors la cravache s’abattre sur mes fesses bien rouges tandis qu’il gardait sa botte sur le haut de mes fesses. Puis, quand il s’arrêta, il garda le silence quelques secondes. Il ôta sa jambe puis m’ordonna de me redresser face à lui. Il dégraffa alors le haut de ma robe afin de me libérer de mon carcan. Je ne portais pas de soutien gorge. Je savais qu’il aimait voir mes seins pointés à travers le tissu. Et j’assumais cette féminité. La liberté de ne pas en porter. - Voilà qui est mieux. Hummm… alors ? Je relevais mes yeux pour le regarder. Il posa sa main sur ma joue comme pour me réconforter. Mais cela ne fût que d’une courte durer quand il me gifla. Je savais qu’il était sensible à mon regard. Je voulais en jouer pour atténuer la punition que je méritais. Mais quand il était dans son rôle, il ne faisait preuve d’aucune clémence à mon égard. - Allez redressez votre dos Tenez vous droite. Vos seins doivent être présentables. Presque froidement, il les admira, les sous-pesa comme pour s’assurer qu’ils tiennent bien. Puis pour être certaine que je sois présentable, comme il le disait, il posa la cravache contre ses cuisses, puis saisit mes tétons et les tira vers lui. Je commençais à râler. Il me gifla une autre fois. - Tournez vous d’un quart de tour sur votre gauche. - Baissez donc votre tête ! arrêter votre arrogance je vous prie. Je m’exécutai, j’avais juste envie d’obéir, de ne plus penser à rien. J’avoue toute son attention. Il avait j’imagine aussi passer une rude journée. J’étais toujours admirative de sa détermination à tenir ce rôle tout en gardant sa maîtrise. Je ne savais pas s’il y avait un meilleur rôle à tenir le sien ou le mien. Dans mon cas c’est de lui offrir ma soumission, ma dévotion et toute ma confiance pour qu’il profite de moi, de l’autre, lui devait s’assurer de ma parfaite sécurité, de mes limites, de comprendre chacune de mes réactions et d’avoir cette inventivité et ce contrôle de soi. Il repris sa cravache pour me caresser alors les seins avec. Il la passa sur ma bouche, ma gorge. Je fermais les yeux, comme pour ne pas voir ce qui allait suivre. - Ouvrez vos yeux ! Dès que je les ouvris, je sentis la cravache frapper en premier mon sein droit puis gauche. Puis de sa main, il venait me cajoler avec une telle douceur. Cela ne durait que quelques secondes avant de reprendre son envie de me punir et de s’attarder à nouveau sur mes fesses. - Taisez vous je ne veux rien entendre, sinon je serai contraint de vous bâillonner. Il semblerait que ce ne soit pas suffisant. Il plaça alors la cravache dans ma bouche. Et j’entendais à nouveau le claquement de ses mains sur mon fessier bien douloureux. - Allez à quatre pattes, petite effrontée. A peine mise à quatre pattes, ses coups de cravache étaient précis. - Je vous ai donné un travail à faire et vous ne l’avez pas fait. Vous êtes ingrate. Je m’occupe de vous et au lieu de me rendre fière, vous m’obligez à vous corriger. - Vous voulez me tenir tête, vous allez voir comment je punis les vilaines filles comme vous. - Ne bougez pas ! je n’en ai pas terminé avec vous. Je gémissais encore et encore. Il soupirait comme s’il était exaspéré. - A genoux, le ventre contre vos genoux, mettez vous en boule. J’ai envie de voir quel repose pied vous faites. J’avais ma tête sur mes mains. Il me parlait de ce qu’il pouvait faire pour m’éduquer. - Je vais vous donner une belle correction pour vous faire mieux progresser rapidement. - Vous êtes bien confortable quand vous êtes à votre place, à mes pieds. Avec la cravache, il tapa sur le sol pour me montrer comment je devais me mettre. Je me relevais pour faire demi tour, - restez à quatre pattes, tête au sol. - Jambes écartées ! Allez plus vite. - Votre cul est bien rouge, comme le rouge de la honte dont vous devriez être couverte. Je sentais alors sa main douce me caressa doucement le sexe. J’étais toute trempée. Il me rendait complètement folle. J’aimais sentir ses caresses. Elles étaient un peu comme cette atmosphère après un orage, le relâchement de tensions, une plénitude. Il s’amusa à écarter mes jambes puis à insérer un doigt dans ma petite chatte. Je commençais à gémir. - Non vous ne le méritez pas. Il saisit sa cravache et s’affaira à continuer ma punition. Quelques coups s’abattaient sur ma petite chatte, sans y mettre trop de force. Cela me faisait sursauter. Il savait doser pour me donner cette douleur qui me procurait ce plaisir. - Maintenant redressez- vous , mettez -vous ici. - Allez sur les genoux, bien droite. - Mains dans le dos. - Plus vite j’ai dit ! - Baissez votre tête ! Il marqua une pause un bref instant et cravacha mes seins par des coups bien fermes et précis. Je gémissais encore voulant me défaire de cette position inconfortable. Quand il reposa sa cravache il posa à nouveau sa main sur ma joue. Je m’aventurai à le regarder, quand il me gifla. - Embrassez ma main. J’embrassais alors sa main comme l’adolescente qui avait été prise en faute et qui demandait pardon. - Pensez vous que je dois reprendre cette leçon combien de fois ? - Combien de fois faut il pour que vous compreniez ? - Maintenant vous allez aller dans votre chambre, je ne veux plus vous voir. Je me relevais pour aller dans ma chambre. Je regardais alors dans le miroir les marques de ma punition. Mes fesses étaient d’un rouge vif, parfois bleutées par endroit. J’avais quelques boursouflures. Certains ou certaines penseront que j’aime me faire battre, mais il n’en ai rien. C’est un contrôle de soi qui amène à libérer un plaisir. Il y a toujours un dosage aux coups et à la douleur. Ce qui est important c’est notre état d’esprit. Il y aura des personnes qui aiment être énormément marqués, allant à des pratiques qui ne sont pas les miennes. Certaines peuvent être selon moi des déviances. En tout cas chaque chose qui sont faites dans ce genre de relation sont voulus. La communication, le respect et parler de ce qu’on veut et ne veut pas dès le départ sont très importants. Ainsi, un homme à qui j’offre ma soumission ne fera jamais ce que je ne veux pas. Et si cela ne correspond en rien à mes envies, la confiance sera rompue, tout comme la relation. Un homme réellement dominant le sait. Et c’est ce qui en fait la différence avec un dominateur qui prend son plaisir en se fichant de sa partenaire. Je n’osais pas sortir de la chambre, comme une vilaine fille qui n’a que ce qu’elle mérite. J’allais alors prendre une bonne douche pour ensuite me poser en attendant qu’il vienne. Cette douche me fit le plus grand bien, elle me cajola. Quand je sortis de la douche il était là. A la main, une cagoule. Je devinais alors qu’il n’en avait pas fini avec moi. Il me saisit alors par les cheveux et me jeta sur le lit. Il me redressa en me tenant par les cheveux puis saisit avec brutalité mes mains. Il s’empressa de me mettre des liens et de les attacher dans mon dos. Fermement. Bien fermement. Puis il me mit cette cagoule sur la tête avec un trou au niveau de ma bouche. Puis pour parfaire le tout, mis mon collier. Je savais que je serais sa chienne ce soir. Je me sentais complètement désorientée et plus aucun repère. Il me jeta ensuite sur le lit puis s’allongea sur moi. Je tentais de bouger pour me défaire. Il dit à mon oreille : - Ta punition est loin d’être finie. - Ouvre ta bouche. Il y insérera un écarteur. Il voulait que je reste bien ouverte pour être sa disposition. Ainsi offerte à ses plaisirs. Je me retrouvais dans la position où j’étais à genoux, le ventre replié vers mes cuisses. IL ne disait aucun mot. - Prête ma petite chienne ? Il pénétra alors bien profondément ma chatte. Je ne pouvais dire mot. Ma bouche était grande ouverte. J’émettais juste le son de cette petite chienne qui allait être saillie. Il saisit alors le haut de la cagoule en empoignant également les cheveux. Il me redressait. Cela me cambrait un peu. Je ne pouvais davantage avec mes problèmes. Mais je savais qu’il voulait me baiser avec frénésie, sans aucun ménagement. - Regarde toi petite chienne. Tu n’attendais que cela avoue le ! Je sentais son souffle quand il me prenait, chaque coup où ses couilles s’abattaient contre moi. Quand il décidait de se stopper il prenait alors possession de ma bouche. J’étais son objet à disposition. Il pouvait alors faire de moi ce qu’il voulait. Il avait le choix de me prendre par le trou qu’il désirait, la chatte, le cul ou alors ma bouche. Avec l’écarteur, il ne se gênait pas pour me la mettre bien au fond de la gorge, à m’étouffer. J’étais sa salope. Il maintenait toujours ma tête par le haut de ma cagoule tout en me baisant la bouffe. Je ne pouvais dire aucun mot, juste quelques sons. Il me baisait si fortement. Il me rejeta sur le lit comme une marionnette et vint cette fois prendre l’assaut à nouveau de ma chatte. Il me mit alors sur mon flanc et remonta mes jambes sur le coté. Il tenait encore ma tête comme pour montrer que j’étais qu’un objet pour le satisfaire. - Regarde quelle bonne petite salope tu es. - T’es qu’une putain et tu dois m’honorer avec tous tes petits trous. - Regarde combien je te bourre ta petite chatte. Il rejeta ma tête violemment pour se saisir de mon sein gauche. Il le malaxait bien fermement tout en me baisant. Puis parfois il s’agrippait à mes hanches puis revenait me gifler les seins. Une fois il me disait qu’il m’aimait me punir d’être aussi belle. Il les tenait bien fermement et me pilonnait encore et encore. - Je sais que tu aimes être ma putain. Regarde toi. Tu es si belle. Puis il stoppa et me claqua les fesses. Il me laissa ainsi sur le lit. Je perdais la notion du temps. Je ne sais pas au bout de combien de temps il était revenu. IL m’agrippa par les chevilles pour me tirer au bord du lit. J’avais les pieds au sol. Avec son pieds il me fit écarter les jambes. C’est là que je sentis la froideur du métal sur mon petit trou. Il le passa sur ma petite chatte. - Oh comme t’es humide, prête comme toujours à ce que je t’utilises. Soudain, je sentis une boule de métal dans ma bouche. - Regarde ce que je vais mettre dans ton cul de pute. - J’aime quand tu ne peux rien dire, juste subir. Quand il le sortit de ma bouche, il s’assit à califourchon sur mon dos. Il écarta bien mes fesses de ses mains… Je sentais qu’il forçait le passage de la boule pour qu’elle soit aspirée. Doucement il cédait à cette pression pour qu’elle disparaisse. Il tira ensuite dessus… - Voilà, tu vas pouvoir être bien tenue. Droite. Il se dégagea puis accrocha le crochet anal à mes mains liées dans mon dos. Il s’était arrangé pour que je ne puisse plus bouger. Puis pour être certain que je sois bien maintenue, il encorda mes mains à mon collier. IL tira ensuite sur la corde. Cela me faisait me redresser, et je sentais la pression du crochet dans mon petit cul. Je sentais qu’il s’était levé. Puis il écarta mon cul, j’imagine pour admirer son œuvre. - Comme tu es belle, exposée ainsi. Il tapotait légèrement ma fesse gauche. - T’inquiète pas je vais encore te baiser petite chienne. Puis il me laissa là. Cette position était un peu inconfortable. Je tentais de me défaire mais rien à faire. Il m’avait attaché bien solidement. Puis il me donna une fessée pour me stopper dans mon élan. Il écarta encore mes fesses. - Je vois que cette situation te plait, tu dégoulines Il passa avec son sexe sur ma chatte pour le lubrifier. - Voilà petite salope. Tu as ce que tu mérites. Je sentais son membre glisser bien au fond de mon con. Je sentais son pouvoir sur moi. Quand il pris la corde qui me tenait mes mains à mon collier, cela me fit me redresser. Il voulait jouer de la contrainte. Le nœud qu’il avait fait m’étranglait un peu. Parfois il relâcha la pression pour me permettre de reprendre mon souffle. - T’es qu’une salope bonne à baiser. Je sentais son hardeur à me prendre sauvagement, fermement et bien profondément. Je ne pouvais émettre trop de son. Il me malmenait ce soir. Il tira à nouveau sur ma cagoule. Je gémissais, encore et encore. Il ne cédait rien. Il avait poser ses mains sur les miennes. Je sentais sa chaleur pendant qu’il me besognait. Puis il s’arrêta et me délaissa à nouveau. Quand il revint, il retira alors mon crochet. Il enleva mon écarteur bucal. Je n’offrais plus aucune résistance. J’étais à ses ordres ou étais ce lui qui était au mien. - Demande moi de t’enculer. - Je.. Je reprenais mon souffle, et je desserrai ma mâchoire, qui était restée ouverte si longtemps. - Alors ? - Monsieur, je vous en prie, enculez moi. - Croyez vous que vous méritez que je vous honore de mon membre alors que vous avez été si vilaine ? - Je vous en prie.. Monsieur. Il malaxa bien mes petites fesses, puis introduit son pouce dans mon fion. - Hum, comme il est bien ouvert… Je me dandinais. - Je vous en supplie, monsieur, enculez moi. Il retira son pouce et posa son membre à l’orée de mon auréole S’il vous plait Monsieur… - Non, tu ne le mérites pas. Il me retourna alors brutalement sur le dos, me retourna la tête pour la mettre au bord. Et il me baisa la bouche. J’étais endolori. Il me tenait la gorge pour qu’elle soit bien au fond. J’étais presque sur le point de vomir tellement il voulait me punir, me faire taire. Il éjacula sur mes seins. - Alors? Il me donna un claque sur la joue.. - Remercie moi! - Je vous remercie.. Monsieur? Tu me remercies de quoi? - Je vous remercie de m'honorer comme vous le faîtes. - Continue? - Je vous remercie de m'avoir punie. Il caressa alors ma joue et me laissa ainsi attachée et souillée.
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Par : le 05/10/20
Désolée pour les fautes éventuelles, je suis partie en vacances :). Chacun a sa vision de son univers sexuel. Jeune je me sentais perdue dans mes ressentis. Un homme un jour a mis des mots sur mes envies et mes désirs. IL me parlait de BDSM. Toutefois Je n'aime pas les cases, je suis libertaire. Pour moi, es sentiments sont vitaux. Photo personnelle. J'ai écrit sur différentes musiques, mais j'ai commencé avec Diana Panton, Fly me to the moon... pour vous mettre dans l'ambiance. *************************************************************************** Nous étions sur ce bateau qui nous conduisait au paradis. Le bleu est ma couleur favorite et ici le camaïeu en était sublime et transparent. J’étais b ercé. J’ai toujours aimé être sur un bateau. Ce sentiment d’être bercée. Au loin je devinais l’île où nous allions être durant une semaine. Un petit coin de paradis sur terre. Nous arrivions au ponton. La chose qui me saisit tout de suite à mon arrivée, c’est l’odeur de l’île. Je n’ai jamais senti à ce point un parfum naturel de fleurs. Une lumière, une atmosphère et l’odeur du bonheur. Je me sentais légère dans cette bulle. Il était là à mes cotés. Il aimait observer mon regard enfantin qui appréciait les choses simples, ce moment présent. J’étais si sensible à mon environnement. Nous nous dirigions vers la réception de l’hôtel. Il était parfaitement intégré dans la nature. C’était une première pour moi. Passer une semaine sur une île. Nous avions fait le choix de ce lieu car nous sommes passionnés tous les deux de plongées sous-marine. Simplicité, un minimum de confort et surtout pas de télévision ni de piscine. Juste la nature et la mer. Le club de plongée était superbe. A son entrée une immense volière avec deux perroquets. Je n’ai jamais aimé voir des animaux en cage mais ceux là semblait ne pas être malheureux. C’était notre premier voyage où nous partions si longtemps loin de tout. Je me sentais libre et protéger à ses côtés. Sa bienveillance m’avait appris à prendre confiance en moi. Il me savait exigeante sur mes attentes, mes envies. J’étais déterminée. Le plus compliquée est l’idéal qu’on se fabrique. Plus on avance en âge et plus il est complexe de rester totalement ouvert. Les sites et les applications de rencontres font que nous avons à notre disposition un vaste catalogue. On regarde, on coche des cases. C’est concurrentiel. Mais si on prenait juste le temps. Le temps d’apprendre à savoir si nos attentes coïncident, à respecter l’autre. Nos choix, notre manière d’être, notre égoïsme a toujours un impact sur l’autre. Lui avait su me donner cette confiance. J’étais devenue si craintive, presque inaccessible car je n’en pouvais plus de cet empressement, de cet emballement où plus personne de donne réellement de soi. J’avais besoin de sentir cette considération. J’étais à la fois forte et fragile. Forte car la vie nous oblige à ne dépendre de personne. Fragile car j’avais besoin de ces bras qui me disait. Je suis là, tu ne crains rien. La soumission m’apporte cela. Ce sentiment où je sais que je ne crains rien, où je peux enfin de détacher de ce qui me fait peur. C’est bien plus que des pratiques sexuelles. Celui ou celle qui pensent qu’il suffit juste d’être attachée ou d’obéir. C’est tellement bien plus profond. C’est avoir le choix de se remettre à une confiance ultime, animale, protectrice. C’est en moi, depuis ma plus tendre adolescence. Je n’ai jamais pu mettre de mots sur ce que je ressentais. Je pensai que tout était mal de mes ressentis. A l’époque, internet n’existait pas. Il aura fallu une rencontre pour que je puisse mettre des mots sur mes désirs. Jeune, spontanée et surtout amoureuse, j’ai appris beaucoup de cet homme. La rupture fût brutale et traite. Les sentiments sont une chose qu’ils ne faut pas piétiner. Lui s’en fichait. Avec le temps j’ai compris la différence dans les sentiments. Ce que je prenais pour de l’amour était en fait de l’addiction à lui. Il me rendait folle. J’ai compris plus tard que ce n’était pas de l’amour mais de l’appartenance. Le temps fît son œuvre. Je décidais de faire ce que l’on attendait de la jeune femme que j’étais. Ce poids sociétal où je devais trouver un petit ami, avoir une vie stable, de rêver à la vie à deux, au mariage, la maison et les enfants. Quelle prison ! Je veux dire par là que rien ne nous empêche tout cela si c’est notre envie, mais combien de personnes restent ensemble car cela est confortable. J’ai toujours voulu ma liberté d’être avec quelqu’un pour ce qu’il est et de pouvoir partir si nous n’allions plus dans la même direction. Ma vision du couple n’est pas celle de majorité mais j’ai besoin de ressentir que je suis unique à ses yeux. Je désire sa franchise sans concession. Mes choix, ses choix, nos choix. Avec le temps il m’avait apprivoisé. Certains hommes tentaient de s’intéresser à moi juste pour me posséder comme un trophée sans avoir aucune imagination, ni aucune créativité. J’avais besoin d’être surprise autant que j’aime surprendre mon partenaire. Mais la vie est aussi faite de routine, de besoin d’être seule. Et j’étais mure pour cela aujourd’hui. Le bonheur est le jardin que l’on doit entretenir. Et là, nous étions là à profiter de cette parenthèse enchantée. Nous avions un petit bungalow en bois qui donnait sur la place sublime de sable blanc. La végétation était si luxuriante, et toujours ce parfum. J’adorais humer les fleurs de tiare. A peine dans le bungalow, il m’enlaçait la taille en m’embrassant tendrement puis plus fortement. Parfois le loup prenait le dessus quand il m’empoignait par les cheveux pour me saisir ma gorge avec sa bouche, sa langue, ses dents. Je râlais de plaisir. Il aimait jouer de moi car il me laissait là avec ce désir naissant pour aller admirer la plage. - Viens me dit-il Il tendait la main vers moi pour que je la saisisse. Pas besoin de mot, nous nous comprenions. La nuit commençait à tomber. En sortant de la douche il m’observait. - Enlève ta serviette. IL était assis dans ce fauteuil en rotin. Les cheveux trempés, je le regardais droit dans les yeux. Je dénouais ma serviette. Il était en train de se caresser. -Mets toi sur le lit. J’obeissais. - Ecarte tes jambes et caresse toi. Je détestais me caresser devant un homme, et il le savait. Cela me renvoyait à ces histoires banales où les hommes qui avaient pris leur plaisir, pensait qu’une pénétration faisait jouir une femme. Ces hommes qui vous laissent là et qui vous disent… « Caresse toi ». C’était pour moi le pire. Je me suis souvent caressée, surtout après l’écriture de mes nouvelles où j’étais dans un tel état. Mais certaines femmes comprendront ce que je veux dire. Je mettais un point d’honneur à voir les aptitudes de l’homme avec qui je serai à prendre réellement le temps de connaître tout ce qui me rendrait folle, à savoir comment me donner du plaisir. Et cela va dans les deux sens. Tout en le regardant, j’ouvrais mes jambes. Ma chatte était complètement épilée. Je commençais à descendre mes doigts sur mon petit mont de Vénus. Ma main droite, toujours la main droite. Mon majeur commença d’abord à dessiner le contour de mes lèvres. Je commençais à mouiller. Son regard était pénétrant. J’imaginais que c’était ses doigts. Imprégnés de mouille, je remontais doucement sur mon clitoris. Il était petit et si sensible. Je faisais des petits cercles circulaires. Je tourbillonnais. - Pénètre toi avec tes doigts. Gourmande comme j’étais, je mis trois doigts dans ma chatte qui s’ouvraient naturellement au désir d’être comblée, remplie. Je faisais des va et vient. Cela ne me suffisait pas. J’en rajoutais un quatrième, sans sa permission. - Petite salope me dit-il. Je mouillais de plus en plus. Tout mes doigts rentraient comme dans du beurre. J’étais assez étroite. Il se leva d’un seul coup. Tout en me toisant du regard il mis ses doigts dans ma bouche. - Ta bouche est aussi faite pour être remplie. Je baissais les yeux. - Regarde moi et réponds. - Oui… Monsieur, ma bouche est faite aussi pour être remplie. - Descend mon short. Je descendais son short. Pas besoin de comprendre que son sexe était en érection. - Branle -moi, tu ne la mérites pas pour le moment. Je saisis son sexe dans ma main. J’avais tellement envie de le sentir dans ma bouche. J’aimais le lécher, le caresser, le servir, le voir prendre du plaisir. Il était debout sur le coté du lit. Pendant que je le caressais, il commença à s’intéresser à ma poitrine. Doucement il saisit mon sein gauche. Des caresses, douces puis plus insistantes, puis il le gifla. Il prit mon téton dans sa main. Je commençais à gémir. Il le pinça de plus en plus fort. - Il ne pointe pas beaucoup à mon goût. Il tira alors fortement vers l’avant pour le rendre droit, fier et parfaitement dressé. Cette douce douleur me rendait folle. Je le regardais dans les yeux. - Qui t’a dit d’arrêter ! J’avais toujours du mal à me concentrer quand il s’occupait de moi et qu’il me donnait l’ordre de m’occuper de lui. - Je vais t’éduquer à faire plusieurs choses à la fois, sois en certaine. Je rougissais. Je me demandais ce qu’il avait en tête. Sa perversité comme la mienne n’avait pas de limite. On pouvait tout se dire sans jugement. L’art d’une véritable relation. - Ouvre ta bouche et sors ta langue. - Voilà qui est mieux, petite chienne. Il repris son sexe en main. Il monta alors sur le lit. Face à moi, son sexe à ma hauteur, il passait son sexe sur ma langue. - Lèche ! juste lécher. Je me délectais de son gland. J’aimais le lécher, l’honorer. C’était si bon. Un pouvoir immense que ma langue a sur lui, au plutôt ma bouche. Il remonta alors mes cheveux par l’arrière de ma tête . Il s’engouffrait en moi. Il bloqua ainsi ma tête contre sa queue qu’il avait enfoncé profondément en moi. Je voulais déglutir, mais cela ne faisait que le prendre davantage dans ma gorge. C’est là qu’il mis sa main sur ma gorge comme pour m’accompagner à prendre plus, bien au fond. - Voilà, tout doux petite chienne. C’est bon de te voir t’étouffer avec ma queue. Puis il ressortit presque sauvagement. Je repris alors ma respiration. Il la replongea à nouveau, puis la ressortit. Il prenait ma bouche comme il aimait prendre ma chatte. Il tenait ma tête pour qu’elle ne bouge pas. Je sentais la dureté de son membre dans ma bouche. J’aimais quand il était doux et aussi quand il se transformait avec ce animalité qui me consumait. Je salivais tellement, je mouillais aussi tellement. Je bavais. Il se servait de sa queue pour ramasser la mouille sur mon visage et me caresser avec. Je voulais prendre sa queue avec mes mains. Il me saisit avec les poignets. Il les plaçait au dessus de ma tête. - Qui t’a permis? Suce. Quand il prenait mes poignets ainsi, je me livrais encore plus à lui, ses désirs, les miens. Sa fougue était sans limite. Aucun jugement. Il appuya sur ma tête pour me faire descendre. - Allonge toi. Il s’assit alors sur moi au niveau de la poitrine. Il m’embrassa sauvagement sur la bouche. Nos langues se mélangeaient d’une passion vorace. Puis il me claqua la joue droite sans que ce soit une gifle. Je me débattais légèrement. Il bloqua alors mes mains sous ses jambes. J’étais ainsi impuissante. Il pris alors sa main pour me tenir la bouche. Il serrait. - Tu vas me laver le sexe . - Ouvre ta bouche. Il recommençait alors à prendre l’assaut de ma bouche. Cette fois je me sentais réellement utilisée pour le satisfaire. J’aimais ce sentiment d’abandon. Il avait placé ses mains sur le mur. J’étais littéralement remplie par son membre. Quand il s’arrêtait il me regardait pour me faire comprendre que j’étais son esclave sexuel. Il aimait me mettre sa queue en bouche . A ne plus me faire bouger. Je sentais qu’il aimait cette façon dont je pouvais me débattre pour me défaire de cette étreinte étouffante. J’étais possédée. Naturellement j’ouvrais ma bouche, je sortais ma langue, comme pour le supplier d’avoir plus. Il s’assit alors sur ma bouche pour que je lui lèche ses couilles. Je les aspirais, les prenais en bouche. Il prenait en main sa queue pendant que je le léchais. Il ondulait son bassin pour que ma langue passe partout. Surtout sur cette partie lisse entre ses couilles et son anus. Cette partie su douce qui le rendait complètement fou. Je le sentais. Je savais qu’il se contenait pour ne pas me montrer l’effet que cela lui faisait. J’adorais justement le faire défaillir. C’était un jeu auquel nous aimions jouer. Il appuyait alors complètement son anus sur ma bouche. J’avais un goût certain pour la sodomie et j’aimais cette délicate attention alors pourquoi ne le ferai je pas à mon partenaire. Et j’avouais que j’adorais ça, car il aimait ça. Il aimait que ma petite langue aille partout. - Bonne petite bouche nettoyeuse. Il jouait encore et encore. Ma langue toujours dehors. Son bassin ondulait. JE me sentais chienne, salope mais au fond, j’assumais juste celle que je suis. J’ai toujours trouvé fou le fait qu’on traite une femme qui s’assume de salope, de chienne.. alors que pour un homme au fond on trouverait cela presque normal. Une fois qu’il estima que je l’avais bien nettoyé, il se leva. Face à moi au bout du lit, il me regardait. Mon visage était mouillé. - Allez lève toi, petite paresseuse. Son regard était presque tendre. J’étais si excitée. - Tu es en chaleur ! Tu vas te calmer. Il voulait me frustrer comme il savait si bien le faire. Il prit alors mes bras pour les maintenir dans mon dos. Il se mit ensuite derrière moi et me poussa contre le bureau de la chambre. Il posa alors mon vendre contre. - Ecarte ton cul. J’obtempérai. Je plaçais mes mains de part et d’autres pour exhiber alors mon petit anus. J’avais tellement envie de le sentir en moi. Qu’il me prenne là. Il mis sa main sur ma tête. Il s’approcha de moi pour me murmurer à l’oreille. - T’es une bonne petite chienne. Dis le ! - Je suis une bonne petite chienne. Il me fessa l’entrejambe. - Je suis une bonne petite chienne.. Monsieur. - Pardon.. je suis une bonne petite chienne, Monsieur dis-je dans un murmure presque honteux. Il lécha alors ma joue. - J’aime te déguster, te sentir, te ressentir. Il mis alors à hauteur de mon visage un plug - Regarde ce que j’ai pour ton petit cul. Je veux que tu sois moins étroite. Je veux pouvoir te prendre comme bon me semble sans aucun ménagement. I- Suce le comme si c’était mon sexe. Il s’amusait à le mettre dans ma bouche. Et à le ressortir. Il me redressa. - Pose le bien droit devant toi. Montre moi comment tu fais bien tes fellations. Il le tenait avec sa main. Il maintenant parfois ma tête pour que je le prenne bien comme il le faut dans ma bouche. Puis une fois qu’il estima que j’avais eu assez d’entrainement pour se voir, il le prit dans sa main. - Regarde toi dans le miroir. Je veux que tu vois ton visage quand tu vas prendre ton plug dans ton petit fion. Je m’observais. J’étais avec ce regard félin, joueur. Je le regardais. Lui se concentrait sur mon cul. J’avais mis mes deux mains sur le bureau. Il mit un doigt dans mon cul, comme pour prendre la température. Il humidifia à nouveau le plug en le passant sur mes lèvres et mon clitoris. Il plaça alors le bout à l’orée de mon antre. - Empale toi dessus, avale le avec ton cul. Doucement je sentais la largeur du plug me saisir. Il était assez gros. Je sentais mon auréole céder. J’allais à mon rythme. - Hum j’ai hâte de te baiser après la chatte sachant que ton cul est bourré par ce plug. Me dit il en me regardant dans le miroir. Je me redressais avec fierté. Je lui souriais, avec cette envie et cette défiance. - Habile toi maintenant ! Je revêtis alors une robe longue faite de plein de couleurs. Elle avait se décolleté. Je ne portais rien d’autre que cette robe. Lui portait ce short bleu marine avec son polo blanc. Il avait cette élégance naturelle sans jamais être classique. Nous nous promenions alors sur le chemin sablonneux de l’ile, pieds nus. Je sentais le plug dans mes fesses. Je me sentais excitée et honteuse de mouiller honteux. Je la sentais couler à travers mon entrejambe. Notre bungalow était légèrement éloigné du restaurant mais c’était plaisant. Aucune voiture. En marchant je m’amusais à le narguer. Vu qu’il me rendait folle, je me devais de lui rendre la pareille. Je m’amusais à relever ma robe pour qu’il admire mes fesses tout en marchant. Je voyais son sourire. Il était si bon de ne pas se prendre au sérieux. La nuit était tombée relativement tôt. Il avait réservé une attention délicate pour moi ce soir. Un repas les pieds dans l’eau. La lune était pleine, l’océan se parait du reflet scintillent qu’elle provoquait. C’était un spectacle magique. Le repas était à la bougie. Juste le bruit des vagues qui allaient et venaient. L’eau était chaude, c’était si agréable. Je vivais un rêve. Le repas était divin. Du poisson, quoi de plus frais. Un peu de vin. J’étais frustrée car je voulais lui faire la surprise d’apporter une bouteille de champagne ainsi que mes coupes . Malheureusement aux Maldives il était interdit d’importer de l’alcool. Une grande frustration. Nous aimions rendre chaque moment unique et magique. On se dévorait du regard, nous pouvions parler de tous les sujets et surtout de notre passion commune pour la plongée. Nous allions commencer dès le lendemain. Notre première plongée ensemble. Je trépignais d’impatience. Une fois le repas terminé, il demanda à ce qu’on qu’on nous dérange plus. La table était débarrassée. C’est à ce moment qu’il se leva. Son regard était brulant. Il me leva de ma chaise. Il m’enlaça fermement. - Te souviens tu que ce que je t’ai dit tout à l’heure ? - Humm.. oui… - Que t’ai-je dit ? - Que vous vouliez me prendre avec le plug dans mon cul.. Monsieur. Je souriais. - Relève ta robe sur ton cul. - Si tu voyais comme je te vois. La lune laisse deviner l’accès au fruit défendu que tu es. Une posture qui montre que tu es prête à être cueillie. Je n’en pouvais plus depuis tout à l’heure. Il me poussa alors le vendre contre la table. J’étais sur la pointe des pieds. Le sable était des plus agréables. Sentir l’eau aller et venir sur mes pieds était terriblement apaisant. Je sentais son sexe doucement s’introduire dans ma chatte. L’accès était plus difficile. Puis une fois installé dans ma chatte, il voulu rester profondément ancré. C’était si érotique. Puis il me retourna sur le dos. Cette position était tout aussi érotique. J’avais envie de crier mon plaisir, mais il me baîllonnait avec sa main. Chaque butée provoquait un cri qui partait dans le silence de sa main ferme. - Tu aimes ça hein ? le cul rempli, la chatte comblée. - Allez réponds ma belle. Je hochais la tête par l’affirmative. Il était frénétique. J’avais l’impression que la table allait partir dans le décor. C’est alors qu’il saisit poignets et s’en servit pour bien me prendre, me prendre intensément. Son membre était gonflé par son désir. - Tu es ma petite chienne. J’aimais quand il me disait cela. Je devinais son regard dans cette pénombre. Quand il relâchait la pression au niveau de mes poignets, il agrippait mes seins fermement pour ne pas qu’il bouge. Il aimait s’en occuper particulièrement. Juste avant que sa jouissance n’arrive il mettait sa main sur ma gorge pour m’étrangler légèrement. Je sentais ses coups se faire féroces. Ces coups de reins qui font que nous ne sommes plus qu’un. Je gémissais. Il me gifla de plus belle. Je mordais mes lèvres pour me taire. Il me baisait fortement autant qu’il me désirait et que je le désirais. Quand il se redressa au moment de jouir, je le regardais. On aurait dit un kouros. Vigoureux, conquérant. Nous ne disions plus aucun mot mais il n’y avait rien à dire. Nous étions juste bien. - Reste ainsi les jambes écartées. J’aime te voir souillée ainsi exposée à la lumière de cette lune. Il s’approchait son visage de mon sexe. Il regardait son sperme sortir de ma petite chatte. - Caresse toi. Je mis mes mains sur mon sexe, doucement sur mon clitoris. Je n’aimais pas le sperme. Il savait pourquoi, mais au fil du temps avec lui je me sentais de plus en plus confiante. Il ne me forçait jamais à faire quelque chose que je ne voulais pas. Il connaissait mes limites. Il saisit le plug et commença à jouer avec pendant que je me caressais. La chaleur du sperme se mélait à ma mouille. J’inondais. - Allez écartèle bien ta chatte avec tes doigts. Lui s’amusait à me pénétrer avec le plug. Ça me rendait folle d’excitation. - Humm, regarde comme ça rentre, comment ça sort… Bientôt tu resteras avec un petit trou bien ouvert. Regarde ça comme t’es ouverte. Il aimait observer mon petit trou s’agrandir, se refermer. Puis il remplaçait le plus par ses doigts. Maintenant, il me pénétrait avec. Il me fouillait pour m’élargir. Je mettais mes doigts dans ma chatte. Je sentais les siens qui étaient dans mon cul de petite chienne. C’était si intense. Quand je sortis mes doigts de mon con, je les mis sur mon clitoris qui était si gonflé, tout comme mes lèvres. C’est là qu’il profita pour entrer quatre doigts à l’exception de son pouce. IL tournait son main, encore et encore pour que mon cul accepte d’être à disposition autant que ma chatte. Je fermais les yeux, il me parlait comme je l’aimais. - Allez petite pute, regarde tu as quatre doigts dans ton petit cul. Dis moi que tu aimes ça. - Ohhh oui.. j’adore ça, murmurai je. - Tu es ma petite chienne, abandonne toi. Je veux que tu jouisses pendant que je te baise de mes doigts. Plus il me parlait plus j’étais folle. Je sentais les contractures se faire intense. Ses doigts qui me prenaient le cul était si intense. Il tenait ma gorge, continuait à me parler à l’oreille comme pour préserver notre jardin secret. Quand cette vague arriva je commençai à hurler. Il me bâillonnait fermement. - Allez jouis ma chérie, tu es si belle… Plusieurs vagues me submergeait. La plus forte a été celle où je sentis mes larmes perler de mes yeux. Il caressait alors mon visage. Il m’aidait à me relever. Il saisit ma main. Il se dirigea dans l’eau. Nous prenions ce bain de minuit. Nous étions seul, la mer nous berçait. Il me prit alors dans ses bras, l’eau me faisait légère comme une plume. Je me blottissais contre lui. Le temps s’arrêtait…
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Par : le 29/09/20
Changement de lieu, j'ai décidé d'inviter mon maître à rentrer dans mon lieu secret qui est ma chambre. Chambre, qui est adaptée à des séances BDSM, cette chambre est très particulière car elle est sombre, laisse entrevoir très peu de chose, est éclairée par de simple bougie et aménagée de façon à ce qu'un maître puisse assouvir les envies de son esclave ou de sa soumise. J'invite donc le Maître a rentrer dans cette chambre. Il me demande si je suis prête à subir tous les sévices que je souhaite depuis un moment. Il commence à m'attacher les mains, les pieds, me bander les yeux, à mettre le bâillon, les pinces tétons, et là je commence à me dire que ce n'est que le début. Je sens que le maître a pris possession de mon corps rien qu'à le sentir autour de moi. Je lui fais comprendre que je suis prête par un signe de la tête. Il commence par inspecter mes orifices, me demande si ces derniers sont propres et vides, je lui réponds que oui excepté ma vessie, ce qui fait qu'il me demande de bien vouloir uriner devant lui, afin qu'il puisse me caresser la chatte avec. Je m'exécute, je sens sa main faire des va-et-vient sur mon clitoris et et me pénétrer avec quelque chose de froid. Ne pouvant m'exprimer ayant les yeux bandés je me demande quel objet il a pu introduire en moi. Je sentis que cela vibrer en moi et que c'était à sa demande qu'il pouvait contrôler à distance ce qu'il avait introduit. Il s'agissait de boules de geisha. Pendant ce temps il avait libre accès à tout mon corps, en profita pour prendre sa badine et commencer à me fouetter avec. puis voyant que cela ne me faisait aucun effet, il décida de prendre son fouet et de me fouetter avec jusqu'à temps que mon corps ne puisse plus subir cette souffrance. Ne pouvant m'exprimer oralement je le fais par le biais de mon corps en bougeant pour éviter les coups. Ceci ne lui plaît guère !. Pour me punir, il décide alors de prendre un câble , et de me fouetter de plus en plus fort jusqu'à en perdre connaissance. Je résiste malgré ça mais mon corps lâche au bout d'un moment. Il décide alors d'enlever le bandeau de mes yeux il me demande de le regarder droit dans les yeux. Il voit la souffrance dans mon regard je vois sa jouissance dans le sien. Il décide donc de continuer mais cette fois-ci sur mon ventre, sur mes seins, sur mes cuisses, sur mes fesses et afin de savoir si ceci me plaît il décide d'enlever le Bâillon. Il me demande de m'exprimer de dire encore et encore et encore.... en bon esclave je m'exécute sans broncher. Nous avons décidé d'un safe code comme déjà évoqué entre nous. N'ayant pas utiliser ce code mon cher Maître continue. Il décide donc de jouer avec les pinces tétons jusqu'à ce que les larmes coulent sur mes joues. Cela arrive plus vite que je ne le pensais. Le maître me regarda et vit dans mon regard que la souffrance était terrible et que je ne pouvais plus la supporter. Sa jouissance n'était pas au plus haut niveau, donc il décida de me détacher, m'ordonna de me mettre en position de Nadu, il continua à me fouetter tout en se branlant devant moi, et me demanda d'ouvrir ma bouche afin que je puisse récolter sa semence légèrement en bouche et sur mon visage. Rien qu'à y penser, sa jouissance arriva très vite et en bonne esclave je le remercia pour ce moment très fort.
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Par : le 24/09/20
Le Maître rentre dans la pièce où je suis en train de l'attendre en bonne esclave, à genouiller, j'ai mis mon collier afin qu'il puisse attacher sa laisse. Il commence par me lécher le visage puis me cracher dessus, et étaler ses crachats, puis continue par des petites gifles. Il me demande de lui tendre les mains afin qu'il puisse les attacher pour que je ne puisse jouir de mes mains à ma guise, je m'exécute sans dire mot, puis il commence à sortir son fouet pour en jouer sur mes seins, sur mon dos, et me demande de me relever, son fouet claque sur mes fesses, doucement puis de plus en plus fort, il voit en moi la douleur rien qu'à l'expression de mon corps, puis revient sur mes seins pour les marquer également. Il me demande de mettre le bâillon afin de ne pas entendre ma souffrance, de là, il pousse violemment sur le lit, m'écarte les jambes et crache sur ma chatte afin de pouvoir y introduire un gode, et m'exciter mais ce fut de courte durée, il décide de m'attacher les pieds et détache une de mes mains, de m'uriner sur la chatte et souhaite que je me branle avec son urine, je m'exécute... Et pendant ce temps, il me mets des attaches aux tétons, la douleur est insupportable que les larmes coulent toutes seules... Il me demande si j'en veux encore... À mon regard il voit que oui, il me met sur le ventre et à 4 pattes afin de jouir de mes orifices, il introduit de nouveau le gode tout en me fouettant, puis décide de m'introduire un plug et de jouer avec les 2, la jouissance monte en moi, mais le Maître le ressent, il s'arrête brusquement et me tire la tête en arrière au moyen de la laisse, m'ordonne de me mettre à genoux et de lui dire que je suis son esclave et que mes sévices ne font que commencer, que la douleur va être de plus en plus forte, car cette fois il va utiliser une ceinture en cuir pour me fouetter et me corriger si je désobéis...je laisse faire les choses et me dit que la douleur n'est pas physique mais mentale et que c'est à moi de contrôler cette douleur... La 1ère séance arrive à sa fin et me dit que la prochaine sera plus intense et qu'il fera ce qu'il veut sans un moindre mot, geste ou mécontentement de ma part
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Par : le 22/09/20
Pas facile d'être une femme dans un corps de mec et de devoir faire avec ce pénis qui pend ou se dresse entre les jambes. Le reste cela va, peau douce, seins naturels, cils longs, peu de poils. J'ai pas besoin de changer quoi que ce soit. Si je passe des fringues androgynes, ni homme, ni femme, on me dit : "madame". C'est vrai que même sans soutif, j'ai les seins qui pointent. Alors c'est vraiment pénible ce truc depuis l'enfance. Vivre en femme ou en homme? C'est con mais j'aime bien les deux. Je ne cherche pas du tout à me féminiser. Je suis une nana très masculine ou bien un mec à joli cul et poitrine qui fait bander. Bref, c'est une galère ou une chance. En tout cas je jouis mieux et plus fort en femme. L'orgasme féminin, enfin presque, j'adore. C'est en fait multiorgasmique et je coule beaucoup, sans me toucher le clito. Mais en version pénis cela marche très bien aussi. Alors impossible de choisir. J'aime les deux, même si je préfère être pénétrée. Et comme si ce n'était pas assez compliqué comme cela, c'est nana dominante et mec je sais pas, ni dom, ni soumis. En femme j'ai la baffe facile et le fouet amer. En femme je cogne d'abord et je cause après. C'est fou les mecs qui sont soumis. Je suis terrifiante, impitoyable, j'adore attacher et faire pleurer. J'aime lorsque le soumis supplie, implore, verse des larmes chaudes. Cela m'excite et ne me parlez pas de codes ou autres procédures pour dire stop. C'est moi qui fixe les limites, pas le soumis attaché et bâillonné. Pourtant j'adore aussi jouer à la femme, même si je ne me travesti pas, pas besoin. Je reste nature. J'aime un beau soumis avec un cul rouge sang et une belle bite bien tendue. J'aime être prise et j'adore sentir son sperme en moi. Bref que des contradictions. De toute façon, le mâle qui veut me pénétrer doit faire preuve de son courage sous le fouet. J'aime pas les mauviettes.
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Par : le 17/09/20
Elle effleura des lèvres le duvet brun autour du pubis. Sous la peau souple et veloutée, les abdominaux se contractèrent à ce contact. Du bout de la langue, elle joua à en suivre les sillons. Un peu plus tard, le sexe de Xavier s'étirait comme après un long sommeil. Il se déroula paresseusement, se redressa un instant puis retomba contre le ventre mais sans cesser de grandir. Sarah observa la fascinante métamorphose de ce fabuleux objet de désir. Quelle chance pour les hommes d'avoir, greffé entre les jambes, un aussi beau jouet. Il semblait doué d'une vie propre. Voilà qu'il s'allongeait encore, comme tendant le cou pour mieux la regarder. Tout son corps cylindrique vibrait. Sa veine sombre et saillante palpitait et sous leur mince enveloppe, les testicules s'animaient comme d'un paisible mouvement de respiration. Sarah s'approcha de la bête. Elle posa le bout de la langue sur le sommet de sa tête et entama un délicieux mouvement de balayage. Le sang se mit à battre plus vite dans la veine. L'homme et son sexe se raidirent encore. Lorsque, léchant toujours, Sarah glissa vers la base du gland, Xavier étouffa un soupir. Il plongea la main dans les cheveux de la jeune femme. Ses doigts se refermèrent sur sa nuque. Sa langue continuait de frétiller le long de sa verge. Il se releva sur un coude et contempla le spectacle hallucinant de cette fille couchée à côté de lui, de ses mains liées dans le dos, de son échine courbée par les cordes, de ses fesses pointées vers le plafond, de sa jupe troussée jusqu'aux reins. Sarah changea de méthode. Elle plaqua la langue tout entière au creux des testicules et remonta la verge jusqu'à la commissure du gland, là où celui-ci semble se fondre en deux comme un abricot. Elle remarqua que l'étreinte de Xavier sur sa nuque se faisait plus pressante lorsque sa langue atteignait ce triangle rose pâle. C'était là qu'il fallait donc porter l'estocade. Ravie d'avoir découvert l'endroit sensible, elle continua de le torturer ainsi. Sous ses coups de langue, il perdait peu à peu le contrôle. Il tendait le ventre, ondulait des hanches. Brusquement, il accentua sa pression sur la nuque de Sarah jusqu'à lui écraser la bouche contre son pénis. Ce n'était pas une prière, c'était un ordre. Elle n'eut qu'à entrouvrir les lèvres pour que, propulsé d'un coup de reins, le sexe de Xavier s'engouffre tout entier dans sa bouche. La charge portée dans sa gorge fut telle qu'elle suffoqua. Pourtant, lorsque Xavier relâcha son étreinte, elle n'eut qu'un bref mouvement de recul, juste le temps de reprendre son souffle avant de le reprendre dans sa bouche et il éjacula. Quand aux liens, moi qui ne nourrissais jusqu'ici aucun fantasme particulier à leur sujet, je leur découvre une vertu que je ne connaissais pas. Au début de notre relation, je me contentais d'entraver les poignets de Sarah pour satisfaire à ce que je croyais n'être qu'un caprice de sa part. Mais peu à peu, nous nous sommes amusés à inventer des liens de plus en plus sophistiqués, des positions de plus en plus complexes auxquelles elle se soumet toujours sans protester. Je la pense, à dire vrai, incapable de s'en passer. C'est pour cela que je n'ai pas le sentiment de l'asservir. Comment expliquer cela ? Lorsque j'entrave Sarah, c'est comme si, à la manière d'un peintre ou d'un sculpteur, j'avais soudain le pouvoir de figer sa beauté dans l'espace et dans le temps. Nos rendez-vous prennent désormais des allures de séances d'atelier. J'arrive avec une nouvelle idée de pose et des tas de cordes, de sangles, de lanières. Le ficelage prend du temps. Ce sont de longues et excitantes prémisses. Les images de Sarah ainsi ligotée m'obsèdent. La voilà nue, assise sur une chaise, les bras légèrement fléchis. Je lui ai joint les poignets à mi-dos. Les cordes s'évasent jusqu'aux épaules, comme les nervures d'une feuille dont la colonne vertébrale serait la tige. Elles s'enroulent autour des cuisses, pressées contre la poitrine, remontent jusqu'à la nuque où je les ai nouées. J'ai entravé les chevilles l'une contre l'autre, tiré la ficelle entre les fesses. Je l'ai tendue au maximum pour la fixer aux poignets. Sarah est enroulée dans un cordon de cordes. Elle n'est plus qu'un souffle impatient du plaisir à venir. Souvent, elle-même m'encourage à plus d'excentricité encore. Elle veut ne plus rien pouvoir entendre, ne plus pouvoir rien dire, ne plus rien pourvoir voir, ne plus rien pouvoir faire que d'attendre le moment où je m'enfoncerai au fond de son ventre ou de ses reins. Alors, je comble sa bouche avec un morceau de tissu, je la bâillonne d'un large sparadrap, je l'aveugle d'un bandeau sur les yeux et je lui bouche les oreilles avec des boules de cire. Je l'attache avec un soin maniaque, centimètre par centimètre, jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus remuer du tout. Je la modèle sous mes doigts comme un sculpteur manipule la glaise. Et quand enfin j'ai terminé, je prends du recul, je l'admire, immobile comme une toile, aussi lisse qu'un marbre, statue de chair, chaude et tendre, inerte et pourtant vibrante de vie. Quiconque entrant dans la pièce à ce moment-là trouverait la scène choquante. Sans doute ne verrait-il pas que l'indécence extrême d'un corps emprisonné, la mâchoire distendue par sous le bâillon, l'obscénité des cuisses maintenues ouvertes, l'insupportable étirement des muscles, la brûlure des cordes serrées contre la peau. Il ne verrait que le sordide d'une femme soumise à un plaisir de mâle. Il ne verrait que l'humiliation. Pourtant, Sarah ne s'humilie pas en se livrant ainsi. Elle met en moi une telle confiance que je ne la respecte jamais autant que lorsqu'elle est ainsi asservie. Même tordue dans ses liens, elle conserve cette grâce qui fait souvent défaut aux amants, que je ne me lasse pas de contempler. Alors, au-delà de l'excitation physique que cette vision éveille en moi, je me surprends parfois à ressentir comme une fugace émotion d'artiste. Plus tard, je caresserai le satin de cette peau. Sous mes doigts, le tressaillement d'un sein frôlé. Plus tard, je la soulèverai. Il faudra bien alors que monte le désir. Je la fouetterai, je la fouillerai. Tenaillée entre deux douleurs, elle hurlera en me suppliant. Seulement plus tard. D'abord, je succombe à ce plaisir sadique de l'entraver. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 15/09/20
Préambule: Je soumets ce texte après l'approbation de Maîtresse Lady Gabrielle. Il s'agit d'une énumération d'idées destinées à agrémenter vos réflexions et intentions d'organiser un tel événement. J'ai vécu de similaires situations qui avaient été couronnées de succès mais aussi, une fois, un malheureux "bide". Par ce préambule je veux aussi éviter de me faire accuser d'une quelconque demande, juste contribuer à la réflexion. C'est pour cette raison que j'ai demandé à ma divine Maîtresse l'autorisation de publier ce dernier. Quelques idées relatives au dîner protocolaire Rencontrer des amis autour d’une bonne table. Voilà qui ressert les liens d’amitiés ou de confraternité entre dominants et dominantes. L’occasion de réaliser un repas protocolaire permet d’associer les soumis et soumises aux libations de leur propriétaires. On désigne donc ces repas sous le vocable « dîner protocolaire » en ce sens que pour bien marquer la différence entre un repas copain-copain, on délimite la zone de la domination avec celle de la soumission. On la délimite selon des règles, un protocole dans lequel chacun occupe son rôle, le tout étant sous-tendu par la pratique BDSM. J’ai parfois eu le sentiment que la compréhension « protocole » signifiait des règles strictes de présentation de table, de place des verres et des couteaux. C’est à mon sens aller un peu trop loin. Le protocole veut plutôt dire, je suis Maître ou Maîtresse et toi mon soumis, mon esclave tu vas me servir et servir les invités. Servir à manger et à boire bien sûr mais aussi servir de toutes les façons que ces derniers veulent. A l’expérience, ces rencontres demandent que tous participent de façon active et volontaire pour animer le repas. Cela demande donc, de la part de chacun des dispositions, une inclination naturelle à des pratiques sadiques, humiliantes et aussi d’être ouvert à des comportements désinhibés. Alors, d’abord choisissons les invités. Des personnes que l’on connaît et dont on sait leur niveau de domination. Des personnes qui ont aussi leur self contrôle. Nous connaissons les gens qui s’enivrent et qui font transforment la soirée en une salle de bistrot qui n’a plus rien à voir avec la pratique originelle. Des gens qui ne craignent pas de se dévêtir pour satisfaire une de leur envie préférée. Des invités qui, de bonne humeur, aiment discuter entre eux, pincer le téton d’une soumise, piquer avec la fourchette le sexe d’un soumis, fourrager avec ses doigts la bouche d’un garçon, faire exprès de laisser tomber sa serviette pour gifler le servant inattentif, goûter un vin mais recracher dans la bouche de celui qui a servi. Parmi toutes ces belles choses qui agrémentent un « dîner protocolaire citons : • Le cadre, un salle à manger assez large pour permettre le mouvement de tous les participants, un salle attenante pour la préparation des plats. • Un salon pour l’apéritif d’entrée et éventuellement le café de la fin. • Marquer le personnel de service « préparé » avec des pinces, des attaches, des marquages ou des décorations sur la peau. • La haie d’honneur, à l’entrée des invités, avec les soumis/soumises nus, menottés ou « bondagés » ou décorés avec des aiguilles sur les seins ou sur la peau, une bougie dans la bouche, la tête étant renversée ou dans les mains. • Utiliser un ou deux soumis utilisés comme porte-manteaux à l’arrivée. • Au cas où la maison le permet, disposer une cage pour y mettre des soumis en cage pendant la phase d’arrivée des invités. • Aligner les soumis et soumises regroupés, nus enchaînés ou entravés avec un bâillon dans la bouche. • Disposer des statues vivantes emballées complètement dans du cellophane avec la queue dégagée et debout pendant une partie du repas. • Pendant l’apéro faire manger les soumis dans des écuelles par terre avec de la nourriture qui tache (spaghettis bolognese par exemple). Les soumis se nettoient mutuellement à la langue. • Mettre sur pied un petit spectacle genre fléchettes, ou flagellation. (Dans le cas où cette pratique est faite en attendant l’arrivée de tous les invités, le ou la soumis est ensuite utilisé pendant le repas comme tableau vivant avec une ou deux bougies en plus. • Disposer des soumis sur le sol, procéder à un petit cérémonial d’entrée de la personne qui préside en la faisant marcher sur des soumis couchés par terre, elle-même tenue par les mains par des soumises. • Disposer pour le repas une ou deux soumis/ses nus posés sur la table et recouverts de choses à manger. Changer le décors en faisant une pause et en ordonnant à d’autres soumis de les « laver » en léchant le reste collé au corps. • Disposer des soumis comme meubles pendant l’apéro comme tabourets, tables, comme servir-boy, avec un plateau accroché autour du torse. • Utiliser des soumis comme porte panier à pain avec une corbeille attachés par des pinces aux seins. • Bander les yeux de soumis qui sont chargés d’apporter les plats mais avec un autre soumis utilisé pour guider le premier pour servir. • Selon les envies du moment glisser un soumis ou soumise sous la table pour effectuer les cunis/turluttes avec le jeu, entre les invités de deviner qui est en train de jouir. • Chaque dominant ou dominante nourrit les soumis, à genoux derrière les invités assis et les invités, en « crachant » par terre ou dans la bouche des soumis/ses la nourriture pré-mâchée. • Faire boire dans une écuelle remplie d’eau ou d’urine selon les envies et le moment. • Prévoir un petit spectacle homosexuel (des hommes aiment voir deux lesbiennes faire l’amour ou les femmes deux homosexuels) lors du café. • Au cas où des servants ont été particulièrement maladroits, petite séance de kick-boxing (ça change des coups de cravache quoique ça peut aussi se faire évidemment). • Imaginer un jeu (tirage au sort) pour permettre à la gagnante ou au gagnant de faire quelque chose avec un soumis ou une soumise. Par exemple trouver sur un soumis ou une soumise une combinaison de numéros ou un mot qui aura été marqué sur la peau dans un endroit un peu difficile (genre sous les seins tombants, à côté des lèvres du sexe, sous le scrotum, près de l’anus, que sais-je encore. Le but étant évidemment de favoriser le « toucher » des soumis/soumises par les invités. A l’expérience aussi, il est préférable que quelqu’un préside le repas et s’il y a assez de monde un Majordome qui commande les divers « tableaux » ou phases du repas selon un programme ou un « protocole » de choses qui se feront tout au long du repas: 1. l’entrée des invités, 2. arrivée de la présidente, 3. apéro, 4. repas des soumis, 5. exposition des statues, 6. prise place autour de la table, 7. repas, etc. 8. le "fumoir », les invités affalés dans leurs fauteuils ou divans et les soumis/ses faire des cuni ou des fellations. 9. animation genre flagellation, joutes entre deux sujets, service des cafés, etc. Comme cela se fait lors de belles rencontres, il est souvent préférable au tout début de l’invitation de citer le code de conduite pour l’occasion, des règles de ce qui est permis et ce qui est défendu et autorisé, régler le problème de la prise de photographies et de vidéos. Si c’est possible désigner un dom ou une domina qui agit comme « bourreau » (attacher, détacher, enfermer, allumer, fouetter, etc., etc.) En ce qui concerne le repas, la succession de petits plats permet de provoquer des situations multiples qui exposent les soumis et soumises. Un bon traiteur permettant de libérer les organisateurs du souci de réussir un plat. Bon appétit alors… Kaji, soumis de Lady Gabrielle. (slnr: 386-312-138) Photo tirée du film "Sleeping Beauty"
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Par : le 07/09/20
Aujourd’hui. C’est aujourd’hui que Maîtresse Caroline revient. 9 jours sans ma Maîtresse. 9 jours d’une intensité inouïe. 9 jours qui m’ont marqué, psychologiquement et physiquement. Je porte encore les traces des assauts de mes Maîtresses d’une nuit. La journée d’hier, dans les bras de Maîtresse Chloé, m’a laissé dans un état de faiblesse psychologique intense. Je suis redevenu un homme, amoureux, tendre, sensuel. J’ai caressé, embrassé, serré dans mes bras une femme avec qui j’ai partagé mon âme, l’espace de quelques heures. Nous avons fait l’amour encore et encore, dormi dans les bras l’un de l’autre, peu parlé mais beaucoup communiqué par nos regards et nos gestes, comme si la parole était superflue. J’en ai oublié ma condition de professeur soumis, de salope aux ordres, mon état de dépendance totale à ma Maîtresse Caroline, son emprise sur moi, sur ma vie. Nous avons été un couple, lié par delà nos corps en sueur collés l’un à l’autre. Le réveil est douloureux et je suis triste. Maîtresse Chloé a remis ma cage de chasteté en place ce matin, après que nous avons fait l’amour une dernière fois. Une étreinte lente, tendre et sensuelle. Je me suis vidé en elle, et j’ai explosé en larmes, au creux de ses bras. Maîtresse Chloé est partie en cours à 8h45, me laissant nu, encagé, avec pour consigne de ranger parfaitement l’appartement. Je n’ai pas cours avant 11h. Et ma journée se termine à 15h. Maîtresse Chloé est prise toute la journée. C’est donc Maîtresse Christelle qui a pour charge de me ramener à l’appartement et de me préparer au retour de Maîtresse Caroline, vers 17h. Après la tendresse et l’amour de Maîtresse Chloé, la sévérité sans pitié de Maîtresse Christelle est un choc brutal. Elle ne prononce que quelques mots, secs : -Dépêche toi salope, je n’ai pas que ça à faire ! Une fois dans l’appartement, elle continue sur le même ton. -Tu te douches, et tu rappliques. Je te donne 10mn maxi. N’oublie pas de bien te récurer la chatte ! Je m’exécute. Lavement obligatoire donc. Même si j’ai horreur de cela, je crains encore plus que mes Maîtresses ne me fassent sucer le god souillé sortant de mes reins. Douche, vérification de mon épilation. 9 minutes plus tard, je me prosterne aux pieds de Maîtresse Christelle, assise dans le canapé du salon. Sans un mot elle me relève et commence à me préparer, en commençant pas la cagoule de latex et un masque qui m’aveugle totalement. Puis vient le collier de cuir, le corset qu’elle prend bien soin de serrer au maximum quitte à me couper le souffle, mes bas de latex noir, bracelets à mes poignets et mes chevilles. Je ressens une grande excitation à l’idée de retrouver Maîtresse Caroline. Et je m’interroge sur celui ou celle qui l’accompagnera. Maîtresse Chloé m’a bien rappelé qu’elle ne serait pas seule. Maîtresse Christelle fixe la barre d’écartement entre mes chevilles. Ensuite, elle attache mes poignets à la chaîne qui pend du plafond, tendue au maximum, et sans aucun ménagement, à peine un peu de gel, me remplit le cul d’un plug de bonne taille. Elle termine ma préparation en fixant un bâillon-boule. -Hmmm voilà qui est mieux. Je crois que Caroline sera satisfaite de te voir ainsi ma soumise. Ah, au fait, elle m’a laissé carte blanche pour imprimer ma marque, avant son arrivée. Ça tombe bien, j’ai besoin de me défouler. Elle ponctue sa phrase par un coup de cravache sur mes reins. Elle a frappé fort et je hurle à travers mon bâillon. Maîtresse Christelle se lâche. Les coups s’enchaînent rapidement. Mon cul en prend la majeure partie. Je ne suis pas encore remis de ma nuit de soumission avec mes jeunes Dominas déchaînées, et la souffrance est atroce. Je pends au bout de ma chaîne, brisé par la douleur. Maîtresse Christelle repose la cravache et vient se saisir de mes tétons. Nouvelle décharge de douleur. -Debout soumis ! Ta Maîtresse va arriver d’une minute à l’autre. Je veux te voir debout, cul tendu, prêt à la recevoir. Tu n’as pas envie de me faire honte je pense…. sinon ce n’est pas la cravache qui va te faire hurler, mais la canne ! Je fais non de la tête et j’essaie de me redresser, tout en me cambrant au maximum. J’entends mal, les sons sont diffus à cause du latex qui recouvre ma tête. Mais Maîtresse Christelle a crié pour bien se faire comprendre. J’entends vaguement la sonnette, les talons de Maîtresse Christelle, des voix. Je crois reconnaître celle de Maîtresse Caroline. Je ne saisis pas totalement la teneur de leur conversation. Cependant, je crois comprendre « emmène là dans la chambre s’il te plaît Chris… ». Emmène-là. C’est donc une fille dont il s’agit. Je n’ai pas le temps de gamberger. La main gantée de Maîtresse Caroline se saisie de mes couilles. -Alors ma petite chienne… on s’est bien amusée pendant mon absence ? Ta seule et unique Maîtresse est revenue. Je vais te reprendre en mains. Fini les réjouissances. On passe à la vitesse supérieure. Elle serre, tord et m’arrache un hurlement. Puis elle me détache les poignets et je m’effondre au sol, à genoux. La mise en condition de Maîtresse Christelle m’a brisé. -Viens renifler ta Maîtresse ma petite chienne, et donne lui quelques coups de langues. Montre-lui qu’elle t’a manquée. Allez…! Maîtresse Caroline saisie mon collier et colle mon visage entre ses cuisses. Je redécouvre le parfum et le goût unique de ma Domina. Au fond de moi, je suis heureux de la retrouver. La fascination qu’elle a toujours exercée sur moi, depuis la première fois où je l’ai vue, en cours, ne se dément pas. Je suis marqué, sous son emprise et je me régale de son calice divin. Maîtresse profite quelques minutes de ma langue puis me repousse et ôte mon masque pour me rendre la vue. -Regarde moi ! Je plonge mon regard dans le sien, et je découvre une Maîtresse qui semble à bout. Marquée. Par quoi ? Qu’a-t-elle bien pu vivre pendant ces neuf jours d’absence ? J’oublie un instant ma condition d’esclave et j’ose… -Maîtresse, vous semblez épuisée. Tout va bien ? Maîtresse Caroline ne relève pas mon manque de discipline. Elle semble même touchée par mon empathie. Elle me regarde sans un mot. Je prends conscience de ce que je viens d’oser et je m’en effraie soudain. Mais Maîtresse Caroline m’apaise d’un doigt posé doucement sur mes lèvres… -Shuuuttt… tu as raison. Je suis épuisée. Ces derniers jours ont été très éprouvants pour moi. Et pour elle. Elle est de retour tu sais. Je l’ai ramenée… Non, je t’en prie. Elle a besoin de temps. Et d’abord elle a besoin de repos. Vraiment. Elle m’a fait jurer de ne pas te permettre de la voir. Pas comme cela. Alors respecte sa volonté. Le temps viendra, vite je l’espère. D’ici là, je crois que tu as une Maîtresse à laquelle tu as juré fidélité. Occupe t’en. Va me faire couler un bain ma jolie chienne… j’en ai bien besoin. Maîtresse Caroline me sourit tendrement et essuie la larme qui coule sur ma joue. Ennia est revenue. Mais je dois patienter. Le bain de ma Maîtresse, lui, ne peut attendre.
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Par : le 30/08/20
Après le repas, Maîtresse Chloé passa au salon. Elle me fit m’agenouiller à ses pieds, pour que je puisse les masser longuement. Selon ses envies, elle les portait à ma bouche et me faisait comprendre d’un regard que je devais lécher ou sucer ses orteils. Un pied entre mes lèvres, l’autre jouant avec ma queue et mes couilles, j’étais libre de bander. Maîtresse Chloé m’avait faire jurer de garder cela secret. Caroline n’apprécierait sans doute pas qu’elle m’ait ôté ma cage. Maîtresse Chloé fumait tout en discutant par sms avec une amie lorsque son téléphone sonna. J’étais persuadé que c’était Maîtresse Caroline prenant des nouvelles de son professeur soumis. Cependant, j’étais loin de me douter que ce coup de téléphone m’emmènerait encore plus loin dans l’humiliation et le don de moi. -Oui oui, il est juste à me pieds… Tu le verrais, une vraie bonniche, bien salope avec son petit tablier blanc, ses bas et son porte-jarretelles. Et je lui ai mis un bon collier de chien. Oui c’est exactement ça ! Il bande comme un âne… Non bien sûr, interdiction de jouir…. Tu crois ? Hmmmm tu me donnes des idées tu sais…. Cela m’excite à mort… oui, une vraie pute tu n’imagines pas ! Mais à qui pouvait bien parler Maîtresse Chloé ? J’avais beau retourner la question dans tous les sens, rien. Aucun indice. J’avais l’impression que ce n’était pas Maîtresse Caroline, ni Ennia. Or elles n’étaient que trois à connaître mon état de professeur soumis, Caroline, Chloé et Ennia. Et bien sûr les deux livreurs, mais la voix que je devinais à travers le haut parleur du téléphone me semblait féminine. Je sentais mon anxiété monter. Qui pouvait bien être dans la confidence encore ? Je n’allais pas tarder à être fixé. -Tu passes comme prévu ? … Hmmmm oui, avec plaisir, j’adore…. T’inquiète, je vais le préparer et il sera tout à toi…. A tout à l’heure. Fais vite ! Je me concentrai sur les pieds de Maîtresse Chloé. Suçant un par un, délicatement et avec dévotion, ses orteils, je n’osais lever mon regard, même si je sentais parfaitement le sien posé sur moi. -Patience ma pute ! Dans moins de 30 minutes, tu vas avoir une belle surprise, crois-moi ! En attendant, j’ai envie que tu me lèches un peu ! Cette conversation m’a bien fait mouiller. Viens nettoyer ta Maîtresse ! Allez, respire mon parfum de plaisir ! Maîtresse Chloé jouit rapidement, ma langue sur son anneau mauve pendant que ses doigts virevoltaient sur son clitoris. Puis elle me prépara. Elle me fit d’abord me déshabiller entièrement, puis passer un ensemble en latex noir, bas, serre-taille à jarretelles. Ce dernier me marquait bien et faisait ressortir mes hanches de pute selon elle. Il y avait, également, des longs gants, une cagoule, un rouge à lèvres brillant et très… rouge pour ma bouche à pipes. Enfin, elle termina par la pose d’un large collier de cuir duquel pendaient deux mousquetons. -Voilà, tu es prête à accueillir notre visiteuse. Une belle salope ! viens, approche ! que je te fasse bander encore un peu plus dur. Maîtresse Chloé me fit avaler une pilule bleue puis me masturba lentement, d’un geste ample le temps que le viagra fasse effet. Lorsqu’elle me jugea assez gonflé, elle me posa un cockring en cuir, très serré ce qui eut pour effet immédiat de faire saillir mes veines. J’étais gros, gorgé de sang, ultra sensible. -Hmmm parfait pour te travailler la queue ! Ce soir, j’ai envie de te faire mal ma salope ! Je veux t’entendre couiner. On veut t’entendre couiner ! Maîtresse Chloé avait à peine prononcé sa phrase que la sonnette retentissait. -Va ouvrir ! et fais moi honneur ma chienne ! J’ouvris la porte, le regard baissé, les yeux fixés sur deux magnifiques pieds chaussés d’escarpins à bride puis sur des jambes gainées de bas noirs. -Madame, puis-je vous prier d’entrer s’il vous plaît ? Je m’agenouillai immédiatement pour venir baiser ces divins pieds, comme Maîtresse Caroline m’avait appris à le faire. Il s’agissait d’une marque de déférence envers toute femme pénétrant dans son appartement. L’inconnue m'interpella d’une voix dure : -Debout petite pute ! débarrasse moi de mon manteau ! Je connaissais cette voix. Trop bien même. C’était celle de Christelle, la responsable des programmes de l’école dans laquelle j’enseignais. Nous avions eu une petite aventure, deux semaines environ après mon arrivée dans l’équipe enseignante. Une aventure d’un soir. Nous étions restés bons amis, enfin sans plus. Des rapports très cordiaux. Je n’osais pas lever les yeux. -Hmmm si j’avais su…. Je t’aurais prise en main dès le premier soir. Et tu serais maintenant ma petite chienne personnelle ! Regarde moi, allez ma salope ! J’étais tétanisé. Je tardais un peu trop au goût de Christelle. La gifle fut immédiate. -J’ai dit regarde moi !!! Chloé, tu permets qu’il enlève sa cagoule ? J’ai envie de le voir sans. Je suis sûr qu’il se sent un peu protégé sous ce latex. Allez ! Montre moi ton vrai visage ! Sous la menace d’une seconde gifle, j’obéis sans rechigner. Et je plantais mon regard dans celui de Christelle. Elle était belle, hautaine, et son sourire méprisant me fouillait le fond de l’âme, martyrisant ce qui me restait de fierté masculine. Mais c’était ses mots qui m’humiliaient le plus ! -J’adore… ça joue les mâles séducteurs dans le couloirs, mais ça bande quand on la traite comme une petite pute soumise ! Je me demande encore comment j’ai pu ne pas le deviner! Christelle empoigna mes couilles et les tordit brutalement. -Regarde moi salope !!! La douleur et l’humiliation me mettaient au bord des larmes. -Pour une surprise, tu m’as bien eue Chloé, bravo ! Je ne m’y attendais vraiment pas…. Hmmmmm petite pute, ta vie va changer à l’école, j’espère que tu en es bien conscient ! Finis de jouer les petits profs ! tu es une pute, et il me plairait assez que cela se sache pour que tu sois traitée en tant que telle. Une belle chienne… Dis moi Chlo, elle a goûté la queue déjà ? -Oui, bien sûr. Et elle a adoré je te promets. Tu veux voir la video ? On en a fait un montage avec Caro. Tu vas aimer j’en suis certaine. Maîtresse Chloé projeta ma séance avec les deux livreurs sur le grand écran du salon. Christelle, ou plutôt Maîtresse Christelle se régala du spectacle, sans être avare de commentaires. -Dis donc petite pute, mais c’est que tu aimes ça !!! Une vraie suceuse pro… Wouhaouh !!! Je n’y crois pas… tu la prends en entier ???? T’es un vrai garage à bite ! Quelle salope… elle en redemande, mais t’as vu ça Chloé, elle s’encule elle même sur la queue du black ! J’hallucine ! Vous en avez fait une super pute. C’est génial ! J’ai hâte de l’essayer…. je suis super excitée maintenant ! Tu vas prendre cher ma petite salope ! Pendant toute la durée du visionnage, j’avais servi de repose pieds pour mes deux Maîtresses. A quatre pattes, le visage tourné vers l’écran pour bien voir mes prestations de chienne en chaleur selon les propres mots de Chloé. Je bandais. J’étais une pute, mes Maîtresses avaient raison, et me voir sucer, me faire enculer, lécher, embrasser, avaler le foutre de mes Maîtres livreurs, cela me rendait fou de désir. Mes Maîtresses dominatrices se levèrent et m’ordonnèrent de m’agenouiller, face à elles, cuisses écartées. Maîtresse Chloé s’adressa à son amie : -J’ai envie de le rendre dingue, pas toi ? Regarde, il bande déjà bien ! Le petit film l’a bien excité je crois. Et la pilule que je lui ai fait avalé tout à l’heure a l’air de bien faire son effet. Il va bander pour nous pendant plusieurs heures, comme ça on va bien en profiter. Je t’avais dit que je t’offrirai un jouet pour ton anniversaire, le voilà…. une petite pute docile, une salope à baiser sans retenue ! Maîtresse Christelle enlaça Maîtresse Chloé et déposa un baiser sur ses lèvres. -Hmmm ! j’adore ton cadeau Chloé ! Regarde, la pute, regarde tes Divines Maîtresses. Tu vas te branler sans nous quitter des yeux, mais interdiction de jouir. Si tu désobéis, je te fais souffrir, t’as bien compris salope ?!! -Oui Maîtresse Christelle, à vos ordres ! -Regarde bien, et profite du spectacle de tes deux magnifiques Maîtresses ! -Magnifiques ? Sublimes tu veux dire ma chérie ! : répliqua Maîtresse Chloé en éclatant de rire avant d’embrasser, très sensuellement, son amie. Mes Maîtresses s’embrassèrent et se caressèrent longuement face à moi. Spectacle saphique divin, le plus excitant qu’il m’ait été donné de contempler. Deux femmes aux corps sublimes, à la sensualité extraordinaire. La beauté, la féminité à l’état pur. Comment ne pas désirer servir, vénérer, adorer. Comment ne pas comprendre qu’un mâle n’atteindra jamais un tel niveau de perfection ? Alors que je me branlais très lentement, en me concentrant pour ne pas me faire jouir, je dévorais des yeux ces deux sublimes jeunes femmes. Je les aimais je crois, j'étais fier d’être autorisé à les regarder, fier d’être à leurs pieds. Mais mon corps réclamait son dû. Et sans y faire attention, le rythme de mes doigts accélèrait. J'étais grisé par ce que je voyais, hypnotisé par leurs langues qui jouaient, par leurs mains qui effleuraient, caressaient, par leurs soupirs de plaisir. J'étais dans un état second, et ma frustration sexuelle prenant le contrôle de mon esprit. J’oubliais les ordres, l’interdiction, je redevenais la salope assoiffée de jouissance, je me branlais, queue tendue vers mes Maîtresses, je gémissais, râlais et accélèrerais encore le va-et-vient de mes doigts sur ma hampe. Mais le plaisir refusait de monter. L’effet du viagra sans doute combiné à celui du cockring que je portais très serré. J'étais dur comme je ne l’avais jamais été, mais je n’arrivais pas à jouir. Je crachais dans ma main pour mieux me lubrifier. Dans mon délire sexuel je remarquais à peine que mes deux divines Maîtresses me regardaient. Maîtresse Chloé mis un quart de seconde à réagir. Elle saisit la cravache et se précipita vers moi avant que je ne réalise vraiment ma désobéissance. Le premier coup s’abattit dans le mouvement, directement sur ma main. Je lâchai ma queue et poussai un cri. -Sale truie, qui t’a autorisé ??!!! Hein ??? Sale pute !!! Je comprends pourquoi Caro te laisse en cage ! Garde ta position, tends ta queue vers moi… Salope, je vais t’apprendre à chercher à jouir sans autorisation ! J'étais à genou, je me penchai en arrière, prenant appui sur mes mains et je tendis mes hanches vers Maîtresse Chloé. Mon hypnose s’était évanouie. J’eus peur soudain, et je bredouillai des excuses : -Pardon Maîtresses, je vous supplie… vous êtes si belles… je.. La cravache s’abattit directement sur ma queue tendue. Je hurlai de douleur. -Ta gueule sale truie ! T’as oublié que tu n’es pas autorisé à parlé ?!!! En position ! Je vais te faire passer l’envie de te branler ! A ton avis Chris, comment pourrait-on la calmer notre salope en rut ? -Hmmm je pense qu’il faut lui faire très mal. Je ne vois que ça… Vas-y, 10 coups pour commencer. Ensuite 10 pour moi. Non, 20 pour moi. C’est moi qui lui ai donné l’ordre de se branler, sans jouir. C’est à moi qu’il a désobéi, et j’ai trop envie de le voir souffrir pour payer. Tiens, on va lui mettre le bâillon-boule. Comme ça on pourra le corriger sans retenue. Attends, j’ai une idée… Lèves toi la pute, et allonge toi sur le banc ! Vite ! Je me plaçai allongé sur le petit banc recouvert de cuir, sur le dos. Mes Maîtresse m’attachèrent rapidement poignets et chevilles. Maîtresse Christelle pris une cordelette et l’attacha à l’anneau fixé sur mon cockring, puis elle tira de façon à ce que ma queue, toujours bandée au maximum, reste bien droite, tendue vers le plafond. -Voilà, maintenant on va pouvoir le punir tranquillement. Tu n’es qu’une petite salope qui mérite d’être corrigée. Peut-être que la douleur va te faire comprendre… Vas-y Chlo, à toi l’honneur ! Maîtresse Chloé tenait toujours la cravache dans sa main. Elle s’approcha et commenca à caresser ma hampe avec la pointe de son instrument de dressage, qui glissa sur mes couilles, douloureuses et gonflées à exploser. J’avais mal. La pression exercée par le cockring, la jouissance réfrénée, ma queue dure était devenue la source d’une douleur diffuse mais constante. Je hurlai lorsque Maîtresse Chloé frappa un premier coup sur mon gland offert. Elle frappa sèchement. Je me tordis, ruai solidement fixé au banc. -Calme toi salope, c’est juste le début ! Allez, on enchaîne…. couilles, gland… couilles, gland….! Maîtresse alterna les coups. Vifs, durs. L’objectif était la souffrance du soumis. La punition. La douleur comme moyen de dressage. Je hurlai sans cesse, mon corps tendu, mes larmes coulant. En fait, je subis la correction sans aucun moyen de fuite. Je repris difficilement ma respiration lorsque Maîtresse Chloé annonça victorieusement : -Et de 10 !!! A toi Chris… vas-y, lave l’affront que t’a fait cette petite truie obsédée. Fais la bien souffrir, qu’elle comprenne…! Je ne cessai pas de bander. La douleur irradiait tout mon bas ventre mais ma queue restait obstinément dure, gorgée de sang. Les coups de cravache sur mon gland m’avaient rendu ultra sensible. Quant à mes couilles, la douleur que je ressentais me coupait presque le souffle. Je n’avais jamais connu ce niveau de douleur. Même lors des solides corrections que m’avait déjà infligées Maîtresse Caroline. J’essayai de me contrôler, tant bien que mal, pour pouvoir encaisser la suite. Maîtresse Christelle enfila une paire de gants en latex. -Je vais d’abord le faire durcir encore un peu, enfin si c’est possible ! Dis Chlo, tu lui as donné une dose de cheval ou quoi ? Normalement, une bonne correction, ça les fait toujours débander les petites salopes dans son genre ! C’est parfait. La punition sera plus efficace. Allez petite chienne… c’est mon tour de te faire souffrir ! Maîtresse fit couler du lubrifiant sur ma queue et mes couilles et m’empoigna sans aucun ménagement. Elle me branlait d’une main, en me serrant très fort et en insistant bien sur mon gland. Son autre main pressait et étirait mes couilles. Je hurlai. Ses caresses étaient dures et dans mon état de sensibilité, elles ne firent que relancer la douleur qui s’apaisait un peu. Maîtresse Christelle éclata de rire et accélèra sa masturbation, en concentrant ses caresses sur mon gland. -Hmmm je le sens durcir, je te jure. Un vrai morceau de bois… allez, encore un peu…. hmmm je sais que tu aimes ça, souffrir pour ta Maîtresse. Moi ça m’excite, tu ne peux pas savoir à quel point… Allez, assez joué, je suis obligée de te punir. Enfin, non, j’ai envie de te punir ! Nouvel éclat de rire. Maîtresse Christelle lâcha mon sexe et enlèva ses gants. Elle pris une des bougies allumées sur la table basse et l’amèna au dessus de mon bas-ventre. -J’adore jouer avec ça… ! Je me tendis de toutes mes forces dans mes liens lorsque Maîtresse versa une bonne dose de cire chaude sur mon gland. Elle tint la bougie assez près de ma queue. La cire n’eut pas le temps de refroidir lorsqu’elle entra en contact avec la peau fine et ultra sensible. Je hurlai à travers mon bâillon, mais cela sembla exciter encore plus Maîtresse Christelle. Elle pris tout son temps pour recouvrir entièrement mon gland. La cire coula le long de ma hampe. Maîtresse se recula un peu pour admirer son œuvre. -Bon, maintenant que j’ai fait la tige, passons aux couilles ! Chlo, tu peux me passer une autre bougie s’il te plait ? La grosse là, elle est bien pleine ! Maîtresse Christelle versa la cire en une seule fois. Mon hurlement, difficilement étouffé par le bâillon, n’eu pas de fin. Mes couilles se recouvrirent d’une gangue de cire… Je perdis presque connaissance sous la douleur. Dans un état second, je perçevais à peine ce qui se passait autour de moi. Je ne voyais plus le sourire sadique de satisfaction de Maîtresse Christelle. -J’avais dit combien déjà ? 20 coups c’est ça ? Maintenant, faut enlever la cire ma salope. Tu vas déguster. Je commence par quoi à ton avis Chloé, couilles ou queue ? -Attends, j’ai envie de bien profiter du spectacle…! Maîtresse Chloé enlèva mon bâillon et le remplace par un bâillon-god. Une petite partie, courte et large vint se loger dans ma bouche. L’autre, un beau sexe noir, veiné, se dressa au dessus de ma bouche…. Maîtresse Chloé vint s’empaler sur le god, m’offrit une des vues les plus sublimes de Paris. -Voilà, maintenant je suis aux premières loges. Je vais pouvoir me faire jouir pendant que tu finis la punition… prends ton temps Chris ! Tout ton temps… et commence par les couilles. On garde le gland pour le final ! Maîtresse Christelle mania la cravache avec précision. Plusieurs coups furent nécessaires pour enlever la carapace de cire qui recouvrait mes couilles. Je hurlai, ruai, solidement attaché à mon banc de torture. Maîtresse Chloé chevauchant mon bâillon-god. Son miel de plaisir coulait sur mon visage. Maîtresse Christelle avait suivi sa demande… elle espaçait les coups de cravache, pour permettre à son amie de faire grimper son plaisir palier par palier. Je n'étais que douleur. Mes couilles martyrisées provoquant une décharge électrique continue, insupportable. Maîtresse Christelle saisit la base de ma queue et se réjouit : -Il me reste 13 coups…hmmm bien plus qu’il n’en faut pour débarrasser toute cette cire…. Vas-y Chlo, baise toi bien sur cette belle queue. Et toi la pute, jouis du spectacle, le cul de ta Divine Maîtresse et sa chatte bien ouverte… regarde… respire son parfum… tu as de la chance tu sais ! Maîtresse Christelle compta à voix haute, et frappa. Avec précision. Chaque coup m’arracha un hurlement étouffé. En dépit de la douleur fulgurante chaque fois que le cuir venait me frapper, je bandais. De plus en plus dur j’aavsi l’impression. Mon corps ne répondait plus, je ne comprenais plus rien. Je souffrais atrocement mais je bandais et j'étais excité. Dans un état second, je subissais, et….. j’aimais cela. Serait-ce ça le « subspace », cet état presque de transe, provoqué par la douleur lors de jeux Sm ? J’avais déjà lu à ce sujet… jamais encore je ne l’avais expérimenté. -Et de vingt ! Maîtresse Christelle était radieuse. Elle contemplais ma queue débarrassée de sa cire, mon gland torturé, gonflé à éclater. Maîtresse Chloé avait joui au 11ème coup, inondant mon visage de sa liqueur. Elle restait empalée sur le god, pendant qu’elle retrouvait son souffle. Maîtresse Christelle vint s’empaler sur ma queue, d’un seul coup. Face à son amie. Elles s’embrassèrent longuement. Je sentais Maîtresse Christelle coulisser sur ma hampe. La chaleur de son ventre, de son désir, apaisait un peu ma douleur. Comme une anesthésie. J’avais mal, mais ce que je ressentaiss, emprisonné par les chairs brûlantes de celle qui fut mon amante d’une nuit, était au delà. Au delà du plaisir pur, au delà de la douleur. Un autre état. Maîtresse Chloé recommença à s’empaler sur le bâillon god, suivant le rythme de Christelle baisant ma queue. Les deux Maîtresses laissèrent monter leur plaisir, s’y abandonnèrent et jouirent ensemble en unissant leurs cris. Je n’existais plus en cet instant. Je n'étais rien. Un simple objet de plaisir. Ni vivant ni mort, la question n’avait aucune importance, juste un ustensile dont elles se servaient pour se rejoindre dans l’orgasme.
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Par : le 26/08/20
Ennia partit deux jours après notre dernière étreinte. J’avais passé l’après-midi en cours et elle n’était plus là à mon retour. Maîtresse Caroline m’avait accueilli sur un ton très dur. -Ma pute, maintenant il n’y a plus rien pour te distraire. Tu n’as qu’un seul but, une seule personne sur qui concentrer toute ton attention : ta Maîtresse. Moi ! J’ai l’intention de faire entrer ton dressage dans une nouvelle phase. Mais avant, je vais devoir m’absenter quelques jours, je dois rejoindre ma famille. Je vais donc te confier à Maîtresse Chloé. Elle a toute ma confiance et pourra disposer de toi à sa guise, pour tout ce dont elle a envie. J’attends de toi que tu la serves comme si c’était moi. Je pars demain. A ton retour de cours, ta gardienne sera là. Ne me déçois pas petite salope, sinon je n’hésiterai pas à me débarrasser de toi. Définitivement ! Maîtresse avait raison. Désormais, Ennia ne devait plus occuper mes pensées. Seulement je n’y arrivais pas. Elle m’avait marqué dans ma chair, et je souffrais d’un manque intense, physique. Une douleur lancinante et permanente. Pourtant je devais oublier mon amour et me concentrer sur mon devoir : servir Maîtresse Caroline, de mon mieux. Tendre vers la perfection, du moins celle qu’elle attendait de moi. La servir, lui obéir, aveuglément. Elle tenait mon destin entre ses mains, au propre comme au figuré. La perspective de ces quelques jours au service de Maîtresse Chloé me réjouissait. Maîtresse Chloé m’attirait beaucoup. J’aimais ce qu’elle dégageait. Une puissante sensualité alliée à une certaine tendresse. Mais en même temps, elle avait cette classe naturelle, hautaine, et un regard qui pouvait se faire si dur que nul, surtout pas moi, ne désirait alors discuter ses désirs et encore moins ses ordres. Je la croyais moins dure que Maîtresse Caroline. Mais comme je l’avais dit, elle n’avait jamais eu l’occasion de se « révéler » vraiment en tant que Dominatrice. J’étais impatient, excité, et aussi un peu effrayé. Une Maîtresse ne réagit jamais comme le soumis s’y attend. C’est ce qui fait sa force. J’appréhendais donc un peu de me retrouver aux ordres de Maîtresse Chloé. Certes la gestion de l’appartement, de la cuisine, des courses, du ménage… tout cela était maintenant bien rodé et Maîtresse Chloé n’aurait pas à s’en soucier. J’étais devenu un expert, un parfait majordome, enfin presque. Plutôt une parfaite gouvernante. Doublé d’une petite pute, une chienne en chaleur assoiffée de sexe et de soumission. Si je faisais le compte de ma vie, j’étais heureux. J’avais atteint, aux pieds et entre les mains de Maîtresse Caroline, une certaine plénitude. Le lendemain, j’assurais mes cours normalement. Avec l’impatience difficilement dissimulée de retrouver Maîtresse Chloé à mon retour à l’appartement. Je n’avais pas sa classe en cours cet après-midi là, aussi je n’avais aucune idée de ce qu’elle me préparait. Je terminais vers 18h, après un cours particulièrement intéressant sur l’équilibre des opinions dans le traitement de certaines informations. Déséquilibre devrais-je plutôt dire. A 18h10 je sonnais à la porte, prêt à me mettre au service de ma gardienne, Maîtresse Chloé, pour quelques jours. Sa voix m’accueillit dès l’entrée : -A poil sale pute ! Tu enfiles le collier, les bracelets et la cagoule que je t’ai préparés sur le fauteuil. Puis tu viens au salon ! Dépêche. Je t’attends depuis une heure et j’ai horreur d’attendre. Sa voix était dure. Je ne connaissais pas cette autorité, presque violente, chez Maîtresse Chloé. Je me dépêchais de lui obéir et de la rejoindre. -Relève toi ! Et viens de mettre en place pour que je t’attache. Nous allons vraiment faire connaissance. Et je ne crois pas que tu vas vraiment aimer. Plus vite la chienne… j’ai des fourmis dans les mains… ça me démange de t’échauffer le cul !!! Maîtresse Chloé m’immobilisa rapidement. Puis elle me mis un bâillon-boule, avant de me libérer de ma cage. -J’aime un soumis qui bande dur… si tu étais à moi, plutôt que de te mettre en cage, je te menotterais pour que tu ne puisses pas te toucher. Je te contrôlerais autrement mais tu banderais le plus souvent possible. Par contre, tu ne jouirais pas très souvent, crois-moi. Pas plus qu’avec ta Maîtresse actuelle. Mais au moins tu me ferais l’honneur d’être bien dur pour moi, pour me montrer à quel point je t’inspire le désir. Et puis…. torturer une queue bandée, c’est tellement plus jouissif. Tu vois, c’est la première fois que tu es à moi toute seule. Et pour plusieurs jours. Je vais commencer par marquer mon territoire. Par te marquer. Tu peux hurler tant que tu veux, je ne suis pas du genre à m’émouvoir de la douleur d’une pute attachée. Ton corps est à moi, et tu vas bien le sentir ! Maîtresse Chloé avait disposé sur le canapé tous les instruments dont disposait Maîtresse Caroline. Un martinet court, un autre avec des lanières plus longues, une cravache d’équitation et un paddle en cuir noir. Elle vînt se placer face à moi et m’enlaça… -Avant de t’échauffer, je vais te chauffer un peu… je te veux excité à mort ma pute. Tu es à moi, mon jouet sexuel que je peux exciter et torturer à ma guise… Hmmmm j’adore ça !!!! Ma pute à moi, ma salope ! Elle se colla contre moi, et la chaleur, la douceur de sa peau me fit bander immédiatement. Elle joua longuement de ses ongles sur mes tétons ou sur ma hampe et mon gland. Maîtresse Chloé était d’une sensualité animale, brute, et surtout communicative. Sa langue et ses griffures me rendaient fou de désir, mes sens étaient poussés à leur maximum. Je haletai et gémissai, sa chienne en chaleur qui réclamait sa dose de plaisir. Maîtresse Chloé se détacha de moi pour saisir le martinet. -Je crois que t’es à point là… moi aussi, je suis trempée. Mais ce n’est rien. Tu vas voir, après la correction que je vais te mettre, je vais couler comme une fontaine. Je t’es déjà dit que j’étais une dominatrice sadique en fait ? Elle ponctua sa phrase par une série de coups rapides, secs, durs. Je ruai et criai dans mon bâillon. Elle n’épargna aucune partie de mon corps. Torse, dos, cuisses, fesses, queue…. Elle prit un malin plaisir, entre les séries, à masturber lentement ma queue. Elle me ramena chaque fois au bord de la jouissance, avant de passer à la suite. La séance dura plus de 30 minutes. Le martinet court, puis le long, le paddle et enfin la cravache avec laquelle elle s’acharna sur mes fesses. Je hurlai de douleur. Mes reins devaient se zébrer de rouge sous la violence de ses coups. J’avais arrêté de compter depuis longtemps, incapable d’encaisser la douleur sans broncher. Maîtresse Chloé avait voulu me briser, pour sceller son emprise. Elle avait réussi. Je pendais au bout de mes chaînes, retenu par mes poignets. Mon corps, et particulièrement mon cul irradiait de douleur. Maîtresse Chloé vînt se planter face à moi. Elle me retira mon bâillon puis releva ma tête et me força à la regarder. J’avais les yeux pleins de larmes. Elle se masturbait doucement, ou plutôt recueillait sa liqueur abondante. Elle avait raison. M’infliger cette correction l’avait excitée au plus haut point. Elle essuya ses doigts sur ma bouche, mon nez : -Sens moi ma pute, lèche et goûte moi ! Mon miel va te redonner de la force tu vas voir. Maintenant tu sais ce dont je suis capable. Et je crois même que je peux être encore plus dure. J’ai adoré te faire souffrir. Fais attention de ne pas m’en donner trop souvent l’occasion. Autrement dit, je veux ton obéissance totale. Sinon je te punis. Et j’aime vraiment ça. Hmmm ma pute à moi, ma salope, ma chose ! Maîtresse Chloé m’enlaça et m’embrassa longuement, profondément. Ses ongles enfoncés dans ma tige qu’elle masturbait très lentement, mais douloureusement. Je rebandai presque instantanément. La douleur n’avait pas réussi à venir à bout de mon excitation, de mon désir de chienne. J’avais besoin de jouir. Mon corps ne pensait, ne vivait que pour cela. L’assouvissement de mon besoin sexuel. J’aimais cette dépendance, plus forte, de plus en plus forte à mesure des semaines entre les mains de mes Maîtresses. J’étais frustré en permanence, sauf les rares fois où Maîtresse Caroline m’autorisait à jouir, à jouir vraiment. Sinon, par hygiène, elle avait recours à la traite, pour me vidanger disait-elle, sans plaisir. Elle me masturbait, tout en me doigtant pour stimuler ma prostate. Et elle arrêtait ses caresses quand j’explosais. Mon sperme coulait, mais sans que j’atteigne vraiment la jouissance. Je pleurais de frustration à chaque fois, en léchant mon foutre recueilli par les doigts de ma Maîtresse. Jouir m’obsédait. J’avais toujours été accro au sexe, au cul, au porno. Mon addiction n’avait fait que s’accroître, de conserve avec l’emprise de Maîtresse Caroline. Mon plaisir ne m’appartenait plus depuis un moment. Il était entre les mains de Maîtresse Caroline, qui en disposait désormais à sa guise. Pour trois jours, Maîtresse Chloé en était la propriétaire. Et elle ne comptait pas m’en faire cadeau. J’allais devoir mériter ma jouissance. -Allez mon esclave, va faire couler un bain pour ta Maîtresse ! Ensuite tu prépareras mon repas ! Hmmmm la soirée va être délicieuse. Enfin pour moi. Pour toi, elle risque d’être un peu plus dure.
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Par : le 26/08/20
Ennia s’agenouille à mes pieds, plante ses yeux dans les miens et pose ses lèvres sur mon gland. Par nos regards soudés, nous nous retrouvons. Je peux à nouveau lire l’amour qu’elle a pour moi, le désir…. mais j’y lis aussi de la détresse, de la peur. Serait-ce la menace de Maîtresse Caroline ? Je ne crois pas, elle en a vu d’autres. Il y a autre chose, de plus profond, de plus insidieux. Je bande comme un fou. Maîtresse me maintenait en cage depuis 6 jours, avec des excitations quotidiennes pour « me maintenir en état » précisait-elle. J’avais envie de jouir, et surtout je ne voulais pas qu’Ennia soit cravachée. Ainsi, je me doutais que Maîtresse Caroline, et peut-être aussi Maîtresse Chloé, serait sans pitié. Je me concentre sur mon plaisir. Ennia connait parfaitement les caresses les plus efficaces. Maîtresse Caroline donne le timing, toutes les 30 secondes. Une façon, sans aucun doute, de nous mettre la pression et de nous déconcentrer pour que je ne puisse jouir à temps. Je ne veux pas y penser. Retourner dans ma cage après avoir goûter à la bouche de mon amour, assister ensuite à sa punition, cela serait au delà de mes forces. Ennia accélère le va et vient de ses lèvres, au même rythme que sa masturbation. Ensuite, son autre main caresse mes bourses, un doigt se faufile entre mes fesses. Ses yeux soudés aux miens, ses doigts qui serrent, accélèrent encore, la pointe de sa langue sur mon frein, je sens le plaisir monter, du plus profond de moi, alors que Maîtresse Caroline entame le décompte, à haute voix bien sûr, des dernières 30 secondes. Jouir, je ne veux qu’une chose : jouir. Me vider, exploser, hurler de plaisir. Mais alors que la voix de Maîtresse Caroline, à laquelle s’est jointe celle de Maîtresse Chloé, égrène les 10 dernières secondes, Ennia stoppe net sa caresse. Ses yeux pleins de larmes regardent mon incrédulité, ma détresse. Je hurle « Noooonnnnnn pitiéééé » mais le couperet tombe : Zéro ! hurlent en cœur mes Maîtresses, affichant un large sourire. Je m’effondre au sol, en proie à une crise de larmes. En effet, je pleure mon désir coupé net, ma jouissance à peine approchée, mon incompréhension la plus totale. Je ne suis rien. Même pas un animal à qui l’on accorde un peu de plaisir. C’est l’impression d’être au sol depuis une éternité, alors que cela ne fait qu’une ou deux minutes, lorsque la voix de Maîtresse Caroline me ramène à la réalité : -Chloé, chope le par ses pinces à sein et relève le. Faut le remettre dans sa cage maintenant. Mais d’abord, il faut qu’il débande, et je ne connais qu’un moyen ! La douleur me fait obéir et suivre les mouvements de Maîtresse Chloé. Je me retrouve debout, bras maintenus dans mon dos, queue dure et dressée. J’ai peur, je suis déboussolé, mais je bande encore très dur. Bien trop pour remettre la cage en place. Maîtresse Chloé tient mes poignets d’une main et se saisit de la pince qui torture mon téton droit. Un quart de tour suffit à m’envoyer une violente décharge dans la poitrine : -Ecarte les cuisses salope, offre bien ta queue à ta Maîtresse ! Elle va te passer l’envie de bander !!! Elle éclate de rire lorsque Maîtresse Caroline saisit la base de ma hampe, pour la maintenir à l’horizontal, et que la cravache vient frapper mon gland offert. Je hurle, je rue, mais Maîtresse Chloé tient fermement mes poignets et la pince fait son office. De plus, la douleur de mon téton s’ajoute à celle des coups sur mon gland, ma hampe. Sept coups suffisent à venir à bout de mon érection. Enfin, ma queue débande, et Maîtresse Caroline remet en place ma cage de chasteté. -Et voilà. On est reparti pour une semaine, ou peut-être même plus, hein ma pute ? Tant pis pour toi, tu as eu ta chance !!! Je sanglote, et cela ne semble pas vouloir se calmer. -Et arrête de pleurnicher. T’es une petite pute, MA PUTE, et c’est moi qui décide. J’en ai marre de t’entendre ! Tu vas assister à la punition de mon autre pute, même pas capable de faire gicler un soumis en manque ! Va falloir t’améliorer, sinon ton futur Maître va remettre en cause son achat. Il est déjà moyennement satisfait de ses tests avec toi. Et ça, crois moi, tu vas le payer. Tu m’as fait honte ! Tu m’as humiliée, MOI ! TA MAITRESSE !!! Tu vas payer très cher, je vais te faire sucer tout le personnel d’un chantier, pour t’entraîner. Tu n’es qu’une truie, juste bonne à mettre à l’abattage. Et moi qui croyais avoir dressé une bonne soumise !!! La colère de Maîtresse Caroline ne semble pas feinte, même si je pense que l’arrêt de ma fellation avait été ordonné par Maîtresse. Tout était convenu et Ennia n’avait pas le choix. Je n’ose comprendre ce que j’entends. Ennia, Maître, achat, tests…. serait-ce là l’explication de ses absences de plus en plus régulières ? Maîtresse Caroline céderait Ennia à un autre Maître ??? Je refuse de comprendre. Impossible. Ennia, mon amour, celle qui a fait que je suis là aujourd’hui, soumis encagé d’une sublime Dominatrice nommée Caroline. Ennia… je ne peux admettre, accepter de la perdre. Je veux passer mes jours avec elle, ma vie ou ce qu’il en reste. J’en suis là, perdu, lorsque le premier coup de cravache s’abat sur les reins d’Ennia, attachée, nue, debout sur la pointe des pieds au milieu du salon, les chevilles maintenues par une barre d’écartement. Maîtresse Caroline a fait installé un anneau solide au plafond, et elle adore l’utiliser pour y suspendre Ennia ou moi-même. -Position parfaite pour une bonne correction ! : dit-elle. Bonne n’est pas le mot qui convient. Violente oui. Les coups pleuvent sur Ennia. Reins, seins, cuisses, dos, ventre, sexe…. Maîtresse Caroline ne lui épargne rien. Ensuite, elle s’acharne sur sa vulve et ses fesses, en la maudissant de lui avoir fait tant honte. Ennia hurle dans son baillon boule, le visage ravagé par la douleur, les larmes… je ne l’ai jamais vu ainsi. Elle ne cherche pas à résister. Ne peut pas. La douleur est trop intense. Maîtresse Caroline se révèle incroyablement cruelle, une cruauté à la hauteur de sa colère. La punition dure un bonne vingtaine de minutes. Lorsque je détache Ennia, elle s’effondre dans mes bras et je dois la porter dans la chambre. Maîtresse Caroline m’ordonne de l’installer sur le lit, en lui attachant bras et jambes en croix. J’ai juste le droit de lui ôter son baillon. Aucune chance de l’apaiser, de caresser son visage, encore moins de déposer un baiser tendre sur ses lèvres, Caroline et Chloé surveillent l’opération. Ennia ne réagit pas, dans un état second après la violence de sa correction. -C’est bon, ça suffit. T’inquiète pas elle va survivre ta chienne adorée… Maintenant tu reviens au salon. Tout cela nous a particulièrement excitées, et nous, on a pas encore joui. Tu as encore du travail ma salope. Faire jouir tes Maîtresses. N’est-ce pas la plus belle des récompenses ? -Oui Maîtresse Caroline, c’est un véritable honneur de vous donner de plaisir ! Je dois commencer par Maîtresse Chloé. Elle doit partir mais pas sans avoir eu sa dose de jouissance. Je viens à quatre pattes enfouir ma langue entre ses cuisses. Maîtresse jouit rapidement, et abondamment. Ensuite, je prends soin de bien la nettoyer, comme elle aime à l’être. Au fil des semaines, Chloé s’est installée peu à peu chez Maîtresse Caroline. Elle vient de plus en plus souvent, et reste parfois pour la nuit. Ma Maîtresse et elle se sont découvert une vraie complicité dans la perversité, le sadisme et le dressage de chienne comme moi. Elles rivalisent d’imagination, même si Chloé reste un peu en retrait, Maîtresse Caroline menant la danse la plupart du temps. Je me demande ce dont Maîtresse Chloé serait capable, si elle pouvait se révéler librement, sans la présence de Maîtresse Caroline. Enfin, ma Maîtresse prend congé de son amie et revient vers moi, à genoux au milieu du salon. Elle n’a pas encore joui et je sais qu’elle va réclamer son dû, plusieurs fois, pour mon plus grand plaisir je l’avoue. Faire jouir Maîtresse Caroline est une chose dont je ne me lasserai jamais. Sa liqueur est une drogue, abondante, délicieuse… et le face-sitting dont Maîtresse raffole est la plus sublime des tortures à mes yeux.
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Par : le 23/08/20
J’ai cru un instant que notre malédiction sévissait à nouveau quand ta cheville a lâché en début de semaine. Par chance, à la énième entorse, tu t’en remets assez vite, en tout cas, suffisamment pour que nous puissions quand même profiter tous les deux de ces jours ensembles… Comme cela nous arrive quand nous avons un peu de temps devant nous, les « hostilités » commencent ce vendredi par un shooting photo. Et dire que tu n’aimais pas te faire photographier quand nous nous sommes rencontrés. La première fut épique … en milieu naturel, en plus ! Avec ce beau soleil sur fond de ciel bleu quasi pur, il eut été dommage de ne pas profiter du jardin pour mettre en avant ta dernière robe. Violette, lacée par un ruban sur la poitrine, vaporeuse à souhait, transparente juste ce qu’il faut pour suggérer sans tout dévoiler. Et pour rehausser le tout, tu optes même pour les plateformes noires, malgré ta cheville encore sensible. Pour le coup, aujourd’hui, c’est moi qui tourne autour de mon modèle obligé de rester immobile. L’appareil crépite jusqu’à partir en rafale à certains moments … Changement de tenue pour les escarpins suivants. Tu redescends avec une jupe longue et noire qui laisse apparaître au gré de tes pas la fameuse paire de Louboutin dont tu me parlais depuis des semaines. Elles sont discrètes mais il faut reconnaitre qu’elles sont jolies. Du coup, mon objectif se sent obligé de focaliser sur elles ;-) . Nous terminons avec une dernière tenue, toujours accordée avec ces talons noirs à semelle rouge, cette fois étendue sur le lit. Tu sembles préférer ce dernier cadre, des plus reposants et confortables. La séance se termine par l’idée que tu avais en tête depuis que tu as fait l’acquisition de talons quasi identiques à ceux que tu m’avais offert il y a quelques mois. Ainsi, mes bagages se sont vus lestés d’une boite à chaussures pour venir te rejoindre. Telles deux victimes de la mode, nous faisons toute une série de clichés avec nos talons respectifs, rouges pour les tiens, noirs pour les miens. Il était temps de faire une pause bien méritée avant de passer à la suite, une soirée placée sous le signe des essais. Ces derniers mois de confinement ont été propices à quelques achats de nouveaux jouets que tu voulais ardemment tester sans délai. Cela commence très classiquement par le collier à pointes que tu me tends. Une fois que je l’ai mis en place, tu me tends les bracelets que je boucle sur les chevilles et les poignets. Tu termines en me tendant le bâillon-pénis, qui fait son retour. Tu me fais bien rire en me faisant remarquer que j’ai mordu dedans la fois précédente : comment dire ? Pas vraiment le choix ? Alors seulement tu me fais mettre en place sur le lit, couché sur le dos, les jambes repliées au bord du matelas. J’ai l’impression que tu prends de plus en plus goût à cette disposition. Une fois n’est pas coutume, tu me laisses le bénéfice de la vue. Néanmoins, ainsi allongé, je ne peux guère voir que ton visage, sûrement pas tes mains, ce qu’elles attrapent et ce qu’elles font. Envie subite d’endosser le rôle de dentiste, tu t’amuses à me poser une question alors que je ne peux plus répondre de manière audible Tu extrais alors de ta valise à cordes deux cordelettes roses qui finissent par relier de près chevilles et poignets sans oublier quelques tours de cuisses. Pour être sûre de la solidité de tes liens, tu infliges quelques coups sur mon sexe avec ton mini paddle en cuir. Comme tu l’espérais, je me tortille immédiatement dès la première morsure. Visiblement tu es satisfaite de ton test : les contraintes ont résisté. Tu peux donc passer aux choses sérieuses. Il manquait tout de même une petite touche de nouveauté. Tu viens mettre en place ces nouvelles pinces faites d’une paire de fines baguettes métalliques dotées de petits anneaux permettant de moduler le mordant à ta guise. Inutile de les serrer beaucoup pour que leur effet se fasse sentir. Sur le moment, comme souvent avec les pinces, la douleur est « transperçante » avant que le corps, tout du moins les tétons s’habituent à cette présence. Les années passent mais je reste toujours aussi réactif aux morsures quelles que soit la nature des pinces. Ce nouveau modèle est presqu’aussi pinçant que les japonaises, sans même insister. C’est dire… Pour t’assurer de mon confort afin de profiter à fond de tes tourments du soir liés à tes essais, tu glisses un coussin sous ma tête avant de t’installer sur ton « trône » du jour, face à mon entrejambe, a priori juste à la bonne hauteur pour t’amuser et en profiter sans encombre, surtout que ton coffre aux trésors est juste à côté. Il suffit de piocher dedans en fonction de l’inspiration de l’instant. En entendant claquer les gants sur tes mains, je devine sans difficulté que tu te prépares à tester ta nouvelle sonde. J’ai beau ne plus être inquiet à ce sujet, je préfère ne pas essayer de regarder. Elle me semble bien bien longue par rapport à l’autre. J’ai la sensation que tu peines à faire pénétrer cette longue tige boursouflée toute en silicone. La suite va me prouver que mes sens m’ont largement égaré. Les seuls quelques centimètres que je pense être entrés font leur effet. J’ai rapidement le sentiment de ne plus rien contrôler. Par moments, je crois même que je suis en train de me vider. Mais a priori, il ne doit rien en être : tu ne fais pas le moindre commentaire sur le sujet. Quand tu déclenches les vibrations, mes couinements se poursuivent de plus belle, virant même aux gémissements … de plaisir ; le peu de maitrise que je pouvais encore penser avoir s’est évanoui. Impossible d’échapper à ce fin « serpent » vibrant qui s’est insinué en moi. En revanche, les différents modes de vibration ne changent pas réellement la sensation procurée. Ou alors je ne suis déjà plus en état de les distinguer ! Lorsque tu arrêtes cette divine torture, il me faut de longues minutes avant de revenir sur terre alors que je suis resté confortablement étendu sur le lit. Même la caresse raisonnable du petit martinet sur mon pénis et mes testicules ne suffit à pas me sortir de cette délicieuse torpeur. Toujours pourvue de tes gants, tu titilles mon pénis désormais calmé et apaisé : c’est a mi-chemin entre la griffure et le massage : pas désagréable du tout comme sensation. La présence des gants change totalement la sensation procurée : j’y goûte bien volontiers. Un bien agréable moment de simili-douceur. Après cet intermède tactile, tu passes à la suite. En sentant le contact du stylo sur mes cuisses, j’en conclus que tu as finis pas retrouver l’inspiration qui te fuyait il y a quelques jours encore pour écrire quelques mots à mon sujet … sur le-dit sujet ;-) Comme à chaque fois, il faudra que j’attende de voir les photos pour découvrir ce qui t’es passé par la tête. Toujours assez largement offert, il était trop tentant de ne pas abuser de la situation. Je devine le contact en cuir d’un petit paddle qui vient tourmenter mes couilles et mon pénis. Ma zone sensible par excellence. Impossible pour moi de retenir le moindre couinement et de ne pas me tortiller, du moins essayer. Les gants, une fois retirés, prolongent efficacement tes mains pour continuer dans le même esprit. Le tourment est simplement plus doux. D’ailleurs, je pense que je sursaute moins sous les impacts. C’est dire. En revanche, je redeviens extrêmement sensible lorsque tu dégaines la spatule en bois. Tout du moins c’est elle que je crois reconnaitre. De là, à prendre un pari …. C’est quand même terrible d’avoir les sens perturbés malgré le fait que tu m’aies laissé la vision libre … Toujours est-il que le plat rigide du bois sur mon intimité la plus chère est des plus « stimulant » ! Place au nouveau jouet suivant délicatement appelé « Anal Intruder » par son vendeur. On devine mieux sa forme lorsqu’on l’appelle cockring à double boules anales, tout en métal et pesant son poids selon tes dires ! Voici qui annonce une charmante parure pour ton soumis. Si l’anneau passe très bien autour du pénis, il en va bien différemment lorsque tu arrives à la base. Impossible de faire passer les testicules. Et mon excitation soudaine n’aide pas ! Qu’à cela ne tienne ! Tu ne vas pas te laisser arrêter par si peu. Quelques noix de lubrifiant sur la tige et tu poursuis la mise en place. J’ai l’impression que tu galères pour arriver à trouver le chemin. A croire que j’ai une anatomie hors normes. Après quelques efforts raisonnables, je sens se présenter la première boule qui semble pénétrer sans trop d’encombres, rapidement suivi de la seconde. Je sens que tu pousses sur l’ensemble pour t’assurer qu’il est bien en place. Je n’ai guère l’impression qu’il risque de s’échapper tout seul. Ainsi équipé, mon excitation est à son paroxysme. En plus, tu prends un malin plaisir à venir appuyer régulièrement sur cette pièce de métal qui m’envahit tout autant qu’elle me leste. Je n’ose imaginer l’effet que cela doit procurer une fois debout. Très, très efficace : l’adaptation n’a, semble-t-il, rien gâché ! Ainsi tendu, tes griffes sur ma tige sont des plus efficaces. Avant de l’enlever totalement, tu m’amuses un moment à faire coulisser la tige métallique et ses deux excroissances. Je reste aux anges ... C’est alors que tu me fais retirer le bâillon. Mais comble de sadisme, tu t’amuses immédiatement à me faire parler. Sauf que les premiers mots qui sortent sont tout bonnement inintelligibles. Cela déclenche un des fous rires dont tu as le secret, et, surtout, tu continues à m’interroger … Il reste tout de même le plus délicat à essayer. Je dois reconnaître que cela faisait longtemps que j’avais un œil sur cet engin diabolique qu’est le humbler. Et cela a fini par piquer ta curiosité aussi. Désormais, il faut passer à l’action. Plus facile à dire qu’à faire ! Mélange d’excitation et d’incompatibilité anatomique (encore une fois ! Décidément, je finis par croire que je suis totalement anormal !), il s’avère impossible de le mettre en place lorsque je suis à quatre pattes. Il en faut plus pour nous freiner. Je m’installe sur le dos, les cuisses les plus relevées possible. A quatre mains, cela devrait peut-être faciliter la mise en place. C’est un peu mieux mais encore pas le top. Mais tout de même suffisamment pour bien sentir la tension dès lors que je laisse redescendre très délicatement mes cuisses. A quatre pattes cela doit être terrible …. Restrictif à souhait. Il faut peut-être que nous trouvions un tuto ;-) Dimanche matin, nous remettons le couvert avec une deuxième séance photo. A défaut d’aller à l’église, tu as enfilé une vaporeuse petite robe noire toute en suggestion avec ses voiles, et surtout tes nouveaux escarpins noirs à semelle rouge. Le jardin représente une nouvelle fois un parfait écrin pour mon modèle et mon appareil photo à la limite de la surchauffe. Avec la climatisation, il fait meilleur dedans. D’ailleurs, la chambre se prête bien mieux à l’idée que je voulais développer : variations de menottes présentées avec les talons aiguilles. Je crois que nous avons fini par faire le tour de la question. Pour une raison que j’ignore, comme à peu près une fois par an, la séance dérape en délire peluche. L’ours en peluche est croqué à toutes les sauces … Nous essayons de finir plus sérieusement avec les plateformes rouges, mais pas question de se lever avec. Il est encore trop tôt pour celles-ci. La fin de la séance m’est consacrée : il fallait bien faire l’essayage des nouveaux boxers en vinyle. Comme cela tu m’auras vu dedans en direct. Une pause était plus que nécessaire avant la soirée. Il fallait bien se reposer un peu. Côté tenue, tu as prévu une légère variation. Le collier, incontournable, est le premier à prendre place, suivi de près par les bracelets de poignets. Enfin tu me tends la cagoule. Il devrait donc logiquement y avoir de longues lanières au programme. Une fois installé à genoux au milieu du lit, tu viens fixer mes poignets au niveau de l’anneau du collier. Nous avons la même idée au même instant : je t’entends dire que je ressemble à un chien ainsi présenté. Ni une ni deux, tu attrapes l’appareil pour immortaliser cette transformation d’un nounours en chien ! Je ne suis pas surpris que tu commences par essayer le dernier jouet à avoir rejoint ta panoplie. Déjà hier, alors que nous vérifions comment cela fonctionnait, tu étais impatiente de savoir l’effet que cela allait avoir ailleurs que sur ma cuisse. Dans la position que tu m’as fait prendre, tu as libre accès à ta cible favorite. Après avoir oint mon intimité du gel spécial électro, tu commences à promener ton stick électrique sur ma verge. Tout d’abord la sensation ressemble à une sorte de brûlure très localisée et très fugace. Elle est identique sur les testicules. Un peu plus tard, la sensation change totalement, peut-être as-tu changé les réglages. Cette fois, c’est totalement différent : l’électricité semble courir sous la peau quelques centimètres autour du stick. C’est un effet inattendu mais tout à fait plaisant, quoi que difficile à décrire précisément. Finalement, en s’y prenant correctement, cette nouvelle extension de ton kit d’électrostimulation pourrait trouver une bonne place dans ta panoplie. Après cette électrisante mise en bouche, je me roule en boule l’espace d’un instant. Il n’en faut pas plus pour dégainer tes griffes, enfin retrouvées avec une longueur conséquente. J’en suis toujours aussi friand, au point de ronronner dès lors que tu parcours mon échine, depuis les fesses jusqu’au cou, depuis les flans jusqu’au creux du dos, sans oublier le haut des bras. Je ne m’en lasserai jamais. A une phase de douceur succède une série de douleurs. Je pensais que tu voulais « traiter » ces vieilles ceintures avant de t’en servir. Finalement non ! C’est bien l’une d’entre elles que je sens claquer sur mon postérieur à plusieurs reprises. Visiblement, il va falloir s’y adapter : je crois deviner que tu as subi un dommage collatéral. Mes sens m’égarent encore une fois lorsque tu dégaines une baguette dont je n’ai pas souvenir d’y avoir déjà goutté. Trop flexible pour correspondre aux baguettes en bois que je connais. J’opte alors pour une cravache. Pourtant, jamais je ne ressens l’impact si spécifique de sa tête. Ce n’est qu’à la fin de la soirée, en jetant un œil sur le plancher que je comprends enfin ce qui était si mordant sur mes fesses : une simple tige de seringat (merci le jardin !). Moins lourd et plus fin mais au mordant certain. De quoi me revigorer, si c’était nécessaire et de continuer à faire monter la température. Mes capteurs sont toujours aussi déréglés quand je confonds le long strap clouté avec une des spatules en bois. Tu en uses longuement et j’imagine aisément que je dois commencer à virer au rouge et à chauffer l’atmosphère de la pièce. La situation est telle que j’en oublie même la petite cravache en forme de cœur qui l’a précédé. En guise d’apaisement, tout est relatif, tu laisses tes griffes acérées autour de mon sexe. Ma réaction est immédiate : je couine. J’hésite aussi entre « l’obligation » de garder la position et le réflexe de me tortiller pour tenter d’y échapper … en vain. De toute façon, ce serait mal te connaitre que de penser que cela t’arrêterait. Bien au contraire. Une courte fessée à mains nues marque ton retour dans mon dos. Cette fois, je n’ai pas de doute, c’est bien une cravache qui se promène entre mes cuisses, tantôt frôlant astucieusement mes couilles, tantôt claquant l’intérieur de mes jambes. On dirait que je résiste mieux à ce traitement que certains autres. Pourtant c’est toujours en zone hyper réactive ! Un flogger que je n’ai ni reconnu ni mémorisé prend le relais. Le lourd contact qui suit me rappelle immédiatement la « caresse » du martinet. Celui-ci procure un mélange très spécial de sensations, à la fois cet impact imposant et la fine et délicate morsure de chacune des lanières. J’aime beaucoup. Mais question morsure, rien ne vaut ce qui vient derrière. Tu dégaines un de tes fouets qui vient zébrer mon dos de belles marques rouges. Malgré les morsures provoquées, je dois reconnaitre que je ne regrette jamais ces moments-là. La cagoule avait donc bien son utilité : tu ne fais jamais rien au hasard. Pour conclure cette belle soirée, tu me refais pencher en avant, la tête plantée dans le couvre-lit et le postérieur bien tendu. Ainsi, tu peux allègrement y déposer de multiples gouttes de cire. J’aurais tendance à dire que tu cherches à en faire couler un peu partout sur cette zone des plus charnues. Tu finis même par empoigner mon sexe pour atteindre l’arrière de mes couilles avec ta cire chaude. Étonnamment, la sensation fugace de brûlure est moins importante à cet endroit précis que sur mes fesses. La cravache ne semblant pas être des plus efficaces pour assurer le « décirage », j’entends que tu quittes la pièce avant de revenir et de présenter sur mon corps une sorte de racloir qui fait sauter la plupart des gouttelettes solidifiées, en réalité la plus petite de tes spatules métalliques, pour une fois en mode délicatesse. Pour le coup, je dois reconnaitre que j’ai eu beaucoup moins de souci sous la douche pour finir le nettoyage. Presque épuisés, nous nous étendons côte à côte, moi libéré de mes contraintes et reprenant mes esprits, toi reprenant des forces. Néanmoins, tu me gratifies à nouveau de délicieuses et frissonnantes griffures qui me font ronronner de plus belle. Cela ressemble à un pêcher mignon. Lundi Pour conclure mon séjour à tes côtés, tu as imaginé une séance de shibari. Hier, tu m’as dessiné une esquisse de ce que tu avais en tête. Pourquoi ce thème des losanges ? Mystère ! Toujours est-il que c’est le motif central de ta réalisation du soir. Commençant par équiper mon buste avec une première série de losanges colorés et concentriques, tu poursuis sur mes membres, une fois étendu sur le lit. Bras et jambes doivent eux aussi former des losanges. De fait, la position devient petit à petit moins confortable. Pourtant il semblerait que la situation ne me laisse pas insensible. Difficile de le cacher… Le résultat est un mélange d’esthétique et de contrainte, car, malgré tout, les différentes cordes enserrent de près tout mon corps. Je n’ai pas vu le temps passer pourtant quand je me relève, libéré de tes cordes, je découvre que deux heures au moins se sont écoulées. Pas étonnant que tu sois épuisée …. Comment te remercier pour tout cela ?
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Par : le 21/08/20
Les semaines qui suivirent furent consacrées à me dresser. Je n’étais plus qu’un petit soumis dressé par sa sublime Maîtresse. Il s’agissait d’une éducation de tous les instants, distillée par Maîtresse Caroline chez qui je vivais, nu la plupart du temps. Je devais apprendre à servir au quotidien, du réveil – bien avant Maîtresse – jusqu’au coucher. Mes jours étaient fait d’humiliations, de séances de punitions au gré des envies de Maîtresse, et de mes erreurs aussi. J’étais aussi un sex-toy pour le plaisir de Maîtresse Caroline et de Chloé, qui passait souvent rendre visite à son amie. Et surtout, j’avais retrouvé Ennia. Mais une Ennia différente, plus secrète, parlant très peu. Elle ne vivait plus au domicile de Maîtresse Caroline et ses apparitions, toujours pour des séances particulièrement dures auxquelles j’assistais le plus souvent en spectateur, se faisaient de plus en plus rare. Bien trop rare. Mon amour pour elle ne faisait que se renforcer, en proportion inverse du manque d’elle dont je souffrais. Il m’arrivait souvent de pleureur, lorsque j’étais seul. Je ne savais à quoi me raccrocher, si ce n’était, parfois, un regard que me jetait Ennia, dans lequel je pouvais lire ses sentiments, sa tristesse aussi. Ces regards me faisaient tenir, espérer. Je m’en nourrissais. Bien plus que de mon plaisir à servir Maîtresse Caroline. L’amour d’Ennia me jetait dans les bras de ma Divine Maîtresse bien plus que mon désir, mon besoin de soumission. Mais cela, je le gardais précieusement pour moi. Je ne sortais de son appartement que pour me rendre à mes cours, et parfois faire quelques courses pour Maîtresse, quand elle ne se faisait pas livrer à domicile. Ainsi, j’étais chargé de réceptionner les livraisons, une bonne occasion pour Maîtresse Caroline de m’humilier. Pour que je comprenne bien qui j’étais, ou plutôt ce que j’étais désormais. -Tu l’as choisi, n’oublie pas ma pute. Tu ES à moi, ma chose, mon esclave. J’ordonne, tu exécutes. Peu m’importe ce que tu penses, tu obéis et tu me satisfais, sinon je te punis. C’est clair ? » -Très clair Maîtresse Caroline ! -Alors tu vas enfiler cette jupe, ce chemisier blanc, et ce tablier. Ne boutonne pas ton haut. Pour le reste de ton déguisement, je vais m’en occuper personnellement. Je veux que tu sois une bonniche très sexe, bien bandante. Une vraie pute aguicheuse. J’espère que tu vas me faire honneur ma salope, hein ? -Je l’espère Maîtresse Caroline », répondis-je…. De moins en moins convaincu par ce que Maîtresse voulait que je fasse. Mais je n’avais pas à être convaincu. Juste à lui faire plaisir. Quel qu’en soit le prix pour ma fierté – oui, à cette époque, j’avais encore ma fierté de mâle. C’est ce que Maîtresse entendait me faire perdre, au profit de la seule fierté de lui appartenir. Je me sentais affreusement ridicule, avec ma jupe courte, très courte. Maîtresse l’avait choisie en latex, ultra moulant bien sûr. Depuis que je vivais sous son toi, j’étais entièrement épilé, très régulièrement. Jambes, sexe, torse, aisselles… glabre comme elle aimait à me voir. Le chemisier blanc était presque transparent, je le laissais ouvert, suivant les instructions de Maîtresse. Bien sûr je ne portais aucun dessous, jamais. Juste ma cage de chasteté. J’ajustais mon tablier, et je me présentais à Maîtresse Caroline. -Fais moi voir ça ma salope… tourne un peu…. bien, ton cul de pute est bien moulé, j’aime. Approche… J’obéissais, effrayé par ce que Maîtresse allait encore inventer. J’avais raison d’avoir peur. Elle prit deux pinces-étau, et les fixa à mes tétons, après les avoir bien étirés douloureusement pour les faire saillir au maximum. Maîtresse aimait beaucoup me travailler les seins. Des tétons de bonne salope comme elle disait. J’avais mal, et les pinces se voyaient parfaitement sous le tissu très fin de mon chemisier. Ensuite, elle m’enfila une perruque, et entreprit de me maquiller. Fard à paupières, blush, rouge à lèvres… -Voilà, une bonne bonniche, avec un air de salope. Tu es parfaite ma chienne. Le livreur ma bientôt arriver normalement. Je te charge de lui faire un bon accueil, sois polie, il fait un travail difficile. Tiens, tu devrais même descendre pour l’attendre sur le trottoir. C’est la première fois que je commande chez eux, il ne sait pas où c’est. Allez, dégage sale petite truie. Hop, sur le trottoir ! Maîtresse avait appuyé ses derniers mots, avant d’éclater de rire. Je ne savais plus où me mettre, et j’étais descendu, comme un robot. Par l’escalier comme Maîtresse me l’avait ordonné, avec la peur de croiser un voisin ou une voisine. Heureusement, cela n’arriva pas. Je dus attendre 15 minutes sur le trottoir, en essayant de me cacher le plus possible, ce qui était difficile. Moins difficile que de sentir les regards des passants, surtout des hommes. Je ne me sentais pas encore la force de leur jeter ma soumission, ma fierté d’appartenir à ma Maîtresse, à la figure. Je n’assumais pas encore, et cela me faisait cruellement souffrir. J’avais honte. Honte de ne pas être à la hauteur, et encore un peu honte de ce que je faisais pour satisfaire ma Maîtresse. Caroline avait raison, mon dressage était loin d’être parfait, et il me restait encore beaucoup de chemin pour parvenir à l’état de vrai soumis auquel me destinait Maîtresse Caroline. Sur ce trottoir, je prenais la décision de faire enfin, psychologiquement, le grand saut. Et de revendiquer ce que j’étais devenu. La pute de Maîtresse Caroline. Un statut que pas un passant n’atteindrait jamais. C’est de cela dont je devais être fier. Et non de ce que j’étais avant. Lui ne devait plus exister. Elle, cette salope, cette pute, cette chienne obéissante, ouverte, prête à tout pour sa Maîtresse… elle seule comptait désormais. La livraison arriva enfin. La camionnette se gara à quelques places de l’entrée. Et j’eus la désagréable surprise de voir descendre non pas un, mais deux livreurs. Un grand noir, en salopette, et un blanc, plutôt petit mais les muscles saillants, moulés dans un t-shirt trop petit. Tous deux semblaient approcher la trentaine, à peine. Deux, et non pas un seul livreur comme je m’y attendais. Et visiblement, Maîtresse Caroline ne s’était pas contentée de commander. Elle les avait également briefé. Mon attente, sur le trottoir, dans cette tenue… Maîtresse l’avait aussi prévue, et les livreurs s’y attendaient. -C’est toi la salope qui portent les sacs ? C’était le plus petit qui m’avait interpellée. J’étais tétanisée. Incapable de répondre ou de bouger. -Ben approche… tu crois pas qu’on va bosser à ta place quand même ? Pour une fois qu’on a de l’aide, on va en profiter ! Je m’étais approchée, sous les rires des deux hommes. Comme un robot j’avais saisi les deux sacs, suivie par les livreurs. -On va monter avec toi, se faire payer ! Dans le hall, le black m’avait poussée vers l’ascenseur. -On ne va pas de faire chier à monter par l’escalier. Et puis on sera plus serré, l’ascenseur est tout petit dis donc. Je ne disais pas un mot, rouge de honte, morte de peur aussi. Mais le plus troublant, c’était ce désir qui montait. Ce dont j’avais le plus honte. Une fois dans l’ascenseur, les deux hommes commencèrent à me caresser les fesses à travers le latex. Le black essayait de glisser sa main entre mes cuisses, mais je les maintenais serrées. -Tss tss…. on a dit qu’on montait pour se faire payer… t’as intérêt à te montrer gentille, si tu ne veux pas qu’on en parle à ta proprio. J’écartais les cuisses, juste assez pour sentir la main géante remonter vers ma queue encagée… -Attends, j’y crois pas… -Vas y remonte lui sa putain de jupe, faut que tu vois ça. La salope a sa queue dans une cage. Le grand black semblait vraiment surpris. Le petit livreur un peu moins… -Ouais, ça doit être un truc de chasteté, j’en ai déjà vu sur internet. C’est pour éviter que la petite salope se branle n’importe quand. Hein, c’est pour ça que tu as ce truc sale chienne ? Tu n’arrives pas à t’empêcher de te branler ? T’es toujours en chaleur ? -Oui Monsieur, c’est pour ça. J’étais anéanti. Jamais je n’avais vécu une humiliation pareille. Mais ce n’était rien à côté de ce qui m’attendait. Quand le black avait parlé de monter se faire payer, je savais que j’étais inclue dans le prix. Maîtresse Caroline nous attend sur le pas de la porte de l’appartement. -Dépose les sacs à la cuisine, tu rangeras plus tard, ensuite tu nous rejoins au salon ! Je m’exécute et rejoins Maîtresse Caroline au salon. Je marque un temps d’arrêt. La table basse a été enlevée, laissant un bel espace libre au milieu de la pièce. Les deux livreurs sont assis chacun dans un fauteuil, Maîtresse sur le canapé. Et à côté d’elle, Maîtresse Chloé. Ennia est à genoux aux pieds de Maîtresse Caroline, nue, portant seulement son collier de chienne, tenue en laisse par ma Maîtresse. La présence Chloé et d’Ennia me fige. Je devine ce qui va m’arriver, enfin ce que je vais devoir faire, je l’accepte… mais je pensais que Maîtresse Caroline serait seule. -Alors ma petite bonniche, on hésite ? Viens là, immédiatement ! J’approche, regard baissé. J’obéis, c’est tout. Je suis mort de honte, j’ai peur, mais je suis excité. La cage remplit parfaitement son office et contient un début d’érection plus que douloureuse. Je suis une pute, une chienne en chaleur… je suis devenue cela. Ou peut-être l’étais-je depuis toujours, sans le savoir. -Alors…. elle s’est montrée coopérative ma bonniche ? Le petit livreur prend la parole: -Elle aurait pu mieux faire…. hein Marc ? dit-il en s’adressant à son partenaire black. -Ouais c’est sûr… elle voulait pas ouvrir les cuisses. Une vraie pucelle. La cage, c’est pour l’empêcher de se branler c’est ça ? Il semble toujours ne pas en revenir que ma queue soit encagée. Maîtresse Caroline m’humilie encore plus, avec un grand sourire. -Oui, sans la cage, cette chienne bande en permanence et ne pense qu’à se toucher. Une vraie salope qui a le feu au cul. D’ailleurs, tu devrais leur montrer ma pute. Allez, caresse toi, montre leur que tu as envie de cul…. excite nos invités. Vous allez voir, c’est une vraie truie en chaleur ! Dans un état second, j’obéis à Maîtresse Caroline, en évitant soigneusement de croiser le regard d’Ennia. Maîtresse Caroline a raison. Je suis une salope qui ne pense qu’au cul. Je remonte lentement ma jupe en latex sur mes hanches. Le grand black, celui qui s’appelle Marc, laisse échapper un sifflement… -Wouah, elle est entièrement rasée… c’est une vraie pute dites donc ! Je caresse l’intérieur de mes cuisses, j’ouvre mon cul à pleines mains et je le présente aux invités, je joue avec les pinces sur mes tétons, ce qui m’arrache un petit cri de douleur, je donne des coups de hanches dans le vide. Ma queue me fait terriblement souffrir, serrée au maximum dans ma cage de chasteté. Maîtresse Caroline donne la laisse qui retient Ennia à Chloé et se lève pour me rejoindre. Elle déboutonne mon chemisier et commence à jouer avec les pinces, plus durement que je ne le faisais… -La chienne est très sensible des tétons. Son dressage est loin d’être terminé. Comme nous en avons convenu Messieurs, vous allez m’aider à l’éduquer. Elle n’a encore jamais sucé de queue, et son cul de pute ne s’est jamais fait baiser par une vraie queue de mâle. Elle est à vous. Vous pouvez l’utiliser comme vous voudrez. Et faites la bien couiner cette salope, ça nous excite à mort ! Le grand black a sorti sa queue, plus qu’imposante, et se branle lentement en me regardant. C’est le premier à m’adresser la parole : -Viens là ma salope, tu vas me montrer ce que tu sais faire avec ta bouche, allez, viens sucer ta première queue. Une belle queue de black, t’en as de la chance hein ? Je m’approche lentement, et je me mets à genoux. Son gros gland luisant me révulse et me fascine à la fois. Personne ne parle, comme si l’instant était solennel. -Plus vite, suce moi sale pute. Je sors ma langue et l’approche lentement de sa hampe. Je donne de petits coups tout le long, je lèche délicatement son gland pendant qu’il continue à se branler. Mais il n’a visiblement pas envie que je prenne mon temps. Il pose sa main sur ma tête et appuie. Son gland force mes lèvres et vient de planter au fond de ma gorge -J’ai dit suce la pute !!! » J’ai un haut-le-coeur et je la recrache en toussant… -Doucement, allez, encore… suce moi bien ! Je fais de mon mieux, je suce, l’enfonçant à chaque fois un peu plus loin. Je la retire de ma bouche pour lécher son gland. Il semble aimer… -Lèche moi les couilles aussi…. t’as vu comme elles ont bien pleines… du bon jus pour toi ma salope. On va faire de toi une bonne pute à blacks, j’ai plein de potes qui vont t’adorer. Je lèche, suce, salive le long de sa tige… Maîtresse Caroline et Maîtresse Chloé se sont rapprochées, elles me regardent faire, de près. Je me sens encore plus humilié, mais cela me donne aussi la volonté de bien faire. Pour que mes Maîtresses soient fières de moi. -Hummm regarde Chloé comme elle aime ça. Je te l’avais dit, c’est une vraie chienne à queue. On va en faire une bonne suceuse. Faut qu’on la surveille, elle va devenir accro! Mes Maîtresses éclatent de rire, et s’amusent beaucoup. Mon humiliation atteint son maximum. Je pleure de honte tout en suçant la queue de Marc qui grossit encore. Il impose le rythme avec sa main, et je le sens accélérer. Ensuite, il jouit en grognant et je m’étouffe avec son sperme, très abondant. Je recrache sous le coup de la surprise, et aussitôt, Maîtresse Caroline m’assène une gifle magistrale -Sale pute, tu ne sais pas que tu dois avaler ?!!! Regarde t’en a foutu plein le parquet, nettoie immédiatement ! Chloé, je crois qu’elle a besoin de la cravache pour que cela lui rentre bien dans le crâne. Faut la motiver un peu notre suceuse… allez lèche le bon sperme, et ensuite on nettoie la queue de son homme, et on le remercie ! Sous les coups de cravache qui cinglent mon cul, je lèche le foutre de Marc, puis je le reprends en bouche. Il n’a presque pas débandé et il rigole en se moquant de mes piètres qualités de suceuse. -Va falloir que tu t’améliores, tu suces comme une merde. On va revenir t’inquiète, tu pourras t’entraîner dit-il en faisant un clin d’œil à son collègue. Allez, mon copain aussi il a envie. Et même si je suis black, il en a une plus grosse que moi. Et des couilles bien pleines, pas vrai Luis ? Luis, qui s’est branlé pendant tout le temps de ma fellation, m’attire à lui et me roule une pelle en triturant mes tétons. Il enfonce sa langue dans ma bouche, et je ne peux pas l’en empêcher. Je crois que cela me dégoutte encore plus que de sucer. J’essaie de détourner la tête.Il n’y a rien de plus humiliant pour moi. Mais Luis me tient pas les pinces, par les tétons. Face à la douleur, je ne peux que lui offrir ma bouche. Il m’embrasse longuement puis abaisse ma tête vers sa queue énorme. Je n’ai jamais vu de gland aussi gros. Sa queue est épaisse, pas trop longue mais très large. J’ai du mal à la prendre en bouche. Il me force à le sucer, s’enfonce au maximum en manquant me faire vomir à chaque fois. Cela l’amuse beaucoup. Maitresse Caroline et Chloé y vont de leur commentaire. -Dis Chloé, t’en as déjà vues des queues pareilles ? Moi jamais. Elle est vraiment super grosse. Notre petite truie va se faire éclater le cul dis donc… -Ouais t’as raison, elle va bien morfler. Putain elle est géante sa queue !!! T’aime ça hein la pute, les grosses queues !!! T’es vraiment une lope à baiser !!! J’essaie de jeter un œil vers Ennia, mais elle garde le regard baissé. Et Luis m’ordonne de le regarder dans les yeux pendant qu’il baise ma bouche. Mais il se retient de jouir. -A quatre pattes. Marc va te préparer le cul pour que je puisse te défoncer. Si c’est moi qui commence, tu vas exploser. Il saisit mes pinces à seins et tire pour me forcer à me relever puis à me mettre à genoux sur le tapis central. Marc s’est levé aussi. Maîtresse Caroline me lance un flacon de lubrifiant et une capote. -Allez la pute, tu ne crois pas que quelqu’un d’autre va le faire quand même ? Tu lui mets la capote et je te conseille de bien te tartiner le cul de gel, si tu veux que ça fasse moins mal. Ils vont t’ouvrir complètement tu vas adorer ! Je tremble en enfilant tant bien que mal le préservatif sur la queue de Marc. Elle est plus grosse que le plus gros des gods avec lequel Maîtresse Caroline m’a déjà travaillé. Je m’enduis de gel, copieusement. Tu devrais bien te doigter, et t’en mettre un max dans la rondelle. C’est Ennia qui a parlé. Je me fige et je tourne vers elle. Maîtresse Caroline est debout à côté d’elle. Les larmes me montent aux yeux et je suis ses conseils, sans détacher mon regard du sien. Je suis anéanti, totalement. Marc trouve que c’est trop long et il vient derrière moi. Sa main sur ma nuque me force à me mettre à quatre pattes. Je sens son gland se frotter sur mon anus, et il commence à pousser. J’essaie de m’ouvrir, de me détendre. Il force et son gland m’ouvre et me pénètre. Je crie de douleur et il m’assène une grande claque sur les fesses. -Hmmm j’adore les faire crier les putes dans ton genre… Vas y, hurle si t’en as envie. Putain ce qu’elle est étroite, c’est trop bon !!! Il fait quelques va et vient et s’enfoncer à fond d’un seul coup. Je hurle mais Luis m’enfonce sa queue dans la bouche, pour étouffer mes cris. Ils me violent. La douleur s’atténue un peu mais le plaisir n’est pas là. Enfin pour moi. Marc me baise à grands coups de reins, et il ne tarde pas à jouir une deuxième fois. Il se retire, me laissant béant, et Luis vient aussitôt prendre sa place. -Attends ! : dit Marc. -Remets lui du gel, tu vas voir elle est trop bonne cette salope ! Son gland est bien plus gros que celui du black. Il force mais sans réussir à rentrer. Maîtresse Caroline farfouille alors dans son sac et en sort une fiole de poppers. -Vas y ma salope, respire un grand coup ! J’obéis, la chaleur m’envahit aussitôt, monte.. et je hurle à nouveau lorsque Luis m’empale. Maîtresse Caroline me fait sniffer encore et encourage Luis. -Vas-y, maintenant tu peux vraiment la défoncer ! Il ne s’en prive pas. Je ne suis plus qu’un cri continu, que le string que Maîtresse Chloé a enfoncé dans ma bouche pour me baillonner peine à atténuer. Luis a saisi mes hanches et il me pilonne de plus en plus vite. Il jouit rapidement et se retire. Mon viol anal est terminé, mais pas l’humiliation. Tiré à nouveau par les pinces, je me retrouve encore à genoux. Visage ravagé par la douleur, les larmes… Maîtresse Chloé retire son string de ma bouche et Maîtresse Caroline prend la parole : -Tu dois avoir soif ma petite pute…. Regarde le bon foutre chaud que tu vas pouvoir déguster…ouvre ta bouche et sors ta langue, allez ! Ensuite, joignant le geste à la parole, elle vide sur ma langue les deux préservatifs remplis du sperme de mes violeurs. -Avale ! Avale tout ! Va falloir que tu apprennes à aimer ça, ce n’est pas la dernière fois que tu vas y goûter, crois moi !! Je suis au bord du vomissement, mais j’obéis, j’avale tout comme Maîtresse me l’a ordonné. Je me sens déshumanisé. Brisé totalement. Maîtresse Caroline prend congé des deux livreurs, non sans leur dire à très bientôt. Et qu’ils n’hésitent pas à en parler à leurs amis qui seraient intéressés. Puis elle revient au salon et se plante devant moi. -Ma pute…. vois ce que je peux faire de toi. Je peux t’offrir à qui je veux, te faire baiser par qui je veux. Je l’ai fait et je le referai encore, souvent. Tu es à moi. Mon objet, mon esclave j’espère que maintenant tu en as pleinement conscience. Tu es ma pute. Et si j’ai envie de te prostituer, je le fais. C’est aussi simple que ça. Mais assez pour ce soir, je crois que tu as eu ton compte. Et comme tu nous as bien excitée, t’as droit à une petite récompense. Je me jette à ses pieds, les embrasse, les lèche avec dévotion… je pleure en la remerciant, en disant que je suis sa chienne, sa pute, sa gagneuse, qu’elle peut faire de moi tout ce qu’elle veut, que je suis à elle, qu’elle est ma Déesse, ma Divine Déesse…. Elle me repousse de sa semelle et m’ordonne de me relever. Ensuite, elle prend la clé qui pend au bout d’une chaîne, entre ses seins, et me libère de ma cage. Je bande aussitôt. -Ennia, approche. Notre petite truie a mérité une récompense. Tu as donc 3 minutes pour le faire jouir. Si tu n’y arrives pas, tant pis pour lui. Il retourne dans sa cage et toi, je te punis comme rarement tu l’as été. Rien qu’à la cravache. Tu sais combien je peux être sévère, surtout quand je suis super excitée comme maintenant. Allez, au boulot !
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Par : le 19/08/20
Maîtresse Caroline m’empoigne par les cheveux et me tire en arrière pour me redresser. Je ne suis plus qu’un soumis puni entre ses mains. J’ai le visage baigné par le plaisir de Maîtresse Chloé qui a joui abondamment. Je bande comme un fou, à genoux, la queue au niveau de la table basse. L’escarpin de Maîtresse Caroline vient se poser sur ma tige, appuyant douloureusement. -Alors ma pute… tu vois, la liqueur de ta Maîtresse te fait bien bander… On va te conditionner ma chienne. Tu vas devenir accro à l’odeur de nos chattes tu vas voir sale petite pute… hmmmm j’adore sentir ta queue sous ma semelle… tu aimes ça quand j’appuie, comme ça ? La douleur m’arrache un cri, aussitôt suivi d’un coup de cravache sur mes fesses. -Ta gueule sale pute… tu souffres en silence. Chloé, tu veux bien prendre le paddle sur la table derrière toi ? Le noir, large… Je crois que la punition peut vraiment commencer. Maîtresse Chloé vient se placer derrière moi, je suis toujours à genoux, rivé à la table par la semelle de Caroline qui m’écrase la queue. La douleur, loin de me faire débander, m’excite encore plus. Je n’ai jamais été aussi dur. Maîtresse Caroline prend une bougie sur la table et l’allume. -Ma pute, il faut que tu sois puni pour bien comprendre ce que tu as fais. Et surtout pour que tu ne recommences plus. Je suis, nous sommes tes Maîtresses. Tu nous dois respect et obéissance, quelles que soient les circonstances. En cours et en dehors des cours. Malheureusement pour toi, les chiennes comme toi ne comprennent que la douleur… On va donc te faire souffrir. C’est pour ton dressage ma pute. Et aussi parce que ça nous fait mouiller. N’est-ce pas Chloé ? -Hmmm cette sale pute vient de me faire jouir et je suis encore toute trempée. T’as raison… ça m’excite à mort de le dresser. J’adore !!! Merci Caro ! -Tu vas voir, tu vas encore plus adorer la suite…. Ma sale putain rebelle, pour chaque coup que va te donner Chloé, je ferai couler un peu de cire sur ton gland. Tu vois, ma semelle appuie sur ta tige… seul ton gland dépasse, bien offert. C’est parfait ! A toi Chloé, et n’oublie pas que c’est une punition…. il doit souffrir. Chloé m’assène un premier coup. Plus sonore que douloureux, Je laisse échapper un petit gémissement, puis un cri lorsque Maîtresse Caroline fait couler une goutte de cire sur mon gland. -Plus fort Chloé…. fais lui rougir le cul !!! Vas-y… après on le baisera au god-ceinture. On prendra le plus gros, pour bien la défoncer cette petite chienne en chaleur. Les coups pleuvent. De plus en plus fort. Chloé prend son pied à me rougir le cul, Maîtresse Caroline à recouvrir mon gland d’une coque de cire. Je gémis sans discontinuer… Après une bonne dizaine de coups, Maîtresse Caroline retire son string, trempé, et me le fourre dans la bouche. -Tiens ma pute… tu nous déranges avec tes jérémiades. Vas-y Chloé, continue…. il mérite encore une dizaine. Plus fort, je veux que ça claque !!! Maîtresse Chloé ne se fait pas prier. Je hurle sous les coups suivants, alors que mon gland se couvre totalement de cire. Je perds le fil des coups qui s’abattent sur mon cul. J’ai mal…. Maîtresse Caroline retire son pied et m’empoigne à nouveau par les cheveux pour me redresser. -Hmmmm il est bien rouge à souhait…. allez la pute, installe toi sur ce fauteuil….. Attends, avant, il faut te débarrasser de toute cette cire… Chloé, passe derrière elle et tiens lui les bras. Tiens fort, elle risque de ruer notre petite salope, notre petit soumis puni. Chloé vient m’attraper et me maintenir. Ruer… avec la barre qui tient mes chevilles écartées, je ne risque pas de ruer beaucoup ! Ma queue est toujours dure, je ne comprends pas. La douleur devrait me faire débander, pourtant…. Les doigts de Maîtresse Caroline viennent m’enserrer. De son autre main elle se saisit d’une cravache… -Allez ma pute, serrer les dents ! A peine a t-elle fini sa phrase d’un coup de cravache s’abat sur mon gland ! Je hurle et tente d’échapper à la morsure du cuir. Mais avec Chloé qui me maintient les bras, et Caroline qui me serre la queue, je ne peux rien faire. Un, deux, trois…. Maîtresse Caroline vise bien, et la cire se détache, par morceau, de mon gland. Je crie à chaque coup sec, je suis en larmes… -Voilà.. plus de cire, tu as eu mal ma chienne ? : me demande Maîtresse Caroline, d’une voix faussement désolée… Je gémis, la douleur est encore insupportable. Caroline m’attrape par les cheveux et m’installe sur le fauteuil club, mon torse reposant sur le dossier, mon cul bien offert. Puis elle retire le string de ma bouche. -Sale petite traînée, je suis sûr que tu as envie de te faire baiser par tes Maîtresses. Tu n’es qu’une salope qui aime se faire défoncer la chatte, n’est-ce pas ? ». Je ne réponds pas, enfin pas assez vite au goût de Caroline. Je suis dans un état second, perdu. Où est Ennia ? Où est mon amour ? Je l’ai trouvée si bizarre tout à l’heure en cours, froide, distante…. Je ne comprends plus. J’aimerais qu’elle soit là, j’aimerais pouvoir plonger mes yeux dans les siens, y trouver la force de subir ma punition. Mais je suis seul. Est-ce cela la condition de soumis, d’esclave ? La solitude face à la douleur, à l’humiliation, à la servitude ? Peut-être que je n’ai pas encore franchi le cap, pas encore compris, appris ma condition ? Pour l’instant, seule la concrétisation de mes fantasmes les plus sombres m’apporte du plaisir… arriverai-je à éprouver un plaisir plus grand encore en servant ma Maîtresse ? J’ai peur. Peur de ne pas y arriver. Et d’être contraint à la soumission par le chantage qu’exerce Maîtresse Caroline. Je suis terrorisé à cette idée. Mais j’ai peu de temps pour y réfléchir. Je ne suis plus qu’un soumis puni par ses Maîtresses. Caroline et Chloé se sont équipées de god-ceintures. Caroline a pris le plus gros. Noir, veiné… Il me parait énorme. Jamais je ne pourrai supporter un calibre pareil. Elle va me déchirer l’anus c’est sûr. Maîtresse Caroline passe derrière moi et entreprend de me lubrifier copieusement. -Tu vois ma salope, je suis déjà moins en colère…. je te prépare. Je devrais t’enculer à sec sale pute ! Tu le mérites ! Viens Chloé, tu vas commencer, vu que en as une moins grosse que moi !!! » Mes deux Maîtresses éclatent de rire… « Tu vas sodomiser ton premier mec. Tu vas voir, tu vas adorer ça ! Baiser une petite lope, c’est ce qu’il y a de plus jouissif crois-moi ! Maîtresse Chloé vient se positionner derrière moi. Je sens son gland se poser sur ma rondelle. Maîtresse Caroline la guide. -Tu vois, tu le prends en main, et tu le poses bien sur sa rondelle. Ensuite tu pousses, doucement mais sans t’arrêter. C’est la salope qui doit s’ouvrir. Vas-y, force un peu plus, tu vas voir il va le prendre. Hmmm c’est bon, tu es rentrée. Maintenant tu fais de petits va-et-vient… regarde, il s’ouvre bien là, baise le un peu plus… rentre à fond, encule la cette pute ! Je sens les mains de Maîtresse Chloé sur mes hanches. J’essai de m’ouvrir au mieux, pour ne pas trop souffrir. Je gémis le moins fort possible. J’ai l’impression que mon cul se déchire. Mais j’en ai envie. J’ai envie que ma Maîtresse black me baise, m’encule comme une bonne salope. Je veux la sentir en moi. Maîtresse Caroline vient présenter son god à ma bouche. -Allez la salope, suce ma queue. C’est le modèle au dessus, tu vas voir, je vais bien te dilater avec ça… allez la lope, lèche moi le gland… imagine que c’est une vraie. Je suis sûr que tu en meures d’envie de sucer une vraie queue, pas vrai ma pute ? « Oui Maîtresse Caroline, vous avez raison, j’en ai envie »…. Je ne dis pas cela pour lui faire plaisir. J’en meure d’envie. J’ai ce fantasme depuis longtemps, très longtemps. Etre contraint à sucer une queue, être l’esclave d’une queue bien dure. Maîtresse Chloé prend son pied à me baiser le cul. Elle se lâche et me traite de noms plus humiliants les uns que les autres, elle se retire – me laissant avec l’impression d’avoir l’anus totalement béant – puis s’enfonce à nouveau, avec de moins en moins de délicatesse. Elle m’encule, sans ménagement. Elle délire, me dit que je suis sa femelle, sa salope, sa truie… qu’elle va m’enculer avec des gods monstrueux, qu’elle va me faire faire le tapin, me présenter à ses amis blacks qui ont des queues d’éléphants, qu’elle adore m’enculer, que ça la fait jouir de me défoncer. Elle m’assène de grandes claques sur le cul pour rythmer ma sodomie… -Je vois que t’aimes ça dis-donc : dit Maîtresse Caroline. Je te l’avais dit, que c’était jouissif de baiser une pute. Allez… à mon tour maintenant. Il est temps de vraiment lui défoncer le cul. Maîtresse se plaça derrière moi, et posa la pointe de son énorme gode sur mon anus. La sodomie administrée par Chloé m’avait préparé, mais j’étais sûr que Caroline allait me déchirer, tant sont appendice était gros. -Allez ma chienne, il est temps que tu te fasses bien ramoner. Tu vas comprendre ce que veut dire éclater le cul. Chloé, écarte lui les fesses s’il te plaît. Allez, ouvre toi pour ta divine Maîtresse ! Ainsi, je hurlais lorsque le gland ouvrit ma rondelle. -Ta gueule la truie, tu l’as bien mérité ! Chloé, mets lui le bâillon-boule, cette sale pute va rameuter tout l’immeuble ! Maîtresse Caroline posa ses mains sur mes hanches et poussa pour me pénétrer. Une pression lente mais ininterrompue. Je hurlais dans mon bâillon, douleur atroce et impression d’être complètement déchiré. -Voilà ma chienne, tu vois tu l’as pris en plein. Je vais bien t’ouvrir, régulièrement. Et je t’offrirai à des blacks bien montés. Chloé et moi on va se régaler en te regardant te faire baiser comme une truie, à la chaîne. Sûr que tu vas aimer ça, n’est-ce pas ma pute ? Tu n’as pas le choix du reste, tourne un peu ta tête, tu vois la caméra ? Elle tourne depuis un moment. Je criais et pleurais pendant que Maîtresse Caroline me défonçait sans ménagement. Je pleurais de douleur, de peur, de désespoir mais j’aimais ça. J’aimais qu’elle me baise, qu’elle m’humilie. J’aimais ma Maîtresse pour ce qu’elle faisait de moi, et le plaisir que je prenais à être ainsi utilisé comme la dernière des putes. Je ne vivais que cet instant. J’oubliais tout le reste pendant que Maîtresse Caroline me dilatait et me claquait le cul. Peu importe qu’elle me filme, elle avait déjà assez d’images pour me détruire. Maîtresse Caroline s’amusait à se retirer entièrement, puis à me reprendre d’un coup, le plus profondément possible. Pendant ce temps là, Chloé n’en perdait pas une miette et se faisait un plaisir de commenter. -Hmmm regarde comme il est bien dilaté ! dis donc, tu lui as complètement défoncé le cul !regarde cette salope, comme elle le prend !!!! J’hallucine !! Regarde, elle s’empale elle même !! Elle aime ça cette pute !!! Ainsi, je perdais la notion du temps, incapable de mesurer combien de temps avait duré ma séance de sodomie brutale. Maîtresse Caroline finit pas se retirer, sa colère visiblement calmée. Mais pas son excitation, ni celle de Chloé. Aussi, je dus les lécher et les faire jouir à plusieurs reprises. J’étais épuisé, le visage maculé de mouille. J’avais l’impression que mon cul était béant et je puais le sexe. Cependant, je me sentais bien. Je ressentais une certaine plénitude, que je refusais encore d’accepter vraiment. L’heure de me rendre à la gare approchait, et la peur montait. Cependant, je portais toujours ma cage et la simple idée que Maîtresse Caroline ne veuille pas m’en délivrer me mettait au bord des larmes. Elle le savait, et avait bien l’intention d’en jouer jusqu’au bout. -Dis moi ! Il va être bientôt l’heure que tu nous quittes n’est-ce pas ? -Oui Maîtresse Caroline ! -Et bien, tu peux te rhabiller. Tu ne crois pas qu’on va t’aider non plus ? La cage de chasteté Maîtresse jouissait de voir mon visage se décomposer. Ainsi, je fondis en larmes et je me jetais à ses pieds : -Je vous en supplie Divine Maîtresse ! Par pitié, je ne peux pas rentrer chez moi avec ma cage. Je ferai tout ce que vous désirez Divine Maîtresse ! Je vous en supplie ! libérez moi s’il vous plaît ! Je deviendrai votre pute, votre chienne, je vous obéirai en tout Divine Maîtresse. -Tu deviendras ma pute, ma chienne ???? Mais tu l’es déjà. Tu crois quoi ???? Que tu as encore une chance ??? TU ES A MOI, MA CHOSE, MA SALOPE !!! Et cela ne fait que commencer !!! Je pleurais en baisant les pieds de ma divine Maîtresse Caroline. Au bout de plusieurs minutes, elle mit fin à mon calvaire. -Allez ma salope, je vais te libérer. Inutile de te dire que toute masturbation est interdite ? -Oui Maîtresse, je vous le promets, je ne jouirai pas ! -Je ne te crois pas une seconde ma pute. Et tu seras punie dès ton retour pour ces jouissances sans autorisation. Crois moi, tu vas prendre ! Même si tu tiens ton engagement, je te punirai. J’aime trop ça !!! Allez, voilà, va te rhabiller. Et essaye de calmer ton érection, on dirait un âne en rut ! A peine la cage enlevée, je m’étais mis à bander dur. Très dur. Chloé me prit en pitié, enfin je le croyais. -Dis Caroline, on ne peut pas le laisser partir dans cet état, ça ne se fait pas : dit-elle, avec un clin d’œil appuyé à son amie dominatrice. -Tu as raison, on manque à tous nos devoirs. Allez mon mâle en chaleur, tu vas te branler sur ma cuissarde. Exécution !!! Je ne me fis pas prier et je me masturbai rapidement. Chloé était passée derrière moi, et elle malaxait mes couilles, accélérant ma jouissance. Je jouis longuement sur le latex qui gainait la cuisse de Maîtresse Caroline. Un foutre abondant. -Continue encore, vide toi bien en plein ma salope…. au moins, ce soir, tu n’auras pas envie de recommencer…… bien… maintenant il va falloir nettoyer avant de partir. Allez lèche ! Puis je tombai à genoux. Je n’avais pas le temps de m’apitoyer sur mon sort. Lécher mon sperme me dégoûtait, mais les minutes défilaient et je ne pouvais rater mon train. Celui qui me séparerait de ma Maîtresse, de mes Maîtresses pendant la durée des vacances de Noël. Deux semaines de délivrance ou d’enfer, je n’en savais encore rien. Et pendant que je léchais les dernières traces de foutre, une seule pensée occupait mon esprit: où était Ennia ?
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Par : le 15/08/20
Patricia déverouilla avec peine les cadenas qui la retenaient encore prisonnière des chaînes, dénoua rageusement le bâillon et se coucha en chien de fusil, la tête enfouie sous les draps. Elle tremblait toujours, mais de froid cette fois. Tous ses muscles, raidis par la tension des menottes métalliques, lui faisaient mal. Elle aurait voulu remuer, se lever, s'habiller. Tout effort lui semblait insurmontable. Malgré elle, des ondes de plaisir la parcouraient encore, comme un orage qui ne s'éloigne que peu à peu, abandonnant ça et là d'ultimes grondements. Libérée de ses chaînes, elle se sentait plus impuissante que lorsqu'elles l'entravaient. Les larmes lui montèrent aux yeux comme un torrent. Elle se mit à pleurer fénétiquement, sans bruit mais les épaules secouées de spasmes, et cela dura assez longtemps. Elle dut dormir un peu. Lorsqu'elle s'éveilla, le silence dans la chambre était total. Ne pas ouvrir les yeux. Ne pas s'éveiller tout à fait encore. Profiter du demi-sommeil pour continuer à croire que tout cela n'était qu'un rêve, un fantasme trop fort, trop présent, qui raisonnait encore en bas de son ventre. Pourquoi m'avait-elle contrainte à une telle séance ? Avait-elle voulu me faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à m'imposer un tel jeu. Cela ressemblait plutôt à un passage obligé, une sorte de rituel auquel elle-même n'aurait pu échapper. Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Sarah. Patricia secoua la tête. Elle était folle de remuer de telles pensées. Elle ne devait pas avoir peur. Et si sa Maîtresse avait encore eu l'envie de l'offrir à une amie ? Patricia avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la taraudait et ne la lâchait plus. Sarah voulait l'offrir à une amie. Elle lui a donné l'adresse. Elle lui avait dit qu'elle trouverait là une jeune femme qui n'atteint le plaisir qu'en donnant vie à ses fantasmes. Elle mime la résistance mais c'est pour mieux en profiter. N'a-t-elle pas elle-même avoué qu'elle affectionnait particulièrement les fantasmes de viol ? Des pas dans le couloir. Les voilà qui approchent. Elle cessa de respirer. Elle les entendit s'arrêter devant la porte de la chambre. Une clé tourna dans la serrure. Bientôt la porte s'entrouvit. Patricia distingua dans l'embrasure une silhouette. La lumière l'aveugla. C'était Sarah mais elle n'était pas seule. Celle qui l'accompagnait la considérait d'un œil narquois. Elle se coucha en travers du lit, les mains derrière la nuque. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie mais mêlée d'une extrême élégance. Patricia la vit poser les mains bien tendues de part et d'autre de sa vulve avec une douceur inattendue. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu, du bout des doigts. Leur contact, même s'il demeurait ferme, n'avait plus du tout la violence d'auparavant. Elle ouvrit son sexe comme on ouvre une orange, avec soin, en faisant attention à ne pas en perdre le nectar. Patricia ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que la fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait réussir à jouir pour la satisfaire et pour qu'elle lui fiche la paix. Peut-être que, comme avec sa Maîtresse, si elle parvenait à se mettre en situation de spectatrice, parviendrait-elle à exciter ses sens. L'inconnue passa plusieurs fois sa langue sur le sexe de Patricia, de l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, aspirant la chair tendre des petites lèvres, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut, un peu plus bas. À l'instant même où l'inconnue mordilla son clitoris, Patricia se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait encore lorsque la jeune femme, s'étant tout à fait rhabillée, lui détacha les mains et lui donna des consignes pour leur prochaine rencontre. Ce soir-là, le sommeil ne vint pas. Bien sûr, elle avait eu peur, bien sûr elle avait eu honte. Elle m'attendait sur un canapé. Un bras étendu sur l'accoudoir en velours grenat. Jambes croisées, pieds nus, ongles lissés d'un vernis rouge. En dessous noirs. Autour de vingt heures, Patricia, en retard sonna à la porte. Trop facile, pas de punition, l'inconnue ne fut pas dupe. Anxieuse, elle poussa la porte entrouverte. À double tour, la referma. Accueillie dans la pénombre fraîche du salon par une jeune fille nue, complice des jeux. En fond sonore, les " Trois Gymnopédies" de Satie. Doucement le piano pour entendre le bruit de ses pas quand sur le parquet point de hongrie, elle se déshabilla lentement, une épaule après l'autre, sa robe glissa sur le sol doucement pour écouter le clapotis du sexe entre ses doigts. L'inconnue décroisa ses jambes, les paumes claquant sur ses cuisses, la pria d'avancer. La flamme des bougies lançant des lueurs dansantes sur leurs visages, semblait réveiller des ombres dans le haut plafond. Elle eut les caresses et la bouche de l'inconnue. Cette bouche alla jusqu'au secret de son corps, au plus secret de son être émotif dans la chaleur humide que le désir enfiévrait. Tout d'un coup, elles ressentirent, cette étrange douceur, cette paix heureuse des amantes. Mes yeux se retournent vers ton sourire. Le silence, nous l'avions décidé ainsi. Tu devras t'efforcer de ne pas hurler quand quand je te flagellerai jusqu'au sang. Tu n'as pas le choix. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible de la séance. Patricia ne sait plus ce qu'elle veut, le fouet, oui mais pas pour son plaisir. De l'amour des femmes, elle ne connaissait rien d'autres que quelques privautés, quelques complaisances accordées avec des camarades de classe, à la limite du jeu mais bientôt par dessus la nuque passe le harnais en cuir; son corps supplie; toujours nue, de dos sur mes genoux; bientôt mes doigts, à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de tes lèvres. Alors, les omoplates ont frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Le grain de ta peau sur ma langue; les lèvres de ton sexe sur la pulpe de mes doigts; ta joue sur mon épaule, mes mains à l'envers ont fermé les crochets; mon souffle effleurant le profil de tes seins dressés avec cette envie de toi qui tangue, cette envie de tout arrêter, cette envie de suspendre les gestes; je t'attrape par la nuque, te renverse sur le canapé, je te dévore; tu te débats, tu me supplies. Patricia n'a pas de honte à exposer son corps asséché de solitude; tout est évident. Tu es allongée, au-dessus de toi, la caresse est légère presque rêvée, précisant l'ondoiement sur l'entrecuisse à peine ouverte. Le désir est prégnant, ton sexe est brûlant, l'émergence de sa pointe, la moiteur de ses plis, les battements de sa matrice. Elle lui apprit et lui révéla son corps, par des caresses d'une insidieuse lenteur, par des baisers qui n'en finissaient plus d'éveiller en elle des ondes de plaisir presque intolérable. De la bouche venait alors calmer la fièvre qu'elle avait fait naître, s'abreuvant à la source même d'où jaillirait la jouissance. Tu te tais. Quand bien même le voudrais-tu que tu ne pourrais parler. Tes soupirs, les plaintes d'extase, les gémissements de volupté ont pris toute la place dans ta poitrine et dans ta gorge. Tu deviens muette d'un incomparable bonheur charnel. Nos cris meurent en un baiser brutal, comme la secousse qui bascule. La fleur sanguine laisse sourdre son suc aux mille parfums dans un mouvement de bacchanale déchaînée, sanglot de l'extériorisation extrême de ta sensualité fouaillée. Tu es ouverte, béante, les lèvres palpitantes, la vulve agitée de pulsions enflammées et suintante de son miel blanc et blond. Nous basculons, enroulées l'une à l'autre dans un enlacement tortueux qui nous emplit de joie enfantine. Cessant de lutter, désespérée, retrouvant la joie de vivre, honteuse et fière, tu t'abandonnes alors aux bras qui te meutrissaient hier. Aucune nuit pareille à nulle autre, jamais Patricia ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sans être battue. Elle semblait appartenir à un autre monde. Quelque chose d'indissoluble et de fatal, une puissance invisible les liait bien plus que dans le bonheur et l'euphorie, errant dans le pur illogisme de la réalité, ne rendant de comptes à personne, forme suprême de la liberté dont elles usaient dans le bien comme dans le mal. Leur idéal avait changé d'objet. Leur frénésie était un peu glacée. Se laisser toucher, se laisser fouetter, être docile et nue. Pour l'amour qui fait battre le cœur, on ne forçait personne. Patricia fut éblouissante de félicité. Tel l'envol gracieux d'un oiseau nocturne dans un jardin endormi, elle s'abandonna sans pâlir, corps et âme, à la bouleversante incantation sacrée du rite célébré du plaisir des chairs. Elle entendrait, encore une fois bientôt Sarah, étendue à coté d'elle, respirer dans la nuit. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 13/08/20
Margot est une des quatre femmes du Commandeur de classe D, qui commande l''Agamemnon et l'exploration du système planétaire U354 à plus de soixante années lumières de la Terre. Ce qui distingue les Commandeurs et leurs femmes, toujours au nombre de quatre, c'est la taille de leur cerveau. Il a fallu loger dedans toutes sortes de connexions et interfaces, sans compter les ajouts de mémoires et intelligences artificielles, et même avec des ultras nano technologies, il a fallu pousser un peu les parois du crane. Les commandeurs et leurs femmes ne font plus l'amour physique, ils pratiquent une sexualité très sophistiquée, purement par ondes mentales, sans aucun contact charnel. Il parait que c'est le must absolu. Pour ma part, je n'ai pas envie d'essayer, j'ai besoin du contact avec les chattes bien humides. Le commandeur est venu faire une inspection à notre base de Khe sanh, je l'ai appelée ainsi parce que nous sommes entourés d'énormes prédateurs qui rôdent la nuit sur la planète Monstra. Il veut se rendre compte par lui même de l'excellent travail réalisé par le sergent chef Ramirez, avec l'espèce la plus évoluée de cette planète, de grosses crevettes absolument horribles selon nos critères de beauté, mais fort attachantes, et pleine d'humour. Grâce au sergent chef Ramirez, nous sommes devenus presque des amis de ces aliens, et ce, même si le QI de ces crevettes géantes dépasse rarement le 100. Le sergent chef Ramirez fait de nombreux exposés au Commandeur. Elle explique le langage amusant des monstriens, c'est ainsi que nous avons appelé ces crevettes. Les mâles utilisent très peu de mots, dont presque tous, sont en apparence des insultes fort grossières et obscènes. Cela fait penser aux Marseillais avec des "putain con" ou des "con putain con" dans toutes les phrases et même sans phrases. De là à penser que nos chers marseillais ont des QI de crevettes...je blague. Les monstriens eux, c'est gros cul, salope, pétasse, pouffiasse, enculée....et avec cela, ils se comprennent très bien. Les femelles crevettes n'utilisent pas les insultes, jamais! Elles sifflent , façon de dire, cause toujours tu m'intéresses. L'étude Ramirez a montré des dons artistiques incroyables chez ces crevettes. Donnez trois cailloux à un enfant monstrien, il va en faire une oeuvre d'art avec un talent qui frise chaque fois le génie. Cela se retrouve partout dans leur culture. C'est aussi une forme de langage, plus complexe et subtile. les jeux amoureux reposent beaucoup sur les capacités de créations. Pour séduire il faut offrir une belle oeuvre, peu importe la forme et les matériaux utilisés. Le sergent chef Ramirez reçoit beaucoup de cadeaux fort jolis de la part des crevettes mâles. Allez savoir pourquoi? J'ai été surpris que le Commandeur me propose un échange de femelles, le sergent chef Ramirez contre Margot, une de ses quatre femmes. J'ai bien évidement accepté. J'adore les échanges. Le soir venu sur Monstra, nous avons dégusté le repas du soir préparé et servi par des crevettes géantes, invitées sur notre base, où nous avons beaucoup ri et surtout très bien mangé, la cuisine des crevettes est exceptionnelle de finesse et de saveurs. Là aussi ce sont des artistes. Le Commandeur a fait un signe au sergent Chef Ramirez qui ne s'est pas faite prier pour le suivre, passant bien devant moi et tortillant à l’exprès son cul de rêve et en jouant bien à la conne, comme elle sait que j'aime. Les crevettes mâles n'ont pas pu s'empêcher de dire: gros cul, salope, pétasse, pouffiasse, enculée...et là encore Ramirez, toute sourire a ondulé sa croupe. Et c'est reparti de plus belle: gros cul, salope, pétasse, pouffiasse, enculée..J'ai du débrancher le traducteur. Pour ma part j'ai pris par la main la superbe Margot pour la conduire vers mon logement près de la serre. Une main très douce et chaude. De très agréables vibrations. Le Commandeur et ses quatre femmes cachent leur masse crânienne beaucoup plus imposante sous de longs cheveux. Dans ma chambre Margot m'a demandé si je voulais essayer le sexe sans contact physique. J'ai presque hurlé: -Non, mais ça va pas! je vais d'abord bien te troncher par tous les trous et te remplir de sperme, après, on verra pour les expériences. Je mes suis éclaté avec Margot et son corps de bombe sexuelle. Une belle salope avec des airs de sainte ni-touche, première de la classe. Je l'ai violée et re-violée, on a joué à cela pour commencer. Margot s'est retrouvée, vêtements déchirés, attachée, fessée hard, orifices ouverts de force et remplis de sperme. Au bout d'un moment, bien pinée et perforée de partout, elle a commencé à gémir, puis à bien se cambrer et à être secouée de spasmes, de plus en plus violents, de plus en plus fréquents. Elle a fini par partir en fontaine, à ruisseler les grandes eaux. Elle me pisse carrément dessus, cette belle salope, ne peut plus rien retenir. -Ben toi ma Margot, quand tu lâches prise, tu lâches prise ! -C'est trop bon, j'adore être violée, prise de force, sodomisée , fessée. Nous nous sommes reposés un peu, nous avons bu un verre et j'ai fait goûter à Margot un calumet spécial avec des herbes choisies et savamment mélangées par les crevettes. Un truc de ouf ! Un démonte pneu cérébral ! Cela sent très bon et l'envie de baiser revient aussitôt, brutale, avec une érection d'une vigueur incroyable. En voyant mon pieu dressé, Margot a remis cela: -Voulez vous , Mon Maître, essayer le sexe sans contact. -Ok, mais si cela ne me va pas, tu seras bien corrigée. A peine ai-je dit cela que Margot m'a envahit de ses ondes cérébrales qui toutes puent le sexe le plus cochon qui soit. Je sent la sève qui monte, monte. Je vais exploser lorsque Margot stoppe l'orgasme, me laisse souffler un peu puis remet cela. Au bout de la dixième montée, j'en peux vraiment plus. Je me dis dans ma tête: "si cette salope de Margot m'arrête encore, je l'étrangle ! ". Elle a du entendre mes pensées car cette fois j'ai explosé un orgasme d'un violence inouïe. Je tombe dans les pommes tellement c'est fort. Lorsque je me suis reveillé, j'ai estimé que Margot méritait une bonne raclée pour m'avoir trop bien fait jouir. Je l'ai solidement attachée et baillonnée et elle a dérouillé à coup de ma grosse ceinture militaire en cuir épais. Son cul a vite été rouge feu. Et comme cela l'a fait jouir, elle a ruisselé de nouveau, lâché les écluses. Je me suis régalé à l'obliger à tout nettoyer à quatre pattes, bien ouverte et cambrée. La nuit ne fait que commencer. Dans les habitations à coté, les râles du sergent chef Ramirez secouent presque la base. Ses orgasmes sont comme des ondes telluriques qui parcourent le sol et vont se perdre je ne sais où, très loin, dans les vastes plaines. Le Commandeur est sans doute un cérébral pur, on ne l'entend pas. Mais sur Monstra, les terriens baisent et ne se privent de rien. ------------------ Voilà, c'est la fin de cette petite série de fictions sur fond de science fiction. J'espère qu'elles vous auront détendus. A ne jamais prendre au sérieux. C'est par plaisir d'écrire. Prenez soin de vous.
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Par : le 12/08/20
La séance de nettoyage dura longtemps. J’eus droit à trois lavements, administrés par Ennia. Elle prit soin ensuite de me doucher, longuement. Ses mains savonneuses sur mon corps me firent retrouver une certaine vigueur, et la belle rousse ne se privait pas de quelques va et vient sur ma queue de nouveau bandée. Elle termina en épilant soigneusement ma raie culière et ponctua : -Maîtresse adore une raie bien lisse. Et je crois qu’elle te réserve une belle surprise pendant ton dressage. Enfin, peut-être pas pour tout de suite… mais je t’avoue que j’ai hâte de voir ça. Je plongeai mon regard dans le sien et elle se rapprocha jusqu’à presser son corps contre le mien. Nous venions de baiser comme des fous, mais nous avions visiblement encore envie l’un de l’autre. Elle posa sa bouche sur la mienne, et nous échangeâmes un long baiser profond pendant lequel elle empoigna ma queue et me masturba très lentement. J’étais sur un nuage. Caroline avait raison. Ennia me faisait fantasmer depuis le début de l’année et jamais je n’aurais pensé vivre ces moments avec elle. Elle se recula un peu, me tenant toujours par la queue. – Tu as entendu ce qu’a dit Maîtresse Caroline. Je suis sa soumise, mais je suis aussi ta supérieure, et tu me dois respect et obéissance. Je sais que je te plais, beaucoup même. Tu me plais aussi, et j’espère avoir souvent l’occasion d’abuser de toi. A genoux ma chienne. Lèche moi un peu… Je lui obéis immédiatement, trop content de la goûter encore. Ennia debout, un pied sur le rebord de la baignoire, moi à genoux sur le carrelage, j’enfouis mon visage entre ses cuisses ouvertes et je la dégustai très lentement. C’est dans cette position que Maîtresse Caroline nous surpris : – Mais vous êtes obsédés ou quoi ? La lope, debout, au milieu du salon, mais sur la tête, immédiatement. Quant à toi, ma chienne, en position, sur le fauteuil !!!. Caroline n’avait pas crié. Nul besoin. Sa voix dure et autoritaire suffisait à nous faire obéir. Je pris la pose ordonnée, et Ennia s’installa, le ventre sur le dossier du fauteuil de cuir, cuisses écartées, cul offert. Maîtresse Caroline s’approcha très lentement. – D’habitude, je te punis sans t’attacher. Mais là, entre tes cris de chienne obscène de tout à l’heure, et le fait que tu te fasses lécher comme un truie sans mon autorisation, je crois que tu mérites une vraie correction, qu’en penses tu ma chienne ? – Comme vous voulez Maîtresse Caroline. Je suis votre chienne, punissez moi, je le mérite. Caroline prit plusieurs cordes et lia Ennia au fauteuil, comme sur un cheval d’arçons, avant de lui poser un bâillon boule. Ennia me faisait face et je pouvais lire une certaine appréhension dans son regard. La situation m’excitait terriblement. Je n’avais jamais assisté à une punition, en réel. Je me contentais de vidéos trouvées sur le net. -Tu as le droit de crier ma chienne. Tu vas te retenir comme d’habitude, mais je vais te faire craquer tu vas voir. Le premier coup de cravache tomba. Le corps d’Ennia se tendit dans ses liens, et la douleur et la surprise emplirent ses yeux. Un deuxième lui arracha un bref gémissement. Caroline frappait fort. Le bruit, la vision d’Ennia attachée et de Caroline maniant la cravache, mon érection devenait incontrôlable. J’aimais ce que je voyais, ce que je ressentais. Et je remerciais en silence Caroline de m’offrir la concrétisation de mes fantasmes. Trois, quatre, cinq… Ennia gémissait à chaque coup. De plus en plus fort. Je ne voyais pas ses fesses, sans doute marquées sérieusement par la cravache vu l’intensité des coups. Mais je voyais son visage. Six, sept, huit, neuf…. Au dixième, elle hurla et rua dans ses liens. Les larmes coulaient et son visage était défait. Elle avait lutté, mais elle craquait. Maîtresse Caroline avait gagné. Onze, douze, treize, quatorze…. Ennia criait sans discontinuer, à moitié étouffée par son bâillon. Caroline prenait son temps. Aucun coup ne s’abattait au même rythme. Elle ménageait le suspens. Caressait la peau du bout de sa cravache, ou le passait entre les cuisses d’Ennia, pour venir tapoter sa chatte. Ennia s’apaisait un peu et Caroline frappait à nouveau, provoquant un autre hurlement de sa soumise. Je souffrais pour elle, et je croisais les doigts de ne jamais subir une telle punition. La douleur me faisait peur. Quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf….. -Je vais te passer l’envie de te faire baiser comme la dernière des salopes. Ton cul va te chauffer demain, en cours. Le vingtième s’abattit,le baillon étouffant un dernier hurlement. Ennia, le visage ravagé, semblait irradier la douleur. Et moi je bandais encore plus fort, fasciné par la scène qui venait de se dérouler sous mes yeux. Caroline posa la cravache et plaqua sa main sur la chatte de sa soumise. – Mais c’est qu’elle mouille cette chienne !!! Je te corrige et toi tu dégoulines. Tu es vraiment une pute en chaleur. Tu ne penses qu’à cela…. La prochaine fois, c’est ta chatte que je vais travailler. Ça te fera peut-être passer l’envie !. Caroline n’avait pas retiré sa main. Et je la devinais aller et venir sur les lèvres d’Ennia. Sans doute avait-elle enfoncé ses doigts pour la branler plus profondément. Je voyais le poignet de Caroline bouger d’un bon rythme, et Ennia gémissait de plus en plus fort. – Hmmmm laisse toi aller ma chienne, tu as bien enduré la cravache, je vais t’accorder une petite récompense express. Tu as 1 minute pour jouir. Pas une seconde de plus. Caroline accéléra encore le rythme de ses doigts. Ennia soufflait, criait à travers son bâillon, et elle jouit rapidement, en un nouveau hurlement. De plaisir cette fois. Son visage, bien que marqué par la correction, rayonnait. Elle semblait totalement ailleurs. Caroline retira sa main et me regarda. – A genoux la lope. Puisque tu aimes tellement le goût de sa chatte, viens nettoyer mes doigts. Je me précipitai aux pieds de Caroline, et pris soin de bien lécher et sucer chacun des doigts qu’elle présentait à ma bouche. -Hmmm c’est que tu aimes vraiment ça dis donc…. Tu as besoin d’un bon dressage. Je vais t’entraîner encore un peu, et je pourrai peut-être louer tes services de lécheur. Tu ferais des passes et tu lécherais des chattes pour me ramener un peu de fric, comme une vraie pute. Peut-être même que tu aimes aussi sucer des queues ? Hein ? Tu as déjà sucé une queue ma petite lope ? -Non Maîtresse Caroline, jamais Maîtresse Caroline. Cela me dégoûte. -Ca te dégoute ?!!! Parce que tu crois que c’est toi qui décides ? Tu te rappelles des vidéos ? Du directeur ? Je ne savais plus ou me mettre. Je sentais que je rougissais, et l’idée même de sucer la queue d’un homme me révulsait vraiment. -Je vous en supplie Maîtresse Caroline, pas ça. Je ne pourrai pas ! La gifle fut immédiate. – Tu parles si je t’autorise, sale pute. Tu suceras des queues si j’en ai envie. Je fais faire de toi une vraie lope, qui réclamera du foutre et des queue dures pour lui défoncer le cul !. Les mots de Caroline m’avaient ramené brutalement à la réalité de ma nouvelle condition. Je n’avais pas d’autre choix que de lui obéir. Même si le jeu allait trop loin à mon goût, elle avait les moyens de me contraindre à ce qu’elle désirait. Si elle voulait que je suce des queues, je ne voyais pas comment j’allais pouvoir y échapper.
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Par : le 01/08/20
Charlotte ouvrit le tiroir où s'entassaient pêle-mêle ses sous-vêtements. Tout au fond, planquée sous des dizaines de strings et de soutiens-gorge, il y avait une enveloppe de papier kraft. Elle s'assura d'un rapide coup d'œil que son mari était bien vissé devant son écran avant de l'ouvrir. Sur le premier cliché, elle posait nue, debout devant sa coiffeuse, les chevilles liées au pieds du meuble. Des cordelettes enroulées autour de ses cuisses et fixées aux poignets des tiroirs l'obligeaient à maintenir les jambes très écartées et légèrement pliées. Elle avait les bras relevés au-dessus de la tête mais on n'apercevait pas ses mains que Xavier avait croisées, ligotées ensemble, et qu'un bracelet fixé autour du cou lui maintenait derrière la nuque. Une corde longue et épaisse, passée autour du torse, juste au-dessus de ses seins, et tendue jusqu'à la base du miroir la contraignait à se tenir très cambrée. C'était une position difficile à soutenir, indécente à l'extrême avec ce ventre lisse jeté en avant comme une figure de proue. Pourtant, elle souriait, les yeux mi-clos. Le second cliché était identique au précédent, à ceci près que Xavier était présent sur la photo. De lui, on ne distinguait que son torse, un peu de son dos, l'amorce de ses fesses et surtout, son sexe tendu, se pressant contre celui de Charlotte qui, cette fois, levait le menton au ciel et semblait innondée de plaisir. Comment son mari réagirait s'il tombait un jour dessus. Quant à la tête de sa mère, si elle la surprenait un jour dans une telle situation, elle ne pouvait même pas l'imaginer. Chaque fois qu'elle envisageait cette éventualité, un frisson la parcourait toute entière. Xavier et elle prenaient des risques insensés. Ils étaient tous les deux fous. Xavier élaborait des liens si complexes qu'il fallait beaucoup de temps ensuite pour la libérer. Si, comme elle avait l'habitude de le faire, sa mère débarquait à l'improviste en plein milieu d'une de leurs séances, il leur serait difficile de lui faire croire à une simple visite de courtoisie. Quelle honte si elle la découvrait ainsi, intégralement nue, ligottée et bâillonnée. Mais quel plaisir étrange à seulement envisager que cela puisse arriver. Charlotte y pensait souvent tandis qu'elle éprouvait l'étroitesse des liens tout autour de son corps et cela ne faisait qu'accroître son excitation. Peut-être rêvait-elle alors que la porte s'ouvre tout à coup sur le visage sévère, qu'elle le voit s'allonger de stupéfaction et qu'elle réussisse à lui sourire. Enfin, tout serait dit. Sur le troisième cliché, elle était assise à l'envers sur un fauteuil, les cuisses sur les accoudoirs, la poitrine écrasée contre le dossier, les bras pendant de l'autre côté. Ficelles, cordes, lacets, sangles, lanières, tout un entrelacs de liens étroits la pétrifiait dans son attitude. Elle aimait bien cette photographie parce que l'ombre noyait de nombreux détails, ne laissant à la lumière que son dos courbé, le galbe d'une cuisse et l'arrondi de ses fesses. Elle se souvenait de ce soir-là. La neige était tombée en abondance et ouatait tous les bruits de la rue. L'appartement n'avait jamais été aussi calme. Xavier avait pris tout son temps. Il était allé chercher une bouteille de champagne chez lui, s'était assis sur un tabouret face à Charlotte et l'avait aidée à boire, portant alternativement la coupe de ses lèvres aux siennes. Elle avait adoré qu'il s'occupe d'elle de cette façon. Ils avaient parlé longtemps. Elle lui racontait sa vie avec son mari, sa crainte de sa mère, ses rêves d'évasion. Peu à peu, Xavier s'était arrangé pour orienter la conversation sur le sujet qu'il voulait aborder. "- C'est quoi les fantasmes d'une fille comme toi ? lui avait-il demandé avec son sourire le plus doux. Elle avait pouffé de rire d'une façon un peu stupide. "-Des fantasmes ? Je n'ai pas de fantasmes." "- Allons, allons ... avait-il insisté. Ne va pas me faire croire cela. Ose donc prétendre que certains soirs, ton esprit ne s'en va pas vagabonder sur des territoires interdits ... Ose donc essayer me faire croire que tes doigts distraits jamais ne s'égarent sur ton ventre ... Par exemple, en t'imaginant au lit avec une de tes amies ... - Faire ça avec une femme, ça ne m'est jamais venu à l'esprit, mentit-elle cependant. - C'est bien vous, les mecs, qui entretenez ce désir de voir des filles ensemble ! Comme si nous ne rêvions toutes que de cela ! Tu l'as déjà fait avec un garçon, toi, peut-être ?" La coupe au bord des lèvres, Xavier attendait la suite avec intérêt mais voyait que Charlotte hésitait. Des dizaines de fois comme ce jour-là, elle lui avait permis de contempler sa plus inégrale nudité. Il manipulait son corps, comme on s'amuse avec un jouet et pourtant, capable de se livrer physiquement à lui de la façon la plus osée qui soit, mais elle éprouvait encore des réticences à lui ouvrir toutes grandes les portes de sa libido la plus intime. "- Parfois, je pense à des situations dingues ... amorça-t-elle. Au milieu de la salle, il y a une sorte de podium circulaire couronné d'anneaux d'acier ... Tu m'y fais monter et tu me passes des bracelets aux poignets. Tu me passes aussi des bracelets de cuir aux chevilles avec une chaînette, des cadenas et me voilà clouée à l'estrade, les jambes ouvertes. Dans le plafond, on a aussi rivé des anneaux auxquels tu m'attaches. Je dois me tenir courbée, tant le plafond est bas. Il y a des mains épaisses qui s'approchent de mon corps. Elles me palpent comme on évalue la santé d'une pièce de bétail. Elles malaxent mes seins à travers ma robe. Elles claquent sur mes fesses. Elles me fouillent le ventre. Mon corps subit les pires injures. les fines bretelles de ma robe ne résistent pas longtemps. Me voilà déjà presque nue, offerte en pâture à leur désir brutal. Je ne sais combien de mains me touchent. Elles s'acharnent sur moi impitoyablement. Elles choisissent les points les plus sensibles. Elles me tordent les pointes de mes seins, elles écartent mes fesses comme si elles voulaient les séparer l'une de l'autre, elles s'agrippent comme des griffes à mes hanches. Ma culotte est en lambeaux. Je sens mon sexe forcé par ces mains avides dont j'ignore tout, hormis leur brutalité. C'est l'orgie ... Je suis leur veau d'or. Un corps massif se frotte contre le mien. Sa sueur me colle à la peau. Un sexe raide, large comme un poignet, tâtonne entre mes fesses, cherche l'entrée, s'y engouffre férocement, sans ménagement. Je pousse un cri de douleur. Je parviens presque à oublier cette queue sauvage qui me défonce les reins, ces mains qui toujours m'assaillent, ces doigts qui maintenant me fouillent de l'autre côté. Un d'abord, puis deux, puis trois. Mon anneau anal est dilaté à l'extrême. On l'enduit d'un liquide gras et tiède. L'instant d'après, quelque chose de dur et de froid s'enfonce puissamment dans mes entrailles en élargissant l'étroit passage. Chaque fois que le sexe de l'homme plonge dans mon ventre et cogne contre ce truc, j'en éprouve une douleur effroyable. J'ai l'impression que je vais exploser sous les coups de cette double pénétration. Je halète. Je suffoque. Je me mords les lèvres. Ils y sont tous passés, par devant et par derrière. Je sens les ruisseaux de sperme dont ils m'ont éclaboussée me couler le long des cuisses. Des mains à peine moins agressives que les autres, des mains de femmes sans doute l'étalent sur les fesses, le ventre, les seins et même le visage. Elles ne veulent pas être en reste. Elles prennent part à la fête, elles aussi. Jalouses, elles m'enduisent le corps tout entier de la semence de leurs mâles, prenant bien soin de me griffer les flancs, des aisselles jusqu'aux cuisses. Charlotte s'éveilla de son rêve. Xavier ne souriait plus du tout. "- Hé, c'est toi qui as voulu que je te raconte mon pire fantasme ! " Xavier n'avait pas répondu. Il lui avait fait l'amour sans enthousiasme et l'avait quittée peu après, l'air préoccupé, sans avoir oublié toutefois de la ligoter avant. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 21/07/20
Elle l'attendait, sagement assise derrière le volant. Leurs bouches se rejoignirent à l'intersection des deux sièges selon un rituel tacitement établi depuis qu'elles se retrouvaient dans la clandestinité. Mais, en deux ans, elles avaient appris à le bousculer à tour de rôle, afin que jamais l'habitude n'entamât la passion. Elles échangèrent un long baiser, si imaginatif qu'il pouvait à lui seul dresser l'inventaire exact de tout ce qui peut advenir de poétique et de prosaïque entre deux êtres soumis à leur seul instinct, du doux effleurement à la morsure, de la tendresse à la sauvagerie. Toutes les figures de l'amour s'inscrivaient dans cette étreinte. Elle avait la mémoire de celles qui l'avaient précédée. Quand leurs bouches se reprirent enfin, elles n'étaient qu'un seul et même souffle. Anticipant sur son premier mot, Sarah posa son doigt à la verticale sur ses lèvres et, dans un sourire de connivence, entraîna Patricia hors de la voiture. Après qu'elles eurent tout doucement refermé les portes et fait les premiers pas sur la pointe des pieds, comme si l'extrême discrétion leur était devenue une seconde nature, elle la prit par la main et l'engagea à sa suite dans une des rares stalles encore vides. À l'ardeur qu'elle y mettait, Patricia comprit que ce jour-là, encore une fois de plus, elle dirigerait les opérations, du moins dans un premier temps. Alors une sensation inédite l'envahit, la douce volupté de se laisser mener et emmener par celle qui la traiterait à l'égal d'un objet. En s'abandonnant sous la douce pression de ses doigts, elle n'était déjà plus qu'un corps sans âme, qu'une soumission charnelle en répit. L'endroit était humide et gris. Il en aurait fallut de peu pour qu'il paraisse sordide. Ça l'était juste assez pour ajouter à leur excitation. Certains parkings peuvent être aussi borgnes que des hôtels. Un rai de lumière, provenant d'un des plafonniers de l'allée centrale, formait une diagonale au mur, à l'entrée du box. Il n'était pas question de descendre le lourd rideau de fer, elles se seraient retrouvées enfermées. Patricia s'appuya le dos contre le mur, exactement au point où le halo venait mourir, de manière à réagir à temps au cas où quelqu'un viendrait. Avant même que Sarah pût l'enlacer, elle lui glissa entre les bras tout en tournant le dos, avec cette grâce aérienne qui n'appartient qu'aux danseuses, puis posa ses mains contre la paroi, un peu au-dessus de sa tête, et cambra ses reins tandis qu'elle s'agenouillait. Depuis tant de mois qu'elles s'exploraient, pas un grain de leur peau n'avait échappé à la caresse du bout de la langue. Du nord au sud et d'est en ouest, elles en avaient investi plis et replis, ourlets et cavités. Le moindre sillon portait l'empreinte d'un souvenir. La chair déclinait leur véritable identité. Elles se reconnaissaient à leur odeur, se retrouvaient en se flairant. Tout avait valeur d'indice, sueur, salive, sang. Parfois un méli-mélo de sécrétions, parfois le sexe et les larmes. Des fusées dans la nuit pour ceux qui savent les voir, messages invisibles à ceux qui ne sauront jamais les lire. Si les humeurs du corps n'avaient plus de secret, la subtile mécanique des fluides conservait son mystère. Mais cette imprégnation mutuelle allait bien au-delà depuis qu'elles s'étaient conté leurs rêves. Tant que l'on ne connaît pas intimement les fantasmes de l'autre, on ne sait rien ou presque de lui. C'est comme si on ne l'avait jamais vraiment aimé. Patricia savait exactement ce que Sarah désirait. Se laisser prendre avant de s'entreprendre. Un geste juste, qui serait juste un geste, pouvait apparaître comme une grâce, même dans de telles circonstances, car leur silence chargeait de paroles le moindre de leurs mouvements. Elles n'avaient rien à dire. Demander aurait tout gâché, répondre tout autant. Elles pouvaient juste surenchérir par la crudité de leur langage, un lexique de l'intimité dont les prolongements tactiles étaient infinis, le plus indéchiffrable de tous les codes en vigueur dans la clandestinité. Tandis que Patricia ondulait encore tout en s'arc-boutant un peu plus, Sarah lui déboutonna son jean, le baissa d'un geste sec, fit glisser son string, se saisit de chacune de ses fesses comme s'il se fût agi de deux fruits murs, les écarta avec fermeté dans le fol espoir de les scinder, songeant qu'il n'était rien au monde de mieux partagé que ce cul qui pour relever du haut et non du bas du corps, était marqué du sceau de la grâce absolue. Puis elle rapprocha ses doigts du sexe, écarta les béances de la vulve et plongea ses doigts dans l'intimité moite, si brutalement que sa tête faillit heurter le mur contre lequel elle s'appuyait. Ses mains ne quittaient plus ses hanches que pour mouler ses seins. Le corps à corps dura. Là où elles étaient, le temps se trouva aboli. Toute à son ivresse, elle ne songeait même plus à étouffer ses cris. Fébrilement, au plus fort de leur bataille, Sarah tenta de la bâillonner de ses doigts. Après un spasme, elle la mordit au sang. De la pointe de la langue, elle effleura délicatement son territoire à la frontière des deux mondes, avant de s'attarder vigoureusement sur son rosebud. Un instant, elle crut qu'elle enfoncerait ses ongles dans la pierre du mur. Elle se retourna enfin et la caressa à son tour sans cesser de la fixer des yeux. Toute l'intensité de leur lien s'était réfugiée dans la puissance muette du regard. Car si Sarah l'aimait peut-être, l'aimait sans doute, Patricia sentait que le moment n'était pas éloigné où elle allait non plus le laisser entendre, mais le lui dire, mais dans la mesure même où son amour pour elle, et son désir d'elle, allaient croissant, elle était avec elle plus longuement, plus lentement, plus minutieusement exigeante. Ainsi gardée auprès d'elle les nuits entières, où parfois elle la touchait à peine, voulant seulement être caressée d'elle, elle se prêtait à ce qu'elle lui demandait avec ce qu'il faut bien appeler de la reconnaissance, plus encore lorsque la demande prenait la forme d'un ordre. Chaque abandon lui était le gage qu'un autre abandon serait exigé d'elle, de chacun elle s'acquittait comme d'un dû; il était étrange que Patricia en fût comblée. Cependant, elle l'était. La voiture était vraiment le territoire de leur clandestinité, le lieu de toutes les transgressions. Un lieu privé en public, ouvert et clos à la fois, où elles avaient l'habitude de s'exhiber en cachette. Chacune y reprit naturellement sa place. Elle se tourna pour bavarder comme elles l'aimaient le faire, s'abandonnant aux délices de la futilité et de la médisance avec d'autant de cruauté que l'exercice était gratuit et sans danger. Elles ne pouvaient que se sentir en confiance. Scellées plutôt que liées. Patricia était le reste de Sarah, et elle le reste d'elle. Inutile d'être dénudé pour être à nu. Tout dire à qui peut tout entendre. On ne renonce pas sans raison profonde à une telle liberté. Au delà d'une frénésie sexuelle sans entrave, d'un bonheur sensuel sans égal, d'une connivence intellectuelle sans pareille, et même au-delà de ce léger sourire qui emmène plus loin que le désir partagé, cette liberté était le sel de leur vie. Elle la prit dans ses bras et lui caressa le visage tandis qu'elle se blottissait contre sa poitrine. À l'extérieur, l'autre vie pouvait attendre. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 20/07/20
Elle ne la comprenait pas très bien. Plus tard, seulement, elle avait imaginé ce qu'elle voulait dire. Ce n'était qu'un rêve. Ce qui était solide et vrai, c'était son visage qu'elle voyait très bien à cette heure-là. Il était plein de reflets, comme les eaux noires qui coulaient plus bas. Ce visage ne faisait qu'un avec le fleuve. Patricia sentait qu'elle serait entraînée assez loin. Ce fleuve puissant où elle entrait aux côtés de Sarah ne la lâcherait pas. Elle voyait sa bouche qui remuait dans la nuit, pour parler. Dans une autre nuit, elles pouvaient s'approcher et s'embrasser. Comme un être fiévreux, elle se perdait dans ses cheveux, dans son corps. Des lèvres, des mains, tels étaient les charmes qui servaient à la faire souffrir. Ils l'étendaient sur des plages inconnues et la recouvraient de plaisir. Patricia sentait ce plaisir dans son sang. Elle demeurait dans un désir qui lui faisait sentir chaque centimètre de son corps. Étendue, les jambes et les bras écartés pour tenir plus de place et mieux s'offrir à ce trouble, elle ne voyait plus que les fantômes qui l'entouraient. À chaque battement de paupière, quelque chose lui sautait au visage, sa propre main nue sous les rayons de lune, sa main immobile, et pourtant cette main occupait l'espace, elle s'étendait sur son corps et le faisait trembler, elle caressait un autre corps impossible, les yeux de Patricia voyaient tout cela. Presque tout ce qu'elle avait fait avec Sarah lui revenait avec une radieuse et atroce précision. Quand des détails venaient à lui manquaient, elle passait des heures à des reconstitutions minutieuses. Elle parvenait ainsi, avec des repères dérisoires qui lui renvoyaient l'un à l'autre et au prix d'efforts démesurés, à rétablir une chronologie complète de leur relation depuis Rome. C'est dans le désespoir de ces évocations enchantées qu'elle dormait en rêvant. La nuit entière se passa à dans cet engourdissement aigu et lourd. Pauvre Patricia. Elle aimait sa Maîtresse. Elles avaient toutes deux d'étranges relations. Rien de compliqué chez elle. Elle attendait. Elle était pleine d'illusions. Ce qui lui manquait n'était pas à proprement parler Sarah, mais l'usage d'un corps de jeune fille, dont elle pût faire ce qu'elle voulût. Chaque abandon lui serait le gage d'un autre abandon qui lui serait exigé. Il serait impossible qu'elle en fût comblée. On ne pouvait pas dire qu'elle se défendit, ni se méfiât. Quand elle cédait aux châtiments, elle cédait brusquement, et l'on aurait dit entièrement, devenant soudain quelqu'un d'autre, pendant une heure, pendant une nuit. Le reste du temps, elle était à la fois provocante et fuyante, d'une incroyable habileté à l'esquive, s'arrangeant sans jamais une faute pour ne donner prise ni à un geste, ni à un mot, ni même à un regard qui permît de faire coïncider cette triomphante avec cette vaincue, et de faire croire qu'il était si facile de la forcer à la soumission. Sarah avait cru ou voulait croire, pour se donner des excuses, que Patricia serait farouche. Elle fut détrompée aussitôt qu'elle voulut l'être. Patricia n'était pas sentimentale, pourtant elle aimait sa Maîtresse et ne s'en cachait pas. Elle ressentait déjà l'orgueil qu'éprouve celle qui est l'objet de sévices de la part de l'être aimé. Chaque coup pouvait alors s'interpréter comme une marque d'intérêt, voire d'amour. Elle ne s'était jamais résignée au sort qu'elle avait librement choisi. N'ayant pas la nature d'une guerrière, ne sachant opposer la violence à la cruauté, elle avait appris à dominer celles qui usaient d'elle en rendant mystique l'offrande de sa soumission. C'est ainsi que les esclaves vivent. Elles sont les seules à détenir les clefs des caves sombres où les fantasmes des Maîtres les hissent au rang de divinités. Patricia déverouilla avec peine les cadenas qui la retenaient encore prisonnière des chaînes, dénoua rageusement le bâillon et se coucha en chien de fusil, la tête enfouie sous les draps. Elle tremblait toujours, mais de froid cette fois. Tous ses muscles, raidis par la tension des menottes métalliques, lui faisaient mal. Elle aurait voulu remuer, se lever, s'habiller. Tout effort lui semblait insurmontable. Malgré elle, des ondes de plaisir la parcouraient encore, comme un orage qui ne s'éloigne que peu à peu, abandonnant ça et là d'ultimes grondements. Libérée de ses chaînes, elle se sentait plus impuissante que lorsqu'elles l'entravaient. Les larmes lui montèrent aux yeux comme un torrent. Elle se mit à pleurer fénétiquement, sans bruit mais les épaules secouées de spasmes, et cela dura assez longtemps. Elle dut dormir un peu. Lorsqu'elle s'éveilla, le silence dans la cave était total. Ne pas ouvrir les yeux. Ne pas s'éveiller tout à fait encore. Profiter du demi-sommeil pour continuer à croire que tout cela n'était qu'un rêve, un fantasme trop fort, trop présent, qui raisonnait encore en bas de son ventre. Pourquoi m'avait-elle contrainte à une telle séance ? Avait-elle voulu me faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à m'imposer un tel jeu. Cela ressemblait plutôt à un passage obligé, une sorte de rituel auquel elle-même n'aurait pu échapper. Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Sarah. Patricia secoua la tête. Elle était folle de remuer de telles pensées. Elle ne devait pas avoir peur. Et si sa Maîtresse avait encore eu l'envie de l'offrir à une amie ? Patricia avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la taraudait et ne la lâchait plus. Sarah voulait l'offrir à une amie. Elle lui a donné l'adresse. Elle lui avait dit qu'elle trouverait là une jeune femme qui n'atteint le plaisir qu'en donnant vie à ses fantasmes. Elle mime la résistance mais c'est pour mieux en profiter. N'a-t-elle pas elle-même avoué qu'elle affectionnait particulièrement les fantasmes de viol ? Des pas dans le couloir. Les voilà qui approchent. Elle cessa de respirer. Elle les entendit s'arrêter devant la porte de la cave. Une clé tourna dans la serrure. Bientôt la porte s'entrouvit. Patricia distingua dans l'embrasure une silhouette. La lumière l'aveugla. C'était Sarah mais elle n'était pas seule. Celle qui l'accompagnait la considérait d'un œil narquois. Elle se coucha en travers du lit, les mains derrière la nuque. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie mais mêlée d'une extrême élégance. Patricia la vit poser les mains bien tendues de part et d'autre de sa vulve avec une douceur innatendue. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu, du bout des doigts. Leur contact, même s'il demeurait ferme, n'avait plus du tout la violence d'auparavant. Elle ouvrit son sexe comme on ouvre une orange, avec soin, en faisant attention de ne pas en perdre le nectar. Patricia ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que la fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait réussir à jouir pour la satisfaire et pour qu'elle lui fiche la paix. Peut-être que, comme avec sa Maîtresse, si elle parvenait à se mettre en situation de spectatrice, parviendrait-elle à exciter ses sens. L'inconnue passa plusieurs fois sa langue sur le sexe de Patricia, de l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, aspirant la chair tendre des petites lèvres, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut, un peu plus bas. À l'instant même où l'inconnue mordilla son clitoris, Patricia se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait encore lorsque la jeune femme, s'étant tout à fait rhabillée, lui détacha les mains et lui donna des consignes pour leur prochaine rencontre. Ce soir-là, le sommeil ne vint pas. Bien sûr, elle avait eu peur, bien sûr elle avait eu honte. Mais aussi longtemps qu'on usait d'elle, elle n'était que pensée et désir pour Sarah. Elle l'aimait et c'est ce qu'elle voulait. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 17/07/20
Anja, est une jeune fille chétive, une qui n'attire pas les garçons, avec ses cheveux raides et ses boutons. Elle n'a ni copains, ni copines et on se moque d'elle dans ce monde des réseaux sociaux où ce n'est que l'apparence qui compte. Anja a une qualité, c'est sa grande intelligence. -S'ils veulent de l'apparence, ils vont en avoir, ces petits cons et ces poulettes au culs levés. Elle s'inscrit dans un club de fitness tenu par Akim, un gay qui a la passion des beaux corps bien musclés, de l'idéal grec antique. Il aime bien Anja et ses complexes. Il a l'habitude et son histoire l'amuse. -allez Anja, on va les faire bander tous ces mecs qui se sont moqués de toi. Au travail. Pauvre Anja, au début ce sont les poids qui ont le dessus. Ce sont eux qui la font bouger, et pas l'inverse. Un cas désespérant. Heureusement Akim est là pour lui remonter le moral. Il décide de la booster un peu....protéines, testostérone, ...à l'insu de son plein grès. Elle prend du muscle, arrive enfin à bouger les poids. Elle se redresse, prend confiance. Les garçons commencent à la regarder. Avec les hormones d'Akim, son clito, Anja ignorait qu'elle en avait un, commence à gonfler. Elle jouit quand elle se caresse. Se donner du plaisir la rend belle.C'est ainsi, jouir c'est aimer la vie, peut importe la manière dont on jouit. C'est d'ailleurs le sens de l'expression « Carpe Diem » que l'on peut traduire de façon grivoise, prend ton pied tous les jours, ce n'est pas quand tu seras mort que tu pourras le faire. Akim qui est gay, se garde bien de donner des conseils à Anja, mais il sait qu'elle se caresse de plus en plus et qu'elle est devenue hyper sensible du clito.Il est temps qu'elle fasse l'amour. Est elle lesbienne, hétéro ou bi. Impossible de savoir . Anja reste secrète et semble s'autosuffire. Elle rencontre le beau Toinou, un grand brun basané et bien baraqué. Ce dernier en pince vite pour Anja et son look athlétique. Il l'invite à sortir et Anja accepte à condition que Toinou reste sage. -Pour garder un homme, il faut le faire attendre, lui conseille sa mère. Si tu veux qu'il t'aime, ne soit pas une conquête facile, il doit te mériter. Anja sourit. Cela change du temps où personne ne la regardait et où on se moquait de son corps malingre. Elle se laisse embrasser, puis caresser, et enfin dépuceler par son beau Toinou qui visiblement sait y faire. Ils se mettent en ménage. Anja découvre vite le point faible de son homme. C'est un beau macho bagarreur à l'extérieur, mais à la maison, il aime être soumis à sa femme. Cette dernière commence à jouer. Elle s’aperçoit vite qu'elle adore dominer. Elle commence par attacher Toinou et à le monter. C'est elle qui conduit les rapports sexuels. Son sexe est très musclé. Suffisamment pour retarder les éjaculation de son homme. Elle aime contrôler ses orgasmes. Elle constate qu'il adore subir. Elle passe donc à la cravache en cuir. Elle attache Toinou à la table de la cuisine avec un solide ruban adhésif . Il a beau se débattre, solidement fixé aux quatre pieds, il est totalement à sa merci. La première fois elle frappe si fort et fait si mal que Toinou hurle et bave. Elle ne joue pas sa timide. Elle le chope par la tignasse et le force à lui brouter le minou. -Ta gueule, mon homme. Tu es à ta place et tu dois souffrir en silence. Hurler c'est pour les mauviettes. Allez mange moi bien le clito et fais moi jouir. Mieux que cela ! Voilà, cela vient. Et pour te remercier tu vas en prendre une nouvelle série mais bâillonné cette fois. Et il faut pas hurler, il faut dire merci. Toinou a finit par s'habituer à la cravache et il aime de plus en plus ; Cela le fait presque jouir avec les contractions du fessier sous les coups. Cela donne des idées à Anja. Elle enfonce son index dans le cul de son homme et commence à lui masser la prostate. Il explose un orgasme et inonde les carreaux sous la table de la cuisine où il est solidemnt attaché, tout nu et le cul bien cravaché. -Mais tu aimes cela, mon Toinou, tu jouis comme une femme, ma parole. Elle continue son massage et il enchaîne les orgasmes, toujours plus saccadés et violents. Il se vide complètement de son sperme. Une vraie bonne purge. Anja découvre une nouvelle forme de torture, celle qui consiste à multiplier les orgasmes de son sujet. Il se contracte de plus en plus, il hurle de plaisir et de douleur à la fois. -Allez, une bonne séance de cravache pour te détendre à présent. ! Toinou remercie vivement. -Ben voilà, dit Anja, cette fois tu sais dire merci à ta Maîtresse. La morale de cette histoire c'est que l'art de la domination c'est parfois pousser le plaisir à l'extrême.
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Par : le 17/07/20
Sarah observa la métamorphose de ce fabuleux objet de désir, en quête de pénétration. Quelle chance pour les hommes d'avoir, greffé entre les jambes, un aussi beau jouet. Il semblait doué d'une vie propre. Voilà qu'il s'allongeait encore, comme tendant le cou pour mieux la regarder. Tout son corps cylindrique vibrait. Sa veine sombre et saillante palpitait et sous leur mince enveloppe, les testicules s'animaient comme d'un paisible mouvement de respiration. Sarah s'approcha de la bête. Elle posa le bout de la langue sur le sommet de sa tête et entama un délicieux mouvement de balayage. Le sang se mit à battre plus vite dans la veine. L'homme et son sexe se raidirent encore. Lorsque, léchant toujours, Sarah glissa vers la base du gland, Xavier étouffa un soupir. Il plongea la main dans les cheveux de la jeune femme. Ses doigts se refermèrent sur sa nuque. Sa langue continuait de frétiller le long de sa verge. Il se releva sur un coude et contempla le spectacle hallucinant de cette fille couchée à côté de lui, de ses mains lièes dans le dos, de son échine courbée par les cordes, de ses fesses pointées vers le plafond, de sa jupe troussée jusqu'aux reins. Sarah changea de méthode. Elle plaqua la langue tout entière au creux des testicules et remonta la verge jusquà la commissure du gland, là où celui-ci semble se fondre en deux comme un abricot. Elle remarqua que l'étreinte de Xavier sur sa nuque se faisait plus pressante lorsque sa langue atteignait ce triangle rose pâle. C'était là qu'il fallait donc porter l'estocade. Ravie d'avoir découvert l'endroit sensible, elle continua de le torturer ainsi. Sous ses coups de langue, il perdait peu à peu le contrôle. Il tendait le ventre, ondulait des hanches. Brusquement, il accentua sa pression sur la nuque de Sarah jusquà lui écraser la bouche contre son pénis. Ce n'était pas une prière, c'était un ordre. Elle n'eut qu'à entrouvrir les lèvres pour que, propulsé d'un coup de reins, le sexe de Xavier s'engouffre tout entier dans sa bouche. La charge portée dans sa gorge fut telle qu'elle suffoqua. Pourtant, lorsque Xavier relâcha son étreinte, elle n'eut qu'un bref mouvement de recul, juste le temps de reprendre son souffle avant de le reprendre dans sa bouche et il éjacula. Quand aux liens, moi qui ne nourrissais jusqu'ici aucun fantasme particulier à leur sujet, je leur découvre une vertu que je ne connaissais pas. Au début de notre relation, je me contentais d'entraver les poignets de Sarah pour satisfaire à ce que je croyais n'être qu'un caprice de sa part. Mais peu à peu, nous nous sommes amusés à inventer des liens de plus en plus sophistiqués, des positions de plus en plus complexes auxquelles elle se soumet toujours sans protester. Je la pense, à dire vrai, incapable de s'en passer. C'est pour cela que je n'ai pas le sentiment de l'asservir. Comment expliquer cela ? Lorsque j'entrave Sarah, c'est comme si, à la manière d'un peintre ou d'un sculpteur, j'avais soudain le pouvoir de figer sa beauté dans l'espace et dans le temps. Nos rendez-vous prennent désormais des allures de séances d'atelier. J'arrive avec une nouvelle idée de pose et des tas de cordes, de sangles, de lanières. Le ficelage prend du temps. Ce sont de longues et excitantes prémisses. Les images de Sarah ainsi ligotée m'obsèdent. La voilà nue, assise sur une chaise, les bras légèrement fléchis. Je lui ai joint les poignets à mi-dos. Les cordes s'évasent jusqu'aux épaules, comme les nervures d'une feuille dont la colonne vertébrale serait la tige. Elles s'enroulent autour des cuisses, pressées contre la poitrine, remontent jusqu'à la nuque où je les ai nouées. J'ai entravé les chevilles l'une contre l'autre, tiré la ficelle entre les fesses. Je l'ai tendue au maximum pour la fixer aux poignets. Sarah est enroulée dans un cordon de cordes. Elle n'est plus qu'un souffle impatient du plaisir à venir. Souvent, elle-même m'encourage à plus d'excentricité encore. Elle veut ne plus rien pouvoir entendre, ne plus pouvoir rien dire, ne plus rien pourvoir voir, ne plus rien pouvoir faire que d'attendre le moment où je m'enfoncerai au fond de son ventre ou de ses reins. Alors, je comble sa bouche avec un morceau de tissu, je la bâillonne d'un large sparadrap, je l'aveugle d'un bandeau sur les yeux et je lui bouche les oreilles avec des boules de cire. Je l'attache avec un soin maniaque, centimètre par centimètre, jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus remuer du tout. Je la modèle sous mes doigts comme un sculpteur manipule la glaise. Et quand enfin j'ai terminé, je prends du recul, je l'admire, immobile comme une toile, aussi lisse qu'un marbre, statue de chair, chaude et tendre, inerte et pourtant vibrante de vie. Quiconque entrant dans la pièce à ce moment-là trouverait la scène choquante. Sans doute ne verrait-il pas que l'indécence extrême d'un corps emprisonné, la mâchoire distendue par sous le bâillon, l'obscénité des cuisses maintenues ouvertes, l'insupportable étirement des muscles, la brûlure des cordes serrées contre la peau. Il ne verrait que le sordide d'une femme soumise à un plaisir de mâle. Il ne verrait que l'humiliation. Pourtant, Sarah ne s'humilie pas en se livrant ainsi. Elle met en moi une telle confiance que je ne la respecte jamais autant que lorsqu'elle est ainsi asservie. Même tordue dans ses liens, elle conserve cette grâce qui fait souvent défaut aux amants, que je ne me lasse pas de contempler. Alors, au-delà de l'excitation physique que cette vision éveille en moi, je me surprends parfois à ressentir comme une fugace émotion d'artiste. Plus tard, je caresserai le satin de cette peau. Sous mes doigts, le tressaillement d'un sein frôlé. Plus tard, je la soulèverai. Il faudra bien alors que monte le désir. Je l'empoignerai, je la pétrirai de mes doigts avides. Elle criera. Plus tard. Seulement plus tard. D'abord, je succombe à cet étrange plaisir esthétique. L'esthétique de l'entrave. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 16/07/20
Il se tourna tout à fait vers Juliette, toujours allongée sur le ventre. La nuit était tombée depuis un petit moment, une nuit claire de pleine lune qui tapissait la chambre d'ombres bleues. Elle avait gardé les yeux fermés. Il croyait qu'elle s'était endormie tandis qu'il contemplait son corps inerte, ses poignets croisés juste à la cambrure de ses reins, avec le nœud épais de la ceinture du peignoir tout autour. Tout à l'heure, losqu'il était arrivé, elle n'avait pas dit un mot. Elle l'avait précédé jusqu'à la chambre. Sur le lit, il y avait la ceinture d'éponge de son peignoir. À son regard surpris, elle n'avait répondu qu'en se croisant les mains dans le dos. Il lui avait entravé les poignets sans trop serrer mais elle avait dit plus fort et il avait noué des liens plus étroits. D'elle-même alors, elle s'était laissée tomber sur le lit. Cela l'avait beaucoup excité de la sentir aussi vulnérable en dessous de lui. Il s'était dévêtu rapidement. Il lui avait retroussé la jupe d'un geste sec. Il avait écarté le string pour dégager les fesses et l'avait pénétrée ainsi, tout habillée. Jamais Juliette n'avait senti plonger en elle un membre aussi raide. Le plaisir du viol, peut-être, ou le frottement de l'élastique du string contre son pénis avaient aiguisé l'ardeur de Xavier. Longtemps, il l'avait pénétrée ainsi, les mains posées à plat sur ses épaules. Longtemps et méthodiquement, dilatant du gland seulement l'entrée de l'orifice le plus étroit, pour l'élargir encore plus, s'enfonçant ensuite lentement, puissamment entre ses reins. Longtemps et à son rythme. Il allait et venait, d'avant en arrière, de haut en bas, ou imprimant à son sexe un mouvement de rotation comme s'il voulait explorer le moindre recoin de ses entrailles, non pour lui faire mal ou pour l'humilier, mais seulement pour la satisfaire car Juliette lui avait avoué qu'elle préférait être prise ainsi. Alors c'était lui, et lui seul qui menait la danse. Si elle s'avisait de remuer un peu trop le bassin, au risque de précipiter le dénouement, une claque sur les fesses la ramenait vite à plus raisonnable docilité. Elle feignait la douleur, faisant semblant de chercher à se détacher de l'étreinte en se tordant les poignets pour le seul plaisir de se sentir vulnérable et prisonnière. C'était cela, un homme était entré de force chez elle. Il l'avait bousculée, insultée, ligotée et maintenant elle gisait là, en dessous de lui, sous son contrôle, subissant ses coups de boutoir. Pour l'instant, il la violait en la sodomisant mais le pire restait à venir. Bientôt, il la contraindrait aux pires humiliations que son imagination esquissait parfois. Il lui ferait dégringoler les échelons, il la rendrait plus femelle que femme, plus chienne que femelle, plus chienne que chienne. Elle devrait le sucer sans doute, être fouettée, ou se masturber devant lui avec toutes sortes d'objets, à quatre pattes sur le sol. Oui, c'est cela ... À quatre pattes sur le sol et au milieu du séjour. Elle n'aurait pour tout vêtement que le bandeau qu'il lui aurait mis sur les yeux. Il serait assis en face d'elle et la regarderait exécuter ses ordres. " Prends ceci et enfonce-le ... C'est ça ... Bien au fond ... Plus loin encore ... Ressors-le maintenant ... Renfonce-le .... Il lui passerait tout ce qui lui tomberait sous la main, des objets de tous les jours qu'elle ne reconnaîtrait qu'au toucher, parfois horrifiée par leur taille. Qu'importe ? Tout devrait entrer profond. Tout devrait sortir. Tout devrait entrer à nouveau. De temps à autre, il changerait de poste d'observation. Il la regarderait se contorsionner sous tous les angles, écarter les cuisses, creuser davantage le dos pour mieux s'ouvrir, pour que l'introduction de l'objet soit moins difficile à supporter. Il ouvrirait grands les rideaux. Il la pousserait jusqu'à la fenêtre et elle devrait finir de se consumer là, à pleines mains, avec tous ces gens qui passent en bas, dans la rue, et qui pourraient la voir. Malgré la terreur et la honte, elle ne résisterait pas au plaisir de ses doigts mécaniques. Elle finirait par se tordre de volupté à ses pieds. Elle avait joui la première, juste quand elle avait senti les lèvres de Xavier s'approcher de sa nuque, lorsqu'il y avait posé les dents et qu'il lui avait mordu la peau. Il s'était effondré sur elle de tout son poids. - Tu veux que je détache ? - Non, pas encore, j'aime bien être comme ça tout près de toi. Elle ne mentait pas. Ainsi immobilisée, elle ne craignait rien du ciel. Grâce à ses liens, elle était libre de s'abandonner à la langueur qui suit l'amour. Il lui semblait que Dieu n'attendait que l'instant où Xavier la détacherait pour la foudroyer sur place. Mais on ne s'attaque pas à qui est sans défense. Les victimes ne redoutent pas les divins courroux. La ceinture d'éponge qui lui entravait les poignets, c'était un sursis avant l'enfer. Pour l'instant, elle était au paradis. Le miroir, encore et encore le miroir, comme un confesseur auquel Juliette, grave et nue, se serait soumise chaque soir. Elle regardait ses poignets. Elle observait le fin sillon rougeâtre qui cerclait chacun d'eux comme de minces bracelets gravés à sa peau. Elle portait les mêmes traces aux chevilles, et d'autres encore, ailleurs, moins visibles: là, à la base du cou, ici, autour des épaules, là encore au sommet des cuisses. Se coucher nue sur le lit à barreaux ? Parfait. Quoi d'autre ? Ouvrir la boîte, en sortir les sangles de cuir, les plus larges, les boucler autour des cuisses, juste au dessus du genou ? Si tu veux. J'aime cette odeur puissante du cuir et sa souplesse sur ma peau. À chaque sangle est fixée une chaînette dont le dernier maillon est un cadenas ouvert. Tu veux que que je verrouille ces cadenas aux barreaux ? Et me bâillonner moi-même ? Les chaînes sont courtes, pour y arriver, je dois me tenir sur les omoplates, les jambes très écartées, mais j'y arrive. Je le regarde avec attention, bien en face. Il me donne tous les détails, le protocole de nos relations. La manière dont, je devrais toujours me mettre à genoux. La lingerie que je devrais porter dorénavant, et ne pas porter, surtout. Deux jours plus tard, nouveau rendez-vous. Je me suis déshabillée, et au milieu du salon, devant une sorte de lourd guéridon bas où reposait une fine cravache. Xavier m'a fait attendre un temps infini. Il était là bien sûr, à scruter mon obéissance. Ce jour-là, il s'est contenté de me frapper, sur les fesses, les cuisses et les reins, en stries parallèles bien nettes. "-Compte les coups." Et ce fut tout ce qu'il dit. À dix, j'ai pensé qu'il allait s'arrêter, qu'il faisait juste cela pour dessiner des lignes, et que je n'allais plus pouvoir me retenir longtemps de hurler. Il s'est arrêté à trente, et je n'étais plus que douleur, non j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré, et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. Il m'a caressée avec le pommeau métallique de la cravache, qu'il a insinué en moi, par une voie, puis par l'autre. J'ai compris qu'il voulait entendre les mots, et je l'ai supplié de me sodomiser, au plus profond, de me déchirer. Cela lui a plus, mais il est d'abord venu dans ma bouche. J'avais le visage brouillé de larmes, et je m'étouffais à moitié en le suçant, jusqu'au fond, jusqu'à la glotte. Voilà que cela fait deux ans que cela dure. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 16/07/20
L'ombre peu à peu avait envahi la chambre. Sarah n'arrivait plus à distinguer la fissure dans le plafond à laquelle elle avait fixé son regard. La position dans laquelle elle s'était elle-même figée depuis plus d'une heure commençait à la faire souffrir. Passent encore les fourmillements dans les jambes et les bras. Elle en avait l'habitude maintenant. En remuant les doigts, en bougeant les pieds, elle parvenait à relancer la circulation sanguine. Le plus insupportable, c'était cette douleur à l'articulation des cuisses. Elle avait fait preuve de trop de zèle, tendant les chaînes au maximum de ce que lui permettait l'écartement de ses jambes. De part et d'autres de son visage, ses genoux touchaient presque les barreaux. Elle avait aussi trop serré le bas. Il lui distendait les lèvres comme le mors d'un cheval. De temps à autre enfin, il lui fallait empoigner les barreaux pour soulager ses bras de la tension à laquelle ils étaient soumis. Que faisait Xavier ? Dans la rue, les lampadaires s'allumèrent les uns après les autres. Leur lueur orangée inonda la chambre. Le cœur de Sarah s'emballa: toute à son excitation. Et s'il avait décidé de ne pas venir en lui jouant un tour cruel, celui de charger le hasard de choisir celle ou celui qui la découvrirait ainsi harnachée, nue et enchaînée. Mais non, c'était impossible, il l'aimait. Sarah se sentait en danger constant, tant la curiosité des visages la dévorerait, et qu'elle serait fouettée par l'un ou par l'autre, non pas à la vérité qu'ils s'en aperçurent mais sans doute chaque fois qu'ils auraient eu envie de l'humilier ou de la posséder. Et si, il avait encore eu l'envie de l'offrir à des inconnus. Elle avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la tenaillait et ne la lâchait plus. C'était cela, Xavier voulait l'offrir. Il leur avait dit qu'ils trouveraient là une jeune femme, esclave sexuelle, qui n'atteignait le plaisir qu'en donnant vie à ses fantasmes. Elle mimait la résistance, mais c'était pour mieux en jouir. N'avait-elle pas elle-même avoué qu'elle affectionnait particulièrement l'idée du viol ? Des pas retentirent dans le couloir. Elle cessa de respirer. Une clé tourna dans la serrure. La porte s'ouvrit. Sarah distingua une silhouette dans l'embrasure, mais la lumière l'aveuglait. C'était Xavier mais il n'était pas seul. Celle qui l'accompagnait, la considéra d'un œil narquois et cruel. C'était une jolie fille élancée à la peau bronzée. Son bustier en lamé noir, son short ultracourt sur des bas résilles et des cuissardes à hauts talons ne laissaient planer aucun doute: une pute. Xavier avait amené une putain. Hébétée, Sarah portait alternativement son regard de l'un à l'autre. Il l'évitait avec soin. Lui tournant le dos, il alla jusqu'à la fenêtre de la cave et, les mains dans les poches, observa la jeune femme en attendant qu'elle se soit déshabillée. Toisant Sarah, à sa merci, nue et attachée, elle fit glisser son string le long de ses cuisses. Elle avait des jambes longues et musclées; en bas de son ventre, son pubis lisse se distinguait à peine, velours nacré sur la chair hâlée. Lorsqu'elle dégrafa son étroit bustier, ses seins comprimés en jaillirent comme des fauves. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie, d'animalité indomptée, jusqu'à sa mâchoire figée en un rictus menaçant contre laquelle dansaient des boucles d'oreilles en longs losanges effilés et cette queue-de-cheval haut placée sur la tête à la manière des Amazones d'autrefois. Elle se coucha en travers du lit, les mains derrière la nuque. - Tu viens, mon chéri ? minauda-t-elle. Xavier se débarrassa de ses vêtements. Lorsqu'il s'approcha du lit, Sarah remarqua qu'il ne bandait presque pas. - Fais ton job, dit-il à la putain. Elle empoigna le pénis d'une main, passa l'autre sous les testicules, comme pour évaluer leur poids. - Allez, je suis sûre que t'as là-dedans de quoi m'en foutre partout. Abasourdie de surprise, Sarah regardait sans réagir la main de la jeune femme solliciter avec adresse le sexe de Xavier dont l'érection se faisait de plus en plus puissante. Ses lèvres gobèrent le pénis tendu. Xavier, les yeux clos, serrait les dents. Pendant quelques instants, il n'y eut plus dans la cave que les bruits de succion de la fille et le cliquetis des chaînes dans lesquelles Sarah commençait à s'agiter. La prostituée prit la pose pendant que Xavier enfilait un préservatif. Lorsqu'il la pénétra, elle poussa alors un gémissement de plaisir. Même en se tordant le cou, Sarah ne pouvait pas les voir mais elle les imaginait aisément. Ondulations élastiques, mouvements synchrones, halètements convenus. Tout cela l'écœurait. Elle renversa la tête sur l'oreiller. Pourquoi Xavier lui avait-il seulement demandé de s'attacher et de se bâillonner ? Pourquoi ne lui avait-il pas également permis de se bander les yeux ? Quelle perversité était la sienne pour vouloir lui imposer un tel spectacle ? Elle tressaillit. Des doigts venaient de se poser sur son sexe. On voulait aussi qu'elle participe à la fête des sens avec une putain. Relevant la tête, elle distingua une main, qui commença à la fouiller entre ses cuisses. Déjà des doigts hargneux s'engageaient en elle. D'autres cherchèrent à écarter le passage de ses reins pour forcer son anus. Elle se débattit autant que lui permettaient ses liens, voulut crier mais ses cris s'étouffèrent dans sa gorge. Xavier ne voyait rien. Il n'entendait rien. Il continuait de défoncer la putain qui, gémissant fort pour couvrir les plaintes assourdies de sa prisonnière, répercutait chaque coup reçu au fond du ventre de Sarah. Elle était là, attachée sur un lit, à entendre l'homme qu'elle aimait s'acharner sur une inconnue qui lui faisait payer le prix de sa fureur. Xavier enfin donna les ultimes coups de reins. La putain abandonna aussitôt Sarah et feignit un orgasme démesuré. Il se releva et jeta sur le lit une pelote de ficelle et alla prendre une chaise qu'il disposa près du lit. "- Tu sais ce qu'il te reste à faire, tiens voilà les clés des menottes et des cadenas. Termine ton job et casse-toi." Le ton de la voix n'admettait aucune réplique. La prostituée se contenta de hausser les épaules tout en tassant ses seins dans son bustier. Sarah cherchait en vain à capter le regard de Xavier. Elle essayait de comprendre. Quel job la fille devait-elle donc terminer ? Pourquoi ne la détachait-il pas lui-même ? Mais il gardait les yeux fixes. Son visage marmoréen n'exprimait qu'une grave détermination. Elle le vit s'asseoir sur la chaise, de lui-même se passer les mains derrière le dos et, d'un léger mouvement de la tête, donner à la pute l'ordre de commencer. En soupirant, celle-ci déroula une longueur de ficelle et lui attacha les poignets qu'elle fixa ensuite solidement au dossier. De la même façon, elle lui entrava les bras, les chevilles, les jambes, le torse et la taille jusqu'à ce qu'il soit totalement immobilisé, le sexe lourd pendait entre les cuisses légèrement ouvertes. Sarah vit alors la fille s'approcher à nouveau, s'asseoir près d'elle et se pencher tout contre son visage. Bientôt, elle alla s'installer entre ses jambes en les maintenant écartées en hauteur. La façon dont elle se tenait lui donnait l'air d'un étrange gynécologue. Elle la vit poser les mains bien tendues de part et d'autres de sa vulve avec une douceur inattendue. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu du bout des doigts. Leur contact, même s'il demeurait ferme, n'avait plus du tout la sauvagerie d'auparavant. Elle ouvrit le sexe offert avec grand soin. Sarah ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que cette fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait à tout prix réussir à jouir. La putain passa plusieurs fois la langue sur ses lèvres et, tout en le maintenant ouvert, les approcha du sexe humide de Sarah. De l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, elle procéda à de longues succions. Étape par étape, elle aspira la chair tendre des petites lèvres, les caressant avec la langue, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut ou un peu plus bas. Sarah survolait la cave. Une fille, attachée et nue, était écartelée sur un lit. Une putain, également nue, la suçait. Un homme, bronzé et nu, liè à sa chaise les observait toutes les deux. De sa langue, large et souple, la pute enroba le clitoris de Sarah, l'excita pour l'éveiller, pour l'obliger, à se redresser et à prendre de l'ampleur sous sa caresse. La chair se gonfla alors. Simultanément, des pouces elle redessinait l'entrée du vagin, en soulignant les contours humides. Un doigt s'insinua dans son anus en le dilatant peu à peu. Le viol de ce territoire interdit fit naître dans le ventre de la captive d'irrésistibles ondes électriques. Sarah creusa alors les reins. La fille comprit l'invitation. Abandonnant la vulve, elle concentra ses caresses sur la voie étroite. Elle élargit des doigts l'anneau anal à travers lequel elle poussa profondément la langue. Lorsqu'elle eut suffisamment préparé le passage, la fille posa le pouce contre l'anus de Sarah et l'enfonça lentement, de toute sa longueur, jusqu'à la paume. Quand il fut bien planté au fond, s'en servant comme d'un axe, elle fit pivoter sa main de gauche à droite, les doigts repliés sur l'entrée du vagin. Sans cesser son mouvement de balancier, la putain plongea sa main plus profondément dans le sexe de Sarah, éprouvant entre pouce et doigts l'élasticité de la fragile cloison. De l'autre, elle écarta les petites lèvres pour dégager le clitoris. Puis elle se reconcentra à nouveau sur l'anus. Elle avait décidé de la pénétrer avec le poing. À l'instant même où le poignet atteignit le fond de ses entailles, Sarah se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait encore lorsque la fille, s'étant rhabillée, lui détacha les mains. Malgré elle, des ondes de plaisir la parcouraient encore, comme un orage qui ne s'éloigne que peu à peu, abandonnant ça et là d'ultimes grondements. Libérée de ses liens, elle se sentait plus impuissante encore que lorsque les chaînes l'entravaient. Les larmes lui montèrent aux yeux comme un torrent. Elle se mit à pleurer frénétiquement, sans bruit mais les épaules secouées de spasme, et cela dura longtemps. Elle dut dormir un peu. Xavier dormait-il lui aussi ? Elle n'osait se tourner vers lui. Son souffle était inaudible. Pourquoi l'avait-il contraint à une telle séance ? Avait-il voulu la faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à une situation si humiliante. Cela n'était donc pas un jeu, plutôt un passage obligé, un rituel auquel lui-même n'aurait pu échapper. Qu'avait-il donc voulu lui prouver ? Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Xavier. Elle se rappela à ce moment-là qu'il avait un bâillon. Elle se leva et se précipita vers lui. Il gardait les yeux clos mais il ne dormait pas. L'enjambant, elle s'assit sur lui, les bras autour de ses épaules, les lèvres contre les siennes. Il posa le front contre sa poitrine. Elle sentait au bout de ses seins la caresse de son menton mal rasé. Sarah sentit son pénis se dresser sous ses fesses. Elle le laissa la pénétrer là où elle avait déjà joui. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 15/07/20
Haya est une fort jolie jeune femme, libre et indépendante, qui travaille et refuse la domination des hommes, le port du voile. Une libanaise métis, avec du sang chinois par sa mère et arabe par son père. Une passionnnée de wing chun, l'art martial, le seul conçu par une femme et utilisé par le célèbre Bruce Lee dans ses films. Haya a tout pour être heureuse; elle est riche, jolie, très intelligente. Sauf que sa route vient de croiser celle du cheikh Hassan, un prédateur sans foi ni loi. Cela s'est passé dans les salons d'un grand hôtel de Beyrouth. Leurs regard se sont croisés. Haya a lu toute la perversité d'Hassan et elle a eu peur. Un fou....sans limites ni barrières. Le soir même Haya a été enlevée, séquestrée dans une grosse valise et expédiée via un jet privé dans un pays de sables brûlants. Une disparition de plus dans ce vaste monde. Haya a été lavée, parfumée, habillée d’étoffes précieuses et laisée libre d'aller et venir dans ce harem merveilleux, avec de beaux jardins fleuris, des fontaines et des bains, des esclaves eunuques pour faire le service, servir du thé à la menthe ou aux épices. Que des femmes somptueuses, des beautés à couper le souffle. Hassan s'est choisi ce qu'il y avait de plus beau pour décorer son harem et ses femmes sont un peu comme des meubles de luxe. -Tu es nouvelle? Fais bien attention. Hassan notre maître est un fou. Si tu lui déplaît, il te place dans un hélico et te lâche au large dans une baie infestée de requin. Ce malade filme et il nous passe les vidéos de ses meurtres. Nous filons toutes droit après avoir vu cela. Et ce n'est pas du bluff , il est vraiment fou. Haya n'a pas peur. Elle en a vu d'autres avec Karim, le loubard de son quartier qui voulait la violer. Pauvre karim, il ne connaissait pas le wing chun....c'est lui qui s'est fait enculer et Haya a posté la vidéo sur le net. Karim a du s'exiler en Argentine à cause de la honte. Un soir Hassan convoque la sublime Haya pour la troncher dans son baisodrome privé rempli de splendides tapis persans et de toutes sortes de gadgets pour ses fantasmes. Il porte son poignard acéré à la ceinture et visiblement il sait très bien s'en servir. Haya l'afronte du regard et tourne autour de lui comme un fauve. Et tout à coup c'est Hassan qui a peur. Il veut appeler ses gardes eunuques noirs, formés aux combats, mais il est trop tard. Un direct en pleine face à la Bruce Lee le met ko d'un coup. -Cela c'est pour m'avoir fait enlever, salopard de macaque de mes deux et tu vas payer. Hassan se réveille. Il est ligoté et bâillonné solidement. Haya a trouvé tout un assortiment de fouets arabes et elle commence par bien lui labourer le dos et le cul. -Mais tu es une vraie gonzesse mon Hassan, tu pleures sous les coups. Tu n'as pas l'habitude. Attends je vais t'enculer et t'empaler, tu vas hurler comme un chacal. Hassan se dit qu' il est tombé sur une folle et il a vraiment peur. Il se fait dessus. -Mais tu as la trouille, petite vermine qui donne les femmes aux requins. T'es vraiment une petite merde. Faut que je reste loin tellement tu pues du cul. Elle avise une longue lance avec un très gros manche en bois. Elle trouve sur le plateau des collations de la sauce piquante, une belle harissa bien rouge et enduit la hampe de sa lance. Hassan la regarde horrifié, les yeux ruisselants de terreur. -Dans le cul la lance avec la harissa ! Dans le cul et tu va hurler comme un goret ! On va t'entendre de la Mecque à Istanbul ! Tu va être la risée de tous les musulmans du vaste monde. Tu vois, j'ai ton téléphone. Je vais te filmer et publier toutes les saloperies que tu fais ici et comment je vais t'enculer ma salope. Le manche de la lance a perforé le cul d'Hassan. La douleur a été fulgurante. Il s'est évanoui. Haya est allée chercher toutes les autres filles du Harem pour leur montrer le spectacle. Les gardes eunuques, sans ordres, n'ont pas bronché. Ils ont compris qu' Haya était celle qui commandait, une dominante sans pitié et ils se sont mis sous ses ordres. Peut être eux aussi, en ont ils marre des extravagances sanguinaires d' Hassan. Haya leur a promis la liberté. C'est inutile. Ils n'ont plus de couilles ni de pénis, et ils sont fait pour obéir.... Hassan se réveille. Il hurle et hurle comme un goret qu'on égorge. Ses captives lui pissent dessus. La vidéo fait le tour du monde. Les ambassadeurs sont vite au courant. Les filles parlent, donnent leurs identités et les lieux de leurs enlèvements. Des hélicos et des grappes de soldats dans les jardins. Le Roi de ce pays intervient personnellement. Il fait décapiter Hassan sur-le-champ et il ordonne de jeter son corps au requins. Une justice rapide et efficace ? Le Roi regarde Haya et la trouve fort belle. - Je vous offre ce domaine et tout ce qu'il contient, ainsi que la fortune d'Hassan pour vous dédommager. Les filles sont libres de partir ou de rester. Je vous accorde des titres de séjour à vie comme invitées d'honneur. Les filles et les eunuques sont resté avec Haya. C'est vrai que la propriété d'Hassan est superbe et très richement dotée, et que ses comptes ont des chiffres avec beaucoup de zéros après.
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Par : le 02/07/20
Allongée dans le lit, la jambe de Sarah pressée contre la sienne, Patricia respirait avec bonheur le doux parfum épicé de son amante. La chaleur qu'elle dégageait la rassurait autant qu'elle aiguisait ses sens. Cette nuit, elle ne dormirait pas seule. Et si d'aventure, il arrivait que Sarah l'embrasse encore, et apaise ses brûlures qu'elle avait fait naître sur tout son corps, elle se plierait avec joie à son bon plaisir. Les longues jambes fuselées, le triangle inversé de la fine toison qui plongeait entre ses cuisses, le galbe des hanches d'une perfection appelant la caresse et là-haut au-dessus de la taille crémeuse, les seins ronds qui pointaient. Pourtant, elle comprit tout de suite, qu'elle ne se livrerait pas en totalité. Ce baiser manifestait la violence de son désir, l'accuité des sensations qu'elle éprouvait mais l'esprit de Sarah demeurerait à distance. Cela, alors qu'elle se donnait sans compter. Elle risquait de rompre le charme. Elle était si claire de cheveux que sa peau était plus foncée que ses cheveux, bise et beige comme du sable fin quand la marée vient juste de se retirer. Un peu de sueur brillait sous ses aisselles, qui étaient épilées et Patricia en sentit l'odeur âpre et fine, un peu végétale et se demanda comment une femme si belle pouvait parfois se montrer d'une si grande cruauté. Elle savait à qui elle appartenait mais se demandait où étaient sa bouche, ses seins et ses reins. Les exigences de Sarah, le plus difficile n'était pas de les accepter, le plus difficile était simplement de parler. Dans la moiteur de la nuit, elle avait les lèvres brûlantes et la bouche sèche, la salive lui manquait, une angoisse de peur et de désir lui serrait la gorge, et ses mains étaient froides. Si au moins, elle avait pu fermer les yeux. Mais non, elle veillait sur la lancinante douleur des traces. La veille, elle avait accepté d'être fouettée jusqu'au sang par Sarah. Elle se souvint seulement qu'elle ne lui avait jamais dit autre chose qu'elle l'aimait. Un ordre l'aurait fait se rebeller, mais cette fois-ci, ce qu'elle voulait d'elle n'était pas qu'elle obéît à un ordre, mais qu'elle vînt d'elle-même au-devant de ses désirs sadiques. Encore un instant, avait-elle dit. Patricia se raidit, mais en vain. Elle reçut quarante coups de cravache. Elle le subit jusqu'au bout, et Sarah lui sourit quand elle la remercia. Dans le lit, elle ne pouvait cesser de désirer refermer ses cuisses meutries. Sarah s'était révélée chaque nuit de leur vie languissante toujours plus fougueuse dans leurs ébats d'alcôve. Toutes les femmes amoureuses ont le même âge, toutes deviennent des adolescentes exclusives, inquiètes, tourmentées. Sarah n'échappait pas à la règle. Mais cela ne ne déplaisait pas à Patricia. Sa Maîtresse était au fond intelligente et sentimentale. Mais surtout, elle pressentait en elle, un potentiel de soumission. Guidée par la confiance qu'elle lui portait, elle obtiendrait tout d'elle, la forcerait à concrétiser tout ce qu'elle désirerait, surtout ce qu'elle n'osait pas intimement s'avouer. Confiance aveugle indispensable pour Patricia lorsqu'un bandeau de velours ou un masque de cuir recouvraient ses yeux, lors de séances de soumission, en des lieux et en présence d'inconnus. Les humiliations, les sévices sexuels et le fouet l'épanouiraient. Mais en respectant sa dignité et sa sécurité. Tout être humain a ses limites, l'esclave a les siennes. N'avait-elle pas l'habitude d'attendre les décisions de ses plaisirs. Elle dut reconnaître en elle-même la raison de son trouble. La dépossession où elle était en réalité, elle-même. Elles étaient devant une porte, à double battant, une antichambre étroite. Dans sa main, Sarah sentait les doigts anxieux de Patricia . Elle tremblait, non de froid, elle savait ce qui l'attendait de l'autre coté. Bientôt, elle connaitrait la révélation en pénétrant dans la cave du manoir. Un mélange de curiosité et d'angoisse surgissait en elle. L'inattendu est une arme de séduction. Le jeu des situations insolites l'excitait et le danger la grisait en la plongeant dans un état second où tout son être se sentait autoriser à se dédoubler, libérant ses pulsions refoulées. Elle portait une robe droite descendant sous le genou avec une fente arrière jusqu'aux reins, ressérée à la taille mais un peu lache à la poitrine. Dessous, seulement une paire de bas noire tenue par un porte-jarretelle. Dans une des poches de sa Maîtresse, la laisse métallique qui lui était destinée lestait sa veste. Patricia frottait nerveusement ses cuisses et ses genoux les uns contre les autres faisant crisser ses bas. Elle semblait adorer l'appréhension qui précèdait sa première mise à l'épreuve, excitée par la sensation d'être préparée ainsi à son sacrifice telle une vestale. Elle aurait seulement préréfé être présentée nue sous une longue cape. L’entrée passée, Sarah l'entraîna dans un petit salon dont l’un des murs était occupé par un grand miroir. Elle se glissa derrière elle, et souleva sa chevelure. Elle fit glisser la fermeture Éclair de sa robe de la nuque, jusqu’au bas de ses reins, dégageant ses épaules et sa poitrine. Son vêtement tomba à ses pieds. Elle ne portait plus que ses bas et une paire de talons hauts. Puis, elle dégraffa ses bas et les fit glisser le long de ses cuisses. Bientôt le porte-jarretelle rejoignit le reste de sa parure au sol. Sarah lui ôta ses chaussures. Elle était totalement nue. Sarah sortit de son sac un rosebud orné d'une couronne en rubis. Elle le prit dans ses doigts quelques instants pour le réchauffer. Patricia se pencha alors en avant en écartant ses fesses pour faciliter l'intromission. Il avait été décidé qu'elle serait privée de bâillon, pour l'entendre crier mais qu'en revanche un bandeau l'interdirait de voir ceux qui la fouetteraient ou ceux qui auraient envie de la posséder par tous les orifices naturels selon leur fantaisie. Sa Maîtresse lui enserra le cou d'un collier et lui passa à ses chevilles ainsi qu'à ses poignets des bracelets. Patricia se regarda furtivement dans le miroir avant que Sarah noue le bandeau sur son visage. Elle se trouva belle dans le secret de sa nudité. L'esclavage, c'est un peu comme l'amour, le vertige en plus. Le temps de réprimer son angoisse, la porte s'ouvrit. Elles reconnûrent aussitôt Laurence. Sa mince silhouette était entierement vétue de noir, du col officier de son chemisier, jusqu’à ses bottes en cuir. Patricia lui tendit sans hésiter la la dragonne de sa laisse. Elle s'en saisit de ses mains gantées de cuir. - La nudité te va bien. Tu as un corps superbe, fait pour le sexe et pour le fouet. - Merci Madame, répondit Patricia. Elle ouvrit les deux battants et la guida vers son sacrifice; le lien pendait entre elles deux. Elle ne la tira pas, comme on mène un animal. Elle marchait derrière elle, les mains liées dans le dos, en se cambrant au maximum, projetant sa poitrine en faisant saillir ses reins. Attachée, mais libre, elle s'offrait. Au fond de la salle, éclairée par des projecteurs, l’attendait une croix de saint André. À coté d'elle se tenait une jeune fille brune aux cheveux très courts. - Je m’appelle Anne. - Et moi, Patricia, lui répondit-elle d’une voix respectueuse. - Nous allons beaucoup te faire souffrir. - Je sais que ma Maîtresse vous l’a demandé. - Madame a décidé: nous irons au bout de ce qu’elle a choisi pour vous, mais vous connaissez le code du safeword. - Je le connais et je suis prête. Anne lui entrava les chevilles et les poignets en fixant aux bracelets des cordes maintenus à la croix par des chaînes. Elle était écartelée, face à la salle plongée dans l'obscurité. Patricia savait que des yeux l'observaient, imaginant les tortures qu’ils aimeraient faire subir à sa fière poitrine, ou à son sexe ouvert. Mais seul, le regard de sa Maîtresse lui importait, en espèrant qu'elle la trouve digne de lui appartenir. Atteindrait-elle le niveau de perfection qui sublimerait leur relation périlleuse. Il était essentiel pour elle de se donner sans réserve, sans rien attendre en retour que de mériter le rang et le titre d'esclave choisie parmi toutes, pour ne susciter aucun reproche, ou plus simplement par orgueil ou par fierté. Donner cet immense bonheur à la femme qu'elle aimait était une préoccupation majeure, bien plus que la concrétisation de ses fantasmes masochistes. L'une comme l'autre ne devaient pas se décevoir mais en respectant les limites à ne pas franchir. Patricia a ses limites, l'esclave qu'elle allait devenir aurait les siennes. Sarah ne l'ignorait pas. Sur une table basse, un martinet à longues lanières en cuir, un fouet dont la méche est tressé de deux cuirs différents, et une fine cravache. Anne prit le fouet, et lança son bras. La lanière s’enroula autour de sa taille et le serpent la mordit au centre de son ventre. Le coup fut doublé au même endroit par le martinet. Bientôt, ce fut le haut des cuisses qui attira l'attention. Jamais auparavant, ces parties de son corps n'avaient été touchées même par Sarah. Et quand les lanières s'attaquèrent à ses seins en lacérant leurs pointes, elle comprit qu'elle serait intégralement fouettée sauf au visage. Puis c’est le haut de ses cuisses qui fut l’objet de leurs attentions. En écho, les lanères atteignirent son pubis mais avec plus de délicatesse. Elle cria sa douleur, comme la femme qu'elle avait entendue dans le couloir. Elle aussi avait souffert, nue et crucifiée comme elle. Plus Anne frappait fort et plus Patricia s'offrait. Elle souffrait, mais elle dominait sa souffrance. Le plaisir qui naissait insidieusement en elle la dépassait, la stigmatisait. Elle ressentait sa première jouissance cérébrale. Anne recommença méthodiquement à la flageller, lentement, alternant fouet et martinet, descendant et montant de ses épaules à ses cuisses, en quadrillant tout son corps, afin que les traces fussent nettes. La tête penchée sur le coté, elle pendait au bout de ses bras crucifiés. Bientôt, la croix qui la soutenait fut basculée vers l'avant parfaitement à l'horizontale. On lui ôta le rosebud puis une large olive métallique pénétra sans préparation son anus lui arrachant un cri de douleur. C'était un crochet anal. Anne attrapa le lien de sa chevelure et le passa dans l’anneau de métal, elle tira, cabrant sa tête en arrière. Une main adroite malaxa les pointes de ses seins pour les durcir avant de les prendre en étau par des pinces dentelées. Les deux machoires mordirent sa chair. Tout cela était nouveau pour elle, mais elle se montrait courageuse. Pas un instant, elle n'eut l'idée d'arrêter la séance en prononçant le code du safeword. Elle se découvrait plus masochiste qu'elle ne le pensait. Pour Anne, il était grand temps de franchir une nouvelle étape dans la séance. Ce furent les brûlures par une bougie. Les premières perles de cire brûlantes s'écrasèrent sur ses épaules. Bientôt les larmes de feu atteignirent ses seins zébrés par le fouet. Enfin la brûlure gagna son périnee entre les deux voies intimes. Dans son esprit échauffé par cette succession de peurs, de douleurs et de plaisirs entremêlés, des images fulgurantes de sacrifice déferlèrent en elle. Elle se surprit à chuchoter "merci" à chaque nouveau coup alors même que sa chair se déchirait et que son sang coulait. Elle allait gagner la considération de Sarah. Devenir esclave, digne de ce nom. C'était pour elle comme l'amour avec une excitation vertigineuse en plus. La fin de la soirée s'écoula comme dans un rêve. Après avoir ôté le crochet anal, on rétablissa la croix de saint André à la verticale, pour la libérer de ses liens. Honteuse mais fière, elle avait joui des traitements infligés par la seule volonté de sa Maîtresse. Sarah la rejoignit, recouvra ses épaules d'une cape et l'embrassa. Patricia n'avait plus rien à offrir qu'elle ne possédât déjà. Sa Maîtresse considérait qu'elle était infiniment plus émouvante lorsqu'elle portait des traces, quelles qu'elles fussent, car elles indiquaient aussitôt que tout était permis à son égard. Elle la prit fermement par la nuque pour l'attirer contre elle, remettant à plus tard les préludes indolents. Elle quémandait qu'on la fouette. Sarah ne demandait pas mieux. Elle puisait plaisir et fierté dans les gémissements qu'elle lui arrachait. Quand elles furent toutes les deux nues dans le grand lit, Patricia se sentit enfin en paix. En paix et en feu. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 16/06/20
Juliette n'était pas du genre à accepter l'échec dans quelque domaine que ce soit surtout auprès des femmes. Elle avait le sens de la compétition, exacerbé par la pratique de l'équitation qu'elle pratiquait encore régulièrement. Rien ne lui plaisait plus que l'odeur des écuries, monter et démonter des barres en carrière au petit matin, s'endormir dans le van au retour d'un concours de saut d'obstacles. Elle avait fait la connaissance de Sarah dans un club. Depuis, elle n'avait qu'une idée en tête, la pousser à se soumettre totalement à elle, corps et âme. Elle était déjà son amante attitrée depuis leur rencontre. Sarah s'était révélée chaque nuit de leur vie languissante toujours plus fougueuse dans leurs ébats d'alcôve. Toutes les femmes amoureuses ont le même âge, toutes deviennent des adolescentes exclusives, inquiètes, tourmentées. Sarah n'échappait pas à la règle. Mais cela ne déplaisait pas à Juliette. Elle était intelligente, sentimentale et charmante. Mais surtout, elle pressentait en elle, un réel potentiel de soumission. Guidée par la confiance qu'elle lui porterait, Juliette obtiendrait tout d'elle, la forcerait à concrétiser tout ce qu'elle désirerait, surtout ce qu'elle n'osait pas intimement s'avouer. Confiance aveugle indispensable pour Sarah lorsqu'un bandeau de velours ou un masque de cuir recouvrirait ses yeux, lors de séances de soumission, en des lieux et en présence d'inconnus. Les humiliations, les sévices sexuels et le fouet l'épanouiraient. Mais en respectant la sécurité. Tout être humain a ses limites, l'esclave a les siennes. Elles étaient devant une porte, à double battant, une antichambre étroite. Dans sa main, Juliette sentait les doigts anxieux de Sarah. Elle tremblait, non de froid, elle savait ce qui l'attendait de l'autre coté. Bientôt, elle connaitrait la révélation en pénétrant dans la cave du manoir. Un mélange de curiosité et d'angoisse surgissait en elle. L'inattendu est une arme de séduction. Le jeu des situations insolites l'excitait et le danger la grisait en la plongeant dans un état second où tout son être se sentait autoriser à se dédoubler, libérant ses pulsions refoulées. Elle portait une robe droite descendant sous le genou avec une fente arrière jusqu'aux reins, resserrée à la taille mais un peu lâche à la poitrine. Dessous, seulement une paire de bas noire tenue par un porte-jarretelle. Dans une des poches de sa Maîtresse, la laisse métallique qui lui était destinée lestait sa veste. Sarah frottait nerveusement ses cuisses et ses genoux les uns contre les autres faisant crisser ses bas. Elle semblait adorer l'appréhension qui précédait sa première mise à l'épreuve, excitée par la sensation d'être préparée ainsi à son sacrifice telle une vestale. Elle aurait seulement préféré être nue sous une longue cape. L’entrée passée, Juliette l'entraîna dans un petit salon dont l’un des murs était occupé par un grand miroir. Elle se glissa derrière elle, et souleva sa chevelure. Elle fit glisser la fermeture Éclair de sa robe de la nuque, jusqu’au bas de ses reins, dégageant ses épaules et sa poitrine. Son vêtement tomba à ses pieds. Elle ne portait plus que ses bas et une paire de talons hauts. Puis, elle dégrafa ses bas et les fit glisser le long de ses cuisses. Bientôt le porte-jarretelle rejoignit le reste de sa parure au sol. Juliette lui ôta ses chaussures. Elle était totalement nue. Juliette sortit de son sac un rosebud orné d'une couronne en rubis. Elle le prit dans ses doigts quelques instants pour le réchauffer. Sarah se pencha alors en avant en écartant ses fesses pour faciliter l'intromission. Il avait été décidé qu'elle serait privée de bâillon, pour l'entendre crier mais qu'en revanche un bandeau l'interdirait de voir ceux qui la fouetteraient ou ceux qui auraient envie de la posséder par tous les orifices naturels selon leur fantaisie. Sa Maîtresse lui enserra le cou d'un collier et lui passa à ses chevilles ainsi qu'à ses poignets des bracelets. Sarah se regarda furtivement dans le miroir avant que Juliette noue le bandeau sur son visage. Elle se trouva belle dans le secret de sa nudité et la noblesse du cuir. L'esclavage, c'est un peu comme l'amour, le vertige en plus. Le temps de réprimer son angoisse, la porte s'ouvrit. Elles reconnurent aussitôt Béatrice. Sa mince silhouette était entièrement vêtue de noir, du col officier de son chemisier, jusqu’à ses bottes en cuir. Juliette lui tendit sans hésiter la dragonne de sa laisse. Elle s'en saisit de ses mains gantées de cuir. - La nudité te va bien. Tu as un corps superbe, fait pour le sexe et pour le fouet. - Merci Madame, répondit Sarah. Elle ouvrit les deux battants et la guida vers son sacrifice; le lien pendait entre elles deux. Elle ne la tira pas, comme on mène un animal. Elle marchait derrière elle, les mains liées dans le dos, en se cambrant au maximum, projetant sa poitrine en faisant saillir ses reins. Attachée, mais libre, elle s'offrait. Au fond de la salle, éclairée par des projecteurs, l’attendait une croix de saint André. À coté d'elle se tenait une jeune fille brune aux cheveux très courts. - Je m’appelle Claire. - Et moi, Sarah, lui répondit-elle d’une voix respectueuse. - Nous allons beaucoup te faire souffrir. - Je sais que Juliette vous l’a demandé. - Madame a décidé: nous irons au bout de ce qu’elle a choisi pour vous, mais vous connaissez le code du safeword. - Je le connais et je suis prête. Claire lui entrava les chevilles et les poignets en fixant aux bracelets des cordes maintenus à la croix par des chaînes. Elle était écartelée, face à la salle plongée dans l'obscurité. Sarah savait que des yeux l'observaient, imaginant les tortures qu’ils aimeraient faire subir à sa fière poitrine, ou à son sexe ouvert. Mais seul, le regard de sa Maîtresse lui importait, en espérant qu'elle la trouve digne de lui appartenir. Atteindrait-elle le niveau de perfection qui sublimerait leur relation périlleuse. Il était essentiel pour elle de se donner sans réserve, sans rien attendre en retour que de mériter le rang et le titre d'esclave choisie parmi toutes, pour ne susciter aucun reproche, ou plus simplement par orgueil ou par fierté. Donner cet immense bonheur à la femme qu'elle aimait était une préoccupation majeure, bien plus que la concrétisation de ses fantasmes masochistes. L'une comme l'autre ne devaient pas se décevoir mais en respectant les limites à ne pas franchir. Sarah avait ses limites, l'esclave qu'elle allait devenir aurait les siennes. Juliette ne l'ignorait pas. Sur une table basse, un martinet à longues lanières en cuir, un fouet dont la mèche est tressé de deux cuirs différents, et une fine cravache. Claire prit le fouet, et lança son bras. La lanière s’enroula autour de sa taille et le serpent la mordit au centre de son ventre. Le coup fut doublé au même endroit par le martinet. Bientôt, ce fut le haut des cuisses qui attira l'attention. Jamais auparavant, ces parties de son corps n'avaient été touchées même par Juliette. Et quand les lanières s'attaquèrent à ses seins en lacérant leurs pointes, elle comprit qu'elle serait intégralement fouettée sauf au visage. Puis c’est le haut de ses cuisses qui fut l’objet de leurs attentions. En écho, les lanières atteignirent son pubis mais avec plus de délicatesse. Elle cria sa douleur, comme la femme qu'elle avait entendue dans le couloir. Elle aussi avait souffert, nue et crucifiée comme elle. Plus Claire frappait fort et plus Sarah s'offrait. Elle souffrait, mais elle dominait sa souffrance: le plaisir qui naissait insidieusement en elle la dépassait, la stigmatisait. Elle ressentait sa première jouissance cérébrale. Claire recommença méthodiquement à la flageller, lentement, alternant fouet et martinet, descendant et montant de ses épaules à ses cuisses, en quadrillant tout son corps, afin que les traces fussent nettes. La tête penchée sur le coté, elle pendait au bout de ses bras crucifiés. Bientôt, la croix qui la soutenait fut basculée vers l'avant parfaitement à l'horizontale. On lui ôta le rosebud puis une large olive métallique pénétra sans préparation son anus lui arrachant un cri de douleur. C'était un crochet anal. Claire attrapa le lien de sa chevelure et le passa dans l’anneau de métal, elle tira, cabrant sa tête en arrière. Une main adroite malaxa les pointes de ses seins pour les durcir avant de les prendre en étau par des pinces dentelées. Les deux mâchoires mordirent sa chair. Tout cela était nouveau pour elle, mais elle se montrait courageuse. Pas un instant, elle n'eut l'idée d'arrêter la séance en prononçant le code du safeword. Elle se découvrait plus masochiste qu'elle ne le pensait. Pour Claire, il était grand temps de franchir une nouvelle étape dans la séance. Ce furent les brûlures par une bougie. Les premières perles de cire brûlantes s'écrasèrent sur ses épaules. Bientôt les larmes de feu atteignirent ses seins zébrés par le fouet. Enfin la brûlure gagna son périnée entre les deux voies intimes. Dans son esprit échauffé par cette succession de peurs, de douleurs et de plaisirs entremêlés, des images fulgurantes de sacrifice déferlèrent en elle. Elle se surprit à chuchoter "merci" à chaque nouveau coup alors même que sa chair se déchirait et que son sang coulait. Elle allait gagner la considération de Juliette. Devenir esclave, digne de ce nom. C'était pour elle comme l'amour avec une excitation vertigineuse en plus. La fin de la soirée s'écoula comme dans un rêve. Après avoir ôté le crochet anal, on rétablit la croix de saint André à la verticale, pour la libérer de ses liens. Honteuse mais fière, elle avait joui des traitements infligés par la seule volonté de sa Maîtresse. Juliette la rejoignit, recouvra ses épaules d'une cape et l'embrassa. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 08/06/20
Un air doux remplit sa chambre. Elle est le lieu de toutes les libertés, de toutes les expressions. Spacieuse, blanche, pour seuls meubles, en bois naturel, une commode ronde et une simple coiffeuse avec deux miroirs. Un grand lit au centre, encadré de voiles blancs qui accompagnent le moindre vent, deux grands fauteuils blancs au cadre en bois. La nuit est magnifique. Elle est au même diapason de son attente. Il n'y a qu'une heure qu'elles sont couchées, chacune dans une chambre, quand Charlotte perçoit du mouvement dans le couloir, puis dans sa chambre. Le clair de lune jette son halo fantomatique dans la pièce. Bien qu'elle tourne le dos à la porte, Charlotte aperçoit dans la glace Juliette qui s'avance vers son lit. Elle est nue, ses seins fermes et hauts placés ainsi que ses jambes galbées et bronzées lui confèrent une silhouette indéniablement désirable. Elle soulève le drap et se glisse dessous. Une légère brise tiède agite le rideau à la fenêtre. Juliette se blottit dans le dos de son amie, telle une amante. Charlotte peut sentir ses cuisses brûlantes et ses mamelons durs contre sa peau. Le désir comme tous les sens s'éveillent. - Tu voulais enfin que je te l'avoue ? J'ai très envie de te faire l'amour. Charlotte se retourne brusquement, Elle porte juste un tanga en soie noir. - Juliette ! - Quoi ? Ne me dis pas que tu ne t'en doutais pas, quand même ! Charlotte s'allonge dans le lit en ramenant le drap sur sa poitrine. - Je croyais que c'était un jeu, Juliette. - Eh, bien non, je n'ai jamais été aussi sérieuse de ma vie. Charlotte examine Juliette pour s'assurer qu'elle est sincère. - Je ne suis pas lesbienne, affirme-t-elle au bout d'un moment. - Comment tu le sais ? - J'ai un amant. - Et alors ? Tu as déjà essayé ? s'amuse Juliette. - Tu sais bien que non. - Alors, laisse-moi faire .. Après, tu prendras ta décision. Les mains de Juliette lui prodiguent des caresses d'une douceur infinie. Elle accueille d'abord passivement le baiser de son amie, avant de s'abandonner pour de bon et de lui rendre fougueusement la pareille. Juliette faufile une main entre les fesses de Charlotte, puis son index suit la fente de sa vulve. Profitant de la réceptivité de son amie, Juliette le pousse à l'intérieur, où elle découvre son sexe ouvert et humide. Ses cuisses sont moites et ses fesses, très chaudes. Le corps de son amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement rejetée en arrière. D’une brusque contraction, elle comprend que sa belle jouit. Les spasmes qui enferment ses doigts en elle se font plus forts et désordonnés. Elle n’est plus que frissons. Elle vibre. Elle gémit. Elle râle. Elle crie. C’est beau, une femme s’abandonnant à l’orgasme. Après un instant de calme, ses convulsions reviennent avec plus de force. La respiration de Charlotte se bloque. L’air de ses poumons est expulsé dans un long cri de plaisir. Un silence s’est fait dans la pièce. Contraste saisissant avec les sons de nos ébats. Ce calme est reposant. On est bien, dans les bras l’une de l’autre. Le réverbère éclaire légèrement la chambre. Une pénombre agréable noie la pièce et je devine plus que je ne vois le visage de Charlotte. Et, bercées par les caresses douces et régulières, le sommeil a fini par nous saisir. Bientôt, je me réveille. J’ai soif. Je me décolle du corps de mon amante de la nuit en tentant de ne pas la réveiller. Je reste quelques instants appuyée contre le chambranle de la porte. Je regarde sa silhouette, seulement éclairée maintenant par le halo de la lune qui éclaire faiblement la chambre au travers des volets. Elle est belle. Plus grande que moi, plus musclée aussi. Ses courts cheveux bruns lui donne un air androgyne irrésistible; j’entends son souffle. Son corps bronzé s’étale lascivement sur le drap blanc. Je souris en m’écartant de la porte pour gagner la cuisine. Il fait assez clair dans la petite pièce pour que je puisse me servir d’eau sans allumer la lumière. Je n’ai pas envie que les néons brisent la quiétude de la nuit. J’ouvre deux placards avant de me saisir d'un verre. J’ouvre le robinet et me sers un grand verre. Je sursaute. Un corps chaud se colle au mien. Des bras se nouent sous ma poitrine. Ses lèvres se posent contre ma jugulaire. Je ne peux m’empêcher de frissonner. Sa bouche est si douce. Je pose le verre au fond de l’évier et m’appuie sur elle, en murmurant: - Je connais ton corps, mais je ne connais rien de toi. Je la sens rire gaiement alors qu’elle pose son front contre mon épaule et que ses mains descendent contre mon pubis. - Tu apprendras à me connaître. Je frémis sous ses doigts. Je ferme les yeux. Mes doigts, au dessus de ma tête, se perdent dans les cheveux bruns de mon amante. Les siens s’égarent dans ma fente encore moite et ouverte de nos plaisirs de la nuit. Humide, je le suis. Son souffle dans mon cou, ses mains sous mes seins, je frémis de ses caresses. Charlotte me retourne dans ses bras. Elle se colle contre moi. Son corps est chaud et doux. Je tends mes lèvres en fermant les yeux. Sa bouche se pose sur la mienne dans un baiser plein de tendresse. Elle pose ses lèvres à de multiples reprises juste au dessus de ma bouche et sourit de mon agacement quand je veux les capturer. Elle retire son visage quand je cherche à établir un contact. Un affectueux sourire se dessine sur sa figure. - Tu es toujours trop pressée. Mes mains jusqu’alors posées sagement sur ses fesses attrapent ses joues qui me fuient. Nos langues se nouent. Sans hâte, mais dans une fièvre conviction. Je pose mes bras sur ses épaules. L’attire encore plus contre moi. Ma langue se fait plus fougueuse. On s’écarte à regret mais à bout de souffle. - J’ai raison d’être pressée ! Tu n’aimes pas mes baisers ? Son rire mélodieux me répond. Je fixe ses yeux. Un nouvel éclat transparait dans son regard sombre. Elle frémit dans mes bras. J'y vois du désir, de l’excitation, de l’appétit. Je devine dans son regard une soif inétanchable de plaisir et de passion. Son bras me décolle de l’évier. Elle me soulève pour me poser sur la table de cuisine. J’écarte les cuisses. Elle s'insère entre elles. Le haut de ses jambes frotte contre mon sexe ouvert. Un doux baiser sur mes lèvres et bientôt elle s’agenouille. Sa bouche est à la hauteur de ma vulve. Je suis trempée. Je la regarde. Elle est belle, comme cela. Cette vision m’électrise. D’un souffle, elle me fait me cambrer. Sa langue sort lentement de sa bouche et commence à me lécher. Charlotte écarte mes nymphes de ses lèvres. Ses légers coups de langues remontent vers mon clitoris déjà tendu. Elle tourne autour, sans jamais le toucher. Redescend vers mon sexe moite qui implore une pénétration. Je sens les contractions désordonnées. Sa langue me pénètre. Elle fouille mon intimité docile. Elle lèche l’intérieur de mon vagin. Je rejette la tête en arrière. Un gémissement de plaisir passe mes lèvres ouvertes, elles aussi. Son organe lingual remonte vers mon clitoris. Il est dur et elle le lape, l'aspire, le pince et le mordille. D’un geste saccadé, je maintiens sa tête entre mes cuisses. Je gémis. Mon bas ventre s'enflamme. Je geins. Une longue plainte m’échappe. Le bonheur m’empêche de respirer. Je lance mon ventre contre sa bouche. Je me déchaîne. Deux doigts me pénètrent profondément. C’en est trop. Je pousse un dernier cri avant d’être prise de tremblements. Chavirée de secousses, je jouis. Elle se relève, alors que son index et son majeur continuent à me fouiller. Elle me soutient le dos en passant un bras derrière mes épaules. Ses doigts en moi ont trouvé mon point G. M'amollissant avant de partir dans de longs soubresauts, je m'abandonne en giclant dans un orgasme parcourant mon corps tendu. Quand je rouvre les yeux, je suis allongée dans le lit de ma fabuleuse amante. Ses yeux brillants dans la nuit me fixent. Je l’enjambe, mon corps encore lourd de l’abandon s’écrase contre le sien. Nos lèvres se joignent encore. Son ventre et ses abdominaux que j’avais deviné au premier regard. Ma bouche s’écarte, je m’en vais agacer le bas de sa côte droite. Mes mains lâchent ses adorables seins pour découvrir ses flancs. Ma bouche découvre pour la seconde fois de la nuit ce sexe épilé, ce clitoris érigé et le goût si particulier de cette cyprine. Je donne un bref coup de langue sur ce bouton tendu qui fait frémir mon amante et poursuit mon inlassable descente. Le vagin qui a avalé une partie de ma main tout à l’heure m’appelle de nouveau. Je le pénètre, de ma langue, de mes doigts, suivant la respiration de Charlotte. Elle gémit, se tend, vibre. Je quitte ce lieu humide pour continuer la voie des délicieuses découvertes, non sans laisser mon index au chaud. Je lèche avidement le périnée. Je touche enfin mon but: le petit orifice entre ses fesses musclées. Je la bascule sur le ventre en écartant son genou pour pouvoir lui dispenser ma caresse buccale. Je lèche consciencieusement, passe sur l’anus qui se détend peu à peu, tourne, contourne et retourne. Mon doigt pénètre toujours plus profondément son intimité. Mon plaisir me guide entre ses reins, dans la vallée chaude de ses fesses, à l'entrée de l'étroit pertuis; elle se cambre pour aller à la rencontre de mes doigts inquisiteurs. Je souris aux encouragements de ma belle et fais tournoyer ma langue sur les pourtours de son anus pénétré. Quand je la sens complètement détendue, un second doigt entre en elle. Elle se redresse et se cambre encore plus en émettant une longue plainte. À genoux devant moi, soumise et débauchée. Le spectacle est beau et jouissif. Elle s'offre à moi. Le corps de mon amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement rejetée en arrière. D'une brusque contraction, je comprends qu'elle jouit. Les spasmes qui enferment mes doigts en elle se font plus forts et désordonnés. Elle crie. Elle n’est plus que frissons. Je continue mes mouvements de va-et-vient pour que perdure sa jouissance anale. Après tant de jouissances, nos esprits sont brumeux. Sa main douce contre mon flanc, mes lèvres contre les siennes. Des jolis moments tendres en attendant le sommeil, de nouveau. Réveillée, elle se lève, m’embrasse tendrement et m’entraine vers la salle de bain. Elle m’enlace en me faisant rentrer dans la douche. L’eau chaude coule sur nos corps amoureux. Rapidement, la buée envahit la petite pièce. La proximité que nous impose l’étroitesse de la douche est mise à profit. Mes mains redécouvrent ce corps magnifique. Sa bouche aspire mes seins tendus. Ses doigts agacent mon clitoris. De lents mouvements en douces caresses, je suis surprise par la jouissance qui me saisit. Je me retiens à elle, me sentant vacillante. Je dépose un baiser au creux de ses reins avant de me relever. D’une pression sur son épaule, Charlotte se retourne. Je prends du gel douche et poursuit amoureusement mon massage. L'intérieur de ses cuisses, ses fesses et le pourtour de son anus; je masse la zone sous les seins, si érogène. Je saisis sa poitrine, frictionne et agace les pointes. Elle gémit sous la caresse. Je souris. Je pose mes genoux contre la faïence du bac de douche. Je suis juste à la hauteur de son sexe qui semble toujours aussi demandeur. Mes mains jouent avec ses abdos et son pubis lisse. Je m’égare sur l’aine, j’embrasse le clitoris qui dépasse de ses lèvres. Elle s’appuie contre le mur. Ma langue écarte ses petites lèvres, guidée par les mouvements de bassin, j’amène mon amante à la jouissance. Elle roulèrent sans un mot sur le sol carrelé de la salle de bain. Leur envie réciproque de se posséder les transforma en lutteuses. Elles s'encastrèrent l'une contre l'autre en s'embrassant et en se griffant, seins contre seins, ventre contre ventre, en un combat furieux. - Raconte-moi ce que tu ressens quand ton amant commence à nouer des cordes autour de toi demanda Juliette. Quelle sensation cela procure de se retrouver nue et vulnérable ? - J'ai peur. Et en même temps, je suis impatiente. - Il te caresse en t'attachant ? - Non, il est comme absent. - Il t'a déjà fouettée ? - Non, jamais. - Et tu le regrettes ? - Peut-être, oui. Charlotte fut surprise de sa propre réponse, comme si ce n'était pas elle qui avait répondu mais une autre. Sans attendre, Juliette dit à Charlotte de se lever pour lui lier les poignets d'une épaisse corde de chanvre qu'elle attacha à un anneau au plafond, bien tendue pour l'obliger à se tenir bras levés et sur la pointe des pieds. Elle entendit le sifflement des lanières en cuir d'un martinet. - Qu'est-ce que tu fais ? - Je répare un oubli, répondit Juliette. - Tu veux que je te bâillonne ? Charlotte secoua la tête. Non, elle ne voulait pas être bâillonnée. Elle voulait sentir la douleur lui monter jusqu'à la gorge pour y exploser. Cela devait faire partie du rituel. Il fallait que quelque chose sorte d'elle. Elle osa un regard par dessus son épaule. Indifférente, bien campée sur ses jambes fuselées, ses seins dressés tressautant au rythme de ses larges mouvements. Juliette éprouvait la souplesse du ceinturon en en fouettant l'air. Ainsi nue et armée, elle ressemblait à une déesse antique. Charlotte ferma les yeux. Elle désirait être fouettée et Juliette seule pouvait lui faire subir cette épreuve. Ce serait non seulement s'offrir en captive à l'amour, mais mieux encore, se donner en esclave, à une autre femme de surcroît. Accepter ses coups, encaisser à travers elle, la fureur de toutes les femmes. Juliette la fouetta avec application. Ses coups précis, parfaitement cadencés, atteignaient alternativement une fesse, puis l'autre, parfois le haut des cuisses, parfois le creux des reins. Trente, quarante, cinquante coups Charlotte ne comptait plus. Aux brûlures locales d'abord éprouvées s'était substituée une sensation d'intense chaleur, comme si elle avait exposé son dos à un âtre crépitant. Le supplice était le prix à payer pour que son amante continuât à l'aimer, elle souhaitait seulement qu'elle fût contente qu'elle l'eût subi et attendait muette. Quand le cuir atteignit le renflement de sa vulve, subitement son corps fut traversé de part en part par une fulgurante flamme de couleur rouge orangé. Elle en sentit la chaleur l'irradier et plonger dans son ventre comme une boule de feu. La douleur et le plaisir fusionnèrent ensemble. Elle hurla à nouveau mais de plaisir cette fois. Juliette cessa aussitôt de la frapper et tomba à genoux devant elle. Posant avec une infinie délicatesse les doigts sur ses reins meurtris, elle attira jusqu'à sa bouche la peau empourprée des cuisses et du ventre qu'elle couvrit de baisers. Elle aspira entre ses lèvres, les lèvres de son sexe, les lécha avec douceur. Charlotte s'abandonna. Charlotte avait accepté secrètement non sans abnégation de se soumettre définitivement à Juliette. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 07/06/20
Aux mensurations usuelles, le commissaire priseur ajoutait chaque fois longueur du pénis en érection pour les mâles, le diamètre introital pour les femelles. Il précisait, si besoin, les appartenances sexuelles d'origine, mais pour des soumis, le sujet n’avait pas véritablement lieu d'être. Je remarquais que, contrairement aux légendes, aucun esclave n’était marqué au fer. En revanche, ils étaient tous tatoués à la fesse, à l’intérieur des cuisses, sur le pubis ou en quelque autre endroit sensible. J’en fis la remarque à Sarah, ajoutant que ces marques indélébiles pouvaient décourager un acheteur. Elle me répliqua que les esclaves ont tous leur histoire propre et qu’il convient de la respecter, c’est pourquoi les marques devaient, si possible, être apposées côte à côte. - Et pourquoi ne pas avoir fait marquer Cléo ? - Qui vous dit qu’elle ne l’est pas ? - Chhhhhuuuuuttttt ! souffla-t-on dans notre dos tandis que le second lot se présentait. Cléo était la cinquième. Elle s’aligna en fin de rangée, sans vraiment attirer l’attention puisque les regards étaient rivés sur la première du lot : une sublime noire qui dépassait tous ses compagnons d’infortune, hommes compris, d’une demie-tête. Son port altier, ses seins menus et ses longues cuisses musclées laissait imaginer une princesse des sources du Nil. Accrochées à ses tétons, son nombril et son sexe, des cascades de minuscules disques d’or scintillaient sur sa peau sombre, accentuant la majesté de sa démarche par leur lent balancement. Sa démarche féline tout au long du catwalk donna l’impression d’un ralenti cinématographique, le public retenait sa respiration. Sarah elle-même était subjuguée. Suivaient un mâle et deux autres jolies femelles. Un serpent noir et or enserrait de ses trois anneaux la base du sexe du mâle. Les deux femelles étaient bâillonnées et tenues par une laisse aux anneaux de leurs tétons. Une discrète plaque de métal doré fixée par un jeu de piercings à leurs grandes lèvres garantissait leur chasteté vaginale. L’une des deux femelles avait le crâne rasé. Les regards qu’elles se lançaient me firent imaginer une complicité. Si ses compagnons portaient la tête haute et assumaient fièrement leur condition, Cléo paraissait au contraire accablée d’être réduite au sort qui était le sien. La piqure d’aiguillon sur la fesse que lui administra une vigile la rappela à l’ordre, elle se redressa et exposa plus avantageusement sa poitrine, comme on lui avait appris à le faire, ce qui, dans son cas, n’avait pas beaucoup d’incidence mais restait charmant. La bataille fit rage pour emporter la princesse nubienne. Les chiffres voltigeaient dans l’air comme des avions de papier lancés par une classe d’école dissipée. Je crois me souvenir qu’elle fut adjugée à un prix représentant une année de salaire pour moi, ce qui, en toute honnêteté, ne me parut pas excessif. Elle échoua finalement aux pieds un homme d’âge mûr, auquel elle n'octroya pas même un regard. Beaucoup de femmes, mais aussi d’hommes, réclamèrent de toucher de cockring du mâle et le prix de ce dernier s’envola à son tour. Sans atteindre toutefois celui de la princesse nubienne, il parut largement satisfaire la vendeuse. Les deux filles qui suivaient, avaient certes des qualités et elles partirent rapidement. Ils finirent au service de deux couples. J’eus l’impression qu’elles souffraient d’être séparées. Les deux couples étaient ravis. - Ce sont deux soeurs, me chuchota Sarah… Vint enfin le tour de Cléo. Le commissaire priseur s’attacha à préciser qu’il ne s’agissait pas d’une vente mais d’une location comme il arrive parfois. Pour Cléo, la location était fixée à une semaine. Cléo défila en mettant toute sa sincérité dans l’exercice. Elle écarta les cuisses à l’extrémité du catwalk et passa les doigts sur sa fente et pétrissant ses seins de l’autre main. Il était évident que sa fraîcheur, son naturel, étaient ses meilleurs atouts. Plusieurs mains se levèrent, hommes et femmes confondus. Soudain, je réalisai que rien ne s’opposait à ce qu’elle soit achetée par un homme. - Evidemment, me répondit Sarah. Ce serait sa réelle punition. - Tu sais, s’il fallait qu’elle soit prise par un homme, la première fois, j’aurais préféré que je sois par moi. J’aime beaucoup Cléo. - Je sais. Vous l’avez prise l’autre fois, à travers moi… - Ce n'était que symbolique. Tous les deux, nous aurions pu l’amener à subir puis accepter puis aimer le sexe de l’homme. Une vraie éducation, en quelque sorte. - Monsieur, sans vouloir vous offenser, permettez-moi de vous dire que vous êtes désespérément idéaliste. Vous aimez Cléo parce qu’elle vous échappe. Parce que vous ne l’avez pas prise, elle, mais son image. C’est le drame des hommes, ils n’aiment que ce qu’ils n’auront jamais. Pendant que nous échangions, les enchères sur Cléo furent emportées par une jeune femme. J’en fus soulagé. Sarah eut une réaction d’agacement. Je dus lui saisir le poignet et la maintenir à sa place pour qu’elle n’improvise je ne sais quel scandale. - Sarah, il ne s'agit que d’une semaine. Nous reprendrons tout comme avant lorsqu’elle rentrera. Je te le promets. Elle se blottit contre mon épaule pour pleurer. - Je l’aime, vous savez ? - Oui. Pendant qu’elle dissimulait son chagrin dans les plis de ma veste, je glissais ma main entre ses bas, sous sa minijupe. Il faisait assez sombre et l’assistance était trop accaparée par la suite de la vente pour s’intéresser à nous. Son entrejambe fiévreuse accueillit mes caresses avec gratitude. Sa fente s’entrebâilla devant mon intrusion. Un musc empoissa mes doigts, par d’insensibles mouvements du bassin, Sarah quêta mes faveurs. J’hésitais… Cléo et son acheteuse quittaient la salle. J’eus à peine le temps de détailler son acheteuse : grande, fine, les cheveux courts, en Jean’s sous un manteau long, vraisemblablement du même âge que Cléo... Néanmoins, tout en ne sachant rien des conditions de la location ni de l’identité de l’acheteuse, je fus rassuré de constater qu’il s’agissait d’une lesbienne. - Vous voulez me rendre folle, Monsieur ? supplia Sarah. - Oui, bien évidemment, lui répondis-je agacé. La vente était peut-être finie mais le commissaire priseur n’en avait pas complètement terminé. Alors que les conversations battaient leur plein, on entendit son marteau réclamer le silence. Mesdames et messieurs, ainsi que le veut la tradition, une esclave acquise avec le bénéfice des ventes va être mise gracieusement à votre disposition durant trente minutes, suite à cela, nous vous demanderons de bien vouloir quitter la salle et surtout rester en contact avec nous dans l’attente de la prochaine vente ! En même temps qu’il achevait son speech, deux vigiles, un homme et une femme firent entrer une jeune femme nue et bâillonnée. Elle était blonde, avec de longs cheveux en tresse, et dans ce qui restait de lumière sa peau ressemblait à de la soie. On la fit s’agenouiller au centre de la salle. Le public se referma peu à peu autour de cette offrande vivante. - C’est toi qui devrait être à sa place, dis-je à Sarah - Vous avez raison, Monsieur, répondit-elle en faisant tomber son bustier et sa minijupe. Des hommes s’approchèrent d’elle, des femmes s'emparèrent d’elle. Sarah fut pénétrée simultanément par la bouche et le vagin par plusieurs fois deux hommes qui jouirent en elle tandis qu’elle faisait éjaculer d’autres hommes en les branlant. Sarah lécha et suça, fut léchée et sucée, par autant de femmes qui forcèrent sa chatte avec leurs mains entières. Mais Sarah ne fut pas sodomisée. Car c’était mon privilège. Je la relevai exténuée et dus la porter jusqu’à la voiture. Elle ne prononça pas un mot jusqu’au lendemain après-midi. Et moi non plus.
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Par : le 01/06/20
Ma vie de soumise Chapitre 9 : Samedi 4 Samedi. Je me rends chez mon Maître. Que m’aura-t-il préparé aujourd’hui ? J’ai toujours été surprise. Je sens un homme derrière moi. Il me stoppe et me place un mouchoir sous le nez …. Où suis-je ? Je suis ballotée, j’ai un bâillon sur la bouche et un bandeau sur les yeux. Je dois être dans le coffre d’une voiture. Que m’arrive-t-il ? La voiture s’arrête, j’entends le couvercle du coffre s’ouvrir et une main agrippe mon bras pour me faire sortir de ce coffre. Un homme me guide, il me semble que nous entrons dans une maison. L’homme me fait descendre des escaliers. Puis nous nous arrêtons. J’entends une clé dans une serrure et une porte qui s’ouvre. Nous reprenons notre marche et j’entends une porte se fermer puis nous nous arrêtons. On me retire mon bâillon et mon bandeau. J’ai en face de moi un homme cagoulé. Il s’adresse à moi : - Déshabille-toi complètement. Enlève ton collier ! Je ne bouge pas. Je reçois une belle paire de gifles. - Qu’est-ce que j’ai dit ? Cette fois, j’obtempère. - Ça ne sert à rien de crier. Personne ne peut t’entendre. L’homme récupère mes vêtements, ouvre la porte puis la referme. J’entends la clé dans la serrure. Je suis dans une cave dans laquelle il y a un lit de camp, une couverture et un pot de chambre. La lumière entre par un soupirail mais celui-ci est trop haut pour que je puisse l’atteindre. Je fais les cent pas dans cette cave. Pourquoi m’a-t-on enlevée ? Je n’ai pas d’argent et personne ne pourrait payer une rançon. Je me retiens de pleurer. Je m’assois sur le lit de camp et me place sous la couverture. Que va-t-il m’arriver ? Mon geôlier revient. Il a fermé la porte de la cave. - Lève-toi, tu t’appuies avec tes mains sur le mur et tu te penches ! Quand je suis appuyée sur le mur, l’homme s’approche de moi, avec ses mains sur mes hanches il rectifie ma position. Je suis sans défense. Pour m’échapper, il faudrait que je le neutralise et que je prenne les clés dans la poche. Il descend son pantalon et son caleçon et, d’un coup, sa queue entre dans mon vagin. - Ne bouge pas, me dit-il. Il me laboure puis finit par jouir. Il se retire, se rajuste et s’en va. Je suis blessée, humiliée. J’étais toujours consentante quand j’ai été prise. C’est un viol ! J’ai été violée ! Je me réfugie sur le lit de camp et me blottis sous la couverture. J’arrive quand même à dormir. Je suis réveillée à nouveau par un autre homme, il est planté devant moi, son pantalon et son caleçon à ses pieds. - Viens me sucer ! Je n’ai toujours pas le moyen de refuser. Je m’agenouille devant l’homme et prend en bouche son sexe. - Et tu ne recraches pas, tu avales ! L’homme me tient la tête, son sexe remplit ma bouche. Il finit par jouir. Puis il se rajuste et disparaît. Je reste pantoise. Je suis humiliée de subir tous ces événements. On ne m’a quand même pas kidnappée pour un coït et une fellation. Le soir arrive. Un homme m’apporte une bouteille d’eau et un sandwich. Je n’ai pas très faim mais je mange quand même. Puis je me couche et finis par m’endormir. Je suis réveillée par un bruit de serrure. Mon geôlier me fait reprendre la position que j’avais quand il m’a violée. Il baisse son pantalon et son caleçon. Je vais être violée une nouvelle fois. Mais il choisit mon autre orifice, ses mains écartent mes fesses et son sexe entre dans mon cul. Je suis encore une fois la victime de cet homme. Combien de fois vais-je devoir le subir ? Je l’entends rugir, il éjacule enfin en moi. Il se rajuste et s’en va. Je suis de nouveau enfermée. Je n’ai même pas la possibilité de me laver, j’ai l’impression d’avoir toujours un goût de sperme dans la bouche, j’ai du sperme dans le ventre et dans le cul. Je suis sale, je me sens sale. L’homme fait de nouveau irruption dans la cave. - Couches-toi par terre sur le dos, les bras le long du corps, tu ouvres la bouche et tu ne bouges pas sinon …. Je prends donc la position indiquée. L’homme ouvre sa braguette et se mat à uriner sur tout mon corps en privilégiant la tête. J’avale un peu d’urine. Mes cheveux sont mouillés. Puis l’homme s’en va. Je reste allongée sur le sol un long moment, hébétée. Je n’ai rien pour me sécher. Je sens l’urine odorante. Mais que me veut-on à la fin ? J’ai du mal à m’endormir.
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Par : le 31/05/20
Ma vie de soumise Chapitre 8 : Dimanche 3 Dimanche après-midi. J’arrive devant chez monsieur Pierre. Il vient m’ouvrir. Il est très élégant, cheveux blancs, yeux bleus : - Je suis Pierre, Enchanté. - Enchantée, monsieur. Je n’ai pas le temps de refermer ma bouche, il m’enlace, ses lèvres rejoignent les miennes, sa langue force l’entrée de ma bouche. Nous échangeons un long baiser. Je suis surprise, mon Maître ne m’a jamais embrassée. Pierre me prend par la main et m’entraîne vers la salle à manger. Un homme se lève. Pierre me dit : - Je te présente Jacques. - Enchantée, monsieur. Jacques est plus petit sur Pierre, il est légèrement bedonnant, les cheveux grisonnants. Il s’approche de moi, il m’enlace et ses lèvres rejoignent les miennes. Nos langues se rencontrent. Décidément, c’est un accueil curieux mais agréable. La table est encore occupée par des bouteilles et différentes pâtisseries. Pierre s’adresse à moi : - Tu vois, on en était au dessert. On va le partager avec toi. Les hommes vont s’asseoir. Pierre m’attire sur ses genoux. - Que veux-tu, ma beauté ? Je choisis un chou à la crème. Pierre le prend en main et le présente devant la bouche. - Garde tes mains dans le dos. J’avance la bouche et commence à lécher la crème. J’en ai plein les lèvres que Pierre vient lécher. Puis je continue à manger mon chou et à chaque bouchée, Pierre vient lécher ce que je n’ai pas avalé. Il s’adresse à moi : - Jacques n’en a pas profité. Nous allons continuer notre dessert. Déshabille-toi et enlève ton collier de chienne. Pendant que je me déshabille les deux hommes dégagent un coin de table qu’il revêt d’une nappe en papier. Pierre me fait allonger, sur le dos, sur cette nappe improvisée. - Écarte bien tes cuisses ! Ils répandent de la crème sur ma figure, mes seins, mon ventre, mon sexe. Et ils commencent à me lécher, Jacques s’occupe de mon visage et de mes seins, Pierre de mon ventre et de mon sexe. J’ai de drôles de sensations. Ces messieurs me dégustent. Je sens leurs langues surtout celle de Pierre à l’entrée de mon vagin. J’ai un orgasme. Ils continuent de me lécher. Quand mon corps est débarrassé de ces friandises, Pierre s’adresse à moi : - Tu vas aller prendre une douche. Ensuite, tu débarrasseras la table. Enfin, tu viendras nous rejoindre dans le salon. - Bien, monsieur. Je vais donc me doucher. Ensuite, je retourne vers la table pour la débarrasser, mettre la vaisselle dans le lave-vaisselle et rejoins ces messieurs au salon. Ils sont assis face à face, absorbés par une partie d’échecs. Pierre me demande : - Chérie, tu connais les échecs ? - Non, monsieur. - Viens t’asseoir sur mes genoux. Je vais m’asseoir sur les genoux de Pierre, il me tend ses lèvres, j’ouvre la bouche pour accueillir sa langue et je passe mes bras autour de son cou. Je sens un frémissement de son sexe à travers son pantalon. Pierre décolle sa bouche de la mienne pour jouer un coup sur la table d’échecs et, aussitôt, reprend ma bouche. Notre baiser est donc interminable. Puis, Jacques annonce : - Échec et mat. Pierre s’adresse à moi : - Va rejoindre Jacques, il t’a gagnée. Je vais m’asseoir sur les genoux de Jacques. Nos bouches s’ouvrent et s’unissent. Je l’enlace. Les deux hommes ont des goûts similaires, ils savent tous les deux si bien embrasser. Pierre se met debout et vient me prendre par la main. Il m’emmène devant un lit : - Couches-toi, ma beauté. Les deux hommes se déshabillent. Je les regarde. Belle prestance de Pierre. Jacques a un petit bidon mais reste séduisant. Tous deux ont un sexe attirant. Je vais me régaler. Ils me rejoignent dans le lit. Je suis couchée sur le dos. Jacques me chevauche au niveau du cou. Il me présente sa queue que je commence à téter. Quant à Pierre, sa verge a pris possession de mon vagin. Ma bouche et mon sexe sont remplis. Je fais une gorge profonde à Jacques. J’ai une vue sur sa bedaine. Pierre est très actif. Puis ils changent de position. Jacques m’attire sur lui et sa queue pénètre mon vagin. Je devine Pierre derrière moi. Son sexe frôle la raie de mes fesses puis sa verge pénètre mon anus. Je suis prise en sandwich par les deux hommes. Je n’avais jamais été doublement pénétrée, c’est une nouvelle sensation très agréable. Jacques a sa bouche collée à la mienne et Pierre m’embrasse dans le cou. J’ai un orgasme. Je suis aux anges, je voudrais que cet instant dure une éternité. Les deux hommes jouissent en moi. Ils se couchent sur le dos. Avec ma langue je vais nettoyer le sexe de Pierre puis celui de Jacques. Les deux hommes récupèrent. Je suis entre les deux et chacun a une main dans la mienne. Nous savourons ce moment de bonheur partagé. Pierre se lève, il prend dans le placard un bâillon et un bandeau qu’il me met. - Lève-toi ! Pierre me prend la main et me guide. - Reste là et attends ! Un moment se passe dans le calme. Puis Pierre m’ordonne de lever les bras. Soudain, je reçois un coup sur les fesses puis presque simultanément un coup sur les seins. Et les coups commencent à pleuvoir, je sens les morsures sur mon corps. Pierre s’adresse à moi : - Baisse tes bras. Vas-tu partager notre dîner ? Réponds en hochant la tête. Je hoche la tête en signe d’assentiment. L’un des deux hommes m’attrape par les cheveux et m’entraîne. J’entends une porte s’ouvrir. - Mets-toi à quatre pattes et avance. Puis j’entends une porte se fermer. Je dois être dans un placard. Je parviens à m’asseoir. Je reste ainsi pendant un temps qui me paraît interminable. J’entends la porte s’ouvrir. Pierre me dit de sortir. Il m’enlève le bâillon, le bandeau et les menottes. Il me dit : - Tu te mets à quatre pattes. Tu ne te relèveras qu’avec ma permission. Tu es notre chienne. - Oui, monsieur. - Tais-toi, une chienne ne parle pas. Il me remet mon collier et m’introduit un plug anal prolongé d’une queue d’animal. Il me conduit dans la salle à manger. - Nous allons prendre l’apéritif. Tu te placeras à nos pieds que tu lècheras. Les deux hommes vont s’asseoir à la table. Je vais jusqu’aux pieds de Pierre que je me mets à lécher en n’oubliant pas de passer la langue entre les orteils. Puis je fais la même chose aux pieds de Jacques. Ils se penchent quelquefois pour me caresser la tête. Je lèche alors leurs mains. Je me comporte comme la chienne que je suis. Ils se lèvent tous deux. Pierre pose une écuelle remplie d’eau sur le sol. Jacques pose à terre une assiette remplie de nourriture pour chien. Pierre me déclare : - Interdiction d’utiliser tes mains. Je lape l’eau et attrape un morceau de nourriture. Ce n’est pas facile. J’essaie de m’appliquer. Quand mon repas est terminé je retourne au pieds de mes maîtres. Pierre m’appelle : - Viens. J’approche à quatre pattes. Il me tend un carré de chocolat que j’attrape avec les dents. Puis je lèche la main de Pierre. Les hommes finissent leur repas. Je suis toujours aux pieds de l’un ou de l’autre. Pierre s’adresse à moi : - Va dans la salle de bain. Essuie-toi la bouche, enlève ta queue et ton collier. Tu redeviens notre femme. Et rejoins-nous dans la chambre. Quand je les rejoins, les deux hommes sont couchés sur le dos. - Viens nous sucer. Je m’allonge entre les deux hommes. Je commence par téter le gland de Pierre puis de Jacques. Puis j’entame une gorge profonde en alternance sur les deux hommes. Je me délecte de leurs sexes qui grossissent dans ma bouche. Puis Jacques change de position. Il se place derrière moi et sa verge pénètre mon cul. Belle sensation d’avoir la bouche et le cul occupés. J’ai un orgasme. Les deux papys jouissant à leur tour. Jacques se recouche sur le dos. Ma langue part à la recherche de sa verge pour la nettoyer. Pierre me dit alors que je peux partir. Je leur dis au revoir, je remets mon collier, reprend ma laisse, je me rhabille m’en vais. J’ai passé une excellente journée avec les deux papys. J’ai connu la double pénétration. J’attends avec impatience samedi prochain. Quelle surprise mon Maître m’aura-t-il préparée ?
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Par : le 30/05/20
Les secondes défilaient dans son esprit. Combien ?... Combien de temps était passé depuis ? Elle n’en avait plus conscience. Mais chaque instant, chaque souffle, faisait battre un peu plus fort son cœur. Elle savait pourquoi elle était là. Pourquoi le parquet si froid et dur lui meurtrissait les genoux. Un cliquetis perça le silence ambiant. Son cœur manqua un battement, puis deux. Était-ce réel ? Les yeux ainsi bandés elle ne pouvait en être sûre. Elle restait néanmoins fière. À genoux, nue, mais fière. Le dos dressé, droit ; les mains au niveau des cuisses, la bouche close, interdite. Et quand de nouveau plusieurs cliquetis retentirent à la suite, elle comprit qu’il était temps. Elle ne tourna pas la tête pour l’accueillir mais entendit ses pas s’avancer vers elle. Sa poigne fut directe. Un peu douloureuse, mais bienveillante. Elle le savait, elle le sentait. Elle se mit debout car il la poussait à le faire, et s’avança au rythme de l’homme qui la possédait. Très vite, sa peau frôla le bois du lit. Elle s’arrêta et tâta tant bien que mal, c’était le pied du meuble. Un autre cliquetis retentit, elle comprit. C’était ici et maintenant. D’un geste craintif mais fier, elle courba le haut du corps et s’offrit. Les fesses postées en arrière, la face vers le bas et les mains loin. Elle agrippa le rebord du lit et la ceinture fendit l’air. À deux reprises elle frémit et son cœur bondit, tandis qu’aucun coup ne l’atteignait en réalité. La troisième fois fut la bonne. Vive, marquante. La frappe suivante s'abattit dans l’instant, puis une autre, et encore une prochaine. Elle souffla. Que pouvait-elle faire d’autre ? Un toucher délicat caressa sa fesse droite. Quelques doigts s'y attardèrent un instant, quelques vas-et-vient qui, semblant réconforter sa peau, préparaient en réalité un second assaut. La gifle suivante fut plus sèche, plus cinglante. La ceinture frappa et, alors même que le son interdit s'échappait de ses lèvres supérieures, la main s'aventurait vers celles du bas. Allait-il ? Elle ne le savait pas, mais il pouvait. Il pouvait tout. Elle était à lui. Et quand il frappa délicatement l'intérieur de ses cuisses, elle les écarta pour qu'il aille là où il le voulait. Il s'attarda sur sa fente, à certains endroits plus que d'autres, puis la pénétra de ses doigts. Elle poussa un doux cri lui échappa. Une plainte ? Non, un appel, une supplication qu'il ignora bien vite. Une verge durcit contre ses fesses, puis elle les sentit s'ouvrir, forcées. Le liquide glacé enduit son anus, puis son maître entra. Comme il le voulait, où il le voulait. Une gifle atteignit sa joue et elle ouvrit la bouche. Lentement, une salive étrangère s’y glissa. Son entrejambe en mouillait. Avait-elle le droit ? Elle n’en pouvait autrement. Les longs cheveux tenus d’une ferme poigne, son anus ne cessait de recevoir l’assaut. Tantôt doux, tantôt sec, tantôt, lui rappelant qu’elle lui appartenait, et que ce soir, chaque pénétration n’avait lieu que pour lui. Son anus se contracta, involontairement, la fessée fut immédiate, elle le “rouvrit”. Le claquement contre ses fesses ralentit, une main se glissa dans son entrejambe. Lea gémit à travers le bâillon. La main qui se baladait sur son dos prit position autour de son cou, les doigts qui caressaient son temple remontèrent au niveau de sa hanche. Elle sentit son maître se courber. Il posa sa tête sur son épaule et elle tourna sa face vers la sienne. Un baiser, pitié, un contact. N’importe quoi aurait fait l’affaire. Un son étouffé lui parvint aux oreilles. C’était pour bientôt. Son anus chauffa, la cadence aussi, les pénétrations pourtant plus lentes étaient plus profondes. Et quand la main qui tenait son épaule atteignit sa hanche, qu’un long souffle chaud effleura sa joue ; elle ne put se réprimer un gémissement étouffant celui de son Maître. Lentement, comme à chaque fois, elle sentit son anus se vider. Le bâillon entourant ses lèvres fut retiré. C’était inhabituel. Confuse, son pouls accéléra. Lea paniqua et fouilla l’air, tomba sur une verge ; et la saisit avec toute la délicatesse dont ses doigts pouvaient faire preuve. Que devait-elle faire ? Pouvait-elle parler ? Elle hésitait. Et alors que désireuse de toujours plaire, elle s’apprêtait tout de même à ouvrir la bouche... un baiser furtif se posa sur ses lèvres. Elle frémit, désirant plus. Mais elle ne fit rien. Elle ne pouvait pas. Pas aujourd’hui. Pas cette fois. Ce soir, elle était interdite...
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Par : le 26/05/20
Jai 16 ans, je suis allée garder Francois-Xavier, ce petit bonhomme de sept ans a les oreillons. Son petit visage est tout gonflé sur le côté gauche, difforme. Il est très fatigué, et , pour une fois, va se coucher sans discuter. Ce n’est pas moi qui aurais dû venir le garder ce soir, mais maman n'a pas voulu que mon frère Pascal, qui a un an de plus que moi, risque d attraper les oreillons. Il ne les a jamais eus et à son âge ce peut être dangereux pour sa virilité, ou sa fertilité, vu que cela se déplace des oreilles vers les testicules, ou qu’elles sont aussi touchées. Je ne sais plus, je ne me rappelle plus les conséquences pour un jeune adulte mâle s'il est en contact avec cette maladie. Plus tard il y aura un vaccin, le ROR, mais ce sera pour la génération suivante. Il faudrait que je demande à un médecin maintenant que j’en ai dans mes relations. Je suis au lycée, en première scientifique au lycée pilote de Sèvres . Il a changé plusieurs fois d’appellation . Il est particulier, expérimental, international, certains cours sont donnés en anglais. Pour moi c’est juste le lycée du secteur. Je m’y rends avec mon deux-roues, 103 Peugeot orange. Rien de très original. Mais j’ai mon autonomie. C’est pour ça que je peux faire des baby-sittings dans ma commune. J’ai donc emporté mes devoirs à faire, probablement des maths, mais la soirée va être longue. Une fois terminés, je n’ai pas de livres et me dirige vers la bibliothèque en chêne aux lourdes portes vitrées. J’ai libre accès à la maison. Les propriétaires me connaissent, ainsi que mon frère, ce n’est pas la première fois que je viens, ils ont confiance et ne ferment rien à clef. J’aime lire. Je lis tout ce qui me tombe sous la main. Ma surprenante mémoire m empêche de lire plusieurs fois le même livre, contrairement à mes amies. Je me souviens déjà de toute l histoire dès les premières lignes relues. Cela se vérifiera tout au long de ma vie. Ce souvenir, j’ai 58 ans quand je le couche cette nuit sur le papier, ou plutôt sur l’écran de ma tablette. Et j’ai l’impression d’avoir lu cette histoire il y a quelques mois a peine. Je dois reconnaître que je me la suis ressassée bien des fois. Elle a été mon premier support masturbatoire et le seul pendant longtemps, toujours mon préféré, celui qui m’a révélé mon souhait le plus profond que je peux enfin vivre. Celui qui me montrai que j'étais soumise. Dans la bibliothèque, bien serrée entre d’autres livres, une petite revue en papier de moyenne qualité, format A5, semble m appeler . D’après plusieurs dominants à qui j’en ai parlé il s'agit de L’Union, mais le titre ne m’a pas marqué, contrairement au contenu. C’est l’histoire d’un couple. Maintenant je sais qu’il s agit dune relation DS, mais à l’époque, j’étais encore très innocente . Mon expérience se limitait à des baisers profonds et quelques caresses plus poussées. Je n’ai pas encore couché avec un garçon, ma mère me met une telle pression sur ma virginité, les risque de grossesse, les problèmes de la pilule. Bref, pas de relations sexuelles uniquement des flirts. La définition en est très simple « la main dans le machin, le machin dans la main , mais pas le machin dans le machin » .Oh j’ai vu, touché, palpé, et même sucé et léché, sans connaitre le nom de cette caresse buccale approfondie. Fellation et gorge profonde ne font pas partie de mon vocabulaire. Donc Monsieur a passé une annonce pour expliquer qu’il souhaite livrer son épouse à un couple pour le week-end, en sa présence mais au service de leurs hôtes. Ou il répond à une annonce qui demande une esclave.Il reçoit un appel téléphonique qui lui donne les premières consignes. --pas de douches ni de bains ni de toilettes intimes , Monsieur essuiera délicatement sa femme après ses passages aux toilettes, mais pas d eau ni de savon, --ce sera monsieur qui lui fera sa toilette au gant et savon sur le reste du corps mais ni douche ni bain -- pas de toilette non plus après les rapports sexuels, elle restera couchée de manière à garder le foutre dans sa chatte --on ne changera pas de culotte pendant la semaine qui précédera le rendez-vous, et il s agira d’une grande culotte en coton blanc , pas de culotte basse -- interdiction de se masturber mais bien évidemment Monsieur la prendra autant de fois que désirées --le vêtement porté le jour de la rencontre sera ample pour laisser accessible les fesses La date et le lieu sont fixés, les consignes répétées et la semaine passe ainsi. L esclave sent le foutre et la transpiration, sa culotte présente des tâches de différentes couleurs mêlées. Le rendez-vous est dans le parking d’une de ces nouvelles grandes surfaces qui commencent à s’ouvrir un peu partout en périphérie des villes. Il est très facile de se retrouver à l’ouverture ce samedi matin à 10h. Les deux couples sortent de la voiture. L’esclave porte une grande jupe rouge à ceinture élastique et un corsage bleu marine dont les deux boutons du haut ouverts laissent apparaître la dentelle du soutien-gorge de coton blanc. Les couples se rapprochent , les hommes se serrent la main , l’esclave baisse la tête et n’ose relever les yeux. L’autre femme s approche et glisse sa main dans la ceinture de la jupe, puis dans la culotte et va tripoter l’intimité de l’esclave qui rougit. C’est la première fois qu’une femme fouille dans sa culotte. L’odeur qui se dégage la fait rougir de honte. La domina lèche son doigt avec un sourire approbateur, et sort de sa poche un beau saucisson. --bien , dit-elle, assieds toi sur ce banc, remonte ta jupe, dégage ta culotte sur le côté, je vais introduire ce saucisson entre tes jambes ». L’esclave rougit encore, mais, après un regard inquiet vers son mari qui fronce les sourcils, elle s’empresse d’obéir. La domina la doigte un peu et introduit le saucisson puis remonte la culotte. Le vagin est tellement humide que le saucisson glisse vers le bas et fait une bosse dans la culotte. --nous allons faire quelques courses toutes les deux pendant que ces messieurs fument leurs cigarettes » Elle prend le bras de l’esclave et se dirige vers les boutiques. La marche n’est pas aisée. Le saucisson gêne quelque peu .A la pharmacie elle lui fait demander des préservatifs masculins et de la vaseline. A cette époque ce n’était pas en libre service, il fallait demander aux pharmaciens . Malgré la honte et ses joues rouges, les achats sont faits. Puis les quatre adultes montent dans la voiture du couple dominant pour rejoindre leur domicile pas vraiment éloigné. Ils arrivent devant une maison tout à fait ordinaire de banlieue. Une de celles de la reconstruction d’après-guerre qu’on retrouve partout France. Carrée, avec un petit jardin devant et un plus grand à l’arrière. On y entre après avoir monté un escalier d’un demi-étage qui donne sur un petit balcon. La porte franchie, tout le monde ôte la veste et se dirige vers le salon , sur la droite dans le couloir traversant. Et l’esclave se déshabille pendant que les autres la regardent. Des phrases moqueuses jaillissent , des sourires étirent les lèvres, les dominants semblent satisfaits. En culotte , le saucisson lui fait une drôle de bosse qui amuse la Maitresse. Elle croise ses mains pour cacher et maintenir sa lourde poitrine, mais un coup de badine surgi de nulle part lui fait rapidement étendre les bras le long du corps. Sur un claquement de doigts de son mari elle se précipite vers lui à quatre pattes, ses seins pendant telles de lourdes mamelles, et pose sa tête au sol, les mains croisées sur sa nuque. Elle redresse sa croupe et son mari se met accroupi sur ses talons pour lui ôter sa culotte et ainsi bien présenter l’intimité de son épouse au couple dominant, puis il s’éloigne pour s’assoir sur le tabouret que lui indique son hôte. Celui-ci se lève du canapé dans lequel il s’était assis et commence à tourner autour de l’esclave en la tapotant du pied. Elle ne bouge pas et reste silencieuse. Sa femme s’approche de lui et lui caresse l’entrejambe. Une belle érection tend la toile du pantalon et l’homme défait sa ceinture et ouvre sa braguette. L’esclave tirée par les cheveux se redresse et se retrouve à genoux devant lui . Elle ouvre la bouche et s’empare du sexe tendu pour une première fellation . Il tient sa femme par la taille et lui caresse la poitrine en l’embrassant. Il jouit assez vite et la femme agenouillée avale promptement le nectar qui jaillit. Puis il retourne se vautrer dans le canapé et laisse sa femme jouer . Elle utilise le saucisson dégoulinant de cyprine comme un gode dans tous les orifices de la femme qu’elle a fait remettre à quatre pattes. Elle prend une laisse et un collier et la fait déambuler dans le salon comme une chienne. Mes souvenirs sont un peu flous pour la suite. Assise dans le canapé du salon , ma main droite fouille dans ma culotte et j’ai du mal à tenir la revue de la gauche. Mes jambes se sont tout naturellement écartées et mon majeur joue avec mon clitoris. Je le connais bien bien que je ne sache pas son nom. Je sais les sensations qu’il m’offre quand je suis sur mon deux-roues. Il y a bien longtemps que j’ai découvert son pouvoir quand j’appuie dessus, ou que je le pince , ou avec l’eau de la douche que je règle assez fort quand je m’allonge les cuisses écartées au fond de la baignoire. Mais une scène remonte toujours à ma mémoire, ce sera elle mon principal support pour mes séances de plaisir solitaire. Le dominant est retourné sur le canapé, l’esclave à quatre pattes le suce de nouveau. Elle est nue , sa culotte a servi plusieurs fois pour la bâillonner et sa salive s’est mélangée aux autres sécrétions. Puis l’autre femme la fait se lever et la guide pour qu’elle vienne s’empaler sur le sexe tendu de l’homme assis. Elle lui tourne le dos et , les genoux pliés, on la penche en avant. Sa tête appuie sur le sol , ses mains s’agrippent à celles de son mari qui s’est approché. Ses cuisses sont manipulées pour être écartées au maximum. Sa rondelle est ainsi bien exposée. La domina attrape une baguette et donne un petit coup sec sur l’anus bien ouvert après les nombreuses sodomies subies. Par réflexe, tous les muscles se contractent. Puis elle se penche pour bien inspecter l’anneau. Elle observe le visage de son époux et redonne un petit coup sec. L’opération se répète, le rythme change, l’esclave pleure non de douleur mais de honte à cette inspection répétée. Le mari veut intervenir mais un coup de baguette sur sa tête le stoppe dans son élan. La jouissance du Maitre explose dans un cri. L’esclave est épuisée et glisse au sol. Son mari la prend pour aller l allonger sur une couverture près du radiateur. Elle ne pourra resservir de jouet qu’après un temps de repos et une collation. C’est comme une pompe à plaisir, le résultat de ces coups sur l’anus est fabuleux. Le vagin se contracte et se resserre sur le sexe du mâle qui la pénètre et il en retire un plaisir très fort. Mais cela épuise les esclaves, et il doit renouveler ses contacts. C’est pour ça qu’il passe des annonces régulièrement. Il trouve toujours de nouveaux hommes qui veulent prêter leurs femmes et regarder. J’entends la voiture arriver et m’empresse de ranger la revue à sa place . Mon grand pull tiré sur mon pantalon ne me trahira pas. Ce fût la toute première fois que je fus en contact avec un récit bdsm. Je le pris pour histoire vraie. Je lus d’autres témoignages dans d’autres numéros car ce n’était pas le seul que je trouvai chez ce couple de catholiques pratiquants dont je gardai l’enfant a plusieurs reprises . Jai lu par la suite de nombreux ouvrages, mais aucun n’a su retenir aussi longtemps mon attention. Ce récit peut vous paraître naïf mais il est sincère. Merci de m’avoir lue.
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Par : le 25/05/20
Il ne faut pas écouter les femmes, ce n'est que perte de temps, ce ne sont qu'embrouilles et complications. Aussi pour résoudre la question, William a décidé de s'en choper quelques unes pour son service et de les réduire au silence. Une femme qui ne connait qu'un mot expression: "oui, mon chéri", "d'accord mon amour", "tout ce que tu voudras William" , sait tout ce qu'il faut savoir. Le reste est bien inutile. La première femme qu'il a chopé c'est la jolie Yasmine. Un vrai petit moineau toujours en train piailler. Cela ne pouvait pas faire. Il lui a imposé le voile de sa religion avec un bâillon dessous. Le silence. Quel plaisir en compagnie d'une femme. Yasmine est douée au lit, elle écarte facilement et adore se faire labourer le sillon humide. Aussi il lui a imposé la totale, la tenue complète de sa religion, des pieds à la tête pour tout cacher mais avec rien dessous, c'est plus pratique. Et Yasmine a été heureuse de le servir. Elle tend elle même le bâton pour être bien corrigée sept fois par jour. Ne pas l'utiliser est une insulte. Alors William fait son devoir conjugal comme il convient, il bat sa femme sept fois par jours, elle seule sait pourquoi il doit faire cela, et l'honore après. La deuxième femme qu'il a péecho c'est la belle Laura, une hippiss partout, plus droguée qu'un labo de la french connection. William a mis six mois pour la sevrer complètement. Le toubib qui ne donnait plus que quelques mois à vivre à Laura est incapable de la reconnaitre à présent. Elle est devenue une femme splendide avec un cul d'enfer, de belles joues. William adore la bourrer par tous les trous. Les hippies savent faire l'amour et Yasmine est aussi venue chercher son compte. Une très bonne brouteuse de minou cette Yasmine et une gourmande d'exquise cyprine. La troisième femme qu'il a chopé pour son harem c'est la très jolie Brit, une teutonne à la peau blanche et aux gros seins. Yasmine et Laura sont vite venue lui bouffer la chatte et ont été d'accord pour que Brit deviennent la troisième épouse. Une chatte qui sent bon, cela ne se refuse pas. William a estimé que c'était assez avec trois femmes. Il a édité sa loi. l'homme a tous les droits, les épouses n'ont que des devoirs, dire oui , en tout et pour tout, à l'époux et se taire ensuite. Voilà le premier commandement. Les épouses doivent être propres et d'une fidélité absolue, elles peuvent toutefois se brouter le minou, entre elles, cela ne regarde pas l'époux. c'est le deuxième commandement. les femmes doivent dire merci à leur homme chaque fois que celui ci les corrige pour leur bien,y compris par le fouet. Voilà pour leur troisième injonction. William a estimé qu'il n'en fallait pas plus. Trop compliqué, les femmes ne comprennent plus rien si l'homme parle trop. . Elles savent compter jusqu'à trois, c'est déjà cela.
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Par : le 24/05/20
Aujourd'hui, dans les films érotiques, le BDSM sert de support à l'expression de fantasme de puissance. Sa mise en scène frise souvent le grand guignol. Pourtant, loin d'être une pratique fantaisiste, il traduit dans la sexualité une tendance du psychisme à osciller entre domination et soumission. Histoire d’O a certes défrayé la chronique de façon admirable, mais ce n’est qu’une œuvre littéraire, aucunement un manuel BDSM. Le SM dont nous abreuvent les médias n’existe pas ailleurs que dans l’imagination collective, sous la forme d’une pathologie hallucinatoire à laquelle aucun malade ne pourra jamais s’identifier. Et cette farce universelle, pour avoir le mérite d’alimenter les fantasmes populaires des deuxièmes parties de soirées télévisuelles, continuera longtemps à culpabiliser des individus normaux qui ressentent en eux un instinct proche de ce SM que les foules diabolisent. Loin de toute caricature, dans certains contextes, ce n’est pas tant la perception du statut immoral ou condamnable des pratiques BDSM qui est réprouvée ou qui serait perçue comme anormale, mais bien le fait d’étaler sa vie intime dans un contexte qui ne s’y prêterait pas. En somme, il est possible d’affirmer que le BDSM est plus acceptable qu’auparavant comme en témoigne son infiltration dans la culture populaire. Désormais ce n'est plus le caractère violent des pratiques qui est au cœur des débats mais bien plutôt la question du consentement. À l’intérieur de la culture BDSM, il semble que les discours se soient adaptés aux changements dans la normativité contemporaine où l’idéal de la communication, du consentement et du sujet libéral maître de ses choix se soit répandu. Dans cette optique, le SM est désormais pensé comme une activité sexuelle favorisant le bien-être des adeptes et l’atteinte du plaisir, ce qui entre dans la logique de la santé sexuelle. Cette vision s’appuie sur une conception libérale du sujet contemporain que l’on imagine capable de prendre conscience de son état ou de ses processus émotionnels dans le but d’exprimer ouvertement ses désirs sexuels pour les vivre avec un partenaire. L’accent mis par les protagonistes unis dans une relation sur la négociation des pratiques et la démonstration d’une compréhension raffinée du consentement qui demeure l’objet de perpétuelles réflexions, pourrait nous conduire à affirmer que les adeptes de BDSM se positionnent non pas dans le spectre de la déviance, mais dans celui d’une hypernormalité, au sens où ce sont bien eux qui correspondent à une figure avant-gardiste des idéaux contemporains de communication, de rationalisme et de quête de plaisir fondée sur les désirs réciproques de chacun. Le sexe sous tension libère du sexe. Douleur et plaisir sont des sensations. Elles s'incarnent et permettent très tôt dans l'enfance de donner un espace au corps. Celui-ci se construit comme espace sensible traversé de perceptions tantôt déplaisantes, tantôt plaisantes. Le corps que nous sommes est initialement délimité par ces expériences. Le plaisir est tiré de la satisfaction des besoins tandis que le déplaisir provient de leur frustration. Au départ, le plaisir est lié à la survie tandis que le déplaisir indique une situation de danger vital. Il précède une possible disparition du sujet. Il se rattache donc à la mort. Plaisir et déplaisir sont donc respectivement articulés aux pulsions de vie et pulsions de mort. Le plaisir lorsqu'il survient recouvre la sensation désagréable précédente. C'est l'expérience d'une tension déplaisante qui indique quel est le besoin à satisfaire. La résolution procure du plaisir. L'expérience désagréable est donc nécessaire à l'avènement du plaisir. Il est donc possible d'érotiser la douleur en prévision du plaisir qui viendra lors de son apaisement. De plus, le sentiment d'indignité à l'œuvre dans le masochisme rend possible l'émergence d'un partenaire qui viendra le contredire. Le masochiste appelle donc un objet qui, en l'avalisant dans cette position, lui permet de prendre du plaisir. C'est le masochiste qui crée le sadique, attirant sur lui ses foudres, le masochiste est en situation d'être porté et secouru. Ce secours peut prendre la forme d'une punition. L'autre, même s'il punit, s'occupe du masochiste, il répond à une tension. Cette structuration est explicite dans le troublant film de Michael Hanecke: " La Pianiste." Quel qu’en soient les origines, apparaît l'union entre le corps et l'esprit. En punissant, on veut faire entendre raison, en meurtrissant le corps, on pousse l'esprit à s'élever en se surpassant. Les informations cérébro-dolorosives transmises au cerveau agissent comme des détonateurs forçant l'esprit. Celui ci transmet à son tour au corps l'ordre d'endurer et de résister. Ce schéma synaptique neuromusculaire se produit lors d'une séance de flagellation. Clairement exprimé, la flagellation permet d'explorer le côté animal en transgressant les codes d'une sexualité classique. Elle confronte les partenaires, à la vulnérabilité ou à la puissance, au cours de jeux de rôles sexuels extrêmes, comme de puissants leviers d'excitation sexuelle. La ritualisation, en particulier, la mise à nu de la soumise exacerbe l'érotisation de la préparation à la séance de flagellation. Elle ou il offre à sa Maîtresse ou à son Maître, en signe d'offrande, le spectacle de sa nudité. Libre à elle ou à lui, de se livrer à un examen approfondi des parties corporelles à travailler. Les yeux bandés, et bâillonnée, elle est attachée avec des menottes, ou des cordes, sur un carcan, un cheval d'arçon, le plus souvent, une croix de Saint-André. S'infligeant une souffrance physique, le masochiste produit des endorphines, hormones sécrétées en cas d'excitation, et de douleur. Les endorphines ou endomorphines étant des composés opioïdes peptidiques endogènes secrétées par l'hypophyse et l'hypothalamus, lors d'activités physiques intenses, sportives ou sexuelles, d'excitation, de douleur, et d'orgasme. Posséder la douleur, c'est s'autoriser à la transformer, à la renverser en jouissance. Lors de pratiques SM, nous percevons un passage à l'acte sexuel des tendances psychiques. Elles renvoient à des représentations du corps qui touchent aux couples propre/sale, bien/mal. Certaines parties du corps sont ainsi honteuses et attirantes (sexe, anus). Toutes pratiques sexuelles oscillent alors entre attirance et dégoût, douleur et plaisir. L'anticipation, l'imagination, sont les portes de la volupté sexuelle. La soumise éprouve le bonheur d'être le centre d'intérêt, l’objet de tous les honneurs; félicité délicatement épicée par son imagination et l'appréhension qu'elle peut y puiser, tandis que l'excitation monte. Le dominant découvre avec surprise que ses pulsions sont finalement très complémentaires des attentes de sa compagne; les deux partenaires ont, en fin de compte, des goûts très en accord et des fantasmes communs. Le jeu BDSM a cela de libérateur qu'il crée un contexte où chaque protagoniste va pouvoir se décharger sans honte de ces tabous, pour jouir librement de sa libido, tout en se délectant du plaisir de l'autre. Le sexe, s’il ne rend pas aveugle, a cela en commun avec les occupations physiques intenses, comme les compétitions sportives, qu’il possède les facultés de désinhiber, et d’occulter magiquement l’environnement. Il en va de même en SM, lors d'une séance pour les partenaires. Ce sont des leviers connus dans la sexualité, qui décuplent l'excitation et le plaisir qui en découle. Pour quelles raisons ? Du côté du soumis (ou de la soumise), ces leviers jouent sur l'abandon à l'autre; il ou elle est à la merci de celui., celle qui pourrait tout lui infliger, et qui contrôle son plaisir. Un jeu qui simule l'exposition au danger. Du côté du (de) la dominant (e), il ou elle obtient la toute-puissance sur son (sa) partenaire, avec la possibilité de faire mal ou de faire jouir. En dehors du SM, il s'agit de fantasmes et d'imaginaire, pas de violence infligée chez la plupart des couples. Pour certain(e)s, c'est parfois tout simplement faire une fellation, assis (e) aux pieds de l'autre debout; qui est soumis(e) et qui domine ? Celui, celle qui est aux pieds de l'autre ? Ou celui, celle qui domine en étant maître ou maîtresse du plaisir de l'autre ? En psychiatrie, le sadomasochisme fait partie de ce que l'on appelle les paraphilies, baptisées autrefois les perversions, comme l'exhibitionnisme, le fétichisme, ou la zoophilie. Ce sont des pratiques qui n'utilisent pas les ressorts sexuels jugés "normaux" par la société. Le masochiste ne jouira que dans la souffrance et l'humilation ; il n'aura pas d'orgasme dans un rapport classique. Son cerveau produit des endorphines, des antidouleurs naturels, qui sont sécrétés lors du plaisir, de l'orgasme et de la souffrance. Celle-ci est transformée en plaisir sexuel dans le cadre du masochisme. Le sadique, lui, prendra un plaisir à la fois psychologique et physique dans la douleur qu'il impose. Il frappe ou humilie pour blesser son partenaire de jeux érotiques. Le pouvoir dont il dispose devant sa ou son partenaire, décuple son excitation et son plaisir. Il se confronte au pouvoir dont elle dispose sur un autre être humain et à sa toute-puissance. Les sadomasochistes utilisent exactement les mêmes ressorts que les adeptes de domination et de soumission, pour augmenter leur plaisir. Car le plaisir est mutuel et partagé, c'est là tout l'enjeu du rapport SM. Il apporte un apaisement et un épanouissement sexuel aux couples qui le pratiquent. La confiance, l'écoute, la discussion et la connaissance de l'autre sont les vrais points à rechercher dans toute relation, et c'est d'eux que naîtra, parmi mille autres plaisirs, ce doux sentiment d'abandon que d'aucun appelle allégoriquement le subspace. Le SM n'est pas une perversion mais l'expression dans la vie sexuelle de mouvements inconscients ordinaires. Dans une certaine mesure en mettant en jeu les désirs les plus profonds, ces pratiques pimentent la sexualité et ne posent généralement aucun souci puisqu'elles sont fondées sur un profond respect et une écoute soutenue de l'autre. Le SM sain et modéré actualise et réalise une part des désirs inconscients informulés des partenaires. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir
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Par : le 21/05/20
Navrée pour les éventuelles fautes, je ne me suis pas relue je suis partie mettre mes gants. Pour être dans l'ambiance .. j'ai écrit sur Hooverphonic, mad About you, la version philarmonique *************************************************************************************************** « Monsieur, je vous convie demain soir, une demoiselle qui souhaite s’occuper de vous ». Le message envoyé, je n’attendais plus que sa réponse en espérant qu’il soit disponible. A mon tour de le surprendre." « Avec Grand plaisir Ma Demoiselle ». J’étais toute guillerette. L’orage allait éclater. J’aimais cette sensation quand les nuages s’assombrissent, que le vent commencent à se lever. D’aller me détendre sur le lit à laisser mon esprit s’égarer. La pluie commençait alors à s’abattre. Le bruit sur le velux légèrement entre-ouvert , la brise venait jusqu’à mon visage m’apporter les odeurs humides de la verdure. Cette puissante déferlante. Je pensais alors à notre dernière soirée. Je passais ma main sur mon cou, m’imaginant les siennes. Je dansais de désir, à l’avoir, le ressentir, le respirer. Il me rendait complètement folle. Je saisissais mes seins en imaginant ses mains sur moi. J’avais encore sa chemise qu’il avait laissé la dernière fois imprégnée de son odeur. J’étais folle de lui. Je fermais les yeux pour apercevoir son sourire. Ma main se dirigeait alors vers mon entre-jambe. Mon sexe était alors tout humide. Je passais délicatement la pulpe de mon majeur sur mon clitoris, telle la légèreté d’une plume. L’orage grondait comme mon désir pour lui. Je me caressais, me disant de ne pas céder à cette tentation. Créer cette frustration pour attendre de plus haut sommet, mais là, non je me masturbais. J’introduisais quelques doigts dans ma chatte déjà si humide. La mouille recouvrait mes doigts. J’en avais de partout. Je pinçais mes lèvres en pensant à nos ébats les plus interdits. Quand il me disait des mots crus, quand il m’embrassait, quand il me souriait, quand il me sodomisait, quand il m’attachait. Une symbiose inexplicable. Cette relation ne pouvait exister sans sentiment. Avant je cherchais un homme pour être dans les conventions. Cela ne m’avait pas réussi. Je voulais écouter mes désirs si longtemps refoulés. Rien n’est simple. Le libertinage est pour moi, la liberté de vivre sa vie comme on l’entend, de s’extraire des conventions. Je ne voulais pas de ce carcan qu’on nous impose en tant que femme. Le chemin tracé de vivre à deux, se marier, à acheter une maison avoir des enfants et tout ce qui va avec. J e n’ai jamais ressenti tout cela je me sentais toujours différente. Je ne supportais plus ces questions.. êtes vous mariée ? des enfants ? que faites vous dans la vie ? tous ces stérotypes pour entrer dans des cases comme si cela nous résumait. Dire qu’on ne veut pas d’enfant, qu’on ne recherche pas le mariage mais qu’on veut une relation avec juste sincérité et transparence ? Je vois toujours autours de moi tant que personnes emprisonnées dans une vie qui ne leur convient pas. La dure réalité. J’ai cette chance d’avoir cette liberté. Lui, avait su m’apprivoiser. J’avais tant eu l’habitude de faire fuir les hommes pour voir jusqu’où ils tiennent à vouloir me connaître et non me posséder. L’homme de mes rêves.. l’homme de mes réalités. Il était mon élixir de plaisir. Nous étions heureux avant de nous rencontrer, ensemble nous avons la création de cette alchimie ne peut exister sans les éléments.. Comme l’eau .. hydrogène et oxygène. Mon cœur battait de plus en plus, je sentais le sang affluant au niveau de mon clitoris. Mes doigts se frayaient un chemin de haut en bas sur mes lèvres, caressant ensuite ma douce auréole. Je planais de ma masturbation. La jouissance montait. J’étais sur le dos, les jambes pliées. J’avais un mal terrible à me caresser même devant lui. Mais seule, j’arrivais à me donner du plaisir. J’imaginais ses mots au creux de mon oreille. J’aimais être ce tout à la fois, femme-enfant, femme-fatale, chienne, amante. « Monsieur, le plaisir que je viens de prendre à me caresser en pensant à vous à été si intense, que je vous le rendrai demain. » « Petite coquine, j’espère bien que vous me rendrez ce plaisir.. je vais peut être vous punir d’avoir oser prendre ce plaisir sans m’avoir demandé d’y participer . J’ai hâte de vous voir demain. » Je préparais une soirée sous le signe de la détente, une ambiance sensuelle, érotique. J’avais pris soin d’éclairer la maison avec des bougies de partout. De nombreux photophores disposés un peu partout, dans les escaliers, dans la chambre.. partout. Sur le sol j’avais déposé un chemin de pétales de roses pour lui indiquer le chemin jusqu’à ma chambre, là où il me trouverait. J’étais alors en train de choisir ce que je porterais ce soir. Je décidais de mettre un loup noir en dentelle. Je mis alors une culotte ouverte donnant l’accès à mes parties les plus intimes, toute de dentelle. Je mis un harnais léger encadrant mes seins avec une légère dentelle. J’avais préparé mon lit. J’avais déposé des draps de satin bordeaux d’une douceur incomparable. J’avais préparé tout ce qu’il fallait pour que Monsieur soit au petit soin. Du champagne, des framboises.. tout ce qu’il faut ensuite pour que je m’occupe de lui. J’avais jeté sur le lit des roses blanches. J’adorais les pétales de roses. J’aimais les passer sur mes lèvres. C’était si sensuel si doux. J’avais préparer mon vase avec mes plumes d’autruche. Une était verte olive. Elle s’était cassée de mon éventail géant que j’utilisais pour mes effeuillages. Je préparais alors l’huile de massage. Ce soir je voulais le rendre .. fou… Quand il arriva, j’entendais ses pas. J’étais alors en position à genou sur le lit, les bras en avant, telle une chatte prête à bondir. Masquée de mon loup et gantée. Il était là à l’entrée de ma chambre. - Quelle délicieuse surprise vous me faîtes, ma panthère ». Je mis alors un doigt sur ma bouche pour lui dire de se taire. Et je lui indiquais le fauteuil crapaud bleu de ma chambre. Je descendais du lit très félinement à quatre pattes. M’approchant de lui. Je lui ecartais alors les jambes pour m’introduire entre elle. Je remontais vers sa bouche en frottant mon buste contre lui. - Bonsoir Monsieur, dis je en lui souriant. - Bonsoir.. Mademoiselle. - Comment s’est passée votre journée ? - Elle a été des plus fatiguantes, plein de soucis et de litiges à gérer. - Oh je vois.. Je prie alors possession de ses lèvre. Il se laissait faire tout en ayant ce sourire qui en disait long. - Puis- je vous servir un verre ? - Humm avec grand plaisir j’en ai besoin. J’allais lui chercher une coupe de champagne que je lui tendis. Je m’agenouillais à ses pieds. Puis avec un regard espiègle je saisis alors la coupe de champagne de sa main pour en boire une gorgée. - Laissez moi vous déchausser. Je le regardais alors droit dans les yeux avec ce sourire en coin. Il me dévorait alors du regard. Il caressa alors ma joue. - Petite vilaine ! me souriait il. Une à une je lui enlevais les chaussures. Je le regardais pour enlever avec élégance mes gants. J’avais préparé une bassine d’eau chaude. Je lui enlevais alors son pantalon en lin beige. J’entrepris alors de lui faire un bain de pied. Un moment de détente pour ce qui allait suivre. - Hum, c’est si divin… de voir ma petite chatte s’occupait si bien de moi. - C’est que vous m’avez inspiré, lui répondais-je avec sensualité. J’essuyais méticuleusement en étant à genou ses pieds. Je déposais alors la bassine sur le coté. Avec tendresse, je lui baissais les pieds. Je les léchais ensuite sur les mollets tout en le massant, l’embrassant pour marquer mon territoire. J’arrivais à hauteur de son entrejambe… Avec mes dents je me saisis alors de son caleçon tout en le regardant félinement. - Hum.. non pas maintenant je crois Monsieur.. Je remontais encore, un à un en commençant par le bas, je défis les boutons de ma chemise. Quand soudain, il saisit mes poignets. Il les tenait fermement et embrassa mes mains les portant contre son visage. Puis il me laissa continuer. J’arrivais à hauteur de son cou. Je posais alors mes mains sur son torse. Je le griffais légèrement pour ensuite le débarrasser de sa chemise. Je saisis alors sa bouche avec une de mes mains et je l’embrassais. Je me relevais alors d’un seul cou. Je lui saisis alors la main. - Venez. Mettez vous nu sur le ventre Ici. Je lui indiquai alors le milieu du lit. Une ambiance Hooverphonic de Mad About , la version philarmonique. oui je vous la recommande là maintenant.. Elle allait le bercer, tout comme mes mains et mon corps. Je lui bandais alors les yeux. Je commençais alors par jouer de mes plumes sur le corps. Je voyais sa peau réagir, frissonner. D’abord par les jambes, les cuisses pour remonter sur le dos Je pris alors l’huile que j’avais chauffée pour la faire perler sur son peau. Je commençais alors mon massage par les pieds pour remonter ainsi les jambes et les cuisses. Chaque jambe l’une après l’autre. J’aimais masser au son de la musique, mes mains dansaient sur son corps. J’aimais sentir ses tensions s’apaiser sous mes doigts Entendre ses gémissements. Quand j’arrivais à ses fesses. J’en pris pleine possession. Je restais alors très professionnelle dans mon massage. J’avais appris à masser. Je savais comment faire. - Tu es une déesse ! j’en avais besoin. Je le sentais se détendre, lâcher prise, comme il savait aussi me faire lâcher prise. Je remontais alors jusqu’à la tête passant mes doigts dans mes cheveux et utilisant savamment les points de pressions. Il prenait ce moment de détente. J’aimais le ressentir aussi ainsi, apaisé. Puis, doucement le massage se transforma en quelque chose de plus érotique à aller vers le tantrisme. Je le massais alors avec mes seins, je jouais avec la douceur de ma joue contre son dos. Ma bouche s’emparait de ses épaules partant à la conquête de son coup. Je retournais alors ma chevelure pour la mettre contre lui puis descendre jusqu’à ses fesses. Une danse de sensualité, de désir qu’il m’avait inspiré. Je sentais alors doucement son désir pointé quand il bougeait alors ses fesses. Il ne tenait plus. C’est là qu’il se retourna. Je lui saisit alors les poignets - Non Monsieur, laissez vous faire ! Je le vis sourire. - Soit Mademoiselle, je vous laisse les rennes encore un peu.. Je prie alors une rose. Je m’amusais à la mettre en pétale que je fis tomber telle une pluie sur son torse. A sa réaction il devait se demandait ce que je faisais. Je me plaquais alors contre lui. J’étais à califourchon. - Vous me rendez folle, le savez-vous ? - Non.. dites le moi encore.. et encore… - Vous me rendez folle mon cher.. Hier soir je me caressais en pensant à votre imagination, vos doigts en moi, à votre queue, à mon envie d’être à vos pieds, à être votre essence et que vous soyez mon élixir de plaisir.. Je descendais alors ma langue sur son torse pour aller vers son sexe. Je le pris alors dans ma main. Je le caressais. Il était déjà dur, vigoureux. Doucement je le branlais. -Hum.. petite chatte…. Petite chienne. Je m’apparais alors avec ma bouche de son sexe. Tout doucement je commençais à lécher tout autours pour le rendre fou comme il s’amusait parfois avec moi. Puis je léchais ses couilles.. je passais ma langue entre son anus et elles.. ça le rendait complètement fou, et moi il me faisait perdre pieds. J’adorais tant le sucer ! une telle friandise. Puis le sentant prêt à être cueillis, je pris sa queue en entier dans ma bouche. Avec délectation, j’avais les commandes à le lécher comme si j’avais la meilleure des glaces. Je sortais ma langue pour bien l’apprécier. Puis soudainement je sentis ses mains se poser sur ma tête. - Voilà, garde la bien en bouche… IL retira alors son bandeau et me regarda. Puis il commença doucement à donner des mouvements de vas et vient. Je me relevais alors avec un grand sourire puis je le rejettais sur le lit. - Non.. non Monsieur, dis je avec une pointe de défiance. Je m’empalais alors sur lui comme une amazone qui voulait vaincre le guerrier. Il prit alors possession de mes seins. Très fortement. Il les gifla plusieurs fois alors que je me baisais avec sa queue. Mes mains étaient sur l’arrière. Sa queue était au plus profond je faisais des mouvement d’avant en arrière puis je mis mes mains sur son torse. C’est là qu’il m’agrippa le dos et pris le contrôle. - Petite chienne.. hummm… - Oh oui Monsieur, baisez moi ! On s’embrassait alors fougueusement. Il me prit et me jeta sur le flanc. IL releva ma cuisse et s’engouffra à nouveau dans ma chatte. Il tenait alors mon cou bien serré. Je défaillais. Il me baisait si fortement continuant à me gifler. - Ma petite salope ! - Tiens.. tiens…. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait tellement il me culbutait avec force et passion. Comme une poupée il me mit alors sur le ventre. -Je me cambrais pour l'appeler. Avec sa main, il introduisit alors un doigt dans mon cul. Puis un second. - Ahhhhh… ahhhh… je pinçais mes lèvres. Il mit sa queue pour m’enculer. Pour ne pas m’emtendre il mit sa main sur ma bouche. Je ne pouvais rien dire. Je sentais chaque coup, fort encore et encore.. si fort comme si il voulait me transpercer me montrer que seul lui pouvait me prendre ainsi. Il claquait alors mes fesses - Putain ce cul ! j’aime tant l’éclater. Tu aimes ça ? - Oui.. j’adore quand vous m’enculez ! Il s’était mis alors debout sur le lit. Je mettais alors ma tête contre le lit et je lui exposais mon fion. Je me sentais prise comme une petite putain, sauvagement et j’adorais ça. J’adorais qu’il soit animal. Tout en m’enculant il posa son pied sur mon cou. Il pouvait faire ce qu’il voulait, car aucun jugement, juste envie de se posséder l’un l’autre. Il attrapa les attaches de mon lit et m’attacha les chevilles au lit pour les écarter. Il mis un oreiller ssous le ventre. - Tu sais ce qui va se passer ? - Non.. Monsieur. - Je vais te doigter, t’écarter et puis je verrai tout ce qui rentre ! Je rougis. - Allez dis moi que tu le veux. - Oui.. Monsieur, mes trous sont à votre disposition. Il saisit alors mon huile de massage. Il commença alors à m’enduire le corps . il me massait. Ses gestes laissaient aussi une empreinte je voulais qu’il s’occupe de mon entre-jambe. Il me rendait la pareille ! Il me griffa tout le corps. J’étais ainsi huillée, glissante et bien sur toute trempée. Il massa chacune de mes cuisses puis remonta vers mes feses. Là il commença par bien les claquer. Je me dandinais encore plus les fesses. Il les malaxait pour ensuite mieux m’ouvrir et regarder mon sexe et mon fion. Puis il me fessa encore et encore et s’amusa entre temps à prendre ma température. - Hum.. êtes vous suffisamment chaude pour que j’enfourre un thermomètre ? - Hum.. je crois oui Monsieur.. - Voyons ça. Il mit alors ses doigts dans ma bouche. - Allez mouille les bien ! Puis il commenca par mettre un doigt. Je gémis.. c’était si bon.. Il en introduisa un second… Puis de son autre main il en mit un troisième puis un quatrième. Il écartela ainsi mon petit trou. - Je compte bien te découvrir de partout ! - Oh ce cul ouvert… C’est là qu’il prit ma chatte tout en me doigtant le cul.. - Oh c’est si bon !! Je gémissais encore plus. Cette sensation était si excitante. D’avoir le cul rempli, la chatte toute autant. Il introduisa alors 4 doigts d’une même main en la tenant bien droite. - Cambre toi Je n’y arrivais pas. Tout en prenant l’assaut de mon fion, il me caressait le clitoris. - Voilà tout doux… Je sentais mon fion céder doucement.. - Voilà, montre moi comment tu t’ouvres.. - Cinq doigts ma chienne.. cinq doigt. Il commençait alors à faire des va et vient.. - J’ai hate d’y fourrer tout mon poing pour te baiser comme tu le mérites. Je gémissais entre douleur et plaisir. Il continuait alors à me caressait le clitoris. Ca me rendait complètement folle, j’en pouvais plus ! - Je.. viens… je viens… Je n’arrivais plus à me contenir… Il mit sa main sur ma bouche - Jouis ma petite chatte ! J’étais emportée par cette vague. Que d’étranges ressentis. Il me détacha. Je me retournais. Je le regardais. Il me prit les bras et les attacha au dessus de ma tête. Il revient quelques instant plus tard. Il s’assit alors sur mon torse. Il saisit alors mes seins et les pinça bien fortement. Il les tourna. Ca avait le don de m’exciter. Il prit alors une rose et la passa alors sur mon visage, il jouait avec moi comme j’avais joué avec lui. Il prit alors sa main et me serra la bouche. Il m’embrasse, je lui souriais.. il me gifla.. Puis me gifla de l’autre. Il serra mes seins, sa queue était entre. Il avait ses mains sur mon coup il m’étranglait sensuellement. Il me pénétra la bouche avec sa queue. Il s’était relevé ne me laissant aucune possibilité à me baiser, à me faire une gorge profonde. Je bougeais tellement son assaut était virulant. Puis il s’assit sur moi. - Leche !!! - Leche moi bien. Il jouait avec ses fesses pour que je passe ma langues entre ses couilles et son petit anus. Il s’amusa à me le poser sur la bouche pour que je le lèche comme il se doit. Ce que j’avais pu trouver répugnant dans le passé avec lui, il me rendait folle à faire des choses que je n’aurai imaginer et à prendre un plaisir parce que c’était lui Plus rien n’était vulgaire avec lui car je savais que j’étais sa princesse. - Humm… qu’est ce que j’aime quand tu me lèches ainsi ! Il s’était posé alors sur ma bouche, il me tenait par les cheveux. - Regarde moi ! - Que tu es bandante comme ça ! Il se releva et éjacula alors sur mes seins. Il posa ensuite sa tête sur mon bas ventre, me laissant ainsi attachée. Il était encore comme moi sur mon nuage. Il se leva pour aller se laver . - A mon tour de te nettoyer, mais ne compte pas pour que je te détache. Il avait pris un gant de toilette. Il nettoya mes seins ainsi que mon entrejambe. - Hum prête pour une future utilisation. Je dansais allongée sur la musique pour appeler mon loup. Ma poitrine se soulevait, imprégner par mon désir brulant à son égard. J’en voulais encore et encore. J’aimais être à sa merci ainsi. Il ouvrit mon armoire chinoise où se trouve nos objets de jeux. Il en sortit le gag ball. Il me le fixa. - Hum, te voilà complètement prise aux pièges ! - Tu es sublime avec ce loup, ma louve… ce regard cerclé de noir.. ton regard est des plus intenses. Il m’embrassait alors tout le corps. Il me léchait, me massait, me mordaient. Ma tête se renversait à étouffer mes gémissements dans le bâillon. Quand il malaxait mes seins tout en me doigtant, j’étais aux anges. Quand il m’enserrait le cou, je ne m’appartenais plus. L’abandon.. encore et encore. Se sentir dans une telle confiance pour aller toujours plus loin. Ce soir là il ne cessait de partir à l’assaut de mon désir.. et du sien.
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Par : le 18/05/20
Désolée pour les éventuelles fautes, je ne me suis pas relue. Je me suis mise à ressentir ces émotions quand je finis d'écrire qui m'emmènent dans les abymes de mon cœur. Vers la fin de ma nouvelle, Lana Del Rey, dans sa version longue de Ride m'a happé. Le pouvoir de la musique est si intense. Chaque nouvelle est ressentie, vécue dans ma tête. Je me sens si libre de vivre ma sensibilité dans mes écrits. ******************************************************************************************************* « Vous devriez recevoir aujourd’hui un petit cadeau pour notre prochaine entrevue. Je sais combien vous êtes joueuse. Jusqu’où iriez-vous ? » Je souris en lisant son message Whatsapp.. Je me demandais à quoi il faisait allusion. Telle une gamine, j’allais ouvrir ma boite aux lettres à peine le facteur passé. En effet un colis à mon attention. Il était relativement petit.. Vous imaginez bien ma réaction à l’ouvrir sans aucune patience. Je me disais toujours combien ces petits colis étaient emballés à croire qu’il faut utiliser de pleins d’ustensiles pour les ouvrir.. Enfin.. arrivant à mes fins, je découvris dans le colis un string avec des franges et des perles.. Ces perles étant cette ficelle qui passeraient sur mon sexe et entre mes fesses. « Hum cher Monsieur, merci pour ce délicieux cadeaux. Vous savez combien j’adore les perles.. » « Oui, je le sais ma belle demoiselle. RDV avec ce soir. Venez parer de vos plus belles perles et soyez fatale et glamour, comme toujours ». Mes perles.. J’adorais les perles. J’aimais celles qui avaient une histoire une vie. L’année dernière, j’avais acheté des boucles d’oreilles en perles anciennes. Je n'avais pas d'argent sur moi. e. Elles n’étaient pas totalement blanches mais légèrement nacrées or. Malheureusement je n'avais pas d'argent sur moi. Nous échangions toutes les deux pour la première et elle me dit : Prenez les et envoyez moi un chèque". Une telle confiance. Puis elle m'invita à découvrir ses créations unique. En voyant l’exposition de cette artiste lorraine, reconnue pour son talent, je vis un collier, ce collier.Il s’appelait « Le collier d’Emilie du Châtelet aux trois perles en forme de poires ». Rapidement, avec Joëlle Capdevieille, nous nous rendions compte que notre rencontre était une simple évidence, comme ce collier qui était fait pour moi. Elle avait façonnée ce collier à partir de perles anciennes dans le prolongement des brodeuses perleuses de Luneville et d’éléments anciens. J’aimais l’histoire, l’art.. et en m’intéressant à Emilie du Châtelet, l’évidence était là… Un sublime cadeau pour mes 40 ans Ce soir là pour rencontrer Monsieur, j'étais prise d'une certaine nostalgie. Je me parais d’un corset bleu avec des éclats de strass et de la dentelle. Je mettais une jupe que j’utilisais pour mes effeuillages. Il n’y a aucune fermeture éclair. Elle était fixée au dos par un nœud savant où il suffisait juste de le défaire. L’avant arrivait sous le genoux et l’arrière en forme au niveau de mes chevilles donnant un look à la Dita Von Teese. D’ailleurs je souriais souvent car c’est le surnom que l’on me donne souvent. Il paraît que je lui ressemble.. ou plutôt qu’elle me ressemble. Je me sentais belle, il me rendait belle. La beauté pour moi réside dans le fait de se sentir bien. Nous passons notre vie à vouloir paraître alors qu’au fond notre beauté vient de nos actes et dans le fait de se sentir bien, libre et en accord avec soi. Une partie de moi a toujours eu cette ambivalence entre me sentir sure de moi et belle et de l’autre être ma pire ennemie. Cette qui s’affable des pires mots pour mes maux. Le poids sociétal nous obligeant à vivre dans des carcans. Au fond, plus j’avance en âge et plus je me dis que l’on attache de l’importance aux choses sur lesquelles nous n’avons pas forcement de pouvoir. Celle de ce que pensent les autre. Au fond.. quoi que ce que l’on peut faire, on ne plaira jamais à tout le monde. Avec lui, je lâchais prise car il m’amenait cette vibration, cette odeur de printemps, cette douce brise qui me caresse et me rend encore plus heureuse de ces moments parfaits. Lorsqu’il me vit, il se tue. Puis se reprenant il me dit - Vous êtes juste.. renversante ! - Je vous remercie, vous aussi mon cher Il connaissait mon goût pour les années 1900/1920. Il était habillé dans ce style chic des hommes à la peaky Blinder. J’adorais ! J’aurai pu lui sauter dessus et le dévorer… un moment d’égarement me direz vous ? Où était ma place.. simplement avec lui. Il me tendait alors sa main. Je la lui donnais. Il m’amena à lui pour m’étreindre. - Alors prête pour le jeu ma chère ? - Hum.. Oui, d’ailleurs vous m’avez bien rendu curieuse. Quel jeu ? - Allez vous asseoir sur le canapé je vous prie. Il passa dernière le canapé en effleurant mes épaules. Je me tenais droite, le corset me contraignant à un maintien. Il se dirigea vers son bar. Il saisit alors un verre à Martini. Je reconnu alors la bouteille d’un alcool que j’apprécie. Du Vermouth Antica Carpano. Je salivais déjà. - Vous m’honorez lui dis-je ? - Je voulais vous faire plaisir dit-il avec son plus gros sourire. Je veux vous saouler. Vous allez perdre ma chère.. - Vous voulez me saouler ? moi ? alors à quoi allons-nous jouer ? - Au strip poker ! - Ah, je vois, dans tous les cas je suis gagnante. Il me tendit mon verre de Vermouth Antica Carpano, servit frais avec une rondelle d’orange. La perfection ! Les perles de mon string me faisait mouiller terriblement. Parfois elles me pinçaient. C’était terrible ! J’imaginais qu’il savait tout cela. J’avais du mal à tenir en place car c’était presque incommodant En fond sonore, ces musiques que nous affectionnons très jazzy. Cette fois il m’avait laissé les commandes de l’ambiance sonore..Kovacs… La voix de cette chanteuse me faisait penser à ces chanteuses qui font les musiques de James Bond dont je suis fan. Je Buvais mon verre. Je me levais, prenant mes aises. La tension s’installait doucement. Je posais alors mon verre sur la table basse. Je lui tendais ma main. ‘- Dansons. Ma main dans la sienne, mon visage au creux de son cou. - Ce n’est pas l’alcool qui va m’enivrer, c’est Vous Monsieur. - Vous allez me faire perdre toute décence en allant sur les chemins de perditions. Il passait sa main dans mes cheveux et les tira en arrière. Je lui offrais mon cou. Je déposa un baiser à hauteur de mon entre-sein puis avec sa langue remonta, en passant sur ma glotte, mon menton et pour enfin venir me mordre la lèvre. - Je vous interdis de me troubler ainsi ! - Prenez votre verre, allons jouer. Il avait préparé une table avec un chandelier avec au moins une 20aines de chandelles. Il était magnifique de couleur or. Un tapis de jeux.. des jetons de poker et bien sur le jeu. Je suis tout sauf une bonne joueuse. Peut être aurai je la chance de la débutante. Au fond de moi de toute manière, je ne voulais pas gagner pour qu’il s’occupe de moi mais de l’autre, je ne voulais pas le laisser gagner. J’avais ce côté femme enfant que j’aimais ressortir par moment. - Prêt pour votre défaite lui dis-je sous le ton de la plaisanterie. - Je pense ma chère que vous allez bientôt payer votre insolence affichée depuis tout à l’heure. Regardez ce qu’il vous attend. Il m’indiquait du regard la commode sur laquelle je voyais tant de choses déposées… Un silence s’installa. Le jeu débuta. Il m’expliquait à nouveau brièvement les règles. A vrai dire, je n’allais en faire à ma tête. - Perdu ma chère.. comme c’est bien triste. Tout en me regardant… - Enlevez moi corset je vous prie et buvez ! Je me levais. Je lui tournais le dos. Doucement je saisis les lacets de mon corsets pour défaire le nœuds. Habillement, je desserrais les liens. Je m’approchais alors de lui. Un à un j’otais les rivets à l’avant de mon corset. IL n’en ratait pas une miette. Je fis tomber le corset à mes pieds. - Restez ici. - Hum ces marques de votre corset sur votre peau.. - Allez vous rasseoir. A la seconde partie, contre toute attente, je remportais la partie ! J’allais commencer à choisir ce que j’allais lui demander quand il me regarda… - Non non, petite chienne… Il faut rester à votre place ma chère.. Je vous laisse choisir quel vêtement ôter.Je souris. - Quel homme vil vous faîtes. Je décidais alors d’ôter la jupe. Tout doucement. Je voulais qu’il voit combien son cadeau me faisait de l’effet. - Mains sur la table, cambrez vous. Il s’était levé. Il passa ses mains sur mes fesses puis ensuite sur mes seins. Il les prit bien fermement. Je sentis ses doigts passer sur ma chatte. - Hum ces perles… vous les portez divinement. Vous êtes si ruisselante.. Je vois qu’elles vous en font de l’effet. Soudain il baissa le string. Il saisit la badine. - Je ne veux pas vous entendre ! 5 coups. Vous allez les compter. Vous pensiez que j’allais laisser passer vos prises de liberté, aussi agréable soient elles. - Non.. Monsieur, je suis désolée.. - Ne le soyez pas, j’aime quand vous êtes ainsi, mais je dois vous punir quand même. Je tendais alors mes fesses. Il me donna le premier coup. - Wouahh.. criai-je de stupéfaction. Merci… Monsieur.. Il plaça ensuite la badine pour choisir où il allait frapper. - Merci.. Monsieur C’était au même endroit. Chaque coup avec eu son effet. Je sentais mes fesses bien chaudes. Il glissa à nouveau ses doigts. - Je vois que ça ne vous a pas calmé.. vous êtes encore bien trempée. Il me servit un autre verre. - Pour calmer votre douleur. A la partie suivante, je me concentrais alors pour gagner même si les règles c’était lui qui les fixait. A ma grande surprise je gagnais encore. - Vous avez la main chanceuse. Maintenant que vous êtes sans vêtement, vous devez choisir un accessoire. Je lui montrais alors un gode. - Bon choix Mademoiselle Lane. Vous allez vous empalez dessus sur la chaise. Il s’agissait d’un gode avec ventouse. - Vous allez me mettre dans votre petite chatte. Pendant la prochaine partie vous vous baiserez dessus tout en jouant. Je vous veux concentrée. Comment être concentrée dans ce moment là. J’essayai tant bien que mal de me concentrer mais c’était impossible. Je perdis la partie suivante. - Mettez vous les pinces à seins je vous prie. Je les prenais dans les mains. Il avaient mis de nouvelles avec des petites clochettes. - Allez serrez les bien fort ! Je le regardais. Je serrais. Il était pervers. - Encore ! - Allez faîtes de la musique en vous baisant. Il me regardait alors le gode dans ma chatte à regarder tout en entendant les clochettes faire leur petits sons. - Suffit maintenant ! Son sourire charmant melé à son regard pervers, je sentais que les choses allaient s’intensifier. Il stoppa alors la partie. - Mains dans le dos maintenant. Il prit alors une bougie. Il commença doucement à faire couler la cire sur mes seins. Il avait mis une certaine hauteur ce qui rendait la chose pas trop brulante. - Baisez vous maintenant. Je sentais la différence de chaleur de la cire avec les vas et vient. - Hummm… Que de doux sons.. vous aimez ? - Oui.. Monsieur… Il reposa alors la bougie. Il alla se servir un nouveau verre et se rassit. - Venez me sucer maintenant. Il ouvrit sa braguette, puis sortie son sexe. - Non sous la table, comme une bonne chienne. J’allais alors sous la table. Je prenais son sexe dans ma bouche. Je le dégustais comme il dégustait alors son verre. Il tapota alors sur ma tête. - Brave chienne ! c’est bien continue. Je m’appliquais à ma tâche. J’aimais son sexe. J’aimais le manger, l’engoutir. Soudain il appuya ma tête pour prendre les rennes. - Pas bouger.. gardez la bien en bouche quitte à vous étouffer. Je bavais. - Une petite bourgeoise soumise… Dépravée.. j’aime ça ! vous avec vos petits bijoux et votre air de sainte nitouche qui demande qu’à se faire baiser. - Oui.. Monsieur j’ai envie de me faire baiser. - Ah oui vous voulez vous faire baiser ? Il me saisit par les cheveux. Il était face à moi. Il me força à m’empaler sur sa queue. - Avec vos perles de putain, vous êtes une chienne de luxe. Il prit alors mes fesses bien en main et me força a bien m’empaler sur lui, à ce que je sente sa queue au fond de la chatte à bien sentir ses coups de bite. Mes seins valsaient, les pinces sonnaient.. Il me défoncait si fortement. Soudain il mit un doigt de chacun de ses mains dans mon cul.. -Oh…. Oh… Il me gifla et serrra ma gueule avec sa main.. Puis reviens tout en me claquant les fesses. Je n’arrivais plus à penser, je ne pensais qu’à m’empaler sur sa queue. - Hum… Hummm. Vous n’avez que ce que vous méritez. Mes mains étaient dans le dos. Il les tenaient tout en continuant à me prendre ainsi. Quand il arrêta, il me demanda d’aller à ma place. J’allais alors sur mon cousin au milieu du salon. Quand il revint, il m’attacha poignet et cheville ensemble. Je n’avais aucun échappatoire. - Je ne veux pas vous entendre.. Il m’avait mise sur le dos. Je le vis saisir un martinet aux lanières longues. Il le passait sur mon corps, il s’amusait à faire un peu de vent au dessus de moi. Mes yeux étaient apeurés… Il insista alors sur ma chatte. Je criai.. - Vous me voyez obligé de vous réduire au silence. Il allait chercher le gag ball. - Hum, à ma merci.. vous aimez être à ma merci, non ? Il me regardait droit dans les yeux, agenouillé. Martinet en main. Il était doux. Il retira alors mes pinces à seins. Il passait le martinet encore dessus. Je tentais d’échapper son coup. Il me retourna alors sur le ventre. Ma tête était au sol, mes fesses relevées prête à attendre. Ils me fouettait le dos, les fesses et sans trop de force l’entrejambe. Je criais dans mon bâillon. Quand il stoppa, il me retira le bâillon. - Je.. - Non non.. interdiction de parler. Si je vous l’enlève c’est pour combler votre trou à bite. Il me remit alors sur le dos. Il s’assit sur moi. J’étais totalement à sa merci. Il prenait ma tête dans ses mains. Il s’astiquait avec son jouet.. ma bouche. Je l’entendais râler son plaisir. Il Dirigeait au mieux sa queue dans ma bouche, je ne pouvais rien faire. - Bonne petite chienne. Il me faisait manger ses couilles. Je ne voyais que cela. J’étais son petit objet sexuel. Son membre était bien dressé. Il releva mes fesses et me pénétra le fion. - Hum.. j’aime vous enculer ainsi à froid. Sentir votre petite rondelle céder et voir votre regard de stupéfaction me rend complètement fou. J’allais répondre quand il me remis le gag ball. Il me pilonnait encore et encore. Il me retourna et cette fois changea sa position. Il était debout écartant mes fesses, dos à moi. Cette position me rendait folle, complètement putain, chienne et j’adorais cela. Doucement, il entra, puis ressorta. Il écartait deplus belles mes fesses. Et il resta là à regarder. A regarder mon trou ouvert après ses assauts. Il prit alors mon string et s’amusa à introduire les perles dans mon cul.. - Oh je pense qu’il faut plus pour vous fourrer au mieux. Il revena avec un gode qui se gonflait. - Je veux que votre cul soit bien ouvert. On va y travailler. Je me sentais si excitée. Il me mit en place et commença par le gonfler une première fois, puis une seconde. Il s’amusait à me fourrer au mieux avec. Il continuait à le faire grossir au point qu’il n’arrivait plus trop à le rentrer et le sortir. - Votre chatte est si trempée ma chère… Je ne vais pas la laisser délaisser ains. Il me caressa le clitoris tout en y fourrant 3 doigts. - J’aime vous voir ainsi contrainte, fourrée et doigtée. Il s’arrêta d’un seul coup. Il admirait alors son travail. Allongée et gondée, contrainte. - Je vais vous laisser un peu, votre cul ainsi. Il faisait un peu de rangement, en ne prêtant que peu d’attention. Il reçu alors un appel téléphonique. Je me sentais vexée. Il m’observait en étant assis. Je me dandinais de cette position qui commençaient à se faire longue. Mon regard se faisait suppliant. - Hum, oui ce soir, on peut dire que je suis veinard. Depuis peu j’ai un nouvel animal de compagnie. Je suis en plein dressage… Il se releva et sortit de la pièce. Quand il revient, il m’ôta les liens et le gode. Il me tira alors par les cheveux. Et me fît marcher à quatre pattes contre lui. - Allez montez comme une bonne petite chienne. Il me fit mettre à genou sur le canapé, les bras sur le dossier. - Cambrez vous mieux que ça. Il caressait mon dos, mes cheveux. Il les rassembla pour les prendre en main. - Vous êtes si belle, si princesse et chienne à la fois. J’ai tellement envie de vous faire de choses bien vilaines et perverses. Il me relevait en tenant mes cheveux pour mettre son bras contre ma gorge. Son souffle si chaud. Il m’embrassait passionnément le cou jusqu’à le mordre. Il me pénétra alors doucement. A ce moment là c’était si bestial et sensuel. Nous étions alors àl’unission. IL me faisait l’amour avec passion sauvage. Le loup était sorti, il possédait sa louve. Tout mon corps frémissait. Il ne bougeait plus, me laissons prendre le contrôle à aller et venir contre lui, son sexe appelant si chaudement ma chatte. J’aimais longuement, entrer et sortir. M’empaler ensuite pour l’engouffrer au fond de mon sexe. Je bougeais les fesses, me déhanchais. Il m’agrippait les cheveux, les seins. Le temps s’était complètement arrêté. Il me jeta alors la tête contre l’assise du canapé. Il lécha mon anus. Il y introduisit un doigt puis un autre. - Encore, Monsieur, Encore.. J’avais si soif de lui. Il me rendait si chienne. Il me doigtait avec quatre doigts. - Humm .. hum.. je soupirais encore et encore. Je sentais son souffle d’excitation. Je devinais son sexe fièrement dressé attendant de prendre la place de ses doigts. - Prenez moi.. je ne tiens plus.. Il ne fit rien. Il me caressait le clitoris. Cela me rendait complètement folle. Je m’ouvrais encore et encore. Je me sentais à vouloir plus, tout naturellement. IL ne fit rien. Il me prit à nouveau par mon petit trou. Il tenait mes fesses de chaque côté. J’aimais quand il me baisait ainsi. Je sentais doucement aussi son abandon dans le contrôle qu’il a tout le temps dans ces moments là. C’est dans cet abandon où nous existons, il est nu, prêt à jouir. Il ne se retenait plus. Je sentis ses coups se saccader annonçant son plaisir. Il se jeta ensuite sur moi. A ce moment, j’entendis Lana Del Rey, ride dans sa version longue.. Cette musique me plongea alors dans une atmosphère de ce moment parfait. Il me protégeait avec son corps de cette chaleur. Je voulais rester ainsi lovée. Son sexe était encore en moi. Son cœur battait contre mon dos.. Boum Boum.. Boum Boum.. je le sentais fort. je voulais que ce moment ne s’arrête jamais. Doucement je sentis son cœur ralentir.. ralentir. Il me tenait par les poignets me faisant sentir sienne. Il ne disait aucun mot. Nous étions nus sur le canapé, allongés. Lui sur moi m'enveloppant. Jamais je n’avais ressenti une si belle symbiose. Il était mon loup,. Avec lui je pouvais me sentir tout affronter, tout subir, tout ressentir.. Peut être suis-je folle d’éprouver cela cela mais au fond, l’instant présent il faut savoir le savourer. La louve était réveillée, lui était là à se reposer sur elle. Je prendrais soin de lui comme il prend soin de moi.
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Par : le 17/05/20
Désolée pour les éventuelles fautes, je ne me suis pas relue, je déguste de succulents fruits rouges.. Chapitres précédents : Première ( Acte 1) / Ceinture (Acte 2) ****************************************************************************************************** Acte 3 Il était totalement dans mon esprit avec ces deux moments intenses avec lui. Cela faisait deux semaines qu’on ne s’était pas vu mais il gardait ce lien entre nous. Il voulait savoir ce que je faisais, il trouvait toujours un moment pour m’accorder quelques minutes ou un message envoyé via Whatsapp. Ce sentiment de compter est si doux. Celui de se sentir respecter. On devait se voir ce soir. J’avais hâte. « Je ne veux pas que vous vous caresseriez pendant nos absences. Si vous le faîtes, vous m’en avertirez ». Au départ, je me suis prise à jouer le jeu. J’avoue que j’aime me caresser très régulièrement. Là, c’était divinement cruel que de résister. Je lui faisais mes aveux, mes difficultés à résister, à lui faire part de mon excitation. Il voulait avoir ce contrôle à savoir ce que je faisais, non pas par jalousie ou ce côté malveillant. Il avait un tel degré d’empathie. Je pouvais lui parler petits soucis existentiels genre chiffons, shopping, comme des problèmes plus intimes ou des causes que j’affectionne. Je pouvais être moi avec mes états d ‘humeur. Être Zèbre.. une découverte. Durant des années, je m’étais sentie si à part. Cela avait était une révélation à me dire au fond, pourquoi lutter contre qui je suis. L’hypersensibilité de mes sens, ce besoin de respect des valeurs, ce sens de la justice.. Être dans le détail de tout.. Toujours cette recherche de la perfection. Cela m’avait permis de comprendre mes coups de fatigue soudain, mes changements d’humeur quand un de mes sens était mis à rude épreuve..Par exemple, une lumière trop forte ou une musique qui me tape sur le système. J’aime me retrouver dans le calme, être solitaire, méditer tout en ayant ce besoin aussi d’interactions sociales. J’ai envie trouver mon bonheur seule. Alors le choix de mon partenaire se fait non par parce que j’ai besoin de quelqu’un mais parce qu’avec lui je partage un lien que nous seuls pouvant partager. Majorité d’hommes me trouve complexes, à faire peur. Lui avait creusé, il avait compris ce qu’il y avait entre les lignes. Et je le suspectais aussi d’être un zèbre comme moi. Mais au fond, ce n’est pas le plus important. Ce qui l’est c’est cette franchise et cette sincérité que nous avons. Pas de tricheries. Nous étions nous-mêmes. Je sonnais à sa porte. Il ouvrit. Il avait ce charisme où je me retrouvais toute timide, où il me faisait sentir femme et soumise naturellement. Je pénétrais dans son antre. Je déposais mes affaires. Il me prit alors dans ses bras. Il m’enlaçait. Je sentais toute cette chaleur me réconforter. Il m’embrassa avec une telle douceur pour ensuite prendre possession de mes lèvres avec passion. Ses mains passaient dans mes cheveux. - Hum votre parfum… je crains qu’il m’ait capturé.. à moins que ce ne soit vous ma chère Demoiselle. Je le regardais en lui souriant lui rendant son baiser. Quand il posa sa main sur ma joue, je la penchais encore plus pour profiter de cet instant où je m’abandonnais. - Allez prendre votre place, je vous prie. Comme il me l’avait demandé lors de notre dernière entrevue, je me mis au milieu de son séjour. IL avait déposé un grand cousin au sol. J’allais alors m’installer sur cette place si confortable à genou. Je baissais alors la tête. A ce moment là, tous mes sens étaient complètement décuplés. Il me faisait vibrer dans cette pièce où je peux tout libérer. Je voulais qu’il me touche, qu’il me possède, qu’il me pénètre. Ressentir cette appartenance, cette passion dévorante à être à ses pieds pour qu’il me donne atteindre ces sommets de plaisirs qu’on s’apporte. L’un sans l’autre ne pouvons exister. Il avait mis en bruit de fin une musique Massive Attack.. Angel… J'adorais cette musique si possédante. Soudain, je sentis sa main se poser dans le creux de mon dos et remonter doucement vers ma nuque. Il me dit à l’oreille - Je crois Mademoiselle Lane, que vous soyez trop habillée à mon goût Avec sensualité il défaisait mon chemisier. Bouton par bouton… C’était si érotique.. IL prenait son temps. La température montait. Il enlevait doucement mon chemisier. Mes seins étaient nus. Doucement il les effleura pour ensuite s’en emparer. Il m’embrassait le cou, il me léchait. Il était félin. Je sentis alors la douceur d’un tissu partir du creux de mon dos pour ensuite s’égarer sur mes épaules. Je frissonnais. Il plaça alors un bandeau en satin sur mes yeux. Il continua alors encore à me caresser les seins. La douceur de ses mains sur ma peau me rendait complètement folle . IL m’éffleurait. Il déscendit sur ma jupe. Il descendit alors la fermeture éclair. Je la sentis me libérer la taille. Il m’empoigna sensuellement les cheveux pour me jeter en avant, à quatre pattes. D’un geste animale il me l’enleva. Je l’aidais à cette tache. J’étais alors à quatre pattes. Durant quelque instant, je le sentis debout à me regarder. Je n’avais pas mis de culotte comme il me l’avait demandé. Il posa sa main à la naissance de mon anus. Il appuya légèrement pour me faire ressentir dans mon petit cul le rosebud qu’il m’avait demandé d’y placer. Il tenait dans sa main sa cravache. Il me releva le menton. - Redressez- vous je vous prie. Il inspecta ma posture. Il tapa mes mains. - Paume vers le haut ! L’intérieur des cuisses aussi fût corriger. Il les écarta davantage. Il caressa mon dos avec. Il claqua mes fesses. Je fus surprise. Il me sortait de ma torpeur. - Voilà qui est bien dressée maintenant. Mains dans le dos, et ouvrez votre bouche je vous prie. Il y plaça la cravache. - Vos seins ma chère, je vais prendre plaisir eux aussi à les dresser. Il commença par les gifler plusieurs fois. Je trésaillais. Puis il alterna avec des caresses pour ensuite s’en emparer à nouveau. Je le sentis ensuite dans mon dos. Je m’abandonnais contre lui. Il saisit mes tétons et les tira. - Vous me direz stop… quand ou si cela est trop sensible pour vos petits seins. - Je… Oui.. Monsieur, je vous remercie. Il commença par bien les pressés. Je me mordais la cravache. Cette douleur qui laissait place à un soulagement quand il stoppait la pression. Quand il recommençait cette fois il les tira en avant. - Chut…. Je ne veux rien entendre. Je mordais encore cette cravache pour contenir mon plaisir, ma douleur. - Vos tétons dressés sont parfaits ainsi. Soudain, je sentis la douceur d’une corde. Je savais qu’il allait tisser sa toile pour m’emprisonner dedans. La corde passait autours de mes seins, de mon cou, de mon dos, de mes bras. IL m’emprisonna les mains dans le dos. Mes avants bras était attachés, mes mains touchant presque mes coudes de part et d’autres. - Hum, sublime. Vous devriez vous voir ainsi. Emprisonnée, à disposition.. Il saisit alors la cravache. Il la passa sur mes seins qui était quelque peu comprimé, comme gonflés. Il y donna quelques coups. Je pinçais alors mes lèvres. - Levez vous. Je tentais de me lever, ce qui n’était pas chose facile attachée ainsi. J’avais perdue de ma superbe, me sentant malhabile. Je sentais qu’il était tout proche à veiller. Je ne risquais au pire que de tomber sur ce cousin énorme si confortable. Une fois redressée, il me prit alors par les cheveux. - Prête, petite chienne ? Quand il m’appelait ainsi, cela me rendait toute chose.. - Oui.. Monsieur, prête à être votre petite chienne. - Humm… Il me tirait par les cheveux qu’il tenait contre ma nuque. IL me faisait avancer. Je ne savais pas où j’allais. Je tatonais des pieds. - Ne vous inquiétez pas, je suis là, vous n’allez pas vous cogner. Puis d’un seul coup, il m’agenouilla au sol pour m’asseoir sur les fesses. Je sentis alors que j’étais au sol, dos au canapé. - Ecartez bien vos jambes de chienne, que j’admire votre chatte déjà bien trempée. Il me domptait. Je voulais obéir. Pourquoi résister ? Sans aucun ménagement, il mit des doigts dans ma bouche. Je léchais, je suçais.. - Bonne petite bouche suceuse. - Ouvrez la bien. Sortez votre langue. - La voulez-vous ? - Oui.. Monsieur, je la veux. Il me pénétra ainsi avec sauvagerie. Il plaça ses mains derrière ma tête. Il prenait le contrôle . Je n’avais pas le temps de reprendre mon souffle tellement ses va et vient étaient si rapides. Soudain il bloqua sa queue bien au fond. - Humm….. Puis il reprenait.. je reprenais alors mon souffle. Il m’assaillait littéralement. Je pleurais presque. IL me dépravait ou plutôt il révélait ma dépravation. Quand il s’arreta, je sentis sa main sur mon cou pour me faire mettre la tête contre l’assise du canapé. - Sortez votre langue. Il s’assit alors sur mon visage afin de me faire lécher ses couilles. Elles étaient douces, lisses. C’était si agréable à lécher. - Restez ainsi en attente, petite putain. Je me demandais ce qu’il faisait je restais ainsi. Soudain, je sentis quelque chose au bout de ma langue.. Un fruit… Il s’amusait à l’entrer, le sortir… je voulais croquer.. cette cerise. Je sentais la queue de la cerise céder. C’était si bon. Je plaçais alors le noyau sur le bout de ma langue pour qu’il me l’ote.. Il me fit déguster ainsi un de mes fruits préférés… Il me saisit par les cheveux et me redressa. - Buvez… Humm.. un délicieux champagne qui allait probablement me rendre des plus pétillantes. Il me caressait alors la lèvre avec un autre fruit, cette fois je devinais une framboise… Quoi que plus divin que des framboises… - Vous êtes si sensuelle quand vous vous délectez.. Puis il continua sa dégustation alternant les fruits et le champagne. - Hum.. Maras des bois dis-je.. ma fraise préférée. Je souris… - Hum.. Merci Monsieur. J’aime les fruits rouge.. rouge comme vos lèvres.. qui donne envie d’être croquées, malmenées, dévorées… Cette alternance de sensualité et de bestialité sauvage me rendaient complètement addict. L’alcool me montait légèrement à la tête. J’adorais cette sensation. - Encore Monsieur.. encore… - Que voulez-vous. - Encore du champagne s’il vous plait. Il me donnait encore à boire. - Vous savez que cette faveur va vous coûter.. Je souris… Je souris un peu moins que je sentis le métal des pinces sur mes seins. - Pas de bruit. Je vais les serrer un peu plus que la dernière fois. Il prit alors les tétons pour les tirer à lui. Instinctivement je me redressais. Il positionna alors la première pince. Il serra en effet un peu plus que la dernière fois, mais cela était supportable. - Voilà votre champagne, petite chienne de luxe. Je me délectais. J’avalais ce nectar quand il la seconde pince sur mon téton gauche. Je pinçais alors mes lèvres. - Voilà, vous êtes bien ornés maintenant. Cette chaîne est parfaite pour le maintien. Il tira dessus. Je criais alors. J’étais bien droite. Il me redonna du champagne. - Vous voyez, je vous récompense. Je souris. Il me laissa ensuite ainsi au sol. Quand je ne sentais pas sa présence, je me sentais abandonnais. La privation de la vue me rendait encore plus sensible au son et aux odeurs. Quand il se rapprochait, je sentais son parfum me cueillir, quand j’entendais ses pas, je trésaillais à vouloir être contre lui tout en ayant cette peur de l’inconnu. J’adorais cette excitation. Il me releva. Il caressa mes fesses. Il s’était alors assis. Il commença à les claquer… - Penchez vous en avant. Il écarta alors mes fesses… Il vérifia encore le rosebud. - Hum il tient bien en place. Je compte bien vous ouvrir davantage après. Je sentis qu’il s’assit confortablement. - Baissez vous. Je butais alors contre quelque chose de dur au niveau de mon entre-jambe. - Empalez vous. - Voilà, doucement, remplissez votre chatte. C’est là que je sentis qu’il me glissa à nouveau sa ceinture autours de mon cou. Un de ses accessoires fétiches il semblerait.. comme le mien aussi. - Maintenant, baisez vous. Il me contrôlait en tenant la ceinture. En remontant, elle m’enserrait la gorge, augmentant ainsi mon excitation. Je me laissais aller à ce qu’il m’offrait. Je me baisais alors choisissant mon rythme. Il avait placé j’imagine un gode rattaché à sa cuisse. Soudain il appuyait sur mes épaules pour me forcer a avoir le gode bien au fond. - Déhanchez vous.. - Voilà… hum voilà.. Il prit à ce moment là la chaine et tira dessus… Je criais. A ce moment là il me bâillonna avec sa main. Il prenait le contrôle. Il joua avec sa cuisse et commença à me baiser. J’étais contre lui impuissante. Cet abandon. De ne penser à rien, de subir, d’être libérée de ce besoin de contrôler, de réfléchir. De vivre l’instant présent. - Debout et penchez vous. Il se releva et me prit par les cheveux me forçant à me mettre le ventre contre la table basse. Les jambes contre le col. Il m’écarta bien les fesses. Il saisit alors le rosebud.. Il commença à le sortir. Doucement .. puis le remetta à sa place.. Puis il sortait. - Votre fion.. hum.. voir cette petite auréole cédée.. puis se refermer pour l’emprisonner.. - Je pense qu’il va vouloir bien plus gros. Il commença par faire des petits cercles avec son doigt sur mon auréole. Puis il enfourra son pouce.. - Oh oui bien plus gros. - Voulez-vous que votre fion soit comblé, élargi, écartelé.. doigté ? Humm.. il voulait m’entendre le dire… je n’osai pas. Dans une voir murmurante.. je lui avouai : - Oui, Monsieur, j’ai envie que mon petit fion soit comblé. - Elargi et bien écartelé en vous doigtant ? - Oui Monsieur… Il s’approcha. Il claqua mes fesses - Parfait petit chienne. Il passa sa main sur ma chatte bien mouillée. Il humidifiant ses doigts. - Combien de doigts vais-je vous fourrer ? - Je ne sais pas Monsieur, autant que vous pourrez en mettre. - Hum… voyons voir… Il commença tout d’abord par m’en mettre un suivi rapidement d’un second. - Hum… encore Monsieur… J’aimais me sentir fouiller ainsi.. Il enfourna un troisième doigt. - Hum vous vous ouvrez.. c’est si bon. Vous aimez ? - Oui.. j’aime cela. Je sentais alors qu’il rajoutait un quatrième doigt, son petit doigt. Il s’amusait à bien tendre ses doigts pour les aligner. Il entrait et sortait, les resserraient, les retendaient. - Bonne petite chienne dit il en me tenant par les cheveux. Hum… hum… je ne cessais de gémir comme la petite chienne en chaleur que j’étais. Il sortit ses doigts tout en écartant mes fesses. - Quel trou de salope ! Il me redressa en m’agrippant par mes avants bras qui était attachés dans le dos. - Voilà, tout doux. Une fois redressée, il écarta mes fesses tout en plaçant le gode sur mon fion. Il mit sa main sur ma bouche tout en me tirant par les cheveux. D’une fermeté sévère il m’encula avec le gode. - Je vais t’en mettre plein votre petit cul de salope, qui a envie de se faire défoncer. N’est ce pas ? Je ne pouvais répondre. Frénétiquement il me baisait en jouant sa cuisse tout en me maintenant bien pour que je le sente au plus profond de mon fondement. - Allez empalez vous bien petite putain… Voilà… Je devinais qu’il me regardait. Il saisit alors la ceinture. Il serra bien fort et me força à m’encula j’avais vers le gode avec des vas et vient et lui venait avec sa cuisse me l’enfoncer . - Petite salope ! Il me bâillonnait encore, il enfonçait alors son doigt dans ma bouche. Je le mordais , je le léchais, je lui montrais tout le plaisir qu’il me donnait. Jetant sur le sol un cousin assez épais, il me balança dessus. Mes fesses étaient alors surélevées. Frénétiquement il passa alors sa langue sur mon anus plusieurs fois. Il introduit deux doigts dans ma chatte et deux dans mon anus. Il jouait avec mes petits trous si trempés. - Hum … oui…. Oui.. - Vous aimez ? - Oui.. Monsieur j’aime ça… - Voulez vous que je vous défonce bien comme une chienne ? - Oui.. Monsieur défoncez moi je vous en prie. - Ëtes vous ma putain ? - Oui.. Monsieur, je suis votre putain. Il ota alors ses doigts. Il m’encula sans prévenir. Il me tenait par les épaules pour bien me pénétrer. Je sentais sa queue me tenir, me saisir les entrailles. Je hurlais façe a ses coups. - Fermez votre gueule de putain ! Il me tira les cheveux et me chevaucha avec sa queue à me faire galoper le cul. - Regardez mo ce trou béant.. je pourrai y fourrer bien plus que ma bite. Il repris de plus belle. Il me retourna ensuite sur le dos, soulevant bien mes fesses. - Maintenant je vais avoir le choix.. Chatte ou cul.. ou bouche de salope. - Prenez ce que vous voulez, je suis toute à vous. Il se mit sur moi et me saisit la bouche avec sa main. - Oh oui, vous êtes toute à moi et m’embrassa. Il tourna mon visage avec sa main et appuya dessus pour que je ne le bouge plus. Il posséda alors à nouveau mon petit fion. IL ne lui laissait aucun répit. Il agrippa mes cuisses pour accélérer au mieux sa cadence. J’aimais quand il m’enculait ainsi. L’animal qu’il était. Cette fougue. Soudain il saisit ma chaine à téton. Je hurlais. Il me gifla. J’étais surprise. Il se pencha alors sur moi. Son souffle contre moi. - J’aime me sentir en vous… C’est si chaud.. si bon.. Je soupirais de plaisir, de désir.. Il me bâillonna encore… - Chut…. Et là il me donna trois grands coups si intenses que je m’en étais cambrée. Il restait en moi. Il passait sa main sur mes seins. Il retira alors la première pince. Je ne pue retenir un cri. Doucement il les embrassa, les lécha… Il fit de même à l’autre. Libérée de cette contrainte, la sensibilité de mes seins s’en trouvait encore accrue. Doucement il repris avec douceur sa sodomie. Je sentis alors ses doigts s’introduire dans ma chatte en même temps. - HUmmmmmmmmm… hummmm… - Petite gourmande… Je souriais. Comment pouvait il être aussi sensuel, doux et animal à la fois. - J’aime voir ma petite chienne jouir… Il enleva alors mon bandeau. Il plongeait son regard dans le mien.et me sourit. Il était dressé fièrement à me prendre le cul, à posséder de ses doigts ma chatte si dégoulinante.. Il s’attardait aussi à caresser mon clitoris. Mes lèvres étaient gonflées. Je les pinçais. Je commençais à ne plus me tenir… Il avait une telle manière de me toucher, de me doigter, à caresser mon petit clitoris… Doucement je fermais les yeux. - Ouvre tes yeux… je veux voir l’abandon dans votre regard Je le regardais. J’avais presque envie de pleurer. Je contractais mes cuisses.. - Oh oui.. jouis ma belle.. jouis… Je criais ma jouissance tout en le regardant. Je m’abandonnais totalement… - Comme tu es belle… Cette jouissance avait été si forte… Il s’allongea contre moi. Pour me mettre dans ses bras. Il me mit sur le coté, lui derrière moi. Il me caressait les seins tout en m’embrassant dans le cou. - Ce parfum me rend capable de toute les folies.. enfin pas que le parfum… Je souris… J’étais encore sur mon petit nuage. Il le savait. IL me laissait savourer. Au bout de quelques instants il se releva. Il pris le bandeau. Cette fois ci.. il le mit entre mes dents pour me bâillonner.. - Je n’ai pas fini de t’utiliser petite chienne. Il me laissa là.. ligotée au milieu de son salon sur mon cousin de petite chienne…
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Par : le 16/05/20
Pardonnez mes éventuelles fautes, je n'ai pas pu me relire.. Sacrée ceinture.. (suite de la nouvelle Première) ********************************************************************************************* Cette première soirée me donnait qu’une envie.. encore.. encore. J’étais repartie en ayant son parfum sur moi. J’avais besoin de me retrouver seule. Il l’avait compris. « Quelle sublime soirée Mademoiselle. J’espère que vous aurez l’envie de se revoir ce soir pour poursuivre votre éducation. Le voulez vous ? ». Je souris, il connaissait la réponse. Il y a de ces choses qui n’ont pas besoin d’être dite car nous les comprenons. Toutefois, j’aimais le fait qu’il l’écrive avec ce charme très désuet que j’affectionne. « Cher Monsieur, vous connaissez l’émoi que vous me provoquez. Quand on visite le septième ciel, on souhaite toujours y revenir. Pour ce soir.. Je vais y réfléchir ( sourire)… Bien sur que oui je vous veux. ». « Voilà qui est parfait. RDV ce soir à 18h chez moi. J’aimerai bien vous voir en robe courte moulante. ». Le temps me paraissait si long. J’avais très peu dormi avec une certaine tension. Fatiguée mais heureuse de le voir. Je sonnais. Il ouvrit la porte. Habillé dans ce style chic et cool dont il avait le secret il était si séduisant. Il affichait un ton relativement sérieux. J’avais compris. Je pénétrais dans son appartement. - Stop m’ordonna t il. - Hum, je vois que mes souhaits ont été exaucés. Il était derrière moi. J’étais debout. Je sentis son souffle derrière au creux de mon cou. Il déposa un baiser tendre. Soudains je sentis ses crocs se planter dedans tel un vampire. Il saisit mes cheveux pour plaquer l’arrière de ma tête contre lui, lui offrir plus mon cou. - Alors ma petite chienne, avez-vous toujours envie d’être dressée à subir mes sévices ? - Humm.. Oui Monsieur, votre petite chienne a bien besoin d’être dressée. - Je vais bien m’occuper de vous. Il plaqua son sexe contre mes fesses. Je le sentais déjà gonflé. J’entendais sa bouche de ceinture volé. Il la retira. Sans ménagement il m’empoigna pour m’immobiliser les mains dans le dos. Il m’attacha avec. Il claqua des doigts afin que je m’agenouille. Il baissa ma tête. - Restez bien ainsi. Il releva mon visage. - Je crois que le concept jambes écartées vous échappe. Déjà tout à l’heure, vous ne l’avez pas fait.. et là.. encore serées. Vilaine petite chienne. - Je suis désolée Monsieur… - Oh oui vous allez l’être. Je vais être dans l’obligation de vous punir.. mais vous n’attendez que ça dit il dans un murmure si sensuel. IL rejetta ma tête. - Je vous laisse un peu méditée. J’entendais ses pas.. il était en train d’ouvrir une bouteille de vin. Quand il revint il me releva. - Suivez moi. Je marchais sur mes hauts escarpins rouges. Je portais cette petite robe noire moulante. J’avais pris soin de mettre des sous vêtements ultra sexy.. Il me conduisit alors dans le salon. Face à moi, il plaçait son doigt sur ma bouche. Doucement, je l’entre-ouvrais. Avec sensualité il me mis son majeur . Je me délectais de le savourer, de le sucer. Il me prit pleinement possession de mes fesses pour m’attirer à lui. - Ce parfum me rend fou… Il remontait ma jupe sur ma taille. Il caressait alors mes jambes, embrassant mes cuisses. Sa langue me parcouraient. Il sentis alors sa main me caresser juste à l’orée de mon entrejambe, sans y toucher. Il me chauffait.. terriblement. J’étais à nouveau dans un état d’excitation terrible. Il me caressait avec une telle sensualité. Il découvrait chaque zone sensible.. Il abaissa doucement ma culotte, sans pour autant l’enlever.. Il y déposa un baiser bien mordant. La pièce se faisant alors de plus en plus chaude. Il saisit alors ma culotte par l’arrière pour la prendre de pleine main. Il tira dessus pour maintenir une pression sur mon sexe. J’avais envie de me frotter comme la petite chienne en chaleur que j’étais. Il avait passer son bras autours de mon cou. - Hum déjà si chaude.. Je vois que vous vous dandinez à vouloir.. plus… - Humm Oui Monsieur.. vous me rendez complètement folle… Il relacha la pression. Puis se saisit d’une cravache. Il la passait alors sur mon corps, il me caressait avec comme il m’avait léché avec sa langue. - Savez vous que vous avez un fessier qui appelle la cravache ma chère ? - Non.. Monsieur.. Ma tête était baissée. Il mit la cravache sous mon menton et la releva en me regardant droit dans les yeux.. - Eh bien je vous le dis.. la cravache pour une belle jument à dresser.. Il m’excitait encore… Je sentais la cravache se diriger vers mon entrejambe. Il frottait la tige contre mon sexe. J’avais envie de lui si intensement… - Savez vous ce qui va se passer ? - Non.. Monsieur ? - Vous allez vers cette table. Vous poserez vos mains sur la table. Vous me cambrerez bien. Il me détacha puis utilisa à nouveau sa ceinture pour la mettre autours de mon cou. Je trouvais cela tellement intense. Je me sentais complètement possédée. Il avait une telle poigne à me faire faire ce qu’il voulait. Il me regardait marcher vers la table. Je m’amusais à faire une démarche des plus sexy., la robe toujours relevée sur la taille. Je me sentais si désirée. Ce sentiment que j’avais perdu. Il l’avait raviver dès le premier regard. Il me désirait pour qui j’étais. Il voulait posséder mon esprit et mon corps. Je me cambrais attendant sa venue. Je ne le regardais pas. Je baissais ma tête. Il me laissa encore patienter. Une attente cruelle, interminable. Il jouait avec mon désir. Je lui rendrais la pareille… Il ne payait rien pour attendre. Quand je sentis le bruit de son pas, je me cambrais encore plus. Quand sa main se posa sur mes fesses, il me murmura. - Baissez votre culotte sur vos chevilles. Gardez la bien tendue. Avec finesse, sensualité, j’enlevais doucement la culotte. Je passais mes doigts sur le coté pour l’enlever. Je voulais le faire languir comme il m’avait fait languir. Arrivée sur mes cuisses, je jouais de mes jambes pour la faire glisser à mes chevilles. J’écartais bien mes jambes pour tendre la culotte puis je me remis en place à tendre mon fessier. Je m’accoudais sur la table. La cravache passait sur mes fesses quand il frappa un premier coup relativement intense. Je compris alors que la punition allait être à la hauteur de l’éducation que je méritais. Il tapotait légèrement pour ensuite mieux frapper. - Je vous invite fortement à me remercier de vous donner une leçon.. sans cela vous augmenterez la cadence et la force de votre punition. Vous avez le choix. - Je.. vous .. remercie Monsieur de me punir ainsi. Il frappa bien fortement sur mes fesses. - Ecartez moi vos fesses je vous prie. Ainsi cambrée, les fesses présentées il passa le bout de la cravache sur ma chatte pour remonter sur le haut de ma raie. - Vous ferez un très bon porte cravache ma chère… - Vous semblez bien trempée. - Oui.. Monsieur, je le suis. Il me donna un coup sur la chatte qui me surpris. Je fermais alors mes jambes. Je m’étais redressée comme pour ne plus en recevoir. - En place, tout de suite ! Vous avez le choix ma chère.. vous choisissez l’intensité de votre punition.. Ah obéir et être punie.. ou désobéir et être punie très sévèrement… Je n’avais pas envie de désobéir tellement j’appréciais ce moment. Il m’apprivoisait. Je me remis en position. Il replaça alors a nouveau la cravache sur mon sexe. Il tapotait. J’attendais le coup qui allait venir, pour me contenir.. au lieu de ça il y passa sa main. - Bonne petite chienne. Reste ainsi. Il m’abandonna encore. Il alla s’asseoir dans le salon, avec son verre. - Tête baissée ! - Oui.. Monsieur. Je tenais la poste à attendre et attendre. L’excitation passait par tout ses états.. Cette frustration intensifiait mon désir. Les coups de cravache chauffait mon corps, et aussi mon désir. L’Alternance de douceur, de fermeté m’amenait aux anges. - Revenez à quatre pattes.. Telle une panthère je m’avançais alors vers lui. On se regardait droit dans les yeux. Je voyais son désir. Rien que son regard me faisait frissonner. - Stop. - Levez-vous. J’étais là debout. - Remettez bien vos vêtements. Je redescendais ma robe sur mes cuisses. Presque déçue. - Allumez moi. IL avait saisit la télécommande de son poste musical.. Digital Versicolor – Glass Candy… Hum, il me donnait cette liberté d’être cette femme sensuelle qui fait tout pour séduire son mâle. A le rendre fou de désir. Je pinçais les lèvres. Cette musique était ce que j’appelle une musique sexuelle. De celle qui vous donne envie d’être baisée. Dans cette robe, je me sentais si sexy. Je pouvais danser comme ces femmes qui se lâchent en dansant, en se déhanchant, en se caressant le corps. J’allais lui faire un show privé. Doucement, je saisis le verre. Je m’amusai à me mettre à califourchons sur lui. Je buvais une gorgée en le regardant droit dans les yeux. Prenant le pouvoir. Je me déhanchais sur son sexe comme si je le chevauchais. Il ne bougeait pas, presque impassible. Il plongea son regard dans le mien, observant sa chose, sa chienne se pavaner pour lui. . Je décidais alors de me relever. Je saisis son verre pour lui mettre dans sa main. Je remontais ma robe juste finement pour laisser entrevoir ma culotte puis je la redescendais. Il commençait tout doucement à bouger. Je montais alors sur la table pour prendre encore plus de hauteur. Il se lova dans le canapé. Il sirotait son verre avec ce léger sourire, même s’il voulait se montrer impassible. Je tirai sur la fermeture éclair de ma robe. Je jouais à me dévoiler.. me réhabiller.. pour ensuite, devant lui faire tomber la robe en le regardant droit dans les yeux. Je me mis alors sur les genoux et je me dandinais les fesses de gauche à droite pour l’allumer comme une putain le ferai. Je me redressai. Je jouais avec mes mains en la passant sur mes fesses, sur mes seins, sur mon sexe. Je voulais le rendre.. passible. Je vis sur la table un bandeau.. Avec langueur, je le mis sur mes yeux. Je m’étais remise à quatre pattes à bouger mes petites fesses pour l’inviter à s’occuper de sa petite chienne… Je sentis alors ses mains se poser sur le bas de mon dos m’indiquant qu’il reprenait la main. Il passa sa main sous ma culotte. Il la descendit alors douceur. Une tension sexuelle si intense. Il me saisit alors par la ceinture, me forçant à descendre de la table basse. Je le suivais, aveuglais mais en confiance. Je ne savais pas où nous allions. Il me plaqua contre une table assez haute, froide. J’en avais la chair de poule. Il plaça mes mains à l’avant et les lia ensemble avec une corde. Mes jambes étaient alors écartées fièrement dressées sur les escarpins. En bas et portejartelles.. Mes seins libres. Il ne parlait pas. Je sentis alors un liquide tomber sur mon dos. Je me redressais, il léchait. Il s’abreuvait à mon corps. Il me mordait. Il empoigna la ceinture autours de sa main et me redressa. Je sentis quelque chose de plus dur parcourir mon corps. Je devinais alors que c’était un gode. Il le dirigeait vers mon enjambe. J’étais complètement trempée, je sentais des filets de mouille. Il glissa ses doigts que je devinais recouvert de mouille. Il frotta le gode contre ma chatte. Je me déhanchais. J’étais frustée. J’avais envie de me faire prendre.. Je n’en pouvais plus. Quand il plaça le gode à l’orée de ma chatte, je m’empalais directement. Il me tenait bien redressée, serrant la sangle de la ceinture autours de mon cou. IL me possédait. Il relacha la pression en me caressant le dos puis s’aventura sur mon sein droit. Il s’était penché sur moi. Je sentais son souffle. Il me mordait le cou.. Je murmurais mon désir, je me consumai. Il mis sa main sur ma bouche. Il activa le gode plus fortement dans ma chatte. - Prenez le bien au fond de votre petite chatte de chienne… Humm.. Sa main ensuite se posa sur ma gorge au dessus de la ceinture. J’adorais cette sensation si animale alors qu’il me pénétrait la chatte avec le gode. Il me redressa . Il laissa le gode contre sa cuisse. Je m’amusais avec. Il sous-pesait mes seins. Il pointaient tellement. Il s’amusa à les tirer encore plus. - La prochaine fois je vous ornerais de chaînes.. Allez baisez vous encore ! Il me poussa alors sur la table. Il était derrière moi.- - Continuez à vous branler. Pendant que je jouais avec le gode à le glisser sur ma chatte, à le faire passer sur mon clitoris ou à le ré-introduire, il caressait mes seins les malaxant. Sa voix me guidait. Il me parlait. Il me metta dans un état de transe. Cette voix si importante. J’aimais qu’il me parle. - Humm ma petite chienne qui se branle. Allez y plus fortement. - Voilà…. Il mit ses doigts dans ma bouche. Je lui suçais.. - Quelle suceuse, cette bouche.. Il serra la ceinture.. - Allez petite salope, mieux que ça.. voilà. Je veux vous entendre prendre votre pied. Ahhh… ahhh.. c’était si bon.. hummmm.. je me lâchais. - C’est ça.. Voilà… D’un mouvement plus brutal, il me tourna et me fit glisser sur cette table. Il mit mes fesses bien au bord. Toujours attachée, je continuais à me goder. Je sentis alors sa langue s’aventurer sur mon anus. Il le lécha puis écarta comme il le pouvait pour y avoir un accès. Il y mis un doigt.. Il commençait doucement à jouer avec, à faire des aller et retour… pour m’ouvrir doucement… Je gémissais… presque plus de force à force de me goder ainsi. - Continuez.. Il me mit un second doigt dans le cul. Il s’était relever. Il me baisa l’anus de ses doigts. Je sentais son regard sur moi à la frénésie qu’il avait en m’insérant ses doigts. Il y mis un troisième doigt. Je criais… - Chut.. Il prit alors la ceinture et me baisa ainsi avec ses doigts. Je laissais alors tomber le gode. J’étais perdue dans les tourments de ce désir hardent. Il ota ses doigts. - Enculez moi Monsieur, je vous en prie.. Prenez moi.. J’en brule d’envie. Je me faisais suppliante. Je le voulais si fortement. - Je vous en supplie, ne me laissez pas dans cet émoi. Ma voix se perdit quand je sentis sa queue commencer doucement à me prendre. Il y allait doucement. Je m’étais redressée. Je passais mes mains attachées autours de son cou. IL fut doux au début. Il m’embrassait le cou, le léchait. - Vous vouliez être enculée ? baisée ? - Oui.. Monsieur, je voulais être enculée. Baisez moi maintenant je vous en prie.. s’il vous plait. Il ota mes mains de son cou. Il me jeta sur la table. Il remonta alors mes cuisses. Et là d’un coup profond de rein, je le sentis.. son sexe dur me prendre bien au fond. Ses coups étaient si précis, lent. J’entendais son corps butter contre le mien. Puis dans une danse langoureuse entre sa queue et mon anus, il faisait voler mes seins. Il les stoppa dans leur valse en les gifla, les griffant. Il était devenu très animal. J’étais sa chienne. Il agrippa mes seins si fortement quand il jouit que je me sentis marquer par l’empreinte de ses doigts tout comme je sentais cette emprunte dans mon anus. - Restez ainsi petite putain. Je restais allongée sur la table les jambes écartées. Il ôta alors mon bandeau pour me regarder droit dans les yeux. Il me détachait. Pas un mot entre nous deux, des sourires. Il revint vers moi avec nos verres de vins… Ma gorge était sèche. Je buvais nue comme exposée sur cette table. Il me regardait.. Je le regardais. Je me mis à quatre pattes pour me mettre face à lui Je me sentais comme une reine avec lui. Il posa alors ma tête contre le marbre de cette table un peu haute. Je levais mon fessier à l’appel de ses attentes, ses désirs, ses caresses… Il nétait pas revenu qu’avec les verres. Il plaça dans ma bouche la cravache. Cet objet remplit de temps de délices et supplices.. jeux, punitions, caresses… - Ne bougez pas. Il s’était éloigné. Pendant quelques minutes. Il était dans le salon. Ma tête était retournée contre la table vers lui. - Quelle belle position.. Les fesses relevées ainsi. Je sentis alors du métal au niveau de ma chatte… Puis cela s’engouffra dans mon anus.. - Humm.. voilà.. un beau bijou pour votre anus. Pour qu’il soit toujours ouvert. J’aimerai que vous en portiez un quand je vous le demandrai. Je hôchais de la tête en disant oui. - Bien.. cela me plaît. De vous savoir disposée à avoir le cul ouvert. - Redressez vous maintenant. - Venez avec moi… Je vous aide à descendre. Je commençai à marcher avec lui. - Non, non à quatre pattes cravache en bouche.. En chienne racée que vous êtes. Il me tenait par la ceinture. Je marchais à l’unisson à ses côtés. Il me déposa a nouveau au milieu du salon. - Je vous veux dans cette position et ici quand vous serez ici. Les mains sur les cuisses ouvertes ou dans le dos quand je vous l’ordonnerai. Droite, bien dressée. Il ajustait ma posture. Il avait déposer un oreiller sous mes genoux. Il me caressait le visage. Naturellement, je me blotissais contre sa cuisse. Je sentais alors sa main me caresser les cheveux. Il s’absenta. Quand il revint il s’agenouilla devant moi. - J’aimerai vous orner de ces pinces à tétons. Elles sont ajustables. Au fur et à mesures je les serrerais de plus en plus forts. Vous serez magnifiée avec. - Vous allez être ma reine. Je baissais la tête. Il posa la pince sur mon premier téton.. il serra doucement.. puis il déposa la seconde. - Je vais encore serrer. Je sentais son sourire. Il y avait cette sensation de plaisir et douleur supportable. - Je vous ai posé votre verre à coté. - Continuons ainsi nos échanges. Je vais m’asseoir à admirer ma petite chienne. Vous pouvez poser la cravache devant vous quand vous buvez, mais après je vous veux l’avoir dans les mains en présentation ou dans votre bouche quand je vous ordonne de vous taire. Je lâchais complètement prise. Je ne m’étais jamais sentie autant désirée. Il m’avait marqué par cette prise en main comparable à la douceur de la soie et si animale comme l’odeur du cuir. - Ce soir, je vous attacherai à mon lit avec un bandeau. Je vais vous utiliser à ma guise… - Je… - Cela m’excite terriblement Monsieur d’être à votre disposition. Il sourit. - J’aime votre spontanéité. Mais parfois vous parlez trop. Je ne sais pas encore si je vais vous bâillonner ou non … - Allez au pied petite chienne, je vous veux à mes côtés.. Je m’avançais vers lui. IL m’avait fait m’allonger sur le canapé, nue, la tête posée sur ses cuisses. Il me cajolait.. Quand vint le moment d’aller au lit, il me prit dans ses bras. - Tendez vous bras je vous prie. Il m’attacha les poignets et les fixa au barreau de son lit. Il me regarda et mis un bandeau sur mes yeux. - Pour une douce nuit de princesse.. ou de salope… La nuit commençait à peine…
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Par : le 14/05/20
Quand elle franchit la porte de son bureau, Juliette se sentait nerveuse; la veille, elle avait accepté, malgré elle, de se soumettre à Chloé; elle était revêtue de l'un de ses tailleurs classiques qu'elle affectionnait particulièrement avant que Chloé ne lui impose des tenues plus provocantes; le tailleur jupe, en flanelle noire, était composé d'une jupe droite lui arrivant très au dessus des genoux et d'une veste croisée sur un chemisier blanc au col entrouvert, mettant en valeur, sous son corsage flottant, un soutien-gorge balconnet, ouvert, transparent et durement baleiné, rehaussant une poitrine généreuse mais ferme aux larges aréoles brunes; elle ne portait ni string, ni tanga; elle allait donc le ventre nu, d'autant plus nu que Chloé exigeait qu'elle soit intégralement rasée, lisse, offerte et ouverte, et qu'elle porte en permanence, fixé au centre de ses reins, un rosebud anal, de façon que le mouvement de ses muscles ne puisse le repousser mais qu'on puisse pénétrer au besoin son autre voie. Elle entretenait sa silhouette, en faisant de la gymnastique quotidiennement, et en montant à cheval tous les week-ends; à vingt ans, c'était une femme au physique séduisant, à la fois stricte et féminine; ses lunettes fines lui donnaient un air sérieux et élégant. Elle en imposait car elle se tenait toujours très droite avec des chaussures à talons hauts; ce jour-là, elle portait le chignon et son maquillage était discret. Lorsqu'elle passa devant Chloé qui était assise à l'accueil, elle la salua d'un signe de tête sans dire un mot et se dirigea vers son bureau. Celui-ci était spacieux, meublé en style moderne, d'un canapé en cuir noir Knoll, et d'une grande table en verre. Des plantes vertes agrémentaient le décor. Elle prit l'interphone et demanda à Chloé de venir. Quelques instants plus tard, elle frappa à la porte. Chloé s'assit sans dire un mot. - Voilà, j'ai décidé d'arrêter ce petit jeu, c'était une fantaisie mais nous sommes allées trop loin, je ne suis pas vraiment lesbienne, vous non plus d'ailleurs, nous nous sommes accordées mutuellement des libertés mais je crois qu'il faut mettre un terme à tout cela. Nos relations resteront cordiales mais compte tenu de ce qui s'est passé entre nous il est préférable de nous éloigner. Bien entendu il est hors de question que vous en subissiez quelque dommage que ce soit, j'ai donc conclu un arrangement avec l'un de nos sous-traitants, il vous fera un contrat avec un salaire plus élevé que celui que vous percevez ici. Voilà, je vous conserve toute mon amitié mais il serait souhaitable à l'avenir de se vouvoyer." Chloé eut un nœud à la gorge, elle était déstabilisée, l'attitude calme de Juliette, le fait de la voir dans cette tenue qu'elle associait à celle qui était sa patronne froide et autoritaire, le fait de ressentir sa détermination, tout ça remettait en cause ses acquis, tout allait peut-être s'écrouler comme un jeu de cartes. Elle savait que sa prochaine phrase allait déterminer la nature de leur relation future. Ce sera celle qui fera la première erreur qui aura perdu se dit-elle. Elles s'observèrent un long moment, puis Chloé décida d'entrer dans la bataille. Cependant, elle avait senti le changement de ton de Juliette, celui-ci n'était plus aussi assuré, bien que cherchant à le dissimuler, elle commençait à perdre pied, elle profita de ce moment de faiblesse pour porter l'estocade, elle se leva et s'approcha, elle lui tira les cheveux pour la forcer à la regarder, droit dans les yeux: - C'est toi qui es venue me chercher, moi je ne t'avais rien demandé. - Euh oui je sais, mais j'y ai été contrainte par Laurence. - Oui mais Laurence ne t'a rien imposée elle non plus, je connais votre histoire, elle t'a laissé le choix de poursuivre votre relation ou non, c'est toi qui a accepté. - Tu as accepté oui ou non ? - Oui. - Tu dis que tu n'es pas lesbienne, je crois plutôt que tu es bisexuelle, maso-bisexuelle, tu as pris autant de plaisir que moi dans cette relation, alors pourquoi veux-tu arrêter ? - Mais vous non plus, vous n'êtes pas lesbienne, vous me l'avez dit. - Moi c'est différent, je suis libertine, je prends le plaisir là où il est sans me poser de question, me faire lécher par ma patronne, c'est une jouissance autant cérébrale que physique; pour toi de lécher ta secrétaire, c'est un plaisir aussi, le plaisir de l'interdit sans doute. - Chloé, je vous en prie, ne rendez pas ma tâche plus difficile, nous sommes libres de nos choix, nous avons joué vous et moi mais maintenant ça suffit, cette situation ne me convient plus, alors je vous le dit voilà tout. Regardez notre différence d'âge, nos styles sont différents, nous ne faisons pas partie de la même classe sociale, nous n'avons pas la même culture, tout nous sépare. - C'est justement pour ça que tu m'intéresses, parce que tout nous sépare. Puis elle lui saisit la main et la fourra entre ses jambes. - Allez vas-y, tu sais ce que tu as à faire. Juliette retira sa main énergiquement et baissa le tête, Chloé lui tira à nouveau les cheveux plus fort, puis d'un ton autoritaire: - Vas y je te dis ! Alors Juliette, mécaniquement, la main tremblante, lentement, remonta vers son sexe et le caressa. - Écoute ma chérie, il faut que tu te mettes dans la tête que tu as deux vies bien distinctes, ta vie classique, celle que tu mènes depuis toujours de femme d'affaires qui s'amuse à regarder les autres de haut et puis celle où tu es exactement l'inverse, tu es ma soumise, c'est toi qui doit exécuter tous mes caprices. Mais réfléchis, au fond tu as de la chance, avec moi au moins tu vis vraiment ! Bon je vais être gentille, je t'accorde la liberté totale en dehors de nos relations, c'est à dire que tu pourras rencontrer un homme si tu en as envie ou quoi que ce soit d'autre. Mais je te préviens, je n'accepterai plus de rébellion dans nos relations personnelles, tu dois accepter cette situation, tu n'as plus le choix, tu m'appartiens." - J'ai compris. - Tu vas être sage et obéissante ? - Oui... - Alors dis-le. - Je vais être sage et obéissante... Chloé se déshabilla et se mit à quatre pattes sur le canapé, Juliette lui lécha le cul. Chloé jouissait de la situation; celle qui un quart-d'heure plus tôt avec son tailleur Chanel lui faisait la leçon était en train de lui lécher l'anus, à elle, sa secrétaire. Puis, au bout d'un moment, Chloé se leva, se rhabilla et sortit du bureau, elle revint deux minutes plus tard, un trousseau de clés en main qu'elle jeta sur le bureau puis elle prit une feuille et griffonna quelque chose dessus. - Voilà c'est mon adresse et mes clés, tu prépareras le dîner, je reviendrai vers 20h, tu resteras habillée comme tu es mais tu auras ôté ton soutien-gorge et ton string et dégrafé deux boutons de ton chemisier. Juliette, livide, acquiesça sans dire un mot. Lorsque Chloé rentra chez elle il était vingt et une heures passé, elle s'approcha de Juliette, la prit affectueusement dans les bras et l'embrassa, en ouvrant un coffret qu'elle avait à la main et en sortit un large collier, ras le cou en or, avec un médaillon gravé. - Je t'ai fait un cadeau, tu ne peux pas dire que je ne te gâte pas. - Ah bon ? Je ne m'attendais pas à ça, vraiment c'est gentil. - Avant de dire que c'est gentil, lis ce qui est gravé sur le médaillon. Elle prit ses lunettes et lu "Juliette" en gros, puis en petit "Propriété de Chloé de Moras" suivi de son téléphone. - Non tu plaisantes !! Tu veux que je mette ça ? Tu n'as donc plus aucun respect pour moi ? C'est hors de question, tu vas trop loin maintenant. - Viens ici et baisse les yeux, tu veux que je me fâche ? - Non. Comme un robot elle approcha, Chloé lui mit le collier autour du cou puis sortant une petite pince de son sac écrasa le fermoir pour qu'on ne puisse plus jamais l'ouvrir. - Attention, si tu l'enlèves, je te fais tatouer au fer sur le pubis. Progressivement Juliette s’enfonçait dans la soumission totale, Chloé avait l'intelligence de la faire progresser par paliers; jusqu'ou l'amènerait-elle ? Juliette qui était une femme BCBG avait une honte infinie, d'abord de se retrouver à agir d'une manière qu'elle jugeait totalement avilissante et inavouable mais de plus avec une jeune fille de vingt ans, qui non seulement aurait pu être sa fille, mais qui de plus était son employée. Malgré cela et contre son gré elle devait bien admettre que cette situation l'excitait. Elle savait qu'elle obtiendrait tout d'elle, même ce qu'elle n'osait pas avouer. Le lendemain, au travail elle reçu un SMS : Appelle moi à ton bureau ! Elle le fit, une fois entrée, Chloé s'assit sur le canapé, retira son string et écarta les jambes, puis l'œil narquois. - J'ai une petite envie, viens ici ! Sans dire un mot, Juliette qui avait compris ce qu'elle attendait d'elle s'accroupit et entama un cunnilingus, bien malgré elle elle était devenue experte en la matière lui léchant d'abord les grandes lèvres avec le plat de sa langue puis se concentrant sur le clitoris le titillant du bout de la langue d'abord doucement puis en accélérant, pendant ce temps elle pénétrait un doigt dans son anus, en faisait des petits cercles; la jouissance vint rapidement, une fois satisfaite dans un râle étouffé, Chloé lui lui tapota la joue. - Maintenant, lèche moi l'anus, ce soir tu viens chez moi à vingt heures. Je sonne et au lieu de Chloé, c’est une belle inconnue qui m’ouvre riant de ma surprise. Je l'entends me demander de rentrer et de venir à la cuisine où elle s’active pour finir de préparer des cocktails. Elle me présente la jolie fille. - Voilà, c’est Laura et ne ris pas, moi aussi j’ai franchi le pas, c’est ma femme me dit-elle en m’embrassant doucement sur les joues. Je pensais que toutes mes prévisions tombaient à l’eau et j’étais bien loin du compte en réalité. On s’installa au salon pour déguster les douceurs un peu alcoolisées qui avaient été préparées. Chloé me raconta leur rencontre faisant référence à la nôtre en comparaison comme si elle voulait me la rappeler, en me narguant. Après trois verres, Laura mit de la musique douce et me demandant si j’aimais danser, elle me tendit la main; regardant Chloé, elle acquiesça de la tête; je me retrouvais dans les bras de Laura me guidant dans une danse lascive, ses ses mains sur mes reins. Chloé nous regardait sirotant son verre quand les doigts de Laura se posèrent sur mes hanches faisant remonter ma robe sur mes cuisses découvrant le haut de mes bas tenus par un porte-jarretelles. - "Regarde ma chérie, comme elle s’est habillée pour toi la salope" lui dit-elle. Je ne pouvais pas nier que la lingerie La Perla en dessous de ma robe devait faire son effet. - Déshabille-la, elle adore ça dit en réponse Chloé. Alors Laura fit glisser la fermeture de ma robe, me la retira, frôlant de ses doigts ma peau la faisant frissonner à ce contact. Elle me fit tourner sur moi-même pour laisser Chloé me voir en entier. Au bout de quelques instants, celle-ci se leva, vint vers moi et m’arrêta face à elle et posa ses lèvres sur les miennes, m’en faisant partager le goût; je me laissai griser par le plaisir quand je sentis Laura se coller dans mon dos. Bientôt Chloé me fixa sur la bouche un bâillon-boule pendant que Laura me liait les chevilles avec des lanières de cuir reliées au canapé. Elle saisit ensuite mes poignets, qu'elle écarta en croix, comme mes cuisses. J'étais ainsi offerte à mes deux maîtresses. J'allais être fouettée dans cette position humiliante, bras et cuisses écartés, que la lumière ne parvenait pas à rendre impudique. Ce fut Chloé qui me flagella, sur le ventre, l'intérieur des cuisses et les seins. Puis, elles me détachèrent de façon à pouvoir prendre un peu de repos, mais cet intermède ne dura que peu de temps. J’étais prise entre les bouches de ses deux femmes, désirant me soumettre. Laura dégrafant mon soutien-gorge pour que Chloé pétrisse mes seins de ses mains. Puis les deux bouches glissèrent vers le bas, l’une dans mon dos, l’autre passant de mes seins à mon ventre; doucement les quatre mains firent glisser mon string, leurs bouches sur mes fesses pour l’une et sur mon pubis rasé pour l’autre, me goûtant en totalité, en me faisant tourner sur moi-même au bout d’un moment pour explorer l'intégralité de mon corps pris en étau, de leurs langues intrusives et de leurs doigts gourmands. Je jouis une première fois, bien incapable de savoir sous la langue de laquelle cela se produisit. Puis elles me prirent par la main, et on se retrouva dans la chambre; je m’allongeais docilement sur le lit, elles se déshabillèrent devant moi. Je découvris le corps de Laura, sportif, très sculpté qui vint s’allonger contre moi. Je pus le caresser, l’embrasser, le goûter, pétrir ses seins, leurs aréoles et les pointes très sensibles, en érection déjà, et son ventre parfaitement lisse. Chloé m’encourageait en me caressant, tout en introduisant un doigt dans mon rectum, puis elle s’arrêta, me laissant au plaisir et à la merci de Laura qui me surprit, dans mon dos, par la dureté de l'olisbos dont elle s'était ceint à la taille. M'ordonnant de me mettre en levrette sans que ma langue ne perde les lèvres de Chloé et pour la première fois, alors qu’elle ne me l’avait jamais imposé, elle frotta son gode sur mon ventre inondé de cyprine et d’un coup, me sodomisa. Les mains sur mes hanches, la jeune fille poussa des reins, et le cône se prêta aux replis de mon étroite bouche; l'anus plissé s'ouvrit sous la poussée continue en se distendant; l'olisbos disparut dans l'étroit orifice qui se referma derrière ses rebords saillants; elles eurent toutes deux le spectacle de mon corps arqué dans un spasme délirant de volupté. La fin de soirée dura un long moment, prenant du plaisir plusieurs fois chacune jusqu’à ce que la faim ne nous ramène nues à table et pendant que je finissais le dessert, Laura glissa sous la table avec sa flûte de champagne, m'écarta et me força à uriner dedans, à la porter à mes lèvres et à en déguster jusqu'à la dernière goutte le nectar encore tiède. Où était passée la fringante quadragénaire sûre d'elle ? - Qu’est-ce qui m’attend maintenant ? demanda Juliette fébrilement. - Tu seras dressée par une Domina, une Maîtresse professionnelle. - Durement ? - Oui, très durement, tu franchiras un nouvel échelon dans la hiérarchie de l'esclavage. - La prochaine fois, lors d'une soirée privée, tu seras mise à l'abattage, mais ne t'inquiète pas les invités seront triés sur le volet, tu n'auras qu'à te soumettre docilement. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 11/05/20
Je suis à nouveau désolée pour ces éventuelles fautes que j'ai commise. Je ne me suis pas relue.. J'étais retenue attachée au lit. ********************************************************************************************************* Voilà plus d’une demi heure qu’il m’avait contrainte à rester dans le salon avec interdiction de venir le déranger. A peine rentrée dans son appartement, il avait m’avait collée contre le mur et me serrant la gorge. Il m’avait relevée la jupe pour y fourrer sa main à travers ma petite culotte. - Hum.. je voulais voir si e fait de voir ton dominant te faisait mouillée ma petite chienne.. Il inséra quelques doigts pour me fouiller - Tu aimes ça que je te doigte. Je prenais tellement de plaisir quand il était ainsi que j’en fermais les yeux. - Regarde moi petite chienne. J’ouvrai les yeux, il me regardait droit dans les yeux. Il me pénétrait de plus en plus fort. - A genou. - Dis bonjour à ton Maître comme il se doit. Il appuyait sur ma tête pour m’inviter à lui baiser les pieds. Assiste sur mes jambes, je me recroquevillais pour honorer mon maitre. Je lui baisais alors les pieds - C’est bien ma petite.. continue. Sors moi ta petite langue. Je léchais alors ses pieds. Je sentais son regard sur moi à observer tous mes faits et mes gestes. Cela me rendait folle d’être ainsi à ses pieds. Il me stoppa en appuyant son pied sur mes cervicales. - Brave chienne. Suffit. Il s’abaissa. Il me prit par les cheveux et me releva la tête en arrière. - Tu as été bien vilaine tout à l’heure quand je t’ai appelé. Je n’apprécie pas le ton que tu as pris avec moi. Il me tira alors par les cheveux et me jeta sur le canapé. Il me saisi la gueule avec sa main et la serra bien fermement. - Tu sais que je vais devoir te punir. - Je.. Oui Monsieur. - Baisse tes yeux, je ne t’autorise plus à me regarder. Je ne veux même pas t’entendre. Il saisit le gag ball. - Ouvre ta gueule. Une fois bien positionné il le sangla bien serré. Il me caressait alors le visage puis me gifla tout en me resaisissant à nouveau par la gorge. Il serra, serra. - Oui tu vas être bien punie ma petite. Je souriais. Il me retourna comme une poupée de chiffon. Il déboutonna ma robe pour me la mettre sur la taille et ôta mon soutien gorge. IL me para de bracelets à mes poignets et à mes chevilles. . Il tira alors fermement sur les tétons - Voilà de quoi te maintenir comme il faut. Il me sangla un collier de maintien si serrait qu’il m’étranglait doucement. Il attacha mes poignets dans le dos. Il me releva en me tirant par le bras. Il me força a être sur mes jambes, le dos courbé. IL appuyait bien fermement dessus. - Interdiction de bouger de là. Il me claqua les fesses et me laissa ainsi. Le temps passait. Mes jambes commençaient à être bien douloureuses. Je me sentais alors délaissée. Je changeais alors de position pour me soulager. Il était dans sa chambre. J’entendais parfois ses pas pour me remettre ensuite en position. Je savais que j’allais être punie pour mon ton désinvolte de cette après midi. J’étais relativement énervée. Je lui ai répondu en haussant le ton sans réussir à me calmer. Le temps passait. Quand je l'entendis au loin. - Viens maintenant. Mes genoux étaient en souffrance. un peu endoloris. Je me relevais avec difficultés les bras attachées. En arrivant à sa chambre. Je toquais alors à sa porte. Un long silence.. puis une seconde fois. - Entre. J’ouvrai la porte avec mes mains en me tournant. Sans trop faire de bruit, je pénétrais dans la chambre. Il était posé sur son lit avec son ordinateur. Je me mis à genou devant lui. Il m’ignorait pendant quelques secondes. - Tiens voilà mon petit trou à bites qui rentre. - Tu sais ce que cela signifie ? Je le regardais en baissant les yeux. Il se leva de son lit et retira mon gag ball. Il me caressait le visage. - Brave petite chienne. J’aimais sa caresse. Je me disais qu’il était d’une telle clémence. - Releve toi…Viens par ici.. - Viens là… Je m’étais rapprochée du lit. Il était assis face a moi. Il me caressa mes seins, les gifla.. puis à nouveau les caressa. Il prit mes tétons entre ses doigts et les pressa. - Tu sais ce qui arrive aux filles qui sont très vilaines. - On.. les punit Monsieur. - Oui, on les punit.. et je vais te punir comme il se doit. Il ouvrit le tiroir de son chevet et sortie des pinces à tétons. Il prit en premier mon téton droit. - Je ne veux rien entendre compris ! Je montrais en silence mon mécontentement.. Puis il fit de même avec mon téton droit.. Il sous pesa mes seins et s’amusa un peu avec. Mes tétons étaient reliées pour une chaine. - Je ne sais pas encore quel poids je vais mettre sur cette chaine. Je le regardais d’un regard suppliant. Mais je méritais cette punition… J’étais des plus dociles. - Allez bouge moi un peu tes seins.. Je me dandinais pour faire valser un peu mes seins. Je sentais les poids des pinces sur mes tétons.. IL ne ratait pas une pointe du spectacle. - Non non, on ne grimace pas.. J’essayais de ne pas faire de grimaces malgré ma douleur. Il mis sa main sur mon ventre pour me stopper. - Prête mon petit trou à bites ? - Oui.. Monsieur. - Tourne toi. Il détacha mes poignets tout en les tenant bien serrés dans ma main. - Voilà.. respire maintenant. Il avait enlevé le collier de maintien. Je respirais à nouveau correctement. Cela m’avait rendu bien docile, bien calmée. Puis il détacha mes poignets. - Voila.. dit il en me massant les bras. - Merci.. Monsieur. - Mains dans le dos !! Il me caressa la gorge et me recoiffa ave douceur. Puis il me gifla. - Tu as aimé m’attendre petite chienne ? - Oui.. Monsieur. Il dirigea sa main vers ma culotte . - Oh mais quelle humidité. - Pas autorisée a bouger… ? - Oui, Monsieur.. - Obligée d’attendre ? Il continue à caresser mon entrejambe. - Oui, Monsieur, - A être punie ? - Oui Monsieur. - A avoir ta petite culotte bien trempée. - Oui.. Monsieur. - Ta petite chatte parle pour toi.. Mes doigts sont remplis de ta mouille. - Ta petite chatte est aussi contente que toi de me retrouver, on dirait. - Oui.. monsieur. - Attendant d’être utilisée toute la journée ? Dans un souffle je répondais. - Oui Monsieur. - C’est ça ta réponse ? Il me gifla tout en m’enfonçant un doigt dans la chatte - Oui Monsieur, j’ai attendu toute la journée pour que Monsieur m’utilise et utilise ma chatte et mes autres trous. Il me caressa doucement la joue. - Voilà C’est bien mieux. Une réponse bien formulée. - Allez ouvre ta bouche. Il passa ses doigts dans ma bouche pour que je les lui nettoie. Il mit un doigt dedans. - Allez suce bien petite salope. Je suçais alors avec délectation son doigt. Puis il fit ainsi l’ensemble de ses doigts. - Bien… voilà Doucement !!! - Allez sur les genou, ventre contre le lit.. que je puisse regarder ton petit cul précieux de princesse.. Il prit alors la culotte en une seule main pour bien me la mettre au niveau de la raie. Il s’amusait ensuite à tirer sur le tissu.. - Oh.. si humide. Je talais de plaisir. - Tu aimes ça ? - Oh oui Monsieur…. Il descendit soudainement ma culotte pour la faire tomber à mes genoux.. - Garde bien tes cuisses ouvertes pour qu’elle tienne ainsi.. Il prit de pleine main mes fesses avec ses mains. Il les caressait, les palpait, les griffait. - On va travailler à l’amélioration de ton comportement de putain. - Humm Oui Monsieur… - Tu vas être parfaite pour me satisfaire ? - Oh .. hum.. oui monsieur, répondais je alors qu’il me caressait les cheveux. J’appréciais toutes ces attentions.. c’était si délicat. - Pour devenir bien éduquée ? - Hum.. Oui Monsieur.. - Bien docile ? - Hum.. Ouiii Monsieur . Ma voix était comme un murmure sensuel. - Juste comme j’aime ? - Oui.. Monsieur.. Il me caressait à nouveau les fesses. Quand soudain il me les claqua si fortement. Puis il les malaxaient à nouveau pour ensuite mieux me fesser. - Tu sais des fesses si blanches c’est interdit ? Il me fessa à nouveau, encore et encore puis pour me soulageait me malaxait encore fortement les fesses, puis il les écartait.. - Oh regarde moi ça.. qu’’est ce donc ? - Le fion de votre petite chienne Monsieur. - Oui.. le fion de ma petite chienne. - Oh mais qu’est ce que cette chatte dégoulinante.. - Petite gloutonne.. tu veux te faire fourrer aussi bien le cul que la chatte… - Hum.. oui Monsieur… Il me caressa à nouveau doucement le dos, le visage, les cheveux. J’étais aux anges. Puis soudain il me fessait à nouveau de plus belle. - Allez sur le lit. Mets toi bien au fond. Il me calla dans des coussins. - Enleve ta culotte Il attacha mes poignets de chaque coté à une chaine qui elle était reliée à un anneau fixée sur une longue barre au mur faisant la largeur du lit. Puis il positionna mon cul pour ensuite m’ouvrir les cuisses comme une barre d’écartement et les enchaina de la même manière a chaque anneau de cette barre. Maintenant, il est temps de te corriger comme il se doit. Il mis dans ma bouche un bâillon relativement épais et mou. Mes jambes ainsi écartées, mes poignets attachés également de chaque coté. Il avait un accès à tout mon corps. Ma chatte était exposée tout comme mon petit fion. Il prit alors sa cravache. Il commença par mettre quelques petits coups dessus. Je criais tout en serrant des dents le bâillon. Je ne pouvais pas fermer mes jambes. J’étais là faite pour subir ma punition si méritée. - Oh regarde moi ces petites lèvres qui sont déjà si gonflées… Il la cravachait encore ainsi que mon entrecuisse. Puis pour calmer le feu il me caressa… J’étais alors toute trempée. - Laisse moi te décorer un peu. Il prit alors des pinces à linge. Il commença à en mettre une au niveau intérieur de mes bras. Puis une seconde juste à coté. Il fit de même à l’autre bras. - Hum si j’en mettais sur tes seins. Je grossissais des yeux. Ils sont déjà si fragiles.. Il prit alors la pince pour la diriger sur mes seins tout en me regardant. Je râlais en faisant non de la tête. C’est là qui la fixait au dessus de mon sein a la jonction avec mon aisselle. - La nature aime l’équilibre. Il fit de même de l’autre coté. Je commençais à lever les yeux au ciel pour contrôler ma douleur. Mes yeux commençaient à s’humidifier. Me surprenant il plaça alors une pince sous chacun de mes tétons. Je hurlais. - Crois tu que je puisse en remettre quelque part ? Je ne pouvais répondre mais mon regard suppliait non.. Après tout avais je le choix ? il me punissait. Il reprit la cravache et me donna encore un coup sur la chatte me faisant pleurer. - Tout doux… il me caressait alors le visage et cessa mes larmes avec ses doigts. Il mit à ma hauteur une autre pince. Il me dit au creux de mon cou.. - Je t’avais dit qu’un jour nous travaillerons les pinces.. sur ta chatte. Je vais commencer par les grosses lèvres. Il saisit une de mes grosses lèvres et y plaça doucement la pince. De même de l’autre. Puis il écarta les pinces pour mieux écartées ma petite chatte. - Hum comme tu es bien décorée… - La prochaine fois, je t'écarterai la chatte avec les pinces que j'attacherais. et je te doigterais ainsi puis te prendrait la chatte. Il reprit sa cravache en la passant sur les pinces pour les bouger. J’avais mal, mes yeux étaient toujours larmoyant et sa voix douce me rassurait. - Alors où dois je concentrer ma cravache ? Il tapotait doucement avec sur chacun des endroits où il avait mis des pinces ? - Les seins je crois c’est ce que tu préfères. Je pleurais, je faisais non de la tête. Je mettais ma tête en arrière pour me concentrer sur autre chose et ne plus penser à cette douleur que je voulais maitriser. Je pensai à ses caresses. - Je veux te voir couiner comme une petite chienne ce soir. Ce sera la plus douces des musiques pour mes oreilles me dit il d’une infinie tendresse en cessant à nouveau mes larmes. Il me torturait ainsi avec sa cravache. Je mordais de plus en plus dans mon bâillon. - Allez repire.. inspire.. calme toi. Sa voix me guidait m’amenant sur les chemins du plaisir. Je savais que la douleur allait être un réel plaisir. Je ne m’attendais pas à cette fermeté qu’il avait ce soir. - Tu vois où t’as conduite ton insubordination. Tu ne peux t’en prendre qu’à toi-même. Puis il continua de plus belles a faire semblant aussi à me donner des coups forts qui se terminaient par des caresses de cravaches. Puis il reprenait sa torture. Comment pouvait il être si pervers et sadique et un visage si doux et une voix si angélique. Il me caressait à nouveau les cheveux. - Humm tu es si belle quand tu es punie.. Je le regardais droit dans les yeux avec ce regard invoquant son indulgence. - Crois tu que tu peux m’adoucir avec ce regard de chienne implorante ? Il me remit alors un coup sur une de mes pinces à sein. - Ne crois pas ça ! bien au contraire, je serais pire. - Mais j’adore car ça te rend encore plus sexy et désirable. Puis avec douceur il enleva chacune de mes pinces en commençant par les bras. J’en avais oublié leur pincement. Les enlever laissa place à un picotement qu’il calma en me caressant . Il était redevenue tout doux… - J’y suis allée fort. C’était pour ton bien. Que tu comprennes. Comprends tu ? Je hochais de la tête… une affirmation. Je sais que ma punition était bien méritée. C’était la pire punition qu’il m’avait donné. Chaque pince enlevée était un soulagement, mais je craignais toujours les tétons et ma petite chatte. Quand il les enleva au niveau de mes tétons, il y déposa sa bouche pour les cajoler de sa bouche. Je chavirais. Quand il se pencha sur la chatte, il les retira rapidement. Je hurlais. Encore une fois, il me replaçait à ma place. Il prit un miroir qu’il plaçait face a mon sexe. - Je veux que tu puisses voir.. Je voyais ma chatte complètement trempée. Malgré tout ce par quoi je suis passée. La douleur a laissé l’excitation me pénétrait comme si je voulais qu’on m’absoudre de mes péchés.. - Je veux que tu regarde comment je te doigte, comment je te fais juter petite fontaine. Il commençait par mettre un doigt. Il s’amusait à le tourner. - Un doigt, ce n’est rien pour ta gourmande de chatte. Il en rajouta un second à son majeur déjà enfoncé. - Humm comme tu es trempée.. c’est si bon.. De l’autre il me caressait le clitoris. Il en rajouta un troisième. Je sentais à l’intérieur de ma chatte le mouvement de ses doigts. - Je t’interdis de jouir petite putain. Il me torturait à contrôler ainsi mon désir. Oh quatre doigts.. regarde ça. Je voyais dans le miroir ses doigts s’engouffrer dans mon intimité. Il tournait sa main paume vers le lit, puis paume vers le plafond. Soudain, il tentait d’engouffrer son pouce. - Tu es un peu étroite ma petite chienne. Il poussa aussi fort que possible. - Regarde .. regarde on y est presque !!! Je hurlais.. puis il retira alors son petit doigt et son pouce et entreprit de me baiser avec. - Allez lâche toi.. petite chienne.. lâche toi. Il me dit cela en me giflant si fortement. Puis quand je commençais à gicler, il me serra le cou. Je giclais de partout. Je me sentais toujours honteuse. - Oui allez.. tiens prends ça.. - Allez putainnnnnnn… Il me tenait par la chattte bien fermement. Il passa sur mon visage ses doigts bien trempés. - T’es qu’une putain Il me détacha. Et m’ôta le bâillon. - Allez va retourner faire ta pénitence petite chienne. Tu ne mérites pas que je t’honore de ma queue. Mais sache que tu es déjà sur le bon chemin de ta repentance. - Je vous remercie.. Monsieur. Il me tira par les cheveux pour me sortir de sa chambre. Je comprenais que je ne dormirais pas avec lui. Il me jeta dans la pièce où il aimait me jetait quand je n'étais pas sage. Il m'enchaina alors à mon lit pour éviter que je ne m'aventure dans d'autres pièces…
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Par : le 10/05/20
Je suis désolée pour les éventuelles fautes, .. je ne suis pas relue... J'étais en selle. ***************************************************************************************************************** ll posa sa main sur ma cuisse. - Je suis si heureux de t’emmener en sortie. Il agrippa ma cuisse puis remonter sa main sur ma chatte pour la pincer. - Hum tu mouilles déjà, petite coquine que tu es. Je souris avec ce regard intense qui en disait long. - Je t’emmène dans un endroit que tu vas apprécier. Je sais que tu aimes les animaux. - Vous savez toujours me faire plaisir je me réjouis. Un indice sur le lieu. - Eh bien, tu pourras faire une belle promenade avec eux.. - Je ne vois vraiment pas. Il mit le clignotant pour prendre une toute petite route . Nous arrivions vers un sublime lieu. Un petit château que j’en perdais mes mots. - Waouh comme c’est magnifique. - Ca l’est. J’ai trouvé le bon moment pour t’emmener ici. C’est un lieu qui est dédié aux jeux. Le propriétaire est une connaissance qui peut mettre à disposition certaines parties pour s’adonner aux sévices les plus… Il ne termina pas sa phrase. Je trépignais de découvrir ce lieu. A son habitude, il avait toujours cette galanterie à me traiter comme une princesse ( qu’il adorait ensuite dépravée comme il se doit bien sûr). Il m’ouvrit la porte. L’entrée se faisait par une porte sompteuse en bois sculpté où une tête de lion tenait un heurtoir. La porte s’ouvrit. - Bienvenu cher Monsieur. Un homme d’une cinquantaine d’année ouvrit la porte. Il était relativement petit et simple. - Monsieur S. J’ai une réservation pour cette après midi. - Ah oui, je vois. L’autre convive est déjà arrivé. Je vous demande de mettre vos téléphones dans cette boite. Nous souhaitons une discrétion totale sur notre lieu. Nous mettons à votre disposition tout le nécessaire pour la protection des éventuels accessoires que vous souhaiterez utiliser. - Oui bien sur, cela va de soi. Je vous remercie pour votre agréable accueil cher Monsieur. Je le regardais dans les yeux. - L’autre convive ? - Tu n’as pas besoin d’en savoir plus, juste à te taire à partir de maintenant et écouter. Tu vas passer j’en suis certain un agréable moment ma petite chienne dit il en me tenant par les fesses. - Par ici, cher Monsieur. L’homme lui indiqua le chemin vers une petite pièce pour déposer nos affaires. - Parfait. Monsieur s’entretenait avec l’homme loin de mes oreilles indiscrètes. - Allez viens, faisons un tour. Le parc a l’air superbe. - Oh oui j’adore merci Monsieur. Il me prit par la main et nous faisons un tour dans le parc de ce sublime château. Non loin je vis une dépendance. Nous nous dirigions vers elle. Une écurie. Il me dirigea vers elle. En voyant le premier box, je ne pue m’empêcher de caresser le premier cheval.. il y avait une rangée de 6/7 box. En passant au troisième, je vis ce dernier bien différent des autres. - Entre. Je le regardais, surprise. C’est là qu’il décrocha des bracelets pour ensuite me lier les mains.. Puis il me les attacha à un système de poulie me les faisant remonter au dessus de ma tête. J’étais presque sur la pointe des pieds. Il s’était mis derrière moi me tenant par le cou, me le faisant basculer en arrière. - Hum.. ma douce petite pouliche. Je crois que tu n’auras plus besoin de tes vêtements. Il tira sur la fermeture éclaire arrière de ma robe bustier. Elle tomba au sol. Il s’amusait à me faire tournoyer tout en me claqua bien les fesses. Sans aucun ménagement il descendit ma culotte et la laisser à mes chevilles. - Commençons ton débourrage ma petite pouliche. Je souriais jusqu’au moment où je le vis avec un long fouet. Il vit mes yeux grandir en me le passant devant les yeux. Je me débattais. Je criais, je ne voulais pas de ça. Mes jambes tentaient une évasion impossible. Soudain j’entendis le son du fouet claquer dans le vide. Je sursautais. Puis une seconde… et une troisième. Il me saisit par les cheveux en les tirant en arrière. - Tout doux ma belle… Crois tu que j’allais te fouetter malgré mon envie terrible de te marquer.. Mais j’aime te voir sursauter sur le fil. Le son du fouet éveille les sens. A réveiller les tensions nerveuses. Maintenant je sais que j’ai toute ton attention. Ma respiration était forte. - Oh Monsieur, bonjour ! La voix d’une femme, celle de Madame X. - Bonjour à vous Madame X. - Je suis ravie que nous nous retrouvions dans ce lieu plein de vices. Je vois que votre pouliche est presque prête à se faire débourrer. Mon étalon lui est fin prêt. Elle était habillée en tenue de cavalière. Elle avait un pantalon, des bottes, une cravache. Elle était très belle ainsi. Elle tenait un homme avec une longue. IL était habillée avec un pantalon noir moulant et par le haut un harnais en cuir mettant en avant son torse complètement épilée. Au niveau de son sexe, un gode ceinture avait été rajouté. Il était énorme. - Je connais votre expérience en matière d’éducation d’équidés. Je vous laisse vous occuper de cette jeune pouliche. Elle n’a bien sur jamais été monter. Elle pénétra dans le box. Elle attacha son soumis à un anneau. Il était à quatre pattes. Je voyais que ce gode qui le membrait comme un étalon. Elle l’avait mis également une queue de cheval ainsi que des mords. Elle lui caressa le dos et lui tapota le cul en partant. - Sage ! Elle se dirigea vers moi avec un sourire très vicieux. - Regardons cette belle pouliche. Tu m’avais manqué. J’ai fait part à mon propriétaire de toutes mes envies à ton sujet. Je lui ai dis que mon étalon recherchait une pouliche. Faisons toi belle pour lui… Elle me caressa avec sa cravache pour me faire redresser la tête. Elle parcourra ensuite mon corps. - Ecarte tes jambes. Elle frotta la cravache sur ma chatte puis y donner un coup. Je ne pue m’empêcher de les refermer. Elle commença ensuite à bien me cravacher sur le corps un peu partout. J’étais en train de danser sous ses coups. Soudain, elle s’était mise face à moi et avais pris les tétons. Elle les pressa tout en les tira à elle. Naturellement j’avançais vers elle.. Je couinais doucement.. - Allons te parer. Elle me mit un gode dans la bouche. - Humidifie ça bien. - Mieux que ça !! Elle l’enfonça bien au fond de ma gorge. - Cambre ta croupe. J’essayais tant bien que mal de me cambrer. - Monsieur, pourriez vous écarter les fesses de votre pouliche. - Mais avec plaisir Madame X. Il écartait mon cul sans aucun ménagement. Elle introduisait alors le gode dans mon cul. Une queue de cheval bien fournie en sortait. - Tu es très belle ainsi Lane. Elle avait apporté un harnais splendide. Elle me le fit passer par la tête. Les lanières en cuir faisait ressortir mes seins. Il y avait différents anneaux d’où partaient des lanières mettant en avant le corps. ? Elle passa ensuite le harnais au niveau de mon sexe. La lanière était réglable et se divisait en deux parties. Mes lèvres lisses étaient alors encerclées. Le harnais devait se fermer par l’arrière. Elle passa alors la queue de cheval ce qui le fit se relever. Puis avec délectation, elle s’amusa à bien relever le tout pour augmenter la tension au niveau de mon sexe et de mon petit cul. - Hum, elle pourra bientôt concourir pour le prix élégance mon cher.. - Oui, je crois..en effet. Elle me tira les cheveux en arrière puis me mis un mors dans la bouche. - Tout doux.. tout doux. - Les pouliches n’aiment pas qu’on leur mette des mords et bien ajuster ensuite ton licole.. Il faudra bien le serré sinon elles s’amusent parfois à l’enlever. Elle le serra en effet bien fermement.. Il y avait de part et d’autres des anneaux. Une seconde partie au mort était une lanière passant autours de mon front et au niveau de mes yeux des œillères. - Voilà faisons passer sa crinière par là. Voilà je peux le fermer. Reste ensuite le collier de maintien. Voilà.. Elle s’éloigna satisfaite. Mon maitre me sourit. Elle tata l’enjambe de son soumis. - Hum alors on est excité. Oh ca bande bien. Puis elle le cravacha. Tu as envie de monter cette pouliche hein ? Il hénissait comme pour montrer son intérêt. Nous allons pouvoir l’emmener au manège. Ah j’oublais de quoi faire marcher notre pouliche. - Monsieur, je vous prie de la détacher. - Allez met ces chaussures. Il s’agissait de cuissardes vernies noires. - Je vais vous montrer comment on dresse. Vous pourrez ainsi répéter ces mouvements régulièrement pour la préparer à un concours. Elle me sangla les bras dans le dos ainsi que les poignets. Il me saisit par le licole. Je ne pouvais plus parler. Elle avait pris son soumis également par le licole. Il marchait droit. Il était relativement grand. Je dirais 1m85, pas trop fin. On devinait qu’il prenait soin de lui. Je ne pouvais voir son visage qui était cagoulé. Nous arrivions dans la manège. Elle nous attachons son soumis et moi à une longue . Elle tenait dans sa main un fouet léger destiné au dressage des cheveux. Elle nous ordonna de marcher en levant bien les jambes. - Je vous veux coordonner. Aller en avant. - C’est bien.. continuez… Elle s’amusait à donner des coups en l’air avec sa perche. - Maintenant au trot allez.. Elle fouetta mes fesses.. Elle faisait ce petit son de bouche qu’on fait quand on voit les chevaux ou qu’on veut les faires avancer. Son soumis lui ne suivait pas trop le mouvement. Elle le fouetta avec une telle force qu’il se mit bien au trop comme il le fallait. Nous faisions plusieurs exercices pour travailler à notre démarche. J’apercevais mon maitre assis en train d’observer mon dressage. - Lane, plus de grâce. - Voilà c’est bien. Elle tira sur les longes pour les raccourir et nous rapprocher. - Allez suivez-moi.. il faut vous trouver la bonne selle. Nous nous dirigions vers une salle de donjon revisitée avec un univers équestre. Sur le mur était accrochée des selles décoratives. Ca sentait le cuir. Au mur était accrochait plusieurs martinets, des fouets et autres ustensiles. Au milieu de cette place deux chevalets, destiné à y mettre des selles ou ce que vous voulez bien imaginer. Ici on pouvait s’autoriser toute fantaisie. On voyait également des anneaux au sol. Des chaines , des barres d’écartements. C’était un réel paradis que d’avoir l’honneur d’être dans un lieu comme celui-ci. Il y avait un banc relativement haut. Elle ordonna a son soumis de s’y allonger sur le dos. - Je vais faire de toi une jolie licorne. Je suis certaine que tu vas apprécier. Un animal si rare. - Merci Maitresse essaya t il de dire. Elle enleva son mords et lui mis un baillon avec une queue dessus. Elle me fixa alors des rennes à mon baillon au niveau des anneaux. - Toi, viens ici. Empale toi dessus. Elle me tira et me forca a bien m’empaler. - Baise toi allez. Je ne pouvais pas parler, je bavais doucement. Elle s’amusait à cravacher les couilles de son soumis pendant ce temps là.. - Allez à quatre pattes Pouliche. Elle sorta le mors de ma bouche. - Prends le sexe dans la bouche. Elle me tendit alors le gode relativement volumineux afin que je le prenne en bouche. Elle m’empoigna par les cheveux et me força a bien le prendre.. - Allez applique toi, mouille le bien. J’avais du mal tellement il était gros. Elle releva alors ma queue de cheval au niveau de mes fesses et me cravacha à mon tour. - Encercle la bien fort avec tes pattes ma licorne et baise lui bien sa chatte avec ton dard. - Il va te montrer comment on baise bien. C’est un excellent étalon. Putain mais applique toi avec ce gode. T’es qu’une pétasse. Elle me maintenait la tête dessus. Je bavais à presque ne plus respirer ensuite. Elle me releva ; Je sentais la licorne me pilonner avec sa bouche. Il me maintenait bien fermement. Madame releva a nouveau ma queue de cheval et écarta mon fessier. - Allez active toi ma licorne.. Hummm cette pouliche remplit par le cul et par chatte.. un gode dans la bouche… T’es une bonne petite putain dit elle en me tapotant bravement sur les fesses. - Suffit Licorne. Elle me redressa par les cheveux et tant bien que m’avança vers la queue de l’étalon. - Tourne toi. Elle tena le gode dans sa main. Allez.. Dans ta chatte. Je faisais les gros yeux. - Je ne te demande pas ton avis. Elle avait saisi un martinet. J’obtempérais. Avec mon gode dans le cul, il m’était difficile de mettre ce gode dans la chatte. Il m’écartelait. Elle écarta bien mon entrecuisse. - Tu vois ça rentre. Elle me gifla et me remis le mords en bouche. - Allez chevauche Elle retira le gode du soumis. - Sors ta langue Licorne. - Lèche, nettoie ta maitresse. Elle saisit alors les rennes pour me rapprocher d’elle. Elle me gifla les seins, elle les pinçait. - Leche mieux que ça Licorne si tu veux une belle récompense. J’entendais sa langue laper le sexe et le cul de Madame. Elle bougeait son bassin de manière à se faire plaisir. - Suffit… Elle redescendit. - Range ta langue. Plus bougé. Elle m’aida à descendre et me fit mettre à quatre pattes. - Bon choisissons la bonne selle. Elle fit mine de réfléchir.. Ah voila.. Elle prit alors une selle qui était accrochée au mur et la posa sur mon dos et la sangla. Je sentais les étrier tomber de coté. - Alors Monsieur, comment trouvez vous votre pouliche ? elle s’est déjà fait fourré sans trop objecter et là, elle accepte la selle sans rechigner.. - Humm.. cela donne envie de se saisir des rennes et de bien la chevaucher. Mais je vous en prie, c’est vous l’éducatrice. Je vous laisse le soin de vous en occuper. - Je vous remercie cher Monsieur. Avec un tel spécimen croyez moi, je m’en occupe avec douceur et fermeté. Elle grimpa alors sur la selle, prit les rennes en main. - Allez hum.. avance.. Elle fit mine de me chevaucher avec ma selle. J’avançais alors à quatre pattes, elle sur mon dos. - Stop ! Reste bien comme ça, bien cambrer. Elle saisit son soumis par le licole. Elle fit de même avec lui. Une bonne selle également pour lui. Elle se promena avec lui le chevauchant sans aucun état d’ame et le cravachant si fortement. Il semblait avoir besoin d’une grande discipline. Quand il arrivait à ma hauteur elle descendit de sa selle. - Oh mais regarde qui nous retrouvons… Va y sens la. Il venait alors vers moi pour me sentir de partout, il se frottait contre moi. - Je vais vous laisser. Toi Galope bien sa chatte. Je veux l’entendre bien hennir. Ne lui accorde aucun répit. Tu as le droit de la maltraiter si besoin. Elle se retira et alla s’asseoir à coté de mon Maitre. - Il est toujours plaisant de voir comment les animaux baisent entre eux dit elle à Monsieur. - Allez Lane, Cambre toi bien, me dit mon Maitre avec une voix rieuse. Je sentis alors le soumis commencer à mettre le gode dans ma chatte. Il l’enfonçait doucement puis le retirer doucement. Il écartait bien mes fesses pour j’imagine regarder comme il rentrait dedans. Puis soudainement il m’agrippa par les seins et me chevaucha si fortement. - Allez prend les rennes, bien au fond je t’ai dit ! Il prit alors les rennes pour me cambrer. Je bavais. Je le sentais si fermement dans ma chatte… Il y avait une telle frénésie. - Lane, fais toi bien baiser comme une bonne pouliche. J’aime te regarder te faire prendre ainsi. Une pouliche de compétition.. Il s’était approché de moi.. Il me caressait le dos, comme pour me rassurer. Il prit alors mon sein droit dans ses mains.. - Hum regarde comme il valse au rythme de ta cavalcade.. Il s’approcha alors de mon cul. Le soumis se stoppa. Il retira alors le gode de mon cul. - Leche son cul dit sa Maitresse. Mon Maitre écarta mes fesses et ne ratait pas une miette de ce soumis en train de me lécher le cul. - Je t’autorise à la pénétrer avec ta langue et à te nourrir de sa cyprine. Vu comme elle bave. Ce sera ta récompense. Je sentais sa langue rentrer doucement dans mon anus. IL se délectait. Il me bouffait littéralement la chatte et le cul. - Hum, c’est un excelllent nettoyeur ma chère. Il la lave correctement. - Oui en effet c’est un bon nettoyeur et un excellent cireur de pompe. Vous savez combien j’aime l’hygiène et la propreté. - Voyez ce que ça donne deux chevaux qui se retrouvent.. intenable.. ils ne pensent qu’à baiser. - Continuons à profiter de ce spectacle. - J’aime quand ma pouliche exhibe ses attribus. Je pense qu’il faudrait travailler sa chatte et son fion davantage pour accueillir au mieux la queue de votre étalon. - Oui je conviens. Elle avait du mal tout à l’heure. - Suffit maintenant. Elle écarta l’étalon de mon cul. Elle nous enleva la selle. Elle retira alors le code ceinture de son soumis et ouvrit la braguette. Elle le branla doucement. JE voyais les yeux du soumis s’égarer avec cette caresse. Tu as bien mérité ta récompense. Elle va aussi te nettoyer… Elle me releva et me mit le ventre contre le chevalet. Elle m’attacha les chevilles avec les anneaux au sol tout comme mes poignets. Elle attacha ensuite ma queue de cheval a ma taille. Ma bouche était ainsi bien maintenu relevé. - Ouvre ta bouche, sors la langue.. Elle inspecta l’intérieur de ma bouche. - Viens là toi. - Mets ta queue dans sa bouche. - Allez baise moi sa bouche. Tu peux lui faire ce qu’il te plait. IL mit alors sa main au niveau de ma gorge. Avec mes oeilleres, j’avais une vue imprenable sur ses couilles et queue. Il avait un sexe d’une si grande taille. Il m’enfourna puis saisit les rennes et les ramenait vers lui pour me donner le rythme.. Je l’entendais râler de plaisir. Quand je sentis les doigts de Madame pénétrer mon petit fion, je fondis de bonheur. C’était si.. intense. Elle y metta deux doigts de chaque mains pour écarter mon fion. Mon maître s’était rapproché. - Lane, tu n’es pas encore assez ouverte… Il me morda la fesse et inséra un doigt entre les doigts de Madame. - Oh j’ai une idée Monsieur.. si nous la doigtions ensemble ? Elle décida de s’occuper alors de ma petite chatte. D’abord elle la lécha.. - Hum quelle cyprine délicieuse. Je suis sure que mon étalon l’a bien apprécié. Avec son savoir faire elle me caressait tout en commençant à me pénéter la chatte. Elle faisait des mouvement circulaires.. - Tu es déjà bien ouverte petite pute. Elle tournoyait doucement. Mon maitre observait Madame qui allait probablement me fister la chatte. - HUmmm… Quatre doigts.. petite gourmande…. Comme tu mouilles… - Bite en bouche dit elle… ne bouge plus. C’est là qu’elle commença à me fister. Elle commençait à bien enfoncer sa main et à me marteller la chatte. Je sentais la queue pénétrer jusqu’à ma gorge. J’avais tant de mal à me contenir. Je voulais me défaire de cette queue. - Laisse la respirer et replonge à nouveau sans bouger. - Tu n’as pas intérêt à le mordre. Elle s’était redressé et me baiser avec son petit poing dans ma chatte. - Prends bien ça dans ta putain de chatte de salope Elle faisait des va et vient si fort.. Je sentis alors mon maitre me mettre des doigts dans mon cul. Je n’aurai pu dire combien. Je me sentais comme cette jument qui est fatiguée après une longue chevauchée. Quand elle ressortit son poing, je pleurais. Je ne savais même pas pourquoi. - Arrête de sucer maintenant. - Détache là dit elle au soumis. Le soumis me détacha. - Retourne toi. Allez plus vite.. C’est bien de prendre son plaisir pour se faire baiser mais un peu d’écoute serait la meilleure des reconnaissances. Elle me tira par les cheveux. - Ecarte des cuisses. J’étais a moitié allongée sur le chevalet. Mon maitre était derrière moi. Il ne tenait dans ses bras. Il me mordait le cou. - Hum j’espère que tu prends du plaisir ma belle. Tu es si belle ainsi. - Toi mets toi à genou. Il s’était mis à genou. - Ouvre ta gueule et sors ta langue. Elle prit possession alors de ma chatte et avec un doigté merveilleux me rendait complètement folle. Mon maitre me baillonna la bouche de sa main tout en pressant contre lui avec son bras plié autours de mon cou. - Allez jute petite salope. Tiens.. regarde moi ça… - Regarde comme tu gicles ma petite pute. Tout mon corps tremblait. J’avais des spasmes. Le soumis ne perdit aucune goutte de ma jouissance. Allez leche bien le sol, je ne veux pas que tu laisses le nectar perdu. - Oh merci Maitresse… - Tu le mérites tu as été bien sage. - Allons remettre la pouliche au box. Mon maitre me prit alors par la longue tout en me caressant le dos. Madame était si stricte. - Petite ingrate, tu as pris du plaisir, sans que mon étalon ne puisse lui en prendre. Elle me jeta alors dans le box. Elle enleva alors mon harnais. J’étais complètement nue. Elle me prit par la gueule et me jeta sur le ventre au sol sur la paille. - Etalon, je te laisse cette pouliche. Tu peux en faire ce que tu veux durant 10 Min. - Oh merci Maitresse pour ce présent. - Je te laisse avec ta queue de cheval qui te gode si bien ton fion. Il s’était mis à ses pieds pour les embrasser. - C’est bon arrête. Elle le rejeta à coup de cravache. Elle posa son pied sur mon dos. - Tu la prendras uniquement par le cul ou la bouche. Sa chatte est bien sensible maintenant. Ils sortaient tous les deux du box et le refermait. Ils étaient là à observer. - Oh regardez mon cher. L’étalon semble vouloir prendre la pouliche. - On dirait qu’elle n’est pas d’accord. Je me débattais mais le soumis me pris les mais dans le dos. Il les attacha. IIl se saissit d’une sangle accrochée et la passa sous ma taille. L écarta mon cul et y glissa sa queue. Il s’empara de la sangle de sa coté. Il réhaussa ainsi mon cul. Il ne me parlait pas, je sentais juste son souffle d’étalon en chaleur. Il me martelait fortement le fion.. Il avait une telle endurance. Il ne tenue pas longtemps. Il éjacula sur mes fesses. Il se releva. Je le vis aller vers l’entrée du box à quatre box. - Releve toi. - Hum tu l’as bien baisé.. - Lane, tu es une sacrée pouliche. Je pense que dans le monde équestre, tu vas faire une entrée fracassante. Trouver des étalons à ta hauteur.. Mais il y a encore du travail… Il me laissa ainsi dans la paille. Je sentis des personnes passées pour me regarder étendue nue dans le box. - Est elle à disposition ? - Non elle ne l’est pas pour le moment. - Ah vous en êtes le propriétaire ? - Oui en effet. - Pourriez nous avoir vos coordonnées, j’organise prochainement un concours.. - Avec plaisir… Il revint me chercher au bout d’un moment. J’étais si fatiguée, si écartelée… Je remis ma robe avec bien des difficultés, mes bras endoloris. Chatte à l’air et salie par ce sperme sur mes fesses. - Demain, nous reprendrons ces exercices. Nous allons avoir un concours à préparer…
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Par : le 09/05/20
Ils s'agit là bien sur d'une fiction. Je suis navrée pour les fautes éventuelles, je ne me suis pas relue. je suis assise sur mon canapé quand j'ai entendu sonner. ********************************************************************************************************** Il m’avait dit que des amis devaient passer à la maison et que je devais les accueillir. IL venait récupérer un colis qu’il avait chez lui. J’étais tranquillement posé sur le canapé en mode cocooning. Je profitais de mon après midi cool pour me détendre sur son sofa. J’étais en train d’écrire comme à mon habitude. La sonnette retentit, me sortant de la tête de mon ordinateur. Je pestais. Quand j’écris tout s’enchaine. Je n’aime pas être stoppé dans mon élan. C’est là que j’ouvrrai la porte. - Bonjour Mademoiselle. Je suis l’amie de M. - Ah oui il m’a dit que vous passeriez. Par contre il ne m’a pas dit où il a laissé le colis. - Ne vous inquiétez pas, il m’a dit où il était. - Ah c’est parfait. Je vous en prie entrer. Sans que je puisse l’apercevoir, je vis un autre homme sur le coté rentré également. Il avait un style qui me mettait un peu mal à l’aise mais si Monsieur leur faisait confiance. J’appelais Monsieur. Mais il ne décrocha pas. Soudainement, pendant que j’étais concentré sur le téléphone, je sentis l’homme m’agripper en me baillonant par la main. - Tout doux petite chienne. Plus tu te débats, plus que je ferais mal. Est-ce cela que tu veux. Je hochais de la tête que non. Il m’attrapa les bras et les mis dans mon dos. Avec une manœuvre de son pied il me fit me mettre au sol. Son compagnon s’avança et me maintenant le cou avec son pied au sol. J’étais alors à plat ventre ne pouvant réagir. Je me débattais mais il était bien trop fort. Un des hommes me mit du ruban sur la bouche et l’autre fit de même autours de mes poignets. Puis on me mis une cagoule. Puis il m’attacha également les cheviles. Je me retrouvais contrainte, à leur disposition. Dans ma tête Je n’avais pas le choix. Je devinais que Monsieur avait préparé quelque chose pour moi. C’est ce que je me disais pour me rassurer. - Tu as trouve entendais-je ? - Oui c’est bon, là où il m’a dit. L’homme me souleva pour me redresser. Il me maintenait ferment pour ne pas que je tombe. - On va bien s’amuser je crois. Je ralais à travers mon baillon. - N’est ce pas trésor. On va bien s’amuser me dit il me pelotant les seins. L’homme me souleva et je sentis qu’on me mit dans une sorte de coffre. Je sentais au fond de ce coffre une couverture. J’étais ainsi recroquiviller dans cette boite. Puis je sentis un cadenas la refermé. JE hurlais même si je personne ne pouvait m’entendtre. J’essayais de taper contre la boite. - Calme toi petite salope. Tu n’as pas d’échappatoire. Je te conseille de te calmer. Au bout de quelques minutes l’homme s’adressa à moi. - Nous allons te sortir d’ici. Si tu bouges, que tu manifestes ta présence, je te garantis cela va très mal se passer. Vas-tu rester sage ? Je fis un oui à travers mon baillon. Je sentis alors la boite se soulever. Pour être mise sur un truc à roulette. Tous les sons était décupler. J’entendis alors la voisine dire. - Bonjour Messieurs. - Bonjour Madame.. bonne journée à vous. Ils se montraient d’une telle politesse. Nous devions être dans le sous sol du garage. Monsieur avait du leur donner le code. Ce qui me rassurait au fond. Je compris que la porte d’un van s’ouvrait et qu’on me transportait quelque part. Je m’étais calmée avec le dent. Mais mon dos me faisait mal tellement j’étais mal installée dans cette boite. La voiture s’arrêta. La porte s’ouvra et là encore on me traina dans ma boite. - Mets là là c’est parfait. On ouvrait le cadenas. On me releva. - Je vais te détacher. Je vais enlever ta cagoule. Ne tente rien compris ? Je hochais à nouveau la tête. Il découpa le ruban. - Va y ote ta cagoule. EN otant la cagoule, je vis que j’étais dans une sorte de lieu presque desafecté aménagement en forme de loft garage. Des poutres métalliques et des chaines de partout. - Tiens bois. Je pris le verre avec bonheur. Ma gorge s’était assechée. Un des hommes s’approcha de moi et m’emprisonna de ses bras ; Il me reniflait . - Hum _elle sent si bon.. elle sent la petite fleur de campagne qu’on a envie de cueillir. - De l’autre, il saisit mon sein et le pressa. Il me rejeta contre une table. Je me retournais. Je mis mes mains contre la table. Il portait tous un masque. Je ne pouvais pas les distinguer sauf leur regard. Un des hommes vena vers moi et me bouscula sur la table afin de me mettre sur le dos. - Tiens moi cette pute. IL me tenait les mains fermement au dessus de la tête. Il tenait à sa main une paire de ciseau. C’est là qu’il commença à découper mes vêtements. Je commençais à crier. L’autre me gifla. - Bouge pas petite salope. Sa gifle était si forte que j’étais presque sonné. Les bras maintenus, je n’offrais plus aucune résistance. IL commença à découper mon t shirt. - Va – coupe ce soutien gorge. Je veux voir ses mamelles de chienne. IL m’immobilisa la tete en me tenant le menton si fort puis il me lecha la bouche. - Tu vas être notre petite esclave sexuelle. Allez avoue que cela t’excite.. Il commença à découper mon pantalon. Mes yeux étais apeurée. - J’aime voir les petites chiennes apeurées qui après quémande auprès de la main qui les bats davantage. Tu nous en redemanderas. Il me tapotait le visage. JE me retrouvais ainsi nue dans cet endroit lugubre à la merci de ces hommes. L’homme pris mes tétons et les pressa bien fermemant. Je voulais hurlais. - Ta gueule pouffiasse. Il me gifla à plusieurs reprises L’homme qui me maintenait, je sentais son souffle au niveau de mon cou. Il me dit. - Je vais prendre un plaisir à te faire fermer ta petite gueule avec ma bite. - Je te propose qu’on la prenne à tout de rôle histoire de la calmer. Il m’avait attaché les mains qu’il avait relié au pied de la table. - Tu vas pouvoir hurler autant que tu veux. Personne ne va t’entendre à part nous. Il s’approcha et me prit par le cul. - Oh mais regardez cette putain. Allez prends ça … Je sentais chaque coup si fort. Je fermais les yeux… C’est là que l’autre homme me força a ouvrir les paupières. - Laissez moi .. je vous en prie laissez moi. Puis il me mit sa bite dans ma gueule. - Hum quelle bonne disposition à se faire prendre. Quelle pute. Ferme ta gueule. IL m’avait pris tous les deux à tours de rôles. Il m’avait aspergé de leur sperme. J’étais écoeurée, salie, souillée. Un des hommes me releva. Je titubais. Il me prie par les cheveux et me traina au sol. Epuisée par leur abus sexuel, il me déposa comme une poupée dans la boite et referma le couvercle. Je cogita au traitement qui allait venir. J’entedis alors des sons. Le couvercle s’ouvrait. Tout en regardant avec mon regard de petite chienne terrifiée, il me caressa le visage avec une certaine douceur. La lumière du néon m’aveuglait. Je clignais des yeux. - Alors petite chienne de quoi as-tu envie ? on est là pour toi.. tu as le choix.. sodomie, gorge profonde, double pénétrations.. On peut appeler d’autres potes pour faire une tournante. Je suis sûr que tu aimerais ça. Il s’amusait à taper contre la boite pour augmenter la tension régnante.. Je devinais son sourire sadique et pervers. IL me sorta de là toujours en me tirant par les cheveux. SA poigne était si forte que je me soumettais naturellement. Il me tenait en même temps par la gorge. - Avance.. Il me jeta sur un banc sur le dos. Il plaça ma tête. L’autre surveillait tous les gestes. J’étais relativement dociles Il s’agissait d’un meuble où de chaque coté il y avait des trous destinés à des poignets. Il m’emprisonnait les poignets dedans.. J’étais ainsi bloquée. Allongée sur le dos, la tête légèrement en arrière. Il avait attaché mon cou au meuble afin que je ne bouge pas. Ensuite, il s’occupa de mes chevilles. Il les attacha pour qu’elles restent bien entière mettant à disposition chacun de mes trous. Un des hommes vint tout de suite me mettre sa queue dans ma bouche. IL me tenait bien la gorge comme pour m’inciter à m’appliquer. Il s’amusa à butter sa bite contre ma joue. Je sentis alors l’autre me doigter. - Je vais te faire juter petite salope. Tu mouilles déjà tellement. Il passait ses doigts sur ma chatte. Sans aucun ménagement il inséra plusieurs doigts avec des va et viens si intense . je n’arrivais pas à me retenir. Je râlais face à ce stimuli si intense. - Oh mas regarder moi ça… mais qu’est ce que tu jutes… - Ferme lui bien la gueule quitte à y mettre tes couilles dit son ami. Il prit possession de ma chatte. J’avais mal. Il m’avait déjà pas mal pilonnée avant. Je bougeais comme je pouvais. C’est là qu’il me donna un coup de jus avec son appareil sur le ventre, mais je continuais à me débattre. Il se retira. - Ah oui tu veux la jouer comme ça. - - Garde bien ta queue dans sa bouche. - - Si jamais tu le mords, je vais te déchirer tellement le cul. Tu ne marcheras pas pendant plusieurs jours. Je me souvenais de la grosseur de son membre. Au son de sa voix, je savais qu’il ne plaisantait pas. Il commença à mettre quelques petits coups sur ma chatte. Je ne supportais pas cela. Je faisais attention de ne pas mordre la bite que j’avais dans ma bouche. Il riait. - Ne bouge pas.. J’essayais d’esquiver cela mais rien n’y faisait. Il riait d’un rire assez sadique. Puis il repris sa place et me besogna bien profondément. Il éjacula sur ma chatte et s’amusa à l’étaler. Il me laissa là salie. Au fil du temps à autre il repassait et me prenait parfois par la bouche, le cul ou la chatte. J’étais entièrement à leur disposition. Je n’avais plus la notion du temps. J’entendais leur voix se demandant ce qu’il allait faire avec moi. - Je t’avoue que moi ce qui me fait tripper c’est de voir ses yeux apeurés quand je la baise. J’ai envie de lui détruire son petit cul. Je pense que je vais m’amuser à l’élargir après. Tu veux regarder. - Ah oui clairement ! elle a l’air sacrément chiennasse. - Et toi qu’est ce que t’aimerai bien lui faire ? - Que dirais tu si on la labourait bien ensemble ? - Ah oui excellente idée.. - SI on appelait M et D.. Je suis certain qu’il aimerait profiter d’une si bonne chienne. Je le vis sortir son téléphone. - Eh Salut M. Que fais tu de beau ? J’ai une super proposition à te faire. J’ai une bonne chiennasse qui a envie de bien se faire baiser . Ca te tente ? La conversation dura quelques minutes. Je me demandais ce qu’il allait faire de moi. J’avais envie que Monsieur soit là. Je commençais tout doucement à pleurer. - Salut D. Ca te dit de venir baiser ? j’ai pour toi une bonne petite chienne. Si tu voyais son petit cul.. Il se rapprocha de moi. Il se mit à ma hauteur. - Oh pas besoin de pleurer petite chienne. On va te donner plein de bonheur. Sache qu’on va être 4 à s’occuper de toi. Quelle femme n’aimerait pas ça.. Il mima alors avec son bassin un mouvement de va et vient pour me montrer ce qui allait m’attendre. Il me libéra alors de ce meuble. Il m’attacha les poignets bien fermement et m’enchaina le cou. Puis il me dirigea vers le fond de la pièce. Je vis un vieux matelas. Il me jeta dessus. Puis attacha la chaine au mur. Il me recouvra la tête avec une toile de jute. - Hey Salut M.. salut D.. ravis que vous soyez à notre petite sauterie. - Nous ne pouvions que dire oui.. - Viens je vais te montrer la chiennasse. Je te dis pas les trous qu’elle a. Elle a une de ces bouches ! Bon elle a du mal avec nos grands membres mais ça se voir qu’elle aime la bite. Je commençais alors à bouger, consciente de ce qui allait se passer. - Je vous en prie arrêter. - Ferme ta gueule de pute. Au bout de quelques minutes il revint. Il enleva la toile et me regarda dans les yeux - Je vais te rendre bien docile. C’est là que je le vis avec un sac en plastique. Il le mit sur ma tête. - Non non.. Il serra bien le sachet avec ses mains autours de mon cou. IL m’embrassa à travers le plastique. J’étais écourée. Je haletais. Je sentais que l’air commençait a se rariver. Le plastique se collait à mon visage. Soudain, il releva le plastique tout en étant sur moi. - Allez respire salope. Je pris une bonne bouffer d’air puis me il renouvella l’opération. Cette fois là il commençait à le garder un peu plus longtemps. Quand il m’accorda à nouveau de l’air, je reprenais mon souffle. Il s’amusa ainsi à contrôler mon air. Je me sentais doucement partir, sans force. - Messieurs. Regardez moi cette chienne bien docile. Je sentis différente mains me peloter de partout sans trop retenir ce qui se passait. On me tirait sur le matelas pour me mettre dans différentes positions. On me claquait les fesses, on me baisa par la bouche. Je me retrouvais à genou. Un des hommes me faisait sucer un autre tout en me donnant le rythme. - Allez enfonce bien cette queue dans ta gueule de pute. - Tiens.. voilà bouffe…dit l'autre. Ma bouche s'ouvrait naturellement. J'ouvrais ma bouche comme une bonne chienne. Je sortais ma langue. Tandis qu’on me forçait à m’appliquer un autre me doigtait le cul. Tout en me tirant par les cheveux il me redressa. J’avais encore de la salive qui bavait de ma gueule. IL me jeta la tête au sol et releva bien mon cul. Tout en étant debout, il écarta mes fesses et enfonça en étant fièrement dressée sa bite dans mon cul. - Putain de salope. Je vais te donner. IL tenait mes fesses en même temps qu’il me prenait le cul. Tout doucement il sortait sa queue pour mieux ensuite l’enfoncer. Il y prenait un plaisir. - Messieurs regarder moi ce trou du cul. Un des hommes s’était saisi de ma main pour que je le branle avec. Je sentais aussi des doigts s’attarder sur ma chatte. J’étais là sans être là a subir cet assaut de queues. A tout de rôle, il me prenait le fion. - Voilà, tu es parfaitement élargi. On croirait que ton petit fion va parler tellement il est ouvert. Ils s’amusaient à me baiser comme leur petit jouet. Je me sentais complètement perdue avec ce besoin d’être réconfortée en me demandant quand tout ça allait se terminer. Ils me recouvraient de leurs spermes. Je me sentais si sale. Je ne rêvais que d’une chose. Une douche chaude et les bras de mon Maître. - Vous avez vu Blanche Neige.. Sa peau si blanche et laiteuse. Je les entendais rire. Ils m’avaient bien utilisée. Une fois leur œuvre accomplie, on me détacha. On me rejeta dans la boite comme si on se débarrassait après l’utilisation d’un produit J'J'étais nue, attachée et baillonnée. L’homme referma le couvercle. - Bye bye petite salope. A bientôt. Sache qu'on garde un œil sur toi. Je me sentais presque heureuse d’etre remisée ainsi. Je pouvais reprendre mon souffre. J’entendais à nouveau la porte d’un van s’ouvrir. On me déplaçait. Je compris que c’était la fin. J’entendais la sonnette. - Nous avons un colis pour Monsieur. Je reconnais la voix de Monsieur. JE me sentais pleine de joie à l’idée d’etre avec lui. - Je vous en prie déposer le ici. Voici la clef pour l’ouvrir. - Bien. A bientôt Messieurs. J’entendis le cadenas cédé. Il ouvrait la boite. Il ota mon bandeau. Il me regardait droit dans les yeux avec son sentiment de fierté. Il me caressait le visage. IL me libéra la bouche qui était douloureuse. Il me souleva de la boite. En étant toute attachée, il me conduisait vers la salle de bain. Il m’avait préparé un bain aux huiles essentielles. Il me déposa dedans. Chaque mouvement m’était si pénible. J’avais mal partout. Mes muscles étaient endoloris. , ma chatte irritée, mon fion me faisait aussi mal. Ma mâchoire m’était aussi douloureuse. C’est dans le bain qu’il ota mes liens. IL s’était accroupi et me regarda dans les yeux. - Tu ne me remercie pas ? Dans un souffle.. je hochais la tête. - Tu sais, j’étais là, je te regardais te faire prendre, malmenée, insultée et baisée. Tu as été une bonne petite chienne bien brave. Tu es ma fierté. Je n’arrivais pas dire un mot. Tellement j’étais fatiguée. Il m’embrassa sur le front. - Je vais m’occuper de toi ma douce Nina. Tu le mérites terriblement !. Il me sorta du bain. Il me secha et m’enveloppa dans la serviette. Je titubais. Ma tête partait en arrière. Il me borda au lit. Il me prit dans ses bras et m’embrassait d’une infinie douceur. Je me retournais pour me blottir contre lui. Je ressentais cette intensité de lui appartenir. C’était toujours de plus en plus fort. - Demain, tu m’écriras tout ce que tu as subi et comment tu as ressenti les choses. Je m’endormis ainsi dans ses bras.
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Par : le 07/05/20
Je suis désolée pour les fautes éventuelles, je ne me suis pas relue. J'avais une envie folle de chamallow.. ******************************************************************************************************* Je sortais d’une bonne douche bien chaude. Mes muscles étaient tout dépendu. Cela m’a fait fait un bien énorme après cette longue journée. En ouvrant la porte de la salle de bain, il était là face à moi. Le regard tout rêveur, un petit sourire. Il mis sa main sur ma joue et me caressa. Je lovais mon visage contre lui. Il me tira par la main et me conduisait dans sa chambre. - Mets toi sur le lit ma petite renarde. Je le regardais, j’aimais quand il m’appelait ainsi. Cela laissait présager de doux moments quand il employait ce surnom. Je laissais tomber ma serviette au sol. Je m’avançais alors vers le lit. Je montais dessus. Une fois bien installée, je me dandinais les fesses comme pour une invitation. J’avais mis ma tête contre le lit tout en le regardant avec grand désir. Je l’invitais à vouloir jouer avec moi.. presque suppliante. J’esquissai ce sourire sur mes lèvres.. - Je vois que tu es d’humeur joueuse.. cela tombe bien. J’ai un petit cadeau pour toi. Je souriais. - Mets toi à quatre pattes.. Il s’avança vers le lit et s’assit à coté de moi. Il posa le paquet devant moi. C’était une boite fermée par un ruban. - Je veux que tu l’ouvres avec tes dents ou ta bouche. Applique toi ! Presque félinement, je me cambrais pour m’amuser avec ce ruban. Je le saisissais d’une extrémité avec ma bouche. Et je tirait doucement dessus. Il me restait à faire de même de l’autre. Je me déplaçais alors sur le lit et je défis l’autre extrémité. Avec mes dents, je tentais de défaire le nœud. Je le regardais alors avec ce regard qui nécessite de l’aide. - Oh tu as besoin d’aide. Je hochais la tête en faisant mine d’avoir l’intellect proche de celui d’un enfant qui a besoin de soutien. - Attend je vais t’aider. .. voilà. Allez continue. Avec le bout de mon nez je tentais d’ouvrir la boite, le couvercle tomba légèrement. Je le poussais alors tout doucement à nouveau avec mon nez. - Brave petite fit-il en me caressant la tête.. C’est bien. Voyons un peu ce que cache ce petit papier.. Attend je te le défais. C’est là que je vis une sublime queue de renard. Mes yeux brillaient. Il tapait sur ses genoux m’invitant à m’y installer. Tout en marchant à quatre pattes sur le lit, je passais au dessus de ses jambes pour lui présenter mes fesses. Il commença par me caresser les fesses. Il aimait un plaisir à les griffer, les mordre . C’était pour moi mon loup Alpha. Je continuai à bouger mes petites fesses quémandant encore davantage.. - Tout doux ma belle… IL écarta doucement mes fesses puis commença à balader ses doigts avec douceur sur ma chatte. - Redresse toi. Il me tenait alors par le coup et appuya sur mon dos afin que je me cambre. Naturellement j’avais ouvert ma bouche pour en sortir ma langue. - Hum bonne petite salope.. dit il en me fouillant avec un doigt la chatte. Il avait saisit le rosebud surlequel était fixée la queue de renard. Il l’humidifia en l’introduisant dans ma bouche. - Descends au pied.. Présente moi ton cul..allez. Je ne disais rien, j’étais excitée à l’idée de jouer à la petite renarde en essayant d’en prendre toute l’attitude. Je pris cette position où je présente mon cul à Monsieur. Tête au sol, cul relevé. - Humm que tu es excitante ainsi.. On va bien jouer ensemble.. ma petite renarde. IL placa le rosebud au début de mon anus. Il le poussa doucement jusqu’à ce que mon fion cède. Il s’assura qu’il était bien en place. Le jeu allait commencer. - Allez redresse toi que je te mette tes petites oreilles de renarde… Je savais quel était mon rôle ce soir. C’était tellement amusant et plaisant de jouer ce rôle de renarde. Ce coté intelligent, craintif, joueur.. c’est un animal que j’ai toujours aimé. - Voilà…. dit il d'une voix satisfait. Puis il me mit mon collier. Je commençais alors à marcher avec fierté avec ma queue de renard tout en me dandinant et le regardant. Il m’observait à l’affut de mes réactions. Je fis mine de vouloir sortir de la chambre. - Stop, viens là… Mais je n’écoutais pas je jouais à ce petit animal sauvage à apprivoiser. Il se leva et à ma hauteur, attacha la laisse. - Voilà, maintenant tu ne peux plus partir. Je forçais à vouloir marcher dans la direction inverse de la sienne en tirant sur ma laisse. J’éméttais un petit son d’animal appeuré qui a été mis en captivité. - Viens là, regarde la petite friandise que j’ai pour toi.. Je me fis alors un peu plus docile à dresser mes petites oreilles, si intéressée par la nourriture qu’il me montrait. Fièrement à quatre pattes, tête droite pour être belle et recevoir ma récompense. - Pas bougé. Il approchait avec sa main cette friandise… je devinais que c’était un Chamallow… j’adorais les bonbons, un péché mignon très utile pour attraper les petites renardes fuyardes. C’est alors que je commençais à tourner sur moi, à poser mes mains sur ses jambes en jouant de mes bras comme si c’était les pattes d’un renard. - Sage dit il en levant la main. Je le regardais droit dans les yeux continuant mon manège. Il me parlait avec un ton rassurant pour que j’obeisse. Puis doucement, je me calmais. Je m’étais assise sur les genoux, les deux mains sur ses jambes. Je ne bougeais plus je le regardais. Doucement il approchait le chamallow vers ma bouche. J’ouvrais ma gueule pour le saisir. Je sautais pour le récupérer. Il le retira avec rapidité. - Je vois que tu n’as pas encore les bonnes manières. On recommence. Doucement ! Je voyais le chamallow à nouveau revenir vers moi et à nouveau je fis mine de vouloir le voler de sa main. Une petite renarde bien joueuse que je suis. A nouveau il retira sa main. - Tu attends dit il en levant le doigt. Cette fois il rapprochait le chamallow de ma bouche. J’attendais. Je louchais dessus. - Maintenant ! Je mordis à pleine dent, dévorant cette friandise qu’il m’offrait. Il s’agenouilla et me caressa les cheveux. - C’est bien.. C’est bien, tu vois.. tu apprends vite… Allez viens. IL me fit marcher à la laisse. J’avançais quand il stoppa. Je continuais.. Je m’étranglais. Je revenais alors dans sa direction. Il le fit à plusieurs reprises. C’est alors que je compris que je devais marcher à son pied. Dès que je le voyais s’arrêter je m’assayais, le regardant dans les yeux. Il me tendait alors un autre chamallow - C’est bien.. brave petite. Il se dirigea alors sur le lit. Il me fit monter dessus. Je me mettais bien au milieu, je sautillais avec mes deux bras avant, faisant mine d’etre heureuse de voir mon maitre. Je venais me frotter contre lui. Assis sur le lit, il le laissait cette liberté c’est là que je posa ma tête sur ses cuisses. On se regardait si intensément. C’était si sensuel, si érotique. J’étais sur le dos, ma tête sur ses cuisses. Je faisais mine de bouger ma tête comme le ferait un animal qui apprécie les caresses. Il me caressait les cheveux, mes petites oreilles. Puis commença par me caresser les seins. Ses mains se balladaient. Je souriais de bonheur. Mes bras étaient à moitié replié. Parfois j’en tendais un pour lui toucher la joue et y laisser ma patte. Il me saisit alors le poignet. - Non.. non… C’est là que je sortis ma langue pour lui montrer mon envie de jouer. Je me blottissais contre lui. Ce jeu était ce qui me fallait à ce moment présent. Il me retourna puis à nouveau je sentais qu’il voulait s’attarder sur le cul de son petit animal. - Voyons ça… quelle douce petite fourrure. Encore une fois, je faisais ces petits sons comme pour simuler celui d’un animal qui attendait plus. Il souleva alors ma queue. Il tapota alors ma petite chatte. C’est alors que je voulu descendre. Il me remis à quatre pattes et enchaina la laisse au lit. Il releva à nouveau ma petite queue de renarde qu’il déposa sur mon dos. Quelle douceur sur la peau. J’en frissonnais. Il se leva et alla à son tiroir. Il en sorti la cravache. Je couinais tout doucement en le regardant avec ce regard de petit animal effrayé. Je tentais de me défaire de l’emprise de ma laisse en tirant dessus. Quand soudain, le premier coup de cravache arriva sur ma croupe. Je couinais. Il avait saisi la queue de renard maintenant en main pour me maintenir par le cul. IL plaçait la cravache pour me la faire sentir. Il l’éloignait et frappa à nouveau. Je tirais à nouveau. Puis il faisait plusieurs petits coups sur la crache au niveau de ma chatte. Cela me calma directement.. Il repris alors les rênnes de la laisse. IL plaça la cravache dans ma bouche. - Voilà. Garde ! tu gardes ! D’une main pleine de désir, il souleva ma queue et fourra la sienne dans ma chatte. Il attrapa alors les extrémités de la cravache pour me redresser. Il me chevauchait la chatte. La chatte de cette petite renarde qui couinait ne comprenant pas ce qui lui arrive. Elle s’accouplait se laissant aller à la frénésie de cette queue qui la remplissait, la pilonnait, la bourrait si profondément. Cette renarde compris toute l’attention que son propriétaire avait à son égard. Je couinais, émettant toujours plus de son… Il tenait la cravache comme si c’était les mords d’un cheval. Chaque coup de queue était de plus en plus violent. Puis il me prit alors par l’oreille et dans un état complètement sauvage releva bien mon cul. IL était debout et me prenait ainsi à nouveau par la chatte. Une renarde bonne à la baise. Il me tenait par les mamelles. Il me poussa alors contre le sol pour me mettre ensuite sur le dos. Naturellement, je mis mes bras comme celle d’un chien qui se met sur le dos. Il me tendit alors un nouveau chamallow.. Je sortais ma langue pour en profiter. Je commençais à savourer cette friandise quand il engouffra sa queue sans que j’ai finis de le manger. Il exaltait. - Quelle bonne petite renarde.. allez bouffe la bien.. - - Sors ta petite langue. Il me fit alors lecher ses couilles. Je lapais… je lapais .. heureuse de tous ces sévices, supplices ou plaisirs.. je le désirais tant. J’aimais sa perversité. Des deux je ne savais pas lequel l’était le plus ;. Mais au fond ? on s’en fout ! Je le regardais, il me regardait. J’avais ce regard lubrique qui disait ;. Encore.. encore… Il m’arreta dans mon élan puis me laissa ainsi au sol. Je me remis alors naturellement sur mes pattes à attendre quoi faire. Il avait sorti une chaine qu’il fixa autours de ma taille et m’enchaina au lit. - Repose toi maintenant ! Je le haïssais à ce moment là de me laisser dans ma frustration. J’avais couru à quatre pattes vers lui, stoppée dans mon élan par la chaîne. Je tirai dessus, jouant le jeu d’un animal voyant son maitre partir. Je commençais à pleurer à la mort comme un animal abandonné le ferait. Quand il revint, quelques minutes après. Je le voyais qu’il avait cédé.. Je lui faisais la fête en me dandinant le cul. Je me mettais bien fièrement pour avoir ma friandise. Sauf qu’au lieu d’avoir ma friandise il me musela la gueule avec un gag ball. La petite renarde était alors obligée d’attendre ainsi enchainée au lit, ne pouvant émettre le moindre son. IL était sorti de la chambre. Je tournais en rond, puis naturellement je m’étais allongée. JE m’étais mise en boule comme à mon habitude. Je m’étais endormie. EN me réveillant, je le vis qu’il me regardait. Il m’avait découverte. C’était probablement cela qui m’avait réveillé. J’en avais la chair de poule. IL me tira alors vers le pied pour m’amener au bout du lit tout en empoignant le second. J’étais alors sur le ventre les pieds posés au sol. Il retira alors la queue de renard. - J’ai une bien meilleure queue pour toi. Toujours sans pouvoir dire mot, je sentis sa bite s’engouffrer dans l’antre de mon anus. Il m’empoigna les cheveux les tournant autours de sa main. - Petite… putainnnn… Il m’arrachait presque les cheveux. Tant de sauvagerie à me prendre d’assaut ainsi. J’étais encore sous le poids de mon réveil. - Allez glappis.. glappis Je glapissais à travers mon baillon. Puis il m’avança sur le lit. - Ecarte ton cul. J’écartais mon cul. A nouveau il s’enfouissait dedans. Il plongea ma tête contre le matelas. - Mais regardez moi ce cul.. comme il est bien ouvert ! Il me tenait les fesses bien écartée pour voir comment mon fion était élargie. IL aimait le voir bien ouvert. Il replonga dedans. Il saisit ma tete qu’il martelait avec force contre le matelas. - Voilà comment on baise une renarde. A nouveau il me tourna sur mon flanc. Passa son bras autours de ma gorge pour me plaquer contre lui. Il prit sa queue et me la fourra dans ma chatte. Je me prenais des gifles, entre deux moments où il me malmenait les seins. Ma jambe était levée pour mieux me faire prendre. Je criais alors mon plaisir d’être prise ainsi. IL m’embrassa. Puis il repassa sa queue dans mon cul. Il serra fortement son bras sur ma gorge. Je ne m’appartenais plus tellement cela me rendait folle. Il éjacula dans mon cul. Une fois qu’il se retira il y mis la queue de renard. Je m’endormais alors dans ses bras. Epuisée.
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Par : le 07/05/20
’ai écrit ce texte sur Portishead – Over. Je suis naturellement désolée pour les fautes qui doivent se faire présente au fil de mon excitation quand j’écris. Je ne me relis pas, je suis désolée, je suis en salle d’attente. *************************************************************************************************** - Deshabille toi. Son regard était sévère mais ses gestes m’indiquaient aussi que j’étais entre de bonnes mains. Je portais ce collier qu’il avait gravé et que je chérissais. J’étais nue. Nous étions dans un club en Allemagne où des pièces dédiées à des fantasmes permettaient les extravagances pervers d’être réalisées. Je ne savais pas ce qui m’attendais. Son imagination était débordante. Il pouvait être sensuelle, doux puis parfois bien plus intransigeant. J’aimais cette alternance dans notre vision de cet univers qui nous est si cher. Savoir se mettre à nue, oser tout dire, tout ce que nous avons dans la tête. AU fond n’est ce pas ce qui fait qu’une relation fonctionne ? La sincérité et la franchise sont les maîtres mot. Naturellement, il s’était imposé à moi. Je sentais cette maîtrise, cette bienveillance et son infini respect pour le don que je lui faisais. Ma soumission. IL y avait cette femme forte, têtue et très fière. Elle avait un coté fleur bleue et romantique. Celle qui aime être rassurée, cajolée, désirée et aimée. De l’autre, il y avait cette femme plus sombre qui depuis son adolescence ressentait au fond de ces entrailles ce besoin d’abandon. Très jeune, j’ai du affronté, comme tout le monde, des moments compliquées. C’est ce qui nous construit. J’ai rapidement su que je ne pouvais compter que sur moi-même. M’abandonner à un homme, complètement à nue et à ses pieds, c’est l’ultime quête. La forteresse que j’ai construite est forte. J’attendais qu’il vienne simplement y pénétrer en étant lui, en me respectant sans à avoir à utiliser mes armes pour me protéger. Parfois j’allais vers les mauvaises personnes, parfois je voulais sincèrement accordée ma confiance. Mais les actes parlent toujours plus que les mots. Combien d’hommes (comme de femmes aussi) mentent et se mentent à eux même. La franchise c’est laisser l’autre libre de ses choix. Malheureusement, le besoin de posséder l’autre au détriment de ses sentiments est malheureusement légion. Ne parlons pas de ces fantasmeurs pendant qu’une femme soumise c’est un peu celle qui accepte tout avec n’importe qui. Ca me fait sourire. Messieurs, être dominant c’est un état d’esprit, c’est en vous. Alors à ceux qui s’improvise dominant en se disant qu’une soumise va tout accepter juste comme ça par improvisation me fait simplement.. rire. Manquant le plus souvent de charisme, d’imagination. Mais je l’ai rencontré.. enfin. Le temps a été un tel luxe qui m’a apporté mon Saint Graal. IL était à mon service et moi au sien. L’un sans l’autre ne peut exister. Ce soir, il m’impressionnait encore une fois par cette aura qu’il dégageait . Celui qui me traitait comme sa princesse et sa chienne. Être chienne c’est pour moi révéler ce coté animal loin des codification sociétale, c’est pousser ses retranchements et s’assumer pleinement. Quoi de plus merveilleux que d’avoir ce guide qui m’épaule, me cajole, me corrige, me caresse et me rassure. Un lien si fort. Il me tenait par ma laisse. Fièrement dressée sur mes talons. - Viens me dit-il. Nous dehambulions dans ce couloir pour arriver à cette porte. - A genou, ma belle. Il toqua. La porte s’ouvrit. Un homme habillé en blouse et avec un masque ouvra. - Bonsoir Docteur. Je vous amène en consultation ma petite chienne. Je souhaite faire une vérification complète de son état. - Comment s’appelle votre chienne ? - Lane. - Des antécédents ? - Oui des problèmes de dos. IL faut donc être prudent. - D’accord, donnez la moi, je vais la mettre en cage en attendant. - Voilà je vous la confie. - Merci, je vous appelle quand la consultation commence. L’homme me caressa les cheveux. - Voilà tout doux ma belle. Nous allons te mettre en cage pour éviter que tu ailles fouiner partout. Il ouvrir la porte d’une cage. - Allez rentre.. n’ai pas peur.. Il m’avait retiré la laisse qu’il posa au dessus de la cage. Je passais mon premier bras, puis le second. Ma tête pénétrait dans cette cage. Je mettais alors ma main sur celle-ci comme pour chercher quelque chose qui allait me rassurer. Il était sorti de la pièce et avait tout refermé, me laissant ainsi dans le noir. Je perdais la notion du temps La lumière s’alluma. J’étais un peu aveuglée. Je prenais mon regard de petite chienne apeurée. Je vis les ombres s’approcher de moi. Je reconnu distinctement mon Maître puis l’autre homme, que j’appellerai Le Docteur. Le docteur ouvrit la cage. IL tenait dans sa main la laisse. Je ne voulais pas sortir, peur de savoir ce qui allait se passer. - Allez sors, viens dit il. - Allez sors Lane.. dit Monsieur. Je sortais alors ma gueule dehors. IL m’attacha à la laisse. - Venez me suivre Monsieur, allons examiner cette petite chienne. Je marchais à quatre patte, le docteur marchait relativement vite. La laisse était bien tendue. Mon Maitre me donna un coup de pied aux fesses. - Arrête de trainer la patte. J’adorais me fondre dans mon personnage de petite chienne. Je commençais à lâcher prise, excitée par l’inconnu, par ce moment présent. Le docteur tapota sur la table qui se présentait devant moi. - Allez grimpe.. viens. - Avec mon attitude de chienne racée je montais alors sur la table. - Voila la laisse, tenez la bien fermement que je l’examine. Nous allons déjà voir l’état générale du corps et vérifier que ses mamelles sont biens. Mon maitre enroula la laisse autours de sa main. Il maintenait cette tension pour que je sois bien présentable, dressée. Je sentais la main de ce docteur se poser sur le bas de mon dos en appuyant légèrement dessus afin que je me cambre. - Bon inspectons ces mamelles. Il commençait par palper mon sein droit et gauche, imitant les gestes techniques. - Petits mais bien en forme. Je vais procéder à la palpation afin de m’assurer que nous n’avons pas de tumeurs. Il compressait mes seins, les malaxait. - Hum parfait, rien à dire. Je vais maintenant m’assurer que ses mamelles sont disponibles à la suscion en cas d’une éventuelle utilisation à venir. Il plaça alors des titres tétons de manière mécanique. Des gestes bien précis, sans aucun état d’âme. - Voilà parfait. J’émettais un son d’inconfort. Le docteur me caressait à nouveau la tête, mon maitre me tenait encore plus fermement. - Calme toi, me douce chienne. Laisse toi osculter. Sa voix douce et chaude me rassurait. Le fait qu’il soit là me rassurer. Je vis alors le docteur s’approcher avec un écarteur buccal. Je rechignais ne voulant me laisser faire. Monsieur me prit alors par la gueule pour me maintenir la tête. Le docteur plaça alors l’appareil dans ma bouche. Je ne bougeais pas. Doucement il ecarta, puis écarta encore pour ouvrir bien grand ma bouche. Ma mâchoire me faisait mal. Je n’aimais pas cela mais d’être ainsi exposée me rendait malgré moi folle. Devant moi le docteur mis des gants qu’il fit claquer devant moi. IL prit une lampe et regarda l’intérieur de ma bouche. Il jouait son rôle à la perfection. Il introduisa son doigt dans ma gueule puis regarda ma gorge. - Hum parfait tout ça. Un bon degré d’ouverture, pas de problème à signaler. - Hum j’en suis ravie docteur répondit Monsieur. - Oh vous avez une bien belle race de chienne. Elle semble plein de tempérament mais elle est un bon modèle pour l’accouplement. Enfin de ce que je peux voir. - Oui, j’avoue. Elle a de très bonne pré-dispositions. - Bon maintenant, allons vérifier que tout est bon au niveau de ses orifices génitaux. Pouvez vous lui tenir la tête contre la plaque s’il vous plait. En général elles n’apprécient pas. Mon maitre appuya sur mon cou pour que je colle mon visage contre la place. IL tenait fermement mon cou avec sa main pour m’immobiliser mais aussi ma laisse. La chaleur de ses mains contre cette table d’examen était d’un doux réconfort. - Je vais procéder à un lavement anal Cela lui fera le plus grand bien. Parfois les propriétaires oublie d’en pratiquer. Cela évite de mauvaises surprises dit il en riant. Il avait saisit une sorte de sonde qui était rattaché à une poche sur une tige métallique. - Tenez bien votre chienne. JE vais maintenant lui insérer cette sonde dans son anus. IL écartait bien mes fesses de manière médical puis y introduisa la sonde. - Voilà. IL s’arrangeait ensuite pour que le produit pénétre bien. Cette sensation était bizzare. Dans ma tête, je me disais mais comment il va faire après pour retirer tout cela. J’allais me sentir complètement humiliée. J’avais du mal au bout d’un moment de ressentir mon cul aussi rempli. - Parfait. Monsieur pouvez-vous me tendre la bassine. - Volontiers. Tenez. - Maintenant tu vas pisser par le cul petite chienne. Soulage toi. Rejette bien tout. - Vous pouvez la redresser pour l’accompagner à cet exercice. Le docteur tenait la bassine attendant que je libère le liquide. Mon maitre me faisait tenir a quatre pattes. - Allez pisse me dit il au creux de l’oreille. Soulage toi. Soudain, je sentis le liquide sortir par mon anus. J’entendais le son du jet atterrir dans la bassine. - Allez encore.. voilà.. continue dit le docteur. Il saisit alors une serviette et me sécha les fesses. - Voila, notre premier phase d’examen est maintenant terminé. Pour la seconde phase, je vais appeler mon assistante. Elle a l’art et la manière de faire les examens plus profond que moi. IL avait rabaissé la table pour me faire descendre. On me dirigea alors vers un fauteuil de gynécoloque. Mon maitre m’avait redressé afin que je puisse y prendre place. - Placez ses pattes de part et d’autres. Nous allons l’immobiliser pour la suite. Je me retrouvais ainsi attachée les jambes écartées. On m’avait également sanglées les bras afin que je ne puisse plus bouger. Le docteur m’avait parfaitement positionnée les fesses bien au bord. Vulve exposée pour l’étude comme mon petit anus. - Nous allons la museler, vous comprenez. - Oui parfaitement, allez y. - Pouvez vous aller vous asseoir Monsieur et laisser mon assistante faire. Je vis alors l’assistante entrer. Vetue tout en blanc, elle portait également un masque. Je ne voyais que son regard bleu. Elle avait quelques rondeurs. Elle me faisait à toutes ces infirmières qui ont ce coté rude. - Helena, pouvez vous faire les examens profonds. - Oui bien sur Docteur. Mon maitre était assis sur le coté à quelques metres. Je le regardais. IL me regardait. J’imaginais son excitation à me voir ainsi attachée pour subir cette examination. Elle me mit un baton dans la bouche rattacher par des fers au bout et le serra. Elle fit rouler un tabouret. Saisis des gants. - Bon examinons cette chatte. Elle mis un doigt. - Aucune sensibilité ni douleur. Bonne réaction au stimuli Docteur. Je vais maintenant m’assurer que tout va bien. - Speculum. - Voilà ma chère. Avec un savoir faire, elle plaça le speculum dans ma chatte. Puis comme une orfèvre, elle le faisait s’ouvrir. Ce n’était pas agréable. - Lane, calme toi, dit mon maitre au loin. Je la vis avec une lampe regarder l’intérieur de ma vulve. - Vulve en parfait état. Rien à signaler. Toujours bonne pour utilisation. - Voulez vous voir Monsieur ? Je le vis sourire. - Oui avec plaisir. - Regardez tout est parfait. Il s’était abaisée pour me regarder bien en profondeur. J’étais complètement excitée. - Bonne réaction au stimuli. La chienne mouille correctement. Elle retira le speculum. Elle humidifia correctement mon sexe en utilisant ma mouille. C’est là que je la vis se saisir d’un appareil à ventouse qu’elle colla sur mon clitoris et ma chatte. Elle commença a presser la pompe. Je sentais mes lèvres, comme pour mes tétons grossir, être aspirer. - Voila. Parfait. Les lèvres sont parfaitement collé. J’étais ainsi avec les seins aspirés et la chatte également. C’était une sensation qui me rendait folle. Celle où mon maitre me laissait à des mains expertes. J’étais qu’il me regarde, qu’il m’exhibe ainsi. Je me sentais complètement défaillir. C’était si bon. Le docteur s’avança vers moi et me retira alors les tire-tétons puis me pris par les tétons et les tira bien fermement. - Ces tétons sont maintenant bien sensibles à la stimulation. Voilà .. C’est parfait. L’assistante commença doucement à appuyer sur la pompe pour libérer ma chatte de cette pression divine, pour me libérer. Je sentais les lèvres énormes gonflées aussi par le désir. C’était divin. Elle me caressait avec un savoir faire le clitoris et les lèvres. C’était si bon de se faire caresser ainsi. Elle commença alors à y fourrer ses doigts. - Tout doux petite chienne, nous allons bien te stimuler pour ta saillie. Je mordais alors dans mon baillon. Je regardais mon maitre. Il s’était levée. - Puis-je vous regarder comment vous la stimuler ? - Oui, bien sur Monsieur. - J’introduis en premier lieu un ou plusieurs doigts. Cela dépend de la chienne. Ensuite, je tourne doucement ma main. Nos examens précédent favorise la dilatation. Je ralais, les yeux complètement apeurés. Je sentais sa main en effet voulant me pénétrer. Elle plaça sa main sur mon ventre puis descendit pour me caresser le clitoris. - Calme toi.. calme toi.. Mon maitre s’était approchée de moi. Il me parlait à l’oreille. - Tu es une bonne petite chienne. Tu es des plus excitantes ainsi. J’aime savoir qu’on va bien te dilater. Je sais que tu adores ça. Je fermais les yeux comme si j’avais cette honte de l’avouer mais il le savait, il me connaissait. Il me caressait pendant qu’elle me fistait la chatte. - Voilà j’y suis. Encore un petit effort. Voilà… va y ma belle. Dilate toi.. - Cher Monsieur elle se dilate parfaitement. ON pourrait presque encore en ajouter ? - Ah oui dit il ? - Oui, elle a de bonnes dispositions même si elle est un peu étroite. - Alors faites, poursuivez l’exercice. Elle retira son poing. Je la vis joindre ses mains et intoduits 8 doigs dans ma chatte.Puis doucement elle est ecarta. - La chatte de votre chienne est à présent bien béante. Le docteur était là, il regarda. - Allez y, lechez pour la soulager. Je vous y autorise. - Oh merci Monsieur, répondit elle au docteur. C’est là qu’elle commença un cunnilingus si intense tout en me doigtant. - Hum, elle est si dégoullinante cette chienne. Elle m’aspira de partout. Mon maitre était à coté de moi. - C’est bon hein ? - Je fermais les yeux en guiche de réponse.. - Je t’autorise à jouir si jamais cela venait. Je commençais à trembler submerger par tous ces stimulis. Le docteur regardait aussi. Elle commença aussi en même temps à me doigter le cul et l’honora aussi en le lécher. C’était si bon. J’en m’enivrais de cette situation. Il était bon de ne pouvoir rien controlé. Soudain la oix du docteur m’arracha à ma torpeur. - Vas y tu peux aussi la baiser par la chatte si tu le désires. - Oh merci Maitre, lui dit elle. Elle s’empara du gode ceinture et me pénétra la chatte. Elle me baisait comme un homme. Mon Maitre n’en ratait pas une miette. Il adora me voir prise par d’autres. - Voilà. Elle est maintenant prête pour la saillie comme vous l’avez demandé Monsieur. C’est là qu’il s’adressa à nouveau à moi. - Je ne vais pas bouger, je vais te regarder te faire prendre par la chatte et le cul. Il va y en avoir un certain nombre d’hommes mais aussi des femmes. Cette idée m’effrayait, m’excitait, je ne savais pas quoi dire. Une fois de plus il y mettait la juste dose en restant à mes cotés. A ne pas sentir honteuse de prendre ce plaisir sans lui. - Nous allons bander les yeux de la chienne. Cela va la stimuler . ON m’ota la vue. Il était toujours là. Je sentais sa présence et leurs présences. A regarder. Je sentis alors un sexe s’introduire en moi par la chatte. Il y allait avec une certaine douceur, tout en me caressant les seins. Rapidement, je sentis qu’il avait éjaculer. Puis un second.. cette fois, Il commença par m’introduire des doigts dans ma chatte tout en y tenant ensuite sa queue. C’était une sensation étrange. - Par le cul, entendis-je. Baisez la par le cul dit mon maitre. Je sentis alors une queue rentrée par mon anus, avec une douceur.. tout en me caressant le clitoris. Je compris alors que c’était une femme. Puis d’un sec elle commença un long va et vient. - Tiens prends ça dans ton cul, sale chienne entendis-je. Elle me tenait par les jambes comme un homme ferait pour me baiser. Puis avec ses mains elle claqua mes seins, puis s’en empara les serrant fermement pour me donner un coup bien profond et y rester. Je serrais les dents. J’étais dans un état à ne plus vouloir compter, juste à être utilisée. Ma chatte ne cessait de couler de mouille. Puis je sentis une langue me lécher tout en jouant de doigts dans mon cul.. - Hum quelle bonne mouille dit elle.. Je sentis en même temps des doigts me tirer les tétons mais pas ceux de mon Maitre. IL m’avait offerte à me repousser complètement. Je sentais chaque coups de queue, de langues, dans ma chatte, dans mon cul.. je ne m’appartenais plus. J’étais alors épuisée. C’est là qu’il retira le baillon. Il m’embrasse avec une infinie tendresse. Je sentais les lèvres de ma chatte complètement irritée. ON me désangla. Je retrouvais alors une forme de liberté. IL m’avait prise dans ses bras. Je m’y réfugié comme pour y retrouver une chaleur réconfortante. La chienne avait laissé place à la princesse. - As-tu aimé ? Dans un murmure, j’osai à peine affirmer que j’avais totalement adoré. J'entendis alors le docteur dire. Voilà mes préconisations post saillie : du repos en cage.
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Par : le 06/05/20
Je suis désolée pour les éventuelles fautes, Je suis désolée de ne pas me relire, je suis allée accueillir l'invitée. *********************************************************************************************** La nuit tombait. Ce soir, nous recevions. Il ne voulait pas m’en dire davantage. Il m’avait ordonné de préparer l’apéritif afin de recevoir comme il se doit. Il m’avait imposé de porter un serre taille et ce rehausse sein. Il avait pris ce plaisir a bien le serré pour galber au mieux ma taille. - Ce soir, tu ne te changes pas. Tu restes ainsi. Viens ici. Au pied. Je m’étais naturellement mise à ces pieds. Il mis mes cheveux de coté - Regarde, j’ai fait gravé ton collier.. Cette attention délicate faisait que c’était mon collier. J’y était très sensible. J’étais à lui et il me le montrait. Il me le mit comme un homme offre parfois un bijou à une femme. Il me releva et me retourna. Nous étions face au miroir lui dans mon dos. Sa main s’aventura sur mon cou pour ensuite caresser mes seins. - Humm tu ne peux t’empêcher de pointer, petite cochonne.. me murmura t il.. Je le regardais à travers ce miroir d’un sourire complice. - Non.. Monsieur, en effet.. - Voyons l’état de ta petite chatte… Oh mais elle est toute en émoi.. c’est parfait. File au salon et met toi à genou à coté de mon fauteuil. Tête baissée, bien droite et tes jambes écartées. Je me faisais une joie de lui obéir. A chaque fois qu’il préparait une soirée, il savait toujours repousser mes limites. Je me demandais qui allait venir ce soir. IL passa dans le salon à coté de moi. Il m’appuya à nouveau la tête. - Bonne chienne. Soudainement, la sonnette retenti. - Bonsoir mon cher ami. - Bonsoir Madame X. Quel plaisir de vous recevoir après tout ce temps. Laissez moi vous débarrasser. - Merci à vous. - Je vous en prie par ici. - Quel magnifique appartement vous avez et toujours un goût exquis. Oh mais que vois-je ici ? votre animal domestique ? Au son de la voix de cette femme, je n’avais qu’une envie relever la tête pour la voir. C’était la première fois de ma vie que je voyais une Maîtresse. Cette envie m’avait toujours fait fantasmer, sans pour autant me sentir bisexuelle. Je n’avais jamais désirée une femme bien que parfois je trouvais certaines femmes avec ce coté très sensuelle. Je sentais qu’il allait me pousser dans mes retranchements. C’est là que je sentis sa main passée dans mes cheveux. - Quelle douce chevelure de chienne. - Eh bien alors, Lane, on ne dit pas merci ? - Merci.. Madame.. - De rien, petite chienne. Mes cheveux tombaient sur mon visage, je ne pouvais l’apercevoir mais j’aperçu ses chaussures. Elle portait de sublimes escarpins fins avec une plateforme légère. Je devinais une femme de goût . Sa voir était presque douce et très agréable. - Je vous en prie prendez place. Visiblement il avait indiqué la destination du fauteuil là où il m’avait fait m’asseoir. Elle s’installa confortablement. Il lui offrit un verre. Je les entendais échanger des banalités. Au bout de quelques minutes, elle s’amusa à me caresser à nouveau les cheveux. - C’est tellement agréable d’avoir un animal de compagnie.. Puis-je ? - Oh mais bien sur Madame X, elle est à votre entière disposition. Attention parfois ma chienne a un peu de mordant, elle est un peu effrontée, mais elle reste bien obéissante à son maître. - Mets toi face à moi me dit il. J’avançais alors à quatre pattes pour me mettre face à elle pour me mettre à nouveau à genou, tête baissée. - As-tu un elastique ? tu es bien négligée d’avoir tes cheveux détachées. J’aime voir les regards des petites chiennes. - Je… Non Madame, je n’en ai pas. - Voilà qui est bien fâcheux. - Attentez, tenez. - Retourne toi. - Bien…. Petite chienne. Elle me caressait les cheveux. Elle avait les mains si douces. Elle m’attacha les cheveux avec une queue de cheval. Elle portait une tenue stricte . Un chemisée avec une jupe fendue. des bas coutures. Elle était magnifique. - Allez retourne toi. Elle me leva le menton. - Ah mais que tu es toute jolie… Des yeux noisettes qu’on a envie de dévorer. Une bouche pulpeuse pleine de promesse. - Ouvre ta bouche et sors moi ta petite langue. Elle inséra son doigt mais toute sa main. - Oh mais je vois que tu as de l’entrainement . Elle stoppa direct puis commenca à aller vers mes seins. - Oh une petite poitrine en forme de pomme. Et ces tétons si délicats.. des auréoles superbes.. Monsieur votre chienne est exquise. Je vais me faire un plaisir de la soumettre comme il se doit. - Cela me ravit et cela ravit ma chienne. - - je la trouve bien insolence. Je lui fais des compliments, je viens à elle, et elle daigne nous remercier… Elle me tenait par la queue de cheval me mettant la tête en arrière. - Petite ingrate que tu es ! - Merci.. Madame.. Je vous remercie d’être venue vous occuper de moi. Je vous remercie pour vos compliments à mon égard. - Au sol, petite salope ! - Nettoie mes chaussures avec ta langue. J’y allais doucement. Je sortais le bout de ma langue pour commencer ma tache. - Je t’ai dis sors ta putain de langue et nettoie correctement. Je sentais sa voix si autoritaire que naturellement je me mis à lecher ses escparins. - Bien.. Elle se leva en tenant bien ma laisse. Elle appuya son talon sur mon dos tout en tirant bien sur ma lêve pour me redresser la tête. - Allez viens sur moi. Elle m’amena au centre du salon pour me placer face à mon maitre. Il me regardait droit dans les yeux avec ce sourire pervers. J’étais ainsi à quatre pattes au centre du salon. Elle passa ses jambes de par et d’autres de ma tête pour la coincer avec sévérité. Elle s’était alors penchée pour me claquer le fessier. - Brave petite chienne. Elle écarta mes fesses et passa son doigts avec délicatesse sur mon fion. - Oh mais quel petit trou qui se présente à moi.. Je me demande bien ce que ce trou peut engouffrer. Puis elle s’ota, me remise bien droite… Mon maitre avait disposée sur la table un grand nombre d’objets source de plaisirs, de punitions. Elle s’était saisi de deux martinets aux lanières longues. - A quatre pattes, jambes bien écartées. - Tu appelles cela bien écartées ? Elle me fouetta sur les cuisses. J’’ouvrais bien mes jambes je me cambrai aussi afin qu’elle soit des plus douces mais aussi pour montrer mes petits trous de chienne. Comme une danse, elle me fouttait les fesses, le dos, les cuisses. Je regardais mon maitre droit dans les yeux. Il souriait à me voir subir ces flagellations pendant que je retenais mes cris. Elle caressa mon entrejambe en faisant plusieurs aller retour. - Brave petite chienne qui mouille. Va sur la table, mets toi sur le dos. Nous allons inspecter la capacités de tes orifices.. de tous tes orifices. Elle m’attacha mes poignets. Puis avec des contraintes, m’attacha les cuisses et les chevilles pour avoir un meilleur accès à mes trous de salope, comme elle le disait. Elle s’était installé au dessus de moi, j’avais une vue sur son sexe. Jamais de ma vie je n’avais été aussi proche du sexe d’une femme. - Allez sors ta petite langue lapeuse. Elle me forçait à la regarder dans les yeux tout en me tenant par la tête. Elle releva sa jupe à la taille laissant dévoilé son porte jaretelle. Elle ne portait aucune culotte. - Regarde moi je t’ai dit. Elle commençait des mouvements de va et vient au niveau de son anus. - J’aime qu’une chienne me nettoie. Allez applique toi.. Ma langue sortie, elle l’utilisait pour nettoyer au mieux son anus quand elle s’assit complètement sur moi en en regardant. - En voilà une charmante vue. Elle me tenait fortement la tete pour m’utiliser comme son petit jouet de plaisir. - Suffit maintenant ! tu en as eu assez. Elle saisit alors un baîllon dont sortis un gode. Je ne m’étais jamais sentie aussi humilié de ma vie. Je lançais un regard à mon maître qui s’était rapproché . Il était juste derrière moi. Il s’était accroupie. - Tu es un superbe sextoy… J’avais envie de râler ou de protester mais il fallait reconnaître que j’étais complètement excitée d’être à la merci de cette femme et de voir mon maître me regardait. Je voulais être sa fierté, la meilleure des chiennes. Elle me caressait le corps de ces douces mains. Elle avait saisi des pinces à tétons. Elle s’amusait à les triturer entre ses doigts, puis à les prendre en bouche. Elle les mordiallait, les aspirait. Puis de ses deux mains elle les faisait se grandir. Elle y mettait une force malgré ces mains toute petite. Je voyais dans son regard cette maîtrise et son intransigeance. Probablement ce qui plaisait à mon maitre pour m’offrir à elle. - Regarde moi. Je la voyais mettre les pinces japonaises. J’étais si sensible de mes tétons. Je sentais la douleur m’envahir et je faisais tout pour me concentrer sur ce qui allait se passer. Elle s’était agenouillée… - Allons te préparer, regardons ce que nous allons entrer là-dessus. Elle commença par me lécher la chatte en écartant bien mes lèvres et en sucant mon clitoris. C’était la première fois qu’une femme me léchait. C’était si etrange, si doux avec cette petite langue. Je prenais ce plaisir qu’elle me donnait . Mon maitre ne ratait pas une miette. - Alors, petite chienne, c’est bon de se faire lécher ainsi. - … oui, Monsieur. Un oui monsieur difficilement audible avec mon baillon. Il m’avait relevé la tête en tirant sur mes cheveux. - Regarde toi, petite putain. - Oui regarde, je vais y insérer ma petite main dans ta chatte de chienne en chaleur. Je sentis alors le dos de sa main s’humidifier contre ma chatte pleine de mouille. Il fallait reconnaître que j’étais dans un tel état. J’avais oui, envie de me faire prendre de partout. C’est là que je sentis ses doigts me chercher comme mon maitre le faisait. Sa main était bien plus fine. - Voilà petite trainée. Regarde moi ça !!! regarde comme tu vas te faire baiser par un poing. Sa main était rentrée. Je sentais ses va et viens. C’était une sensation si particulière. Elle y allait doucement. Elle me baisa en allant bien au fond… C’est là qu’elle inséra de son autre main un doigt dans mon cul. - Ton Maître m’a fait la confidence qu’il t’avait déjà bien travaillé le fion. Je veux le voir bien béant. Je veux t evoir ouverte. Tu comprends, petite chienne. Je la regardais… Je hochais la tête avec une certaine crainte. Tout en ayant sa main dans mon con, elle commença le travail de mon fion. Elle y mis un second doigts… - Oh mais quelle gourmande. Ça rentre.. si facilement. Je ne tenais plus, je ne pouvais crier. Mon maitre me tenait dans ses bras, forçant à regarder cette maitresse me faire un traitement adapté à ma condition. IL me tenait par le cou pour bien me maintenir. - Voilà.. humm.. quelle putain… quel gouffre… on sent que tu t’es fais souvent fourré, écartelé. Regardez moi ça… - Tu vois ma petite chienne, fister par tes deux trous de salope ! me dit mon maitre. Elle me regardait droit dans les yeux et y mettait toutes son énergie pour me baiser de ses poings. Elle y mettait une telle frénésie comme pour me punir d’être une vraie trainée. JE tentais de me débattre. Mon maitre serra davantage mon cou. J’étais au paradis. Je défaillais. Je sentais des tremblement au niveau de mes cuisses. Je ne répondais plus de rien. Elle sorta sa main de ma chatte et la tapota.. - Voilà… hummm.. ce petit trou… qui va garder la trace du passage de ma main… Elle ota doucement sa main. - Oh quelle ouverture… son fion est aussi béant de sa chatte de pute cher Monsieur. Voulez vous regarder ? - Mais je compte ne pas en rater une miette. C’est là qu’il s’était dégagé de moi et se mit face à moi, observant mes trous. - Quel beau travail ma chère. Ouverte comme j’aime. - C’est une bonne chienne que vous avez. Nous pourrons, je pense travailler davantage ses capacités si cela vous tente. Elle s’approcha de moi et me parla à l’oreille. - Tu es faite pour être punie d’etre une chienne. Regarde ce que tu nous obliges à te faire.. Elle souleva les pinces à tétons et les tira vers les hauts. Mon cri s’étouffa dans le baillon. Puis doucement elle me caressa le visage, les cheveux.. Elle me déposa un baiser sur la joue. C’est là qu’elle se releva et s’installa sur ma bouche. Elle s’empala sur le gode. Elle se sodomisa. Je sentais alors sa frénésie. De l’autre, mon maitre me sodomisa aussi. C’était une situation si particulière pour moi. J’aimais être à leur disposition, leur objet sexuel dont il pouvait abuser. Je sentais mon maitre me prendre le cul tout en insérant des doigts dans ma chatte. Madame x prenez son pied tout en tournant aussi sur le gode inséré bien au fond. Elle chevauchait. Elle s’amusait avec la chaine à tétons. Tout valsait en moi. Mes seins, ma tête, mon cul. Je sentais des coups de par et d’autres. - Salope ! petite pute.. dis mon maitre. - Baisez la bien Monsieur, elle est maintenu si béante de ses trous. Il va falloir s’occuper de sa petite gueule. J’y ai décelé un certain potentiel. D’un grand râle il s’arreta. Elle continuait. Je me sentais si honteuse d’être dans cette situation. Quand elle s’arrêta, elle me claqua la joue.. - Quel bon petit jouet. Elle me retira alors le baillon puis m’embrassa en me mordant la lèvre. Elle me libéra les cuisses. Elle me releva et en jeta au sol. - A genou. Allez plus vite. Baisse la tête. Elle marcha vers la taille. Elle se mit à ma hauteur et me montra un gode d’une taille certaine.. Un gode ceinture. - Regarde ce que tu vas te prendre dans ta chatte et dans ton petit cul, dans ta gueule de pute. J’ai bien travaillé ces petits trous. Demande moi de te baiser. Mon maitre avait saisi la cravache. Il releva mon menton voyant que je tardais à répondre. Elle s’était mise à ma hauteur et me serra de sa main ma gueule. - Allez réponds petite salope. - Madame, je vous en prie, baisez-moi.. - Tu veux que je te baise ? tu veux que je te baise par où ? - Madame, baisez moi par la chatte. - Humm, je ne sais pas.. je crois que je vais surtout m’occuper de ton fion de salope. Un moment de silence, je baisais le regard pour ensuite la regarder dans les yeux. - Merci Madame…. Doucement, elle retira les pinces. Je hurlais de douleurs. Puis d’une douceur apaisante elle les pris dans ses mains et les lécha. Ce redresse sein te va à ravir petite chienne. Présentée, je m’en suis délectée mais je préfère une chienne nue. - Ote moi ça. J’otais alors mon redresse sein puis doucement mon corset. - Oh quelle belle marque.. Je vois qu’il était bien serrée pour te contenir. - Oui.. Madame… Elle appuya ma tête pour la jeter au sol. - Cambre bien ton cul merde ! Elle me griffa les fesses. - Voilà une bonne position de petite trainée.. Dis moi ce que tu es ? - Madame, je suis une petite trainée. - Et que fait on aux petites trainées ? - On les baise Madame.. on les baise. - Oh pas que cela petite chienne. ON les bourre, on les utilise, on les punit… - Ecarte ton cul ! - Ecarte le bien.. - Oui.. Madame. J’étais tête au sol, de mes mains j’écartais bien mes fesses pour lui offrir mon fion. - Parfaite position de pute. - Oui, une bonne pute dit mon Maitre. - Lane, je veux t’entendre couiner comme une chienne. - Oui.. Monsieur… La taille du code m’avait fait frémir. Elle le mit à l’orée de mon cul. - Oh mon dieu.. ça rentre, ça rentre.. regardez moi ça. Je vais te démonter petite pute. - Merci madame de vouloir me démonter comme je le mérite. - Elle mit le gode bien profondément puis commença sa chevauchée. Elle me montait si fermement.. - Petite pute.. allez cherche à bien te la mettre bien au fond.. - Voilà.. Je vis alors la chaussures de mon maitre face à moi. - Sors ta petite langue de putain dit elle; Je m’exécutais.. Il se mit à se servir de ma langue pour nettoyer ses chaussures. - Elle est multiusage.. Je sentais Madame me labourer les entrailles. J’étais réduite à être un objet ce soir. Mon maitre était d’une telle intransigeance. Cela m’attristait mais de l’autre, je me surpassais, j’éprouvais de nouvelles sensations. Il savait me sortir de ma zone de confort. - Une bonne cireuse de pompe dit elle. Mon maître se saisit de ma queue de cheval et me mit à quatre pattes. - Ouvre ta gueule. Jamais on m’avait bourrée de cette manière. Elle me saisit les extrémités de ma bouche avec ces doigts. Elle était plus exigeante. - Monsieur, que diriez vous de lui fourrer cette bouche ? - En voilà une excellente idée mais demandons à notre petite chienne.. Je n’osais plus rien faire, mes yeux se baissait faisant office de réponse. Elle lui offrait ma gueule. Il mis son sexe dans ma bouche. Elle me tenait alors par la laisse, mon maitre par la queue de cheval. J’étais soumise à leurs tentations les plus perverses. Elle me claquait les jambes. Elle s’amusa de la cravache pour me chevaucher comme si j’étais une jument. - Suce correctement petite pute. Il me donnait la marche à suivre par la tête. Il me tenait la gorge et s’était enfoncé bien au fond. Je bavais… - Oh mais regardez moi cette salope. Elle bave de partout ! par la chatte, par la gueule. Dit elle. Il se retira d’un seul coup. J’étais alletante voulant reprendre mon souffle. Elle sortit le gode de mon cul. Et chacun se stoppa. Mon maitre était allé s’asseoir le fauteuil et elle sur le canapé. Elle tenait le gode comme une bite. Elle me l’exbitait au loin. Elle en retira le préservatif qu’elle avait mis dessus. - Allez viens chercher ton jouet petite chienne… Avec ma démarche de petite chienne, je m’avancais vers elle. - Leche mon anus . Elle tenait le gode dans sa main pour me donner un meilleur accès à son anus. Ma langue tournait autours de son auréole. - Allez viens t’empaler dessus. Je m’étais alors levée, mise à califourchon sur elle. Elle ecarta mes fesses. - Voilà.. C’est bien petite putain… Allez chevauche ! Hu Dada ! Elle me forçait à l’avoir bien profondément tout en me claquant les fesses afin que je bouge mon bassin d’avant en arrière.. Elle s’agrippa ensuite par mes seins. Elle les pressait si fortement, les gilait, elle le giflla aussi fortement. - Petite pute. Dis moi que tu es une petite pute. - Oui.. Madame je suis une petite pute. Elle continua a me gifler de partout. Puis elle remis ses mains sur mes fesses et me demanda d’aller de haut en bas. - Allez bouge mieux que ça. - Stoppe maintenant. Ecarte ton cul. C’est là que je sentis mon maitre derrière moi. Il me saisit par la gorge me forçant à me cambrer. Elle écartait bien mes fesses. - Allez quémande ! - Monsieur.. je vous en supplie, enculez moi. Il me prit avec violence. Prise en double pénétrations, c’était d’une telle intensité. Je sentais mon maitre frénétique. Je reconnaissais ses coups de queue qui prédissent sa jouissance. IL juta alors dans mon cul. - Garde cette semence petite pute, me dit il. Madame se stoppa . - Au pied. Elle retira alors son gode ceinture. - Allez viens me finir petite catin. Déboutonne mon chemisier. Je me sentais interdite. Je sentais le foutre de mon maitre couler par mon fion si détendu. Avec douceur, j'enlevais les boutons de son chemisier. - Belle gueule de pute tu as.. Allez suce, tête! - hum voilà petite chienne.. encore.. Ta bouche est un réel délice… Je la sentais soupirer de plaisir. Je prenais ses seins dans mes mains pour mieux ensuite porter ses tétons à ma bouche. Elle mis sa main sur ma tête et me força à aller à son entrejambe; - Lèche et Doigte moi. Allez ! Je n’avais jamais fait cela de ma vie. Je sentais mon maitre en train de m’oberser. Je le faisais pour lui, pour lui montrer ma gratitude. - Humm que tu lèches bien petite pute. C’est une première il parait ? dit elle comme un murmure d'abandon - Oui.. Madame.. Elle sentait ma timidité. - Tu ne vas pouvoir que progresser mais c’est déjà bien prometteur. Elle sera ma tête entre ses jambes. Je la sentis se contracter… prise d’un spasme.. - Humm bonne petite chienne. Allez au panier…
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Par : le 06/05/20
Encore une fois, désolée pour les fautes, je ne me suis pas relue. Une envie folle de chantilly. ******************************************************************************************************* Je consultais mon téléphone. J’attendais de ces nouvelles. Je ne quittais pas mon téléphone telle une adolescente. Quand soudain je vis sur son message Whattsapp : « RDV ce soir 21h. Je serai devant chez toi. TU porteras ta longue robe noire sans fermeture éclair et escarpins haut noirs vernis les plus hauts que tu as. Tu porteras tes longs gants noirs. Tu mettras en haut cet harnais que je t’ai offert pour te mettre en valeur. Je veux que tu portes aussi une culotte ouverte au niveau de tes trous. Tu porteras ce porte jarretelle harnais également. Je te veux en bois noirs résille couture. Rouge à lèvre rouge et un maquillage outrancier. Sois élégante ». Les dernières semaines ont été assez longues. Il était pas mal en déplacement. Notre relation était si intense que je ressentais ce manque. Le manque de sa peau, de son odeur, de sa présence, de ses mains sur moi.. mais il veillait toujours à ne jamais me laisser sans nouvelle. Il me disait qu’un homme qui respecte une femme, une soumise, ne la laisse jamais sans laisser ne serait qu’un message. D’autant que cela s’écrit en peu de temps. J’aimais les défis qu’il me lançait. On aimait se nourrir l’un de l’autre. J’aimais ressentir sa présence, obéir à ses requêtes. Parfois elle me font râler, parfois me donne le sourire.. et parfois je prend cette initiative l’imaginant au travail à recevoir des photos des plus coquines que j’aime prendre avec tout le sens artistique dont je sais faire preuve. Comme je n’avais pas eu de ses nouvelles hier soir, je m’étais amusée à mettre en valeur une photo de ma petite chatte dont les perles de mon string disparaissaient doucement entre mes lèvres.. D’ailleurs quel string, à vous faire mouiller comme une chienne ! pour lui rappeler le dernier défi qu’il m’avait demandé. C’était du Lundi à Mercredi de jouer à la cam girl. Il aimait mon côté à aimer m’exhiber à vouloir chauffer ces messieurs qu’il aurait choisi sans avoir à les voir. J’aimais ne pas les voir mais exciter comme si je l’éxcitais lui. IL m’avait crée un compte skype qu’il contrôlait. Il me disait quand me connecter, quelle tenue, quoi faire tout en restant à chaque fois masquée. La première fois où je me suis mise devant la webcam de mon ordinateur mon cœur battait. J’avais mis ce masque en dentelle, mes lèvres rouges. Il m’avait ordonné : « tu porteras ton rehausse sein, un nœud papillon en cristal, celui que j’aime bien. Tu porteras ton string en perle dont les petites grandes tombent sur tes fesses. Tu te connecteras à 22h30 précise. Je te laisse jouer sans montrer tes trous de putain. Tu auras 10 min pour la session. Tu m’enverras une photo de ta tenue pour validation ». Comme convenu je lui envoyais une photo de moi avec ce regard de petite chienne innocente. « Tu es parfaite. Amuse toi bien. » A l’heure précise j’avais accepté cet appel vidéo où je pouvais me voir sans voir mon interlocuteur. Il avait la possibilité de m’écrire pour me demander ce qu’il voulait. Le bouton vert de la webcam s’alluma. Je savais que quelqu’un me matait. C’est là que je prie des positions des plus glamour à jouer avec cette plume d’autruche verte que j’avais eu en plus de mes éventails géants. Je jouais avec elle sur mon corps, sur mon cou et sur mes seins. Cela les faisait pointer. Je prenais ces poses sensuelles sans jamais tomber dans la vulgarité. Le voyeur ne me fit aucun commentaire, j’étais presque limite déçue. . Le lendemain, même horaire, il m’avait ordonné de mettre ma guépière Noir et blanche inspirée par Louboutin avec porte jaretelle, avec mon deshabillé noir transparent et aux manches en plumes d’autruches avec des escarpins vernis noirs. Je devais bien me coiffer et obéir à ses demandes sans avoir à montrer comme toujours mes petits trous. Bien sur je serais comme toujours masquée. J’envoyais encore la photo demandée et il m’avait dit : « Humm tu es juste bonne à être baisée, tu es sublime ». J’acceptais à nouveau l’appel. Toujours sans voir mon interlocuteur qu’il avait sélectionné, ce dernier me donna des ordres. - Mets toi à quatre pattes et avance vers la caméra. Joue avec ta petite langue. Je m’amusais à faire la petite chatte qui avance à quatre pattes. Je fis mine de passer ma langue sur mes lèvres avec une certaine langueur.. puis je prie la mousse chantilly que j’avais mis à coté. Je glissais mon doigt dessus que j’apportais à ma bouche. Je donnais des coups de langue. - Humm, encore… écrit il. - Je te lécherai bien la chatte avec cette chantilly.. humm… Les 10 min passaient relativement vite. Le lendemain, il m’avait demandé de mettre un corset avec mon porte jarretelle à franche. Tu porteras un collier bien serré. Interdiction de montrer ta chatte et ton cul. Je mis alors mon sublime corset bleu et mis le porte jarretelle qu’il voulait. Je mis ce collier à strass. Je cherchais un accessoire inspirant et je prie alors ma cravache à strass. IL valida ma tenue. La webcam s’alluma dès que j’avais accepté la mise en ligne. Je me tenais assise sur mon fauteuil crapaud les jambes écartées. Avec la cravache je m’amusais à la passer sur mon corps. Je m’amusai à la mettre à ma bouche et d’avancer vers la webcam et de la lâcher, faisons mine de l’apporter à mon maitre pour qu’il me cravache. - Quelle belle petite chienne. Monte sur le fauteuil et montre moi tes petite fesse. Dandine toi ! Je m’attelais à ces désirs comme s’il venait de mon Maître. Je ne voulais pas le décevoir. Je revenais doucement pour voir ce qu’il avait écrit. - Suce le manche de ta crache… Je m’exécutais.. Puis je vis les 10 min passer.. je coupais. Le lendemains je reçus les félications de mon Maître. « tu as été parfaite.. tu les as parfaitement bien chauffé. Je suis fière de ta créativité et de toi. » Je me préparais pour la soirée. J’avais suivi l’ensemble de ces instructions à la lettre. Il était arrivé à l’heure, il m’avait demandé de ne pas sortir, il voulait m’inspecter. - Bonsoir Mademoiselle Lane. Quel bonheur de vous voir. - Humm c’est si bon de vous voir Monsieur. Il mit sa main sur ma joue et je ne pouvais m’empêcher d’embrasser la paume de sa main. Il me prit par la main pour m’emmener dans le salon. - Agenouille toi. J’étais devant lui à genou. Le regardant. J’étais très excitée. - Approche. Je me mis à quatre pattes pour avancer vers lui. C’est là qu’il me mit le collier. Il le serra fortement. Il tira sur l’anneau où il comptait attacher la laisse. - Tu es ma merveilleuse putain. Ce soir, je te veux docile. Je n’accepterais aucune effronterie. Me comprends tu ? - Je le regardais et je hochais de la tête. - Retourne toi. IL me tenait par la laisse bien fermement. - Oh tu sais mieux te cambrer que cela !. Il remonta ma robe sur ma taille et passa à califourchon au dessus de moi. Ses deux mains s’abattirent sur chacune de mes fesses. - Humm Ce cul … il lui manque quelque chose… Soudainement, je sentis qu’il m’enfonçait un rosebud assez gros dans mon cul. - Voila, un peu de rouge à ce petit cul pour être raccord avec tes lèvres pour donner l’illusion de savoir que ta bouche et ton petit cul soit prêt pour te remplir. Je me sentais rougissante. - Allez relève toi. Il me prit par la laisse, j’étais derrière lui. J’avais peur qu’on me voit ainsi parer. Il me fit monter à l’arrière de sa voiture. - Je vais te bander les yeux. Tu vas rester allonger sur la banquette. J’aimais quand il me faisait perdre tout sens d’orientation. Il mit de la musique classique qui avait le don de me mettre dans ces ambiances chics que j’affectionnais. - Ce soir je t’amène à une soirée très select. Sache que tu ne risques rien. Si tu ne te sens pas bien, tu n’auras qu’à utiliser notre saveword. Compris. - Oui.. Monsieur. La voiture se gara. Le moteur se coupa. Je n’avais aucune idée d’où nous étions. Il ouvrit la portière arrière. Mes mains cherchait sa main. Je me remettais totalement à lui. Je m’offrait à lui littéralement. - Doucement, je te guide, tu ne risques rien. Nous allons pas marcher bien longtemps. Tiens toi à moi. Tu ne vas pas tomber.. Sa voix me rassurait tant. Je n’avais pas peur avec lui. Je me sentais tant en sécurité. C’est là que j’entendis une sonnette retentir. La porte s’ouvrait. Il me tenait par la laisse. J’essayais d’etre droite en marchant derrière lui. J’entendais une musique très sensuelle portishead, massive attaque, une musique si inspirante. - Je vous présente Mademoiselle Lane. J’imagine que vous la reconnaissez. Elle vous a bien chauffé cette semaine. Je vous remercie d’avoir suivi mes directives. Ce soir, vous pourrez disposez d’elle. Je travaille depuis quelques temps ces petits trous que je vous présenterai d’ici quelques instants. C’est une vraie petite salope, une chienne en chaleur. Il serra la laisse bien courte et murmura au creux de mon oreille : - Ote ta robe, tu n’en auras plus besoin. Sache que tout ce qui se passera se fera en rapport protégé. Je me sentais si excitée et à la fois peureuse. Il allait m’offrir à ces hommes. Cela m’avait toujours excitée mais jamais de mon coté je ne voudrais le partager. Plusieurs fois des hommes que j’avais connu avait envie de me voir faire prendre par d’autres hommes.. - Allez exécute toi. C’est là que je commençais à enlever ma robe tout d’abord en défaisant une bretelle puis l’autre. Elle tomba rapidement à mes pieds. Il me fit avancer d’un pas en sentant la cravache sur mes fesses. - A genou ! - Puis-je, entendais-je. - Mais oui, je vous la laisse la promener. Tenez la cravache, parfois elle est rebelle. Je sentais qu’il passait ma laisse. L’homme me tenait bien fermement et me fit faire un tour dans cette pièce où je ne vovais pas faire grand-chose. Pour m'encourager il me cravachait. - Messieurs, je vous laisse tâter ma chienne. On me redressa. J’étais ainsi debout. Je sentis la cravache sous mon menton. - Ecarte tes jambes, entendis-je.. tout en tapant sur l'intérieur de mes cuisses avec la cravache. - Ecoute Lane., écoute ces messieurs et obéis leur comme si ces ordres étaient de moi. - Oui… oui Monsieur. J’écartais alors mes jambes. Je sentis alors un homme me saisir les seins, tout en étant derrière moi pour me redresser. Il dirigea ensuite ses doigts dans ma bouche - Allez suce, tu m’as bien chauffé avec cette cravache que tu suçais divinement. Voyons voir ce que tu fais avec mes doigts. Un autre s’était saisi de mes tétons et les tiraient pour les dresser. C’est là que je sentis des mains s’attarder sur ma petite chatte pour y introduire un doigt.. - Oh Messieurs, regardez, elle mouille déjà cette petite salope. Il me tira par la laisse et me fit monter sur une table tasse. Il appuya sur ma taille pour bien me cambrer et offrir, j’imagine une vie obcène sur mes attributs. Un des hommes plaça plusieurs doigts dans ma bouche. Il me tenait par la gorge. - Rohhh, elle tousse… ce n’est pas ce qu’on m’a dit.. sur tes talents bucals. IL paraient que tu aimes sucer. Est-ce le cas. J’étais honteuse… - Oui.. Monsieur, j’aime sucer.. - Oh Messieurs, regarder cette petite chatte ! On me fouillaient déjà la chatte. Je mouillais déjà. Cette situation à la fois humiliante me rendait folle. Je savais qu’il surveillait, qu’il regarfait. - Je vous en prie Messieurs, n’hésitez pas à l’utilisation, elle est à vous. Elle adore se faire prendre. D’ailleurs laissez moi vous présenter une chose dont je suis fière. Son fion. Je sentis alors que ces mains se posaient sur moi. Cela me calmait, me rassurait. - Tête au sol ! - Je vous présente un sublime garage à bites. Cela quelques temps que je le travaille. Je vous conseille de bien vous occuper de ses orifices, vous avez le droit de la fesser, de la baiser par la chatte, par le cul, par la bouche.. un, deux ou trois trous à la fois. Je vous guiderai pour l’honorer comme elle me mérite. Avant toute envie, merci de m’en faire part afin que j’organise notre séance au mieux. Tout ce qu’elle subira devra passer avec mon approbation. Suis clair Messieurs ? Ils les avaient laisser un peu faire au début mais il prenait comme toujours le contrôle de la situation. Cela m’avait encore une fois de plus bien rassurée. Il écartait alors mes fesses - Messieurs, qui veut avoir l’honneur de lui retirer son bijou ? Tous crièrent en même temps.. - Vous. Je commençais tout doucement à faire des distinctions sur ces partenaires inconnus . Je sentis alors une main saisir le rosebud et prendre un plaisir à le retirer. - Hum, regarder ce petit fion qui cède… - Puis y introduire mon doigt, Monsieur ? - Oui, vous pouvez la fouiller, pour cela pas besoin de mon autorisation. Elle aime être doigter, fouiller. Je suis sure que Mademoiselle le confirmera.. Je baissais alors la tête.. - Allez réponds ! - Oui.. Messieurs, j’aime quand on me fouille la chatte le fion et la bouche. C’est là, que je sentis une main me prendre la bouche, et deux mains distinctes me fouiller la chatte et mon petit anus. - Hum ça rentre comme dans du beurre. J’étais muselée par ces doigts inquisiteur. - Présentez votre queue à l’entrée de sa bouche. C'est là que j'entendis un bruit qui me faisait penser à une bombe chantilly. - Lane, sors ta langue pour honorer le présent que je te fais. Je m’exécutais à sortir ma petite langue de chienne. C’est là que je sentis le bout du gland de cet inconnu de la chantilly dessus. Soudain, j’entendis la voix de mon Maître. - Mademoiselle est une grande gourmande, aimant la chantilly régalons la. - Introduisez bien votre gland au fond. C’est là que je sentis mon Maitre me saisir la gorge comme pour faire passer la pilulle. - Allez y,bien profondément. Baisez moi ça correctement. Je me sentais interdite.. Je subissais l’assaut de mon Maitre, de ses mains, de ces queues. C’est là, qu’il appuya ma tête afin d’englober totalement cette queue à m’étouffer. - Brave petite pute, me dit il. De l’autre, je sentais ses doigts me baiser. Un des hommes étaient là en train de me tenir les seins. - Hum Monsieur, son cul a l’air son bon. Puis-je ? - Non pas maintenant mais baissez là par la chatte. Tenez sa laisse. J’étais alors pilonner par la chatte. Les mains de mon maitre ont été alors remplacer par celle de l’homme qui dirigeait ma tête comme une poupée masturbatrice de queue. Je sentais chaque buttée. Chaque coup. Je sentis alors des mains écarter mes fesses. - Allez y, mettez y quelques doigts qu’elle ressentent la sensation d’être prise d’un peu partout. Je vous laisse deviner le tableau. C’est là que tout se stoppa. Un des hommes me tira pour les cheveux pour me jeta sur le canapé. Mon maitre me dit - Allonge toi sur le dos, écarte bien tes jambes en l’air. Ecarte bien ta chatte et ton cul qu’on puisse bien voir ce qu’on va pénétrer. La position n’était pas des plus confortable je commençais à protester. C’est là qu’il me gifla. On saisit mes bras par l’arrière et on m’attacha les bras. J’imagine qu’on les avait attacher à l’arrière du canapé. Je sentais alors mes chevilles encerclés par des liens. J’étais ainsi complètement écartée. - Regardez messieurs comme ça dégouille.. Je sentis alors une langue parcourir ma chatte. - Messieurs, je vous propose de l’ouvrir davantage, de travailler chacun de ses orifices. Qu’en pensez-vous. Je sentis alors un jouet me pénétrer. Cela devait être un jouet dont chacun des bouts étaient destinés à entrer dans chacun de mes orifices. Je commençais à crier. Un des hommes me baillonna de sa main. - Humm quelle bonne pute. - Elle est magnifique cher Monsieur votre chienne. - Oui, je sais, mais elle est aussi bien lubrique. Mon maitre libéra mes trous.. - Tu n’est pas encore assez ouverte pour te faire bien baiser. - Vous, écartelez là. Je sentis alors des doigts me fourrer. Il n’avait pas le tact de mon maitre. Je me dandinais. Il me gifla. - Allez pousse, prends ces doigts, petite putain. Mon maitre était venu probablement derrière moi et me parler au creux de l’oreille - Si tu voyais comment tu es si belle. Une si belle chienne qui va se faire sauter comme une putain. Maintenant tu vas demander, non supplier qu’on me sodomise. Je ravalais la salive. - Messieurs, je vous en prie, prenez moi par le cul. - Messieurs, voyons qui a le meilleur des attributs pour comber ma chienne… - Vous. - Pendant ce temps là, Lane tu branleras de chacune de tes mains ces queues. Rapidement, je sentis les deux queues se mettre dans ma main. Je sentais leur main maltraiter aussi mes seins. L’autre qui allait prendre possession de mon cul l’avait bien avancer. Je sentais qu’il plaçait son gland. - Allez Lane, quémande ! - Je vous en prie, Monsieur, Sodomisez moi maintenant. Il passa alors sa queue sur ma chatte, puis je sentis sa va tomber sur mon fion. IL pressa alors son gland et me pénétra d’un coup sec me faisant couiner. Je pensais à caresser les queues. J’entendais leur rale de plaisirs. - Plus vite petite chienne - Voilà, prends bien ça dans ton cul. - Petite salope. Je ne savais plus quoi penser. Je savais juste que j’étais offerte, offerte aux plaisirs de ces hommes venus pour me baiser. L’homme me tenait bien par les cuisses. Je sentais sa puissance me buter encore et encore. Je sentais mes seins valser dans tous les sens.. enfin ce n’était pas quand les deux autres ne les malaxaient pas. - Défonce la bien, fais la bien couiner.. - Messieurs, je vous propose de la détacher, allons vers le lit . Qu’en pensez vous ? - Hum excellente idée.. Je sentais leurs bites gonflées par le désir. ON me détacha. Puis mon maitre me prit par la laisse. - Allez à quatre pattes, petite chienne. Remercie ces messieurs de s’occuper de toi. - Messieurs, je vous remercie de vous occuper de moi. J’avançais à tâtons avec une démarche féline. C’est là que je sentis un matelas posé au sol. Il me fit monter dessus. - Relève bien ton cul. Mon maitre avait mis son pied sur mon cou pour m’immobiliser. - Demande à ce qu’on baise. Je ne répondais pas assez fortement qu’il me claqua les fesses. - Messieurs, je vous en prie, baisez moi. - Allez y messieurs, baisez la correctement. Je les sentis à tour me rôle me prendre comme une chienne, uniquement par le fion. Le dernier écarta bien mon fion avec de part et d’autres deux doigts puis me pénétra avec sa queue. J’imagine que mon maitre n’en rater pas une miette. - Allez bourrez la.. bourrez la bien cette chienne. Je hurlais, je ne me retenais plus.. C’était d’une telle intensité. - Elle prend chette putain. - Régale toi ma petite chienne.. fais toi bien prendre le cul.. Il ota son pied et me releva en souleva la laisse. J’étais à quatre patte. - Vous, allongez- vous. - Allez empale toi Lane sur ce dard. - Bouge mieux que ça aller !! Brutalement, l’homme saisit mes fesses me souleva et me baisa ainsi. Je criais, je hurlais. - Vous , baisez lui la bouche. C’est là qu’avec une frénésie ma bouche fut alors remplie. C’était fort - Mais quelle putain… - Maintenant Lane, tu vas découvrir ce que c’est que de se faire prendre par une bite dans la chatte et l’autre dans le cul… Chacun bougeant.. Te voir museler par une autre bite dans ta bouche à pipre. J’étais là prise de partout. Je profitais d’une accalmie buccale pour hurler de plaisir. - Allez prend ton pied petite pute. Celui sur qui j’étais me serrais fortement. L’autre me claquait les fesses. Je sentais à nouveau cette bite me baiser la bouche. J’étais une poupée complètement épuisée. Je me sentais dilatée de partout et humiliée d’avoir pris ce plaisir. - Hum petite chienne, tu as aimé te faire fourrer comme ca. Dans un soupir, je hochais la tête. Mes lèvres commençaient à être gonflées, presque douloureuses. Mon fion était douloureux. - Couche toi sur le sol. - Messieurs, je vous autorise à vous branler et à éjaculer sur ces seins . Je fermais les yeux complètement épuisée. A tour de rôle, il me tenait par la laisse à se mastuber au dessus de moi et à jouir sur mes seins. - Quelle putain ! Petite chienne, tu as aimé ça te faire défoncer. Tu peux remercier ton maitre d’avoir organiser cela pour toi. - Allez remercie-le. - Merci.. Monsieur, d’avoir organiser cela pour moi. - Messieurs pensez-vous qu’elle soit assez méritante pour qu’on la fasse jouir ? C’est là qu’on des hommes me releva. J’étais un peu sonné. Je titubais tellement j’avais été assaillis. Ne pas voir me désorientais complètement. On me fit m’asseoir sur un des hommes. Il me tenait bien fermement par la gorge tout en mettant sa main sur la bouche. Cela m’excitait. J’étais souillée de leurs spermes. Qu’allaient ils faire ? Un des hommes tenait mes jambes tendues vers le haut. C’est là que je sentis des doigts me prendre la chatte à faire des va et vient. C’était mon Maitre.. - Lane, je veux te voir jouir, je veux que tu nous inonde de ton plaisir. J’étais aux anges. Entravée ainsi, à la merci de ces hommes mais c’est lui qui avait le droit sur mon plaisir. Il savait comment me faire jouir. L’homme qui me maintenant me disait : - Allez jouis petite pute.. jouis.. - Oh mais c’est qu’elle en met partout cette chienne. Il caressait en même temps mon clitoris.. Une vague m’envahit. Mon corps ne répondait plus de rien. L’homme me maintenait fermement, il m’étranglait. Cela avait le don de me rendre encore plus folle. Une fois ma jouissance eu, ils me jettèrent sur le canapé, comme une poupée usagée. Ils me laissaient ainsi. - Allez messieurs allons prendre un verre. Je les entendais parler à mon sujet. - Quelle bonne putain, vous avez . A recommencer quand vous voulez ; - Sa bouche est un réelle enchantement.. vraiment. Vous l’avez bien dressée. - Son fion est des plus agréable. Au bout d’un moment, j’entendis des pas revenir vers moi. J’étais là, usée, abusée. - Allez, Lane, remercie encore des messieurs avant qu’on parte. - Messieurs, je vous remercie de m’avoir baiser par tous les trous. - Brave petite chienne dit l’un en tapotant ma joue - A une prochaine fois. Dit un autre en me claquant la fesse - Bonne putain dit un autre en tirant sur ma laisse et en me rejetant . Doucement au bout de quelques minutes, je sentis une main douce se poser sur ma joue. Il me releva et me guida. J’entendis le doux bruit d’une douche. - Rien ne vaut une douche pour se détendre. Il me jeta sous la douche avec ma lingerie et m’enchaina. Il savonna fermement en insistant sur mes seins , ma chatte et mon cul. J’étais alors épuisée. Je me jetais alors dans ses bras. IL me retira alors le bandeau. J’avais du mal à les ouvrir, légèrement aveuglée. La douche était des plus fabuleuses, elle était à l’italienne. L’eau perlait comme si c’était de la pluie. C’était une bénédiction sur chacune des parties de mon corps. Il me serrait alors contre lui en me caressant le dos. Tu as été merveilleuse ce soir. J’ai tant aimé te voir prendre ton pied ainsi. Tu étais belle. Nous nous caressions mutuellement sous l’eau. Il était d’une telle douceur. Il enleva ma lingerie qui était toute trempée mais j’en avais que faire. Il sorta puis me pris la main. - Ne bouge pas, je vais te sécher Il ouvrit le draps de bain, je mis mon dos contre lui. Il rabattait les pans du draps sur moi et me sécha. Puis doucement, il s’attarda ensuite sur mes mollets et pris un à un mes pieds pour les sécher. Mes cheveux étaient encore trempée. Il me mit un peignoir qui était à disposition, bien trop grand pour moi. Je mettais mes cheveux dans une serviette. Je profitais des produits à dispositions pour me démaquiller. Il me prit par la main. - Viens ma princesse. J’entendais la pluie dehors, cela me berçait. - Je t’ai apporté quelques affaires pour que tu sois à ton aise. Je me mis alors sur le lit avec le peignoir, il me parlait tout en caressant mon visage, je fermais les yeux doucement. A moitié endormie, je le sentais s’occuper de moi, je le laissais faire. J’étais sur mon flanc droit, il s’était mis derrière moi m’enveloppant de tout son corps et posant sa main sur la mienne en entrelaçant nos doigts fermement …
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Par : le 06/05/20
Conversations : Cléo est revenue toute agacée du Père Lachaise. À la fois de ne pas avoir été satisfaite - ce dont elle a pourtant l’habitude - et d’avoir touché le Mur des Fédérés. Elle veut se faire tatouer un A dans un cercle, sur l’épaule. Je lui demande en plaisantant : - A-t-on déjà vu une soumise révolutionnaire ? - Monsieur, je suis bien consciente de mes contradictions. Mais il y a en moi celle qui pense et celle qui désire, ce ne sont pas les mêmes. - Mais tout de même, ta maîtresse ne te laisse pas beaucoup de choix. - Qui vous dit que les rôles sont aussi clairement séparés entre maîtresses et soumises ? Ou plutôt qu’elles ne se les échangent pas secrètement ? Vous n’êtes pas très doué en psychologie, sauf votre respect… - Alors explique-moi ! - C’est trop compliqué. Vous ne comprendriez pas. un langage que l’autre saisit inconsciemment et sans que les apparences en soient changées ? - C’est ainsi que tu le penses ? - C’est un dialogue. - Je te crois. - Vous savez, ce n’est pas difficile pour moi d’être fouettée quand l’envie me vient. Sarah et moi, seuls, dans ma chambre. Sarah se masturbe sur le lit, à mes côtés. - Sarah, tu sais comment j’aime te prendre ? - Oui, je crois avoir compris. - Et toi, dis-moi ? - Vous êtes le Maître, ma satisfaction est la vôtre. - Bien sûr. Mais la réponse ne me suffit pas. Ses doigts accélèrent leur manège en haut de sa fente. - Monsieur, puisque vous tenez tant à savoir, lorsque vous me pénétrez ainsi, je me sens remplie, comblée. Il n’y a plus rien d’autre pour moi que la verge avec laquelle vous m’empalez. Je ressens chaque pulsion de sang dans votre sexe, chaque claque de votre bas-ventre contre mes fesses, toute la force que vous mettez à forcer votre passage. Je me soumets à votre organe brutal, je l’apaise, je le dompte et je lui réclame humblement ce qu’il finit toujours par m’accorder. Voilà mon rôle, Monsieur. Elle halète. Son autre main glisse jusqu’à sa vulve et deux de ses doigts s’enfoncent dans son intimité. - Pardon, je ne voulais pas dire « dompter »… - Quoi qu’il en soit, je préfèrerai ne plus te prendre qu’ainsi. Et moi seul. Comprends-tu ? - Oui, Monsieur. Vous ne m’avez jamais prise autrement. Me sodomiser est votre privilège. - Il est possible que tu aies à servir des hommes. En ce cas, tu n’useras que de ta bouche. Et aux femmes, à commencer par Cléo, tu donneras ta chatte en plus de ta bouche. Je t’offre ce plug, dis-je en déposant un petit paquet à ses côtés, il n’est pas fait pour t’élargir, ce qui serait idiot, mais pour marquer que cette limite que je mets. Sarah dépose un baiser furtif sur ma joue, déballe son petit cadeau puis, s’étant assurée qu’il est parfaitement propre et l’ayant humecté de ses humeurs vaginales, elle se l’introduit dans le rectum. Ceci fait, dans un élan de coquetterie inattendu, elle me tourne le dos afin que je la contemple. Quelques pas dans le jardin pour se dégourdir les jambes après trop d’heures assis à mon bureau. À l’anneau de Sarah, je lui ai fait accrocher trois courtes chaînettes garnies de perles qui rebondissent contre sa fente à chacun de ses pas. Elles dit qu’à présent elle ne peut plus marcher sans être excitée. - Monsieur ? - Oui ? Qu’avez-vous éprouvé, lorsque vous m’avez gagné ? - J’étais abasourdi. - Je vous ai plu ? - Je ne sais pas… C’est autre chose. Quelque chose de bien plus profond et puissant. Quand une idée devient quelque chose de réel, de concret, par exemple, le corps d’un autre, ton corps, ton corps vivant, avec une voix, un regard, une tiédeur, l’idée meurt à l’instant. Tant que tu n’étais que la mise d’une partie de poker, tu n’étais qu’une idée. À l’instant où je t’ai remportée, plus rien n’a existé que ta présence. Tu as pris toute la place. Et je ne m’y attendais pas… Sarah sourit, songeuse. - Et toi ? Nous n’en avons jamais parlé… Qu’as-tu ressenti ? - Moi ? J’ai été humiliée comme jamais je ne l’ai été. Devant tous ces hommes, gros, vulgaires, laids, puant le tabac froid et l’alcool, je n’étais plus qu’un simple objet, un animal domestique que l’on vend. Et même un chien aurait été traité avec plus de sympathie. - Je suis désolé, j’aurais dû te demander bien avant. - Les hommes sont comme ça. Il n’y a que leur pénis qui compte. - Non, enfin… oui, c’est vrai, ils sont comme ça. Je te demande pardon. - Non, vous êtes le Maître, vous n’avez pas besoin de vous faire pardonner. Moi, j’ai appris. Et puis, c’était vous. Quelque chose s’est passé que vous n’avez pas perçu mais que moi, j’ai ressenti jusqu’au creux de mon ventre. Si le prix à payer était d’être ainsi humiliée, alors j’étais d’accord. Cela m’a rendue plus forte. À table. Cléo fait le service, à demi-nue. Soudain Sarah la saisit par le poignet pour l’immobiliser. Elle joue en tirant sur les anneaux de ses seins. - Monsieur, aimeriez-vous profiter de cette petite putain cette nuit ? Vous n’y avez pas encore goûté… Cléo retient son souffle. - Savez-vous qu’elle n’a jamais connu l’homme ? Je suis convaincue que cela lui ferait un bien immense. Cléo frémit et se contracte. Je me lève et prends sa main. - Je pense que nous allons faire beaucoup mieux. Nous allons la prendre ensemble… - Excellente idée ! Cléo, tu peux débarrasser maintenant. Nous prendrons le café sous la véranda. Claque sur les fesses. Pour la ponctuation. Actes Sarah enfile un harnais muni d’un épais et long godemiché. Cléo est étendue sur le dos, les yeux grand ouverts, cuisses écartées. Sans entrave, ni bâillon. Sarah empoigne sa chevelure pour amener les lèvres au contact du godemiché. Cléo ouvre la bouche, le lèche et le suce, jusqu’à ce qu’il luise de salive. Replacée entre les jambes de Cléo, Sarah introduit le substitut masculin. À mon tour, je me poste derrière Sarah. L’ayant fait se raidir, je pointe ma verge entre ses fesses écartées. Sa position la contrarie, elle résiste, je lui administre deux grandes claques, elle se cambre docilement et ma verge aussitôt s’enfonce. Nos trois corps roulent, soudés dans un même rythme, peau contre peau, muscles synchronisés, démultipliés par une même énergie, puissante machinerie de corps huilée de sueurs, de salive et de cyprine, dont l’épuisement fusionnera trois sexes en un seul orgasme. Cléo râle de douleur et de plaisir à la fois. Sarah propulse mes à-coups jusqu’au fond de son vagin. Je claque durement ses fesses. Cléo résiste, se bat, répond par de briques heurts du bassin, avalant l’engin tout entier. Elle Jusqu’à ce qu’exténuée, la machine agonise dans un concert de râles et de plaintes, éjaculant son trop plein parmi les draps. Après vient l’apaisement des corps et le réveil des âmes. L’immense soif d’aimer et de se donner à l’autre. J’embrasse Sarah, Sarah embrasse Cléo, Cléo m’embrasse. - Merci monsieur, me murmure-t-elle à l’oreille.
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Par : le 04/05/20
Désolée pour les fautes, je suis partie jouer.. Il y a toujours en nous cette petite fille qui sommeille. Celle qui se dit.. oh zut suis adulte.. pfff. Au-delà de la femme indépendante que je suis, j’ai ce coté femme-enfant qui aime régresser. Peut être pour oublier les soucis. A vouloir faire une bataille d’oreiller, à rejouer à ces jeux de notre enfance. J’aime toujours user, abuser de ce regard innocent, à faire qui ne comprend pas… mais qui a besoin d’apprendre. Ce côté petite sotte qui a besoin de recevoir une petite leçon.. Vous voyez très bien de quoi je parle, n’est ce pas ?. Cette petite qui a envie de se faire corriger comme une petite fille fautive qui voulait cacher ses bêtises, et qui pour se faire pardonner affichait ce petit regard, tout innocent lui aussi.. Mais qu’ai-je fait de mal ? Lors de notre dernière entrevue, il m’avait laissé une boite à ouvrir dès qu’il me le demanderait. La curiosité est un vilain défaut n’est ce pas. Vous aussi vous auriez voulu savoir ce qu’il y avait dans cette boite, si belle, blanche perlé fermé à l’aide d’un magnifique ruban rouge rubis… Si je regarde qu’en saura t il ? mais si je regarde pas, mon excitation ne fera qu’augmenter… Je l’avais posé sur la table juste à coté de mon canapé en velours rouge opéra de mon dressing. Mon dressing dispose d’un choix incroyable de tenues, robes, lingeries, chaussures et accessoires me permettant à la fois d’avoir un look BCBG, plus bohème , plus années folles ou ce look hollywoodien des actrices des années 40/50. D’ailleurs il parait que je ressemble à Dita Von Teese… ou plutôt c’est elle qui me ressemble. Donc j’étais assise sur mon canapé à regarder cette boite. Je me mordais les lèvres. Un petit démon me disait.. ouvre là… l’autre… non regarde ton entrejambe.. il est tout émoustillé. Je prenais sur moi… J’envoyais un message à Monsieur. - Monsieur, je suis sur le point de fauter.. ouvrir cette boite… puis-je ? Il me faisait languir.. je voyais qu’il avait lu le message sur Whattsapp. Arghh je le maudissais. Une heure après : - Non je te l’interdit. Tu auras le droit de l’ouvrir demain-matin. Après tout, je me disais demain matin.. il n’en saura rien si je l’ouvre maintenant. Mon coté chipie ressortait. J’attrapais cette boite que je posais sur mes cuisses. Avec une délectation enfantine, je défis le nœud. J’ôtais le couvercle. Et là je vis.. une peluche. Une peluche, il m’offrait une peluche.. Ah moi ? qui aime plutôt être très femme. J’y voyais une pointe d’humour mais peut être un indice pour notre prochaine rencontre ? Message Whattsapp reçu : Je suis certain que vous avez ouvert la boite ? Je vous connais… Je souriais, il me connaissait par cœur.. Je répondais instantamment. - Oui Monsieur, je n’ai pas pu résister… et puis avec une peluche à la main et mon regard mutin.. vous allez me pardonner ? - Oh.. mais vous vous trompez lourdement ma chère. Je suis en train de prendre note sur votre carnet. Je passe vous chercher demain à 20h. La peluche est un indice sur ce que vous devez porter demain. Ne me décevez pas et n’oubliez pas d’emmener votre peluche. Je levais les yeux en l’air.. Une peluche… forcement j’imaginais ce jeu de rôle où je serais une jeune fille bien innocente. C’est alors que je réfléchissais à ma garde robe, et à ce que je pourrais mettre. Eh bien j’allais la jouer bien sur femme très innocente. La nuit porte conseil. Le lendemain, j’étais passée chez l’esthéticienne afin d’avoir mon entrejambe le plus lisse possible. Je déteste les poils. Puis en rentrant, je décidais de me faire ce soin éclair « coup d’éclat » jouer les jeunes filles à mon âge.. même s’il paraît que je ne le fais pas.. mais j’adore jouer ces jeux de rôle dans lesquels il m’emmène par jeux. Il se donne toujours les moyens. Je mis cette petite robe légère qui me donnait ce coté sage avec un col claudine. J’avais mis en dessous une lingerie dans les tons blanc / rosé. Ma culotte était légèrement bouffante comme pour rappeler ces culottes des années 1900… j’avais également mis des bas blanc. Et pour agrémenter le tout.. j’avais fait des couettes… En me regardant dans le miroir, je m’étais amusé à voir le résultat. Je me disais. J’espère que nous n’allons pas en ville.. Il était venu à l’heure précise. Je sortais en faisant attention à ce que les voisins ne me voient pas. IL m’avait envoyé un message comme d’habitude. Ma peluche à la main, je ressemblais à cette petite sainte nitouche.. sexy qui cherche les regards en faignant son innocence. Je montais rapidement dans sa voiture. - Oh en voilà une bien jolie jeune fille.. - Vous.. êtes… Il souriait.. - Oui je suis ? C’est là qu’il se pencha vers moi. De son pouce, il entreouvrait ma bouche pour le faire pénétrer.. - Une jeune fille suce t elle encore son pouce à son âge ? et se balade t elle encore avec une peluche ? Il écarta mes jambes et me deshabilla du regard. - Je t’emmène dans un lieu spécial où l’on pourra bien s’amuser ensemble. C’est en Allemagne. Nous allons rouler une petite heure. C’est dans un club mais nous serons que tous les deux. J’ai réservé une pièce bien spéciale pour nous deux. C’est là qu’il me tendit une sucette.. - Tiens, je me souviens que tu aimes les sucettes ? rappelle toi une de tes punitions. Là je veux que tu la suces, que tu te délectes, que tu la lèches. J’adorai faire la petite allumeuse. Nous arrivions dans ce club, qui était dans un petit village. C’était assez étrange à vrai dire. Mais bon, tant que j’étais avec lui, je me sentais en sécurité. Il sortit de la voiture un sac. Nous rentions dans ce club. IL maitrisait parfaitement l’allemand. Nous allions au vestiaire. - Mets toi en sous vêtement et prends ta peluche, petite allumeuse. Il me prit par la main. Le responsable du club nous montra le chemin jusqu’à une pièce au fond d’un couloir. - Ce soir, tu seras une petite fille qui a besoin de recevoir une petite éducation comme il se doit. Attends moi. Je reviens. Il était rentré dans la pièce avec son sac. Puis il me dit de rentrer. Il était installé sur le lit. Il s’agissait d’une centre d’environ 20m2 avec un lit de jeune fille en fer forgé. Plein de peluches adossées à une commode et au mur des images très enfantines avec des jeux. Une pièce très colorées avec un grand tapis circulaires, des poufs et des oreillers de partout. - Viens t’asseoir à coté de moi.. IL tapotait le lit. Il me faisait tout de suite entrer dans ce personnage. Prenant une démarche coquine et un peu à la légère, je m’approchais de lui, peluche à la main. - Je vois que tu n’as pas pu tenir pour ouvrir cette boite. Sais-tu ce qui arrive aux jeunes filles qui n’écoutent pas ? - Humm.. non Monsieur ? je ne sais pas… dis-je avec une voix légèrement d’idiote. - Eh bien on leur met la fessée cul nu. Alors tu vas baisser ta petite culotte sur des cuisses et tu vas me les présenter. Avec insolence, je passais au dessus de lui pour me mettre en position. Quand tout à coup, il me fit m’allonger en me poussant avec sa main sur mon dos. Il me caressait les cuisses puis se dirigea vers mes fesses. Il commença à me fesser avec fermeté.. - Tu ne me remercies pas ? - Pardon.. monsieur… Mer.. aie.. merci… Monsieur. Sa main s’abattait encore.. et encore.. parfois plusieurs fois au même endroit. J’étais ainsi allongée sur lui à lui tendre mes fesses qui étaient probablement devenues écarlates. - Voilà comment on corrige les vilaines.. les vilaines petites filles qui ne sont pas obéissantes. Humm quelles belles fesses bien rouges. IL les caressa, les serra… Puis il écarta mes fesses pour regarder mon entrejambe.. Il y passa sa main.. - Ah je vois l’effet que cela provoque à cette innocente jeune fille… un état d’émoi de petite chienne en chaleur.. - Oh Monsieur, je ne sais pas ce qui m’arrive.. Dites le moi.. - Oh je vais te donner quelques leçons pour comprendre une nouvelle matière physique. - Ah oui Monsieur, qu’allons nous apprendre. - Tout d’abord, nous allons apprendre en jouant. Est-ce que cela te convient ? - Ohh.. oui Monsieur.. dis-je avec cette voix enfantine à me triturer les couettes.. - Alors on va jouer. Va à cette sublime boite à jouet. Prends celui qui te fait plaisir.. Je te montrerai des exercices pratiques. Allez remonte ta culotte, ce n’est pas une tenue de s’exhiber ainsi. Je me rendis à quatre pattes en dandinant mon derrière pour aller jusqu’à cette boite qui était sur le tapis. J’ouvrais la boite avec cette mine complètement surprise ( eh oui j’aimais jouer mon personnage). - Oh mais monsieur.. je ne sais pas à quoi servent tous ces objets. - Choisis en un.. je t’expliquerai. C’est là que je sortis un gode ventouse. Je m’empressais de revenir vers lui à genou et à lui tendre. - Hum cher Monsieur voilà ce que je choisis. - Hum.. je vois que tu as de bonnes prédispositions. Il se leva et se dirigea vers le miroir. Il y faisait adhérer le gode ventouse. - Nous allons faire un petit exercice pratique avec ta bouche et ta langue. Tu vas prendre cet objet et tu vas le lécher, te l’introduire dans ta bouche, quitte à aller jusqu’à ta gorge. Je vais te regarder faire. Si je ne suis pas satisfait, je te corrigerais.. - Ohh merci Monsieur. Toujours à quatre pattes en dandinant mon cul, et prenant une démarche que je savais sensuelle pour le rendre fou, j’allais vers le gode. Doucement j’ouvrai ma bouche pour commencer à le lécher, comme ci je découvrais cet objet. - Allez, dans ta bouche Je commençais à sucer ce gode. - Allez, va y plus profondément, tu en es capable. De moi-même je forçais ma gorge à en baver. C’est là que je sentis le coup de la badine s’abattre sur mon cul. - Cambre -toi, tiens toi bien et continue de sucer. Au bout d’un moment il me dit de le garder bien dans ma bouche. - Voilà une bonne petite suceuse. Il maintenait ma tête pour que je la garde bien en bouche. Puis en me tirant par les couettes il me redressa. J’avais de la bave qui dégoulinait. - Maintenant nous allons passé à l’exercice en réel. Il me releva en me tenant pour le cou et mis sa main dans ma petite culotte de jeune fille. - Oh mais cette innocente demoiselle est bien lubrique. T’es toute trempée… Il me poussa vers le lit, puis avec son savoir faire me retourna afin que j’ai la tête à l’envers. - Avec sa main, il ouvrait ma gueule et y fourra un doigt. Je me délectais de le lécher.. Puis avec une certaine fougue, il prit son sexe en main et le dirigea vers ma bouche ouverte qui n’attendait qu’à passer à cet exercice pratique. Il me baise bien comme j’aimais. Il adorait me faire des gorges profondes. Il m’imposait son rythme effrainé. Tout en me prenant ainsi, il avait sortie mes seins de mon petit soutien gorge. Il jouait aussi avec mes tétons. Je bougeais alors mon corps pour me défaire de cette emprise. C’est là qu’il me prit le cou.. et serra. Il stoppa sa frénésie et laissa son sexe en moi. - Brave petite fille. Il me tapotait la joue.. - Allez sors ta langue, lèche moi les couilles, lèche bien partout. Ma langue passait dans tous les endroits de son entrejambe. Il me rendait folle. Puis c’est là qu’il se retourna et s’assit sur moi. - Regarde moi . - Je t’ai dit regarde moi. Je veux te voir me bouffer les couilles, petite salope. - Tu les veux hein ? De mon regard naïvement pervers, il comprenait.. - Oh oui.. Monsieur merci.. Je l’entendais râler de plaisir. Il me saisit par les couettes et m’utilisa à son bout vouloir à faire des va et vient puis stoppa net. - Bonne petite elève - Oh merci Monsieur.. c’était si bon. - Allez va choisir un autre jouet.. - OH Monsieur, qu’est ce que ce fil avec plein de boules attachées. - Apporte le. Comme une enfant qui découvre un trésor, je m’avançais vers lui. - Allez reviens sur mes genoux. - Qu’aillez vous faire, Monsieur ? - Chut… Laisse toi faire, tu vas aimer. - Oh mais monsieur, que faites vous ? Il écartait mes fesses, - Oh, regarde moi ce petit trou.. Tu vois je vais introduire ces 3 boules dans ton petit cul. - Ah oui Monsieur ? et vous pensez que cela va rentrer ? - Nous allons le voir. - Ouvre ta petite bouche et mouille moi cela. Avec sa main il me présentait le jouet que je me devais d’humidifier. - Cambre toi et remonte des fesses. Il plaça la première boule à l’entrée de mon orifice.. - Allez pousse ma belle. Mon fion céda rapidement. Puis il opéra lopération une seconde fois.. puis une troisième. - Oh regarde comme tout est rentré. Tu es une petite magicienne. Je le regardais en souriant avec ce regard malicieux. - Allez va sur le tapis, je vais te regarder jouer. - Oh oui à quoi voulez vous jouer ? - A la petite chienne qui va m’aguicher avec son petit cul. - Oh Monsieur.. non… - Allez fais ce que je te dis.. Je descendis du lit. Je baisais alors ma tête au sol puis je dandinais mon cul pour lui. - Allez bouge le encore mieux que ça. Je sais que tu aimes ça. - Oh oui.. monsieur - Tu ne sais vraiment pas te tenir.. C’est là qu’il saisit le petit anneau à mon petit cul.. Oh mais regarde ce que je tiens en main.. Tout doucement il tira dessus.. Il sortit la première balle puis la rentra une seconde fois. J’étais complètement excitée. - Oh oui, tu avais besoin de te sentir combler, n’est ce pas.. - Oh oui.. monsieur, je vous en prie.. combler moi encore. Il sorti ces boules avec délectation. Je devinais son regard qu’il avait. A voir mon petit trou s’ouvrir, se grossir.. - Oh mais je vois que ma petite chienne est bien trempée.. Je vais te prendre la température ma belle. Il se plaça debout au dessus de moi. Sa queue prenait la direction de mon trou. Il s’y fraya un chemin.. à sec. Il y allait doucement. - Tu vas voir tu vas aimer, petite allumeuse. - Je commençais à crier. Puis il commença à me culbuter . Je sentais ses couilles me frapper. Il tenait mes fesses pour les écarter et admirer son œuvre entrer et sortir. Parfois il prenait de la hauteur et admirer mon trou bien ouvert, bien offert. - Oh regarde comme tu es ouverte.. Il me pris par les poignets et repris sa chevauchée. Puis dans un mouvement de fougue, il me releva et me jeta sur le lit. - Garde tes jambes bien ecartées. Il saisit des liens pour m’attacher les jambes afin que je les garde bien ouvertes. IL fit de même avec mes bras.. Attachés de part et d’autres. - Sais tu ce qu’on fait aux petites chattes qui s’exhibent ainsi ? Son regard était si. Intense. Il tapotait ma chatte, puis commença à la claquer.. Je voulais refermer mes cuisses mais je ne pouvais pas le faire. Il se leva vers la boite et sortit un gode gonflable ainsi qu’un baillon. IL aimait m’entendre gémir ainsi. - Oh mais regardons cette chatte si douce.. Il aimer me doigter, et j’adorais cela. Je mouillais tellement qu’il en entra directement 4… Puis il commença à vouloir introduire son poing. Je me débattais, j’écarquillais les yeux.. mais il n’y arrivais pas. Cela ne l’empechait pas d’aller au plus profond pour me stimuler … Il mis le gode dans mon petit fion . Je poussais des cris en feignant de ne pas vouloir plus.. Mais au fond mon corps réclamait bien sur davantage. Il pressa une première fois la pompe… Je bougeais.. Puis une seconde.. Il le gonflait encore et encore. IL connaissait mes limites. C’est là qu’il me prit par la chatte tout en ayant le gode dans le cul. - Alors petite vicieuse.. C’est bon d’’avoir ses deux trous bien remplis ? Je faisais oui de la tête. Il ota mon baillon et dit.. - Va y je t’écoute. - Oh .. que dire que de sentir votre queue me prendre tout en ayant le fion rempli.. Merci. Monsieur. Tout en me besognant il me gifla, probablement pour être si chienne. J’aimais cette frénésie où au fond j’aimais qu’il me déprava à faire une petite chienne à son image. Elle est là mais il arrive toujours à me rendre encore plus.. chienne. Il s’arreta en remplaça sa queue par ses doigts si magiques. Il me doigtait tout en maintenant la pression au fond de ma chatte. Je ne tenais plus. Il me caressait en même temps le clitoris.. Je n’en pouvais plus. J’étais au bord de la jouissance. - Monsieur.. Monsieur.. je vais.. jouir.. - Va y.. Jouis.. Je me laissais aller à cette déferlente. J’essayai de me soustraire à la magie de son savoir faire. J’en mettais partout. Je jouissais avec une telle force. Puis il continuait à vouloir me rendre encore fontaine jusqu’à ce que je sois vidée. Il me tira par les couettes pour me forcer à regarder. - Regarde petite cochonne, regarde tout ce que tu as. Quelle innocente putain.. Puis ma tête partie en arrière. J’étais épuisée. Je sentis alors qu’il retira le gode de mon cul.. Je ne sentais plus rien à vrai dire . J’étais encore dans mon paradis. Il me sodomisa à nouveau. Il prit mes seins avec force et les pressait comme des oranges. IL aimait les presser, les faire se dresser. Il m’utilisait comme une petite poupée. Je le regardais prendre aussi son pied. J’aimais cet instant où il perdait lui aussi pied… Ses coups se faisaient plus rythmés plus violent. Il me tenaient par les cuisses. Il se déchainait jusqu’à la libération. Il s’assit sur le sol à me regarder ainsi… la chatte exposée, mon fion dégoullinant de son foutre. Il se rapprocha pour m’embrasser la cuisse gauche. Je vais te laisser ainsi, je crois que je vais avoir encore envie de jouer avec mon petit jouet...
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Par : le 02/05/20
l redescendit. Il ota me donna quelques bonnes fessées. Je ralais à travers mon baillon. - Va y parle.. Je t’écoute.. - Je suis désolée Monsieur avec une voix quelque peu masquée. - Il me gifla de plus belle. - Tu vas m’écouter petite garce ? - OUii Monsieur.. Il me detacha. Je me mis sur les genou et me prosternait à ses pieds. Je tentais une démarche pour attirer ses douces faveurs. Mais je sentais à son attitude que j’allais être encore punie. Il posa alors son pied sur ma nuque. - Tu vois, j’avais prévu d’être plus doux avec toi, mais au vu de ce que tu fais, tu comprends bien que je vais devoir te punir. Le comprends-tu ? - Oui .. Monsieur. - Allez relève moi ton cul de chienne. Il se retourna vivement. Puis des deux mains me fessa lourdement. J’en avais des fourmillements. Je refreina mon envie de crier.. mais je ne voulais pas. - Je t’ai amené ton repas. Mais tu comprendras qu’au vu de ta situation, tu vas manger comme une brave petite chienne de luxe. IL m’avait rapporté mon collier, ainsi que ma laisse. - Voilà, ma petite chienne prêt à prendre son repas. Il tira sur la chaine pour me ramener à lui. C’est là qu’il me tendit dans sa main une gamelle. J’étais à genoux. - Tu vois, je vais être indulgent, je vais te donner à manger. Tiens toi bien droite et mange avec finesse et raffinement. Je souriais car parfois je donnais à mon chien à manger à la fourchette. - Tire la langue pour réclamer.. allez. Je sortais alors ma langue et avec douceur, il me faisait déguster, me délecter de différents mets raffinés. Bouchées par petites bouchées. Toujours en position d’attente que mon Maître me nourrisse, à quémander comme je quémanderais sa queue, à avoir ce regard de désir pour qu’il continue à s’occuper de moi. Mon repas terminé, il déposa l’assiette au sol. - J’ai soif, Monsieur. Il tira sur la laisse, la mise bien courte pour maintenir mon cou bien droit. Il m’incita à marcher à quatre pattes jusqu’à la gamelle déposée face au lit. Devant la gamelle que je constatais vide, il me dit. Il s’agenouilla à ma hauteur. Il plongea son doux regard dans le mien. Tira à nouveau sur la laisse pour me susurer à l’oreille. - Je te laisse le choix petite chienne. Que préfères tu ? - Eau.. ou Champagne. Je ne pue m’empecher de sourire.. - Champagne, Monsieur. - Ne bouge pas, cambre toi bien… je reviens. Il savait toujours montrer sa bienveillance que j’aimais tant. Il revint avec une bouteille de Joseph Perrier, chamapgne que j’affectionne. Il versa le chamapgne dans ma gamelle. - Allez, bois. Tout en le regardant je m’abaissais avec ce regard fougueux, plein de désir.. Je voulais le rendre fou autant qu’il me rendait folle. Je lapais ce doux nectar qui allait me rendre encore plus pétillante. - Regarde ce que j’ai pour toi.. dans ma main.. Je regardais ces framboises avec des yeux gourmands. En général j’aime les plonger dans le champagne.. une expérience que je vous recommande afin de faire pétiller ce dernier davantage. Je m’avançais vers ces fruits des plus tentants. J’ouvrai ma bouche pour me servir avec le plus de sensualité animale possible. Je souriais. Ces moments complices me rendaient heureuse. C’est là qu’il me rejetta au sol pour me faire reprendre ma place. Il me griffa alors le dos puis me redressa. Derrière moi, il tenait mes poignets ferment dans le dos d’une main forte. De l’autre il me maintenait droite laisse courte. Sans douceur il me faisait marcher vers le lit où il me jetta dessus telle une poupée. Il se saisit d’une corde puis m’encorda les bras, puis les mains attachés dans le dos. Mes seins étaient magnifiés par les cordes qui les enlaçaient. J’aimais ces moments érotiques hors du temps. Il me redressa. J’étais complètement à sa merci. Mon torse était posée contre le matelas, mes jambes, elle était au sol. Mon cul offert. C’est là qu’il me fouilla de ces doigts experts à nouveau, comme il aime le faire. Puis sèchement il me pénétra. Je sentais mon petit fion céder rapidement. Ses doigts ayant préparé le terrain. Il relava au mieux mon fessier pour me prendre comme il se faut, avec profondeur, comme s’il voulait me transpercer. Je criai, je hurlai. Plus il me possédait, plus il me fessa en même temps. - Voilà ce qu’il te fallait ! Un coup de bite dans ton cul de chienne. Regarde moi ça.. Il me saisit par la queue de cheval pour me redresser. - Alors, tu aimes ça ? te faire prendre comme ça ? tu en veux plus ? - Oh.. oui Mon.. Monsieur , répondais je complètement haletante. Incapable de parler correcterment à chaque butée. Je sentais ma taille s’engouffrer contre le matelas. Puis il me rejeta en maintenant ma tête appuyée contre le matelas. Je sentais ses gouttes de transpiration tomber comme la pluie sur moi. C’était si intense, si sauvage, mais que dire.. Puis soudainement il s’alongea sur moi.. - Ton corps appelle à tous ces vices. Que vais-je faire de toi ? Il me fit tourner sur mon flanc. Il se saisit de mes seins fermement. Il me griffait, me giflait, parfois mettait ma main sur ma bouche où mes cris de bonheur s’évanouissaient dans le silence. Nous nous possédions l’un l’autre. - Je veux te remplir de tout le bonheur que tu me donnes. Te montrer combien je suis fière d’être avec la chienne que tu es. Son souffle était fort, je sentais son cœur battre si rapidement. L’homme avait laisser place à cet animal que j’aimais. Celui qui prendrait, qui possédait.. simplement. Son autorité était naturelle. Il éjacula en moi avec une telle force. Je sentais son abandon.. autant que le mien. Après cette jouissance, je le sentais trembler. Il reprit alors rapidement ses esprits au bout de quelques minutes. Il m’attachait assise, les bras dans la longueur contre les barreaux du lit. Il m’encorda le cou également au barreau. Je ne pouvais pas me mouvoir. C’est là qu’il me banda à nouveau les yeux et me rebaillonna. Il partit sans dire un seul mot, me laissant ainsi interdite. J’aimais quand il était dans son rôle dominant à me laisser ainsi.. mais pour combien de temps. Le désir montant.. toujours et encore avec l’absence. Je tentais alors de me libérer, mais les liens étaient si bien fait. Je m’étais résolu à attendre. Quand je sentis soudainement une main saisir mon menton, puis d’un revers mettre une gentille gifle, puis une seconde.. - Brave petite fille… Je le sentis monter sur le lit. Il s’était agenouillé de part et d’autres de mes cuisses. Il s’était emparé de chacun de mes tétons. Il les pressait, les tiraient vers lui. Les cordes mettaient en valeurs mes seins triomphants. - Aie.. criai- je, complètement surprise. Il commença alors à s’en occuper, à les travailler… Je ne pouvais le voir ni savoir ce qui allait m’attendre. C’est là que je sentis la morsure du paddle s’abattre sur moi. D’abord sur mes seins puis sur mes cuisses, puis ensuite sur mes jambes. Il s’était retiré me voyant me dandiner. Cela l’amusait. Je laissais échapper quelques cris. Il alternait entre douceur et fermeté. Parfois il m’effrayait à mettre des coups dans le vide. Mes sens étaient totalement en éveil. Il enleva le gag ball et y introduisit un gode que je devais sucer comme ci c’était son sexe. Il me faisait baver litterallement. Il y mettait une intensité, un certain cœur à l’ouvrage. A regarder le fruit de son éducation. Soudain il remplaça le gode pour me fourrer de ses doigts. Il ouvrait ma gueule pour voir si sa chienne était bonne à sucer. Ma poitrine se soulevait. Tout était si intense. La fatigue me gagnait, lui était je le sentais en pleine frénésie. JE ne pouvais lutter.. je ne pouvais que me laisser faire. N’étais ce pas ce que j’aimais au fond. Être cette petite poupée. C’est là qu’il me détacha. Avait il senti ma fatigue rien qu’en m’observant. - Je vois que tu es bien fatiguée. Je vais te mettre au lit petite servante. Va faire un brin de toilette avant de te coucher. Je me levais, les jambes en coton après les différents assauts que j’avais subis, mes bras étaient un peu douloureux. Je me regardais à travers le miroir. J’avais une mise bien fatiguée. - Pose tes mains sur l’armoire, écarte moi tes jambes. Il prie alors le gant de toilettes, le trempa et d’une douceur infinie commença à nettoyer mon intimité. Je le voyais derrière moi à travers le miroir. Mon cœur battait. J’avais qu’une envie, me retourner, le serrer dans mes bras.. Mais je voulais savourer ce moment si … si.. longs soupirs… Il me faisait la toilette, même si cela était rudimentaire. - Maintenant, va t’asseoir sur le lit. Il se saisit de ma creme pour le corps que j’avais sorti de mon sac puis commença par me masser en premier les pieds.. il était à mes pieds. Son regard intense plonger dans le mien. Je ronronnais de plaisirs, de détente. Puis doucement il passait ses mains sur mes mollets, toujours en remontant avec cette douce fermeté il s’attardait sur le creux de mes genoux. Je ne pouvais que chavirer. Il remontait encore et encore… Puis il s’assit alors derrière moi, pour s’occuper de mon dos. Il prenait son temps pour me masser, passer ses doigts sur ma cicatrice, celle qui parcourait tout ma colonne vertébrale. Puis il s’attarda sur mes petites cervicales. Je penchais alors ma tête en arrière, la posant contre son épaule. Il passa alors sa main sur ma gorge. Je me sentais complètement à nue face à lui. Complètement nue.. mise à nue. Cette sensation de ne pas à avoir se cacher, à se montrer juste soi. Puis d’un main coquine, il s’occupa de mettre de la creme sur mes seins, en les pinçant légèrement. Il devinait alors mon sourire de plaisir. C’est là que d’une infinie douceur il prit mon elastique des cheveux pour le faire glisser avec tendresse afin de les libérer. Il y passer ses doigts pour les démeler. - Attends, ne bouge pas. Il avait saisi ma brosse à cheveux et me peigna les cheveux. C’est là qu’il me borda. J’avais qu’une envie c’est qu’il vienne avec moi dans le lit.. pour me réchauffer, me réconforter. Il laissa une bougie allumée. Je regardais les ombres dansées sur le mur. J'étais bien emitouflée; - Bonne nuit petite chienne. Il monta les escaliers, me laissant seule, à mes songes et mes pensées les plus douces. Cette journée aller se mêler à mes rêves et à mes futurs écrits. J’étais épuisée. Je m’endormais comme un bébé. Allait il me rejoindre ? je vous laisse imaginer la suite …. Qu’auriez vous voulu… qu’il fasse ?
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Par : le 02/05/20
Il ne me fallut que quelques secondes pour réaliser à quel point j’avais vraiment des ennuis. Je ne m’étais pas vraiment inquiété quand Elle m’avait tendu le bracelet en métal. Pas même quand j’avais senti les dents cruelles à l'intérieur. Elle n’allait pas me le faire porter, j’en étais sûr ! C'était bien trop vicieux ! Elle ne le ferait pas ! Mon esprit n'arrêtait pas de me le répéter ; même quand je la voyais ramasser la petite clé avec son verrou intégré et marcher lentement vers moi. « Alors. C’est pour MAINTENANT ou demain. Fais attention, je vais te le mettre moi-même et crois-moi, je ne ferai pas dans la dentelle ! » Sa voix était sévère, dominante, presque brutale dans son intensité. J’ouvris la bouche pour lui répondre mais mon téton droit explosa d'agonie, chauffé à blanc. « Quand je dis maintenant, c’est maintenant. Aucun argument. » J’hésitais toujours. Les pointes avaient l'air très vives, vicieuses et cruelles. Et il avait l'air si petit, si étroit ... ce serait sûrement une agonie d'essayer de le fermer. Encore une fois, j’ai essayé de protester. Une autre explosion brutale de douleur, cette fois sur mon pénis. « Je vois que tu n'es pas très bon pour suivre un ordre. Tu vas apprendre. Lève-toi, les bras levés ! » Soulagé de ce qui semblait être un changement d'avis, je me levais rapidement, tendant les bras. Ce n'est qu'alors que je vis la camisole de force dans ses mains, mais il était déjà trop tard. Elle la glissa sur mes bras de manière experte, la repliant autour de mon corps et bouclant les sangles en quelques secondes. Je sentis mes bras se resserrer contre son corps. Je tentais de résister mais c'était sans espoir. Elle sécurisa la camisole en quelques secondes. Je voyais toujours le bracelet. Il était toujours posé sur la table là où je l'avais laissé. Pendant ce temps, Elle attacha rapidement les sangles entre mes jambes et acheva mon confinement. « Maintenant, tu vas le porter, que ça te plaise ou non. » Elle tendit la main vers le dispositif métallique, l'ouvrit et l’enfila par le bout de ma queue. Sans un mot, Elle ferma le bracelet juste derrière mon gland, forçant les pointes contre mon sexe. Je poussais un cri ! Cela ressemblait à une centaine d'aiguilles perçant ma queue, pénétrant en moi alors qu’Elle pressait plus fort. La serrure glissa et la clé tourna... il était en place. Quand la douleur commença à s'atténuer, je me rendis compte que je débandais. Mais quoi que je fasse, le bracelet était bien trop étroit pour tomber. Je ne pouvais pas m’en débarrasser sans lacérer mon gland à son passage, même si mes mains étaient libres. « Voilà ! tu m’as supplié de te laisser sortir de ta ceinture de chasteté depuis des semaines. J'en ai marre de t’entendre. Je m'en fiche si tu as besoin de jouir. Je m'en fiche si tu es excité ! Et je ne me soucie pas du fait que tes érections dans ta ceinture te font mal. Il est clair que nous devons travailler sur ce lien que tu sembles avoir entre érection et plaisir. Tu as déjà remarqué la douleur que le bracelet provoque lorsque tu bandes. Eh bien, ce n'est que le début. Plus tu deviens dur, plus ça te fait mal. Je te fais la promesse que je ne vais pas l'enlever, peu importe tes jérémiades et tes pleurs. » Elle me poussa sur une chaise et attacha rapidement mes chevilles aux pieds. Une chaîne passa autour de ma taille et le dossier de la chaise. Je n’avais plus aucun moyen de me lever. Elle ouvrit quelques fermetures éclair sur la camisole de force, exposant ses tétons. Des pinces y furent fixées. « Maintenant, juste pour être sûr que la leçon commence… » Elle me mit fermement un bâillon, l’anneau passait derrière les dents forçant ma bouche à rester grande ouverte. Me prenant par les cheveux, Elle tira ma tête en arrière. Elle laissa alors tomber un comprimé de viagra dans le trou béant, l'observant alors que je tentais de lutter sans succès contre l'envie d'avaler. « Je serai de retour... plus tard. D’ici là, je pense que tu aura terminé la première de tes futures leçons. » lulu (souvenir de chez ma 1ère Dame)
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Par : le 02/05/20
A genou, nu sur le carrelage de son salon. Il s'est assis sur ses talons pour reposer ses muscles tendus. Un bâillon constitué d'un petit gode, lui remplit la bouche. Sa langue ainsi contrainte par cet objet intrusif, il peut à peine émettre quelques sons guturaux. Son regard bleu est tourné vers la grande fenêtre derrière laquelle s'étendent à perte de vue les champs de cultures qui entourent la maison. Le jour décline en colorant le ciel d'un panel de couleurs pastelles, avant l'arrivée inexorable de la nuit. Ses mains sont liés dans son dos, par une corde serrée qui lui rentre dans la peau, lui semble t'il à chaque mouvement. Que fait-il ici, dans son propre salon dans cette position inconfortable, à attendre dans ce silence insupportable. D'ailleurs, depuis combien de temps est-il ainsi? Quelques minutes, une heure, il ne saurait le dire. Là où il est, aucune pendule ne lui permet de se raccrocher au temps. Mesure si précieuse, de l'homme qui attend, il essaie de se fier au crépuscule qui devient son seul repère. Son esprit s'agite sans qu'il puisse arrêter le flot de ses pensées. Il repense à ce moment durant lequel il a osé, sans retenu, exprimer une envie. Une intime confidence qui l'a surpris lui-même mais que sa solitude forcée l'avait poussé à faire, subitement dans leur correspondance épistolaire. Il dirige sa vie sans y laisser le moindre vide. Il contrôle chaque minute de ses jours et de ses nuits. Le temps est pour lui un ennemi à défier en permanence pour ne jamais laisser les fêlures de son passé reprendre le dessus de son destin. Jamais il ne laissera plus personne décider à sa place ce qu'il doit faire et ce qu'il doit dire. Alors à cet instant précis, il ne comprend plus pourquoi il est là, comment a t'il cédé à cette idée saugrenue. Comment et pourquoi en est-il arrivé là ... Sa fierté semble mener un combat avec sa propre raison. Il voudrait se relever, se retourner et exiger d'être détaché et puis mettre fin à ce jeu ridicule qu'il a pourtant lui-même initié. Et pourtant, il n'en fait rien, il ne bouge pas, comme si son corps refusait d'obéir à sa propre volonté. Imperceptiblement, sa respiration se fait l'écho de la vague de pensées qui submerge son esprit. Son torse se gonfle d'air qu'il expire dans un souffle aussi bruyant que possible, accompagné d'un râle animal tel un rappel de sa présence et l'expression de son impatience. Il pense à tourner la tête, regarder en arrière, pour s'assurer de la présence de l'autre, tenter d'apercevoir une silhouette, de savoir ce qu'il se passe derrière lui. Mais encore une fois, il ne bouge pas, son corps reste figé, engourdi dans l'immobilisme. Ses pensées sont soudainement interrompues. La conscience d'un contact sur sa peau a ramené son esprit dans l'instant. Tous ses sens sont à l'affût, il n'a pourtant rien entendu. Il frissonne, deux mains légères et douces se sont posées sur le haut de son dos et descendent en l'effleurant le long de son échine. Il ferme les yeux, cette présence derrière lui, lui fait oublier immédiatement les doutes qu'il avait, il y a encore quelques secondes. Le corps nu de l'autre se plaque contre son dos, il sent ses seins s'appuyer contre lui, son ventre tout contre ses reins, le sexe de l'autre touche ses mains liées, qu'il n'ose plus bouger. Les mains de l'autre suivent la courbe de ses hanches puis remontent le long de son ventre, son buste et s'attardent sur sa toison masculine. Sans qu'il puisse rien n'y faire, son sexe durcit à ce contact physique, trahissant son impuissance à contrôler son émotion. Une bouche se glisse près de son oreille, il devine le sourire qui apparaît sur ce visage qu'il ne voit pas encore. Dans un murmure, elle lui glisse une remontrance. "Mon ami s'impatiente, on dirait ? Nous avons tout notre temps. Inutile de grogner, mon ami. " Et alors qu'il s'apprête à pivoter la tête pour capter son regard, un voile noir se pose sur ses yeux et le plonge dans une obscurité encore plus profonde que la nuit qui vient désormais d'envahir la pièce dans laquelle ils se trouvent, tous les deux dans une communion intime de leurs envies. (...)
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Par : le 02/05/20
LA servante. - Je te prépare un week end intensif petite chienne. - Ah oui, Monsieur ? - Oui, j’espère que ton éducation saura me montrer combien tu as bien compris où était ta place. Il avait son sourire complice mais sérieux. Je me demandais ce qu’il avait prévu. Nous avions pris la route, je ne savais pas où nous allions. J’avais préparé quelques affaires pour le week end avec ce les indications qu’il m’avait donné. Nous étions en pleine campagne, loin de tout. Il avait mis le GPS, nous en avions pour 2h de route. - Puis-je savoir où nous allons ? - Non.. - Même pas un indice ? - Ta curiosité est un vilain défaut. Ecarte moi tes jambes. Il mis sa main sur mon sexe. Je commençais déjà à ne plus me contenir. Pendant le temps de la route il m’avait interdit de parler, juste d’écouter. Il me trouvait insolente ces derniers jours. Après tout, c’est mon tempérament. J’aime être effrontée. Nous étions arrivé à destination. - Ne bouge pas, je viens t’ouvrir la porte. Il descendit de la voiture, pris sa veste légère située à l’arrière puis viens m’ouvrir la porte. - C’est la maison d’un ami qui nous la prête pour le week end. Tourne- toi. Il me plaqua contre la voiture. Je sentais son corps chaud contre moi. J’aimais quand il me faisait tomber le visage en pressant sur ma gorge. Je me sentais posséder de tout mon être, à être dévouée. J’étais esclave de mon désir pour lui. Il me banda alors les yeux avec un masque en cuir. Cette odeur si particulière et si excitante. Il me prenait toujours par la gorge et me forçait à avancer. J’entendis le claquetis de la clé s’insérer dans la serrure. - Attention à la petite marche. Ne bouge pas et reste debout ici. Je sentais ses vas et vient. Je bouillais à l’idée de regarder où nous étions. Profitant alors de le savoir dehors, comme un enfant, je soulevais légèrement le masque. C’est là qu’il me plaqua contre le mur . Il tenait ma gueule de sa main menaçante. - T’ai-je autorisé à ôter ton masque ? Je crois bien que non. Vu que tu ne sembles pas comprendre ses mots simples, je vais te donner l’occasion de voir. Il m’avait bien remis le masque à sa place et sans aucune délicatesse me faisait marcher. La perte de la vue sans repère, nous fait marcher à taton, avec cette crainte de tomber , prendre un mur ou un meuble. Mais à quoi bon, puisqu’il me tient. Que pouvait -il arriver. J’entendis une porte s’ouvrir . - On va descendre des escaliers. Je te tiens. Tu ne risques rien. Sa voix m’apaisait. La voix est si importante. Une voix peut en un instant provoqué un tel émoi, un frisson ou parfois aussi un dégoût. Je ne pouvais envisager une relation sans que la voix de Monsieur me provoque cet émoi. Je suis certaine que vous comprenez ? J’étais en confiance. Il me tenait d’une main ferme. - A genou ! - J’allais te mettre dans ta chambre, à l’aise. Mais tu mérites une petite leçon. Je vais te laisser dans l’ignorance. Tes mains ! Il m’attacha les mains. Puis, j’entendis des bruits de chaînes. Je commençais légèrement à trembler. Les mains attachées, il les releva. Il les avait rattaché à une chaine et probablement à un anneau que je devinais au plafond. La corse était bien tendue. J’étais à la limite sur la pointe des pieds. Ensuite, il saisit ma cheville droite et m’enchaina. Il opéra cette opération avec l’autre cheville. Mes jambes étaient écartées. - Humm voilà… petite chienne. Il releva ma robe et me fessa avec fermeté. Je ne pouvais me soustraire. - Tu pourras crier autant que tu veux ici… personne ne t’entendra. Je te laisse maintenant méditer à ta condition petite insolente. Il partit. J’étais ainsi enchainée, privée de la vue, probablement dans une cave. Cette situation m’excitait au plus haut point. Cette sensation de ne pouvoir m’échapper, de lui obéir, d’être à sa merci. Il savait jouer à la perfection avec moi. A me rendre folle. Folle d’impatience, folle de désir, follement curieuse… Je perdais la notion du temps. Quand j’entendis à nouveau le son de ses pas, j’étais assez engourdie, calme et obéissante. Il s’approcha de moi. Encore un long silence Il prit à nouveau mon menton entre ses doigts bien ferme. Il m’immobilisa bien à tel point que j’imaginais parfaitement son regard à travers mon masque. Ce regard profond, pénétrant qui a fait que je l’avais choisi pour prendre possession de mon être. - Je t’ai préparé quelques affaires à porter. Je vais te laisser le temps pour te préparer. Sache que je vérifierai que tu sois bien habillée. Tu t’attacheras les cheveux avec une queue de cheval. Tu comprendras rapidement ton rôle durant ce week end. Hoche de la tête pour me dire que tu comprends. J’hochais de la tête. Il me détacha en premier les jambes. Puis les bras. Il n’avait aucun geste d’affection à mon égard pour me soulager. J’attendais cela. Il me punissait de ma petite insolence. Mais après tout, je le cherchais aussi.. Me faire punir, souffrir et avoir du plaisir. Sans ménagement il m’ota le masque qu’il avait bien serré. Ma vue avait du mal à se faire à la lumière. J’étais dans une cave aménagée. De la pierre au mur, c’était très brut. Le sol était également en pierre. La pièce devait faire 20m2. Il y avait quelques anneaux disposés, laissant devinés de nombreux jeux interdits. Cette pièce disposait d’un lit avec des barreaux. Un miroir ainsi qu’une vasque et un pot.. Je devinais alors que c’était un pot de nuit. Je commençais à deviner son envie de ce week end. C’est là que j’aperçus mon sac avec mes affaires, puis sur le lit, je vis une tenue. Elle était noire et blanche. Des vêtements de soubrette. Ainsi j’allais être sa servante durant le week-end. Je commençais à perdre la notion du temps je ne savais même pas quelle heure il pouvait être. Et après tout était-ce le plus important. Dans ces moments là, on a envie que cela dure et pourtant c’est là que le temps passe si vite. Il revint. Il était là face à moi. J’avais baissé naturellement mes yeux. - Bien. Petite soubrette. Je vois que tu as bien suivi mes instructions. Leve moi cette jupe. Je levais ma jupe, qui était particulièrement courte. Ce genre de jupe où si vous vous baissez, on voit tout. Elle était légèrement bouffante. - Parfait. Je ne veux aucune culotte. Tu seras à mes ordres, cela va de soi. Interdiction de parler sauf si je te l’autorise. Si tu as besoin de me dire quelque chose, tu t’agenouilleras à mes pieds. Suis-je clair ? Hoche de la tête. J’hochais de la tête. - Maintenant tourne-toi. Il me mit un gag-ball. Il était certain que je n’allais pas parlé.. j’avais envie de sourire. Pourquoi me dire ne pas dire un mot si c’est pour ensuite me baillonnée. J’étais effrontée dans ma tête. - Comme toute bonne petite servante, je vais te mettre tes attributs. Vu que tu as des problèmes avec la compréhension de mes ordres, à prendre souvent quelques libertés, je vais t’aider. Il mis alors autours de mon cou un collier en acier. Le contact froid me surpris. Il le ferma avec un cadenas. Sauf que de chaque coté du collier, il y avait deux barres auxquelles étaient attachés des bracelets aussi en acier. Il pris sans ménagement mon poignet droit et le mis dans le bracelet.. Il le referma avec un cadenas également, de même pour l’autre poignet. Il me retourna. Je croisais son regard complètement satisfait. Il mit devant mes yeux les clés des cadenas afin que je les regarde bien. Puis il les imbriquas dans un anneaux qu’il fixa ensuite à son pantalon. - Voilà, tu es parfaite, sale petite chienne insolente. Maintenant on va monter et je vais t’expliquer tes taches. Je montais alors les escaliers en me mettant sur le coté. Je n’étais pas à l’aise. Je n’étais pas fière, mais je ne voulais pas lui laisser ce plaisir. - Voilà. Tu trouveras de quoi faire les poussières. Mes yeux s’écarquillaient ! Mais il rêvait ! - Aucune objection. Active toi allez. Je me demandais comment avec ces bras coincés comment j’allais opérer. IL s’était installé sur la table en bois. La pièce était sublime je devais le reconnaitre. Un âtre ouvert sublime, un canapé chesterfield vert anglais. La pièce avait une réelle âme avec des poutres apparentes. J’aimais ce mobilier qui avait une âme. Je me pris le plumeau et je commençais à faire les poussières. Il s’était assis sur la table avec son ordinateur. Je l’imaginais à travailler sur un de ces dossiers professionnels. Je savais qu’il me regardait mais il ne voulait pas que je le regarde faire. J’avais une très forte envie de faire pipi. Quelle nouille. J’aurai dû y aller bien avant quand j’avais la possibilité. C’est alors que j’essayais de trouver les toilettes. - Revenez ici. Qui vous a autorisé à sortir de la pièce. Servante. C’est alors que je m’avançais vers lui, le regard fautif avec cet air faussement innocente. Espérant échappée à sa sévérité. C’est alors que je me mise à genou avec grande peine, tête baissée. Il me releva alors la tête et me libéra du gag-ball. - De voulez-vous. - Je.. (je n’avais pas envie de lui dire que je voulais aller aux toilettes, mais je n’avais pas le choix). J’ai besoin d’aller aux toilettes Monsieur. - Très bien. Je comprends que ma servante a besoin de soulager des besoins naturels. Je t’accompagne à ta chambre. On descendait les escaliers. Il baissa alors ma culotte jusqu’à mes chevilles. - Allez, va pisser petite chienne. J’avais les yeux râleurs. Il me regardait marcher avec difficulté la culotte au niveau des chevilles. Il s’était retourné, mais il aimait tout contrôlé. Une fois soulagée, il revint vers moi. - Cambre toi et écarte tes jambes. Il prit un gant de toilettes qu’il trempa dans une bassine d’eau qui était posé sur un petit meuble. Puis il me nettoya la chatte. Il frottait bien. Puis il prit la serviette et me secha bien l’entrejambe - Je veux que tu sois propre. D’ailleurs tu peux laisser ta culotte ici. Je te veux à ma disposition à n’importe quel moment. Je vais ôter le gag-ball. A la moindre insolence de ta part, je te descends et je te laisse ici. Compris ? Je savais qu’il ne plaisantait aucunement. Je hochais la tête à l’affirmative. - EN tout cas je vois que tu as bien compris le mot disposition. Tu es déjà bien trempée, petite trainée. Que pouvais-je ? oui j’étais sa petite trainée, à l’affut de chacun de ses supplices. - Allez va monte et va me préparer un café. Nous remontions ensemble. Il me montra la cuisine. Je m’appliquais à ma tâche. IL avait tant pris soin de m’organiser tout cela que j’allais laissée ce coté brat de coté. J’aimais ces instants où je suis sa chienne. Celle où je peux me libérer totalement. Il est là pour mon bien, pour son bien. Pour notre bien. Avez-vous déjà tenté€) de faire un café en ayant quelques contraintes ? je vous l’assure c’est comme de la contorsion, demandant ingéniosité et aussi à essayer de faire les choses avec une élégance certaine pour ne pas paraître ridicule. Je revenais dans la salle à manger. Je m’abaissais afin de poser sur la table la tasse de café, et de l’autre main le sucre. - Sers moi le sucre et touille. J’obtempérais. J’essayais d’y mettre une certaine grâce, mais cela était bien compliqué. Il était penché sur un tableau excel mais au fond de moi je savais qu’il n’en ratait pas une seule miette. - Agenouille toi à coté de moi maintenant. Je te veux proche. De temps à autre, il me jetta un œil et me caressait les cheveux. - Douce petite chienne bien docile. Regarde toi. Tu n’attends qu’une chose que je te remarque. Que je te regarde. Quand il me tendit sa main, je n’ai pas pu m’empecher de la lécher, de l’embrasser. Je le remerciais. Je voulais qu’il soit fière de ma dévotion. J’avais totalement lâcher prise. Mon regard avait tellement faim de lui. Il me caressa encore. - Quel regard de putain. Faut apprendre à se tenir. Mais je suis heureux de voir que tu as cette bonne attitude. Je vais te libérer. Tu vas monter sur cette table. Tu vas ensuite mettre ton fessier fasse à moi. Je veux qu’avec tes mains tu me présentes tes orifices. Et tu ne bougeras pas. C’est alors que je m’exécutais. Mes bras étaient heureux de retrouver leur liberté. Je m’installais alors comme Monsieur me l’avait demandé. J’étais outrageusement obscène. Habillée ainsi en soubrette, le cul bien relevé. Mes mains écartant mes fesses. J’exposai ainsi au regarde de Monsieur ma vulve ainsi que mon fion. - Parfait petite soubrette. Tu es un magnifique centre de table ! A me demander si je ne vais pas te recycler comme tel ! Ecarte moi mieux ces fesses ! Tu es magnifique ainsi. Attendant patiemment d’être fouerée par tous ces trous. Je t’autorise à le dire.. - Oui, Monsieur, j’aime exposer ainsi mes attributs. La petite soubrette qui se présente devant vous, n’attends qu’être à votre disposition et à être utilisée comme il se doit. - Ah oui ? continue. - Je souhaite que Monsieur me fasse subir ce que je mérite pour parfaire mon éducation. J’ai envie d’être baisée, sodomisée, fouillée, fessée.. ou tout autre chose que Monsieur juge important à faire. - Oui en effet, seul moi décide de comment je vais disposer de tes trous de salope, ou de ton corps. Oh mais que vois-je ? Ta chatte est bien luisante dis moi.. Il y passa un doigt. - Tourne toi. Avec langueur, je me tournais vers lui. Il me tendait son doigt. - Lèche. Je sortais alors ma langue afin de goûter à ma excitation. - J’ai dit.. LECHE.. pas SUCE. Je léchais alors son doigts, ou plutôt je lappais comme une chienne en chaleur. Il me rendait complètement folle. A ce moment là j’étais totalement chienne. Il s’était levé. Il avait poussé son ordinateur. - Sur le dos ! Une fois sur le dos, il me poussa afin que ma tête soit dans le vide. Il défit son pantalon. - Sors ta langue. Une bonne soubrette est faite pour nettoyer. Alors tu vas lécher. Ma tête était relativement basse dans le vide. Ma langue était sortie. C’est alors qu’il se retourna puis mis ma tête entre ses jambes. J’allais presque me sentir étouffer par ses couilles. Heureusement il était grand. Il me tira par les cheveux pour m’obliger à encore plus m’étouffer. - Ouvre tes yeux et regarde moi. Je veux voir ma chienne s’étouffer avec ma queue et mes couilles. Il utilisait ma bouche comme une serpillère pour nettoyer les sols. Je rafolais de la lécher ainsi. J’aimais quand il rajoutait cette violence animale qui faisait que j’étais complètement folle. Il tenait bien ma tête et faisait ses mouvemens de va et vient comme si j’étais une poupée gonflable. Quand il forca le passage de ma bouche pour enfoncer son gland, il reserra alors ses cuisses. - Quelle bonne petite suceuse. J’osais imaginer le tableau loin de l’image de princesse que je peux avoir. Celle où j’étais presque étouffée par une queue et des couilles. Il me tenait alors par la gorge pour faire passer.. la pilulle. La gorge profonde dont il m’assaillait me faisait baver de partout. D’un coup sec, il s’arrêta, se retourna et me retourna. Il me saisit par le haut de mes cuisses. IL inserra brutalement quelques doigts dans ma chatte. - Déjà bien ouverte, petite salope. D’un coup de rien il me pénétra. Tout en me culbitant, il me serrait le cou.. J’adorais ça, cela me rendait folle de lui appartenir. Parfois il me giflait… Je ne culpabilisais pas d’être sa chienne lubrique. Il avait sauvagement défait mon chemisier. Il avait sorti mon sein droit qu’il tenait très fermement. Je prenais de partout. Ma chatte prise d’assaut, j’étais giflée, parfois il me pénétrait aussi de quelques doigts dans ma bouche. Dans sa frénésie il me baillonait de sa main. Puis il me susurrait à l’oreille. - Petite pute. Tu mérites d’être prise ainsi. Dépravée, baisée.. tu as besoin de tout cela. - Oui,..Monsieur Il me gifla. - Ta gueule putain ! De plus belle il me besognait. Sur un dernier rale, il se retira sans avoir joui. - Suffit maintenant. Mets de l’ordre. Je ne veux plus te voir descends dans ta chambre. Je viendrais te voir plus tard. Je te veux nue ! Je n’avais envie que d’une chose, que cela continue. J’étais encore plus excitée à ce qui allait se passer. Je redescendais alors dans cette chambre qu’il m’avait attrituée. Une fois la porte passée, c’est là que j’entendais qu’il m’avait enfermée à clef. J’étais totalement impatiente. Le temps encore filait. La faim commençait aussi à me gagner. J’avais fait ma toilette et comme il me l’avait demandé, je m’étais mise nue. Heureusement que sur le lit il y avait de douces couvertures et douces fourrures (je précise.. fausses). Quand il revint, je m’étais endormie sur le lit. Il me réveilla en ayant mis sa main sur ma bouche. - Un véritable ange quand tu dors. Puis il se mit sur moi en tenant fermemant mes poignets au dessus de ma tête. Puis, il me mit des bracelets en cuir et m’attacher bras écartés au lit et fit de même pour mes chevilles. Il s’assit sur moi à hauteur de poitrine. Il aimait me regarder ainsi quand il me baisait par la bouche. Il aimait engouffrer profondément son sexe dans ma bouche, à tester les limites - Je vois que la petite chienne se réveille. Honore moi encore avec ta langue et ta bouche. C’est là qu’il resta dans ma bouche, sans bouger. IL tapottait mes joues. - Brave pute. Puis il me pinça le nez. Je ne pouvais plus respirer, presque étoufée à nouveau par son gland. Il avait la maitrise, je ne pouvais rien faire. J’avais de la bave partout. - Maintenant que tu en as bien partout, sors bien ta langue. C’est là qu’il s’assit directement sur ma bouche m’offrant alors son anus à lécher. - Quelle bonne petite bouche nettoyeuse. J’étais son objet. Il pouvait faire ce qu’il voulait. J’adorais cela. J’étais comme possédée dans ce moment là. Au bout d’un moment il se releva puis partit à l’assaut de mes autres petits trous. Il mis alors sur mes cuisses des attaches pour les relier à mes chevilles ou mes poignets. Il aimait me contraindre et après tout j’adorais cela. IL me détacha les chevilles du lit pour les rattacher à mes cuisses. Mes jambes étaient alors pliées montrant bien mes deux trous à mon maître. C’est alors qu’il me gifla le con. A plusieurs reprise. Je lâchais alors plusieurs cris. Il mis sa main sur ma bouche et introduisa sa ménagement Trois doigts dans mon petit trous. Il s’amusa a les regarder aller et venir comme pour les sortir par ma chatte. - Plus ? - Je disais oui du regard. Je prenais ce regard qui disait non.. mais oui quand même ????. Il tournait savamment ses doigts pour élargir au mieux mon fion. Il introduisait un quatrième doigts. Mon trou n’était pas encore assez travaillé comme il le désirait. - Hum, regarde.. quatre doigts dans le cul de ma putain.. Il y allait avec douceur, il jouait, il tournait sa main. Il y mettait une dévotion particulière à m’élargir. Il regardait la réaction de mon fion quand il sortait ses doigts. A regarder la trace de son passage. A voir s’il se refermait ou s’il restait béant comme pour réclamer plus. C’est là que de l’autre mois, il introduisait aussi des doigts dans ma petite chausse. Il était maintenant à s’afférer à bien me remplir. - Quatre doigts dans le cul, deux dans la chatte.. C’est là qu’il força le passage de ma chatte avec un troisième doigt. - Comme tu en mets partout.. regarde le lit est plein de mouille de petite salope… Ainsi il me fouilla de ses doigts, jouant avec mes orifices. Tout glissait.. naturellement tellement j’étais trempée. Je sentais mon corps frémir surtout quand il caressait en plus mon clitoris. Je n’arrivais pas à résister que je jouis. - Petite salope. Jouir sans me le dire… Quelle égoïste tu es. D’un geste sec, il me détacha. Les chevilles des cuisses. Il serra mon bras et m’attacha à nouveau comme à mon arrivée les bras au dessus de la tête. Je vis alors le martinet.. Mes yeux grossissaient. Il me flagellait alors de haut en bas. Les cuisses, les fesses, le dos. Il avait tellement rehausser mes mains, que j’en étais sur la pointe des pieds. Je voulais me dédouaner de cette punition méritée. J’étais bien rouge. Rouge de honte. Il me baillonna de mon gag ball, me remit le bandeau et me laissa ainsi… Qu’allait il ensuite faire de moi….
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Par : le 02/05/20
À quatre pattes, Baptiste un peu inquiet, voit la porte s’ouvrir devant lui. Maitresse Julie , dans sa tenue de petite diablesse rouge qui met en valeur ses longues jambes , approche avec un petit sourire narquois aux lèvres. Ses talons compensés claquent sur le parquet de chêne ancien. Elle lui caresse la tête et s’empare de la poignée de la laisse que Marc lui présente avec déférence. Sans un regard pour la soubrette elle s’adresse à son soumis : « Nous sommes chez Madame Méphista et Monsieur Trépuissant. Tu vas venir leur rendre tes hommages. Marche fièrement et cambre toi bien, que tout le monde voit bien que tes parties sont bien retenues dans le cuir et que tu as un bel arrière-train .» Tout en écoutant sa domina, Baptiste sent la main libre de celle-ci se glisser à l’arrière et vérifier les sangles qui compriment son sexe d’une manière inconfortable. La culotte en dentelle rouge l’irrite et les sangles le compriment. Mais il relève la tête et tend fièrement son dos et ses fesses vers le haut. Julie le fait se diriger vers le côté droit du salon. Il aperçoit un homme en costume sombre allongé nonchalamment sur une superbe méridienne en velours bordeaux , devant lui Madame, une badine entre les doigts, est assise sur un tabouret de cuir ébène . En s’approchant Baptiste se rend compte de son erreur, ce qu’il a pris pour un tabouret est en fait une magnifique jeune femme métisse à quatre pattes, la tête baissée, qui sert de siège à sa domina. À la même hauteur qu’elle, il aperçoit un objet brillant qui lui écarte les fesses ainsi que des menottes reliées par des chaînes aux poignets et aux chevilles. Ses seins sont comprimés par plusieurs rangs d’une corde soigneusement tendue et de petits anneaux brillent au bout de ses tétons. Dans sa bouche une boule brillante maintenue par une lanière de cuir l’empêche de la refermer. De la bave coule au sol et forme une flaque à la verticale . Baptiste comprend que la boule l’empêche de déglutir et il se souvient en avoir porté une aussi. Vue sur cette jeune femme l’effet est saisissant. La salive fait luire la peau noire de son menton. Les yeux baissés la soumise glisse un regard en coin vers Baptiste. La laisse qui tire sur son collier et une claque sur les fesses interrompent ses observations. Il entend Maitresse Julie demander à ses amis d’être indulgent, c’est la première fois qu’il voit une femme-meuble. L’homme glisse son pied sous la laisse et relève le menton de Baptiste avec un petit sourire moqueur. « C’est bien parce que c’est vous chère Julie. » Puis il s’empare de la laisse tout au bord du collier et tire un coup sec « Regarde moi bien jeune soumis car ce sera la seule et unique fois où tu en auras le droit ! » Baptiste déséquilibré lève les yeux vers l’homme qui s’est redressé : de type méditerranéen, celui-ci est très brun de peau, bien rasé de près à l’exception d'une fine moustache qui met en valeur sa bouche sévère et souligne son nez grec , ses yeux très bleus ressortent derrière des lunettes à la fine monture dorée et rectangulaire . Il appuie sur la tête du jeune soumis jusqu’à ce que sa bouche se heurte à la fermeture éclair du pantalon du costume bleu nuit dont il est vêtu. La pression est très forte et Baptiste sent sa bouche s’ouvrir sous la douleur, honteux il sent de la bave couler sur l’entrejambe du dominant. Une rude main virile attrape ses cheveux et tire vivement sa tête vers le haut. Surpris Baptiste laisse échapper un gémissement vite interrompu par la claque que sa maîtresse lui assène sur la fesse droite. « Veuillez me pardonner cher ami, il a encore du mal à maitriser sa gueule de chien ! Je m’efforce de le dresser mais c’est seulement notre deuxième journée. Le bâillon va lui apprendre, du moins j’espère.. --- Oui je comprends, ne vous inquiétez pas jeune Dame, nous sommes là pour vous aider par notre expérience. --- Merci beaucoup, votre magnanimité vous honore », répond Julie d’une voix toute timide. Puis il voit Madame Méphista ouvrir délicatement la braguette de Monsieur, sortir le membre viril déjà légèrement dressé , et il sent sa tête poussée vers le sexe de cet inconnu. Un ordre claque :« Lèche chien ! Ou il t’en cuira ! Ici tu n’es qu’un animal à notre disposition ! Tu me dois obéissance ! » Et comme malgré lui, Baptiste sort sa langue et donne de petits coups timides sur le gland décalotté qui lui est présenté. Les trois dominants échangent un regard complice et un léger clin d’œil de Trépuissant à Julie la rassure sur son intégration à ce petit groupe bdsm dirigé par le couple propriétaire de cette demeure bourgeoise aménagée pour recevoir ces visiteurs si particuliers. Baptiste sent le sexe frémir sous la caresse buccale et en ressent curieusement une certaine fierté. Il a passé l’épreuve et semble bien être le soumis de Maîtresse Julie à partir de cet instant. Une vague de soulagement le traverse et sa bouche se tend pour saisir le gland de Trépuissant. Il entend rire Julie , les deux autres se joignent à elle « Beau p’tit soumis ça ! Bon chien ! Bon, Fini de jouer ! » Un coup de badine sec et puissant sur son dos, un coup vers l’arrière à hauteur du front et ses cheveux tirés en arrière par sa domina lui rappelle que son corps ne lui appartient plus. Un claquement de doigts lui enjoint de poser sa tête sur les pieds de l’homme assis pendant que celui-ci se réajuste, ses bras se plient et ses mains vont tout naturellement se nouer sur sa nuque. Il abaisse sa croupe et se replie du mieux possible dans une belle position de soumission totale. Il sent plus qu’il ne voit l’homme déplier ses longues jambes et se lever. Méphista dont les mains torturent impatiemment la badine se lève et se dirige vers la grande table rectangulaire en chêne massif et ses deux bancs. La jeune soumise ne bouge pas, sa salive continue à couler le long de son menton et la flaque entre ses bras tendus s’étale lentement . Julie joue machinalement avec la laisse que Trépuissant lui a rendue. Elle observe la femme-meuble et un petit sourire étire sa bouche à l’idée d’imposer cela à Baptiste bientôt. Des idées surgissent dans son esprit et un franc sourire éclaire son visage. « Julie, vous semblez rêveuse ? Des idées neuves ? -Oh oui chers amis, mais ce sera pour plus tard. Trépuissant claque des doigts et la jeune soumise s’étire lentement. Son Maître caresse ses cheveux presque crépus, et la fait se lever à genoux. P’tit soumis ne bouge pas, les yeux rivés au sol , seules ses oreilles lui donnent quelques informations sur ce qui se passe autour de lui. Toujours bâillonnée, les yeux baissés, la jeune Bianca ne bouge pas à l’exception de ses mains qui vont rapidement et sans ordre donné se nouer derrière sa nuque. Le Maître caresse distraitement la tête de sa soumise tout en prenant Julie par la taille. Baptiste ne bouge pas et malgré l’inconfort de sa joue sur les lacets du dominant il attend patiemment comme Maitresse Julie lui a expliqué dans la voiture. Puis il sent que l’on tire sur sa laisse, sa tête se redresse, ses membres se déplient et il se retrouve à quatre pattes, le dos bien cambré, le sexe coincé. De petits courants de douleur traversent son corps, mais il en ressent un plaisir sombre. Cette position humble le comble. Jamais ces collègues ne l’imagineraient dans cette tenue, ni dans cette position animale. Et surtout comment comprendraient-ils le plaisir qu’il ressent à ne plus penser, ne plus décider, juste obéir à cette si belle versaillaise ou à ses amis, lui, celui qui paraît si sûr de tout , lui dont l’expression est toujours si péremptoire, lui qui a toujours réponse à tout ? Mais voilà, c’est ce cerveau si dynamique qui le fatigue, ces décisions toujours à prendre qui l’épuisent, ces responsabilités qui le rongent. Il envie souvent ses subalternes qui le jalousent de sa mutation récente et qui vivent sans ces questions incessantes qui tournent dans sa tête depuis toujours. Il n’y a que depuis qu’il a découvert ces jeux de soumission avec son ancienne compagne qu’il arrive à se sentir mieux. Un coup sec de sa laisse le ramène à l’instant présent. Il suit le mouvement initié par sa domina et se retrouve au pied de la table en chêne. Ses poignets sont tirés brutalement par Madame Méphista qui est accroupie face à lui et, bien qu’il ait les yeux baissés, il ne peut s’empêcher d’apercevoir sa fente largement écartée par sa position. En effet sous la courte jupe en cuir, l’absence de sous-vêtement révèle au p’tit soumis toute l’intimité de la domina. Sa position légèrement déséquilibrée fait se mouvoir de haut en bas une charmante minette bien épilée. Une érection brutale à cette vue se bloque dans les nœuds de cuir que Marc a soigneusement serrés tout à l’heure et Baptiste a du mal à retenir un petit gémissement. Heureusement celui-ci est couvert par les bruits de la chaine et de la barre d’écartement que manipule Julie qui s’est baissée. Les yeux du soumis s’écarquillent à cette vue. Maitresse Julie se penche encore un peu et lui murmure à l’oreille : « c’est seulement pour tenir tes bras bien écartés et pour empêcher tes mains de venir te branler. Cela ne te fera pas mal, en principe », ajoute-t-elle avec un petit sourire narquois. Et pendant que la barre est glissée sur ses épaules et que ses poignets sont attachés à des anneaux, Méphista tire sur ses chevilles pour les attacher aux pieds de la table. Baptiste ainsi immobilisé ne peut plus guère bouger. La jeune soumise est de nouveau à quatre pattes. Baptiste voit bien son sexe épilé entre ses cuisses écartées et son membre tente encore une fois de se redresser dans sa prison de cuir. La petite soumise recule vers lui, et bien qu’il baisse les yeux, il ne rate aucun des roulements de ses grandes lèvres sombres. Il sent qu’il se met à baver mais il ne déglutit pas. Marc lui a bien expliqué que cela lui est interdit : un chien ça bave ! Il ne doit surtout pas avaler sa salive ni fermer sa bouche, ni rentrer sa langue : les chiens ont toujours la langue pendante. Il est un chien et doit se comporte comme tel ! Sinon ses fesse lui en cuiront ! Les maitres ont la badine facile, et pour preuve Marc a retroussé son tablier de soubrette pour exhiber les cicatrices sur ses propres fesses. Et même si l’accord entre Julie et Baptiste interdit les cicatrices, quelques marques provisoires sont acceptables. Baptiste vit seul et ne craint pas les regards indiscrets mais il ne tient pas à marquer son corps. Il l’entretient régulièrement à la salle de sport et en est fier. Julie approche alors sa main gauche de ses parties intimes, elle l’ouvre et des pinces à linge de bois apparaissent bien à plat sur ses doigts tendus. Baptiste sent son cœur accélérer de plaisir anticipé : son amie Marie lui en faisait mettre régulièrement. Le pincement au moment de la pose est désagréable, mais ce n’est rien par rapport au courant de plaisir douloureux qui le parcourt quand on les ôte ! Julie saisit une pince entre son pouce et son index droit, elle la fait s’ouvrir et vient la frotter sur la langue baveuse de son soumis. Puis elle la fait claquer et l’approche de son testicule droit dont elle saisit de la peau. Elle installe la pince et sourit de la grimace de son soumis. Elle prend une deuxième pince et recommence son manège mais cette fois elle l’installe sur le testicule gauche. Elle recommence plusieurs fois jusqu’à être satisfaite du résultat : quatre pinces de chaque côté qui forment un arc de cercle du plus bel effet. Puis en s’appuyant sur la tête de Baptiste elle se relève et la lui caresse doucement. Il se sent heureux du sourire satisfait qu’elle lui a accordé à chaque pince posée. Entretemps le dom s’est approché, il ouvre sa braguette et après avoir demandé à Julie l’autorisation, il force la bouche de Baptiste jusqu’au fond. Le pauvre soumis a un haut le cœur de surprise. Sa salive abondante coule en un jet au sol. Trépuissant maintient fermement sa nuque et il ne peut bouger. « Première gorge profonde on dirait chère Julia. Ce n’est pas toi qui peut faire cela ! » Julia rougit et Baptiste prend de nouveau conscience de la hiérarchie de ce petit groupe. Il ne connait pas la relation réelle entre les protagonistes mais il est clair que l’homme est un pur dominant qui a l’ascendant sur les deux femmes présentes. Madame Méphista s’est installée devant sa soumise et lui tire la tête en arrière. Le dos cambré, la bouche baveuse toujours obstruée par la boule brillante, la belle brune échange un long regard avec sa domina. Puis elle sent les mains de Julie ôter le bâillon mais sa bouche reste ouverte, et avec un curieux petit bruit Madame Méphista laisse couler un filet de salive dans sa bouche déjà bien pleine. La bave coule et d’un coup sec sous le menton la domina referme cette bouche béante. Heureusement ce n’est pas la première fois qu’elle se livre à ce petit jeu et Bianca sait quelle doit rentrer sa langue pour ne pas se mordre. Quelques morsures malencontreuses le lui ont appris et elle sait anticiper. L’ordre sec suit «Avale chiennasse ! ». Baptiste sursaute en entendant cette insulte et bien qu’elle ne soit pas à lui adressée, il rougit de honte par empathie. Alors Maitresse Julie se place devant lui et il pressent qu’il va avoir droit à un traitement identique. Effectivement Julie le regarde et laisse couler un filet de salive de sa bouche vers celle de Baptiste. Et pour être certaine que son but soit atteint elle maintient ouverte la mâchoire de Baptiste de sa petite main si forte. Puis elle lui referme la bouche et murmure « Avale petit chien ! »Il s’empresse d’obéir avec un certain dégoût qu’il n’arrive pas complètement à dissimuler aux yeux inquisiteurs de sa domina. Un regard sévère le scrute longuement et il commence à rougir de honte. -
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Par : le 01/05/20
L'ombre peu à peu avait envahit la cave. Charlotte n'arrivait plus à distinguer la fissure dans le plafond à laquelle elle avait fixé son regard. La position dans laquelle elle s'était elle-même figée depuis près d'une heure commençait à la faire souffrir. Passaient encore les fourmillements dans les jambes et les bras attachés. Elle en avait l'habitude maintenant. En remuant les doigts, en bougeant les pieds, elle arrivait toujours à relancer la circulation du sang. Le plus insupportable, c'était cette douleur, à l'articulation des cuisses. Elle avait fait preuve de trop de zèle, tendant les chaînes au maximum de ce que lui permettait l'écartement de se ses jambes. De part et d'autre de son visage, ses genoux touchaient presque les barreaux. Elle avait aussi trop serré le bas. Il lui distendait les lèvres comme le mors d'un cheval. De temps à autre enfin, il lui fallait empoigner les barreaux pour soulager ses bras de la tension dans laquelle ils étaient soumis. Que faisait donc Xavier ? Dans la rue, les lampadaires s'allumèrent les uns après les autres. Leur lueur orangée innonda la cave. Le cœur de Charlotte s'emballa: toute à son excitation. Et s'il avait décidé de ne pas venir en lui jouant un tour cruel, celui de charger le hasard de choisir celle ou celui qui la découvrirait ainsi harnachée, nue et enchaînée. Mais non, c'était impossible, il l'aimait. Charlotte se sentait en danger constant, tant la curiosité des visages la dévorerait, et qu'elle serait fouettée par l'un ou par l'autre, non pas à la vérité qu'ils s'en aperçurent mais sans doute chaque fois qu'ils auraient eu envie de l'humilier ou de la posséder. Et si, il avait encore eu l'envie de l'offrir à des inconnus. Charlotte avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la tenaillait et ne la lâchait plus. C'était cela, Xavier voulait l'offrir. Il leur avait dit qu'ils trouveraient là une jeune femme, esclave sexuelle, qui n'atteignait le plaisir qu'en donnant vie à ses fantasmes. Elle mimait la résistance, mais c'était pour mieux en jouir. N'avait-elle pas elle-même avoué qu'elle affectionnait particulièrement l'idée du viol ? Des pas retentirent dans le couloir. Elle cessa de respirer. Une clé tourna dans la serrure. La porte s'ouvrit. Charlotte distingua une silhouette dans l'ambrasure. La lumière l'aveuglait. C'était Xavier mais il n'était pas seul. Celle qui l'accompagnait, les mains sur las hanches, la considérait d'un oeil narquois. C'était une jolie fille élancée à la peau bronzée. Son bustier en lamé noir, son short ultracourt sur des bas résilles et des cuissardes à hauts talons ne laissaient planer aucun doute: une pute. Xavier avait amené une putain. Hébétée, Charlotte portait alternativement son regard de l'un à l'autre. Il l'évitait avac soin. Lui tournant le dos, il alla jusqu'à la fenêtre de la cave et, les mains dans les poches, observa la jeune femme en attendant qu'elle se soit déshabillée. Toisant Charlotte, à sa merci, nue et attachée, elle fit glisser son string le long de ses cuisses. Elle avait des jambes longues et musclées; en bas de son ventre, son pubis lisse se distinguait à peine, velours nacré sur la chair hâlée. Lorsqu'elle dégrafa son étroit bustier, ses seins comprimés en jaillirent comme des fauves. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie, d'animalité indomptée, jusqu'à sa machoire figée en un rictus menaçant contre laquelle dansaient des boucles d'oreilles en longs losanges effilés et cette queue-de-cheval haut placée sur la tête à la manière des Amazones d'autrefois. Elle se coucha en travers du lit, les mains derrière la nuque. - Tu viens, mon chéri ? minauda-t-elle. Xavier se débarassa de ses vêtements. Lorqu'il s'approcha du lit, Charlotte remarqua qu'il ne bandait presque pas. - Fais ton job, dit-il à la putain. Elle empoigna le pénis d'une main, passa l'autre sous les testicules, comme pour évaluer leur poids. - Allez, je suis sûre que t'as là-dedans de quoi m'en foutre partout. Abasoudie de surprise, Charlotte regardait sans réagir la main de la jeune femme solliciter avec adresse le sexe de Xavier dont l'érection se faisait de plus en plus puissante. Ses lèvres gobèrent le pénis tendu. Xavier, les yeux clos, serrait les dents. Pendant quelques instants, il n'y eut plus dans la cave que les bruits de succion de la fille et le cliquetis des chaînes dans lesquelles Charlotte commençait à s'agiter. La prostituée prit la pose pendant que Xavier enfilait un préservatif. Lorsqu'il la pénétra, elle poussa alors un gémissement de plaisir. Même en se tordant le cou, Charlotte ne pouvait pas les voir mais elle les imaginait aisément. Ondulations élastiques, mouvements synchrones, halètements convenus. Tout cela l'écoeurait. Elle renversa la tête sur l'oreiller. Pourquoi Xavier lui avait-il seulement demandé de s'attacher et de se bâillonner ? Pourquoi ne lui avait-il pas également permis de se bander les yeux ? Quelle perversité était la sienne pour vouloir lui imposer un tel spectacle ? Elle tressaillit. Des doigts venaient de se poser sur son sexe. On voulait aussi qu'elle participe à la fête des sens avec une putain. Relevant la tête, elle distingua une main, qui commença à la fouiller entre ses cuisses. Déjà des doigts hargneux s'engageaient en elle. D'autres cherchèrent à écarter le passage de ses reins pour forcer son anus. Elle se débattit autant que lui permettaient ses liens, voulut crier mais ses cris s'étouffèrent dans sa gorge. Xavier ne voyait rien. Il n'entendait rien. Il continuait de défoncer la putain qui, gémissant fort pour couvrir les plaintes assourdies de sa prisonnière, répercutait chaque coup reçu au fond du ventre de Charlotte. Elle était là, attachée sur un lit, à entendre l'homme qu'elle aimait s'acharner sur une inconnue qui lui faisait payer le prix de sa fureur. Xavier enfin donna les ultimes coups de reins. La putain abandonna aussitôt Charlotte et feignit un orgasme démesuré. Il se releva et jeta sur le lit une pelotte de ficelle et alla prendre une chaise qu'il disposa près du lit. - Tu sais ce qu'il te reste à faire, tiens voilà les clés des menottes et des cadenas. Termine ton job et casse-toi. Le ton de la voix n'admettait aucune réplique. La prostituée se contenta de hausser les épaules tout en tassant ses seins dans son bustier. Charlotte cherchait en vain à capter le regard de Xavier. Elle essayait de comprendre. Quel job la fille devait-elle donc terminer ? Pourquoi ne la détachait-il pas lui-même ? Mais il gardait les yeux fixes. Son visage marmoréen n'exprimait qu'une grave détermination. Elle le vit s'asseoir sur la chaise, de lui-même se passer les mains derrière le dos et, d'un léger mouvement de la tête, donner à la pute l'ordre de commencer. En soupirant, celle-ci déroula une longueur de ficelle et lui attacha les poignets qu'elle fixa ensuite solidement au dossier. De la même façon, elle lui entrava les bras, les chevilles, les jambes, le torse et la taille jusqu'à ce qu'il soit totalement immobilisé, comme soudé à la chaise, le sexe lourd pendait entre les cuisses légèrement ouvertes. Charlotte vit alors la fille s'approcher à nouveau, s'asseoir près d'elle et se pencher tout contre son visage. Bientôt, elle alla s'installer entre ses jambes en les maintenant écartées en hauteur. La façon dont elle se tenait lui donnait l'air d'un étrange gynécologue. Elle la vit poser les mains bien tendues de part et d'autres de sa vulve avec une douceur inattendue. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu du bout des doigts. Leur contact, même s'il demeurait ferme, n'avait plus du tout la sauvagerie d'auparavant. Elle ouvrit le sexe offert avec soin. Charlotte ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que cette fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait à tout prix réussir à jouir. La putain passa plusieurs fois la langue sur ses lèvres et, tout en le maintenant ouvert, les approcha du sexe humide de Charlotte. De l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, elle procèda à de longues succions. Étape par étape, elle aspira la chair tendre des petites lèvres, les caressant avec la langue, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut ou un peu plus bas. Charlotte survolait la cave. Une fille, attachée et nue, était écartelée sur un lit. Une putain, également nue, la suçait. Un homme, bronzé et nu, liè à sa chaise les observait toutes les deux. De sa langue, large et souple, la pute enroba le clitoris de Charlotte, l'excita pour l'éveiller, pour l'obliger, à se redresser et à prendre de l'ampleur sous sa caresse. La chair se gonfla alors. Simultanément, des pouces elle redessinait l'entrée du vagin, en soulignant les contours humides. Un doigt s'insinua dans son anus en le dilatant peu à peu. Le viol de ce territoire interdit fit naître dans le ventre de la captive d'irrésistibles ondes électriques. Charlotte creusa alors les reins. La fille comprit l'invitation. Abandonnant la vulve, elle concentra ses caresses sur la voie étroite. Elle élargit des doigts l'anneau anal à travers lequel elle poussa profondément la langue. Lorsqu'elle eut suffisamment préparé le passage, la fille posa le pouce contre l'anus de Charlotte et l'enfonça lentement, de toute sa longueur, jusqu'à la paume. Quand il fut bien planté au fond, s'en servant comme d'un axe, elle fit pivoter sa main de gauche à droite, les doigts repliés sur l'entrée du vagin. Sans cesser son mouvement de balancier, la putain plongea sa main plus profondément dans le sexe de Charlotte, éprouvant entre pouce et doigts l'élasticité de la fragile cloison. De l'autre, elle écarta les petites lèvres pour dégager le clitoris. Puis elle se reconcentra à nouveau sur l'anus. Elle avait décidé de la pénétrer avec le poing. À l'instant même où le poignet atteignit le fond de ses entailles, Charlotte se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait encore lorsque la fille, s'étant rhabillée, lui détacha les mains. Malgré elle, des ondes de plaisir la parcouraient encore, comme un orage qui ne s'éloigne que peu à peu, abandonnant ça et là d'ultimes grondements. Libérée de ses liens, elle se sentait plus impuissante encore que lorsque les chaînes l'entravaient. Les larmes lui montèrent aux yeux comme un torrent. Elle se mit à pleurer frénétiquement, sans bruit mais les épaules secouées de spasme, et cela dura longtemps. Elle dut dormir un peu. Xavier dormait-il lui aussi ? Elle n'osait se tourner vers lui. Son souffle était inaudible. Pourquoi l'avait-il contraint à une telle séance ? Avait-il voulu la faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à une situation si humilainte. Cela n'était donc pas un jeu, plutôt un passage obligé, un rituel auquel lui-même n'aurait pu échapper. Qu'avait-il donc voulu lui prouver ? Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Xavier. Elle se rappela à ce moment-là qu'il avait un bâillon. Elle se leva et se précipita vers lui. Il gardait les yeux clos mais il ne dormait pas. L'enjambant, elle s'assit sur lui, les bras autour de ses épaules, les lèvres contre les siennes. Il posa le front contre sa poitrine. Elle sentait au bout de ses seins la caresse de son menton mal rasé. Charlotte sentit son pénis se dresser sous ses fesses. Elle le laissa la pénétrer là où elle avait déjà joui. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 30/04/20
Par avance, navrée pour les fautes. J'écris instantanément. J'aurai peut être besoin.. d'une correction. ************************************************************************************************************************** « Habille toi comme une petite écolière quand tu viens. Je te veux en chaussettes hautes, une petite jupe d’écolière et un chemisier. Mets des sous vêtement simples, de jeune fille. Tu t’attacheras les cheveux avec un joli nœud. Tu viendras avec un cartable, un cahier de note et tout ce qu’il te faudra pour prendre ta leçon du jour. Je t’attend pour 16h30. Soit à l’heure. A le lecture de son message, un sourire me prit. Je me demandais encore ce qu’il avait pu imaginer. Je regardais dans mon dressing ce qui ferait bien l’affaire pour sa demande précise. C’est là que je trouvais une paire de chaussettes hautes noires arrivant au genou, décorées sur l’une, d’une rose brodée. Je mis cette petite jupe de motif écossais en carreau Rouge, Noir et vert. Je pris un chemisier blanc des plus simple. Je pris alors en sous vêtement ce petit shorty noir et un soutien gorge adapté à mon chemisier blanc. Tout doucement, je me regardais dans le miroir. Soigneusement je mis peu de maquillage mais juste ce qu’il faut pour avoir un teint éclatant, le tout réhaussé d’un gloss à cette couleur légèrement rouge orangé.. Je redressais mes cheveux en une belle queue de cheval auquel j’ajoutais comme Monsieur me l’avait demandé un ruban rouge que j’ai détourné. Me voilà replonger dans ma jeunesse. Il ne me manquait plus que le nécessaire pour écrire ma leçon d’école. Arrivant chez Monsieur, je vérifiai ma tenue afin de lui plaire. Mon cœur battait à la chamade. Par jeu, j’avais sorti une de ces petites sucettes au goût pomme, pour me montrer un brin provocatrice comme il aime que je sois. Et puis, les adolescentes n’aiment-elles pas sucer.. des sucettes ? La porte s’ouvrit. Il était tout de suite dans son rôle de maitre d’école, sévère. Il était habillé avec élégance, un pantalon de toile bleu marine, une chemise blanc-perle, le tout réhaussé de belles bretelles. Il avait un goût parfait pour savoir se vêtir selon les circonstances. Je sentais l’odeur de son parfum m’envouter. Je me souviens la première fois que je l’avais rencontré. J’étais comme hypnotisée car cela lui collait à la peau… La nuit de l’homme. Sa voix était assurée, grave, d’une telle douceur même dans les jeux. Il me conduisait à son garage qu’il avait pris soin d’arranger. Il avait réussi à placer un tableau blanc, une table d’écolier et il avait placé un bureau en bois qui me faisait réellement penser à mes années de lycée à Châlons en Champagne, un ancien couvent.. avec ce vieux mobilier et le vieux parquet au sol. Bien sur on en était loin ici mais je devais reconnaître l’’art qu’il avait à mettre des scénarii en place. - Prenez place, Mademoiselle Lane. Tout en le regardant je profitais de sucer langoureusement ma sucette et de jouer avec comme une adolescente qui cherche à attirer l’attention de son professeur, je m’installais sur le banc de la table d’école. Et je sortais mes affaires de mon cartable. Il me regarda alors droit dans les yeux d’un regard sévère. - Veuillez immédiatement enlever cette sucette. Vous ai-je autorisé à venir en classe avec ? - Non, Monsieur, je l’avoue, dis-je avec une moue pleine de défiance. - Ah ainsi, vous voulez prendre mes dires par-dessus l’épaule, je vais donc vous donner une leçon bien éducative et inscructive. - Levez- vous et placer vos mains devant-vous, paume vers le haut. Il s’était muni de la règle que j’avais sortie de mon cartable. - Eh bien vue que la discipline ne soit pas votre fort, nous allons y remédier. Je vais vous donner trois coups sur chaque main. Je ne veux pas vous voir ôter vos mains, ni crier. - Je (baissant alors mon regard à la peur de subir cette première punition), je.. oui, Monsieur. Il se mit à ma hauteur et ôter de ma bouche cette sucette. Il plaça la badine sur ma main droite. Il tapotait tout doucement augmentant alors mon stress, ma respiration. Le premier coup s’abattu. C’était si.. vil de sa part. Mais ma fierté prenait le dessus comme lorsque j’étais jeune et que j’étais dans cette déviance, voulant dire.. même pas mal, mais je bouillais pour me retenir de ne pas crier en voulant même faire ce petit sourire en coin, le regarder dans les yeux. - Merci, Monsieur… avec un ton provocateur. Il fit alors de même à deux autres reprises. Il avait ce coté un peu sadique à frapper au même endroit. Au dernier coup, j’avais ravalé ma fierté. Je me pinçais les lèvres. Il faisait la même opération sur ma main gauche. J’étais calmée. - Donc où en étais-je ? me dit-il Vous avez été convoqué Mademoiselle Lane pour deux heures de colle. J’ai ici un carnet de notes à votre égard sur vos manquements qui semblent s’accumuler ces derniers temps. Vous comprenez bien que je ne peux pas tolérer tout cela est que vous allez être punie. Le comprenez-vous, Mademoiselle Lane ? Je souriais intérieurement car il avait réellement pris des notes sur les petites libertés que j’avais prises ces derniers jours avec les dates et les horaires ! Lisez- moi à haute voix cette page. Il me tendit alors son carnet de note. - Lundi 19h : non envoi de la photo de sa chatte trempée. - Mercredi 15h : Echange téléphonique - Oubli de m’appeler Monsieur à 3 reprises. - Jeudi 17h : avoue s’être caressée malgré mon interdiction. Je me disais qu’il n’avait rien relevé. Il est vrai que lundi, il m’avait mis dans un tel état d’excitation mais je n’avais pas forcément envie de lui envoyer ma photo de mon sexe brulant puisque je ne la jugeais pas présentable. Je n’étais pas encore aller chez l’esthécienne.. Mercredi, je devais être tête en l’air et guillerette. C’est probablement la raison pour laquelle il ne m’a pas corrigé.. Quand à Jeudi, c’est pas très sympa car j’ai avoué ma faute. Je n’en pouvais plus. La voix de la petite chienne que je suis a pris le dessus… mais j’avais avoué. C’est là que j’arrêtais la lecture. Je voulais m’expliquer et je commençais à lui répondre - Cher Monsieur, je suis navrée m.. - Vous ai-je donner le droit de répondre ? Taisez-vous maintenant. Vous allez me faire une lettre d’excuse pour votre mauvais comportement ! Vous avez 15 min. Je m’installais alors sur le banc. Je pris mon vieux stylo plume. Le silence s’était installé et était à la limite stressante. Il s’était assis sur sa chaise, à son bureau, face à moi. IL m’observait. Le regard inquisiteur. Le rouge me monta au joue. IL avait cette prestance, ce regard, cette voix.. toutes ces petites choses inexplicables qui sont si importantes. Vous le comprenez j’en suis certaine, surtout vous Mesdames. Je commençais alors ma lettre *********************************************************************************************************** Cher Monsieur, Je tenais à vous présenter mes excuses les plus sincères pour mon mauvais comportement de ces derniers jours. J’ai négligé mon rôle et je ne vous ai pas traité avec le respect qui se doit. Je suis désolée de ne pas vous avoir envoyé la photo de ma petite chatte prise d’émotion quand vous me mettez dans des émois si intenses. Je suis bien ingrate de ne pas vous avoir fourni la preuve de l’œuvre que vous faîtes de moi. Je trouvais simplement que ma chatte n’était pas dans un état présentable pour être prise en photo. Concernant l’oubli de vous appeler Monsieur, je l’ai fait sans m’en rendre compte. Je sais que je dois me ressaisir et être plus vigilance à vous appeler avec le mérite que je vous dois. Je sais que je mérite punition pour ce manquement. Je suis certaine que vous trouverez la punition à la hauteur de mon impertinence, Monsieur. Je suis une vilaine petite chienne sans éducation puisque je n’ai pas tenu la promesse de ne pas me caresser depuis lundi, comme vous me l’aviez ordonné. Ma chatte était tellement en émoi cette semaine, c’était une torture insoutenable. Mes doigts se sont posés sur ma petite chatte fraichement épilée à la cire. Elle était si douce. Mes lèvres étaient toutes gonflées. J’avais envie d’être comblée, remplie.. Je sais que je mérite la colère de Monsieur . Je suis impardonnable. J’espère que Monsieur acceptera ma lettre d’excuse. Je ne doute pas que Monsieur saura me donner la leçon éducative adapté à sa chienne qui n’a pas su restée sage. Vous, seul, pouvez me remettre dans le droit chemin. Je vous en prie, Monsieur, éduquez-moi davantage. Je suis à vous. Votre chienne qui se met à vos pieds et implore votre pardon. Mademoiselle Lane ******************************************************************************************************************** - Avez-vous terminé, Mademoiselle Lane ? - Oui, Monsieur. - Parfait, me dit-il. Maintenant venez ici à mon bureau, avec votre lettre d’excuse avec une voix autoritaire. Je me levais et je me dirigeais vers lui. - Bien, maintenant que vous vous êtes penchée sur votre mauvaise attitude, vous allez vous allonger sur mes genoux. Maintenant ! Je m’installais sur ses genoux. Je sentais à travers mon bas entre son sexe. Toujours dans ce silence, il soulevait avec délicatesse ma petite jupe. Il caressa mes cuisses, puis les empoigna de manière plus ferme. Il remonta ma jupe sur mes fesses. - Quelle croupe chère Mademoiselle. D’une main ferme, il baissa ma culotte sur mes cuisses. - Maintenant Mademoiselle Lane, vous allez me lire votre lettre d’excuse, tout doucement pendant que je vous fesse. Vous allez me remercier pour chaque coup que je mettrai. - Je… Oui, Monsieur, j’ai saisi. Je prie alors ma lettre à deux mains et je commençais à lire ma lettre. - Cher Monsieur, Une première claque s’abaissa sur ma fesse droite. - Merci Monsieur. Je tenais à vous présenter mes excuses les plus sincères pour mon mauvais comportement de ces derniers jours Puis une autre… bien plus forte celle-ci qu’elle m’arracha un cri. - Merci Monsieur. J’ai négligé mon rôle et je ne vous ai pas traité avec le respect qui se doit. Je suis désolée de ne pas vous avoir envoyé la photo de ma petite chatte prise d’émotion quand vous me mettez dans des émois si intenses Deux autres d’affilées s’abattirent au même endroit. Ma fesse droite commençait à chauffer. - Merci Monsieur. Je suis bien ingrate de ne pas vous avoir fourni la preuve de l’œuvre que vous faîtes de moi. Je trouvais simplement que ma chatte n’était pas dans un état présentable pour être prise en photo. Ma fesse gauche ne resta pas en reste quand il m’en mis une.. puis une.. puis encore une.. J’avais du mal à me concentrer à ma lecture, à ne rien laisser transparaître. Ma correction était bien méritée. Il avait une telle poigne.. - Merci… Monsieur, dis-je avec une voix troublée et douloureuse. Concernant l’oubli de vous appeler Monsieur, je l’ai fait sans m’en rendre compte. Je sais que je dois me ressaisir et être plus vigilance à vous appeler avec le mérite que je vous dois. Je sais que je mérite punition pour ce manquement. Il continua.. Mes fesses commençaient à me gratter. Je commençais à vouloir me défiler de cette punition. - Me.. hésitante.. Merci Monsieur. Je suis certaine que vous trouverez la punition à la hauteur de mon impertinence, Monsieur. Il me fessa pour cette dernière d’une telle force que je m’en souviendra je pense.. Un cri s’échappa. J’avais envie de me soustraire, de ne pas être sur ses genoux. Puis me voyant ainsi, il me laissa le temps de me ressaisir tout en caressant doucement mes fesses qui devaient être écarlates. - Merci.. merci Monsieur. - Continuez je vous prie Mademoiselle Lane. - Je suis une vilaine petite chienne sans éducation puisque je n’ai pas tenu la promesse de ne pas me caresser depuis lundi, comme vous me l’aviez ordonné. Je sentis sa main se soulever à nouveau, et contre tout attente, au lieu de me fesser il malaxait mes fesses. Certes c’était douloureux, mais quelques part cela apaiser le brasier qu’il avait mis à mes fesses. - Je vous remercie Monsieur. Ma chatte était tellement en émoi cette semaine, c’était une torture insoutenable. Mes doigts se sont posés sur ma petite chatte fraichement épilée à la cire. Elle était si douce. Mes lèvres étaient toutes gonflées. J’avais envie d’être comblée, remplie.. Je sais que je mérite la colère de Monsieur . Je suis impardonnable. Il me remit une fessée. J’avais envie de pleurer cette fois. Faire tomber ma fierté. Lâcher prise. Merci.. Monsieur, en laissant perler les larmes de mes yeux. J’espère que Monsieur acceptera ma lettre d’excuse. Je ne doute pas que Monsieur saura me donner la leçon éducative adapté à sa chienne qui n’a pas su restée sage. Vous, seul, pouvez me remettre dans le droit chemin. Je vous en prie, Monsieur, éduquez-moi davantage. Je suis à vous. C’est là qu’il me caressa d’une infinie douceur, pour me soulager. - Merci Monsieur pour l’attention que vous m’accordez. Votre chienne qui se met à vos pieds et implore votre pardon. - Vos excuses sont acceptées Mademoiselle Lane. J’espère que vous en avez tirez les conséquences. Asseyez vous devant moi, les jambes bien ecartées, les paumes posées vers le haut, sur vos cuisses. Je m’exécutais. Une fois assise à ses pieds devant lui, j’avais stoppé mon attitude insolente. Il m’avait bien remise à ma place. Mes yeux étaient naturellement baissés. Je n’osais plus croisé son regard. Honteuse petite chienne que j’étais. J’avais cedée à la facilité. Je sais que ce qu’il me demande c’est autant d’attention qu’il m’en donne. J’avais regretté de mettre caresser car au fond, il voulait me faire jouir avec encore plus de violence. Je comprenais qu’il ne voulait que mon bien. De sa main droite, il me releva le menton afin de me regarder et que je puisse plonger mon regard dans ses yeux bleus. Puis il secha mes larmes avec la pulpe de ses doigts. Naturellement je plaçais ma joue contre sa main si réconfortante. J’aimais ce moment de relâchement, cette parenthèse de douceur entre différents.. Mots.. maux. - Vous savez que j’accorde une importance au maintien chère Mademoiselle Lane. J’aime vous voir dans cette position d’attente à mes pieds. C’est là qu’il prit entre ces doigts ma bouche puis me gifla. Bonne petite chienne. Je vous interdis de me regarder ainsi. Je savais jouer de mon regard, je savais qu’il l’adorait. J’aimais quand il me punissait parce que je le regardais. En même temps j’adorais qu’il me traite ainsi. Lui seul savait, lui seul avait ce droit sur moi. Il me releva en me tenant par la queue de cheval. Il se tenait derrière moi. J’aimais sentir son souffle au creux de mon oreille, quand il me parlait doucement. Cela me rendait toute folle, à obéir. Ma tête était maintenant en arrière, il me disait comment j’étais sa petite putain, voulant me faire dire tout ce que je suis , tout ce que je mérite. Il saisit à travers mon chemisier mon sein droit. Avec force il me malaxa. - Tu es à moi. Rien qu’à moi petite catin. C’est là qu’il déboutonna un à un les boutons de mon chemisier tout en me maintenant fermement. - Regarde moi comment tu es, petite trainée. Tu n’attends que cela.. d’être comblée, prise, doigtée, fouillée, enculée, bourrée, labourée.. Mais comme tu es dégouillante. Mais doigts sont trempés de ta cyprine. Quelle chienne tu es ! D’un seul coup il me poussa vers son bureau. J’avais les deux mains dessus. D’un geste très viril, il souleva ma jupe et déchira ma culotte. C’était un moment si.. érotique, si bestial. Je gémissais de désir. Je lui résistais, ne voulant pas succomber, ne voulant pas céder si rapidement à cet état qu’il me provoquait. Mais peut on raisonner une chienne qui ne demande que cela ? non.. Il me retourna avec cette violence virile puis mis ma culotte trempée dans ma bouche. Puis il mis sa main sur ma gorge et la serra. Il me possédait avec cette force ; J’aimais sentir sa poigne sur ma gorge. Je me sentais encore plus lui appartenir. - Je ne veux même pas t’entendre ! Je vais te prendre et abuser de toi. Prendre mon plaisir. Tu vas être ma putain. Tu as osé te caresse sans mon autorisation. C’est là qu’il mis plusieurs doigts dans ma chatte. Elle était si trempée qu’elle aura pu engloutir bien plus que ces deux doigts qu’il avait mis… C’est alors qu’il en mis quatre.. A faire des va et vient si fort. A me stimuler. J’étais là.. Muselée par ma culotte, je sentais sa main sur mon cou. Je sentais son regard sur moi. Je me sentais toujours honteuse quand il faisait cela. Je ne pouvais plus rien contrôler. J’étais si fontaine. Il aimer me vider, m’épuiser… - Petite garce, regarde tout ce que tu fais jaillir… Des larmes de joies coulaient de mes joues. Je tremblais de désir, j’avais tant envie de l’honorer comme il m’honore. Je n’attendais qu’une chose, et vous devinez bien quoi… ? - Tu ne mérites pas ma queue ! Il me gifla un coup puis un autre.. Puis il me laissa là.. interdite, sans aucune force. - - Allez debout ! qu’elle est cette manière de se dandiner ? A coté de ta table. J’avançais à ma table avec cette démarche incertaine. Mon entrejambe lui aussi se dandinait à l’envie de sentir une queue y entrer.. ou tout autre chose. Il m’avait juste mis l’excitation à un tel point. Il s’avança vers moi et plaça un livre sur ma tête.. - Chère Mademoiselle Lane.. reprenons notre leçon.. de maintien. Ce livre ne doit pas tomber. Est-ce bien clair ? - Oui.. cher Monsieur. - Bien… Maintenant je vais m’occuper du maintien de vos seins. Il aimait jouer des corses. C’est là qu’il entreprit d’utiliser mon corps pour sa toile. Aucun mot ne sortait même si on se disait tout.. Ces moments là où tout est parlant dans le silence. Cette concentration qu’il mettait à faire chaque passage de corde, chaque nœud pour mettre en valeur mon corps. C’était une fierté d’avoir toute cette attention à mon égard. Il me fascinait. Mais avec ce livre sur la tête, je ne pouvais le regarder. Il m’en avait privé. Il avait particulièrement fait passé les cordes autours de mes seins, les maintenant fermement, les faisant ressortir. Il s’éloigna de quelques pas pour admirer son œuvre. Il faisait le tour de moi, m’effleurait.. La posture a tenir n’était pas aisé avec ce maudit livre. C’est là qu’il prit la paire de ciseaux de ma trousse et entrepris de couper.. couper la chemise, couper le soutien gorge.. - Voila je préfère… Je vois que vous avez su faire preuve de tenue. Je vous en félicite,dit -il en me regardant dans les yeux et en tenant dans chacune de ses mains mes tétons Il les tira pour les amener à lui. J’avais envie de pousser un tri mais je pensai à ce livre sur ma tête à ne pas faire tomber. - Ne bougez pas. Vous êtes très belle ainsi. Je vais vous ornementer. Il se dirigea vers le tiroir de son bureau. Je devinais ce qu’il sorta… - Vos seins, Mademoiselle Lane sont si magnifiques. Vos tétons si.. doux.. une invitation à s’en occuper. Je sentis le métal de la pince. Il avait choisit une pince qui s’adaptait. J’étais très sensible et il le savait. Mais je savais que j’allais devoir me surpasser. Malgré ce qu’on pense, cette douce douleur amène ensuite un tel plaisir, une libération, un lâcher prise comme lorsqu’on gravit cette montagne et qu’on a souffert mais on est si heureux après. Me voilà avec des pinces sur mes seins reliés par une chaine. Il tira la chaine à lui. Je ralais.. Puis il tira à nouveau. Le livre tomba. - Vilaine petite écolière incapable de se tenir. A genou sur votre table ! - Voyons l’état de ma petite chienne. Ah oui je vois que ça mouille toujours autant. C’est là qu’il passa entre mes lèvres quelque chose de rond et métallique. - Voila, je pense que cela va rentrer comme dans du beurre.. dans votre petit fion de salope innoncente. Je sentis mon petit anus céder sous la pression de cette boule. Cette dernière a été engloutit rapidement. Il me l’avait enfoncé avec force et sans réel ménagement. Il attacha le crochet anal à ma queue de cheval en laissant un léger mot pour préserver mon dos. Je me retrouvais ainsi tel une chienne cambrée à exposer ses attribus et en ayant la tête maintenu fièrement dressée. - Voilà ce qu’est avoir du maintien Mademoiselle Lane.. Un cul prêt à recevoir, des seins dressés et un port de tête altier. Une chienne muselée..Le cours de maintien débute si bien. Il ne vous manque que votre collier.. mais vous n’êtes pas digne aujourd’hui… Il était derrière moi à regarder mon sexe offert à sa vue. Il effleurait mes cuisses, mon entrejambe.. Je n’attendais moi qu’une chose..mais je ne pouvais bouger. Il prie chacune de mes lèvres entre ses doigts, les pinça, les écarta… Il m’inspectait. - Je vois que votre chatte est bien douce et lisse. Votre cyprine coule dessus c’est divin à regarder. Il plaça alors un gode rattacher à un manche dans ma chatte. - Ne pensez pas que je vais vous faire le plaisir de vous baiser avec. J’ai juste envie de vous voir remplie comme une bonne petite pute qui n’attend que ça. Il retira ensuite de ma bouche ma culotte. Il prie à nouveau un objet de son bureau… un baillon avec un anneau. Il me plaça afin que je garde la bouche bien ouverte, attendant d’être à la disposition de la queue de mon Maître. Puis pour terminer son œuvre, il mis une corde autours de mon cou qu’il fixa à un anneau. Ainsi j’étais à sa merci, à ne plus pouvoir rien faire si ce n’est.. attendre. Voilà, vous allez terminer votre colle ainsi.. Mademoiselle Lane. Je vous laisse méditer, petite chienne. C’est là que je sentis une frustration immense. La punition était à la hauteur de mes manquements.
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Par : le 29/04/20
Au fond du cachot… Attendre sans aucune raison que de tuer le temps est difficile et parfois, par rapport au temps qui passe, respectivement à sa durée de vie, peut être compris comme étant du gaspillage. Je n’aime pas cela! Je suis quelqu’un d’actif et plein de ressources avec une imagination très riche. L’attente pour elle-même m’est donc pénible. Pour attendre, il faut entrer dans le monde BDSM. Là, la vie change de couleur. Attendre, aussi longtemps que la Maîtresse le décide, c’est autre chose. Alors ces moments provoquent chez moi un afflux absolument débordant de réflexions, de pensées, d’idées. Un mélange tout à fait au hasard de situations vécues, de films visionnés, de lectures, de conversations, toute une série d’images et de situations qui défilent dans la tête. Attendre comme je l’ai déjà fait avec vous, Maîtresse. Vous vous en souvenez certainement alors que j’étais entravé avec ce carcan qui vous enserre le cou et les poignets. A plusieurs reprises, vous vous êtes placée au-dessus de moi et vous m’avez inondé avec votre liquide doré. Je devais lutter contre l’inconfort, j’étais trempé de votre liquide divin, j’en avais autant que je pouvais d’ailleurs. Et après, j’ai attendu. Une attente tout au contraire captant ces images et ces sensations, pour un soumis, c’est un véritable délice. Ces moments mettent d’ailleurs en relief toute la relation. Dans mon parcours, je crois vous avoir expliqué que, j’avais attendu dans cette oubliette, nu, complètement souillé de poussière et d’urine, les mains menottées dans le dos. C’était dans cette prison de Grossenhain près de Dresde. Ou encore cette attente dans le cachot, où je posais ma tête sur le boulet de prisonnier. Reposer ainsi sur le sol, se transformant en un véritable supplice car rester sur une épaule devient difficile et je devais donc me retourner pour m’appuyer sur l’autre épaule, souillant du coup tout mon corps d’un mélange de poussière de petits gravats et d’urine. En fait pour moi, ce fut absolument délicieux et je m’en souviens comme si c’était à peine fini. Je me souviens aussi de ce terrible supplice qu’est d’être enfermé dans une cravate. Attendre, en souffrant l’horreur, j’ai crié de douleurs à cause des crampes dans mes jambes, je tremblais de froid après avoir été aspergé d’urine par mes deux « gardiens ». En plus, j’avais le goût délicieux d’une abondante giclée de sperme encore en bouche d’une fellation faite sur la queue du soumis que le gardien avait amené. Cette attente était aussi merveilleuse. Je sais que je tremblerai de peur d’être encore bloqué dans cet innocent instrument de torture (mon mal au dos étant sauf…). J'y suis resté 4 heures 48 minutes d'ailleurs. Attendre nu, couché sur le sol, dans le noir, entravé, la bouche occupée par un bâillon qui fait baver. Une belle épreuve surtout quand on sait que bientôt je vais être, à nouveau, torturé et supplicié. Attendre, complètement attaché, incapable de bouger, après avoir été giflé et boxé, le visage couvert de crachats qui coulent lentement le long du visage. Attendre jusqu’à ce que ces crachats, justement, sèchent, probablement une attente interrompue par un petit arrosage « champagnesque »… suivi d’une nouvelle attente. Autant de souvenirs et de moments qui font bouillir le cerveau de choses absolument indescriptibles. Vous savez, Maîtresse, que dans mes rêves, je m’imagine être enfermé, nu, souillé, dans un cachot. Je l’ai déjà été pendant 5 ou 6 heures. C’était bien. Mais mon rêve donc, c’est l’attente pendant 24 heures au moins, sans être abreuvé ou juste arrosé de temps à autre, pas nourri, juste prisonnier. Peut être interrompu par des visites de vous ou de vos amies, pour rire et commenter cet objet que je suis ou, si l’envie vous en prenait, de me sortir, de me faire subir une flagellation, une séance de kick-boxing assez dure pour tout de suite après me remettre dans la cage ou le cachot. Peut être, juste avant de fermer la porte, de me cracher sur le visage histoire de me dire, « hi hi, t’as soif? eh bien voilà, je te donne un peu de ma salive car je prends soin de toi ». Moisir dans la cage exposé aux visiteurs et initiés qui mangent ou boivent devant, viennent vous pincer le corps entre deux conversations, vous tirer par les cheveux et se moquer de vous… Etre enfermé, avec un autre soumis mais la bouche entravée avec une bride-bavarde ou la bouche cousue pour m’empêcher de pouvoir communiquer avec l’autre et attendre, nu, sur le sol poussiéreux. Evidemment, Maîtresse, une attente avec tout le décorum que l’on peut imaginer, chaînes, fers, plugs insérés dans l’anus et reliés à une chaîne, cages, oubliettes, cellule sale, participe à rendre l’attente comparable à une session. L’attente consécutive à une explication de ce qui attend le soumis, lui expliquer qu’il va affronter une dure session, un échange oral ou s’échangent aussi caresses, gifles, coups de genoux ou de pieds, plonger la main dans la bouche, où le soumis dit son désir de montrer sa dévotion, son désir de souffrir pour prouver, pour aimer aussi. Cette longue préparation qui va « potentialiser » toute la relation. Cela permet aussi à la dominante ou au dominant de disposer du temps pour elle, pour lui, de préparer la session suivante, de manger, de boire, de se reposer, de lire ou de regarder la TV, de s’occuper d’un autre esclave. Les conséquences de ces attentes sont évidemment une montée en puissance de l’effet des tourments et des supplices. Probablement aussi une meilleure performance et de résistance aux supplices qui arrivent par une préparation des décharges d’endorphines. L’attente est donc, si vous voulez, une sorte de potentiomètre agissant sur le cérébral du soumis dans la relation et les actions qui suivent. Avant de conclure, j’aimerais mentionner les moments d’attente qui précèdent une session. Les temps consacrés à la préparation, la manipulation des fers, des chaînes, des cordes, le temps de fixation, les explications ou les mots prononcés par l’opérant au soumis. Je pense par exemple aux sessions sur les croix de St.-André (j’en parle car je l’ai pas souvent vécu) où l’on attache, lentement, vérifiant la solidité, où on en rajoute pour bien fixer tout le corps, où l’on glisse le bâillon dans la bouche. Tout ces moments qui préparent le soumis à la torture pour votre plaisir et votre joie de posséder et de faire toutes les choses qui vous passent par la tête. Finalement l’attente met en relief tout ce qui est avant et après une session et cela joue en moi un effet important. Je suis reconnaissant à Maîtresse Gabrielle de me permettre d’évoquer cela dans le détail. Cela aide à la compréhension mutuelle et apporte aussi aux autres lecteurs des éclairages qui parfois manquent. Maîtresse, j’attends la fin de se satané confinement car, ça, c’est devenu une attente intolérable! Kaji, SLNR 386-312-138
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Par : le 28/04/20
La voiture quitta la route pour s'arrêter en contrebas d'un bouquet d'arbres jouxtant une grange délabrée. Hormis quelques chants d'oiseaux et le bruissement du vent entre les feuilles, l'endroit était parfaitement silencieux. Le soleil était chaud, et l'endroit désert. Pourquoi, ne pas se laisser aller ? D'un geste, Charlotte dégrafa sa minijupe et la fit glisser le long de ses jambes en même temps que son string. Puis elle ôta son chemisier, son soutien gorge, et jeta le tout sur la banquette arrière. - Est-ce que je plais comme ça ? Minauda-t-elle. Juliette ne répondit pas, comme si elle n'avait même pas remarqué le rapide effeuillage de son amie. Pourtant, Charlotte la vit serrer les dents et presser un peu plus fort le volant entre ses poings. Enhardie par cette réaction, elle se pencha un peu et déboutonna le short de Juliette, juste assez pour que sa main puisse se frayer un passage jusqu'en bas de son ventre. Elle découvrit à tâtons un pubis parfaitement lisse, un peu plus bas encore, le léger relief intime des lèvres moites. Juliette se laissa faire quelques instants sans réagir. Brusquement, elle aggripa les cheveux de Charlotte et lui colla violemment la joue contre sa cuisse. - Ecoute-moi bien Charlotte, gronda-t-elle sur un ton abrupt, Il faut que tu saches que je n'aime pas beaucoup que l'on prenne les initiatives à ma place, tu as compris ? Charlotte acquiesça sans mot dire. Elle qui, quelques instants plus tôt, était persuadée d'avoir gagné le cœur de son amie, subissait à nouveau sa violence. Elle se sentait anéantie, ridicule ainsi contrainte et nue, mais en même temps, elle éprouvait un étrange plaisir qui l'empêchait de tenter de se dégager ou de fondre en larmes. Le sexe de Juliette était là, tout près de son visage. Elle en devinait le parfum intime. Elle l'avait touché du doigt. Elle l'avait senti humide et cela ne pouvait pas la tromper: Juliette était excitée elle aussi. Son amie relâcha sa pression qui devient caresse. Elle releva jusqu'à sa bouche les lèvres de Charlotte et l'embrassa à nouveau, plus tendrement cette fois. - Xavier ne t'a jamais emmenée ici ? Demanda-t-elle d'une voix de miel. Cet endroit appartient à l'un de mes cousins. Tu ne trouves pas cet endroit magique ? Elle demeura songeuse, appuyée contre le volant à observer les alentours. La grange, dont une partie de la toiture s'était effondrée depuis longtemps était dévorée de lierre et de chèvrefeuille. Un doux parfum de liberté et de sensualité flolttait dans l'air, enveloppant les deux jeunes corps d'un irrépréssible désir. Seul, un chemin serpentait entre les coquelicots et les fougères jusqu'aux ventaux vermoulus du portail. On le distinguait à peine derrière un groupe de jeunes sureaux indisciplinés qui en gardaient l'entrée. - Sors de la voiture, Charlotte, j'ai envie de te regarder. Charlotte obéit à nouveau. Dehors, sous les arbres, le sol moussu dégageait une odeur puissante d'humus. Elle demeura quelques instants immobile à sentir le parfum du vent tiède glissant sur sa peau. Être nue sous le feuillage, au bord d'une route de campagne, ne lui semblait en rien extravagant à cause du regard de son amie posé sur elle. Elle s'aventura de quelques pas dans la futaie. Sous la plante de ses pieds, les brindilles sèches craquelaient, tandis qu'à l'odeur fraîche de l'humus se mêlaient celles, plus entêtantes encore, des herbes chaudes et des fleurs gorgées de soleil. Tout éveillait en elle son animalité. Elle se retourna. Juliette avançait vers la grange d'un pas lent, à l'élasticité féline. Charlotte eut tout à coup le désir de posséder son amie. La prendre par les hanches et l'attirer vers elle. Caresser ses fesses, en découvrir les formes, embrasser ses seins fermes, en mordiller les aréoles brunes.Toucher son ventre chaud et lisse. Elle marcha à son tour vers la grange. Dans le fond du bâtiment, une échelle en bois menait à l'étage, une sorte de mezzanine sombre. Charlotte adora aussitôt cet endroit. Elle aimait le bruissement tranquille des arbres tout proches, la lumière dorée du soleil filtrant à travers le toit éventré, et le suave parfum d'été qui se dégageait de la paille. - J'aime bien te voir nue dans ce lieu. Elle roulèrent sans un mot sur le sol paillé. Leur envie réciproque de se posséder les transforma en lutteuses. Elles s'encastrèrent l'une contre l'autre en s'embrassant, se mordant et se griffant, seins contre seins, ventre contre ventre, en un jaillissement furieux. - Raconte-moi ce que tu ressens quand Xavier commence à nouer des cordes autour de toi demanda Juliette. Quelle sensation cela procure de se retrouver nue et vulnérable ? - J'ai peur. Et en même temps, je suis impatiente. - Il te caresse en t'attachant ? - Non, il est comme absent, On dirait un peintre occupé à préparer ses pinceaux. - Il t'a déjà fouettée ? - Non, jamais. Juliette marqua une légère pause avant de reprendre: - Et tu le regrettes ? - Peut-être, oui. Charlotte fut surprise de sa propre réponse, comme si ce n'était pas elle qui avait répondu mais une autre. Sans attendre, Juliette dit à Charlotte de se lever pour lui lier les poignets d'une épaisse corde de chanvre qu'elle attacha à une poutre, bien tendue pour l'obliger à se tenir bras levés et sur la pointe des pieds. Elle entendit le cliquetis de la boucle de la ceinture tandis que Juliette l'ôtait de son short. - Qu'est-ce que tu fais ? - Je répare un oubli, répondit Juliette. - Tu veux que je te bâillonne ? Charlotte secoua la tête. Non, elle ne voulait pas être bâillonnée. Elle voulait sentir la douleur lui monter jusqu'à la gorge pour y exploser. Cela devait faire partie du rituel. Il fallait que quelque chose sorte d'elle. Elle osa un regard par dessus son épaule. Indifférente, bien campée sur ses jambes fuselées, ses seins dressés tressautant au rythme de ses larges mouvements. Juliette éprouvait la souplesse du ceinturon en en fouettant l'air. Ainsi nue et armée, elle ressemblait à une déesse antique. Charlotte ferma les yeux. Elle désirait être fouettée et Juliette seule pouvait lui faire subir cette épreuve. Ce serait non seulement s'offrir en captive à l'amour, mais mieux encore, se donner en esclave, à une autre femme de surcroît. Accepter ses coups, encaisser à travers elle, la fureur de toutes les femmes du monde, devenir leur proie et se griser à l'idée de payer par le fouet, le fait dêtre leur plus dangereuse concurrente. Le premier coup claqua séchement contre ses fesses. Juliette n'était pas du style à y aller progressivement. Elle avait frappé fort avec l'assurance qui lui était coutumière et Charlotte sentit sa peau d'abord insensible, réagir rapidement à la brûlure du cuir. Le deuxième coup tomba, plus assuré encore, et elle gémit de douleur en contractant les muscles de ses fesses. Sa réaction sembla plaire à Juliette. Elle leva le bras encore plus haut, abbatit le ceinturon avec plus de force et cette fois, Charlotte poussa un cri bref en se cramponnant à la corde qui la tenait étirée. Juliette la fouetta avec application. Ses coups précis, parfaitement cadencés, atteignaient alternativement une fesse, puis l'autre, parfois le haut des cuisses, parfois le creux des reins. Trente, quarante, cinquante coups Charlotte ne comptait plus. Aux brûlures locales d'abord éprouvées s'était substituée une sensation d'intense chaleur, comme si elle avait exposé son dos à un âtre crépitant. Le supplice était le prix à payer pour que sa Maîtresse continuât à l'aimer, elle souhaitait seulement qu'elle fût contente qu'elle l'eût subi et attendait muette. - Retourne-toi, dit Juliette d'une voix calme. Aggripée à sa corde, ruisselante de sueur, Charlotte était épuisée. - Non, pas devant Juliette, haleta-t-elle, Pas devant. -Tu dois aller jusqu'au bout de ton désir, Chalotte, Allons retourne-toi vers moi. Charlotte pivota lentement sur elle-même. Elle avait gardé les yeux baissés mais elle aperçut quand même le ceinturon s'élever dans l'air et s'abattre sur elle, au sommet de ses cuisses. Elle hurla à nouveau et releva la jambe pour se protéger du coup suivant. Elle sentit soudain qu'elle n'y échapperait pas et se vit perdue. Juliette ne refrappa pas immédiatement. Elle attendit que Charlotte ne puisse plus se tenir ainsi sur la pointe du pied et qu'épuisée, elle s'offre à nouveau au fouet. Au coup suivant, elle ne tenta plus d'esquiver. N'avait-elle pas désiré cette correction ? Juliette avait raison; elle devait savoir ce qu'il y avait au-delà de cette douleur qui lui arrachait des cris et des larmes. Par dépit, elle plongea son regard dans celui de son amie et elles ne se lachèrent plus des yeux tout le temps que dura la flagellation. Elle se voyait onduler au bout de sa corde, en sentant ses seins frétiller, ses cuisses tendues, son ventre creusé. Elle se voyait brûler sous les coups, s'enflammer toute entière. Juliette continuait à la fouetter méthodiquement sur les hanches et sur les seins. Quand le cuir atteignit le renflement de sa vulve, subitement son corps fut traversé de part en part par une fulgurante flamme de couleur rouge orangé. Elle en sentit la chaleur l'irradier et plonger dans son ventre comme une boule de feu. La douleur et le plaisir fusionnèrent ensemble. Elle hurla à nouveau mais de plaisir cette fois. Juliette cessa aussitôt de la frapper et tomba à genoux devant elle. Posant avec une infinie délicatesse les doigts sur ses reins meurtris, elle attira jusqu'à sa bouche la peau empourprée des cuisses et du ventre qu'elle couvrit de baisers. Elle aspira entre ses lèvres, les lèvres de son sexe, les lécha avec douceur. Se suspendant à sa corde, Charlotte jeta le bassin en avant, enroula ses jambes autour du cou de son amie pour emprisonner son visage contre son sexe ouvert. Juliette réagit en dardant une langue aussi droite et rigide qu'un membre d'homme sur son clitoris. À ce seul contact, Charlotte jouit aussitôt. Enfin Juliette se détacha d'elle. la corde à laquelle elle était suspendue fut coupée et Charlotte se laissa tomber sur le sol, savourant l'étrange bonheur de sa soumission. Les parties de son corps offensées, devenues douloureuses, lui apparaissèrent plus belles, comme anoblies par les marques fraîches, stigmates de la flagellation. Elle se perdait dans une délirante absence d'elle-même qui la rendait à l'amour. Hommage à Charlotte. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 28/04/20
Les jours suivants se déroulèrent dans une atmosphère de joyeuse complicité. Cléo aimait s’amuser et jouissait d’un authentique talent d’actrice. Son entrain naturel faisait un opportun contrepoint à la gravité habituelle de Sarah. Sans doute cette dernière conservait-elle en elle trop de blessures secrètes pour se laisser aller facilement à la légèreté. Il me revanait désormais de les lui faire oublier. Observer les deux filles ensemble était un pur bonheur et chacun de leurs gestes amoureux me réchauffait l’âme. Et si je toussotais lorsque l’une glissait la main sous la robe de l’autre, ce n’était que par jeu. Il y avait aussi les baies à ramasser au fond du jardin, les fleurs à arroser, les repas à préparer, un peu de couture, de ménage ou de bricolage à faire. Il fallait aussi que je me remette au travail et que je consacre impérativement mes matinées à la comptabilité, sous peine de faillite. C’est pourquoi, tandis que je m’enfermais dans mon bureau sitôt après le petit déjeuner, les deux jeunes femmes avaient tout loisir de se livrer à la grande cérémonie de la toilette, à laquelle elles consacraient une bonne heure. Ensuite, si la toilette n’était pas suivie du rite sacré de l’épilation, Cléo allait chercher le journal, qu’elles lisaient ensemble, serrées l’une contre l’autre, sous la véranda, accompagné d’un troisième ou quatrième café. La lecture achevée, elles sortaient dans le jardin en tee-shirt et culottes sages pour s’adonner à leurs sports : badminton, gymnastique improvisée, lutte ou, plus calmement, yoga. Mais les jours d’épilation, plus rien ne comptait d’autre que la cire chaude et les bandelettes. Un temps suspendu par l’orage, le printemps retrouvait ses transparences. Une tiédeur s’installa, hachurée du bourdonnement des insectes. Une sorte de paresse sensuelle s’installa. Cléo préparait les repas et servait à table. Il arrivait que Sarah propose qu’elle nous rejoigne mais la plupart du temps, elle restait debout, à légère distance, mains sagement croisées dans le dos et prenait son repas plus tard, seule dans la cuisine. Est-il besoin de dire qu’elle n’était vêtue que du minimum ? Jupe courte à volants et simple bandeau de tulle sur la poitrine le midi, corset noir avec seins apparents et bas de la même couleur pour le dîner. Sarah, cependant, avait le souci d’agrémenter chaque jour cette semi-nudité d’un ornement différent, qu’il s’agisse de cristaux, de pierreries ou de chaînettes à ses anneaux, de façon à ce que le regard sur son corps en soit chaque jour renouvelé. Un soir sur trois, Cléo nous offrait une petite représentation ou une lecture, selon ce qu’elle avait préparé. Une tenture de velours rouge sang dénichée au grenier, une douzaine bougies, l’amplificateur de la chaîne stéréo… et le spectacle commençait. C’était pour des imitations de Liza Minnelli, de Marlène Dietrich ou de Greta Garbo, dans le style burlesque. Le maquillage et la coiffure étaient saisissants de véracité, la voix et les pauses d’une ressemblance parfaite, mais la tenue, bien évidement, s’affranchissait des pudeurs de l’époque. Pour ses simples lectures, Cléo s’étendait sur le canapé, appuyée sur un coude, les jambes rassemblées en fuseau, et aux lèvres un rouge si pétulant que le mouvement des mots prenait vie. Ses choix portaient sur des affaires scandaleuses comme celle du couvent de Sant’Ambrogio, dont les novices étaient contraintes au cunnilingus sur l’abbesse, laquelle sécrétait « une sainte liqueur » dont Dieu faisait « don » aux jeunes filles, ou celle de la criminelle Comtesse Bàthory. Ces saynètes ou ces contes pour grandes personnes mettaient chaque fois Sarah dans un état de fascination tel qu’elle semblait totalement s’abstraire de la réalité et que je surpris bien des fois sa main glisser sous le tissu jusqu’à ses seins. La représentation achevée, elle invitait notre artiste à venir l’embrasser. Ce baiser, qui n’était qu’un défi à mon égard, avait ses justifications. Je n’avais pas touché Sarah depuis le jour où je l’avais prise dans le jardin, juste avant l’averse. Son dépit était compréhensible, mais il n’était pas question que je la prenne tant qu’elle serait annelée au nom d’un autre. Rendez-vous avait été pris, je m’assurais que tout soit fait et bien fait. Les comptes seraient soldés ultérieurement. Il fallait encore un peu de temps. Sarah et Cléo partageaient le même lit mais Sarah avait fait le choix de laisser dorénavant leur porte grande ouverte. Dans son esprit, elle n’avait plus rien à me dissimuler de son intimité, puisque j’étais désormais son maître. Cléo avait bien protesté de cette intrusion dans leur vie amoureuse mais Sarah était restée ferme et lui avait promis de limiter ma présence de telle façon qu’elle ne s’en rendrait pas compte. C’est du moins ce que je les entendis négocier dans mon dos, Cléo concluant : « me faire baiser devant l’homme invisible, si je m’attendais à ça ! » Grimpant dans ma chambre beaucoup plus tard qu’elles, il m’arriva en effet de passer quelques minutes à les contempler endormies, enlacées l’une à l’autre, partageant leurs parfums et leurs sueurs. En son temps, Courbet sut traduire cette volupté… Et puisque l’on parle des nuits, il faut s’arrêter sur celles où elle regagnaient leur chambre en se donnant la main, geste de tendresse qui faisait comprendre que Sarah avait envie de profiter de son amie. Je ne les suivais qu’un peu plus tard, pour ne pas gâcher leurs préliminaires, et lorsque j’assistai à leurs ébats, c’était avec une parfaite discrétion, assis dans le coin le plus obscur. Elles me savaient là, quelque part, et j’imaginais qu’elles finissaient pas m’oublier. Sarah menait le bal sans qu’il y ait de règle ou de constance dans leurs ébats. La première nuit fut celle qui m’initia aux ressorts de leur relation. Sarah commença par bâillonner Cléo avant de lui attacher les mains dans les reins et les pieds aux montants du lit à l’aide de menottes de cuirs. Les cuisses largement ouvertes, Cléo était ainsi exposée sans défense à ses caprices et, accessoirement, à mon regard. Elle se laissa faire avec une docilité extrême. Sarah commença par lui mordiller longuement les seins, les pinçant, les étirant et les pressant aussi des doigts, avant de descendre tous ongles dehors jusqu’à sa chatte, où, remontant et descendant le sillon de ses doigts habiles, elle insista alternativement sur le clitoris et sur l’orée du vagin. Lorsque l’excitation de Cléo devint plus évidente, que son bassin commença à onduler, Sarah abandonna ses caresses pour s’agenouiller au dessus du visage de son amie. Avec une lenteur millimétrique, elle approcha sa vulve de la bouche de sa compagne. Tout n’est alors qu’un défilement d’images qui se superposent : lèvres intimes contre lèvres, baiser ardent, langue agaçante, dents mordillantes, fente avide, bouche dévorante, bouton tumescent, humeurs, nectar, jus, coulures, bavures, cyprine diluée de salive, puis dans un ultime coup de rein, ce petit éjaculat au visage tandis qu’elle basculait de son côté, la main pressée contre son sexe qu’elle l’apaisa à renfort de caresses. Cléo, abandonnée, ne cessait, elle, de se tortiller sur le draps, grognant au travers de la boule qui lui obstruant la bouche. J’eus pitié d’elle, de son sexe gonflé et luisant d’humidité. Le lendemain matin, Cléo apparut toute défaite. Pâle et les larmes aux yeux, elle traversa le salon à grandes enjambées pour se lover en boule dans l’un des fauteuils, sa robe de chambre rassemblée autour de ses jambes. Sarah arriva sur ces entrefaites, impeccablement maquillée, les yeux luisants de colère. Le martinet à longues lanières pendait à son poignet. D'un ton sec, elle intima à Cléo de se lever. Je voulus intervenir, mais pourquoi l’aurais-je fait ? Cléo ne m’appartenait pas. Sarah l’attrapa par les cheveux et la tira jusque sous la véranda. À cette heure, le soleil frappait droit au travers du toit vitré et la chaleur était déjà vive. Au travers de la fenêtre, je vis Sarah arracher sa robe de chambre de Cléo, basculer celle-ci contre la table, sur le ventre, puis, d’un large mouvement du bras, lui asséner un premier coup de martinet. Cléo ne hurla pas de douleur, à peine supplia-t-elle. Elle ne chercha pas à éviter la punition, elle s’agrippa seulement aux rebords de la table. Son corps luisant de sueur était plus désirable que jamais et ses larmes plus émouvantes encore. Un second puis un troisième coup s’abattirent sur ses fesses. Les marques rouges devinrent visibles. Quelques autres frappes sur le dos et Sarah la fit se retourner. Elle cingla les seins à coups redoublés puis le ventre, les cuisses et enfin, après lui voir ordonné d’ouvrir les jambes, elle visa son pubis. Cléo se contractait sous la morsure du cuir mais jamais elle ne chercha à se protéger et encore moins, à s'échapper. Ses yeux étaient clos, sa respiration haletante, ses lèvres entrouvertes, elle acceptait la souffrance, peut-être même comme un bienfait. Son corps, enfin se relâcha. Sarah, enfin, s’essuya le front, épuisée. Elle laissa tomber le martinet au sol, déposa un long baiser sur les lèvres de Cléo et revint au salon. - Pourquoi cette punition ? lui demandais-je aussitôt, bouleversé par la scène. - Auriez-vous un verre d’eau ? Il fait une chaleur sous la véranda… Je renouvelai ma question en lui rapportant son verre. - Cette petite vicieuse s’est masturbée une partie de la nuit. - Elle était restée insatisfaite, c’était un supplice… - Et alors ? Croyez-vous Monsieur qu’une simple fille doive être satisfaite ? répondit Sarah, laissez un seul interstice et elle vous échappera.
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Par : le 22/04/20
Je pris la fuite avant l’aube, plus misérable que jamais. Abruti par une nuit blanche et l’excès d’alcool, rongé par la culpabilité, je vis défiler l’autoroute jusqu’à Paris plongé dans une torpeur hantée par les images de la nuit. Je revoyais ces scènes obsédantes de jouissance et de douleur mêlés, je ressentais encore la main de Maurice étreignant mon sexe ou le désir fou que j’avais éprouvé de cette esclave enchaînée à sa maîtresse. S’associaient contradictoirement le désir de retrouver au plus vite une telle jouissance et un profond dégoût de moi-même. Mon sexe, plutôt que de se tendre, maculait mon pantalon. Ce ne fut qu’aux abords de Paris que je recouvrais mes esprits. La familiarité du paysage urbain et le ciel gris me ramenèrent à une réalité plus prosaïque. Bientôt, sans même m’en rendre compte, j’arrivais dans ma rue puis devant la porte de mon pavillon. J’ignorais si je retrouverais Sarah ou si ce joli fantôme s’était évanoui dans la nature. Au fond, j’aurais pareillement accepté les deux hypothèses. Il était encore tôt, je pénétrai dans la maison sans bruit et me glissai jusqu’à la cuisine. Les pièces étaient plongées dans la pénombre, à l’exception de la cuisine. C’est là, soudain, que je découvris ébahi une jeune femme entièrement nue, une paire d’écouteurs sur les oreilles, et qui se dandinait d’un pied sur l’autre en attendant que le four à micro-ondes ait fini de tourner. Je toussotais assez bruyamment pour qu’elle se rende compte de ma présence mais sans l’effrayer. Elle se retourna avec un petit cri d’effroi, laissa tomber la tasse qu’elle tenait à la main et plaqua une main sur son bas-ventre tandis que son autre avant-bras masquait son peu de poitrine. Joliment brune, avec des yeux très noirs, elle avait encore quelque chose de l’adolescente. Si ses traits plus nets n’attestaient de sa maturité, on lui aurait donné seize ans. Sans doute sa poitrine trop menue y était-elle pour quelque chose d’autant que les deux anneaux qui traversaient les mamelons attiraient inévitablement le regard. Son pubis glabre rappelait également l’innocence pré-pubère, mais il suffisait de s’attarder sur le modelé des épaules et des hanches pour constater sa pleine féminité. Tout en lui interdisant d’un geste de bouger pour ne pas se couper la plante des pieds, je saisis un torchon et une pelle et, à genoux, j’entrepris de ramasser les morceaux de porcelaine. Mon geste eut pour première fonction de la calmer. C’est alors que retentit dans mon dos la voix de Sarah. - Je vois que vous avez déjà fait connaissance ! Je me relevais péniblement tandis que, profitant de ma position, la jeune inconnue contournait la table et se réfugiait dans les bras de Sarah. Je devais avoir un aspect assez minable pour que Sarah m’inspecte avec une expression aussi dubitative que la sienne. Elle, en revanche, dans un peignoir qui m’appartenait et qu’elle portait largement ouvert, apparaissait aussi gracieuse et désirable que d’ordinaire. Avec, en plus, un petit air de supériorité dont je compris la raison lorsqu’elle s’adressa à son amie. - Cléo, as-tu présenté tes excuses à Monsieur pour t’être exhibée dans sa maison sans que l’on te l’ait demandé ? Et pour avoir cassé cette tasse ? je suppose également que tu ne l’as pas salué… Se redressant et croisant les mains dans son dos, Cléo s’approcha assez près de moi pour que je perçoive le parfum de son corps. Les yeux baissés, elle prononça d’une voix maladroite : - Monsieur, je vous demande pardon. - File t’habiller maintenant et tu redescendras nous servir le petit déjeuner dans le salon. Je ne sais d’où Sarah tira cette lanière qui apparut dans sa main mais elle claqua farouchement sur les fesses de la jeune femme au moment où elle quittait la pièce. - Je suis désolé, me fit Sarah je me sentais seule, je lui ai demandé de me rejoindre. J’ignorais quand votre retour était prévu. - Qui est-elle ? - Mon amour. Je manquais de m’étrangler. Venez, ajouta-t-elle avec une douceur mesurée. Venez, j’ai à vous parler. Nous sortîmes dans le jardin. Le temps était à l’orage. Tout au fond du ciel, de gros nuages noirs roulaient sur un fond gris. Les chants d’oiseaux s’étaient suspendus, l’attente de la colère des cieux avait bâillonné le monde. J’étais fourbu et n’espérais qu’une douche et une journée entière au lit. Je déposai mon manteau sur la balançoire et m’adossait au tilleul, Sarah tira l’un des fauteuils d’osier et s’installa tout près. - Votre voyage s’est bien déroulé ? - Non. Oui et non. Je lui racontais mon entretien professionnel à Lyon, mes soucis d’argent qui s’éloignaient, la possibilité d’un contrat plus rémunérateur. - Ce n’est pas tout, conclut elle lorsque j’en eus fini. - Comment cela ? - Vous ne me dites pas tout. Cela se lit sur votre figure. - Non, je vous promets…. - Tututut ! Faites moi confiance, dites-moi… dit-elle d’un air faussement détaché. Je cédais. J’avais besoin d’évacuer le trop plein d’images et de sensations de la veille. Je lui expliquais comme j’aurais expliqué à un psychologue ou un prêtre. C’était une confession, un aveu, non pas à Sarah en particulier mais à un être humain qui, je ne sais pour quelle raison, m’apparaissait à cet instant être le seul à pouvoir me comprendre. Les mots sortaient en vrac, sans ordre précis mais le tableau à défaut d’être exact, était juste. Mon récit achevé, Sarah plongea ses prunelles grises au fond de mes yeux. Elles luisaient avec une dureté métallique. - Il n’y avait là rien de sordide, Monsieur. Et je crois que vous savez parfaitement ce qui vous taraude. - Je ne tiens pas à en parler… - Si, justement, nous allons en parler ! ordonna-t-elle, parce que tout est en rapport avec tout. Vous avez aimé que cet homme vous branle. Ne le niez pas. C’est cela et rien d’autre qui produit en vous cette confusion. Vous vous débattez entre deux sentiments. Ne soyez pas aussi lâche ! Cléo réapparu sur ces entrefaites, coiffée, légèrement maquillée et vêtu d’une légère robe printanière qui ne couvrait que le haut de ses cuisses. Je priai qu’elle n’ait rien saisi de notre échange. - Viens ici, ma chérie, fit Sarah en changeant diamétralement de ton. Me saisissant par le bras et prenant Cléo par la main, elle nous entraîna autour du jardin. - Je vous ai avoué, Monsieur, que j’aimais Cléo. C’est la vérité et vous l’avez probablement mal pris. Nous nous sommes connues à l’université, nous partagions la même chambre d’étudiantes, trop pauvres pour en louer une chacune. À force de réviser ensemble, de dîner ensemble, de sortir ensemble et de dormir ensemble nous avons fini par nous aimer. Mais cet amour, l’amour d’une femme envers une autre femme n’a rien à voir avec l’amour d’une femme envers un homme. C’est autre chose, un autre univers. Il y a des femmes qui n’ont jamais aimé que les femmes parce qu’elles sont ainsi. Il y en a d’autres qui s’aperçoivent au cours de leur vie que ce sont les femmes qu’elles aiment plutôt que les hommes avec lesquels elles ont vécu. Il y a aussi des femmes qui décident de ne plus aimer que des femmes parce qu’elle ne supportent plus les hommes. Sans doute les trouvent-elles trop bornés, trop violents, trop obsédés par le sexe et je les comprends. Chaque femme, chaque homme est unique. Moi, je prends ce que chaque côté m’offre et je le fais avec la même sincérité et la même loyauté. J’aime Cloé et je crois que je commence aussi à vous aimer. Ce n’est pas la même nature d’amour mais l’un et l’autre sont aussi importants à mes yeux. Ces mots, d’une admirable franchise, dispersèrent les contradictions qui depuis notre rencontre m’embrouillaient l’âme. Décrits avec cette limpidité, nos rapports prenaient toute leur évidence. Il n’y avait plus de drame, ni de bien ou de mal, plus de culpabilité. Et moi commençais-je aussi à l’aimer, Sarah ? Une petite tape sur les fesses suffit à renvoyer Cléo vers la cuisine. Il restait tout de même certaines choses à régler entre nous, ne serait-ce que pour le bien de la vie commune. - Et Cléo ? demandais-je. - Cléo ? Pourquoi ? - Pour rien… Sarah sourit énigmatiquement. - Cléo m’appartient. Depuis toujours. Elle m’est parfaitement soumise et m’obéit sans récriminer ni même hésiter. Je suis responsable d’elle, de sa sécurité, de son intégrité et de sa docilité. Il m’est arrivé de la prêter à d’autres hommes ou femmes, contre de l’argent, pour qu’elle ait consciente d’être ce qu’elle est : guère mieux qu’une petite prostituée que j’accepte dans mon lit et à laquelle j’accorde mon coeur. Cléo était déjà revenue les bras chargés d’un plateau avec les tasses, le café et les biscuits qu’elle déposa sur la table de jardin. Sarah lui fit signe de s’installer sur ses genoux, dans le fauteuil. L’ayant orientée de façon à ce qu’elle soit tournée vers moi, elle releva ce qui restait de tissu pour masquer sa pudeur puis d’un léger coup de griffe sur l’intérieur de ses cuisses, lui commanda de les ouvrir. J’eus la vision d’un mont de Vénus lisse comme l’albâtre et délicatement bombé au dessus d’une vulve aux grandes lèvres pleines et tendrement ourlées où affleuraient en vaguelettes les chairs plus foncées des petites lèvres. Elle portait elle aussi un anneau d’acier de bonne taille au clitoris. Sarah commença à jouer avec le métal, le faisant pivoter entre ses doigts ou rouler sous sa paume. Elle est belle, n’est-ce pas, ma petite putain ? demanda-t-elle en lui déposant un baiser dans le cou. Elle manque seulement de tout sens moral… Cette petite fente délicieuse qu’elle cache là, entre ses jambes, lui fait perdre trop vite la tête. Sarah tira d’un coup sec sur l’anneau, arrachant une plainte à son amante. Puis, élevant légèrement la voix afin d’être certaine d’être comprise, elle expliqua : -Je voudrais pourtant qu’elle soit témoin de ce que je vais vous avouer, à mon tour. Alors, elle redressa, laissa tomber sa robe et se présenta nue. Ses gestes avaient une élégance particulière. Certaines personnes ont plus de noblesse dans leur simple nudité que dissimulés sous leurs plus précieux habits. Je l’avais déjà vue nue, mais il me sembla pourtant que je redécouvrais son corps. Comme je l’ai déjà dit, la grâce qui en émanait tenait à ses proportions inhabituelles. La rondeur de ses épaules et ses bras fermes donnaient une impression de force sereine. Ses hanches étroites comme celles d’un garçon faisaient un étonnant contraste avec des seins lourds mais ronds et portés hauts. De son ventre où scintillait une perle incrustée au creux du nombril toutes les lignes convergeaient vers un pubis lisse et fendu particulièrement haut. Ses doigts jouaient à se croiser et se décroiser, trahissant la nervosité qui l’agitait. Au terme d’un très long silence, au cours duquel elle chercha probablement les mots les plus justes, elle releva le visage. Des larmes brouillaient ses prunelles. - Vous m’avez témoigné votre confiance en vous confessant à moi. Je vous ai avoué mes désirs les plus intimes. Nous nous sommes battus trop longtemps, pour résister à ce que nous éprouvions. Je ne suis pas une femme parfaite et je mérite sans doute mille fois d’être punie pour mon insolence, mon agressivité, mon égoïsme et tous les défauts que vous connaissez trop bien. Elle rayonnait d’une beauté secrète que j’eus le sentiment d’être le seul à percevoir. Chaque mot que ses lèvres prononçait s’incrustait au plus profond de moi. Dans un souffle, elle me fit l’aveu que j’attendais depuis tant de jours : - Monsieur, je vous désire pour maître. Sa poitrine se soulevait rapidement. Deux larmes glissèrent tout au long de son visage. - Je n’exige pas que vous m’aimiez, je n’exigerai jamais rien de vous. Prenez-moi comme il vous plaira. Soudain dégrisé, je réalisai qu’elle m’offrait son amour, qu’elle se donnait à moi, sans réserve ni condition, dans un élan de passion. L’empoignant par les cheveux, mais sans brutalité, je l’entraînais vers la table du jardin. Tout en la faisant ployer la buste sur la surface froide du métal, je l’incitais du bout de la chaussure à écarter les jambes. Quelques gouttes de pluie s’écrasèrent dans l’herbe. Cléo s’était approchée. Je lui indiquais par geste de maintenir solidement les poignets de sa maîtresse au-dessus de sa tête. Ainsi offerte, Sarah sembla se détendre, elle tourna le visage de façon à poser sa joue contre la table et accentua légèrement la cambrure de ses reins. Son anus, petite étoile de chairs resserrées, s’offrit dans l’entrebâillement de ses fesses. Libérant ma verge de mon pantalon, je la posais à l’entrée de son orifice étroit puis, d’un seul coup de reins, la forçai au plus profond. Sarah laissa échapper un long feulement de douleur. La pluie commença à tomber. Je me reboutonnai et abandonnai Sarah à l’averse.
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Par : le 21/04/20
Le duc observe sa femme avec une expression de profonde satisfaction. "C'est vraiment une adorable petite chienne bien obéissante. Elle a un beau physique mais surtout une tête bien faite . Sa façon de traiter les conflits latents m'aide beaucoup. Et puis ce corps, qu'il réagit donc bien aux sévices ! Quel plaisir de contrôler sa jouissance ! De la faire monter jusqu'au ciel pour la ramener brutalement plus bas que terre !De caresser sa blanche peau si fine ! De la strier de coups de badine pour la faire rougir !De palper si fort ses seins et son ventre que des traces de doigt apparaissent ! De l'empêcher d'exprimer son plaisir puis de le lui autoriser ! De l'entendre hurler à la lune comme une louve en chaleur !Et quand je le veux, la laisser se tordre de plaisir sous mes doigt ! Que de satisfaction elle m'apporte !Babette la prépare bien et elles y trouvent toutes deux du plaisir. Il faudrait que je la récompense cette petite esclave. Je ne lui dois rien, c'est certain, mais son dévouement n'en sera que plus sincère. Qui travaille mieux qu'une esclave comblée? Puis sa p'tite chatte est douce à ma queue. Et sa longue langue pénètre bien mon anus quand je ramone mon épouse. Mon plaisir en est amplifié grandement. Elle est avec mon valet qui va la punir un peu et elle ne s'attend sûrement pas à jouir dans l'écurie. Puis il sera plus tendre. J'ai senti l'attirance qu'il n'ose lui déclarer. Il me sert bien et s'il se marie avec elle je les aurais encore plus près de moi. Il n'ira pas chercher une autre calèche à conduire. Babette sait bien obéir. Elle devrait lui convenir. Bon fini de rêver. Que fait ma duchesse aux pieds nus? Son repas est presque fini . Je vais la laisser dormir un peu . Holà Martin. Viens donc par ici! » L'aubergiste approche, un pichet de vin à la main. "Oui Monseigneur? ---Trouve une couche moelleuse pour mon épouse. La matinée a été difficile pour elle au château. Elle a besoin de dormir au calme et au chaud. Fais la marcher en laisse compris? ---Oui Monseigneur. Nous avons une nouvelle couche dans l'alcôve de l'autre côté du mur. Elle jouxte la cheminée et la chaleur se diffuse doucement. Je pense que Madame y sera bien. ---Parfait. Et je compte sur toi pour t'assurer qu' elle ne soit pas dérangée. Elle est très fatiguée. ---Oui Monseigneur, je veillerai sur elle. " Martin s'approche de Dame Blanche qui somnole près de sa gamelle, il saisit doucement la poignée de la laisse et fait cliqueter celle-ci. Entendant ce signal bien connu Blanche se redresse promptement sur ses genoux. Elle se laisse guider après un petit regard inquiet vers le duc. D'un geste désinvolte de la main et d'un sourire il la rassure. Confiante, la jolie petite chienne suit Martin jusqu'à l'alcôve cachée derrière le mur. Elle grimpe sur la couche et s'installe en chien de fusil. Avec tendresse Martin étale sur son corps une douce fourrure. Épuisée, Dame Blanche s'endort. Dans l'écurie Babette craignait d'être violentée , mais c'est avec douceur que le domestique l'a prise sur la paille. Il a même étalé une couverture ramassée sur la demie-porte d'une stalle vide. Elle s'est laissée faire puis son corps s'est éveillé au plaisir. De doux frissons ont commencé à la parcourir . Son sexe s’est ouvert sous des doigts agiles, les pointes de ses seins se sont dressées sous une bouche gourmande et son moulin à miel a inondé sa chatte de cyprine. L'homme à défait sa ceinture de toile et a pénétré d'un coup sec la femme offerte. Les mouvements des bassins se sont très vite accordés et une jouissance rapide a explosé en eux. Les regards se sont croisés, les bouches ont souri et ils ont partagé un vrai et long baiser. Se tenant par la main, les deux nouveaux amants ont quitté l'écurie pour se rendre au verger, certains d'entendre les appels du duc . Les autres invités ont fini de manger et s éloignent en marchant un moment. C'est un instant de détente et de repos pour tous. Les deux soumises sont attachées sous un banc, à l'ombre. L'homme quant à lui a été installé au piloris extérieur . Son sexe piqué par un crochet présente un angle curieux avec son corps. Des cordes dessinent des formes sur son dos. La position tire sur ses muscles mais il peut bouger un peu. C’est un moment de détente pour tous, ce temps de la sieste de la duchesse. Les deux dominants et la maîtresse discutent taxes et récoltes. Le duc s'est levé, appuyé au chambranle de la porte arrière de l'auberge , son corps chauffé par le soleil de ce radieux début d'après-midi de printemps, il observe tel un félin son petit monde complice de ces moments de débauche. Ils se connaissent depuis longtemps et leur amitié a grandi en même temps qu'eux. Malgré les sermons des prêtres et de l'évêque d'Etampes, ils n'ont jamais arrêté leurs jeux sexuels. Ils ont tous tentés de mener une vie plus ordinaire, sans ses pratiques particulières, mais ils n'étaient pas heureux. Les soumis les provoquaient trop souvent car eux aussi connaissent les affres du manque et de la chasteté relative. Alors le Duc avait instauré ces rencontres certains dimanches. Cela n'avait provoqué ni intempéries ni maladies ni catastrophes comme il l'appréhendait un peu au tout début. Et il ressentait un vrai bien-être après. Sa première épouse était morte en mettant au monde un bébé difforme qui n'avait pas vécu. Il s'était demandé s'il existait un lien avec ses activités sexuelles. Mais il l'avait traitée avec respect et douceur, pas en soumise ni chienne. Ceci était une autre partie de sa vie, une partie secrète . Cette année-là il y avait eu plusieurs décès de femmes en couches dans toute la région. La rebouteuse n'avait rien pu faire. Les familles avaient pleuré les mortes et payé des messes. Mais le duc ne croyait pas à l'efficacité de cette protection . Il avait commencé à rechercher une nouvelle épouse très vite. La petite Damoiselle Blanche avait présenté de nombreuses qualités qui avait amplifié avec le temps. Il ne regrettait pas son choix. La dot avait été chiche mais la belle était vraiment à son goût. Il avait ressenti son désir de plaire et son goût de la soumission dès les premières rencontres. Il avait patienté plusieurs années afin qu'elle ait grandi un peu. La loi l'aurait autorisé à l'épouser à quatorze ans à peine mais il avait préféré la laisser mûrir un peu. Il n'était pas certain que sa jeunesse ait été très heureuse d'après les rares confidences reçues. Bien sûr il était ravi de sa soumission mais il se demande encore si son "père" et dame Gertrude n'avait pas forcé un peu. Son épouse parle peu . Elle aime son collier d'une manière surprenante pour une aussi jeune femme. Il doit l'accepter telle qu'elle est. Son plaisir est extraordinaire, comme beaucoup plus intense que les autres soumises qu'il a éduquées. Son esprit est d'une grande finesse. Elle est brillante dans ses raisonnements et curieuse de tout pour une femme. Son habileté à broder montre une grande concentration et un vrai goût artistique. Elle aime les moments calmes, comme si un grand feu éclairait son cerveau ou si un grand vent l'agitait. Elle peut rester assise à écouter le vent comme s'il lui parlait. ----"C'est une jeune femme un peu étrange mais elle semble se plaire au château, même attachée sur le lit, le gode de bois bien enfoncé dans l'attente de ma venue. J'aime jouer avec son corps. Il est si réceptif. Bon fini de rêvasser, je lui ai promis une promenade en forêt. Allons la réveiller. " Et le duc siffle un grand coup les deux doigts dans la bouche. Babette et le valet arrivent en courant main dans la main. Le duc retourne dans l'auberge et regarde tendrement son épouse encore à moitié endormie. Il caresse sa tête doucement, se penche et murmure :" Prête pour une promenade en forêt petite chienne?" Blanche ouvre vivement ses yeux et se positionne puis frotte sa tête sur l'entrejambe et provoque une rapide érection. "Tourne toi donc." À peine le demi-tour effectué et après quelques claques assenées sur la croupe tendue il la prend rapidement en levrette et jouit très vite. "Ta chatte n'attendait que cela Jolie puterrelle." Blanche gémit « Oui Maître » Le duc caresse ma tête, je sens sa main descendre le long de mon cou, masser mes épaules puis mes côtes. Je gémis de plaisir. Puis je me mords les lèvres et mes yeux cherchent son regard. Ses sourcils froncés me montrent son déplaisir face à mon gémissement. Aussitôt je m'aplatis et noue mes mains sur ma nuque. Il caresse ma tête et murmure : « Ne recommence pas. Tu sais que tu dois être la reine de silence. Tu pourras hurler ton plaisir de louve en forêt tout à l'heure. Enfin peut-être. Si tu es sage et silencieuse..... » Cette demi-promesse me comble de plaisir anticipé. J'aime tellement communier avec la nature quand mon plaisir est si intense que je ne sais plus si je suis femme ou louve, terre ou feu, plante ou air. Toute ma peau ressent l'air autour de moi, tout mon intérieur vibre au contact des mains de mon seigneur, mes genoux et la paume de mes mains ne font plus qu'un avec ma mère la Terre, mon nez aspire tous les parfums du monde et quand la virilité de mon homme entre en moi je meurs et revis plusieurs fois. Mon hurlement de louve vient du fond des âges. À travers moi s'exprime la jouissance des femmes du passé. Je ne suis plus moi. Je me demande parfois si les autres femmes ressentent la même chose? Le peu que j'ai perçu de leurs discussions ne le montrent pas. Mais elles ne savent pas être chiennes et retourner à l'état primitif et animal. « Stop Blanche! Silence la tête de chienne! Ton maître est là. Profite de ces instants. » Et Blanche relève un peu sa tête. Le duc lui sourit : « Viens, allons en forêt jolie petite chienne » Blanche descend souplement de la couche et s'assoit près de son maître. Il saisit la poignée de la laisse, glisse sa main dedans et avance doucement. Dans l'arrière-cour ses amis l'attendent , les soumises à leurs pieds. Le soumis à été détaché après plusieurs coups de baguette sur ses parties viriles et ses cuisses. Il attend au sol, sa maitresse debout sur le dos. Celle-ci écarte bien ses jambes et d'un coup de martinet sur les fesses lui ordonne de se mettre à quatre pattes, puis elle l'enfourche et se fait porter. La compagnie avance de concert vers le portail du fond qui ouvre sur un sentier de la forêt. Derrière sa fenêtre l'aubergiste les suit des yeux. Il trouve ses couples curieux mais qui est-il pour juger? Puis il finit de ranger avant d'aller s'étendre sur la couche où Dame Blanche a dormi et il s'endort très vite en pensant à elle. La compagnie se dirige vers le fond du jardin. Blanche et les deux autres soumises marchent au pied de leurs maîtres et la troisième jeune femme se fait porter sur le dos de son soumis à quatre pattes. Au bout de quelques pas elle descend gracieusement et prend le duc par le bras. « Savez-vous mon frère, que je me délecte de ces dimanches dans cet endroit si agréable ? Mon cher et tendre Guillaume en revient ravi et le plus attentionné des époux dont on peut rêver. » Avec une légère tape sur les fesses nues de son époux elle lui provoque une légère érection. L’odeur de l’herbe fraîchement coupée et ce léger contact lui rappelle sa première rencontre avec Dame Isabelle, la sœur du duc. Âgé d’environ huit ans il venait d’être placé comme page au château ducal et avait rejoint les autres enfants dans la prairie pour une des premières leçons de sa formation. Le duc et sa sœur étaient là, un franc sourire éclaira leurs visages en le voyant arriver. Une amitié étroite s’installa rapidement dans le trio. Ils devinrent vite inséparables et grandirent ensemble. Guillaume était en admiration pour la jeune Isabelle qui manifesta dès le plus jeune âge une grande force de caractère. Elle était l’égale des garçons dans bien des épreuves, sa force physique légèrement inférieure était compensée par une grande persévérance et une intelligence hors du commun. Petit à petit Guillaume se fit son chevalier servant, devançant ses souhaits pour la satisfaire. Et ce fût tout naturellement qu’elle devint sa maîtresse exigeante lorsqu’à l’adolescence ils découvrirent ensemble les jeux interdits. Sous le regard complice du duc une belle histoire commune commença. Deux autres écuyers avec leurs servantes ont complété le groupe. Les différents rôles se mirent très vite en place et chacun y trouvant un épanouissement personnel, se retrouvaient-ils dans cette auberge de manière régulière depuis de longues années. Quand ils furent en âge des épousailles c’est sans se poser la moindre question qu’Isabelle et son galant convolèrent en justes noces et s’établirent non loin du château dans une belle demeure appartenant au duc. Ils arrivèrent au bout de quelques minutes à la clairière sommairement aménagée pour leurs ébats. Au centre une grande table et ses deux bancs, à côté un piloris et des chaines, et de l’autre côté un cheval d’arçon, puis un vaisselier rustique, qui permet de poser les sacs, complète le mobilier de bois. Jeanne, une des servantes est installée sur le chevalet de bois. Les jambes bien écartées mettent ses orifices à hauteur de l’entrejambe des hommes. Babette ceint son front d’une large bande de cuir pour lui retenir la tête bien droite et sa bouche est maintenue ouverte par des mors de cheval adaptés à son anatomie de femelle humaine. Mariette, la deuxième, est déjà en position d’attente, à genoux, cuisses écartées, tête baissée, elle fixe l’herbe tendre, les doigts croisés derrière sa nuque penchée. Dame Blanche à genoux elle aussi frotte sa tête sur la cuisse du duc. Celui-ci la caresse d’un air distrait. Son beau-frère s’installe de lui-même au pilori et Jannot, le nouvel amant de Babette, resserre les sangles qui le maintiendront en place. Dame Isabelle sort un fouet d’un sac et caresse le dos de son époux silencieux. Puis elle lève un bras et le fouet claque. Guillaume sursaute et laisse un léger cri lui échapper. D’un claquement de doigts Dame Isabelle donne l’ordre à Jannot de bâillonner son soumis puis elle lui montre ses parties viriles que le serviteur s’empresse de comprimer avec une corde de chanvre. Son érection devient impossible et ses yeux se mouillent de frustration et de plaisir mêlés. De nouveaux coups de fouet claquent sur son dos vite marqué. Une pause lui est généreusement octroyée par son épouse qui vient l’embrasser puis le mordre avec tendresse. Jean et Marcelin ,les complices du duc depuis l’adolescence, arrachent des orties qui poussent au pied de la table. Ils ne se piquent pas car une longue expérience leur a appris à tenir ces plantes par les feuilles. Ils les posent sur la table et Babette s’empresse de les assembler avec un ruban en un petit fouet vert tendre. Jehan se place devant Mariette qui relève un peu la tête pour saisir la virilité de son maitre qui sort de son pantalon ouvert sur le devant. Il avait soigneusement choisi ce vêtement pour être bien à l’aise sans devoir se dévêtir. Il sort son sexe tendu et l’enfonce dans la gorge de la jeune femme qui s’étouffe un peu. Puis leurs mouvements s’accordent en un rythme sauvage. Jehan empoigne les cheveux de Mariette et lui impose sa volonté. Elle lève les yeux vers lui et lit dans son regard sa satisfaction. Malgré l’inconfort de la terre dure qui meurtrit ses genoux nus, la bave qui coule de sa bouche, ses yeux qui pleurent et son nez qui commence à couler, son crâne qui lui donne l’impression de se faire scalper, et le sexe de son amant qui pilonne sa glotte, elle retient ses haut-le-cœur et sent un frisson de plaisir rayonner de sa bouche malmenée. La main de Jehan se fait moins brutale, ferme mais plus tendre et Mariette sent son plaire jaillir en même temps que celui de son amant quelle avale goulûment. Derrière Fanchon écartelée sur le chevalet Marcelin tend la main et lui enfonce délicatement deux doigts dans la fente puis les agite tranquillement d’un air distrait. Il échange un sourire complice avec le duc lorsqu’il voit Dame Blanche frémir de plaisir en regardant sa servante se faire doigter ainsi. Il y a un certain temps déjà que les amis ont compris l’empathie de la jeune duchesse et qu’ils savent lui donner un plaisir rare sans la toucher. La petite chienne se tortille aux pieds du duc qui tire un peu sur la laisse pour l’immobiliser. Le plaisir ressenti fait pointer ses tétons en avant et la fait se redresser un peu, une petites tape sur la tête lui fait comprendre qu’elle doit se rabaisser très vite. Elle obtempère car elle ne veut pas indisposer le duc. Aux pieds de mon époux, les yeux fixés sur l’arrière-train de Fanchon je sens ma grotte commencer à s’humidifier et je ne peux m’empêcher de gémir. Sur un claquement de doigts Babette s’approche et me bâillonne avec un grand foulard de soie douce. Je bouge tout doucement pour frotter mon entrejambe et ainsi mon didi me procure de doux frissons. Je tente de rester discrète mais mon sourire me trahit. Mon Maître tire sur mon collier et je me redresse à genoux. « Cesse donc petite chienne ou tu vas être punie. Je suis maître de ton plaisir, ne l’oublie pas ! » Je baisse les yeux mais sous mes paupières mon regard se glisse vers les fesses tendues de Fanchon et je frémis encore. Marcelin sourit de plus en plus et claque vivement sa servante qui pousse un cri de surprise. Je ne peux contrôler mon corps qu’un spasme parcourt. Le visage de mon époux est rayonnant et il me caresse tendrement le crâne. Marcelin continue de fesser Fanchon qui crie de plaisir en se mordant les lèvres. Moi je me balance au rythme du son dans un mouvement hypnotique. Le duc me soulève et dans ses bras je me sens fondre. Ses doigts glissent sur mon dos et je peux compter mes os du dos, un courant de chaleur me traverse, j’ai envie de crier mais me retiens : je n’en ai pas l’autorisation et ne souhaite surtout pas interrompre ce moment parfait, surtout que je sais que le duc mon époux va me donner beaucoup de plaisir si je suis une petite chienne bien obéissante. Toujours debout il positionne mes mains sur la table et m’écarte doucement les cuisses. J’entends le froissement des vêtements de Babette qu’elle enlève et lance sur le vaisselier à côté des sacs. Puis elle se glisse sous la table pour me lécher. Marcelin passe devant Fanchon et introduit son sexe turgescent dans la bouche de sa soumise qui bave en souriant. Jannot saisit le bouquet d’orties et lui caresse les cuisses puis il sort une badine du sac pour la frapper de quelques coups secs sur la vulve gonflée. Mon corps se cambre par solidarité, et la langue de Babette s’active pour me donner encore plus de plaisir. Mon époux pose la laisse sur la table à côté de moi et vient s’asseoir en face. Il soulève mon menton, descend le bâillon et m’embrasse langoureusement les lèvres. Sa langue écarte avec douceur mes dents et touche la mienne. Tels deux rubans dans le vent elles s’enroulent et j’ai l’impression que nous ne sommes plus qu’un seul être, comme dans les légendes des dieux romains dont les baisers et les ébats déclenchaient tremblements de terre et éruptions de volcans. Mes yeux dans ses yeux couleur du ciel d’été j’ai l’impression de me noyer, tout mon corps frémit. Babette enroule mon didi de sa langue puis celle-ci se crée un chemin dans mon sexe . Je ne peux rien exprimer mais mes narines soufflent comme celles du taureau sous le plaisir diffusé de partout. Les mains du duc avancent vers mes mamelles si lourdes de désir. Il en saisit les pointes et tire délicatement en tournant. Le plaisir et la douleur mêlés font mouiller mes yeux et mon souffle s’accélère. Ses lèvres quittent les miennes et dans un sourire moqueur il murmure : « Exprime-toi belle louve Blanche , tu peux faire du bruit, dans ma grande bonté je t'y autorise ». Et un son rauque jaillit, au rythme du plaisir provoqué par la langue de Babeth. Le duc se déplace pour venir derrière moi. Babeth s’empresse de se baisser et je sens les doigts du duc si habiles à tailler des flèches s’agiter dans mes orifices. Puis son membre tendu pénétré mon petit trou arrière et je gémis de plaisir et douleur mélangés. Il en est ainsi à chaque fois, comme si c’était une première fois. Pourtant il y a longtemps que j’ai découvert le plaisir de ce côté-là ! Les vas-et-vient du duc dans mon fondement et ses mains qui massent mon dos, la langue de Babette qui s’agite, la rudesse du bois de la table sur lequel frotte la peau si fine de mon ventre me procurent un tel mélange de sensations que je me sens partir, je gémis, je crie, je grince comme une vieille porte mal fermée, et dans un son rauque mon hurlement de louve jaillit et se répand dans la clairière et au-delà. » Dame Isabelle avait détaché son époux et blotti sous sa jupe, sa langue habile et ses doigts si fins la font jouir. Marcelin pilonne sa belle Fanchon dont les cris moindres accompagnent ceux de Dame Blanche et Mariette offerte à Jehan qui lui tient le corps cambré en tirant sur ses cheveux a un plaisir plus discret mais tout aussi intense. Le pauvre Jannot debout contre la table ne peut que contenir son envie. Un serviteur ne prend pas son plaisir sans autorisation et le regard du Maître est sans appel. La tête baissée, le regard vers Babette il serre les dents de frustration. Ses besoins de plaisir assouvis, le duc claque des doigts et les dominants ajustent leurs vêtements. Puis il indique à Babette de libérer Fanchon et de prendre sa place. Il fait ensuite signe à ses amis qu’ils peuvent aller se faire toiletter par son esclave. Celle-ci lèche les sécrétions avec applications. Et Jannot agenouillé voit défiler devant lui les chattes des servantes qu’il s’empresse de nettoyer. Puis le duc l’autorise à se soulager sur le dos de Babette qu’il léchera ensuite pour la nettoyer. Ce dernier acte terminé, les soumis à quatre pattes, les Maitres et la Maîtresse devant, Jannot et Babette portant les sacs, toute la compagnie reprend le chemin de l’auberge pour aller partager un en-cas bien mérité. Le soleil se cache derrière la forêt, la fraîcheur tombe et les peaux nues frissonnent. L’aubergiste a préparé du vin chaud et de la viande grillée qu’ils vont partager autour de la grande table de chêne.
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Par : le 15/04/20
Le soleil qui brille à travers les fenêtres fermées vient chauffer le ventre nue de Dame Blanche. Son mari le Duc lui a fait tendrement l'amour hier au soir. Babette l'avait bien apprêtée en début de soirée : une longue toilette où ses doigts si fins avaient pénétré ses orifices afin de bien les assouplir, un onguent acheté chez l'apothicaire de la grande ville d'Etampes pour assouplir sa peau et le si doux parfum aux pétales de rose . Le seul moment désagréable avait été lorsqu'elle avait introduit dans sa croupe toute cette eau. L'anus maintenu écarté de sa main gauche, Babette avait vidé trois carafes d'eau tiède. Dame Blanche avait senti son ventre gonfler sur le tabouret de bois près de la cheminée . Entièrement nue des frissons parcouraient son corps. Mes mains au sol, bras pliés et jambes tendues,je sens les doigts de Babette s introduire dans mon petit trou arrière. Elle agit avec délicatesse et un frisson de plaisir anticipé parcourt mon ventre. Je suis entièrement nue, mes cheveux tirés sur le sommet de mon crâne me font un peu mal. Je m'attends à des coups de badine mais ne sens que les doigts de ma servante. Puis l'eau pénètre mon corps. Mon mari et Maître aime cet endroit pour y fourrer son membre rigide que souvent je suce bien au préalable. Mais il me veut propre et donne des consignes que Babette suit avec délectation. Je sais qu'elle aime me remplir puis m'empêcher de laisser couler l'eau trop vite. Elle jubile de fermer mon trou de son poing serré. Et la pression me fait gémir de douleur. Mais je ne crie pas sinon je serais muselée avec cette boule de chiffons au fond de la gorge qui me fait toujours pleurer tellement j'ai du mal à respirer. Et cette douleur n'est point si terrible. Je l'ai apprivoisée depuis le temps, mais ne le montre pas. Je ne sais combien de temps dure ce supplice, mais mon ventre gargouille et j'ai honte. Enfin elle enlève son poing et l'eau puante jaillit par à coups vers le grand bol creux dédié à cette opération. Mon didi se frotte au bois rugueux, ma chatte s'écrase contre le tabouret et un frisson de plaisir se déroule du creux de mon ventre vers le haut de mon dos. Involontairement je me tortille mais une grande claque sur ma croupe tendue interrompt vite mon plaisir. Je sens le poing de Babette boucher de nouveau violemment mon anus et je pousse un cri de plaisir pur. Elle recommence une deuxième fois et mon cri jaillit. Heureusement que les murs sont épais et absorbent les sons, ce cri reste enfermé dans la chambre . Mon corps arc-bouté se détend et s'affaisse, un doigt joue avec mon didi. Je me sens bien. Madame a encore joui. Monsieur sera content. Je finis de la laver et vais la laisser. J'ai des frissons moi aussi et mon majeur joue avec mon sexe pendant que je titille Madame. J'espère que Monsieur le Duc prendra un peu de temps pour moi. Dame Blanche se relève lentement et sa main appuie tendrement sur l'épaule de Babette. Il faut peu de temps pour finir les préparatifs de la nuit tant elles sont habituées à ce rituel. Avec un tissu doux et humide les sanies de madame sont essuyées. Le parfum est tapoté sur tout son corps avec brutalité. La peau sera déjà un peu rouge comme le maître aime. Les cheveux rapidement fixés de quelques épingles pourront couler librement en cascades dès que le maître tirera dessus. Il aime les caresser mais aussi saisir violemment cette tignasse pour guider Dame Blanche quand elle aspire sa pine tout au fond de sa gorge et qu'elle se délecte de son jus. Dame Blanche s'est offerte à son seigneur dès la porte ouverte : à peine recouvert d'un voile léger , en position au bord du lit telle la chienne en chaleur qu'elle est, son corps tendu vers le maître, Messire le Duc peut disposer de moi selon son bon vouloir. Hier j'ai attendu longtemps, je l'entendais marcher dans la pièce, de la fenêtre à la cheminée, puis sa main frôlait mon arrière-train ou le bruit d'une claque me surprenait. Puis il s'est assis près de ma tête et l'a caressée en défaisant ma coiffure. Il a tiré sur une mèche et l'a fourrée dans ma bouche pour me baillonner. Sa main m'a caressée longtemps, il connaît les parcours à suivre pour faire monter mon plaisir. Deux de ses doigts parcourent tous les os de mon dos un par un, puis ils dessinent des spirales sur mes épaules détendues et redescendent vers mon cou. Je ne dois rien exprimer. Le silence doit régner. Je ne dois pas bouger non plus et je suis très concentrée pour rester immobile. Les premières fois je ne savais pas répondre à son souhait . Mais quelques coups de fouet m'ont vite fait comprendre : Pas bouger la chienne! Pas bouger! Dame Gertrude avait omis cette leçon. J'ai appris vite et je crois que le Duc est satisfait maintenant. Puis un claquement de doigts fait sortir Babette de son coffre déjà ouvert. À quatre pattes et nue aussi, elle vient sous mon ventre me lécher. Me retenir de manifester mon plaisir est un vrai supplice. Puis il repousse son esclave, me dispose doucement sur le dos,écarte mes jambes frémissantes et les relève. Babette suce son sexe tendu puis le guide dans ma chatte. Elle se faufile derrière lui pour prendre en bouche ses boules. Il se penche vers moi, sa langue force mes lèvres qui ne demandent que ça et s'enroule autour de la mienne. Nos salives se mélangent , son sexe entre et sort doucement du mien , ses grandes mains rugueuses d'archer palpent mes seins fermement. Le plaisir monte de mon ventre en feu ,je sens les doigts de Babette jouer avec mon didi qui se redresse le plus qu'il peut. Je ne dois pas bouger ni gémir. Seul un halètement sourd me trahit. Mon seigneur mord mes lèvres pour stopper cette manifestation. Ses yeux dans les miens il se soulève et me sourit. Ses dents si blanches brillent de salive. "Vas-y crie ton plaisir petite louve sauvage. Je t'y autorise! " murmure-t-il tendrement près de mon oreille. Et telle la louve dans la forêt montée par le mâle dominant de la meute, un hurlement jaillit du plus profond de ma gorge. " Oui jouis belle louve sauvage, demain nous irons en forêt. .." Un torrent de lave parcourt mon corps, je ne sais plus qui je suis. Mon cri s'arrête un instant et reprend plus fort encore. Mon Maître bouge à l'entrée de mon sexe puis il senfonce et se heurte au fond de ma grotte. Après de puissants va-et-vient qui me font glisser vers le haut du lit. je sens jaillir ce liquide doux et chaud de mon corps au même instant où mon aimé lâche son foutre. Il s'écrase sur moi dans le spasme de cette petite mort si appréciée mais ses bras tendus l'empêchent de m'écraser. Il souffle dans mon cou et laisse échapper : " Merci ma jolie petite louve sauvage de partager mon plaisir. Tu seras récompensée. "Puis il se relève, fourre son sexe ramolli dans la bouche de son esclave. Le moment parfait est terminé : " Toilette esclave!" Celle-ci s'empresse d'obéir et le maître satisfait s'éloigne pour rejoindre ses hommes. Il reviendra dans la nuit. ..ou pas. Il n'a pas usé de ma croupe pourtant il sait que j'aime ça et qu'elle est prête pour son plaisir. Cela me laisse bon espoir qu'il me rejoigne dans la nuit. J'aime être réveillée par ses doigts qui me fouillent et m'écartent pour préparer le chemin à son sexe dressé. Le plaisir me saisit très vite et il s'en aperçoit. Ce soir il visitera sûrement l'arrière et me comblera. Au milieu de la nuit le léger grincement de la porte me réveille mais je ne dois pas le montrer. Mon Maître soulève la couverture en laine si douce qui me couvre. Ses mains me mettent dans la position qu'il préfère, sur le ventre,les fesses redressées. Je me laisse faire comme poupée de chiffon. Il me pénètre d'un coup lent et je sens des doigts pincer mon didi. Je gémis, plaisir et douleur mélangés en écartant encore plus les cuisses. Ses bras vigoureux me retiennent et nous jouissons rapidement ensemble. Il se laisse tomber sur le côté, sa main caresse mes seins. Épuisée, comblée, je me rendors. Le soleil qui brille à travers les fenêtres fermées vient réchauffer le corps nu de Dame Blanche. Elle s'étire et tape de joie dans ses mains. Des sécrétions coulent de son sexe ouvert par sa position. Babette s'empresse de venir toiletter sa maîtresse. Nous sommes dimanche. C'est le jour convenu lors des fiançailles où Dame Blanche enlève son collier de servitude que Babette lui met tous les lundis. C'est le jour où Babette lui obéit. C'est le jour où son mari la traite en duchesse. C'est le jour qu'elle trouve parfois long car ce rôle lui pèse. Elle préfère être chienne. C'est inscrit dans le fond de son âme depuis sa plus tendre enfance. Elle s'arrange même parfois pour contrarier son époux afin que la trêve soit rompue et qu'elle retrouve sa place préférée, à quatre pattes à ses pieds, loin des regards. Son corps quasi parfait habillé d'une robe sobre de laine bordeaux, elle descend royalement le grand escalier pour aller se sustanter dans la salle à manger. La cour du Duc l'admire pour son esprit. Les dames lui demandent parfois de régler certains petits litiges qui leur empoisonnent la vie. Malgré son jeune âge, Dame Blanche analyse très vite la situation. Elle ressent fortement les jeux de pouvoir qui règlent la vie de toutes ces personnes à qui l'hérédité, la chance,ou les qualités personnelles avérées ont donné fortune et pouvoir. Avec son intuition elle saisit les non-dits et les allusions. Elle perçoit dans les attitudes beaucoup d'informations qui contredisent les mots entendus. Alors tous les dimanches elle se prête à la comédie que joue la société. Mais cela l'épuise, toute son énergie est aspirée par trop de personnes cotoyées dans un espace restreint et un si court laps de temps. Au bout d'un moment elle aspire à retrouver sa solitude et les bras énergiques de son maître qui savent si bien lui redonner de la force. Mais c'est important pour lui, et elle joue son rôle à la perfection. Si cela n'était pas aussi fatigant elle prolongerait cette activité. D'autant plus qu'elle sait si bien dénouer des situations et des relations toxiques et complexes. Son mari perçoit la fatigue qu'elle ressent et qui ternit son regard si bleu. Alors pour le repas qui suit la messe de onze heure il l'emmène se ressourcer dans une auberge en forêt où ils passeront ensemble l'après-midi. Le tavernier est un véritable ami du couple. Il connaît et sait garder le secret de son seigneur. Son auberge est réservée tous les dimanches pour le Duc et un petit groupe d'invités triés parmi le premier cercle de la cour. Dame Blanche y retrouve celui qu'elle a longtemps tenu pour son père. Pour aller à la chapelle du château en partant des appartements privés, on doit traverser un petit salon. Seuls le Duc et son épouse passent par là. L'aménagement est particulier et ressemble plus à celui d'une salle de torture qu'à celui d'un boudoir pour nobles dames. Babette seule s'occupe de son entretien. Le Duc apprécie le côté provocateur de la situation de ce donjon dans le château. Cette pièce dédiée à son plaisir que certains qualifiraient de pervers est située derrière la porte de la loge privée de la chapelle. Il aime franchir cette lourde porte de chêne ornée des armoiries de ses ancêtres qui sépare matériellement les deux aspects de sa vie, comme si elle représentait dans le mode matériel la frontière de son monde onirique. Une fois cette porte franchie de la maison de Dieu vers le château, il quitte mentalement son vêtement de noble français pour dévoiler cette personnalité un peu sombre d'homme dominateur qui prend son plaisir à humilier sa femelle réduite à son animalité. Il lui fait révéler son potentiel de soumission volontaire qui la conduit dans un état second qui comble son corps et son âme. Il avait demandé sa main après leur première rencontre au cours de la grande messe de Pâques à Etampes. Son regard perdu au milieu de la foule, collée à son beau-père et à sa servante lui avait révélé ce potentiel. Obtenir sa main fut un jeu d'enfant. La promesse de rejoindre son premier cercle avait suffi à séduire le petit noble désargenté. Quelques explications sur le prédressage et une invitation à l'auberge avait éclairé le petit comte et sa Dame Gertrude sur l'éducation qu'il souhaitait pour sa fiancée. Il était satisfait du résultat obtenu.La jeune Dame Blanche s'était révélée une soumise de premier choix. Son esprit différent l'aidait aussi beaucoup dans de nombreux domaines. Il avait vite compris que ces moments de soumission nourrissaient son âme d'un très grand plaisir cérébral et qu'il partageait avec elle des moments parfaits de communion physique et intellectuelle. Il lui confiait de nombreux détails de sa vie de Duc, responsable de nombreuses âmes et terres. Sa façon rafraîchissante de voir les choses le comblait. Aussi mesurait-il la force de ses coups et la durée des sévices qu'il lui infligeait. Il avait appris à lire son corps pour diriger et maitriser son plaisir. Son sourire radieux et ses yeux bleus si brillants dans la jouissance, parfois dans la souffrance, lui montraient qu'il ne se trompait pas. Elle rayonnait telle la sainte vierge Marie des vitraux quand le soleil couchant la traversait . Ainsi ce dimanche matin avait été usant pour son épouse. Il avait vu sa tête se redresser plusieurs fois, et sa bouche se pincer de fatigue. Il était conscient de lui en demander beaucoup. Il ne devait pas oublier qu'elle n'avait pas encore vingt ans. Ils iraient à l'auberge de la forêt très vite après la messe pour y manger le repas spécialement préparé pour eux par son ami Martin. Mais il fallait suivre la messe d'abord. La matinée a été éprouvante pour Dame Blanche. Elle est épuisée de ces jeux de pouvoir qu'elle doit réguler. Elle cherche le regard de son époux qui lui sourit. Il s'approche, pose sa grande main sur sa taille, et murmure à son oreille :"Nous irons en forêt si tu es d'accord pour rompre la trêve " Il sent son corps se redresser, il aperçoit du coin de l'oeil son sourire radieux revitaliser son visage et chasser la fatigue. Elle se tourne vers lui rayonnante et donne son accord dans un murmure :"Qu'il en soit ainsi doux seigneur. Votre servante vous remercie de cette belle proposition. " Il a gagné, elle a accepté. Elle a gagné, il lui a proposé de remettre son collier. Et tendrement enlacés, le Duc annonce que la messe va commencer. La noble compagnie se dirige vers les grandes portes qui donnent sur la cour d'honneur du Château pendant que le duc entraîne sa douce vers le petit salon. Il prend sa main et la guide. Ils traversent le grand hall d'entrée puis la bibliothèque. Le duc est instruit. Il aime les livres et permet à Dame Blanche de se réfugier dans cette grande pièce quand elle a besoin de solitude. Puis ils franchissent la porte du petit salon. Dame Blanche sourit aux souvenirs de sa première séance dans cette pièce. Le duc sourit de la voir ainsi. Il caresse la badine et le fouet accrochés à portée de main dès la porte franchie. Il fait cliqueter les chaînes négligemment suspendues au plafond. Il entraîne sa soumise vers le piloris et ouvre celui-ci d'un air gourmand. Dame Blanche le caresse, un petit bout de langue rose pointe entre ses lèvres closes. Mais non, une autre fois, aujourd'hui nous allons en forêt. À cette idée elle ressent un plaisir anticipé, sa grotte commence à mouiller, son clitoris se redresse, ses lèvres inférieures semblent vouloir s'ouvrir, la point de ses seins défient la gravité, ses yeux brillants croisent ceux de son maître et tout son corps se tend vers lui dans un soupir. Il la serre dans ses bras musclés, sa main appuie la tête de Dame Blanche sur son torse viril et caresse ses cheveux. Il sent ce petit corps si féminin frémir et se détendre , au contraire de son sexe qui se tend à ce contact. Sa main monte et descend le long de ce doux corps confiant qui se laisse aller. Il entend un petit gémissement de plaisir et sourit. D'une légère tape sur les fesses de sa dame le seigneur obtient le silence complet. Elle n'ose plus bouger. Mais elle ne maitrise pas les mouvements involontaires que le plaisir provoque. Et telle une chatte heureuse on dirait qu'elle va ronronner. Cet instant parfait est interrompu par les cloches de la chapelle. Le seigneur éloigne sa dame de lui en murmurant :" Plus tard, plus tard je vous le promets. "Je souris de cette promesse qui sera tenue. Je connais mon seigneur. La messe est enfin terminée. Je me suis levée et assise quand il le fallait. J'ai chanté les psaumes en latin sans comprendre un seul mot. Je dois penser à demander au duc l'autorisation d'apprendre le latin avec ce jeune moine chargé des enluminures des livres anciens et sacrés. Je suis certaine que cela me permettra de lire tous ces si beaux livres de la bibliothèque du château. Ah! voici le moment de la communion. Comment mon époux peut-il ne pas rougir en acceptant l'ostie des mains du prêtre? Je ne suis pas sûre que son âme sera sauvée vu ce qu'il me fait subir. Non je ne dois pas penser cela . J'aime cette soumission que je vis avec ce si bel homme puissant et noble. Cet amour qu'il me porte est sincère et me donne grande satisfaction. Je peux vivre en réel tous ces rêves sulfureux que les coups de badine de Dame Gertrude m'ont appris à aimer. Mon cerveau s'arrête enfin et je retourne à cet état primitif, animal même durant lequel mon corps toujours affamé de sensations exulte de jouissance. Il croit m'humilier en me traitant comme une chienne mais c'est un état de béatitude totale auquel j'aspire en permanence. Nous allons sortir dignement. Je ne dois pas oublier de saluer les amis de mon maître et ces péronnelles qui les accompagnent. Non ce n'est pas bien de penser ainsi. Heureusement que mes pensées ne se voient pas, sinon je serais très fort punie, même si certaines ne verraient pas un cheval dans un troupeau de vaches. On ne le leur demande pas d'ailleurs. Un sourire étire la bouche de Dame Blanche à la sortie de la chapelle. Sa main dans celle de son seigneur et maître elle se dirige vers la calèche ducale tirée par quatre beaux chevaux à la robe brune. Un vallet maintient la porte ouvert, Dame Blanche monte dignement, et Babette se faufile à ses pieds. Monsieur le duc lui sourit et monte sur son alezan qu'un de ses compagnons lui présente avec déférence. La calèche démarre lentement puis accélère un peu une fois les grilles du parc franchies. Babette s'est glissée sous les jupons de la duchesse. Ses doigts fébriles dénouent les lacets qui maintiennent les deux jupons à la robe. D'une main agile elle dévêt Dame Blanche. Celle-ci se retrouve en calicot blanc à dentelle et ses cheveux dénoués remplacent joliment le grand châle rouge qui a glissé sur la banquette. Un frisson de froid la parcourt. Ou est-ce de l'anticipation de ce qui va se passer après le déjeuner? Babette ramasse le châle et le replace sur les épaules dénudées de sa maîtresse. Puis elle reprend sa position à quatre pattes, la tête sur les petits pieds de Dame Blanche, ses genoux vite rougis par le sol rugueux de la calèche. Celle-ci s'arrête brusquement. Les deux femmes surprises se regardent. Le duc ouvre la portière et pose un collier de cuir et une laisse métallique sur la banquette. " Babette tu as oublié ceci! Attends toi à une punition! Et prépare bien ma chienne! " dit-il en souriant d'un air mi-cruel mi-tendre à Dame Blanche. Celle-ci baisse les yeux devant son seigneur mais un petit sourire relève les coins de sa bouche parfaite et ses lèvres qui savent s'écarter suffisamment pour que le membre de son maître entre jusqu'au fond de sa gorge quand elle se tient à genoux devant lui s'étirent. Elle craint de s'étouffer à chaque fois. Mais monsieur le duc maitrise parfaitement la situation comme toujours et le plaisir, tant donné que reçu, est très intense pour le couple. Les yeux dans les yeux, elle à ses pieds et lui si droit, sa domination avérée procure frissons et jouissance à son esclave consentante. S'il tire sur sa tignasse décoiffée en appuyant sur le front tendu vers lui, la jeune duchesse Blanche ne sait plus où elle est tant le plaisir ressenti est intense, ses gémissements étouffés et ses yeux brillant de larmes contenues montrent au duc sa force et sa puissance et celui-ci apprécie ce grand pouvoir à lui accordé. Babette ramasse le collier et s'empresse de le disposer sur le long cou gracile de sa maîtresse qui soulève un peu sa chevelure pour lui faciliter la tâche. Babette se glisse sous le jupon blanc de fine toile brodée et écarte brutalement les cuisses de Blanche qui pousse un petit cri de surprise. "Allons Madame, vous avez le collier! Je sais ce que je dois faire. "Babette relève le jupon et expose ainsi le bas-ventre de Blanche à l'air. Les cuisses fortement écartées ouvrent la chatte de Blanche. Son clitoris se dresse et ses lèvres tremblent un peu au rythme des cahots du chemin empierré qui traverse la forêt et conduit à l'auberge de Martin. Babette crache sur ce sexe offert et laisse couler de sa bouche un long filet de salive tiède. Puis elle lèche doucement et mordille presqu'avec tendresse cette chair si tendre. Elle tire sur son propre jupon de coton épais et en fourre un morceau dans la bouche de Blanche. Celle-ci le mouille de sa salive abondante car elle connaît l'usage de ce bout de tissu. Il va servir à nettoyer son petit trou arrière et être forcé dedans pour que le maître daigne l'honorer. L'opération est renouvelée encore deux fois avant que le doigt enfoncé ne ressorte propre. Puis Babette monte sur la banquette et, à quatre pattes sur les genoux de Blanche , présente ses fesses. Elle sait qu'elle doit être punie et compte sur l'indulgence de la duchesse qui est moins sévère que son époux. La duchesse fesse sa croupe de plus en plus fort afin que sa rougeur prouve la réalité de la punition. Les doigts de l'esclave glissent sous le jupon et s'introduisent en douceur dans la chatte trempée de la soumise. C'est ainsi que le duc les trouve lorsque la calèche stoppe devant l'auberge. Son visage sévère et digne ne trahit aucun sentiment mais ses yeux brillent et les rides au coin des paupières s'étirent un peu, signe révélateur de sa satisfaction que peu de personnes savent décoder. Dame Blanche a les yeux baissés mais elle a surpris ce petit signal et un sourire heureux trahit son bonheur d'avoir déjà donné satisfaction à son seigneur. Elle repousse Babette et présente la laisse au Duc. D'un mouvement souple elle descend de la calèche et se positionne la tête sur les bottes de son maître, les jambes et les bras repliés, blottie le plus possible au sol, seule sa brassiere fine l'habille. Le duc satisfait tire le bras de son esclave et la jette au sol sans trop de rudesse. Le jupon retroussé, la croupe est offerte. Il claque des doigts et le vallet approche. "Tu peux t'amuser avec elle mais n'oublie pas qu'elle m'appartient. Et nourris la convenablement. " Le domestique saisit la tresse de Babette et la tire jusqu'à l'écurie. Blanche sent la botte seigneuriale appuyer sur son dos. Elle retient un gémissement de plaisir à se sentir ainsi traitée. Son dos se cambre et se baisse, ses cuisses s'écartent encore et son sexe humide s'offre à la vue de tous. Les amis du duc le complimentent de son obéissance mais personne ne se permet le moindre geste familier. D'une simple traction il dirige sa chienne consentante vers la porte de l'auberge. Les pavés de la cour sont douloureux aussi avance-t-il avec lenteur et noblesse pour qu'elle n'écorche pas sa peau si tendre. La porte franchie, le duc va s'asseoir à la table dressée et déjà servie. Il confie la laisse à Martin l'aubergiste qui a préparé une jolie gamelle en aulne, bois noble et de robe claire seul digne d'être léché par la petite duchesse. Il ne comprend pas très bien le comportement animal de celle-ci, mais il sait reconnaitre le rayonnement de bonheur qui émane de son visage lorsqu'elle admire son époux. Il la voit savourer avec volupté le moindre petit morceau d'aliments qu'elle a saisi avec ses dents dans la belle écuelle qu'il lui réserve tous les dimanches. Son attitude de chienne obéissante le choquait au début : "Une si jolie petite demoiselle ainsi réduite à ce rôle, devant Marie mère de notre seigneur, comment cela est-il possible? " mais il a senti le consentement réel, l'adhésion totale de la jeune femme et cela lui suffit. Le duc est juste, loyal envers ses administrés, il sait les récompenser de leur fidélité et Martin est heureux d'être celui qui abrite ses amusements dominicaux.
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Par : le 22/03/20
Toujours attachée aux montants du grand lit conjugal, la jeune dame Blanche attend son seigneur. Son bassin écartelé lui semble vouloir se séparer de ses jambes. Le gode en bois enfoncé dans son intimité et retenu par une ceinture de chasteté l empêche de bouger. Des fourmis parcourent ses membres, sa tête penche sur son torse, ses mains engourdies essaient de la retenir, elle gémit dans son bâillon de soie. Elle voit la porte bouger et la tête de la jeune Babette , l'esclave de son époux apparaît. Sans un mot la petite entre et repousse la porte. Elle s approche du grand lit et sort la clef de la ceinture de chasteté de sa manche. Elle déverrouille l attache et ôte le gode de bois de l'intimité de dame Blanche. Elle va prendre une louche d'eau fraîche et la présente à la bouche de Dame Blanche. Puis avec un sourire méchant dans un mouvement fluide l éloigne : Le Maître ne veut pas. Vous devrez d'abord vous délecter de son jus. Puis elle s agenouille et mordille le clitoris de madame en bavant bien. À ce moment là des pas précipités raisonnent dans le couloir. Babette s agenouille précipitamment au bord du lit,le jupon relevé, sa jeune croupe tendue et offerte. Le maître apparaît à la porte fier et droit, il embrasse la chambre d'un seul regard hautain et avance vers le lit. Il doigte brutalement sa servante avant de glisser le doigt humide dans la bouche de sa femme : a-t-elle bon goût? Il baise le front de dame Blanche puis son majeur explore son sexe : Bien tu as bien mouillé. Tu es prête à me recevoir. Il détache sa jeune épouse, la prend dans ses bras musclés, et la conduit jusqu'à la cheminée. Babette! Viens déshabiller cette puterrelle que je vois son corps. La servante se précipite et ôte une à une toutes les couches de tissus qui protègent dame Blanche du froid. Nue et tremblante, elle se retrouve à plat ventre sur le tabouret de bois . Le seigneur sort un fouet de sa grande poche. Babette prend le sexe de son maître en bouche et le suce doucement. Le premier coup surprend la jeune femme nue. " Compte que je ne t'ai pas appris pour rien! . " Un mon bon seigneur " " Deux mon bon seigneur " Les coups et les comptes continuent. Il repousse la servante et ordonne : "Va donc lécher ta maitresse petasse , elle supportera mieux le fouet! " La petite se glisse sous les cuisses de dame Blanche et d'une langue experte tiitille le clitoris. À chaque coup de fouet le ventre se rétracte, les lèvres se resserrent, et le clitoris se recroqueville. À six le fouet cesse de claquer, le corps se détend tout se relâche. Le maître ecamine les traces sur le dos . Il repousse Babette qui s'empresse d'aller chercher l onguent pour soigner. Il caresse tendrement les cheveux de sa femme puis la pénètre profondément. Tout humide de la salive de Babette le sexe s'ouvre aisément sous les coups de boutoir virils. Il prend son temps et jouit dans un râle profond. " Tu as été une bonne fille, tu pourras sortir au jardin. Mais avant fais moi une toilette, dit il en se plaçant devant son épouse. Elle lèche le sexe humide à petits coups de langue délicats. La servante se précipite derrière son maître et lèche la fente entre les fesses. Puis dame Blanche écarte son mari de ses douces mains et Babette introduit sa langue dans l'orifice du maître. "Quelle douce toilette mes salopes! Merci. Je dois retourner à mes occupations. Habille Madame et allez au jardin.
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Par : le 18/03/20
Charlotte fut préparée dans l'attente de la soirée: elle avait été avertie que Béatrice serait accompagnée de plusieurs couples à qui elle s'offrirait, quoi qu'on pût exiger d'elle ou lui infliger; il fut décidé qu'elle ne les verrait pas et que les mains attachées derrière le dos, on la conduirait dans une cave. On fixerait à son cou un collier et à ses poignets des bracelets. Juliette avait choisi sa tenue: une jupe courte en taffetas noire, dévoilant ses cuisses, et un chemisier clair marquant un corset en cuir resserré de façon à faire saillir ses seins; elle s'assura que son ventre ainsi que le sillon de ses reins étaient parfaitement lisses afin que ses deux orifices soient ouverts à ses besoins, ou à ceux des des inconnus à qui elle la destinait. Pendant que je lui nouai les cheveux en queue de cheval, pour lui bander les yeux, un cri indubitablement féminin retentit, elle se mit à trembler. À force d'être humiliée, il me semblait qu'elle aurait dû être habituée aux outrages, sinon au fouet, à force d'être fouettée; une affreuse satiété de la douleur et de la volupté devrait la résigner, comme le supplice d'une fille offerte comme elle, et même lorsqu'elle n'était pas livrée, de son corps toujours accessible. Un long silence suivit, troublé seulement par des chuchotements. Je reconnus Béatrice. Sa mince silhouette était entièrement vêtue de noir, du col officier de son chemisier, jusqu'à ses bottes en cuir. Elle déganta sa main droite et posa doucement son majeur et son index près de l'oreille gauche de Charlotte; la maîtresse de lieux, qui semblait particulièrement l'apprécier, l'entraîna au bout d'une laisse dans la cave, au beau milieu d'une réception où des couples contemplaient le spectacle d'une jeune femme nue se faisant prendre sauvagement par des esclaves mâles. Des hommes et des femmes en tenues de soirée, tous masqués, étaient éparpillés çà et là une coupe à la main; au centre de la salle, sur un grand lit en fer forgé noir, érigé en estrade, la femme que j’imaginais se faire torturer, était possédée par deux hommes aux corps d’athlètes qui la pénètraient frénétiquement dans la lueur des torches. Elle avait de petits seins fermes et des hanches à peine formées. L’assemblée se tourna vers nous et nous salua en s’inclinant en silence. Ses doigts glissèrent le long de ma machoire, puis de mon cou, contournèrent mon sein gauche, carressant ma taille, et s’arrêtèrent sur ma vulve, en appuyant légèrement sur la chair fragile; saisissant la dragonne de la laisse reliée aux anneaux d'or fixés sur mes lèvres intimes, elle ouvrit les deux battants du grand salon et me guida vers l'autel de mon sacrifice; au fond de la salle, éclairée par des projecteurs diffusant une lumière pâle, m'attendait la croix de saint André; j'avançai vers ma crucifixion, tenue par mes anneaux; Béatrice me tendit la main pour m'aider à gravir les deux marches qui me menait à mon calvaire; elle me plaqua le dos contre le bois, me laissant ainsi exposée de longs instants. Elle me présenta comme étant son esclave; tout me serait infligé sans pitié pour juger de l'efficacité du fouet. En elle, je devinais une volonté ferme et glacée, que le désir ne ferait pas fléchir, je devais obéir docilement; les yeux bandés, je ne pouvais apercevoir les derniers invités qui descendaient dans la cave, grossissant l'assistance silencieuse; ainsi exposée et écartelée sur cette croix, seule dans le noir et le silence, je me demandais pourquoi tant de douceur se mêlait à tant de terreur, ou pourquoi tant la terreur me paraissait aussi douce. On me détacha enfin pour m'exhiber. À peine libérée, quelqu'un me demanda de me tourner et on me délia les mains en m'ôtant le bandeau des yeux. On me fit avancer, trébuchant un peu, vers un homme qui voulait me toucher. Il m'ordonna de me déshabiller, et de me présenter, ce que je fis instantanément: debout les bras coudés derrière la tête en écartant les cuisses, comme on me l'avait signifié, afin de livrer avec le plus d'indécence possible le spectacle de mon intimité. Se présenter de telle façon oblige l'esclave à s'abandonner, quels que soient ses réticences, à mieux se donner. Par cette mise à nu, le corps livré, déshabillé, disséqué, est comme bafoué, humilié, sans concession; la soumise ainsi exhibée apprend à se surpasser dans l'épreuve, poussée parfois au paroxysme de l'épuisement et de la souffrance physique; c'est ainsi qu'elle peut s'épanouir et accepter les châtiments les plus cruels. Béatrice apparut avec un esclave à demi-nu harnaché de cuir au bout d’une laisse. L’homme à l’allure athlétique était doté d’une musculature impressionnante et d’un sexe épais dont on osait à peine imaginer la taille en érection. Elle fit allonger l'homme sur le dos, puis me tira par les cheveux et me força à m’agenouiller entre ses jambes, la croupe en l’air et le visage écrasé contre son pénis. J’entendis des ricanements dans l’assemblée. Ce n'était pas la caresse de mes lèvres le long de lui qu'il cherchait, mais le fond de ma gorge. Il me fouilla longtemps, et je sentais gonfler et durcir en moi le baillon de chair qui m'étouffait, et dont le choc lent et répété me tirait des larmes. Debout sur l'estrade, Béatrice faisait voler sa cravache sur mes reins. Elle m'ordonna de lui lècher les testicules et le pourtour de son anus; je m’exécutai, faisant glisser ma langue de la hampe jusqu'à l'entrée de sa cavité anale. L'esclave semblait apprécier et s'enfonçait dans ma bouche pendant que je le couvrais de salive; elle se plaça derrière moi et plongea ses doigts dans mon vagin déjà humide de désir. Elle explora longuement ma vulve, remonta sur mon anus, le caressa du bout des doigts, puis se redressa: “Enfile-toi un doigt dans le cul!”; sa cravache siffla dans les airs et s’abattit sur ma croupe: “Allez chienne, doigte-toi le cul!”. Les lèvres forcées par le glaive charnel, je dus me cambrer pour atteindre la raie de mes fesses. J’introduisis tant bien que mal un doigt dans la moiteur de ma voie la plus étroite pendant que Béatrice continuait de me fouetter: “Tu aimes ça, chienne, te doigter l'anus devant des inconnus"; je répondis d'un “oui” chevrotant en écho aux coups de cravache mordant maintenant l'intérieur de mes cuisses, espérant ainsi mettre fin à mon supplice. Elle laissa tomber sa cravache et s’agenouilla derrière moi: “Enfile tes autres doigts, chienne !”. Je m’exécutais docilement alors qu’elle forçait mon anus en écartant mes fesses de ses doigts pour faciliter mon intoduction. Les invités semblaient goûter à la scène, se regroupant pour regarder. La situation était des plus humiliantes; j'étais partagée entre le sentiment de honte et l’étrange plaisir d’être utilisée comme un vulgaire objet sexuel, humilié et gémissant. Mais ce ne furent que les préliminaires. Béatrice me relèva en tirant sur mon collier comme on le ferait pour rappeler un chien à l’ordre: “Ça ira comme ça, salope. Maintenant assieds-toi sur sa queue!”; encouragée par ses coups de cravache, j’enjambai maladroitement l'esclave et m’accroupis dos à lui, tout en me demandant comment accueillir un sexe aussi monstrueux. Impatiente, Béatrice maintint le sexe à la verticale et me força à descendre dessus en tirant sur mon collier. Ma croupe s’écrasa sur la pointe saillante; tous les invités se regroupèrent autour de la scène et je pus voir distinctement leurs regards lubriques et cruels briller derrière leurs masques dans la lueur des torches; alors que je m'efforçai de garder l’équilibre, l'esclave me força à m’empaler sur son sexe; je tentai de résister, mais en vain; son membre surdimensionné défonça mes reins, distendant lentement mon anus. Une bouffée de chaleur m’envahit, tout mon corps était perlé de sueur. Béatrice exultant, ordonna l'esclave mâle à me pénétrer tout en caressant ses testicules: “Allez, chien, défonce-lui son cul de salope!”; l’homme obéit sans sourciller et m’attira contre son sexe brutalement pour me faire mal; mes deux sphincters anaux se dilatèrent sous la pression et il me pénétra d'un seul coup. Je manquai de m'évanouir. L’assemblée poussa un “Oooh” d’étonnement mêlé d’admiration; Béatrice demeura un instant interdite à la vue de ce membre à moitié emprisonné. Partagé comme moi entre douleur et plaisir, l'esclave mâle relâcha son étreinte, en me maintenant dans cette position grotesque; accroupie, empalée au sommet de son sexe, Béatrice, agenouillée face à moi, me meurtrissait les seins en me pinçant les pointes tout en m’observant avec un regard pervers qui m'effraya; elle quitta mes yeux, plongea sa tête entre mes cuisses, posa délicatement sa bouche sur ma vulve rougie par ses coups de cravache puis aspira mon clitoris entre ses lèvres. La bouche de Béatrice estompa peu à peu la douleur de la colonne de chair qui saccageait mes reins. Je luttais pour ne pas jouir; les invités nous regardaient dans un silence quasi religieux; le spectacle que j'offrais, haletante, empalée sur ce sexe monstrueux agissait sur l’assemblée comme un puissant aphrodisiaque. Béatrice se dénuda alors et commença à se caresser tout en me fixant, les yeux brillants de désir. Non loin de moi, une femme s’était accroupie aux pieds de son compagnon et le gratifiait d’une fellation des plus passionnées; juste à côté, deux hommes encerclaient une ravissante brune aux cheveux courts qui s'abandonnait, basculée à la renverse, à leurs doigts qui la fouillaient. Une boule de chaleur explosa dans mon ventre et irradia tout mon corps; parcourue de spasmes, je jouis en silence tout en éjaculant au visage de Béatrice; mes jambes vacillèrent mais l'esclave me tenait toujours fermement embrochée au sommet de son sexe. Il ne s'était pas encore libéré mais mon anus qui se contractait nerveusement le mettait au supplice. L’assemblée demeurait silencieuse; on entendait juste les sons de gorge profonds de la femme accroupie, étouffée par le sexe de son son compagnon qui lui tenait la tête des deux mains et déversait son sperme en elle. Les deux hommes qui étaient masqués, s'immobilisèrent pour me regarder, délaissant pour un instant la jeune femme brune, maintenant nue à leur merci, pour mieux l'envahir; plus loin un homme qui se masturbait en m'observant n’arriva plus à se retenir et éjacula. Béatrice, s’essuya le visage du revers de la main et lècha ma cyprine sur ses doigts en m’adressant un sourire narquois. Elle se pencha à nouveau entre mes cuisses mais cette fois pour s’occuper de l'esclave. Elle commença par effleurer ses testicules du bout des doigts puis elle remonta sur sa hampe qu'elle caressa comme un objet sacré; elle semblait s'amuser de façon perverse avec ce sexe surdéveloppé pour faire souffrir l'homme. Elle glissa une main sous ses fesses musclées et stimula son anus en le masturbant de plus en plus fort; c'était excitant d'assister à son érection: il grossit et se déploya. L’effet ne se fit pas attendre; dans un ultime effort pour retarder l’inévitable, il se cambra sous moi et rompit le silence de la salle par un long râle bestial; je sentis son sexe tressaillir, me remplissant d’un flot de sperme saccadé. La sensation fut divine et l’instant si intense que je fus à nouveau sur le point de jouir. Visiblement satisfaite, Béatrice se redressa, posa ses mains sur mes épaules et se pencha sur moi pour m’embrasser. Elle goûta à mes lèvres, les aspira, les mordilla puis pénètra ma bouche de sa langue mouillée. Fermant les yeux et vaincue, je me laissai emporter par un nouvel orgasme. Alors que je m’abandonnai à son étreinte, elle appuya de tout son poids sur mes épaules et me força à m’empaler de nouveau sur le sexe redevenu raide. Le pieu de chair dégoulinant me pénétra facilement et m’envahit sans plus aucune résistance. Distendue, la sensation d’être remplie totalement dépassa tout ce que j’avais enduré auparavant. Mon orgasme redoubla d’intensité et semblait ne plus vouloir s’arrêter. Béatrice relèva mon menton du bout des doigts et me regarda jouir avec le sourire de la victoire; l'esclave mâle qui était resté passif jusque-là recommença à s'ébranler lentement dans son foutre tout en m’agrippant fermement par la taille, n'ayant rien perdu de son ardeur, bien au contraire. Béatrice m’abandonna à mon sort. Elle s’accroupit juste derrière moi et écrasa sa croupe sur le visage de l'homme. Ce dernier sembla apprécier cette douce humiliation et continua de me fouiller les reins en redoublant d'acharnement. Dans un bruissement gras et humide, rompant le silence, mon corps se balançait au rythme de ce va-et-vient féroce. Je faisais maintenant face à l’assemblée qui se pressait autour de moi pour me regarder jouir. Ne prenant même plus la peine de se cacher, plusieurs hommes se masturbaient sans retenue, juste devant moi. Du haut de son estrade, une jambe sur l’accoudoir de son fauteuil, la maîtresse des lieux se caressait tout en se délectant du spectacle de ma sodomie. Des mains glacées se posèrent alors sur ma peau et me firent tressaillir. Je m'offris avec docilité aux caresses de plus en plus insidieuses. Un long silence suivit, troublé par quelques chuchotements dont j'essayai vainement de percevoir le sens. Subitement, je me sentis soulevée de terre, mes poings et mes chevilles furent liés par force de nouveau à la croix. Dans cette position qui favorisait l'examen de mon corps, un doigt força brusquement mes reins et me pénétra avec douleur. Celui qui me violait ainsi, sans préparation, me menaçait durement. Soudain, on me cingla. Je reconnus immédiatement les coups appliqués par Juliette: elle a une méthode particulière, à la fois cruelle et raffinée se traduisant par une caresse de la cravache avant le claquement sec, imprévisible et toujours judicieusement dosé. Après le dernier coup, elle caressa furtivement mon ventre enflammé et cette simple marque de tendresse me donna le désir d'endurer encore davantage; quand le cuir s'attaqua à mes seins, je compris que je serais fouettée intégralement sauf le visage; comme une confirmation, les lanières atteignirent le bas de mon ventre, en cinglant mes lèvres intimes; je laissa échapper un cri de douleur, comme un écho au hurlement entendu dans le couloir. On m'ordonna de me mettre à quatre pattes, dans la position la plus humiliante pour l'esclave; je reconnus à la douceur des mains de femmes qui commencèrent à palper mon corps. Elles ouvrirent mon sexe. Peu après, mon ventre fut investi par un objet rond et froid que Béatrice mania longtemps avec lubricité. On décida alors de me reconduire au premier étage pour me placer dans un trou aménagé dans le mur. Alors que l'on usait de tous mes orifices, un homme exhiba son membre que je tentai de frôler avec mes lèvres puis avec ma langue, mais avec cruauté, il se dérobait à chaque fois que j'allais atteindre sa verge. Prise d'un besoin naturel, on me refusa de me rendre aux toilettes. Confuse, je vis qu'on apportait une cuvette et je reçus l'ordre de me soulager devant les invités rassemblés. L'humiliation était là: me montrer dans cette position si dégradante, alors qu'exhibée ou fouettée, prise ou sodomisée, ma vanité pouvait se satisfaire de susciter le désir. L'impatience que je lus dans le regard attentif de Juliette parut agir sur ma vessie qui se libèra instinctivement. Lorsque j'eus fini de me soulager, Béatrice m'ordonna de renifler mon urine, puis de la boire. Au bord des larmes mais n'osant pas me rebeller, je me mis à laper et à avaler le liquide clair et encore tiède. Après avoir subi les moqueries des invités, je fus amenée devant Béatrice dont je dus lécher les bottes vernies du bout de ma langue. On m'ordonna ensuite de me coucher sur le sol et de relever mes jambes afin que chacun puisse me prendre facilement. Je fus possédée par l'ensemble des invités qui se succédaient à la chaîne sur mon corps. Puis on me releva pour me placer sur un tabouret hérissé d'un volumineux olisbos. Dans cette nouvelle position, mon ventre devenait douloureux, mais ce fut pire lorsqu'on m'ordonna de m'asseoir sur le cylindre massif et de le faire pénétrer entre mes reins profondément. Je sentais mon anus s'écarteler au fur et à mesure que je m'empalais sur le cylindre de latex. Longtemps, on me força à me pénétrer l'un et l'autre de mes orifices. " - Je suis fière de toi, tu te comportes comme je l'espèrais, tu dois continuer". Juliette venait de me signifier que mon dressage n'était pas achevé. Ma peau subit aussitôt le contact de mains posées au creux de mes reins puis entre mes fesses. Une cravache noir me cingla brusquement avec une telle violence que je poussai un véritable rugissement; la rigidité du cuir enflammait mes reins et mon dos; les coups lacéraient ma chair, me procurant de lancinantes sensations de brûlure. Lorsque la tige m'atteignit exactement entre les cuisses, sur le renflement du pubis, je compris soudain que j'allais jouir; une fois la fulgurante jouissance dissipée, j'osai implorer leur pitié; je venais de rompre le charme. Ils décidèrent de me faire payer chèrement cette inqualifiable faiblesse. Je fus à nouveau placée dans le mur comportant un trou en son milieu, de façon à ce que ma tête dépasse d'un coté et mes reins de l'autre. J'allais être prise par l'arrière et contrainte par la bouche. Ce fut Béatrice qui m'installa. J'étais en position, jambes docilement écartées, la bouche déjà ouverte, la croupe exagérément offerte, prête à être investie. Ce fut l'abattage. Impatient de se satisfaire, un homme prit la place de l'autre, ma bouche servant d'écrin; au même moment, un autre utilisait mon vagin sans ménagement, avant de forcer brusquement mes reins, qui comme la totalité de mon corps étaient à sa merci. Il s'enfonça sans préliminaire pour me faire mal. Le silence soudain m'exaspéra, car je ne pouvais rien voir de ce qui se passait autour de moi. Espérant le fouet comme une délivrance, un troisième sexe plus dur encore pénétra ma croupe; mon ventre se liquéfia. J'étais prise, on ravageait mes reins meurtris; je compris enfin que le membre qui me pénétrait était un olisbos à ceinture dont Béatrice s'était ceint à la taille. Elle exigea de moi que je me cambre davantage, pour qu'elle puisse "me remplir jusqu'au fond." Je cédai à l'impétuosité d'un orgasme que j'aurais voulu pouvoir contrôler. Béatrice se détacha de Charlotte qui glissa au sol. Elle récupéra ses appuis et réussit à se tenir debout, mais on la rattacha fermement sur la croix de Saint André face à la salle plongée dans la pénombre. Elle demeura ainsi le reste de la soirée, souillée de sperme et de sueur, les chevilles et les poignets entravés. Hommage à Charlotte. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.        
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Par : le 16/02/20
Parti à la conquête d'une déesse, d'un diamant, je sème ces mots tel des pétales de rose sur votre route, Recouvrant à mon passage tous ces maux, qui dans le silence tourmentent ma tendre Muse... Des mots pour guérir, des mots pour sourire, miroir de pensées troublantes et envoûtantes, Pensées ayant pour dénominateur commun, la plus belle des Déesses, vous, Ma reine... Je rêve de cet instant où allongé sur la couche,le corps dénudé, les membres délicatement attachés, Laissant transparaître mon côté fragile et sensuel, les yeux bandés, je serai dans l'attente D'un émoi des plus intenses, ayant perdu toute maîtrise... A cet instant vous vous approcherez, dans le silence des corps en éveil, Jouant d'un glaçon, de votre souffle chaud, de métal dans un bal diabolique Vous partirez à la conquête de ce corps d'ébène offert à vous, n'omettant aucune partie... Après le chaud et le froid, extrêmes auxquels mon corps serait assujettis, Petits mordillages, baisers doux, sensations piquantes s'alterneront dans un beau balais, Faisant monter mon désir, faisant monter votre plaisir, jusqu'aux porte de l'extase,... Et d'un souffle haletant, bâillonné, je hocherai de la tête en remerciement de cette fusion tant désirée, Mais en guise de réponse, vous ferez glisser la roulette dans mon entrejambes, remontant le long de ma colonne, faisant croître ce désir jusqu'à son paroxysme... Et ce n'est qu'ensuite dans un véritable apothéose, que vous pénétrerez chacun de mes neurones avec la malice qui vous est propre, inscrivant par vous même la suite de cette scène...
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Par : le 10/02/20
Parlé du bandeau et de la privation sensorielle, de la source d’excitation et d’exaltation de l’esprit qui en résulte. En BDSM, le bâillon fonctionne de la même façon : il prive de la parole. Plus ou moins selon sa consistance : simple tissu, foulard ou bâillon plus sophistiqué. Le fait est que de ne pouvoir s’exprimer est tout à coup entrer en étrange pays dans son propre paysage intérieur. Le bâillon fait selon moi, mauvais ménage avec le bandeau, d’un simple point de vue esthétique tout d’abord?Mais là, il s’agit d’un avis personnel, certaines s’aiment encagoulées à l’extrême. Cela n’est pas mon cas. Là où les mots ne peuvent plus dire, il faut que ce soit le regard qui parle. La photo que j’évoquais traduisait très bien cela. Celle que j’ai trouvée pour vous aussi, même si ce regard là est moins expressif que celui dont je me souviens ? Ah ! Que de choses on peut faire passer dans un regard ! L’angoisse, la peur, omniprésentes, qui font partie intégrante de ce jeu amoureux? La supplique parfois?Et comme ne pouvoir parler que par les yeux vous fait sentir petite, démunie? Le bâillon ne permet même pas de « dédramatiser » les choses par le biais d’un sourire, comme le fait le bandeau? Là, vous n’avez plus que vos yeux. Que vos yeux pour dire l’amour aussi. Et cependant, quelle expérience intime ! Ce foulard qui s’imprègne peu à peu de votre salive, laissant à peine filtrer quelques soupirs, cris ou gémissements. Ce bâillon qui vient se rajouter à vos liens vous donne l’incroyable sentiment de devoir chercher en vous d’autres ressources que les mots, ces mots auxquels nous sommes si habitués. C’est toute une « expression corporelle » qui se met là en jeu. Tout un travail sur soi. L’inverse exact d’une séance psy?Rires. Mais quasiment le même résultat. Rires encore. La parole étouffée vous fait plonger en vous. Elle fixe d’autres termes. Vous accomplissez un chemin, les yeux dans les yeux de l’autre : il devient votre seul interlocuteur, tout ce que vous lui dites de vos yeux revêt une importance extrême. Plus de vaines paroles comme dans la vie de tous les jours (surtout pour moi qui suis une incorrigible bavarde !) Le bâillon, c’est aller d’un coup de baguette magique à l’essentiel. Au vrai moi. (Texte d'une inconnue glané sur la toile tellement Vrai)
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Par : le 19/01/20
Sa Maîtresse est belle et désirable et il la désire. Il est à ses pieds, il l’admire, il salive devant ce corps qui parfois se dévoile à moitié lorsqu’elle évolue autour de lui, lorsque ses jambes gainées de résille émergent de sa robe, lorsqu’elle se penche vers lui et que sa poitrine s’offre à son regard dans le décolleté de son chemisier entre ouvert. Pourquoi sa main ne s’avance-elle pas pour saisir ce qu’il désire ? C’est qu’il est attaché sur le sol, vautré comme une loque impuissante et réduite à désirer en silence. Il est loin le temps où il tripotait les femmes qui se donnaient à lui, où il jouait avec leur corps, où il prenait, jetait, ghostait celles qui tombaient entre ses pattes. Il a même fouetté et il adorait voir se tordre de douleur ces amantes d’un soir qu’il traitait sans ménagement. Il est loin ce temps depuis que cette Maîtresse l’a ensorcelé et fait de lui un pauvre soumis sans plus aucune volonté, sans plus aucun orgueil. Maintenant, il gît par terre près d’elle, il devine plus qu’il ne voit sa beauté de là où il est. Il mesure, désespéré, la distance qui le sépare de cette Maîtresse qui joue avec son pauvre corps abandonné. Être nu, attaché et frustré, réduit à ramper servilement comme une larve qui ne mérite que le mépris de cette grande Dame qui autour de lui évolue. Que dirait-Il d’ailleurs, que pourrait-il dire dans sa position lamentable, lui le soumis impuissant. Et pour qu’il sente encore plus son infériorité de lopette émasculée, elle lui a obstrué tous les orifices. Il a un bâillon boule dans la bouche, un plug qui lui brûle le cul et l’indispensable cage qui scelle pour toujours sa minable virilité. C’est ainsi qu’elle l’a réduit à rien et il admire ses formes qu’elle ne se prive pas de lui laisser deviner. Trop bonne, parfois elle l’immobilise à quatre pattes sur la table ou par terre en l’attachant par les genoux et les poignets pour qu’il soit bien offert et sente bien son impuissance de soumis. Elle lui enlève sa cage et s’abaisse alors à lui empoigner son pauvre sexe inutile qui aussitôt gonfle du plaisir dont il a été privé depuis si longtemps. Elle le branle vigoureusement pour le traire au plus vite et lui s’abandonne aux gémissements comme une bête en proie au désir. Rapidement, il se vide dans des spasmes ridicules dont il n’a même plus honte, il fait entendre ses grognements de pourceau satisfait d’être trait. Il se soulage en long jets clairs qui achèvent sa vidange. Sa Maîtresse presse consciencieusement sa queue devenue grosse et tire dessus pour qu’elle se vide totalement. Ensuite, elle lui essuie le gland pendant qu’il continue à gémir sans aucune pudeur. Enfin, elle lui remet sa cage. Pour combien de temps ? Et pour faire bonne mesure, elle lui cravache le cul pour qu’il revienne à la réalité. Une fois détaché, il ne lui reste plus qu’à se dépêcher de nettoyer les traces de la jouissance que sa Maîtresse a eu la bonté de lui offrir.
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Par : le 19/01/20
Un milliardaire japonais vient de réserver le premier vol privé autour de la lune. Il pense inviter des amis artistes pour compléter son vol. Mais les artistes c'est bien sauf qu' une bonne femelle à bourrer dans l'espace c'est mieux. Notre milliardaire a passé une annonce avec un questionnaire très précis. Il sait ce qu'il veut ou croit le savoir, en bon machonaute qui a réussi. Plus de 20 000 femmes ont répondu en très peu de temps et il a du fermer son annonce. Il a assez de candidatures de prétendantes, du moins pour la première partie de la sélection. Notre brave milliardaire commence par dégager son pénis et par se branler devant toutes les fiches des candidates. Lesquelles l'excitent le plus, font bien monter sa sève? Il en reste mille possible. Il organise un second tour avec ces mille, un nouveau questionnaire plus précis, il veut tout savoir. Nouvelle série de branlettes et il en reste 300, les plus bandantes d'après lui et son pénis. Là il utilise les services d'une agence privée de détectives pour faire des enquêtes discrètes, voler des photos etc...Il se branle encore devant toute cette documentation et il en reste 10 seulement, dix perles rares, sublimes, qui ont toutes, les dons requis. Il a beau se branler, il ne peut choisir. Aussi il les invite dans le centre spatial où il doit s'entrainer, chaque jour. Notre milliardaire ne lache rien, il suit ses idées jusqu'au bout. Ses dix perles se présentent dans la même combinaison bleu, en coton, style salopette avec une fermeture sur le devant. Il les met de suite en compétition. Laquelle pourra écraser les autres et devenir sa femelle? Toutes n'ont qu'une envie, c'est d'écarter les cuisses pour le rendre définitivement accro. Toutes, sauf une, Yoko, le garçon manqué, cheveux courts, regard perçant, toute en muscles. Le milliardaire se saute toutes les autres, mais lorsqu'il veut écarter les cuisses de Yoko, il se prend une dérouillée monumentale. De rage il veut la virer sur le champ mais il n'a pas le temps de donner quelque ordre que ce soit. Yoko, experte en arts martiaux l'a déjà maitrisé, attaché et bâillonné. -c'est toi pauvre con qui va faire la femelle. Yoko lui administre une fessée à la main si terrifiante que notre milliardaire a ses cheveux qui blanchissent d'effroi. Comment cette folle avait elle pu le faire bander et passer les sélections? Il n'a pas le temps de connaître la réponse. Déjà la folle a enfilé un god énorme et se place derrière son cul rouge sang et encore tout tremblant. Elle le viole d'un coup et le pilonne avec rage, Les 30 cm rentrent jusqu'à la garde à chaque fois. Le milliardaire tombe vite dans les pommes, sa seule façon de fuir la douleur. De bonnes baffes et un seau d'eau froide le réveillent vite. -mais t'es une petite crevette toi. Et c'est avec un con pareil que je dois faire le tour de la lune. Les neuf autres femelles attirées par les cris arrivent. Yoko les attend avec un fouet. -cassez vous les pouffiasses ou je vous explose à votre tour. Aucune n'insiste. Toutes savent que même à neuf, Yoko peut vite les réduire en pâtée ron ron pour chatonnes castrés des ovaires. Là le milliardaire a vraiment peur. Il va se retrouver seul avec une dingue. -t'as fini de bander et de te branler pauvre carpette immonde. Voici une petite cage pour ta petite bite et un bon cadenas. Et si tu n'obéis pas, je te la coupe à raz. Et baisse les yeux. Une carpette comme toi n'a le droit que de me regarder les pieds. Les chevilles c'est la limite. Au delà tu dérouilles. Et tu m’appelles Maitresse. Toi t'es plus rien, pas même un chien. D'ailleurs donne ton cou que je te passe aussi ton collier de dressage avec des pointes contre ta gorge. Crois moi, tu as intérêt à obéir en tout et pour tout. Yoko enferme son milliardaire dans la centrifugeuse, à genoux et à l'envers, avec un gros plug acier bien lourd dans le cul. Elle lance la machine et s'installe confortablement dans une chaise longue. Elle sirote une vodka bien glacée. en croisant ses longues jambes bien galbées. Comme cela elle peut serrer son clito et se donner de délicieux orgasmes. La centrifugeuse commence à tourner. La milliardaire a compris ce qui l'attend. Le plug très lourd commence à pousser. Il implore. Appelle sa mère, se maudit d'avoir passé cette annonce. Il est trop tard. Cette folle de Yoko va détourner tout le matériel d'entrainement, pour former les spationautes, en instruments de torture. Le pire c'est qu'elle a beaucoup d'idées. Il se souvient de ce détail sur sa fiche.... Yoko lève son verre et éclate de rire. -Jouit pauvre con ! Et c'est ce que fait le milliardaire, il obéit. Il tapisse de sperme la centrifugeuse et enchaine les orgasmes. La cage de chasteté ne les empêche pas. A partir d'un certain nombre de tours, il ne sent plus rien. Il lui semble être au nirvana. Yoko est bien la bonne. il l'aime. Pour son malheur son cœur le brule ...Cela c'est le pire de ses supplices....
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Par : le 09/01/20
Détruire, dit-elle. Certains soumis sont encore des hommes. Pour d'autres c'est fini, une domina les a fait à sa main, Elle a détruit en eux l'orgueil du mâle. Toutes les dominas n'en sont pas capables, il faut une volonté sans faille pour faire plier jour après jour ou séance après séance un soumis ordinaire. Certaines ont ce pouvoir de passer de humiliation ordinaire, de la contrainte ordinaire et de la douleur ordinaire à des pratiques autrement plus intense et qui achèvent de conditionner leur soumis. L'autorité naturelle et une cruauté certaine enchaînent encore plus sûrement. Détruire, c'est d'abord émasculer le soumis en imposant définitivement à son sexe une cage. Il se laissera faire parce que, comme un petit toutou, il ne peut se passer de venir lécher les pieds de sa maîtresse. Détruire, c'est aussi exposer le soumis aux regards des autres, aux rires des femmes qui le tripotent, au sexe d'hommes qui s'imposent à lui.. Le soumis voit sa Maîtresse qu'il craint et qu'Il désire se faire femme avec un autre et jouir sous celui-ci, alors qu'il n'a droit à rien. Et si il ne voit pas, Il le sait. Le soumis sera forcé par sa maîtresse à sucer un sexe en érection ou devra se mettre à quatre pattes et se laisser enculés devant elle. Parfois même les hommes seront plusieurs et le soumis toute honte bue devra subir pendant que sa maîtresse le regardera. Détruire enfin c'est attendre dans l'angoisse la raclée, ne pas savoir si on va y avoir droit, ni quand. Deux techniques pour cela, soit le soumis est attaché et se fait éclater les fesses à coups de cravache (lui mettre un bâillon !), soit, à quatre pattes sur le bord du lit par exemple, il doit présenter son cul à son bourreau et accepter sans broncher la raclée. C'est impossible bien sûr, on souffre trop, on finit par vouloir échapper au supplice, mais plus on essaie d'esquiver plus on mérite la punition. C'est affreux de se démener sans pouvoir échapper, mais plus j'ai peur des coups, plus je souffre et plus le plaisir cérébral se fait intense.
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Par : le 07/11/19
"Il la cravacha à toute volée. Il n’attendit pas qu’elle se tût, et recommença quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent nettes. Il avait cessé qu’elle criait encore, et que ses larmes coulaient dans sa bouche ouverte." Histoire d'O La flagellation, pratique prisée dans l'art du jouir, n’est pas seulement un adjuvant régulier des combinaisons sexuelles que la pornographie se plaît à inventorier. Elle est en réalité un moyen de mettre en mouvement, dans une relation S/M, la combinaison des vigueurs masochiste et sadique des partenaires en les unissant par un instrument. La ritualisation de la posture, la recherche de la douleur et de la cruauté font de la flagellation une discipline désormais autonome dans le BDSM. Les partenaires recherchant des sensations cinglantes et précises en raffolent. Elle fait partie intégrante de certains jeux érotiques, dits BDSM ou SM. Elle accompagne ou non, d’autres pratiques, bondage, soumissions diverses. Une personne flagellée devient beaucoup plus docile, et ouverte à d’autres expériences. Une femme qui aime dominer ressent une profonde excitation à la pratiquer. Là où d'aucuns recherchent la douleur, d'autres jouissent simplement du fait de subir et d'accepter l'humiliation. Certains optent uniquement pour des séances de flagellation, sans autre pratique érotique, d'autres considèrent fouet ou martinet comme un prélude (ou un intermède) à leurs divers jeux SM. Encore faut-il non seulement en posséder la technique, l'esprit, mais aussi en connaître les nuances et les dangers. Au début du XXème siècle, les adeptes de la fessée se sont pris de passion pour ces instruments faisant advenir la douleur et la cruauté dans la soumission. On parle alors de flagellomanie, de flagellophilie, de masochisme ou d’algolagnie (amour de la douleur). La présence du fouet, ou du martinet dans l’ordre des pratiques sexuelles n’a cependant rien d’une nouveauté. Leopold von Sacher-Masoch, auteur de "La Vénus à la fourrure" (1870) est loin d’être l’initiateur de la théorie. Cette doctrine de la jouissance dans la douleur a de tout temps existé, ayant des adeptes et des défenseurs. Parfois la douleur infligée ou subie est purement morale, c’est l’abnégation de soi-même envers l’être aimé. Mais le plus souvent cette abnégation va jusqu’à solliciter l'affliction de souffrances physiques. Cette forme d’érotisme n’est pas purement passive, elle est aussi active, car celle ou celui qui inflige la souffrance éprouve autant de jouissance que celle ou celui qui la subit. L’histoire ancienne et les mythologies abondent en exemples semblables. Bacchus et les Ménades, Hercule et Omphale, Circé et les compagnons d’Ulysse, Attis et Cybèle. Les sacrifices à Moloch et à Baal, Thomyris la reine des Massagètes, Sémiramis fouettant les princes captifs devenus ses amants. Samson et Dalila, Salomon et ses nombreuses courtisanes réduites à le flageller pour exciter sa virilité. Phéroras, le frère d’Hérode, se faisait attacher et frapper par ses esclaves femelles. Le culte de Cybèle à qui Athènes, Sparte, Corinthe, Rome même, sur le mont Palatin, ont érigé des temples. Lors de ces orgies, le premier des devoirs était de se martyriser en honneur de la Déesse. Jetés dans une sorte d’extase par le recours à des danses frénétiques et autres stimulants, les fidèles s’emparaient de son glaive pour s'automutiler, au plus fort de leur délire. Les prêtresses de Milet s’armaient du fouet pour attiser le feu de volupté brûlant en elles. Les mêmes coutumes se retrouvent aux fêtes d’Isis, dont Hérode nous a laissé une peinture si frappante. À Rome, les fêtes des Lupercales semblables aux Bacchanales et aux Saturnales étaient l’occasion d'épouvantables orgies. Les prêtres, brandissant leurs fouets, hurlant et criant de joie, parcouraient les rues de la ville. Les femmes se précipitaient nues à leur rencontre, présentant leurs reins et leur seins, les invitant par leurs cris, à les flageller jusqu'au sang. Tacite, Suétone, Martial et Juvénal, révélant les secrets intimes des Néron et des Caligula ont fourni des détails égrillards et obscènes sur le raffinement de leurs débauches. Le christianisme, pour établir son influence, dut avoir recours à l’antique usage du fouet, non plus pour éveiller des désirs érotiques, mais au contraire pour maintenir l’homme dans la voie du devoir. Les cloîtres employèrent le fouet, pour mater les novices se révoltant contre les règles de leur ordre. Des congrégations se fondèrent imposant à leurs membres l’obligation d’une flagellation réciproque en vue de dompter les élans de leur chair. De même que le Christ avait été attaché à la colonne et frappé de verges avant d'être crucifié. Elles cessèrent avec le temps d’avoir un caractère disciplinaire et prirent la forme d’une obligation purement religieuse. Comme une expiation éminemment enviable des souffrances imméritées infligées à l’adorable corps du Maître. Tels les Flagellants et les Purificants, les Dominicains, pour les ordres masculins, et les Franciscaines et les Clarisses pour les ordres féminins. En littérature, Brantôme, Boccace, Pogge, l’Arétin, Restif de la Bretonne, citent fréquemment des cas de flagellation. Quant au trop fameux Marquis de Sade, par nous étudié, son nom évoque le synonyme même de la pratique. La belle princesse Lubomirski faisait mettre à mort ses amants, après leur avoir fait subir les plus cruels tourments. Ils étaient empalés sur des pieux et fouettés jusqu'au sang, lorsque ces malheureux la laissaient insatisfaite. Pour autant, l'Histoire est trompeuse. Ce n’est pas du fait d’être ancienne ou anciennement admise parmi les manières d’user du sexe que la flagellation tire son implantation dans l’ordre des plaisirs. C’est tout le contraire, elle devient jouissance en s’arrachant à ces usages anciens. La volonté ramifiée de tout savoir sur le sexe, en ne laissant plus de place à l'imaginaire corporel, de traquer les perversions, d’en suivre obstinément les usages disparates et de susciter partout l’aveu des écarts, a eu pour effet de la faire proliférer, en lieu et place de la pudibonderie ou de l’interdit. Dans les sexualités disparates et les plaisirs spécifiques, la passion du fouet a pris sa place. Lieu d’une triple convergence, faisant d’elle à la fois une pratique S/M et une forme particulière du jouir. Dans le champ des perversions, forgeant la catégorie de masochisme, ou jouissance née de la douleur reçue, dans la littérature érotique, avec Gustave Le Rouge, Louis Malteste, Pierre Mac Orlan, enfin, dans la volonté des adeptes revendiquant sans fard la puissance extatique de la pratique, dans la la ritualisation des postures de soumission. Nue et debout, seins et ventre offerts, bras levés sur la pointe des pieds, ou en position de crucifixion, chevilles et poignets entravés sur une Croix de Saint André, la soumise ravalée à un état d’infériorité, comme une proie. La femme ou l'homme se soumet, celui ou celle qui fouette et qui bat se tient au-dessus, le geste ample, dans l’attitude féroce et cruelle de celui qui domine. Ce que disent ces scènes, c’est l’institution d’une sexualité qui joue de la domination en outrant ce qu’elle est. Toutefois, la recherche du plaisir entre partenaires consentants, responsables et conscients, lors d'une séance, ne doit pas occulter la sécurité. La dominatrice ou le dominateur devrait tester le matériel sur lui/elle-même avant de flageller son/sa partenaire. De même, elle ou lui vérifie le matériel avant chaque utilisation. En général, plus le matériau est léger, plus la pratique est sans danger, plus la séance peut se prolonger et plus la sensation est douce. Le visage, la tête, le cou, les doigts et doigts de pieds, la peau en cours de cicatrisation ne doivent jamais être flagellés, pour des raisons évidentes de sécurité. Les paumes et le dos de la main, sur les jointures quelles qu'elles soient, sur la surface entre le bassin et le bas des côtes (présence d'organes internes) peuvent l'être avec une extrême prudence et extrême légèreté. Les seins, bras, avant bras, intérieur des bras, intérieur des cuisses, zones génitales (vulve, pénis) avec légèreté. Un impact sourd (par opposition à un impact cinglant) sur des seins est à éviter. Les fesses, le haut du dos de part et d'autres de la colonne, les cuisses, le bas des épaules constituées d'os épais protégés par des muscles et une couche de graisse avec énergie, voire très énergiquement. En frappant très fort des ecchymoses peuvent apparaître, la peau peut se déchirer entraînant des infections. Enfin, la position du corps flagellé conditionne celle de la peau et des muscles. Lorsque le partenaire est penché en avant, les muscles tendus ne sont plus aussi épais et offrent donc une protection moindre. De la même façon, si la peau est tendue elle va réagir de façon plus forte que si elle était relâchée. Flageller quelqu'un qui se tient debout sans maintien risque de le/la faire chuter. A l'inverse, la ou le flagellée (é) défaillante (t) maintenu debout par des liens, se retrouvera en suspension partielle. Placer la (le) soumise (e) en position de se voir flageller lui apportera en général plus de jouissance. Des marques peuvent apparaître tout de suite, ne pas apparaître du tout ou apparaître après un jour ou deux. Quel qu'en soient les modalités, frapper le corps humain doit être considéré comme dangereux. La flagellation doit être pratiquée par des personnes consentantes, responsables et conscientes. La ou le soumise (s) disposant toujours de la possibilité de mettre fin à la séance par un safeword. "O, je vais te mettre un bâillon, parce que je voudrais te fouetter jusqu’au sang, lui dit-il. Me le permets-tu ? Je suis à vous" dit O." Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 02/11/19
"On ne vous bandera les yeux que pour vous maltraiter, pour vous fouetter. À ce propos, s’il convient que vous vous accoutumiez à recevoir le fouet, comme tant que vous serez ici vous le recevrez chaque jour, ce n’est pas tant pour notre plaisir que pour votre instruction » Histoire d'O Un sombre voile de plaisir recouvre la flagellation depuis l'orée des temps. Les antiques raffolaient déjà du fouet. Lors de cérémonies rituelles, ils l'utilisaient pour invoquer les divinités afin de rendre les femmes fertiles. Dans la Rome Antique, le culte de Junon, protectrice des femmes, leur commandait le fouet, afin de lutter contre la stérilité. Lors de la fête des Lupercales, après le sacrifice d'un bouc par les Luperques, prêtres de Faunus, deux jeunes pages le visage couvert du sang de l'animal, armés de lanières, fouettaient des femmes souhaitant devenir fécondes. Le culte de Diane chasseresse donnait lieu également à de véritables concours de fouettage. De même, la flagellation était prescrite par Hippocrate comme remède contre l'impuissance masculine. De nombreux textes anciens relatent avec lyrisme les liens entre douleur et jouissance. Ainsi, Hérodote décrit, non sans poésie, des scènes de flagellations érotiques au cours des fêtes d'Isis, où tous les fidèles munis de fouet se frappaient jusqu'à l'extase. Pas de fêtes orgiaques sans rituels du fouet, lors des Dyonisies en Grèce ou des Bacchanales à Rome. Plus tard, de célèbres dévots éprouvèrent en se meurtrissant les effets stimulants du fouet. Henri III , dernier Roi valoisien (1574 à 1589) , grand pénitent mais aussi voluptueux raffiné, aimait à se "tourmenter les chairs", en compagnie de ses mignons. Sade, étudié précédemment, en fit, dans l'intégralité de son œuvre , l'un de ses instruments de jouissance de prédilection. Comment la flagellation a-t-elle pris place dans l'art du jouir ? Selon Freud, le masochisme, est une perversion sexuelle suivant laquelle la satisfaction est liée à la souffrance, ou à l'humiliation subie par le sujet soumis. L'envie de fouetter ou d'être fouetté proviendrait de la connexion directe entre plaisir et déplaisir. Désir de faire souffrir la (e) soumise (s) ou l'esclave sexuelle (el), ou le sentiment opposé, recherche de la douleur par la (e) flagellée (é) . L'envie de se faire souffrir, ou masochisme, serait la forme de perversion la plus répandue. L'attrait pour la flagellation, selon le psychanalyste, viendrait de la fixation, au cours de l'enfance, d’une correction punitive mêlée à une jouissance. Le sadomasochisme représentant alors la satisfaction liée à la souffrance ou à l'humiliation subie par un sujet dépendant. Des comportements érotiques exacerbés conduiraient à une pratique sexuelle employant la douleur par la flagellation pour parvenir à la jouissance. Un sadique étant toujours un masochiste, selon le neurologue autrichien, le flagellant prend plaisir à fouetter, aurait pour partenaire, un flagellé recherchant l'extase sous le fouet. Dans une relation D/S entre un dominant et un dominé, un Maître et un esclave, ou un masochiste et un sadique. La représentation religieuse de la flagellation l'associe à l'expiation d'une faute commise en vue de se punir de péchés. La mortification de la chair, dans une recherche mystique d'accaparation des douleurs du christ, permet de se rapprochant de Dieu. Quel qu’en soient les origines, apparaît de façon sous-jacente l'union entre le corps et l'esprit. En punissant, on veut faire entendre raison, en meurtrissant le corps, on pousse l'esprit à s'élever en se surpassant. Les informations cérébro-dolorosives transmises au cerveau agissent comme des détonateurs forçant l'esprit. Celui ci transmet à son tour au corps l'ordre d'endurer et de résister. Ce schéma synaptique neuromusculaire se produit lors d'une séance de flagellation. Plus clairement exprimé, la flagellation permet d'explorer le côté animal en transgressant les codes d'une sexualité classique. Elle confronte ,les partenaires, à la vulnérabilité ou à la puissance, au cours de jeux de rôles sexuels extrêmes, comme de puissants leviers d'excitation sexuelle. La ritualisation, en particulier, la mise à nu de la soumise exacerbe l'érotisation de la préparation à la séance de flagellation. Elle offre à son Maître, en signe d'offrande, le spectacle de sa nudité. Libre à lui, de se livrer à un examen approfondi des parties corporelles à travailler. Les yeux bandés et bâillonnée, elle est attachée avec des menottes, ou des cordes, sur du mobilier, un carcan, un cheval d'arçon, le plus souvent, une croix de Saint-André. S'infligeant une souffrance physique, le masochiste produit des endorphines, hormones sécrétées en cas d'excitation, et de douleur. Les endorphines ou endomorphines étant des composés opioïdes peptidiques endogènes secrétées par l'hypophyse et l'hypothalamus, lors d'activités physiques intenses, sportives ou sexuelles, d'excitation ,de douleur, et d'orgasme. Elles s'assimilent aux opiacés par leur capacité analgésique et procurent une sensation de bien-être. Lors d'une séance de flagellation, la douleur se transforme peu à peu en plaisir. Elle procure un plaisir à la fois corporel et mental, pour la (e) sadique ou dominatrice (eur),comme pour la (e) masochiste, ou soumise (e). Les sensations de morsures, brûlures, et de douleurs précèdent toujours plaisir et jouissance. La flagellée, par soumission et par volonté de se surpasser, atteint progressivement un état relatif de confort. Son corps mobilisé secrétant des analgésiques ou euphorisants, elle supporte alors mieux la douleur quand approche l'orgasme. Le secret de l'alchimie résidant dans l'expérience du Maître, dans sa technicité et sa maîtrise de l'art du fouet. La caresse de la zone à fouetter, ou à pincer, au cours de la période d'échauffement, précède toujours la flagellation. Le dépassement de soi, en continuant à subir ou à frapper, plus longtemps et plus fort, s'acquiert avec le temps. À la douleur, s'associe le fantasme de la domination. Véritable raffinement érotique, la flagellation, pratique fétiche, source de sensations corporelles voluptueuses, est véritablement au cœur de la littérature érotique: Plus de sept cents livres lui ont été consacrés entre 1890 et 1940. Gustave Le Rouge, Louis Malteste, Hector France ou Pierre Mac Orlan la vénèrent en déifiant sa ritualisation. Citons "La Voluptueuse Souffrance" de Max des Vignons (1930), "Coups de fouet" de Lord Birchisgood, "Le magnétisme du fouet" de Jean de Villiot (1902),ou encore "Monsieur dresse sa bonne" (1996) de Georges Pailler, dit Esparbec. La flagellation, pratique autonome, est devenue aujourd'hui un symbole érotique incontournable de la domination. Rappelons, avec force, que toute stimulation du corps par la flagellation, doit être librement consentie par des partenaires majeurs et de préférence expérimentés lors d'une séance de soumission avec toujours le recours possible d'un safeword . "Je porte les stigmates de la réalité de mon amour. J'aime contempler dans un miroir les traces que m'ont laissées les épreuves endurées lors des séances de soumission à l'être aimé. Je détaille les éraflures, et les stries qui zèbrent ma peau nacrée, et je revis les intenses moments d'abnégation. "Le lien" Vanessa Duriès. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 29/10/19
"Si vous l'attachez quelquefois,si vous la fouettez un peu,et qu'elle y prenne plaisir,non,Ce qu'il faut,c'est dépasser le moment où elle prendra plaisir,pour obtenir les larmes." O,est libre et indépendante.Mais elle est subitement conduite par son amant dans le château de Roissy, où les femmes connaissent la souffrance car elles sont fouettées, surtout la nuit. Les mains liées dans le dos,nue et les yeux bandés,elle pénètre dans la demeure, guidée par deux jeunes filles, aux robes d'un autre temps, retroussées sur leur ventre et leurs reins nus. Les sévices subis seront chaque jour renouvelés. O sera offerte et prise,fouettée et murée dans le silence. Débute alors l'apprentissage de l'esclavage.Par amour pour René, O ira très loin dans la négation de soi. Elle abdiquera toute volonté et perdra définitivement sa liberté. En recouvrant d'un savant voile l'identité réelle d'O, l'auteur entretient le mystère,dans un court récit de quatre parties. Le déroulement, en crescendo musical, évoque un rêve, un fantasme éveillé, de son apprentissage jusqu'à son élévation. Sous une narration anonyme,la description détaillée d'un vêtement, aide le lecteur à lui prêter une perception. "À mesure qu'on serrait, les seins remontaient, s'appuyaient par dessous leur gousset, et offraient davantage leur pointe. En même temps la taille s'étranglait, ce qui faisait saillir le ventre et cambrer profondément les reins. L'étrange est que cette armature était très confortable, et jusqu'à un certain point reposante. On s'y tenait bien droite, mais elle rendait sensible, sans qu'on sût très bien pourquoi, à moins que ce ne fût par contraste, la liberté ou plutôt la disponibilité de ce qu'elle ne comprimait pas." Il plonge alors avec une richesse sensorielle inouïe, dans l’ambiance de ce château,aux rites particuliers. L’interdiction de croiser les jambes,de serrer les genoux,ou de fermer les lèvres, en signes d'offrande perpétuelle. "Votre bouche,votre ventre,et vos reins nous sont ouverts." Les longues jupes en faille noire sont bouffantes,les robes en satin, les corselets serrés et les mules vernies à hauts talons. Dans le boudoir,la cheminée est grande,les poufs en fourrure,la porte en fer forgé et le dallage est noir. Le bain est donné à O avec un soin extrême, la pointe et l’aréole de ses seins sont rosies. La taille est étranglée dans un corset durement baleiné, son anneau anal est élargi. Les hanches et les seins partageant alors avec l'anus et l'aine,un cercle parfait,le O. Viennent alors les instruments de sévices décrits avec une fascinante précision. "Un fouet de cordes assez fines, qui se terminaient par plusieurs nœuds et étaient toutes raides comme si on les avait trempées dans l’eau." "Un fouet de cuir fait de six lanières terminées par un nœud." Devenant des parures faisant dire à O,que son amie "serait plus belle avec un collier et des bracelets de cuir." Ou encore "que les coups et les fers allaient bien à Yvonne". Sans omettre les postures d’attachement aux poteaux, aux crochets des murs à l’aide d’anneaux, de chaînettes, les cliquetis. "Elle était exposée de telle manière que la seule chose d'elle qui fût visible était le creux de son ventre et de ses reins violemment écartelés,Anne-Marie lui caressa l'intérieur des cuisses.C'est l'endroit où la peau est la plus douce,dit-elle, il ne faudra pas l’abîmer,Va doucement Colette." "Aux premiers coups qui la brûlèrent au ventre,O gémit,Colette passait de la droite à la gauche,s'arrêtait, reprenait,O se débattait de tout son pouvoir,elle crut que les sangles la déchireraient,Elle ne voulait pas supplier, elle ne voulait pas demander grâce. Mais Anne-Marie entendait l'amener à merci,Plus vite,dit-elle à Colette,et plus fort." Les marques de violence s'impriment sur le corps avec une acuité terrifiante. Les sensations des cordes sur la peau à l’intérieur des cuisses, des balafres,et boursouflures de la peau. les "marques fraîches" de cravache sur les reins, "de belles zébrures longues et profondes". Ces marques sont autant de preuves d’amour tangibles aux yeux d'O. Comme sont des métaphores évocatrices et inattendues : "La bouche à demi-bâillonnée par la chair durcie", "le bâillon de chair qui l’étouffait", "son ventre entrebâillé". L'écriture évocatrice et charnelle fait partager le goût inattendu d'O pour le supplice dans la flagellation. Au-delà de sa dimension sulfureuse,Histoire d’O est avant tout une réflexion sur l’amour et la passion, sous un angle philosophique. Finalement en s’offrant, en s’abandonnant totalement à l’autre, elle démontre comment elle se délivre d’elle-même. Le cheminement psychologique d’O se réalise peu à peu. D'abord interloquée et troublée,elle succombe à la douceur de l’avilissement. Etre enchaînée, fouettée puis marquée aux fers sont des actes rituels exprimant en réalité un désir de libération. Dans cet espoir d'être reconnues,voix et conscience d'O percent le roman,en le dominant du début à la fin Sir Stephen,le Maître d'O,en paroles ou en gestes,ne la domine qu'en illusion. O,objet, ou orifice, appartient à un autre Monde,un monde mêlant inspiration ésotérique et talent littéraire. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 18/10/19
Photo : Source Internet "Détends-toi" murmura-t-elle dans mon oreille alors qu'elle déboutonnait lentement ma chemise. Ses mains me donnaient l'impression de brûler ; des flammes de feu glissaient à l'intérieur du tissu et commençaient à explorer ma chair nue en dessous. Je frissonnais légèrement alors que ses doigts frôlaient légèrement mes mamelons durs puis ils firent glisser lentement ma chemise qui tomba au sol. Des frémissements passèrent dans mon dos, tirant un halètement de mes lèvres et un rire de elle. « Chhhhhut ... je n'ai même pas encore commencé avec toi" Le lourd collier de cuir qu'elle avait attaché autour de mon cou m’était étranger et bizarre mais excitant. Sa langue pénétra rapidement dans ma bouche, forçant son passage à l'intérieur avant que j'aie une chance de résister. Je commençais à l’embrasser, mais Elle rompit le baiser et me frappa le visage. "Tu ne devras JAMAIS plus prendre l’initiative avec moi, Jamais ! et ne l'oublies pas », dit-elle d'un ton cassant qui me surprit. Quelques secondes plus tard, j'étais poussé contre la table à manger. Une table en chêne très solide qui pouvait facilement supporter mon poids et plus encore. C’était clair qu’elle savait exactement ce qu’elle faisait. Elle attacha adroitement une corde à mon collier puis la passant de l’autre côté de la table, elle me força à me pencher et poser mon torse sur la plateau. De nulle part, Elle sorti quatre bracelets en cuir et commença à les boucler étroitement autour de mes poignets et de mes bras au-dessus de mes coudes. Surpris par sa vitesse, je ne pouvais dans ma surprise que regarder mes poignets être tirés et attachés aux coins opposés de la table et mes coudes tirés sur les côtés, immobilisant complètement le haut de mon corps. J’allais ouvrir la bouche pour lui demander ce qu'elle allait faire, mais, soudain, elle fut remplie de caoutchouc au goût fétide. Une lanière fut serrée autour de ma tête et, à ma grande surprise, le bâillon commença à s'étendre, remplissant ma bouche et me faisant complètement taire. J'étais vraiment impuissant pour la première fois... Je sentis ses mains qui cherchaient la boucle de ma ceinture, l’ouvrant et puis descendant mon pantalon, me laissant complètement nu. Je sentis que des bracelets supplémentaires étaient bouclés autour de mes chevilles et de mes cuisses au dessus du genou. Mes jambes furent alors écartées. Je pouvais sentir courir ses doigts alors qu’elle travaillait, attachant mes chevilles aux pieds de la table puis écartant mes cuisses aussi loin que possible avant de les attacher aussi. Je ne pouvais plus bouger du tout. J’étais complètement nu, impuissant et bâillonné - totalement à la merci de ma Dame. «Maintenant, tu vas avoir un choix à faire. Tu t’imaginais très fort dans nos jeux SM de chambre à coucher. Je parie que tu pensais que j'étais juste une gentille maitresse avec qui tu joues au soumis pour avoir du sexe. Tu vois, je t’observe depuis des semaines, je sais ce dont tu as besoin. Encore mieux que ce que tu penses toi-même. Maintenant, la question est : as-tu le courage de l'accepter ? Je vais aller me préparer. Quand je reviendrai, je te donnerai ce choix : Soit tu demandes à être libéré, auquel cas je te détacherai - cependant, demain tu partiras et tu ne me reverras jamais. Ou soit tu me demanderas de continuer et tu te soumettras à ce que tu sais être ton désir le plus profond - ton contrôle par une femme puissante. Le choix est à toi. Sur ce, elle attacha un bandeau sur mes yeux et je l'entendis sortir de la pièce. Je n'avais aucune idée de combien de temps elle me ferait attendre. Mon esprit était survolté. Oui, j'avais eu des fantasmes de soumission ces dernières années. Comment diable le savait-elle? J’en avais jamais parlé à personne. J’avais 23 ans, cela faisait quelques mois que nous étions ensemble et pour être honnête, j’en étais amoureux fou. Je m’étais toujours refusé de me poser la question de ce que se serait d'être totalement sous le joug d'une femme aimante vraiment dominante... Je sentis le bâillon être enlevé, brisant mes réflexions. Je ne l'avais pas entendue revenir. Elle m'avait encore un fois pris complètement par surprise. J'étais loin d'être prêt, pourtant elle était là, demandant : "Eh bien, quel est ton choix ? Tu as 10 secondes pour me répondre.» J'ai avalé, bégayé et encore bégayé puis finalement j’ai pu prononcer les mots qui allaient changer ma vie. « S’il te plait, fais de moi ton soumis » . A peine les mots avaient-ils quitté ma bouche que le bâillon était replacé et complètement gonflé, me faisant taire à nouveau. Quelques secondes plus tard, je sentis une langue de glace couler sur mon cul. J’essayais de résister en vain, mais je ne pouvais pas. Son doigt était à l'intérieur de moi quelques secondes plus tard, touchant des endroits dont je n'avais aucune idée qu’ils existaient quelques secondes auparavant. Je ne pouvais rien faire, elle avait pris un contrôle total et complet. Je pouvais sentir son doigt bouger, doucement palper, chercher quelque chose. Puis tout à coup, elle pressa doucement et mon monde changea. Des sensations que je ne peux pas décrire m'ont traversé alors qu'elle commençait à masser lentement et doucement ce que je sais maintenant être ma prostate. Expertement Elle m'a travaillé, construisant un besoin puis me relâchant, chaque vague me donnant une sensation pas déplaisante, mais pas excitante pour autant. Pendant tout ce temps, elle chuchotait, me disant de ne pas m'inquiéter, de me détendre et que ça fonctionnait. Je sentais réellement que je commençais à me détendre et à me soumettre à cette pénétration. Elle a dû le remarquer parce que un doigt de plus s’ajouta, puis trois et je commençais à accepter cette prise de pouvoir, essayant de ne pas me crisper. Enfin ils étaient partis. J'ai essayé de me tourner, de me tortiller, mais c'était inutile. Mes liens étaient solides. Si solide qu'il n'y avait rien que je puisse faire pour m’échapper. C’est alors que je sentis ses mains sur mes hanches. Quelque part dans mon esprit, je savais ce qui allait arriver, mais j'essayais de l'ignorer, de le repousser ... jusqu'à ce que je ressente une pression lente et implacable. J'étais dégoulinant de lubrifiant et déjà bien ouvert, il n'y eu presque pas de résistance alors qu'elle glissait le gode au fond de moi. "Bien ... maintenant ... vas-y, n'essaie pas de te battre, tu ne peux pas et tu ne te feras que du mal si tu essaies » D'une manière experte, elle commença à prendre ma virginité anale. Chaque coup pressait le gode contre ma prostate déjà très sensible. J'étais perdu dans cette sensation. Mon esprit tournant à plein régime, essayant d’accepter cette pénétration. Pendant ce temps, elle a lentement, expertement, profondément baisé mon cul. Je ne sentis pas que mon sperme commençait à fuir. Ce n'était pas un orgasme, plus un écoulement lent pompé à chaque poussée. Aucun plaisir ne venait de mon cul. Mon pénis était quand même dur, mais négligé. Elle me vida comme jamais auparavant, me baisant jusqu'à ce qu'il ne reste plus une goutte de sperme dans mon corps. Et grâce au bandeau, je n'en savais rien! C'est alors qu'elle s'est retirée me laissant vide, ouvert et excité comme jamais. «Je vais te détacher. Tu ne retireras pas ton bandeau. Tu auras 120 secondes à partir du moment où tes mains seront libres de te faire jouir ... si tu ne le fais pas, tu passeras le prochain mois dans ta nouvelle ceinture de chasteté et moi seule aurait la clé. » Je sentis mes liens se desserrer puis sa voix. « Debout et commences ». Je me suis levé et j'ai attrapé ma pénis, essayant frénétiquement de provoquer une érection. Ce ne fut pas difficile. J’étais tellement excité que je réussis en quelques secondes, mais cela n’alla pas plus loin. J’essayais encore et encore, mais je n’arrivais pas à l’orgasme. C'était impossible. Rien de ce que je faisais ne m’approchait de cet orgasme insaisissable. "Time is up". Mes mains furent rapidement tirées derrière mon dos et cadenassées ensemble alors qu'elle riait.   « Tu n'avais aucune chance. Mais tu as maintenant un mois pour récupérer je crois ». Je sentis l'acier froid de la ceinture se refermer autour de mes hanches. Puis elle me choqua en appliquant de la glace sur ma pénis encore bien dur. En quelques secondes, je devins flasque et la seconde suivante mon pénis fut enfermé dans le tube en métal à l’intérieur de la ceinture. Enfin, elle enleva mes contraintes, mon bâillon et libéra mes yeux bandés. Je pus voir avec étonnement la flaque de sperme pour la toute première fois. "C'était toi. Tu as eu des gouttes et des fuites tout dès que j’ai commencé à t’attacher. J'adore le massage de la prostate. Ça rend les hommes si impuissants, si humiliés. Maintenant, nettoie moi ce gâchis et habille-toi. Nous allons sortir dîner pour fêter cet événement. Et n’oublies pas le mois prochain... J'ai la seule clé ! " Ce fut pendant ce diner qu’elle me parla de ses fantasmes, de ce qu’elle imaginait pour nous. Alors que je l’écoutais avec amour, ajoutant ici où là mes propres idées, mon sexe passa la soirée à lutter en vain contre l’acier qui le contrôlait.
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Par : le 09/10/19
Impuissant, j’essaie de me libérer mais instinctivement je sait que cela ne sert à rien. Des chaines retiennent les bracelets de mes poignets et de mes chevilles ; des sangles entourent mes épaules, mes cuisses et même ma taille. Je suis fixé au banc rigide. Je regarde avec incrédulité ma Gardienne. Dès qu’Elle eut fini de m’attacher, Elle a enlevé ma cage. Maintenant, Elle prépare des aiguilles et des seringues. Jusqu'à cet instant, je n’ai jamais cru qu'elle le ferait réellement. Ma bouche, remplie de mon bâillon pénis au goût fétide de caoutchouc, s'assèche brusquement quand Elle s'approche. Je me crispe involontairement alors qu’Elle se penche vers moi. « Alors esclave, voilà le jour tant attendu » dit-Elle avec un large sourire. Je la regarde avec un air d’incompréhension. Pourquoi dit-Elle ça ? « Ta Dame a décidé de te donner une récompense », continue-t-Elle, « et surtout, Elle a accepté mon aide pour te préparer. N’est-ce pas gentil de ma part ? ». Sans attendre ma réponse, Elle désinfecte mon sexe et ses alentours. Elle prend un 1ère seringue et réalise la première injection, suivie de plusieurs autres dans mon pénis, mes testicules et tout autour. Le liquide me brûle brièvement au fur et à mesure qu'il pénètre. Puis lentement, la brûlure se transforme en une chaleur douce et brillante, puis finalement plus rien. Je réalise qu’Elle m’a anesthésié. Elle m’a volé toute sensation dans et autour de mon pénis. L'effet est total. Elle place un bandeau sur mes yeux. Je ne me rends pas compte qu’Elle prépare une dernière injection. Une qui est complètement différente. « Tu es presque prêt. C’est bien. Elle va arriver dans quelques minutes ». Sans que je le remarque, Elle pique directement dans mon pénis flasque. Normalement, cela aurait dû me brûler mais je ne sens rien. Aucune sensation. Puis, j’ai l’impression d’un durcissement lent, inévitable de mon pénis engourdi. Je contracte mes muscles et j’arrive à le sentir taper contre mon ventre. Dans les 3 minutes, il est devenu complètement dur et mais totalement insensible. Elle enlève le bandeau et Elle sourit. « Aujourd'hui tu seras un gode humain. Ta Dame va t'utiliser et je prendrais beaucoup de plaisir à te voir essayer de jouir. Mais il n'y aura rien à faire ; tu ne peux pas devenir mou et tu ne peux rien sentir et en plus, tu ne peux pas bouger. Tout ce que tu peux faire, c'est rester là et la voir prendre son plaisir ». Avec ça, ma Dame arrive. Elle embrasse langoureusement son amante dans une longue étreinte. « Alors esclave » me dit ma Dame. « Je vois que tu es déjà prêt » en caressant mon pénis de haut en bas. Elle saisit mes testicules. « Je vais te donner une règle, une seule. N’envisage même pas de jouir avant moi. » Elle doit avoir serré mes testicules, car sans ma réponse, Elle ajoute : As-tu bien compris ? » « Mmmohi » Elle se mit à califourchon sur moi et glissa mon pénis dur au fond de son sexe. Les larmes me montent aux yeux alors que je réalise que je ne ressens rien. Pas de mouvement. Pas de chaleur. Pas de friction, rien. C’est comme si tout mon sexe et mes boules n'existent tout simplement plus. Je veux fermer les yeux, je veux disparaître, je veux que cela s’arrête, que je me réveille de ce cauchemar. Mais je suis obligé de la regarder alors qu’Elle bouge lentement sur moi, se rapprochant toujours plus de l'orgasme. Je ne peux pas bouger, je ne peux pas m’échapper, je ne peux pas l’arrêter. Elle me chevauche, encore et encore pendant ce qui semble être des heures ... tirant de mon corps sans défense chaque once de Son plaisir. Amère ironie, l’engourdissement complet de mon sexe signifie que je n’ai pas besoin de m’inquiéter de l'éjaculation. Je ne peux tout simplement pas, même si je le voulait ... il n’y a aucune sensation pour déclencher mon plaisir. C’était comme si le produit anesthésiant avait bloqué tous les nerfs de mon corps nécessaire au contrôle de mes muscles éjaculateurs... je suis dur, mais impuissant. Ma Gardienne s’était rapprochée et La caresse. Ma Dame se délecte, prenant son plaisir encore et encore sans interruption dans les bras de son amante, utilisant le gode humain que j’étais devenu. Finalement, elle est repue. Elle se lève vacillante et je vois que mon pénis est toujours dur. Je n’ai toujours pas joui. Je gémis alors que le bandeau est refixé sur ses yeux, coupant tous les regards et la vision de mon sexe abandonné. Elles me laissent là, ligoté, tremblant, frustré comme jamais et les yeux bandés. Plus tard, j’entends que quelqu’un vient. Ce doit être ma Gardienne. « Je vois que tu as débandé. Il est temps de le remettre dans sa cage » annonce-t-Elle joyeusement. « Mmmmpf ». Je proteste. Je n’ai pas eu ma récompense. Je devais pouvoir enfin jouir après des semaines d’abstinence. « Ne t’inquiète pas, j’ai aussi un petit cadeau pour toi » dit-Elle d’un ton sournois. « Le petit paquet que nous avons reçu l’autre jour contenait ton cadeau. Il est temps de faire bonne usage de ton nouveau piercing au pénis ». Je ne sens toujours rien alors qu’Elle nettoie soigneusement mon sexe. Elle glisse le solide anneau d'acier derrière mes testicules. Le tube de métal suit enfermant mon pénis qui a dû ramollir entre temps. Me surprenant, Elle continue à me manipuler, puis avec une torsion rapide, Elle ferme la serrure et voilà. Je suis de retour dans la cage de chasteté. Je suis complètement sous le choc, seul, toujours fixé à ma banc. Encore plus tard, ma Dame vient me libérer. Je sens les sangles se desserrer puis être enlevées. Les cadenas de mes chaînes sont ouverts, le baillon est retiré. Je me lève lentement vacillant. Dès que je suis debout, je m’appuie contre Ellle. Je sens Sa chaleur et Son parfum. Je compris... et un gémissement long et bas s'échappa de mes lèvres... Elle me fit taire d'un baiser dur et profond, sa langue forçant son passage dans ma bouche, provoquant des vagues de luxure et… une forte compression dans mon pénis. Une nouvelle cage de chasteté était fixée autour de mon sexe. « Je t'ai prévenu de ce qui se passerait si tu venais avant moi » Dit-Elle. « Tu as réussi à ne pas éjaculer, c’est incroyable. Mais tu n'as pas bien écouté, et ne t’ai-je pas dit de jouir après moi. Tu es vraiment stupide d’avoir louper une occasion pareille. Je t’aurais même laissé me nettoyer. Maintenant, tu ne peux plus bander du tout, ni jouir bien sûr pour une nouvelle longue période ». Je veux lui dire que j’ai été piégé, que c’est un complot. Mais il n’y a plus aucune trace des seringues utilisées par ma Gardienne et Il lui suffirait de dire que je fabule, que je mens. Qui pourrait croire à une histoire comme ça. « Tu devras t'habituer à la nouvelle cage que t’a offert ma chérie. » Continue-t-elle. « Je me suis laissé dire qu’elle est plus sévère et sécurisée que l’ancienne. » Et Elle a jouta « Maintenant va prendre ta douche ». Je restais là abasourdi. Chancelant, je me dirige vers la douche. Le jet tiède me fait du bien. je sens que les sensations reviennent lentement dans mon pénis et mes testicules. J’inspecte ma nouvelle cage. Elle est vraiment plus courte, trop courte !!! et je pense qu’elle est encore plus serrée, trop serrée !! Une broche de retenue traverse le piercing de mon gland et ressort par le bout du tube. J’essaie de bander, j’ai tout de suite très mal. Je suis désespéré. Quand je sors de la douche, ma Gardienne est là avec de quoi manger et boire. « Tu resteras chaste ou anesthésié jusqu'à ce que je sois convaincue que tu as appris ta leçon. » me lança-t-Elle pendant que je mange. « Dorénavant, je te ferai bander sur ordre et pour la durée que je déciderai. En dehors, ta nouvelle cage se chargera de te rappeler que tu n’as plus le droit de bander. » « C’est moi qui dirige ta vie maintenant. Est-ce bien compris ? m’as-tu bien entendu ? ». « Oui, Madame » dis-je dans un souffle. « Lève-toi que je prépare tes chaînes pour la nuit. Ensuite je t’emmène à ta nouvelle cellule. » Cette fois, il n'y aura pas d'échappatoire pour lulu.s       https://www.bdsm.fr/blog/4931/La-bo%C3%AEte-infernale---Petite-histoire-%C3%A0-ma-soumise-(6)/
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Par : le 24/09/19
Depuis hier, cet esclave a été enchaîné au mur dans ses chaines au complet. Cagoulé. Bailloné. Il a au moins juste assez de chaîne pour s'allonger. Le sol est dur. Isolé dans cette sombre pièce. Il n'a pas beaucoup dormi. Finalement, son bandeau a été enlevé ainsi que son bâillon. Il a pu boire de son écuelle posée sur le sol et de même il a mangé son gruau. Ses mitaines lui ont été enlevées et il a pu pissé dans son seau, difficilement à cause de la cage qui comprime son pénis. Aucun mot n'a été prononcé. Il n'y a rien à dire, Elle lui a tout remis., contrôlé que tout était bien verrouillé. Il a été laissé à nouveau enchaîné dans l'obscurité du sous-sol jusqu'à sa prochaine visite.
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Par : le 17/05/19
Moments choisis Il y a bien longtemps, dans une galaxie lointaine, très lointaine... _ Allo? (softail) _ Bonjour mon Maître ! (Hydréane) _ Bonjour ma Douce _ J'ai une mauvaise nouvelle; vous savez le plug que vous m'avez acheté, celui que j'aime bien, et bien il est mort, HS. je l'ai usé je crois... _ (éclat de rire) Tu es unique ma Douce _ Surtout ne dites rien, je me ferais charrier sur le forum! _ Compte sur moi... _ Ce matin j'ai décoré mon sapin, il est super beau (Hydréane) _ Cool ma Douce, tu m'enverras une photo _ Je dois vous dire... Il y a une petite particularité dans la déco... _ ...Oui? _ J'ai mis mes boules de geisha que vous m'avez offert _ Mort de rire! Naaannn, t'as fait ça? _ Ben oui quoi, elles sont jolies les dorées, ça va bien avec le reste de ma déco, c'est dans le thème _ Euh...Et si quelqu'un remarque que tes 3 boules sont relièes par un petit cordon? _ Bah pas grave, j'dirai que je me suis trompée. Nous sommes assis à une table de restaurant. Nous discutons BDSM: matériel, pratiques, rencontres... A bâtons rompus; nous avons trop peu souvent cette chance... Au fur et à mesure que ma Douce me parle, intarissable, un immense sourire illumine mon visage. Elle ne comprends pas bien mais ma Douce poursuit, aiguillonnée par mes soins.  Plus ça va, plus je ris franchement, et lorsque que nos deux voisins de tablent partent avec un grand sourire eux aussi, Hydrénae me glisse, surprise: « mais qu'est-ce qu'ils ont? Ils n'ont pas arrêté de me regarder! Surtout le gros avec un oeil pervers! »  Je lui fait remarqué l'exiguité du lieu, la promiscuité qui s'en suit et le fait qu'à peine un mètre nous séparaient de ces deux messieurs qui ont interrompu très vite leur conversation pour mieux écouter la notre. M'en rendant compte j'en ai rajouté l'air de rien, t'orientant... Rarement ma Douce a piqué un tel fard... Un mail récent  « Mon Maître, terrible nouvelle, mon God le premier que vous m'avez acheter est mort; il ne marche plus du tout et pourtant j'ai changé les piles! Bah moi je l'aimais bien celui là... » Lui aussi donc, mais comment fait-elle pour les user comme ça??? Mais cher lecteur(trice) le meilleur est à venir « Je ne sais que faire, il faudra que je le jette. Ou que je l'enterre au fond du jardin avec mon plug ^^ » Signé Votre Hydréane sans God ^^.[/i] J'imagine vanille bêcher le jardin au printemps pour planter des carottes: ah tient il y en avait déjà... Hydréane Nous sommes dans un sauna ; mon Maître s’amuse à faire bruit avec son corps qui réagit a la vapeur et à l'humidité , vous savez ces bruits fort délicats qu'il imite à la perfection et  il y va de bon cœur ; il est allongé le  sur un petit muret à force de faire le pitre il glisse et se retrouve parterre face à moi qui est morte de rire et j'ai des témoins et voila mon pauvre Maître a mes pieds après une terrible glissade. Il faut vraiment s'imaginer cette scène ^^ Softail JE TE DETESTE! ^^ De tout mon coeur ma Douce. Oui j'avoue que j'ai rit en te lisant en souvenir de ce moment mémorable (devant témoins oui ^^). Mais bon là t'es en train de pourir mon post! Je vais sévir (la différence entre nous deux c'est que moi je vais vraiment pouvoir le faire, héhé) Hydréane Toujours au sauna  en parlant de travesti. Nous sommes dans le vestiaire ou l'on se déshabille. Arrive une superbe femme, de dos bas résille talon aiguille, jupe léopard elle se retourne son , décolté et plongeant ; je vois mon  Maître regarder non pas regarder son regard  pervers est plein d'envie devant cette sublime femme..... Je souris elle me regarde et je vois que c'est un travesti , mon Maître na pas encore vu ; je lui dis mais c'est Huguette il lève les yeux vers la femme ^^ Son regard dépité m en dit long. Je vous assure qu'elle a suivit Softail tout le temps que nous étions la ^^Je vous raconte pas comment elle a léché la vitre en regardant Softail droit dans les yeux ^^ Et comme certain le savent ici entre mon Maître et Huguette c'est une grande histoire d'amour ^^ Softail Je revois ce travesti d' 1M90 lécher la vitre du sauna quand nous étions de l'autre coté, toi morte de rire, de ce rire bon enfant, communicatif, celui qui vient des tripes... Vive le sourire du matin Ma Douce s'occupe de la réservation d'un hôtel pour nous. Bah oui, diriger, c'est savoir déléguer aussi ! ^^ Elle m'envoie confirmation de la réservation:"Mon Maître j'ai réservé l'hôtel, j'ai hâte d'être votre chienne, que me fouettiez...Signé votre petite salope soumise"; Vous comprendrez que j'aie abrègé pour les âmes sensibles.  Second mail 24h plus tard: " Oups mon Maître ce n'est pas à vous que j'ai envoyé confirmation de la réservation mais à l'hotel directement!!! La honte...Au fait j'avais déjà commis cette bourde une fois, l'an passé ce n'était pas déjà avec eux?" Ma réponse:  " Si ma Douce ... " Hydréane : Mon Maître venez racontez comment vous avez casser la cravache ^^ Ce qui est drole pendant nos rencontres c'est que il nous arrive toujours quelque chose ... Mon Maître qui me donne des coups de cravache , et là je vois un truc noir passer devant mes yeux, vous me croirez si vous voulez les amis c'est l'embout de la cravache qui vole dans la chambre... Softail cherche le bout partout et je pars dans un fou rire énorme, vous avez déjà vu un Maître cherche un embout de cravache... Le pire c'est qu'il le refixe (ou croit le faire) et recommence ,je ne peux me retenir malgré les coups et mon Bâillon le fou rire me prends quand l'embout retombe à coté de moi... N’empêche que la cravache à déraper et pour la première fois je saigne . Mais je ris et j'en ris encore de voir Softail chercher l’embout. Que j'avais cacher dans ma main ^^ Softail : Non mais il faut avouer que j'ai un certain mérite quand même (softail se la pète grave): garder son sérieux pendant que sa soumise part dans un fou rire mémorable pendant une séance de cravache. Bon je dois recoller les morceaux et cette garce cache l'embout dans sa main!!! C'est pô une vie d'être Maître d'Hydréane, j'vous jure! Ma Douce renvoie un mail à l'hotel pour savoir s'ils ont un parking. _ ça va ma Douce, cette fois-ci pas de bourde dans le destinataire? _ euh non mon Maître, mais euh, comment dire... Je viens de m'apercevoir que ma signature électronique est « hydréane soumise de Softail"!!! Ca veut dire qu'à chaque fois, tous mes interlocuteurs lisaient ça... _ mort de rire ma Douce ^^ Nouveau baillon boule; pas croyable en une séance ma Douce a: _ machouillé le baillon; HS! Pfff ces chiennes qui bouffent tout dès qu'on relâche à peine la surveillance... _ usé la cravache (fesse trop dure surement, c'est de la carne!!!). Ces 2 objets mytiques iront certainement rejoindre le plug et le god inhumés au fond du jardin.  Un moment de recueillement je vous prie... softail ému Bon, avouons quand même qu'Hydréane est une jolie blonde ^^ Et passablement douée pour se mettre seule dans l'embarras; comment trouverai-je tant d'idées sans son aide involontaire? Exemple: _ vous voyez mon Maître, quand j'aurai trouvé ma perle rare, ma soumise, je lui ferai faire ceci ou lui donnerai telle punition! _ excellente idée ma Douce, j'en manquais pour toi ^^ _ nooooon, z'avez pô le droit! _ mais si ma Douce, ton Maître a tous les droits, grâce à toi... ^^ _ c'est pô juste, je boude na! (en général ma Douce tape du pied à cet instant précis) _ décidément j'ai bien choisit ma position ^^ _ euh, mon Maître, quand est-ce qu'on switch?  (en général à bout d'argument elle commence à délirer gentiment, ou alors c'est qu'elle fume des trucs Ma Douce a reçu quelques jours auparavant son collier. Un joli collier de chienne. En cuir ou quelque chose comme ça. Serti de diamants,ou quelque chose comme ça (on n'a pas tous les même moyens^^). L'ayant acheté à distance, j'avais vu un peu grand; il était trop large, même resserré au dernier trou. Je lui avais enjoint, ravi, d'aller voir un cordonnier pour faire percer, un voir 2 trous supplémentaires. Presque comme si je pressentais ce qui pouvait se passer. Cela ne manqua pas. Sans doute devant son air gêné,celui-ci l'a regardée droit dans les yeux et lui a demandé: _ c'est pour vous? _ oui... J'aurais payé cher pour voir la tête d'Hydréane à cette seconde précise ^^ "Bonjour mon Maître, votre soumise Reine de la boulette: j'ai souhaité l'Anniversaire de F, une amie soumise et je me suis trompée de personne: j'ai envoyé une photo sexy de femme à une copine avec un doux message... Aie aie! " ^^ Ca arrive ma Douce, elle comprendra surement. Enfin peut-être. Enfin tu verras bien. Et puis l'important est que cela reste entre nous: tu te rends compte si d'autres savaient que tu es la reine des boulettes? Tout le monde voudrait venir manger un couscous chez toi.  
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Par : le 18/03/19
Je connais mes devoirs de soumise. J’ai fauté et mon Maître a décidé de m’infliger une punition . Il m’envoie chez Maître Dionysos ,il arrivera plus tard. Je me présente a son domicile qui sera le théâtre de ma sanction. Maitre Dionysos me fait entrer ,il va se charger de me préparer pour l’arrivée de mon exécuteur. Il me dit de me dénuder puis place des bracelets de cuir sur mes poignets et mes chevilles et m’installe dans la pièce principale, en tailleur sur le carrelage froid. Il me fixe un bandeau sur les yeux, je laisse le noir envahir mon esprit. Puis il tire mes coudes derrière ma tête et relie les deux bracelets. « Ouvre «,m’intime –t-il en poussant une boule dans ma bouche, le bâillon se ferme autour de ma tête. Cette boule que j’expérimente pour la première fois me semble énorme, ma bouche est écartelée. Je l’entends s’éloigner ,je suis seule avec ma respiration, mais pas de répit, Maître Dionysos revient ,il plonge sa main vers mon sexe humide de désir ,je sursaute, il vient de me placer ce gros vibro que j’adore, direct sur mon point sensible, cet engin est diaboliquement bon, je vibre avec lui. Maitre Hypérion arrive, il apprécie ma position, je suis prête. Je commence à baver sérieusement, ma salive déborde, coule sur mon menton et dégouline sur ma poitrine, descend sur mon ventre. Il m’invite à me relever afin d’entendre ma sentence dictée par notre hôte, puis vient la liste des punitions . Je hoche la tête en signe de compréhension, muselée par le bâillon boule. « Penche toi en avant », ordre signifié calmement mais fermement. Le premier coup claque sur mes bulbes offerts, le paddle, large, souple s’abat inlassablement, ma peau chauffe, de cette douce douleur, je l’apprivoise, me l’approprie, calme ma respiration qui s’accélère en cadence. Une main se pose sur mon dos, je pose les paumes à terre, jambes tendues mes reins pointent vers le plafond, je ne sais quelle main introduit un objet dans mon anus. La brûlure est immédiate, intense, elle irradie dans mes entrailles. Je me souviens de ce sévice dans la liste : le gingembre ! Feu dans mon intimité. J’essaye de me concentrer mais la flamme me ronge, impossible d’y échapper. Et la racine roule, s’enfonce, écarte mes chairs, je me mords les lèvres. Paddle, encore, plus fort, et encore. Les Maître se réjouissent de la couleur écarlate de mon cul. Ils décident de me faire pivoter, l’autre côté leur semble trop blanc , et d’une main experte ils abattent à tour de rôle deux martinets sur mon ventre, les lanières partent à mon assaut, la pointe de mon sein subit les langues de cuir, là aussi ça commence à chauffer. On me pousse vers un divan, couchée, cuisses largement ouvertes, deux godes à posés à côtés de moi, Maître me laisse le choix .J’en saisis un. « Enfonce le,Caresse toi » me dit il . Je m’exécute, à la lueur lubrique des mes deux gardiens. J’introduit le membre en moi, je savoure ce moment, il glisse sans difficulté, mes liqueurs intimes se répandent et les gémissements s’amplifient dans ma gorge. Mais ce jouet ne semble pas leur suffire. Je sens les dents acérées de la roulette qui arrivent, elles courent sur ma peau, le frémissement monte comme une vague sous mon épiderme , je me soulève, le plaisir m’élève dans un vortex d’euphorie , les éperons, incisifs s’attardent sur mon sexe, s’égarent dans mes lèvres, je retiens mon souffle ,j’ai plutôt intérêt à ne pas bouger. D’autant qu’Hyperion s’amuse maintenant avec la lame d’un couteau à effleurer la fine membrane si blanche, à l’orée de ma vulve vulnérable, à la merci de mes deux tourmenteurs. Maître Dionysos approche sa bouche de mon ventre , sa langue , que c’est divin ….Exquise caresse tandis que le métal travaille l’intérieur de mes cuisses, supplices suprêmes étroitement enchevêtrés. Maître Hypérion prend doucement ma tête dans ses mains et me dirige vers son phallus tendu. Il s’introduit dans ma bouche. Je suis en apesanteur , régal des sens….Je suis comblée Sa verge s’épaissit autour de mon avaloir , Hypérion debout au dessus de moi déflagre dans ma jugulaire, me gavant de semence chaude , alors que les fines aiguilles de Wartenberg excitent ma pulpe,je savoure ce subtil mélange. Toutes ces sensations ont ébranlé mon âme et consumé mon corps. Ce Châtiment me fait redevenir humble et respectueuse, effaçant toute velléité de révolte.
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Par : le 23/11/18
Noir C’était le jour J, qu’ils attendaient tous les deux depuis un moment. Le soir, ils arrivèrent comme convenu chez le couple d’amis qu’ils avaient contacté sur le site. Une fois les présentations faites, le maitre de maison lui dit "J'ai bien aimé ta première photo sur le site, où tu étais enchaînée. Donc, en attendant que t'arrives, je t'ai préparé une petite surprise". Elle chercha de l'aide dans le regard de son mari, mais celui-ci se contenta de dire "Vas-y, je sais que tu aimes ça. Pendant ce temps, je m'occuperai de Madame" dit-il en se rapprochant de la maîtresse de la maison. Cette dernière acquiesça avec un sourire complice. Avant qu'elle ne puisse protester, notre visiteuse fut menottée les mains dans le dos, à l'aide des hôtes et de son mari, et on lui passa ensuite un collier muni d'une laisse. "Suis-moi" ordonna le Maître d'une voix grave, mais à la fois douce et ferme. Il pris sa prisonnière par la laisse et la conduisit au sous-sol, dans une petite chambre où trônait un grand lit double, baigné dans une lumière rouge tamisée. "Assieds-toi" dit-il en indiquant le lit. "Je vais te préparer, n'aies pas peur. Tout ceci est conçu pour le plaisir et aucunement pour la souffrance". Il pris un foulard satiné et lui banda les yeux. Elle sentit les mains du Maître qui ôtaient ces menottes et son collier, la déshabillant ensuite complètement. "Je vais t'habiller différemment, laisse-toi faire s'il te plaît". Elle acquiesça de la tête et sentit un bâillon se loger dans sa bouche, fixé par une sangle élastique derrière la tête. Elle était dans le noir. Et réduite au silence.   Rouge Elle se sentit basculer sur le dos et, l'instant d'après, un petit gode en silicone se glissa dans son anus. Il avait été soigneusement lubrifié, et la sensation qu'il procurait était étrangement agréable. Ensuite, elle fut remise en position assise et ses jambes glissèrent dans un collant doux et soyeux. A la commande du Maître, elle se remit debout et le collant continua de remonter sur son corps; elle comprit qu'il s'agissait d'une combinaison intégrale en Lycra. Elle fût très excitée lorsque ses bras furent moulés de cette matière extraordinaire, jusqu'au bout des doigts, et que le zip remonta jusqu'à la nuque, serrant délicieusement son torse et ses seins. Le Maître lui enleva le foulard de ses yeux et elle découvrit que sa combinaison était rouge, comme la lumière de cette chambre. "Maintenant, je vais te mettre la cagoule, fermer le zip derrière ta tête, et le verrouiller avec ce petit cadenas". "Cagoule?? Cadenas?? Au secouuurs!!!!" ...mais le seul son qui sorti à travers son baillon fut "hhmmmppphh". Elle vu en effet la cagoule (intégrée à la combinaison) remonter, envelopper sa tête et sentit le zip se fermer vers le haut de son crâne, moulant sa tête et son cou d'une façon délicieuse; après quoi, elle entendit le clic du cadenas verrouillant la fermeture éclair. "Je suis scellée", pensa-t-elle sans espoir. On pouvait voir assez bien à travers le matériau, au moins pour distinguer les formes. Autour d'elle, l'univers était rouge, d'une nuance presque orgasmique.   Blanc Elle sentit qu'on lui passait des menottes en tissu autour des poignets et des chevilles, fermées par du velcro. Elle fut étendue sur le dos, et des sangles, attachées préalablement au sommier, furent attachées à ces menottes. En quelques secondes, elle se retrouva les bras et les jambes écartées, totalement immobilisée. "Ecartelée", pensa-t-elle. Les caresses se multipliaient sur son corps enveloppé, lui procurant des sensations délicieuses, se transformant en convulsions érotiques lorsque les doigts effleuraient les pointes de ses seins ou son clitoris. Cela faisait maintenant plusieurs dizaines de minutes qu'elle subissait en silence les caresses, étant emprisonnée dans sa combinaison et menottée au grand lit. Un grand vibromasseur à tête flexible faisait maintenant sentir sa présence, en insistant sur son clitoris et aussi sur l'extrémité plate du gode qui se trouvait toujours dans son anus, lui envoyant des effluves orgasmiques dans le cerveau, dans une explosion de sensations nouvelles. "Scellée. Menottée. Réduite au silence. Caressée. Sodomisée.". Ces pensées arrivèrent toutes ensemble au moment suprême, d'une durée impossible à déterminer. Sa cagoule et son bâillon une fois enlevés, elle laissa s'éclater de rire, un rire franc, joyeux, de pur bonheur, de délivrance. Elle prit le temps d'enlever délicatement sa combinaison (pas sans un certain regret...) et ils montèrent tous les deux à l'étage, où des coupes de champagne les attendaient. La soirée avait démarré bien. Elle se sentait au septième ciel, ses pensées baignaient dans une lumière blanche.  
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Par : le 28/09/18
Cela fait maintenant 13 ans révolus que je suis le soumis consentant de Lady gabrielle. Depuis le jour où Elle m'a proposé d'être son serviteur docile, notre relation a bien évidemment évoluée. Les trois années durant lesquelles nous ne vivions pas ensemble ont été une période de pure Domination/soumission . Puis , nous nous sommes installés ensemble et par la force du changement qui a constitué un chamboulement dans nos existences , nous avons mis notre BDSM de côté. Il nous fallait nous adapter à notre vie commune. Le côté « vanille » avait prit le dessus. Ce n'est que deux années plus tard , que nous avons renoué avec ce mode de vie qui fait parti de nous , de nos individualités, de nos « MOI » profonds. Attention, je ne parle pas d'égo. Nous avons bien vécu ces années entre « vanille » et BDSM. Il nous est ,cependant,impossible de négliger nos familles respectives. La famille , les amis procurent obligatoirement une très certaine et inévitable perturbation dans le déroulement de notre relation BDSM. Sept ans après notre rencontre Lady gabrielle a exigé que l'on se marie pour sceller définitivement par la loi mon appartenance. Il va sans dire qu'un mariage peut s'interrompre par un divorce mais c'est beaucoup moins aisé qu'une rupture entre compagnons. Avec notre mariage et la vie commune , notre côté BDSM était devenu une sorte de consensus un peu mou. Dans ce mode de vie aussi , le BDSM, la routine peut s'installer . C'est ce qui nous est arrivé. La rencontre d'une jeune femme soumise nous a obligé à nous remmettre en question. Au cours d'une soirée dédicace organisée par cette amie, nous avons rencontré l'auteure de livres traitant du BDSM. Cette auteure , authentique soumise masochiste, décrit parfaitement la relation D/S qu'elle entretient avec son Maître. Une relation de plénitude, de compréhension , d'envies respectives, de complèmentarité et peut être d'amour. Au cours de nombre de leur conversation, cette soumise emploie souvent le mot « abnégation ». Son Maître quelque peu agacé par cette demande plus ou moins latente décide d'approfondir ce sujet et amène cette jeune femme à réfléchir sur ce mot. Pour ce faire , il lui impose un retrait du monde, un huis-clos, de pur BDSM dans lequel elle va subir un dressage d'une rigeur extrême , dans l'obligation d'obéissance mais pas forcément dans la douleur des punitions reçues pour parvenir à cet état de soumission aveugle désiré par son Maître. Douleurs bien présentes pour marquer l'esprit de cette soumise et cependant sans brutalité. C'est à la lecture d'un de ces récits et à la suite d'évenements survenus dans notre couple que Lady Gabrielle a organisé un huis-clos entre nous, à l'image de celui décrit dans ce livre. Notre BDSM était devenu trop fluide, trop facile , trop indulgent , trop ludique , trop prévisible. Lady Gabrielle a décidé de revenir à un BDSM plus stricte , moins tolérant, moins consenti. Au cours de ce huis-clos qui s'est déroulé en l'espace d'un week end et qui sera suivi par d'autres moments plus ou moins longs, Elle a redéfini ce qu'Elle attendait de moi, de son soumis. En tout premier lieu, que je réfléchisse sur ma soumission envers Elle. Elle désire que je définisse , que j'appréhende en conscience ma façon de me soumettre à son autorité. Je dois reconnaître que cette dérive de notre BDSM est en grande partie de ma responsabilité . Mon caractère exubéant, atrabilaire, ironique, facétieux, meneur de jeux avait fait de moi un soumis moins attentif à ce que souhaite Lady Gabrielle. Tout en étant entièrement dévoué à Ma Maîtresse , je discutais nombre de ses ordres. Je ne me comportais plus comme le soumis que j'étais au début de notre relation. Moi qui rêvais dès ma pré adolescence d'enfermement, d'attente enchaîné, d'assujetissement , de servitude, d'esclavage, je n'obéissais plus aussi promptement à Ma Maîtresse. Je discutais ses ordres, négociais mes punitions. Je ne faisais plus abstraction de mon environnement . Je laissais nos proches , par leurs avis et paroles intempestives, influencer et appauvrir ma capacité de soumission. Je me détournais de ma fonction première , celle d'obéir à Ma Maîtresse et de la considérer comme mon seul point d'horizon. Au cours de ce we de huis-clos , nous avons loué une chambre d'hôtel dans laquelle Lady Gabrielle nous a enfermé . Elle a posé les règles auxquelles je ne devais déroger sous aucun pretexte. Et là, loin de notre maison, il m'a été plus simple d'échaper durant ces deux jours à notre quotidien qui me ramène , nous ramène, inévitablement trop rapidement à nos petites habitudes, même après une séance poussée de SM. Lady Gabrielle m'a fait reprendre conscience que je suis le soumis qu'elle a choisi voici 13 ans , et que j'ai accepté d'être. Elle m'a fait reprendre conscience que je suis un homme vraiment soumis dans mon esprit et que je ne dois pas me laisser entraîner par des interventions extérieures à notre couple sur d'autres voies que celles de l'obéissance que je lui dois. Il m'a été facilité par l'éloignement de nos habitudes vanille, d'appréhender et comprendre les causes de mon état présent vis à vis de ma soumission que je lui dois et que je m'étais engagé à Lui montrer sans faiblir . C'est sous la douleur de la badine que j'ai reçu plusieurs fois au cours de ce WE que Lady Gabrielle a marqué voir gravé dans mon esprit , ce rappel de ma soumission. L'une des règles qui a régenté ce WE était que je ne devais rien réclamé. J'ai observé toutes les règles établies par Lady Gabrielle . Cela m'a été difficile mais Lady Gabrielle sous des dehors réservés sait très bien se montrer fine psychologue en m'accordant sans que je m'y attende , puisque je pensais ne pas y avoir droit , ce qui est l'ADN de mon masochisme , ce sans quoi rien ne pourrait exister , le pincement extrême de mes tétons. Durant tout ce WE de réorientation, de recadrage , j'eu a subir plusieurs fois la badine, très fortement. Non pas avec brutalité intentionnellement exagérée mais quand même avec une grande force de coups auxquels je n'étais pas habitué. Lady Gabrielle , par cette fermeté voulait me ramener quelques années en arrière. Elle voulait me faire quitter ma zone de confort, et sans doute, la sienne aussi. Zone où nous nous complaisions depuis quelques temps. Par ce procédé de grande fermeté, Elle voulait que nous revenions à des séances SM difficiles. Des séances qui nous laissent pantelant, fatigués mais à la fin de celles-ci , pour ma part , fier d'avoir tenu sans avoir demandé grâce et fier des marques sur mon corps bien présentes , encore, deux jours après. Il y a un proverbe turc qui dit : «  Un jardinier est prêt à subir la torture de mille épines pour l'amour d'une rose ». Je suis ce genre de jardinier et je suis aussi un soumis prêt à subir la torture de mille aiguilles , posées sur ma peau par Lady Gabrielle. Il n'y en eu pas mille mais une cinquantaine seulement dont une qui me transperça l'un de mes tétons à sa base. L'autre téton n'eut pas à subir ce supplice , le stock d'aiguilles étant épuisé. Mais cela n'est que partie remise . Lady Gabrielle m'a promit d'apposer 4 de ces aiguilles à la base de chaque téton . Depuis je fantasme sur cette pratique. Il m'est beaucoup plus facile de subir un supplice énoncé à l'avance car j'ai le temps de me préparer psychologiquement. Préparation qui représente une attente délicieuse mélée d'appréhension. Cependant tout ce que j'ai subi ce we ne m'a pas été annoncé. Ma Maîtresse veut que je sois capable à terme , de subir sans aucune préparation tous suplices qu'Elle juge bon pour moi . Quand Lady Gabrielle m'a ordonné de prendre la position « à 4 pattes «  sur le lit, j'avais les yeux bandés. Je pensais subir une autre flagellation « poussée ». Mon soulagement fut marqué par un soupir que je n'avais pas le droit d 'émettre. Je payais imédiatement cette dérogation à l'une des règles par une paire de gifles . Je dois avouer que je supporte assez mal ces gifles survenant à la suite d'une faute. C'est d'ailleurs un objectif fixé par ma Maîtresse : pouvoir recevoir des gifles à tous moments en cas de faute sans émettre la moindre plainte . Lady Gabrielle plaça entre mes jambes une fuck machine munie de son plus gros god; dont je devais subir les assauts. Les premières minutes de cet assaut furent très douces , Maîtresse avait réglé la vitesse au minimum de sa puissance mais c'était sans prendre en compte ses intentions. Je passais les vingt minutes suivantes dans un supplice allant crescendo . Lady Gabrielle avait progressivement réglé la machine sur sa puissance maxinum.J'eu beau la supplier de mettre fin à cette sodomie mécanique . Elle ne m'accorda à aucun moment son indulgence. Elle a tout juste consentit à rajouté du lubrifiant sur le god intrusif. Les 30 minutes de ce traitement me laissèrent jambes coupées et intérieur secoué de spasmes qui eurent du mal à disparaître Dans Sa grande mansuétude , Lady Gabrielle me laissa me reposer avant de reprendre son fouet que j'ai dénomé dès sa première utilisation « la peau de vache » tout simplement parce que son cuir est en peau de vache et qu'il fait un mal de chien. Lady Gabrielle aime utiliser ce cuir sur le mien avec la méthode de «  l'enroulé «  Elle se positionne assise , la main tenant « la peau de vache «  en dessus de sa tête et d'un mouvement de balancier du poignet , la lanière vient s'enrouler autour de mon torse. C'est une sensation extraordinaire. Il arrive que le fouet vienne frapper trop bas sur mon sexe ou trop haut l'un de mes tétons , ce qui m'arrache des cris de véritable douleur . A la fin de cette flagellation qui nous laisse épuisés . Lady Gabrielle ma annoncé que nous allions dîner dans un restaurant japonnais. Je pensais que mon WE de réorientation prenait fin … j'avais oublié la promesse d'une surprise qu'Elle m'avait faite. Après quelques minutes de repos et une douche qui nous ragaillardie, nous nous rendîmes dans ce restaurant. Nous terminions les délicieux sushis qui avaient constitué l'entrée de notre repas quand je demandais la permission d'aller chercher des légumes sur le buffet. Maîtresse me l'accorda mais avant Elle m'ordonna d'aller aux toilettes. Je lui dis que je n'avais pas besoin d'aller aux toilettes. Elle m'ordonna d'y aller, d'enlever la cage que je portais depuis une semaine , de me masturber, d'éjaculer le plus vite possible et de ramener à notre table , mon éjaculat dans un petit pot . C'est un euphémisme que de dire que la température du restaurant a soudainement et fortement augmenté. J'imagine que beaucoup de soumis ont lu dans des récits BDSM puis fanstasmés sur ce scénario de domination pur et dur. Tout comme moi d'ailleurs. Mais , moi, j'ai eu la chance de recevoir réellement cet ordre et j'ai eu le plaisir de l'exécuter. C'est au bout de 15 minutes que je revenais à notre table , tentant de dissimuler plus ou moins adroitement le fruit de ma production . Lady Gabrielle avait , durant mon absence crapuleuse, été cherché deux assiettes de légumes. Elle s'empressa de verser le contenu du petit pot dans celle qui m'était destinée. Elle mélangea le tout et m'ordonna de manger sans émettre le moindre signe de dégoût. J'ai vraiment vécu cette situation dont j'ai lu la description dans maints récits sur internet ou dans des livres. Ce que je n'ai jamais lu nulle part c'est ce que Lady gabrielle m'infligea à notre retour dans notre chambre d'hôtel. Alors que je m'apprêtais à me déshabiller après lui avoir préparé un café , Elle m'ordonna non pas de me déshabiller mais au contraire de mettre des vêtements supplémentaires. Lady avait décidé de me faire passer la nuit dehors. Dans le petit parc arboré entourant l'hôtel , il y avait un petit bosquet touffu. Elle me fit enlasser le tronc d'un des arbres au centre de ce bosquet , me menotta les poignets . Je ne pouvais absolument plus désenlacer ce tronc. Elle me mit un baîllon avec une boule volumineuse qui ne me permettait que des bruits de gorge affaiblis . En me quittant, Elle me dit qu'Elle me laissait ainsi pour une vingtaine de minutes ou plus , peut être une heure ou deux et que je devais mettre à profit ce temps pour penser à notre nouvelle relation BDSM et prendre conscience qu'elle ne serait plus aussi consensuelle qu'avant, qu'un tournant avait été pris. J'étais vraiment convaincu de ce changement quand , trois heures plus tard Lady Gabrielle vint me libérer. Elle ne s'était jamais montrée aussi ferme et déterminée. Quand, Elle me libéra , j'étais transi de froid. J'avais les jambes engourdies . De retour dans notre chambre, j'eu la permission de prendre une douche chaude qui calma le frisson dont mon corps était pris. Je passais le reste de la nuit chaudement emmitouflé dans les couvertures. Maintenant, nous sommes rentrés chez nous et je vois bien dans l'attitude de Ma Maîtresse que rien ne sera plus jamais comme avant. Ce WE de réorientation nous a ramené quelques années en arrière . Nous nous sommes souvenu de la cérémonie durant laquelle Lady Gabrielle m'avait marqué au fer . Je lui avais fais serment d'allégeance en prononçant un texte que je ne retranscrirai pas ici , ce texte nous est personnel . Ce souvenir est bien ancré dans notre mémoire mais au fil du temps ce serment avait perdu de son intensité . Je suis très heureux qu'il soit revenu au premier rang de mes préoccupations . Je remercie Lady Gabrielle de l'y avoir remit , de m'avoir fait prendre conscience que les mots de ce serment n'étaient pas vides de sens pour Elle . Elle m'a rappelé la sincérité de mes mots , MA sincérité quand je les prononçais . Merci Lady Gabrielle Votre mari soumis, berny
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Par : le 19/09/18
La lumière était laissée allumée, sûrement volontairement. J'ai l'habitude de dormir la lumière éteinte, toujours. Je me redressais un peu dans la cage pour regarder alentour. Un point rouge me fixait, je compris qu'il s'agissait d'une caméra pointée sur moi. Logique, après tout, pour surveiller à distance. Je tétais machinalement le bec de la bouteille pour remplir mon estomac trop vide. La nuit allait être longue... Reposant ma tête sur mes mitaines cadenassées en guise d'oreiller, je tentais de trouver le sommeil. Je me sentais fatiguée, bien qu'il ne soit sans doute pas très tard, mais les coups répétés et l'intensité de ce que j'avais vécu m'avaient vraiment laissé dans un état second. Et excitée aussi. Je passais nonchalamment ma main gantée vers mon entrejambe recouverte de tissu plastifié, sentant la bosse que la cage de métal faisait dans la couche. Je ne suis pas... particulièrement fan de couches; mais ici, me retrouvant contrainte et forcée à en porter, je me retrouvais encore une fois surexcitée. J'avais pour habitude de me caresser le soir pour m'aider à m'endormir. Entre cette impossibilité et la lumière, je me demandais si j'allais réussir à dormir convenablement. Je haussais mentalement les épaules en me disant que de toute façon cela était hors de mon contrôle. Ma vessie pleine me réveilla à une heure que je ne pouvais identifier. J'avais encore sommeil. Dilemme. Se retrouver à porter une couche est une chose, mais devoir la remplir en est une autre. Je me maudissais d'avoir autant bu d'eau la veille, et jouais avec l'idée de pouvoir me retenir jusqu'à une possible libération. Stupide idée, je n'allais pas me retenir deux jours et quelques. Serrant les dents, je me laissais aller, sentant la moiteur rester présente autour de la cage. Je me sentais sale. Et particulièrement basse. Et je me détestais de me rendre compte à quel point j'aimais cette sensation. Le verrou de la porte s'ouvrit en me faisant sursauter. Je m'étais sans doute rendormie. Je me redressais tant bien que mal dans la cage tandis qu'il rentrait dans la pièce. "Bonjour, truie." Il ouvrit la cage et fixa une laisse sous mon menton. Passant sa main sur mon visage, il me caressa la tête comme on le ferait de son chien. Enfin, il tira la laisse pour me faire sortir de la cage. "A partir de maintenant, tu restes à quatre pattes, truie." Alors que j'allais me redresser, je m'arrêtais soudainement, et me remis docilement à quatre pattes. Je le suivis alors que la laisse se frottait contre mon visage. Il me fit entrer dans une petite salle carrelée où trônait une baignoire. Je supposais qu'était venu le temps de la toilette. Il me retira les moufles et me fit monter dans la baignoire, attachant la laisse au robinet. Retirant la couche, il regarda l'intérieur et je me sentis honteuse. Je pensais qu'il allait faire une remarque cinglante, mais à la place, il mit l'intérieur sale et humide de la couche sous mon nez. J'eus un hoquet de surprise et de dégoût, mais il la retira heureusement assez vite. A ma surprise, il posa devant moi un bol d'eau et un rasoir jetable. "Tiens, rase-toi, truie." Je bénis Maîtresse qui me connaissait décidément bien et entreprit de raser les quelques poils disgracieux de mon visage. Une fois fait, il reprit le rasoir et se mit à faire couler l'eau depuis le pommeau sur mon corps. L'eau froide me fit frissonner, mais devint bientôt plus tiède. Pas chaude, mais supportable. Je suppose que le but était de ne pas me rendre malade. Prenant un gant de crin, il se mit à me frotter vigoureusement le corps, insistant sur les cuisses, le dos, les fesses et l'anus. Mon visage eut droit au même traitement, et mes cheveux encore attachés en queue se retrouvèrent ruisselants. Il coupa le jet d'eau et prenant une serviette se mit à me frotter le corps fermement avec pour me sécher. Je me demandais si le cuir du collier mouillé allait me laisser une marque. Détachant la laisse, il me fit descendre de la baignoire et me sortit de la pièce pour me faire monter ses escaliers. A quatre pattes ce fut facile, mais je me mis à craindre le trajet retour. Il m'amena dans une chambre, et me fit monter sur un grand lit. Mes genoux, pieds et mains apprécièrent cette sensation moelleuse. Tirant sur la laisse pour me retourner, il tira fort jusqu'à coller son entrejambe à mon visage. Dégrafant son jean et baissant sa braguette, il appuya son membre en érection contre ma joue. Les odeurs fortes masculines me mirent assez mal, mais la laisse me retenait fermement. Prenant mon courage à deux mains, je prenais son membre en bouche pour le sucer longuement, aspirant tant que possible la peau autour du gland, passant discrètement la langue sur l'urètre par petits à-coups. Il devint plus dur, et très vite son autre main se retrouva derrière ma tête pour m'appuyer encore plus. J'entendais sa respiration devenir plus forte à mesure que son excitation montait. Enfin, sentant sa main se crisper à l'arrière de ma tête et la laisse se tendre encore plus, il jouit dans ma bouche, tandis que je continuais mes mouvements de succion, et me retrouvais la bouche pleine de son foutre. Avalant ses restes, il sortit son membre et l'essuya sur ma joue avant de rajuster son pantalon. Enfin, sa main passa sur mon crane pour me caresser, et je me sentais contente de cette marque d'affection. Me faisant sortir de la pièce en tirant sur ma laisse, il me fit redescendre les escaliers, que je pris lentement à quatre pattes, et me ramena dans ma cage. Fixant la laisse au sommet, il cadenassa la cage puis prit la bouteille d'eau qu'il constata bien vidée. Sortant de la pièce, j'entends un bruit d'eau qui coulait et il revint pour fixer la bouteille à sa place. "A plus tard, truie." La porte se referma et je fus encore une fois livrée à moi-même. Etant plus libre de mes mouvements que la veille, je touchais la cage qui bloquait mon entrejambe et m'empêchait de me caresser. Je finis par me coucher sur le flanc, en boule, pour me reposer. Je me sentais étonnement bien, sans contrainte sinon le collier, la laisse, et la cage. Oui ça en faisait quand même pas mal. Je me redressais pour boire à la bouteille et eu un mouvement de recul soudain. Il n'avait pas rempli la bouteille avec de l'eau. C'était de la pisse. Ecoeurée et surprise, je compris que je risquais de n'avoir que ça à boire durant mon séjour. Je me sentais tout d'un coup comme une idiote. Et j'avais soif. La porte s'ouvrit à nouveau, et il entra avec une gamelle à la main. Ouvrant la porte de la cage il la posa devant moi avant de m'enfermer à nouveau. Cette fois, je savais à quoi m'attendre et je ne fus pas surprise. De la pâtée pour chien, de toute évidence, réduite en petits morceaux. J'eu un haut le coeur en sentant l'odeur forte et presque dégoûtante de ce qui m'était servi. "Mange, truie." Il détacha la laisse de mon collier; cette fois-ci, il resta pour m'observer. Je suppose qu'il se délectait de me voir ainsi torturée. Soupirant intérieurement, je me résignais. Avais-je le choix de toute façon ? Je me penchais sur la gamelle et me mis à manger. C'était dégoûtant, et la pâtée était remplie de petits bouts durs, peut-être d'ossements ou de cartilages. J'en avais la nausée, et pourtant, je sentais mon entrejambe gonflée et l'excitation monter d'être ainsi forcée à être aussi basse et humiliée. J'avais soif. Soupirant, je me mis à téter en grimaçant le liquide âpre et amer. J'entendis mon tortionnaire pouffer en voyant mon expression. Il devrait prendre son pied. Et ironiquement, moi aussi. Finissant ma portion, je mis simplement la gamelle vide devant moi. Il ouvrit la porte de la cage pour ramasser la gamelle mais s'arrêta. "Tu te fous de moi, truie ?" Ne comprenant pas pourquoi il me réprimandait, je pris un peu peur. Il colla la gamelle contre mon visage pour me montrer les miettes restées collées au fond de celle-ci. "Lèche, truie." Lentement, je me mis à lécher le fond de la gamelle, ramassant les dernières miettes de pâtée laissées çà et là. Cela me sembla durer une éternité. Enfin satisfait, il retira la gamelle. "Tu as soif, truie ?" Je m'apprêtais à répondre machinalement une réponse polie comme avec Maîtresse, mais me repris au dernier moment pour simplement secouer doucement la tête. Il me remit les mitaines cadenassées et me glissa une épaisse cagoule en cuir sur le visage, qu'il laça à l'arrière de ma tête. Les yeux comportaient des petits trous avec lesquels je pouvais un peu voir, et une ouverture complète pour la bouche. La sensation du cuir plaqué contre ma peau me fit chavirer de plaisir instantanément. Je sentis sa main sur ma tempe et sentit quelque chose se clipser. La cagoule pouvait contenir un masque cachant complètement la vue. Je sentis soudain quelque chose de gros se présenter devant ma bouche et l'ouvrit machinalement en grand. Un bâillon en forme de gode vint se fixer sur la cagoule, et je soupirais de plaisir à cette impression d'avoir constamment une bite en bouche que je ne pouvais rejeter avec ma langue, comme si on me forçait à m'entraîner à sucer. Sa main passa à ma nuque pour y accroche une chaîne qu'il fixa au sommet de la cage, laissant un peu de mou. J'entendis la cage puis la porte se refermer, tandis que je plongeais en plein subspace, complètement excitée par cette cagoule et cette situation, prête à m'assoupir après ces tortures.
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Par : le 18/09/18
Maîtresse avait accepté de me prêter pour 3 jours. C'était un type que je ne connaissais qu'en photos et discussions, mais Maîtresse et lui avaient assez discuté de ce qui allait m'arriver sans que je sois mise au courant des tenants et aboutissants. N'étant pas particulièrement attirée par les hommes, j'appréhendais... mais je ne pouvais également empêcher une certaine excitation de naître en moi, face à la contrainte de devoir servir, et être utilisée, même par quelqu'un qui ne m'attire pas particulièrement. Connaissant en partie ses goûts, je me doutais que mon séjour tournerait autour de l'humiliation, de l'avilissement, de la déshumanisation. Début de soirée. Une petite maison discrète. Je toquais avec la boule au ventre d'appréhension. J'amenais quelques affaires lubriques, mais surtout je venais cou nu, la mise de collier devant décider quand commencerait la session, et ma soumission à lui. La porte s'ouvrit, le type que je reconnaissais des photos me fit rentrer: brun, cheveux courts, yeux sombres, barbe naissante. Physique commun, et effectivement, je n'étais pas particulièrement attirée par lui. Il était plutôt froid mais sans être brutalement brusque ou insistant pour me faire rentrer, ce qui me rassura. Il me fit rentrer dans sa cuisine, et m'asseoir sur une chaise, face à lui, en toute simplicité. Se doutant que j'étais stressée, il entreprit d'abord à me rassurer sur ce qui allait se dérouler, mais aussi sur ce qu'il attendait de moi. Durant mon séjour chez lui, je serai traitée comme son animal. Je serai interdite de paroles, ne pouvant briser cette règle, bien sûr, que pour mon safeword, qui restait la dernière sécurité. Et si ma bouche était pleine, il me suffisait de taper 3 fois une surface, de la main, ou du pied, pour qu'il cesse ce qu'il faisait. Mis à part ces règles de sécurité élémentaires, je devais me plier à tout ce qu'il me ferait subir. Il s'était mis d'accord avec ma Maîtresse sur ce qu'il désirait me faire subir. Rassurée, mais aussi toujours un peu effrayée, et également curieuse, j'acquiesçais. Enfin, il me demanda une dernière fois si j'acceptais tout cela. Je hochais la tête, décidée à obéir à Maîtresse, et aussi pleine d'envies de l'inconnu qui s'offrait à moi ici. Hochant la tête à son tour, il me demanda de soulever mes cheveux. Je soulevai ma longue queue de cheval des deux mains, pour me montrer obéissante, et baissant la tête, il fit glisser un épais collier de cuir rapiécé noir autour de mon cou. Resserrant celui-ci à mon cou, plus que ce à quoi je pensais, mais moins que ce que je pouvais tolérer, je sentais qu'il s'agissait de cuir usé, mais pas cassant. Quatre anneaux l'ornaient, un devant, un à la nuque, et un de chaque côté, tandis qu'une épaisse plaque en métal se trouvait sous ma joue droite. Le jeu commençait enfin pour de vrai. "Déshabille-toi." Je retirais mon top, mon soutif, mon pantalon, ma culotte, mes chaussettes, mes lunettes, et me retrouvais nue, ne portant que ce collier. Je me tenais mains dans le dos, regard baissé, comme par habitude de montrer ma soumission. Il s'approcha de moi pour me tater le corps, les fesses d'abord; puis les seins, qu'il serra un peu, avant de finalement attacher une laisse à l'anneau sous mon menton. Tirant fortement sur celle-ci, il amena mon visage au niveau d'un miroir à maquillage sur sa table, pour mettre mon visage face à mon reflet. Tirant mes cheveux en arrière, il me força à lever le menton, exposant mon cou, et par extension mon collier. "C'est ton nom, maintenant." Sa main passa sur la plaque en métal à mon cou. Bien que le reflet renvoie une image renversée, je sus lire "truie" gravé sur le métal. Gardant le silence comme il m'était ordonné, je ne pus qu'acquiescer silencieusement. Lâchant mes cheveux mais tirant toujours sur la laisse, il me fit descendre des escaliers et avancer vers une petite pièce possédant des chaînes stratégiquement placées. Il saisit une paire de menottes en métal qu'il me passa aux poignets, avant de les lever vers le plafond et de les y cadenasser, me gardant exposée, les bras levés. Passant dans mon dos, il fit glisser quelque chose devant mon visage avant que je ne sente un baillon en forme de mors rentrer dans ma bouche. Fixant celui-ci à ma nuque, je sentais que le mord n'était pas le seul élément de ce qui semblait être un harnais de tête. Une seconde lanière passant sous le menton me confirma la chose, tandis que je sentais une lanière passer par le haut de mon crâne se reserrer, et enfin deux crochets venir se mettre dans mes narines, tandis qu'il réglait le tout pour m'enfermer la tête et me tirer fortement les narines vers le haut. "Une truie comme toi, ça a un groin." Cette sensation nouvelle de sentir un endroit très inhabituel ainsi forcé dans une position inconfortable, je dansais sur un pied pour tenter de me donner courage face à la situation. Le métal des menottes commençait déjà à me rentrer dans la chair des poignets, tandis qu'il s'agenouilla pour mettre une autre paire plus large de menottes à mes chevilles, cadenassant la chaîne centrale à même le sol. J'étais étirée vers le haut, et capable de peu de mouvements des jambes avec ces deux paires de menottes. Et déjà, je sentais la bave commencer à couler par le côté de ma bouche, que je tentais vainement de ravaler. Il le vit et eu un sourire moqueur. "Tu fais une jolie truie à baver ainsi." Baissant le regard d'humiliation, je ne pouvais également nier ce sentiment de plénitude qui montait en moi. Cette sensation que je n'avais aucun échappatoire, que j'étais à la merci de cet homme qui pouvait me torturer à loisir. Sentiment illusoire, bien sûr, pouvant toujours me libérer si je me sentais réellement en danger, mais l'illusion fonctionnait fort bien. J'étais terriblement excitée. Il le vit. "Oh, ça t'excite tout ça, truie ? C'est mignon... mais n'espère pas trop jouir, non plus." Clac! Surprise par le coup soudain, je laissais échapper un faible cri. J'identifiais un coup de cravache sur ma cuisse. Les coups suivants furent plus légers, mais montant petit à petit en intensité, jusqu'à me faire pousser des petits cris. Il reprit le même manège à plusieurs endroits, centrant ses coups sur mes hanches et mes cuisses. Les pires endroits, bien sûr. Allant plus fort à chaque petite session, je me mettais à gémir de plus en plus fort, la douleur devenant à chaque fois moins supportable. Posant la cravache, sa main saisit autre chose et il s'approcha. La caresse vive d'un martinet se fit sentir, directement sur mon cul. Mon jouet préféré ! Je cambrais le derrière autant que possible tandis qu'il se mettait à faire tourner les lanières de plus en plus vite et fort. La morsure douce me réconforta et je gémis sous ses coups de plus en plus forts. Je me concentrais sur la plaisir au rythme des frappes. Soudain, il s'arrêta, et je gémis de tristesse, manquant déjà la sensation sur mon cul pourtant endolori. "Tu aimes vraiment ça, truie, faudrait pas à ce que tu gicles et en mettes partout, quoique c'est déjà le cas." Il pointa le martinet vers la bave qui coulait en filet sur mes seins et glissait par terre. Honteuse, je baissais le regard, et ne vis pas qu'il prenait un autre instrument. Le fouet me frappa violemment le dos, laissant une brûlure vive, me faisant me courber violemment, avant que les menottes à mes chevilles ne m'empêchent de me débattre. Perdant l'équilibre, les menottes aux poignets m'empêchèrent de tomber et rentrèrent encore plus dans ma chair. Mes pieds retrouvèrent leur stabilité et je hoquetais de douleur et de surprise. La laisse toujours accrochée à mon collier se balançait sous mes yeux, la poignée frôlant mon entrejambe. "Oh, ça serait dommage de te blesser ici, pas vrai truie ?" Je gémis timidement en guise de réponse tandis qu'il rangeait son fouet et prenait d'autres affaires, hors de ma vue. S'approchant de moi, il se pencha vers ma taille et se met à toucher à mes organes génitaux. Je ne m'y attendais pas et eu un cri de surprise. Je compris rapidement qu'il me mettait une cage de chasteté. Le métal froid contre ma chair se serra, et un clac de cadenas m'informa qu'il n'y aurait pas d'issue. Sentant le poids supplémentaire sur mon entrejambe, je fus surprise à nouveau quand le fouet s'abattit sur mon dos. Les coups s'enchaînèrent. Les sensations me submergeaient tandis que je cherchais (vainement) à me débattre. Je sentais les lacérations sur ma peau et les coups laisser des zébrures douloureuses. Les coups n'étaient pas très forts, mais le rythme soutenu petit à petit me brisait. Je sentais ma résistance s'effacer, et m'abandonner enfin aux sensations contre lesquelles je ne pouvais pas lutter. Je poussais une sorte de cri à la limite du gémissement face à cet afflux de sensations. Enfin, il s'arrêta. Je n'avais aucune idée s'il était passé cinq minutes ou une heure. Il faisait assez sombre. Mes bras me faisaient mal. Je sortais de subspace. La réalité me revenait. Il s'approcha pour me caresser le dos, le derrière, les cuisses. Enfin, il me détacha les poignets et je manquais de tomber par terre. Il retira également les entraves à mes chevilles tandis que je me massais les poignets endoloris. Reprenant la laisse à mon cou, il tira fermement dessus en m'emmenant vers une autre pièce. "Suis-moi, truie." La bave continuant à couler, il m'amena dans une pièce plus petite. Une grande cage trônait en son centre. Il saisit des mitaines qu'il me cadenassa aux mains, empêchant l'usage de mes mains. Il retira le harnais de tête, et je sentais les commissures de mes lèvres endolories, et mon nez douloureux. "C'est ici que tu passeras la nuit, truie." Ouvrant la cage par un côté, il tira sur la laisse pour me guider, avant de détacher celle-ci de mon collier. Le sol de la cage était couvert de minces coussins, pas vraiment confortable, mais supportable. Attrapant une courte chaîne accrochée au sommet de la cage, il la cadenassa à l'anneau de ma nuque. Je me rendais compte que je ne pouvais pas me poser en me roulant en boule sans avoir cette chaîne qui m'étranglait. Je me tenais à quatre pattes, pas vraiment détendue, pas vraiment assise. La cage était trop petite pour m'étendre complètement de toute façon. Une position forcément inconfortable. "Je reviendrai peut-être plus tard. Passe une bonne soirée, truie." Il referma la cage et la cadenassa, tandis que je me retenais de paniquer de la situation. Et s'il me laissait dans cette position toute la nuit ? La porte se referma et j'entends un verrou se tourner. Il avait laissé la lumière allumée, sciemment je supposais. Regardant autour de moi, je vis une bouteille d'eau avec un bec à téter comme pour des animaux. La chaîne me laissait assez de mouvement pour me pencher et boire, mais la position était terriblement inconfortable. Je tentais de me tenir plus fermement sur mes pattes, mais la tension dans mes muscles ne me permettait pas de me reposer. Je sentais sur mon corps les lacérations du fouet, mes poignets et chevilles endoloris par les entraves. Je tentais de me détendre à nouveaux et de m'asseoir en gardant ma tête levée pour ne pas finir étranglée. Je me reposais enfin un peu, reprenant mes esprits et ma force physique. J'étais sonnée de cette entrée en matière violente, et me demandais s'il cherchait par cela à frapper fort, ou si l'intensité allait rester la même tout le long de ces trois jours. Perdant la notion du temps, l'ouverture du loquet de la porte me surprit. Il rentra dans la pièce, ouvrit la porte de la cage et détacha la fichue chaîne qui m'étranglait. Soupirant de soulagement, je fus surprise quand il me retourna sur le dos, toujours dans la cage. Il fit glisser quelque chose sous mon dos et se mit à entourer ma taille. Je compris enfin qu'il me mettait une couche. Je le regardais avec horreur commençant à comprendre ce que cela voulait dire, mais me retenant pourtant de dire quoi que ce soit par obéissance. Il me remit sur mes 4 pattes et heureusement ne remit pas la chaîne à ma nuque. Frappant fermement une fesse enfermée dans la couche avec sa main, il se retira pour fermer la cage. Je compris que j'allais sans doute rester un bon moment ici. "Bonne nuit, truie."
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Par : le 24/08/18
Etre obligé de baiser sa femme, de troncher son trou glauque et humide, une vraie corvée. Peu de plaisir. Bon j'orgasme, je gicle, mais c'est pas le pied. Et ces connes qui croient avoir un joyaux entre les cuisses. Tu parles d'un joyaux. Bof, on dit le con de ces pisseuses, leur baveux. En plus faut qu'il soit propre et question propreté, les femmes.... Très souvent la branlette c'est plus jouissif que de se taper le baveux de madame. Au début on se fait prendre. Mademoiselle était jolie. On ne savait pas trop. l'amour rend aveugle. Mainytenant, c'est presque une corvée. Bon je me force, comme un sport. Rien à foutre des humeurs de madame, je pratique le devoir conjugal pour rester avec une bite bien droite et bien tendue. Faut pas écouter les meufs aux seins qui pendent et à la libido en berne comme leurs hormones. Faut pas les écouter. cesont des castratrices par impuissance programmée. Rien à foutre , je la tronche tous les jours. je lui ramone le baveux et après, très souvent je me branle pour bien jouir comme j'ai envie, sans écouter les commentaires d'une meuf. Le Bdsm, oui, si la meuf est baillonnée et à quatre pattes, tous les orifices ouverts. disponible en permanence pour son devoir conjugal d'obeissance totale à son maitre.
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Par : le 19/06/18
La nuit livre le décor rouge de la chambre D'étranges ombres aux cravaches et plumeaux Elle imprègne d'ondes tout mon corps qui se cambre Martinets et fous désirs d'un badine en roseau == Mon regard s'est voilé d'une étoffe d'envies Mains et pieds entravés comme l'est un forçat Je connais la sentence et me vois asservie Sous le joug d'un fouet qui fustige mes bas == Soudain un bâillon mors est posé sur ma bouche Puis des picotements légers se font sur ma peau Une roulette de Wartenberg peu farouche Trace des arabesques se formant tel un sceau == Son haleine, doucement, épouse mon derme Mes seins se sont tendus, mes tétons aux auguets Guettent la morsure d'une pince qui se ferme Et durcit un peu plus, mes mamelons coquets == Dans la noirceur du bandeau qui m'ôte la vue Mes sens à l'affût, mes envies misent à nue J'alloue mes lèvres et mon bouton en revue A l'obélisque vibrant qui s'offre au menu == Je bois à l'outrance le plaisir qui décuple Je me vêts de cette volupté qui me prend Et me fouille tels feraient des doigts aux centuples Je frémis, je feule, à cet instant en suspens Le 18 06 2018
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Par : le 14/05/18
Le voyage en train n'est pas franchement long, mais à force de voir le même paysage défiler, il devient lassant. Bien que la journée eut été remplie, Il a hâte de rentrer ... et le plus tôt sera le mieux. Le paysage, comme celui de hier, continuer de défiler sous ses yeux. Non, il n'a pas changé et même si, aujourd'hui, il fait beau, le paysage est toujours le même. En scrutant de loin sans plus d'attention une ligne à haute tension sur une montagne, Son regard la suit descendre dans ce vallon, passer ensuite la crête, remonter la pente, survoler la falaise et, au final, se cacher sur l'autre versant pour finir quelque part, tout comme elle a démarré : quelque part. L'imagination prend le relais pour voyager ailleurs .... Enfin, la porte s'ouvre et Il peut rentrer chez eux. Elle est déjà accaparée dans la cuisine; Il la rejoint et dépose un baiser sur sa nuque. Un petit sourire accompagné d'un petit gémissement Lui répondent. " Veux-tu prendre un verre avant de manger ? - Volontiers, lui répond-il." S'asseyant dans le divan, Il attend qu'elle vienne lui servir ce verre de Muscat qu'Il savoure de temps à autre. En cette fin de journée, ce n'est pas pour lui déplaire, au final. Pour elle, elle se choisit un jus de fruit. Quand elle vient avec les verres, Il sort un oreiller assez large qu'Il dépose devant Ses jambes et lui débarrasse ses mains. "Installe-toi ici, devant Moi". Une petite hésitation mélangée à de la surprise, puis elle se met à genoux. Il lui rend son verre. Passant Sa main pour lui caresser sa nuque et la joue, chose qu'elle apprécie grandement, Il lui dépose un baiser sur le front et un autre sur la bouche. " A la tienne, Hestia - A la vôtre, Maitre". Un tchine et les verres se dégustent. Mais il n'est pas encore vide qu'Il se lève, en laissant Sa main sur son épaule de manière à ce qu'elle ne bouge pas et s'éloigne. Docile, et curieuse de cette tournure des événements, elle patiente.... pas très longtemps. De retour, Il s'est débrouillé pour revenir en cachant ce dont il était parti prendre. En s'asseyant à nouveau en face d'elle, Il lui dépose un nouveau baiser sur le front. " Voulez-vous passer à table ? C'est prêt. - Non, je préfère passer directement au dessert." Sur ces mots, Il lui dépose un bandeau sur les yeux ainsi qu'un nouveau baiser sur la bouche. Puis, avec les 2 mains, Il lui caresse à nouveau le côté de la tête et la joue. Le Voyage débute ... Un tintement d'objet plus ou moins familiers et confus résonnent dans ses oreilles, mais très vite, elle devine ce qui a été sorti sur le canapé.... et fixé à ses poignets. Les attaches en cuir s'enroulent comme des prédateurs de plaisir et se lient intimement l'un avec l'autre. A nouveau, les mains, plus fermes, passent dans ses cheveux. Mais cette fois, la réalité sous le bandeau devient volupté et celle-ci se transforme. Ce qui devait être un classique dîner entre 2 amoureux devient .... Son esprit prend son envol... Les baisers qu'Il dépose sur ses lèvres et son front migrent vers son cou, décuplant les effets de plaisir. Ceux-ci restent de moins en moins emprisonnés et s'échappent via des petits soupirs et des rictus si particuliers et si amoureux. Une surface fraîche sur ses lèvres, c'est son verre qu'Il dépose afin qu'elle continue son apéritif. Il est devenu dérisoire au regard de ce qui va arriver, mais boire le verre aveuglément que lui donne Son Maitre fait partie de ces gestes si intimes, et si symboliques à la fois.... Elle boit tranquillement, jusqu'à la fin. Mais à peine terminé, une Main saisit toute sa tête et la dirige vers le bas, sur Sa cuisse. Se réajustant, elle y prend position pendant que Son Maitre savoure son verre .... bien que ce ne soit pas le verre en lui-même qu'Il apprécie particulièrement. La tête de Sa soumise sur Sa jambe. Si enfin le Lacher Prise pouvait survenir et Les Libérer ... De Sa main, des petites caresses parcourent la joue de Hestia qui répond par des petits soupirs apaisés, et gourmands pour certains. Il prend son temps, tout comme Il lui fait prendre le sien. Les 2 verres terminés et reposés, Il joint Ses 2 mains pour lui caresser toute la tête, comme il lui plaît. Les gémissements et les petits mouvements de plaisir ne se font pas attendre. Puis, Il lui redresse la tête. " Qui es-tu ? - Je suis Votre soumise, Maitre" Un autre tintement métallique familier résonne et une sensation de frais entoure le cou de celle qui se laisse d’avantage glisser vers la Liberté : son collier de séance. Aussi noir que le bandeau, la suite des événements est toute autant imprévue. La soirée ne fait que commencer.... Le collier est à peine fixé que Sa main saisit sa mâchoire pour forcer son ouverture; une large boule est fourrée dans sa bouche, les lanières sont bien serrées, ses bras sont libérées et elle doit se lever. Contrastant avec l'extrême douceur d'il y a quelques minutes, les vêtements sont retirés assez rapidement. Puis, une main ferme la fait asseoir là où Il était assis. Cette fois, c'est pour habiller son pied d'escarpins qu'elle connaît aussi très bien. Les charmes ou les avantages d'avoir son Homme et Maitre fétichiste de ces accessoires... Quoi qu'il en soit, elle retourne à nouveau sur son coussin, face à Lui, les yeux bandés, bâillonnée et les mains attachées. "Ma soumise se tient droite". Ces mots sont prononcés alors que 2 mains la saisisse pour la redresser. Posture droite, peut-être pas la plus confortable des positions, mais il y a le coussin. Posture droite, offerte, surtout. Peut-être des cordes auraient parcouru son Corps afin d'être bien présentée. Mais Il avait décidé de faire ainsi. Posture droite, c'est ainsi qu'Il la regarde, l'admire, la savoure. Confortablement assis dans le canapé, Il goûte à ce moment unique de Partage et d'Abandon à la fois. Elle sait qu'Il est fier d'elle. Très fier. Alors, elle soigne sa posture autant pour satisfaire Son exigence et Plaisir que pour son propre plaisir monté en flèche. Celui-ci grimpe d'avantage quand elle ressent des bouts de doigt titiller le bout de ses seins. Mais c'est sans commune mesure quand c'est Sa langue qui vient englober le téton et le lécher avec une envie passionnée. Là, plus question de faire attention à sa posture. Une main lui saisit la tête la forçant à rester droite, tandis qu'une autre parcourt son Corps pour qu'il reste droit. Les gémissements augmentent au grès des torsions de son Corps qui ne parvient finalement pas à rester droit. Les tétons sont devenus durs sous l'effet de cette langue qui ne laisse aucun répit. Si elle cesse un moment, c'est pour recommencer de plus belle sur l'un ou l'autre téton. Gauche ou droite, il est loin le moment où il fallait rester droite... La baillon retiré lui laisse enfin la possibilité de respirer à fond. Ses seins, léchés, titillés, caressés lâchent tout un flot de sensations parcourant tout son Corps, plié et torsadé de Plaisir. Un autre cliquetis métallique familier résonne au niveau de cou et sa tête est alors tirée vers l'avant, soutenu par une Main. Ce qui est aussi son objet de Plaisir s'enfonce dans sa bouche. Le sexe de Son Maitre est déjà bien en forme; il a eu tout le temps d'être excité par ces précédents préliminaires. A présent, seule la laisse la retient. A genoux, elle s'affaire sur Son Membre et, à son tour, peut déguster les gémissements lâchés par Son Maitre. Plus discret qu'elle, Il n'en éprouve pas moins de Plaisir et lui fait savoir par les caresses plus ou moins contrôlées qu'Il lui fait sur la tête et par les ondulations de son Corps lui-même. Paradoxalement, sans mains, le Plaisir est tout aussi au rendez-vous. C'est un Voyage de Partage, Echanges, chacun jouant de ce qu'il lui appartient chez l'autre en s'offrant d'avantages pour fait grimper d'avantage ce Plaisir déjà très haut. Déjà trés haut, presque trop pour voyager encore plus longtemps. D'un geste de main, Il arrête son va-et-vient de sa tête ce qui lui permet de reprendre son souffle. Que fait-Il ? La regarde-t-il pour mieux la Dévorer ? La contemple-t-il ? La savoure-t-il ? Ou prend-il juste le temps avec sa soumise devenue Son Plaisir, Son Jouet.... Des 2, l'esprit est tout autant embrouillé par les vapeurs de Plaisir entrée en ébullition pendant cette fellation. Une simple pause pour faire retomber la pression et mieux ré-attaquer après. Qu'est-ce que va suivre .... D'un coup, 2 mains lui plaquent la tête contre Ses jambes. Il s'est relevé et la ainsi pénètre sans crier gare. Cette fois, c'est Lui. La tête est maintenue fermement, subissant les va-et-vient rapides de cette queue devenue aussi large que dure. Il ne lui laisse aucun répit. Le Plaisir est encore monté d'un cran quand Il la relâche enfin, laissant sa bouche tranquille après cette baise. Elle reprend sa respiration, mais c'est de courte durée. Ses tétons sont pincés pour la forcer à se redresser et à libérer son sexe. Il est très mouillé quand Il loge un doigt sous les lèvres et chatouille le clitoris. Un coup de fouet de sensations parcourent son Corps devenu ainsi très sensible et elle lâche un nouveau gémissement. Il est de courte durée, une main ferme la rebaillonne à nouveau. L'autre main continue de caresser le clitoris et soudain... un des tétons reçoit l'assaut d'une langue bien connue et trés gourmande. Le chemin vers l'orgasme se réduit, la fin n'est plus bien loin. Subir de plaisir, parce que le Voyage n'est pas terminé.... Enfin la position à genoux est terminée. Son Maître la relève et elle peut dégourdir ses genoux. Mais tout son Corps est en extase et aimerait bien ne pas rester debout.... Une pression sur sa laisse l'amène peu à côté et attend. Pas très longtemps, un autre cliquetis très familier la fait frissonner. Ses mains sont attachées devant cette fois, ne laissant plus aucun doute sur la suite du programme. Le "claque" si caractéristique et si excitant résonne dans toute la pièce. Son sexe ne peut plus retenir toute l'humidité à ce niveau d'excitation. Le second "claque" est plus proche. Il n'y aura pas de 3ème mais une piquante sensation zèbre ses fesses, suivie d'une autre, plus bas. Fouettée, elle reste docile, se contraignant à l'immobilité et savourant cet autre instant plus qu'unique. Elle aurait préféré être totalement attachée à une croix de St-André ou un autre support pour savourer d’avantage du Serpent, mais il n'y en a pas ici. De toute façon, ça n'empêche pas la lanière de cuir de zébrer sa peau sur un côté puis un autre, inscrivant des marques rouges piquantes. De l'autre côté, Il prend un Plaisir tout aussi intense, différent, de diriger ce Serpent sur elle, infligeant toutes ces marques de Plaisir. Il le fait durer. Le Corps de sa soumise tressaille de douleur bénite et de Plaisir à chaque coup de fouet. Plus il rougit, plus il devient sensible et meilleur c'est. Elle est en plein voyage, Il le devine par ces petites mimiques de son Corps et ces gémissements. Il s'arrête. Il s'approche d'elle et fait serpenter le fouet sur sa poitrine, ses hanches, vers son cou... Petit à petit, il prend possession de ce Corps qui n'appartient plus à sa soumise, elle même partie en Voyage dans un monde de volupté, Liberté. Ce spectacle, Il aime le contempler. C'est contre Lui que son corps, chauffé par ce fouet, s'abandonne, couvert de sueur et d'une multitude de marques. Après avoir joué avec ses seins, Il repart jouer à nouveau du Serpent. D'autres zébrures se rajoutent, accompagnés d'autres gémissement de Plaisir. Il n'existe plus de temps, ni d'horloge. Seul le claquement du fouet sert de repère; le Corps rougit d'avantage, devenant brillant par la sueur discrète. Il préférerait d'avantage la voir encore plus libre de ces gestes si une structure lui permettait d'attacher sa soumise. Elle pourrait se laisser aller librement à chaque claque. Mais ce Cadeau, Sa soumise qu'Il fouette, Sa soumise qui s'offre à Lui est déjà inestimable qui n'a aucun équivalent. Tout comme un joyau sacré, Il prend soin de magner le Serpent pour apposer uniquement ces marques et douleur de Plaisir. Chose qu'elle lui rend bien par ces gémissements et ces torsions. Nouvelle pause, Il la saisit à nouveau pour l'accroupir face à Lui. Une nouvelle fellation est imposée, plus brute. Jouant avec son propre "feu", Il est proche de l'orgasme. C'est un défi de Plaisir. Puis, à nouveau, sa langue part taquiner les tétons, à présent bien plus que sensibles. Elle manquerait de perdre l'équilibre parcourue par cet électricité de Plaisir. Malgré ces gémissements, ces frémissements, Il continue à jouer de ces seins, et encore plus. Pourquoi s'arrêter ainsi ...... Il fait partie de ces moments uniques. Celui où le Corps est en ébullition, l'Esprit embrumé dans des vapeurs de volupté et de bien-être. Sans atteindre le « Sub-space », ils sont tous les 2 dans leur Univers, leur coquille. L'une s'abandonnant à Lui, Lui menant la danse, les 2 savourant et échangeant le moindre fait, son, le moindre contact ou odeur, le moindre …. tout pour prendre son pied et en offrir autant voir plus à l'autre. Le Graal n'est plus bien loin. L'Esprit n'est en mesure que de subir pour Elle. Quant à Lui, il lui reste une portion de lucidité pour la suite du programme. Enfin..... quel programme.... Tout ne s'est pas passé franchement comme prévu. Comme Il l'avait voulu, elle s'est bien mise en position « Offerte » et Il avait pris le temps de savourer ce moment. Moment trop rare à Son goût. Ensuite, il devait y avoir les cordes. Mais si celles-ci devaient sublimer le Corps de sa Fierté, elles allaient gêner les morsures du Serpent. Et, aujourd'hui, sur le coup, le Serpent avait gagné sa faveur. C'est très fréquent que le programme change en cours de route. Ce n'est pas pour déplaire. Cela donne l'impression d'être devant un immense et magnifique buffet auquel on veut goûter à tout..... sachant que cela ne sera pas possible d'un coup et que le choix du meilleur est à faire. Pratiquement rassasié « de force », Il s'offre une pause. Une pause aussi pour elle, en Voyage quelque part au 7e Ciel. Il la contemple. Quelle beauté de voir sa soumise en extase, lâchant prise de tout. Quelle sensation étrange parcourt son Esprit... La volonté d'emmener encore plus loin sa soumise dans ce monde merveilleux, et plus longtemps en utilisant des manières, des accessoires violents, quitte à violenter son Corps. Cet extase qu'Il lui offre ne serait-il pas assez puissant comme cela ? Ce sont pourtant ces sensations, ces envies si puissantes, paradoxales qui font ce qu'ils sont et de dont ils se sont rencontrés. Moment trop rare de séances et de sueur, le Graal est très proche, mais l'atteindre signifierait la fin de la quête, toute aussi jouissive que le décrocher. Une pause.... qui cesse enfin. Jetant un plaid épais par terre, Il dispose Sa soumise par terre, à 4 pattes, accompagné de quelques fessées. Les quelques zones restées encore blanches rougissent entre 2 marques de fouet. Tout est pratiquement rouge sur ce Corps à nouveau offert. « Tu vas pouvoir crier » et s'installe derrière elle. Au comble de l'excitation, Il n'a aucun mal à s'installer en elle au son d'un fort gémissement. A Lui, elle s'offre aux coups de bassin. Son intimité déborde de Plaisir, assoiffée de ce Sexe attendu, voulu et enfin au rendez-vous. Instant magique de bouillonnement des esprits et corps déjà brûlants. Les va-et-vient s'accentuent, accélèrent, les mains glissent sur la peau. Vite, attraper les épaules et s 'enfoncer d'avantage dans cette Chatte des Plaisirs, le Graal approche, des cris, le cœur s'emballe, les gémissements … Le train s'est immobilisé le long du quai. Un trou du c.... heuu, passager tente de forcer le passage encombré par le vélo qu'il suffit juste de sortir pour dégager la voie... Arriver à la maison est très rapide. Enfin, la porte s'ouvre et Il peut rentrer chez eux. Elle est déjà accaparée dans la cuisine; Il la rejoint et dépose un baiser sur sa nuque. Un petit sourire accompagné d'un petit gémissement Lui répondent.
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Par : le 11/04/18
Je t’attends, comme à mon habitude devant la porte d’entrée. Il est à peine 18h15 et tu n’arrives uniquement à 18h30. Je suis impatiente de te retrouver mon maître adoré, mon corps entier rentre dans le désir les plus charnel. Je me mets un coussin sous les genoux, et me mais a quatre pattes comme tu aimes, avec le collier sur le cou, et la laisses dans la bouche. Je me répète sans cesse les règles que tu ma fais apprendre. • « Toujours attendre le maître devant la porte avants qu’il n’arrive. » • « Ne jamais regarder le maître dans les yeux. » • « Ne jamais parler sans en avoir l’autorisation donnée. » • « Toujours avoir les yeux baissés quand le maître nous regarde. » • « Toutes les punitions, j’accepterais sans broncher. » • « A chaque punition, je remercierais le maître de ce plaisir. » • « Au plaisir du maître, je me plierais. » Il est l’heure, je vous entends arriver devant le hall d’entrée, j’écarte mieux les jambes pour vous montrer à quel point je vous et désiré. Vous ouvrez la porte et prenez un ton plutôt sec à mon égard, je comprends alors que je n’allais moins faire la fière. Vous tourner aux tours de moi, palper mes fesses avec envie, et prenez bien le temps de vérifier à quel point mon vagin, c’est humidifier pendant que je pensée a vous. « Tourne-toi, dépêche-toi ma chienne. » M’ordonna le maître. J’acquis en baisant la tête et les yeux, tout en me tournant vers vous. Vous me prenez la laisse, et vous l’attachassiez à mon collier, que vous prenez soin de bien resserrer. Vous me faites marcher à quatre pattes jusqu’à la chambre, ou vous avez disposer tout les jouet dans le placard bien fermer pour que la petite soumise que je suis ne puisse y accéder. Je vous attends assise les fesses sur les talons, pendant que vous ouvrez le placard pour prendre la cravache en cuir que vous adorez tant. « Cambre-toi, que j’admire t’es fesses rosir sous mes coups. » M’ordonna le maître. Je me cambre donc bien, le visage touchant le parquet les fesses relever pour vous mon maître, j’attends avec désire tous vos coups, je prends plaisir à compter comme vous l’aimais le nombre de fois ou la cravache rebondie sur mes fesses. Ce que vous voulez sait me marquer, j’adore ça quand le maître me marque de son envie. Je sens mes fesses chauffer sous la cravache, vous riais et prenez un malin plaisir à m’entendre beugler de plaisir. « Tu aimes ça ma chienne, dit le que tu aimes ça. » M’ordonnât le maître. « J’aime ça maître, merci maître de me donner tant de bien » rebondi-je. Vous me faites me relever pour monter sur le lit, ou vous me mettais le baillons en cercle, pour que vous puissiez insérer votre doux membre au fond de ma gorge. Vous savez que j’aime ça et ne vous retenez pas, plus je bave et plus vous aimer mon maître, que j’aime me voir à votre service. Vous prenez mes cheveux et les attacher, pour mieux les agripper, de façon a ce que mon visage balance bien le long de vôtre verge. Je deviens de plus en plus excitée, et ma cyprine commence a humidifier l’intérieur de mes cuisses. « Tourne toi, que j’admire ton sexe remplie de mouille a mon égard. » M’ordonna le maître. Je me tourne et montrai avec les jambes bien écarté à mon maître a quel point lui servir étais pour moi un plaisir fou et exquis. Je sens les doigts du mètre caresser les contours de mon vagin, pour aller directement aux grandes lèvres pour remonter jusqu’à mon joli bourgeon gonflé de plaisir. Je sens votre doigt le titiller de droite à gauche et de haut en bas ce qui me fait mouiller encore plus. Le maître fait des mouvements de plus en plus vite et je gémis de plus belle. « Ta gueule, et écarte donc plus t’es cuisse. » M’ordonna le maître. Je le fis aussitôt dit, il me met le vibro coller au clitoris attaché d’un scotch bien adhésif, avants de rentrée bien au fond de mon vagin, vous agrippez mes cheveux pour me cambrer de plus belle. J’entends vos testicules claquer contre moi, vous me donnez des fessées en même temps, vous adorez quand je gémis de plus en plus fort sous le rythme de son sexe. « Je te sens jouir sur ma queue salope, je vais donc te remplir la chatte. » Me dit-il. Effectivement, mes parois vaginales ce serré contre sa verge, alors que mon corps tremblé du plaisir qu’il me donnait. Mes yeux tournent de plaisir, et je sens le maître ce vidé a l’intérieur de mon vagin, puis le maître se retira pour en faire couler sa semence. « Merci maître pour tout ce plaisir que vous m’avez apporté. » Dit-je. _________________________________________________________________________ Je préviens, avants d'avoir un masse de critique concernant l’orthographe. Que je suis Dyslexique et fait donc déjà de mon mieux.
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Par : le 11/03/18
Voici un texte que j'ai écrit il y a quelques temps déjà, mais que je souhaiterais corriger, modifier, parce que je suis sûre qu'il y a des petites choses qui ne vont pas. A force, je suis incapable à l'heure actuelle d'en voir les erreurs, ni les fautes d'orthographe. Alors n'hésitez pas, si vous passez par ici, à me faire part de vos remarques en commentaires. Je verrais si oui ou non elles permettent d'améliorer ce texte sans le dénaturer. Voici donc : >>> L'Escalier Les talons de la belle claquaient sur les pavés encore mouillés de cette matinée. La pluie avait cessé depuis peu. Le soleil réapparaissait derrière les nuages, et sa clarté illuminait les façades des immeubles à colombages. Elle avançait d'un pas lent, ses cheveux longs et roux, libres de toutes attaches, flottant au vent, et serrant contre sa poitrine le manteau noir, coupé trois-quart, dont elle était vêtue.  Plus elle marchait, plus elle angoissait. Si elle était dans cet étroit passage, c'est parce que Son Maître le lui avait ordonné. Il lui avait fixé un rendez-vous en lieu inconnu, avec l'un de ses amis, tout aussi inconnu pour la jeune soumise. Lorsqu'elle vit l'escalier au fond de la ruelle, qui donnait sur une porte en sous-sol, elle sut que c'était là le lieu de rendez-vous. D'un pas qu'elle voulut calme, elle descendit les marches une à une, essayant de ne penser qu'au bonheur de servir Son Maître, y compris en cet endroit, y compris avec cet autre homme. Au bas de l'escalier, elle remarqua que la lourde porte d'acier avait été entrouverte, conformément aux instructions qu'elle avait reçues. Comme convenu, elle entra, et referma la porte derrière elle. D'un coup, il fit beaucoup plus sombre. Et beaucoup plus frais. Grâce à la torche suspendue sur le mur à gauche d'elle, la pénombre n'était pas totale. Alors elle défit son manteau, qu'elle posa sur un petit banc laissé à cette attention. La jeune femme n'était vêtue... que d'un collier aux multiples anneaux, auquel pendait une courte laisse, dont la poignée de cuir noir tombait au niveau de son intimité, joliment dépourvue de pilosité. Entre le contact de l'acier sur sa peau, et la fraîcheur de l'endroit, son corps était parcouru de frissons. Pour se donner une meilleure contenance, elle recoiffa ses cheveux de ses mains, les aérant et les plaçant dans son dos, afin que nulle mèche ne vienne cacher ses seins, où ses petits tétons s'exhibaient indécemment. Puis elle s'agenouilla, se pencha en avant pour se mettre à quatre pattes, jambes légèrement relevées en arrière afin de ne pas abîmer ses escarpins. Elle ferma les yeux, entrouvrit la bouche, y placa la poignée de la laisse et attendit... Après quelques longues minutes, des bruits de pas se firent entendre. Quelqu'un approchait. L'homme. La femelle avait toujours les yeux fermés. Il était arrivé à son niveau, elle sentait le parfum boisé de celui à qui elle appartiendrait durant ce moment voulu par Son Seigneur et Maître, son Propriétaire. Elle sentit des mains puissantes poser sur ses yeux un bandeau noir, serré fermement. Elle ne verrait plus rien, devrait se laisser guider maintenant. Il fit passer sur son dos les longues lanières carrées d'un martinet, prenant tout son temps, pour caresser ainsi l'espace compris entre sa nuque et le creux des reins, s'attardant parfois sur une parcelle de peau. Soudain... la morsure du cuir, cinglante, entre ses cuisses, sur sa chatte. Et le mouvement brusque de la laisse qu'on tire en avant... La chienne avança, gardant tête baissée. Ce lieu, qui devait avoir servi d'entrepôt ou d'autre chose, n'était pas adaptée à la promenade d'une femelle, ses mains, ses genoux, étaient meurtris par les graviers et les irrégularités du sol. Mais elle savait ne pas devoir faire attendre cet homme, ami de Son Maître, et veilla à suivre son rythme. Ils passèrent un long corridor, étroit, sombre, car les seules torches présentes étaient celle se trouvant à l'entrée, et l'autre, dans la salle vaste et sphérique, où ils se dirigeaient. Bien que le couloir soit étroit, l'homme gratifia la femelle d'un nouveau coup de martinet, dont les lanières s'abattirent sur son cul. Il se pencha vers elle et vérifia par lui-même l'effet de sa présence, de ses coups, sur la chatte humide de la chienne à ses pieds. Satisfait, il enfonça ses doigts mouillés dans la bouche toujours entrouverte de la belle et elle les lécha avec application, avant qu'ils ne continuent leur chemin. L'homme guida la chienne au centre de la pièce, jusqu'à un matelas posé à même le sol. La chienne monta sur l'épais matelas, et exhiba à ce Maître d'un moment ses orifices lubrifiés de sa mouille, et les traces du martinet. L'homme claqua le cul de la femelle offerte ainsi à ses désirs, quels qu'ils soient. Il claqua, doucement tout d'abord, puis de plus en plus fort, jusqu'à ce que le cul rosisse, puis rougisse, que les halètements se fassent geignements. Une dernière claque, retentissante, un cri de la chienne, Puis le silence. Une pression sur sa tête, l'ordre était donné de rester agenouillée, silencieuse, respecteuse, dans une position d'attente. Elle l'entendit se diriger vers un ailleurs inconnu. Mais déjà il revenait. Il était presque aussi discret qu'un chat, mais des outils d'acier semblaient s'entrechoquaient. Sûrement devait-il avoir apporté une sacoche, contenant divers matériels. L'homme sortit effectivement de sa sacoche un écareur tout en acier, et le posa dans la bouche de la femelle, Elle avait l'impression qu'elle allait se décrocher la mâchoire, et eut une pensée pour Son Maître, qui la bâillonnait souvent... mais cet écarteur, c'était nouveau pour elle. Ensuite, il sortit des cordes, et savamment, bondagea la chienne... mamelles emprisonnées, corde passant entre ses grandes lèvres plus qu'humides... L'homme amena la femelle jusqu'à une croix en T, postée derrière le lit, l'installa sans ménagement : bras et poignets liés sur le montant horizontal, jambes passées de chaque côté du montant vertical, et liées elles-aussi. Après qu'il lui ai mis un bandeau sur les yeux, l'homme s'empara de son martinet, et commença à flageller la femelle, sur la chatte, le ventre, les mamelles... de plus en plus fort, toujours. Que la peau de la chienne soit rouge, comme la passion, le désir... voilà quel était l'objectif de l'homme. Et il s'en donna à cœur joie. Elle versa quelques larmes, cela ne l'arrêtait pas et même l'excitait. Aussi il continua un long moment avant de changer d'instrument. La femelle était épuisée, trempée... sa mouille dégoulinait le long de ses jambes, elle sentait les pulsations dans son corps, comme un appel aux plaisirs... elle en voulait plus, elle se voulait toute emplie de l'homme, elle s'imaginait toute emplie de Son Maître, bien loin de cet endroit, Son Maître, qui lui avait fait l'immense honneur de sa confiance en l'envoyant s'offrir à celui-ci... elle devait être fière d'avoir ses envies lubriques, de se sentir femelle et chienne, objet d'un inconnu. Soudainement, ses voeux furent exaucés en partie... un épais sextoy venait de lui être fourré dans la chatte. Il avait glissé à l'intérieur facilement. Des vibrations furent déclenchées, et le plaisir de la femelle fut décuplé, tandis que la cravache s'abattait sur sa chatte, violemment. Entre douleurs et plaisirs la femelle sombrait, disparaissait... partie dans une dimension faite de plaisirs, uniquement... au-delà de toutes douleurs... l'homme se plaqua contre elle. tiraillant ses tétons, les vrillant, les pinçant, et même les mordillant. Il prenait les mamelles à pleine bouche, les marquait de l'empreinte de ses dents, alors que la salive de la femelle glissait sur son corps... elle le sentait excité, son membre était raide et gros à travers le tissu de son pantalon... Et brusquement... il détacha les liens de la croix. Elle tomba dans les bras de l'homme, qui la renversa, ventre sur le lit... Il ouvrit son pantalon et vint se positionner au-dessus de la femelle, qu'il prit ainsi, enserrant le cou de celle-ci d'un bras. Elle avait toujours l'écarteur, le collier, la laisse, couverts de salive... elle était trempée, mouillée, marquée... salie, excitante. Il la baisa rudement, violemment, profondément, doigtant le petit orifice entre ses fesses, le dilatant... pour s'y engouffrer vigoureusement, en une unique poussée. Les couilles de Son Dominant claquaient sur son cul, sur son con, et la femelle n'en pouvait plus, elle ne devait pas jouir, même si elle le désirait. Le faire c'était ne pas respecter les ordres de Son Maître, c'était lui faire honte... Elle se fit défoncer avec rage, et elle adorait ça, elle, la chienne lubrique, esclave des plaisirs.  Avant qu'il ne jouisse, l'homme s'arrêta, et tira sur la laisse de la chienne. Celle-ci se remit à genoux, face à lui... elle était si belle avec cette bouche grande ouverte, inondée de salive... elle l'accueillerait jusqu'au fond... et c'est ce qu'il fit, il s'enfonça, dépassant la luette. Il était tout entier dans sa bouche, ses couilles au bord des lèvres. Il n'allait plus tenir très longtemps, aussi, c'est au moment où il allait lui gicler sa semence au fond de la gorge, tout au fond, bien profond, qu'il lui enleva le bandeau... La chienne n'en crut pas ses yeux... elle eut d'abord un peu de mal à y voir, vue la pénombre... mais rapidement, quand la semence sacrée coula en elle, épaisse, elle Le reconnut... Son Maître, Son Seigneur... Son Propriétaire. Pas un inconnu, mais Lui, le Seul, l'Unique. Les dernières larmes qu'elle versa étaient des larmes de joie, d'avoir su avoir confiance en Lui, pour s'offrir ainsi. Fin
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Par : le 11/03/18
Je n'ai pas apporté mes cordes, je sais qu'il en possède quelques-unes et j'étais déjà bien chargée pour cette virée amicale et kinky. Elles sont un peu trop grosses, un peu trop longues à mon goût mais cela ne m'empêchera pas d'encorder comme je l'entends. J'enserre ses poignets posés sur sa poitrine, ses bras, elle se laisse faire. Je la regarde avec un petit sourire et je passe la corde entre ses lèvres. Elle ne s'y attendait pas. Elle me regarde interloquée. Un éclair troublé passe dans son regard qui me colle des frissons. Le bâillon fait son effet, des deux côtés de la corde... Je couche la poupée sur le dos et je lie fermement chacune de ses jambes repliées, fixées à deux anneaux au-dessus du lit. Je m'assieds entre ses cuisses. Je la regarde, je ne dis rien, je ne fais rien. Je me penche juste et j'appuie mon pubis contre son sexe, comme si je la plaquais un peu plus, l'écartelais davantage. Je la dévisage, elle aussi. La proie et la prédatrice. Tout se joue dans cet échange-là, ce contact oculaire. C'est comme un miroir inversé, l'étrange abyme d'un puits d'émotions qui se mêlent, brouillent les images, floutent le décor. Il est là, derrière moi, je le sais mais c'est comme si nous étions seules en cet instant, accrochées l'une à l'autre par le regard. Je pose ma main sur son sexe, j'agrippe les poils, les tire comme je l'ai fait de sa chevelure, elle couine de façon plus aigue. J'ouvre son sexe, je contourne de mes doigts les chairs offertes, je déplisse et je commence à toucher, découvrir, branler. Ses yeux supplient, elle gémit à travers les cordes. Je mène cette danse du plaisir en l'entraînant sur les pentes de l'orgasme avant de stopper mes atouchements, juste au bord du gouffre. Trop tôt, pas encore, pas tout de suite. Mon plaisir est de la voir se tordre, sonder dans ses yeux l'interrogation, la supplique, l'abandon, le défi. Je lis la force et la fragilité, je vois la femme et l'enfant, je devine l'appétence et une curiosité insatiables. Petit animal que le plaisir affole, petite chose avide... Lorsque ses pupilles disparaissent dans un halo blanc ou, à l'inverse, lorsqu'elles s'agrandissent, exorbitées, je relâche ma pression sur son clitoris. Je laisse le flot se calmer, le frisson s'adoucir sous la peau, avant de l'effleurer à nouveau, juste un peu, puis d'agacer et de frotter encore, en l'emmenant au point de non retour, où je stoppe une fois de plus mes caresses. C'est un jeu que j'aime, les montagnes russes dans son corps, l'excitation renouvelée, le plaisir qui monte et qui descend, l'impatience contenue, la frustration... Les mots s'oublient. Mots superflus dans une atmosphère taiseuse et moite, hormis ses râles et miaulements de plaisir. Seules des bribes juste murmurées fusent de temps en temps « pas encore » ou, plus tard, « lèche-moi ». J'ôte alors une partie de la corde et que je la bâillonne de mon sexe à la place. Ses yeux deviennent plus flous, se teintent de vice, de cette tentation de me contrôler à son tour, de se dire que même contrainte, c'est elle qui tient mon orgasme entre ses lèvres. Cette expression fugace que j'ai décelée m'amuse et m'émoustille tout à la fois. Puis le jeu se modifie. Il est toujours là et s'impatiente, demande si elle a enfin le droit de jouir, son apanage tacite, son rôle de mâle dominant. Je lui cède la place entre les cuisses de la jeune fille qui plante ses yeux dans celui qui s'apprête à la posséder pleinement. Il prend son temps puis la baise plus fort, sans retenue. Sa bouche est libre de toute entrave, elle gémit. Je saisis ses cheveux, caresse son visage, me rapproche. Ses yeux vont et viennent, roulent entre lui et moi. Il a disparu entre ses cuisses pour la faire jouir, enfin, et ses hurlements vrombissent puis claquent dans la nuit. Petite fille apaisée que je libère de ses cordes... Pour l'illustration, c'est chez Abyme https://www.bdsm.fr/photo/437054/dom-lullaby-nina/userid_14770/
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Par : le 09/03/18
C'était la première fois. J'étais contrainte, poignets attachés aux montants haut du lit, jambes suspendues à la verticale. Débraillée, bâillonnée, gisante après plusieurs orgasmes déjà. Le clitoris n'était plus vierge d'attouchements, au contraire gonflé et déjà largement "sollicité". Il a approché la boule magicienne, l'a posée à plusieurs reprises sur mon sexe, augmentant peu à peu les vibrations, sans dépasser toutefois le premier quart, s'agissant d'une première et ayant été déjà fortement utilisée... La fulgurance m'arrache déjà au sol, l'orgasme est monté si vite que les sensations sont confuses, embrouillées. Il remet ça quelques instants après la redescente. Je me concentre alors sur les sensations, étranges, glaciales. C'est comme un courant froid, de ce froid qui brûle, localisé sur mon sexe. Il ne passe pas sur mes cuisses mais longe l'extérieur comme un courant électrique. Il court le long de la jambe, le lond du nerf, jusqu'au bout des orteils, vive fraîcheur sur l'extérieur du pied et sur le clitoris. Après la séance, en débrief, je lui raconte cette sensation de froid intense qui monte du sexe jusqu'au pied en passant par l'extérieur de la jambe. Magic flesh en magic fresh. Il semble très étonné de ces réactions. Je me demande si je suis la seule à avoir ressenti ces impressions de "froid"...
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Par : le 19/02/18
. L'état fantasmatique prend le pas sur le descriptif, Linsoumise, je viole ton âme et ton corps s’essore à genoux, lovée, agrippée encore à lustrer mes pieds comme une chienne.. Tu trépanes mes repères.. ma folie pulsionnelle te parle en ces mots sombres: . Ma perte sublime, l'abandon de mon contrôle aux perversions sombres abyssales, sales et humiliantes: sadiques.. là où ta dignité ne réside qu'en l'absence du "Toi". Livrant ta carcasse désincarnée à ma nature profonde crépusculaire, sauvage, avilissante et habitée . L'usage même de paroles devient l'expression de dégoût, t'avilissant. Te retranchant au delà de ce que le seul sens non isolable pourra transmettre à tes oreilles. Sons perçus étouffés par tes tourments, tes maux, ton épuisement, MA possession. Asile psychologique certain, te réfugiant dans ton subspace bienveillant, salvateur, laissant libre le désinvestissement corporel que j'entreprendrai, méthodiquement sur toi. Devenant un corps mou duquel j'extrairai à coups de griffes le reflet cinglant des morsures du fouet de mes envies, m'exprimant sur ton corps et ton âme. Te soustraire ... te laisser quelques secondes de conscience, peut être d'éveil, marquer au fer rouge ce que tu es devenue entre mes mains. Hum ... images et émotions: langage subliminal. Marquage de l'inconscient, ton cerveau reptilien dans le panier de mon emprise, ondulations hypnotiques aux fréquences Dominantes.. Tu seras loin. Enfermée dedans. Ressentir paradoxalement à/a peine les assauts démoniaques, extrêmes et avilissants qu'un statut d'esclave t'aurait simplement épargné. Gardant possession psychologique d'une situation physique dont tu serais pourtant coupée. Laisse tomber , va, abandonne... Comprends bien, qu'Il me sera alors jouissif autant de te voir résister pour te contraindre un peu plus, que de te ramener en pleine conscience pour te révéler à toi-même ce statut de déchet sexuel: MON déchet sexuel. Perspective Jetable?... je salive d'anticipation.. Replongeant ensuite dans ta boîte crânienne, Subspace, salvateur/trice, me laissant pleinement exprimer en et sur toi, mes allégories passionnantes et expressives. Déversoir de ma folie sexuelle démente, réceptacle de mes fluides corporels avilissants et marquants. Perspective durable? Trace indélébile de l'incroyable et démesurée emprise que ma Domination exprime sur Toi : MON Objet sexuel. Tu ne seras ni la pire des salopes rêvées, Ni cette femelle fantasmatique à prendre comme une chienne, horizon salace; Ni même Esclave, statut seXuel permettant toutes les disponibilités... non, non, non, non , non...mon expression réside là où la dignité même de la personne est touchée; Là où la dilatation n'a plus de fin qu'en l'expression du vide, cercle sans objet, ni d'objets même à t'enfiler laissant béant tes orifices. Là où même les réflexes naturels de fermeture n'opéreront plus. Tu ruissèleras de liquides mélangés, ton souffle presque inconscient, catatonique, faisant mentir le cadavre sexuel gisant sans dignité que j'aurai créé, besogné, vidé de sa vie. Prisonnière de ton corps comateux, le déséquilibre manichéen basculera dans une monochromie sombre où tu ramperas à mes pieds pour obtenir le pardon du simple fait que j'en arrête avec ton corps et ton âme, forme de peur de l'abandon.... tu l'auras compris qu'ici, réside mon expression. En la perte temporaire et entière de ta résistance... quel paradoxe sans injonction, processus circulaire dans lequel l'énergie de la réponse est fournie par ta réaction et non pas par l'élément déclencheur... perversions, sublimes de tortures psychologiques par le vecteur de ton corps ... Alors... Me suppliant encore de te souiller de toutes les manières de mes perversions et mon sadisme mêlés, graal unique de mes quêtes fantasmatiques, de crainte que j'en ai fini avec Toi.. supplier... me supplier de te prendre sans limite, en tout cas m'abandonner les tiennes... concept si éloigné de ton orgueil... de ta fierté. Insoumise? Ainsi je t'exposerai aux hyènes impropres, essentiellement libidineuses, s'exprimant, de leur seule turgescence, assoifées de viande pas encore assez morte. Charognes. elles te baiseront aux limites de l'évanouissement jusqu'à ce qu'elles s'épuisent elles-mêmes, vidées autant que de leur pauvreté fantasmatique m'inspirant tant de dégoût ! Je les bannirai d'incompétence à t'user de baise, les humiliant pour ma satisfaction narcissique et par condescendance perverse. . Prête de ce préliminaire sexuel, essuyant tes larmes d'abandon, j'exercerai alors ma Domination sur Toi. . Mon déchet, déshumanisée, état subconscient , cloîtrée au fond de toi même, je saurai encore te ramener à la conscience pour te montrer ce que tu es. Pour moi... Objet.... mon objet, par delà tes limites: mon objet dans mes limites. Tes trous devront rester béants d'avoir servis et prêts à servir, et resservir .. sans quoi je n'aurai de cesse que de les éprouver jusqu'à ce que mon sperme entre ou sorte par simple gravité de tes bouche, vagin et anus suivant la position dans laquelle je te baiserai encore. Et encore. Et encore sans aucune attache, limite, résistance molle, pantin fantasmatique, receveur unique pour des heures indélébiles dans chacune de nos mémoires... de notre chair. Tes ultimes étincelles résistantes d'insoumission articuleront mes perversions à te faire lâcher ton contrôle par ma Domination systémique. Jeu des derniers soubresauts d'orgueil abattus par l'implacable détermination à te faire lâcher prise. Menottes, bracelets, Cordes, scotchs et strapps t'immobiliseront pour subir. Baillons, écharpes, scotchs, cordes ceintures étoufferont tes lamentations. Ceintures, martinet, canne, cravache, fouets et autres caresses éveilleront ta colère pour mon plus grand plaisir. Mais c'est Ton état passif et abandonné, qui transcendera enfin l'état dans lequel je cherche à exprimer ma jouissance. Tu ne pourras alors recevoir mon offrande en calice, qu'aux signes de ton abandon. Alors surement alors, performant de ma Domination sur la carcasse épuisée de ton corps, me redressant de toute ma taille pour jauger mon empire. Haletant et triomphant, dans un geste narcissique je te pisserais dessus ou plutôt dans un de mes trous béants ... afin de marquer d'avantage mon territoire, mon emprise, ma démesure. Souillant encore un peu plus mon Objet seXuel, t'entraînant sur les pentes obscures de ma volonté de te dépersonnaliser, te déshumaniser, pour t'imprimer sur le disque, alors formaté de ta conscience, les premières marques de ton appartenance définitive. Tu m'appartiendras à vie, quoi qu'il en soit, et j'opérerai sur ta volonté perdue pour un instant, l'étendue saline de ta dépendance envers moi, dans une forme de résignation absolue, indiscutable.. Assemblée à mes pieds, genoux cédant, prostrée à cette place qui est la tienne, mes mots anciens reviendront à Ta mémoire comme un soleil de T/ta nuit: "Prépares ton enveloppe insoumise, Tu n'as pas perdu ces heures à attendre. Patience, répends toi dans ton silence, oublie ces jours vides, enracinée que tu étais, à espérer t'évader à mes côtés, ivre de dépenses d'énergies, de maux torturés, attachés à mes pensées tourmentées.... Que feras-tu, après tel abandon? Le souffle court, jetée dans la masse, dans le mouvement, agissant jusqu'aux extrêmes Insoumise, ton doigt pointé se tordra suppliant, scrutant en moi la moindre faiblesse. Ici, tout le corps se donne. Cherchant à épuiser ses possibles. Ma main s'ouvre et se ferme, puissante étreinte au support de ta tête rebelle. Fou de Vie, et d'envies, îvre d'idées abissales, mon demon animal te ploiera par le col, jusqu'à ce que tu aies compris. Brassant et déchirant tes chairs, te voulant saisie, te soufflant ma divine amertume. M'abandonnant ton corps, et par toi, ainsi devenant celui que je veux être. Mon corps instrument de l'esprit, Cependant auteur de toutes tes idées. Alors, Soumise alors, tu saisiras de tes bras meurtris mes jambes dressées. Plongeant ta tête aimante, tu m'aimeras tel ton soleil. Tout s'éclairant alors pour moi Je serai celui par lequel Tu te soumets..." Dominée. . Parloire. .
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Par : le 02/02/18
:point_right:POURQUOI CE PROJET ? La communauté BDSM.FR met à disposition un espace d’expression gratuit et ne dispose d’aucun budget publicitaire pour se faire connaître. Les membres de la communauté la découvrent : - par le bouche à oreille - par les moteurs de recherche (Google, Bing …) Les menues recettes (Sexshop, webcam, …) servent à financer les infrastructures (deux serveurs haute capacité) et les licences des applications (et ponctuellement des developpements spécifiques) qui servent à faire tourner le site. Les organisateurs de BDSM.FR ne s’étaient pour le moment que peu intéressés aux vidéos. Il y a quelques mois, le projet de vidéothèque a été lancé avec l'aide de membres du site qui ont accepté de participer : le résultat est ici : http://www.photos-videos.com — Le projet de vidéothèque gratuite à deux objectifs : - Proposer un catalogue de vidéos gratuites pour tous (cela existe déjà) qui bénéficient d’une vraie description et d’un vrai classement par pratiques BDSM (plus rare !) - Faire de ces vidéos et surtout leur description un moyen toucher des utilisateurs sur Google pour faire découvrir la communauté à de nouveaux utilisateurs. Google favorise les sites proposant du contenu rédactionnel original ! — En donnant de votre temps, en devenant ainsi bienfaiteurs de la communauté, vous allez donc participer à l’élaboration d’un catalogue unique accessible à tous et vous allez surtout permettre à d’autres membres de découvrir à terme la communauté BDSM.FR :point_right: D’OÙ PROVIENNENT LES VIDÉOS ? Les vidéos viennent des sites de vidéos gratuits ou payants qui nous ont donné l’autorisation de les réexploiter. Ces sites donnent les autorisations, eux-même pour se faire connaître. Il se peut de temps à autres qu’en appuyant sur « Play » de la vidéo, un autre site s’ouvre. C’est la contrepartie de la mise à disposition gratuite de la vidéo par son éditeur original. Cette apparition est aléatoire et heureusement marginale. :point_right: COMMENT DECRIRE UNE VIDEO EFFICACEMENT ? Le traitement d’une vidéo repose sur trois « chapitres « distincts : - Le titre, - Le descriptif, - Les caractéristiques de classement sous forme de cases à cocher. # Proposition de méthode : - On lance la vidéo - On rédige le descriptif au fur à mesure que la video avance (contexte, physique et rôles des protagonistes puis récits des pratiques et accessoires) - Quand la vidéo est finie, on rédige le titre qui résume au mieux les actions qui dominent dans le scénarisation - Puis enfin on coche les pratiques/accessoires dans les catégories à cocher (qui nous font parfois nous rappeler qu’on a oublié une action avec un accessoire dans le récit) pour le classement par pratique. S’ils manquent des catégories dans la liste, ce n’est pas très grave. Vous pouvez signaler ce qui vous semble manquer dans le groupe ou par e-mail. Ce n’est qu’une proposition de méthode, chacun(e) joue comme il/elle aime;-). Le plus important sont le descriptif et le titre. * Titre de la vidéo Distillez autant que possible les mots clés importants dans le titre. Exemples de bons titres : « Humiliation et bondage pour cette soumise blonde» « Soumis possédé par une Domina en corset avec un gode ceinture », « Domina qui torture son soumis à la cire puis l’exhibe », « Homme soumis attaché à une chaise et humilié en public » Exemples de mauvais titres : « humiliation » « Soumise qui en bave » « Il mange grave » « Film de soumises » --- * Description : La bonne description permet au lecteur de savoir : - Qui sont les protagonistes : « Une maîtresse brune à gros seins avec un corset en cuir et un gode ceinture » « Un jeune soumis asiatique avec une cage de chasteté et une femme noire qui doit être sa Domina » « Une directrice sevère mature et un employé soumis en bleu de travail » - Le lieu « dans un donjon équipé de nombreux accessoires SM (Fouet, cravache, badine et chaine) » « la nuit dans la forêt dans une clairière éclairée par les phares de la voiture » « dans un club SM où sont déjà de nombreuses Maîtres, Dominas, Soumis et soumises » - La description de ce qui se passe dans la vidéo, les pratiques proposées et les accessoires utilisés. # Exemple : « Dans une demeure chic et cossue ressemblant à un manoir un Maître d’une cinquantaine d’années, habillés tout en cuir, va commencer par déshabiller sa soumise, une jeune femme rousse de 20/25 ans sans ménagement. Sa jupe et son corsage sont a moitié déchirés. Il demande à la jeune femme docile de se mettre à genoux puis de marcher à 4 pattes dans la salle à manger où se déroule la séance de soumission/domination. Le Dom fait s’arrêter la jeune femme devant la croix de Saint-André. On lit l’appréhension sur son visage. Il va l’attacher à l’aide des menottes sur la croix, puis lui mettre des pinces à seins, et des pinces à linge sur la chatte. Elle donne l’impression d’avoir peur. Il saisit ensuite une cravache et va lui fouetter les seins en insistant sur les pinces. La soumise a très chaud. Le maître va la détacher pour la faire se retourner. Il saisit un fouet et commence à la fouetter. Une autre femme entre dans la pièce et observe la scène. Elle se caresse à travers ses vêtements en observant la scène en voyeuse. Elle va se saisir d’un vibromasseur posé sur la table et commencer à se caresser avec, en l’humidifiant avec sa bouche régulièrement. La soumise attachée crie elle de plus en plus fort, et son dom alterne les caresses et les coups de canne anglaise. L’homme décide de lui mettre un bâillon boule pour la faire taire, puis une cagoule en cuir et un collier de chienne. Il va ensuite lui accrocher une laisse et la détacher de la croix pour aller la promener dans la maison, et la faire manger dans une écuelle. Il finira par abuser d’elle en la baisant puis en la sodomisant en levrette à même le sol. Les trois protagonistes finiront par jouir quasi simultanément. Le dominateur attachera la soumise avec une chaîne à un anneau fixé au mur, et quittera la pièce avec la femme voyeuse dont on découvre les hauts talons. » # Catégories Les catégories sont des cases à cocher. Vous pouvez en cocher autant que la scène de la vidéo le justifie. Par exemple, sur une vidéo avec 4 protagonistes : Domina, soumis, Maître, Soumise, il faut idéalement cocher les 4 cases correspondantes dans « Roles/Orientations ». Si en plus la Domina coquine avec la soumise, vous pouvez cocher bisexuelle (soit déjà 5 cases!). Il en va de même pour « Accessoires », « Pratiques », « Physique ». Il n’y a aucune obligation d’être exhaustif. Par exemple, l’accessoire « culotte » est surtout à cocher si la culotte est instrumentalisée (pour en faire un bailon par exemple). S’il y a une culotte « qui ne fait que passer » dans la vidéo, ce n’est pas la peine de cocher ;) ). Notez bien : Le plus important est d’expliciter les choses dans le titre et le descriptif. Les cases à cocher de catégories servent juste pour la navigation des utilisateurs d’une vidéo à l’autre (thème). # Signer ou pas sa rédaction ? Si vous cochez cette case, la description de cette vidéo sera signée de votre pseudonyme et un lien sera fait vers votre profil sur le site BDSM.FR. C'est un bon moyen de se faire connaître ;). Notez que la mention précisera que vous êtes rédacteurs de la description (pour ne pas qu'on croit que c'est vous dans la vidéo ;) ). *** PUBLICATION DE LA VIDEO ET DE VOTRE DESCRIPTIF Les vidéos que vous commentez ne sont pas accessibles directement sur le site. Elles sont validées au fil du temps (pour ne pas qu’il y ait trop de vidéos qui soit publié sur un temps court). Vous recevez un mail d’information quand votre participation sera publiée en ligne. Participer à ce projet, c’est faire preuve d’une véritable et très appréciée implication. Le site mémorise le nombre de mots que vous faites l’effort d’écrire lors de vos rédactions. L’objectif est de proposer des « avantages » pour les bienfaiteurs et bienfaitrices qui donnent de leur temps. Premier avantage d'ores et déjà en place, les beinfaiteurs sont mis a l'honneur sur le site lors d'affichage aléatoire (comme on le fait pour faire connaitre les "Groupes"). Les vidéos que vous avez traité (et qui ne correspondent pas forcément à vos pratiques) ne sont pas mentionnés. On indique juste que vous êtes membres bienfaiteurs. :point_right: QUE FAIRE SI LA VIDEO QU'ON ME DEMANDE DE COMMENTER EST DEFAILLANTE ? Il se peut que la vidéo ne se lance pas du tout (vidéo listée mais qui a disparue entre temps). Il se peut qu’une vidéo qui n’a rien à voir avec du BDSM (ce n’est pas deux tapes sur la fesse gauche qui transforme une vidéo X en vidéo BDSM;) ). Dans ces deux cas, vous avez un bouton, en haut de la page de saisie, pour signaler que la vidéo est défaillante. :point_right: QUAND EST-CE QUE JE COMMENCE ? Maintenant ? :) Connectez-vous à http://videos.bdsm.fr puis identifiez-vous avec votre adresse e-mail de votre compte BDSM. Et c'est parti ! :point_right: UN DERNIER MOT ... ... MERCI DE VOTRE PARTICIPATION A LA CAUSE ! :)
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Par : le 01/01/18
alors même que je me remet de mes émotions, j’ai encore cette sensation a l’intérieur de se cul qui es le sien ….. elle me retire les menottes, je reste nu bien sur, sans la cage, la cagoule toujours en place….. elle m’enlève le baillon qui était déjà partiellement enlevé… je sens sa présence devant moi car je ne vois rien du tout mais PAS BESOIN DE VOIRE …. !! elle me guide jusqu’a sa chatte déjà si chaude et ruisselante hummmm je comprends se que je doit faire ( hihiihiiii ) tout se que je vais faire est pour elle pour sont plaisir unique hummmmm… ma langue contre son vagin à la servire …. tel est aussi ma place hummmm je la lèche de longue en largue de haut en bas hummm, en cercle, j’entre même ma langue en elle, se n’est plus ma langue masi la sienne qu’elle dirige brillamment, j’entends alors « fait moi jouir petite salope !! « quel encouragement j’adore quand elle me le dit !!! elle sais m'excité aussi hummmm… au ton de sa voix de ses gémissements je sais que j’y suis presque …. mes mains à présent sur ses têtons durcie elle me contrôle à nouveau !!! du mieux que je peux, je lui pince les tétons hummmm qu’elle sentiment d’être au service de la jouissance de sa Maitresse quel fierté …. avec la place d’honneur … oui la langue entrain de léché la chatte de ma Maîtresse je me délecte même de son jus qui coule chaudement dans ma gorge!!! elle re sert la tête contre sa chatte j’entend alors « fait moi jouir ou tu ne hummm … ne fera pas …. pas l’amour à ta femme …. hoooooo pendant 1 mois « je réponds alors d’un geste sauvage un coup de langue plus vife au sein de sa chatte …. je m’étouffe mais c’est si bon … !!!! hummm je vais jusqu’au bout !!!! je m’applique alors je boie de plus en plus de son jus qui dégouline sur se visage de petite salope !!!! je ressert dans les doigt les tétons de ma Maîtresse …. plus fort en tirant dessus !!! hummmmm ouais elle vient !!!!! quel plaisir de la faire jouir !!!!! son crie me dit qu’elle y es !!! sentiment d’accomplie de fierté à nouveau !!!! suite a quoi elle guide la main de sa petite salope sur sa chatte encore hummm bien chaude …. hooooo se n’est pas fini !! encore une fois je comprends que je suis le pantin de ses plaisirs … j’enfonce directement 2 doigt …. hum je bouge dedans j’adore sa !!! elle aussi elle me guide la tête sur ses tétons que je suce délicatement…. ou pas je les mordille les tien entre mes dent et les lèche en meme temps avec la langue !!!!! hummmmm entre temps j’ai maintement 4 doigts en elle, bientôt viens le 5eme doigt … hummm je la sent très bien le fist n’est pas loin … j’essai de trouver la meilleur façon de rentré la main complet !!! mais je n’y arrive pas …. (pas encore hihihi ) mais je vais la faire jouir !!! hoooo ouiiiii je joue alors de tout les doigts qui sont en elle a la rendre folle tout de même !!! je la sens venir elle me le dit !!!! avec mon autre main je joue de ses tétons durcie. hummmm son souffle sa respiration augmente, la mienne aussi je ne comprends plus rien, à croire que son excitation me fait jouir aussi !!!! elle joui si forte, elle m’empoigne de ses griffes que j’aime sentir !!! elle appuie le corp de son petit soumis contre elle … le souffle chaud … je lui fais un bisous brûlant dans la nuque … hummm je luit dit Merci Maîtresse j’entends Merci à toi petit soumis !! je retire doucement la main de l’intérieur de sa chatte … elle me dit de me redressé chose que je fais … ensuite elle m’ordonne de lècher la main ... hummmmm oui Maîtresse chose que je fais avec plaisir ( est se qu’elle sait que j’aime sa ??? , je pense que oui ) je me délecte les doigts après doigts tous passe par un coup de langue … je suce tout les doigts … je ne sais même plus se que je fais le corps me répond plus je m’aperçoit que je suis partis loin très loin !!!! se plaisir que j’ai eux a lui faire plaisir c’était uniquement POUR ELLE !! Ma Maîtresse, et si sa lui a fait plaisir alors moi son petit soumis aussi !!!
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Par : le 01/01/18
tout commence par un ordre …. un seul ordre tellement simple, mais si poignant ! je la regarde l’aire de dire « ouiiiii Maitresse « ( je devais tout préparer pour qu’elle puissent jouet de moi ) j’ai commencer par présenté tout les jouet sur les commodes, cela parait bisard mais c’est extrêmement excitent de faire sa …. préparé les jouet sans même savoir avec les quel elle va jouet sur son petit soumis. J’allume toute les bougie dans la chambre, bougie après bougie l’éclairage se fait de plus en plus agréable, Hummmmm mon cerveau travail déjà a tout se qui pourrait arrivé. puit j’enlève mes vêtement chose qui m’emprisonne … sans mes vêtement je me sent plus libre, pret à servir ma Maitresse ou plutôt prêt à se que elle se serves de moi comme elle le veux !!! ouiiiii a se moment la je me dit « hummmm je luis appartient !! « je m’instale à 4 pates tel es ma place !!! je doit l’attendre. les chose s’accélère, mon coeur bat plus vite, j’ai des frisson, mon cerveau plane… pourquoi ?? car je sais que ma Maitresse va arrivé !! je l’entend arrivé, je ne la regarde pas … je n’ose même pas la regardé, elle dégage une énorme prestance, une force, une intimidation !!! elle se trouve alors assise devant moi, et même au vue de ceci je suis et je serait tout de même plus bas qu' elle !! puit vien cette phrase qui déclenche se mouvement qui fait venir sont chien a ses pied !!! hummmmmm je l’entend encore !!! « aller vien la « qu’elle me dit !!!! je me retrouve attire par elle, se corps qui lui appartient s’exécute tout seul, elle commence a caressée se même corps. j’aime telement sentir ses ongles hummmmmmm oui sa m’excite !!! elle pose sa tête me demande de me redresser, et la moment fort !! elle me fait signe de saisir la clef, oui la clef de Sa queue !! qui se trouve en cage et me dit « enlevé la cage ! » chose que je fait de suite … elle dit « maintenant je vais prendre ma douche tu reste ainsi et tu ne bouge pas !!! « wouaaaa je m’exécute bien que très difficile a résisté cette position fait mal a mes cheville, sa douche se passe bien je l’entend … se corp qui lui appartient, lui ne peut plus pour longtemps avent de s’effondre faiblement … mai nonnnnn je veux être fort pour ma Maitresse !!! elle fait une apparition d’une simplicité fulgurante elle me dit « Branle toi !! « hummmmm oui Maitresse. cette fierté que je ressent !! elle revient elle me voie … Sa queue toute dressée l’excitation monte … j’entend « arrete de te branlé « frustration, envie, chaleur, perte de toute notion ….. tout se bouscule dans ma tête !!!! elle me fait signe de monté sur le lit toujours a 4 pattes bien equipé !! bracelet menotte, bâillon boule, cagoule, rosebud dans le cul de son petit soumis. je suis la le cul bien cambré. et la elle me dit ….. « tu n’a pas été sage tu sais pourquoi et tu sais se qui t’attend !! « ( en effet la veille j’ai fait une bêtise qui l’a privé elle de ses envies ) gros sentiment …. par le marquage de ses fesse par la cravache se sont la les marque de ma bêtise qui seront « effacé « ouais car malgré tout au fond de moi j’ai aprit de cette erreur. elle prend les menotte en métal celle bien solide !!! les main relié au pied me voila en position, je doit compté avec elle CLAQUE …. 1 CLAQUE ….. haaaa 2 CLAQUE ….. 3!!!! CLAQUE ….. hooooo 4 CLAQUE ….. 5….. silence malgré moi me voila plongé dedans j’ai oublié de dire « merci Maitresse « CLAQUE …… 6 ( pour l’oublie ) Merci Maitresse hoooooooo hummmmm…. la je sent le martinée continué le travail !!!!! hummmmmm la douleur se transforme en excitation petit a petit j’entend « tu voulait jouet avec celui la « et la je sent son catonine fondre sur le cul de son petit soumis !!! hummmm je ne répond plus de se corp j’ai l’impression d’être l’instrument de son plaisir!! et l’intrument ne se doute de rien mais il va bien servir !!!!! je sent sa main sur le cul de son soumi se froid indique le lubrifiant !! elle m’enfonce des doigt !!! la tout va très vite non pas en réel mais mon cerveau se déconnecte je suis …… je suis un pantin d’ont elle tire les ficelle !!! elle me sent partir me demande si ça va … je répond que non plutôt moyen car j’ai la tete poser sur le coté elle me change de position … 4 pattes main toujours lié par les menottes en metal les cheville lié egallement…. je me cambre tout seul en me disent « aller y Maitresse faites se que vous souhaitez de votre soumis « !!!! hummmmmm quel excitation !!! je sent la le gode en moi je ne sais pas le quel je ne penses que au SENSATION !!!! ouiiiiii les SENSATION d’avoir le cul plein !! De sentir depuis l’interieur quelque chose touché les point de jouissance que je n’ai jamais senti !! cette queue qui essaye d’être a la hauteur de cette même excitation …. mais impossible cette sensation nouvelle es bien plus fortes Elle ENCULE bien fort son petit soumis elle le tien par les cheveux !!! elle me dit « vas’y joui !!!!!! « hum cette parole résonne en moi comme une goute qui fait débordé le vase …. elle ENCULE son soumis plus vite, plus fort hummmmmmm je vien !!!! je sais même plus parlez !!! je suis déconnecté de tout ceci !!! mon corp n’est plus mien il lui appartient ELLE CONTROLE TOUT !!!! hummmmmm jouissance total !!!! heuuuuuu hoooooo hummmmm ouiiiiiiiiiiiiii hohohohhoooooo elle se retire de moi …. je me sent tout legé tout chose !!!!!! je suis perdu de la realité mais je sais que se qui vient de se passer est simplement : hummmmmmmm très bon. elle le sais bien sur elle l’a lu …. interprété de se corp qui es le sien !!!!
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Par : le 17/12/17
*C'est une histoire de fabrication, mettant en scène fétichisme des foulards, bondage et kidnapping. Je me suis inspiré des nombreux sites d’histoires du début des années 2000, comme les récits d’Entraves. Une version plus riche de l'histoire est disponible sur mon blog: https://marquis2bundy.wordpress.com/2017/06/25/histoire-de-bondage-voilee-baillonnee-et-finalement-kidnappee/* Jennifer, une jeune femme de vingt ans aussi naïve que sûre d’elle, rêvant de pénétrer le monde de la mode. Pourtant, elle ne va pas tarder à apprendre que de répondre à n’importe quelle personne s’annonçant photographe de mode peut s’avérer dangereux. Zula photographiait avec intérêt la jeune femme, face à la grande pyramide du Louvre, par une belle après-midi d’automne. La photographe portait un perfecto en cuir cintré, un T-shirt blanc, un jean slim et des Doc Martens montantes, alliés à des bijoux minimalistes ainsi que d’une coupe au carré noire corbeau. Se faire photographier par une inconnue était une expérience nouvelle, mais le tempérament chaleureux de Zula avait rapidement mis à l’aise sa jeune modèle. “Alors comme ça, tu voudrais faire carrière dans le monde de la mode.” “Oui, c’est un monde tellement riche et intéressant! Je suis fan de toutes les grandes top modèles, je sens au plus profond de moi que je suis faite pour ça.” “Voyons voir ça.” dit Zula en rangeant son appareil photo. Elle s’approcha de Jennifer, et en bonne professionnelle, observa chaque parcelle de son corps. Elle toucha ses cheveux blonds comme pour s’assurer de leur texture, avant lui faire remonter le cou avec une légère pression de main, pour finalement terminer son auscultation sur son blouson en jean et son pantalon. “Je t’avais dis que je travaillais pour Marc Jacobs?”, lança t-elle sans quitter son air sérieux et concentré. Les yeux de Jennifer s’ouvrirent avec l’expression d’une enfant qui découvrirait un cadeau de Noël. “Biensûr, je ne le mentionne pas dans ma bio, continua Zula, je n’ai pas envie de crouler sous les candidatures. Tu vois je suis sûre qu’avec quelques photos il te prendrait direct… Par contre il te faut un absolument un relooking, le blouson en jeans, on a vu plus élégant.” Jennifer eut un pincement au coeur, elle qui pensait être une authentique fashionista! Aucun doute qu’elle allait devoir faire des efforts si elle souhaitait séduire une professionnelle comme Zula! Zula prit un air pensif avant de reprendre de plus bel son monologue. “Tu sais quoi, Jennifer, c’est ton jour de chance, il se trouve que j’ai justement tout ce qu’il me faut dans ma sacoche. Seulement il va falloir que tu te changes et il est hors de question que tu te déshabilles devant au milieu de tous ces touristes! Et je sais exactement où nous pouvons aller.” Une fois posé, caché par les haies du Jardin des Tuileries, et s’être assuré que personne ne se trouvait dans les parages, Zula posa sa sacoche. Jennifer tenta de se pencher pour regarder ce qu’il s’y trouvait mais Zula tira la sacoche vers elle tout en la grondant : “On ne regarde pas, c’est une surprise!” Intimidée, Jennifer recula, et attendit sagement que Zula lui tende un legging en vinyl aux reflets légers qu’elle enfila de suite. Elle troqua ensuite sa veste en jeans pour un superbe trench Burberry couleur camel. Jennifer s’apprêtait à remettre ses converses quand Zula la coupa dans son élan. “Mais nous n’avons pas fini, ma belle! Tu ne va pas garder ces chaussures!” Elle tira de son sa sac une paire de magnifiques escarpins qui dépassait allégrement les 10 centimètres. “Mais je n’arriverais jamais à marcher avec de tels talons!” s’exclama Jennifer. “Tout cela s’apprend, ma belle.” Zula s’agenouilla et se charga elle-même de chausser sa modèle. Elle commença à retirer unes à unes ses chaussettes qu’elle examina avec attention : “Dis-moi, tu as bien piétiné aujourd’hui!” Jennifer fut submergée par un sentiment de honte, tout en trouvant étrange qu’une photographe examine ses chaussettes sales. Zula, après avoir terminé l’enfilage des escarpins, sorti un gigantesque carré de soie. “C’est un Hermès. Je vais te le mettre à la façon orientale.” “Mais ça ne risque pas de cacher mon visage?” “Mais c’est pour te donner un côté mystérieux, ma belle.” D’une main experte elle enroula le foulard autour de la tête de Jennifer, ne laissant visible que son visage. Chaque pli était calculé au centimètre, Zula ne semblait rien vouloir laisser au hasard. “Porter un hijab est un art qui demande du temps à maîtriser, je l’ai appris au cours de mes nombreux séjours au Moyen-Orient.” Jennifer buvait les paroles de Zula avec attention. Quelle chance d’être tombée sur telle professionnelle! Pourtant la photographe était toujours pensive, comme si quelque-chose la gênait. “Quelque-chose ne va pas?” demanda Jennifer. “Hum, j’ai une idée mais j’hésite à te la proposer, ça ne va pas à toutes les femmes. Cela va uniquement sur les filles qui sont un peu rebelles.” Sans même demander de quoi elle s’agissait, Jennifer sauta sur l’occasion: “Laisse-moi essayer!” “Bon d’accord, mais c’est uniquement parce que tu m’es sympathique!” répondit Zula avec un sourire complice. Elle sortit une large ceinture capitonnée, avec deux imposants bracelets sur les côtés, faits dans la même matière. Le cuir naturel donnait un cachet certain à l’accessoire, tout en rendant compte de sa grande solidité. “Mais qu’est ce donc?” demanda Jennifer. “C’est un carcan, mais on comprend beaucoup mieux son fonctionnement une fois porté.” Zula installa la ceinture à la taille de Jennifer en prenant bien soin de positionner la boucle de la ceinture dans son dos. Elle enserra ensuite les mains de sa modèle dans les bracelets latéraux et sécurisa chaque sangle avec un petit cadenas. “Ne t’inquiètes pas, ma belle, c’est juste pour s’assurer qu’il ne se détache pas tout seul.” “Tu es sûre? Pourtant ça à l’air plutôt costaud comme harnais.” En effet, ce dernier bloquait maintenant les poignets de Jennifer au niveau de ses hanches et après quelques gesticulations, semblait impossible à défaire sans l’aide de Zula, et ce, avant le positionnement des cadenas. De même, cette ultime contrainte l’empêchait d’atteindre ses nouvelles chaussures et son hijab, la rendant complètement soumise à sa nouvelle amie photographe. “Mais tu es sûre que c’est une une bonne idée? Je ne sais, je ne me sens pas confortable avec le fait d’être photographiée comme ça, et puis tu ne m’a pas dis ce que tu allais faire de ces photos.” “Mais tu es chiante, toi! Moi qui fait de mon mieux pour t’aider. Attends, j’ai quelque chose qui va te calmer.” Zula se pencha sur les affaires que Jennifer avait posé au sol et pris une de ses chaussettes sales, la roula en boule, avant de l’agiter devant la bouche sa propriétaire. “Mais qu’est ce que tu fais? Je ne comprends pas, je … Mphhhh!” Les dernières paroles de Jennifer furent étouffées par la chaussette qui vint remplir sa bouche. Zula scella finalement son bâillon avec plusieurs bandes de Microfoam qu’elle appliqua soignement. Il ne restait plus de la belle Jennifer qu’une plainte quasi inaudible et des yeux paniqués. ddgc8trwaaaktt5 “Allez, il ne reste plus qu’à cacher ce jolie bâillon pour ton voyage en carrosse!” Un voyage en carrosse? Mais de quoi parle-t-elle? se demanda Jennifer. Sa désormais geôlière pris le devant de son hijab et le remonta, masquant tout le bas de son visage jusqu’au nez, cachant complètement le bâillon de la pauvre Jennifer. Zula pris ensuite sa victime par le coude, la guidant d’une main ferme vers la place du carrousel tout en passant un coup de téléphone, sans doute pour appeler ce mystérieux carrosse. La place était bondée de monde et Jennifer tentait vainement de signaler sa situation à cette foule anonyme. Après à peine quelques minutes, un mini-van noir aux vitres teintées arriva et Zula en ouvrit la porte. Jennifer tenta un ultime gémissement, vidant ses poumons pour un résultat qui fut couvert entièrement par le brouhaha de la place. Zula la poussa à l’intérieur du van, y rentra à son tour, et verrouilla finalement la porte. Une fois avachie dans les sièges en cuirs, Zula sortie une mini bouteille de champagne ainsi qu’une coupe qu’elle remplit abondamment, sous le regard paniqué de sa victime. “Ma belle, j’ai maintenant le plaisir de te révéler le programme de ta nouvelle vie. Ca se rapproche de la vie de modèle de haute couture, mais en plus actif. Plus précisément je fais partie d’une agence chargée de fournir de belles jeunes femmes à de riches clients. Et je ne devais pas te le dire, par réserve professionnelle, mais tu as tapé dans l’oeil d’un milliardaire du Moyen-Orient.” Jennifer n’en croyait pas ses oreilles, et répondit aux paroles de Zula en agitant la tête de droite à gauche, pendant que cette dernière sirotait son champagne. “Oh, mais ne t’inquiètes pas pour moi, pendant que nous te préparerons pour ta nouvelle vie, je serais en train de me délasser dans un palazzo italien pour quelques mois, à boire de bon chianti et à m’offrir un nouveau blouson en cuir fait sur mesure. Quand à toi, ma belle tu sera pomponnée, dressée, reprogrammée psychologiquement et sexuellement, le tout pendant plusieurs semaines, avant qu’on te présente enfin à ton prince charmant. Mais tout ça est très technique, et ne t’inquiètes pas trop, certaines ne se souviennent même plus de leur ancienne vie!” Zula reposa sa coupe, pris un flacon qui se trouvait dans le rangement du siège, imbiba de son contenu un foulard plié en carré. Elle s’approcha lentement de sa prisonnière avant d’appliquer fermement le foulard sur son visage. Jennifer tenta de se débattre, d’échapper à l’étreinte de Zula, mais ses gesticulations étaient vaines, et sa panique fit peu à peu place à la douceur d’une rêverie de soie. Fin? Je vous remercie de votre lecture et n’hésitez pas à commenter ou à m’écrire (marquis2bundy@gamil.com) si le récit vous a plu et si vous en souhaitez plus!
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Par : le 15/11/17
C’était peut-être la chose la plus idiote à faire, se donner à un pote de l’université. Nous avons un rapport simple, amical, sans mystère. L’accueil, chez lui à Lyon avait été des plus normaux. Sans mise en scène, gentil, habituel à croire qu’on allait jamais oser. Une double bise fugace comme seul contact. L’appartement au rez de chaussée laissait entendre les bruits de la rue. Il se divisait en trois parties. Un salon de dalles blanches, assez froid, un petit coin d’eau fermé entre quatre murs et un mezzanine qui recouvrait tout, plus chaleureuse, avec des objets personnels. Rien d'un donjon travaillé. A cause de la moquette qu’il y avait, et peut-être par effet de la hauteur, il y avait sur ce perchoir une chaleur plus tendre, comme dans une chambre d’enfant. La visite ne dura même pas une minute et il m’invita tout de suite à m’asseoir dans son petit salon. Il disposa sur la table quatre verres dont il remplit le fond de crème fruitées différentes et termina par un vin blanc. Je goûtais les quatre et pris celui à la pêche. On discuta un peu, puis il y eu un silence. Je ne sais pas ce que c’était pour lui, mais je commençais à ressentir une première gène. Il recommença à me parler simplement des choses de la vie courante ; puis il y eu un second silence. Il me souriait gentiment mais je ne sais pas pourquoi je baissais les yeux. Alors il m’a demandé ce que j’avais amené. Ce fut comme une délivrance et je comprenais que ce petit discours, qui devait nous réhabituer l’un à l’autre était aussi pour lui un moyen de faire monter une pression en moi. Il a repoussé sur le côté de la table les verres et les bouteilles et m’a regardé ouvrir mon sac avec attention. J’ai posé les menottes sur la table, puis le bâillon à boule, un pénis en plastique et puis j’ai hésité. C’était très étrange de me dévoiler de cette façon devant un ami. Le lui dis simplement « jai aussi ça » en posant le crochet anal sur la table. Il regarda cette brève panoplie avec sérieux, puis, en me regardant dans les yeux, il me dit « maintenant tu vas me dire vous. Tu vas m’obéir et m’appeler Maitre. » C’était un contraste fort avec l’homme que je connaissais mais son sérieux me mis en confiance. Je lui répondit « oui maître » pour la première fois. Il alla baisser les stores et tandis que la pénombre envahissait tout, il alluma plusieurs bougies très épaisses qu’il monta en haut. L’espace, simple et presque enfantin s’était changé en un monde mystérieux. Il me demanda de retirer mes vêtements avant de venir le rejoindre avec mes outils. Je m’exécutait et ne gardait que mes bas, mon soutiens-gorge et ma culotte noire. Je les avais choisis pour l’occasion. Il me regarda monter vers lui dans l’escalier et me fit signe d’aller sur une large couette bleue qui faisait un tapis épais et qui devait au fil de notre jeu se froisser et ajouter une sensualité visuelle simple et magnifique dans la lumière instable des bougies. Je me mis à genoux au milieu et il passa derrière moi. Il me bâillonna, en serrant plus que je n’aurais pensé. Il caressa ma peau, me baisa dans le dos et passa un cordon autour de mon cou qu’il en roula comme une écharpe et la fit pendre. Puis les menottes dans le dos. Avec douceur, il me pris contre lui pour me coucher sur l’épaule, la joue et les genoux, les fesses vers le plafond. Je sentais son regard sur moi. Ses doigt qui effleuraient les dentelles de mes derniers vêtements. Puis quelque chose, son pouce sûrement, qui passait sous l’élastique de ma culotte. « Cambre toi » me demanda-t-il et je le fis. La culotte glissa avec son pouce et découvrit cette partie de mon corps. Sa main se posa sur mon sexe, comme une coquille pour le protéger. Il m’étudiait, caressait pour sentir mon excitation et cette main, à dire vrai, m’excita plus encore. Je sentis ses doigt sur ma vulve, et bientôt leur glissement facile montrait que je commençais à juter de désir. Il le senti puisqu’il ne s’y attarda pas. Sa main remonta vers mon anus, le caressa en l’imprégnant de la liqueur qu"il avait sur les doigts. Il pressa un milieu, sans jamais entrer en moi. Il fit le tour, se mit face à moi et me demanda si j’avais un regret. Je secouais la tête. Il dit « non maître » ; je répétais sa phrase sans pouvoir la dire à cause du baillon. Alors il posa sa bouche sur la boule. Contact indirect qui me donna une irrésistible envie de lui. Sa bouche, ses mains, quelque chose de vrai, un contact. Mais il repassa sur le côté et glissant sa main le long de mon dos, comme à son animal. Il prêtait une attention très particulière à mon anus. Il imprégnait ses doigts du jus de ma vulve pour le préparer, l’ouvrir doucement. Il commença à m’expliquer ses gestes, à me dire de cogner le sol « quand » j’aurais trop mal avec mon front. Je sentis un doigt entrer en moi, tailler une place pour le crochet que je sentis bientôt entrer à la place du doigt, mais beaucoup plus profondément ce qui me provoqua d’abord une gène, pénible à cause du froid du métal, puis plus douce. Il attrapa la corde autour de mon cou et la passa en symétrie sous mes bras, dans le dos, les croisant et me tissant un bustier. Il passa ensuite les ficelles derrière le baillon, m’ordonna de me cambrer plus et rattacha les deux bouts au crochet. Je ne pouvais plus bouger que des jambes et déjà je ressentais une envie de gémir de plaisir. J’avais aussi cette envie de lui, ce désir simple de la sexualité la plus innocente. Simplement sentir son sexe glisser en moi. Je me souviens de ce désir intense car j’ai cherché dans le noir, pendant une bonne minute, à deviner s’il était en érection sous ses vêtements. Je commençais à me tortiller, à onduler du bassin en soupirant, pour l’inviter à cet endroit. Il y eut un claquement qui me provoqua une douleur très vive et une surprise. Il avait fouetté mes fesses avec une cravache, fort, me provoquant un sursaut qui tira sur le crochet. « ‘Ne bouge pas » disait il. Je serrai des poings de douleur, mais à peine commençais-je à m’en remettre, je commençais à désirer qu’il me frappe encore. Il recommença deux fois et je me sentis jouir à la dernière. Il remonta ma culotte par-dessus le crochet et il y eut un répit pendant lequel il vint s’asseoir par terre devant moi. Sur la table en verre à côté il avait enroulé plusieurs choses dans une serviette. Il tira un opinel et commença, devant moi, à sculpter un morceau de gingembre. Il avait été attentif à ce qu’on s’était dit par messagerie. Il demandait, en taillant une large pointe, si je me sentais bien. Je répondit « oui maître » sans pouvoir parler vraiment. Alors il se rapproche de moi, repoussa le bâillon sur mon cou, et tandis que je me couchais sur le côté je posais la tête sur ses cuisses. Il tailla longtemps le gingembre, temps pendant lequel il me demanda d’exprimer mes désirs. Je lui dit que j’avais envie de son sexe, de le contempler nu dans cette lumière étrange. Que je voulais lui donner du plaisir moi aussi. Je ne sais pas si j’aurais du lui confier cela. Il n’a rien répondu, mais tandis que je cherchais de la joue à tâter son érection il eut un mouvement de recul. Il me remit en position, comme sa construction, remis le bâillon et passa derrière moi. Il baissa la culotte, retira le crochet et tirant progressivement sur le cordage, enfonça le bâillon dans ma bouche. Quand il fut complètement retiré, je sentis les ficelles se desserrer. Après quelques secondes je sentis les liens se resserrer encore et le fer chaud pénétrer mon vagin. Sa main rejoua brièvement avec mon sexe pour son jus, et le sentis le gingembre entrer à la place du crochet dans mon anus préparé. Je sentis une brûlure, elle vint rapidement et s’intensifia jusqu’à être insupportable. Je cognait le sol de ma tête en serrant les poings mais il sentit que je ne voulais pas arrêter. Il joua à le retirer, le faire rentrer à nouveau. La douleur, continue, me faisait m’habituer à elle alors qu’elle semblait s’intensifier. C’est à ce moment qu’il baisa vraiment mon corps et que je sentis qu’il se passait une chose pour lui. Ses lèvres, posées sur mon dos, sur mes fesses, mes mains menottées et ses mains me caressant, témoignaient d’une forme d’amour pur pour moi, telle qu’il m’avait rendue, totalement soumise dans une douleur délicieuse. Il me coucha sur le dos et le crochet me fit mal. Il retira ses habits pour n’être plus qu’en boxer. Il ^recommença à baiser mon corps. Sur le ventre cette fois, puis le sexe, et se coucha contre moi en me serrant à lui. Je me suis senti profondément heureuse à ce moment. La brûlure du désir, celle du gingembre, celle peut-être aussi d’une forme d’amour respectueux me prenait complètement. Il retira le bâillon à nouveau. Je voulu baiser sa bouche mais elle était trop loin. Nous sommes restés comme cela longtemps. Puis il a défait le cordage, retiré le crochet, retiré le gingembre et les menottes en dernier. Je suis restée couchée dans ce plaisir, près de lui et en l’appelant Maître, je lui ai demandé s’il ressentait du désir pour moi et s’il voulait me prendre. Il affirma, mais semblait avoir quelques réticences. Je crois que c'était une suprise pour lui que je le veuille de cette façon. Il adapta. Je le suppliais, baisant ses genoux et ses pieds. Il me demanda alors de me déshabiller complètement et il m’observa nue avant de retirer son dernier vêtement. Je pris son sexe dans ma main, il était dur. J’ai demandé « puis-je Maître ?» et il a hoché de la tête. La domination continuait, mais le rapport était devenu celui de la tendresse. J’ai joui très rapidement quand je l’ai reçu en moi, c’était finalement ce que j’attendais depuis des semaines. Il s’est alors mis sur le dos, allongé sur cette couette qui faisait comme les vagues d’un océan, et j’ai retiré le préservatif et pris son sexe dans ma bouche. J’en ai avalé la crème chaude. J’étais un peu confuse quand il m’a raccompagné dans la rue. Le rapport intime avait été merveilleux. Mais peut-être n’avais-je pas su choisir entre l’absolu tendresse et la douleur gradissante. J’ai embrassé ce maître dans le cou. Je ne savais plus comment lui parler. Tu ? Vous ? La seule chose certaine est que je n’oublierai jamais ce dimanche. Merci Delyb, maître adoré. Mille fois merci.
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Par : le 25/10/17
*** POURQUOI CE PROJET ? La communauté BDSM.FR met à disposition un espace d’expression gratuit et ne dispose d’aucun budget publicitaire pour se faire connaître. Les membres de la communauté la découvrent : - par le bouche à oreille - par les moteurs de recherche (Google, Bing …) Les menues recettes (Sexshop, webcam, …) servent à financer les infrastructures (deux serveurs haute capacité) et les licences des applications (et ponctuellement des developpements spécifiques) qui servent à faire tourner le site. Les organisateurs de BDSM.FR ne s’étaient pour le moment que peu intéressée aux vidéos. — Le projet de vidéothèque gratuite à deux objectifs : - Proposer un catalogue de vidéos gratuites pour tous (cela existe déjà) qui bénéficient d’une vraie description et d’un vrai classement par pratiques BDSM (plus rare !) - Faire de ces vidéos et surtout leur description un moyen toucher des utilisateurs sur Google pour faire découvrir la communauté à de nouveaux utilisateurs. Google favorise les sites proposant du contenu rédactionnel original ! — En donnant de votre temps, en devenant ainsi bienfaiteurs de la communauté, vous allez donc participer à l’élaboration d’un catalogue unique accessible à tous et vous allez surtout permettre à d’autres membres de découvrir à terme la communauté BDSM.FR *** D’OÙ PROVIENNENT LES VIDÉOS ? Les vidéos viennent des sites de vidéos gratuits ou payants qui nous ont donné l’autorisation de les réexploiter. Ces sites donnent les autorisations, eux-même pour se faire connaître. Il se peut de temps à autres qu’en appuyant sur « Play » de la vidéo, un autre site s’ouvre. C’est la contrepartie de la mise à disposition gratuite de la vidéo par son éditeur original. Cette apparition est aléatoire et heureusement marginale. *** COMMENT DECRIRE UNE VIDEO EFFICACEMENT ? Le traitement d’une vidéo repose sur trois « chapitres « distincts : - Le titre, - Le descriptif, - Les caractéristiques de classement sous forme de cases à cocher. # Proposition de méthode  : - On lance la vidéo - On rédige le descriptif au fur à mesure que la video avance (contexte, physique et rôles des protagonistes puis récits des pratiques et accessoires) - Quand la vidéo est finie, on rédige le titre qui résume au mieux les actions qui dominent dans le scénarisation - Puis enfin on coche les pratiques/accessoires dans les catégories à cocher (qui nous font parfois nous rappeler qu’on a oublié une action avec un accessoire dans le récit) pour le classement par pratique. S’ils manquent des catégories dans la liste, ce n’est pas très grave. Vous pouvez signaler ce qui vous semble manquer dans le groupe ou par e-mail. Ce n’est qu’une proposition de méthode, chacun(e) joue comme il/elle aime;-). Le plus important sont le descriptif et le titre. * Titre de la vidéo Distillez autant que possible les mots clés importants dans le titre. Exemples de bons titres : « Humiliation et bondage pour cette soumise blonde» « Soumis possédé par une Domina en corset avec un gode ceinture », « Domina qui torture son soumis à la cire puis l’exhibe », « Homme soumis attaché à une chaise et humilié en public » Exemples de mauvais titres : « humiliation » « Soumise qui en bave » « Il mange grave » « Film de soumises » --- * Description : La bonne description permet au lecteur de savoir : - Qui sont les protagonistes : « Une maîtresse brune à gros seins avec un corset en cuir et un gode ceinture » « Un jeune soumis asiatique avec une cage de chasteté et une femme noire qui doit être sa Domina » « Une directrice sevère mature et un employé soumis en bleu de travail » - Le lieu «  dans un donjon équipé de nombreux accessoires SM (Fouet, cravache, badine et chaine) » «  la nuit dans la forêt dans une clairière éclairée par les phares de la voiture » «  dans un club SM où sont déjà de nombreuses Maîtres, Dominas, Soumis et soumises » - La description de ce qui se passe dans la vidéo, les pratiques proposées et les accessoires utilisés. # Exemple : « Dans une demeure chic et cossue ressemblant à un manoir un Maître d’une cinquantaine d’années, habillés tout en cuir, va commencer par déshabiller sa soumise, une jeune femme rousse de 20/25 ans sans ménagement. Sa jupe et son corsage sont a moitié déchirés. Il demande à la jeune femme docile de se mettre à genoux puis de marcher à 4 pattes dans la salle à manger où se déroule la séance de soumission/domination. Le Dom fait s’arrêter la jeune femme devant la croix de Saint-André. On lit l’appréhension sur son visage. Il va l’attacher à l’aide des menottes sur la croix, puis lui mettre des pinces à seins, et des pinces à linge sur la chatte. Elle donne l’impression d’avoir peur. Il saisit ensuite une cravache et va lui fouetter les seins en insistant sur les pinces. La soumise a très chaud. Le maître va la détacher pour la faire se retourner. Il saisit un fouet et commence à la fouetter. Une autre femme entre dans la pièce et observe la scène. Elle se caresse à travers ses vêtements en observant la scène en voyeuse. Elle va se saisir d’un vibromasseur posé sur la table et commencer à se caresser avec, en l’humidifiant avec sa bouche régulièrement. La soumise attachée crie elle de plus en plus fort, et son dom alterne les caresses et les coups de canne anglaise. L’homme décide de lui mettre un bâillon boule pour la faire taire, puis une cagoule en cuir et un collier de chienne. Il va ensuite lui accrocher une laisse et la détacher de la croix pour aller la promener dans la maison, et la faire manger dans une écuelle. Il finira par abuser d’elle en la baisant puis en la sodomisant en levrette à même le sol. Les trois protagonistes finiront par jouir quasi simultanément. Le dominateur attachera la soumise avec une chaîne à un anneau fixé au mur, et quittera la pièce avec la femme voyeuse dont on découvre les hauts talons. » # Catégories Les catégories sont des cases à cocher. Vous pouvez en cocher autant que la scène de la vidéo le justifie. Par exemple, sur une vidéo avec 4 protagonistes : Domina, soumis, Maître, Soumise, il faut idéalement cocher les 4 cases correspondantes dans « Roles/Orientations ». Si en plus la Domina coquine avec la soumise, vous pouvez cocher bisexuelle (soit déjà 5 cases!). Il en va de même pour « Accessoires », « Pratiques », « Physique ». Il n’y a aucune obligation d’être exhaustif. Par exemple, l’accessoire « culotte » est surtout à cocher si la culotte est instrumentalisée (pour en faire un bailon par exemple). S’il y a une culotte « qui ne fait que passer » dans la vidéo, ce n’est pas la peine de cocher ;) ). Notez bien : Le plus important est d’expliciter les choses dans le titre et le descriptif. Les cases à cocher de catégories servent juste pour la navigation des utilisateurs d’une vidéo à l’autre (thème). # Signer ou pas sa rédaction ? Si vous cochez cette case, la description de cette vidéo sera signée de votre pseudonyme et un lien sera fait vers votre profil sur le site BDSM.FR. C'est un bon moyen de se faire connaître ;). Notez que la mention précisera que vous êtes rédacteurs de la description (pour ne pas qu'on croit que c'est vous dans la vidéo ;) ). *** PUBLICATION DE LA VIDEO ET DE VOTRE DESCRIPTIF Les vidéos que vous commentez ne sont pas accessibles directement sur le site. Elles sont validées au fil du temps (pour ne pas qu’il y ait trop de vidéos qui soit publié sur un temps court). Vous recevez un mail d’information quand votre participation sera publiée en ligne. Participer à ce projet, c’est faire preuve d’une véritable et très appréciée implication. Le site mémorise le nombre de mots que vous faites l’effort d’écrire lors de vos rédactions. L’objectif est de proposer des « avantages » pour les bienfaiteurs et bienfaitrices qui donnent de leur temps. Premier avantage d'ores et déjà en place, les beinfaiteurs sont mis a l'honneur sur le site lors d'affichage aléatoire (comme on le fait pour faire connaitre les "Groupes"). Les vidéos que vous avez traité (et qui ne correspondent pas forcément à vos pratiques) ne sont pas mentionnés. On indique juste que vous êtes membres bienfaiteurs. *** QUE FAIRE SI LA VIDEO QU'ON ME DEMANDE DE COMMENTER EST DEFAILLANTE ? Il se peut que la vidéo ne se lance pas du tout (vidéo listée mais qui a disparue entre temps). Il se peut qu’une vidéo qui n’a rien à voir avec du BDSM (ce n’est pas deux tapes sur la fesse gauche qui transforme une vidéo X en vidéo BDSM;) ). Dans ces deux cas, vous avez un bouton, en haut de la page de saisie, pour signaler que la vidéo est défaillante. *** QUAND EST-CE QUE JE COMMENCE ? Maintenant ? :) Pour participer, c'est ici : http://videos.bdsm.fr Pour vous identifier, tapez l'adresse e-mail de votre compte BDSM.FR ! *** DES QUESTIONS ? N'hésitez pas à les poser en public dans le groupe du projet : https://www.bdsm.fr/groups/406/ *** UN DERNIER MOT ... ... MERCI DE VOTRE PARTICIPATION A LA CAUSE ! :)
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Par : le 22/09/17
Si tu ne considères pas la Femme comme une jolie utilité. Si quand tu regardes Son corps, il ne te t'évoque pas le repos du guerrier. Si en voyant Ses seins il ne te vient pas l'idée de les pétrir comme pâte à pain. Si Son sexe n'est pas con, mais temple de vie, de plaisir, de dévotion. Si tu considères Son esprit à l'égal de celui des hommes et Son courage souvent supérieur au leur. Si pour toi la Femme est intelligente, courageuse, sublime et dans cet ordre uniquement, alors approche. Si tu vois dans la Femme, l'émotion, le goût du beau, l'intense création. Si tu sais que Sa magnanimité pondère Ses jugements. Si tu peux lire dans Ses yeux l'honneur de Son sexe, né de la générosité de Son cœur. Si tu comprends la vérité de Sa colère par Sa patience mise à bout. Si tu connais Son dévouement à apaiser toutes les peines. Si tu entends Sa ferveur à offrir l'harmonie. Si pour toi la Femme est amour, dévouement, générosité et dans cet ordre uniquement, alors approche. Baisse les yeux, viens vers Moi et écoute. Tu le sais, tu es né de la Femme Tu le sais, la Femme est ta quintessence Tu le sais, la Femme te régénère Si tu conçois la Femme comme Déesse, tu es prêt Si tu considères la Femme comme unique créatrice, tu es prêt Si tu acceptes l'autorité de la Femme comme un bien nécessaire, tu es prêt Si tu estimes le désir de la Femme au-delà du tien, tu es prêt Si tu entends la parole sacrée dans les mots de la Femme, tu es prêt Si tu ne désires vivre que sous la loi de la Femme, tu es prêt Si tu prends les injonctions de la Femme pour un vœu à réaliser, tu es prêt Si tu peux obéir sans limite à la Femme, tu es prêt Si tu peux servir la Femme sans répit, tu es prêt Si tu dédies ta vie au bonheur de la Femme, tu es prêt Si tu abandonnes ton âme pour l'âme de la Femme, tu es prêt Si tu te nourris de la Femme, tu es prêt Si tu t'abreuves de la Femme, tu es prêt Si tes pensées naissent de la Femme, tu es prêt Si tout ces mots ne sont pour toi que fadaises, vas, pars, fuis, l'indifférence de la Femme est ton oubli. Si par contre, ces mots sont pour toi la vérité des cœurs en offrandes, pose un genou à terre, lève les yeux vers Moi et entend le bonheur qui s'annonce... ...Dans le tréfonds de ton âme depuis le premier jour, tu ressentais ce vide. Longtemps, tu cherchas le pourquoi, le comment, les causes réelles de cette souffrance indicible. Un jour la lumière fut. Dès lors, ta quête fut inlassable. Tu connus des moments de grâce. Tu pus vénérer et adorer, mais ces instants furent fugaces. Enfin, Elle parut. Dans Sa mansuétude, Elle t'éduqua, Elle t’apprit le comportement adéquat qu'un mâle doit t'avoir en présence d'une Dame. Comme toutes Celles de Son sexe, Elle fut généreuse, ne comptant pas Ses heures à t'offrir l'opportunité de grandir, de t'améliorer. Aujourd'hui encore, tu lui sais gré de toute cette énergie qu'Elle déploya pour faire de toi, autre chose qu'un homme. Bien sûr, tu rampais. Mais qu'est-ce ramper quand ramper c'est évoluer ? Bien sûr, tu obéissais. Mais qu'est-ce qu'obéir quand obéir veut dire rédemption ? Bien sûr, tu servais. Mais qu'est-ce que servir quand servir permet d'anoblir ? Bien sûr, tu t'avilissais. Mais qu'est-ce s'avilir quand s'avilir te rend unique ? Alors, d'homme, d'imparfait, d'improbable, tu te métamorphosas, sous Son égide, en un esclave accompli. Plus rien n'existait qu'Elle. Tu fis le deuil des autres, le deuil de toi-même. Ta respiration venait de Sa respiration. Ses pensées étaient les tiennes, Elle ensoleillait ton existence, Elle éclairait tes nuits, Elle te restituait ton âme, réparée, transcendée, parfaitement subtile, parce que simplement en harmonie, avec la Féminité. Esclave, tu respirais, esclave, tu vivais, et pour la première fois, ta vie avait un sens. Un jour pourtant, Elle te congédia. Non pas qu'Elle fût mécontente, non pas qu'Elle fût lassée, mais le temps était venu pour toi de trouver la Dame de ta vie, Celle qui ferait de toi un esclave à demeure. Cette Femme généreuse t'éleva. Elle te porta en son sein telle une Mère. Une fois de plus, une fois encore, tu pus mesurer l'indéfinissable noblesse de la Femme. La munificence de Son sacrifice, Elle engendre, Elle modèle et offre à d'autres le fruit de Son labeur. Le cœur lourd, plein d'incompréhension, tu pleuras lorsque Son huis se ferma dans ton dos. Les larmes amères mirent longtemps à se tarir. Tes joues ne séchèrent pas avant des années. Qu’est-ce qu'un esclave sans appartenance, qu'est-ce qu'un esclave sans Maîtresse ? Une loque, une épave, un moins que rien, il n'est plus homme, il n'est plus assez faible pour se défendre dans la jungle de l'imbécilité machiste, il ne connaît plus que la douceur d'appartenir et de servir. Tu erras l'esclave, tu dépéris, l'esclave. Tu ne savais plus à quelle Sainte te vouer. Tu vendais ton âme pour des riens, dans des rencontres importunes. Tu passas des annonces dans les journaux spécialisés, tu courus sur les vagues de l'Internet. Tu t'inscrivis sur des sites nauséabonds. Au fur et à mesure, tu te redressas. Le temps efface toutes les peines. Tu pris conscience du legs de la Dame. Tu ne pleuras plus, tu bénis Son nom, la remercia de tout ton cœur pour cette éducation sans pareille. Ta capacité à t'assumer pour être digne de servir revint. Ta dignité naît de ta condition. Madame t’honora du titre d'esclave, tu te dois à cette éducation. Ta fierté est d'être esclave, un mâle prêt au service, à l'obéissance. L'Internet fut dompté, tu trouvas enfin des sites de rencontres et de dialogues convenables. L'esclave en toi parlait à nouveau. La solitude règne encore dans ta vie, mais déjà, ton attitude positive te permet d'envisager d'autres perspectives. Là preuve, Je t'écris ces quelques mots. Je prends la plume pour t'annoncer la grande nouvelle. Le temps est venu pour toi de réapprendre à dire : « merci, Madame.» Le temps est venu de rompre à nouveau devant les désirs d'une Dame et de t'oublier en Elle. Je suis là. J'arrive. Écoute-Moi, entends-Moi... La Dame est une prière et tu es Son servant. Par tes gestes, ta dévotion, par tes silences, tes renoncements, tu La sublimes et tu exauces Sa volonté. La ferveur de ta servilité, de ton obéissance sont les étoiles de Son firmament. Elle te domestique afin qu'il y ait en toi une once d'humanité. Tu en as fini avec la sauvagerie. Ta part d'homme n'est plus, tu es esclave, tu es mâle, tu intériorises les besoins de la Dame comme étant les tiens et tu renais dans la beauté et la conscience du devoir. Le monde, Son monde est empreint d'une ineffable musique. Cette mélopée t'enveloppe d'une suavité jusque-là inconnue. La Dame te tend Sa main, tu la baises avec passion. Elle te présente Son pied, tu Le lèches tendrement. Elle t'ordonne de La servir, tu t'exécutes avec célérité. La Dame te fouette pour te garder vif et joyeux, tu La remercies avec empressement. Elle te sodomise pour Son plaisir, ton plaisir est immense. Le bonheur est dans l'appartenance, tu le sais. L’effroyable temps de ta solitude, l’incommensurable abandon d'être sans une Déesse à adorer, t'a fait prendre conscience de la nécessité d'un collier autour de ton cou. Plus jamais sans une laisse, voilà ton credo, ta quête, plus jamais sans une Maîtresse pour te guider, toi petit esclave, sur le chemin de la rédemption de l'homme dans la servitude. Elle pourra tout demander, tu lui donneras tout, non pas par annihilation de toi, mais bien parce qu'à partir de Sa prise de possession, tu n'es plus toi, tu es une part d'Elle. Et comment pourrais-tu refuser quoi que ce fût à Celle dont tu émanes ? Que sera-t-il de toi ? Ce qu'Elle voudra que tu sois ! Un esclave, oui ! Un mâle reproducteur ou de plaisir, oui ! Un chien, un animal quelconque, oui ! Un meuble, une chaise, un reposoir, une part de son mobilier, oui ! Tu seras dans l'inventaire de Ses possessions, un objet surnuméraire, cependant utile. Le temps n'a plus d'importance, tu n'es plus régit par la montre mais par la volonté de la Maîtresse. En appartenance, il n' y a de place que pour Ses exigences. Tu as tant de temps pour remplir ta tâche, tant de temps pour satisfaire à Son ordre, et pas une seconde de ce temps ne t'appartient. La durée provient de la Maîtresse, tu es la petite aiguille de Son horloge. Il te faut agir vite, mais jamais dans la précipitation. Il te faut agir, précautionneusement, mais jamais trop lentement. Le rythme de Sa musique doit être en toi, comme Son esprit est en toi. L'unisson ne naîtra qu'au prix de ton écoute totale, de ta totale soumission à Ses improvisations de vie. Il te faudra être d'une constante attention qu'Elle n'est qu'un geste à faire pour être satisfaite. Elle claquera des doigts et suivant le code, tu accourras, te prosternera, te coucheras, te lèveras, fera le beau, etc. Elle clignera de l'œil et suivant ce qui fut décidé, tu obéiras dans le millième de seconde. Tu ne mangeras plus qu'à l'aube de son appétit. Elle te nourrira dans une gamelle, avec des aliments jetés au sol, dans sa main, directement dans la bouche après avoir pré-mâché la pitance que Sa magnanimité t'abandonne. Tu boiras Son champagne ou tout liquide qu'Elle te voudra voir ingurgiter. Ta vie lui appartiendra et tu seras heureux de cet abandon. Si tu crois en ces mots, si tu veux que ces mots soient vie, viens à Moi. Récite la phrase suprême. « La Femme est une prière et je suis Son servant.» tu dois répéter, cette vérité, en faire une incantation. La Femme est une prière et je suis Son servant. Viens esclave, entre dans Mon monde. Je te bâillonne ! Je t'aveugle ! Je t'assourdis ! A Ma merci tu es esclave. Viens esclave, entre dans Mon monde. Je t'éprouve ! Je te flagelle ! Je t'insulte ! Sous Mon joug tu es esclave. Et tu renais esclave, dans Mon monde. J'incarne la prière ! J'invite à l'admiration ! Je chante en ton oreille ! Mien, tu es esclave. Et tu revis esclave, dans Mon monde. Je t'asservis ! J'exige ! Je règne ! En Mon appartenance, tu es esclave. Et tu pleures de joie esclave, tu implores la chaîne esclave, tu quémandes l'autorité esclave, tu supplies de subir le supplice esclave, tu n'es plus rien en dehors de Moi et tu rayonnes, esclave. Alors, dans l'immensité de cette nouvelle harmonie intérieure, tu lances l'invocation au ciel : La Femme est une prière et je suis Son servant.
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Par : le 23/08/17
https://www.youtube.com/watch?v=E3VImQbeOsY Je me réveille dans une pièce sombre, humide. Ma mémoire me fait défaut. Ma tête me fait mal, mes idées ne sont pas claires. Je suis assise sur un banc en métal froid. La lumière froide au plafond clignote provoquant un stress. Je pose un regard sur moi. Je porte une chemise blanche avec des sous vêtements en coton. Je me lève pour ouvrir la porte. Elle est fermée. Je regarde à travers cette sorte de hublot pour voir où je suis. La tension monte. Je crie : « Est-ce qu’il y a quelqu’un ? ». Je ne reçois aucune réponse. Je tourne en rond dans cette pièce. Quand je vois des yeux me regarder à travers ce hublot. La clanche s’abaisse. - Bonjour Sujet 11. Je regarde ces trois personnes pénétrant dans cette pièce. Ils portent des blouses blanches avec un masque sur le visage. Je ne peux que deviner leurs regards. Leurs voix sont graves, ne laissant filtrer aucune émotion. - Qui êtes-vous ? pourquoi suis-je là ? Je ne reçois aucune réponse. Deux des hommes s’approchent de moi. L’un me maintient fermement par les bras, tandis que l’autre arrive avec une camisole. Je me débats de toutes mes forces comme une furie. Mais en vain, ils sont bien trop fort. Je suis épuisée de lutter. Dois- je me résigner ? L’homme au regard glacial s’approche de moi, plonge son regard dans le mien. Il me relève le menton avec sa main. - Sujet 11, êtes- vous prête à vous laisser faire ? vous n’avez aucun échappatoire. Résignée, je baisse les yeux et ma tête. Je sais que je ne peux lutter. Ils me sortent de la pièce et me jette sans ménagement dans une pièce toute capitonnée. Je devine que je suis dans un hôpital. Je suis prisonnière sans savoir comment je suis arrivée ici, ce qu’on attend de moi. Je m’endors ainsi, complètement immobilisée, à la merci de ces personnes. Je me réveille en espérant que ceci n’est qu’un mauvais rêve. Je me sens observée. Je vois alors des caméras me regarder. Je crie. - Mais qu’attendez vous de moi ?!!!! Ca vous plait de m’épier ainsi ? Espèce de pervers. Deux hommes pénètrent rapidement dans cette pièce et me tire de là. Me tenant de part et d’autres par les bras, je ne peux que suivre le ryhtme. Nous pénétrons dans une pièce d’un blanc immaculé. Il me plaque contre un mur. - Ne bouge pas. Toujours ces regards sombres et ces masques. Ils m’enlève ma camisole. - Enlève tes vêtements Sujet 11 J’ai tellement envie de ne pas obéïr mais à quoi bon. Quand soudain je sens des jets d’eau sur moi. Un des hommes me tend un savon. - Lave toi ! Je m’empare du savon au sol. Je suis nue. Ils peuvent alors regarder mes seins s’être dressés au contact de l’eau, regarder mes fesses, mon corps. Je me sens humiliée, exhibée. L’eau s’arrête, l’eau goutte de mes cheveux pour s’abattre au sol. Quand l’homme au regard bleu fait son apparition. Il s’approche de moi. - Que me voulez-vous ? redis je encore une fois. - Sujet 11, je ne t’ai pas autorisé à parler. - Mais de quoi parlez- vous ?. Je suis ici contre mon gré. Là il demanda à ses deux assistants de me tenir les bras. Il avait dans la main un collier en métal avec une boucle à l’avant.. Il me le passa autour du cou. Puis il fit de même avec mes poignets, des bracelets en métal, et ensuite avec mes pieds. Je tremble, j’ai peur. - Ne t’inquiète pas sujet 11. Il ne va rien t’arriver si ce n’est que de belles choses. Tu es destinée à servir au plaisir de ton Maître. Je suis déconcertée. - Nous allons procéder à quelques examens. Je te conseille vivement de ne faire aucune résistance. Accepte à présent ta nouvelle condition, Sujet 11. - Mais arrêtez de m’appeler ainsi ! https://www.youtube.com/watch?v=hCpAdYrzlW8 Là il me saisit la gorge et serra. - Ce n’est pas toi qui décide comment on t’appelle. Tu es le sujet 11. J’excuse ton écart puisque tu ne connais pas toutes les règles. A partir de maintenant, toute forme de protestation, de rébellion sera sanctionnée. Puis il me gifla. - Est-ce bien clair, sujet 11 ? - Oui ça l’est. Il me re-gifla une seconde fois tout en me regardant dans les yeux. Je le regardai, interdite, je ne comprenais pas.. - Oui Monsieur est la réponse que j’attend. Tout en baisant ma tête et les yeux « Oui … Monsieur » dis- je à voix basse, résignée. - Emmenez là dans la chambre des examens afin qu’on vérifie sa vulve et son anus. Nous devons inspecter chacune des parties de son corps. D’un seul coup je frémis. Sans force, on me conduisit dans une autre pièce. Je levais les yeux, voyant les lumières défilées au dessus de ma tête. Là on m’installa dans une grande pièce sur un tabouret. On enchaina mes pieds à ce dernier et mes mains furent attachés au dessus de ma tête à une poulie qui descendait du plafond.. Je ne pouvais m’échapper. Cet homme, au regard bleu s’y trouvait ainsi que d’autres personnes. - Je vous présente le sujet 11. Elle vient juste d’arriver. Nous l’avons raflée dans la rue il y a 2 nuits. Cette femelle dispose de beaux attribus. Nous devons vérifier qu’elle est en bonne santé. Nous devons nous assurer que chacun de ses orifices est sain. Il fit signe à son assistant sur sa droite. Puis il s’avança à moi. - Ouvre ta bouche sujet 11. Je montrai réticence. - Ne fais pas de manière. Tu as deux options : soit la manière douce, soit avec plus de souffrance. C’est à toi de choisir. J’ouvrai ainsi ma bouche. Puis l’assistant me posa un écarteur bucal. - Voilà qui est bien, plus de protestation. - Je vous propose que nous vérifions la qualité de cette bouche. Tour à tour, chacun des hommes sortit son sexe. Le premier le planta sans ménagement dans ma bouche. Je voyais de la bave couler de ma bouche. J’étais si honteuse. Je devinais ce qui m’attendait dans ce lieu. J’allais devenir une putain à baiser. Un second puis un troisième me baisa la bouche. Quand le dernier stoppa, l’homme au regard bleu s’approcha de moi. - Quel bon sujet d’étude… sujet 11. - Ta bouche semble très accueillante d’après notre étude. Il me caressa le visage du revers de la main. Il s’approcha de mon oreille. - Ca ne fait que commencer, sujet 11. Tu vas te faire baiser de partout, tu m’entends. De partout. Tu es l’objet sexuel de ton Maître. Tu te plieras à toutes les règles. Quand ton éducation sera terminée, tu nous quémanderas d’être traitée ainsi. Je le regardais avec une telle protestation, que je devinais un sourire sur son regard. Je ne voyais toujours pas son visage. Tous portait un masque. Tous me voyaient entière, nue. Eux semblaient anomynes. Puis il me regardait dans les yeux. Il pris dans chacune de ses mains mes seins. Il les caressa, en faisait le tour, les sous-pesa. Puis d’un seul coup pris mes tétons dans les mains et les pinca. Je poussai un cri tout en essayant de me défaire de ce supplice. - Hum voilà comme ils doivent pointer. Notez que le sujet 11 réagit parfaitement aux stimulis sur les tétons. C’est très prometteur. On me détacha les poignets, les bras. Toujours sous bonne garde des hommes, on m’avança vers une chaise gynécologique. Là je me débattais. Je refusais de subir ce que je devinais. Je ne leur laisserais pas ce plaisir. Je me débattais, mais comment lutter. Je voyais bien que l’homme au regard bleu s’amusait de tout cela. - Rien ne sert de se débattre, sujet 11. Ton examen gynécologique t’attend. Je ne pouvais rien dire, j’avais toujours cet écarteur dans ma bouche, et ma bave qui en sortait. On me força à m’asseoir sur le fauteuil. Un des hommes me tenaient les poignets au dessus de la tête, tandis qu’on m’attachait les jambes écartées sur cette table d’examen. Je sentais les gants claqués sur la main de l’homme au regard bleu. Il s’avança. Il regardait mon sexe. Il prit chacune de mes lèvres, les écarta, les pinca. - Hum.. voila qu’elle commence à mouiller. A noter que le sujet 11 réagit parfaitement aux stimulis de la vulve. Messieurs, je vous invite à découvrir l’examen du Sujet 11. Nous allons étudier si Sujet 11 est étroite ou non, ses capacités à dilater sa vulve et son anus. Vous pourrez bien sur toucher le sujet et passer aux travaux pratiques. - Speculum - Levez la tête de sujet 11. Il faut qu’elle comprenne ce qu’il va lui arriver. Il faut qu’elle soit calme. Il mit le spéculum devant mes yeux. - Sujet 11. Nous allons vous écarter la chatte. Nous voulons voir à l’intérieur si tout est en ordre. Nous ferons la même chose avec votre anus. Maintenant que tu sais ce qui t’attend. Nous ne voulons rien entendre. Je fermais les yeux. Je sentais le froid du métal à l’entrée de ma chatte. Puis je sentis le bec me pénétrer, puis tout doucement je sentais qu’elle s’écartait, s’écartait. Ma respiration s’accelerait, ma poitrine se gonflait. - Messieurs je vous invite a regarder l’anatomie de Sujet 11. Je les voyais s’amuser à rentrer des doigts dans ma chatte. - Sujet 11 est belle ainsi, ne trouvez-vous pas avec sa vulve écartée. Puis, il mis un doigt en même temps dans mon cul. Je sursautais. - Sujet 11 a le cul bien serré. Nous allons procéder à l’écartement de son anus. Ainsi il me pénétrait l’anus, sans que je ne puisse rien dire. J’étais le Sujet 11. C’était assez douloureux de se faire écarteler ainsi le cul. Il n’insista pas trop. Il se leva et regarda ce qu’il avait fait. J’avais à la fois la chatte et le cul ouverts à leur exploration. - Messieurs, n’hésitez pas à inspecter Sujet 11. Elle est maintenant docile. Puis tout doucement, il retira le speculum anal.. Puis vaginal. - Je suis fier de toi Sujet 11. Merci pour ta coopération. Quel plaisir que de te regarder ainsi, sans défense avec tes trous écartés. Ta bouche, ta chatte, ton fion. Quelle belle prise nous avons fait avec toi. Il retira aussi mon écarteur de bouche. Ma machoire me faisait mal. Il se plaça derrière moi et me massa les seins. https://www.youtube.com/watch?v=6BOgIillznQ - Vous, caressez lui la chatte. Un de ses assistants caressa mon clitoris pendant que lui me malaxait les seins. Alors sujet 11, n’est ce pas agréable comme caresse ? Il nous faut désormais travailler un peu les seins de sujet 11. - Apportez moi la pompe à seins. Nous allons faire gonfler les tétons de sujet 11. Je sentais dans sa voix une certaine frénésie. D’abord il plaça une première pompe sur mon seins gauche, puis il aspira, aspira. Il me forcait à regarder le spectacle de mon téton se faire aspirer. Puis il boucha cette pompe et renouvela l’opération sur l’autre téton. Puis il me les laissa, pendant que son assistant me léchait la chatte. Je vous autorise, assistant, à la doigter. - Nous devons nous assurez sur le sujet 11, mouille correctement. Il introduisit deux doigts dans ma chatte, je le sentais faire des aller et viens, très fortement, très vite. Je ne pouvais me résoudre à l’excitation qui s’emparait de moi. L’assistant dit : - Sujet 11 est un vrai puits à mouille Docteur. Je pense que nous pouvons stimuler davantage pour voir jusqu’au Sujet 11 peut aller. - Je vous autorise à la doigter davantage et à insérer davantage. Une chatte comme celle-ci est faite pour être bourrée et baisée. Puis il inséra un quatrième doigt. Il faisait des va et vient si rapide que je n’arrivais plus à me retenir. Il stimulait tellement mon point G que j’éjaculais de partout. Un liquide s’échappa de ma chatte sans que je puisse le contrôler. - C’est bien sujet 11. Tu es une belle putain. Continuez ainsi à la doigter. Je criai de plaisir, je n’arrivais plus à me retenir. - Je pense que sujet 11 est mûre pour la suite. Fistez la ! - Non non !! criais je. - Doucement, nous allons le faire calmement. Toute bonne chienne doit être accueillante, remplie, baisée. Je sentis l’assistant mettre plus de lubrifiant et d’essayer d’introduire son cinquième doigt. J’avais mal, je n’arrivais pas à supporter cela. Il se calma dans les va et vient et y aller avec douceur. Docteur, ma main est peut etre trop grande pour sa chatte. - J’ai une idée dit l’homme au yeux bleu. Allons chercher Sujet 2. Quelques minutes après, je vis une femme arrive. Elle portait des talons, et une blouse d’infirmière. - Sujet 2, pouvez- vous vous occuper de fister la chatte de sujet 11. Nous rencontrons quelques difficultés. Cette dernière sourit à cette idée. Elle s’approcha de moi, et mis des gants. Elle s’assit sur un tabouret face à mon sexe. Je ne voyais que le haut de sa tête. Elle commença par introduire un doigt et de me caresser le clitoris de l’autre. Le Docteur libéra mes seins et les caressa. - Tout doux sujet 11. Tu vas réussir à engloutir cette main. Puis il me baillonna. Il me maintena le cou pour le forcer à le regarder. Elle mettait son quatrième doigt, puis je sentais le cinquième arrivé. Sa main étaient assez petite. Tout doucement, elle faisait quelques va et vient. Elle était en train de me baiser avec son poing. - Quelle chienne, Sujet 11. Quel beau spectacle d’étude tu nous offres. Nous allons faire de toi une belle putain. Le sais tu. Objet de plaisir, objet sexuel soumis à mon désir. J’étais épuisée par ce traitement. Je ne pouvais que me laisser faire et reconnaitre que tout ceci m’avait fait complètement mouillé. Ma chatte dégouillait de mouille. Avait il raison ? Suis-je une chienne ? une putain ? Une fois la fouille terminée, on me détacha. On me leva et on plaqua mon ventre contre la banc gynécologique, on abaissa le dossier pour qu’il soit à plat. On m’attacha le ventre contre - Messieurs, sujet 11 attend de se faire baiser. Ayant de l’indulgence pour sa chatte. Cela ne sera que par le fion. Baisez la profondement, avec vigueur comme elle le mérite. Vous pouvez en disposer comme bon vous semble. Sa bouche est également à votre disposition. Sans que je puisse ne rien dire, un homme s’empara de ma bouche. Il me tenait la tête de ses deux mains. Il me baisait tellement fort que j’avais presque du mal à respirer, à déglutir. En même temps je sentais une queue à l’orée de mon fion. Je ne pouvais voir qui allait me posséder. - Sujet 11 réclame encore nos queues. Je refusais de la tête. Quand je sentis un coup s’abattre sur mes fesses. - Sujet 2, en voila une belle initiative. - Oui je le reconnais, elle n’est guère obéissante. Elle manque encore d’éducation cette petite -chienne. M’autorisez vous également à la baiser ? - Mais avec grand plaisir. J’aime voir Sujet 11 remplie et par vous sujet 2 ce sera un réel plaisir à regarder. Elle s’empara d’un gode ceinture. Elle s’approcha de ma bouche. - Ouvre ta bouche de petite pute insolente. Je refusais de subir cela. Quand je sentis une claque s’abattre sur mes fesses. Je lachais un cri. L’homme aux yeux bleus arriva et me chuchotta - Sujet 11, soit docile, soit ma fierté. J’ouvris ma bouche et je sucais le code. Elle le tenait par la main. Elle me caressait les cheveux. - Voila qui est mieux. Elle se retira. On m’écarta les fesses puis elle commença à introduire le gode dans mon petit fion. Elle me baisa pire qu’un homme aurait pu me baiser. L’homme au yeux bleu s’empara de ma bouche. Elle me claquait les fesses - Quelle belle putain Sujet 11. C’est un plaisir de baiser un fion si accueillant. - L’homme aux yeux bleu se retira et vint éjaculer sur mes fesses. On me redressa, j’étais vidée, sans force. L’homme au yeux bleu me pris dans ses bras, releva ma tête. - Sujet 11, tu es une fierté. Je suis ravie d’avoir une chienne comme toi
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Par : le 20/08/17
Pour commencer, je vous invite à me lire avec les musiques qui seront proposées au fil de cette petite nouvelle https://www.youtube.com/watch?v=gIdOpzzjlXo Je vous attend sur le quai de la gare, habillée avec une robe rose avec un col bardot, cette dernière descend sous le genou. La hauteur de mes talons est vertigineuse, élançant ma taille. De quelle rame allez vous descendre ? Mon cœur palpite.. Je sens soudain une main se poser sur mon bras droit. - Ne vous retournez pas, me murmurez-vous à l’oreille. Avancez jusqu’à votre voiture sans vous retourner une seule fois. Vous me comprenez. Je marcherai derrière vous. Est-ce clair ? - Oui, Monsieur ça l’est. J’avance ainsi seule, me sentant observer, épier par votre regard. Je sens que vous me détaillez de la tête au pied. J’arrive à ma voiture. J’introduis la clef dans mon vieux roader vert anglais. Je vous devine derrière moi, je n’ose me retourner… Là vous plaquez mon corps contre la vitre du véhicule. Mon sac tombe de mes mains. - Ne bougez pas. Vous vous accroupissez. Je sens vos mains remonter tout doucement mes chevilles, mes jambes, franchir le tissu de ma robe et remonter mes cuisses. Vous approchez de mon oreille et me susurrez - Quelles jambes splendides, quelle peau douce et votre parfum, envoûtant. Voici vos affaires chère amie. - Allons voir si nos échanges feront de vous une bonne petite chienne, vous feront mienne. - J’acquièse de la tête. - Montez dans votre voiture. Vous refermez la portière et placer votre bagage dans le coffre. Quelques secondes après vous êtes face à moi côté passager. Nos regards s’entrecroisent, mes joues s’empourprent. Vous m’intimidez. J’en perds mes mots. Puis vous me souriez pour me détendre. C’est parti pour votre chambre d’hôte, située dans un quartier calme de Strasbourg. Je vous l’ai proposé, elle vous a intrigué, laissant libre court à votre imagination. Une chambre idéale pour lier des liens, des poutres verticales, horizontales, une tête de lit splendide.. Allons nous jouer.. ou pas ? Voilà près d’une semaine que mon sexe, mes seins sont gonflés par le désir. Vous m’avez envoutée. Comment va se passer cette soirée ? Nous arrivons à cette chambre d’hôte, nous prenons nos affaires respectives. Nous découvrons cette chambre qui nous coupe le souffle. Vous avez mis la barre haute pour cette première rencontre… Je décide d’aller me rafraichir quelques instants pour retrouver mes esprits. - Servons nous un verre, et mettons une bonne musique pour nous détendre. Je ne regrette pas d’avoir fait le chemin. Nous trinquons sur ces splendides fauteuils bleu roi. Le champagne est divin, les fraises et framboises succulentes. Je les amène à ma bouche avec délicatesse, j’entrouve mes lèvres et lentement je mange une fraise, je m’en délecte…pour vous provoquer. Vous souriez, et votre regard me dit que je vais peut- être le regretter plus tard. Le temps passe, il est temps pour moi de me changer pour notre restaurant. J’ai ramené deux robes pour vous laisser le choix de ce que j’allais porter. Cette attention vous plait. Vous me laissez tranquillement dans cette somptueuse salle de bain de princesse. Cette baignoire sur pattes de lion, ce grand miroir et cette chaise en noir et or dont le dossier est comme du corail.. C’est splendide. A votre tour vous vous changez, prenez le temps de vous rafraîchir.. En vous attendant je fais le tour de la chambre, puis je me rassois sagement. Je vous découvre terriblement élégant, terriblement séduisant. J’aime votre regard. Je suis séduite, mais nous le savons tous les deux que nous sommes séduits. Une tension s’est installée. Nous le savons, pas besoin de mot pour se le dire. Vous m’invitez à me lever pour y aller. Je me dirige pour ouvrir la porte. Là vous me bousculez contre. Vous saisissez mes poignets derrière mon dos. - Vous êtes somptueuse ce soir. Vous me libérez. Vous vous amusez de pousser mon excitation. Je n’arrive même plus à marcher correctement. Arrivée au restaurant commence une danse de séduction, de provocation. Nous apprécions notre repas mais vous et moi n’avons qu’une envie, quittez cette table. En regagnant la voiture, vous me tendez votre bras. Quel homme galant vous êtes. Je sais, je sens que mes moments de princesse vont s’arrêter mais vous seul détenez le moment où tout va basculer. Une fois sur le parking, vous m’aidez à sortir, me tendant votre main. Je vous regarde droit dans les yeux. Mon cœur palpite. Nous passons le porte de la chambre. Je suis toute tendue. Je prétends aller à la salle de bain pour me refaire une beauté. Puis vous arrivez brutalement. Vous me plaquez contre le lavabo. Je mets des mains de part et d’autre comme pour lutter. Vos pieds écartent mes jambes. - Ne bougez pas. J’ai rêvé toute la soirée de vous faire ceci… Vous montez ma robe sans ménagement sur mes fesses. Vous abaissez avec brutalité Ma culotte. Vous reculez et admirez mes fesses.. - Qu’elles sont blanches… - Cette culotte ne doit pas descendre. Elle doit rester à hauteur de vos genoux. - On dirait une petite pute qui attend de se faire baiser. Je frémis et je rougis à la fois. Puis vous pressez votre sexe contre celles-ci.. - Regardez ce que vous provoquez petite chienne. Vous tirez alors sur mes cheveux pour me redressez. Vous mettez sur ma gorge votre main, me maintenez fermement et me forcez à me regarder dans le miroir et vous regarder à travers lui. - Alors n’êtes-vous pas une petite chienne ? Ne répondant pas, une claque s’abat sur mon postérieur.. Puis une seconde. - Alors ? - Oui Monsieur. - Je n’ai pas bien compris. Il n’est pas compliqué de répondre « Oui Monsieur, je suis une petite chienne », - Oui monsieur je suis une petite chienne. Maintenant repoudrez vous le nez et faites vous présentable. Puis vous sortez. En sortant, je découvre l’ambiance tamisée quelques bougies allumées. Je vous vois assis sur ce fauteuil bleu - Avancez et mettez vous face à moi. - Maintenant, danser langoureusement pour moi et retirer moi cette robe qui m’empêche de vous admirez. Là, la culotte tombe au sol… Je vois que vous faîtes votre tête bougée de gauche à droite… - Vous n’êtes pas très docile ma chère. Je vais devoir vous punir, et vous le savez… Je danse avec une certaine pudeur mais aussi fierté. Je tiens à continuer à vous provoquer. Je n’ai pas rendu les armes, et vous en avez conscience. Vous découvrez ma lingerie, elle dévoile partiellement mes tétons. Un long collier de perles tombant jusqu’à ma poitrine, et mes seins décorés par des bijoux de peau font ressortir mes tétons.. Vous vous levez comme un félin. Je continue de danser. Vous arrivez à ma hauteur et prenez mes deux tétons dans vos mains. Vous tirez dessus. - Continuez de danser très chère.. Mes seins sont douloureux, je n’y arrive pas. - Je vois qu’il vous faut une motivation. - Vos poignets de suite ! devant vous. Là vous sortez de quoi les enchainer l’un à l’autre. Je me laisse faire. Obéissante. Puis, vous me bandez les yeux. Avec la privation de la vue et sur les talons mon équilibre est précaire. Vous me tenez. Puis d’un seul coup je sens mes bras se lever. Vous êtes en train de m’attacher à cette poutre horizontale avec une corde. Voilà qui est parfait. Tout à la disposition. Je sens une gifle arriver sur ma joue. Puis votre main de part et d’autre de ma bouche. Vous serez mienne ce soir, vous serez ma chienne, ma petite putain. Est-ce bien clair ? - Oui monsieur. De là vous passez votre main sur ma chatte, qui est trempée. - Regardez- moi cela une vraie petite chatte en chaleur. (pour poursuivre cette lecture https://www.youtube.com/watch?v=OsW9W61dsko) De là, vous commencez à faire votre œuvre. Vous me bondez les seins pour les faire ressortir comme vous les aimez. Je devine votre sourire. Vous m’attachez les cheveux… et me demandez d’ouvrir ma bouche. Là je sens une boule de métal fois. - Sucez ma chère. Montrez- moi vos talents de petite suceuse. Je m’exécute à cette affaire et je devine ce qui va se passer, impuissante. Vous passez ensuite cette boule sur ma chatte, et commencez à l’introduire dans mon petit cul bien serré. Je pousse un cri. - Je ne veux rien entendre. Subitement, vous tirez mes cheveux en arrière. Vous plantez vos crocs dans mon cou. Avec finesse, vous attachez le crochet anal à mes cheveux. Vous caressez mon corps, prenez mes fesses en main. Vous me donnez quelques coups de hanche. - Ouvrez votre bouche Vous faites couler du champagne dans ma bouche puis sur ma poitrine. Vous commencez à me lécher, à me caresser, à me maltraiter les seins, me claquer comme mes fesses, à me faire lécher vos doigts. - J’aime que vous rougissez, Mademoiselle. Je n’arrive pas à tenir en place, je lâche des soupirs. Quand je sens le cuir sur ma peau, celui de la cravache. Vous la passez sur ma bouche, elle descend mon cou, caresses mes seins.. puis s’attarde sur ma petite chatte. - Ecartez vous jambes. - Mieux que ça !!! J’ai du mal à tenir l’équilibre avec les talons, vous aimez que je ne sois pas à mon aise. Vous me tapotez sur mon sexe. - Vérifions votre excitation. Vous introduisez deux doigts sans ménagement dans ma chatte tout en me regardant dans les yeux. Puis vous jouez avec la corde de mon crochet anal me faisant gémir et râler. Une gifle s’abat sur ma joue. - Petite putain, je vais vous punir comme vous le méritez. Toute la semaine vous m’avez mis dans un de ces états. Vous me faites danser avec des claques, des coups de cravaches jusqu’à ce que je sois rouge comme vous l’aimez. Aternance de douceurs, de caresses, de coups. Vous me détachez la corde de mes cheveux et vous regardez avec délectation le crochet anal sortir de mon petit fion. Puis vous me libérer les mains. - A genoux. - Sans force, je m’exécute. - Vous mettez mon collier sans ménagement. Vous le serez très fortement que mes mains ont envie de s’en défaire. Vous les rejetez au sol en me demandant ce que sont ces manières. Puis vous tirez sur la laisse. - Avancez et suivez moi avec élegance. - Au pied. Vous vous asseyez, puis défaites mes cheveux, vous me caressez les cheveux, passer vos doigts sur mes lèvres. Ma tête se penche appréciant cette caresse des plus délicates. Vous aimez garder ma laisse courte et ferme. - Servez- moi un verre. - Je m’empare du champagne et de la coupe et je vous sers. - Savez vous que tout à l’heure vous m’avez provoqué en buvant votre champagne comme une petite princesse ? Vous me faîtes m’allonger sur vous. Mes fesses sur vos jambes. Vous reposez le verre sur mes fesses. Vous prenez votre temps. Vous approchez le verre de ma bouche, vous tirez fort sur la laisse. Maintenant je vous ordonne de le lécher dans cette coupe, comme une bonne chienne le fait. - Sortez votre langue et lapez. Vous n’en ratez pas une miette. Cela vous excite. Vous me faîtes descendre et me demander de venir entre vos jambes, de m’accroupir, les jambes écartées. Vous défaites votre pantalon. Agenouillez, à vos pieds, je vous regarde dans les yeux. - Vous savez ce qui vous reste à faire petite catin ? Avec la laisse, vous m’approchez de votre jambe, puis mettez ma tête en direction de votre queue. Je m’empare de votre sexe, je commence à le lécher tout d’abord, je vous regarde et met votre gland dans ma bouche, je l’aspire, je joue avec lui. Mes mains s’emparent de vos couilles, à quatre pattes entre vos jambes, me cambrant tout en vous suçant J’entend vos cris de plaisir et vos mots crus. Vous mettez vos mains sur ma tête pour la maintenir et bloquer votre sexe dans ma bouche, si chaude. Vous vous relevez, me tenez par la gorge et me baissez la bouche, rudement. J’en bave. Vous me tapotez même le visage avec votre queue, vous me giflez aussi. Vous me félicitez pour la bonne suceuse que je suis. Puis vous jouissez sur mes seins. - Dites-moi que vous êtes une putain. - Monsieur, je suis une putain. Vous m’attachez ensuite à cette poutre horizontale, les mains dans le dos, chaine courte, tout en me laissant au sol., les yeux bandés et baillonnée. Vous partez. Le temps passe… Je suis là à vous attendre. Soudain, j’entend le son de l’eau couler dans la baignoire. - Je vais vous laver. J’aime que vous soyez propre quand je vous utiliserai à nouveau. Vous m’enlevez une chaussure, puis l’autre. Vous me guidez jusqu’à la baignoire. La température de l’eau est exquise. Toujours les yeux bandés, vous êtes derrière moi. Vos mains saisissent mes globes et les serrer fortement, pour prendre ensuite mes tétons et les tirer. Puis vous commencez à me laver. Vos mains sont douces, elles parcourent tout mon corps. D’abord les pieds, les jambes puis les cuisses, mon dos et mes seins. - Relevez vous et mettez- vous à quatre pattes. - C’est ainsi qu’on lave une gentille chienne. Vos mains écartent mes fesses. Je me sens honteuse d’être ainsi. Vos mains passent sur mon sexe mettant quelques doigts dans ma petite chatte de salope. Vous lavez mes orifices. Vous aimez jouer avec le jet d’eau dessus. Vous me voyez me dandinez comme une petite chienne qui a envie de prendre son plaisir. Vous me faîtes sortir de l’eau et me séchez. Je trouve ce moment très érotique et sensuel. Vous me faites asseoir sur cette chaise. Vous attachez mes mains dans le dos. Il faut dire que le dossier de cette chaise est pratique. Puis ma cheville droite au pied droit de la chaise et de même avec l’autre pied. Vous enlevez mon bandeau. Vous me repeignez, me parfumez. Quand je découvre les pinces sur le rebord du lavabo, je trésaille. Vous me regardez droit dans les yeux. Vous prenez une pince et la mettez à hauteur de mes yeux. Ces derniers s’écarquillent. Vous prenez mon sein droit dans vos mains, et tirez sur le téton, et y mettez une première pince.. Je crie de douleur. Puis c’est au tour du second. - Que serait une belle putain sans ses bijoux. Il y renonça voyant que je ne pouvais les supporter. - Il vous manque votre maquillage. Vous prenez la bougie que vous aviez amené avec vous… Vous vous amusez à regarder les formes avec sa lumière, je ressens la chaleur de la flamme. Ma respiration s’accélère. Vous me caressez le visage avec une douceur puis faite basculer la cire sur mes cuisses. Assez haut pour que je m’habitue, puis sur mon ventre, sur mon mont de venus, sur mes seins. Puis vous me laissez ainsi, vous me baillonnée dans le noir. Je ne sais pas combien de temps je reste ainsi. Vous revenez. J’ai complètement perdu la notion du temps. Vous me détachez et nous sortons de la salle de bain. Là vous me poussez sur le lit, je me retrouve sur le dos. Vous me caressez tout en maintenant fermement les poignets. Je sens votre souffle dans le creux de mon cou. J’aime sentir vos doigts sur mon cou, cette étreinte si érotique. D’un coup net, vous me dites de ne plus bouger. Vous m’immobilisez les mains et les pieds pour que chacun de mes trous soient à offert. Vous en profitez pour me claquer les fesses à nouveau. Là vous mettez vos doigts dans ma bouche, puis avec ma mouille, vous insérez un doigt dans mon cul, déjà dilaté par le crochet anal et vous commencez à me fouiller sans ménagement. Je mouille encore plus. Puis me voyant si dégoulinante, vous ne pouvez vous empêcher de me doigter aussi ma petite chatte. - Alors petite chienne, on aime se faire fouiller ? Dilater ? Baiser ? - Oui Monsieur. Je vois un sourire se dessiner sur vos lèvres. Là vous me giflez, me tenez par le cou, vous le serrez.. le serrez. - Suppliez moi de vous enculer comme une putain. - Monsieur, je vous en supplie, baisez moi, enculez moi comme la putain que je suis. Une fois votre queue introduite, vous me pillonnez, me frappez les seins, vous m’insultez. Vous me retournez , me placez le cul au bord du lit pour me prendre en levrette. Puis vous écartez mes fesses pour admirer votre queue sortir de mon cul et voir votre œuvre, pour mieux replonger dedans. Vous me claquez les fesses, vous me chevauchez comme une pouliche. Vous tirez sur mes cheveux, puis pour mieux me prendre profondement, vous me relevez par le cou.. Je suis votre poupée. - Quelle putain vous faîtes ! Je vous prendre plaisir à vous éduquer à vous montrer où est votre place de chienne. Vous caressez mon clitoris en même temps. Je sens une vague arriver et je vous l’indique. - Monsieur, je suis sur le point de jouir. - Je vous l’interdis !!! Vous vous arrêtez. Vous commencez une fouille de ma chatte avec plusieurs doigts tout en goutant à ma chatte. Vous entamez des va et vient à une telle vitesse qu’un liquide jailli de ma chatte sans que je puisse le controler. - Une femme fontaine.. hummm.. Petite salope. Vous êtes une vraie chienne, baiser à utiliser. Je reste interdite, honteuse sur le lit. Vous me détachez. Je suis épuisée. Vous me prenez dans vos bras. Reposez- vous quelques instants, puis allez- vous préparer pour la nuit. J’exige que vous portez votre collier. Je reviens de la salle de bain, avec comme seule vêtement un deshabillé en soie. - Enlevez moi ça, je vous veux nue à mes côtés. - . Vous m’enchainez les jambes et me menottez les bras à la tête de lit…
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Par : le 11/08/17
. . Ce matin-là, un œil curieux pouvait remarquer deux femmes chargées traverser, sous l'ombre bienvenue des arbres dans l'allée, le parc du Peyrou. Il les verrait passer près de l'Arc de Triomphe, murmurant peut-être déjà des insanités complices. Il les verrait glisser sur les pavés du vieux Montpellier et progresser à petit pas dans la descente vers la cathédrale Saint Pierre. Le soleil cogne déjà impitoyablement, l'air est moite et promettrait presque un orage d'été, qui ne viendra pas...?S'il n'est pas allé à leur rencontre, c'est qu'il se prépare à subir les assauts sodomites de la domina. Mais il est prêt à leur arrivée. Toutes deux retrouvent avec bien-être le domaine hétéroclite de l'homme qui leur sourit, torse-nu, dans l'entrebaillement de la porte. Rien n'a vraiment changé depuis un an. Les instruments de musique modernes et anciens, d'ici ou d'ailleurs n'ont pas quitté leur place. Ni les livres et les objets d'art.?Cela sent plus l'encens que le stupre, mais mon œil avise d'emblée une autre collection : des godemichés tous plus gros les uns que les autres. Les voir étalés ainsi à la vue dans un effet compact et dense nous laisse rêveuses. ?Elle a apporté ses fouets et son vibrateur, ainsi que deux ou trois autres jouets. J'ai mes cordes, ma boîte d'aquarelle, un livre érotique. Nous avons projeté, les uns les autres, certains scénarios mais il faut nous réapprivoiser tous les trois, ensemble.?Sonne l'Angelus. Grouillent les estomacs. Les premiers plaisirs sont de chère : bonne charcuterie, bons fromages, bon pain, bon vin augurent des agapes de chair à venir. Une belle façon d'entamer cette journée. Nous la finirons de même...?Il nous raconte, il nous enchante, en musique et en narrations. Nous sommes suspendues toutes deux à ses lèvres. Je la masse aussi, l'huile d'amande douce glisse sur ses épaules et son dos, sa nuque, comme glisse la voix mâle et suave entre nos oreilles. Préliminaires...??Passé l'instant de partage artistique et gastronomique, de sensualité douce, nous parlons de nos envies. J'évoque un jeu d'été, une sodomie filmée, et diverses autres fantaisies. On ne déflore pas tout. On laisse l'appétit grandir, le désir s'installer, palpable entre les murs ou sous la poutre où sont fixées des chaînes. À ces chaînes pendent deux anneaux. C'est son jeu à lui, son choix. Il m'enfile les anneaux aux bras puis scelle un carcan enserrant poignets et cou. Me voilà captive, maintenue à la poutre, oscillante-battante entre quatre mains curieuses et avides. L'une claque sur mes fesses, main d'homme longue, large, un battoir sur ma peau qui chauffe, tandis qu'une main féminine apporte son lot de plaisirs, doigtage et caresses pour contrebalancer la rudesse de la fessée. Lui pose des aspire-tétons sur mes seins. Ma bouche hésite entre les gémissements plaintifs et les cris de jouissance. La badine remplace la main de l'homme, impitoyable, sèche, vive, mordante. Elle laissera son empreinte en hématomes violacés. Lui se place contre mon dos. Sa queue raide prend mon cul sans ménagement. Je pousse un cri de surprise et de douleur, mais bientôt le plaisir poind son nez inévitable, envahissant. Elle pose un vibrateur sur mon sexe brûlant, le plaisir grandit, prend son envol. L'orgasme, le premier, violent. Lâcher prise, pleurs. Je ne porte pas de baîllon pour bloquer mes bruits de voix, je me sens baver, en longs filaments. Jusque sur son visage, qu'elle essuie, hallucinée. Puis elle essuie ma bouche suintante. Il s'est retiré. Un leurre. Il y revient plus tard, après m'avoir doigtée avec fougue. Il m'encule à nouveau énergiquement et elle me stimule. Combien ai-je eu d'orgasmes ? Trois, quatre ? ?Il me détache enfin et je retombe tout molle, inerte et repue sur le lit. Anéantie, ailleurs et ici pourtant, le corps démis, dégoncé, abandonné entre les bras de l'amant et sous le regard bienveillant de la domina. Instant de calme, de tendresse pour tous les trois. Nous sommes en sueur, lui surtout, d'avoir tant donné de sa personne.??La suite s'enchaîne sur des plaisirs buccaux en tout genre, avec beaucoup de sensualité. Et sur un godage en règle de celui qui goûte tant le plaisir anal. Doigté, godé, puis fisté par elle, très concentrée, les yeux agrandis par le désir, une lueur de gourmandise tellement palpable dans son regard. Il est à quatre pattes, offert et gémissant. J'écris le début d'un texte érotique sur son dos mais il transpire tellement que les lettres se brouillent dans la foulée. Je lis puis il doit prendre le relais tout en étant fisté, ardemment. Je me délecte des mots et de la vue. Il y est question de cunnilingus, entre autres. Je me place devant lui, ma vulve face à son visage. Comme il est troublant de le voir me lécher et se faire fister, et la voir, elle, son visage empreint d'une jouissance toute cérébrale. Délices de voyeuses démultipliés, agrandis par les sensations tactiles, les sons, les claquements de langue et les gémissements. Les cunnilingus se suivront sur l'une ou l'autre au cours de la journée, des jeux d'exhibition et voyeurisme, des jeux uro, c'est un festival de chair et de peau, de regards et de mots, de cris et de feulements. Voir une femme jouir est si beau, regarder un homme lui apporter cette jouissance est si voluptueux. Je ne m'en lasse pas...??Puis, elle s'empare de ses trois serpents qui s'apprêtent à siffler sur nos peaux enlacées. Fouetteuse émérite, son geste est sûr, net et en même temps sensuel, quand parfois j'ose un regard vers elle. C'est une danse. Lui et moi serrés l'un contre l'autre d'un côté, tournant devant elle. Ses serpents et elle, qui tournoient avant de s'abattre. Cela claque, cela single. Stoïque face à la douleur, lui ne bronche pas, quand je pousse des cris aigus et formule des protestations. Mais aïeuuuu ! J'assume ce côté chochotte annoncé bien avant le début de la journée. Revendiqué même. Il m'agace, cet impassible au sourire tranquille ! Sa maîtrise est parfaite et mes bavardages stériles contrastent de façon ridicule avec sa zénitude. Il m'entoure de ses bras protecteurs et sourit. La séance ne dure pas très longtemps, juste une découverte de ses talents. Merci Lady Spencer. Et merci Abyme pour nous avoir accueillies chez toi pour cette journée mémorable. L'atterrissage a été long après une telle intensité. _________________________________ . Je ferme les yeux et je me laisse remonter le temps : mercredi dernier, une journée chaude, très chaude .... Un problème de voiture et Lullaby vient me récupérer : elle dort chez moi, ce qui nous offre cette complicité perverse de prévoir nos jeux : pourrons-nous tous les réaliser ? Pas certaine, mais aucune importance : nous partons le lendemain chez Abyme, à deux pour jouer avec lui, sur lui et en lui : en nous aussi bien sûr Je redis à Lullaby que je ne suis toujours pas bi mais mon voyeurisme est tel que j'apprécierai toutes scènes érotico-porno-orgasmo- et plus si affinités .... Je veux voir, sentir, ressentir, je suis excitée mais je masque sans trop savoir pourquoi : mes désirs se font intenses, je me caresse sur le canapé alors que Lulla dort au 1er : je tais ma jouissance Chez Abyme, la chaleur est lourde, il ferme les fenêtres pour éviter que les cris de plaisirs ne glissent vers la cathédrale : il aura raison . Fin de matinée : nous arrivons déjà trempées par la chaleur mais Abyme nous rafraichit rapidement : il est fatigué de ses jeux de la veille, avec une femme rencontrée peu avant, son accueil s'en ressent . Sans doute n'est-il pas simple non plus de naviguer entre une switch, Lullaby, et une domina, moi : qui veut quoi dans tout ça ? Et toi, Abyme : tes désirs te portent vers quoi et vers qui ? Lullaby joue à le provoquer : hmmm, est-ce bien prudent ? Mes désirs sont clairs : je veux revivre "une fontaine" et je veux le cul d'Abyme : je veux le baiser et le fister : j'adore ! Lulla laisse couler une petite phrase : "oui, je vais prendre ton cul aussi, Abyme" ..... Déjeuner de belles et bonnes choses ouvrant nos appétits, je goûte un Gigondas délicieux, moi qui ne bois pas .... Lullaby explique qu'elle a un gage ou plutôt, un "devoir" à remplir pour son parisien dominateur : avant la fin de l'été, elle devra comptabiliser 12 sodomies avec 12 hommes différents (tiens : une question ce soir : et aucune avec une femme ?), tout cela photographié ou filmé : je sens Abyme intéressé .... Tenue maintenant appropriée et nous montons dans la chambre : Lulla sait qu'elle va être sodomisée, je ressens son excitation mais elle ne s'attend pas à être prise aussi vite et fort : elle aime les préparatifs, les caresses... Abyme en a décidé autrement Au-dessus du lit, une poutre où sont fixées des attaches : Abyme ordonne à Lulla de prendre place sous les attaches : il la bloque, place un carcan, je l'aide et cette situation est loin de me laisser indifférente entre les cuisses Ses ordres tombent, secs, impétueux : il sait qu'un autre de mes désirs étaient de le voir DOMINER une femme : il va me donner satisfaction, oh combien ! En quelques instants, Lulla est bloquée, offerte, sa chatte et son cul à disposition, cette image est très troublante Je ne saisis pas son émotion à ce moment mais je vois son expression lorsque Abyme écarte ses fesses, vivement Il branle sa queue déjà raide et se frotte sur ce cul tremblant : d'un seul coup de reins, il la pénètre et elle crie sous l'assaut : elle geint, et demande déjà plus de douceur : "je ne suis pas comme tes amies aussi facilement enculables " .... Abyme redouble de vigueur et baise ce cul à grands coups de bassin : ce cul ouvert et dilaté qui fait couiner Lullaby de ce plaisir douloureux qui monte dans ses reins Il sort son dard pour le rentrer de nouveau, sans délicatesse, enculant plus fort encore le cul palpitant : il la lime, la baise, la viole presque, exige qu'elle dise aimer cela, et de sa voix entrecoupée de sanglots de plaisir, elle murmure aimer être prise ainsi Je vois Abyme en Maître absolu de cette baise échevelée, sa queue dure amenant Lullaby à cette jouissance si puissante qu'elle en pleure, en bave comme sa chatte bave : je ne résiste pas au plaisir de la visiter, sa chatte, je la pénètre de deux doigts et je caresse le membre mâle contre la paroi tendue : je suis excitée, terriblement et en même temps, étonnée de vivre cela Mon regard en sera témoin lorsque nous regarderons la vidéo plus tard : un étonnement de tant de plaisirs partagés sur ce cul sodomisé violemment Abyme ne cesse ses va-et-vient, il redouble de force : elle jouit sous ses coups de butoir, lui se retient bien-sûr ... Il reprendra son cul plus tard dans la journée, pour la faire gémir et hurler de plaisir, je branlerai sa chatte de nouveau, en pénétrant en même temps son cul : mes doigts pinceront la fine paroi, je masturberai aussi son clitoris, dur et sensible Elle s'effondrera, tremblante, les bras marqués par les attaches, les cuisses pleines de mouille et de sueur, les cheveux collés sur son visage, les lèvres rouges de désir et de plaisir : ce plaisir brutal qu'elle a tant aimé ! Lorsqu’il la détache, elle s'effondre sur les draps trempés : tout se mélange : les liquides d'orgasmes, la sueur, les larmes, les bouches aussi . Elle est secouée de spasmes et ses larmes donnent à son visage ce teint rosé la rendant belle en sa jouissance : Abyme lui dit ces mots là, la câline, la protège, la serre dans ses bras Elle retient ma main qu'elle garde dans la sienne et murmure un "merci" pour cette complicité Elle dira même en me regardant tendrement : "toi qui te dis non bi ...." et éclate de rire .... La chaleur est presque insupportable, nos trois corps suent de plus en plus mais nous ne sommes pas rassasiés d'expériences et de sensations Plus tard, Abyme, de nouveau dur, raide, avide de nous donner encore du plaisir, avide de m'offrir son cul également, rebaisera la chatte de Lullaby : une complicité charnelle entre eux qui les attire, les aimante dans ce se besoin de donner et de prendre . Je sens ce besoin de fusion entre leur corps, je me mets en retrait mais je continue à jouer les voyeuses excitées : mon sexe est tendu, ouvert et plein de mouille chaude Cette sensation de se sentir ouverte est prodigieuse : un appel à la queue véritable, ou aux doigts, ou un gode, qu'importe ... Il ouvre ses lèvres et branle son clitoris, délicatement puis par des mouvements circulaires rapides : elle crie encore, se tord sous ses doigts qui la pénètrent puis ressortent : il la veut encore, il le sent car elle veut aussi sa bite en elle Son ventre de femelle l'appelle, il la retourne sur le ventre et la sodomise de nouveau : elle le reçoit sans protester mais couine sans cesse. Il veut la voir jouir encore et encore, moi je le veux aussi : je n'interviens pas entre eux mais avec eux, je glisse mes doigts dans chaque orifice à ma portée En Lulla, je plonge 2 doigts dans son sexe et je la harponne de mes doigts recourbés dans sa chatte : ses cris de plaisir me font couler et excitent Abyme : il est dos à moi, je le veux à 4 pattes, j'appuie sur son dos pour qu'il m'offre généreusement son cul tendu Mes doigts l'ouvrent et le dilatent : quel accueil dans ce cul ! C'est mou, c'est chaud et trempé : il mouille du cul, cette salope ! Il se contracte sur mes doigts, j'en glisse un 4ème puis le pouce : je me sens attirée dans cette antre, je veux le fister, je veux le posséder, je veux lui remplir le ventre , alors je force et je rentre en lui , je prends enfin son cul Mon poing baise son cul, sans ménagement, je sais combien il aime sentir son cul baisé ainsi alors, je ne me retiens plus, ma main va et vient dans ce ventre affolé ... Je veux me sentir prisonnière de son cul, que je pense ne plus jamais pouvoir en ressortir ...... Je mets encore et encore du lubrifiant m'autorisant tous les mouvements au fond de lui : je veux le faire jouir ainsi mais je le sens crispé et pas en phase avec mon envie Je sors de ce cul que j'aime tant pour le reprendre plus tard Les mains d'Abyme trouvent nos chattes et les masturbent , sa queue reprend sa place contre le vagin et tape le fond pour la replonger en jouissance: les cris de Lulla reprennent , elle ne peut plus se contrôler, elle jouit encore : pas forcément d'orgasme mais de plaisir orgasmique qui ne s'arrète plus .... Une des plus belles images qui restera longtemps gravée en moi, sera de voir et d'entendre Abyme se lover contre Lulla et la câjoler  pour la faire redescendre doucement, avec des mots tendres, il la calme, la rassure, l'aime à sa manière.... Plus tard en soirée, d'autres désirs nouent encore nos tripes : la pratique uro et la flagellation Abyme installe tout le matériel au rdc : draps, couvertures... Questions techniques rapidement résolues : nous installons, nous nous préparons à vivre d'autres sensations, d'autres plaisirs Abyme a un désir puissant : que nous urinions en lui et ce désir fait écho en moi : j'aime terriblement les jeux d'urolagnie : je les trouve indécents et j'aime ça ! Lullaby observe attentivement, n'ayant pas encore pratiqué : son regard brille tant elle veut offrir ce plaisir là à Abyme Elle me suit dans mes envies également L'installation demande quelques précisions : Abyme a besoin d'une excitation particulière : une caresse lui procurant cette érection est de lécher Lulla, assise les cuisses écartées J'adore entendre Lulla gémir sous la langue d’Abyme : il l'aspire, il la mord, il écarte ses grandes lèvres, il tète son clitoris et la fait couler : le plaisir monte entre les reins de Lullaby, elle feule, elle couine, elle crie de nouveau ... Abyme me demande d'ouvrir son cul d'homme excité : je place le speculum, délicatement, je l'installe au fond de son cul et j'ouvre. Je le dilate doucement mais implacablement : de le voir ainsi ouvert fait mouiller mon sexe, mon jus d'excitation coule sur mes cuisses Abyme s'allonge sur le dos et remonte son bassin pour nous offrir son orifice béant : nous venons à tour de rôle Lulla et moi tenter de vider notre vessie mais pour nous, ce n'est pas simple : se lâcher ainsi, ouvrir les vannes demande une capacité que nous ne trouvons pas : ce sera pour la prochaine fois : quel dommage ! Mais je veux redevenir fontaine et lui seul peut me procurer ce plaisir Je m'allonge sur le dos, les cuisses largement écartées, je me sens enfin juste Femelle au bord de son prochain orgasme : je veux vivre de nouveau cette fontaine : Abyme se place face à moi, Lulla de côté et les doigts d’Abyme me pénètrent Tout va vite, trop vite... je ne comprends toujours pas, je me contracte, une crainte de me laisser trop aller ..... Il me branle tellement fort que mon liquide sort et trempe son bras : je suis là et très loin à la fois, je me sens trembler, je suis prise par un orgasme très bref mais tellement puissant ! J'expliquerai le lendemain à Abyme pourquoi je n'ai pas tout lâché : cette jouissance est tellement nouvelle pour moi que je cherche encore à maîtriser et à garder le contrôle : il l'a ressenti au bout des doigts : la prochaine fois, Abyme, la prochaine fois, je lâcherai vraiment .... Je reste allongée pour récupérer : suis-je Dominatrice à cet instant ? Oui, non, peu importe, je suis une femme pleine de désirs encore, pétrie de jouissance, je me moque de savoir si je suis dans une case comme je l'ai déjà lu ou entendu et ce qui va suivre m'excitera au plus haut point Filo se place au-dessus de moi, embrasse Lulla, la doigte, puis il plonge sa queue dans ma bouche : je le suce et j'aime ça Il se retire de ma bouche pour un autre jeu : il sait naturellement que j'aime ce qu'il va faire : il vise ma bouche et pisse dedans, par jets chauds et forts Je le goûte, j'avale un peu, en laisse couler sur moi et j'adore cette sensation Mais ce que je vais aimer plus encore, c'est cette urine chaude dont Filo remplit ma fente : il gicle en moi de longs jets ....j'adore ! Il pisse au fond de mon ventre, il me remplit , il me marque de ses phéromones urinaires ....et j'ai failli en jouir ! Et ça, Abyme ne le savait pas jusqu'à lire mes mots ce soir J'imagine combien de femmes dominatrices réagiraient violemment en lisant ce récit : quoi ? de quelle espèce de domina, LS fait partie ??? Je n'en sais fichtre rien et je m'en fiche : je veux clôturer ce récit en remerciant Lullaby et Abyme pour la liberté de plaisirs vécus ensemble, pour ces éclats de rire, et pour cette perverse complicité d'homme et de femmes Merci pour ces tremblements au plus profond de mon ventre en vous regardant tous les deux Merci pour nos fous-rires avec Lulla Merci pour cette fontaine si bien cachée au fond de moi : libère moi encore Abyme ..... _________________________________________________ Pour rappel, quelques images de la séance sodo en carcan : https://www.bdsm.fr/photo/394184/lullaby-seance/userid_14770
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Par : le 25/06/17
Je vous invite pour cette nouvelle à écouter : https://www.youtube.com/watch?v=Np_Y740aReI J Je caresse mes pieds contre les draps de satin de mon lit. Je suis emprise d'un désir qui me saisit le ventre, à me faire perdre l'esprit. Il me hante Je ferme les yeux, tout en me cambrant, j'ai envie de sentir ses mains sur mon corps, sur mon sexe, me serrer la gorge et qu'il m'oblige à le regarder et qu'il me fasse ressentir cette chienne qui est en moi. Mes mains s'aventurent sur mon sexe lisse. Voila plusieurs jours que je suis si trempée, comme une fontaine. Mes tétons se dressent fièrement. Mes doigts effleurent ma peau frissonnante, comme si c'était les siens. Ils saisissent mes seins avec rudesse me surprenant... Arrivant dans le couloir de son immeuble, je suis habillée d'une façon provocante. Durant tout le trajet qui me mena à lui, j'ai éxecuté ses ordres, celui de ne jamais croisé les jambes, de les entre-ouvrir, et de remonter ma robe légèrement sur mes cuisses. Je lui appartiens et cela me rend terriblement humide. C'est comme si je sentais ses mains remontées ma robe. Je me tortille de désir sur le fauteuil de mon train. C'est comme si il me parlait avec télépathie.. "Bonne petite chienne". Je pénètre son antre. Je ne dis plus un seul mot. Je n'écoute que sa voix. Il m'ôte la vue.. Ma respiration s'accélère. Que va t il se passer? Je suis là de mon plein gré avec cette peur de ne pas savoir ce qui va se produire. Je sens son parfum atteindre mes narines, je suis envoutée à l'idée de lui obéir, d'être sa poupée. Je devine au son de ses pas qu'il me scrute. D'un seul coup je sursaute, il empoigne mes cheveux et me murmure à l'oreille. Prête à passer de la princesse à la chienne, à être ma putain, à faire ce que je veux?. - Oui Maître. Il m'envoute l'esprit tel un vampire. Il descend lentement la fermeture éclair de ma robe en satin bordeaux, il fait tomber une à une les bretelles. Elle tombe à mes pieds. Il me félicité sur le choix audacieux de ma tenue. Il en est fier. Il découvre ma culotte ouverte montrant outrageusement mes fesses et lui laissant un accès à mon petit trou. Le serre taille affinant ma taille, et ce soutien gorge de chez Cadoll rehaussant mes seins nus. Il passe ses doigts sur mon épaule, mon cou. - Ecarte tes jambes. Je m'exécute. A ce moment là je suis si trempée, que j'en ai presque honte. - Relève tes cheveux. Prenant ma main gauche, je les rehausse avec élégance. - Avec les deux mains! Il m'orne de mon collier et le serre si fort qu'il maintient ma tête si droite. - Donne moi ta main. Je sens l'acier des menottes m'encercler le poignet. Puis il attache la seconde. Il remonte mes mains vers mon collier, les attachants à celui ci. Puis il s'attarde à mes chevilles. Il les enchaine. A ce moment là je me sens prise au piège de ce désir qui me consume. Que va t il se passer? Je perd mes repères. Ma poitrine se soulève, mes lèvres sont gonflées par le désir. - Il te manque une chose ma putain. - Ma Laisse, Maître. - Oui tout à fait. Ainsi parée et entravée, il me baîllonne si fortement que ma mâchoire en est douloureuse. Il me demande si je le supporte. je hoche de la tête à l'affirmative. Je ne veux pas le décevoir. Là il tire sur ma laisse. C'est la première fois que je suis ainsi entravée. J'avance sur mes hauts talons noirs, avec une perte de l'équilibre provoquée par la privation de ma vue. J'en perd ma démarche de femme sûre d'elle et m'agrippe à ma laisse. Je ne sais pas où nous allons. Il m'a parlé de sa pièce secrète, celle que je ne verrai jamais mais où je serai enfermée. J'avance avec difficulté. Il me rassure que je ne tomberai pas, qu'il est mon guide. Arrivée à destination, il me fait assoir sur un lit, puis me bouscule sur celui ci. J'entend des chaines. Il se saisit de mon collier, enlève ma laisse. Là il me fait mettre sur le flanc gauche et m'enchaine très court à un pied ou à un tube de cette pièce . Je ne peux que supposer. Mon coeur s'affole. Ma mâchoire est endolorie. Puis il m'attache les pieds au lit, mais me laissant un peu de mou. Puis il part, me laissant ainsi. Dans mon esprit, je me pose mille questions. Je sens ses pas sur le parquet. Que fait il? Ses mots raisonnent en moi. Il connaît ce désir noir qui m'envoûte. Je ne connais pas encore mes limites. Je ne suis que novice. Saurai je à la hauteur de ses attentes, des miennes? Je n'arrive plus à ressentir le temps. Je suis devenue sa chose. Il fait de moi ce qu'il veut. Cela m'excite tellement. De lâcher prise. Je sais qu'il va arriver à me pousser dans des limites que je ne connais pas encore. Puis je sens un courant d'air. Je devine sa respiration. Il est là à m'observer, à observer son oeuvre. J'essaie de me défaire de cette chaine si courte qui me maintient. Puis Il m'attache les jambes avec une grosse chaine et repars. Il aime que je perde la notion du temps. Il revient et me demande si je me suis calmée.Je hoche la tête par l'affirmative. Là, j'entend son pantalon qu'il retire sa ceinture. Ma respiration s'accélère. Je sais ce qui va m'arriver., mais quand? Je suis certaine qu'il aime voir ma poitrine se soulever à cette idée, de me voir me trémousser avant que le coup ne soit porter sur ma croupe. Il me caresse les jambes, les seins, les fesses. Dans mes pensées.. quand va t il frapper? Les coups furent d'intensité différentes. Il toucha mes fesses en me disant qu'il ne sont que légèrement rougissantes. Puis repartit à nouveau. Mes yeux se ferment quand je sens soudainement qu'il enlève mon baîllon. Je n'ai pas le temps de m'y faire qu'il a placé sa queue dans ma bouche. J'aime le sentir en moi, l'honorer avec ma langue, ma bouche. Puis il se retire et me re-baillonne à nouveau. - Quelle bonne petite chienne tu fais me raille t il. Et il me laissa ainsi. Je n'avais envie que d'une chose, enlever ce baillon qui me faisait mal. De la bave coulaient de ma bouche. Je ne voulais qu'une chose, déglutir, mais impossible. Mais que se passerait il si je l'enlevais? Je devine alors la punition qui en ressortirai. Le temps passe, mon esprit se demande ce qu'il va m'arriver. Il entre et ressert à nouveau plus la chaine de mes jambes, puis en position de foetus, me fait sortir le cul. Il me sodomise sans ménagement. Je sens son sexe dur en moi me pilonner avec force, comme une bonne chienne le mérite. - Ton trou du cul est mon exclusivité. Je le prend quand je veux où je veux. Est ce bien clair? - Je hoche de la tête à l'affirmative. Il me culbuta ainsi avec violence, tirant mes cheveux en arrière. J'ai mal, mais mal de plaisir. Cette sensation m'excite terriblement. Je sens ma chatte dégouilline de désir. Il se retira et reparti... J'ai compris que je n'étais que l'objet de son plaisir. J'ai confiance en lui. Il fait de moi une chienne, sa chienne. Il est le premier à me faire vivre ces moments là. Mes pensées s'égarent car il vampirise mon désir. J'ai peur d'en être consumée. Je veux souffler mon désir, le sortir. Je veux jouir. Mes doigts s'accélèrent sur mon clitoris. Mon entrejambe est si chaud, si humide. Ma mémoire se remémore sa voix, son parfum, ses mots, mes maux.. je soupire. je crie.. humm cette vague m'envahit. Je jouis si fort que des larmes coulent sur ma joue. J'aurai tant aimé qu'il me fasse jouir ainsi. Une question me hante depuis. Pourquoi ne s'occupe t il pas de ma jouissance?
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Par : le 23/06/17
-Jusque là Madame tout me semble cohérent et consensuel. -En effet Flynn rien ne te sera fait si tu ne le veux pas, je souhaites te corrompre mais pas sans ton autorisation. Maintenant veux tu connaitre la liste des pratiques que j'affectionne? -Avec plaisir et anxiété Madame mais je le souhaite. J'ai une question, puis je? -Bien sûr. -Tout ceci est très factuel mais dans la réalité y a t-il de la place à l'amour? -Assurément! Il n'est pas rare Flynn que les protagonistes d'une relation BDsM tombent amoureux. Les sentiments ne sont pas proscrits! Ils se mettent en place ou ne se mettent pas cela est affaire de Cupidon. A la base, il y a l'attirance de l'inconnu, l'exploration de contrées encore vierges puis une attraction cérébrale qui peut entraîner des sensations puissantes. Donc l'amour peut surgir... -Cela me rassure Madame, car pendant un moment je me demandais où l'humain intervenait... -Mais tout ceci est très humain, de tout temps à jamais il existe des dominés et des dominants. Le BDsM n'est qu'un moyen de mettre en lumière nos côtés obscures de ce fait la clarté de nos existences enfin se dévoile. "Liste des pratiques: -Sodomie masculine: plugs, doigts, godes, gode ceinture, sex toys, anulingus. -Bondage: bondage tape, spankies, menottes, liens, autres... -Fessée: mains, cravache, martinet, fouet, autres... -Contraintes: anneau pénien, liens, entraves, cires, bâillon, bandeau, autres... -Asphyxie érotique: face sitting La pratique la plus estimée de Smooth est le câlin tendre d'après empirisme... (Rayez les mentions inutiles pouvant être utilisées ultérieurement suivant évolution) La Maitresse pourra donc utiliser les pratiques non rayées à son bon vouloir en veillant à ce l'inconfort de son soumis n'aille pas au delà de ses limites personnelles. Pour se faire, elle ordonne que le mot "presque" soit prononcé par son soumis lorsqu'il sentira qu'il n'est pas à la lisière de sa possibilité mais assez près pour ne plus pouvoir endurer la douleur/plaisir ressentie. Ainsi la Maitresse pourra arrêter sa pratique, se renseigner sur l'état de son homme et prendre la décision de poursuivre ou d'arrêter complétement l'action entreprise. Il existe un mot de résolution pour mettre fin à ce contrat et donc à la relation. Il pourra être émis par le soumis lorsqu'il ne voudra plus que la relation perdure et y mettre un terme définitif, ce mot est "oméga". Lors de son affirmation Smooth n'exercera plus son emprise et se verra dans l'impossibilité de poursuivre la relation. De mon plein gré et mû par le désir de servir Smooth, de lui prouver ma dévotion et d'exprimer ma confiance en elle. Moi -----Flynn---- je lui offre ma soumission à compter de ce jour le --28-- du mois ---mars-- de l'année --2015-- et se terminant au gré de nos envies respectives. En retour Smooth accepte la soumission de ------Flynn----- à compter de ce jour où elle s'engage à respecter le desiderata de cet homme lui témoignant la confiance nécessaire pour la réalisation de cette liaison. Signatures: ------Flynn------, Smooth." Eva range alors le contrat puisqu'il a été discuté, expliqué et accepté en toute connaissance de cause. C'est alors que Flynn remarque qu'une lueur différente brille dans ses pupilles dorées, il se sent alors estimé peut être adoré allez donc savoir ce qui peut se tramer sous cette crinière brune. Ce dont il est sûr c'est que jamais encore il n'avait rencontré une femme si déterminée, certaine de ce qu'elle désire vivre et cela lui parait alors comme une évidence, c'est ce genre d'alter ego qui lui a fait défaut, conscient depuis longtemps que ce ne peut être que dans une relation asymétrique qu'il pourra se réaliser. L'aider à devenir plus fort dans sa position de mâle à dominance professionnelle enfin il aller pouvoir lâcher prise, s'oxygéner. -Viens là mon tout beau! Flynn sort alors de ses réflexions personnelles se lève, en contournant le bureau se place face à elle et attend. -Mets toi à genou! -Oui Maitresse. Alors qu'il est là encore un peu abasourdi par la lecture de ce contrat il se sent excité comme jamais car il ne sait pas ce qu'Eva lui réserve et cela l'apaise aussi par la même occasion. Alors en un geste tendre, elle prend sa tête à deux mains et l'embrasse langoureusement à bouche que veux tu. Puis place sa tête sur sa cuisse. Enfin elle va pouvoir profiter des cheveux soyeux de Flynn, mettre sa main dans ses reflets roux, se délecter de son abandon. Alors ils restent là dans le silence de la tour d'ivoire, dans cette position de réelle soumission, lui à ses pieds, près à agir à sa guise. -Je suis lucide Flynn que tout ceci est nouveau pour toi, je n'ai rien contre ton noviciat mais je peux t'assurer que j'irais progressivement. Je souhaite que tu te révèles, que tu explores le plaisir différent qui allie douleur et jouissance. Je te veux dans un bien être absolu et discordant. -Je vous en suis reconnaissant! -Alors maintenant allonges toi! Une fois effectué, Eva se positionne au dessus de ses yeux, debout les pieds encadrant son visage. -Regardes! Comme tu peux le constater je ne porte jamais de culotte... Flynn saoul de désir pour elle ne peut s'empêcher de poser ses mains sur les chevilles d'Eva espérant pouvoir la toucher comme il en rêve depuis lui semble t-il une éternité. Il a envie de sentir le grain de sa peau sous la sienne, besoin de découvrir les moindres recoins secrets de cette sublime femme. A ce geste, Eva lui donne un coup de talons de son escarpin. -T'ai je dis de me toucher? Je t'ai dis de regarder! Les effluves de son parfum mêlé à celles de ses odeurs corporelles font basculer Flynn qui sent que sa queue lui fait mal tant elle est dure! Sans oublier qu'il sent que son pénis perle et qu'il ressent en cet instant une excitation encore jamais éprouvée. -Ne bouge pas! Eva se rend alors dans l'armoire encastrée de son bureau. Des bruits inconnus se font jour dans l'audition de Flynn, froissement de papier, bruit métallique il n'est pas très sûr de ce qu'il entend. Elle revient, se place de nouveau au dessus de sa tête, elle a retiré son tailleur. Il peut ainsi constater qu'elle porte des bas, et un soutien gorge bustier noir. C'est alors qu'elle entreprend de se mettre à genou pour placer son sexe juste au dessus de la bouche charnue de Flynn. Lui n'en peux plus, il sent sa queue se contracter de désir, cette queue qui supplie maintenant que d'être soulagée. Alors qu'Eva est quasi assise au dessus de lui mais dans le sens où elle peut à loisir sortir sa queue pour s'en occuper, elle la délivre. Sortie du pantalon est gorgée de cet appétit dévorant cette queue sent tout de même que son heure n'est pas arrivée, Flynn sent alors les mains expertes enserrer sa protubérance ainsi que ses testicules, comme un lien se resserrant sur son intimité. Mais alors que les mains d'Eva se positionnent sur sa poitrine il ressent encore cette pression et comprendre alors que quelque chose s'enroule sur son pénis et ses testicules péniens! Etrange sensation jamais perçue encore... A ce moment d'intensité, elle lui dit: "Sors ta langue!" puis commence alors la danse de son clitoris sur sa langue, il s'en délecte, se réjouit même de pouvoir sentir qu'il donne ainsi du plaisir à Eva. Oh, comme il veut la satisfaire! Eva place l'entrée de son vagin sur l'appendice nasale de Flynn et ainsi alterne clitoris et vagin sur le visage de ce Flynn qui ne sait plus où il se trouve, qui se retrouve propulser loin très loin de la réalité. Elle joue avec ses tétons aussi, elle les serrent, les pincent, les étirent sans cesser sa danse érotique. Puis il commence à masturber Flynn surprit de ne pas ressentir l'éjaculation poindre alors que son excitation est à son paroxysme, il semble que le lien posé sur sa queue et ses couilles jouent un rôle retardant mais du coup c'est douloureux et plaisant. Comment peut on ressentir les deux en même temps? Eva se tord de plaisir en un gémissement sourd, elle s'immobilise. Flynn ressent alors le manque d'oxygène... Elle se relève légèrement lui permettant de reprendre son souffle. Un petit bruit sec... Il sent alors qu'elle lui pose un préservatif sur sa verge qui implore maintenant à être libérée. Cependant Eva bouge, gravite le long du corps de Flynn: "Tu ne bouges pas! Tu ne me touches pas! Restes ainsi!". Il obtempère pourtant il aimerait tant la toucher... Elle s'empale à ce moment précis sur sa queue, l'engouffrant complètement en elle. Ils ne font plus qu'un... Flynn est au bord du gouffre, il a envie d'éjaculer mais rien ne se produit. Eva quant à elle monte, redescend son vagin sur cette queue à l'agonie. Puis elle fond, elle jouit, elle s'éparpille en mille morceaux autour de Flynn, ses jambes sont prises de tremblements, elle ne touche plus terre, elle vient d'atteindre le point culminant de sa jouissance. Elle reste ainsi immobile sur la verge gonflée de désir. Elle en sort, défait le lien enserrant et masturbe Flynn qui explose en un volcan de jets chauds lui extorquant un râle de satisfaction qu'Eva emprisonne de sa main pour que ce cri de délivrance ne reste qu'entre eux deux.
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Par : le 21/04/17
Lorsque la porte s’ouvrit, je découvris une Femme au sourire élégant, talons hauts, jupe classique, pull bleu marine, bas mortels. Elle m’accompagna au salon et m’invita à m’installer dans un fauteuil vert velours. La bouteille de whisky était déjà posée sur la table en verre, les glaçons commençaient à fondre dans la pomme, et Elle remplit deux verres du liquide ocre, avant que j’ose demander de ne pas me rajouter de glace, préférant ne pas diluer l’alcool dans une eau à deux degrés. L’effet du premier verre fut immédiat. Je n’étais plus maître , ni de mes pensées, ni de mon corps tout entier. J’avais encore la force de me déplacer, en claudiquant, lorsqu’Elle me demanda de La suivre dans le jardin, mais Elle s’était déjà dédoublée. La substance qu’Elle avait ajoutée me rendait impuissant, mais docile. L’arbre était un chêne. Elle m’y appuya, et me noua autour du tronc dont le diamètre était digne d’un séquoia yosémitique. Le bâillon terminait son œuvre. Elle recula, mains sur les hanches, et m’admira, fière de Sa proie. Je m’endormis. Le seau d’eau provoqua un réveil douloureux. Mais j’avais alors retrouvé la vivacité de mon esprit, sans retrouver la mobilité de mes membres. Elle me montra Sa paire de ciseaux, son décolleté plongeant, et découpa soigneusement tous mes habits. Il Lui fallut moins de cinq minutes pour me dévêtir entièrement. Elle commença par prendre des photos, et appela Son amie qui était restée dans la véranda. Elles me regardaient tout en se demandant ce qu’Elles pourraient faire de ce corps nu et frémissant. Elles commencèrent par cueillir quelques bouquets d’orties, et les accrochèrent à la corde aux niveaux les plus sensibles de mon anatomie. Je picotais et haletais. Elles riaient. Lorsqu’Elles commencèrent à s’agacer de mes ronronnements lourds et suppliants, Elles me giflèrent chacune à leur tour. Son amie était en fait ma voisine. Je La connaissais bien. Elle s’approcha de moi, déboutonna Son chemisier, dégrafa Son soutien-gorge, et me montra Sa superbe poitrine, que je regardais très souvent indiscrètement lorsque je La croisais en rentrant chez moi. Elle m’assura que jamais je ne pourrais L’effleurer ou La toucher. Et que je méritais par contre clairement les sévices qui m’attendaient pour L’avoir regardée aussi souvent impunément. Elle me chuchota à l’oreille que c’était l’été, que la nuit n’était pas trop fraîche, que j’allais pouvoir rester ainsi toute une semaine, attaché à un arbre qui pouvait supporter mes somnolences. J’allais en baver. Elles viendraient me nourrir, me griffer, me chatouiller, me gifler, me rire au nez, me tourmenter, me branler, m’empêcher de jouir, se caresser devant moi, et pleins d’autres idées qui qui viendraient alors à Leur esprit en effervescence. Lorsqu’Elles partirent, ce qu’Elles ne savent pas, un sourire se forma sur mes lèvres. Un vrai sourire. J’aimais ça.
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Par : le 15/04/17
Mon rôle était très clair. Table basse. Le seau était posé sur mon dos, froid, trempé, glacé. Le champagne devait couler à flot. Madame avait invité quatre de Ses amies pour fêter Sa promotion. J’étais donc posé face au canapé, nu, encagé (2 semaines que je n’avais pas joui), et les convives arrivaient les Unes après les Autres. Elles étaient assises, jambes croisées, laissant apparaître la frontière délicieuse de leurs bas, sirotant leurs coupes pleines de bulles, et se moquant copieusement de celui qui était là, devant Elles, impuissant, tête baissée, dans l’impossibilité de bouger sous peine de faire tomber un seau de métal rempli d’eau. La soirée était gaie, pleine de rires et de verres qui trinquent, et l’alcool étaient en train d’aviver leur envie de se défouler sur moi. L’Une d’entre Elles se leva et renversa le contenu glacial du seau sur mon corps qui tressauta. Elles vinrent les Unes après les Autres me distribuer des fessées d’intensité croissante, faisant rougir une peau douce qui aimait ça. Elle retira ma cage. Chacune à Leur tour, Elles branlaient une queue qui n’avait vraiment pas besoin de cela pour durcir. J’étais trait. La queue tirée en arrière, le seau positionné pour recevoir une semence qui ne pouvait plus être contenue, Chacune se donnait dix secondes pour me faire couler. Je ne pus résister plus de cinq tours. Le jus s’écoula dans le fond du seau. Une fois vidé, Madame m’attacha dans le coin du salon, et me fit avaler le fond du seau. Le bâillon-boule reprit ensuite sa place. Elles continuèrent de S’amuser, puis sortirent terminer Leur soirée, sans même m’adresser le moindre regard. J’étais nu et abandonné.
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Par : le 30/01/17
Nous arrivons chez mon maître. Il me pousse à l'intérieur de son antre, sans ménagement et la douceur dont il a fait preuve quelques minutes auparavant se transforme en puissance et intransigeance dans ses gestes, son regard et sa parole. - A mes pieds, de suite, m'ordonna t il. Il m'empoigna les cheveux avec une force, tout en m'obligeant à marcher à quatre pattes jusqu'au canapé. - Deshabille toi de suite, adosse toi contre le canapé et écarte bien tes jambes de chienne. Une fois exécutée ses ordres, je m'offrais à lui. Il s'agit en face de moi, dans son fauteuil chesterfied marron. J'entend le son du cuir dans qu'il s'asseoit dedans. - Ecarte moi ta chatte et ton anus avec tes doigts que je puisse bien de voir. - Tu aimes ça, hein? montrer tes trous en espérant être prise, me questionna t il. - Oui Maître. Maintenant, tu vas te préparer à m'accueillir. - Ouvre moi ta chatte davantage, écarte bien tes petites lèvres. - Mieux que cela ce n'est pas suffisant, tu n'es pas assez ouverte ma petite putain. Je le sens s'énerver. Puis il se lève et reviens avec un speculum. Je vais vérifier que chacun de tes trous soit propre, et bon à à la consommation. Il me mis un baillon et me regarda avec froideur. Je frémis. Il fit claquer un gant, et commença son examen. Je sentie le bec en métal, froid me pénétrer. Il me massait doucement le ventre durant cette opération. Puis il commença à écarter ma chatte doucement, doucement, et toujours un peu plus.. un peu plus jusqu'à ce qu'elle soit béante. Il s'amusa à y mettre quelques doigts et me narguant en me disant: - Voila un bon garage à bites. Je pense que deux rentrent facilement dans ta chatte de pute. Puis il me laisse ainsi les jambes relevées, la chatte grande ouverte. Il est parti se servir un verre, et revient avec un glaçon qu'il insère délicatement dans ma chatte. Je suis toute déconcertée par ce que je ressens. Sentir le glace fondre au fond de mon gouffre vaginal. Il admire son spectacle tout en sirotant son verre. Je veux que tes orifices soient propres. Ils doivent être vérifiés régulièrement. C'est pourquoi je t'examinerai toujours en profondeur comme il faut. Je ne veux rien négliger : ta bouche, ton anus, ta chatte, tout doit être propre. Tiens en parlant de ton anus, sache que ce soir je n'utiliserai que ton fion tout serré. Il se rapprocha de moi et pris mes joues dans sa main droite et mis une pression. - Est ce bien claire, petite chienne? Je pris un regard appeuré et lui fit un signe affirmatif de la tête. Il me regarda encore une fois ainsi, sortie son téléphone pour me prendre en photo. - que c'est bon de prendre ma putain en photo ainsi exposée. Puis il me retira doucement le speculum et me massait doucement le clitoris. - Garde tes jambes écartées. Il s'agenouilla et me lecha. Il passa avec délicatesse sa langue puis écarta de son pouce et majeur mes lèvres pour donner libre accès à mon clitoris tout gonflé. Il l'aspira, le lécha tout en introduisant un doigt dans mon cul. Il s'amusa aussi à me claquer la chatte, me suprenant. je voulais refermer les jambes mais j'essayai de me contrôler à les gardes ouvertes. Il releva la tête et m'ordonna de me caresser les seins, doucement et de remonter jusqu'à mes tétons. Maintenant, tu vas les pincer, assez fort puis relacher, ainsi de suite, pendant que je m'occupe de toi. Mes seins commencèrent à pointer et mon excitation se faisait ressentir, je mouillais.. Je sentais mon maître se délecter. Puis il releva la tête, voyons que je ne faisais que profiter de ses douces caresses. Voici que je ne faisais pas correctement ce qu'il me demandait, il prit dans chacune de ses mains mes tétons et les pinça.. encore plus fort et les tira vers l'avant. J'avais envie de crier mais je ne pouvais pas. Il me regarda et me gifla. Il se releva, m'empoigne à nouveau et m'emmena jusqu'à la salle de bain. Là, il me fit mettre face contre terre, le cul relevé. Il me donna la fessée me donnant envie d'échapper à sa punition. Puis il transforma la fessée en une caresse apaisante. - Ecarte ton cul avec tes main. Expose bien ton anus. - Il se saisit d'une poire de lavement qu'il avait rempli d'eau. Il enfonça la pointe dans mon anus et commença à appuyer sur la pompe de la poire, afin que le liquide reste en moi. - Tu as intérêt à tout bien gardé en toi. Il renouvella l'opération une seconde fois. J'avais une envie terrible de tout lacher, d'uriner aussi. Il fit me redresser et me mis sr les toilettes. - Allez tu peux pisser de ton anus. Je t'autorise. J'étais si honteuse de le faire devant lui. Je n'aime pas cela. Puis il me jeta à terre à nouveau pour que mon cul soit bien relevé. Il se mit debout au dessus de moi, Je ne pouvais voir ce qu'il faisait. - quelle bonne position de chienne, tu vas être prise pour la chienne que tu es. J'ouvris mon cul pour lui offrir comme il se doit mon petit anus. Il y introduit doucement un premier doigt. Il fit des vas et vient avec une douceur comme pour prendre la température. Puis il passa sa main sur ma chatte. Il amena sa main à ma bouche : - Lèche, il sera dommage de ne pas profiter de ton excitation. Puis il mit le bout de son gland à l'orée de mon orifice. Puis il s'engouffra. J'étais si serré, j'en avais mal. Il pris son temps, tout en me claquant les fesses. Puis mon cul cédé sous la pression de son sexe gonflé. Il commença quelques va et vient, doucement pour que mon anus s'ouvre. - J'aime te sodomiser ma chienne. Puis il accentua son emprise. Il se stoppa et me prit dans l'autre sens, tout en m'agrippant par les cheveux, afin que je me cambre, que je mette en avant ma cambrure et ma groupe, pour m'enculer bien à fond. - Demande moi de te défoncer. - Maître, défoncez moi le fion, s'il vous plait. - Plus fort ma salope - Maitre, défoncez moi le fion, s'il vous plait. - Qu'est ce que tu es? - votre chienne, maitre. Puis il m'encula encore plus fort tout en me fessant. - Enfonce toi deux doigts dans ta chatte. Je sentis que mes doigts dans ma chatte, appréciai de ressentir la queue de mon maitre en train de me besogner. - Maintenant caresse aussi ton clito . Je commençai à ne plus en pouvoir tellement c'était bon. - Maître, j'ai envie de venir, s'il vous plait. - C'est bon je t'autorise à jouir ma salope. Une immense vague m'envahit, incontrôlable. Je n'avais plus de force à rester dans cette position. Il continua à me pilonner jusqu'à sortir et éjaculer sur mes fesses. Il saisit une serviette juste à coté puis me retourna. Je pleurais.. il essuya du pouce mes larmes, me releva et m'emmena à son lit, pour que je me repose à ses côtés
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Par : le 27/01/17
Le clapotis et le ressac t'avertissent immédiatement de l’immensité aquatique, ton cerveau doit bouillonner d’appréhensions à cet instant.. tu parles, plaisante, te détaches, tu es si fière devant ton bourreau ne montre pas tes peurs tu as raison, reste digne. De toute façon pas le choix, tu as voulu te débattre plus tôt mais tu ne fais pas le poids, Dominée par ma puissance ma main te guide ferme et douce à la fois, tu m'as aussi choisi pour ça, ma Soum. tu es embarquée, et les coups de rames se font sentir. les yeux bandés, tes sens en alerte depuis plus de 2 heures commencent a ronger sensiblement ton assurance. les scenarii sont multiples maintenant pour toi. immergée liée en pleine mer! pour toi c'est sûr. Que fais tu là? Pourquoi? Qu'y a t'il de sexuel? La "pause" des rames te sort de tes pensées en suspens.. Je déshabille ton corps, te passe un gilet de sauvetage et commence à lier tes poignets et tes chevilles la corde glisse sur ta peau maintenant pour te lier à l'assise de l'embarcation ma main passe sur tes formes, elle est douce et ferme, geste qui se veut rassurant mais donnant la direction de mes intentions tu reste mon objet sexuel. Mon emprise sur toi doit te faire mouiller, ma main plonge entre tes cuisses, ouvertes et s'enfonce entre tes lèvres complètement trempées. Qu'y a t'il de sexuel? ta réponse, tu l'as.. Je t'embrasse, puis m’écarte et reprend les rames. Silence.. Ta vulnérabilité provoque au fond de ton âme un bouffée d'angoisse le flot de paroles sort de ta bouche et cherche à atteindre mon coeur ma culpabilité, ma sensibilité, si chères a tes yeux, si protectrices? Ma voix pour la première fois s'exprime pour autre chose qu'une directive: "Te voici exposée au milieu d'un élément qui est mortel vu ta situation, sache que je suis là en toute circonstances... je suis là... Nous sommes suivis, à portée de secours, mes consignes sont strictes." Silence.. les secondes s'étirent.. Ta poitrine est trop étroite pour ton coeur, tu ouvres ta bouche pour aspirer d'avantage tout t'es hostile alors.. tout contre toi.. même ton DHom.. ton geôlier, c'est lui qui te met hors de ton contrôle, tu canalises tes forces psychologiques pour déstabiliser en toute intelligence, tu incises où ça fait mal, tu rages, tu foudroies, tu incantes et te déchaine.. Silence.. les secondes s'étirent.. quel est le sens de cette volonté? contrôle? Dominée par la situation mon silence te guide fermement, patiemment et calmement tu m'as aussi choisi pour ça, ma Soum. Point besoin de te bailloner tu vois? les mots ont finit par s’étrangler dans ta gorge te voilà livrée, tes épaules s’affaissent, ta tête se baisse, ton menton se décrispe, une larme sillonne ta joue, tu ne contrôles pas, plus, tu te résignes, tu subit, ta fierté t'accable, tu es Soumise.. par Domination. Ma main vient se poser un instant sur ta nuque dans ce geste de protection. Ma voix se veut chaude et enveloppante à ce moment là: "Ma Soumise... Je suis là." Les mots étincelles. feu de paille, tu t'embrase immédiatement.. et t’éteins aussi tôt. Il fait noir, il faisait jour.. il fait froid, il faisait chaud.. Nous sommes en-dedans, nous étions en-dehors.. Nous sommes deux, tu étais seule.. Le cerclage de ton amour explose alors, sans limites, ton être se projette vers moi. ton menton de redresse et tu me fixes de tes yeux bandés. sincère, nue, exposée.. Le lien devient une seule et unique voie entre N/nous. le flux en est étourdissant, d'intensité et de densité; Au delà te ta situation, l'envie de te blottir contre moi, protégée, s'impose injonction d'envie, besoin irrépressible Tout devient distant, à part ma présence, tu rompt le silence: "où êtes vous mon Dhom?" les mots n'ont pas d'équivoque. "je suis là." Ma main se pose rassurante. Je te délie alors de ton siège, tu plonges a mes pieds.. Silence.. les secondes s'étirent.. Tu es redressée et glissée hors de l'embarcation, l'angoisse te saisit, tes jambes et tes bras sont liés.. tu ne pourras nager ainsi. L'humidité envahit tes cuisses jusqu'alors sèches. L'eau monte pendant que tu descends L'air est froid et humide, les sons sont échos, échos... un grotte putain ! et de l'eau partout L'angoisse que tout s'écroule te submerge, irrationnelle.. Phobie.. tu ne touche pas le fond, tes mains accrochées au bord du canot respiration haletante, frenetique, voir, voir y voir! tu ne veux plus jouer tu arraches ton bandeau le mot se forme sur tes lèvres, tu vas pour l'exulter quand tu me vois calme, face à toi, posé, compatissant Mon regard aimant émane confiance et force Les muscles de mon corps se veulent rassurant mais ce sont mes mains qui figent le son dans ta gorge, Elles tiennent une corde reliée a tes poignets.. Silence.. les secondes s'étirent.. ta réalité explose ton fantasme tu t'en veux d'avoir douté, tu ne le montre pas, fière, encore.. et puis la grotte va s'écrouler après tout! les étapes se franchissent unes à unes, ton Dom est toujours là près de toi, fiable, imperturbable, déterminé à te mener dans son univers, liée a lui, en toute confiance.. Il est ton garant de tes limites, il a tout respecté. "Tu as fini? on peut commencer?" Silence.. La petite fille en toi ne sait plus ou se cacher. ne pas reculer, pas de faiblesse, affronter.. tu jettes un dernier oeil à la grotte puis Insoumise tu clames fièrement: "comme il vous plaira mon Dhom" ...
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Par : le 26/10/16
L'écriture est pour moi un moyen de m'exprimer. Nous sommes allées au restaurant, tu étais habillé avec une chemise blanche, sobre et chic, un pantalon bleu marine. Je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer à quel point tes chaussures étaient superbes. C'est à mes yeux un signe d'élégance. Tu m'avais emmené dans un restaurant que j'affectionne, j'ai senti toute la soirée ton regard sur moi, persant quand tu me regardais droit dans les yeux, pervers quand tu le plongeais sur mon décolleté.. Je me montre joueuse ce soir, je te cherche, te taquine. Tu ne dis rien.. Nous repartons, tu me proposes un dernier verre chez toi. J'accepte Arrivés chez toi, tu allumes la lumière, enlève mon manteau, tu es très gentleman. Sur une commode, je découvre un paquet cadeau, je me demande si c'est pour moi. Entre temps, tu as allumé quelques bougies afin de rendre un côté tamisé à la pièce. Tu passes à coté de moi, libère ma nuque de mes cheveux, me masse tranquillement, et m'embrasse fougueusement dans le cou.. tu me tends le paquet.. C'est pour toi... Je suis agréablement surprise car je n'ai pas l'habitude des cadeaux. Tu te diriges vers ton mini bar. Tu en sors un verre et une bouteille de Nikka.. J'en admire la robe à travers l'éclairage. Tu me regardes sévèrement et tu me dis : "N'ouvres tu pas ton cadeau"? Je m'exécute, j'ouvre la boite et y découvre un baillon avec un anneau en métal. Je suis déconcertée! -Qu'est ce que cela signifie? dis je -je suis choquée. -Tu es choquée? non tu es une belle chienne, me retorques tu! - Et je vais dévoilée cette nature qui se cache en toi. Deshabille toi. Tu pars d'asseoir dans ton canapé, ton verre à la main. - Enlève lentement des vêtements, déhanche toi. Je fais tomber lascivement ma robe à mes pieds. Je me retrouve debout, face à toi. Tu admires le choix de ma lingerie. Je porte ce serre taille avec cette magnifique culotte ouverte, un soutien gorge sein nu. Ils se dressent devant toi, comme une offrande.. Tu en salives. Tu me demandes de me tourner, de poser mes mains sur le mur, de me cambrer afin d'admirer ma croupe. - Ecarte avec tes mains tes fesses que je vois tes trous. - Tu es vraiment une belle chienne, me dis tu. - Ne bouge pas. - A partir de maintenant tu vas devenir ma poupée, ma putain. Je tressaillis. Tu t'absentes quelques minutes et revient. Retourne toi, et baisse les yeux. Tu places ce plateau entre mes mains, dessus j'y découvre ton verre de whisky, des glaçons déposés dans une coupelle, un fouet, et le cadeau que tu m'as offert. Tu gifles mes seins, les pétris, et pince mes tétons. Voilà comment ils doivent être : dressés! comme toi. Tu t'empares d'un glaçon et le fait passer sur mes seins, mes auréoles, tu les mordilles, les suce, tes mains se posent sur ma gorge, elles y font une étreinte douce. Tu passes ensuite ce glaçon sur les lèvres, dont tu en prends t'empare ensuite. D'une voix suave, tu dis à mon oreille. petite trainée, me dis tu. Je répond "Oui, je suis votre petite trainée" Et là tu me gifles. Qu'ai je dit!? Pas un mot, petite salope. Tu t'empares du baillon et me le met en bouche. - Voila, un vrai trou pour ma queue. Je vais te baiser par tous tes trous. Tu saisis le fouet : -je t'interdis de bouger, de gémir. Tu fouettes mes fesses, mes seins. Puis tu reprends une gorgé de whisky et le repose. - Qu'est ce que c'est que ces jambes fermées. Tu vas me les écarter de suite. Tu me punis fermement, pince mes petites lèvres avec tes mains. Et tu introduis un glaçon dans mon sexe brulant. Va dans la chambre, installe toi sur le dos, la tête en bout de lit. Je veux voir ta tête avec ta bouche prête à accueillir ma queue. J'arrive dans la chambre, je vois différents objets.. je frémis. Une fois installés.. J'attend.. j'attend. Tu entres, retire ton pantalon. Ma bouche reste ouverte par le baillon, prête à ce que tu m'utilises comme il se doit. Sors ta langue, petite chienne. - Voila, tu l'as voulu toute la soirée, fais lui honneur. Lèche... - tu enfonces ta queue dans ma bouche et commence à me baiser. Je proteste, et tu me tiens par la gorge m'assaillant de coup , encore et encore. Ma bouche bave, mes yeux pleurent. Tu adores voir mes seins bougés au fur et à mesure que tu me baises la bouche. Tu me dis que je ne mérite que ça, que je ne suis qu'une pute. Tu éjacules sur mes seins, et m'ordonne de ne pas bouger. Je n'arrive pas à savoir combien de temps tu es parti, mais je me sens souillée, sale, humiliée. Tu reviens et me dis : met toi à quatre pattes, comme une bonne chienne. Tu me met un collier harnais, afin de m'attacher les mains dans le dos. Avec ces contraintes, je suis complètement à ta merci. Tu me rejettes ensuite en avant, me laissant dans une position si obscène. Ma tête contre le lit et mes fesses levées. Voila une belle position de putain. Tu sors un plug en cristal transparent. Tu l'enfonces sans ménagement dans mon cul. Tu aimes jouer avec mes fesses, les fouetter... tu enlèves mon baillon. Si tu souhaites parler c'est juste pour me dire que tu es ma pute, ma trainée. Tu sors, re-entre ce plug. J'ai mal. Mais cette douleur reste délicieuse. Puis tu commences à me fouiller avec tes doigts. Tu me demandes, combien de doigts peuvent rentrer dans cette petite chatte, ou dans ce petit fion, si serrés. Je n'ose répondre... Tu places deux doigts de chacune de tes mains dans mon cul, tu m'écarteles. Je vais te préparer à recevoir ton du, petite catin. Tu me demande de dire que je suis ta catin.. Je me sens honteuse, je baisse les yeux : " Oui je suis votre catin" Il est bon de reconnaître ce que tu es, me dis tu. Tu continues de me dilater, tu adores ça, tu me dis que mon cul doit être comme le trou de ma chatte, béant! Tu tiens derrière moi, place ton gland au bord de mon petit trou. Là, tu me demandes de l'empaler dessus à mon rythme. Pendant ce temps là, tu me fesses. Elles sont toutes rouges. Tu adores cette position de salope que j'ai. Tu me tiens par les mains qui sont attachées dans mon dos et tu me pilonnes, m'insulte. Ma chatte est complètement humide, un filet de bave en coule. Tu me caresses en même temps le clitoris, introduis quelques doigts dans ma chatte... Je te demande la permission pour jouir. Puis, tu jouis sur mes fesses. Tu sors et me laisse là.. sale à nouveau...
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Par : le 24/08/16
Petite histoire à lire au chaud... de votre serviteur. +++ Noémie ne comprit pas, tout d'abord, ce qui lui arriva. Elle avait à peine ouvert la porte de sa maison sur cet inconnu, et n'eut pas le temps de lui dire bonjour : la main de l'homme s'était plaquée sur sa bouche. Elle fut saisie, et se retrouva couchée au sol, fermement maintenue sur son ventre par les mains de l'intrus tenant ses bras, et par le poids de son corps assis sur son fessier... incapable d'appeller à l'aide : une bande adhésive était maintenant fixée sur ses lévres. Comme elle se tortillait dans sa panique, son assaillant rit, et accompagna ses mouvements frénétiques ; elle luttait avec l'énergie du désespoir, mais l'homme lui ne faisait que jouer avec sa proie... il la laissa donc lutter, tout en appréciant de la voir gesticuler ainsi. Cela dura un certain temps, jusqu'à ce que Noémie ne s'épuise. Entre sa peur, sa respiration limitée à son nez et l'effort physique, elle ne pût continuer longtemps sa vaine lutte, et s'effondra sur elle-même, le souffle court. Bien qu'il fut amusé, l'homme avait vu venir cet abandon, et ses mains toujours serrées sur ses avants-bras, l'accompagna doucement pour qu'elle ne se fit pas mal au crâne. Puis il sortit comme de nulle part deux paires de menottes ; il commença par refermer la première paire sur les poignets frêles de sa proie, avant d'en faire de même pour la deuxième sur les chevilles... tout en appréciant le gémissement désespéré de cette dernière. Puis il se retira de sur Noémie, s'assit au sol non loin d'elle, et admira sa prise. La pauvrette pour sa part roula sur le flanc, n'osant point essayer de se relever. Noémie, prise par surprise, n'avait guère eu le temps de maintenir sa tenue. Uniquement vêtue d'un short court et d'un débardeur, maintenant couverte de sueur du fait de la peur et de l'effort, elle offrait une vision tout à fait exquise, et ses jolis yeux lançaient des appels à l'aide, emplis de frayeur, tandis que ses lèvres tremblotaient sous le scotch. L'homme sourit à cette vision, et poussa plus loin son examen... il voyait tout le corps de sa proie en état de choc frémir et frissonner dans l'expectative, et cela fit se dresser sa queue. Il se releva soudain, faisant sursauter Noémie, et se coula au-dessus d'elle, comme un scorpion sur le point de frapper... mais son dard attendrait pourtant. Il promena une main ferme sur les courbes de la fille couchée sur son flanc, flattant sa hanche, appréciant la chair. Puis sans prévenir il la fit de nouveau basculer sur le ventre, dans un cri étouffé. Là, il se porta son visage juste au-dessus du sien, et elle put voir son cruel rictus. Soudain, il avança une main... Noémie ferma les yeux et se crispa, mais il ne fit que gentiment bouger une méche de cheveux détrempée derrière son oreille, frôlant sa joue. Le geste fut doux, presque aimant... et Noémie, en dépit de sa situation, se prit à rougir. Cela n'échappa pas non plus à son assaillant, et le fit rire. Comme en récompense, il pinça son oreille. Noémie gémit encore, mais cette fois laissa faire ; qu'aurait-elle pu, de toutes façons ? Alors l'homme placa cette même main sur la fesse droite de sa proie. Ce geste non plus fut sans violence, mais Noémie cria, à travers son baillon sommaire. Une claque ferme sur cette chair tendre la fit taire immédiatement ; la surprise l'avait fait réagir, mais ce dernier acte n'avait rien d'ambigu : l'homme lui intimait le silence. Elle se tint donc coite, ne voulant pas l'énerver, bien que cette claque fut moins un coup qu'un simple avertissement. L'homme hocha la tête. "brave fille", lui dit-il, et elle réalisa que c'était là les premiers mots qu'elle entendait de lui. Il replaca donc sa main sur la courbe de cette fesse qui, désormais, lui appartenait comme son bien propre. Un geste d'appréciation, de propriétaire, sans excès, mais sans retenue. Il la tâta, la palpa comme un écuyer flatte la croupe d'un cheval. Puis il la fit vibrer un peu de petites claques, tout en pinçant de son autre main la fesse gauche... Noémie, de tout ce temps-là, tenta vainement de faire croire qu'elle ne ressentait rien ; il pouvait la voir frémir, battre des paupières, et virer au rouge. Ce fut lorsqu'elle s'y attendait le moins qu'il la releva brusquement, la soulevant par les avants-bras et le ventre l'ayant enlacée... il la fit glisser d'à plat ventre jusqu'à genoux, restant lui-même dans son dos et légérement au-dessus d'elle car posté sur un genou, l'autre jambe en arc, afin de mieux la maintenir, eut-elle tenté quoi que ce soit. Mais la malheureuse n'en était déjà plus là ; terrifiée autant que résignée, elle commençait aussi à ressentir comme une étrange sensation, d'être ainsi contrainte et maniée contre son gré... Son ravisseur le vit bien, lui qui n'avait pas choisi sa victime au hasard. Il esquissa un bref sourire, et se mit en devoir d'apprécier plus avant la qualité de sa proie. Le bras gauche toujours maintenant ceux de la fille dans son dos en dépit des menottes, il glissa le droit sur la taille de cette dernière. Noémie cria de nouveau lorsque la main scélérate empoigna la chair de son ventre, palpant et pinçant son nombril. Cette fois l'intrus la laissa aller, et se sentant libre de toute menace de représailles immédiates, elle se tortilla furieusement ! Mais lui n'en avait pas fini avec elle... Il lui saisit un sein, laissant échapper un soupir rauque et satisfait. Même à travers le tissu pouvait-il sentir la chair douce, et un détail le fit rire de nouveau. Bien que Noémie tentât de le cacher, ses larmes inondant maintenant ses joues furieusement rougies, l'homme put sentir sous ses doigts un petit point raffermi... il l'agaça, elle gémit, et son téton durcit encore. Ce ne fut rien comparé au véritable coup de foudre qui saisit tout son corps, lorsque délaissant son dos le bras gauche de son assaillant plongea par la taille, et que sa main s'empara de son entrecuisse. Désormais conquise, Noémie rua vainement une dernière fois, mais un bref quoique rude pincement dudit téton la mit en garde, et elle s'abandonna, arquée contre le corps qui à présent possédait le sien. L'intrus poursuivit son examen, palpant d'ici un muscle au ventre, tâtant de-là une cuisse dénudée... il laissa pour l'instant sauves les chairs les plus intimes de sa captive - car elle était désormais sa captive - et se mit en devoir de pétrir sous ses mains chaque autre part de son corps, pour lui signifier que rien de ses charmes ne lui était privé... et qu'il ne s'en prendrait à ses plus douces parts qu'en temps et en heure, bien qu'elle n'y pourrait rien le moment venu. Elle gémit, pleura doucement, mais en son for intérieur elle se surprit à apprécier son terrible péril, car privée de toute volonté la voici maintenant sans plus guère de faux-semblants. Et parce qu'il l'aimait déjà, lui la laissa glisser sur ses cuisses, lovée contre son poitrail et les jambes repliées sous elle, afin que sa position ne lui blesse point les genoux. Lorsqu'il en eut fini, l'homme se releva, et elle crut - et elle... craint ? - qu'il ne la quitte pour de bon, ayant eu son soûl. Mais cela bien sûr ne devait pas être. Il sortit une lame, et elle cria de frayeur. Une claque en pleine joue, plus ferme que douloureuse, lui intima le calme. Elle se raidit, et vit que ladite lame n'était qu'une grande paire de ciseaux. Pour cependant la rassurer, l'homme passa tendrement une main sur sa joue meurtrie, puis la fit glisser sur sa tempe pour lui caresser la tête, et finalement retomber au versant de sa nuque. Son regard fit comprendre à sa prisonnière qu'il ne la blesserait pas, et sa ferme caresse lui assura l'obéissance. Elle baissa les yeux, puis la tête, sous une dernière caresse réconfortante, et laissa faire. Il commença par son short, ouvrant le tissu et libérant son aine de ce carcan, ne lui laissant qu'une culotte de ficelle pour orner ses jambes à présent totalement nues. Puis son débardeur y passa, et il vit avec amusement que son soutien-gorge avait d'ores et déjà quelque peu glissé. Il en disposa. Ses jolis seins à l'air, il fit une pose pour admirer l'ouvrage. Flambée de honte, sa captive n'osait le regarder, désormais étendue sur le sol afin qu'il puisse tout voir d'elle. Entre sa chair et son ravisseur ne se dressaient plus que deux paires de menottes, un bâillon de scotch... et un string au demeurant charmant. Si elle s'attendait à ce qu'il lui ôte également ce dernier, elle en fut pour ses frais. L'homme, qui n'avait toujours pas pipé mot, produisit deux pans de soie, puis encore deux autres. Il se pencha sur elle, et la fit frémir. Mais il n'avait pas l'air de vouloir lui faire du mal, car il passa une main douce sur son petit ventre. Il parla : "tiens-toi tranquille, compris ?" mais ce n'était une question que pour la forme, car elle n'oserait plus le défier, du moins pas dans le but d'une évasion. Elle n'en hocha pas moins la tête, et osa le regarder, tandis qu'il déployait la soie. Puis il se mit en devoir de la lier de plus belle et confortable manière, selon un ordre minutieux qui, soupçonna-t'elle, ne devait rien au hasard. Il la fit se rassoir sur ses fesses, afin d'accéder à ses mains. Ôtant les menottes, il lia ses poignets d'un nœud de ce doux tissu, et elle lui en fut reconnaissante, tant les menottes dures et anguleuses pouvaient faire mal. Il la laissa se maintenir le buste droit, en appui sur ses mains, puis il fit de même avec ses pieds, ne résistant pas à la tentation de glisser ses doigts sur leur plante. A son petit sursaut, à la crispation soudaine des orteils, il sut qu'elle était chatouilleuse... et s'en réjouit cruellement. Elle fut effectivement plus belle ainsi, mais il n'en avait pas terminé. Arrachant le scotch de sa bouche, il la laissa reprendre un peu de souffle, bien qu'elle n'osât pas fixer ses yeux, ni émettre le moindre mot. Ainsi assuré de sa docilité, il lui sourit, puis noua le grand pan de soie tel un bâillon, et lui clôt la bouche avant que de la couvrir d'un deuxième tour, qu'un dernier nœud fixa sur sa nuque. Comme récompense, il y déposa un baiser qui la fit frissonner de tout son corps ; elle lui appartenait. Elle se demandait naïvement à quoi servirait l'ultime pan de soie, et le vit bientôt... ou plutôt ne le vit point, lorsqu'il serra le bandeau sur ses yeux. Ainsi ligotée, elle n'avait plus aucune liberté de mouvement, ni plus aucun sens actif ; privée de ses bras comme de ses jambes, de sa vue jusqu'à sa parole, elle ne pouvait qu'entendre, entendre et ressentir plus fort qu'à l'ordinaire ce qui l'entourait, pour le peu qu'elle en recevait. Le froid du sol sous ses pieds, ses fesses et ses mains... les pas de son ravisseur, et son odeur... et sa propre odeur, mélange de sueur, de peur et... et d'excitation - et à cette pensée elle manqua de mourir de honte ! Mais c'était pourtant bien ainsi : elle était désormais la captive d'un inconnu, bon gré mal gré, et en retirait bien moins d'angoisse qu'elle ne l'aurait cru. Elle n'eut cependant pas le temps de s'étendre sur la question, car l'homme était revenu. Elle le sentit se pencher sur elle, puis ses doigts frôler sa gorge... Doucement - délicieusement ? - effrayée, elle résolut de bien se conduire, et lova son corps, pencha subtilement sa tête pour lui présenter son cou, telle une proie vaincue s'offre aux crocs du prédateur ! Mais bien sûr elle ne le faisait là encore que pour échapper à sa colère, n'est-ce pas... ce n'était pas, voulut-elle se convaincre, comme si elle appréciait d'être ainsi traitée ! Alors l'homme, sans doute un peu surpris, marqua un temps d'arrêt, puis rit gentiment et lui pinça l'oreille une fois de plus, la massa aimablement entre ses doigts jusqu'à ce qu'elle gémisse et devienne plus rouge encore. Puis il acheva son œuvre : elle sentit glisser autour de son cou une chose à la fois rude et douce, souple et ferme... ce ne fut que lorsqu'il le referma qu'elle comprit : telle une bête, le chasseur venait de coiffer sa proie d'un collier ! Tous deux restèrent ainsi un moment, pour qu'elle sache ce qui venait d'être accompli, et qu'elle en prenne la pleine mesure. S'il n'avait, en toute connaissance de cause, demeuré juste là à son côté, admirant ses formes et son port, elle aurait sans doute versé dans mille bouleversements, ou quelque panique soudaine... mais de le sentir juste là, et de savoir son regard sur elle, focalisait son esprit et l'obligeait à admettre la réalite : il n'y aurait nul sauvetage pour elle, ni déni de sa part : elle était captive... et elle adorait ça. Il se releva, et la laissa glisser de nouveau au sol, étendue sur le dos, dans un étrange état de plénitude. Nul choix, nulle voix au chapitre ne lui était plus autorisée, et bien qu'elle fut toujours apeurée, elle ne put que reconnaître que ce terrible sort ne lui déplaisait pas... serait-elle devenue folle ? Toute considération psychologique fut cependant chassée un instant plus tard, lorsqu'elle entendit revenir son ravisseur qu'elle n'avait pas entendu s'éloigner, trop concentrée sur elle-même pour prêter attention à ce qui l'entourait. Ce fut donc une surprise totale, et un certain choc, lorsqu'il déversa sur elle le contenu d'une bouteille d'eau glacée. Elle rua, cria sous la frayeur subite, mais cela ne dura qu'un instant. Elle se retrouva trempée des pieds à la tête, baignant dans l'eau sur le sol même, respirant à grandes goulées d'air par le nez, revenue de sa frayeur... et incroyablement excitée par la pure adrénaline de ce moment. "bien" l'entendit-t'elle le dire. "ces liens sont donc solides... parfait" Elle frissonnait, tremblait, sous le choc autant que sous l'effet de l'excitation. Mais il lui sembla confusément qu'elle avait aimé ça... Une main se posa sur son front, y chassa quelques mèches en bataille, et la caressa gentiment. L'eau et sa peau tendue accroissaient la sensation, et elle se prit à vouloir que cette même main descende le long de son corps ; plus bas bien plus bas dans sa chair offerte... Mais il n'en fit rien, car il savait la force d'un plaisir refusé. Tout au plus promena-t'il ses doigts sur le visage captif, lié par ses soins. Il testa le bandeau, chatouilla doucement sa joue et l'arête de son nez en y passant ses ongles, et les fit reposer à l'endroit de ces lèvres sous le bâillon... Abandonnée, elle y porta un baiser, qu'il fut satisfait de sentir malgré le tissu. "as-tu froid, petite femelle ?" Dans son état de transe, il lui fallut un petit moment pour comprendre qu'il s'adressait à elle. Elle hocha timidement la tête, et ne put voir son sourire. "tâchons donc de te réchauffer..." Elle se sentit saisie, portée telle une princesse captive dans les mains d'un rude geôlier, et emportée vers ce qu'elle savait être sa chambre. Plus jamais, ni maintenant ni plus tard, ne devait-elle protester. Jegesh
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Par : le 22/06/16
Ce jour là, en me préparant je repensais à l'échange que j'ai eu avec Sandrine, cette plantureuse travesti soumise qui m'écrivait combien elle était troublée en regardant mes photos et combien elle se réjouissait d'être dominée par une transgenre, un fantasme qui l'obsédait depuis si longtemps. En mettant des bas résilles, j'entendis Sandrine arriver et entrer dans la pièce semi indépendante de mon donjon. J'avais encore un peu de temps devant moi, elle devait se préparer et se maquiller. En glissant mon top en cuir, je sentis l'excitation de la séance commencer à monter, c'est vrai que je suis craquante avec le cuir qui moule mon torse et ma poitrine. Pour terminer, j'enfile une jupe en cuir avec une couleur oscillant en l'or et l'argent. Un bijou qui me met mes fesses au bout d'interminables jambes, j'adore porter une mini et faire ressortir mes 120 cm de jambes et porter juste des bottines en cuir noir. L'heure passait et dans 3 minutes Sandrine a rendez-vous avec moi. En regardant la pendule de mon donjon, je pris l'escalier pour aller chercher la soumise dans la pièce qui se trouve sous le donjon. J'aime descendre avec deux minutes d'avance car en général la soumise est toujours en retard et se fait surprendre entrain de finir sa préparation, la pression monte d'un cran et Sandrine me regarda, regarda sa montre et me dit: "Bonsoir Madame" ! "Bonsoir soumise, tu es en retard..." La soumise regarda a nouveau sa montre, me regarda et hésita avant de pencher da tête en avant et me demanda "permettez-vous que je termine ma préparation, il me reste mes hauts talons à enfiler..." Quand enfin elle est prête je la fais tourner sur elle-même pour admirer sa plastique, avec ses 185 cm et 72 kilos, elle est super craquante d'autant plus que son corps est pris dans une robe moulante en vinyle noir, des bas coutures et hauts-talon. Son maquillage est léger comme demandé et sa longue chevelure vient caresser ses reins... Lorsque je la fis passer devant moi pour monter l'escalier, elle me regarda avec un air interrogateur ne sachant pas si c'est de la courtoisie ou si c'est intéressé. "Allez soumise, on n'est pas là pour prendre racines, monte !" Dès la 4ème marches, je passai ma main dans son entre-jambes et remonte jusqu'à sont entre jambes. "Tu as désobéi soumise !" elle se retourna surprise et ne comprenant pas ce qui lui arrive déjà... "Oui, tu as mis un string et jamais une soumise ou in soumis vient se présenter à moi avec un sous-vêtement, la seule exception ce sont tes bas. Enlève -moi ce string !" elle se tord autant bien que mal pour pas perdre l'équilibre sur ces marches vertigineuses et me donna son string que je lance en bas de l'escalier. Ma main visite son entre-jambes et vient soupeser ses testicules et serrer son pénis. Sa féminité est trahie par une super érection qui créa une belle bosse sur le bas de sa robe. "Allez on monte et tu te mets à genoux sur le tapis rouge, le corps bien droit et la tête penchée. En passant devant elle, je lui administre une bonne paire de claque en la réprimandant: "c'est quoi cette érection ? Ici, c'est moi qui décide si tu peux bander ou pas, As-tu compris cette première règle ?" Mais, Madame ... et hop la 2ème paire de gifles part toute seule avant qu'elle termine sa phrase.. "Mets-toi debout, relève ta robe jusqu'aux hanches et ensuite penche-toi en avant en faisant ressortir tes fesses sur l'arrière. "Bien, c'est comme cela que je te préfère... Alors règle no2, si tu cries ou tu gémis, lors d'une punition comme par exemple la fessée que je vais te donner pour te punir pour ton érection alors, tu auras en plus des pinces aux tétons. Oui la première fois tu feras certainement exprès de crier pour avoir des pinces et je te promets que je te les laisserai jusqu'à la fin et que tu regretteras bien vite de me tester, je gagne toujours et durant les jours qui viendront tu penseras à moi tant les douleurs des tétons sera violente... La première volée de ma main tombe sur sa fesse, tout le corps tremble, la soumise retient ses premiers gémissement avec peine, je mets plus d'énergie à la fessée et j'utilise mes deux mains pour fesser des deux côtés avec du rythme. La rougeur remplace rapidement le blanc des fesses, elles deviennent chaudes et les premiers gémissement se font entendre (enfin...). "Alors soumise, il te manque de courage, tu vas vite en avoir besoin, tu vois ces pinces reliées entre elles par cette chaîne ? Si tu gémis, je tire sur la chaine et les pinces se resserrent, as-tu bien compris ?" "oui" "Alors, redresses-toi et ouvre ta le haut de ta robe qui laissa voir des tétons déjà bien excités, ils sont dressés et prêt à recevoir les pinces. Lorsque la pince se referma sur le premier téton, un cri retenti et hop je tire sur la chaîne et j'entends un hurlement..."Tu vois ce qui va t'arriver si tu gémis ou crie ! Alors maintenant tu vas faire preuve de courage ou, personnellement je préfère que tu cries ainsi je peux m'amuser plus..." " Vous êtes une sadique Maîtresse !" Une magnifique claque rougit la joue droite.. "Apprends la politesse soumise !" La 2ème pince est posée dans une grimace qui transforme son visage. "Bien maintenant tu vas reprendre ta position penchée avec les fesses en arrière et tu vas m'attendre, j'entends ma soumise sous collier arriver plus tôt que prévu. C'est une grande jalouse et sachant que je suis avec toi elle devait venir me retrouver qu'en fin de soirée et elle désobéit. En revenant au donjon avec ma soumise nue, elle regarda avec intérêt Sandrine et me dit "je vois que Maîtresse Galliane s'en bête pas ce soir" une nouvelle claque retenti et c'est la joue de la nouvelle soumise qui devint écarlate... Suite à cette entrée remarquée, je la fais entrer dans la cage, la tête en avant pour qu'elle puisse voir que le mur tout en entendant tout ce qui se passe. "Et si tu dis un mot, je te mettrai un baillons et je sais que tu détestes les baillons encore plus que la mise en cage. Ceci te permettra de penser à venir à l'heure la prochaine fois et pas faire la curieuse !" "Mais ..." une fessée vient s'abattre sur ces fesses qui la projette au fond de la cage. "Voilà soumise, maintenant que je peux à nouveau être avec toi, je vais continuer ta punition avec le fouet et je commence avec celui-ci "et lui montre un fouet avec des chaînes en lieu et place des liens de cuir. Le chant des gémissements crée une ambiance devenant de plus en plus excitante, en changeant de fouet pour choisir le rouge avec des lanières tranchantes, je profite pour bien tirer sur la chaîne des pinces et un cri résonna dans la pièce, je sentais l'angoisse de ma soumise dans sa cage monter.... En enfonçant un plug entre les fesses de Sandrine, cette soumise réagit comme un jeune soldat avec son sexe qui se met au garde à vous ... "Oh soumise, ainsi tu as pas appris que tu peux bander que sur commande !" "Allez à plat ventre sur la table gynécologique !" Je prends un paddle et lui administre une première série des fessées ponctuées par des gémissements suivis par des cris lorsque je saisis la chaîne entre ses seins et tira dessus. "Relève -toi maintenant", ses jambes trembles sous l'excitation mais aussi par rapport à la position qu'elle a eu sur la table. "Mets tes mains derrière-le dos" j'en profite pour les mettre une paire de menottes et avec les mains derrière son dos, je lui caresse son bas ventre et son garde à vous se redressa instinctivement, la chaîne retira les pinces et un nouveau cri raisonna dans le donjon. Ayant envie d'une pause, je m'assieds sur mon trône en admirant mes soumises, Sandrine est un penaude avec ses fesses rouges écarlates, ses mains entravées dans le dos et ses haut-talons deviennent bien inconfortable en restant debout au milieu de la pièce quant à la soumise en cage, elle commence à comprendre que la séance que je lui réserve lorsque j'en aurai fini avec Sandrine va être terrible, elle va vite regretter sa jalousie et d'être venue si tôt. "Bien soumise, tu vas me démontrer que tu sais marcher avec tes talons, les mains dans le dos et le plug restant entre tes fesses !" après lui avoir passer un collier de chien et une chaîne, je la promène dans la pièce et profite d'en faire profiter la soumise en cage en disant " comme tu es mignonne soumise, tu marches comme une reine avec tes talons, je sens que tu vas devenir une habituée de mon donjon... je pourrais même imaginer te faire porter un autre collier de soumise personnelle..." la cage commençait à beaucoup bouger, la jalousie fait son chemin et plouc le plug tombe sur le carrelage. "Alors soumise, tu sers pas assez les fesses ? " "viens par là " couche-toi sur le dos. là sur le tapis pour qu'elle puisse juste pas te voir mais imaginer ce que je vais te faire... La position est très inconfortable avec les mains derrière le dos, le corps qui écrase les bras. "Allonge bien tes jambes !" et en caressant son sexe, un nouveau garde-à-vous fait remonter le vinyle. "Alors tu as encore pas compris que c'est moi qui te permet ou pas de bander alors, on va voir si tu sais résister à la tentation ou pas. !" en relevant le pan de sa robe, je caresse son sexe et lui passe un préservatif qui accentue son excitation, son sexe tremble de désir et en m'empalant sur son pénis qui entre lentement dans mon anus, j'en profite pour lui apporter le coup que j'attendais depuis un moment "si tu éjacules sans que je te l'ordonne, je te ferai boire ton sperme !" je sens son excitation monter et son corps se contacter pour éviter le pire. En lui souriant, je retire la première pince, un cri déchira l'endroit, à la 2ème pince enlevée, son corps se mit à trembler comme une feuille, dans un râle de plaisir je sens sa queue vibrer de plaisir, ses fesses se soulèvent tant sa jouissance est forte, son corps vibre de partout, le plaisir fait bientôt place à la plénitude, le corps se calme, j'entends la cage remuer et je sors de ma torpeur en imaginant ma soumise folle de jalousie, que c'était bon... "Alors soumise, osais-tu éjaculer sans mon ordre ?" oh son visage devient bien vite grave, tout de suite elle a compris ce qui va lui arriver... "Comme promis, tu vas pouvoir boire ton sperme encore tout chaud..." en me retirant avec délicatesse et en tenant la base du préservatif, je fais attention de pas perdre une seule goutte de son importante éjaculation "Ouvre bien grand la bouche soumise pour déguster ton dessert... sous une grimace, ses lèvres s'ouvrirent "Déguste ma belle...." Juin 2016 Maîtresse Galliane
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Par : le 06/10/15
Alors oui, le titre est probablement mal choisi à vue de nez, mais il ne l'est pas. Je me suis trouvé le courage de raconter une petite histoire. Histoire vraie, dont je modifierai juste les prénoms à simple fin de respect de la vie privée, forcément.J'indique dans mon profil que mes premières grandes expériences avec le ligotage sont arrivées avec le judo, mais j'étais resté assez vague en la matière. Je vais donc raconter la première expérience qui m'a le plus frappé.C'était il y a presque 20 ans (... 20 ans, put*** !), j'avais 12-13 ans, j'étais un jeune collégien qui collectionnait les heures de colle. Des amis de famille avaient récemment déménagé dans ma ville, et leur père, en plus de pratiquer un métier lié à la justice, était également à la tête de l'association de judo. D'ailleurs toute la famille pratiquait le judo, à des niveaux divers et variés. Ma mère avait jugé bon de canaliser ma bougeotte en m'inscrivant aux cours de judo, ce que j'acceptais de bon coeur : il y avait mes amis de famille. De quoi mettre le bazar encore plus! Un ou deux mois passèrent, je faisais mes heures de judo chaque weekend, sans broncher, jusqu'à ce qu'arrive un changement d'horaire pour la tranche de mon âge : désormais, ça aurait lieu en milieu d'après midi. Qu'à cela ne tienne : la famille d'amis habitant à 5 minutes chrono de la salle louée pour le judo et vu que la banlieue était très mal desservie par le bus (1 toutes les 1h30, en moyenne), on s'est vite adaptés avec le copain : j'arrivais vers midi et demi, on passait une bonne partie de l'après midi sur les jeux vidéos, puis on enchaînait sur le judo, de nouveau sur les jeux vidéos et je rentrais en début de soirée. Facile.Jusqu'à ce qu'un beau jour de fin novembre... (ouais désolé, l'intro était super longue... on arrive au meilleur, promis)Moi et mon ami Alex (même âge), on était tranquillement installés dans sa chambre, à sociabiliser et partager un franc moment de camaraderie et d'amitié virile (comprendre : se tatanner la tronche) autour de Street Fighter 2. Nous étions très concentrés. Moi surtout, étant donné que je n'avais pas l'aisance de mon ami. Hop les quarts de cercle, les demi-tours, les prises et autres Hadouken. J'étais parti sur une belle combinaison de coups, jusqu'à ce qu'un cri horrible et inhumain me perce les tympans."BOUUUUH !!"Suivi d'un éclat de rire qui s'éloignait. C'était la petite soeur Aurore, âgée de 10 ans, qui n'avait rien trouvé de mieux à faire qu'ouvrir la porte et hurler pour nous déconcentrer. Cette petite peste avait réussi son coup, et ça m'avait coûté la victoire. Pas grave, ça ne faisait qu'une défaite de plus : mon ami me menait quelque chose comme 26-2, le score était donc très serré. Nous avons donc continué à jouer, j'étais décidé à prendre une 3ème victoire.Environ 30 minutes passèrent. Et là, vous le devinez, bande de galopins : Aurore revint pousser un autre "BOOOUUUUH !!", et elle partit en riant. Elle le refit d'ailleurs encore deux ou trois fois, toujours avec environ une trentaine de minutes entre chaque cri, jusqu'à ce que mon ami Alex, excédé, se lève du canapé et crie dans le couloir.- "Aurore ! T'arrêtes ou j'vais t'attacher ! T'es prévenue !" cria donc AlexJe haussais les épaules, mais j'étais perplexe. Je me demandais s'il était sérieux ou non. Cela dit, ma barre de vie qui descendait à grande vitesse me força à me concentrer à nouveau sur nos joutes de Street Fighter. Le temps passa. Un coup d'oeil au réveil à côté du lit. Je notais mentalement que les 30 minutes d'intervalles étaient plus que passées. La menace était passée, semblait il.... Et là, je vous vois hausser un sourcil : vous avez compris:Elle était simplement décalée dans son "BOUH". Environ 45 minutes plus tard, elle revint pousser son fameux cri.Ni une ni deux, mon ami mit le jeu en pause et se leva. "Ramène-toi", me dit-il. Nous allâmes dans la chambre d'Aurore, qui gloussait encore. Aussitôt, Alex attrapa sa soeur, et il la bloqua sur le lit. Je ne savais pas trop quoi faire. Mais elle, elle continuait à rire."Hé ! Ouvre la porte de droite du placard, y'a un gros sac Leclerc. Vide le à côté de moi." me dit Alex.Je fis ce qu'il me demandait, et je vidais le sac... un sac rempli de ceintures de judo. Très souples, de toutes les couleurs ou presque, c'était le trésor de guerre de la famille, et il y en avait en très grande quantité vu que la famille entière faisait du judo. A vue de nez, et sans exagérer, il y avait une bonne trentaine de ceintures. Alex se saisit d'une première ceinture, et il se dépêcha de ligoter les poignets d'Aurore dans le dos. Elle semblait se laisser faire, et elle gloussait toujours. 'T'attends quoi ? Attache lui les jambes !" me dit Alex."H-Hein quoi ?! Mais... Mais non enfin !" répondis-je. Oui, je feignais ne pas apprécier ce que je voyais. Mais au fond, j'étais fasciné par la vision de cette jeune fille qui devenait femme, aux seins naissants, les bras ligotés dans le dos, les coudes également, d'autres liens improvisés lui bloquant les bras au niveau du ventre, de la cage thoracique..."Mais si ! Allez ! Ca lui servira de leçon !" me dit Alex, me sortant de mes réflexions.Alors, je pris une ceinture de judo, et attrapait les chevilles d'Aurore. Elle les remuait, mais sans la moindre force : aussitôt que la ceinture se serra autour des chevilles, elle arrêta de gigoter et me laissa accomplir mon oeuvre. Très vite, les chevilles furent ligotées par deux ceintures de judo, en deux points différents. J'en rajoutai une au dessus des genoux. Alex se retira, moi également. Aurore était allongée sur son lit, sur le ventre, ligotée avec à vue de nez une bonne dizaine de ceintures. Elle gloussait encore, et gigotait très gentiment. Là, Alex se saisit d'une ceinture de judo, fit plusieurs noeuds afin d'en former un gros, puis l'enfonça dans la bouche d'Aurore, et il serra le baillon improvisé dans la nuque."Voilà ! Ca te servira de leçon !" dit Alex en souriant."Mmmnnnn!! MMPH !" répondit Aurore. Elle riait encore. Visiblement, ça ne la dérangeait pas le moins du monde. Là, elle se mit à se débattre, tantôt énergiquement, tantôt plus mollement, ses doigts tentant d'atteindre les noeuds. Je n'eu pas le plaisir d'observer plus longuement Aurore se débattre dans ses liens, car Alex m'invita à poursuivre nos parties de Street Fighter. Je jouais encore plus mal qu'à mon habitude, et ce n'était pas difficile de deviner pourquoi j'étais si peu concentré.Finalement, quelques minutes plus tard, Aurore entra dans la chambre d'Alex... en se tortillant comme un ver. Elle invectiva Alex, mais je ne comprenais pas trop ce qu'elle disait. Et il l'ignora proprement. Par contre, le réveil se mit à sonner, nous indiquant qu'il fallait mettre fin à nos jeux vidéos pour aller en cours de judo. Alex détacha sa petite soeur. Je n'osais pas trop quoi faire, troublé. Mais finalement, j'ai commenté un peu la situation. Brièvement."Tu vois ! Si tu nous emmerdes pendant qu'on joue, ben tu finiras encore comme ça !"Aurore me tira la langue et ria. Puis, quelques minutes plus tard, alors que mon ami et moi partions, elle passa à côté de moi et chuchota "Bouh !", tout en faisant semblant de ne rien avoir dit ni fait.Et autant le dire, ça n'était pas la dernière fois qu'elle me dirait "Bouh" pour m'embêter. Et ça ne serait pas la dernière fois que moi, j'allais la ligoter. Mais ça, c'est une autre histoire !
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Par : le 05/10/15
Monsieur, hier vous avez changé le ton de nos échanges, plus de fermeté, plus de contrôle, une emprise naissante destinée à croître jusqu'à notre rencontre de lundi. Cette rencontre, vous l'avez imaginée, et décidée dans ses moindres détails. Ainsi, je devrais vous attendre à 22h30 ce soir là au bord d une route. J'aurais roulée depuis 1h30, pluguee selon vos consignes et peu vêtue. Je porterai ce collant destiné à être déchiré pour vous laisser accéder à votre guise aux orifices que vous convoiterez comme il vous plaira. Je m'engage ici Monsieur à accepter d'être traitée selon vos désirs les plus vils: à être fessée comme une petite indisciplinee en culotte de coton; à être souillée de salive, de sperme, de cyprine; à être immobilisée de vos mains et de vos liens; et à livrer mon corps tout entier à vos assauts, sans retenue. Vous savez combien l'idée de me tenir offerte me trouble, et la manière dont mon sexe s'exprime déjà en imaginant que vous disposerez pleinement de ma bouche, de mon sexe et de mon cul. Consciente que tout écart de conduite sera sanctionné, je recevrai vos mains, votre cravache, ou votre martinet, dans un silence volontaire ou forcé par le baillon dont vous m avez parlé. Je vous l'ai dit Monsieur, je suis prête à obéir sans réfléchir. Guidez moi vers cet abandon, rendez moi indécente, aidez moi à plier à vos contraintes.7 En attendant cette nuit durant laquelle je ne serai rien d autre que votre petite chose, vous allez prendre le contrôle, mon contrôle. Céder à votre emprise me bouscule et pourtant j'ai juste envie de me laisser aller à devenir soumise, votre soumise. L.
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Par : le 11/09/15
Dans la semaine, je louais un gite en pleine campagne bourguignonne et envoyait le mail suivant : « G., Prévoit de te libérer le week-end prochain du Vendredi au Dimanche soir. Tu prendras le train pour Beaune. Je t’attendrais Vendredi à la gare à 20h30. Tu n ‘emportes avec toi que le minimum. » J’aurais pu l’amener en voiture mais je souhaitais qu’elle fasse elle-même la démarche de venir à moi. Le vendredi nous nous retrouvâmes comme convenu. Elle me salua civilement sur le quai de la gare mais une fois dans la voiture, je lui tendis ma main sur laquelle ses lèvres se posèrent, tandis que ses yeux levés au-dessus de ses lunettes vinrent à la rencontre des miens : la première fois que nous échangions un regard alors que chacun prenait sa position. Comment ce simple regard pouvait nous en dire autant sur l’autre ? Comment nous permettait-il de nous ouvrir, aussi profondément, à l’autre sans que nous soyons d’ailleurs en mesure d’exprimer la teneur de ce que nous avions échangé ? Je ne saurais le dire, mais d’innombrables fois la rencontre de nos yeux me bouleversa au plus point. Nous n’échangeâmes guère durant le trajet. Je la sentais un peu inquiète mais ne fit rien pour la rassurer. Arrivés au gite, je lui demandais de rester dans la voiture pendant que j’installais nos affaires. Je retournais à la voiture, lui ouvrit la porte et lui prit la main pour la faire descendre. Dans l’entrée je lui demandais d’ôter sa culotte. Je vis son visage rougir quelque peu alors qu’elle s’exécutait. Comme j’aimais ce contraste entre sa réserve, sa retenue, sa pudeur et sa propension à aller au bout de ses envies, de concrétiser ses désirs ! Nous rentrâmes dans la pièce principale où j’avais préparé à manger. Je m’assis à table en face d’une assiette, elle fit de même, à côté de moi. Je lui demandais de se relever. Elle s’étonna. « Je ne crois pas t’avoir permis de t’asseoir. Je ne souhaite pas que tu prennes la moindre initiative sans m’en demander l’autorisation. Est-ce bien compris ? » « Oui Maitre ». Je lui donnais l’ordre de s’asseoir après avoir relevé jusqu’à la ceinture, sa charmante robe d’été. Elle s’assit et posa les mains sur la table de part et d’autre de son assiette bien sagement mais le derrière à l’air. Elle paraissait sérieuse, naturelle et quiconque l’aurait vu ainsi, n’aurait pu dire qu’elle jouait un rôle. Elle ne jouait pas. Je comprenais qu’elle était elle-même en agissant ainsi. Elle me regarda commencer à manger sans bouger et je vis qu’elle attendait un signe de ma part pour en faire de même. Un sourire, un hochement de tête et elle entama son repas. Nous n’avions pas eu besoin de parler pour nous comprendre et je sentais que la complicité qui s’était déjà installée entre nous, prendre encore un peu plus corps. J’entamais la discussion sur des sujets aussi communs que l’entreprise dans laquelle nous travaillions, nos loisirs respectifs, nos opinions sur quelques sujets d’actualité bref nous apprenions à nous connaître. Nous nous découvrions des intérêts communs, des divergences de point de vue mais surtout nous avions soif de nous découvrir mutuellement, au-delà de la position dans laquelle chacun se situait. Je sentais qu’il nous fallait nous connaître bien mieux pour nous évader ensemble vers les terrains que nous avions déjà un peu explorés. Bien qu’elle fut absorbée – tout comme moi – par notre conversation, elle n’en était pas moins attentive à certains détails et je fus saisi lorsque, ayant vidé mon verre de Monthélie, elle le remplit avec délicatesse tout en m’adressant le plus beau des sourires. Comment, après une telle œillade, pourrais-je lui faire subir les tourments, les humiliations auxquels j’avais pensé en préparant notre week-end ? Lorsque je parti chercher le dessert, elle se leva dans le même élan en restant debout devant sa chaise. Au moment où je me rassis, elle troussa sa robe et m'imita. Le doute qui venait de me saisir s’effaça, devant son attitude qui me rappelait la position qu’elle voulait prendre et par conséquent celle qui devait être la mienne. A la fin du repas, je lui demandais de se lever et de m’attendre jambes écartées, les mains dans le dos, tournée vers le salon afin qu’elle ne puisse me voir. Je rangeais tranquillement les restes du repas, fit la vaisselle tout en jetant un œil à la belle qui patiemment m’attendait. Je m’approchais d’elle, posa mes mains sur ses épaules et fermement la guida vers la chambre. Lorsqu’elle y pénétra, je la sentis se raidir à la vue des quelques objets que j’avais négligemment et volontairement abandonnés sur la commode : cordes, cravaches, baillons, bracelets de cuirs, cagoule, … et quelques accessoires à usage plus … interne. Sans protocole je lui demandais : « Déshabille-toi ». Elle s’exécuta sans presque me lâcher du regard sans doute pour apprécier ma réaction pendant son effeuillage. Mon ton avait changé, mon attitude également et mon envie était maintenant de lui faire comprendre que je la maitrisais, que je prenais possession d’elle. Je la poussais sur le lit, saisis une de ses chevilles et y fixa un des bracelets de cuir. J’en fis de même pour son autre cheville et ses poignets. Elle se laissait faire mais je sentais de l’inquiétude dans ses yeux. J’avais préparé à chaque pied du lit une corde à laquelle je fixais les anneaux des bracelets et elle se retrouva immobilisée, bras et jambes écartés, entièrement à ma merci. Elle ne me quitta pas des yeux alors que je l’attachais comme si elle avait cherché à ce que je la rassure du regard mais j’œuvrais sans m’occuper d’elle. Allongé à ces côtés, je commençais à la caresser. Son visage, ses bras, ses flancs, ses jambes … en évitant les zones sensibles qui auraient pu lui faire penser qu’elle n’était là que pour son plaisir. Je vis ses yeux se clore et de son visage disparaître l’inquiétude qu’elle avait laissé percevoir. Je me plaçais en bout de lit et attrapa un des instruments sur la commode. Face à elle, cravache en main je devais surement lui paraitre un peu menaçant. Le bout de la cravache parcouru lentement son corps, d’abord son pied, sa cheville, monta le long de son mollet, de sa cuisse, passa sur l’aine, sur son ventre, entre ses seins, glissa sur sa gorge alors qu’elle penchait sa tête en arrière et s’arrêta sur le menton. L’angoisse qui était réapparu au moment où je me présentais instrument en main semblait s’être dissoute sous l’effet sensuel du frôlement. Elle avait fermé les yeux pour mieux gouter à la caresse mais les rouvrit lorsque le bout en cuir s’était arrêté. La cravache redescendit et frottai doucement son ventre en dessous du nombril. Je commençai quelques tapes réparties équitablement sur la zone. Graduellement j’augmentai l’intensité des frappes. Sa peau prenait peu à peu une teinte rosée et sa respiration, maintenant sonore, se synchronisait au rythme de ma main. J’interrompais son tourment et elle posa sur moi des yeux interrogateurs alors que ma main se levait bien haut. La cravache s’abattit avec force sur son ventre et elle émis un souffle rauque comme pour expulser la douleur dont elle venait d’être l’objet. Les coups qui suivirent zébraient son épiderme de jolis traits rougeâtres. Son visage était contracté, barré de petit rictus, son souffle court et haché par chaque impact. Son bassin se soulevait comme pour aller au-devant des coups, pour mieux les accueillir. Ses cuisses s’écartaient encore un peu plus que ne l’imposaient les liens et de son sillon rose perlaient quelques gouttes. J’avais changé de position pour mieux atteindre ma nouvelle cible et reprenait par de légers tapotements en atteignant son pubis, son entrecuisse offerte. Les tapotements s’accentuèrent, devinrent secs, pour finirent pas être plutôt rudes compte tenu de l’endroit où ils s’abattaient. Si elle avait apprécié le début de ce nouveau tourment, elle se débattait maintenant à chaque frappe. Ses yeux grands ouverts me suppliaient et elle aurait pu me demander d’arrêter mais aucune supplique ne sortait de sa bouche, comme si son corps n’en pouvait plus mais que son esprit se refusait à arrêter son supplice et appelait même à le poursuivre. J’interrompais mes gestes et vint me blottir à son côté. Ma main caressa les endroits meurtris, apprécia les marques qu’avait laissé la cravache. Les yeux dans les yeux, sans un mot, nous communiquions : elle me disait ses tourments, sa fierté de s’être donné, je lui disais mes doutes de lui avoir infligé cela, elle me rétorquait son plaisir et par là-même m’insufflait une nouvelle confiance en moi. Mes doigts descendirent sur son sexe, s’insinuèrent en elle, ses hanches ondulèrent pour mieux me laisser entrer. L’oreille collée à sa bouche, j’entendais, je sentais même vibrer, chacun de ces souffles. Elle m’offrit le plus merveilleux des tremblements.
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Par : le 23/08/15
A nouvelle désobéissance de ta part égal nouvelle punition c est ainsi que je te l annonce car je te soupçonne une fois de plus de chercher à te faire punir , ton amour de la fessée n y est sans doute pas étranger. Pourtant tu sais très bien que tu n as pas besoin de me désobéir pour en obtenir une mais il est vrai que ça fait bien une semaine que tu n en as pas reçu. Tu es là dans la chambre à genoux nue devant moi la tête et les yeux baissés me demandant de te punir pour ta faute , et comme je ne réponds rien tu insistes en prenant une petite voix presque enfantine , tu sais que cela me fait craquer mais non pas ce soir car je suis vraiment fâché contre toi , tu insistes de nouveau et je te coupe sèchement d un tais toi et ne bouge pas . Puis d une voix calme mais dure je t ai dis qu une punition oui tu vas en avoir une car tu la mérite vraiment mais ce ne sera pas forcément celle a laquelle tu penses et c est toi même qui va la choisir ... petit silence puis jai continué ... ne t emballe surtout pas trop vite attends moi je reviens te chercher mais avant je vais te bander les yeux et t attacher . Je me suis saisi de menottes et cordes et t ai attaché les mains dans le dos que jai relié à tes pieds le tout bien serré que tu ne puisses esquisser le moindre mouvement puis tai bandé les yeux et tai mis le baillon avec la boule dans la bouche , je sais ta position inconfortable au possible mais c est aussi le but et avant de sortir de la chambre jai pris tous les objets et autres ustensiles servant à nos petits jeux et toujours sans un mot j ai quitté la pièce en refermant fermement la porte derrière moi. Une fois dans le salon j ai déposé tous nos objets de plaisir sur la table les alignant les uns a coté des autres , c est fou comme on en a c est bien là que je m en rends compte , entre les martinets , fouets , badines , paddles , pinces en tout genre , plus ceux que j ai bricolé moi même , la table ne suffirait pas si je devais y ajouter tous tes godes et autres vibro , mais non pas de ça ce soir car c est bien une punition et non un moment de plaisir que je vais t infliger. Puis j ai pris des feuilles de papier que j ai découpé en petits carrés sur lesquels j ai écrit des numéros .... vu notre attirail le dernier chiffre a été le 19 , et ensuite j ai déposé chaque numéro devant chaque objet . Je n ai pu m empêcher de prendre des photos , sourire bien accroché aux lèvres , oui j étais content de mon imagination. Puis en faisant un maximum de bruit afin que tu t en rende compte je suis sorti faire un tour te laissant seule et sûrement déjà cogitant sur ce qui t attendait je le savais que trop bien , ton supplice commençait déjà. Une heure plus tard et de retour je suis venu te chercher et après t avoir détaché et enlevé ton baillon mais te laissant ton bandeau je t ai relevé sans ménagement t ai de nouveau attaché les mains dans le dos et t ai ordonné de ne parler que lorsque je te le demanderai. Tu avais du mal à marcher car tes muscles étaient encore ankylosés à cause de la position dans laquelle je t avais laissé si longtemps mais je n en ai pas fais cas et te saisissant par le bras t ai obligé a avancer. Une fois dans le salon et après de longues minutes de silence je t ai demandé de choisir un numéro entre 1 et 19 , rien de plus. Tu as choisis le 5 , très bon choix t ai je dit avec un rire moqueur , tu viens de choisir sans le savoir l un des objets que tu déteste le plus , je n ai eu de ta part qu un petit gémissement comme réponse. Tu ne pouvais le savoir mais c était la cravache que j avais bricolé et qui à chaque coup te faisait sursauter et gémir de douleur . Puis je t ai demandé de choisir un nombre entre 50 et 100. Tu as mis une longue minute avant de me dire 69 , hum petite coquine si tu savais ce qui t attend ... J ai moi aussi pris mon temps , de longues minutes avant de te dire que tu venais de choisir la cravache que tu déteste tant et que tu allais recevoir 69 coups de celle-ci mais qu en plus tu allais en même temps devoir compter les coups à voix haute et me remercier de ceux-ci et que si jamais tu te trompais ou oubliais de me remercier le compteur repartirait à zéro. Après t avoir fait mettre en position et t avoir posé une barre d écartement ouverte au maximum entre tes jambes j ai commencé a porter mes coups ne les espaçant que de quelques trente secondes entre chaque afin que tu puisses bien en ressentir l intensité mais aussi l appréhension de celui qui allait suivre . Tu as beaucoup gémis , pleuré et même crié de douleur mais jamais tu n as jamais utilisé ton safeword ni même m implorer alors que je te le demandais. Une fois ta punition finie je t ai détachée et prise dans mes bras et ce n est qu après quelques baisers que je t ai dit avoir été fier de ta force de caractère de n avoir point cédé et que tu étais pardonné mais que la prochaine fois se serait pire encore. Tu m as remercié de t avoir puni de cette façon qui bien que très dure et très douloureuse t avais bien fait comprendre qu il y avait certaines limites que tu ne dépasserait plus désormais , tu as ajouté savoir l avoir bien mérité et t excusais encore une fois d avoir fauté si gravement ...
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Par : le 05/06/15
Le début de soirée est plus calme qu'à l'accoutume... Rien à préparer ou presque... Dehors, il tombe des cordes et demain matin, le réveil est bâillonné. Alors que le repas est pratiquement prêt, Il invite sa Douce à prendre l'apéro avec Lui. Moment agréable qu'ils ne peuvent savourer tous les jours à cause du rythme effréné, mais ils le dégustent avec plaisir... Sur le point de mettre la table, Il se léve et pose ses mains autour du cou de son Coeur. Joignant le geste à la parole «A partir de maintenant, tu es ma soumise jusqu'à ce que je te retire ce collier» - Non! - Inutile de te débattre, c'est ainsi ou tu t'en prends une. - Non!» Elle se débat, mais deux violentes frappes s'abattent sur ses fesses. Il se surprend presqu'à les avoir envoyées aussi fortes, mais il existe un Mot pour arrêter.... le reste, c'est de la rébellion. Une fois calmée, Il enchaine «Je te veux en tenue, jupe et tes bracelets.» Pas un mot ne sort tandis qu'elle va chercher ses affaires... A son retour, elle est comme Il veut, ravissante, même si elle n'est pas tout à fait à l'aise. Pendant qu'Il lui enfile les bracelets aux poignets et aux chevilles, Il lui détaille le programme à venir et s'assied à table. En la menottant les mains devant, Il lui ordonnede Le servir et la laisse s'aloigner dans la cuisine. A son retour, Il l'attend, mais ne fait rien pendant qu'elle pose l'assiette devant Lui. Puis, elle pose la sienne sur une chaise qu'Il lui désigne, à sa droite et mange ainsi à genoux. Des caresses lui sont posées sur sa tête, elle répond docilement... Le plat suivant est différent. Il l'attend, cravache à la main. Il l'arrête. Elle a toujours les assiettes en main quand Il lui soulève sa jupe. Du bout de la cravache, Il lui donne une petite frappe sèche sur la cuisse, puis une autre et une autre sur le sexe. Chaque frappe la fait sursauter plus ou moins discrètement suivant la puissance de la cravache. Par ses sautillements et ses plaintes de douleur, elle L'excite, bien plus vite qu'Il ne l'avait envisagé, mais Il continue. Quand le rouge clair s'installe sur ses cuisses, Il la laisse servir et poursuivre le repas avec Lui. Pas une plainte n'est émise, juste des gémissements de plaisir quand Il la caresse entre 2 fourchettes. Il sent que quelque chose cloche, Il ne la sent pas aussi libre que d'habitude. Aussi, Lui commande-t-il d'apporter la suite. Quand elle revient, Il l'attend avec des cordes. «C'est Moi que tu dois regarder et veiller à ce que tout se passe bien. Concentre-toi sur Moi, et uniquement Moi. Tout se passera bien et au mieux si tu ne considères que Moi.» A ces mots, Il la ligote rapidement et la fait poser sur la table, exposée, offerte à sa vue, bandée et bâillonnée. Il déguste ainsi la suite de son repas avec le meilleur ornement de table qu'Il puisse avoir, sa soumise. Docilement, elle se laisse admirer. Elle est magnifique, les cordes mettent en valeur tout son corps qu'Il a hâte d'en jouir.... «Passons au dessert!» Il la fait descendre de la table et, en lui retirant sa jupe, lui murmure: «Je veux mon dessert à point, prépare-toi» Il lui laisse les mains menottées et la fait asseoir dans le canapé. Ses mains guident les siennes vers sa chatte qui manifestement a aussi faim de dessert... Puis s'installant devant elle, « Je te regarde, applique-toi et tu auras une récompense...» Ses doigts s'agitent aussitôt sur un sexe en manque et des gémissements se font entendre. Plutot discrets, ils deviennent de plus en plus insistant, mais ce n'est pas assez. Un coup de martinet lui ordonne de donner plus de vigueur à cette masturbation. Un deuxième s'abat pour lâcher un cri à travers le bâillon. Ce n'est toujours pas assez. Sa soumise peut mieux faire et c'est une pince qui est posée sur un sein juste après un autre claquement, puis un autre et une pince est apposé sur l'autre sein … «Jouis pour Moi, c'est trop long! Tu devrais déjà être en train de voyager!» La pluie de coups de martinet reprend de plus belle et des claque s'abattent sur les seins. Soudain, elle se crispe d'une force incroyable en lâchant un râle de plaisir que le baillon ne peut bloquer. Son corps ondule par violent a coups, torturé par le puissant orgasme qu'elle vient de déclencher en elle. Sans attendre qu'elle en soit totalement remise, Il la retourne et se place derrière elle pour la saisir brutalement. Son sexe déjà durement raide disparaît en elle d'un coup, mais les puissants aller-retours qu'Il lui fait subir ont immédiatement raison de son Plaisir et d'autres orgasmes suivent aussitôt. Elle perd pied et tout contrôle tandis qu'Il la prend en possession. S'aidant des cordes pour mieux se loger profondément en elle, Il ne retient pas non plus des soupirs de plaisir, accompagné par ceux de sa soumise... Enfin, Son corps se met aussitôt à entrer en transe pour se crisper soudainement violemment. Ca n'en finit plus, tous Ses muscles ne veulent se relâcher suite à ce fabuleux orgasme.... Puis, se retirant doucement, Il la libère de ses contraintes et, avant de la débâillonner, Il lui glisse: «Ce soir, on est club. Tu auras ton collier.» Le ton est donné...
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Par : le 22/04/15
...Maintenant qu’elle connait les bases. Je lui enfile un imper cachant sa semi nudité et nous sortons de l’appart direction la cave.C’est une petite cave, comme celle de tous les habitants de mon immeuble. Elles sont accolé les unes aux autres.Et c’est ce que je trouve excitant.Il y fait sombre, froid et humide.Je sens la peur et l’excitation monté en elle.J’ouvre la porte en bois qui grince et la fait pénétrer dans la cave. Rien ne la distingue aux autres caves de toutes les copropriétés du monde et c’est en cela que c’est intéressant.Je la laisse rentrer et avant de refermer la porte, je jette un coup d’œil à la multitude de porte fermer et laisse, le temps d’un battement de cœur, mon imagination fantasmer sur le secret qu’elle renferme et toute les possibles soumises, esclaves, petgirls et autres prisonnières qu’elle pourraient renfermer à l’insu de tous les habitants…haaaalala…Sortie de ma rêverie, je lui dis que c’est ici qu’elle risque de passer beaucoup de temps si elle n’est pas sage…Ou si j’en ai envie…Et pour joindre le geste à la parole, je lui ordonne de se déshabiller. Elle s’exécute, ses seins pointe, due au froid et à l’excitation.Je lui ordonne de pousser les quelques affaires contre le mur de droite.Elle obéie et découvre ainsi les cordes et attaches que j’ai fixé au mur ainsi qu’un collier, une chaine, un bol et un seau.Je lui dis de se retourner et de se mettre à genoux.Une fois fait je lui tire les cheveux en arrière et m’introduit de force dans sa bouche.Elle s’étouffe mais n’essaye pas de se retiré, elle a déjà de bon réflexe.Zut j’aurais aimé la punir pour un réflexe d’auto défense mais son maitre d’origine la bien dresser, bah ce n’est pas grave.Je profite de sa bouche pulpeuse et sensuelle tout en lui expliquant a quoi tout sert, les différentes choses et pratique en cours dans cette cave et les conditions d’utilisation des objets ici (que je ne décrirais pas ici…allons, allons, chacun ses petits secrets ^_^ seul ceux qui testent savent ma cave et souvent ouverte )Au moment de sortir je lui dit de me tendre ses poignets. Je les attaches alors l’un a l’autre et une chaine les relies au mur. La voilà attacher dans cette cave sombre. Je lui dis que des gens peuvent venir, qu’elle ne doit pas faire de bruit ni révéler sa présence sous peine de gros ennui.Puis pour m’en assurer je sors un rouleau de scotch marron que je lui colle sur la bouche.Sa respiration se fait rapide. Sa poitrine monte et descend de plus en plus vite, ses mamelons tendent à leur maximum, ses fesses révèlent un grain de peau et une chair de poule ma fois fort excitante. Son regard est effrayer et en même temps remplie de reconnaissance.J’adore ça.Chaque détail de son corps restera a jamais dans ma mémoire. J’aime ce que je déclenche chez mes soumises et le contrôle que j’ai dessus.C’est un bonheur que de vivre une domination.Je m’en vais en éteignant la lumière, refermant la porte de bois légère qui mènent au couloir d’accès des caves. Et la laisse ainsi, nue, attachée, bâillonnée dans le froid, l’humidité et le noir seule. Je claque la lourde porte en métal qui mène a se couloir.Et je l’imagine terroriser et exciter par cette situation.Elle imagine que cela va durer des heures.En réalité elle n’y restera que quelques minutes mais pour elle cela aura duré une éternité.(Bien entendu je ne pars pas vraiment et sa sécurité est ma priorité, je reste devant la porte en fer qui mène au cave, au cas où, un voisin viendrais chercher quelque chose. Je lui ai laissé un téléphone portable avec mon numéro en priorité. Elle n’a qu’à appuyer sur le bouton appeler , car même si ses poignets son attacher, ses mains sont libre et a l’instant même où je recevrais son appel d’urgence sur mon téléphone. Je foncerais la délivrer. Je me suis entrainé au cas où, il me faut moins d’une minute pour la rejoindre et la délivré. Je préfère préciser et « casser » un peu le récit mais m’assuré que si quelqu’un s’en inspire, il comprenne bien que la sécurité est primordiale, indispensable et indissociable du rôle de maitre et que je ne fais pas cela au hasard)Au bout de quelque minutes j’ouvre la porte en fer et rentre dans le couloir mais au lieu d’aller à ma cave je fais comme si c’était un voisin qui venait voir la sienne pour rajouter a son stress et a son excitation.Je passe exprès devant ma cave plusieurs fois.J’entends un léger mais vraiment très léger bruit de chaine.Je fais mine de m’arrêter devant ma cave et d’écouter.Je l’imagine dans le noir, transie de peur d’être découverte, nu, attaché, humilié.Elle est dans le noir mais le couloir est éclairer et je sais qu’elle voit mon ombre qui se découpe dans la lumière qui éclaire sous la porte. Je l’imagine se recroquevillant, retenant son souffle afin de faire le moins de bruit possible pour ne pas être découverte.Quelques secondes passent puis je fais semblant de continuer mon chemin.Je repars et fait exprès de claquer la porte en fer.La lumière du couloir s’éteint à nouveau.J’attends encore quelque minutes et finalement rentre pour la délivrée.Lorsque j’ouvre la porte, elle est là dans un coin, rouler en boule, ses yeux exorbiter dans une expression de peur et d’inquiétude. Lorsqu’elle s’aperçoit que c’est moi, elle se rue à mes pieds en rampant toute heureuse.Je lis la gratitude et le soulagement dans ses yeux….comme j’adore ce moment.Je la prends dans mes bras pour la calmer, lui enlève son scotch et lui demande si elle est heureuse de me voir ?Elle me répond que oui.Alors je lui demande de le prouver et de se retourner pour me recevoir.Je n’ai pas fini de le dire qu’elle se retourne se met a 4 pattes et tant son cul vers moi.Je sors mon sexe et lui met en elle, fort, à fond, d’un seul coup.Elle crie, je lui mets ma main devant sa bouche pour qu’elle ne fasse pas de bruit. Elle hurle dans ma main sous mes coups de rein.Elle est toujours attachée ses mains jointes au mur.Ses chaines claques contre le sol à chaque balancement de son bassin.Je prends un morceau de scotch et je lui remets sur la bouche ainsi j’ai les mains libres pour lui écarter son cul pendant que je la prends.Apres quelques vas et viens, je m’arrête et me penche sur elle, et lui susurre a l’oreille. « Attention ça va faire mal …».Elle lève des yeux apeurés vers moi.Je lui écarte son petit cul et lui crache dedans, puis je m’introduis doucement en elle.Elle lâche un petit crie sous son scotch.Cela ne m’excite que plus et je reprends mes vas et viens dans son cul, de plus en plus vite, de plus en plus fort.Elle ramène ses mains encore attaché pour les mettre sur son baillons, tirant ainsi sur ses chaines et m’excitant encore plus.Je repasse dans sa chatte et Je la pénètre violemment comme elle aime tout en lui mettant un petit doit dans son cul.D'un seul coup, pendant que je prends mon pied, on entend la porte en fer qui s’ouvre.Nous nous arrêtons, nous fixons sans un bruit, la respiration est haletante mais nous essayons de faire le moins de bruit possible.J’entends quelqu’un qui viens dans les caves.Au bruit il se dirige a l’opposé de la mienne.Moi pendant tout ce temps je n’arrête pas mes vas et viens, ils sont juste beaucoup, beaucoup plus lent, pour qu’elle me sente en elle mais qu’elle ne fasse pas de bruit.On entend la personne faire du bruit dans sa cave.Comme si il chercher quelque chose ou qu’il rangé ca cave.Je profite du bruit qu’il fait pour mettre des coups de rein plus fort à ma soumise.Je voie bien que cela l’excite et qu’elle essaye de ne pas faire de bruit, appuyant ses mains sur sa bouche par-dessus son bâillon.La voir essayer de se faire discrète malgré mon traitement m’excite.Elle essaye de ne pas crier, de ne pas faire de bruit alors moi j’y vais plus fort, et lui remet un doigt dans son cul.L’inconnue de la cave prend son temps et moi mon pied.Alors que je défonce ma soumise, je sens qu’elle se lâche inconsciemment, elle accélère le mouvement de son bassin, reculant son cul vers moi par à-coup afin de prendre son pied et d’un seul coup je l’entends pousser un cri puis un râle sous son bâillon, je la sens tressauté et tremblé et mon doigt sent son anus se contracté.Elle ose avoir un orgasme sans mon consentement !Je la laisse finir de prendre son pied, je la voie essayer de se mordre la main à travers le scotch. Elle ralentie le mouvement, petit à petit, puis se détend vers l’avant laissant mon sexe presque sorti de dedans elle et ferme les yeux lâchant un petit soupir dans la poussière.Elle oublie qui est le maitre et a de la chance qu’il y est quelqu’un pas loin mais elle ne va pas s’en tiré à si bon compte. Je m’avance vers elle afin de me pencher sur elle, rentrant mon sexe en érection dans sa chatte endolorie par l’orgasme. Elle escarbille les yeux, ne s’attendant pas à ça, je m’enfonce doucement exprès en elle, elle tourne le regard vers moi. Je lui tire les cheveux en arrière et lui chuchote a l’oreille.« Tu jouis sans mon consentement ? Tu crois que parce qu’il y a quelqu’un tu vas t’en sortir comme ça ? Tu crois que c’est fini ? C’est moi ton maitre maintenant et tu n’es rien, c’est moi qui décide ! »Elle me regarde avec ses yeux de biche triste et secoue la tête pour dire non« Bien, alors je vais continuer, car c’est moi qui décide, tu vas ramasser hein ? »Elle répond oui de la tête« C’est bien tu es une bonne petite chienne »Et je reprends de plus belle le travail que j’avais commencé, elle ferme les yeux de douleur et de plaisir.Je continue à lui susurré des mots crue a l’oreille et lui dit « peut-être que je vais aller inviter se mec à venir te punir avec moi maintenant, peut-être que je vais l’inviter à prendre son pied avec le vide couille que tu es non ? »Elle me regarde avec un mélange de crainte et d’excitation.J’entends le bruit de l’inconnue qui arrête.Nous aussi.Il ferme sa porte et s’en vas pendant que nous retenons notre souffle.Je sors brusquement de ma soumise en disant « une prochaine fois peut-être »Je la détache, lui retire son bâillon de scotch et lui ordonne de me nettoyer avec sa bouche. Elle s’exécute.Bien quand tu auras fini nous passerons a ta punition lui dis-je…Elle sourit…fin ...pour l'instant...
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Par : le 07/04/15
La soirée battait son plein, les tintements des verres se confondaient dans les rires et les exclamations de gaieté. L'ambiance était légère et chaleureuse, quelques blagues fusaient par-ci par-là dans un nuage de bonheur. La repas touchait à sa fin. Elle riait avec son amie, venue pour l'occasion de la soirée tandis qu'Il alla chercher le dessert, qu'Il avait fait quelques heures plus tôt, une mousse au chocolat. Il en profita également pour ouvrir une bouteille de Clairette. «Pourquoi tu l'ouvres? - Il n'y a pas de raison particulière, j'ai envie, et les bulles sont une bonne façon de terminer une soirée agréable, non?» Elles acquiescent, tout en sachant, comme Lui, que fin du repas ne rime pas forcément avec fin de soirée... Un sujet n'avait pas encore été abordé... … un sujet à cordes … «Hestia me disait que c'était quelque chose qui t'attirait? - Oui, ça ne me laisse pas indifférente - Tu as déjà eu l'occasion d'essayer? - Quand j'étais petite, on s'amusait avec mon frère, mais du bondage, jamais. Jamais essayé» Elle avait partagé, quelques jours plus tôt, cette envie, cet intérêt pour ces jeux de corde, avec Hestia, sa confidente. Ce fantasme l'intriguait d'autant plus qu'il lui paraissait malsain. Elle se posait des tas de questions à ce sujet, mais à qui en parler pour avoir une réponse droite, sans jugement. L'approche du sujet s'était faite progressivement. D'abord, le corset avait été essayé avec grand plaisir, puis des petites blagues et plaisanteries sur des fouets ou des martinets avaient été sorties. «Étrangement», le sourire n'avait pas été le même quand l'objet de supplice avait été sorti, en vrai! De petits détails en petites mimiques, Hestia avait remarqué l'intérêt de son amie pour le BDSM; c'est ainsi qu'elle a pu la mettre en confiance sur ce sujet et qu'elle l'a invitée pour en discuter autour d'un repas, avec son Maître. Jusqu'à présent, c'était des personnes rencontrées lors de munchs qui étaient venues; certaines avaient même tenté l'expérience des cordes; mais il est difficile de parler d'amis …. aucun ne leur a renvoyé l'ascenseur. Veroso n'a jamais bien apprécié cette attitude. Organiser des munchs est une chose; inviter des inconnus dans leur maison personnelle en est une autre.... Mais ce soir, c'était différent. Il l'avait déjà rencontrée, la connaissait un peu et elle était très amie avec Hestia. De plus, elle avait une réelle curiosité portée sur le BDSM. Ce n'était donc pas qu'une simple curieuse de passage qui était assise à leur table, mais une autre réelle passionnée, comme eux. «Pour une première, je te propose de te faire un petit cordage tout simple, pour ressentir les premiéres sensations. Est-ce que tu acceptes? - Oui - Ok, je vais chercher les cordes» Tandis qu'Il s'éloigne, Il entend les 2 amies discuter entre elles à voix basse. Un mélange d'excitation, d'appréhension et de rassurance transpire de cette petite messe basse. Ce n'est pas la première fois qu'Il encorde une autre personne que sa soumise. Il s'agissait d'invitées au munch. Cela lui faisait un peu bizarre, mais ça n'allait pas plus loin. Mais là, c'est différent... C'est son amie … Etrange malaise qu'Il ressent. Enjoué de lui faire cette démonstration, mais appréhendant un peu en même temps, pour une raison qu'Il a un peu de mal à cerner. Si... Est-ce à cause du «programme» qu'Il veut lui proposer? Il verra bien … Il a confiance en Lui et sait que, sans prétention, Il sait parfaitement se tenir et que sa soumise va également assister. Est-ce que c'est parce qu'Il va faire des gestes qu'Il fait toujours, par habitude, dans un contexte intime qu'Il le rend nerveux? Les 2 amies sont dans la pièce, souriantes, quand Il réapparait, ses sacs à la main. «Pour le premier cordage, il suffit de t'asseoir dans le canapé. Hestia, tu te mets où tu veux pour regarder». Alors qu'Il prépare sa corde, Il ressent, à contrario, une sorte de fierté et de confiance de savoir que sa soumise va le regarder faire. D'habitude, elle «subit» sans trop vraiment voir le résultat; là, elle est aux premières loges... «Tends tes jambes, cale-toi bien dans le canapé... et détends-toi» Sur ces mots, elle obéit à ses instructions tandis que Hestia s'assied à côté d'elle, l'oeil curieux et ravi de voir son Maître faire le bondage. Il lui passe une boucle autour des 2 pieds, les reliant entre eux; puis la corde remonte derrière les mollets. A mi-hauteur, un de ses doigts bloque la corde, tandis que le reste du brin fait le tour et repasse prendre, en boucle la corde coincée par le doigt. Enfin, la corde poursuite sa course jusqu'à la base du genou et refait le même tour derrière la jambe. Il fait courir la corde ainsi jusqu'en haut des cuisses où il serre le nœud final. «Alors? - C'est …. spécial …. - C'est une sensation agréable que de sentir son corps se faire enfermer progressivement, ajoute Hestia. - Oui, ça....ça fait quelque chose, sourit son amie» La découverte, la première fois, c'est toujours particulier et puissant en sensation... Il laisse afficher un sourire de satisfaction. Elles ont toutes les 2 aimé son cordage. Elle a des sensations, elle est enthousiaste de l'avoir vu manipuler les cordes correctement. Peut-être Hestia voit en son amie ce qu'elle ressent, quand elle est, elle, ligotée... «Veux-tu un autre cordage? - Oui, enfin, si tu veux» Il sourit; ce n'est pas Lui, un passionnée des cordes qui va refuser. Même si, de plus en plus, Il a envie d'avoir Sa soumise à la place.... «Mets-toi debout» Dés qu'elle est levée, Il fait passer 2 brins de cordes derrière son cou, qu'Il laisse pendre. Il noue ensemble les 2 brins tous les 15 cm environ Puis, Il fait passer une autre corde dans les maillons de la première puis dans le dos en emprisonnant les bras. La figure est esthétique, mais Il ne se souvient plus du nom japonais exact. En fait, Il s'en tape. Ce qui l'intéresse, c'est de voir qu'elle prend du plaisir évident à s'enfermer dans ses cordes. Elle regarde les brins passer ici et apparaître là; son regard n'en perd pas une miette, elle est passionnée. Tout comme Hestia qui profite à fond du spectacle. Ils partagent ainsi tous 2 leur passion; l'un partage son expérience d'encordeur, tandis qu'elle partage les sensations qu'elle ressent quand elle est prisonnière. Le nœud final est serrée. La voilà totalement ligotée. «A partir de ce moment, tu es à la merci de celui, ou celle, qui t'a attachée. Tu ne peux rien faire que subir» C'est non sans plaisir sadique qu'Il prononce cette phrase provocatrice envers cette novice; elle dont les sensations sont exacerbées par le mélange d'appréhension, d'excitation. Hestia rajoute: «imagine avec le martinet que je t'ai montré l'autre jour». Il lui sourit, elle est toute aussi sadique que Lui. Finalement, Il va le sortir, le martinet …. Entravée, elle ne sait quoi répondre. Mais son regard et sa voix balbutiante trahissent une satisfaction sincère d’assouvir un fantasme, de concrétiser un rêve. «Un autre? Demande-t-Il en la détachant» - Heuu ...». Elle manque d'éclater de rire de honte, d'envie et d'excitation à la fois. - Je te propose un bondage un peu plus... coquin? Ou je fais dans le même registre? - C'est-à-dire? - Les cordes vont passer dans des endroits un peu plus sensibles, comme les seins, par exemple. Ne t'inquiète pas, tu n'as pas à te déshabiller. C'est juste que les cordes vont passer par là. - Ok, ca va alors.» Pour sa démonstration de bondage et, surtout, pour partager les sensations fortes que cela procure, Il a besoin de surprendre. Il ne peut pas dire où les cordes vont toutes passer.... Mais manipuler les cordes à ces endroits-là ne sont pas fait pour le mettre tout à son aise. Encore une fois, ce sont des choses qu'Il ne fait qu'à sa soumise. Mais le plaisir de partager une Passion est plus fort que le reste. Et encore une fois, Il sait maîtriser ses doigts. «Si quelque chose ne va pas, n'hésite surtout pas à le dire. On est là pour passer une agréable soirée.» Il entame un nouveau bondage en passant une boucle de corde autour du buste, enfermant ses bras. Puis, Il fait passer la corde au-dessus et en de-dessous des seins les comprimant en tournant autour du buste. Une autre corde est fixée dans le dos avec la première, passe au-dessus des épaules et s'enroule 2 fois autour des 2 brins qui emprisonnent les seins. Puis, le reste de la corde passe sous un sein et s'enroule à nouveau autour des 2 brins précédents côté bras. Il fait de même de l'autre côté. Malgré le t-shirt, on voit très bien que toutes les formes sont mises en valeur... Le reste de la corde descend le long du ventre, passe sur l'intimité et remonte pour se nouer finalement dans le dos. «Hestia, va me chercher le sac qui est sur le lit» Sa soumise s’exécute et le lui rapporte. Il en sort une paire de menottes. «Tu aimes les menottes? - Heuuuu oui, répond-elle, hésitante» Il lui attache aussitôt les mains dans le dos. «Hestia, approche» Etonnée, sa soumise s'avance vers Lui tandis qu'Il sort son collier. Il le lui pose sans lui dire un mot et ordonne à son amie de se coucher à plat ventre sur le canapé. «Je parlais d'être à la merci, tout à l'heure.... Voici un cas un peu plus concret.» Un bandeau est aussitôt posé sur ses yeux. Puis, il noue ses chevilles ensemble qu'il rabat sur le dos. Là, avec le reste de corde, Il les attache au reste du cordage, l'immobilisant. «Voilà, avec quelques cordes, une paire de menottes et un bandeau tout ce qu'il est possible de faire et, surtout, de ressentir... Tu te sens bien, demande-t-il en souriant? - Heuu , je crois que oui, fait-elle d'un rire nerveusement enthousiaste. - C'est bien! Quel autre matériel t'intéresse? Ou t'interroge? - Hmm, je ne sais pas, répond-elle mal à l'aise, mais excitée à la fois - Tu connais le baillon-boule? - Non, c'est quoi? - Regarde» Retirant un bâillon de son sac, Il le lui met dans la bouche et le fixe légèrement derrière la tête. «Le mieux est d'essayer, n'est-ce pas?» Des gémissements lui répondent mais Il se tourne vers Hestia. «A présent, à nous deux, ma soumise» Il avait besoin de ce moment. Même si ce n'est qu'une démonstration voulue et organisée et même si elle avait pris plaisir à assister à ce moment, Il n'aimait pas s'occuper d'une autre personne que sa soumise. Bander ou bâillonner une personne autre que sa soumise le mettait mal à l'aise, mais l'excitait vis-à-vis de sa soumise, en même temps, étrangement. Est-ce que parce qu'elle Le voit faire? Qu'elle partage elle aussi ce qu'Il voit et peut donc ressentir? Ou parce qu'Il vit, et va faire vivre une nouvelle expérience? Difficile de répondre, d'autant plus qu'Il a sorti une corde. Il lui fait le même bondage que son amie, en plus serré, lui bande les yeux et la bâillonne aussi. Il lui caresse la poitrine et ses doigts titillent ses tétonsà travers le t-shirt; les effets ne se font pas attendre; l'excitation monte en Lui..... Il sait que tout peut aller très vite. Cette situation, paradoxalement, l'excite. Des cordes enlacent une amie, ligotent Sa soumise, des bandeaux sont posés, des bouches sont bâillonnées, la paire de menotte brille, le collier est resplendissant au cou de sa soumise, elle-même magnifique ainsi offerte. Il y a tous les ingrédients pour une ambiance BDSM qu'Il affectionne, avec sa soumise. La dernière soirée en club BDSM remonte à longtemps … Le téléphone sonne..... La sonnerie le fait sortir de sa rêverie. Il est quelle heure? 15H45... Il faut partir.... Quel étrange rêve.... Pure fantasme? Une envie? Il y avait du déjà vécu dans ce songe.... mais tout était resté soft. Que penser de ce dernier fantasme que son esprit a rapporté de son vagabondage? Il aime partager son expérience, expliquer, démontrer... mais agir d'office ainsi? C'est une façon de démontrer assez radical, mais elle est à double tranchant … Enfin, créer ainsi une ambiance BDSM comme celle-là lui a plu, lui plaît. C'est peut-être ça, au final, le fantasme de son songe: vivre aussi le BDSM ailleurs que dans la chambre à mot chuchoté (même s'il est déjà bien puissant....) La porte claque derrière lui. Rêver, fantasmer n'a jamais fait de mal à personne. Et puis, ce n'est pas le première fois que son esprit vagabonde ainsi. Il en rapporte parfois de bonnes idées. Mais ce qu'Il a en tête, surtout, c'est qu'Il va retrouver sa soumise très bientôt, après quelques jours, trop longs comme toujours quand ils sont séparés...Il va de nouveau honorer, à sa manière, son Joyau, sa Fierté, Sa Soumise.
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Par : le 24/03/15
Noter de 0 à 5 : 0 : pas du tout ! 1 : pas mon truc mais envisageable, à voir 2 : à l’occasion, avec réserves 3 : ça peut me plaire 4 : oui j’aime 5 : j’adore ! Chatouilles Contrôle d’orgasme Répétition rapprochée d’orgasmes Masturbation forcée Masturbation à autrui Baillon Yeux bandés Attachement, immobilisation, menottes Attachement bondage Suspension Position inconfortable forcée Pénétration vaginale Pénétration vaginale avec objets & toys Dilatation vaginale Pénétration anale (sodomie) Pénétration anale avec objets & toys Dilatation anale Fist vaginal Fist anal Excitation au vibro Exhibitionnisme Suggestion mots seuls sans aucun acte Mots crus entendus Obligation à dire des mots crus Insulte Humiliation (position, situation) Ordres sévères Punition Corvées Se faire offrir à des inconnus Tenues fetish - cuir - look - travestissement Fétichisme spécifique (préciser) Pinces seins Pinces vulve Pinces corps Ventouses Coupures, aiguilles, piercing Jeux de cire/bougie Brûlures Orties Torture, sévices Fessée Giffle au visage Flagellation fesses Flagellation dos Flagellation seins Flagellation cuisses Marques 1 jour Marques 1 semaine Fellation profonde forcée Etouffement/étranglement Vomissement Lavement Jeux uro (receveur) Jeux uro (émetteur contrôlé) Ingestion uro Jeux scato (receveur) Jeux scato (émetteur contrôlé) Ingestion scato Jeux de sperme Ingestion de sperme Switch Si désir de switch (inversion des rôles) : reprendre le questionnaire en tant qu’acteur
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Par : le 22/01/15
A mon Amour, qui partage ma Vie depuis plus d'un an A ma fierté de soumise A Vous, qui avez changé ma Vie Je Vous aime .... (récit imaginé pendant une insomnie) La journée avait été bien longue... comme bien souvent. La soirée serait a la hauteur de leurs attentes après avoir subi la journée : magnifique, intime, intense. Du mois, ils l’espéraient ... La soirée débute après un bon repas, lors de la douche. Instant magique qui est celui de l'eau chaude qui coule sur les épaules... Sa soumise avait pris un bain juste avant pendant qu'il s'occupait de ce qu'il restait à faire. L'ordre avait été donné; elle avait suffisamment travaillé dur et méritait alors un moment détente au milieu de la mousse d'un bain. Il prend son temps... Il profite de ce répit où il n'y a pas de besoin de courir après la montre. Son esprit vagabonde ... A quelle sauce va-t-il mettre cette séance ? Inutile de faire un programme, ca n'a jamais été suivi ce qui ne retire en rien le plaisir reçu et partagé. Ce ne sont pas les fantasmes qui manquent et le problème est juste de choisir... Pendant qu'Il s'essuie, des bruits feutrés lui parviennent à son oreille. Que fait-elle ? Trop impatient, Il presse le pas... Elle est là, assise sur le lit, nue, stilettos aux pieds, son collier à cote d'elle et quelques sacs noirs posés au sol. Un puissant frisson parcourt son dos, hérissant son poil de tout son corps. La vue de ce spectacle, sa soumise l'attendant, offerte est sublime. Cette position l'excite tellement déjà ... "Es-tu prête à être mon jouet ?" lui dit-Il en la caressant sur la joue? - "Oui" - "Ca fait longtemps que je ne t'avais pas mis le collier", lui dit en posant le collier sur son cou. Son choix à elle s'était porté sur le collier mauve, fin, léger, sans ambiguïté de la position de celle qui a l'honneur de le porter... Le collier est à peine fermer qu'il lui accroche une laisse. " C'est ma chienne que je veux ce soir ..." et lui loge un baillon-boule rouge dans la bouche, bien serré. Puis, Il lui fixe ses 4 bracelets d'attache aux poignets et aux chevilles. Il prend son temps... L'excitation de sa soumise monte tout autant que la sienne. Sentir ses lanières de cuir emprisonner progressivement son corps est une sensation puissante pour elle. Une fois terminé, Il se place face à elle. Son membre, très gonflé est devant sa bouche bâillonnée. "Tu as une pris une initiative qui me ravit à un point tel que tu peux le voir. Tu as mérité une récompense." Il lui prend ses mains qu'Il pose sur sa queue. "Masse-la, doucement" Elle s'exécute, en le branlant doucement. Ses mains parcourent son pénis de tout son long. Il ne peut retenir quelques gémissements quand les doigts magiques de sa soumise massent le gland. Il passe sa main derrière sa tête pour la rapprocher de sa queue. La boule touche pratiquement le gland. Il lui ordonne de toujours masser... Un petit coup d’œil à sa soumise. Il feint de ne pas savoir qu'elle envie de le sucer, qu'Il la frustre. Mais ce petit jeu l'amuse et ca ne peut l'exciter que d'avantage pour son plus grand plaisir. "Suffit ! " Elle le regarde "Si tu la veux, insiste pour l'avoir" Aussitôt, Il la prend par la laisser pour la coucher sur le lit, en croix. Ecartelée, attachée au lit et soudainement bandée par un foulard, elle se laisse partir dans un Voyage que son Maitre lui offre. Un voyage de sensations, volupté et d'extases... Dés qu'il eut refermé le dernier mousqueton, il s'approche d'un des pieds de sa soumise, sublimé par ses talons. Objet fétiche pour Lui. Il honore ainsi ce pied en le massant et le léchant. C'est une première pour Lui, dans ce contexte érotique qu'il trouve trés sexy. Lécher les pieds de sa soumise ligotée n'est-ce pas justement profiter d'elle ? Il savoure ce moment qu'Il ne pensait pas si agréable. Puis, Il se positionne au-dessus de Hestia, lui retire le bâillon et lui tourne le dos. La vue de son sexe, bien humide le réjouit. Il se penche et pose ses lévres sur son clitoris pour l'embrasser; en même temps, Il place sa queue dans la bouche de sa soumise. Une queue bien large qui la remplit en entier. Mais aussitot que sa langue joue sur le clitoris, Il entame des mouvements de va-et-vient et lui baise la bouche. La Sienne se délecte du nectar qui recouvre toute la vulve. Il la lèche, et tantôt, il lui donne des coups de langue de chat au grés de ses gémissements de plaisir. Enfin, Il aspire ses levres entre les Siennes pour les sucer, étirer... ce parfum, il est enivrant... Il ne sent plus sa langue parcourir la moindre peau du sexe de sa soumise de plus en plus mouillé et chaud. Ce sexe offert ... Ce sexe pour Lui qu'il titille, lèche, suce, aspire avec un entrain de plus en plus fort. Il aurait déjà jouit s'Il ne s'était pas relevé. Sa soumise est essoufflée, son corps a pris une agréable teinte rouge. Il tire la laisse. " Il t'a plu ce cadeau ? " Haletante, elle répond par un signe de tête " Ton premier 69 ... J'espère qu'il ta plu... Si tu es sage, je te redonnerai ma queue. Mais pour l'instant, je vais te changer le collier". La détachant du lit, Il la tire par la laisse pour prendre un collier très large qu'il pose juste après avoir retiré l'autre. Se couchant sur le dos, Il lui remet son bâillon et la tire avec la laisse. Son visage à proximité, Il lui caresse la joue, la nuque et l'embrasse sur la boule. Le baillon-boule, autre objet fétiche pour Lui. Il aime la voir bâillonnée, certainement parce que cela exacerbe sa soumission, sa position de soumise. Si le temps le lui permettait, Il lui ordonnerait de le servir de temps à autre nue, en talons et bâillonnée. Mais il conçoit qu'il lui sauterait très vite dessus... Maniant la laisse, il lui ordonne implicitement de s'asseoir sur sa queue, trés raide. Un long gémissement sort de sa bouche en tombant à la reverse. Sa soumise s'empale sur son membre, se pénétrant de tout son long. Après avoir profité de ce moment d'extase, il se redresse pour lui fixer les mains derrière sa tête, au collier. Puis, il saisit un de ses jouets favoris : la cravache. Elle tapote, parcourant son corps, sur ses seins, son ventre, ses flancs. L'autre main la caresse ou effleure la peau pour titiller les sens. Posant la cravache, ses mains prennent possession des seins. Les tétons sont pincés, tirés, même aspirés par sa bouche quand Il se redresse. La ballet continue avec le retour de la cravache, plus fortement. Des légères marques apparaissent sur la peau déjà rosie quand sa bouche reprend les tétons entre les dents. Soudain, une sensation étrange de pincement sur le seins se fait ressentir. Une, deux, trois, quatre pinces sont posées sur le seins, sans ménagement. Très vite, l'autre est également recouvert de ces délicieux petits objets de torture. Ses mains jouent avec les pinces, les titillent, les décrochent pour les remettre juste à côté, mais le nombre ne cesse d'augmenter. Cette fois, c'est la cravache qui s'amuse à les gesticuler; cette garce s'emploie même à les faire glisser sur la peau pour les décrocher. La douleur est là, mélangée au plaisir. Brutalement, il saisit la laisse "La seule façon d'arrêter cette torture est de me faire jouir" Sa main s'abat sur une de ses fesses qui rougir aussitôt. "Fais-moi jouir, femelle ! ", ordonne-t-il. Une autre fessée claque dans la foulée. Tandis que Ses mains fouillent les pinces à la recherche de douleur, sa soumise fait des va-et-vient sur sa queue malgré les liens et ses mains attachées. Pas trés facile de s'empaler de haut en bas dans cette position mais son Maitre a sorti le martinet pour l'"encourager". Il claque sur son dos, juste ce qu'il faut pour exacerber un Plaisir envahissant. La douleur provoquée par les pinces devient si importante que toutes les sensations sont mélangées dans un tourbillon. Il ne distinque plus vraiment si tous les mouvements qu'elle fait sur Sa queue sont dus à la douleur ou au plaisir que cette pénétration procure. Le sien est au bord de l'explosion. Ce spectacle l'excite à un point inconcevable. Lui aussi part en Voyage, grâce à elle, sa soumise, par le don de son Corps - et de son Ame. Son esprit vagabonde; il se délecte de voir sa queue apparaitre et disparaitre dans le sexe de sa soumise de plus en plus rapidement (a cause de la douleur ?). Au bout de sa laisse, la chienne qu'elle est à ce moment halète à chaque mouvement. Il raffole de la voir ainsi, torturée de plaisir et continue de jouer de la cravache et des pinces. Elle aime cette douleur, être à ses ordres, s'abandonner à ses désirs, à Lui... Il n'a toujours pas joui, elle doit encore subir les pinces et se tortiller sur Son sexe. Mais progressivement, Il retire les pinces. Une par une, elles sont décrochées des seins. Ainsi libérés, Sa langue les lèche, parcourant toute la peau jusqu'au téton. "Retire-toi" Elle s'exécute Lui retirant le baillon-boule, Il lui pose un mord reliée à 2 petites pinces qu'Il fixe sur les tétons. "Tu vas pouvoir mordre tout ce que tu veux, chienne !" Rapprochant sa tête de la sienne "Je veux que tu gémisses tout ce que tu peux, que tu cries même, que tu te lâches ! si tu te retiens, je te punis !" Sans attendre de réponse, Il met sa soumise à 4 pattes, ligotant ses chevilles aux poignets. La vue de sa soumise cambrée au maximum, sexe offert et prêt, ligotée, baillonnée le met hors de Lui. En 2 mouvements, il passe une corde autour des épaules de son Jouet et la noue. Sans oublier une petite caresse aux pieds enfermés dans les talons, Il saisir la corde et fait rentrer sa queue dans le sexe de sa soumise. LA pénétration est longue, il fait durer pour savourer ce moment exceptionnel. Les gémissements de sa soumise trahissent un plaisir partagé. Puis, s'agrippant à la corde, Il ressort, puis revient aussi sec dans ce sexe chaud et mouillé. Il ne laisse aucun répit à sa soumise qu'il prend avec de plus en plus d'énergie. Cette violence bestiale emmène directement sa soumise au 7e Ciel. Il augmente la cadence, elle gémit fort, limite de crier. Il aime ca N'écoutant plus que les cris de plaisirs, il se laisse partir lui aussi, libérant toute la pression qu'il retenait dans un moment de plaisir intense et unique... Le calme revient La corde se détend Les poignes se desserrent Un mousqueton s'ouvre, puis un autre.... Doucement, il la libère Doucement, il la prend dans ses bras Doucement, il la caresse Doucement, il l’embrasse Doucement, ils atterrissent... Doucement, ils s'endorment dans les bras de l'un et de l'autre .... ... Je t'aime, mon Amour
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Par : le 02/10/14
Mon Maître est doux, patient et sait être compréhensif, quand pour une raison ou pour une autre il ne peut pas agir sur le moment, il me fait crédit. Le problème du crédit ce sont les intérêts. Aujourd'hui j'ai reçu un sms qui me rappelait mes propos de la veille, et sur le moment j'ai compris que ce qui n'était à la base qu'une façon de le taquiner allait devenir pour moi un moment de solitude. Aurais-je vraiment osé dire à Mon Maître qu'il était vieux et qu'il avait une mémoire de poisson rouge? J'ai honte de le reconnaître mais oui j'avoue je l'ai dit. Je n'ai pas cherché a négocier, j'ai acquiescé chacune de ses demandes. Je me tiens là debout dans le coin de la pièce. Mon collier autour du cou, mon baillon en bouche, un foulard sur les yeux, ensuite...un plug glisser dans mon sexe déjà humide, un œuf vibrant sur le clitoris, je remonte ma culotte, place mes mains dans mon dos et j'attend. A chaque fois que mon téléphone vibre j'augmente la vitesse de mon œuf, jusqu'a atteindre la pleine vitesse. J'ai de plus en plus de mal a tenir la position et quand Mon Maître finit par m'appeler je pense que cela va cesser mais non....Aurais-je abusé? A sa demande je m'assois contre le mur en tailleur, je place des pinces sur mes tétons et attend. Cette fois lorsque le téléphone vibre je me claque l'intérieur des cuisses en disant aussi distinctement que possible : "c'est pas moi qui commande!", et un aller retour de cette petite chose qui remplie mon sexe. J'avoue que je n'en peux plus, ma culotte pourrait être essorée, mes seins sont douloureux et mes cuisses commencent a vraiment chauffer. Ce petit jeu (ce sont ses mots pas les miens) dure environ 15 minutes, tout comme le premier d'ailleurs. Quand le téléphone sonne pour de bon et que je décroche j'espère vraiment que c'est fini mais non toujours pas, j'enlève le baillon et je m'allonge sur le sol, "une chienne" n'a pas le droit au lit d'après lui, je ne suis pas en position de négocier. A sa demande je me caresse de plus en plus vite jusqu'a l'explosion, là sur le sol entre mes cuisse, j'ai honte, tellement honte.... Mais c'est si bon la honte. As-tu compris? bien entendu je répond "oui" mais un oui n'est pas assez et j'entend à sa voix qu'il s'énerve en demandant "oui mon chien?" et comme si je ne l'avais pas assez provoqué aujourd'hui, je répond naturellement "oui mon chien!". Mais qu'est ce que je peux être stupide parfois! Je ne sais pas combien de fois ma brosse a claqué mon cul, fesse droite, fesse gauche, côté plat, côté pics.... En même temps je ne peux pas me plaindre, je sais que je l'ai mérité cette punition... En écrivant ces lignes, j'ai encore mal a peu près partout, et je suis sûre que je ferai bien plus attention à ce que je dis, Mon Maître a une excellente mémoire ... Moralité : La provocation c'est bien mais ne pas en abuser c'est pas mal non plus !!!
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Par : le 07/03/14
Je finis de mettre mon matériel dans mon sac pendant qu’elle discute entre elle. Ma compagne et ma soumise du jour son toute deux vêtu de la même façon. J’ai insisté la dessus. Jupe, chemise, porte jarretelle, bas et talon, classique mais j’aime cela. Et elles le savent toute les deux. Ce n’est pas notre première séance avec elle. Je suis prêt. Elle aussi. je mets son collier à ma soumise pour lui signifier qu’à partir de cette instant elle m’appartient, elle est ma chose, mon objet, par ce collier une extension de moi et de ma volonté, elle est là pour me servir. Puis nous montons en voiture, ma compagne devant et ma soumise en place arrière. Alors que nous roulons j’ordonne à mon extension, ma soumise de mettre son collier à ma chienne. Elle s’exécute. Comment pourrai-t-il en être autrement, elle est mon bras, mon esclave, ma servante, elle n’est là que pour m’obéir et me servir dans mon dressage de ma chienne. C’est son rôle dans cette soirée. Nous partons donc pour ce lieu ou ma chienne subira mes envies sadiques et sexuelles directement ou par le bien de ma soumise qui pour elle sera une domina. C’est pour cela que je préfère que mes soumises pour ce genre de séance soit des switch, il faut qu’elles aiment dominer, faire subir leur fureur et la mienne à ma chienne par des actes physiques et douloureux mais aussi qu’elles aiment être dominé par moi, et subir à leur tour des punitions physiques si elles ne m’obéissent pas bien. Le plaisir de dominé mais en étant retenue, engendrant une frustration croissante qu’elle peut déverser sur sa soumise, voilà ce qu’il lui plait à ma switch. Et j’aime ça. Sentir sa frustration monter, la restreindre et puis la laisser déversé sa colère et son plaisir sur ma chienne qui aime avoir mal. Nous roulons donc vers l’endroit que je leur réserve et que j’ai découvert il y a pas très longtemps, j’y ai déjà fait quelques séances et je commence à bien aimer l’endroit, j’espère juste ne pas être dérangé, cela n’est jamais arrivé mais dans le BDSM outdoor avec le frisson de l’interdit et d’être découvert viens de temps en temps la frustration d’être découvert. Je suis excité par la possibilité d’être découvert mais ne le suis jamais par l’être. Cela coupe tout. Tout en conduisant je voie les belles cuisses de ma chienne, comme elle m’excite, j’ordonne à ma soumise d’obligé ma chienne à me sucer pendant que je roule. Elle prend donc ma chienne par les cheveux d’une main, se penche dans l’espace entre les deux sièges avant, ouvre ma braguette et sort mon sexe de l’autre. Puis plonge la tête de ma chienne sur ma queue qu’elle tient droite afin de l’obliger à me sucer. Hum un vrai délice, sa langue fait des vas et viens pendant que ma soumise lui tiens les cheveux tout en l’insultant et en lui disant quoi faire. Je donne un ordre d’une voie grave et sourde «plus profond». Oui maitre répond ma soumise et sans prévenir enfonce la tête de ma chienne plus profondément. Je l’entends s’étoufféavec ma queue, comme j’aime cela. Ma soumise soulève et rabaisse la tête de ma chienne au rythme qu’elle veut, lui donne de petite gifles au visage et lui parle mal. Arrivé à un feu rouge, personne aux alentour je lui dit d’arrêter, prend la tête de ma chienne a pleine main et la force à me sucer moi-même, tout en l’insultant et lui donnant des gifles. Ma soumise attend patiemment bien au fond de son fauteuil, je lui ordonne de se toucher en nous regardant. Ce qu’elle fait. Il y a des moments où l’on aimerait que le feu passe vite au vert, ce n’était pas ce genre de moment que je vivais là. Bien trop vite le feu passe au vert et je redémarre laissant ma soumise reprendre l’acte précèdent. je lui ordonne d’arrêter, nous sommes bientôt arrivé. Je gare la voiture et ordonne à ma soumise de mettre sa laisse à ma chienne et de m’attendre devant la voiture. Pendant ce temps je sors et récupère mon sac. Une fois fait je mets sa laisse à ma soumise. Normalement elle marche debout devant moi ,la tenant en laisse qui elle-même tiens ma chienne en laisse qui marche à quatre pattes a même le sol. Mais là il y a de la boue, il fait noir. je préfère garder cela pour des lieux plus intimes et sacrifie l’aspect symbolique pour l’aspect pratique. je me rattraperai plus tard. Nous arrivons devant cet immeuble abandonné que ni l’une ni l’autre ne connaissent. Mine de rien les bâtiments délabré les impressionnent, il apporte une ambiance glauque et malsaine par sa décrépitude, ses murs couvert de tags et son absence de luminosité. Elles ne disent rien, mais cela les excites tout autant que cela leur fait peur. Je le sens à leur façons de respiré et à leur maintien. J’adore ça. Moi j’y suis déjà venue une demi-douzaine de fois afin de faire des repérages, des préparatifs, et des séances. Je connais un peu l’endroit et donc je les guide par-delà les couloirs sombres et couvert de débris jusqu’à la salle du fond. Une grande salle dont trois des quatre murs sont couvert de fenêtre et le dernier, celui par lequel on accède à cette salle est tapissé de miroirs. Les lumières de la ville rentrent indirectement par toutes les directions donnant une illumination blafarde et irréelle à la salle. Les deux poteaux qui supportent le poids de la pièce sont répartie équitablement au centre, dans un angle de la pièce se trouve un fauteuil que j’ai mis la a mon dernier repérage. Je détache ma soumise et lui dit de préparé le matériel, prend une corde dans le sac puis lui tend. Elle se dépêche d’étendre le drap propre que j’ai dans mon sac par terre, a même la moquette et d’y sortir tous les instruments que j’ai emmené avec moi. Pendant ce temps j’attache ma chienne au poteau, bras écarté de chaque côté relier aux poteaux face aux miroirs mais aussi pour que du coin de l’œil elle aperçoive le fauteuil dans l’angle de la pièce. alors même que je l’attache, elle me sourit et essaye de m’embrasser. je l’aime cette nana, elle sait qu’elle va être punis pour ça. Mais elle adore ça. Et moi aussi. J’attache aussi ses jambes, puis demande à mon assistante, ma soumise de me donner le martinet. On va commencer doucement. Elle s’exécute et attend à côté de moi. Quelque secondes passent et elle se rend compte que j’attends quelque chose d’elle. Puis elle se rappelle qu’elle se doit de déshabillé ma chienne. Elle s’excuse et enlève la chemise de ma chienne . Bien entendu comme je l’ai déjà attaché au bras elle ne peut lui enlever totalement, il faudrait la détacher. Elle s’excuse, je hurle, l’insulte, la traite de tous les noms et lui ordonne de se dépêcher. Ce qu’elle ne sait pas c’est que je l’ai fait exprès pour assoir ma domination cérébrale en la mettant dans une situation de stress et d’échec. Et cela marche à merveille, je souris intérieurement mais ne montre que de la colère à l’extérieur. Plus je hurle et plus elle galère en proie à un stress grandissant. Je la fait stopper puis lui fait remarquer que la prochaine fois je la punirai. Elle me remercie, je détache un bras et enlève la chemise de ma chienne qui pend au deuxième, puis la rattache. Je profite du spectacle de son dos nue, la lumière de la lune éclairant son énorme tatouage dorsale, elle est si belle, si fragile, à ma Merci. Je passe une main lasse sur sa peau, elle sursaut, je lui chuchote a l’oreille lui demandant si elle est prête. Elle me répond que oui, alors je fais abattre, doucement d’abord puis de plus en plus vite, les lanières du martinet sur son dos d’un blanc laiteux. Il se recouvre vite de marque rouge, là où le cuir a mordu la peau. Elle émet de petit son étouffé a chaque passe. Je sais que cela ne lui fait pas trop d’effets, elle a une grosse résistance à la douleur, mais j’aime la laisser monter doucement. Et puis je ne suis pas pressé, on a toute la nuit. au bout de quelque temps j’arrête, puis ordonne a mon assistante de me livrer le cul de ma chienne. Elle commence donc à enlever sa jupe, entre ses cuisses, un filet de fluide corporel glisse. Comme j’aime ça, savoir que je lui fais cette effets. Je dis à mon assistante de pencher ma chienne en arrière afin de me présenter son auguste derrière et de mettre sa main sur son sexe pendant que je vais lui donner des coups de martiné. Je fais cela pour protégé le sexe de ma chienne car avec le martinet un coup mal placé peut ruiner une séance. Certaine soumise aime les coups sur le sexe et d’autre non, c’est le cas de ma chienne. Je zèbre donc ses fesses magnifiques de rouge, lui arrachant quelques cris timides et retenu au passage. Ma soumise elle aussi souffre en silence, de temps en temps quelques coups viennent toucher ses doigts qui protège le sexe de ma chienne. je souri. Encore quelques coups puis je me lasse, je décide donc de passé à la cravache et en informe mon assistante. Elle s’empresse alors de me la passer et reprend sa position. Je cravache les fesses de ma chienne, lui arrachant alors de vrai cri. Je dis bien haut que je ne veux plus l’entendre, qu’elle fait trop de bruit et donne l’ordre de lui mettre un bâillon. Ce que ma soumise s’empresse de le faire. Je reprends mes coups et dit à mon assistante de doigter ma chienne. Apres quelques coups et quelques vas et viens cette dernière ne sait plus où elle en est, plaisir et douleur se mêle. Je stoppe tout d’un seul coup, ma soumise s’arrête les doigts dégoulinant de mouille. Voyant cela je lui ordonne de les lécher. Ce qu’elle fait goulument. Je passe derrière elle et la prend par les cheveux, je lui demande si elle aime ça, la mouille de ma petite chienne, elle me répond que oui, alors je la mets a genoux et la force à la lécher. Elle fait cela de bon cœur. Puis je sors ma queue repasse derrière ma chienne et lui met d’un seul coup sans prévenir, elle mort son bâillon pour ne pas crier. Je continue, sentant de temps en temps la langue de mon assistante déraper sur mon sexe pendant quelle lèche le clito de ma chienne. Puis d’un coup je sors sans prévenir , la laissant la, relâchant ses membres de la tension accumulé par ma pénétration et ordonne d’arrêter à mon assistante. Range mon sexe et lui dit de venir tenir les jambes à ma chienne. Elle lui tient donc les jambes comme une jument que l’on va ferret afin de me présenter la plante de ses pieds. Je commence à fouetter le pied droit, puis le gauche, ma petite chienne sursaute à chaque coup. Alors que je lui donne un énième coup, le sursaut est plus fort que les autres et sa jambes échappe a la prise de mon assistante. Je la regarde sévèrement, elle se confond en excuse. Je lui explique que j’ai déjà laissé passer sa première chance et que je dois elle aussi la punir. Je lui dis de se pencher contre le poteau, relève sa jupe et lui donne une fessé avec ma main. Un coup, deux coups, trois coups, je m’arrête. Elle a oublié de me remercier pour chaque coup donné. Je le lui rappelle et pour la punir afin qu’elle n’oublie plus, je la fesse avec la cravache. Elle me remercie en criant à chaque coup. Très bien dernière avertissement lui dit-je. Je lui donne la cravache et vais m’assoir sur mon fauteuil. Maintenant je lui ordonne de la dresser et de me la préparé pour que je la baise. Elle lâche alors son courroux sur ma chienne, lui fouettant le dos, les fesses, les seins, enlevant son bâillon afin de mieux l’entendre. De là ou je suis j’apprécie le spectacle, la dirige, l’encourage, la réprimande quand elle fait une erreur. Lui ordonne de taper puis de lécher, d’alterner. Elle s’éclate et moi j’adore les voir toute les deux. Puis je me lasse et lui dit de la détacher et de la faire venir me sucer. Elle lui met sa laisse et la jette au sol, puis la fait marcher a quatre pattes vers moi, relève sa tête en tirant sur ses cheveux et force ma chienne à me regarder. Je ne dis qu’un mot. Suce. Et elle avale mon sexe goulument. Guider dans ses vas et viens par ma soumise qui commence à s’exciter frénétiquement. Dans un mouvement plus appuyé qu’auparavant, elle fait, sans le faire exprès bien sûr, que ma chienne me fait mal au sexe. Je lui dis de tout arrêter. De la lâcher. Je l’engueule et lui ordonne de se mettre elle aussi à quatre pattes et de venir lécher le cul de ma chienne pendant qu’elle me suce. La reléguant ainsi à une position plus basse que ma chienne. Elle comprend s’excuse et s’exécute. Pendant quelque minutes je profite un maximum de cette vue, mes deux soumises à quatre pattes à mes pieds, l’une bouffant le cul a l’autre, pendant qu’elle-même me lèche la queue. J’estime que la punition de ma soumise a assez duré mais je ne compte pas lui faire retrouver son statut de suite. Je lui dis de venir elle aussi me sucer à quatre pattes, elle se retrouve ainsi à la même place que ma chienne et elle se dispute joyeusement mon sexe a coup de langue. je lui explique tout cela. Elle me remercie et me promet de faire attention. Je l’autorise donc à se relever et à m’assister. Et lui ordonne de disposer de ma chienne comme elle veut mais je lui impose de me faire plaisir avec. Elle réfléchit quelques secondes puis relève gentiment ma chienne la tourne afin qu’elle me tourne le dos, prend mon sexe dans ses mains et fait s’y assoir dessus ma chienne, puis lui fait faire des vas et viens. C’est bien. Doucement d’abord puis de plus en plus fort et de plus en plus vite. Je lui dis de changer, elle la tourne afin qu’elle me fasse face. Pendant qu’elle me chevauche au rythme imposé par ma soumise, je lui donne des gifles sur ses seins, sur son visages alternant avec des baisers et des coups de langues. Puis ordonne de la relever et de la mettre face a un miroirs. Elle la tire par sa laisse et la dispose ainsi cul tendu. Je viens me mettre près à la prendre juste derrière elle, puis ordonne à ma soumise de venir derrière moi, de se coller à moi, de prendre mon sexe dans sa main et de venir baiser ma chienne comme si c’était le sien. Elle donne donc des coups de reins collé à moi, et je pénètre ma chienne sous son rythme. Je regarde ma chienne dans la glace et lui ordonne de me regarder à son tour. Je la voie fermer les yeux sous certain coups, elle prend son pied. Et ainsi moi aussi. Je prends ses seins et les colles sur la glace du miroir. Le froid rajoute un petit quelque chose qui m’excite. Ma soumise aussi, elle s’enflamme et se permet des commentaires que je n’aime pas. J’arrête tout, lui dit qu’elle a était trop loin, que cette fois il faut que je la remette a sa place. Tout en disant cela je mets ma chienne à genoux et la force à me sucer pendant que je passe un savons à ma soumise qui se confond en excuse. Je la rassure, ce n’est pas grave, mais il faut que je la punisse, et durement, très durement. Elle acquiesce. Je lui dis de ce mettre nue mais de garder son porte jarretelle et ses talons. Pendant qu’elle se déshabille ma chienne me suce toujours. Je lui demande si ça lui plait elle me répond que oui et lui demande ce que je devrais faire pour punir ma soumise. Elle me répond avec un sourire que je devrais l’attacher et la fouetter et peut être si elle continue a être insolente la pénétrer de force. Du coin de l’œil j’observe ma soumise qui écoute d’une oreille distraite. Je demande à ma chienne si c’est ce qu’elle ferait, elle. Elle me répond que oui. Je lui demande alors qui lui a dit d’arrêter de me sucer. Elle reste surprise et s’excuse à son tour. Mais l’occasion est trop belle. Je la relève par les cheveux, de l’autre main attrape les cheveux de ma soumise et les mènent ainsi au centre de la pièce. Je les fais se prendre dans les bras l’un de l’autre, nue, leur peau se confondant, leurs seins s’entremêlant. Et attache leur mains en l’air ensemble. Les voilà pendu toute les deux face à l’autre. Je prends ensuite une corde et les saucissonnes ensembles, passant sur leur seins, leur hanche, leur culs, entre leur jambes, les brulant parfois en faisant passer la corde sur leur peau. Puis je les laisse ainsi pendu quelques secondes pendant que je cherche quelque chose dans mon sac. Elles ne voient pas ce que c’est. Je reviens avec une boule à attache. Je la mets dans la bouche de ma soumise et bâillonne ma chienne. Puis je tourne autour d’elle, les faisant se balancer ou tourner sur elle-même, elle galère à marcher ou tourner et cela m’excite. Je sors alors ma cravache et les fouettes tout en tournant autour d’elle, frappant sans discernement, je peux laisser ainsi ma fureur éclater, leur partie sensible de l’une sont protéger par le corps de l’autre de sorte que peut importe comment je frappe je ne tape que le dos ou les fesses de chacune. Tout en faisant cela je leur rappelle leur place, à mes pieds, à genoux, à plat ventre. Elles m’appartiennent tant qu’elles portent ses colliers. Je fais ce que je veux d’elle. Elles sont mes chiennes, mes larves, mes putes. Elles hurlent dans leur baillons à chaque coups, c’est jouissif. Puis j’en pénètre une de force, puis je sors et tape, continue puis change jusqu’à ce que j’estime que cela suffit. Elles sont la tremblante pendant que je les détache. Elle s’écroule à mes pieds et je leur ordonne de les lécher. Elle s’exécute toute en s’excusant et en me suppliant de les garder auprès de moi. Je ne sais pas pour les autres maitres mais pour moi cette instant la est le plus jouissif que je puisse connaitre. Je relève ma soumise doucement. Lui demande si elle a compris la punition. Elle acquiesce. Je me penche pour embrasser ma chienne dont le rimmel a coulé sous ses larmes de douleurs. Quel vision enchanteresse . elle tremble et n’a presque plus de force. La séance a était un peu intense et dur ce soir. Je décide de l’écourté, tant pis pour les bougies , les couteaux et les aiguilles. Ce sera pour une autre fois. Je demande à ma chienne si elle veut continuer. Elle me répond que oui. Alors je la met à quatre pattes et la pénètre doucement puis de plus en plus fort. Ordonne à ma soumise de la caressé en même temps. Elle lui touche ses seins , son dos , ses fesses , son sexe. Pendant ce temps moi, alternativement je lui griffe le dos , lui mord les épaules et lui tape les fesses Je la sens monté, elle se lâche. Je lui demande alors de me regarder et au moment où elle tourne la tête, je lui crache au visage. Elle jouit. Je la sens tremblé. Comme j’aime ça. Une fois l’orgasme passé, je sors doucement sachant que la moindre caresse lui fait du mal et du bien simultanément . Puis ordonne ma soumise de la mettre à genoux devant moi, de venir dans mon dos , de prendre mon sexe avec ses mains et de me branler sur le visage de ma chienne encore un peu dans les vappes. Ma chienne tire sa langue pour me recevoir. Je ne mets vraiment pas longtemps à venir et à voir mon sperme tout chaud se rependre sur son visage, sur ses seins, dans sa bouche. J’ordonne a ma soumise de l’étaler sur ses seins avec ses doigts. Ma chienne me sourit, heureuse. Ma soumise aussi. Et moi aussi.
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Par : le 07/03/14
Je finis de mettre mon matériel dans mon sac pendant qu’elle discute entre elle. Ma compagne et ma soumise du jour son toute deux vêtu de la même façon. J’ai insisté la dessus. Jupe, chemise, porte jarretelle, bas et talon, classique mais j’aime cela. Et elles le savent toute les deux. Ce n’est pas notre première séance avec elle. Je suis prêt. Elle aussi. je mets son collier à ma soumise pour lui signifier qu’à partir de cette instant elle m’appartient, elle est ma chose, mon objet, par ce collier une extension de moi et de ma volonté, elle est là pour me servir. Puis nous montons en voiture, ma compagne devant et ma soumise en place arrière. Alors que nous roulons j’ordonne à mon extension, ma soumise de mettre son collier à ma chienne. Elle s’exécute. Comment pourrai-t-il en être autrement, elle est mon bras, mon esclave, ma servante, elle n’est là que pour m’obéir et me servir dans mon dressage de ma chienne. C’est son rôle dans cette soirée. Nous partons donc pour ce lieu ou ma chienne subira mes envies sadiques et sexuelles directement ou par le bien de ma soumise qui pour elle sera une domina. C’est pour cela que je préfère que mes soumises pour ce genre de séance soit des switch, il faut qu’elles aiment dominer, faire subir leur fureur et la mienne à ma chienne par des actes physiques et douloureux mais aussi qu’elles aiment être dominé par moi, et subir à leur tour des punitions physique si elles ne m’obéissent pas bien. Le plaisir de dominé mais en étant retenue, engendrant une frustration croissante qu’elle peut déverser sur sa soumise, voilà ce qu’il lui plait à ma switch. Et j’aime ça. Sentir sa frustration monter, la restreindre et puis la laisser déversé sa colère et son plaisir sur ma chienne qui aime avoir mal. Nous roulons donc vers l’endroit que je leur réserve et que j’ai découvert il y a pas très longtemps, j’y ai déjà fait quelques séances et je commence à bien aimer l’endroit, j’espère juste ne pas être dérangé, cela n’est jamais arrivé mais dans le BDSM outdoor avec le frisson de l’interdit et d’être découvert viens de temps en temps la frustration d’être découvert. Je suis excité par la possibilité d’être découvert mais ne le suis jamais par l’être. Cela coupe tout. Tout en conduisant je voie les belles cuisses de ma chienne, comme elle m’excite, j’ordonne à ma soumise d’obligé ma chienne à me sucer pendant que je roule. Elle prend donc ma chienne par les cheveux d’une main, se penche dans l’espace entre les deux sièges avant, ouvre ma braguette et sort mon sexe de l’autre. Puis plonge la tête de ma chienne sur ma queue qu’elle tient droite afin de l’obliger à me sucer. Hum un vrai délice, sa langue fait des vas et viens pendant que ma soumise lui tiens les cheveux tout en l’insultant et en lui disant quoi faire. Je donne un ordre d’une voie grave et sourde « plus profond ». Oui maitre répond ma soumise et sans prévenir enfonce la tête de ma chienne plus profondément. Je l’entends s’étouffé avec ma queue, comme j’aime cela. Ma soumise soulève et rabaisse la tête de ma chienne au rythme qu’elle veut, lui donne de petite gifles au visage et lui parle mal. Arrivé à un feu rouge, personne aux alentour je lui dit d’arrêter, prend la tête de ma chienne a pleine main et la force à me sucer moi-même, tout en l’insultant et lui donnant des gifles. Ma soumise attend patiemment bien au fond de son fauteuil, je lui ordonne de se toucher en nous regardant. Ce qu’elle fait. Il y a des moments où l’on aimerait que le feu passe vite au vert, ce n’était pas ce genre de moment que je vivais là. Bien trop vite le feu passe au vert et je redémarre laissant ma soumise reprendre l’acte précèdent. je lui ordonne d’arrêter, nous sommes bientôt arrivé. Je gare la voiture et ordonne à ma soumise de mettre sa laisse à ma chienne et de m’attendre devant la voiture. Pendant ce temps je sors et récupère mon sac. Une fois fait je mets sa laisse à ma soumise. Normalement elle marche debout devant moi ,la tenant en laisse qui elle-même tiens ma chienne en laisse qui marche à quatre pattes a même le sol. Mais là il y a de la boue, il fait noir. je préfère garder cela pour des lieux plus intimes et sacrifie l’aspect symbolique pour l’aspect pratique. je me rattraperai plus tard. Nous arrivons devant cet immeuble abandonné que ni l’une ni l’autre ne connaissent. Mine de rien les bâtiments délabré les impressionnent, il apporte une ambiance glauque et malsaine par sa décrépitude, ses murs couvert de tags et son absence de luminosité. Elles ne disent rien, mais cela les excites tout autant que cela leur fait peur. Je le sens à leur façons de respiré et à leur maintien. J’adore ça. Moi j’y suis déjà venue une demi-douzaine de fois afin de faire des repérages, des préparatifs, et des séances. Je connais un peu l’endroit et donc je les guide par-delà les couloirs sombres et couvert de débris jusqu’à la salle du fond. Une grande salle dont trois des quatre murs sont couvert de fenêtre et le dernier, celui par lequel on accède à cette salle est tapissé de miroirs. Les lumières de la ville rentrent indirectement par toutes les directions donnant une illumination blafarde et irréelle à la salle. Les deux poteaux qui supportent le poids de la pièce sont répartie équitablement au centre, dans un angle de la pièce se trouve un fauteuil que j’ai mis la a mon dernier repérage. Je détache ma soumise et lui dit de préparé le matériel, prend une corde dans le sac puis lui tend. Elle se dépêche d’étendre le drap propre que j’ai dans mon sac par terre, a même la moquette et d’y sortir tous les instruments que j’ai emmené avec moi. Pendant ce temps j’attache ma chienne au poteau, bras écarté de chaque côté relier aux poteaux face aux miroirs mais aussi pour que du coin de l’œil elle aperçoive le fauteuil dans l’angle de la pièce. alors même que je l’attache, elle me sourit et essaye de m’embrasser. je l’aime cette nana, elle sait qu’elle va être punis pour ça. Mais elle adore ça. Et moi aussi. J’attache aussi ses jambes, puis demande à mon assistante, ma soumise de me donner le martinet. On va commencer doucement. Elle s’exécute et attend à côté de moi. Quelque secondes passent et elle se rend compte que j’attends quelque chose d’elle. Puis elle se rappelle qu’elle se doit de déshabillé ma chienne. Elle s’excuse et enlève la chemise de ma chienne . Bien entendu comme je l’ai déjà attaché au bras elle ne peut lui enlever totalement, il faudrait la détacher. Elle s’excuse, je hurle, l’insulte, la traite de tous les noms et lui ordonne de se dépêcher. Ce qu’elle ne sait pas c’est que je l’ai fait exprès pour assoir ma domination cérébrale en la mettant dans une situation de stress et d’échec. Et cela marche à merveille, je souris intérieurement mais ne montre que de la colère à l’extérieur. Plus je hurle et plus elle galère en proie à un stress grandissant. Je la fait stopper puis lui fait remarquer que la prochaine fois je la punirai. Elle me remercie, je détache un bras et enlève la chemise de ma chienne qui pend au deuxième, puis la rattache. Je profite du spectacle de son dos nue, la lumière de la lune éclairant son énorme tatouage dorsale, elle est si belle, si fragile, à ma Merci. Je passe une main lasse sur sa peau, elle sursaut, je lui chuchote a l’oreille lui demandant si elle est prête. Elle me répond que oui, alors je fais abattre, doucement d’abord puis de plus en plus vite, les lanières du martinet sur son dos d’un blanc laiteux. Il se recouvre vite de marque rouge, là où le cuir a mordu la peau. Elle émet de petit son étouffé a chaque passe. Je sais que cela ne lui fait pas trop d’effets, elle a une grosse résistance à la douleur, mais j’aime la laisser monter doucement. Et puis je ne suis pas pressé, on a toute la nuit. au bout de quelque temps j’arrête, puis ordonne a mon assistante de me livrer le cul de ma chienne. Elle commence donc à enlever sa jupe, entre ses cuisses, un filet de fluide corporel glisse. Comme j’aime ça, savoir que je lui fais cette effets. Je dis à mon assistante de pencher ma chienne en arrière afin de me présenter son auguste derrière et de mettre sa main sur son sexe pendant que je vais lui donner des coups de martiné. Je fais cela pour protégé le sexe de ma chienne car avec le martinet un coup mal placé peut ruiner une séance. Certaine soumise aime les coups sur le sexe et d’autre non, c’est le cas de ma chienne. Je zèbre donc ses fesses magnifiques de rouge, lui arrachant quelques cris timides et retenu au passage. Ma soumise elle aussi souffre en silence, de temps en temps quelques coups viennent toucher ses doigts qui protège le sexe de ma chienne. je souri. Encore quelques coups puis je me lasse, je décide donc de passé à la cravache et en informe mon assistante. Elle s’empresse alors de me la passer et reprend sa position. Je cravache les fesses de ma chienne, lui arrachant alors de vrai cri. Je dis bien haut que je ne veux plus l’entendre, qu’elle fait trop de bruit et donne l’ordre de lui mettre un bâillon. Ce que ma soumise s’empresse de le faire. Je reprends mes coups et dit à mon assistante de doigter ma chienne. Apres quelques coups et quelques vas et viens cette dernière ne sait plus où elle en est, plaisir et douleur se mêle. Je stoppe tout d’un seul coup, ma soumise s’arrête les doigts dégoulinant de mouille. Voyant cela je lui ordonne de les lécher. Ce qu’elle fait goulument. Je passe derrière elle et la prend par les cheveux, je lui demande si elle aime ça, la mouille de ma petite chienne, elle me répond que oui, alors je la mets a genoux et la force à la lécher. Elle fait cela de bon cœur. Puis je sors ma queue repasse derrière ma chienne et lui met d’un seul coup sans prévenir, elle mort son bâillon pour ne pas crier. Je continue, sentant de temps en temps la langue de mon assistante déraper sur mon sexe pendant quelle lèche le clito de ma chienne. Puis d’un coup je sors sans prévenir , la laissant la, relâchant ses membres de la tension accumulé par ma pénétration et ordonne d’arrêter à mon assistante. Range mon sexe et lui dit de venir tenir les jambes à ma chienne. Elle lui tient donc les jambes comme une jument que l’on va ferret afin de me présenter la plante de ses pieds. Je commence à fouetter le pied droit, puis le gauche, ma petite chienne sursaute à chaque coup. Alors que je lui donne un énième coup, le sursaut est plus fort que les autres et sa jambes échappe a la prise de mon assistante. Je la regarde sévèrement, elle se confond en excuse. Je lui explique que j’ai déjà laissé passer sa première chance et que je dois elle aussi la punir. Je lui dis de se pencher contre le poteau, relève sa jupe et lui donne une fessé avec ma main. Un coup, deux coups, trois coups, je m’arrête. Elle a oublié de me remercier pour chaque coup donné. Je le lui rappelle et pour la punir afin qu’elle n’oublie plus, je la fesse avec la cravache. Elle me remercie en criant à chaque coup. Très bien dernière avertissement lui dit-je. Je lui donne la cravache et vais m’assoir sur mon fauteuil. Maintenant je lui ordonne de la dresser et de me la préparé pour que je la baise. Elle lâche alors son courroux sur ma chienne, lui fouettant le dos, les fesses, les seins, enlevant son bâillon afin de mieux l’entendre. De là ou je suis j’apprécie le spectacle, la dirige, l’encourage, la réprimande quand elle fait une erreur. Lui ordonne de taper puis de lécher, d’alterner. Elle s’éclate et moi j’adore les voir toute les deux. Puis je me lasse et lui dit de la détacher et de la faire venir me sucer. Elle lui met sa laisse et la jette au sol, puis la fait marcher a quatre pattes vers moi, relève sa tête en tirant sur ses cheveux et force ma chienne à me regarder. Je ne dis qu’un mot. Suce. Et elle avale mon sexe goulument. Guider dans ses vas et viens par ma soumise qui commence à s’exciter frénétiquement. Dans un mouvement plus appuyé qu’auparavant, elle fait, sans le faire exprès bien sûr, que ma chienne me fait mal au sexe. Je lui dis de tout arrêter. De la lâcher. Je l’engueule et lui ordonne de se mettre elle aussi à quatre pattes et de venir lécher le cul de ma chienne pendant qu’elle me suce. La reléguant ainsi à une position plus basse que ma chienne. Elle comprend s’excuse et s’exécute. Pendant quelque minutes je profite un maximum de cette vue, mes deux soumises à quatre pattes à mes pieds, l’une bouffant le cul a l’autre, pendant qu’elle-même me lèche la queue. J’estime que la punition de ma soumise a assez duré mais je ne compte pas lui faire retrouver son statut de suite. Je lui dis de venir elle aussi me sucer à quatre pattes, elle se retrouve ainsi à la même place que ma chienne et elle se dispute joyeusement mon sexe a coup de langue. je lui explique tout cela. Elle me remercie et me promet de faire attention. Je l’autorise donc à se relever et à m’assister. Et lui ordonne de disposer de ma chienne comme elle veut mais je lui impose de me faire plaisir avec. Elle réfléchit quelques secondes puis relève gentiment ma chienne la tourne afin qu’elle me tourne le dos, prend mon sexe dans ses mains et fait s’y assoir dessus ma chienne, puis lui fait faire des vas et viens. C’est bien. Doucement d’abord puis de plus en plus fort et de plus en plus vite. Je lui dis de changer, elle la tourne afin qu’elle me fasse face. Pendant qu’elle me chevauche au rythme imposé par ma soumise, je lui donne des gifles sur ses seins, sur son visages alternant avec des baisers et des coups de langues. Puis ordonne de la relever et de la mettre face a un miroirs. Elle la tire par sa laisse et la dispose ainsi cul tendu. Je viens me mettre près à la prendre juste derrière elle, puis ordonne à ma soumise de venir derrière moi, de se coller à moi, de prendre mon sexe dans sa main et de venir baiser ma chienne comme si c’était le sien. Elle donne donc des coups de reins collé à moi, et je pénètre ma chienne sous son rythme. Je regarde ma chienne dans la glace et lui ordonne de me regarder à son tour. Je la voie fermer les yeux sous certain coups, elle prend son pied. Et ainsi moi aussi. Je prends ses seins et les colles sur la glace du miroir. Le froid rajoute un petit quelque chose qui m’excite. Ma soumise aussi, elle s’enflamme et se permet des commentaires que je n’aime pas. J’arrête tout, lui dit qu’elle a était trop loin, que cette fois il faut que je la remette a sa place. Tout en disant cela je mets ma chienne à genoux et la force à me sucer pendant que je passe un savons à ma soumise qui se confond en excuse. Je la rassure, ce n’est pas grave, mais il faut que je la punisse, et durement, très durement. Elle acquiesce. Je lui dis de ce mettre nue mais de garder son porte jarretelle et ses talons. Pendant qu’elle se déshabille ma chienne me suce toujours. Je lui demande si ça lui plait elle me répond que oui et lui demande ce que je devrais faire pour punir ma soumise. Elle me répond avec un sourire que je devrais l’attacher et la fouetter et peut être si elle continue a être insolente la pénétrer de force. Du coin de l’œil j’observe ma soumise qui écoute d’une oreille distraite. Je demande à ma chienne si c’est ce qu’elle ferait, elle. Elle me répond que oui. Je lui demande alors qui lui a dit d’arrêter de me sucer. Elle reste surprise et s’excuse à son tour. Mais l’occasion est trop belle. Je la relève par les cheveux, de l’autre main attrape les cheveux de ma soumise et les mènent ainsi au centre de la pièce. Je les fais se prendre dans les bras l’un de l’autre, nue, leur peau se confondant, leurs seins s’entremêlant. Et attache leur mains en l’air ensemble. Les voilà pendu toute les deux face à l’autre. Je prends ensuite une corde et les saucissonnes ensembles, passant sur leur seins, leur hanche, leur culs, entre leur jambes, les brulant parfois en faisant passer la corde sur leur peau. Puis je les laisse ainsi pendu quelques secondes pendant que je cherche quelque chose dans mon sac. Elles ne voient pas ce que c’est. Je reviens avec une boule à attache. Je la mets dans la bouche de ma soumise et bâillonne ma chienne. Puis je tourne autour d’elle, les faisant se balancer ou tourner sur elle-même, elle galère à marcher ou tourner et cela m’excite. Je sors alors ma cravache et les fouettes tout en tournant autour d’elle, frappant sans discernement, je peux laisser ainsi ma fureur éclater, leur partie sensible de l’une sont protéger par le corps de l’autre de sorte que peut importe comment je frappe je ne tape que le dos ou les fesses de chacune. Tout en faisant cela je leur rappelle leur place, à mes pieds, à genoux, à plat ventre. Elles m’appartiennent tant qu’elles portent ses colliers. Je fais ce que je veux d’elle. Elles sont mes chiennes, mes larves, mes putes. Elles hurlent dans leur baillons à chaque coups, c’est jouissif. Puis j’en pénètre une de force, puis je sors et tape, continue puis change jusqu’à ce que j’estime que cela suffit. Elles sont la tremblante pendant que je les détache. Elle s’écroule à mes pieds et je leur ordonne de les lécher. Elle s’exécute toute en s’excusant et en me suppliant de les garder auprès de moi. Je ne sais pas pour les autres maitres mais pour moi cette instant la est le plus jouissif que je puisse connaitre. Je relève ma soumise doucement. Lui demande si elle a compris la punition. Elle acquiesce. Je me penche pour embrasser ma chienne dont le rimmel a coulé sous ses larmes de douleurs. Quel vision enchanteresse . elle tremble et n’a presque plus de force. La séance a était un peu intense et dur ce soir. Je décide de l’écourté, tant pis pour les bougies , les couteaux et les aiguilles. Ce sera pour une autre fois. Je demande à ma chienne si elle veut continuer. Elle me répond que oui. Alors je la met à quatre pattes et la pénètre doucement puis de plus en plus fort. Ordonne à ma soumise de la caressé en même temps. Elle lui touche ses seins , son dos , ses fesses , son sexe. Pendant ce temps moi, alternativement je lui griffe le dos , lui mord les épaules et lui tape les fesses Je la sens monté, elle se lâche. Je lui demande alors de me regarder et au moment où elle tourne la tête, je lui crache au visage. Elle jouit. Je la sens tremblé. Comme j’aime ça. Une fois l’orgasme passé, je sors doucement sachant que la moindre caresse lui fait du mal et du bien simultanément . Puis ordonne ma soumise de la mettre à genoux devant moi, de venir dans mon dos , de prendre mon sexe avec ses mains et de me branler sur le visage de ma chienne encore un peu dans les vappes. Ma chienne tire sa langue pour me recevoir. Je ne mets vraiment pas longtemps à venir et à voir mon sperme tout chaud se rependre sur son visage, sur ses seins, dans sa bouche. J’ordonne a ma soumise de l’étaler sur ses seins avec ses doigts. Ma chienne me sourit, heureuse. Ma soumise aussi. Et moi aussi.
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Par : le 20/02/14
Elle vient d’arriver, ma soumise du jour. Elle fait partie de mon petit groupe de soumise qui vienne de temps en temps jouer avec moi et ma compagne. Elle est là, en attente de savoir ce que je vais lui infliger ce soir. Je le lis dans son regard entre deux coup d’œil furtif qu’elle m’envoie pendant que ma compagne et elle discute, le temps de préparer mon matériel. Ce soir ses séances extérieur. Pour une fois je vais faire plaisir à ma soumise du jour. J’en ai parlé avec ma chienne, ma femme, ma soumise, ma compagne et elle est d’accord pour qu’en récompense de tous nos jeux avec cette soumise particulière, je m’occupe d’elle et lui fasse plaisir. Ainsi cette séance n’est que pour elle, ma compagne ne vient pas. Elle n’a pas envie de subir de domination aujourd’hui et moi j’ai envie de violence et de domination alors nous avons pensé à elle. Je suis prêt, elles se disent au revoir, j’embrasse ma compagne, ma soumise, mon aimée, ma chienne, mon esclave, mon amour. Elle me souhaite une bonne soirée et me regarde partir sur le pas de la porte. Nous montons en voiture. Elle est toute tremblante, d’excitation me dit-elle car elle ne sait rien de la séance qui va suivre. Je préfère lui garder la surprise. Avant toute «prise en main» de «soumise d’un soir» ou de «switch» qui partage nos jeux, je souhaite toujours d’abords une rencontre pour faire connaissance et savoir ce qu’il lui plait et ne plait pas, comme tout maitre qui se respecte je pense. Et donc je sais que cela va lui plaire. Je démarre la voiture et lui passe son collier de chienne lui signifiant ainsi que la séance commence maintenant. Ainsi elle sait qu’elle n’est plus rien à partir de maintenant. Elle est moins que rien, une larve, un objet, une chose. Nous partons donc en pleine nuit pour un lieu qui lui est inconnue. Alors que nous roulons je lui ordonne d’enlever sa culote, le seul sous-vêtement, avec ses bas que je l’ai laissé mettre. Elle s’empresse de m’obéir, puis je lui dis de remonter sa jupe afin que de l’extérieur on puisse furtivement la voir si un camion, un bus ou un automobiliste avec une voiture légèrement surélevé venait se mettre à côté de nous. Il est tard mais la circulation est bien présente. Je garde le silence pour maintenir une pression psychologique. Nous roulons ainsi un petit moment, cela l’excite. Je l’entends à sa respiration et à ses coups d’œil furtif à chaque feu rouge ou des voitures s’arrête près de nous. Mais personne ne remarque rien. Je décide au prochain feu de m’arrêter au niveau d’un camion. Je regarde le conducteur et ordonne à ma chienne de faire de même, au bout de quelque seconde il tourne la tête vers elle, je vois ses yeux s’ouvrirent en grand devant ce spectacle inattendu. Le laisse profité de cette vision fugitive quelques secondes. Ma soumise est gênée mais je sais que cela l’excite. Alors je lui ordonne de mettre ses seins sur la vitre gelé, et vite le feu va passer au vert! Elle s’exécute, le chauffeur se remet de sa surprise et veut dire quelque chose mais le feu passe au vert et je démarre. Je souri car nous sommes déjà loin avant que lui ne démarre, il aura surement envi de nous rattraper mais nous serrons déjà loin. Mon esclave a toujours les seins contre la vitre froide, en bonne petite chose elle attend que je lui donne la permission de les retirées. C’est bien, un bon point pour elle .je lui donne. Et met ma main entre ses jambes pour savoir si ça lui a plu. Juste une caresse car nos séances ne comportent pas d’actes sexuels. Ses derniers sont réservé à mon Unique, ma Soumise, ma Chienne, ma Femme, mon Amour et à mes soumises mais seulement quand ma Chienne est présente. Une des règles que je me suis fixé et que les gens qui ne connaissent pas notre monde ne comprenne pas. Ils leurs est souvent difficile de comprendre que je peux avoir des rapports avec d’autres femmes et être fidèle à la mienne. Mais c’est un autre sujet, un autre débat. Ma caresse donc m’apprend que cela lui a plu, j’en ressors ma main trempé. Quelque minute plus tard nous arrivons au lieu de notre séance. Un immeuble décrépi à l’abandon. Elle semble troublée. J’aime cela. Nous passons les portes éventrées du bâtiment, des chaises cassées et des débris de meubles jonchent le sol. Ma soumise en talons galère pour rentrer. Une fois arrivé dans le hall, je l’arrête lui ordonne de me tendre ses mains que j’attache avec une corde. Lui enchaine les pieds ensemble mais assez lâchement pour quelle puisse marcher avec cette gêne. Puis la bâillonne avec un foulard et lui met sa laisse. Je la tire par la laisse sans un bruit la forçant à me suivre dans les ombres du couloir. Il fait nuit nous n’y voyons pas très bien, je nous éclaire avec une lampe. Le couloir est plongé dans le noir, des débris nous gênant dans notre progression, je prends la main à ma soumise pour l’aider à avancer. Certaine porte ouverte éclaire quelque peu le couloir d’une lueur bleuté dû aux rayons de la pleine lune à l’extérieur, révélant des pièces vides lorsque nous passons à leur hauteur. Je sens le pouls de ma soumise accéléré alors que nous nous rapprochons du bout du couloir. J’ouvre la porte et là, elle découvre une salle immense baignée et éclairée par la pleine lune et les lumières extérieures de la ville. J’éteins ma lampe car tout le tour de la pièce est composé de fenêtre qui donne un éclairement naturel maximum à la pièce et le mur ou se tiens la porte est recouvert de miroirs augmentant l’effet de grandeur et la luminosité ambiante. Je tire ma soumise par la laisse et la conduit au milieu de cette immense pièce vide supporter par deux poteaux centraux. Elle est impressionnée, la lumière blafarde, le lieu, ses extrapolations sur son supplice physique et le sentiment d’interdit apportant énormément a l’ambiance et à sa domination cérébrale. Et aussi à son excitation. Je la mets face aux miroirs entre les poteaux, lui détache les mains, pour mieux les lui attacher aux cordes qui pendent des poteaux. Des cordes que j’ai installées et vérifiées moi-même quelque temps auparavant. Ainsi que ses attaches sur le mur, et tout l’immeuble. L’acoustique, la lumière, la visibilité tous ses paramètres ont été pris en compte avant cette séance. Car pour moi un Maitre digne de ce terme se doit d’assuré la sécurité et l’intégrité de sa soumise. Et puis j’aime contrôler, dominer, ma soumise comme mon environnement. Même dans une séance improvisée, dans un lieu non connue, le BDSM ne permet pas de faire les choses à la légère, sinon l’accident est vite arrivé et dans nos jeux cela peut avoir des conséquences graves. Et elle le sait, comme toutes mes soumises occasionnelle ou habituelle, avec qui j’en discute longuement avant. Et puis ce n’est pas nôtre première séance ensemble. J’aime à croire que c’est pour cela, et pour mes séances plaisante bien sûr, qu’elles reviennent .mais surtout parce qu’elles savent qu’elles peuvent totalement s’abandonnée, être mes objets, se donner à moi en toute sécurité. Ne plus réfléchir et ne plus s’inquiété de rien, juste la douleur et le plaisir, s’abandonner et obéir car je m’occupe de tout… La voilà donc les bras écarté, attachée aux poteaux, bâillonnée dans une pièce sombre faiblement éclairée. Sa faiblesse et sa fragilité reflétée par les miroirs lui renvoyant son incapacité a contrôlé quoi que ce soit. Elle n’a prise sur rien, je contrôle tout, son image avec les miroirs et les fenêtres, ses sons avec le baillons, son corps. Elle m’appartient totalement. Ses yeux suivent mes mouvements dans la glace. Je prends dans mon sac un drap blanc, propre que je pose derrière elle a même la moquette qui recouvre le sol. Et je commence à déballer mes instruments, doucement, pour qu’elle puisse les voir et laisser son imagination s’emballer. Je prends quelque attache que je lui mets aux pieds puis attache ses pieds aux poteaux, elle est ainsi en position de croix de saint Andrée. Je tourne autour d’elle d’un air satisfait tout en lui susurrant alternativement des mots doux et des insultes. Puis je me penche pour ramasser quelque chose sur le drap, doucement, son coup se tend pour essayer d’apercevoir ce que cela est. Je me relève le lui montrant, c’est un couteau, tout en courbe et en lame, je l’aime beaucoup, il est d’inspiration fantaisie avec des runes gravée sur la lame. Elle tremble un peu. Un frisson la traversant au moment de cette vision. Je m’approche d’elle doucement, fait glisser le plat de la lame le long de sa joue, la regardant dans les yeux, descendant vers son coup, puis caressant avec ses seins. Arriver en bas de sa chemise je fais sauter un a un tous les boutons, lentement mais d’un coup sec. Elle sursaute à chaque coup. Puis lui écarte sa chemise révélant son ventre nu et ses seins. Je passe derrière elle, ramasse le martinet et la fouette dans le dos à travers sa chemise quelques coups sec et rapide, elle ne s’y attendait pas et sursaute. Puis la caresse sur ses blessures tout en jetant le martinet au sol. Je commence à lui retiré violement sa chemise, tirant et découpant au couteau la réduisant en lambeaux. Elle en tremble, mord dans son bâillon, ferme les yeux et lâche de petits cris étouffés à chaque coup de couteau ou mouvement sec. Bien sur ce sont des vêtements qu’elle a choisis exprès pour cette séance et dont elle savait d’avance qu’ils seraient coupés et déchiré toujours avec son accord. Je m’attaque à sa jupe et lui réserve le même sort. Elle se retrouve nue, attaché en bas sexy. Je lui murmure à l’oreille que maintenant qu’elle est préparé je vais pouvoir m’occupé d’elle. Puis je pars, sans me retourné, sous son regard, dans le couloir plongé dans le noir, ou je disparais. Elle n’entend que mes bruits de pas qui s’éloigne. Je n’ai rien à y faire mais la laisser là, nue, attaché, ou elle ne peut rien faire, ni bougé, ni couvrir son corps nue et moi partant sans prévenir, à la vue du premier passant venue, ne sachant si je vais revenir ou pas est excitant, pour moi comme pour elle. Cela ajoute à sa pression et sa domination cérébrale et aussi sur son excitation. J’attends quelques minutes puis reviens doucement à pas bruyant, pour que son excitation et son imagination s’emballe. Me voyant émergé de l’ombre elle lâche un soupir rassuré. Sans le vouloir, tout le temps de mon approche elle a retenu sa respiration et c’est tétanisé de peur. Maintenant elle relâche la pression et ses muscles, tremblant de soulagement. Je lui met sans prévenir une gifle au visage, elle se tend et étouffe un cri. Puis je lui en mets une autre plus forte. Puis une sur ses seins, une sur ses fesses, je tourne autour d’elle. Lui assenant des gifles alternativement sur ses endroits mais aussi sur son sexe, sur ses cuisses. Je finis par une forte gifle sur sa joue et la caresse de suite après. Passe derrière elle et lui enlève son bâillon. A peine enlevé elle me remercie comme il se doit. C’est bien, c’est une bonne petite soumise, je n’en attendais pas moins d’elle. Elle est un de mes objets préféré et elle le sait, c’est aussi pourquoi je lui offre cette séances que pour elle. Je prends ma badine en bambou et lui fouette le dos, un coup, puis un autre, bien espacé. Elle se tend sous le coup se mettant instinctivement sur la pointe des pieds pour accompagner les coups, mordant ses lèvres pour ne pas crier. Je lui dis qu’ici personne ne peut l’entendre et qu’elle a tout le loisir de crier si elle en a envie. Ce dont elle ne se prive pas. Je zèbre son dos blanc de rouge résultant de mes coups de badine. Au bout d’un moment j’arrête et la prend par les épaules et la repose sur ses pieds délicatement lui signifiant ainsi que c’est fini. Elle se détend et retrouve son souffle. Je passe alors un doit langoureux sur ses zébrures, lui demandant dans un murmure si elle est prête pour la suite. Elle me répond dans un souffle que oui. Je donne donc un peu de mou a ses cordes de bras, passe une main entre ses jambes sous ses fesses et lui saisit le sexe pour la pencher en avant, de cette façon elle se retrouve cambré en arrière ses bras tirants sur les cordes. Dans cette position Je me mets a fouetté ses fesses, elle crie et me remercie à chaque coup. Au bout d’un moment je reçois un message sur mon téléphone portable. J’arrête ce que je fais, elle reprend son souffle pendant que je le lis. Bien! Ma surprise est arrivée. Je lui dis que je vais revenir et disparait à nouveau dans le couloir. Au bout de quelques minutes je reviens, elle me voit pénétrer dans la pièce puis écarquille les yeux bien grands parce que je ne reviens pas seul. Je suis accompagné de trois hommes, ils sont nue, deux porte une cagoule et le troisième un loup. Les deux cagoulé portent une chaise. Je la regarde avec un sourire en coin, je la voie se tortiller, elle ne s’attendait pas à être vue par d’autre homme ce soir. Les trois hommes posent la chaise et je m’assois dessus. Ils viennent m’entouré dans le silence le plus complet. Elle ne dit rien. Je ne dis rien. Personne ne bouge. Je me délecte de sa peur et de sa gêne causé par le silence. Puis je fais signe à l’homme à ma droite d’aller se placé derrière elle. Et au deux autre de se mettre à ses flancs. Là je lui explique que comme elle a été une bonne petite chienne, une bonne petite soumise, un objet qui ma fidèlement servie lors de nos différentes séances à ma femme et moi, ou elle n’était qu’un objet n’ayant droit qu’au plaisir d’être utilisé, de me servir et se voir refuser bien des fois la jouissance. Aujourd’hui je vais la récompenser et l’offrir à ses trois hommes. Je lui explique qu’ils vont la «violer» avec mon accord et comme je le veux puisqu’elle est mon objets, qu’ils vont la salir, la briser. Je vois dans son tremblement que cela l’excite. Je sais bien que cela l’excite, c’est un des fantasmes qu’elle a, et je me suis permis ce scenario parce que je sais qu’elle le veut et que l’on en a discuté souvent. En effets avant chaque séances avec mes soumises, d’un soir ou non , je discute longuement de ce qu’elle aime , ce qu’elle ne veulent pas faire , leur limites , les fantasmes , les surprises que je peux leur faire ou pas. Et celle-ci fait partie des siennes. C’est ça première fois avec moi en tant que maitre et je peux lire par son tortillement que cela lui plait. Bien sûr elle peut tout arrêter quand elle en a envie, elle le sait il lui suffit de donner le «safe code » et tout s’arrête instantanément. C’est aussi pour cela que j’aime le BDSM, dans ce monde un «safe code» est beaucoup plus parlant qu’un non dans la vie de tous les jours. Et je mets un point d’honneur a bien le faire comprendre à mes soumises. Bref je dis à l’homme de derrière de saisir le martinet et de commencer à la fouetter gentiment sur le dos et les fesses. Pendant ce temps j’autorise les deux sur ses flancs à la caresser et à la lécher ou ils en ont envie. Leur main parcourt son corps, ses seins, son entrejambes dégoulinante, ses cuisses pendant qu’elle subit le martinet. Elle se laisse aller à lâcher des petit bruits de plaisir. Puis j’ordonne à un des deux de la doigter. Il s’exécute. Elle souffle quelque râle alors que les premier vas et viens se font et ferme les yeux. Je lui ordonne de les ouvrir et de se regarder dans la glace. De mon fauteuil je lui parle, l’insultant et la complimentant tour à tour. Elle commence à se lâcher au plaisir, c’est ce moment-là que je choisie de tout arrêter. Pour la frustrer et lui rappeler qui est le maitre. C’est moi qui décide de son plaisir. Je me lève d’un coup, passe près d’elle, et la caresse au passage. Elle ne cesse de me remercier. J’aime ça. Ça me fait plaisir de lui faire plaisir. Elle s’est bien occupée du mien et de celui de ma chienne assez souvent. Puis j’ordonne à celui qui est derrière elle de la prendre en levrette. Il met un préservatif et la prend violement de plusieurs grand coup sans prévenir, excité comme il est. Elle crie, je dis à ce dernier d’y allez doucement pour commencer. Il s’exécute et y vas plus doucement, puis en retournant à ma chaise j’ordonne aux deux autres de continuer ce qu’ils faisaient mais je leur dit de rajouter quelques gifles sur ses seins. Au bout d’un moment je dis à celui qui est à l’arrière d’accélérer et d’y allez plus fort. Il s’exécute dans un râle, elle cris et prend son pied. Apres plusieurs coups le troisième homme jouit et se retire, donnant un répit à ma soumise mais qui est de courte durée car j’ordonne au deuxième de le remplacer. Il met un préservatif et le manège recommence. Cela dure plusieurs minutes et à chaque fois que je vois qu’elle se lâche, qu’elle va prendre son pied ou qu’elle prend l’initiative je leur ordonne de s’arrêter, la frustrant ainsi dans son plaisir et gardant la main mise dessus. Au bout d’un moment je me lève, détache ses mains pendant qu’elle se fait prendre, pour ne pas tomber en avant sous les coups, elle pose ses main libres sur les épaules des deux a ses flanc, se met sur la pointe des pieds pour atténuer la douleur des coups et se penche en avant pour profiter pleinement. Je la laisse profiter quelques secondes jusqu’à ce que le deuxième homme jouisse. Celui qui reste me regarde et je lui fais un signe de la tête lui donnant l’autorisation de la prendre à son tour. Préservatif et c’est reparti. Sauf que je dis à ma soumise de sucer le premier qu’il l’a prise en même temps (avec un autre préservatif neuf bien sûr). Elle s’exécute avec joie. Je profite de la vue quelque minute jusqu’à ce que le troisième jouisse en elle. Je leur ordonne de la laisser maintenant qu’il on jouit tous les trois. Puis leurs ordonne de nous laisser. Il reparte sous son regard dans les ombres du couloir. Elle est là au sol, pauvre petite chose épuisé, recroquevillé, reprenant son souffle la tête vers le sol. Je m’agenouille près d’elle, lui prend la tête pars le menton et la force doucement, tendrement à me regarder. Elle me sourit, je lui demande si ça va, elle me répond que oui. Je lui demande si on passe à la suite, un air étonné se dessine sur son visage, puis un sourire et un oui donné dans un souffle. Alors je la prends par les cheveux et la tire vers le drap par terre. Je la mets à genoux et l’attache avec une corde, cela prend un petit peu de temps mais c’est aussi ça qu’elle aime. Je l’attache face contre le sol, ses mains attaché entre ses jambes relier a ses cuisses qui sont attacher avec ses mollets, ce qui la met en position fesses offertes. C’est une position de shibari que j’adore. Je la re-bâillonne et la laisse la dans cette position pour rejoindre les autres hommes dans une pièce plus loin dans le couloir. Ils sont la discutant et rigolant, parlant de cette expérience. Leur affaire sont mis en vrac dans des sacs au coin de la pièce. Il m’accueille en rigolant, en me remerciant. Je leur souris et leur dit de parler moins fort parce qu’elle pourrait nous entendre et je ne souhaite pas briser l’ambiance que j’ai instauré. Je leur dit qu’ils ont été très bien. On en a discuté longtemps avant, ils ne se connaissent pas et c’est mieux ainsi .Mais moi je les ai rencontré un par un avant en préparation de cette soirée. Recruter serait plus exacte car je leur ai bien expliqué qu’ils ne sont que des objets pour faire plaisir à ma soumise, qu’ils doivent m’obéir en tout, à tout moment même en plein cœur de l’action et surtout garder le silence, pas un mot. C’était les conditions absolues pour participer à ce moment de domination. Ils m’écoutent quand je leur explique la suite, leur demande si il cela leur a plus et si ils veulent continuer, tous sourient et me dise que oui. Bien. Je leur dit de patienter un peu et que je vais revenir les chercher. Je retourne donc dans la salle ou ma soumise m’attend le cul a l’air, offerte et bâillonner. Je prends ma badine, lui tourne autours et lui fouette les fesses, puis un peu ses dessous de pieds, je prends mon temps, me fait plaisir. Elle suit mes mouvements des yeux, se tend avant chaque coup et se relâche après, mord dans son baillons ou crie à travers selon la douleur. Puis subitement j’arrête. Je prends mon couteau et lui fait de petit trou dans ses bas, je lis dans ses yeux qu’elle se demande ce que je fais. Puis je sors une bougie et un briquet de mon sac. Elle comprend. La douleur reprend à chaque goutte et le plaisir avec, le sien mais aussi le mien, je verse la cire doucement sur ses cuisses par les petits trous, sur ses fesses, son dos. Puis me met dans son champ de vision et souffle la bougie. On s’arrête là pour ça, comprend-t-elle. Je lui enlève son bâillon, lui demande si ça va et si on continue. Elle me remercie et me supplie de continuer. Je pars sans prévenir dans le couloir et reviens avec mes trois hommes-objets. Je m’approche d’elle, m’agenouille et me penche pour lui susurré ce qu’il va suivre. Elle a un peu peur mais elle acquiesce. Je dis à un des hommes cagoulé de sortir un gel du sac pendant que les autres caressent son corps attaché et offert. Puis dit à l’intéressé de mettre du gel et de préparé doucement le cul de ma soumise à la sodomie. Il s’exécute doucement, elle se tend mais aime ça. Au bout d’un moment d’un signe de tête, j’autorise l’homme a la sodomisé, doucement d’abord, puis de plus en plus vite. Pendant quelques minutes seul les cris de ma soumise résonnent dans la pièce. Puis alors que l’actif joui je coupe les liens de ma soumise, la libérant de tous et je vais m’assoir sur ma chaise. Tous s’arrête et se tourne vers moi, attendant mes ordres pour la suite. Comme j’aime ce moment. Je regarde ma soumise droit dans les yeux et lui dit que malgré que ses entraves physique soit enlevé elle m’appartient toujours et que je vais l’offrir encore à ses hommes dans un «viol collectif». Comme le mérite la larve et l’objet qu’elle est. Depuis ma chaise bien calé, j’ordonne à un des hommes de s’allonger au sol, puis à ma soumise de venir s’empaler face contre lui et de me regarder pendant qu’elle prend son pied, ce qu’elle fait. Après quelques coups, j’ordonne au deuxième de venir la sodomiser en même temps. Elle hurle et moi j’aime ça. Puis à celui qui l’avait sodomisé en premier et qui a déjà joui de mettre son sexe dans sa bouche pour la faire taire. Tous la baise. Elle est là, se faisant prendre par trois hommes masqués, trois anonyme qui ravage son corps pour mon plaisir, pour son plaisir. Offerte par son maitre. je leur fait changer de position, inversant leur rôles puis la mettant face à celui qui la monte ou encore la faisant s’assoir sur celui au sol, le chevauchant pendant qu’elle suce les deux autres. Au final je la fait s’allonger a même le sol, la bâillonne, et ordonne aux trois hommes de retiré leur préservatif et de lui jouir sur le visage ou les seins pendant qu’elle se touche. Ils jouissent presque en même temps, et au moment où elle est recouverte de sperme elle-même joui, c’est l’explosion pour elle, je la voie se tortiller de plaisir et étaler les spermes sur ses seins les yeux fermé. D’un geste silencieux j’oblige les hommes à partir dans le couloir. Me laissant seul avec elle, les yeux fermé, ce badigeonnant de sperme. Elle ouvre les yeux et me regarde un sourire apparait derrière son bâillon. Je la détache, et lui dit que cette fois c’est fini. Elle me sourit et me remercie pour cette séance. Elle est extenué, je lui tends une serviette pour qu’elle se nettoie, mais elle me dit préféré laisser sécher le sperme sur elle. Alors je la laisse tranquille et lui dit de prendre tout le temps qu’il lui faut et après s’être habiller qu’elle me rejoigne en bas devant la porte de l’immeuble. Pendant ce temps je range mon matériel, remet tout en place dans mon sac et rejoint mes hommes-objets dans l’autre pièce. Lorsque j’arrive ils sont en train de se rhabiller et sont content de la séance, ils me disent que si j’ai encore besoin d’eux que je n’hésite pas, et qu’ils ont vraiment apprécié. Moi aussi je les remercie, leur dit que je n’hésiterai pas et une fois tous habillé leur dit de filer avant que ma soumise ne revienne, car cela aussi fait partie du contrat, pas de contacte en dehors de ce qu’ils leurs étaient demandé avec ma soumise. Ils s’exécutent et je leur dit que moi aussi je suis content de la séance et que peut-être je les recontacterai pour faire presque la même chose avec une autres de mes soumises bien fidèle que j’aimerai récompenser. Une autre fois, je vais y réfléchir. Ce que je fais alors que je suis seul attendant ma soumise en bas de l’immeuble. Pourquoi pas, il y’en a une ou deux qui méritent vraiment d’être remercié pour tout le plaisir qu’elle nous on aider à avoir lors de séance avec ma petite chienne. A ce moment-là ma soumise arrive, un sourire aux lèvres. Me fait un bisou sur la joue et me dit encore merci pour ce soir. Je suis content, cela me fait plaisir qu’elle ait apprécié la séance. Sur le chemin du retour elle s’endort d’épuisement dans la voiture. Je la réveille arriver chez moi, elle monte encore endormie les escaliers jusqu’à mon appartement ou ma femme nous attend. Récupère ses affaires encore endormie et s’apprête à rentrer chez elle. Ma femme et moi, inquiet de la voir prendre la route dans cet état lui proposons de rester dormir dans la chambre d’amis. Elle refuse car demain elle a des choses à faire, nous remercie et nous promet d’être prudente. Puis nous embrasse et prend congés de nous. Nous lui disons au revoir à regret. Mais d’un côté je suis content qu’elle soit partie parce que cette séance ma donnée très envie et j’ai bien envie d’une séance privé avec ma femme. Elle le lis dans mon regard et mon attitude puis me dit d’un air faussement saoulé partant vers la chambre, «ca va j’ai compris je vais ramasser c’est ça?» Je sourie sur place et me dit que c’est pour ça que je l’aime. Puis un petit «tu viens?»Susurré depuis la chambre met fin à mes pensées. Je m’exécute …
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Par : le 10/02/14
Sa journée s'était déroulée assez classiquement. Le train le matin et le soir, et le bureau le reste de la journée.Certains jours sont pimentés par des entraînements le soir, ou d'autres activités physiques, mais ce jour-la, il n'y a rien de prévu. Un mal pour un bien, car Il va pouvoir rentrer pas trop tard.Il le fait savoir à sa soumise.Il aime particulièrement l'accueil qu'Elle Lui fait à son retour. Depuis qu'Ils vivent ensemble, leur Vie a particulièrement changé et leur Chemin vers l'avenir bien tracé.Homme et Maitre, Femme et soumise, ils se sont connus voici 6 mois. Nul n'avait pensé à l'époque partager leur quotidien avec l'autre.Quotidien classique, vanille, ils jouissent de leur passion, le BDSM, essentiellement le soir, quand Ils sont tranquilles, mais les allusions tout au long des journées ne manquent pas.Cette passion est leur point commun; elle a été leur Fléche d'Eros, celle qui les a unit.Ainsi, ce jour, profitant d'un horaire favorable, Il lui notifie qu'Il ne rentrera pas trop tard et qu'Il veut que ce soit Sa soumise qui L'accueille. Le plaisir de sa soumise est de Le servir, d'être Sa fierté. Son plaisir à Lui est de l'avoir, comme sa plus Grande possession. Elle Lui appartient, et c'est ainsi lié ensemble qu'ils avancent ... Ce soir, sa soumise l'accueillera en jupe noire, corset (un de Ses cadeaux) et talons (elle choisira la paire, elle connaît Ses goûts; Il aime également avoir des surprises). Enfin, sa tenu sera complétée par son collier et la laisse qu'elle Lui donnera.C'est elle qui Lui servira son repas (un indice : Il a exigé qu'elle pose un coussin à côté de Sa chaise). Après manger, elle sera à Sa disposition. Il lui a fait préparer tout le matériel afin qu'elle devienne Son jouet, Leurs plaisirs. Ce matériel est le couple cravache / martinet qui la fait tressaillir à chaque claque, rougir sa peau pour Son plaisir et le sien. A mesure que ces instruments claquent, le plaisir monte autant que l'excitation et le plaisir. Une autre route à destination directe du Nirvana est le gode qu'Il utilise sans modération, assouvissant son plaisir de la voir se torsader, gémir, convulsionner sous l'effet de puissants orgasmes continus.Il ne boudera pas non plus son plaisir de voir les différents baillons-boule sortis, prêts à l'emploi pour prendre possession, sans protestation sa soumise. Enfin, les cordes; des cordes blanches. Des longues, des courtes. Toutes pour sublimer le corps de sa soumise, la contraindre à Ses désirs, lui faire subir le Plaisir, la posséder.Il sait qu'Elle est toute à Lui, et Lui est tout à Elle, c'est ce qui les unit.Comme d'autres moments passés, et beaucoup à venir, Ils vont à nouveau vivre ce moment de complicité intense, de partage intime, d'abandon et de don de soi.Le soir, Il arrive enfin ....
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Par : le 09/02/14
Ma compagne est assise la sur le canapé en train de regarder la télévision en pyjama. D’habitude elle est ma petite chienne, mon objet, ma chose, mon dévidoir, mon sac a sperme, mais pas ce soir. Ce soir elle n’en a pas envie, mais moi je suis pris d’une pulsion de domination, de violence. Ce soir c’est une autre qui va subir ma domination. Nous en avons discuté et avons décidé d’un commun accord que je pouvais me livrer à une séance avec une autre. Un de mes autres objets avec lequel nous avons déjà joué. Qui n’est là que pour subir ma domination. Elle n’est en rien un désir sexuel. Notre séance ne comporte pas de relation sexuelle directe d’un commun accord. Bien sur chaque séance a un côté sexuel à des degrés divers mais elles sont plutôt cérébral que physique. De temps en temps si, avec l’accord et/ou la participation de ma compagne mais pas ce soir. Ce soir je veux juste assouvir ma perversion sadique de domination. Et faire plaisir à une dominée qui elle ne recherche qu’à assouvir sa perversion masochiste de dominance. Ainsi donc ma compagne regarde la télé en mode détente et elle a accepté que je mène une séance a côté avec une autre. Ma soumise d’un soir est arrivé il y a quelques minutes et est en train de se déshabiller dans la chambre d’à côté. Je fini de préparé mon côté du salon pour recevoir ma séance. Puis fait un bisou à ma compagne sur le front et lui demande une dernière fois si elle ne veut pas participer. Elle me dit que non, qu’elle n’en a pas envie ce soir et qu’elle regarde une émission super intéressante. Je n’insiste pas. Puis ma soumise du jour arrive. Elle rentre nu dans le salon, les rideaux sont tiré, et viens s’agenouiller devant moi. Je lui ordonne de baiser mes pieds à travers mes chaussures. Ce qu’elle fait de suite. Ma compagne continue de regarder la télévision, je lui demande d’éteindre la lumière du plafond. Notre salon étant coupé en deux cela ne la gêne pas pour regarder sa télé. Je passe le collier autour du coup de ma chose, lui signifiant ainsi qu’elle est ma chienne ce soir et qu’elle m’appartient totalement tout le temps qu’elle portera se collier. Je lui mets ça laisse et la balade à quatre pattes dans la deuxième partie du salon. Là, mon matériel nous attend. Je lui demande de se relever puis je lui passe des menottes au bras et aux jambes. Ensuite avec les anneaux accroché à chaque côté du mur de notre partie du salon, je l’attache bras et jambes écarté. Elle est donc la, nue, à ma merci, moi dans la pénombre et son dos éclairée par la lumière blafarde et changeante venant de la télé de l’autre côté du salon. L’ambiance est en place. Une sorte de moment irréel ou se côtoie deux monde. Un monde commun avec une femme en train de regarder la télévision sur un canapé, les fenêtres sans rideau laissant rentrer les lumières extérieur et un monde caché, avec une femme attaché nu, les rideaux fermés loin des regards. J’allume quelques bougies pour nous éclairer mieux. Je commence par bâillonner ma chose du soir, puis lui attache le corps avec « la pointe de diamant », une pratique shibari des plus simples qui consiste à « revêtir » le corps de sa « prisonnière » avec une corde. Enfin à mon sens. Au moment où je passe la corde entre les jambes de ma chose, je sens que cela lui plait. Une fois fini, je lui explique ce qu’il va se passé. Elle le sait bien sûr mais j’aime a l’exposer à mes objets. Je vais commencer doucement. Je lui assène quelques claques tout en tournant autour d’elle. Sur son visage, ses seins, ses fesses, ses cuisses, tapant quelque fois son sexe. Puis je m’arrête et lui annonce que ça va devenir pire. Alors je lui mets un bandeau sur les yeux. Je pars quelque minutes la laissant la, nue, tremblant, ne sachant pas ou je suis, ni quand je vais revenir, privé de parole et de vision. Elle n’a plus que le son, le son de la télé à côté d’elle et le silence. Puis des bruits de pas, ce que je fais en revenant un martinet à la main, sans prévenir je lui fouette le dos, elle hurle dans son bâillon. Plus de surprise que de douleur, j’y suis allez doucement. Je lui chuchote a l’oreille ce que je vais lui faire, elle frémit. Un autre coup vient zébrer son dos. Elle m’entend tourner autour d’elle et tremble ne sachant pas quand le prochain coup va venir. Un autre sur ses fesses, elle retient son souffle, ses muscles tendus dans l’attente du prochain. Il semble qu’une éternité passe ainsi, et au moment où elle se détend, croyant que j’étais passé à autre chose, un autre coup vient bruler ses fesses. Un autre cri étouffé. Du coin de l’œil je regarde ma compagne sur le canapé, elle se tortille, feignant ne pas regarder. Mais je la connais, même si ce n’est pour l’instant qu’inconscient, mon travail l’intéresse. Elle se tend et se tiens droite. Quelques coups de plus puis j’arrête et détache le bandeau autour des yeux de ma soumise. Elle me regarde la détacher, du coin de l’œil je voie ma compagne se calmer sur le canapé et retrouvé une position moins « tendu ». Je dis à ma chose que je vais la détaché mais que ce n’est pas fini. Je l’attrape par les cheveux et la jette au sol. Ma compagne sur son canapé se « retend » discrètement, toujours intéressé par la télé. Je souris. Je l’attache avec des cordes dans une autre composition de shibari, les mains attachées au cuisse, la tête au sol, et le cul tendu en arrière. Un autre classique qui a l’avantage d’être simple a réalisé, humiliant et de mon point de vue excitant. je lui explique alors que les bougie ne sont pas là que pour le décorum. Je lis dans ses yeux qu’elle comprend. Je me dirige vers une bougie violette et la prend avec moi. Doucement je tourne autour de ma chose prostré au sol lui chuchotant ce qu’il l’attend. Je verse donc de la cire sur ses fesses, sur la partie charnue d’abord, doucement, puis partout et de plus en plus vite et d’un seul coup je m’arrête. Je reviens dans le champ de vision de ma chose et lui demande si ça va. Elle me signifie de la tête que oui. Ce à quoi je rétorque en refaisant coulé quelque goutte de cire sur son cul. Puis je lui explique que la ca va faire mal. Elle ne comprend pas. Je lui verse alors quelques gouttes sur ses cuisses proches de son sexe lui donnant l’impression que je déverse la chaleur sur ce dernier justement. Elle cri dans son baillons. Je lui dit que c’est bientôt fini et que l’on vas passer a plus dur. Je pose la bougie devant elle pour lui faire voir que je ne l’ai plus et que son imagination fasse grandir sa peur quand à la suite. Alors je la fouette avec une cravache sous ses pieds. Elle hurle dans son bandeau. Puis encore une autre fois, puis une autre. Se pieds sont zébré de mes coups. Alors je m’approche d’elle et lui susurre a l’oreille que maintenant cela va faire mal et récupère la bougie. Je verse alors la cire sur ses pieds à l’endroit où je lui ai mis les coups pour qu’elle en sente encore plus la douleur. Elle se tord de douleur et moi j’aime ça. Je la détache doucement. Elle se laisse faire. Puis je la relève, elle a du mal a marché à cause des coups reçu sous ses pieds. Je l’aide et la rattache au anneau du mur, jambes et bras écartés. Rien que la position lui fait mal. Je lui enlève son bâillon et lui remet son bandeau sur les yeux. De plus je rajoute une attache supplémentaire, en attachant son collier au plafond ce qu’il l’étrangle légèrement. Je me mets ensuite dans son dos, tournant le dos à ma compagne sur son canapé que je sens changé de position de temps en temps. Je souris car je sais que cela la démange et l’excite même si elle continue de feindre l’intérêt pour son émission. Je commence alors à fouetté proprement le dos de ma soumise. Lui arrachant des cris à chaque coup qui ne sont plus retenue par un bâillon. Je prends mon temps. Je savoure cette instant ou ma soumise coupe sa respiration et tend ses muscle dans l’attente du prochain coup. J’adore la voir sursauté quand elle le reçoit et se détendre en lâchant un cri dans un souffle une fois reçu. Puis je repasse devant elle. Bien sûr elle ne me voit pas, je récupère la bougie et sans attendre lui verse quelques gouttes de cire sur les seins. Elle cris. Ma compagne continue de « gigoter » sur le canapé, je sais qu’elle ne suit plus du tout son émission. Puis j’alterne entre coup de cravache doux, fort, coulé de cire et claques. Un coup sur ses seins, puis un autre sur ses fesses, sur son dos, ses cuisses. Son visage lui ne subit que des claques. Au bout d’un moment je regarde ma compagne du coin de l’œil elle ne regarde plus du tout son émission et ne fait que nous observer. Alors j’enlève son bandeau des yeux de ma soumise, lui détache les bras et les attachent avec ses jambes, debout. L’obligeant à me regarder je sors mon sexe. Elle s’étonne, notre séance ne devait pas comporté d’acte sexuel direct, c’était notre contrat. Mais je la rassure bien vite car cet appel ne la concerne pas. D’un signe de la main j’appelle ma compagne à venir à quatre pattes me rejoindre. Ce qu’elle s’empresse de faire dans son pyjama. Elle avale goulument mon sexe. Me suçant comme seule elle sait si bien le faire sous le regard de ma soumise du jour. Je glisse ma main dans le pantalon de ma compagne et en ressort des doigts dégoulinant de mouille. Comme j’aime cela. Je les donne a lécher a ma soumisse attaché, ce qu’elle s’empresse de faire. Les y remet, doigte un peu ma femme et les ressorts charger de cyprine afin de les essuyer sur le visage de ma soumisse. Puis me penche vers elle pour lui chuchoter a l’oreille quelque chose. Je lui demande sa permission pour un truc qui n’était pas prévu ce soir. Elle me la donne. Ma compagne suit l’échange les yeux levé vers nous tout en me suçant. Je lui dis de ne pas quitter mon sexe de sa bouche et me déplace pour détacher ma soumise et la rattacher bras écartés vers le haut. Puis j’ordonne à ma femme de venir se mettre dans mon dos et de me caresser d’une main, de me branler de l’autre et de m’embrasser dans le coup. Elle s’exécute, intrigué, puis je lui dit de me faire jouir sur ma soumisse attaché, de la recouvrir de mon sperme. Elle a un moment de flottement étonné car elle sait que la séance ne doit pas comporter d’acte sexuel directe et sais que je ne ferai jamais rien sans l’accord préalable de ma dominé du moment. Puis elle comprend que c’est ce que je lui ai demandé tout à l’heure chuchotant a son oreille. Elle hésite, mon sperme n’est que pour elle d’habitude, elle est mon sac a sperme, mon dévidoir. Même a plusieurs mon sperme lui est réservé sauf si elle me demande l’inverse bien sûr. Mais en bonne petite chienne que j’ai bien dressé elle me branle quand même. je jouis alors, mon sperme sous la pression giclant jusqu’au sein de ma soumise du jour, dégoulinant sur son ventre. J’ordonne alors à ma compagne de me lâcher, lui prend les cheveux l’oblige à se mettre à quatre pattes et lui ordonne de lécher le corps de la soumise afin de ne laisser aucune goutte de mon sperme tout chaud sur elle. Ma compagne me sourit d’un air amoureux et ravi. Mon sperme n’est bien que pour elle. Elle lèche goulûment le sperme arrachant quelque soupir a la soumise. Puis reviens à mes pieds pour lécher les gouttes qui perlent sur mon sexe. Comblé je détache ma soumise qui tremble de fatigue après cette éprouvante séance. La remercie, on débriefe pour savoir ce qu’il lui a plu, les choses a amélioré, les choses à revoir puis d’un sourire je l’invite à se rhabiller dans la chambre pendant que moi je rejoins ma compagne sur le canapé qui essaye de comprendre la fin de son émission en aillant loupé une bonne partie. Elle me prend dans ses bras et me dit qu’elle m’aime. Ma soumise du jour reviens dans le salon habillé, nous sourit, nous embrasse et prend congé de nous en nous disant au revoir et a très vite.
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Par : le 13/11/13
C'est un rituel : le carré de chocolat. Il le lui donne dans le creux de sa main, et elle l'attrape dans sa bouche. Elle le mange ainsi en embrassant Sa main. C'est un petit moment de complicité très fort, mais discret. La seconde partie de la soirée débute ainsi. Elle avait débuté bien plus avant, au moment du repas. Ils l'avait préparé tous les 2, comme un couple vanille. Sauf qu'au dernier moment, Il lui ordonna de venir avec un coussin. Elle Lui donna et le mit par terre, tira sa chaise à cote de la Sienne et mit le coussin devant. Puis, Il mit ses couverts et son assiettes sur la chaise. Il la prend derrière son cou et, sans avoir besoin de parler, elle se mit, docile à genoux, sur ce coussin, devant sa "table". Il revint, la surveillant en même temps, avec un collier. C'est un collier en cuir assez gros, avec de la fourrure à l'intérieur. Sa soumise est précieuse pour Lui. Assis, Il lui mit, accrochant la laisse et Lui souhaitant bon appétit. Elle mangeait ainsi, à Ses cotés, à Ses pieds. Aucun mot n'est échangé; Il n'est d'ailleurs pas un grand bavard, et encore moins pendant les séances. Le geste et le regard font une bonne part du travail. Par contre, plusieurs fois, Il la caresse sur la tête , sur le cou, derrière la nuque. Comme une chatte, elle répond à ses caresses a se frottant à Sa main, tentant de l’attraper de temps à autre pour l'embrasser. Le premier plat arrive a sa fin. Il détache la laisse qu'Il avait fixé à la chaise, sans beaucoup de mou, afin qu'elle débarrasse son Maitre et apporte la suite. Enfin, Il la rattache à ses pieds. Le repas se déroule ainsi. Sa soumise à Ses pieds et à son Service. Il loi donne de temps à autre de l'eau et le pain en plus de son assiette, ainsi que des caresses. Le repas touche à sa fin. Il la détacha pour le dessert, mais il Lui ordonna d'aller sur le lit, en position d'attente. Elle monte donc sur le lit, docile. A genoux, tête baissée, elle attend. Il débarrasse la table qui lui servira par la suite. Enfin, Il s'approcha d'elle pour son dessert. Quelques caresses, et Il lui pose, aux chevilles et poignets, des bracelets. Prenant Son temps, Il les serre fort; Il sait que ce moment fait partie de ces nombreux instants, riches en sensation qui décuplent les plaisirs de sa soumise, sentant son abandon à son Maitre s'amplifier. Il profite également de ces quelques minutes pour savourer ce délicieux plongeon dans cet autre Monde... Poignets fixés au cou via le collier, Il la fait coucher sur le dos, jambes écartées. Il prit une cravache et entame une petite série de tapes sur l'intérieur de ses cuisses. Des tapes sèches, n'importe où, alternées avec des petites caresses faites avec le bout de la cravache. Chaque tape la fit sursauter. Brusquement, la tape devint plus large : c'est Sa main qui s'abattit. Plus forte, la peau rougit très vite, ainsi que son excitation. Chaque frappe, alternée la main et la cravache, lui fait lâcher des soupirs de plus en plus importants, conjugués avec son corps qui s’entortille de plus en plus. Il lui fixe ses poignets a une corde qu'Il avait attaché au lit, et pu ainsi continuer sa séance de douce torture. La voir rougir, se torsader et limite crier Lui fait monter Son plaisir et rajoute le martinet, sans vraiment de ménagement. Le sexe n'est pas épargné; il est récompensé par des caresses et les doigts de son Maitre, très vite remplacé par un godemichet, sadiquement manipulé. Sa soumise est mise à 4 pattes, chevilles et poignets solidement fixés aux 4 coins du lit. Il fait complétement fi de ses plaintes. Elle est bâillonnée afin qu'elle crie tout ce qu'elle veut. Il la rend folle. La maintenant fermement en plus avec l'un de ses bras, Il joue du gode pendant de longues minutes, la forçant ainsi à jouir sans contrôle, sans arrêt. Malgré ses protestations, Il continue. Les cordes sont solides, elle se débat, tente de sortir de ce carcan, Il la maintient toujours aussi fermement, l'obligeant à rester dans cet état second, au Nirvana, l'interdisant de retrouver ses esprits. Si elle tente de fermer ses jambes pour bloquer Ses mains, Il a toujours le moyen de la torturer tant elle est devenue sensible au moindre toucher.... Enfin, Il la relâche, la détache et s'allonge à coté d'elle; elle se détend et reprend petit à petit ses esprits. Mais c'est de courte durée, il lui rattache aussitôt ses mains au lit afin qu'elle Lui soit offerte pendant qu'Il prend, Lui aussi, son plaisir suprême en sa soumise. Ce troisième supplice, le plus délicieux, est la récompense qu'Il lui accorde. Longtemps réclamé, et jamais offert, son Maitre lui donne enfin ce qu'elle voulait depuis le début. Mais pour Son plaisir - et le sien, elle a du subir ce tourment de sensations intenses au milieu de cordes et de baillons, de cravache et de mains, de sueur et de plaisir. Enfin, le 7e ciel est atteint et ils redescendent ensemble, enlacés l'un dans l'autre. Elle goute au repos mérité pendant qu'Il lui masse le dos avec un crème au citron. Le temps s'écoule sans qu'ils s'en aperçoivent goutant ces moments intenses, de douleurs, de claques, de douceurs, de tendres caresses et de mots doux. Ils auraient pu s'en tenir là. Mais l'histoire dit qu'ils recommenceront trés vite, dés la prochaine occasion venue ....
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Par : le 29/09/13
Nous gravîmes l'escalier qui menait à la mezzanine, suivis de Kiko . Je commençai à avoir un début d'érection. L'espace était assez dégagé ; c'était un genre de studio de photographe, avec des projecteurs, ombrelles, et rideaux de différentes couleurs pour mettre en fond d'écran. Il y avait un pôle métallique qui allait du plancher jusqu'aux grandes poutres de la charpente en bois. Tout un assortiment d'accessoires de bondage était accroché sur une petite penderie à roulettes. Le photographe était là et réglait les derniers détails.Zaza accrocha la corde qu'elle tenait à un palan à chaînes qui pendait puis la tira vers le haut jusqu'à ce que je me tienne bien droit.« Le masque, Zaza » dit sèchement Kiko. L'assistante me posa une sorte de bandeau en latex, assez serré, qui comportait trois ouvertures, deux pour les yeux, une pour le nez, et qui me couvrait les oreilles.« Avec ça, peu de chance que l'on vous reconnaisse, si jamais ces photos sont divulguées quelque part. »La japonaise choisit un paquet de cordes qu'elle dénoua puis m'attacha les bras dans le dos, de manière horizontale, avant d'enrouler la corde autour de mes bras et de sécuriser le tout par de multiples entrelacs et nœuds ; ce fût exécuté assez rapidement, et j'appréciai ce mélange de frôlements et de caresses furtifs de la part des cordes et des mains gantées de Kiko: « Ushiro takate kote » fit-elle d'un ton guttural assez sérieux, que je trouvai drôle. Je souris. Le photographe avait mitraillé l'action sous tous ses angles. Je ne pouvais absolument plus bouger les bras mais la position n'était pas inconfortable.Kiko fit un petit rictus qui avait l'air de vouloir dire « ah, tu trouves ça drôle ? ». A l'aide d'une autre corde, elle attacha mes deux jambes ensemble, puis les deux chevilles, et tira sur la chaîne du palan. Loin de m'attendre à cela, je me sentis tirer vers le haut et perdre mon assurance en même temps que mon équilibre ; j'étais presque sur la pointe des pieds, à la limite de tournoyer sur moi-même.Je la vis se saisir de sa badine et passer derrière moi. Elle m'asséna deux coups assez violents sur les fesses. Je ne pus m'empêcher de pousser un cri de surprise et de douleur.« Le problème, avec les amateurs, c'est qu'ils ne prennent rien au sérieux... et qu'ils font trop de bruit ! Zaza, le baillon ! »On aurait dit que Zaza était en train de rêver toute éveillée ; elle sursauta tellement elle était subjuguée. Ses joues étaient en feu. Son cœur devait battre à tout rompre., elle paraissait en manque de souffle.« Ou... oui, tout de suite, Maîtresse » . Le lapsus était révélateur et elle s'en aperçut, mais c'était dit. Elle me posa un baillon-boule assez imposant que lui tendit Kiko, qui faisait comme un harnais sur la tête. Je ne pouvais ni sortir un mot, ni articuler quoi que ce soit d'intelligible, je ne pouvais qu'émettre des sons grotesques qui me rendaient ridicule, pitoyable. Je sentais la chaleur du corps de Zaza contre moi. Les coups avaient relancé mon érection. Les flashes crépitaient.« Serre plus fort, tu vois bien que c'est trop lâche ». La voix claquait comme la badine, et elle tutoyait Zaza comme une domestique. Zaza arriva maladroitement à s'acquitter de sa tâche, puis demanda :« J'ai besoin d'aller aux toilettes » avant de redescendre rapidement les escaliers.Si je n'avais pas été dans une situation aussi délicate, j'en aurai rigolé, mais je ne pouvais me le permettre ; Kiko menait la barque, Jean-Marc se faisait le plus petit possible, caché derrière son appareil, et Zaza mouillait sa culotte pour la japonaise.Celle-ci alla discuter en aparté avec Jean-Marc, sans doute au sujet des photos, de l'éclairage ou je ne sais quoi. C'était vraiment une belle femme, non pas une beauté classique, mais elle avait quelque chose qui la plaçait au-dessus du lot, sa manière de se mouvoir, son assurance à toute épreuve, son autorité naturelle.On entendit la chasse des toilettes et la porte s'ouvrir. Kiko se retourna vers la rambarde de la mezzanine et ordonna tout fort :« Quand tu auras fini, remonte-moi un verre de Cognac ; assez traîné, ça fait un quart d'heure que tu es là-dedans ».L'écho répondit : « J'arrive tout de suite ! ».Kiko revint vers moi et lâcha un peu de mou au niveau de la corde que j'avais au cou. Mes talons touchaient maintenant le plancher. Ce n'était pas pour me déplaire.On entendit Zaza arriver, toute essoufflée, un ballon de Cognac à la main. « Pour vous ». Kiko prit le verre, en but une longue gorgée, le reposa.« Et maintenant, c'est toi qui va travailler, Zaza. Attache ses testicules, et ne fais pas semblant, cette fois. Tu l'as déjà fait ? »« Non » « Non qui ? »« Non Maîtresse »« Et bien , improvise, ce n'est pas compliqué , enroule bien autour de chaque boule, puis, à la base du pénis, je finirai le reste » ; en disant cela, elle avait saisi mon entrejambe d'une main ferme et gantée. Je retins mon souffle et mon érection reprit de plus belle.Une fois le travail fini, je crus que mon sexe allait éclater. Les cordelettes me faisaient un mal de chien, et impossible de débander. Zaza était en extase et le visage de Kiko prit une expression qui me fit comprendre pourquoi j'étais là. Les photos étaient un prétexte. Cette femme éprouvait régulièrement le besoin d'étancher ses penchants sadiques. J'étais mal parti.« J'ai cru comprendre que notre invité craignait pour son anonymat, ne le laissons pas dans l'inquiétude une minute de plus ; apporte-moi la cagoule, Zaza ».« Bien Maîtresse ».« C'est bien, tu fais des progrès ».« J'ai encore besoin d'aller aux toilettes, Maîtresse ».« Pas avant de lui avoir mis sa cagoule . Vas-y, et ajuste la bien ».Zaza prenait maintenant son rôle à cœur. Pendant que Kiko finissait son verre de Cognac, elle me mit une cagoule en cuir totalement dénuée d'ouvertures, excepté deux orifices munis de petits tuyaux qui me rentraient dans les narines pour me permettre de respirer. Un système de fermeture à lacets depuis le haut du crâne jusqu'au cou permettait de l'ajuster parfaitement. Un large et solide collier en cuir, intégré à la cagoule au niveau du cou, rendait le dispositif entièrement hermétique. J'étais dans le noir total. Les bruits de l'extérieur étaient à moitié étouffés, et surtout couverts par le bruit de ma respiration et les battements du sang dans mes tempes. Je n'étais plus qu'une marionnette entre leurs mains.Ma machoire me faisait souffrir ; elle était presque ankylosée, quant à mon sexe, c'était insupportable.J'entendis Kiko dire à Zaza :« Tu peux y aller maintenant, et remonte-moi un autre verre, non, la bouteille ! ». Kiko commença à jouer avec les deux petits tuyaux par lesquels je respirais ; elle les pliait de temps en temps, coupant l'arrivée d'air pendant quelques instants qui me paraissaient des siècles. Puis elle les relâchait pour éviter que je ne suffoque, pour recommencer aussitôt, générant dans mon esprit une angoisse grandissante. Cette femme avait mon sort entre ses doigts, elle le savait et en jouait à merveille. J'aurais accepté n'importe quelle condition pour que ce jeu s'arrête, mais j'étais un pantin entre ses mains.A partir de ce moment là, je perdis la notion du temps, de l'espace. Je sentis la corde à mon cou se relâcher et elle fut fixée dans mon dos, puis d'autres passèrent sous mes cuisses, entre les jambes et les genoux. J'entendis le cliquetis des chaînes et mon corps se souleva lentement, sans à-coups, offrant mes fesses à la promesse d'un châtiment que je n'osais envisager. Je ne pouvais absolument rien faire, ni protester, uniquement subir ce qui allait arriver.Zaza était remontée et Kiko se délecta d'un deuxième verre. Combien de temps avait-elle mis cette fois-ci ? Longtemps, il me semble, mais je me disais que c'était mieux ainsi : plus longue était la trêve. Ce que je redoutais arriva.« As-tu déjà fouetté un homme, Zaza ? ».« Non, Maîtresse ».« En as-tu envie, Zaza ? »« Oui, mais... c'est cruel, Maîtresse, il ne le mérite pas. »« Tous les hommes le méritent, Zaza, mets-toi bien ça dans la tête, et lui, peut-être plus que les autres. Pourquoi crois-tu qu'il a accepté de venir ici si ce n'est pour avoir du plaisir avec des femmes qu'il ne connaît même pas ? »« Vous avez raison Maîtresse »« Approche-toi de lui, et regarde le bien, dis ce que tu ressens. Ne dirait-on pas un cochon pendu qui va à l'abattoir ? »Je sentis des mains qui me tâtaient, qui touchaient mes fesses, mes testicules, mon dos, puis qui me poussèrent pour que je me balance. Je tentai de remuer pour me sortir de ce pétrin, pour leur faire comprendre que je voulais arrêter ce jeu qui dégénérait, mais cela fit l'effet contraire.« Cest vrai, Maîtresse »« Alors prends ce martinet et défoule-toi ; tiens, bois un verre de Cognac cul-sec avant, je vais m'en resservir un autre »Kiko lui expliqua quand et comment frapper, et, quelques instants après, une série de coups s'abattit sur mon arrière train ; mon corps se balançait d'avant en arrière, et les coups, bien synchronisés, amplifiaient le mouvement. La douleur devint vite insupportable mais Kiko, en professionnelle, arrêta la correction au moment adéquat.« Tu peux repartir aux toilettes, Zaza, et y rester le temps que tu voudras, je m'occupe de lui ».« Merci Maîtresse, je vous adore ».Je remerciai le ciel pour ce moment de répit. Je pensais être arrivé au bout de ma capacité d'encaissement, je n''étais que douleur.J'entendais faiblement les « oooooh » et les « ah » que poussait Zaza, en bas, elle ne s'en cachait même plus, quant aux deux autres protagonistes, je ne savais pas ce qu'ils faisaient, mais il le faisaient en silence.
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Par : le 09/08/13
( Je partage avec vous et avec son autorisation, un petit bout du bouquin d'une amie, elle ne s'y connais pas trop en BDSM mais elle a tenue a le mettre dans son histoire fantastique / érotique, je vous laisse donc lire et me donner votre avis qu'il sera retranscrit mot pour mot )— Tu es vraiment sûre de le vouloir... ? Demanda Till plus qu'inquiet. — Liebe... Je sais ce que tu es... Je sais comment se passe cette «cérémonie» et donc oui, je suis sûre et certaine de me lier à vie à toi, murmura-t-elle pour rassurer le démon. — Tu ignores tout de ce que je dois te faire... Il ne s'agit pas d'une simple cérémonie comme un mariage avec une signature de contrat. Il s'agit vraiment d'un... d'un rite charnel... Sadique... Violent... — Lindemann... Je suis sûre et certaine... Répéta-t-elle. — Je refuse de te faire du mal... Trembla Abigor. — Till... Je t'aime, tu le sais, et tu sais aussi que je ne suis pas éternelle. Je n'ai que 21 ans, certes, mais alors que toi tu ne changeras pas d'apparence, moi je grossirai, je serai laide et toute ridée, sans compter que j'aurai la peau qui pend... Super le mythe de la bombe sexuelle... Surtout que je le suis pas à la base alors... Argumenta-t-elle.Till ne pouvait que sourire. Elle était décidée à lui appartenir physiquement, mentalement et sexuellement. Il ne cachait pas qu'il était terrifié à l'idée de devoir lui faire ça, mais l'idée de lui faire l'excitait d'une certaine façon. Son instinct démon prenait de temps en temps le dessus, et malgré son rebut psychologique, Till ne pouvait retenir son excitation. — Till... Je serai tienne et je n'aurai aucun regret, sourit-elle en lui caressant le visage. — D'accord... Soupira-t-il mort de trouille. Suis-moi... Continua-t-il en lui prenant la main.Ils se regardèrent une dernière fois. Jennifer caressa tendrement sa main en lui adressant un magnifique sourire. Elle se posait souvent la question de savoir comment un si bel être avait pu tomber sous son charme, elle qui était si banale, sans «truc» particulier comme Pauline ou Sophie. Elle était une simple humaine, rien de plus, rien de moins, alors comment avait-il pu? — Jenny... Combien de fois je vais devoir te dire que l'amour ne se contrôle pas et que tu auras beau te transformer en sorcière, en gnome ou même en goule que je t'aimerai toujours. T'es très belle, superbe même, alors... CHUT! Fit le démon en posant son index sur les lèvres de sa belle.Elle voyait bien dans son regard qu'il l'aimait, qu'il était fou d'elle et surtout, qu'elle pourrait lui faire faire n'importe quoi. Elle devrait peut-être essayer après ça. Ils se sourirent, et descendirent directement en enfer. Le long couloir semblait interminable, il faisait noir, on ne voyait absolument rien. Mais comment faire pour se repérer là-dedans? La porte se referma, faisant sursauter la demoiselle qui se blottit immédiatement contre le torse brûlant de son homme. Le démon sourit, tourna sa main, paume vers le ciel, et fit apparaitre une flamme dans le creux de sa main. Elle dansait et virevoltait tel un petit rat de l'opéra. — Tes pouvoirs m'étonneront toujours Liebe, sourit-elle maintenant rassurée.Enfin... Presque... Lorsqu'elle s'aperçut que les murs étaient tous, sans exception, incrustée de cadavre frais, de squelette, que des bras sortaient de nulle part... Oh elle n'avait pas spécialement peur, pas encore du moins, mais elle avait perdu son assurance. — T'en fais pas, tu ne risques rien, sourit Till en la blottissant contre lui.Les deux amants avancèrent dans ce long couloir où seule la flamme de Till éclairait leurs pas. Plus ils avançaient et plus la température montait. Bientôt, une odeur de soufre prit d'assaut le nez de Jennifer et la demoiselle fut prise d'une grosse nausée. Au fond d'elle, elle angoissait terriblement de ce qu'il allait se passer, d'où elle allait et ce que Till ferait d'elle. Le démon ressentait bien ça, et il commençait vraiment à se demander si ce n'était pas une mauvaise idée. Les secondes passaient, le couloir n'en finissait pas. Jennifer resserrait et caressait la main de Till pour se rassurer. Le démon rassura sa belle, la blotti contre lui, lui embrassa le front en lui murmurant des mots doux et rassurant, mais rien n'y fais, son estomac était noué, l'angoisse la prenait, elle avait envie de pleurer, de dire à Till de faire demi-tour, qu'elle n'était pas prête pour pénétrer dans les enfers, mais une petite voix en elle lui disait de continuer, d'aller au bout de ce qu'elle faisait, qu'elle pouvait y arriver. Elle s'arrêta quelques secondes, prit une grande inspiration et souffla tout l'air qu'elle avait dans les poumons. — Tu es vraiment sûre... ? Questionna à nouveau Till.Elle lui lança un regard noir et Till leva les mains en l'air, histoire de dire qu'il se tait. Ils reprirent leur route et ce n'est que cinq minutes plus tard que le démon s'arrêta net. Que se passait-il? Y avait-il une attaque? Till prit une grande inspiration, se mit à pousser un grognement très rauque, sourd et puissant. Le démon serra les poings, deux cornes se mirent à pousser de part et d'autre de sa tête et bientôt, Till laissa la place à Abigor. Jennifer ne l'avait vu qu'une fois en démon, lorsqu'il lui avait montré sa véritable nature. Il l'impressionnait, et contrairement à ce qu'on pouvait penser, elle n'avait pas peur de lui, il l'intriguait. Le démon posa sa lourde main sur la porte et la fit voler en éclat. Jennifer ne put que se cacher pour ne pas recevoir un morceau de bois, mais aussitôt la porte explosée, Till repris sa forme humaine, regarda sa belle et sourit. — Tu étais obligée de faire exploser la porte? Tu pouvais pas l'ouvrir? Grogna-t-elle en se relevant. — Hmmmmmm... Non, c'est pas drôle sinon, et puis faut les faire bosser les esclaves, on ne les a pas faits prisonnier pour qu'ils restent croupir dans leur cellule, rit Till. — Liebe... Tu es ignoble... Soupira-t-elle, mais je t'aime comme ça.Le démon sourit et passa la porte en lui tenant la main.La chaleur était étouffante, l'odeur de soufre nauséabonde, les bruits de fers, de machines et de cris des esclaves et des chefs assourdissants. La belle regardait tout autour d'elle, complètement subjuguée par ce qui l'entourait. Les coups de fouet résonnaient partout, en haut, en bas, à droite, à gauche, l'un des esclaves chuta devant les yeux du couple. Jennifer se précipita et se pencha par-dessus la barrière et vit le gnome disparaitre dans la lave en fusion sous les rires des chefs. Bizarrement, elle n'était pas choquée de ce qu'il se passait, comme si tout cela était... Normal. Elle se retourna et fit face à un gnome qui la reniflait. Surprise, elle poussa un cri strident, faisant sursauter Till qui arriva au pas de course, attrapant le gnome par la gorge. — Maître, gémit la créature, vous avez donc une soumise. — T'ai-je ordonné de l'ouvrir? Vociféra le démon en resserrant sa main. — Mais maître, c'est du grand spectacle que vous aller nous offrir, continua le gnome en riant tout en posant son regard sur Jennifer. Sale soumise! Cria la créature en riant.Till avança vers la barrière où se trouvait sa belle, plaqua le gnome contre le bord et appuya, de toutes ses forces, jusqu'à ce que la tête se détache du corps. Il balança ensuite le corps dans la lave et garda la tête dans sa main. — Tu viens? Dit-il naturellement — Euh Till... Trembla-t-elle. — Oui? — Tu... C'est pas contre toi hein, mais... tu... Tu as une tête dans ta main... Répondit-elle en montrant la tête saignante.Till la regarda et rit en lui disant que c'est pour donner à Cerbère. Le sang de Jennifer ne fit qu'un tour. Elle déglutit et avança prudemment vers Till. Il n'était pas l'homme qu'elle connaissait. Il était cruel, sadique, mais... terriblement sexy et excitant. Il lui sourit avec amour et prit tendrement sa main. Ils continuèrent de marcher, de descendre toujours plus loin en enfer. On aurait pu croire que la chaleur serait insoutenable, bien au contraire, plus le couple descendait dans l'antre du diable, plus la température baissait. Jennifer ne pouvait s'empêcher de se dire que c'était très étrange, mais cela lui importait peu, elle pensait surtout à cette fameuse cérémonie. Tant de question qu'elle se posait, mais elle n'osait pas les poser à son homme, ne le reconnaissant plus à vrai dire, et pourtant, elle était encore plus folle de lui, il était tendre et doux avec elle, et pourtant si cruel et odieux avec les autres. Elle poussa un long soupir pour faire descendre la pression en elle. — Tu as peur? Demanda Till. — Pour tout dire, non je n'ai pas peur, je suis juste... Anxieuse de savoir comment tout cela va se passer, avoua-t-elle. — Tu seras avec d'autres soumise, elles t'expliqueront, répondit Till avec froideur. — Mais pourquoi des soumises? En quoi je serais comme elle? Répliqua l'humaine avec froideur. — Tu verras bien quand tu seras dans le truc. — Mais quel truc?! S'agaça Jennifer.Till ne répondit pas et avança, regardant droit devant lui. Il était si mystérieux. Pourquoi un tel changement de comportement? Telle était la question. Till n'était pas fou ni dupe, il savait et ressentait ce que sa belle avait et pensait, il avait honte de son comportement, mais pour le coup, il ne pouvait se contrôler, après tout, il était «chez lui» et son naturel ne pouvait qu'être présent.Le couple arriva devant une nouvelle porte, et Till hésitait entre la faire exploser de nouveau ou bien l'ouvrir tranquillement, comme une personne civilisée. Il opta pour une ouverture tranquille. Il prit la poignée de la porte, mais ne contrôlant pas sa force, lorsque Till l'ouvrit, la malheureuse lui resta dans la main. Till et Jennifer se regardèrent, cette dernière lui faisant les gros yeux. — Si tu veux qu'on habite ensemble, fais-moi penser à prendre un stock important de portes... Lança-t-elle blasée.Till lui sourit et se prosterna pour la laisser passer. Elle le remercia et passa devant le démon, l'attendant un peu plus loin, le temps qu'il remette la porte en place, puis il la rejoint. Ils marchèrent, encore et toujours, puis Till poussa une nouvelle porte et ils arrivèrent dans une salle, immense éclairée seulement par la lumière des flammes sur les torches. Les murs étaient des plus simples, de la lave solidifiée et sculptée, des figurines sorties directement du kamasutra trônaient partout dans la salle, différents gods et autres sextoys figuraient en tableaux, sculpture ou dessin. Il y avait une grande scène au milieu de cette pièce où se dressaient des barres pour les strip-teases et des cages. Jennifer était surprise de voir ça et se demandait ce qu'était cette pièce et à quoi elle pouvait servir. Elle n'avait jamais vu de telle salle à l'extérieur, même dans les salles de strip-teases. Intriguée, elle lâcha la main de Till et fit le tour de chaque table, chaque tableau, chaque sculpture, observant chaque dessin. Elle tomba sur l'un d'entre eux, très surprenant. Elle le regarda, l'admira et finit par admettre qu'il était très beau. Ce dessin représentait un acte sexuel entre un démon et une elfe. Ils étaient dans la position du loup, on pouvait lire sur le visage de l'elfe de la douleur, mais aussi beaucoup de plaisir, quant au démon, il semblait impassible. Les couleurs étaient principalement noir, rouge, bordeaux et bleu pour l'elfe. Jennifer reconnut un endroit de la salle et sembla surprise. Elle passa au dessin au dessin suivant qui représentait un autre démon avec une tête de chacal en train de se masturber. La taille du phallus lui paraissait disproportionnée. Elle se retourna vers Till et lui montra le tableau. Le démon s'approcha d'elle et regarda à son tour. — C'est sympa la déco, mais les proportions sont exagérées non? Demanda Jennifer. — Non, c'est bien sa vraie taille, expliqua Till très calme.Jennifer sursauta et regarda le dessin en le dévisageant. Till la regarda et fit un sourire en coin très amusé. — Ne t'inquiète pas, mon sexe n'est pas de cette taille là malheureusement, tu l'as constaté, sourit-il. — Quel dommage, j'aurai voulu savoir ce qu'on ressentait, taquina-t-elle. — Je peux vous le faire découvrir, fit une voix rauque derrière eux.Les amants se retournèrent et firent face au démon à tête de chacal. Jennifer rougit et était gênée de le voir. Il s'approcha d'eux et regarda Till, l'air sceptique. Ils se mirent à parler en hindi, et Jennifer se sentit bien seule à ce moment-là. — Abigor, on ne t'a pas vu en enfer depuis des siècles, cingla le chacal. — Je ne veux plus avoir à faire ici, répliqua Till sèchement. — Que viens-tu faire ici puisque tu nous renies? — Je viens pour le rituel de fusion, souffla Till. — Oh je vois, tu as trouvé une soumise, sourit le chacal en regardant Jennifer avec envie. — Fais gaffe! Je te rappelle que tu me dois le respect et donc celui de ma soumise. — Pour le moment, elle n'est rien à part une pauvre humaine qui vend son âme à un traitre!Till attrapa la gorge du chacal et l'empala sur un trident accroché au mur. Le chacal gémit de douleur puis se mit à rire alors que Jenny était pétrifiée devant l'excès de colère de Till et se demandait réellement s'il allait être aussi brutal dans ce rituel dont elle ignorait tout. Le démon à tête de chacal se mit à rire et s'extirpa de ce trident. — Je ne ferais rien à ta soumise. Quand veux-tu le faire ton rituel? — Ce soir! Tu envoies les invitations à tout le monde et je veux voir la salle remplie dans une heure maximum, imposa Abigor avec autorité.Le chacal soupira et se mit à grogner et aboyer avec force. Le silence fut maître après cela durant plusieurs secondes, puis un bruit de talons se fit retentir. Ils se retournèrent tous les trois et virent des femmes, au nombre de dix, toutes nues avec des talons aiguilles. Elles avaient la particularité de ne porter sur elles que des caches-tétons et une sorte de string ou la ficelle pénétrait l'intimité et les fesses. L'une d'entre elles n'était pas à l'aise. Elle semblait gênée par quelque chose, quelque chose qui la fit s'effondrer en poussant un gémissement puissant. — Quel orgasme ma belle, mais t'ai-je demandé de l'avoir? Demanda le chacal en s'approchant d'elle. Retourne dans la loge, je te punirais pour ça, ordonna-t-il.Elle fit demi-tour, toujours autant gênée tandis que les autres se tinrent en rang d'oignon devant Till et Jennifer. Il y avait des elfes, des démons, des humaines, et même un troll. — Je vous présente mes soumises, celle qui est partie est toute nouvelle, elle ne supporte pas encore tout ce que je peux lui faire, rit-il en embrassant un des elfes. Les filles je vous confie la demoiselle. Vous me la préparez comme il faut, je veux que dans une heure elle soit prête, ordonna-t-il.Les filles sourirent et tirèrent Jennifer par les mains en niquassant et se trémoussant. L'humaine ne pouvait que se demander ce qu'on lui réservait, mais de toute façon, elle n'avait plus le choix et ne pouvait pas reculer. Elle finit par disparaitre dans les coulisses, laissant Till et le chacal, seuls. Les deux démons se regardèrent — Tu as une tenue de prévue? Questionna le démon. — Oui, je sais quel est son fantasme vestimentaire, sourit Abigor. — Alors, viens avec moi que l'on puisse te préparer.Les deux hommes disparurent dans un recoin de la salle, cachée derrière un rideau noir et épais.À peine rentrées que les filles fermèrent la porte derrière elles, bandèrent les yeux de Jennifer en souriant et riant. Certaines se mirent à la déshabiller entièrement, d'autres l'épilaient, ou même encore lui vernissait les ongles. Une elfe glissa ses doigts sur les tétons de Jennifer pour les lui faire pointer, mais gêner, il n'y eut aucune réaction. Deux humaines poussèrent Jennifer et l'installèrent sur une chaise. Elle devait impérativement être maquillée et coiffée. La séance dura de longues heures et Jennifer n'avait pas ouvert une seule fois les yeux, même pour le maquillage. Elle ignorait pourquoi elle était nue, elle appréhendait beaucoup, mais au fond de ses entrailles, elle ressentait une certaine excitation, et dans sa tête, elle s'imaginait mille et une scènes sexuelles avec Till. Les filles ne cessaient de rire, de glousser et de se raconter leurs ébats avec leur maître. — Mais pourquoi les appelle-t-on des soumises et les hommes des maîtres? C'est un délire de démon ? Se questionna Jennifer très intriguée. Le silence fut soudain. Plus aucun son ne sortait de la bouche des filles. Que se passait-il? Jennifer ne voyait rien et elle ressentait un mélange d’excitation et de terreur. Des pas se firent entendre. Ils étaient lourds, lents et puissants, mais Jennifer aurait reconnu ces pas parmi des milliers. Ils se rapprochaient d'elle, bientôt seul son souffle pouvait se faire entendre. L'inconnu s'approcha de son oreille et respira lentement. Ce souffle... Des milliers de frissons parcoururent le corps de la belle. Elle sentit rapidement quelque chose autour de son cou, comme une sorte de collier en cuir et très large. Une légère pression sur sa nuque la fit frissonner à nouveau et elle n'avait pas d'autre choix que de suivre cet inconnu, inconnu qui ne l'était pas tant que ça. La porte s'ouvrit et un brouhaha intense se fit entendre, accompagné de musique dure, du bon vieux thrash métal. Elle ne savait pas ce qu'elle faisait, mais son instinct et son intrigue l'encourageait à le faire.L'inconnu, qui n'était autre que Till, tira Jennifer par une corde, relié à ce fameux collier qui avait en lui tout un symbole qu'il expliquerait à sa douce plus tard. D'un pas lent et décidé, il s'avança vers le centre de la scène, là où trônait la plus grande des cages. Les démons présents hurlaient et encourageaient Till. Abigor la fit entrer dans la cage avec brutalité, la bousculant presque. Il lui ordonna de monter sur de petite marche. Elle s’exécuta sans broncher, comme si c'était naturel pour elle. Une fois installée, Till lui attacha les mains de part et d'autre de la cage, puis remonta chacun de ses pieds pour les lui attachés également. Il mit un grand coup de pied pour enlever les marches. Elle se retrouva en suspension, simplement soutenue par ses attaches. La position excitait plus Jennifer qu'elle ne l'aurait pensé. Elle était totalement dans l'inconnu, aveugle et démunie, offrant son corps à un inconnu qui ne l'était pas, livré à lui, sans aucune limite. Till referma la cage et avança vers une petite table où se trouvait divers objets: Bougie, gods, cravache, pince-téton et intimité, glaçon, plug et boule de geisha. Il passa le bout de ses doigts sur chaque jouet puis regarda sa belle avec envie. Il ne pouvait pas le cacher, il avait une érection comme jamais il n'avait eu et il n'avait qu'une hâte: montrer à sa belle son costume. Il s'approcha des barreaux, passa ses bras au travers et dénoua le nœud du bandeau. — N'ouvre pas les yeux où tu auras à faire à moi, susurra-t-il dans son oreille.Curieuse et provocatrice, la demoiselle ouvrit un oeil. Grossière erreur! Till s'approcha de la cage et serra son visage entre ses doigts. Elle lui avait désobéi. — Regarde, mais tiens-toi prête à être punis pour m'avoir désobéis.Till se recula. Une corde descendit du plafond et Till l'attrapa, ordonnant à sa soumise d'ouvrir les yeux. Elle s’exécuta et son sang ne fit qu'un tour, son ventre fut envahi de papillon et elle sentait que son intimité devenait humide d'excitation. Son fantasme? L'habit marin. Till portait un pantalon blanc où son érection impressionnante se faisait voir, une chemisette blanche, une veste blanche et une casquette. Elle n'en pouvait plus, il l'excitait, elle ne prêta même pas attention aux démons qui les regardaient avec envie. Till lui sourit sadiquement et tira sur la corde. Plusieurs mètres cubes d'eau s’abattirent sur lui alors qu'il penchait la tête en arrière. L'eau transforma ses vêtements en simples tissus transparents. On pouvait remarquer la pilosité de Till, mais aussi ses tétons qui pointaient de désir, mais ce qu'on remarquait le plus, c'est bien le sexe de Till, large et grand, mais pas du même niveau que le dessin dans la salle. Jennifer tira sur ses liens, provoquant ainsi le démon qui s'approcha d'elle. Il lui remit son bandeau et l'embrassa en pinçant doucement son téton gauche. Elle se mordit la lèvre et tira sur ses liens. Il lui adressa une petite gifle en riant sournoisement, puis se recula pour être à la hauteur de la table où se trouvaient tous les jouets. Il les regarda un par un et fini par choisir les boules de geisha, prenant le tube de lubrifiant pour les recouvrir, même s'il n'y en avait plus besoin vu le liquide qui brillait et coulait entre les cuisses de sa belle déjà très excitée par la vue de son amant en marin. Il s'approcha d'elle, approcha sa tête de ses lèvres et lui mordit doucement le cou, glissant sur ses seins et ses tétons et il pénétra en elle une première boule. Jennifer sursauta et gémit de plus en plus fort au fur et à mesure que la boule entrait en elle. Il pénétra la seconde avec lenteur et en profita pour laisser ses doigts en elle. — Que... Que fais-tu...? Gémit-elle d'excitation — Vouvoie-moi! Ordonna-t-il avec sévérité. — Till... Je t'en p...Till saisit la cravache et la claqua sur ses fesses avec force, arrachant un cri de plaisir et de douleur. Elle sentait les boules bouger en elle, elles la gênaient, mais les vibrations qu'elles lui procuraient étaient tellement bonnes. Till pénétra à nouveau ses doigts en elle, jouant avec les boules et profitant de la situation pour appuyer sur le clitoris avec son pouce. Jennifer sentait la chaleur monter et devait avouer que les boules en elle lui faisaient plus d'effet qu'elle ne l'aurait imaginé. Abigor se décida enfin à enlever ses doigts et se dirigea vers la table, laissant quelques secondes de répit à sa douce qui ne cessait d'onduler son bassin, mais plus elle gesticulait, plus les boules de geisha frottaient l'une à l'autre, procurant un plaisir toujours plus puissant. Elle sentait l'orgasme arriver, elle ne pouvait le retenir. Jennifer se mit à hurler, bougeant dans tous les sens tant il était fort. Till se retourna, sourit et prit à nouveau la cravache. Il passa derrière elle et frappa fort. — T'ai-je ordonné d'avoir un orgasme? Grogna le démon en claqua à nouveau ses fesses. — N... Non, gémit-elle de plaisirLe voit sourire et revenir à la table. Il reposa la cravache et prit des pinces tétons et intimité. Jennifer ressentit une vive douleur aux tétons et hurla en se cambrant, faisant bouger les boules en elle. Puis les douleurs se firent ressentir sur ses lèvres intimes. Till s'amusa ensuite à lui mettre un baillon, prétextant en avoir marre de l'entendre hurler, profitant pour attacher ses seins et les faire ressortir. Il passa furtivement son doigt sur chaque téton dressé et pincé, la faisant hurler de plaisir. Au fond de lui, il n'aimait pas lui faire ça, mais son âme de démon était excitée par ça. Il voulait la faire jouir de douleur et de plaisir, qu'elle soit livrée à lui et rien qu'à lui, qu'elle soit en quelque sorte son jouet. Il prit ensuite le bac de glace et pinça deux glaçons qu'il posa directement sur les tétons, en les bougeant. Le corps de la belle se couvrit de frisson et elle gémit avec puissance tout en sursautant. Till prit ensuite d'autres glaçons et les pénétra en elle. Elle eut le souffle coupé tant c'était froid, et tout en jouant en elle avec les glaçons et les boules, Till s'empara de la bougie en riant sadiquement. Ce rire inquiétait la demoiselle et lorsque la cire brûlante entra en contact avec les tétons douloureux. Elle ne put retenir ses larmes tant la douleur et l'excitation étaient fortes. Il s'amusait à lui en mettre sur tout le corps, la faisant crier un peu plus à chaque fois. Il aimait ça, sa nature aimait ça, mais au fond de lui, il avait envie de son corps, de lui faire l'amour comme une reine, mais aussi brutalement comme le devait la tradition et le rituel. Il laissa les autres jouets de côté et la détacha. — Fais attention en descendant, murmura-t-il à son oreille.Elle se laissa glisser, tremblante sur ses jambes, au bord de l'orgasme. Il tira doucement sur la corde reliée au collier et la fit sortir. Chaque pas qu'elle faisait était une torture et elle comprenait maintenant ce qu'avait la soumise du chacal. Les boules ne cessaient de s'entrechoquer, de vibrer en elle, elle savait que l'orgasme n'était pas loin. Till colla le dos de sa belle à l'une des barres de la salle et lui attacha fermement les poignets à cette dernière. Elle cambra son dos sous la fraicheur de la barre et se mit à gémir fort en se débattant. Till venait de poser un vibro sur son clitoris, tenant de l'autre main un martinet qu'il claquait doucement sur les fesses de sa belle. Elle n'en pouvait plus. Ses jambes se dérobèrent sous la violence de l'orgasme. Till la retint, inquiet, mais il ne le montra pas. Il rattacha sa douce et retira d'un geste vif les boules, provoquant en elle des orgasmes multiples. Jennifer se laissa glisser le long de la barre, se retrouvant à genoux. Till retira ensuite toutes les pinces avec douceur, prenant tout son temps pour que le sang revienne bien comme il faut. Elle grimaça et gémit bruyamment. Till s'assura que tout allait bien puis prit le martinet et commença à fouetter doucement le ventre, les seins et l'intimité de sa belle. Elle ne pouvait pas bouger, juste se débattre, son corps était plein d'envie et d'excitation, toutes ses zones érogènes la faisaient souffrir le martyr, mais Dieu qu'elle aimait ça. Le seul truc que Till laissait c'était les liens autour de la poitrine de sa belle. Till sortit son impressionnant sexe, força Jennifer à ouvrir la bouche et le plaça directement à l'intérieur. Il ondulait d'abord lentement et avec douceur. Sa langue jouait autour du gland de Till. Elle jouait avec sa langue. Pour la première fois, Till se mit à gémir en ondulant son bassin. Subitement, il se mit à accélérer, laissant à peine le temps à sa maitresse de respirer, pénétrant entièrement son sexe dans sa bouche et en y restant quelques secondes. Chaque fois que Till se retirant, elle fut prise d'une quinte de toux. Till recommença plusieurs fois puis il la détacha. — Ton corps est mien... Je vais te faire jouir comme tu ne l'as jamais fait... Gémis Till.Till la tira par la laisse, la plaqua contre le mur en grognant à son oreille. Instinctivement, elle releva sa jambe, jambe que Till prit aussitôt dans sa main et pénétra en elle quatre de ses doigts, les bougeant rapidement en elle. Jennifer gémissait, toujours plus vite et toujours plus fort, c'est ce qu'elle attendait d'une certaine façon et ce que lui faisait Till à l'heure actuelle était tout simplement divin. Dès l'or où Abigor avait pénétré ses doigts dans l'humaine, les mâles s'étaient levés, hurlant, braillant et sifflant telle une horde d'animaux sauvages. On pouvait entendre «Vas-y! Baise-la! Soumets là!» ou bien encore «Domine-la Abigor! Fais-la mouiller comme jamais! Fais-la hurler!» La délicatesse des démons, pensa Jennifer en hurlant. Elle sentit les doigts de Till se plier. En effet, lé démon cherchait le point G de sa belle et il parcourait son vagin dans les moindres recoins tout en mordillant ses fesses et en les claquant de temps à autre. Abigor eut une idée. Sans crier garde, il pénétra entièrement son poing en elle, provoquant les hurlements de joie des spectateurs, ainsi que les hurlements de surprise de l'humaine. Quelle surprise! Mais quel bonheur et quel plaisir cette sensation. Elle n'avait jamais ressenti ça et ne pensait même pas que cela pouvait être possible. Elle avait la sensation d'être remplie. L'orgasme n'était encore pas loin et Till accélérait encore et toujours son poing. — Ti... Till... Gémit-elle. — Mon capitaine! Grogna le démon en accélérant. — Mon... Mon capitaine... Je t'en pris...Till attrapa la cravache et donna un coup sec sur les fesses déjà meurtries de sa bien-aimée. — Tu me vouvoies, je t'ai déjà dit! Fit Till avec autorité. — Mon capitaine... Je vous en prie... Je veux vous sentir... Gémit-elle. — Tu me veux? Tu veux mon corps? Mon sexe? — Oh oui mon capitaine...Till se redressa, plaqua plus sa belle en la maintenant contre le mur et pénétra avec fougue son sexe dans l'antre des désirs, leur arrachant un gémissement puissant, ainsi que les sifflements de la centaine de démons. Il était si puissant et sec, elle n'avait jamais vécu ça avec son démon, et elle se l'avouait, elle voulait recommencer. Les gémissements du démon se transformèrent en grognements rauques. Till n'en pouvait plus, dès lors qu'il avait ouvert son pantalon, il ne pensait plus qu'à ça, s'unir à elle, la transformer en démon par sa semence. Abigor alternait entre rapidité et violence et lenteur et douceur. Jennifer ne sentait plus son bassin tant elle avait été submergée par les multiples orgasmes et la puissance du démon et de l'acte en lui-même. Till se retira, retourna sa belle pour qu'elle lui fasse face. Il posta ses bras sous ses fesses, la souleva, la bloqua à nouveau contre le mur rugueux, posant sa main sur sa gorge et la pénétra à nouveau avec force, suçant ses tétons encore douloureux, arrachant un gémissement puissant à Jennifer. Elle enroula ses jambes autour de son bassin, se laissant totalement faire. On aurait pu croire que Till n'avait aucun respect pour elle, qu'elle était un simple objet sexuel ou un «vide-couille» comme on le dit vulgairement, mais non. On pouvait vraiment ressentir le respect qu'a le démon pour elle. Après une ou deux minutes, Till se retira à nouveau, la fit glisser avec prudence et la força à se coucher sur le sol, écartant bien ses jambes et les repliant sur elle. Cette fois, il pénétra son sexe très doucement pour accélérer sans prévenir. Il prit une inclinaison et fit mouche. Il toucha le point G de Jennifer. Son souffle se coupa, son dos se cambra. Aucun son ne sortit de sa bouche. Elle n'en pouvait plus. Till avait toujours la main sur sa gorge et accélérait, encore et encore, en étant toujours plus puissant, plus sec. Till sentait qu'il allait atteindre apothéose. Alors, pour calmer sa pulsion, il ralentit et embrassa sa chère et tendre. Il se redressa après quelques secondes, il se retira, tira sur la laisse et lui mit une petite gifle. — A quatre pattes maintenant, ordonna-t-il — Oui mon capitaine, gémit-elle.Elle s'exécuta, et se mit à quatre pattes en cambrant son dos pour bien présenter son postérieur. Till ne se fit pas prier. Il appuya sur les omoplates de sa belle, s'accroupit en la bloquant fermement et la pénétra en étant toujours plus rapide. L'humaine n'en pouvait plus, elle était épuisée et avait perdu toute notion de temps, tout ce qu'elle savait c'était son plaisir et celui de Till. D'ailleurs, le démon se mit à grimacer et à souffler très fort. Il sentait que l'orgasme était là, qu'il allait bientôt la transformer en démon. Il fut pris d'une violente hésitation, un doute très important, il se demandait si elle allait le regretter, s'il était bien pour elle, s'il allait contrôler ses pulsions démoniaques. Il doutait de lui, pourtant il voulait tellement qu'elle vive à ses côtés à jamais, pour l'éternité. Il ne put répondre à ses questions. Till se cambra violemment, resserrant ses mains sur les parties charnues de Jennifer. Le cri qu'il sortit résonna dans tous les enfers, assourdissant tout le public de voyeur présent. Jennifer l'accompagna et hurla. Abigor répandit sa semence en elle, la brûlant en même temps. Il devait faire vite. Il prit un couteau et s'ouvrit le bras, laissant couler un peu de son sang dans la bouche de sa belle afin de finir la transformation. Le goût du sang ne lui plaisait guère et elle fut prise de nausée.Till se retira doucement d'elle et la regarda. Jennifer se retourna et resta allongée, incapable de se lever tant les orgasmes avaient été puissants. Tous les démons présents se levèrent et applaudir puis en un instant, tous disparurent, ne laissant plus que Till et Jennifer. Le démon la regarda tendrement et s'allongea à ses côtés en la blottissant contre son cœur et en lui caressant son ventre. L'humaine se retourna en grimaçant et se blottit en caressant tendrement son torse transpirant. — Pardonne-moi pour tout ce que je viens de te faire... Fit-il angoisser. — Till... T'excuse pas... Je crois que j'ai jamais autant ressenti de plaisir même si je ne suis que débutante, sourit-elle en lui embrassant le ne.Till regarda chaque parti de son corps qu'il avait torturé. Il retira les liens autour de la poitrine de sa dulcinée et se leva. — Liebe... S'inquiéta Jennifer. — Je reviens, je vais te nettoyer tout ça, une infection peut vite arriver, expliqua-t-il rassurant.Till referma la fermeture de son pantalon après avoir rentré son sexe dans son pantalon et il disparut quelques secondes à l'arrière de la scène pour revenir avec une boite de gant en latex, de la biseptine et une boite de gaze. Jennifer se redressa, curieuse de voir ce que Till faisait avec ça. Doucement, il appuya sur son buste pour la recoucher. — Que fais-tu...? Demanda-t-elle. — Je te soigne... Je n'ai pas très envie que ça s'infecte et... Que tu sois mal... Répondit le démon en soignant autour de son intimité et de ses tétons.Jennifer grimaça au contact de la gaze, mais elle était heureuse, il prenait soin d'elle. Till se mit à sursauter et avoir le souffle coupé. Jennifer se redressa paniqué et regarda Till. Il semblait en transe. Elle l'appelait encore et encore, mais il ne répondait pas. Ce qui paraissait quelques secondes pour le démon était en réalité plusieurs minutes. Lorsque Till revient à lui, épuisé. — Till?! Il s'est passé quoi? Paniqua-t-elle. — Euh... Je... Rien... Rien... Répondit-il choquéLes larmes lui montaient aux yeux et Jennifer le prit dans ses bras. Ce qu'il venait de voir était tout simplement... Superbe... Il n'aurait pu faire plus belle vision. Il enroula ses bras autour d'elle et la berça tendrement en caressant le creux de ses reins.
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Par : le 05/08/13
Suite de initiation a la promenade une fois arrivés sur l herbe, je vous demande de vos mettre a genoux ce qui ne fut pas aisé car vos mains toujours attachées dans le dos. redressez vous et tacher de maintenir cette position vous ai-je dit d un ton sec et pour être sur de ne plus entendre vos jérémiades je vous baillonne. je m approche très près de vous et vous sussure que jusqu a maintenant et contrairement a ce que vous pensiez cela avait été facile mais que là il allait vous falloir vous contrôler car de marcher à genoux le buste bien relever à l aveugle et les mains attachées dans le dos avec collier et laisse cela allait être une autre histoire.... et pour enfoncer le clou je vous dit en haussant la voix qu à chaque faux pas de votre part vous recevrez une punition, punition qui variera selon mes envies. A peine vous ai-je lancer allons y pour 500 m que déjà vous gémissez. Après a peine 20 mètres sans que j intervienne au niveau de la laisse vous vous relachez et poser votre postérieur sur vos talons tout en émettant des gémissements. je vous donne l ordre de continuer , vous vous redressez avec peine et comme remerciement d un coup, un seul je vous fouette les seins avec une petite branche ramassée plus tôt. vous laissez échapper un long cri qui n a comme réponse que chose promise chose due et qu à l avenir j ose espérer que vous ne nous ralentirez plus. Nous reprenons la marche et pour aller un peu plus vite et vous rendre la tâche encore plus difficile je décide de tirer sur la laisse par petits à coup , en même pas 5 m vous f trébuchez de nouveau ce qui m oblige de fait à vous punir de nouveau, vous êtes là ,la tête plongée en avant dans l herbe et votre postérieur légèrement relevé, je vous ordonne de ne pas bouger et vous administre rapidement deux gros coups de fouet sur votre postérieur avec la même branche que précedement. votre cri est encore plus fort et accentué et la douleur vous fait vous relever d un coup . Avec ma voix la plus douce je vous avertis que dorénavant les punitions iront crecendo et que vu la distance qu il nous reste à parcourir il voudrait mieux que vous vous concentriez un maximum, et pour vous motivez je me baisse pour vous caresser votre postérieur que j aime tant marquer de mon empreinte ,et vous embrasse doucement dans le cou. Bien que prévenue , vous ne parvenez que très peu a garder votre équilibre ce qui engendre de nouveaux ralentissements et donc de nouvelles punitions. Puis arrivés devant un cours d eau dont l origine du bruit ne vous avait pas échapper je vous permet une pause et vous allonge donc sur le dos, toujours ligotée mais vous enlève votre baillon afin de vous embrasser pour votre effort. Suite au prochain épisode
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Par : le 25/07/13
e l'ai rèvé si souvent, si longtemps...j'en ai eu mal, physiquement, moralement...j'ai prié (si, on ne sait jamais, ya quelqu'un là haut, au bout du fil...). Mais aujourd'hui, je suis le plus heureux des hommes quand je gare ma voiture au parking de la gare.Car Elle arrive, là, dans le train de 8h19... Alors , pour Lui plaire , j'ai fait le grand jeu..j'ai mis un jean un peu long, chemise, veste de costume...La longueur du jean me sert à cacher mes talons aiguille...). J'ai complété par des bas dim up en lycra, bien gainants, un peu foncés, avec une couture derrière... Et là, je suis sur le quai, tordu par l'angoisse...je guette chaque voyageur..... Je La voit, enfin, un étau se desserre autour de ma poitrine...Je Lui embrasse respectueusement la main et prends rapidement son sac, pour qu'Elle ne se fatigue pas.. Je vole, plane, suis dans un monde parallèle...Elle sourit, Elle sait que je suis le plus heureux du monde...Pas besoin de discours, de paroles, juste nos regards on suffit. Le sac est dans le coffre, je lui ai ouvert la porte de la voiture..je me suis allongé par terre , Elle est montée dans la voiture en se servant de moi comme marchepied .... Rien à faire du regard des autres..qui s'en soucie??? Au volant je l'épie du coin de l'oeil.J'aime sa jupe de cuir, ses bottes et son imperméable de vinyl noir sanglé à la taille.Elle me raconte son voyage...Je plane..Elle est là, à coté de moi... Arrivés à destination, je me précipite.Avant toute chose, une coupe de champagne pour lui permettre de se détendre... Ses yeux rieurs m'observent..je sais qu'elle sait... Dans le fauteuil, son index me fait un signe, celui de me mettre à genoux devant Elle...J'ai tellement attendu ce moment.Imperieusement, elle me fait signe de tomber mon jean , ce que je fait.Je suis devant Elle , maintenant, en chaussures à talons aiguille, bas autofixants, et avec ma petite culotte de vinyl noir, celle qui a des sangles sur les cuisses...Un regard m'oblige à baisser les yeux.Sa botte se tends vers moi, je n'entends qu'un mot : " Leche".... Ma langue s'enroule autour de sa botte, de son talon, pendant que ses doigts se perdent dans mes cheveux... Doucement elle se lève, me domine du haut de ses talons.Je la voit prendre son sac, en sortir un ballgag rouge et des cordes. D'un petit geste du doigt, Elle me fait signe de me relever...Pas besoin de mots, pas besoin de sons...Elle est là, je suis noyé dans ses yeux.Délicatement, elle m'enfile l'imperméable translucide que j'ai négligemment laissé trainer là...Le boutonne , lentement, tendrement, amoureusement...Ses mains caressent mes épaules, ma poitrine.j'ai fermé les yeux...Je vis chaque minute, chaque seconde comme si c'était la dernière de ma vie.Ses mains remontent ma capuche , en resserre le cordon, bien tendu.Je suis un peu aveuglé par le plastique qui tombe sous mes yeux...Que m'importe de voir?...tout mon corps est sensation. Elle se colle derrière moi, je sens sa tete sur mon épaule, je sens les petits bisous tendre dont Elle m'enveloppe.Une main caresse mes fesses, collant le plastique de l'imper. Mes mains me sont ramenées dans le dos, une corde les entoure.Sans précipitation, Elle me ligote les mains, serrées, impitoyablement.Je la sens qui passe devant moi, sa main effleure ma joue..Elle pose sa tète contre ma poitrine, me serre contre Elle. Le ballgag arrive, rouge , large.Ses doigts le forcent entre mes lèvres.Je sens la sangle se refermer.encore , encore ,encore.Inconsciemment je voudrais que cela ne soit pas si serré, enfin si, mais pas tant...Mais c'est Sa volonté qui s'applique, moi je ne peut que subir. Se mettant à genoux devant moi, Elle saisit une corde, entrave une de mes cheville, passant la corde sous le talon de ma chaussure.Se relevant, Elle m'oblige à relever la cheville ligotée et attache celle ci fermement à ma cuisse.Me voici en équilibre sur un seul talon...Moi qui ai déja du mal à me déplacer sur deux... Tout en ferme tendresse, ses mains courent sur moi, sur mon ciré qui me colle à la peau, moite, torride....Elle passe alors une corde sur la poutre au dessus de nous et y relie mes poignets, qui remontent, remontent.Je suis obligé de me pencher en avant,pour ce strappado en équilibre.. Elle rit....S'amuse de me voir dans mon infortune si totalement consentie...Elle explore toutes les parties de mon corps, caresse , pince, lèche, embrasse, cajole... Je la sent fouiller dans son sac, elle en sort quelque chose, reviens vers moi...Sa main se pose sur mes fesses, relevant délicatement les pans de l'imperméable...Douces caressses....Une chose dure, en cuir, se promène sur mon dos............ Ses talons, si magnifiques, claquent sur le plancher....Bruit divin, incarnation de la puissance de la Femme.Elle passe devant moi, s'arrète.je relève un peu la tète.Elle est là, devant moi, Impératrice de plaisir et de fermeté...Elle se tiens jambes légèrement écartées, toujours sanglée dans son ciré noir qui crisse...Un son qui fait des ravages dans mon crane.Dans ses main, une petite cravache noire, courte, avec une petite spatule en cuir.La passant sous mon menton, Elle me force à relever la tète un peu plus haut, dépose un coquin baiser sur le bout de mon nez...Elle est espiègle quand Elle m'annonce que les séries seront de 10 coups....pas pour me punir,non, mais parcequ'Elle aime ça et que je l'adore aussi. Toujours en équilibre instable sur mes talons, je sens ses mains divine caresser ma peau, mon dos, mes épaules, ma nuque...Un frisson s'empare de moi.Sa chose est au paradis..Je suis surpris quand tombe le premier coup, sec, rond, net, impitoyable.La douleur est tres supportable.Les autres suivent , rapprochés, espacés, entrecoupés de caresses si douces sur les fesses qui me brulent.Tendrement entrecoupés de bisous dans le cou, de tendres caresses sur le dos, les cuisses. Je me tortille dans mes liens, dans ma précaire verticalité...Les coups se font plus secs, les caresses plus appuyées..L'arrière de mes cuisses me chauffe aussi.Je suis dans un monde inconnu, les yeux fermés..Est ce bien ma voix qui murmure " encore" à travers le baillon?? Sa main s'est insinuées entre mes cuisses, sous ma culotte de vinyl toujours soigneusement bouclée...Ses doigts ont joué avec mon sexe, pendant que la cravache entretenait la rougeur de mon posterieur...Elle m'a "trait", là debout dans mes liens et mon ciré...Le hurlement que j'ai poussé a dépassé l'efficacité du baillon.Un hurlement primal, animal.Une perte de conscience totale.Nos anciens disaient de l'orgasme " une petite mort".. Je ne suis plus rien, qu'une pauvre chose qu'Elle délie tendrement.Je retrouve mes deux pieds, un semblant d'équilibre.Je suis dans Ses bras.Sur le canapé, Elle me berce, ciré contre ciré, sa langue et ses baisers sont comme une maman lionne qui cajole ses petits...Je reviens petit à petit à un degré acceptable de conscience...Elle me sourit... Il va falloir te préparer pour le restaurant me dit elle, avec son sourire qui me désarme tant. Son visage d'ange est illuminé.Elle rayonne de joie et j'ose penser que j'y suis un peu pour quelque chose, tant moi aussi je vole... Elle sait pourtant que je ne suis pas à l'aise en public...Mais la caresse qu'elle me pose sur la joue efface mes craintes...Misericorde, quelle tendresse...c'est comme si le coeur s'ouvrait pour laisser passer des flots de bonheur.. Elle m'ote mon imper, me met nu et me conduit à la salle de bain..Après la douche, Elle me bouchonne avec la serviette, frottant fort, faisant rougir la peau...Elle rit...son rire est cristallin comme l'air de Fevrier...Pur.. Elle me force à me pencher contre le rebord de la baignoire.Ses mains caressent mes fesses, aériennes, les écarte doucement.Le plug entre, millimetre par millimetre, la sensation est....bizzarre, de se sentir rempli, distendu.Je suis déstabilisé un moment mais son regard, envouté, moqueur, rieur, me transporte. Elle me redresse, me fait tourner, me serre contre elle.Son baiser est long , profond , torride. Viens maintenant le temps de poser la cage, en inox , rigide, fermée par le petit cadenas dont Elle récupère la clé.Sensation divine de contrainte..Mon émotion est maintenant complètement bloquée..Prenant une cordelette, Elle me fait rapidement une ceinture avec deux brins qui passent entre mes fesses.Le pug est dans l'impossibilité de ressortir. Bas, porte jarretelle, culotte noire en dentelle..Elle se moque, me traite de demoiselle...Mais ajuste fermement les bas...jean, chemise, veste;Mes chaussures a talon de 7.5 cm, heureusement cachés par la longueur du pantalon... Mon petit collier de chien???? Non, cela va se voir...Mais Elle me le boucle autoritairement autour du cou.Un foulard sorti de son sac va cacher tout ça...Me voilà pret, à son gout, vraiment pret???? Son index s'agite, son sourire irradie, je me rapproche.Elle me fixe une petite laisse en chaine à mon collier..Nous pouvons partir..Fermement maintenu, je reste derrière Elle, respectueusement. Le trajet dans la rue, jusqu'a la voiture est un calvaire de sensations érotiques... Mes pas sont calqués sur les Siens, légèrement à coté d' Elle. Je sent imperceptiblement aux crispations de sa main sur la laisse, qu 'Elle me regarde du coin de l'oeil, moqueuse... Je sais que son sourire, qui me désarme tant, transfigure son visage. La voiture est là...Elle lache la laisse, déverouille le coffre, l'ouvre.....Elle ne va pas..... Oh si, son index me fait signe d'avancer, et indique sans ambiguités ou je dois me placer. Je ne peux m'empecher de jeter un coup d'oeil alentour pour voir si... Sa tete bouge négativement ,ironique, sa main reprend la laisse et tire fermement. Je m'allonge sur le coté , plié en chien de fusil. Elle attrape mes poignets, les tire dans mon dos... Une paire de menotte viens se refermer dessus, le coffre claque, nous partons. Les sensations se bousculent en moi, je perd pied. Trop, c'est trop.Pourquoi moi? Comment tant de bonheur peut il arriver, comme ça, d'un coup, venu d' une déesse si tendre,mais si ferme, si... Elle a mis de la musique, je l'entend en sourdine, perdu dans mes rèves. Je suis à l'etroit, je me sens rempli par le plug, mes mains sont impuissantes, ma cage me serre...Je suis bien, en paix avec moi mème. Ici j'ai trouve ma place.. Le moteur se coupe, nous devons etre arrivés. Le stress monte d'un coup. Comment vais je sortir du coffre devant les gens? La lumière d'un réverbère m'aveugle. Elle me retire les menottes et m'aide à me relever. Le regard angoissé que je promène la met en joie. Ouf, nous sommes à l'écart sur le parking. La laisse m'est remise. Elle ne va pas entre au restaurant comme ça... Non, pitié Maitresse...Je vous en supplie... Je l'entend rire, des notes d'eau qui tombent d'une cascade cristalline, onde pure de plaisir... En marchant vers l'entrée, me vient un éblouissement, une bouffée, une révélation. Pourquoi stresser? Je me sens fier, tout à coup, fier de cette situation, fier d'etre au bout de la laisse de ma sublime Reine. Tout est à sa place. Le garçon à ouvert des yeux grands comme des soucoupes, et je dois dire que cela m'a réjouit. Une fois à notre table, au milieu des visages suspicieux, le long échange de regard que nous échangeons contient mille années de tendresse , d'amour, de douce compréhension. Jamais je ne pourrais oublier cet instant, cette paix. Le garçon arrive pour prendre la commande et romp le charme. Au moment ou je vais lui annoncer nos désirs, une intense vibration m'envahi, me faisant bégayer...Elle affiche un visage si innocent, si pur. Nos regards se croisent . Le plug vibrant a une commande à distance, Elle est machiavélique. Péniblement j'arrive à faire le tour de la commande . Le repas se passe, enchanteur... Entre les coups de vibration , le talon de Sa botte qui vient frotter l'intérieur de ma cuisse, j'ai beaucoup de mal à avaler. Surtout que ma cage empèche toute velleité de prise d'envol de mon " oiseau". Le " tout s'est bien passé ?" ironique du garçon en partant est délectable, surtout qu'Elle n'a pas laché la laisse le temps que je fasse le chèque. Car , innocemment, Elle a décidé que ce serait mieux que la CB. Le coffre encore, menottes, ma place.... De retour, sans les enlever , Elle m'emmène directement dans la chambre, accroche la laisse à la poignée du placard.Son doigt mutin se place en travers de mes lèvres, me faisant signe de l'attendre. Ses talons résonnent . Ma bouche se fait sèche quand elle entre, vétue de son ciré noir. Son visage à changé, plus grave, plus concentré, mème si ses yeux pétillent... Les menottes tombent, je suis mis à nu, sauf mes bas et mes talons.Elle retire mon plug, mais pas la cage. Pourtant, j'aimerais bien, Maitresse, s'il vous plait... Elle me pousse sur le lit, je dois m'allonger au milieu, sur le dos, les cordes entrent dans la danse, précises, efficaces, redoutables . Ecartelé, nu, en bas , porte jarretelles, talons et cage de chasteté, je ne suis plus qu'une pauvre chose.Pourtant , Elle s'avance sur le lit, un instant j'entrevois qu'elle est nue sous son ciré.Ses lèvres se collent contre mon oreille, son ciré froid se colle contre ma peau.Sa main gantée se pose sur mon sein. J'entends sa voix qui sussure, frémissante de désir, qu'il va bien falloir le traire ce petit oiseau encagé... Mais là, je vais garder la suite dans mon petit jardin aux secrets. Car il y a trop de choses précieuses que je ne puis vous narrer...
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Par : le 25/07/13
Un soumis doit il avoir connu l'autre facette de sa soumission?? A vous de me répondre.. la cité de Carcassonne est magique.Non seulement cette merveille nous offre un spectacle magnifique,mais elle nous replonge dans un monde perdu, oublié, fait de trappes, de cachots, de donjons,......d'inquisition..... L'hotel retenu avait ceci de somptueux, la vue sur la Cité. Illuminée, elle entrait par la fenetre de la chambre, faisant comme chez elle. Je verifiais que le champagne trempait bien dans la glace ,les coupes étaient pretes, je me mis un moment sur le lit, mon materiel étant disponible . Un grattement contre la porte. Etait ce un rongeur de l'ancien temps égaré, à la recherche de quelque fromage? Le clic du pène qui se libère me confirma que non. La voilà donc, ma belle amie, future prisonnière consentante.Jupe fluide, talons hauts, chemisier mettant en valeur sa somptueuse poitrine, et ce que je soupçonne etre des bas...Elle entre donc, pose ses affaires, et après la bise, je l'installe dans un fauteuil.Servant le champagne, nous nous mettons à deviser. Parlant de tout et de rien, de la route, de l'hotel......Je la vis tendue, crispée, sur ses gardes. Au bout d'un moment, la sentant un peu plus détendue, je me levais pour lui resservir une coupe. J'en profitais pour baisser un peu le store , nous isolants un petit peu. Je passais derrière elle, et posait ma main sur son épaule.Premier contact physique , au combien important...primordial, capital. Je la sentis frémir. S'était elle rendu compte que ma main tremblait aussi et que mon coeur dépassait la vitesse autorisée ? Ma voix aussi avait changée, devenue beaucoup moins forte, plus rauque aussi. Je lui expliquais notre jeu, ses regles de sécurité, doucement, tendrement.Mettant un genoux à terre, toujours derrière elle, je caressait ses cheveux. Posant ma tete sur son épaule, je sentis la sienne venir en arrière, yeux fermés.Le moment était venu. Sortant de la poche de mon jean un masque pour les yeux, je le lui passait sur le visage, la privant d'un de ses principaux repères, la vue.La débarassant de sa coupe, je la fit se lever et s'avancer près du lit. Tournant derrière elle, je laissais mes mains courir sur ses épaules, ses bras, symphonie de sensations, opéra de vibrations et de caresses..Approchant ma bouche de son oreille, je lui murmurais ces quelques mots : " ta culotte, tu sais , tu n'en as plus besoin maintenant", en joignant une petite pression de ma main sur son épaule. Ses levres entrouvertes, sa tete légèrement de coté, je la vis retrousser sa jupe, et quelques instants plus tard, un petit tas de dentelle noir gisait à ses pieds.Docile, et sans que je ne lui demande nullement, ses mains s'étaient rejointes dans le dos .Appel muet à des cordes bienveillantes qui n'allaient pas tarder à faire leur offices.Soumise parfaite, vestale solennelle d'un moment hors du temps. Entourant son poignet d'une corde doublée, je me mis à ligoter ceux ci .Tout en laissant un doigt de liberté, je les rapprochais au maximum, finissant par une tresse entre les poignets. Libération totalement impossible. Me collant contre elle, je posais ma tete sur son épaule, sentis la sienne se rapprocher, se tourner, vers la mienne, invitation muette, érotisme débridé, ses main ne restant pas inactives dans son dos. Attrapant une autre corde, j'entrepris de lui ligoter les coudes, le plus rapprochés possible, puis les lui fixais contre le torse, passant une corde en dessus et en dessous des seins. A chaque tour, je sentais ma belle captive secouée de frémissements, comme si chaque corde lui arrachait une tension , la menait à chaque tour un peu plus près du paradis. Je la fis s'avancer jusque sur le lit, l'installant à genoux en plein milieu.Je recuperais au milieu de mon matériel, un ring gag, que je lui présentais doucement.Sa bouche s'entrouvrit, et malgré un petit gémissement de protestation, la belle fut baillonnée. Lentement, en lui expliquant tendrement que la position que j'avais choisi pour elle l'exigeait, je fis tomber l'agraffe de sa jupe et la lui retirais, révélant de somptueux bas en dentelle, fixés tres haut. Puis , saisissant deux larges courroies de cuir, j'entrepris de relier une de ses chevilles à sa cuisse, l'obligeant à rester la jambe pliée.Faisant à l'identique de l'autre coté, je finis cette immobilisation par quelques caresses sur ses cuisses, arrachant un gémissement.Ma main, s'égarant sur son ventre, se perdit dans un endroit interdit.Un doigt aventureux plongea dans un pot de miel, tandis qu'une sourde plainte continue s' exhalait de sa bouche maintenue ouverte . L'approchant de sa langue, je la sentis le lecher maladroitement, génée par l' anneau du baillon.Remplaçant mon doigt par ma langue, nos deux animaux vivants s'entremelèrent, tendrement abandonnés, tandis que mes mains couraient sur son corps si bien contraint. Je m'écartais pour récuperer un collier, un peu large, que je lui passait autour du cou, reliant une corde à l'anneau. Puis , fermement, je dégrafait le beau chemisier, l' écartant sous les cordes, dévoilant un superbe soutien gorge noir, tellement bien rempli.Ecartant les bonnets, je liberais ces joyaux de leur prison de dentelle, les parcourant de petites caresses, déclanchant des secousses de plaisir chez ma belle ligotée. J'attrapais alors la cordelette du collier, et la faisant s'incliner vers l'avant, reliais le collier au pied du lit, l'obligeant à se tenir coubée vers l'avant.Je relevais sa jupe sur ses hanche, revelant l'irreverancieux spectacle de ses fesses. Allongé à ses cotés, je laissait mes mains courir sur son corps, me regalant des ondes de plaisir qu'elles déclanchaient. Puis attrapant un petit gode souple vibrant, je le mis en marche et commençant a le promener le long de ses cuisses, puis au bord de son puit de miel.Le son qui s'échapait de sa bouche était un long soupir, rauque, profond, entrecoupé de gemissements, et de tentatives de déglution de la salive qui s'écoulait du baillon.. Ayant bien humecté l'objet, je le présentais devant sa cible, déclanchant une houle de tempète, sous un concert de gémissements.Doucement, millimetre par millimetre, l'instrument pris sa place, vitesse maximale, Un feulement répondis, secouant ma prisonnière au plus profond de son etre.Je decrochais sa laisse et la laissait se coucher sur le coté, liberant aussi sa vue. Allongé à ses cotés, je tourmentais ma belle, caressant alternativement ses seins magnifique, ses cuisses bien maintenues, sa grotte d'amour... Trouvant sa perle nacrée, je l'agaçait doucement, augmentant la houle de ses hanches.Le son qui s'echappait de ses levres ressemblait à : " ui...ais.....oi...."....Ses yeux, perdus, semblaient ne plus appartenir au meme monde.Les secousse de son ventre, invites muettes, prenaient de l'amplitude. Jouant encore un peu avec ses mamelons , maintenant durs comme de la pierre, je le agaçait encore un peu.Puis me relevant, je me versait une petite coupe, puis aprochant le fauteuil, m'installait dedans, sous les cris etouffés de ma prisonnière, sa tete roulant de gauche à droite, dans un signe de dénégation impérieux.Je lui expliquais doucement que j'allais la laisser profiter de ses liens un petit moment, en admirant le spectacle. C'est quand mème le maitre qui décide de la jouissance de sa soumise, n'est il pas vrai ? Rassurez vous, le champagne etait encore frais... Et les " tourments" de ma belle ne durèrent pas longtemps.L'ayant détachée, il ne me restait juste à tirer un rideau bien épais sur la suite. La suite regarda une soumise et son "tourmenteur".Le cadenas que j'avais posé sur le store empéchait hélas,toute vue extérieure...
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Par : le 10/04/12
Le bondage qu’est ce que c’est ?(du verbe anglais to bind, lier).... Il s’agit d’une pratique érotique qui consiste à contraindre ses partenaires en leur liant le corps dans sa totalité ou en partie, le plus souvent à l'aide de cordes, ainsi que de scotch spécifique, lanières de cuir ou de plastique, chaînes, foulards, bandes de tissu …  aptent à exercer une immobilisation de la ou des partie(s) concernée(s). L'immobilisation totale n’est pas forcément la finalité de cette pratique. Le bondage ce n’est pas obligatoirement du SM, même si pour certains pratiquants il s’agit bel et bien d’un moyen plus que d’un but. Le bondage pratiqué par les puristes n’engage pas de postures de dominant/dominé mais est l’expression d’un art érotique en tant que tel. Au Japon, la pratique du bondage se nomme Shibari ou Kinbaku  et procède de traditions historiques et artistiques. Etre attaché peut être très agréable, on ne sent plus le poids de son corps, on se laisse aller entre les mains de l’autre et oubliant inhibitions et responsabilités on s’abandonne au plaisir de la contrainte. Pour l’attachant il y’a le plaisir de créer une sculpture humaine, de positionner l’autre pour un usage sexuel sans refus possible etc etc… Une séance peut durer quelques minutes ou plusieurs heures, question d’expérience et de tolérance . N’abusez pas, cela doit rester un jeu surtout si vous n’avez pas ou peu d’expérience. Comme tout bon artisan il est d’usage d’avoir les bons outils pour pratiquer correctement l’art du bondage. Pour un débutant le « bondage tape » peut s’avérer un bon début. Et si l’envie d’aller plus loin vous prend, achetez les bonnes cordes. Celles vendus dans les magasins de sport pour faire de l’escalade ou de l’alpinisme ne sont pas adaptées du tout. Elles peuvent même blesser et brûler si vous vous en servez!!! Pour le bondage il existe aujourd’hui de très bonnes cordes synthétiques assez douces et dans de multiples coloris. Pour le shibari ou bondage avec suspension, utilisez de préférence des cordes en matières naturelles : chanvre ou coton et si vous en trouvez des cordes de soie.  Quelques précautions d'usage incontournables : Le bondage doit être basé sur une forte relation de confiance entre la personne qui attache et la personne attachée. C’est une énorme responsabilité pour l’attachant, on lui fait confiance pour que tout se passe bien, à lui de mettre tout en œuvre pour honorer cette confiance et ne pas mettre la vie de l’attaché en péril. Ne jamais laissé seule une personne attachée et/ou baillonnée; Il ne faut jamais mettre une corde autours du cou de l’attaché, même sous surveillance, un accident arrive très vite et la mort accidentelle par étouffement encore plus ; Il faut toujours garder un ciseau opérationnel spécifique ou un couteau à portée de main ; Attention aux chutes ; Ne suspendez vos partenaires que si vous maitrisez l’art de la suspension ; Suspendre et attaché c’est bien si c’est fait avec de bonnes cordes : naturelles de préférence pour les suspensions ; N'utilisez jamais de nœuds coulants ; L’attaché a mal ? Les membres deviennent violets ? DETACHEZ le ou la, restez vigilant et soyez à l’écoute. Le B A BA : On a détaillé pour vous les 6 étapes de la fabrication de menottes en corde. La corde est en chanvre et d’un diamètre pas trop petit pour ne pas couper la peau. Les liens sont lâches. Regardez bien la photo 1 et les suivantes, les poignets de l’attachée ne se touchent pas laissant ainsi de la marge pour permettre de glisser les cordes entre eux dans les étapes suivantes.   Amusez vous bien !!! Lady Boudoir  
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