La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 18/04/24
Je referme bien mon manteau pour aller jusqu’à la voiture, ma robe est vraiment courte, à chaque pas que je fais elle remonte, si bien qu’elle arrive au-dessus de mes fesses avant d’atteindre la voiture, heureusement que mon manteau m’arrive au mollet. Sur la route, l’excitation mais aussi le stress monte. Je ne sais pas pourquoi je suis stressée dans le fond… Les dix minutes de route passent vite. Arrivé devant l’Ambassade, nous sortant de la voiture, je regarde Monsieur, les yeux pétillants et je l’embrasse. C’est la dose de courage dont j’avais besoin. L’homme à l’accueil nous explique le fonctionnement du club étant donné que c’est la première fois que nous y allons. Il nous propose également une visite que nous refusons ; nous découvrirons par nous-même. Les portes s’ouvrent sur une salle avec un bar sur le côté, des cages, des bars de pole dance. Il y a des banquettes un peu partout autour de la pièce. Il n’y a pas encore beaucoup de monde. Nous prenons un soft pour nous mettre dans l’ambiance puis allons fumer une cigarette. On remarque une piscine à l’extérieur, ça doit être vraiment sympa l’été. Une fois terminé, on rejoint les escaliers qui mène ce pourquoi on est là, la red room. Un fauteuil tantrique est posé à l’entrée, suivi d’un grand coin câlin, au bout du couloir des cris se font entendre. Nous retrouvons un couple qui regarde deux femmes en train de se donner du plaisir. L’une d’elles est positionné sur un banc à fessée, pendant que son amie s’occupe de son anatomie. Je suis déçue que la salle soit prise … Maître décide alors de revenir vers le fauteuil tantrique. Je m’assoie dessus en lui exposant mon dos. Quoi de mieux pour commencer et me chauffer la peau que les griffes d’ours. Je me détends sur leur passage, je savoure les sensations. D’abord cette douleur légère lorsque qu’elle parcourt ma peau, puis les picotements qu’elles laissent sur leur route et la chaleur qui émane et se diffuse dans mon corps. Je ne sais pas combien de temps nous restons là dans cette position. Maître me relève et me dis à l’oreille « je vais t’énerver un peu plus ». Il attache la laisse à mon collier et me fait avancer jusqu’à la grille ouverte, là ou les 2 femmes se trouvent avec un homme. Il me fait mettre à genoux et je profite du spectacle. Je m’imagine avec ces magnifiques créatures, rajoutant des gémissements aux leurs, les mains de mon Maître me caresse les cheveux. L’une est maintenant a genoux offrant une fellation à l’homme présent pendant que l’autre l’embrasse. Ils ont tous les trois l’air de bien profiter du moment. Cependant je ne peux m’empecher de me dire qu’ils peuvent faire ça n’importe où plutôt qu’ici… ils se contentent d’essayer les divers meubles, c’est frustrant. L’homme part laissant les femmes s’amuser seule. La jolie brune s’applique à procurer un cuni en regardant sa complice avec un regard de braise. Un autre couple arrive et entre dans la pièce, la femme suce son mari pendant que celui-ci regarde les plaisirs saphiques de ces voisines. Je suis choquée qu’ils se soient incrusté comme ça, tous les spectateurs étant resté devant la porte pour leur laisser un semblant d’intimité. Mais bon, nous sommes dans un club libertain, la porte était ouverte, c’est leur droit. Les femmes ont décidé de quitter la pièce, je regarde Maître, c’est à notre tour. Mon pouls s’accélère. Je me mets en position nadu et j’attends les instructions, Maître s’installe, pose les accessoires, je demande la permission d’enlever mes talons. Mettre tire sur ma laisse et je me relève. Il saisit un de mes poignets et l’accroche à la menotte. Je lui demande s’il peut serrer un peu plus mais c’est au maximum. Zut … mes petits poignets n’ont jamais de chances avec les menottes. Il attache le deuxième, je dois me mettre sur la pointe des pieds pour pouvoir l’aider. Il détache ma laisse et me bande les yeux. Je le remercie intérieurement, me priver de la vue me permet de rentrer plus facilement dans ma bulle. La musique du club en bruit de fond ne m’empêche pas d’essayer de reconnaitre et deviner quel accessoire il prend. Je suis toujours trop curieuse. Il prend les griffes, parfait ! Je baisse la tête, profite, ma respiration est d’abord calme, puis de plus en plus rapide à mesure que la douleur fait grimper mon excitation, il passe sur mon dos, sur mes fesses, je me cambre pour ressentir encore plus. Il passe aux roulettes de Waternberg. Ces roulettes avec ces pointes sont délicieuses sur ma peau chauffée. Une fois que Maître a suffisamment préparer mon corps pour lui, il prend sa nouvelle acquisition, le martinet en cuir, il commence doucement, ne sachant pas comment je vais réagir à ce nouvel instrument. J’adore son impact lourd sur le haut de mon dos, sur mes fesses, ce n’est pas douloureux, je lui dis « vert » Il frappe alors plus fort, de plus en plus vite, de plus en plus intensément, je gémis, je me rapproche de l’orgasme. Il s’arrête et vient caresser mon clitoris qui pulse, je vais jouir ! Mais il le sait, et je sais qu’il ne me laissera pas atteindre l’orgasme, pas tout de suite, c’est trop tôt. Il se pense à mon oreille « Je crois que tu fais peur aux gens » - « ah bon ? C’est pas grave ! » Il est temps pour lui d’essayer son cadeau d’anniversaire, nous en avions parler en amont, il m’a prévenu qu’il irait doucement. Il déplace le meuble qui le gène puis frappe fort dans le vide. J’entend le fouet frappé l’air, le claquement du crackers … ça m’émoustille ! Le prochain coup arrive sur le haut de mon dos, il me caresse, un coup a droite, puis à gauche, les fesses c’est agréable, je ressens des frissons dans tout mon corps. J’ai besoin que ce soit un peu plus fort, je le signal à Maître par un « vert ». Il appuie un peu plus les coups, sans pour autant me faire mal. Je sais qu’il faudra du temps pour s’accommoder à ce nouvel instrument. La cravache vient ensuite, sa morsure cinglante, piquante m’arrache quelques cris un peu plus fort. Maître me confie que le manche vient de casser, il reprend alors le nouveau martinet. Les lanières de cuir viennent effleurer, frapper, s’incruster sur ma croupe et sur mon dos. Toujours à l’affût de mon état, il me demande « et la c’est quelle couleur ? » Je réfléchi un instant, je n’approche pas de ma limite, la force, l’intensité et pile ce qu’il me faut, pour la première fois je dis « bleu ». Nous n’avions jamais utilisé ce code auparavant, mais il est sorti tout seul. Je pense que Maître a compris puisqu’il continue l’impact de la même manière. Je m’envole de plus en plus, je suis dans ma bulle partager entre douleur et plaisir. Un orgasme me saisit sans crier gare. Maître se rapproche de mon oreille, m’attrape par les cheveux et me dis « Est-ce que je t’avais donné l’autorisation de jouir, salope ? » - « Non, Maître. Pardon Maître » Il tire un peu plus fort sur mes cheveux pour me faire pencher la tête en arrière et m’embrasse. Pas un de ses baisers tendres, non, un baiser qui se veut possessif, brutal, qui m’enflamme. Il reprend la danse avec le martinet, je ne tarde pas à retourner dans ma bulle, toujours plus loin, je n’ai plus conscience de ce qu’il se passe autour de moi, je perds pieds, je m’abandonne totalement dans un cri. Mes jambes flanches sous-moi. Mon Maître me détache les poignets et me prends dans ses bras, je remonte peu a peu à la surface. Quelques minutes après, Maître me demande de prendre position sur la chaise. L’assise bouge, mes jambes sont maintenues relevées et écartées, et je vois mon Maître s’assoir sur le tabouret juste en face. Il me regarde dans les yeux, il doit y voir tout le désir que j’ai pour lui à ce moment. Son regard est perçant, enivrant, excitant et perturbant, je ne peux m’empêcher de baisse les yeux. C’est alors qu’il se penche en avant et commence à jouer avec mon bouton magique. Je m’arc-boute dans le fauteuil. Mes gémissements remplissent la pièce au rythme de sa langue qui me lèche, m’aspire, me mordille. J’essaie de retenir l’orgasme, je veux profiter encore de sa langue experte sur mon intimité sensible. Cependant, il me connaît par cœur, il sait que je suis au bord du précipice… C’est là qu’il choisit d’accélérer encore, il me regarde et je comprends, sans qu’il n’ait à parler. Je jouis fort, bruyamment, je suis essoufflée, mon cœur bas la chamade, j’ai l’impression qu’il va sortir de ma poitrine. Maître veut immortaliser le moment, il me demande de m’agenouiller devant la croix pour prendre une photo souvenir. La photo est magnifique ! Pendant qu’il range le matériel, je remets mes chaussures, je sais que je vais me souvenir de cette première séance en club pendant très longtemps. Nous redescendons dans la salle principale et commandons un verre de soft, j’ai soif d’avoir crié. Nous allons fumer une cigarette. Nous discutons de la séance, apparemment des personnes n’ont pas apprécié le spectacle, jugeant cela « malsain ». Je ne comprends pas le jugement, que ça ne leur plaise pas est une chose, et ils en ont le droit, mais de là à dire que c’est « malsain » … nous sommes quand même dans un club libertin, le lieu où les corps se rencontrent, avec un complice ou un inconnu. La soumission n’est pas malsaine, c’est une manière de vivre, un choix que j’ai fait qui me procure un cadre, un bien-être, un bonheur au quotidien. Je n’ai jamais été aussi heureuse et libre de ma vie, et tout cela, je le dois à mon Maître. Cette remarque à fait tiquer Monsieur aussi. Il a apprécié la séance même s’il aurait aimé pouvoir changer certain aspect. D’abord la musique, trop forte et pas le style qu’il nous arrive d’écouter pendant les séances. Ensuite le meuble trop proche de la croix qui l’a gênée plusieurs fois. Enfin la lumière rouge de la pièce qui était trop prononcé, il aime se fier aux couleurs de mes marques pour savoir ou taper, avec quelle force, la lumière l’en empêchait. Quand on est du côté du receveur, on imagine pas comment le cadre est important, la charge mentale qu’il faut pour à la fois penser au plaisir de sa partenaire mais aussi à sa sécurité, mais aussi à veiller aux spectateurs au alentours afin qu’ils ne prennent pas un coup par erreur. Au retour dans la salle, nous nous installons dans un canapé, une femme magnifique, aux cheveux court, commence à danser autour de la barre de pole dance. Je n’arrive pas a décrocher mon regard d’elle, je la trouve gracieuse, terriblement sexy. Elle retourne au bar auprès de la personne qui je pense est son conjoint, j’en profite pour aller la voir et lui dire que j’ai adoré son spectacle. Cette fois-ci, nous commandons une bière, elle retourne sur la barre et recommence ses acrobaties, attrape la barre, tourne autours, se balance en arrière… elle me donne chaud, surtout quand elle retire ses couches de vêtements au fur et à mesure. Je regarde l’heure, il est bientôt 1h, les bains vont bientôt ouvrir, j’ai envie de me prélasser dans l’eau chaude pour détendre mes muscles engourdis. Maître baille de plus en plus, il est fatigué de sa petite nuit par ma faute et de notre journée. Je lui demande s’il préfère rentrer à l’hôtel, même si moi j’aimerai rester encore un peu… Effectivement, la fatigue se fait de plus en plus forte, nous fumons une cigarette avant de partir. Nous allons récupérer le sac avec les accessoires dans le casier. Je jette un œil aux coins câlin, et ouvre la porte de la balnéo, mais il y a un couloir qui m’empêche de voir à quoi elle ressemble. Je suis quand même dessus de ne pas avoir pu profiter plus du lieu, mais le bien-être et les désirs de Monsieur passe avant les miens. J’ai passé une excellente journée, une merveilleuse séance avec l’amour de ma vie, c’est tout ce qui compte. Nous nous sommes couchés dans les bras l’un de l’autre un peu plus d’une heure après notre arrivé à l’hôtel, en ayant pris soin de mettre le réveil pour pouvoir profiter du petit déjeuner, la nuit va être courte.  
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Par : le 16/04/24
De temps à autre, mon esprit se laisse à vagabonder en des terres inconnues. Le célèbre "What If ?" qui sert de fondement à de nombreuses séries ou romans. Dernièrement, c'est ce dernier récit, un fantasme si j'ose dire, de ce qui arriverait si je trouvais la Domina qui me donnait le courage de l'essayer malgré mon engagement familial. Cette dernière phrase traduit tout sa réalité et toute sa contradiction à travers ce titre. Prospective, car ce n'est encore jamais survenu. Outre-rêve, car sait-on jamais. D'ici là, voici cette histoire, écrite à la première personne, en espérant qu'il plaira.   Le Grand Jour vient enfin. Vous m'attendez divinement habillée. À peine entré, vous me faites me déshabiller, m'encagez, mettez de menottes aux poignets et chevilles, un collier à mon cou avec une laisse pendante sur mon torse frêle. Vous me laissez comme ça pendantes plusieurs minutes, à m'inspecter, vous moquer. Puis, vous décidez de me "préparer". Vous m'épilez intégralement le pubis et le cul. Vous me faites un lavement anal également. Vous prenez un malin plaisir à m'humilier et à rendre cela, non pas douloureux, mais inconfortable. Vous jouez avec mon sexe encagé. Vous me faites m'agenouiller sur un coussin. Vous attachez mes poignets dans mon dos ainsi que mes chevilles, et m'ordonnez de vous lécher. Peut-être aurai-je de la chance, alors vous me présentez un sexe parfaitement entretenu. Peut-être souhaiterez-vous m'humilier davantage,et c'est alors à moi de l'entretenir pour vous avec ma langue. Cela dure longtemps, parfois vous me détachez pour que je puisse user de mes doigts également, parfois vous m'allongez pour entamer un facesitting. Vous exigez de jouir, plusieurs fois, sans que mon avis ne compte. Vous me présentez un gros plug et m'ordonnez de m'empaler dessus. Sans lubrifiant. J'ai une minutes. Si je n'y parviens pas, alors ce sera vous qui me casserez le cul. Évidemment j'échoue honteusement : le plug est trop gros et le temps trop court ; c'était fait exprès. Vous m'attachez sur le ventre, le cul bien en l'air, prêt à l'usage, les yeux bandés. Vous commencez à m'enculer sans ménagement, comme un vulgaire trou à disposition. Vous vous enfoncez jusqu'à la garde, avec des godes toujours plus longs et toujours plus gros. Avec vos poings, vous décidez de me fister. Un poing, deux poings, vous avez décidé de me détruire complètement l'anus. Cela dure toute la soirée, vous êtes décidée à me dilater le cul au maximum. De temps en temps, vos faites une pause pour que je vous lèche de nouveau. Malgré ma fatigue, je dois continuer, vous donner vous plaisir, vous prendre en moi, vous lécher et sentir mons sexe compressé dans sa cage sans pouvoir assouvir son désir orgasmique de grandeur. Quand finalement vous décider d'arrêter, je suis épuisé. Mon cul n'est plus qu'un trou, ma machoire est endolorie, je me sens tel un jouet qui a trop servi ... pour cette fois. Je n'ai pas eu mon mot à dire sur la durée, les formats et la vigueur de vos mouvements. Pour finir vous entamez une dernière phase . Cunnilingus d'abord, on ne change pas un plaisir qui plait, puis anulingus. Vous me libérez de ma cage ; vous me branlez de sorte que je jouisse le plus vite possible, mais ruinez mon orgasme. Le plaisir aura été bien court. Vous me forcez à nettoyer mon sperme avec ma langue, me laissez me rhabiller et me regardez partir sans m'adresser ni mot ni regard.  
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Par : le 11/04/24
Bonjour tout le monde, je fais un message ici pour parler des différents mélanges avec l'ABDL.           Je préfère dire des le début que je ne suis pas une experte de la chose même si je suis dans l'ABDL depuis 3-4 ans, je vais avant tout parler de mon point de vue et de mes expériences sur la chose. ABDL           Déjà commençons par parler de l'ABDL en tant que tel. L'ABDL signifie Adult Baby Diaper Lover, bébé adulte adorateur des couches si l'ont traduit. Ca regroupe deux types de personnes, les bébés adultes et les personnes qui ne sont seulement attiré que par les couches. C'est une version plus "extrême" du DD/lg (MD/lg | DD/lb | MD/lb) qui signifie Daddy Dom little girl (M for Mommy et b pour boy sur les autres variantes du DD/lg, c'est juste en fonction du genre des personnes) qui est une relation qui est par contre uniquement BDSM, car il y a une relation de Domination, ce qui n'est pas toujours le cas dans les relations ABDL, ce qui fait que l'ABDL n'est pas BDSM, mais peux l'être. ABDL ET BDSM           Pour les non initiés a la chose, BDSM signifie Bondage Discipline Sadisme Masochisme, le bondage est le fait d'attacher, que ca aille de menottes simples jusqu'à du shibari en suspension. La discipline regroupe elle tout ce qui est relation entre une personne soumise et une personne Dominante, et tout ce qui tourne autour de l'éducation de la personne soumise. Le sadisme et le masochisme regroupe tant qu'a lui le fait de prendre du plaisir dans le fait de recevoir ou de donner de la douleur de différentes manières. Mais comment peut-on lier ABDL et BDSM ? L'ABDL peut être utilisé pour humilier, l'humiliation est une pratique que l'on peux mettre dans la discipline. Humilier sert a faire accepter certaines choses a la personne soumise, ou pour l'habituer a lui faire faire quelque chose de plus récurent, j'ai pour ma part commencé l'ABDL dans un contexte BDSM, en étant humiliée via cela, je suis déjà même sortie avec une couche visible en extérieur a mes débuts, et ca m'a aidée pour la suite car je devais en porter en permanence, autant a l'intérieur qu'a l'extérieur. L'humiliation ne tiens jamais dans le temps, on ne peux jamais humilier une personne pendant un mois de manière quotidienne sans que cela devienne quelque chose de basique. ABDL ET SEXUALITE           "Mais pourquoi séparer BDSM et sexualitée alors que c'est la même chose ?"            Hé bien non Michel, ce n'est pas la même chose du tout, BDSM ne signifie pas Bite Dans Son Minou, et non attacher son ou sa partenaire pendant un acte sexuel n'est pas BDSM, lui mettre des fessées en même temps non plus... Le BDSM n'est pas sexuel, mais le sexe peut être kinky.           "Mais c'est pas bizarre d'avoir envie de faire du sexe dans un contexte ABDL ?"           Je dirais que tout cela dépends de ce qui provoque cette excitation. Ce sont les couches qui procurent cet effet ? C'est le fait de se faire pipi dessus qui procure cet effet ? Est-ce le fait de se faire caca dessus qui fait cet effet ? Est-ce le fait d'être en bébé ou de voir des personnes être en bébé qui procure cet effet ? Les trois premiers cas sont normaux, pour les couches, l'on appelle cela le fétichisme, le fait d'être attiré.e sexuellement par un objet, une partie du corps ou même une matière, il existe beaucoup de fétishismes, le plus connu étant le fetishisme des pieds. Il existe également le fetishisme du latex, de la laine, des appareils dentaires, des voitures, des ordinateurs, des corsets, m'enfin... Il y en a beaucoup quoi. Les deux suivant sont normaux également, on appelle cela l'urophilie ou la scatophilie, le fait d'aimer les jeux avec l'urine ou les excréments. Et le dernier... Je pense que tout le monde vois plus ou moins la chose et ce n'est pas normal, désolée pour les personnes qui s'identifient a cela. ABDL ET LA VIE QUOTIDIENNE           Les personnes ABDL il y en a peu, c'est quelque chose d'assez rare et donc vivre l'ABDL au quotidien peut être assez difficile, encore plus si l'on vis en colocation, en couple, ou chez ses parents.           "Comment expliquer le fait que l'on porte des couches a ses colocs si ils le voient ? L'incontinence ?"           C'est une solution, c'est ainsi que j'en parle lorsque j'ai été voir des pharmaciens a causes de soucis avec mes couches et l'on ne m'a pas plus embêtée avec cela. Par contre pour la personne avec qui on est en couple, ca ne pourras pas durer longtemps. Et les parents ? Ils savent quels sont vos soucis de santé, donc vous pouvez simuler mais ils iront chercher un médecin pour voir ou est le souci.           "Et pour les ami.e.s ? Comment puis-je leur en parler ?"           Pourquoi leur en parler ? Ils n'ont pas besoin de tout savoir a propos de vous, et si vous avez de grande chance de les perdre a cause de cela, a quoi ca sert ? Surtout qu'ils pourraient le répéter a leurs tour. J'en ai parlé pour ma part a une amie mais c'est car j'avais fait allusion a ma Mamounette d'amour, et comme elle est très curieuse, elle a creusé légèrement donc je lui en ai parlé, mais d'une certaine manière. Je ne lui ai pas parlé des couches, et je lui ai surtout parlé de l'amour et de la relation avec ma Mamounette avant de parler du coté bébé, car déjà que le sujet peut être assez épineux, car les gens peuvent rapidement se faire une idée et que des idées dégeulasses et moralement répréhensibles viennent en tête, si le sujet est mal amené, c'est foutu...           "La couche me fait un gros popotin, je ne peux pas sortir ainsi !"           Et elle n'est surement pas remplie, elle gonfleras lorsque vous la remplirez, pour les femmes c'est simple, jupes ou robes et c'est parti ! Pour les hommes, bon courage ! Plus la couche est épaisse et plus elle seras visible, même si... D'expériences, les gens ne pensent pas que des adultes portent des couches, ca n'existe pas dans leur tête, mais il faudrait pas que cela commence a cause de vous quand même. Je recommanderais des vêtements amples, c'est plus simple pour cacher que l'on est en train de remplir sa couche. BILAN           Vous ne pouvez pas faire de l'ABDL avec n'importe qui, ce n'est pas quelque chose que tout le monde accepte, même dans le monde BDSM l'ABDL est quelque chose qui est assez mal accepté a cause du fait que les gens vont se mettre des choses moralement répréhensibles en tête directement. Pour ce qui est de la suite au niveau BDSM, car comme je l'ai dit, l'humiliation ne peux jamais durer dans le long terme. Soit l'ABDL vas vous lasser, et donc vous ne pratiquerez plus ou presque plus, ou alors vous allez lui trouver d'autres choses, qui vont se révéler au fur et a mesure du temps. Une sensation de confort, de praticité, de sécurité, d'amour, c'est ce que j'ai trouvé a l'ABDL après le temps d'humiliation que la personne m'a fait subir, je ne peux même plus dormir sans mes doudous ou ma tétine ! Si vous sentez un manque au niveau des discussions ABDL, il ne faut pas hésiter a aller sur des sites spécialisés, c'est ce qu'il y a de plus sur et de plus sécurisé pour faire part de ses pratiques, de ses envies, de ses besoins, de sa vision des choses et juste pour échanger avec des personnes qui ont les mêmes pratiques que vous. Tant que tout est fait dans le respect de chacun et dans la bienveillance également.
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Par : le 28/03/24
Un week-end où je m'ennuyais, j'ai décidé de sortir boire un coup et faire de nouvelle rencontre. Je suis allé dans un bar à bière, il y avait pas mal de monde de la musique une très bonne ambiance, je me cale dans un coin, je passe ma commande, on me sert et je commence à boire. Derrière moi, il y a une table avec deux très jolies filles de 25 28 ans. Elles sont de natures plutôt joyeuses, je dirais de les entendre rire. Ça doit faire une demi-heure que je suis arrivé quand soudain une des deux filles vient m'aborder à ma table. Elle me demande si j'attends quelqu'un ou bien si je suis seul, je lui réponds que je suis seul que je suis venu boire un coup pour me détendre de la semaine. Elle me proposa de les rejoindre à leur table s'il n'y avait pas d'inconvénient. Je les ai donc rejoints, je paye ma tournée et on commence à discuter pour faire connaissance. Au bout de quelques bières, la glace se brise, on rigole bien tous les trois ensemble, il y a un bon feeling. Puis peu à peu l'alcool monte et les langues ce délies et les discutions tourne vite au tour du sexe elles m'avoue quelles sont lesbienne, je leur réponds que je n'ai aucun préjugé car moi-même, je suis bisexuel et le courant passe encore bien mieux entre nous trois, je me sens tellement bien, que je ne sais pas si c'est l'alcool ou bien la bonne ambiance qu'il y a entre nous que ma langue parle plus vite que mes pensées, je leur avoue que je suis également soumis. Soumis le mot est lâché je me mort les lèvres, je réalise ce que je viens de dire, je me dis elles n'ont peut-être pas entendu et là le drame elles me regarde et me font quoi tu es soumis, j'ai honte, je bégaye, je cherche une excuse, mais rien y fait elle le très bien entendu.  Je regrette d'avoir trop parlé les deux me passe a la questionnette et me demande plus de détails. Je bois un bon coup avoué pour avoué, je leur dis tout.  Je leur raconte toutes les pratiques que je fais dans le BDSM que ce soit avec des hommes ou bien des femmes le plaisir que j'y prends le fait de me faire diriger de me laisser aller aux désirs de mon ou ma partenaire tout en racontent mes ébats, je vois une des deux filles qui se mort les lèvres au moment même ou je leur raconte la fois où l'on m'a pissé dessus. Les filles se regardent, ce font un signe de la tête et me propose d'aller boire un dernier verre chez elles. Une fois arrivé chez elles on reprend la discussion sur l'uro avec des detailles plus précis qui ma deja pissé dessus ou on ma pussé dessus savoir si j'en ai deja avaler je leur reponds que oui j'aime la pratique uro et que je n'ai pas de limite avec. Je leur demande pourquoi toutes ces questions ? Elles me répondent. Aimes-tu les odeurs fortes ? Je leur dis que jusqu'à maintenant un seul partenaire homme aimait se faire renifler la bite odorante et que ça ne m'avais pas déplus. Elle s'échangea encore un regard encore un signe de tête avant une autre question. Et me demanda et la pratique scato tu as déjà fait ? Je leur répondis que non que j'en avais déjà entendu parlé, mais que je n'i jamais osé sauté le pas. Ça te dirait d'avoir ta première expérience scato avec deux lesbiennes en tant que soumis ? Et là, avec une voix tremblotante, j'ai répondu oui le oui d'un soumis qui ne peux qu'accepter la demande de ses maîtresses. Elles se sont mises debout face à moi, une s'est mise derrière moi elles mont attrapé sauvagement et ont commencé a me d'habiller en me brutalisant tout en m'insultant et me disent que j'allais regretter d'avoir dit oui. Une fois au sol et nu, elles m'ont attaché les mains derrière le dos avec des menottes elles portais toute les deux des bottes hautes noire, j'étais à genoux face à elles, je devais lécher leurs bottes pendant qu'elles s'embrasser langoureusement. Puis elles m'ont fait mettre la tête au sol le cul cambré les jambes écartées, j'avais peur, je ne savais pas ce qu'elles aller me faire ce n'était pas comme les séances auxquelles j'avais l'habitude elles étaient imprévisible et j'avais raison. Une fois dans cette position tête au sol jambes écartées, j'ai reçu un grand coup de pied dans les couilles, j'ai hurlé de douleur, je me suis couché sur le côté en position fœtale, je me tordais de douleur elle m'ont obligé à me remettre dans la même position pour recommencer, je les supplier, mais pas le choix, je me remis en position, je tremblais de peur, car je ne savais pas quand elles aller frappé.Comme j'ai dit, je tremblais littéralement de peur que je n'ai pas pu me retenir, la pisse a commencer à sortir toute seule. Je les ai entendu se moquer de moi, mais ce n'est pas pour autant qu'elles ont arrêté leur torture.  Puis une s'est mis à quatre pattes les fesses écartées et l'autre s'en est donné à cœur joie avec son plus gos god ceinture pour me sodomiser. Quant à celle qui s'est mise à quatre pattes, je devais lui renifler le cul. Elle avait le cul qui sentait très fort, elle me le collait sur mon nez, je devais renifler fort. Sa chatte pareille une très forte odeur et toute poilue aussi. Puis j'ai dû me mettre sur le dos et toute les deux m'ont pisser dessus et j'ai dû boire leur champagne doré. Puis une s'est assise sur mon visage plein de pisse elle a collé son trou du cul sur ma bouche grande ouverte et a commencer a pousser au départ des pets en son sorti puis très vite de la merde a commencer peu à peu à remplir ma bouche, j'avais des haut-le-cœur. Elle frotta son cul merdeux sur ma figure pour en étaler le plus possible quant à l'autre, elle m'a chié sur le torse qu'elle commença à étaler avec ses pieds. Ses pieds remplis de sa merde, elle me les fit lécher elle enfonça tous ses doigts de pied dans ma bouche comme une gorge profonde. Elles m'ont recouvert le corps de merde des pieds à la tête, plein de merde plein de pisse les mains attachées dans le dos souiller et dépravé les couilles éclatées par les coups de pied. En réalité, j'ai adoré cette séance scatologie.  Elles m'ont laissé attaché dans cet état pendant qu'elles sont allées prendre leur douche puis j'ai eu le droit à prendre la mienne. (Ce récit n'est pas du vécu, c'est un fantasme)     
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Par : le 17/03/24
. Je me réveille doucement.. et râle d'être éveillé aussi tôt pour travailler. Sentant ta langue me laper le corps, dans ton entière dévotion et attente de servir, je te verrais en position de Soumission lorsque mes yeux seraient ouverts. Je me lèverais, irais dans la salle de bain t'ignorant complètement, puis me regardant dans le miroir, je claquerais des doigts, pour te sentir rappliquer à me lécher le cul avec application, humant mes effluves de Mâle matinal. Je me brosserais les dents, pisserais à porté de ta petite gueule, et m’essuierais la queue avec ton visage. Toi, restant immobile et digne, sur ce matin tout à fait anodin. À l'approche de mon départ, je tendrais la main, et dans ta sagacité et dressage, tu y déposerais l'accessoire de torture que je me ferais un plaisir d’utiliser sur ton corps, avec vigueur et sévérité. Que cela soit une lapidation de coups de canne, des pinces à tétons à haute pression, ou un gode imposant pour te fourrer les orifices. Tout serait bon à pouvoir savourer ma présence, de ce genre de petit "stimuli".. et à la fois redouter et se délecter de l'attente de mon retour. Le corps à fleur de peau, recroquevillée, une larme perlant le long de ta joue, tu constaterais que je suis déjà parti depuis longtemps. -- Je me réveille doucement.. Tu te colles à moi pour me souhaiter un bon réveil, me couvrant le corps de baisés appliqués. Je te dis qu'il est temps, et tu te prépares à moi dans ta tenue que je t'ai éduqué et imposé à porter. Je me lève, va dans la salle de bain, et tu prends soin de mon corps d'une douce éponge et me lave le corps. Au moment de pisser, tu prends soin d'orienter mon jet. Dans la foulée, je t'indique d'un geste ce que je veux porter, et tu entreprends de m'habiller sans que j'ai à dire un mot. À l'heure du départ, tu es à genoux sur le devant de la porte, une laisse entre les dents. Te mettant à quatre pattes, je t'attire dehors pour faire tes besoins, tout en te gratifiant d'être autant une Bonne Esclave, qu'une Bonne Chienne à Son Maitre. Nous rentrons, et t'attache au radiateur, de menottes et chaines claquantes et rutilantes. D'un calme olympien, te serrant fermement le cou et te tirant ta tignasse de cheveux vers l'arrière.. Je salive onctueusement à l'intérieur de ta gorge.. avant de prendre congé. -- Je me réveille doucement.. La première chose que j'ai envie de ressentir, c'est ma main t'empoignant par les cheveux, afin de te faire lécher mon entrejambe. Après mettre fait plaisir à sentir Une Esclave impliquée à l'ouvrage, je te place à hauteur de mon visage, et te murmure : "Bonjour Petite Pute.. A quoi pourrais-tu bien me servir aujourd'hui ?...", te faisant sucer mes doigts.. me laissant le temps à y réfléchir. L'instant d'après, je me lèverais te trainant sans la moindre attention à la salle de bain, et te mettrais la tête à la hauteur de mes Chiottes. Sirotant un verre d'eau, je déverserais ma pisse sur l'intégralité de ta tête.. Fredonnant un air de musique que j'aurais entendu la veille. Te mettant à terre, dos au sol, je frotterais mon cul sur ta petite gueule ; Contraste de mon cul chaud et d'un sol implacablement des plus froids. Prenant bien le temps de m'assoir sur ton visage, afin de t'étouffer et de te faire suffoquer, jusqu'à ce que mon plaisir à te malmener, me fasse bien bander. Te mettant face à mon miroir, tu m'entenderais clairement dire, que je t'ai trouvé une utilité. Te voyant souillée, à peine réveillée, et asservie. Empoignant ma queue, j'aurais un malin plaisir à te regarder te pénétrer fermement le cul, d'une façon sans équivoque à prendre ce qui m'est dû. Être conscient de mon territoire, et de le marquer de toutes les façons que ce soient. Regardant l'heure qui passe, je te retournerais, et prendrais un cliché de ta petite tête de victime vulnérable en train de me pomper le gland suintant. Prenant bien soin dans un râle tonitruant, d'étaler mon foutre sur tes lèvres et ta face disgracieuse. Je te regarderais, me rapprocherais de ton visage.. Et en évoquant d'un geste de recul ta pestinence, te dirais clairement : "J'aime salir les femmes bien propres !" Te collant à ton regard la photo que j'ai prise de toi, et qui égayera ma journée de travail. D'une claque cinglante sur ton cul, signe de prendre la direction de la douche, ne résonnerait en toi que mon sourire sadique et la porte se refermer derrière moi. -- Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/4897/%22O%22nanisme-;-Je-m'en-branle,-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis.
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Par : le 09/03/24
Apprenant que son maître passait une nuit au camping municipal de La R**, elle s'est précipitée pour le rencontrer, juste le jour où elle aurait dû fêter son anniversaire en famille. Connaissant ses goûts, elle s'est présentée nue sous sa robe, la taille corsetée par une large ceinture serrée au maximum, et prête à assouvir tous ses désirs (et les siens). Il avait préparé ses cordes, ses menottes, ses baillons, ses fouets, tous les accessoires qu'elle craignait et espérait secrètement. Elle s'est fait délicieusement violée sous la tente mais tous deux en voulaient plus, et dans un lieu plus discret. Il lui a proposé de la ramener chez elle. Elle a dit oui, la maison devant être déserte. Pour corser le trajet en auto, il a exigé qu'elle soit nue, les mains liées derrière le dos et les seins étroitement ligotés à leur base, de façon à ce qu'ils s'érigent de façon indécente, les pointes dardées et tuméfiées. Il lui a uniquement accordé un bout de couverture pour se protéger de la vue des passants. Arrivés près de chez elle, elle l'a supplié de garer la voiture à l'arrière et de rentrer discrètement par le jardin. Arrivés dans la cuisine, il lui a annoncé que, à cause de cette demande stupide, elle serait immédiatement fouettée. Elle a été obligée de se placer face à la double porte qui ferme l'accès entre la cuisine et la salle à manger pendant qu'il vissait quatre crochets dans les parois latérales pour l'attacher, les bras et les jambes en croix, toujours nue et entravée, de plus en plus excitée. Vas-y, cria-t-elle, je n'en peux plus de désir. C'est à ce moment précis que la double porte s'est ouverte largement, qu'une éclatante lumière s'est allumée et que toute la foule de ses amies et amis présents dans la salle s'est mise à chanter "bon anniversaire" à tue-tête.   Va-t-elle mourir de honte ou jouir comme une folle ?  
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Par : le 20/01/24
Amis lecteurs, bonjour, J’ai hésité à écrire ce texte, parce qu’il ne me met pas en valeur, intellectuellement s’entend. En effet, j’ai toujours pris mes précautions lors de mes rencontre BDSM. Si vous vous souvenez des épisodes précédents, J’ai dominé « Géraldine » dans l’épisode 1 et lui ai offert tous les gages de sécurité. Lorsque Caroline m’a pris en main (Episode 2), je connaissais son « vrai » nom et notre discussion matinale avait clarifié le menu de ce que qui m’attendais. L’épisode 3, bien qu’improvisé, était sécurisé car en présence de quelqu’un que je considérai, à l’époque, comme un ami et, pour être honnête, la partie BDSM avait été, au final, un préliminaire à un acte vanille mémorable (tousces épisodes sont disponibles sur ce site). Toujours prudent donc, sauf lors de cette soirée, je m’en vais vous conter : Petite précision, je suis membre d’un serveur Discord basé sur le BDSM et plusieurs membres de ce serveur m’ont affirmé que ce texte aurait une utilité publique pour ceux, et surtout celles qui, parmi vous, ne prennent pas toutes les précautions nécessaires avant la première séance. Allez, on est parti : Vous vous souvenez de l’association militante qui nous avait réuni Sylvana, Fabienne, l’autre Frédéric et moi-même dans l’épisode précédent ? C’était une période où nous allions être appelé à nous voir souvent car préparatoire à un festival dont nous avions la charge. Une semaine après cette soirée magique, donc, retour en réunion. Nous étions à 10 jours du premier concert et j’avais la charge du Catering pour les artistes, donc des achats de nourriture, de boissons et autres friandises pour toute la durée de l’événement. Le frais était géré par commande « traiteur » et je devais m’occupais des boissons, chips, des friandises et tout autre truc qui ne se périmait pas en une soirée. Grosse commande, donc, pour 6 concerts déjà complets. Seulement voilà, à l’époque, je n’avais pas de voiture (et pas le permis), car Lille est une ville où le métro, le tramway et autres lignes de bus font leur boulot (et pour pas cher à l’époque). Je n’ai passé mon permis que quelques années plus tard après avoir quitté la Capitale de ma région. Grand étonnement dans le groupe : un mec de mon âge n’est pas armé pour faire ce qu’on lui demande (NDLA : j’ai passé le permis à 28 ans, soit un peu plus de deux ans après). Après leur avoir signalé qu’avoir le permis n’était pas une obligation en France, quelqu’un vint à ma rescousse avant que la discussion ne s’envenime autour du thème « tu aurais pu nous le dire avant ». Ma sauveuse pris la forme de Sylvana, arrivée en retard car place de parking difficile à trouver, tout ça, tout ça. J’eus envie de l’embrasser pour la remercier mais notre statut relationnel n’étant pas encore très clair, je me retins et repris le fil de la discussion. Sylvana, sa voiture et moi allons nous charger d’entretenir le diabète et le cholestérol de nos invités. Croix de bois, croix de fer, si je mens, je vais chez Drucker. Nous sommes jeudi. Nous avons cours demain, mais mon après-midi est libre, comme d’habitude (cf.épisode 3). Je conviens donc d’un rendez-vous avec ma belle et nous nous quittons, non sans un baiser annonceur d’autres soirées où le ciel et la terre se rejoignent en nos corps ébahis. Frédéric, de son côté, constatant l’absence de Fabienne, appelle sa dulcinée pour savoir ce qu’il se passe : « pas eu le temps de venir, gros travail à rendre demain mais tu peux passer ce soir, si tu veux, tu dormiras à l’appartement ». Frédéric annule donc la bière qui nous attendait dans notre bar favori en m’expliquant, un peu gêné, qu’entre une bière et Fabienne, il n’y avait pas photo. C’est de bonne guerre, bonne soirée à toi. Va savoir, demain, après les courses, il est possible que je goûte au même fruit que toi. Vendredi, jour de Vénus, pas de cours demain et je vais passer mon après-midi avec une femme qui commence doucement à m’attendrir. Bref, tous les voyants sont au vert. On passe à l’association récupérer le chéquier et nous voilà partis dans les méandres des temples de la consommation. Deux charriots, remplis à ras bord, parviennent à passer la douane de la caisse et nous partîmes à deux, mais par un prompt renfort, nous nous vîmes une vingtaine en arrivant au port : la salle de spectacle où l’équipe nous attendait avec des sourires, des accolades et des bras utiles pour décharger la marchandise. Frédéric est là, tout sourire, lui aussi a dû décharger hier… et sans doute ce soir car il va au cinéma avec sa belle. Petit choc. Mon ami est heureux, je suis donc heureux mais, en comparaison, Sylvana ne me montre pas autant d’égard. Je suis dubitatif. C’est un contraste de sentiments que l’on ne rencontre plus guère que chez les chiens joyeux de voir leur maître rentrer avant de se rendre compte que ce dernier était juste passé pour prendre une veste et repartir aussitôt. C’est ça, je suis un chien qui ne sait pas s’il est abandonné ou pas. Nous avons été efficace, ma belle et moi, il est donc un peu tôt pour envisager un repas quelque part. Je ne peux même pas lui proposer d’aller manger un morceau (#Triste). Sylvana me ramène en voiture et commence enfin à discuter de nous deux, je vous résume : « C’était génial la dernière fois mais, pour ne pas te mentir, je me suis un peu emporté en te sautant dessus. Nous aurions dû finir la partie avant de jouir l’un dans l’autre. » Mode regard étonné enclenché. En se garant chez moi, elle arrête le moteur et m’explique qu’elle avait longtemps cherché un partenaire BDSM mais avait été soit déçue, soit trompée (le mec ne voulant finalement que du sexe). Elle marquait donc son désir de recommencer. Charmant projet, d’autant que je serai seul aussi ce soir suite à l’abandon inqualifiable dont je faisais l’objet de la part de mon ami (ça se voit que c’est ironique et de mauvaise foi ?). « Alors voilà, je t’explique, me dit-elle à l’oreille car la fenêtre de sa voiture était ouverte. Ce soir, j’ai rendez-vous avec une dominatrice qui me travaille de temps en temps et qui a clairement envie d’une séance avec une soumise et un soumis. » La confiance de Sylvana envers sa domina me rassurant, je lui donne mon accord de principe. Rendez-vous près de mon université où la circulation du vendredi soir est plus fluide qu’en centre-ville où j’habite. Préparation habituelle : douche, affaire propre, rasé de frais, excité espérant finir ma soirée dans les bras de Sylvana (bien que ses bras ne soient pas ma priorité – j’imagine votre tête en lisant ceci et je dois bien avouer que cela me plait :) ) « 4 cantons – Terminus – veuillez quitter la rame, s’il vous plait ». Sylvana est là, en bas de l’escalator. Elle me regarde comme une valise apparaissant enfin sur le tapis de l’aéroport, me prend par la main et m’emmène dans sa voiture où l’album de « Louise Attaque » nous accompagne, un peu fort il est vrai. Ma compagne baisse le son de l’autoradio, prend ma main afin, sans doute, de me rassurer et nous nous retrouvons donc à passer les vitesses ensemble. La discussion s’enclenche : « content que tu aies accepté. J’ai hâte de souffrir avec toi. » Vaste programme. Pendant le trajet, nous discutons, de tout et de rien, évitant de soigneusement de parler de « nous », mais cette main me rassure, c’est déjà ça. Arrivés sur place. Une belle maison nous attend. A l’entrée, une femme nous accueille, habillée en soubrette, les yeux baissés, peu de chance que ce soit notre hôte. Elle prend nos affaires, sacs, sacoches, téléphones portables (oui, ça existait déjà en 2000) et nos manteaux. Elle nous glisse un « c’est par là ». Nous la suivons, intrigués par cette première surprise : nous ne sommes pas les seuls invités. Premier étage : une chambre sombre, à peine éclairée, nous accueille. Personne. Un petit mot sur le bureau. Belle écriture en délié. « Bonsoir, vous deux, prenez ces menottes et attachez-vous les mains dans le dos aux chaises qui sont derrière vous, et vite ! ». Sylvana sourit, moi aussi, ça commence bien. Nous exécutons les ordres. Nous sommes face à face à se demander ce qui nous attend. 10 minutes passent, une horloge placardée au-dessus d’une armoire me donne l’info en direct. Des bruits dans l’escalier, des talons, pour être précis. Une femme rentre, me regarde et me dit « Baisse les yeux, soumis ». J’obtempère. Je prends à peine le temps d’estimer l’âge de ma désormais dominatrice, une femme d’une quarantaine d’année, parfaitement au fait des codes du BDSM. Elle détache Sylvana et lui demande de se mettre en position. Ma compagne se déshabille presque complétement, seule un string lui protège l’entrejambe de ma vue et, déjà, je sens poindre en moi un désir très visible. Elle prend position, a genou, devant sa chaise. Elle me tourne le dos. Ses mains viennent vite le rejoindre grâce aux menottes. Pas un mouvement. Pas un mot. Le silence. A mon tour, elle me détache également. « En position ! », m’ordonna-t-elle. Je comprends vite. Allez, en slip, à genou et mets tes mains dans le dos. Aucune remarque : j’ai donc bien agi. A cet instant, je ne me rends pas compte mais je n’ai aucune sécurité : Pas de discussion sur les pratiques acceptées ou non, sur les positions et aucun safeword. L’excitation du moment m’a fait oublier les précautions d’usage, comme ce jeune intrépide trop exalté par le corps nu devant lui oubliant son préservatif le condamnant à la trithérapie jusqu’à la fin de ses jours. Je suis dans l’instant. Je profite. J’aime ça. Ça ne va pas durer. Dire que Sandra (le prénom de ma Domina, évidemment modifié pour des raisons évidentes) nous a pris par surprise est un doux euphémisme. D’ailleurs, on ne pas dire « pris », elle nous a soulevé par les cheveux. Les mains dans le dos associés à ce soulevage violent me fait perdre l’équilibre, ce qui accroit la pression sur mes capillaires, persuadés d’en perdre une poignée dans la manœuvre. Une fois debout, mon regard a changé, il exprime la peur, j’ai changé d’univers et ai bien l’impression que Sandra en est fière. Je tente d’exprimer mon avis sur ce début de séance complétement dingue. Impossible. Le fait d’avoir parlé me condamne au silence. Elle me met un chiffon dans la bouche et me bâillonne avec du scotch. Je panique, tente de me défaire de mes contraintes mais rien n’y fait. Ma tortionnaire, car c’est une, me balade dans la pièce jusqu’à un poteau central, son pilori personnel. La chambre en question est clairement un donjon aménagé. J’y vois des cages, une croix de Saint-André, des chaines, des martinets, un fouet, une ceinture et tout le matériel qui, d’habitude, me fait clairement entrevoir le paradis. Mais je me suis trompé de porte, et Saint-Pierre a laissé sa place à Lucifer. Arrivé au pilori, Sandra comprend clairement que je ne vais pas me laisser faire. Au lieu de me détacher et de me demander, comme dans n’importe quelle séance de domination, de mettre mes mains dans les bracelets en hauteur, elle décide de me retirer mon slip et de me saucissonner les jambes au poteau afin de conserver son pouvoir de contrition sur moi. Les bracelets en cuir viennent ensuite se positionner en dessous des menottes et, une fois libéré de mes fers, je ne puis me débattre longtemps avant de voir les bras rejoindre la verticalité voulue par mon bourreau. Sylvana a assisté à toute la scène. Elle aurait sans doute voulu tenter une fuite mais la chambre est à l’étage et la porte sans doute fermée et gardée par la soubrette qui, elle, est libre de ses mouvements. Inutile de résister. Sandra est beaucoup plus forte que Sylvana. D’ailleurs, point de résistance à signaler. Elle rejoint la Croix de Saint-André sans sourciller. La culotte est retirée. La terreur peut commencer. Si vous êtes arrivés jusqu’ici, vous avez sans doute compris que la suite ne serait délectable que pour des pervers(es) et autres sadiques. Je ne vais donc pas m’étendre sur ce que j’ai subi, seulement vous indiquer quelques détails : - Je n’ai pu m’exprimer qu’au bout d’une heure, lorsque ma tortionnaire, m’ayant fait subir des trucs que je ne désirais pas, m’a enfin retiré mon bâillon. - Aucun code de sécurité n’a fonctionné durant cette séance. - La violence des impacts a entraîné des conséquences physiques dont quelques (petites) séquelles, apparaissent encore sur mon corps. - Sylvana ne s’est jamais remise de cette séance. Nous avons passé le reste de la nuit, chez elle, l’un contre l’autre et il me sera impossible de la lâcher avant une heure avancée de la matinée. - J’ai été suivi pour cette histoire et merci à lui. - Un médecin a constaté nos blessures et établit un arrêt de travail de 14 jours. - J’ai déposé plainte le lendemain après-midi pour violence, coups et blessures, seule la séquestration n’a pas été retenue car volontaire au début des faits. Je n’ai pas porté plainte pour agression sexuelle car aucune partie de mon « intimité » n’a été touchée. - Sandra a négocié avec nous deux « à l’amiable » afin de limiter les frais de procédures. Ce que nous avons accepté. Quelques mois plus tard, j’étais sorti de cet enfer, car bien accompagné. Sylvana a refusé toute aide. Nous ne sommes plus jamais revus. Je me surprends encore aujourd’hui à penser à elle et à ce qu’elle est devenue mais me refuse de la contacter, de peur de lui provoquer un choc émotionnel. J’attends, elle connait mon nom, elle me retrouvera. Nous n’avons pas participé au festival (dommage, on avait acheté des Dragibus). Pendant ma convalescence, en fêtant mon diplôme, je croisai la route d’une jeune femme étant intriguée par le BDSM, j’allais donc retourner dans ce monde sans crier gare et ce fût un retour gagnant puisque, plus de 20 ans après, je suis toujours là, à pratiquer, mais de manière beaucoup plus « safe ». Ah, j’allais oublier, cette jeune femme s’appelait Géraldine (cf. Episode 1) Désormais, toutes mes rencontres, et surtout les premières, s’organisent de la même manière : - Deux de mes amies connaissent le lieu, la date et l’heure de rendez-vous, et sont prêtes à réagir au moindre doute. - Je prends le plus de renseignements possibles sur la personne lors de ce rendez-vous. - Si quelque chose change, je les préviens. - Je préviens la personne avec qui j’ai rendez-vous de ce fait. - Nous avons un Safe Word avec mes amies, si je le prononce, ou l’écrit, cela voudra dire que je ne suis pas libre de mes paroles. La police sera prévenue immédiatement. Je vous invite à faire de même mais n’oubliez pas, quand même, que nous sommes dans un monde de désirs et de plaisirs. Mais des précautions s’imposent. Alors, soyez prudents et profitez !
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Par : le 15/01/24
La pièce était faiblement éclairée, l'air était lourd d'anticipation.  La porte grinça en s'ouvrant, une silhouette émergea des ombres. C'était le diable lui-même, un sourire séducteur jouant sur ses lèvres. Il s'approcha de Pat, ses yeux brillant d'une joie perverse. "Bienvenue dans un monde au-delà de ton imagination, Pat", chuchota-t-il, sa voix envoyant des frissons dans le dos de Pat. D'un geste de la main, le diable transforma Pat qui etait homme en une femelle soumise. Le corps de Pat devint doux et courbé, ses vêtements se métamorphosant en une tenue révélatrice qui accentuait sa féminité nouvellement acquise. Le diable ricana, conscient du pouvoir qu'il détenait sur les désirs de Pat. "Maintenant, ma chère, il est temps de réaliser les fantasmes les plus sombres des autres", déclara le diable, conduisant Pat dans une société souterraine secrète où le plaisir ne connaissait aucune limite. Des hommes et des femmes de tous horizons s'y rassemblaient, leurs yeux affamés de désir.Pat fut remis au plus offrant, une femme dominante assoiffée de contrôle. Elle prenait plaisir à explorer les limites de Pat, le poussant vers de nouveaux sommets de soumission. La pièce était remplie des sons de gémissements et de cris, une symphonie de plaisir et de douleur. Pat passait d'une personne à l'autre, chaque rencontre étant plus intense que la précédente. Il était soumis à une multitude de désirs, allant du bondage à la fessée, au fouet, aux jeux de rôle ,la privation sensorielle. Le plaisir qu'il ressentait dépassait tout ce qu'il avait jamais connu. Mais au milieu du plaisir, une question restait dans l'esprit de Pat. Est-ce réellement ce qu'il désirait, ou était-il simplement perdu dans le monde enivrant de l'interdit ?  Seul le temps le dirait.  Le regard de Pat se promenait dans la pièce, s'imprégnant des scènes de désir et de domination qui se déroulaient tout autour de lui. Des couples enchaînés, des fouets claquant dans l'air, des murmures de plaisir et de commandes. C'était un spectacle à la fois fascinant et troublant. Pat se sentait à la fois attiré et révolté par ce monde. Les sensations fortes qui l'envahissaient étaient indéniables, mais une part de lui se demandait s'il devait continuer à céder à ses désirs les plus sombres. Une voix intérieure criait que tout cela était mauvais, immoral. Pourtant, le diable était là, toujours présent, observant Pat avec un sourire satanique. "Ne résiste pas, Pat. Laisse-toi emporter par le plaisir interdit", chuchota-t-il d'une voix envoûtante. Pat se demandait s'il devait suivre cette voix tentatrice ou écouter la voix de sa conscience. Mais dans cet instant, il se sentait si vivant, si libéré de toutes les contraintes et les inhibitions du monde quotidien. Alors, sans plus hésiter, Pat se laissa emporter par le tourbillon du plaisir interdit. Il se soumit pleinement aux désirs des autres, explorant les recoins les plus sombres de sa propre sexualité. Chaque rencontre, chaque expérience était un pas de plus vers la découverte de soi. Et ainsi, le voyage de Pat dans le monde du BDSM et de la soumission commença véritablement. Il était prêt à explorer les limites de son corps et de son esprit, à se perdre dans les délices de la soumission. Alors que Pat s'enfonçait plus profondément dans le monde du plaisir interdit, il commença à découvrir des nuances insoupçonnées de son propre être. Chaque expérience, chaque rencontre lui révélait une facette différente de sa sexualité et de sa personnalité. Il rencontra des dominants et des dominatrices aux personnalités variées. Certains étaient doux et attentionnés, prenant plaisir à guider Pat dans les méandres de la soumission. D'autres étaient plus sévères, utilisant la douleur et la discipline pour atteindre de nouveaux sommets de plaisir. Pat se rendit compte que le BDSM était bien plus qu'une simple expérience physique. C'était un jeu psychologique complexe, basé sur la confiance, la communication et la compréhension mutuelle. Chaque acte de soumission était un acte de volonté, un choix conscient de se laisser aller et de se perdre dans les bras du désir. Mais tandis que Pat plongeait plus profondément dans ce monde, il commença à se poser des questions sur ses propres limites. Jusqu'où était-il prêt à aller pour satisfaire les désirs des autres ?  Jusqu'où était-il prêt à sacrifier sa propre dignité et son intégrité ? Ces questions troublaient l'esprit de Pat, mais en même temps, il ne pouvait s'empêcher de ressentir une excitation indéniable. Chaque nouvelle expérience était un défi, une opportunité de découvrir de nouvelles facettes de lui-même. Le voyage de Pat dans cet univers érotique et inexploré ne faisait que commencer. Il était prêt à se perdre dans les délices du BDSM, à explorer les recoins les plus sombres de ses désirs et à repousser ses limites pour atteindre l'extase ultime. Pat se trouvait maintenant au cœur d'une soirée dédiée au BDSM, entouré de personnes qui partageaient les mêmes désirs et fantasmes. Des cordes s'enroulaient autour de corps enivrés par la passion, des murmures d'ordres et de supplications emplissaient l'air. Alors que Pat observait, un homme s'approcha avec un regard intense. Il était beau, charismatique, et il semblait dégager une aura de dominance irrésistible. Sans un mot, il prit la main de Pat et l'entraîna dans une pièce à l'écart, loin des regards indiscrets. La tension était palpable alors que Pat attendait, se demandant quelles épreuves allaient se présenter à lui. L'homme commença par lui bander les yeux, plongeant Pat dans l'obscurité totale. Chaque sensation était amplifiée, chaque caresse, chaque contact, chaque coup. Des frissons couraient le long de sa colonne vertébrale, lorsqu'il sentit les lanières d'un fouet glisser sur sa peau. Chaque coup était une explosion de plaisir mêlé de douleur, un mélange délicieux qui le faisait se sentir plus vivant que jamais. L'homme savait exactement comment repousser les limites de Pat, comment lui offrir un plaisir intense et exaltant. Il jouait avec les cordes de la soumission, alternant entre douceur et fermeté, procurant à Pat une montée d'excitation qui le faisait frissonner d'anticipation. Dans cet échange de pouvoir, Pat se sentait libéré de toutes les contraintes de la vie quotidienne. Il se laissait emporter par les vagues du plaisir, abandonnant toute résistance, se perdant dans le tourbillon de la soumission. Chaque nouvelle expérience le rapprochait de la découverte ultime de soi. Jusqu'où serait-il prêt à aller pour atteindre l'extase totale ?  Seul le temps le dirait, et Pat était plus que prêt à explorer chaque recoin de son désir. La rencontre avec l'homme dominant avait laissé une empreinte profonde dans l'esprit et sur le corps de Pat. Une part de lui était fascinée par la puissance et la maîtrise que cet homme avait démontrées, mais une autre partie se demandait s'il était prêt à se soumettre totalement à quelqu'un d'autre. Pat avait toujours été attiré par les jeux de pouvoir, mais cette expérience avait soulevé des questions plus profondes sur ses propres désirs et limites. Jusqu'où Pat était-il prêt à aller pour trouver le plaisir ultime ? Ces interrogations tourbillonnaient dans l'esprit de Pat alors qu'il continuait à explorer le monde du BDSM. Chaque nouvelle rencontre, chaque nouvelle expérience était un pas de plus vers la compréhension de soi. Pat se rendit compte que c'était bien plus qu'une simple pratique sexuelle, c'était un moyen d'explorer les recoins les plus sombres de son être et d'embrasser sa véritable nature. Au fur et à mesure que Pat se plongeait plus profondément dans le monde du plaisir interdit, il commença à rencontrer des personnes qui partageaient ses propres désirs et fantasmes. Des liens se tissaient, des connexions se formaient, et Pat trouvait un sentiment d'appartenance et de compréhension qu'il n'avait jamais ressenti auparavant. Mais alors que Pat se perdait dans les délices du BDSM, une question persistait : est-ce que cette quête de plaisir et d'exploration de soi était réellement ce dont il avait besoin ?  Ou bien était-ce simplement une échappatoire temporaire à ses problèmes et à ses frustrations ? Le chemin vers la découverte de soi était semé d'embûches et de défis, mais Pat était prêt à les affronter. La recherche du plaisir ultime et de l'acceptation de soi-même était un voyage sans fin, mais c'était un voyage qui en valait la peine. Le doute continuait de hanter Pat alors qu'il avançait dans son exploration du BDSM, se demandait si ce chemin qu'il avait emprunté était réellement celui qui lui convenait, ou s'il était simplement emporté par les désirs et les fantasmes des autres. Pat se rappela des paroles du diable lors de leur première rencontre. "Laisse-toi emporter par le plaisir interdit", avait-il dit. Mais qu'en était-il du véritable plaisir de Pat, de ses propres désirs et besoins ? Le monde du BDSM était vaste et diversifié, offrant une multitude de possibilités et de pratiques. Pat commença à se poser des questions sur ce qui le stimulait réellement, sur ce qui le faisait vibrer au plus profond de lui-même. Il décida de prendre du recul, de faire une pause dans son exploration. Il devait se reconnecter avec lui-même, s'écouter et comprendre ce dont il avait vraiment besoin pour trouver le véritable plaisir. Au cours de cette période d'introspection, Pat commença à réaliser que le BDSM n'était pas seulement une question de soumission et de domination, mais aussi de confiance, de respect mutuel et de communication. Il comprit que pour vivre pleinement sa sexualité, il devait trouver un équilibre entre ses propres limites et celles des autres. Armé de cette nouvelle compréhension, Pat reprit son voyage dans le monde du BDSM. Cette fois-ci, il aborderait les rencontres et les expériences avec une nouvelle perspective, en se concentrant sur la recherche de son propre plaisir authentique.Le chemin de Pat dans le monde du BDSM était encore long et parsemé d'incertitudes, mais il était désormais prêt à affronter ces défis avec une nouvelle force et une clarté d'esprit renouvelée.Les séances de domination et de soumission devenaient des moments de partage et d'exploration, où chaque partenaire pouvait s'abandonner en toute confiance et trouver le plaisir dans la réciprocité de leurs désirs. Alors que Pat continuait à se perdre et à se trouver dans ce monde du plaisir interdit, il embrassa cette nouvelle facette de sa sexualité avec détermination et ouverture d'esprit. Il était prêt à explorer les recoins les plus sombres de ses désirs, à satisfaire ses fantasmes les plus profonds. Le diable incitait Pat à aller plus loin, à explorer les profondeurs inexplorées de ses fantasmes les plus interdits. Il chuchotait à son oreille, susurrant des promesses de plaisir et de satisfaction ultimes. Pat sentait une attraction magnétique envers cette tentation démoniaque, mais il se demandait si céder à cette incitation était la bonne chose à faire. Le diable était un maître manipulateur, capable de jouer avec les désirs et les peurs de Pat. Il savait comment flatter son ego et le pousser à franchir les limites qu'il avait autrefois considérées comme infranchissables. Pat était tiraillé entre la fascination pour cette proposition alléchante et la crainte des conséquences. Mais alors que Pat réfléchissait à la tentation du diable, il prit conscience que le choix lui appartenait. Il pouvait décider de résister aux appels du diable La décision était difficile, car Pat était attiré par l'inconnu et l'excitation de se laisser aller complètement. Mais il savait aussi que le chemin du plaisir interdit pouvait être périlleux et semé d'embûches. Pat écouta les tentations du diable et décida de plonger plus profondément dans cet univers du plaisir interdit. Il se laissa emporter par les sensations intenses et la libération que cet univers lui offrait. Chaque expérience était une échappatoire des limites et des contraintes morales de la société. Dans cet univers de BDSM, Pat se sentait enfin libre d'explorer ses désirs les plus profonds sans jugement, sans honte. Les rôles de soumission lui permettaient de se libérer de toutes les conventions et de vivre pleinement ses fantasmes les plus secrets. Les chaînes, les fouets, les menottes, tout cela était devenu des symboles de plaisir et de libération, plutôt que de soumission et de douleur. Pat découvrit une nouvelle dimension de bonheur dans ces jeux de pouvoir, où il pouvait se perdre dans les bras du désir sans aucune inhibition. Dans cet univers, les notions de bien et de mal semblaient obsolètes. Les règles étaient redéfinies, les tabous étaient abolis. Pat se sentait véritablement vivant, en harmonie avec ses propres pulsions et désirs. Il réalisa que la morale des hommes était souvent construite sur des préjugés et des peurs irrationnelles. Ici, dans cet univers du BDSM, il trouva une communauté qui acceptait et célébrait la diversité des plaisirs et des identités sexuelles. Pat, immergé dans l'univers du plaisir interdit, décida de poursuivre son exploration avec une confiance renouvelée. Il embrassa pleinement son rôle de soumis, se laissant guider par le diable qui semblait être le catalyseur de sa véritable libération. Le diable devint son guide, son confident et son amant dans cet univers sensuel et interdit. Pat découvrit que sa relation avec le diable était bien plus profonde que de simples jeux de pouvoir. Il y avait une connexion intense et une compréhension mutuelle qui transcendaient les apparences. À travers cette relation, Pat se sentait pleinement accepté et désiré, libéré de toutes les inhibitions et les conventions de la société. Le diable comprenait et nourrissait ses désirs les plus sombres, lui permettant d'explorer les recoins les plus profonds de sa sexualité sans jugement ni culpabilité. Dans cet univers, Pat trouva un bonheur authentique et une forme de plénitude qu'il n'avait jamais connues auparavant. Il se sentait enfin complet, connecté à une part de lui-même qu'il avait longtemps réprimée. Alors que Pat poursuivait son exploration de l'univers du plaisir interdit, il réalisa que le diable l'avait emmené dans un monde qui le libérait de toutes les chaînes morales oppressantes.  Le diable lui avait ouvert les yeux sur la véritable nature de la moralité. Il avait brisé les barrières de la société qui étouffaient les désirs les plus profonds de Pat, révélant une vérité troublante : la moralité n'était rien de plus qu'une illusion restrictive.Les frontières traditionnelles du bien et du mal s'estompaient, laissant place à une exploration sans entraves des désirs et des fantasmes. Il avait découvert une libération totale, une véritable connexion avec sa propre sexualité et une compréhension nouvelle de lui-même.  Il savait que le diable était son guide, mais il était également conscient de l'importance de ne jamais perdre de vue son propre pouvoir de choix et de consentement. Le diable, en tant que guide et amant, l'entraînait dans des abysses de jouissance et de soumission. Pat se laissait emporter par cette spirale de passion et de libération, découvrant en lui des aspects cachés et inexplorés. Il se sentait vivre pleinement, sans peur ni restriction. Dans cet espace de soumission et de transgression, Pat se réalisait pleinement. Il embrassait sa nature soumise et trouvait une forme de libération totale. Les limites traditionnelles du bien et du mal s'effaçaient progressivement, laissant place à une exploration sans retenue de ses désirs les plus profonds. Le diable, en tant que gardien de ce sanctuaire, lui offrait une compréhension profonde et une acceptation inconditionnelle. Il l'encourageait à se laisser aller, à se perdre dans les plaisirs interdits, à vivre chaque instant avec intensité et abandon. Pat savait qu'il avait enfin trouvé sa place, son refuge où il pouvait être pleinement lui-même. Il se délectait de chaque expérience, conscient que c'était dans cet univers de transgression qu'il pouvait se connecter à sa véritable essence. Ainsi, Pat continuait son voyage sans aucun doute ni hésitation. Il se sentait enfin en harmonie avec lui-même, acceptant et célébrant sa nature soumise. Dans ce sanctuaire du plaisir interdit, il avait trouvé sa véritable liberté. En pactisant avec le Diable, Pat était libèrè de ses contraintes et à découvert son véritable potentiel. ¨Pata osé aller à l'encontre de ce qui est considéré comme "normal" ou "acceptable" pour suivre notre propre chemin. En embrassant cette voie non conventionnelle,il a pu découvrir une liberté et une authenticité qu'il n'aurait jamais connues autrement.  Ainsi Pat remercia le diable d'avoir éclairé son esprit et de l'avoir libéré des chaînes de la moralité et des règles oppressantes établies par l'homme.
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Par : le 15/01/24
Pour une premiere fois je decide  de decouvrir ses club dit "privés" En franchissant les portes du club, je suis immédiatement frappé par l'ambiance électrique qui règne dans cet endroit. Les lumières tamisées, la musique envoûtante et les conversations à voix basse créent une atmosphère mystérieuse et séduisante. Je me sens à la fois attiré et un peu intimidé par cette nouvelle réalité qui s'offre à moi Alors que je m'aventure plus profondément dans le club, je laisse mes sens s'imprégner de l'atmosphère enivrante qui règne dans cet endroit. Les lumières tamisées baignent les lieux d'une aura sensuelle, créant des ombres suggestives qui dansent le long des murs. La musique qui résonne dans mes oreilles est hypnotique, pulsant au rythme de mes battements de cœur accélérés. Je me promène parmi les convives, observant les corps qui se déhanchent avec grâce et abandon sur la piste de danse. Les conversations à voix basse créent un murmure constant, comme des secrets murmurés à l'oreille. Chaque regard échangé est chargé de promesses et de mystère, alimentant mes désirs les plus profonds. Je ressens un mélange d'excitation et d'intimidation alors que je réalise que je suis plongé dans une nouvelle réalité, un monde où les inhibitions sont laissées de côté et où les désirs les plus sombres peuvent être explorés. Je suis attiré par cette atmosphère de liberté et de sensualité, mais en même temps, je me sens vulnérable face à l'inconnu qui m'entoure. Les personnes que je croise dans ce club sont toutes uniques, chacune avec sa propre aura magnétique et sa propre histoire à raconter. Leurs vêtements audacieux et leur langage corporel suggestif attirent mon attention, éveillant en moi des pulsions que je n'ai jamais explorées auparavant Je me laisse guider par mes instincts, m'engageant dans des conversations intimes qui explorent les désirs et les fantasmes. Les mots échangés sont chargés de séduction et de tentation, poussant les limites de la propre compréhension de moi-même. Je réalise que dans cet univers, la manipulation et la séduction sont des outils puissants pour susciter le désir et l'excitation. Cependant, je reste conscient des dangers qui peuvent se cacher derrière les portes de ce club. Je sais que la frontière entre le plaisir et la manipulation peut être mince, et je dois rester vigilant pour m'assurer de ne pas me laisser emporter dans des jeux de pouvoir destructeurs. Puis nous nous sommes croisés au milieu de la foule animée du club, nos regards se sont entrelacés dans une tension électrique. J'ai été immédiatement attiré par votre présence élégante et mystérieuse, qui émanait d'une aura envoûtante. Votre charme et votre allure m'ont captivé, et sans dire un mot, vous avez pris la décision de m'emmener dans un coin plus intime de cet endroit fascinant. Nous nous sommes éclipsés du tumulte de la piste de danse et des conversations animées, nous enfonçant dans l'obscurité d'un coin secret du club. Les lumières tamisées accentuaient notre solitude, créant une atmosphère intime et mystérieuse. Le silence enveloppait nos échanges, amplifiant notre connexion. Dans ce coin intime, nous avons commencé à explorer nos désirs les plus profonds, sans aucune inhibition. Votre domination naturelle se révélait, votre présence autoritaire m'envahissant de sensations nouvelles et excitantes. La tension sexuelle était palpable, éveillant en moi un mélange d'excitation et d'appréhension.Votre contrôle sur la situation me laissait à la fois vulnérable et désireux d'explorer davantage. Vous avez utilisé votre charme et votre charisme pour me guider dans un voyage sensuel et passionné. Ce coin intime du club etait devenu notre sanctuaire secret, un endroit où nous pouvions nous perdre dans une danse envoûtante de plaisirs interdits. Les émotions intenses et les sensations inédites nous ont transportés dans un monde où seules nos envies et nos pulsions comptaient. J'ai ouvert mon être, vous révélant ma vulnérabilité et mon désir ardent de vous plaire. Vous avez ressenti un frisson d'excitation en découvrant ma soumission et mon désir de vous satisfaire. Vous avez pris le contrôle de la situation avec une autorité puissante, me guidant fermement dans le monde de la soumission. Chaque geste, chaque parole de votre part m'a incité à repousser mes limites et à me donner entièrement à vous. Je me suis senti captivé par votre présence dominante, prêt à tout faire pour vous satisfaire et répondre à vos moindres désirs. Chaque contact de votre main sur ma peau a provoqué des frissons d'excitation qui se sont propagés dans tout mon être. Je me suis abandonné à vos instructions, cherchant à vous plaire et à satisfaire vos désirs les plus sombres. J'étais tombé sous votre charme envoûtant.  Vous avez commencé à dévoiler tout votre pouvoir de séduction, et mes défenses se sont effondrées devant votre beauté captivante. Chaque geste, chaque regard était calculé pour me faire succomber à vos désirs. Pendant que ses doigts glissaient avec grâce sur ma peau, provoquant des frissons de désir qui se propageaient dans tout mon être. Je me sentais complètement sous son emprise, incapable de résister à son charme magnétique. Chaque interaction avec elle était un mélange enivrant de passion et de vulnérabilité. Son pouvoir de séduction était si puissant que mes pensées étaient embrouillées, mes résistances brisées. Je me suis laissé emporter par cette expérience intense, incapable de me soustraire à son emprise hypnotique. jusqu'au moment ou elle me demande de m'agenouiller devant elle,j'obéis docilement à sa demande. Ressentant un mélange d'excitation et de soumission alors que je me mets à genoux devant elle, prêt à me soumettre à son autorité. Son regard dominant, brûlant d'intensité. Je me sens captivé par son pouvoir et son contrôle sur moi. Chaque ordre qu'elle émet est une invitation à m'abandonner complètement à ses désirs. Elle me demande de me relever lentement, son regard rempli de désir et de domination. Je m'exécute, sentant l'excitation monter en moi à mesure que je me tiens debout devant elle. D'un geste séduisant, elle s'approche de moi et commence à déboutonner ma chemise un à un. Ses doigts agiles glissent le long des boutons, révélant progressivement ma peau à chaque ouverture. Je peux sentir son souffle chaud sur ma peau nue, créant des frissons électriques qui se propagent dans tout mon être. Une fois ma chemise ouverte, elle la fait glisser le long de mes épaules, la laissant tomber négligemment au sol. Ses yeux se délectent du spectacle de mon torse dévoilé, sa respiration s'accélérant légèrement.Son regard brûlant se pose sur mon pantalon, et d'un geste audacieux, elle défait lentement le bouton, puis tire la fermeture éclair vers le bas, libérant ainsi la pression qui monte en moi. Je peux sentir son regard qui explore chaque centimètre de ma peau exposée. Elle fait descendre mon pantalon le long de mes jambes, révélant ainsi mon sous-vêtement. D'une main experte, puis elle fait glisser délicatement mon sous-vêtement, le laissant rejoindre le sol. Je me retrouve entièrement nu devant elle, exposé à son regard avide et à son désir grandissant. Chaque geste, chaque contact de ses mains sur ma peau nue enflamme mes sens et fait monter le désir en moi. Je suis complètement à sa merci, prêt à me soumettre à ses désirs Je me sens vulnérable et exposé, mais cette vulnérabilité ne fait qu'attiser mon désir et mon excitation. Chaque contact de sa main sur ma peau nue fait naître en moi des frissons d'anticipation, amplifiant le désir qui brûle en moi. Je sais que je suis entièrement à sa merci, prêt à satisfaire tous ses désirs. Mon corps est à sa disposition, prêt à être exploré et à lui apporter le plaisir qu'elle recherche. Chaque caresse, chaque effleurement de sa main sur ma peau crée une connexion électrique entre nous. Son regard brûlant et son sourire satisfait me montrent qu'elle apprécie le contrôle qu'elle exerce sur moi. Je me laisse emporter par l'excitation de la situation, prêt à me soumettre à ses envies les plus intenses. Alors que je me tiens là, exposé et vulnérable devant elle, elle sort des menottes avec un sourire malicieux. D'un geste doux mais ferme, elle attache délicatement mes poignets, scellant ainsi mon engagement total et ma soumission à ses désirs.  Je me sens à sa merci, totalement vulnérable, mais aussi prêt à explorer de nouveaux horizons. L'excitation monte en moi, mêlée à une légère appréhension qui ne fait qu'ajouter une saveur délicieuse à cette expérience intense. Elle caresse tendrement mon visage, cherchant à me rassurer et à me montrer sa volonté de me guider à travers cette expérience. Son toucher doux et attentionné contraste avec le contrôle qu'elle exerce sur moi. Je peux sentir la confiance grandir en moi, me permettant de me laisser aller à ses commandes. Chaque caresse, chaque contact de sa main sur ma peau, est empreint de désir et de complicité. Je me perds dans le mélange de sensations, à la fois physiques et émotionnelles. Je suis prêt à suivre ses instructions, à explorer les profondeurs de cette expérience intense et délicieuse. Elle prend ma main et me guide, nue, dans une pièce sombre et mystérieuse. L'atmosphère est chargée d'excitation et d'anticipation. Mes sens sont en éveil, prêts à découvrir ce que cette pièce renferme. À mesure que mes yeux s'habituent à l'obscurité, je peux distinguer des accessoires BDSM soigneusement sélectionnés qui ornent la pièce. Des fouets, des pinces à seins, des cordes de bondage... Chaque élément a été choisi avec soin pour susciter des sensations intenses et m'immerger encore plus profondément dans cet univers de plaisir et de soumission. Mon cœur bat la chamade alors que je prends conscience de l'ampleur de cette expérience. Je me sens à la fois excité et vulnérable devant ces objets qui symbolisent le jeu de pouvoir et la volonté de se laisser aller à ses désirs les plus sombres. Après m'avoir attaché à une croix de Saint-André, mes bras et mes jambes écartés, elle expose chaque centimètre de mon corps à sa vue et à sa domination. Je me sens à sa merci, totalement soumis et prêt à me laisser emporter par le plaisir et l'érotisme qui émanent de cette situation. Ses mains expertes explorent chaque recoin de mon anatomie, découvrant et caressant mes zones les plus sensibles. Chaque effleurement fait naître en moi des sensations intenses et électrisantes. Je peux sentir mon corps réagir à ses touchers, mes gémissements de plaisir emplissant l'atmosphère. Elle ne néglige aucun détail, explorant avec délicatesse et précision chaque partie de mon corps. Ses doigts s'aventurent, avec douceur, dans mon intimité, provoquant des vagues de plaisir qui se propagent à travers moi. Les sensations se mélangent, mélangeant douleur et plaisir dans une danse enivrante. Elle saisit un fouet, l'objet emblématique du jeu de domination et de soumission. Sa main serre fermement la poignée, prête à déclencher une symphonie de sensations sur ma peau. L'anticipation monte en moi, mélangeant l'excitation et une pointe d'appréhension. Le fouet se balance dans l'air avec une grâce sinistre, créant un sifflement menaçant qui fait monter l'adrénaline en moi. Chaque mouvement précis et calculé promet une décharge électrique de plaisir et de douleur. Je suis à sa merci, prêt à me soumettre à chaque coup. À mesure que le fouet s'abat sur ma peau, une décharge de sensations se propage à travers moi. La douleur se fait ressentir, mais elle est équilibrée par une vague de plaisir qui m'envahit. Les marques rouges laissées par le fouet témoignent de notre jeu intense, créant une toile d'érotisme sur ma peau. Ne me laissant de répis elle pose son fouet et saisi des pinces à seins, elle les examinent attentivement, comme un artiste qui choisit ses pinceaux. Je sens mon cœur battre plus rapidement, mêlant l'anticipation et une pointe de nervosité. Elle s'approche de moi, son regard empreint de domination et de désir. Elle prend le temps de caresser mes seins, les faisant durcir sous ses doigts experts. Puis, avec une détermination calculée, elle place délicatement les pinces sur mes tétons, créant une sensation de pincement intense mais exquis. La douleur, mêlée à une étrange forme de plaisir, se répand dans tout mon être. Chaque mouvement, chaque respiration, accentue la tension exercée par les pinces, créant une symphonie de sensations sur mes seins. Les pinces deviennent un lien physique entre elle et moi, un rappel constant de son emprise sur mon corps. Mon ressenti oscille entre une douleur délicieuse et une excitation brûlante. Je suis à la fois transporté par le plaisir et défié par la douleur. Mes sens sont en éveil, chaque stimulus amplifié par les pinces qui se serrent sur mes tétons. Je suis totalement à sa merci, abandonné à ses désirs et à son contrôle. puis Elle se saisit d'une sonde urétrale, un objet fin et lisse qui suscite à la fois l'excitation et une pointe de nervosité. Elle se rapproche de moi, son regard rempli de dominance et de désir. Avec une assurance calculée, elle me demande de me détendre, de me laisser aller entre ses mains expertes. Elle lubrifie soigneusement la sonde, veillant à ce que tout se passe en douceur. Puis, avec une précaution délicate, elle guide l'extrémité de la sonde vers mon urètre.La fraîcheur du lubrifiant sur ma peau ajoute une sensation agréable à l'ensemble. Je sens une légère pression, un mélange de douleur et d'excitation alors que l'objet commence à pénétrer mon corps. L'insertion se fait lentement, centimètre par centimètre, faisant monter en moi une sensation étrange et nouvelle. Je me sens rempli, envahi, comme si une partie de moi-même était explorée d'une manière inattendue. La sonde glisse avec aisance, suivant les contours de mon urètre, créant une stimulation intense et intime. Mes sens sont en ébullition, chaque mouvement de la sonde provoque une réaction électrique qui se propage dans tout mon corps. Je suis à la fois captivé par cette sensation unique et fasciné par la façon dont elle contrôle mon plaisir et mon expérience.Les frontières entre douleur et plaisir s'estompent, et je m'abandonne pleinement à cette exploration audacieuse. Elle me détache de la croix de Saint-André avec un mélange de douceur et de fermeté, libérant mes mains et mes pieds qui étaient solidement attachés. Je ressens un sentiment de libération et d'excitation qui monte en moi. Son regard brûlant de désir me promet des moments intenses à venir. Je suis prêt à me laisser guider par elle et à explorer de nouveaux horizons de plaisir. Elle me guide ensuite avec douceur pour m'allonger sur une tablette, le ventre contre le matelas. Une sensation de douceur et de confort m'enveloppe alors qu'elle prépare la prochaine étape de notre exploration sensuelle. Ses mains expertes parcourent délicatement chaque centimètre de mon dos, suscitant des frissons d'anticipation le long de ma colonne vertébrale. La pression de ses doigts est à la fois ferme et douce, préparant ma peau pour les plaisirs à venir. Son souffle chaud caresse ma nuque, envoyant des décharges électriques de désir à travers tout mon corps. Ses murmures, remplis d'excitation et de promesse, trouvent écho dans mon esprit, alimentant le feu ardent qui brûle en moi. Je me laisse totalement emporter par ses gestes, me laissant guider par ses désirs et ses envies. Je suis prêt à plonger dans cet océan de sensations intenses et à découvrir les délices exquis qui nous attendent. Avec une main ferme et déterminée, elle commence à écarter lentement mes jambes, écartant les barrières de ma résistance. Son toucher est à la fois doux et possessif, me faisant ressentir une étrange combinaison de désir et d'anxiété. Je abandonne à cette sensation de soumission, me laissant guider par ses désirs  Consumée par sa dominance, elle sait exactement comment me pousser au bord de l'extase. Elle utilise ses doigts pour stimuler mon anus avec une précision troublante, alternant entre des mouvements doux et des pressions plus fermes. Chaque toucher est calculé pour me faire ressentir un mélange exquis de douleur et de plaisir intense. Je me retrouve complètement envoûté par cette expérience, mon corps se tend dans l'attente de la prochaine sensation. Les frontières entre plaisir et douleur s'estompent, me transportant dans un état de transe érotique où seule la satisfaction compte. Avec une détermination implacable, elle poursuit ma dilatation anale, allant au-delà de ce que j aurais pu imaginer.  Elle commence par masser doucement mon anus avec ses doigts, les lubrifiant abondamment pour faciliter la progression. Chaque mouvement est précis et calculé, cherchant à détendre mes muscles et à préparer mon corps à cette extrême dilatation.Lentement mais sûrement, elle insère un doigt, puis deux, puis trois, me faisant ressentir une combinaison intense de douleur et de plaisir. mon corps réagit, se contractant et se relâchant au rythme de ses mouvements, s'adaptant progressivement à la taille et à la pression croissantes. Avec une dextérité impressionnante, elle continue d'élargir mon anus, écartant les limites de ma résistance. Elle utilise je pense alors des techniques de relaxation musculaire et de stimulation précise pour m aider à accueillir sa main entière. Enfin, le moment tant attendu arrive.Je sent son poignet glisser lentement à l'intérieur de moi, mon corps se tend sous la sensation de plénitude absolue. La douleur se mêle à une forme pervertie de plaisir, créant une expérience indescriptible et troublante. Mon esprit poujours empli d'une soumission totale. Après avoir retiré sa main de mon anus, elle me demande de me relever, me permettant ainsi de récupérer de cette expérience intense. Je me mets debout, tremblant légèrement, me sentant à la fois vidé et une sensation par cette expérience indescriptible. toujours emplie de dominance, elle m'examine de nouveau dans mon ensemble. Son regard scrutateur parcourt chaque centimètre de mon corps, capturant chaque marque de ma soumission et de mon désir.Je ressent un mélange de vulnérabilité et de satisfaction, sachant que vous j'ai pleinement donné de moi-même. Elle observe attentivement les marques et les traces laissées par l'exploration de mon intimité, cherchant des signes de mon excitation et de mon plaisir. Son regard se pose sur chaque partie de mon corps, prenant note des réactions et des effets de cette expérience intense. Je me tiens là, exposé et vulnérable, tandis qu'elle continue de m'inspecter. Elle prend son temps pour apprécier chaque détail, chaque réaction de moin corps. Je suis à sa merci, offert à son regard scrutateur et à son jugement Avec un sourire, elle me tend une tenue féminine coquine, une magnifique lingerie en dentelle noire. Le soutien-gorge orné de délicats motifs floraux, accentuant mes courbes et soulignant subtilement ma poitrine. Les bonnets rembourrés ajoutent une touche de sensualité, tandis que les fines bretelles ajustables promettent un ajustement parfait. Le bas assorti était tout aussi séduisant, avec une culotte en dentelle transparente qui dévoilait subtilement mes formes féminines. La ceinture en satin accentuant ma taille, créant une silhouette délicieusement sensuelle. Les lanières élastiques sur les côtés ajoutent une touche audacieuse, donnant un aperçu de ma peau douce et invitante. Pour compléter l'ensemble, elle me tend des bas en résille, leur texture délicate caressant mes jambes. Les jarretières en dentelle ajoutant une touche de sophistication, me conférant une allure de femme. Alors que je tenais cette tenue entre mes mains, je sentais l'excitation monter en moi, sachant que cette lingerie allait intensifier mon expérience  je fis glisser la culotte en dentelle le long de mes jambes, la laissant reposer délicatement sur mes hanches. Le tissu doux caressait ma peau, accentuant ma féminité et m'invitant à explorer cette nouvelle facette de moi-même. En tenue, , je savais que cette aventure serait un voyage de découverte et de plaisir sans précédent. Avec un sourire complice, elle me murmure à l'oreille : "Maintenant, tu es prête." Elle prit délicatement ma main et m'emmena dans la salle principale du club, où l'ambiance était électrique et envoûtante. La pièce était plongée dans une semi-obscurité, les lumières tamisées créant une atmosphère sensuelle. Le son enivrant de la musique résonnait dans mes oreilles, créant une pulsation rythmée qui faisait vibrer mon corps. Elle me guide vers un coin plus intime du club, où des canapés confortables invitants à l'abandon et à la découverte attendaient. Les couples et les groupes étaient engagés dans des jeux de séduction et d'exploration, chacun embrassant sa propre quête de plaisir. Nous nous installons sur l'un des canapés, nous imprégnant de l'atmosphère enivrante qui nous entour. Elle prend ma main et la porta à ses lèvres, déposant un doux baiser dessus. Ce geste rappelait notre connexion, notre complicité dans cette aventure érotique. Le club était un lieu de liberté et d'exploration, où chacun pouvait vivre ses fantasmes les plus secrets sans jugement. En cet instant, j'étais prête à me laisser emporter par cette expérience, à me perdre dans le plaisir et la découverte de mes désirs les plus profonds. Et elle serait là, à mes côtés, pour m'accompagner dans cette aventure sensuelle. Alors que nous nous installions sur le canapé, deux hommes élégamment vêtus s'approchèrent et s'assiés à côté de moi. Je sent mon cœur s'accélérer dans ma poitrine, sachant que ma Domina d'un soir avait approuvé leur présence. Elle me lançe un regard complice, un léger hochement de tête qui me confirmait qu'elle était d'accord pour que nous poursuivons cette expérience à trois. Son approbation m'emplissait d'excitation et de confiance, sachant que je pouvais me laisser aller en toute sécurité entre les mains de ces hommes. Sans dire un mot, les hommes commencèrent à me caresser doucement, leurs mains expertes explorant chaque centimètre de ma peau. Leurs gestes sont empreints de désir et de respect, suivant les limites établies par ma Domina. Je me laisse alors emporter par leurs touchers, les sensations se mélangeant dans un tourbillon de plaisir. Leurs mains se promenent sur mon corps, éveillant des frissons de désir et faisant monter en moi une vague d'excitation inégalée. Ma Domina observe la scène avec un sourire satisfait, prenant plaisir à voir le plaisir qu'elle m'offre. Elle est le lien entre nous, la force qui orchestre cette expérience unique et mémorable. Dans cet espace de désir partagé, je me sent libre de m'abandonner complètement, de laisser mon corps répondre aux caresses et aux murmures de plaisir. Ma Domina est là pour me guider, pour m'encourager à explorer mes désirs et mes fantasmes, tout en respectant mes limites. Et ainsi, nous nous lancons dans cette aventure à trois, où la sensualité et le plaisir se mêlent dans une danse enivrante. Je suis prêt plutot prête à me perdre dans les bras de ces hommes, à découvrir de nouvelles dimensions de plaisir et de satisfaction. Ma Domina est là, veillant sur moi, prête à mener cette expérience vers des sommets inexplorés. Alors que nous nous laissons emporter par nos pulsions, l'un des hommes me guide doucement à me mettre à quatre pattes devant lui. Mon cœur bat la chamade, mêlé d'excitation et d'appréhension. Il ouvre son pantalon, révélant son sexe dressé, prêt à être exploré. La sensation de le glisser dans ma bouche est nouvelle pour moi, un mélange de douceur et de fermeté, de désir et de soumission. Je me laise guider par mes instincts, trouvant un rythme qui plait à mon partenaire. Les gémissements de plaisir remplissaient l'air, mêlés aux encouragements de ma Domina. C'est une expérience intense et audacieuse, une exploration de mes limites et de mes désirs les plus profonds. Chaque mouvement, chaque caresse est empreint d'une énergie sensuelle et passionnée. Je me sent vivante, libérée de toute retenue, embrassant pleinement cette expérience unique. La suite de cette aventure passionnante se dessine devant moi,encore tant de plaisirs à explorer et de fantasmes à réaliser. Les limites semblent s'évanouir, laissant place à une intensité et une connexion profonde . Puis le deuxieme homme m attrape  'obéis à ses ordres me dis ma Domina, me laissant ramener à la position préalable. Je suis prête pour ce nouveau partenaire, pour cette nouvelle étape de mon parcours. Quand il me pénétre, je sent un frisson de douceur et de terreur me parcourir le corps. Je m'accroche à lui, à sa peau, cherchant à me fondre dans cet instant. Notre rythme est différent, mais il est aussi intense que le premier. Nous nous laissons guider par nos instincts, nos désirs, et je sent mon corps se révéler au contact de sa chair. Les cris de mon partenaire résonnent dans la pièce, mêlés à ceux de mon premier. Je suis partagée entre le désir de satisfaire l'un et l'autre et la peur de ne pas y parvenir. Les minutes passent, nos corps s'unifiant de plus en plus, jusqu'à ce que nous atteignions le sommet de la volupté. J'obéis à leurs ordres, m'abandonnant à ces sensations nouvelles. Je prête à vivre cette expérience, à en apprendre davantage sur ce monde érotique. Le premier sentit sa jouissance arriver et laisse échapper son sperme dans ma bouche, mélangeant ainsi nos émotions. Je laisse filtrer le liquide dans ma gorge, savourant son goût unique. Puis le second m'envahit de sa chair, me pénétrant dans mon anus avec ardeur. La sensation est différente, mais aussi excitante que celle du sexe oral.   Je suis partagée entre la douceur de leur contact et l'appréhension de cette nouvelle expérience. Lorsque le second sentit sa jouissance approcher, il se mit à me caresser doucement, me guidant vers le plaisir. Je fus submergée par une sensation intense, inoubliable. Cette nuit fut une confirmation de mon amour pour cet univers, de ma soumission à ce jeu sensuel. Je m'en félicitais, car ces aventures m'avaient apporté un équilibre, une force intérieure qui me faisait sentir libre, complète. Je me redressai, me rhabillant en silence. Ma maîtresse m'observait attentivement, le visage impassible. Je me sentis pétrifiée par la peur et l'excitation, ne sachant pas quoi attendre de sa réaction. Elle me claqua doucement les fesses, son sourire moqueur me rassura un peu. "Ce sera suffit pour cette nuit, ma chère. Rentre chez toi, profite de tes émotions et revient demain pour un nouveau tour Je ne dis rien, me contentant de hocher la tête. Ma maîtresse est une femme d'expérience, elle sait maintenant comment me faire fonctionner. J'empruntai le chemin du retour, les yeux brillants de larmes et de sueur. J'étais épuisée, mais aussi exaltée. Cette nuit m'avait révélé des sensations inconnues, des facettes de ma personnalité que j'ignorais jusqu'alors.Arrivant à la maison, me laissant tomber sur mon lit, les draps mouillés de sueur et de sperme. Je fermai les yeux, essayant de digérer cette expérience, de la réintégrer dans mon quotidien. Ce n'était pas fini, je le savais. Il y avait encore tant de choses à explorer, à vivre. J'avais hâte de me retrouver dans cette salle, avec ces hommes, pour en vivre de nouvelles aventures. Cette vie était une partie d'un rêve, une chance inouïe de vivre au-delà de mes limites. J'en profitais. Mais pour l'instant, je m'abandonnais à cette liberté, à ce jeu sensuel, à cette soumission totale. La sensation était une mélange de douceur et de puissance. J'étais immergée dans un état de bonheur et de soumission totale, emportée par les mouvements de mes partenaires. J'essayais de trouver le sommeil et de me laisser aller à ces sensations, mais je n'y parvenais pas.J'étais comme suspendue entre deux mondes, entre le réel et le rêve. Mes pensées vagabondaient de l'un à l'autre, essayant d'intégrer toutes ces expériences inoubliables dans mon esprit. En me rappelant chaque instant de plaisir et de souffrance, je comprenais l'intensité de cette vie que j'avais choisie. J'avais eu des rencontres épiques, des expériences incroyables, j'avais vécu des émotions que peu de gens pouvaient envisager. Le sommeil finalement m'avait gagnée, mais je rêvais encore d'exploits à venir, de soumissions inédites. J'étais prêt enfin maintenant prête pour le lendemain, pour mes prochaines rencontres, car je savais qu'elles me réserveraient d'autres émotions, d'autres expériences, d'autres souvenirs incroyables.
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Par : le 19/12/23
Chapitre 1: Une Rencontre Inattendue Pat, un homme de 59 ans, et Christelle, une femme de 48 ans, se retrouvent par hasard dans un café pittoresque de la ville. Ils s'installent à une table voisine, sans se douter que cette rencontre anodine allait bouleverser leur vie à jamais. Leurs regards se croisent, et une étincelle fugace se manifeste entre eux. Intrigué par cette femme au regard mystérieux, Pat décide de briser la glace et engage une conversation légère. Ils discutent de sujets anodins, partageant quelques rires et échangeant des anecdotes de leur quotidien. Ce qui aurait pu être une simple rencontre fortuite prend une tournure inattendue lorsque Christelle, d'une voix douce et envoûtante, commence à poser des questions de plus en plus intimes. Elle semble déceler en Pat une vulnérabilité, une envie de se libérer de ses chaînes sociales et de vivre une expérience hors du commun. Pat, intrigué et attiré par la personnalité magnétique de Christelle, se laisse emporter par cette conversation hors normes. Il se confie peu à peu, révélant des désirs secrets et des fantasmes longtemps refoulés. Christelle, de son côté, écoute attentivement, captivant chaque mot prononcé par Pat, et semble être la seule capable de comprendre et d'accepter ses sombres pensées. Leur complicité grandit au fil des heures passées ensemble, et ils ne peuvent nier l'attraction qui les consume. Pat, pour la première fois de sa vie, se sent écouté, compris et désiré. Christelle, quant à elle, trouve en Pat un homme prêt à se laisser emporter dans les abysses de ses propres désirs les plus sombres. Chapitre 2: Le Jeu de Domination Pat attend avec impatience le deuxième rendez-vous avec Christelle. Il est à la fois excité et effrayé par les possibilités qui s'ouvrent à lui. Il ne peut s'empêcher de se demander comment cette relation troublante va évoluer et quelles limites ils seront prêts à franchir. Lorsqu'ils se retrouvent, Christelle se montre différente. Elle est habillée de manière plus audacieuse, son regard est plus intense et son sourire laisse transparaître une lueur de malice. Pat est immédiatement captivé par cette nouvelle facette de sa personnalité. Sans donner d'explications, Christelle guide Pat vers sa voiture et l'emmène dans un lieu secret. Ils se retrouvent dans une chambre sombre, aménagée pour le plaisir et la douleur. Les murs sont ornés d'instruments de torture, de fouets et de cordes. Christelle se révèle être une dominatrice expérimentée, et elle souhaite initier Pat à l'art du BDSM. Elle lui explique les règles du jeu, le pouvoir de la soumission et la jouissance qui peut découler de la douleur. Pat, à la fois curieux et terrifié, se laisse guider par Christelle. Elle le déshabille lentement, exhibant son corps vulnérable et offrant chaque centimètre de sa peau à son exploration sadique. Elle utilise des menottes pour l'attacher à un lit, lui privant ainsi toute possibilité de résistance. Le premier fouet s'abat sur la peau nue de Pat, laissant une marque rouge vif. La douleur est intense, mais il ressent également une étrange excitation. Christelle joue avec lui, alternant entre caresses sensuelles et coups violents, repoussant sans cesse les limites de son endurance. Au fur et à mesure que les minutes se transforment en heures, Pat se retrouve immergé dans un monde de plaisir et de douleur. Christelle exploite chaque faiblesse et chaque désir refoulé, l'entraînant toujours plus loin dans les méandres de la soumission. Chapitre 3: La Métamorphose de Pat Cristelle sort de la chambre laissant Pat attaché au lit, ses membres endoloris et son corps marqué par les sévices infligés. Alors qu'il se remet lentement de cette expérience intense, il réalise que quelque chose en lui a changé. Christelle revient dans la pièce, vêtue d'une tenue de cuir noir, son regard dominant fixé sur Pat. Elle lui sourit, satisfait de sa transformation progressive en une femme soumise. Elle l'informe que désormais, il ne sera plus Pat, mais Sarah, sa nouvelle identité féminine. Pat, ou plutôt Sarah, ressent un mélange de confusion, de peur et d'excitation face à cette métamorphose imposée. Il est partagé entre l'envie de résister et la curiosité de découvrir cette nouvelle facette de son être. Christelle prend le temps d'expliquer à Sarah les étapes de sa transition, lui faisant comprendre que son corps et son esprit appartiennent désormais à sa domination. Elle lui présente une boîte contenant des vêtements féminins, des accessoires de beauté et des jouets sexuels destinés à l'exploration de son nouveau rôle. Au fil des jours et des semaines qui suivent, Sarah se plie aux exigences de Christelle. Elle apprend à se maquiller, à se vêtir de manière provocante et à se comporter comme une véritable femme soumise. Christelle la guide à travers chaque étape de cette transformation, l'aidant à embrasser pleinement son nouveau rôle. La domination de Christelle sur Sarah s'intensifie au fur et à mesure que cette dernière se soumet à ses désirs les plus sombres. Les séances de BDSM deviennent de plus en plus intenses, Christelle explorant de nouvelles façons de repousser les limites de Sarah et de lui faire ressentir à la fois la douleur et le plaisir. Chapitre 4: L'Exhibition de Sarah Sarah se prépare mentalement et physiquement pour une nouvelle étape de sa transformation. Christelle l'informe qu'elle va désormais être exposée aux désirs et aux fantasmes des autres, en tant que soumise docile et obéissante. Christelle organise une soirée privée dans un club exclusif, réservé aux amateurs de BDSM. Sarah est préparée avec soin, vêtue d'une tenue provocante qui met en valeur ses courbes et sa féminité. Son corps est orné de marques de soumission, témoignage des séances intenses qu'elle a vécues aux côtés de Christelle. La soirée débute et Sarah est présentée aux invités, des hommes et des femmes avides de pouvoir et de domination. Christelle lui impose de se soumettre à leurs désirs, sans poser de questions ni émettre de plaintes. Elle est prête à être utilisée et exploitée pour leur plaisir. Sarah est conduite vers une cage en plein milieu de la pièce, où elle est attachée et exposée à tous les regards. Les invités se pressent autour d'elle, la touchant, la caressant, la faisant se plier à leurs caprices les plus sombres. La sensation d'être à leur merci, d'être objet de désir et de satisfaction sexuelle, provoque en Sarah un mélange d'excitation et d'humiliation. Elle se laisse emporter par cet univers de dépravation, se perdant dans les plaisirs pervers qui lui sont infligés. Christelle, en tant que maîtresse de cérémonie, observe avec satisfaction la transformation complète de Sarah en une femme soumise et exhibitionniste. Elle se délecte de voir sa création répondre aux moindres désirs des invités, comme une poupée docile prête à être utilisée. Chapitre 5: Les Profondeurs de la Dépravation Sarah continue d'explorer les profondeurs de la dépravation sous la tutelle de Christelle. Après la soirée au club, Christelle décide de l'emmener dans un monde où les limites n'existent plus. Elles se retrouvent dans un lieu secret, un donjon sombre et mystérieux où les pulsions les plus sombres peuvent être assouvies. Sarah est soumise à des pratiques encore plus intenses, où la douleur et le plaisir s'entremêlent d'une manière indescriptible. Christelle révèle à Sarah la pratique de la suspension, où elle est attachée par des cordes et suspendue. Cette expérience d'extrême soumission plonge Sarah dans un état de vulnérabilité totale, où elle se sent complètement à la merci de sa dominatrice. La relation entre Sarah et Christelle devient de plus en plus complexe, mêlant domination, affection et dépendance. Sarah se rend compte qu'elle est complètement envoûtée par Christelle, prête à tout pour satisfaire ses désirs. Sarah découvre également le monde du jeu de rôle, où elle est contrainte de se glisser dans différents personnages pour satisfaire les fantasmes de Christelle. Que ce soit en tant que soubrette soumise, écolière rebelle ou infirmière perverse, Sarah se plie aux scénarios les plus inventifs imaginés par sa dominatrice. Christelle pousse les limites de Sarah encore plus loin en introduisant des éléments de bondage extrême. Des séances de shibari,Sarah se retrouve ainsi immobilisée, offerte à Christelle et à quiconque souhaite profiter de son corps. La dégradation et l'humiliation deviennent des éléments clés de leur relation. Sarah est régulièrement traitée comme un objet, un animal de compagnie, ou même un simple ornement pour le plaisir de Christelle et de ses invités. Elle est forcée de se plier à leurs caprices, subissant des actes dégradants et humiliants sous leurs yeux avides de pouvoir. Malgré les douleurs physiques et émotionnelles qu'elle endure, Sarah trouve également un certain plaisir dans cette vie de soumission totale. Elle se surprend à anticiper les séances de BDSM avec excitation et à éprouver une satisfaction masochiste lorsqu'elle est utilisée et abusée. Sarah se demande jusqu'où Christelle est prête à la pousser. Quelles nouvelles frontières de la dépravation et de la soumission Sarah devra-t-elle franchir ?  Chapitre 6: La Quête de l'Ultime Soumission Sarah avide de découvrir de nouvelles formes de soumission. Christelle, toujours en quête de repousser les limites, décide de l'emmener dans un cercle restreint de dominants et dominatrices expérimentés. Sarah se retrouve au cœur d'une soirée privée, où chaque invité est un expert dans l'art de la domination. Les pratiques deviennent encore plus intenses et extrêmes, allant au-delà de tout ce que Sarah aurait pu imaginer. Elle est confrontée à des séances de torture psychologique, où chaque mot et chaque geste sont minutieusement calculés pour briser sa volonté. Les dommages infligés à son corps et à son esprit sont de plus en plus profonds, mais Sarah est incapable de résister, accro à cette sensation de totale soumission. Lors d'une séance particulièrement intense, Sarah est confrontée à une épreuve majeure : la suspension inversée. Ses bras et ses jambes sont attachés, la laissant suspendue tête en bas. La pression sur son corps est insupportable, mais elle se sent transportée dans un état de transe, abandonnée à la volonté de ses tortionnaires. Sarah réalise que cette quête de l'ultime soumission la mène vers des abîmes encore inexplorés. Elle se demande jusqu'où elle est prête à aller pour satisfaire les désirs de Christelle et si elle pourra jamais atteindre un point de satisfaction totale.  Sarah, toujours en proie à la quête de l'ultime soumission. Alors que les pratiques deviennent de plus en plus extrêmes, elle se retrouve confrontée à un nouveau défi : la privation sensorielle. Christelle l'emmène dans une chambre spécialement aménagée, où Sarah est attachée, les yeux bandés et les oreilles bouchées. Plongée dans l'obscurité et le silence complet, elle est privée de ses sens, ne laissant place qu'à ses pensées les plus profondes et ses sensations les plus intenses. Les heures s'écoulent, mais pour Sarah, le temps n'a plus de signification. Elle est livrée à elle-même, incapable de prévoir ce qui l'attend. Des caresses douces et réconfortantes alternent avec des châtiments brutaux et douloureux, créant un tourbillon de sensations contradictoires qui la pousse au bord de la folie. Alors que la privation sensorielle atteint son paroxysme, Sarah est submergée par des visions et des hallucinations. Des souvenirs de son passé se mélangent avec les expériences présentes, brouillant les frontières entre la réalité et le fantasme. Elle se demande si elle pourra jamais retrouver sa place dans le monde "normal" après avoir plongé si profondément dans les abîmes du BDSM. Chapitre 7: Les Liens de la Liberté Sarah se retrouve à un tournant décisif de son parcours de soumission. Après avoir exploré les profondeurs les plus sombres du BDSM,commence à ressentir une lueur de conscience et de remise en question. Sarah se rend compte que ses désirs ont évolué et qu'elle ne trouve plus le même plaisir dans les pratiques extrêmes. Elle se sent piégée par les liens invisibles de la soumission, cherchant désespérément un moyen de se libérer. Christelle, de son côté, remarque le changement chez Sarah. Elle comprend que son pouvoir sur elle s'affaiblit et décide de prendre des mesures drastiques pour la ramener dans son emprise. Elle introduit de nouveaux éléments dans leurs séances, mêlant douceur et cruauté d'une manière subtile. Les moments de tendresse et d'affection sont entrelacés avec des actes de domination et de soumission, créant une confusion émotionnelle chez Sarah. Cependant, malgré les efforts de Christelle pour maintenir son contrôle, Sarah commence à prendre des décisions audacieuses. Elle exprime ses limites et ses besoins, cherchant un équilibre entre son désir d'exploration et sa quête de liberté. Les deux femmes entrent dans une phase de négociation et de redéfinition des limites de leur relation. Sarah exprime son besoin de retrouver un certain contrôle sur sa vie, de ne plus être uniquement une marionnette entre les mains de Christelle. Dans un geste inattendu, Christelle accepte de donner à Sarah une plus grande autonomie dans leurs jeux de domination et de soumission. Elle reconnaît que leur relation doit évoluer pour préserver l'équilibre fragile entre plaisir et liberté. Sarah découvre alors un nouveau monde de possibilités. Elle commence à explorer sa propre domination, prenant les rênes de certaines séances. Les rôles s'inversent, et Christelle se retrouve à son tour soumise aux désirs et aux fantasmes de Sarah. Les deux femmes découvrent une nouvelle dynamique, basée sur le respect mutuel et la confiance réciproque. Elles se lancent dans des expériences plus douces et moins extrêmes, se concentrant sur l'exploration de leurs désirs communs plutôt que sur la recherche de la dépravation ultime. Au fil du temps, Sarah et Christelle trouvent un équilibre entre la domination et la soumission, où les limites sont clairement définies et respectées. Elles se rendent compte que la véritable satisfaction réside dans la connexion profonde qui se tisse entre elles, bien au-delà des jeux de pouvoir et des pratiques extrêmes. Chapitre 8: Le Chemin de la Rédemption Sarah et Christelle, qui continuent leur exploration du BDSM d'une manière plus équilibrée. Elles découvrent de nouvelles facettes de leur sexualité et approfondissent leur connexion émotionnelle, mais une ombre plane toujours sur leur relation. Sarah ressent un profond besoin de se libérer totalement de l'emprise du BDSM et de retrouver une vie plus "normale". Elle remet en question sa propre identité et se demande si elle pourra véritablement trouver la rédemption après toutes les expériences sombres qu'elle a vécues. Christelle, de son côté, est confrontée à ses propres démons intérieurs. Elle réalise que sa quête de pouvoir et de domination a été motivée par des blessures profondes et des traumatismes non résolus. Elle se demande si elle peut trouver la rédemption et la guérison à travers une relation saine et équilibrée. Les deux femmes décident de s'engager dans une introspection profonde et de chercher des réponses à leurs questions les plus profondes. Elles entament une thérapie individuelle et ensemble, explorant les racines de leurs désirs et de leurs choix passés. Au fil des séances de thérapie, Sarah et Christelle commencent à se comprendre mutuellement d'une manière qu'elles n'avaient jamais cru possible. Elles partagent leurs peurs, leurs regrets et leurs aspirations pour un avenir plus sain et plus épanouissant. Chapitre 9: une transformation physique Puis un jour sarah demande a christelle de l aider a la transformer completement en femme   Christelle accepte la demande de Sarah et se lance dans la réalisation de cette transformation complexe. Elle effectue des recherches approfondies sur les procédures nécessaires et consulte des experts médicaux pour s'assurer de la sécurité et de la faisabilité de l'intervention. Après avoir préparé un plan détaillé, Christelle administre à Sarah les injections mammaires, utilisant des produits et des techniques spécifiques pour stimuler la croissance des seins. En même temps, elle entreprend une séance de connexion émotionnelle où les deux femmes se concentrent sur leurs énergies vitales et fusionnent leurs états d'âme. Au fur et à mesure que les seins de Sarah se développent, elle ressent un mélange de sensations physiques et émotionnelles. Les énergies de Sarah et de Christelle s'entremêlent, créant une profonde intimité et une compréhension mutuelle encore plus grande. Un soir apres le diner les lèvres de Christelle se posent avec tendresse sur celles de Sarah, un baiser chargé de promesses inquiétantes.  Les mains de Christelle glissent le long du corps de Sarah, délicatement. La jupe de Sarah tombe au sol, révélant la vulnérabilité de son corps dénudé. Christelle se délecte de chaque centimètre de peau exposé, savourant le pouvoir qu'elle reprends sur Sarah. Elle parcourt son corps avec une lenteur calculée, traçant des lignes de plaisir et de douleur sur son chemin. Chaque contact est une torture délicieuse, une symphonie de domination et de soumission renaissante. Christelle allonge Sarah avec une tendresse feinte, ses mains explorant chaque centimètre de peau nue avec une avidité dérangeante. Les doigts de Christelle dansent sur le corps de Sarah, laissant une traînée de frissons et d'appréhension sur son passage. Les soupirs troublés de Sarah se mêlent aux murmures de plaisir de Christelle. Dans un élan empreint d'amour et de tendresse, Christelle se glisse doucement à côté de Sarah, déposant un scalpel étincelant sur un plateau à côté d'elle. Son regard bienveillant et passionné reflète la lueur profonde de désir qui brûle en elle. Avec une délicatesse infinie, elle effleure les bourses de Sarah, traçant des lignes de plaisir sur sa peau sensible. Les gouttes de sueur perlent, mêlant leur parfum enivrant à celui de l'excitation qui monte. Puis, avec une maestria presque surnaturelle, Christelle saisit le scalpel d'une main ferme. Son visage rayonne d'une étrange excitation mêlée de détermination.  Elle pose le scalpel sur la peau tendue des bourses de Sarah, effleurant délicatement la surface avec la pointe acérée. Une légère pression suffit à ouvrir une fine incision, laissant échapper un filet de sang carmin. Les sens en éveil, Christelle observe avec fascination l'écoulement du liquide vital, tandis que Sarah retient son souffle, partagée entre la douleur et un plaisir inattendu. La tension dans la pièce est palpable, chargée d'une électricité sensuelle et perverse. Christelle, guidée par une pulsion qui la dépasse, continue son exploration chirurgicale, incisant habilement les tissus, révélant peu à peu les organes cachés. La scène devient à la fois troublante et hypnotique, emprunte de cette étrange beauté qui réside dans la transgression des limites. Les testicules de Sarah, désormais exposés, suscitent une fascination, une curiosité dévorante. Christelle, mue par une étrange alchimie entre le désir et la déviance, procède à leur extraction minutieuse, dévoilant une vérité cachée au plus profond de l'intimité de Sarah. Cependant, Christelle, portée par une pulsion indomptable, décide de ne pas refermer les bourses de Sarah. Elle contemple avec un mélange de fascination et de satisfaction l'image troublante de l'intimité exposée de Sarah, ses testicules exposés et vulnérables. Elle se délecte de cette vision perverse, où la frontière entre plaisir et cruauté s'estompe. La scène prend une dimension presque artistique, une œuvre érotique et dérangeante qui défie les conventions et repousse les limites Christelle, animée par une pulsion, procède à l'extraction des testicules de Sarah avec  précision . Elle les retire avec une adresse chirurgicale, libérant Sarah de cette partie de son anatomie. Une étrange excitation parcourt la pièce alors que la peau des bourses est recousue, refermant la plaie béante. La scène prend une fusion une fusion entre douleur et plaisir, où les limites se confondent. Chapitre 10: une transformation physique Après avoir retiré les testicules de Sarah, Christelle observe avec une satisfaction la transformation physique de Sarah en une femme, libérée des attributs masculins qui la définissaient autrefois. La douleur et l'excitation qui ont accompagné cette métamorphose ont profondément marqué Sarah, renforçant sa soumission revenue envers Christelle. Dans l'obscurité de la chambre, les rôles sont inversés, et Sarah retrouve son statut de soumise, prête à obéir aux moindres désirs et caprices de sa dominatrice. Christelle, puissante et impérieuse, guide Sarah à travers un labyrinthe de plaisirs et de punitions. Chaque caresse, chaque fessée, chaque mot cinglant renforce les liens qui les unissent de nouveau. Sarah, docile et consentante, retrouve une libération dans son rôle de soumise, où elle peut se laisser aller à ses désirs les plus sombres et les plus profonds. Leur relation devient un ballet où les limites de la morale s'effacent devant l'exploration des plaisirs interdits. Dans cette dynamique de pouvoir, Sarah trouve une féminité nouvelle, une manière de s'affirmer à travers sa soumission totale à Christelle. Sarah, par cette intervention médicale, retrouve son identité de femme à la fois dans son esprit et maintenant dans son corps. Christelle, reprenant son rôle de dominatrice, explore avec Sarah de nouvelles dimensions de plaisir et de soumission consentie. Ensemble, elles explorent les limites de leurs désirs, s'abandonnant à un jeu érotique intense et passionné. Leur engagement dans l'univers BDSM reflète leur désir commun d'explorer les dynamiques de domination et de soumission. Sarah, en choisissant de s'abandonner de nouveau à Christelle, découvre un épanouissement sexuel et émotionnel dans sa soumission consentie. Elle trouve une libération dans le fait de confier son pouvoir à Christelle, qui, en tant que dominatrice. Sarah, libérée de ses testicules et de seins naissants, entreprend un voyage de découverte et de redéfinition de son identité, lui permettant d'explorer de nouvelles facettes de sa féminité et de sa sexualité. Sans les contraintes physiques de ses couilles pendantes, Sarah se sent plus en phase avec son moi intérieur. Elle embrasse pleinement son identité de femme et trouve une nouvelle confiance en elle-même. Elle découvre une libération émotionnelle et sexuelle, se sentant plus alignée avec ses désirs et ses fantasmes. Sarah trouve un espace où elle peut exprimer sa soumission et son désir de se laisser guider par Christelle, sa dominatrice lui permettant de se concentrer pleinement sur l'exploration des dynamiques de pouvoir et de plaisir. Dans cet univers BDSM, Sarah trouve un espace où elle peut exprimer sa soumission et son désir de se laisser guider par Christelle, sa dominatrice. permettant de se concentrer pleinement sur l'exploration des dynamiques de pouvoir et de plaisir dans un corp qui lui ressemble enfin...  
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Par : le 16/11/23
J’ai reçu beaucoup de messages, en direct ou en privé, m’informant que mon écriture plaisait alors, je me suis dit : continuons et voyons où ça nous mène. Sachez d’abord que cette histoire se déroule avant les deux premiers épisodes « Elle s’appelait Géraldine » et « Elle s’appelait Géraldine, l’autre Caroline » que vous retrouverez, normalement facilement, sur ce site. Bref, ça se passe avant l’épisode 1 et 2, c’est mon côté « Star Wars ». Je pense que nous sommes en 1999, je suis alors militant dans une association et deux jeunes femmes, elles aussi étudiantes et militantes, nous proposent, après une réunion de ladite association, d’aller boire un verre ensemble. Frédéric et moi, amis à l’époque, acceptons avec plaisir. J’ai 26 ans, je suis célibataire, une petite alarme se déclenche dans ma tête : « serions-nous en présence de deux femmes attirées par deux hommes ? ». A ce moment-là, rien ne permet de l’affirmer alors, prudence, allons dans un café, Lille est assez bien lotie à ce niveau. Après avoir, facilement, choisi le bar, nous entamons la conversation par notre point commun : notre militantisme. Nous sommes dans une association très militante donc, comme d’habitude, le débat s’enflamme (dans le respect, bien sûr) et quelques divergences d’opinion entre nous apparaissent mais rien ne permettant d’entraver la bonne humeur et la bière belge. La serveuse, que je connais, commence à discuter avec moi. Je l’aime bien, toujours souriante, charmante et bienveillante. Son regard et, j’imagine, son intérêt, glisse doucement vers Frédéric qui, lui, n’était jamais venu ici et ne la connaissait donc pas. Je me souviens du regard de Fabienne lors de cette tentative d’intrusion : le regard noir de celle à qui l’on veut piquer sa proie (alarme niveau 2). La serveuse comprend le message d’un œil un peu aigri et repart derrière son zinc ramasser ses verres en même temps que sa déception. Cette scène, à la fois pénible et heureuse, me laisse à penser que Fabienne a choisi son homme (pour la soirée ou plus) et que Sylvana m’a été « attribuée » lors d’une discussion secrète pendant un passage aux toilettes (voici donc pourquoi, Mesdames, vous y aller toujours à deux !). Il ne me manque plus qu’un détail pour confirmer mon intuition : une proposition d’un « dernier verre » au domicile de l’un ou de l’une d’entre nous. Ça n’a pas tardé. Au bout d’un moment, les filles nous demandent si nous habitons loin et s’il serait possible de prolonger la soirée chez l’un ou l’autre (alarme niveau 3) : contextuellement, Frédéric et moi avons chacun un appartement relativement près du bar, un simple passage dans le métro lillois nous permettra d’y être en 10 minutes. Le mien étant plus grand et mieux adapté à la situation, on se dirige donc vers Fives (NDLA : un quartier de Lille). Pour la petite histoire, c’est ce même appartement qui accueillera Géraldine quelques mois plus tard pour une soirée -dont le lecteur aguerri se souvient sûrement- mémorable (cf. Episode 1). Si votre mémoire est bonne, je possède un lit d’appoint, apte à accueillir les amours débutants en dehors de MON lit. Pour décrire un peu le lieu, j’ai 50m² (à l’époque, c’était encore à peu près jouable de se loger à Lille) : Une grande salle à manger, une grande chambre, une cuisine et une salle de bain/WC, le tout en longueur, comme beaucoup d’habitations lilloises. La grande chambre peut largement accueillir le groupe. Ici siège un lit 2 personnes, un canapé convertible 2 personnes, 2 fauteuils assortis au canapé, une table basse et une télévision, peu utilisée. Je sors quelques boissons de mon frigo, les amène à mes hôtes et essaie de changer de conversation, le militantisme étant peu compatible avec la séduction. J’ai quelques affiches de films dans ma chambre et la discussion part donc dans le monde de Quentin TARENTINO et autres génies. J’ai sorti de la bière et quelques alcools forts (vodka, whisky). Les filles m’indiquent que je veux les enivrer pour mieux profiter d’elles, je leur réponds qu’à priori, notre discussion dans le café et dans le métro aurait dû suffire à les saouler et que je ne leur apporte là qu’un moyen pacifique de clore le débat. Mon humour fait mouche : Sylvana me regarde avec, dans les yeux, une tendresse qui me laisse entrevoir un espoir ou, au pire, une espérance (alarme niveau 4). A ce niveau de l’histoire, je sens poindre en vous, cher lecteur, une certaine impatience faite de martinet, de fesses qui claquent et de cris de douleurs. Patience, mon ami, patience. C’est Frédéric qui a fait glisser la soirée dans un autre monde. Lui aussi pratiquait le BDSM, on avait même pratiqué ensemble plusieurs fois. Cela entretenait la pratique car trouver une femme BDSM, surtout à cette époque, était une aventure compliquée. Donc, comme je le disais, c’est Frédéric qui a tout déclenché. « Tu sais où est mon briquet ? », me demanda-t-il comme si j’étais son intendant. Je lui répondis que non, je ne le savais pas, n’étant pas fumeur (et ne l’étant toujours pas). C’était un beau briquet, un Zippo, que son frère lui avait offert récemment pour son anniversaire. N’étant pas d’un naturel inquiet, Frédéric fouilla simplement sa veste et abandonna sa recherche, sachant pertinemment que, si je le retrouvais, je n’irais pas aussitôt le mettre en vente sur « le bon coin », ce site n’existant pas encore. Mais, curieusement, la présence de cette veste le perturbait, il se dirigea donc vers mon armoire pour s’en débarrasser. Et c’est là que ce qui aurait pu devenir un drame arriva : l’armoire en question contenait mes fringues (normal), une couverture et une couette pour le lit d’appoint (normal) et un martinet, 4 paires de menottes, des cordes, des bougies et quelques sex-toys (normal ?). Impossible de détourner le regard de mes hôtes, déjà intriguées par cette entrée en matière pour le moins indélicate. Oui, j’aime le BDSM, et vous le savez si vous me lisez, mais j’ai aussi une vie hétérosexuelle des plus banales qui me pousse, parfois, à côtoyer le sexe opposé pour des raisons plus… biologiques. Et cette soirée devait en être une, ce ne fût pas le cas. Enfin, pas entièrement. Etant à MON domicile, dans MA chambre, devant MON armoire, je ne pus nier que ce matériel était le mien. Je tentai maladroitement de chercher une raison mais mon bafouillage et, surtout, ma gêne (on est 1999) essayaient de fuir, au moins mentalement, la scène hallucinante qui se jouait chez moi, et ça ne pouvait pas m’aider à être clair dans mes propos. Les deux femmes étaient amies, à priori de longue date, peut-être même amies d’enfance. Leurs regards complices depuis le début de la soirée ne laissaient planer aucun doute à ce sujet. Après m’être emberlificoté dans des explications dont le niveau de crédibilité approchait la température de mon frigo, j’essayai de me raccrocher à quelque chose, à un regard (celui de Frédéric était perdu dans l’armoire, cherchant sans doute à analyser son geste : il savait que le « matériel » était dans ce meuble), celui de Fabienne était dans celui de Sylvana et vice-versa. Seul mon verre de whisky m’apportait un peu de soutien et de contenance, je le bus d’une traite pour essayer de contenir une irrésistible envie de faire mes bagages, de quitter l’Europe, de m’installer au Canada, au milieu des grizzlys et de chanter du Céline Dion un pancake à la main. Le regard de Sylvana croisa le mien au moment où je rouvris les yeux (car c’était un très bon whisky). Curieusement, à l’heure où je m’attendis à entendre un « bon, on va rentrer, merci pour le verre » et autres charabias visant à cacher la gêne occasionnée, elle lança une phrase non dénuée d’intérêt pour la suite : « Tu pratiques depuis longtemps ? » « Où est ma bouteille de whisky ? », pensais-je aussitôt. Je me rassis dans le fauteuil, près de l’armoire coupable, pris un temps pour remettre mes organes en place, Frédéric me servit un whisky. On était ami, à l’époque et il savait que j’en avais besoin. Une nouvelle discussion démarra donc. Frédéric dit adieu à son armoire chérie et s’assit à côté de Fabienne sur le canapé. Il avait, lui aussi, compris que la soirée avait changer de thème. Quelques explications plus tard, je retrouvai chez ma compagne nocturne le même regard qu’avant l’incident : de la tendresse en barre et j’étais prêt à y goûter. Une demande émana de Fabienne : « on peut voir ton matériel ? ». Ok, je sens poindre un intérêt mais attendons, passons d’abord le niveau de l’alarme à 5 et voyons ce qui se passe. J’avais quelques sex-toys, achetés récemment (des soldes monstres dans mon sex-shop habituel) non pas pour mon plaisir personnel mais pour une éventuelle soumise future. D’ailleurs, ils étaient encore sous blister. Les jeunes femmes les regardèrent sans pour autant y voir un grand intérêt. Par contre, les menottes avaient l’air de les intéresser. Je sortis les clés d’un tiroir pour leur signifier que le jeu était permis et les voilà parties dans un essayage fait de rire et de complicité. Oui, elles se connaissent depuis longtemps, c’est certain. La récréation passée, la discussion pris une tournure plus directe : quel rôle aimerions-nous jouer ? Pour être le plus simple possible, Fred et moi étions switch mais lui était encore en recherche. Il ne le savait pas encore. Cette nuit lui apportera peut-être quelques réponses. De leur côté, nos gentes damoiselles laissaient planer le suspense. Sylvana me prit par la main, comme pour m’emmener quelque part mais, en fait, elle se rapprocha de moi, s’assit sur mes genoux et m’embrassa « comme au cinéma », un baiser long, délicat et fougueux. Va-t-on finalement finir la nuit en mode vanille ? Point du tout. Un autre objet avait attiré l’attention de ma compagne : un jeu de cartes, 52 cartes et 2 jokers. « Et si on jouait à un jeu ? ». La saga Saw n’ayant pas encore commencé, je ne pris pas mes jambes à mon cou mais caressa délicatement celui de ma partenaire d’un soir. Donc, pour les deux du fond qui n’ont pas suivi, cette phrase signifiait que les deux femmes en question étaient switch. Dans le jargon, on appelle ça un Bingo car on peut multiplier les scénarios et les possibilités. Sylvana mélangea les cartes et les posa sur la table, faces cachées. « Voici les règles, annonça-t-elle d’un ton autoritaire : Nous allons tous tirer une carte en même temps et la retourner à mon « top ». Chaque carte aura ses conséquences : Le pique représente le martinet Le trèfle représente la main (fessée) Le cœur représente la bougie Le carreau représente un « tripotage intime » Quant aux valeurs, elle représente le nombre que vous subirez si vous perdez (2,3,4... le valet 11, la dame 12, le roi 13 et le terrible as représentant le 14). Pour le carreau, ce chiffre correspondra aux secondes. J’étais stupéfait. Fabienne me rassura : « c’est un jeu auquel on joue souvent. Nous l’avons inventé il y a des années ». Je comprenais mieux son assurance. « La dernière règle à connaitre est la suivante : si vous piochez le joker, vous devrez subir tout ce que vous avez pioché avant » La tension était palpable. Frédéric et moi nous étions donnés rendez-vous le matin même pour aller en cours, qui n’avait lieu que le matin, l’après-midi étant consacré à la recherche de stage (et nous avions déjà nos entreprises). Nous avions donc passé l’après-midi en ville (oui, les mecs font aussi du shopping). Par la suite, chacun était rentré chez lui et nous nous étions retrouvé le soir même pour la fameuse réunion. Aucun d’entre nous ne se serait doutés, en se levant le matin, finir dans un suspense sauce BDSM. Après avoir signalé que 104 gouttes de cire, ça pouvait faire beaucoup (maximum si l’on tire tous les cœurs), la maîtresse du jeu m’indiqua que cela n’était jamais arrivé et que le joker tombait relativement tôt. Elle avait raison. Nous fîmes un essai « blanc » et, en effet, la 7ème carte fût un joker. Une question me vint vite : « et si on pioche le joker en première carte ? » « Ça te coûte une vie », lança-t-elle à la volée. Elle venait, en fait, d’inventer cette règle pour pimenter la soirée. Explications : nous démarrons tous avec 5 vies : Un joker trouvé = mini-séance de torture comme indiqué plus haut + une vie en moins. Celui, ou celle, qui n’a plus de vie est exclu du jeu et deviendra l’esclave de son partenaire de ce soir. J’étais donc en concurrence avec Sylvana. Joli challenge. J’avais donc, c’est le cas de le dire, les cartes en main pour passer une bonne soirée. Je souhaitais, secrètement, jouer les deux rôles dans la soirée, je ne fus pas déçu. Fabienne tira le premier joker : comme elle n’était pas novice dans ce jeu, elle se leva, retira ses vêtements, tous ses vêtements pendant que Sylvana retirait les cartes de la table basse. Et y installa la condamnée. Une table, 4 pieds et une quadrupède : Le calcul était vite fait. Nous participons tous à la séance d’attache : les jambes sont encordées et les mains menottées : rapide, pratique, efficace et jubilatoire au plus haut point. Nous faisons les calculs, les 4 symboles sont présents mais le nombre est faible. Restons positifs, on a de quoi s’amuser. Dernier détail, Sylvana retire son écharpe légère pour bander les yeux de Fabienne. « Bon sang, mais bien sûr, me dis-je à l’intérieur de mon cerveau cerné par l’excitation et les effets des whisky précédents, nous sommes trois bourreaux potentiels et, par cette subtilité aveugle, Fabienne ne pourra pas savoir qui lui inflige les douleurs récoltées. Je dois de toute urgence ranger ce jeu dans mes favoris (alors que je n’avais pas encore d’ordi à l’époque). » Je vis dans le sourire de Sylvana une certaine fierté d’avoir ajouté cet élément, celui de Fabienne, par contre, semblait lui dire « espèce de petite coquine ». Nous étions entre gens de bonne compagnie. Les cartes qu’a tirées Fabienne sont sur le sol, dos tourné et nous allons chacun piocher une carte et lui faire subir la sanction liée. Je commence : 7 de trèfles, je dois fesser la prisonnière. Sylvana annonce « 7 de trèfle ». Je fis mon office avec, dans l’idée, de ne pas frapper trop intensément pour ne pas, à mon tour, souffrir trop si par « malheur » je perdais aussi mais avec la certitude de l’anonymat qui, quoi qu’il arrive, me garantissait l’absolution. Les petits sursauts de Fabienne, à chacun de mes coups, m’envoyer un message clair : vivement que je perde. Les deux autres, spectateurs de la scène, prenaient leur pied, eux aussi. Vint le tour de Frédéric qui tombait sur une bougie de « 12 » : une dame de cœur. La victime se débâtit, en vain, et je vis mon ami très attentionné lorsqu’il fallut, comme le veut la tradition, lui enlever les gouttes qui avaient séché. Un peu de tendresse, en somme. Sylvana, avec sa carte « martinet », ne fit pas dans la dentelle. Les coups étaient nets et clairs. Elle nous indiquait clairement son choix : je vais vous faire mal si vous vous retrouvez à sa place. Message reçu. On continue ? C’est Frédéric qui eût la dernière carte de ce premier round : martinet 11. Il fit de son mieux pour ne pas trop abimer ce cul qui, se disait-il, lui serait destiné à un moment ou un autre de la soirée. Une fois terminé, nous détachâmes la femme dont les seins, bien que plaqués sur la table depuis 10 minutes, pointaient clairement en direction de nos yeux et qui semblaient réclamer vengeance. Fabienne demeura nue pour la deuxième partie. A chaque tirage, notre cœur battait la chamade. Impossible de résister à la tentation d'espérer soit de toucher un joker, soit de voir un autre le faire selon les circonstances et, il faut bien l’avouer, l’excitation. Cette partie fut un peu plus longue et le joker se fit attendre. A la 9e carte, ce dernier tomba, mal, très mal pour moi : j'étais le second condamné de la soirée. Alea Carta Est : les cartes en sont jetées. Je pris la même position que Fabienne quelques minutes auparavant, après m’être déshabillé. La sensation de se faire manipuler par 3 personnes qui vous attachent à une table est absolument grandiose. Je suis le centre d'intérêt du moment. Ça promet. Mes 8 cartes sont étalées sur le sol. Je les vois encore, pas longtemps. Une écharpe vient me bander les yeux. Dès lors, mes oreilles sont attentives. Une carte est tirée : directement un as de pique, 14 coups de Martinet et je ne sais pas qui va officier. Le premier coup me laisse entrevoir une partie de la réponse. Il est relativement violent. Aucun doute, c'est une des 2 filles, soit Sylvana qui a clairement planter le décor dans le round précédent, soit Fabienne qui se venge du même round. Au bout des 14 coups, j'ai déjà bien mal et je sais qu'il me reste encore 7 cartes. Parmi ces 7 cartes 2 seront des carreaux. Les mains correspondantes me semblent clairement féminines mais je peux me tromper tant il est vrai que les hommes peuvent être aussi délicats que les femmes dans ces circonstances. A la fin, lorsque je lorsque l’on me détache, je ne pense qu’à une chose : me venger. Je comprends le regard précédent de Fabienne, nous sommes désormais compagnons de souffrance. Je n’en aurais pas l'occasion : au bout de la 6e carte, je perds le 3e round. Il me reste 3 vies. Comme Fabienne, je suis demeuré nu pendant le jeu, pour ne pas perdre de temps. Au début du 4e round, je sens qu'une main me caresse délicatement le dos. C'est Sylvana qui marque son territoire, m’imaginant sans doute bientôt sans vie. Elle me fait aussi comprendre que la suite de la nuit sera, elle aussi, agréable. Quelle belle soirée ! Sylvana perdra cette quatrième manche. Elle devra payer un lourd tribut : de plus de 50 gouttes de cire de bougie : atroce mais tellement jubilatoire que je ne puis m'empêcher d’être déjà excité au plus haut point. La question se pose : Va-t-on finir ce jeu ? Pas sûr, Fabienne se décide enfin à embrasser son prétendant, en pleine séance de torture de Sylvana, pendant que je lui caressais l’entre-jambe (un dix de carreau, de mémoire). Frédéric, seul à être encore habillé, ne s’en laisse pas conter et entreprend désormais de rattraper son retard, tant sur le plan vestimentaire que sexuel. Sylvana tend l’oreille. Elle comprend que quelque chose se passe. Je lui retire son écharpe. Ses yeux assistent, impuissants, à cette scène surréaliste. Nous n’existons plus. Nos deux partenaires de soirée sont partis dans un autre monde et je sais que la mienne espère la même chose. Oui, mais elle est attachée. Je lui caresse, à mon tour, le dos, sorte de retour sur investissement précédent. Elle se débat, pensant que je vais abuser de la situation. Je lui tripote, tendrement, le sexe, pour lui envoyer un message de paix. Elle accepte de signer ce traité, fermant les yeux pour partir dans ces cieux où vous partez, parfois, mesdames, sans nous emmener, simple instrument du plaisir que nous sommes mais tellement heureux d’y participer. J’embrasse goulument ma prisonnière, désormais volontaire. Je sens ses mains sur mes cuisses, car les menottes laissent une certaine liberté de mouvement. Elle tente d’atteindre mon sexe mais je le lui refuse pour le moment. Je vais d’abord lui procurer du plaisir. Je change de côté et attaque « le sanctuaire des sanctuaires », hommage au grand Tarantino, pile sous l’affiche de Pulp Fiction, conjecture parfaite. Fabienne, retirant un morceau de mon ami de sa bouche, décide de s’enquérir de l’état de sa compagne. Elle se rend compte, comme dans certains contes qui se racontent, que le compte à rebours vers l’extase est déjà entamé pour ma partenaire et décide de retourner à son occupation première afin de garantir la rigidité de l’organe qui, si tout se passe bien, lui permettra dans un certain temps, d’atteindre, elle aussi, l’extase. « A la fin de l’envoi, je touche », le génial Edmond n’aurait pas démenti, tant la scène était belle. Sylvana était l’extase personnifiée. Elle reprend désormais sa respiration. Je sais que je ne suis pas forcément un spécialiste de la jouissance linguale mais les circonstances ont joué en ma faveur : je dois absolument faire durer le plaisir. Avant de détacher ma partenaire, je prends mon temps et une vodka. Je suis désormais debout devant ma prisonnière et elle se rend compte que, moi aussi, je suis prêt pour partager une extase avec elle, surtout avec la vision que nous avons sur Fabienne délicatement occupée à entretenir la flamme de mon ami sans pour autant lui surchauffer la mèche. Je lui détache les jambes et me dirige vers les menottes. A peine la première main est-elle désentravée que cette dernière se précipite aussitôt vers ma partie intime afin de rattraper son retard préliminaire. Surpris par cette sympathique initiative, je me retrouve en grande difficulté pour gérer l’autre menotte. Sylvana le comprend et me retire les clés de ma main tremblante de désir et se détache seule. Nous sommes désormais deux êtres libres et prêts à partir dans le train de l’extase. Ce sera un wagon couchette. Mon lit est confortable, vieux mais très confortable, j’y invite ma princesse d’un soir. Dans ces moments, nous, les hommes, bien que recherchant la jouissance, voulons absolument faire durer le plaisir, prendre notre temps. Ces moments sont rares, alors profitons-en. Nos voisins de pieux font une pause. Apparemment, Fabienne est très douée et Frédéric ne veut pas quitter le wagon trop tôt. C’est leur phase tendresse à eux. On se colle l’un à l’autre mais on ne touche pas aux jouets, trop instables pour le moment. Ça ne dure pas longtemps. Frédéric, lui, est un expert en langue. Il est temps pour lui de faire ronronner sa partenaire et cette dernière n’est pas déçue du voyage. Nous non plus, nos oreilles enchantées par ce doux chant rajoutent de la couleur à ce tableau déjà bien garni. Sous ma couverture, une forme monte et descend. Sylvana, elle aussi, s’y connait en langue. Je me concentre : « surtout ne pas venir, pas maintenant ». Une grande affiche de la série FRIENDS trône au- dessus de mon bureau. J’essaie de penser à cette série que j’adore afin de me déconnecter de la scène mais rien n’y fait. Une dernière pensée pour Chandler et sa bande et je décide d’arrêter là les préliminaires qui, jeu inclus, durent quand même depuis près d’une heure. Je retire ma partenaire de ma bite et décide d’entreprendre ce que nous cherchons tous dans cette pièce, la fin de l’acte 1. Préservatif ? Ok ! Excitation de ma partenaire ? Ok. Elle se met instinctivement à 4 pattes, mais sans la table cette fois. Riche idée. J’ai ainsi une vue sur l’autre scène. A priori connectée à sa comparse, Fabienne se met dans les mêmes dispositions, les deux amies se regardent et se préparent à jouir ensemble. Hors de question de rater le coche, d’un seul regard, Frédéric et moi-même décidons de synchroniser nos montres qui, pour le moment, affiche midi pétante. L’acte de pénétration est sacré, le sexe féminin est un sanctuaire, c’est Samuel L. Jackson qui le dit. J’y entre donc avec respect. Un soufflement extatique m’indique que le seuil est franchi. Je peux donc visiter les lieux, agréables au plus haut point. Tout, dans cette scène respire l’extase, les fesses de ma partenaire, sa position, les respirations de ces demoiselles, entre douleur et plaisir, le regard de Fabienne plongeant dans les yeux de son amie et, parfois aussi, dans les miens. Frédéric, tout en contrôle, me regarde parfois avec, au fond des yeux, une question : « Alors, on y va ? ». Pour être honnête, à ce moment, je ne sais pas si nos invitées comptent rester pour la nuit ou pas. Y aura-t-il un acte 2 ? En fait, peu importe. Sylvana a déjà commencé à faire des allers-retours avec ses hanches pour me signifier qu’il était temps. Oui, il était temps. Le départ est donné et notre concentration a laissé place à une envolée lyrique digne des plus grands opéras. Ce qui est certain, c’est que ce fût un grand moment. Inoubliable. La preuve : je vous le raconte plus 20 ans après. Des instants magiques, comme la vie vous en offre parfois, au détour d’une réunion militante. Je regarde l’heure : il est un peu plus de minuit. C’est bientôt le dernier métro. Sylvana, collée à moi dans un moment de répit, remonte la couverture sur elle. Frédéric prend celle de l’armoire pour protéger sa belle. Elles n’ont pas eu besoin de demander si elles pouvaient rester. Nous étions bien. Et maintenant, on dort ? Pas tout à fait, on boit un verre, on allume la télé car c’est l’heure de la diffusion de 3 épisodes de FRIENDS, sur Canal Jimmy, une chaîne du câble. Oui, nous sommes en plein dans le succès de cette série légendaire et j’ai la chance d’avoir un média qui la diffuse en VO. A la fin des épisodes, tout le monde est fatigué (oui, le shopping, c’est épuisant) Chaque couple rejoint sa bulle, parfois perturbée par des initiatives nocturnes salutaires car réveillant à la fois la libido du partenaire et celle de l’autre duo. Magique, je vous dis. Magique.   Vous comprendrez aisément qu’il n’était pas question de se dire « adieu » après cette soirée. Nous échangeâmes nos numéros et j’allais grandement le regretter mais ça, c’est une autre histoire. Si vous voulez la connaitre, j’attends vos commentaires.
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Par : le 15/11/23
Petit rappel même s'il est complètement évident que tout le monde, maintenant, connaît cette série :D Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. NDM: je ne considère pas le collier et la laisse comme 2 objets. C'est discutable mais, pour moi, ils sont indissociables de mon esclave. J'aurais aimé ajouter un gag à mon esclave. Je ne l'ai pas fait, par contre. Partie 1 (sofa) - Partie 2 (grande et belle table en bois) Comme à chaque séance, tu réponds quand je t'appelle pour entrer dans notre pièce. A genoux, en lingerie noire. Maquillage soigné, rouge vif qui décore non seulement tes lèvres mais barre ton front d'une SALOPE. Tu es prête à être utilisée comme je voudrais. Tu as conscience que tu es ici pour ton éducation et mon plaisir. Je ne rentrerai pas dans les détails mais tu sais très bien que tu m'as déçu ces derniers jours. J'imagine que tu sais que tout va se régler aujourd'hui. Je prends la laisse et je traîne jusqu'à la table que je fais descendre. - Regarde moi. Tu sais que tu vas être punie pour ton comportement récent ? - Oui Maître, je le sais, je le sens et je le veux. Je le mérite. Je suis ta salope et je veux que tu m'utilises. Mais je comprends que je dois mériter ce droit et je suis heureuse de payer pour te servir ensuite. Si tu le souhaites, bien évidemment Maître. - Monte sur la table ! Prends ton string et mets-le dans ta bouche. Je n'ai pas envie de t'entendre dire Merci ou plus fort quand je te fesserai. Je n'ai pas du tout envie de t'entendre, d'ailleurs. Tu te mets en position. Tu as remarqué les liens sur la table. 4 liens dont la largeur est ajustable. 2 pour les mains, 2 pour les pieds. Tu vas naturellement positionner tes mains dans les menottes que je serre fort. Pas encore de baillon dans cette pièce et c'est bien dommage mais ton string fait l'affaire pour l'instant. Ni de paddle ou de fouet. Mes mains devront suffire. Et elles suffisent jusqu'à ce que ton cul soit rose foncé. La marque des mes mains disparaît au fur et à mesure que tout ton cul se colore. Je te traite de tous les noms. Je cite également tout ce que je veux ajouter à cette pièce. Un objet à chaque fois, c'est finalement trop peu. Je voudrais que ton dos, tes cuisses soient zébrés maintenant. Pas juste ton joli cul. Mes mains chauffent, je me rapproche de ton cul pour le mordre et il dégage une belle chaleur également. Sans même y réfléchir, je retire ma ceinture. Ce n'est pas tricher, de toute façon. Je l'avais sur moi et je fais les règles. Quelques minutes intenses et ton corps est zébré, des épaules au bas des cuisses. Quelques minutes de plus encore. Je n'arrive pas à m'arrêter. Je pense, non, je suis certain que je n'ai jamais été aussi prêt de perdre le contrôle et je sais que tu sentiras la douleur pendant toute la séance. Sans doute même bien les soins post-séance. Je détache tes mains. Tourne-toi salope ! Dos contre la table. Remets tes mains en place. Je les menotte et j'écarte tes jambes pour fixer tes chevilles également. Tu es écartelée au maximum supportable. Ton corps est sur la table, ta tête dans le vide. Je me déshabille et m'approche de toi. Dès que je retire ton string de ta bouche, tu commences à lécher comme l'immense salope que tu es. J'en profite pour m'occuper de tes seins et de ton sexe. Pas question de les laisser jaloux de ton dos et de ton cul. Eux aussi ont le droit d'être maltraités, claqués. Je m'écarte de toi et je t'ordonne d'essayer de cracher sur ma queue. Pas facile mais je viendrai m'essuyer contre ton visage jusqu'à ce qu'il soit luisant, recouvert de salive. Encore. tant pis si ça commence à te couler dans les yeux et le long des cheveux. Je te crache dessus pour accélérer les choses. - Voilà maintenant ouvre grand la bouche. Je sais que tu ne maîtrises rien. Je sais que la position est inconfortable et que tes abdominaux ne peuvent plus te permettre de te redresser. Tu vas juste subir. Je presse mes mains autour de ton cou. Je serre jusqu'à ce que ton visage soit aussi coloré que ton cul. Tu sembles avoir du mal à récupérer et tu es obligée de déglutir et ton visage devient encore plus luisant. Ton mascara coule et ça m'excite. Je recommence. Encore et encore. Tu sens enfin que mes doigts ouvrent ta bouche et que ma main commence à la baiser. Quel plaisir de la retirer et de la sécher sur ton corps ou ton visage. J'aime que tu sois recouverte. Mais là il est temps de mettre ma queue et de te baiser encore et encore. Parfois rapidement, parfois avec une lenteur calculée jusqu'à ce que tu puisses lécher mes couilles. Parfois en agrippant tes cheveux pour forcer ta tête à aller et venir. Ton visage est blanc. Blanc de salive. Avec des très jolies nuances de mascara. Je te détache. - À genoux salope. Tu sais que tu n'auras pas l'honneur de me faire exploser. Mais tu as trop envie de recevoir mon sperme sur ton visage méconnaissable pour ne pas obéir prestement. Tu ouvres la bouche, tu tires la langue. Je viens me branler à quelques centimètres de toi. Parfois contre ta langue. Je jurerais t'entendre gémir comme la chienne que tu es. Je regrette de ne pas avoir encore équipé la pièce d'un simple verre car c'est en te regardant boire mon sperme que je voudrais finir. Tant pis, je m'arrête. Une petite distorsion des règles et je reviens 30 secondes plus tard avec une flûte à champagne. Je me tourne, je fourre ta langue dans mon cul et, en même temps que tu essayes de l'enfoncer le plus profondément possible, j'explose et je remplis le verre. Je vais me mettre dans le sofa et tu accours. Enfin accours à 4 pattes. - Maître je t'en supplie. Je veux vous boire. Je lui tends la flûte. Tu as interdiction de boire. Je reste interdit quand elle vide le verre mais je comprends quand elle la remplit en recrachant tout à nouveau. Elle bascule la tête en arrière et vide, précautionneusement le contenu sur son visage. Le dressage avance bien !
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Par : le 03/11/23
Léa était une jeune cadre dynamique d’une entreprise de conseil de La Défense. Elle était sortie de la fac de droit il y a deux ans maintenant et travaillait désormais dans le service juridique d’une firme possédant une des plus hautes tours du quartier. Son bureau était au 45e étage, bien loin des préoccupations de ceux qui marchaient au sol. Elle ne les côtoyait d’ailleurs pas. Chaque matin, elle garait sa voiture au parking situé au sous sol et montait directement par l’ascenseur jusqu’à l’open space qui lui servait de bureau. Elle avait beau avoir ce qu’on appelait “une place en or”, elle regrettait l’époque où elle pouvait sortir avec ses amies après la fac. À cette époque elle couchait avec de nombreux garçons, bien qu’aucun ne lui avait vraiment apporté de réelle satisfaction. Elle avait même essayé quelques filles, même certaines de ses amies proches, mais le constat restait le même. Mais enfin à l’époque au moins elle expérimentait.    Ce soir, comme chaque soir, elle sortit à 20h, prit sa voiture et rentra dans son appartement de Nanterre, spacieux certes mais “loin de tout”, comme lui avait dit son amie Nathalie avant de l’acheter. Comme à son habitude, elle sortit des lasagnes Picard de leur carton et les plaça dans le micro-onde. Elle s’alluma alors Netflix et se lança un episode d’une série qu’on lui avait recommandé. Elle mangea son plat devant le premier episode qui ne la séduisit que moyennement. Le second épisode n’était pas plus entrainant mais une scène légèrement érotique apparaissait à la 20e minute. Elle profita de ce rare moment pour passer sa main dans son pantalon et en ouvrir le bouton. Avant que la série ne passe à une autre scène, elle fit pause sur une magnifique image de cheveux tirés. Ses doigts s’activaient de plus en plus vite, de plus en plus sensuellement. Elle descendit son pantalon jusqu’a chevilles et alla chercher le vibro dans la commode de sa chambre, elle s’alluma et continua ce doux moment dans son lit. Après 20 minutes d’intense plaisir elle jouit une première fois, explosive. Elle chercha le deuxième mais la fatigue de la journée la contraint à arrêter et à aller se coucher.    Se toucher était devenu une habitude quotidienne pour Léa. Cependant l’aspect répétitif l’avait poussé à innover et depuis quelques semaines elle se filmait régulièrement en le faisant. Elle imaginait qu’on la regardait et cela l’excitait. Elle ne regardait que très rarement les vidéos mais elles étaient toutes archivées dans un fichier de son iPhone protégé par un mot de passe. Elle se disait souvent qu’elle aimerait que quelqu’un d’autre ne la filme mais elle avait trop peur pour son image et ses rares plans tinder ne lui avait pas donné le courage de demander.    Le lendemain, sur le chemin de son bureau, elle s’arrêta chez Starbucks. Ce n’était pas dans son habitude mais le café de la machine était vraiment imbuvable et tenir la matinée sans café lui semblait insurmontable. Habillée d’un grand manteau beige et d’un pantalon taille haute elle s’approcha du comptoir et commanda son café -Un Venti sans sucre et sans crème s’il vous plait, dit elle, sans savoir si elle devait tutoyer ou vouvoyer ce vendeur qui lui semblait bien avoir son age.  Quelques instants d’attente plus tard, un “Léa” se fit entendre, son café était prêt. Elle alla le chercher, le saisit et, en se retournant, bouscula un jeune homme en manteau noir, lui renversant du café dessus.  -Oh je suis désolé monsieur, dit elle désolée, sortant un mouchoir de son sac -Ah bah bravo jeune fille, répondit-il sèchement alors qu’une fois encore   Léa comprenait l’agacement de l’homme mais lorsqu’elle releva les yeux, elle vit l’homme, qui devait également avoir le même âge qu’elle à quelque chose prêt, sourire en coin. Elle compris alors que l’homme avait utilisé un ton humoristique.  Toujours avec un large sourire, il dit:  -Soit tu me paies la teinturerie, ou un verre ce soir.  Puis il accompagna cela d’un clin d’oeil.    Léa tenta de s’échapper malgré le charme évident du garçon aux cheveux mi-longs:  -C’est que euh, je termine tard le soir, bredouilla-t-elle.   -Quand on veut on peut, répondit-il, rendez vous au bar du plaza athénée à 18h, je compte sur toi, et mon manteau aussi…   Sur ces mots, il lui embrassa la main et tourna les talons avec un grand sourire.    Toute la journée, cette interaction la perturbait, devait-elle y aller? Certes elle lui devait quelque chose et le boulot était plus une excuse qu’autre chose mais tout de même, elle ne le connaissait pas. A 17h, elle décida que le fait que ce soit en bar ne la faisait pas courir beaucoup de risque et qu’elle irait simplement pour lui payer le teinturier puis repartirait. Elle quitta donc son bureau en douce prétextant une fatigue et monta dans sa voiture. Waze lui prévoyait une heure pour aller dans le centre de Paris, évidemment, à 17h30… Elle abandonna l’idée de la voiture et pris le métro. A 18h10, elle arriva enfin devant l’hotel et se dirige vers le bar. Du haut de ses talons, on l’entendait arriver. Elle ne se sentait pas dépayser dans un hotel de ce style mais le fait d’aller à un rendez vous dans un endroit comme celui ci lui faisait un sentiment étrange. Elle vit l’homme, le salua et lui proposa de payer le teinturier. -Voila 15 minutes que je t’attends, non seulement tu me dois un verre mais maintenant tu m’en dois au moins deux en lui prenant son manteau et en la poussant doucement vers le fauteuil.    Le charme et la galanterie du jeune homme eurent raison de son plan initial. Elle s’assit et tenta d’apprécier la musique jazz provenant du piano.    -Gaspard Du Daguet, enchanté, dit-il -Euh Léa Malroit, répondit comme en hésitant Léa.    Gaspard lance alors la conversation sur la beauté des moulures et deux cocktails plus tard, la conversation était maintenant equitable. Souvenirs d’enfance, études, rêves, la conversation variait sans cesse mais elle n’en était pas moins passionnante. Léa s’aperçut vers 23h qu’elle se confiait un peu trop à un inconnu et savait de dates précédents que c’était rarement bon signe. Elle proposa alors dans l’objectif de changer de sujet et d’arrêter ce déroulé de sa vie: -Tu veux venir chez moi prendre un verre Gaspard ?   Gaspard hésita et répondit:  -Non cela ne va pas être possible, j’en suis désolé, j’ai à faire ce soir.    Il se leva alors et la raccompagna vers la sortie, lui refit un baise main, lui dit un “à très bientôt” et parti   Alors qu’il s’éloignait, Léa réalisa qu’il n’avait aucun moyen de la contacter, encore un qu’elle avait fait fuir… Elle rentra alors en RER chez elle, se toucha comme à son habitude et s’endormit frustré d’un énième échec sentimental.    La nuit passa avec son lot de rêve et le réveil sonna à 7h comme à son habitude. La tête endolorie, elle se leva, se maquilla, et elle s’approcha de son dressing. Elle ouvrit le tiroir des sous-vêtements mais impossible de trouver une culotte, elles devaient toutes être au sales. Elle se dirigea alors vers le panier, rien. Dans la machine, rien. Elle ne comprenait décidément pas. Elle se dit qu’elle allait s’en passer pour aujourd’hui et se dirigea vers la pile de pantalon qui avait également disparu. Elle ne se souvenait pas avoir fait de rangement et se dit que sa femme de ménage avait du les ranger autre part. Elle n’avait pas le temps de trouver où cette incapable les avait mit. Elle saisit un tailleur jupe et enfila le bas, puis le haut, un petit manteau noir, un coup de rouge à lèvre et sortit. Une fois dehors, elle se rappela que sa voiture était toujours à La Défense… Elle s’apprêtait à appeler un taxi quand un passa juste devant. Elle monta dedans: -Tour Ivoire, La Défense s’il vous plait. Le chauffeur verrouilla les portes et démarra. Fatiguée, Léa terminait les dernières retouches de maquillage sur ses yeux. Au bout de 10 minutes de route, le taxi s’arrêta, ils n’étaient pas devant son travail. Elle s’apprêtait à engeuler le chauffeur pour son incompétence quand sa porte s’ouvrit, dernière se trouvait Gaspard dans un costume noire obsidienne qui lui tendait la main.    -Qu’est ce que tu fais là, c’est toi qui a demandé au taxi de m’amener ici, dit elle visiblement énervée, qu’est ce que tu crois, j’ai un boulot, je peux pas le rater, je vais me faire virer -J’ai appelé, répondit Gaspard d’un calme absolu, tu seras en retard, c’est cohérent avec ta fatigue d’hier -Non mai…, commença Léa  -Silence, suit moi, tu ne le regretteras pas.    Il la prit par la main et la tira assez énergiquement vers le resto juste devant. Il la fit s’assoir sur une banquette, prit une chaise et s’assit dessus à l’envers, le dossier vers Léa. Il sortit son téléphone, le pencha à l’oreille de Léa et appuya sur play.    Soudain, des gémissements furent emit sur le haut parleur, c’était la voix de Léa. Horrifiée, elle regarda le téléphone, c’était elle. C’était une vidéo d’une de ses jouissances.  -Quoi mais comment as tu pu av…, commença t-elle -Je les ai toutes, l’interrompit-il, écoute moi bien attentivement, je ne veux pas te nuire donc je te propose un marché. Tu peux aller travailler aujourd’hui, ce soir, tu rentreras, tu mettras le contenu de ce paquet -lui tendant un paquet blanc- tu te mettras à genoux face à la porte tu laissera la porte entre-ouverte. Tu m’accordes une soirée et j’efface tout, une simple soirée tous les deux contre le fait que tout tes collègues et amis voient ces vidéos, c’est équitable   Elle hésita quelques instants et dit:  -Une seule soirée et tu effaces?  -Exactement, dit-il -D’accord…, répondit-elle à contre-coeur -Tu vois que tu ne pouvais pas refuser, dit-il avec un sourire   Ils sortirent du restaurant, il lui ouvrit la porte du taxi.  -A ce soir dans ce cas, dit-il, attention aux courants d’air…, rajouta t-il avec un sourire   Se pouvait-il qu’il sache pour son entrejambe dénudé, comment était-ce possible… Pouvait-il être la cause de tout ca… Et ces pensées la poursuivirent durant tout le chemin du taxi et durant l’entièreté de la journée de travail. Même son habituelle pause série du midi ne lui permit pas de se changer les idées. 17h, il lui fallait partir avec le paquet pour ne pas etre en retard. Elle monta dans sa voiture, et avant de démarrer, elle ouvrir le paquet et regarda rapidement, de la lingerie fine, “pas étonnant”, se dit-elle. Il y avait aussi des lanières de cuire rembourrées. Elle se dit qu’elle trouverait la fonction chez elle. Elle démarra pensive. Arrivée chez elle elle étala le contenu du paquet, un justaucorps en dentelle noir, des jarretelles, un grand morceau de cuire avec un anneau et deux plus petits avec des demi-anneaux. Il y avait également un plug anal. Elle en avait utilisé un une fois donc elle le reconnaissait. Une petite etiquette y pendait “tout doit etre mit ;)” y était inscrit en écriture noire. Elle mit les jarretelles et le porte jarretelle, elle eu quelques difficultés mais réussit, puis elle mit le justaucorps, une fois ajusté, elle s’aperçut qu’elle avait oublié le plug, elle enleva tout et remit le plug avec un peu de lubrifiant et remit le justaucorps. Désormais elle ne pouvait plus l’enlever rapidement et le justaucorps, assez serré malgré la dentelle, poussait dessus. Après quelques minutes elle plaça la longue lanière de cuir autour de son cou, bien que ca ne tienne pas bien et les deux lanières plus petites autour de ses poignets.    Elle entrouvra la porte et se plaça à genoux, il ne lui avait pas donné d’heure… Elle entendit comme cela une heure avant que la porte s’ouvre. Elle sauta, ca pouvait etre n’importe qui! Mais non ouf, c’était lui. “Ouf?” pensa t-elle, “non pas ouf, tu ne le connais pas enfin, qu’est ce que tu fais”, continua la voix dans sa tête.    Un “bravo” vint interrompre ses pensées. Il enleva son manteau, passa à coté d’elle, lui caressa les cheveux. Il émit un léger rire, se baissa derrière elle et alors qu’elle sentit un souffle chaud sur sa nuque, il enleva la lanière de cuire sur son cou;  -C’est pas un collier ça ma belle, dit il en plaçant l’anneau devant sa bouche, c’est pour que je n’entende pas ta voix ce soir, continua t-il en fermant fermement le baillon autour de sa tête. Léa fut surprise mais extrêmement excitée… L’idée qu’elle n’aurait pas du accepté était au premier plan de ses pensées, mais elle ne pouvait pas s’empêcher d’être excitée d’être aussi impuissante…   Il saisit les deux anneaux des poignées et leva les deux mains de Léa en l’air. Il passa un mousqueton entre les deux et y attacha une chaine.  -Debout, dit-il fermement Il se plaça alors face à elle et dit:  -Maintenant après une journée de travail,  tu vas me laver, et il prit la chaine et emmena Léa enchainée jusqu’à la salle de bain de cette dernière.  La marche était compliquée par le plug mais elle parvenait à suivre cette homme qui avait désormais tout contrôle sur elle, y compris son droit à la parole. Comment savait-il où était la salle de bain? Se demanda t-elle? Mais il semblait savoir, il ouvrir une porte, fit entrer la jeune fille, s’y engouffra également, et dit d’un ton ferme:  -Déshabille moi   Ce qu’elle redoutait allait arriver, elle allait être abusée… Effrayée mais excitée, elle enleva la chemise du jeune homme, tache qui fut compliqué par les mains attachées. Elle enleva ensuite la ceinture, ce pour quoi elle eu besoin de l’aide de son ravisseur, puis son pantalon. Il n’y avait plus que son caleçon. Elle passa les mains, puis descendit tout doucement. Son penis sortit du caleçon, il était dur comme un roc. Elle se demandait s’il elle devait être flattée ou effrayée.  Sur ces pensées qui ralentirent son action, elle senti Baptiste la saisir par les cheveux et lui dire:  -Ou tu te dépêches, ou je remplace le plug par autre chose, et ca risque de ne pas être confortable.    Prise de panique, elle s’activa. Il était maintenant nu et elle habillée comme une prostitué, ou une esclave…, se dit-elle   Malgré la situation, son ravisseur était très bel homme. Et lorsqu’elle du le laver à l’éponge, elle sentait ses muscles sous le savon. L’anneau qui maintenait sa bouche ouverte lui rappelait à chaque instant son trou du cul également ouvert de force et pensait que le seul trou qu’elle lui aurait offert la veille semblait être le seul auquel il ne s’intéressait pas. Mais elle se trompait. Aussitôt la douche terminé, encore mouillé, il sorti de la cabine à l’italienne et attacha la chaine et donc les mains de Léa en hauteur. Il descendit alors doucement et passa sa langue dans sa fente, à travers le justaucorps. Lentement il tourna en rond avec de petits cercles, passant entre les grandes et petites lèvres. Soudain, il mordit le justaucorps et en arracha un bout qui lui permettait d’avoir un accès total. Il continua et s’arrêta sur le bouton. Il le titilla, il sentait la mouille couler. Il accéléra, elle gémissait et soudain il s’arrêta. Il reproduisit le scénarios de nombreuses fois, s’arrêtant à la limite de la jouissance une dizaine de fois. Mais à la onzième, il s’arrêta pour de bon. Frustrée, Léa ne comprenait pas. Il sorti de la salle de bain quelques instants et revint avec une ceinture de chasteté petit format. Il dégagea les restes du justaucorps et fixa la ceinture. Il y attacha un cadenas qu’il verrouilla. -Ce cadenas s’ouvrira dans un mois, c’est comme cela que je l’ai programmé, dit-il, sauf si j’utilise cette clé, rajouta t-il avec un sourire en montrant la clé pendant à son cou. Avant de libérer Léa, il la regarda droit dans les yeux et dit: -Je dois y aller, demain tu laisseras à nouveau la porte d’entrée ouverte, si elle est fermée je n’insisterai pas et je considérerai que ta nouvelle chasteté te convient bien, si elle est ouverte, il n’y aura plus de demi-tour, je ferai de toi ce que j’ai envie… Puis il prit son téléphone et supprima devant elle toutes les vidéos -Le choix est le tien, ajouta il en enlevant la chaine et le mousqueton des menottes. Léa s’effondrât sur le sol de la salle de bain en silence, toujours bâillonnée, pleine de sueur, de mouille, et de bave coulant de son anneau buccal. Mais elle était surtout frustrée comme elle ne l’avait jamais été. La dernière vision qu’elle eu de la journée était celle du corps à peine rhabillé de Baptiste sortir de son appartement.    Voici le premier chapitre de l'histoire de Léa, si vous voulez une suite, faites le moi savoir en commentaire Un récit par Monsieur N.  
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Par : le 01/11/23
L'autre ne se fit pas prier, et la projeta dans le rectangle d'un mètre sur trois tête la première. Il n'y avait que soixante centimètres d'eau, mais totalement surprise, Laura commença par boire la tasse avant de tenter de sortir sa tête de l'eau. Menottée dans le dos, ce n'était pas si facile ! Elle pédala dans l'eau jusqu'à appuyer sa tête au muret, et par des mouvements de frottement arriva à sortir son menton pour respirer. Alors de ses mains calleuses, Alfonso lui frotta le visage avec de l'eau, arrangea grossièrement ses cheveux, et la tira hors de la flotte. Tout le monde riait aux éclats devant le spectacle de la fille dans ses habits trempés, et Robeco le premier : - C'est-y pas mieux comme ça ? C'est dégeulasse une fille qui pue... Et les rires de repartir de plus belle. Mais dans l'aventure, Laura n'avait pas eu le temps de se désaltérer. Comme elle se souvenait de la leçon, c'est humblement qu'elle se tourna vers lui : - Señor Robeco, s'il vous plaît, j'ai encore soif... - Encore soif ! Vous entendez ça, les gars ? (risées...) Eh bien vas-y, ne te gêne pas. Elle fléchit les jambes pour appuyer son torse sur la margelle, et pencha la tête jusqu'à ce que ses lèvres effleurent la surface de l'eau qu'elle commença à aspirer avec délices. - Pompe bien, ma grande, parce qu'il n'y aura pas d'arrêt-buffet, dit Robeco. Surtout que pomper... il paraît que tu es experte ! (esclaffements redoublés...) Laura se releva et se tint debout au milieu d'une flaque d'eau qui commençait à s'élargir. Elle n'avait jamais été aussi humiliée de sa vie, et elle commençait à avoir froid dans ses vêtements trempés : s'ils mettaient la clim' dans la voiture, ce serait la pneumonie assurée... - Assez perdu de temps, on y va, ordonna Robeco en défaisant une menotte pour ramener ses mains devant elle et la réentraver immédiatement. - S'il vous plaît, ôtez-moi les menottes, implora Laura d'une voix plaintive. Je n'ai aucune intention de m'enfuir : je dormirai sagement à l'arrière de la voiture. Je ne demande qu'à m'entretenir au plus vite avec Juan Ortiz pour m'expliquer. - Mais tu en auras bientôt tout le loisir, répondit Robeco en allant chercher la pelle sur le toit de la 4x4. Il la prit à deux mains près de son extrémité, la leva haut dans les airs et l'abattit de toutes ses forces sur le bord de l'abreuvoir en béton : le manche cassa net près du fer. Il restait un bon mètre de manche de bois, que Robeco enfila à la saignée du coude droit de Laura, puis horizontalement derrière son dos, et enfin dans la saignée du coude gauche. Ainsi la chaîne des menottes était presque plaquée à son ventre. - Mais qu'est-ce que vous faites ? Je ne tiendrai jamais dans la voiture avec ce truc-là... Ôtez-moi ça ! - Je crois que tu n'as pas très bien compris, dit Alfonso en lui nouant le bout d'une corde d'une dizaine de mètres autour de la taille. On rentre à Ciudad Real, bien sûr, mais toi... tu rentres à pied ! - Ce n'est pas possible ! s'exclama Laura abasourdie. - Tu crois ça ? C'est bien dommage pour toi, mais les instructions du colonel Ortiz ont été très précises... - Mais il y a presque cent kilomètres ! - On s'en fout, on n'est pas pressé... Ortiz est parti pour deux jours à Cuba avec el presidente, histoire de renforcer les liens. Tu crois qu'il n'a qu'une salope comme toi à s'occuper ? D'ailleurs nous, on t'emmène juste à Mariposa, une petite trentaine de kilomètres... Là, une autre équipe s'occupera de toi. Tout en parlant, il attachait le bout libre de la corde à la boule d'amarrage du pare-choc arrière. Robeco avait déjà mis le moteur en marche. Alfonso monta côté passager et la voiture commença à avancer. Laura n'attendit pas que la corde se tende pour faire ses premiers pas : elle avait compris qu'entravée comme elle l'était, une chute serait douloureuse. - Buen viaje... hasta la vista, lancèrent les paysans. La longue randonnée de Laura commença. Ses vêtements trempés alourdissaient sa marche, sans parler des baskets alourdies par l'eau qui faisaient un bruit de tomate écrasée à chaque pas. Mais le pire était son périnée mal remis des sévices de la nuit. Si elle voulait garder l'allure, elle ne pouvait plus écarter les jambes pour soulager la douleur : elle dut adopter rapidement une démarche quasi normale, mais qui soumettaient les chairs tuméfiées à des frottements insupportables. Parfois ils croisaient de petits groupes de paysans allant aux champs, étonnés par le spectacle, auquel Alfonso lançait : - Ne vous en faites pas, c'est une salope de contre-révolutionnaire qu'on emmène en promenade... Et les paysans rigolaient. C'était des âmes simples...
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Par : le 31/10/23
C'est le chant du coq qui la tira d'un sommeil profond comme les abysses, malgré sa position incommode. Un rectangle de soleil découpé par le soupirail diffusait un peu de lumière. Tout son corps était endolori comme si elle avait été tabassée méthodiquement. Sa pommette gauche – croûtée de sperme sèché comme tout son visage - avait un peu dégonflé, mais ses poignets montraient deux traits de derme à vif. Elle glissa sa main libre entre ses cuisses pour évaluer les dégâts : les chairs avaient doublé de volume comme pour compenser leur interminable compression, et certaines zones semblaient privées de sensibilité. Sans doute certains nerfs avaient-ils été trop longtemps privés de sang. Elle aurait aimé pouvoir écarter aussi sa jambe droite, mais les menottes l'en empêchaient. Plus pour longtemps probablement, puisque bientôt elle serait ramenée à Ciudad Real, une ville civilisée, et loin de ces paysans puants : son calvaire allait prendre fin. Bien sûr, elle serait sans doute interrogée, le journal fermé ou nationalisé, et elle-même probablement assignée à résidence en attendant que les choses se tassent. A trente ans et avec son bagage, elle avait tout l'avenir devant elle. Les U.S.A. peut-être... Elle y avait des amis dans le métier, et ils avaient toujours besoin de professionnels bons connaisseurs de l'Amérique latine. Et les frontières seraient sûrement rouvertes dans peu de temps. Le bruit de la serrure la tira des ses rêveries : Robeco et Alfonso firent leur entrée, rigolards. - Alors, la pute capitaliste, on a bien dormi ? Mais que vois-je : le jambon est décroché... Ah oui, Pablo m'a raconté qu'il n'avait pas supporté de te voir sur cette petite chaise de mon invention : c'est un sensible ! T'as de la chance : moi je t'aurais laissée là jusqu'à ce que ta chatte et ton trou du cul ne fasse plus qu'un, et qu'on puisse y rentrer les deux poings... - Vous n'avez aucun droit de me traiter comme ça. Vous avez ordre ne me ramener à la capitale, et pas de me torturer. Juan Ortiz sera informé de tout cela, et croyez-moi, vous le regretterez ! La baffe de Robeco réveilla la douleur de sa joue. - Qu'est-ce tu connais des ordres, marrana ? Où tu te crois ? Dans un épisode de "Dallas" ? Je vais faire comprendre ta place, moi... Un objet brilla dans sa main, produisant un claquement sec : un couteau à cran d'arrêt ! "Ca y est : il va me tuer" s'affola Laura en reculant autant elle pouvait avec une main et un pied, vers l'angle du cellier où elle se roula en boule. Mais Robeco s'empara simplement de l'extrémité d'un tuyau d'arrosage qu'il coupa d'environ un mètre. Se ruant sur elle, il se mis à abattre des coups de tuyau partout où il pouvait. Laura criait comme une folle tandis qu'Alfonso souriait les bras croisés. Au bout d'une minute qui parut interminable à Laura, les coups cessèrent. - Alors t'as compris, puta, qui commande ici...? dit-il en lui tirant les cheveux pour voir son visage. Alors tu vas t'excuser poliment, et me demander pardon, tout de suite ! Laura ne bougea pas. - Tu ne dis rien ? Alfonso, tiens là, elle n'a encore rien pris par devant... L'homme de main s'accroupi derrière Laura, pris sa main libre pour la ramener dans son dos par un clé au bras, et cravata son cou de l'autre main. Une poussée du genou dans le dos suffit à faire saillir la poitine de Laura. - C'est bon, tu peux y aller. Robeco prit un peu de recul, calcula bien sa trajectoire, et balança horizontalement le tuyau sur les sommets des dômes. Le hurlement de Laura s'entendit jusqu'au bout du village. - Celui-là, c'était pour la mise au point. Le prochain, c'est juste pour le plaisir... Le caoutchouc flexible s'abattit presque au même endroit, provoquant un autre cri d'agonie. - Alors ? On dirait que tu aimes vraiment ça, perra... - Stop, arrêtez, je vous en supplie... - Alors tu sais ce que tu as à dire... ne me fais pas attendre trop longtemps, ou je t'éclate les mamelles, vaca ! Laura était matée. Lentement, elle prononça les mots exigés : - Pardonnez mes paroles. C'est vous qui commandez. - Vous "qui" ? insista-t-il en lui soulevant le menton pour la regarder droit les yeux. - C'est vous qui commandez, señor Robeco ... - A la bonne heure, comme ça les choses sont claires, pas vrai ? Allez, assez perdu de temps, faut y aller. Alfonso, détache son pied. L'autre s'exécuta, puis aida non sans peine la chiffe molle étendue à ses pieds à se relever. Enfin il lui referma la menotte sur le poignet droit, dans le dos. Le petit groupe remonta à la lumière et sortit sur l'esplanade, mais dès ses premiers pas, Laura avait compris qu'elle aurait du mal à marcher : les chairs tuméfiées de son entrejambe ne supportaient pas le moindre frottement, ce qu'elle tentait d'éviter en adoptant une démarche curieusement balancée, les pieds écartés de soixante centimètres. Quelques peones attirés par la rumeur, et qui faisaient le pied de grue sur la plazza déserte, s'esclaffèrent devant son allure de robot mal réglé. Détournant le regard de ces imbéciles, elle reconnut la 4x4 qu'elle avait soustraite à l'organisation humanitaire garée seule à une cinquantaine de mètres, juste après l'abreuvoir communal, probablement réparée par son dénonciateur. Le véhicule était surmonté d'une galerie avec une deuxième roue de secours, des plaques à sable et une pelle : en été, on s'ensablait facilement au San Teodoros, mais en hiver, on s'embourbait ! Ses gardiens avaient sans doute reçu l'ordre de ramener aussi la voiture. En voyant le rectangle de béton plein d'eau destinée à abreuver les animaux, Laura réalisa qu'elle était morte de soif. C'est qu'elle avait bien dû transpirer deux litres dans cette cave infâme ! Comme par une transmission de pensée, le petit édifice donna aussi une idée à Robeco: - Tu sais que tu pues le foutre, la pisse et la sueur, ma garce ? Une petite toilette te fera du bien... Et si tu veux boire, aussi, c'est le moment, parce qu'ensuite on y va. Il était vrai qu'après ces heures d'exercices forcés, Laura n'était plus de première fraîcheur, d'autant que pendant la nuit, elle n'avait eu d'autre choix – chevauchant sa niche - que d'uriner dans son pantalon. C'était sans doute pour cela aussi qu'une sensation de cuisson intense irradiait son périnée au moindre pas. Le soleil n'était qu'à mi-hauteur, mais sous ces latitudes, il la chauffait déjà fort sous le blouson en synthétique au sigle des World Doctors et son tee-shirt de coton. Même si la 4x4 était climatisée, quelques ablutions lui feraient du bien. - Vas-y Alfonso, balance-là, dit Robeco.
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Par : le 29/10/23
Après le récit de la gouvernante et Laura consignée dans sa chambre, Felipe de Aranjuez-Pondragon pris le temps de la réflexion. Que faire ? Remettre officiellement Juan à la police pour viol sur mineure ? Le scandale serait énorme... Après tout, rien de bien irrémédiable ne semblait avoir été commis ; et à part Christina, il n'y avait aucun témoin. Ne valait-il pas mieux laver ce linge sale "en famille" (les Ortiz étaient employés sur l'exploitation depuis trois générations.) Felipe fit signifier aux Ortiz qu'ils leur donnait la nuit pour faire leurs paquets, et qu'à à l'aube ils devaient avoir quitté leur logement. Il fit aussi appeler ses trois plus fidèles chefs d'équipes pour leur donner des instructions plus confidentielles... Laura pris le téléphone de la main de Robeco et le porta devant son oreille du côté de sa joue valide : - Allo ? - Laura ! quelle joie de t'entendre... nous étions si inquiets de ta disparition. Pas de doute : même quinze ans plus tard, c'était bien la même voix ! - Juan... ça fait tout drôle de t'entendre après si longtemps. Qu'est-ce qui se passe ? Pourquoi m'a-t-on arrêtée ? Je n'y comprends rien... - Laura, ma petite Laura... ne nous prend pas pour des imbéciles. Tu ne sais pas qu'il y eu une petite révolution dans ce pays ? Que le commandant suprême m'a nommé chef du SSR, le service de sécurité de la Révolution ? Et toi, tu n'es plus la journaliste officielle de l'ancien régime, tu es une ennemie du peuple, recherchée et en fuite... - Mais pourquoi ? Juan, tu sais bien que je n'ai jamais porté la main sur personne ! Il n'y a aucune raison de m'arrêter. Juan, au nom de notre vieille amitié, laisse-moi partir... - C'est vrai que tu n'était pas la plus coupable dans cette affaire. Mais ton père ne t'as sans doute pas tout dit. Cette fameuse nuit, il m'a envoyé ses trois plus fidèles larbins avec des manches de pioches ! Il m'ont cassé le nez, l'avant bras gauche, et m'ont explosé un testicule. Je ne suis même plus sûr de pouvoir encore faire des enfants... - Oh ! Juan je suis désolée... je croyais qu'il s'était contenté de vous expulser. - Et encore, ce n'est pas le plus grave : quinze jours plus tard mon père s'est pendu de honte ! Ma mère a dû faire des ménages depuis toutes ces années pour élever mes frères et sœurs... Et moi, j'ai commencé à m'engager pour que de telles choses ne se reproduisent plus. - Juan, je ne sais pas quoi dire, c'est trop affreux ! Sincèrement je compatis, mais je ne suis pas responsable de ce désastre, ce sont les circonstances... - Et elles ont changé, coupa Juan. Tu comprendras aussi que la révolution ne peut pas se permettre de laisser dans la nature une adversaire politique aussi médiatique, surtout si elle décidait de se répandre dans la presse étrangère. Nous aurons donc le plaisir de nous revoir sous peu. Repasse-moi Robeco. - Mais Juan... - Repasse-moi Robeco, je te dis ! Effondrée et vaincue, Laura tendit l'appareil au tondu qui écouta longuement son chef, répondant quelquefois par monosyllabes, et terminant par "A vos ordres, señor colonel. Oui, je vous la repasse". Laura reprit le combiné pour écouter Juan à nouveau : - Et surtout ne t'inquiète pas, ma petite Laura, je ferai mon possible pour que les choses se passent bien. Ton père m'a beaucoup appris là-dessus ! La conversation était terminée. Laura raccrocha. Robeco la regardait avec un sourire mauvais : - Bon, c'est pas le tout, il va falloir aller se coucher parce que demain, la journée sera longue. Nous n'avons pas encore pu équiper de chambre d'ami, dit- il sur un ton moqueur, mais nous allons bien vous trouver quelque chose pour passer confortablement vos dernières heures en notre compagnie, dit-il avec un clin d'œil vers ses deux acolytes. Tout le monde descendit à la cave où un couloir déservait plusieurs portes. Les trois hommes firent leur choix sur une petite pièce très basse de plafond, encombrée de tout un bric-à-brac poussiéreux au milieu duquel ils se frayèrent un chemin. L'un des argousins sortit des menottes de sa poche et les tendit à Robeco. Celui-ci referma un anneau sur le poignet droit de Laura, puis la tira sous un tuyau d'évacuation d'eau qui traversait la pièce de part en part un peu sous le plafond. Il leva le bras emprisonné vers le tuyau pour faire passer le deuxième anneau par-dessus, tandis qu'un acolyte tirait la main gauche de Laura en l'air pour refermer la deuxième menotte autour du poignet gracile. - Vous n'allez quand même pas me laisser comme ça toute la nuit ! s'offusqua Laura qui, malgré ses bras levés, pouvait néanmoins reposer les pieds à plat sur le sol. - Bien sûr que non : vous êtes une personne importante, on va vous chercher quelque chose de beaucoup plus confortable. Il parcouru le capharnaüm du regard, et avisa dans un coin une vieille niche à chien en forme de maison mignature, d'un peu moins d'un mètre de haut. Une lueur mauvaise passa dans ses yeux. Il traîna péniblement le lourd objet vers Laura en demandant à ses hommes d'écarter les jambes de la fille. Il fallut la soulever un peu pour insérer le toit aigu de la niche dans le "V" inversé de ses cuisses, puis les hommes la lâchèrent : ses pieds ne touchaient plus le sol, et tout son poids reposait sur son pubis appuyé sur le faîte du petit bâtiment de bois ! Heureusement, ses vêtements offraient une légère protection. - Aië ! enlevez moi ça, c'est horrible... glapit Laura. - Mais c'est toi qui a demandé qu'on modifie ta position, rétorqua Robeco, goguenard. Peut-être qu'au bout d'un moment, ce sera un peu dur. Mais j'ai une idée qui te permettra de te soulager de temps en temps. Alfonso, attrape le fil de fer, là-bas. Et toi Pablo, remonte-lui bien les pieds. Les deux hommes s'exécutèrent. Avec une boucle de fil de fer, Robeco encercla la tige montante de chaque converse de Laura, avant de relier les deux boucles par une troisième passée en pont de part et d'autre du faîte de la niche. - Et voilà, si la position devient trop pénible, tire un peu sur les mains et les pieds : ça te fera du bien, et surtout repose-toi... on a de la route demain. Bonne nuit. Sur ces paroles, les trois hommes sortirent en éteignant la lumière. Commença pour Laura la pire nuit de son existence. En serrant les cuisses, elle put d'abord limiter un peu la pression sur la zone tendre. Mais au bout de quelques minutes, la calvaire de ses adducteurs devint tel qu'elle relâcha insensiblement son ciseau, augmentant la pesée de son corps sur l'arête de quatre centimètres. Douleur tolérable un temps, progressivement intense puis insupportablement vrillante. Alors pendant quelques secondes, elle trouvait le courage (au prix de quelle douleur dans ses poignets !) de tirer sur ses menottes, de contracter ses quadriceps en feu, de changer un peu son point d'appui et de serrer les cuisses le plus fort possible pour prolonger le soulagement. Terribles efforts pour gagner deux ou trois centimètres... Mais inéluctablement ses muscles finissaient par se tétaniser, perdre toute force, et relâcher tout le poids de son corps sur les chairs meurtries de son entrejambe, jusqu'à nécessiter un autre mouvement de traction, encore... et encore... et encore...
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Par : le 25/10/23
L’encre violette ou La Partie de Poker   par orldiabolo   Cela faisait des heures qu'on jouait, elle et moi, mais depuis un moment elle perdait régulièrement... Les autres joueurs ne faisaient plus que de la figuration dans la fumée des cigarettes. Toute les quinze secondes elle passait nerveusement une main en peigne dans sa volumineuse crinière. Mauvais signe. Elle me devait déjà plusieurs mois d'un salaire que je savais modeste, et cela ne pouvait pas durer. Elle était de plus en plus nerveuse. Mais la nervosité lui allait bien, et la rendait pathétique comme une bête aux abois. Ses yeux couleur de saphir étaient agrandis par l’imminence de l'estocade... « J'ai une proposition à vous faire, dit-elle. Jouons tout sur ce coup. Si je gagne, ma dette est éteinte. Si je perds... Eh bien, si je perds je vous appartiendrai pour le week-end... Vous êtes tous témoins, dit-elle à la cantonade, il faut que j'arrête de me faire tondre ! Si elle avait pu prévoir, elle n'aurait pas employé ce mot là... Mais elle pensait s'acquitter à bon compte, d'autant qu'il me semblait que je ne lui étais pas indifférent. Ainsi elle ne perdrait dans aucun cas de figure... J’acceptai néanmoins sa proposition, m’offrant même le luxe de souligner à quel point cette offre était généreuse. Cinq minutes plus tard j'abattais une couleur qui anéantissait ses derniers espoirs. Elle n’avait pas l’air effondrée. Des gloussements entendus parcouraient l’assistance. Tout le monde ici se connaissait plus ou moins, et avait assisté au petit jeu. Elle m'accompagna gentiment à ma villa, et dès la porte franchie, se jeta à mon cou avec un air mutin en disant: "Je crois que c'est une dette que je vais payer avec plaisir". Aussi la baisais-je pratiquement debout contre le meuble de l'entrée, me faufilant entre sa robe et son collant à peine baissé. Un moment plus tard un verre à la main, elle me demanda de lui appeler un taxi, promettant de me téléphoner dans la semaine. « Aurais-je mal compris, m'étonnai-je? Le week-end commence à peine...et vous voulez déjà me quitter? - Je suis crevée! Franchement, cette journée m’a épuisée. Soyez chic, je vous promets de vous appeler très vite, conclut-elle en me faisant claquer un bisou sur la joue. - Fatiguée? J’avoue que je vois mal dans ce que nous venons de vivre le moindre motif d’épuisement...car pour tout vous avouer, j'ai trouvé votre prestation d'une grande tristesse : vous baisez comme une collégienne, sans goût ni imagination. Vous avez le con mou, et vous vous en servez mal. Une vraie planche. Folle de rage, elle saisit son sac et se dirigea vers la porte d'entrée en lançant: "Et bien si çà ne plaît pas à Môssieur, j'me tire". J'avais bien fait de fermer la porte à clé pendant qu'elle se toilettait : je la sentais mauvaise joueuse dans tous les sens du terme. Elle s'escrimait en vain sur la clenche. - Oh non! vous ne vous tirerez pas, douce amie, répliquais-je. Dans notre monde on paye ses dettes cash, et la vôtre ne s'éteindra que lundi matin. D'ici-là vous allez vivre des moments exaltants, et surtout formateurs, ce qui ne sera d'ailleurs pas un luxe. Pour vous faire pardonner votre mouvement d'humeur, vous allez ôter vos vêtements...à commencer par cet infâme collant vulgaire. La nudité vous ira mieux. - Le strip-tease n'est pas compris dans le deal !, grinça-t-elle d'un ton chipoteur, aggravé par ce goût du franglais qu'affectionnent les gens qui n'ont jamais franchi la Manche. Mais sur mon insistance elle finit par se calmer et s'exécuta, m'offrant au bout d'un temps le spectacle d'une superbe femelle, de cette rare espèce plus à l'aise nue qu'habillée.   Satisfaite de son corps, elle me regardait d'un air un peu supérieur, la poitrine dressée mais une main sur le sexe. - Vous voyez, vous êtes mieux comme çà, lui dis-je, et d'ailleurs vous le sentez vous-même. C'est heureux car vous resterez ainsi un bon moment continuai-je en jetant ses affaires dans la cheminée, où l'horrible collant se racrapota comme un insecte. - Salaud!, lança-t-elle, en me transperçant du regard. - Encore un mauvais point rétorquais-je. Je n'aime pas les vilains mots, sauf, peut-être, quand ils sont bien placés. Approchez donc, je vais vous montrer. Nous allâmes vers le bureau, où trônait mon encrier. J'aime l'encre violette de notre enfance, de plus en plus difficile à trouver au demeurant. D'une feuille de papier roulée je me fis un pinceau, avec lequel  j'écrivis en grosses lettres le mot "salope". Sur sa poitrine. Elle rechigna bien un peu pour le "S", mais après cela alla tout seul. Je pris un peu de recul. - Remarquez, dis-je, comme cela tient à peu de choses. Il y a trois minutes vous me toisiez avec votre air de frimeuse, et maintenant vous avez l'air d'un quartier de bœuf estampillé par les services vétérinaires... Troublant, non? Et encore... les quartiers en question ne présentent pas cette pilosité de guenon qui massacre votre entrejambe, et que vos deux mains ne suffisent pas à cacher. Allez, ôtez vos mains de là, qu'on voie la forêt vierge. Mazette, quelle touffe... un vrai plumeau! écartez un peu les jambes...Bien, penchez-vous en avant...   Je passai derrière elle. - Aïe!, d'ici c'est pire encore. On dirait une balayeuse municipale... - Ça suffit !, arrêtez de m'insulter, cria-t-elle en se redressant. - Tout doux, allons. Je disais cela pour votre bien. Et aussi pour le mien, car j'ai l'intention de vous baiser encore. Mais pas à travers ce pelage, que vous allez m'enlever sur le champ, lui dis-je en lui tendant les longs ciseaux du bureau. - Hors de question, ce n'est pas dans le contrat. - Vous m'appartenez, souvenez-vous, et j'ai horreur de l’astrakan  Préférez-vous que j'arrache ce tas de crins poil par poil ? C'est un bien petit sacrifice que je vous suggère, et dont vous me remercierez ensuite. Un peu ronchonnante, elle s'assit sur le coin du bureau, et s'attaqua lentement à sa toison, à petits coups de ciseaux, penchant la tête vers son ouvrage, et découvrant ainsi -penaude- l'encre sur sa poitrine. En quelques minutes son pubis fut presque présentable, rafraîchi comme une barbe de huit jours. Elle laissa tomber les ciseaux sur le bureau, et cracha: - J'espère que vous êtes content ? Il y a un mieux pour la motte, mais je vous conseille d'écarter les jambes pour rafraîchir vos grandes lèvres : on dirait un paillasson... Elle poussa un grand soupir avant de céder et de reprendre sa tâche. Quelques instants plus tard, le gros de sa fourrure formait un petit tas au bord du bureau, et elle m'interpella: -Alors, ça vous fait une belle jambe"? -Mais oui. Voilà une salope plus nette ! On sait où on va, maintenant, lui dis-je d'un ton réjoui. Restez assise, et écartez bien les genoux, que je voie mon cadeau : belle vulve de nullipare, ma foi. Et bien déployée. Presque tout est en vitrine, prêt à servir. Elle trépignait littéralement, ce qui me donna une idée. Je braquai le faisceau d'un petit spot à halogène sur son entrejambe et suggérai : -Maintenant que vous avez posé les ciseaux, écartez-donc vos grandes lèvres des deux mains qu'on voie vos trésors... Elle manifesta un refus total à cette demande, mortifiée à l'idée d'exposer elle-même son intimité, mais je lui fis comprendre que cet examen faisait incontestablement partie de sa créance. Alors, très lentement, elle entrouvrit la corolle de son sexe. -Mieux que ça!, la stimulais-je. Bien, les petites lèvres maintenant... Le premier pas franchi, elle obéissait plus docilement. -Mais c'est très mignon tout çà ! Retroussez-moi donc ce capuchon, là, plus haut, que ce gracieux clitoris prenne un peu l'air, allez-allez, sans discuter... Mais il est ravissant ! Je repris mon pinceau improvisé, et lui peignis un petit "putain" au-dessus du mont de Vénus, puis, prenant un peu de recul pour un bref examen d'ensemble, je repris : - Vous êtes beaucoup mieux comme cela, si-si, vraiment ; je pense que j'arriverai à vous rebaiser... Il n'y a plus que votre rouge à lèvres, un peu criard à mon goût. Je n'ai pas envie de m'en mettre partout. Prenez ce mouchoir et frottez fort. - Vous êtes vraiment ignoble, cracha-t-elle en se frottant les lèvres. J'aurais mieux fait de m'endetter pour dix ans que de me faire sauter par un mufle... - Vous parlez trop. Je sais un moyen de vous clore le bec. Et ces belles lèvres serviront enfin à quelque chose: il y a un moment que je me demande si vous êtes plus habile avec la bouche qu'avec le con, lui dis-je en enfonçant un centimètre d’index entre ses lèvres. Je l’entraînai devant un grand fauteuil où je m'assis après l'avoir agenouillée devant moi. Elle me regardait stupéfaite. - Allez-y, vous avez carte blanche, lui dis-je, en lui désignant mon pénis. Elle eut un sursaut de recul. - Ah non, pas ça, vous n'y pensez-pas! Ce truc de pute m'a toujours dégoûtée au plus haut point, et je n'ai pas l'intention de commencer aujourd'hui... - C'est curieux, car pute vous êtes bel et bien... Ne m'avez-vous pas librement proposé d'échanger votre corps contre l'argent que vous me devez? Allons, il y a un début à tout, et je ne vous demande pas grand-chose...Réveillez seulement mes ardeurs avec cette belle bouche de suceuse. Ce sera l'affaire de quelques instants...Et ne vous inquiétez pas: si je sens une dent, la cravache vous préviendra... Elle finit par prendre ma verge dans son poing, et l'agiter mécaniquement devant sa bouche entrouverte, les yeux ailleurs. J’optais pour la patience. Ma badine caressait son corps, s'insinuant de-ci de-là, balayant sa motte en faisant crisser les poils courts. Pressée d'en finir, elle accéléra le rythme de sa main, ses lèvres se contentant d'une présence symbolique à un centimètre de mon gland. Je décidai de me fâcher. - Vous appelez çà une pipe, tonnais-je! Mais c'est une lamentable branlette d'écolière... - Je ne peux pas, c'est plus fort que moi, je ne peux pas ! Bien que fort agacé, je lui fis une suggestion : -Mais si vous pouvez, il suffit d'un peu de bonne volonté. Regardez : au lieu de rester une main pendante tandis que l'autre me secoue, posez-la donc sur votre chatte... Alors?...Cette petite moquette ne vous picote-t-elle pas plus agréablement le creux de la main, que la vilaine touffe de tout à l'heure ? Caressez-vous, ma grande, ne vous gênez pas pour moi, je ne suis pas un égoïste. Allez-y : entrez le médius si ça peut vous inspirer, mais n'oubliez pas ma queue pour autant : allez mon petit, sucez correctement"... Elle reprit son mouvement de va-et-vient avec la main droite, les lèvres arrondies cette fois posées sur mon gland, qui rencontrait quand même la barrière de ses dents serrées. C'en était trop! D'un coup je l'allongeai en travers de mes jambes, immobilisais ses bras derrière son dos, et abattis rapidement la badine une demi-douzaine de fois sur ses fesses, pendant qu'elle glapissait. Je la laissai tomber par terre, toute pleurnichante. - Décidément vous n'êtes pas douée... Mais cela s'arrangera. Et vous avez tout intérêt à ce que cela s'arrange, parce que si j'informe nos amis que vous ne payez pas vos dettes, il vous arrivera des choses bien plus désagréables. Elle frissonna, se remémorant sans doute l'histoire de ce joueur malchanceux mystérieusement "attendri" à la batte de base-ball, et qui passerait plusieurs semaines dans le plâtre. - C'est d'accord, dit-elle dans un souffle, les yeux baissés. Elle reprit mon sexe dans sa main, en approchant sa bouche. - Attendez, lui dis-je, ce serait trop facile. Je veux entendre clairement vos bonnes dispositions, afin qu'il n'y ait plus d'ambiguïté. Elle resta à genoux, tête baissée, de longues secondes. Je ne voyais plus que la masse de ses cheveux. Puis j'entendis le faible son de sa voix... - O.K.....je suis à vous...j'accepte... - Soyez claire. Elle réfléchit. - Je suis prête... Le mot n'arrivait pas à franchir ses lèvres. Je la pressais. -Oui, prête à quoi? Je suis prête à...vous sucer... Enfin ! et sans chipotage ? - Oui, comme vous le voudrez...et...je m'efforcerai...de vous satisfaire". - À la bonne heure: tout est donc clair entre nous! Alors, pour vous faciliter la tâche, et vous éviter d'abuser de vos mains, je vais vous attacher les coudes derrière le dos. Je vous promets que vous apprendrez mieux. D'une corde de coton je cravatai derrière son dos ses bras sous les biceps, et les rapprochai vers l'arrière. Pour que la corde ne glisse pas, j'en nouai l'extrémité à son épaisse chevelure, après l'avoir rassemblée en fagot sur le sommet du crâne, ce qui lui maintenait la tête droite. Et je m'assis sur le bord du bureau, mon sexe devant son nez. - Vous voilà prête pour la leçon. Alors reprenons, et souvenez-vous : attention les quenottes! Elle arrondit la bouche laborieusement, prenant garde de recouvrir ses incisives avec les lèvres, et attaqua son ouvrage en m'engainant timidement. Pour amorcer la pompe, je vous suggère de commencer par le taille-crayon, une figure facile. Faites tourner votre langue autour de mon gland...comme çà, oui, mais sans jamais perdre le contact...Dans un sens, d'abord...Bien. Puis dans l'autre maintenant... Pas mal. Accélérez à présent...Encore...encore... Attention le contact ! Pas si facile, n'est-ce pas, le tourniquet ? Ne vous en faites pas, cela viendra avec la pratique: les plus habiles de vos collègues font plus d'un tour à la seconde ! - Dites-donc, explosa-t-elle, vous ne croyez tout de même pas... Mais j'endiguai net ses protestations d'un petit coup de badine sur l'épaule. - Leçon n° 1 : ne jamais vous arrêter avant que je ne vous le dise. Et surtout, pensez toujours à ce que vous faites. C'est vrai, vous manquez de concentration. Votre regard parcourt la pièce comme si vous faisiez l'inventaire... Tenez, je veux bien vous aider encore : je vais vous bander les yeux, vous serez plus à ce que vous faites. Avec son carré Hermès, je lui fis un bandeau, et repris : - Voilà. Vous pourrez ainsi mieux analyser vos sensations buccales. Mouillez-vous bien les lèvres. Ouvrez la bouche... Tirez la langue... Restez comme çà. La prenant par l’oreille, je la guidai jusqu'à ce que mon gland se pose sur la muqueuse rose. - Reprenez depuis le départ : le derviche tourneur n'a plus de secret pour vous maintenant, alors sprintez un peu. Je la laissai s'entraîner un long moment : c'était une pouliche qu'il fallait l'encourager de la voix pour qu'elle donne son maximum. -Bien, après ce petit solo de fifre, passons maintenant au mouvement de base : la pompe. Pas de besoin de vous faire un dessin ? , alors en piste, et sans dégainer... Elle commença autour de mon gland un petit va-et-vient hésitant. Elle n'avait pas menti : c'était une première... Bien sûr, sans les mains c'était plus difficile, mais le coup de langue n'était pas mauvais, et elle prit un rythme convenable. - Eh bien nous-y voilà! Je me doutais bien que vous pouviez faire mieux qu'une petite secouette...Vous faut-il toujours des coups sur les fesses pour que le talent vous vienne ? Il faudra que je m'en souvienne. Continuez comme çà, mais embouchez-moi plus profondément... Elle progressa jusqu'à mi-verge, et s'en tint là un bon moment. -Allez, repris-je, enfournez plus à fond, vous êtes loin du compte! Mais elle ne semblait pas décidée à faire plus. -Vous voyez, si vous baissez un peu la tête en gardant le cou droit, vous pourrez m'engouffrer jusqu'à la garde, dis-je en saisissant comme une poignée la touffe de cheveux que j'avais nouée sur le sommet de son crâne. Au bout d'une dizaine de tractions progressives -qui par le jeu de son lien lui faisait écarter les mains au maximum- elle se mit à émettre des sons bizarres, sans doute de protestation. -Ne parlez-pas la bouche pleine et pensez plutôt à ce que vous faites, sinon vous ne vous améliorerez jamais ! Puis, prenant sa tête à deux mains, je parvins à sentir en bout de course le massage de mon gland entre ses amygdales. -Lààà...enfin...je commence à vous sentir ! C'est si difficile ? Allez, ma grande, continuez toute seule maintenant, dis-je en lâchant sa crinière. C'était plus fort qu'elle, elle raccourcit sa course...D'un coup de badine sur la tête, je lui rappellai ses devoirs: - Le nez dans mes poils à chaque mouvement, bon sang! Elle se reprit, mais je fus encore long à peaufiner sa technique: - Arrondissez-bien la bouche. La langue plus ferme, je vous prie. Oui, c'est mieux comme çà. C'est un peu sec, mouillez-bien vos lèvres...Très souple à l'aller, mais ferme au retour, que je me sente bien aspiré, oui, comme çà...c'est bien mieux! Elle commençait à transpirer un peu, aussi décidai-je de varier un peu ses plaisirs. J'ôtai son bandeau. -Je vous propose un petit intermède, lui dis-je en m'arrachant d'elle, pendant lequel vous vous occuperez un peu de mes couilles. Elle me regarda d'un air stupéfait, et avala plusieurs fois sa salive avant de comprendre. Puis elle se mit à lécher en tâtonnant un peu, soulevant par moment ma verge avec son nez.. -C'est cela, lapez, lapez bien, comme une gentille petite chienne. Mais tout doux. Descendez, maintenant. Encore. Encore...jusque dans la raie. Allez, sortez-moi cette langue mieux que çà, et que je la sente farfouiller et frétiller partout. Passée trop rapidement de la révolte à la docilité, elle n'obtempérait à mes injonctions qu'avec un temps de retard, que le bout de ma badine s'efforçait d'écourter. Elle fouillait maintenant très habilement du nez et de la langue entre mes jambes , avec des petits bruits de chiot dans sa pâtée. -Puisque vous avez la forme, titillez-moi donc le trou du cul avec cette petite langue ferme et pointue, dis-je en basculant allongé sur le bureau, les jambes repliées. J'avais prévu son hésitation, mais j'avais repris la badine...Aussi elle s'exécuta, d'abord mollement, puis à merveille à mesure que la stimulais de la voix. -Enfoncez-vous...mieux que çà...à fond...encore...Forcez encore... bien. Maintenant gigotez la langue...en tournant...c'est cela, mais sans vous presser. Ce fut un moment savoureux. - Bon, assez gambadé, repris-je la sentant s'assécher. Réenfournez ma verge, et pompez fort. Comme tout-à-l’heure, et bien en rythme. C'est ça. Pas si vite, ce n'est pas un cent mètres... nous avons tout le temps. D'ailleurs je me sens d'humeur plutôt marathonienne, ajoutai-je en prenant un Code Général des Impôts que je parcourus longuement. On découvre là-dedans bien des économies, mais il faut être à ce qu'on fait, et accomplir de nombreux aller-retour pour en tirer toute la moëlle. Exactement comme la pauvrette qui s'agitait entre mes jambes, et levait vers moi depuis un moment un regard implorant. Je lui demandai : - Vous avez un problème ?, je vous sens moins gaillarde. A peine vingt minutes que vous tétez. D'une chiquenaude sur la tête, je lui signifiai un répit, dont elle profita immédiatement. - J'ai une crampe dans la mâchoire, j'ai mal...par pitié finissez-en, dit-elle en reprenant un peu de souffle. - C'est ce que craignais... Manque d'entraînement. Cela se produit souvent au début. Relevez-vous. Faites quelques mouvements de mandibule dans tous les sens. Voilà. Cela va déjà mieux, non? Savez-vous que quand vous êtes à genoux, je ne vois pratiquement plus mes inscriptions? Avec la corde je la tirai vers le bureau et lui écrivit sur le front. - Vous voulez voir ? Je la plaçai devant le miroir de la cheminée afin qu'elle puisse se voir, nue, les deux mains écartées par son lien - et déchiffrer sur son front en grosses lettres carrées -inversées dans la glace- le mot "SUCEUSE". Avec ses trois inscriptions, les cheveux noués en l'air comme un palmier et sa chatte mitée, elle avait moins fière allure, et il me semblait que ses yeux s'embuaient tandis je lui attachais les pieds, très écartés, à ceux du bureau. - C'est votre faute; si vous n'aviez pas interrompu sciemment une fellation qui s'annonçait acceptable, vous n'en seriez pas là à pleurnicher pendant que je débande, dis-je d'un ton de reproche. C'est votre motte qui vous navre? Vous avez raison. Ces derniers poils font désordre. Je n'ai pas de rasoir, mais nous allons nous débrouiller...A la flamme, comme dans la marine, dis-je en allumant une chandelle. - Vous êtes fou ? sursauta-t-elle. - Pas du tout, vous allez voir. Comme les poulettes chez le volailler. Ne bougez pas du tout, ou je risque de vous brûler. Elle ne se le fit pas dire deux fois, et resta comme une statue tout le temps que je passai et repassai rapidement la bougie sous ses grandes lèvres, peaufinant la raie des fesses et la motte bombée. Cela grésilla un peu, sentit beaucoup, mais pas une plainte ne s'échappa. - Vous voyez, lui dis-je passant largement la main sur son entrejambe, c'est lisse comme un oeuf. Je pris la serviette qui trempait à moitié dans le seau à champagne et lui fit la toilette des zones charbonneuses, contact glacé qui lui arracha son seul cri. Puis je repris place au bord du bureau, après avoir délié ses pieds, et jeté un coussin devant les miens. La badine à la main. - Je pense que vos muscles masticateurs sont bien reposés après cet intermède...Alors assez de temps perdu, dis-je en martelant mes mots. Reprenez la position et pompez-moi à fond, comme si vous vouliez me soulever par la queue, en pensant bien à ce que vous faites et sans vous interrompre, comme une bonne petite salope de putain suceuse me l'a demandé. Je veux sentir le cuir du bureau me rentrer dans le trou du cul! Suis-je clair ? Elle s'agenouilla sagement, puis leva vers moi un regard implorant. - Pardonnez-moi, mais j'ai très soif, dit-elle. - C'est bien normal après un tel effort. Hélas, nous n'avons que du champagne, et cela vous refroidirait la bouche. Mais si vous terminez bien votre ouvrage, vous aurez droit à ma liqueur personnelle, que vous avalerez jusqu'à la dernière goutte. Au travail. - Juste une faveur, s'il vous plaît, reprit-elle suppliante. Libérez juste mes cheveux: chaque mouvement de la tête me fait horriblement mal, et cela m'empêche de me concentrer. - S'il n'y a que çà pour vous rendre efficace, c'est bien facile, dis-je en prenant les ciseaux et passant derrière elle. Je coupai le faisceau de sa tignasse juste sous l'anneau de corde. Il tomba à terre assez de cheveux pour faire trois perruques, et ne restait plus sur le sommet du crâne qu'une brosse de l'épaisseur d'un doigt, à travers laquelle je lui voyais la peau sur dix centimètres de diamètre. Autour, cela partait en toit de chaume jusqu'aux oreilles...Elle mit quelques secondes à réaliser et commença à m'insulter, mais un coup de badine sur les seins la coupa net. - Ah silence, la pute ! J'ai fait ce que vous m'avez demandé, mais je vois que j'ai encore été trop bon. Alors je sais comment activer la manœuvre. Je pris dans le tiroir trois petites pinces à mors crocodile dont je testai l'élasticité en les faisant claquer sous son nez, avant d'en refermer les mors sur chacun de ses tétons. Son visage se contracta, mais elle tint bon pour ne pas crier. - Vous avez de la chance que la dernière soit détendue, lui dis-je, car elle est pour votre charmant clitoris... - Non pas çà, cria-t-elle épouvantée, mais -les coudes liés- elle ne put rien lorsqu' écartant le haut de ses grandes lèvres je lui plaçai la troisième pince à la racine du bouton, tandis que son visage se contractait dans une grimace. - Cela fait mal, je sais, repris-je contrit, mais si je ne vous motive pas un peu on y sera encore demain matin. Alors c'est simple: dès que vous m'aurez pompé correctement, j'enlève les pinces, d'accord ? - Oui, je suis prête, souffla-t-elle matée, en se remettant péniblement à genoux face à moi. Elle m'emboucha comme une affamée, et dès cet instant elle fut parfaite. Active, concentrée, les yeux mi-clos, la pression buccale agréablement modulée, le rythme impeccable. Pendant de très longues minutes, on n'entendit plus que le crépitement du feu de bois, et le régulier clapotis de ses lèvres. - C'est mieux, ma salope, l'encourageai-je en caressant sa petite tonsure, beaucoup mieux...que de chemin parcouru en moins de deux heures! Sans plaisanter, vous pourrez bientôt passer professionnelle. Vous voyez: on croit qu'on n'y arrivera jamais, alors qu'il suffit d'un bon professeur et d'un peu de bonne volonté... Je mis quand même longtemps à identifier ce qui inhibait encore mon plaisir depuis la demi-heure que -matée et transpirante- elle me pompait impeccablement. Puis cela me sauta aux yeux. - Un dernier problème, lui dis-je. A chaque mouvement de tête, vos grands cheveux me titillent le ventre et l'intérieur des cuisses, et c'est fort désagréable, mais ne vous interrompez surtout pas, je vais arranger çà tout seul, lui dis-je en allongeant le bras vers les ciseaux. Sous l'inscription violette de son front, les grands yeux assortis me jetèrent un regard terrifié. Ce n'est pas si difficile de couper des cheveux sur une tête qui bouge, si le balancement est régulier ; et cette fille était devenue un vrai pendule. A chaque mouvement de la tête, elle introduisait elle-même une touffe entre les mors des ciseaux, et je n'avais plus qu'à les refermer. Les petites houppes tombaient sur ses épaules et sur ses seins. Dix minutes plus tard, il ne persistait plus de sa crinière que les zigzags d'une brosse inégale en avant, dessus, et sur les côtés. Seule intacte demeurait la masse postérieure, à la Tarass Boulba. Domptée, elle continuait à pomper stoïquement, mais elle ferma les yeux pendant toute l'opération. Dès lors tout alla vite, et l'empoignant par les oreilles, j'explosai longuement au fond de sa gorge... Elle m'avala jusqu'à la dernière goutte. - Bien, lui dis-je au bout d'un temps, ce n'était pas trop mal. Mais que de temps perdu pour une petite pipe de rien du tout ! Enfin, il faut voir d'où on partait... Bon prince, je décrochai les trois pinces, ravivant la douleur endormie. Elle récupérait doucement, le souffle un peu court, allongée sur la moquette, se massant le bout des seins et l'entrejambe. Puis elle se traîna vers la bouteille de champagne dont elle éclusa un bon tiers pratiquement d'une seule traite. Se regardant dans le miroir, elle découvrit avec consternation son nouvel aspect, passant plusieurs fois la main sur sa tête. - Quel massacre, s'exclama-t-elle. Vous êtes content ? Vous allez me prêter un jean et un tee-shirt, et surtout un chapeau, que je rentre chez moi sans provoquer d’attroupement! - Rentrer chez vous ? Mais nous sommes à peine dimanche ! Souvenez-vous : "Je serai à vous pour le week-end". C'étaient bien vos termes, non ? La fête commence tout juste, et vous voulez déjà me quitter ?, lui dis-je en l'asseyant dans le fauteuil. - Que voulez-vous de plus, espèce de salaud ?, vous m'avez baisée, humiliée, à moitié tondue, je vous ai sucé, ça ne vous suffit pas ?... -A-moi si -pour le moment-, mais à vous, je ne pense pas. Vous avez encore des choses à apprendre, et pas seulement le poker, hélas. Je passai derrière le fauteuil et commençai à tresser la longue coulée postérieure de ses cheveux. -Apprendre à baiser correctement, par exemple, lui susurrai-je à l'oreille. Elle cria "Salaud, salaud" et se leva en rage pour me gifler, mais je tenais la tresse fermement enroulée autour de mon avant-bras. -Allons, tout doux, la calmai-je, c'est vrai je suis un peu sévère, mais je me faisais une telle joie de passer ces quelques heures avec vous que la déception me rend injuste... D'ailleurs voyez: ma nature reprend ses droits devant votre légitime et stimulante colère, dis-je en montrant un début d'érection. Je la fis s'allonger sur le dos, devant le feu, sur une peau de zèbre dont la crinière lui picota un peu les fesses, et tentai une intromission d'un grand classicisme, avec des paroles d'encouragement. - Je suis sûr que je vous ai mal jugée, et que vous pouvez faire mieux que cette rapide étreinte derrière la porte. Mais elle s'était fait un oreiller de ses mains, regardait le plafond avec ennui, et opposait à mon mouvement la contraction de ces muscles que les anatomistes appellent "custodes virginitatis"... Devant mon étonnement irrité, elle dit avec un petit air pincé : - Désolée. Comme vous voyez je ne suis pas en forme. Et je trouve que ça suffit comme ça ! La moutarde me montait un peu au nez. Aussi lui passai-je prestement des menottes que je dissimulais dans la bouche du zèbre. Puis je les ramenai derrière sa nuque, et nouai la natte autour de la chaînette. Ainsi entravée, ses deux coudes pointaient vers l'avant, et soulignaient la courbe impeccable de ses seins. - Etre novice, c'est bien pardonnable, lui dis-je. Mais refuser d'apprendre...c'est un pêché supérieur ! Mais ne vous inquiétez pas, dans quelques minutes vous serez étonnée d'être aussi... "réceptive" ! L'ayant entraînée dans la salle de chirurgie, je l'allongeai sur la table d'opération, et lui attachai les pieds dans les étriers de gynécologie avec des lanières de velcro. Puis je fixai les deux potences à l'écartement maximum, exposant totalement sa belle chatte et son joli trou du cul imberbes. - Vous êtes douée pour le grand écart, lui dis-je en passant la main à l'intérieur des cuisses. Et quelle superbe vulve... Mal utilisée, mais superbe! Je me penchai pour effleurer son bouton d'un petit coup de langue qui la fit sursauter, d'autant que l'épisode de la pince l'avait rendu fort sensible. - Un tel vestibule laisse augurer un intérieur moelleux, dis-je en élevant la table hydraulique jusqu'à ce que la pointe de mon érection se trouve à bonne hauteur. J'entrepris de la pénétrer, mais ne provoquai qu'une douleur partagée. - Eh bien cela commence mal, ma pauvre, vous êtes sèche comme une centenaire... A votre âge ! Je tentai d'introduire l'index, avec difficulté, et en lui arrachant une plainte. - Arrêtez, vous me faites mal, espèce de brute, vous voyez bien que je ne suis pas en état. - Écoutez ma petite, vous êtes venue là pour ça, et de votre plein gré…, alors faites un effort que diable, concentrez-vous donc, on dirait du papier de verre! - Vous voudriez que je mouille pour un salaud comme vous ?, ben merde alors, plutôt crever !, glapit-elle en s'asseyant du seul effet de ses abdominaux, ce qui -dans sa position- était un bel exploit. - Çà, c'est votre problème... Je ne sais pas, moi, pensez à Harrison Ford ou… à Patrick Bruel, dis-je en lui replaquant le dos sur la table. Une bande Velpeau passée devant son cou, et nouée sous la table, entrava ses efforts de redressement. - Merde, merde, merde, détachez-moi tout de suite. Devant tant de vulgaire mauvaise volonté, je pris un gros tube de vaseline. Je l'avais à moitié dévissé quand une autre idée me vint. Je reposai le tube, et revint à la tête de la table d'opération, bravant son regard haineux. Il me fallut lui pincer le nez quelques secondes pour la forcer à ouvrir le bec, et placer un ouvre-bouche à cliquets que j'ouvris modérément. Assez toutefois pour qu'elle ne puisse plus produire que des sons inarticulés de débile. - Voilà qui m'évitera vos trivialités, pendant que je tenterai charitablement de vous mettre en condition, dis-je en enfilant un gant de crin, sans que son angle de vue lui permît de voir mes préparatifs. - Je vous promets qu'après cela, vous serez plus en forme, ajoutai-je. Elle resta pétrifiée trois secondes lorsque je lui plaquai le gant râpeux sur la motte. Puis -comme j'attaquais des va-et-vient jusqu'à la raie de ses fesses- elle se mit à tressauter dans ses entraves comme une épileptique, en gargouillant des choses inintelligibles, et très aiguës. Mais je lui fourbissais l'entrejambe avec la constance d'un bon ouvrier. Pas très longtemps, mais bien. Puis, abandonnant mon astiquage, je fixai avec deux sparadraps en croix le gant de crin sur sa vulve, et l'arrosai généreusement d'un délicieux alcool de poire, avant d'aller m'en servir un verre au salon. Liqueur de paysan d'une telle qualité qu'on en oubliait ses 65°... Quand je revins au bout d'un quart d'heure, elle se tordait dans tous les sens, battant des fesses sur la table comme un espadon sur le pont d'un navire, avec des grognements disharmonieux. Presque désarticulée, elle s'étranglait à moitié, mais sans parvenir à se soustraire à la brûlure. Sa belle musculature -soulignée par une transpiration fine- saillait sous ses contorsions, et l'encre violette de son pubis, en partie dissoute par l'alcool et mêlée de sueur, faisait une rigole jusqu'à son nombril. -Voulez-vous que j'éteigne l'incendie ? demandai-je en lui libérant la bouche, prêt à une avalanche d'insulte. Mais elle inspira largement quelques goulées d'air et souffla, le regard implorant : -Oui, par pitié, vite, vite, vite... J'ôtai le gant de son entrejambe, qui semblait avoir pris un fameux coup de soleil, mais cela ne l'apaisa pas complètement : elle se tortillait toujours avec des mouvements de reptation du plus bel effet. - Cela ne va pas mieux? demandai-je en soufflant sur la zone enflammée. Je peux faire quelque chose de plus? - Posez votre main...caressez-moi, je vous en prie, vite. Je posai deux doigts sur son mont de Vénus que je balayai distraitement. - Plus bas, plus bas, implora-t-elle. - Plus bas? Je ne sais si j'ose, mentis-je. - Plus bas, par pitié. Je me mis à la caresser de tout mon art, et lécher le reste d'alcool, et insistant autour du bouton avec douceur, ce qui sembla l'apaiser. Elle reprit néanmoins: - Votre doigt aussi, s'il vous plaît, votre doigt... - Vraiment? Elle ne s'étranglait maintenant que pour mieux tendre son pubis vers ma main.. - Entrez votre doigt, je vous en prie, maintenant... Je fis ce qu'elle demandait, avec beaucoup plus de facilité que tout à l'heure. Miracle : en quelques instants, je ressortis inondé. - Eh bien ma salope, pour quelqu’un qui ne voulait rien savoir il y a moins d'une demi-heure, voilà que vous mouillez comme une fontaine ! C'est incroyable, il faut que je vérifie, dis-je en réintroduisant deux doigts en canon de fusil, préalablement trempés -mais hors de sa vue- dans la williamine... - Ma parole, repris-je, il va falloir vous mettre une couche-culotte, sinon vous allez laisser des traces comme un escargot... Vous voilà mieux lubrifiée qu'une formule 1, dis-je en retirant index et médius luisants, on peut dire que j'ai la main heureuse ! - Je ne sais pas, balbutia-t-elle, je ne comprends pas...mais...cette sensation de soulagement...après cette brûlure atroce. Je ne voulais pas, mais c'est plus fort que moi... Elle s'interrompit net : l'alcool commençait son effet en profondeur. - Aïe! maintenant que vous avez retiré votre main je sens que cela recommence...ooh...par pitié, remettez votre doigt, tout de suite...ou plutôt baisez moi, oui allez-y, allez-y, je vous en supplie, vite... Elle battait des fesses au bord de la table comme un catcheur vaincu qui implore la fin du combat. - Vous êtes bien gentille, rétorquai-je, mais c'est un peu tard maintenant...je n'ai pas envie de me brûler dans votre réchaud ! - Salaud, salaud, souffla-t-elle dans un sanglot, je ferai tout ce que vous voudrez mais ne me laissez pas comme çaaaa...Pénétrez-moi, viiite... - D'accord. Mais je ne peux vous satisfaire que dans cet endroit encore préservé, que vous exposez toutefois de manière si suggestive, dis-je en lui déposant une noisette de vaseline sur la rondelle, avant de pointer face à la cible. Elle ne comprit que lorsqu'elle sentit mon gland s'appuyer, et poussa un glapissement. - Non pas çà, pas là, jamais, personne...cria-t-elle en contractant son sphincter dans un spasme invincible, tandis que j'augmentais ma pression. - C'est toujours la même chose avec vous...Vous commencez par dire non, puis vous implorez les plaisirs que vous refusiez quelques minutes plus tôt... C'est lassant ! Heureusement je commence à vous connaître, ainsi que les arguments qui vous rappellent vos engagements. Et comme vos récriminations commencent à m'insupporter, je crois que je vais vous replacer l'ouvre-bouche. Ce que je fis, le bloquant cette fois en ouverture maximum. Puis, prenant une cravache au large bout de cuir plat, je lui en portai quelques coups sur la face interne des cuisses, puis sur sa motte rebondie. A chaque bruit sec répondait du fond de sa gorge un étrange petit cri. Espaçant mes coups en descendant vers les zones les plus sensibles, je repris : -Dès que vous souhaiterez sincèrement que je vous sodomise, faites-moi signe en soulevant votre bassin de la table : je comprendrai." Il ne fallut pas bien longtemps. Au troisième coup sur les nymphes, je cru voir ses fesses se soulever de quelques centimètres. Une tape les rabattit sur la table. Elle émit un cri différent, vite suivi d'un soulèvement plus net. J'avais compris ; mais il fallait qu'elle comprenne également. Après l'avoir replaquée sèchement d'une nouvelle tape, je pris délicatement le capuchon de son clitoris entre deux doigts, et tirai doucement vers le haut comme pour la soulever, en disant : - Ce n'est pas très clair... Alors, bandant tous les muscles de la colonne vertébrale, ne prenant plus appui que par les talons dans les étriers et le sommet du crâne, elle souleva majestueusement le bassin vers le plafond -le corps cintré comme une arche de pont. Elle s'aidait un peu des coudes, les mains toujours menottées derrière la nuque. S'immobilisant dans cette inconfortable hyperextension, elle gargouilla quelque chose comme : -"en...hu...hé...oi..." Sa bouche bloquée en ouverture la rendait peu compréhensible. Je la laissai ainsi un peu ainsi, tournant autour de la table pour jouir de ce spectacle peu commun. Enfin, ponctuant chacune de mes phrases d'une tape sèche sur ses aréoles: - Dois-je comprendre que vous êtes mieux disposée ? -"Hhui......Hen...hu...hé...hoi... - Vous êtes sûre que vous ne changerez pas d'avis au dernier moment ? -"Hhhon...Hen...hu...hé...hoiiii.. - Sûre-sûre ? - "Huiiiii... Elle semblait à point. Sur mon ordre elle abandonna son inconfortable posture, et reposa les fesses sur le bord de la table. Je replaçai mon gland sur son ultime virginité, et -l’encourageant d’un "détendez-vous bien, ça ira tout seul"- m’intromis sans difficulté de quelques centimètres : juste le gland. Au gargouillement qui s'échappa de sa bouche, je sentais qu'elle venait à nouveau de vivre -péniblement- une première expérience... - C'est autre chose, n'est-ce pas ? Que dites-vous de cette sensation nouvelle ? Bien sûr elle ne pouvait pas répondre, mais au raccourcissement soudain de sa respiration, je compris que cela lui faisait de l’effet. -Et encore...il ne s’agit que de peu de choses, comme la première mouillette d’un œuf à la coque... Mais je vous sens impatiente de connaître la suite, repris-je en crochant une main derrière chacune de ses cuisses. Et d'une seule poussée, je pénétrai vigoureusement jusqu'à la garde... Ce fut comme une crise d’épilepsie: sans ses entraves, elle aurait traversé la pièce ! Son sphincter tétanisé semblait animé d’une vie propre, et je compris la sensation que pouvait donner le rodéo au Far-West... Cela dura quelques secondes, puis -comme je ne bougeais plus- elle s’immobilisa rapidement. -Alors, jeune pouliche, que pense-t-on de ce premier coup de piston ? J’espère que c’est à votre goût, parce qu’il va y en avoir beaucoup d’autres ! Je n'attendais personne ce week-end-là, et en la circonstance, le coup de sonnette me contraria beaucoup. Grâce à l'écran de télésurveillance, je pouvais heureusement sélectionner les importuns. La découverte de la bonne bouille de John sur me fit plaisir. Je lui ouvris le portail à distance. Fils de ministre africain, aussi bel athlète que bon chirurgien, ce joyeux compère était depuis près d'un an mon assistant, et déjà un ami très cher. - Entre donc, lui dis-je comme je le voyais hésiter tout en sueur sur le pas de la porte, je vais te présenter une amie. Vêtu d'un survêtement des "Harlem Globe-trotters", il introduisit dans la pièce ses deux mètres de pur muscle. - J'ai poussé un peu loin mon jogging ce matin, commença-t-il, alors je me suis retrouvé devant chez toi. Je n'ai jamais autant transpiré de ma vie, et je me disais qu'une petite pause... Il s'interrompit en découvrant le spectacle insolite de ma compagne, mais j'arrêtai son mouvement de recul.. -N'aie pas peur, le rassurai-je, Mademoiselle est une amie de passage. Viens voir comme elle est ravissante ! Interloqué mais curieux, John s'approcha de la fille qui -derrière un canapé- essayait de se soustraire aux regards du nouvel arrivant. Je la tirai par l'oreille devant John en la priant de le saluer, tandis que celui-ci la détaillait de haut en bas avec stupéfaction. Plus que nue -avec sa motte encore rubescente- dressant inévitablement sa superbe poitrine en tortillant les mains derrière la tête à cause des menottes, recouverte d'inscriptions étranges, et plus bizarrement coiffée que la reine des punks, elle laissa échapper un plaintif "bonjour John" en regardant le plancher. - Bonjour Anne-Séverine, répondit John. Là il m'en bouchait un coin l'Africain : ils se connaissaient donc ! -Tu te souviens, reprit-il devant mon étonnement, je t'avais parlé d'une fille superbe qui m'avait aguiché plusieurs jours avant de me renvoyer sèchement dans mon coin devant toute la salle de garde...C'est elle. Celle qui a horreur des "macaques ambitieux", celle qui n'aime pas "l'odeur des nègres..." Elle cria presque : -Je regrette John, sincèrement je regrette. Je n'en pensais pas un mot, je ne voulais pas, mais ce sont les autres qui... Je l'interrompis. - Allons, allons, ce n'est pas grave, un simple malentendu...que cette rencontre heureuse va permette de dissiper... John, ne reste pas là, va donc prendre une douche. Il s'éloigna. J'en profitai pour faire à Anne-Séverine un peu de morale, et quelques suggestions. Très oppositionnelle au début, mes arguments finirent par la convaincre, mais elle ne m'en cracha pas moins un "vous me le paierez" furibard juste avant que John ne revienne dans la pièce, drapé dans un de mes peignoirs de bain. -Alors comment trouves-tu ton ex-conquête ?" -Belle... très belle, dit-il d'un air un peu gêné. On pourrait peut-être lui ôter les menottes ?, continua-t-il comme pour rompre un silence, qui se prolongea un peu trop à mon goût. Sur mon regard insistant, ce fut la fille qui répondit. - C'est très aimable, John, mais je préfère rester entravée, comme je l'ai demandé à notre hôte. Mais vous n'avez pas tout à fait répondu à sa question...Me trouvez-vous toujours à votre goût ? - Absolument. Aussi belle que mon souvenir. Évidemment, cette étrange coiffure change de la crinière de jadis. - Je ne sais pas ce qui m'a pris...j'ai voulu me faire toute seule une coupe à la mode, reprit-elle d'une voix de petite fille prise en faute, et voilà le résultat ! Je resterai affreuse des semaines avant de pouvoir égaliser tout ça... In petto, j'admirais la comédienne. - Mais non, reprit John, un peu décoincé, ce n'est pas affreux. Savez-vous que dans mon village -en Afrique- les jeunes filles en âge de se marier se rasent la tête, et tout le corps, et font en dansant l’offrande de leur toison à celui qu'elles choisissent ? - Quelle horreur !, s'exclama-t-elle. Je la fusillai du regard, tandis que John restait pensif, l'esprit dans des souvenirs lointains. - Moi je trouve ça très beau, et très sensuel, reprit-il, mais je comprends que vous ne compreniez pas. Un autre silence s'installa, pendant lequel Anne-Séverine s'efforçait d'éviter mon regard, mais elle savait que je lisais ses pensées, et que sa tâche était tracée. Au bout d'un moment elle reprit enfin. - Mais si John, je comprends. Très bien. Et suis heureuse de savoir maintenant comment vous plaire. Je souhaite vous faire ce même don en signe de réconciliation. John ne semblait pas comprendre. - Vous voulez dire... -Oui, reprit-elle d'une voix presqu'inaudible. Me couper les cheveux pour vous plaire. Sincèrement, cela me ferait plaisir. John était troublé, mais je ne lui laissai pas le temps de réfléchir. - Excellente idée, dis-je en libérant la natte de la chaînette des menottes, et aussi élégante que romantique. Montrez à notre ami que les filles de Passy peuvent faire aussi bien que les Bamilékés. Je l'amenai devant le miroir, les mains toujours menottées par devant, et lui tendis les ciseaux. John ne disait rien. Après un temps, comme les plongeurs avant de se jeter à l'eau, Anne-Séverine attaqua sa natte à la racine, tentant de mieux se voir dans la glace en tordant la tête dans tous les sens. Bien qu'un peu gênée par les bracelets, elle trancha sa tresse. Puis, un peu à tâtons, elle coupa grossièrement de ci de là, trichant un peu avec les gros ciseaux, et créant en quelques minutes un chaume aux zébrures inégales. Puis elle posa l'outil sur la cheminée, comme soulagée. -Vous voilà bien changée... Alors, est-ce ainsi qu'elles sont dans ton pays ?, repris-je à l'adresse de John. Celui-ci hésitait un peu. -Pas tout à fait. En fait les jeunes filles de là-bas ont le crâne parfaitement lisse... Anne-Séverine écarquilla les yeux sous ses épais sourcils, mais resta coite. - C'est bien ce que je pensais dis-je en m'éloignant vers la salle de bains . J'en ramenai un petit rasoir de sûreté et une bombe de mousse à raser que je posai à côté des ciseaux. -Voilà qui vous permettra de parfaire votre ouvrage, chère amie. - Êtes-vous bien sûre de pas le regretter ?, s'inquiéta John. - Certaine, souffla Anne-Séverine, fataliste. Elle secoua le flacon avec un cliquetis de chaîne, et se couvrit une pleine main de mousse. Puis elle s’en massa la tête et prit le rasoir. Ce fut assez long car elle le maniait gauchement, mais nous avions tout notre temps pour la regarder sillonner son crâne avec l'outil, qui laissait derrière lui -dans un crissement- des chemins de peau nue. Je dû quand même l'aider pour la finition, puis passai la serviette humide sur les restes spumeux. Elle était lisse comme un galet. - Et comme çà ? demandai-je à John, qui me semblait présenter une légère érection sous le peignoir. Il contempla cette tête irréelle un moment, puis dit : - C'est tout à fait cela. Encore que... Il réfléchissait avec l'air agacé des gens qui ont un mot sur le bout de la langue. -Je ne sais plus, il me semble qu'il manque quelque chose, mais quoi ?... Il tournait autour d'elle comme un sculpteur avant la dernière touche. -Les sourcils, peut-être ? hasardai-je. Le visage de John s'éclaira. - Mais oui, bien sûr, les sourcils, s'exclama-t-il avec excitation, comment cela a-t-il pu m'échapper... Il prit le rasoir, et en deux mouvements, débarrassa Anne-Séverine de son ultime pilosité. Cette dernière touche la transforma plus que je ne l'avais imaginé. - À la bonne heure ma petite Anne-Séverine, enchainai-je après avoir ôté ses menottes, mais ne vous asseyez-pas. N'aviez-vous pas parlé d'une offrande ?... Elle comprit, et tendit la natte qu'elle avait ramassée: - Je suis heureuse d'être belle pour vous, John. Elle avait l'air plus serein, comme une naufragée qui aperçoit la côte après des jours de mer.. Mais l'Africain restait les bras le long du corps, peu empressé de saisir son cadeau. J'eus une intuition. - Et la danse ? Tu as bien dis qu’elles dansaient pour leur élu, John ? - Oui elles dansent, dit-il les yeux au ciel. Longuement. D'abord sur une lente mélopée envoûtante, puis de plus en plus vite et fougueusement. Anne-Séverine semblait plus inquiète. En effet, je lui avais fermement enjoint d'obtenir le pardon de John, d'obtempérer à tous ses désirs, et surtout, de les précéder. Elle ne semblait pas au bout de ses peines. - S'agit-il de ces tambours de brousse dont tu m'as rapporté un enregistrement cet hiver ?, dis-je en fouillant dans le compartiment à cassettes du meuble de hi-fi. - Oui, c'est bien ça, répondit John. - Je ne connais pas grand-chose aux danses africaines, hasarda Anne-Séverine sur la défensive. - Pas de fausse modestie, rétorquai-je, ce n'est pas plus sorcier que ces macarenas endiablées, avec lesquelles je vous ai vu éclipser les plus belles filles de chez Castel ! Ah, la voici cette fameuse cassette... Pendant près d'une heure, nous eûmes droit à une représentation auprès de laquelle le Crazy Horse Saloon aurait fait figure de salle paroissiale. Au début la mise en scène fut un peu laborieuse. Mais entre les suggestions naïves de John et mes menaces silencieuses, la marge de manœuvre d'Anne-Séverine était mince, et le spectacle prit forme. Libérée de ses menottes, elle tangua d'abord lentement, pendant que je me renseignais -champagne à la main- sur les usages subtropicaux. Nous pûmes ainsi, avec l'encre violette, maquiller notre artiste selon la coutume: d'élégantes zébrures sur tout le corps, un masque de loup, et une particulière mise en valeur des zones sexuelles. Les souvenirs de John se précisaient. A l'aide d'un pinceau, j’appliquai sur le sommet du crâne fraîchement tondu une couche de colle qui finissait en pointe entre les sourcils, et sacrifiai un oreiller pour y faire adhérer un plumetis d'oie d'une blancheur immaculée -symbole de pureté sous toutes les latitudes. Puis je passai le pinceau à John pour le pubis. Il pria Anne-Séverine -qu'il savait bonne gymnaste- de faire l'arbre droit, puis d’écarter les jambes au maximum, afin d’exposer commodément ses trésors. A large coups de pinceau, il encolla le triangle lisse, pour y plaquer une poignée de duvet qui lui fit comme un string écumeux surmontant sa vulve nue. Anne-Séverine pu se relever ; elle ne se ressemblait plus du tout. Elle était devenue une mutante irréelle, à qui nous demandâmes de danser. Pendant qu'elle accélérait ses trémoussements pour suivre le rythme des tambours, John se souvint de curieux bijoux mammaires tribaux -fixés aux tétins-, que j'imitai sommairement grâce à deux des sinistres pinces, alourdies de glands de tapisserie. Après avoir allumés des havanes, nous priâmes Anne-Séverine -les mamelles ainsi lestées- de passer devant nous en sautillant, mais toujours en rythme, pour faire tournoyer les glands dans tous les sens. C'était assez douloureux, mais le sentiment d'humiliation effaçait un peu la souffrance, et au bout de plusieurs passages, le balancement de sa superbe poitrine fut parfaitement au point. Partie d'une sorte de jerk banal, notre danseuse -pénétrée par le martèlement des tambours- réinventait irrésistiblement les postures obscènes des bacchanales exotiques. Le tempo devenait infernal, mais son corps de gymnaste, incroyablement ferme -et maintenant inondé de sueur- restait admirable. Je dû toutefois rappeler à Anne-Séverine l'importance des mouvements du bassin, qu'elle avait tendance à négliger. Pour l'y aider, je lui fis une ceinture avec la corde de coton, y nouai sous le nombril le petit bout de la tresse, et lestai l'autre avec les menottes. Ainsi le métal froid et la touffe de cheveux venaient-il scander en cliquetant sur sa vulve glabre, le rythme de ses hanches. La cassette prit fin sur un tonnerre de roulements tétanisant, qui laissa Anne-Séverine pantelante, allongée sur la moquette, et totalement vidée. Nous applaudîmes courtoisement cette belle prestation pendant qu'elle reprenait lentement son souffle à terre. Puis John se leva devant elle, immense dans son peignoir blanc, et Anne-Séverine sut que le moment était arrivé. Elle commença à se relever, mais l'Africain ayant posé doucement la main sur son épaule, elle resta à genoux pour le rituel. Elle décrocha la natte de sa ceinture improvisée et l'éleva devant John des deux bras tendus au-dessus de sa tête duveteuse, les yeux vers le sol, et dit : - John, je vous supplie de me pardonner ma conduite, et de recevoir l'offrande ma chevelure. Prenez aussi mon corps -si vous le voulez encore- pour vous prouver la sincérité de mon repentir. La bosse qui déformait le peignoir de John répondait à sa place, mais il dit gentiment : - J'accepte de grand cœur, mais seulement si ce plaisir est partagé. Et justement notre hôte, qui pressentait votre offre, m'a délicatement fait comprendre votre préférence marquée pour la fellation, comme le rappelle avec franchise l'inscription sur votre front. Ne lui en veuillez d'avoir trahi ce petit secret, puisqu'il me donne l'occasion de vous satisfaire. J'espère que vous ne serez pas déçue, continua-t-il faussement modeste en faisant tomber son peignoir. Anne-Séverine ne put réprimer une exclamation en découvrant au-dessus de son nez une verge monumentale, et elle resta frappée de stupeur, la bouche grande ouverte.   John prit cela pour une invite et, empaumant la nuque rase pour l'attirer vers son ventre, pénétra -un peu en force- dans le fourreau offert, qu'il commença à pistonner. Je ne savais pas qu'une bouche pouvait s'ouvrir à ce point ! Anne-Séverine était méconnaissable. Pas seulement à cause du maquillage qui coulait sous les larmes. Le menton au sternum, elle cherchait son air par le nez avec une sorte de ronflement disgracieux. Par bonheur elle n'était pas enrhumée : l'asphyxie eût été immédiate… Ses mains en trompette ne faisaient pas le tour de l'énorme pénis, auprès duquel ses poignets ne semblaient pas plus gros de ceux d'une poupée, et mes bijoux improvisés -toujours fixés au bout des seins- balayaient les cuisses du géant noir. Étonnant contraste que les saccades du crâne laiteux d'Anne-Séverine où voletaient les plumes blanches, devant l'ébène luisant de la peau de John ! Au bout d'un long moment, il se pencha et lui dit gentiment à l'oreille : - Vous avez des dents magnifiques, belle amie, mais pour l'heure j'aimerais mieux qu’elle se fasse oublier. Elle obtempéra, en battant des cils vers lui pour se faire excuser, et John put amplifier le mouvement du globe chauve calé dans sa main de basketteur. Longuement excité par la danse, il ne tint pas longtemps, mais quand il accéléra pour le galop final, je cru que la tête d'Anne-Séverine allait s'ouvrir comme une pastèque... Sentant les prémices du feu d'artifice, John se retira une fraction de secondes avant d'exploser dans un cri sous le nez d'Anne-Séverine, qu'il aspergea de longues giclées successives sur la poitrine et le visage, faisant voler quelques plumes.                                                                      …OOOOOOOOO…              
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Par : le 23/10/23
  Alain et Fabrice, deux hommes aux antipodes, se sont rencontrés dans une tranquille petite ville de l'Aude, une ville paisible où la vie semblait suivre son cours sans heurts. Alain était un homme calme et réservé, un libraire de la ville. Il passait ses journées à entretenir sa petite boutique, à choisir soigneusement les livres pour sa clientèle variée et à savourer la quiétude de la lecture. Ses soirées étaient généralement consacrées à une petite promenade solitaire le long des ruelles pavées. En revanche, Fabrice était un homme flamboyant et extraverti, un avocat renommé qui ne passait pas inaperçu. Il aimait la vie nocturne, les soirées mondaines et était réputé pour sa nature charismatique. Les deux hommes semblaient tout droit sortis de mondes différents, et leurs chemins n'auraient probablement jamais dû se croiser. Cependant, le destin, ce mystérieux orchestrateur, avait d'autres plans. Un après-midi ensoleillé, alors qu'Alain se trouvait dans un café de la place principale de la ville en train de déguster un cappuccino et de lire un livre, Fabrice entra dans l'établissement. Son énergie éclatante semblait illuminer la pièce, et il s'installa à la table voisine. Un simple "Bonjour" de Fabrice brisa la barrière de l'indifférence. Les deux hommes engagèrent la conversation, et très rapidement, Alain fut subjugué par la personnalité magnétique de Fabrice. Ils échangèrent des histoires de vie, des passions et des rêves. Alain découvrit que derrière l'extraversion de Fabrice se cachait un esprit incroyablement ouvert et un profond intérêt pour les sujets les plus divers. Un jour, alors qu'ils se retrouvaient attablés devant leur café habituel, Fabrice aborda un sujet qui, pour Alain, était complètement inattendu : la soumission et la domination dans les relations intimes. Intrigué par le sujet, Alain commença à poser des questions et à explorer davantage cet univers si éloigné de sa routine calme. Fabrice, avec sa nature charismatique, lui parla de la complexité des relations et de la confiance nécessaire pour se livrer à de telles expériences. Il partagea des récits de rencontres passionnées où les limites étaient explorées, où la douleur et le plaisir se mêlaient dans une danse sensuelle. Alain, bien que surpris par ces révélations, sentit une curiosité grandissante en lui. Il se laissa emporter par les récits de Fabrice et commença à envisager un aspect inexploré de sa sexualité. Les discussions devinrent plus intimes et ils partagèrent leurs fantasmes les plus secrets, créant un lien profond basé sur la confiance et l'ouverture d'esprit. Ces conversations audacieuses élargirent les horizons d'Alain, l'amenant à remettre en question ses propres croyances et à explorer une sensualité oubliée. Il découvrit un nouveau niveau d'intimité avec Fabrice, où les frontières entre le plaisir et la douleur s'estompaient, où la confiance et le consentement étaient les fondements de leur relation. Cette découverte inattendue de l'univers de la soumission et de la domination dans leur intimité allait changer leur relation à jamais. Alain et Fabrice s'engagèrent dans un voyage de découverte mutuelle, où la passion, la confiance et l'exploration de soi se mêlaient harmonieusement. Ils réalisèrent que leur amour était bien plus profond et complexe que ce qu'ils avaient imaginé au départ, et ils embrassèrent cette nouvelle dimension de leur relation avec audace et affection. Au fur et à mesure de leurs rencontres, Fabrice continua à initier Alain vers de nouveaux horizons. Ils discutaient de fantasmes, de désirs, de consentement, et Fabrice partageait avec son nouvel ami des lectures éclairantes sur le BDSM, un univers bien éloigné de la littérature classique que vendait Alain dans sa librairie. Les deux hommes organisaient également des rencontres amicales en extérieur, explorant de nouvelles sensations et découvrant ensemble des aspects insoupçonnés de leur personnalité. Alain, à la fois curieux et réservé, se laissa emmener sans s'en rendre compte, malgré lui, dans cet univers si particulier. Au fil des mois, leur amitié se renforça, et leur complicité grandit. Ils partageaient des secrets, des confidences, et les escapades en plein air se transformèrent en véritables aventures. Ils naviguaient ensemble dans les eaux tumultueuses de la découverte de soi, de l'exploration de nouvelles sensations, et de la redéfinition de leurs limites personnelles. L'amitié entre Alain et Fabrice était, d'une manière étrange, une fusion de leurs mondes, une coexistence de la tranquillité et de l'extraversion. Ils avaient appris que les préférences personnelles et les choix de vie ne devaient pas définir une amitié, mais plutôt la renforcer. Ensemble, ils avaient découvert que la vie, même dans une petite ville tranquille de l'Aude, pouvait être pleine de surprises, d'aventures et d'amitiés qui transcendent les conventions sociales. Un jour, Fabrice invita Alain chez lui pour un dîner, une occasion de prolonger leur amitié dans un cadre plus intime. La soirée se déroula de manière agréable, avec des conversations animées et des plats délicieux. La chaleur d'un feu de cheminée et la douce lueur des bougies créaient une atmosphère propice à la confidence. Après le dîner, alors que la nuit enveloppait la maison de Fabrice, une tension électrique flottait dans l'air. Alain, habituellement si réservé, sentait son cœur battre plus vite, attiré par cette aura de sensualité qui l'entourait. Fabrice, avec sa nature charismatique, posa une main délicate sur celle d'Alain, lui faisant comprendre qu'il était là pour le guider dans cette nouvelle exploration. Sans un mot, ils se dirigèrent vers une pièce spéciale dans la maison de Fabrice, un sanctuaire intime où les désirs les plus profonds se réalisaient. Les murs étaient ornés d'instruments de plaisir, d'accessoires en cuir, d'attaches soigneusement disposées. Un mélange d'excitation et d'appréhension envahit Alain, mais il se sentait en sécurité avec Fabrice à ses côtés. Fabrice prit doucement la main d'Alain et commença à lui expliquer les différents outils et pratiques qu'ils pourraient explorer ensemble. Il lui parla de la confiance, du consentement et de l'importance de communiquer ouvertement tout au long de leur expérience. Alain, bien que novice dans ce domaine, se sentait prêt à se laisser emporter par cette nouvelle aventure. La nuit se transforma en une danse sensuelle de plaisir et de découverte. Alain et Fabrice s'abandonnèrent à leurs désirs les plus profonds, explorant les limites de leur propre confort et se laissant guider par l'autre. La confiance mutuelle était la clé de leur expérience, et chaque moment était marqué par une profonde connexion émotionnelle et une complicité inébranlable. Après cette nuit intense, Alain et Fabrice se retrouvèrent dans les bras l'un de l'autre, épuisés mais comblés. Ils avaient découvert un nouveau niveau d'intimité, une passion qui transcende les normes sociales et les attentes de la société. Leur amitié avait évolué en une relation unique, où l'amour, la confiance et l'exploration mutuelle se mêlaient harmonieusement. Alain avait trouvé en Fabrice un guide, un confident et un amant qui lui permettait d'explorer les aspects les plus profonds de sa sexualité. Ensemble, Alain et Fabrice continuaient à s'épanouir, à se soutenir mutuellement dans leurs aspirations et à embrasser les surprises que la vie leur réservait. Leur histoire était une preuve vivante que l'amitié peut transcender les frontières de l'ordinaire, offrant une véritable connexion qui va au-delà des conventions et des attentes. Alors que les deux amis discutaient, Fabrice commença à jouer subtilement de son charme. Il effleura le pied d'Alain sous la table, faisant naître une pointe d'électricité dans l'atmosphère. Alain pensa d'abord que c'était une simple erreur, une coïncidence. Cependant, Fabrice répéta l'action de manière intentionnelle, cette fois-ci plus audacieusement. Alain se sentit submergé par un mélange de surprise, de confusion et d'excitation. Bien qu'il n'était pas préparé à ce genre de situation, l'attirance qu'il ressentait pour Fabrice ne pouvait être niée. Face à face à la table, Fabrice prit doucement la main d'Alain, plongeant son regard dans les yeux de son ami. Ce geste simple mais rempli de sens fit battre le cœur d'Alain plus vite. Il regarda Fabrice, voyant la chaleur et l'affection dans ses yeux. Pour la première fois, Alain réalisa toute l'intensité de l'amitié, voire plus, qu'il éprouvait pour cet homme si différent mais pourtant si proche de lui. Fabrice, d'une voix douce, lui avoua son désir, son penchant pour les hommes soumis et son goût pour la féminisation. Il expliqua à Alain ce qu'il attendait, en prenant soin de souligner qu'il s'agissait d'une exploration consentie, respectueuse et basée sur une profonde confiance mutuelle. Alain était à la fois surpris, déconcerté et intrigué par cette révélation soudaine de la part de Fabrice. Il avait entendu parler de la soumission et de la domination, mais il n'avait jamais imaginé être lui-même impliqué dans une telle relation. Cependant, la curiosité et l'attraction qu'il ressentait pour Fabrice le poussaient à écouter attentivement et à essayer de comprendre. Fabrice continua à décrire ses fantasmes et ses attentes, mettant en avant l'importance de la communication, du respect des limites et du consentement mutuel dans ce genre de relation. Il expliqua à Alain qu'il voulait explorer avec lui le potentiel de leur connexion, tout en préservant leur précieuse amitié. Ses mots étaient empreints de tendresse et de sincérité, soulignant combien il tenait à préserver leur lien et à établir une relation basée sur le respect et la confiance. Fabrice prenait soin de choisir ses mots avec délicatesse, cherchant à rassurer Alain. Il lui expliqua que ses fantasmes n'étaient pas une demande de changement pour Alain, mais plutôt une invitation à découvrir ensemble de nouveaux horizons, à explorer les limites de leur amitié et à établir une complicité encore plus profonde. Il insistait sur le fait que rien ne devait être précipité, que chaque étape devait être franchie avec l'accord et le consentement mutuel. Il soulignait également qu'il était prêt à respecter les limites d'Alain et à ajuster leurs explorations en fonction de ses désirs et de son confort. Alain, ému par la sincérité de Fabrice, sentait une part de lui-même s'éveiller à cette nouvelle possibilité. Il appréciait la façon dont Fabrice avait pris soin de présenter ses désirs et d'expliquer ses attentes, sans jamais forcer ni exiger quoi que ce soit. Les deux amis se regardèrent, leurs regards se remplissant d'une compréhension mutuelle et d'une connexion profonde. Alain savait qu'il devait prendre le temps de réfléchir, d'explorer ses propres sentiments et de discuter de cette nouvelle dynamique avec Fabrice. Mais il sentait également que leur amitié avait la force nécessaire pour évoluer et se transformer, tout en préservant l'amour et le respect qui les unissaient. Dans cette scène, l'accent est mis sur l'importance de la communication et du respect mutuel dans le contexte de la découverte de nouveaux aspects d'une relation. La volonté de Fabrice de préserver leur amitié tout en explorant de nouvelles dynamiques est mise en valeur, tout en laissant à Alain le temps et l'espace nécessaires pour réfléchir et prendre des décisions en toute liberté. Alain, bien que confus et incertain de sa propre réaction, écouta Fabrice avec une attention croissante. Il se sentait à la fois vulnérable et curieux, et il réalisa que cette conversation pouvait changer à jamais la dynamique de leur amitié. Cependant, il savait aussi que cette discussion était une occasion d'explorer des aspects de sa propre sexualité et de sa personnalité qu'il n'avait jamais envisagés auparavant. Alors, avec un mélange d'appréhension et de désir, il choisit de continuer à écouter et à découvrir ce nouveau monde que Fabrice lui proposait. Les paroles de Fabrice résonnaient dans l'esprit d'Alain, suscitant une multitude de pensées et d'émotions. Il se demandait comment il avait pu être aveugle à cette part de lui-même, à ces désirs qui semblaient maintenant prêts à émerger de l'ombre. L'idée de se laisser guider par Fabrice dans cette exploration inconnue était à la fois effrayante et excitante. Lentement, Alain rassembla son courage et prit la parole. "Fabrice, je dois avouer que je suis confus et que tout cela est nouveau pour moi. Mais je suis également attiré par cette idée d'explorer de nouveaux horizons avec toi. Notre amitié est si profonde et sincère, je pense que nous pouvons traverser cette expérience ensemble, en respectant nos limites et en nous soutenant mutuellement." Fabrice sourit doucement, reconnaissant la bravoure d'Alain et son ouverture d'esprit. Il prit délicatement la main d'Alain dans la sienne, transmettant ainsi un sentiment de réconfort et de complicité. "Je suis heureux que tu sois prêt à entreprendre cette aventure avec moi, mon cher ami. Nous allons avancer à notre rythme, en explorant chaque recoin de nous-mêmes et en préservant toujours notre lien précieux." Alain sentit un poids se lever de ses épaules, remplacé par une légèreté nouvelle. Bien que les défis et les incertitudes les attendaient, il savait qu'ils avaient maintenant une chance de se découvrir mutuellement d'une manière qu'ils n'auraient jamais imaginée. Leur amitié, profonde et solide, était le socle sur lequel ils pourraient construire une relation exploratoire, empreinte de confiance, de respect et d'amour. À la fin du repas, Alain et Fabrice se retrouvèrent dans le confortable canapé du salon de Fabrice. L'atmosphère était chargée d'anticipation et d'excitation, alors que Fabrice se montra de plus en plus entreprenant, déposant des baisers délicats sur le cou d'Alain. Les caresses subtiles et les murmures sensuels enveloppaient la pièce d'une aura chargée d'érotisme. Alain, incapable de résister à l'attraction magnétique qu'il ressentait pour son ami, se laissa emporter par le moment, ses inhibitions s'évanouissant au fur et à mesure que Fabrice approfondissait son contact. L'expérience était nouvelle, intrigante et incroyablement excitante pour lui. Les frissons parcouraient le corps d'Alain alors que Fabrice continuait d'explorer chaque parcelle de sa peau avec une tendresse et une passion troublantes. Les caresses se faisaient de plus en plus audacieuses, les souffles se mêlaient dans une danse enivrante. Les lèvres de Fabrice se posèrent doucement sur celles d'Alain, déclenchant une vague de désir intense. Leurs baisers étaient à la fois doux et ardents, révélant une connexion profonde qui transcendaient les mots. Leurs corps se rapprochèrent, se pressant l'un contre l'autre, cherchant à se fondre ensemble dans une fusion passionnée. Les mains de Fabrice parcouraient avec assurance les courbes d'Alain, explorant chaque recoin de son être avec une attention délicate. Les soupirs et les gémissements témoignaient de leur désir mutuel, d'une alchimie enflammée qui les consumait. Dans cette intimité partagée, Alain se sentait libre d'explorer ses propres désirs, de se laisser guider par les mains expertes de Fabrice. Chaque sensation, chaque contact, était un voyage intime vers la découverte de soi et de l'autre. Ils se perdaient dans l'étreinte passionnée, leurs corps s'entremêlant dans une danse de plaisir et de complicité. Leur exploration se prolongea mélangeant rires, soupirs et étreintes dans une symphonie sensuelle. Ils avaient franchi une frontière inconnue, mais le sentiment de confiance et de respect mutuel les guidait tout au long de cette expérience. Ils savaient que cette nuit n'était qu'un début, le début d'une aventure inoubliable qui allait redéfinir leur amitié et leur sexualité. C'est alors que Fabrice fit une pause, ses yeux plongés dans ceux d'Alain. Il lui demanda avec une voix douce, empreinte de désir, s'il pouvait aller plus loin. Cependant, il posa une condition avant de poursuivre, voulant s'assurer qu'Alain comprenait bien ce à quoi il s'engageait. Fabrice commença à expliquer en détail ce qu'il attendait d'Alain dans cette relation. Il parla de la soumission, décrivant avec précision les scénarios sensuels et les jeux de rôle qu'il avait en tête. Il précisa qu'il aimait la féminisation, la douceur et la confiance mutuelle qui devaient être au cœur de leur exploration. Il rassura Alain sur le fait que son amitié resterait intacte, quoi qu'il décide, et qu'ils pourraient maintenir une communication ouverte et honnête tout au long de leur parcours. Alain écouta attentivement, absorbant chaque mot, et sentant son désir monter encore plus. Les détails que Fabrice lui donnait éveillaient en lui une curiosité et une excitation qu'il n'avait jamais ressenties auparavant. Il était partagé entre l'excitation de l'inconnu et la peur de franchir cette étape. Cependant, Fabrice était compréhensif et patient, lui donnant le temps de réfléchir, de poser des questions et de décider s'il était prêt à explorer cet aspect de lui-même. Les pensées d'Alain étaient tourbillonnantes, oscillant entre l'envie de se laisser aller à cette nouvelle expérience et l'appréhension des conséquences. Mais alors qu'il regardait Fabrice, il voyait la confiance et l'amour dans ses yeux, et cela le rassurait. Il savait qu'il ne serait pas seul dans cette aventure, qu'ils iraient de l'avant ensemble, main dans la main. Finalement, Alain prit une profonde inspiration et répondit à Fabrice, sa voix légèrement tremblante mais remplie de détermination. "Je suis prêt à découvrir cet aspect de moi-même avec toi, Fabrice. Je suis prêt à t'offrir ma confiance et à explorer ces nouvelles frontières, à condition que nous restions toujours sincères l'un envers l'autre et que nous respections nos limites." Un sourire radieux illumina le visage de Fabrice, et il entrelaça ses doigts avec ceux d'Alain. "Je suis honoré que tu acceptes de partager cette expérience avec moi, mon ami. Je serai là à chaque instant, pour t'écouter, te guider et t'aimer. Ensemble, nous allons explorer des horizons insoupçonnés et vivre une passion qui transcendera tout ce que nous avons connu jusqu'à présent." Alain et Fabrice continuèrent leur soirée, mêlant leur complicité amicale à leur nouvelle dynamique. La tension sexuelle qui flottait dans l'air créa une atmosphère chargée d'excitation. Ils se lancèrent dans des conversations plus intimes et explorèrent plus en détail les désirs et les fantasmes de chacun. Fabrice partagea avec Alain sa passion pour la soumission, expliquant comment elle pouvait être une source de plaisir et d'accomplissement. Il décrivit plus en détail son goût pour la féminisation, pour la douceur et la confiance. Alain écouta avec attention, désireux de comprendre ce monde encore inconnu pour lui. Il posa des questions, cherchant à approfondir sa compréhension et à se familiariser avec les concepts et les pratiques dont Fabrice parlait. Chaque explication de Fabrice éveillait en Alain une curiosité grandissante, un désir de connaître ses propres limites et de se laisser guider par cette nouvelle expérience. Les mots de Fabrice étaient empreints d'une sensualité troublante, et Alain sentait son corps réagir à chaque description. Les images évoquées dans son esprit suscitaient une excitation grandissante, mêlée à une certaine appréhension face à l'inconnu. Mais il était déterminé à explorer ces aspects de lui-même, à se découvrir d'une manière qu'il n'avait jamais envisagée auparavant. Fabrice, voyant l'étincelle dans les yeux d'Alain, savait que leur connexion devenait de plus en plus profonde. Il était heureux de partager cette part intime de lui-même avec son ami, de l'inviter dans ce monde de plaisir partagé. Il promit à Alain d'être patient, de l'accompagner dans ses découvertes et de respecter ses limites à tout moment. Fabrice était patient et attentif à ses questions, et ils établirent des règles claires pour leur nouvelle aventure, garantissant que leur amitié et leur bien-être restaient au centre de tout ce qu'ils entreprenaient. La nuit avançait, et Alain se laissa guider par Fabrice dans cette exploration de soi, établissant un équilibre délicat entre la confiance et le respect. Ils se découvrirent mutuellement, franchirent des frontières et s'épanouirent dans leur nouvelle relation naissante. Leurs corps s'entrelaçaient dans une danse sensuelle, chaque caresse étant un pas de plus vers une intimité profonde et enivrante. Les murmures échangés entre eux étaient empreints d'une complicité grandissante, et chaque regard échangé était chargé d'une connexion intense. Alain se sentait libre d'explorer ses propres désirs, ses propres limites, sachant qu'il était soutenu et aimé par Fabrice à chaque instant. Les sensations qui parcouraient son corps étaient à la fois familières et nouvelles, un mélange exquis de plaisir et d'excitation. Chaque toucher, chaque souffle, était une exploration de soi, une découverte de leur chimie unique. Fabrice, doux et attentionné, guidait Alain avec une délicatesse incroyable, respectant ses limites et écoutant attentivement ses réactions. Chaque moment partagé était une symphonie de sensations, une fusion de désirs qui les enveloppait dans une bulle intime, loin du monde extérieur. Ils s'abandonnaient l'un à l'autre, en se laissant porter par les vagues de plaisir et de désir qui les submergeaient. Les soupirs et les gémissements se mêlaient, créant une symphonie envoûtante qui remplissait la pièce de leur passion partagée. La nuit s'étira, et les étreintes se firent de plus en plus passionnées, les frontières entre leurs corps et leurs esprits s'estompant progressivement. Ils se perdaient dans une extase mutuelle, explorant les profondeurs de leurs désirs et créant des souvenirs qui resteraient gravés dans leur esprit et leur cœur pour toujours. La nuit avançait, et Alain se laissa guider par Fabrice dans cette exploration de soi, établissant un équilibre délicat entre la confiance et le respect. Ils se découvrirent mutuellement, franchirent des frontières et s'épanouirent dans leur nouvelle relation naissante. Leur complicité grandissait à mesure qu'ils se plongeaient dans cette expérience inattendue. Chaque instant était empreint d'une intensité palpable, d'une connexion profonde qui les enveloppait dans un cocon d'érotisme et de désir. Fabrice, avec une assurance mêlée de tendresse, guida Alain dans une danse sensuelle. Leurs corps se mouvaient en harmonie, explorant chaque recoin de leur être avec une passion dévorante. Chaque caresse était un écho de leur complicité grandissante, chaque souffle échangé était une promesse de plaisir partagé. Dans l'intimité du salon, Fabrice fit preuve d'une audace de plus en plus enivrante. Il demanda à Alain de se lever du canapé, créant une dynamique nouvelle entre eux. Alain, mêlant excitation et anticipation, obéit à sa demande, se mettant debout à côté de Fabrice. Le regard intense et perçant de Fabrice se posa sur Alain, avec une tendresse mêlée de désir brûlant, Fabrice défit lentement le bouton du jean d'Alain, faisant glisser la braguette et descendant délicatement le tissu jusqu'aux chevilles d'Alain. Chaque geste était empreint d'une sensualité troublante et d'un appétit insatiable, chaque mouvement calculé pour provoquer une excitation grandissante et pousser Alain vers de nouveaux horizons de plaisirs inexplorés.tandis que Fabrice manipulait la cage de chasteté, la faisant glisser sur le membre d'Alain avec une précision infinie. Les sangles se resserraient progressivement, enserrant fermement le membre d'Alain et le maintenant en captivité. Alain ressentait un mélange de sensations intenses, entre l'envie irrépressible de jouissance et la frustration délicieuse de sa liberté entravée. Alors que son esprit s'ouvrait à cette nouvelle facette de leur relation, où le contrôle et le consentement se mêlaient dans une danse sensuelle et provocante. Chaque détail était soigneusement pris en compte, chaque sensation savourée avec une intensité troublante. L'atmosphère était chargée d'une excitation électrisante, où le moindre geste, le moindre souffle, amplifiait le désir brûlant qui les consumait. Ils étaient prêts à explorer ces territoires inconnus, à se laisser guider par leurs pulsions les plus profondes, dans un voyage riche en émotions et en plaisirs enivrants. C'était une expérience qui dépassait les limites de la convention pour Alain. Une union où la confiance et le consentement se mêlaient à une exploration audacieuse du plaisir. Les deux amants se perdaient dans cette étreinte passionnée, se laissant emporter par la délicieuse torture de la chasteté et la promesse de libération ultime. Ils étaient prêts à se découvrir mutuellement, à repousser les frontières du plaisir et à s'abandonner à l'extase de l'inconnu. Dans ce moment de connexion intense, Fabrice ressentait une excitation mêlée d'une profonde affection pour Alain. Son regard pénétrant exprimait à la fois la confiance qu'il avait en Alain et l'excitation de se lancer dans cette aventure inexplorée. Alain, captivé par le regard intense de Fabrice, sentait son cœur battre plus vite. Il comprenait que ce moment marquait le début d'une exploration profonde de leur relation, une exploration qui allait les conduire vers des territoires inconnus et excitants. Leur complicité grandissait à mesure qu'ils se regardaient, leurs yeux se perdant dans une communication silencieuse. Ils étaient prêts à se laisser guider l'un par l'autre, à se découvrir mutuellement dans cette expérience partagée. Ce moment était chargé d'une énergie électrique, d'une promesse de découvertes et de plaisirs à venir. Fabrice, avec un sourire complice, prit doucement la main d'Alain, lui signifiant qu'ils étaient prêts à franchir ensemble les limites de leur imagination et à explorer les profondeurs de leur désir. Fabrice dit doucement à Alain: "Tu n'es plus Alain, mais elle, et je t'appellerai Pat." La transformation symbolique était complète, et Pat se laissa emporter par ce nouveau nom, se sentant vulnérable, mais aussi libéré d'une manière inattendue. Les mots de Fabrice résonnaient dans l'air, créant une atmosphère chargée d'excitation et de découverte. Pat se sentait à la fois ému et intrigué par cette nouvelle identité qui lui était attribuée. C'était comme si une porte s'ouvrait vers un monde inexploré, où les limites de l'expression de soi étaient repoussées. Fabrice, conscient de l'importance de ce moment, se leva avec précaution. Il savait que chaque geste, chaque contact, serait empreint de sens et de significations profondes. Avec une grande délicatesse, il commença à déshabiller Pat, retirant ses vêtements un par un. Chaque vêtement qui tombait révélait la peau nue et vulnérable de Pat. Chaque mouvement de Fabrice était calculé pour susciter une excitation grandissante, mais aussi pour créer un sentiment de confiance et de sécurité. Pat se sentait à la fois exposé et protégé, prêt à se laisser guider par Fabrice dans cette aventure singulière. Leurs regards se croisaient, transmettant une connexion profonde et une compréhension mutuelle. Fabrice était conscient de la responsabilité qui lui incombait, celle de prendre soin de Pat, de l'accompagner dans cette exploration de soi. Chaque geste était empreint d'une tendresse infinie, d'un respect mutuel. Alors que les vêtements tombaient un à un, Pat se sentait de plus en plus libre, débarrassé des contraintes et des attentes de la société. Chaque morceau de tissu qui tombait était comme une libération, permettant à Pat d'embrasser pleinement cette nouvelle identité et de se laisser emporter par les sensations et les émotions qui se déployaient. Après avoir dénudé Pat, Fabrice sortit de sa garde-robe une jolie nuisette en dentelle, soigneusement choisie pour mettre en valeur la féminité de Pat. Il l'aida à enfiler la nuisette, ajustant chaque détail avec soin. Chaque contact de la dentelle sur la peau de Pat provoquait une sensation délicieusement sensuelle. La douceur du tissu caressait sa peau nue, amplifiant l'éveil de sa féminité. Fabrice prenait le temps de s'assurer que chaque ajustement soit parfait, veillant à ce que Pat se sente à l'aise et belle dans cette nouvelle parure. Pat ressentit un mélange de gêne, d'excitation et de découverte. Cette expérience était une exploration de soi, une redéfinition de son identité. Mais il se laissa guider par Fabrice, se laissant aller à cette transformation. Chaque geste de Fabrice était empreint d'une tendresse infinie, d'une compréhension profonde de la vulnérabilité et de la beauté de cette expérience. Cette nouvelle expérience redéfinissait leur amitié, tout en approfondissant la confiance et la complicité entre eux. Ils se soutenaient mutuellement dans cette aventure singulière, s'encourageant à embrasser pleinement cette exploration de soi. Chaque instant était empreint d'une connexion profonde, d'une intimité partagée qui les rapprochait davantage. La soirée se poursuivit, et Pat, désormais dans la peau de cette nouvelle personne, se laissa emporter par la découverte de sa propre féminité et de cette aventure unique. Chaque pas, chaque mouvement était une exploration, une affirmation de soi. Pat se sentait à la fois vulnérable et puissante, se dévoilant progressivement à travers cette transformation. Après avoir aidé Pat à enfiler la délicate nuisette en dentelle, Fabrice laissa échapper un soupir d'approbation, ravi du résultat. La nuisette mettait en valeur la silhouette de Pat, soulignant sa féminité naissante. Chaque détail de la dentelle accentuait la beauté de Pat, faisant ressortir ses courbes avec élégance et sensualité. Ils se rapprochèrent, leurs corps se frôlant délicatement, et échangèrent des regards empreints de désir et de complicité. Les lèvres de Fabrice se posèrent doucement sur celles de Pat, scellant cette nouvelle étape de leur relation avec des baisers tendres et passionnés. Leurs étreintes se firent plus intenses, empreintes de cette connexion profonde qui se renforçait à chaque instant. Dans cette soirée chargée d'exploration et de sensualité, chaque geste était empreint de douceur et de respect. Leurs corps se mouvaient en harmonie, explorant les contours et les sensations de l'autre. Chaque caresse, chaque contact était intensément ressenti, faisant monter en eux une vague d'excitation et de plaisir partagé. Les caresses étaient douces et pleines de désir, chaque geste chargé de la promesse de quelque chose de nouveau et d'excitant. Les lèvres de Fabrice cherchaient celles de Pat, les effleurant avec tendresse avant de s'enfoncer dans des baisers passionnés. Leurs corps étaient enflammés par une passion dévorante, leurs souffles s'entremêlant dans une danse sensuelle. Les mains de Fabrice parcouraient chaque centimètre de la peau de Pat, explorant avec ardeur les contours et les courbes qui éveillaient en lui un désir insatiable. Les vêtements de Pat glissaient lentement sur son corps, révélant petit à petit sa nudité brûlante. Chaque caresse était un feu qui s'allumait, chaque contact un écho de plaisir qui se propageait entre eux. Les murmures de désir se mêlaient à leurs soupirs de plaisir, créant une symphonie érotique qui remplissait la pièce. Fabrice et Pat partagèrent ces moments intimes, laissant le désir monter, mais aussi laissant place à la tendresse et à la connexion émotionnelle. Leurs corps se mouvaient en harmonie, dans une danse passionnée qui éveillait des sensations enivrantes. Chaque toucher, chaque frôlement était une invitation à explorer les limites de leur sensualité, à s'abandonner à cette expérience érotique qui les unissait d'une manière inoubliable. Finalement, Fabrice, le visage empreint d'anticipation, prit la main de Pat et l'emmena jusqu'à son lit, où ils s'allongèrent doucement. Leurs corps se rapprochèrent, laissant place à une proximité électrisante. La tension sexuelle était palpable, chacun d'eux étant conscient de l'intensité de ce moment. Fabrice, les yeux brillants d'excitation, caressa délicatement le visage de Pat, laissant ses doigts effleurer chaque courbe avec une tendresse infinie. Il murmura à l'oreille de Pat avec une voix rauque : "Tu es maintenant une femme, et nous ferons l'amour comme tel." Ces mots résonnèrent dans l'air, créant une atmosphère chargée de désir et de passion. Pat sentit son cœur s'emballer, mêlant l'excitation et l'appréhension de cette nouvelle expérience. Chaque fibre de son être était éveillée, prête à se laisser emporter par les sensations et les émotions qui allaient suivre. Les lèvres de Fabrice cherchèrent celles de Pat, s'unissant dans un baiser torride et langoureux. Leurs langues dansaient en parfaite harmonie, explorant chaque recoin de leurs bouches avec une intensité enivrante. Les mains de Fabrice se déplaçaient avec assurance, caressant la peau nue de Pat, provoquant des frissons délicieux qui se propageaient dans tout son corps. Ils se découvraient mutuellement, mettant en pratique leur désir d'explorer cette nouvelle dimension de leur relation. Chaque toucher, chaque effleurement était empreint d'une délicatesse enivrante, amplifiée par l'amour et le respect qu'ils éprouvaient l'un envers l'autre. Les vêtements glissèrent lentement, révélant la nudité brûlante de leurs corps enlacés. Fabrice prenait son temps, savourant chaque instant de cette union charnelle. Les caresses se firent plus intenses, les soupirs se mêlaient aux gémissements dans une symphonie de plaisir partagé. dans une intimité passionnée et consentie. Alors que leur exploration se poursuivait, Fabrice éprouva un plaisir intense et finit par jouir dans l'anus de Pat. Pat ressentit une sensation nouvelle et agréable d'être pénétré pour la première fois. Chaque mouvement de Fabrice était empreint de douceur et d'attention, procurant à Pat une expérience à la fois excitante et pleine de découvertes. La cage ajoutait une dimension de jeu et de restriction à leur expérience, intensifiant les sensations ressenties par Pat. La sensation du sperme coulant le long de ses fesses ajouta une pointe de sensualité et de connexion intime à leur expérience partagée Cette promesse était chargée d'émotion, de désir et de confiance. Les deux amis devenus amants savaient qu'ils s'engageaient dans un territoire inconnu, mais ils le faisaient ensemble, dans le respect et l'amour mutuel, avec la conviction que cette nouvelle étape de leur relation les rapprocherait davantage, tout en les emmenant vers des horizons sensuels et émotionnels encore inexplorés pour Pat. Le lendemain matin, alors qu'ils partageaient leur petit déjeuner, Fabrice posa son regard sur Pat avec un sourire chaleureux. Il rompit le silence en disant : "Pat, ce que nous avons vécu hier soir n'était que le commencement. Nous allons continuer à explorer cette nouvelle dynamique." Pat, un mélange de nervosité et d'anticipation dans les yeux, écouta attentivement ce que Fabrice avait à dire. Fabrice continua : "Je pense qu'il est temps pour toi de t'habituer à ton nouveau statut. Bientôt, tu t'habilleras en femme, et nous ferons notre première sortie en ville. Ce sera une expérience pour toi, une chance de t'immerger dans ce nouveau rôle et de te sentir plus à l'aise dans ta peau." Les mots de Fabrice résonnaient dans l'air, créant une excitation palpable chez Pat. L'idée de se présenter au monde en tant que femme était à la fois intimidante et exaltante. Pat se demandait comment les autres réagiraient, comment elle se sentirait dans ce nouveau rôle qui se dessinait devant elle. Cependant, Fabrice était là pour la soutenir, pour la guider dans cette nouvelle aventure. Son sourire bienveillant et son soutien inconditionnel lui donnaient la confiance nécessaire pour se lancer dans cette expérience. Pat savait qu'elle pouvait compter sur Fabrice à chaque étape de cette transformation, et cela lui apportait un sentiment de réconfort et de sécurité. La perspective de cette première sortie en ville était à la fois excitante et terrifiante. Pat imaginait déjà les regards curieux des passants, les chuchotements et les regards interrogateurs. Mais elle se rappelait aussi les paroles de Fabrice, l'encourageant à être fière de qui elle était et à embrasser cette nouvelle identité. Fabrice et Pat commencèrent à planifier cette sortie, choisissant avec soin les tenues et les accessoires qui mettraient en valeur la féminité de Pat. Chaque détail était pensé avec soin, chaque choix fait avec amour et respect. Pat se sentait soutenue et aimée à chaque étape de cette aventure. Le jour de la sortie arriva enfin. Pat se tenait devant le miroir, vêtue d'une tenue élégante qui reflétait sa nouvelle identité. Elle se regarda avec fierté, réalisant à quel point elle avait parcouru un chemin incroyable avec l'aide de Fabrice. Main dans la main, Fabrice et Pat sortirent dans la rue, prêts à affronter le regard du monde. La confiance de Pat grandissait à chaque pas, se nourrissant de l'amour et du soutien de Fabrice. Cette première sortie marquait le début d'une aventure passionnante, d'une exploration de soi et d'une découverte de la véritable essence de Pat. La ville était animée, avec ses rues commerçantes bondées de passants et ses cafés en terrasse où les gens profitaient du soleil. Pat, mélange de nervosité et d'excitation, ressentait les regards curieux de quelques passants, mais aussi les sourires bienveillants de ceux qui semblaient apprécier sa démarche. Ils déambulèrent lentement, s'arrêtant de temps en temps pour explorer les boutiques et les vitrines. Fabrice, avec son charisme habituel, l'accompagnait avec une présence rassurante, partageant des conversations légères et distrayantes pour détendre l'atmosphère. Ils s'installèrent finalement à une terrasse de café pour déjeuner, où Pat se sentit de plus en plus à l'aise dans son nouveau rôle. Les serveurs les accueillirent avec gentillesse, et le déjeuner se déroula de manière agréable, renforçant la confiance de Pat dans cette nouvelle réalité. Le soleil caressait doucement leur peau, ajoutant une touche de chaleur à cette journée déjà empreinte d'émotions. Les conversations animées se mêlaient aux rires qui s'échappaient de leurs lèvres, créant une ambiance joyeuse et complice. Pat admirait les passants, observant la diversité des personnes qui peuplaient les rues. Elle se sentait partie intégrante de cette mosaïque de vies, d'histoires et d'expériences. Chaque sourire, chaque regard bienveillant qu'elle croisait renforçait sa confiance et sa fierté. Fabrice, toujours aux petits soins, partageait avec enthousiasme ses découvertes et ses coups de cœur. Il encourageait Pat à exprimer ses préférences, à choisir des vêtements qui reflétaient sa personnalité et à s'approprier pleinement son nouveau rôle. Chaque décision prise était un pas de plus vers l'acceptation et l'expression de soi. Après le déjeuner, ils se promenèrent main dans la main le long des rues animées. Les regards curieux se transformèrent en sourires complices et en signes de reconnaissance. Pat se sentait de plus en plus à l'aise dans sa peau, embrassant sa féminité avec grâce et détermination. La journée se termina avec un coucher de soleil magnifique, illuminant le ciel de teintes chaudes et dorées. Pat et Fabrice s'assirent sur un banc, contemplant le spectacle avec émerveillement. Ils partagèrent un moment de silence, bercés par la beauté de l'instant et la satisfaction de cette première sortie réussie. Pat se rendit compte qu'il s'agissait d'une étape cruciale dans son processus d'adaptation à ce nouveau statut. Il était reconnaissant envers Fabrice pour son soutien constant et sa compréhension. De retour à la maison, la journée en ville avait été à la fois stimulante et épuisante pour Pat. Fabrice avait été présent à ses côtés à chaque instant, offrant son soutien silencieux et sa compréhension. Alors qu'ils s'installèrent confortablement dans le salon, Fabrice demanda à Pat comment il se sentait après cette première sortie en tant que femme. Pat exprima sa gratitude envers Fabrice pour son accompagnement, mentionnant les regards curieux, mais aussi les sourires bienveillants des passants qui avaient marqué sa journée. Ils discutèrent des moments forts de leur expérience, et Pat exprima sa confiance croissante dans son nouveau rôle. La douce lueur des lampes éclairait le salon, créant une atmosphère intime et chaleureuse. Pat se blottit confortablement dans le canapé, savourant la sensation de sécurité que lui procurait la présence de Fabrice à ses côtés. Les émotions de la journée tourbillonnaient dans son esprit, tandis que son corps se détendait peu à peu. Fabrice, avec une tendresse palpable dans les yeux, écouta attentivement les paroles de Pat. Il comprenait l'importance de cette première sortie, le mélange d'excitation et d'appréhension qui l'accompagnait. Il prit doucement la main de Pat dans la sienne, offrant un soutien silencieux mais puissant. Les mots s'échappaient des lèvres de Pat, exprimant sa gratitude envers Fabrice pour son rôle essentiel dans cette transformation. Chaque sourire bienveillant, chaque regard encourageant des passants avait renforcé sa confiance et sa détermination à embrasser pleinement cette nouvelle identité. Ils revécurent ensemble les moments forts de leur journée, partageant les anecdotes, les rires et les émotions qui avaient marqué cette expérience. Fabrice écoutait attentivement, offrant des mots de réconfort et d'encouragement lorsque c'était nécessaire. La connexion entre eux s'intensifiait, renforçant leur lien d'amitié et leur complicité. Pat se sentait de plus en plus à l'aise dans son nouveau rôle, dans cette identité féminine qui s'épanouissait peu à peu. La confiance grandissait, nourrie par l'amour et le soutien de Fabrice. Ils savaient qu'ils étaient sur un chemin unique, une aventure qui les rapprochait et les transformait en même temps. La soirée se poursuivit dans une atmosphère paisible, remplie de conversations profondes et d'échanges sincères. Ils partagèrent leurs espoirs, leurs aspirations et leurs craintes, renforçant leur complicité et leur confiance mutuelle. Après cette discussion, Fabrice prit doucement la main de Pat et l'invita à le suivre dans la chambre. Ils s'engagèrent dans cette pièce intime, leur cœur battant la chamade alors que l'excitation montait en eux. Fabrice guida Pat jusqu'au lit, où il l'assit avec précaution. Une pause s'installa, remplie d'une tension électrique qui les enveloppait. Leurs regards se croisèrent, fixant intensément l'autre, les yeux reflétant à la fois le désir et la curiosité. Avec une voix chargée de désir, Fabrice ouvrit lentement le bouton de son pantalon, l'atmosphère se chargeant d'une excitation palpable. Chacun des gestes de Fabrice était empreint d'une sensualité captivante, captivant l'attention de Pat. Son regard ne quittait pas Fabrice, absorbant chaque détail et se préparant pour ce qui allait suivre. Fabrice se rapprocha lentement de Pat, leurs corps se trouvant à une distance si proche que l'air semblait électrifié. Il murmura à l'oreille de Pat avec une voix suave et envoûtante : "Maintenant, Pat, nous allons continuer notre voyage dans cet univers. Je veux que tu comprennes ce que cela signifie d'embrasser pleinement cette nouvelle réalité. Comporte-toi comme une femme, montre-moi que tu as bien compris." Ces mots résonnèrent dans l'air, créant une tension érotique qui s'empara d'eux. Pat sentit son pouls s'accélérer, mêlant l'excitation et une pointe d'appréhension face à l'inconnu. Néanmoins, la confiance en Fabrice et le désir de se laisser emporter par cette expérience nouvelle l'encouragèrent à se laisser guider. Le regard de Pat se teinta d'une lueur d'assurance et de détermination. Elle comprenait l'importance de se comporter comme une femme, d'incarner pleinement cette nouvelle réalité pour eux deux. C'était un acte d'amour et de confiance, une façon de montrer à Fabrice qu'elle était prête à explorer ce territoire inconnu avec lui. La scène se déroula dans une aura de mystère et de passion, avec Fabrice prenant l'initiative et Pat se laissant guider par ses désirs et ses attentes. Chacun des gestes, chaque regard échangé, était chargé d'une électricité sensuelle qui les enveloppait. Ils étaient prêts à se perdre dans les profondeurs de cette nouvelle réalité, prêts à explorer ensemble les limites du plaisir et de l'intimité. Pat, se trouvant maintenant devant le sexe tendu de Fabrice, ressentait un mélange de désir et d'anticipation. Pat acquiesça, consentant à se laisser guider par Fabrice dans cette aventure érotique. Fabrice, conscient de l'excitation de Pat, guida doucement Pat jusqu'à ce que sa bouche soient parfaitement synchronisés. Pat sentit la chaleur et la pulsation du sexe de Fabrice dans sa bouche, tandis que Fabrice atteignait les sommets de l'extase. Chaque mouvement de Pat était une caresse sensuelle qui ravivait le plaisir de Fabrice, le conduisant inévitablement vers l'apogée de la jouissance. Alors que Fabrice se déversait dans la bouche de Pat, Pat ressentit un mélange de goût salé et sucré, une sensation à la fois nouvelle et délicieuse. L'expérience était intense et passionnée, Cette étape marquait une nouvelle profondeur dans leur relation, une exploration de leur désir mutuel et une acceptation complète de cette nouvelle identité de Pat. Ils savaient que ce voyage les emmènerait encore plus loin dans un monde d'intimité, de découverte de soi. La scène se déroula dans une atmosphère chargée de sensualité et de connexion profonde. Les gestes de Pat étaient empreints d'une volonté d'offrir du plaisir à Fabrice, de se laisser guider par les désirs de l'autre. Chaque mouvement était empreint d'une douceur et d'une attention dévouée, créant une symphonie d'érotisme et de passion. Pat ressentait un mélange incandescent de désir et d'excitation alors que Fabrice était à la fois son guide et son partenaire dans cette exploration intime. La sensation de la jouissance de Fabrice se déversant dans sa bouche fut à la fois enivrante et gratifiante, une preuve tangible de leur connexion profonde et de leur confiance mutuelle. Cette étape marquait un tournant dans leur relation, une acceptation complète de cette nouvelle identité de Pat. La satisfaction et la fierté se mêlaient alors que Pat prenait conscience de la profondeur de leur amour et de leur désir mutuel. Ils savaient que ce voyage ne faisait que commencer, que chaque étape les rapprocherait davantage l'un de l'autre et les emmènerait vers de nouveaux sommets de plaisir et de découverte de soi. Après cette étape et avoir discuté des aspects de leur nouvelle relation, Fabrice prit Pat avec douceur et l'allongea sur le lit, mélange de nervosité et d'anticipation, le suivit. Fabrice, avec prévenance, commença à ouvrir la robe de Pat, révélant sa lingerie soigneusement choisie. La tension sensuelle entre eux grandissait, et Fabrice alluma une bougie pour créer une ambiance romantique. Les flammes vacillantes éclairaient doucement la pièce, créant une atmosphère de mystère. Les ombres dansaient sur les murs, ajoutant une touche de séduction à l'instant présent. Le regard de Fabrice se perdait dans les courbes délicates de Pat, s'attardant sur chaque détail de sa lingerie qui soulignait sa féminité. Il caressa doucement la peau de Pat avec ses doigts, faisant monter l'excitation à chaque contact. Les frissons parcouraient le corps de Pat, mêlant le plaisir à une légère appréhension. Fabrice tenait dans sa main une bougie parfumée, la cire chaude se liquéfiant au-dessus de la flamme. D'une manière délicate mais audacieuse, il versa lentement la cire chaude sur la peau de Pat, créant des gouttes qui se figeaient instantanément en un frisson délicieux. Pat ressentait une sensation de chaleur et de douceur contrastée, un mélange exquis de plaisir et de légère sensation de brûlure. Chaque goutte de cire qui touchait la peau de Pat était un éveil des sens, un symbole de confiance et de soumission consentie. La douleur douce se transformait rapidement en une sensation de plaisir, envoyant des vagues d'érotisme à travers tout son être. Pat abandonnait complètement le contrôle, se laissant porter par les sensations et la passion qui les enveloppaient. Fabrice observait attentivement les réactions de Pat, veillant à ne jamais dépasser les limites du plaisir et du consentement. Chaque geste était empreint de respect et de sensualité, renforçant leur connexion intime. La pièce était imprégnée d'une atmosphère enivrante, où la cire chaude devenait un symbole de leur complicité et de leur désir partagé. Les flammes dansaient toujours, jetant des ombres suggestives sur leurs corps enlacés. Dans cet instant de passion et d'intimité, ils se découvraient mutuellement, explorant les profondeurs de leur désir et de leur amour Pat se sentait libre d'être guidée, laissant sa confiance en Fabrice la mener vers de nouveaux horizons. Le lâcher-prise total permettait à Pat d'explorer cette nouvelle facette de son identité, et elle répondit avec enthousiasme aux mots de Fabrice, signifiant ainsi son consentement et sa volonté de poursuivre ce voyage ensemble. Fabrice retourna Pat sur le ventre, dévoilant son dos nu et sensuel à la lueur tamisée de la bougie. Sa main caressa avec tendresse le fessier de Pat, créant des frissons de plaisir. Il commença à tapoter doucement, rythmant les battements de leur cœur. La caresse se fit de plus en plus insistante,  Le fessier de Pat prend une teinte rosée sous l'étreinte sensuelle de Fabrice. Chaque claque résonne dans l'air, créant une symphonie érotique de passion et de plaisir. Les soupirs de Pat se mêlent habilement au rythme des fessées, exprimant un mélange de désir et d'extase. Chaque coup fait monter en Pat une vague d'excitation et de plaisir, intensifiant l'expérience partagée entre eux. Les sensations se propagent à travers le corps de Pat, créant une connexion profonde entre la douleur et le plaisir. Fabrice, attentif aux réactions de Pat, ajuste l'intensité de chaque claque pour maintenir le juste équilibre entre stimulation et sensation, créant ainsi une expérience érotique unique et personnalisée. Ils se perdent tous deux dans ce ballet sensuel, où la fessée devient une forme d'expression intime et consentie, renforçant leur connexion physique et émotionnelle.Les soupirs de Pat deviennent une musique enivrante, exprimant à la fois le désir ardent extase. Fabrice glisse avec sensualité sur la peau de Pat, parcourant chaque centimètre carré avec une douceur enivrante. Les doigts de Fabrice explorent le corps de Pat, éveillant les sens et provoquant un tourbillon de sensations électriques. Chaque caresse délicate fait frissonner Pat de plaisir, créant une connexion intime entre eux. Puis, avec une tendresse infinie, Fabrice glisse un doigt dans l'anus de Pat, effectuant des va-et-vient doux et progressifs. Chaque mouvement fait monter en Pat une vague de plaisir qui se propage dans tout son être. La combinaison des caresses sensuelles sur la peau et des mouvements délicats dans l'anus crée une expérience érotique intense. Pat se laisse emporter par cette exploration intime, ressentant une fusion de plaisir, entre excitation et extase. Les sensations se multiplient, amplifiant le désir qui brûle en eux. C'est un moment de complicité profonde. La chaleur de la bougie qui baignait la pièce créait une atmosphère envoûtante, amplifiant les sensations ressenties par Pat. Les frissons parcouraient son échine à mesure que les tapotements se faisaient plus intenses. Le rythme régulier des battements de cœur semblait se synchroniser avec les mouvements de Fabrice, créant une danse sensuelle et hypnotique. Le fessier de Pat, sous les mains expertes de Fabrice, prenait une teinte rosée, témoignant de l'intensité de cette étreinte sensuelle. La douceur des caresses se mêlait à une pointe de fermeté, procurant à Pat une excitation grandissante. Chaque tapotement était une invitation à lâcher prise, à se laisser emporter par le tourbillon de plaisir qui les enveloppait. Les soupirs de Pat, à la fois empreints de désir et d'extase, se faisaient entendre dans la pièce, créant une symphonie envoûtante de passion et de plaisir partagé. Chaque souffle était une expression de la connexion profonde entre Fabrice et Pat, une communication silencieuse qui renforçait leur intimité.  Fabrice, animé par une passion dévorante et une exploration audacieuse de leur sexualité, décide d'attacher Pat au lit. L'atmosphère est chargée d'une tension sensuelle alors que Fabrice prépare le lit pour cette nouvelle expérience. Les draps soyeux et les coussins moelleux ajoutent une touche de confort et de luxe à la scène. Avec précaution, Fabrice attache les poignets de Pat aux montants du lit à l'aide de menottes en satin. Les mains liées, Pat se sent vulnérable mais excitée, prête à se laisser emporter par les sensations et les limites qu'ils s'apprêtent à explorer ensemble. Fabrice s'éloigne momentanément du lit pour chercher quelque chose dans le tiroir de sa table de nuit. L'anticipation grandit alors que Pat observe curieusement chaque mouvement de Fabrice. Puis, Fabrice réapparaît, tenant un fouet dans sa main. La vue du fouet provoque une montée d'adrénaline chez Pat, mêlée d'excitation et d'appréhension. Les yeux de Fabrice se remplissent d'une lueur d'excitation mêlée d'une affection profonde. Il caresse doucement le visage de Pat avec le fouet, créant une sensation légère et chatouilleuse. Le contact de l'objet sur la peau de Pat éveille une multitude de frissons et de désirs.Chaque coup du fouet est précisément calculé, alternant entre des caresses légères et des sensations plus intenses. Lorsque les coups de fouet effleurent la peau de Pat, une cascade de sensations se déclenche à la fois physiquement et psychiquement. Les sensations physiques varient en intensité, allant d'une douleur délicieuse à une sensation de picotement et de chaleur qui se propage à travers le corps. Chaque coup du fouet laisse une marque éphémère sur la peau de Pat, créant une empreinte sensuelle qui se mêle à l'excitation croissante. Chaque impact du fouet provoque un mélange complexe de douleur et de plaisir, déclenchant une montée d'endorphines qui inonde le corps de Pat. Les sensations se propagent comme des vagues, éveillant les nerfs et intensifiant le désir. Les coups du fouet sont précisément calculés pour stimuler les zones sensibles, créant une symphonie de sensations qui transcendent le corps de Pat. une libération émotionnelle, permettant à Pat de se laisser aller et de se perdre dans l'instant présent. Lorsque l'ensemble du corps de Pat eut pris une teinte bien rougie sous les gestes suggestifs de Fabrice, ce dernier se pencha tendrement vers elle, caressant doucement son visage. Il admirait la beauté de Pat, tout en exprimant son admiration. Fabrice était fasciné par chaque courbe et chaque détail de Pat. Son regard était empreint d'amour et d'appréciation, reflétant l'admiration qu'il ressentait pour elle. Ses doigts effleuraient doucement sa joue, explorant chaque centimètre de sa peau avec une tendresse infinie. La lueur tamisée de la pièce accentuait la beauté de Pat, créant une aura mystérieuse qui enveloppait leur intimité. Fabrice se perdait dans les profondeurs de ses yeux, captivé par la passion et l'amour qui brillaient en eux. Le contact délicat de Fabrice sur le visage de Pat était une caresse d'affection, un langage silencieux qui exprimait tout ce qu'il ressentait. Il admirait la douceur de sa peau, la perfection de ses traits et la manière dont chaque émotion se reflétait sur son visage. Les mots d'admiration s'échappaient des lèvres de Fabrice, exprimant son émerveillement face à la beauté de Pat. Il louait sa grâce, sa sensualité et la manière dont elle illuminait sa vie. Chaque mot était empreint d'une sincérité profonde, témoignant de l'amour et de l'admiration qu'il éprouvait pour elle.  Les gestes doux et les mots sincères créaient une connexion profonde entre eux, renforçant leur lien d'amour et de complicité. "Tu as été merveilleuse, ma chère Pat," murmura Fabrice, laissant Pat profiter de l'après-scène. Puis, Fabrice annonça : "Demain, nous irons plus loin dans notre exploration, découvrant de nouvelles étapes de notre aventure sensuelle. Mais pour l'instant, il est temps que tu te détendes et te ressources, ma chère." L'anticipation de la prochaine étape créait une ambiance excitante, laissant Pat imaginer les délices à venir dans ce voyage unique. Le lendemain, alors que les premières lueurs du soleil baignaient la chambre d'une douce lumière, Fabrice prit délicatement un collier de soumission en cuir noir. Chaque centimètre du collier était soigneusement travaillé à la main, témoignant de l'attention et du dévouement de Fabrice envers cet aspect particulier de leur relation. Les boucles en métal argenté ajoutaient une touche de sophistication et de force à l'ensemble. Avec une tendre détermination, Fabrice passa le collier autour du cou gracieux de Pat, sentant la douce pression du cuir contre la peau délicate. Ce geste symbolique annonçait leur engagement mutuel dans un jeu de rôle érotique, où Fabrice endossait le rôle dominant et Pat embrassait son rôle de soumise consentante. Lorsque le collier fut attaché, une vague de sensations électrisantes parcourut le corps de Pat. La présence du collier renforçait le lien physique et émotionnel qui les unissait. Chaque mouvement, chaque contact avec le collier rappelait à Pat sa place dans cette dynamique de pouvoir consensuelle, créant un mélange enivrant d'excitation et de confiance. Fabrice, le regard empreint d'amour et de respect reconnaissant son engagement dans ce jeu de rôle intime. Il admirait la beauté de Pat, tout en exprimant son admiration pour sa volonté de se laisser guider et explorer de nouveaux territoires sensuels. Pat avait traversé une transformation profonde, passant de l'identité d'un homme à celle d'une femme, et désormais, vers celle d'une femme soumise et docile. Cette métamorphose était bien plus qu'une simple évolution physique. Elle avait découvert une facette d'elle-même qu'elle n'aurait jamais imaginé explorer auparavant. Au fur et à mesure de ces expériences, elle plongeait au plus profond d'un océan d'émotions complexes, naviguant entre les vagues tumultueuses de la nervosité initiale et les courants puissants de l'excitation et de l'anticipation. Chaque fois qu'elle se trouvait face à ce seuil de l'inconnu, une boule d'excitation se formait dans son ventre, faisant palpiter son cœur avec une intensité électrisante. Le lâcher-prise total, cette sensation enivrante qu'elle avait découvert dans cette nouvelle dynamique avec Fabrice, était une révélation pour elle. C'était comme si elle avait trouvé une clé secrète qui ouvrait les portes de son âme, libérant toutes les inhibitions et les contraintes de son ancienne identité. Elle se sentait légère, comme si elle flottait dans les airs, prête à s'abandonner complètement à de nouvelles sensations et à se laisser guider par les désirs ardents de Fabrice. Chaque rencontre était une danse sensuelle et passionnée, où les corps s'entrelaçaient avec une harmonie envoûtante. Les caresses devinrent des poèmes érotiques, tracés avec des mains expertes sur la peau frissonnante. Les soupirs se mêlaient aux murmures de plaisir, créant une symphonie intime qui résonnait au plus profond de leur être. Elle se laissait guider par les désirs de Fabrice, se soumettant volontairement à son contrôle, savourant chaque sensation nouvelle qu'il lui offrait. Chaque geste de domination était un cadeau, une preuve tangible de l'affection et de la confiance qu'ils partageaient. Dans ces moments de soumission consentie, elle se sentait libre, libérée des chaînes du quotidien, plongée dans un océan d'extase où seule l'essence de leur passion existait. Les mots crus et les supplications douces se mêlaient dans un ballet langoureux, érigeant un pont entre le désir et la réalité. Chaque mot prononcé était un écho de leur connexion profonde, une manifestation de leur intimité partagée. Dans ces instants de vulnérabilité partagée, elle trouvait une force insoupçonnée, se sentant plus vivante que jamais. Au fil de ces expériences, elle découvrait des recoins inexplorés de son être, embrassant sa sexualité avec une audace nouvelle. Elle se sentait puissante et vulnérable à la fois, une fleur épanouie dans le jardin secret de leur amour. Chaque étreinte était une fusion des sens, une évasion vers un monde où les limites étaient repoussées et où la passion débordait sans retenue. Elle avait découvert que se soumettre à Fabrice ne signifiait pas un abandon total de son pouvoir, mais plutôt une exploration de nouvelles dimensions de la relation. Elle avait appris à trouver sa force dans la vulnérabilité, à se connecter avec une profondeur émotionnelle et à s'épanouir dans cet espace de confiance mutuelle. Chaque expérience leur permettait de se comprendre davantage, de communiquer d'une manière différente et de renforcer leur complicité. Ils apprenaient à lire les signaux subtils, à répondre aux besoins et aux désirs de l'autre sans même avoir besoin de mots. C'était une danse intime et harmonieuse, où chaque mouvement était guidé par l'amour, le respect et la bienveillance. À travers cette exploration continue, ils se découvraient mutuellement, repoussant les limites de leur confort et trouvant de nouvelles facettes de leur sexualité et de leur identité. C'était une aventure partagée, une quête de découvertes et d'épanouissement personnel. Elle avait réalisé que cette exploration n'était pas seulement une expérience sexuelle, mais aussi un moyen de se connecter plus profondément avec soi-même et avec Fabrice. C'était un voyage vers l'acceptation de soi, vers une compréhension plus profonde de ses propres désirs et besoins. C'était une occasion de grandir en tant qu'individu et d'évoluer dans la relation. Dans cette dynamique de soumission consentie, elle se sentait libre d'exprimer ses désirs les plus profonds, de les partager avec Fabrice sans crainte de jugement. Ils créaient ensemble un espace où chaque émotion, chaque fantasme était accueilli avec amour et compréhension. Dans leur exploration continue, elle avait découvert un monde de sensations intenses et de plaisirs inexplorés. C'était une aventure sans fin, une danse passionnée et enivrante qui les transportait vers de nouveaux horizons. Et dans cet univers de soumission et de découverte, elle avait trouvé sa véritable essence, une femme épanouie et libre d'explorer tous les aspects de son être. Son désir de continuer ce voyage, de se transformer en une femme soumise et docile, était alimenté par la confiance et la sécurité qu'elle ressentait aux côtés de Fabrice. Elle savait qu'elle pouvait être authentique dans cette nouvelle identité. Elle était prête à poursuivre cette aventure avec ouverture, confiance et désir, à la découverte de ce que l'avenir leur réserverait. Le lendemain, Fabrice fit mettre à Pat une tenue à la fois audacieuse et captivante. Un corset noir en satin, orné de dentelle délicate, épousait parfaitement les courbes de son corps, accentuant sa silhouette féminine avec élégance. Des jarretelles en dentelle noire s'accrochaient à des bas résille, soulignant ses jambes galbées avec sensualité. Chaque détail de cette tenue mettait en valeur sa féminité et sa beauté, créant une aura de confiance et de séduction. Ensuite, Fabrice emmena Pat dans un club, un lieu empreint de mystère et de désir. Les portes s'ouvrirent sur un espace sombre et sensuel, où flottait une ambiance électrique. Les murs étaient tapissés de cuir, les lumières tamisées créant une atmosphère intime et mystérieuse. Des couples, vêtus de tenues évoquant à la fois le pouvoir et la soumission, se déplaçaient avec grâce et assurance. Des regards ardents et complices se croisaient, transmettant des promesses silencieuses d'exploration et de plaisir partagé. La musique sensuelle et hypnotique s'élevait dans l'air, créant un rythme envoûtant qui résonnait dans les corps de chacun. Les murmures des conversations intimes et les soupirs de plaisir se mêlaient, formant une symphonie érotique qui semblait embrasser tout l'espace. Pat pouvait sentir l'excitation monter en elle alors qu'elle prenait conscience de l'atmosphère chargée de désir qui régnait dans le club. Les sensations étaient à la fois familières et inconnues, un mélange enivrant de nervosité et d'anticipation. Fabrice la prit par la main, l'entraînant plus profondément dans ce monde de plaisirs interdits. Ils s'approchèrent d'une zone où des jeux de domination et de soumission se déroulaient. Des cordes, des fouets et des accessoires variés étaient utilisés avec assurance et expertise. Pat sentait les regards des autres invités se poser sur elle, mélange de curiosité et d'admiration pour sa beauté et son audace. Elle se sentait à la fois exposée et protégée, entourée d'une atmosphère de respect et de consentement qui régnait dans ce lieu de liberté sexuelle et d'exploration. Les sensations qui l'envahissaient étaient intenses, un mélange de désir et de fascination pour cet univers qui s'ouvrait devant elle. Elle était prête à se laisser guider par Fabrice, à découvrir de nouvelles facettes de sa sexualité, tout en sachant qu'elle était en sécurité et soutenue dans cette aventure. Dans ce club, elle trouverait un espace où elle pourrait embrasser pleinement son désir, explorer son côté soumise et plonger dans un monde où les limites étaient repoussées. C'était une invitation à la découverte, à la confiance et à l'ouverture, où elle pourrait se connecter avec Fabrice d'une manière profonde et intime, tout en s'abandonnant aux plaisirs inexplorés qui les attendaient. après avoir bu un verre au bar. L'atmosphère est chargée d'une tension palpable alors que Fabrice s'approche d'elle, un sourire vicieux étirant ses lèvres. Son regard brûlant transmet à Pat une combinaison de peur et d'excitation, faisant monter en elle une vague d'émotions contradictoires. Dans l'intimité de cette pièce, le désir est palpable. Fabrice, avec une confiance arrogante, commence à baisser la culotte de Pat, révélant une intimité déjà marquée par les jeux précédents. C'est un moment où le contrôle et la soumission se rencontrent, où les limites sont repoussées et les frontières de l'interdit sont explorées. La peur qui serre le cœur de Pat se mêle à une excitation indéniable. Elle se sent prise au piège, mais elle a embrassé cette soumission volontairement, prête à tout pour découvrir les profondeurs inexplorées de ses désirs. C'est une expérience à la fois excitante et terrifiante, où les émotions s'entremêlent dans une danse passionnée. Pat réalise que son appétit pour l'inconnu et l'interdit ne connaît plus de limites. Elle obéit à Fabrice, plongeant dans un océan de sensations intenses, prête à se perdre dans le tourbillon de ce voyage passionné. Pat, obéissant à Fabrice, se met à genoux et prend le sexe d'un premier homme en bouche. Elle ressent la réaction de son membre qui grossit et durcit, et elle s'applique à le sucer avec détermination. d'autres hommes se rapprochent, certains la touchant sans retenue pendant que Fabrice continue de la caresser et d'exciter son corps exposé.  Pat était complètement offerte aux désirs des hommes, prête à faire tout ce qui était demandé d'elle. Elle se retrouvait dans une situation inversée, où elle était à leur merci entière. Mais elle savait qu'elle était prête à payer n'importe quel prix pour découvrir davantage sur cette nouvelle vie de soumission et de domination. Dans cet état de vulnérabilité, elle se sentait à la fois effrayée et excitée, un mélange tumultueux d'émotions qui alimentait son désir ardent d'exploration. Être à la merci de ses  hommes lui procurait une sensation d'abandon et de libération, où elle pouvait se perdre dans l'exploration de ses propres limites. Chaque demande, chaque geste, était accueilli avec une détermination sans faille de la part de Pat. Elle était prête à se donner corps et âme pour satisfaire les volontés des hommes présents a la demande de Fabrice, consciente que cette expérience ouvrirait les portes d'un monde inconnu et fascinant. Pat embrassait cette nouvelle vie sans réserve, sachant que cette exploration de la soumission et de la domination lui permettrait de découvrir des facettes d'elle-même qu'elle n'avait jamais explorées auparavant. Elle était prête à se laisser guider par les désirs des hommes, cherchant à repousser ses propres limites et à plonger dans les profondeurs inexplorées de sa sexualité. Pat toujours à genoux, entourée d'hommes nus. Le regard satisfait de Fabrice fixé sur elle, elle sentit son souffle chaud lui caresser l'oreille alors qu'il lui murmura : "Tu es ma petite pute maintenant, tu vas satisfaire ces messieurs." Ce simple mot, prononcé avec autorité, fit frissonner Pat de désir et d'anticipation. Elle sentait son corps s'électriser, parcouru par un mélange de peur et d'excitation. Les mots de Fabrice résonnaient en elle, éveillant une part sombre et inconnue de sa sexualité. À travers le voile de soumission qui enveloppait son esprit, Pat percevait le pouvoir qui lui était conféré. Elle se sentait à la fois vulnérable et libre, prête à se donner entièrement à ces hommes, en quête de plaisirs inexplorés. Son esprit embrassait cette nouvelle identité, celle d'une femme qui se dédiait entièrement à la satisfaction des désirs et fantasmes des autres. Le sourire satisfait de Fabrice était le reflet de sa propre satisfaction. Il avait trouvé en Pat une partenaire consentante, prête à se laisser guider dans ces eaux troubles de la passion et de la soumission. Il savait que cette expérience allait les emmener tous les deux vers des sommets de plaisir inconnus, où les limites seraient repoussées et les tabous brisés. Dans cette pièce, les corps se mêlaient dans une danse sensuelle et débridée. Pat se laissait porter par les mains expertes qui l'exploraient sans retenue, chaque contact électrisant son être. Elle était prête à se perdre dans le tourbillon de cette nouvelle réalité, où la domination et la soumission se confondaient dans une symphonie de désirs inassouvis. Les heures qui suivirent furent un mélange enivrant de plaisir et d'extase. Pat se découvrit des réserves insoupçonnées de passion et de désir, repoussant ses propres limites avec chaque nouvelle expérience partagée. Elle se sentait vivante, libérée de toutes inhibitions, embrassant pleinement sa sexualité. Pat était complètement offerte aux désirs de ces hommes. Alors que la tension montait, certains des hommes succombèrent à leur plaisir et éjaculèrent dans la bouche de Pat, laissant échapper des gémissements de satisfaction. D'autres choisirent de libérer leur extase sur son corps, marquant sa peau de leur désir ardent. Cependant, la sensation la plus intense et intime vint lorsque Pat sentit l'un des hommes qui était en train de la pénétrer atteindre son point de non-retour. Elle ressentit une chaleur brûlante se répandre en elle tandis qu'il éjaculait profondément dans son anus, provoquant un mélange d'extase qui la submergea. C'était un moment de lâcher-prise total, où Pat se sentait à la fois vulnérable et puissante. Elle avait embrassé cette soumission et cette exploration des plaisirs les plus sombres de sa sexualité, prête à tout pour découvrir davantage sur ses propres limites et désirs. Avec confiance et détermination, Fabrice guide Pat vers la croix. Il la fait se tenir debout devant elle, observant chaque aspect de sa beauté. Il admire la courbe de ses hanches, la douceur de sa peau et l'envie qui brille dans ses yeux. Puis, avec précaution, il attache ses poignets et ses chevilles aux sangles en cuir. Fabrice s'approche d'elle et dépose un doux baiser sur ses lèvres. « Maintenant, ma belle, tout ce qui compte, c'est mon plaisir et ton obéissance. Oublie tout le reste et laisse-toi aller à l'extase. »  t obéit et se laisse emporter par les sensations qui la submergent. À mesure que les coups de fouet caressent sa peau, elle sent sa liberté intérieure augmenter. Chaque gémissement, chaque marque devient un symbole de sa soumission et de son amour pour Fabrice. Pat ressent une excitation intense mêlée à une profonde connexion avec son dominant. Elle se sent vivante, pleinement engagée dans cet acte de confiance ultime. Attachée fermement à la croix de Saint-André, Pat ressent un mélange de douleur et de plaisir qui la transporte dans un état d'extase. Chaque coup de fouet est une libération, une façon pour elle de se libérer de toutes les inhibitions et de se plonger dans un monde de sensations intenses. Fabrice, son partenaire dominant, sait exactement comment repousser les limites de Pat tout en veillant à son bien-être. Il est à l'écoute de ses réactions, ajustant l'intensité de chaque coup pour lui procurer un plaisir exquis. Pat se sent en sécurité, pleinement consentante à chaque instant. Dans cet instant de soumission, Pat explore les profondeurs de son être, découvrant de nouvelles facettes de sa sexualité et de sa personnalité. Elle embrasse son rôle de soumise avec une passion dévorante, se laissant guider par les désirs de Fabrice. C'est dans ce club, dans cette pièce secrète, que Pat trouve une liberté totale, dépassant les frontières traditionnelles de la sexualité et de la domination. Chaque instant est une aventure pleine d'intensité et de passion, où Pat se perd et se trouve à la fois. Pat, épuisée de toutes ses émotions et marquée par les coups de fouet sur son fessier et son dos, est détachée par Fabrice. Il l'aide à se rhabiller avec précaution, prenant soin de ses blessures. Une fois prête, ils décident de prendre un verre ensemble au bar. Ils s'assoient sur des tabourets, laissant leurs corps se détendre après cette expérience intense. Pat ressent une combinaison de satisfaction et de vulnérabilité, reconnaissant l'amour et la confiance qui existent entre elle et Fabrice. Au bar, ils commandent leurs boissons préférées et se plongent dans une conversation calme et réconfortante. Fabrice prend soin de Pat, s'assurant qu'elle se sent en sécurité et respectée. C'est dans ces moments de calme après la tempête que Pat réalise à quel point leur relation est unique et spéciale. Ils partagent une connexion profonde et intime qui va au-delà des jeux de domination et de soumission. Alors qu'ils sirotent leurs boissons, ils rient, partagent des regards complices et se projettent dans l'avenir. Ils savent que leur voyage ensemble ne fait que commencer et qu'ils sont prêts à explorer de nouvelles facettes de leur sexualité De retour dans le confort de leur foyer, Fabrice regarde Pat avec admiration et affection. Il exprime sa fierté envers elle, reconnaissant sa confiance et son engagement dans leur relation de domination et de soumission. Autour d'une tasse de café fumante, ils prennent le temps de se reconnecter émotionnellement. Fabrice encourage Pat à partager ses émotions, à exprimer ce qu'elle a ressenti pendant leur expérience au club. Pat boit une gorgée de café, prenant une pause pour rassembler ses pensées. Elle exprime à Fabrice la profondeur de ses émotions, décrivant la combinaison de douleur et de plaisir, d'excitation et de libération qu'elle a ressentie. Fabrice écoute attentivement, offrant un soutien et une compréhension sans jugement. Il encourage Pat à explorer ses sentiments plus en profondeur, à s'exprimer pleinement sans retenue. La conversation se poursuit, les laissant se découvrir mutuellement à un niveau plus profond. Ils partagent leurs pensées, leurs désirs, et renforcent leur connexion en tant que partenaires. C'est dans ces moments de partage sincère et d'écoute attentive que Pat et Fabrice renforcent leur lien, Pat se dirige vers sa chambre pour se changer en tenue de nuit. Elle choisit une chemise de nuit en satin rose pâle, légère et fluide, qui épouse délicatement les courbes de son corps. La chemise de nuit a de fines bretelles réglables et est agrémentée de dentelle délicate sur le décolleté et l'ourlet. Elle est à la fois féminine et confortable, offrant une sensation de douceur et de sensualité.t. Elle se glisse sous les draps, prête à se reposer et à se ressourcer après une journée intense. Fabrice rejoint Pat, se dénude et se glisse sous les draps. Avec douceur, il glisse sa main sous la chemise de nuit en satin de Pat, caressant délicatement sa peau. Ses doigts parcourent lentement les contours de son corps, éveillant des frissons de plaisir sur son passage. Pat se laisse emporter par les sensations, son corps réagissant aux caresses expertes de Fabrice. Elle ressent une combinaison de désir et de tendresse, se laissant aller à l'intimité partagée entre eux. Les mains de Fabrice explorent chaque centimètre de la peau de Pat, créant une connexion profonde et sensuelle entre eux. Les gestes sont empreints de respect et de consentement, renforçant le lien de confiance qui les unit. Dans l'obscurité de la chambre, les soupirs de plaisir se mêlent aux murmures de douceur. Pat se sent aimée et désirée, en harmonie avec Fabrice. Leur intimité se poursuit dans une danse passionnée, où les caresses se font de plus en plus intenses. Ils se perdent dans le plaisir partagé, explorant ensemble une fois de plus les limites de leur désir. Fabrice pose sa main sur le sexe de Pat, qui est encagé, et lui dit d'une voix dominante : "Tu seras tout le temps et pour toujours une femelle soumise." Pat ressent un mélange d'excitation et de soumission face aux paroles de Fabrice. Elle se sent désirée et accepte pleinement son rôle de soumise dans leur relation. une histoire d'amour et de passion qui transcende tous les tabous et les limites. Une histoire qui les conduira vers des sommets inexplorés de plaisir et de bonheur, où leur amour brûlera avec une intensité qui ne pourra jamais être éteinte. Un goût de jouissance la promesse d'un avenir rempli d'une passion qui ne pourra jamais être éteinte.
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Par : le 17/10/23
Outils et matériaux nécessaires Lorsque l'on se lance dans le bricolage BDSM, il va d'abord falloir choisir et approvisionner les outils et les matériaux adaptés pour garantir à la fois la qualité des accessoires fabriqués et la sécurité de leur utilisation. Tout ce que l'on peut avoir besoin est heureusement disponible en ligne ou dans votre grande surface de bricolage de proximité (genre Castorama)  : 1. Présentation des outils de base  Scie : Utile pour découper des pièces en bois destinées aux meubles ou aux accessoires. Papier de verre : Pour lisser les bords des pièces découpées et éviter les échardes. Mètre ruban : Pour prendre des mesures précises. Chevilles et vis : Pour assembler solidement les différentes parties des accessoires ou des meubles. Outils divers : Tournevis, marteau, pince... Ces outils de bricolage courants seront nécessaires à différentes étapes de la création. 2. Sélection des matériaux adaptés (et durables tant qu'à y être !)  Bois : C'est un matériau couramment utilisé pour la fabrication de meubles BDSM. Il est solide et durable, mais il est essentiel de le traiter pour qu'il soit doux au toucher et sans échardes. Il est surtout assez facile à travailler par rapport au métal. Cuir : Souvent utilisé pour les accessoires comme les colliers, les harnais, les bracelets ou les fouets. Il est recommandé d'opter pour du cuir hypoallergénique pour éviter les réactions cutanées. Métal : Certains accessoires, comme les barres ou les menottes, peuvent nécessiter des pièces métalliques. On achetera bien sûr l'essentiel en "tout fait" (anneaux à fixer, mousquetons ...) Caoutchouc ou silicone : Ces matériaux sont parfaits  les accessoires qui seront en contact direct avec la peau. Ils sont doux, flexibles et hypoallergéniques. Il est possible de faire de la récupération (pneu ou chambre à air par exemple), sous réserve de bien désinfecter la matière. Avant de commencer votre projet, assurez-vous de disposer de tout le matériel nécessaire et de bien comprendre chaque étape du tutoriel ou du guide que vous suivez (comme par exemple ici : Diy Bdsm Collar (mary-catherinerd.com) . La sécurité doit toujours être votre priorité, alors prenez votre temps et faites attention à chaque détail.   Étapes de création Créer ses propres accessoires BDSM à la maison est une aventure passionnante qui allie créativité et artisanat. Mais une aventure tout de même ;-). Voici un guide étape par étape pour vous aider à concrétiser vos projets. 1. Recherche et conception du design  Avant de commencer, prenez le temps de définir précisément ce que vous souhaitez réaliser. Qu'il s'agisse d'un jouet, d'un meuble ou d'un autre accessoire, la clé du succès réside dans une planification soignée. Inspiration : Consultez des sites, des blogs ou des tutoriels dédiés au DIY BDSM pour trouver des idées et des modèles. Cela vous donnera une vision claire de ce qui est réalisable et de ce qui vous plaît. Esquissez votre design : Une fois que vous avez une idée en tête, dessinez un croquis détaillé de votre projet. Notez les dimensions, les matériaux nécessaires et tout autre détail important. 2. Mesures et découpes  Une fois que votre design est posé, il est temps de passer à la phase de réalisation. Mesures précises : Utilisez un mètre ruban pour prendre des mesures exactes de chaque pièce nécessaire à votre projet. N'oubliez pas de prévoir une marge d'erreur. Découpes : Armé de votre scie et de vos mesures, découpez soigneusement les pièces en bois ou autres matériaux. Pensez à toujours porter des équipements de sécurité, comme des lunettes de protection, lors de cette étape. 3. Assemblage et finitions : L'assemblage est l'étape où votre projet prend vie. Assemblage : Utilisez des chevilles, des vis et d'autres outils pour assembler les différentes parties de votre création. Assurez-vous que tout est bien fixé et stable. Finitions : Lissez les bords avec du papier de verre pour éviter tout risque d'échardes ou de coupures. Si vous travaillez avec du bois, pensez à le vernir ou à le peindre pour le protéger et lui donner une belle finition. Pour les accessoires en cuir, vous pouvez les teindre ou les coudre pour un aspect professionnel. En suivant ces étapes, et en vous inspirant surtout des nombreux guides en ligne, vous serez en mesure de créer des accessoires BDSM de qualité, durables et sûrs. N'oubliez pas de toujours tester la solidité de vos créations avant de les utiliser et de privilégier la sécurité avant tout.   Astuces pour assurer la sécurité La sécurité est primordiale lorsque l'on fabrique et utilise des accessoires BDSM. Pour garantir une expérience agréable et sans risque pour vous-même et vos partenaires, suivez ces conseils essentiels : 1. Tester la solidité des créations  Charge et résistance : Si vous créez un meuble ou un accessoire devant supporter du poids, testez-le en y appliquant une charge supérieure à celle qu'il est censé supporter. Cela vous assurera de sa solidité et de sa durabilité dans le temps. Mouvements et contraintes : Pour des accessoires tels que les menottes ou les colliers, testez leur résistance aux mouvements brusques ou aux tractions. Ils doivent rester intacts et ne pas se casser lors d'une utilisation intensive (genre une levrette endiablée sur une soumise attachée à un banc ...). 2. Assurer des bords lisses pour éviter les blessures  Ponçage/ébavurage  : Après avoir découpé du bois ou d'autres matériaux, utilisez toujours du papier de verre pour lisser les bords. Cela évitera les échardes, les coupures et d'autres blessures. Finitions soignées : Pour les accessoires en cuir ou en tissu, assurez-vous que les coutures soient bien finies et que les bords soient doux au toucher. La sécurité doit toujours être votre priorité numéro un. Chaque étape de la fabrication de vos accessoires doit être abordée avec soin et attention pour garantir une utilisation sans risque. En respectant ces conseils, vous serez en mesure de profiter pleinement de vos créations "faites maison" tout en assurant le bien-être de tous les participants. Idées de projets DIY BDSM L'univers du BDSM offre une multitude d'options pour les amateurs de bricolage. Si vous êtes à la recherche d'inspiration pour vos prochains projets, voici quelques idées qui pourraient vous intéresser: 1. Meubles  Le mobilier BDSM est souvent imposant et peut coûter cher. Pourquoi ne pas essayer de le fabriquer vous-même? Croix de Saint-André : Cette croix en forme de X est un classique du BDSM. Fabriquée en bois robuste, elle permet de fixer une personne par les poignets et les chevilles. Assurez-vous d'utiliser des matériaux solides et de bien sécuriser toutes les parties pour garantir la sécurité de l'utilisateur. On trouve plein de plans en ligne (surtout sur des sites US, c'est vrai) Banc de fessée : Ce meuble ressemble à un banc bas, souvent équipé de sangles pour attacher celui ou celle qui s'y allonge. Il peut être rembourré pour plus de confort et est idéal pour diverses punitions. Certains vieux meubles récupérés en brocante se pretent tout à fait à une transformation ! 2. Accessoires  Les accessoires pour vos séances BDSM peuvent être fabriqué vous-même ou être des objets de la vie courante que vous detournerez moyennant quelques adaptations. Voici quelques idées pour créer vos propres accessoires : Menottes : Utilisez du cuir souple ou du métal pour fabriquer des menottes sur mesure. Assurez-vous d'inclure un mécanisme de libération rapide pour la sécurité. Fouets : Avec un manche en bois et des lanières en cuir, vous pouvez créer un fouet personnalisé. Pensez à bien lisser les bords pour éviter les blessures. Colliers : Les colliers BDSM peuvent être esthétiques ou fonctionnels. Utilisez du cuir ou d'autres matériaux doux et ajoutez des détails comme des clous, des chaînes ou des anneaux pour personnaliser votre création. 3. Adapter des objets du quotidien pour le BDSM  L'avantage du DIY est que vous pouvez transformer des objets du quotidien en accessoires BDSM, on le disait un peu plus haut : Cuillères en bois : Elles peuvent être utilisées comme paddles pour la fessée. Assurez-vous de bien lisser les bords pour éviter les échardes. Meubles existants  : Ces meubles peuvent être utilisés comme mobilier BDSM en ajoutant des anneaux de fixation par exemple. Pinces à linge : Avec un peu d'imagination, ces simples objets peuvent devenir des pinces pour les tétons ou d'autres parties du corps. Le DIY BDSM vous permet de personnaliser votre expérience tout en économisant de l'argent. Avec un peu de créativité, de recherche et de bricolage, vous pouvez créer des objets uniques qui reflètent vos goûts et correspondent vos désirs. 
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Par : le 13/10/23
Voici le deuxieme texte j'espere qu'il vous plaira autant que le premier               Nous sommes le 24 juillet 2017, Lucie, une très jolie rousse de 21 ans, est enfin à la maison après plusieurs annulations de dernières minutes. Au mois de juin, je lui ai fait part de mes sentiments envers elle, mais elle a décliné ma « demande ». Alors dans ma tête c’est monté un scénario de domination soumission.                Oui car j’ai oublié de préciser, que je suis sadomasochiste et que je suis switch (je peux être soit dominant, soit soumis) mais plus a tendance soumis. J’ai d’ailleurs eu plusieurs expériences, mais nous verrons ça une autre fois. J’ai aussi installé des caméras espionnes dans la salle de bains, le couloir et ma chambre.                Donc, le lundi nous rentrons dans l’après-midi, après avoir fait la route depuis paris. Je lui montre l’appartement, lui explique 2-3 trucs et nous nous posons devant la télé, pour jouer à la console. On joue aussi au UNO, notre jeu préféré XD, bref une  fin d’après- midi banale en sommes. Le soir, elle part prendre sa douche, je lui montre comment activer le pommeau pluie, et en profite pour mettre les caméras en route. Sur certaines je peux, via mon pc ou mon tel, voir le flux vidéo en direct. Et je dois dire que je ne suis pas déçu, une fois fini, nous mangeons  et regardons la télé tout en discutant de banalité.                Le mardi, nous avons passé l’après-midi à la plage. Je reconnais en avoir profité pour mater son corps, fort bien sympathique avec une poitrine qui convient à son corps, un joli petit cul, et quelques kilos de trop mais rien de bien méchant, en soit elle est très jolie. Le soir, nous faisons comme la veille, discuter devant la télé ou un jeu. L’alcool aidant, la discussion en arrive à la partie sexe, je sais qu’elle est encore vierge, et je dois avouer bien que j’ai 32 ans cela ne fait 4 mois que je ne suis plus vierge, cela est une autre histoire. Donc elle me dit que pour l’instant ça ne la perturbe pas plus que ça et qu’elle ne se sent pas prête pour une relation.                Voyant que l’on peut tout se dire, j’ose lui avouer mon côté sadomaso, en lui parlant des différentes expériences que j’ai vécu. Je lui montre des photos et des vidéos de moi, mais aussi celle trouvé sur internet. Ça n’a pas l’air de la choquer, je dirai même qu’elle me posait beaucoup de questions comme si elle était intéressée par la chose, je lui propose que je lui montre à quoi je ressemble en vrai quand je suis en femme et bondagé, elle me répond qu’elle souhaiterait effectivement voir ça en vrai. Je monte donc à l’étage, me transforme en Sophie (c’est mon nom de soumis).                Une fois dans la chambre je déposai sur le lit, les affaires de Sophie. Voici la liste : 1 robe de soirée 4 bodys 1 nuisette avec menotte intégré 1 bâillon bite de 10 cm 1 crochet anal 3 boules de 19 mm à 35 mm 1 paire de talon aiguille avec une plateforme de 4 cm et haut de 14 cm 1 paire de faux seins 2 rosebud (1 métal : 7 cm de long et 2.8 de large ; 1silicone : 8.5 cm de long et 4.4 de large) 1 ceinture menotte 2 contrainte pieds et mains ensemble velcro 1 combinaison résille fendue a l’entre jambe 1 stimulateur de prostate a accroche au pénis 1 martinet 1 bâillon boule casque 1 bâillon boule 2 paires de pinces à tétons en métal reliées par une chaine 2 shortys 1 cage de chasteté en plastique ajustable 1 cage de chasteté en métal 2 paires de menottes (1 poignet et 1 cheville) 1 cravache Quand je redescends, elle me trouve ravissante et que je sais bien m’habillé quand je suis en femme. Elle demande, alors à voir comment est composée cette tenue. Je commence par défaire mes menottes de poignets et de chevilles, mon bâillon, ma robe. A ce moment-là, je la vois écarquillé les yeux de surprise, je lui demande pourquoi elle fait ces yeux -là, et m’explique qu’elle ne s’attendait pas à me voir encordé comme cela (j’avais réalisé un shibari) et que c’était harmonieux. Je continu, je défais donc ce shibari, enlève le soutien-gorge où les faux seins viennent avec et je retire le string. Je suis donc nue devant elle, avec un collier où est cadenassée la chaine des pinces sur mes tétons, ma cage de chasteté et un rosebud dans l’anus. Elle me demande de tourné sur moi-même pour mieux admiré ce qu’elle voit, et elle remarque un truc brillant au niveau de mon cul et me demande ce que c’est, je lui dis que c’est un rosebud. C’est alors, avec le cœur battant à 100 à l’heure, que je lui propose un truc totalement fou, mais sur lequel je fantasme depuis le mois de juin, c’est qu’elle devienne ma Maîtresse et qu’elle m’éduque en tant que soumis.                Je la vois réfléchir, et je lui propose que pendant qu’elle essaie de prendre une décision, de se rapprocher de moi pour mieux voir, de touché les pinces, la cage, enfin ce qu’elle veut. Elle me demande alors de me pencher en lui présentant mes fesses, et là elle fait une chose complètement inattendu, elle retire le rosebud d’un coup sec. Je n‘étais pas forcément préparé à ça, ça m’a tellement fait mal que je suis tombé à genou mais malgré cela bien que mon sexe se sentait à l’étroit dans sa cage il se mit à gonfler au maximum de ce qu’il pouvait, c’était douloureux mais tellement jouissif. Elle a eue peur et me demande si ça va. Je lui oui et que j’ai juste été surpris de son action. Je me prosterne à ses pieds et lui demande pardon de lui avoir fait peur, c’était aussi dans le but de lui montrer qu’elle pouvait faire ce qu’elle voulait de moi et « forcer » sa réponse dans le positif. Je ne pourrais pas dire combien de temps je suis resté à ses pieds, mais après un long silence, elle lâche ces mots, plus que surprenant mais qui resterons a jamais gravé en moi, et qui m’ont rendu heureux jusqu’à présent.  « Je suis refuse d’être ta maitresse car je ne m’en sens pas capable, mais te voir ainsi m’intrigue et j’aimerais bien essayer. Alors je veux être ta soumise. » Je me suis relevé, abasourdi par ce que je venais d’entendre, en essayant de bien comprendre cette annonce très inattendue. Je me vois alors lui dire, «  tu en es sûr car moi je sais ce que c’est d’être soumis à quelqu’un, mais toi ?». Elle me oui et que si elle est honnête avec elle-même et moi, son caractère est celui d’une personne qui suit, pas qui dirige. Je lui réponds que je comprends et que si c’est ce qu’elle veut, alors ça sera ainsi. « Alors voici mon premier ordre », lui dis-je ; «  déshabille-toi complétement ». Un peu hésitante, elle s’exécuta, un peu trop lentement, ce qui ne me plait pas, je prends la cravache qui est sur la table et lui claqua ses fesses, en lui intimant de se dépêché. Un peu choqué, elle redoubla de vitesse et en 5 secondes, elle était nue devant moi, je la trouve magnifique. C’est alors que je me souviens que j’avais encore ma cage sur mon sexe, car j’en avais mal à mourir. Je lui ordonne de prendre la clé du cadenas, et de me libéré la bite. Je sais qu’elle n’as jamais vu de bite avant aujourd’hui, et encore moins d’en avoir touché une. C’est avec une main hésitante, qu’elle enleva le cadenas puis la cage. J’en profite pour lui demander de finir de m’enlever l’équipement restant sur mon corps. Elle saisit la pince située sur mon téton droit. Je lui dis d’y aller doucement car je ne veux pas avoir mal, et que si ça arrive, elle sera punie. Je la vois se concentrer sur la tâche qui lui incombe, mais malheureusement pour elle, la pince se referma sur mon téton, en m’arrachant une grimace. En effet, ayant l’habitude de ces pinces je sais qu’il faut les ouvrir avec les 2 mains. Une qui appuie sur la pince et l’autre qui maintient le ressort compressé, au cas où la première doit reprendre une position plus confortable pour continuer. Je dois dire que je suis content, malgré la douleur, car elle observe bien et apprend vite, car juste après avoir raté sa tentative, elle se mit à genou et me présenta ses excuse en se prosternant à mes pieds, comme je le fis peu de temps avant. J’accepte ses excuses, lui intime l’ordre de se relevé et lui montre comment les enlevé sans trop de souffrance. Car oui, et ceux qui en porte le savent aussi, la réalimentation en flux sanguin des tétons est douloureuse, et j’avais décidé de ne pas lui en tenir compte. Donc une fois que je lui ai montré comment retiré une pince, elle essaya côté gauche, ce qu’elle réussit grandement. Je l’informe aussi, car il est de mon devoir de maitre, de cette douleur quand le sang revient pour qu’elle ne soit pas surprise quand cela lui arrivera. Elle passa derrière moi, pour défaire le collier. Et enfin se remit à genou pour m’aider à enlever mes talons aiguilles. Je suis débarrassé de tout mon attirail, nu devant elle avec une gaule comme je n’en ai pas le souvenir et elle à genou et nue aussi, j’avais une grande envie de lui demander de me sucer. Mais je sais que sexuellement elle est vierge en tout point. Alors je ne lui dis rien et je retourne dans ma chambre pour me rhabiller, en montant les escaliers je la vois me suivre du regard, inquiète, cela m’amuse et m’excite beaucoup. Une fois rhabillé, je redescends et je la retrouve toujours à genou, avec une mine de quelqu’un qui réfléchit et qui ne sait pas trop ce qui lui arrive. Je la regarde un moment, je lui demande si tout va bien et si elle veut continuer, que si elle veut arrêter, je ne lui en voudrais absolument pas et que on ferait comme si rien ne c’était passé. Elle me répond que oui ca aller, qu’elle avait un peu peur de ce qu’il allait se passer et que ça lui faisait bizarre d’être comme ça devant quelqu’un. J’essaie de la rassurer, en lui disant que sa réaction est plus que normale, que moi aussi je suis passé par là et que si elle ne réagissait pas comme cela, ça aurait été bizarre. Je pense que ça a marché, car elle semble plus détendue d’un coup. Je lui demande de se rapprocher de mon PC à 4 pattes, avec le dos bien cambré. Je la suis et j’en profite pour regarder ce magnifique corps, en pensant que j’ai une chance inouïe. Elle qui quelque mois auparavant « se refuser » d’être ma copine, maintenant se retrouve nue et soumise devant moi, je bandais comme un fou. Mais je devais me calmer, car il fallait signer les contrats qui nous lieraient, bien qu’ils n’aient aucune valeur juridique, c’était plus pour la forme et qu’elle connaisse les règles et ce que j’attends d’elle. Une fois lu elle les signa et rempli une checklist de soumise destinée à connaitre ses limites. Je la regarde droit dans les yeux, elle comprit qu’elle devait baisser la tête. C’est alors que je lui dis que je n’ai pas oublié qu’elle devait recevoir une punition pour tout à l’heure. Je la vis se crisper et avoir peur de ce qu’il allait lui arrivé. Ne voulant pas la choqué et ainsi la brusqué et qu’elle décide d’arrêter tout. Je lui dis que vu qu’elle est vierge, et que moi-même ne voulant pas que sa première fois soit mal vécue par elle, nous n’irons pas loin sexuellement ce soir. Je la fis mettre alors debout, jambes écartées, les mains sur la tête, et je commençai sa punition. Pour la mettre à l’aise je lui annonçai que pour les premières punitions, je lui décrirais ce que je lui ferais. Je pris des pinces à linges, pas celle que j’avais quelque instant plus tôt, car je trouve cela trop dur pour une première. Ce n’est pas parce que j’ai une esclave maintenant que je ne dois pas en prendre soin, bien au contraire, plus elle se sentira en sécurité et à l’aise mieux elle me servira. Et c’est ainsi que je posai une première pince sur le téton gauche, tout en douceur, ensuite le droit avec un peu moins de douceur. Je me mets à genou, et je commence à déposer des baisers sur ses cuisses tout en me dirigeant vers sa chatte, un peu trop poilue à mon gout et je me dis qu’il va falloir y remédier rapidement, elle a un petit mouvement de recul que j’arrête en lui maintenant les cuisses avec mes mains. Je commence alors à la lécher, je sens un peu de mouille et je me dis que finalement cela l’excite un peu. Sans rien lui dire, j’accroche une pince sur sa grande lèvre droite, en la regardant, elle grimace et ça m’amuse. Je fais de même sur la gauche et me relève, je viens coller mes lèvres sur les siennes pour qu’elle goute à son jus et je lui dis qu’elle y goutera souvent alors autant commencer tout de suite. Je lui dis de tourner sur elle-même pour que je puisse admirer son joli corps. Une fois qu’elle me tourne le dos, je lui dis de ne plus bouger. Je prends le martinet et lui annonce que sa punition va réellement commencer, et que pour ne pas avoir obéit a mon ordre, elle allait recevoir 10 coups sur chaque fesse. Sans lui permettre d’assimilé ce qu’elle vient d’entendre, je lui assène un coup, un peu trop violent par rapport à ce que je voulais, elle mit ses mains sur ses fesses comme pour essayer d’échapper à sa correction. Je me place devant elle et lui fait comprendre que si elle re bouge ses mains, je doublerais la punition. Elle se remit en place, moi aussi et je recommence, mais cette fois les coups sont plus maitrisé et c’est à la limite de la caresse et du picotement. Les 20 coups fini, je regarde mon ouvre et je m’aperçois que son cul marque vite et on voit bien les zébrures due aux lanières du martinet. Je prends une photo et lui montre, en lui disant de regarder comment son petit cul est joli rouge comme ça. Je lui ordonne de se mettre à genou, et de me remercier pour la punition et de me baisers les pieds. Je lui dis aussi qu’après chaque punition, elle devra toujours faire ça. Je lui demande alors de me masturber, je la rassure en lui disant que comme c’est une première elle ne me sucera pas et je n’éjaculerais pas sur elle, mais que par la suite elle n’y échappera pas. Sans que je la rappelle à ses devoirs, elle me dit « merci maitre d’être aussi compréhensible avec votre soumise ». Je la récompense en lui caressant les cheveux,  comme on caresserait un chien. Me sentant au bord de la jouissance, je lui donnai un verre pour me faire éjaculer dedans. Je joui, quasiment 2 secondes après qu’elle est pris le verre, de long jets remplissant facilement un quart du verre. Je me dis que c’est con de jeter ça. Je l’attrape par le menton, la forçant ainsi à me regarder, et je lui dis que je n’avais pas l’intention de lui faire subir cela pour une première, mais que en voyant le contenu du verre et que  gâcher c’est mal, je lui dis donc de boire le contenu de ce dernier. A ce moment-là, j’ai cru qu’elle allait tout arrêter, en regardant son expression de dégout quand elle regardait le verre. Mais au final elle le bu cul-sec, je lui signalai que c’était bien et que j’étais fier d’avoir une soumise aussi obéissante. A cette annonce son visage s’illumina, comme si elle avait reçu un cadeau. Je lui dis que vu l’heure on allait se coucher, qu’elle doit me suivre à 4 pattes, elle porte toujours les 4 pinces. Une fois en haut, je me demandai comment la faire dormir, parterre attaché ou juste parterre libre de ses mouvements ou encore dans mon lit. Vu qu’elle a été  plus qu’à la hauteur de mes attentes, je décidai de la récompenser, en la faisant dormir dans mon lit avec moi, tout en l’informant que c’est parce que c’est la première et que elle avait été très forte ce soir. Mais que à partir de demain, je passerais la vitesse supérieure, qu’elle soit prête ou pas. Je pris la décision de n’enlever que les pinces qui sont sur sa chatte et nous nous couchions. Juste avant d’éteindre, je l’embrassai langoureusement et lui dis je t’aime ma soumise rousse. Elle répondit qu’elle aussi m’aimer. Je lui donnai le dernier ordre de la journée, qu’elle doit se lever avant moi, je précise que je ne veux pas entendre le réveil, pour me préparer le petit déjeuner et me réveillé à 11 heures. Lucie, n’arrivait pas à dormir à cause des pinces sur ses seins, ça lui faisait mal. Je me fâchai, en lui disant que si elle n’arrête pas de bouger, elle dormirait au pied du lit. Ça eu son effet, elle s’endormi 5 minutes après. Le lendemain, je fus réveillé par une étrange sensation, je dus mettre 1 bonne minute à comprendre que Lucie était sous la couette et qu’elle me suçait la bite. Je ne vous dis pas ô combien j’étais heureux qu’elle prit cette initiative. J’écartai la couette et elle me regarda, puis à mon grand étonnement me dit, « que mon maitre m’excuse, mais il est 11 heures, conformément à l’ordre reçu je vous réveille ». Je la félicitai en caressant sa joue, et lui dit de terminer ce qu’elle a commencé. 5 minute après je joui dans sa bouge, je maintien sa tête et lui dit d’avaler, puisqu’elle y a déjà gouté hier. Elle se releva et ouvrit la bouche pour me faire voir qu’elle avait bien avalé. Je l’embrassai et me leva, nous descendîmes, dans la cuisine pour déjeuner. Je lui demandais ce qu’elle prenait le matin. Elle me répondit, une tasse de thé avec pain et du beurre. Je lui fis signe de se servir et au moment où elle voulut s’assoir à table, je lui rappelai sa condition de soumise et tant que telle, elle doit manger parterre, et qu’elle s’estime heureuse que je ne lui attache pas les mains dans le dos. Une fois qu’on a fini de manger, elle fit la vaisselle pendant que moi, j’allais sur mon PC, pour regarder mes mails etc. En l’entendant finir dans la cuisine et revenir dans la salle pour attendre de nouvelles instructions. J’ouvris le dossier la concernant et balança la vidéo d’elle sous la douche de lundi. En entrant dans la salle, elle fut surprise de se voir sur la télé et me lança un regard interrogateur. Je lui dis alors que vu qu’elle ne voulait pas sortir avec moi, et que moi je voulais « un lot de consolation », que j’avais caché plusieurs caméras dans la salle de bains. Elle voulut dire quelque chose, mais je la coupai net, en lui rappelant sa condition actuelle et que dans le contrat qu’elle avait signé, elle acceptait d’être filmé et photographié, et que je pouvais en faire ce que je voulais. Je la rassurai quand même que mon but, n’est pas de la détruire socialement, que ces fichiers sont stockés sur un disque dur externe non connecté au réseau, donc pas de risque de fuite en cas d’un potentiel piratage de mon PC. Par contre je lui dis que certaine capture d’écran de la vidéo, et peut être même la vidéo se retrouve sur le site d’Xhamster, mais que je ferai un montage pour que son visage et sa tache de naissance n’apparaisse pas sur le rendu final, pour ne pas qu’on la reconnaisse. Là, elle me surprit encore une fois en me disant « si c’est ce que veut mon maitre, j’accepte ». Je ne pensais pas qu’elle était à ce point une soumise refoulé. Je décidai qu’il était l’heure d’aller prendre un bain, alors nous montons dans la salle de bains. Je retire les pince sur ses seins, elle grimace de douleur, je sais plus que très bien le mal que ça fait pour l’avoir moi-même vécu. Je prends mètre ruban, et je prends ses mensurations, 84-65-88. Ainsi que son poids : 58kg. Je fis couler l’eau, et mis du bain moussant, nous rentrons dedans et j’en profite pour la caresser et lui demander son état d’esprit par rapport à ce qu’elle vivait maintenant. Elle me répondit que bizarrement elle se sentait sereine et qu’elle me faisait entièrement confiance pour la suite. Mais elle avoua qu’au début cela lui paraissait irréel, que jamais elle avait pensé que je pouvais avoir cette tendance. Mais qu’au final elle était contente que je lui en fasse part, cela lui avait permis de mettre le doigt sur des réponses aux questions qu’elle avait pu se posait dans le passé. Je lui fis part aussi de mon ressenti, à savoir qu’au début je ne voulais pas lui révélé cette part d’ombre de moi. Mais qu’au fil de nos discutions, je sentais qu’on pourrait aborder ce sujet, et que j’ai donc saisi l’occasion. Qu’en revanche, j’étais plus que surpris du résultat final, qu’au début j’ai pensé que notre amitié allait s’arrêter une fois la révélation, mais la plus grosse surprise est qu’elle refusa de devenir ma maitresse, qu’en fait elle préférait devenir ma soumise. Nous nous lavons mutuellement, et une fois bien propre je sors de la baignoire. Lucie voulu me suivre, mais je l’arrêtai net et lui imposa de se mettre à 4 pattes dans la baignoire et de bien se cambrer. Elle s’exécuta un peu paniqué, j’allais chercher la canule dans ma chambre et le mis sur le flexible de la douche. Et je lui dis que comme elle est vierge, et que je sens qu’elle ne sent pas prête à le faire, que de tout façon sa première fois sera fait normalement, il fallait bien que je profite un peu de son corps. Elle allait donc subir un lavement anal, afin de lui mettre un rosebud de petite taille. Je pensais qu’elle allait refuser, mais elle se résigna et accepta « son destin ». J’insérai donc la canule tout doucement dans son anus, prépara l’eau pour qu’elle soit tiède froide, et enclencha le mode douche. Je lui dis de se détendre, et que lorsqu’elle ne pourra plus supporter, elle le dise pour que j’arrête l’eau.au bout d’une minute, elle me signale qu’elle a atteint sa limite. J’arrêtai donc l’eau, enleva la canule en lui disant que je ne veux pas d’eau s’échappe, sinon elle sera punie. « Oui maitre », fut sa réponse. Une fois retiré, il n’y a pas d’eau qui sorti, je lui dis que j’étais fier d’elle, je la relève lentement, et lui dis d’attendre un peu avant de se vider. Car je veux une soumise sans poils, par conséquence j’allais la rasée au niveau du sexe et du sillon inter fessier. Je pris ma tondeuse à barbe pour dégrossir un peu, puis je mis de la mousse à raser et commença à la rasée. Une fois fini, je l’autorisai à aller sur les toilettes, il ne fallut qu’une seconde pour entendre le contenu de son cul tomber dans les toilettes. Une fois vide, je l’emmenai sur mon lit, son cul tourné vers moi. Je pris mon plus petit rosebud, l’enduit de lubrifiant et le présenta à l’entrée de sa rondelle. Elle se crispa au contact du froid du lubrifiant, je lui dis de se détendre sinon elle allait avoir mal et je poussai doucement mais en continu. Il me fallut 5 minutes pour le faire rentrer entièrement. Je laissai quelques instants de répits à Lucie, pour qu’elle s’y habitue. Je la relevai, et lui donna un string blanc en dentelle et une robe noir assez transparent à enfiler. Le résultat était magnifique, on voyait bien le string et ses tétons à travers la robe, et pour finir lui donna des talons aiguilles, je pris mon APN et la mitrailla. Je vis sa gêne dans ses yeux et m’en amusa, pour continuer à la faire paniquer, je lui annonçai qu’on allait sortir se promené sur le bord de la plage. A ce moment-là, elle paniqua fortement et on redescendit dans la salle je me dirigeais vers le placard a chaussures, et je me retournai en lui riant au nez. Je lui dis que je ne peux pas lui faire ça, enfin pas encore. Je m’installai devant la télé, elle à mes pieds, je m’amusais à lui demander un verre d’eau, un gâteau, je la forçai à me sucer. Et quand j’arrivai au bord de la jouissance, je l’arrêtai net, lui réservant une surprise pour tout à l’heure. Il me vint alors une idée de jeu, pour se faire, nous montâmes dans la chambre, lui demanda d’enlever sa tenue de soumise et de s’habiller normalement. Je lu une interrogation sur son visage, ce qui me fit sourire. Dès qu’elle eut fini de s’habiller, je lui dis qu’on va jouer au strip – uno. Quand elle gagne, il ne se passe rien tant qu’elle est pas nue intégralement. Dès qu’elle serait nue entièrement, et que si elle gagne la manche, elle pourra remettre un vêtement perdu. Si elle perd, elle enlève le vêtement que je lui dirais, et que lorsqu’elle est totalement nue, elle aura des gages à réaliser. La partie commence, et pour la mettre en confiance, je fis exprès de perdre la première manche. Cela marcha, car elle me regarda avec un petit sourire en coin voulant dire c’est bon je ne perdrais pas beaucoup. C’était mal jugé car elle perdit les 4 manches suivantes, elle se retrouva plus qu’avec son débardeur, car j’avais pris un plaisir à lui faire enlever ses sous-vêtements en premier, et que pour le soutif, elle ne devait pas retirer son top. La manche d’après eut été en sa faveur, elle commença à vouloir reprendre sa culotte. Mais je la rappeler à l’ordre en lui signifiant qu’elle n’était pas nue intégralement. Elle reposa sa culotte, un peu triste. Les 2 suivantes je gagnai, et vu qu’elle était complètement nue, les gages commençaient. Pour le premier je lui donnai le choix, entre soit avoir une pince sur le téton de son choix, soit une pince sur la lèvre de sa chatte de son choix. Un choix qui me surprit, elle demanda la pince sur la lèvre gauche. Elle m’indiqua que ses tétons étaient encore un peu sensibles. La manche d’après, elle gagna, et elle remit son soutif. La partie continua ainsi pendant un moment, si bien que pendant une manche, elle était de nouveau habillée, mais elle portait toujours les effets des gages précédents, c’est-à-dire que sous ses vêtements, elle avait des pinces aux seins, à la chatte,  un plug dans le cul, un bâillon et jouait les mains attaché dans le dos. En gentleman, je n’en profitais pas pour regarder ses cartes à chaque fois qu’elle se tournait pour savoir qu’elle carte jouer. Enfin jusque-là, puisqu’elle s’était « refaite », je décidai de tricher pour qu’elle se retrouve à nouveau nue. Là je lui annonçai, que c’était la dernière manche, et que si elle perd le gage serait le plus dur à réaliser de la soirée. Jusqu’au dernier moment, je lui laissé l’espoir de pouvoir vaincre, et au moment où elle crut remporter la victoire, je lui assénai ma botte spéciale (2 cartes +2 suivi de la carte couleur adéquate). Je remportais donc la partie et là je me mis à rire genre malsain, ce qui l’inquiéta. Je la fis mettre debout, je pris la corde dans le sac et nous descendîmes dans la salle. Je remontai le volet roulant, ouvrir les portes fenêtres en grand. Je la vois essayer de se cacher de la fenêtre, mais je m’approchai d’elle, me baissa, retira les menottes à ses chevilles. Mais je lui reliai tout de suite, en les joignant avec de la corde. Puis je la pris dans mes bras et la passa par-dessus la rambarde de la fenêtre. Je repris la corde qui pendait à ses pieds, la fit passé derrière la barrière (du côté salle) et la noua autour de sa taille. De telle sorte qu’elle ne pouvait plus tomber, je continuai de nouer la corde autour de son corps. Et je lui dis bonne nuit et referma le volet. Elle voulait implorer pitié mais je ne comprenais rien avec le bâillon. Au bout de 5 min je ne l’entendais plus, et j’attendis encore 5 minutes de plus pour la ramener dans l’appartement. Je la déposai sur le canapé, pour finir de la libérer et je vis qu’elle pleurait. Une fois le bâillon enlevé, je lui demandai si tout aller bien. Elle me répondit pas trop, que ce gage lui a fait peur, je la rassurai en lui disant que ce qu’elle subissait, eh bien qu’en fait je l’avais testé avant. Que je ne lui ferais pas subir quelque chose sans que moi je l’ai essayé. Ça la rassura un peu, et on s’aperçu que nous n’avions toujours pas mangé. Elle prépara le repas, et au moment de se mettre à table. Je lui ordonnai de me sucer, juste avant d’éjaculer je me retirai de sa bouche et joui dans son assiette, la posa à terre et lui souhaita bon appétit en rigolant. Vaincue par la dernière épreuve, elle mangea sans protester, à 4 pattes. Le repas fini, elle fit la vaisselle, et je décidai qu’on allait se coucher. Je réalisai qu’elle avait eu une journée chargée en émotion forte, aussi je décidai de la récompenser. En lui disant que cette nuit si elle voulait, elle pouvait redevenir la Lucie normale, et dormir habillé. Où elle continuait d’être la Lucie soumise, mais qu’elle dormirait à terre, attaché écarter, avec pinces aux seins et à la chatte, et plug au cul. Je lui donnai 5 minutes de réflexion, et lui dis que vu la journée intense qu’elle a subie, elle ferait mieux de redevenir Lucie normale, que je lui en voudrai absolument pas. Encore une fois, sa réponse me surpris et me confirma que c’est bien une soumise refoulé, car elle me dit qu’elle reste la Lucie soumise et me présenta son cul pour l’insertion du plug. Je l’envoyai aux toilettes avant, pour qu’elle n’est pas de problème à force de se retenir. Quand elle est revenue, je l’équipai et l’attacha en lui souhaitant ce coup-ci une vrai bonne nuit. Je me couchais et mis le réveil pour 10H, car elle repartait à midi le lendemain. Au réveil je la détachai, l’aida à se relever, et la massa pour détendre ses muscles. Nous prîmes notre douche ensemble en nous lavant mutuellement. Elle se mit à genou et me fit une pipe du tonnerre. Je giclai dans sa bouche et elle avala sans en perdre une goutte. Pour la féliciter, je lui fis un cunni, elle jouit en 10 minutes. Nous déjeunons, et je lui dis de redevenir la Lucie normale pour qu’on puisse discuter de ces 2 jours tranquillement. Je lui dis que j’étais plus que fier de ce qu’elle a accompli, que je ne pensais pas qu’elle irait si loin. Je n’avais pas imaginé la tournure que ça a pris, que j’étonnai car je pensais qu’une fois qu’elle aurait appris, mon penchant sexuel, elle voudrait rentrer chez elle de suite et ne plus jamais entendre parler de moi. Mais au contraire qu’elle l’est acceptée et retourné ma demande sur elle. Je suis aux anges, je lui posais enfin la question, veux-tu continuer à être ma soumise, si oui es-tu prête à emménager avec moi, pour continuer ton dressage. Je fini en la regardant droit dans les yeux et lui « je t’aime ». Elle m’avoua que lorsque je lui ai dit que j’étais sadomaso et en voyant les photos et vidéo de moi, elle a pensé à partir. Mais que au final, cette approche allait peut être répondre à ses questions personnelles, qu’elle décida donc d’écouter ce que j’avais à dire jusqu’au bout, et lorsque je lui ai proposé de une « démo », elle voulait voir car elle était curieuse. Que son déclic d’être soumise, fut quand elle me retira le rosebud de mon anus, où elle s’est excusée de suite. C’est là, qu’elle comprit que son rôle n’était pas d’être une maitresse, mais une soumise. Elle me dit aussi qu’elle prit 10 minutes de réflexion, pour peser le pour et le contre et qu’elle avait un peu peur que je sois trop brutal. Mais qu’au final j’ai été calme, attentionné, mais juste. Par contre, le seul moment où elle a été à 2 doigts de tout arrêter, c’est quand je l’ai attaché à la rambarde de la fenêtre. Pour finir me dit-elle, « je veux continuer à être ta soumise et oui je suis prête à venir vivre ici ». Je l’informe que je ferais appel, à mon ancien maitre pour m’aider à devenir un véritable dominant, et qu’il risque de se faire payer en nature avec toi. Elle me répond qu’elle est ma chose maintenant et que j’ai les pleins pouvoir sur elle corps et âme. Je l’emmène à la gare pour qu’elle puisse repartir chez elle et aller bosser. Son contrat ce fini le 1 er septembre, et qu’au plus tard le 5 elle débarque ici avec ses affaires. Je lui dis que je continuerais à la dominer par message. Elle accepta, on s’embrassa et elle monta dans le train. Cette histoire est une fiction, basée sur quelque faits réel, comme le fait que Lucie m’ai recalé, le fait que je sois un sado maso et le fait que je possède réellement le matériel qui apparait dans l’histoire. En sorte une version d’un fantasme d’une relation avec Lucie que je rêve depuis presque un an maintenant                                                                                                                                                     FIN
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Par : le 13/10/23
 voici un vieux texte que j'avais écrit il y a quelques années maintenant. j'espere que vous aprecierez    Nous sommes le 25 juillet 2017, Lucie, une très jolie rousse de 21 ans, est enfin à la maison après plusieurs annulations de dernières minutes. Au mois de juin, je lui ai fait part de mes sentiments envers elle, mais elle a décliné ma « demande ». Alors dans ma tête c’est monté un scénario de domination soumission.                Oui car j’ai oublié de préciser, que je suis sadomasochiste et que je suis switch (je peux être soit dominant, soit soumis) mais plus a tendance soumis. J’ai d’ailleurs eu plusieurs expériences, mais nous verrons ça une autre fois. J’ai aussi installé des caméras espionnes dans la salle de bains, le couloir et ma chambre.                Donc, le mardi nous rentrons dans l’après-midi, après avoir fait la route depuis chez elle. Je lui montre l’appartement, lui explique 2-3 trucs et nous nous posons devant la télé, pour jouer à la console. On joue aussi au UNO, notre jeu préféré XD, bref une après- midi banale en sommes. Le soir, elle part prendre sa douche, je lui montre comment activer le pommeau pluie, et en profite pour mettre les caméras en route. Sur certaines je peux, via mon pc ou mon tel, voir le flux vidéo en direct. Et je dois dire que je ne suis pas dessus, une fois fini, nous mangeons  et regardons la télé tout en discutant de banalité.                Le mercredi, nous avons passé l’après-midi à la plage. Je reconnais en avoir profité pour mater son corps, fort bien sympathique avec une poitrine qui convient à son corps, un joli petit cul, et quelques kilos de trop mais rien de bien méchant, en soit elle est très jolie. Le soir, nous faisons comme la veille, discuter devant la télé ou un jeu. Mais la discussion en arrive à la partie sexe, je sais qu’elle est encore vierge, et je dois avouer bien que j’ai 32 ans cela ne fait 4 mois que je ne suis plus vierge, cela est une autre histoire. Donc elle me dit que pour l’instant ça ne la perturbe pas plus que ça et qu’elle ne se sent pas prête pour une relation.                Voyant que l’on peut tout se dire, j’ose lui avouer mon côté sadomaso, en lui parlant des différentes expériences que j’ai vécu. Je lui montre des photos et des vidéos de moi, mais aussi celle trouvé sur internet. Ça n’a pas l’air de la choquer, je dirai même qu’elle me poser beaucoup de questions comme si elle était intéressée par la chose, je lui propose que je lui montre à quoi je ressemble en vrai quand je suis en femme et bondagé, elle me répond qu’elle souhaiterait effectivement voir ça en vrai. Je monte donc à l’étage, me transforme en Sophie (c’est mon nom de soumis). Quand je redescends, elle me trouve ravissante et que je sais bien m’habillé quand je suis en femme. Elle demande, alors à voir comment est composée cette tenue. Je lui donne alors les clés des menottes de poignets et de chevilles pour qu’elle les déverrouille. Je retire ensuite mon bâillon, mes talons aiguilles, ma robe. A ce moment-là, je la vois écarquillé les yeux de surprise, je lui demande pourquoi elle fait ces yeux -là, et m’explique qu’elle ne s’attendait pas à me voir encordé comme cela (j’avais réalisé un shibari) et que c’était joli. Je continu, je défais donc ce shibari, enlève le soutien-gorge où les faux seins viennent avec et je retire le string. Je suis donc nue devant elle, avec un collier où est cadenassée la chaine des pinces sur mes tétons, ma cage de chasteté et un rosebud dans l’anus. Elle me demande de tourné sur moi-même pour mieux admiré ce qu’elle voit, et elle remarque un truc brillant au niveau de mon cul et me demande ce que c’est, je lui dis que c’est un rosebud. C’est alors, avec le cœur battant à 100 à l’heure, que je lui propose un truc totalement fou, mais sur lequel je fantasme depuis le mois de juin, c’est qu’elle devienne ma Maîtresse et qu’elle m’éduque en tant que soumis.                Je la vois réfléchir, et je lui propose que pendant qu’elle essaie de prendre une décision, de se rapproché de moi pour mieux voir, de touché les pinces, la cage, enfin ce qu’elle veut. Elle me demande alors de me pencher en lui présentant mes fesses, et là elle fait une chose complètement inattendu, elle retire le rosebud d’un coup sec. Je n‘étais pas forcément préparé à ça, ça m’a tellement fait mal que je suis tombé à genou mais malgré cela bien que mon sexe se sentait à l’étroit dans sa cage il se mit à gonfler au maximum de ce qu’il pouvait, c’était douloureux mais tellement jouissif. Elle a eue peur et me demande si ça va. Je lui dis oui et que j’ai juste été surpris de par son action. Je me prosterne à ses pieds et lui demande pardon de lui avoir fait peur, c’était aussi dans le but de lui montrer qu’elle pouvait faire ce qu’elle voulait de moi et « forcer » sa réponse dans le positif. Je ne pourrais pas dire combien de temps je suis resté à ses pieds, mais après un long silence, elle lâche ces mots qui resterons a jamais gravé en moi, et qui m’ont rendu heureux jusqu’à présent.  « Je suis d’accord pour devenir ta Maîtresse, mais je ne sais pas comment m’y prendre. » J’ai failli m’évanouir en entendant ses mots, car j’avais une forte inquiétude sur sa réaction, et entendre ça m’a libéré. Je lui demande si je peux me relever pour lui expliquer un peu ce qu’elle doit faire. Elle m’ordonne alors de me relever mais de rester à genou devant elle, en gardant la tête baissée. J’entreprends donc de lui définir comment une Maîtresse est sensé agir envers un soumis, c’est-à-dire que je suis à son service, ce qu’elle ordonne j’exécute comme par exemple : mets-toi à 4 quatre pattes, que si je n’obéis pas elle me punisse etc... . Je l’informe aussi qu’il y a des contrats et une checklist d’action que j’ai remplie, définissant mes limites à signer pour la forme, mais que ça n’a aucune valeur juridique. Je lui demande donc l’autorisation de me lever pour lui montrer et lui faire lire les documents avant de les imprimer, une fois devant l’ordinateur j’ouvre les documents qu’elle a à lire et je me remets à ses pieds. Nous discutons des termes, me demande des explications sur certains points et pour finir nous regardons mes limites pour voir celles qui peuvent éventuellement dépassées. Une fois tous les documents signés, je lui annonce aussi que si elle souhaite une aide extérieure, pour l’aider à se former en tant que Maîtresse, que je peux faire appel à un Maître avec qui j’ai déjà eu une expérience. Elle me répond qu’elle verra si elle ne s’en sort pas, alors on lui demandera de l’aide. C’est ainsi, que comprenant le pouvoir qu’elle a sur ma vie maintenant, elle me demande de lui montrer tout le matériel que j’ai en ma possession. Je commence donc à me lever et là je reçois une petite claque sur les fesses. Surpris, je me retourne et elle me dit qu’elle ne m’a pas autorisé à me mettre debout et que je devais marcher à 4 pattes. Que la prochaine fois ça sera plus fort, j’en étais aux anges, jamais je n’aurais imaginé qu’elle se prenne au jeu si vite. Je me remets donc à 4 quatre pattes et je m’excuse auprès d’elle puis nous montons dans ma chambre, où j’entreprends de tout déposer que le lit, en marchant à genou pour éviter d’être déjà puni a peine 10 min après la signature des documents. Elle me donne l’ordre d’aller chercher une feuille et un stylo, toujours à 4 pattes cela signifie donc je dois lui ramener ces 2 choses avec ma bouche une par une. Elle me dit aussi qu’elle ne veut pas que la feuille soit mouillée sinon, ça ira mal pour mes fesses. Je redescends dans la salle, avec un peu de mal car même si je me suis forcé faire beaucoup de choses, ça je ne l’avais jamais fait. Je la retrouve donc dans ma chambre, d’où je suis un peu surpris de la voir avec un de mes body que j’avais acheté, je dois dire que ma queue me faisait vraiment mal vu qu’elle était toujours enfermée dans sa cage. Elle me dit de me mettre sur la planche et de noter en titre liste d’accessoires de la lopette soumise et d’écrire à la suite, ce qu’elle dictera. C’est ainsi qu’un inventaire détaillé de mes équipements fût réalisé.     Voici la liste : 1 robe de soirée 4 bodys 1 nuisette avec menotte intégré 1 bâillon bite de 10 cm 1 crochet anal 3 boules de 19 mm à 35 mm 1 paire de talon aiguille avec une plateforme de 4 cm et haut de 14 cm 1 paire de faux seins 2 rosebud (1 métal : 7 cm de long et 2.8 de large ; 1silicone : 8.5 cm de long et 4.4 de large) 1 ceinture menotte 2 contrainte pieds et mains ensemble velcro 1 combinaison résille fendue a l’entre jambe 1 stimulateur de prostate a accroche au pénis 1 martinet 1 bâillon boule casque 1 bâillon boule 2 paires de pinces à tétons en métal reliées par une chaine 2 shortys 1 cage de chasteté en plastique ajustable 1 cage de chasteté en métal 2 paires de menottes (1 poignet et 1 cheville) 1 cravache                Elle se retourne vers moi, et me lance tu n’es vraiment qu’une pauvre merde perverse, regarde toi tu es là à mes pieds, et pourtant ça te fait plaisir d’après ce que je vois avec ta petite queue qui essaie de sortir de son cocon. Tu dois bien avoir un dossier sur ton PC ou tu as surement plein de trucs aussi pervers que toi. Je lui réponds oui de la tête n’osant pas parler. Elle m’intime alors l’ordre de lui montrer mais qu’avant elle en avait marre de voir cette petite chose.je me sentais plus qu’humilié car même si je n’ai pas la prétention d’en avoir une grosse, elle mesure 17 cm en érection, je sais que ce n’est pas vrai.  Elle décide donc que je dois me rhabiller et choisi pour cela, d’enlever le body qu’elle a sur elle, à ce moment-là j’ai cru que ma queue allée exploser tellement la pression était trop forte, elle le remarque et me balance une paire de baffe d’une force que je ne lui soupçonné pas. Elle me dit que je n’ai pas le droit de posé les yeux sur elle tant qu’elle ne m’en donnera pas l’ordre, et vu que mon petit asticot s’excite pour un rien, elle me pose sur le nez l’endroit où le tissu du body était en contact avec sa chatte, pour la première fois j’ai failli éjaculer sans me toucher. Elle avait une odeur exquise. Une fois sa colère un peu redescendue, elle me fit mettre debout, me somma de mettre le body, elle me remit les faux seins, je dois dire que ce fut assez douloureux car cela faisait maintenant près de 2 heures que je portés les pinces aux tétons et qu’elle appuya fortement sur les seins pour les mettre bien en place. Me bâillonna avec le bâillon bite, en me disant que celle que j’avais en bouche lui semblait plus grosse que ma petite queue. A ce moment-là, des larmes me firent aux yeux, car malgré tout ce que j’avais pu imaginer dans mes rêves les plus osés, ses paroles étaient dures à entendre. Elle eut un moment d’hésitation en me voyant ainsi, et moi par la même occasion j’eue peur qu’elle décide de tout arrêter, mais elle se reprit et me menotta les chevilles et les poignets. Elle se rappela d’un coup que mon rectum n’était plus rempli, elle me fit donc me retourné me pencher bien en avant tout en me cambrant bien pour lui présenter mon petit trou, elle ne remit pas celui du début le jugeant pas assez gros pour une putain comme moi, elle m’enfila le plug gonflable et le gonfla jusqu’à que je montre mes limites. Et me donna à mettre mes talons aiguilles. Elle me refit mettre à 4 pattes et direction mon PC. J’ouvrir donc un premier dossier puis un autre et ainsi de suite jusqu’à mon dossier porno. Ce que j’avais oublié c’est qu’il y avait un dossier d’elle juste avant, mais elle ne dit rien j’ai cru qu’elle ne l’avait pas vu, que j’étais sauvé, mais avant je fasse quoique ce soit elle me prit la souris des mains et fit retour arrière. Je me risquai à la regarder du coin de l’œil sans qu’elle s’en aperçoive, j’ai vu de la crainte dans ses yeux et il y avait de quoi, car j’avais déjà transféré les vidéos et capture d’image d’elle d’hier quand elle était sous la douche. Quand elle vit cela, je n’osai pas la regarder, limite j’avais envie de m’enfuir loin, car je sentais qu’elle était très en colère. Et ça n’a pas loupé, elle m’attrapa par l’oreille, me jeta a terre et chose que je ne m’étais pas rendu compte, c’est qu’elle avait pris le martinet avec elle. Elle me força à me mettre à 4 pattes, vu que c’était un body string, mon cul n’avait aucune protection et les coups ont commencé à pleuvoir sur mon pauvre derrière. Tout en faisant cela, sans crier trop fort pour ne pas alerter les voisins, elle m’insultait à plein poumon, me demanda comment j’avais pu faire cela. Elle s’arrêta 1 min pour me demander en face si j’avais branlé le petit ver qui me sert de bite, en regardant ces vidéos. Vu que j’avais dans ma bouche une queue en plastique, je fis oui de la tête. Je baissais la tête de honte, mais elle me releva la tête, me gifla 4 fois et pour finir me donna un coup de poing si fort qu’elle se fit mal à la main. Elle me fit aller chercher des glaçons pour calmer la douleur de sa main, tout en m’informant que la punition n’était pas finie. A mon retour, elle se reposa 10 min, d’un pour se calmer car elle m’avoua après que si elle avait continué, je me serais probablement retrouvé à l’hôpital et de deux pour réfléchir à la suite de la punition. Pendant ce temps elle m’envoya au coin les genoux sur une règle carré et les mains sur la tête, cette position fut un calvaire, car outre la règle qui fait mal, les pinces de mes tétons tiraient fortement ces derniers. Quand elle fut calmé, elle me donna l’ordre de me lever, elle retira le bâillon et les menottes, au début j’ai cru qu’elle pensait avoir trop loin et que elle voulait me laisser un peu de répit, c’était mal la connaitre. Elle me demanda de me mettre nu, se fut rapide car je n’avais que le body et les chaussures, je du garder les chaussures. Je me retrouvé alors nu comme tout à l’heure avec uniquement les pinces sur les seins, la cage et le plug, je dû remettre les mains sur la tête. Elle prit plusieurs bougies qu’elle alluma, quand elle jugea qu’il y avait assez de cire liquide, elle en versa sur mes tétons, de telle sorte qu’ils soient « cachetés » avec les pinces. Je reconnais que cette punition m’excita de nouveau, Laura l’a vu et a entrepris d’enlever la cage, c’est alors que mon pénis se déploya entièrement. Je lus dans ses yeux qu’elle était surprise de la voir si grande, vu qu’elle ne l’avait vu que dans sa petite cage, elle pensait qu’elle était très petite. Elle me masturba avec sa main, mais s’arrêta vite, car elle senti que je pouvais éjaculer à tout moment. J’en étais frustré, mais avant que je puisse penser à autre chose, elle versa de la cire sur mon gland et tout le long de ma queue, en quelque sorte une capote. Une fois cela fait elle me remit au coin dans la même position, et retourna sur mon PC pour regarder plu en détails ce qui avait été pris à son insu et regarder aussi mon dossier porno. Il devait être 3 heure du matin, quand elle décida de retirer la cire sur mon gland uniquement, je ne comprenais pas pourquoi. C’est là, qu’elle m’annonça que je méritais d’être traité comme un animal qu’il faut dresser et c’est pour ça qu’on allait faire un tour dehors pour je fasse mes besoins. Je pris peur, car même si par le passé il m’est arrivé de sortir quasi nu dans la rue, c’était quand j’étais encore chez mes parents ou il n’y avait pas de passage dans la rue. Maintenant ma maison est dans l’axe principal de la ville et il y a toujours des voitures qui passent. Mais heureusement pour moi, elle décida d’aller du côté des garages derrière chez moi donc personne ne m’a vu. Je dû me mettre à 4 pattes et lever la jambe comme un chien pour uriné. Une fois finie pour rentrer elle me re-menotta les poignets et les chevilles. Donc une fois à l’intérieur, Laura me débarrassa de la cire sur ma verge, ce qui ne manqua pas de m’exciter à nouveau, à mon plus grand regret. En effet, elle n’a pas apprécié du tout, ce qui me couta quelque cout de cravache sur le sexe, qui m’excita encore plus, Laura décida d’employer les grands moyens. Elle alla chercher des glaçons et me les posa directement sur ma queue. En 2 min je ne bandais plus. Elle en profita pour me mettre l’autre cage de chasteté (elle a un anneau au bout pour y mettre une laisse), au début je ne compris pas pourquoi. Elle m’annonça qu’il était tard et qu’on allait se coucher, en plus demain elle repart de bonne heure. Une fois dans la chambre, elle me fit m’allonger au sol, elle me fixa la barre d’écartement au chevilles, qui elles même étaient fixé au pied de la commode, je ne pouvais plus bouger les jambes. Elle me fixa les poignets au sommier de mon lit, de sorte à ce que mes bras soient en l’air, décrocha la chaine des pinces du collier, enleva la cire de mes tétons mais pas pour longtemps. Elle me fixa une laisse sur la cage de chasteté, en ayant pris soin d’avoir emprisonné mes testicules avec comme ça quand elle tiré sur la laisse j’étais obligé de levé le bassin pour essayer d’atténuer la douleur. Elle prit une deuxième laisse qu’elle accrocha a la chaine des pinces sur mes seins et la joignant avec celle sur mon sexe. Une fois ceci fait elle sorti ma table à repasser la mise en position la plus haute, et y cadenassa les 2 laisses. Elle recacheta mes tétons, ce qui me ré-excita, ce qui m’en couta des coups de martinet sur les seins et le sexe. Et pour bien m’exciter à fond, avant de se coucher elle se déshabilla devant moi et positionna ses jambes autour de ma tête, pour que je vois bien ce que je ne peux pas avoir me dit-elle. Elle se coucha dans mon lit, nue, et en même pas 5 min elle dormait. Moi dût à l’inconfort de ma position, je repensais à tout ce qui s’est passé aujourd’hui et en conclut, que malgré les souffrances subit, à juste titre aussi avouons-le. Avoir filmé Laura sans son autorisation, c’était très abusé, et bah je ne regrettais rien car cela m’a permis de réaliser un de mes plus grands fantasmes, avec la personne qui m’attire le plus. Il est 6 heures du matin, je m’endors, dans la douleur mais heureux. Il est 8 heures je suis réveillé par des bruits, j’ouvre les yeux et je vois Laura, qui a trouvé mon APN et qui me prend en photo. Je suis vite excité, en voyant cela, Laura entreprend de me détacher. Une fois détaché et déséquipé, sauf pour ma cage de chasteté, elle me dit que pour l’instant, on arrête de jouer le temps de se préparé de de discuter de ce qu’on a fait hier. Je lui demande alors la clé de ma cage, pour que je puisse me laver correctement, sa réaction me surpris et aujourd’hui encore me rend heureux, elle me dit non qu’on va sous la douche tous les 2 et que seulement là, elle me libérera. Donc une fois sous la douche, elle délivra mon pénis et me masturba avec sa main. J’aurais aimé qu’elle me suce, je lui fais part de mon envie et me répond non car elle est encore en colère pour les vidéos d’elle sous la douche. Quand elle me dit ça, je ne tiens plus et éjacule sur elle, ça ne lui plait pas beaucoup et me demande de nettoyer avec ma bouche. Ce que je m’empresse de faire. J’ai tenté de lui lécher la chatte mais m’a repoussé. Une fois propre tous les deux et habillé normalement nous descendons déjeuner et parlons de notre soirée. Elle me demande de commencer, alors je lui dis que je rêvais de ça depuis plusieurs mois. Au début je ne savais pas comment aborder la chose, mais quand on a commencé à parler sexe, je me suis dit que c’était le moment idéal. Qu’elle avait été au-delà de mes rêves les plus fous, vu qu’elle était encore vierge, je ne pensais pas qu’elle était capable de faire ce qu’elle a fait hier. Je lui raconte aussi que la balade nocturne, m’a excité au plus haut niveau mais que s’il y a une prochaine fois, il faudra faire plus attention. Que sa réaction, quand elle a trouvé les photos d’elle, était parfaite, et que je méritais ce que j’ai subis. Mais à un moment je l’ai senti prête à abandonner la partie. Et je lui demande si elle veut bien continuer, ou alors c’était une fois et c’est tout. Elle m’avoua, que oui à un moment, elle a failli tout arrêter, c’était lorsque qu’on était la haut et qu’elle me mettait le bâillon bite, elle croyait avoir était trop loin, mais que après tout j’avais signé, donc elle pouvait me faire ce qu’elle voulait. Elle me dit aussi avoir ressenti une gêne de s’être mise nue devant moi, car elle n’a pas l’habitude mais que c’était pour être à égalité. Puisque elle me voyait nu, moi aussi je devais la voir nue. Je lui à ce moment-là qu’elle m’a fait plaisir mais qu’elle n’était pas obligée, car je suis son soumis et je n’ai le droit de prétendre a rien et  encore moins d’être sur le même pied d’égalité avec ma maitresse. Elle me répond que c’était sa volonté. Ensuite, elle me dit être très en colère des vidéos, mais que je peux les garder, à condition de pas les partager, ce que je promis. Elle avoue aussi, qu’elle aimerait bien un superviseur pour savoir exactement comment réagir, quelle punition donné et quand. Je lui dis que j’en déduis qu’elle veut continuer. Elle me répond oui, et comme gage de sincérité, elle me fit mettre debout, me fit descendre mon pantalon et mon boxer, pour aller chercher une cage et enfermer ma queue dedans. Elle me regarda droit dans les yeux je compris qu’il fallait que je me prosterne à ses pieds pour la remercier. Elle me signala qu’elle gardera cette clé jusqu’à notre prochaine rencontre, et que pendant ce temps je devais contacter mon ancien maitre, pour qu’il puisse venir la prochaine fois. Je la remercie en lui baissant les pieds, et lui dit que cela sera fait selon son désir. Elle me sort que bien entendu elle m’enverrait des ordres via téléphone, Facebook ou tout autre moyen. A ce moment-là, elle me redresse et m’embrasse, je suis tellement heureux que j’en pleure. FIN
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Par : le 08/10/23
Voici le jour où j’ai été un moins que rien et un lâche devant un Maitre.                  Tout a commencé sur le site aujourd’hui disparu sensationsm.com, ou je me suis inscrit pour trouver une personne dominante. Après quelques échecs, un maitre rentre en contact avec moi directement. Je ne saurais plus vous dire exactement nos conversations car cela remonte à 2014. Donc après quelques échanges par mail, on convient d’une date de rencontre.                Je devais l’attendre nu avec des pinces aux tétons, des menottes aux mains et au chevilles ainsi qu’un plug de ma fabrication. Donc le jour J je me levé assez tôt et je ne déjeune pas, je pars me préparer et me rasé le sexe et l’anus. Je me fais un grand lavement, pour ne pas salir le maitre. Une fois fini je regarde l’heure, il arrivait dans 1h. j’ai faim mais je ne veux pas manger je veux que tout ce passe bien.                Je suis prêt depuis un moment le plug est en place, seules les pinces ne sont pas encore appliquées car je n’étais pas encore habitué à celle-ci à l’époque. Et j’attends en naviguant sur mon site préférer de l’époque Xhamster. 5min alors qu’il arrive je pose les pinces et je mets à l’attendre derrière la porte d’entrée avec la cravache dans mes mains en offrande.14h30 ça sonne, il est ponctuel. Je lui ouvre la porte il entre et je referme derrière lui.                Je me retourne et me mets à genoux et lui présente la cravache, il me dit qu’il apprécie l’initiative, il me dit montre moi ta chambre. Alors je l’emmené dans ma chambre, et là ça commence il dit je ne veux plus t’entendre jusqu’à nouvel ordre, je fis oui de la tête. Il m’ordonne de mettre les mains derrière la tête et d’écarter les jambes. Il me touche les testicules, quelques secondes, histoire de me faire monter, et je dois dire que je ne pensais pas pouvoir bander si un mec me toucher et finalement que ce soit un homme ou une femme qui nous touche nous banderons car cela touche des terminaisons nerveuses qu’on ne peut pas contrôler.                Quand il estime que je suis suffisamment en l’air, il me ficela le paquet avec une petite ficelle qu’il avait ramené. Il me fait mettre à 4 pattes sur le lit et il m’insert un speculum anal et tourna la molette il m’ouvrit l’anus mais pas à fond. Je pense qu’il ne voulait pas trop me faire mal pour une première rencontre. Une fois qu’il s’est assuré que le speculum ne sortirait pas, il commença à me claquer le cul avec la cravache pas fort mais claquant et on peut voir sur mes photos que je marque très vite. Il prit quelques photos et me donna l’ordre de me remettre debout.                Il retira la ficelle et la repassa de sorte à pouvoir suspendre des poids à mes testicules, il en profite aussi pour me mettre une dizaine de pinces à linge sur le sexe. Et repris des photos, il m’enfonça un gros gode, enleva les poids des mes bourses et l’attacha à la chaine de mes pinces sur mes tétons, et me fit remettre les mains mais derrière la tête. C’est là que je perdis le gode de mes fesses, oui bien que je m’enfoncer régulièrement un gode dans le cul je n’ai jamais exercé à le garder, j’ai toujours mis une corde pour le maintenir au plus profond de moi. Il n’était pas content et il me fouetta le dos avec la cravache. Quand il jugea que mon dos était suffisamment marqué il me fit mettre à genou.                C’est à ce moment précis que j’ai commencé à me sentir mal, je savais ce qu’il allait arriver, il voudra que je le suce. Et bien que j’eusse déjà sucé une bite dans un sex shop, le contexte ce jour là était différent. J’étais encore puceau et je me cherchai de plus en plus, ne sachant pas de quel bord j’étais. Et dans ma tête, faire ma première fois avec un homme, changerait ma vision de ma sexualité et je n’étais pas prêt.                Il avait gardé son slip et me demanda de lui déposer des baisers dessus, je le fis mais je paniqué de plus en plus. C’est au moment ou il a voulu que je lui retire son slip que j’ai dit stop. Il a été très compréhensif et a tout arrêté, il me fit lever et retira mes contraintes. Il me permit de me rhabiller pendant qu’il faisait de même. Il me déclara qu’il ne m’en voulait pas et qu’il n’y avait pas de souci. Je le remerciai et il partit.                Une fois qu’il était parti, j’ai mangé et je réfléchissais à ce qu’il venait de se passer. Mon esprit était complètement perdu, tiraillé par la honte d’avoir fait cela avec un homme, mais aussi honteux de n’être pas allé jusqu’au bout de la séance, un lâche en gros. Je pris l’initiative de lui envoyer un mail d’excuse, en lui parlant du fait que si je faisais ma première fois avec un homme je deviendrais homo. Réflexion stupide de ma part et finalement aujourd’hui je suis Bi.                Quand je reçu sa réponse elle me réconforta, il me disait qu’il comprenait tout à fait qu’il n’y avait pas de mal. Que la prochaine fois que je trouverai une personne dominante, que j’évites de l’invité directement chez moi. Qu’il y en a plus d’un qui sont mal attentionné. Il demanda aussi que je lui envoie les photos prises. Ce que je fis sans tarder.                Finalement, après réflexion bien des années plus tard je me dis que je n’ai pas eu les couilles d’aller jusqu’au bout par peur de ce que mes parents penseraient si je leur apprenais que j’étais homo. Surtout que faire mes 15-16 ans mes parents me l’ont demandé car je ne leur ramenai pas de petite copine, ce jour-là je leur ai dit que j’étais bien hétéro. Je me dis aussi, que j’aurai dû m’en battre les couilles de ce que les gens penseraient, comme je le fais aujourd’hui. Mais j’étais jeune et con et surtout matricer par une éducation un peu stricte et la peur du regard des gens. Aujourd’hui j’aurai voulu le recontacté, afin de discuter et pourquoi retenté l’expérience s’il voulait bien évidemment. Malheureusement j’ai perdu son mail, et le site sensation SM, a disparu.  
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Par : le 07/10/23
Ce récit est réel et raconte comment j’ai été un connard avec mon ex et comment le Karma ma rattraper en quelque sorte.                  Je vais d’abord retracer le contexte, à l’époque j’ai 32 ans encore puceau, car je suis timide avec les femmes, et que je n’arrive pas à aller vers elle. J’ai connu mon ex par intérêt, j’étais en vacances chez un pote et me dit que cette fille, est très facile et me montre les photos qu’il a pu avoir rien qu’en lui demandant. J’apprends qu’elle habite à 2H de route de chez moi, et du coup mon cerveau laisse la place à mon pénis. Eh oui l’homme à 2 cerveaux et la plupart du temps c’est le 2eme qui prend le plus de décisions connes.                Donc je commence à lui parler, à lui expliquer comment je l’ai connu, et qu’elle me plait. Je ne le su que plus tard, mais elle était fragile mentalement et s’accrocher très vite dès que quelqu’un lui montre de l’intérêt. On convient que je passerai la voir en rentrant de chez mon pote, et on continue de discuter histoire de se connaitre un peu mieux. J’apprends notamment qu’elle est orpheline et qu’elle à 2 chats, pas beaucoup de moyen.                Viens le jour d’aller chez elle, j’arrive assez tard vers 21H, car j’étais à Tarbes et la route était longue. Elle me proposa de préparer à manger, et me demanda ce que je voulais manger, je lui dis que je lui laisse le choix et que tout ce qu’elle me préparera sera largement suffisant. Une fois arrivé on mange et on discute de tout et de rien. On en vient à la partie relation et je lui dis qu’elle me plait et que j’aimerais bien essayer un bout de chemin avec elle.                 Quand je dis que j’étais un connard c’est que pour moi je ne le pensais pas vraiment, tout ce que je voulais c’était de perdre ma virginité qui me bouffé la vie, alors je lui ai dit ce qu’elle voulait entendre. Au moment de ce coucher, je lui dis que je peux dormir sur le canapé et elle me dit non avec moi. Donc on s’installe, et je commence à la chauffé comme je pouvais n’ayant jamais vécu cela avec une femme je ne savais pas très bien ce qu’il fallait faire, et ce n’est pas mes années de visionnage de porno qui m’aiderait. Oui je savais faire la part des choses entre le porno et la réalité.                De plus je me sentais un peu mal par rapport à elle, car la pauvre ne demandait pas cela et qu’en plus par-dessus tout ça, j’étais fou amoureux d’une autre femme avec qui cela n’avancer pas. Je vous l’ai dit à ce moment-là j’étais plus qu’un connard. Elle fini par me dire qu’on ne fera rien ce soir, car elle est fatiguée. Bilan j’ai mis longtemps à m’endormir, car elle était nue dans mes bras, j’avais le barreau le plus dur que j’avais connu jusqu’à lors. Donc Karma 1 moi 0.                Cependant le matin, je fus surpris car c’est elle qui me réveilla et demanda qu’on le fasse, j’ai heureux et puis une aubaine, je ne serais plus un puceau de merde, oui bah cela ne sait pas passer comme prévu. D’un j’ai eu du mal à monter, de deux j’avais envie de pisser mais je n’ai rien dit car je craignais qu’elle ne veuille plus le faire après, (le blaireau par toute sa splendeur). Ensuite j’ai eu du mal à mettre la capote et une fois réussi je bander mou et j’avais du mal à la pénétré. Oui je n’ai pas fait de préliminaire le con. Et on la fait pendant 15 minutes, sans réel plaisir des 2 cotés, bien sur je me suis excusé d’être si nul. Mais je ne lui ai pas dit que c’était ma première fois, je ne voulais pas passer pour un faible.                Dans l’apres midi on se dit au revoir, mais on décide de ce revoir 3 semaines plus tard. Une fois rentré on continua de se parler et ce que je craignais ce passa elle tomba amoureuse de moi et très accro, c’est là que je sus qu’elle s’attaché vite aux personnes et qu’elle n’avait jamais connu un mec comme moi gentil et attentionné avec elle. Je peux vous dire que je me sentais très mal, mais je ne voulais pas lui faire de peine, alors j’ai continué mon cinéma. Je lui parlai aussi que j’aimerais bien l’attaché à son lit, pour lui faire l’amour, et elle accepta aussitôt. J’étais tellement content que je me branlai 3 fois de suite.                Arrive le moment de se revoir, j’arrive chez elle et elle me rejoignit sur le parking à côté de chez elle, (parking qui aura son importance plus tard) et m’embrassa fougueusement. Nous montâmes dans son appart, on mangea un bout et on s’installa dans sa chambre, elle se déshabilla et sorti son vibro afin de la faire mouiller le temps que je l’attache. Je commençai par ses poignets puis ses chevilles et enfin je lui bandai les yeux avec une écharpe. J’en profita pour prendre une photo en discrétion, et je commençai à la prendre, encore une fois sans préliminaire, comme un con. Mais ce coup ci pas eu de difficulté car le vibro avait fait son office.                Elle était très excitée du fait de ne pas pouvoir bouger et voir, ce qui me rendis fou et au bout de 5 minutes je me retirai et me branla pour me vider sur son vendre. Cela lui à plus d’après ce qu’elle me dit et qu’elle était heureuse. On s’endormi et le matin nous partîmes, chez moi elle devait passer quelques semaines chez moi. Une fois chez moi nous remimes le couvert et la une nouvelle fois je n’ai pas réussi à éjaculer. Mais elle m’a assurer avoir éprouvé du plaisir notamment avec ma langue. Oui j’avais enfin fait un cunni, mais les soucis ont commencé. En effet, elle voulait absolument qu’on se mette en statut couple sur Facebook, là j’ai paniqué et je lui ai sorti une vieille excuse de merde, que comme quoi je réfléchirais à le mettre qu’une fois qu’elle aura vu mes parents et qu’elle soit validé par ma mère. Oui le plus gros connard de la terre à ce moment-là.                Le lendemain en rentrant à 13H, elle m’avait préparé une surprise, je lui avais parler que lorsque je travaillais du matin comme ça, il m’arriva de prendre un bain pour me détendre, et bah la le repas était près et elle était allée acheter des bougies et du bain moussant, pour qu’on puisse s’amuser dans le bain. On a mangé rapidement et nous sommes allé prendre le bain tant attendu. Bon le faire dans une baignoire, ce n’est pas le top du tout. On n’arrive pas à trouver une position qui nous convenait du coup on sorti et on fini de le faire dans la chambre ce fut ma première levrette. Encore une fois pas pu éjaculer. Karma 2 moi 0.                Nous sommes allés voir mes parents, et ce que je savais déjà elle ne plut pas du tout à ma mère. Mais ça je ne lui ai pas dit, nous sommes rentrés et on a passer une bonne fin de journée. Le soir dans le lit elle remit cette histoire de statut sur le tapis, j’ai refusé de le faire car j’ai prétexté que les gens n’ont pas à connaitre ma vie privée. En réalité je ne voulais pas que la fille sur qui j’avais flashé le voit, car j’espérais encore qu’on pourrait finir ensemble. De colère, elle a dormi dans la salle, sur le canapé.                Le lendemain, pendant ma pause au travail je vis le post qu’elle avait mis sur FB comme quoi, elle avait hâte qu’elle rentre chez elle. De colère quand je suis rentré à 13H je l’ai retrouvé sur le canapé entrain de pleurer. Je ne l’ai pas calculé et j’ai fait ma petite vie comme si elle n’était pas là. Au bout d’une heure elle sorti de sont silence, et me balança que je n’en avais rien à foutre d’elle. Alors j’ai pris mon tel et lui montra son post en lui disant que cela me faisait mal de lire cela, et qu’au final on allé pas ensemble et qu’on était trop différent l’un de l’autre. Je lui dis de faire ses valises que je l’emmener à la gare pour qu’elle puisse rentrer chez elle. Elle ne voulait pas et essaya de me convaincre qu’elle reste, elle me promit même de changer pour moi.                A ce moment-là, je compris l’erreur monumentale que j’avais faite et comment j’étais lâche d’avoir agi comme ça avec elle et d’avoir jouer avec ses sentiments. Pris de remort, je la regardai et lui dit qu’il était hors de question qu’elle change pour quelqu’un. Si elle doit changer c’est pour elle et non pour un connard comme moi. Et qu’au final c’est moi qui ne correspondais pas à son caractère. Je l’emmenai au train et on se quitta comme ça.                Je n’ai pas eu de nouvelle d’elle pendant presque 1 an, jusqu’au jour où j’ai décidé de tout lui dire afin de m’excuser et savoir si elle s’en était remise. Je lui avouai qu’elle ne vu qu’un plan cul au début, et que malgré des sentiments naissant pour elle il y avait cette autre femme, qui m’empêcher de me donner à fond avec elle. Je lui dis aussi qu’elle fut ma première et que je ne l’oublierai jamais.                 Je lui parla aussi de mon coté sado-maso, et lui proposa de se venger en devenant ma maitresse, elle était réticente au depart mais accepta, afin de remettre les compteurs à 0. J’ai du lui proposé 2-3 idées au début, mais elle pris rapidement son rôle à cœur et pendant 15 jour elle me donna des ordres tous les jours, du style que pendant mes travaux je devait porter mes pinces aux tétons, m’attacher à la cheville et aux escalier comme un bagnard, de prendre mon gode, mes pinces, mes faux seins, et de porté mes sous vetement de Sophie pour aller travailler, et que pendant la nuit, je devais aller dans les toilettes, me mettre en sous vêtements et de sucer le gode et de lui envoyer une photo.                Elle était très prometteuse en tant que maitresse, mais elle m’annonça qu’au final elle n’aimait pas faire mal et que ne voulait plus me dominer, cependant elle voulait se soumettre à moi. J’ai dit oui car cela ne venait pas de moi mais d’elle. Alors j’ai pris mon rôle et je l’ai dominé quelque temps, vu la distance qui nous séparait c’était surtout en Visio. Elle a tout arrêté le jour ou l’ordre que je lui avais donné ne lui avait pas plus. Elle devait appeler sa conseillère nue, avec des pinces aux tétons et a son clitoris tout en godant avec son vibro. Elle respecta l’ordre et le fit mais à la fin quand elle m’a dit qu’elle avait fait elle se sentait mal d’avoir agi comme cela et qu’elle ne voulait être soumise.                Pas de nouvelle pendant 1 mois, je la recontactai pour m’excuser encore une fois et on discuta de nos soumissions mutuelles et je lui ai avoué qu’elle avait un fort potentiel en tant que domina, même si elle n’aimait pas faire mal, les ordres qu’elle donnait était top. On arrive à convenir que je vienne chez elle pendant un weekend et qu’elle me domine en réel, j’étais trop content j’allais enfin vivre cela pendant un weekend, mais j’ai vite été déçu.                Car finalement quand je suis arrivé, elle ne savait plus quoi faire, et j’ai juste eu à lui faire à manger et ma cheville attachée à la table, de ce fait on a pris le choix d’arrêté là, en revanche elle me fit mettre nu avant et vu ma cage de chasteté que je devais porter tout le weekend, elle s’agenouilla et déverrouilla le cadenas et m’enleva la cage. J’ai cru qu’elle me sucerait mais non. Et on alla se coucher chacun dans notre coin. Au bout d’une heure elle vient me voir pour savoir ce que je faisais, et comme je m’étais préparé pour dormir, elle m’engueula comme quoi elle espérait qu’on ferait l’amour.                Je lui ai répondu que vu que la journée fut longue et que je suis fatigué je ne serais pas très performant. Le lendemain nous passâmes une journée des plus banale et le soir venu, elle me demanda de l’attaché pour faire l’amour, elle m’avoua aussi que la fois ou je l’ai attaché à son lit l’avais fortement marqué et qu’elle voulait recommencer. Alors j’ai pris la corde, lui fit un harnais au niveau des seins et lui lia les mains dans le dos. Et j’ai eu une idée, j’avais acheté un bâillon bite, alors je me le mis et commença à pénétrer son vagin avec ma bouche, pendant 10 min et puis je laissai place à ma bite tout en gardant le bâillon en place. Encore une fois pas d’éjaculation. Avant de se rhabiller j’ai voulu essayer qu’elle s’empale elle-même sur mon bâillon pour voir ce que cela faisait, mais elle ne réussit pas car elle n’était plus assez lubrifiée. Le Karma 3 moi 0, car même si j’avais pu « connaitre » la soumission, je n’ai pas pu jouir et avoir une maitresse le weekend complet. Le weekend fini je suis rentré et je n’ai pas eu de nouvelle d’elle pendant 2 mois, et puis je reçois un message d’elle, me disant qu’elle voulait bien me redominer et ce coup ci le weekend entier si je lui rendais service. Je lui ai demander ce que c’était comme service, et elle me dit qu’elle n’avait plus de sous pour payer une place de concert et que si je lui payais elle accepter d’être ma maitresse un weekend entier. Cela tomber plus que bien car je vivais une période difficile, ou je venais de faire une tentative de suicide, et que je cherchais à me débarrasser de Sophie définitivement. Je lui expliquai la situation et elle comprit. Nous convenons d’une date, et elle me demanda d’arriva travesti directement. Le jour J est venu je me prépare mais pas entièrement, je ne voulais pas que mes voisins me voient en femme. Je pris la route et à environ 10 km de chez elle je m’arrêta pour pisser et finir de me préparer. Je dois dire que pisser debout avec une bite en cage c’est compliqué. Une fois rentré dans ma voiture j’ai enlevé mes habits d’homme que j’avais mis par-dessus mes habits de Sophie. Chose que je n’avais pas fait attention, le camion qui été garé devant moi sur l’air de parking le gars à l’intérieur avait tout vu. Pendant quelques secondes je voulu aller le voir et lui proposer une fellation. Mais je n’ai pas eu les couilles de le faire et je suis reparti. Je suis arrivé sur le parking je lui envoyai un message pour lui dire que j’étais arrivé. Je reçu sa réponse qui me disait qu’elle était partie faire quelques courses, et que je devais l’attendre devant la porte de son appart, a genou et la cravache tendue en offrande. Je mis mes talons aiguilles, et sorti de ma voiture, je ne me sentais pas vraiment bien car même si je sortais par chez moi en femme c’était la nuit, là nous étions en plein jour. Je pris mon courage à 2 mains et marcha jusqu’à chez elle la tête haute. J’attendis 10 min devant sa porte avant qu’elle n’arrive. Elle me fit entrer et me fis promettre de lui obéir tout le weekend, ce que je fis bien sûr. Elle voulut aller acheter une tringle à rideau pour son appart, et me demanda de la conduire au magasin. Je lui demandai si elle pouvait m’aider à me maquiller pour pas qu’on devine facilement que je suis un travesti, mais elle me dit qu’elle ne savait pas se maquiller et que je devais repasser en homme. Enfin à moitié, j’ai gardé la cage la culotte le rosebud et le collier de chien. Dans le magasin, elle reçu un appel de sa meilleure amie qui voulait la voir cette après-midi, elle lui dit que j’étais là, et son amie lui dis que ce n’était pas gênant. Donc nous sommes rentrés et j’ai demandé si son amie serait d’accord pour participer à ma domination. Mais elle refusa en disant que c’était notre truc à nous et qu’elle ne veut pas partager. Je ne pus qu’accepter, nous avons passé l’après midi avec sa pote et moi à moitié homme, à moitié Sophie. Elle partit vers 18H30, c’est à ce moment que ma maitresse du weekend m’ordonna de repasser en Sophie, et de lui préparer le repas. Nous avons passé le repas à discuter, notamment sur le fait de vouloir me débarrasser de Sophie. Je lui ai dit qu’après ma tentative de suicide, il était temps que je redevienne normal et que j’arrête de me faire du mal. Une fois le repas fini, elle accrocha la laisse à mon collier, me mis les menottes aux mains et aux chevilles et nous sortîmes ainsi, nous avons marché jusqu’au parking (celui du début), ou elle me menotta au lampadaire et pris des photos. Elle me détacha me fit pencher en avant afin qu’on puisse voir mon rosebud. Elle me fit faire le tour du petit pâté de maison et à un moment coup de panique, au moment de sortir de l’ombre du parking, nous voyons 2 mecs marcher sur le trottoir d’en face. Ma maitresse eut peur et me cacha derrière elle, et ils sont passés sans nous voir. Sur le moment je n’en menai pas large mais j’ai secrètement espèré qu’elle les appelle pour leur proposer mes services, mais non. Nous sommes rentrés, et elle m’a demandé de me déshabiller et à chaque vêtement enlevé elle pris une photo, à la fin j’étais nu et je ne portais uniquement mes pinces à mes tétons, ma cage et mon rosebud. Elle me fit mettre à 4 pattes et me claqua le cul avec le paddle ou il y a écrit bitch dessus, mais pas assez fort. Je lui ai dit alors d’y aller franco, elle hésita et elle claqua très fort du coup on voyait le bitch sur mes fesses. Bien que j’eusse mal j’étais heureux. J’ai demandé si on pouvait faire une photo de moi en cage à l’entrée de son vagin elle accepta mais que si elle gardait sa culotte. C’était mieux que rien. Une fois la séances photo fini il était 1h du matin, et avant d’aller se coucher, je pensais que j’allais dormir dans lit, et non. Elle me fit remettre les faux seins et le soutif, mais sans les pinces et la culotte. Me remis les menottes aux chevilles et aux mains mais avec les mains dans le dos. Elle m’indiqua le canapé et me dit que je dors la cette nuit et que je ne fasse pas de bruit jusqu’à ce qu’elle se lève. Le lendemain elle se lève, et me détache les mains et les pieds. Elle m’annonce que la domination est finie, elle se penche pour me défaire la cage et retirer mon rosebud. Elle me fit nettoyer les accessoires. Nous avons passé l’après-midi comme des gens normaux à jouer et à parler. Au moment de partir, je lui dis que je lui donne tout ce qui appartenait à Sophie et que pour moi Sophie venait de disparaitre. Voila comment le Karma c’est vengé de moi qui ai voulu faire le connard avec cette fille. A chaque fois que je pensais que j’allais enfin arriver à ce que j’attendais, j’avais un stop. Je peux dire maintenant que 4 ans plus tard, même si je croyais qu’en me débarrassant de Sophie, mon coté soumis partirait avec elle ce n’est pas le cas. Aujourd’hui plus que jamais mon coté soumis est plus fort que tout, et je dois avouer qu’il se transforme en coté esclave. Aujourd’hui aussi je porte une cage de temps en temps en accord avec ma femme, mais cela est une autre histoire que je vous raconterai plus tard.      
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Par : le 01/10/23
Préambule: Merci de ne pas poursuivre la lecture si vous n'êtes pas à l'aise avec l'idée de sexe non-consenti. C'est une histoire et si ça n'en était pas une, bien sûr que ce fantasme aurait été discuté au préalable et que l'idée aurait été acceptée.     Mon Maître m'a offert ce collier de jour et, transportée par la joie, j'ai bien évidemment accepté ce cadeau venant de Lui. Il me l'a immédiatement attaché autour du cou. Je l'ai senti au ras de mon cou toute la journée et, à chaque fois, j'ai ressenti une dose d'excitation. Malheureusement Il m'a interdit de me toucher depuis le début de la semaine. C'est donc avec une excitation non dissimulable que je l'accompagne à l'aéroport, direction quelques jours dans le sud de la France. Il m'a ordonné de porter des talons hauts, un haut relativement décolleté et une jupe volante que je n'ai pas le droit de tirer malgré sa longueur qui pose problème car je n'ai, bien sûr, pas le droit de porter de sous-vêtements. Il a raison, je suis une salope. Aucune raison de le nier. Mais je suis Sa salope. Nous prenons un café juste assez de temps pour que mon Maître m'ordonne d'écarter les jambes suffisamment pour que le couple en face de nous profite de ma chatte parfaitement épilée. Je suis trempée déjà mais je sais que j'aurai très certainement le droit de me toucher devant mon Maître ce soir. Ça m'aide à tenir. J'ai envie de lui offrir un orgasme en le regardant droit dans les yeux s'il me le permet. Ma valise me semble relativement lourde mais Il s'en est occupé donc rien d'alarmant. Plus alarmant, par contre, est ce portique de sécurité qui se profile. Je Le regarde et son sourire, que je qualifierais volontiers de pervers faute de meilleur mot, m'indique qu'il n'a aucune intention de me permettre d'enlever le collier de soumission. C'est bientôt à moi. J'ai posé ma valise sur le tapis. Mon coeur s'emballe. Je dois essayer d'enlever le collier. Il ne verra peut-être pas ou Il me le pardonnera. Pour une fois. J'ai beau essayé de défaire le mécanisme mais rien n'y fait. Manque de temps, stress ou mécanisme volontairement inviolable, je n'y arrive pas. Je sens mon Maître derrière moi qui me force à avancer au lieu de m'aider. Je ne comprends pas ce qui se passe. Je ne crois pas avoir rêvé. Il m'a poussé et le portique s'est mis à bipper. C'est moi ou l'homme devant moi a un grand sourire et regarde derrière moi ? Je me retourne pour Le vois arborer, lui aussi, un très grand sourire. Madame, veuillez enlever votre collier et repasser le portique. Je balbutie mais je ne peux pas l'enlever, je n'y arrive pas. Dans ce cas, merci de bien vouloir me suivre en prenant votre bagage avec vous. Tout s'est passé très vite. Trop vite en fait. L'agent de sécurité me fait entrer dans une salle sans fenêtre qui ressemble à une salle d'interrogatoire avec une grande table et quelques chaises et pose la valise dessus. Je reviens. Ne bougez pas. Je n'ai pas le droit de vous fouiller Madame. Je suis un peu rassuré mais mon coeur s'emballe quand je vois arriver deux femmes dans la salle et qu'elles laissent également entrer mon Maître. Elles se tournent vers lui comme pour demander une confirmation et je l'entends très clairement dire que je suis, maintenant, à leur disposition. Madame vous avez refusé d'enlever votre collier et nous allons devoir vous fouiller. Je ne comprends pas très bien et je commence à avoir peur. Je suis au bord des larmes en imaginant que je suis habillée comme une pute ou plus exactement comme une salope en chaleur. Madame posez les deux mains sur la table s'il vous plaît et écartez les jambes. Je m'exécute et je sens mon Maître sourire tellement fort que je crois l'entendre. Je suis appuyée sur la table, le corps légèrement penché en avant. Je sens que la première agent appuie quelque chose contre ma jambe pour me les faire écarter. Je me retourne légèrement pour voir qu'elle pousse avec la matraque qu'elle a sorti pour que j'écarte les jambes. J'écarte les jambes en demandant si c'est vraiment nécessaire d'en arriver là. Les deux femmes se mettent de chaque côté de moi. Je sens la première qui passe sous mon haut et je sens qu'elle commence à palper mes seins. Hé, qu'est-ce que vous faîtes. Et en même temps que je proteste l'autre s'aventure sous ma jupe et remonte le long de mes cuisses. Elle n'a pas de soutien-gorge. Ni de culotte non plus. Ok c'est une chienne mais elle ne cache rien sur elle. Mais je ne vous permets pas. Et aussitôt que j'ai prononcé ses mots, Mon Maître me gifle. Tu ne leur réponds pas, esclave. Tu vas les laisser faire leur boulot. Et même ce qu'elles voudront faire de toi, c'est compris ? oui Maître. Comme si elle n'avait rien écouté, j'entends l'agent continuer. Ok rien sur elle. Empêche la de bouger, je vais fouiller sa valise. Et je sens un genou appuyer contre mes reins. Je suis plaqué contre l'arrête de la table et je sens ses mains continuer à palper mes seins sans aucun ménagement. En même temps que la valise arrive sur la table et s'ouvre en grand, je sens une douleur sourde envahir mes seins. Cette salope vient de me pincer les tétons si fort que je ne peux pas m'empêcher de crier. Va chercher du scotch qu'on l'empêche de faire un esclandre dans l'aéroport. Mais aussitôt l'autre lui répond victorieuse. J'ai mieux et en agitant le baillon boule qu'elle a trouvé dans mes affaires. 10 secondes après je l'ai dans la bouche. Elle repart examiner la valise et j'entends une exclamation, un OH sonore qui retentit dans la pièce. Je l'aperçois se saisir de quelque chose et elle se ramène devant moi et je vois une espèce de reveil en plastique. Un jouet d'éveil fait pour les 3-6 ans. Un détonateur ! Un putain de détonateur ! Quoi [enfin quoi si je n'avais pas le baillon dans la bouche]. Mais elles sont folles. Et je Le vois rigoler. Ce n'est plus un sourire mais un rire franc et massif. J'ai été piégée. Je lui avais parlé de ma fantaisie de me retrouver à la merci d'autres personnes qui feraient ce qu'elles voudraient de moi. ça se confirme et je me sens curieusement rassurée. Et aussi complètement trempée malgré la douleur que je continue à ressentir. Ok on a affaire à une terroriste je pense. Hereusement que j'ai trouvé ces menottes dans sa valise. On va lui attacher les mains dans le dos. Enlève-lui son haut d'abord. ça sera plus sûr. Bah enlève lui tout. Laisse lui ses talons, je trouve que ça lui va bien. Et une minute plus tard, je suis penchée sur la table, mains attachées dans le dos avec un baillon dans la bouche. Un début de week-end pas tout à fait banal. Le contenu de ma valise est renversé sur la table. Je comprends qu'elle était lourde. S'y trouve tous mes jeux habituels ainsi que quelques dildos supplémentaires dont la taille me semble terrifiante. Oh mais quelle pute, sérieux ! Une pute-terroriste, ça existe tu crois ? On dirait en tout cas. Va chercher un miroir. On va essayer ces jouets sur elle et je veux qu'elle nous voit faire. Prends la caméra aussi qu'on reste dans la loi en enregistrant. Bon on a pas d'avocats mais préviens peut-être les autres agents que ça pourrait intéresser. Je secoue la tête, je ne suis pas prête pour ça. Mais le temps qu'elle revienne, j'ai prix un plug dans le cul et des clamps descendent de mes seins et je vois les lests les tendre. Je sens une douleur bien plus forte que d'habitude. Mon Maître a visiblement fait du shopping spécialement pour ce week-end. Quand la première agente revient, elle va mettre en place le miroir afin que je ne puisse pas perdre une miette de ce qu'il se passe et commence à ranger les dildos du plus petit au plus gros. Je ne vois que les 2 femmes et mon Maître. Pas de renfort et je suis soulagée. Je sens qu'on tire mes cheveux et qu'on me force à me tirer. C'est la brune, plus grande, plus costaude. On va tous les essayer un par un. Et en même temps elle me touche. Mais elle est trempée cette chienne. Complètement trempée. Elle me crache au visage et me remet sur la table. S'ensuivent des très très longues minutes pendant lesquelles elles vont m'insérer dans la chatte et le cul tous mes jouets anciens et les nouveaux qui ont, visiblement, rejoint ma collection aujourd'hui. Elles prennent leur temps, elles rigolent et n'hésitent jamais à m'humilier en me faisant remarquer à quel point je suis trempée. Je perds la notion du temps mais durant ce qui me semble être une heure, la pièce se remplit petit à petit. Elles finissent par me susurrer chacune à une oreille. Allez c'est bientôt fini. On ba te faire exploser. Tu dois bien ça au public et après tu les remercieras. J'étais distraite et je n'avais pas vu que ledit public se composait maintenant de 8 hommes. Quelques-uns le pantalon sur les chevilles ou carrément enlevé. Grimpe sur la table salope. A quatre pattes. Écarte bien les genoux. Je regarde dans le miroir et je les vois chacune avec leur matraque. Je sens la première s'enfoncer dans mon cul et j'ai envie de hurler malgré le gag. Les dildos m'ont préparé mais la douleur est forte quand je sens l'autre matraque s'enfoncer dans mon sexe. Elles me hurlent d'exploser. Me traitent de chienne. je regarde autour de moi. Je me regarde dans le miroir. La vérité est que j'ai envie d'exploser. Besoin d'exploser. Mon sexe commence à papillonner. Je vois ma salve faire une longue traînée qui coule depuis le gag jusqu'à la table. Je ne veux pas leur obéir. Mais le mouvement de leurs bâtons ne me laisse pas le choix. J'ai l'impression d'exploser, de hurler comme une possédée. Une vague inouïe de plaisir me parcourt. Je regarde mon Maître qui doit lire la gratitude dans mes yeux. Je lis dans les siens que ce n'est pas fini. Il me saisit par les cheveux en me disant que je l'humilie devant tout le monde. Il me fait descendre par terre. A genoux. Face aux hommes. Mes cheveux me font mal mais il lâche prise. Je l'entends dans mon dos et, quand il revient, il m'enlève le baillon. À la place, il m'enfile une cagoule. Je ne vois plus rien. Je sens qu'il n'est pas facile de respirer mais je sens que ma bouche est libre. Messieurs, merci de baiser ma soumise. Je suis au regret de vous demander, pour des raisons de fatigue de ces autres trous, de bien vouloir la prendre par la bouche. En attendant votre tour, elle a 2 mains bien sûr et sait très bien s'en servir. Merci de bien vouloir lui faire savoir quand vous êtes sur le point d'exploser afin qu'elle puisse ouvrir grand sa bouche pour avaler tout ce qui ne finira pas sur la cagoule ou sur ses seins. Et je vais passer le quart d'heure suivant à branler et sucer férocement toutes les queues qui se présentent à moi. Je veux rendre mon Maître fier de son esclave. Il sait que je fais ça pour lui, pour lui montrer qu'il peut tout me demander. Huit, ça y est. Il a explosé longtemps et m'a fait léché sa queue pour ne rien perdre. Tu peux enlever ta cagoule et la poser sur le sol. C'est la voix d'une des deux femmes. Je sens qu'elle me prend les mains pour les rattacher dans le dos. Tu as une minute pour qu'il n'y ait plus aucune trace de blanc sur cette cagoule. Si tu y arrives, nous considèrerons que tu as fait preuve de bonne volonté et que tu ne présentes pas une menace pour la sécurité. J'entends le décompte final 5 ... 4 ... 3 ... 2 ... 1 À zéro, je suis tiré violemment en arrière. Je vois la fierté dans les yeux de mon Maître. La cagoule est brillante de salive mais elle est entièrement noire.  
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Par : le 16/09/23
Voici la deuxième partie de cette folle soirée, je vous invite grandement à lire l'Episode 1 et la première partie de l'épisode 2. Merci d'avance. Caroline, les bougies en main, me regarde fixement, elle sait que je sais ce qui m’attend. Elle change donc, logiquement, de protocole. Elle veut me surprendre… et y parvient parfaitement. Les bougies rejoignent l’inventaire des objets non-encore utilisés. Je ne la vois pas les poser mais comprends, de par leur bruit de baguettes de batterie qui s’entrechoquent, que ces objets seront remis à plus tard. « Comment vis-tu ce moment ? », demanda-t-elle à ma compagne d’infortune. Malheureusement, ne sachant pas qu’elle s’adressait à Géraldine, je choisis l’option de répondre « très bien, Maîtress… ». Pas eu le temps de finir ma phrase… Une main ferme enserrait mes couilles dans une violence et une surprise peu ouverte au doute : ce n’était pas à moi que la question s’adressait. Ma tortionnaire, ne lâchant pas son emprise, me rejoignit du regard et m’expliqua, dans le plus grand des calmes, que j’avais pris une initiative répréhensible : parler sans autorisation. « Géraldine ! cria-t-elle, je t’ai posé une question ». La jeune femme, apeurée, tenta une réponse et balbutia un charabia à peine compréhensible mais qui se termina, heureusement pour elle, par un « maîtresse » salvateur. « Tu vas désormais comprendre que toute violation de notre contrat entrainera irrémédiablement une sanction ». Cette phrase m’était destiné. Elle enleva ses mains de mes couilles. Respiration. Attention, écoute les bruits autour de la table des instruments. J’essaie d’en deviner la nature. Caroline ne me fait pas languir plus longtemps : une baguette, apparemment souple dont je ne peux, en entendant le claquement qu’elle produit sur ses mains, qu’en estimer l’effet. « Je te rappelle les principes établis ce matin lors de notre discussion : En cas de non-respect des consignes, non seulement tu seras puni mais, en plus, tu ne pourras pas utiliser ton code de sécurité pendant cette punition » J’avais oublié. Il est vrai que nous en avions discuté : étant habitué à mon statut de soumis, j’ai validé cela entre deux cafés, mon anticipation de la soirée m’aurait sans doute fait signer n’importe quoi. « Comme c’est ta première faute, tu vas subir 5 coups de baguette. Tu devras les compter un par un à voix haute. Si tu ne le fais pas, je recommencerai à zéro. Tu as compris ? » « Oui, Maîtresse », répondis-je en serrant les fesses. Premier coup, un « Aïe » retentissant l’accompagna, suivi d’un « un » en mode bout de souffle. Une caresse délicate me parvint aussitôt. Elle me glissa à l’oreille « tu marques vite ». « Zut, me dis-je, je vais avoir le cul d’un zèbre ». Un coup plus violent me sortit de ma réflexion. « Deux ! », puis « trois », vous connaissez la suite… Au bout du cinquième, j’ai le feu à l’arrière-train… et rien pour me soulager. Pas même ma tortionnaire, désormais devant moi, contemplant son œuvre qui a pris la forme d’un homme se tortillant de douleur et haletant à un rythme peu compatible avec la sérénité. « Continuons », asséna-t-elle. J’entendis notre dominatrice trifouiller la table. Pas de panique. Elle retire les cordes sur les seins de Géraldine. A peine effectué, ses deux appendices reprirent forme et couleurs. Une petite douleur de retrait à signaler, apparemment, vu la tête de ma codétenue. Petit massage des seins, délicat, doux, attendrissant. Les yeux de Géraldine sont fermés, elle part dans ses désirs. Veinarde. Pas longtemps. Les pinces sont toujours là… tripoter cet endroit ne procure pas du tout le même effet. Caroline prend son pied, ça se lit sur son visage. Je suis proche de la scène, je prends aussi mon pied, bien qu’une corde me retienne le sexe et m’empêche clairement de m’exciter. Caroline continue de triturer sa victime, mais d’une seule main, la seconde se dirige vers mes pinces, mes tétons et mon angoisse de souffrir encore. Une scène incroyable se joue alors. Nous souffrons en chœur. Impossible de s’y soustraire. Interminable. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, mais ce qui est sûr, c’est que le soulagement à la fin de ce moment fût intense. Respirer, prendre une pause, et respirer. Les pinces sont toujours là, d’apparence moins douloureuses après le carnage précédent mais toujours là, prêtes à subir un nouvel assaut. J’avoue que, pour moi, c’est une angoisse, surtout à l’approche de Caroline. Elle se met derrière moi, me caresse les cuisses, les fesses, le dos et s’approche dangereusement de la zone « pincière », mais là n’est pas son but. Elle attrape le cordage qui me retient le sexe et commence à dénouer l’ensemble, délicatement car à l’aveugle. Ses mains, de facto, me touchent les parties sensibles. C’est une extase en devenir, je le sais, bien que persuadé que ce temps ne soit pas encore venu. J’ai raison. Le retrait effectué, elle me tripote, une dernière fois, les pinces à tétons afin de les enlever, très délicatement, très lentement, donc très douloureusement. Elle fait de même sur Géraldine qui connait cette douleur, certes, mais ne peut s’empêcher de gémir plus que moi. J’avais connu Caroline il y a 2 ans. Nous fréquentions le même organisme de formation, mais n’avions pas les mêmes options. Nous avons donc eu un « tronc commun » où nous avions eu quelques relations sociales, mais rien de plus. Une discussion à la machine à café, quelques échanges à la sortie des cours afin de confronter nos points de vue, avec d’autres personnes de la formation. Rien n’indiquait son penchant pour le BDSM. En même temps, est-ce le lieu pour en parler ? Pourtant, alors qu’une pause semble s’installer dans la salle de torture, je repensai soudain à une discussion, lors d’un repas de groupe, pendant ladite formation – nous devions être une dizaine - où la discussion avait glissé du côté relationnel, puis sexuel comme cela arrive parfois dans les groupes humains. Chacun y était allé de son histoire amoureuse et, quand le tour de Caroline vint, cette dernière avait seulement évoqué une petite relation en cours mais rien de particulier. C’est quand l’un des hommes présents, Gaëtan (prénom également modifié), avait appuyé sur le bouton fantasme, que la discussion pris une tournure plus… je vous laisse juge. L’un parla de faire l’amour sur la plage : nous furent deux à répondre que ça n’avait aucun intérêt, une jeune fille et moi-même, de sorte que l’assemblée nous avait imaginé ensemble un instant. Cette blague lança la discussion vers autre chose, car nos arguments faits de sable s’immisçant partout et de crainte de voir des personnes débarquer sans invitation avaient fait mouche. Gaëtan avait sans doute un objectif : nous faire avouer nos désirs les plus secrets et, surtout, les plus inavouables. Je vous rappelle, qu’à l’époque (début des années 2000), le BDSM n’est pas à « la mode ». Aucune nuance de Grey n’est venue frapper à la porte de nos yeux et de nos imaginations, le BDSM est clairement underground et le simple aveu d’appartenir à cette obédience pouvait, pour peu que vous tombiez sur des abrutis, vous faire entrer dans la « cancel-culture » avant l’heure des réseaux sociaux. Au café, très bon au demeurant, la serveuse, charmante, je dois bien l’avouer, vint débarrasser notre table et, comme d’habitude, l’un des gars ne peut s’empêcher d’observer son postérieur avantageux et de lancer à la cantonade à quel point ce dernier lui convenait. Je vous évite le détail de la phrase, l’ayant, pour être honnête, oubliée, mais cela me vaudrait une fatwa des plus austères chez les féministes les plus intégristes. Oui, il existe des féministes intégristes, d’où le terme de fatwa. A la fin de cette phrase, un léger silence s’en suivit et Gaëtan en profita pour lâcher un « c’est un beau cul à fesser, en tous cas ». Re-léger silence. J’étais, à ce moment-là, à la fin de mon spéculoos lorsque mes yeux se posèrent sur Caroline, car hors de question de regarder Gaëtan, je ne voulais pas y apporter mon soutien, même du regard. Caroline avait légèrement rougi. Ça ne m’avait pas marqué à l’époque, mais aujourd’hui, alors que mon corps est suspendu à sa volonté, je me retrouve à penser à ce repas, à cette charmante serveuse et à mon absence totale d’analyse lors de ce repas où, si j’avais fait attention, j’aurai pu discuter fantasme avec une « consœur ». Mon esprit revint dans la pièce, trop de calme, c’est louche. Je vois que Géraldine est détachée, je ne m’en suis même pas rendu compte. Ma tortionnaire me détache également. Enfin, pas tout à fait, nous conservons tous les deux les mains attachées et nos cordes sont toujours à nos pieds. Elles vont resservir, à coup sûr. Je ne l’ai pas vu non plus, mais la table a été complétement vidée, même le vase magnifique qui en ornait le centre. C’est là que je me rendis compte que cette tablée était grande. Caroline y posa une nappe qui jurait un peu avec le style de la maison. Elle l’avait acheté le jour même au marché de Wazemmes où ce genre de nappe se vend au mètre. Ce n’est pas du tissu, ce n’est pas du plastique mais une matière entre les deux. Géraldine et moi, les mains attachées mais n’osant bouger, regardons ces préparatifs pour le moment mystérieux. La nappe est posée, les 4 coins solidement ancrés grâce à une « pince à nappe ». Le vent étant rare dans ce salon, j’en conclus donc que nous étions destinés à rejoindre cette table dans un avenir proche. J’avais raison. Elle ordonne à Géraldine de s’asseoir sur la table, à moi également, mais de l’autre côté, à l’opposé de ma coreligionnaire. Nous nous tournons le dos pour la première fois de la soirée et, je l’avoue, me sens un peu orphelin, du regard tout du moins. « Recule », me dit-elle sur un ton ne soufrant aucune discussion. Je m’exécute. Mes chevilles rejoignent les coins supérieurs de la table. J’ai, encore une fois, les jambes écartées, mais à l’horizontale. Elle fait de même pour Géraldine… et nous ordonne de nous allonger. La table est si grande que Géraldine et moi ne pouvons pas nous toucher. Nous avons une vue magnifique sur le lustre de famille dont on ne peut que croire en la solidité de l’attache qui, depuis plusieurs dizaines d’années sans doute, en retient la chute. La lumière qui en émane n’est pas très forte mais nous aveugle un peu. Une éclipse arrive, c’est la tête de Caroline, prenant nos mains pour les lier ensemble. Ça y est, je peux toucher Géraldine, je me sens moins seul. Inconsciemment, je connais la suite : ma torture préférée. La douleur intense mais courte, l’aléatoire poussé à son paroxysme. La cire de bougie qui, précédemment, avait fait sortir ma dominatrice de la pièce. « Tu connais ? », me demande-t-elle. Même mes yeux répondirent « oui, Maîtresse ». Géraldine, la tête en extension, tenta de comprendre les tenants de cette discussion. Caroline se pencha alors vers elle en lui murmurant : « toi, je sais que tu ne connais pas ça mais ne t’inquiètes pas, ça arrive ». Pour changer, et sans doute me faire languir, C’est Géraldine qui ouvre le bal. Sa première, et je suis là, pour lui tenir la main, si j’ose dire. Connaissant sa sensibilité, je m’attendais à une réaction vive mais pas à ce point. Nos mains ayant des attaches communes, je me retrouve au milieu d’un rodéo, secoué dans tous les sens par les mains de la jeune fille cherchant, à tout prix à se libérer. Cela n’échappa pas à notre hôte. Elle arrêta tout de suite, attendit quelques instants pour voir si un code de sécurité s’échappai de sa bouche haletante mais rien. C’est là que je compris à qui j’avais à faire. Elle prit une corde supplémentaire et, grâce à un jeu de cordage subtil, bloqua nos mains définitivement sur la table, nos 4 mains étaient désormais totalement attachées à la table. Elle reprit sa torture… sur Géraldine. Et ça marcha, fin du rodéo, pour moi, au moins. C’est à mon tour, je me prépare, je vois la flamme. Elle est grisante, les premières gouttes me font sursauter et la suite me fait partir dans un monde fait d’abandon, de rêve et de sensibilité. Je jouis dans la torture. Merci, Maîtresse. Nous avons eu droit, bien sûr, à la version recto de cet atelier avec, cette fois-ci, l’impossibilité de voir où la goutte allait tomber, ni même sur qui, notre tortionnaire prenant un malin plaisir à être discrète dans ces déplacements. A la fin, l’apothéose. Deux bougies dans chaque main et une valse de douleur, un grand final de feu d’artifice, une deuxième jouissance. Merci, Maîtresse. Nous avons désormais les mains et les pieds totalement libre. Géraldine et moi nous faisons face et attendons la suite, le corps recouverts de cire froide. Caroline me prend par les mains, me menottes et m’attache à la poutre de la première partie de la soirée. Je ne peux m’empêcher de penser que je vais subir une punition par suite d’un comportement dont je ne vois pas l’origine. Non, ce n’est pas ça. C’est pire. La consigne est la suivante : Géraldine va devoir m’enlever toutes mes traces de cire, et en 5 minutes. A chaque oubli, un coup de baguette, la même qui a servi à ma punition tout à l’heure. Le chrono est prêt. A l’époque, les téléphones n’ont pas de chronomètre, mais les montres, si. « Top chrono » et me voilà tripoter assez sèchement afin de me retirer ses incongruités le plus vite possible. Plusieurs zones sensibles sont concernées mais pas le temps d’être délicat. Je me prends des arrachages de poils et autres manipulations inter-fessières en bougeant le moins possible pour permettre à mon équipière d’accomplir sa mission sans faillir. Fin du temps réglementaire. Géraldine s’éloigne de moi avec, je pense, la satisfaction du devoir accompli. Erreur. Le scanner Caroline entre en action : Une goutte sous un de mes coudes, un autre dans le sillon inter-fessier, pourtant bien visité et deux autres sous les genoux. « Cela fait 4 oublis », tu vas les payer bientôt. Oui, bientôt, parce que, pour le moment, c’est l’heure de mon défi. Géraldine est attachée, je suis prêt, le chrono démarre, je me lance dans une recherche ardue. 3 minutes… 2 minutes, notre Maîtresse sait mettre en place le suspense. A la fin du temps, je suis épuisé mais satisfait, plus ou moins. Le score est sans appel : 11 oublis. Il faut dire que mes seins sont plus faciles à fouiller que ceux de Géraldine, j’aurai pu avoir une minute de plus… mais ce sont les aléas de l’égalité homme/femme qui, depuis le début de la soirée, ne souffre aucune exception. Votre chère amie la table vous avait manquée : la revoici ! Nous sommes attachés, Géraldine et mois, dans le sens de la largeur, nos pieds touchent le sol et sont joints. Les menottes servent à compléter la contrition. Nos ventres reposent sur cette nappe définitivement associée à cette soirée. La règle n’a pas changé, je dois annoncer le numéro des coups et, bien évidemment, je commence, Géraldine, me rejoindra dans la dernière ligne droite pour valider ce score sans appel de 11 à 4. Oui, ce fût long, oui, ce fût douloureux mais telle est la Loi. Une fois détachée, Caroline nous fît balayer la cire que nous avions mis sur son sol, presque en mode soubrette, observée que nous étions par cette femme au tempérament de feu, buvant son whisky dans un canapé vieillot, certes, mais confortable. Elle siffla la fin du match. La discussion qui s’ensuivit fait partie des éléments que je garde en moi car plus intimes que ce texte, malgré ses apparences impudiques. Je ne vous dis pas tout de suite si cette histoire a eu une suite car l’heure est maintenant venue, pour vous, de commenter ce texte, de me dire si vous avez eu la chance de vivre ce genre de moment, assez rare, je sais, surtout pour un homme, dans ce milieu, victime, lui aussi, des à priori sur les hommes et leur comportement à la « balance ton porc ». C’est dommage mais, à minima, discuter sur ce texte ne vous engage à rien, mesdames (et messieurs aussi).   A bientôt,   Frédéric.
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Par : le 07/09/23
(Texte de BDSM que je remercie chaleureusement)   La masturbation, souvent considérée comme l'une des premières expressions de la sexualité humaine, a longtemps été entourée de mythes, de tabous et de malentendus. Pourtant, au fil des décennies, la science et la société ont progressivement reconnu son rôle crucial dans la découverte de soi, le bien-être émotionnel et la santé sexuelle. Elle est non seulement une source de plaisir, mais aussi un moyen d'explorer et de comprendre son propre corps, ses désirs et ses limites. Dans le vaste univers du BDSM, où les jeux de pouvoir, la douleur, le plaisir et la confiance se croisent et s'entremêlent, la masturbation trouve une place unique. Elle peut être à la fois un acte d'affirmation de soi et un outil de soumission ou de domination. Alors, comment cet acte intime et personnel s'intègre-t-il dans le monde complexe et nuancé du BDSM? Cet article se propose d'explorer les intersections fascinantes entre la masturbation et le BDSM, en mettant en lumière les différentes façons dont ils peuvent se compléter et s'enrichir mutuellement. La masturbation de l'antiquité aux donjons BDSM La masturbation, bien que présente depuis la nuit des temps, a traversé une histoire tumultueuse, oscillant entre acceptation et réprobation. Dans l'Antiquité, certaines cultures la considéraient comme une pratique normale, voire bénéfique. Les Grecs anciens, par exemple, n'avaient pas de mot spécifique pour désigner la masturbation et la percevaient comme une autre forme d'expression sexuelle. Cependant, avec l'avènement de certaines doctrines religieuses au Moyen Âge, la masturbation a été stigmatisée, associée à la culpabilité et considérée comme un péché. Au fil des siècles, la science a tenté de comprendre la masturbation, la classant parfois comme une maladie mentale ou une déviance. Ce n'est qu'au XXe siècle, avec les travaux de sexologues tels que Kinsey et Masters & Johnson, que la masturbation a commencé à être reconnue pour ce qu'elle est : une composante naturelle et saine de la sexualité humaine. Dans le contexte du BDSM, la perception de la masturbation a également évolué. Dans les premières communautés BDSM, la masturbation, en particulier masculine, était parfois vue comme un signe de faiblesse ou d'incapacité à trouver un partenaire. Cependant, à mesure que la culture BDSM s'est développée et diversifiée, la masturbation a été réévaluée et intégrée dans de nombreux jeux et scénarios. Elle est devenue un outil de pouvoir, un moyen d'explorer la douleur et le plaisir, et une façon d'approfondir la connexion avec soi-même ou avec un partenaire. Aujourd'hui, dans la culture BDSM moderne, la masturbation est célébrée pour sa capacité à renforcer la confiance en soi, à explorer des fantasmes spécifiques et à jouer avec les dynamiques de pouvoir. Qu'elle soit pratiquée en solo ou sous les ordres d'une personne dominante, elle est devenue un élément essentiel de l'expérience BDSM pour de nombreux pratiquants. Masturbation et jeux de pouvoir Le BDSM, dans son essence, joue avec les dynamiques de pouvoir, créant un équilibre délicat entre le contrôle et la reddition. La masturbation, en tant qu'acte intime et personnel, peut être intégrée dans ces jeux de manière profonde et significative. La masturbation comme acte de soumission ou de domination Dans le contexte BDSM, la masturbation peut être utilisée comme un acte de soumission ou de domination. Pour le soumis, se masturber sur ordre d'un dominant peut être une expérience d'humiliation ou d'exposition, où il est vulnérable et ouvert à l'observation et au jugement. Inversement, un dominant peut se masturber devant un soumis pour affirmer son pouvoir et sa position, transformant un acte généralement privé en une démonstration de contrôle. Ordres, contrôles et restrictions liés à la masturbation Les jeux de pouvoir autour de la masturbation ne se limitent pas à l'acte lui-même. Les dominants peuvent donner des ordres spécifiques sur quand, comment et où un soumis peut se masturber. Ces ordres peuvent inclure des restrictions sur la durée, l'intensité, ou même les fantasmes auxquels le soumis est autorisé à penser. De tels jeux peuvent intensifier le sentiment de contrôle du dominant et la sensation de soumission du soumis, renforçant ainsi leur dynamique BDSM. La chasteté et les dispositifs de chasteté comme outils BDSM La chasteté joue un rôle particulier dans le BDSM, en particulier dans les jeux de pouvoir liés à la masturbation. Les dispositifs de chasteté, qu'ils soient pour hommes ou pour femmes, sont conçus pour empêcher la masturbation ou l'orgasme. Ils peuvent être portés pendant des périodes prolongées, avec le dominant détenant généralement la clé ou le moyen de libération. Ces dispositifs renforcent la dynamique de pouvoir, où le dominant contrôle non seulement le plaisir du soumis, mais aussi son propre corps. Pour le soumis, cela peut être une expérience profondément érotique, mêlant frustration et anticipation. Masturbation et auto-BDSM L'auto-BDSM, ou la pratique du BDSM en solo, est une forme d'exploration personnelle qui permet à l'individu de naviguer entre les rôles de dominant et de soumis, tout en étant à la fois l'exécuteur et le récepteur. La masturbation, dans ce contexte, devient un outil puissant pour explorer les limites entre douleur et plaisir. Exploration de la douleur et du plaisir en solo L'auto-BDSM offre une opportunité unique de découvrir ses propres limites et d'expérimenter la douleur et le plaisir à son propre rythme. Sans la présence d'un partenaire, l'individu peut se concentrer pleinement sur ses propres sensations, apprendre ce qui fonctionne pour lui et ce qui ne fonctionne pas, et ajuster l'intensité en conséquence. Cela peut être une expérience libératrice, permettant une introspection profonde et une meilleure compréhension de ses propres désirs. Utilisation de jouets et d'accessoires BDSM pendant la masturbation L'intégration de jouets et d'accessoires BDSM peut enrichir l'expérience de la masturbation. Menottes, pinces à tétons, fouets, plumes, et bien d'autres, peuvent être utilisés pour stimuler, punir ou récompenser. Les jouets vibrants, en particulier, peuvent être utilisés en conjonction avec d'autres accessoires pour intensifier le plaisir. L'utilisation de ces outils permet de créer une ambiance, de renforcer le jeu de rôle et d'ajouter une dimension supplémentaire à l'expérience. Les précautions à prendre lors de la pratique de l'auto-BDSM Bien que l'auto-BDSM puisse être une expérience enrichissante, il est essentiel de prendre certaines précautions. Sans la présence d'un partenaire pour surveiller et intervenir en cas de problème, la sécurité devient primordiale. Il est crucial de connaître ses propres limites, d'avoir un moyen de se libérer rapidement en cas de besoin (surtout lors de l'utilisation de contraintes) et d'éviter les situations qui pourraient entraîner des blessures. De plus, il est recommandé de ne jamais se bâillonner seul et d'éviter toute pratique qui pourrait compromettre la respiration. Les bienfaits de la masturbation dans le BDSM La masturbation, bien au-delà de sa fonction biologique et de son rôle dans le plaisir personnel, offre une multitude de bienfaits, en particulier lorsqu'elle est intégrée dans le contexte du BDSM. Ces avantages transcendent le simple acte physique pour toucher des aspects plus profonds de la psyché et du bien-être émotionnel. Renforcement de la confiance en soi et de la connaissance de son propre corps La masturbation permet une exploration intime et personnelle du corps. Dans le cadre du BDSM, où le corps peut être à la fois un instrument de plaisir et un terrain d'exploration des limites, se masturber peut aider à renforcer la confiance en soi. En découvrant ce qui procure du plaisir, ce qui est inconfortable ou ce qui est douloureusement agréable, on apprend à mieux connaître son propre corps. Cette connaissance peut renforcer l'estime de soi, car elle permet de s'affirmer dans ses désirs et ses limites lors d'interactions BDSM avec des partenaires. Exploration de ses propres limites et désirs La masturbation, surtout lorsqu'elle est combinée avec des éléments BDSM, offre un espace sûr pour tester et repousser ses propres limites. Sans la pression ou les attentes d'un partenaire, on peut explorer des fantasmes, des jeux de rôle ou des scénarios spécifiques. Cela peut aider à identifier des désirs latents ou à clarifier des aspects du BDSM qui sont particulièrement stimulants ou gratifiants. Réduction du stress et amélioration de la santé mentale De nombreuses études ont montré que la masturbation peut aider à réduire le stress, à libérer des endorphines et à améliorer l'humeur. Dans le contexte du BDSM, où la libération émotionnelle peut être amplifiée par des jeux de pouvoir, de douleur et de plaisir, la masturbation peut offrir une évasion mentale profonde. Elle peut servir de mécanisme d'adaptation, permettant une pause des tracas quotidiens et offrant un moment de concentration purement sur soi-même et ses sensations.   A lire également : La masturbation - lorsqu'on vous en impose la vue [Homme] ou [Femme] Masturbation sans orgasme … ou pas
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Par : le 06/09/23
Rêves - Fantasmes ou Illusion? Pour  me promener autour du camping naturiste, j'avais mis un short bien court( ouvert sur le cotés!), un débardeur à fines bretelles avec dans le dos écrit "BDSM" et devant une impression d'une corde, de menottes ainsi qu'une cagoule. Difficile d'être plus clair :* Nues pieds, je me baladais sur le coté gauche de la route. pas de sac à dos, juste une casquette et une paire de lunettes de soleil! Les voitures ralentissaient en me croisant, par fois klaxonnaient en me doublant. Après une heure de marche en plein soleil, vers 14 heures et un bon début de transpiration, un premier véhicule s'arrête et je ne sais pas trop pourquoi, à la tête du chauffeur, je continue ma marche de célibataire. Un second, puis un troisième, puis au cinquième je décide à me laisser prendre en stop. Assis coté passager, je mets ma ceinture lorsque le chauffeur s'arrête, me mets des lunettes très foncées  et me passe des menottes dans le dossier du siège! C'était sur, j'étais tombé sur un Dominateur sans aucun doute : il avait des menottes dans la boite à gants, Je ne connaissais rien de lui et réciproquement, jusqu'où irait-il ? J'avais pas mal de limites, par exemple, je ne pratique pas la sodo, ni le Fist et de plus je n'aime pas sucer un sexe! Je ne tirais pas trop sur les menottes pour avoir vu les conséquences et les effets, les blessures qu'elles peuvent causer  sur les poignets. Pour le moment, j'étais satisfait et excité par la situation! Mais la suite à quel sauce j'allais être cuisiné ? Mon sexe me faisait mal d'excitation et mon sein gauche devenait de plus en plus douloureux. Où allait-on ? Je ne vois rien avec ces lunettes et nouvel arrêt, comme mon débardeur ne peut être enlevé avec le port de la ceinture et mes poignets liés dans le dos, ce que je craignais arrive : il est vigoureusement déchiré.   J'avais mis tant de temps à le fabriquer!   Désormais torse nu ( je serais bien obligé de rentrer ainsi!) , dans la voiture d'un inconnu, fermeture éclair du jean descendue, il y avait déjà un bon moment que mon sexe se sentait à l'étroit dans mon string! Le moteur tournait toujours et les mains du chauffeur n'ont guère tarder à me pincer les seins de plus en plus fort. Ré départ et comme c'était une voiture automatique, la main droite libre du chauffeur continuait à triture mon  sein gauche en alternance avec mon sexe. Pour des raisons pratiques mon sein droit était ignoré. La voiture repart et je sens très vite une main baladeuse déboutonner mon jean afin de mieux pouvoir tâter mes parties génitales. Après plusieurs ralentissements et arrêts, Mon chauffeur remonte la fermeture éclair de mon short et coupe le moteur. Je ne peux descendre à cause de la ceinture, le chauffeur ouvre ma portière, défait ma ceinture et libère une des menottes, je peux alors bouger et à l'aveugle je descends du siège pour me retrouver aussitôt bras menottés devant, tiré par la chaine des menottes. J'entends le, bruit d'une serrure, on entre dans une pièce sombre et je dois mettre les mains sur la tête. Je sens mon short et mon slip descendre sur les chevilles! Me voila tout nu, menottés devant un inconnu dans un endroit inconnu! Impossible même de marcher, mon short sur les chevilles m'empêche de bouger. J'ai pris le risque de monter dans cette voiture et maintenant que va-t-il m'arriver ? J'ai pris le risque et aussi provoquer un peu avec mon débardeur bien ciblé en dessins sans équivoque ! Je reste nu debout, les mains menottées au dessus de la tête et short sur les chevilles qui m'empêchent de marcher un peu ! J'attends la suite, nu comme un vers, mon corps offert librement & volontairement sans trop savoir ce qui pourrait m'arriver ! En effet pour un soumis, il est bien difficile et délicat de se livrer sans prendre de risque, principalement avec un nouveau Maître. Ce qui est bien le cas aujourd'hui, puisque c'est ce que cherchais et que j'ai bien voulu, sans regrets pour l'instant! Mon Dominateur d'occasion m'enlève mes nus pieds et en profite pour enlever mon short, afin de m'écarter un peu les jambes ! Je sens mes bras tirés vers le haut par les menottes, je bande toujours comme un excité qui ne sait pas trop ce qui va se passer ! Au vrai, pour dire : je n'aime pas le port des menottes métalliques, je préfère nettement un bon bondage, ou des bracelets  même un peu serrés ! Les menottes en métal peuvent faire très mal si on force ou tire dessus, les os du poignets étant juste sous la peau. Debout, bras tendus, toujours nu, je reste la sans un mot. Enfin, ce qui devait arriver, arriva, je sens tout mon corps momifié d'un film plastique qui va désormais m'empêcher tout mouvement et bien sur toute possibilité de partir de cette situation bien excitante!   Profitant de cette totale immobilisation, Mon Dominateur du jour en profite pour changer les menottes par des bracelets très serrés, ce qui bien soulage quand même mes poignets endoloris. Combien de temps, suis-je resté ainsi à transpirer, à sentir la sueur dégouliner sur l'ensemble de mon corps ( on est en été et je ne sens pas de climatiseur!) Sexe toujours en rut, je devine Mon Maître du jour me frotter le sexe et les seins de plus en plus fortement! Les pointes des seins deviennent dures et  je sens bientôt la mise en place de pinces à travers ou sous le film plastique. Mon sexe est toujours prisonnier du latex, je transpire de plus en plus et je commence à avoir sérieusement aux bras trop tirés en haut ! La momification fait bien son effet d'emprisonnement et augmente sérieusement la transpiration. Les bras tirés vers le haut commencent à être douloureux et je commence à sentir des fourmis dans les mains. Je suis toujours aussi excité bien que je ne puisse rien deviner de la suite des événements à venir. Je ne connais rien des envies de Mon nouveau Dominateur Enfin, je sens mes bras libérés de la tension verticale et toujours momifié je me laisse aller lentement à m'allonger au sol, sur le dos. Temps de repos bien court ou commence, ou plutôt continu un travail précis de connaisseur sur mes seins déjà bien endoloris! Les pinces sont enlevées et comme je m'y attendaient un peu, vite remplacé par de grosses pompes à seins. Par expérience, je reconnais l'aspiration, mais celle ci cette fois me semblent bien plus monstrueuses et beaucoup plus aspirantes ! Auparavant, j'ai senti mon Maître déchirer le film plastique qui enserrait mes seins, et surtout de les lubrifier généreusement afin d'augmenter encore plus l'aspiration. Mes seins en folies doivent avoir au moins triplés de volume et la très forte aspiration commence à devenir de plus en plus douloureuse. Mon sexe suit l'excitation quand je sens un lien qui l'emprisonne avec les testicules augmentant encore un peu plus mon excitation sexuelle. C'est sur, j'ai bien affaire à un dominateur expérimenté, qui sait prendre son temps et mener aussi un soumis au paroxysme de l'excitation. J'ai l'impression que mon sexe est en feu et que je vais jouir rapidement, sauf que le bondage très serré de mon sexe et des testicules m'empêche une éjaculation salvatrice. Sur le dos, au maximum de ce que j'ai pu connaître auparavant, j'ai très envie de pouvoir me branler et de me faire enfin jouir pour clôturer un peu cette cérémonie un peu bizarre. Je ne suis pas encore au bout de mes surprises quand je sens un doigt me lubrifier l'anus, aussitôt suivi de la pénétration d'un petit gode électrique. Il ne manquait plus que cela pour parfaire mon excitation. Le gode s'enfonçait de plus en plus et mon sexe devenait fou à ne pouvoir jouir, tandis que mes seins semblaient devoir exploser sous l'aspiration indécente et voluptueuse. Enfin une main s'est acharné sur mon sexe, pas assez longtemps à mon gout, et à ma grande surprise vite remplacé  par une bouche gourmande et très aspirante, mes seins presque aussitôt libérés des pompes ont étés virilement et douloureusement malaxés, ce qui a inévitablement provoqué une formidable éjaculation dans la bouche de ...... Je suis resté assez longtemps au sol exténué par la momification et l'excitation générale, et je ne me suis pas trop rendu compte de l'enlèvement du film plastique qui momifiait l'ensemble de mon corps.   Enlèvement des  bracelets !J'ai même du dormir un petit moment avant de revenir au réel. Mon Nouveau Maître temporaire  était parti, m'abandonnant dans la solitude sans savoir si un jour je pourrais le retrouver et ainsi renouveler cette extraordinaire expérience bien insolite et très agréable! J'ai ramassé les reste du film de momification que j'emmènerais avec moi. pour le jeter dans  la première poubelle que je trouverais une fois dehors. Seul, je me suis permis d'aller faire un tour à la salle de bain pour prendre une douche chaude, bien agréable, un coup de serviette pour finir. Je me suis rhabillé et tranquillement, sorti d'un mobil-home pour rentrer torse nu dans le mien : c'était donc probablement un campeur d'ici ? Bien sur, je n'ai aucune photo de cette fameuse et inoubliable rencontre, puisque Mon Maître d'occasion est parti clandestinement ! Je suis sorti libre et heureux du dénouement de mon escapade bien risquée quand même!
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Par : le 01/09/23
  **Ceci s'est passé à l'Antre des Vices. C’était l’été, encore ! Il a fait chaud. Le soir allait tomber, nu, assis avec quelques autres invités : la fort sympathique Mi et son Maître Soundgen69, Maître Vince et sa délicieuse Liza, je demandais si la fréquentation du cachot était possible. Ayant reçu un avis positif, je fixais alors moi-même des menottes et des fers aux pieds. Me dirigeant vers le cachot, je me couchais sur le sol. Le Maître ferma la grille puis la porte en s’assurant toutefois qu’en cas de détresse, ne sait-on jamais, je puisse sortir. J’avais envie d’être enfermé dans ce cachot d’une surface d’environ 6 mètres carrés pour y passer la nuit. A peine installé, je m’assis, appuyé contre le mur proche des barreaux de la porte. Je constatais que j’allais avoir probablement soif. Je demandais de l’eau. Le Maître Vince m’apporta alors une bouteille d’eau… Je voulais vivre dans une ambiance dur. Je roulai le bout de moquettes qui recouvrait la moitié de la cellule pour n’avoir que la surface de béton. Avec le rouleau de moquette, j’en fis mon appui pour la tête.** Non non ! En fait, je m’étais présenté à la porte de la prison. Dès son ouverture, je fus saisi vigoureusement par les bras, tirés sans ménagement vers l’intérieur d’une salle. Deux gardiens m’attachèrent les poignets. Un troisième me banda les yeux. Mes poignets furent tirés vers le haut. Je me retrouvais presque suspendu. Après avoir reçu quelques bourrades, ils arrachèrent mes vêtements, coupés au couteau je crois. Nu, mes chevilles furent enserrées dans des fers reliés par une chaîne. Non moins brutalement, je fus soulevé et emmené vers un cachot. On m’ordonna de me coucher sur le sol brut. Etendu dans la poussière et la saleté du lieu, je savais que j’allais y passer un long moment. Mon bandeau sur les yeux fut retiré. Les gardiens lardèrent encore le corps de coups de pieds. Ils attachèrent la chaîne qui reliait mes chevilles à un anneau placé au raz du sol. Ils passèrent une autre chaîne autour du cou et relièrent celle-ci à un autre anneau fixé de l’autre côté de la pièce. J’avais assez de mou pour pouvoir me tourner dans la poussière et la saleté. Je demandais de l’eau pour boire. J’étais bien, au-début couché au centre de la cellule, je sentais le sol assez chaud mais un petit vent de fraîcheur modérait le plaisir. Je me déplaçais donc vers le fond complètement étendu, emportant de la poussière et de fins débris de gravats. Ainsi appuyé contre le mur chaud, ma tête reposant sur la moquette roulée, je fermais les yeux de plaisir. La grille se referma dans un bruit de métal et de chaînes que l’on cadenasse. Je fermais les yeux de plaisir. Il est vrai que le local jouxte une route fort fréquentée et cela me gardais éveillé. Mais quelle importance, j’étais dans l’ambiance que j’adore, être enfermé, au bon vouloir, il est vrai virtuel du Maître ou de la Maîtresse. Cérébralement cela a un effet très fort. Goûtant avec plaisir mon corps déjà bien souillé, je me roulais plusieurs fois dans toute la longueur de la pièce. Une véritable et délicieuse sensation de soumission. Je rêvais. Dans un bruit de chaînes et de métal, soudain la grille est ouverte. Entrent alors plusieurs personnes. Trois d’entre-elles portaient de gros seaux. Une dominatrice m’ordonna d’ouvrir en grand la bouche, placée au-dessus de moi, jambes écartées, j’allais pouvoir boire. En fait elle pissa plusieurs longs jets d’urine sur la tête et ma bouche (Je l'ai déjà vécu pour de vrai d'ailleurs). Puis elle me dit « et tu vas pouvoir manger si tu veux ». A ce moment-là, les trois personnes me vidèrent sur le corps et la tête les seaux contenant des déchets de cuisine et des détritus. Ces personnes quittèrent la cellule en refermant la grille. Je frottais mes jambes l’une contre l’autre pour sentir la douceur de ma peau affinée par les hormones. Roulant sur moi-même pour explorer les chaleurs emmagasinées dans la pierre, je trouvais un bout de chaîne avec deux petits mousquetons. Je me mis cette chaîne autour du cou et la reliais à mes menottes de telle façon que je ne puisse plus toucher mon sexe. Je fermais les yeux et continuais à rêver… Je sentais ces détritus sur la peau, collés par l’urine que je venais de recevoir. Je sentais une sorte de pâte fluide couler sur le côté, j’imaginais que cela devait être un reste de crème ou de purée de pommes de terre. Je sentais les liquides plus ou moins visqueux couler le long de mon corps étendu. Frottant mes fesses sur le sol, je sentais qu’elles glissaient comme si c’était de l’huile ou du beurre. Secouant ma tête, je tentais d’enlever des sortes d’écheveaux de fils ou de poils mélangés avec une matière visqueuse que l’urine faisait adhérer sur mes cheveux et le haut de ma tête sans toutefois obturer mes yeux. Frottant mes jambes, je mesurais la quantité d’immondices que l’on m’avait jeté dessus. Je rêvais d’être réveillé en pleine nuit pour une sévère session au fouet, ces fouets qui vous enserrent comme le Maître Vince sait si bien manier. D’être couché dans la terre devant le cachot pour adoucir les morsures du fouet et d’être souillé par ce sol souvent humidifié par l’urine des convives préférant arroser les environs plutôt que de s’asseoir sur la cuvette d’un WC. D’être ramené en cellule pour le reste de la nuit. J’ai adoré ces moments de rêve… tout en continuant à caresser mes jambes, en me retournant pour prendre encore de la poussière sur mon ventre, mes seins et mes bras, je flottais dans un véritable petit nuage de bonheur. Pour finir, ces sensations délicieuses mêlées à des odeurs et senteurs variées, je finis par m’endormir. J’ignore le temps qui avait passé, ni quelle heure il devait être mais je me réveillai pris d’un besoin irrépressible d’uriner. Plusieurs jets atteignirent jusqu’à mes seins. Je fus encore une fois inondé, l’urine inondant jusqu’à ma tête et souillant encore une fois mes cheveux. Je me remémorais aussi ces jours passés dans la prison de Grossenhain, dans les oubliettes, moins confortables que cette cellule finalement assez spacieuse. Une expérience si riche en introspection, de courage aussi car la dépendance est forte, tellement les portes et les serrures sont inviolables. Un mélange de contraintes et de réalités. Soudain la grille s’ouvre de nouveau. Je comprends que je vais avoir d’autres compagnons ou compagnes d’infortune, ô combien ! Les attaches de mes pieds et de mon cou, furent enlevées, mes poignets libérés. Un gardien me fis m’agenouiller. Avec une autre aide, ils m’enfermèrent la tête et les mains libérées dans un lourd carcan. Je me retrouvais donc empêché de manger ou de boire. Le gardien ordonna à l’autre, plus libre de ses mouvements quoiqu’aussi enchaîné, de m’injecter dans la bouche l’urine mélangée à du sperme et les croûtons de pain qui flottaient dans l’écuelle remplie d’urine. Je demandai à mes compagnons de s’exécuter. Pris de pitié, l’un d’entre eux me glissa, son sexe turgescent dans la bouche. Je pus le sucer avec plaisir, recevant au fond de ma gorge plusieurs jets de sperme. C’est le matin, au travers des interstices de la porte je voyais que le soleil brillait. La grille s’ouvrit, une délicieuse elfe, du nom tout aussi délicieux de Liza, entra et me réveilla. Je sortis du cachot pour me doucher et me laver à l’eau froide. Oh ! quelle merveilleuse nuit j’ai passé dans cet endroit fabuleux. Bien que les fermetures pour des raisons de sécurité aient été libres, ce séjour d’une nuit entière, fut absolument fabuleux et restera inoubliable dans ma vie de soumission. Merci Vince, merci Liza ! Kaji, portant le numéro d'esclave 386-312-138
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Par : le 27/08/23
Arriver dans une antre intime, et dans un espace de vulnérabilité partagée, je me prépare à découvrir ce que cette journée me réserve... Sous un regard attentif et dominant. je me tiens face à elle, le cœur battant avec une anticipation mêlée d'excitation. Mon regard suit chaque geste précis de ses mains, expertes. Dans cette ambiance intime et chargée d'émotions, je suis captivé par chacun de ses mouvements. Ses doigts glissent dans mon pantalon dégrafe le bouton, le descend lentement, dévoilant progressivement la peau qui avait été cachée jusqu'à présent. L'anticipation monte en moi alors que je me tiens là, exposé à son regard.Elle me guide avec une assurance implacable Elle me retire ensuite le tee-shirt avec une attention minutieuse, dévoilant ma peau au regard avide. Chaque mouvement, chaque retrait de tissu révélant davantage de moi-même, puis vient le tour mon de ce qui recouvre mon intimité. Chaque seconde semble durer une éternité, l'anticipation de son toucher électrisant mes sens. Alors mon sous vêtement descend le long de mes jambes, je ressens une nouvelle vague de vulnérabilité, mais aussi une étrange sensation de libération. Mon corps nu, dévoilé sous son regard scrutateur, Mon être tout entier est offert à sa vue Chaque contact de ses mains est un rappel de son contrôle sur moi, un moyen de m'éveiller à de nouvelles possibilités. Dans cet instant, je me sens à la fois vulnérable et épris d'un désir intense. Chaque caresse de ses doigts, chaque mouvement précis, fait monter en moi un mélange complexe de sensations, m'immergeant davantage dans cet échange de pouvoir troublant et captivant Debout, vulnérable et nu devant elle, je ressens son regard scrutateur qui parcourt chaque centimètre de ma peau Alors que je demeure là, résolument offert, une étrange fusion d'humilité et de désir monte en moi, conscient que chaque détail de mon intimité est soumis à son examen. Lorsqu'elle se concentre sur mes tétons et y pose des pinces qui mordent maintenant doucement ma chair ajoutent une couche supplémentaire à cette symphonie, faisant monter en moi un mélange unique de douleur et d'excitation. Je ressens la puissance de son contrôle grandir à mesure que son inspection se poursuit, chaque mouvement qu'elle fait étant une déclaration de sa domination. Ses yeux parcourent les moindres recoins de ma chair avec une précision qui éveille en moi une tension palpable. Lorsque ses mains se posent sur mes fesses, je ressens un frisson d'anticipation. Ses doigts, habiles et assurés, explorent chaque courbe et recoins. Le frôlement de ses doigts sur mon anus provoque un mélange de gêne et d'excitation,chaque contact semble ouvrir une porte vers des profondeurs inexplorées de moi-même, une part cachée de mes désirs qui ne demande qu'à être reconnue. Puis vient l'inspection de mon sexe, le cœur palpitant dans l'attente de sa réaction. Ses yeux aigus fixent chaque détail, chaque trait de mon intimité. Lorsque ses doigts entrent en jeu, une lueur de plaisir teintée d'humilité s'allume en moi. Chaque geste devient une déclaration silencieuse de sa domination, un moyen de m'amener à un état de préparation mentale et physique pour ses futurs désirs. Mon intimité, exposée à ses manipulations, devient une offrande consentie à son contrôle absolu. La sensation de sa main sur moi est une empreinte indélébile, une promesse d'obéissance sans faille. Son autorité plane sur moi, et chaque mouvement qu'elle entreprend est une affirmation de sa suprématie. Lorsqu'elle décalotte mon sexe d'un geste ferme et calculé, une sensation électrisante parcourt mon être, me rappelant brutalement qui détient le contrôle Son inspection minutieuse, approfondie, me plonge dans un état de vulnérabilité presque exquis. Sa capacité à sonder mes profondeurs, à révéler des aspects cachés de ma soumission, amplifie la tension qui monte en moi. Lorsque ses doigts exercent une pression sur mes bourses, je sens mon souffle se bloquer. La douleur mêlée à l'excitation me rappelle une fois de plus ma place à ses pieds. Puis elle les frappes d'une main ferme, chaque coup est comme une symphonie de sensations contrastées. La douleur devient un écho de ma dévotion À travers ces actes, je me souviens de ma place, de ma soumission consentie, et de l'excitation troublante qui découle de l'abandon total à sa volonté. Chaque geste qu'elle accomplit est une déclaration silencieuse de sa supériorité, une façon de me guider vers une soumission plus profonde. Alors que je ressens la brûlure de sa marque sur ma peau et dans mon esprit, je me rends compte que c'est un voyage partagé, une exploration mutuelle de nos désirs les plus profonds, Mon corps, entre ses mains expertes, devient l'instrument de sa volonté, mon esprit s'abandonne à son pouvoir envoûtant. Soudain d'un geste brusque m'arrache un frisson d'anticipation. Mes mains maintenues dans mon dos, enserrées dans des menottes qui résonnent comme un symbole de ma captivité consentie. Je me trouve à sa merci, incapable de résister à ses désirs, Un simple contact elle me pousse en avant sur la table, mon corps offert à son contrôle total, la surface froide sous moi contraste avec la chaleur de l'excitation qui monte en moi. Le fouet, cet instrument de plaisir et de douleur, s'abat sur ma peau avec une précision calculée. Chaque coup est une caresse brutale, une fusion d'excitation et de défi. La sensation du cuir chauffé par l'impact se grave dans ma chair, me rappelant à chaque instant ma place à ses pieds. Mon corps, marqué par le fouet, devient une toile vivante où elle exprime sa domination. Ses griffes qui parcourent mon dos et mes fesses ajoutent une couche supplémentaire à cette symphonie sensuelle. Chaque ligne qu'elles dessinent est une déclaration silencieuse de son contrôle absolu, une empreinte physique de sa présence. La douleur et le plaisir se mêlent, créant un mélange enivrant qui semble me transporter dans un état de conscience altéré. Mon corps devient une expression de sa volonté, une toile qu'elle peint avec des émotions qui oscillent entre la douleur et le plaisir. Avec une assurance implacable, elle se dote d'un gode ceinture,elle me pousse à me positionner bien en avant me maintien fermement sur la table pour accueillir ce nouvel acte de soumission.Lorsqu'elle s'enfonce en moi avec une ardeur inébranlable, cela devient une affirmation de son contrôle total sur mon corps.Chaque pénétration semble graver en moi une marque invisible mais indélébile de ma dévotion. Alors que le gode ceinture s'enfonce et se retire, je suis emporté dans une tourmente de plaisir et d'abandon. Les bruits des corps se heurtant, de la chair se rencontrant, se mélangent à mes gémissements, et dans ce moment de fusion total.Le plaisir et la douleur se conjuguent en une sensation indescriptible qui me consume. Chaque va-et-vient du gode ceinture est comme un sceau sur mon obéissance, une affirmation de ma soumission, mon corps, mon être tout entier, devient son instrument... Après avoir partagé cette danse intense de désir et de soumission, elle choisit de poursuivre notre exploration commune. Sa main glisse vers mon intimité, explorant à nouveau un territoire déjà conquis Le geste qui suit est presque insoutenable dans son intensité. Elle comprime mon sexe jusqu'à la limite du supportable, devient une manifestation physique de sa domination. Chaque seconde est un rappel brûlant de mon obéissance, chaque gémissement exprime la tension entre le désir et l'endurance. Je me trouve au bord de l'extase et de la douleur, lié à elle dans une communion que seul cet instant peut décrire La douleur et le plaisir fusionnent en une étreinte torride. Puis des fessées cinglantes s'abattent, chaque coup rougissant ma peau et éveillant une sensibilité nouvelle. Mes fesses sont maintenant rougies et sensibles, et chaque coup est comme une déclaration physique de sa supériorité. Je reste à sa merci, maintenu dans cette position qui me rappelle constamment ma place. Ses doigts, habiles et déterminés, explorent mon intimité avec une précision qui fait monter en moi une vague d'émotions contradictoire. Chaque mouvement, semble marquer en moi une nouvelle couche d'obéissance, de dévotion. Je réalise que cet acte symbolise bien plus que l'intimité physique. Ses doigts, suivis par sa main, explorent mon intimité avec une assurance qui fait monter en moi un mélange de tension et d'excitation qui m'enveloppent. Lorsqu'elle décide de s'aventurer plus profondément dans mon anus, je ressens un mélange de nervosité et de fascination, conscient que chaque poussée élargit davantage ma vulnérabilité. La pression de sa main à l'intérieur de moi est à la fois intense et électrisante, comme si elle ouvrait des portes cachées de mon être. Chaque mouvement de sa main devient une affirmation brutale de son contrôle absolu sur moi. Lorsque sa main se retire finalement, laissant derrière elle une sensation palpitante et une intimité profondément marquée, ses mots résonnent dans l'air : "Tu es maintenant ma petite salope de soumis et à ma merci." Ces mots, prononcés avec une voix empreinte d'autorité, pénètrent au plus profond de mon être, marquant une nouvelle étape dans notre échange de pouvoir. Alors que je porte la sensation de ses doigts et de sa main en moi, je me rends compte que c'est bien plus qu'une simple expérience physique. C'est une transformation, une offrande a ma Domina c'est ma soumission totale à sa volonté. Elle me relève de la table, la surface gardant encore les marques de chaleur de notre échange intense. Lorsqu'elle me tourne face à elle, je ressens un mélange de nervosité et d'anticipation, conscient de la puissance qu'elle exerce sur moi. Mes poignets restent entravés par les menottes dans mon dos, une marque palpable de ma soumission. Ses mains se posent sur mes bourses, et la pression m'arrache un gémissement involontaire. La douleur s'intensifie, courbant mon corps sous son contrôle. La sensation de sa poigne implacable, de la douleur qui se mêle au plaisir, renforce le lien entre elle et moi. Mon souffle se fait plus rapide, chaque battement de mon cœur en harmonie avec son pouvoir, la pression croissante, tout cela me rappelle à sa volonté incontestée du contrôle qu'elle a sur moi, chaque fibre de mon être s'accordant à sa cadence. Dans un geste brusque, elle interrompt le flux des émotions qui m'envahissent. Sa main se saisi d'un collier à ses côtés, un symbole tangible de son contrôle absolu. Le plaçant autour de mon cou, le métal froid repose contre ma peau. Les mots qu'elle prononce ont un poids indéniable, résonnant dans l'air comme un engagement scellé. Lorsqu'elle déclare que mon test est réussi et que je lui appartiens, chaque cellule de mon être réagit à sa proclamation. Le collier devient une métaphore vivante de ma soumission, une marque visible de ma place à ses pieds. En le portant, je réalise que chaque sensation, chaque acte, qui m'ont conduit à cet instant. Mon corps, mon esprit, tout ce que je suis, sont maintenant liés à elle de manière indélébile. La dévotion que je ressens est à la fois profonde et troublante. Je me trouve face à elle, poignets entravés, collier autour du cou C'est un symbole de notre lien, une déclaration de ma confiance, une offrande de moi-même à elle. Chaque geste, chaque acte, chaque sensation a convergé vers ce moment, où je réalise que je lui appartiens corps et âme. A cet instant, je ressens un mélange complexe de vulnérabilité et de fierté. Je me rends compte que ma soumission est un choix conscient, une décision de me donner à elle de manière totale et inconditionnelle. Mon corps, tout en moi est offert à elle, et dans cet acte, je trouve une libération troublante, une extase profonde dans l'acceptation totale de sa volonté. Me mettant maintenant une cage de chasteté autour de mon sexe, chaque clic métallique résonnant comme un écho de notre échange de pouvoir. La sensation du métal froid contre ma peau rappelle immédiatement ma place, ma soumission incontestée. Alors que la cage se verrouille, je sens le poids de sa déclaration s'abattre sur moi. Ses mots résonnent dans l'air, porteurs d'une vérité indéniable. "Maintenant, je garde le contrôle sur tes envies et contrôle tes érections." Chaque syllabe est un rappel de sa domination, de sa capacité à diriger même les aspects les plus intimes de ma vie. La cage devient un autre symbole tangible de ma soumission. A chaque moment où je ressentirai une érection, chaque envie qui viendra hanter mes pensées, me rappellera à qui j'appartiens. L'idée de lui remettre le contrôle sur mes désirs éveille en moi un mélange complexe d'émotions. Mon corps, mon intimité, sont désormais une extension de sa volonté, un moyen de m'offrir totalement à elle, une sensation d'être compris, accepté et guidé dans ma soumission complète
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Par : le 21/08/23
Comme indiqué dans mon mini compte-rendu précédent, nous avons reçu un client génial qui s’assume et qui ose aller au bout de ses fantasmes, ses envies et expériences. LIEN DU PREMIER PLAN  https://www.bdsm.fr/blog/8803/Un-long-selfbondage-et-une-longue-self-servitude/ Ce dernier avait envie de tester le scénario du chien soumis qu’il avait lu dans le classeur des vraies bonnes mauvaises idées. Ce fou, encore plus taré que moi, a souhaité que je l’associe à un Espace game. Mais quand je dis qu’il est encore plus fou que moi, ce n’est pas pour rien. Si, si, cela existe ! ! ! Par principe et précaution pour la sécurité, lorsqu’un client me demande un scénario je lui pose des questions et essaye de m’assurer qu’il ne se blessera pas. Là, j’avais bien compris que cette personne géniale (je sais je me répète) aimait les longs scénarios de selfbondage et ou self servitude. En plus, en se sentant en sécurité, il profitait de son séjour pour pousser ses propres limites et essayer des choses. Je ne l’ai pas prévenu 2 fois mais X fois que faire un véritable et long Espace Game en chien comportait des risques de se blesser aux genoux et au coudes. A chaque fois il m’a répondu « j’irai doucement promis ». Je n’avais donc pas à juger ni à décider pour lui de ce qu’il voulait vivre. Je lui ai donc fait voir le matériel nécessaire déjà disponible au donjon : Queue de chien Menottes Chaîne pour le collier Cadenas Un rouleau de cellophane pour ses jambes. LE PLAN Déposer le matériel devant la niche se trouvant à côté de la piscine ET le Ice-Timer**. Passer la chaîne autour du cou SANS la serrer puis poser le cadenas. S’accroupir et enrouler du cellophane autour des jambes pliées afin de les bloquer justement « pliées » Bloquer les menottes dans la chaîne du cou. S’attacher par le cou à la chaîne de la niche et fermer le cadenas. Bloquer ses poignets dans les menottes bloquées dans la chaîne du cou. RÉSULTATS Déjà pour commencer, son Ice-Timer. Comme il voulait que cela dure un peu, en partant du principe qu’il fait chaud en Espagne, il avait congelé la clé dans une assez grosse boite en plastique. RIRE il ne fait pas vraiment chaud là ou nous sommes puisque nous sommes à 400 mètres d’altitude et entouré de rivières et de verdure. De fait, le super « toutou » est resté plus longtemps que prévu à la niche. D’après lui, il y est resté entre 2 et 3 heures. Il a donc fini par trouver le temps long... Ensuite, après avoir pu récupérer la clé de la chaîne l’obligeant à apprécier le confort 4 étoiles de notre niche BDSM, il a du se déplacer à quatre pattes sur le béton et le carrelage entourant la piscine pour se rendre sur la terrasse où se trouvait le premier indice de L’Espace Game. PREMIER INDICE Aller dans le parc, tourner à droite pour vous rendre sous le portique de bondage en bambou afin de trouver le deuxième indice. Ne pas passer sous l’arbre qui pleure car il y a des ronces. DEUXIÈME INDICE Traverser le parc dans le sens de la longueur et passer sur le pont en béton entre les cyprès. - - Regarder droit devant vous car vous devez longer le potager en suivant le fil électrique blanc jusqu'au bout. (Fils pour les chevaux) Monter la pente et dire bonjour à la petite statue puis la contourner pour aller faire coucou à ce dont parle Yves Duteil dans sa chanson. (Le petit pont de bois qui traversait la rivière...) Le traverser et regarder attentivement aux pieds de l’arbre qui fait des fruits qu’il ne faut pas casser si on ne veut pas ennuyer quelqu’un. (Noyer) Il y a une autre boite en plastique avec un indice. LES AUTRES INDICES ? Je ne vous les dirai pas ! Ben oui quoi, si vous veniez vous connaîtriez d’avance un de mes Espace game ! Ce que je peux vous dire c’est qu’il y en avait deux autres et que le dernier m’a fait détester même si je lui avais prévu une gamelle d’eau ! (Gamelle recouverte d’un tissu pour qu’il n’y ait pas d’insecte) LES EMBROUILLES (Prévue et non prévue) Les canaux d’irrigation agricole fuient. C’est pour cette raison que j’ai fait des pseudos rivières et de petits ponts. SAUF QUE en ouvrant le canal à son maximum, les agriculteurs ont envoyé beaucoup d’eau et que, mon propre réseau d’irrigation n’étant pas 100% étanche, notre mec « génial » a du faire quelques mètres à quatre pattes dans l’eau froide. Je subodore que mouillé pour mouillé, il en a profité pour « lever la patte ». Le dernier indice lui a permis de se désaltérer, (là il a du apprécié ma convivialité) et lui indiquait qu’il était passé à côté des clés des menottes se trouvant sur le banc d’écolier situé sur la terrasse couverte. (Là, il a du me haïr deux fois) La première parce qu’il lui a fallu faire le chemin du retour sans indice. C’est facile et puis un bon chien, sait toujours revenir chez lui ! Ensuite parce qu’il a du faire « le beau » car pour attraper les clés des menottes et se libérer, il fallait qu’il se mette sur les pattes arrières. BILAN Il a démarré son plan vers 17 heures et m’a indiqué s’être inquiété en voyant la nuit commencer à tomber et être arrivé limite dans la pénombre. Son jeu a du durer entre cinq et six heures. Je l’ai aperçu lorsque j’attachai mes tomates mais je ne me suis pas manifesté. Je l’ai trouvé mignon avec sa petite queue de chien. Il a bien ri avec nos chats curieux venus l’observer puis a essayé de discuter avec eux mais sans succès. Ses genoux et coudes ont un peu souffert mais sans plus car je lui ai fait éviter les ronces et il a du être prudent. Il a détesté l’eau froide imprévue et la boue dans le passage qu’il a du traverser deux fois. Il a globalement bien aimé l’expérience mais aurait apprécié qu’à l’arrivée une Maîtresse le félicite mais ça, désolé, nous n’en n’avons pas en magasin. Il m’a indiqué qu’à certains moments, il se sentait réellement « chien », ou du moins avoir éprouvé des sensations animales qu’il ne connaissait pas. Globalement il était satisfait de l’expérience et gardait le principe en mémoire pour jouer seul chez lui. ................ Le lendemain, il m’a confié les clés de sa cage de chasteté en me demandant de les garder jusqu’à la fin de son séjour même si il changeait d’avis. Je ne sais pas ce qu’il a fait ensuite, disons qu’il m’a prévenu le soir qu’il jouait et que si le lendemain vers 10 heures il y avait encore sa voiture, c’est qu’il se serait bloqué et aurait besoin d’aide. Cela n’est pas arrivé sûrement parce que la libération d’urgence en cas de loupé, comme tout à un prix, cela lui aurait coûté un café ou un coca. Il a tellement aimé jouer avec sa chasteté « imposée » qu’il nous a acheté un cadenas à combinaison et nous a demandé le 5 août 2023 en partant du gîte de lui envoyer le code par email une dizaine de jours plus tard. Nous sommes le 15 août mais comme je ne sais pas si la dizaine de jours demandé était hors taxe ou TTC, j’envisage de rajouter la TVA. Qu’en pensez-vous ? Hors taxe ou TTC les dix jours ? FIN du compte-rendu TSM NOTE de l’auteur Ce récit est 100% réel. J’ai adoré ce « mec » discret et fort sympathique qui ne souhaite pas dévoiler son pseudo ni faire de rencontre. « Mec » si vous me lisez et vous reconnaissez, sachez que je vous félicite pour votre courage car rares sont ceux qui osent aller au bout de leurs fantasmes. gitefetichistes 
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Par : le 20/08/23
Les Plaisirs Interdits de Martine   Martine, une jeune femme au tempérament curieux, se lançait dans une quête audacieuse pour explorer le monde du BDSM. Attirée par les récits de désirs interdits et de plaisirs charnels, elle se laissait séduire par l'idée de se soumettre à des pulsions inconnues.   Un soir, après des heures de recherche, Martine atterrit sur un site de rencontres dédié au BDSM. Son cœur battait la chamade alors qu'elle lisait les profils des dominants qui se présentaient comme des maîtres expérimentés. Parmi eux, un certain Yann attira son attention avec ses mots crus et sa réputation de bête sexuelle.   Intriguée par Yann, Martine lui envoya un message osé, exprimant son désir de se soumettre à ses commandes. À sa grande surprise, Yann répondit avec une proposition crue : un premier rendez-vous dans un donjon secret qu'il fréquentait, où il comptait la baiser comme elle n'aurait jamais été baisée.   Nerveuse mais excitée, Martine accepta. Elle se prépara soigneusement, choisissant une tenue qui criait sa volonté de se faire prendre brutalement. Quand elle entra dans le donjon, l'atmosphère emplie de promesses la submergea. Yann l'attendait, son regard lubrique et sa voix rauque la poussant déjà au bord de l'excitation.   Sans attendre, Yann plaqua Martine contre le mur, défaisant sa ceinture avec férocité. Martine sentit son souffle s'accélérer, tandis que Yann la pénétrait d'un coup sec, sans ménagement. Chaque pénétration semblait libérer une part d'elle-même qu'elle n'avait jamais connue. La sauvagerie de l'acte était électrisante.   Soudainement, Yann sortit des menottes et attacha Martine à une croix de Saint-André. Il la fouetta violemment, alternant entre douleur et plaisir. Martine sentait son corps brûler sous ses coups, les marques de sa domination devenant sa marque d'appartenance.   Après des heures de jeux torrides, Yann finit par la détacher et la guida vers un coin plus intime du donjon. Là, ils cédèrent enfin à leurs désirs brûlants, s'abandonnant à une passion dévorante. Les limites étaient repoussées, les sensations décuplées, et Martine se perdait dans un monde où plaisir et douleur se confondaient.   Cette nuit-là, Martine découvrit une nouvelle part d'elle-même, une soumise avide de sensations fortes et de plaisirs inexplorés. Avec Yann, elle trouvait un maître sans tabous, prêt à la mener au bord de l'extase la plus extrême. Chaque rencontre les rapprochait davantage, créant un lien aussi puissant que les sensations qu'ils partageaient.
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Par : le 17/08/23
Le départ Cela ne pouvait pas durer. Je comprenais que je n'avais pas vraiment ma place chez mon maître, que j'y subissais davantage une initiation, un dressage qu'une intégration. Mais pourquoi ? Bien entendu, je ne posais pas de questions. Tout était fait pour m'éprouver. Longues séances attaché dans le jardin. Argent laissé en évidence. Ordinateur du maître allumé dans le salon. Médicastre toujours aussi brusque. Cela ne me perturbait pas mais je sentais bien que j'étais particulièrement étudié, analysé, scruté. Et un matin, le maître vint m'annoncer mon départ immédiat. "Mets ce pantalon, je t'amène chez ton nouveau maître." Et il chargea mes valises que je n'avais jamais rouvertes. C'était l'hiver et c'était la première fois que je quittais son logis. J'ignorais que je n'y reviendrais pas. Il neigeait quand nous traversâmes un village et arrivâmes à une allée menant à une maison isolée, ce qui n'empêcha pas mon maître de m'intimer de me déshabiller pour sortir du véhicule. C'est donc nu, en espadrilles, que je marchai dans la neige en portant les valises et attendis qu'un senior plus âgé ouvre la porte, il fit une accolade à mon maître mais ne me regarda même pas. Je rentrai après eux, posai les valises et attendis dans le couloir, la porte du salon ayant été fermée. Alors que je tentais toujours de me réchauffer, mon maître passa avec le nouveau qui le raccompagna en laissant la porte d'entrée ouverte. J'entendis la voiture partir. Je remarquai alors que le senior entendait mal malgré des appareils auditifs. Il se servit de sa canne pour que j'avance vers une petite pièce à droite où je découvris un lit d'internat, métallique. Quand il me tapota les fesses, je compris qu'il voulait que j'y grimpe à quatre pattes. Dans un tiroir, il prit des sangles pour lier mes poignets à l'avant du lit et les chevilles à l'arrière de façon à bien m'écarter. Et il commença à frapper avec sa canne mais comme il se fatiguait vite, il utilisa un martinet et retrouva rapidement de la vigueur. Il étala ensuite un torchon sur le lit et m'enfonça un plug dont les vibrations se multipliaient dans mon séant encore frigorifié. Il prit ensuite un étui en silicone, saisit mon sexe pour l'entourer. Je commençais déjà à jouir. Il me laissa ainsi...   Nouvelle vie Quand il me libéra, je lui en fus reconnaissant tant j'étais exténué mais ne dis rien comme à mon habitude. Il ouvrit une porte sur le côté et me montra une grande chambre décorée à l'ancienne. Il agita une clochette que j'allais souvent entendre pour me mettre à sa disposition, me montra une armoire avec ses habits et des draps puis une salle de bains avec un lave-linge, un WC, une grande douche, une vasque, et sur des étagères les serviettes et des protections urinaires. De retour dans la petite chambre, il ouvrit un placard avec uniquement des pantalons de jogging et des polos. Je posai les valises en bas. Il me montra le lavabo et la douche qui m'étaient destinés dans un recoin. Les autres pièces étaient le salon, avec un ordinateur déjà ancien, la cuisine au frigo rempli de plats pour les vieux et une arrière-cuisine avec les produits et le matériel d'entretien. Puis il me fit signe de me décrasser sous la douche en m'observant comme un animal de zoo. Je m'habillai évidemment d'un polo et d'un jogging. Nous mangeâmes des plats réchauffés au micro-onde qu'un traiteur apportait trois fois par semaine, complétés par une livraison mensuelle pour les autres produits. Ma fatigue était encore évidente lorsque j'entendis sonner à la porte. Mon maître se leva péniblement et revint avec un grand gaillard qui me toisa, s'assit et m'appela du geste. Il me saisit pour m'allonger sur ses genoux et commença à me fesser d'une manière que je qualifie de professionnelle, sans trop de brutalité, avec une régularité et une force qui devinrent insoutenables, m'obligeant à bouger les pieds et à me débattre. Il me releva et je restai avec le pantalon baissé comprenant qu'il s'agissait d'un avertissement. il m'amena ensuite dans un coin où je me retrouvai à genoux les mains sur la tête.   Première nuit   Quand le géant partit, j'entendis la clochette, remontai mon pantalon et suivis le maître. Il se déhabilla, et quand je lui retirai les chaussettes je devinai une protection dans son slip. En pyjama, il se rendit dans la salle de bain. Quand il revint, je l'aidai à se coucher avant qu'il me fasse signe de partir. Je me suis écroulé sur le lit qui de toute façon n'avait pas encore de draps. Mon maître a certainement insisté avec la clochette au milieu de la nuit pour que je vienne l'aider à se lever. Les draps n'avaient rien, je savais que ce ne serait pas toujours ainsi. La clochette me servit encore de réveil. Je le suivis pour l'aider à se doucher puis à s'habiller. Quand il fut prêt, il me raccompagna dans ma chambre où il me regarda uriner, reprit les sangles et recommença l'installation des appareils vibratoires. Je restai encore longtemps ainsi harnaché et travaillé en tortillant du cul. Enfin il me libéra, m'indiqua de me laver et je pus déjeuner. Le cérémonial s'est répété chaque jour avec cette autre manie : quand j'ai commencé les tâches ménagères, il a abaissé mon pantalon avec sa canne et je le retire donc chaque jour à ce moment laissant le vieux lubrique me tripoter et m'asticoter pendant que je nettoie les lieux. Il en profite aussi dès que je me penche ou me baisse, ou met sa main sur ma bouche en me presssant le pénis. Si un livreur ou autre sonne, je retourne dans ma piaule.   Les jeux L'après-midi, trois habitués venaient jouer aux dés ce qui me laissait un peu quartier libre. J'entendais les exclamations montrant leur emprise à ce jeu jusqu'au cri final. C'était alors à mon tour de participer. Le gagnant choisissait un accessoire dans un placard : jupe, short, chasuble, menottes, sifflet, dossier... et commençait dans le thème choisi avec un grand sens de l'humour que je n'appréciais pas toujours. Plus le prof me donnait d'ordres contradictoires, plus il m'engueulait. La confession de l'enfant de chœur était de plus en plus orientée et intrusive. Je devais mimer les scènes demandées par le juge, pas simple avec les menottes et le pantalon baissé. Impossible de suivre le rythme exigé par l'entraîneur. Le mari tyrannique me ridiculisait. Le vigile recommençait sa fouille de manière de plus en plus approfondie car il avait un doute. Le directeur était de plus en plus directif et me faisait du chantage à l'emploi. Ils ne manquaient vraiment pas d'imagination sauf pour la punition finale et l'enculade pas seulement par le gagnant. Tant pour le jeu que pour la phase finale, ils faisaient durer leur plaisir. Certains après-midis, chacun tirait au sort un gage que je devais exécuter et le résultat final était le même. Mais si le géant passait dire bonjour, ils adoraient le voir officier. Quand ils me rasaient, ils me décoraient avec des tags et graffitis sur toutes les parties de mon corps que j'avais des difficultés à effacer en frottant. Je fus un jour attaché écartelé sur la table du salon à subir toutes leurs envies, notamment la cire chaude.   Jeannot Le médecin décida que mon maître devait faire un séjour en maladies respiratoires à l'hôpital. Quand il partit en ambulance, Jeannot, le plus volubile des joueurs de l'après-midi vint fermer les portes et volets et m'emmena dans sa 4L. Il habitait une ancienne ferme peu entretenue. Son vieux tracteur lui servait encore pour l'affouage dans les bois de la commune. Quelques poules pour les œufs, un chien qui était pratiquement toujours dans la cour. Pas d'appareils récents, pas de télévision, et pourtant un écran, pour l'interphone pensai-je. Il me montra qu'il pouvait visionner toutes les pièces de la maison de mon maître, Pierrot et Paulo, ses comparses de jeu, le pouvaient aussi. Cet ancien cultivateur, avait gardé l'habitude de se lever tôt et était resté très actif. Après le repas qu'il préparait avec des produits de son jardin ou du marché, pendant que je lavais la vaisselle, il me lisait les titres du journal local et les commentait. Il écoutait aussi aussi la radio pour les actualités. Les après-midis, il m'embauchait dans son jardin surtout pour du désherbage. Au retour, il me décrassait dans la baignoire en n'oubliant pas de vérifier le fonctionnement des génitoires. Les soirées étaient calmes, assis derrière la maison. Puis je dormais sur le divan avec le chien près de moi. Le dimanche matin, il m'emmena à la pêche dans un coin dont il avait le secret donc difficilement accessible. Il s'installa sur son siège pliant, cala ses cannes à pêche et attendit en m'observant frissonner. J'aimais observer la rivière avec les brumes et les oiseaux furtifs. Quand il n'y tint plus, il m'entraîna dans les fourrés humides pour son envie matinale. J'en ressortis avec des égratignures et le pantalon trempé que je tins devant moi pour tenter de le faire sécher alors que la brise fouettait mes jambes et mes fesses. Heureusement qu'il avait apporté un casse-croûte et du café. Le lundi, il alla aux champignons dans une forêt où je n'aurais pas risqué de me perdre. J'imaginais les animaux dont j'entendais les bruits, je chassais les insectes et pataugeais allègrement avec des bottes. Les grognements ne provenaient pas d'un animal quand il me coinça contre un arbre. Le mardi, en allant au marché, il passait prendre le panier de son copain Max qui était en fauteuil roulant. Il m'y laissa et il ne fallut pas longtemps pour que je n'aie plus rien à cacher affalé ou allongé sur une table, ou bien suspendu à une poutre. L'antre de mes fesses fut exploré et je subis des pincements fort désagréables. Le mercredi, il sembla heureux de me faire découvrir sa contrée au cours d'une longue randonnée où il n'arrêtait pas de me peloter les fesses et de me tenir les couilles. Quand on n'était pas trop visibles, il me retirait le pantalon et me fouettait avec une baguette. Le jeudi, je découvris un trans qui prit son temps pour raidir ma verge avec différents artifices afin que je remplisse mon office et son orifice même si ce n'était pas ma tasse de thé. Le vendredi, en allant chez le médecin, il me déposa chez le géant qui après m'avoir souhaité la bienvenue à sa façon, me mit un collier, me fit marcher à quatre pattes dans son jardin, manger dans la gamelle et coucher dans le panier. Un peu plus longtemps et je n'aurais pas pu me retenir d'uriner. Le samedi, il retourna au marché en me déposant au passage chez Max qui voulut que je l'allonge "pour mieux en profiter". Effectivement... Le dimanche était le jour de grand ménage interrompu par les visites de ses comparses qui s'ennuyaient visiblement de ne pas pouvoir disposer de moi.   Retour chez mon maître Deux semaines après, mon maître revint de l'hôpital avec un respirateur, un appareil pour l'aider la nuit, qui rythma mes nuits de concerts de trompette et de klaxon de camion. En effet le masque en caoutchouc laissait rapidement l'air s'échapper sur les côtés. Cet appareil compliquait aussi ses levers d'où des changements de draps. Il reprit exactement le cours des journées : le cérémonial du matin avec ces vibrations intérieures incontrôlables que je savais maintenant observées par ses comparses, le ménage ouvert à ses caprices et les jeux de l'après-midi. Bien sûr, je sentais qu'il n'acceptait pas la dépendance qu'il ressentait de plus en plus même s'il ne s'en plaignait pas. C'est certainement la raison pour laquelle il se montra parfois cruel dans ses propos et même assez violent ; il me dérangeait sans raison. J'en venais à attendre les après-midis alors que ce n'était pas une partie de plaisir, du moins pour moi, ou à m'évader dans des phantasmes. Cela devint évident quand un après-midi il me griffa au point de me faire saigner. Si les autres ne lui firent pas de reproche, je sentis cependant une légère hésitation. Par la suite, le ton était souvent faussement enjoué et je fus insensiblement mis à l'abri de ses accès d'agressivité. Au fil des mois, son état se dégrada. Il demanda à Jeannot de venir me harnacher le matin, tenant à ce que je bénéficie du plug comme on va promener son chien. Il participait encore volontiers à ma mise en spectacle de l'après-midi mais se montrait moins actif. Je retrouvai les moments difficiles que j'avais connus avec mon conjoint sans subir en plus l'immense solitude qui m'avait alors accablé. Toute la préparation avec le précédent maître, l'entraînement quasi commando, m'avait endurci et je supportais un peu mieux les moments de doute me disant que l'intérêt porté à mon maître devait être ancien de la part de l'équipe de Jeannot et que si quelqu'un avait été jugé plus apte à remplir mon rôle, ils n'auraient pas hésité à me remplacer.   L'année suivante, quand mon maître s'éteignit, Jeannot m'aménagea une place dans sa ferme. Depuis j'y vis de nombreuses expériences prenantes et souvent inattendues comme il en a le secret.
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Par : le 12/08/23
John Willie, considéré comme l'une des figures emblématiques du monde BDSM et du bondage, est surtout reconnu pour son apport indéniable à la culture fétichiste. Fondateur et rédacteur en chef du magazine avant-gardiste "Bizarre" dès 1946, ses travaux reflétaient un intérêt profond et artistique pour l'érotisme lié à la contrainte. Sa bande dessinée, "Sweet Gwendoline", est devenue une référence majeure dans l'univers du bondage, illustrant sa fascination pour les situations de soumission féminine. Dès son plus jeune âge, influencé par la littérature fantastique, Willie développe une fascination pour les scénarios de jeunes filles en détresse, rappelant la quête des jeunes garçons souhaitant sauver des princesses emprisonnées. Outre son talent de dessinateur, il était aussi un photographe accompli, spécialisé dans la capture de femmes ligotées. Même si techniquement certaines de ses photos pourraient être considérées comme imparfaites, elles possèdent une esthétique raffinée, mettant en scène des accessoires tels que chaînes, cordes, rubans, menottes, baillons, scotchs et bottes en cuir. Son parcours personnel est aussi singulier que sa carrière. Sportif émérite, il servit en tant que lieutenant dans l'armée écossaise avant d'épouser  une danseuse de boîte de nuit. Après avoir été renié par son père et quitté l'armée, il émigra en Australie où il finit par divorcer. C'est lors de son séjour australien qu'il découvre sa véritable passion. En croisant la route du "Club des hauts talons", une association de fétichistes de chaussures, il rencontra Holly, sa future seconde épouse. Elle devint son modèle fétiche, souvent photographiée chaussée des talons vertigineux qu'il créait lui-même. Talons dont on dit qu'ils étaient particulièrement inconfortables. John Willie aura deux temps forts dans son existence : l'Australie (1937-1945) et les États-Unis (1948-1961). Pour subvenir à ses besoins pendant la guerre, Willie travailla en tant que matelot professionnel. Il fut également un alcoolique notoire et déménagea fréquemment, vivant à Montréal, New York et Los Angeles. Il décéda à Guernesey des suites d'une tumeur cérébrale. Au-delà de son univers BDSM, John Willie était également un musicien, jouant du banjo dans les boîtes de nuit. Le choix de son pseudonyme "Willie" reflète son humour, faisant référence au double sens du mot Willie :  à la fois au sexe masculin et à l'innocence d'un petit garçon en anglais. Des livres sur John Willie
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Par : le 11/08/23
Premier contact   Il m'avait répondu si rapidement... Après dix années de vie commune, interrompues par ce qui est devenu la fatalité, j'avais proposé de partager le quotidien et les fantasmes d'un senior qui m'accueillerait durablement. Tout de suite, j'ai eu l'impression d'être considéré, ce qui m'était devenu étranger, occupé à des tâches de plus en plus fastidieuses au fil de la dégradation de mon conjoint. Je n'avais jamais utilisé de webcam, ce fut fait naturellement comme lors de mes rares séances bdsm, je me déshabillai dès qu'il le demanda et me laissai examiner longuement, découvrant mon gland, écartant les fesses, me pinçant les seins. Bien que déjà âgé, mon physique n'est pas déplaisant sinon une peau ingrate qui ne lui disconvint pas. Dès le lendemain, il est venu me chercher et le sentiment de confiance ne m'avait pas quitté. Ne connaissant pas beaucoup la ville, je ne sais pas exactement où se situait le garage au sous-sol d'un pavillon que j'entrevis à peine. Il ne parlait pas, moi aussi étant de nature taiseux. Arrivés à l'étage, il me fit signe de me déshabiller, ce que je fis aussitôt, puis je le suivis en espadrilles, dans l'escalier. Dans une pièce ressemblant à une salle de sport, il m'attacha avec des menottes à une poutre et m'entrava les pieds avec une barre. Puis il partit. Je ne sais pas combien de temps j'ai attendu. Il passait de temps à autre, me donnait de légères tapes, excitait ma verge puis repartait. À un moment, il l'enduisit d'un liquide qui accentua l'érection. Il revint vêtu d'une culotte en cuir qui mettait en valeur son corps harmonieux et musclé, équipé d'un martinet qu'il utilisa avec parcimonie me faisant apprécier et désirer ces légères brûlures, il me cingla ensuite avec une baguette souple. Sentant mon excitation, il entreprit ensuite de me tâter en me pinçant tout le long du corps particulièrement entre les jambes. Et je sentis sa main enduire mon anus d'un liquide visqueux avant de procéder à ce qui ressemblait à un examen de la prostate. Il me couvrit d'une capuche de pénitent descendant sur les épaules et légèrement resserrée au niveau du cou, avec l'unique ouverture ovale au niveau de la bouche, et reprit l'usage du martinet et de la baguette y compris sur la verge. Le plaisir m'envahit de ne pouvoir prévoir ses gestes. Quand il me détacha les bras, je m'appuyai sur un meuble bas, une table d'examen, devant moi ce qui lui permit de me sodomiser immédiatement me semble-t-il avec un gode. Moment de jouissance indescriptible. Il me fit m'agenouiller malgré la barre qui maintenait mes pieds et je le suçai avec avidité, sa capote sentait l'orange... Et me sodomisa directement avec force et intensité. Ma verge étant toujours dressée, il me rattacha à la poutre. Ne voyant toujours rien, je me sentais rempli d'une chaleur intense. Je ne sais au bout de combien de temps, il revint pour me masturber jusqu'à l'éjaculation, mais était-il parti ? Mon érection n'ayant pas cessé, il recommença plus tard. Quand il me détacha, j'éprouvai du regret mais aussi une immense gratitude. Puis il parla.   L'installation   "Voici ta chambre." Dans une pièce à côté, un lit une place, un petit bureau, une armoire. Dans celle-ci une série de shorts courts colorés et transparents, des chemisettes à pressions très faciles à retirer, ainsi que quelques nuisettes. Pas de sous-vêtements. "Tu me donneras tes affaires actuelles en attendant que tu en aies besoin." Comme précédemment, je ne pose aucune question. Sur le bureau, un ordinateur "qui ne sera connecté à internet qu'à certaines heures et sous surveillance directe comme l'ensemble de la maison". Dans la salle d'eau attenante, un WC, une douche, un lavabo. Aucune possibilité de fermer les portes à clé, "je contrôle tout à distance". "Tu devras faire le ménage complet de cet étage. À mon étage, un robot nettoie les sols, tu t'occuperas du reste". Découvrant l'équipement électroménager, je me rends compte que cela ne sera pas fastidieux. "Les appareils étant connectés, un livreur vient deux fois par semaine apporter les commandes directement dans le réfrigérateur et le congélateur. Tu ne te montreras pas." "Tu porteras toujours cette montre, tu seras ainsi averti de mes messages et je surveillerai tes déplacements et tes constantes. Pas d'utilisation du téléphone sans mon autorisation. Pas de télévision. Tu peux écouter ces CD de musique classique". Cela ne me gêne pas, je suis si solitaire... "Tu recevras sans être prévenu des visites de personnes qui s'occuperont de toi en mon absence, ce qui sera fréquent." Je n'ai posé aucune question et je n'ai jamais cherché à connaître la nature de ses activités ni les motifs de ses déplacements. Un jour où je gémissais, il me confia (ce qui était extrêmement rare) faire partie d'un groupe d'hommes très visibles médiatiquement qui pour décompresser de la pression constante et de leurs responsabilités exigeaient des pratiques de plus en plus hard. En ce qui me concerne, je pense qu'il tenait compte de mon âge. Étant manifestement très expérimenté, il m'utilisait comme un homme de compagnie, un robot qu'il fallait garder en bon état de fonctionnement. Sa jouissance était de parvenir à me contrôler, à me rendre complètement dépendant sans violence physique ou morale, ce que je ne pouvais qu'apprécier. Deux jours après, j'arrivais dans ce logis avec mes deux valises qui comme convenu, restèrent dans un placard.   Le médicastre   Le premier à venir me surprendre, celui que j'appelle le médicastre, était certainement un (ancien) médecin tant il m'a paru professionnel, un médecin qui se permettait des pratiques bien singulières. Il est arrivé derrière moi sans que je l'entende, alors que j'époussetais, non sans trouble, l'impressionnante collection d'Apollon de mon maître. Sans parler, il m'a fait signe de monter dans ce que je nommais maintenant le donjon, m'a enlevé la chemisette pour attacher mes mains puis mon short pour entraver les pieds, toujours bien écarté. Après s'être connecté à mes relevés de pouls qu'il consultait sur sa tablette, il passa une sorte de stylo sur mon corps même aux endroits très sensibles, ce qui déclenchait des décharges fort désagréables et lui permettait de voir les variations de mes constantes. J'éprouvais une réelle souffrance et mon érection commença. Il m'examina ensuite sous toutes les coutures et corrigea certaines imperfections sans ménagement. Pour ensuite m'asperger de ce qui m'a semblé être un antiseptique. Il enduisit ensuite mon gland bien décalotté et mon anus d'une crème qui me chauffa terriblement. Puis il pinça mes tétons jusqu'à ce que je bouge pour tenter de lui échapper. Détaché, je dus m'allonger sur la table d'examen où il procéda à un examen approfondi de mon anus. Il me délaça pour me retourner et m'attacher à nouveau sur le dos, les jambes ballantes, pendant qu'il me palpait particulièrement sur le ventre, il me posa des questions sur mes pratiques sexuelles, étonné par le peu de réponses que je pouvais lui apporter. Enfin il me branla avec brutalité jusqu'à ce que mon sperme jaillit, il en recueillit sur son gant et le sentit. Ce médicastre est revenu pratiquement chaque semaine toujours en me surprenant. Je n'ai jamais su s'il ressentait de l'animosité envers moi ou s'il me considérait comme un animal de laboratoire. Cela me fait penser à la médecine, il n'y a pas si longtemps, qui considérait la souffrance comme nécessaire à la guérison.   Le délaideur   La première fois, il me surprit quand je marchais sur le tapis pour mon exercice quotidien. Il sentit ma sueur et devina ma fatigue passagère. Je ne savais pas pourquoi il était là. Il commença par s'assoir, me fit signe de venir et de me placer sur ses genoux, évidemment pour une fessée que par la suite je compris pour s'assurer de ma soumission. Il frappa d'abord lègèrement, abaissa le short, tritura mes fesses et mes cuisses, puis commença à asséner des frappes de plus en plus fortes avec une telle régularité que je sentais mes fesses rougir. Puis accoudé sur la table d'examen, je dus subir le martinet qui me fit gémir. Le rasage intégral qui s'en suivit alors que j'étais à nouveau entravé, fut renouvelé chaque semaine, alors que je commençais à peine à m'habituer au duvet qui réapparaissait. C'est avec la peau à vif qu'il me conduisit à la douche où je dus garder les mains sur la tête. Après avoir bien amplifié les irritations avec l'eau, il prit un gant jetable et me frotta de la tête au pied jusqu'à ce que je sois couvert de mousse. Évidemment, il insista sur la verge puis profondément sur l'anus. Après m'avoir abondamment rincé, il me reconduisit sans m'essuyer pour m'entraver comme j'en avais maintenant l'habitude. Il revint avec une préparation verte (de l'argile ?) dont il me couvrit une bonne partie du corps. Avant de me laisser avec cette boue qui commençait à sécher, il m'attacha le pénis à la table d'examen pour m'empêcher de bouger. Après un long temps, il réapparut avec un appareil, détacha mes pieds pour les poser sur la table d'examen et me sodomisa avec le gode vibrateur. Complètement vaincu, je le laissai m'entraîner vers la douche pour un décapage au jet d'eau. Ce délaideur est venu plusieurs fois chaque semaine toujours d'une manière imprévisible.   Le vidoyeur   Je découvris très vite que le vidoyeur venait me préparer. Il me suspendit les bras à une poutre et les pieds à l'endroit habituel pour les mains. Mon sexe étant alors à sa disposition, il l'équipa de la pompe à sperme ce qui après quelques instants et des coups de baguette sur les fesses provoqua son gonflement. J'étais à son entière disposition. Il me stimula sur tout le corps par des caresses et des pincements provoquant une extase au bord de l'évanouissement et ne fut satisfait que lorsque j'éjaculai abondamment. De retour sur la table d'examen, il sortit une pompe à lavement cette fois qu'il utilisa plusieurs fois m'obligeant à de grands efforts pour ne pas me laisser aller jusqu'à ce qu'il m'ordonne d'utiliser le seau à moitié rempli d'eau pour m'assouvir. Bien éprouvé, je me remis sur le dos, jambes ballantes, mes mains étant aussitôt attachées. La canule que je découvris alors, je ne l'avais jamais subie, il la glissa avec ses mains expertes dans mon pénis où je ressentis la progression jusqu'à ce qu'un jet d'urine jaillisse. Ce fut une nouvelle sensation inimaginable jusqu'alors. Enfin satisfait, il m'ordonna de tout nettoyer, me conduisit à la douche pour un lavage à grandes eaux. Il veilla à ce que je me rince bien la bouche avant de procéder au brossage. L'interdiction de manger le soir m'intrigua mais je m'assoupis après de telles épreuves.   Première soirée   Le maître vint me réveiller alors que j'avais la sensation d'avoir peu dormi, m'enfila la capuche de pénitent pour seul vêtement et me fis descendre sans difficulté car j'étais maintenant accoutumé aux lieux. Les conversations étaient, elles, inhabituelles, peu de personnes venant le soir, et portaient sur la situation économique. Elles ne cessèrent pas quand je me sentis palpé comme on juge de la qualité d'un animal sur une foire. Je me laissai guider de main en main, la verge fermement tenue puis les fesses écartées pendant qu'une partie de poker commençait déclenchant des gestes plus nerveux et des pincements au fur et à mesure des enjeux. Je devinai qu'il ne s'agissait pas d'argent mais que j'en étais l'enjeu. À un moment, on m'appuya sur la tête pour me pousser sous la table et je me retrouvai coincé entre les jambes d'un joueur qui sortit son sexe et me le mit dans la bouche pour que je le suce pendant qu'il appuyait sur ma tête. Quand ce joueur attint une bandaison qu'il jugeait satisfaisante, il me poussa entre les jambes du joueur suivant. Je découvris alors qu'ils étaient trois. L'exclamation montra que la partie était terminée, on me poussa à coups de pied en dehors de la table. Deux joueurs me saisirent par les bras pour m'appuyer sur la table pendant que le troisième lubrifiait déjà mon anus puis s'excita en me frappant sèchement sur les fesses jusqu'à ce que la douleur me fit gémir. Il s'empara alors de moi avec sauvagerie et puissance pendant de longues minutes pendant que j'étais fermement maintenu. Cette pénétration fut reproduite par les autres joueurs. Je fus alors amené à l'extérieur et attaché à une palissade où je restai seul. De nombreuses sensations me titillèrent. Était-ce des insectes, des courants d'air, un animal ? Peut-être une heure après, je sentis qu'on crémait ma verge qui durcit comme à la première rencontre et restai avec un besoin impérieux mais inassouvi. Finissant quand même par m'assoupir, je fus réveillé par quelqu'un qui utilisait mon braquemard entre ses fesses alors que je ne pouvais que subir. Au petit matin, mon maître vint me détacher sans un mot et tout reprit son cours.
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Par : le 08/08/23
Un de nos clients du gîte fétichistes souhaitait vivre une expérience de selfbondage associant couche, BDSM, féminisation, Espace-game, chasteté mais quelque chose de long et contraignant. Il m’a demandé si je pouvais le guider puis lui organiser quelque chose et surtout, le sécuriser. (Nous avons des hommes seuls qui viennent s'amuser et parfois sous prétexe de voyage d'affaire ou mission...)  Avant toute chose, je lui ai posé quelques questions en lui demandant de me préciser un peu plus ses envies en terme de jeu et pratiques. Lors de cet échange, il n’a pas arrêté d’insister sur le fait qu’il voulait que cela soit à la fois long sans pour autant être attaché toute la nuit. Il me fallait donc lui trouver un scénario adapté à ses besoins. Je lui ai demandé si il voulait vraiment quelque chose de long et vraiment contraignant avant de lui proposer un scénario, ou plutôt, d’associer plusieurs scénarios. Comme il a accepté mes idées de pervers (rire) je suis donc allé lui chercher le matériel de base : couche + culotte plastique + le plug en lui demandant de s’équiper pendant que j’allais chercher les vêtements + sous-vêtements nécessaires. Le pauvre ! Il portait déjà sa cage de chasteté et s’est donc mis un plug dans les fesses puis une des couches puis avec une culotte plastique que FranceABDL nous a offertes pendant que j’allais lui chercher ses « tenues ». A mon retour, il était très gêné. Je l’ai rassuré et surtout félicité pour son courage car rares sont ceux qui s’assument. Pour l’aider à garder son plug, je lui ai fait voir comment se faire un string avec une corde passant bien entre les fesses sur la couche mais sans trop serrer le devant de la couche. Ensuite, je lui ai prêté un de nos serres taille en lui demandant de se le mettre sans trop serrer quand même puisque il allait devoir le garder longtemps. Il voulait aussi des pinces à sein, comme le scénario allait durer longtemps, encore une fois je l’ai dissuadé de prendre les modèles de notre placard à « jouets » car sur la durée, cela risquait de poser de réels soucis, surtout lors du retrait. Il s’est donc mis des pinces à linge soft d’un air de dire « « que ce n’était rien pour lui » ». « Oui, oui, cause toujours, on verra demain »  ai-je pensé à ce moment là. A la suite de quoi, je lui ai passé une brassière et lui demandait de l’enfiler et de s’en servir pour plaquer les pinces à linge vers le bas. Pour concrétiser sa féminisation et aider au maintien de la couche, il a ensuite enfilé un de nos bodys. Si ce n’était pas très esthétique, c’était déjà très efficace ! Pour finaliser son habillage, il a enfilé la grenouillère d’été qu’il a du fermer avec un de nos cadenas. Là, il n’était « pas belle du tout » RIRE, mais c’était son trip, alors, il était parfait pour moi, le principal était qu’il s’amuse. LE SELFBONDAGE Je suis allé déposer les clés (pas celles de sa cage ni ne la grenouillère) sous le sling au fond du couloir. Je lui ai ensuite passé des chaînes + deux cadenas pour qu’il attache ses chevilles. Et pour ça, il a du s’asseoir par terre et, à sa grimace, j’ai bien compris que le plug... Je lui ai passé des menottes qui ne s’ouvrent pas sans clés en lui disant de les bloquer dans la chaîne attachant ses pieds mais SANS les fermer. Ensuite je lui ai prêté une cagoule d’isolation BDSM en lui expliquant qu’une fois qu’il l’aurait mise et bien fermée, il ne verrait plus rien et devrait donc bloquer ses poignets dans les menottes bloquées dans la chaîne de ses chevilles à l’aveugle puis, qu’il devrait aller chercher les clés comme il pourrait. J’ai déposé le premier indice de l’Espace Game n°1 sur le bar en lui souhaitant « bon jeu et bonne nuit ». Et là, je l’ai laissé seul, j’avais de la marche à pied et du vélo à faire. (Si si, c’est important pour la suite) Je suis donc allé déposé les indices sur le terrain que je connais parfaitement pour qu’il puisse trouver la clé de la grenouillère et l’indice lui indiquant où se trouvaient les clés de sa cage de chasteté. Là, je me suis amusé... Il a du me maudire X fois ! MDR En effet, comme il était 22 heures, ce n’est pas avec la lumière de son téléphone mobile qu’il risquait de trouver les indices dans les arbres au milieu de la nuit. Étant tranquille, je ne suis allé cacher les clés de sa cage de chasteté en vélo électrique que le lendemain. Sauf que ces clés étaient dans une boite en plastique cachée dans un sac plastique en dehors de la propriété. Si moi j’avais fait 10 minutes de vélo à 7 heures du matin, lui allait devoir marcher au moins 30 minutes avant de se faire son « self service ». RESULTATS D’après lui, il a mis plus d’une heure à trouver les clés des menottes et cadenas dans le donjon. Si il a bien aimé la cagoule d’isolation, faire du « sport » habillé comme il était, lui a donné si chaud qu’il n’osait plus ouvrir les yeux à cause de la transpiration. Il a bien essayé ensuite d’aller trouver les indices de l’Espace Game, mais a rapidement changé d’avis, car de nuit, cela lui paraissait impossible. Son téléphone mobile n’éclairait pas assez loin. Il n’avait jamais mis de serre taille et a donc « goûté » à cette contrainte physique que les femmes s’imposent souvent pour se plaire mais aussi plaire à nos yeux. En clair, il a mal dormi déjà à cause de ça. Ensuite, une des causes du trouble de son sommeil a été la brassière bloquant les pinces à linges qu’il portait sur ses tétons. N’aimant pas dormir sur le dos, cela a été compliqué pour lui. Il m’a avoué avoir essayé de retirer les pinces, mais qu’avec la brassière rembourrée et la grenouillère il n’y était pas arrivé. (Comme si cela n’avait pas été le but.... heureusement pour lui que je l’avais dissuadé de mettre des pinces à sein plus sévères) Si ce n’était pas la première fois qu’il mettait une couche, marcher le lendemain sur le terrain avec ce « truc » lesté d’urine entre les jambes ne l’avait pas beaucoup amusé surtout qu’il avait peur d’être vu en grenouillère par le voisin venu travailler sa terre. Arrivé dans son gîte après 30 à 40 minutes de marche et de recherche, son déshabillage fut, d’après lui, compliqué. Je pense qu’il parlait des pinces à linges sur ses tétons, une nuit entière c’est long et dur le lendemain lors du retrait. En plus, cela devait presser « derrière » avec son plug et que la corde avait du se mouiller quand il a transpiré. Défaire les noeuds d’une corde mouillée n’est pas facile. Il voulait du long, alors.... Monsieur s’est offert une grasse matinée, je le sais parce qu’il m’a dit avoir souffert de la chaleur pour aller chercher les clés de sa cage de chasteté. Logique, en Espagne on part marcher de bonne heure car après 11 heures, le soleil commence à taper. Lorsque nous nous sommes croisés à la piscine le soir, il m’a dit, avec humour, que j’étais un sacré enfoiré de pervers. Je l’ai remercié de ce compliment en lui demandant s’il désirait un autre scénario. Sa réponse a été « oui mais sans pince à sein », on se demande pourquoi ? (Rire au départ, il les avait trouvées trop soft...) Il avait envie de tester le scénario du chien soumis qu’il avait lu dans le classeur des vraies bonnes mauvaises idées. Ce fou encore plus taré que moi a souhaité que je l’associe à un Espace game.  Le pauvre.... Je vous raconte ça un autre jour. TSM (qui s’est bien amusé en lui faisant plaisir)       
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Par : le 04/08/23
Disclaimer : Ce texte était a la base pour le couple que je fréquentais et a qui j'appartenais jusqu'à peu, je le met ainsi a disposition pour que les gens puissent le lire et découvrir une relation que j'ai pu avoir.   11/03/23 Je ne sais même pas où je pourrais commencer, il y a plein de choses qui se sont passées en à peu après 2 heures et demie, comme Monsieur l'a dit, c'était court mais intense, et Il a raison... Je me sens un peu euphorique, je me repasse certains moments dans ma tête, j'en parle en même temps à Barbara ce qui me donne des grosses décharges de plaisir... C'était vraiment trop bien... Je m'étais totalement préparée pour ce soir, autant psychologiquement en appréhendant certaines choses, et physiquement en prenant un peu soin de moi, me rasant, mettant de la crème et le vernissage de mes ongles, même s'il restait des résidus des débordements qui étaient un peu visibles, je prendrais soin de mes ongles jusqu'à la semaine prochaine, qu'ils soient beau et luisants. J'étais vraiment stressée, j'espère avoir été a la hauteur pour cette soirée, Leur avoir donné autant de plaisir que ce que Monsieur et Madame ont pu me donner, c'était vraiment génial... La mise en place du collier était assez spéciale, je ne m'y attendais pas du tout a vrai dire, ni même tout ce qui s'est passé ensuite en fait... Je suis rentrée chez Eux, je m'installe, j'essaie de me mettre doucement en place, de me détendre, de me laisser aller. On discute de deux trois choses, de ce que l'on a fait pendant les mois où l'on ne s'est pas vus, l'on discute de différentes choses jusqu'à ce que Madame vienne a parler de la cagoule, me demandant si je souhaite l'essayer, je réponds en rigolant a moitié que je peux mettre l'équipement que j'ai apporté en plus si Ils le souhaientent, puis Elle me demande de lui montrer ce que j'ai ramené, ce que je fais. Mes deux colliers en acier ainsi que mes menottes poignets et chevilles sont face a Eux. Ils les regardent, les soupèsent  et discutent un peu autour du sujet, je Les regarde avec l'envie folle qu'Ils m'en posent un autour du cou, ce qui viens a se faire je ne sais plus suite à quoi, j'étais extrêmement concentrée sur la mise en place du collier tellement l'envie était grande... La mise en place était un moment où j'ai pu me détendre, ou j'ai pu commencer à me laisser aller et ou j'ai réalisé que les choses commençaient vraiment. Après que le collier ai été mis en place c'était le moment de la cagoule, j'ai pris Madame par la main et je L'ai suivie jusqu'à la salle de bain, Elle ramène une jolie cagoule en latex noire qu'Ils avaient acheté il y a peu spécialement pour moi, Madame me fais une queue de cheval haute afin de la faire passer dans le trou pour que cela sorte de la cagoule, puis je la met avec un peu de difficulté, ayant peur de la craquer mais j'y arrive finalement. Elle est douce, elle ne me serre pas énormément, elle me colle à la peau et j'oublie un peu qu'elle est la au fur et a mesure du temps. On la place comme il faut, Madame retire l'élastique pour que mes cheveux soient plus libres et que ce soit plus joli puis l'on sort de la salle de bain. Elle passe en avant et attrape une laisse qui était soigneusement préparée sur le meuble, des que je la vois je me dit "Oh oui !!!". Elle l'attache au collier et me voilà tenue en laisse, je La suis docilement, et même en prenant du plaisir puis nous allons rejoindre Monsieur.  je me positionne a genoux aux pieds de Madame et Ils viennent a me complimenter sur ma cagoule, puis Madame nous laisse quelques minutes avec Monsieur afin d'aller chercher un produit pour ma cagoule en latex, donnant la laisse a Monsieur avant d'y aller.  Me voilà seule face à Monsieur, il tire légèrement sur la laisse afin que je vienne me mettre à genoux a Ses pieds. Je m'avance a quatres pattes, Le regardant avec toute la dévotion que j'ai pour Lui. Je me positionne a ses pieds puis il m'ordonne de baisser les yeux, ce que je fais directement. Il commence à doucement caresser ma tête, ma queue de cheval et là je me détends de plus en plus, doucement le plaisir viens envahir ma tête, Monsieur me dit que si je me sent mal a l'aise, qu'il faut que je le dise, mais au contraire, je suis a ma place, je me sent bien, j'arrive à me laisser aller totalement, j'ai du mal a réfléchir, a penser et je suis juste sur l'instant présent. Madame redescend avec le produit Vivishine, Elle m'en parle un peu avant de venir également caresser mon corps. Leurs mains sur mon corps, sur Leur propriété, s'amusant a le parcourir, mon dos, le dessus de ma poitrine, mon visage latexé, Madame s'amusant a me tirer légèrement ma queue de cheval, je me sent bien... Je n'arrive à me concentrer que sur leurs caresses, sur leurs douces mains maltraitant affectueusement Leur propriété... Ils viennent a me parler mais je n'entends pas grand chose, je reprends doucement mes esprits, je me reconcentre et je Les écoutes, discuter de la semaine prochaine. Une soirée avec le groupe de Madame et des amis de Monsieur et Madame a l'appartement, cela me fait un peu stresser, me poser des questions. Est-ce que je serais à la hauteur ? Est-ce que je serais capable de représenter Monsieur et Madame ? Serais-je capable de répondre aux besoins de chacuns en servant Leurs amis ? Cela me fait stresser, ça seras ma première fois mais ce n'est pas pour cela que je reculerais, au contraire, si je peux faire en sorte que Monsieur et Madame puissent eux même profiter de la soirée, ainsi qu'etre a Leur disposition, a Leurs pieds, alors je le ferais. Monsieur et Madame disent que de toute manière sinon je serais attachée et mise dans un coin, et moi je réponds "Ho oui !!" Toute enthousiaste à l'idée de me faire attacher, et Madame saute sur l'occasion, se lève puis m'ordonne de fermer les yeux, ce que je fais. J'entends Madame préparer des choses derrière moi, je frissonne, j'ai hâte, je me détends, puis la, je sent une corde commencer à doucement s'enrouler autour de mon buste, venant capturer mes bras au passage, puis Elle fait doucement passer une deuxième fois la corde, un peu plus bas afin de bien me restreindre puis Elle viens doucement lier mes poignets grace a sa corde. Je garde les yeux fermés tout au long et même après que Madame a fini, profitant simplement du moment sous le regard de Monsieur. A nouveau, leurs mains viennent caresser mon corps, a nouveau ma tête est plongée dans le plaisir grâce aux gestes de Monsieur et Madame... Les caresses continuent jusqu'à ce que Madame m'ordonne de me cambrer, fesses en l'air et visage contre le tapis. Je La regarde, Elle prends un martinet, un martinet en latex, Elle me dit, ça risque de piquer mais je reste en place, j'attends docilement, les fesses prêtes a subir ce que Madame a prévu pour celles ci.  Les premiers coups sont plutôt doux, pour me chauffer j'imagine. La force mise dans les coups augmente au fur et a mesure, puis viens s'y ajouter la main de Monsieur entre les coups de martinets, venant caresser et fesser mes fesses toutes sensibles. Je sent ma peau devenir de plus en plus sensible, et en plus je me contracte ce qui rends les coups plus dur à encaisser... Je me met a gémir de plaisir entremêlé de douleur. Ma peau brûle, je gémis plus fort, j'ai une respiration saccadée puis Monsieur et Madame s'arrêtent. La douleur dans mes fesses s'estompe assez rapidement. Madame vas reposer le martinet puis je me redresse, toujours attachée. Madame me détache doucement puis Monsieur regarde les traces de cordes sur mes poignets avant de venir reprendre la laisse et tirer dessus afin que j'installe ma tête sur Ses cuisses. Il se remet à me caresser la tête, passant doucement Sa main sur mon oreille gauche et caressant ma queue de cheval qui sort de la cagoule. Madame dit quelque chose a voix basse que je n'arrive pas a entendre comme Monsieur en plus avait Sa main sur mon oreille. D'après Monsieur elle en aurais mouillé sa culotte hihihi.  La fin de soirée arrive, il est presque 23h. Toujours ma cagoule sur la tête, le collier autour du cou et la laisse dans les mains de mes Propriétaires. Je profite de Leurs dernières caresse car il vas falloir que je rentre. Toute bonne chose a une fin, mais celle ci n'est que temporaire. Je reprends doucement tout mes esprits, essayant de remettre tout ce qui viens de passer en ordre dans ma tête. Madame m'aide à retirer ma cagoule, Monsieur retire la laisse et je les regarde, restant docilement au sol. Nous discutons un peu, comme dit Monsieur, notre relation avance vite, tout se fait au feeling et a l'envie de chacuns et chacunes, l'on ne s'oblige a rien et c'est une très bonne chose. C'est sur que c'est allé assez loin mais j'ai l'impression que tout le monde y a pris du plaisir donc c'est super hihihi. Grâce à Monsieur et a Madame, j'ai pu passer une superbe soirée, j'ai pu me sentir bien, j'ai pu me détendre, me laisser aller et être a ma place. Je Les remercie énormément pour ce qu'Ils m'ont fait subir, pour la cagoule qu'Ils m'ont offert, pour le temps qu'Ils m'ont donné et la douceur dont Ils ont fait preuve. Je n'ai jamais été traitée ainsi, il n'y avais jamais eu un tel mélange entre restrictions physiques et mentales accompagnée de douceurs et de douleurs. Ils m'ont fait découvrir des choses ce soir. Ils m'ont fait découvrir ce que cela fait d'être une poupée, Leur poupée et rien que pour cela, je Les remercie énormément. J'espère que j'ai pu Leur offrir autant voir même plus de plaisir que ce qu'Ils ont pu m'offrir, j'espère qu'Ils ont passé une belle soirée après ces mois de travail. J'espère avoir été a la hauteur de Leurs attentes, avoir satisfait Leurs envies. Encore merci pour tout. Avec toute sa dévotion. prixie.  
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Par : le 30/07/23
Il y avait un sujet d'étonnement plus réel dans la personne de la jeune fille. Il fallut très tôt cacher ses succès. Au début, on pouvait parler en riant des premiers prix de grec, des parties de tennis enlevées en quelques jeux, du piano dont elle jouait mieux que Saint-Saëns. Puis on dut modérer ces transports et même s'inquiéter, tant il devint évident qu'il ne s'agissait pas seulement d'une adolescente bien douée. À vingt ans, Charlotte était une jeune fille frêle, d'une vitalité extrême, avec un regard pétillant et une bouche remuante sous des cheveux bruns coiffés à la garçonne. Les femmes disaient qu'elle n'était pas jolie, parce qu'elle ne sourait jamais. Mais sa froideur attirait. Elle ouvrait la bouche et le silence régnait. Des yeux noirs brillants comme des cassis mouillés, un air de malice en accord avec son comportement fantasque, on sentait sous la désinvolture de sa jeunesse le nerf tenace des résolutions. En révolte contre les siens, mais sans aller jusqu'à casser de la vaisselle, elle transgressait les tabous de son milieu autant qu'il était convenable de le faire et même souhaitable pour prouver un fier tempérament. Elle s'amusait avec pas mal d'espièglerie d'un statut qui ne lui valait rien, sauf des égards et la faveur des snobs dont elle se fichait également. C'était romanesque d'être son chevalier servant. La domination mêlée à l'amour créait une atmosphère stendhalienne qui me plaisait. Nous nous étions connus en khâgne au lycée Louis-le-Grand, me dit-elle. Je la regarde. Elle n'a pas dû beaucoup changer: elle a à présent vingt-trois ans, elle vient de réussir l'agrégation, sans doute enseignera-t-elle l'année prochaine. Mais elle a gardé un air très juvénile, ce n'est sans doute pas un hasard, elle perpétue son adolescence, les visages en disent autant que les masques. Les yeux noisette, des cheveux noirs, coupés très courts, presque à ras, et une peau mate: Juliette a beaucoup de charme. Elle parait épanouie, à moins de détecter quelques signes d'angoisse dans ce léger gonflement des veines sur les tempes, mais ce pourrait être aussi bien un signe de fatigue. Nous habitions Rouen, à l'époque. Sa cathédrale, ses cent clochers, Flaubert, et le ciel de Normandie. Même quand il fait beau, sauf pour Monet, quelque chose de gris traîne toujours dans l'air, tel des draps humides et froissés, au matin. Un charme bourgeois. Je l'ai appelé, le soir. Nous avions convenu d'un rendez-vous chez lui. Il m'a ouvert. "Tu es en retard" a-t-il dit. J'ai rougi comme la veille, je m'en rappelle d'autant mieux que je n'en fais pas une habitude, et que je ne comprenais pas pourquoi ses moindres propos me gênaient ainsi. Il m'a aidée à ôter mon imperméable; il pleuvait pour changer, mes cheveux étaient mouillés; il les a ébouriffés comme pour les sécher, et il les a pris à pleine main, il m'a attirée à lui, et je me suis sentie soumise, sans volonté. Il ne m'a pas embrassée, d'ailleurs, il ne m'a jamais embrassée, depuis quatre ans. Ce serait hors propos. Il me tenait par les cheveux, j'avais les jambes qui flageolaient, il m'a fait agenouiller. Puis, il a retiré mon pull, mon chemisier et mon soutien gorge. J'étais à genoux, en jean, torse nu, j'avais un peu froid; quand je pense à nos rapports, depuis, il y a toujours cette sensation de froid, il a le chic pour m'amener dans des endroits humides, peu chauffés. Il m'a ordonné de ne pas le regarder, de garder le visage baissé. D'ouvrir mon jean, de ne pas le descendre. Il est revenu vers moi. Il a défait sa ceinture, il m'a caressé la joue avec le cuir. Ce n'est qu'à ce moment-là que j'ai réalisé que j'étais littéralement trempée. Je dégoulinais, j'avais le ventre en fusion et j'étais terrorisée. Il a fini de défaire son pantalon, et il m'a giflé, plusieurs fois, avec sa queue, avant de me l'enfoncer dans sa bouche. Il était si loin, du premier coup, que j'en ai eu une nausée. Il avait un sexe robuste, rectiligne, large à la base, plus grosse que mon poignet. J'ai commencé à aller et venir de mon mieux. Je me suis dit que j'avais bien mérité de sucer ce membre épais. C'était comme un viol désiré. J'étouffais un peu. C'était la première fois. Charlotte avait trop souffert en secret pour ne pas accepter cet outrage en respirant très fort.     Elle avait découvert tristement qu'un homme peut remplacer un idéal. Il remplace tout. Les autres femmes ne mettent pas tant de religion dans leur amour. Mais, à défaut d'une union spirituelle, un breuvage physique les retient. Un corps les nourrit de sa substance blanche. Pour Charlotte, le corps de l'homme avait un rôle différent. Dans ses bras, elle pensait d'abord qu'il était là, certainement là, et que pour une heure ou deux il n'allait pas disparaître, tomber dans le désespoir. Enfin, il était solide, comme la vérité, les tables, les chaises et non cet être mobile, douloureux qu'elle connaissait. Elle voulait bien que son amant fût une idée ou un objet, pas un vivant, elle savait qu'on doit atttendre le pire, surtout au début. Pour tout d'ailleurs, c'était la première fois. Quand il est passé derrière moi et qu'il m'a descendu le jean à mi-cuisse. Qu'il m'a ordonné de me pencher, la tête dans les mains, les fesses offertes. Quand il m'a pénétrée du bout des doigts, essayant la solidité de mon hymen, avant d'enfoncer ses doigts dans mon anus, trois doigts, d'un coup, c'était juste avant qu'il me sodomise; pas un instant, à ce moment-là, je n'ai pensé qu'il pourrait me prendre autrement. Il est revenu dans ma bouche, sa verge avait un goût acre que j'ai appris à connaître et à aimer, mais là encore, il n'a pas joui. Il le faisait exprès, bien sûr. Il a achevé de me déshabiller, il m'a fait marcher à quatre pattes, de long en large. Nous sommes allés dans la cave, où il m'a fait allonger sur une table en bois, très froide. Il y avait une seule lampe au plafond et il m'a ordonné de me caresser, devant lui, en écartant bien les cuisses. La seule idée qu'il regardait mes doigts m'a fait jouir presque tout de suite. Il me l'a reproché bien sur, c'était le but du jeu. J'étais pantelante, j'avais joui si fort que j'en avais les cuisses inondées, bientôt, il s'est inséré entre mes jambes, les a soulevées pour poser mes talons sur ses épaules, j'ai voulu le regarder mais j'ai refermé les yeux, à cause de la lumière qui m'aveuglait, et il m'a dépucelée. J'ai eu très mal, très brièvement, j'ai senti le sang couler, du moins j'ai cru que c'était du sang, il a pincé la pointe de mes seins, durement, et j'ai rejoui aussitôt. Quand il est ressorti de moi, il n'avait toujours pas éjaculé, il m'a dit que j'étais une incapable, une bonne à rien. Il a dégagé sa ceinture de son pantalon, et il m'a frappée, plusieurs fois, sur le ventre et sur les seins. J'ai glissé à genoux, et je l'ai repris dans ma bouche, il n'a pas arrêté de me frapper, le dos, les fesses, de plus en plus fort, et j'ai arrêté de le sucer parce que j'ai joui à nouveau. C'était inacceptable pour lui. Il a saisi une tondeuse à cheveux et il m'a rasé la tête. Sanglotante, il m'a dit de me rhabiller, tout de suite, sans me laver, le jean taché du sang qui coulait encore, le slip poisseux, souillé par son sperme. Je m'abandonnais à cette suave torture. Je lui ai demandé où étaient les toilettes. Il m'y a amenée, il a laissé la porte ouverte, me regardant avec intérêt, sans trop le monter, ravi de ma confusion quand le jet de pisse frappa l'eau de la cuvette comme une fontaine drue. Il m'a donné en détail, le protocole de nos rencontres. Les heures exactes, mes positions de soumission, le collier et la lingerie que je devrais porter et ne pas porter surtout. Il m'a ordonné d'aller tout de suite chez un sellier acheter une cravache de dressage en précisant que le manche devait être métallique. J'allais franchir un nouvel échelon. "- Qu'est-ce que tu es ?", m'a-t-il demandé . "- Je ne suis rien. - Non, a-t-il précisé, tu es moins que rien, tu es mon esclave. - Je suis ton esclave, oui". Cinq jours plus tard, nouveau rendez-vous, juste après les cours. J'ai apporté la cravache. La porte était entrouverte, je suis entrée et je l'ai cherchée des yeux. Il ne paraissait pas être là. Je me suis déshabillée, et je me suis agenouillée, au milieu du salon, les mains à plat sur les genoux en cambrant les reins, devant un lourd guéridon bas où j'avais posé la cravache. Il m'a fait attendre un temps infini. Il était là, bien sûr, à scruter mon obéissance. Je consommais trop d'enthousiasme dans le désir.   Je l'avais longtemps supplié de m'aimer. Je l'avais laissé faire: ces mots abominables justifiaient ma punition. À présent, je tenais à lui, solidement, par tous les liens de l'habitude, de l'instinct et du dégoût de moi-même. Ce jour-là, il s'est contenté de me frapper sur les reins, les fesses et les cuisses, en stries parallèles bien nettes en m'ordonnant de compter un à un les coups. Ce fut tout ce qu'il dit. J'étais devenue ce que je voulais être, un simple objet au bon plaisir de son Maître. À dix, j'ai pensé que ça devait s'arrêter, qu'il faisait cela juste pour dessiner des lignes, et que je n'allais plus pouvoir me retenir longtemps de hurler. À trente, je me suis dit qu'il allait se lasser, que les lignes devaient se chevaucher, constituer un maillage, et que ça ne présentait plus d'intérêt, sur le plan esthétique. J'ai failli essayer de me relever mais il m'avait couchée sur le bois, et m'avait ligoté les poignets et les chevilles aux pieds de la table. Il s'est arrêté à soixante, et je n'étais plus que douleur, j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. Ainsi, je ne m'appartenais déjà plus. Il s'est arrêté, il m'a caressée avec le pommeau métallique de la cravache, qu'il a insinué en moi, par une voie puis l'autre. J'ai compris qu'il voulait entendre les mots, et je l'ai supplié de me sodomiser au plus profond, de me déchirer. Mais il est d'abord venu dans ma bouche. J'avais les yeux brouillés de larmes, et je m'étouffais à moitié en le suçant. Me libérant la bouche, il s'est décidé à m'enculer, sans préparation, pour me faire mal. Il se retira pour me frapper encore cinq ou six fois sur les seins en me meurtrissant les pointes. Je me mordais les lèvres au sang pour ne pas hurler. Il m'a donné un coup juste à la pliure des genoux, et je me suis affalée sur le sol glacé. Il m'a traînée dans un coin, et il m'a attachée avec des menottes à une conduite d'eau qui suintait. En urinant sur ma tête rasé, il me promit de me marquer au fer lors de la prochaine séance. J'avais de longues traînées d'urines sur le visage et sur les seins. Au fond, c'était un pâle voyou qui avait fait des études supérieures. Et qui m'avait devinée dès le début. Il avait su lire en moi ce qu'aucun autre n'avait lu. J'ai fréquenté, un temps, certains cercles spécialisés, ou qui se prétendent tels. Des Maîtres, jouisseurs, toujours si affolés à l'idée que l'on puisse aimer la souffrance et les humiliations, capables d'élaborer un scénario d'obéissance, où toutes les infractions sont codifiées et punies mais sans s'interroger jamais sur la raison ou la déraison qui me pousse à accepter ces jeux. Car c'est alors que mon corps peut s'épanouir, en se donnant à part entière. C'est l'extase, la jouissance exacerbée par des rites inattendus, l'abnégation de soi.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 17/07/23
Je suis donc l'instructeur qui interroge Catherine avec le jeune milicien comme assistant. Je suis assis à mon bureau, plongé dans l'examen du dossier et écoutant les réponses de la femme. Le jeune milicien intervient : « Madame je vois que vous ne jouez pas le jeu ! Vous ne gardez pas la poitrine gonflée ! - mais si, je, je...enfin si ! - Non Madame, vous vous ne gardez pas la poitrine tendue, tant pis pour vous. Retirez votre chemisier. Allons, vite ! » Catherine se tourne vers moi implorante : « Oh, s’il vous plaît Monsieur, pas cela ! Je, je… - Obéissez si vous ne voulez pas goûter encore à la canne de bambou. » Rouge de honte, Catherine sort les pans de son chemisier de son pantalon et commence à le dégrafer puis retire le vêtement et le pose sur une chaise à côté d'elle ; elle croise pudiquement les bras. « Madame, placez les mains sur la tête et ne cachez pas votre soutien-gorge. Respirez, tendez votre poitrine... ! » Depuis mon bureau, je me régale du spectacle des seins lourds dans le soutien-gorge tendu. Le milicien place carrément sa badine sous les seins de Catherine et les soulève : « Bien, parfait ; gardez la position. » Je reprends le dossier sachant que les questions qui arrivent vont la déstabiliser : « Madame, de quand date votre dernier rapport sexuel ? » Catherine suffoque : « Oh mais Monsieur, je… je… C'est très intime, je ne peux pas... » Elle n'a pas le temps de finir sa phrase : la badine du milicien frappe ses seins sur le soutien-gorge de haut en bas, visant les tétons. « Aïeee, noooonn, aïïe ! » Catherine se tortille mais garde les mains sur la tête, le milicien lui impose de se redresser. « Je vous écoute, Madame… - Euh, il… Il y a quatre jours, sanglote-t-elle, vendredi soir, Monsieur... - Avec votre mari ? - Oh oui, bien sûr : je suis une épouse fidèle, je... Je n'ai pas d'aventure... - Jamais ? - Oh non Monsieur... » Je prends mon temps et relis un peu le dossier. « Vous avez joui ? » Catherine se liquéfie, les questions devient très intimes. Elle bafouille : « Euh oui… Oui Monsieur. - Vous aimez jouir ? - Euh… Bien, oui…Oui Monsieur. - Vous pratiquez la fellation, Madame ? » Catherine est très choquée mais elle sait qu'elle doit répondre, le milicien promène sa badine sur son soutien-gorge, prêt à frapper, cela fait un moment qu'il lui agace et caresse les tétons qui pointent sous le soutien-gorge. « Je… Oh mon Dieu, je… Noon, noon, jamais Monsieur, c'est pas bien, c'est... » Je me lève en souriant et viens vers Catherine avec le dossier ; arrivé à son niveau, sans un mot, je la gifle d’un aller-retour avec le dos de la main. « Aïïeii ! Ooooh mais je… je… Pourquoi ? Sanglote-t-elle. - Madame, cela fait un moment que vous vous moquez de nous ! J'ai reçu votre mari il y a une semaine pour remplir avec lui votre dossier, écoutez sa réponse à cette question : "Oui, ma femme pratique la fellation. Elle aime d'ailleurs beaucoup cela ; pendant les préliminaires elle le fait systématiquement, cela l'excite beaucoup, je peux même dire que c'est une très bonne suceuse, experte. Par contre, elle a beaucoup de réticence à avaler le sperme, il m'arrive parfois de le lui imposer, cela lui donne envie de vomir… Mais sucer, oui : elle adore !" Alors, qu'avez-vous à dire, Madame ? Votre mari est un menteur ? » Catherine est blême, elle commence à transpirer beaucoup. « Non monsieur, il a raison : je… je… Oui, je pratique la fellation... - Vous êtes donc une menteuse ? - Oui Monsieur, désolé. - Vous allez être punie, Madame... Retirez votre soutien-gorge. Allons, vite ! » Malgré sa honte, Catherine sait que rien ne sert de résister. Elle dégrafe le sous-vêtement, fait glisser les bretelles et le maintient devant sa poitrine. « Allons Madame : retirez-le ! Et montrez-nous vos seins ! » Catherine est morte de honte ; elle obéit et se présente seins nus. Je suis ravi de pouvoir humilier cette femme, ronde, sensuelle ; je me place derrière elle, lui bloque les mains dans le dos et ordonne : - Cinq coups... sur les seins... Cela lui apprendra à mentir... - NOOOOOON, aïe, pas sur les seins, aïïïïe, nonn, c'est trop douloureux ! Snifff… Aïïe, pas les tétons, pas les tétons !... Aïïïïe ! » Je lâche Catherine, le milicien lui impose de se tenir droite, seins tendue mains sur la tête. Ces gros seins sont zébrés de 5 stries rouges, " passent à travers les tétons. « Bien, que cela vous serve de leçon. Vous allez obéir ? - Oh oui Monsieur ! - Vous ne mentirez plus ? - Non Monsieur. » Je fais un signe au milicien qui commence à ouvrir le bouton du pantalon de Catherine puis descend la fermeture éclair... et attend. Je lui fais signe de continuer et il commence à descendre le pantalon, la femme apparaît en culotte, le jean baissé aux genoux, nous pouvons l'admirer. « Faites ballotter vos seins de droite à gauche Madame ! » Catherine, qui ne veut pas recevoir une seconde punition, obéit malgré sa honte, elle balance ses seins doucement. « Plus vite et plus fort, Madame ! » Elle obéit ; ses seins claquent une fois à droite, une fois à gauche et deviennent douloureux. Catherine transpire beaucoup ; malgré tout, ses tétons sont érigés, gorgés de sang. « Stop ! » Elle éclate en sanglots. « Retirez votre pantalon, complètement... Vite ! » Elle obéit, il ne lui reste que sa culotte. Elle est déjà pieds nus depuis la salle d'attente, c'est le premier principe d'humiliation : quand une femme arrive au centre, elle retire ses chaussures, ses chaussettes ou ses collants, elle se présente pieds nus devant l'instructeur. Je reprends le dossier. « Bien. Madame, depuis ce rapport sexuel, il y a euh, quatre jours, vous vous êtes masturbée ? » Catherine sombre un peu plus, hésite et du coup, reçoit un coup de canne sur les fesses. « Aïïïïee ! - Alors ? - Non Monsieur, non ! - Vous vous masturbez régulièrement ? » Catherine sait que son mari a dû parler de ses pratiques, elle doit être franche. « Euh, non Monsieur, pas très souvent mais parfois cela m'arrive. Je euh, oui, pas très souvent mais régulièrement, mon mari me demande de le faire devant lui. Au début, je n’aime pas mais après, cela euhh, cela m'excite, Monsieur. - Et vous jouissez ? » Catherine baisse les yeux. « Oui Monsieur. - Répondez par une phrase, je vous prie : "oui Monsieur, je jouis". - Oh pardon. Je, je… Oui Monsieur, je jouis. - Bien. Vous utiliser des accessoires pour vous masturber, ou uniquement vos doigts ? - J'utilise uniquement mes doigts, Monsieur. - Bien. Je vois que vous êtes devenue plus docile, c'est parfait. » Je pose le dossier et m'approche d'elle, je la regarde dans les yeux et lui empaume les seins. Je lui soupèse, je les palpe... Elle a toujours les mains sur la tête, les seins offerts c'est un vrai régal. Au bout d'un moment, ce que j'attendais arrive : elle craque, elle se secoue et libère ses seins. « Arrêtez, laissez-moi ! Je, je… » Le milicien s'apprête à frapper je lui fais signe d'arrêter : « Non, attends ! Apporte le tabouret... » Il place au centre de la pièce une espèce de caisse d'environ soixante centimètres de haut et, saisissant Catherine, lui menotte les mains dans le dos. Je m'approche d'elle ; je vois à son regard qu'elle est terrorisée. Je lui caresse doucement le ventre puis, pour marquer ma domination, j'écarte l'élastique de sa culotte et regarde son sexe poilu et brun... « Tu as déjà été épilée ? Complètement ? - Oh non Monsieur, jamais ! » Je fais claquer l'élastique sur son ventre : « Monte sur la caisse. Comme tu manques encore d'obéissance, tu vas être punie... Saute ! » Catherine saute. Ses seins claquent douloureusement contre son ventre. « Remonte ! Saute ! Remonte, saute ! » Les nichons claquent, ballottent dans tous les sens, rougissent, deviennent douloureux et extrêmement sensibles, les tétons sont gonflés. « Remonte ! Saute ! Remonte ! Saute… » Au dernier saut, Catherine chute au sol et se met à sangloter. « Allons, Madame Aldo, relevez-vous et arrêtez de pleurnicher comme une gamine. » Elle se relève péniblement, ses mains étant toujours menottées derrière son dos, et, ne voulant pas être à nouveau punie, se tient droite et gonfle la poitrine. « Je pense que cette fois vous avez compris la leçon ? Durant votre séjour ici, vous devez être dans l'obéissance TOTALE ! - Oui, oui Monsieur, je serai obéissante, promis ! - Durant votre séjour ici, vous serez considérée comme un objet sexuel, les maris de femmes présentent au Centre auront accès à votre cellule de jour comme de nuit grâce à leur carte magnétique ; seul votre mari ne pourra pas accéder à votre cellule. Mais bien sûr, à celles de toutes les autres pensionnaires. Quoi qu'ils vous demandent vous devrez obéir c'est compris ? - Oui Monsieur. - Vous pourrez également être louée à de riches personnalités qui souhaitent réaliser leurs fantasmes, seuls ou avec leurs épouses ou des amis... Ce qui plaît beaucoup en ce moment, est le scénario de la visite médicale en tenue de collégienne... » L'homme sourit. « … Mais l'arrestation par la Gestapo et l'interrogatoire plaisent également beaucoup. Dès demain votre dossier, avec photos nue, sera diffusée à notre clientèle privée. - Oh mon Dieu... - En tout cas, vous avez intérêt à être obéissante sinon, la prochaine fois, vous allez goûter aux plaisirs de la suspension mammaire... » Catherine n'ose pas parler, terrorisée. Je m'approche et commence à lui palper les seins, qui sont douloureux et bleus après le dernier exercice. Cette fois Catherine ne dis rien malgré sa honte elle se laisse palper. « Vous avez les seins douloureux ? - Oh oui Monsieur. - Retire lui les menottes. » Le jeune milicien les lui retire. « Vous allez masser vos nichons, Madame. - Euh mais je, je... - Allons, ne discutez pas. » Catherine passe ses mains sous ses seins et commence à les masser, les soupesant, cela calme un peu la douleur. Pendant qu'elle se masse, je l'observe, tourne autour d'elle. - Vous portez toujours des culottes aussi... enveloppantes... Taille haute... ? - Oh euh, oui, oui Monsieur. » Pendant qu'elle continue à se masser, je saisis l'élastique de sa culotte et remonte le sous-vêtement fermement vers le haut... « Aiiiie ! Ohhh, sniff… » Cela a pour effet de faire pénétrer le tissu dans sa raie culière et dans sa fente, puis je roule l'élastique sur ses hanches jusqu'à dévoiler environ quatre centimètres de son pubis et le haut de son sillon fessier ; aussitôt, je la sens tendue, humiliée à l'extrême. Je ricane : « Voici une culotte plus conforme à ce que nous exigeons ici... Massez également vos bouts, Madame. Allons, obéissez. » Catherine pose ses paumes sur ses bouts et les frotte, je vois bien que cela les fait gonfler... « Vous êtes excitée Madame ? » Elle rougit de plus belle. « Euh, je, non, je ne sais pas pourquoi… - Votre dossier mentionne que lorsque votre mari vous impose de vous masturber devant lui, vous commencez toujours par vous caresser les seins, donc je me pose la question. - Oh mais... Je… » Bien sûr, j'ai remarqué qu'elle commençait à respirer plus fort en se caressant les seins et qu'elle commençait malgré elle à être un peu excitée. « Tirez sur vos pointes de seins, Madame. - Oui monsieur. Aïeee, aïïee, hummmm ! - Plus fort Madame : pincez bien vos tétons... - Aïeee ! - Bien. Stop, mains sur la tête… Parfait ! Nous allons vérifier un point du dossier. » Je fais signe au jeune milicien d'approcher. « Baisse ton pantalon. » Il s'exécute. « Baisse ton caleçon. » Catherine voit apparaître le sexe en demi-érection du jeune homme, elle est stupéfaite quand d'une main, je saisis les testicules du jeune homme et de l'autre, je commence à le masturber... « - D'après votre dossier, vous êtes une très bonne... "suceuse". Vous allez nous montrer cela ! À genoux ! Gardez les mains sur la tête ! Avancez sur les genoux... » Stupéfaite, Catherine regarde le sexe du jeune milicien que je suis en train de masturber sans pudeur. Ayant encore les seins bleuis et douloureux suite à la première punition, elle a peur d’être encore corrigée et s’empresse d’obéir. Elle avance sur les genoux avec les mains sur la tête, en se tortillant de façon ridicule. Elle sait qu’elle va devoir sucer le milicien, puisque son mari a affirmé qu’elle était une bonne suceuse. C’est vrai qu’elle aime faire les fellations mais à son mari, pas à des inconnus, ni sous la contrainte... « Approchez-vous plus près, Madame. » Son visage couvert de larmes est à cinq centimètres du sexe du garçon que je masturbe encore et qui est devenu très dur. « Vous allez commencer par lécher ce sexe de la base au gland, en sortant bien la langue et en salivant fortement. » Terrorisée, Catherine s’exécute et même s’applique, malgré sa honte et son dégoût, elle lèche, sort la langue en grand… « Les testicules maintenant. Allez, léchez ! » Elle a horreur de cela : le jeune homme à les testicules poilues et cela lui donne des haut-le-cœur mais je la stimule avec ma baguette en tapotant ses fesses. « Bien. Maintenant, prenez le sexe en bouche et sucez. » Le jeune homme respire fort et gémit, Catherine s’applique redoutant une nouvelle correction. Elle pense : "Pourvu qu’il ne me mette pas tout dans la bouche". Mais elle suce avec ardeur, aspirant bien la verge, serrant bien ses lèvres autour, et passant souvent sa langue sur le gland du garçon qui gémit de plus en plus... Quand elle sent que la verge gonfle et devient de plus en plus dure, elle essaye de retirer le sexe de sa bouche pour éviter la décharge... Mais le garçon plaque ses mains sur sa nuque, enfile sa verge au fond de sa gorge et immédiatement, éjacule un sperme gras et abondant au fond de sa gorge. Catherine éructe, tousse, est prise de vomissements, mais le jeune homme la maintient fermement, ce qui l’oblige à avaler l’intégralité de sa liqueur. Le milicien prend son temps ; Catherine étouffe, manque d’air... Puis il relâche sa pression et retire son sexe repu. Catherine s’affale au sol et sanglote. « Allons, cessez vos jérémiades et vos pleurnicheries. Debout, vite ! » Catherine se relève et se place mains sur la tête, bien droite, poitrine tendue mais encore secoué de sanglots. Du regard j’interroge le milicien : « Oui, son mari a raison : elle suce parfaitement, sa langue est douce sur le gland. - Bien, c’est parfait. » Je remplis son dossier en même temps. « Madame, nous allons maintenant procéder à l’examen de vos orifices, puis au marquage. » Catherine, entre deux sanglots, me regarde avec un regard affolé mais ne semble pas tout comprendre. « Retirez votre slip madame et tendez-le-moi. » Catherine est effondrée : cette fois, elle va être toute nue devant les deux hommes sans aucun rempart pour sa pudeur. Néanmoins, elle obéit, descend son slip en se baissant, puis l’enjambe et, honteuse, me le tend avant de reprendre sa pose. Nous pouvons enfin apprécier sa touffe fournie de poils bruns. J’examine le fond de sa culotte et je lui fais remarquer qu’il est humide, Catherine rougit et baisse le regard. « Il me semble que le fait de sucer provoque un grand émoi chez vous, Madame. - Je euh, noon, je, je ne sais pas… Sniff ! » Cette femme ronde et pudique, nue, presque indécente, me donne très envie de l’humilier et me provoque une forte érection. J’enfile des gants d’examen et m’approche de Catherine qui, par réflexe d’obéissance, rectifie sa position et tend la poitrine dont les tétons semblent durcis. Je commence à examiner ses cheveux en disant que cela sera agréable de la voir être tondue par le coiffeur du centre. Puis saisissant sur la table un spéculum auriculaire, j’inspecte ses oreilles en veillant à n’être pas trop doux afin que l’examen soit douloureux. « Penchez la tête en arrière, Madame, je vais inspecter vos narines, penchez plus ! Allons… - Oui, aïeeee, oooh c’est désagréable ! - Bien. Redressez-vous ! Ouvrez grand la bouche ! Tirez la langue ! » J’enfile deux doigts au fond de sa gorge et lui maintiens la nuque... « Allons, résistez : ne vomissez pas ! » Catherine bave beaucoup tousse, manque de s’étouffer… « Allons, reprenez votre calme ! » Je la gifle, elle se redresse automatiquement. « Oh pardon, excusez-moi Monsieur. » Je continue mon examen un peu approfondi : mes mains descendent sur ses seins. Pour la première fois, je les palpe avec plaisir puis je saisis les tétons et les tords en les tirant vers le haut. Catherine se retrouve sur la pointe des pieds, le visage grimaçant, elle essaye de résister à la douleur puis craque : « Aïïïe ! Arrêtez, arrêtez, je vous en supplie : c’est trop douloureux ! Aïïïïeeeee ! » Je la laisse reprendre la pose mais pas de répit : je descends ma main sur ses fesses et les caresse longuement, juste pour qu’elle sente que j’ai tous les droits sur son corps... Je joue un peu avec sa raie, mais ne touche pas encore son sexe... J’effleure à peine son anus. Puis je lui indique la table gynécologique : « Installez-vous, Madame... Les pieds dans les étriers... » Catherine hésite, tremblante ; le jeune milicien la saisit par un bras et la dirige de force vers la veille table gynécologique entièrement en métal, un peu rouillée... « Allongez-vous Madame... » Catherine obéit, le métal froid lui donne la chair de poule. Le jeune milicien commence à l’immobiliser sur la table : il passe une sangle de cuir autour de son cou, une au niveau des hanches, bien serrée ; il positionne ses pieds correctement dans les étriers et passe une sangle au niveau des chevilles et une au niveau des genoux. Catherine se sent complètement impuissante. Pour le moment, seuls ses bras ne sont pas attachés. Le jeune garçon écarte les étriers au maximum. Catherine sent son sexe s’ouvrir, son intimité se dévoile, impudique ; elle sanglote de honte. Je passe des gants d’examen propres... « Bien. Madame, nous allons continuer l’examen de vos orifices. - Oh noon… S’il vous plaît… C’est terriblement humiliant ! Je… oh mon Dieu ! » Je commence à palper longuement son ventre et son pubis, fouillant son nombril. Cela est douloureux, elle gémit. « Humm, c’est bien ce qu’il me semblait : votre vessie est pleine... Passez-moi une sonde, je vous prie.... - Mais enfin nonn… Pourquoi, je… » Le jeune homme me passe un sachet chirurgical d’où j’extrait un cathéter. Catherine essaye de se débattre ; le milicien saisit ses mains et les maintient au niveau de sa tête... J’ouvre son sexe d’une main et découvre sans ménagement le méat urinaire ; j’enfile le tube de plastique. Catherine gémit... Rapidement, le tube se remplit d’urine. « Bien. Nous sommes dans la vessie. » Je plonge l'extrémité du tube dans un bocal et ouvre le robinet... L’urine s’écoule rapidement et emplit le bocal bruyamment, pour la plus grande honte de Catherine qui se sent se vider sans pouvoir se contrôler. Dès la dernière goutte dans le bocal j’arrache la sonde sans ménagement. Catherine hurle de douleur... « Allons Madame, modérez-vous, je vous prie. Bon. Vous êtes droitière ? - Euh oui, oui, pourquoi ? Je, je... » Le jeune milicien lui attache le bras gauche le long du pied de la table. « Bien. Madame, je vais devoir procéder à un examen en profondeur de votre vagin ainsi que de votre utérus. Pour cela, vous devez être bien lubrifiée, et rien ne vaut la lubrification naturelle... » Catherine ne comprend pas mes propos jusqu’à ce que l’ordre tombe : « Masturbez-vous, Madame. » Catherine est estomaquée, abasourdie. - Me...Oh non, jamais… Je ne peux pas faire ça devant vous, jamais ! » Je fais un signe au milicien qui approche une table à roulette avec dessus des câbles et un générateur. Le jeune homme m’interroge du regard : « Sur les bouts de seins. - Bien Monsieur. » Le jeune homme pose des pinces sur les tétons de Catherine et les relie à la machine. « Mais arrêtez ! Mais que faites-vous... Je, je.... » Sur un signe de tête, le milicien déclenche une décharge. Catherine hurle, son corps s’arc-boute... La douleur est terrible. Après la coupure, elle tremble. « Ah, ah ! Pas cela, arrêtez... Je vous en prie… Ahh ! - Bien, alors soyez obéissante, sinon la prochaine fois, ce sera une décharge sur le clitoris. » Catherine baisse le regard. « Oh mon Dieu, je vous en prie, pas là... Oui Monsieur, je serai obéissante. » Je prends sa main droite et la pose sur son sein. « Bien... Commencez par vous caresser les seins, Madame. » Catherine rougit et hésite, mais les pinces du terrible générateur sont toujours fixées sur ses tétons et elle redoute une nouvelle décharge. Avec sa main droite, elle se touche les seins sous le regard vicieux des deux hommes. Au bout de quelques minutes, je prends sa main et la guide... Je passe sur son ventre puis place sa main entre ses cuisses ouvertes, sur sa vulve ; elle frémit au contact de sa propre main... « Allez-y, Madame : masturbez-vous... » Sa main commence timidement à bouger entre ses cuisses, massant sa vulve... Catherine respire de plus en plus fort... Nous regardons attentivement ses gestes. Ses doigts deviennent de plus en plus précis, son index décalotte son clitoris et le masse... Elle gémit... « Hummmmm’ohhhhh huummmm ! - Vous aimez que l’on vous regarde en train de vous masturber, Madame ? - oh mon Dieu, noon : c’est terriblement gênant... - Gênant certes, mais cela vous excite... » Catherine est rouge de honte et d’excitation, jamais elle n’avait fait cela devant deux hommes... Parfois son mari lui demandait de le faire, pour lui seul. « Ooohhh oui, oui Monsieur, c’est honteux et excitant... Hummmm hummmm, oui, c’est bon… J’aime que vous me regardiez... Faire ça ! » Catherine est de plus en plus excitée… Elle mouille terriblement. Sanglée sur la table gynéco Catherine continue à se masturber avec ardeur malgré sa honte. Je lui impose de garder les yeux ouverts et de nous regarder... Son corps nu est trempé de sueur... Elle gémit de manière indécente... À sa tension et à ses gémissements, je remarque qu'elle va jouir... Je fais signe au jeune milicien qui, aussitôt, saisit sa main et l'attache à la table, la laissant dans un état de frustration terrible. « Ohhhh ! Non, je vous en prie, laissez-moi prendre du plaisir... Je, je, oh j'ai trop envie... de… de jouir, oh mon Dieu ! » Elle éclate en sanglots « Allons Madame, reprenez-vous. Restez digne, je vous prie. » Le milicien lui envoie une décharge électrique dans les seins... pour la calmer. « Aiiiiiiiieeeee ! Non, non, stop ! - Je ne souhaitais pas que vous ayez un orgasme... Je voulais juste que vous soyez parfaitement lubrifiée pour examiner votre vagin ainsi que votre utérus... » Une suite à l'admission de Catherine... Elle est nue, sanglée sur la table gynéco, et je viens de lui annoncer que j'allais examiner son vagin et son utérus. Je passe calmement des gants d’examen puis prépare sur un plateau métallique les instruments. Le générateur est toujours branché sur les tétons de Catherine. Elle me regarde les yeux ronds, terrorisée... Elle vient de se masturber de force devant nous et d'être frustrée de son orgasme. « Bien, voyons cela, Madame... » J'écarte sans ménagement ses petites lèvres et la pénètre à deux doigts... Elle gémit doucement. - Bien. Vous êtes parfaitement lubrifiée, Madame... Vous mouillez toujours comme cela ? » Elle est rouge de honte. « Euhh, oui, je pense, oui Monsieur. » Je fais allez et venir mes deux doigts dans son vagin. Catherine se raidit, elle gémit... « Hummm, ohhhh, hummmm ! Oh, je vous en prie, arrêtez... Vous, ohh, vous allez me... me faire jouir ! - Ce n'ai pas le but, Madame. » Je pousse mes doigts au fond de son vagin et palpe le col de l'utérus... L'examen est douloureux ; à plusieurs reprise, Catherine crie de douleur. « Allons Madame, restez digne je vous prie. Je vais mesurer votre utérus. » Je prends sur le plateau un longue tige métallique terminée par une forte boule. La tige est graduée et une bague coulisse dessus. Je pose l'instrument froid sur le ventre de Catherine. Puis je prends un fort spéculum métallique et le lui présente : « Je vais vous ouvrir, Madame. - Oh noon, s’il vous plaît, noon, pas ça ! » Je la pénètre avec l'instrument et actionne la molette. « Aïïïe ! Non, pas plus ! Aïïïe, c'est douloureux ! - Je sais, Madame, mais je dois vous examiner. » Son sexe est béant, humide, tellement ouvert que son clitoris est décapuchonné et complètement tendu, gorgé de sang... hypersensible… Je demande au milicien de me passer une petite pince aux bords dentés. « Je vais vous poser cette pince sur le clitoris pour vous calmer, Madame. - Noooon, noooon, je vous en prie ! » Je place la pince sur le petit bourgeon. Catherine hurle, essaie de bouger dans les sangles et pleure de douleur. Sans la laisser respirer, je la pénètre avec la tige, place la boule sur le col et d'un geste sec, la fait entrer dans son utérus. Catherine hurle un bref moment puis s'évanouit… Avec une pince, je fais coulisser la bague contre le col pour prendre la mesure. Puis m'adressant au milicien : « Comment tu la trouves, cette femelle ? Un peu ronde mais baisable ? - Oui plutôt. J'aime bien ses gros nichons et elle semble une salope au lit. - D'après son dossier, elle apprécie la sodo en plus, cette chienne ! » Les hommes ricanent. Profitant de son évanouissement je décapuchonne fortement son clitoris tourmenté. -« Tu as vu : elle à un gros clito. » Les hommes rient encore. « Bon, allez, réveille-la. » Le milicien appuie sur le bouton et envoie une décharge dans les seins de Catherine qui se réveille en gémissant. Je retire la tige : « Bien. Profondeur utérine sept centimètres et demi, vous êtes dans la moyenne, Madame. »        
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Par : le 16/07/23
Croix N°2 = Horizontal Exposition temporaire N°2 C.V au sol Convoqué       pour 9 heures, j'arrive tranquille chez mon Dominateur Niçois. En guise d'accueil, je dois mettre les mains sur la tête ,puis il baisse mon short jean et m'inflige une rigoureuse et puissante fessée à mains nues! Je remonte mon court short et je le vois en train de préparer un sac de sport : des cordes, menottes, une cagoule, des bracelets, un gros marteau et des bouteilles d'eau! A son injonction je prends le sac et je le suis. Direction grande corniche, puis un petit chemin. Il gare sa voiture et je le suis en portant le sac assez lourd! Arrivé à une clairière, je dois me déshabiller en gardant mes chaussures et immédiatement, je prends une volée de fessées, suivi de caresses bien sensuelles sur mes fesses probablement déjà roses! C'est bizarre et excitant cette alternance de douceur et de douleur! A sa demande, il me demande d'enfoncer quatre pieux à l'aide du maillet à l'emplacement indiqué par son pied. Puis Mon Maître me pose un collier un peu serré et une cagoule cuir également un peu trop serré, puis les bracelets aux chevilles et poignets, et me demande de m'allonger dans l'herbe sur le dos, tout nu bien sur. Je sens une forte traction sur les bracelets et je me sens vigoureusement écartelé : il Fait chaud avec le soleil déjà haut et je commence à bien transpirer sous la cagoule cuir : ce qui m'excite et je me mets à bander sérieusement.                 Combien de temps suis-je ainsi resté ainsi exposé à la vue de Mon Maître mais aussi d'éventuels passants? De temps Mon Maître s'amuse avec mon corps qui commence aussi à bien transpirer. Un premier arrosage me surprend, me rafraichit et me procure un grand plaisir. Il me semble alors que Mon Maître tire encore un peu plus sur les bracelets des poignets et des chevilles pour essayer de m'écarteler encore un peu plus! De temps en temps je sens ses mains et sa bouche parcourir l'ensemble de mon corps en pleine sueur, en  s'attardant plus particulièrement sur mes aisselles rasées, mes seins et surtout mon sexe en totale furie ! J crois qu'il a essayer de me poser un cokring avec beaucoup de difficulté! Deuxième arrosage encore plus agréable et à nouveau une palpation générale des plus sensuelles! Je sens la sueur dégouliner sur mon torse bien transpirant, je n'ai plus aucune notion du temps qui passe. Probablement une serviette vient m'essuyer les seins et je pressens la pose de pinces. Au début sensation bien agréable qui devient de plus en plus douloureuse sous la pression de plus en plus forte exercée par Mon Maître. C'est à la fois terrible et particulièrement excitant ce subtil mélange de douleur et de bonheur de sentir ainsi son corps à totale disposition d'une personne en qui on a totalement confiance! Puis à nouveau une forte palpation générale des mains et de la bouche, s'attardant bien spécialement sur mes seins, au point d'arriver à enlever les pinces, ce qui m'arrache un fort gémissement de douleur et de soulagement! Moment de pose avant un troisième arrosage encore plus généreux lorsque je sens mon sexe avalé, tandis que deux mains me triturent de plus en plus forts mes seins ! Je sens ma jouissance arriver, partagé entre la douleur  sur mes seins et le plaisir et l'envie irrésistible de jouir ! Comme si Mon Maître sentait venir mon éjaculation, tout s'arrête et je suis bien déçu de cette arrêt ou de cette pose. Pose à nouveau de pinces peut-être différentes sur mes seins déjà bien douloureux, je sens mes seins durcir et gonfler sous la pression de plus en plus forte, mais du plus en plus insupportable : je suis à la limite de ce que je peux supporter ! Nouvelle palpation et tiraillement de plus en plus fort au niveau des seins généreusement arrosés. A nouveau, mon sexe est avalé avec un travail simultanée sur mes seins et très vite je jouis de bonheur et de douleur simultanées! Heureux et fier d'avoir pu offrir tout mon Corps librement et volontairement jusqu'à en  jouir violemment pour les plaisirs bien partagés et simultanés. Toujours en croix, je ne sais combien de temps je suis resté à attendre une libération et surtout le relâchement et la forte tension sur mes bras et mes jambes? Forcément, j'ai été libéré et soulagé de pouvoir me relever sans la cagoule, ni bracelets et je me suis douché et rincé de mon sperme avec une eau bien tiède. Lentement, j'ai remis mon short et un débardeur, ce qui a provoqué une nouvelle palpation sur mes seins, mais aussi également une descente de mon short pour mes fesses qui ont bien entendu claquer les mains de Mon dominateur! " c'est fini" et rhabille toi, on rentre m'informe mon Maitre et je range le matériel dans le sac de sport, retour en silence et totalement satisfait de cette exposition temporaire bien excitante! A quand la prochaine fois  je suggère ? Arrivé à la maison, Mon Maître me dit " vient et suis moi" : j'ai oublié le dessert! Il m'emmène dans son garage et m'attache les poignets à un crochet au plafond, un bandeau sur les yeux et déchire mon débardeur avant de descendre short et slip. Nouvelle fessée à mains nues. Je sens ses mains étaler un produit sur mes deux seins et je comprends vite que c'est un préalable à la pose de pompes! Grosses pompes à forte aspiration. Je pensais que mes tourments étaient finis quand Mon Maître a fait pivoter les pompes augmentant encore un peu plus l'aspiration déjà bien puissante et douloureuse.   Mon sexe à nouveau en folie bande aussi douloureusement. Je commence à avoir des fourmis dans les mains, car Mon Maître n'a pas utilisé les bracelets mais plutôt enroulé bien serrée une corde autour de chacun de mes poignets. Je suis sur la pointe des pieds pour essayer de soulager la tension sur mes bras devient à la limite du supportable et étonnamment !je jouis à nouveau au grand plaisir de Mon Maître qui n'a pas eu besoin de me branler. Nouvelle libération douloureuse de mes seins, dernière fessées manuelles avant de pouvoir remonter mon slip et mon short jean enfin je rentre chez moi torse nu, épuisé et heureux!
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Par : le 15/07/23
Exposition temporaire N°1 C.V Grillage Après une demi-heure de marche à pieds dans la nature, Mon Maître s'arrête et m'ordonne de me déshabiller! Je marche désormais nu comme un vers en pleine nature , quand soudain Mon Maître s'arrête , à sa demande je pose le sac à dos que je portais, fouille dedans et me pose la cagoule de cuir bien serrée avec le lacet noué derrière la nuque ! Désormais, je sui aveugle et encore plus à son entière disposition! Je sens la pose des menottes bien serrées à mes poignets et mes chevilles et je me retrouve, nu cagoulé et mis en croix, attaché à un grillage en plein soleil.                           Se savoir ainsi exposé en plein soleil, nu : quelle excitation bien facile à vérifier , dégoulinant de plus en plus de transpiration, combien de temps, suis-je ainsi resté sans aucune possibilité de mouvement ? Puis des voix de plus en plus proches, des rires mêmes  commencent à m'inquiéter ! Des gens vont-ils me voir et me trouver ainsi nu, attaché en croix en plein soleil ! Qui les a prévenus  clandestinement  qui bien sur ne m'avait rien dit, de mon exposition dans cet endroit plutôt désert ? Surement Mon Maître, qui bien sur ne m'avait rien dit et qui en attendant avait bien du profiter du spectacle de mon corps librement et volontairement  offert ! Les voix e rapprochent, puis se taisent, combien étaient-ils ? au moins 3 ou 4 qui maintenant chuchotaient ! Et ce qui devait arriver, arriva : des mains et des bouches parcouraient tout mon corps, s'attardant délicatement sur mes seins et mon sexe, voir même mes oreilles. Aussitôt Mes seins gonflent, durcissent, mon sexe qui bande encore plus fort à en devenir douloureux. Manquait plus que ce doigt inquisiteur et bien intrusif qui fouraillait  mon petit anus  vierge et bien fragile! A la fois agréable, sensuel et dérangeant, ma transpiration et mon excitation était au maximum de ce qui me paraissait supportable : je n'avais jamais connu une telle situation ! Je suis au bord de l'explosion et prêt à jouir, quand je sens un lien autour de mon sexe et de mes testicules devenir de plus en plus serré ! Mes seins sont toujours avalés, mordus, aspirés, pincés, la pénétration anale encore un plus incisive devient presque insupportable mais ho combien jouissive! Puis une main ouvre le fermeture éclair buccale de ma cagoule et alors un doigt cherche à attraper ma langue, puis une autre langue fourrage ma bouche! Une main, peut-être même plusieurs en alternance avec une ou des bouches s'amusent avec mon sexe bien attaché! Mes seins deviennent de plus en plus volumineux, de plus en plus sensibles et douloureux! Mon sexe est en feu! Je crois que j'ai hurlé de plaisir avec mon éjaculation libératrice si attendu et vivement souhaité  Epuisé mais heureux, une dernière fois les mains et les bouches ont parcouru l'ensemble mélangeant la sueur et le sperme ! Au bord de l'épuisement, , les voix se sont éloignés avec des rires forcés, je ne saurais dire combien de temps encore je suis resté ainsi exposé nu en croix et dégoulinant de sperme et de transpiration ? Puis Mon Maître m'a libéré des bracelets et enfin de la cagoule !: dans le sac à dos, il y avait  un vaporisateur de 2 litres et un gant de crin et une serviette de bain. Toujours nu comme un vers, au soleil, mains sur la tête, Mon Maître s'est occupé à me doucher, me masser vigoureusement au gant de crin avec projection d'eau tiède bien agréable et laver mon humble corps et pour finir un massage général bien sensuel en s'attardant plus spécialement sur mes seins encore bien douloureux. Je me suis rhabillé et nous sommes rentrés sagement et tranquillement à la maison, sans un mot. Tout ceci s'est passé sous le regard complice, amusé, heureux, organisateur et complice de Mon Maître, tranquillement assis dans le petit fauteuil que j'avais  apporté Le soir, Mon Maître avant de dormir m'a posé une cage de chasteté, puis un collier et attaché chacun de mes pouces sur les anneaux de droite et gauche, j'ai dormi comme ça, sauf que de temps en temps Mon Maître tâtait mon sexe emprisonné et caressait l'ensemble de mon corps s'attardant plus particulièrement sur ma poitrine et encore plus sensuellement sur mes seins encore bien sensibles! J'étais particulièrement fier et heureux de pouvoir partager sa couche ! Incroyable, mais vrai, si Vous voulez vérifier et expérimenter à Votre tour : je reste à Votre entière disposition en PACA !  
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Par : le 15/07/23
Agée de 30 ans, Léa est une lesbienne dans l’âme. Elle compte Julie comme amie intime de longue date, une jeune hétéro adepte de jeux de bondage. Si elles se font des confidences sur leurs plaisirs respectifs, elles n’ont jamais fait quoi que ce soit entre elles. Ce ne sont pourtant pas les occasions qui ont manqués puisqu’il leur arrive de dormir ensemble lorsqu’elles partent en vacances entre femmes pour de longues randonnées en montagne. Tu as vu la publicité pour le gîte fétichiste en Espagne ? Cela à l’air sympa, qu’en penses-tu ? Demande Julie à sa copine. Oui, mais cela me semble loin et il doit y faire horriblement chaud ! Lui répond Léa. Avec la nouvelle ligne de TVG espagnole, ce n’est qu’à quatre heures de train ! En plus, ce n’est pas au sud de l’Espagne et hors périodes estivales, cela doit être sympa. Lui rétorque Julie avant de continuer de lui vanter ce gîte. Et si tu me disais ce que tu as derrière la tête ? Finit par lui dire Léa. Ben, heu, comment dire ? Allez, je me lance. Tu sais que j’adore le bondage et que je fais parfois du selfbondage. Ce site se propose d’accueillir des célibataires et de les sécuriser dans leurs selfbondages en intérieur et en extérieur. Même si cela me semble sérieux, j’ai un peu peur d’y aller toute seule. Cela te dirait que l’on y aille toutes les deux ? En plus, il y a plein de randonnées à faire autour du gîte. Lui explique Julie. Pourquoi pas, cela serait sympa ! Lui répond Léa en surfant sur le site ***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo *** en plus, cela me plairait bien de te voir ramper nue dans le parc en plein soleil. Je n’en doute pas, espèce de perverse. Il leur reste de la place fin septembre, si tu veux, je m’occupe des réservations, tu me rembourseras après ! Propose Julie. Je regarde mon planning, fin septembre cela doit être possible, en plus, il fera moins chaud ! ..................... Trois mois plus tard, les filles arrivent à la gare de Saragosse avec leurs bagages. Elles récupèrent la voiture louée à la gare au tiers du prix de la France puis prennent la route pour se rendre au gîte. A leur arrivée, si l’accueil chaleureux leur est agréable, c’est la visite des lieux fétichistes qui met le feu aux poudres de leur libido respective. Léa flashe sur la chambre Love et Julie sur le donjon puis le matériel mis à leur disposition. La piscine couverte mais s’ouvrant sur le côté, leur fait également de l’oeil, si bien qu’après une douche, elles ne tardent pas à aller se prélasser nues dans une eau à 28 degrés. Le gîte étant également naturiste, elles ne se gênent pas pour parfaire un peu leur bronzage. La faim se fait sentir, elles n’ont pas à attendre puisque Julie avait commandé les repas à 9,50€ livrés dans le réfrigérateur du gîte. Ce repas inclut en principe une entrée et un plat mais un plateau de fruits du verger leur a été offert avec deux roses, autant dire que les filles apprécient. Pendant que Léa étudie le classeur réservé aux touristes vanilles, Julie s’excite toute seule en lisant « le classeur des vraies bonnes mauvaises idées » réservé aux coquins. Elle ne peut s’empêcher de commenter ce qu’elle y découvre, ce qui finit par donner des envies à son amie. Tu comptes uniquement lire ou t’amuser un peu au donjon ? Parce que là, on dirait juste une fille qui fantasme..... ! Lui demande Léa en se moquant d’elle. Oh, ça va, laisse-moi le temps de me mettre dans l’ambiance ! Et puis, je n’ai pas eu le temps de préparer un ice-timer ou de demander une serrure de selfbondage. Si tu veux, je t’accompagne, comme ça on découvre ensemble et je peux même t’aider à t’attacher ! Lui propose Léa. Julie réfute un peu pour la forme avant d’accepter. Elles se rendent donc au donjon où, uniquement vêtue de son bas de maillot de bain, Julie teste les entraves du lit de la chambre Love. Léa participe activement en l’aidant à faire les réglages en lui demandant si cela ne serait pas mieux avec quelques sextoys ou un vibro bien placé. Devant les yeux brillants de son amie, Léa va chercher un magic wand massager puis un gode qu’elle désinfecte avant de revenir s’occuper de son amie. Julie refuse que Léa lui mette le gode dans la chatte, elle est trop gênée. Son amie lui libère donc un de ses poignets avec regret pour la laisser faire et se le mettre sans aucune difficulté. Et bien, on voit que les lieux t’excitent grave ma belle ! Se moque Léa en rattachant le poignet de Julie se retrouvant attachée bras et jambes en croix. Non sans une certaine excitation, Léa lui place le magic wand massager dans le bas du maillot pile poil au bon endroit, le savoir faire d’une femme se fait donc sentir. Julie ronronne quasiment dès cet instant en fermant les yeux de plaisir. Putain tu m’excites toi, je vais te laisser seule pour ne pas te croquer, je viens te libérer dans combien de temps ? Lui demande Léa. Oh une petite demi-heure, cela devrait être bien pour ce soir ! Lui répond Julie. Attends, je vais compléter un peu, il te manque des choses ! Sans demander l’avis de son amie, Léa lui rajoute des pinces à sein, lui impose un bâillon puis lui pose un bandeau sur les yeux. Pour Julie, c’est une première que d’être prisonnière du plaisir et d’être entravée par quelqu’un. Elle tire sur les entraves par principe et pour en tester la solidité, bien qu’elle n’ait aucune envie de s’échapper ! Léa s’installe sur la confortable chaise de Maîtresse pour s’accorder elle aussi un moment de plaisir. La musique « humaine » en fond est pour elle un puissant vecteur d’excitation. Quelques instant plus tard, la vision de son amie se débattant dans les jouissances à répétition la fait jouir à son tour. N’y tenant plus, elle monte sur le lit de la chambre love pour venir caresser et griffer la poitrine offerte à ses monstrueuses envies. Même si Julie est en plein délire, elle a bien conscience que les doigts taquins sont ceux de son amie mais le plaisir est si fort dans les entraves, qu’elle ne réfute pas, ni ne cherche à les fuir. Le concerto des gémissements ne tarde pas à se muer en un concert de rock métal ! C’est à ce moment là que Léa lui retire les pinces à sein, elle sait par expérience que c’est le meilleur moment pour que la douleur soit agréable. Comment résister à deux beaux tétons féminins pointant fièrement sur une belle poitrine quand on est lesbienne ? Léa résiste à son envie de lui sauter dessus et se contente de goûter les deux belles fraises épanouies. Cette dégustation se déroule encore une fois sans réfutations Julie semble même dire « encore » dans ses gémissements. Après de multiples jouissance, Julie demande grâce, elle n’en peut plus. C’est là que Léa commence réellement à s’amuser en lui disant qu’une soumise fait ce que sa Maîtresse désire et qu’elle ne s’arrêtera que quand l’envie lui viendra. En guise de pause, elle lui dévore à présent les tétons en s’acharnant sur le clitoris de son amie avec le magic wand massager. Son jeu de Maîtresse n’ira pas beaucoup plus loin, Léa avait décidé qu’une jouissance supplémentaire serait bien. Exténuée, la pauvre Julie ressemble à présent à un légume lorsque son amie la libère. Lorsque Léa la prend dans ses bras pour l’aider à revenir sur terre, Léa l’enlace et la serre fort contre elle en murmurant des « merci ». Quelques instants plus tard, la piscine leur fait de l’oeil lorsqu’elles quittent le donjon. Elles y piquent une tête pour se remettre de leurs émotions. LE LENDEMAIN Le tourisme classique et une randonnée sont au programme. Elles s’étonnent de la courtoisie espagnole lorsqu’elles croisent des anciens de la région comme ce vieux paysan comme sorti de nulle part avec une bêche à la main. Il leur a demandé si elles étaient perdues et voulaient de l’aide. Ce n’est qu’avec le traducteur du téléphone qu’elles ont pu discuter avec lui. Et là, le gag, c’est que le papy a sorti son mobile pour faire google map et leur faire voir leur chemin ! Après la douche salutaire prise immédiatement arrivée au gîte, les filles se rendent à la piscine pour prendre un bain. Julie est surprise de voir que le pilori a été sorti. Tiens, ils ont sorti le pilori ! Oui, c’est moi qui l’ai demandé à Marc ! Lui répond Léa. Il faut bien que tu profites des installations non ? A la sortie du bain, pris intégralement nue, nous dirons que chacune trouve sa place, Julie entravée dans le pilori et Léa sur un transat pour parfaire son bronzage. Pour s’amuser un peu avec son amie, lorsque Léa va chercher de, quoi se désaltérer, elle prend son temps en la laissant mariner seule entravée nue au pilori. A son retour une négociation voit le jour, lorsque Julie demande à être délivrée. Tu me donnes quoi en échange de ta libération ? Demande Léa. Je te masse le dos et les jambes, la randonnée était difficile, je pense que cela te fera du bien ! Propose Julie. D’accord mais avant je te masse les fesses au martinet, tu as été vilaine ! Lui répond Léa en se rendant au donjon prendre le nécessaire. A son retour, elle n’a pas que le martinet dans les mains, mais également des pinces à sein avec des clochettes. Malgré les réfutations de Julie, ayant très peur que Marc ou sa compagne viennent prendre un bain et les voient, les pinces trouvent leur place sur les tétons un peu étirés pour la circonstance. Léa claque ensuite les fesses de son amie gesticulant par réflexe sous les lanières. J’aime beaucoup le bruit de ces clochettes, cela donne envie de taper plus fort ! La fessée au martinet dure un peu, et pour cause, Léa a constaté que le sexe de son amie s’humidifie grandement pendant qu’elle la martyrise. Je découvre que tu es maso, tu m’avais cachée ça, salope ! Ce n’est pas vrai ! Tu exagères ! Ah bon ! Lui répond Léa en caressant le sexe trempé de son amie avant de lui faire voir ses doigts couverts de mouille. Et ça, c’est quoi ? De la transpiration salope ? Lèche-les, cela t’apprendra à me mentir ! Se sentant comme obligée, Julie s’exécute et se laisse même fouiller la bouche par les doigts parfumés de ses effluves. Être entravée et un peu malmenée l’excite vraiment comme le constate Léa en retournant voir le fessier légèrement rougi. Mais tu coules, toi tu as tout d’une soumise, je crois que je vais devenir ta Maîtresse et t’apprendre à ne plus mentir ou me cacher des choses ! Ponctue Léa en claquant à la main et de bon coeur, les fesses de son amie. De plus en plus excitée elle aussi, son sexe s’est grandement humidifié. Elle se caresse la moune avant d’aller lui faire déguster ses doigts. Perdue dans son monde de soumise, Julie ne se rend pas compte du subterfuge jusqu’au moment où Léa lui demande si elle a bon goût ! Salope !!!!! On ne parle pas comme ça à sa Maîtresse, tu seras punie pour ça, d’ailleurs, je vais demander à Marc de me donner des conseils ! Oh non, pas ça, j’ai trop honte ! Ok, alors en plus du massage, tu me boufferas les seins pendant que je me branle parce qu’il n’y a que toi qui a du plaisir depuis qu’on est arrivées ! Non.... Je vais donc expliquer tout cela à Marc et lui demander de te punir, je suis sûre que tu apprécieras son expertise en la matière ! Bon d’accord, mais juste une fois ! Lui répond Julie. ................... Lors du repas, cette fois offert et pris dans la salle de restauration du gîte avec les propriétaires, les filles apprécient l’ambiance ultra décontractée, si bien, que les confidences commencent à se faire. Elles constatent qu’en ces lieux, on peut parler de tout, de tourisme, de jardinage, de produits bios et surtout « de cul » sans être jugé. A priori, qu’elles soient entre femmes et ce qu’elles peuvent faire entre elles, ils s’en moquent éperdument. Lors de la conversation, la venue des célibataires au gîte est abordée. Ayant trop envie de savoir ce qu’ils font Julie pose des questions. Les réponses sont simples, ils fonctionnent sur le principe du selfbondage et de la self servitude en bénéficiant de conseils et d’assistance en cas de besoin. C’est là que Marc aborde le principe de l’espace game pouvant être adapté aux fétichismes de chacun. Léa saute sur l’occasion pour lui demander d’en préparer un pour « sa soumise ». Julie plonge aussitôt son nez dans son assiette, que son amie ait dévoilé ses fantasmes la gêne horriblement. Pas de problème, dites-moi ce dont vous avez besoin, je vous le prépare, je vous explique si besoin puis vous laisserai jouer tranquilles entre vous ! Répond Marc comme si elle lui avait demandé un café ! Ma soumise est timide mais très cochonne, avez-vous des idées ? Oui, ce n’est pas les idées tordues qui lui manque ! Intervient son épouse amusée. L’espace game peut être en chienne, pour cela il faut lui attacher les pattes pliées et lui mettre un plug queue de chienne avant de l’envoyer chercher les clés. Cela peut être intégralement nue avec des fers aux pieds et des menottes puis ce que vous déciderez de lui ajouter. Dans ce cas, l’espace game se fera également dans le verger. Cela peut être en couche si ce fétichisme compte des vôtres ou vêtue si elle a très envie de faire pipi. Dites-moi ce qui vous fait vibrer, je vous trouverai des idées ! J’aime beaucoup l’idée de la chienne, vous pourrez m’aider car je n’ai jamais fait de bondage ? Demande Léa avant d’aller lui chuchoter quelque chose à l’oreille. Avec plaisir, quand voulez-vous que je vous prépare ça ? Demande Marc Pour demain soir si cela ne vous dérange pas ! .............. Arrivées dans leur gîte, Julie est un peu furieuse que son amie ait dévoilé des choses sur leur intimité. Mais ma belle, si on est ici c’est pour s’amuser, ou alors il fallait choisir Disney ! Franchement, avec tout ce qu’ils voient et font, ils n’en ont rien à faire de nos jeux. Et puis il serait temps que tu grandisses un peu et que tu t’assumes, tu aurais bien plus de plaisir si tu ne jouais pas la coincée ! Lui répond son amie un peu en colère. D’ailleurs, tu me dois un massage que tu vas me faire de suite dans la chambre Love. Allez, on bouge ! Un peu perturbée, Julie suit donc son amie qui prend une serviette de bain et de l’huile de massage. Elles traversent le donjon où Léa prend une paire de menottes au passage. Après s’être couchée intégralement nue, elle lui tend le flacon d’huile de massage en lui ordonnant de s’appliquer si elle ne veut pas recevoir une vraie fessée ! C’est donc un peu contrariée qu’elle masse son amie tout en se demandant à quoi vont servir les menottes. Bien, j’ai envie de me faire plaisir, attrape-moi le magic wand massager et grignote doucement mes tétons pendant que je me branle, j’adore ça ! Ordonne Léa. Julie est assez perturbée lorsqu’elle prend un des tétons de son amie entre ses lèvres. Bon gré mal gré, elle essaye de lui donner du plaisir. Le bon dieu t’a donné des mains, ce n’est pas que pour travailler ou pour faire joli, caresse-moi en même temps ! Fais des efforts pour donner du plaisir à ta Maîtresse. Petit à petit, Julie prend elle aussi du plaisir à en donner. Tout en titillant un téton, elle fait courir ses doigts sur la poitrine de son amie commençant à gémir. Contribuer dans cet acte en principe intime, lui donne l’impression d’être voyeuse et l’excite un peu. Allez, prend le magic et occupe-toi de ma chatte, elle ne te griffera pas ! Julie s’exécute et finalement ne trouve pas cela déplaisant de s’occuper de son amie. Elle s'engaillardit même un peu en osant insinuer ses doigts dans le temple de l’amour. Quelques instant plus tard, ressentir les premières contractions la surprend agréablement, tout comme le bouquet final quand les cuisses de Léa emprisonnent sa main. Lèche-moi la chatte, j’ai encore envie ! Ordonne Léa. Non, désolée, je ne fais pas ça ! Répond aussitôt Julie. Refuser de donner du plaisir à sa Maîtresse, cela mérite une fessée parce que là, tu fais la gamine ! Donne-moi tes poignets ! Julie n’ose pas refuser, Léa ne lui laissant pas réellement le choix, elle se laisse menotter mains devant. Basculée prestement sur ses jambes et déculottée, la vilaine ne tarde pas à goûter à la fessée se disant « punitive ». Se sentir entravée et ainsi obligée de subir sa « punition » l’excite car les claques sont très modérées et un peu comme des caresses piquantes. Ces sensations forts agréables la pousse même à tendre un peu les fesses pour aller à la rencontre de la main. Après le prélude il y a parfois un postlude qui est, son contraire dans le domaine de la composition musicale. La puissance de la fessée monte donc d’un ton, les claques sont de plus en plus appuyées et deviennent bruyantes. Le fessier de Julie s’embrase rapidement, elle aimerait modérer un peu son amie, se protéger mais les menottes l’en empêchent, mais en même temps, l’aident à entrer dans la bulle de l’abandon. Lorsque Léa s’arrête de la fesser, son épiderme semble recouvert de fourmis décidées à la grignoter. Il n’y a pas que cette partie de son anatomie qui la démange, entre ses cuisses, l’humidité est généreuse. Mais ce n’est pas une punition ça pour toi, tu mouilles espèce de maso ! Déclare soudain Léa lorsqu’elle s’en rend compte. On va changer de registre, couche-toi sur le lit et retire ta culotte, j’ai une surprise pour toi ! Pendant que son amie s’exécute, Léa passe derrière le coin bar pour aller chercher une couche. En la voyant, Julie réfute, l’ABDL ce n’est pas du tout son trip, la couche lui rappelle celles de sa pauvre mère. Sa Maîtresse lui explique que ce ne sera qu’une précaution pour la suite et qu’elle n’est pas obligée de l’utiliser. Sans lui laisser le choix, elle l’oblige à soulever ses fesses rouges pour glisser la protection sous ses reins avant de terminer de la langer. Prise par l’oreille comme une gamine effrontée, Julie est guidée aux pieds du lit où Léa ouvre la porte de la cage. Allez, tu rentres dans la cage et tu ne mouftes pas ou tu te reprends une deuxième fessée mais avec un de leurs instruments, cela doit faire vraiment mal ! Julie abdique mais fait voir que les menottes sont toujours à ses poignets. Une fois retirées, elle entre donc dans la cage située sous le lit. Si elle est réellement perturbée par tout ce qu’il lui arrive, l’expérience de la cage ne la laisse pas de marbre. Après avoir verrouillée la porte, Léa va éteindre la lumière pour venir se coucher dans le lit, juste au dessus de son amie. Entre la randonnée, la piscine et les jouissances, la Maîtresse d’opportunité, et appréciant de l’être, ne tarde pas à s’endormir contrairement à Julie. Elle revit mentalement les évènements de la journée, son expérience au pilori, sa fessée puis les câlins qu’elle a du faire à son amie. Ce n’est pas l’envie qui lui manque de se caresser mais elle n’ose pas et se limite à « explorer » secrètement l’intérieur de la couche. Elle constate que c’est toujours bien humide et se pose des questions sur toutes ses envies, ses fantasmes. Si sa nuit est un peu perturbée par l’étroitesse du lit cage, elle est également peuplée de rêves très érotiques. Elle s’imagine même entravée sous la chaise percé et obligée de lécher son amie, c’est dire si tout cela la perturbe puisqu’elle est hétéro. Ce n’est que lorsque le soleil se lève, qu’elle est rattrapée par les choses naturelles de la vie : l’envie de faire pipi ! Absolument pas décidée à se faire dessus, même avec une couche, elle se retient. Se retenir ne l’aide pas à retrouver le sommeil et rend le temps fort long. Au environs de huit heures, elle est au bord de l’implosion et appelle Léa pour qu’elle lui ouvre la porte de la cage. Elle sait que la réveiller n’est pas une bonne idée, mais c’est plus fort qu’elle, la couche ce n’est vraiment pas son truc. Effectivement, ayant un réveil difficile Léa est furieuse. Elle commence par l’envoyer paître et devant l’insistance de son amie, décide qu’une réelle punition s’impose. Elle lui donne les menottes à travers les barreaux de la cage et lui demande de se les mettre pour aller faire pisser « la chienne soumise ». Convaincue d’être libérée de la protection, Julie abdique, ce n’est pas de pisser devant son amie qui la traumatisera. C’est une fois sortie de la cage en la remerciant, qu’elle est guidée vers la sortie. Un arrêt brutal la surprend au moment où elles passe sous le treuil. Léa lui remonte les poignets et bloque la chaîne des menottes dans le crochet. Malgré ses bruyantes réfutations, c’est en voyant ses poignets monter vers le plafond que le piège lui saute aux yeux. Debout et quasiment sur la pointe des pieds, elle n’a aucune chance de s’échapper. Léa lui enfile une culotte et bloque le magic wand entre la couche et la dite culotte servant de maintien sextoy. Après l’avoir mis en route, Léa la laisse accrochée ainsi au donjon pour aller se faire un café sans tenir compte des cris de la révoltée. Désespérée, Julie comprend rapidement qu’elle ne pourra pas se retenir. Entre l’envie devenue ultra pressante et les vibrations sur son bas ventre juste au dessus de sa vessie, il est impossible de résister. Un moment plus tard, c’est en criant de désespoir qu’elle finit par abdiquer et à se lâcher un peu pour libérer, partiellement, la pression devenant douloureuse. Si cet acte ne lui a pas plus du tout, par contre, se retrouver menottée debout toute seule dans le donjon avec un magic wand presque en bonne place ne lui déplait pas. Bien au contraire, elle essaye même de le faire glisser et descendre un peu avec une de ses cuisses. Dans sa tête, elle devient la victime d’un beau sadique bien membré ayant prévu de la mâter avant de la sauter. Elle l’imagine derrière elle en train de jouer avec ses seins puis ses tétons qu’il martyrise un peu. Les yeux fermés et en plein dans ses fantasmes puis les agréables sensations du magic wand sur la couche, elle ne voit pas son amie Léa entrer dans le donjon. Ce n’est que lorsqu’une bouche se colle contre la sienne et qu’en même temps le magic est appuyé sur le devant de sa couche, qu’elle se rend compte qu’elle n’est plus seule. La langue de son amie fouille sa bouche avec une certaine virilité pendant que ses mains s’attaquent à ses tétons sans défense. En pleine perdition dans les sensations diaboliques et perdue dans ses émotions, Julie ne fuit pas le baiser sauvage imposé. Au contraire, devenant fusionnel, elle y trouve presque une sorte « d’échappatoire » à sa pudeur. A la fois désiré et redoutée, l’explosion fatale pour sa pudeur lamine toute forme de résistance psychologique. Dans sa jouissance paroxystique, Julie hurle à plein poumons, pendant ses contractions et sa jouissance, elle finit de vider sa vessie dans la couche sans rien ne pouvoir contrôler. A bout de souffle, elle pend quasiment dans les menottes lorsque Léa fait descendre le treuil. Libéré du crochet, elle se couche en chien de fusil à même le sol pour se remettre de ses émotions et de cette jouissance d’une puissance jamais éprouvée jusqu’à présent. Léa s’est aussi assise par terre, elle a pris la tête de Julie pour la poser sur sa cuisse en guise d’oreiller. C’est avec une extrême douceur qu’elle la caresse comme si c’était un bébé qu’il faut consoler. Tu veux ma mort ! Indique Julie à son amie au bout d’un moment. Non, je veux que tu vives tes passions, tes fantasmes et, à priori, vu ce que je viens de voir, tu ne devrais pas t’en plaindre. Mais tu sais, cela ne me déplait pas du tout de m’occuper de toi comme ça. Je prends réellement du plaisir à t’en donner même si mon truc à moi, c’est plus doux et plus sensuel. .......... Les tourterelles en vacances partent à l’assaut des montagnes locales dans le parc naturel Moncayo. Il s’agit d’une chaîne de montagnes de 15 km de long et d'environ 7 km de large qui donne son nom à la comarque Tarazona y el Moncayo. Lors de la balade, Léa propose à Julie de devenir sa Maîtresse pour lui permettre de vivre réellement ses fantasmes. Elle lui précise que si c’est par amitié, l’idée ne lui déplait pas même si elle manque cruellement d’expérience et de savoir faire. Après une petite discussion Julie accepte, sous la condition qu’elle ne soit pas trop dure avec elle. A leur retour au gîte, après une douche salutaire, elles prennent un bain dans la piscine. A la suite de quoi, Julie part à la recherche de Marc pour savoir comment se déroule l’espace game. Je vous ai préparé un des classiques dans le verger mais vous ne m’avez pas précisé si vous voulez jouer Pets-play dans le parc ou un jeu plus grand. A la limite, vous pouvez faire les deux, ce soir le Pets-play et demain celui qui se fait dans le verger, les indices sont dans des boites en plastique lestées, ils ne s’envoleront pas. Je vais suivre vos idées mais il faudrait m’aider, je débute en BDSM ! Lui répond Léa. Pas de souci, je vais vous chercher le nécessaire pendant que vous emmenez votre amie, de préférence nue, sur la terrasse ! Lorsqu’elle va chercher Julie et lui ordonne de se dévêtir pour l’espace game, celle-ci réfute et souhaite conserver au minimum son bas de maillot. Pendant ce temps, Marc a préparé des cordes, une paire de menotte, une chaînette et un cadenas pour lui faire un collier. Sur la table, un plug queue de chienne fait aussitôt rougir le futur « caniche » ravi d’avoir gardé son bas de maillot. Mettez-vous à quatre pattes, je vais faire voir à votre amie comment réaliser ce bondage finalement assez simple ! Demande Marc au « modèle » dont la gorge vient de se serrer. Le bondage est finalement assez simple et rapide. Marc fait plier une des jambes de Julie qu’il enroule de corde en version shibari en expliquant à Léa comment faire la même chose avec l’autre jambe. Sans leur demander leur avis, il fait un collier à Julie avec la chaînette qu’il ferme avec un cadenas. A la suite de quoi, il ferme une des menottes sur son poignet, fait passer l’autre dans le collier avent de la fermer sur le poignet encore libre. Dans le carton qui est sur la table, il y a des boites en plastique, ce sont les indices qu’il faudrait aller cacher dans le parc. Mais pour cela, il faudrait occulter sa vue sinon elle n’aura qu’à vous regarder les placer. Si vous le souhaitez, je vais les cacher pour vous pendant que vous l’aveuglez avec une serviette de bain par exemple. Dans le carton vous trouverez une laisse et un petit martinet en cas de besoin puis un bâillon os, à vous de décider ce que vous utiliserez. Pour le plug queue de chienne, je vous laisse vous en occuper, je suppose que vous savez où il va ! Indique Marc en partant avec les indices. Immédiatement aveuglée par une serviette de bain, la respiration de Julie s’est emballée. Elle transpire même un peu, non pas de la chaleur mais parce qu’elle est émue, gênée, excitée, perturbée par sa Maîtresse transformant son bas de maillot en string. Léa mouille généreusement l’anus de son amie puis le petit plug qu’elle entreprend de lui introduire malgré ses réfutations. Le premier indice se situe aux pieds de la petite statue. Leur indique Marc à son retour. Si vous désirez déplacer un transat et le mettre dans le parc pendant qu’elle cherche n’hésitez pas ! Ajoute Marc à l’attention de Léa. Je vais vous laisser tranquille, amusez-vous, vous êtes là pour ça ! Pendant ces indications, Julie était ravie d’être aveuglée, c’était un peu comme si la serviette diminuait un peu sa honte. Le tissu retiré, c’est avec une grande claque sur ses fesses que le top départ lui est donné. La chienne humaine prend rapidement conscience que le jeu risque de durer car se déplacer sur les genoux et les coudes n’est pas aussi facile qu’on ne l’imagine. La seule chose qui l’amuse pour l’instant, c’est qu’à chaque mouvement la queue du plug caresse ses cuisses. Il n’y a pas qu’elle qui trouve cela amusant, Léa apprécie énormément les effets de son petit cul s’agitant ainsi. Elle se saisit du martinet pour aller motiver sa « chienne » en lui disant qu’elle est vraiment très belle comme ça avant d’ajouter : « je vais chercher mon portable et faire quelques photos ». Que Julie réfute n’y change rien, elle est abandonnée seule entravée en chienne dans le parc. Les caresses du vent l’accompagnent dans cette expérience troublante, être entravée quasiment nue, seule avec un plug queue de chienne commencent réellement à la troubler. Devenue une Maîtresse perverse par opportunité, c’est après avoir pris quelques photos que Léa va retrouver sa soumise en prenant avec elle la laisse et le martinet. En la voyant arriver, Julie comprend immédiatement qu’elle va devenir le jouet de sa Maîtresse, et elle ne se trompe pas. Entre femmes, quand on s’amuse ainsi, la perversité prend tout son sens. Une fois la laisse posée, Léa s’amuse à faire « marcher » son amie, à la faire asseoir, à faire la belle sans se priver de la motiver avec le martinet. Mais tu es en chaleur ! Déclare Léa en voyant que le maillot est mouillé à l’entrejambe ! Il faudrait que je trouve un beau mâle pour te faire couvrir ! Salope ! Un coup de martinet très appuyé s’abat aussitôt sur ses fesses ! Une chienne ça ne parle pas et en plus, une soumise n’insulte pas sa Maîtresse, ton dressage laisse à désirer ! Embrasse mes pieds et vite pour te faire pardonner ou je récupère les clés et te laisse comme ça pour la nuit ! Ordonne Léa. Julie abdique aussitôt sous la menace. Elle fait donc de petits bisous bruyants sur les pieds de sa Maîtresse avant que la laisse l’oblige à faire la belle. Par surprise Léa plaque le visage de la chienne au creux de ses cuisses en mourrant d’envie de se faire brouter le minou. Fais aussi des bisous là, allez chienne ! Lui ordonne Léa en claquant les fesses de son amie avec le martinet. Tenue fermement par les cheveux avec son visage plaqué contre le sexe de sa Maîtresse, Julie ne tente pas de fuir, les entraves libérant des carcans de ses interdits, elle lèche de bon coeur. Léa sent bien que sa chienne apprécie d’avoir la tête logée entre ses cuisses, cela lui fait prendre conscience que par le BDSM, son amie pourrait au moins devenir bi à défaut d’être lesbienne. Gardant cette idée en mémoire, elle libère sa « chienne » en lui disant « cherche, aller cherche ». Tout aussi perturbée, Julie prend à présent son rôle très à coeur. C’est avec quelques douleurs aux coudes et aux genoux qu’un moment plus tard, elle rapporte les clés des menottes avec ses dents. C’est trop bien ce jeu, j’ai bien aimé. La prochaine fois, je te ferai boire en gamelle et t’attacherai peut-être à la niche, cela serait amusant de t’y laisser un moment ! Ponctue Léa en serrant son amie dans ses bras après l’avoir libérée. Après avoir dîner en tête à tête, elles surfent sur leur téléphone avant de décider de se coucher. Oh, j’ai une idée, je vais t’attacher pour la nuit ! Déclare soudain Léa. Elle sort du gîte pour aller récupérer les cordes, la chaîne, le cadenas et les menottes puis le martinet. Dix minutes plus tard, après avoir eu le droit d’aller faire pipi, Julie se retrouve entravée nue jambes écartées sur le lit du haut. Ses poignets menottés sont fixés à la tête du lit avec la chaînette. Voir les tétons de son amie pointer fièrement donne des ailes à la lesbienne en manque de câlins. Après avoir éteint la lumière, elle rejoint la « captive » pour d’énormes câlins de plus en plus fusionnels. Caressée, embrassée, fouillée par des doigts experts, Julie est au bord de l’implosion, Lorsque Léa entreprend de brouter le chaton sans défense, elle est obligée de refreiner ses ardeurs, sa « victime » est sur le point d’exploser. Après un énorme baiser, Léa lui murmure que si elle ne lui bouffe pas la chatte, c’est la sienne qui sera fouettée au martinet. Lorsqu’elle enjambe la tête de son amie, Léa s’étonne de n’avoir aucune réfutation. Avec douceur, elle frotte son sexe sur le nez de son amie tout en caressant sa poitrine, en titillant ses tétons et n’a aucune réaction négative. Elle prend donc le martinet qu’elle fait tomber doucement sur le sexe de Julie avant de faire glisser lentement les lanières sur les lèvres trempées. Léa comprend que son amie est prête à sauter le pas. Elle recommence le petit jeu avec le martinet et s’assoie doucement sur son visage rencontrant aussitôt une langue peu expérimentée mais très motivée. Le facesitting ne tarde pas à évoluer en 69, Julie n’a plus besoin d’être menacée pour donner du plaisir avec sa langue, ni pour en prendre avec celle de l’experte lutinant sa perle clitoridienne. Ces échanges « linguistiques » portent leurs fruits plusieurs fois dans un concert mélodieux de gémissements de plaisir. Enfin rassasiée, la lesbienne devenue dominatrice ne libère pas sa soumise, non pas pour lui faire des misères mais pour se lover contre elle et la câliner. Les bisous sont forts tendres avant que le sommeil les rattrape dans ce grand lit king size. Libérée au milieu de la nuit pour un besoin naturel, Julie revient aussitôt se lover contre son amie, contre sa Maîtresse. Ce besoin de contact est soudainement plus fort qu’elle, par peur de la réveiller et de se faire gronder, elle n’ose pas lui faire des câlins. ............. Le lendemain, en revenant de visiter la gigantesque et sublime (abbaye appelée le Monastère de pierres]( https://***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***/fr/sex-toys/739-baillon-os.html?search_query=baillon+os&results=39), Léa demande à Julie d’où lui viens cette passion pour le bondage, les contraintes, la soumission. En fait, lorsque je suis attachée je ne me libère que mieux. Grâce aux entraves, je suis moins pudique et surtout moins timide. En fait, le gros paradoxe c’est que je me sens sécurisée, ce n’est pas ma faute, je suis obligée. Je sais que c’est complètement fou et illogique. En plus, mes jouissances sont dix fois plus fortes. Et toi, cela te plait de me dominer ? Initialement ce n’est pas ma tasse de thé. Je suis beaucoup plus portée sur la sensualité, les câlins mais j’avoue que je me découvre. Ce n’est pas déplaisant du tout. Ce qui m’amuse particulièrement avec toi c’est de t’obliger à te faire plaisir, à sauter des pas, à faire des choses que tu t’interdisais. Et puis avec une soumise aussi belle que toi, cela n’est pas déplaisant du tout, si tu vois ce que je veux dire. Lui répond Léa. Cela me gêne que tu m’appelles soumise, cela n’est pas du tout ma nature de me laisser marcher sur les pieds ! Là encore tu confonds tout. Tu peux être dominante dans la vie et aimer lâcher prise et donnant le contrôle à quelqu’un sous la couette. En amour tout comme pour le sexe, les interdits sont castrateurs de plaisir. De toute façon, nous sommes toutes des soumises ! Tu es soumise parfois ? Demande Julie. Non, quoi que me laisser attacher et dévorer à coups de langues par trois ou quatre filles ne me déplairait pas. Je disais que nous sommes toutes soumises à une autorité. Le pire est que l’on n’a pas le choix. Par exemple, quand un flic t’arrête pour contrôler tes papiers, tu obtempères, quand tu fais le chèque pour tes impôts, tu n’as pas le choix, tout comme quand ton chef de service te donne un ordre. La différence est que en amour, c’est toi qui décide de t’offrir, d’offrir le contrôle de ton corps. Arrivées au gîte, les filles prennent une douche et vont prendre un bain à la piscine. Léa s’allonge sur le matelas pneumatique avant d’ordonner à Julie de venir faire des bisous à son chaton. Julie refuse par peur d’être vue par Marc jusqu’au moment où Léa lui rappelle qu’un espace game l’attend, et cela en précisant qu’il pourrait se corser si elle ne s’exécute pas immédiatement. Ultra gênée, Julie s’exécute mais sans grande conviction, son regard étant en permanence tourné vers la porte de la piscine. Ne t’habille pas, va chercher les menottes, tu les mets puis tu les accroches au crochet du treuil de façon à être sur la pointe des pieds ! Lui ordonne Léa lorsqu’elle sortent de la piscine. Léa souhaite pousser un peu son amie dans la soumission. Après avoir fait monter un peu le crochet du treuil, pour être sûre que sa soumise ne s’enfuit pas, elle va demander à Marc de venir la conseiller. Réellement généreux dans l’âme et pas que pas intérêt, il se rend donc au donjon et découvre Julie nue en mauvaise posture. Étant débutante en BDSM, j’avoue ne pas savoir comment lui organiser l’espace game. Pouvez-vous m’aider ? Bien sûr, que désirez-vous comme jeu ? Quelque chose de très gênant pour une nana pudique et trop coincée ? En entendant ça, Julie a des envies de meurtre, en plus d’être exposée nue, son amie cherche à l’humilier. Oh il faut donc jouer sur le plaisir sexuel en même temps que le bondage. Vous pouvez par exemple combler ses orifices, bloquer ensuite le magic wand sur son sexe, ajouter des pinces à sein à grelot avant de l’envoyer chercher les clés ! Lui répond Marc comme si on lui avait demandé la recette de la sauce de ses aubergines grillées. Génial, mais je ne sais pas comment attacher le magic ni même comment faire tenir le plug et le gode, pouvez-vous m’aider au moins pour ça ? Pas de problème je vous laisse « combler » votre soumise pendant que je vais chercher ce qu’il vous faut ! Furieuse et morte de honte, Julie tente d’échapper à l’emprise de son amie. En vain, cette dernière ne lâche pas prise et s’acharne pour placer le gode et le plug entre les cuisses s’agitant. A son retour, Marc réalise un string de chaîne en faisant plusieurs passage entre les cuisses de Julie. Cette dernière est blême de honte, le sadique de la maison qu’elle trouvait sympa est soudainement détesté. Il ne loupe rien de son intimité comblée, au contraire, au passage des chaînes, il appuie même sur les sextoys pour bien les bloquer. A la suite de quoi, il propose à Léa de placer elle même les pinces à sein. Pendant ce temps, accroupi derrière les fesses comblées, et donc avec une vue imprenable, il lui pose des fers de bagnard. Vous pouvez descendre le treuil et passer les menottes derrière dans le string de chaîne, ainsi, elle ne pourra pas retirer ses pinces à sein. Consciencieux dans ses actes, Marc réalise un second string mais cette fois avec une corde de shibari. Ce string spécial ressemble à un petit harnais avec en son centre, le magic wand bloqué dans le triangle devenant comme celui des Bermudes pour la pauvre Julie. Je vais vous aider à la sortir, car avec les fers de bagnard aux chevilles, elle risque de tomber et se blesser. Vous pourriez peut-être lui poser le bâillon ouvert, sera nous fera un peu de silence car votre soumise râle beaucoup ! Propose Marc très provocateur. Attrapée à bras le corps, Julie se retrouve rapidement dehors près de la piscine. Marc lui indique où se trouve le premier indice avant de leur souhaiter « bon jeu » puis de quitter les lieux. Bâillonnée, la pauvre Julie sait qu’elle n’a pas d’autres choix que de partir ainsi « équipée » et pire que nue à la recherche des indices qui la conduiront aux clés. Si ce jeu l’amusait au départ, elle le trouve soudainement moins amusant. Léa ayant démarré le magic wand, entre les grelots de ces pinces à sein et le bruit du sextoy vibrant, il lui est impossible d’être discrète. C’est avec la rage au ventre qu’elle entreprend le parcours tant bien que mal. Obligée de se baisser au premier indice facile à trouver dans sa boite en plastique, Julie constate comme elle s’y attendait que le prochain se situe dans le verger. Sauf que pour s’y rendre, elle est obligée de passer le long du potager qui est complètement à découvert. Un quart d’heure plus tard, Julie découvre la petite statue aux pieds d’un plaqueminier. Encore une fois obligée de se baisser, sans le vouloir elle replace au bon endroit de son anatomie le magic wand qui avait bougé pendant ses déplacements difficiles. Enfin à l’abri des regards dans le verger, être ainsi entravée, caressée par le vent venant de se lever et avec le magic en bonne place, Julie commence à savourer les plaisirs de ce jeu. Au lieu de partir de suite jusqu’au fond du verger chercher les clés, elle s’accorde un moment de plaisir par peur de déplacer le vibro. Jouir ainsi, comblée, entravée, nue en pleine nature va être divin. Avec prudence, Julie va s’appuyer contre l’arbre pour ne pas tomber quand elle va exploser dans cette jouissance s’annonçant torride. Si de nature elle est discrète dans ses jouissances, entre la puissance de l’orgasme qui la terrasse et le bâillon bouche ouverte, elle en arrive à faire peur aux oiseaux venus assister au spectacle. Sa jouissance dure un peu, le magic ne lui accordant aucune pause. Si elle ne s’était pas appuyée contre l’arbre, elle se serait sûrement écroulée dans l’herbe. Si en d’autre temps, Julie apprécie ce sextoys, le fait de ne pas pouvoir l’arrêter un moment le rend soudainement moins agréable. Elle reprend donc le parcours en bavant sur sa poitrine, la jouissance paroxystique lui a donné si chaud qu’il lui est difficile de déglutir correctement. Léa l’attend à l’arrivée. Assise sur la chaise située sous la cabane naturelle, elle joue avec la ficelle reliant les clés ensemble. Elle en profite pour faire quelques photos au grand dam de son amie un peu honteuse. Regarde ce que Marc m’a prêtée ? Indique Léa en faisant voir une corde. Il m’a dit que je pouvais l’accrocher à l’arbre et te laisser mariner un peu avant le repas. oonnn en eu us ! Supplie Julie. Comprenant que son amie voulait dire « non, j’en peux plus » dans sa grande gentillesse, Léa lui retire les fers de bagnard puis le magic avant de lui passer la corde autour du cou comme pour ramener une esclave. Arrivées à la terrasse couverte située avant la piscine et le donjon, Léa lui donne à boire, essuie son visage trempé de transpiration et exige un bisou. Pendant ce bisou, Léa trouve que son amie mérite de prendre un bain. Sans lui retirer les menottes et les chaînes, elle la conduit à la piscine avant de la pousser sous la douche solaire. Puis, elle la fait dans l’eau. Aussitôt rejointe dans cette piscine où l’on a pied, c’est la fête à la grenouille, caresses, bisous et câlins sont au rendez-vous. Libérée des menottes un peu plus tard, Julie peut enfin prendre son amie dans ses bras pour une étreinte très câline. L’étreinte est associée de quelques mots « d’amour » du type salope, t’es malade, t’es folle » et d’un « je t’aime ». ................ Lors du repas du soir, offert par Julie, Léa demande à Marc si il pourrait lui donner un cours de bondage et quelques idées à faire lorsque son amie sera attachée. Julie sent aussitôt ses joues s’empourprer. Même si elle sait à présent qu’il ne la touchera pas et ne la jugera pas, se faire attacher quasiment nue ou peut-être pire par lui, la gêne énormément. Étant en pleine forme, il leur propose de le faire juste après le dîner. Si bien qu’une heure plus tard, il les rejoint au donjon. Toujours aussi zen, Marc apprend à Léa à faire un harnais. Pendant son cours, il lui donne des idées perverses du type, « cela peut être pratique pour bloquer des choses dans les orifices, entraver rapidement les poignets par surprise, l’envoyer faire des courses avec le harnais sous ses vêtements, ou se servir du harnais pour rebondir et faire autre chose ». Je peux aussi vous faire voir comment faire un Hogtied ! Volontiers ! Répond Léa très motivée. Comme c’est beaucoup plus contraignant, Julie pourrait s’allonger sur le lit de la chambre Love, ce sera plus confortable pour elle ! La proposition est actée. Le modèle peu rassurée s’allonge donc sur le ventre. Marc la fait descendre un peu sur le lit afin de proposer plus tard, une idée de jeu à Léa. En un rien de temps, les bras de Julie sont entravés dans son dos, puis reliés aux pieds de cette dernière dont les jambes sont également attachées et repliées. Vous pouvez également le compléter avec le cochet anal de bondage et une petite corde à fixer, soit à un bâillon, soit dans sa queue de cheval. Cela rajoute une touche de BDSM et impose au modèle de garder la tête haute. Et si j’osais, je vous dirai bien quelque chose de plus..... Osez chez Marc, oser, ma soumise fait semblant de ne pas apprécier vos idées, après elle coule comme une fontaine ! Répond Léa curieuse. Si vous y mettez le cochet de bondage dans les fesses, je vous fais voir pour les noeuds et vous donnerai l’astuce ! La pauvre Julie ! Ses joues s’empourprent alors qu’elle détourne le regard, essayant de préserver sa timidité face à l’idée que l’on insère quelque chose dans ses fesses devant quelqu’un ! Sa jolie petite culotte est donc transformée en string, ses petites fesses écartées pour l’insertion du crochet anal de bondage. Pendant que Marc y fixe la corde, malgré la gêne, elle est particulièrement troublée en sentant son anus profondément pénétré surtout lorsqu’il attache ensuite la corde à sa queue de cheval en relevant sa tête. Voilà qui est fait, il ne vous reste plus qu’à la laisser mariner ou vous amuser avec elle par exemple, en vous allongeant jambes écartées sous son visage pour une dégustation de minette ou dans l’autre sens si vous aimer que l’on lèche votre petite rose. Et puis, si elle ne s’applique pas et ne vous donne pas pleinement satisfaction, demain je vous prête la machine à fessée ! En entendant ça, la pauvre Julie se décompose. Il sait donc qu’elles câlinent ensemble. Après leur avoir souhaité une bonne soirée, Marc se retire afin de les laisser s’amuser en toute intimité. J’adore ce mec, il est aussi pervers que respectueux, qu’en penses-tu ? Demande Léa. J’en pense que j’ai horriblement honte ! Pourquoi, il fait tout pour nous mettre à l’aise et que l’on s’amuse. Et encore, à mon avis, là il doit faire dans le soft.... Bien, passons aux choses sérieuses, j’ai envie d’une minette pour commencer et puis, après on verra..... Ni une ni deux, Léa se dévêtit, ajuste les lumières et démarre la musique avant de se coucher sur le lit en offrant son chaton à la dégustation. Tu as intérêt à t’appliquer, regarde j’ai aussi pris la cravache et le magic, au cas où... En plongeant le nez entre les cuisses fusées de son amie, Julie constate qu’à chaque mouvement de tête qu’elle fait, elle masturbe son anus légèrement en tirant sur la corde. Ses petits mouvements cumulés au bondage qu’elle adore, la belle petite soumise gravit peu à peu les échelons de l’excitation. Pour le jeu, Léa donne de temps en temps quelques petits coups de cravache, rien de bien méchant mais simplement pour pousser son amie dans ses retranchements. Soudain, l’idée proposée par Marc de se faire « bouffer le fion » lui vient à l’esprit. Tu ne t’appliques pas, je vais être obligée de prendre le magic si je veux jouir. Puisque tu es mauvaise avec mon clito, peut-être seras-tu meilleure avec mon petit, comment a t’il dit déjà ? Ah oui, ma petite rose ! Julie est un peu en perdition quand son amie se tourne et descend un peu sur le lit en écartant les fesses. Si elle n’avait pas été sous bondage, elle ne serait pas parvenue à lécher « un trou du cul ». Petit à petit, sa langue ne lui rapportant rien de particulier hormis une autre forme de contact charnel, cet acte ne lui déplait pas tant que ça. Si bien qu’elle met du coeur à l’ouvrage et va même jusqu’à se servir de sa langue comme un petit sexe. De l’autre côté de l’anatomie de son amie, le magic ronronne contre le clitoris. Sous ces si agréables sensations le cratère étoilé semble se mettre à « convulser », exposant ainsi que sa propriétaire apprécie. Après plusieurs orgasmes, Léa coupe le magic pour s’accorder une pause syndicale pendant que dans la hiérarchie, sa subalterne continue d’oeuvrer. Le patron serait furieux si il apprenait que Léa s’est endormie ainsi jusqu’au moment où, elle est réveillée par une morsure. Aie ! T’es folle ou quoi ? Ben quoi, tu dormais en me délaissant complètement comme si j’étais un simple sextoy ! Tu m’as fait réellement mal et puis il y a façon et façon de réveiller les gens. La tienne va te coûter cher demain ! Répond Léa sur le ton de la colère. Libérée des cordes, Julie n’est pas invitée à se coucher avec son amie mais mise au coin du gîte mains sur la tête comme une gamine punie. La pauvre Julie ne sait plus où elle en est. Particulièrement triste d’avoir fait mal à Léa, elle se morfond en se demandant également si elle l’a déçue. Les yeux pleins de larmes, elle finit par se retourner (sans permission) pour demander pardon. Tu ne vas pas me faire une dépression parce que tu t’es faites engueuler ! Mais oui tu es pardonnée mais demain, tu ne couperas pas à la machine à fessée. Allez, viens te coucher contre moi mais sèche tes larmes de crocodile ! Cette réponse éveille en elle des sentiments qu’elle ne peut ni ignorer ni comprendre pleinement. Dans un sens elle est rassurée, dans l’autre elle a peur de la fessée, tout en se sentant coupable mais heureuse de savoir que son amie devenue sa Maîtresse la punirait et donc, qu’elle l’aime encore. A L’ATTENTION DES LECTEURS Quand l’amitié devient Amour, le risque de voir exploser la relation amie et sexfriend est grande. Ah cela se rajoute que si à cet amour s’ajoute le BDSM, l’affect de la personne soumise est si décuplé qu’une rupture ou un simple écueil peut être vécu comme un traumatisme. Il est donc sage de le savoir afin d’être prudent dans ce type de relation parfois si belle, si magique. DERNIER JOUR DE VACANCES Le lendemain, il est décidé de se rendre à Saragosse pour faire du tourisme et du shopping. Avant de partir, les filles ont demandé à Marc si elles pourraient utiliser le service « Eco tourisme » proposé par le gîte. Ce service gratuit permet aux touristes de faire des achats sans trop se soucier de la place dans leurs valises. Il leur permet également de faire de sérieuses économies puisque beaucoup de produits sont nettement moins chers en Espagne. http://***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***/eco.html A leur retour, Marc leur donne un assez gros carton afin qu’elles puissent y ranger tous leurs achats. A la suite de quoi il le pèse puis les installe devant un ordinateur pour qu’elles puissent réaliser leur expédition puis payer les frais de port. Le colis avec toutes les folies réalisées dans les magasins ne sera expédié que le lundi après leur départ. Est-ce que vous pouvez nous prêter la machine à fessée, ma soumise a osé hier soir mordre mes parties charnues. Cela mérite donc une punition mais comme je ne me sens pas capable de la lui donner, la machine à fessée pourrait le faire à ma place ! Demande Léa La pauvre Julie pique un far de honte, sa gorge se serre aussitôt car elle se doute que Léa demandera de lui faire une démonstration qui aura lieu où ? Sur ses pauvres fesses évidemment ! Elle ne se trompe pas puisque Marc répond qu’il prête volontiers sa machine à fessée, mais qu’il y a une petite formation préalable afin d’éviter de casser les accessoires ou pire de faire tomber sa machine. Ils se rendent donc au donjon où il installe la machine en la fixant sur la chaise d’inquisition, une sorte de chaise haute pour adulte avec des possibilités autres que de nourrir un bébé ! Il précise à ce moment là qu’il est parfois intéressant d’y faire asseoir la personne punie juste après la fessée. Il suffit d’y déposer une sorte de paillasson plastifié avec de nombreux picots. La personne entravée dessus apprécie moins cette chaise que d’être au coin comme une gamine. Autant dire que Julie s’imagine bel et bien installée nue avec les fesses rouges sur cette maudite chaise. Après avoir installé le banc à fessée contre la fameuse chaise, Marc propose à Léa d’installer la fautive et surtout de bien serrer les entraves. En effet, si par réflexe elle mettait ses mains sur ses fesses au mauvais moment, elle aurait extrêmement mal aux doigts. Léa n’hésite pas un instant à relever la jupe et déculotter son amie pendant que Marc lui explique comment fonctionne la machine. Vous pouvez régler ici la puissance de un à dix, et sur la télécommande la durée de la fessée, le mode aléatoire ou programmé ! Explique Marc. Puissance maximum, cette vilaine mérite une bonne fessée ! Je vous le déconseille pour plusieurs raisons. La première est que puissance maximum avec une canne, ce sera extrêmement douloureux. La deuxième est qu’il est bien de « chauffer » un peu les fesses en démarrant progressivement, un peu pour faire chauffer un moteur avant de lui demander pleine puissance. Cela permet de jouer plus longtemps et surtout, d’inscrire dans le délicat fessier une punition qui se prolonge dans le temps. En clair, demain elle trouvera tous les sièges inconfortables et se rappellera de sa punition. Démarrez doucement, vous pourrez toujours augmenter la puissance. Je vous laisse entre vous gérer la suite, punition ou plaisir ou les deux ! Leur indique Marc avec un grand sourire juste avant de les laisser tranquilles. Si Léa était bien décidée à aller au bout de sa promesse, l’idée de faire réellement mal à son amie la perturbe En effet sa tirade précédente indiquant « puissance maximum » était juste pour s’amuser à faire peur à sa soumise. Elle démarre donc la machine à fessée avec prudence en mode « puissance 2 » et règle la durée sur trois minutes. Si son intention n’était pas de réellement punir par la douleur, elle constate rapidement que puissance deux, la fessée ressemble plus à des caresses qu’une punition. Julie semble même très apprécier, le comble de la déception pour une Maîtresse. Ça c’était pour t’échauffer les fesses, nous allons donc passer à la puissance supérieure ! Indique Léa en passant à « la puissance 4 » et en réglant la durée sur cinq minutes avant d’aller s’installer sur le fauteuil de Maîtresse. Son but est de savourer les expressions du visage de cette amie et soumise que secrètement elle commence à aimer d’Amour. Lorsqu’elle lance la machine, Léa peut constater que Julie se pince les lèvres de douleur, en réalité ce n’est que de surprise. Pendant que les minutes de fessée mécanique s’égrainent, elle s’étonne de voir le visage de Julie s’épanouir comme si elle prenait du plaisir. En effet, elle entrouvre régulièrement les lèvres, affiche même le visage d’une fille « satisfaite ». Pour Julie, c’est une réelle découverte. Si être attachée et « contrainte » compte de ses principaux fantasmes, elle découvre lors de cette deuxième série, le plaisir que procurer la fessée. La deuxième série de fessée terminée, Léa se lève pour aller voir l’état des fesses de son amie. Les stries rouges qu’elle découvre lui pince le coeur. Ça va tu as compris que tu ne dois pas mordre ta Maîtresse ? Demande Léa pour jouer son rôle. Non Maîtresse, je n’ai pas compris et il est fort probable que je recommence de vous mordre ! Répond Julie. « ??????? » (Résumé des premières pensées de Léa) En effet, elle ne comprend pas qu’après avoir eu mal et les fesses marquées son amie en redemande en la provocant de la sorte. Pour en avoir le coeur net, elle laisse glisser ses doigts sur les fesses chaudes et striée en générant des frisons et un gémissement de satisfaction. Bien décidée à pousser ses investigations, le meilleur (doigt communément appelé le majeur) glisse dans la vallée pour aller mesurer l’hydrométrie du temple des plaisirs féminins. Elle s’étonne et s’émeut de découvrir un véritable « marécage ». Mais tu es maso des fesses toi ! Oui Maîtresse, ai-je droit à une autre série un peu plus forte ? En guise de réponse, Léa passe la machine à « la puissance 5 » et en réglant la durée sur cinq minutes avant d’aller chercher une chaise et le magic wand. Elle lance la machine qui, régulièrement fait son office en claquant les fesses avec la régularité d’un métronome. En évitant les coups de canne, Léa allume le gros vibro qu’elle pose sur le clitoris de son amie. Moins d’une minute plus tard, Julie se met à chanter puis crier son plaisir sans aucune pudeur. Léa s’étonne même de l’intensité de cette mélodie. Noyée dans le plaisir des contraintes, ses fantasmes, la douleur devenant plaisir grâce aux endomorphines et ses jouissances à répétition, Julie en arrive à espérer que cela ne s’arrête jamais. Par contre, en voyant le fessier se marquer sérieusement, Léa se demande si elle doit poursuivre ou pas. Lorsque la machine s’arrête, elle la débranche aussitôt, estimant devant l’état des fesses que cela suffirait. C’est lorsqu’elle la délivre des entraves que Julie craque et se met à pleurer. Ultra perturbée, Léa l’aide à se relever pour la guider vers le lit de la chambre Love pour un gros câlin consolateur. Désolée ma puce, je ne comptais pas aller si loin ! Lui murmure Léa entre deux bisous doux et sages. Ne soit pas désolée, je pleure de bonheur, de trop de sensations ! Répond Julie en plongeant son visage dans la poitrine de son amie comme si ses seins devenaient un refuge. Un gros quart d’heure plus tard, enfin remise de ses émotions, Julie demande dans quel état sont ses fesses. Elles virent au bleu à certains endroits ma puce. Je m’en moque, c’était vraiment trop bon ! Je peux en acheter une ? Demande Julie. Si tu veux, ce sont tes finances mais à condition que je sois ton « garde folle » car tu risques de finir par te blesser. Maintenant c’est ton tour ! Déclare Julie spontanément. Jamais, il est hors de question que je prenne une fessée ! Mais non, ce n’est pas de ça que je parle, j’ai envie de te faire l’amour, de te rendre heureuse. Laisse-toi faire, tu ne le regretteras pas ! Léa se laisse donc entraver nue bras et jambes en croix sur le lit de la chambre Love. Le but de Julie étant de la rendre « chèvre » de plaisir, elle s’investit totalement dans cette mission impérieuse en semblant se fondre harmonieusement dans des étreintes passionnées. Pas un pore de la peau de sa Maîtresse n’est épargnée par les lèvres avides et la langue goulue de l’amoureuse. Ses doigts, ses ongles et les sextoys font aussi cause commune dans cette « monstrueuse vengeance » visant à combler de bonheur celle qui lui a appris qu’entre femmes, le plaisir pouvait être divin. Nos amoureuses sont quasiment à l’état de légume sur pattes lorsqu’elles se rendent au gîte pour se coucher. Elles sont si épuisées que l’idée d’une douche ne les a même pas effleurées. Toutes deux, elles quitte le lendemain le gîte fétichistes avec le coeur gros tant ces vacances ont été merveilleuses. EPILOGUE Depuis ces vacances au gîte fétichistes, elles ne sont plus quittées et se sont décidées à emménager ensemble. Léa n’est toujours pas une vraie Maîtresse, elle ne pratique la domination et le bondage que par jeu et surtout par amour. Julie s’est mise aux plaisirs saphiques, elle n’a plus envie de quoi que ce soit avec la gente masculine, avec Léa elle a trouvé le bonheur et son épanouissement personnel. FIN TSM Note de l’auteur • Si Marc existe réellement • Si le gîte fétichistes existe réellement • Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes • Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes. Visiter le SITE du gîte fétichistes en cliquant ICI Visiter le gîte fétichistes en vidéo sur Youtube
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Par : le 13/07/23
La jeune femme serait entourée de sœurs de soumission. Il était difficile de savoir si elle en serait fière ou non. Il était également convenu qu'un jeune homme serait dressé. Autour d'elle, tout avait l'air étrangement calme et inanimé. Le temps lui-même semblait figé, inerte, exactement comme si cet instant de sa vie s'était tout entier contracté et que rien ne lui succéderait jamais. Un tel déni de réalité avait forcément une explication. Ce rôle que le destin lui attribuait tout à coup s'apparentait à la vérité. Elle savait quelle demeurait transparente aux yeux de sa Maîtresse. Il est vrai qu'elle ne faisait rien pour attirer son regard. Elle n'était pas du tout le genre de femmes à débarquer dans une soirée cheveux au vent, les seins débordant d'un haut trop petit, moulée dans une jupe très sexy et arborant des chaussures à talons vertigineux. Instruite du résultat habituel de ces cérémonies, Charlotte s'y rendit pourtant de bonne grâce. Elle continuait à espérer, tout en se moquant d'elle-même, que viendrait un jour où sa Maîtresse cesserait de l'offrir au cours de ces soirées éprouvantes, les seins relevés par un corset de cuir, aux mains, aux bouches et aux sexes à qui tout était permis, et au terrible silence. Ce soir-là, figurait un homme masqué qui retint immédiatement son attention. Il posa sur elle un de ces regards mais sans s'attarder, comme s'il prenait note de son existence avec celle du mobilier, un miroir dans lequel se reflétait au fond de la salle, dans l'obscurité, l'ombre d'une croix de Saint André et un tabouret. Elle n'aurait pas aimé qu'il s'attarde, comme le faisaient les autres. Pourtant, elle souffrit de le voir détourner les yeux d'elle. Elle ne s'arrêta pas à considérer si c'était seulement l'effroi. On halerait son corps pour la crucifier, les poignets et les chevilles enchaînés, et on la fouetterait nue, le ventre promis à tous les supplices. L'inconnu, qu'elle n'osait toujours pas regarder, demanda alors, après avoir passé la main sur ses seins et le long de ses reins, qu'elle écartât les jambes. Juliette la poussa en avant, pour qu'elle fût mieux à portée. Cette caresse, qu'elle n'acceptait jamais sans se débattre et sans être comblée de honte, et à laquelle elle se dérobait aussi vite qu'elle pouvait, si vite qu'elle avait à peine le temps d'en être contrainte. Il lui semblait sacrilège que sa Maîtresse fût à ses genoux, alors qu'elle devait être aux siens, elle sentit qu'elle n'y échapperait pas. Elle gémit quand des lèvres étrangères, qui appuyaient sur le renflement de chair d'où part la fine corolle inférieure, l'enflammèrent brusquement, le quittèrent pour laisser la pointe chaude l'enflammer davantage. Elle gémit plus fort quand les lèvres la reprirent. Elle sentit durcir et se dresser un membre qui l'étouffait, qu'entre les dents et les lèvres, une onde aspirait, sous laquelle elle haletait. L'inconnu s'enfonça plus profondément et se degorgea. Epuisée, des gouttes de sueur étaient venus éclater sur ses épaules, mais elle était fière de l'hommage buccal rendu à la chair durcie. Pendant ce temps, le jeune soumis, agenouillé sur le sol, les yeux baissés, se masturbait lentement, obéissant aux ordres qui lui intimaient de ralentir le rythme de sa carence infamante. On lui ordonna de jouir et presque aussitôt, il lébéra un jet de sperme qui éclaboussa les dalles de pierre. Il fut obligé de lécher jusqu'à la dernière goutte. Puis il fut flagellé pour avoir éjaculé aussi abondamment. Elle était résolue, avec plus de rage que d'élan. On lui avait demandé de retirer ses bas et de demeurer muette. Ses jambes effectuaient alors une drôle de rotation, et elle se mit à tourner sur elle-même, les bras écartés à la façon d'un pantin désarticulé, tandis que les mouvements de son corps semblaient complètement déconnectés de sa conscience, les yeux perdus dans le vide, aussi dépourvue de ressources qu'un animal attaqué par le non-être. Pourtant, elle savait qu'elle n'avait pas le droit de se laisser à la peur.   Elle lui avait caressé les cheveux, l'avait embrassée comme autrefois. Son amante lui avait dit: "On appelle ça de l'amour". Alors, elle voulait se racheter par orgueil, pour prouver qu'elle pourrait devenir un jour une parfaite esclave, enviée de tous les Maîtres, sujet d'orgueil de la seule qu'elle vénérait, sa Maîtresse. Dans un éclair, Charlotte se vit délivrée, anéantie, maudite. Elle avait accomplit la fellation avec un recueillement mystique. Le silence soudain l'exaspéra. Elle était prise. Elle comprit enfin que le membre qui la pénétrait était un olisbos dont Juliette s'était ceint la taille. Avec un vocabulaire outrageusement vicieux, elle exigea d'elle qu'elle se cambre davantage, qu'elle s'offre totalement pour qu'elle puisse être remplie à fond. Elle céda à l'impétuosité d'un orgasme qu'elle aurait voulu pourvoir contrôler. C'était la première fois qu'une femme la possédait par la seule voie qui soit commune avec un homme. Juliette parut subitement échauffée. Elle s'approcha d'elle, la coucha sur le sol, écarta ses jambes jusqu'au dessus de son visage et exigea qu'elle la lèche. Ses cuisses musclées s'écartèrent alors sous la pression de sa langue. Elle s'ouvrit davantage et se libéra dans sa bouche. Charlotte ne ressentait plus que le collier, les bracelets et la chaîne. Elle se rendait compte également que sa façon de tout prendre en charge effrayait la plupart des femmes, même si Juliette ne s'en plaignait pas, bien au contraire, de son efficacité pendant les heures de bureau ou dans un lit. On l'avait délivrée de ses mains, le corps souillé par l'humus du sol et sa propre sueur. Juliette tira sur la taille fine de Charlotte, strangulée par le corset très serré, pour la faire encore plus mince. Si durement baleinée et si étroite, qu'on aurait dit un busc de cuir destiné à la priver de toute liberté, pire à l'étrangler comme une garrotte médiévale. Des mains glacées se posèrent sur sa peau et la firent tressaillir. Ce premier contact l'avait surprise mais elle s'offrit avec docilité aux caresses qui devinrent très vite agréables. On lui fit savoir que plusieurs personnes étaient venues assister à son dressage. Chacune d'entre elles allait lui donner dix coups de fouet. Elle se préparait à cette épreuve en se concentrant sur la volonté dont elle allait devoir faire preuve. On lui ôta son corset afin de la mettre à nu et on l'attacha sans ménagement sur la croix de Saint André dans une position d'écartèlement extrême de sorte qu'elle crut un instant être démembrée, tant les liens qui entravaient ses poignets et ses chevilles meurtrissaient sa chair. Elle reconnut alors immédiatement les coups de fouet appliqués par sa Maîtresse. Elle a une méthode particulière, à la fois cruelle et raffinée, qui se traduit par une sorte de caresse de la cravache ou du martinet avant le claquement sec, toujours imprévisible et judicieusement dosé. Juliette sait mieux que quiconque la dresser. Après le dernier coup, elle caressa furtivement ses fesses enflammées et cette simple marque de tendresse lui donna le désir d'endurer encore davantage pour la satisfaire. On la libéra et on lui ordonna de se mettre à quatre pattes, dans la position sans doute la plus humiliante pour l'esclave, mais aussi la plus excitante pour l'exhibitionniste que sa Maîtresse lui avait appris à être, en toutes circonstances et en tous lieux. Charlotte prit plaisir à exhiber ainsi son corps et à l'offrir au bon plaisir de Juliette et de ses invités, en acceptant le supplice pour être digne d'elle. Elle n'était plus à elle, et ce qui d'elle était le moins était certainement cette moitié de corps qui pouvait si bien servir en dehors d'elle. Le plaisir qui naissait insidieusement en elle la dépassait en la réhaussant dans son statut d'objet sexuel. Que ce désir de soumission ait pu se transformer un jour en une affection mutuelle et exclusive devait relever d'une conjonction astrologique.   La jeune femme savait maintenant que c'était l'histoire d'un amour. Quand on est forte, on ne laisse pas les autres démolir cet amour. Quand on est forte, on ne décide pas de se cacher. Même si cette relation n'était pas non plus tout à fait dénuée d'arrière-pensées, de part et d'autre. Quelque chose d'indéfinissable semblait avoir pris le contrôle de son cerveau et commandait à son corps de jouir de cette humiliation prégnante magnifiée par son obéissance servile. Elle reconnut à leur grande douceur des mains de femme qui commencèrent à palper son corps. Avec un certain doigté, elles ouvrirent son sexe. Peu après, son ventre fut investi par un objet rond et froid que Juliette mania longtemps et avec lubricité. Les Maîtres décidèrent alors qu'elle devait être reconduite au premier étage. On lui débanda les yeux et elle put alors apercevoir le visage des autres invités. Juliette prit tout son temps, étalant longuement l'huile sur sa peau frémissante, glissant le long de ses reins, sur ses hanches, ses fesses, qu'elle massa doucement, puis entre ses jambes. Longuement. Partout. Elle s'aventura bientôt vers son sexe ouvert, écarta doucement la sa chair et introduisit alors deux doigts glissants d'huile en elle. Pourtant, il ne lui sembla pas reconnaître le visage des hommes dont elle avait été l'esclave, à l'exception de songes fugitifs, comme si aussitôt après le rite, son esprit voulait en évacuer tous les anonymes pour ne conserver de cet étrange et subversif bonheur, que l'image d'une complicité extrême et sans égale à ce jour entre sa Maîtresse et elle. Elle découvrit que Béatrice était une superbe jeune femme brune aux yeux bleus, avec un visage d'une étonnante douceur dégageant une impression rassurante de jovialité. Elle se fit la réflexion qu'elle était physiquement l'inverse d'une dominatrice telle qu'elle l'imaginait. Elle fut bientôt soumise dans le trou aménagé dans le mur, où elle avait été contrainte la veille. Pendant que l'on usait de ses autres orifices, un homme exhibait devant elle son sexe mafflu qu'elle tentait de frôler avec ses lèvres, puis avec la pointe de sa langue dardée au maximum. Mais l'inconnu, avec un raffinement de cruauté qui acheva de l'exciter, se dérobait à chaque fois qu'elle allait atteindre sa verge, l'obligeant à tendre le cou, la langue comme une véritable chienne. Elle entendit alors quelques commentaires humiliants sur son entêtement à vouloir lécher la verge de l'inconnu. Ces injures, ajoutées aux coups qui ébranlaient son ventre et aux doigts qui s'insinuaient partout en elle, lui firent atteindre un orgasme dont la soudaineté la sidéra. Elle avait joui, comme fauchée par une rafale de plaisir que rien n'aurait pu retarder. Ayant été prise d'un besoin pressant et ayant demandé avec humilité à sa Maîtresse l'autorisation de se rendre aux toilettes. Mais on lui opposa un refus bref et sévère. Une angoisse incontrôlable l'envahit alors.   Son amante était une femme de génie et une personne très séduisante. Elle avait des yeux auxquels on obéissait toujours et elle parlait d'une montagne inconnue, beaucoup de bonté et monstruosité. Pourquoi, à chaque fois qu'elle le constatait, en était-elle, non pas surprise, mais comme persuadée à nouveau, avec à chaque fois aussi fort le même trouble qui l'immobilisait, et qui la livrait davantage ? Qu'importe que des hommes se soient servis de sa bouche comme celle d'une putain, qu'on la malmenât et l'abreuvât de leur plaisir, c'était une forme ultime d'humiliation, et Juliette en était tout à fait consciente, comme elle était consciente d'être dans ces moments-là la complice objective de sa perversion, qui frôlait souvent par sa passivité la complaisance. Charlotte lui paraissait seulement plus pâle, mais encore plus désirable qu'à son habitude, dans ses manières humbles et son air abattu,qui la prédisposaient encore plus favorablement. Confuse, elle vit qu'on apportait au milieu du salon une cuvette et elle reçut de Juliette l'ordre de satisfaire son besoin devant les invités rassemblés. Une panique irrépressible la submergea. Autant elle était prête à exhiber son corps et à l'offrir au bon plaisir de Juliette ou à apprivoiser la douleur pour être digne d'elle, autant la perspective de se livrer à un besoin aussi intime lui parut inacceptable. La légère impatience qu'elle lut dans le regard attentif de Juliette parut agir sur sa vessie qui se libéra instinctivement. Elle réussit à faire abstraction de tous les témoins dont les yeux étaient fixés à la jointure de ses cuisses. Lorsque elle eut fini d'uriner, sa Maîtresse lui ordonna de renifler son urine, puis de la boire. Bouleversée par cette nouvelle épreuve, elle se sentit au bord des larmes, mais n'osant pas se rebeller, elle se mit à laper en avalant le liquide encore tiède et à sa vive surprise, elle éprouva une indéniable délectation à ce jeu inattendu. Après avoir subi les regards des invités, elle fut amenée devant Béatrice dont elle dut lécher les bottes vernies du bout de sa langue. La jeune femme séduisante la récompensa par une caresse très douce, qui ressemblait au geste que l'on fait pour flatter le col d'un animal soumis, d'une chienne docile. Le dîner fut alors annoncé à son grand soulagement. Charlotte n'était plus l'ingénue libertine de ses débuts, elle avait gagné ses galons d'objet servil. Elle ne pouvait, puisqu'elle l'aimait, qu'aimer tout ce qui venait de Juliette. Sa Maîtresse obtiendrait sa soumission, non malgré elle mais pour l'incomparable plaisir de lui appartenir. Béatrice, à la fin du repas, interrompit ses méditations en lui ordonnant de s'agenouiller pour recevoir quelques coups de fouet avec laquelle elle marqua ses seins de longues estafilades que Charlotte fut longtemps fière d'exhiber. Puis, elle lui pénétra les reins avec un olisbos plus épais, mais très court, qu'elle décida de laisser en place jusqu'à la fin de la soirée, avant de la forcer à s'asseoir sur le tabouret, de lui bander les yeux et de lui lier fermement les mains derrière le dos avec des menottes, en lui ordonnant de cambrer au maximum ses reins, de façon à renfler sa poitrine. Les Maîtres s'approchèrent d'elle, et sous la lourdeur des regards,se déversèrent tous sur son visage, ou sur ses seins nus offerts. On la libéra ensuite pour l'attacher de nouveau à la croix de saint André. Ainsi contrainte, il ne lui serait plus possible de se caresser et de jouir de ses propres caresses, la douleur se muant lentement en plaisir. Elle s'endormit en souriant, impudique mais heureuse..   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 07/07/23
Jadis, elles se plaisaient, toutes les deux, à cultiver leurs différences, et même leurs oppositions. Juliette, impétueuse, Charlotte, lucide, elles se livraient un combat sans issue. L'Université avait fait d'elles des êtres rationnels, rationcineurs, péroreurs et subtils. Elles étaient claires, et ardentes de leur illusoire clarté. On aurait fait un roman de leurs confidences mélangées, mettant en tête la conclusion du premier, intervertissant l'ordre des chapitres du second, et terminant sur les deux préludes. Ainsi faisaient-elles. Elles ne dialoguaient pas. Elles juxtaposaient des monologues et en étaient totalement conscientes. En réalité, Charlotte redoutait plus que tout le déclin des passions, les pensées inodores, les amants mal rasés, les amours sans épices et les convictions flaques. Un évènement allait changer le cours de sa vie. La nuit tombait sur les angoisses de la jeune femme. L'ombre peu à peu avait envahi la chambre. Charlotte n'arrivait plus à distinguer la fissure dans le plafond à laquelle elle avait fixé son regard. La position dans laquelle elle s'était elle-même figée depuis plus d'une heure commençait à la faire souffrir. Passent encore les fourmillements dans les jambes et les bras. Elle en avait l'habitude maintenant. En remuant les doigts, en bougeant les pieds, elle parvenait à relancer la circulation sanguine. Le plus insupportable, c'était cette douleur à l'articulation des cuisses. Elle avait fait preuve de trop de zèle, tendant les chaînes au maximum de ce que lui permettait l'écartement de ses jambes. De part et d'autres de son visage, ses genoux touchaient presque les barreaux. Juliette avait aussi trop serré le bas. Il lui distendait les lèvres comme le mors d'un cheval. De temps à autre enfin, il lui fallait empoigner les barreaux pour soulager ses bras de la tension à laquelle ils étaient soumis. Que faisait Vincent  ? Dans la rue, les lampadaires s'allumèrent les uns après les autres. Leur lueur orangée inonda la chambre. Le cœur de Charlotte s'emballa: toute à son excitation. Et s'il avait décidé de ne pas venir en lui jouant un tour cruel, celui de charger le hasard de choisir celle ou celui qui la découvrirait ainsi harnachée, nue et enchaînée. Mais non, c'était impossible, il l'aimait. Charlotte se sentait en danger constant, tant la curiosité des visages la dévorerait, qu'elle serait fouettée par l'un ou par l'autre, non pas à la vérité qu'ils s'en aperçurent mais sans doute chaque fois qu'ils auraient eu envie de l'humilier ou de la posséder. Et si, il avait encore eu l'envie de l'offrir à des inconnus. Elle avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la tenaillait et ne la lâchait plus. C'était cela, Vincent voulait l'offrir. Il leur avait dit qu'ils trouveraient là une jeune femme, esclave sexuelle, qui n'atteignait le plaisir qu'en donnant vie à ses fantasmes. Elle mimait la résistance, mais c'était pour mieux en jouir. N'avait-elle pas elle-même avoué qu'elle affectionnait particulièrement l'idée du viol ? Des pas retentirent dans le couloir. Elle cessa de respirer. Une clé tourna dans la serrure. La porte s'ouvrit. Charlotte distingua une silhouette dans l'embrasure, mais la lumière l'aveuglait. Elle ne ressentait aucun sentiment d'angoisse ou d'appréhension mais plutôt d'étonnement. Elle avait l'habitude de dormir toutes fenêtres ouvertes, depuis l'âge de ses seize ans. Confiante, elle s'attendait à une agréable surprise. C'était Vincent mais il n'était pas seul. Celle qui l'accompagnait, la considéra d'un œil narquois et cruel. C'était une jolie fille élancée à la peau bronzée. Son chemisier en dentelle blanche, ses bas transparents et ses chaussures à hauts talons ne laissaient planer aucun doute: une putain. Vincent avait amené une prostituée. Hébétée, Charlotte portait alternativement son regard de l'un à l'autre. Il l'évitait avec soin. Lui tournant le dos, il alla jusqu'à la fenêtre de la cave et, les mains dans les poches, observa la jeune femme en attendant qu'elle se soit déshabillée. Toisant Charlotte, à sa merci, nue et attachée, elle fit glisser son string le long de ses cuisses, mais conserva son collant. Elle avait des jambes longues et musclées. En bas de son ventre, son pubis délicatement entretenu mais pas rasé se distinguait à peine, velours nacré sur la chair hâlée. Lorsqu'elle dégrafa son chemisier transparent, conservant la paire de bas, couleur chair, ses seins comprimés en jaillirent comme des léopards. Sans en être consciente, Charlotte tomba immédiatement sous son charme. La suite de cettre rencontre allait de façon déroutante, lui donner raison. Seul Vincent détenait la clé qui lui manquait.    La jeune femme angoissée sentit seulement sa présence, puis la fragrance onctueuse de son parfum. Charlotte prit enfin conscience de la situation. Malgré toute attente, afin de réaliser un fantasme prégnant, Vincent avait imaginé et mis au point un scénario sadomasochiste dont il serait la première victime. La putain était nue maintenant. Son catogan strict, son visage émincé, ses yeux verts étincelants la métamorphosaient dans l'esprit d'esclave soumise de Charlotte en fauve qui allait la dévorer. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie, d'animalité indomptée, jusqu'à sa mâchoire figée en un rictus menaçant contre laquelle dansaient des boucles d'oreilles en longs losanges effilés et cette queue-de-cheval haut placée sur la tête à la manière des Amazones d'autrefois. Elle se coucha en travers du lit, les mains derrière la nuque. Charlotte put assister au dressage de Vincent. Il était prosterné et agenouillé sur le sol, obtempérant aux instructions qui lui intimaient de ralentir le rythme de sa caresse dégradante. Elle lui ordonna de jouir et presque aussitôt un jet de sperme éclaboussa alors les dalles de pierre. Il fut obligé de lécher sa propre semence jusqu'à la dernière goutte. Il reçut sans broncher des coups de cravache qui cinglèrent ses fesses de longues estafilades violacées. Charlotte voyait son érection lentement renaître. Elle se surprit à découvrir le plaisir de contempler l'humiliation d'un esclave.  - "Tu viens, mon chéri ?" minauda-t-elle. Vincent se redressa et toujours nu, s'approcha lentement du lit, Charlotte remarqua qu'il bandait de plus en plus. Alors, il se maîtrisa et reprit le cours du scénario imaginé par lui, changeant alors radicalement de comportement et de ton   -" Fais ce que j'attends de toi", dit-il à la putain. Elle empoigna le pénis d'une main, passa l'autre sous les testicules, comme pour évaluer leur poids. -" Allez, je suis sûre que t'as là-dedans de quoi en répandre encore partout, mais avant il est temps d'assouvir tes fantasmes de soumission". L'inconnue le menaçant de sa fine cravache et toisant l'homme, s'approcha de son membre intumescent et lui affligea de douloureuses sanglades qui le firent se contracter davantage. Mais elle décida alors de mettre fin à son supplice et abandonna le jonc pour en profiter, comme bon lui semblait. Abasourdie de surprise, Charlotte regardait sans réagir la main de la jeune femme solliciter bientôt avec adresse le sexe de Vincent dont l'érection se faisait de plus en plus puissante. Ses lèvres gobèrent le pénis tendu. Vincent, les yeux clos, serrait les dents. Pendant quelques instants, il n'y eut plus dans la cave que les bruits de succion de la fille et le cliquetis des chaînes dans lesquelles Charlotte commençait à s'agiter. La prostituée prit la pose pendant que Vincent enfilait un préservatif. Lorsqu'il la pénétra, elle poussa alors un gémissement de plaisir. Sa pureté étincelante la distinguait et son port de tête signalait une âme élevée, un corps gracieux, cuirassé contre la petitesse. Même en se tordant le cou, Charlotte ne pouvait pas les voir mais elle les imaginait aisément. Ondulations élastiques, mouvements synchrones, halètements convenus. Tout cela l'écœurait. Elle renversa la tête sur l'oreiller. Pourquoi Vincent lui avait-il seulement demandé de s'attacher et de se bâillonner ? Pourquoi ne lui avait-il pas également permis de se bander les yeux ? Quelle perversité était la sienne pour vouloir lui imposer un tel spectacle ? Elle tressaillit. Des doigts venaient de se poser sur son sexe. On voulait aussi qu'elle participe à la fête des sens avec une putain. Relevant la tête, elle distingua une main, qui commença à la fouiller entre ses cuisses. Déjà des doigts hargneux s'engageaient en elle. D'autres cherchèrent à écarter le passage de ses reins pour forcer son anus. Elle se débattit autant que lui permettaient ses liens, voulut crier mais ses cris s'étouffèrent dans sa gorge. Vincent ne voyait rien. Il n'entendait rien. Il continuait de défoncer la putain qui, gémissant fort pour couvrir les plaintes assourdies de sa prisonnière, répercutait chaque coup reçu au fond du ventre de Charlotte. Elle était là, attachée sur un lit, à entendre l'homme qu'elle respectait s'acharner sur une inconnue qui lui faisait payer le prix de sa fureur. Vincent enfin donna les ultimes coups de reins. La putain abandonna aussitôt Charlotte et feignit un orgasme démesuré. Il se releva et jeta sur le lit une pelote de ficelle et alla prendre une chaise qu'il disposa près du lit. "- Tu sais ce qu'il te reste à faire, tiens voilà les clés des menottes et des cadenas. Termine ton travail et va-t'en". Le ton de la voix n'admettait aucune réplique. La prostituée se contenta de hausser les épaules tout en tassant ses seins dans son chemisier blanc. Charlotte cherchait en vain à capter le regard de Vincent. Elle essayait de comprendre. Quel travail la fille devait-elle donc terminer ? Pourquoi ne la détachait-il pas lui-même ? Mais il gardait les yeux fixes. Son visage marmoréen n'exprimait qu'une grave détermination. Elle le vit s'asseoir sur la chaise, de lui-même se passer les mains derrière le dos et, d'un léger mouvement de la tête, donner à la pute l'ordre de commencer. En soupirant, celle-ci déroula une longueur de ficelle et lui attacha les poignets qu'elle fixa ensuite solidement au dossier. De la même façon, elle lui entrava les bras, les chevilles, les jambes, le torse et la taille jusqu'à ce qu'il soit totalement immobilisé, le sexe lourd pendait entre les cuisses légèrement ouvertes. Charlotte vit alors la fille s'approcher à nouveau, s'asseoir près d'elle et se pencher tout contre son visage.   Sans se l'avouer intimement, la séance à laquelle elle avait assisté, l'avait émoustillé et un sourd frisson parcourait son corps, de sa nuque jusqu'au bas de ses reins. Dans son esprit, la prostituée se mua insidieusement en hétaïre racée et respectable. Ainsi, Charlotte deviendrait à son tour l'objet de plaisir de cette femme étrangère. Bien que timide par nature, elle allait accepter de se prêter à une situation inédite. La beauté insolente de l'inconnue avait achevé de la convaincre. Bientôt, elle alla s'installer entre ses jambes en les maintenant écartées en hauteur. La façon dont elle se tenait lui donnait l'air d'un étrange gynécologue. Elle la vit poser les mains bien tendues de part et d'autres de sa vulve avec une douceur inattendue. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu du bout des doigts. Leur contact, même s'il demeurait ferme, n'avait plus du tout la sauvagerie d'auparavant. Elle ouvrit le sexe offert avec grand soin. Charlotte ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que cette fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait à tout prix réussir à jouir. L'inconnue passa plusieurs fois la langue sur ses lèvres et, tout en le maintenant ouvert, les approcha du sexe humide de Charlotte. De l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, elle procéda à de longues succions. Étape par étape, elle aspira la chair tendre des petites lèvres, les caressant avec la langue, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut ou un peu plus bas. Charlotte survolait la cave. Une fille, attachée et nue, était écartelée sur un lit. Une inconnue, également nue, la suçait. Un homme, bronzé et nu, lié à sa chaise les observait toutes les deux. De sa langue, large et souple, l'étrangère enroba le clitoris de la jeune femme, l'excita pour l'éveiller, pour l'obliger, à se redresser et à prendre de l'ampleur sous sa caresse. La chair se gonfla alors. Simultanément, des pouces elle redessinait l'entrée du vagin, en soulignant les contours humides. Un doigt s'insinua dans son anus en le dilatant peu à peu. Le viol de ce territoire interdit fit naître dans le ventre de la captive d'irrésistibles ondes électriques. Charlotte creusa alors les reins. La fille comprit l'invitation. Abandonnant la vulve, elle concentra ses caresses sur la voie étroite. Elle élargit des doigts l'anneau anal à travers lequel elle poussa profondément la langue. L'amour n'est pas une chansonnette de complaisance, un badinage d'étourdi mais bien une aventure radicale qui doit mobiliser jusqu'aux dernières fibres de notre être. Lorsqu'elle eut suffisamment préparé le passage, la fille posa le pouce contre l'anus de Charlotte et l'enfonça lentement, de toute sa longueur, jusqu'à la paume. Quand il fut bien planté au fond, s'en servant comme d'un axe, elle fit pivoter sa main de gauche à droite, les doigts repliés sur l'entrée du vagin. Sans cesser son mouvement de balancier, la putain plongea sa main plus profondément dans le sexe de Charlotte, éprouvant entre pouce et doigts l'élasticité de la fragile cloison. De l'autre, elle écarta les petites lèvres pour dégager le clitoris. Puis elle se reconcentra à nouveau sur l'anus. Elle avait décidé de la pénétrer avec le poing. À l'instant même où le poignet atteignit le fond de ses entailles, Charlotte se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait encore lorsque la fille, s'étant rhabillée, lui détacha les mains. Malgré elle, des ondes de plaisir la parcouraient encore, comme un orage qui ne s'éloigne que peu à peu, abandonnant ça et là d'ultimes grondements. Libérée de ses liens, elle se sentait plus impuissante encore que lorsque les chaînes l'entravaient. Les larmes lui montèrent aux yeux comme un torrent. Elle se mit à pleurer frénétiquement, sans bruit mais les épaules secouées de spasme, et cela dura longtemps. Elle dut dormir un peu. Vincent dormait-il lui aussi ? Elle n'osait se tourner vers lui. Son souffle était inaudible. Pourquoi l'avait-il contraint à une telle séance ? Avait-il voulu la faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à une situation si humiliante. Cela n'était donc pas un jeu, plutôt un passage obligé, un rituel auquel lui-même n'aurait pu échapper. Qu'avait-il donc voulu lui prouver ? Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Vincent. Elle se rappela à ce moment-là qu'il avait un bâillon. Elle se leva et se précipita vers lui. Il gardait les yeux clos mais il ne dormait pas. L'enjambant, elle s'assit sur lui, les bras autour de ses épaules, les lèvres contre les siennes. Il posa le front contre sa poitrine. Elle sentait au bout de ses seins la caresse de son menton mal rasé. Charlotte sentit son pénis se dresser sous ses fesses. Elle le laissa la pénétrer là où elle avait déjà joui. Charlotte se laissa sodomiser par cet homme auquel sa Maîtresse l'avait prêtée, car tel était son devoir. Elle était la plus heureuse des femmes.      Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 26/06/23
Un lope gays devient pire qu’une chienne destinée à la reproduction BDSM. - Allo - Oui bonjour, je vous appelle parce que j’ai quelques questions à propos de votre gîte. - Mais je vous en prie, que désirez-vous savoir ? - Je suis un peu gêné de vous poser ces questions mais j’aimerai savoir si vous acceptez les chiens humains et si cela est possible chez vous ? - Ne soyez pas gêné, cela fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres fétichistes, il n’y a donc pas de sujet tabou avec nous. Chien humain dites-vous, en clair est-il possible de faire du pets-play ou dogtrainning au gîte ? Et bien la réponse est oui, sans aucun problème. Par contre, je vous conseille de prévoir des genouillères et coudières ou des gants car si certaines parties sont, disons carrossables, si vous vous éloignez un peu dans la propriété, ce sont des chemins ou sentiers avec des pierres. - On peut vraiment se promener comme ça sur votre propriété ? - Oui, sans aucun problème, rien ne nous gêne. Nous pourrons même, si vous le désirez, servir des repas en gamelle. - C’est génial, et si on est gay, cela vous pose des problèmes si on joue en extérieur ? - Toujours pas ! Il y a même du matériel qui se prête bien au fist et autre comme chaise percée, piloris. En fait, le matériel que vous voyez en photo sur le site peut être utilisé à votre convenance que vous soyez lesbienne, gay ou hétéros, on s’en moque.  - J’ai encore une question ? - Je vous en prie ! - Le gîte est limité à 4 personnes mais si on est 5 comment cela se passe ? Il faut qu’il y en ait un qui aille dormir à l’hôtel ? - La limitation est due au fait que nous n’avons que deux grands lits et que, pour des raisons juridiques, nous ne pouvons accepter des tentes ou caravanes. - Oui mais vous avez un lit spécial qui permet de faire dormir dessous ! Si je compte bien cela fait 5 places. - Allons droit au but, vous désirez venir à 5 et me demandez si on peut s’arranger ? - Oui c’est ça ! - A partir du moment où il y en a un de vous qui accepte de dormir ailleurs que dans un lit conventionnel, nous pourrions adapter le forfait de la location. Après cet entretien téléphonique, Damien décide de réserver le gîte pour un week-end du mois de juillet. En réalité il est tout seul pour le moment. Son idée est d’offrir un week-end au gîte à deux Maîtres gays et d’être leur lope. Pendant deux mois, il s’acharne sur les forums et sites gays ainsi que sur Fessestivites et Abkingdom où parfois, il a croisé quelques ABDL intéressés par le BDSM. Sur Fessestivites il a trouvé un dom gay très pervers qui est d’accord pour l’accompagner au gîte et s’occuper de la lope. Pour être sûr de ne pas se faire planter, Maître Max lui a demandé une copie de la réservation puis à téléphoner au gîte. Ce dernier a confirmer qu’il y avait une réservation mais a refusé de dévoiler l’identité du locataire. Après une discussion, le gîte lui a simplement indiqué que la personne avait loué, à priori, pour un week-end BDSM gay. Malgré les autres demandes de renseignements, le gîte a respecté l’anonymat du client. Pauvre Damien.... Pauvre Damien car lors des discussions téléphoniques, faîtes que d’une main, il lui a dévoilé ses fantasmes d’être chien et lope en version BDSM hard. Entre fantasmes et réalités il y a un grand pas. Après être allé le voir chez lui pour « tester » la lope et s’amuser un peu, assez connu dans le monde des rencontres, Maître Max n’a pas eu de mal à trouver dans son relationnel trois autres personnes branchées BDSM gay pour aller avec eux en Espagne. Parmi elles, il y a Master Paul et son ami Lucas qui est switch et Mamadou qui est blanc de peau mais surnommé ainsi pour la taille de son service trois pièces, toujours volontaire pour péter des rondelles.   Bien que Damien ait proposé de tout payer, les invités participent aux frais de transport à bord d’un monospace loué pour la circonstance. Pendant le trajet pour aller de Lyon au gîte, le soumis aux anges continue de les allumer. L’excitation rend parfois dingue et fait oublier la prudence.... A peine descendus de la voiture, Maître Max prend les choses en main ou plutôt en laisse. Damien se retrouve à poil avec un collier autour du cou devant les propriétaires du gîte. Pendant le pot de bienvenue, pris en gamelle pour Damien, les discussions vont bon train. La laisse du chien est détachée pour qu’il aille décharger les bagages. Les invités constatent qu’effectivement, les « activités » sont quasiment sans limite au gîte. La femme du patron n’a pas été offusquée de servir à boire au chien et a l’air « blindée ».    Lorsqu’ils arrivent au gîte qui a été préparé pour eux, les invités ne sont pas déçus ! ! ! Sur la terrasse il y a deux piloris. Un est en version Moyen-Âge, l’autre en version esclave à baiser le soumis se retrouvant bloqué par les membres à quatre pattes cul offert. A côté, se trouve le  « banc de la défonce » permettant de bloquer une personne en position diaper. Autant dire qu’une fois la dessus, la voie est très accessible. Une niche de grande taille a également été installée à côté de la piscine. (HUMOUR Normal, en français Chien et niche contiennent les mêmes lettres) A l’intérieur du donjon, un chaise percée recouverte d’un abattant WC les amusent mais ce qui les surprend, c’est le lit à baldaquin avec des anneaux de partout et son lit cage. - Cela vous plait ? Demande Damien    - Mais on est où ici ? Demande Mamadou étonné de ce décor si particulier ! - Au gîte fétichistes ! - C’est assez surprenant répond Master Paul. - Je prendrai bien une douche, le chien profite d’être encore debout pour venir m’aider ! Damien tiré par la laisse se retrouve dans la douche avec son Maître qui lui impose de se mettre à quatre pattes et de lui servir de chaise de bain. L’idée plaisant aux invités, il ne sortira de la salle de bain qu’après que tout le monde ait pris sa douche. Ses premiers pas de lope sont, pour l’instant, assez soft même si il a du lécher des culs et des pieds pour vérifier qu’ils s’étaient bien lavés. Là où Damien c’est un peu affolé, c’est devant la taille du mandrin de Mamadou. Ce lieu si particulier donne des envies, Damien est conduit au « banc de la défonce » où, allongé sur le dos, entravé et menotté il a perdu de sa superbe. Pendant que les doigts de Master Paul jouent les spéléologues dans le cul bien offert, Maître Max se fait tailler une pipe. Les doigts fouilleurs font rapidement place à une bite très motivée, huit heures de route avec une lope qui rêvait de se faire sauter, cela donne des envies. Faisant de l’oeil à Mamadou, Lucas profite que Max a laissé la place pour se faire préparer le cul par la langue de Damien en faisant un facesitting. Pendant que Mamadou et Lucas s’envoient en l’air, Maître Max et Master Paul prennent une bière. Abandonné sur le « banc de la défonce » Damien se désespère de ne pouvoir en prendre une avec eux, mais son avis.... En guise de bière, une demi-heure plus tard, lorsqu’il voit Lucas enjamber sa tête pour un facesitting, il refuse de lécher le cul qui vient de se faire défoncer. Ses réfutations sont très mal prises ! Maître Max prend un paddle accroché à l’étagère des accessoires pour le motiver. La fessée au paddle, cela pique mais en position diaper, c’est hard ! Master Paul rejoint son ami fesseur et entreprend de malaxer d’une main ferme les précieuses de Damien. Entre deux cris, le désespéré cède et, comme si sa vie en dépendait, lape le cul chargé de lubrifiant et pas très propre. Très excité par ce qu’il voit, Mamadou enfile un préservatif et vient, à sa façon et avec sa bite 26 x 6 expliquer à Damien qu’il doit faire des efforts. Dilaté, défoncé, ramoné aussi bien en profondeur qu’en largeur, il « chante » plus qu’il ne lèche. Libéré et porté pour cause de manque d’énergie jusqu’à la niche où il est attaché, Damien s’y réfugie bien volontiers.   Pendant le repas, pris avec les propriétaires du gîte, le chien manque à l’appel. Deux gamelles sont apportées à Damien, une d’eau l’autre contenant une sorte de pâtée faite avec ce qu’il y a au menu du soir. Le Maître des lieux leur demande si ils vont le faire dormir dehors ou dans la cage sous le lit en précisant que les nuits sont fraîches. Pour protéger son gîte d’éventuelles fuites urinaires, il leur donne une couche pour personne incontinente ce qui les amusent. De fait, en redescendant à leur gîte, le chien est détaché et mis en couche avant d’être bouclé sous le lit. Le samedi matin, le petit déjeuner a été déposé sur la table de la terrasse du gîte. Encore une fois, Damien n’a pas pu manger normalement. Equipé de genouillères et moufles, hormis un petit séjour de deux heures au pilori, il va vivre en chien toute la journée. Vers midi, après les avoir vu « s’amuser » sur la balançoire, il prend place sur le « banc des plaisirs » suspendu à la poutre de la balançoire. Il doit attraper avec sa bouche une bite tendu face à lui à chaque balancement. Ne vous y trompez pas, Maître Max ne le fait pas balancer de façon conventionnelle mais à coup de grandes claques. Pendant le repas pris à 14 heures, Maître Max discute avec le maître des lieux en lui demandant si le sulky servant pour du pony-play peut être adapté pour du chien de traîneau. N’y ayant pas pensé, le maître des lieux leur promet de chercher une solution en précisant « sans garantie ». Après réflexion, il parvient à bricoler quelque chose avec des s a n g l e s et des colliers de plomberie fixés sur les barres du sulky. « Cela n’est pas très esthétique mais devrait fonctionner » lui dit-il en arrivant avec le sulky. Attelé comme un chien de traîneau, Damien raccompagne son Maître en promenade jusqu’au gîte où il compte bien faire une sieste. Porter et tirer le sulky à quatre pattes est épuisant mais très distrayant comme façon de faire du pony. - La prochaine fois, on devrait lui attacher les couilles au sulky et le faire tirer comme ça ! Dit Master Paul en affolant le toutou convaincu qu’ils sont capables de le tenter. Après la sieste, Maître Max découvre qu’il y a des chaînes et des anneaux un peu partout dans les arbres autour du gîte. Il va donc voir le maître des lieux pour voir si il a des idées pour profiter du terrain. - Vous pourriez organiser une chasse à l’homme. Vous lui laissez un quart d’heure d’avance et après vous le chassez. Libre à vous de décider ce que vous ferez au gibier ! - Vous pourriez me prêter un fouet et des bracelets ? - Pour les bracelets, prenez ceux de la chambre mais avez-vous déjà fouetté au sens propre du terme avec un vrai fouet ? - Non jamais ! - Nous allons jouer prudence car cela peut être dangereux pour vous comme pour lui. Je vais voir ce que je peux vous prêter. Le lâché du gibier nu se fait vers 17 heures. Le maître des lieux confit à Maître Max un mini fouet en lui donnant quelques conseils et en lui disant « attention aux yeux, un fouet peut être détourné et arriver là où vous ne voulez pas et parfois même sur vous ». Parti sur la propriété, Damien se demande ce qu’ils vont lui faire. Marcher lui pose rapidement un problème, Maître Max lui ayant posé un gros ballstretcher. A chaque pas, ses testicules ballottent. « Si cela dure longtemps, elles vont traîner par terre » se dit le gibier. Rattrapé facilement par les chasseurs s’étant partagés le terrain comme des rabatteurs, le pauvre Damien est ramené aux arbres à chaîne pour y être lié bras et jambes écartés. Maître Max découvre rapidement que le fouet peut être cruel pour celui qui le donne. Malgré tout, il commence à s’habituer à cet instrument au grand dam du gibier commençant à être strié de partout. Assoiffé, il demande grâce et supplie. La négociation est simple, champagne contre l’arrêt du jeu. Les poignets libérés, la lope peut se mettre à genoux et prendre en bouche la verge de Paul. Derrière lui, Lucas, taquine les précieuses pendantes avec son pied, histoire de motiver la lope. La « collation prise », ils rentrent au gîte pour prendre un apéro plus conventionnel en tirant Damien par sa laisse pour prendre une bonne douche.      Pour la paella, il est décidé de laisser Damien s’asseoir à table, il a mérité une pause syndicale. La nuit se terminera au bord de la piscine où le chien a appris la brasse coulée et la pipe coulée. La problématique fut que l’eau de la piscine et la bière cela donne des envies. Maître Max se rend au donjon pour aller chercher la chaise percée. Installée dans le gazon, avec un système d’évacuation humain, la lope prend plusieurs douches....   Sa soirée est loin d’être terminée, Mamadou a encore des envies. L’orgie se termine tard dans la nuit après de multiples « « échanges » » sur le sling et sans couche pour Damien, il est trop tard pour aller en acheter. De fait, il peut sortir à quatre pattes pour aller une lever dehors. « Si je te vois te lever comme un humain, je te fouette les couilles » lui avait indiqué Maître Max. Autant dire que le toutou a été obéissant.   Le lendemain, après s’être bien défoulés, amusés dans le donjon et le jardin, nos acolytes font du tourisme conventionnel ou presque puisque c’est avec un gros plug que Damien fera la visite. Ils se rendent au monastère de pierres, un lieu méritant grandement le détour. Ils profitent également de l’immense parc verdoyant et de ses cascades. Marc leur avait conseillé de bien se chausser car il faut crapahuter un peu, cela va avoir de l’importance pour les aventures de Damien. Même si les arbres et les cascades rendent la visite agréable, les chaussettes sont montées en odeur comme le constatent les Maîtres dans la voiture pendant le retour. Arrivés au gîte, prises sur la terrasse, les bières bien fraîches sont salutaires pour nos assoiffés. Damien pourra en boire une quand il aura léché les pieds déchaussés et dépourvus de chaussettes. Ils les a trouvés « salés », allez donc savoir pourquoi ! Après une bonne douche, nos acolytes prennent un peu de bon temps dans la piscine où, Damien se doit de faire un peu de plongée pour lécher ci et là^^^. N’ayant pas envie de faire des courses, Damien n’aura pas à cuisiner puisqu’ils se sont fait livrer des repas à 9,50 euros. Si le repas du chien n’a pas été mixé ni mis en gamelle, puisque les Maîtres avaient oublié ce détail, la lope mange malgré tout à quatre pattes sous la table. Nous dirons que ce n’est pas parce qu’ils manquaient de place, mais que c’était juste pour lui faire plaisir... Le donjon et sa chambre Love sont un peu comme des aimants pour nos acolytes. A peine entrés, Damien est placé puis entravé sous la chaise percée servant de toilettes humaines. Sa mission est simple, préparer les culs de sa langue et, il l’espère, ne pas avoir à les nettoyer après usage. Il n’en nettoya que deux sans trop de résistance, un pied posé sur vos testicules, cela motive. Nos acolytes s’étant éclatés entre eux, la fatigue aidant, ils s’occupent rapidement de la lope pour qu’elle ait un minimum de plaisir, mais à leur façon... Traduction ? Sur l’étagère aux accessoires, ils avaient repéré le masque permettant de fixer des chaussettes ou slips parfumés sur le visage d’une personne. Maître Max propose généreusement de prêter son slip et une de ses chaussettes afin que la lope profite de lui toute la nuit et ne se sente pas abandonné. - Tu ne te sentiras pas abandonné puisque tu vas pouvoir me sentir toute la nuit ! Lui indique Maître Max en faisant bien rire ses complices. Pour qu’il ne pourrisse pas le lit, il doit mettre une couche avant d’être entravé bras et jambes écartées avec son masque aux fragrances humaines bien serré. La nuit parfumée de Damien n’est qu’une mise en bouche car Maître Max a des projets pour lui le lendemain. Au petit matin, après avoir pissé dehors, il vient le libérer du lit pour le mettre à quatre patte avant de le faire un bondage l’obligeant à n’évoluer qu’en chien. Pour cela il lui attache les jambes une par une avant de lui poser des menottes qu’il passe dans son collier. Après quoi, il lui retire le masque avec son slip et sa chaussette mouillée puis la couche pleine d’urine. Cette dernière est alors placée sur son visage et fixée avec du scotch d’emballage. - Pour te faire plaisir, et surtout pour que tu ne dises pas que je ne suis pas gentil, je vais placer les clés des menottes aux pieds de la table qui se situe dans la cabane naturelle au fond du verger. A ton retour, tu pourras déjeuner et prendre une douche. Attends, on ne peut pas te laisser le cul exposé à l’air, il faut le combler un minium. Cette queue de chien t’ira à ravir, en plus le rosebud est petit, c’est à peine si tu le sentiras passer. Bonne balade la lope ! Conclu Maître Max avant d’aller se faire un café. Si il aime bien se faire loper et faire le chien, le pauvre Damien n’est pas au bout de ses peines. En effet, la couche détrempée posée sur son visage ne lui permet quasiment pas de voir. A cela se rajoute que, pour aller au fond du verger à quatre pattes, le trajet va être fort long. C’est lorsqu’il quitte la terrasse où il a été soigneusement équipé, qu’il prend conscience que la rosée matinale va être infernale pour lui. Même si Marc entretient le verger quasiment comme le parc, les herbes y sont plus hautes. Mouillées et fraîches, elles deviennent cruelles avec lui. La lope transformée en chien est un train de vivre un de ses fantasmes, sauf que, le trajet fort long et avec les herbes mouillées, cela change la donne et c’est de suite moins amusant. En plus, l’herbe fraîche cela donne envie de pisser. C’est à mis chemin, fatigué et surtout par manque de courage qu’il se soulage comme une chienne. C’est dans ce moment d’abandon que sa queue décide de faire bande à part. Cela l’inquiète car Maitre Max risque de ne pas apprécier et de le punir pour ça si il l’apprend. Bien décidé à éviter la punition, Damien presse le pas, ou plutôt, les pattes. C’est en arrivant à la table placée sous la cabane naturelle, qu’il découvre quarante minutes plus tard que Maître Max ne lui a pas laissé les clés des menottes. Serrer les fesses en revenant ne suffira pas à son anus, « bien usiné » les jours précédents à contenir son envie naturelle dit « solide ». Pour ne pas arriver le cul crade, il en est réduit à se frotter comme une chienne en chaleur dans les herbes. C’est en puisant dans ses réserves de courage qu’il reprend son périple canin. Au passage, il récupère la queue de chienne par très propre qu’il nettoie dans les herbes afin que Maître Max ou ses complices ne lui fassent pas laver avec sa bouche. Tant bien que mal, c’est vers 9h30 qu’il arrive à la terrasse du gîte où les acolytes prennent leur petit déjeuner. C’est après presque deux heures de marche en chien qu’il est libéré et peut enfin boire ! Boire et déjeuner, après l’effort un peu de réconfort ne peut pas faire de mal, a estimé Maître Max. - Bien la lope, il ne te reste plus qu’à ranger tes affaires et à faire le ménage, qui, je te le rappelle, est à la charge des locataires. Je t’invite à ne pas trop tarder car nous devons rendre le gîte et le donjon en parfait état de propreté. Je subodore sans trop de risque d’erreur, que Marc se ferait un plaisir de te punir au fouet si c’est mal fait. Je te laisse imaginer sa réaction si je lui disais que tu as mal fait le ménage par pure provocation... ! Lui indique Max avant d’aller faire quelques achats chez ABCplaisir. C’est avec une pointe de regret et après l’état des lieux sans imperfection...., qu’ils prennent le chemin du retour. Par prudence, la lope ne conduira pas, mais sur l’autoroute, à l’arrière entre les sièges, elle officiera un peu de la bouche.   FIN TSM - Si Marc existe réellement - Si le gîte fétichistes existe réellement - Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes - Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes
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Par : le 20/05/23
Il fait froid et j'ai peur. Soudain, j'entends des sirènes de police ! Je m'accroupis, sans bouger. C'est foutu ! Ils vont me rattraper et me faire payer ma fugue et... Je sens une présence. Summer est arrivée sans que je l'entende et elle me dit à l'oreille : — Je vais te prendre par la main et on court. OK ? — Ouiii... On se lève en même temps et on détale... Les sirènes beuglent toujours et en plus, il y a des lumières clignotantes. On arrive sur un quai. Un homme debout sur une échelle m'aide à descendre dans un bateau, Summer me suit et l’embarcation démarre. Je me colle à Summer. Ce bateau file à une vitesse folle ! Je suis avec Summer et on s'enfuit ou je délire ? Je suis peut-être blessée par les balles des flics et je délire. Je prends une giclée d'eau de mer dans la figure, je suis bien réveillée. Difficile de parler, il y a le bruit du moteur et du vent. J'ai lu un article sur les "speed boats" des passeurs de drogues. Ils ont des moteurs de centaines de chevaux pour échapper aux garde-côtes. On est sûrement dans un de ces bateaux. Il fait froid et je suis mouillée... On navigue à toute allure pendant un bon quart d'heure. Le jour se lève et je distingue une plage au loin. Arrivé à une cinquantaine de mètres de la plage, le bateau stoppe et Summer me dit : — On saute ! — Mais... Elle me prend par la main, on monte sur le bord et on saute. Je suis un moment tétanisée par l'eau froide et puis Summer me crie : — Nage ! Heureusement qu'elle m'a appris ! Elle nage à côté de moi... si les requins ne me bouffent pas, c'est l'hypothermie qui aura ma peau ! Non, j'ai bientôt pied. Summer me tire sur la plage. Il n'y a personne à cette heure-là, à part un homme qui vient à notre rencontre. Summer et lui s'embrassent et se parlent en espagnol. Elle ouvre le sac qu'il lui donne. Elle me tend des vêtements, en disant : — Tu enlèves tes vêtements mouillés et tu mets ceux-là. T’as 5 minutes ! Je me dépêche d'obéir. Je mets un jean un tee-shirt, une veste et des baskets. Summer est habillée de la même façon, sauf que je la vois glisser un revolver dans le jean à hauteur de ses reins. Je fais tout ça mécaniquement, il y a trop de choses qui sont arrivées trop vite... C'est un peu comme si j'étais spectatrice de ce qui m'arrive. Elle embrasse l'homme en disant : — Merci Diego, on se voit bientôt. — Que Dieu vous garde. Oh oui ! Ça, c'est une bonne idée !! On quitte la plage et on va sur la route du bord de mer. Je commence à lui dire : — Je savais que tu... Elle me coupe : — Plus tard. Pour le moment, on doit faire de l'autostop jusqu'à la station. Je ne pose pas de questions. Avec Summer, ça vaut mieux. Eh ! Je suis libre... Enfin, j'ai une maîtresse, mais je l'ai choisie. Justement, elle me dit : — Ouvre ta veste pour montrer tes nichons. Je les exhibe, bien mis en valeur par le mince tee-shirt. Il n'y a pas beaucoup de voitures, mais la première s'arrête. Summer explique au chauffeur : — On doit aller à la première station d'essence sur la route de Mexicali. — Désolé les filles, je ne vais pas par là. — Et si elle te fait une pipe ? Tout ça en espagnol, bien sûr. Je ne parle pas aussi bien que Summer mais je comprends que je devrai faire : une pipe a un vieux Mexicain. Je sais, quand on a sucé la bite d'un tout vieux minou, on ne fait pas les difficiles. Le mec répond : — Une pipe et voir ses seins. Summer tend la main, il la serre, elle vient de me vendre. Enfin, de me louer. Mais comme elle m'a sauvé la vie, elle a tous les droits. De Tijuana plage, on se dirige vers Tijuana ville, puis on arrive au début de la route de Mexicali. L'homme s'arrête sur le parking d'une station d'essence. Summer lui dit : — T'as un quart d'heure, ça va ? — Oui Madame. Puis à moi : — Fais ça bien, il faut laisser un bon souvenir. — Oui Summer. Pourquoi laisser un bon souvenir ? Peut-être... pour qu'il ne nous dénonce pas, s'il voit ma photo à la télé ? Bon, je relève mon tee-shirt et aussitôt, le vieux bonhomme se transforme en bébé assoiffé qui me tète vigoureusement. Est-ce la fatigue, le stress, la joie d'être là, mais ça m'excite. Quand il m'a bien... tétée, il recule son siège et sort son sexe de son pantalon. Prendre le sexe d'un inconnu dans la bouche, c'est souvent une mauvaise surprise. D'accord, le gars ne s'attendait pas à se faire sucer à 7 h du matin... Après un début pénible, je le suce tout en comptant et recomptant ses couilles : ça reste deux mais ça l'excite. Il ne faut pas dix minutes avant que l'homme ne jouisse dans ma bouche. Comme je ne veux pas faire de taches de plus sur son pantalon, j'avale tout. Quand je relève la tête, je vois Summer qui a assisté à la fin de la fellation. L'homme lui dit : — C'est une championne du monde, ta copine. — Merci... Dites, une chose nous ferait plaisir : vous ne nous avez pas vues. — J'ai dû m'arrêter pour prendre de l'essence, je n'ai vu personne. — Merci. Au revoir, Monsieur. — Au revoir les filles et merci petite, ta bouche est un cadeau de Dieu. Ouch ! Je n'aime pas beaucoup qu'on mette Dieu dans une situation aussi scabreuse. On va dans le magasin de la station. Ce n'est pas les USA, ici, il n'y a pas grand-chose. Summer achète des pâtisseries, deux Cocas et on va s'installer à une petite table. Je mange goulûment parce que j'ai faim et puis parce que je préfère avoir un goût de sucre dans la bouche qu'un goût de... bite ! Comme je ne dis rien, ce qui est inhabituel, Summer me demande : — Tu voulais rester au festival ? — Non, mais je ne réalise pas encore bien... C'était très dur, ce festival et ce Valdès... — Tu as été fouettée ? Tu as des marques ? Je ne réponds pas. Voilà pourquoi je ne veux pas discuter avec elle ! Elle ajoute : — Si tu préfères, je te donne tes papiers et tu vis ta vie. — NON ! Non, juste le temps de... bien réaliser. — Donc tu restes avec moi et tu m'obéis ? — Oui... — Mieux que ça. — Oui, je veux rester avec toi et j'obéirai comme toujours. Ça, c'est fait ! Summer regarde l'heure et dit : — Ils doivent être là, viens. On va vers un coin du parking... Il y a vieux camion. À l'arrière, il est écrit : "Transport de bétail" et en dessous, on a écrit grossièrement à la peinture noire "et d'esclaves." Summer fait un signe aux deux hommes qui sont dans le camion. Ils nous rejoignent et elle me dit à l'oreille : — Fais comme moi et tais-toi. Elle se déshabille, moi aussi. Quand on est nues, les deux hommes nous mettent des colliers d'esclave autour du cou. Summer me dit tout bas mais en articulant bien : — Ce - sont - des - faux. Ils nous font monter dans le camion à l'aide de grandes claques sur les fesses. Normal pour aider des esclaves. À l'intérieur, l'odeur est forte. Des esclaves sont attachées par des menottes à deux barres qui se font face, à 30 cm du toit du camion. Elles ont donc les bras à moitié fléchis. D'un côté, il y a cinq filles et de l'autre, trois. Les hommes nous attachent à cette barre. Dernière claque sur les fesses et ils s'en vont. Le camion démarre et on perd l'équilibre, toutes pressées les unes contre les autres. Je remarque que plusieurs filles ont été fouettées. Il faut que je réfléchisse vraiment très fort, cette fois-ci. Pourquoi voyager en tant qu'esclaves au milieu des esclaves ??? Summer me glisse à l'oreille : — Rien de mieux pour passer inaperçues. Summer lit en moi comme dans un livre ouvert. À chaque cahot, on est secouées et quand le camion freine ou accélère, on se retrouve à nouveau les unes contre les autres. Ça sent le fauve dans le camion ! Summer me laisse me coller à elle... On ne voit rien, évidemment... À un moment, on entend des bruits de circulation. On passe peut-être par Mexicali. On roule pendant des heures... On finit toutes par pisser debout. J'ai mal aux poignets, j'ai faim, j'ai soif. Des heures après notre départ, le camion s'arrête. Les hommes ouvrent les portes arrières et nous enlèvent les menottes. On descend de cette saleté de camion. Oh ! On est au bord de la mer et même d'une plage. C'est le début de l'après-midi. Il y a des gens sur la plage, des familles, des gens qui nagent... Au loin, on aperçoit une petite ville qui s'étire le long de la côte. Le chauffeur nous dit : — Voici ce que vous allez faire, écoutez bien : 1 - Vous allez remplir ces seaux d'eau de mer. 2 - Avec des brosses et cette poudre, vous nettoierez soigneusement le camion. Celle qui ne le fait pas à fond sera fouettée et croyez-moi, je sais repérer les paresseuses. 3 - Quand le camion est impeccable, vous prenez toutes un morceau de savon, du shampoing et vous allez vous laver dans la mer. Celle qui ne sentira pas la rose sera fouettée et j'ai le nez fin. 6 - Toutes celles qui ont bien nettoyé et qui seront propres recevront à manger. Exécution ! On se précipite sur les seaux et on va les remplir d'eau de mer. Les gens qui sont sur la plage viennent regarder le spectacle et faire des photos. Une grosse femme dit : — C'est indécent, ces filles nues. Un homme lui répond : — Ce sont des esclaves. Tu ne vas pas mettre un caleçon à ton chien. Ça fait rire les gens, pas nous, les esclaves. Quand on a rapporté assez de  seaux d'eau, c'est Summer qui nous dit ce qu'il faut faire : — D'abord on va nettoyer les parois et le dessus, ensuite les barres. Quand c'est fait, on nettoie le plancher. Toutes, on y va au fond. On a faim et pas envie d'être fouettées. Les hommes ont pris des fouets et chaque fois qu'ils les font claquer derrière nous, on pousse un petit cri. Ça amuse les spectateurs. En 20 minutes, le camion est comme neuf. Enfin, c'est toujours un vieux camion... En tout cas, il ne pue plus. Le chauffeur crie : — À vous maintenant. On court dans la mer... Oh, ça fait du bien... On s'éclabousse un peu, puis on se savonne et on se lave les cheveux. Le savon ne mousse pas bien dans l'eau de mer mais on est bientôt propres. Un des hommes siffle et on accourt, ruisselantes. Les spectateurs mitraillent. Je suppose que ça n'a plus d'importance si je suis sur les photos. Les hommes ont déballé le repas : des galettes de maïs, des fruits, du fromage en portions et le mieux : des barres chocolatées. Tout est en vrac sur un bout de drap. C'est de nouveau Summer qui joue le rôle de "première fille", la chef des esclaves. Elle dit : — Personne n'y touche, on partage. Elle fait des tas qu'on vient prendre. On mange toutes goulûment. Les hommes apportent des bouteilles d'eau. J'aurais préféré de la bière... Quand on a mangé et bu, on regarde les hommes, en se demandant ce qui va se passer. Le chauffeur nous montre une barque de pêche qui arrive en disant : — Montez dans ce bateau. Quel voyage depuis Vegas ! Il y a trois pécheurs à bord de la barque. Ils nous aident à monter, en nous pelotant. Le bateau part et on se rapproche de l'île qu'on voyait du bord. Il y a une très grande propriété entourée de murs. Ce qui surprend, c'est qu'autour de cette propriété, ce n'est pas le désert ou quelques maigres plantes, mais au contraire une végétation tropicale. Le bateau se range le long d'un ponton de bois. On descend toutes à terre. Un garde arrive à notre rencontre et nous dit : — Sur une rangée, face à moi. Quand c'est fait, il regarde sur une tablette et il nous désigne, Summer et moi, en disant : — Vous deux, suivez le sentier et attendez devant le portail. Ouf ! La comédie des esclaves va se terminer... Enfin, j'espère. Dès qu'on est devant le haut portail, il s'ouvre et une esclave nue se plie en deux en disant : — Bienvenue Mademoiselle Summer. Je dois enlever vos colliers. Alors ça, on ne demande pas mieux. Quand c'est fait, elle nous dit : — Veuillez me suivre, je vous prie. A suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin. Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search    
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Par : le 20/04/23
Vacances épuisantes en gîte fétichiste Lucie est une femme coquine, pas une salope, ne pas confondre. Elle aime les plaisirs de la vie, le BDSM, le bondage mais ne se donne pas au premier venu. Comme beaucoup de femme, elle s’est offert quelques sextoys. Elle a également joué à s’attacher un peu toute seule pour jouer avec le bondage et ses sextoys pour « s’obliger » à jouir un peu plus longtemps. Ses petits selfbondage étaient très simples, comme attacher ses chevilles et ses cuisses avec des ceintures après avoir mis un petit plug anal, puis un vibro dans son chaton. Le plus compliqué de ses selfbondage a été d’oser mettre des menottes mains dans le dos et de s’allonger sur le ventre pour s’abandonner à ses sextoys. Les clés des menottes étaient tout simplement posées sur la table de nuit. Si ses petits jeux coquins étaient très sages, chaque fois dans son esprit coquin, les fantasmes l’étaient beaucoup moins. Qui n’a pas de fantasmes me direz-vous ?  Lorsqu’elle a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste accordant une attention particulière aux célibataires, cela l’a titillée. En s’imaginant dans les jeux possibles décrits pour les couples et les hommes seuls, il lui venait des fourmis dans son petit bedon.... Elle s’est donc lancée dans une étude approfondie à la version enquêteurs de police sur les propriétaires du gîte. Les 60 évaluations faites sur le profil de TSM étaient pratiquement toutes dans le même sens. « Un sadique pervers à la fois très respectueux et accueillant ».  Joueuse mais prudente, Lucie a donc pris un abonnement sur Fessestivites pour contacter les femmes ayant fait des évaluations sur son profil. Toutes les filles lui ont répondu qu’elle ne risquait rien, hormis s’éclater, découvrir et s’amuser en toute simplicité. Aussi frileuse qu’excitée, elle l’a donc contacté par messagerie pour avoir plus d’informations sur ce que son gîte fétichiste pouvait proposer comme « loisirs ». Sa réponse a été simple ! - Vous pourrez faire tout ce que vous rêver de vivre et faire seule en étant assistée, accompagnée, guidée et surtout sécurisée. Exemple, si vous rêvez d’essayer une camisole de f o r c e, vous l’enfilez, je ferme la camisole et vous me dites combien de temps vous désirez restée prisonnière. Cela peut être aussi de dormir enfermée dans une cage, de rester une heure nue au pilori, à chaque fois, c’est vous qui décidez. Je peux également vous prêter du matériel pour faire du selfbondage, vous donner des idées de scénarios mais ne jamais entrer dans votre gîte. L’avantage est que si je ne vous vois pas à midi par exemple, je viendrai voir si vous êtes bloquée et en perdition. En clair, ma femme ou moi-même pouvons être la personne de confiance à qui vous pouvez tout dire. Convaincue qu’elle ne risquait rien et que sa vie ne serait pas en danger, Lucie a donc fait une réservation comme si elle se jetait à la mer.    Trois moins plus tard, et après des rêves érotiques fous et quelques cauchemars, c’est dans la parking de l’aéroport qu’elle rencontre l’agitateur de mauvaise conscience. Venu en ville faire trois achat pour son gîte, il lui a proposé de la récupérer à l’aéroport pour lui éviter d’avoir à payer un taxi. Les discussions pendant le trajet dans le 4x4 poussiéreux, finirent de lever ses craintes. TSM est un gentil taré bourré de très mauvaises et surtout, perverses idées. En rencontrant son épouse Malicia, pour l’apéro de bienvenue, elle constata qu’il n’était pas le seul à avoir des idées perverses. Pendant que TSM terminait la préparation du repas, Malicia lui fit visiter les lieux et l’accompagna à son gîte. Les discussions furent coquines, entre filles on se lâche un peu plus. Pendant le repas, elle eut des explications sur des fétichismes qu’elle connaissait très peu ou ne comprenait pas comme l’ABDL. C’est au dessert qu’elle avoua qu’elle manquait d’idée pour l’après-midi. C’était une vraie fausse mauvaise bonne idée que de dire cela à TSM ! ! ! - Je vous propose de vous accompagner à votre gîte pour vous préparer un plan qui finira de vous achever après la fatigue du voyage. Cela peut être très jouissif..... Rassurez-vous, je ne fais que tout installer et je vous abandonne pour aller faire ma sieste ! Répondit TSM. Peu rassurée elle accepta cette proposition. Il prit une serrure de glace de deux heures et, habitué aux lieux, il ne lui fallut que très peu de temps pour faire une installation sur le lit avec tout ce qu’il faut pour qu’elle se fasse plaisir. - Je vous explique le principe. Vous mettez ce que vous voulez dans vos orifices, vous garder une culotte pour bloquer le magic wand massager en bonne place. Ensuite vous attachez vos chevilles dans ces bracelets, vous attachez votre main gauche dans ce bracelet avant d’allumer vos jouets et de menotter votre dernier poignet ici ! Lui indiqua TSM avant d’ajouter : vous pouvez également vous mettre des pinces à sein et une cagoule qui vous aidera à mieux fantasmer. Si vous n’avez pas de question, je vous laisse vous installer ? - Si j’ai une question. Comment s’ouvrent les menottes ? - Cette petite boite noire est remplie de glace. Quand elle sera fondue, elle libèrera votre poignet. Vous pourrez alors vous libérer, c’est aussi simple que ça. - Merci, vous pouvez me laisser ! Répondit Lucie toute rouge de honte. A peine était-il sorti et enfin seule, elle se précipita vers le placard à sextoys. Rien que de les toucher la faisait mouiller. Elle mit un préservatif sur un plug anal de taille modeste, sur le vibro qui n’allait pas tarder se retrouver au chaud.... Au cas où, elle prit aussi des pinces à sein légères car la douleur pure, n’est pas son truc ainsi qu’un petit bandeau pour ses yeux de biche. Après s’être dévêtue, hormis la culotte comme conseillé, elle ne tarda pas à combler ses orifices très demandeur, surtout celui de devant... Lucie prit place sur le lit pour entraver ses chevilles. A la suite de quoi, elle s’allongea pour entraver son poignet droit. L’excitation étant à son comble, elle le détacha pour se mettre les petites pinces à sein. Elle finalisa son selfbondage après avoir allumé le petit vibro et le gros magic wand puissance 10 logé dans sa culotte. « Ouhaou, cela va être géant » pensa aussitôt Lucie. Son esprit coquin ne tarda pas à se mettre en route. L’amant de ses rêves venait la « sauter » avant de la livrer en pâture à ses amis. Ce fantasme n’est réellement qu’un fantasme car elle n’accepterait pas ce genre de pratique. Par contre, dans les fantasmes on peut y mettre ce qu’on veut pour délirer, s’envoler et jouir. En agitant ses reins comme si son amant la prenait sauvagement, elle agitait aussi le vibro et le plug. Ces actions, cumulées aux vibrations et au magic wand massager puis au fait d’être réellement attachée, la firent rapidement monter « dans les tours ». Le premier orgasme fut géant même si elle aurait bien aimé que les sextoys vibrants lui accordent une pause. Le deuxième orgasme ne tarda pas à pointer son nez. Le troisième la mit dans un état de transe. Son corps lui échappait, elle criait son plaisir et tremblait sans discontinuer. Au quatrième elle hurla sa jouissance, chose qu’elle n’avait jamais fait étant plutôt discrète au lit.. « Déglinguée » et en perdition totale, elle commença à subir les effets des sextoys. « Subir » est un bien grand mot, disons qu’elle aspirait à une pause syndicale qu’ils ne semblaient pas vouloir lui accorder ! « Je me fais un gang bang BDSM toute seule » pensa Lucie continuant d’enchaîner contractions sur contractions. Une heure plus tard, les batteries du vibro et du magic wand massager finirent par rendre l’âme, laissant ainsi une pauvre fille épuisée de jouissances entravée bras et jambes en croix sur le lit. Lucie sombra dans les bras de Morphée pour un sommeil profond sans rêve. C’est en se tournant comme quelqu’un qui dort qu’elle se réveilla. Pendant une seconde, elle s’affola d’être entravée avant de se rendre compte de la situation. Son poignet droit était libre, elle pouvait se délivrer. Si cela fut facile à faire, le retrait des pinces à sein lui parut soudainement très hard. Une douche salutaire s’avéra obligatoire ! C’est là qu’elle découvrit qu’il y avait aussi des anneaux dans les murs, même dans la salle de bain. « C’est vraiment une maison de fous » se dit-elle. Lucie prit conscience qu’elle était restée entravée trois heures au total. Malgré ses tétons très sensibles elle enfila un tee-shirt puis une jupe pour aller prendre l’air puis prendre un verre avec Malicia. - Alors, c’était bien ? Lui demanda Malicia. - Superbe, j’ai cru mourir deux ou trois fois, votre mari est un vrai malade mental ! - Je sais, c’est aussi pour ça que je l’aime !         - Il vous l’a fait aussi ? - Oh, il m’a fait bien pire ! La discussion entre filles continua sur le sujet un moment mais elles refusent que j’écrive ce qu’elles se sont dit. Croyez-moi sur parole, entre elles les discussions sont parfois chaudes... N’ayant pas envie de cuisiner, Lucie avait annoncé qu’elle prendrait tous ses repas au gîte. Elle partagea donc celui du soir en mauvaise compagnie et put même assister à la fessée de Malicia, une injustice évidente car c’est une perle. En même temps, en voir une en vraie lui donna des envies, mais elle n’osa pas l’avouer. TSM lui demanda si elle avait des projets coquins pour la soirée ou la nuit comme si il lui demandait si elle voulait faire du tourisme ou des courses !  - Non, je n’en ai pas mais si vous avez des idées, je n’aurai rien contre des propositions ! Répondit Lucie un peu gênée. - Arrêtez de rougir, ici rien ne nous choque. Vivez vos passions ou essayez des trucs, ne soyez surtout pas gênée, cela fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres. Je suis le propriétaire de Fessestivites et Abkingdom, autant dire que vous pouvez vous lâcher et nous parler librement de tout.  Ne connaissant pas Abkingdom, Lucie voulut en savoir un peu plus sur l’ABDL. TSM lui expliqua la différence entre AB qui signifie adult baby puis l’âge-play avant d’aborder le côté DL qui signifie diaper lover. Il aborda aussi le côté little, petite fille ou petit garçon, une autre forme de régression. Il précisa que c’était quelque chose à découvrir, à essayer au moins une fois pour voir car les sensations, les émotions ressenties ne tuent pas ceux qui essaye pour voir. Il précisa que c’est un fétichisme honteux pour beaucoup alors qu’il n’y a aucun mauvais fétichisme. - Il n’y a pas de mal à se faire du bien et à s’accorder des plaisirs quels qu’ils soient. Certains aiment la fessée, d’autres les pieds, d’autres les collants ou le latex, d’autres le libertinage, d’autres le BDSM, où est le mal à aimer pratiquer quelque chose qui fait du bien et ne dérange personne ? Vous devriez essayer au moins une fois l’ABDL, je peux vous faire dormir en couche enfermée dans un lit de bébé. Si je précise enfermée, c’est parce que je sens bien que les jeux de contrainte vous amusent. Rien ne vous y oblige, vous pouvez aussi refaire du bondage pour la nuit. - Heu, je crois que pour aujourd’hui, le bondage et les sextoys on va oublier ! Répondit Lucie avant de demander à Malicia si elle aime l’ABDL. - J’ai essayé pour voir, non ce n’est pas mon trip mais je confirme, il y a des passionnées. Essayez pour voir, vous verrez bien ! Répondit Malicia. - Et qui est-ce qui me met la couche ? Demande Lucie. - Vous mais je peux vous aider si vous ne vous en sortez pas toute seule ! Répondit TSM. - Vous n’êtes pas jalouse qu’il fasse ça ? Demanda Lucie étonnée. - Absolument pas, où est le mal ? Il ne baisera pas avec vous, il vous fera la même chose qu’un infirmier ! Répondit Malicia.   - Ecoutez Lucie, je vous propose de vous organiser une nuit de douceur sous la contrainte pour vous faire découvrir l’âge-play comme si vous y étiez obligée. Vous mettez seule votre couche, j’attends devant la porte du gîte et je n’entre que quand vous m’y invitez. A partir de là, je vous verrai avec une grosse culotte. Cela vous va ? Rouge comme une écrevisse, Lucie abdiqua. Une heure plus tard, TSM pénétra donc dans le gîte de Lucie après y avoir été invité. Il la fit s’allonger sur le lit pour arranger les attaches de la couche, puis lui faire enfiler une culotte en plastique. - Bien, la petite fille est protégée pour la nuit. Maintenant il faut l’habiller pour qu’elle n’ai pas froid. Regardez ce que j’ai prévu pour vous ! Indiqua TSM ou ouvrant un sac de voyage avec une grenouillère et un body. Que préférez-vous, la grenouillère ou le body ou les deux ? Lucie prit la grenouillère qu’elle enfila toute seule un peu gênée par cette aventure. - Vous êtes toute mimi comme ça, allez bébé, entrez dans le lit qui est sous le grand lit dit TSM en tirant un grand tiroir s’avérant être un lit une place sur roulette. Vous avez un doudou ou je vous en prête un ? - J’en ai un répondit Lucie en rougissant. Il est dans ma valise, vous pouvez l’attraper ? TSM alla donc chercher le doudou de la grande fille et le lui donna avant de pousser le lit à roulette sous le grand lit. A la suite de quoi, il souleva le tissu du côté du lit permettant à Lucie de voir à travers les barreaux d’un lit de bébé. - Je vous ai prévu de quoi vous désaltérer et de quoi vous aider à dormir ! Lui indiqua TSM en lui donnant une tétine et un biberon d’eau. A qu’elle heure voulez-vous que je vous libère ? - Comment ça me libérer ? - Parce que je vais fermer le lit à clé, sans quoi vous allez tricher ! - Est-ce obligé ? - Non ici, rien n’est imposé mais vous devriez m’écouter et tester réellement ! Prise dans la tourmente des évènements, elle accepta de se laisser enfermer jusqu’à huit heure. TSM lui laissa le bouton d’une petite veilleuse avant de quitter les lieux en lui souhaitant bonne nuit. La première chose que fit Lucie, c’est de toucher entre ses jambes, avoir ce gros truc entre les cuisses la perturbait un peu. « Je suis folle d’avoir accepté » dit Lucie à son doudou. Pour jouer un peu, elle prit la tétine en câlinant sa peluche délavée et usée par des nuits de câlins. A la suite de quoi, elle testa le biberon et trouva ça très pratique pour boire la nuit. Malgré la sieste crapuleuse, Lucie ne tarda pas à éteindre la lumière et s’endormir. Vers trois heures du matin, c’est une envie pressante qui la réveilla. Si enfermée dans ce lit cage elle se sentait protégée de l’extérieur, le dit lit l’empêchait d’aller aux toilettes. « Le sadique avait raison, j’aurai triché si il l’avait laissé ouvert » se dit Lucie. Sauf que, elle parvint pas à se soulager dans la couche. Une sorte de blocage psychologique l’empêchait de se libérer. Au plus on pense à l’envie de faire pipi, au plus..... elle travaille vos méninges. Vers quatre heures du matin, après en avoir parlé avec son doudou, elle finit par se dire que faire quelques gouttes dans sa couche ne la tuerait pas. Oui mais entre le dire et pouvoir le faire..... ce n’est que vers quatre heure et demi qu’elle parvint à faire quelques gouttes, enfin, les première parce qu’un fois ouverte, sa vessie refusa de se refermer. C’est ainsi que, seule dans son lit avec personne pour la regarder, que Lucie découvrit que se lâcher dans une couche ce n’est pas si désagréable que ça. « Tu ne le diras à personne hein » ? demanda Lucie à son doudou qui, évidement, promis de garder le secret. C’est ce pipi couche qui déclancha quelque chose d’inexplicable dans la tête de Lucie. Elle se rendormit avec son doudou dans les bras et en suçant son pouce. - Coucou Lucie, il est huit heure. Je vous ai apporté le petit déjeuner, tout est sur la terrasse. Je vous ouvre et vous laisse tranquille. Gardez encore un peu votre couche pour le petit déjeuner, cela vous permettra de continuer à découvrir ce monde. Après votre douche, vous la mettrez dans un sac en plastique que vous fermerez bien avant de la mettre dans la poubelle. Ensuite, vous pourrez venir nous voir ou profiter de la propriété. L’eau de la piscine est à 25, si cela vous séduit, vous pouvez aller vous baigner en maillot ou nue, ici les seuls voisins que nous avons ce sont les oiseaux. Bonne journée grand bébé ! - Je ne suis pas un bébé !  Cria Lucie amusée par le côté ultra décontracté de TSM. Au lieu de se lever, Lucie se laissa aller à farnienter un peu au lit, il est vrai que sa nuit avait été écourtée. Si bien qu’elle s’accorda un deuxième pipi couche sous sa couette en se disant que le matin, pour la grasse matinée, ce truc était bien pratique puisqu’il n’y a plus l’obligation de se lever. Une demi heure plus tard, elle poussa un cri de peur quand un chat vint lui faire un câlin. Il y en a quatre, c’est Princesse Chipie la toute blanche à poil long qui était venue lui rendre visite. Son cri lui ayant fait peur, l’adorable chatte s’était enfuie. Arrivée sur la terrasse, Lucie quitta immédiatement sa grenouillère pour cause de chaleur. « Douche de suite ou café d’abord » se demanda t’elle. Café fut la priorité qui s’imposa à elle. Lucie prit conscience qu’en ce lieu de perdition appelé gîte fétichiste, qu’elle pouvait vraiment se lâcher, qu’elle ne serait pas jugée par les envies qu’elle avait, surtout une. Elle avait envie d’essayer la machine à baiser sur le cheval espagnol que lui avait montré Malicia. Après avoir pris son petit déjeuner accompagné par le chant des oiseaux, elle retira la couche pour aller aux toilettes puis prendre une douche. Evoluer nue dans cette ambiance décontractée lui plut. C’est donc intégralement nue qu’elle osa se rendre à la piscine pour piquer une tête et faire quelques brasses. - Vous devriez faire attention au soleil, votre peau est blanche et vous risquez de prendre un coup de soleil ! Lui dit TSM passant devant la piscine. Gênée par sa nudité, elle attrapa rapidement sa serviette pour se cacher. - Vous êtes vraiment timide ou simplement pudique ? Ici c’est naturiste, donc si vous voulez évoluer nue, ne vous inquiétez pas, on s’en moque ! Lui indiqua TSM amusé. - Oh ça va vilain pas beau ! Répondit Lucie provocatrice. - Si vous avez envie d’une fessée, cela peut s’arranger vilaine ! Répondit TSM avant de l’inviter à venir choisir les légumes du repas du midi dans son potager. - Dans cette tenue ? - Mettez la serviette autour de votre taille si vous voulez ! A l’aller, Lucie garda la serviette à sa taille, au retour elle était sur son épaule, cela l’avait agacée d’être obligée de la tenir tout le temps. En arrivant à la maison, il lui proposa un café ainsi qu’à Malicia. Assis sur la terrasse ils échangèrent sur les nouvelles expériences de Lucie qui finit par avouer, que c’était troublant sans rien dévoiler de plus. TSM et Malicia ne lui demandèrent aucun détail, leur but n’est pas de gêner les clients, bien au contraire. Lucie s’isola un instant avec Malicia pour lui avouer qu’elle essayerait bien le cheval espagnol. - C’est TSM qui s’occupe de ça, vous voulez que je lui en parle ?      - Heu.... - Arrêtez de faire la timide, éclatez-vous, profitez du gîte et de ses installations. Malicia lui expliqua que c’est son mari qui allait le préparer et lui permettre de s’installer seule dessus. «  Et zut » ! Se dit Lucie, « il faut que je me lâche, car je suis sûre que le sadique aura des idées perverses, plus jouissives que juste m’asseoir sur un gode qui bouge » Ce fut le cas ! Il lui installa la machine dans le gîte mais avec quelques variables à la façon TSM. Une fois qu’elle fut « empalée » sur le gode recouvert d’un préservatif, il lui attacha les chevilles aux anneaux du carcan, bloqua un magic wand massager sur le devant de la selle avant de lui demander si elle voulait être menottée. Elle refusa les menottes, c’était un peu « trop » pour elle de se faire attacher. Il l’abandonna donc pour retourner préparer le repas du midi. Lucie put donc commencer à jouer avec le variateur de la machine puis le magic sur son chaton en avançant sur la boulle, elle aussi recouverte d’un préservatif. Au bout d’un moment, elle regretta qu’il ne l’ait pas menottée car seule, elle n’arrivait pas à « s’obliger » à empiler les jouissances comme pendant sa sieste crapuleuse. Quand le plaisir était trop fort, elle jouait avec la télécommande de la machine puis avec le bouton du magic. Si elle avait été entravée..... Ce fut quand même bien bon ! Après le repas, vers 14 heures, TSM lui demanda si elle avait besoin de quelque chose avant qu’il aille faire sa sieste. Lucie voulu elle aussi faire une sieste « normale » avant d’être ouverte à une proposition de jeux. Il lui parla donc du principe du Bondage Walking en indiquant qu’il avait plusieurs jeux de pistes pour aller récupérer les clés des menottes ou cadenas des chaînes. - J’ai plusieurs jeux de piste, du simple au plus avancé mais comme vous avez le sens de l’orientation d’une fille, je pense que le simple serait bien pour vous ! - Mais vous êtes macho, une fille sait aussi très bien s’orienter qu’un homme ! Répondit Lucie. La provocation ayant fonctionné, il abdiqua et lui indiqua qu’il lui donnerait la fiche d’orientation après la sieste car à 15 heures, on ne fait pas de Bondage Walking en Espagne. Vers 17 heures, Lucie revint les voir pour lui dire qu’elle était prête à jouer et relever le défi. - J’ai déposé les clés sur le terrain, voici la fiche du jeu de piste pour les trouver. - Mais je ne vous ai pas dit ce que je voulais faire, comment savez-vous ce qu’il me faut ? Demanda Lucie. - J’ai un jeu de clés pour plusieurs cadenas et une paire de menottes, dites-moi de quoi avec vous besoin. Vous pouvez avoir 6 cadenas une paire de menottes et des chaînes. - Heu, je ne sais pas trop. Vous avez des idées ? - Je vous propose deux cadenas + une chaîne pour les chevilles afin de jouer le bagnard. Ensuite, vous pourriez vous faire une ceinture de chaîne qui devient un string. Là il vous faut 2 cadenas de plus. Je peux vous prêter un plug métal, il a un anneau que vous pouvez fixer à la chaîne avec un cadenas. Vous bloquez vos menottes mains dans le dos au niveau de la chaîne. Dans ce cas, il faudra fixer le plan dans une pochette plastique sur une de vos jambes puisque vous ne pourrez pas le tenir dans vos mains. La règle du jeu est simple. Si à 20 heures vous n’êtes pas rentrée, je viendrai vous chercher pour vous ramener. Dans ce cas, je vous verrai donc nue avec votre petit équipement...... Ah un truc j’ai de petite pinces à sein munie de clochette ou un collier lui aussi munie de clochette, que préférez-vous ? - Le collier, mes tétons ont déjà trop souffert ! Répond Lucie spontanément avant de comprendre qu’elle vient de se dévoiler encore une fois. - OK, allez dans votre gîte, je vous apporte tout ce donc vous avez besoin. Vous vous équiperez seule si vous le désirez ou, si besoin je peux vous aider. - Cela devrait aller, vos explications étaient très claires, je devrai m’en sortir ! Lucie ne prend pas conscience qu’elle perd beaucoup de temps en se préparant. Elle accroche le plan à sa cuisse droite par des bandes de velcros avant de verrouiller ses menottes mains dans le dos. Elle part seule et loin des regards de son gîte vers 18 heures. Marcher avec des chaînes aux pieds ralentit sa progression. La clochette fixée à son collier commence à l’agacer. A cela se rajoute que, lorsqu’elle se penche en avant pour lire le plan sans trop pouvoir plier sa jambe, elle tire sur la chaîne passant entre ses fesses et donc,...... sur le plug. Malgré ses petits inconvénients, Lucie trouve ce jeu très excitant. Elle s’imagine même dans ses petits délires qu’elle est le gibier d’une chasse à la femme. Quel dommage qu’elle n’ait pas assez d’amplitude pour pouvoir venir jouer un peu avec son petit bouton des plaisirs. Elle éclate de rire lorsqu’elle arrive à « la fontaine des assoiffés » comme indiqué sur le plan. Il s’agit d’un biberon attaché à un arbre avec de l’eau encore glacée. Elle descend de bon coeur les deux tiers du biberon. Au bout d’une heure d’aventure en pleine nature, Lucie commence à se traiter de folle et TSM d’enfoiré pour ses idées tordues. En effet, d’après le plan, c’est de l’autre côté de la petite vallée qu’elle devrait être. C’est donc toujours à petit pas qu’elle fait marche arrière sur 500 mètres et termine le biberon d’eau au passage. Alors qu’elle traverse la petite vallée, Lucie est rattrapée par une envie pressante. Chaînes aux pieds et mains menottées dans le dos, elle n’a pas trop envie de s’agenouiller surtout avec un plug dans les fesses. N’ayant pas d’autre choix que de faire pipi debout, elle trempe ses cuisses et ses pieds en traitant TSM de noms spéciaux qu’il est préférable qu’il n’entende pas. Assis tranquillement sur sa terrasse avec un pastaga bien frais, le dit Très Sadique Mec la suit de loin avec ses jumelles. Une petite sécurité en cas de chute. Il sait donc où se trouve Lucie quand, à 20 heures il quitte donc son verre vide pour enfourcher son vélo. Il commence par récupérer les clés avant de rejoindre Lucie. En le voyant arriver elle est à la fois soulagée et honteuse d’être vue nue avec un string de chaîne et un truc dans les fesses. Après avoir libéré les chevilles de la pauvre fille perturbée d’avoir perdu, il pose son sac à dos pour en sortir une bouteille d’eau fraîche.   - Avec les menottes, cela va être difficile pour moi de boire ! Lui indique Lucie d’un air de dire « t’as pas fini de me libérer ». - Je sais mais j’ai bien dit que je viendrai vous chercher, pas que je vous libérerai ! Lui répond TSM en accrochant une laisse au collier de Lucie. - Et, ça va pas la tête ! - Il va bientôt faire nuit, alors où je vous laisse comme ça avec les renards qui ne vont pas tarder à sortir, ou je vous raccompagne à ma façon ! A vous de choisir ! - Bon ça va, je vous suis, mais je ne suis pas une chienne ! - Ah, ce jeu vous exciterait ? je peux vous le préparer si vous le désirez ! - Nan, merci, ça ira pour aujourd’hui !     Cinquante mètre plus loin, Très Sympathique Mec lui retire la laisse et les menottes en lui disant que cela lui allait bien ! Comprenant qu’il avait simplement envie de jouer avec ses nerfs, Lucie lui tire la langue. - La fessée c’est toute de suite avec les fesses pluguées ou ce soir après votre douche ? - Ce soir je préfère ! Répond Lucie sans réfléchir. - Vous êtes donc d’accord pour que je vous donne la fessée méritée ! - Heu.... je n’ai pas dit oui ! ....................... Laissée seule à son gîte, Lucie prend une douche grandement méritée et justifiée vue la couleur de l’eau à ses pieds. A 21 heures, elle les rejoint à la maison pour le repas du soir en tenue « civile ». Peu pressés et vivant à l’heure espagnole, ils lui proposent de partager leur apéritif maison fait avec des aubergines et des poivrons grillées du jardin.   - Alors cette expérience de Bondage Walking vous avez aimé ? Demande Malicia. - Original à vivre, il y a une sorte de communion qui se fait avec la nature, sauf que j’ai rencontré un rustre qui a voulu me faire marcher en laisse comme une chienne ! Répond Lucie. - Oui et qui, au lieu de me remercier d’être allé la libérer et la chercher avant la nuit m’a tiré la langue en guise de reconnaissance. Cela mérite une fessée, qu’en penses-tu Malicia ? - Absolument, c’est inadmissible ! Répond Malicia amusée. - Classons cette regrettable affaire de suite, venez vous installer sur mes genoux que je vous apprenne la politesse ! Indique alors TSM en reculant sa chaise. Pour Lucie, ce n’est pas le fait de recevoir une petite fessée qui la perturbe, mais c’est de la recevoir devant quelqu’un ! Une fois allongée sur les genoux de TSM, sa jupe est prestement relevée, la grosse paluche de TSM commence à appliquer la fessée sur une jolie culotte qu’il regrette presque de baisser quelques instants plus tard. - Aie, qu’est-ce que vous faites ? - Une vraie fessée se donne déculottée, n’est-ce pas Malicia ? - Absolument ! Avant même qu’elle n’ait le temps de répondre, TSM continue de lui claquer les fesses gentiment, bien qu’il aurait bien volontiers appuyé un peu plus. Comme une cliente n’est pas une amie, il se contient et ne fait pas durer la fessée de la coquine. Pour Lucie, c’est encore une grande nouveauté car sa seule expérience de spanking avait eu lieu une fois avec un de ses copains ultra timide ayant à peine claqué ses fesses. Même si il a été soft, elle sent bien que ses fesses sont chaudes lorsqu’elle prend place sur sa chaise. Le repas est un moment de partage aussi bien en terme de nourriture que de discussions. Lucie apprend un peu plus de la vie de ce couple d’adorables psychopathes et regrette déjà d’être obligée de partir le lendemain car elle serait bien restée plus longtemps. Hélas, le billet d’avion ne peut être changé. En leur compagnie, elle aimerait découvrir encore plein de choses car elle se sent en totale sécurité. - Vous me faites quoi ce soir ? Demande Lucie. - La question est mal posée. Que désirez-vous faire et vivre ? - J’ai bien aimé la nuit en couche dans le petit lit mais y a t’il moyen de varier un peu ? - Avec une couche ? - Oui mais aussi du bondage ! Répond Lucie à présent sans trop de pudeur. - Couche, bondage et jouissances avant le dodo, cela vous va ? Lui demande TSM dont le cerveau a déjà démarré en mode pervers. - Ouiii ! Accompagnée à son gîte par TSM et son sac à malice, Lucie est invitée à s’allonger due sur le lit. Il lui donne une couche et un vibro en lui demandant de se le mettre toute seule « comme une grande ». A la suite de quoi, il démarre le vibro et referme la couche avant de l’aider à enfiler une culotte à cadenas. Il pose le caméscope dans un coin en lui expliquant que c’est la règle au gîte. A partir du moment où il participe, c’est filmé comme pour les caméras des banques. S’il n’y a pas de problème la vidéo est supprimée. Il demande ensuite à Lucie d’entraver ses chevilles puis lui prête une cagoule d’isolation BDSM en lui demandant de la mettre après lui avoir expliqué que le principe serait le même que son selfbondage.  Il l’aide donc à lier son poignet gauche puis guide sa main pour qu’elle ferme elle même les menottes de son poignet droit. Elle est donc attachée bras et jambes en croix sur le lit et cagoulée. TSM branche un magic wand massager filaire sur un programmateur réglé sur 5 minutes On, 5 minutes Off avant de programmer une plus longue période en mode On. Le sextoy trouve sa place entre la couche et la culotte en plastique de Lucie.   Le Très Sadique Mec abandonne Lucie avec ses interrogations après avoir éteint la lumière. Pendant les cinq première minutes, elle se demande ce qu’il a placé entre sa couche et sa culotte en plastique. Elle ne le découvre que quand le magic se met en route. Les vibrations pile poil au-dessus de son chaton, sont loin d’être désagréables. Cumulées avec celles du vibro en bonne place, elles la conduisent doucement sur les rivages d’une jouissance. Hélas, cinq minutes c’est trop court pour y parvenir et le sextoy s’arrête. Elle boude un peu en se disant que c’est dommage que le magic a du tomber en panne. Elle pousse un cri de surprise dans sa cagoule cinq minutes plus tard quand il se remet en route. Le Très Sadique Mec lui a programmé 4 sessions On et 4 sessions Of avant de le lui laisser 60 minutes non stop. Lucie enrage pendant les sessions Of et On avant de finalement savourer le plaisir du magic en mode On juste au dessus de son chaton. Juste après sa première jouissance, une envie pressante, que cette fois elle libère sans blocage, la fait décoller. « Pipi couche + magic c’est ouhaouuuu » se dit Lucie bien décidé à en acheter un chez ABCplaisir. Lorsque la serrure de glace lui rend sa liberté, Lucie se détache mais n’a même pas le courage d’aller attraper les clés de menottes posées sur la table du salon. Ce n’est qu’au petit matin qu’elle trouve le courage de se lever pour aller retirer la menotte gênante toujours accrochée à son poignet. « Mais où sont les clés de la culotte à cadenas » se demande Lucie. Convaincue qu’il veut l’obliger à venir les voir avec ses grosses fesses, elle sort de son gîte en jupe vers 9 heures et découvre qu’elles sont sur la table avec le petit déjeuner puis une rose fraîche. En lisant le petit papier sous la rose, son sourire disparaît aussitôt. « Départ 11 heures maximum pour que vous ne loupiez pas votre avions ». Après avoir pris son petit déjeuner, Lucie prend une douche, fait un carré de ménage en laissant tout ce qui a été utilisé comme linge et draps dans un panier prévu à cet effet avec de rejoindre ce couple qui l’a si gentiment accueillie. Après avoir réglé quelques achats en boutique et le solde de son séjour, c’est presque les yeux mouillés qu’elle monte dans la voiture pour prendre la route de l’aéroport. - Est-ce que je pourrai revenir et vivre d’autres choses avec votre aide ? - Avec plaisir Lucie mais si vous me tirez encore la langue cette fois la fessée sera plus consistante ! - Leeeeeeeeeeeeee ! Fait Lucie en lui tirant la langue pendant qu’il conduit. Ni une ni deux, TSM quitte la route pour prendre un chemin pour s’arrêter derrière un bosquet d’arbres. - Une bonne déculottée va vous être offerte par la maison ! EPILOGUE Lucie a eut son avion, TSM prévoit toujours de la marge. Elle a trouvé que les sièges de l’appareil n’étaient pas très confortables, allez savoir pourquoi ?   FIN Note de l’auteur : le gîte fétichiste ouvre ses portes Espagne en juin 2023.      
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Par : le 19/04/23
Je lui ôte ses menottes afin de finir de la dévêtir. D’un pas, elle enjambe sa jupe au sol, son chemisier tombe à son tour. Elle cherche machinalement à deviner ce lieu que ses lentilles opaques l’empêchent de voir. Je verrouille sur ses poignets de larges bracelets d’acier, puis à ses chevilles. Ses bas noirs font ressortir le brillant de l’acier, je suis aux anges. La prenant fermement par la nuque, je la pousse vers le salon. J’en profite pour observer son corps nu que je possède pour la première fois. Elle est belle. Elle n’a rien d’extraordinaire mais son corps dégage une douceur, une sensualité incroyable. Les talons très hauts de ses escarpins imposent à ce corps une délicieuse cambrure qui exacerbe sa féminité incroyable. Nous y sommes, je la retourne et la fais s’assoir sur la table basse du salon que j’avais préparée. Je la fais s’allonger et passe ses jambes de part et d’autre de la table. Avec la chaine que j’avais disposée, je relie les bracelets de ses chevilles. Je fais de même avec ses poignets les fixant au-dessus de sa tête aux pieds de la table. Une dernière chaine vient s’arrimer à son collier pour lui interdire de se redresser. Enfin, un beau bâillon gag en cuir noir vient la réduire au silence. La position de ses jambes, maintenues écartées par la table basse offre son sexe au regard. Sa fine toison est ornée de perles de rosée, son excitation est manifeste. Lors de notre repas, la semaine dernière, elle m’avait indiqué qu’il fallait en prévision de ce soir qu’elle se rase le sexe, chose qu’elle avait négligé depuis un certain temps, ce que je lui ai formellement interdit sans plus d’explication. Quelle plus belle façon de s’approprier ce corps que de le faire moi-même. J’attrape une petite tondeuse que j’utilise pour ma barbe et entame délicatement le travail. Très vite, la voilà à nue. Un peu de gel et un rasoir permettent d’obtenir enfin la douceur attendue. Nous y sommes, elle est prête. Elle est restée parfaitement immobile tout ce temps. J’ai pourtant envie de la voir se contorsionner dans ses entraves, se débattre, tenter en vain de se soustraire. J’attrape un vibro énergique et commence à caresser ses lèvres puis à approfondir les choses. Des gémissements se font vite entendre, elle gigotte et tend ses chaines. Ses poings se ferment, des vagues la font onduler. Enfin, une grande contraction de tout son corps et un hurlement de bonheur, étouffé par son bâillon, marquent la délivrance. Mes mains caressent son corps et finissent par vérifier avec attention le travail que je viens d’achever. L’excitation est totale. Ses chaines otées, je me pose sur le canapé et la tire vers moi. A tâtons, elle cherche mon corps et s’agenouille spontanément devant moi. Maladroitement à cause de sa cécité elle défait mon pantalon. Il y a des initiatives agréables qu’il faut savoir encourager. Je la caresse avec tendresse alors qu’elle me met à nu. Il devient urgent de lui oter ce bâillon qu’elle frotte tendrement sur mon sexe. Ses lèvres sont douces, tendres et fermes à la fois. Puis elle m’honore de sa langue et la douce chaleur de sa bouche. Le plaisir est total. Elle arbore maintenant un sourire incroyable, la fierté du travail accompli, du plaisir donné.  Je la hisse sur le canapé. Machinalement, elle vient se blottir dans mes bras, elle semble tellement paisible, heureuse, je suis bouleversé. Comme nous n’étions pas là pour passer du temps à table et faire un repas gastronomique, nous avions convenu de nous commander un repas par livreur. Je passe un coup de fil et nous attendons le livreur enlacés sur le canapé à papoter et prendre soin l’un de l’autre. Le livreur sonne. J’enfile rapidement mon pantalon et reviens avec notre repas. La logique voudrait que je lui enlève ses lentilles opaques mais je n’arrive pas à m’y résoudre. J’aime trop cette dépendance et la douceur que l’hésitation donne à ses mouvements. Nous mangeons l’un contre l’autre. Entre deux bouchées, je la nourrie, telle la personne dépendante qu’elle est.  Notre repas fini, nous allons dans la chambre. Notre soirée ne fût que jeux et tendresse. Elle n’avait que peu d’expérience, nous avons donc testé plein de choses… Menottes, armbinder, baillons et harnais en tout genre, camisole de cuir,… J’affectionne particulièrement ma camisole de cuir. Elle offre une contrainte absolue et le contact de cuir est d’une sensualité incroyable. Par chance, elle a adoré également. Je pense que la camisole n’aura pas l’occasion de prendre la poussière. La nuit avançant, nous arrêtons nos jeux pour ce soir. Je lui laisse ses lentilles et les bracelets d’acier qui ornent ses chevilles et poignets. Elle blottie dans mes bras, nous nous endormons. Le réveil fut bien agréable. Je fus étonné que ses lentilles résistent à une nuit de sommeil mais elle était toujours aveugle. Comme il fallait qu’elle parte tôt pour un repas de famille, je lui propose de commencer par une douche. Je la conduis sous la douche avec ses bracelets et la nettoie avec de grandes caresses savonneuses. Elle me demande le savon me tendant la main et s’occupe à son tour de moi.  Sa cécité donne une infinie douceur à ses gestes, parcourant mon corps à tâtons. Ses caresses sont divines.   Une fois propre et sèche elle me demanda si elle pouvait revenir ce soir, après son déjeuner en famille. Comment refuser un tel plaisir ? Du coup, une vilaine idée me traversa l’esprit. « Oui, il n’y a aucun problème mais je vais mettre un peu de piment à ton repas de famille ». Je la ramena sur le lit et attacha ses poignets et chevilles aux chaines des quatre coins du lit. Un bâillon la priva ensuite de toute possibilité de protestation. Je pris un sac dans le placard et alla chercher quelques outils. Ensuite, je pris un moment à régler à sa taille une ceinture de chasteté. Une fois suffisamment ajustée, je la verrouilla. Même loin de moi, elle restera mienne. Une fois ainsi « vêtue », je la détache, lui enlève bracelets et enfin ses lentilles. Elle découvre enfin les lieux. Voyant le grand miroir de la chambre, elle se lève et va observer ce que je viens de fixer sur son corps. Elle n’ose rien dire mais je sens bien ce mélange de plaisir et de crainte que cela se voit. Il est certain que si elle passe la journée avec la jupe courte et légère qu’elle avait hier, il faudra pas qu’elle se penche ou qu’il y ait du vent. Nous descendons prendre le petit déjeuner, nus. Elle passe machinalement ses mains de façon régulière sur sa ceinture. Une fois terminé, nous nous habillons puis, après une tendre dernière embrassade, elle me quitte pour renter chez elle. Que les heures vont être longues en attendant son retour
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Par : le 16/04/23
Cela fait des semaines que nous clavardons sur le site. Il y a clairement une affinité et des envies communes qui se dessinent. La semaine dernière, nous avons mangé ensemble histoire de voir si le réel n’était pas trop différent du virtuel. Ce fut une délicieuse soirée, pleine d’humour et de complicité. Aujourd’hui, c’est le grand jour, nous nous rencontrons de nouveau mais pour passer au concret. Comme moi, elle aime jouer avec les sensations et les surprises. Je lui ai donné rendez-vous dans un café et pas chez moi. Comme à mon habitude, je suis là en avance. Je me suis posté en retrait et surveille l’entrée. Elle arrive à l’heure et m’attend devant la terrasse. Elle fait les cent pas nerveusement. Ses jambes sont belles, sur des escarpins à talons magnifiquement hauts et fins. Sa jupe légère très distinguée lui va à merveille. J’arrive et de suite elle m’embrasse avec un sourire complice et plein de désir. Nous nous installons en terrasse pour profiter de ces premiers beaux jours. Très vite, elle m’indique qu’il lui tarde d’être chez moi, au moins, c’est clair. Nous commandons un verre. Nous attendons d’être servis mais ma première injonction tombe. « - Tends ta jambe sous la table et pose ton pied sur ma cuisse. » Je la sens étonnée mais elle s’exécute sans discuter de suite. Ma main caresse sa cheville et remonte sur son mollet. Que ces bas lui font de jambes douces et sensuelles....  Discrètement, je plonge mon autre main dans la poche de ma veste et en sors un bracelet que je verrouille sur sa cheville.  Elle devient instantanément toute rouge ne sachant pas à quoi s’attendre. «- Tu es maintenant à moi » lui dis-je. J’aime ces bracelets. Ce mince ruban d’acier inoxydable passe pour un bijou de cheville presquee ordinaire mais la bélière sur l’extérieur laisse peu de place au doute pour un œil averti. Elle retire sa jambe et regarde avec curiosité à la fois heureuse et inquiète sa cheville sous la table. Un large sourire montre son bonheur. Nous buvons rapidement nos consommations. Dès qu’elle a fini son verre, je lui ordonne d’aller aux toilettes et de se laver les mains méticuleusement avant de revenir. Elle me regarde avec stupéfaction ne comprenant rien mais s’exécute. Dès qu’elle a quitté la table, elle marque un arrêt pour regarder sa cheville et se retourne vers moi avec un large sourire et repart. A son retour, je sens un peu d’anxiété en elle. Une fois assise, je lui tends une paire de boite : « c’est une paire de lentilles de contact, mets les ».  Une fois la stupéfaction passée, elle ouvre la première boite et installe avec difficulté la première lentille, puis la deuxième. Se sont des lentilles opaques. « - Alors, que vois  tu ? Euh… rien, juste un peu de lumière  Bien, lève toi, nous y allons » Je prends sa main puis la passe autour de mon bras pour la guider et nous partons lentement. J’avais pris le soin choisir un café à quelques mètres du parking souterrain où j’ai mes habitudes. Dans l’ascenseur, elle cherche de la main où je suis et vient avec un grand sourire se coller à moi. Je la prends dans mes bras et l’embrasse. Nous arrivons au dernier sous-sol. Je la guide hors de l’ascenseur puis jusqu’au recoin ou j’ai garé mon véhicule. Avec tendresse, je la plaque sur la voiture et lui pose les mains sur le toit. Je passe une jambe entre les siennes et, d’un geste du pied lui fais écarter les jambes.  «  Je vais vérifier si tu as bien respecté mes consignes. »  Une fouille à corps permet de vérifier qu’elle ne porte rien sous son chemisier dont je profite de l’occasion pour défaire un bouton supplémentaire. Mes mains descendent le long de ses hanches puis ses jambes et remontent sous sa jupe caressant une cuisse de part et d’autre. Pas de culotte, c’est parfait.  Je ramène une de ses mains dans le dos et attrape dans ma poche la paire de menottes que j’avais préparée. Au tour du deuxième poignet. Je la place dans la voiture et boucle sa ceinture. Je prends place et nous partons. Le bonheur des voitures automatiques fait que nous avons une main de libre. J’en profite pour poser ma main droite sur sa cuisse. Ses bas sont d’une douceur exquise. Au fil de la route, ma main devient plus inquisitrice. Après avoir joué avec la dentelle de ses bas, je remonte doucement. « Tiens, il n’y pas que moi que la situation excite » lui dis-je. Elle me fait un large sourire. Nous arrivons, le portail s’ouvre puis se referme après notre passage. Je descends et l’aide à sortir du véhicule. Debout, elle vient immédiatement se coller contre moi. Je place ma main dans le creux de son dos. Son visage cherche le mien à tâtons et m’embrasse avec une grande tendresse. Je la guide vers la porte. Une fois rentrés, je la plaque le dos à la porte et déboutonne d’une main pleine de douceur son chemiser puis fait tomber sa jupe sur ses chevilles. J’attrape sur le guéridon un large collier en acier que je verrouille sur son cou. Passant mon doigt dans l'anneau de son collier, je tire pour amener son visage contre le mien, joue contre joue, peau contre peau, et lui murmure à l'oreille : «  Ce soir et cette nuit tu seras mienne »
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Par : le 09/04/23
Mes doigts parcoururent l’ensemble de son corps, passant d’une partie recouverte de latex à de la peau nue. Je soupesais ses seins, volumineux, lourds, ses aréoles finirent rapidement entres mes doigts. Je m’excitais toute seule à découvrir et jouer avec, comme une gamine, c’était ma poupée à moi. Elle ne disait rien, gémissait au pire des cas, mais ne bougeait pas. Je me saisi de sa tête, la redressa et vint l’embrasser sur la bouche. Le baiser continuât, de plus en plus intense et profond. Mes mains exploraient son dos, ses fesses, les malaxaient, la collant à moi, écrasant sa poitrine contre la mienne, situation des plus excitante. Puis je la lâchais, la repoussa dans son coin, jubilant de ce pouvoir. Me tournant je partis vers la commode, les talons me faisaient déjà onduler des fesses, mais je prenais un réel plaisir à amplifier la chose. Je me sentais belle, supérieur, désirable. Dans les tiroirs, laisses, menottes, mousquetons, martinets, bâillons, une belle collection de jouets mais rien pour pénétrer ou faire jouir. J’allais devoir m’occuper de cet aspect de façon artisanal. De retour vers ma soumise, je lui accrochai la laisse et la tira d’un coup sec en direction de la table, j’avais faim moi. Ses poignets furent attachés ensemble tout comme les bracelets qu’elle portait aux biceps, tendant sa poitrine vers l’avant. Avant d’aller m’asseoir de l’autre coté de la table, une tension sur la laisse la mit à genoux. En m’asseyant je senti les godes, à l’intérieur de ma ceinture, bouger et venir encor plus profondément. C’était surprenant et bon, je jouais à onduler du bassin sur ma chaise, pour amplifier le mouvement. Je voyais juste ses yeux me fixant, se demandant ce que j’allais faire d’elle. Je fini par récupérer la laisse sous la table et la tirai vers moi, l’obligeant à avancer à genou de manière maladroite. Quand elle fut à mon niveau je lui attachai des pinces à seins, reliée par une chaine, à ses grimaces cela lui faisait de l’effet. Lui relevant la tête, je fis quelque chose que je n’aurais jamais pensé faire, une chose que j’avais vu sur le net, je lui crachais à la figure. A sa réaction cela la surprit, mais sans savoir pourquoi je jubilais encore plus. Cette secrétaire, hyper sexy, sure d’elle, sans doute Dominatrice à ses heures aussi, était là à ma merci. Faisant passer la laisse sous mon pied je l’obligeais à se pencher près de celui-ci. Embrasse et lèche, chaussure et pied. C’est tout ce que tu auras comme repas. Oui Madame. Je l’avoue c’était une pure revanche par rapport à son arrivée. Mais le « Oui Madame », me prit par surprise et me fit bien plus d’effet que tout le reste. Ne pouvant me toucher, j’ondulais encore plus fort sur ma chaise. C’était bon, je mangeai plus lentement qu’à l’accoutumée, tellement j’étais prise par des sensation nouvelles et étranges. Ses coups de langues et baiser occupaient tout mon esprit au début, mais plus le temps passait, moins j’y prêtais attention. Une fois fini de manger, je me relevais, elle ne bougeait pas à genoux sous la table, pliée en deux. J’en fis le tour, son postérieur était magnifique ainsi présenté. Debout et va te mettre dans la même position sur le lit, jambes encore plus écartées. Bien Madame Pendant qu’elle se déplaçait, j’observait à nouveau le contenu des tiroirs, pire qu’une gamine à Noël. Je fis mon choix dans les jouets et vins les poser à ses côtés. La barre d’écartement, fut rapidement installée entre ses chevilles, l’obligeant à les maintenir bien ouverte. Tirant sur le collier elle fut obligée de se redresser, je pu facilement lui installer le bâillon-O, l’obligeant à garder la bouche grande ouverte et disponible. Je l’embrassais sur le coins et lèvres et la repoussais sans ménagement elle s’écrasa sur le lit, dans un cri gémissement le temps de sa chute. Faisans le tour du lit, j’attachais la laisse à une des attaches qui m’avait maintenue cette nuit, impossible pour elle de se relever. Elle était tout à moi, offerte sans défense, j’allais pouvoir commencer à m’amuser. Chose étrange dans cette situation, c’était la soumise qui pouvait jouir, tandis que moi j’étais toujours interdite d’accès à mon entrejambe.
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Par : le 22/03/23
La porte se ferma et le cliquetis des clefs me fit comprendre qu’elle était verrouillée. Je restais là sans bouger quelques secondes, me voilà seule, avec des tâches à accomplir. Mais au fait il me restait combien de temps jusqu’à midi ? Je n’avais pas fait attention, mais je n’avais pas forcément vu d’horloge. Et qu’avait fait Monsieur S. à mes pieds ? Après un rapide examen, je compris rapidement. Il avait cadenassé des chaînes à mes bracelets de chevilles, mais pas entre elle non. Chaque chaîne passait sous la chaussure et allait se cadenasser de l’autre côté, impossible d’enlever les chaussures à présent. Me voilà entièrement nue, seulement habillée, d’un collier en cuir, de menottes en cuir aux poignets et chevilles et de talon haut. Le tout cadenassé et impossible à enlever. Bon il faut que j’arrête de perdre du temps, j’ai des choses à faire. Je voulu partir mais failli tomber. Ces talons étaient vraiment haut, je longeais les murs un moment histoire de m’y habituer sans tomber. Je fini par réussir à me tenir droite, les fesses légèrement en arrière, la démarche féline. Entendre ces talons claquer dans la petite pièce centrale me donna des frissons et m’excitait. Je prenais un réel plaisir à me promener, tel un chat, imaginant la vision que je pouvais donner. Le salon de réception où était-il au fait ? Dans mes souvenir, je suis remonté de la cave je pense et pas plus. Il devrait donc se trouver à cet étage. J’explorai rapidement du regard, pas énormément de porte inconnue. Je me retrouvais rapidement dans la pièce, mais rapidement mon entrejambe s’humidifia. Même si je ne l’avais jamais vu, c’est comme si je la connaissais par cœur. Là devant moi tout les endroits où je m’étais trouvé hier soir, le poteau, là où je me suis retrouvé à 4 pattes, apparemment une table et le panier. Par contre je ne savais pas qu’il y avait une table, avec des couverts pour 6 personnes, tout était laissé là en vrac. Et les paroles de Monsieur S. prennent encore plus de sens « Voici le dessert » c’était au sens littéral. Je devrais commencer à ranger, nettoyer, mais je ne peux m’empêcher de retourner vers mes lieux de plaisir d’hier. Mes doigts glissent sur la caisse où je m’étais affalée de fatigue alors que je n’étais que ce trou à bite. Mon désir remonte encore plus fort, j’ai envie de me toucher, mais cela m’est interdit et impossible de toute façon. Je grimpa à nouveau sur cette table, prenant la même posture qu’hier, avec les talons je sentait les courbes de mon corps comme encore plus amplifiées. Plus loin la barre, une barre de pole dance. Mais le moment n’était pas aux plaisirs, peut-être après si j’ai encore du temps. Enfin je vois une horloge dans cette pièces, déjà 10h30, plus qu’une heure trente pour tout faire il ne faut pas que je traine. En revanche je ne m’étais pas rendu compte que de transporter de la vaisselle et faire les aller-retours en talon serait si difficile. Le temps passait, la vaisselle diminuait lentement. Avant de commencer le nettoyage et rangement du salon, je regardais le repas à faire. Bien je pouvais mettre à chauffer, bouillir le temps de nettoyer. Je me démenais pour tout finir à temps. 11h55 tout était propre, rangé, comme si rien ne s’était passé hier. Le repas est déjà servi dans les assiettes, je ne sais pas où ils voudront manger, donc je le laisse à la cuisine. Qu’est-ce j’oublie ? La cagoule ! Il ne me reste que peu de temps vite. Je montais le plus rapidement possible les escaliers, ma chambre, la commode, même s’il y avait quelque jouets et accessoires, mon esprit était occupé que par cette cagoule. Là, une cagoule en latex, je l’attrape et descend rapidement me placer à genoux, jambe ouverte face à la porte. Et en attendant d’entendre la porte s’ouvrir j’enfile la cagoule. Elle est parfaitement adaptée, me colle à la peau, semble pousser mes lèvres en avant, j’y glisse tout mes cheveux, je ne suis plus qu’une tête lisse impersonnelle. J’aime cette sensation de glisse, à nouveau mon entrejambe est en feu. Des bruits de moteurs, je me met en position et attends. La porte s’ouvre.
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Par : le 16/03/23
Pourquoi la plupart des gens ont peur du BDSM ? Il y a plusieurs raisons pour lesquelles certaines personnes pourraient trouver le BDSM intimidant ou effrayant. L'une des principales raisons est que le BDSM implique souvent des pratiques qui sortent des normes sexuelles traditionnelles et peuvent être considérées comme taboues ou déviantes par certaines personnes. Cela peut conduire à des idées fausses sur le BDSM, telles que la croyance qu'il est toujours abusif ou non consensuel, ce qui peut contribuer à la peur ou à l'inconfort. De plus, certaines personnes peuvent avoir peur du BDSM parce qu'elles l'associent à des stéréotypes de comportement extrême ou dangereux, comme la représentation du BDSM dans les médias populaires comme violente ou pathologique. Les représentations médiatiques du BDSM ont souvent été sensationnalisées ou déformées, créant une image biaisée du BDSM. Par exemple, certains films et émissions de télévision décrivent le BDSM comme violent, abusif ou non consensuel. Ces stéréotypes peuvent être inexacts et trompeurs, mais ils peuvent tout de même contribuer à la peur ou à l'inconfort. D'autres personnes peuvent tout simplement ne pas être familières avec le BDSM et ne pas comprendre les principes de consentement éclairé, de communication et de respect mutuel qui sont au cœur de la sous-culture. Sans cette compréhension, ils peuvent considérer le BDSM comme dangereux ou nuisible, conduisant à la peur ou à l'évitement. Alors que les participants aux activités BDSM prennent justement des mesures pour atténuer ces risques, comme établir des limites claires et utiliser des mots sûrs. Il est important de noter, cependant, que le BDSM peut être un moyen sûr et consensuel pour les individus d'explorer leur sexualité et leurs désirs. De nombreuses personnes qui pratiquent le BDSM rapportent que c'est une partie positive et épanouissante de leur vie, et que cela les a aidées à développer des liens plus profonds avec leurs partenaires et à explorer de nouveaux aspects de leur sexualité. Bien que ce ne soit pas pour tout le monde, il n'y a aucune raison de craindre ou de juger ceux qui choisissent de s'y engager.   Quelle est la philosophie du BDSM? Dans les profondeurs de la psyché humaine se révèle un royaume complexe et fascinant de désir et de plaisir. Un monde où le concept de pouvoir et de soumission, de douleur et de plaisir, se fond en une philosophie de vie profondément enracinée. Mais que se cache-t-il réellement derrière les liens noir et blanc de cette pratique ? Le BDSM, abréviation pour Bondage, Discipline, Domination, Soumission, Sadisme et Masochisme, est bien plus qu'une simple inclination sexuelle ou une variante de l'érotisme. C'est un réseau complexe d'émotions, de confiance, de dévouement et de découverte de soi. Chaque lettre de cet acronyme dévoile une facette de l'être humain et nous invite à plonger profondément dans les abysses de nos propres désirs. Dans le BDSM, il ne s'agit pas seulement de céder au désir de douleur ou de soumission, mais aussi d'explorer les niveaux cachés de la psyché et de comprendre les nuances de l'interaction entre domination et soumission. C'est un voyage vers la connaissance de soi, où les limites sont repoussées, les peurs surmontées et une compréhension profonde de sa propre sexualité est acquise. La philosophie du BDSM repose sur les piliers du consentement, de la communication et du respect. Chaque action se déroule dans un cadre consensuel où tant le côté dominant que le côté soumis peuvent exprimer et respecter leurs besoins et leurs limites. C'est un monde de confiance et de responsabilité où les rôles sont clairement définis et où la liberté d'être soi-même existe, sans jugement ni honte. Le BDSM est une forme d'art érotique où le corps et l'esprit fusionnent. C'est une danse entre domination et dévotion, entre douleur et plaisir, qui nous apporte une profonde satisfaction et épanouissement. C'est une rébellion contre les normes sociales et un engagement envers la liberté de notre propre épanouissement sexuel. Dans les sentiers sinueux du BDSM se trouve une forme unique d'intimité où nous pouvons nous ouvrir complètement et nous découvrir d'une manière qui dépasse les limites du quotidien. C'est un monde d'extrêmes et de douceur à la fois, où les abîmes sombres de l'âme se fondent avec les sommets lumineux du plaisir. Le BDSM est un voyage de découverte, un voyage vers les recoins les plus profonds de nos propres désirs et peurs. C'est une invitation à nous explorer nous-mêmes et à trouver notre noyau véritable. C'est une philosophie qui nous enseigne que notre nature sexuelle est diverse et que la liberté d'exprimer nos besoins est une source de force et de bonheur. Dans la philosophie du BDSM, nous découvrons un espace de liberté, de croissance et d'accomplissement de soi, où les individus peuvent explorer leurs propres désirs et limites sexuelles. C'est un lieu où ils peuvent vivre leurs fantasmes les plus profonds sans jugement ni honte, afin de développer leur identité sexuelle et mener une vie épanouissante. Dans cet espace, la liberté individuelle, la croissance personnelle et la recherche d'une expression de soi authentique sont appréciées et encouragées. Certains thèmes et principes communs incluent : Consentement : Le consentement est la pierre angulaire de la philosophie BDSM. Toutes les activités doivent être négociées et convenues à l'avance par toutes les parties concernées, et toutes les frontières ou limites doivent être respectées.   Échange de pouvoir : le BDSM implique souvent une dynamique de pouvoir, où un partenaire assume un rôle dominant et l'autre un rôle de soumission. Cet échange de pouvoir peut être vu comme une forme de jeu, une façon d'explorer ses désirs et ses limites, et une façon d'approfondir l'intimité et la confiance.   Confiance et communication : étant donné que le BDSM implique un niveau élevé de vulnérabilité et de risque, il nécessite une base solide de confiance et de communication entre les partenaires. Une communication ouverte et honnête est essentielle pour négocier les limites, s'enregistrer pendant le jeu et assurer le suivi.   Exploration et découverte de soi : le BDSM peut être un moyen d'explorer sa sexualité, ses désirs et ses limites personnelles. En repoussant les limites de manière sûre et consensuelle, les individus peuvent découvrir de nouveaux aspects d'eux-mêmes et de leur sexualité.   Respect et empathie : Malgré la dynamique de pouvoir inhérente au BDSM, tous les participants sont égaux et méritent respect et empathie. Cela comprend le respect des limites et la reconnaissance de l'importance du suivi pour favoriser le bien-être émotionnel et physique.   La philosophie du BDSM est complexe et multiforme. Il souligne également l'importance de l'exploration de soi, de l'expression de soi et de l'acceptation de ses désirs et de ses fantasmes. Il encourage les individus à explorer leur propre sexualité, leurs désirs et leurs limites dans un environnement sûr et consensuel. Il met l'accent sur l'importance de la confiance et du respect entre les partenaires. Il est important de noter que l'échange de pouvoir n'est pas nécessairement une question d'abus ou de coercition. Dans le BDSM, le pouvoir est échangé de manière consensuelle et avec l'intention d'un plaisir et d'un épanouissement mutuels. Les deux partenaires doivent se sentir en sécurité, respectés et valorisés dans leurs rôles, et doivent pouvoir communiquer ouvertement et honnêtement l'un avec l'autre.   Comment se déroule une séance BDSM ? Les séances BDSM peuvent varier considérablement en fonction des préférences et des désirs des participants impliqués, ainsi que de la nature de leur relation. Cependant, il existe certaines directives générales que de nombreux praticiens BDSM suivent pour assurer la sécurité et le plaisir pendant leurs séances. Premièrement, les participants s'engageront généralement dans des discussions et des négociations détaillées au préalable pour établir leurs frontières, leurs limites et leurs désirs. Cela peut impliquer de discuter du type de jeu qui les intéresse, des limitations physiques ou émotionnelles qu'ils peuvent avoir et des déclencheurs ou des zones sensibles qui devraient être évités. Une fois ces détails convenus, la session peut commencer. Cela peut impliquer l'utilisation de divers outils BDSM, tels que des cordes, des menottes, des pagaies ou des fouets. Le partenaire dominant prendra souvent l'initiative de diriger les activités, tandis que le partenaire soumis peut être censé suivre ses instructions et céder le contrôle. Au cours de la session, les participants peuvent s'adonner à diverses activités, telles que le bondage, la domination, la soumission, le jeu d'impact ou la privation sensorielle. Ces activités peuvent être pré-négociées ou improvisées en fonction des préférences des participants. Tout au long de la session, les deux partenaires doivent vérifier l'un avec l'autre pour s'assurer que tout le monde est à l'aise et s'amuse. Il est important de prendre des pauses au besoin et de communiquer ouvertement et honnêtement au sujet de toute préoccupation ou problème qui survient. Les participants peuvent utiliser des mots sûrs ou d'autres signaux pour indiquer quand ils se sentent dépassés ou mal à l'aise, et le jeu peut être ajusté ou arrêté si nécessaire. Une fois la session terminée, les participants peuvent s'engager dans un suivi, qui consiste de débriefer et de discuter de ce qu'ils ont ressenti à propos de l'expérience, à fournir un soutien émotionnel, des soins physiques et à se rassurer les uns les autres. Cela peut être une partie importante du processus, car cela aide à garantir que les deux partenaires se sentent en sécurité, pris en charge et respectés après s'être livrés à des jeux intenses et intimes. Cela peut aider à établir la confiance et à renforcer la relation entre les partenaires. Il est important de noter que les séances BDSM doivent toujours être consensuelles, sûres et respectueuses, et ne doivent avoir lieu qu'entre des participants informés et consentants. Les participants doivent être conscients des risques liés à certains types de jeu et doivent prendre les précautions appropriées pour assurer leur sécurité et leur bien-être.   Quels sont les avantages d'une séance BDSM ? Les sessions BDSM peuvent avoir une variété d'avantages pour ceux qui choisissent de s'y engager. Voici quelques-uns des avantages potentiels du BDSM : Amélioration de la communication : le BDSM nécessite un haut niveau de communication et de négociation, ce qui peut aider les partenaires à développer des compétences de communication plus solides dans leur relation.   Confiance accrue : les séances BDSM impliquent souvent un degré élevé de confiance entre les partenaires, car un partenaire peut céder le contrôle à l'autre. Cette confiance peut aider à créer un profond sentiment de connexion entre les partenaires, alors qu'ils explorent ensemble leurs désirs et leurs limites.   Sens aiguisés : les jeux sensoriels, tels que le bandage des yeux ou la privation sensorielle, peuvent augmenter l'intensité des sensations et conduire à une expérience plus agréable.   Soulagement du stress : S'engager dans des activités BDSM peut fournir une libération du stress et des tensions quotidiennes, et permettre aux participants de s'immerger complètement dans le moment.   Exploration de la sexualité : les séances BDSM peuvent fournir un espace sûr et consensuel permettant aux individus d'explorer leur sexualité, leurs fantasmes et d'essayer de nouvelles choses. Cela peut aider à élargir les horizons sexuels et à augmenter le plaisir sans crainte de jugement ou de honte.   Autonomisation : pour certaines personnes, assumer un rôle de soumission ou de domination dans le BDSM peut être un moyen de se sentir autonome et en contrôle de leur sexualité.   Créativité accrue : les séances BDSM impliquent souvent un degré élevé de créativité et d'imagination, car les partenaires peuvent explorer différents scénarios et rôles. Cela peut aider à stimuler l'esprit et à augmenter la créativité dans d'autres domaines de la vie.   Conscience de soi accrue : S'engager dans des activités BDSM peut aider les participants à être plus en phase avec leurs propres désirs et limites, ce qui conduit à une plus grande conscience de soi et à une plus grande confiance en soi.   Pour ceux qui aiment le BDSM, cela peut être une partie enrichissante et épanouissante de leur vie sexuelle et émotionnelle. Maître Aik 2023
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Par : le 28/02/23
En route pour le restaurant, je ne sais pas pourquoi je te sens excité. Nous avons un peu de route et j’espère avoir une occasion d’en découvrir la raison. J’ai mis une belle robe longue noir, une petite jaquette sur mes genoux pour le retour, des sandales à talons haut et à ton ordre aucun sous-vêtements. Un maquillage léger, mes cheveux lissés me tombent jusqu’aux omoplates. J’ai également un petit sac à main vide à ta demande. Toi dans un beau complet noir, chemise blanche et cravate rouge. Arrivé sur l’autoroute tu souris de plus belle, me caresse la cuisse, me pose un rapide baiser sur la bouche. Ta main remonte et vérifie que je ne porte rien et que je suis déjà excitée. Lorsque tu retires la main dans un large sourire tu me dis : « Ouvre le vide poche, tu sauras quoi faire avec ce qu’il y a dedans. » Je ne réponds rien, intriguée et ouvre. Mes yeux s’écarquillent devant le contenu. Bâillon, menotte, Lush, collier fin en cuir de soumise et un masque type chirurgical. Je vous regarde : « Merci Monsieur » Je comprends votre excitation et ma place pour cette soirée. Et je comprends que je dois vous faire une entière confiance, mais allons-nous réellement au restaurant ? Je commence par prendre le collier : « Ai-je le droit de me l’installer Monsieur ? » « Très bonne question et réflexe. Pour cette fois-ci oui. Et par la suite plus un mot. » Je le saisi, l’installe presque fébrilement, une première pour moi. Je le sert assez pour qu’il ressemble à un tour de cou en espérant qu’il soit assez discret. Mes doigts le suive en revenant devant, joue un peu avec le petit anneau, automatiquement je me mords la lèvre inférieure, mon feu intérieur augmente de plus belle. Je sens des coups d’œil rapide de votre part, entre fierté et excitation. Le Lush est mon choix suivant, vous avez pensé à un petit flacon de lubrifiant. Quelques gouttes et il rejoint mon entrejambe, qu’il pénètre sans souci. « Allume-le ! » Sa petite vibration me surprend, comme toujours, et je retiens un petit cri de surprise. Le bâillon boule vient se loger dans ma bouche, il n’est pas énorme, mais juste ce qu’il faut pour être gênant. Je l’attache et prend bien soin de faire passer mes cheveux par-dessus, j’essaie d’être discret quand même. Le masque bien placé s’occupe de cacher le bâillon en lui-même. Dans le petit miroir du pare soleil je vérifie qu’il est bien invisible. Enfin les menottes, ce qui me fait le plus peur, car le plus visible. Je passe mes deux bras sous la ceinture et m’attache les poignets. Je sens toute liberté partie et entièrement mise à votre disposition. Vous placez ma jaquette sur mes poignets pour les camoufler et me placer mon sac dans la main. Je suis comme honteuse, le regard baissé. Vous m’observez, prenez ma tête et embrasser ma tempe. Me voilà soulagée et rassurée. Peu de temps cependant, nous sortons de l’autoroute et allons-nous garer devant le restaurant. Vous m’ouvrez la porte, m’aidez à me lever et me prennez par la taille pour rentrer. Il se trouve à la base d’un grand immeuble, dans une zone commerciale. Pas beaucoup d’habitants, mais de passage, entre les restaurants, bars et night-club la zone et plus vivante la nuit que la journée. Je sentais le stress monter, menottée, bâillonnée un collier de soumise, tout était caché, mais je me sentais comme à nue. Vous me guidez d’un pas sûr, je n’ai d’autre choix que d’avancer. A l’entrée vous déclinez notre identité pour connaître la table nous étant attitrée. Le Maître d’hôtel nous guidait, slalomant entre les tables, je craignais que ma jaquette tombe, heureusement en plus de cacher les menottes elle empêchait la chaîne de faire du bruit. Nous voilà devant notre table, proche des fenêtres, loin de l’entrée. Le Maître d’hôtel se proposa pour me soulager de ma jaquette, vous intervenez rapidement le remerciant d’un billet. J’ai eu la peur de ma vie, me trouvant paralysée quelques secondes par la peur. Vous me tirez la chaise, m’aidez à m’installer. Ce n’est qu’une fois les mains sous la table que vous installez ma jaquette sur la chaise. Assis en face de moi, vos yeux me transpercent, votre sourire est entre la joie et l’excitation. D’une main leste vous allez chercher un objet dans la poche révolver de votre veston. Vous me tendez une petite clef argentée, je l’associe immédiatement à mes menottes, que vous poussez au bord de la table devant moi : « Tu peux te libérer, mais en silence on est en public. » Le plus discrètement possible je récupère la clef, regardant autour de moi, que mes bracelets argentés, n’attirent pas l’attention. Soudain je dois retenir un gémissement, le Lush se met à vibrer, je vous vois l’air nonchalant sur votre téléphone. Je me concentre, entre retenir mon excitation, réussir à déverrouiller une menotte. Mon souffle augmente, je sens la bave commencer à bien humidifier mon masque, de petits gémissements s’échappe de temps à autre. J’arrive à me libérer d’une menotte, puis l’autre, je les sert contre moi ne sachant où les mettre : « Dans ton sac » Comme si vous aviez réussi à lire dans mes pensées. Fébrile entre les vibrations qui continue et ma situation de quasi-exhibition je les ranges le plus discrètement possible. Mais comment faire pour enlever le bâillon discrètement ? Je fais tout mon possible pour avaler ma salive silencieusement. Je vous regarde implorant « Oui tu peux aller te rafraîchir aux toilettes, il n’y a pas de souci. » Je suis soulagé, dans votre bonté vous me donnez la solution. Je me lève, prend mon sac et part me retenant car vous contrôlez toujours mon Lush. Tout s’arrête, je suis hors de portée, un instant de répit. Je vais dans une cabine, ôte rapidement le masque et le bâillon, range les 2 dans mon sac. J’en profite pour me soulager et remettre en place le Lush. Dans le miroir je me remaquille, vérifie qu’il n’y a pas de marque de bâillon sur mes joues, aucune parfait. Je reviens vers vous, marchant d’un pas plus assuré, fixant mes yeux dans les vôtres et soudain toute mon assurance s’évanouie, le Lush revibre. Je m’installe face à vous, vous me prenez une main, les vibrations sont aux maximums. Puis tout s’arrête, le serveur arrive avec les menus, vous posez votre téléphone. La soirée s’annonce belle.
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Par : le 27/02/23
Je lui claque une fesse. Sa mouille abondante dégouline lentement jusqu’au plancher. Elle baise ma chaussure. Je saisis le feutre sur la table sur la table et, d’un mouvement sec, tir un grand trait barrant ceux qui ornent déjà sa peau. — Tu n’as pas honte ? je demande. Un gémissement plaintif me parvient aux oreilles. Je reconnais le doux son de sa gêne. Je retire l’œuf de sa chatte et le jette sur le tapis. Quand je plonge deux doigts dans son anus tremblant, sa bouche m’accueille d’un geignement prolongé et suave. Genoux à terre, repliée en avant sur le tapis et mains menottées dans le dos, elle est à ma Mercie. Soumise sous contrôle. Chienne en dressage. Esclave de mon désir. Mes doigts s’engouffrent dans ses fesses et je frotte ses parois avec vigueur. Je fouille son intimité. Je saisis sa crinière et tire sa tête vers l’arrière. Un long gémissement traverse la pièce. — Petite pute. Elle gémit. — Putain masochiste. Elle gémit. — Tu n’as pas honte ? Son souffle s’accélère, ses parois se resserrent. Sa tête que je tire vers moi s’abandonne de plus en plus dans mon sens. Elle frémit, son corps est parcouru de spasmes. Les larmes de mascara sur son visage gonflent ma verge d’un désir explosif. — Jouis ! Je lui claque une fesse. De petites gouttes forment rapidement une trace humide sur le tapis et elle pose un baiser sur ma chaussure. Du feutre, je grave sur son cul son cinquième orgasme. Je me lève et lui retire les menottes. — Debout ! Elle obéit. Elle s’avance vers le pied du lit. — Cambrée ! Elle s’affaisse vers l’avant. — Tes fesses ! Elle gémit. Elle amène ses mains dans son dos et écarte les fesses. Son petit anus compressé s’agite. Il me fait de l’œil et je compte bien le défoncer. Je bande à en mourir. Je rapproche ma bite de son cul et d’un mouvement sec je la pénètre jusqu’à la base. Son gémissement résonne contre les parois des murs. Je saisis son cou et à son oreille : — Silence ! Chienne ! j’ordonne. Elle inspire grandement. Elle gémit. Elle frémit. Mon bras appuyé contre son sein capte le battement affolé de son cœur. Elle est belle. Elle est si belle dans la peur. Je retire alors ma queue et, une nouvelle fois… je lui baise l’anus.   Couché sur papier en une petite heure...
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Par : le 18/02/23
Là, tout se noue, depuis ma gorge jusqu'à mon vagin. Pourquoi ai-je épousé ce clown pervers et stupide ? Un cameraman filme la scène. Je dois faire pipi, j'ai faim, j’ai soif et bien sûr, je suis terrifiée. Je savais que le risque augmentait de jour en jour... J'aurais dû partir, mais je ne sais pas où est Summer. Je demande à la femme : — Mon mari est ici ? — Non, il n'y a plus que toi, ici. — Vous voyez, ils m'ont laissée parce que je n'ai rien à voir avec ce que faisait le Président. J'étais juste là pour son image. — C'est possible... on verra... — On pourrait m'enlever les menottes, que je puisse passer une robe ? Et puis, je dois faire pipi... ça presse, je vous jure. — La robe, non... Pipi, OK. Tu filmes Jacky ? — Oui... — On va dans la salle de bain et il filme. Quand j'ai fini, je me secoue un peu, impossible de demander à la femme de m'essuyer ! Je lui demande : — Qu'est-ce qui va m'arriver ? — On va t'interroger, puis tu passeras en jugement... — On va me condamner à mort ? Ça les fait rire tous les deux. Elle répond : — Certainement pas, mais sans doute à une peine de prison pour que tu sois hors des pieds. La prison ! Summer va me faire évader. La femme me conduit dans une grande pièce. Plusieurs hommes sont assis autour d'une table. Il y a quatre Noirs et deux Blancs. La femme leur dit : — Je vous amène la Première Dame — Merci, Jackie. Ils continuent à parler entre eux. Le cameraman s'assied et moi j'attends debout, aussi nue que le jour de ma naissance. On attend quoi, là ? Au bout de cinq minutes, je demande : — Je peux m'asseoir ? Un gros homme répond : — Non. — Mais je n'ai rien fait, je n'étais pas au courant de ce que faisait mon... — Tu as envie d'être fouettée ? — Non, Monsieur. — Alors, tu te tais. Il ne me traite pas du tout comme si j'étais la Première Dame et pourtant, je n'ai rien fait... On ne me parlait jamais de rien ou presque... Après une bonne demi-eure de station debout, un homme entre dans la pièce. Aussitôt, les autres se lèvent, comme à l'école ! Oh ! Je le connais, c'est Dany Prince, l'adversaire de mon mari. Il tourne autour de moi en disant : — Les rats ont quitté le navire qui coulait, en ne laissant que toi derrière eux. Pourquoi ? Putain ! Qu'est-ce que je dois répondre ! — Mon... mon mari m'a épousée juste pour mon physique et pour m'obliger à partouzer. — Tu veux dire que tu n'as jamais participé à un complot contre moi ? — Non, je n'étais au courant de rien, je vous jure. Il sort un téléphone de sa poche et pousse sur une touche, j'entends ma voix dire : — Il faut organiser un scandale sexuel bien crade... Merde ! Je lui dis : — Il y en a qui voulaient vous faire descendre, moi j'ai juste dit ça. Prince bâille, puis il me dit : — Je crois que tu n'avais pas grand-chose à dire... Ta seule qualité étant tes fesses. Sympa ! Il se tourne vers ses conseillers en disant : — Qu'est-ce qu'on en fait ? À tour de rôle, ils prennent la parole et suggèrent de faire un grand procès télévisé, de me faire disparaître ou encore de me vendre comme esclave. Prince dit à celui qui vient de suggérer de me vendre : — Développe. — Il ne faut pas en faire une martyre, du genre on s'acharne sur la pauvre épouse abandonnée par son mari... On la vend un bon prix. Je ne veux pas être vendue, mais je veux encore moins disparaître. Je dis à Prince : — Vendez-moi, Monsieur le Président, vous n'entendrez plus parler de moi. — Président, c'est pour bientôt. Esclave, ça te plairait ? — Pas du tout, mais disparaître encore moins. Il sourit et répond : — D'accord, on met le film qu'on vient de tourner en "secret défense" et pour la presse, il n'y avait plus personne à la Maison-Blanche. Ils se sont tous enfuis comme des lâches. Toi, on te vend. Ce qui m'empêche de m'écrouler en sanglotant, c'est un nom... vous savez de qui je parle. Prince ajoute : — Faites-la voyager discrètement. Là, les choses vont vite. J'ai toujours les mains enchaînées derrière le dos et on me conduit dans une voiture aux vitres teintées... On va l'aéroport de Washington. Là, on me met dans une petite cage pour chien. Imaginez : de la Maison-Blanche à une cage pour chien ! Les hommes qui sont là n'ont pas l'air étonnés... c'est sans doute comme ça qu'on fait voyager les esclaves...   Un Black vient m'examiner. Il me dit : — Tu as un beau cul pour une Blanche. — Merci Monsieur... Dites, j'ai soif. Il regarde autour de lui, puis il sort son sexe de sa salopette et le passe entre deux barreaux en disant : — Suce-moi et je te donnerai à boire. Ça ne me change pas tellement de ce que je devais faire avec ce salopard de président. Je tire sur la peau et découvre un gros gland tout rose qui tranche sur sa peau ébène. Je le prends en bouche et ma tête va et vient sur son sexe, dans la limite où la petite cage le permet... Je dois me concentrer sur ce que je fais. Il lui faut bien une dizaine de minutes avant d'inonder ma bouche de sperme. Il presse son sexe de la base vers le sommet pour mettre les dernières gouttes dans ma bouche. Ensuite, il ouvre un instant la cage pour y mettre un bol d'eau en disant : — Je vais te donner un peu à manger. — Merci Monsieur. Enfin, merci... c'est un grand mot, car il ouvre un sachet et le vide dans un autre bol. Il le met dans ma cage en disant : — C'est de la nourriture pour chiens, ce qu'on donne aux esclaves. Il y a deux jours, j'aurais dit « Les esclaves devraient être contentes qu'on les traite comme des chiennes ». Mais quand on a le nez dedans, c'est différent ! Et je crains de ne pas être au bout de mes mauvaises surprises. Je me force à manger cette pâtée qui sent fort. Je ne sais pas quand je mangerai à nouveau. Quoique... il faut que les esclaves soient en forme pour être vendues. C'est vrai, je vais sans aucun doute être vendue comme esclave de plaisir ! Dans les cages à côté des miennes, un chien aboie. Je termine ma pâtée et mon bol d'eau... Je voudrais me coucher mais la cage est trop petite... J'arrive juste à me mettre sur le dos, les jambes... je veux dire les pattes repliées... Des hommes viennent me chercher, ils me chargent dans la cale. L'avion décolle. Je suis dans le noir... à broyer du noir !!! La seule bête consolation, c'est ceci : ce que je craignais est arrivé, donc ça n'arrivera plus. Et puis, il y a Summer... Quelques heures plus tard, on atterrit. On me charge dans une camionnette. Je ne vois rien. On roule un moment, puis on décharge la cage et on l'ouvre... Un homme m'aide à sortir, j'ai du mal à marcher tellement j'ai des courbatures. Je regarde autour de moi, on est sur un quai, devant moi, la mer... Je pensais me retrouver au Slave Paradise où des amis auraient pu m'aider à m'évader... L'homme me met des menottes, mais devant heureusement, puis il met un collier en métal autour de mon cou. Il y a une chaîne accrochée au collier et il me tire derrière lui. Un peu comme s'il promenait son chien... On se dirige vers un petit bateau et on y monte. Un homme demande au garde : — C'est la dernière ? — Oui... on peut y aller, je vais l'attacher avec les autres. Je lui dis : — Pardon Monsieur, mais je dois faire pipi et j'ai soif. — Oui, viens... On entre dans une toilette. Quand c'est fait, il me tire par ma chaîne vers un homme qui doit être le capitaine. Il lui dit : — T'as pas une bière ? L'homme lui donne une Coors. Il boit la moitié et me la donne. Je le remercie et la vide en deux gorgées. C'est la première chose agréable depuis la fin du monde. Ensuite, il me conduit à l'arrière du bateau. Oh ! Il y a une série de filles réunies par une chaîne attachée aux colliers qu'elles ont autour du cou. Elles sont assises par terre mais elles se lèvent dès qu'elles voient le garde. Elles ont aussi les mains menottées vers l'avant. Le garde attache ma chaîne au collier de la dernière fille. Elles sont sept, toutes Blanches et toutes jolies. Le garde nous dit : — Asseyez-vous. On obéit et dès qu'il va vers l'avant, quelques filles se parlent tout bas. Je murmure à la fille qui est devant moi : — On m'avait dit que j'irais au "Slave Paradise". Elle répond : — On va à Alcatraz. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins. Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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Par : le 27/01/23
J'avais un but : devenir une star, puis être riche et vivre avec Summer. Maintenant j'en ai un troisième : supprimer Madame cochon ! Sarah me prend par le bras et m'amène dans la grande salle. Il y a une dizaine de filles nues qui font du pole dance. Putain !! Je commence à regretter d'avoir accepté les 15000 $... Enfin, non, quand même pas. Elle m'amène devant un gros homme qui se trouve à côté du bar. Elle lui dit : — Monsieur Brown vous envoie cette fille qui...euh... L'homme lui montre son téléphone en disant : — Je sais, je viens de recevoir son message. D'accord, elle danse et fait des pipes, mais je dois d'abord me rendre compte de ce qu'elle vaut. Viens derrière le bar petite et suce -moi... Il y a des rires autour de nous J'y vais et, d'accord avec vous, Madame Obama ne l'aurait pas fait. C'est pas le bout du monde non plus, j'ai fait ça à Atlanta. Je me mets à genoux. Les deux barmaids me regardent en souriant, ravies d'avoir une remplaçante pour sucer le patron ! L'homme se met devant moi et ne bouge pas. C'est moi qui dois tout faire ? Je descends la tirette de son pantalon et quelques kilos d'abats me sautent à la figure. C'est-à-dire une grosse saucisse molle et deux énormes couilles. L'homme me regarde. Il a un verre à la main et il me dit : — A tu salud pequeña Ce qui veut dire "à ta santé petite" comme vous vous en doutez. Je réponds : — Je peux boire un peu avant de sucer votre bel engin M'sieur ? Il boit, puis il me donne son verre. C'est fort ! Je tremperais bien son gland dans le verre, genre petite toilette. Je vide le verre et lui rends... Ensuite, je tire la peau pour dégager le gland et j'ouvre grand la bouche pour l'accueillir.  Je le suce et je réfléchis en même temps... Si quelqu'un lisait ces lignes, il se dirait, "C'est de la folie tout ce qu'elle raconte. Une Première  Dame des Etats-Unis, à genoux derrière le bar d'un bordel à sucer un gros Mexicain, c'est quoi ce truc ?!?!" D'accord, avec le lecteur imaginaire. Et, pourtant ma tête va et vient sur une grosse bite, tandis que ma langue titille un gland... Je continue à penser tout en suçant. Mon mari m'a promis une somme proprement scandaleuse s'il était réélu. Ensuite je divorce et je vais vivre de mes rentes avec Summer. On se débarrassera d'abord du couple cochon ! Ouch ! Le sexe grossit dans ma bouche et le senor grogne en me caressant la tête, en clair, ça veut dire "je vais tout te lâcher dans le gosier". Ça y est : une douche tiède et saccadée envahit le fond de ma bouche, j'avale tout.... J'avale son sperme et je ravale ma frustration et ma rancoeur. Il faut que mon mari soit réélu, ensuite bye. On ira où Summer voudra et on  achètera des esclaves. En attendant le patron est bien disposé à mon égard. Ça arrive souvent avec un monsieur que vous venez de sucer. Il me dit : — Tu es douée petite. relève-toi. Je me mets debout. Les clients me regardent en souriant. C'est gênant. Le patron me donne un verre de Tequila... Ça pique la bouche mais ça fait du bien... Je le bois en 3 gorgées. Il me désigne une table de jeunes occidentaux en disant : — Va danser pour eux Je m'approche de la table... Les jeunes gens ont l'air d'être des étudiants plutôt propres sur eux. Il y a 4 garçons et 3 filles, des étudiantes aussi, pas des putes. Quand je suis près de la table, un garçon me met la main sur les fesses. Difficile de jouer les pucelles quand on vient de sucer la bite d'un Mexicain de 100 kg. Je leur dit : — Vous avez demandé que je danse ? C'est une fille qui répond, une brune bien en chair, jolie. Elle me dit : — Qu'est-ce qu'une fille aussi belle que toi fait dans un bordel de Tijuana. Je pourrais dire "et vous qu'est-ce que vous y faites ?", mais à mon avis, il cherche de la dope spéciale. Je réponds : — C'est que... mon... euh... ami... La fille me coupe : — Ton mac. — Oui...mon mac en avait marre que je me plaigne des clients pas très nets, alors il m'oblige à passer quelques jours ici. Ça leur convient.  La brune dit même : — Il a raison ! Tu es une esclave ? — Euh... non, mais... — Aucune importance. Allez grimpe sur la table et danse. Il y a quelques semaines, je dansais à poils sur une table à la "House of Pussies" et aujourd'hui, je danse à poils dans un bordel mexicain ! Je vais changer ça... même si je devais m'allier à Dany Prince, l'adversaire de mon mari ! En attendant, je suis debout sur une table dans le simple appareil d'une pute dans un bordel. Je remue mes fesses, balance mes seins et je me penche en avant pour que tout le monde puisse constater que je suis bien une fille. Ici, ce n'est pas Atlanta, les clients font ce qu'ils veulent. Tandis que je virevolte autour de la barre, les mains des garçons et des filles me caressent. Il y a des clients qui se sont levés pour mieux me voir et bientôt, il y a un petit attroupement autour de la table. Au Grauman's Chinese Theater ou ici, c'est moi la star. Après une dizaine de minutes de danse un des garçons dit : — Je bande comme un phoque. Les autres garçons et même les filles aussi. La brune  dit : — Tournée générale de pipe et de cunni... — En me regardant elle ajoute : — Tu auras 10 $ par personne. Mon Dieu, quelle générosité, mais je jure devant Dieu que ce sont les dernières pipes que je fais sous la contrainte. Ils sont sept,  ça fait quatre pipes et trois cunnis. C'est beaucoup ! Un garçon me dit : — Commence par moi. Il est un peu affalé dans son fauteuil. Je m'agenouille entre ses jambes et il dégage son sexe de son pantalon. Je suce cette bite le mieux possible tout en pressant les couilles juste ce qu'il faut. Le mec est jeune, pas trop bourré et puis moi j'ai de la technique. Aussi, quelques minutes plus tard la bite molle devenue dure jouit dans ma bouche. Il me dit : — Avale ! Ils me regardent tous, impossible de cracher en douce, alors j'avale tout. Je ferai régime demain, mes fesses sont assez rebondies comme ça, d'après Madame cochon ! Et les siennes, elles sont comment ? Le gars suivant est moins propre, alors pour ne pas l'avoir sous le nez, je mets vite son gland dans la bouche. Oui, c'est un truc de pute ! Dingue, non ? Moi, une star de cinéma et... — Suce plus énergiquement ! Le gars s'impatiente. Je le suce, je joue avec ses couilles, il jouit. Il m'attrape par le cou et me maintient pour jouir dans ma bouche. Je dois tout avaler. Je souhaite qu'il rate ses examens !  La suivante est une fille. Une chatte, ça me change, même si elle n'est pas lavée de frais... Je vois un peu de lassitude dans les yeux du lecteur imaginaire et je suis d'accord avec lui, on va raccourcir tout ça :  Ashley fait des fellations et des cunnis à des étudiants et des étudiantes pas mal physiquement mais pas trop soignés. Je fais quatre fellations et deux cunnis... Quand, je me relève, j'ai un sale goût en bouche et les genoux douloureux. Sarah dit aux clients : — Elle reviendra dans 10 minutes et dansera pour tous ceux qui veulent. Ça convient aux clients. On sort de la salle et elle me tend ma robe en disant ; — Dépêche-toi. On monte dans la voiture et je lui demande : — Qu'est-ce qu'il se passe, Mademoiselle ? — Ton mari a eu de mauvaises nouvelles, il doit  rentrer d'urgence. On se tait jusqu'à l'aéroport. Un garde nous attend et règle les formalités. On monte dans le jet et on décolle. Mon mari est déjà là et il ne quitte pas son écran  des yeux. A un moment, je lui demande : — C'est grave ? — Ça va s'arranger. Ouf ! Je bois un cocktail et je somnole. On atterrit à Washington et on part à la Maison Blanche. Là, il va s'enfermer avec ses conseillers. Moi, je prends deux esclaves au passage et je vais dans ma chambre. Je les fouette un peu parce que... je suis énervée. Ensuite, elles me lèchent mais bien et partout, c'est la magie des esclaves fouettées.... *** Le lendemain, quelqu'un tire les lourdes tentures et tandis que le soleil inonde la pièce, on arrache le drap qui me recouvre. Je crie : — Non mais ça ne va pas la tête !! Deux hommes et une femme me regardent en souriant, tandis qu'un cameraman nous filme. La femme me dit : — Vous êtes bien Ashley Stirland ? — Oui mais... — Je vous arrête ! — Mais vous êtes folle, je suis la Première Dame ! Mon mari vous fera... — Mais oui... Les hommes m'empoignent et me mettent debout. Ensuite, ils me mettent des menottes aux poignets dans le dos. Je dois être en plein cauchemar ! À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin. Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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Par : le 23/01/23
Il dut convenir que le caractère dont je faisais preuve ne lui déplaisait pas. À la fois sensuelle et totalement soumise, je gagnais ainsi son amour. Dormir dans son lit me semblait, pour des raisons inexplicables, un engagement profond. Je me glissai le plus discrètement possible sous la couette, en scrutant le visage de Xavier, bien résolue à ne pas le réveiller. Il ne bougeait pas. J'éteignis la lampe de chevet, me retournant sur le flanc. Il ne bougeait toujours pas. Mais juste au moment où mon esprit commençait à s'apaiser, où mes membres se détendaient entre les draps frais, je sentis ses jambes se coller aux miennes. Son corps bien vivant. Xavier m'enlaça et écrasa son pelvis contre mes reins. Je demeurai sans réagir, en priant pour qu'il se rendorme, en me détestant de le souhaiter. Mais hélas, il se rapprocha et m'embrassa dans le cou. Je fus parcourue d'un frisson, que Xavier interpréta comme un signe de plaisir. Il effleura ma peau hérissée par la chair de poule, ce qu'il prit pour un symptôme prometteur et une invitation. Au tout début de notre relation, je pensais qu'il était l'homme qui embrassait le mieux de la terre. Je me souvenais encore de notre premier baiser, un instant de pure transcendance. Au terme d'une soirée agréable passée au restaurant et après un dernier verre dans un bar de nuit, il m'avait attirée contre lui pour le plus incroyablement doux baiser que je n'avais jamais reçu, une caresse subtile des lèvres et de la langue, avec une juste combinaison de passion et de sensualité. De toute évidence, Xavier avait eu tout le loisir de peaufiner sa technique, puisqu'il était un des hommes les plus connus et les plus sollicités que j'avais jamais rencontrés. Pourtant, depuis quelques mois, j'avais l'impression d'embrasser un inconnu, et cela n'avait rien d'un fantasme excitant. Cette bouche que je trouvais autrefois douce et sensuelle me semblait de plus en plus froide, humide et d'un contact déplaisant. C'est avec trop de voracité que sa langue cherchait la mienne désormais, que ses lèvres étaient engourdies ou trop charnues. Chaque caresse me faisait l'effet d'un viol. Autrefois, pourtant, le sexe avec lui avait été fantastique.   J'étais occupée par des questionnements qui indirectement, me persuadaient qu'il y avait lieu de me demander si j'étais éprise de lui, ou non. À force d'examiner cette hypothèse, l'éventualité de ma passion pour cet homme devenait pour moi une réalité, mieux, une évidence ! Quand Xavier était moins disponible, plus assidu aux jeux de la séduction, moins collant, moins impatient de se caser avec une fille plus sérieuse que toutes celles, frivoles et inconstantes, qu'il avait fréquentées entre vingt et trente ans. Une époque qui semblait se perdre dans la nuit des temps. L'offensive me prit au dépourvu. Soudain, avant que j'ai pu comprendre ce qui se passait, il avait baissé mon shorty jusqu'aux genoux et s'était collé contre moi. Je voyais ses bras puissamment musclés saillir sous son menton et les appuyer sur ma gorge. Je lui demandé avec véhémence de desserrer son étreinte, par chance l'obscurité m'empêchait de voir son visage. Je finis par m'endormir peu avant six heures. Mais ce n'est que plusieurs heures plus tard, en pleine réunion, tandis que la fatigue m'embrumait l'esprit et rendait mon élocution laborieuse, que je me souvins de ma dernière pensée avant que le sommeil ne me happe. Je repensais à cette soirée au cours de laquelle mes amies s'étaient mises au défi de réformer leur vie. Florence allait élargir son champ d'expériences en collectionnant les aventures. Anne était résolue à s'essayer aux joies de la monogamie. Dix jours avaient passé, et je n'avais toujours pas trouvé comment m'associer à ce projet. Jusqu'à cet instant. Ne serait-ce pas opportun d'annoncer que j'allais mettre un terme à cette relation sentimentale insatisfaisante. Même si j'étais terrifiée à l'idée de me retrouver seule. Je m'efforçai de penser à autre chose, à mon prochain voyage. J'assistai à un cocktail pour un prix littéraire organisé par une prestigieuse maison d'édition parisienne. Si mes collègues ne se décidaient pas à remballer leur insupportable verbiage dans les dix minutes, je serai en retard pour un dîner. J'allais discrètement m'éclipser quand le visage radieux de Claire apparut. Elle était réellement lumineuse ce soir dans sa robe noire courte et moulante, glamour et sexy, avec une pointe d'élégance empruntée à Jackie Kennedy, un collier de perles ras du cou. Sa présence qui ne passait pas inaperçue dans l'assemblée me sauvait d'un ennui profond. - Bonjour, Claire, tu vas bien ? Tu es vraiment lumineuse. Il faudra que tu me donnes ton truc. Elle me regarda avec un regard encore tout chaviré de sa rencontre avec lui, mais cela je ne le savais pas. - J'ai une recette incroyable, que nous nous passons d'amies en amies, je t'en parlerai quand tu voudras. Notre conversation dériva sur notre domaine d'activité et la soirée fut un moment très agréable. Trois jours plus tard, au cours d'une réunion plus qu'ennuyeuse, le visage de Claire réapparut dans mes pensées vagabondes. Avec le recul, elle m'apparut encore plus resplendissante que jamais. Dès qu'un moment libre se présenta, je décidai de l'appeler.   Cernée, je me voyais à présent traquée par d'inévitables sentiments, fatals et mordants, qui me conduisaient à rechercher d'opportunes occasions d'avoir sans cesse de nouvelles aventures amoureuses. Après le bonjour rituel, j'osai aborder le sujet directement, mourant d'envie de connaître son truc. - Écoute, mon secret, c'est un homme, mais pas n'importe quel homme. Je ne le connais pas, il vient chez moi une fois par semaine. Je l'attends, les yeux bandés. Il a les clés et dès qu'il arrive, il mène le jeu. Il m'a fait découvrir un plaisir incroyable, basé uniquement sur le sexe. Il n'y a pas d'amour, pas de partage. Il ne parle pas. Ses mains, son corps, son pénis: il met tout en œuvre pour que je jouisse. Un homme que pour l'orgasme. - Tu te laisses baiser par un homme que tu ne connais même pas, mais tu es complètement folle. - Au début, j'étais comme toi. Plutôt prudente et méfiante. Mais l'idée a fait son chemin. Un jour, j'ai franchi le pas. J'ai donné mes clés. Le jour X est arrivé. J'éprouvais de l'appréhension. Je ne te parlerai pas de la suite, mais tout ce que je peux te dire, c'est qu'aujourd'hui, je ne peux plus m'en passer. Si tu veux profiter de ses visites, c'est très simple, tu m'envoies un trousseau de clés avec une étiquette où tu précises ton adresse, ton téléphone, et quel jour de la semaine tu veux baiser avec lui. Je reposai le combiné, troublée. Ouvrir ses cuisses, se laisser pénétrer par le sexe d'un homme que je verrai jamais: incroyable; moi si classique, si traditionnelle, j'ai un amant certes créatif mais dont je connais toutes les fantaisies. Baiser avec lui est un havre de bien-être, de complicité. Nos sexes se connaissent et se reconnaissent. Un passage aux toilettes me fit découvrir l'effet de cette conversation. Un jus clair, tiède s'écoulait de ma vulve, déjà en éveil à l'idée d'une telle rencontre. Je ne pus m'empêcher de me caresser pour apaiser d'un plaisir au singulier son attente. Me faire pénétrer par un homme que je ne connaîtrai jamais; le désir était né. Dès le soir, dans les bras de mon amant, je lui ai demandé de me bander les yeux; j'ai pensé à lui, lui que j'attends déjà. Tout mon corps, mon esprit se sont centrés sur son sexe, un membre superbe, tendu, turgescent, allant et venant. Le plaisir a envahi tout mon être. J'ai hurlé comme sous ses coups, j'ai joui avec une telle intensité jusqu'alors jamais ressentie. Le lendemain, l'envie était toujours là, pensée permanente trottant dans mon esprit. Toute la journée, j'ai essayé en vain de chasser ses fantasmes. Mais tous mes sens s'opposaient vivement.   J'étouffais de rage d'être coincée dans un naturel aussi peu enclin à la satisfaction, de me voir soumise à un tempérament de forcenée qui me portait toujours en avant plutôt que de jouir des féeries de l'instant. L'idée semée au cours de la soirée avait grandi et se défendait vigoureusement. Trois, quatre jours passèrent ainsi. Je restai dans une dualité qui ne m'apportait aucun répit. Un désir de plus en plus fort s'imposait au fil des jours, qui profitait à mon fiancé tout surpris de retrouver une dynamique dans notre couple. Xavier me demanda alors une explication, je lui répondis que je venais de remporter un très important contrat face à une agence concurrente. En réalité, je ne me sentais pas bien; j'avais rompu l'équilibre que j'avais si soigneusement réussi à construire. Le sixième jour, n'y tenant plus, je courus faire un double de mon trousseau de clé. Je mis le trousseau dans une enveloppe et l'envoyai à Juliette. Un frisson incroyable me parcourut quand je la glissai dans la fente de la boîte aux lettres, un avant-goût du plaisir animal qui prit place désormais dans ma vie. Je décidai le jour même de ne plus porter de sous-vêtements sous mes robes, délaissant ma lingerie La Perla. Ce soir-là, je fis l'amour avec un lâcher-prise qui laissa mon partenaire de jeu épuisé mais émerveillé. J'avais consenti à accepter l'un de ses plus grands fantasmes, un triolisme érotique avec une très jeune fille désirable et infatigable. Le premier jeudi arriva. Il fut au-delà de mes attentes; un moment rare. Depuis, ma vie a changé de couleurs: hier dans les couleurs pastel, aujourd'hui, jaune, rouge, verte: elle brille aux éclats comme un arc en ciel après la pluie. Je l'attends. Dès que je suis rentrée du bureau, j'ai pris une douche pour me détendre et chasser toute pensée professionnelle. Je me suis massée afin d'assouplir mon corps, le rendre plus animal, plus félin. Je l'ai parfumé délicatement, nappant mon intimité d'un voile odorant. Depuis que je le connais, j'ai rasé le duvet de mon pubis pour qu'il soit encore plus doux. Je suis là allongée sur le lit, mes sens en alerte. Le plaisir est là qui tient en éveil mon bas-ventre; les pointes de mes seins dardent dans l'attente de ses morsures. Mes yeux masqués ne voient plus le soleil ambiant. Soudain, j'entends la clé dans la serrure, qui la pénètre aussi efficacement que son sexe pénètre le mien. Il se déshabille sur le chemin qui mène à ma chambre, lançant ses chaussures sur son passage. Le frottement de sa chemise et de son jean sur sa peau est la plus douce musique, prélude à notre étreinte.   C'était de l'amour avec un grand A. L'amour, je croyais savoir déjà ce que c'était, j'y avais même cru l'avoir déjà ressenti auparavant, et même plus d'une fois. Et pourtant, je ne lui avouais pas. Pour le reste, je suis incapable de savoir s'il porte un slip ou non. Il ne vient jamais directement dans le lit. Je sens son regard qui, centimètre après centimètre, prend possession de mon corps. Il ne me touche pas et pourtant déjà celui-ci se rend sous le coup de l'émotion. Qu'attend-il pour me prendre, je suis en manque de lui depuis une semaine. Il reste là à brûler ma peau. Je reste là à attendre, le sexe moite et impatient. Il se lève, rejoint le lit d'un pas tranquille et monte avec la souplesse d'un félin. Je ne peux toujours pas le toucher, car c'est lui qui mène le jeu. Il commence par mordiller les pointes de mes seins, en suçant les larges aréoles brunes, puis d'un coup me retourne exposant mes fesses à la lumière. Il attrape mes mains, et avec des menottes, me les attache dans le dos. Sa langue reprend sa promenade, découvre mollets, cuisses. Son trajet décrit des courbes ne pouvant me laisser prévoir aucune logique. Sa langue se glisse entre mes fesses, force mon intimité, ôtant lentement avec une délicatesse infinie le bijou anal lui interdisant l'accès à ma voie la plus étroite. Je dilate et je cambre pour mieux l'accompagner. Il la déflore avec un doigt, l'éveille d'un va-et-vient progressif, un deuxième, puis un troisième viennent rejoindre le premier. Je commence à partir, mes mains emprisonnées ne peuvent partir à sa découverte et me saisir de son sexe entre mes doigts. Il ose me prendre comme peu d'hommes ont osé. Il ne tient pas compte de mes cris, de mes suppliques: il fouille, prend, envahit, me fait mal, me libère pour mieux me reprendre. Quand il me sent au bord de l'extase, il me retourne. Sa langue reprend mon sexe, le suce avec avidité. Je hurle, j'aime sa douceur, sa force, sa violence, la chaleur de sa langue tonique. Je m'ouvre, impudique pour que ma chatte béante capte chacun de ses coups de langue, pour qu'il me pénètre au plus profond. J'ose lâcher tout l'animal qui est en moi, être pute, offerte, libre dans mon plaisir. À aucun moment, je ne me sens menacée ni jugée, je suis libre au pays d'Éros; une liberté qui me rend aussi dépendante de lui que d'une drogue. Je suis accro de sa peau, de sa bouche, de ses mains, de sa queue qui me délivre d'une attente d'être. Je le supplie de me pénétrer. Enfin, il répond à mon impatience et entreprend la découverte de mon sexe avec ses doigts. Quel plaisir de m'ouvrir, coulant sous le désir de ses caresses sur mon clitoris, mes petites et grandes lèvres. Mon corps se déchaîne; mes reins se cambrent pour mieux me livrer. Je brûle. Je perds toute pudeur. Mon vagin, mon anus, ma bouche, mes plis, ma chair veulent être pénétrés. Je le supplie. Esclave, je lâche prise. Son gland rosé, gonflé caresse le sillon de mes fesses. Il entre, je m'offre, je me laisse envahir, je suis pleine, je le guide, je rythme ses va-et-vient. Je suis lui, il est moi. J'aime d'être enfournée de sa queue si dure, campée, enfilée. Son plaisir est rapide, mais il se retient. Quand je le sens prêt, je l'appelle par mes parois et ma voix. Il crie, longtemps, au même rythme qu'il se vide en moi. Je happe ses jets, les suce, les conserve. Il s'effondre sur moi. Je suis dans l'entre-deux, espace intemporel, le voyage s'achève et la vie reprend. La trêve est terminée. Il me retire mes menottes. Il s'écarte de moi. Puis laisse ma peau abandonnée de son contact.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 13/12/22
Le edging, que l'on traduit le plus souvent  par "déni d'orgasme", est un type de pratique le plus souvent lié au BDSM (même si certains le pratique dans le cadre d'une relation de couple vanille). Le edging est une pratique sexuelle qui consiste à stimuler son soumis ou sa soumise jusqu'au point de quasi-orgasme, et d'obliger le contrôle d'orgasme ou d'arrêter temporairement le jeu avant que votre orgasme arrive. Le déni d'orgasme dans le BDSM Dans le BDSM, le déni d'orgasme est donc utilisé comme un moyen d'assoir la relation entre le soumis ou la soumise et la partenaire qui domine tout en prenant du plaisir. La personne soumise devra faire attention à respecter le moment dont le partenaire dominant va décider s'il peut jouir. Cette pratique joue à plein sur la psychologie et s'articule autour de la dynamique du pouvoir. Le edging dans une relation BDSM aboutit donc à des moments très forts tant d'un point de vue physique qu’émotionnel. Le déni d'orgasme, au delà de la tension sexuelle est aussi une pratique extrêmement cérébrale. Ceux qui pratiquent le edging le font, en première intention pour prolonger le plaisir (en le faisant durer) tout en l'intensifiant (l'orgasme final est très puissant du fait de l'accumulation de la tension sexuelle qui va crescendo . Le plaisir à l'issue d'une séance de edging est quasi systématiquement bien plus puissant. Comme les autres pratiques BDSM, le déni d'orgasme se fait après accord de chaque membre du couple. Au delà du consentement qui est la pierre angulaire de toute relation BDSM, comme chacun sait, le edging implique en plus que la personne qui s'y soumet fasse tout pour obéir et retarder sa jouissance. Comment se lancer dans le edging ? Parmi les conseils que l'on peut donner si vous avez envie de tester le edging, on trouvera l'immuable invitation à discuter entre partenaires. Lors de la discussion préparatoire entre les partenaires, pourra être déterminé les pratiques qui vont être employé par la maîtresse ou le maître pour emmener la personne soumise au bord de l'orgasme. Les pratiques peuvent être de tout ordre, l'edging peut inclure des stimulations plus ou moins rugueuse du gland et surtout de son frein (pour les soumis), du clitoris, de l'anus et des tétons (pour les soumise). Le jeu sexuel pourra également se faire avec des sextoys, notamment des vibromasseurs plus ou moins puissants (du vibro de base au très intense magic wand). Pour mieux contrôler la personne soumise et assoir sa domination, on aura souvent recours à des moyens d'immobilisation type menottes ou liens ou cordes de bondage. Cela peut participer grandement à l'excitation et au délicieux tutoiement de la limite de son désir, avant le basculement dans la jouissance. Le edging c'est stimuler très très très (très) progressivement Le principe est dans tous les cas de commencer doucement les stimulations de la personne sur qui on va pratiquer le edging. Il faut commencer par des contacts légers comme des caresses (pas nécessairement portées sur des zones érogènes) puis augmenter progressivement la tension liée au plaisir en se focalisant de plus en plus sur des zones érogènes. C'est ensuite le levier de l’intensité de la stimulation qui sera activé. On caressera plus fort, on griffera, on pincera. La personne qui domine est libre de choisir les pratiques (et de les utiliser graduellement, en finissant par la pratique qui donne le plus de plaisir, d'habitude, à leur partenaire). Pour emmener votre soumise au edging, vous pouvez regarder du côté des vibromasseurs offrent des réglages de vitesse et de rythme ajustables et qui peuvent ainsi être utilisés pour explorer différents niveaux de sensation, des grondements lents aux vibrations rapides qui enverront des vagues de plaisir dans tout le corps. De la même manière, pour les soumis, on pourra utiliser cockring vibrants, qui offrent également des modèles de vibrations réglables qui produisent des effets similaires à ceux des vibromasseurs tout en offrant un maintien supplémentaire aux organes génitaux masculins. Le edging si je suis seul.e c'est mort ? On l'a vu, un des piments (fort !!!) dans le déni d'orgasme c'est ce qui se noue entre la personne soumise et la personne dominante. Toutefois, le plaisir du déni d'orgasme (et l'intensité de l'orgasme, au bout du compte) peut être exploré en solitaire lors de la masturbation (j'avoue y succomber quand Chouchou est en déplacement). 1) Commencez encore plus doucement que d'habitude : mettez le téléphone en mode avion, fixez vous une heure avant laquelle vous vous refuser à jouir, et augmentez très très progressivement la pression, la vitesse ou l'intensité de vos stimulations sexuelles (qu'elles soient manuelles ou avec sextoy). 2) Faites des pauses, c'est l'une des clés : Lorsque vous vous sentez au bord d'un orgasme, changez de stimulation ou faites une pause (ne serait-ce que pour quelques instants). Cela permettra aux sensations d'excitation de se dissiper un peu avant de reprendre ( la reprise est en général très très très intense, un à chaque fois encore un peu plus "compliqué" de garder le contrôle). 3) Changez de main ! Que vous soyez un homme ou une femme, vous avez une main agile et précise et l'autre un peu plus gauche (même si c'est la mais droite !). Vous pouvez vous contraindre à vous caresser avec votre main la plus maladroite pour retarder les risques de jouir. 4) Concentrez-vous sur la respiration : Prendre de profondes respirations pendant que vous vous masturbez (ou pendant vos pauses) peut aider à détendre votre corps ce qui est très important pour essayez de retarder l'orgasme ! 5) Limitez l'utilisation des vibromasseurs, par exemple forcez vous à n'utiliser que l'intensité la plus faible de votre vibro habituel, ou imposez vous à ne l'utiliser qu'à travers vos vêtements pendant X minutes. 6) Rédigez un texte sur vos pratiques et vos sensations au fur à mesure que votre excitation monte. La phase de rédaction étant incompatible avec la masturbation, d'écrire vous forcera donc à arrêter (tout en vous excitant de l'écrire, ce qui a un côté redoutable, j'en conviens). Si c'est une masturbation edging parce que votre partenaire habituel.le est loin vous pourrez d'ailleurs lui envoyer ce texte quand vous aurez craqué ! (si vous n'avez pas de partenaire attitré(e), pourquoi ne pas les partager sur les sites (ou même dans les commentaires de cet article !). --- La première fois que l'on teste "en conscience" le déni d'orgasme n'est rien quant à ce qu'on ressentira les fois suivantes. En réalité, c'est d'avoir connu le déni d'orgasme et la libération finale parfois après des heures de stimulations (et de pause) qui va rendre un peu plus délcieuse encore la pratique : on sait l'intensité de ce que l'on va ressentir à la fin si on résiste !!!  
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Par : le 04/12/22
4 ans… 4 ans entre ces deux écrits… Pourquoi ? D’abord la frustration, cela fait plus de 4 ans que je n’aie pas évolué niveau BDSM. Je n’ai pas trouvé de partenaire, puisqu’étant un homme et que, dans ce milieu, c’est une tare, l’offre et la demande, sans doute. Ma première histoire (Episode 1 - elle s’appelait Géraldine) que vous trouverez sur ce même site (si vous voulez lire l’épisode qui précède et explique celui-ci), avait sans doute été un exutoire afin de mieux gérer ces pulsions. 4 ans après, j’ai encore besoin d’écrire, de partager et surtout d’espérer que les rares femmes sur ce forum apprennent que tous les hommes ne sont pas des pervers recherchant du sexe à tout prix et que cette pratique qui, bien que perçue comme perverse, ne l'ai absolument pas : le respect en étant le maître mot. J'ai commencé à me confier à quelqu'un, qui, à priori, n'est pas intéressée par le BDSM mais par mon histoire, à suivre... mais cela m'a immédiatement donné envie de réécrire. Voici donc la suite : Épisode 2 - Elle s'appelait Géraldine, et l'autre Caroline. La fin de l'épisode 1 se terminait pas "je ne savais pas que j'allais la revoir plus tard, mais ce fût le cas" et, oui, ce fût le cas. Nous sommes quelques semaines après... Géraldine et moi n'avions pas échangé nos numéros de téléphone. Nous pensions tous les deux avoir vécu une aventure d'un soir, ce qui m'allait parfaitement, le risque d'attachement sentimental, à cette époque, n'étant pas ma priorité. Seulement voilà, si vous vous souvenez du premier épisode, nous étions partis en groupe, en trip de fin de formation, à Disneyland Paris et Géraldine n'avait pas fait connaissance qu'avec moi, seule la fin de la soirée nous avait offert l'intimité espérée. Elle avait aussi fait connaissance avec Caroline (le prénom a aussi été changé) et ces deux comparses s'étaient construit une petite relation d'amitié les semaines suivantes ledit voyage. Tant mieux, c'est le but des relations humaines. N'étant pas au courant de cette relation, je tombe sur Caroline lors d'une visite sur notre ex-lieu de formation où nous avions chacun un rendez-vous administratif (les derniers papiers de fin de formation). La voyant, je la salue et elle me propose aussitôt sortie de l'établissement d'aller boire un café ensemble. Ce qui me surpris mais, après tout, nous avions fini notre diplôme et pas encore trouvé de travail alors, pourquoi pas ? Je dis surpris car Caroline ne faisait pas partie des "amies" de formation. Comme dans chaque groupe humain, des "clans" se forment toujours et nous n'étions pas dans le même. Sans s'ignorer foncièrement, nous nous contentions des conventions habituelles : Bonjour, bonsoir, à demain. Nous voilà donc au café Georges V, à Lille, afin de commander nos boissons chaudes et je m'attendais à une discussion, certes classique mais dénuée d'intérêt profond. Je me trompais. Dès le départ, je sentis dans son regard une interrogation, comme une envie de me poser une question mais une certaine gêne à l'édicter. Je lui demandai si tout allait bien car je la trouvais différente de d'habitude, 2 ans de formation commune créent une certaine connaissance de l’autre. "Tu connais bien, Géraldine, non ?!?", me dit-elle sur un ton qui, visiblement, n'attendais pas de réponse, mon regard surpris ayant suffi. Géraldine ? Pourquoi ce prénom s'immisce-t-il dans nos cafés de milieu de matinée ? Je tente, maladroitement, une réponse du type : "on a sympathisé et on a fini la soirée ensemble", sans trop donner d'indice. A ce moment précis, j'ai vu son regard changer. Un coup d’œil à droite et à gauche pour s'enquérir de notre solitude et la voilà partie dans une réplique immortelle : "Et tu fouettes souvent le cul de celles avec qui tu finis tes soirées ?" (Silence). Géraldine avait parlé. Certes, nous n'avions pas convenu de secret autour de cette nuit magique mais en parler à une personne que je connais, qui sait sans doute où je compte travailler plus tard, me sembla tout à coup un poil désobligeant. Caroline m'en dit plus : « Je t'explique, Géraldine et moi avons sympathisé après Disneyland. Avant qu'elle ne te rejoigne dans le taxi, nous nous sommes échangé nos numéros (Note pour moi-même : cela explique pourquoi elle ne m'a pas rejoint immédiatement après la descente du bus - cf. Épisode 1). Elle m'a appelé le lendemain après-midi et je lui ai demandé si elle avait passé une bonne soirée avec toi. Elle m'a répondu immédiatement « oui, c'était génial » sans en dire plus. Cela m'a rapidement intrigué car, d'habitude, les femmes ont tendance à raconter leur nuit d'ivresse avec moulte détails et autres ressentis. Je me suis dit : « calme-toi, tu la connais à peine, c'est normal ». Nous nous sommes revus le week-end suivant et avons très vite lié une amitié sincère, mais ça ne s'arrête pas là… » J'étais médusé. Une femme avait trouvé notre nuit ensemble géniale. Je suis conscient qu'au milieu de ces informations, là n'était pas l'essentiel mais je fus touché par ce détail, le reste demeurant du domaine de l'anecdotique... pour le moment. Mon regard bovin devant l'histoire qui se déroulait devant mes yeux n'a pas dû m'aider dans cette aventure, car cela allait en devenir une. Elle continua : "Il y a une semaine environ, Géraldine appris que je faisais partie d'un groupe de pratiquants BDSM. Pour être honnête, je le lui ai dit car je refusai certaines soirées sans qu'elle ne sache pourquoi. J'ai crevé l'abcès et Géraldine m'avoua, en conséquence, la teneur de votre soirée post-Disneyland." Faisons le point : une femme que je connais à peine avec qui j'ai eu une aventure BDSM a dévoilé à une autre femme que je ne connais guère plus la teneur de mes fantasmes les plus intimes. De plus, le diplôme que nous venions d'obtenir étant très spécialisé, nous risquions donc, Caroline et moi, d'être amené à travailler ensemble sur des dossiers communs. Garçon, un deuxième café, s'il vous plait ! Caroline approfondit son explication : « il y a quelques années, j'ai découvert que mon ex-petit ami aimait le BDSM. Il ne m'en avait jamais parlé. Lorsque je l'ai su, je lui ai demandé pourquoi » Et son explication coulait de source : pas de sentiment dans le BDSM, donc il fallait que Caroline sorte de sa vie pour que l'aveu se fasse. Ce fût la porte d'entrée de Caroline dans ce milieu. Elle franchit le pas et fût présentée, par son ex, à un groupe de pratiquants, tous lillois ou proche métropole. Ce groupe était particulier : il possédait un rite d'initiation, basée sur deux soirées où la - ou le - novice, ne peut participer à rien, est attaché(e) à un poteau, en petite tenue (slip pour les hommes et petite culotte, soutien-gorge pour les filles). Il ne se passe rien d'autre, aucune interaction, le novice regarde et, au bout de deux séances, choisit d'intégrer le groupe ou non. Elle n'était plus novice, et ce depuis quelques années. L'initiation s'était bien passée et elle avait décidé d'intégrer ce groupe. N'étant pas un novice en BDSM, une question me vint aussitôt à l'esprit : "Quid des dominant(e)s ?" Sa réponse me surpris, les dominants devaient aussi passer par cette initiation. Petit aparté : je sais que nous sommes sur un forum spécialisé mais, afin que nous soyons au clair question vocabulaire et pour faire très simple, il y a trois types de profil chez les adeptes du SM : les soumis, les dominants et les switchs (qui acceptent de jouer les deux rôles, c'est mon cas, vous allez vous en rendre compte dans la suite de ce récit). Si, pour les soumis et les switchs, cette initiation ne présente à priori aucun problème, il me semble difficile à vivre pour un dominant mais, bon, ce sont les règles de ce groupe. Cette première mise au point étant faite, je me doutais de la suite de la discussion. Caroline allait me proposer d'intégrer ce groupe : je refusai net ! D'abord à cause de cette initiation peu respectueuse des particularités de chacun et, ensuite, parce que, pour paraphraser le Général de Gaulle : "Vive le SM libre !" Si je ne suis pas allergique aux pratiques de groupes en BDSM (si un épisode 3 arrive un jour, vous le comprendrez) mais hors de question de le faire dans un cadre organisé, prévu, dirigé. L'improvisation est mère de connivence. Caroline me demanda pourquoi je refusai aussi vite. Je lui donnai mes arguments. Elle comprit. Cela sentait la fin de notre entretien... jusqu'à ce que ses yeux prissent une autre tournure, plus enjouée. « Tu sais que je pratique aussi de manière personnelle ? » - Seconde phrase que je retiendrai de cette journée ! Comme dirait Jean-Claude DUSSE, j'y vois comme une ouverture. En effet, Caroline pratiquait de chez elle. En fait, elle avait gardé la maison de ses parents, aujourd'hui retraités et partis pour des cieux plus ensoleillés. La famille a les moyens : proche banlieue de Lille, maison individuelle, 4 chambres... et Caroline qui y vit seule. On est presque dans la situation idéale. Et c'est là que Géraldine revint dans la discussion. Elle hésitait, à l'époque, à intégrer le groupe auquel Caroline appartenait. Apparemment, les deux séances d'initiation la dérangeaient, elle voulait pratiquer, mais sans taxe... Alors, Caroline lui avait proposé de l'initier à sa manière, de chez elle, afin de pas la frustrer. Cette dernière avait accepté et, ce soir, une deuxième séance de domination était prévue et il semblerait que je puisse en être la surprise. Alors commence la discussion. Caroline me confirma son statut de dominante. J'en pris bonne note. Elle me demanda aussi si elle pensait que Géraldine apprécierait d'être dominée par deux personnes. Un petit "Tilt" me vint immédiatement en tête. « Bon sang, mais c'est bien sûr, me dis-je à moi-même en avalant mon troisième café, aucune des deux femmes ne connait mon statut de switch. Si, dans l'épisode 1, Géraldine m'a clairement indiqué son identité de soumise et que, il y a quelques instants, Caroline assuma son rôle de maîtresse SM, mon identité n'avait jamais été évoquée. Il était temps de reprendre quelques respirations. Dois-je le révéler tout de suite ? » Je n'ai même pas pris de temps de m'autorépondre que Caroline comprit qu'il y avait anguille sous roche, ou plutôt soumis sous ses yeux. Elle me dit : "tu es Switch ?" - Ma réponse : "Oui, maitresse" finit par la convaincre de changer ses plans. Nous voilà donc partis dans une discussion, obligatoire pour toute relation D/S, autour de ce que j'accepte de subir et ce qu'elle accepte de faire subir. Indispensable précaution, que je conseille à tous car la pratique du SM n'est pas sans danger. La matinée touche à sa fin : je me sens vidé. J'ai donné une liste à une femme qui, en guise de réponse, m'a simplement dit : "ce soir, je ferai tout pour que ton corps n'oublie pas cette liste". Quelle promesse ! Trop hâte ! Je rentre chez moi et pense à Géraldine. Comment va-t-elle prendre cette surprise ? Je ne peux pas la joindre. Si elle le prend mal, je vais sans doute mal le vivre de mon côté. Tant pis : "Alea jacta est" pour paraphraser un autre général. Une sieste, vite, j'ai un rendez-vous ce soir et je ne veux pas le manquer. Caroline a été très claire : « tu arrives à 20h, tu auras déjà mangé et je ne veux rien de difficile à enlever en termes de vêtements. » Je choisis donc un slip, un T-shirt, un pantalon en toile, des baskets et une petite veste pour la route. Nous sommes, certes, en été mais c'est le Noooooooooooord, comme disait le grand Michel. 19h50 : je suis devant la maison, la gorge serrée mais je ne peux pas faire demi-tour, l'excitation est trop grande. Je sonne. Je vois l'ombre de Caroline à travers la porte translucide. Apparemment, la tenue est noire, typique d'une maîtresse, sans doute son personnage. J'entends un rude "Ouvre, c'est ouvert !", sur un ton qui introduit parfaitement l'ambiance de la soirée. Je m'exécute. Première surprise de la soirée : tout le matériel de domination est là. Menottes, cordes, bracelets en cuir (ou simili), chaines, fouets, martinets, pinces diverses et autres sex-toys. Deuxième surprise : Géraldine est déjà là. En petite tenue, à genoux, mains sur la tête, comme punie. Troisième surprise : Caroline me prend par les cheveux et me fait lire l'horloge du salon, un peu vieillotte, sans doute un héritage des parents. Il est 19h55 et j'avais rendez-vous à 20h. Elle me demande sèchement de retirer mes chaussures, mon pantalon et mon t-shirt. La soirée commence. Je suis déjà un vrai soumis. Je fais vite ce qu'elle me demande. Elle pose à terre une sorte de baguette, m'indique un coin du salon, me demande de m'y mettre à genoux... les mains sur la tête. Les genoux, reposant sur cette baguette, deviennent très vite douloureux. « Tu ne bouges pas tant que je ne te l'ai pas demandé, insista-t-elle, ceci est ta punition pour ne pas savoir lire l'heure ». Je comprends donc la position de Géraldine, désormais. Elle aussi, a une baguette sous les genoux. Nous sommes chacun dans un coin, ou plutôt « au coin » et aucun des deux n'ose prononcer un mot. Nous avons donc eu le même problème horaire. Être en avance n'était pas une bonne idée (je me le note pour plus tard). Derrière nous, ça s'affaire. Les préparatifs, à n'en point douter. On entend des bruits métalliques et des objets en déplacements. Ça promet. Notre imagination tourne à plein et cela engendre en nous une excitation non dissimulée, car non dissimulable (vous avez tous compris, ne faites pas semblants). Un coup d’œil à l'horloge. Ça fait 15 minutes, mes bras s'engourdissent, mes genoux ont l'air d'avoir intégré la baguette directement sur mes os mais, surtout, ne pas bouger, accepter sa punition et entrer dans ce rôle car je l'ai accepté. Caroline nous demande à tous les deux de nous lever. La baguette reste collée à mes genoux (qu'est-ce que je vous disais !). Je l'enlève et sourit intérieurement de cette baguette collante.  "Asseyez-vous !", ordonna-t-elle. Une vieille table et ses chaises assorties nous attendais. C’est l'heure des explications : Caroline repris un ton "normal" nous expliquant notre punition (ça, nous l'avions compris) et ce qui se passa après notre rendez-vous matinal. Elle avait pris le temps de prévenir Géraldine de ma venue, lui demanda si cela ne la dérangeait pas et établit avec elle un rendez-vous plus tôt, 19h30, afin de lui indiquer quelques règles supplémentaires, réservées aux soumises non expérimentées. Elle était arrivée à 19h20... vous connaissez la suite. Je n'avais pas fait attention mais il est vrai que ses genoux étaient beaucoup plus marqués que les miens, une bonne demi-heure de plus que moi. Ayant encore la douleur de ma session de punition, je ne pus que la plaindre. Donc, puisque Géraldine n'avait pas respecté l'horaire, elle n'avait pas non plus reçu ces fameuses règles supplémentaires. Le temps était donc venu. Ce que j'en ai retenu est que Caroline connaissait son rôle. Chaque détail y passa : du code de sécurité (ou plutôt des codes de sécurité, car, pour une débutante, c'est plus prudent - Orange : continue mais moins fort - Rouge : arrête ce que tu fais - Noir : fin de séance) en précisant bien que le but d'une séance est d'aller au-delà de ses limites et que ces codes ne doivent être utilisés qu'en cas d'urgence, physique ou psychologique. Sans vous spoiler trop, nous ne les utiliserons pas lors de cette soirée. Elle présenta aussi les objets en sa possession, nous demandant à chaque fois si nous l'acceptions ou non. Pas de spoil, cette fois ci, la suite est là pour ça. Elle termina sa rhétorique par la phrase rituelle : "acceptez-vous de vous soumettre à ma volonté ?" - Géraldine et moi avons répondu en chœur, et je sais que vous seriez déçu si nous avions dit non... alors, Caroline repris son ton inquisiteur : "Debout !" - Je croise le regard de Géraldine, un peu apeuré. Un mouvement de tête, se voulant rassurant, lui fit accepter sa condition. C'est parti ! Caroline pris une corde pour joindre les poignets de Géraldine, mains devant. Elle fit pareil pour moi. Une vraie dextérité, mes mains sont rapidement et solidement attachées, sans être serrées. Elle a de la pratique. Une autre corde va lui servir à nous tenir debout, attachés que nous sommes à la poutre en chêne du salon qui nous accueille. Nous sommes, Géraldine et moi, droits comme des "I". Je ne puis m'empêcher de penser aux repas de famille qui ont eu lieu dans cette pièce, entre l'anniversaire de la grand-mère, la communion du petit dernier et les fiançailles de la cousine. S'ils avaient su qu'ils étaient en fait dans une salle de torture en puissance... Mon esprit revint vite à la scène actuelle, j'y fus forcé. Caroline s'attaquait à moi, à ma fragilité, à ma quasi-nudité et mon comportement parfaitement en adéquation avec ce qu'elle imaginait d'un soumis : les yeux baissés, le silence et l'acceptation de la situation de contrition (ça en fait des mots en "tion"). Positionnée derrière moi, elle commence à me griffer légèrement le dos offert à ses mains pourtant douces. Elle alterne entre caresse, griffures et petites tapes. Étant un habitué, je sais qu'il ne s'agit là que de l'échauffement. Elle me tape discrètement les fesses, les caresse aussi. Mon slip est de trop selon elle. Elle le retire, doucement, ça me chatouille et m'excite en même temps. Le moment de nudité est venu. Tous les soumis et toutes les soumises savent, comme moi, que ce moment est magique. Il veut dire : "je t'appartiens, fais de moi ce que tu veux". J'en profite à fond. Une fois nu, ma tortionnaire m'attache les chevilles, celle de gauche rejoint le bord d'un meuble, apparemment plus lourd que la table susnommée (je vous en prie). Bizarrement, ma jambe droite resta libre et Caroline pris la direction de ma voisine. Un bon mètre nous sépare. Elle reprit le même rituel qu'avec moi, fait de griffures, de caresses et autres petits claquements qui sonnent comme le début d'un accomplissement chez tout soumis qui se respecte. La culotte retirée, avec la même délicatesse, les chevilles de Géraldine se retrouvent elles aussi entravées mais, surprise, notre maîtresse décide de changer l'orientation de sa soumise. Nous sommes toujours, elle et moi, côte à côte, mais j'ai une vue sur le côté "cour" et ma consœur sur le jardin. Elle aura une meilleure vue que moi... Sa jambe gauche rejoint une boucle de fer incrusté dans le mur, près de la cheminée. L'autre jambe demeure, elle aussi, libre. Pas longtemps. Notre tortionnaire joint nos deux chevilles ensemble, tant il est vrai que les salons bourgeois ont rarement un point d'ancrage au sol au milieu du salon. La situation est claire : nous voilà clairement limités dans nos mouvements et chacun des protagonistes a le loisir de voir les fesses de l'autre... et aussi son visage. Nous sommes prêts. Géraldine peut voir en exclusivité les instruments. Caroline en choisit un, le martinet : instrument symbole, que Géraldine connait un peu (cf. épisode 1). Ça la rassure sûrement, mais je sens, vu le parcours de notre dominante, que je vais ouvrir le bal. La première volée me le confirme. On change d’envergure sans pour autant monter dans la douleur. Ça fait mal mais juste assez pour préparer le corps à la suite des événements. Entre deux coups, je cherche le regard de Géraldine qui doit sans doute avoir la même réflexion que moi : je serai, à chaque instrument, le mètre étalon de la souffrance. Ayant déjà été dans cette position, Caroline se sert de moi pour lui indiquer en live ce qui l’attend. Finement jouée, Madame, la jeune femme appréciera. Au bout de quelques minutes et une peau du dos et des fesses commençant à prendre la couleur d’un soleil couchant, Caroline me caresse l’entre-jambes, décidée sans doute à en vérifier l’élasticité, personne n’est déçu du voyage pourtant si court… C’est l’heure de Géraldine. Elle tente de se libérer. Elle a peur. Caroline n’en tient absolument pas compte. Elle contemple sa prisonnière et se félicite d’avoir pris le temps d’apprendre à bien attacher ses amis lors des soirées lilloises. Ses mouvements de sursaut me font tressaillir également, nous avons une jambe en "commun". La maîtresse sonne la fin de la révolution d’un claquement de cuir qui, bien que faisant tressaillir ma compagne d’infortune, la calma aussitôt, prête qu’elle était à subir ce qu’elle était venue chercher. Elle ne fût pas déçue. Les lanières tombèrent sur l’arrière de son corps, à flots réguliers d’abord, puis à vitesse et intensité variable. Sa respiration pris le rythme d’un coureur de demi-fond et, sur la dernière salve, profita de la pause pour souffler un peu. Caroline pris de la distance pour contempler son œuvre : Recto-verso aurait pu en être le titre. D’un côté, un homme, soumis régulier et profitant de l’instant et de l’autre, une novice redoutant le suivant. « C’est bien, dit-elle d’un ton dégagé, on va pouvoir passer à la suite ». Des cordes, plus fines que celles qui nous contraignent et des pinces en métal. Elle s'approche de Géraldine, lui retire son soutien-gorge pour lui en fabriquer un autre, en cordage... Je ne peux qu'admirer la technique, le croisement d'ogives de chanvre à l'arrière de son dos forme une symétrie parfaite. Ses deux seins sont parfaitement soulignés par la couleur claire du cordage. Étant un novice en la matière, je prends des notes, sans stylo et sans main. Ma mémoire va me servir de calepin, vous en lisez le résultat, petits veinards... L’œuvre est presque terminée : les seins de Géraldine sont pris entre deux fourreaux. Ça offre une prise de choix aux cordes plus petites. Caroline choisit un sein et commença à le malaxer fermement, à la limite du pincement, puis l'autre, puis les deux. Elle entoura aussitôt le premier d'entre eux pour le bonder très fermement. La poitrine est généreuse mais, avec ce traitement, ses seins se contractent et prennent, vus de profil, la forme d'une ampoule rougeâtre (car les vaisseaux sanguins, très présents à cet endroit, ne peuvent renvoyer le sang dans l'organisme). Géraldine souffre. Elle n'a apparemment jamais connu ça, mais aucun code de sécurité en vue, seuls quelques cris de douleur viennent perturber le silence de ce quartier tranquille. Une fois les deux ampoules en place, une série de caresse et de très légères griffures, suffisantes vue la situation, traversent la poitrine de la soumise désormais partie dans une extase que je lui souhaite longue. Un regard noir me transperça alors. Ma dominante ne m'avait pas oublié. "Tu prends ton pied, là, non ?!?". Il est vrai que mon double statut de dominant/Soumis me permet de vivre cet instant… intensément. « A ton tour ! », me lança-t-elle. Elle prit ses cordes : je n’ai pas la poitrine de Géraldine et nul doute que son œuvre sur mes seins n’aura pas du tout la même esthétique. Seulement voilà, si les femmes ont les seins qui ressortent, nous, les hommes, avons aussi un organe externe. Je le compris rapidement et à mes dépens. Un petit tabouret sur lequel reposait une plante même pas exotique lui servit d’assise afin d’être au bon niveau pour le travail qu’elle entreprit sur moi… Lors de notre entretien matinal, nous avions convenu qu’il n’y aurait pas de Ballbusting mais Caroline insista pour que mon sexe fasse partie des organes « torturables » mais sans aucun coup. Ce qu’elle mettait en place respectait ce principe. Ce fût nouveau pour moi… elle encercla mes testicules et les serra assez fort pour que je puisse mentalement en imaginer les contours. Une autre ficelle vint les séparer, prenant ma verge comme point d’appui. Pour me faire souffrir un peu plus, ma maîtresse commença à ma tripoter de sorte que, l’érection en résultant participe naturellement à cet effet de serrage. Une fois bien tendue, un saucissonnage en règle de ma bite vint conclure cette partie. Mon organe le plus sensible, et de loin, ressent chaque cm² de fil. Géraldine regarde le tableau à son tour. Elle commence à s’habituer à sa douleur. Elle me voit sous un autre jour, un autre profil et regarde la scène se rappelant sans doute la dernière fois où elle avait vu ce sexe, dans un élan d’extase. Les pinces ! Je les avais oubliées. Pas elle, elle me demanda par lequel commencer, désignant du bout du doigt mes mamelons. Sans parler, je lançai un regard sur le gauche, sans plus d’explication sur ce choix. L’excitation aidant, mes tétons pointent clairement et sont prêts à accueillir l’objet qui se rapproche dangereusement de la zone, c’est parti. Caroline commença par le pincer et posa délicatement la pince, métallique et froide, sur cette partie sensible. J’émis un cri car le pincement est terrible et je sais que ce dernier risque de durer. Je me prépare pour le second mais, curieusement, elle se dirigea vers Géraldine qui, vu l’état de ses seins, pensait être dispensée de ce sort. Elle avait tort. Le même type de pince que moi vint lui serrer le téton et le cri qui s’en suivit me fît croire qu’elle allait jeter l’éponge. Une larme, seul réflexe du corps encore libre, sonna à la porte de ses yeux. Caroline apprécia ce moment, non pas par sadisme mais bien par complicité. « Tu voulais une dominatrice et tu l’as », semblait-elle lui dire à travers ses yeux eux aussi humidifiés. C’est ainsi que l’on reconnait les vraies maîtresses. Elles sont sans pitié mais pas sans cœur, ce qui peut sembler contradictoire mais, en fait, c’est cette amplitude que chacun recherche et plus le contraste est fort, plus le plaisir vient, tant que l’on reste dans les limites de chacun. Nos deuxièmes tétons reçoivent chacun leur pince (et les cris qui vont avec). Mon cerveau joue avec le haut et le bas de mon corps afin de savoir où est l’urgence dans l’expression de la douleur. Je commence, moi aussi, à me débattre, espérant, en vain, délivrer mes mains pour que celles-ci interviennent et mettent fin à mon supplice. Après quelques instants, j’abandonne ma tentative d’évasion tant la prison qui me retient est bien ficelée. Caroline apprécie chaque instant de cette acceptation et nous annonce qu’elle part dans sa chambre prendre du matériel et que nous pouvons discuter entre soumis pendant ce temps. L’image est cocasse. Géraldine souffre, moi aussi, et nous allons avoir le droit de parler, ce qui est rare dans une séance de SM. « Ça va ? », osai-je bien que connaissant la réponse. « J’ai mal », me répondit-elle aussitôt. Je ne lui ai pas répondu car elle savait que moi aussi. C’était sa troisième séance : je fus sans doute son initiateur mais Caroline l’avait clairement prise en main et son parcours venait sans doute de prendre une autre envergure. Les intensités et les douleurs avaient changé de niveau et il me fallut beaucoup de mots pour la rassurer, lui dire qu’elle avait dépassé ses premières limites et que cela lui serait bénéfique dans la vie de tous les jours, où nos limites sont sans cesse repoussées. Sans m’en rendre compte, je compris que je me parlais aussi à moi-même. De mon côté également, j’avais dépassé une limite. Nous nous contentâmes d’un silence commun, sans doute 5 bonnes minutes (je ne vois plus l’horloge), pour nous concentrer sur cette douleur, désormais diffuse mais bien réelle. Tout en se demandant ce qui nous attendait. Caroline refit son apparition, des chandelles dans les mains, blanches, immaculées et prêtes à servir. « Pourquoi des bougies ? », dû se dire Géraldine, décidemment très novice. Je compris assez rapidement à la vue de ces blocs de paraffine que nos positions allaient changer et que la jeune novice n’irait plus jamais déposer une chandelle à l’église sans avoir une pensée pour cette soirée. Fin de l’épisode 2 – Partie 1 : si celui-ci vous a plu, merci de le mettre en commentaire, que je sache si je peux continuer. Merci d’avance.
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Par : le 29/11/22
Bonjour à tous, J'ai pris du temps à prendre la parole, ou plutôt à prendre mon clavier, afin de vous soumettre une des mes histoires, qui a plus de 20 ans, certes, mais me définit bien. Pour être parfaitement honnête, je l'ai présenté sur un autre forum, il y a 4 ans... et le peu de réactions me laisse à penser que ce forum, qui a l'air beaucoup plus actif, facilitera la discussion car cela en est le but. Si je ne suis pas au bon endroit (ou si la section "cas vécus" n'existe pas), je présente mes excuses aux modérateurs et vous laisse gérer ce témoignage. Si ce dernier reste, bienvenu dans monde, c'est parti : Cela se passe dans nom Nord natal, une jeune femme apprend par hasard, lors d'une soirée étudiante, que je suis attiré par les jeux de domination et de soumission (à cause d'un ami qui, étant au courant de mes tendances, s'est permis d'en parler sans prendre garde à l'auditoire : la jeune femme en question). A l'époque, nous organisions un petit voyage à Disneyland avec ma promo étudiante, chacun d'entre nous avait la possibilité d'inviter une personne et devinez qui je pris ? La jeune femme pré-citée, que j'appellerai Géraldine (le prénom a été changé). Je me retrouve donc en vadrouille à Marne la Vallée au milieu des décors en carton pâte et autre Mickey. Peu de monde, période de juin, nous profitons des attractions mais, la fatigue aidant, je décide, avec ma compagne d'un jour, d'aller voir un spectacle histoire de s'asseoir un peu. Le spectacle commençant dans une vingtaine de minutes, le discussion s'enclenche sur le BDSM, puisque son oreille avait glissé quelques jours plus tôt sur mes pratiques lors de la fameuse soirée. Elle m'avoue (quoique je ne vois pas où soit l'aveu, je ne vois là aucune culpabilité) avoir envie de pratiquer le SM, en tant que soumise, et le plus vite possible ! Je vous refais la scène, je suis au milieu d'un parc à thèmes pour enfants et une jeune femme me demande de la dominer. Euh, comment dire ? Hors-sujet ? trop tôt ou trop tard ? Je me vois donc dans l'obligation de lui demander a minima d'attendre notre retour en terre flamande pour envisager quoique ce soit. Elle acquiesce, nous profitons du spectacle mais je dois avouer que quelques images de ma future soirée commencent à s'immiscer entre Minie, Donald et autre Mulan.... vision bizarre, mais que je dois bien assumer. Je vous épargne le reste de la journée, mélange de poupées qui chantent "It's a small World after all" et mon imagination débordante faite de menottes, de martinet et de pinces sur tétons. Vous avez dit bizarre ? Comme c'est bizarre ! Le soir venue, Géraldine se prépare à rentrer chez elle une fois descendue du bus. Tout mon imaginaire s'effondre sur le champs ! Elle a dû changer d'avis, dommage ! Je cherche donc un taxi pour rejoindre Fives (un quartier de Lille) où se trouve mon appartement lorsqu'une voix me demande au moment où j'allais annoncer l'adresse à mon transporteur : "Je peux venir ?". Mon "oui" fût si rapide que Géraldine crût un instant que je m'adressais au chauffeur. Je lui tint la porte de notre carrosse (une Peugeot, si me souviens bien). Cela la rassura, je la pris par le bras comme pour l'introniser dans un bal où personne ne l'avais jamais invitée. Je la sentis un peu frileuse pendant le trajet, je la pris par la main avec mon discours habituel (code de sécurité, pratique négociée avant et, surtout, mon appartement possède un lit d'appoint dans le cas où elle ferait marche-arrière). Arrivée à l'appartement, un verre, vite ! Nous avons tous les deux la gorge sèche, comment pourrait-il en être autrement ? Je lui présente ensuite le matériel, menottes, cordes, pinces à linge, bougies, martinet. Lui expliquant chacun sans tabou. Je sens désormais que sa frilosité déguise en fait une véritable excitation, la soirée peu commencer... Je lui fait d'abord essayer les menottes, les bas devant, tel un suspect au tribunal. Elle comprend désormais que les clés que je possède seront son seul salut, elle assume de statut de soumise et me demande de tout essayer. Je commence donc par la libérer, lui demande ensuite de retirer ces vêtements, hormis sa culotte et son soutien gorge, elle s'exécute, tremblante, je lui retire moi-même les bretelles de son soutien-gorge, ses épaules son dénudées, tant mieux, je peux donc désormais l'attacher sur une chaise présente depuis le début de la scène, au milieu de ma chambre, et que je ne vous ai pas présenté : La chaise, je te présente Géraldine. Géraldine, je vous présente la chaise. Assise et menottée, Géraldine me lance un "je te fais confiance" qui marque définitivement ma mémoire comme un acte fondateur de notre future relation. Je lui attache les pieds, les genoux afin de valider la contrition. Je relie ensuite le bas de ses chevilles aux menottes, pour que le mouvement soit très limité... Et je pars dans mon salon... pour regarder un épisode de Friends, dont je suis fan, en version originale, s'il vous plaît (ça passait sur une chaine qui s'appelait Jimmy et qui état la seule, à l'époque, à les passer en VO). Pour être honnête, le salon et ma chambre sont dans la même pièce, Seule ma salle de bain, mes toilettes, ma cuisine et ma salle à manger sont à part. Je laisse donc Géraldine regarder l'épisode avec moi. Elle n'a pas l'air de comprendre, je lui explique donc que je lui laisse une demie-heure pour entrer dans son statut d'objet. Dix minutes après, c'est le cas, elle accepte sa condition, je peux donc maintenant lui faire accepter la mienne. Un aller retour au frigo me fait sortir quelque glaçons que je pose directement dans les bonnets de son soutien-gorge. Frisson immédiat, avec cette impossibilité de les retirer rendant ce frisson plus... excitant. Ne prononçant aucun code de sécurité, je prends le martinet et lui frappe, doucement d'abord, puis plus fortement, les cuisses, cela commence à rosir doucement. Au bout de cinq minutes, les glaçons ont fondu, le soutien-gorge n'est donc plus nécessaire, je lui retire avec, dans mes mains, une vingtaine de pinces à linge. La suite, elle l'a compris. Ses seins vont désormais souffrir, elle le comprend et ne bronche pas. Je commence avec les contours, la poitrine est généreuse, les pinces y trouveront leur place. Je garde les 4 dernières pour les tétons, 2 chacun, la douleur devient intense mais toujours aucun code de sécurité, je continue après lui avoir donné un peu d'eau. Cela fait partie du jeu, une souffrance pour une récompense. Le contraste entre la chaleur interne de son corps et ses tremblements externes nous font comprendre à tous les deux que chacun a trouvé ce qu'il était venu cherché, un moment de complicité. Nous avions atteint un seuil de complicité entre son acceptation de sa situation et ma volonté de maîtrise. Cet équilibre, quand il est atteint, est un colosse au pied d'argile, un détail peu tout gâcher, un acte déplacé, un bruit dehors, un changement de ton. J'y prends garde, je la possède, elle aime ça mais je me dois d'être prudent. Je commence donc à changer de rythme pour sentir sa sensualité. Les pinces posées sur sa poitrine sont désormais toutes en place. un dizaine sur chaque sein, 2 sur chaque tétons. Elle se concentre, tente de s'éloigner de cette douleur. Je suis là pour la lui rappeler. Avec le martinet, je caresse délicatement les pinces qui, de fait, se mettent à bouger, pinçant ainsi un peu plus par un effet levier qu'Archimède n'aurait pas nié. Le hasard des lamelles de cuir se promenant sur sa poitrine transforme une douleur diffuse en vague nerveuse à intensité variable. Elle ferme les yeux comme pour s'éloigner de la pièce. Le martinet reprend son office, quelques coups un peu plus fort sur les cuisses, à intervalle irrégulier, Géraldine ne sait pas où le prochain coup va tomber. Ses cuisses sont désormais rouges, sa position assise lui permet de constater l'étendu des dégâts, j'ai une soumise bicolore. Je lui laisse reprendre son souffle... pas longtemps, un petit cri de douleur vient lui rappeler son statut, je viens de lui retirer la première pince à linge et, si jamais vous ne le savez pas, cela est douloureux car la pince a pris le temps de faire corps avec la peau, la retirer engendre donc une douleur de faible durée, mais intense. Une à une, je lui demande de choisir la prochaine en lui interdisant les deux placées sur chaque tétons, je me les garde pour la fin. Cela dure cinq longues minutes, entre le temps de son choix et mon choix de technique pour les retirer. Lorsque sa poitrine n'offre plus à mes yeux que deux tétons sertis de bouts de plastique, je décide d'utiliser une technique redoutable : le "retirer remiser" qui consiste a enlever la pince pour la remettre quasiment aussitôt, effet garanti. Ses cris me le confirment. Elle voulait un maître, elle l'a eut, je voulais une soumise, je la tiens au bout de mes pinces. Petite pause, les pinces sont maintenant un souvenir, je lui sers un verre de vin blanc, elle l'accepte, cela lui donne une petite ivresse et des yeux merveilleux regardant son bourreau avec au fond une question : et maintenant, que fait-on ? Je n'oublierai jamais ce regard, jamais cet instant, nous avions passé un palier, ensemble, une osmose, ce sont des moments rares, je me permets donc de le partager avec vous. Il est donc temps de passer à une autre étape, de la déshabiller entièrement car le lecteur attentif n'a sans doute pas oublié que Géraldine était encore vêtue de sa petite culotte. Une soumission totale engendre une nudité totale. Je la détache et prépare la scène suivante… Géraldine se frotte les poignets, essayant d'effacer les marques de cordes. Elle sait que ses derniers vont encore être mis à contribution, mais ça la rassure. Je lui demande, sèchement, de rester debout les mains dans le dos. Elle s'exécute. J'installe la scène suivante. Mon appartement est vieux, rénové, certes, mais vieux, un tuyau en fonte qui jadis servait à irriguer l'eau, n'a pas été enlevé par mon propriétaire lors de ladite rénovation. Bien lui en a pris. Cela se passe en deux temps : j'utilise trois cordes, une attachée à chaque poignée de Géraldine, c'est ce que j'appelle une corde de non-pression. C'est une technique de sécurité (encore) qui consiste à faire plusieurs tours de corde autour d'un même poignet et de lier les extrémités de la corde ensemble. La corde non-pression permet à Géraldine d'avoir le poignet maintenu mais avec une tension supportable. En effet, si je n'avais fait qu'un seul tour autour de son poignée, la pression au niveau de la jointure serait intolérable, voire dangereuse. Une fois les deux poignets ainsi traités, ils se transforment donc en "bracelets" qui vont être attachés à la troisième corde elle même suspendue entre deux points d'attache. Géraldine se retrouve donc les bras en V, face au mur. La petite culotte est toujours à sa place. Pas longtemps, je la lui retire en la faisant glisser délicatement, je veux que chaque molécules de peau de sa jambe soit en contact avec la dernière pièce de tissus encore présente sur elle. Elle est nue, de dos, ne sachant pas ce qui va lui arriver. C'est une première dans notre relation, ses yeux ne lui sont plus utiles. Je prends donc la décision de surprendre, je lui caresse de dos, délicatement, descend lentement jusqu'à ses fesses, promenant ma main entre les deux, sans forcer, c'est trop tôt. je change soudain de direction, passe vers l'avant et commence ostensiblement à la caresser à l'endroit que la morale réprouve mais que le désir inonde, si j'en crois mes doigts. Réflexe, elle resserre les jambes. Mauvaise idée, je me saisis de deux cordes et lui attache les chevilles une par une et attache la première corde au radiateur en fonte et la seconde au canapé servant de lit d'appoint pour mes invités. Ma soumise était en V, la voilà désormais en X. Je reprends donc mes attouchements, elle se débat, crie un peu, j'aime ça. Les yeux, toujours les yeux, reflet de l'âme et parfait miroir du désir naissant en sa bouche offerte. Mes doigts rejoignent sa bouche. Elle les lèche, les tripote avec sa langue, seul organe libre de l'ensemble de ses mouvements. Ses yeux sont fermés, elle imagine, elle rêve, elle part. Il est donc l'heure de la réveiller. Mon martinet la fait sursauter ! La douleur aussi, sans doute. Son dos comprend vite. Nous en sommes à une phase avancée de la séance, les coups sont plus rudes, plus ciblés, plus insistants. Ma soumise devient torsion, tentant en vain de s'éloigner des lanières qui, inlassablement, tombe juste à chaque fois. Je marque une pause pour voir le regard de Géraldine, légèrement crispé, un peu humide et pourtant soulagé, non pas parce que je me suis arrêté, mais parce que je prends soin d'elle. Je la soulage de ses larmes naissantes à l'aide d'un kleenex, lui donne un peu d'eau, pas trop. Je l'embrasse, délicatement, sur la bouche, elle opine, cela commence à devenir excitant. Pour être clair et cru, je bande. Mais, là aussi, c'est trop tôt. Il est donc l'heure de la fessée, donc de la fesser. La fessée est un art, un concept, une autre approche de l'autre. Les diverses méthodes pour l'infliger permettent d'être plus ou moins à l'aise pour la pratique. En ce qui concerne Géraldine, après l'avoir dé-crucifier, je décide de lui attacher les mains vers l'avant, bien que je lui ai fait déjà fait essayer les menottes, je reste fidèle à mes cordes. Elle se laisse faire, a t-elle le choix ? Je m'assied sur la chaise et lui demande de se poser à plat sur mes genoux. Elle comprend ce qui l'attend. Avant cela, j'ai attaché une autre corde autour de ses mains liés, un peu comme une laisse, mais pour les mains. Une fois en position, je saisis cette laisse, la fais passer sous la chaise pour la faire réapparaître de l'autre côté, au niveau des genoux de ma soumise. Je lui attache les genoux avec en tirant assez nettement de sorte que ses mains soient immobilisées, ça appuie un peu sur mes jambes mais, en échange, j'ai une femme offrant son postérieur à mes yeux et à mes mains qui n'en demandaient pas tant. Je frappe, une fois, nettement, pour lui faire comprendre le standard de la fessée. Sa tête, pendante au dessus du vide, se redresse aussitôt. Seulement retenue par la tension de la corde, ce mouvement demeure assez réduit. Je recommence, sur l'autre fesse, même sursaut. Je continue avec une alternance de caresses très douces et de claquements violents. Son cul n'est plus que vibration tantôt guimauve, tantôt acide et rien dans mes mouvements n'est régulier, de sorte que la pauvre Géraldine ignore le type et la violence du coup suivant. Je termine cette phase par une apothéose, le final d'un feu d'artifice, je claque violemment les zones pas assez rouges à mes yeux, ma soumise se débat, je ressent ça sur mes cuisses qui la supporte mais, peu importe, je continue, elle crie "Stop", je n'arrête pas, elle n'a pas dit le code de sécurité. Soudain, tout s'arrête, le silence s'installe, à peine perturbé par son essoufflement. Le calme, après la tempête, je lui caresse les fesses, très délicatement, elle sursaute d'abord, pensant aux prémices d'un nouvel orage. Je continue, délicatement, tendrement, presque amoureusement. Elle se détend, je lui re-caresse la zone érogène ultime, des petits cris de contentements commencent à exhaler ma libido. Elle s'en rend compte et décide de bouger son corps pour exciter son maître qui, si cela continue, ne pourra pas retenir indéfiniment les assaut de la bête excitée. Je la détache, à temps. Je prends les menottes et lui attache les mains dans le dos. "Tu vas maintenant devenir une esclave sexuelle !, lui dis-je d'un ton proche d'un péplum de la 20th Century Fox, à genoux...". Je déplie mon canapé d'invité, je vais avoir besoin de lui. En effet, les nouveaux pieds de lit vont me servir à lui attaché les siens, lui forcer la position agenouillé et maintenir ses mains fixes sur le barreau en fer. Je prends mon temps, d'abord parce que c'est technique et surtout pour faire baisser ma pression interne. Hors de question de jouir trop tôt ! Je l'abandonne, un bon quart d'heure. La position, supportable au début, commence à devenir délicate, puis douloureuse, puis insupportable. J'entends des petits "Aïe" à chaque fois qu'elle cherche à mieux se positionner. Elle m'avouera, plus tard, que c'est la partie de notre séance qu'elle a préférée. Souffrir en l'absence (relative, j'étais dans la pièce à côté) de son maître. Elle m'a même dit que cette douleur ne ressemblait pas aux autres. Après avoir regardé 15 minutes de reportage animalier, très efficace pour débander, je reviens dans la salle où ma soumise, crispée dans tous les sens, me supplie du regard d'achever ses souffrances. Évidement, je n'en fais rien. Je lui demande, car notre entretien préalable n'en avait pas fait état si, pardonnez moi du terme, elle avale. Elle me dit n'avoir jamais essayé la fellation, je lui propose donc deux nouveautés : elle accepte. Je lui annonce donc que sa libération coïncidera avec ses deux nouvelles expériences. La scène suivante, sur laquelle je poserai un voile pudique, a été notre apothéose (en tout cas pour moi  ), car chacun de ses allers-retours lui faisait de plus en plus mal mais, sans ces derniers, la douleur n'en serait que plus longue. Je ne sais pas combien de temps à duré cette fellation, à la fois maladroite (c'était sa première) et délicieuse, un sentiment de bien-être à tutoyer les anges au moment où mon âme, exalté au plus haut point, transforma l'essai en réussite et la réussite en Nirvana. Je la remerciai, la détachai. Elle me dit "merci", j'en fîs de même, notre complicité s'est finie le lendemain matin, après un petit-déjeuner copieux. Elle repartit chez elle, dans son logement étudiant, je repris mon chemin. Ce n'était pas la dernière fois que nous nous voyons, mais nous ne le savions pas encore. Elle allait reprendre contact et changer les règles du jeu, et je ne savais pas à quel point cela aller me convenir… Mais tout ceci est une autre histoire.... Frédéric (oui, c'est mon vrai prénom)
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Par : le 08/11/22
Nous ne sommes pas spécialistes du bondage et encore moins du shibari (même si nous aimerions), mais nous nous interessons à ce sujet. Nous avons pas mal écumés le web et les forums pour essayer d'y voir plus clair. J'avais pris pas mal de notes, fais des copier/coller. J'ai essayé de synthétiser ce que j'ai lu et ce que j'ai compris. N'hesitez pas a commenter pour corriger une anerie ou pour faire valoir un avis différent (on se la jouera humble ;) ). Bondage ou shibari ? Le bondage est une version que l'on pourra appeler "grand public" de l'art japonais des cordes, qui s'appelle le shibari. Le bondage comme le shibari offre une expérience incroyablement sensuelle et érotique. Attacher ou se faire attacher permet d'explorer la soumission et la domination sous une forme plus apaisée (qui n’empêche pas l'extase) que les pratiques purement SM ou DS. Si pour les jeux BDSM, on explore surtout le volet SM par l'utilisation de cravache, martinet ou fouet, et de pinces en tout genre, le shibari se pratique uniquement avec des cordes en jute. Si vous êtes moins puristes et que vous souhaitez tester l'attachement et l'immobilisation sans pratiquer l'art du Shibari, mais juste "jouer", vous pourrez vous faciliter une partie de la prise de contrôle de votre partenaire en utilisant des bracelets en cuir avec des anneaux où vous ferez passer les cordes. Ces bracelets en cuir permettent de facilement prendre accroche autour des poignets ou des chevilles. L'autre point d'attache très prisé dans le bondage est le cou, là encore si vous n'êtes pas encore un pro du bondage, vous pourrez vous faciliter la vie en ayant recours à un collier en cuir, doté d'un ou plusieurs anneaux en inox dans lesquels vous pourrez faire passer votre corde. Il faut que les débutants soient très prudents. Passer la corde au cou de quelqu'un cela ne s'improvise pas... on devrait même dire que cela ne se fait pas, c'est autour des épaules, de la tête que cela se passera; Débutant, commencer avec un peu de cordes et des colliers et bracelets, plus tard, quand vous serez plus expérimenté, vous pourrez vous en passer et pratiquer les immobilisation de votre partenaire justes avec les cordes. Outre la simplicité des colliers et menottes (que les spécialistes du bondage trouveront regrettable), leur utilisation permet, pour les débutants, de ne pas prendre trop de risques en serrant à l'excès ou de manière inadéquate les poignets ou le cou de leur partenaire. Avec ou sans bracelets, avec les cordes, vous pourrez donc attacher, à l'aide d'un anneau votre partenaire juste pour l'immobiliser (maintenir les bras dans le dos attachés au niveau des poignets, forcer à écarter les jambes ...) ou vous pourrez jouer avec votre environnement (l'attacher à un lit, l'encorder à une rampe d'escalier ...). La plupart des menottes sont avec une boucle en acier inoxydable, mais vous en trouverez aussi qui se fixe avec du velcro. Dans les ersatz à disposition, on citera également les sangles (en général en nylon), prévues essentiellement pour les immobilisation sur un lit dans le cadre d'expérience de domination/soumission. Les remplace à la fois les cordes et les menottes puisqu'elles disposent en général de sorte de attaches en velcro pour attacher les chevilles et les poignées. Les premiers accessoires pour commencer dans le bondage Il vous faudra de la corde. Beaucoup de corde. Les puristes du shibari vous conseillerons souvent une corde de jute de 6-8 mm. La jute est une fibre naturelle qui est solide et durable, mais elle peut aussi être rugueuse pour la peau suivant la manière dont elle est préparée. En fonction de vos envies et celles de votre partenaire, vous pourrez jouer ou non avec la douleur en choisissant une corde plus ou moins douce et plus ou moins lisse. Il vous faudra également disposer d'une paire de ciseaux ou mieux d'un sécateur ! Évidemment, on ne découpe pas les liens après chaque utilisation. Par contre, un moyen de découpe efficace et rapide est toujours à prévoir en cas d'urgence (malaise, personne en soumission qui panique ou qui fait un malaise ...). N'importe quels ciseaux ou sécateurs fera l'affaire pour peu qu'il puisse trancher la corde efficacement. Il faut toujours en avoir sous la main. C'est tout sauf accessoire pour mettre fin dans l'urgence un bondage. Nous n'évoquerons pas dans cet article les accessoires BDSM qui n'ont rien avoir avec le bondage, stricto sensu. Certaines pratiquants aimeront s'adonner à des jeux et avoir recours à une cagoule pour la tête de la personne immobilisée pour la déshumaniser, d'autres mélangeront le bondage avec des pratiques SM (comme la pose de pinces sur les tétons ou sur le sexe de la personne soumise, le recours au masque pour les yeux, au collier de soumission, au bâillon pour la bouche...). Les types de cordes pour le bondage et le shibari Pour le shibari, il existe deux principaux types de cordes utilisées dans le shibari : hanayama et asanawa. Les cordes hanayama sont faites de jute tressé et mesurent généralement trois mètres de long. Les cordes asanawa sont faites de jute torsadé et mesurent généralement six mètres de long. Les deux types de cordes sont tout aussi efficaces pour le bondage, c'est donc vraiment une question de préférence personnelle de l'encordeur/encordeuse comme de l'encordé.e. Si votre envie vous incite à plus de simplicité, vous pourrez opter pour des cordes plus simples et donc pas cher, comme les cordes en nylon. Mais cela se manipule moins bien, c'est moins confort sur la peau, et vous vous privez de l'odeur toute particulière des cordes en jute. Quelle(s) longueur(s) pour les cordes de bondage ? Vous aurez besoin de longueurs de corde différentes pour chaque personne, même si vous utilisez le même type de corde. Ne vous souciez donc pas d'obtenir la "bonne" longueur Concentrez-vous plutôt sur l'apprentissage de la manière d'utiliser l'excédent de corde éventuel. A moins d'une exigence spécifique, la plupart des encordeurs travaillent avec un jeu qui contient 2 ou 3 longueurs standard : 3m :  Parfait pour les poignets ou les chevilles, ou pour attacher les membres aux poteaux de lit, des choses comme ça.   C'est ce qu'on appelle parfois une "corde courte". 4,5m :   Cette corde est appelée "demi-corde" et peut être utilisée autour des cuisses ou des genoux, comme ceinture de taille ou lorsque vous devez tirer une corde. 9m :   Très bien pour faire des harnais et les longues courses.   On l'appelle parfois simplement "corde". Quelle(s) épaisseurs pour les cordes de bondage ? Cela dépend ! :). Chacun ses goûts, mais on peut préciser quand même que : Le diamètre le plus prisé est de 6 mm, La corde de 5 mm offre plus de finesse dans l’exécution et propose un esthétisme particulier. Pour les suspensions on choisira souvent du 8mm, vous verrez de nombreuses personnes utiliser des suspentes de 6 mm également. Cela dépend aussi du gabarit de votre partenaire. Si votre partenaire est plus grand, vous pouvez utiliser une corde de 8 ou 10 mm pour le travail au sol (bondage non suspendu). Cela répartit la force sur une zone plus large et peut être plus confortable. Le seul inconvénient des cordes plus épaisses est que les nœuds ont tendance à devenir encombrants rapidement... Quelles cordes acheter des cordes pour le bondage et où ? Il y a quelques éléments à prendre en compte lors de l'achat d'une corde de shibari ou de bondage. La première est le matériau dans lequel la corde est fabriquée. Les matériaux les plus courants sont les fibres naturelles comme le chanvre ou le jute. C'est le choix des puristes. Les pratiquants curieux pourront opter pour les fibres synthétiques comme le nylon ou le polyester. Les cordes en chanvre et en jute sont à la fois solides et durables, mais elles peuvent être agressives pour la peau. Elles ne sont pas non plus très élastiques et cela va avoir tendance à compliquer le bondage en suspension. La corde en nylon est, c'est un avis personnel, moins facile à travailler et moins agréable au toucher. La corde en polyester se situe entre le nylon et le chanvre/jute en termes de résistance et d'élasticité, ce qui en fait une corde polyvalente. Mais seul le chanvre et la jute sont utilisés par les puristes La deuxième chose à prendre en compte est le diamètre de la corde. Les diamètres les plus courants sont 6 mm, 8 mm, 10 mm comme on l'a vu et plus rarement le 12 mm. Là encore, chaque diamètre présente des avantages et des inconvénients. Les cordes plus fines sont plus faciles à nouer, mais elles ne sont pas aussi solides que les cordes plus épaisses. Les cordes plus épaisses sont plus adaptées aux jeux de bondage lourds, mais il peut être plus difficile de faire des nœuds complexes avec La troisième chose à prendre en compte est la longueur de la corde. Les cordes de bondage sont généralement vendues en longueurs de 3 mètres (10 pieds), 7,6 mètres (25 pieds), 15 mètres (50 pieds) ou 30 mètres (100 pieds). Évidemment, plus la corde est longue, plus elle est polyvalente. Cependant, les grandes longueurs de corde peuvent aussi être plus difficiles à travailler, donc si vous débutez, il est préférable de s'en tenir à des longueurs plus courtes jusqu'à ce que vous ayez le coup de main . Si vous êtes un pratiquant du BDSM qui cherche juste à tester le bondage, vous pouvez vous rabattre vers des cordes peu chères que vous trouverez par exemple dans les grandes surfaces (genre Leroy Merlin ou Castorama). Si vous souhaitez mettre plus de noblesse dans votre pratique, achetez des cordes en chanvre ou en jute. Nous vous conseillons de les acheter dans des boutiques spécialisées (ou sur leur site internet). Les cordes de boutiques BDSM ou Shibari ont subit des traitements compatibles avec leur utilisation. Faire un stage de bondage (voir de shibari) ? On trouve de plus en plus de formation ou de stage pour apprendre à jouer avec les cordes, avec plus ou moins de sophistication, des encordages simples à ceux plus artistiques des maîtres du shibari. Ce peut être une bonne idée de faire un stage, d'une part car cela permet de savoir si l'activité vous plait, mais cela vous permet vraiment de vous sensibiliser aux règles de sécurité, et au dela d'apprendre ce qu'il faut faire, une formation vous apprend ce qu'il ne faut pas faire, et à parer aux urgences, si votre bondage tourne à la catastrophe. C'est important pour vous (pour apprendre) mais aussi et surtout pour votre partenaire qui vous fait confiance en vous laissant l'attacher. Soyez prudents !
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Par : le 06/11/22
Ce n'était pas notre première envie, il faut bien l'avouer. Nous étions plutôt bandeau, menottes, un peu de bondage pour débutants, etc. Bref, à nos débuts, nous étions assez mainstream, biberonnés à 50 nuances de Grey ! Et puis de jeux en jeux, l'idée a fait son chemin dans sa tête. Il me disait que j'étais sa chienne, lors de nos jeux... Alors après tout ... J'avais regardé les colliers dans les sexshops SM en ligne mais je trouvais plus excitant les vrais accessoires destinés aux animaux. Je ne voulais pas un collier qui soit un bijou ou un accessoire de mode. Je lui ai donc dit que je voulais bien mais que je voulais un vrai collier en cuir de chienne avec une vraie laisse en métal, vous savez celles avec des maillons très lourd authentiquement prévus pour l'animal. Je trouve que cela participe au symbole et à la cérébralité du truc ! Il s'est donc débrouillé en allant en animalerie et m'a fait la surprise et faut offert un bon gros collier et la laisse qui va bien. Il m'a avoué plus tard qu'il avait même envisagé d'acheter un collier d'occasion déjà porté par un animal, sur le bon coin, mais n'a rien trouvé de probant. Il ne s'agissait évidemment pas d'économiser dans l'achat du collier, mais que ce soit de facto un vrai collier de chien. L'idée m'aurait profondément excitée au demeurant. Bref. Mais le tout neuf était très bien aussi, de bonne qualité, très classique, en cuir de couleur noire, avec une grosse boucle en inox pour la fermeture, et la force du tout neuf c'est sans doute la plus forte odeur du cuir, j'y reviendrais. On a fini par essayer et j'avoue avoir tripé sur la connotation de possession et de domination/soumission. Comme l'expérience était faite avec préméditation, j'ai essayé de me concentrer sur les sensations et le ressenti du port du collier et de la laisse. La sensation de possession J'ai adoré cette nouvelle manière d'être son objet, d'être SA chienne, cela m'a vraiment bouleversé. Même si je suis un peu brat, je sais bien, et lui aussi, que je suis une soumise dans l'âme, qui ne switche que parce que j'aime les expériences et pour faire plaisir. Quand il a ajusté le collier autour de mon cou, j'en ai eu le cœur qui s'est affolé. Ceci pour dire que porter un collier et être tenue en laisse, m'a semblé très "gratifiant" ... Qualificatif un peu bizarre, j'en conviens. Je me suis sentie un peu plus possédée encore. Mon partenaire devenait vraiment mon maître. Et en plus de la sensation du cuir sur ma peau, la sensation sur mon cou, j'ai trouvé l'expérience enivrante de par l'odeur du cuir. Et maintenant, quand je sens l'odeur du collier, je me fais un peu chienne de Pavlov ;-) La sensation d'être dominée avec le collier Alors la sensation de soumission, d'être dominée, je commence à bien connaitre. Mais là, la sensation m'a semblé un peu plus forte encore que d'habitude une fois le collier en cuir et la laisse posée est dans le prolongement de la sensation de possession qui était le premier à m'être venu. Mon Maître a quasi aussitôt tiré sur la laisse pour voir (en réalité pour voir si le collier était bien fixé et pour vérifier les points d'attache). Moments d'appartenance, de soumission et de dévotion qui m'ont fait terriblement mouiller (et lui bander, c'était manifeste) ! J'ai senti que j'étais sous son contrôle, et à cet instant-là, j'étais habitée par le désir d'obeïr à toutes ses exigences. J'étais une bonne chienne, avec mon collier et ma laisse (de vous l'écrire maintenant, même avec le recul m'excite encore ...). La sensation d'être contrainte par le collier Ca m'a fait quelque chose de particulier d'être limitée dans mes mouvements , même si ce ressenti m'était moins inconnu puisque nous avons une panoplie d'accessoires de contraintes (menottes etc...). Cela fait vibrer les mêmes cordes que le bondage, grosso modo. Mon collier de chienne et la laisse, avait peut-être cela de différent qu'ils contraignent moins les mouvements (sauf quand mon partenaire a enrouler la laisse dans sa main pour me tenir au plus court, en mode dressage ... ouahhhh) mais qu'il sert (avec prudence je vous rassure) le cou : cela fait se sentir davantage encore à la merci. Je me suis sentie très vulnérable et le sentiment de devoir obéir allait au delà du jeu consenti. Le collier facilite la contrainte par le Maître. Un collier (bizarrement) rassurant J'ai trouvé aussi, encore un paradoxe, que cela avait quelque chose de rassurant. Difficile à expliquer ... mais dans l'idée que je m'en fais le maitre d'un chien ou d'une chienne, en prend grand soin, veille sur lui, se fait caressant sauf si la chienne désobéit. La sensation d'être tenue en laisse à un côté libérateur, finalement. Mon Dominant a globalement été attentif à mon bien-être, cela rejoint sans doute ce que l'on récent dans les pratiques d'infantilisation (je ne connais pas cette pratique, je ne fais que supputer). De ce point de vue le collier et la laisse offre une sensation d'importance et de valorisation, que je n'imaginais pas. Avant qu'on explore les pratiques BDSM et la domination/soumission, je crois que j'aurais trouvé ces histoires de colliers et de laisses assez dégradantes. Et très cliché, genre un soumis soixantenaire et bien en chair avec sa cagoule, sa laisse et son collier. Mais maintenant que nous connaissons mieux ce milieu et que nous avons de l'expérience, mon vécu me donne à ressentir tout ce que je pouvais ignorer quand j'étais vanille. Devenir une chienne, être d'une autre façon à la merci de mon dominant m'a donner des sensations complètement inattendus... et délicieuse. J'avais été dominée de bien des façons. Mais la force du symbole, la collection de sensations qui en découle, le lien que la laisse et le collier tissent entre les partenaires. Il y a plein d'autres ressentis qui m'ont traversé : le froid du métal est par exemple très érotique, surtout quand la chaine courre sur les tétons ... Rhaaa !!!), la posture de chienne avec son collier autour du cou est bien plus qu'une mise à quatre pattes ! J'ai adoré cette expérience. Ca se sent, hein ? ^_^ Je me retrouve attachée (c'est le cas de le dire) comme rarement à ce collier au point que nous avons décidé d'en acheter un second collier bdsm pour que je fasse vivre l'expérience à chouchou qui lui aussi aime bien être dominé à ses heures (mais pas trop souvent quand même :) ). Cette fois ci c'est donc moi qui vais l'acheter. Probablement dans une boutique spécialisée cette fois, j'ai vu quelques belles pièces sur les boutiques SM mais celles orientées gay. Je crois que cela lui irait très bien... A lire également : https://www.bdsm.fr/blog/8226/Bondage-:-conseils-et-accessoires/ https://www.bdsm.fr/forum/thread/3763/Cagoule/ https://www.bdsm.fr/collier-appartenance/  
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Par : le 01/11/22
Elle m’avait proposé de passer chez elle vers 21h, trop tard pour m’inviter à dîner. J’avais donc une petite idée de ce qu’elle attendrait de moi ce soir-là. Quand je suis arrivé, son petit air malicieux dans le sourire, et la chaleur avec laquelle elle m’a embrassé ne m’ont pas détrompé, au contraire. J’aime sentir qu’elle me désire, mais ça me fait aussi un peu peur parfois. J’ai senti mon bas-ventre s’échauffer doucement, en la voyant virevolter dans sa belle robe d’été, aux motifs illisibles, surmontée d’une bande de soie bleue qui lui barrait la poitrine et laissait entrevoir les tétons sous l’étoffe. Je me suis senti déjà mangé par elle, par son regard coquin ; je me suis senti pris au piège et quelque chose en moi souhaitait exactement cela. Il s’est passé un peu de temps, pendant lequel nous avons échangé quelques banalités d’usage. Je me suis senti très empoté, il me semblait que j’aurais dû lui sauter dessus, arracher sa robe et la prendre brutalement. Mais je me sentais tout à fait incapable de ça, et pour tout dire j’évitais même plutôt son regard ardent et les sujets de conversation trop glissants – tout en m’en faisant le reproche. Soudainement, elle s’est levée et m’a demandé : « ça te dit qu’on fasse un jeu ? ». L’excitation et une forme de peur, aussi, pointaient clairement dans le son de sa voix. J’ai dit « d’accord. Quel genre de jeu ? ». « Viens, assieds-toi ». Elle m’a installé autour de sa petite table ronde, une chaise pour chacun. Elle m’a dit : « c’est tout simple, c’est un jeu de mémory. Tu sais, comme le jeu pour enfants, il faut trouver les images qui vont par paires. Sauf que celui-là n’est pas pour les enfants ! » et elle a laissé échapper un petit rire, tout en me montrant les cartes. Il y avait un peu de tout, du plus mignon (une jolie fille dont on aperçoit la culotte, un couple qui s’embrasse sensuellement) au plus hard (un gros plan de sodomie, un type ligoté en train de se faire pénétrer par une femme équipée d’un gode-ceinture), en passant par le bizarre (un couple de vieux gros en pleine fellation, une femme qui se fait laper par son caniche). Je trouvais ça tantôt franchement excitant, tantôt plutôt dégoûtant, et assez souvent disons, amusant. Elle a installé les cartes, et m’a dit : « vas-y, commence ! ». Evidemment, au début on ne trouve rien, mais au fur et à mesure du jeu, si on reste bien concentré, on retrouve assez facilement les paires d’images. C’est elle qui a reconstitué la première paire, et en empochant les cartes elle m’a regardé en me disant : « bon, pour corser un peu le jeu, il faut qu’il y ait un gage. Je te propose que pour la première partie, celui qui perd se retrouve à poil. Tu joues ? ». A dire vrai j’avais déjà commencé à jouer, donc la question n’était que rhétorique. Ce qui est sûr, c’est que sa proposition a instantanément rallumé la chaleur au creux de mes jambes, comme si en disant ça elle venait juste de trouver le chemin vers elle, vers son corps et mon désir, que je cherchais malhabilement depuis le début de la soirée. Au passage, je me suis rendu compte que j’avais à peu près autant envie de me retrouver nu devant elle, et elle encore habillée, lui montrer la belle érection que cela n’aurait pas manqué de provoquer ; que de la voir se dévêtir pour moi et profiter de la situation en conservant mes oripeaux. J’ai dit « OK », et je l’ai laissée soulever deux autres cartes. Je ne sais pas trop comment, mais de fil en aiguille je me suis retrouvé à enchaîner les réussites, et j’ai fini la partie en encaissant un nombre considérable de paires. Elle a fait la moue en voyant que mon tas était bien plus conséquent que le sien, mais bonne joueuse, elle a retiré sa robe en un clin d’œil. Elle s’est retrouvée en culotte, et a pris un peu de temps pour l’enlever, comme à contrecœur, ou pour me laisser le temps de l’admirer peut-être. Elle est allée chercher une caisse posée sur une étagère, et m’a dit : « bon, le gage d’après ça se corse un peu. Celui qui perd, doit faire la partie d’après avec ça » dit-elle en sortant une paire de menottes. Elles étaient en acier, pas du tout le genre de trucs en plastique qu’on trouve dans les sex shops, je me suis demandé où elle avait déniché ça. Et je dois dire que je me suis tout de suite rendu compte qu’avec ça aux poignets, il me serait tout à fait impossible de lui échapper. Elle a ajouté : « attention, tout se rejoue à chaque partie. Ça veut dire que si c’est moi qui gagne, je me rhabille et toi tu te mets à poil, avec les menottes. Mais du coup, tu pourras tenter d’inverser à nouveau à la partie d’après ». « Euh, OK, et c’est quoi le gage d’après ? » « Tu veux savoir déjà ? Hé bien, il faut faire preuve d’imagination. Il y a de quoi faire là-dedans ». Et en effet, il y avait tout un attirail dans sa caisse, de cordes, chaînes et autres cravaches, dont elle avait déjà sorti quelques éléments à l’occasion de nos ébats – mais j’étais loin de me douter que sa collection était aussi fournie. Nous avons donc refait une partie, et c’est moi qui ai gagné à nouveau. J’ai senti qu’elle en était un peu contrariée, qu’elle avait envie de prendre le dessus sur moi, de me tenir à la merci de son désir, et de faire exprès de le contenir jusqu’au moment où il exploserait. Je crois vraiment qu’elle avait proposé toute cette histoire de jeu pour m’amener à cette situation, et qu’elle n’avait pas trop envisagé de perdre. C’est précisément ce qui m’a excité, de sentir que la situation lui échappait, et qu’elle n’était pas disposée à me laisser faire si facilement. Je me suis levé de ma chaise, elle toujours nue sur la sienne. Il était palpable que ma grande taille, et ma force physique, provoquaient immédiatement un effet sur elle. Je suis passé derrière sa chaise, j’ai saisi les menottes, et j’ai volontairement pris tout mon temps. J’ai fait cliqueter le mécanisme cran après cran, la sentant bouillir d’impatience et de rébellion. J’ai attrapé d’abord sa main droite, délicatement, son poignet si fin et soyeux, et j’ai lentement refermé le cercle de métal dessus. L’impression de robustesse de l’appareil m’a à nouveau frappé. Légèrement fébrile, j’ai saisi son autre main, je l’ai passée derrière son dos, et j’ai lié ses poignets l’un avec l’autre. La chaîne reliant les deux menottes m’a paru incroyablement courte, la liberté d’action permise par le dispositif extrêmement restreinte. J’ai eu très envie de profiter de la situation, de lui saisir les seins, les caresser et les pincer, lui embrasser la bouche à petites touches et goulûment, mais je me suis retenu. Je trouvais ça encore plus intéressant de la laisser poireauter, le feu au ventre de colère et de désir, prise à son propre piège. Nous avons lancé une autre partie, en s’accordant sur le fait qu’elle montrerait les cartes qu’elle souhaitait retourner à l’aide d’un crayon qu’elle tenait dans la bouche. A cause de ça, elle ne pouvait que difficilement retenir sa salive, et j’ai vu une fois ou deux un trait de bave s’échapper de ses lèvres. C’était plutôt humiliant pour elle, et sans m’y attendre, j’ai instantanément adoré ça. Soudain, j’ai commencé à avoir très envie de gagner cette partie – et pour tout dire ça n’a pas été très difficile. Déjà parce que moi j’étais, du coup, très concentré ; mais également parce qu’elle, en ébullition, n’arrivait pas à se focaliser sur le jeu, et se trompait régulièrement. Elle n’avait pas cherché à fixer avec précision l’enjeu de cette manche qu’elle venait de perdre, probablement parce que dans son esprit elle devait être certaine de la gagner ! De mon côté, je ne savais pas trop comment poursuivre l’aventure, proposer un barreau supplémentaire à l’échelle de son plaisir et de sa frustration. J’ai déballé les objets entreposés dans sa caisse, et j’ai fini par trouver quelque chose qui m’inspirait. Il s’agissait d’un collier en cuir, que je lui ai passé autour du coup, comme on ferait à un chien. Ce collier avait la particularité, toutefois, de se fermer à l’aide d’un petit cadenas, qui empêchait de l’enlever sans posséder la clé. J’ai placé les deux clés bien en évidence de mon côté de la table, pour lui montrer le pouvoir que j’avais sur elle, et j’exultais en silence. J’étais sur le point de m’asseoir, mais je me suis ravisé. Le collier présentait un anneau de métal, qui me permit d’y accrocher une chaînette. A l’autre bout de cette chaîne, je suis allé chercher ses menottes, et j’ai doucement forcé ses mains à remonter le long de son dos. Puis à l’aide d’un autre cadenas, j’ai attaché la chaîne venant de son cou à celle qui reliait ses mains, les maintenant ainsi au-dessus de ses reins. Ça l’a forcée à se redresser, à cambrer un peu son dos, et ça lui a arraché un petit gémissement. Forcément, ses seins se sont mis à pointer vers l’avant, les tétons gonflés, moi j’avais une érection pas possible dans mon pantalon. Je l’ai regardée et j’ai bien vu qu’elle était au comble de l’excitation, et que sa frustration du début s’était à moitié transformée en désir impérieux d’être possédée, de m’appartenir. Je pouvais voir la cyprine doucement déglutir sur son siège. Je lui ai dit : « tu veux encore faire une partie ? Ou on arrête ? » « On continue ! Souviens-toi que si je gagne, on inverse les rôles » m’a-t-elle lancé sur un ton de défi. Cette partie-là était particulièrement serrée. Nous étions tous les deux déterminés à gagner, concentrés à mort sur le jeu. Je ne sais pas trop pourquoi, j’ai machinalement compté les paires que l’un et l’autre encaissaient, et à la fin du jeu je me suis rendu compte qu’elle en avait une de plus que moi. Alors, j’ai fait quelque chose presque sans m’en rendre compte, guidé par l’instinct du prédateur qui tient sa proie entre ses griffes, et qui est prêt à tout pour ne pas la laisser filer. Comme elle avait les mains liées, c’était forcément moi qui devais compter les paires. En commençant par les siennes, j’en ai escamoté une que j’ai transférée vers mon propre butin. Elle ne s’est rendue compte de rien, mais elle fulminait d’avoir encore perdu, c’était tellement beau à voir, ses jolis seins rebondis qui s’agitaient de rage sur sa poitrine exposée et vulnérable. Je jouissais de ma fraude presque autant que de son impuissance, et je me suis retenu à grand-peine de la culbuter sur-le-champ, pour voir jusqu’où je pourrais pousser le procédé. J’avais déjà décidé, depuis le début de la partie précédente, ce que je lui ferais subir. Plutôt que de piocher dans son attirail, je me suis dirigé vers la penderie, et j’y ai pris des foulards en soie. J’ai fait un nœud dans l’un d’entre eux, puis j’ai refait un deuxième, et même un troisième nœud par-dessus le premier, jusqu’à obtenir une boule de la taille d’une petite pêche. Je lui ai fourrée dans la bouche, et j’ai attaché le foulard derrière sa tête. Elle a protesté, bien sûr, et j’ai vu qu’il lui serait peut-être possible de pousser avec sa langue la boule hors de sa bouche. Alors j’ai pris un autre foulard, que j’ai ajouté sur le précédent, en plus large, de manière à lui couvrir tout le bas du visage, du menton jusque sous le nez. Là, j’ai bien vu que ça tiendrait en place, et surtout qu’il lui était à présent impossible de s’exprimer clairement. Le plus calmement que j’ai pu, je me suis rassis en face d’elle, et j’ai étalé les cartes pour lancer une nouvelle partie. Elle m’a regardé d’un air noir, et j’ai fait semblant de ne pas comprendre où était le problème : « ah oui, c’est sûr, ça va commencer à être plus difficile de me montrer les cartes maintenant », j’ai lancé avec un petit rire. Je lui ai dit de me les désigner avec son nez, et j’ai joui du spectacle de son petit derrière se soulevant de sa chaise, ses tétons touchant le bord de la table, alors qu’elle s’acharnait laborieusement à essayer d’inverser le sort. Ça m’a même donné envie de devenir cruel, si bien que j’ai fait exprès, à un moment, de lui laisser une paire facile à trouver. Enragée, sûre de faire un pas vers sa libération, elle m’a montré les cartes qui allaient ensemble – mais moi j’ai commencé à abuser franchement de la situation : je lui ai montré la carte d’à côté et je lui ai dit : « celle-là ? » « Non ! » elle a fait de la tête, en poussant un grognement, et moi : « celle-là ? » en montrant une autre mauvaise carte. J’ai joué à ce petit jeu deux ou trois fois, et puis j’ai carrément fini par en retourner une qui ne faisait pas la paire, annulant le bénéfice de son action. Et bien sûr, en suivant j’ai trouvé la bonne paire, devant ses yeux illuminés de rage impuissante et d’incrédulité. Il fallait la voir, commencer à se débattre en vain, à protester dans son bâillon ! Il fallait la voir, secouer ses nichons pour dire « c’est pas juste ! », la vulve toujours en ébullition ! Je n’en pouvais plus, je suis passé derrière elle, et tout en la maintenant fermement, j’ai attrapé un autre foulard et je lui ai bandé les yeux. Ça lui a arraché un gémissement qui voulait autant dire « prends-moi » que « tu as intérêt à me libérer dans la minute ». Je ne sais pas comment, mais je me suis senti capable de l’emmener encore plus loin. Avec les cordes que j’ai trouvées dans sa caisse, je lui ai attaché les chevilles aux pieds de la table, lui maintenant les jambes écartées, le buste sur les cartes encore disposées. Sa chatte et son cul m’étaient offerts, luisants, et elle elle se débattait encore, peut-être plus pour jouir de son impuissance que dans l’espoir réel de s’échapper. J’ai pris la cravache et j’ai commencé à frapper, sur ses fesses, ses reins, ses cuisses, même un petit peu carrément sur son sexe, alternant les coups durs et les coups effleurés. Et puis j’ai baissé mon pantalon, et entre deux coups de cravache j’ai mis mon sexe dans sa vulve, la laissant sans savoir ce qui allait lui arriver, douleur ou plaisir, mais saisissement à chaque fois. J’ai pris un malin plaisir à espacer de manière irrégulière tout ce que je lui faisais, pour qu’elle ne puisse s’attendre à rien. Et au fur et à mesure, j’accentuais mes pénétrations, les faisant plus profondes et plus fréquentes ; et mes coups de cravache devenaient aussi plus intenses. Le tout lui arrachait invariablement des cris étouffés dans lesquels il devenait impossible de démêler le plaisir de la plainte. Quand le rythme s’est accéléré, je l’ai sentie pas loin de jouir, et moi-même ça poussait gentiment au portillon. J’ai attrapé ses cheveux, la forçant à lever la tête et à dégager son buste de la table. Et tout en la fourrant avec ardeur, je me suis mis à lui cravacher le ventre et les seins, ce qui l’a rendue absolument dingue. Ses mains s’agitaient en vain dans ses menottes, qui commençaient à lui laisser des marques rouges sur les poignets. J’ai eu envie de lui fourrer quelque chose dans le cul, mais il était trop tard : elle s’est mise à hurler comme je ne l’avais jamais entendu faire, moi je continuais à la prendre et à la battre aussi fort que je pouvais, et d’un geste rapide je lui ai arraché son bâillon, pour que tout le quartier puisse l’entendre gueuler, qu’elle se sente au moment suprême de son plaisir et de son humiliation, incapable de retenir les cris dont je l’avais privée jusque-là. Elle a eu des spasmes énormes dans le bassin, moi j’ai juté en elle en poussant mes propres cris rauques et aigus, et pendant de longues secondes on a joui l’un dans l’autre comme ça, moi la possédant et elle me dévorant, moi la dominant et elle me subjuguant, toute notre énergie focalisée en éclaboussure dans nos sexes. J’avais ma tête sur son dos, un de ses seins dans ma main, elle m’agrippait le poitrail avec ses mains immobilisées. Je lui ai léché doucement l’échine, et sans retirer mon sexe encore, j’ai attrapé les clés qui par miracle étaient encore sur la table, et j’ai défait ses menottes. Elle a laissé passer plusieurs secondes, longtemps, avant de dégager ses mains et de retirer son bandeau, comme pour me faire comprendre qu’elle voulait faire durer le plus longtemps possible la soumission, l’appartenance que je lui avais arrachées. J’ai pris sa joue au creux de ma main, lui ai tourné délicatement la tête sur le côté, et toujours en elle de mon pénis moins dur, je l’ai couverte de baisers, sur les yeux, le nez, au coin des lèvres et sur le menton, j’ai léché sa langue délicatement, et elle se laissait faire avec des soupirs et des gémissements, en fermant les yeux avec délice. Enfin, j’ai sorti mon sexe et j’ai détaché ses pieds. J’étais à genou devant elle, esclave et déesse, j’ai eu envie de lui lécher la chatte, j’ai eu envie de lui laisser son collier et sa chaîne et de la garder à poil, à ma disposition, pour quand il me plairait à nouveau de la fourrer. Je me suis relevé en embrassant son ventre, ses seins, je l’ai prise dans mes bras. Elle s’est blottie contre moi. Quelque chose de nouveau venait d’apparaître entre nous. Pas seulement un orgasme, pas seulement un jeu : un pacte.
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Par : le 14/10/22
Charlotte déverrouilla avec peine les cadenas qui la retenaient encore prisonnière des chaînes, dénoua rageusement le bâillon et se coucha en chien de fusil, la tête enfouie sous les draps. Elle tremblait toujours, mais de froid cette fois. Tous ses muscles, raidis par la tension des menottes métalliques, lui faisaient mal. Elle aurait voulu remuer, se lever, s'habiller. Tout effort lui semblait insurmontable. Malgré elle, des ondes de plaisir la parcouraient encore, comme un orage qui ne s'éloigne que peu à peu, abandonnant ça et là d'ultimes grondements. Libérée de ses chaînes, elle se sentait plus impuissante que lorsqu'elles l'entravaient. Les larmes lui montèrent aux yeux comme un torrent. Elle se mit à pleurer frénétiquement, sans bruit mais les épaules secouées de spasmes, et cela dura assez longtemps. Elle dut dormir un peu. Lorsqu'elle s'éveilla, le silence dans la chambre était total. Ne pas ouvrir les yeux. Ne pas s'éveiller tout à fait encore. Profiter du demi-sommeil pour continuer à croire que tout cela n'était qu'un rêve, un fantasme trop fort, trop présent, qui raisonnait encore en bas de son ventre. Pourquoi m'avait-elle contrainte à une telle séance ? Avait-elle voulu me faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à m'imposer un tel jeu. Cela ressemblait plutôt à un passage obligé, une sorte de rituel auquel elle-même n'aurait pu échapper. Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Juliette. Charlotte secoua la tête. Elle était folle de remuer de telles pensées. Elle ne devait pas avoir peur. Et si sa Maîtresse avait encore eu l'envie de l'offrir à une amie ? Charlotte avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, elle la taraudait et ne la lâchait plus. Juliette voulait l'offrir à une amie. Elle lui a donné l'adresse. Elle lui avait dit qu'elle trouverait là une jeune femme qui n'atteint le plaisir qu'en vivant ses fantasmes. Elle mime la résistance mais c'est pour mieux en profiter. N'a-t-elle pas elle-même avoué qu'elle affectionnait particulièrement les fantasmes de viol ? Des pas dans le couloir. Les voilà qui approchent. Elle cessa de respirer. Elle les entendit s'arrêter devant la porte de la chambre. Une clé tourna dans la serrure et la porte s'entrouvrit. Charlotte distingua dans l'embrasure une silhouette. La lumière l'aveugla. C'était Juliette mais elle n'était pas seule. Celle qui l'accompagnait la considérait d'un œil narquois. Elle se coucha sur le lit, les mains derrière la nuque. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie mais mêlée d'une extrême élégance. Voilà d'où naissait l'étrange sécurité, mêlée d'épouvante, à quoi elle sentait qu'elle s'abandonnait, sans la comprendre. Désormais, il n'y aurait plus de temps mort, de rémission. Celle qu'elle attendait, était déjà présente, déjà Maîtresse. Charlotte la vit poser les mains bien tendues de part et d'autre de sa vulve avec une douceur inattendue. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu, du bout des doigts. Leur contact, même s'il demeurait ferme, n'avait plus du tout la violence d'auparavant. Elle ouvrit son sexe comme on ouvre une orange, avec soin, en faisant attention à ne pas en perdre le nectar. Charlotte ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que la fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait réussir à jouir pour la satisfaire et pour qu'elle lui fiche la paix. Peut-être que, comme avec sa Maîtresse, si elle parvenait à se mettre en situation de spectatrice, parviendrait-elle à exciter ses sens. L'inconnue passa plusieurs fois sa langue sur le sexe de Charlotte, de l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, aspirant la chair tendre des petites lèvres, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut, un peu plus bas. À l'instant même où l'inconnue mordilla son clitoris, Charlotte se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait encore lorsque la jeune femme, s'étant tout à fait rhabillée, lui détacha les mains et lui donna des consignes pour leur toute prochaine rencontre. Ce soir-là, le sommeil ne vint pas. Bien sûr, elle avait eu peur, bien sûr elle avait eu honte. Elle obéissait aux ordres de Juliette comme à des ordres en tant que tels, et lui était reconnaissante qu'elle les lui donne. Elle m'attendait sur un canapé. Un bras étendu sur l'accoudoir en velours grenat. Jambes croisées, pieds nus, ongles lissés d'un vernis rouge. En dessous noirs. Autour de vingt heures, Charlotte, en retard sonna à la porte. Trop facile, pas de punition, l'inconnue ne fut pas dupe. Anxieuse, elle poussa la porte entrouverte. À double tour, la referma. Accueillie dans la pénombre fraîche du salon par une jeune fille nue, complice des jeux. En fond sonore, les "Trois Gymnopédies" de Satie. Doucement le piano pour entendre le bruit de ses pas quand sur le parquet point de Hongrie, elle se déshabilla lentement, une épaule après l'autre, sa robe glissa sur le sol doucement pour écouter le clapotis du sexe entre ses doigts. L'inconnue décroisa ses jambes, les paumes claquant sur ses cuisses, la pria d'avancer. La flamme des bougies lançant des lueurs dansantes sur leurs visages, semblait réveiller des ombres dans le haut plafond. Elle eut les caresses et la bouche de l'inconnue. Cette bouche alla jusqu'au secret de son corps, au plus secret de son être émotif dans la chaleur humide que le désir enfiévrait. Tout d'un coup, elles ressentirent, cette étrange douceur, cette paix heureuse des amantes. Ce que l'inconnue exigeait d'elle, Charlotte le voulait aussitôt, parce qu'elle le lui demandait, aussi par respect et admiration. Mes yeux se retournent vers ton sourire. Le silence, nous l'avions décidé ainsi. Tu devras t'efforcer de ne pas hurler quand quand je te flagellerai jusqu'au sang. Tu n'as pas le choix. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible de la séance. Charlotte ne sait plus ce qu'elle veut, le fouet, oui mais pas pour son plaisir. De l'amour des femmes, elle ne connaissait rien d'autres que quelques privautés, quelques complaisances accordées avec des camarades de classe, à la limite du jeu mais bientôt par dessus la nuque passe le harnais en cuir. Son corps supplie, toujours nue, de dos sur mes genoux. Bientôt mes doigts, à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de tes lèvres. Alors, les omoplates ont frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Le grain de ta peau sur ma langue. Les lèvres de ton sexe sur la pulpe de mes doigts, ta joue sur mon épaule, mes mains ont fermé alors les crochets. Mon souffle effleurant le profil de tes seins dressés avec cette envie de toi qui tangue, cette envie d'arrêter, cette envie de suspendre les gestes. Je t'attrape par la nuque, te renverse sur le canapé, je te dévore. Tu te débats, tu me supplies. Charlotte n'a pas de honte à exposer son corps asséché de solitude. Tout est évident. Tu es allongée, au-dessus de toi, la caresse est légère presque rêvée, précisant l'ondoiement sur l'entrecuisse à peine ouverte. Le désir est prégnant, ton sexe est brûlant, l'émergence de sa pointe, la moiteur de ses plis, les battements de sa matrice. Elle lui apprit et lui révéla son corps, par des caresses d'une insidieuse lenteur, par des baisers qui n'en finissaient plus d'éveiller en elle des ondes de plaisir presque intolérable. De la bouche venait alors calmer la fièvre qu'elle avait fait naître, s'abreuvant alors à la source même d'où jaillirait la jouissance. Tu deviens pourpre, et en même temps que tu rougis, tu es ridicule de rougir. Tant de pudeur chez une fille complaisante. Tu te tais. Quand bien même le voudrais-tu que tu ne pourrais parler. Tes soupirs, les plaintes d'extase, les gémissements de volupté ont pris toute la place dans ta poitrine et dans ta gorge. Tu deviens muette d'un incomparable bonheur charnel. Nos cris meurent en un baiser brutal, comme la secousse qui bascule. La fleur sanguine laisse sourdre son suc aux mille parfums dans un mouvement de bacchanale déchaînée, sanglot de l'extériorisation extrême de ta sensualité fouaillée. Tu es ouverte, béante, les lèvres palpitantes, la vulve agitée de pulsions enflammées et suintante de son miel blanc et blond. Nous basculons, enroulées l'une à l'autre dans un enlacement tortueux qui nous emplit de joie enfantine. Cessant de lutter, désespérée, retrouvant la joie de vivre, honteuse et fière, tu t'abandonnes alors aux bras qui te meurtrissaient hier. Aucune nuit pareille à nulle autre, jamais Charlotte ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sans être battue. Elle semblait appartenir à un autre monde. Quelque chose d'indissoluble et de fatal, une puissance invisible les liait bien plus que dans le bonheur et l'euphorie, errant dans le pur illogisme de la réalité, ne rendant de comptes à personne, forme suprême de la liberté dont elles usaient dans le bien comme dans le mal. Leur idéal avait changé d'objet. Leur frénésie était un peu glacée. Se laisser toucher, se laisser fouetter, être docile et nue. Pour l'amour qui fait battre le cœur, on ne forçait personne. Charlotte fut éblouissante de félicité. Tel l'envol gracieux d'un oiseau nocturne dans un jardin endormi, elle s'abandonna sans pâlir, corps et âme, à la bouleversante incantation sacrée du rite célébré du plaisir des chairs. Elle entendrait, encore une fois bientôt Juliette, étendue à coté d'elle, respirer dans la nuit. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 08/09/22
"Hey! Hey réveille toi! Ne me dis pas que tu as oublié. Ton entretien d'embauche c'est bien à 10 heures non?" De l'état comateux où je me trouvais, je passe directement en mode panique. Ce n'était peut être pas une bonne idée d'avoir assisté à l'enterrement de la vie de garçon de mon meilleur pote. Mes paupières pèsent une tonne, un marteau piqueur résonne dans ma tête. J'ai un mal de crâne à tendance gueule de bois mais tant pis. Mon premier entretien d'embauche en 6 mois. Après avoir écumé les jobs dating, on s'aperçoit qu' à passé 35 ans, les offres d'emplois sont plus rares. Je me lève puis passe mécaniquement sous la douche. L'eau froide réveille mes neurones endormis. L'odeur du café envahit la chambre et la salle de bain. Cloé me tend un café tandis que j'enfile ma chemise. Cloé,au départ, c'était ma coloc. Maintenant c'est aussi une mère, une copine et parfois un peu plus. Disons que nous partageons un peu nos galères.  Après un café brûlant, je dérobe un croissant posé sur la table du petit déjeuner ainsi qu'un baiser à cette jolie blonde de presque 10 ans de moins. En face de chez moi, une file de voitures patientent à un feu. Montparnasse n'est qu'à quelques minutes à pied. La fraîcheur du matin mélée aux klaxons des automobilistes finit par me réveiller totalement. Machinalement, je vérifie la présence de mon pass navigo avant d'entrer dans cette nouvelle galerie commerçante qu'est devenue la gare. Dernière ligne droite direction Rambouillet, un territoire perdu au sud des Yvelines. Le job n'est pas très bien payé et ne correspond pas tout à fait à mon profil, il a juste l'avantage d'être situé sur la ligne de TER donc d'être relativement proche.  Je débarque dans la ville, tape l'adresse sur google: 21 rue du petit parc puis consulte ma montre. Je vais être en retard...Pas de beaucoup, peut-être 5 minutes. J'accélère le pas, passe un pont et monte une rue embouteillée.Je me surprend à penser à Cloé, à ses désirs de campagne et de tranquillité. Si j'obtenais ce job, nous pourrions partir ici. Ma rêverie s'achève devant l'interphone d'un bâtiment anonyme des années 80.Je jette un oeil rapide aux boîtes aux lettres du hall d'entrée. Plusieurs sociétés ont mis la clé sous la porte et l'entreprise de comptabilité dans laquelle je postule semble la seule encore en vie. "Oui?" demande une voix à l'autre bout de l'interphone "M S." dis-je après m'être raclé la gorge pour renforcer mon assurance. "Vous êtes en retard" réplique sèchement la voix. Après quelques secondes d'attente, la gâche se déclenche m'autorisant l'accès aux bureaux. Les locaux se situant au second étage, j'erre quelques minutes dans les parties communes à la recherche de l'ascenseur. Une porte s'entrouvre sur mon passage, je devine le regard méfiant d'une petite vieille, probablement la gardienne, dans la pénombre de son appartement. Il y a du marbre et des dorures aux portes, l'apanage d'un luxe maintenant désuet. J'arrive finalement au second. Une porte s'ouvre sur un homme d'une trentaine d'années blanc comme un linge. Il devait postuler également mais vue sa démarche bizarre et le rouge qui cuit ses joues, je devine que l'entretien ne s'est pas bien passé. Je sonne. Des talons claquent derrière la porte qui s'ouvre grande.  Une femme d'une cinquantaine d'année me fait face. Élégante, juchée sur des talons impressionnants, elle rajuste ses lunettes en me dévisageant. Ces lèvres fines esquissent un sourire mi moqueur mi méprisant. "C'est vous le retardataire?" lance-t-elle en me toisant comme elle le ferait pour un garçon pris en faute. "Euh...Oui, excusez moi" dis je un peu penaud de la situation. "On ne dit pas excusez moi mais veuillez m'excuser, je vous prie et on ajoute à la fin Madame"  tance celle qui ,maintenant, s'efface pour me laisser entrer.  J'avance  sans qu'elle ne fasse un pas pour reculer. Involontairement, nous nous retrouvons face à face, nos deux corps se touchant. Les effluves d'un parfum entêtant, délicieux comme un doux poison, envahissent mes narines. Étant petit, mes yeux se perdent dans le chemisier blanc de mon hote qui fait mine de ne rien voir. "Attendez sagement ici" dit-elle en me désignant une salle aux murs nus garnie de chaises en plastique inconfortables .  J'attends quelques minutes, bras croisés sur les genoux comme durant mon enfance, mais très vite le réflexe du portable me gagne. Je sors cette extension un peu trop familière de la main et de la pensée et constate avec résignation qu'il n'y aucun réseau. Rambouillet n'est pas une zone blanche, j'en déduis que mon hôte, Madame K., a dû installer un brouilleur de communication. Les chaises étant réellement inconfortables, je me mis à faire les 100 pas dans cette salle anonyme et morose lorsque la porte s'ouvre. "M S. , c'est à vous " Je suis le tricot des talons aiguilles jusqu'à un bureau à la porte tapissée de cuir.  Mon interlocutrice prend place face à un bureau de verre et d'acier. Je devine sa jupe courte et ses jambes fuselées à peine masquées par les quelques papiers qui encombrent le bureau.  "Je me nomme Mde K."  dit-elle en croisant les jambes.  "Vous êtes M S., agé de 35 ans, célibataire et sans enfant, vous logez à Paris, proche de Montparnasse. D'après votre C.V. je lis que vous avez travaillé dans de nombreuses entreprises internationales. Je vois aussi que vous avez visiblement un problème d'attention" "Euh...Quoi? Dis-je en bredouillant. "Cessez de regarder mes jambes et concentrez vous un peu. " lâcha t elle d'un ton méprisant "Pardon" Fais je d'un air contrit "Veuillez, je vous prie, Madame avoir l'obligeance de m'excuser. Dites le, vous le retiendrez mieux pour la suite, il faut que cela devienne un réflexe." Attaqué dans ma fierté, je restais mutique.  "Bon...Nous avions démarré sur de mauvaises bases, je ne vous retiens pas. Sortez!" lâcha froidement celle qui bientôt changerait ma vie.  Ce job, pourtant, il me le fallait. je bredouillai  les excuses qu'elle désirait  et cherchai, du regard, un siège pour éviter d'avoir à plonger sur les formes parfaites de mon employeur. "Restez debout pour le moment et opinez pour me montrer que vous avez compris." "Je cherche un employé disponible souvent, parfois le weekend. Cet employé devra être fiable et me faire une confiance absolue. Est-ce clair?" Je fis oui de la tête, heureux de montrer que je comprenais ses simples consignes.  "Voyez, vous commencez à comprendre ce que je désire. Si nous travaillons ensemble, vous devrez obéir à chacune de mes décisions. Aucune protestation ne sera tolérée." Je commençais à croire qu'elle était devenu folle mais opinai en souriant de façon narquoise.  "Mes remarques vous font rire? Vous savez, je me trouve suffisamment bonne et ouverte d'esprit pour donner une chance à un type comme vous." Je voulus prendre la parole mais sa main était venue chercher une cravache qu'elle maintenait cachée. L'objet s'abattit violemment sur la table projetant un dossier qui s'éparpilla au sol. " Des photos, des adresses de sites pornographiques, des conversations que j'avais eu répandaient à terre mes penchants peu glorieux. "Alors comme ça, vous aimeriez être humilié et fouetté." aboya Madame K qui maintenant tournait autour de moi la cravache à la main. Elle s'arrêta dans mon dos. je sentis son enivrant parfum anesthésier ma volonté. J'aurai dû partir, protester vivement et quitter la pièce avec fracas mais ses mains gantées de cuir frôlèrent mes hanches avant de s'y attarder. Lentement mais inexorablement elle mimait l'acte sexuel tandis que ses lèvres me susurraient  "Vous avez également écrit que vous aimiez les femmes phalliques et que vous désiriez être défoncé comme une petite chienne en chaleur. Est-ce vrai?"  D'un bond, je me raidis et protestai mais la cravache s'abattit violemment dans mon dos et sur mes épaules. Surpris je chutais me protégeant comme je pouvais et les coups se mirent à pleuvoir sur mes mains, mes avant bras et chaque partie de mon corps facilement atteignable.  "Tu ne parles pas tant que je ne t'ai pas donné la parole tu comprends? " Acculé dans un coin de la pièce, recroquevillé sur moi même, j'opinai du chef à la grande satisfaction de Madame. "Alors voilà, j'ai ici un dossier assez épais sur tes petits penchants. Ce dossier a été monté par ton prédécesseur  depuis plus de deux ans. Si tu ne veux pas voir cette petite bombe diffusée un peu partout, je te conseille de faire ce que je t'ordonne. Est ce que ça rentre dans ta petite tête de soumis ça?" Assommé par les évènements, je n'osai prendre la parole, du coup, ma tortionnaire s'imposa.  "Maintenant mets toi à poils, vite!"  Comme j'hésitai et essayai de me relever, elle m'envoya un coup de pied avant d'entamer une deuxième séance de flagellation. Cassé, je m'exécutai pour aussitôt être menotté et paré d'un collier. Puis, elle me tira vigoureusement les cheveux en arrière et me contraignit à ouvrir la bouche pour y glisser un baillon de latex.  "Tu aimes" ça dit elle en caressant mon sexe qui se dressait avec hardiesse.  "Tu aimes quand ta maîtresse te fait du mal? "  Sans attendre la réponse, elle m'installa sur un siège roulant. Des  sangles s'ajoutèrent à mes menottes pour m'immobiliser entièrement face au bureau. En me regardant dans les yeux, elle composa un numéro de téléphone. "Allo? Cloé M? Oui ici Madame K. de la société les chasseresses de Diane. J'appelle de la part de M S., il a eu un léger contretemps à Rambouillet. Il m'a donné votre numéro pour vous dire de ne pas vous inquiéter....Non...non, je ne sais pas quand il reviendra mais j'imagine qu'il vous donnera des nouvelles." J'aurai voulu crier mais le bâillon étouffait chacune de mes protestations me faisant baver lamentablement. Madame K raccrocha avant de m'offrir son plus merveilleux sourire. Ma soumission ne faisait que débuter.
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Par : le 23/08/22
Voilà, c'est fait, mes 4 nouvelles galeries sont ouvertes. Enfin de compte le projet de Chicago a été annulé et remplacé par Las Vegas. Ca n'aura pas été sans mal, surtout celle de Las Vegas. Dans cette ville ou l'argent est roi, tout se monnaye, tout s'achète, j'en ai fait les frais. Pour obtenir les autorisations d'ouverture, nous avons rencontré à la galerie un responsable chargé de donner son accord, mais ce monsieur a exigé de moi, que je me livre dans une soirée privée avec quelques amis. Après quoi cette autorisation d'ouverture sera acceptée. Il nous communiqua son numéro privé pour qu'on lui donne notre accord. Un chantage odieux, mais comment faire, porter plainte et se voir refuser cette autorisation. Je n'avais pas eu de problème à Miami, Los Angelès et San Francisco. John était furieux d'être devant le fait accompli. Autant il est d'accord pour que me fasse sauter, avec mon accord, si ça venait de lui, mais être obligé de me "prostituer" pour obtenir une autorisation d'ouverture, il n'a pas apprécié et moi non plus. Nous avions donc le marché en main et ce salaud savait pertinemment que j'accepterai, car il a attendu la fin des travaux et à 12 jours du vernissage pour nous faire connaître ses intentions. Il avait également exigé que je vienne seule. John était à deux doigts de tout laisser tomber quitte à perdre beaucoup d'argent dans les travaux de cette galerie. Après une nuit de discutions, d'enguellades, j'ai fini par le convaincre de me laisser aller à cette soirée, Après tout se ne serait pas la première fois que je me ferais sauter par plusieurs hommes. Je téléphonais au responsable sur son portable, en lui disant accepter cette soirée privée en présence plusieurs hommes. Mais une question me troublait, "combien seront-ils". Le lendemain toute la journée cette question est restée dans mon esprit. Quels étaient les intentions de cet homme. Nous étions mercredi et le rendez-vous avait été fixé dans 3 jours, soit le samedi soir, dans une suite de l'hôtel Wynn. N'étant pas en confiance, John s'est rendu dans cet hôtel et après avoir graisser la patte du réceptionniste, il obtins le numéro de la suite réservée pour cette soirée. Par une chance extraordinaire il réserva une suite libre la plus proche du lieu de débauche. Nous avons convenu d'un code, si j'avais le moindre problème, je devais demander à mon hôte de téléphoner au service d'étage pour commander une bouteille de champagne bien spéciale qui ne figurait pas dans le bar de la suite. Bien entendu John serait prévenu immédiatement. Je vous ai dis que tout s'achète à Las Vegas, il suffit d'y mettre les moyens. Nous étions descendu à l'hôtel le Venetia, là ou nous étions lors de notre mariage. Les trois jours précédents la soirée et pour nous changer les idées, nous avons profiter de tout ce que Las Vegas peut vous offrir, casinos, restaurants, spectacles etc.. Nous avons même ramener dans notre suite une charmante jeune femme, avec qui nous avons passé une formidable nuit. Le samedi arriva très vite, j'avais rendez-vous à 21h. Je me préparais, je me suis fais une toilette intime, sachant pertinemment qu'ils me sodomiseraient, fantasmes de tous les hommes. J'avais décidé de porter une robe longue très chaste pour ne pas les provoquer trop vite. John me regardait me faire belle pour cet homme que je ne connaissais que par un rendez-vous de travail en vue de l'ouverture et dont je dépendais totalement pour la suite. A 20h30, John appela un taxi, et à 21h je frappais à la porte de la suite. John s'étant rendu dans sa suite et attendait quelles tournures prendraient cette soirée. Un homme m'ouvrit la porte et me conduisit dans un salon ou je reconnu l'homme avec qui j'avais rendez-vous. Je fus étonnée car il était seul dans ce salon hormis celui qui m'avait ouvert la porte. Je ne vous l'avais pas décrit, la cinquantaine. un peu bedonnant, les cheveux noir comme du jais, Il nous avait dis se prénommer Baldonero. Il me baisa la main, en sachant qu'il me baiserait autrement plus tard et après m'avoir complimenter sur ma tenue, il me conduisit dans un deuxième salon où là nous attendait un dizaine d'hommes de tout âges. Le salaud, il avait du ameuter ses amis en leur disant qu'ils allaient passer une très bonne soirée. Ce salon donnait directement sur une immense chambre ou le lit immense lui aussi trônait en son centre. Face au lit un écran de télé couvrait une grande partie du mur. Ce qui m'intrigua c'est cette caméra sur pied placé en face du lit. Après tout je me dis qu'il voulait garder un souvenir pour ses vieux jours en se branlant. Il me présentât à ses amis qui me regardaient comme une bête qu'on traque à la chasse et prévoyant l'hallali, puis il me demanda ce que je voulais boire, j'en profitais pour jeter un œil sur les bouteilles de champagne du bar. J'avais déjà la marque du champagne qui manquait, c'était déjà ça. J'étais au centre du salon et tous les hommes m'entouraient prêts à me sauter dessus dès le coup d'envoi du maître de maison. Baldonero s'approcha de moi, me pris ma coupe de champagne, la posa sur une table et me demandât comment je désirai que la soirée se passe. Je m'attendais à tout sauf à cela. Prise de cours, je me souviens avoir dit que c'était comme il voulait. Et là j'aurai du me taire. Il acquiesçât et me dit que comme je n'avais pas de préférence, ce serait lui qui déciderait. Il me prit par la main et me conduisit dans la chambre suivi par la meute. Puis il fit descendre la fermeture éclair de ma robe, la dégageât des épaules. Elle tombait à mes pieds me laissant en sous-vêtements de dentelles noire. Il s'éloignât en me regardant et me demandât de retirer tous ce que j'avais encore sur le dos. J'obéi et je me retrouvais nue et vulnérable. J'étais pas dans mes petits souliers comme dans des soirées où j'avais déjà participé. Je me doutais de ce qu'ils allaient me demander, mais j'étais loin du compte. Tout ce petit monde se rapprochât de moi, et commencèrent à me caresser, à pincer les pointes de mes seins, à pénétrer leurs doigts dans mes parties intimes. Un homme assis parterre et placé entre mes jambes ouvertes, essayait de faire pénétrer sa main dans mon vagin. J'étais sèche par cet assaut brutal et il me faisait mal. Il ne réussit pas et pour se venger, il pinçat violement mon clitoris. Pendant tout ce temps, je ne vis pas arriver derrière moi Baldonero, il me prit les mains derrière mon dos et je sentis aussitôt le métal froid de menottes. Je me débattis, mais c'était trop tard, j'étais immobilisée. Il appuya sur mes épaules m'obligeant à me mettre à genoux. Aussitôt tous les hommes émoustillés par le scénario me présentèrent leurs sexes tendus comme des arcs, . Tour à tour je les ai avalés. Il pesait derrière ma tête pour s'enfoncer le plus loin possible dans ma gorge. J'étouffais à plusieurs reprises, mais rien n'y faisait, ils continuaient à me forcer à les avaler. Aucun d'eux n'a joui. ce qui me désespérât car au moins ils auraient été moins en forme pour la suite. La séance a durer longtemps. j'avais mal à la mâchoire. Je sentais mon maquillage couler sur mes joues. Puis il arriva avec un bâillon, une boule qu'il me mis dans la bouche et munis d'une lanière qu'il m'attachât derrière le tête. Je commençais à paniquer. J'étais consentante, alors pourquoi m'attacher les mains et me bâillonner ? Qu'avait il derrière la tête ? La réponse arrivât très vite. Il m'obligèrent à me mettre en levrette la tête posée sur le bord du lit, puis je sentis qu'on m'écartait mon sexe et qu'on m'introduisait ce qui n'étais pas un sexe d'hommes mais un phallus dur et froid. Pourquoi ils ne me baisaient pas normalement. Ce sexe en plastique était énorme, il forçât pour le faire pénétrer, je m'étouffais dans mon bâillon, puis il entra d'un seul coup jusqu'au fond de mon vagin. Il le retirera pour le faire entrer de nouveau plusieurs fois en le faisant tourner sur lui même. Puis je sentis qu'il le présentait devant mon orifice le plus étroit. J'essayais de me relever mais ils me ternaient fermement. Il appuya dessus de toute ses forces et millimètres par millimètres je le sentis pénétrer en moi. J'essayais de me détendre le plus possible pour ne pas être déchirée et comme dans mon vagin je le sentis taper au fond de mes intestins. Le supplice dura on long momement puis ils le retira. Il se tourna vers moi et me dit : "Maintenant que tu est bien élargie on vas te baiser à plusieurs en même temps" et il ajouta :"tu vas voir tu vas aimer". J'étais prise au piège, je ne pouvais même pas prévenir John par le code que nous avions mis au point. Ils me portèrent sur le bord du lit, un homme se coucha sur le dos, les jambes dans le vide, ils me forcèrent à l'enfourcher pendant qu'un autre me pénétrait l'anus dilaté par le phallus en plastique. Mais ce n'était pas tout, celui qui me sodomisait se retira et forçant mon vagin retrouva son copain de jeu. J'en avais deux à la fois. Ils allaient et venaient de plus en plus fort quand je sentis le liquide chaud m'inonder. Il se retirèrent aussitôt remplacer par deux autres mais qui choisirent l'autre voie. Mon cul déjà dilaté par la première pénétration acceptât sans trop de mal ces deux sexes. La séance continua jusqu'à ce qu'ils se vident presque en même temps. La dizaine d'hommes présents se suivirent deux par deux en alternant mon cul et mon sexe. Sur l'écran de télé, étaient diffusées en direct les images de la caméra ce qui accentuait le côté porno de la soirée. Baldonéro n'avait pas encore participer, il attendait quoi ?. Il s'approcha de ma tête et me dis à l'oreille: "Maintenant on vas passer aux choses sérieuses". J'essayais de murmurer quelque chose dans mon bâillon, il me le retirât et me demandât de promettre de ne pas hurler. Je lui demandait d'aller dans la salle de bain, car j'étais inonder de leur sperme. Il acceptât mais sans me retirer les menottes. il me conduisit dans la douche, pris la pomme de douche ouvrit l'eau et me planta la douchette dans le vagin. J'ai retenu un cri de douleur, présageant qu'il serait encore plus sadique si je criais. Il en fit de même dans mon cul. Comment j'allais sortir des mains de ce monstre. Revenant dans le salon, j'en profitais pour lui demander une faveur, qu'il me fasse monter mon champagne préféré, prétextant qu'après ce que j'avais déjà enduré, je méritais bien ça. Ill eu un moment d'hésitation puis il me dit "si t'as soif il y a ce qu'il faut dans le bar" C'était foutu, il me ramena dans la chambre, un des hommes qui m'avait prise au début rebandait comme un âne, il se coucha sur le dos, ils me portèrent sur lui et pénétrât mon cul d'une seule poussée. J'étais sur lui son sexe enfoncé jusqu'à la garde, les jambes largement ouvertes, mon sexe ouvert près à recevoir un autre participant. Ils ne furent pas un, mais deux à pénétrer mon vagin. Je me sentais ouverte en deux, je commençais à avoir très mal. C'est après une temps plus long que la première fois qu'ils éjaculèrent au fond de moi. Un autre homme s'allongeât aussitôt sur le dos mais cette fois-ci il pénétrât mon vagin. Je fus prise de panique, présentant qu'ils allaient me sodomiser à deux, et c'est ce qu'il firent. J'allais crier quand Baldorero se mis devant moi me força la bouche en enfonçant son sexe dans ma gorge. J'avais quatre hommes en moi. Ils firent durer le plaisir le plus longtemps possible puis n'y tenant plus le premier à jouir fut mon bourreau qui me me tenat la tête, m'obligea à avaler tout le sperme qu'il déchargeait en longs spasmes de plaisir, puis les trois autres successivement. Je tombais sur le côté les mains toujours entravées, un homme se mit derrière moi et me sodomisât à son tour, puis un autre, puis un autre. Je les avait tous subis deux fois. Je ne savais pas depuis combien de temps je subissais leurs assauts mais je n'en pouvais plus, je regardais Baldonéro en le suppliant d'arrêter. Il fut pris d'un énorme rire, et me dit: "Quand on a la chance d'avoir à sa disposition une fille comme toi et en plus consentante pour participer à une soirée privée, il faut bien en profiter". Je le vis aller dans le salon et revenir avec un petit dictaphone, il l'approchât de mon oreille et j'ai entendu ce qu'il avait enregistré. Ce salaud avait enregistré la conversation lorsque je lui avait téléphoné pour accepter cette soirée. Je regardais autour de moi, comment faire pour me sortir de là. Une pendule sur un meuble marquait 1h. Ca faisait quatre heures qu'ils m'utilisaient à leurs guises. J'avais mal au ventre. Les hommes vidés pour la deuxième fois étaient déjà moins en forme et leurs sexes pendaient un peu lamentablement. C'était une bonne chose. Baldonero s'adressât à moi en me proposant une autre petite séance. Mais laquelle ? ils ne bandaient plus. Il s'absentât un moment, j'ai entendu une porte se refermer, et entrer dans la chambre trois hommes blacks. Je me sentis blêmir et presque tomber dans les pommes. Il s'adressa aux trois hommes en leur disant qu'ils pouvaient faire de moi ce qu'ils voulaient. Et puis me regardant dans les yeux à dix centimètres, il me dit : "Tu vas voir, tu te souviendras longtemps de cette soirée.". C'était sûr, j'allais certainement ne pas l'oublier. Si seulement John avait l'idée de venir voir si tout allait bien. Mais j'étais seule face à mes bourreaux. J'ai participée à de nombreuses soirées ou je me suis faite baiser de toute les façons, mais pas comme ça. Les trois blacks se déshabillèrent, et j'ai pu voir leurs sexes monstrueux. Je m'étais faite baiser et sodomiser par des blacks hyper montés, mais là ils battaient des records. Je présentais le pire, surtout s'ils décidaient de faire la même chose que leurs prédécesseurs. Le plus grand des trois pris un tube de gel, s'enduisit le sexe et s'approchât de moi, me détacha les menottes, ce qui m'a fait un bien fou, mais de courte durée. Il se mit derrière moi, me pris par la taille et s'assit sur le lit. Un des autres blacks m'écartât largement les jambes, puis il me leva sans effort et me déposa le cul sur son sexe raide et droit comme un I. Imaginer une batte de baseball, mais en taille XXL. Me tenant par les hanches, il me força à descendre inexorablement. Je ne pu réprimer un cri de douleur intense par ce sexe disproportionné qui pénétrait en moi. Les hommes qui regardaient ce spectacle recommençaient à bander, ils se masturbaient en pensant sans doute à ce qui allait suivre. La moitié de son sexe était en moi et il tapait au fond. Un deuxième black, son sexe dont le gland énorme bandait à fond s'approcha et sans aucun ménagement essaya de le faire entrer dans mon vagin. Mais là problème, la place prise par le premier ne permettait pas une deuxième pénétration. Il se releva et je vis s'enduire de gel et revenir à l'assaut et en appuyant de touts ses forces je le sentis me pénétrer, puis plus rien, je ne me souviens plus de ce qu'il c'est passé après. Le noir total. Quand je me suis réveillée, j'étais allongé sur le lit, John était à côté de moi. Mon sexe saignait et débordait de sperme, ils m'avaient déchirée. Je me sentais salie en espérant qu'aucun de tous les bourreaux ne m'aient contaminé. Il me regardait des larmes dans les yeux. Je regardais la pendule, il était quatre heures du matin. Je demandais à John ce qu'il s'était passé, il m'expliqua que pris d'un doute, il avait décidé de demander au concierge des renseignements sur la personne qui avait loué cette suite. Le concierge rétissant au départ fut plus loquace après un généreux pourboire, il lui dit ne pas connaître personnellement ce monsieur, la chambre avait été payée par carte par un certain R.Baldwin. Alors que quand John était venu pour louer à son tour une suite ou il devait m'attendre on lui avait donné le nom de Baldonéro. Commençant à comprendre que j'étais peut-être tombé dans un piège, il appela un de ses amis qui est procureur, il lui expliqua la situation en insistant sur l'urgence de l'affaire. Réveillé en plein sommeil il accepta de téléphoner à la Police, une demie heure plus tard, ils pénétraient dans la suite. Tout le monde fut emmené au poste de Police, et moi dans une clinique pour me faire recoudre. Ils ont emmené la caméra, John leur ayant demandé une copie de l'enregistrement. Nous avons appris le lendemain que ce fameux Baldoreno n'avait aucune responsabilité dans les autorisations d'ouvertures, qu'il travaillait bien dans ce service, et qu'il avait prétexté qu'après s'être présenté à la galerie pour faire l'état des lieux, en me voyant très sexy et connaissant le style d'oeuvres d'arts que je présentais, il s'était dit qu'une petite soirée avec des amis pourrait être sympa. En fait la véritéil était tout autre, Baldonero était en cheville avec R.Baldwin qui se faisait par ces soirées préméditées, une collection de vidéos sadiques. Un bon nombre de ces vidéos ont été trouvées à son domicile lors d'une perquisition. Mais les autres victimes n'ont pas eu la chance qu'on vienne les secourir avant la fin de ces soirées sadiques. Huit jours plus tard, remise de mes émotions et en forme, nous avons ouvert cette dernière galerie où était présent bon nombre de personnalités. Un mois plus tard j'ai reçu le résultat les tests, ils étaient négatifs. John avait récupéré la copie de la caméra, nous l'avons visionnée plusieurs jours plus tard. J'ai vu ce que les 3 Blacks m'avaient fait subir tour à tour et pendant un long moment, après avoir subi d'autres pénétrations par d'autres participants et après que je sois tombée dans les pommes, pas étonnant qu'ils m'aient déchiré, des beaux salauds sans scrupule. Dans d'autres circonstances j'aurai apprécier leurs sexes en moi, mais surement pas de cette façon. à suivre...
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Par : le 16/08/22
O soLE mio Rendez-vous dans un parking sous-terrain d'une grande surface, je venais de recevoir par SMS le numéro de l'emplacement, j'étais juste à l'heure! Dans la voiture de mon dominateur, j'étais vêtu d'un short blanc, d'un tee-shirt et de baskets noires. Je m'assieds sur le siège arrière, a coté je trouve et je me mets les menottes aux poignets ainsi qu'une paire de lunettes, genre lunette de soudeur, carrément aveuglantes. La voiture sort du parkings et me semble parcourir une bonne distance ( probablement 20 bonnes minutes environ ?) d'une route sinueuse pour finir probablement par un chemin, déduction à cause du ralentissement et de secousses ! Une fois arrêté, j'attends toujours assis à l'arrière du véhicule lorsque j'entends ouvrir la portière et suis tiré dehors par les menottes! Au milieu d'une clairière, on m'enlève les menottes puis mes lunettes pour les remplacer par une cagoule cuir très enveloppante, puis vient la pose de bracelets serrés autour de mes poignets et de mes chevilles ! Mon tee-shirt et mon short sont déchirés et je me retrouve nu comme un vers en pleine nature, sans savoir où je suis! Je suis prié de me mettre à genoux dans l'herbe, puis invité à m'allonger sur le dos, tandis qu'une main vigoureuse me pose un cokring! La tension sur les bracelets m'impose une mise en croix et je crois que j'ai commencé à bander ! Le soleil tapait fort et je me suis mis à transpirer, principalement à cause de la cagoule bien serrée, mais aussi avec le cokring! Combien de temps suis resté ainsi nu, écartelé en pleine nature sous le soleil ? Je crois même que j'ai du m'endormir un court instant, inquiet tout de même de la suite que pouvait prendre les événements : bien j'étais venu volontairement et librement ! Un bruit de voiture me surprend et j'entends dire " il est là". Une main parcoure sensuellement tout mon corps de la plante des pieds à la tête en s'attardant bien sur mes seins et plus particulièrement sur mon sexe. La suite au prochain épisode : Vous ne serez pas déçu ! ! !
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Par : le 16/08/22
Incroyable mais vrai : J'arrive tranquillement en voiture devant le portail ouvert : je me gare devant l'entrée du garage : je suis juste à l'heure demandée ! Comme convenu au préalable, je porte une salopette et juste un string cuir dessous. Avec moi, un sac de petit matériel et une tenue de rechange comme demandée! Je monte les escaliers du perron et me met dos à la porte d'entrée avec mon sac à coté. J'entends une musique à l'intérieur! La musique devient plus forte et je comprends que la porte d'entrée est alors ouverte : Mon nouveau MAÎTRE me pose un bandeau sur les yeux, un collier et me menottes les mains dans le dos ! Cela commence vraiment à m'exciter et je suis curieux de la suite des événements! Aveuglé, Mon MAÎTRE me prend par les hanches et me fait parcourir quelques pas, ensuite mes menottes sont remplacées par des bracelets et je sens que mes poignets sont tirés vers le haut ! La musique devient plus forte et j'ai du rester plusieurs minutes dans cette position. Un moment de silence et j'entends à nouveau des pas qui s'approche de moi en légère extension verticale. Je sens la pose de bracelets à mes chevilles qui sont forcées à s'écarter, à la limite d'être sur la pointe des pieds ! Une nouvelle musique et je comprends bien que désormais, je ne pourrais plus bouger ni me refuser aux envies de mon nouveau MAÎTRE ! Il me semble qu'il y a au moins deux personnes autour de moi ? En effet des mains parcourent mon modeste corps ainsi exposé et arrachent mes vêtements, désormais je suis entièrement nu et palpé généreusement un peu partout de manière très sensuelle ! Une insistance toute particulière sur mes seins bien sensibles accompagnés par une longue fessée à mains nues! Mon sexe est en pleine érection, ce qui ne semble guère inquiéter les dominants que j'entends discuter à voix basse ! Ce qui devait arriver arriva et j'ai senti mon corps asperger d'un liquide chaud et dégoulinant généreusement. J'ai vite compris que j'étais préparé pour un rasage intégral de la tête aux pieds. La mousse à raser était appliqué généreusement sur tout mon modeste corps ainsi exposé, pour sentir ensuite le passage du rasoir y compris dans mes parties les plus intimes de mon anatomie! Léger changement de position pour les bras qui n'étaient plus suspendus mais vigoureusement écartelés. Je sentais mon sexe en folie, surtout lorsque le rasoir parcourait mes bourses bien tendues par une ou des mains vigoureuses ! Toujours dans cette position, j'ai senti un jet d'eau froide dans le but de rincer mon corps : résultat immédiat je ne bandais plus ! Je m'inquiétais alors de la possible déception de Mon MAÎTRE ! Mon sexe bien mou, fut vite tripoter et je sentais la pose d'une cage de chasteté bien contraignante, vite suivi de pompes sur mes seins! Mon sexe s'est mis à remplir la cage et mes seins gonfler douloureusement sous la très forte aspiration ! Combien de temps suis-je ainsi resté, mes seins devenant de plus douloureux, tandis qu'une fois encore plusieurs mains me semble-t-il parcouraient vigoureusement mon corps exposé sans défense ! Enfin mes seins sont libérés de l'aspiration et essuyés sans trop d'attention à leurs nouvelle sensibilité ! Hélas, ce repos tant attendu fut vite remplacé par la pose de pinces sur mes deux seins, joyeusement accompagné par une fessée bien bruyante! Probablement de nouvelles pinces car je ne reconnaissais pas cette tension. Les pinces étaient manipulés par un expert qui devait maitriser cette pratique! J'avais demandé et prévenu mon futur MAÎTRE que je ne pratiquais ni la sodomie et encore moins le Fist ! Quelle fut ma surprise tandis qu'une main manipulait la cage de chasteté, un doigt titillait mon anus pour le pénétrer délicatement ! A nouveau une douche cette fois tiède qui coulait lentement de ma tête sur le reste de mon corps! Je ne saurais dire combien de temps je suis resté ainsi exposé en croix, offert aux regards et aux diverses manipulations bien excitantes ! Avec plaisirs, j'ai senti enfin mon sexe libéré de la cage et mes seins reprendre leur liberté! Je ne m'attendais guère à la suite qui fut extraordinaire probablement pour tout le monde de la rencontre ( avec le bandeau serré, je ne pouvais rien voir, mais j'entendais bien ) Une bouche goulue s'empara de mon sexe tandis que des mains tripotaient de plus en plus violemment mes seins ! La douche ou plutôt le filet d'eau s'était arrêté, pas complètement toutefois ! je sentais toujours un ruissellement sur mes jambes L'alternance de repos, de sensualité, de douceur et de vigueur sans équivoque ont fait que j'ai joui bien trop tôt à mon goût : j'aurais bien aimé que la séance dure encore et encore! Libéré de mes entraves, je me suis retrouvé seul dans une pièce et j'ai pu m'habiller pour pouvoir rentrer heureux et épanoui de la séance! La prochaine rencontre, j'essayerai d'être un peu moins excité !
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Par : le 09/04/22
Les autres jours, Gaby n’aurait pas réfléchi à deux fois à la rencontre. C’était une journée normale au printemps et tôt le matin. La ville faisait la promotion d’une journée sans voiture en faveur de l’environnement et Gaby avait décidé de participer et de prendre le train pour se rendre au travail. Une amie lui avait donné un billet de dix trajets, il lui suffisait de renseigner la date, son lieu de départ et sa destination. Ayant oublié d’apporter un stylo, Gaby dut en demander un à l’un des autres qui attendaient sur le quai. L’homme qui lui a donné le sien était un peu plus âgé qu’elle ; Gaby avait une trentaine d’années et il devait en avoir une quarantaine. Elle l’aurait normalement considéré comme trop vieux pour capter son intérêt même s’il était assez beau. Les autres jours, elle l’aurait immédiatement oublié. Gaby n’avait jamais pris le train pour se rendre au travail auparavant et n’avait pas prévu à quel point le trajet d’une demi-heure serait ennuyeux sans rien pour la divertir. Devant elle et dans l’autre allée, l’homme qui lui avait prêté son stylo tapait quelque chose sur un ordinateur portable. Elle essaya de lire en même temps, mais le texte était trop petit à cette distance. Curieuse comme elle l’était, elle envisagea un instant de s’asseoir à côté de lui, mais elle ne voulait pas qu’il pense qu’elle était intéressée par une conversation. De plus, elle le dérangerait probablement dans son travail. C’était à cause de cette curiosité insatisfaite, que Gaby était incapable d’oublier leur rencontre, aussi brève fût-elle. Les jours passèrent sans que Gaby ne revoie l’homme, mais elle ne l’avait pas oublié. Son esprit avait transformé ce qui aurait dû être un simple souvenir en un mystère intrigant. Finalement, quand elle ne put plus supporter ses pensées émerveillées, elle décida de le chercher ; ne serait-ce que pour se prouver qu’elle rêvait de lui était ridicule. Elle ne savait pas si c’était de la chance, ou si cet homme se rendait au travail en train tous les jours, mais elle l’a retrouvé dès le lendemain lorsqu’elle a pris le train pour se rendre au travail. Gaby se sentit un peu stupide quand elle le vit. Elle avait traversé tous ces ennuis juste pour voir un homme à qui elle avait à peine dit cinq mots. Pourtant, elle savait qu’elle devrait passer par là maintenant ou les choses ne feraient qu’empirer. Elle attendit que l’homme s’asseye puis se déplaça pour s’asseoir dans l’allée en face de lui. Lorsqu’il a sorti son ordinateur portable, Gaby s’est tourné vers lui et lui a demandé : « Je suis désolé, j’espère que je ne vous dérange pas, mais puis-je vous demander ce que vous écrivez ? Je t’ai déjà vu dans ce train et il semble que tu travailles souvent sur quelque chose. L’homme se tourna vers elle avec un sourire conquérant.  « Juste quelques histoires », dit-il. Gaby ne voulait pas trop le déranger ;  elle ne s’adressait généralement pas à un étranger sans raison apparente.  Mais sa curiosité n’était pas si facilement satisfaite.  “Quel genre d’histoires?”  Elle a demandé. L’homme hésita, une légère couleur – cela aurait pu être un rougissement – apparut sur son visage.  “Ce sont des histoires érotiques.”  Il a fini par admettre. En rougissant, Gaby chercha ses mots, mais ne trouva rien à dire.  “Oh.”  Elle a réussi.  Après avoir regardé devant elle pendant un moment, elle a remarqué que l’homme avait rangé son ordinateur portable et prenait des notes dans un petit carnet.  Il supposa probablement qu’il l’avait chassée avec sa réponse.  Qui dans son bon sens a écrit des histoires érotiques dans le train de toute façon ?  pensa Gaby.  Trop gênée pour relancer la conversation, elle l’ignora pendant le reste du trajet. Rencontrer l’homme n’avait fait qu’empirer les choses.  La curiosité de Gaby n’était pas satisfaite de savoir le genre d’histoires qu’il écrivait;  il voulait maintenant savoir exactement ce qui s’était passé dans ces histoires.  Elle rêvait toujours de l’homme, et maintenant plus souvent ces fantasmes s’accompagnaient d’une touche érotique, tout comme elle imaginait ses histoires.  Gaby n’avait pas lu beaucoup d’érotisme, bien qu’elle en ait essayé quelques-uns.  Elle avait une bonne idée de ce que pourraient être ses histoires.  Elle n’a pas trouvé qu’il y avait quoi que ce soit d’inapproprié ou de mal dans la fiction érotique et il était logique que quelqu’un l’écrive.  Si elle était normale pour le lire, la personne qui l’écrivait n’était pas moins normale qu’elle.  Alors la prochaine fois que Gaby a pris le train pour se rendre au travail, elle s’est dit que ce n’était pas parce qu’elle était curieuse, mais parce qu’elle souhaitait s’excuser pour sa réaction à sa découverte. Comme elle l’avait espéré, ce n’était pas la chance qui les avait réunis la dernière fois.  L’homme et son ordinateur portable étaient présents lors de son trajet vers le travail, comme il l’était probablement tous les jours.  Il leva les yeux et sourit quand Gaby s’assit à nouveau dans l’allée à côté de lui.  “Bonjour.”  dit Gaby.  “Nous nous sommes déjà rencontrés une fois.”  Parce qu’elle ne pensait pas qu’il se souviendrait de lui avoir prêté son stylo il y a quelques semaines. “Deux fois en fait.”  L’homme répondit.  “Tu avais besoin d’un stylo et je n’oublie jamais un joli visage.” Gaby rougit.  Elle n’avait pas prévu son ton coquin.  Cela n’aurait pas dû la surprendre, sinon, comment aurait-il dû réagir quand elle continuait à l’approcher comme ça ?  Surtout après le sujet de leur dernière conversation rabougrie.  “Je voulais juste m’excuser pour la façon abrupte dont notre dernière conversation s’est terminée.”  Dit-elle.  “J’étais un peu surpris.” L’homme sourit à nouveau, c’était le genre de sourire qui faisait oublier ces années qu’il avait sur toi.  “Je comprends.  Nous pouvons continuer là où nous nous sommes arrêtés si vous le souhaitez. Gabrielle rougit légèrement, elle n’avait pas vraiment pensé à s’excuser. “Oh, je ne voudrais plus te déranger pendant que tu travailles sur tes histoires.” “Pas du tout.” L’homme a dit. “Je n’écris ceux-là que lorsqu’il n’y a rien de plus intéressant à faire.” Gabrielle se mordit la lèvre, mais elle ne pouvait pas nier le sentiment heureux qu’elle ressentait d’être considérée comme plus intéressante que tout ce sur quoi il travaillait. Elle a décidé de vaincre sa timidité. Un trajet en train, une demi-heure de maladresse ou d’embarras possible, puis sa curiosité serait satisfaite et ils ne se reverraient jamais si elle ne le voulait pas. « Alors, de quoi parlent exactement vos histoires ? » Elle a demandé. L’homme sourit, mais il y avait aussi un peu de surprise dans ses yeux. Comme s’il ne s’était pas attendu à ce qu’elle approfondisse le sujet. “Plusieurs choses.” Il a dit. « Je m’appelle Max, au fait. Quel est ton?” Gaby rougit profondément, réalisant à quel point sa curiosité devait être évidente puisqu’elle ne s’était même pas présentée. “Je suis Gabrielle.” Dit-elle. “Mais mes amis m’appellent Gaby.” “Eh bien, Gabrielle.” L’homme a dit, comme s’il essayait le son de son nom complet. « La plupart de mes histoires parlent de BDSM. Sais-tu ce que c’est?” Gaby hocha la tête. “Maintenant, n’imaginez pas des dominatrices en cuir, des combinaisons intégrales en latex ou ces pauvres femmes fouettées en sang. Mes histoires sont érotiques, des rencontres entre des gens normaux comme nous, avec juste une touche de perversité en plus. Gabrielle devait admettre qu’elle avait imaginé de telles images à la mention du BDSM, mais elle comprenait qu’il y avait bien plus que cela. Certaines des histoires qu’elle avait lues dans le passé étaient en fait exactement le genre qu’il voulait dire, érotiques, sensuelles parfois même sur l’amour. “Quel genre de choses coquines se produisent dans vos histoires alors?” Elle lui a demandé. Heureusement, il n’y avait pas beaucoup d’autres voyageurs dans le train, car Gaby n’aurait pas pu avoir cette conversation si elle craignait que quelqu’un ne l’entende. Elle avait encore du mal à croire qu’elle avouait sa curiosité à cet étranger. C’était seulement à cause de son propre intérêt évident pour la question qu’elle sentait qu’elle le pouvait. “La plupart d’entre eux contiennent une forme de fessée.” Max lui a dit. “Généralement sous la forme d’une expérience sur le genou pour la femme qui se conduit mal avec rien de plus que la main de l’homme ou un seul outil. Cela procure à la coquine autant de plaisir que de douleur. J’inclus parfois du bondage, des simples menottes aux cordes et aux bandeaux. Et enfin, j’inclus souvent un thème d’exhibitionnisme, soit la nudité intentionnelle, soit la peur d’être vu ou attrapé. Gaby était assise sur le bord de son siège, craignant de paraître agitée. Elle ne savait pas pourquoi la simple description du contenu de ses histoires l’avait autant excitée. Elle n’avait jamais rien fait de vraiment pervers dans son passé et tout ce qu’elle savait venait de ces quelques histoires qu’elle avait lues. “Vous devez avoir beaucoup d’expérience avec de telles choses, pour pouvoir écrire à leur sujet.” Dit-elle. L’homme éclata de rire. “Pas vraiment.” Il a dit. “Je veux dire, j’ai eu quelques femmes prêtes à expérimenter, mais je me qualifierais à peine d’expérimentée. La plupart d’entre elles me viennent directement à l’esprit. Il fit une pause pour un moment. “Alors et toi? Des anecdotes qui ne vous dérangeraient pas de se retrouver dans l’une de mes histoires ? » Gaby rougit. “Non, pas du tout.” Dit-elle. La conversation s’interrompit un instant. L’homme semblait vouloir lui demander quelque chose. Peut-être si elle était intéressée à créer une telle anecdote. Gaby rougit à nouveau, mais l’homme se contenta de dire : « Eh bien, c’était un plaisir de te rencontrer Gabrielle. J’espère que nous pourrons nous reparler un jour. Le train ralentissait pour le prochain arrêt. “Ravi de te rencontrer également.” dit Gaby, puis sa curiosité lui donna ce dernier petit coup de pouce. “Peut-être que je pourrais lire une de vos histoires un jour.” En réponse, l’homme sortit le carnet de sa valise et nota rapidement quelque chose. “J’ai un site web.” Il a dit. “Vous pouvez les lire là-bas.” Il arracha la page sur laquelle il avait écrit l’adresse et la lui tendit juste au moment où le train s’arrêtait. Il lui dit au revoir et descendit. Gaby avait laissé la note dans sa poche toute la journée, mais à la maison après le travail, elle a déplié le morceau de papier et s’est demandé quoi faire. C’était un peu comme visiter un site porno, pensa-t-elle, sauf qu’au lieu de vidéos, il y aurait des histoires. Gaby n’était pas le genre de fille qui méprisait le porno, mais les quelques fois où elle avait essayé d’en regarder un, elle n’avait pas vraiment compris l’attrait. Les histoires érotiques seraient bien sûr très différentes. Lorsqu’elle a démarré son ordinateur et surfé sur le site Web, elle a été surprise de voir beaucoup d’images et de photographies érotiques. Elle rougit et regarda par-dessus son épaule, même si elle savait qu’elle était seule. Chaque histoire avait un titre et une image correspondante, probablement pour vous inciter à la lire et attirer plus de visiteurs. Les photos étaient très sensuelles, mais pas aussi explicites que sur un vrai site porno, plus érotiques et moins basiques. L’histoire la plus récente, affichée en haut, montrait une femme dans une gare, un train passait en arrière-plan et le vent soulevait sa jupe pour découvrir ses fesses. Il s’intitulait: “Le trajet en train”. Ayant rencontré l’auteur dans le train elle-même, Gabrielle a décidé qu’il convenait de lire celui-ci. L’histoire raconte l’histoire d’une jeune femme attendant son train. Il la décrivait en détail, de ses longs cheveux bruns, ses yeux sombres et sa peau pâle. Gaby se demanda si c’était le genre de fille que Max – l’auteur de l’histoire – aimait. Elle réalisa que la fille lui ressemblait un peu, même la robe qu’elle portait et les sous-vêtements décrits en détail ressemblaient à ce qu’elle-même aimait porter. Dans cette histoire, le train était presque vide d’autres voyageurs et la jeune femme avait un wagon à elle toute seule, le décor parfait pour une histoire érotique semi-publique. L’intrigue est rapidement apparue lorsque le conducteur du train est venu vérifier son billet. La femme en avait apporté un, mais elle avait omis de le remplir, ayant oublié un stylo. Ceci, combiné aux similitudes dans leur apparence, fit rougir profondément Gaby, car elle était sûre d’avoir elle-même été l’inspiration de cette histoire lorsqu’elle avait emprunté la plume de l’auteur. Son rythme cardiaque a augmenté et son excitation a augmenté au fur et à mesure qu’elle lisait. Elle a découvert comment l’homme qu’elle avait rencontré avait fantasmé qu’elle réagirait s’il ne lui avait pas donné ce stylo. La femme – qui était elle – a été confrontée à la réaction froide et stricte du chef de train et à une amende qu’elle ne pouvait pas payer car elle n’avait pas assez d’argent sur elle. La sécurité serait contactée et les attendrait dans la station suivante, à moins que… la jeune femme ne paye son amende d’une autre manière ? Le rougissement de Gaby a été remplacé par une excitation profonde et nostalgique alors qu’elle lisait comment elle – la fille – se déshabillait dans le wagon de train vide jusqu’à ce qu’il ne reste plus que ses sous-vêtements. L’histoire décrivait son corps en détail et comment l’auteur avait imaginé qu’elle aurait l’air nue. Même ses sous-vêtements étaient étrangement précis, même s’il n’y avait aucun moyen qu’il ait pu savoir de telles choses. Lorsque la fille de l’histoire a été penchée sur l’un des sièges du train et que ses fesses ont été écrasées par la main ferme et inflexible du conducteur, la propre robe de Gaby a été soulevée et sa main a frotté le tissu de sa culotte. Elle ne s’était jamais masturbée devant le porno auparavant, mais lorsque la fille de l’histoire a baissé sa culotte pour que sa fessée continue sur un fond nu, Gaby a baissé la sienne pour laisser ses doigts atteindre sa chatte humide et gonflée. L’histoire s’est terminée avant qu’elle ne puisse se terminer, avec une fin atrocement ouverte où la fille à fond rouge et cruellement punie a dû se demander comment elle devrait montrer sa gratitude pour avoir reçu cette punition alternative au lieu d’une amende. Forcée d’utiliser sa propre imagination à la fin, Gaby s’imagina elle-même – la fille – à genoux d’abord dans une position de soumission appropriée, puis recula, penchée sur les sièges pour prendre la bite dure du chef d’orchestre par derrière. Sauf que le chef d’orchestre était désormais Max, l’homme qu’elle avait rencontré et qui avait écrit cette histoire
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Par : le 01/03/22
Les mesures de confinement s’assouplissant quelque peu, mon amie et moi avions décidé de nous revoir après trois mois d’abstinence complète de nos jeux de liens et de prisonnier, tout en respectant les indispensables mesures de distanciation sociale édictées par le gouvernement, bien évidemment. Le train étant à éviter, nous avons convenu de nous retrouver sur un parking situé près d’un terminus du métro, à proximité de l’autoroute, et qu’elle viendrait avec sa fourgonnette tôlée, plutôt que sa petite voiture, et que je mettrais un bâillon sous mon masque de protection. Et pourquoi pas des menottes, avais-je ajouté en riant … J’aurais mieux fait de me taire … A l’heure dite, la fourgonnette s’engageait sur le parking, mon amie en descendit vêtue d’une longue jupe verte et d’un splendide veste de laine jaune sous lequel elle semblait dissimuler quelque chose … Elle ouvrit la porte latérale du compartiment arrière, me dit de monter, de m’agenouiller, le temps de mettre mon bâillon et mon masque (une cagoule de laine très serrante), puis de mettre les mains derrière le dos. Ecartant le bord de sa veste, elle me fit entrevoir l’éclat métallique d’une paire de menottes monobloc, laquelle deux cliquetis et moins d’une minute plus tard m’enserrait les poignets heureusement protégés par les très longues manches de mon pull. Puis la porte latérale se referma me laissant dans l’obscurité complète. Mon amie remonta dans le compartiment avant et démarra, le premier virage qu’elle prit me jeta presqu’à terre et m’incita à me coucher, les jambes repliées … Après l’autoroute, ce furent les petites rues de campagne, puis le très mauvais chemin pavé menant à sa vieille ferme. J’étais secoué dans tous les sens sur le plancher métallique. Enfin le véhicule s’immobilisa et le moteur s’arrêta. Lorsque mon amie ouvrit enfin la porte latérale du compartiment arrière et m’ordonna de sortir et de la suivre, bâillonné et toujours menotté les mains derrière le dos, j’étais en nage … Elle me fit pénétrer dans un vaste garage ou, sur une table, elle avait disposé un lange pour incontinent, un petit gilet en laine irlandaise écrue et sans manche, de longs gants de laine rose et de vieilles chaussettes chinées très épaisses. « Tu te déshabille complètement, tu enfiles ce que je t’ai préparé et tu me rejoins dehors, près des écuries ! » me dit-elle avant de me libérer les poignets. Puis elle s’empara des chaînes et menottes qu’elle avait préparé pour la suite et sortit. Bâillonné comme je l’étais, impossible de discuter, il ne restait plus qu’à obéir et sans traîner… Une fois prêt, je la rejoignis, bras et jambes nues, près d’une sorte d’établi installé devant les trois box à chevaux au bord de la prairie. Comme je frissonnais quelque peu, elle dit « tu vas voir, il n’y a pas que le vent qui est piquant aujourd’hui ! Il y a un buisson d’orties sur ta droite, tu m’en ramènes une pleine brassée et en vitesse ! » Heureusement que j’avais les mains protégées par les gants de laine pour procéder à la cueillette que je fis le plus rapidement possible et sans trop réfléchir, pour venir déposer ma récolte sur l’établi à côté des chaînes et d’une espèce de petit sac noir qu’elle me tendit. C’était une cagoule en lycra à renfort oculaire destinée à me rendre totalement aveugle pour la suite des événements. Je la passai par-dessus le bâillon et la cagoule serrante que je portais déjà depuis mon enlèvement une demi-heure plus tôt. J’étais désormais dans l’obscurité la plus complète. Après divers bruits métalliques, elle m’ordonna d’à nouveau mettre les mains derrière le dos et me passa aux poignets une nouvelle paire de menottes à laquelle une chaîne pendait … Puis tout se précipita. Mon lange fut descendu et brutalement remonté avec toutes les orties dedans. Etant donné le bâillon, je ne pus émettre qu’un long mugissement … Je fus ensuite tiré à l’intérieur de l’un des boxes où elle me poussa contre une espèce de tabouret de bar sur lequel elle m’ordonna de m’assoir. Nouveau mugissement … Je dus ensuite passer mes bras menottés derrière le dos par-dessus une espèce de petit dossier pour lui permettre de fixer la chaîne pendante à un anneau, avant de passer à mes chevilles, de les menotter et d’en fixer la chaîne à la barre d’appui de la chaise. Ce fut tout, je m’entendis dire « à plus tard » avant que la porte inférieure du box ne soit refermée, mais pas la supérieure, de manière à laisser mes bras nus en plein vent et mes fesses et tout le reste en feu … Ai été libéré deux bonnes heures plus tard, autorisé à rapidement me rhabiller, avant d’être remenotté, par devant cette fois, contraint de remettre la cagoule aveugle, embarqué à l’arrière de la fourgonnette et ramené à mon point de départ, sans qu’à aucun moment les mesures de distanciation sociale n’aient été foulées aux pieds, mais, le lendemain matin, les fesses me brûlaient encore.
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Par : le 28/02/22
Le plus agréable aux aurores est sans conteste le chant des oiseaux, ce fut d’ailleurs pour moi la seule chose agréable de ce lundi 5 août … Un mail arrivé dimanche soir me convoquait le lendemain matin à l’heure du premier train en une gare perdue au milieu des bois … Bâtiment à l’abandon et le reste à l’avenant … Fus le seul à descendre du train … Une camionnette tôlée grise anonyme m’attendait à la sortie du quai et je dus monter à l’arrière. Au bout d’une quinzaine de minutes de trajet et d’un fort virage à gauche, les cahots se firent beaucoup plus importants et je dus me cramponner avant que le véhicule ne vire à droite et ne s’immobilise. Le moteur s’arrêta. Lorsque l’on me fit descendre, je réalisai que je me trouvais dans la cour d’une vieille petite ferme mal entretenue (l’herbe poussait entre les pavés et, par endroit, la toiture aurait mérité plus d’une réparation). L’on m’entraîna vers une petite dépendance à l’écart et au sol jonché d’une paille poussiéreuse. Je dus m’y déshabiller complètement et remettre à mon accompagnateur la totalité de mes vêtements et effets personnels. Après une fouille corporelle minutieuse, il renversa devant moi à terre le contenu d’un sac qui trainait là et m’ordonna de m’en revêtir rapidement et surtout sans discuter. N’ayant pas envie de tâter de sa matraque d’aussi bon matin, je décidai d’obéir et après les avoir secoués pour les débarrasser de la paille qui s’y était mêlée, j’enfilai avec dégoût un lange humide, un caleçon et un dessus de toile de jute brunâtre, et enfin une sorte de pyjama rayé blanc et noir dont l’odeur et les auréoles indiquaient suffisamment que je n’en étais pas le premier utilisateur … D’un autre sac, mon accompagnateur sortit alors un ensemble de chaînes et d’entraves métalliques et, en deux temps trois mouvements (et quatre cliquetis), je me retrouvai porteur d’un système de sécurité constitué d’une paire de menottes pour chevilles reliées par une chaîne d’une quarantaine de centimètres et d’une paire de menottes pour poignets dont la chaîne devait faire six centimètres à tout casser. Les deux paires de menottes étant réunies par une autre chaîne qui pour me permettre de rester debout m’obligeait à garder les mains au niveau du haut des cuisses. Je dus prendre en main d’autres accessoires qui prolongeait la chaîne et je fus entraîné en direction de prairies brûlées par un soleil qui déjà tapait fort … Après avoir tant bien que mal franchi deux clôtures, j’aperçu un petit bâtiment vieillot, mais dont la porte et la toiture, de métal luisant, avaient récemment été remplacées. Je dus y pénétrer et constatai que la chaleur et la poussière accumulées en rendaient l’air difficilement respirable. Des bottes de paille liée trainaient le long du mur, je dus m’assoir sur l’une d’elles. Mon accompagnateur tira alors de sa poche deux cagoules noires opaques qu’il m’enfila aussitôt, l’une sur l’autre, puis il me passa au cou le collier d’acier qui terminait la chaîne de mes menottes et le verrouilla. Pour faire bonne mesure il y ajouta l’une des menottes d’une autre lourde chaîne, qu’il enroula au passage autour de la chaîne qui reliait mes poignets et souleva ceux-ci au niveau de ma poitrine, m’obligeant ainsi à garder les jambes en permanence fléchies, puis, nouveau cliquetis, referma la dernière menotte à un anneau qui sortait du mur. Cela fait, après avoir vérifié que je ne pouvais plus faire le moindre geste, il me dit espérer qu’une longue méditation en viendrait à me rendre plus coopératif, puis sortit en verrouillant puis cadenassant la lourde porte métallique et s’éloigna. Je me retrouvai donc seul, entravé comme je ne l’avais jamais été et sans doute pour de très nombreuses heures. J’essayai bien de soulever ma cagoule, mais je réalisai rapidement qu’elle me protégeait quelque peu de la poussière et la remis en place. Les minutes se mirent à passer, les heures aussi et, avec elles et le grand soleil, la température de ma cellule à la toiture métallique ne faisait que croître ; le poids du collier et des chaînes se faisant de plus en plus douloureux pour ma nuque, je fis choix de les soutenir de mes mains menottées ce qui m’obligeait à encore davantage fléchir les jambes tout en espérant ne pas attraper de crampes aux mollets. Je ne pensais plus à rien, à part tenir le coup … Ma nuque devenait de plus en plus raide, mes oreilles commençaient à bourdonner et la migraine comme la chaleur ne cessait d’augmenter … [...] Lorsque j'ai repris pied avec la réalité, j’étais allongé sur une sorte de civière ou de brancard, toujours menotté mais différemment me semblait-il … Malgré la double cagoule, je sentais la pièce plus fraiche et moins poussiéreuse. Je tentai de bouger, mais sans y parvenir ; si je pouvais à peu près bouger les pieds, malgré la chaînes qui me reliait les chevilles, mes mains quant à elles semblaient tirées vers le pied de la civière, quand à ma tête, c’était exactement dans l’autre sens. J’étais totalement réveillé à présent et sentait une espèce de collier dans un genre de cuir m’enserrer le cou et prolongé par une chaîne qui en remontant me passait derrière l’oreille. Cette chaîne n’était donc pas reliée à la civière elle-même, mais à un point situé plus haut et indépendant de celle-ci … En réfléchissant rapidement, il me vint à l’idée qu’en reculant la civière d’un bon 50 cm, je pourrais accéder de mes mains au collier qui me bloquait la tête et le cou et, s’il n’était pas cadenassé, l’ouvrir et me redresser … Plus facile à dire qu’à faire avec ces chaînes qui ne me permettaient l’usage que d’un seul pied à la fois … Néanmoins, cela a fonctionné, centimètre par centimètre, la civière a commencé à glisser et la tension au niveau du cou s’amoindrir … Je vous épargnerai les différents arrêts provoqués par le multiplication des crampes, mais à un moment donné, la civière avait suffisamment glissé que pour que je puisse me redresser et me pencher en avant pour amener le collier au niveau de mes mains … Comme il n’était pas cadenassé, j’ai pu l’ouvrir et me libérer tant du collier que de la cagoule qui m’avait aveuglé depuis le matin. J’étais en nage, mais avais réussi la première partie de mon plan : le haut du corps était libre, restait le bas ... La pièce était plongée dans la pénombre, mais trouvai rapidement une petite lampe que je pus allumer pour constater que ce qui me fixait les mains et les pieds à la civière était une paire de menottes fermée sur le pied de la civière et l’un des maillons de la chaîne qui reliait mes chevilles à mes poignets. La lampe me fit alors découvrir l’endroit où je me trouvais, une salle peinte tout en noir avec un plafond garni de palans et des murs ornés d’entraves de toute sorte … Je me levai, basculai la civière sur le côté et en la trainant avec moi pus faire le tour de la pièce et découvrir sur une des paires de menottes alignées sur une grille, une clef que l’on avait oublié d’ôter … Il ne me restait plus qu’à espérer, après quelques contorsions pour trouver les trous des serrures des menottes de mes chevilles et poignets, que la clef soit du bon modèle et elle l’était … J’étais libre ou du moins je le croyais …
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Par : le 27/02/22
20h22, le train était à l’heure à la gare de G* et je fus le seul à en descendre ; une petite fourgonnette tôlée gris foncé semblait m’attendre, je dus monter à l’arrière et m’allonger sur le plancher. Le véhicule arriva à bon port dix à douze minutes plus tard. Lorsqu’on m’en fit descendre, je constatai que nous étions dans la cour d’une haute maison de style 1900 bâtie à l’orée d’un bois. Je fus poussé vers l’entrée de service, une personne tout de noir vêtue m’attendait dans le corridor et exigea que je lui remette immédiatement mes papiers, mon GSM, ma montre et mes lunettes, après quoi elle m’ordonna de complètement me déshabiller et d’enfiler les vêtements qu’elle me tendit, soit, une protection anatomique, une combinaison de toile orangée marquée au sigle d’une prison américaine, un espèce de pull body en grosse laine de la même teinte et dont le col était muni d’un collier de cuir porteur de plusieurs anneaux, une cagoule de laine orange à trois trous et des vieilles chaussettes qui en avaient plus de trois (de trous), ni sandales, ni autres chaussures. Une fois labellisé « Guantanamo », mon équipement fut complété d’entraves de même style, soit des menottes métalliques pour chevilles reliées par une chaîne de taille moyenne, des menottes pour poignets à un seul maillon (m’obligeant à garder en permanence les mains jointes) et qu’une autre chaîne me rattachait au cou et une ceinture ventrale. Ainsi équipé, je dus pénétrer dans la pièce suivante où je fus contraint de m’agenouiller pour écouter l’énoncé de ce qui m’était reproché. Comme je ne vois quasi rien sans lunettes, je distinguai une personne assise à une sorte de table de cuisine et me tournant le dos. La litanie commença, certaines choses me semblaient risibles, mais … quand soudain mon accusateur annonça : tentatives d’évasion répétées avec destruction de matériel d’Etat et humiliation du personnel commis à ma garde … aïe, celle-là, je ne l’avais pas prévue et, pour avoir croisé dans le couloir l’un ou l’autre de ces gardes, je devinai que j’étais mal embarqué. L’un de ceux-ci prit d’ailleurs un gobelet sur la table et m’ordonna d’en boire le contenu, je m’exécutai, c’était à la fois odorant et un rien salé, mais laissait un arrière-goût peu agréable. Ce fait, je fus relevé d’autorité et mes poignets menottés dans le dos. Il faisait presque noir à présent, il devait être dans les 21h00, on me fit sortir de la maison et pénétrer dans le bois, j’allai à petits pas, sans chaussures et sans lunettes, sur les chaussettes trouées en prenant bien garde à ne pas marcher sur la chaîne des menottes qui commençaient à me meurtrir les chevilles et tête baissée pour tenter de distinguer les éventuels obstacles qui auraient pu me blesser. Au bout de 200 ou 300 mètres, nous nous retrouvâmes face à une petite cabane sans fenêtre, une resserre de bûcheron d’après ce que je croyais distinguer. On m’y fit pénétrer, agenouiller et, pendant que l’un des gardes me plaçait une cagoule aveugle par-dessus la première, en la fixant bien aux anneaux du collier de cuir, l’autre resserra les menottes qui m’enserraient poignets et chevilles, de manière à, par la douleur, réfréner un tant soit peu mes éventuelles nouvelles velléités d’évasion. Après que l’on m’ait annoncé que le baillon était inutile, vu que là, personne ne m’entendrait jamais, la porte se referma sur moi, combien de temps allais-je rester là, aveugle, entravé, abandonné, l’on ne me l’avait point dit. La première chose à faire était d’assurer un peu de confort et, par un tour de passe-passe que j’affectionne, les menottes de mes poignets, du dos furent ramenées vers l’avant, ce qui me permettait de découvrir par le seul toucher la composition de ma cellule. Tentai de me mettre debout pour procéder plus rapidement, mais immédiatement une vive douleur aux chevilles me fit comprendre que c’était à éviter. Peu à peu, allongé sur le dos, je tombai dans une longue et étrange torpeur, sans pour autant pouvoir trouver le sommeil, la morsure des fers de mes poignets et de mes chevilles ne me le permettant pas. J’étais aveugle et il n’y avait aucun bruit dans le bois ; c’est grâce au chant des oiseaux que je devinai que la nuit s’achevait, puis il y eut un hennissement, un cheval passait donc à proximité, mais j'eus beau appeler, son cavalier (peut-être un des gardes ?) ne se soucia guère de moi … Il devait faire grand jour à présent et, à force de frottement, la cagoule aveugle s’étant légèrement déplacée, je parvins à percevoir l’un ou l’autre rayon du soleil au travers d’une paroi. Je me dirigeai vers celle-ci et, à tâtons, découvris qu’elle comportait un ouvrant, mais que celui-ci avait été condamné par une vis en bloquant le loquet … En cherchant bien dans le foutoir de la resserre qui me servait de cellule depuis au moins douze heures, je finis par découvrir l’objet qui me permettrait d’en échapper. Lentement, méticuleusement, j’entamai de dévisser la chose, malheureusement, lorsque l’ouvrant s’ouvrit enfin, la femme en noir était face à moi …
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Par : le 15/02/22
Etais à mon bureau en train de peaufiner le texte d’une conférence à donner le mois prochain et où il sera notamment question des exactions d’un seigneur pillard du haut moyen âge, quand un bruit de l’ordinateur vint m’annoncer l’arrivée d’un nouveau mail : un bref texte en flamand m’intimant l’ordre de me présenter à la sortie du tunnel pour piétons de la gare de L*****, le soir même à 21h10 précises, soit moins de douze heures plus tard ! Pourquoi 21h10, me demandé-je ? Un rapide coup d’œil à l’annuaire des chemins de fer suffit à me faire découvrir qu’un train pouvait m’y amener pour 21h08. Mais que me voulait-on encore ? La journée se passa plus ou moins calmement jusqu’à la tombée de la nuit. Car, à cette saison, depuis le changement d’heure, il fait déjà nuit noire avant 18h00. 19h00 sonna ; temps de me préparer … J’optai pour un vieux pull militaire allemand, dont les manches étaient suffisamment longues que pour me couvrir la moitié de la main, et une veste à capuche en grosse laine grise. A 20h00, je fermai la porte de chez moi et me mis en route pour la gare, un petit pincement au cœur, qu’allait-il m’arriver ? Le train était à l’heure et j’étais le seul passager de mon compartiment … Arrivé à la gare de L*****, je m’efforçai au calme, suivis les instructions reçues, trouvai sans problème le tunnel pour piétons et m’y engageai. A la sortie de celui-ci, je ne distinguai tout d’abord rien, puis à une dizaine de mètres sur la droite un véhicule noir, portière ouverte, auprès duquel se tenait un géant vêtu de gris sombre qui m’interpella par mon nom. Je me dirigeai vers lui, il me fit grimper, me tendit une cagoule aveugle et, dans un flamand plus que rocailleux, m’ordonna de l’enfiler, tandis que je m’asseyais. Une fois la ceinture de sécurité bouclée, il me menotta les mains par devant (j’avais bien fait de veiller à me protéger les poignets) et me rabattit la capuche par-dessus la cagoule. Le véhicule démarra ; peu de circulation à cette heure ; où m’emmenait-on ? Au nombre de fois que le véhicule vira à droite, je me doutai que l’on tournait en rond pour me faire perdre toute notion de temps et d’espace … Soudain, un virage serré à gauche, suivi d’une rapide marche arrière et l’arrêt du moteur … J’étais à destination. La ceinture fut détachée et une traction sur la chaîne des menottes m’indiqua qu’il me fallait sortir du véhicule, tandis qu’on m’ordonnait de me taire. Que faire sinon obéir et suivre le mouvement. L’on m’emmena devant une première porte qui, une fois franchie fut refermée à clef, de même qu’une deuxième et une troisième. J’étais bel et bien prisonnier. Mon accompagnateur me fit alors pénétrer dans une quatrième pièce et me donna ses instructions dans ce flamand rocailleux qu’il m’était parfois difficile de comprendre : sans pouvoir à aucun moment ôter ma cagoule, j’avais cinq minutes pour me déshabiller complètement et attendre à genoux, mains sur la tête, la suite des événements. Il me libéra ensuite des menottes, sortit de la pièce et verrouilla la porte. J’en profitai pour rapidement soulever un coin de la cagoule et réalisai que je trouvai dans un débarras de quelque quatre mètres de long sur un mètre et demi de large, lequel devait à la fois servir de cabinet de toilette et de buanderie. Un détail attira cependant mon attention une espèce de fenêtre transformée en miroir, sans doute était-ce une glace sans tain permettant de me surveiller … Je réajustai rapidement la cagoule, me déshabillai complètement et m’agenouillai, mains sur la tête, comme ordonné. Je ne dus pas attendre bien longtemps que la clef grince à nouveau dans la serrure … Mon futur tortionnaire était de retour. Après m’avoir rapidement examiné sans me toucher, il m’expliqua, dans son flamand rocailleux, que j’avais cinq minutes et pas une de plus pour revêtir ce qu’il avait apporté et posé sur la tablette, puis sortit et verrouilla à nouveau la porte. Une fois la cagoule arrachée, je regardai ce qu’il avait apporté : il y avait là pêle-mêle des trucs noirs, blancs et orangés. J’enfilai donc rapidement et successivement, sans trop réfléchir, deux protections anatomiques de taille différente, un collant de laine noire, d’épais chaussons gris foncé, une espèce de longue tunique de laine noire à col roulé, m’enfonçai dans les oreilles ce qui ressemblait à des suppositoires de mousse orange, avant de repasser la cagoule et d’à nouveau m’agenouiller, face au mur, mains sur la tête. A l’instant la serrure grinça et je m’entendis ordonner « handen omhoog » c’est-à-dire « haut les mains ». Que faire, sinon obéir, on m’enfila alors une nouvelle tunique beaucoup plus épaisse et plus longue que la précédente, mais sans manche cette fois, ainsi que des espèces de fourreaux aux mains. Le temps de réaliser que les vêtements que l’on m’avait contraint à endosser étaient plus que probablement féminins, que les mains, dans leurs étuis, m’étaient brutalement ramenées dans le dos, tandis que le cliquetis caractéristique des menottes que l’on verrouille se faisait entendre ; dix secondes plus tard, c’était au tour de mes chevilles à devoir subir le même traitement. « Sta op », « debout », entendis-je, tandis que l’on me soulevait par les épaules. Pas le choix, de toute manière … A nouveau, je fus amené dans une autre pièce face à un mur, tandis que retentissait un ordre que je ne compris pas. Comme je ne comprenais toujours pas l’ordre répété une seconde fois, une bourrade et un coup de pied au niveau des chevilles m’appris que quelque chose comme « spreiden » devait signifier écarter les jambes … Aussitôt une chaîne supplémentaire fut placée entre celle des menottes qui m’enserraient les poignets et celle qui reliaient mes chevilles. L’instant d’après, un bandeau serré m’était appliqué sur la cagoule et les questions, toujours en flamand, commençaient à fuser. Un moment, j’hésitai à répondre en français ou à le faire en flamand en prenant un accent parisien, mais je me ravisai et commençai à répondre en flamand, avec l’accent le plus neutre possible et des phrases simples et courtes : sujet, verbe, complement ou attribut, point. Au terme de cet interrogatoire soutenu, ma cagoule fut rapidement à moitié remontée tandis que trois couches d’épaisses bandes collantes m'étaient plaquées sur la bouche et la cagoule rabattue. Je fus ensuite emmené dans une autre pièce, toujours maintenu par les épaules et contraint de m’allonger sur le sol, avant que la chaîne qui me reliait poignets et chevilles ne soit raccourcie et un plaid ou une espèce de couverture jetée sur moi … C’est à ce moment qu’autour de moi, j’ai commencé à entendre des voix s’exprimant en anglais, en quelles mains étais-je donc tombé ? Ce ne fut que lorsque qu’outre les voix, j’ai perçu un fond de musique, que j’ai réalisé que mon tortionnaire était probablement en train de regarder un film policier à la télévision, tout en me laissant moisir ... J’avais fini par tomber dans une sorte de torpeur quand je me suis senti secoué et qu’il me fut ordonné de me relever, j’essayai à trois reprises, sans succès … je fus alors relevé de force, sentis arraché le baillon et détachée en partie la chaîne, ainsi qu’une des menottes qui me meurtrissaient les poignets, mais ce aussitôt pour me la rattacher devant, me présenter un verre d’eau, rapidement englouti, merci, et m’entraîner. A nouveau le jeu des portes successives et des clefs … L'on m’a soudain fait pivoter, j’ai buté contre quelque chose, tandis que l'on me tirait les mains vers l’avant et le haut … J’étais au pied d’un escalier … Pour chaque volée à grimper et il y en avait quatre au total, l'on m’a indiqué le nombre de marches à franchir, mais c’était sans compter la chaîne de merde qui unissait mes chevilles et ne manquait pas de venir se placer sous mon pied, sans crier gare … je n’ai donc plus eu qu’à me résoudre à écarter les chevilles au maximum, ce qui avec les vêtements dont on m’avait affublé n’était pas toujours évident, pour suivre et grimper là où on m’emmenait, toujours aveugle, menotté et enchaîné … A un moment donné, je dus pivoter d’un quart de tour et fus contraint de m’asseoir. C’était manifestement le bord d’un lit sur lequel l'on m'ordonna de m’allonger, tout en me demandant si je connaissais « Segufix » Ai failli lui répondre « tout comme Idefix connait Obélix », mais ai préféré m’abstenir … ayant déjà suffisamment d’hématomes comme cela … Une fois allongé, l'on m’a fait remonter d’une dizaine de centimètres et tirer les mains toujours menottées par-dessus la tête pour immédiatement me verrouiller ce qui ressemblait à une large sangle fixée au matelas autour du ventre, puis s'occuper de mes chevilles et de mes cuisses, autour desquelles, l'on a chaque fois enroulé serré une large sangle avant de la fixer au matelas et de me libérer des fers que je portais aux pieds depuis mon arrivée ; puis cela a été le tour des mains qu’une fois menottes ôtées, l'on a tout d’abord enfourné dans des sortes de moufles rigides maintenues en place par plusieurs couches de bande collante avant de les enrouler dans la sangle et fixer au matelas. J’étais donc à présent maintenu au matelas par les chevilles, les cuisses, le ventre et les poignets, à moitié sourd et totalement aveugle, entièrement à merci. Ce qui avait pris pas mal de temps … L'on m’a ensuite souhaité de bien dormir, avant que je n’entende les pas de mon tortionnaire décroître dans l’escalier … J’étais piégé et en rage … Je me donnai le temps de la réflexion pour analyser froidement la situation et, membre par membre, le débattement qu’il me restait et, s’il y en avait, les éventuelles possibilités d’évasion … Au niveau du bas du corps, pour le moment, rien à faire, jusqu’au nombril tout était verrouillé, mais au dessus, du côté gauche, il y avait un rien plus de jeu qu’à droite et, à partir du moment où je pensais avoir la nuit devant moi, je résolus de tenter le tout pour le tout … Après quelques essais, je réussis tout d’abord du bout des doigts de la main gauche, à relever quelque peu le bas de la cagoule, de manière à avoir la bouche découverte, puis j’entrepris avec les dents de dégager peu à peu cette main de tout ce qui la recouvrait : bande collante, espèce de moufle, chaussette de laine … cela fut long et laborieux et j’y laissai même un fragment d’incisive … mais finis tout de même par y parvenir … J’étais en nage … Après avoir soufflé un moment et tendu l’oreille pour vérifier que mes efforts physiques n’avaient point donné l’alerte, je tentai de faire de même pour la main droite, c’était beaucoup plus difficile, il y avait davantage de bande collante et, vu la sangle plus courte, mes dents y arrivaient plus difficilement … Néanmoins je tentai le tout pour le tout et mes efforts pour y parvenir commençaient à porter leur fruit quand tout à coup des pas précipités se firent entendre dans l’escalier … J’avais joué, j’avais perdu … Au vu de ma main gauche libérée et de la droite qui l’était presque, mon tortionnaire avait compris … Tentative d’évasion me dit-il, manifestement pas très heureux de ce que j’avais fait de son beau matériel … je ne répondis même pas, me jurai de ne plus émettre le moindre mot, ni la moindre plainte jusqu'à ce qu’on en finisse, et demeurai, dents serrées, lèvres pincées, en attendant les coups qui allaient arriver, mais qui heureusement furent moindres que ce à quoi j’étais en droit de m’attendre. Il arracha rageusement ce que je n’étais pas parvenu à détacher et, après avoir réassujetti la cagoule destinée à me rendre complètement aveugle, sans attendre, recommença le travail, plus serré, beaucoup plus serré, rajoutant de multiples sangles à celles qui étaient prévues (ou déjà en place) et me collant au matelas depuis les chevilles jusqu’au cou m’immobilisant au passage les bras le long du corps, ainsi que la poitrine, par de multiples croisements de sangles et autres courroies … Conforme à ma décision, je restai, lèvres pincées, sans rien dire, opposant une sorte d’indifférence méprisante à la force dont l'on faisait preuve à mon égard. Une fois le travail terminé et après avoir vérifié une à une la tension de chacune des sangles rajoutées, mon tortionnaire me souhaita à nouveau de bien dormir et s’en alla. J’écoutai son pas décroître dans l’escalier et le silence revenir … A nouveau, mais moins bruyamment, je tentai de tester mes liens, mais à part deux nœuds d’une vague sangle croisée rajoutée entre mes épaules et le bas du corps, je ne pus plus rien détacher … J’étais bel et bien prisonnier et totalement au pouvoir de ce tortionnaire le temps qu’il jugerait nécessaire … Alors étrangement, quasi inconsciemment, je commençai à prier, non pas comme je l’avais déjà fait dans la voiture, simplement pour calculer la durée du trajet (un chapelet se dit en un quart d’heure), ni pour moi, ce n’est pas mon genre, non, je me remémorais surtout le regard profond et le sourire d’une amie trop tôt disparue, lâchement assassinée par une autre femme (à qui elle avait eu le malheur de faire confiance) et dont le corps avait finalement été retrouvé dans un canal, je ne pouvais m’empêcher de penser aux moments de grande intensité, tant bonheurs que désespoirs partagés entre elle et moi, mais surtout à ses trois enfants désormais orphelins et à la petite-fille, âgée de près d’un an à présent, mais qu’elle n’aura jamais eu le bonheur de serrer dans ses bras. J’ai prié en pensant à Toi V*** et à tous ceux qui se sentent seuls face à l’adversité, la maladie et la mort ; je ne sais combien de temps cela a duré, mais je sentais, malgré les crampes causées par l’immobilité et les entraves, une grande plénitude m’envahir … Je n’ai été tiré de cette sorte de torpeur que par le bruit d’un et puis de plusieurs avions au décollage, mon lieu de détention devait donc manifestement se trouver à proximité de l’aéroport de Z******* ou dans l’axe de l’une de ses pistes … Vu le bruit du trafic aérien, la nuit devait donc peu à peu toucher à son terme, mais il est des moments où les minutes peuvent sembler des heures, surtout lorsqu’on est totalement privé de la vue, incapable du moindre mouvement et entièrement ignorant des événements à venir, ne pouvant plus se fier qu’à la seule ouïe … Les douleurs à la nuque, au haut du bras et à l’épaule droite devenaient de plus en plus lancinantes, mais depuis l’échec de mon évasion de début de nuit, je m’étais juré de, quoi qu’il arrive, ne plus émettre le moindre mot, ni surtout la moindre plainte ; ne me restait donc plus qu’à serrer les dents, les poings, et tenter à penser à autre chose … Facile à dire …, étais totalement réveillé à présent, bien que toujours plongé dans la plus complète obscurité, depuis sans doute près de neuf heures à présent. C’est à ce moment que j’ai cru, dans le lointain, entendre sonner un réveil, mais sans plus, et les minutes longues à vivre et éprouver. Avais mal partout et plus aucune volonté, à part celle de me taire quoi qu’il arrive, et de voir cette aventure se terminer au plus vite … Une éternité a semblé s’écouler avant qu’enfin des pas résonnent dans l’escalier. A la question de savoir si j’avais bien dormi, pas un mot ne sortit de ma bouche ; les sangles extérieures furent une à une, et avec peine, détachées et lentement roulées, puis les « segufix » ; mais avant de procéder, mon tortionnaire m’avait déjà fixé une menotte au poignet gauche et je savais que le poignet droit suivrait bientôt, sans le moindre mot, cri ou plainte de ma part, je m’y étais juré et je m’y tiendrais … Mon corps était tellement engourdi que l'on dut m’aider à me relever, après avoir replacé le bandeau serré par-dessus la cagoule, et me guider jusqu’à l’escalier que l'on me fit descendre à reculons, marche par marche, volée par volée, en m’indiquant les prises et points d’appui … A nouveau, jeu des portes et des serrures ; me voilà donc revenu à la case départ, toujours aveugle et menotté. Face au mur, je m’entendis dire, en flamand toujours, que j’allais avoir dix minutes et pas une de plus pour reprendre une apparence normale et répartir ce que j’ai été contraint de revêtir entre deux sacs, l’un pour la poubelle et l’autre pour la lessive ; je n’écoutais qu’à moitié, n’espérant que la fin de cette aventure … Les menottes et le bandeau me furent enfin ôtés et je fus poussé dans le cabinet de toilette de la veille où, une fois enfermé, je pus temporairement tirer la cagoule et me ruer sur la toilette pour pouvoir me soulager, avant que dans la glace me découvrir vêtu d’une robe chasuble de grosse laine turquoise, par-dessus la tunique noire, et les cheveux hirsutes. Il me restait huit minutes … je m’empressai de me déshabiller, en suivant les consignes reçues, et de remettre les vêtements qui étaient mien encore hier, puis la cagoule et le capuchon rabattu par-dessus, comme ordonné. Déjà, la clef tournait dans la serrure … Instinctivement, je tendis déjà les poignets, m’attendant à ce que l'on me passe les menottes, mais ils furent repoussés, je fus empoigné par les épaules et entraîné vers la sortie, toujours aveugle … Jeux de portes et de serrures, je sentis l’air froid du dehors, tandis que l’on me poussait vers une voiture, m’y faisait pénétrer, asseoir et fermer la ceinture de sécurité … Le moteur démarra, tandis que le chauffeur m’ordonnait de me pencher en avant, les mains sur la cagoule et la capuche, pour être certain de ne voir, ni être vu … Je n’essayai même pas de savoir où j’étais emmené, ni, comme à l’aller, de tenter d’estimer la durée du trajet. A un certain moment, la voiture s’arrêta et ordre me fut donné d’ôter la cagoule, de descendre et de décamper sans me retourner. Il faisait toujours nuit, j’étais face au tunnel qui m’avait vu débarquer la veille et m’y engouffrai … Un train était à quai, celui de 07h19, je le pris … Une heure plus tard, j’étais de retour chez moi, pris un rapide bain, puis m’effondrai sur mon lit …
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Par : le 23/01/22
J'étais heureux ce matin de mai . J'avais réussi , à réserver un voyage pour deux personnes pour l'Ile de la Réunion . Depuis notre voyage de noce , Lady Gabrielle et moi rêvions de retourner sur cette île merveilleuse . Nous rêvions de retourner manger des samoussas sur les marchés colorés de Saint Paul ou de Saint Denis , revoir le Piton de la Fournaise , nager avec les poissons aux couleurs de tropique , déguster la cuisine créole et profiter de tout ce que cette île propose . Je n'avais plus qu'à appuyer sur « enter » . Ce que je fis avec prudence craignant la « fausse manip » . Mais tout c'est bien passé . Les quatre feuilles de ma « résa » étaient imprimées . J'avais bien mérité le grand bol de thé que je me préparais ainsi que le pain au chocolat de la veille que je réchauffais pour qu'il redevienne croustillant . Je dégustais mon petit déjeuner quand Lady Gabrielle me rejoignit encore ensommeillée . J'avais placé les feuilles entre son énorme bol à p'tit dèj qu'elle affectionne tant et le petit vase où règnait en majesté une rose « Queen Elysabeth » » cueillie dans notre jardin . Quand elle découvrit l'objet de ces feuilles son visage s'éclaira comme la terre lorsque le soleil apparaît à l'horizon . La date de notre départ arrivait . Chaque jour nous voyait nous occuper d'une nouvelle préparation . Je dois avouer que la joie de retourner sur cette terre de prédilection était troublée par l'appréhension que j'ai des voyages en avion . Non pas que j'ai peur mais le fait de passer 12 heures coincé dans un siège trop petit pour moi ne m'enchante pas du tout . L'attitude blasée et l'état d'irritation permanent du personnel de cabine participaient pour beaucoup à mon appréhension . La veille de notre départ nos préparatifs étaient terminés . Nous profitions d'une journée calme avant d'affronter ce petit chamboulement qu'est un voyage en avion . Il était onze heure du matin quand Lady Gabrielle m'ordonna de me dévêtir . Elle avait envie de me flageller . J'étais à mille lieues de partager la même envie à ce moment là mais je m'exécutais. Je suis sont soumis , mari aussi, mais surtout soumis . Je pensais que Lady Gabrielle le pensait aussi . Après la flagellation elle me fit assoir , me menotta poignets et chevilles aux barreaux et montants de la chaise . Je ne pouvais pas me libérer . me dit-elle . Je ne voyais pas du tout où elle voulait en venir . En outre j'étais étonné , elle n'avait jamais commencé une séance BDSM , juste avant le repas de midi . Quand je sus la raison de son comportement , j'étais complètement abasourdi . Lady Gabrielle n'avait jamais laissé apparaître le moindre signe ni le moindre indice qui aurait pu me faire soupçonner ce qu'elle m'annonça ce matin là , veille de notre départ . > Tout d'abord j'avais pensé à une plaisanterie . Il lui fallut faire preuve de beaucoup de persuasion pour me convaincre . Quand enfin mon cerveau me fit admettre le sérieux du projet de Lady Gabrielle , la stupéfaction et le rejet m'envahirent . > J'étais stupéfait . > > J'acquiesçais du bout des lèvres . > A ce moment là , je décidais de ne plus récalcitrer . Mais j'avais du mal à cacher mon désappointement . > Revenus à de meilleurs sentiments ? Tout était relatif mais je n'avais pas le choix . N'avais-je pas , au début de notre relation , fais serment d'obéissance à Lady Gabrielle ? Ne m'étais-je pas offert à Elle ? Allais-je en quelques mots détruire cette relation Domination/soumission ? Certainement pas , je ravalais ma déception et tâchais de faire bonne figure . Quelle ironie de la part de Lady Gabrielle . L'après-midi elle me conduisit , effectivement , chez le couple de dominateurs propriétaires d'une ancienne ferme fortifiée transformée en gîte rurale , un gîte spécialisé BDSM qui a pour nom '' Le Domaine de H&K ''. L'établissement était géré par eux même , Maîtresse Karole et Maître Hadès et entretenu par un couple travaillant à demeure . J'apprendrais plus tard qu'ils étaient tous deux soumis mais rémunérés et qu'ils participaient parfois , aussi à la domination des soumises et soumis clients de l'établissement tout en subissant celle de leurs Maîtres . Certains de ces soumis étaient envoyés là par leur dominant comme c'était mon cas . D'autres venaient ici de leur propre chef pour assouvir leurs fantasmes . La durée du séjour était au choix des clients . Nous étions arrivés vers quinze heures . J'avais voyagé à l'arrière de la voiture yeux bandés et poignets menottés . Lady Gabrielle m'avait ordonné de mettre les vêtements les plus vieux que je possédais . Cet ordre m'avait intrigué , à juste titre . Bien sûr je portais ma cage , je ne devais plus la quitter jusqu'à la fin de mon stage . La deuxième chose que je dû faire après avoir salué , à genoux , les propriétaires du lieu fût de retirer tous mes vêtements , sauf mes baskets , et de les jeter dans un fût en métal où ils furent brûlés par l'homme du couple de soumis .A ce moment là je réalisais que Lady Gabrielle reprenait le contrôle sur notre relation de manière très sévère . La Propriétaire des lieux m'ordonna de faire mes adieux à ma Maîtresse . Lady Gabrielle me regardait avec un sourire quelque peu narquois et avec une autre lueur indéfinissable .Je lui embrassais les pieds , je savais qu'il aurait été malvenue de lui faire un baiser de mari ( sur la bouche ) ou de copain ( sur les joues) . Elle partit sans plus de commentaire à mon grand désarroi . Elle ne me donnait même pas une parole de réconfort . > Je m'étais étonné de la relative indulgence de Maître Hadès , ce que je subissais , je l'avais fantasmé de nombreuses fois mais dans mes rêves les poids étaient plus lourd . Cinq kilos au moins pour mes testicules et mes poignets . Je marchais depuis une éternité et je comprenais que l'indulgence n'avait rien à voir avec mon supplice , c'était du réalisme . Je n'aurais certainement pas tenu longtemps avec des poids de cinq kilos . Quand j'avais commencé à marcher en rond, j'avais ressenti le bonheur '' d'une première fois '' et l'excitation de l'accomplissement d'un fantasme . Je m'étais senti à ma place , une place que j'avais rêvée et j'y étais placé par ma Maîtresse , même si elle n'était pas à mes côtés j'étais connecté à Elle . Je savais qu'Elle pensait à moi dans son manque de sommeil dû à la fébrilité l'accompagnant , dans cette veille de départ pour la Réunion . A ce moment là je ne lui en voulais plus du tout , Elle m'avait offert le plus beau des cadeaux qu'un soumis puisse recevoir . Je n'allais pas toujours penser cela au cours de mon séjour . Je marchais depuis longtemps . Maintenant la souffrance était bien présente . La fatigue et les crampes provoquées par les poids étaient insupportables . Les pinces irradiaient une douleur intense dans mes seins . Mais j'avais peur du fouet . Je me cramponnais à mon rêve : je subissais ce que j'avais rêvé . . . Non? De nombreuses minutes plus tard j'étais à un stade où j'avais dépassé toutes prudences . Plus rien ne comptait que de me reposer et de soulager la douleur de mes seins et de mes bras , je m'accroupissais . J'oubliais de faire tintinnabuler les grelots de mes seins . Erreur funeste , Maître Hadès vint me rappeler à l'ordre par un coup de fouet qui n'avait rien de bienveillant . J'essayais de me relever mais mes jambes me trahirent .> L'apprentissage de cet exercice fut relativement facile . Nous nous sommes assez bien habitués à tirer le sulky avec nos couilles . Une heure d'adaptation nous fut quand même nécessaire pour y arriver. Maîtresse Karole n'eut pas beaucoup de raisons de nous fouetter avec sa chambrière mais Elle le fît quand même , gratuitement , pour assouvir son sadisme . Elle fît tourner ainsi son manège original durant une heure et demi ne se privant pas de nous stimuler dans l'effort en fouettant aussi nos testicules . Elle nous libéra au début de la soirée . Gérôme nous reconduisit dans nos cellule tandis Tandis que Maîtresse allait se rafraîchir dans sa piscine . J'étais à nouveau enfermé et je ne connaissais pas la suite du protocole prévu . Je prenais une douche à l'eau froide me séchais tant bien que mal dans une petite serviette . Personne ne vînt me chercher jusqu'au lendemain mais je restais dans l'angoisse de l'incertitude . Cela faisait quatre jours maintenant que je suivais ou plutôt subissais ce stage de redressement D/S . Je n'avais droit qu'à un repas par jour et toute l'eau que je souhaitais au pommeau de la douche. J 'étais affamé , moi qui faisais trois repas par jour . La veille ,tous les soumis présents au gîte , avaient été réveillés à six heures du matin . Nous avions été conduits dans le petits bois du parc et attachés à un arbre . Nous étions positionnés à intervalle d'une cinquantaine de mètres des uns des autres et nous sommes restés ainsi sans explication . L'attente dans l'interrogation de ce que l'on va subir est extrêmement stressante . Mon stress augmentait au fil des minutes . J'attendis deux heures attaché à cet arbre la suite de mon protocole . Maître Hadès et Maîtresse Karole apparurent enfin sur le chemin du sous-bois en tenue de jogging . Ils s'arrêtèrent devant moi pour souffler . Quand Maîtresse Karole eut exécuté ses exercices de respiration , elle s'approcha de moi , saisit mes bouts de seins entre index et pouces pour les pincer avec une force que je ne soupçonnais pas puis me donna une série de coups de genoux dans les testicules . J'étais solidement attaché à mon arbre je ne pouvais donc pas tomber ni même me plier en deux comme mon corps l'aurait fait impulsivement sous cette douleur atroce . Je criais instinctivement mais cela ne retenait aucunement Maîtresse Karole , elle continuait de plus bel . Quand elle fut satisfaite du supplice qu'elle m'avait infligé elle céda la place à Maître Hadès . Il se montra moins violent , craignant peut être l'accident . Heureusement lors de ce supplice , la douleur provoquée par les coups dans les testicules est atténuée par le fait que le genoux frappe aussi l'entre cuisse , ce qui freine sa vélocité . A l'écoute des cris des autres soumis , je sais qu'ils ont tous subit le même sort que moi . Nous avons été reconduit dans nos cellules à midi complètement épuisés , les testicules endoloris . Je ne devais plus rien subir avant le lendemain . Ce ne fut pas le cas de certains de mes co suppliciés . Je restais seul à me morfondre en pensant à Lady Gabrielle qui devait déguster des samoussas et faire tout ce que nous avions imaginé . Léonie m'apporta mon repas dans une gamelle qu'elle posa sur le sol , s'accroupi au dessus et urina dedans . Elle me souhaita un bon appétit et me donna l'ordre de manger devant elle . J'avais tellement faim que je me jetais sur la nourriture . L'urine de Léonie ne me gênait pas étant habitué à déguster le nectar de ma Maîtresse . Quand j'eut terminé mon '' repas '' elle me fit coucher sur le sol , s'assit sur ma bouche et m'ordonna de la faire jouir . Elle me quitta dans l'après midi comblée , moi étais épuisé . Le lendemain , au sixième jours de ma présence ici , Gérôme vint me chercher à huit heures . > Il me laissait là sans plus de commentaire . De nombreuses minutes plus tard , j'entendis enfin Maîtresse arriver . Sans dire un mot elle me donna vingt coups hargneux de cravache sur les fesses et sur le dos témoignant de sa mauvaise humeur . Elle monta sur son cheval et parti sans plus prêter attention à moi . Je tentais tant bien que mal de garder mon équilibre au bout de la longe . Chose extrêmement malaisée en raison de la vitesse du cheval , qui pourtant était mené au pas et du mauvais entretien du chemin semé de trous de sabot . Durant la promenade de Maîtresse je tombais trois fois mais jamais elle ne dit mot . De retour à l'écurie , c'est Gérôme qui comptabilisa les coups de la sanction . Je reçus les soixante coups de cravache mais je ne reconnaissais pas la dextérité du dominant qui me punissait . Je ne percevais pourtant pas d'autre personne présente dans l'écurie . Ce n'était pas Maîtresse Karole qui me cravachait ni Maître Hadès ni même Gérôme ou Léonie , tous m'avaient m'avaient abondamment fouetté tout au long de la semaine . Qui cela pouvait bien être . Les soixante coups assenés Gérôme m'enleva la cagoule . Quand mes yeux furent réadaptés à la lumière je reçus un tsunami d'étonnement et d'émotion . Lady Gabrielle se tenait devant moi , souriante . >
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Par : le 21/01/22
Il arrive souvent que la vie séparent deux êtres chers. Pour une raison familiale ou professionnelle, les contacts physiques ne sont plus possibles et ce sur une période de temps variable mais toujours interminable. Ce guide va vous donner des pistes et des idées pour vous occuper et faire passer le temps plus vite. Afin de puiser au maximum dans le savoir accumulé sur ce site, j'ai décidé d'en faire un espace collaboratif et d'utiliser des outils modernes. N'hésitez pas à en parler à vos amis, chacun peut y apporter sa connaissance ou son ressenti. 1 - Les outils : a - Pour communiquer : On vit à l'ère du téléphone portable. Tout le monde est joignable 24/7. Et là, c'est une question de choix personnel. J'ai testé presque toutes les applications et au final, c'est une question de choix personnel : Skype, Messenger ou autre, elles fonctionnent toutes très bien et il n'y a pas vraiment de différence. D'un point de vue sécurité informatique, on dit que Signal est la plus populaire chez les terroristes. Comme c'est l'un des rares cas où ils peuvent vous faire une bonne publicité. b - Pour le plaisir : Herbert Léonard n'en a pas parlé dans sa chanson, mais il existe quelques jouets connectés qui en valent vraiment la peine. Je citerai sans hésiter "Lovesense" qui fait vibrer des milliers de camgirls tout autour du monde. Le principe est simple : un oeuf vibrant dont la télécommande est dans les mains de votre Maître, où qu'il soit sur la planète du moment qu'il y a internet. c - Pour soumettre : Des menottes, un collier, un bâillon, un sex-toy et c'est parti. Il n'en faut pas plus pour débuter. Ce n'est pas une relation en présentiel, on ne cherche pas à immobiliser la personne soumise ! Ici, la contrainte est dans la tête, on joue à se ligoter. Et heureusement d'ailleurs car le dominant n'est pas là pour détacher sa victime. Du coup, il faut pouvoir tout faire soi-même : s'attacher, se bâillonner, se libérer, etc. d - Pour contrôler : Il existe une multitude de systèmes de cadenas et cages de chasteté sur le web. Comme le fameux CellMate de Qiui. Pourquoi célèbre ? Parce qu'en janvier 2021, un pirate informatique a pris le contrôle de l'application et a demandé une rançon avec le message suivant : "Your cock is mine" ("Ton gland est à moi"). 0,02 BTC soit 600 € pour être libéré. Il a dû se faire des "couilles en or" ;-) e - Pour ne pas se ruiner : Le quotidien regorge d'objets tous plus utiles les uns que les autres. Les collants font de très bonnes cordes, les chaussettes et culottes de très bons bâillons. Régalez-vous avec des pinces à linge et mon accessoire préféré : un sac de riz ! Le riz, c'est magique ;-) On peut en faire compter une poignée, faire des carrés, des ronds, les peindre, les mettre dans sa culotte ou dans sa chatte, etc. Et bien entendu, on peut en faire deux petits tas et faire s'agenouiller sa soumise dessus.
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Par : le 31/12/21
Chap 7 trois nouveaux jouets sont dressés pour être revendus. Avant que Vanessa ne soit libérée par madeleine celle-ci se demandait comment la revendre car elle n’était pas certaine de la garder. Une des clientes de la pharmacie de madeleine, Brigitte, est une femme mure d’origine incertaine qui est particulièrement loquace sur le sexe et qui se plaint souvent en aparté avec madeleine de ne pas avoir comme au Pays la possibilité d’acheter et de posséder des esclaves. Madeleine fait semblant d’être offusquée mais la femme lui rétorque que ce serait surtout pour que son mari insatiable la laisse un peu tranquille mais qu’elle-même ne cracherait pas sur un male bien monté entièrement à sa merci. Madeleine la corrige en lui disant ce n’est pas d’un esclave que vous avez besoin c’est d’un jouet sexuel. Brigitte acquiesce et lui dit qu’elle serait prête à payer cher pour un tel jouet. Elles en rigolent mais madeleine lui dit en passant si je trouve un tel jouet je vous en parlerais en premier. Elle pense à Vanessa qui désormais a rejoint le cheptel. Brigitte lui dit qu’elle est prête à payer un chiffre avec cinq zéros. Madeleine est estomaquée. Un tel prix ça fait réfléchir. Quelque temps plus tard Brigitte se présente à la pharmacie et discute avec madeleine en lui demandant si elle a trouvé un jouet pour elle. Madeleine lui dit qu’elle a peut-être une piste. Brigitte est immédiatement intéressée. Finalement madeleine décide d’inviter Brigitte chez elle pour lui montrer ses jouets. Brigitte croit au gag mais accepte l’invitation. Le samedi soir Brigitte sonne chez madeleine qui va lui ouvrir. Elles se rendent dans le salon ou Monique les attends. Brigitte jette des regards partout en cherchant des indices mais rien ne parait. Elle finit par demander où se trouve la fameuse piste de madeleine pour acheter un jouet sexuel. Madeleine et Monique sont évasives mais elles font comprendre à Brigitte que la piste est sérieuse. Vanessa ayant été finalement libérée par les deux femmes celles-ci ne pensent plus à Brigitte jusqu’au jour où celle-ci frappe à leur porte. Brigitte est venue avec un énorme sac à main l’ouvre et sort une énorme liasse. Il y a 10000 € Elle dit ceci pour vous prouver que je suis bien à la recherche d’un jouet et je peux rajouter dix liasses identiques si le jouet vaut le coup. Madeleine et Monique se concertent et finalement invitent Brigitte à les suivre. Elles se rendent dans la pièce des jouets. Les deux jouets sont ligotés sur une croix de saint André avec une cagoule sur la tête. Brigitte et ébahie mais reprend rapidement ses esprits. Ils sont magnifiques. Ils sont à vous ? Madeleine et Monique acquiescent. Voua pouvez m’en dire plus demande Brigitte. Non dit madeleine. Ce qu’on peut vous dire c’est qu’ils sont rusés et cherchent à s’évader à la première occasion. Pas de problème pour ça dit Brigitte notre maison est une véritable forteresse et une fois entré il ne pourra plus en sortir sans mon autorisation. Et vous pouvez en faire ce que vous voulez demande Brigitte. Tout ce qu’on veut répond Monique en frôlant Kevin ce qui le fait immédiatement bander à la grande satisfaction de Brigitte. Ils sont toujours prêts sexuellement et on peut les positionner comme on veut sous réserve de bien veiller à ne leur laisser aucune chance de se libérer. Joignant le geste la parole madeleine et Monique détachent Kevin et le font mettre sur le dos couché sur la table basse. Son bâillon est enlevé et sa bouche et son sexe tendu sont exposés et utilisables à loisir. Il est très endurant et repart rapidement après coup déclare madeleine. Puis elles détachent Magalie et la font mettre à genoux face à Brigitte qui est assise sur le canapé. Elle est docile et sa langue et sa bouche sont démoniaques. Brigitte est toute tourneboulée mais n’ose pas en profiter devant Monique et madeleine. Celles-ci font alors chevaucher Kevin par Magalie. Les deux jouets ne demandent pas mieux et un véritable rodéo se déroule devant Brigitte qui a les yeux brillants. Je vous en offre 80000€. Madeleine et Monique répondent que ces deux-là ne sont pas à vendre mais qu’elles pourraient prendre une commande au cas où à condition d’être sure que les jouets seront bien traités. Brigitte leur assure qu’elle achètera des jouets comme ceux-là mâle ou femelle. Et que madeleine et Monique pourront à tout moment venir voir les conditions de vie des jouets. Le deal est conclu. Les 10000€ changent de main pour la commande. Maintenant que le command est prise madeleine et Monique sont dans le pétrin elles avaient un jouet en rab avec Vanessa mais maintenant elles n’ont plus que Kevin et Magalie qu’elles veulent conserver. Vanessa les a d’ailleurs invitées pour leur montrer sa toys room. Vanessa leur a dit qu’elle vivait le parfait amour avec Anna et qu’elles avaient désormais une grande maison avec une pièce réservée aux jouets. Elle les a invités pour visiter la pièce. Madeleine et Monique désirent en profiter pour y emmener les jouets pour voir leur comportement à l’extérieur. Ce matin-là les jouets ont juste les mains menottées dans le dos et un collier anti aboiement. Ils voyagent allongés dans le break de Monique dont les sièges arrière ont été rabaissés. Les jouets sont calmes mais madeleine et Monique ont toutes les deux une seringue au cas où. Arrivés chez Vanessa les jouets suivent docilement leurs maitresses et Vanessa accueille tout le petit monde. Anna n’est pas là pour les accueillir mais les deux femmes ne sont qu’à moitié étonnées. Vanessa les invite à la suivre pour visiter la pièce. Les deux femmes sont épatées de voir les photos grandeur nature d’Anna qui habillent les murs de la pièce. Certaines sont en couleur et d’autres en noir et blanc. Le rendu est formidable et Vanessa jubile en voyant le regard envieux et les compliments dithyrambiques des deux femmes. Anna qui est accrochée à la croix de saint André est dépitée. Elle porte comme à chaque fois qu’elle pénètre dans cette pièce son bandeau et n’a toujours pas pu voir la pièce et encore moins les photos qui font la fierté de Vanessa. Elle enrage et les compliments accompagnés de caresses de madeleine et Monique la désespèrent. Enfin Vanessa est heureuse c’est déjà ça. Madeleine et Monique enlèvent les gabardines qui sont sur les épaules des jouets et cachaient leurs nudités. Ils regardent avec attention les photos et Kevin commence à bander rapidement. Les deux jouets sont mis à genou près du canapé et les trois femmes peuvent faire le tour de la pièce tranquillement. Madeleine et Monique demandent qui a fait les photos et Vanessa raconte la soirée shooting et propose de demander à martine si elle veut en refaire avec les jouets. Les deux femmes sont ravies et plus encore lorsque martine répond favorablement en indiquant qu’elle pourra passer un soir sans problème. Le reste de la journée se passe dans de bonnes conditions. Les trois jouets sont mis dans diverses positions en vue d’une future séance photo et la température monte rapidement. Après quelques débauches ou les jouets sont mis à contribution les trois femmes se retrouvent côte à côte sur le canapé avec chacune un jouet pour s’occuper de son entrejambe. Puis madeleine aborde le sujet de Brigitte. Vanessa comprend qu’elle a échappée à la vente à une inconnue et remercie en aparté Anna qui lui a donné l’occasion de se racheter auprès des deux femmes. Elle leur dit qu’il faudrait capturer des garçons ou des filles et les dresser comme pour Kevin et Magalie. Elle ne parle pas d’Anna qui a accepté sa situation en connaissance de cause. Capturer des jouets n’est pas facile il faudrait qu’ils soient mignons, qu’ils viennent dans la maison sans que personne ne le sache et qu’il n’y a pas de monde qui les recherchent en cas de disparition. Elles pensent à Kevin mais il faudrait un miracle pour que ce genre de situation se reproduise. Elles pensent alors à Magalie que personne n’a recherchée et qui est venue de son plein gré chez Monique. C’est de se coté là qu’elles cherchent. Finalement Vanessa dit que dans la grande ville d’à côté il y a pas mal de sans-abris jeunes qui squattent un quartier à l’abandon. Peut-être qu’il y aurait des ouvertures de ce coté-là. Ce soir-là les trois femmes se quittent en décidant de vérifier cette piste. Quelques jours plus tard Vanessa et Anna se promènent dans le quartier à l’abandon. Effectivement il y a pas mal de zonards et parmi les nombreuses épaves humaines il y a des jeunes qui ont l’air dans la rue depuis peu. A un feu rouge un jeune zonard fait la manche. Il est pas mal malgré la crasse et il tend sa main pour quelques pièces. Vanessa engage la conversation il s’appelé Rodolphe et a été viré de chez lui par un père ivrogne qui n’a pas supporté que son fils abandonne l’école et devienne un petit délinquant. Rodolphe a les yeux fixés sur Anna qui est vêtue du strict minimum et lui sourit poliment. Vanessa demande à Rodolphe s’il a des amis et des contacts avec sa famille dans les deux cas la réponse est négative. Il tend la porte de la voiture comme un naufragé tient une planche flottante. Vanessa joue la bonne samaritaine et lui dit que chez elle il y a des habits en bon état venant de son père décédé et que si Rodolphe veut il peut venir les voir et en même temps les filles lui paieront un bon repas. Quelques secondes plus tard Rodolphe est assis sur la banquette arrière certain que sa bonne étoile l’a enfin aidé. Lorsqu’elles arrivent à la maison Vanessa et Anna font entrer discrètement Rodolphe et lui proposent de commencer par un encas. Il est aux anges et mange avec avidité ce qu’elles lui présentent, d’autant plus qu’il y a de la bière en quantité pour faire passer ça. Il ignore que Vanessa a soigneusement mis la dose de produit que lui a donné madeleine. () Vanessa excitée veut repartir en chasse. Elles reprennent la voiture et errent dans le quartier. En vain. Au moment où elles vont repartir bredouilles elles tombent sur un couple du genre punk à chien très jeune qui les hèle dans leur voiture de bourges. Vanessa s’arrête et engage la conversation. Rapidement les deux jeunes persuadés qu’il y a de la thune à se faire montent dans la voiture et sont emmenés chez Vanessa. Là pas question de manger mais ils ne crachent pas sur de l’alcool et vident le bar de Vanessa. Très excités Ils deviennent agressifs et Vanessa à toutes les peines du monde à les calmer mais ceux-ci veulent faire main basse sur les choses de valeur de la maison. Au moment où ils vont en venir aux mains Anna et Vanessa font usage des seringues que madeleine leur a donné en cas de problème. Le couple en rage se calme en quelque secondes et Vanessa et Anna les emmènent dans la toys room afin de les préparer à la suite des opérations. Anna peut enfin voir l’intérieur de la toys room et est ébahie des photos qui parsèment les murs de la pièce. Si l’heure n’était pas au travail elle sauterait au cou de Vanessa. Enfin les trois nouveaux jouets sont solidement attachés nus comme des vers. Vanessa jubile. Elle a décidé de garder un jouet male pour elle et de revendre les deux autres à madeleine et Monique. Le choix n’est pas évident entre les deux garçons qui ont à peu près le même age et sont crasseux et trop poilus. Finalement elle se dit qu’elle va attendre de les voir propres et imberbes. Emilie a ressenti la piqure au moment où elle donnait une baffe à l’une de filles qui ont eu la mauvaise idée de les faire entrer dans la maison. Elle a bien l’intention de leur mettre une raclée et de piquer tout ce qui peut de revendre facilement. Jonathan s’est rué sur l’autre fille. Ça ne devrait pas être compliqué. Puis une espèce de brouillard commence à la gêner. Ses gestes ont l’air ralentis et la fille la regarde d’un drôle d’air. Puis ses jambes ne la soutiennent plus et elle tombe comme une feuille. En tombant elle peut voir que Jonathan titube en tenant l’autre fille. Puis elle est par terre bien consciente mais incapable de faire le moindre geste. La fille qu’elle a frappé la regarde intensément. Puis la fille commence à la déshabiller entièrement. C’est quoi cette gouine se dit-elle. La fille s’éloigne et revient quelques temps après avec un sac. Elle sort du sac des menottes et d’autres accessoires bizarres. En quelques instants Emilie est ligotée comme un saucisson. La fille lui met un collier pour chien et un bâillon dans la bouche. Puis une cagoule qui la rend aveugle. Elle ressent une deuxième piqure. Peu à peu elle redevient maitresse de son corps. Malheureusement elle ne peut pas bouger. Elle insulte la fille mais au premier mot une puissante décharge la secoue. On dirait que ça vient du collier. Elle veut recommencer à crier mais de nouveau elle reçoit une puissante décharge. Elle comprend qu’il doit s’agir d’un collier anti aboiement comme sa mère mettait à ses chiens. Elle retente une fois mais le résultat est le même. Elle est à moitié groggy. Elle décide de taire et d’attendre tout en essayant de se défaire de ses liens. Elle se dit que les filles ont dû appeler les flics et que ces derniers ne vont plus tarder. Les flics semblent tarder. Emilie commence à trouver ça bizarre. Elle commence même à craindre un peu. Elle ressent un contact sur elle. On est en train de libérer ses jambes. Enfin. Elle est relevée et se tient debout sans savoir où elle est et avec les mains menottées dans le dos. Le collier la tire en avant. Il doit y avoir une laisse ou un truc comme ça. Elle se bloque et refuse d’avancer. Un coup de martinet la surprend. Elle reste figée un deuxième coup plus appuyé la fait sursauter et elle sent les larmes lui venir. Un troisième coup. Ce coup-ci vaincue elle avance. Les filles lui paieront ça quand elle sera libre. Elle est arrêtée sur du carrelage. Soudain une pluie d’eau froide lui tombe dessus. Elle crie de surprise mais prend une décharge par le collier. Elle se tient coite. L’eau se réchauffe un peu et elle sent des mains la savonner entièrement. La douche dure cinq bonnes minutes et elle est allongée à même le carrelage. Elle sent une odeur bizarre. Une crème lui est appliquée sur les jambes et sur le pubis. Elle se rappelle de l’odeur c’est de la crème dépilatoire. Une demi-heure plus tard elle sent que sa chatte et son cul son entièrement glabres. Elle est relevée et de nouveau la laisse la tire en avant. Elle suit ne voulant pas recevoir de coups de martinet. Après un petit déplacement elle est reculée contre une espèce de poutre en bois. Puis elle est ligotée en croix sur la poutre ou plutôt les deux poutres qui se croisent. Elle panique. Elle est tombée chez des sataniques qui vont la sacrifier. Puis elle se retrouve seule pendant quelques temps. Des pas se font entendre et quelqu’un passe près d’elle elle a juste le temps d’entraide un cri vite ravalé à ses côtés. Elle se dit que c’est Jonathan qui subit le même sort qu’elle. Vanessa et Anna ont enfin terminé le récurage et l’épilation des trois jouets. La fille est sur la croix de saint André et les deux garçons accrochés à des anneaux fixés au plafond. Des barres d’écartement leur maintiennent les jambes grand ouvertes et ils ont chacun un chocking bien serré qui sépare bien le sexe du corps. Satisfaite Vanessa va appeler madeleine pour lui dire que la marchandise est prête. Elle veut se garder un male et comme ils sont à peu près pareil elle décide de leur faire boire de la potion de madeleine pour voir lequel à la plus belle érection. Les garçons essayent de ne pas boire mais avec le nez pincé ils sont obligés d’ingurgiter le liquide. Vanessa en profite pour faire boire la potion pour femme à Emilie. Une demi-heure après les deux garçons bandent comme des taureaux. C’est difficile de choisir. Ils semblent un peu moins bien montés que Kevin mais c’est quand même pas mal. Elle veut tester leur endurance et dit à Anna de les sucer pour voir ce que ça donne. Anna n’est pas chaude mais ne refuse rien à Vanessa. Lorsque madeleine et Monique débarquent les deux garçons ont déjà giclé deux fois et ils recommencent à bander. Rodolphe ne comprends pas ce qui lui arrive. Il passait un super moment avec deux canons et maintenant il est ligoté comme un saucisson nu à priori lavé et épilé et il est accroché au plafond. Cerise sur le gâteau on lui a fait boire un truc qui le fait bander sans arrêt et on le suce super bien. C’est moitié l’enfer moitié le paradis. Le pire c’est qu’aucune parole n’a été prononcée depuis qu’il s’est réveillé. Le silence est soudainement rompu. Voilà le travail dit Vanessa. Trois d’un coup. Deux sont pour vous la fille et un garçon. Moi je me garde celui-là. Madeleine et Monique sont épatées. Les trois jeunes sont beaux et visiblement les garçons sont en pleine forme. Vanessa les a bien attaché et ils ne peuvent ni parler ni voir ce qui se passe. Madeleine prend la parole. Bon on va les dresser ici comme prévu. Il faudra faire très attention car il y en a trois et ils vont tenter de s’échapper. Les trois nouveaux jouets écoutent avec attention ces paroles et commencent à flipper. Apparemment c’est d’eux dont on parle. Tu leur as mis un collier c’est impeccable. Ils ne vont pas nous casser les oreilles et il faut qu’ils comprennent que désormais ils n’ont plus besoin de parler. Ils ont juste besoin d’exécuter sans rechigner tous nos ordres. Les trois jouets ruent dans leurs liens en signe de protestation. Vanessa Monique et madeleine prennent chacune un martinet et s’en servent pour calmer les ardeurs des jouets. Après une douzaine de coups chacun ils finissent par se tenir cois. Bien on peut commencer dit madeleine. On va déjà voir si la fille suce bien. Elle a bu ? demande-t-elle à Vanessa. Oui elle a pris une bonne dose. Répond celle-ci. Quelques minutes plus tard Emilie est à genou avec un écarteur de bouche l’empêchant de refermer celle-ci. Elle est tirée en avant par sa laisse et sa bouche tombe sur le sexe d’une femme elle a un mouvement de recul mais la laisse est maintenue fermement et des coups de martinet lui font comprendre qu’elle doit rester au contact. Soudain elle sent qu’un objet cogne contre son propre sexe. Un énorme gode vibrant est inséré et mis en route. Elle rue un peu mais se calme après quelques coups. Le pire c’est qu’avec la potion qu’elle a pris le gode commence à lui faire un effet maximum. Un orgasme la surprend à sa plus grande honte et déjà elle sent qu’elle repart. Bien elle a l’air d’apprécier dit une voix. Elle réagit bien au gode. Maintenant à toi de bosser dit la voix. Et sa tête est poussée contre le sexe féminin. Elle rechigne reçoit deux coups de martinet et on lui pince férocement les seins. En larme elle commence à lécher le sexe. Puis petit à petit après quelques pinçons supplémentaires elle y met plus de fougue et lèche avec vigueur le sexe humide. Ce qui la désespère c’est qu’elle y prend peu à peu du plaisir en même temps que le gode l’envoie au septième ciel. Après quelque minute elle est retirée en arrière et elle croit que c’est fini quand on lui pousse la tête vers un autre sexe. Elle recommença trois fois, les trois femmes ayant décidé de voir ce que ça donnait. Puis ses mains sont attachées à ses chevilles et elle reste à genou sans qu’on s’occupe d’elle. Il reste juste le gode bien inseré qui continue à la secouer de temps en temps. Bon elle a encore des progrès à faire mais ça devrait finir par donner un jouet efficace dit une voix. Maintenant on va voir comment se débrouillent les males. Une heure plus tard vaincus Rodolphe et Jonathan après avoir lécher plus que dans toute leur vie se retrouvent dans la même position qu’Emilie avec un plug bien ancré dans le cul. Bon c’est l’heure de l’apéritif dit Monique. Vanessa dit à Anna de les servir en tenue de soubrette. Quelques minutes plus tard les trois dominantes sont assises sur le canapé et contemplent les trois nouveaux jouets. Tu as fait un bon choix en gardant celui-ci dit madeleine à Vanessa. Il a l’air revêche et tu vas devoir le traiter avec sévérité car il va t’en faire baver. Vanessa sourit au compliment et assure qu’elle va bien gérer le dressage de ce jouet. Les deux garçons sont sidérés ils sont traités comme du bétail. Bon on va passer à table dit Vanessa et ensuite on va offrir des cadeaux aux jouets. Ça tombe bien j‘ai acheté trois kits pour cela et maintenant j’ai la technique n’est-ce pas Anna. Celle-ci à genou aux pieds de Vanessa opine du chef. Le repas est expédié et le premier jouet est installé très serré sur la croix de saint André. C’est Jonathan qui fait ce qu’il peut mais n’arrive pas à se libérer ni même à gêner les trois femmes qui l’ont garroté comme un poulet. Il ne peut s’empêcher de pousser un cri vite refréné par le collier lorsque son mamelon est transpercé par une aiguille provoquant une douleur intense. Le deuxième mamelon, le nez le gland et les deux couilles subissent le même sort. Il est tétanisé par la douleur et n’hésite pas à boire ce que madeleine lui propose en lui indiquant qu’il s’agit d’anesthésiant pour la douleur. Il est surpris de bander comme un âne un quart d’heure plus tard mais la douleur a légèrement diminué. Puis c’est le tour de Rodolphe et enfin d’Emilie. Les trois jouets sont prostrés par terre couché sur le côté avec les mains liés aux chevilles et une cagoule aveuglante sur la tête. Les trois femmes leur souhaitent une bonne nuit et quittent la pièce laissant les trois jeunes dans le pire des désarrois. Ils ont faim soif et souffrent de leurs multiples piercings. Ils ne dorment pas de la nuit. Le plus gênant c’est qu’ils ont une envie folle de baiser ils se tortillent pour espérer toucher quelque chose afin de se frotter le sexe contre. En se tortillant Emilie finit par toucher le corps de Rodolphe. Ils se tortillent ensembles et finissent par réussir à bouche à sexe. Heureusement qu’ils n’ont pas de bâillon. Ils se bouffent mutuellement et passent une bonne partie de la nuit à se faire jouir. Emilie n’a jamais reçu autant de sperme dans sa bouche mais ne peut s’empêcher de sucer. Jonathan a beau se tortiller cela ne le mène à rien et il doit attendre le lendemain avec une nuit peuplée d’érections massives. Le lendemain Anna qui est la première à entrer dans la salle trouvent les deux en position de 69 visiblement repus et le troisième avec une érection monstrueuse. Les autres femmes ne sont pas réveillées elle se prend de pitié pour lui et le branle vigoureusement. Il explose rapidement et peut enfin se calmer un peu. Ce que ne sait pas Anna c’est que Vanessa a tout vu et s’apprête à punir sévèrement cette dernière. Les trois femmes finissent par arriver dans la pièce pour continuer le dressage des jouets. D’abord la toilette. Les trois jouets sont emmenés à la douche et aux toilettes ou ils sont humiliés d’être torchés lavés étrillés récurés et frottés vigoureusement avec des serviettes rêches. Puis ils sont ramenés dans la toys room ou ils sont mis à genou en face du canapé. là Vanessa prend enfin la parole et leur dit. Maintenant on va voir si vous savez retenus la leçon d’hier et si c’est le cas vous aurez un petit déjeuner sinon rien à manger aujourd’hui et on recommence la leçon. Rodolphe résigné se met aussitôt à l’œuvre et lèche consciencieusement le sexe qui lui est présenté. Emilie et Jonathan se rebiffent et ont droit au martinet comme la veille jusqu’à ce qu’ils cèdent. Quelques minutes après la leçon ils entendent à côté d’eux Rodolphe qui mange comme un chien dans une gamelle au contenu émettant une odeur qui fait gronder l’estomac des deux rebelles. Le reste de la journée est consacré à l’apprentissage de nouvelles positions. Emilie est la plus rétives mais à la fin de la journée elle ouvre la bouche, tire la langue, arque ses épaules pour faire ressortir sa poitrine, se prosterne jusqu’au sol, écarte les cuisses en projetant son bassin en avant pour faire admirer son sexe qui exhibe ses anneaux de piercings. Elle est extenuée et ne cherche plus à résister. La seule chose qu’il lui compte c’est de faire ce qu’on lui demande en espérant en retour être caressée car elle a toujours le corps en feu avec ce que les femmes lui ont fait boire. Rodolphe et Jonathan ont cédés bien avant elle au grand bonheur des trois femmes. Enfin ils sont nourris et peuvent boire dans des gamelles ce qu’ils font sans demander leur reste. Pour l’instant aucun des trois n’a trouvé de moyen de s’échapper ou d’enlever ses liens mais ils ne désespèrent pas. Ils passent la nuit dans la même position que la veille mais ils sont accrochés à des anneaux ce qui les empêchent de se rejoindre pour se satisfaire mutuellement. A leur coté Anna passe la nuit sur la croix de saint André après avoir dû boire une double dose de stimulant. Elle passe une très désagréable nuit réveillée tous les quarts d’heure par le gode vibrant programmé par Vanessa. Il provoque systématiquement un orgasme bruyant qui énerve encore plus les trois jouets qui entendent les halètements qui reviennent tous les quarts d’heure. Trois semaines plus tard les trois jouets sont dressés et obéissent au doigt et à l’œil. Les deux garçons ont été sodomisés de nombreuses fois par Kevin ou par l’autre jouet et ont apprit à faire des fellations sans rechigner mais avec beaucoup de classe. Emilie lèche suce caresse embrasse sans se poser de question et elle finit par aimer se mettre dans des positions extrêmement excitantes. Martine est venue prendre des photos des nouveaux jouets et des deux anciens. Sidonie l’accompagne systématiquement et se lâche de plus en plus finissant systématiquement nue après avoir usé et abusé des jouets. Enfin les deux jouets à vendre sont emmenés chez madeleine pour être présentés à l’acheteuse et seul Jonathan qui a eu la faveur de Vanessa reste chez elle. Vanessa propose une dernière séance photos ou Sidonie sera la vedette. Celle-ci accepte volontiers et teste avec un entrain qui donne des idées sérieuses à Vanessa les positions et bondages des jouets. Finalement quand martine remballe ses appareils Sidonie est toujours nue sur la croix de saint André avec un bâillon et ouvre des yeux exorbités lorsque Vanessa dit à martine. Tu peux rentrer seule je garde Sidonie en stage pour une semaine. Je sais qu’elle est en congé cette semaine et elle va passer ses congés avec nous. Martine hésite puis se dit que ça n’est pas son problème et laisse Sidonie entre les mains de Vanessa. Vanessa dresse Sidonie avec la même sévérité qu’Anna. Sidonie a droit aux piercings sans anesthésie et à la fin de la semaine elle est aussi soumise à Vanessa qu’Anna qui voit cette concurrence d’un mauvais œil. Heureusement pour Anna et Sidonie la toys room de Vanessa est momentanément trop pleine et Sidonie est libérée en fin de semaine. Brigitte a rapidement pris rendez-vous pour venir voir les nouveaux jouets et les acheter s’ils conviennent. Elle en profite pour annoncer que si les filles ont d’autres jouets elle connait des acheteurs et acheteuses très intéressés. A suivre.
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Par : le 30/12/21
Madeleine chapitre 6 : la relation Anna Vanessa évolue. Anna à un sourire contrit. Elle ne sait pas comment faire pour utiliser Vanessa. Elle décide de prendre exemple sur Monique et madeleine et pour commencer estime que Vanessa sera chargée de satisfaire tous ses besoins et le premier c’est voir ou elle pourrait positionner son jouet pour qu’il soit décoratif. Elle s’ingénie à ligoter Vanessa dans des positions humiliantes. Elle commence par lui faire prendre une position couchée sur le dos les bras et les jambes liés ensemble et écartés au maximum pour que son sexe soit le plus offert possible. Sur les conseils de madeleine elle teste dans cette position différents godes vibrants et magic wand. Les réactions de Vanessa sont diverses entre le fou rire dû aux chatouilles et les gémissements lorsqu’Anna retire l’engin juste au moment où Vanessa allait jouir le tableau est plaisant. Ensuite elle la positionne à genou les mains sur la tête tenant un petit plateau pour déposer un pot de fleur. La position n’est pas difficile à tenir, il y a juste le vibro inséré dans ses entrailles qui empêche Vanessa de rester totalement immobile. Enfin elle teste le canapé et Vanessa à quatre pattes lui sert de repose pieds. Monique et madeleine rient des efforts d’Anna pour se montrer une bonne dominatrice elles lui disent qu’il y a encore du taf et qu’elle est trop gentille avec sa copine. Pour le repas du soir Vanessa sert sa nouvelle maitresse en y mettant de la conviction pour être à la hauteur des deux autres jouets. Enfin pour la nuit Anna peut disposer de la chambre d’ami en emmenant Vanessa avec elle. Tôt le matin Monique et madeleine entrouvrent la porte de la chambre d’ami et voient qu’Anna et Vanessa sont pelotonnées l’une contre l’autre sans aucune attache pour Vanessa. Lorsqu’Anna et Vanessa arrivent dans la cuisine pour le petit déjeuner l’accueil est convivial et Vanessa s’acquitte de sa tache de jouer avec servilité. Mais lorsque le petit déjeuner est terminé Monique et madeleine décide qu’Anna n’a pas été à la hauteur et qu’elle est trop douce avec Vanessa. Elles décident donc d’inverser les rôles. Anna est déçue mais effectivement la domination n’est pas son fort. Elle se dit que Vanessa va faire comme elle et n’est pas trop gênée. Vanessa qui ronge son frein depuis plusieurs jours n’a qu’une envie c’est de montrer à tous qu’elle peut être particulièrement efficace dans ce rôle. Elle essaye de cacher sa joie mais décide de surprendre tout le monde en se montrant particulièrement dure. Elle commence par ligoter Anna comme un saucisson de la tête aux pieds. Anna est couchée par terre et ne peut pas bouger du tout si ce n’est en rampant come un ver de terre. Vanessa la tire par les pieds pour que son corps soit parallèle au canapé. Puis Vanessa prend le martinet et ordonne à Anna de lui lécher les pieds. Anna hésite mais un coup de martinet la décide et elle se tortille pour arriver au niveau des pieds de Vanessa. Celle-ci lui ordonne d’y mettre plus de cœur et lui donne un coup de martinet. Anna fait ce qu’elle peut mais un autre coup la surprend. En larmes elle atteint enfin le pied de Vanessa avec sa langue et commence doucement à la lécher. Tu vas y mettre plus d’ardeur dit Vanessa en lui donnant un autre coup de martinet. Anna lèche avec frénésie. Elle ne veut plus recevoir de coup et y met toute son énergie. Les coups s’arrêtent. Puis quelques minutes plus tard Anna épuisée ralentie et aussitôt un coup de martinet la surprend. Je ne t’ai pas dit de ralentir petite chienne dit Vanessa avec colère. Anna replonge sa langue avec frénésie. Cela dure encore dix minutes et Anna est épuisée. Vanessa la repousse enfin durement avec les pieds et lui dit de rester là en silence sans bouger. Vanessa voit qu’une des croix de saint André est libre et décide d’y mettre Anna. Elle ordonne aux deux jouets de l’y mettre en serrant bien les liens et en mettant le bâillon boule. Quelques minutes plus tard Anna toujours en larmes est solidement attachée à la croix. Vanessa va chercher son sac à main et sort un kit de piercing qu’elle s’était acheté dans la semaine après avoir vu le corps orné de Magalie. Elle voulait l’utiliser sur elle mais l’occasion de s‘entrainer sur un autre corps lui est offerte. Anna qui a une cagoule sur la tête ne voit pas arriver Vanessa mais sent l’odeur de l’antiseptique. Elle sent qu’on lui triture un mamelon qui s’érige malgré elle. Le mamelon est pris par une espèce de pince. Soudain une douleur incroyable la tétanise. Vanessa vient de lui enfiler une aiguille en travers le téton à vif. Elle hurle dans le bâillon mais seul un gémissement étouffé est entendu. Puis elle sent que l’aiguille est remplacée par autre chose. Elle n’a qu’une crainte c’est que le deuxième sein y passe. Ce qui arrive quelques secondes plus tard. De nouveau la douleur est insupportable et elle crie autant qu’elle peut en vain. La douleur est lancinante. Elle avait bien pensé à se faire percer les seins mais pas dans ces conditions. Alors qu’elle reprend son souffle elle sent une main lui tâter le sexe. Elle s’affole car elle a les plus grandes craintes. Ses craintes sont justifiées car bientôt son clitoris est pris dans la pince. La douleur est encore plus grande que pour les seins. Bientôt Vanessa la laisse enfin tranquille. Elle pleure et la douleur est intense. Madeleine propose à Vanessa de faire boire un verre avec un sédatif pour la douleur. Elle ne précise pas qu’elle a mis de sa potion réservée aux femmes dedans. Anna boit avec circonspection le verre que Vanessa lui met dans la bouche. Après quelques minutes l’effet se fait sentir et Anna ressent moins la douleur. En revanche elle a envie de baiser ce qui la surprend. Vanessa voit qu’Anna va mieux. Elle la décroche de la croix de saint André et lui laissant toujours la cagoule elle la fait s’agenouiller face à elle assise dans le canapé. Un coup de martinet cingle les fesses d’Anna. Elle est surprise et tente sa chance en plongeant la tête vers l’endroit où elle suppose être l’entrecuisse de Vanessa. Celle-ci lui dit. Tu as bien compris ton unique but dans la vie est de me faire plaisir. Alors mets du tien petite chienne. Anna broute avec vigueur le sexe de Vanessa qui ronronne sous la caresse. Anna poursuit son œuvre pendant un temps qui lui semble infini. Vanessa somnole sur le canapé mais ne dispense pas Anna de lécher. Elle se réveille complétement lorsque madeleine annonce qu’il va être l’heure de l’apéritif et ordonne aux deux jouets d’aller le préparer. Vanessa fait stopper Anna et la détache complétement en lui enlevant la cagoule et le bâillon. Elle lui dit de se mettre face à elle en bombant la poitrine et en mettant ses mains derrière le dos. Anna hébétée s’exécute et peut voir l’air satisfait de Vanessa. Celle-ci la fixera pendant tout l’apéritif qu’Anna pourra juste regarder. Le repas se passe dans la cuisine mais Anna n’est pas conviée elle doit rester dans la position que lui a indiqué Vanessa. Après le repas Vanessa indique qu’elle veut faire une sieste et emmène Anna avec elle dans la chambre. La alors qu’Anna croyait que Vanessa allait relâcher la pression celle-ci lui met les menottes dans le dos et un bâillon boule. Anna est surprise et veut le faire savoir en gémissant dans son bâillon mais Vanessa lui assène deux coups de martinet en lui disant que désormais elle resterait son esclave pour toujours. Anna est sidérée et s’allonge au pied du lit sans rechigner quand Vanessa lui ordonne. Vanessa se couche et réfléchit à sa relation avec sa meilleure copine Anna. Elle n’a jamais autant jouit d’avoir tant de prise sur sa copine qui lui obéit au doigt et à l’œil. Anna de son côté se demande ce qui lui arrive. Elle est outrée d’être ainsi malmenée par sa meilleure opine, surtout l’épisode du piercing qui lui laisse une douleur diffuse lancinante mais en même temps elle aime être traitée comme cela. Elle sent une profonde chaleur dans tout son être et se demande si cela vient de la potion de madeleine ou de ce que lui fait subir Vanessa. Vanessa se sent forte et puissante. Elle a envie d’avoir plusieurs jouets mâles et femelles comme madeleine et Monique. Elle se voit dans une grand pièce réservée aux jouets exposées dans toutes les positions les plus humiliantes et suggestives possible. Ça l’excite au plus haut point et décide de continuer son rêve éveillé en chevauchant la bouche d’Anna qui s’applique à la faire jouir sans rechigner. Elle n’a pas les moyens dans son appartement actuel de créer une telle pièce mais si elle contraint Anna à vivre avec elle comme jouet elles pourront louer une plus grande maison avec la possibilité de faire une pièce d’exposition de jouets encore plus grande que celle de madeleine et Monique. Après un nième orgasme elle se relève et suivie de son nouveau jouet elle rejoint les deux femmes qui la félicitent pour son travail de dresseuse. Le reste du weekend se déroule à merveille pour Vanessa qui a gagné le respect des ainées et qui a gagner un jouet en prime. Elles quittent ensemble les deux ainées et au moment où Anna veut récupérer sa voiture, Vanessa la plaque contre la portière de la voiture et lui dit n’oublie pas que tu es mon jouet maintenant. Retourne-toi et enlève ta veste. Étonnée Anna se retourne enlève sa veste. Vanessa lui menotte les mains dans le dos, repose la veste sur les épaules d’Anna et la referme. Tu vas passer la nuit chez moi j’ai des grands projets pour nous. Anna ne veut pas faire d’esclandre et suit malgré elle Vanessa jusqu’à la voiture de cette dernière. Vanessa la force entrer dans le coffre et démarre la voiture. Anna dans le noir du coffre hésite entre la gêne et l’euphorie. Elle a kiffé être à la merci de sa copine qu’elle ne connaissait pas si perverse. Poursuivre un peu le jeu ne lui déplaît pas. Arrivées chez Vanessa celle-ci fait sortir Anna du coffre et l’emmène jusque dans son appartement ou dès l’entrée elle déshabille entièrement Anna. Tu seras mieux comme ça lui dit-elle. Il faut qu’on voie tes beaux piercings. Malgré elle Anna redresse les épaules pour mieux montrer ses seins ornés de deux magnifiques anneaux en or que madeleine à prêter à Vanessa. Vanessa lui laisse les mains attachées et elles passent la fin de la soirée dans le salon l’une assise sur le canapé et l’autre à genou face à elle occupée à la lécher. En fin de soirée Vanessa lui dit il faut qu’on habite ensemble. Comme ça je pourrais mieux profiter de toi. Anna ne sait pas quoi penser. Elle aime la situation présente mais elle n ne sait pas si elle veut aller plus loin. Elle se donne le temps de la réflexion et passe la nuit au pied du lit de Vanessa. Le lendemain très tôt les filles se lèvent. Il faut aller récupérer la voiture d’Anna et se préparer pour aller à leur travail respectif. Anna promet à Vanessa de revenir chez elle après le travail. Vanessa et Anna ont pris leurs marques. Chaque soir Anna passe rapidement chez elle pour le courrier et prendre des habits pour le lendemain et ensuite se rend chez Vanessa ou elles passent une soirée torride entre elles. Anna se laisse conduire par Vanessa qui assoit de plus en plus son emprise. Un soir Vanessa lui dit qu’elle a trouvé la maison idéale pour qu’elles habitent ensemble. Docile Anna libère son propre appartement comme Vanessa et trois mois plus tard elles emménagent dans la belle maison choisit par Vanessa. Anna n’a pas droit à une chambre. Le futon au pied du lit de Vanessa est suffisant et elle a droit à une minuscule partie du dressing de Vanessa pour ses propres vêtements. Sur les ordres de Vanessa elle ne porte plus de sous-vêtements et ne dispose que de quelques tenues très sexy qui attirent autant le regard des hommes que des femmes. Anna se sent désirée et sait que ça fait plaisir à sa maitresse. La plus grande pièce de la maison est transformée en toys room. Anna n’a pas le droit d’entrer dans cette pièce tant que Vanessa n’a pas fini de la réaliser. Anna se doute qu’il doit s’agir d’une pièce réservée à des jeux sexuels dont elle sera la victime. Elle est excitée par avance et a hâte de découvrir la pièce. Enfin la pièce est terminée Vanessa met un bandeau sur les yeux d’Anna et la fait pénétrer dans la pièce. Anna est désappointée car elle ne peut rien voir. Le sol est en parquet mais après quelques pas elle marche sur un tapis épais. Vanessa la retourne et la fait reculer. Son dos heurte une poutre en bois. Elle est adossée à une croix de saint André. Vanessa la ligote sur la croix et Anna doit passer la nuit-là sans rien n’avoir vu de la pièce. Le lendemain matin Vanessa la détache et la sort de la pièce avant de lui enlever le bandeau. Quelques semaines plus tard Vanessa dit à Anna : Ce soir je reçois du monde. Je compte sur toi pour bien te tenir. Anna est inquiète. Se balader nue et obéir à tous les ordres de Vanessa quand elles sont deux est très excitant mais elle n’a pas envie de s’exhiber devant des inconnus. Elle fait une grimace et Vanessa lui dit rasure toi ça se passera bien ce sont deux de mes copines. Anna n’est pas rassurée pour autant. Vanessa voit son visage chiffonné et lui dit de toute façon je ne te demande pas ton avis tu feras ce que je t’ordonne et c’est tout ce que tu dois penser. D’ailleurs on va répéter ta prestation. Le soir Sidonie et martine deux copines de Vanessa mais aussi d’Anna sonnent à la porte de la maison. Vanessa les accueille chaleureusement. Elle leur propose de prendre l’apéritif ensemble avant de visiter la maison. Les deux filles suivent Vanessa dans le salon. Anna n’est pas là demande martine. Si répond Vanessa elle prend la pose pour la première photo. Martine qui est photographe professionnelle a, sur la demande de Vanessa, emmené son appareil photo. Elle dit : Mais on ne va pas la laisser tenir une pose pendant qu’on prend l’apéritif. Pas de problème la position n’est pas fatigante tu verras dans quelques minutes. Martine attend, impatiente de voir dans quelle pose sera Anna pour la première photo. Les trois filles prennent un verre en devisant sur leurs conquêtes respectives et Vanessa leur dit qu’elle aimerait bien se trouver un garçon pour elles seule. Finalement Vanessa leur propose d’aller voir Anna pour faire la première photo. Elle leur dit que c’est une photo un peu particulière et qu’elles vont être surprises. Martine et Sidonie sont impatientes de voir ça. Vanessa au moment d’ouvrir la porte de la toys room leur explique que c’est une pièce destinée aux jeux entre Anna et elle mais qu’elle est ouverte à d’autres volontaires. Puis elle ouvre la porte et les filles pénètrent dans une pièce entièrement dédiée au bondage. Là elles n’ont pas le temps de voir tous les accessoires car face à elles, Anna est exposée ligotée sur une croix de saint André. Elle est nue juste ornée de bijoux sur les seins et avec un bandeau sur les yeux et un bâillon boule qui la fait un peu baver sur son corps. Vanessa leur dit. Au fait je ne vous l’ai pas dit mais Anna est ma propriété désormais. N’est-ce pas Anna. Celle-ci hoche la tête. Les filles sont abasourdies. Elles s’approchent d’Anna et contemplent le corps magnifique de celle-ci. Elles ont presque envie de toucher la peau appétissante sur laquelle perle un peu de sueur. Voilà dit Vanessa je voudrais mettre quelques photos d’Anna sur les murs de cette pièce. J’aimerais qu’elles soient grandeur nature. Ça donnera de la chaleur à la pièce. Tu te sens capable dit-elle à martine qui est toujours estomaquée. La professionnelle reprend le dessus et martine répond qu’elle peut faire de belles photos. Elle se propose d’aller chercher le trépied et quelques accessoires de prise de vue dans la voiture. Pendant qu’elle est partie Sidonie demande à Vanessa comment elle a pris possession d’Anna. Celle-ci lui raconte leur expérience chez madeleine et Monique en omettant la tentative d’enlèvement avortée et lui dit que c’est venu naturellement entre elle et Anna. Sidonie lui dit moi je n’aimerai pas être un jouet ou une esclave de quelqu’un. Tu n’as jamais essayé lui répond Vanessa tu es peut être une dominatrice qui s’ignore ou une esclave qui n’a pas trouvé son maitre. Sidonie reste songeuse. De quel côté aimerait elle se retrouver. Elle n’a pas de réponse mais trouve la position d’Anna très excitante. Martine revient. Elle installe son appareil et prend plusieurs photos d’Anna. Vanessa décide de faire une autre pose. Elle décroche Anna de la croix et la mets à genoux sur une table basse avec les bras tendus en hauteur accrochés par une chainette à un anneau fixé au plafond. Martine prend des photos avec ou sans bâillon. Puis la position suivante est à genou les mains derrière la tête et les épaules arquées pour faire ressortir la magnifique poitrine d’Anna. Les genoux sont bien écartés pour laisser apparaitre l’anneau d’or qui travers le clitoris d’Anna. Sidonie aide Vanessa à positionner et ligoter Anna. Elle frôle plus que besoin la peau d’Anna et ressent une profonde excitation. Enfin après plusieurs positions Vanessa décide de faire une photo de couple avec elle assise nue sur le canapé les jambes écartées et Anna à genou face à elle le visage plongé dans l’entrejambe. Martine essaye de rester pro mais ressent un profond trouble en voyant la scène. Sidonie qui continue à aider plus que de besoin Vanessa fini par dire qu’elle aimerait bien être à la place de celle-ci. Vanessa lui propose alors de la remplacer et de faire quelques photos avec elle. Sidonie hésite et Vanessa lui dit que ce genre d’occasion ne se présente pas tous les jours. Sidonie finit par craquer et se déshabille en un tournemain. Elle est bien foutue et Vanessa se dit qu’elle l’ajouterait bien à sa collection. Sidonie prend la place et les lèvres d’Anna touchent son sexe humide. Aller Anna fait ton boulot ordonne Vanessa. Après quelques secondes d’hésitation Anna commence à lécher Sidonie qui grimpe rapidement aux rideaux. Martine est en sueur et son regard est fixé sur la scène qui se déroule devant elle. C’était la dernière prise. Sidonie se relève à contre cœur et Anna reste dans sa position attendant le prochain ordre de Vanessa. Celle-ci fait signe à martine de prendre la place encore chaude de Sidonie. Martine dit non mais Sidonie lui dit tu devrais en profiter c’est magique. Vanessa l’encourage de la main et finalement martine craque aussi et se retrouve assise sur le canapé en se disant qu’elle faisait ça pour ne pas avoir l’air bloquée devant ses copines. La bouche et la langue d’Anna sont démoniaques et elle en profite merveilleusement. Finalement ça valait le coup. Vanessa sonne la fin du jeu et propose aux filles de passer à table. Celles-ci sortent à regret de la pièce et se dirigeait vers la salle à manger tandis que Vanessa détache Anna et l’embrasse pour son comportement magnifique. Elle rejoint les convives et elles passent à table. Quelques minutes plus tard Anna habillée en soubrette vient les servir. Sa tenue ne cache rien elle a un minuscule tablier sur le nombril et un soutien-gorge qui ne fait que souligner le bas de ses seins qu’il expose aux regards. Des talons aiguilles interminables lui font des mollets galbés magnifiques et un petit collier en tissus autour du coup et un bâillon boule complètent la tenue. Anna aime le regard envieux des deux filles qui sont surement jalouses d’elle et de Vanessa. Elle fait le service en silence et accepte avec joie les caresses que Vanessa lui donne chaque fois qu’elle la frôle. La soirée est presque plus normale et les filles prennent un dernier verre dans le salon ou Anna se tient à genou aux pieds de Vanessa. Lorsqu’elles repartent les deux filles sont déçues de quitter le couple qui les a fortement marquées. En leur for intérieur elles se demandent si elles n’aimeraient pas être à la place de l’une des deux hôtesses même si en discutant elles affirment ne pas être intéressées. A suivre.
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Par : le 27/12/21
La Checklist BDSM est un outil d’expression pour connaître les possibilités du dominé Accessoire indispensable au Maitre ou à la Domina, la Checklist BDSM est un outil de travail à mettre en place dans toutes relations sexuelles SM et BDSM. Elle permet de se connaître mutuellement et de jouer en respectant les envies, les désirs et les limites de chacun. Chaque protagoniste a des fantasmes et des possibilités qui lui sont propres. Il a également des devoirs et obligations afin que la relation D/s soit aussi enivrante qu’enrichissante. Plus qu’une lecture coquine, cette check list est le recueil des envies et possibilités de l’esclave. C’est le seul moyen connu pour laisser libre expression à la soumise ou au soumis en ce qui concerne ses goûts et dégoûts pour toutes les activités sexuelles qui peuvent entrer dans une relation Dominant /soumis. Aussi indispensable que le contrat BDSM, cette liste non exhaustive est mise en place simultannément au modèle de contrat BDSM afin d’asseoir toutes les pratiques pouvant être effectuées avec la personne dominée. En cas de pluralité d’esclave, chacun a la sienne qui lui reste propre. La future partenaire s‘oblige à remplir le plus honnêtement possible chacune des colonnes en gardant l’esprit libre de ses réponses. Le Maitre n’est pas autorisé à juger, il prend simplement note des indications pour concrétiser les jeux érotiques en fonction de celles-ci. Parfaite pour mettre à nu les sentiments profonds vis-à-vis de certaines pratiques SM et sexuelles, le partenaire répond au questionnaire avec franchise et rigueur en ayant pleine conscience de ce qui lui est demandé. Checklist BDSM, un accessoire intime évolutif et ludique Essentielle, la Checklist BDSM reste un pilier majeur de la relation erotique liant la Maitresse et son esclave. Souvent, le Dominant remplit lui aussi le même document pour dévoiler ses envies et attentes, mais certaines soumises attestent que cela enlève parfois un peu de piment et de mystère à la relation. Associée à un univers sexuel empli de confiance, elle n’a de reste d’être en constante évolution avec l’âge, les mœurs et la pratique. Bien entendu, une fois remplie, la checklist BDSM ne doit pas être prise comme une liste de pratiques à faire immédiatement, les unes après les autres. Elle ponctue plutôt le chemin de l'évolution de la personne dominée. Une soumise peut toujours, avec l’accord de son Dom, ajouter ou exclure des agissements contenus dans la liste initialement mise en place. Celle-ci n'est jamais figée ou statique mais évolutive pour le plaisir des partenaires. La Checklist BDSM doit être mise à l’étude pendant des moments de repos où l’élève prend son temps pour répondre et analyser. Une fois terminée, elle est relue autant que nécessaire pour s’assurer de ses choix et apporter les corrections voulues. Une fois dans les mains du Dominant, elle lui ouvre cérébralement toutes les portes du désir pour mettre en place lors de séances ou de jeux extrêmes propices à la satisfaction de la soumise. La Checklist BDSM est le lien direct entre la soumise et son Maitre La Checklist BDSM se doit d’être simple et compréhensible de tous. Si un doute survient, le soumis doit demander conseil à sa Maitresse. La check est bien entendu rédigée dans la langue de l’esclave. Elle est le lien direct entre les participants et sa présence rassure afin que les pratiques choisies par le Dom soient en adéquation avec le plaisir du dominé. Un document unique et personnel qui vous suit dans toute votre sexualité BDSM. Une façon de se dévoiler qui à prendre au sérieux et qu’il faut éditer avec attention. Le Maître et la Maîtresse sont guidés par cette liste dans toute approche, démarche et choix BDSM. Pour vous aider dans votre démarche notre magasin, vous propose une checklist BDSM et son mode d'emploi. Il va de soi que chacun doit l'adapter en fonction du contexte. Pour un BDSM soft certains paragraphes sont à supprimer. Pour des jeux plus extrêmes, chaque ligne à son importance. L'usage et toute utilisation de cette checklist BDSM gratuite ne saurait en aucun cas relever de la responsabilité du sexshop ilxelle. Elle s'adresse à des personnes majeures, responsables et consentantes qui peuvent l'utiliser en usage privé. Checklist BDSM mode d’emploi Pour remplir votre check-list, notre sexshop BDSM vous conseille d’apporter les annotations nécessaires à chaque colonne. 1. Dans la première colonne, se trouve la mention "Essayé". Vous annotez : • O comme Oui si vous avez déjà essayé • N comme Non si vous n’avez jamais essayé • SO comme Sans Objet si vous estimez ne pas être concerné. 2. La seconde colonne de la Checklist BDSM est une ressource pour connaître votre degré d’envie. Une notation de 0 à 5 permet à votre Maitre ou Domina de vous situer dans votre désir. Vous annotez : • 0 - vous n’en avez pas envie • 1 - la pratique vous indiffère • 2 – vous avez une envie faible • 3 – vous aimez • 4- vous aimez beaucoup • 5 – vous ne pouvez vous en passer 3. La troisième colonne est un indicateur de difficultés. La graduation de 0 à 5 permet à la Maitresse ou au Maître de connaître votre réticence à effectuer une pratique sexuelle. Vous annotez pour cette colonne : • 0 – trop difficile. Impossibilité pour l’instant. A revoir ultérieurement avec plus de pratique ou jamais. • 1 – très difficile mais faisable avec progression, pas d’un seul coup • 2 – difficile mais réalisable • 3 – assez facile • 4 – facile • 5 – ne pose aucun problème Prévoyez un long moment de tranquilité avant de commencer et bonne analyse de vos désirs ! ;) Exemple de checlist BDSM Essayé Envie Difficulté Observations Abrasion de la peau Adoration de la chatte Adoration des bottes Adoration des mains Adoration des pieds Adoration des talons hauts Adoration du pénis Agacement sexuel ou teasing Anuslingus Asphyxie Attache bras dans le dos levés Attache debout bras écartés Attache debout bras levés Attache sur tréteau Baguette ou badine Bâillon Bâillon avec tape bondage Bâillon Ball Gag ou harnais Bâillon en tissus (linge ou sous vetement) Bandeau sur les yeux Barre d'écartement Bestialité Bondage avec barre Bondage avec cordes Bondage avec sangles Bondage difficile Bondage léger Bondage Shibari Bondage sur longue période Boule Quiès Brosse à cheveux Brûlure au fer rouge Cage Cage de chasteté Cagoule Camisole de force Canne rigide Canne souple Carcan stocks Ceinture de chasteté Chaîne Changement de nom Chatouilles Chiot humain Cire chaude Claques au visage Claques aux seins Collier en cercle privé Collier porté en public Contrôle orgasmique Correction douce Correction dure Corset Corvée domestique Cravache Crochet anal Dilatation Domestique ou bonniche Dormir attaché Échangisme Égratignures Electrosexe Emprisonnement Enfantilisme Épilation à la cire Épilation complète Épingle à linge Etirement des testicules ou ball stretching Étouffement Étranglement Examens medicaux Exercice physique forcé et obligé Exhibitionnisme Exhibitionnisme avec des amis Fantasme de viol Fantasme de viol par un groupe Féminisation forcée Fessée Fessée avec accessoires Fessée avec martinet Fessée sur les genoux Fétichisme Fisting Fouet à lanière Fouet de dressage Fouet single tail Fouettage de la chatte Fouettage des seins Fouetter le corps entier Fouetter le dos Fouetter le penis Fouetter le ventre Fouetter les cuisses Fouetter les fesses Fouetter les mollets Gifle Glaçon Gode ceinture Harems servitude avec d'autres soumises Harnais cuir Harnais d'orgasme forcé Harnais en corde Hommage avec la langue Homosexualité forcée Huiles érotiques Humiliation Humiliation en privé Humiliation en public Humiliation verbale Injection Interrogatoire Jeu de groupe Jeu de rôle Jeu d'urine Kidnapping Lavement anal Ligotage des seins Ligotage japonais Ligotage léger Ligotage par Sarah wrap Lutte Marquage au fer rouge Massage Masturbation avec les seins Masturbation forcée Menottes cuir Menottes en sangle Menottes métal Menottes pour pouces Mise au coin Mise aux enchères Model pour photo érotique Mors de cheval Morsure Nudité forcée Nudité partielle ou complète imposée Obéir aux ordres Orgie Pénétration double Pénétration triple Perçage temporaire Piercing Pilori Pinces à linge sur le corps Pinces aux seins Plug anal Poids pour seins Pose de cathéters Position à genou Privation de sommeil Privation sensorielle Privation sexuelle Prostitution fantaisiste ou réelle Rasage Restriction de parole Restriction des contacts visuels Rites d'initiations Scarification Scatophilie Scène de prison Scène extérieure Scène filmée Scène médicale Scène religieuse Se faire battre doucement Se faire battre durement Se faire battre par une canne Se faire choisir la nourriture Se faire choisir les vêtements Se faire donner à une autre personne dominante Se faire donner la morale Se faire imposer de la nourriture Se faire imposer des vêtements/sous-vêtements Se faire mordre Se faire servir sexuellement Se faire vendre à une autre personne dominante Sermon, leçon en cas de mauvaise conduite Servir comme mobilier, pièce d'art Servir comme toilette Servir comme un poney servir oralement Servitude forcée Servitude imposée Sexe anal Sexe génital Sexe par téléphone Spéculum Strapping Suspension Suspension bras attachés derrière Suspension en position debout Tatouage Tenue en laisse en cercle restreint Tenue en laisse en privé Tirer les cheveux Tirer ou tordre les parties génitales Tirer ou tordre les tétons Uniforme Vêtement de latex Vêtement de lycra Vêtement érotique Vêtements osés en cercle restreint Vêtements osés en privé Voyeurisme
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Par : le 26/12/21
Maitresse Lucy m'a désigné une croix de Saint Andre. Je m'en suis rapproché. Elle m'a retiré les menottes aux poignets et les a attaché à la croix. J'étais donc le ventre contre la croix à offrir mon dos et mes fesses au premier venu. Après m'avoir bien attaché, Maitresse Lucy est partie dans mon dos de facon à ce que je ne puisse plus la voir. Je n'avais donc aucune idée de ce qui allait arriver. - " Tu es novice, je crois, donc je vais y aller doucement pour commencer" - "Merci Maitresse" Je ne savais pas ce qui allait se passer mais je commençais à être excité quand même. Un premier coup de fouet s'est abattu sur mon dos : mélange de surprise et de douleur. Je n'ai pu retenir un petit cri de surprise. - "Tu aimes bien ?" - "Oui maitresse" - "Très bien, continuons". Les coups ont continué de pleuvoir sur mon dos pendant plusieures longues minutes. La douleur était de plus en plus forte et le plaisir aussi. Je sentais mon sexe se redresser mais la cage empêchait toute érection. Au bout d'un moment, Maitresse Lucy m'a délivré et m'a poussé vers un autre coin de la pièce. Elle m'a désigné un morceau de bois suspendu au plafond. - "Met ta tête et tes mains ici" Je me suis executé sans discuter. Maitresse Lucy a posé un autre morceau de bois au dessus de ma tête, m'immobilisant complètement. - "J'ai commencé gentiment, maintenant on va passer à la vitesse superieure". - "Comme vous voulez, maitresse" - "Dis donc, tu es très poli, c'est bien" - "Merci maitresse" - " Mais ça ne va pas durer" Immobilisé dans le carcan, je ne pouvais pas bouger. J'ai senti alors un liquide froid dans le bas de dos, vers mon anus. Je n'ai pu retenir un petit cri de surprise. - "Ne t'inquiètes pas" m'a dit Maitresse Lucy. C'est pour que tu es moins mal. A suivre..
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Par : le 14/12/21
Immobilisée au sol, dans une position non confortable et qui plus est n'était pas celle demandée. Voila sa situation. Pourtant, elle avait essayé de se relever, toujours sans succès. La porte battait toujours legerment au rythme des courants d'air provoqués par l'ascenseur du couloir alors que le lampadaire clignotait parfois, brisant le fin rayon de lumière qui pénétrait dans la chambre. C'était stressant oui, mais jamais elle n'avait été autant excitée. Ce n'était pas de l'excitation cela lui arrivait sans cesse lorsqu'elle voyait un homme attirant ou qu'elle s'apprêtait à s'élancer dans des ébats. Non, c'était autre chose, une excitation interdite, presque mystique. Elle n'arrivait à penser à rien d'autre qu'à la réaction de l'homme qui allait rentrer par cette porte et à si ca serait bien l'homme auquel elle pensait et non un parfait inconnu. Et pourtant, elle savait au fond d'elle meme que rien ne pouvait lui faire regretter d'être venue. Elle mouillait, évidemment, plus qu'elle n'avait jamais mouillée, mais son excitation ne venait pas de ses parties intimes, elle venait de sa tête, de ses poignés menottés, du collier qui à chaque instant serrait un peu plus son cou. Elle venait de cette boule au milieu du ventre qui lui disait fuit, elle venait de la chaine qui la reliait au sol qui lui répondait que c'était impossible de fuir. Elle lui venait de cette porte qui a tout moment pouvait s'ouvrir. Le temps passa, elle aurait pu s'endormir si l'inconfort de la position ne lui avait pas ôté toute envie. Elle entendait l'heure tiquer, elle sentait la lune continuer dans le ciel derriere elle, la vie continuait et elle était coincée dans cette chambre, à la merci d'une porte capricieuse. 40 minutes passèrent, 50? Elle n'en savait rien. Toujours est il qu'a un moment donné des bruits de pas se firent entendre. Des pas lourds mais délicats, étouffés par la moquette de l'hotel. Soudain, les bruits s'arrêtèrent devant la porte. L'ephemere moment sembla durer une heure, comme suspendu à une seconde d'insouciance, à une minute de questionnement. Alors la porte s'ouvrit. La curiosité s'emballait, elle voulait voir qui était là, si c'était celui qu'elle attendait. Cela faisait des heures qu'elle n'attendait qu'une chose, voir le visage qui passerait cette porte. Et pourtant, ses yeux ne lui obéissait plus, pas plus que son cou ou que ses muscles. Son regard se figea dans un trait du motif de la moquette rouge et elle ne pouvait lever sa tete. Elle le voulait, mais c'est comme si son corps disait inconsciemment de regarder le sol afin de ne pas défier du regard celui auquel elle avait déjà désobéis. Les pas reprirent et le regard demeura figé jusqu'à ce qu'elle sente le froid d'une semelle se poser sur son cou, à moitié sur son collier et à moitié sur sa peau frère et refroidi par l'atmosphère hivernal. Elle n'était plus rien et elle était tout. Son collier l'avait transformer. Elle ne craignait plus la punition, elle voulait garder son visage figé dans ce trait noir désiré sur la moquette rouge pour l'éternité, dans le simple but de LUI offrir sa personne. Il dit alors "Il y'a eu un petit problème de position si je ne m'abuse" -------------- Partie 2 du texte, faites moi un retour et dites moi si vous voulez une partie 3 Partie 1: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#1/ Partie 2: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#2/ Partie 3: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#3/ Partie 4: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#4/
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Par : le 08/12/21
Voila le jour tant attendu. Elle est maintenant devant la grande facade blanche de l'hotel parisien. Elle hésite une dernière fois et se décide à rentrer. Elle se dirige vers l'accueil et demande la carte de la chambre 112. L'homme en uniforme lui donne d'un geste de la main en professant un "bon séjour parmi nous". Sans un mot, elle prend la carte et se dirige vers l'escalier en granite et le monte deux marches à la fois en prenant soin à ce que personne ne remarque ce qu'elle porte sous son grand manteau noir qui volète sur les cotés. Elle arrive devant la porte. Elle toque inutilement. Pas de réponse, elle le savait. La jeune femme insère alors la carte dans l'encoche et pénètre dans la chambre. La porte se referma timidement derrière elle et la chambre est désormais plongée dans le noir, à l'exception de la lumière diffuse que le réverbère fais rentrer à travers les voiles. Elle insère la carte afin d'activer l'éclairage. Elle découvre alors trônant au centre de la piece le materiel dont lui avait parlé l'Homme, celui qui lui avait donné rendez vous ici, celui qui lui avait donné la liste de consigne qu'elle avait mémorisée, celui qui l'avait introduit à la domination et qui aujourd'hui commencerait son dressage. Elle prit le collier posé à terre et le passa autour de son cou. A l'avant, un cadenas le verrouillait. Elle chercha la clef des yeux avant de les poser sur les autres objets. Aucun n'avait de clé. Une fois qu'elle avait fermé les cadenas, seul LUI pouvait la libérer. Elle hésitat avant d'appuyer sur le cadenas et se rappela ce qu'IL lui avait dit "tu hésiteras, mais la mouille coulant de ton vagin te rappellera pourquoi tu es là". Il avait dit vrai. Elle n'avait pas besoin de vérifier pour sentir son entrejambe mouiller plus qu'elle ne l'avait jamais été. Elle ferma donc le cadenas. Enleva son grand manteau, relevant au miroir, seul autre occupant de la chambre libre sa tenue. Porte Jaretelle et corset, tel qu'IL l'avait demandé. Elle se posa sur les yeux le bandeau présent à sa disposition et place ses mains dans des menottes attachées à une barre à même le sol, l'immobilisant désormais complètement. Quelques minutes passèrent et soudain, aveuglée et immobilisée, une révélation lui vient. Elle n'avait pas entendu la porte claquer. Etait elle fermée? Elle ne le pensait soudain plus. Elle s'était refermée, c'était certain mais était elle complètement fermée, elle n'en savait plus rien. Elle se tourna alors dans tous les sens pour arriver à enlever le bandeau. Après 10 minutes de combat avec les menottes elle tomba à la renverse et était dans l'impossibilité de se relever. Elle finit cependant à réussir à retirer le bandeau pour s'apercevoir avec horreur que la porte n'était pas fermée... Une ouverture s'agradissait et se rétrécissait aux mesures des courants d'airs. Alors elle réalisa que la situation était plus déséspérée encore. Non seulement n'importe qui pouvait entrer désormais mais quand IL arriverait, s'il arrive, il la trouvera sans bandeau et pas dans la position demandée... Elle allait commencer son dressage par une punition... _____ La suite: Partie 1: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#1/ Partie 2: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#2/ Partie 3: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#3/ Partie 4: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#4/
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Par : le 12/11/21
Maitresse Sylvie m'a conduit vers une grande porte. Elle l'a ouverte et m'a forcé à entrer. Dans cette pièce se trouvait, contre le mur, une grande cage, comme une cellule, toute en longueur. Elle devait bien faire 7 mètres de long mais seulement 2 mètres de large. A l'intérieur se trouvaient plusieurs personnes, debout, nues pour la plupart. Maitresse Sylvie me tira vers la porte de cette cage collective. - "Rentre là dedans !" m'a-t-elle ordonné en décrochant la laisse du collier et me poussant à l'interieur. "Ici, interdiction de s'asseoir ou de parler à qui que ce soit. Baisse la tête et attends qu'on vienne te chercher." Elle a refermé la porte derrière moi et s'en ai aller sans se retourner. Je me suis retrouvé donc dans cette cage avec d'autres personnes. Je pris un moment pour observer mes compagnons de cellule. Il y a avait des hommes et femmes nus, en harnais noir pour certains, en combinaison latex pour d'autres. Ils regardaient tous le sol sans prêter attention à mon arrivée. J'avançais lentement dans la cellule, mes menottes me gênaient et faisaient du bruit à chaque mouvement. Au fond de la cellule se trouvait une soumise menottée aux barreaux, le dos rouge, marqué par de nombreuses marques sans doutes faites par un outil particulièrement douloureux. Je me suis collé contre le mur en me demandant comment j'avais pu en arriver là et surtout ce qui allait arriver ensuite... A suivre...
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Par : le 30/10/21
Je me décidai à avancer. Je n'étais pas venu jusqu'ici pour me dégonfler. Je suis entré dans le château par la porte centrale. Je suis arrivé à l'accueil derrière lequel se tenait une femme d'environ 40 ans, grande, brune. - Bonjour, ais-je dis timidement. -Bonjour monsieur, entrez ! M'a t elle  répondue avec un grand sourire. Votre nom, s'il vous plaît ? - Xavier -Ah oui, c'est votre première fois chez nous je crois. Je vois que vous n'avez pas de bagages comme demandé. C'est parfait. Suivez moi, nous allons commencer. Au fait, moi, c'est Sylvie. Je l'ai suivie jusqu'à ce qu'elle s'arrête devant une porte. - Je vais vous demander d'entrer ici, de vous déshabiller et de mettre votre cage. Je reviens dans quelques minutes. J'ai été un peu surpris de cet ordre assez inattendu et sans préparation. Sans un mot, je suis entré dans cette pièce dont elle a refermé la porte derrière moi. La pièce ne devait pas faire plus de 3 ou 4 m². Pour tout meuble, un banc longeait le mur de droite. Un panneau accroché au mur a attiré mon attention : "Laissez ici tout effets personnels, dignité, humanité ou libre arbitre". Le ton était donné. Encore sonné par cette entrée en matière étonnante, j'ai retiré mes vêtements, ma montre, vérifié la cage de chasteté et me suis assis sur le banc. Quelques secondes plus tard, Sylvie est revenue. - C'est bien, vous êtes efficace à ce que je  vois. Maintenant, à genoux sur le banc, les mains derrière la tête. Je voulu l'interroger sur la suite des événements mais elle a ajouté : - Allez ! Plus vite que ça ! Je me suis exécuté. Sylvie m'a attaché un collier terminé par une laisse autour du cou ainsi que des menottes aux chevilles. - Les mains dans le dos ! m'a t-elle ordonné. Elle m'a menotté également les poignets et a attaché les deux paires de menottes entre elles avec une longue chaine. Je l'ai vu mettre mes affaires dans un casier ouvert puis elle s'est saisie de la laisse. D'une pression, elle m'a entraînée dans un couloir. Je suis passé devant une porte : "animaux domestiques". - Excusez moi, Sylvie mais je croyais que les animaux étaient interdis. - Maintenant, c'est Maitresse Sylvie et tu ne parle plus tant que quelqu'un ne t'en a pas donné l'autorisation, c'est clair ? C'etait clair. Je me suis tus. C'était vraiment incroyable. J'étais là bas depuis 20 minutes environ et j'etais déjà nu, en cage de chasteté et menotté, à suivre une femme que je ne connaissais pas vers un destin sans doute pas des plus joyeux. Et pourtant, j'avais hâte... A suivre...
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Par : le 15/10/21
Chapitre 2 : Monique remplace Madeleine. Malheureusement un incident vient ternir le bonheur de Madeleine. Elle doit absolument suivre une formation de mise niveau pour son taf. Cette formation dure une semaine et a lieu à l’autre bout de la France. Elle ne peut pas laisser son jouet seul pendant huit jours. Si elle lui laisse trop de champ libre il arrivera à s’évader si elle le ligote trop il pourrait lui arriver malheur. Elle réfléchit à ce problème quand elle reçoit un appel téléphonique de Monique sa meilleure amie. Celle-ci est délurée et doit beaucoup à Madeleine qui l’a déjà sorti de grosses galères par le passé. Monique devine à son ton que Madeleine est anxieuse. Elle lui demande ce qui ne va pas et l’assure qu’elle peut compter sur elle pour tout ce qu’elle veut. Madeleine réfléchit vite et se jette à l’eau. Oui j’ai un petit problème je dois aller en formation une semaine mais il faut absolument que quelqu’un s’occupe de mon nouveau jouet à la maison. Monique est intriguée. C’est quoi ce nouveau jouet qui nécessite qu’on s’occupe de lui pendant ton absence ? C’est compliqué dit Madeleine. Mais il faut quelqu’un en qui j’ai absolument confiance car ce n’est pas très légal. Monique est curieuse. Tu sais que tu peux tout me dire je te dois tout et j’irai en enfer pour toi. Madeleine lui répond c’est presque ça. Tu dois me jurer que tu garderas le silence absolu sur ce que tu verras. Monique est étonnée mais aussi très curieuse et lui jure de garder le silence. Bon vient passer le weekend à la maison je te montrerai mon jouet et comment il faut s’en occuper. Attend toi au choc de ta vie. Monique trépigne d’impatience. Le samedi midi elle rejoint Madeleine qui quitte son taf et elles cheminent ver la maison de Madeleine. Monique la bombarde de question. Madeleine gênée finit par lui dire que c’est très hot. Monique est toujours impatiente mais en même temps elle est maintenant excitée. Un beau male ? Elles arrivent à la maison. Madeleine entre et dit à voix haute : Ta maitresse est rentrée mon petit jouet j’espère que tu es en forme. Monique est interloquée mais personne ne répond à Madeleine. Celle-ci invite Monique à la suivre dans le salon. Là Monique est sidérée. Un jeune homme est à genou sur la table du salon il est attaché comme un saucisson et montre une érection monumentale. Je te présent mon jouet dit Madeleine. C’est de ça que tu devras t’occuper pendant mon absence si tu veux bien. Monique ne sait pas quoi répondre. Madeleine voit qu’elle est perturbée et l’invite à s’assoir sur le canapé. Monique s’assoit et accepte volontiers le verre d’alcool que lui propose Madeleine. Monique reprend enfin ses esprits. Raconte-moi comment il est arrivé ici. Demande-t-elle. Madeleine lui raconte la soirée ou Kevin a tenté d’abuser d’elle pour lui refourguer une assurance bidon. Puis la façon dont il se comportait comme si il était chez lui. Et finalement l’idée du laxatif qui s’est transformée en somnifère. Et depuis il est à la disposition sexuelles de Madeleine pour tous ses besoins. Monique reprend peu à peu une contenance et s’enhardit à contempler le joli corps imberbe jusqu’au dernier poil pubien. Elle se lève et tourne autour de Kevin. Il a quelque chose dans le cul dit-elle. Oui répond Madeleine il doit toujours être offert à sa maitresse cul inclus. Monique a fini le tour et s’approche du pénis de Kevin. Je peux toucher ? Bien sûr tu verras il est bien dur. Monique prend le pénis dans la main et constate qu’il est tendu comme un arc. En plus Kevin ondule sous la caresse. Il réagit vite dit Monique. Oui il aime qu’on le malaxe de ce côté-là. Si j’osais j’y mettrais la bouche dit Monique ragaillardie. Vas-y. Ce n’est pas lui qui dira non. Monique se penche et ouvre grand la bouche pour avaler le chibre palpitant de Kevin. Elle fait quelques allers-retours et s’arrête avant que Kevin n’explose. Il a une super bonne queue ton jouet. Madeleine est aux anges. Monique a l’air de décoincer rapidement. Tu veux voir ce qu’il sait faire avec sa langue dit Madeleine. Monique dit oui sans hésiter. Je vais te montrer comment on le descend de sa position favorite en toute sécurité dit Madeleine. Elle détache Kevin du plafond et lui remet les menottes dans le dos. Elle accroche la laisse au collier et le fait descendre par terre ou il se retrouve à genou. Il n’a pas le droit de se lever. Il doit tout faire à genou ou à quatre pattes. Je vais enlever son bâillon. Elle enlève le bâillon de Kevin qui commence à crier pour qu’on le détache. Quelques coups de martinet fusent. Il finit par se taire. Tu vois il essaye parfois de se rebeller mais il finit par comprendre avec quelques coups de martinet. Elle lui donne l’ordre de lécher ses pieds. Kevin s’exécute. Monique est pensive. Il est costaud il n’a jamais réussi à s’échapper demande t’elle. Non il faut bien suivre le protocole pour changer ses liens. Je t’expliquerais tout ça mais pour l’instant profitons de sa langue. Elle s’assoit sur le canapé et guide Kevin jusqu’à son entrejambe. Là il commence un cunnilingus. Monique est troublée et voit que Madeleine est prête à exploser. Il a l’air doué. Oui dit Madeleine en reculant la tête de Kevin. Tiens prend la laisse et viens t’essayer. Monique s’assoit à coté de Madeleine et prend la laisse. Doucement elle approche la tête de Kevin de son sexe et finalement il commence à la brouter avec vigueur. En quelques secondes elle est au septième ciel. Il est doué le bougre. Maintenant les deux femmes ont bien profité de la langue de Kevin. On peut en profiter en même temps dit Madeleine elle reprend la laisse et couche Kevin sur le dos. Elle l’enfourche et vient poser son sexe sur la bouche de Kevin. Elle montre la queue de Kevin à Monique. Celle-ci enfourche à son tour le beau male et s’empale sur la queue vibrante. Kevin se montre à la hauteur et quand il les lâche enfin les deux femmes sont comblées depuis longtemps. Les femmes se relèvent un peu échevelées. Bon, on le passe à la douche et ensuite on mange dit Madeleine. Elle montre à Monique les protocoles pour qu’il soit douché sans qu’il puisse espérer se libérer. Une fois Kevin essuyé elles se dirigent vers la cuisine pour déjeuner. Elles mangent à table pendant que Kevin mange dans sa gamelle par terre. Elles prennent un café tranquillement pendant que Kevin tiré par la laisse jusque sous la table les broute tour à tour. Après le repas Kevin est remis sur la table du salon. Il bande de nouveau prêt à une autre séance de sexe. Tu vois dit Madeleine il est toujours disponible et sa seule raison de vivre c’est de me satisfaire. Monique demande si elle peut en profiter encore et Madeleine lui dit que c’est l’occasion pour Monique de changer la position de Kevin toute seule. Monique respecte bien le protocole et Kevin désabusé reste docile. Monique se fait prendre en levrette et finit par une fellation complète de Kevin. Elle exulte. Il est trop bon. Et inépuisable. Madeleine a profité des ébats pour s’installe un gode ceinture. Bon je vais lui rappeler qu’il est bien un jouet à ma disposition pour tout et elle encule vaillamment Kevin après lui avoir enlevé le plug. Après la séance Kevin est réinstallé sur la table ou il patiente pendant que les femmes discutent chiffon. De temps en temps Kevin se remet à bander et Madeleine explique à Monique qu’elle a mis au point un petit cocktail le maintenant en érection presque en permanence. Le lendemain matin c’est Monique qui est chargée de la toilette de Kevin. Elle s’en sort bien et est récompensée par une matinée de sexe dont elle ressort pantelante. Elle n’a jamais joui autant et pourtant elle n’est pas à son premier club libertin. Les filles sont d’accord Monique gardera la maison de Madeleine pendant la semaine d’absence de cette dernière. Après un cocktail bien chargé les femmes décident de chercher d’autres positions pour Kevin afin qu’il représente un beau trophée de chasse. Il est d’abord assis dos au canapé et ses jambes sont écartées au maximum attachées aux pieds du canapé les bras sont aussi écartés et tirés en arrière. Le tableau est joli mais le sexe tendu de Kevin n’est pas aisément utilisable alors elles le mettent couché sur le dos sur la table du salon les bras et jambes accrochés fermement aux pieds de la table. Là les femmes trouvent que c’est pas mal car la bouche et la bite de Kevin sont faciles à utiliser. Elles font l’essai et l’une sur la bouche l’autre sur la queue elles alternent les positions en prenant des paris sur celle qui recevra la giclée de Kevin. Monique gagne et parade dans le salon. Finalement elles trouvent que la position est trop facile pour Kevin. Il est trop à l’aise et recommence à bander. Il est positionné debout sur le côté du canapé orienté face vers le canapé les jambes légèrement écartées et liées aux pieds du canapé et les mains dans le dos. Un cockring est positionné sur sa queue et une cordelette joint la queue au bas du canapé. Il a la bite horizontale rendue violette par la tension. La position est assez pénible pour lui mais la femme qui s’assoit dans le canapé doit juste tourner légèrement la tête pour avoir la bite à portée de bouche. Elles refont les paris et se positionnent tour à tour pour une fellation pendant cinq minutes chrono. Ce coup-ci c’est Madeleine qui reçoit la décharge. Kevin est épuisé. Les positions subies sont pénibles et la tension sexuelle multipliée par le cocktail secret de Madeleine le fatiguent durement. Les femmes décident de le préparer pour la nuit. Le bâillon est remis en place et il regagne la table du salon sur laquelle il est mis à genou les mains dans le dos. Ce soir comme il a été à la hauteur il n’aura pas les bras tendus en l’air. Habitué maintenant il trouve une position pas trop inconfortable et s’endort rapidement. Les femmes qui sont restées dans le salon boivent un dernier verre en discutant. Tu vas le garder longtemps demande Monique. Je ne me suis pas posé la question pour l’instant. Je vais le garder tant qu’il me fera de la distraction et qu’il satisfera ma libido qui n’a jamais été aussi épanouie. Monique répond si tu n’en veux plus je suis preneuse il vient de me faire rajeunir de 20 ans. Monique demande si ce serait possible de lui faire faire les tâches ménagères, passer l’aspirateur, faire la vaisselle, servir à table ou autre tâche d’un parfait esclave. Madeleine avoue qu’elle n’y a pas pensé mais que ça pourrait être marrant. Il faut juste bien prendre garde qu’il ne puisse pas s’évader. Il est très rusé et habile il a déjà essayé plusieurs fois et je dois toujours rester sur mes gardes quand je le change de position. D’ailleurs je te donnerais une petite seringue de secours. Elle est autoinjectante et paralyse la victime en quelques secondes. Il faut juste penser à lui administrer l’antidote dans les vingt minutes qui suivent, le temps de le maitriser. On ne sait jamais. Demain si tu veux on verra comment on pourrait faire pour le faire servir l’apéritif. Monique et Madeleine imaginent Kevin à genou à côté d’elles avec un plateau dans les mains. Finalement elles vont se coucher des idées plein la tête. Le lendemain le réveil et la toilette de Kevin sont réalisés par Monique qui respecte à la lettre les consignes de Madeleine pour les attaches. En récompense elle bénéficie de la langue de Kevin durant tout le petit déjeuner. La journée commence bien. Puis les femmes installent Kevin sur la table et sortent le matériel restant dans la caisse bondage de Madeleine. Elles jettent leur dévolu sur un harnais pour homme et des menottes de cheville avec une petite barre d’écartement qui les relie. Ça permettra à Kevin de marcher en faisant des tous petits pas d’une dizaine de centimètres. Elles lui enfilent le harnais et le règlent à sa taille. Une sangle du harnais permet d’enserrer la bite et les couilles de Kevin qui sont bien exposées en évidence. Kevin bande déjà comme un taureau. Pour le haut il faut que les mains puissent attraper un plateau mais sans lui donner beaucoup de marge pour autant. Elles menottent les mains devant et passent la chaine dans une boucle du harnais. Les mains ne peuvent pas être tendues et sont presque collées à la poitrine de Kévin. Il est bâillonné et la cagoule est enlevée. C’est rare qu’il soit debout et non aveuglé il est surpris. Les femmes lui disent de les suivre dans la cuisine. Il les suit péniblement avec de tous petits pas. Dans la cuisine Madeleine sort un petit plateau et met deux tasses sur l’évier. Elle explique le fonctionnement de la machine à café à Kevin et lui dit de leur préparer un café et de leur apporter au salon sans tarder. Les femmes s’éloignent vers le salon. Kevin croit pouvoir saisir sa chance et se dirige sans bruit vers l’entrée de la maison. Hélas pour lui la porte est verrouillée et les clés ne sont pas dessus. Il retourne en cuisine et cherche un morceau de fil de fer pour essayer d’ouvrir ses menottes. Trouvant une brosse métallique il essaye d’enlever un fil de fer mais à ce moment-là Madeleine le rejoint dans la cuisine. Elle lui donne un coup de martinet en lui disant n’y pense même pas. Elle se dit en elle-même qu’il faut sécuriser les menottes pour qu’il ne trouve pas de moyen de les ouvrir. Elle réfléchit et trouve la solution pour qu’il ne puisse pas se servir de ses doigts. Elle va dans sa chambre et revient avec une paire de moufles d’hiver. Elle enfile les mains de Kevin dans les moufles et scotche celle-ci avec du ruban adhésif. Kevin peut encore faire le café et poser les tasses sur le plateau mais il ne peut pas faire plus pour se libérer. Cinq minutes plus tard il reparait dans la cuisine avec le plateau dans les mains. Madeleine lui indique de se mettre devant elle et de se mettre à genou en tendant le plateau tout en baissant la tête. Vaincu il obtempère. Les femmes sont ravies. Elles prennent leur café pendant que pour ne pas perdre les bonnes habitudes Kevin les broute tour à tour. Pour son bon café il a droit à une fellation complète de Monique. Puis il passe l’aspirateur dans le salon et va préparer l’apéritif des femmes. L’apéritif ressemble au café du matin et ce coup-ci il a droit à une fellation de Madeleine. Le midi elles déjeunent sur la table du salon. Kevin doit mettre la table et servir les femmes. Il doit se tenir debout à côté de la table ou elles déjeunent face à face. Il désespère toujours de se libérer de ces folles mais au moins il n’est pas cantonné à rester immobile sur la table. Pour la vaisselle ses moufles sont ôtées mais les femmes restent à proximité de lui. L’après-midi les femmes décident d’aller visiter le sex shop de l’autre côté de la ville. Il retrouve sa place sur la table et est consciencieusement ligoté. Deux heures plus tard les femmes sont de retour. Elles sont visiblement très contentes de leurs achats et posent deux grands sacs sur le canapé. Kevin ne voit rien mais devine que les femmes sont de bonne humeur. Quelques minutes plus tard il sent qu’on enfile son pénis dans un truc bizarre. C’est comme un vagin il sent que le truc a été lubrifié. Puis soudain le truc se met à vibrer et il ressent des mouvements de va et vient en même temps que les vibrations. C’est une espèce de branleuse automatique ultra efficace. En moins d’une minute il gicle comme un fou. Les femmes se marrent et Monique dit j’ai gagné le pari. Tu me dois dix euros. Deux pinces son appliquées sur ses mamelons c’est supportable mais douloureux et il essaye de s’en débarrasser en secouant son torse en vain. Un nouveau collier lui est installé. Il se demande pourquoi quand Madeleine lui dit que c’est un collier anti aboiement. Elle lui ôte le bâillon. Si tu parles ou crie tu te prends une décharge. Essaye pour voir. Il se garde bien de tenter l’expérience. Le bâillon est remplacé par une espèce de petit gode qui lui remplit la bouche. Il se demande à quoi sert ce truc quand les femmes le descendent de la table. Toujours aveuglé il se retrouve à genou face au canapé. La laisse est tirée et son gode le force à bouger la tête en avançant. Puis il comprend qu’un autre gode est installé au bout du sien. Il doit effectuer des va et vient et bientôt entend Monique haleter. Puis c’est le tour de Madeleine. Pendant qu’il besogne Madeleine Monique se positionne derrière lui et lui enfourne un gode ceinture de taille respectable tout en lui malaxant la bite avec une main passée devant. Il gicle en quelques minutes en même temps que Madeleine prend son pied. Toujours aveuglé il entend la femme qui portent un lourd colis. Des bruits de perceuse puis de visseuse se font entendre. Il se demande ce que c’est que ce ramdam. Environ une heure plus tard il est positionné sur la croix de saint André que les deux femmes ont installé contre le mur du salon. Contentes d’elles elle le laisse là pour le reste de la journée. Ça y est Madeleine est partie en laissant Monique seule avec Kevin. Celui-ci ne doute pas qu’il va pouvoir se libérer enfin car Monique est plus frêle que Madeleine et ne semble pas aussi appliquée pour les attaches. Le premier matin alors que Monique l’emmène faire sa toilette il saisit sa chance. Il la bouscule de toutes ses forces et elle cogne rudement le mur de la salle de bain. Il se jette assis sur elle dans l’espoir de récupérer les clés des menottes. A moitié inconsciente Monique reçoit tout le poids de Kevin sur elle et a le souffle coupé. Il réussit à se saisir des clés et jubile déjà pour sa réussite. Dans un dernier effort Monique saisi la seringue dans sa poche. Kevin toujours assis sur elle commence à insérer une clé dans les menottes quand il sent une brulure intense dans la cuisse. Cette salope lui a donné un coup de couteau ou quelque chose comme ça. Il réussit à se libérer une main. Cette salope va payer pour deux se dit-il. Puis ses gestes sont un peu ralentis. Il se demande ce qui se passe. Puis tout se passe comme s’il était au ralenti. Monique le renverse et se trouve libre alors qu’il s’effondre par terre sans pouvoir se relever. Il a juste le temps de comprendre que le couteau était en fait une seringue quand il s’effondre complètement. Il reste conscient et voit Monique se relever péniblement. Impuissant il la voit reprendre son souffle et saisir les clés des menottes. Elle s’assure que les liens sont suffisamment tendus et quitte la salle de bains. Il git toujours à terre impuissant quand elle revient quelques minutes plus tard. Elle lui injecte une autre seringue et commence à rajouter des cordes autour de lui . Elle le ficelle comme un rôti et quand peu à peu il émerge du flou sous l’effet de l’antidote il réalise qu’il est incapable d’esquisser le moindre geste. Monique attend patiemment qu’il reprenne complétement ses esprits et quitte quelques secondes la salle de bains pour revenir avec le martinet dans la main. Tu as voulu jouer au con mon salaud tu vas le payer cher. Elle lui dit maintenant tu vas retourner au salon en rampant et fissa. Elle lui donne des coups de martinet jusqu’à ce qu’il entreprenne une reptation vers le salon. Les coups pleuvent et il fait aussi vite qu’il peut. Il veut crier de douleur mais le collier anti aboiement le rappelle à l’ordre en lui infligeant une décharge terrible. Les larmes aux yeux il rampe jusqu’au salon. La enfin Monique arrête les coups. Il passera la journée prostré au pied du canapé. Il ne mangera rien de la journée. Il aura juste droit à une gamelle d’eau qu’il aura le plus grand mal à avaler. Maintenant Kevin ne se rebiffe plus. La leçon a servi et il exécute sans attendre tous les ordres de Monique. Il passe ses journées à nettoyer la maison sous le contrôle permanent de Monique. Quand il ne fait rien il doit se mettre à genou et brouter Monique. Quand Madeleine rentre de sa formation elle retrouve Monique rayonnante et Kevin complétement maté par la belle copine. Celle-ci dit à Madeleine qu’elle a passée une semaine formidable. Elle a dû utiliser la seringue le premier jour mais le reste de la semaine a été génial et maintenant le jouet est une véritable soubrette qui fait briller la maison. Madeleine est ravie. Monique lui avoue qu’elle aimerait bien posséder un tel jouet. Madeleine lui promet que si elle en a l’occasion elle ne manquera pas d’en parler à Monique. A suivre.
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Par : le 10/10/21
Madeleine: chapitre 1 Madeleine rencontre son jouet. Madeleine est ce qu’on appelle une vieille fille et à la quarantaine et ne s’est jamais mariée. Elle a bien eu des amours de passage mais jamais un seul n’est resté. Peut-être que son caractère un peu fort a fait fuir les prétendants mais tant pis elle est toujours restée maitresse de sa vie et ça n’est pas parti pour changer. Pourtant elle est encore bien foutue. Elle ferait une couguar magnifique avec sa taille contenue et sa poitrine opulente qui fait se retourner pas mal de garçons encore maintenant. Elle pense parfois au sexe et aimerait avoir un homme juste à se disposition pour assouvir ses pulsions quand elle en a. Mais ce genre d’homme ne doit pas courir les rues. Tant pis elle se contente de s’acheter parfois des dessous coquins juste pour elle. Kevin est représentant en assurance à l’ancienne du genre de ceux qui bloquent la porte avec leur pied et sont indécrochables. Il a vingt-cinq ans et une belle gueule dont il abuse pour faire signer les ménagères mures qui représentent son gibier favori. Aujourd’hui ça n’a pas marché terrible. Il est tombé sur beaucoup de portes closes et les rares qui se sont ouvertes cachaient des hommes pas vraiment impressionnés par sa beauté féline. Il est tard mais il veut absolument conclure un contrat aujourd’hui. Il a fait tout le secteur qui était programmé et maintenant il se balade au hasard comptant sur son instinct pour trouver une rombière à croquer toute crue. Encore une tentative. Il sonne et entend des pas lents approcher de la porte. Celle-ci s’entrouvre. Miracle c’est pile poil son terrain de chasse une femme mure encore bien foutue qui va forcément tomber sous son charme. Madeleine s’en veut d’avoir ouvert sans regarder dans le judas. Ça va être coton de se débarrasser de ce minet. Pendant qu’il déballe son boniment elle se fait la remarque que c’est pile le genre de jeunot qu’elle aimerait avoir à sa disposition quand elle en a besoin. Il voit que son charme agit et réussit sans qu’elle ne s’en aperçoive à pénétrer dans la maison elle est en colère contre elle-même. Maintenant ça va être encore plus coton. En vainqueur il la pousse quasiment dans le salon où il s’installe en enlevant sa veste pour montrer sa belle musculature. Décidément il m’en faudrait un comme ça dans un placard se dit elle malgré elle. Il étale ses prospectus et la pourri de compliment sur sa forme éblouissante et ses yeux malicieux. Des ficelles usées qui ne font que l’énerver. Mais qu’est ce qu’il croit ce butor il me prend pour une faible. Il mériterait une bonne leçon. Se dit-elle. Il lui raconte que c’est e bon dieu qui a guidé ses pas jusque chez elle alors qu’elle n’est pas sur son secteur de prospection. Il tousse un peu et se racle la gorge puis demande si elle a un verre d’eau à lui offrir. Elle décide de lui donner une leçon. Elle lui propose de lui faire un café c’est mieux qu’un verre d’eau et surtout se dit elle ça cachera le gout du laxatif que je vais lui faire boire. On verra s’il est toujours vaillant après ça. Il accepte et la remercie pour sa bonté. Elle le laisse pour aller préparer le café. Elle fouille en passant dans sa pharmacie pour trouver le laxatif. La première chose qui’ lui tombe dans la main est un puissant sirop pour lutter contre les insomnies. Elle s’en sert parfois mais c’est très fort et deux gouttes suffisent pour l’assommer net. Elle hésite. Et si … Il parade comme un coq dans le salon. La rombière lui fait un café. C’est dans la poche. Il va conclure et lui faire un contrat béton sur lequel il va bien toucher. Il kiffe sa vie. Madeleine revient. Elle a deux tasses café fumantes dans les mains et lui en donne une. Il boit rapidement le café car il est temps de passer l’estocade. Il a le temps de se dire que la mamie n’est pas la reine du café car il a un gout bizarre. Elle lui demande ce qu’il a comme voiture. Il lui répond une Clio jaune garée juste en bas. En se demandant pourquoi elle lui a posé cette question. Elle lui demande s’il est marié ou en couple. Ça y est elle va lui proposer un coup. Pourquoi pas comme ça je la niquerais de tous le cotés se dit-il. Il lui assure qu’il est libre comme l’air. Elle sourit. Il veut passer au contrat mais il sent que sa journée a été longue car il est crevé. Sa tête semble trop lourde pour son cou. Elle le prend dans ses bras et le couche gentiment sur le canapé. Il n’a pas le temps de la remercier. Madeleine est stupéfaite de ce qu’elle a osé faire. Et maintenant je fais quoi se dit-elle. Elle fouille les poches du jeunot et trouve les clés de la Clio. Elle prend le portefeuille et le téléphone du gars et sort de la maison. Il en a pour un bout de temps avant de se réveiller. Elle trouve rapidement la Clio et monte dedans. Elle roule quelques pâtés de maisons et arrête la Clio dans la cité terrible de la ville. Elle laisse le portefeuille le téléphone et les clés sur le contact et rentre tranquillement chez elle. Il lui faut près d’une heure pour arriver chez elle. Elle va dans le salon ou le jeune dort comme un bébé. Elle s’en approche et le déshabille complètement. C’est vrai qu’il est pas mal elle lui masse la queue qui petit à petit se met à durcir. Il est très bien monté et elle se dit qu’il ferait un parfait porte sexe pour assouvir ses pulsions qu’elle sent d’ailleurs monter en force. Elle n’a pas été excitée comme ça depuis de lustres. C’est pas tout il va bien finir par se réveiller et ne sera pas très content de son sort. Elle va dans son garage pour récupérer de l’adhésif et du cordage. En passant elle repense à la boite qu’un de ses anciens amants un peu pervers a laissée quand elle l’a viré. Elle prend la boite qui est assez lourde et l’ouvre dans le garage. Dedans il y a une panoplie BDSM. Des menottes, des bâillons boule, des cordes, des accessoires dont elle n’a aucune idée de l’usage et une cagoule aveugle en latex. Elle emmène la boite dans le salon et la vide à côté du dormeur. Bon je vais le mettre où. Elle pense le mettre dans un placard mais ce serait dommage de ne pas l’avoir en expo dans son salon. Elle regarde autour d’elle et petit à petit une idée se précise. Kevin a une grosse gueule de bois. Il émerge peu à peu du sommeil. Il a mal partout et prend peu à peu conscience de son corps. Sa position n’a rien de naturel. Affolé il ouvre les yeux mais reste dans le noir. Il est à genou sur quelque chose de dur et ses pieds sont maintenus écartés par des liens. Il ne peut pas serrer les jambes. Ses bras sont tendus au-dessus de lui et attachés en hauteur. Il ne peut pas se reposer sur ses fesses. Quelque chose lui écarte la mâchoire et l’empêche de parler. C’est quoi ce bordel. En plus quelque chose lui enserre la queue et les testicules et il a un truc genre gourdin enfoncé dans son cul. Il gigote et essaye de se défaire de tout ça mais les liens sont solides et ne bougent pas d’un millimètre. Il veut crier mais juste un vague gémissement sort de sa bouche. Je crois que mon jouet se réveille dit une voix féminine. Il reconnait la voix de la cliente Il rue mais en vain. Elle attend qu’il se calme. Après quelques minutes elle lui dit tu es beau comme ça. Dommage que tu ne bandes pas j’aurai bien aimé que tu bandes pour moi. Mais je pense que tu dois avoir envie de pisser. Elle s’approche et lui prend la bite dans la main. Elle approche un flacon et lui dit tu peux y aller. Il ne veut pas mais l’envie arrive et il finit par se soulager. Bien dit-elle. Elle va vider le flacon et revient vers lui. Elle lui reprend la bite et entreprend de la malaxer. Elle passe la main derrière lui et active les vibrations du plugs annal qui est bien enfoncé dans son cul. Les caresses et les vibrations commencent à agir il commence bien malgré lui à bander. Elle l’encourage en lui susurrant des mots pervers. Il finit par avoir une belle trique. Elle le prend en bouche et le suce avec application. Il commence à onduler mais au moment où il sent que ça vient elle s’arrête et le laisse en plan. Bien tu as une bonne queue. Je pense qu’on va passer du bon temps tous les deux maintenant que tu m’appartiens. Il débande aussitôt. C’est quoi ce délire. Elle lui explique que sa voiture son téléphone et son portefeuille ont disparus dans la cité terrible. Et qu’on se demande ce qui a bien pu lui arriver. Mais qu’il se rassure. Tant qu’il bandera comme ça il sera bien traité. Kevin se demande comment il va bien pouvoir s’échapper de ce piège. Pour le moment il est trop bien ligoté. Il se contente d’écouter la sorcière. Madeleine voit que Kevin l’écoute. Elle lui dit que désormais il s’appellera jouet car il est le jouet de madeleine. Elle lui précise qu’aujourd’hui il ne mangera rien et servira d’ornement au salon. A partir de demain il pourra manger mais pour cela il devra la satisfaire dans tout ce qu’elle demandera sinon ça sera diète et coups de martinets. Elle lui montre un martinet avec des lanières en cuir qui ne présage rien de bon. La matinée se passe. La position de Kevin est douloureuse et il ne peut pas se reposer. Il commence à avoir faim et surtout soif. Midi approche. Madeleine se concocte un plateau repas et vient déjeuner au salon face à sa statue vivante. Elle lui enlève la cagoule et il peut enfin y voir. Elle est en sous-vêtements très vaporeux qui mettent en valeur son corps bien foutu. Elle lui montre un verre et lui demande s’il a soif. Il hoche la tête. Elle lui dit alors qu’elle va lui enlever le bâillon le temps qu’il boive mais que si il parle ou crie elle lui remet le bâillon, le fouette et ne lui donne pas d’eau. Il hoche la tête. Elle lui enlève le bâillon et il se met à crier comme un sourd pour appeler à l’aide. Elle a tôt fait de lui remettre le bâillon et lui dit qu’ici personne ne peut l’entendre mais comme il n’a pas tenu parole il doit être puni. Elle passe derrière lui et lui assène dix coups de martinets bien appuyés. Il a les larmes aux yeux et ses fesses le brulent. Il est persuadé qu’il n’a plus de peau sur le derrière. Madeleine se replace en face de lui et déjeune tranquillement. Elle s’absente pour faire la vaisselle et revient dans le salon pour regarder la télévision. Il est toujours attaché et la douleur est insupportable entre la position qui est difficile à tenir et les fesse qui le cuisent. En plus il a une soif pas possible. L’après-midi passe. Madeleine décide de profiter un peu de son jouet. Elle s’approche de lui et lui attrape le pénis et les couilles à pleine main. Maintenant mon beau jouet il va falloir me faire plaisir sinon c’est le fouet. Kevin est effaré il n veut pas regouter au fouet. Il se force à penser au sexe et peu à peu une érection arrive. Madeleine sent le sexe palpiter et le malaxe avec vigueur. Puis une fois qu’il a pris de bonnes proportions elle le prend dans la bouche et entreprend une fellation experte. Kevin réagit à la fellation et bande au maximum. Comme dans la matinée au moment où il va jouir elle arrête et se recule en regardant le chibre palpitant. Eh non mon jouet c‘est pas encore le moment de gicler tu dois d’abord me faire plaisir. Tu vas comprendre. Elle lui remet la cagoule et il se retrouve dans le noir. Il sent qu’elle modifie les liens et en quelques secondes il se retrouve par terre toujours à genou mais ce coup-ci ses mains sont menottées dans le dos. Elle lui a mis un collier avec une laisse. Je vais t’enlever le bâillon mais tu ne parles pas et ne crie pas sinon c’est le martinet, 20 coups cette fois et pas que sur tes petites fesses. Il hésite mais ses fesses le cuisent encore suffisamment pour qu’il se résigne à se taire. Le bâillon est enlevé. Elle tire la laisse vers le bas et il se retrouve la tête collée aux pieds de Madeleine. Lèche-moi les pieds petit jouet et mets-y du cœur. Abasourdi il veut relever la tête mais la laisse est bien tenue et un petit coup de martinet lui cingle les fesses. Il se rebaisse et lèche les pieds de Madeleine. Elle exulte et le laisse faite pendant quelques minutes. Maintenant tu vas monter un peu plus haut dit elle et elle tire sur la laisse pour amener le visage de Kévin dans l’entrecuisse. Aller petit jouet fais-moi voir ce que tu vaux avec ta langue. Il hésite mais un petit coup de martinet l’aide à se décider. Il commence à lui brouter la chatte. Madeleine commente les opérations et lui indique ce qui est bien ou pas. En quelques minutes il est expert et madeleine part plusieurs fois en live. Elle est essoufflée et éloigne la tête de Kévin de sa chatte. Entre temps il a fini par bander durement. Elle le voit et se dit autant en profiter. Elle le couche sur le dos sur le tapis du salon et l’enfourche avec joie. Elle s’empale et lui dit que maintenant il peut ruer comme il le sent. Il finit par lâcher prise et donne des grands coups de rein. Ce coup-ci il est autorisé à gicler et peut enfin se lâcher complétement. Il est hors d’haleine. Elle pèse son poids et l’a chevauchée comme une furie. Elle se relève et dit bien mon petit jouet tu t’es bien comporté et tu vas avoir une petite récompense. Elle le remet à genou. Puis lui enlève la cagoule. A côté de lui il y a une gamelle pour chien remplie d’eau. Tu peux boire mon petit jouet autant que tu veux. Ensuite tu regagneras ta place sur la table. Il se retourne et voit la table du salon sur laquelle il a dut passer une partie de la journée. Et si tu es sage tu n’auras pas les bras attachés au plafond. Il regarde le plafond et voit un anneau en métal dédié normalement à l’accrochage d’un lustre. Il est interloqué comment peut-il boire ? Elle devine sa gêne et lui dit tu n’as qu’à faire comme un chat ou un chien il faut laper. Elle lui montre le martinet et le remue dans sa main. Il baisse la tête et commence à laper. C’est très dur et très long de boire de cette façon. Il met plusieurs minutes à étancher sa soif. Quand il a fini elle le raccompagne fermement sur la table ou il se met à genou face à elle. Elle lui menotte les chevilles et relie les menottes des mains à celle des chevilles et lui remet la cagoule. Il ne peut pas descendre de la table au risque de se casser la gueule. Ecartes bien les genoux que je vois tes attributs dit-elle. Il écarte les genoux. L’après-midi se termine. Madeleine se fait un plateau repas et revient au salon avec le plateau et une bouteille de vin. Elle se met face à lui et commence à diner en arrosant le repas avec le vin. Il est affamé et sent avec envie ce qu’elle mange. Si tu bandes pour moi je partage mon assiette avec toi dit-elle sinon je te fouette. Encore une fois il doit puiser dans son imagination pour se faire bander. Ravie de l’érection madeleine s’approche de Kevin et lui fait manger par petites bouchées une partie de son repas. Il picore et ça fait du bien de manger enfin quelque chose. Madeleine une fois son repas fini se rapproche de Kevin et lui fait une fellation enfin jusqu’au bout. Il se rend compte qu’elle est insatiable. Dommage qu’il n l’ai pas connu dans d’autres circonstances. La soirée avance et madeleine décide d’aller se coucher. Kevin est effaré il ne veut pas passer la nuit à genou sur cette table. Pourtant il va passer la nuit dans cette position inconfortable. Madeleine pour sa part savoure sa journée délicieuse. Elle se demande ce qu’elle va pouvoir inventer demain pour profiter de son jouet chéri. La nuit est compliquée pour Kevin. Il dort par petites touches vite réveillé par la position inconfortable. Enfin il entend madeleine qui se lève. Elle vient dans le salon et lui demande s’il a été sage. Il attend la suite. Elle lui dit qu’il est l’heure de passer à la douche et après lui avoir libéré les chevilles l’emmène par la laisse jusqu’à la salle de bains. Elle le douche lui lave les dents et le frictionne rudement. Enfin elle l’entraine vers la cuisine pour le petit déjeuner. Là elle lui remet la cagoule et le fait mettre à genoux. Si mon petit jouet veut un petit déjeuner il va falloir d’abord qu’il fasse plaisir à sa maitresse. Elle tire la laisse et il se déplace péniblement à genou jusqu’à ce que son visage rencontre l’entrejambe de madeleine qui ne porte pas de culotte Un petit coup de martinet et il entame un cunnilingus matinal pendant que madeleine prend son café. Elle est aux anges. Après quelques minutes elle est repue. Elle lui enlève la cagoule et il voit une gamelle pleine de céréales à côté de lui. Affamé il se jette dessus et mange sans pouvoir s’aider de ses mains. Une fois sa gamelle vide madeleine lui dit maintenant tu vas aller faire un petit pipi car tu vas devoir m’attendre jusqu’à midi quand je rentrerais du taf. Elle le remet debout et l’emmène aux toilettes. Puis retour dans le salon où il reprend sa place d’objet décoratif sur la table du salon. Cagoulé il ne peut rien voir et après avoir tenté en vain de se détacher il prend son mal en patience. Les heures sont longues et la position toujours inconfortable l’empêche de s’endormir complétement. Soudain un bruit le réveille c’est madeleine qui rentre. Elle vient près de lui et lui saisit le sexe. Ça m‘a manqué ce matin. Heureusement je vais jouer avec cet après-midi mais d’abord un apéritif. Il doit attendre que madeleine ai pris son apéritif et déjeuné pour qu’elle se rapproche de lui. Je pense que tu serais beaucoup plus beau et excitant sans tous ces poils. On va s’occuper de ça. Il se demande ce qu’elle va faire quand il sent qu’elle modifie ses liens. En peu de temps il retrouve la position dans laquelle il s’est réveillé la veille, les bras tendus vers le haut et les genoux écartés au maximum. Il sait que sa queue et ses couilles sont offertes à la vue de madeleine. Il sent tout à coup le bruit d’une tondeuse qui rase les poils pubiens. Puis une espèce de crème est déposée sur sa peau du cul jusqu’aux contours de sa bite. Madeleine dit c’est une bonne crème dépilatoire. Tu vas être beau comme un cœur. Après quelques minutes elle essuie la crème et le rince avec un gant de toilette qu’elle humidifie dans une bassine. Enfin elle sèche et commence à le malaxer. L’absence de poils lui donne l’impression d’être encore plus nu et plus vulnérable. En même temps le contact des doigts de madeleine directement sur la peau l’embrase littéralement. Il est pris d’une érection massive. Madeleine le félicite pour sa tenue et masse tendrement les couilles et la bite de Kevin. Elle y goute avec la bouche ce qui rend fou Kevin qui ne pense plus à sa situation mais voudrait surtout mettre sa bite dans une chatte brulante. Quelques minutes plu tard madeleine le décroche du plafond et le fait descendre de la table avec les mains menottées dans le dos. Ne voyant toujours rien il est guidé par la laisse et finalement sa bite tendue rencontre l’arrière de madeleine qui s’est penchée en avant jusqu’à reposer ses mains sur le dossier du canapé. D’une main experte elle guide le membre palpitant dans son sexe qui est ruisselant d’excitation. Kevin ne pense qu’à fourrer cette chatte accueillante et il la pilonne avec toute l’énergie qu’il peut y mettre. Trois mois ont passés Kevin malgré toute sa volonté n’a pas réussi une seule fois à déjouer la méfiance de madeleine qui ne relâche jamais son attention. Il est toujours garroté comme un gibier et la plupart du temps il a la cagoule qui le prive de la vision Sa seule distraction est de tirer un coup plusieurs fois par jour car madeleine est insatiable. Il la soupçonne de lui faire boire une mixture pour qu’il soit tout le temps avec la gaule et qu’il récupère si vite. Finalement il attend chaque jour avec impatience qu’elle rentre du taf pour pouvoir niquer. Madeleine est contente. La petite potion qu’elle fait boire à son jouet est maintenant bien au point et il est toujours disponible avec une gaule appréciable. A suivre.
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Par : le 02/10/21
Le jour de la rencontre est là Je descends l’escalier de la demeure medievale lilloise pour ouvrir la porte en bois massif Tu t’avances légèrement maquillee souriante et je devine dans tes yeux la surprise : alors qu’enfin tu pensais me voir cette fois c’est moi qui porte un masque de cuir ! ( ma soumise: je suis prête et ne pense rien avoir oubliée. Je veux contenter mon Maitre de toutes les manières possibles… Je suis devant le 50… mon Maitre viens m’ouvrir. Quelques secondes d’attente qui me paraissent être des heures. Enfin! Je le découvre, légèrement masqué mais quand même! J’aime ce que je vois: un homme grisonnant, souriant et directif, de très beaux yeux et un charme a en faire pâlir plus d’une! ) Tu ne dis rien et me suis dans l’ escalier qui mène à l’appartement (Ma soumise: je découvre ce lieu cet accès grandiose, puis la porte… j’entre, curieuse et intimidée. ) Une fois entrés je te débarrasse de tes affaires Je caresse ton visage puis place le collier en cuir ainsi que les menottes séparées à tes poignets Je t’attache debout lentement les bras et jambes en croix Ainsi immobilisée tu es à ma merci ! (Ma soumise : mon Maître m’equipe d’accessoires, collier menottes…) Mes mains courent sur ton corps quand soudain elles s’agrippent à ta robe légère Fermement j’arrache méthodiquement le tissu Puis dégrafe ton soutien-gorge Mes doigts glissent des seins le long de tes flancs pour descendre ta culotte à mi cuisses Ton excitation est telle qu’un filet de mouille s’étire de ta chatte jusqu’à l’entrejambe de ta culotte (Mon Maitre m’attache, écartelée…. Puis me déshabille d’un coup sec: tous les boutons de ma robe volent en éclats! Ma culotte sur les genoux, je mouille et sent mon fluide qui dégouline entre mes cuisses.. ) j’opte pour le paddle qui s’abat méthodiquement sur la chair nue de tes fesses de tes cuisses te faisant pousser un cri pour chaque coup qui marque de rouge ton épiderme (Ma soumise : J’ai chaud et me sens pleine…. J’ai le cerveau en fusion et les fesses rougies. Je me laisse guider et diriger par mon Maitre. Mon corps lui appartient) Tu n’invoques pas « citron » le safeword mais au contraire me remercie Je glisse deux doigts dans ta chatte ruisselante et j’accompagne la montée du plaisir de frappes avec le paddle jusqu’à ton premier orgasme violent (Ma soumise : la chaleur et les picotements m’envahissent. Je jouis si fort qu’un coup de fatigue me saisit)
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Par : le 21/09/21
Ceci est le premier chapitre d'une série... Il s'agit d'un prélude.. Avis aux amateurs, ils seront peut être deçu mais pour une fois ce n'est pas une nouvelle pornographique mais une partie d'un petit roman que j'écris au fil du temps... Dessin personnel..... *********************************************************************** München 1937 Le fond de la musique était entrainante. La voix de Fats waller jouant Ain’t Misebehavin m’entrainait. Habillée d’une robe longue noire avec mon sautoir, le rouge à lèvres dessinant mes lèvres, mes cheveux savamment crantés, j’avais suivi Claudia à cette soirée. Les hommes habillés d’une grande élégance, le vacarme, le champagne, la bière, la fumée du cigares laissait régner cette période de bar clandestin, où je me sentais moi-même clandestine dans cette période de mouvance. Le temps était à la fête et non à la tristesse. Je devais me trouver une place pour m’intégrer à cet univers. Je sentais le regard des hommes sur mon décolleté, tentant de m’aborder et je feignais l’indifférence. J’avais rencontré Claudia un après-midi au café, d’une blondeur incroyable, elle avait les traits fins. Elle attirait tous les regards. Ses yeux bleus vous transperçaient. Elle avait un style incroyable. - Hallo, Mein Name is Claudia ! Sie sind ein Husche Mädchen. Je la regardais en souriant. - Vielen Danken, aber mein deutsch is schlecht. C’est là qu’elle me dit.. - Oh mais je suis française ! toi aussi ! que c’est bon de voir une compatriote ici !. - En effet, je me sentais un peu seule. Je tente de rejoindre mes grands parents en Pologne. - Je suis arrivée hier et j’ai envie de découvrir cette ville, elle est sublime ! Pardon, je ne me suis pas présentée, Véronika. - Eh bien enchantée Véronika ! Laisse moi te montrer cette sublime ville ! Demain, je dois aller à une fête privée organisée par des hauts placés, viens ! - Je ne sais pas.. Allez viens, tu t’amuseras et qui sait tu feras de belles rencontres, belle comme tu es. - Soit.. d’accord. Claudia portait cette robe blanche, on aurait dit un ange. Et moi le côté sombre dans ma robe noire. Nous contrastions tellement nos physiques étaient opposés. Elle si mince, moi pulpeuse, elle petite, moi grande. Elle avait ce don de faire que vous saviez que vous allait l’aimer, cette facilité de contact. Soudain, je sentis une main m’attraper par le bras et m’emporter vers la piste de danse. Un allemand très grand très charmant, si souriant.. je me laissais embarquer par toute cette folie. Nous étions à la fois dans un lieu luxueux mais où les gens avaient classe mais simplicité. Je ne comprenais pas un traitre mot de ce que me disait cet allemand qui était aussi bien éméché mais je passais une soirée divine. Soudain Claudia me choppa par la bras. - Viens Véronika. Regarde là bas… il y a Franz. Il est si charmant, tu devrais aller faire sa connaissance ! - Mais pourquoi ? - Tu ne devrais pas rester seule Véronika. Profite et trouve toi un protecteur. - Mais je ne veux pas, je veux avoir mon indépendance. - Les hommes voudront toujours ta beauté, te posséder alors à toi de prendre les rennes et de choisir avec qui tu seras. Tu sembles être une jeune femme intelligente. Profite des hommes qui voudront profiter de toi. Je ne voyais pas où elle voulait en venir. Elle me prit alors par la main, et me fît courir à travers cette foule vers cet homme. Arrivé à sa hauteur, elle feint de tomber, d’être saoule. Je voyais son manège. Je me sentais quelques peu gênée. Cet homme ce Franz, portait un uniforme, il avait une telle prestance. J’aurai dit la quarantaine, assez grand, châtain clair. Il était en plein échange avec d’autres militaires. L’intrusion de Claudia les stoppa dans leur élan. - Entschuldidung, Meine freudin hat zu viel alkool getrunken. - Kein Problem me répondit ce Franz. Claudia se redressa et regarda Franz dans les yeux, lui adressant son plus grand sourire avec ses yeux de biche perdue. Je voyais bien son jeu. Franz paraissait gêné. Je ne voyais pas ce qu’elle lui trouvait. Je n’avais jamais aimé dépendre des hommes pour l’aspect financier. Je voulais garder ma liberté mon indépendance. Les temps était si rude, ma situation était si compliqué. Je ne mangeais pas à ma faim, je devais faire attention à tout. Je ne savais même pas comment j’allais encore quitter Munich. J’avais quitté Strasbourg mais mes économies partaient si rapidement. J’étais partie avec les maigres affaires que j’avais. Claudia tentaient d’engager la conversation, mais ce Franz ni les autres ne semblait intéressés par elle ou moi. Leur conversation semblait si sérieuse. Je ne comprenais pas tout. Pourquoi Claudia jouait-elle à ce jeu là ? - Claudia, je vais au toilettes, je reviens je vais me repoudrer le nez. En repartant des toilettes, dans ce long couloir plus ou moins sombres, je croisais Franz. - Fraulein ? - Fraulein, entendis-je plus fort. Je me retournais, il était là face à moi. - Vous êtes franzosich ? - Ya, ich bin Franzosich. Ich kömme Von Strasburg. - Ah ja, je parle un petit peu français… Son visage s’était illuminé à l’idée de parler français. - Möchten Sie Champagne Trinken ? _ Hum ja, gern. Je me laissais embarquer, sa prestance était impressionnante et surtout il n’était pas lourd. Il semblait sincèrement gentil. Au loin je vis Claudia me faire un grand sourire. Elle était restée avec un autre militaire du groupe. Assez séduisant je dois le reconnaitre. Je me laissais emporter par la musique, la danse enivrante, les bulles de champagne me rendant si pétillante. Franz était d’une agréable compagnie même si je ne comprenais pas tout. Franz m’avait embarqué sur la piste. Tout tournoyait autours de moi. Les discussions sérieuses avaient laissé place à la fête. Franz et ses amis abusait de ce champagne coulant à flot. Claudia, elle s’amusait toujours avec cet homme. J’étais ravie pour elle. Elle semblait bien s’amuser. Elle avait cet intelligence à feindre ce côté quelque peu nunuche. Toujours laisser croire aux hommes qu’on est stupide me disait-elle. On valsait, tout tournoyait… ma tête me tournait. - Franz, stop, ma tête tourne… - Venez… Il m’enlaça pour me soutenir mais son étreinte indiquait qu’il voulait davantage. - Franz… ich.. - Chut.. Il tenta de m’embrasser. Je me dégageai farouchement. Je protestais en français en oubliant mon allemand ; - Mais pour qui vous prenez vous ! - Vous, jolie.. J’allais rejoindre Claudia, je voulais rentrer. Je ne voulais pas que cette soirée vire à une situation que je ne pouvais maitriser. Claudia était saoule, et je me méfie des hommes saouls. - Veronika… me chantait-elle. Ah ma chérie, viens on va finir la soirée chez Gutner ! - Je… non… allez viens ! Je ne voulais pas la laisser dans cet état. - Tu es impossible ! d’accord mais je viens pour toi ! Soudain il y eu une soudaine agitation, les lumières s’éteignèrent. Une descente de police. Je vis Claudia se faufiler. Des cris de partout puis des détonations. Les gens courraient dans tous les sens. Je perdis Claudia de vue. Nous nous retrouvions séparés. La foule m’emporta vers le couloir des toilettes. Quand en arrivant je vis Franz, allongé au sol. - Franz ! Wie geh’ts ? Je l’attrapais par le col. - Franz !! réveillez-vous ! Je me relevais, et je vis du sans s’échapper. Je paniquais. Ma seule idée a été d’aller au toilettes pour me réfugier. Je tentais plus bien que mal de me nettoyer les mains. La police faisait une descente dans cette soirée clandestine. Je ne comprenais pas tout ce qui se passait. Je respirais profondément pour ne pas céder à la panique. Franz était blessé, moi dans les toilettes, et s’ils me trouvaient ? Soudainement, j’entendis la porte des toilettes être défoncée. Un policier était face à moi, me prenant par le bras, fermement. Je me laissais faire, il me conduisit à l’intérieur du bar où ils avaient rassemblés les gens. Le chef de la police, enfin celui que je supposais m’être au vue de son uniforme, de son regard et de ses pas scrutait l’horizon. Le policier me présenta à lui et je compris à son allemand qu’il disait : - Celle là était dans les toilettes. Que fais-je ? Elle était à coté du corps. Sans ménagement, il me prit par le bras et on m’emmena avec les autres femmes. Il resta à mes côtés. Plus tard, on nous emmena dans un camion. Je voyais les lumières s’obscurcirent… je tremblais. Je n’avais plus revu Claudia. Je n’avais aucun papier sur moi. J’avais perdu mon sac dans la cohue. Les larmes commençaient presque à perler. J’étais en compagnie d’autres femmes allemandes. Qu’allait il se passer?. Je trésaillais. - Schnell ! On me poussa vers une sorte de caserne de police assez lugubre. De vieux murs en pierre assez épais. Des lumières froides au plafond. Quand je vis un des policiers venir vers moi, je compris que j’étais dans de sales draps. Il me prit par le bras et me poussa vers une pièce avec une table et quatre chaises. D’une froideur à vous glacer. -Sitzt ! Je m’assis, attendant avec peur. L’homme que j’avais aperçu à la soirée, le supérieur pénétra dans la pièce. Son regard me glaça. Il s’adressa en allemand. Je ne comprenais pas ce qu’il me disait. - Je m’appelle Veronika L. je suis française. Je suis désolée mais je ne comprends pas ce que vous me dites. Je ne cessais de répéter mais il faisait mine de ne pas comprendre. Je sentais son agacement. Il se leva, venant vers moi. Il m’empoigna les cheveux alors que j’étais assise pour me pencher la tête. Je sentais qu’il m’insultait dans sa langue. Mon niveau n’était pas assez élevé pour comprendre. Mes larmes commençait à perler. Soudainement il me gifla. Je tentais de me protéger avec mes mains, ne sachant comment me sortir de cette situation. Quand soudain, un homme pénétra dans la pièce. Un homme grand, blond, des yeux implacables, bleus. D’une élégance qui me fit oublier où j’étais. - Herr Lintzer. Stop! Jetzt! C’est tout ce que je compris. J’avais saisi qu’il faisait un rapport à son supérieur. Puis l’homme qui m’avait giflé, ce Herr Lintzer quitta la pièce. Je me suis sentie soulagée, heureuse que ce dernier quitte cette pièce. - Mademoiselle Lane. C’est bien cela ? - Oh vous parlez français.. oui c’est bien cela. - Mon pfficier m’a indiqué qu’on vous a trouvé non loin du corps d’un officier allemand. Vous vous cachiez dans des toilettes. Où sont vos papiers pour prouver votre identité ? - Eh bien dans la panique ils sont restés dans les toilettes je pense. Je ne me souviens pas. - Cela ne joue pas en votre faveur. Vous êtes suspectée de meurtre. - De meurtre ? mais je n’ai jamais tué qui que ce soit. Parlez vous de Franz ? Je ne me souvenais plus de son nom de famille. La peur m’avait complétement tétanisée. Je n’arrivais plus à retrouver mes moyens. Mes mains tremblaient, tout comme mes jambes. Il semblait à la fois si doux, rassurant et e l’autre si intransigeant. - Ainsi vous connaissez Franz ? - Oui je l’ai connu ce soir. Mon amie Claudia m’accompagnait, c’est lors de la soirée que je l’ai rencontrée. Elle vous racontera. C’est une jeune femme blonde, très jolie, assez petite. - Nous n’avons pas de Claudia. - Elle habite.. euh.. je lui donnais l’adresse où j’étais allée pour la rejoindre. - Nous allons vérifier. Mais en attendant vous êtes suspecte. Je vais devoir vous interroger. Je vous conseille de mieux coopérer car sans cela, la tournure de l’interrogatoire ne vous plaira pas. - Mais je coopère !! - Levez vous je vous prie et mettez vos mains sur la table. - Je… d’accord. Je me levais, me mettant dans la position qu’il avait indiquée. Il se leva et se positionna derrière moi. - Ecartez vos jambes. Je vais vous fouiller. Je me retournais, trouvant cette situation impossible. Je me retrouvais face à son torse. Je sentais son eau de cologne jusqu’à mes narines. Un homme prenant soin de lui. Il en était presque rassurant et à la fois sa froideur me faisait tressaillir. Je levais ma tête pour le regarder droit dans les yeux. - Que voulez vous fouiller, vous voyez bien que je ne porte que ma robe. Rien de plus. Mon sac est, je pense rester dans les toilettes.. - Retournez vous et mains sur la table ! Maintenant! Le son de sa voix.. je ne pouvais qu’obéir. Je plaçais mes mains sur la table, mes jambes légèrement écartées. Je sentis qu’il se pencha contre moi commençant à me palper le corps. Il commença à mettre mes cheveux sur le cotés, à descendre le long de mon dos, passant mon fessier pour descendre jusqu’au mes chevilles. Il remonta alors ma robe. - Je vous en prie arrêter, ne me touchez pas ainsi. - Vous nêtes pas en mesure de donner des ordres ici ! taisez vous. Malgré sa fouille, ses gestes n’étaient aucunement déplacés. - Rasseyez vous. - Je vais être très clair, pour moi vous êtes une espionne qu’on traque depuis quelques temps. Je me devais de voir si vous n’aviez pas une arme sur vous. Vous semblez maline. Vous êtes belle, franz s’est laissé prendre au jeu,, moi pas. Des témoins vous ont vu ensemble ! Alors ne me la faites pas avec votre joli minois. Ca ne marche pas. J’aime mater des femmes comme vous. - Pardon ? mais vous vous trompez. Il est vrai que j’ai danser avec Franz mais rien de plus. Il se leva et ouvrit la porte. - Conduisez là en cellule. Maintenant - Je vous en prie.. arrêtez vous vous méprenez. On me conduisit dans une pièce dont une partie des murs étaient en pierre et l’issue était à travers les barreaux. Un lit picot et une vieille couverture. On me jeta vulgairement dans cette pièce. Je ne comprenais pas ce qu’on me disait. Je me voulais pas me laisser abattre. Je repensais à ce que Claudia me disait. Si seulement elle était là ! Le coup de grâce fut quand on me mit des fers au poignet. Comme si l’on pouvait s’échapper de ce lieu !!! Je tentais de me reposer. J’étais épuisée. Je n’avais aucune idée de l’heure qu’il était. Je m’assoupis. Quand je me réveillais, il était là, l’homme qui avait commencé à m’interroger. Depuis combien de temps m’observait-il ?je me sentais en sécurité malgré moi avec lui. - Levez-vous. - Je vous en prie, cessez cela, je n’ai rien à voir avec ce dont on m’accuse. Je commençais à pleurer. Il me saisit avec sa main ma mâchoire et me dit. - Tu es douée petite espionne, mais je te démasquerai. Cela prendra le temps qu’il faut. Ce contact, sa chaleur me décontenançait et je voulais pour autant quitter ce lieu. Comment sortir de ce cauchemar. - Venez vous assoir à la table, je vous prie. Il montrait cette politesse qui faisait que je lui obéissais sans réfléchir. - Je crois que c’est votre sac. - Oh oui ! c’est bien lui. - Nous avons retrouvé un petit pique à l’intérieur, identique à celui qui provoqué les blessures à votre ami Franz. Je commençais à voir rouge. - Ce n’est pas possible ! je ne l’ai pas tué ! retrouvez Claudia. Elle pourra témoigner de tout. - Nous n’avons retrouver aucune Claudia. - Les amis de Franz.. euh.. je ne me souviens pas de leurs noms, vous parleront d’elle, je n’invente rien. - Ahhh vous êtes réellement douée douce Fraulein. Je vais vous faire craquer. Je compris au son de sa voix qu’il ne plaisantait pas. Il prit alors mes menottes, tira dessus. Je me laissais faire, telle une poupée, ne sachant plus quoi faire. Je voulais sortir de tout cela. Qu’on me libère. - Je vais vous laisser la journée pour réfléchir. Ce soir, nous dinerons ensemble. Je le regardais interdite. Je m’attendais tout sauf à cela. Quand il quitta la cellule, je pleurais. Plus tard, des femmes venaient à moi. On me tira de ma cellule et on m’emmena me laver. Je laissais alors mes affaires et sans aucun ménagement on me poussa à la douche, qui était si froide. Je tremblottais. Je regardais mon visage dans le miroir. Je ne me reconnaissais plus. Je ne m’étais jamais sentie aussi seule. On me ramena à ma cellule aussi glacée que cette douche. Je remettais ma robe de soirée, je n’avais rien d’autres à porter. Quand il réapparut, avec ces plateaux repas, cette bouteille de vins et ces verres en cristal… Chapitre 2 à suivre
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Par : le 21/09/21
J’attends patiemment ma pâtée étant sans doute le seul à ne plus sentir la puanteur de ma couche. Après quelques heures Allan m’apporte mon repas qui devient mon réconfort. Pour la boisson, je travaille en autarcie complète ; je pisse, je bois, je pisse, encore et encore. «Je vais te débarrasser de cette couche immonde, allez lève-toi» me dit Allan Il la prends et la jette prestement dehors tant elle pue. «Voilà ce sera mieux, tu seras plus facile à laver demain. Désolé, mais je n’en ai pas d’autre» Je me retrouve donc directement sur la planche. C’est dur mais enroulé dans ma couverture, c’est plus agréable que sur ce matelas immonde. Je m’endors vite. Le réveil sera très matinal. Allan vient me chercher comme d’habitude pour un petit déjeuner toujours exclusivement uro. Après cela, c’est le traditionnel décrassage au jet d’eau bien froide. Il me remplace mon rosebud par un plug avec une grande queue de renard. Il m’attache les mains dans le dos avec une paire de menottes métalliques et m’emmène en laisse jusqu’à un bel appartement. Il me laisse au milieu d’un grand salon plus aménagé pour le SM que pour la détente. C’est avec surprise que je vois entrer Maîtresse Célia. Elle congédie rapidement Allan et s’adresse à moi sur un ton courtois. «Aujourd’hui, j’avais envie de me détendre alors j’ai voulu voir si tu mérites d’être ici. Pour moi, tu n’es rien et tu n’as aucune chance de devenir mon soumis. Tu sera mon objet toute la journée et je te demande respect et soumission» Je suis au milieu de la pièce, tête baissée et je l’écoute sans broncher. Je m’apprête à lui répondre mais je reçois une gifle dans la seconde. «Je ne t’ai pas autorisé à parler alors tu évites de m’interrompre. Je veux que ton seul horizon soient tes pieds. Maintenant tu vas au coin, tête contre le mur» Son ton est posé, ferme et je m’empresse de lui obéir. Elle me fait écarter le jambes pour me fixer un écarteur au chevilles. Penché , la tête contre le mur. Ma position n’est pas des plus confortable. J’entends Maîtresse Célia s’éloigner et me lancer : «Je vais appeler quelques amies, alors SILENCE. Ta punition durera le temps de mes appels et mes amies sont assez bavardes» Je souffre déjà et l’avertissement de Maîtresse Célia ne m’annonce pas une fin prochaine de mon supplice. Elle passe un 1ère appel assez court et mon moral remonte. Elle enchaîne malheureusement un deuxième appel qui dure une éternité. J’ai le front écrasé, les cervicales de plus en plus douloureuses. Le silence qui suit la fin de son appel me rassure et encore plus quand je l’entends dire : «Approche» «Oui Maîtresse» .Avec les menottes et la barre d’écartement, c’est plus facile à dire qu’à faire. J’arrive à me redresser douloureusement et je la rejoins en dandinant. Arrivé à ces pieds, elle me libère les chevilles et les poignets. Son sourire est encourageant et je ressens son envie de prendre du plaisir. «Met-toi ici, écarte les jambes et lève les bras» Ainsi présenté, elle m’attache les chevilles et les poignets à des sangles qu’elle tend très fort pour m’écarteler. Maîtresse Célia a en main une canne anglaise très fine avec laquelle elle me fouette sèchement. Ces coups sont précis et les traces de la canne dessine bientôt un beau motif écossais. Je suis nu mais elle ne tarde pas à m’habiller de cette fresque géométrique qui vire du violet au rouge. Maîtresse Célia jubile et cela transpire sur son visage. Elle m’a gravé un body coloré des pieds aux épaules. Les traces que j’aperçois sont profondes et quelques gouttes de sang en suinte légèrement. Ma peau est chauffée à blanc. Contente de son œuvre, Maîtresse Célia me détache précautionneusement comme pour ne pas casser son objet. D’un geste autoritaire, elle me montre le sol m’intimant de me mettre à genoux, les mains sur la tête, le regard vissé au sol. « tu as bien sali le salon, alors il va falloir faire le ménage Ma Renarde» Elle sort d’un tiroir une jupette et un soutien-gorge de soubrette que j’enfile prestement. Elle me trouve également des escarpins avec talons de bonne hauteur. Maîtresse Célia m’humilie habilement avec ce costume et ma queue de renard. Pour accroître encore ma soumission, elle me demande d’aller chercher une balayette, une pelle, un seau plein d’eau chaude, une brosse et une serpillière. «Aller, à quatre pattes et frotte» C’est avec ces outils dérisoires que je dépoussière et que je lave le salon sous le regard de Maîtresse Célia qui me tangue régulièrement, «plus vite, c’est pas propre, frotte plus fort et puis regarde tout ce qui reste» après avoir donné un petit coup de pied dans ma pelle que je venais juste de remplir… Elle me chevauche, me cravache toujours plus sèchement. Elle rit de bon cœur en précipitant ma maladresse naturelle. Son rire est communicatif mais un coup sec de la canne anglaise me remet vite à ma place. Ouf ! malgré tous les efforts de Maîtresse pour que je n’arrive pas à laisser le sol nickel, je termine tant bien que mal mon épreuve de Sissi. «Bien, tu vas préparer le repas» Après avoir chauffé son déjeuner, je lui sers son repas sur la table de la salle à manger. Maîtresse exige que je me déplace exclusivement à quatre pattes. Entre les plats, je suis à genoux à côté d’elle. Je suis attentif à ce qu’elle ne manque de rien. C’est seulement par mon service impeccable que Maîtresse me fait l’honneur de ses restes dans une gamelle de chien. Je lape avec difficulté cette gamelle qu’elle a posé à ces pieds, la poussant subrepticement pour me rendre la tâche encore un peu plus ardue. A la moindre faute, Maîtresse me retire la gamelle tant que je ne lui ai pas donné satisfaction. Maîtresse est juste. Elle me caresse les cheveux pour me montrer sa satisfaction. «Bon toutou, tu peux débarrasser maintenant et faire la vaisselle» Je ne perds pas de temps pour lui obéir car à quatre pattes, c’est nettement plus lent ce qui exaspère vite Maîtresse Célia. La canne anglaise me le fait bien comprendre et j’accélère autant que possible. «Bien, dès que tu as fini, aux pieds dans le salon, je suis sur le divan» Je ne tarde pas à me prosterner à ces pieds. «Ôte moi mon escarpin et tend ta main» Elle me déverse une noisette de crème de massage au creux de la paume. Je commence à lui masser les pieds puis les mollets avant de prolonger avec l’autre pied de Maîtresse. «Tu es plus doué pour les massages que pour enlever les chaussures» Je baisse la tête à la fois flatté et honteux. Ma journée aux pieds de Maîtresse Célia continue, je vous la raconterais bientôt A suivre ….
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Par : le 06/09/21
(Je ne suis pas l'auteur des mots...Ce dialogue est tiré d'un livre dont j'ai perdu le titre...Mais il m'a refait penser à certains échanges que j'ai pu avoir...Et rejoint totalement ma pensée en ce Monde de Sens...Merci à Vous, ma très chère de ce partage...) .... — La plupart des gens pensent que les pratiques de domination et de soumission sont uniquement le fait d’infliger à l’autre de la souffrance physique ou des humiliations pour dépasser les limites de sa propre personnalité. Avec le temps et l'expérience, je me suis rendu compte qu'il existait quelque chose de beaucoup plus profond et puissant. — De quoi parles-tu ? J'eus l'impression qu'elle s’approcha plus près de moi. Sa voix semblait me murmurer au creux de l'oreille. Elle n'existe pas, et pourtant je la sens si proche. Quelle sensation étrange. Je repris mon explication après un court instant de silence. — Comment sais-tu que tu fais confiance à quelqu'un ? — Dis-moi... — En plaçant entre ses mains la chose la plus importante que tu possèdes. — Ma vie ? — Non n’exagérons pas, je dirais plutôt ton libre arbitre. — Ma liberté ? — Pas exactement. Le libre arbitre, c'est notre capacité à faire des choix. C'est la seule chose qui te permet sur terre de te définir comme individu unique. — Et si je ne choisis rien. — C'est déjà un choix. Chaque action que tu effectues est issue d’un choix, c’est la première chose d’ailleurs qu'on te prend lorsqu'on te met en prison. Tu ne décides plus de rien. — Quel rapport avec nos jeux ? Je ne te suis plus du tout. — J'y arrive... Tu vas connaître l'abandon total. — Comment ça ? — Un état dans lequel tu n'auras plus à faire aucun choix, juste à te laisser guider par le son de ma voix et exécuter les ordres que je te donnerai. — Pourquoi y prendrais-je du plaisir ? — Parce que je te connaîtrais si bien que mes ordres combleront tes désirs avant même que tu aies pu consciemment les formuler. — Tu vas penser à ma place ? — Dans un certain sens. Tu n'auras pas à te demander ce que je veux ou ce que tu veux, tu n'auras qu’à te laisser guider jusqu’à atteindre la jouissance. — Comment arriveras-tu à anticiper mes désirs ? Tu lis dans les pensées ? — Non, mais je vais apprendre à te connaître avec minutie. Je vais analyser chacun de tes gestes, chacun de tes mots, jusqu’à savoir utiliser ton propre langage. — Tu parles comme un psychopathe Alex... Tu me fais peur. — Non, je parle d'amour, parce qu’au fond c’est ça l'amour. Apprendre à connaître l’autre mieux que lui-même. — Alors on va s'aimer ? — Bien sûr, avec une intensité telle que tout le reste te semblera fade. Sans amour rien n’est possible. C’est un jeu qui se joue entre adultes consentants qui ont choisi d'ouvrir leur cœur l’un à l’autre. Sans cela, tu ne ressentiras aucun plaisir. — Et toi ? Où prends-tu ton plaisir ? Ne me dis pas que c’est une démarche purement altruiste où seul le plaisir de l’autre compte. Sa voix avait prit un ton ironique, presque moqueur. Elle n'était pas convaincue par la sincérité de ma démarche et je pouvais le sentir. — Bien sûr que non, mon plaisir est ailleurs. Il est certes dans le corps puisque le jeu auquel nous allons jouer nous amènera inexorablement à la jouissance, mais il est surtout dans la tête. Comme je te le disais, il y a autant de sexualités que d'individus, et pour ma part j'éprouve un plaisir immense à être au contrôle. Diriger, ordonner, soumettre avec pour seul objectif le plaisir. La domination est un moyen d’exciter le cerveau et non un prétexte pour infliger une souffrance. — Tu es définitivement cérébral Alex. C'est rare chez un homme. — Oui je sais, mais c’est vraiment ça qui me permet de décupler le plaisir physique : le mien, mais aussi bientôt le tien. Le pressentir, l’imaginer, l'ordonner, le matérialiser. C’est un acte créatif extrême où l’autre devient à la fois l'instrument et le bénéficiaire. — Ça n’est pas un peu tordu ? Il suffit juste de s'aimer et le plaisir se crée, non Je marquais une pause. Ses mots résonnèrent dans l'habitacle. Je sais qu’elle n'existe pas et pourtant j'apprécie sa répartie et nos discussions. J'ai l'impression qu’elle me connait depuis tellement longtemps. Je devrais peut-être me méfier. — Évidemment, c'est possible de fonctionner comme ça, mais si tu acceptes mon emprise, alors nous entamerons le processus créatif d’un plaisir sans limites. — Un acte de création ou un acte d'amour ? — Les deux, mais ça ne sera pas aussi immédiat que tu le penses. — Ça va prendre du temps de s'aimer ? — Bien sûr, mais il faudra plus que du temps pour cela. — Que faudra-t-il alors ? — Que nous vivions des expériences si fortes que tu seras malgré toi obligée de libérer ce qu'il y a de plus intime et secret en toi. — Quel genre d'expériences ? — Tu le découvriras bien assez tôt. — Je ne sais pas si j’arriverais à me livrer totalement. — Si et à la fin tu m'appartiendras. — Je t’appartiendrai ? Je sentis sa voix s'éloigner du creux de mon oreille. Son ton s'était durci et elle semblait dubitative. — Oui tu seras totalement mienne. — Voilà que tu parles à nouveau comme un psychopathe. — Pas du tout. M’appartenir ne devrait pas te faire peur, au contraire. — Je n’appartiens à personne, je suis libre. Tu es un rêve surtout, je ne vois pas comment tu pourrais être totalement libre. — Oui tu es libre, jusqu’à ce que tu décides de m’appartenir. Ce n'est pas moi qui te l’imposerais. Je ne ferais que te guider dans ce parcours. Une fois que nous en sortirons grandis et plus adultes, tu ne voudras plus jamais qu’un autre pose les mains sur toi. — Et c'est donc ça t’appartenir ? ça ressemble plus à de la fidélité qui est quelque chose de commun non ? — Appartenir n'est pas être fidèle. Tu peux très bien m’appartenir et coucher avec quelqu'un d’autre à la condition que je le désire et que je te le permette. — J'ai l'impression que tu veux surtout m'ôter mon pouvoir de décision. — Non jamais. Je t’aimerai parce que tu es libre, et tu consentiras librement à me donner ton pouvoir de décision, la démarche n’est pas la même. Il y a une énorme différence entre imposer quelque chose à quelqu'un avec ou sans son consentement. La beauté de la chose, c’est que c’est toi qui m'offriras spontanément ton consentement. C’est un acte de bonté et de confiance extrême où chacun des deux individus est en symbiose parfaite avec l’autre. — Ça ressemble à de l'amour. — C’est de l'amour dans sa forme la plus pure mais c’est difficile à concevoir pour beaucoup. — Je commence à le comprendre. Donc t’appartenir ce n'est pas forcément mettre des menottes et être ligotée ? — Non pas du tout. Les menottes sont un jeu qui utilise un accessoire, m'appartenir est un acte de foi en nous. — Tu en parles avec beaucoup de poésie, comment me feras-tu l'amour ? — Tu le sauras bientôt.
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Par : le 16/08/21
"On ne vous bandera les yeux que pour vous maltraiter, pour vous fouetter. À ce propos, s’il convient que vous vous accoutumiez à recevoir le fouet, comme tant que vous serez ici vous le recevrez chaque jour, ce n’est pas tant pour notre plaisir que pour votre instruction" Histoire d'O Anne Cécile Desclos, dite Dominique Aury alias Pauline Réage. Un sombre voile de plaisir recouvre la flagellation depuis l'orée des temps. Les antiques raffolaient déjà du fouet. Lors de cérémonies rituelles, ils l'utilisaient pour invoquer les divinités afin de rendre les femmes fertiles. Dans la Rome Antique, le culte de Junon, protectrice des femmes, leur commandait le fouet, afin de lutter contre la stérilité. Lors de la fête des Lupercales, après le sacrifice d'un bouc par les Luperques, prêtres de Faunus, deux jeunes pages le visage couvert du sang de l'animal, armés de lanières, fouettaient des femmes souhaitant devenir fécondes. Le culte de Diane chasseresse donnait lieu également à de véritables concours de fouettage. De même, la flagellation était prescrite par Hippocrate comme remède contre l'impuissance masculine. De nombreux textes anciens relatent avec lyrisme les liens entre douleur et jouissance. Ainsi, Hérodote décrit, non sans poésie, des scènes de flagellations érotiques au cours des fêtes d'Isis, où tous les fidèles munis de fouet se frappaient jusqu'à l'extase. Pas de fêtes orgiaques sans rituels du fouet, lors des Dyonisies en Grèce ou des Bacchanales à Rome. Plus tard, de célèbres dévots éprouvèrent en se meurtrissant les effets stimulants du fouet. Henri III , dernier Roi valoisien (1574 à 1589) , grand pénitent mais aussi voluptueux raffiné, aimait à se "tourmenter les chairs", en compagnie de ses mignons. Sade, étudié précédemment, en fit, dans l'intégralité de son œuvre , l'un de ses instruments de jouissance de prédilection. Comment la flagellation a-t-elle pris place dans l'art du jouir ? Selon Freud, le masochisme, est une perversion sexuelle suivant laquelle la satisfaction est liée à la souffrance, ou à l'humiliation subie par le sujet soumis. L'envie de fouetter ou d'être fouetté proviendrait de la connexion directe entre plaisir et déplaisir. Désir de faire souffrir la (e) soumise (s) ou l'esclave sexuelle (el), ou le sentiment opposé, recherche de la douleur par la (e) flagellée (é) . L'envie de se faire souffrir, ou masochisme, serait la forme de perversion la plus répandue. L'attrait pour la flagellation, selon le psychanalyste, viendrait de la fixation, au cours de l'enfance, d’une correction punitive mêlée à une jouissance. Le sadomasochisme représentant alors la satisfaction liée à la souffrance ou à l'humiliation subie par un sujet dépendant. Des comportements érotiques exacerbés conduiraient à une pratique sexuelle employant la douleur par la flagellation pour parvenir à la jouissance. Un sadique étant toujours un masochiste, selon le neurologue autrichien, le flagellant prend plaisir à fouetter, aurait pour partenaire, un flagellé recherchant l'extase sous le fouet. Dans une relation D/S entre un dominant et un dominé, un Maître et un esclave, ou un masochiste et un sadique. La représentation religieuse de la flagellation l'associe à l'expiation d'une faute commise en vue de se punir de péchés. La mortification de la chair, dans une recherche mystique d'accaparation des douleurs du christ, permet de se rapprochant de Dieu. Quel qu’en soient les origines, apparaît de façon sous-jacente l'union entre le corps et l'esprit. En punissant, on veut faire entendre raison, en meurtrissant le corps, on pousse l'esprit à s'élever en se surpassant. Les informations cérébro-dolorosives transmises au cerveau agissent comme des détonateurs forçant l'esprit. Celui ci transmet à son tour au corps l'ordre d'endurer et de résister. Ce schéma synaptique neuromusculaire se produit lors d'une séance de flagellation. Clairement exprimé, la flagellation permet d'explorer le côté animal en transgressant les codes d'une sexualité classique. Elle confronte les partenaires, à la vulnérabilité ou à la puissance, au cours de jeux de rôles sexuels extrêmes, comme de puissants leviers d'excitation sexuelle. La ritualisation, en particulier, la mise à nu de la soumise exacerbe l'érotisation de la préparation à la séance de flagellation. Elle offre à son Maître, en signe d'offrande, le spectacle de sa nudité. Libre à lui, de se livrer à un examen approfondi des parties corporelles à travailler. Les yeux bandés et bâillonnée, elle est attachée avec des menottes, ou des cordes, sur du mobilier, un carcan, un cheval d'arçon, le plus souvent, une croix de saint André. S'infligeant une souffrance physique, le masochiste produit des endorphines, hormones sécrétées en cas d'excitation, et de douleur. Les endorphines ou endomorphines étant des composés opioïdes peptidiques endogènes secrétées par l'hypophyse et l'hypothalamus, lors d'activités physiques intenses, sportives ou sexuelles, d'excitation ,de douleur, et d'orgasme. Elles s'assimilent aux opiacés par leur capacité analgésique et procurent une sensation de bien-être. Lors d'une séance de flagellation, la douleur se transforme peu à peu en plaisir. Elle procure un plaisir à la fois corporel et mental, pour la (e) sadique ou dominatrice (eur),comme pour la (e) masochiste, ou soumise (e). Les sensations de morsures, brûlures, et de douleurs précèdent toujours plaisir et jouissance. La flagellée, par soumission et par volonté de se surpasser, atteint progressivement un état relatif de confort. Son corps mobilisé secrétant des analgésiques ou euphorisants, elle supporte alors mieux la douleur quand approche l'orgasme. Le secret de l'alchimie résidant dans l'expérience du Maître, dans sa technicité et sa maîtrise de l'art du fouet. La caresse de la zone à fouetter, ou à pincer, au cours de la période d'échauffement, précède toujours la flagellation. Le dépassement de soi, en continuant à subir ou à frapper, plus longtemps et plus fort, s'acquiert avec le temps. À la douleur, s'associe le fantasme de la domination. Véritable raffinement érotique, la flagellation, pratique fétiche, source de sensations corporelles voluptueuses, est véritablement au cœur de la littérature érotique: Plus de sept cents livres lui ont été consacrés entre 1890 et 1940. Gustave Le Rouge, Louis Malteste, Hector France ou Pierre Mac Orlan la vénèrent en déifiant sa ritualisation. Citons "La Voluptueuse souffrance" de Max des Vignons (1930), "Coups de fouet" de Lord Birchisgood, "Le magnétisme du fouet" de Jean de Villiot (1902), ou encore "Monsieur dresse sa bonne" (1996) de Georges Pailler, dit Esparbec. La flagellation, pratique autonome, est devenue aujourd'hui un symbole érotique incontournable de la domination. Rappelons, avec force, que toute stimulation du corps par la flagellation, doit être librement consentie par des partenaires majeurs, idéalement expérimentés, utilisant du matériel sûr et révisé, avec le recours toujours possible à un safeword. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 24/07/21
C'était la première fois. Pour tout d'ailleurs, c'était la première fois. Quand il est passé derrière moi et qu'il m'a descendu le jean à mi-cuisse. Qu'il m'a ordonné de me pencher, la tête dans les mains, les fesses offertes. Quand il m'a pénétrée du bout des doigts, essayant la solidité de mon hymen, avant d'enfoncer ses doigts dans mon anus, trois doigts, d'un coup. C'était juste avant qu'il me sodomise, pas un instant, à ce moment-là, je n'ai pensé qu'il pourrait me prendre autrement. Et puis les mots. Quand il me disait de bien l'enrober avec la langue, de bien remonter jusqu'au gland avant de m'enfoncer encore. Quand il est sorti de ma bouche, il m'a dit que j'étais une incapable, incapable de le faire jouir. Il l'a redit en sortant de mon cul. Je me suis traînée à ses pieds, en lui disant que j'étais désolée, que j'allais le faire jouir, que je saurais le faire. Il est revenu dans ma bouche, sa verge avait un goût âcre que j'ai appris à connaître, mais là encore il n'a pas joui. Il le faisait exprès, bien sûr. Il a achevé de me déshabiller, il m'a fait marcher, de long en large. Nous sommes allés dans la cave, il m'a fait allonger sur une table de bois très froide et il m'a ordonné de me caresser. L'idée qu'il regardait mes doigts m'a fait jouir presque tout de suite. Il me l'a reproché, bien sûr, c'était tout le but du jeu. J'étais pantelante. J'ai joui si fort que j'en avais les cuisses inondées, il s'est inséré entre mes jambes, les a soulevées pour poser mes talons sur ses épaules, j'ai voulu le regarder mais j'ai refermé les yeux, et c'est là qu'il m'a dépucelée. Depuis tout ce temps que le connais, il a toujours aimé me baiser dans des lumières violentes, et glauques en même temps, des lampes dénudées, des néons, pendant au bout d'un fil. Et surtout sur des surfaces froides, des carrelages, des bois laqués. Une fois, une seule, nous avons fait l'amour dans sa chambre, mais il avait jeté par terre une paire de draps blancs, qu'il a soigneusement aspergés d'urine, avant de m'étendre sur le tissu souillé, il m'a roulé dedans, laissant juste émerger la partie de mon corps qu'il voulait utiliser. J'ai eu très mal, brièvement, j'ai senti le sang couler, du moins j'ai cru que c'était du sang, il m'a pincé les seins, durement, et j'ai joui aussitôt. Quand il est sorti de moi, il n'avait toujours pas éjaculé, et il m'a dit que j'étais incapable, une bonne à rien. Il a dégagé sa ceinture de son pantalon, et il m'a frappée plusieurs fois, en m'ordonnant de compter les coups, sur les seins et le ventre. J'ai glissé à genoux, et je l'ai repris dans ma bouche. Il n'a pas arrêté de me frapper, le dos et les fesses, de plus en plus fort, jusqu'au sang, et j'ai arrêté de le sucer parce que j'ai joui à nouveau. Je le regarde bien en face, avec attention. Je ne ne suis pas gênée par l'évocation des souvenirs, ni par l'usage des mots les plus précis. Il est même certain que je m'en délecte. Comme si ces aveux, si chirurgicaux et si cruels, faisaient partie d'un protocole imposé par le Maître, et loin de dire quelque chose sur ma névrose, ils en devaient la manifestation, la complaisance, devrais-je dire. Mais non, j'utilise ces mots parce que je pense qu'ils sont tout à fait adéquats. Il a dit me rhabiller, tout de suite, sans me laver, le string poisseux, le jean taché du sang qui gouttait encore. Et le reste. Je lui ai demandé où étaient les toilettes. Il m'y a amenée, il a laissé bien sûr la porte ouverte, me regardant avec intérêt, ravi, sans trop le montrer, de ma confusion quand le jet de pisse a frappé l'eau de la cuvette comme une fontaine drue. Le lendemain, j'avais passé la nuit à repenser à cela, à tenter de comprendre pourquoi, j'avais les nerfs à vif, comme après toutes les insomnies. J'avais longuement examiné mon corps. Ma peau était couverte de plaques rouges, la délimitation exacte du ceinturon avec lequel il m'avait châtiée. Châtiée de quelque faute, et chaque fois que j'en arrivais là, je me caressais, je jouissais, et la question disparaissait, ou plutôt, la réponse éventuelle, mais la question demeurait brûlante d'actualité, et je me caressais à nouveau. Il m'a fait entrer dans la salle de bain. Il m'a donné un coup juste à la pliure des genoux, et je me suis affalée sur le carrelage glacé. Il m'a saisie par les cheveux, m'a traînée dans un coin et m'a attachée avec des menottes à un radiateur. Il m'a frappée encore quatre ou cinq fois, je criais en me protégeant le visage. Puis il a jeté sa cravache, il a pris des ciseaux et s'est mis à me tailler les cheveux; je les portais mi-longs, il y a seulement quatre jours encore. Les mèches me tombaient sur les épaules, sur les seins. J'étais nue. Il coupait court dans la masse, presque à ras. Il m'a attachée, et il m'a laissée là, toute la nuit. Je n'ai pas entendu la voiture partir. Le soir est tombé, j'étais seule, j'ai fini par crier, par pleurer, il y avait juste le bruit du vent, et le froid, l'humidité. Toute la nuit. Il est revenu au matin, il m'a dit que je devais choisir, entre l'obéissance immédiate et la liberté. L'autre en moi, aurait aimé fuir, l'autre a dit qu'elle voulait lui appartenir, et qu'elle ferait tout ce qu'il voudrait, et qu'elle obéirait. Il m'a fait mettre à genoux, tout en me laissant attachée. Il a enfoncé sa queue dans ma bouche. Je l'ai sucé comme je pouvais. Quelque chose de chaud m'a coulé sur le dos, et j'ai compris qu'il me pissait dessus. Un peu plus tard, il a enfoncé deux doigts dans mon ventre, le cuir de ses gants était glacé, mais il les a enfoncés sans peine tellement j'étais ouverte et docile. L'abomination du récit ne doit pas entacher l'écoute. La cruauté est la clé du plaisir dans ce monde si particulier. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 21/07/21
Ce fut un coup frappé à la porte qui la réveilla, deux heures plus tard et déjà, le désir parcourait son corps. La persévérance signifiait qu'il prenait très au sérieux les sentiments qu'il éprouvait pour elle. Mais en même temps, toutes les attentions qu'il lui prodiguait la déstabilisaient. Elles ne lui laissaient pas le temps de souffler et rendaient plus difficile encore la possibilité de lui résister. Charlotte songea à s'enivrer avec le champagne. Ainsi elle n'aurait pas à réfléchir ni à prendre de décision. Elle porterait le bandeau. Tout ne lui serait pas infligé à la fois, elle aurait le loisir de crier, de se débattre, mais de jouir aussi, tant il prenait plaisir à lui arracher ces indubitables témoignages de son pouvoir. Il n'était pas dans ses habitudes de fuir les responsabilités. Elle avait découvert la subtilité et la délicatesse du jeu des relations entre le maître et son esclave. Elle devait savoir indiquer à l'inconnu les limites à ne pas franchir. L'autorité absolue est un savant jeu d'équilibre, le moindre faux pas romprait l'harmonie et au-delà briserait la considération qu'ils se porteraient l'un à l'autre. Toute femme a ses limites, elle a les siennes. Il ne pourrait aller au delà des limites acceptées, moralement ou physiquement. Toute dérogation à cette règle serait dangereuse. En cela, elle s'accorderait du plaisir et une nuit d'amour car il avait la générosité de ne pas la priver d'orgasme. Charlotte devrait lui accorder les privilèges de sa fonction. Lui procurer le bonheur grisant de la dominer tout en se préservant quelque indépendance, car alors la punition qui s'ensuivrait serait source de plaisir pour l'un et l'autre. Se soumettre, endurer, désobéir et jouir dans la contrainte. Elle avait pris conscience de son pouvoir sur l'homme. Car c'est une évidence qu'ignorent les non-initiés à cet univers qu'elle pénétrait, marginal et si envoûtant. Il ne serait jamais celui que l'on croit. En réalité il serait en état de dépendance totale vis à vis d'elle. Il existerait et ne trouverait sa place ou sa justification que par rapport à elle. Par ce jeu subtil de rapports de force, elle serait certainement celle qui exercerait le véritable pouvoir dans leur relation. Même s'il la pousserait certainement au paroxysme de l'épuisement et de la souffrance physiques lors de séances très éprouvantes. Elle l'accepterait tout de lui pour autant qu'il n'abuse pas trop de la situation de dépendance engendrée par l'amour qu'elle lui portait en la forçant à accepter des épreuves trop humiliantes. Elle se pencha au-dessus des lis, huma leur parfum. Elle aimait les fleurs fraîches, le champagne, le déshabillé et le symbole des menottes. Mais qui ne les aimerait pas ? Cela ne signifiait pas qu'elle était prête à succomber à la requête de l'inconnu. Et toutes ces attentions. Elle ne savait pas ce qu'il pensait vraiment d'elle. Elle avait voulu le séduire, mais en réalité, il l'avait soumise. Sur la terrasse de la suite, elle avait désiré être sodomisée et elle avait joui mais ensuite dans le reflet de la lumière de la chambre, attachée, l'homme l'avait fouettée avec sa ceinture. Les traces sur son corps la rendaient fière. Elle souhaita seulement qu'il fut également heureux, si le le supplice était le prix à payer pour que son amant continuât à l'aimer. Pour s'engager plus avant, elle aurait besoin de savoir qu'il l'aimait. Mais comment pouvait-il le lui prouver ? Lui avait-elle, à dessein, assigné une tâche impossible ? Avait-elle aussi peur qu'il le pensait ? Charlotte portait un collier de soumission mais elle n'avait pas les clefs, encore moins celles des chaînes de leur relation amoureuse. Elle se sentait incapable de répondre à toutes ces questions. Elle prit la paire de menottes et le bandeau. Elle fit glisser ce dernier entre ses doigts. Devait-elle poursuivre leur relation et offrir une chance à ce lien si fort qui les unissait ? Elle n'aurait su le dire mais secrètement elle l'espérait. Son corps l'exigeait. Alors que dix-neuf heures approchait, elle se doucha, et s'habilla. Une simple robe légère, et en dessous une paire de bas tenue par un porte-jarretelle; porter des sous-vêtements aurait été maladroit. Elle noua le bandeau sur ses yeux. Les cinq minutes passèrent trop vite et lorsqu'on frappa à la porte, elle se sentit la gorge sèche. Elle l'entendit rentrer. Sa voix profonde, sensuelle, fit courir un frisson le long de son dos et naître aussitôt le désir au creux de ses reins, de son ventre. Déjà, ses seins se dressaient, pressant la soie de son décolleté. Très vite, elle compris qu'elle avait pris la bonne décision. Et qu'importe ce qu'il adviendrait ensuite, elle était prête à vivre tous ses fantasmes. - Il y a une chose qu'il faut que vous sachiez si vous me prenez en charge ce soir. - De quoi s'agit-il ? - Je ne porte pas de lingerie. Par conséquent, je suis nue sous ma robe. - J'aimerais beaucoup voir. Les doigts tremblants, elle saisit l'ourlet et fit remonter le tissu le long de sa cuisse. Jamais elle ne s'était sentie aussi indécente et elle adorait cela. Elle écarta légèrement les cuisses. Elle se sentait déjà humide, prête pour lui. S'il ne la touchait pas très vite, elle allait s'évanouir. Il laissa un doigt glisser vers l'intérieur de son entrecuisse, puis il effleura son clitoris. Charlotte frissonna, le corps parcouru de sensations délicieuses. - Nous n'allons pas faire l'amour ? - D'abord, nous allons poursuivre votre apprentissage. Avez-vous aimé la séance d'hier ? - Oui, je vous aime quand vous me dominez. Elle se sentait rassurée. Il lui ordonna de se déshabiller totalement et de se débarrasser de ses talons hauts. Il glissa quelque chose de doux et de soyeux autour de ses poignets et l'attacha. Elle testa ses liens. Elle pouvait bouger de quelques centimètres. Ce qu'elle fit, et dans la position où elle se trouvait, le désir crût soudain dans ses reins. Alors il décida de la contraindre, les bras maintenus dans le dos à l'aide de la paire de menottes métalliques. - Je voudrais vous fouetter, et cette fois, je vous le demande. Acceptez-vous ? - Vous connaissez la réponse, je vous aime. Il lui enchaîna les mains au dessus de sa tête, à l'anneau fixé au plafond qui soutenait le lustre de la chambre. Quand elle fut ainsi liée, il l'embrassa. Lorsqu'elle reçut le premier coup de fouet, elle comprit qu'il s'agissait d'un martinet souple utilisé de façon à lui chauffer le corps avant d'autres coups plus violents. Puis, du martinet, l'homme passa à la cravache. Elle en devina la morsure particulière au creux de ses reins. Cela devait être une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. Maniée avec précision et nuance, chaque coup reçu lui semblait différent, selon que la mèche de cuir la frappait à plat, ou au contraire sur toute la longueur de la tige. Charlotte oublia toutes ses résolutions pour se mettre à crier sous la morsure intolérable des coups. Le tout avait duré une dizaine de minutes. Il s'arrêta. Elle ressentit un apaisement. L'inconnu lui ôta le bandeau qui la rendait aveugle. Quand il la prit dans ses bras, le coton de sa chemise lui agaça la pointe des seins. Il l'embrassa, l'étendit sur le lit, se coucha contre elle, et lentement et tendrement, il la prit, allant et venant dans les deux voies qui lui étaient offertes, pour finalement se répandre dans sa bouche, qu'ensuite il embrassa encore. Elle trouva la force de lui répéter qu'elle l'aimait. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 08/07/21
Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des pénis est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise. Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine doit être éliminée, et cette technique aide à le se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, bien que ce soit très sympa avec de vraies queues. En exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre à une hiérarchie dominante. J’ai d'abord entrainé mon amant à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture avant de lui avoir pénétré l'anus bien sur. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de ma lopette. Alan, qui est aussi un mâle soumis, mais il n'est pas maso contrairement à mon amant et il peut être actif avec d'autres mâles soumis, j'en domine d'autres occasionnellement en la présence ou non de ma salope. Avec Alan nous sommes devenu amis et assez complices, j'aime aussi avoir des échange intellectuels avec mes soumis, même si j'aime aussi les traiter très souvent comme de véritables esclaves. Il est grand, musclé, bien fait, et a le plus profond respect pour les Femmes. Il n’est pas homo, mais vraiment très cochon, j'adore. Pour préparer mon esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring et lui attachais les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très pratique et je l’utilise souvent sur mon esclave quand je désire m'occuper de lui correctement. Je le prépare ainsi car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle habillé. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d’impuissance, et accroit le facteur d’humiliation. Le cockring garde son sexe sensible et en érection plus facilement, ce qui est aussi humiliant. Cela rend aussi les testicules plus exposées et sensibles. une Femme peut forcer un homme attaché et nu à faire tout ce qu’elle veut, juste en lui administrant la bonne quantité de douleur sur ses testicules vulnérables. Il est important de noter que je n’oblige pas mon amant à faire tout cela contre sa volonté. Il n'a pas pour autant la possibilité de refuser car c'est lui qui a demandé à être mon Esclave mâle il doit donc assumer sa place en tant que tel aujourd'hui, ce qui me donne le droit de l'humilier même à l'extrême, et comme bon me semblera . Quand mon esclave est prêt, je prends un moment pour l’exciter. Je lui dis qu'un ami va arriver dans quelques minutes et que j’attends de lui qu’il fasse un très bon travail en le suçant et en étant une très bonne salope mâle pour mon plaisir pendant que je me régalerai en regardant. C’est très humiliant, et cela accroit son anxiété car il pense à la scène avant même qu’elle ait commencée. Quand Alan arrive, je le salue. Je titille mon esclave en lui disant des choses comme Regarde chéri, Alan est là. Je sais combien tu étais impatient de le sucer ! Puis Alan et moi nous nous asseyons sur le canapé, pendant que mon esclave est à genoux devant nous. J’aime qu’il anticipe ce qui va se passer, alors que l’attente le tourmente. Après un moment, j’ordonne à Alan de se mettre debout devant mon amant. Steve est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur Ordre. Alan se déshabille et présente son sexe à mon amant. Je le prend en main et oblige ma putain de salope à le sucer et à lui lécher les couilles tout en leur disant ce qu’ils font et en les titillant à propos de ce qui va se produire. J’ordonne à Alan de frotter son sexe sur le visage de mon amant, puis sur ordre il le met entièrement dans sa bouche et j’ordonne à mon soumis de sucer comme une bonne femelle. Je ne lâche pas mon amant et dis des mots humiliants alors qu’il suce le sexe, et je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Alan reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Puis il doit me remercier de lui avoir permis de sucer Alan. Généralement je renvoie Alan juste après la scène car regarder cela m’excite énormément et je veux exciter mon amant et avoir aussi des orgasmes. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi. Mon compagnon trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sûr et je suis la Maîtresse. J’aime le titiller sur sa façon de sucer et je le menace souvent de faire venir Alan pour une petite visite s’il n’est pas un bon esclave. Ce type d’entrainement a été très utile pour obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon amant, j'envisage un jour que ma salope serve de vide couilles avec plusieurs mâles actifs, reste à organiser tout cela ! 



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Par : le 08/07/21
Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des pénis est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise. Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine doit être éliminée, et cette technique aide à le se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, bien que ce soit très sympa avec de vraies queues. En exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre à une hiérarchie dominante. J’ai d'abord entrainé mon amant à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture avant de lui avoir pénétré l'anus bien sur. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de ma lopette. Alan, qui est aussi un mâle soumis, mais il n'est pas maso contrairement à mon amant et il peut être actif avec d'autres mâles soumis, j'en domine d'autres occasionnellement en la présence ou non de ma salope. Avec Alan nous sommes devenu amis et assez complices, j'aime aussi avoir des échange intellectuels avec mes soumis, même si j'aime aussi les traiter très souvent comme de véritables esclaves. Il est grand, musclé, bien fait, et a le plus profond respect pour les Femmes. Il n’est pas homo, mais vraiment très cochon, j'adore. Pour préparer mon esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring et lui attachais les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très pratique et je l’utilise souvent sur mon esclave quand je désire m'occuper de lui correctement. Je le prépare ainsi car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle habillé. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d’impuissance, et accroit le facteur d’humiliation. Le cockring garde son sexe sensible et en érection plus facilement, ce qui est aussi humiliant. Cela rend aussi les testicules plus exposées et sensibles. une Femme peut forcer un homme attaché et nu à faire tout ce qu’elle veut, juste en lui administrant la bonne quantité de douleur sur ses testicules vulnérables. Il est important de noter que je n’oblige pas mon amant à faire tout cela contre sa volonté. Il n'a pas pour autant la possibilité de refuser car c'est lui qui a demandé à être mon Esclave mâle il doit donc assumer sa place en tant que tel aujourd'hui, ce qui me donne le droit de l'humilier même à l'extrême, et comme bon me semblera . Quand mon esclave est prêt, je prends un moment pour l’exciter. Je lui dis qu'un ami va arriver dans quelques minutes et que j’attends de lui qu’il fasse un très bon travail en le suçant et en étant une très bonne salope mâle pour mon plaisir pendant que je me régalerai en regardant. C’est très humiliant, et cela accroit son anxiété car il pense à la scène avant même qu’elle ait commencée. Quand Alan arrive, je le salue. Je titille mon esclave en lui disant des choses comme Regarde chéri, Alan est là. Je sais combien tu étais impatient de le sucer ! Puis Alan et moi nous nous asseyons sur le canapé, pendant que mon esclave est à genoux devant nous. J’aime qu’il anticipe ce qui va se passer, alors que l’attente le tourmente. Après un moment, j’ordonne à Alan de se mettre debout devant mon amant. Steve est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur Ordre. Alan se déshabille et présente son sexe à mon amant. Je le prend en main et oblige ma putain de salope à le sucer et à lui lécher les couilles tout en leur disant ce qu’ils font et en les titillant à propos de ce qui va se produire. J’ordonne à Alan de frotter son sexe sur le visage de mon amant, puis sur ordre il le met entièrement dans sa bouche et j’ordonne à mon soumis de sucer comme une bonne femelle. Je ne lâche pas mon amant et dis des mots humiliants alors qu’il suce le sexe, et je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Alan reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Puis il doit me remercier de lui avoir permis de sucer Alan. Généralement je renvoie Alan juste après la scène car regarder cela m’excite énormément et je veux exciter mon amant et avoir aussi des orgasmes. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi. Mon compagnon trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sûr et je suis la Maîtresse. J’aime le titiller sur sa façon de sucer et je le menace souvent de faire venir Alan pour une petite visite s’il n’est pas un bon esclave. Ce type d’entrainement a été très utile pour obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon amant, j'envisage un jour que ma salope serve de vide couilles avec plusieurs mâles actifs, reste à organiser tout cela ! 



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Par : le 08/07/21
Comme je l'ai exposé précédemment, la distance est à la fois une faiblesse et un atout dans la relation BDSM. Mais l'enjeu majeur pour la faire durer est de combattre le doute. Il y a de nombreux facteurs qui viennent entamer le lien qui unit Maître et soumise et suivant l'importance qu'on veut bien leur donner, ils peuvent parfois en venir à bout. Il convient de savoir les reconnaître et y faire face ensemble. Car une relation BDSM à distance, ce n'est pas deux individus éloignés l'un de l'autre, c'est la somme des raisons qui poussent ces deux personnes à se faire mutuellement confiance. 1 - D'où vient le doute et à quoi ça sert ? Avant tout, il convient de s'interroger sur l'origine du doute en lui-même. Qu'est-ce qui pousse deux personnes parfaitement heureuses dans leur relation à s'interroger sur le bien fondé de celle-ci ? Le doute est humain, il vient de notre capacité à nous remettre en cause en permanence. Contrairement à la grande question sur la vie, l'univers et le reste dont on connaît la réponse : 42 ; on se pose toujours un nombre incommensurable de questions existentielles, auxquelles des générations de philosophes n'ont pas encore trouvé de réponse simple. Le doute est l'ennemi de la D/s à distance quand on s'interroge sur le bien fondé de sa propre condition et que l'on se demande si l'on doit poursuivre dans cette voie. Après tout, pourquoi obéir à quelqu'un qui ne peut pas me toucher, dont je suis séparée par un écran (et plusieurs kilomètres) ? Pourquoi ne pas l'abandonner et en trouver un plus près qui pourra mettre de vraies fessées ? Aussi paradoxal que cela puisse paraître, la réponse c'est le doute. Une soumise rechigne à quitter son Maître parce qu'elle sait ce qu'elle a avec son Maître mais ignore ce qu'elle trouvera ailleurs. Et si mon Maître était parfait pour moi, malgré la distance ? Et oui, le doute et la distance ont un point commun, ils sont à double tranchant. Autant ils peuvent facilement couper les liens qui unissent une soumise à son Maître, autant ils peuvent se planter dans l'âme et la chair pour y laisser des marques indélébiles. Car le doute, c'est aussi ce qui permet à la soumise de s'améliorer : Suis-je dans la bonne position ? Ai-je bien compris les ordres ? Mon Maître sera-t-il satisfait ? Autant d'interrogations qui font progresser la soumise. Pour elle, petit à petit, le doute va se lever et se muer en certitudes. Celle d'avoir bien choisi son Maître, celle de vouloir le servir à tout prix. Et pour conjurer ses doutes, la soumise peut toujours se reposer sur son Maître, sur sa force, sa volonté... et son absence apparente de doute. 2 - Les pressions extérieures Le doute est donc un questionnement personnel permanent, inhérent à chacun de nous. Si ses racines sont profondément ancrées en nous, des facteurs extérieurs peuvent favoriser sa croissance tels l'engrais ou une pluie printanière. Il s'agît essentiellement de pressions sociales, familiales ou amicales. Trop peu d'entre nous ont la chance d'avoir des parents adeptes du cuir et du fouet et d'avoir reçu de leur part, en cadeau d'anniversaire, des menottes qui ne soient pas accompagnées d'un pistolet en plastique et de son étoile de shérif. Pour l'immense majorité, la première pression est familiale. Mais que vont penser mes parents ou enfants s'ils me surprennent lors d'une séance ? Et comment leur expliquer que j'aime fouetter ma partenaire ? Me faire attacher ? Porter une cage dont quelqu'un d'autre a la clé ? Par contre, pour vous faire douter, rien de tel que le regard déçu de papa/maman. Vous savez, ce regard qui incarne tout à la fois tristesse, honte, incompréhension et culpabilité. Ce regard qui s'accompagne de cette petite phrase assassine : "non, pas mon enfant". Pour les plupart des gens "vanille", nous sommes des déviants. Nous faisons fausse route et nous avons tort. Ils en sont tellement persuadés qu'entre leurs promesses d'opprobre et de colère divine, on pourrait succomber à leurs arguments. Et pourtant, lorsque l'on y réfléchit et que l'on discute avec ses parents et amis, ils finissent toujours par poser la même et invariable question : "mais est-ce que ça te rend heureux ?" Et la réponse est toute trouvée : oui ! Malgré toutes les pressions extérieures, l'expression de notre moi profond nous permet de nous libérer et par conséquent de goûter un bonheur qui échappe au commun des mortels. 3 - Le doute comme instrument de soumission Comme je l'ai écrit précédemment, le doute est souvent un frein à la relation D/s à distance. Néanmoins, pour qui sait l'utiliser, il peut devenir un liant plus solide que des fondations en béton armé. Pour cela, il faut que le doute soit unilatéral. Comme je l'ai suggéré précédemment, le Dominant ne doit jamais "montrer" qu'il doute à sa soumise. Le Maître n'a pas le droit à la faiblesse. C'est de Sa solidité que vient l'envie de la soumise de se jeter à ses pieds. C'est parce qu'il est fort, qu'il impressionne. Et par opposition, c'est parce que la soumise a besoin de se sentir chancelante sous le regard de son Maître. Parce qu'Il la maintient sur le qui-vive, par sa rigueur, par ses corrections, par ses punitions. Toutes les soumises se posent toujours la même question : "Maître sera-t-il satisfait ?" Et comme dans toute question, il y a un doute. Et c'est justement ça qui pousse la soumise à se dépasser, à en faire toujours plus pour son Maître. Un quelconque manque d'attention du Maître, fatigué par une longue journée de travail par exemple, et la soumise remet tout en question. "Il ne m'a pas corrigée ? Il ne me prête plus attention ? Il ne m'aime plus ? Il va me remplacer ?..." Et les questions peuvent ainsi s'enchaîner et le doute va faire le beau jeu d'un Maître qui a juste été distrait pendant un court instant. Le doute, tant craint, devient ainsi l'un des moyens de soumettre les plus efficaces. Que ce soit de façon volontaire ou non. Et justement, c'est tout un art de le distiller et de l'infuser dans de subtils sous-entendus. On pourrait même présenter cela comme de la manipulation. Mais n'est-ce pas justement la dimension psychologique, la quintessence de la relation D/S ? Bien que tout à fait naturel et faisant partie intégrante du mode de pensée de tout un chacun, le doute est omniprésent dans la relation D/s à distance comme dans nos relations sociales. S'il peut être à l'origine d'un malaise vis-à-vis de nos familles et amis, il peut également être la source et le ciment d'une relation D/s épanouie. Car une relation se construit à deux (ou plusieurs) et l'on ne peut jamais avoir la même certitude vis-à-vis de l'autre que par rapport à soi. Et ensemble, soudés par un lien de D/s, le doute fait partie des ingrédients nécessaires pour maintenir une relation durable.
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Par : le 07/07/21
Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait intelligemment, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des pénis est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise. C’est une partie de la mentalité du mâle, qui implique que les femelles sont supposées servir les mâles et avoir des gestes sexuels de soumission pour leur plaisir. Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine doit avoir été éliminée, et cette technique aide à le faire de même que de se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, j’aborderai aussi ce sujet une autre fois bien que ce soit très sympa avec de vraies queues. Les hommes, par nature, respectent le pouvoir, et leur évolution les a programmés pour se soumettre à plus puissant qu’eux. Malheureusement, elle les a aussi programmés à tenter de dominer ou d’exploiter plus faible qu'eux aussi. C’est l’essence même de la hiérarchie dominante. Alors, pour qu’un mâle se soumette complètement à une femme, il doit la voir comme plus puissante que lui, heureusement certains homme ont l'intelligence naturelle de savoir d'instinct que les Femmes sont très nettement Supérieurs aux hommes et cela tout à fait naturellement. En exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre à une hiérarchie dominante, à celle qui lui ordonne cela et qui lui imposera beaucoup d'autres choses. J’ai d'abord entrainé mon amant à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture avant lui avoir pénétré l'anus. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de ma lopette d’amant. Alan, qui est aussi un mâle soumis, mais il n'est pas maso contrairement à mon amant et il peut être actif avec d'autres mâles soumis, j'en domine d'autres occasionnellement en la présence ou non de ma salope personnelle. Avec Alan nous sommes devenu amis et assez complices, j'aime aussi avoir des échange intellectuels avec mes soumis, même si j'aime aussi les traiter très souvent comme de vraies salopes. Alan est grand, musclé, bien fait, et a le plus profond respect pour les Femmes. Il n’est pas homo, mais vraiment très cochon, j'adore. Pour préparer mon esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring (lanière de cuir autour du sexe) et lui attachai les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très pratique et je l’utilise souvent sur mon soumis quand je désire m'occuper de lui correctement. Je prépare ainsi mon esclave car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle habillé. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d’impuissance, et accroit le facteur d’humiliation. Le cockring garde son sexe sensible et en érection plus facilement, ce qui est aussi humiliant. Cela rend aussi les testicules plus exposées et sensibles à certaines punitions. Une domina peut forcer un homme attaché et nu à faire tout ce qu’elle veut, juste en lui administrant la bonne quantité de douleur sur ses testicules vulnérables. Il est important de noter que je n’oblige pas mon amant à faire tout cela contre sa volonté. Il n'a pas pour autant la possibilité de refuser car c'est lui qui a demandé à être mon esclave mâle il doit donc assumer sa place en tant que tel aujourd'hui. Quand mon esclave est prêt, je prends un moment pour l’exciter et le torturer légèrement. Je lui dis qu'un ami va arriver dans quelques minutes et que j’attends de lui qu’il fasse un très bon travail en le suçant et en étant une très bonne salope mâle pour son plaisir pendant que je me régalerai en regardant. C’est très humiliant, et cela accroit son anxiété car il pense à la scène avant même qu’elle ait commencée. Puis je punis brièvement et légèrement ses testicules en les serrant, les secouant. En faisant ainsi, je lui dis que je lui administrerai une punition sévère aux testicules s'il n’obéit pas parfaitement, et je vérifie qu’il comprend bien !. Quand Alan arrive, je le salue à la porte et lui permet même de me donner un baiser bref sur la joue. Je titille mon esclave en lui disant des choses comme « Regarde chéri, Alan est là. Je sais combien tu étais impatient de le sucer ! ». Puis Alan et moi nous nous asseyons sur le canapé, pendant que mon esclave est à genoux devant nous. J’aime qu’il anticipe ce qui va se passer, alors que l’attente le tourmente. Après un moment, j’ordonne à Alan de se présenter et de ce mettre debout devant mon amant. Alan est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur ordre. Alan se déshabille et présente son sexe à mon amant. Je le prend en main et oblige ma salope d’amant à le sucer et à lui lécher les couilles tout en leur disant ce qu’ils font et en les titillant à propos de ce qui va se produire. J’ordonne à Alan de frotter son sexe sur le visage de mon amant, puis sur ordre il le met entièrement dans sa bouche et j’ordonne à mon amant de sucer comme une bonne femelle. Je ne lâche pas et dis des mots humiliants sans merci alors qu’il suce le sexe, et je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Alan reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Puis il doit me remercier de lui avoir permis de sucer Alan. Généralement je renvoie Alan juste après la scène car regarder cela m’excite énormément et je veux exciter mon amant et avoir aussi des orgasmes. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi. Mon compagnon trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sur et je suis la Maîtresse. J’aime le titiller sur sa façon de sucer et je le menace souvent de faire venir Alan pour une petite visite s’il n’est pas un bon esclave. Ce type d’entrainement a été très utile pour obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon amant, j'envisage un jour que ma salope serve de vide couilles avec plusieurs mâles actif !
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Par : le 24/06/21
Le jour J était enfin arrivé, Paris gare de Lyon destination Montpellier. Après environ 3h30 de Tgv, j'arrivais dans cette très jolie ville du midi de la France. J'accoste un taxi et l'invite à me transporter à l'Hotel. J'ai comme le sentiment qu'il connait l'établissement et m'adresse un petit sourire moqueur. Je n'ose aller à l'accueil.... Un homme, la quarenteine me reçoit - Bonjour, votre nom s'il vous plait ? - Yann - Entendu, réservation 3 semaines, c'est votre première fois ! Veuillez déposer votre valise derrière le comptoir, durant votre séjour elle ne vous servira à rien. Déshabillez vous complètement. Mon coeur bat à cent à l'heure, je suis à peine arrivé, j'ai à peine prononcé trois mots, je suis déjà sous l'emprise de cet homme. Sans résistance, je retire mes vêtements. Sans pouvoir me contrôler, sans savoir pourquoi, une légère érection me comble de honte. - Bon on va pouvoir te poser ta cage,..., ici tu n'auras pas le droit de bander sans autorisation, mais bon, à présent j'ai l'habitude de m'occuper des petits branleurs de ton espèce. Sans avoir le temps de souffler, il me pose des menottes dans le dos, m'attrape par les couilles, m'attire dans une petite pièce voisine. Je reçois une gifle, ma bitte est plongée dans une espèce de saladier rempli d'eau gelée avec glaçons. Je débande très rapidement et mon sexe reprend la taille de celle qu'il avait quand j'étais petit enfant. Cet homme, m'informe être Leon, le concepteur de ma cage de chasteté.. Cette dernière m'est rapidement imposé et épouse parfaitement les courbes de mon pénis réduit au repos. Je n'ai jamais autant ressenti une honte pareille de ma vie. - Je termine quelques derniers réglages et te voilà encagé pour trois semaines minimum. Nous allons à présent rejoindre le bureau de la Directrice qui est aussi mon épouse. Suis moi. Entièrement nu, à peine arrivé depuis moins de 30 minutes, les mains attachés dans le dos, je suis celui qui m'a posé à l'instant une cage de chasteté. Après avoir traversé plusieurs couloirs, Leon frappe à une porte. - Entrez indiqua une voie féminine. - Ahhhh, voilà notre petit nouveau, ...., yann, c'est bien cela ? - oui en effet, je suis Yann de Paris et ... - Tout d'abord, jeune homme, ici, avec moi ce sera 'Madame' et tu ne parleras qu'après autorisation. Mort de honte, à poil devant cette parfaite inconnue, en cage, les mains dans le dos, je ne pouvais que répondre. - .... Oui Madame - Parfait !!!! Je suis Emmanuelle, l'épouse de Léon, j'ai hérité de cet établissement qui malheureusement a failli faire faillite. Un jour, avec mon époux nous avons décidé du concept de cet hôtel unique au monde. Ici les touristes masculins sont dans l'obligation de porter une cage de chasteté qui contrôle leurs sexualité et tout au long de votre séjour la nudité y est obligatoire. Certains, comme toi, viennent seules. D'autres passent leurs vacances avec leurs épouses mais doivent suivre le même règlement. Il existe trois types d'hommes ici. Le touriste, alors la seule règle infligée est la nudité et le port de la cage. Les soumis, en plus de devoir vivre nus et de la cage, ils doivent également m'obéir en tout. Et les esclaves, ces derniers sont alors assujettis à toutes les femmes qui résident à l'hôtel.Je t'invite à m'indiquer dès à présent à quelle caste tu souhaites appartenir. Ses yeux sont rivés sur moi et attendent une réponse. Je ne sais quoi dire, je n'ai jamais pensé à tout cela. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que mon sexe veut sortir de cette cage avec une naissante érection. J'espère que cette femme ne va pas s'en apercevoir. J'ai, il est vrai, toujours fantasmé sur la soumission. Aucun son ne sort de ma bouche. - Alors que décides tu ? On va pas y passer la nuit. Elle se saisit de mes testicules. - Répond de suite ou je t'arrache les couilles. - Arghhhhhhh, ....., C'est alors, sans même avoir réfléchis, que je lui avoue accepter être en plus d'être un touriste, devenir aussi son soumis. - Très bien, ainsi tu resteras parmi nous durant les trois prochaines semaines, mon époux a confisqué jusque là ta valise devenue inutile, tu devras vivre nu, en cage et surtout m'obéir durant ton séjour. Puisque tu as choisis la soumission, en plus de la cage, mon époux va te poser un collier. C'est ainsi, tenu en laisse, que Monsieur Leon m'emmena à ma chambre. Cette dernière était très simple. aucune armoire, je pus observer la présence de nombreux mousquetons aux murs. - Puisque tu as choisis la soumission, lorsque tu seras ici seul, afin d'être sur que tu ne puisses pas utiliser tes mains, la nuit, tu seras attaché. Pour tes besoins, je t'emmènerais aux toilettes. Tu prendras tes repas dans la salle réception et toujours accompagné d'une tiers personne. Il commence à se faire tard, je vais te préparer pour la nuit. En plus de Madame, tu me dois aussi entière obéissance. Je n'en croyais pas mes oreilles, en si peu de temps, j'étais déjà dressé. Monsieur Leon m'emmena aux toilettes et la mort dans l'âme je dus me soulager devant lui. Il m'emmena à la douche et cette fois j'eu les mains attachés sous la pomme. C'était la première fois qu'un homme s'occupa de ma toilette au moyen d'un gant savonneux. - Ici, ceux qui ont fait le choix d'être soumis, doivent également passer leurs nuits avec un plug. Pour ta première fois, je vais t'en placer le plus petit. Son doigt me farcit alors mon anus d'un gel, puis m'introduisa le soit disant plus petit plug de sa collection. Je fus alors couché, les mains attachés à la tête de mon lit, en cage de chasteté avec un plug dans mon cul jusque là encore vierge. -Dort bien, je viendrai te chercher à 8h pour ton petit déjeuner, bonne nuit yann !
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Par : le 20/06/21
L'initiation Chapitre 6 : Croisement   Le second Jack Daniels commençait à me faire oublier l'inconfort de la banquette aux formes torturées. J'aimais le bruit du glaçon que je faisais machinalement tourner dans mon verre. Mon regard comme celui du reste de la population masculine de l'assemblée avait du mal à se détacher de la créature assise nonchalamment sur le tabouret en cuir du bar. Elle n'était pas que sublimement belle. Elle n'était pas qu'un sosie de Monica Bellucci incarné. Elle ne portait pas qu'une vêtue tout droit sortie de mes fantasmes. Non, elle possédait une rarissime qualité: une classe folle. Beaucoup d'autres qu'elle n'auraient eu l'air que d'une fille de petite vertu dans cette tenue délicieusement indécente. Elle, c'était la sensualité faite femme, la définition même du sex-appeal. Et elle le savait.     Je l'avais remarquée dans la rue déjà, m'approchant de ce club parfaitement inconnu. De dos, sans la voir. Sa démarche de mannequin, assurée, naturelle malgré ses bottines noires aux talons largement plus hauts que la moyenne avaient captivé mon attention. Ses bas noirs à couture également. Ses longs cheveux de jay flottaient au gré de son pas chaloupé sur son trois quart sombre. Je bénis le ciel qu'elle aille, pour quelques secondes au moins dans la même direction que moi. Elle semblait marcher sur un fil, sachant en outre parfaitement où elle allait, d'un pas serein.     Les battements de mon muscle cardiaque se sont accélérés quand elle s'engagea sous le porche qu'un ami m'avait indiqué. « Tu verras, l'immeuble est banal. Le nouveau club installé au rez-de-chaussée et en partie au sous-sol beaucoup moins. L'entrée est non seulement hors de prix mais en outre la clientèle soigneusement sélectionnée ». De fait après avoir franchit le barrage du portier puis le seuil du lieu après qu'une hôtesse outrageusement décolletée m'eût délesté simultanément de ma veste et de quelques billets, j'avais eu l'impression de pénétrer le saint des saints. Dire que certains feignent de croire qu'un minimum d'argent ne fait pas le bonheur...    C'est l'infarctus cette fois que j'évitai de justesse lorsque l'inconnue confia devant moi son manteau au vestiaire. Un demi sourire qui n'était en rien de la gène mais plutôt un amusement devant l'air niais que je devais avoir éclaira son visage lorsque délestée de sa protection contre le froid elle m'apparut uniquement vêtue d'un corset en cuir noir, de gants qui lui remontaient au coude, et de bas de soie noirs -un trop rare délice à l'oeil- reliés à son corset par 3 jarretelles. Sa peau blanche, presque laiteuse tranchait avec le rouge et le noir d'un entrelacs de roses tatoué sur son épaule droite. Il rappelait le carmin qu'elle avait soigneusement appliqué sur ses lèvres fines. Un mélange incongru mais terriblement sensuel de blanche neige et de Mata Hari. A sa démarche souple et féline lorsque elle s'éloignait feignant d'ignorer l'incendie qu'elle venait d'allumer, j'aurais juré qu'elle avait fait de la danse. Chapitre 5: Le lieu du crime Après avoir visité le rez de chaussée doté outre un vaste espace bar et d'un coin salon, d'une petite piste de danse, je m'étais assis sur cette banquette traumatisante pour mon auguste fessier. J'aurais été incapable de l'approcher. Tétanisé sans doute par un enjeu qu'il me plaisait d'imaginer à la hauteur de sa plastique parfaite. L'idée d'une Monica Bellucci de 25 ans , bien que je fusse passablement peu doué pour ce jeu de d'attribuer un âge à autrui- me revenait à la vue de profil de son somptueux 95C. J'admirais ses bottines en cuir vernis, lacées sur le devant, mettant parfaitement en valeur ses jambes fines, élégamment gaînées de ces bas voiles qui s'assombrissent comme d'une jarretière au fur et à mesure que l'on approche du Saint Graal...  A la serveuse qui se déplaçait de table en table je commandai cet alcool comme pour me redonner contenance. Cette dernière pourtant fort jolie et sexy dans sa courte et décolletée robe ivoire était transparente. Les jambes de ma Diva retenaient toute mon attention ; fines mais musclées, délicatement galbée, comme j'adore. Elle était sportive, j'en étais convaincu. J'en étais là dans ma pseudo analyse Sherlock Holmesque lorsque qu'un indésirable visiblement moins sur la retenue que moi l'aborda. Je dis indésirable, pour moi cela va de soi, étant évident désormais que quiconque parlerait à la déesse deviendrait de fait mon ennemi mortel. Mon incongrue jalousie étant renforcée par le fait que le mâle tentant sa chance était élégant dans son costume sombre et plutôt bien fait de sa personne. Je ne saurai jamais ce qu'elle lui répondit mais les talons qu'il tourna rapidement eurent le mérite de me dessiner un sourire d'une oreille à l'autre.  Pendant la demi heure qui suivi une demi-douzaine de pourtant dignes représentants de l'espèce mâle tenta sa chance, tous sans le moindre succès. Le plus méritant du tenir à ses coté 5 minutes, dont les 3 dernières sans le moindre mot ni regard de la belle. Finalement le scénario m'amusait, un peu sadiquement je l'avoue. Assez lâchement également j'en conviens vu que je n'étais pas suffisamment suicidaire pour courir moi aussi au désastre. Une icône inaccessible sortie des magasines...  La situation semblait aussi amuser une femme à quelques mètres de moi. Sans grand intérêt à vrai dire ; des traits fins pourtant, mais les affres du temps qui ne nous épargnera pas non plus, l'avaient affublée de quelques rondeurs pas forcément disposées aux meilleurs endroits. Une opulente poitrine certes, mais une opulence disons un peu généralisée. Sa robe stricte, aux genoux, au col ras de son cou était certes classe mais pas franchement un appel au viol. Pourtant elle dégageait quelque chose d'attirant ; sur l'instant j'aurais néanmoins été incapable de dire quoi. Peut-être son chignon impeccablement tiré ; tout sur elle était parfaitement ordonné. Elle sirotait tranquillement un alcool blanc, une vodka peut-être.  Deux couples et quelques femmes seules commençaient à prendre possession de la piste de danse. Sur la banquette à quelques encablures, deux femmes goûtaient visiblement avec plaisir aux lèvres l'une de l'autre, sous l'oeil égrillard de leurs conjoints respectifs. Visiblement l'affaire fut rapidement conclue, l'un des hommes entraînant sa moitié vers un court couloir donnant sur des marches descendant à priori vers un sous-sol, suivi par l'autre couple se tenant par la taille. Dur statut que celui d'homme seul dans ces lieux. Certes je découvrais cet endroit récemment ouvert, mais ce genre de club ne m'était pas inconnu. Depuis une bonne dizaine d'années. Généralement je les fréquentais avec ma conquête du moment, parfois seul, avec des fortunes il faut bien l'avouer assez diverses. J'en étais là de mon apitoiement sur mon pauvre petit sort lorsque le fantasme incarné fit mouvement. Chapitre 4: L'allégeance Elle entama quelques pas sur la piste, jouant avec une barre de Lap Dance sous le regard à la fois agressif, exaspéré, désespéré et il faut l'avouer envieux des représentantes de la gente féminine présentes. Sentiments probablement accentués par la bave coulant aux commissures des lèvres des mâles présents, auxquels je ne faisait pas exception. Elle n'était donc pas que sublimement belle, son corps ondulant avec une grâce infinie. Danseuse disais-je ? Rapidement elle se dirigea vers cette femme proche de moi et s'agenouilla à ses pieds sans mot dire, tête baissée, semblant lui tendre son cou gracile. Sans même un rictus de victoire qui n'eut pourtant rien eu d'exagéré celle ci y fixa un collier métallique de soumise. Elle la regarda avec une visible tendresse , lui caressa la joue en lui murmurant quelque chose d'inaudible sous la musique de fond.  Certains mâles semblaient désespérés, d'autres rassurés quant à leur pouvoir de séduction en découvrant que dès le départ ils n'avaient pas l'once d'une chance. Cette attelage hétéroclite, la maîtresse devant probablement avoir l'âge de la mère de la soumise, la première avec un physique et une tenue relativement banale alors que la seconde mériterait de faire la couverture de Playboy pour les 1.000 prochaines années, étrangement me parut parfaitement assorti. Presque une évidence. Je les comprenais, toutes les deux. Leurs différences complémentaires sans doute ajoutaient la pointe pimentée qui plaçait de cette relation dans le haut du panier de mes fantasmes. J'étais pourtant totalement novice dans ce type de relation qui m'attirait beaucoup, essentiellement par son coté fétichiste. Ces tenues, matières avaient toujours provoqué sur moi des effets étranges... En l'absence d'internet à l'époque et son flot d'information, j'ignorais tout en revanche du coeur de cette connexion si particulière.  La jeune femme resta un moment ainsi, finissant par poser sa tête sur les cuisses de sa maîtresse qui ne semblait pas prête à galvauder la fin de son verre. Celle-ci ne se privait pas, en caressant les longs cheveux de jais de proie, d'observer son environnement, plus par curiosité que par provocation. Je crois que c'est cela qui me fit le plus d'effet. Sobre dans la victoire, la marque des grands. Les questions se bousculaient dans ma petite tête tandis que j'observais ostensiblement la superbe croupe, absolument pas protégée par son string noir. J'étais abasourdi par le fait qu'elles aient toutes les deux été capable de jouer, feignant de ne pas se connaître, devant cette assemblée plus que troublée. Bien vu, bien joué. J'arborais un inexplicable sourire, d'une encore moins explicable tendresse à leur égard. Alors que désirs ou jalousie était plutôt la norme alentours. Je ne remarquai le pourtant imposant sac posé à coté de la maîtresse que lorsque elle s'en saisit en se levant. Point besoin de laisse, sa soumise la suivit avec un plaisir non dissimulé, prenant le chemin des catacombes. J'étais précisément en train de me dire qu'il me fallait absolument visiter plus avant les lieux que plusieurs mâles visiblement prêts à échanger sans drame un statut d'acteur pour celui de voyeur (faute de grives...) me devancèrent, s'engouffrant à leur suite. Chienne de vie. Le passage opportun de la serveuse me décida à changer de fesse sur cette maudite banquette et à recommander la même chose.   Il me fallut un bon quart d'heure pour remettre mon cerveau à peu près en état de fonctionner quand le coup de grâce arriva. J'en était à regarder enfin les autres présentes et à me dire que finalement , certaines méritaient un certain intérêt pour ne pas dire un intérêt certain, que la maîtresse remonta seule. Et vint s'asseoir sans l'ombre d'une hésitation à mes cotés. Mon regard ahuri du l'amuser un instant. Que voulait-elle? Je ne l'avais pas vu me regarder auparavant. Elle ne se départit pas de son sérieux pour autant en me posant cette question hallucinante: serais-je capable de respecter ses consignes et de lui obéir absolument strictement, condition sine quanon pour entrer momentanément dans leur univers. Je ne m'entendis pas répondre, ou peut-être prit-elle mon étranglement pour acceptation, toujours est-il qu'elle me dit sur un ton qui n'appelait ni réponse ni discussion: « suis moi ». Chapitre 3: Hypnotique Dire que j'étais fier comme Artaban en passant devant mes congénères atterrés est un euphémisme. Déjà en descendant l'escalier je me faisais l'impression d'être l'Elu. J'étais pourtant bien trop stressé malgré une ridicule apparente décontraction pour me la péter un minimum. On a tous notre heure de gloire parait-il, la mienne était visiblement venue. Un petit hall en bas donnait sur plusieurs couloirs, chacun abritant des pièces différentes, comme à thème. En suivant cette femme qui en imposait et semblait connaître les lieux comme sa poche, nous passâmes devant une salle vidéo, un glorihole, et divers « coins câlins », certains occupés, d'autres non. Des gémissements de bon aloi parvenaient de certaines alcôves.  Je ne me demandai pas longtemps où m'emmenait la Maîtresse en avisant plusieurs types attendant devant une porte désespérément close.  Elle s'arrêta devant, la mer semblant s'ouvrir devant elle. Elle me fixa: « à partir de maintenant, pas un mot si je ne t'ai questionné, pas un geste que je ne t'aie ordonné; aucune seconde chance, une seule sanction, la porte. Suis-je claire? ». Le fait qu'elle m'ait dit cela devant ces types dont certains arboraient un rictus aussi moqueur que jaloux me déstabilisa, ce qui était assurément son second objectif. Et peu compliqué à atteindre en outre tellement je me sentais flotter hors de mon corps. Dans un effort surhumain, je parvins à articuler « parfaitement clair »; c'est non sans un sourire vengeur et inutile vers les mâles destinés à rester dehors que je pénétrai dans cette salle à sa suite. Lorsqu'elle referma derrière elle, j'eus le sentiment que l'on venait de me passer les menottes. Sa soumise était là, immobile, assise sur ses talons, mains sur les genoux au centre de la pièce. Elle ne me regarda même pas. Rejet, indifférence, dans sa bulle de soumission? Mon questionnement intérieur fut interrompu par un signe du doigt de la Maîtresse, me désignant visiblement ma place. J'avais juste eu le temps de voir un chevalet derrière la belle, une croix de St André au mur, un anneaux auquel pendait une solide corde accroché au plafond que la maîtresse répondit involontairement à ma question. «Sophie est punie; elle déteste être observée en séance, qui plus est par un homme, elle qui, comme moi est purement lesbienne. Ta présence est donc une partie de sa punition». Si j'avais jamais rêvé d'être un cadeau... Le coup de grâce fut «à poil» ; je mis un certain temps à comprendre qu'il m'était destiné. Comme cette femme diabolique lisait en moi comme dans un libre ouvert, elle simplifia ma réflexion et nettoya mon esprit des centaines d'idées qui s'y carambolaient: "je déteste attendre ou répéter; je te rappelle que tu as toujours le choix". Ce n'est pas une hypothétique carotte qui s'annonçait que la certitude qu'il n'y avait pas autre chose de plus intelligent à faire qui me poussa à m'exécuter gauchement. Choix rapidement fait et tout aussi vite exécuté. C'est donc en tenue d'Adam que je m'installai sur une sorte de pouf en cuir rouge. Surtout ne pas poser la moindre question quant à la raison de la punition de sa soumise. Au moins n'aurais je pas de mal à me taire, assurément aucun son n'aurait pu franchir la boule au fond de ma gorge. Au fait pourquoi ma nudité ? Instaurer une sorte d'équilibre entre sa soumise et moi ? Se rincer l'oeil (quel prétentieux...) ? Gêner encore plus sa divine complice ? Participer d'une façon ou d'une autre ? Elle ne voudrait quand même me dominer au si, elle m'aurait demandé mon avis. Au fait, j'étais en train de faire quoi là à part lui obéir ? Tranquillement la Maîtresse sortit une cravache, un single tail, un martinet de son mystérieux grand sac, ainsi que des pinces et quelques sex-toys, sans oublier d'autres objets dont j'ignorais autant l'existence que l'utilité. Une sorte de balais commença alors entre les deux femmes, parfaitement réglé, absolument silencieux. La jeune femme se leva; sa maîtresse passa derrière elle pour défaire son soutient-gorge que je n'avais pas vu: en cuir noir aussi, se fondant avec le corset. Deux merveilles apparurent alors, à peine troublés par la loi de la gravité. Il me vint à l'esprit une autre réponse potentielle à mon questionnement : observer avec certitude l'effet sur moi produit. Chapitre 2: Dans le vif du sujet Privilège de la jeunesse. Injustice de la nature penseront d'autres. La façon dont elle enleva son string sur l'ordre de sa Maîtresse, se baissant sans fléchir ses jambes, la croupe tendue en ma direction eu un effet comment dire, Eiffelesque? Les tétons de la soumise furent amoureusement caressés, gobés, suçotés; je compris rapidement que l'effet recherché était loin d'une d'une intention de douceur,  mais pragmatiquement de faciliter la pose d'imposantes pinces japonaises sur d'appétissants tétons roses dardés. Sophie ferma les yeux en se mordant les lèvres lorsque son sein droit fut ainsi décoré. Nul attendrissement en vue de la domina qui équilibra le tableau sur le téton gauche. Après une caresse sur la joue de sa soumise, elle joua douloureusement avec la chaînette les reliant. Elle semblait admirer elle aussi cette poitrine somptueuse dont elle comptait bien user et abuser. Une caresse sous le dessous du sein me donna l'impression qu'elle voulait le soupeser ainsi paré. Imposants, ronds mais d'une absolue fermeté, je me serais aisément vu y apporter mon estimation personnelle. Dont elle n'avait bien entendu cure. Tournant autour de sa proie, elle multipliait les caresses, sur la croupe, sur le pubis totalement glabre de la belle. Elle finit par s'agenouiller devant elle, et après avoir embrassé ce mont de vénus si pâle, elle fixa deux autres pinces, plus petites sur chacune des lèvres. Je crus voir sa langue pointer pour goûter le résultat de son travail. Depuis le départ aucun mot n'avait été échangé. Un frisson me parcouru lorsqu'elle se saisit du martinet, me regardant. Mon visage inquiet devait lui dire  « non pas moi, il y a erreur, je ne suis que spectateur ! Privilégié, certes mais... ». Elle installa sa soumise les mains posées sur le chevalet, croupe tendue, jambes légèrement écart; cette dernière avait pris la position rapidement, semblant la connaître parfaitement. La maîtresse se tenait dans le dos de la belle, de sorte que celle-ci ne devait pas savoir ce qui l'attendait. Elle fut vite au fait de son futur immédiat lorsqu'un premier coup, que je jugeai assez violent pour le novice que j'étais, lui cingla la croupe, laissant une trace rouge. Sa peau blanche et fine marquait très vite. Elle devint en quelques minutes cramoisie sous l'avalanche qui s'abattait sur elle:  pas de brutalité, mais de la régularité, de la sérénité, un objectif bien précis. J'étais impressionné, la Domina enfin dans son élément irradiait étrangement désormais. Le ballet souple et coordonné de ses gestes précis, les lanières virevoltantes, les bruits secs. La belle se tortillait de plus en plus, dansant d'une jambe sur l'autre. Jusqu'à ce qu'une plainte sortit de sa jolie bouche. Un dernier coup fut appliqué entre ses cuisses... lui arrachant un véritable cri de douleur cette fois. Je me disais que la maîtresse devait se rendre compte qu'elle était allée trop loin lorsqu'elle cessa pour se diriger vers ses « jouets ». Elle en revint en fait avec un bâillon boule noire qu'elle fixa tranquillement, sa soumise ouvrant la bouche toute grande pour lui faciliter la tâche. Sa docilité me stupéfiait. Sans doute un long dressage... Elle reprit le martinet et c'est le haut du dos de Sophie qui fut cette fois durement marqué. Sa précision était diabolique, ses gestes sûrs et appliqués. Je vis une larme couler doucement sur la joue de la belle. Je me faisais presque violence pour ne pas bouger. La Maîtresse l'avait vu également. Elle l'avait même sûrement deviné avant moi. Elle repassa devant sa soumise, la regarda un moment, comme pour la jauger, essuya sa larme d'un revers de la main en souriant. Sans me regarder, toujours les yeux plantés dans ceux de la belle,elle lança: « va me ranger ça -me tendant le martinet- et ramène moi la cravache ».  Un instant interdit, tant par le fait qu'elle n'en était visiblement qu'au début de son œuvre que par le fait qu'elle s'adresse à moi, je m'exécutai rapidement. J'étais partagé entre le souhait de voir s'interrompre le supplice de Sophie qui devait vraiment souffrir, et l'envie égoïste de continuer à découvrir un spectacle aussi excitant qu'inédit pour moi.  Elle jouait avec la cravache sur le corps de mon fantasme incarné comme un musicien avec son archet sur un violon. C'était beau, enivrant comme un Gevrey-Chambertin; j'avais la sensation qu'elle pouvait en tirer le son qu'elle voulait. Pour l'heure il s'agissait de gémissements de plaisirs, déformés par le bâillon, lorsque l'instrument caressais lentement une peau qui semblait si douce. Lorsqu'elle passa entre les magnifiques cuisses de la belle, l'instrument ressortit luisant... C'est alors que le premier coup laissa une courte traînée rouge sur la fesse de la belle. Chapitre premier: la révélation La bave qui coulait aux commissures de ses fines lèvres carmin tombait sur ses seins. Obscène et aimantant à la fois. Sa croupe se striait de traces rouges foncé qui s'entrecroisaient. Pourtant rien de vulgaire, comme si sa classe et sa beauté fussent inoxydables, peu importe la situation. Ce spectacle pourtant trash , inédit pour moi, sonnait comme une révélation, comme si quelque chose émergeait peu à peu du plus profond de mon être. Un verrou sur un couvercle depuis toujours fermé venait de sauter. Mon avenir était dans ce monde, sans grande certitude quant à ma place. Evidemment bien davantage de questions que de réponses, mais quel immense espace de découverte s'ouvrait...  La Maîtresse recula de quelques pas; elle semblait contempler son œuvre, son coté artiste sans doute. Son inflexibilité intimement lié à une visible énorme tendresse pour sa complice m'impressionnait autant que la docilité de celle-ci. Le courage aussi de cette dernière. Encore que je ne savais pas trop s'il fallait parler de courage si elle recherchait ces sensations. Mes idées s'entrechoquaient, mes certitudes tombaient les unes après les autres ; par exemple quant les pinces furent enlevées c'est à ce moment précis que Sophie semblait avoir le plus mal. Un murmure à son oreille, une caresse sur sa joue, un baiser furtif sur ses lèvres, et la voilà attachée sur le chevalet par une corde. Nœuds rudimentaires mais efficaces ; les chevilles et les poignets en bas, sa poitrine s'écrasait sur le cuir usé. Sa croupe insolemment tendue était un véritable appel au crime. L'impressionnant plug en plastique dur et transparent dont la domina se saisit me confirma qu'au moins cet avis était partagé... J'aurais donné n'importe quoi pour qu'elle me fît participer à ce qui aurait pu ressembler à la récompense de sa soumise après les jeux d'impact. Mais c'est elle-même qui caressait le petit trou de la belle qui semblait enfin se détendre. Ces gestes tendres, sensuels, contrastaient avec la taille de l'objet qu'elle avait lubrifié avant de commencer à l'introduire de le fondement de sa proie consentante. Cela ne rentrerait jamais... Si. Un baiser sur la fesse, des doigts qui frôlent les lèvres et voici que la soumise entamait une plainte déformée par la bâillon. Le plug fut ressorti et rentré plusieurs fois, à chaque fois plus facilement. Ce n'était visiblement pas une première. La Maîtresse, qui semblait m'avoir oublié, caressait la belle, trouvant rapidement son bouton d'amour avec lequel elle jouait. Comme tout à l'heure avec sa cravache, elle semblait utiliser un instrument de musique. Obtenant de jolis sons... Sophie n'avait depuis longtemps plus le droit de ne jouir qu'ainsi, l'anus rempli.  Le plus hallucinant peut-être était que tout semblait naturel, j'allais dire «normal» si je n'exécrais pas ce mot. Oui on pouvait être impitoyable et tendre, oui on pouvait faire mal et donner du plaisir en même temps, oui on pouvait avoir une grande distance hiérarchique et une énorme proximité intellectuelle et affective... Sentiment étrange de découvrir autant de mes « certitudes » aussi rapidement qu'évidemment balayées, définitivement sans doute. Ce fut le moment que choisit la Maîtresse pour débâillonner sa soumise, sans doute parce qu'elle aimait l'entendre jouir. Un god vibrant se joignit bientôt au plug inerte, se frôlant à travers une frêle parois. La dextérité manuelle de la domina faisant le reste, ce fut bientôt une véritable symphonie qui bientôt empli la pièce.  Sophie haletante, en sueur, fut vite emportée dans une tempête de jouissance que sa Maîtresse organisait avec dextérité. Cette dernière me fascinait, gardant toujours sa maîtrise de soi, ne montrant rien sur son visage. Ses gestes aussi inflexibles qu'attentifs et tendres parlaient pour elle. J'aurais juré qu'il y avait de l'amour entre elles. Un hurlement emplit soudain la pièce. J'avais je n'avais vu un orgasme aussi intense, dévastateur. Et ce n'était pas fini... Prologue: l'ouverture Préciser l'état physique de votre serviteur me semble totalement inutile. Les pensées en revanche parvenaient à la vitesse grand V à l'infime partie de mon cerveau encore capable d'un semblant de réflexion. La domina envisageait-elle me faire participer autrement qu'en voyeur? Une fellation se Sophie en guise de punition finale pour sa soumise me semblait de plus en plus une excellente idée. Probablement qu'en  me concentrant très fort, la transmission de pensée ferait le reste... J'avais encore un peu de travail avec de devenir un véritable jedi. Le calme revenait peu à peu dans la pièce. La belle semblait émerger d'un quasi état de transe tandis que sa maîtresse caressait amoureusement son dos, ses cheveux, ses seins, sa croupe meurtie. C'est à peu près au même moment  que ma lucidité revint. A cet instant précis je me sentis furieusement de trop, comme gêné d'être là. Comme si la scène devenait tout à coup trop intime. On changeait d'univers. Je ne voyais plus l'utilité d'une quelconque participation et était plein de reconnaissance pour cette maîtresse femme qui avait ouvert tant de portes en moi, fait sauter tant de verrous. Sans jamais s'occuper de moi pourtant. J'avais le sentiment d'avoir vécu un instant incroyablement privilégié.  Convaincu que je devais les laisser seules pour partager sans moi cette intimité, je me levai et remerciai avec sincérité ces deux femmes. Je leur était infiniment reconnaissant et  le leur dit. Ma meilleur récompense fut un même sourire éclairant leurs deux visages. La domina me raccompagna vers la porte, instant pour que je la franchisse mes vêtements à la main, nu comme un vers. Pour la refermer aussitôt derrière moi non sans m'avoir glissé qu'elle était certaine que nous nous reverrions... C'est à ce moment précis que je compris ce que signifiait vraiment marcher sans toucher le sol.
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Par : le 03/06/21
Lien : ce qui permet d’attacher, d’entraver, d’immobiliser. Mais aussi ce qui unit deux personnes, les engage chacune vis à vis de l’autre. _______________ Les liens et « le » lien. Deux sens différents pour un même mot. D’un côté les cordes, les attaches, les menottes, les chaînes, une simple ceinture parfois. Tout ce qui qui te permet de m’attacher, de m’entraver, de m’immobiliser pour faire de moi un simple objet de plaisir, sans autre choix que de « subir » ce que tu décideras. De l’autre, ce qui nous unit, sur le plan intellectuel, cérébral, mais aussi physique. Grâce à cette partie de toi qui me relie à toi pour mon plus grand bonheur lorsque tu me possèdes 😀. Les deux pourtant sont complémentaires. Puisque c’est « le » lien nous unit qui légitime « les » liens, qui te servent à m’attacher, m’entraver, m’immobiliser afin de pouvoir m’utiliser à ta guise. Ce lien que j’appelle aussi désir, confiance, complicité. _______________ Avant, je répugnais à me laisser attacher. On ne sait jamais. Ce peut être dangereux avec un inconnu. Aujourd’hui, je n’ai plus peur. J’aime au contraire me savoir à ta merci. Attachée, entravée, suspendue parfois. Sur un lit, une croix de Saint André, un chevalet, un pilori. Écartelée, les bras et les jambes en croix. Offerte. Alors, quand tu m’attaches ainsi, mon sexe devient moite. Dans l’attente de la seule chose qui compte. Toi. Pouvoir m’abandonner à toi.
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Par : le 01/06/21
Ça me démange...  Déjà hier, j' avais cette envie et ce matin en me levant , elle est toujours là... Cette envie de fesser me démange les bouts des doigts... La matinée passe, l' envie reste...  Le confinement pèse dans la balance des restrictions.Fesser me manque...    Bon allez , c'est 13 h, mon taf est à jour,  je pars à la chasse... Je me connecte sur un certain  site BDSM,  j'adapte ma photo de profil à mon humeur, comme j'ai l' habitude de le faire . L' envie de fesser, ce n'est pas la plus simple à illustrer ... J'ai choisi de mettre une de mes  photos d'un fessier bien fessé .  Au moins j' annonce la couleur... En plus , je l' aime bien cette couleur violacée... Humm! j' ai les mains qui me démangent... Sur le chat, après avoir ignoré tous les "bonjour Madame" de l' autre bout de la France, mon attention se porte sur un message. Les mots clés : Annecy  et dispo  apparaissent dans les premières phrases. J'engage le dialogue, sonde ce jeune soumis qui  à tout du p' tit 4 heure. Joli  corps musclé qu'on en fait qu'une bouchée. Un plus fort agréable pour assouvir mon envie ...  Il est intéressé pour venir. Il questionne régulièrement sur l' usage du gode ceinture entre le où le , quand et le  comment...  Mes réponses sont on ne peut plus cash:  J'ai envie de te fesser dans les bois... C'est  un coin proche de chez moi... Oui, un peu de passage... Non,  je ne vais pas te baiser là-bas. (Comme si ça pouvait me gêner.  ) ... Non je ne reçois pas... Oui; je vais te fesser, et certainement un peu te griffer... Non, je ne prends pas mon stap-on ...  Je suis à peu près certaine que quelque part en lui, il garde l' espoir que. Peut-être... Je le laisse avec son espoir, moi c'est lui que je veux maintenant. En quelques minutes, le voilà ferré. L'heure du  rendez-vous  est basée sur l'horaire du bus qui  le  mène jusqu'à moi. Je suis contente, je me déconnecte et prépare mes affaires avec un sourire de satisfaction,..    Une heure passe et je sors de chez moi, mon petit sac à la main, un masque et mon attestation   dans la poche sur laquelle j'ai coché la case exercice physique à proximité du domicile .Je triche sur l'heure, peu probable que je sois contrôlée dans les bois ...  Hum! Ça me démange et ça m' excite de partir pour administrer une fessée...   J'arrive  près de l'endroit  indiqué. Je  le vois au loin. J'envoie un coup de sifflet, il tourne la tête vers moi. Je fais un signe de la main et il vient à ma rencontre...  Là , mon plaisir commence...   Je glisse une première fois ma main dans mon  petit sac... Il approche...  sur le boulevard il y a de la circulation... Je sors le collier... Les passants vont  autour de nous... Il est à ma hauteur quand je lui tends ... Il bafouille un bonjour, je lui fais un sourire: " Mets le! Son regard  balaie rapidement  les alentours... Je continue d'avancer... Il prend le collier et le met à son cou en me suivant...  Je plonge à nouveau ma main dans mon petit sac... J'en ressors  un  bracelet menotte.   Je lui tends   " Ça aussi! "  Tout en avançant , il s'exécute... je m'arrête au feu  et le dévisage en attendant que le p'tit bonhomme passe au vert. Il baisse la tête , essaie de dissimuler le bracelet sous sa manche... Une femme s'arrête à coté de nous... Je le sens gêné... Le bonhomme passe au vert en même temps que je sors le second bracelet de mon petit sac...  "Continue!" ... Il prend le bracelet  qu'il met en traversant la route... Je suis en jean noir avec mes bottes en cuir noires, une veste et un haut noirs et je sors de mon petit sac noir ma laisse en chrome... Humm!  Approche petite chose! Viens  te mettre au bout de ma laisse...  J'avance d'une bonne allure, mon soumis accroché à ma laisse. Je le tiens assez court  le temps qu'il se mette au pas puis je laisse pendre la chaîne. Il garde la cadence, veillant à ne pas laisser cette chaîne se tendre pour rester discret quand on croise des gens.  Le sentir  gêné me donne le sourire. Ça me plaît de le tenir ainsi jusqu'à mon petit coin en retrait. C'est  entre deux bosquets d'arbustes,  le long d'un petit chemin qu'emprunte de rare jogger. Nous y voilà!  Faut se faufiler entre les branches, bien lever les pieds à cause des ronces, Humm! Les ronces, "Ramasse Moi cette ronce!  Il se baisse et tire un coup sec sur la plante qui ne se fait pas prier pour participer à mon plaisir. Sourire jusqu'aux oreilles... Je lui indique sa place et prends la mienne.  J'ai la vue sur le chemin principal par lequel on est arrivé et celui d'en face. Ainsi, d'un simple mouvement de tête, je contrôle les aller venus sans être vu. Autre avantage de ce coin, et c'est pour ça que je l' ai choisi, il y a une branche solide qui surplombe un petit vide juste devant ses pieds. C'est à celle-ci que  j' accroche la laisse. A ma droite, il y en a une autre pour y mettre mon petit sac. Mais d'abord, je plonge ma main dedans et en ressors le bâillon boule." Mets ça!"  Il a un air un peu perplexe, me regarde,  regarde le bâillon, "Allez dépêche toi!  Tu es venu pour prendre une fessée, et bien voilà , tu y es! "  Il me réplique un dernier "oui Madame" puis se bâillonne. Je lui fait tenir la branche  et fixe les bracelets entre eux , autour.  Je profite de cette proximité pour le ressentir. Ce petit corps me plait bien. Il a bien une tête de plus que Moi mais quelle importance,  ses fesses restent à bonnes portées...   Encore une plongée dans mon petit sac pour prendre un bandeau.  En lui serrant  autour des yeux, je lui glisse quelques mots à l' oreille... Je fais descendre ensuite mes mains le long de ses bras jusqu'à sa taille. Je l' empoigne et tire ses hanches en arrière pour qu'il me soit bien offert. Mes mains s'affairent sur  l' ouverture de son pantalon. Je veux avoir accès à  ses fesses et son dos aussi. Je tourne son sweat vers le haut. Griffe en même temps... Redescends ... Fais glisser son pantalon au bas des cuisses... Il bande dur...   J'attrape ma jolie ronce fraîchement cueillie... Raye avec  ce joli fessier qui me donne envie... Fouette doucement ... Caresse, griffe et fouette à nouveau... Puis plus vite... Plus fort...  Continue en alternant avec des mots... Je lui parle de mon envie... Lui dit ô combien je suis contente qu'il soit venu jusqu'ici... La ronce s'effiloche rapidement et mes mains  ne veulent plus attendre... Je lâche le végétal , ajuste ma position et claque les deux fesses à l' unisson... Humm! Oui! Me voilà parti... Il s'ensuit des séries de claques sur ce cul rebondi... Mon  plaisir s'accroît en voyant rosir son derrière ... Les empreintes de mes doigts  se croisent ainsi que celles de mes griffes... Lui se met à gémir en aspirant la bave qui lui coule du bâillon... Je l' oblige à se  remettre cul tendu à chaque fin de série... J'augmente l' intensité , ça me fait mouiller. Ça me manquait tant...   Quand des gens s'approchent , je  plaque son cul contre moi et lui souffle" silence! " dans le creux de l' oreille. Il  fait bien moins de bruit que mes mains avec ses gémissements, c'est plus pour  rappeler à son cerveau   qu'il est  exposé à la vue des promeneurs. D'ailleurs, voilà un joggeur qui arrive...  je glisse mes mains sous ses vêtements, comme je le ferais avec un  amant.  Je plante mes griffes dans sa peau. Le gars passe un un mètre sans tourner la tête. Je griffe son dos jusqu'à la taille, ce qui le cambre magnifiquement bien. Du coup je recommence...  " Encore!" Je griffe, je claque.. Je claque, je griffe, mais surtout je le claque encore et encore... Il s'accroche à sa branche de toutes ses forces... Je ressens la tension de tout son corps... Il est dans un état de  soumission où sa volonté  est  de tenir pour que j' en prenne plaisir et c'est ce que je fais... Je me régale de le fesser... J'en avais vraiment trop  envie...  Il tremble, sa limite arrive... Je caresse entre de frappe... Sa peau est chaude... Rouge... Dure... Humm! j' ai besoin de le  toucher... Je m'approche  de lui... Plaque son cul encore une fois contre moi... Je l' aurais bien baisé  en fait! ... Humm! Encore une ou deux séries bien intenses... J'approche ma bouche de son cou... " 'j'aime te fesser, j' en suis toute mouillée... " En disant cela mes doigts ont trouvé le chemin pour atteindre ses tétons et ils les pincent  avec un plaisir non dissimulé...  Humm! Quel régal  de donner vie à ses envies... Doucement je le redresse... Lui retire le bandeau et le bâillon... J'attends un peu qu'il reprenne ses esprits. J'en profite pour faire ma photo souvenir, puis je lui décroche les menottes pour qu'il baisse les bras et les raccroche entre elles... Je lui fais lever la tête pour qu'il me regarde dans les yeux... "Maintenant , je te laisse deux minutes pour te faire gicler où je recommence tout!"  Sans perdre une seconde, il s'active sur sa queue avec frénésie et met à peine plus d'une minute pour gicler une grosse coulée de sperme ...  La fessée s'arrête donc là...  Je décroche la laisse, range le bâillon et le bandeau dans mon sac. Lui,  remet sa bite et ses fesses dans son pantalon et on  prend le chemin du retour...  50 mètres plus loin , on croise un groupe d'adultes. Il se rapproche vite de moi pour tenter de dissimuler la laisse. Les gens passent et il me dit : "Maintenant, vous pouvez peut-être  m' enlever la laisse. J'éclate de rire! " Bien Sûr que non!    Tu crois que ça y est, tu as éjaculé, c'est fini. ( RIRE) Allez! Avance!" " Dis toi que les gens s'en fiche que tu sois en laisse. La plupart ne le remarque même pas" .  Je le détache avant d'arriver sur le boulevard. Je fais un bout de route avec lui, histoire de le remettre dans la direction de la ville... Je récupère le collier, il me rappelle qu'il a encore les bracelets; Oup's!  Je les avais zappé ceux-là ...  Et voilà! Mes mains sont agréablement chaudes...  Mon esprit satisfait et serein...  Mon envie de fesser assouvie...  Je suis bien en rentrant chez moi et je reprends le cours de ma petite vie... Je n' ai plus eu de nouvelles de ce p'tit 4 heures... Plus jusqu'à il y a quelques jours... Ding!  SMS "Bonjour Madame! Vous vous souvenez peut-être de moi. Vous m' aviez fouetté avec des ronces et   fessé dans les bois.  J'ai mis longtemps à vous donner des nouvelles car j' ai beaucoup aimé vous servir ainsi mais j'étais  très gêné d'être exposé .. Etc... " Humm! En voilà une nouvelle qui me donne envie...  Il aura mis du temps à passer au-dessus de ses appréhensions... Le seul fait qu'il y soit parvenu et ose me recontacter 6 mois après  me plait...  Humm! Ça me démange à nouveau de le fesser...  
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Par : le 01/06/21
Nous ne conservons en mémoire que les prouesses marginales, les nuits d'excès, les scènes d'humiliations, les actes pervers et les situations paradoxales ou baroques. Aussi pour réveiller les souvenirs de notre mémoire érotique, il nous faut déambuler dans le grenier de notre cerveau pour y ouvrir de vieilles malles à la recherche de porte-jarretelles, de lettres coquines et délicieusement salées. Parfois nous retrouvons dans ce bric-à-brac des amours mortes une ceinture oubliée qui laissait sur la peau satinée d'une jeune fille des stries d'un rouge vif et provoquait chez elle une réaction vive où se mêlaient l'effroi, la pudeur offensée, la reconnaissance. Nous revoyons les menottes dont elle autre souhaitait qu'on lui attache ses gracieux poignets aux montants du lit. D'autres objets ou manigances du plaisir surnagent dans la mémoire, devenus tout aussi incongrus, obsolètes et poussiéreux que les anachroniques bicyclettes de l'arrière-grand-père. La ceinture est là, racornie, craquelée, mais que sont devenues la délicieuse croupe prête à recevoir son châtiment désiré, et la jeune femme aux airs de collégienne qui voulait être punie ? Elle est sans doute aujourd'hui, une mère de famille honnête, qui sait même, donne des leçons de catéchisme et qui se récrierait bien haut si on avait l'indélicatesse de lui rappeler ses anciens égarements et ses pâmoisons illicites. Chaque femme possède sa manière bien à elle de faire l'amour. Elle a son identité sexuelle, ses seins éprouvent des émotions particulières, son sexe est aussi singulier que son empreinte digitale. Au même titre que la teinte de ses cheveux, sa taille, la couleur de ses yeux. Le sexe de chacune a son rythme propre, sa palpitation, son émoi. Si on pose l'oreille sur sa vulve comme on procède aussi avec les grands coquillages pour écouter la mer, on entend une longue plainte distincte, un frisson venu des profondeurs de l'être qui sont la marque d'une personne unique. Cette identité sexuelle, doit-on la taire ou en révéler les expressions, les appétits, les fièvres ? Nul n'est besoin de la décrire. Dans la nuit noire, les yeux bandés, l'amante reconnaît le goût de sa bouche, de son sexe, avec leur rythme ardent ou paresseux, son haleine chaude, son parfum lourd ou opiacé, sa saveur acide ou âcre de tabac. Toute amoureuse possède sur se sujet un certain appétit. Mais il n'est pas certain qu'elle désire toujours être rassasiée. Au contraire, il peut lui être gré de ne rien imposer et de laisser libre cours à son imagination. Car c'est un paradoxe. Plus on décrit les gestes de l'amour, plus on les montre, plus la vision se brouille. En matière sexuelle, on ne voit bien que soi-même. Et la description sexuelle risque d'égarer la curiosité. C'est donc aux deux amantes de remplir avec leur imagination sentimentale ou érotique, les blancs, les points de suspension, les corsages dégrafés, les bas déchirés et les porte-jarretelles entrevus, que le désir leur offre afin qu'elles les agrémentent à leur guise. L'amour le plus beau, c'est celui qui nous donne un canevas pour reconstruire notre vie, nos rêves et nos fantasmes. Ce sexe crûment exposé, on l'emploie souvent comme cache-misère de l'indigence romanesque. Comme dans un rêve, on entendait le feulement de Charlotte monter peu à peu vers l'aigu et un parfum déjà familier s'exhala de sa chair sur laquelle les lèvres de Juliette étaient posées. La source qui filtrait de son ventre devenait fleuve au moment qui précède le plaisir et quand elle reprit la perle qui se cachait entre les nymphes roses qu'elle lui donnait. Elle se cambra alors de tous ses muscles. Sa main droite balaya inconsciemment la table de travail sur laquelle elle était allongée nue et plusieurs objets volèrent sur la moquette. Un instant, ses cuisses se resserrèrent autour de sa tête puis s'écartèrent dans un mouvement d'abandon très doux. Elle était délicieusement impudique, ainsi couchée devant Juliette, les seins dressés vers le plafond, les jambes ouvertes et repliées dans une position d'offrande totale qui lui livrait les moindres replis de son intimité la plus secrète. Quand elle commençait à trembler de tout son être, elle viola d'un doigt précis l'entrée de ses reins et l'orgasme s'abattit sur elle avec une violence inouïe. Pendant tout le temps que le feu coula dans ses veines, Juliette but les sucs délicieux que son plaisir libérait et quand la source en fut tarie, elle se releva lentement. Charlotte était inerte, les yeux clos, les bras en croix. Venant d'un autre monde, sa maîtresse entendit sa voix lui dire qu'elle était heureuse et qu'elle voulait que cela ne finisse jamais. Juliette s'agenouilla entre ses jambes et Charlotte voyait ses cheveux clairs onduler régulièrement au-dessus d'elle. Sa vulve était prisonnière du plus doux et du plus chaud des fourreaux qui lui prodiguait la plus divine des caresses. Un court instant, elle s'interrompit pour lui dire qu'elle n'aurait jamais cru que c'était aussi bon de se soumettre puis brusquement, adorablement savante, sa main vint se joindre à ses lèvres et à sa langue pour la combler. Mille flèches délicieuses s'enfoncèrent dans la chair de Charlotte . Elle sentit qu'elle allait exploser dans sa bouche. Elle voulut l'arrêter mais bientôt ses dents se resserrèrent sur la crête rosée. Un plaisir violent et doux s'abattit sur les deux amantes et le silence envahit la pièce. Le plafond était haut, les moulures riches, toutes dorées à la feuille. Juliette invita Charlotte à pénétrer dans la salle de bains où elle fit immédiatement couler l'eau dans une baignoire digne d'être présentée dans un musée, un bassin en marbre gris à veinures rouges, remontant à l'avant en volute, à la façon d'une barque. Un nuage de vapeur emplissait le monument. Elle se glissa dans l'eau, avant que la baignoire ne fut pleine. La chaleur est une étreinte délicieuse. Une impression d'aisance l'emplit. Voluptueuse, Charlotte s'abandonna à ce bien-être nouveau sans bouger. Le fond de la baignoire était modelé de façon à offrir un confort maximum, les bords comportaient des accoudoirs sculptés dans le marbre. Comment ne pas éprouver un plaisir sensuel ? L'eau montait sur ses flancs, recouvrait son ventre pour atteindre ses seins en une onde caressante. Juliette ferma les robinets, releva les manches de son tailleur et commença à lui masser les épaules avec vigueur, presque rudesse. Ses mains furent soudain moins douces sur son dos. Puis alors à nouveau, elle la massa avec force, bousculant son torse, ramollissant ses muscles. Ses doigts plongèrent jusqu'à la naissance de ses fesses, effleurant la pointe de ses seins. Charlotte ferma les yeux pour jouir du plaisir qui montait en elle. Animé par ces mains fines et caressantes qui jouaient à émouvoir sa sensibilité. Une émotion la parcourut. L'eau était tiède à présent. Juliette ouvrit le robinet d'eau chaude et posa ensuite sa main droite sur les doigts humides de Charlotte, l'obligeant à explorer les reliefs de son intimité en la poussant à des aventures plus audacieuses. Juliette perdit l'équilibre et bascula sur le bord de la baignoire. Son tailleur trempé devint une invitation à la découverte, et la soie blanche de son corsage fit un voile transparent révélant l'éclat de ses sous-vêtements. Elle dégrafa sa jupe et se débarassa de son corsage. Dessous, elle portait un charmant caraco et une culotte de soie, un porte-jarretelle assorti soutenant des bas fins qui, mouillés, lui faisaient une peau légèrement hâlée. Ses petits seins en forme de poire pointaient sous le caraco en soie. Elle le retira délicatement exposant ses formes divines. Bientôt, les mains de Charlotte se posèrent langoureusement sur ses épaules et glissèrent aussitôt sous les bras pour rencontrer les courbes fermes de la poitrine. Son ventre palpita contre les fesses de son amante. Elle aimait cette sensation. Peu à peu, ses doigts fins s'écartèrent du buste pour couler jusqu'à la ceinture élastique de la culotte. La caresse se prolongea sous le tissu. Juliette pencha la tête en arrière et s'abandonna au plaisir simple qui l'envahit. Alors, rien n'exista plus pour elle que ce bien-être animé par le voyage de ces doigts dans le velours de sa féminité. L'attouchement fut audacieux. Combien de temps restèrent-elles ainsi, à se caresser et à frissonner, ne fut-ce pas un songe, l'ombre d'un fantasme ? Elles n'oseraient sans doute jamais l'évoquer. Mais brusquement, revenue à la réalité, Juliette se rhabilla et abandonna Charlotte sans même la regarder. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 23/05/21
Chapitre 3 - le dernier Apres le depart de Christian, Alex reste couché sur le sol durant un long moment, menotté, pantalon en bas des genoux, le plug dans le cul et trempé de l'urine de Christian. Il n'avait jamais connu cet etat psychologique troublant, ou en etant humilié violenté et baisé pire qu'une pute, il avait finalement jouit. Cela le troublait de réaliser que finalement il avait aimé cette experience malseine. Il mis longtemps avant de retrouver ses esprits, se releva, puis defit les menottes et se rehabilla comme il pouvait, pour rentrer chez lui discretement a pied. Enfin Arrivé! Une fois la porte fermée, il se deshabilla et aller prendre sa douche. Pris un vieux rhum Clément d3 ceux que l’on savoure pour les grandes occasions et pour reflechir tout en grignotant. Puis alla se coucher. Il s'endormi rapidement l'esprit empreint de ses derniers souvenirs et passa une tres bonne nuit. Le lendemain, au reveil sa decision etait prise, il se rendrait au rendez-vous. Arrivé sur place, il s'agissait d'un hotel particulier dans un arrondissement cossu de Paris. Il fit un tour dans le quartier malgré tout hésitant, puis se lanca et sonna à la porte quelques minutes suivant 14h00. Apres quelques instants, la porte s'ouvrit, et il decouvrit le visage de son tortionnaire. "salut alex, nous étions sûr que tu viendrais, mais tu es un peu en retard..." "bonjour, oui, en effet..." alex n'eut pas le temps de finir sa phrase que Christian l'avait plaqué contre le mur le tenant à la gorge et lui mettre une taloche,"pour toi c'est Maitre Christian, compris" "oui ..." reclac "oui Maitre Christian" " c'est mieux, mais il va falloir apprendre plus vite, sinon tu finiras sans peau a force de te faire punir!" Il'continua, "voila c'est en quelque sorte notre quartier général, nous y pratiquons nombreuses de nos activités, confortable et bien equipé une belle reception. Mais ils nous arrivent parfois d'organiser des soirees ou d'autres activités ..." alex intervint "et qui est le proprietaire?" Il est aussitot plaqué contre le mur "tu parleras quand on te le demandera" "...ah ok..." nouvelle clac "oui oui maitre christian". Ils gravirent les marches du péron, puis prirent une porte à droite.  Celle-ci donnait sur une piece de taille moyenne ressemblant a un salon, pas trop haute de plafond, et alex, eut un reflexe de recule lorsqu'il realisa qu'il y avait 3 hommes assis sur un canapé en train de prendre le café ..."ah ! enfin voici ta nouvelle recrue! "  " OUI il est arrivé un peu en retard. Il voulait déjà scorer dans le tableau des punitions!" Rire general. Christian continu. "voici quelques membres éminents de notre club,  Maitre James, banquier et specialisé dans le bondage, maitre Kevin qui est tatoueur piercer pro, et maitre Jack, médecin. Nous allons tous participer à ton dressage, et comme tu le vois tu es entre de bonnes mains. Qu'en penses tu?"  ..." oui en effet maitre Christian" "à la bonheur, il finit par comprendre. Dans notre club il y a 4 castes, les apprentis slaves dont tu fais maintenant parti, les slaves qui peuvent dominer les apprentis sous controle d'une personne de caste superieure, les apprentis maitres et les maitres. Le club est dirigé par un petit groupe de maitres dont nous faisons parti tous les 4. Bien sûr il y a des hommes et des femmes dans toutes les castes, et tes preferences sexuelles n'ont aucune importance, nous sommes soit hetero, bi, ou gay aucune difference ou discrimination, ce qui compte c'est ce que le maitre veut. Compris?" ..."oui maitre Christian"... "maintenant fou toi a poil apprenti..." à ces mots alex rougi ayant peu l'habitude de se deshabiller devant des inconnus. Christian l'attrappa par les cheveux "quand on te donne un ordre tu obeis immédiatement sans réfléchir, compris?" "oui maitre christian" et il commenca a se déshabiller. Pendant ce temps Christian appuya sur une sonnette et aussitôt une superbe blonde, top less les seins percés par des anneaux, un collier de cuir enserrant son cou, en porte jaretelle bas coutures et haut talons entra dans la piece et commença à ramasser les affaires d'alex pour les mettre dans un sac sur lequel le prénom Alex etait brodé. Instinctivement il voulu couvrir son sexe que la blonde reluquait, car bien que gay il avait toujours été intimidée par les filles mais il reçu une clac, ainsi que la blonde, "concentre toi chienne vero, tu n'es pas là pour te rincer l'oeil, va chercher ta punition auprès de maitre kevin" "bien maitre pardonnez moi", elle se mis a 4 pattes puis alla se placer a genoux devant kevin les mains derriere la tete, celui-ci lui mit directement une baffe et l'attrapa par les seins " alors comme ça on regarde la queue de qulqu'un qui n'est pas son maitre? Un apprenti soumis en plus! Quelle honte"... la  blonde grimaça sans broncher... " tu recevras 10 coups de fouet tout à l'heure,... va te mettre en position d'attente!" La blonde repartie a quatre pattes se positionner dans un angle de la piece, jambes légèrement ecartées, mains dans le dos et regard baissé. Christian repris," bon, chien va saluer tes maitres" alors qu'alex se deplacait en marchant, il fut attrappé par les cheveux, puis par les couilles et mis a genoux de force " a quatre pattes chien..." rouge de honte et de douleur alex alla se placer sans dire un mot devant james a la manière de vero. " bien... ça commence a rentrer" James se leva, fit le tour d'alex en commentant " bien joli cul et joli corps, musculature pas trop mal, le bondage devrait bien t'aller. Un peu de muscu à ton programme et tu n'en seras que plus baisable." Il se pencha sur alex, le pris par les cheveux et l'attrapa par les couilles en les étirants vers le bas, lui roula un grosse pelle. "waouw, sexe" s'exclama Kevin "vient me voir maintenant. Alex se positionne devant kevin qui l'inspecte avec plus de details, "ouvre la bouche, tires ta langue,...hummm jolie, je sens qu'il doit etre super fort en fellation..." "je te confirme encherit Christian. Kevin lui tate les seins "humm pas mal du tout aussi, ce sera facile pour le signe d'appartenance..." puis il lui enserre les couilles avec sa main pour les étirer vers le bas. Alex grimace, en emettant un petit bruit, ce qui lui vaut un bonne paire de clac. Puis kevin racle un beau glaviot crache par terre et lui ordonne de lecher, apres un moment d'hesitation kevin l'attrape par les cheveux et le force à lecher le glaviot au sol. "voila, c'est bien... qu'est ce que l'on dit a son Maitre?"  "....euh merci Maitre Kevin?". A son tour Jack l'interpele "a moi, ... on va voir à quel point t'es une salope. Ouvre ta bouche et leche bien mes doigts...encore" en meme temps, jack retire le plug ce qui a pour effet de faire mouiller alex. Puis Jack lui fourre 2 doigts au fond de la gorge, alex s'etouffe mais recrache une bave bien visqueuse. Aussi Jack le plaque sur le canape et commence a lui lubrifier l'anus. Puis introduire un doigt. "vas y leche salope" puis Jack lui fourre 2 doigts dans le cul, alex emet un petit rale... " tiens on dirait qu'elle aime ça la salope." Puis 3 doigts, " a priori pas de soucis coté sodo, il faudra tenter un fist peut etre. Tiens ouvre la bouche" et jack lui fourre le plug dans la bouche et lui fait refermer. Christian reprends la main, "bon aller assez amusé, vient la chien", alex le rejoint a 4 pattes. "debout!" Une fois levé, christian retire le plug de sa bouche pour le replacer dans son cul, puis lui attache les mains à l’aide de grosses menottes en cuir que presente vero sur un plateau sur lequel se trouve aussi une tondeuse. A l'aide d'une telecommande, christian fait descendre un cable d'acier auquel il attache les menottes. Pendant ce temps vero a posé les equivalentes à ses chevilles et les a reliées a de courts cables au sol. Christian manoeuvre et alex se retrouve suspendu à quelques centimetres dans les airs les jambes ecartées. "vas y chienne vero, transforme nous ce pd en apprenti soumis" vero s'approcha tondeuse a la main et rasa alex des pieds au cou avec application. "Et voila, nu comme un ver, pour te rappeler que les slaves n'ont rien, qu'il ne sont rien, chaque fois que tu franchiras cette porte tu te mettras à poil, et tu devras etre tondu pareil a toi de t'entretenir desormais. Rasage, epilation, tu as le choix des armes! Attention tu seras inspecté à chaque fois, et en cas de défaut tu seras sévèrement puni, compris?" "oui maitre Christian" alex commençais a se prendre au jeu et trouvait cela ludique. Apres tout le soumis ne doit penser à rien si ce n'est qu'a obeir, subie et faire plaisir a ses maitres. "ah voici l'un de mes moments préférés!" Tous se levèrent et vinrent autour d'alex, toujours suspendu, en retirant leur ceinturon... " la correction!" Stupeur dans les yeux d'alex, alors qu'au meme moment, vero place un baillon boule dans sa bouche "La correction, differente de la punition, est un principe fondateur du bdsm. Tout soumis se doit d'etre battu, car c'est sa destiné. Celles ci se fond avec divers ustensiles de plus en plus sophistiquées ou cruelles, par forcement douloureuses, mais cela fait parti de l'entreinement en quelque sorte". Et la corection,commence, plutot douce, les ceinturons sont à mi longueur. Afin d'en reduire la force. D'abord les fesses, puis les jambes, le ventre, les bras, les ceinturons, les longueurs s'allongent, le rythme ralenti mais les coups sont plus forts, de plus en plus fort... Soudain Jack  dit " ok c'est bon là", alex est au bord de l'évanouisement, zebré sur tout le corps. On detache rapidement ces jambes puis on le redescent, on lui donne a boire... drole de gout...c'est pas que de l'eau puis on l'emène dans une cage se trouvant dans une piece attenante, ou on l'attache pas le cou et on l'enferme. Jack passe pour verifier son etat " ok tout va bien repose toi une heure...." il s'endore profondement, il avait été drogué. Lorsqu'alex se reveille il est assis sur une chaise, le basin un peu en avant, les mains attachées au dossier, les pieds à la chaise, et les yeux bandés. Il reconnait la voix de Kevin qui discute avec Christian. "Voila, je vois que docteur Jack a encore fait des miracles, apprentissage suivant..." dit Christian " jeu de cire" a peine la phrase terminée qu'il senti les brulures des gouttes lui tombant dessus. C'est la première fois qu'il ressent cela. la brulure est mordante mais tres furtive il se tortille dans tous les sens et bondi lorsque la cire coule sur sa bite mais il trouve cela très excitant et bande comme un ane. le traitement dure jusqu'a ce qu'alex soit bien recouvert. "Alors ça ta plus?" "oui maitre , merci maitre"... christian continu, le probleme avec la cire c'est pour la retirer, heureusement on a du personnel...vero?" Et aussi alex recoit un violent coup de martinet sur la poitrine... "oui vero adore retirer la cire "... les coups descendent progressivement et methodiquement au fur et à mesure que la cire se retire... " stop "dit kevin " là ses seins sont bien dégagés on va lui poser des pinces" "bien maitre" répond vero en lui apportant celles ci. Kevin malaxe et étire les seins d'alex pour le préparer, puis pose les pinces aux deux seins lui arrachant un cri de douleur. Il reçoit une clac de kevin "calme toi, fait pas ta fiotte, tu verras c'est beaucoup plus douloureux quand on les retire". A ce meme instant il rescend que les pinces sont attachees et sont tirees vers le haut.Pendant qu'il disait cela, alex percoit la porte qui s'ouvre et une nouvelle personne qui entre. Quelques chuchotements, et se sont les coups de martinet qui repartent. Calculant la direction des coups il en oublie sa douleur aux seins et commence a craindre le martinet sur ses couilles, arrivés au niveau du pubis les coups cessent "t'a eu peur hein slave?" Ne repondant pas il recoit un coup de martinet "le maitre n'a pas entendu ta reponse!" Dit vero "oui maitre christian j'ai eu peur"  ... " bien continuons" il sens que quelqu'un s'agenouille entre ses cuisses puis commence a retirer la cire de sa queue. La finesse des doigts la longueur des ongle et la subtile douceur inherente à la gente feminine le font penser a vero et soudain, il sent que la femme prend sa bite la porte à sa bouche et commence à le sucer. Cela à beau etre une femme, la situation est telle que l excitation monte et sa queue commence à gonfler. "tu vois qu'on est pas des sauvages dit kevin, le bdsm c'est le plaisir pour chacun, et chacun à sa maniere" ... "vous avez totalement raison mon maitre" entends t’il dire vero derriere lui !!! Mais qui est donc la mysterieuse personne en train de lui faire cette magistrale pipe, il commence a geindre, mais aucune reprimende ni coup de martinet,... il entant jack dire "tient mets une capote" et resent la femme lui mettre, cracher sur son sexe le porter à sa bouche puis monter sur alex et s'empaler dessus pas onde successive. Qu'elle ressenti incroyable, baisé par une femme sans savoir de qui il s'agit et sans pouvoir rien faire. Il resent une main qui s'agite pres de ces couilles, mais a priori pas pour les torturer. Il comprends que quelqu'un prépare sa partenaie pour une sodomie. Il sent le poid de la femme qui le chevauche augmenter. La femme tire sur les pinces de seins, il ne sait pas s'il pourra se retenir encore longtemps, d'un seul coup la femme émet un bruit roque suivi par un "ouuuui Christian, prends moi comme une chienne..." dans une voix déformée mais qui semble familière a alex sans qu'il ne puisse mettre un nom dessus. Le manège dure encore dix minutes et c'est l'explosion alex éjacule en premier suivi peu de temps par christian, et la femme qui jouie relachant plusieurs jets. Puis elle dit "ok je valide la candidature de cette nouvelle recrue, tu peux procéder kevin". La femme se retire et kevin lui retire le pinces aux seins, alex pousse un cris "et oui ça fait plutot mal...”, et quelque secondes plus tard il ressent une profonde douleur au sein droit " voila chien' c'est ta première marque d'appartenance a notre club, un piercing au sein droit. Alex a eu le soufle coupé par la douleur, mais un coton imbibé d'un produit special est immediatement mis pour soulager la douleur. "Et maintenant ton premier galon d'apprenti" alex sens qu'un epais collier de cuir lui est attaché autour du cou. On le détache, et on le mene à 4 pattes par le collier dans la salle de la cage, ou il découvre un pilori pas très haut. On le positionne ou il se retrouve le cul en l'air. D’autres personnes rentrent, "aller tu m'as excité ptit pute, je vais bien te baiser" il reconnait kevin qui sans plus de discussion le culbute. En meme temps il entend une autre personne avec ses tallon aiguille , s'approcher et lui donner des coups de martinet en riant. Puis elle s'arrete, passe devant le pilori, et lui pisse dessus, pendant que kevin jouis. Il se retire et sort les laissant seuls. " ah il t'a bien bourinné maitre kevin hein" et en disant cela retire le bandeau d'alex, ses yeux sont troubles il voit des bottes en cuir a talons, des bas une guepiere,... il sursaute et manque de s'etouffer..."Leaticia!!!???" ""Hahahahahahahah eh oui alex t'es pas rapide à comprendre. Merci pour le cadeau tout a l'heure, j’ai toujours revé qu'on baise ensemble, voir tu aurais pu rejoindre le club comme maitre, mais la fois ou tu m'as donné ton mot de passe pour que je verifie le dossier d'un patient, j'ai trouvé tes photos, tes sites, j'ai hacké tes comptes, on t'a tracé durant 2 mois.... quel plaisir, le beau male se revele etre une salope... donc maintenant, c'est mon tour de te baiser"... Sur ces mots elle chausse un gode ceinture et encule alex avec violence. Fin
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Par : le 16/05/21
Je suis décidée à tout quitter : l’usine, mon beau père, Max, le Nord, la France et même l’Europe. Je veux du soleil, du neuf, de l’excitant... mais je ne veux pas partir sans rien. Eh ! J’ai Julien à ma charge. Et puis, je les mets tous à l’amende. Depuis quelque temps, j’ai les yeux qui furètent et les oreilles qui traînent. Il m’est même arrivé de fouiller la corbeille à papier de mon beau- père... et puis, j’interroge discrètement des gens sûrs, comme Diesel. Je suis super bonne en espionnage et je dois le dire, Julien aussi. En nettoyant les toilettes, il a surpris des bribes de conversations. Tout mis ensemble, voici ce qui va se passer : vendredi après-midi, mon beau-père va recevoir de l’argent de provenance inconnue, qui ne fera que transiter un week-end dans l’usine. Lundi ou mardi, il partira en Chine avec un diplomate. Là, cet argent servira à construire une nouvelle usine. Mais, j’en ai décidé autrement : cet argent me servira à faire la fête aux îles Caïmans. Je suis une fille du voyage, et cette fois-ci, je vais partir loin. Dimanche 4 h du matin... Oh, et puis non, j’ai pas envie d’écrire ça, ce sont de trop mauvais souvenirs. Ma voix intérieure, me souffle "Un peu de courage Samia ! Écris, puis oublie !" Oui... c’est vrai. Dimanche, 4 h du matin, une voiture se gare en bordure d’un terrain vague... Deux ombres se glissent à travers la végétation, jusqu’à une brèche dans le mur, cachée par un buisson. Julien jouait ici quand il était petit, il connaît tous les recoins, toutes les cachettes... J’accélère. On entre dans l’usine et on va jusqu’au bureau de mon beau père. Julien connaît la combinaison et moi, je sais où il cache la clé. On ouvre le coffre et j’éclaire l’intérieur avec ma lame torche. Il y a un gros paquet emballé dans du papier brun : l’argent ! Et, il y a aussi un papier sur lequel il est marqué "Souriez, vous êtes filmés". La lumière inonde la pièce ! Julien et moi on se regarde comme deux imbéciles piégés ! Mon beau-père entre dans la pièce. Avec lui, il y a Max, Lisa, un homme en costume et deux gardes. Voilà, voilà... que dire de plus ? Que mon beau-père nous a fourrés à sec et bien profond ? Oui et franchement, ça fait mal. Pas à mon cul, mais à mon ego ! Je le prenais pour un gros pervers qui se faisait sucer par sa belle-fille et son fils, mais ce n’est pas que ça : c’est un gros pervers intelligent et machiavélique... Je réalise que tous ceux qui m’ont donné des renseignements sont ses complices ! Il a un grand sourire quand il m'explique : — Tu n’étais pas de taille, Samia. Tu es sûrement très bonne quand tu fais croire aux passants que tu peux lire l’avenir dans les lignes de leurs mains, mais tu aurais dû te contenter des quelques pièces qu’ils te refilaient. Un casse, tu n’es pas de taille. Ce n’est pas que je sois un grand stratège, c’est que tu es tellement prévisible. Si tu savais le nombre de gens qui m’ont dit que tu préparais quelque chose ! Je me mords mes lèvres pour ne pas pleurer. Je suis peut-être la reine des idiotes, mais j’ai encore un tout petit peu de fierté. Enfin, pour le moment. Il a un auditoire ! Il poursuit : — Tu sais, je ne t’ai jamais fait confiance. J’ai compris très vite que tu attendais le bon moment pour me voler. — Je n’ai fait qu’essayer, Monsieur. — C’est vrai, mais il y a le garde que vous avez assommé. — Quel garde ? C’est faux, vous essayez de... Mon beau-père se tourne vers l’homme en costume en disant : — Cher maître, vous voulez bien lui expliquer. — Oui... Je suis maître Delmol, huissier, et j’ai interrogé le garde. Il a expliqué vous avoir surpris tandis que vous vous faufiliez. À votre demande, votre mari, Julien de Préville, lui aurait donné un coup sur la tête et il s’est évanoui. Et puis, le revolver. Pas la peine de nier, de crier... mon beau-père nous baise une fois de plus, Julien et moi, mais cette fois-ci, ça fait vraiment très mal. Il ne me reste qu’à reconnaître ma défaite avec le plus de classe possible, disons deux millimètres de classe. Je lui dis : — Je ferai ce que vous voulez, Monsieur. — Je sais bien Samia. Tu vas signer les documents que maître Delmol a dans sa serviette. Julien aussi, bien sûr. L’homme en costume dépose des documents sur la table, une série pour moi, une série pour Julien. Il nous dit : — Un paraphe sur chaque feuille et sur la dernière page vous écrivez "Lu et approuvé", vous datez et vous signez. Je commence à lire mais mon beau père m’arrête : — On t’a dit de signer, pas de lire. — Pas question de signer sans savoir ce que c’est. Et "PAF", je prends une gifle qui claque bien sur ma joue ! C’est cette sale garce de Lisa. J’essaye de lui envoyer mon poing sur le nez, mais Max me maintient les poignets dans le dos. Lisa me prend par les cheveux et me donne encore 6 gifles, aller-retour. Je vois des étoiles et ça me calme. Je dois faire ce qu’ils veulent. Les joues en feu, je dis : — Je vais signer ! Max me lâche, je paraphe et je signe. C’est quoi ? Je reconnais peut-être avoir assassiné Kennedy ! Julien signe aussi. Mon beau-père me dit : — Bien... alors, on part en Chine après demain... Julien et toi, vous serez du voyage.  Tu aimes voyager, non ? — Oui Monsieur Il se fout de moi le sale rat ! Vous avez déjà été dans un train fantôme ? Vous êtes assis dans le train qui roule rapidement. Soudain, un truc horrible vous bondit dans la figure, puis un autre et encore un autre... Je suis dans un train fantôme ! Mon beau-père m’annonce : — En Chine, il y a une usine, construite avec de l’argent propre. Nous avons des condamnés à une peine légère. Ils y font un travail de substitution et comme ils ne sont pas payés, c'est intéressant. Julien et toi, vous y resterez trois mois. C’est mieux que quelques années de prison, non ? Comme j’ai les joues en feu et que je ne veux pas me faire gifler à nouveau, je réponds : — Oui Monsieur, c’est beaucoup mieux. — Bien. Mais je te conseille de continuer à être aussi... conciliante. C’est votre punition pour avoir essayé de nous voler... Avant le départ, vous allez passer deux jours à la disposition de Max et de Lisa. Les ouvriers et les ouvrières qui en ont envie pourront se distraire avec vous. Il se tourne vers Lisa et Max et leur dit : — Maintenant, emmenez-les loin de moi. Pour le moment, je ne peux plus voir ces ingrats ! Non, mais je rêve : nous, des ingrats ? Qu’il en trouve d’autres qui se dévouent autant pour sa saloperie d’usine ! J’ai quand même aidé à décrocher des gros contrats en suçant ses clients ! Max lui demande : — Carte blanche pour leur donner une petite leçon ? — Absolument. — Bien, à poil, les voleurs. C’est quand même dur à entendre. On se déshabille. Lisa sort de sa serviette deux morceaux de cordes et Max nous attache les mains derrière le dos. Je lui dis : — On ne va pas s’enfuir. — Je m’en doute, mais c’est symbolique. Tu comprends ? Lisa prend deux laisses, le genre pour molosse avec des colliers étrangleur. Max ajoute : — Ça aussi, c’est symbolique. Salaud ! Lisa prend la laisse de Julien et Max la mienne et on les suit jusque... dans le premier atelier, celui des hommes ! Alors là, on a un franc succès : rires, insultes, sifflets, la totale ! On fait le tour de l’atelier. Des mains calleuses me caressent et me pincent les fesses au passage. Julien s’en sort mieux, c’est tout à fait injuste ! Ensuite, on va dans l’atelier des femmes. On a tout autant de succès, sauf qu’elles sont pires que les hommes. Plusieurs d’entre elles me crachent à la figure. Le crachat coule sur ma joue, impossible de me  frotter avec les mains attachées. Une jolie brune bien vulgaire dit : — S’ils ont une laisse, ils devraient faire un tour comme des chiens. Vous ne trouvez pas, Monsieur Max ? — Bonne idée ! À quatre pattes, les voleurs. Ils défont nos liens et on doit se mettre à quatre pattes. C’est pas du tout que je sois pudique, mais être à quatre pattes au milieu de gens hostiles, on se sent vraiment vulnérables.   Des filles me crachent sur les fesses, ce qui est quand même mieux que dans la figure. Julien, on lui crache à peine dessus. Il y a autre chose : on n’est pas fait pour marcher à 4 pattes sur du béton. C’est de loin pire quand une fille demande : — Je peux la monter, Monsieur Max ? Quoi ??? Elle est folle ! Ce salaud répond : — Oui, ce sera marrant. NON ! La fille saute sur mon dos et elle me donne une claque sur les fesses en disant "hue !" Heureusement, elle est légère, parce que mes genoux sont de plus en plus douloureux. Une grosse femme relève sa jupe et enfourche Julien. On s’occupe aussi de lui ! Il y a une fameuse ambiance. Plusieurs filles font un tour sur mon dos et celui de Julien. C’est très pénible. Les femmes se bousculent pour mieux voir. L’une d’elles vient avec deux baguettes en bambou, dans le genre des tuteurs pour les plantes et on reçoit des coups sur les fesses pour nous faire avancer plus vite. Je suis sur le point de m’écrouler, advienne que pourra, quand Max dit : — Camarades, ils seront tous les deux à votre disposition dans le garage. Il vous suffira de faire un petit don pour le syndicat et vous pourrez vous faire lécher la chatte et tout ce que vous voulez. — Le trou du cul, Monsieur Max ? — Oui, bien sûr. Les ânes, allez vers le fond, c’est l’heure de retourner à l’écurie. Rires, applaudissements... La grosse descend de sa monture : Julien. La mienne descend aussi, ouf ! On peut enfin se remettre debout, péniblement. J’ai mal aux genoux, aux reins et aux fesses. Mais on peut marcher, quel confort ! Je dis à Lisa : — Je dois faire pipi, Madame. — Serre les fesses ! Sale garce, je voudrais qu’elle se noie dans sa graisse ! On va dans le garage. Il y a deux matelas par terre. On a installé deux rangées avec des cordes, comme devant les bureaux des aéroports. Il y a deux files devant les matelas. Une trentaine de personnes pour moi et une vingtaine pour Julien ! Je pensais qu’il n’y aurait que des hommes, mais il y a aussi des femmes. Il y a un grand panneau sur lequel on a écrit : « En échange d’un don pour la caisse d’entraide du Syndicat, amusez-vous avec le fils du patron et sa femme ». Ce Max est vraiment un mac ! Seule chose positive, ils nous enlèvent les colliers, les laisses et les liens qui enserraient nos poignets. On les masse comme dans les films policiers quand on enlève les menottes à quelqu’un. Lisa nous interpelle : — Vous faire baiser, c’est censé être une punition, sauf pour des petites salopes comme vous deux ! Elle se tourne vers Max en disant : — Tu leur expliques ? — Vas-y, tu fais ça bien. Elle lui sourit, ils sont mignons... comme des rats d’égouts vecteurs du choléra. La rate nous explique : — Pour que tout le monde passe, vous lécherez un homme ou une femme pendant qu’un homme vous baisera. Vous comprenez bien ? — Ui... ame... — Pardon ? J’ai pas bien compris. — Oui madame ! — Alors, pour vous inciter à sourire et à bien tortiller du cul, ce que les camarades aiment bien, j’ai apporté ça. Elle ouvre un sac en papier brun et en sort un martinet ! Un vrai, manche en bois, lanières de cuir. Elle nous explique : — C’est un souvenir, il pendait dans notre cuisine, accroché à un clou, et je vous garantis que mes sœurs et moi, on filait droit ! C’est peut-être pour ça qu’elle est si méchante... Elle poursuit : — Il faudra avaler le sperme que les camarades daigneront mettre dans vos bouches de faux jetons. Il faudra tout avaler, une goutte qui tombe, un coup de martinet. Max a sorti un carnet, il fait un petit calcul, puis nous donne le résultat : — Ça fera environ un demi-litre, pour chacun de vous... Ça ne fait pas beaucoup de calories, mais vous aurez du pain sec et de l’eau en plus. Maintenant, on va quand même un peu vous réchauffer les miches ! Mais pourquoi ? Lisa et Max tournent autour de nous... Lui pose la main sur mes fesses en expliquant à Lisa : — Tu sais, les martinets, c’est pour les enfants. Avec le cul qu’elle a... il faudrait un instrument plus solide. En disant ça, il me donne une bonne claque sur la fesse, puis ajoute : — Elle ne sentira rien. — Ah mais si, je te jure, ça fait mal ! Tu vas voir... Elle vient du côté de ma tête pour me dire : — Ton cul va me servir pour une démonstration. Et puis, ça amusera les camarades de te voir fessée. Pour commencer, tu vas te mettre à 4 pattes. Si tu restes en position, ce ne sera que 5 coups. Si tu fais la conne, on te maintiendra et ce sera 10 ! D’accord ? Va en enfer ! — Oui Madame. Max lui dit : — Je la connais, elle va nous casser les oreilles. Il faut lui mettre quelque chose dans la bouche ! Un chiffon... — J’ai mieux. Elle se trousse et enlève sa culotte. Elle me dit : — Ouvre bien la bouche. Elle m’enfonce sa culotte pas propre dans la bouche. Berk ! Ensuite, les lanières sifflent dans l’air sans me toucher. Elle me dit : — Tu as bien compris ? C'est cinq coups si tu restes en position. Je secoue la tête pour dire oui et là j'entends : "Sssswwwwiiitchh ! ". Je crie dans sa culotte, mais ça fait seulement : — Mmmmfffff !  Les lanières m’ont frappée en plein milieu des fesses, ça fait maaal ! "Sssswwwwiiitchh !" — Mmmmffff ! Maintenant, c’est à la base de mes fesses, donc je m’aplatis pour essayer de diminuer l’ampleur de mon derrière ! "Sssswwwwiiitchh !" — Mmmmfffff ! En plein milieu des cuisses ! Ouch !! Je fais un énorme effort pour rester dans la position. "Sssswwwwiiitchh !" — Mmmmfffff ! Juste sur le pli de mes fesses !!! Elle dit en rigolant : — Pendant quelques jours, tu penseras à moi quand tu t’assiéras ! Elle s’arrête et retire la culotte de ma bouche. Max lui dit : — N’oublie pas l’autre petite salope. — Non, non... Elle va devant Julien et lui dit : — Demande ? — Vous voulez bien me donner cinq coups de martinets, Madame Lisa, s’il vous plaît... Quelle moule ! Je l’entends crier cinq fois. Je vois les marques rouges sur ses fesses. Ce n’est que justice !! À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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Par : le 04/05/21
La soumise qui aimait la douceur !, les joies de l'aftercare Le hasard des rencontres est parfois trés surprenant . J'étais à l'époque gérant d'un magasin de décoration. Difficulté de l'entreprise aidant, j'avais affaire, parfois, à des fournisseurs peu scrupuleux. Un jour, alors que je refusait de payer une commande non reçue, l'un d'eux m'envoya un huissier. Pris d'une énorme colère, j'ai fermé le magasin et je suis descendu dans le pays basque chez mon fournisseur. Jusqu'alors, je n'avais eu comme contact que le directeur en réel ou sa secrétaire au téléphone. Elle s'appelait Sandrine, elle avait une jolie voix douce, mais je ne l'avais jamais vue. Sur la route, je l'appelle, je demande à avoir Laurent (le patron), car il ne répondait pas à son portable, ça m'énervait encore plus. Il était injoignable. Sandrine m'entendait hurler au téléphone . Au bout d'une heure et demi de route, je déboulais comme un fou dans le bureau. Là je vis Sandrine, elle avait un peu plus de 40 ans, une silhouette filiforme, des cheveux chatains, et de jolis yeux noirs. Elle avait vraiment l'air toute douce, mais un fou en colère était devant elle : moi !. Aprés 30 mn , son patron a déboulé, on a faillit en venir aux mains, mes hurlements étaient si fort que les occupants des étages environants sont descendus pour voir ce qu'il se passait. Je passe les détails, on a réglé le problême. En sortant du bureau de laurent, Sandrine avait les yeux écarquillés, presque terrorisée. Je lui présentait mes excuses, et je ne sais pas pourquoi, mais sa présence m'appaisait. je devenais doux comme un agneau. C'était notre première rencontre. Pendant des mois, je n'avais plus de contact qu'avec elle. Parfois elle venait au magasin pour prendre les commandes, tout se passait bien. Elle me plaisait beaucoup par sa douceur, j'étais attiré par elle , mais pour une relation vanille, je ne voulais pas de SM avec elle. Nous avons commencé une relation, alternant week end chez elle et week end chez moi. Sexuellement, elle était "intense" en tant que relation vanille, trés présente, trés charnelle, trés douce, un vrai bonheur. Un samedi , elle a eu un soucis, je devais lui préter mon ordinateur pour le régler. Je l'ai laissé dans le bureau tranquillement. Au bout de 2 heures, je suis rentré sans frapper pour lui demander si elle voulait un café. Là elle m'a regardé avec un sourire en coin et elle m' a dit "c'est trés beau ce que tu écris". En fait j'avais un blog où j'écrivais un peu tout et n'importe quoi, et elle lisait des textes sur des relations SM que je décrivais. Une notification était apparue pendant qu'elle travaillait. Elle avait découvert mon univers. J'étais assez géné. On s'est mis dans le salon et on a discuté SM. Elle n'était pas adepte, mais elle voulait essayer quelque chose de trés soft, et elle me disait qu'elle voulait le faire avec moi car elle avait confiance en moi. Nous sommes partis dans un sexy center de la région bordelaise l'aprés midi pour faire des emplettes. Un petit Paddle, un martinet, des menottes, des pinces à tétons, un masque et divers liens. (oui, je ne garde jamais les instruments avec lesquels je joue) . Elle voulait devenir "l'objet" mais pas de choses extrêmes. Des fessées, des petits coups de fouets, mais pas de god, pas de dilatation, pas d'insultes, elle voulait devenir ma chose mais elle voulait rester pure, donc respectée. ça me convenait tout à fait, je ne voulais pas la dominer au sens strict, mais plutôt l'accompagner dans un lacher-prise sexuel en douceur. En rentrant en fin d'aprés midi, elle disparue dans la maison. Je descendais nos achats, les sortait de leurs emballages, et j'avais perdu Sandrine. Je l'appelait, mais elle ne me répondait pas. En rentrant dans la chambre, je la vis à genoux, sur le lit, face au riideau, les mains derrière le dos, elle m'attendait. Surpris de cette volonté subite, je pris une photo, je la trouvais jolie. Je m'approcha d'elle par derrière, avançant sur le lit à genoux à mon tour. D'une main je lui maintenait les poignets ensemble, de l'autre je lui tournait doucement la tête vers moi par le menton, et doucement, je me mis à l'embrasser avec une gourmandise sans nom. Un baiser long, profond, intense et gourmand. Sa tête basculait en arrière, elle gardait les yeux fermés, elle s'abandonnait déjà à moi. Je suis allé prende les jouets. Je lui mis d'abord les menottes dans le dos, le masque, et j'ai commencé à la carresser doucement en l'embrassant tendrement. Je lui disait "mon amour" à tout bout de champs. Mon rôle allait d'être celui qui allait lui faire monter le désir dans la soumissions sans l'humilier ni la rabaisser. Elle se tenait toujours à genoux sur le lit, et moi debout devant elle. Je commençais à faire glisser les lanières du martinet sur son corps sans la fouetter. Je lui donnais des rêgles simples : si elle voulait plus fort , elle me disait, "plus fort", plus doucement, elle me disait "doucement" etc etc. En fait c'est elle qui gérait ses limites, moi je l'accompagnait dans son désir, dans ses envies. Doucement je commençait par un petit coup de martinet sur les fesses. Son corps se cambra avec un léger soupir. Sa tête bascula en arrière. Je posa ma main sur sa joue et l'embrassa. dans le même temps, elle reçu un autre coup un peu plus appuyé sur les fesses. Elle se recambra encore plus et me dit "embrasse moi et fouette moi encore et encore". Je la mis debout dans la chambre, et je commençais à la fouetter mais trés doucement, par petit coup, sur tout le corps. Son corps ondulait à chaque carresse des lanières du martinet. Ses petits seins se rafermissait et les tétons se dressait d'une manière indescente. Je lui mis doucement les pinces à tétons, elle poussat un petit râle dans un souffle hyper sexuel . Je n'en pouvait plus, j'avais envie de la prendre, de la pénétrer, de la baiser comme un sauvage, je bandais comme un fou. Mais cette frustration m'exitait alors je prenais sur moi, je laissais mon désir monter. Au bout d'une 20 aine de minutes , j'arrétais de la fouetter, pour la carresser doucement sur tout le corps, j'avais envie de la cajoler, de la prendre dans mes bras, mais je me retenais. Doucement je carressais ses épaules, ses bras, son visage, je l'embrassais. Son souffle devenais de plus en plus rapide. Mes mains glissaient sur son ventre, ma bouche collée à la sienne, et je commençais à lui carresser sa chatte. Elle était toute dégoulinante. Je ne pu m'empêcher d'imbiber mes doigts de ses sucs intimes pour les gouter en lêchant mes doigts, un vrai délice. Je lui carressa les fesses et lui dit de s'allonger sur le dos. Là je n'en pouvais plus, je voulais m'abreuver entre ses cuisses, me nourrir de son intimité délicieuse, sentir sa cyprine m'inonder le visage. Je plongea ma tête entre ses jambes , ma langue fouilla toute son intimité, elle coulait de partout, je me surprenait à déglutir, ma buche remplie de ses ontueuses sécrétions, un vrai bonheur. Je me mis à genoux sur le lit face à elle couchée, et je repris le martinet sur son ventre Des petits coups sur ses seins, sur ses cuisses et à l'intérieur des cuisses, et parfois, un ou deux sur sa chatte. Je n'en pouvais plus, je voulais la prendre, mais elle me disait "encore, encore". En fait, j'étais dans une frustration volontaire qui m'excitait au plus au point. Pendant prés d'une heure, aucune pénétration, que des coups de martinet. Je lui ai détaché les mains du dos pour lui attacher les mains avec une corde sur la tête de lit. Je la mis sur le ventre, pris le paddle, et commença à la fesser avec. Elle se cambra de plus en plus, soulevant son bassin en m'offrant son anus si joli. Elle ne pratiquait que trés peu le sodomie. Là je repris le martinet et commença à laisser glisser les lanières sur son anus. Elle se mis sur les genoux, elle s'offrait à moi. Je commençais à mettre des petits coups de martinet sur son anus, trés doucement. Elle gémissait, elle se cambrait de plus en plus, je voyais son anus s'ouvrir et se fermer sous les coups de martinet, une vraie offrande, une vraie demande sa part. Je me mis à lui lêcher ses fesses rougies, son anus en demande, c'était un vrai bonheur. Au bout de 10 mn, je décida de la détacher complètement, de lui enlever le masque. Je la mis debout , commença à la caresser doucement avec douceur sur tout le corps. Je sentais ses seins fermes tressaillir dans la paume de ma main. Je lui pinça doucement les tétons. Elle ferma les yeux, soupira et les rouvrit avec un regard malicieux. là je l'embrassa en lui tenant l'arrière de la tête. Je repris le fouet, et trés doucement je lui mis des coups sur les fesses en la regardant dans les yeux tout en ayant la main derrière sa tête. Elle me fixait, ses yeux brillaient, elle était tout à moi, abandonné entièrement. Mon sexe étouffait dans mon panatalon. Elle mit ses bras autour de mon coup, se colla contre moi, et se mis à m'embrasser avec une intensité jusque là inconnue. Je laissait tomber le fouet, me calla dans ses bras et commençais à me déshabiller. Nous étions nu, l'un contre l'autre, et nous nous sommes allongés sur le lit, enlacés, nous etions en fusion complète. Pendant un long moment nous nous sommes embrassés, mon sexe se calait entre ses cuisses, j'avais mal tellement mon érection était forte. Nous étions callés dans les bras l'un de l'autre. Mes mains carressaient son corps doucement, il était brulant, transpirant, il réagissait sous chacune de mes carresses. Là je me mis sur elle, commença à lui lêcher chacune des parties de son corps. Ses épaules, ses seins, son ventre, ses hanches, ses cuisses pour finir par sa chatte. Là elle me pris par les épaules, me remonta. Je sentis sa main prendre mon sexe avec force et elle s'empalla en moi. Son corps en ébulition, mon sexe hyper tendu, il ne fallu pas plus de quelques minutes pour qu'elle jouisse avec violence, et je ne tardais pas moi non plus. Plusieurs fois son corps se raidissait, à chaque fois avec un râle impressionant. Quand je sentis mon orgasme monter, je savais que ça allais être trés fort. Je lui dis "je vais jouir". Là elle sera son vagin (qui était déjà trés étroit, presque autant qu'un anus), et elle m'accompagna dans ma jouissance et elle joui elle aussi. Elle avait trouvé son maitre ! Un orgasme hallucinant, électrisant, une décharge explosive de sensation que je n'ai jamais connu avant ni depuis, le plus bel orgasme, le plus puissant que j'ai connu de ma vie. Nous sommes restés enlacés un trés long moment, puis nous avons pris une douche ensemble. Nous nous sommes lavés l'un l'autre en se carressant doucement, et sous la douche, nous avons remis ça. Encore une étreinte magnifique. Le soir nous avons mangés ensemble sous un plaid dans le canapé, nous avons débriefé. Elle m'a avoué que le martinet avait mis son corps en état de réceptivité qu'elle n'avait jamais connu. Que à partir de son premier orgasme violent quand je l'ai pénétré, elle avait eu une succession d'orgasmes incontrolables qu'elle n' a pas pu compter tellement il y en avait. Je lui ai avoué la puissance de ce que j'avais ressentis. Nous sommes restés enlacés toute la nuit sur le canapé sur lequel nous avons dormis. Le lendemain, nous sommes restés toute la journée à nous balader sans jamais se lâcher la main, une journée pleine d'affection et de tendresse mutuelle. C'est à ce jour, mon plus beau souvenir sexuel. Nous nous sommes séparés des mois plus tard, mais sans conflits. C'était notre histoire commune, notre belle histoire, celle d'un homme et d'une femme qui se sont respecté et aimé... quel souvenir !!!
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Par : le 04/05/21
Pour faire partie de ce monde, vous avez besoin d'être fort et de savoir ce que vous désirez. Vous avez besoin d'être serein et d'être muni de patience. Vous avez besoin, et vous devez, surmonter vos limites. Mais en entrant dans ce monde vous sentirez tout de manière différente, tout sera plus clair...c'est un délice. Un vol vers l'inconnu. C'est un voyage sans retour car chaque jour est une découverte. Me sentir en confiante, sure de moi et réceptive. Me sentir légère. Faire également plus attention à moi aujourd'hui. Je suis une femme qui veut servir et obéir, mas qui désir aussi déclencher les sentiments de celui à qui elle appartient. Je veux appartenir à quelqu'un. Etre ses désirs les plus fous et pervers. Son rêve impure. Etre libre par le biais des menottes et des cordes. Je veux jouir sans pudeur. Découvrir chaque recoins de mon corps. Je veux être la, Et je compte bien y rester …
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Par : le 02/05/21
Patricia regagna sa chambre d'hôtel et s'octroya le luxe rare de faire une sieste. Étendue nue sur le lit, elle avait seulement conservé son bustier en cuir noir qui enserrait sa taille. Ce fut un coup frappé à la porte qui la réveilla, deux bonnes heures plus tard. Reposée, elle bondit hors du lit et alla jeter un coup d'œil par le judas. Un livreur attendait, tenant une corbeille de fleurs dans les bras. Lorsqu'elle ouvrit la porte, elle découvrit un superbe bouquet de lys, une bouteille de champagne et un cadeau très soigneusement enrubanné. C'était agréable et inattendu et elle ne put s'empêcher d'être émue par ce geste si romantique de la part sans doute de l'inconnu, celui qui l'avait soumise la veille, lors de cette soirée mémorable. Elle donna un pourboire au livreur, referma la porte et ouvrit avec joie le paquet. Patricia ne fut pas étonnée de découvrir son contenu, un déshabillé en soie noire, un loup en velours de la même couleur et une paire de menottes. Elle saisit la petite carte dont elle lut le message à voix haute: "Cette soirée vous appartient. Portez le bandeau pour moi. Je passerai vous prendre à dix-neuf heures". Un peu anxieuse, elle aima pourtant sa persévérance et sa fidélité dans le lien qui les unissait. La persévérance signifiait qu'il prenait très au sérieux les sentiments qu'il éprouvait pour elle. Mais en même temps, toutes les attentions qu'il lui prodiguait la déstabilisaient. Elles ne lui laissaient pas le temps de souffler et rendaient plus difficile encore la possibilité de lui résister. Patricia songea à s'enivrer avec le champagne. Ainsi elle n'aurait pas à réfléchir ni à prendre de décision. Elle porterait le bandeau. Tout ne lui serait pas infligé à la fois, elle aurait le loisir de crier, de se débattre, mais de jouir aussi, tant il prenait plaisir à lui arracher ces indubitables témoignages de son pouvoir. Il n'était pas dans ses habitudes de fuir les responsabilités. Elle avait découvert la subtilité et la délicatesse du jeu des relations entre le maître et son esclave. Elle devait savoir indiquer à l'inconnu les limites à ne pas franchir. L'autorité absolue est un savant jeu d'équilibre, le moindre faux pas romprait l'harmonie et au-delà briserait la considération qu'ils se porteraient l'un à l'autre. Toute femme a ses limites, elle a les siennes. Il ne pourrait aller au delà des limites acceptées, moralement ou physiquement. Toute dérogation à cette règle serait dangereuse. En cela, elle s'accorderait du plaisir et une nuit d'amour car il avait la générosité de ne pas la priver d'orgasme. Patricia devrait lui accorder les privilèges de sa fonction. Lui procurer le bonheur grisant de la dominer tout en se préservant quelque indépendance, car alors la punition qui s'ensuivrait serait source de plaisir pour l'un et l'autre. Se soumettre, endurer, désobéir et jouir dans la contrainte. Elle avait pris conscience de son pouvoir sur l'homme. Car c'est une évidence qu'ignorent les non-initiés à cet univers qu'elle pénétrait, marginal et si envoûtant. Il ne serait jamais celui que l'on croit. En réalité il serait en état de dépendance totale vis à vis d'elle. Il existerait et ne trouverait sa place ou sa justification que par rapport à elle. Par ce jeu subtil de rapports de force, elle serait certainement celle qui exercerait le véritable pouvoir dans leur relation. Même s'il la pousserait certainement au paroxysme de l'épuisement et de la souffrance physiques lors de séances très éprouvantes. Elle l'accepterait tout de lui pour autant qu'il n'abuse pas trop de la situation de dépendance engendrée par l'amour qu'elle lui portait en la forçant à accepter des épreuves trop humiliantes. Elle se pencha au-dessus des lys, huma leur parfum. Elle aimait les fleurs fraîches, le champagne, le déshabillé et le symbole des menottes. Mais qui ne les aimerait pas ? Cela ne signifiait pas qu'elle était prête à succomber à la requête de l'inconnu. Et toutes ces attentions. Elle ne savait pas ce qu'il pensait vraiment d'elle. Elle avait voulu le séduire, mais en réalité, il l'avait soumise. Sur la terrasse de la suite, elle avait désiré être sodomisée et elle avait joui mais ensuite dans le reflet de la lumière de la chambre, attachée, l'homme l'avait fouettée avec sa ceinture. Les traces sur son corps la rendaient fière. Elle souhaita seulement qu'il fut également heureux, si le le supplice était le prix à payer pour que son amant continuât à l'aimer. Pour s'engager plus avant, elle aurait besoin de savoir qu'il l'aimait. Mais comment pouvait-il le lui prouver ? Lui avait-elle, à dessein, assigné une tâche impossible ? Avait-elle aussi peur qu'il le pensait ? Patricia portait un collier de soumission mais elle n'avait pas les clefs, encore moins celles des chaînes de leur relation amoureuse. Les règles de leur jeu. Elle se sentait incapable de répondre à toutes ces questions. Elle prit la paire de menottes et le bandeau. Elle fit glisser ce dernier entre ses doigts. Devait-elle poursuivre leur relation et offrir une chance à ce lien si fort qui les unissait ? Elle n'aurait su le dire mais secrètement elle l'espérait. Son corps l'exigeait. Alors que dix-neuf heures approchait, elle se doucha, et s'habilla. Une simple robe légère, et en dessous une paire de bas tenue par un porte-jarretelle; porter des sous-vêtements aurait été maladroit. Elle noua le bandeau sur ses yeux. Les cinq minutes passèrent trop vite et lorsqu'on frappa à la porte, elle se sentit la gorge sèche. Elle l'entendit rentrer. Sa voix profonde, sensuelle, fit courir un frisson le long de son dos et naître aussitôt le désir au creux de ses reins, de son ventre. Déjà, ses seins se dressaient, pressant la soie de son décolleté. Très vite, elle compris qu'elle avait pris la bonne décision. Et qu'importe ce qu'il adviendrait ensuite, elle était prête à vivre tous ses fantasmes. - Il y a une chose qu'il faut que vous sachiez si vous me prenez en charge ce soir. - De quoi s'agit-il ? - Je ne porte pas de lingerie. Par conséquent, je suis nue sous ma robe. - J'aimerais beaucoup voir. Les doigts tremblants, elle saisit l'ourlet et fit remonter le tissu le long de sa cuisse. Jamais elle ne s'était sentie aussi indécente et elle adorait cela. Elle écarta légèrement les cuisses. Elle se sentait déjà humide, prête pour lui. S'il ne la touchait pas très vite, elle allait s'évanouir. Il laissa un doigt glisser vers l'intérieur de son entrecuisse, puis il effleura son clitoris. Patricia frissonna, le corps parcouru de sensations délicieuses. - Nous n'allons pas faire l'amour ? - D'abord, nous allons poursuivre votre apprentissage. Avez-vous aimé la séance d'hier ? - Oui, je vous aime quand vous me dominez. Elle se sentait rassurée. Il lui ordonna de se déshabiller totalement et de se débarrasser de ses talons hauts. Il glissa quelque chose de doux et de soyeux autour de ses poignets et l'attacha. Elle testa ses liens. Elle pouvait bouger de quelques centimètres. Ce qu'elle fit, et dans la position où elle se trouvait, le désir crût soudain dans ses reins. Alors il décida de la contraindre, les bras maintenus dans le dos à l'aide de la paire de menottes métalliques. - Je voudrais vous fouetter, et cette fois, je vous le demande. Acceptez-vous ? - Vous connaissez la réponse, je vous aime. Il lui enchaîna les mains au dessus de sa tête, à l'anneau fixé au plafond qui soutenait le lustre de la chambre. Quand elle fut ainsi liée, il l'embrassa. Lorsqu'elle reçut le premier coup de fouet, elle comprit qu'il s'agissait d'un martinet souple utilisé de façon à lui chauffer le corps avant d'autres coups plus violents. Puis, du martinet, l'homme passa à la cravache. Elle en devina la morsure particulière au creux de ses reins. Cela devait être une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. Maniée avec précision et nuance, chaque coup reçu lui semblait différent, selon que la mèche de cuir la frappait à plat, ou au contraire sur toute la longueur de la tige. Patricia oublia toutes ses résolutions pour se mettre à crier sous la morsure intolérable des coups. Le tout avait duré une dizaine de minutes. Il s'arrêta. Elle ressentit un apaisement. L'inconnu lui ôta le bandeau qui la rendait aveugle. Un sourire sur son visage. Quand il la prit dans ses bras, le coton de sa chemise lui agaça la pointe des seins. Il l'embrassa, l'étendit sur le lit, se coucha contre elle, et lentement et tendrement, il la prit, allant et venant dans les deux voies qui lui étaient offertes, pour finalement se répandre dans sa bouche, qu'ensuite il embrassa encore. Elle trouva la force de lui répéter qu'elle l'aimait. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 01/05/21
Nous ne conservons en mémoire que les prouesses marginales, les nuits d'excès, les scènes d'humiliations, les actes pervers et les situations paradoxales ou baroques. Aussi pour réveiller les souvenirs de notre mémoire érotique, il nous faut déambuler dans le grenier de notre cerveau pour y ouvrir de vieilles malles à la recherche de porte-jarretelles, de lettres coquines et délicieusement salées. Parfois nous retrouvons dans ce bric-à-brac des amours mortes une ceinture oubliée qui laissait sur la peau satinée d'une jeune fille des stries d'un rouge vif et provoquait chez elle une réaction vive où se mêlaient l'effroi, la pudeur offensée, la reconnaissance. Nous revoyons les menottes dont elle autre souhaitait qu'on lui attache ses gracieux poignets aux montants du lit. D'autres objets ou manigances du plaisir surnagent dans la mémoire, devenus tout aussi incongrus, obsolètes et poussiéreux que les anachroniques bicyclettes de l'arrière-grand-père. La ceinture est là, racornie, craquelée, mais que sont devenues la délicieuse croupe prête à recevoir son châtiment désiré, et la jeune femme aux airs de collégienne qui voulait être punie ? Elle est sans doute aujourd'hui, une mère de famille honnête, qui sait même, donne des leçons de catéchisme et qui se récrierait bien haut si on avait l'indélicatesse de lui rappeler ses anciens égarements et ses pâmoisons illicites. Chaque femme possède sa manière bien à elle de faire l'amour. Elle a son identité sexuelle, ses seins éprouvent des émotions particulières, son sexe est aussi singulier que son empreinte digitale. Au même titre que la teinte de ses cheveux, sa taille, la couleur de ses yeux. Le sexe de chacune a son rythme propre, sa palpitation, son émoi. Si on pose l'oreille sur sa vulve comme on procède aussi avec les grands coquillages pour écouter la mer, on entend une longue plainte distincte, un frisson venu des profondeurs de l'être qui sont la marque d'une personne unique. Cette identité sexuelle, doit-on la taire ou en révéler les expressions, les appétits, les fièvres ? Nul n'est besoin de la décrire. Dans la nuit noire, les yeux bandés, l'amante reconnaît le goût de sa bouche, de son sexe, avec leur rythme ardent ou paresseux, son haleine chaude, son parfum lourd ou opiacé, sa saveur acide ou âcre de tabac. Toute amoureuse possède sur se sujet un certain appétit. Mais il n'est pas certain qu'elle désire toujours être rassasiée. Au contraire, il peut lui être gré de ne rien imposer et de laisser libre cours à son imagination. Car c'est un paradoxe. Plus on décrit les gestes de l'amour, plus on les montre, plus la vision se brouille. En matière sexuelle, on ne voit bien que soi-même. Et la description sexuelle risque d'égarer la curiosité. C'est donc aux deux amantes de remplir avec leur imagination sentimentale ou érotique, les blancs, les points de suspension, les corsages dégrafés, les bas déchirés et les porte-jarretelles entrevus, que le désir leur offre afin qu'elles les agrémentent à leur guise. L'amour le plus beau, c'est celui qui nous donne un canevas pour reconstruire notre vie, nos rêves et nos fantasmes. Ce sexe crûment exposé, on l'emploie souvent comme cache-misère de l'indigence romanesque. Comme dans un rêve, on entendait le feulement de Charlotte monter peu à peu vers l'aigu et un parfum déjà familier s'exhala de sa chair sur laquelle les lèvres de Juliette étaient posées. La source qui filtrait de son ventre devenait fleuve au moment qui précède le plaisir et quand elle reprit la perle qui se cachait entre les nymphes roses qu'elle lui donnait. Elle se cambra alors de tous ses muscles. Sa main droite balaya inconsciemment la table de travail sur laquelle elle était allongée nue et plusieurs objets volèrent sur la moquette. Un instant, ses cuisses se resserrèrent autour de sa tête puis s'écartèrent dans un mouvement d'abandon très doux. Elle était délicieusement impudique, ainsi couchée devant Juliette, les seins dressés vers le plafond, les jambes ouvertes et repliées dans une position d'offrande totale qui lui livrait les moindres replis de son intimité la plus secrète. Quand elle commençait à trembler de tout son être, elle viola d'un doigt précis l'entrée de ses reins et l'orgasme s'abattit sur elle avec une violence inouïe. Pendant tout le temps que le feu coula dans ses veines, Juliette but les sucs délicieux que son plaisir libérait et quand la source en fut tarie, elle se releva lentement. Charlotte était inerte, les yeux clos, les bras en croix. Venant d'un autre monde, sa maîtresse entendit sa voix lui dire qu'elle était heureuse et qu'elle voulait que cela ne finisse jamais. Juliette s'agenouilla entre ses jambes et Charlotte voyait ses cheveux clairs onduler régulièrement au-dessus d'elle. Sa vulve était prisonnière du plus doux et du plus chaud des fourreaux qui lui prodiguait la plus divine des caresses. Un court instant, elle s'interrompit pour lui dire qu'elle n'aurait jamais cru que c'était aussi bon de se soumettre puis brusquement, adorablement savante, sa main vint se joindre à ses lèvres et à sa langue pour la combler. Mille flèches délicieuses s'enfoncèrent dans la chair de Charlotte . Elle sentit qu'elle allait exploser dans sa bouche. Elle voulut l'arrêter mais bientôt ses dents se resserrèrent sur la crête rosée. Un plaisir violent et doux s'abattit sur les deux amantes et le silence envahit la pièce. Le plafond était haut, les moulures riches, toutes dorées à la feuille. Juliette invita Charlotte à pénétrer dans la salle de bains où elle fit immédiatement couler l'eau dans une baignoire digne d'être présentée dans un musée, un bassin en marbre gris à veinures rouges, remontant à l'avant en volute, à la façon d'une barque. Un nuage de vapeur emplissait le monument. Elle se glissa dans l'eau, avant que la baignoire ne fut pleine. La chaleur est une étreinte délicieuse. Une impression d'aisance l'emplit. Voluptueuse, Charlotte s'abandonna à ce bien-être nouveau sans bouger. Le fond de la baignoire était modelé de façon à offrir un confort maximum, les bords comportaient des accoudoirs sculptés dans le marbre. Comment ne pas éprouver un plaisir sensuel ? L'eau montait sur ses flancs, recouvrait son ventre pour atteindre ses seins en une onde caressante. Juliette ferma les robinets, releva les manches de son tailleur et commença à lui masser les épaules avec vigueur, presque rudesse. Ses mains furent soudain moins douces sur son dos. Puis alors à nouveau, elle la massa avec force, bousculant son torse, ramollissant ses muscles. Ses doigts plongèrent jusqu'à la naissance de ses fesses, effleurant la pointe de ses seins. Charlotte ferma les yeux pour jouir du plaisir qui montait en elle. Animé par ces mains fines et caressantes qui jouaient à émouvoir sa sensibilité. Une émotion la parcourut. L'eau était tiède à présent. Juliette ouvrit le robinet d'eau chaude et posa ensuite sa main droite sur les doigts humides de Charlotte, l'obligeant à explorer les reliefs de son intimité en la poussant à des aventures plus audacieuses. Juliette perdit l'équilibre et bascula sur le bord de la baignoire. Son tailleur trempé devint une invitation à la découverte, et la soie blanche de son corsage fit un voile transparent révélant l'éclat de ses sous-vêtements. Elle dégrafa sa jupe et se débarrassa de son corsage. Dessous, elle portait un charmant caraco et une culotte de soie, un porte-jarretelle assorti soutenant des bas fins qui, mouillés, lui faisaient une peau légèrement hâlée. Ses petits seins en forme de poire pointaient sous le caraco en soie. Elle le retira délicatement exposant ses formes divines. Bientôt, les mains de Charlotte se posèrent langoureusement sur ses épaules et glissèrent aussitôt sous les bras pour rencontrer les courbes fermes de la poitrine. Son ventre palpita contre les fesses de son amante. Elle aimait cette sensation. Peu à peu, ses doigts fins s'écartèrent du buste pour couler jusqu'à la ceinture élastique de la culotte. La caresse se prolongea sous le tissu. Juliette pencha la tête en arrière et s'abandonna au plaisir simple qui l'envahit. Alors, rien n'exista plus pour elle que ce bien-être animé par le voyage de ces doigts dans le velours de sa féminité. L'attouchement fut audacieux. Combien de temps restèrent-elles ainsi, à se caresser et à frissonner, ne fut-ce pas un songe, l'ombre d'un fantasme ? Elles n'oseraient sans doute jamais l'évoquer. Mais brusquement, revenue à la réalité, Juliette se rhabilla et abandonna Charlotte sans même la regarder. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 25/04/21
Texte humouristique de ma première séance en tant que soumis. Il y a quelques années, aprés avoir été DOM, j'ai voulu tester le rôle de soumis. Je n'avais jamais pratiqué. Le plus extrême que je connaissais était des petits plugs dans mon petit anus si mignon, LOL, ou quelques massages de la prostate prodigués avec douceur et élégance (on parle du doigt qui vient vous titiller la prostate, pas des doigts qui font des va et viens pour vous sodomiser). Bref, vas y frappe, moi, fouette moi, attache moi, fait brûler ma peau pour faire monter ma transe, voilà où était mon désir. Je voulais connaître la violence sur moi, et qu'on soccupe un peu de mon petit anus qui se sentait seul. Je n'avais jamais pratiqué le god ceinture, je savais que j'y viendrais, mais il fallait y aller progressivement. A l'époque je ne connaissais que le god ceinture classique, celui qui était fixe sur une ceinture en cuir, je ne connaissais pas le straponme, le god que ces dames s'enfonce dans le vagin et qui leur dessine une verge à l'extérieur. Inscrit sur un site de rencontre célébre du monde vanille, ADOPTUNETORDUE, je discutais avec quelques femmes, mais rien qui ne m'interpelait. Puis un jour, un profil sans photo m'ajoute à son panier. Ce qui m'interpelait c'était sa taille 1m85. Je ne mesure que 1m75, qu'es ce qu'une grande gigasse vient s'intéresser à moi. Certe ma photo était sympa, mais je ressemblais plus à un repris de justice qu'autre chose. Nous avons commencé à discuter et elle était trés rigolote, trés fun, mais je n'avais pas de visage pour l'identifier. Alors j'ai décidé de commencer à la taquiner sur le conté SM, on avait déjà parlé sex ensemble . Pour tester, je lui ai dit "moi , j'aimerai bien me faire fesser par une grande femme comme toi, ça doit être fun". La elle m'a répondu "je suis un homme quand je baise" . Et elle m'a expliqué qu'elle aimait fister, doigter les hommes, les sodomiser etc etc... WWAAAOOOUUWW !! je tenais peut être ma maîtresse. Du coup on a échangé nos envies. Pour moi c'était clair : fouet, paddle, fessée, massage de la prostate, plug , sextoy de petit calibre mais je n'ai pas parlé de god ceinture. Du coup, elle m'a envoyé par mail sa photo; Elle n'était pas trés nette, mais on voyait une trés grande blonde aux cheveux au carré, avec un corps trés bien dessiné, de belles hanches et une belle poitrine. Mais c'était assez flou, j'avais un doute, ça ressemblait à un fake. Du coup nous nous sommes donnés rendez vous dans le bar d'un trés grand hotel à bordeaux (du même nom). Le vendredi du rendez vous, j'étais arrivé à l'avance. A l'entrée de l'hôtel, des majordomes m'indiquent le bar. Là, on ne rentre pas comme cela, un autre majordome me réceptionne et me propose une table. Trés bien placé, j'étais en face de l'entrée un peu décalé, je voyais toute la salle. J'avais indiqué que j'attendais une dame et je donnais mon nom au cas où elle me demanderait. Je lui envoyai un sms pour lui dire que j'étais arrivé et où j'étais. 5mn plus tard, je vois une espèce de créature gigantesque arriver. Plus haute que tout le monde, on ne voyait qu'elle. Je me suis dit "NON, c'est pas elle, c'est pas Stéphanie, elle est immense, mais c'est une bombe". Je me suis dit, non, ce n'est pas elle, je n'en croyais pas mes yeux, je me disais que j'avais été berné, je m'emballais juste sur une bombe. Puis le majordome avança dans la salle, suivit de cette femme. Tout le monde la regardait, et moi je regardais les gens, homme comme femme la regarder avec de grands yeux, mais je ne la voyais plus elle. J'observais les spectateurs, mais je ne voyais pas le spectacle. D'un coup , devant moi une masse sombre, le majordome était devant moi avec cette créature à coté de lui. Là j'ai senti des dizaines de paires d'yeux me scanner de haut en bas. Je me suis levé pour accueillir Stéphanie, elle était effectivement trés grande 1m85, mais en plus sur de trés hauts talons, hallucinante ; Elle était trés jolie, une femme de 42 ans, la peau sans rides, de jolis yeux noisettes et une coupe au carré blonde. Elle portait une robe trés moulante à fleurs, qui s'arrétait mi cuisse. On ne voyait que ses jambes trés bien dessinées , longues, trés longues, et son décolleté !!! . là aussi je crois que j'ai dû faire rire du monde. Debout, j'avais le visage à peine au dessus de ses seins et ils étaient..OUF!!! MAGNIFIQUES. J'ai eu un instant de blocage sur sa poitrine, mais trés rapide. Je passe toute la discussion que nous avons eu, mais elle m'a avoué qu'elle avait fait exprés de s'habiller comme ça, avec cette robe et ses talons haut, ça l'exitait de me gêner devant tout le monde. Aprés quelques verres et quelques patisseries, on a décidé d'aller s'amuser chez elle. En arrivant dans son appartement, elle m'a proposé d'aller me doucher. J'avais pris une douche avant, mais je ne sais pas pourquoi, j'ai accepté, surement pour me faire redescendre de mon nuage. Quand j'ai eu terminé, il n'y avait pas de serviettes, je l'ai appelé pour le lui dire. Elle a ouvert la porte, j'étais nu sous la douche italienne. Elle avait tout prévu, le coup de la douche s'était pour qu'elle ai le temps de se changer. Elle avait un bustier noir qui soutenait sa poitrine tout en offrant la pointe de ses seins à la dégustation. Un string avec porte jarettelle noir aussi et des talons... j'étais tout petit, nu comme un vers, et elle m'a séché comme un enfant, en me mettant des petites tapes sur les fesses, elle commençait déjà son rôle. Là, elle me dit d'attendre dans la salle de bain. Elle est revenue avec une paire de menottes et un collier avec chaînes... Je bandais déjà comme un jeune adolescent ... Une foi les mains attachées dans le dos et le collier mis, j'ai eu droit à une petite séance de fessées debout avec quelques tapes sur mon sex. La maîtresse corrigeait le vilain petit garçon pour son érection.. Trés fun ,trés rigolo, et trés excitant !. Elle me tira dans sa chambre. je la suivais bien docilement, j'admirais ses fesses, justes sublimes, j'étais en plein rêve. Elle m'enleva les menottes et me mis à 4 pattes sur son lit, les fesses face à elle. Là elle me mit une bonne fessée. Puis, elle attrapa une cravache, me sortit du lit. Je me tenais debout devant elle, et elle commença à me cravacher doucement sur tout le corps en prenant soin d'y aller doucement sur mon sex. Mon corps commençait à chauffer doucement sous les coups. Puis elle pris un paddle et commença plus intensément à me frapper les fesses, les cuisses, l'entre cuisse et le dos. J'adorais. Elle commença à me pincer les tétons, de plus en plus fort, et de temps en temps elle me prenait la verge à pleine main pour me masturber un peu. Son visage était souriant, joyeux, rien de pervers, j'allait m'abandonner à elle complêtement, elle me donnait confiance. Aprés plus de 45 mn à me martiriser le corps, alternant coups et carresses sur le gland, elle se mit à genoux pour me sucer. J'étais aux anges, sa bouche m'aspirait le gland avec force, elle avalait ma verge dans sa plus grande partie avec une gourmandise indescriptible. Puis elle me dit "à moi maintenant, lêche moi". Elle s'allongea sur le lit, me tenant par la laisse et écarta ses cuisses pour enlever son string. J'étais à 4 pattes devant ma reine, je voyais sa poitrine dépasser du bustier, les tétons dressés, et elle m'offrait sa chatte toute épilée. Je ne me fis pas prier, je plongeais ma langue au fond de son hymen, je la pénétrais de ma langue. Sa chatte coulait de cyprine, je me noyais dedans, savourant chacune des odeurs intimes me parfumait le visage, je buvais sa cyprine, elle m'hallletait de sa chatte, j'étais au paradis. elle me dit "mais tu lêche divinement bien , continu je veux jouir". Excité par ses mots, je redoublais de voracité buccale, je happais, je lappais sa chatte, buvant le trop plein de sucs intimes pour ne pas en perdre une goutte. Puis elle m'appuya fortement la tête entre ses cuisses, elle s'est mise à gémir et à jouir en m'étouffant entre ses cuisses. Aprés cela, elle se leva. Elle ouvrit un tiroir duquel elle sortie un straponme mauve. Je n'en n'avais jamais vu. Je ne savais pas ce que c'était, je croyais que c'était juste un god classique. Là, debout face à moi, j'étais assis au bord du lit, je la vit s'enfoncer une partie dans sa chatte. Je me disais "merde, j'ai pas été bon, elle est obligée de se finir au god sans moi"; Puis elle attrapa un truc fait de lanières épaisse en cuir, et là je la regardais mettre ça comme une sorte de harnais qui venait soutenir le straponme comme un god ceinture classique..; HORREUR !! C'était un god ceinture, et je ne m'y étais pas préparé. Je ne sais pas comment j'ai fait, mais d'un bond , je suis passé d'assis sur le bord du lit contre bloqué contre la tête du lit, les yeux écarquillés. Là elle me regarda avec une regard plein d'incompréhension. Je luis dit "mais ça c'était pas prévu". Elle éclata de rires, elle avait compris le quiproquo. On discuta 2 mn puis je lui ai dit ok, on essaye. La pauvre, elle a mis tout le lubrifiant qu'elle pouvait dans mon anus et sur son god. J'étais à 4 pattes, elle essayait de m'ouvrir l'anus avec ses doigts, mais il était étroit à cette époque. Au bout de 5 mn, elle essaya de me pénétrer; Malheureusement, quand on est pas prêt psychologiquement, Mr ANUS refusait qu'elle me pénétre. Je l'entendait se positionner dans tout les sens, je sentais le bout du god essayer de rentrer en moi, mais il ne du pas faire plus de 2 ou 3 centimêtres en moi, ça voulait pas. Je l'entendais souffler comme un mâle en rut qui essaye de sodomiser une femme qui se refuse. Au bout de 10 mn, elle décida d'arêter avec le god ceinture. Elle se l'enleva, et commença à me mettre un doigt, puis 2 et elle me sodomisa avec ses deux ou trois doigts . Frustré de n'avoir pas pu le faire avec le god, elle me violenta l'anus au point que j'ai eu le trou du cul en feu pendant 3 jours !! LOL!. Une fois calmée, rassasiée de mon anus, on s'est mis en 69; Elle me demanda de lui lêcher l'anus pendant qu'elle me suçait. J'étais allongé sur le dos, elle sur moi, et je voyais ses jolies fesses et son joli anus qui était loin d'être vierge. Trop concentré sur cette vision de rêve, sur ma langue qui s'enfouissait en elle, j'ai éjaculé dans sa bouche sans le sentir, sans aucun orgasme, une première pour moi : éjaculer sans rien sentir, sans orgasme. Nous nous sommes arrété là dessus. Nous avons pris une douche et bu une bouteille de champagne. Cette femme était ma première DOMINA. Nous sommes restés en contact, mais n'habitant pas la région, elle ne vient ici que pour raison professionnelle dans un appartement de fonction. Nos rencontres se font rares, mais depuis je lui ai généreusement ouvert mon derrière dont elle s'occupe de la plus belle des façons. Je n'ai jamais eu l'envie de me mettre en couple avec une femme qui pratiquait le SM, mais avec elle, vu qu'elle switche parfois, ce serait juste GENIAL !!. Mais le coup du god ceinture et ma réaction appeuré reste un joke entre nous. Et quand elle sent que je vais me faire avoir professionnellement ou sentimentalement elle me dit "attention à la tête de lit", sous entendu, "tu va te faire enculer" LOL! Texte humouristique de ma première séance en tant que soumis. Il y a quelques années, aprés avoir été DOM, j'ai voulu tester le rôle de soumis. Je n'avais jamais pratiqué. Le plus extrême que je connaissais était des petits plugs dans mon petit anus si mignon, LOL, ou quelques massages de la prostate prodigués avec douceur et élégance (on parle du doigt qui vient vous titiller la prostate, pas des doigts qui font des va et viens pour vous sodomiser). Bref, vas y frappe, moi, fouette moi, attache moi, fait brûler ma peau pour faire monter ma transe, voilà où était mon désir. Je voulais connaître la violence sur moi, et qu'on soccupe un peu de mon petit anus qui se sentait seul. Je n'avais jamais pratiqué le god ceinture, je savais que j'y viendrais, mais il fallait y aller progressivement. A l'époque je ne connaissais que le god ceinture classique, celui qui était fixe sur une ceinture en cuir, je ne connaissais pas le straponme, le god que ces dames s'enfonce dans le vagin et qui leur dessine une verge à l'extérieur. Inscrit sur un site de rencontre célébre du monde vanille, ADOPTUNETORDUE, je discutais avec quelques femmes, mais rien qui ne m'interpelait. Puis un jour, un profil sans photo m'ajoute à son panier. Ce qui m'interpelait c'était sa taille 1m85. Je ne mesure que 1m75, qu'es ce qu'une grande gigasse vient s'intéresser à moi. Certe ma photo était sympa, mais je ressemblais plus à un repris de justice qu'autre chose. Nous avons commencé à discuter et elle était trés rigolote, trés fun, mais je n'avais pas de visage pour l'identifier. Alors j'ai décidé de commencer à la taquiner sur le conté SM, on avait déjà parlé sex ensemble . Pour tester, je lui ai dit "moi , j'aimerai bien me faire fesser par une grande femme comme toi, ça doit être fun". La elle m'a répondu "je suis un homme quand je baise" . Et elle m'a expliqué qu'elle aimait fister, doigter les hommes, les sodomiser etc etc... WWAAAOOOUUWW !! je tenais peut être ma maîtresse. Du coup on a échangé nos envies. Pour moi c'était clair : fouet, paddle, fessée, massage de la prostate, plug , sextoy de petit calibre mais je n'ai pas parlé de god ceinture. Du coup, elle m'a envoyé par mail sa photo; Elle n'était pas trés nette, mais on voyait une trés grande blonde aux cheveux au carré, avec un corps trés bien dessiné, de belles hanches et une belle poitrine. Mais c'était assez flou, j'avais un doute, ça ressemblait à un fake. Du coup nous nous sommes donnés rendez vous dans le bar d'un trés grand hotel à bordeaux (du même nom). Le vendredi du rendez vous, j'étais arrivé à l'avance. A l'entrée de l'hôtel, des majordomes m'indiquent le bar. Là, on ne rentre pas comme cela, un autre majordome me réceptionne et me propose une table. Trés bien placé, j'étais en face de l'entrée un peu décalé, je voyais toute la salle. J'avais indiqué que j'attendais une dame et je donnais mon nom au cas où elle me demanderait. Je lui envoyai un sms pour lui dire que j'étais arrivé et où j'étais. 5mn plus tard, je vois une espèce de créature gigantesque arriver. Plus haute que tout le monde, on ne voyait qu'elle. Je me suis dit "NON, c'est pas elle, c'est pas Stéphanie, elle est immense, mais c'est une bombe". Je me suis dit, non, ce n'est pas elle, je n'en croyais pas mes yeux, je me disais que j'avais été berné, je m'emballais juste sur une bombe. Puis le majordome avança dans la salle, suivit de cette femme. Tout le monde la regardait, et moi je regardais les gens, homme comme femme la regarder avec de grands yeux, mais je ne la voyais plus elle. J'observais les spectateurs, mais je ne voyais pas le spectacle. D'un coup , devant moi une masse sombre, le majordome était devant moi avec cette créature à coté de lui. Là j'ai senti des dizaines de paires d'yeux me scanner de haut en bas. Je me suis levé pour accueillir Stéphanie, elle était effectivement trés grande 1m85, mais en plus sur de trés hauts talons, hallucinante ; Elle était trés jolie, une femme de 42 ans, la peau sans rides, de jolis yeux noisettes et une coupe au carré blonde. Elle portait une robe trés moulante à fleurs, qui s'arrétait mi cuisse. On ne voyait que ses jambes trés bien dessinées , longues, trés longues, et son décolleté !!! . là aussi je crois que j'ai dû faire rire du monde. Debout, j'avais le visage à peine au dessus de ses seins et ils étaient..OUF!!! MAGNIFIQUES. J'ai eu un instant de blocage sur sa poitrine, mais trés rapide. Je passe toute la discussion que nous avons eu, mais elle m'a avoué qu'elle avait fait exprés de s'habiller comme ça, avec cette robe et ses talons haut, ça l'exitait de me gêner devant tout le monde. Aprés quelques verres et quelques patisseries, on a décidé d'aller s'amuser chez elle. En arrivant dans son appartement, elle m'a proposé d'aller me doucher. J'avais pris une douche avant, mais je ne sais pas pourquoi, j'ai accepté, surement pour me faire redescendre de mon nuage. Quand j'ai eu terminé, il n'y avait pas de serviettes, je l'ai appelé pour le lui dire. Elle a ouvert la porte, j'étais nu sous la douche italienne. Elle avait tout prévu, le coup de la douche s'était pour qu'elle ai le temps de se changer. Elle avait un bustier noir qui soutenait sa poitrine tout en offrant la pointe de ses seins à la dégustation. Un string avec porte jarettelle noir aussi et des talons... j'étais tout petit, nu comme un vers, et elle m'a séché comme un enfant, en me mettant des petites tapes sur les fesses, elle commençait déjà son rôle. Là, elle me dit d'attendre dans la salle de bain. Elle est revenue avec une paire de menottes et un collier avec chaînes... Je bandais déjà comme un jeune adolescent ... Une foi les mains attachées dans le dos et le collier mis, j'ai eu droit à une petite séance de fessées debout avec quelques tapes sur mon sex. La maîtresse corrigeait le vilain petit garçon pour son érection.. Trés fun ,trés rigolo, et trés excitant !. Elle me tira dans sa chambre. je la suivais bien docilement, j'admirais ses fesses, justes sublimes, j'étais en plein rêve. Elle m'enleva les menottes et me mis à 4 pattes sur son lit, les fesses face à elle. Là elle me mit une bonne fessée. Puis, elle attrapa une cravache, me sortit du lit. Je me tenais debout devant elle, et elle commença à me cravacher doucement sur tout le corps en prenant soin d'y aller doucement sur mon sex. Mon corps commençait à chauffer doucement sous les coups. Puis elle pris un paddle et commença plus intensément à me frapper les fesses, les cuisses, l'entre cuisse et le dos. J'adorais. Elle commença à me pincer les tétons, de plus en plus fort, et de temps en temps elle me prenait la verge à pleine main pour me masturber un peu. Son visage était souriant, joyeux, rien de pervers, j'allait m'abandonner à elle complêtement, elle me donnait confiance. Aprés plus de 45 mn à me martiriser le corps, alternant coups et carresses sur le gland, elle se mit à genoux pour me sucer. J'étais aux anges, sa bouche m'aspirait le gland avec force, elle avalait ma verge dans sa plus grande partie avec une gourmandise indescriptible. Puis elle me dit "à moi maintenant, lêche moi". Elle s'allongea sur le lit, me tenant par la laisse et écarta ses cuisses pour enlever son string. J'étais à 4 pattes devant ma reine, je voyais sa poitrine dépasser du bustier, les tétons dressés, et elle m'offrait sa chatte toute épilée. Je ne me fis pas prier, je plongeais ma langue au fond de son hymen, je la pénétrais de ma langue. Sa chatte coulait de cyprine, je me noyais dedans, savourant chacune des odeurs intimes me parfumait le visage, je buvais sa cyprine, elle m'hallletait de sa chatte, j'étais au paradis. elle me dit "mais tu lêche divinement bien , continu je veux jouir". Excité par ses mots, je redoublais de voracité buccale, je happais, je lappais sa chatte, buvant le trop plein de sucs intimes pour ne pas en perdre une goutte. Puis elle m'appuya fortement la tête entre ses cuisses, elle s'est mise à gémir et à jouir en m'étouffant entre ses cuisses. Aprés cela, elle se leva. Elle ouvrit un tiroir duquel elle sortie un straponme mauve. Je n'en n'avais jamais vu. Je ne savais pas ce que c'était, je croyais que c'était juste un god classique. Là, debout face à moi, j'étais assis au bord du lit, je la vit s'enfoncer une partie dans sa chatte. Je me disais "merde, j'ai pas été bon, elle est obligée de se finir au god sans moi"; Puis elle attrapa un truc fait de lanières épaisse en cuir, et là je la regardais mettre ça comme une sorte de harnais qui venait soutenir le straponme comme un god ceinture classique..; HORREUR !! C'était un god ceinture, et je ne m'y étais pas préparé. Je ne sais pas comment j'ai fait, mais d'un bond , je suis passé d'assis sur le bord du lit contre bloqué contre la tête du lit, les yeux écarquillés. Là elle me regarda avec une regard plein d'incompréhension. Je luis dit "mais ça c'était pas prévu". Elle éclata de rires, elle avait compris le quiproquo. On discuta 2 mn puis je lui ai dit ok, on essaye. La pauvre, elle a mis tout le lubrifiant qu'elle pouvait dans mon anus et sur son god. J'étais à 4 pattes, elle essayait de m'ouvrir l'anus avec ses doigts, mais il était étroit à cette époque. Au bout de 5 mn, elle essaya de me pénétrer; Malheureusement, quand on est pas prêt psychologiquement, Mr ANUS refusait qu'elle me pénétre. Je l'entendait se positionner dans tout les sens, je sentais le bout du god essayer de rentrer en moi, mais il ne du pas faire plus de 2 ou 3 centimêtres en moi, ça voulait pas. Je l'entendais souffler comme un mâle en rut qui essaye de sodomiser une femme qui se refuse. Au bout de 10 mn, elle décida d'arêter avec le god ceinture. Elle se l'enleva, et commença à me mettre un doigt, puis 2 et elle me sodomisa avec ses deux ou trois doigts . Frustré de n'avoir pas pu le faire avec le god, elle me violenta l'anus au point que j'ai eu le trou du cul en feu pendant 3 jours !! LOL!. Une fois calmée, rassasiée de mon anus, on s'est mis en 69; Elle me demanda de lui lêcher l'anus pendant qu'elle me suçait. J'étais allongé sur le dos, elle sur moi, et je voyais ses jolies fesses et son joli anus qui était loin d'être vierge. Trop concentré sur cette vision de rêve, sur ma langue qui s'enfouissait en elle, j'ai éjaculé dans sa bouche sans le sentir, sans aucun orgasme, une première pour moi : éjaculer sans rien sentir, sans orgasme. Nous nous sommes arrété là dessus. Nous avons pris une douche et bu une bouteille de champagne. Cette femme était ma première DOMINA. Nous sommes restés en contact, mais n'habitant pas la région, elle ne vient ici que pour raison professionnelle dans un appartement de fonction. Nos rencontres se font rares, mais depuis je lui ai généreusement ouvert mon derrière dont elle s'occupe de la plus belle des façons. Je n'ai jamais eu l'envie de me mettre en couple avec une femme qui pratiquait le SM, mais avec elle, vu qu'elle switche parfois, ce serait juste GENIAL !!. Mais le coup du god ceinture et ma réaction appeuré reste un joke entre nous. Et quand elle sent que je vais me faire avoir professionnellement ou sentimentalement elle me dit "attention à la tête de lit", sous entendu, "tu va te faire enculer" LOL! Voir aussi Bandes Dessinées BDSM
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Par : le 20/04/21
Il y a 7 ans de ça, j'ai rencontré un homme jeune, 28 ans, un peu efféminé, avec qui nous discutions de BDSM. Il était homo à 80% et hétéro à 20% comme il me disait. Son coté hétéro, il l'acceptais uniquement dans le fait de se faire dominer par les femmes. C'était un soumis total. Il me savait Dom et je débutais dans le switch. Aprés plusieurs mois à nous raconter nos histoires, il me proposa de participer à une séance avec sa Domina. On s'est rencontré tout les 3 dans un bar de la région bordelaise. Sylvie était une femme de 45 ans, 1m70, trés fine, la peau brulée par le soleil, teinte en rousse sombre, et les yeux bleux gris. Pas vraiment jolie, peu de formes, et des cheveux plutôt long. Elle était une dom assez perverse mais se présentait comme étant une femme qui ne faisait que s'amuser comme elle disait. Cela faisait 3 ans que Nicolas (le jeune homme ) la fréquentait régulièrement. Sylvie était en couple mais ne disait rien de son coté SM à son mec. Elle cherchait un DOM pour l'accompagner dans un scénario à plusieurs avec des soumis dont un trés particulier qu'elle nous avait présenté comme un débutant. Pour me tester, elle nous a proposé une séance à 3. Lors de cette séance, elle s'est amusé avec Nicolas et m'a demandé de participer. J'ai fouetté, gifflé, fisté le jeune homme, et pour la première fois de ma vie je me suis fais sucer par un homme (je sais pas ce qui m'a pris de l'obliger à faire ça, ). Sylvie regardait, elle a été super excitée devant la scène, elle est venue prés de moi pour m'embrasser comme si elle venait s'abreuver dans ma bouche... j'ai cru qu'elle allait m'aspirer de l'intérieur tellement elle m'embrassait profondément. Suite à cette séance, elle me voulait absolument pour son plan à plusieurs. Quelques semaines plus tard, on s'est tous rejoint dans une maison dont elle s'occupait pendant l'abscence des propriétaires dans le périgord . Maison sympathique avec gros murs en vieilles pierres et piscine. Nous étions tout les 3 plus 2 autre hommes; Un autre devait arriver un peu plus tard . Avant son arrivée elle nous a briefé. C'était un ex à elle, une relation vanille, il était trés amoureux d'elle, et il avait accepté de participer en tant que soumis-cocu. Cela faisait 6 ans qu'ils ne s'était pas revu et là il venait se faire dominer. J'ai eu un mauvais préssentiment, la suite me donnera raison. Quand Pierre est arrivé, on s'est tous présenté. Je le voyais regarder Sylvie avec un air trés amoureux, ça ne sentait pas bon, il était là pour la reconquérir et il allait tout accepter par amour pour elle. Mais Sylvie n'était pas du tout dans le sentiment, elle le choyait certe, mais c'était malsain, trop. Plus comme quelqu'un qui carresse un animal pour le calmer avant de l'égorger, c'est ce que je ressentais, j'étais mal à l'aise. En discutant avec Pierre, il m'avait dit qu'il avait déjà pratiqué la soumission mais pas avec elle. Il aimait la violence, le god ceinture, mais pas le fist ni l'uro et le scato. Le rôle de Pierre était celui du soumis cocu attaché, et ça devait finir par un aftercare entre lui et Sylvie en dehors de notre présence, ils devaient baiser tranquille ensemble à la fin, comme pour le remercier à lui. La séance a commencé en attachant pierre, nu, bailloné, debout les mains en l'air accroché à une poutre. Devant lui nous avons commencé à carresser Sylvie, la lécher. Elle avait un bustier et porte jarretelle noir et un string. Nous étions debout devant pierre dans le salon. Puis J'ai pris mon rôle de DOM et SYLVIE de DOMINA. Nicolas et les deux autres hommes étaient les soumis, et Pierre regardait la scène. On a commencé à les fouetter, les tenir en laisse. de temps en temps, Sylvie allait voir Pierre pour le fouetter. Elle faisait le tour de l'homme en lui fouettant, tout le corps sans exception; Puis elle lui carressait le visage, l'embrassait sur les joues ou le front et revenait avec nous. Elle me demanda de tenir les 3 soumis en laisse à 4 pattes et les lui présenter comme une meute de chiens tour à tour. Elle était assise par terre, un drap devant elle et du lubrifiant. Je lui présentait les soumis tour à tour, et elle les fistait un à un. Parfois elle me demandait de me faire sucer pendant qu'elle les fistait, ce que je faisais sans problême. Au bout d'une heure de ce cirque, de vas et viens de Sylvie pour fouetter Pierre, elle décida que je devais m'occuper des soumis pendant qu'elle allait s'occuper de Pierre. Je pris les 3 chiens ensembles et je les ai forcé à se prendre mutuellement , ils étaient tous bi ou homo. Pendant ce temps là, je les fouettais de temps en temps et je regardais ce que faisais Sylvie. Elle avais détaché Pierre, le fouettait, le giflait, alternait la violence avec quelques carresses douces. Mais son regard à elle m'intriguait, il y avait un rictus trés pervers, trés méchant sur son visage, je n'aimais pas ça. Elle pris une ceinture god, et se mis à l'enculer sans ménagement; On voyait bien qu'il souffrait, il avait les yeux au bord des larmes. Il était à 4 pattes, elle l'insultait de tout les noms, et lui, les mains attachées dans le dos, la tête écrasée par terre, agitait ses mains en les ouvrant et les fermant frénétiquement. Elle le fouettait pendant qu'elle le sodomisait, lui hurlait dessus, ça me dérangeait elle criait trop fort, c'était un déferlement de haine et de rage contre lui. Puis elle s'arréta, en sueur, elle l'attacha à une chaise en fer forgé, les mains dans le dos, toujours bailloné. Pierre avait le regard triste, les yeux humides, mais aucun signe ou volonté d'arrêter. Il la regardait avec des yeux qui sortaient de ses orbites, un truc n'allait pas, il était trés énervé. Je le fis remarquer à Sylvie, mais elle me dit que ça faisait partie du contrat avec lui. Elle devait soi disant le pousser à bout de nerf, jusqu'à ce qu'il craque et pleure, c'était leur contrat. Bon, je trouvais ça bizarre, mais pourquoi pas. Aprés celà, nous devions terminer , les 3 soumis et moi par la baiser sous forme de gang bang classique devant le cocu attaché. Ce qui fût fait. Devant Pierre, elle a eu droit à tout, double pénétrations, double vaginale etc etc... Elle regardait Pierre de temps en temps en l'insultant "tu vois comment ils me baisent eux, pauvre merde"... etc etc... Et elle nous poussait à la baiser encore plus fort, plus violement. A un moment, je la regardais et son visage était en extase, elle regardait Pierre, et on voyais dans son regard un mélange de méchanceté et de plaisir extrême. Je regarda Pierre, il était en larmes, elle avait réussis son contrat. Pierre baissa la tête, en pleur. Sylvie se leva enragée, elle alla vers pierre et lui ordonna de continuer à regarder; Elle lui tira la tête en arrière , il pleurait, elle le gifla trés violement; Je voyais les mains de Pierre s'agiter de la même façon que tout à l'heure, il les ouvraient et les fermaient frénétiquement. Je me suis dit que c'était les menottes qui le serrait trop. Je me leva et dit à Sylvie "je crois que les menottes le serre trop, regarde ses mains". là elle se mit à me hurler dessus "de quoi je m'occupe toi ?". ça a mis un grand froid. Nous nous sommes regardés, les 2 soumis, Nicolas et moi, interloqués. On a décidés tout les 4 d'arrêter et de partir. Sylvie a été prise d'une crise d'hystérie contre nous, elle nous insultait, insultait Pierre en lui disant que tout ça s'était de sa faute, qu'il n'était qu' une merde, elle le giflait. Je l'ai agrippé par la main et là je lui ai collé une gifle monumentale qui la projeta à terre. Je lui ai dit d'arrêter, de le détacher et que c'était finis ses conneries. sans attendre les 2 soumis Nicolas et moi sont partis en les laissant tout les 2 pour l'aftercare que Pierre méritait bien à mes yeux. Il était 10h du soir, et avec Nicolas on s'est arrété dans un bar à 3 km pour boire un verre, on voulait débrieffer, on en avait besoin. Au bout d'une demi heure, Sylvie a débarqué dans le bar, elle y avait ses habitudes mais ne savait pas que nous étions là. J'étais surpris, 30 mn pour un aftercare aprés une séance si violente et Pierre absent, je ne comprenais pas. Elle ne nous avait pas vu et se pavaner toute souriante avec des amis à elle. Personne ne savait pour ses délires SM, aucun de ses amis ne nous connaissaient. Elle rigolait, s'amusait, tout allait bien, rien à voir avec la folle hystérique que nous avions quittés. Nicolas me regarda, inquiet et me dit "je crois qu'elle a fait une connerie, ça pu". On est tombé d'accord tout les deux, il restait là à l'observer et devait m'appeler si elle partait, pendant ce temps j'allais voir à la maison ce qui se passait. Quand je suis arrivé à la maison tout était éteint, fermé, mais la voiture de Pierre était encore là. Je commençais à monter en pression et sous le coup de l'énervement j'ai cassé une fenêtre pour entrer dans la maison. Quand je suis arrivé dans le salon, Pierre était là, encore attaché, et le visage tuméfié de coups. Je l'ai détaché, il était effondré, en larmes. on a discuté 5 mn, et il m'a dit que le coup des mains était le code pour qu'il arrête tout et devait être détaché, mais Sylvie ne l'a jamais respecté. Pendant notre absence elle l'a frappé comme une folle. Il m'a expliqué leur relation, que c'était un perverse , qu'il l'aimait encore et qu'elle lui avait menti sur le scénario; Il ne voulait pas la voir se faire baiser par d'autres ou alors juste en tant que domina se faire lêcher ou elle même sucer les soumis, c'était leur contrat, il m'a fait lire les sms et le coup du code aussi. Il s'est rhabillé, et là Nicolas m'a appelé, Sylvie sortait du bar. Alors je lui ai tendu un piège . J'ai envoyé un sms à Sylvie en lui disant que je devais revenir à la maison car j'avais oublié mes papiers et ma carte bleue. Je suis allé cacher ma voiture rapidement, et elle devait se retrouver seule face à Pierre dans la maison, il allait régler ses comptes. Elle est arrivé comme une folle, laissant la porte ouverte. Je me suis engouffré derrière elle et j'ai assisté à la conversation entre elle et Pierre; Elle a été surprise de le voir habillé et détaché. Ils se sont enguelé trés fort. En fait, elle avait organisé tout ça dans le but de lui faire du mal, elle voulait le voir chialer car elle n'avait pas supporté qu'il la laisse tomber. Une vraie malade mentale. Pierre a finis par lui mettre une correction qu'elle méritait bien à mes yeux. Elle l'a menacé de porter plainte, il a éclaté de rire et lui a dit "je crois que ce ne serait pas une bonne idée, il y a des témoins de ta manipulation et de tes mensonges, on est entre une forme de viol et d'actes de tortures et de barbarie" et là il pointa son doigt vers moi. Elle se retourna et son visage s'est déconfit. Je raconte cette histoire pour alerter certains et certaines qui débute dans le BDSM. Ce milieu ce n'est pas le SM de marc dorcel, il y a de vrais pervers et de vraies perverses. Il ne faut jamais accepter d'un dom ou d'une domina le total contôle sur la relation. Il faut, en tant que soum savoir imposer ses limites clairement. Et les dom, il faut savoir accepter que les soum ne sont pas notre "chose" ce sont nos partenaires, et ils doivent être respecté dans leur limites. Cette histoire n'est pas belle, pas jolie, mais il n'y a pas que de belles choses dans le BDSM.. et il ne faut pas se voiler la face car ce sont ce genre de choses qui donnent une mauvaise image du milieu.
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Par : le 16/04/21
Chapitre 43 virginie est dressée voit arriver la cousine de mitsuko. Mitsuko est ravie d’avoir une nouvelle esclave à mettre au pas. En plus celle-ci parait autrement plus résistante que Maëva. Il semble que le fouet n’a pas beaucoup de prise sur elle. En revanche elle semble sensible des seins. Mitsuko décide donc de commencer réellement le dressage de virginie. Elle se rend dans la pièce aménagée qu’elle a appelle la ruche. Virginie est dans l’aquarium. Elle y est depuis son arrivée la veille et n’a été sortie que pour des besoins hygiéniques. De temps en temps Mitsuko met quelques bouchées de nourriture dans une soucoupe et pose le tout dans l’aquarium. Virginie à faim et soif et commence à trouver le temps long enfermée dans ce bocal dont toutes les faces sont des miroirs. Elle ne voit rien de l’extérieur mais a bien vu lors de son arrivée dans la pièce que les personnes de l’extérieur peuvent voir l’intérieur de l’aquarium. Elle pense qu’il s’agit de miroirs sans tain. Elle a essayé de casser les miroirs mais ceux-ci ont l’air extrêmement solides et les mains bleues et en sang elle a cessé de taper. D’autant plus que ce n’est pas facile avec les mains menottées dans le dos. Mitsuko observe virginie pendant de longues minutes et décide qu’il est temps de passer aux choses sérieuses. Elle se rend à la porte de l’aquarium et l’ouvre. virginie se rue tête la première par l’ouverture mais Mitsuko qui a anticipé ce comportement l’attend de pied ferme et l’évite facilement. Elle a une cravache électrocutante et touche le dos de virginie qui fait un bond involontaire et se retrouve par terre. Mitsuko en profite pour accrocher une laisse au collier de virginie et la tire sans ménagement vers la ruche. Virginie ne peut pas se relever et se laisse dans un premier temps tirée sur le sol. Mais le collier l’étrangle et avant qu’elle s’étouffe elle est obligée de se mettre à genou et à suivre docilement Mitsuko. Celle-ci la fait monter sur le plateau tournant et la suspend aux agrès faits pour ça. Les bras tendus et les jambes bloquées par une barre d’écartement arrimée au plancher du plateau virginie ne peut pas bouger. Mitsuko lui fait une queue de cheval sur le haut de la tête et accroche la queue de cheval à une cordelette qui est tendue en hauteur empêchant virginie de baisser la tête. Mitsuko se recule et admire son travail. Elle est satisfaite et va chercher le matériel préparé pour la séance. Elle a dans les mains une paire de menottes particulière. L’espace entre les deux menottes est réglable et les ouvertures sont aussi réglables. Virginie se demande à quoi cela peut servir. Mitsuko ouvre les menottes et les approche de la poitrine de virginie. Elle referme une menotte sur la base des seins de virginie. Celle-ci ne voit rien mais sent que son sein est comprimé par la menotte. Mitsuko fait pareil avec la deuxième menotte et se recule pour voir l’effet. Les seins de virginie sont poussés en avant et ressemblent à des ballons. Mitsuko s’approche et referme un peu plus les menottes. La base des seins de virginie est fortement comprimée et elle a l’impression que quelqu’un lui a saisi la base des seins entre les mains et serre très fort. Mitsuko referme encore d’un cran. Les seins de virginies sont gonflés et commencent à bleuir. C’est douloureux, elle a l’impression que ses seins vont exploser vers l’avant. Encore un cran. Mitsuko exulte. La base des seins d virginie est tellement serrée qu’elle pourrait en faire le tour avec ses doigts sans forcer. Virginie crie de douleur. Un bâillon réduit ses cris à de simples gémissements. Les mamelons sont érigés et dardent vers l’avant. Mitsuko les pince rudement. Les yeux de virginie roulent dans les orbites. Elle croit qu’elle va mourir. Mitsuko relâche un peu les pincements et enfile une barre d’acier qui va d’un sein à l’autre en utilisant les piercings larges de virginie. Les seins sont bleus violets. Mitsuko demande à virginie tu vas m’obéir maintenant comme un bonne esclave. Virginie la regarde furieusement et remue négativement la tête. Mitsuko accroche une chainette au piercing du clitoris de virginie et tend au maximum la chainette entre le clitoris et la barre qui relie les seins. Virginie est désespérée elle pense que quelque chose va céder en elle. Elle est sur le point de défaillir. Mitsuko s’en rend compte et petit à petit elle ôte les objets qui torturent virginie. Celle-ci a le corps en feu. Son sexe et ses seins sont douloureux à l’extrême et elle n’oppose aucune résistance lorsque Mitsuko la ramène dans l’aquarium. Elle ne peut même pas tâter avec ses mains les dégâts subis par son sexe et ses seins. Mitsuko regagne la ruche et s’installe sur le trône pour regarder virginie qui pleure ouvertement. Mitsuko a l’intention de rester là quelque temps et convoque immédiatement Maëva pour la mettre dans la cavité du trône. Tout cela l’a fortement excitée. En attendant Maëva elle s’approche de l’aquarium et dit à voix haute. Demain on mettra deux paires de menottes. Virginie en entendant ça est effondrée. Elle ne verra pas Maëva entrer dans la cavité et lécher longuement le sexe d’une Mitsuko exaltée. Le lendemain Mitsuko ouvre la porte de l’aquarium. Virginie n’essaye pas de foncer dans le tas. Elle suit docilement Mitsuko jusqu’au plateau et elle ne tarde pas à être suspendue comme la veille. Mitsuko montre deux paires d menottes. Virginie qui souffre encore de la veille n’en peut plus et dit pitié je n’en peux plus j’accepte tout mais plus ça. Mitsuko sourit et bâillonne virginie. Celle-ci est effondrée. Mitsuko lui impose la première paire de menottes mais ne sert pas aussi fort que la veille. Puis elle met une deuxième paire qui est beaucoup plus large à côté de la première. Les seins de virginie commencent à la faire souffrir. Ils sont enfermés comme dans un tube sur cinq ou six centimètres puis les bouts qui dépassent des tubes s’élargissent comme des champignons. Les tétons sont turgescents et violets alors que les seins sont plutôt bleus. Mitsuko se recule et admire son œuvre. Elle pince les seins et les agace avec sa bouche et ses dents. Maintenant les tétons pointent comme des crayons. Mitsuko les orne de pinces qui sont reliées par une chainette qui possède une troisième pince qui est rapidement agrippée au sexe de virginie. Celle-ci pleure et gémit dans son bâillon. Mitsuko referme d’un cran les menottes et virginie se tétanise. Mitsuko demande alors à virginie. Alors tu vas m’obéir maintenant. Virginie fait un hochement frénétique de la tête. Tu es mon esclave. Un autre oui. Tu feras tout ce que j’exigerais. Toujours oui . Tu ne parleras que lorsque je te l’autoriserai, tu ramperas à mes pieds dès que tu me verras. A chaque fois virginie hoche la tête. Mitsuko satisfaite détache virginie. Celle-ci n’a plus que les mains menottées dans le dos. Dès que Mitsuko se recule virginie se couche par terre à ses pieds. Bien dit Mitsuko on va sceller notre pacte. Elle saisit la laisse et traine virginie qui rampe jusqu’au trône ou virginie découvre la cavité. Une heure durant virginie lèche consciencieusement le sexe de Mitsuko. Elle dormira quand même dans l’aquarium. Virginie obéit maintenant comme une bonne esclave à Mitsuko. Elle n’a qu’une envie c’est s’échapper de ce traquenard mais en attendant de trouve un moyen elle ne veut plus être torturée et joue les soumises. Mitsuko est heureuse et contemple son cheptel chaque soir assise sur son trône. Il y a toujours une des deux esclaves sur le plateau tournant et une dans la cavité du trône. Son mari le rejoint souvent accroché aux espaliers. Ce soir-là elle est en train boire un thé assise sur son trône ne se lassant pas de voir tourner Maëva qui arbore maintenant tous ses bijoux de corps et ne se lassant pas de la langue experte de virginie sous selle. La sonnette de la maison retentie. Son mari ne peut pas aller rouvrir il est menotté au banc de cuir avec un plug dans le fondement. Mitsuko peste mais se décide à aller voir qui peut bien la déranger. A la porte elle aperçoit sa cousine micha qui lui dit : Je passais dans la région et j’ai décidé de te faire un petit coucou. Mitsuko est perturbée. Cette pimbeche insupportable l’a souvent rabaissée en public et Mitsuko lui en veut toujours. Minaudant micha demande si Mitsuko peut héberger pour quelques jours afin qu’elle puisse visiter la région avec un point de chute. Mitsuko réfléchit et lui dit ok je peux d’héberger ce soi mais ça va être difficile pour toute la semaine. Micha entre dans la maison de dit t’inquiètes pas on va s’arranger. Ou est ma chambre. Mitsuko enrage et soudain a une illumination. Viens je vais t’y emmener tu verras ça vaut le coup d’œil. Je suis sure que t’y plairas tant que tu ne voudras plus la quitter. Et elle l’emmène jusqu’à la porte de l’aquarium. Fermes les yeux et entre tu vas avoir une belle surprise. Micha ferme les yeux et pénètre dans l’aquarium. Elle sent le sable sous ses pieds et ouvre les yeux. Mitsuko a refermé » la porte. Et elle se retrouve seule dans un réduit avec des miroirs sur tous les côtés. Elle entend le verrou se fermer. Mitsuko ce n’est pas marrant sort moi de là je ne vais pas passer la nuit-là. Non répond mitsuko pas la nuit. La semaine. Micha s’énerve et frappe autan qu’elle peut les parois de verre mais rien n’y fait elle crie hurle mais rien ne lui répond. Mitsuko qui est repassée dans la ruche apprécie de voir micha enfin arrêter de se pavaner. Elle actionne un bouton sur le trône et les miroirs sans tain deviennent translucides. Micha a la surprise de voir autour d’elle. La première chose qui la surprend est une splendide femme attachée sur un plateau qui tourne lentement sur lui-même. Puis elle voit un homme ligoté sur un banc avec un énorme plug dans le cul. Enfin elle voit face à elle Mitsuko assise dans un énorme trône et qui la regarde avec attention. Tu aurais du prévenir lui dit celle-ci. Micha vocifère mais Mitsuko n’en a cure. Tu peux y aller c’est insonorisé ici. Quand tu te calmeras je t’expliquerai ce que tu devras faire. Micha arrête de crier et la regarde étonnée qu’est-ce que je dois faire pour sortir de là. Déjà te déshabiller entièrement. La seule personne qui a le droit d’être vêtue ici c’est moi. Micha la toise et dit jamais de la vie tu es folle. Mitsuko lui sourit et dit si tu veux boire ou manger il faudra te mettre à poil. Micha la traite de folle et les miroirs sans tain redeviennent miroirs. Elle se retrouve seule dans ce bocal. A demain chère cousine. Dit Mitsuko et elle va se coucher laissant les trois esclaves à leurs emplacements et micha pleurer doucement. Le lendemain matin Mitsuko se réveille de bonne humeur. Elle se rend dans la ruche ou elle libère son mari qui doit aller bosser et Maëva qu’elle laisse partir. Virginie est toujours dans le trône. Bonjour virginie. Aujourd’hui tu vas aller dans l’aquarium une fois que j’aurais sorti ma cousine. Puis elle approche de l’aquarium ou micha s’est endormie sur le sable. Mitsuko rend l’aquarium translucide et contemple micha. Elle lui dit. Salut cousine tu as bien dormi. Micha se lève d’un coup et se rappelle ou elle est. Relâche moi je t’en supplie dit-elle. D’abord tu te mets nue et ensuite on discute répond Mitsuko. Micha lui tourne le dos. Mitsuko remet l’aquarium en mode miroir. Mitsuko va sortir virginie du trône et l’emmène dans la salle de bains puis au petit déjeuner. Virginie tirée par la laisse la suit docilement. Elle se laisse laver par Mitsuko et mange dans la main de cette dernière. Puis Mitsuko la remmène dans la ruche ou elle la met à genou sur le plateau. Voilà ma belle. On va attendre tranquillement que micha se soumette. Midi. Mitsuko et virginie ont déjeuné. Mitsuko met l’aquarium en mode translucide. Micha a les yeux gonflés elle a pleuré toutes les larmes de son corps. Mais que me veux-tu enfin dit-elle. Que tu deviennes comme ça et elle montre virginie à genou sur le plateau. Jamais plutôt crever. Mitsuko quitte la pièce. Mitsuko dine avec virginie qui est à genou à ses pieds. Elles se rendent ensuite à la ruche. Mitsuko rend l’aquarium translucide . Micha est nue dans l’aquarium. J’ai soif et j’ai faim dit-elle. Mitsuko jubile. Bien on je vais s’occuper de ça. Et elle disparait de la vue de micha. Quelques instants plus tard la porte arrière s’entrouvre. Micha bondit pour bousculer Mitsuko mais elle tombe sur Maëva qui l’étreint à bras le corps. Avant que micha ne comprenne ce qui se passe Mitsuko lui a verrouillé une menotte à un poignet. Micha veut se débattre mais Maëva tient fermement et une deuxième menotte est verrouillée. Micha se débat encore mais Mitsuko la fait chuter et Maëva et Mitsuko s’assoient de tout leur poids sur elle. En quelques secondes celle-ci est menottée dans le dos et un collier muni d’une laisse lui a été mis. Pour finir une deuxième paire de menottes est appliquée sur ses chevilles. Elle hurle mais Maëva lui pince le nez et Mitsuko la force à engloutir un bâillon boule. Ouf dit Mitsuko tu es une vraie tigresse. Allons te mettre sur le plateau qu’on voit si tu vaux le coup d’œil. Micha fulmine et râle derrière son bâillon. Elle traine des pieds mais poussée par Maëva et tirée par Mitsuko elle est promptement ligotée sur le plateau tournant. Mitsuko admire sa cousine. Micha est mince avec une peau très blanche et des petits seins haut perchés. Une vraie sucrerie se dit Mitsuko. Le sexe de micha est complétement épilé. Et Mitsuko croit voir la trace d’un piercing sur chaque grande lèvre. La cousine est dévergondée pense Mitsuko. Micha est désespérée. Elle crève de soif et de faim et est exposée nue aux regards de sa cousine perverse et d’une belle femme nue. Mitsuko demande à micha si elle a soif celle-ci hoche la tête. Si je t’enlève le bâillon pour te donner à boire tu ne crieras pas et d’ailleurs tu ne parleras pas du tout d’accord. Micha hoche la tête elle a trop soif pour lutter. Le bâillon est ôté et micha peut boire à l’aide d’une paille Tu as faim lui dit Mitsuko micha hoche la tête. Très bien je vais te donner à manger mais pour ça il va falloir que tu le mérites. Micha la regarde étonnée. Mitsuko et Maëva la décrochent du plateau et l’emmènent les bras menottés dans le dos jusqu’à l’intérieur du trône. Là elle mette micha en positon. Pour l’occuper un gode ventousé sur le sol est bien inséré au fond de son sexe. Elle ne peut pas l’ôter. Micha se demande ce qu’il se passe quand la porte est refermée et Mitsuko s’installe confortablement sur le trône. Embrasse-moi bien et fais-moi bien jouir et tu pourras manger. Micha veut se reculer mais il lui est impossible de retirer sa tête du contact avec le sexe de Mitsuko. Le trône a été bien étudié. Pendant de longues minutes micha ne fait rien. Mitsuko lui dit j’ai tout mon temps on peut y passer la nuit si tu veux. A contre cœur micha commence à sortir la langue et lécher doucement les grandes lèvres de Mitsuko. Tu peux faire mieux lui dit cette dernière. Micha se met à lécher avec plus d’enthousiasme. C’est mieux di Mitsuko. Je retrouve ma cousine qui a une si grande langue. Mitsuko actionne la télécommande et le gode commence à vibrer tout en faisant des va et vient dans le vagin de micha. Micha continue à lécher et bizarrement telle commence à s’échauffer aussi. Elle redouble d’ardeur et bientôt Mitsuko halète gaillardement sous les coups de langue et de bouche de micha. Celle-ci est maintenant complétement excitée et lèche comme une folle. Elle ne tarde pas à se laisser aller à de puissants orgasmes. Enfin après avoir pris du bon temps Mitsuko décide que micha a mérité un en-cas. Elle envoi Maëva chercher de quoi manger et lorsque celle-ci revient les deux femmes nourrissent micha à la main. Mitsuko décide de récompenser sa cousine pour son bon travail. Elle la ligote à califourchon sur le banc et avec un gode ceinture elle prend sa cousine par derrière pendant que celle-ci à la bouche collée au sexe de Maëva qui s’est mise devant. Micha prend son pied plusieurs fois. Micha est rompue elle a dû satisfaire deux furies enragées. Constatant qu’elle était vierge su cul et très serrée Mitsuko n’a pas insisté de ce côté-là. Elle lui a quand même promis de lui faire le cul avec des plugs annaux progressifs. Elle se retrouve dans l’aquarium pour la nuit avec toujours les mains menottées dans le dos. En s’endormant elle se demande ce qui va lui arriver le lendemain. En repensant à sa journée elle s’aperçoit qu’elle a rarement été autant chauffée et cela la tracasse.
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Par : le 12/04/21
Chapitre 42 Emmanuelle Extraits : » … Le tableau excite Noémie qui se demande quelle conduite adopter. Voyant qu’Emmanuelle s’est mis un bâillon boule et un masque aveuglant, elle la félicite intérieurement pour ce self bondage d’enfer… Sidoine connaissant les penchants de Noémie lui dit : Non tu n’as pas… Si dit Noémie avec un grand sourire. Et elle kiffe ça tu vas voir par toi-même. Et elle invite Sidonie à rejoindre le salon. Là Sidonie voit Emmanuelle à genou à côté du canapé. Elle est nue parée de son harnais rouge qui lui fait ressortir sa peau laiteuse. Elle a un bâillon et un masque aveuglant. .. Sidonie est épatée. Sa tante ne contredit absolument pas Noémie et même sur un geste de cette dernière elle vient enfouir sa tête dans l’entrejambe écartée. Sidonie et Noémie se racontent leurs aventures et déboires divers pendant qu’Emmanuelle s’applique à sucer Noémie. Celle-ci lui dit maintenant fais profiter notre invité de tes talents. Et après l’ombre d’une hésitation Emmanuelle se met à embrasser le sexe de Sidonie…. » Noémie a retrouvé la liberté mais n’est pas sortie de la galère pour autant. Elle n’a plus de taf et les impayés de loyer de son appartement l’ont forcée à résilier le bail. Les rares meublés de Nevers disponibles sont assez chers et elle n’a pas un dossier suffisamment solide pour postuler. Elle est à la rue et en parle à sa meilleure amie Sidonie. Celle-ci lui dit qu’elle ne peut pas la loger car son appartement est trop exigu mais elle lui explique qu’elle a une tante dans la ville qui a un grand appartement et qui parfois loue une chambre à une étudiante. Noémie se raccroche à cette bouée et Sidonie promet d’intervenir auprès de sa tante pour qu’elle accepte de loger Noémie en lui laissant le temps de se refaire une santé financière. Emmanuelle, la tante de Sidonie est touchée et accepte de recevoir Noémie pour que cette dernière plaide sa cause. Noémie est reçue par Emmanuelle. Tout de suite Noémie est conquise. Emmanuelle est une femme mure mais belle comme un cœur. Grande, fine et élégante elle a un charme fou et doit certainement se faire draguer comme une ado. Noémie hésite entre milf et couguar. Emmanuelle trouve mignonne cette fille qui semble avoir du caractère. Elle lui fait visiter l’appartement et montre une chambre munie d’une petite salle de bains à Noémie. Celle-ci est enthousiaste et embrasse Emmanuelle lorsque celle-ci lui annonce qu’elle lui loue la chambre en acceptant d’être payée quand Noémie se sera refaite. Noémie exulte et la visite se poursuit. Emmanuelle lui dit qu’elle peut aller dans tout l’appartement sauf dans sa propre chambre qui possède aussi une salle de bains ce qui fait qu’elles pourront vivre chacune leur vie. Le soir même Noémie emménage. Emmanuelle a préparé un repas pour deux et elles passent une excellente soirée. Noémie se sent revivre et Emmanuelle est conquise par cette fille qui semble faire preuve d’une autorité naturelle. Quelques jours plus tard dans la nuit Noémie se réveille avec une soif pas possible. Elle décide de se rendre dans la cuisine pour y trouver de quoi se boire. Lorsqu’elle retourne vers sa chambre, en passant devant la porte de la chambre d’Emmanuelle, il lui semble entendre un petit gémissement provenant de cette chambre. Elle s’arrête et colle son oreille à la porte. Effectivement elle n’a pas rêvé et entend bien des gémissements. Elle s’affole et espère qu’Emmanuelle n’est pas malade ou à l’agonie. Doucement elle ouvre la porte de la chambre. Les gémissements sont nettement audibles. Elle s’approche du lit d’Emmanuelle en utilisant son portable pour s’éclairer chichement. Arrivée auprès du lit elle comprend l’origine des gémissements. Emmanuelle est ligotée nue sur le lit. Ses bras sont attachés ensemble à la tête du lit. Ses jambes sont attachées écartées à chaque coin du lit et un magic wand bien attaché entre ses jambes ronronne doucement la tête collée au clitoris d’Emmanuelle. Le tableau excite Noémie qui se demande quelle conduite adopter. Voyant qu’Emmanuelle s’est mis un bâillon boule et un masque aveuglant, elle la félicite intérieurement pour ce self bondage d’enfer. Elle prend délicatement la lampe de chevet et la pose par terre avant de l’allumer. La clarté diffuse ne semble pas avoir été remarquée par Emmanuelle qui continue à prendre son pied. Noémie voit les clés des menottes posées sur le lit à quelques centimètres des mains d’Emmanuelle. Elle est fortement tentée de les chaparder. Au dernier moment elle se ravise. Détournant à regret son regard du lit elle jette un œil au reste de la chambre. Sur les murs il y a quelques tableaux. Noémie s’en approche et voit qu’il s’agit de dessins magnifiques représentant Emmanuelle dans des positions de soumissions diverses. Là elle est à genou et tend vers le l’observateur la poignée d’une laisse qui est accrochée à un collie autour de son cou, là elle est la princesse Leila esclave de horrible Jabba et d’autres dessins tous plus suggestifs les uns que les autres. Rassurée sur la santé d’Emmanuelle Noémie quitte à regret la chambre et referme délicatement la porte. Elle mettra longtemps avant de se rendormir excitée comme une folle par ce qu’elle a pu voir. Emmanuelle est persuadée qu’elle n’a pas rêvé et que quelqu’un pénétré dans sa chambre pendant qu’elle était bondée. Elle sait que ça ne peut être que Noémie et est extrêmement troublée. Elle regrette presque que Noémie e n’ai pas profité de la situation. Elle se libère et veut allumer sa lampe de chevet. Celle-ci a été légèrement déplacée et elle comprend que Noémie est bien venue dans la chambre. Elle ne pourra plus dormir de la nuit s’imaginant esclave d’une reine sévère ayant les traits d Noémie. Le lendemain les femmes se croisent dans la cuisine et font comme si de rien n’était. Cependant elles se jettent des regards entendus. Noémie sort et passe sa journée à des entretiens d’embauche et la recherche de jobs. Le soir en rentrant elle est un peu désespérée car pour l’instant rien ne se profile à l’horizon. Emmanuelle l’attend et prépare un repas amélioré. Une bouteille de champagne trône sur la table du salon, et une bouteille de vin sur la table de la salle à manger. Devant le regard étonné de Noémie Emmanuelle explique que ça fait une semaine qu’elles partagent la maison et qu’elles s’entendent à merveille ce qui mérite une petite soirée spéciale. Les deux femmes font honneur au champagne et à la bouteille de vin en mangeant. Après le repas Noémie s’excuse pour aller passer dans la salle de bains et revenir au salon pour le reste de la soirée dans une tenue plus légère. Emmanuelle l’attend tranquillement. Noémie se douche et va pour mettre sa robe de chambre quand elle a une inspiration certainement aidée par l’absorption de champagne et de vin. Finalement elle ne met qu’une nuisette arachnéenne sans aucun sous-vêtement laissant par transparence voir tout son corps. Elle se dit qu’elle doit bien ça à Emmanuelle qu’elle a vu nue. Lorsqu’elle entre dans le salon elle voit du coin de l’œil une nouvelle bouteille de champagne posée sur la table basse. Mais elle voit surtout le regard ébahit d’Emmanuelle qui la fixe avec attention. Je suis plus à l’aise comme ça dit Noémie. Tu devrais aussi te mettre plus à l’aise. Emmanuelle ne sait pas quoi faire elle est troublée par ce tutoiement et la vue de la belle Noémie. Noémie se rapproche d’elle et lui susurre : Je suis sure que tu serais beaucoup plus à l’aise si tu te mettais nue. Emmanuelle est affolée et ne bouge pas comme une souris hypnotisée par un serpent. Mets-toi nue je te l’ordonne dit Noémie en souriant. Emmanuelle reprend ses esprits et dit : je vais me mettre à l’aise je reviens. Et elle part d’un pas hésitant vers sa chambre. Noémie ouvre la bouteille de champagne et sert deux coupes. Elle s’installe dans le canapé et attend le retour d’Emmanuelle. Celle-ci revient avec une nuisette charmante transparente qui laisse voir qu’elle ne porte pas de sous-vêtements mais un magnifique harnais en cuir noir qui épouse les contours de ses formes voluptueuses. Ce coup-là c’est Noémie qui a un regard hébété. Emmanuelle s’assoit aux cotés de Noémie. Et tend sa main vers une coupe. Noémie lui bloque la main et dit tu serais mieux à genou à mes pieds. Emmanuelle la regarde interdite. Oui je veux te voir à mes genoux. Je suis sùre que c’est ta place. Emmanuelle est affolée. Cette Noémie la met dans tous ses états et elle souhaite que ça continue. Elle se met à genou face à Noémie. Celle-ci lui caresse la tête et la fait boire directement dans sa coupe. Puis Noémie ajoute tu devrais aller chercher des menottes, un collier et une laisse. Emmanuelle se lève et part vers sa chambre. En passant tu enlèveras ta nuisette rajoute Noémie. Emmanuelle revient avec les accessoires demandés. Noémie lui menotte le bras dans le dos et lui met le collier et la laisse. Maintenant tu vas me montrer ce que tu sais faire avec ta langue. Emmanuelle la regarde interdite. Noémie tire sur la laisse et approche la tête d’Emmanuelle de son sexe. Emmanuelle plonge bouche en avant pour sucer l’abricot qui lui tend les lèvres. Emmanuelle et Noémie apprennent à connaitre le corps de l’autre. Tour à tour elles embrassent lèchent sucent. Noémie a aussi la possibilité de malaxer les seins et les fesses d’Emmanuelle qui ne peut rendre la pareille. Enfin sans s’en rendre compte elles se retrouvent dans le lit d’Emmanuelle ou elles s’endrameront tête bèche dans un bonheur partagé Tard dans la nuit Noémie se réveille avec un peu mal au crane. Elle se remémore soudain la soirée et voir Emmanuelle toujours menottée pelotonnée contre elle. Délicatement elle détache les menottes et recouvre Emmanuelle d’un drap. Elle lui pose un dernier baisé sur la bouche et retourne dans sa propre chambre. Une fois qu’elle a tourné le dos, Emmanuelle ouvre l’œil et lui envoie un baiser sans que Noémie ne le voie. Emmanuelle s’endort comblée. Le lendemain matin les deux femmes ont un peu la tête de bois. Elles se retrouvent dans la cuisine et ne parlent pas de la soirée précédente. Néanmoins au moment où Noémie va quitter la maison pour une nouvelle journée à trouver du taf Emmanuelle lui souffle : Reviens-moi vite. La journée de Noémie s’annonce radieuse. Le soie lorsqu’elle rentre Emmanuelle est à la porte et l’accueille avec un grand sourire. Les femmes vont dans le salon et confortablement installées sur le canapé elles se racontent leur journée. Le repas du soir a été préparé par Emmanuelle qui a mis un petit tablier sexy pour servir. Noémie apprécie et dit tu devrais me servir avec juste ce tablier sur toi ce serait vraiment cool. Puis elles mangent ensembles et passent une soirée amicale devant la télévision. Le lendemain matin lorsque Noémie se lève elle sent une bonne odeur de pain grillé et s’approche de la cuisine de bonne humeur. Emmanuelle l’attend pour la servir. Elle ne porte que le petit tablier. Noémie est radieuse et dit : ça te va super bien vraiment tu es faites pour me servir comme ça. Il ne te manque que le collier de cuir. Emmanuelle ne déjeune pas et sert Noémie qui est aux anges. En quittant la maison au lieu d’embrasser Emmanuelle elle passe derrière elle et lui saisit les seins à pleine main. Au revoir ma belle soubrette à ce soir. Le soir lorsqu’elle rentre Emmanuelle l’accueille elle est dans la même tenue que le matin et porte un large collier de cuir. Noémie l’embrasse et lui dit ce soir je dine dans la salle à manger. Emmanuelle la sert dans la salle à manger. Noémie lui dit entre deux plats. Puisque tu ne manges pas avec moi tu devrais passer sous la table et t’occuper de moi. Emmanuelle passe sous la table et commence goulument à prodiguer des caresses buccales à Noémie. Celle-ci ronronne de plaisir. Elles se retrouvent dans le canapé. Noémie s’est mis nue pour être à l’aise et se faire caresser par Emmanuelle. Noémie continue ses exigences. Le matin quand je me lève et le soir quand je rentre j’aimerai te voir nue à genou avec juste le collier et une laisse que tu me tendras. Ensuite je déciderais de ce qu’on fera. D’ailleurs ce soir je crois que je vais t’attacher pour la nuit dans ton lit. Emmanuelle est émoustillée. Elle se demande si Noémie raconte des bobards ou pas. En fin de soirée Noémie saisit la laisse et emmène Emmanuelle dans sa chambre. Là elle l’attache en croix sur le lit. En fouillant dans la table de chevet d’Emmanuelle elle découvre un plug annal et un gode vibrant. Elle bâillonne Emmanuelle et entreprend de visiter ses orifices restants. Elle constate qu’Emmanuelle mouille à l’extrême et lui insère les deux engins. Elle met en route le gode vibrant et rapidement Emmanuelle se laisse aller à des orgasmes puissants. Noémie tient le gode mais le laisse en place. Elle met une sangle bien serrée qui pousse les deux engins dans le fondement d’Emmanuelle et après l’avoir bâillonnée lui souhaite une bonne nuit. Dans la nuit elle va détacher Emmanuelle en lui précisant qu’elle ne voudrait pas se lever sans sentir la bonne odeur de café. Les jours se suivent et petit à petit les deux femmes trouvent leurs marques. Emmanuelle porte maintenant un harnais en cuir rouge qui lui fait un magnifique shibari bien serré sur tout le corps. Elle passe les soirées devant la télé à genou aux pieds de sa maitresse qui l’utilise comme esclave sexuelle. Emmanuelle kiffe cette vie. Elle a l’impression de revivre et d’avoir un but dans la vie. Plaire à Noémie et lui appartenir totalement. Noémie est aux anges. Elle a une bonne esclave, douée pour le sexe et qui ne lui refuse rien. Elle pense qu’il faudrait qu’elle fasse partager sa réussite avec quelqu’un. Pourquoi pas Sidonie sa meilleure amie qui doit toujours avoir son soumis à la maison. C’est décidé. Elle prévient Emmanuelle qu’elle a l’intention d’inviter Sidonie et son mari à la maison. Emmanuelle est effarée. Elle craint de se montrer en esclave à sa nièce Sidonie. Noémie la punit plusieurs fois et désormais Emmanuelle dort attachée au pied du lit de Noémie. De plus Noémie l’attache à un radiateur lorsqu’elle part le matin et ne la détache qu’à son retour. Au bout de quelques jours Emmanuelle est à bout et accepte l’idée de Noémie. Sidonie est enchantée de venir rendre visite à sa tante. Son compagnon n’a pas pu venir mais elle sera heureuse de voir Noémie et sa tante qui visiblement s’entendent à merveille. Elle sonne et la porte s’ouvre sur une Noémie enchantée. Celle-ci embrasse Sidonie et la remercie de lui avoir fait connaitre Emmanuelle. Sidonie la remercie mais demande ou se trouve Emmanuelle. Elle est dans le salon elle ne peut pas bouger. Sidonie s’inquiète aussitôt. Noémie rit : Non ne t’en fais pas elle va bien très bien même mais tu vas être étonnée en la voyant. Sidoine connaissant les penchants de Noémie lui dit : Non tu n’as pas… Si dit Noémie avec un grand sourire. Et elle kiffe ça tu vas voir par toi-même. Et elle invite Sidonie à rejoindre le salon. Là Sidonie voit Emmanuelle à genou à côté du canapé. Elle est nue parée de son harnais rouge qui lui fait ressortir sa peau laiteuse. Elle a un bâillon et un masque aveuglant. Tu vois dit Noémie ce qui fait tressauter Emmanuelle. Elle ne voulait pas que tu la vois à mes pieds mais elle est trop belle pour ne pas être exposée comme ça. Sidonie reprend son souffle et répond : Effectivement je n’imaginais pas qu’elle puisse être aussi belle nue. Et tu vas voir c’est une soubrette parfaite. Et Noémie enlève le masque d’Emmanuelle et lui dit : Ma chérie va nous chercher l’apéritif et vite. Et elle lui met une claque sur les fesses alors qu’Emmanuelle se dépêche de se rendre vers la cuisine. Noémie s’assoit dans le canapé et invite Sidonie à la rejoindre. Sidonie la regarde éberluée et lui demanda comment elle a fait. Noémie raconte comment elle a surpris Emmanuelle en plein self bondage et dit que tout test venu naturellement. Sur ses mots Emmanuelle qui a récupéré un peu de couleurs apporte un plateau avec des verres et des amuses gueules et le présente aux filles qui se servent . Une fois les filles servies Emmanuelle se repositionne à genou en face de Noémie qui lui caresse la tête. Noémie trinque avec Sidonie et fait boire Emmanuelle dan sa coupe. Elle ajoute à Sidonie en plus c’est une experte pour ce qui est du sexe. Tu pourras vérifier toi-même. Après ton verre. Sidonie est épatée. Sa tante ne contredit absolument pas Noémie et même sur un geste de cette dernière elle vient enfouir sa tête dans l’entrejambe écartée. Sidonie et Noémie se racontent leurs aventures et déboires divers pendant qu’Emmanuelle s’applique à sucer Noémie. Celle-ci lui dit maintenant fais profiter notre invité de tes talents. Et après l’ombre d’une hésitation Emmanuelle se met à embrasser le sexe de Sidonie. Emmanuelle sert le repas et reste derrière la chaise de Noémie pendant que les filles mangent. L’après-midi, Sidonie au moment du départ, embrasse sa tante qui lui souffle : je n’ai jamais été aussi heureuse. Sidonie les quitte le cœur joyeux. Ce soir-là Emmanuelle est déchainée et titille Noémie pour que celle-ci la punisse de toutes les façons possibles. Elle est heureuse d’avoir pu se montrer sans pudeur à sa nièce qui ne l’a pas blâmée bien au contraire. Elle finira la soirée avec quelques marques de martinet et empreintes de cordes sur tout le corps, particulièrement les seins qui ont été la cible de bondage de Noémie ce soir-là. Elle n’ose pas demander à Noémie de l’attacher pour la nuit mais celle-ci voyant son état d’excitation ne manque pas de l’immobiliser entièrement aux pieds du lit. Emmanuelle a du mal à trouver le sommeil à cause de l’inconfort de sa position mais aussi et surtout à cause de la journée mouvementée et kiffante qu’elle a vécue.
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Par : le 05/04/21
CHAPITRE 40 : les limites de Martine Victor contacte Laurent. Ils sont invités à participer à leur première soirée poker dans le club des dominants. C’est ce soir-là qu’ils seront présentés aux autres membres sous le parrainage de Victor et morgane. Laurent est surexcité. Il contacte martine qui, bien que soucieuse pour Anna et Vanessa, se réjouit de cette invitation. Au moins elle a des chances de voir les filles et pourra s’enquérir de leur sort. Dans un premier temps ils comptent emmener les deux garçons soumis pour les accompagner. Puis en discutant avec son ami Maurice, Laurent propose une autre solution : emmener Maeva et Gisèle comme esclaves. Elles ne sont pas consultées car elles doivent obéir aux ordres de leurs maris mais de toute façon elles sont excitées de voir ce club même si apparemment elles risquent de servir de jouets sexuels pour beaucoup d’inconnus. Ça ne leur déplait pas et pour Maëva c’est l’occasion d’échapper à Mitsuko qui a déjà trop abusée d’elle. Le jour arrive enfin. Tout excités laures et martine rejoignent Victor et morgane à l’entrée du bâtiment. Ceux-ci les accueillent chaleureusement. Ils ont emmenés Vanessa et Anna qui semblent fatalistes et pas aussi excitées que Maëva et Gisèle qui sont déjà émoustillées. Ils pénètrent dans le club et Victor et morgane vont accrocher leurs deux esclaves à la barre prévue pour les soumis. Laurent et martine doivent garder leurs soumises en laisse nues derrière eux. Suivant Victor ils se rendent au centre de l’immense pièce près d’un ring qui interpelle martine et Laurent. Là ils sont présentés à l’assemblée et font connaissance avec la crème des dominants. Ils ont beau avoir été briefés par morgane et Victor sur l’attitude à aborder, ils ont du mal à se sentir chez eux auprès de tous ces gens arrogants et fiers. Néanmoins ils sont acceptés et peuvent aller mettre leurs soumises à la barre. Puis ils sont invités à la table de poker de Victor et morgane et peuvent commencer à jouer. Après quelques donnes ils sont rassurés et commencent à prendre du bon temps. Ils s’aperçoivent en écoutant les conversations qu’ils sont encore de petits amateurs dans le dressage d’esclave. Laurent ne perd pas une miette et se promet de mettre en pratique ce qu’il entend autour de lui. Martine est plus réservée. Les petits jeux avec les filles sont bien suffisants. D’ailleurs ses filles lui manquent. Au moment de la pause elle veut prendre les filles mais malheureusement les deux nouvelles belles pouliches sont très demandées et elle ne pourra pas les avoir de la soirée. Malgré tout elle croisera leur regard et y lira de la tristesse. Maeva et Gisèle, nouvelles aussi sont prises en main souvent. La soirée se passe. Laurent apprécie de plus en plus et songe vraiment à progresser dans la domination. Il se voit pavaner à égalité au milieu de tous ces dominants. Mais dans son esprit martine disparait et est remplacée par Mitsuko qui aurait surement sa pleine place ici. Martine de son côté est désespérée. C’est trop pour elle et elle regrette de plus en plus amèrement d’avoir échangé les filles avec morgane. Elle se demande comment elle pourrait faire pour les récupérer. Pendant que martine se lamente Anna et Vanessa ont été prises par un couple qui les a entrainées dans une des chambres. Là, le couple les couche sur le grand lit tête bèche et l’une au-dessus de l’autre. Celle du dessous sur le dos et celle du dessus sur le ventre. Elles sont attachées avec des sangles serrées et ne semblent plus faire qu’un corps avec deux têtes et deux sexes collés. L’homme se met à genou sur le lit et alternativement enfourne la bouche d’Anna puis le sexe de Vanessa. Un deuxième homme fait son entrée dans la chambre et fait la même chose du côté de la bouche de Vanessa et du sexe d’Anna. Une deuxième femme est rentrée et regarde la spectacle avec la première. Les hommes s’ont endurants et l’assaut dure. Vanessa et ana à force d’être collées sont ruisselantes de sueur et fatiguent vite. Enfin les hommes déchargent presqu‘en même temps dans la gorge des filles qui sont contraintes d’avaler la semence. Les hommes les detachent et leur attachent les pieds à des chaines qui descendant du plafond. Leurs mains sont immobilisées dans le dos par des menottes. Puis les femmes actionnent des mécanismes situés contre le mur et petit à petit les chaines sont attirées vers le haut. Vanessa et Anna sont sur le point de tomber lorsque les deux hommes les prennent à bras le corps et les font basculer la tête en bas. Les chaines continuent à monter et bientôt Vanessa et Anna se retrouvent pendues par les pieds au plafond. Les femmes arrêtent le mécanisme et s’approchent des deux filles qui ont la tête à la hauteur du sexe des femmes. Alors que Anna et vanesse imaginaient qu’elles allaient bouffer les sexes des femmes ces dernières sortent deux énormes godes de l’armoire. Elles lèchent goulûment les sexes de Vanessa et Anna. Celles-ci bien que gênées par la tête en bas se mettent rapidement à mouiller sous les coups de langues expertes. Les deux godes sont insérés et quelques va et vient sont faits. Laissant les godes en place les deux femmes Sortent des plugs vibrant de l’armoire. Les plugs sont gros mais les filles sentent qu’elles pourront les accueillir sans mal. Peu de temps après les plugs sont logés au fond du cul des filles et mis en action. Parallèlement les deux godes se mettent aussi à vibrer. Les filles n’avaient pas remarqué qu’ils étaient motorisés. Enfin les femmes rapprochent leurs sexes des bouches des filles et se font bouffer par ces dernières. Pendant qu’elles s’activent les deux hommes qui ont récupérés enlèvent les menottes des filles et leur mettent une main sur leurs bites. Les filles dociles entament une branlette coordonnée avec les gâteries qu’elles font aux femmes. Après un temps qui semble infini aux filles les deux hommes bousculent les femmes et enfilent leurs chibres dans les bouches d’Anna et Vanessa qui reprennent une giclée de sperme. Les deux couples libèrent les filles et leur promettent de les reprendre des qu’ils en auront l’occasion. Extenuées Anna et vanesse sont remises à la barre mais quelques instants après elles sont de nouveau sollicitées par d’autres dominants. Cette soirée-là elles ne comptent plus les passages dans les chambres et le nombre de personnes différentes qui ont bénéficiés de leur corps. Maëva et Gisèle sont aussi prises simultanément. D’abord par deux hommes qui les attachent à genou aux montants des baldaquins et qui les prennent par tous les orifices. Puis par une femme immense qui se fait lécher sur tout le corps par les deux esclaves. Enfin elles sont prises par un couple qui rivalise d’imagination pour bonder les deux femmes dans des positions plus humiliantes et difficiles à supporter les unes que les autres. Elles finissent lessivées mais Maëva se dit que ce n’est rien à côté de ce qu’elle subit avec Mitsuko.
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Par : le 28/03/21
Chapitre 38 Noémie retrouve la liberté. Extraits : »… Ecartelée sur la croix de sait André elle reçoit une douzaine de coups de cravache pour commencer puis Noémie lui demande si elle va se comporter en bonne esclave. Cloé lui crache dessus.… Elle passera la nuit écartée aux montants du baldaquin de son grand lit dans lequel jean et Noémie se prélassent avec entre eux Nadia saucissonnée qui lèche tout ce qu’elle peut tout en étant visitée en profondeur par le chibre de jean et le gode ceinture de Noémie…. Elle lèche et fait le chien quand Noémie le demande. Elle passe ses nuits la bouche collée sur le sexe de Noémie tout en ayant une partie de la nuit le chibre de jean dans un de ses orifices libres…. Tard dans la nuit Cloé s’endort couchée sur le ventre la tête entre les cuisses de carole qui es couchée sur le dos et profite jusqu’ à l’endormissement de la bouche de Cloé. L’homme passe la nuit ligoté au pied du lit… » Le temps s’écoule doucement. Noémie commence à enrager d’être ainsi asservie à temps complet. Elle ne sait pas comment se débarrasser de ce collier qui lui ôte tout espoir. En plus elle ne peut pas compter sur jean qui a l’air de kiffer sa position d’esclave. Elle a bien étudié le mécanisme du collier et le seul moyen est de trouver la clé du minuscule cadenas qui le verrouille ou de faire sauter le cadenas. Un jour elle reprend espoir. Ce jour-là Cloé a décidé de se promener avec la carriole. C’est jean qui sera attelé. Noémie aide Cloé à le harnacher. Il est sanglé complétement et arbore une clochette accrochée au bout de son gland. Il bande comme un taureau. La mixture que lui a fait ingérer Cloé pour l’occasion fonctionne bien. Cloé prend le fouet et dit à Noémie de l’attendre ici. Noémie obtempère mais Cloé n’a pas réduit la zone d’évolution de Noémie qui s’aperçoit qu’elle peut se promener sur quelques mètres à l’intérieur de la remise. Elle farfouille et trouve un coupe boulon rouillé sous un tas de bricoles. Le cœur battant elle prend le coupe boulon et va le dissimuler dans la zone où elle est habituellement consignée lorsque Cloé fait de la carriole. Elle ne pense pas que Cloé refera l’erreur et n’a pas assez préparé son coup pour tenter de fuir maintenant. Cloé revient de sa ballade. Jean toujours le sexe brandit et tintinnabulant en permanence est en sueur mais parait ravi. Noémie le dételle et ils suivent Cloé pour retourner vers la maison. Trois jours plus tard une chance se présente pour Noémie. Cloé a décidé que Nadia serait attelée à la carriole. Noémie les accompagne et aide Cloé à harnacher Nadia. Cloé, qui semble avoir un compte à régler avec Nadia, utilise le fouet plus que de besoin de Nadia doit trotter dès le départ. Noémie pense que la séance va durer et dès que les filles sont hors de vue elle récupère le coupe boulon et tente de couper le cadenas de son collier. Après quelques secondes le cadenas est coupé et Noémie pour la première fois depuis des semaines est libérée de ce carcan. Elle se dirige rapidement vers la maison et retrouve jean qui est enfermé dans la cage en attendant le retour des filles. Elle fait sauter le cadenas de la cage et celui du collier de jean. Ils s’habillent comme ils peuvent et pensent à s’enfuir de la maison. Mais Noémie réfléchit. Finalement ils se cachent au sous-sol en laissant un maximum d’indices laissant à penser qu’ils ont quittés la propriété. Cloé a passé ses nerfs sur Nadia. Celle-ci est zébrée de traces de coup de fouet et ruisselle de sueur. Elle ne peut retenir ses larmes et regrette amèrement d’avoir tenté de prendre le dessus sur Cloé qu’elle prenait pour une faible. Nadia ne voit pas l’avenir sous de bons augures. Quand elles arrivent à l’endroit où devrait se trouver Noémie elles ont la surprise de voir qu’elle n’est plus là. A sa place il y a le collier par terre. Cloé entre dans une rage folle. Elle fouette Nadia pour qu’elle la tire jusqu’à la maison. Nadia court comme une folle. Arrivée à la maison Cloé saute de la carriole et court jusqu’à la cage. Jean n’est plus là. La porte donnant vers la sortie de la propriété est ouverte et sans aucun doute le couple s’est enfuit. Cloé enrage. Elle dételle Nadia sans dire un mot et conduit cette dernière sur la croix de saint André. Ou elle l’attache fermement. Nadia se tait et espère que Cloé finira par se calmer. A sous-sol Noémie réfléchit à un plan pour se sortir de là. Elle guette les bruits à l’étage. Dans la soirée Cloé qui s’est un peu calmée détache Nadia et la fait mettre à genou avec les mains menottées dans le dos. Cloé s’assoit sur le canapé et Nadia cherchant à lui plaire vient lécher son entrejambe. Nadia y et tout son talent car elle sait que Cloé pourrait rentrer dans une rage folle à n’importe quel moment. Cloé commence rapidement à haleter et Nadia redouble d’effort. Ni l’une ni l‘autre ne voit Noémie et jean munis d’un grand sac enfourner la tête puis le haut du corps de Cloé dans le sac. Celle-ci se débat mais les bras déjà entourés par le sac ne peuvent empêcher la corde munie d’un nœud coulant l’enserrer et l’immobiliser complétement. Quelques minutes plus tard elle est entièrement ficelée, la tête toujours à l’intérieur du sac. Enfin elle est poussée dans la cage par Noémie et jean. Nadia n’a pas bougé. Elle espère qu’elle va être libérée par le couple. Un coup de cravache donné par Noémie modère son enthousiasme. A nous de profiter dit Noémie. Ce soir-là Nadia devient la soubrette du couple. Elle fait le repas et vient s’agenouiller devant jean qui se fait enfin sucer par Nadia. Noémie, elle se charge de mater Cloé qui est toujours en colère. Ecartelée sur la croix de sait André elle reçoit une douzaine de coups de cravache pour commencer puis Noémie lui demande si elle va se comporter en bonne esclave. Cloé lui crache dessus. Nouvelle série de dix coups de cravache. Cloé pleure trépigne mais ne cède pas. Noémie lui insère un plug énorme dans le cul et relance une série de dix coups de cravache. Cloé crie, hurle, pleure de dépit mais ne cède pas. Elle passera la nuit écartée aux montants du baldaquin de son grand lit dans lequel jean et Noémie se prélassent avec entre eux Nadia saucissonnée qui lèche tout ce qu’elle peut tout en étant visitée en profondeur par le chibre de jean et le gode ceinture de Noémie. Pour finir Noémie met une cagoule à Cloé. Au-dessus de la cagoule il y a un anneau que Noémie accroche avec un cordon au haut du baldaquin pour empêcher Cloé de baisser la tête. Celle-ci passe la nuit écartelée et ne peut pas dormir. Lorsque le jour se lève jean accompagne Nadia qui doit préparer le petit déjeuner. Cloé reçoit quelques coups de cravache et Noémie lui demande si elle a changé d’avis. Cloé gémit main secoue la tête négativement. Très bien lui dit Noémie. On va voir ce que tu donnes avec la carriole. Noémie va chercher son ancien collier et le met autour du cou de Cloé. Elle y accroche un nouveau cadenas. Tu sais comment ça marche. Pas besoin de t’expliquer. Cloé la regarde férocement mais n’ose plus crier. Noémie la décroche et l’emmène au bout d’une laisse. Cloé traine les pieds mais menottées dans le dos elle suit Noémie en silence. Noémie harnache Cloé en serrant bien les sangles. Une idée lui vient. Tu es cool comme ça. Je pense que ça fera beaucoup plaisir à tes amis de se faire promener par la petite jument Cloé. Cloé la regarde horrifiée. Noémie sourit. Ah oui je ne te l’ai pas dit mais tu as invités six personnes samedi pour passer tout le weekend. Et tu leur as promis des surprises bandantes. J’espère que tu seras à la hauteur. Cloé est désespérée. Noémie rajoute et puis tu as déjà lancé d’autres invitations pour les weekends suivants. Elle se laisse harnacher et avec l’aide de quelques coups de fouets elle se laisse driver par une Noémie triomphante. Le reste de la semaine est génial pour Noémie. Cloé a cesser de se rebeller et accepte petit à petit son sort. Elle est totalement déstabilisée par le weekend qui arrive. Elle lèche et fait le chien quand Noémie le demande. Elle passe ses nuits la bouche collée sur le sexe de Noémie tout en ayant une partie de la nuit le chibre de jean dans un de ses orifices libres. Ses journées sont passées dans la cage avec quelques interludes sexuels et une promenade quotidienne avec la carriole. Le samedi tant redouté arrive. Elle est blanche quand Noémie lui annonce les noms des invités. Jean ne partage pas l’enthousiasme de Noémie. Finalement ça lui plaisait de faire le bon petit esclave qui se faisait enfourné lors des visites d’amis de Cloé. Il en parle à demi-mots à Cloé. Celle-ci prend les choses en main et quand les invités arrivent ils ont le plaisir de voir trois corps nus promis à de belles aventures sexuelles. Une femme noire magnifique avec un harnais rouge en cuir mettant en valeur ses formes voluptueuses. Elle est à genou dans le salon à coté d’un homme harnaché de la même façon dans un harnais noir et une femme aussi harnachée et muni d’une cagoule qui lui cache le visage et ne laisse apparaitre que la bouche et le nez. Elle est plongée dans le noir. C’est Noémie qui les accueille en leur souhaitant la bienvenue de la part de Cloé. Les trois couples sont un peu étonnés de ne pas voir Cloé mais leurs préoccupations vont surtout vers le trio appétissant qui semble les inviter au sexe débridé. Les deux esclaves voyants préparent et servent le repas. Puis après le repas Noémie propose aux couples de faire une sieste, chaque couple dans une chambre avec un esclave tiré au sort. Cloé est tirée par un couple qu’elle connait sans plus. L’homme est particulièrement excité et désireux de profiter de ce corps vulnérable. Connaissant un peu la maison il recupère du materiel de bondage et Cloé se retrouve rapidement en position de grenouille renversée qui met en avant et à la disposition de tous son sexe et son cul. L’homme l’embroche sans ménagement alors que la femme s’assoit sur la bouche de Cloé qui après deux claques sonores qui l’encouragent se met à la brouter avec application. L’homme se retire juste avant t’éjaculer et décide de varier les positions. Cloé est déliée, mise à quatre pattes au sol et doit jouer le petit chien ou plutôt la levrette car il l’a prend dans cette position par ses deux orifices proches. Sa bouche est toujours monopolisée par le sexe mouillé de la femme. L’homme lui malaxe férocement les seins qui deviennent très douloureux enfin il se retire brusquement et vient fourrer sa bite dans la bouche de Cloé ou il éjacule presqu’aussitôt la forçant à bien avaler tout le sperme. A sa grande surprise Cloé mouille comme une folle. Le fait d’être dans le noir et constamment surprise sexuellement l’excite de plus en plus. Les trois couples se retrouvent dans le salon à l’heure indiquée par Noémie qui leur propose de s’initier à la conduite d’une carriole tirée par une pouliche. Ils sont intéressés et suivent Noémie qui tire Cloé par la laisse. Ils l’aident à atteler Cloé à la carriole et écoutent bien les consignes pour guider la petite jument. Suivant les ordres de Noémie le guidage est accompagné de coups de fouet pour bien que la jument comprenne. Un à un les invités s’initient au maniement de la carriole et n’hésitent pas à utiliser le fouet pour mettre Cloé dans le droit chemin. Cloé doit avancer à l’aveugle et bien comprendre les tensions données aux rênes pour la faire tourner ou avancer. Ça finit par l’exciter prodigieusement. L’après-midi est bien avancée quand Noémie décide d’arrêter les promenades. Cloé est extenuée. Noémie propose d’aller la doucher avec la douche extérieure de la piscine. Il fait relativement frais et la douche est glacée. Cloé claque des dents quand Noémie estime que la petite pouliche est assez propre. Et remmène tout le monde à la maison. Après le repas du soir Noémie propose une partie de poker. Pendant qu’ils jouent, les trois esclaves à genou passent sous les tables et prodiguent des encouragements buccaux aux hommes comme aux femmes. A la fin de la soirée les invités se partagent les esclaves pour la nuit. Cloé est horrifiée de voir que c’est carole, sa meilleure amie, qui la récupère pour la nuit. Alors qu’elle pensait à une nuit comparable à la sieste de l’après-midi elle a la surprise de voir son amie prendre les choses en main dès que la porte de la chambre est fermée. Elle dit à son cavalier. A poil et à genou tu n’as pas mérité cette petite salope . L’homme ne dit rien mais se déshabille et se met à genou. Carole prend des menottes dans l’armoire et un masque aveuglant. Elle le menotte et lui met le masque. Puis elle se retourne vers Cloé et dit. J‘espère que tu aimes bouffer de la chatte car tu vas être servie. Elle couche Cloé sur le dos et la chevauche aussitôt. Cloé est contrainte de brouter le sexe de sa meilleure copine. Carole est insatiable. Dans son coin l’homme bande comme un fou. Carole a besoin de reprendre son souffle. Elle donne l’ordre à Cloé d’aller sucer la bite turgescente. Cloé suce pendant quelques minutes et l’homme explose à longs jets de sperme. Elle avale tout avec difficultés. Puis carole la repositionne et reprend sa cavalcade. Tard dans la nuit Cloé s’endort couchée sur le ventre la tête entre les cuisses de carole qui es couchée sur le dos et profite jusqu’ à l’endormissement de la bouche de Cloé. L’homme passe la nuit ligoté au pied du lit. Le lendemain après le petit déjeuner servi par les trois esclaves les couples racontent leurs exploits. Carole ment effrontément pour ne pas dévaloriser son jules. Noémie s’approche de Cloé et lui dit : Je compte leur faire une dernière surprise en leur montrant qui est cachée derrière cette cagoule. Cloé qui était bien contente d’être restée incognito est effarée. Noémie lui dit alors. Je ne le fait pas si on peut négocier un cessez le feu entre nous. Je te demande juste de me laisser libre et je te laisse Nadia et jean. Cloé réfléchit à toute vitesse. Finalement elle ne s’en sortira pas si mal. Elle opine du chef. Les invités, comblés, quittent la maison.
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Par : le 28/03/21
Il existe des rencontres qui vous marquent à jamais le corps et l'esprit. Je me souviens de Laura, jeune femme de 28 ans, jolie espagnole d'origine, avec de jolis yeux noirs et une coupe de cheveux mi longs chatain foncé . Petit bout de femme d'1m60, mais aux formes généreuse et à la peau d'une douceur extrême. Dés que je suis entré dans la chambre, elle m'ordonna de me déshabiller. Je me tenais debout, face à elle, immobile et nu . Elle était vétue d'un bustier porte jaretelles et d'un string en latex rouge qui soulignait parfaitement ses jolies fesses fermes et rondes. Elle me posa de suite le collier autour de mon coup. Elle m'attacha les mains dans le dos avec ses menottes. "tu es un bon esclave, c'est bien, j'adore ça". Elle commença par prendre mon sexe dans ses mains, me masturbant doucement, mais s'arréta au bout de 10 secondes . "mais tu bandes? es ce que je t'ai donné l'autorisation?" , je lui répondit, docile, "non maitresse". Alors elle pris son martinet et commença à me fouetter le dos, les fesses, les cuisses. J'étais toujours debout, elle me tenait par la laisse du collier pendant qu'elle me fouettait. Elle m'ordonna d'écarter les cuisses tout en restant debout. Je m'exécutais. là, elle se mis à me fouetter par derrière jusque sur le sex. je sentais les lanières carresser mon anus, et venir éveiller mes testicules et mon gland. je me remis à bander trés fort. Elle se mis en colère. "tu n'obéis pas esclave". Alors elle me tira avec la laisse dans un coin de la pièce. Là, elle se mit face à moi, me tenant toujours par la laisse, et se mis à me fouetter le torse, le ventre, les cuisses et le sex. 20 minutes plus tard, elle m'ordonna de me mettre à 4 pattes sur le lit, l'anus face à elle. Elle continua à me fouetter les fesses et le dos, puis elle pris un paddle. Elle me massacra les fesses et les reins avec. "tu es un vilain esclave, tu n'obéis pas". Puis elle prit un plug qu'elle m'enfonça dans l'anus. elle commença quelques va et vient et s'arrêta quand elle vit que je commençais à aimer ça. "ce n'est pas bien, c'est ta maitresse qui doit prende du plaisir" me disait t'elle. Alors elle repris la laisse violemment et me tira hors du lit. Toujours à quattre pattes devant elle, elle m'ordonna de lui lêcher les pieds.... mais ça ne lui suffisait pas... elle continuait à me fouetter pendant celà. Puis elle tira mon visage en tendant la chaîne. Elle m'ordonna de lui enlever le string. je commençais à m'exécuter lorsque je pris une giffle violente dans la figure "mieux que ça esclave, soit plus doux"... alors je faisais doucement glilsser son string sur ses jolies cuisses. je voyais son hymen qui me paraissait délicieux. Ses lèvres étaient déjà humides, j'avait une envie intense de gouter aux saveurs intimes de ma maitresse... une fois le string enlevé, elle me dit "lêche moi la chatte esclave". Toujours à 4 pattes je m'exécutait, je lui obéissait. Le coup tordu en arrière, je m'abreuvait de sa cyprine qui coulait à flot dans ma bouche. Je lappais sa chatte comme si je n'avais pas bu depuis des mois. ma langue s'enfonçait au plus profond d'elle, et je continuais encore et encore. pendant plus de 15 mn je m'abreuvais à sa source intime, parfumant ma gorge de ses sécrétions dont je me délectait. Elle lâcha complètement le fouet, sa tête complètement penchée en arrière, elle jouissait sous mes caresses buccales; "tu lêches vraiment trés bien esclave, continu, j'adore". Ma maîtresse plaqua de plus en plus fort ma tête entre ses cuisses au point où je m'étouffais dans son hymen. ma machoire se tétanisait entre ses cuisses, je me noyais dans ses sucs paradisiaques. Elle se tourna et m'ordonna de lui lêcher les fesses. je m'exécutait bien docilement, comme l'esclave que j'étais. Puis elle se mis en colère, se retourna. j'étais encore à 4 pattes et me gifla plusieurs fois. "je t'avais dit de me lêcher les fesses, tu ne m'a pas lêcher le cul esclave, lêche moi le cul esclave". Et elle repris le martinet pour me punir. A 4 pattes face à elle, elle me fouetta le torse, me gifla encore plusieurs fois... Puis elle me représenta ses fesses, se pencha en avant, pris ma tête avec sa main et m'ordonna de lui lêcher l'anus. Je commençais à lapper son anus délicieux. ses parfums ennivrants m'enflammaient le visage. Ma langue docile entrait dans son merveilleux anus ... elle gémissait doucement "oui esclave, c'est bien ,continu comme ça, j'adore". Au bout de 10 mn, elle m'ordonna de me coucher sur le dos sur le lit en tirant la chaine. J'obéissais. elle enfila un straponme, , me releva les cuisses, et doucement, elle me pris l'anus. d'une douceur extrême mais autoritaire, je lui appartenais, elle me prenait, j'étais à elle et elle étais en moi. Ses coups de reins devanaient de plus en plus forts, de plus en plus puissant, Puis elle se coucha sur moi, torse contre torse, elle passa ses bras autour de ma tête, je sentais sa belle poitrine s'écraser contre la mienne. les mains toujours attachées dans le dos, elle continuait ses va et viens en moi, j'étais son esclave, sa chose , son jouet. Elle se mis à gémir, à me serrer de plus en plus fort contre elle, à m'écraser sous son poids, mes jambes autour de ses hanches elle me pénétrait d eplus en plus vite. puis d'un coup, elle se mit à crier, "oh je jouis, je jouis, je jouis" en me serrant de toute ses forces entre ses bras, callant son visage dans mon coup, je sentais son orgasme l'envahir. Son corps pris de soubressaut lui faisait faire des coups de reins puissants qui me brisaient l'anus, j'avais mal, mais j'étais heureux de voir ma jolie maîtresse jouir ainsi en moi, en me prenant. Au bout de plusieurs minutes, ainsi calés l'un dans l'autre, elle se mis à me carresser doucement le visage, à m'embrasser, elle venait de me baiser et d'en jouir. elle me détacha les menottes, m'enleva le collier. "reste allongé mon esclave d'amour". Puis elle se mis à m'embrasser, à me carresser doucement le corps. descendant son visage jusqu'à mon entrecuisse, elle pris mon sex dans sa bouche. Elle commença à me sucer avec force, me tenant fortement la verge. Il ne fallut pas plus de 2 minutes avant que je n'explose dans sa bouche. Elle recracha mon suc sur mon ventre, l'essuya, et m'embrassa une dernière fois. Nous sommes restés collés presque une heure les bras l'un dans l'autre..... c'était juste parfait, doux et dur à la fois, violent et respectueux...elle m'avait donné confiance en elle, je me suis complètement abandonné à elle à ses désirs, elle aurait put aller plus loin tellement j'étais en confiance avec elle; mais c'est parce que je savais qu'elle n'irait pas plus loin que j'avais confiance en elle et que je me suis abandonné à elle...ça s'appelle le respect dans la relation SM... et tout l'art de cette pratique est basé là dessus :le respect de l'autre. Ah mon dieu, quel regret de ne plus la voir ma jolie espagnole..mais quel bonheur de domina... j'ai vécu bien plus extrême, mais cette relation restera à jamais celle qui m'a le plus bouleversé car nous étions dans l'équilibre, le respect, et la confiance
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Par : le 23/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 36 Mitsuko Extraits « … En arrivant dans les toilettes elle voit avec stupeur une femme ligotée à genou. Elle est nue, porte un masque aveuglant et un système lui gardant la bouche ouverte. Sous elle un gode électrique effectue des va et vient permanents. … Je ne t’ai pas dit de rentrer ta langue et elle met la main entre les jambes de la femme et pince violemment le clitoris. La femme veut crier mais la main de Mitsuko s’est reposée sur la bouche de cette dernière. Mitsuko dit tu vas m’obéir maintenant…. La femme dit d’une voix déformée par l’écarteur et les sanglots. Tu es ma maitresse Mitsuko. Mitsuko repince les seins. Tu dois me vouvoyer. La femme hoquète et répète vous êtes ma maitresse Mitsuko. Mitsuko est ravie elle caresse maintenant les seins douloureux de la femme. … Une fois libérée celle-ci se lève et dit à Maeva. Couche-toi à mes pieds maintenant. Maeva soumise totalement à Mitsuko se couche sur le ventre et embrasse fébrilement les pieds de Mitsuko….» En attendant le parrainage Laurent organise une nouvelle soirée poker. Outre deux invités habituels il y a un nouveau couple. Robert, collègue de Laurent, est marié à une jeune japonaise, Mitsuko, qui a absolument voulu venir voir en quoi consistait ces parties de poker dont on parle à voix basse et qui semblent orientées sur le sexe. Robert a essayé de la dissuader car elle est très prude mais elle a fait des pieds et des mains pour pouvoir venir. Robert en a parlé à Laurent qui est d’accord pour qu’elle vienne, pourvu qu’elle sache se tenir et ne fasse pas d’esclandre. Robert promet que s’il y a un problème il repartira aussitôt avec Mitsuko. La soirée est prête. Gisèle et Aude sont à genou dans le coin de la salle qui leur est réservée. Lorsque robert et Mitsuko arrivent il se présente et prévient Mitsuko que dans la salle de poker elle risque d’être choquée. Les yeux brillants elle répond qu’elle veut absolument venir, qu’elle saura se tenir et qu’elle jouera un peu au poker. En entrant dans la salle Mitsuko est hypnotisée par les deux femmes quasiment nues ligotées à genou sur des godes. Elle a un mal fou à ôter son regard de cette vue qui la bouleverse totalement. Robert inquiet lui serre la main elle se retourne vers lui et fait un grand sourire. Pas de problème elles sont très belles ; je comprends que tu veuilles venir à ces soirées dit-elle espiègle. La partie commence. Mitsuko joue habituellement bien au poker mais elle ne pense qu’à ces deux femmes offertes. Elle perd régulièrement et au moment de la pause elle est déjà ratissée. Elle voit les deux femmes servir les en cas et les boissons puis passer sous les tables pour essorer les hommes présents. Elle ne demande pas de caresses buccales de la part des femmes car elle ne sait pas comment ça pourrait se terminer. Elle n’a jamais été aussi excitée qu’à ce moment. La pause terminée les joueurs retournent à leurs parties et les deux femmes se remettent en position à genou. Mitsuko décide d’aller aux toilettes. En arrivant dans les toilettes elle voit avec stupeur une femme ligotée à genou. Elle est nue, porte un masque aveuglant et un système lui gardant la bouche ouverte. Sous elle un gode électrique effectue des va et vient permanents. La femme est très belle et l’écriteau posée sur elle indique clairement qu’elle est à la disposition de celui ou celle qui passe. Mitsuko n’en revient pas. Elle va mettre le verrou sur la porte des toilettes et s’approche de la femme. Mitsuko dit : Bonjour. la femme répond un bonjour déformé par l’écarteur. Tu es à ma disposition ? dit Mitsuko. Oui répond la femme. Je peux faire ce que je veux la femme opine. Mitsuko pose la main sur un sein de la femme et en même temps lui met la main sur la bouche. Elle pince fermement le téton. La femme gémit mais son cri est étouffé par la main de Mitsuko. Chut ! Sinon je te fais vraiment mal. La femme se tait. Mitsuko pince le deuxième sein.la femme gémit mais essaye de le faire en silence. Mitsuko dit : tu es ma chose. La femme semble pleurer. Tire la langue dit Mitsuko. La femme tire la langue. Plus loin dit Mitsuko. La femme tire au maximum la langue que Mitsuko attrape et tient fermement entre ses doigts. Elle tire la langue au maximum. La femme se tortille et semble paniquer. Oui je fais de toi ce que je veux. Elle relâche la langue et la femme la recule aussitôt. Je ne t’ai pas dit de rentrer ta langue et elle met la main entre les jambes de la femme et pince violemment le clitoris. La femme veut crier mais la main de Mitsuko s’est reposée sur la bouche de cette dernière. Mitsuko dit tu vas m’obéir maintenant. La femme hoche précipitamment la tête. Mitsuko dit :je vais enlever ma main et toi tu vas titrer la langue au maximum. La femme hoche le tète. Mitsuko retire sa main et aussitôt la langue sort au maximum. Bien dit Mitsuko. Maintenant tu vas gonfler ta poitrine pour moi sinon je te repince les seins. La femme s’arque autant qu’elle peut pour mettre sa poitrine en avant. Bien lui dit Mitsuko. Souviens-toi de moi je suis Mitsuko et un jour tu ramperas à mes pieds. La femme semble perplexe et pour toi je serai maitresse Mitsuko. Chaque fois que tu me verras tu m’appelleras ainsi et tu ramperas à mes pieds. La femme ne réagit pas. Mitsuko lui pince sévèrement les seins. La femme est tétanisée et hoche précipitamment la tête. Dit le que je suis ta maitresse dit Mitsuko. La femme dit d’une voix déformée par l’écarteur et les sanglots. Tu es ma maitresse Mitsuko. Mitsuko repince les seins. Tu dois me vouvoyer. La femme hoquète et répète vous êtes ma maitresse Mitsuko. Mitsuko est ravie elle caresse maintenant les seins douloureux de la femme. On se reverra vite dit Mitsuko et elle se relève et quitte les toilettes. Robert commençait à s’inquiéter. Mitsuko revient vers lui avec un grand sourire. Elle lui dit j’ai fait la connaissance d’une femme nue dans les toilettes qui est ce. C’est Maeva dit robert. C’est la femme et l’esclave de Laurent. Mitsuko sourit et regarde Laurent. Elle pense tu vas devoir me la prêter mon ami. J’ai plein d’idées pour elle. Juste avant la fin de la soirée Mitsuko retourne aux toilettes. Elle s’approche de Maëva et dit :alors Maeva tu reconnais ma voix. Une petite voix apeurée dit oui vous êtes ma maitresse Mitsuko. Bien répond cette dernière. Je t’ai apporté un petit cadeau. Elle ôte sa culotte et l’enfonce dans la bouche de Maeva tout en pinçant un sein. C’est pour que tu te souviennes de moi et que tu comprennes que tu m’as bien fait mouiller. A bientôt ma petite esclave. Et elle pose un baiser sur le sein meurtri de Maeva. Lors du départ Mitsuko s’approche de Laurent pour le remercier de l’avoir laisser venir. Il est sensible à ses charmes et elle le sent. Si tu veux plus de moi il faut que tu me prêtes ta femme un weekend. Lui dit-elle en partant. Laurent est tout content et s’aperçoit plus tard qu’il a un numéro de téléphone griffonné sur un papier dans sa poche de veste. Après le numéro il y a un cœur et un m majuscule. Il sent que Maeva va faire un stage chez Mitsuko. Lorsqu’il libère Maeva celle-ci s’effondre dan ses bras. Elle veut lui raconter ce qu’elle a subi avec Mitsuko mais il ne la laisse pas parler et elle passera la nuit attachée et bâillonnée avec la culotte de Mitsuko dans la bouche. Quelques jours plus tard Laurent appelle Mitsuko. Celle-ci lui dit franchement qu’elle a kiffé la soirée poker, notamment les moments passés avec Maeva et qu’elle recommencerait bien une séance seule en tête à tête avec cette dernière. Laurent qui se verrait bien faire un cinq à sept avec Mitsuko accepte sous réserve qu’ils aient tous les deux une séance en tête à tête ensuite. Mitsuko promet qu’elle est d’accord. Laurent propose que la rencontre avec Maeva se fasse chez lui car il possède du matériel et une pièce adéquate. Mitsuko accepte volontiers et le rdv est pris pour le lendemain car robert sera absent pour la journée et la nuit suivante. Laurent se garde de prévenir Maeva et le lendemain il lui dit juste qu’elle n’a pas été visiter la pièce donjon depuis trop longtemps et qu’il va y remédier. Maeva ne se doute pas de la visite et accepte volontiers pour se changer les idées après sa soirée difficile. Le lendemain Maeva est attachée les bras tirés vers le haut par une chaine accrochée au plafond et les jambes écartées par une barre d’écartement. Elle a un masque aveuglant et un bâillon. C’est une position traditionnelle qu’elle aime. Quand elle entend des pas légers derrière elle elle commence à mouiller en pensant qu’elle va se faire prendre par un ou des hommes bien excités. Elle se tétanise quand elle entend la voix douce de Mitsuko qui lui dit. Je t’avais promis qu’on se reverrait ma petite esclave. Et aujourd’hui on a bien le temps de faire connaissance. Maeva rue mais ne peut rien faire, attachée comme elle est. Mitsuko commence par la caresser longuement elle s’attarde sur les seins faisant frémir Maeva à chaque fois par la peur engendrée. Puis elle pince légèrement les seins et le clitoris de Maeva qui se tortille. Mitsuko enlève le bâillon et demande à Maeva de tirer la langue. Celle-ci s’exécute immédiatement et tire la langue autant qu’elle peut. Mitsuko attrape la langue avec ses doigts et la maintient fermement mais sans la forcer. Maeva est terrorisée. Elle s’attend au pire. Mitsuko met alors une pince sur la langue de Maeva. La pince presse fermement la langue même si la douleur est encore supportable. Maeva sent que la pince est reliée à quelque chose. Puis Mitsuko met une pince sur le clitoris de Maeva. Encore une fois c’est très fort mais la douleur est supportable. Puis Mitsuko tire sur les deux pinces qui sont reliées à des chainettes ; celle de la langue vers le bas et celle du clitoris vers le haut. Maeva baisse au maximum la tête afin de soulager sa langue et essaye de remonter son bassin pour soulager la tension sur le clitoris. Mitsuko tend au maximum de ce que peut supporter Maeva et relit les deux chainettes. La tension entre les deux pinces empêche Maeva de faire le moindre geste tant elle est concentrée sur la tentative de limiter la tension. Mitsuko lui dit. Tu es jolie comme ça mais il ne faut pas oublier tes jolis seins. Et elle accroche une pince à un sein. La douleur est forte mais supportable. Mais Mitsuko passe la chainette qui relie les deux pinces autour du cou de Maeva et accroche la pince sur le deuxième sein en tendant au maximum la chainette. Les tétons de Maeva sont fortement tirés vers le haut et elle essaye sans succès de baisser le cou pour limiter la tension. Ainsi bloquée et endolorie elle est palpée partout par Mitsuko qui alterne les caresses et les claques nerveuses. Enfin alors que Maeva n’en peut plus et ruisselle de sueur Mitsuko enlève les pinces. Maeva respire enfin. Mitsuko détend la tension sur les bras et bientôt Maeva se retrouve avec les bras menottés dans le dos. La barre d’écartement est enlevée et les chevilles de Maeva sont menottées l’une contre l’autre. Mitsuko dit alors à Maeva de se mettre à plat ventre devant sa maitresse. Maeva se couche comme elle peut et se retrouve à plat ventre. Mitsuko lui enlève le masque et Maeva la voit enfin. Elle est nue juste vêtue d’un harnais de cuir rouge qui l’enveloppe complément. Lèche mes pieds esclave. Maeva rampe vers les pieds de Mitsuko et lui lèche avidement les pieds pour montrer sa totale soumission en espérant calmer la fureur de Mitsuko. Après quelques minutes celle-ci se dirige vers le grand lit de la pièce et ordonne à Maeva de la suivre. Maeva doit ramper sur le sol pour avancer. Elle arrive enfin au pied du lit. Là Mitsuko lui enlève les menottes des pieds et la fait se relever. Elle couche Maeva su le dos en travers sur le lit et entreprend de l’attacher en croix aux quatre coins du lit. Comme elle est en travers du lit les jambes de Maeva sont ouvertes à l’extrême et elle est quasiment en position de grand écart. Les liens sont très tendus et elle ne peut absolument pas bouger. Mitsuko admire son œuvre et palpe Maeva en alternant les caresses les claques et les pincements. Parle-moi. Dit moi que tu aimes ce que je te fais dit Mitsuko. Mets-y du cœur. Maeva dit : Vous êtes ma maitresse Mitsuko et je joui de vos caresses. J’adore ce que vous me faites et je me prosterne devant vous. Elle essaye d’imaginer ce qui peut faire plaisir à Mitsuko et pendant plusieurs minutes celle-ci continue ses actions. Puis Mitsuko détache Maeva, se couche sur le lit et lui dit maintenant tu vas me faire jouir esclave. Maeva caresse Mitsuko et l’embrasse partout. Celle-ci ondule mais semble insatisfaite. Maeva prend alors l’initiative d’utiliser les attaches qui viennent de servir pour attacher Mitsuko qui se laisse faire aux quatre coins du lit. Maeva tend autant qu’elle peut les liens et Mitsuko est maintenant tendue à l’extrême. Maeva la pelote en alternant les caresses et les claques. Puis voyant que Mitsuko commence à haleter. Maeva se met à genou enserrant la tête de Mitsuko et se penchant en arrière elle saisit le sexe de Mitsuko d’une main et le fouille sans ménagement. Mitsuko comme alors à haleter plus fort et embrasse goulument le sexe de Maeva. Celle-ci redouble de force sur le sexe de Mitsuko qui réagit aussitôt. Maeva ne fait plus attention maintenant et agrippe avec toutes ses forces le sexe de Mitsuko qui l’embrasse fébrilement. Maeva sent la jouissance venir et soudain Mitsuko se met à ruer comme un cheval sauvage. Elle jouit sauvagement sans cesser de lécher le sexe de Maeva. C’est un tourbillon de jouissance qui emporte les deux femmes. Maeva pantelante reprend son souffle. Mitsuko s’est calmée. Maeva se relève et contemple le corps le Mitsuko toujours attaché fermement. Maeva lui dit tu ‘as mis qu’on avait bien le temps de faire connaissance ma jolie. Je crois que tu vas rester quelques heures dans cette position ou tu es à ma disposition totale. Mitsuko la regarde sans peur. Mais blanchi un peu lorsque Maeva s’éloigne et revient avec une cravache dans une main et les quatre pinces qui viennent de servir dans l’autre. A mon tour de jouer dit Maeva en se préparant à mettre un bâillon à Mitsuko. Celle-ci la regarde sans ciller et dit. N’oublies pas que tu es à ma merci. Tu es mon esclave et je te ferais regretter mille fois ce que tu me feras si tu ne me détaches pas tout de suite. Maeva hésite. Elle a compris que Mitsuko pourra de nouveau demander à Laurent une séance ou elle sera à sa merci. Trop effrayée par ce qui peut lui arriver elle est vaincue et commence à détacher Mitsuko. Une fois libérée celle-ci se lève et dit à Maeva. Couche-toi à mes pieds maintenant. Maeva soumise totalement à Mitsuko se couche sur le ventre et embrasse fébrilement les pieds de Mitsuko. Bien dit celle-ci. La prochaine fois nous testerons quelques bondages shibari d’humiliation. Restes dans cette position jusqu’à mon appel et elle pose un téléphone portable près de Maeva. Et Mitsuko part. Maeva n’ose pas bouger. Heureusement que c’est bien chauffé ici se dit-elle. Le temps passe lentement. Maeva se demande si Mitsuko va appeler ou si c’est un piège. Plusieurs heures plus tard le téléphone sonne. Elle décroche. Tu peux disposer esclave. Je veux que tu ais toujours ce téléphone à ta portée. Je n’accepterais pas que tu ne répondes pas à un de mes appels. Et elle raccroche laissant Maeva pantoise.
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Par : le 22/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chap 34 : des ennuis en vue. Extraits « … Ceux-ci mettent des chaines aux filles qui se retrouvent à quatre pattes, des chaines reliant les poignets et les chevilles les empêchant de se lever.Les laisses sont décrochées des anneaux et la catcheuse saisissant les laisses emmène les filles qui suivent comme elles peuvent à quatre pattes. … Anna et Vanessa ne bougent pas elles ont juste de quoi tenir à quatre pattes sur le tapis. Toi ! dit Victor en montrant Anna. Vient me montrer que tu es une bonne petite chienne. Il sort son chibre et attend toujours assis. Anna hésite puis s’avance vers lui et entreprend de le sucer. … Elles sont consignées sur leurs tapis et servent uniquement de jouet sexuel pour le couple dominant et les nombreux visiteurs qui viennent se taper les deux petites soumises… » Martine n’est pas chaude pour que le couple embarque les deux filles pour un weekend. Elle n’a aucune garantie que les filles seront bien traitées. Elle les regarde et les questionne du regard. Celles-ci se concertent autant qu’elles peuvent et finalement acceptent le jeu. Après ça Laurent et Martine discutent entre eux et tombent d’accord ils veulent bien prêter les deux filles un weekend. Victor annonce que ce sera le weekend suivant et que les filles devront répondre à une convocation. Comme prévu Anna et Vanessa reçoivent la convocation. Elles se rendent à l’adresse indiquée avec de l’appréhension mais elles étaient volontaires alors il faut assumer. Elles sont accueillies par un jeune couple entièrement nu qui les fait entrer dans une pièce vide. Là la couple les déshabille entièrement et leur met des menottes dans le dos. Elles ont un peu d’appréhension car aucune parole n’est prononcée. Le couple leur met à chacun un bâillon et un collier muni d’une laisse. Puis se retire les laissant seules dans la pièce vide. Une femme très musclée genre catcheuse pénètre dans la pièce. Elle est nue et porte un collier et des bracelets aux mains et aux pieds. Ces ornements son très imposants et en métal couleur acier. On dirait des fers de bagnard. Elle porte de piercing aux seins et entre les narines, toujours de grande taille et de la même couleur. Pour finir le tableau, elle est entièrement rasée et tient un fouet dans la main. Les filles commencent à flipper. Elle n’a pas l‘air commode. La catcheuse leur fait signe de la suivre. Elles la suivent sans attendre craignant le coup si elles ne réagissent pas assez vite. Elles descendent dans ce qui ressemble à un sous-sol. Elles entrent dans une pièce nue à l’exception d’anneaux scellés dans les murs, au plafond et au sol. La catcheuse leur fait signe de se mettre à genou chacune à côté d’un anneau au sol. Puis la catcheuse accroche les laisses, raccourcies au maximum, aux anneaux du sol. Les filles doivent se pencher à ras terre et ne peuvent pas bouger du tout. La catcheuse repart puis revient avec une tondeuse dans les mains. Les filles s’affolent. Ça n’était pas prévu. Impuissantes et en pleur elles sont tondues entièrement. Des larmes de rage ruissellent sur leurs visages. La catcheuse sort quelques instant et revient avec le jeune couple de soumis. Ceux-ci mettent des chaines aux filles qui se retrouvent à quatre pattes, des chaines reliant les poignets et les chevilles les empêchant de se lever. Les laisses sont décrochées des anneaux et la catcheuse saisissant les laisses emmène les filles qui suivent comme elles peuvent à quatre pattes. La remontée d’escaliers est pénible mais les claquements de fouet à côté d’elles les encouragent à aller le plus vite possible. Elles finissent par arriver dans un salon ou Victor et Morgane les attendent confortablement installées dans un canapé. Devant le canapé il y a deux petits tapis. Ils font environ un mètre de long et 50 cm de large orientés vers le canapé. Anna est posée sur l’un d’eux et Vanessa sur l’autre. La catcheuse lâche les laisses. Voilà votre coin à chacune dit Morgane en montrant les tapis. Si vous quittez votre coin sans ordre vous gouterez au fouet de Silène. La catcheuse montre son fouet aux filles en souriant. Anna et Vanessa ne bougent pas elles ont juste de quoi tenir à quatre pattes sur le tapis. Toi ! dit Victor en montrant Anna. Vient me montrer que tu es une bonne petite chienne. Il sort son chibre et attend toujours assis. Anna hésite puis s’avance vers lui et entreprend de le sucer. Il caresse sa tête et se laisse tranquillement sucer. Apprend lui à rapporter dit Morgane à silène en montrant Vanessa. Silène va chercher un objet et le lance dans la pièce en disant : Rapporte à ta maitresse à Vanessa. Celle-ci comprend et va à quatre pattes chercher l’objet qu’elle ramasse avec sa bouche. Il s’agit d’un gode de bonne taille. Elle hésite pour savoir à qui ramener le gode. Puis elle se décide à le ramener à Morgane. Celle-ci lui caresse la tête et dit : bonne petite chienne elle a bien reconnu sa maitresse. Pendant une bonne heure Anna et Vanessa doive satisfaire Morgane et Victor avec la bouche et jouer les petites chiennes. Elles rapportent les objets, font le beau, aboient, jappent. Pour finir Victor sodomise Anna pendant que Morgane fait de même avec Vanessa avec le gode qui a servi de jouet. Puis Anna et Vanessa reçoivent l’ordre de regagner leur coin. Elles le font en se demandant ce qui va leur arriver. La sonnerie de l’entrée retentit. Un couple vient rendre visite à Morgane et Victor. Ils les félicitent pour leurs deux nouvelles acquisitions. Anna et Vanessa sont de nouveau mises à contribution sexuellement avant de regagner leur tapis. Morgane et Victor vont diner. Lorsqu’ils reviennent, silène pose un bol d’eau et une gamelle avec de la nourriture dans un coin de la pièce. Les filles ont faim et surtout soif. Elles sont tentées mais n’osent pas aller boire. La soirée n’est pas finie D’autres visiteurs arrivent et chaque fois les filles servent de jouet sexuel. Enfin Victor et Morgane se retirent. Silène donne alors l’ordre aux filles d’aller manger et boire. Elles se ruent vers le bol d’eau et lapent autant qu’elles peuvent. La nourriture est indescriptible mais elles mangent pour ne pas s’attirer les foudres de silène. Après ça silène prend les laisses et emmène les filles avec elle. Elles passent dans une salle de bain ou silène les douche en les frottant vigoureusement. Ensuite elle les ramène dans le salon où elle se couche entre les deux tapis dit aux filles faites-moi plaisir ou c’est le fouet. Comprenant, Anna et Vanessa s’approchent d’elle et avec leurs bouches lui font passer un bon moment. Une fois silène comblée elle leur dit de se remettre sur leur tapis et quitte la pièce en éteignant la lumière. Elle ne les a pas bâillonnées et elles peuvent converser à voix basse. J’espère que ça ne va pas durer longtemps dit Anna. Je commence à bien regretter cette aventure dit Vanessa puis vannées elles s’endorment rapidement. Dans la même après midi Martine reçoit de la visite. Il s’agit des deux garçons esclaves qui accompagnaient Morgane et Victor. Ils ne disent rien à Martine mais lui donnent une lettre. Elle les fait entrer dans la maison et lit la lettre. « Chère Martine voici un cadeau en échange de tes deux filles fais en ce que tu veux. Ils sont obéissants et très endurants. La clé des cages de chasteté est collée à la lettre. » Martine est perplexe. Puis se dit que c’est pour le temps du weekend end. Pendant qu’elle lisait les deux garçons se sont déshabillés et mis à genou à ces pieds. Elle se dit autant en profiter et détache les cages de chasteté. Les garçons savent s’y prendre. Elle est léchée embrassée pénétrée pendant près d’une heure jusqu’à ce qu’elle demande grâce. La soirée est longue et délicieuse. Elle finit par aller au lit accompagnée par ses deux amants elle se couche entre les deux et s’endort avec un sexe érigé dans la bouche. Plusieurs fois dans la nuit elle changera de bite. Elle est heureuse de son sort et pense très peu à celui d’Anna et Vanessa. Pour Anna et Vanessa les jours se suivent et se ressemblent. Elles sont consignées sur leurs tapis et servent uniquement de jouet sexuel pour le couple dominant et les nombreux visiteurs qui viennent se taper les deux petites soumises. Le weekend est passé et Martine commence à trouve le temps long. Elle essaye d’appeler Victor et Morgane mais tombe systématiquement sur la messagerie. Les deux garçons sont toujours là mais elle moins le cœur à ça même si elle se fait ramoner plusieurs fois par jour. De son côté Laurent fulmine. Lui non plus n’a pas de nouvelles et il passe ses nerfs sur Maëva qui désormais passe la moitié de son temps dans les toilettes à servir d’urinoir de fortune. Arrivée à la fin de la semaine Martine décide de s’en ouvrir à Magalie qui lui demande d’être très prudente et lui propose de demander l’aide de la tigresse qui ne manque jamais de bons conseils. Martine accepte et c’est Magalie qui devra reprendre contact avec la tigresse. Magalie tente d’appeler la tigresse mais celle-ci ne répond jamais. Magalie lui envoie un texto pour demander à la voir. Elle reçoit une réponse et est conviée à aller chez la tigresse dans la soirée. Le soir venu Magalie se rend chez la tigresse. Elle est surprise d’être reçue par une femme voilée. Celle-ci la fait entrer dans la maison et Magalie a la surprise de voir la tigresse nue enchainée sur une croix de saint André dans le salon. Elle se retourne vers la femme voilée qui lui met un coup de tazer qui tétanise Magalie. Quand elle reprend ses esprits elle est dans une cage et c’est virginie qui la contemple avec satisfaction. Bienvenue ma belle je voulais trouver un moyen de d’attraper mais tu es venue toute seule merci… Martine n’a pas de nouvelles de Magalie et la tigresse ne répond pas. Elle appelle Laurent qui lui aussi veut faire quelque chose. Ils décident d’aller directement chez Victor et Morgane pour aller chercher les filles. Laurent et Martine sont remontés. Martine n’a pas de nouvelles de Magalie et décide d’agir seule avec Laurent. Ils se présentent au domicile de Victor et Morgane. Ils sont reçu par le jeune couple de soumis et emmenés jusqu’au salon où Morgane et Victor les reçoivent. Dans le salon ils voient avec joie que les deux filles bien que fixées au sol à des anneaux semblent aller bien. Laurent dit à Victor que le délai est passé et qu’il vient récupérer les filles. Victor lui demande de se calmer et dit que tout ça est un malentendu. Il dit qu’ils vont pouvoir être de nouveau proche des filles et que cela sera aussi bien pour tout le monde. Morgane acquiesce. Elle propose de sceller le deal du parrainage avec une coupe de champagne. Laurent et Martine un peu rassurés acceptent et silène arrive nue avec un plateau accroché à sa taille et tenant horizontalement garce à deux chainettes qui relient des piercings au bout des seins aux extrémités du plateau. Celui-ci doit être lourd car quatre coupes de champagne sont posées dessus. Cependant les seins imposants de silène semblent ne pas être gênés par ça. Ils pointent droit devant. Laurent et Martine sont attirés par la vue de silène et ne prennent pas garde aux coupes. Les coupes son bues et d’autres suivent. Morgane prend la parole et dit à Martine : J’ai une proposition à te faire. Je t’offre les deux esclaves males que tu as pu tester et en échange tu me donne ces deux-là et elle montre Anna et Vanessa. Martine est prise de court. Eméchée par les coupes qu’elle a pris et quelle ne compte plus, son raisonnement n’est plus très clair. De leur côté les deux filles s’imaginent déjà esclaves de Victor et Morgane. C’est excitant mais en même temps elles n’auront plus la même liberté qu’avec Martine. Martine essaye de peser le pour et le contre. Il est vrai que les garçons possèdent des arguments que les filles n’ont pas. Et puis elle pourra les revoir si elle est admise au club. Euphorique elle dit banco. Une nouvelle coupe de champagne scelle le marché. Anna et Vanessa sont très perplexes. Que va-t-il leur arriver. Malheureusement elles n’ont pas la parole car silène veille près d’elles en agitant le fouet. La soirée se passe et un rendez-vous est pris pour le parrainage dans le club de dominants. Laurent est heureux quand il rentre. Bon il a perdu les deux filles qui étaient quand même bonne mais au moins il va entrer dans le club fermé. En arrivant à la maison il va détacher Maëva qui a passé la soirée dans les toilettes. Celle-ci est rompue mais doit encore subir l’excitation de Laurent que la perspective du parrainage a bien remonté. Maëva est visitée dans tous les orifices et doit finir par une fellation complète. Cette nuit-là attachée aux pieds du lit de Laurent elle s’endort comme une masse. Martine rentre chez elle perplexe elle a un peu dégrisé et se demande si elle n’a pas agit à la légère. Devant sa porte les deux garçons l’attendent. Cette nuit-là ils sont particulièrement habiles et elle s’endormira avec un chibre dans la bouche.
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Par : le 22/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 33 : le retour de virginie Virginie a réussi à échapper à son « propriétaire » en lui volant de nombreux bijoux qu’elle a revendu à un receleur. Elle est décidée à se venger de la tigresse et de Magalie. Elle prend un logement proche de la tigresse et entreprend de l’espionner avant d’agir. Elle suit les allers et retours de celle-ci et peu à peu arrive à connaitre ses habitudes. Virginie s’est bien renseignée et sait que la tigresse possède une alarme sophistiquée. Elle ne pourra pas forcer la maison il faudra donc agir différemment. Elle passe à l’action quelques temps plus tard. La tigresse se fait livrer une fois par semaine toujours par la même société. Virginie réussit grâce à son charme et une nuit avec le recruteur à se faire embaucher comme livreuse. Finalement, un jour elle est appelée pour livrer chez la tigresse. Il y a plusieurs gros cartons et dans ce cas elle sait que le livreur aide la tigresse à renter les cartons dans la maison. Elle essaye au maximum de modifier son look afin de ne pas être reconnue par la tigresse. Celle-ci ne se méfie pas et lui demande si elle peut l’aider à rentrer les cartons ce qu’elle accepte sans rechigner. Une fois dans la maison les choses se passent très vite. Virginie sort un tazer de sa poche et administre une décharge violente à la tigresse qui s’écroule tétanisée. Elle est tout de suite menottée et bâillonnée. Virginie termine de rentrer les cartons et quitte la maison en laissant la tigresse ligotée comme un saucisson accrochée à un radiateur. Elle prend les clés de la maison et termine tranquillement sa journée. Elle démissionnera le soir même. Sa journée de travail terminée elle retourne chez la tigresse. Celle-ci est toujours ligotée à son radiateur. Là, virginie se dégrime et la tigresse la reconnait. Virginie jubile. Alors on va jouer toutes le deux maintenant. Virginie fait le tour de la maison et trouve une cage dans un sous-sol. Cette cage permet juste à une personne de taille moyenne d’y entrer à quatre pattes. Virginie soupèse la cage. Elle doit pouvoir la monter dans le salon. Elle s’attelle à la tâche et ruisselante de sueur réussit à la poser dans le salon. Voilà ta nouvelle maison esclave dit-elle à la tigresse qui est toujours accroché à son radiateur. Les marques rouges sur les mains montrent qu’elle a essayé de se libérer. Virginie reprend son souffle et regarde la tigresse. Je crois que tu n’auras plus besoin d’habits maintenant. Elle cherche dans la cuisine et trouve une paire de ciseaux imposants. Elle revient avec sa trouvaille et lacéré les habits de la tigresse qui en cinq minutes se retrouve nue. Virginie décide de la faire entrer dans la cage. Elle la décroche du radiateur et la fait progresser à quatre pattes vers la cage ou la tigresse rentre à condition de rester à quatre pattes à l’intérieur. Virginie ferme la cage avec un cadenas. Elle dit à la tigresse : je voulais te tuer directement mais je crois que je vais d’abord profiter d’une belle esclave. Tu as intérêt à être bien obéissante sinon je t’égorge simplement. La tigresse se demande si c’est du bluff mais la lueur dans les yeux de virginie lui fait peur. Virginie fait le tour de la cage pour voir s’il n’y a pas de faiblesses. La cage est solide mais virginie découvre un volet à l’opposé de la porte. Il doit servir à rentrer une gamelle d’eau ou de nourriture. Il est assez grand pour y passer la tête. Virginie qui se sent poisseuse se dit que ça pourrait rendre service. Elle ouvre le volet et donne l’ordre à la tigresse d’y passer la tête. Celle-ci n’obéit pas mais virginie lui pique les fesses avec le bout des ciseaux. La tigresse passe la tête dans le volet. Virginie dit alors : j’ai bien sué pour monter ta nouvelle maison. Tu vas essuyer toute ma sueur avec ta langue. Et elle se met nue et approche son bras de la tête de la tigresse. Celle-ci hésite mais Virginie va dans la cuisine et ramène un couteau d’office qu’elle aiguise consciencieusement. Elle dit : Dommage on aurait pu s’amuser mais si tu veux que ça termine tout de suite pas de problème et elle approche le couteau du cou de la tigresse. Celle-ci crie : non je vais faire tout ce que tu veux je vais t’obéir complétement pitié ! Virginie hésite. Puis dit dernière chance. Et elle avance le bras vers la tête de la tigresse qui s’empresse de le lécher avidement. Virginie passe ainsi tout son corps devant la tête de la tigresse qui lèche consciencieusement. Enfin virginie estime que c’est bon et dit alors : maintenant récré on va jouer à bouffe minou. Elle avance un fauteuil jusqu’à la tête de la tigresse et s’assoit dessus les jambes écartées. La tigresse doit se tendre au maximum pour lui lécher le sexe mais y met tout ce qu’elle peut. L’heure du repas est arrivée. Virginie va dans le frigo et se fait un plateau repas. Elle rapporte le plateau qu’elle pose sur la cage et se rassoit les jambes écartées. Elle mange tranquillement pendant que la tigresse se démène pour la lécher correctement. Après son repas virginie donne l’assiette avec les restes à la tigresse en lui disant tu manges tout. La tigresse mange consciencieusement tout ce qu’il y a dans l’assiette et lape toute l’eau que contient un bol apporté par virginie. Virginie souhaite bonne nuit à la tigresse qui dit d’une petite voix qu’elle doit pisser. Virginie lui dit qu’elle se démerde et éteint la lumière. Quelques minutes après la tigresse pisse sur le carrelage. Elle passe toute la nuit à quatre pattes somnolant plutôt qu’autre chose. Virginie vit maintenant depuis un mois dans la maison de la tigresse. Celle-ci lui a gentiment tonné toutes les informations utiles. Elle a son code de carte bleu et tous les accès à ses comptes bancaires. Il faut dire que le fouet quand il est bien mené finit par délier toutes les langues. Virginie a trouvé une cage dans pièces du sous- sol. Elle l’a monté dans le salon et c’est dans cette cage que vit la tigresse quand virginie n’a pas besoin d’elle. C’est-à-dire rarement car entre les coups et le ménage la tigresse n’a pas beaucoup de temps libre. Celle-ci vit désormais nue en dehors d’un collier fort pratique que virginie avait elle-même testé à ses dépens dans cette maison. La tigresse a résisté une bonne semaine mais les coups, les privations de sommeil et de nourriture l’on ramenée à de meilleures dispositions. Elle est maintenant à la botte de virginie. Finalement la tigresse se révèle être une bonne brouteuse et virginie en redemande. Tous les soirs après le repas elle y a droit en regardant les infos à la télé. Maintenant que la première phase de sa vengeance est réalisée elle réfléchit à la deuxième phase qui concerne plus spécialement Magalie. C’est cette garce qui est à l’origine de tout et rien ne laisse à penser qu’elle n’était pas au courant des intentions de la tigresse quand elle a envoyé virginie chez elle. La vie tranquille de virginie avec son esclave est cependant si jouissive qu’elle remet à plus tard la vengeance. Ce matin-là elle est en forme. Son esclave l’a réveillée avec un cunnilingus d’enfer. Elle s’y prend vraiment bien. Virginie il y a quelques jours s’est fait draguer par deux mecs pas mal. Elle a un peu flirté avec les deux ne sachant lequel choisir et puis finalement se faire les deux ne lui fait pas peur. Elle leur a promis une surprise et les a invités chez elle pour diner. La journée se passe bien son esclave a nettoyé de fond en comble la maison et préparé un repas de fête. Pour l’occasion elle a habillé l’esclave en soubrette ultra sexy et ne lui a mis aucun bondage à l’exception du collier qui ne la quitte pas. Virginie se sent une âme de croqueuse d’hommes. Les invités sont à l’heure. Tirés à quatre épingles ils ont amené des fleurs et une bouteille de champagne. Virginie les remercie et les invite à s’assoir dans le salon. Pendant qu’Ils s’installent dans le canapé en laissant un place pour virginie entre eux virginie emmène la bouteille de champagne dans la cuisine. Elle revient les mains vides et s’installe confortablement entre les garçons qui sont visiblement chauds. Puis elle leur propose une coupe de champagne. Ils acceptent et elle élève la voix pour dire : Esclave du champagne pour trois et vite. Devant le visage incrédule des garçons la tigresse apparait habillée en soubrette avec les mains menottées dans le dos et un plateau de service collé à son ventre et soutenu par deux chainettes qui pendent depuis son cou. Sur le plateau trois coupes sont installées. Elle arrive devant le trio et se met à genou sans renverser les coupes. Ils n’ont plus qu’à se servir. Virginie se sert la première. Les garçons toujours stupéfaits tardent à réagir. Vous n’avez jamais vu d’esclave sexuel demande innocemment virginie. Non répondent t’ils en cœur. Vous mériteriez d’être à sa place dit virginien je suis sûre que vous feriez de bon petit esclaves pour moi. Ils ne savent plus où se mettre. Servez-vous pendant que vous pouvez encore dit-elle. Ils tendent les mains vers les coupes et se servent. Ils trinquent tous les trois mais les regards des garçons sont monopolisés par la tigresse. Vous voulez la voir à poil demande virginie. Ils la regardent ne sachant que dire. Alors déshabillez là dit-elle. Ils hésitent puis se lancent et après avoir enlevé le plateau ils ôtent les quelques accessoires de soubrette que porte la tigresse. Si vous voulez qu’elle vous fasse des choses déshabillez-vous dit virginie. Les garçons hésitent puis entreprennent de des déshabiller. Une fois qu’ils sont nus virginie dit à la tigresse suce-moi ces queues qui n’attendent que toi. La tigresse s’avance et prend en bouche le chibre le plus tendu. Le garçon qui n’est pas sucé se tourne vers virginie. Elle lui sourit et dit tourne toi que je te mette ça et elle montre une paire de menottes. Très excité les gars se retourne et tend ses poignets. Il est prestement menotté et virginie le retourne et prend son chibre avec la main. Tu bandes bien dit-elle. C’est parce que tu es attaché peut être. Le gars est rouge de confusion mais effectivement le fait d’être attaché à la merci de virginie le stimule violemment. Viens avec moi dit elle et laissant l’autre gars profiter de la tigresse. Elle emmène son prisonnier dans la chambre. Là elle lui met un masqué aveuglant. Il est toujours tendu. Elle le couche par terre sur le ventre et lui met des menottes aux chevilles quelle relie avec les menottes des poignets. Il ne peut pas bouger les genoux plié et le chevilles touchant les poignets. Tu ne peux pas faire grand-chose dit-elle à part me lécher les pieds et elle colle son pied à la bouche de l’homme. Celui-ci lui embrasse alors frénétiquement le pied. Virginie sent qu’elle va pouvoir faire des choses avec lui. Apres quelques minutes elle désolidarise les cheviller des poignets et le force à se relever. Elle l’emmène dans la salle à manger ou les trois couverts sont mis. Elle le fait se glisser sous la table au niveau de la place qu’elle s’est réservée. Attends-moi là. Lui dit-elle. Puis elle va dans le salon ou le couple est assouvi. Lui est assis sur le canapé et elle à ses pieds. Virginie dit à l’invite de venir à table en précisant que son ami ne dinera pas. Il est étonné mais suit la maitresse de maison tandis que l’esclave va vers la cuisine pour servir. Le repas est bon et les convives discutent de tout et de rien mais surtout de l’esclave de virginie. L’homme demande des nouvelles de son ami à virginie sans se douter que ce dernier est sous la table et lèche consciencieusement les pieds de celle-ci. Elle lui répond qu’il se repose et qu’il passera la nuit ici. Après le repas ils vont prendre le café dans le salon. Puis l’homme prend congé après un dernier regard vers la tigresse sagement installée à genou face à virginie. Virginie va alors récupérer son prisonnier sous la table de la cuisine. Celui-ci se remet à bander dès qu’il l’entend. Elle s’assoit à table et le nourrit à la main. Elle lui demande s’il veut du vin. Il acquiesce et elle se sert un verre et se penche pour l’embrasser. Il s’aperçoit qu’elle a gardé le vin en bouche et lui transfère de bouche à bouche. Il finit par prendre un copieux repas bien arrosé. Elle décide alors de l’emmener au salon. Elle lui a mis un collier et une laisse et elle le fait marcher à quatre pattes derrière elle. Arrivés au salon elle s’assoit dans le canapé et lui tire la tête vers l’entrejambes. Il ne se fait pas prier pour plonger la tête dans son sexe. Bruno se demande ce qu’il fait à lécher comme ça le sexe de cette belle inconnue qu’il n’a vu qu’une fois. Il n’arrive pas à comprendre comment le fait d’entre attaché et asservi comme ça le fait tant kiffer et bander comme jamais. Elle lui caresse la tête comme si c’écatit un animal de compagnie. Et il ronronne de plaisir. Après un bon moment elle le fait se relever. Il commence à être tard. Elle l’emmène dans sa chambre ou elle entreprend de l’attacher debout au baldaquin du lit. Il est attaché en croix face au lit elle lui enlève le masque et il peut la voir. Elle le contemple de la tête aux pieds. Puis elle lui met un bâillon boule et lui souhaite une bonne nuit. Elle fait venir la tigresse et se fait lécher par celle-ci. Bruno est méchamment excité mais ne peut que regarder cette femme qui est en train de prendre son pied devant lui. Puis virginie menotte la tigresse et la couche au pied de son lit. Elle éteint la lumière. La position de Bruno est inconfortable. C’est sûr qu’il ne dormira pas mais il se demande combien de temps il pourra tenir. Après une bonne heure il entend bouger virginie. Elle allume la lampe de chevet et le regarde avec un sourire carnassier. Il ne bandait plus mais rien que de la voir une érection massive arrive en un tournemain. Elle sourit encore plus et vient le palper avec les mains. Il se tortille sous les rudes caresses qu’elle lui administre. Puis elle le détache et lui met juste des menottes dans le dos. Elle le couche sur le ventre au milieu du lit et se recouche les jambes écartées à quelques centimètres de sa bouche. Il la lèche. Elle jouit plusieurs fois et lui dit d’arrêter mais de rester en place. Ils s’endorment ensemble lui la bouche collée au sexe de virginie. Il est réveillé par une caresse sur la tête que lui prodigue virginie. Il entreprend alors de lui embrasser le sexe. Elle se laisse faire et bientôt ses gémissements montrent à Bruno qu’il est sur le bon chemin. L’esclave s’est levée et est partie préparera le petit déjeuner de virginie. Repue de sexe elle s’étire come une chatte et se lève. Elle prend la laisse et le traine derrière elle jusqu’à la cuisine. Elle s’installe à table et le fait mettre à genou à ses pieds. Elle se fait servir par l’esclave et nourrit de temps en temps Bruno avec la main. Elle lui fera boire un café comme la veille de bouche à bouche. Elle donne la laisse a l’esclave et lui glisse quelques mots. Celle-ci emmène Bruno dans la salle de bains et le lave vigoureusement. Puis elle lui rase intégralement le torse et le sexe. Une fois ceci fait elle le ramène dans le salon ou l’attend virginie. Il se sent plus nu sans poils et visiblement le résultat plait à virginie. La matinée se passe à jouer au bon petit animal de compagnie qui doit faire au mieux pour satisfaire sa maitresse. En fin de matinée virginie demande à l’esclave de sucer Bruno. Ce qu’elle fait habilement et en quelques minutes il jouit enfin. Alors qu’il débande un peu virginie s’approche de lui et lui met le sexe dans une cage de chasteté. Tu vas pouvoir rentrer chez toi mais tu ne jouiras que si et quand j’ai envie. Tu attendras que je t’appelle pour venir sans aucun retard. Elle le détache. Il se rhabille en ne sachant pas trop quoi faire et se retrouve dehors un peu abasourdi de ses dernières 24 heures. Seule la cage de chasteté et l’impression bizarre d’être sans poil lui rappellent ce qui vient de se passer. Bruno regarde son tph et s’aperçoit que son ami lui a envoyé plusieurs texto pour lui demander ce qui c’était passé pour qu’il ne vienne pas au repas la veille au soir. Bruno le rassure en lui écrivant qu’il était trop crevé après avoir sauté la fille pour venir manger. Il n’a pas envie de dire exactement ce qui s’est passé.
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Par : le 22/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chap 32 : Martine retrouve Maeva Maintenant Maëva est devenue le jouet de Laurent. Elle passe ses journées nue ou habillée de façon provocante selon les désirs de Laurent. Elle dort au pied de son lit menottée et le réveille chaque matin par une fellation. En fonction de sa bonne conduite elle est démenottée ou reste ainsi toute la journée. Les amis de Laurent ont pris l’habitude de la voir ainsi et elle ne prête plus garde à leurs regards lubriques. Ce jour-là cependant tell est surprise de voir arriver martine chez elle invitée par Laurent. Cette dernière, désolée de ne plus avoir de nouvelles de sa copine s’en est ouverte à Laurent qui l’a invité à venir voir Maëva. Martine qui était resté sur l’assurance d Maëva d’arriver à dominer Laurent est surprise en pénétrant dans la maison de ne pas voir sa copine. Laurent dit à martine que Maëva finit un travail qu’il lui a donné et lui propose de la regarder faire. Intriguée martine suit Laurent dans le salon. Il l’invite à s’asseoir sur le sofa et allume une télé les images montrent la pièce « donjon « du sous-sol. On y voit Maëva attachée les mains dans le dos avec une barre d’écartement elle est penchée en avant car les mains sont reliées à une chaine qui et accrochée au plafond. Mais surtout elle est en train de pratiquer une fellation à un homme tandis qu’un deuxième la prend par derrière. Martine ne sait pas quoi dire. Laurent lui dit que les rêves de domination de Maëva sont loin derrière elle et qu’elle a compris qu’elle était beaucoup plus faite pour être dominée et qu’elle adorait cela. Martine reste bouche bée. Elle voit sur les images que Maëva semble prendre son pied. Quelques minutes plus tard les deux hommes repus quittent la pièce. Laurent dit à martine qu’il va chercher Maëva. Effectivement martine voit Laurent détacher Maëva et l’emmener hors de la pièce. Un quart d’heure plus tard Laurent revient en tirant Maëva par une laisse accrochée à un collier. Maeva est souriante et bondée dans un harnais en cuir noir ultra affolant. Il lui ceinture tout le corps et elle n’a pas de sous-vêtements en dehors de deux petites clochettes accrochées aux seins. Martine salue Maëva et Laurent indique à Maëva qu’elle a le droit de parler exceptionnellement. Puis il les quitte. Martine questionne Maëva. Celle-ci répond qu’elle est enchantée de son sort. Elle pensait être dominatrice mais elle a bien changé d’avis. Elle préfère de loin être commandée par Laurent. Elle a toujours eu le fantasme d’être exhibée et là elle est servie. De plus Laurent lui fournit des partenaires sexuels autant qu’elle peut en recevoir. En contrepartie elle doit obéir et être quasiment tout le temps nue ce qui la fait kiffer. Martine se demande si elle doit être jalouse ou pas et en même temps elle imagine Anna et Vanessa avec le même harnais rouge pour l’une et noir pour l’autre. Maeva lui demande si elle joue toujours avec Anna. Martine répond que c’est terminé. Maeva se mord la lèvre. Elle lui raconte les soirées poker qu’organise Laurent. Ça émoustille martine qui y participerait bien coté joueur ou coté service. Puis Maëva parle du couple qu’ils viennent de rencontrer et qui a proposé à Laurent de les parrainer pour entrer dans un club très fermé de joueurs de poker « dominants ». Martine est intriguée. Maeva lui explique de quoi il s’agit et lui dit que Laurent cherche une partenaire car les admissions se font par couple. Il faut un couple marié ou pas et deux esclaves qui sont partagés lors des soirées poker. Martine est chauffée. Elle qui en ce moment à une vie sexuelle proche du néant se voit bien avec Anna et Vanessa trainée derrière elle dans de telles soirées. A ce moment Laurent revient. Il dit à Maëva de se taire de se mettre à genou et il lui présente son sexe érigé qu’elle se met aussitôt à sucer comme si elle avait oublié la présence de martine. Laurent demande à martine si Maëva lui a parlé du club. Martine lui dit que oui mais qu’elle a rompu les ponts avec Anna. Laurent fait une grimace. Martine se lance quand même. Ecoute je vais voir ce que je peux faire. Je ne te promets rien mais je vais y réfléchir et je te tiens au courant. Laurent est ravi et laisse martine retrouver son chemin pour quitter la maison car Maëva continue sa fellation naturellement. Une fois revenue chez elle martine ne sait pas que faire. Elle finit par se décider à reprendre contact avec Anna. Anna est surprise de recevoir un texto de martine qui l’avait « larguée » quelque mois plus tôt. Le texto dit « salut ma chérie. Si tu veux on peut recommencer mais il te sera demandé beaucoup plus. Je peux t’en parler chez moi. Samedi soir serait très bien Le tiroir t’attend. » Anna est à la fois heureuse car elle regrette ce temps passé avec martine et intriguée. Que peut lui demander de plus martine. Elle en parle à Vanessa qu’elle ne quitte plus désormais. Celle-ci est aussi intriguée et dit à Anna qu’elle a de la chance car martine est très sympa comme dominatrice. Anna lui demande si elle veut entrer dans le jeu avec elle. Vanessa fini par consentir qu’elle est très alléchée. Anna répond au texto. « Tu peux compter sur Vanessa et moi samedi soir pense à doubler le tiroir. » Après tout ça ne coute rien d’écouter ce que propose martine. Le samedi soir Anna et Vanessa se présentent à la maison de martine. Comme Anna a toujours la clé elles entrent et regardent ce qui se trouve dans le tiroir de l’entrée. Il y a effectivement deux tenues identiques. Les deux filles jubilent. Il y a deux harnais en cuir un noir et un rouge. Deux baillons boules des menottes et deux anneaux de piercing avec une étiquette esclave de martine. Deux colliers de cuir avec laisse complètent la panoplie. Les filles se mettent en tenue et s’entradmirent elles trouvent que ça leur va super bien. Comme elles font quasiment la même taille tout leur va. Maintenant elles attendent que martine les invite à entrer. Celle-ci les laisse mijoter pendant cinq minutes avant de les convier. Elles entrent au plus grand bonheur de martine qui ne peut retenir un grand sourire. Comme dominatrice elle n’a pas bien réussi. Les deux jeunes femmes se précipitent vers elle et elle doit leur donner l’ordre de s’arrêter et de se mettre à genou avant qu’elles ne la télescopent. Pendant une bonne heure martine joue avec les filles comme avec des poupées. Elles sont très réactives. Martine décide alors d’enlever les baillons. Et ça devient vite torride. Les filles redoublent d’ardeur pour l’embrasser et s’embrasser aussi. Une fois les trois femmes repues martine parle alors de la suite. Elle explique le topo aux filles, la soumission consentie et heureuse de Maëva les parties de poker chez Laurent et enfin le club privé de dominateurs. Les filles sont perplexes mais bien excitées quand même. Martine leur propose de commencer par une soirée poker chez Laurent pour voir. Bien sûr elles seront certainement mises à contribution par les joueurs et la soirée ne sera pas de tout repos. Les yeux des filles brillent elles topent là et malgré un peu d’appréhension sont prêtres à essayer des choses nouvelles. La première soirée poker est annoncée. Martine est invitée avec ses deux esclaves. Laurent trépigne d’impatience de la connaitre. Lorsque martine arrive il est ravi de voir que les filles sont splendides. Il les amène dans la cuisine et elles sont rapidement habillées en soubrette. Aude n’étant pas là elles seront accompagnées de Gisèle qui leur expliquera par geste le travail. Les deux filles font un effet bœuf lorsqu’elles pénètrent dans le salon poker. Les invités sont ravis de voir de la nouveauté et les deux filles sont excitées de se voir ainsi exhibées devant plein d’inconnus. Lorsque Laurent les positionne à genou sur un gode mécanique il n’a pas besoin de lubrifiant. Les filles sont déjà chaudes et il en fait la remarque à martine qui est toute fière. Une fois appelées pour servir les convives les filles s’en donnent à cœur joie et apprécient les caresses intimes qui leur sont faites lorsqu’elles passent à côté des joueurs hommes comme femmes. Ensuite lors de la pose elles montrent que sans bâillon elles sont expertes pour satisfaire autant les hommes que les femmes. Martine est fière de ses pouliches. Laurent qui a bien essayé les deux filles est aux anges. Elles sont belles, elles sont très obéissantes et se déplacent et sucent comme des reines. Martine est heureuse de leur avoir appris à se déplacer de façon provocante « involontaire ». A la fin de la soirée l’accord est conclu. Laurent et martine vont inviter les hôtes susceptibles de les faire entrer dans le club et Anna et Vanessa feront les esclaves. Martine remarque alors qu’elle n’a pas vu Maëva de la soirée ni aux préparatifs ni pendant la partie. Elle en fait la remarque à Laurent. Celui-ci tout souriant lui répond que Maëva a fait une petite crise de jalousie envers les filles et qu’elle a été remise à sa place dans les WC. Martine ne comprend pas tout. Va dans les toilettes lui dit Laurent. Tu en profiteras pour la libérer si tu veux. Martine se rend dans les toilettes et là elle voit à côté des WC Maëva à genou les mains liées dans le dos un énorme gode en fonctionnement ainsi qu’un vibro masseur collé sur son clitoris. Elle a un masque aveuglant et un écarteur de bouche. Sa tête est bloquée dans un espèce de carcan et elle a la tête légèrement relevée. A son cou pend un écriteau. Urinoir ou fellation j’accepte tout. Martine comprend que pendant toute la soirée Maeva a attendu patiemment les bites qui venaient se faire sucer ou pisser voire les deux pour certains. Elle se souviendra de cette soirée. Amusée elle hésite à libérer Maëva. Puis finalement elle écarte les jambes et se fait brouter le minou par une Maëva incapable de voir qui profite de ses talents. Maeva sera libérée bien plus tard dans la soirée. Les hôtes VIP ont acceptés l’invitation. Afin de les mettre à l’aise Laurent a limité le nombre d’invités. Martine et les filles sont prêtes toutes excitées de voir qui sont ses inconnus pouvant leur permettre de rencontrer un monde nouveau. Ce coup-ci les filles ne feront pas les soubrettes mais seront nues menottées dans le dos et se tiendront derrière martine et Laurent comme le veut le protocole tel que l’a expliqué le dénommé Victor. Maeva revenue en grâce sera la soubrette avec Gisèle et Aude. Lorsque les invités pénètrent dans le salon martine, Anna et Vanessa ont la surprise de reconnaitre morgane qui accompagne un black Barraqué. Elles sont dubitatives car Morgane est un peu à l’origine de la brouille entre martine et les deux filles. Morgane ne fait aucun signe montrant qu’elle les a reconnues. Elle se tient de façon royale et d’elle comme du black émane une autorité incroyable. Deux hommes se tiennent derrière eux ils sont en tenue comme les filles avec une cage de chasteté en plus. Les salutations sont faites. Victor regarde les filles avec de yeux de fauve. Elles sont extrêmement impressionnées. Morgane toise martine du regard mais reste à peu près courtoise. La soirée avance. Morgane et Victor essayent et testent la docilité et l’obéissance des filles. Ces dernières jouent le jeu même si ça ne prend pas la direction qu’elle pensait. Finalement Victor et morgane acceptent de parrainer Laurent et martine mais ils posent une condition préalable. Il faut que Laurent et martine leur prêtent les filles pendant un weekend.
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Par : le 20/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 31 l’échec de Maeva. Extrait ; » Les garçons font coucher les femmes sur le ventre sur le lit et leur fourrent un plug annal vibrant à télécommande de bonne taille. Ça ne présage rien de bon….Les garçons installent un plateau identique à Gisèle. Ils expliquent aux filles que pour charger le plateau elles devront se débrouiller ensembles. Et il mime le geste de remplir un plateau avec les mains dans le dos… » Maëva a fait transformer une pièce au sous-sol de sa maison en donjon. Elle a donné comme explication la vengeance qu’elle voulait obtenir sur martine et elle est arrivée à ses fins. Mais le but principal de ce donjon c’était de soumettre petit à petit son mari Laurent. Afin d’y aller progressivement elle lui a proposé de jouer ensembles en tenant le rôle du dominant chacun son tour. Laurent à qui les quelque jours passés à dresser martine ont laissé un souvenir génial n’est pas contre et entre complétement dans le jeu. Ils commencent ainsi un innocent jeu de bondage et domination au début très soft puis de plus en plus hard. Maëva a sa grande surprise aime autant être dominée que le contraire. Laurent est particulièrement ingénieux et elle finit toujours les séances ou elle est dominée en feu après des orgasmes mémorables. Maintenant contrairement au plan initial de Maeva c’est presque toujours elle qui est dominée. Mais elle kiffe trop ça pour imposer plus d’équilibre. Deux mois plus tard elle doit l’admettre. C’est toujours elle qui subit. Et elle voit que Laurent prend particulièrement son pied. Elle décide de prendre sur elle et de renverser la vapeur. Elle prévient Laurent qu’elle veut reprendre un peu la main et cesser pendant quelque temps d’être la soumise. Il réfléchit et accepte à la condition qu’il joue encore une fois le rôle de dominant avant d’échanger. Elle accepte. Laurent commence par l’attacher dans le donjon. En quelques minutes elle se retrouve debout, les jambes écartées au maximum par une barre d’écartement, les bras liés dans le dos et accrochée à une poulie au plafond ce qui la force à se pencher en avant. Elle a le torse à l’horizontale. Il lui met un écarteur de mâchoire et un masque aveuglant. C’est classique et elle trouve qu’il n’a pas fait preuve d’imagination. Mais elle n’est pas au bout des surprises qu’il a concoctées. Il lui annonce qu’offerte comme elle est, il serait dommage de ne pas en faire profiter un ami. Elle pense qu’il plaisante mais ça la chauffe quand même au fond d’elle-même. Puis un sexe dressé se présente à sa bouche et force sans difficulté l’entrée, l’écarteur obligeant Maeva à garder la bouche béante. Elle fait de son mieux pour faire une bonne fellation en imaginant qu’il s’agit d’un étranger. Une paire de mains attrape sa croupe. Et aussitôt elle sent une queue pénétrer sa chatte en force et alors qu’une autre paire de mains lui attrape les seins. Ce coup-ci c’est sur Laurent n‘est pas seul. Elle panique un peu. Elle ne peut rien voir et le deuxième homme ne dit pas un mot. Ils la besognent puissamment et elle s’abandonne à la jouissance en se demandant qui ça peut bien être. Après qu’ils se soient répandus en elle ils ne la détachent pas. Elle sent qu’ils quittent la pièce. Plus tard alors que les crampes commencent à la travailler elle entend des bruits de pas. Lurent lui annonce qu’un bon whisky remet en forme et que son compagnon en redemande. Elle est de nouveau prise en sandwich. Une légère différence d’odeur lui fait comprendre qu’ils ont échangé les places. Quand Laurent la détache enfin il est seul. Elle demande avec une colère feinte qui était la deuxième personne il lui répond qu’il fera partie de invités à la soirée poker prévu à la maison ce soir-là. Il ajoute que si elle ne le reconnait pas la prochaine fois il y aura plus de monde. Ça l’affole et en même temps ça l’excite profondément. Etre prise par un inconnu l’a déjà beaucoup allumée mais par plusieurs elle a du mal à l’imaginer. Ce soir elle est l’hôtesse des quatre amis de Laurent qui sont venus jouer. Elle cherche dans les attitudes ou regards celui qui l’a embroché plus tôt dans la journée mais ils ont tous l’air de la regarder avec un œil égrillard et elle les imagine tous en train de la posséder. Une fois les invités partis Laurent demande à Maeva si elle a reconnu son amant inconnu. Elle répond par la négative. Il lui dit alors que le lendemain elle devra repasser par la case donjon pour essayer de faire un effort pour reconnaitre le prochain invité. Elle veut refuser mais l’excitation et toujours là et elle accepte le challenge. Le lendemain elle est dans la même position et Laurent lui annonce qu’ils ont de la visite. Elle attend avec impatience et est vite comblée. Une bite dans la bouche et une dans le cul. Elle kiffe quand elle entend la voix de Laurent qui vient de l’autre bout de la pièce. Je vous avais bien dit qu’elle était docile et qu’elle était fait pour s’enfourner plusieurs queues en même temps. Maeva a un sursaut ils sont au moins deux en plus de Laurent. Elle veut ruer mais elle ne peut pas bouger et fini par se laisser fourrer. Tant qu’à faire autant profiter de ses bonnes queues. Lorsque Laurent vient enfin la détacher elle est incapable de mettre des noms sur les queues avec qui elle a fait connaissance. Il lui dit alors qu’elle aura un gage pour la prochaine soirée poker. Elle est interdite. Qu’à t-il inventé. En même temps elle est impatiente d’être à cette soirée. Le jour arrive et Laurent lui dit d’aller se mettre en tenue pour accueillir ses invités. Elle est étonnée car elle est déjà correctement habillée. Il lui précise que sa tenue est sur le lit. Curieuse elle va voir la tenue sur le lit. Il s’agit d’une tenue de soubrette très sexy en bas une mini jupette avec un tablier riquiqui et en haut une espèce de body avec balconnets qui soutient le bas de seins tout en laissant ceux-ci visibles. Un porte jarretelles et des bas assortis et enfin une petite coiffe mignonne. Elle ne trouve pas de sous-vêtements. Par défi elle met la tenue et va voir Laurent en lui disant qu’il manque les sous-vêtements. Heureusement elle en a qui iront bien avec la tenue et elle lui dit que cette tenue doit plutôt être réservée à des jeux entre eux deux. Il l’attire vers lui et lui dit de se retourner. Elle le fait volontiers pour montrer ses belles fesses. Il en profite pour lui passer les menottes dans le dos. Elle se retourne étonnée mais il lui dit qu’elle n’a pas besoin de sous-vêtements car ses amis connaissent tous son intimité profondément. Elle est interloquée et veut râler. Il lui insère de force un bâillon boule dans la bouche la réduisant au silence. Elle est à la fois en colère et à la fois complétement émoustillée. Il lui montre alors un plateau de service. Ce plateau dispose d’une espèce de sangle qui sert à ceinturer le plateau sur la taille et une chainette qui passée autour du cou de Maëva relie les deux coté du plateau gardant celui-ci horizontal. Tu pourras nous servir les rafraichissements comme ça lui dit-il. Elle commence à se poser des questions. Il a vraiment l’air sérieux. Pourtant elle ne veut pas être exhibée ainsi devant les amis de poker de Laurent elle en connait certains mais deux d’entre eux lui sont complétement inconnus. Comment pourraient-ils avoir participé aux jeux sexuels de Laurent et Maëva. La sonnerie de l’entrée retentit. Laurent va ouvrir et revient dans la chambre avec son ami Maurice et sa femme Gisèle. Maeva ne sait pas ou se mettre elle est exposée plus que nue devant ce couple d’ami. Puis elle remarque que Gisèle est enveloppée dans un grand manteau qui la couvre des pieds au cou. Maurice enlève alors le manteau et elle constate que Gisèle porte la même tenue qu’elle en dehors du bâillon. Elles sont magnifiques déclare Maurice en mettant les deux jeunes femmes l’une à côté de l’autre. Gisèle est un peu plus potelée que Maëva mais elle possède des fesses magnifiques et se poitrine opulente couleur de lait doit donner beaucoup de plaisir à son homme. Bon il ne nous reste plus beaucoup de temps dit Laurent. Gisèle n’a pas desserré la bouche mais fait un petit sourire contrit à Maëva. Elles sont dans la même galère. Les garçons font coucher les femmes sur le ventre sur le lit et leur fourrent un plug annal vibrant à télécommande de bonne taille. Ça ne présage rien de bon. Ils les relèvent et leur mettent un écarteur de bouche après avoir ôté le bâillon de Maëva. Elle n’ose pas râler devant giselle qui a l’air d’accepter son sort. Quand on aura besoin de quelques choses on vous appellera comme ça dit Maurice en actionnant les télécommandes. Le plug s’ébranle et Maëva ressent de puissantes vibrations dans le bas ventre. Oups ça risque d’être dur car en quelques secondes les vibrations font monter une grosse chaleur du tréfonds de Maëva. Elle voit la tête de Gisèle et se dit qu’elle aussi est sensible aux vibrations. Les garçons installent un plateau identique à Gisèle. Ils expliquent aux filles que pour charger le plateau elles devront se débrouiller ensembles. Et il mime le geste de remplir un plateau avec les mains dans le dos. La sonnette retentit. Les garçons emmènent les filles dans la cuisine et vont ouvrir la porte d’entrée. Laurent installe les trois autres participants dans le salon ou une table de jeu les attend. Ils tirent au sort les places et s’installent tranquillement. Le jeu peut commencer. Après quelques minutes Laurent demande aux invités s’ils veulent boire ou manger quelque chose. Tout le monde est d’accord pour une coupe de champagne. Laurent et Maurice montrent leurs télécommandes aux autres et les actionnent. Maeva et Gisèle qui se regardent un peu apeurées ressentent soudain simultanément les vibrations. Elles se regardent et Gisèle fait le premier pas vers la sortie de la cuisine. Elles entrent dans le salon ou elles font un effet bœuf. Les loups de Tex Avery seraient jaloux des réactions des convives qui s’en mettent plein les yeux. Du champagne pour tout le monde ordonne Laurent. Les filles retournent dans la cuisine et ouvrent le frigo. Plusieurs bouteilles sont dedans dont deux ouvertes. Laurent avait prévu le coup. Elles réussissent en s’aidant mutuellement à remplir de coupes et à les installer sur les plateaux. Puis elles se dirigent vers le salon. Elles font de nouveau de l’effet en entrant. Maeva a du mal à en convenir mais ça l’excite au plus haut point. Elles font le tour de la table chacune de son côté. Maurice dit aux invités elles sont à votre disposition vous pouvez toucher. Au passage de Maëva des mains lui flattent la croupe. Elle en ressent une délicieuse chaleur. Laurent et Maurice leur montrent chacun un coin de la pièce et elles s’y mettent attendant les nouveaux ordres. Plusieurs fois elles sont mises à contribution. Elles arrivent même à rire entre elles lorsqu’elles doivent taire des clubs sandwichs à l’aveugle avec les mains dans le dos. Vers la fin, de la soirée Laurent et Maurice viennent dans la cuisine féliciter les filles pour leur service. Ils ôtent les plateaux et leurs disent maintenant on va faire un jeu avec tout le monde. On va décerner le prix de la meilleure suceuse. Ne nous décevez pas ou la nuit sera pénible. Gisèle et Maëva se regardent interdites mais elles n’ont pas le temps de réfléchir que déjà Maurice et Laurent les entrainent dans le salon. Ils les font mettre à quatre pattes et les forcent à passer sous la table. Là elles peuvent voir que tout le monde s’est débraguetté et que les chibres sont plus ou moins raidis. Elles se regardent et ont un fou rire. Il y en a des grosses et de moins grosses des longues et des courtes. Puis ensemble elles commencent à pomper. Maeva a les mâchoires douloureuses à force d’être écartées mais elle fait au mieux avec sa langue. Gisèle semble absorbée par sa tâche. Soudain Laurent et Maurice ajoutent du piquant en activant les plugs. Les filles redoublent de travail mais elles sont de temps en temps fauchées par un orgasme. Enfin elles ont vidé les couilles de tous les garçons car les chibres sont maintenant au repos. Maëva a l’impression que certains ont remis le couvert pendant qu’elles s’occupaient des autres. Laurent et Maurice sortent les filles de sous la table et les remmène dans la cuisine après qu’elles aient été déclarées ex aequo. Ils les libèrent ôtent les écarteurs et les ramènent dans le salon. Elles ont un petit sourire en voyant l’air heureux des invités. Ceux-ci les féliciteront pour la magnifique soirée qu’elles leur ont fait passer au moment du départ. Laurent et Maurice laissent alors les deux filles seules un moment dans la cuisine. Elles parlent alors du cheminement qu’elles ont pris pour en arriver là et s’aperçoivent que c’est quasiment le même parcours. Laurent et Maurice avaient dû se concerter pour ça. Gisèle lui avoue que ça la fait kiffer grave et Maëva ne peut que lui dire qu’il en est de même pour elle. Gisèle lui dit que la prochaine soirée poker devrait avoir lieu chez elle. Maeva lui dit qu’elle pourra compter sur elle pour ne pas la laisser seule. Cette nuit-là Laurent est particulièrement doux avec Maëva. Elle espère que ce moment de douceur ne durera pas et qu’il trouvera qu’autres challenges pour elle. Elle a définitivement renoncé à dresser Laurent. Elle a trouvé bien mieux. Laurent a décidé de continuer l’éducation sexuelle de Maëva. Ce jour-là elle attend nue à genoux une nouvelle surprise. Elle est dos à la porte du donjon dans lequel elle passe de plus en plus de temps. La porte s’ouvre mais elle n’a pas le droit de se retourner. Elle entend des pas s’approcher. Elle essaye de compter pour voir s’il y a plusieurs personnes. Une main lui caresse le cou. Elle frissonne. Quelqu’un passe devant elle et elle reconnait un des amis de Laurent. La main sur son cou continue à la caresser. La main est douce et commence à descendre vers ses seins. Elle soupire d’impatience d’être pétrie. Elle sent que le propriétaire des mains la contourne elle va voir qui est cet homme aux mains si douces. A sa grande surprise c’est une femme très jolie et très jeune qui la regarde avec une certaine timidité dans le regard. L’ami de Laurent se recule et la femme se met à genoux face à Maëva. Elle lui embrasse les seins. Maëva est surprise par la douceur du baiser. L’ami de Laurent lui fait signe de participer. Elle caresse la tête de la jeune femme qui frissonne à son contact. Peu à peu elles se caressent de plus en plus intimement. L’ami de Laurent impassible observe le manège. La jeune femme fait relever Maëva et elle qui est restée à genoux embrasse le sexe de Maëva. Ça ne l’étonnerait pas que ce soit la première fois pour sa voisine. Petit à petit les deux femmes se Lâchent et finissent par oublier l’homme. Celui-ci se rappelle à elle en les menottant les mains dans le dos. Elles sont à genoux toutes les deux. Du bruit se fait entendre et Laurent entre dans la pièce. Il approche des deux femmes qui sont de nouveau à genou et sort son membre qui est bien érigé. L’une après l’autre elles le sucent. Laurent se retire et les attire jusqu’au lit et les fait monter sur le lit. Elles sont à genoux sur le lit attendant qu’il décide quoi faire. Il prend la jeune femme en levrette et indique à Maëva de se mettre allongée les jambes écartées au niveau du visage de la jeune femme. Celle-ci embrasse le sexe de Maëva tout en étant fourrée par Laurent. Puis Laurent les fait inverser les positions. Maeva n’a pas l’habitude de brouter une femme mais elle est bien excitée par la situation et la jeune femme lui plait. L’ami de Laurent observe toujours. Laurent se retire et les mets toutes les deux face à lui pour une fellation alternée. Il finit par gicler et les deux femmes sont aspergées. Il leur fait comprendre de se lécher pour avaler les gouttes de sperme. Ce qu’elles font sans déplaisir. Laurent quitte le lit et les laisse à genou. L’autre homme se déshabille enfin. Laurent revient avec deux godes ceintures qu’il pose sur Maeva et la jeune femme. Il donne une paire de menottes à Maeva et lui montre l’homme qui se retourne et présente ses poignets. Maëva va attacher les poignets de l’homme dans le dos. Il monte sur le lit et se met à genoux. La jeune femme se penche pour lui faire une fellation. Pendant ce temps Maëva passe derrière lui et l’embroche avec le gode. Il est résistant à la fellation et bientôt Maeva et la jeune femme échangent les places. Elle se retrouve à sucer l’homme pendant que la jeune femme le travaille avec le gode. Maeva voudrait que ça se conclue et pince les seins de l’homme . Il réagit aussitôt et son sexe se durci un peu plus dans la bouche de Maëva. La jeune femme voit l’effet et de son côté elle serre entre les mains les couilles de l’homme. Ruades. Ce coup-ci il a l’air de prendre son pied. Maeva pince plus fort les tétons et la jeune femme presse littéralement les couilles. L’homme se cabre et décharge dans la bouche de Maëva. L’homme se retire et Maeva et la jeune femme se retrouvent seules sur le lit. Je m’appelle Aude dit la jeune femme. Et moi c’est Maëva répond celle-ci. Très heureuse de te connaitre. L’intermède avec le couple bizarre n’a pas été totalement cool pour Maëva. D’autres visites se succèdent. Une d’entre elle est inoubliable pour Maeva. Laurent l’a attachée au piton situé au plafond elle a les bras tendu vers le haut et doit se tenir sur la pointe des pieds. Un homme masqué entre dans la pièce. Elle ne le reconnait pas. Il lui met un bâillon boule. Elle se dit qu’elle ne pourra pas le sucer. Il prend une petite cravache et se met méticuleusement à la cravacher pas trop fort pour ne pas l‘abimer mais les coups sont portés avec suffisamment de puissance pour qu’elle sursaute. Il la cravache ainsi longtemps s’assurant de ne pas oublier un centimètre carré de son corps. Au début elle résiste mais peu à peu elle est obligée de crier dans son bâillon et les larmes coulent sur son visage. Il n’en tient pas cure et continue sa besogne. Maintenant une douleur brulante couvre tout son corps elle n’en peut plus et se laisse pendre au bout de ses bras n’ayant plus la force de se tenir debout. Il arrête enfin et la détache elle pleure et se laisse faire il la porte jusqu’au lit ou il la couche. Elle se laisse faire n’ayant plus aucune force. Il la couche sur le dos et la pénètre vigoureusement. La douleur fait place à une chaleur qui vient du creux de ses reins. Elle a l’impression qu’elle n’a plus mal et elle se laisse emporter par une jouissance inconnue. Il se retire après avoir joui mais reste à côté d’elle dans le lit. Elle est la première surprise en se blottissant contre lui le plus près possible alors qu’il a été son pire bourreau. Maintenant les soirées poker se multiplient. La jeune Aude rejoint Gisèle et Maëva et elles servent durant les soirées. Elles n’ont plus besoin de l’écarteur car elles sont bien soumises. Lorsqu’elles sont seules en cuisine en attendant qu’on les appelle elles rient entre elles. Un soir Laurent les surprend à rire et désormais elles sont punies. Elles passent les soirées à genou dans le salon empalées sur des godes motorisés. Comme elles sont bâillonnées elles ne peuvent plus se parler. Il va sans dire que les bâillons sont ôtés pour les fellations qu’elles ne manquent pas de prodiguer. A la grande surprise de Maeva des femmes viennent maintenant jouer au poker et un soir elle voit une véritable amazone accompagnée d’un black Barraqué qui viennent participer à la soirée poker. Ils ont avec eux deux garçons qui se retrouvent vite nus menottés et debout derrière l’amazone. C’est la première fois que Maëva voit des cages de chasteté. Elle se dit que c’est dommage car les garçons ont l’air bien pourvus. Néanmoins la grand amazone la gêne et elle a l’impression que leurs petites soirées finalement sympas vont pâtir de ces nouveaux arrivants.
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Par : le 20/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 30 Nadia est vendue. Extrait « …Elle attache les quatre membres de Nadia aux pieds de la table en écartant au maximum les jambes. Elle a un vue imprenable sur le sexe offerte de Nadia et sur le plug qui lui orne toujours le cul. Elle commence à caresser rudement le corps d’ébène qui la séduit tant. Puis elle voit que Nadia n’est pas indifférente et elle approche son visage du sexe de Nadia. L’odeur musquée lui tourne la tête et elle plonge la langue dedans et lèche goulument. Nadia se cambre et halète ce qui renforce l’extase de Cloé. Le sexe est parfaitement épilé et semble fait pour être léché par elle. Elle est totalement excitée. Elle se relève et va détacher jean de la croix. Elle lui mes de menottes dans le dos et enlève la cage de chasteté. Jean qui voit les ébats depuis le début trique carrément… » Quelques temps plus tard une convocation arrive. Ils se rendent chez morgane. Morgane trône dans son canapé avec ses deux esclaves nues à ses pieds. Elles sont à genoux couvertes de chaines. Dans une position de soumission totale. Elles ont dû prendre cher avec morgane qui affiche un masque de sévérité absolue. Noémie n’aimerait pas être à leur place. Morgane prend la parole. Bon je n’ai pas envie de m’occuper de deux esclaves en même temps. Ça risque de m’énerver et lorsque je suis énervée je suis particulièrement mauvaise avec mes victimes. Nadia et la catcheuse font une tête d’enterrement. J’ai décidé de te vendre Nadia. Tu as intérêt à être particulièrement une bon esclave avec l’acheteuse c’est ta chance d’éviter le plug géant que je t’ai promis. Soit totalement soumise et montre toi sous ton meilleur jour. Nadia est terrorisée. Le gros plug risque de lui défoncer le cul sérieusement et elle craint ça par-dessus tout. En plus les sévices que lui a infligé morgane vont en grandissant et elle en a peur. L’acheteuse éventuelle entre. Noémie a la surprise de voir que c’est Cloé la fameuse acheteuse. Cloé la reconnait mais ne la calcule pas. Il faut dire que la position de Noémie nue derrière morgane n’est pas des plus intéressantes. Cloé salue morgane ne jette pas un œil aux esclaves et lui dit qu’est-ce que tu veux me vendre. Morgane répond celle-ci et elle montre Nadia. Nadia montre qui tu es à Cloé. Nadia avance vers Cloé sur les genoux. Elle lui embrasse les pieds avec ferveur. Cloé lui dit lève-toi et montre-moi si tu vaux le coup. Nadia se lève met les mains dans le dos et s’arque pour faire ressortir sa poitrine. Cloé lui fait un geste et Nadia se retourne montrant son cul bien cambré. Cloé lui tend la main et Nadia embrasse goulument les mains de Cloé. Effectivement elle est pas mal et à peu près éduquée. Je pourrais peut être en faire quelque chose dit Cloé. Le prix est abordé. Nadia souffle en elle-même elle va peut-être échapper au plug et Cloé a l’air sévère mais humaine. Au moment de conclure Cloé dit à morgane. Je veux ces deux-là aussi c’est les trois ou rien. Noémie devient pale. Elle esclave de Cloé et montrée à tous ses ex amis comme une esclave. C’est difficile à admettre. Néanmoins elle n‘est pas en position de refuser. Morgane donne un prix pour le lot et Cloé tope. Tu me les fais livrer demain dit-elle à morgane. Le lendemain Nadia Noémie et jean voyagent nus dans le SUV de Victor. Ils sont enchainé ensemble et pour bien faire il sont bâillonnés et munis d’un plug de bonne taille dans le derrière. Ils sont escortés par morgane jusqu’au salon où ils sont séparés. Noémie et jean d’un côté Nadia de l’autre. Cloé arrive aussitôt Nadia poussée par morgane se jette aux pieds de Cloé et les embrasse avec ferveur. Celle-ci lui ôte son collier et en met un nouveau en cuir et métal qui se cadenasse. Elle fait pareil avec Noémie et jean. Morgane et Cloé se saluent. Et morgane quitte la propriété. Cloé dit à Nadia Noémie et jean. Maintenant vous allez être des petits esclaves bien dociles. Je n’admettrais aucun écart ou vous goutterez du fouet. Nadia continue à embrasser les pieds de Cloé. Noémie veut préciser qu’elle et jean ne sont pas vraiment des esclaves mais juste des soumis à temps partiel. Cloé la regarde. Je ne t’ai pas autorisée à parler. Tu es mon esclave à vie et je fais de toi ce que je veux. Noémie va pour plaider sa cause auprès de Cloé afin de dissiper le malentendu. Elle veut parler mais une puissante décharge électrique venant du collier la secoue et elle se retrouve par terre sonnée. Jean veut aller la relever mais il est aussi victime d’une puissante décharge. Ils sont tous les deux hébétés. Pas besoin que je vous explique le fonctionnement de votre collier d’esclave. Comme vous vous êtes rebellés vous devez être punis. Nadia attache les à la croix. Nadia se relevé et s’empresse de les attacher écartelés sur la croix. Vous passerez le reste de la journée et peut être la nuit ici dit Cloé. Noémie et jean sont dos à dos et ne se voient pas. Ils commencent à flipper car Cloé n’a pas l’air jouasse. Nadia a regagné sa position au pied de Cloé. Celle-ci lui dit fais-moi voir si tu sais faire jouir une femme avec ta bouche. En parlant elle s’assoit sur le canapé et remonte sa jupe. Elle n’a pas de culotte. Nadia se met à genoux au pied de Cloé et commence à la brouter. Visiblement elle sait s’y prendre car Cloé se tord de jouissance. Cloé apprécie la langue experte de Nadia. Le corps de cette dernière la fascine. Elle ordonne à Nadia de se coucher sur le dos sur la table du salon ce que cette dernière fait avec célérité. Ceci plait un maximum à Cloé. Elle attache les quatre membres de Nadia aux pieds de la table en écartant au maximum les jambes. Elle a une vue imprenable sur le sexe offerte de Nadia et sur le plug qui lui orne toujours le cul. Elle commence à caresser rudement le corps d’ébène qui la séduit tant. Puis elle voit que Nadia n’est pas indifférente et elle approche son visage du sexe de Nadia. L’odeur musquée lui tourne la tête et elle plonge la langue dedans et lèche goulument. Nadia se cambre et halète ce qui renforce l’extase de Cloé. Le sexe est parfaitement épilé et semble fait pour être léché par elle. Elle est totalement excitée. Elle se relève et va détacher jean de la croix. Elle lui met des menottes dans le dos et enlève la cage de chasteté. Jean qui voit les ébats depuis le début trique carrément. Cloé se remet à embrasser goulument le sexe de Nadia et montre le chemin à jean celui-ci ne se fait pas prier et embroche Cloé. Celle-ci est carrément excitée elle fait libérer Noémie qui doit s’allonger sous Cloé et lui brouter le sexe en même temps que jean la fourre et qu’elle bouffe le sexe de Nadia. Des halètements rompent la sérénité du salon les quatre occupants sont concentrés sur leurs jouissances. Cloé est plus que comblée et pense qu’elle va passer du bon temps avec son esclave si envoutante. Dans un coin de sa tête Nadia reprend espoir elle entrevoit une faiblesse dans Cloé. Faiblesse à exploiter. Cette nuit-là Nadia dort dans le lit de Cloé elle est attachée en travers du lit et sert d’oreiller à Cloé. Noémie et jean passent la nuit sur la croix. Le lendemain Noémie et jean sont fixés sur leur sort. Ils seront les larbins de la maison. Cloé leur met une cagoule qui les rend anonymes. Ils ont les mains et les pieds munis de bracelets et une chaine joint les mains laissant une petite amplitude de mouvement. Les chevilles sont aussi reliées par une chaine qui ne permet que de faire des tous petits pas. Ils doivent composer avec. Nadia est debout au milieu du salon ses mains sont menottées et accrochées via une chaine à un piton au plafond. Une barre d’écartement l’oblige à avoir les jambes bien ouvertes. Cloé observe Nadia et feuillette des catalogues de lingerie SM. Elle trouve que le rouge devrait s’accorder à merveille avec le corps d’ébène. Il faut qu’elle trouve une tenue de soumission très sexy afin de pouvoir exhiber son esclave devant les invités en en faisant bander les hommes et mouiller le femmes. Elle finit par opter pour un corset en cuir soulignant les seins, une paire de cuissardes assorties qui montent jusqu’à quelques centimètres du sexe et une paire de très longs gants toujours en cuir rouge. Elle choisit encore deux anneaux de seins rouges aussi reliés par une chainette et un plug vibrant à télécommande pour qu’elle garde la main sur le corps de Nadia. Comme Nadia a toujours la tête rasée une cagoule rouge complète la panoplie. Cloé est contente de ses choix et est impatiente de voir son jouet ainsi habillé. Noémie et jean ont pris leurs marques. Ils servent Cloé avec ardeur car ils craignent le fouet qu’elle manie avec adresse. Le matin ils doivent se présenter au pied du lit de Cloé à genou leurs cagoules mises et attendre qu’elle veuille bien se lever. Ensuite ils la lavent entièrement et selon les envies de Cloé lui prodiguer les caresses buccales qu’elle souhaite. Puis ils préparent le petit déjeuner et doivent assister à genou au petit déjeuner de Cloé. Enfin viennent les tâches ménagères. Ce matin-là le colis avec la tenue de Nadia est arrivé. Ils doivent aller la détacher du lit de Cloé la laver car elle a toujours les mains menottées dans le dos et l’habiller avec la nouvelle tenue. Le corset est suffisamment serré pour faire ressortir les formes de Nadia. Une fois habillée elle est splendide. Noémie se fait la réflexion que c’est plus une tenue de dominatrice que d’esclave mais les choix de Cloé ne sont pas négociables. Nadia est amenée au salon. Cloé attend avec impatience. Elle est émerveillée du résultat elle a envie de culbuter Nadia immédiatement mais elle doit se contenir avec regret afin de ne pas montrer de faiblesse via à vis de esclaves. Nadia voit que Cloé est époustouflée. Elle gonfle la poitrine et des cambre afin d’offrir un silhouette incroyable. Nadia sent qu’elle va bientôt avoir un rôle à jouer. Quelques jours plus tard Cloé reçoit des invités. Initiés ceux-ci ne sont pas étonnés de voir deux esclaves cagoulés les servir. Ils sont loin de se douter qu’il s’agit de leurs amis Noémie et Jean. L’attention des invités est monopolisée par la grande femme noire vêtue de rouge qui est debout derrière Cloé qui la tient en laisse. Les hommes ont du mal à dissimuler des érections monumentales et les femmes haïssent cette femme qui les rend complétement banales à côté d’elle. La journée se passe bien et Noémie et jean sont mis à contribution surtout lorsque Cloé dit aux invités qu’ils sont entièrement à leur disposition pour tout besoin. Noémie et jean sont plus souvent à quatre pattes que debout. La mystérieuse femme noire est exclusivement réservée à Cloé. Et les invités libèrent leurs frustrations sur Noémie et jean.
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Par : le 18/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 29 : Nadia tombe sur un os. Extrait « … Les attaques de Nadia terminent dans le vide. Puis maintenant morgane tourne autour de Nadia comme un chat avec une souris et peu à peu elle défait les attaches du harnais de Nadia qui pour finir se retrouve nue tuméfiée mais toujours debout. Puis visiblement morgane décide de porter l’hallali. Elle fait une clé à Nadia qui se retrouve couchée sur le ventre avec morgane assise sur elle. Morgane fait un geste vers le jury. Le juge lui apporte une tondeuse à batterie et elle tond la magnifique chevelure de Nadia. Une fois la tonte effectuée elle demande à Nadia si elle se soumet. Celle-ci hésite mais morgane lui saisit les tétons et les pinces terriblement. Nadia hoquète pleure et admet sa défaite… » Noémie et jean ont reçu une convocation pour une soirée poker. Lorsqu’ils arrivent chez Nadia et Victor ils sont accueillis par un Victor et surtout une Nadia beaucoup moins enjoués que d’habitude. On ressent une énorme tension et les préparations se font dans un silence inhabituel. Arrivés dans la grande salle, tels des chevaux de western ils sont accrochés à la barre de gymnastique comme d’habitude. La soirée commence. Ils sont réquisitionnés par des inconnus et sont mis à contribution pour des caresses buccales à des hommes et femmes qui les regardent avec une attention inhabituelle. A un moment la voix impérieuse retenti. Au lieu de marquer la pause la voix dit : mesdames messieurs le rang de GODESS a été mis cause par une maitresse qui défie l’actuelle tenante du titre de GODESS. Comme il est d’usage la GODESS en titre et sa chalengeuse vont se battre dans le ring pour un combat qui durera jusqu’à abandon de l’une des deux. La gagnante héritera du titre de GODESS et la perdante devra céder deux esclaves à la nouvelle maitresse et se soumettre intégralement à celle-ci sans limite de temps. Après le combat vous pourrez venir féliciter la gagnante qui sera sur le trône de GODESS jusqu’à la fin de la soirée. Un tonnerre d’applaudissement retentit. Noémie a soudain un doute. Ceci explique peut-être l’anxiété de Nadia. Victor vient les chercher jean et elle et ils sont amenés auprès du ring qu’ils n’avaient jamais vu jusque-là. Ils sont positionnés à côté d’un autre couple. Là où ils sont, ils peuvent voir le ring et seront aux premières loges pour voir les combattantes. Le speaker annonce l’arrivée de la GODESS. Et Noémie voit pénétrer sur le ring une Nadia en sueur, signe qu’elle s’est beaucoup échauffée. Elle est en string avec un harnais de cuir qui met en valeur ses formes. Puis sa chalengeuse est annoncée. Une certaine morgane. Noémie voit alors une très grand femme sculpturale, une vrai athlète, pénétrer dans le ring. Elle a aussi un harnais et est en string. Son opulente poitrine rend jalouse Noémie et hypnotise jean. Le combat commence. Au début ça semble équilibré. Nadia compense sa plus petite taille par une énergie farouche. Plusieurs fois elle arrive à donner de coups puissants à morgane mais celle-ci ne semble pas ressentir de douleur. Petit à petit Noémie constate que si le combat dure c’est parce que morgane a décidé de le faire durer. En effet maintenant à chaque attaque de Nadia elle lui donne un coup vicieux au visage ou sur les seins. Les attaques de Nadia terminent dans le vide. Puis maintenant morgane tourne autour de Nadia comme un chat avec une souris et peu à peu elle défait les attaches du harnais de Nadia qui pour finir se retrouve nue tuméfiée mais toujours debout. Puis visiblement morgane décide de porter l’hallali. Elle fait une clé à Nadia qui se retrouve couchée sur le ventre avec morgane assise sur elle. Morgane fait un geste vers le jury. Le juge lui apporte une tondeuse à batterie et elle tond la magnifique chevelure de Nadia. Une fois la tonte effectuée elle demande à Nadia si elle se soumet. Celle-ci hésite mais morgane lui saisit les tétons et les pince terriblement. Nadia hoquète pleure et admet sa défaite. Les choses s’emballent. Le public applaudit la nouvelle championne et Victor prend les laisses de Noémie et jean et les donne à une femme très musclée qui les montre à morgane. Celle-ci opine du chef. Quelques minutes plus tard morgane siège sur le nouveau trône et les gens défilent pour la féliciter. Nadia est couchée sous les pieds de morgane elle est enchainée avec des bracelets et un collier tout en fer. Son visage est tuméfié et les pointes de sein sont gonflés par les coups et irisées de couleur qui ne laisse aucun doute sur les sévices qu’ils ont subi. Jean et Noémie sont à genou aux pieds de la nouvelle GODESS. Ce soir-là ils repartiront avec leur nouvelle maitresse. Quelques jours plus tard ils reçoivent tune convocation de morgane. Bizarrement le lieu donné est l’adresse de Victor et Nadia. Lorsqu’ils arrivent ils ont la surprise de voir Victor et morgane les accueillir. Le couple de soumis les déshabille et les menottent les mains dans le dos. Ils sont amenés au salon ou apparait une nouvelle table. Il s’agit d’un plateau en verre qui repose sur une femme qui est à quatre pattes. Et sert de pieds à la table. Elle est black et porte une cagoule qui cache son visage. Noémie reconnait immédiatement Nadia. Victor n’a eu aucune compassion pour elle et file le parfait amour avec morgane. The winner takes all : pense Noémie. Nadia porte toujours son collier de fer et les bracelets du même métal aux poignets et chevilles. De lourdes chaines relient le collier à chaque bracelet. Ça doit être difficile à porter se dit Noémie mais elle n’a pas le temps d’y réfléchir plus longtemps. Avec jean elle est mise à contribution. Jean retrouve on job de suceur avec la bite de Victor qui fait comme si de rien n’était et Noémie apprend à brouter le minou de la sculpturale jeune femme. Après avoir fait connaissance de l’intimité de morgane Noémie est mise à contribution pour faire l’éducation de soumission de Nadia. Le plateau de la table est enlevé. Noémie peut voir que Nadia porte un plug annal et un gode est enfourné dans son sexe. Ses seins sont lestés de deux lourds anneaux de métal blanc qui tiennent avec de piercings. Noémie n’avait jamais remarque les piercings de Nadia. En avait-elle ? La chaine et les bracelets sont ôtés. Morgane montre un rouleau de déménageur à Noémie et jean. Les menottes sont enlevées et sur les consignes de morgane ils commencent à poser l’adhésif sur Nadia. Elle est couchée sur le dos et ses genoux sont pliés au maximum. Plusieurs tours d’adhésif sont fait à mi-cuisse et bloque les genoux de Nadia dans la position. Elle doit maintenant plier ses bras de la même façon. Des tours d’adhésif sont faits et désormais Nadia n’a plus la possibilité de déplier ses bras ou ses genoux. Elle est mise à quatre pattes par jean aidé de Noémie et désormais elle ressemble à un gros chien noir. Le plug est enlevé et à la place un énorme plug terminé par une imposante queue de cheval lui est enfoncé avec difficulté. Elle gémit mais la cagoule n’a pas de trou pour la bouche et ses cris son étouffés. Noémie met un collier et une laisse à Nadia. Puis celle-ci est promenée dans la pièce par morgane très enjouée. De petits coups de cravache aident Nadia à trotter à la vitesse souhaitée par morgane. La cagoule est enlevée. Nadia est ruisselante e de sueur la cagoule devait être insupportable. El est amenée aux pieds de morgane qui s’est remise sur le canapé. Puis Nadia doit consciencieusement lécher les pieds de morgane tandis que celle-ci suce Victor qui est debout face à elle. Au moment où Victor va jouir morgane se retire et fait mettre Nadia accroupie ce qu’elle fait avec beaucoup de difficultés. Jean et Noémie l’aident à tenir la position. Victor fourre alors sa bite dans la bouche de Nadia qui doit le terminer et bien tout avaler. Noémie est estomaquée de voir l’ex reine de la domination transformée en objet sexuel par celle qui lui a mis la correction du siècle. Tout ça sous le regard méprisant de Victor. Mais le calvaire de Nadia n’est pas terminé pour autant. Les adhésifs sont retirés et Nadia doit se tenir debout jambes et bras écartés. Le couple soumis de Victor et maintenant de morgane apporte une collection de plugs de tailles différentes. Noémie et jean doivent les enfoncer l’un après l’autre dans le cul de Nadia pour voir sa limite. Le premier a la taille d’une belle queue. Il rentre sans problème Le deuxième a la taille d’une très grosse bite. Il faut y aller avec patience mais millimètre par millimètre l’engin rentre. Le troisième est énorme Noémie doute de la possibilité de le mettre en place. Morgane regarde son air perplexe et lui dit. Si tu n’y arrives pas c’est moi qui te le mets. Tu verras que ça rentre. Noémie préfère que ce soit Nadia qui encaisse ce monstre. Elle la badigeonne de lubrifiant et en badigeonne abondamment le plug. Nadia n’en peut plus et pleure silencieusement. Petit à petit le monstre est inséré et lorsqu’enfin il se bloque dans le fondement de Nadia. Morgane félicite Noémie et jean. Il y a bien un quatrième plug mais il est invraisemblable qu’on puisse le mettre à Nadia. Morgane dit alors. Celui-là je veux qu’on lui mette dans un mois. D’ici là elle gardera en permanence celui qu’elle porte. Elle s’adresse à Nadia. Il va falloir que tu fasses des efforts ma petite esclave. Celle-ci a un regard suppliant vers morgane. Je n’ai pas entendu dit celle-ci en donnant un coup de cravache sur les seins de Nadia. Celle-ci s’empresse de dire oui maitresse morgane. Bien bien. Je crois que vu tes efforts je vais t’autoriser à dormir au pied de mon lit ce soir. Maintenant tu vas nous montrer que le plug te va bien fais le tour de la pièce à quatre pattes et surtout cambres toi bien qu’on voit ta croupe d’esclave. Nadia se met à quatre pattes et fait des tours dans la pièce. A chaque pas Noémie sent que le plug la gêne terriblement. A ce moment-là quelqu’un sonne à la porte. La soumise va ouvrir et le couple ami de Victor et Nadia que Noémie a déjà vu et subit entre accompagné de deux personnes nues tirées par une laisse. Noémie écarquille les yeux car devant elle Sidonie et Léon ont le même rôle qu’elle. Elle subodore que Brigitte a réussi à les inviter aussi. La semaine suivante la convocation poker arrive. Alors qu’elle est accrochée à la barre de gymnastique Noémie entend la voix qui annonce un nouveau défi pour la GODESS. Au moment du combat elle est amenée auprès du ring . Une nouvelle fois elle et jean sont mis en jeu. Morgane apparait sur le ring elle est magnifique. Une femme forte genre catcheuse se présente comme chalenger. Le combat commence. Cette fois le combat est beaucoup plus équilibré. Morgane se retrouve plusieurs fois au sol mais réussit toujours à se relever avant que la catcheuse se jette sur elle. Le combat dure et Noémie voir que morgane ne joue pas. Puis peu à peu la catcheuse donne des signes d’essoufflement. Elle est très lourde et déplacer sa masse doit demander beaucoup d’énergie. Morgane quant à elle est toujours aussi véloce. Le combat commence à basculer. Comme Nadia la combattante chalenger finit nue au milieu du ring et morgane la couche à terre et la bloque avec son poids la tondeuse est amenée. Quelques minutes plus tard morgane siège sur le trône avec à ses pieds Hilda la nouvelle vaincue et Nadia qui a été amenée pour rappeler le combat précédent de morgane. Elle est complétement soumise et porte le plug géant. L’autre vaincue porte un collier de fer et une chaine relie les colliers des deux esclaves que morgane a combattu. Deux personnes sont données à morgane il s’agit de deux garçons qui paraissent très jeunes mais surtout leurs cages de chasteté paraissent trop petites pour contenir leur sexe énorme par rapport à leur taille. Noémie se dit que l’appartement de Victor va rapidement être trop petit. Ce soir-là morgane est trop fatiguée pour faire quelque chose. Elle libère les deux couples en attendant la prochaine convocation. Ils se retrouvent tous les quatre et Noémie afin de faire plus ample connaissance invite les deux garçons chez elle. Une fois chez Noémie ils font connaissance. Les deux garçons qui ne se connaissaient pas ont fait connaissance de morgane par le biais de site de rencontre. Elle recherchait des hommes bien montés et après une période d’amour charnelle elle a peu à peu dominé les deux garçons qui presque sans prendre garde ce sont retrouvés un jour menottés et avec une cage de chasteté. Ils aiment trop morgane pour la quitter et acceptent leurs sort. D’hétéros purs et durs ils sont petit à petit devenus tout terrain. Morgane leur imposant tant de la chatte que de la bite. Noémie et jean racontent leur parcours. Pendant la conversation Noémie demande aux garçons si c’est morgane qui a les clés de leurs cages. Ils répondent par l’affirmative mais avec un grand sourire ils avouent qu’ils se sont tait un double des clés et qu’ils peuvent les enlever quand ils veulent. Devant l’air surpris de Noémie ils font la démonstration et deux queues énormes par rapport à la taille des garçons se dressent fièrement. Noémie leur demande si c’est elle ou jean qui leur fait cet effet-là. Les garçons disent que le couple leur plait. Presque en même temps Noémie et jean prennent une queue dans la main. Elles sont fermes et ne demandent qu’à être utilisées. Une double fellation commence. Pendant qu’ils se font sucer les garçons déshabillent Noémie et jean. Ceux-ci son bientôt nus sans savoir cessé de sucer. En même temps les garçons se retirent et retournent leurs suceurs pour les prendre par derrière. Noémie et jean sont aux anges. Ensuite les corps se mélangent de plus en plus. Noémie a juste le temps de libérer jean de sa cage. Quelques instants plus tard elle est pénétrée par trois queues en même temps et ne reconnait plus le propriétaire de chacune. Jean est servi. Il suce se fait sucer se fait enculer tout en suçant et en étant sucé. Les quatre se débrouillent bien et se coordonnent parfaitement. Les garçons jouissent presque en même temps. Noémie pour sa part est montée plusieurs fois au paradis. Elle pense que les trois garçons font particulièrement attention à son bonheur et elle en a presque les larmes aux yeux. Finalement ils se couchent à quatre dans le lit de Noémie et jean et plusieurs fois dans la nuit une étincelle remet le feu aux poudres. Les quatre jeunes gens passent une nuit formidable.
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Par : le 16/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 28 : un petit couple soumis. Extrait « … Le véhicule démarre. A peine sortis du parking Victor actionne un bouton et le ciel de toit se rétracte en laissant place à un grand toit en verre panoramique qui illumine toute la voiture. Puis Victor s’engage sur le périphérique. Les voitures roulent au ralenti. Soudain Noémie comprend le but du jeu. Ils frôlent les camions et les routiers ont une vue plongeante sur le couple nu bondé et offert à toute vue. Noémie comprend aussi la raison du loup car souvent avec les ralentissements les routiers peuvent prendre des photos avec leurs portables. Ils passent ainsi près d’une heure dans un concert de klaxon de routiers hilares à s’exhiber nus et bondés. Le pire c’est que petit à petit la situation commence à plaire à Noémie qui sourit aux routiers et commence sérieusement à mouiller … » Quelques jours plus tard Noémie et jean sont invités à une soirée poker par Nadia le samedi soir. Ayant repris leurs esprits ils ne répondent pas à l’invitation même si jean ne suit que mollement Noémie dans cette décision. Le samedi soir alors qu’ils sont tranquillement installés dans le salon la sonnerie de l’entrée retentit. Noémie va ouvrir. Ça doit être Sidonie qui avait promis de passer dans la soirée. Elle ouvre et tombe nez à nez avec Victor et le grand black de l’autre jour. Avant qu’elle ait pu dire quoi que ce soit le grand black lui met la main sur la bouche et la fait rentrer de force dans l’appartement. Un sac est mis sur sa tête et ses bras solidement retenus. Pendant ce temps Victor et Nadia entrent dans le salon ou jean est resté. Interdit il les voit se ruer sur lui et en quelques secondes il est aussi recouvert d’un sac et menotté. Ils sont tiré vers l’extérieur de l’appartement et poussés dans un véhicule, apparemment une camionnette, car ils entrent debout Puis ils sont couchés à même le plancher et le véhicule démarre. Quelques minutes plus tard ils sont descendus du véhicule et emmenés quelque part. Le sac sur leur tête est enlevé. Ils voient Victor et Nadia qui les remercient en riant de bien avoir voulu participer à la soirée poker. Ils sont visiblement dans une grande entrée Noémie veut crier mais une main puissante se pose sur sa bouche. Silence ma chérie ou tu vas souffrir. Elle se tait. Nadia lui et un collier de chien et Victor fait de même pour jean. Ils accrochent une laisse et leurs mettent un bâillon boule. Puis ils les tirent dans la maison ou l’appartement vers un très grand salon ou déjà plusieurs personnes sont installées. Elle reconnait le copain black de Victor et sa compagne. D’autres couples ou personnes seules discutent. Le point commun c’est qu’ils sont tous et toutes visiblement des dominants. Victor et Nadia les amènent jusqu’à un mur le long duquel est fixée une grande barre genre barre de gymnastique. Il y a plusieurs personnes hommes et femmes déjà positionnées face au mur et la laisse accrochée à la barre. Elle reconnait Brigitte. Elle et jean sont accrochés comme les autres et Nadia lui dit. : Si on a besoin de toi on viendra te chercher. Bâillonnée elle en peut pas discuter avec ses voisins mais elle voit que certains sont fatalistes, ils doivent avoir l’habitude, et d’autres comme elle plutôt en colère et effrayés. Elle entend les conversations puis une voix domine le brouhaha et dit. Les tables sont ouvertes le tournoi peut commencer. Un bruit de pas nombreux puis un certain silence s’installe. Le temps passe lentement. Elle se demande ce qu’elle fait là. Un de ses voisins est récupéré par un homme qui l’emmène avec lui. Puis d’autres. Puis s’est son tour. Victor vient la prendre et elle le suit dans la grande pièce. En fait c’est un tournoi de poker. Victor regagne ce qui semble être sa place et met Noémie à genou sous la table devant lui. Il lui ôte le bâillon et dirige sa tête vers son sexe qui commence à gonfler. Elle prend le sexe dans sa bouche et commence à le sucer. Aussitôt il devient dur et imposant elle a un mal fou à ouvrir suffisamment la bouche pour l’avaler. Il la fait ralentir et elle passe un temps infini à sucer cet homme qui joue tranquillement au poker. Au fur et à mesure de la fellation elle s’enivre de la puissante odeur de musc de Victor et apprécie la queue dure et douce en même temps qui palpite le long de sa langue. Pour sa part jean a été choisi par un inconnu qui le tire sans ménagement vers une table de poker. Il ne s’assoit pas mais se positionne derrière une femme qui est assise à la table elle se retourne et hoche la tête. Sans ménagement l’homme fait mettre jean à genoux et le positionne sous la table la bouche dans l’entrejambe de la femme qui porte une jupe et pas de sous-vêtements. Jean lèche la chatte en silence. Une voix trouble le silence. Mesdames messieurs on fait une pause de trente minutes. Victor se lève et l’entraine derrière lui. Il va à un bar ou un serveur et une serveuse nus servent des boissons aux joueurs. Victor boit une bière. il tient toujours la laisse et Noémie attend sagement derrière lui comme plusieurs autres prisonniers et prisonnières dont certains sont encore bâillonnés. Surement emmenés ici contre leur gré. Une fois la bière bue il l’entraine dans un couloir qui donne sur de nombreuses portes. Certaines sont fermées et d’autres entrouvertes. Il pénètre dans une pièce entrouverte. C’est une chambre avec un lit King size à l’intérieur. Il se couche sur le lit et sans effort apparent prend Noémie par la taille et la met à califourchon sur lui. Il la guide et elle s’empale sur le chibre énorme. Elle a l’impression qu’elle va éclater. Il lui dit de faire le job. Elle commence alors à le chevaucher lentement puis elle sent monter la chaleur de son bas ventre et elle accélère le rythme. Finalement elle explose en même temps que lui dans un orgasme mémorable. Pendant ce temps jean a été emmené directement dans une chambre. La femme se positionne sur le lit pour que jean à genoux continue à la brouter. Il n’est que peu étonné quand il sent que l’homme qui les accompagnait le sodomise sans ménagement. Plus tard une voix annonce la reprise de jeux dans 5 minutes. Victor se retire se lève et la ramène à la barre de gymnastique. Jean n’y est pas. Il apparait quelques secondes après elle avec un inconnu. Il le rattache mais presqu’aussitôt c’est le copain de Victor qui vient le récupérer. En regardant autour d’elle elle s’aperçoit que ceux qui sont encore bâillonnés ont pour la plupart des marques de fouet ou de cravache sur le corps. Visiblement il y a du dressage en cours pour certain. Durant la soirée elle sera réquisitionnée deux fois encore par un inconnu puis une femme. Elle commence connaitre les dessous des tables de poker. Visiblement le tournoi est fini. Victor et Nadia les récupèrent. Nadia est aux anges elle a bien gagné. Victor est moins loquace. Visiblement ça s’est moins bien passé pour lui. Ils sont remontés dans la camionnette et au lieu d’être ramenés chez eux ils sont emmenés dans une maison inconnue. Surement la demeure de Victor et Nadia. A leur arrivée un couple de jeunes gens nus et portant juste un collier et un micro tablier de soubrette s’empresse d’accueillir Nadia et Victor. Nadia emmène Noémie dans le salon et la détache. Elle la remercie de s’être bien conduite devant ses amis et lui fait servir un verre de champagne par la mignonne soubrette. Victor de son côté a emmené jean avec lui. Voyant le regard inquiet de Noémie Nadia la rassure. Il va passer sa frustration sur jean. Ne t’inquiète pas il prend soin de ses propriétés. Tard cette nuit-là Noémie est attachée écartelée sur un grand lit et Nadia, aidée de la petite soubrette, alterne les moments de douceurs avec des baisers des caresses et l’utilisation de toys partout où c’est possible avec les moments de dressage avec la cravache, les pincements de tétons et de sexe. Finalement Noémie rompue devra lécher Nadia qui la chevauche jusqu’à épuisement et elle s’endort la bouche collée au sexe de Nadia. Nadia voyant que Noémie dort se relève et va rejoindre Victor dans le salon. Ils se félicitent d’avoir rencontré ce petit couple si docile et se promettent de les éduquer en profondeur. Quelques jours plus tard Noémie reçoit une convocation de Nadia. Pas une invitation mais une convocation. Jean a reçu la même chose de Victor. Ils hésitent mais se rappellent la dernière invitation ils préfèrent obtempérer. Ils se rendent à la convocation. Nadia et Victor les saluent et les mettent immédiatement dans les mains du couple nu qui semble être 24/7 à leur service. Ils sont déshabillés et le jeune couple expert en la matière leur applique un magnifique bondage shibari avec une corde rouge pour Noémie et noire pour jean. Le shibari leur bloque les bras et les mains mais les jambes sont épargnées. Ils peuvent marcher à leur guise. Nadia vient inspecter le travail et dit très bien. Préparez-les pour une sortie. Aussitôt leur chaussures sont remises et ils sont enveloppés chacun d’un grand imperméable qui descend jusqu’aux chevilles. Ils ont l’air un peu ridicule dans cet accoutrement. Victor et Nadia mettent leurs propres manteaux et entrainent Noémie et jean vers la sortie. On va faire un tour en ville. Pendant près d’une heure ils déambulent dans les rues de la ville. Noémie a l’impression que tous les gens qu’ils croisent savent ce qu’elle cache sou l’imperméable. Elle est atrocement gênée. Victor et Nadia s’arrêtent à un café et s’assoient en terrasse. Ils prennent tout leur temps pour prendre leur café. Pendant ce temps mortifiés Noémie et jean font le pied de grue sur le trottoir. Enfin Nadia et Victor se relèvent et prennent la direction du jardin public de la ville. L’époque est peu propice aux sorties car il fait froid et une bruine permanente humidifie le corps. Noémie commence à cailler sous l’imperméable. Arrivés dans un coin peut fréquenté du parc Victor et Nadia ôtent l’imperméable de Noémie et jean qui se retrouvent nus bondés à la vue de tous. Heureusement il n’y pas grand monde dans le parc. Pendant un quart d’heure ils se promènent dans les allées du parc. Ils croisent quelques personnes qui les regardent avec stupéfaction. Noémie voudrait être une petite souris pour échapper aux regards des passants. Enfin les imperméables sont repositionnés et ils prennent la direction de la sortie du parc. Ils rentrent chez Nadia. En arrivant Noémie est bleue de froid. Le jeune couple dans l’appartement les prend en charge et leur fait prendre une douche très chaude après avoir ôté les cordes. En sortant de la douche Noémie et jean sont menottés dans le dos et amenés à Nadia et Victor. Vous vous êtes bien comportés cet après-midi. Vous pouvez prendre vos récompenses. En fait de récompense ils sont autorisée à sucer Victor et brouter Nadia. La semaine suivante ils reçoivent une nouvelle convocation. La séance commence comme la semaine précédente mais au lieu de sortir à pieds ils sont couchés à l’arrière d’un SUV dont les banquettes arrières sont repliées. Ils sont couchés sur le dos et rassurés car les vitres arrières du SUV sont fumées. Nadia leur met un loup sur le visage . Le véhicule démarre. A peine sortis du parking Victor actionne un bouton et le ciel de toit se rétracte en laissant place à un grand toit en verre qui illumine tout la voiture. Puis Victor s’engage sur le périphérique. Les voitures roulent au ralenti. Soudain Noémie comprend le but du jeu. Ils frôlent les camions et les routiers ont une vue plongeante sur le couple nu bondé et offert à toute vue. Noémie comprend aussi la raison du loup car souvent avec les ralentissements les routiers peuvent prendre des photos avec leurs portables. Ils passent ainsi près d’une heure dans un concert de klaxon de routiers hilares à s’exhiber nus et bondés. Le pire c’est que petit à petit la situation commence à plaire à Noémie qui sourit aux routiers et commence sérieusement à mouiller. En rentrant elle et bien chaude et quand Victor la pénètre quelques minutes plus tard elle peut enfin jouir en pensant à tous se regards lubriques qui l’ont échauffé. Maintenant elle attend avec une certaine impatience les convocations. Elle se prête au jeu et ne recule devant aucun obstacle trouvant particulièrement jouissif d’être exhibée nue et encordée.
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Par : le 16/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 27 : Noémie Extrait « …Noémie veut protester mais la main puissante de Nadia pousse sa tête en butée sur son sexe. Elle sent que des menottes lui maintiennent les mains dans le dos. Elle ne se souvient plus du moment où elles ont été mises. Victor sans arrêter d’enculer jean le fait reculer et ensembles ils se tournent vers l’entrée de la chambre. Un deuxième black Barraqué vient d’entrer dans la pièce. En guise de salut il présent sa bite à la bouche de jean. Celui-ci le suce sans se poser de questions. Il est au septième ciel. Il a maintenant une bonne queue dans la bouche et imagine que c’est Victor qui le besogne devant et derrière en même temps… » Noémie et aux anges. Jean a totalement capitulé et fait tout ce qu’elle veut. Elle décide d’aller plus loin et invite leurs meilleurs amis à déjeuner. Léon et Sidonie forment un jeune couple branché. Noémie sait que Léon la mate avec attention et ne serait pas contre un coup de canif dans le contrat. Sidonie est volontaire et toujours la première à tenir des propos osées. Ce jour-là Noémie les accueille seule. Sidonie demande ou est jean. Noémie leur dit qu’il est puni mais qu’ils le verront sans tarder. Ils vont dans le salon et commencent à parler de choses et d’autres. Au bout de quelques minutes Noémie demande s’ils veulent une coupe de champ. Les deux acceptent volontiers. Noémie agite une petite clochette qui était posée sur la table du salon. Jean entre dans la pièce. Il est nu avec un bâillon et une cage de chasteté posé sur son sexe. Il porte un plateau avec trois coupes de champagne et vient se poser devant les trois convives. Sidonie et Léon sont surpris mais regardent avec attention jean. Il est puni pour un bon bout de temps et il est à mes ordres dit Noémie. Sidonie et Léon prennent leurs coupes et ils trinquent avec Noémie alors que jean reste planté devant eux. Sidonie est la première à réagir. Dommage tu ne peux pas te servir de ça. Elle montre le sexe de jean à Noémie. Celle-ci répond :Il lui reste sa bouche on peut faire beaucoup de choses avec. Sidonie admet. Elle commence à être chauffée. Léon dit : c’est sûr mais une bonne bite c’est mieux non ? Noémie rebondit sur le propos. Pourquoi tu veux nous faire une démo. Elle fixe l’entrejambe de Léon. Celui-ci regarde Sidonie qui lui dit : Aller fait nous voir ce que tu as. Léon baisse sa braguette et un chibre libéré se dresse vigoureusement. Noémie dit : Pas mal … elle pose la main sur le sexe érigé en regardant Sidonie qui lui sourit. Ensembles elles déshabillent Léon sous les yeux de jean. Léon est confiant. Il va se taper les deux gonzesses sous les yeux du cocu qui ne dit rien. Sidonie commence une fellation puis se ravise en disant il faut qu’on compare entre la bouche de jean et la bite de Léon. Noémie est d’accord et elle va enlever le bâillon de jean. Elle lui menotte les mains dans le dos et le fait mettre genoux devant Sidonie. Celle-ci se déshabille et assise sur le sofa écarte les jambes en montrant à jean son entrejambes. Il s’approche à genoux et enfouie sa tête dedans. Léon est déjà moins triomphant. Noémie s’approche de lui et lui fait mettre les mains dans le dos. Il accepte de se faire menotter. Elle le met sur le dos sur la table du salon. Elle se déshabille à son tour et se met à le chevaucher. Pendant une demi-heure Sidonie et Noémie alterne les positions. Elles vont jusqu’au moment où Léon va craquer puis lui laissent quelques secondes avant de le reprendre. Puis Sidonie propose d’échanger les rôles. Le sexe de jean est libéré. Il trique aussitôt gaillardement et est mis à la place de Léon. Celui-ci doit maintenant faire usage de sa bouche. Les filles s’en donnent à cœur joie sans laisser les garçons jouir. Finalement jean et Léon se retrouvent à genoux avec chacun une cage de chasteté et ils voient les deux filles qui se font l’amour entre elles. Après avoir bien joui les filles décident de passer à table. Jean et Léon font le service et jeunent tandis que les deux filles mangent avec joie. Après le café les garçons sont remis à contribution pour le plus grand plaisir des deux filles. Noémie propose à Sidonie de mater un film porno à la télé dans sa chambre. Sidonie accepte volontiers. Les garçons les accompagnent mais ne peuvent regarder le film car les filles regardent le film à genou sur le lit avec chacune un garçon couché sous elle et la bouche en contact direct avec le sexe de la fille. Elles profitent du film et des langues des garçons qui ne risquent pas de leur spolier le film. Au moment du départ Sidonie radieuse dit la prochaine fois c’est moi qui invite. Les garçons se feront un plaisir de nous servir. Le soir Noémie autorise enfin jean à jouir. Il passe quand même comme c’est l’habitude maintenant la nuit en laisse aux pieds du lit de Noémie. Noémie et Sidonie sont heureuses. Elles parlent beaucoup de leurs exploits. Brigitte et Tania deux de leurs copines semblent douter de la véracité de leurs exploits. Elles raillent ouvertement Noémie et Sidonie en présence d’autres copines. Finalement Noémie exaspérée leur dit qu’elles peuvent venir vérifier. Elle invite Brigitte et Tania à la maison un après-midi pour un café servi par des garçons nus avec une cage de chasteté. Brigitte et Tania acceptent l’invitation. Le jour J Brigitte et Tania se présentent chez Noémie. Celle-ci les accueille avec fierté et les deux invitées ont la surprise d voir deux males entièrement nus à part une cage de chasteté les attendre dans l’appartement. Les garçons font le service. Brigitte est enthousiasmée. Tania un peu plus sur la réserve. L’après-midi se déroule bien et lorsque les invitées repartent Brigitte promet de rendre l’invitation pour se faire pardonner de ne pas avoir cru Noémie et Sidonie. Quelques jours plus tard l’invitation arrive. Sidonie n’est pas libre. Noémie en fait part à Brigitte qui propose que Noémie et jean viennent seuls. Ils pourront discuter plus intimement. Noémie se demande ce que veut dire ce « intimement » mais accepte l’invitation. Ils arrivent chez Brigitte qui les accueille avec le sourire. Noémie se demande si Brigitte n’a pas une idée derrière la tête. Ils pénètrent dans le salon et ont la surprise de voir qu’un couple est déjà présent. C’est un couple de blacks entre deux âges. Les présentations sont faites. Ce sont des amis très chers de Brigitte et elle n’a pas résisté à l’envie de les présenter à Noémie et jean. Victor l’homme est une baraque et il a un regard et une voix imposants. Il impressionne Noémie. La femme est musclée et donne aussi une impression de puissance. Elle est habillée de cuir très ajouré et sa poitrine est particulièrement mise en valeur. Il ne lui manque que le fouet se dit Noémie. Jean aussi est subjugué par ce mâle dominant. Il ne peut s’empêcher de le regarder avec admiration. Malgré lui il lui trouve un charme vénéneux. Il se voit naufragé sur une ile déserte forcé de servir un maitre impérieux et exigeant qui le forcerait à une obéissance sexuelle totale. Il le rêve exhibant une bite monstrueuse que jean devrait s’occuper en permanence avec ses mains sa bouche son cul. Il n’arrive pas à détacher son regard du grand black. La conversation commence. D’abord sur des banalités, puis on en vient à parler de la visite de Brigitte chez Noémie. Victor dit tout à coup. On n’a pas eu la chance de voir ça. Jean tu devrais nous montrer. On aimerait aussi te voir nu avec ta cage de chasteté. Tout en parlant il caresse la cuisse de jean. Celui-ci rougit et regarde du côté de Noémie pour savoir que faire. Il en meurt d’envie afin de se soumettre à ce grand black si captivant. Noémie ne souhaite pas qu’il se déshabille mais Nadia dit à Brigitte. Apparemment Noémie a moins d’emprise sur jean que ce que tu nous as dit. Noémie est touchée dans son orgueil. Elle hoche la tête en regardant jean. Celui-ci se déshabille alors. Victor lui demande de s’approcher jean obtempère. Jean n’en peut plus. Seule la cage de chasteté l’empêche de bander comme un taureau. Victor sort une paire de menottes de sa poche et fait tourner jean. Il lui menotte les mains dans le dos. Noémie se demande ce qui se passe mais Nadia s’est approchée d’elle et lui prend les mains. C’est bien ma chérie tu as bien travaillé avec jean. Il est parfait. Je suis sure qu’on peut faire beaucoup de choses avec lui. Noémie est subjuguée par la voix ferme et envoutante de Nadia. Le contact de ses mains lui donne des frissons. Victor fait mettre jean à genoux. Celui-ci s’exécute sans rechigner et lorsque Victor sort un chibre palpitant il ne résiste pas à la main de Victor qui lui prend la tête et la met au niveau du chibre. Jean commence à sucer le black. Il a juste le temps de constater que le sexe de Victor est entièrement épilé et ça lui donne une beauté incroyable. Noémie est surprise jean n’a pas l’air de lutter. Brigitte a disparu. Nadia dit bon on va peut-être passer à table. La table est dressée mais il n’y a que trois assiettes. Noémie se demande pourquoi quand Brigitte réapparait nue les yeux baissés et dit que le repas est près. Victor se lève et se dirige vers la table en emmenant jean à sa suite. Il s’assoit et positionne jean à genou sous la table pour qu’il continue la fellation. Nadia prend la main de Noémie et la fait mettre à table en face d’elle. Brigitte fait le service. Elle est soudain très déférente envers Victor et Nadia. Noémie mange peu elle est dévorée des yeux par Nadia en face d’elle. Tu dois être très jolie sans tes vêtements lui dit Nadia. Noémie la remercie. Je suis sure que tu es au moins aussi belle que Brigitte. En parlant elle fait un geste à Brigitte qui vient se mettre près d’elle. Nadia caresse Brigitte. Noémie est presque jalouse elle perd pied. Tu devrais te déshabiller lui dit sur un ton autoritaire Nadia. Noémie ne bouge pas. Nadia se lève et prend Noémie par la main et l’entraine doucement vers le salon. Fais voir comment tu es Belle dit Nadia d’un ton qui n’admet pas de réplique. Noémie se déshabille sans vraiment en avoir conscience. Elle veut faire ce que la belle Nadia lui demande. Noémie est nue face à Nadia celle-ci se recule et observe Noémie de la tête aux pieds. Elle l’a fait se tourner pour voir l’envers du décor. Noémie est comme enivrée. Nadia s’assoit sur le canapé et attire Noémie près d’elle. Elle l’embrasse à pleine bouche. Puis elle la fait mettre à genou et ouvre ses cuisses sur sa jupe de cuir sous laquelle il n’y a aucun sous-vêtement. Nadia passe une main derrière la tête de Noémie et l’attire vers son sexe. Noémie embrasse ce sexe si enivrant. Pendant ce temps Victor a terminé de manger et sort de table en emmenant jean docile derrière lui. I ls entrent dans une chambre et Victor amène jean le long du lit et le fait mettre débout au bord du lit mais le torse penché jusqu’à reposer sur le matelas. Puis Victor pénètre jean par derrière. Heureusement pour jean Victor a bien lubrifié sa matraque. Il besogne jean avec ardeur. Jean est presque déçu de ne plus pouvoir sucer avec application le grand black. Son odeur musquée si enivrante et le sentir palpiter dans sa bouche lui manque même si il est heureux de plaire à Victor. Noémie est toujours ne train de lécher Nadia quand elle sent une présence derrière elle. Brigitte munie d’un gode ceinture la prend par derrière. Noémie se demande comment elle a pu en arriver là. Noémie a vaguement eu l’impression qu’une porte s’ouvrait. Mais elle voit avec surprise une autre femme black entrer dans la pièce. C’est le même genre que Nadia. Une reine de cuir. Celle-ci salue Nadia et caresse Noémie. Très belle dit-elle. Tu me la donnes. Nadia répond non je peux bien la partager un peu mais je me la garde elle est trop belle. Noémie veut protester mais la main puissante de Nadia pousse sa tête en butée sur son sexe. Elle sent que des menottes lui maintiennent les mains dans le dos. Elle ne se souvient plus du moment où elles ont été mises. Victor sans arrêter d’enculer jean le fait reculer et ensembles ils se tournent vers l’entrée de la chambre. Un deuxième black Barraqué vient d’entrer dans la pièce. En guise de salut il présent sa bite à la bouche de jean. Celui-ci le suce sans se poser de questions. Il est au septième ciel. Il a maintenant une bonne queue dans la bouche et imagine que c’est Victor qui le besogne devant et derrière en même temps. Noémie est dans un tourbillon de luxure. Nadia lui donne des ordres et elle ses exécute sans se poser de question. Elle lèche embrasse pelote deux corps de bronze qui envahissent tous ses sens. Quand Nadia lui dit d’arrêter et de lui embrasser les pieds elle se met à genou et embrasse les pieds avec ferveur. A côté d’elle elle voit que Brigitte fait de même avec la deuxième femme. Les deux femmes se rhabillent mais Brigitte et Noémie continuent à se prosterner à leurs pieds. Jean sent que le grand black va jouir. Il redouble de caresses buccales et tout à coup il reçoit une grande giclée de sperme dans la bouche. Heureusement qu’il s’y attendait car sinon il aurait été étouffé. Il prend bien soin de tout avaler et de lécher consciencieusement le membre toujours gonflé qu’il a dans la bouche. Victor le serre plus fort et d’un coup se vide aussi en ahanant bruyamment. Jean sent la semence le remplir. Il est presque déçu quand les deux hommes se retirent. Victor et un grand black entrent dans la pièce. Ils entrainent jean qui est ruisselant de sueur. Noémie se dit qu’il a dû prendre cher. Il est toujours nu et menotté alors que les hommes sont habillés. Victor a récupéré le 06 de jean et lui dit qu’il l’apprécie beaucoup et ne manquera pas de le rappeler pour des soirées amicales. Noémie soudain dégrisée est perplexe. Nadia se penche vers elle et lui susurre. J’ai parfois besoin de petites boniches pour mes soirées entre grandes fille. Je ne manquerais pas de t’appeler. Et les deux couples saluent Brigitte qui est en extase et quittent l’appartement. Il faudra un peu de temps pour que Brigitte retrouve les clés de menottes et libère le couple. Noémie l’assaille de question sur ses invités. Brigitte lui dit qu’elle les a croisés par hasard dans le train et qu’elle est immédiatement tombée amoureuse de Nadia. Et depuis elle se plie à tous les caprices de Nadia pour lui plaire. C’est pour ça que Victor et Nadia l’ayant entendu parler du couple souhaitaient absolument les rencontrer. Effectivement ils étaient devenus intimes physiquement parlant. Brigitte demande à Noémie si elle libérait parfois jean de sa cage. Noémie lui répond que oui et qu’il était alors un bon coup. Pour prouver ses dires elle libère jean et dit à Brigitte tu peux l’essayer si tu veux. Il a plus pris que donné aujourd’hui. Brigitte et jean n’hésitent pas et il la prend dans le salon pour un coït mémorable. Quand ils rentrent chez eux le soir ils se demandent s’ils ont rêvés tout ça et sinon s’il n’y avait pas quelque chose dans les boissons qui a annihilé leur volonté.
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Par : le 14/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 26 Cloé se venge. Extrait «… il reste faire une grasse matinée tu veux le voir demande Noémie avec un grand sourire. Cloé voit là une invitation. Elle dit : ok allons le voir et elle part avec Noémie vers la chambre qui a hébergé le couple. Effectivement Jean est là. En fait de grasse matinée il est attaché en croix au baldaquin coté pied du lit, debout, un bâillon dans la bouche, un masque aveuglant sur la tête et le sexe comprimé dans une cage de chasteté…. » Rodriguez vient de recevoir un coup de téléphone très alarmiste. Un de ces invités a été arrêté par les flics et pour sauver sa peau les a dénoncés. Une descente de police va surement avoir lieu dans la journée. Il prévient aussitôt ses compagnons et quittent précipitamment la maison en ne donnant aucune explication. Peu après la police se présente à la propriété. Les filles sont libérées et reconnaissent les trois garçons sur des photos que leur montre la police. Le cœur n’y est plus et Anna et Vanessa ne sont plus les bienvenues chez Cloé qui leur reproche d’avoir »pactiser » avec l’ennemi. Morgane veut aussi se changer les idées et Cloé se retrouve seule dans sa maison. Elle est particulièrement en colère contre les trois truands et se jure de se venger. Elle engage un détective privé qui a pour mission de repérer les trois gars avant la police. Celui-ci fait vite et quelques jours plus tard la planque des truands est identifiée. Cloé se dirige alors vers ses connaissances peu recommandables et une mission de représailles est montée. Les trois garçons se font surprendre par une équipe de mercenaires bien rodés qui surgit dans la planque et les mets en joue avec de vraies armes. Les trois garçons supplient de ne pas les tuer et conformément aux ordres de Cloé ils sont emmenés jusque chez elle. Là elle les fait mettre dans trois pièces dans le sous-sol. Ces pièces ont tout de geôle. Pas d’éclairage naturel et juste une paillasse et un pot de chambre. Pendant un mois ils sont enfermés et juste chichement nourris. Ils ne peuvent avoir aucun contact avec les autres. Au bout d’un mois Cloé leur donne chacun un collier et leur ordonne de le cadenasser sur eux. Ils apprendront à leurs dépens l’efficacité des colliers que Cloé a achetés à prix d’or à la tigresse sur les conseils de Magalie. L’un près l’autre ils sont remontés au rez de chaussée et dressés comme esclave par une Cloé revancharde qui manie le fouet avec rage. Pour celui qui est choisi pour quitter la cellule la matinée commence par la croix de saint André. L’homme est écartelé sur la croix et doit subir une douzaine de coups de fouet donnés par Cloé. Puis il est attaché sur la table du salon et doit se faire sodomiser par Cloé qui à chaque passage prend un gode ceinture de taille supérieure. Après l’engodage c’est l’insertion d’un plug annal de taille grandissante. Plug qui sera porté jusqu’au soir. Avant les corvées de la journée Cloé met un vagin artificiel autour du pénis de l’homme et par impulsion électrique le fait éjaculer plusieurs fois jusqu’à l’épuisement. Enfin c’est le tour des corvées qui sont ponctuées par des léchages du sexe de Cloé qui en profite plusieurs fois par jour. Au moment où Cloé va se coucher l’homme est attaché sur le ventre sur le lit, les jambes repliées et reliées aux bras à l’arrière du corps. Et dans cette position inconfortable l’homme passe la nuit la bouche collée sur le sexe de Cloé qui le force à la lécher jusqu’à épuisement. Enfin au matin l’homme est ramené dans sa cellule et Cloé prend le suivant. Trois mois plus tard ils ne pensent qu’à une chose : satisfaire Cloé pour ne pas gouter au fouet être enfermé dans une cage minuscule ou être attaché au piquet de la niche extérieure. Ils sont devenus très obéissants et Cloé décide de tester leur soumission. Ce soir-là Cloé invite trois couples de ses amis libérés. Parmi eux les deux qui avaient eu l’occasion de se partager Sophie et un jeune couple dont la femme plait beaucoup à Cloé alors que le mari est beaucoup plus réservé. Cloé a promis une surprise. L’apéritif et le repas se passent bien les conversations sont assez libres et il est beaucoup question de la partie de poker de Cloé et Sophie. Puis à la fin du repas Cloé entraine ses invités vers le salon. Là elle leur dit c’est l’heure de la surprise. Comme prévu vous passez la nuit à la maison et je vous ai préparé une chambre par couple. Mais j’ai aussi une petite surprise pour chaque couple. Et voyant la curiosité sur les visages elle dit un deux et trois au pied. Aussitôt trois hommes nus imberbes portant une cage de chasteté et les mains menottées dans le dos apparaissent et se mettent à genoux devant Cloé. Voilà vos cadeaux pour cette nuit. Tout est permis et elle donne à chaque femme deux clés celle des menottes et celle de la cage de chasteté. Elle fait un signe et les trois hommes viennent se prosterner un devant chaque couple. Après le moment de surprise les femmes sourient en pensant à la nuit qui vient. Cloé ajoute. Dans l’armoire de votre chambre vous trouverez de quoi épicer votre soirée. Je vous demande juste de les rattacher et de remettre la cage après utilisation. Les sourires s’élargissent et les couples saisissent la laisse de leur cadeau et se dirigent vers les chambres. Le lendemain Cloé voit arriver deux couples visiblement très satisfaits de leur nuit. Ils lui rendent l’esclave et racontent en partie leurs exploits de la nuit. Les esclaves se sont montrés à la hauteur. Tant avec leur bouche qu’avec leur cul voire leur sexe. Les deux couples sont ravis. Puis arrive Noémie la jeune qui plait à Cloé. Elle est juste accompagnée de l’esclave et a un sourire carnassier. Cloé l’interroge du regard. Noémie dit : Super l’esclave il m’a bien été utile cette nuit j’ai bien kiffé. Et Jean il a apprécié ? demande Cloé. Oui il a vraiment apprécié d’ailleurs il reste faire une grasse matinée. Tu veux le voir demande Noémie avec un grand sourire. Cloé voit là une invitation. Elle dit : ok allons le voir et elle part avec Noémie vers la chambre qui a hébergé le couple. Effectivement Jean est là. En fait de grasse matinée il est attaché en croix au baldaquin coté pied du lit, debout, un bâillon dans la bouche, un masque aveuglant sur la tête et le sexe comprimé dans une cage de chasteté. Cloé fait un sifflement admiratif. Effectivement il n’a pas dû s’ennuyer dit-elle. Elle fait le tour de Jean et voit qu’il a un énorme plug dans le cul. Il reste silencieux. Oui j’ai trouvé qu’il ne faisait pas assez d’effort cette nuit dit Noémie alors il a passé la nuit comme ça pendant que je me tapais l’esclave. On ne va pas le laisser là dit Cloé. Noémie fait la moue. Ne t’inquiètes pas ma chérie dit Cloé tu vas comprendre. Elle hèle les esclaves et leur dit quelques mots à voix basse. Elle raccompagne Noémie dans la cuisine ou les deux couples devisent ensemble sur leur nuit tout en déjeunant. Après le petit déjeuner Cloé les invite tous au salon pour discuter avant leur départ. A leur grand étonnement Jean est installé sur la croix de saint André. Ils regardent Noémie qui est gonflée de fierté. C’est sa place dit-elle. Il est très bien comme ça. Elle se penche vers Cloé et dit il n’a pas beaucoup profité des esclaves cette nuit on peut peut être rattraper ça. Cloé approuve et appelle les esclaves. En quelques minutes Jean est décroché les mains liées dans le dos à genou et le torse couché en travers de la table du salon. Il n’a plus le bâillon. Sur un geste de Cloé les trois esclaves se ruent sur Jean. Pendant une demi-heure il sert de vide couille. Tant par le cul que par la bouche avec laquelle après quelques claques il fait de son mieux pour satisfaire ses bourreaux. Les deux garçons des deux couples sont réservés. Ils ont peut-être peur que ça donne des idées à leurs compagnes. Celles-ci sont aux anges. Elles ne savent pas si elles doivent envier Noémie qui a pris l’ascendant sur Jean ou envier Jean qui doit quand même s’occuper de trois bonnes bites. Après coup Jean est emmené par Noémie au bout d’une laisse pour se laver. La matinée se passe tranquillement. Les filles sont invitées à faire de la carriole tirée tour à tour par les esclaves. Quand vient le tour de Noémie c’est Jean qui est attelé. Il est presque trop docile pour Cloé. Puis l’heure du déjeuner arrive. Les convives son tranquillement installés. Jean nu au bout de sa laisse est aux pieds de Noémie et mange ce qu’elle veut bien lui donner. Ensuite les convives quittent Cloé en promettant de revenir surtout s’il y a des surprises. Jean voyagera dans le coffre de Noémie qui annonce que pendant son année sabbatique Jean ne fera pas beaucoup de frais de lingerie. Rassasiée des trois hommes mais fatiguée de devoir les contrôler, Cloé les libère enfin un matin et leur donnant l’ordre de quitter la région. Toujours recherchés par la police et craignant les fréquentations de Cloé ils ne demandent pas leur reste et disparaissent.
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Par : le 11/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 24 : Le DEAL. Extrait. » …Elles contemplent une bodybuildeuse magnifique avec une paire de seins incroyablement haut perchés qui les regarde avec appréhension. C’est Morgane. Souris Morgane ! Un pale sourire sort de Morgane. Cloé prend son fouet et Morgane sourit plus. Cloé s’approche d’elle et la pelote .vous pouvez toucher les filles c’est du ferme. Martin et Magalie félicitent Cloé pour son trophée magnifique…. Elles ne sont pas rattachées mais elles sont trop prises en main pour songer à faire quelque chose. Elles ne comptent plus les bites qui les remplissent en permanence. Après quelques baffes elles sucent sans réfléchir et font au mieux. Elles passent de mains en mains. Les cinq acolytes se déchainent en riant. …» Cloé est contente de son trophée. Elle a hâte de la montrer à Magalie et Martine. Elle les invite un jour pour venir prendre un verre et voir sa dernière surprise. Magalie et Martine sont étonnées de cet appel car ça fait plusieurs mois qu’elles n’ont plus entendus parle de Cloé. Vanessa a dit à Anna qu’elle n’avait plus de nouvelles de Cloé et avait trop peur de lui rendre visite. Néanmoins intriguées par les paroles de Cloé Martine et Magalie décident d’aller voir Cloé. Celle-ci les reçoit dans sa propriété. La surprise est dans le salon. Une croix de saint André est fixée au milieu du salon et elle est occupée par une personne. Elles la voient de dos car le devant de la croix est orienté vers le canapé ou Cloé s’assit habituellement. Cloé leur présente son trophée de chasse. Elles pensent qu’il s’agit de Sophie car la forme est très musclée mais lorsqu’elles passent devant et voient la femme en face elles contemplent une bodybuildeuse magnifique avec une paire de sein incroyablement haut perchés qui les regarde avec appréhension. C’est Morgane. Souris Morgane ! Un pale sourire sort de Morgane. Cloé prend son fouet et Morgane sourit plus. Cloé s’approche d’elle et la pelote .vous pouvez toucher les filles c’est du ferme. Martine et Magalie félicitent Cloé pour son trophée magnifique. Cloé jubile. Le plus beau dit-elle c’est qu’elle est là complétement contre son gré. Je l’ai kidnappée et je me la garde. Martine et Magalie se demandent si c’est du lard ou du cochon n’est-ce pas que tu es bien ma prisonnière contre ton gré et que tu voudrais bien me tuer. Les yeux de Morgane lancent des éclairs et elle hoche la tête. Les filles se demandent quelle réaction avoir . Cloé ne leur laisse pas le temps de tergiverser et les emmène vers les murs du salon ou sont accrochées des photos noir et blanc magnifique montrant Morgane dans des positions extrêmement suggestives et les deux filles sont allumées par ce qu’elles voient. Ensuite Cloé libère Morgane de la croix et ne lui laisse que les menottes dans le dos. Elle met une musique langoureuse et Morgane se place au milieu de la pièce et commence à faire une danse extrêmement sensuelle. Elle a bien progressé depuis le départ. Les filles sont sous le charme mais se demandent toujours si Morgane est vraiment retenue contre son gré. Elle a l’air de kiffer son rôle et rien n’indique qu’elle n’aurait pas pu essayer de s’enfuir depuis le temps. Enfin après la musique Morgane montre ses prouesses sexuelles aux filles en venant loger sa tête dans l’entrejambe de Cloé. Cette dernière leur propose d’en profiter ce qu’elles acceptent avec joie. Magalie et Martine sont émoustillées et pelotent avec vigueur les énormes seins de Morgane qui semblent faits pour ça. Les tétons turgescents deviennent rouge vif et Morgane gémit sous les caresses. Elle a toujours la bouche qui lèche avidement le sexe de Cloé qui halète de plus en plus vite. Magalie s’excite et fouille le sexe de morgane avec les doigts. Celle-ci mouille abondamment et se tortille de plus belle sous les caresses expertes. Magalie s’enhardit et plonge sa tête dans ce sexe qui l’attire comme un pot de miel. Morgane râle de plaisir. Martine est aussi au comble de l’excitation. Cloé lui prend les cheveux et la guide à son tour vers son entrejambes. Martine remplace morgane et goute goulument au fruit que Cloé lui présente. Une fraction de seconde Cloé s’imagine avec Martine et Magalie comme soumises. Ça lui déclenche un orgasme de folie. Morgane qui a la bouche libre profite que Martine est à quatre pattes la tête dans le sexe de Cloé pour lui embrasser le sexe et le cul. Martine est au paroxysme de la jouissance. Par la suite aucune n’est capable de se souvenir de toutes les positions qu’elles ont testées. Mais ça restera un grand moment dans leur mémoire. Enfin morgane reprend sa place de soumise aux pieds de Cloé et les trois filles prennent un verre. Martine et Magalie félicitent une nouvelle fois Cloé pour sa recrue. Puis elles repartent toujours un peu circonspectes mais très excitées par ce qu’elles ont vu et fait. Une fois les filles parties Cloé se rapproche de Morgane. Tu as été superbe. Morgane jette un œil noir mais accepte quand même le compliment. Cloé lui dit. Maintenant on pourrait faire un deal. Il y a deux petites poulettes blondes que je voudrais comme animaux de compagnie. Mais gérer trois esclaves me parait difficile. Alors je te propose de t’associer avec moi. On aura chacune en charge notre petite chienne. Morgane n’avait pas pensé à ça. Elle s’imagine avec une femme tenue à la laisse réalisant tous ses caprices. Ça la trouble. Elle regarde intensément Cloé. Où est le piège. Cloé lui dit tu pourras profiter de la propriété tu vois que je ne manque pas de moyens et on pourrait finir par domestiquer des hommes. Là Cloé a bien frappé. C’est un fantasme de Morgane elle se voit avec des esclaves males membrés comme il faut et répondant à tous ses désire. Elle hoche la tête. Cloé sait qu’elle joue gros mais elle pense à Anna et Vanessa et voudrait bien les avoir à sa botte. Elle détache Morgane pour la première fois depuis des mois. Morgane se rue sur elle et la gifle violement. Elle dit je suis ok mais d’abord il faut que je me venge. Elle fout un raclée à Cloé qui ne peut rien contre le déchainement de violence. Puis alors que Cloé est prostrée par terre Morgane la saisi par les cheveux et lui met la tête dans l’entrejambes. Cloé fait acte de soumission et lèche immédiatement Morgane. Celle-ci se calme petit à petit et une heure plus tard les deux filles réconciliées se couchent dans le même lit. Quelques temps plus tard Anna et Vanessa reçoivent une invitation de Cloé. Elles sont perplexes. Martine et Magalie les ont prévenues que Cloé avait une nouvelle victime et elles ne savaient pas si c’était consenti ou pas. Anna et Vanessa sont curieuses. Finalement elles se disent qu’elles pourraient y aller car à deux elles pourront contrôler Cloé si celle-ci dérape. Et puis Cloé s’était très bien tenue lors de la visite cher Martine. Elles débarquent donc chez Cloé en réponse à l’invitation. Cloé les accueille avec une grande joie. Elle leur présente son amie Morgane. Une grande femme très musclée avec une poitrine hors norme qui rappelle quelque chose aux filles. On se connait dit Anna à Morgane. Celle-ci sourit et dit qu’elles se sont souvent croisées au gymnase. Anna et Vanessa remettent enfin Morgane. Elle a beaucoup changé. De garçon manqué elle est passée à amazone guerrière. Les quatre filles parlent de la pluie et du beau temps. Cloé semble très assagie. Anna et Vanessa se disent que la première impression de Martine et Magalie n’était pas la bonne car Morgane est libre et semble heureuse de son sort. Il doit y avoir une liaison entre elle et Cloé. Elles déjeunent ensemble et font une promenade dans la propriété l’après-midi. Sans s’en apercevoir Anna est accaparée par Morgane qui veut lui montrer de photos dans le salon et Vanessa par Cloé qui lui parle des bons moments qu’elle ont passé ensemble et de la merveilleuse journée chez Martine. Les deux jeunes filles sont un peu méfiantes d’être ainsi séparées mais le ton de leurs hôtes est si enjoué qu’elles ne font plus attention. Cloé qui avait récupéré les bijoux de corps de Vanessa lui demande si elle s’en est acheté. Vanessa répond par la négative ça coute cher et elle n’a pas eu l’occasion d’en mettre. Cloé lui propose de lui donner à condition qu’elle les mette devant elle pour jouir une dernière fois du spectacle. Vanessa est touchée de tant de générosité et lorsque Cloé lui montre un beau coffret contenant les bijoux elle décide de les mettre en souvenir des bon moments surtout chez Martine quand elle a cloué le bec à Anna. Elle n‘a rien vu venir mais quelque minutes plus tard elle et ligotée et bâillonnée comme un saucisson devant une Cloé hilare. Je te retrouve enfin ma petite chienne dit celle-ci. Cloé sort de la pièce et laisse Vanessa seule Vanessa se traite de cloche et espère que Anna pourra faire quelque chose pour la sortir de là. Quelques minutes plus tard Cloé revient la chercher avec Morgane qui soulève Vanessa comme si c’était une plume. Elles se rendent dans le salon ou Anna est enfermée dans la cage. Nue. Vanessa est à son tour mise dans la cage. Cette dernière déjà petite pour y mettre une personne oblige Anna et Vanessa à s’enchevêtrer pour pouvoir tenir. Elles ne sont plus bâillonnées. Vous nous libérez quand demande Anna. Quand on décidera répond Cloé. Morgane et Cloé tournent autour de la cage. Elles semblent regarder une marchandise. Laquelle te plait demande Cloé. Morgane dit : Elles sont top toute les deux. Peut-être celle-là et elle montre Vanessa. Ça tombe bien dit Cloé j’ai déjà bien profité d’elle. Bon c’est d’accord Vanessa est pour toi et Anna pour moi. Anna et Vanessa se demandent de quoi il s’agit mais au fond d’elles-mêmes elles savent qu’elles étaient venues pour ça. En fait elles attendent du sexe en position de soumises. Ce soir-là elles sont sorties de la cage. Elles ont les mains menottées dans le dos. Sur l’ordre de Cloé qui a mis une musique langoureuse elles dansent de la façon la plus équivoque possible. Morgane apprécie et sent le désir monter en elle quand elle voit les deux corps onduler et se frôler de façon suggestive. Elle est la première à attirer Vanessa entre ses jambes. La petite se met à genou et enfouit son visage contre le sexe de morgane. Elle embrasse consciencieusement et sa langue devenue experte fait grimper morgane dans l’extase. Elle tient fermement Vanessa par les cheveux et enfonce autant qu’elle peut le petit visage contre son sexe. Cloé fait un signe à Anna qui vient aussitôt prendre la même position que Vanessa. Cloé apprécie l’expertise d’Anna qui la chamboule immédiatement. Martine a été une bonne éducatrice pour elle et c’est Cloé qui récolte les fruits. Après une demi-heure de pur bonheur morgane et Cloé sont repues. Elles s’assoient confortablement dans le canapé et ordonnent aux deux soumises de continuer entre elles. Anna et Vanesse ne demandent pas mieux et se jettent carrément l’une sur l’autre. Elles se retrouvent rapidement en position de soixante-neuf et s’embrassent mutuellement avec langueur. Cloé et morgane sont sous le charme elles voient les deux corps parfaits s’enchevêtrer et se fondre en un seul orgasme continu. Morgane remercie silencieusement Cloé de lui avoir fait connaitre ça. C’est décidé elle est faite pour être dominatrice. Pour morgane les jours suivants sont l’occasion de tester ses capacités de dominantes sur les filles. Elle a un magnifique jouet qui réalise tous ses fantasmes sans hésiter et qui les vit avec bonheur. Elle n’a jamais autant joui et aimé une femme comme Vanessa. Quelques semaines plus tard Martine et Magalie inquiètes de ne plus revoir Anna et Vanessa demandent à Cloé si elle sait quelque chose. Cloé leur dit que les filles sont chez elle et les invite à venir leur rendre visite. En arrivant chez Cloé les filles sont accueillies par Cloé et Morgane. Celle-ci est habillée et visiblement libre. Finalement elle n’était pas kidnappée par Cloé. Elles entrent dans la maison et sont surprises d’apercevoir Anna et Vanessa nues sans aucun bondage et visiblement heureuses de leur sort. En partant le soir Martine et Magalie sont étonnées que leurs amies aient décidées de rester avec Cloé et Morgane mais elles ne veulent pas influer sur leurs décisions.
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Par : le 11/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 23 : CLOÉ rencontre les handballeuses. Extraits »… Bon dit Cloé maintenant on va passer aux choses sérieuses. A partir de maintenant tu es ma chose. Tu feras tout ce que je voudrai. Je vais penser pour toi tu n’auras à t’occuper de rien…. Elle se rue sur la gamelle d’eau….C’est difficile et dégradant de laper ainsi mais elle est trop assoiffée. Cloé met de la nourriture da sa gamelle… Pour la promenade équestre Cloé doit lui mettre un soutien-gorge très renforce pour ne pas abimer son investissement dit-elle… La cage mesure environ 1.20m de long 1 m de haut et 1 m de large. Elle tient tout juste à quatre pattes ne peut pas se retourner ni s’allonger la position est assez pénible. Cloé accroche la gamelle d’eau à un support adapté. Et la laisse jusqu’au repas. L’après-midi Cloé lui annonce qu’elle va pouvoir la montrer en public…. » Cloé est un peu dépitée. Elle n’a plus de nouvelles de Sophie. Celle-ci ne répond plus au téléphone. Cloé qui a de la suite dans les idées décide de pister Sophie. Elle sait que Sophie s’entraine avec l’équipe de handball le soir au gymnase. Ce soir-là elle entre dans le gymnase et va s’assoir sur les gradins en attendant de voir les joueuses. Celles-ci arrivent mais pas de Sophie. Cloé décide d’attendre et la fin de l’entrainement approche quand morgane la cheffe des handballeuses aperçoit Cloé dans son coin. Elle jauge Cloé qui lui semble bien foutue. Celle-ci la toise du regard. Morgane se dit qu’elle lui ferait bien le coup des jeunettes. Elle doit être canon à poil. Elle décide d’aller la voir de près. Cloé voit cette géante s’approcher d’elle. Elle l’imagine à la place de Sophie. Morgane lui demande ce qu’elle fait là. Cloé lui dit qu’elle est une copine de Sophie et qu’elle la cherche. Morgane lui répond qu’elle ne sait pas où se trouve Sophie mais que si Cloé cherche une sportive elle peut lui en montrer. Cloé a un sourire carnassier. Oui elle cherche une costaude pour m’amuser avec elle. Morgane est tout à coup intéressée. Elle hésite à appeler les autres car elle n’est pas sure de garder la donzelle pour elle le soir. Elle lui propose de se retrouver après l’entrainement à la sortie du gymnase. Cloé accepte. A la fin de l’entrainement morgane est chaude elle se voit bien forcer cette pimbeche à lui obéir sexuellement. Cloé est tout sourire. Elle propose à morgane de la suivre pour aller prendre un verre chez elle. Morgane est ferrée. Elle suit la voiture de Cloé jusqu’à la propriété de cette dernière. Morgane est sidérée par le luxe de la propriété de Cloé. Celle-ci la prend par la main et lui fait faire le tour du propriétaire. Morgane est admirative et elles se retrouvent dans un salon ou Cloé leur sert deux verres d’un cocktail très relevé. Morgane est aux anges et va pour se jeter sur Cloé quand celle-ci lui dit. Attend on va aller au sous-sol tu vas voir ma salle de sport tu vas kiffer. Morgane hésite elle culbuterait bien la donzelle maintenant mais elle est quand même curieuse de voir la salle de sport. Morgane émet un sifflement admiratif devant les accessoires de la salle de sport. Cloé lui fait le tour du propriétaire. Elle propose à morgane de tester les différents agrès. Arrivées aux espaliers Cloé demande à morgane de se mettre dos aux espaliers et de se tenir par les mains le plus haut possible. Elle caresse le ventre de morgane en même temps. Celle-ci commence à être sérieusement excitée et fait ce que Cloé demande. Je peux te bander les yeux dit celle-ci en caressant les seins de morgane. Vas-y. Cloé lui met un bandeau tout en se frottant à Morgane. Un dernier truc et je m’occupe de toi dit Cloé. Morgane attend. Elle sent que Cloé monte sur un tabouret juste à côté d’elle. Morgane se dit je suis trop grande pour elle avec mes 1m85. À ce moment elle sent simultanément deux objets métalliques contre ses poignets. Avant qu’elle comprenne les menottes se sont refermées. Elle veut lâcher la barre de l’espalier et baisser ses bras. La chaine qui relie les menottes passe autour de la barre et elle ne peut pas baisser les bras. Détache moi connasse crie-t-elle. Cloé lui répond tu rigoles on va passer du bon temps nous deux. Morgane essaye à l’aveugle de donner un coup de pied vers Cloé. Son pied rencontre le vide. Elle recommence. Une menotte se referme sur sa cheville au moment où elle veut reculer le pied. Puis elle sent que sa jambe est tirée sur le côté. Elle résiste mais peu à peu Cloé gagne du terrain. Au bout de quelques minutes la jambe de morgane est tendue sur sa droite. Elle est en équilibre sur sa jambe gauche quand soudain une deuxième menotte se referme sur sa cheville droite. La jambe est tirée au maximum et maintenant le poids de morgane repose sur les menottes des poignets. C’est trop douloureux et elle se maintient à une barre d’espalier avec ses mains. Un collier est passé autour de son cou. Elle rue mais a peu d’espace pour ça. Le collier est tiré des deux côtés et finalement elle a le cou immobilisé. Elle sent deux mains s’affairer sur ses cheveux. Cloé lui fait une queue de cheval. La queue de cheval est tirée vers le haut et fixée à l’espalier. Morgane est complémentent immobilisée. Une pince à linge est fixée sur son nez. Elle doit respirer par la bouche. Cloé dit alors. Maintenant je vais te mettre un bâillon tu vas ouvrir grand la bouche ou tu ne respireras plus. Morgane hurle et ferme obstinément la bouche mais elle doit respirer et petit à petit le bâillon boule s’insère dans sa bouche. Au moment où elle va suffoquer elle ouvre grand la bouche pour aspirer de l’air. Le bâillon pénètre de force et est solidement attaché. Elle croit qu’elle va mourir asphyxiée mais la pince à linge est ôtée. Elle peut enfin reprendre péniblement son souffle. Cloé lui enlève le bandeau. Tu vois qu’on peut s’amuser toutes les deux ici. Morgane jette un regard venimeux. Voyons si c’est joli en dessous dit Cloé. Elle sort de la pièce et revient avec un cutter. Morgane panique. T’inquiète pas je ne vais pas gâcher la marchandise dit Cloé en souriant. Elle taillade les vêtements de morgane qui en quelques minutes est nue comme un ver. Bon début dit Cloé. Elle relâche un peu la tension des cordes qui immobilisent se jambes et morgane peut enfin se reposer sur ses jambes. Bon il est tard on se reverra demain. En attendant mon retour fait de beaux rêves. Elle quitte la pièce en éteignant l’éclairage. Morgane panique elle est immobilisée come une conne chez une folle et n’a pas l’intention de passer la nuit ici… La lumière s’allume. Cloé entre dans la pièce et lance un joyeux salut ma chérie bien dormi. Morgane enrage. Elle est lessivée et à une envie de pisser pas possible. Cloé voit qu’elle se tortille. Elle sort de la pièce et revient avec un petit pot et le place entre les jambes de morgane. Vas-y dit-elle si tu pisses par terre tu vas le regretter. Morgane qui n’en peut plus se laisse aller à sa plus grande honte. Bon dit Cloé maintenant on va passer aux choses sérieuses. A partir de maintenant tu es ma chose. Tu feras tout ce que je voudrai. Je vais penser pour toi tu n’auras à t’occuper de rien. Morgane rue mais ça ne sert pas à grand-chose. Cloé sort de la pièce et revient avec du matériel. Morgane voit avec crainte que c’est du matériel bdsm. Au bout de quelques minutes elle est à quatre pattes. Trois barres d’écartement l’empêche de se relever de ruer ou de lever les bras. Elle peut juste marcher à quatre pattes avec très peu d’amplitude. Cloé a accroché une laisse au collier et lui dit. Maintenant la douche et le petit dej tu dois savoir faim. Morgane râle mais les coups de fouets ne sont pas retenus et les fesses violacées elle finit par accompagner Cloé comme un petit toutou. Elle entre à quatre pattes dans la douche italienne et Cloé la frictionne vigoureusement. Son sexe n’est pas épargné. Puis sans la sécher Cloé la conduit jusqu’à la cuisine. Là, une gamelle pour chien est posée dans un coin. Une gamelle d’eau est juste à côté. Je vais t’enlever le bâillon si tu ne parles et ne crie pas sinon c’est le fouet et pas de petit déj et bien sûr je remets le bâillon. Morgane ne dit rien mais lorsque Cloé lui ôte le bâillon elle se met à crier salope détache moi tout de suite. Les coups pleuvent sur tout le corps et le bâillon est replacé. Cloé attache la laisse à un radiateur et prend son petit dej en regardant distraitement Morgane. Tu es vraiment bien foutue dit-elle on va passer du bon temps ensemble. Ton corps est fait pour être enchainé tu feras une esclave superbe. Morgane l’ignore mais la faim et surtout la soif commencent à la tenailler. Cloé quitte la cuisine et laisse morgane seule à quelques centimètres de l’eau et de ce qui semble être des flocons d’avoine. Quelques minutes après Cloé passe la tête par la cuisine et dit. Je sors à plus tard ma chérie. Morgane est désespérée. Elle finit par s’endormir sur le carrelage. Finalement c‘est plus agréable que d’essayer de dormir contre l’espalier. Un bruit et c’est Cloé qui s’annonce. C’est moi ma chérie tu as bien réfléchit. Il va être midi. Si tu veux manger et boire il faut me promettre d’être sage. Morgane la regarde méprisante. Alors ? reprend Cloé. La soif est trop forte et morgane hoche la tête. Le bâillon est enlevé. Cloé lui dit en même temps tu ne parles que si je t’en donne l’ordre. Morgane opine. Elle se rue sur la gamelle d’eau. C’est difficile et dégradant de laper ainsi mais elle est trop assoiffée. Cloé met de la nourriture da sa gamelle. Ça se présente sous forme de bouchées. Morgane finit par manger et terminer la gamelle. Maintenant je veux te voir de près et bien exposée dit cloé Elle détache la laisse et emmène morgane derrière elle. Celle-ci doit s’évertuer pour suivre le rythme. Arrivées dans le salon Cloé fait coucher morgane sur le dos sur la table du salon. Morgane doit faire des contorsions dans tous les sens pour y arriver, motivée par les coups de fouets qui pleuvent. Elle est déjà bien marquée. Etape par étape Cloé lui attache les bras et les jambes aux pieds de la table. Elle attache aussi les genoux pour lui faire écarter les jambes. Enfin elle attache la queue de cheval et morgane a la tête immobilisée et ne peut que regarder le plafond. Cloé admire son œuvre. Tu es vraiment musclée. Tu as bien fait de me convaincre de t’inviter. En même temps elle fouille le sexe de morgane sans ménagement. Il faudra qu’on fasse une épilation définie dit-elle. Elle pince le bout des seins de morgane suffisamment fort pour que celle-ci geigne. Bon on va voir si tu es bonne dit Cloé. Elle lèche le sexe de morgane qui se contracte. Voyant ce refus Cloé va chercher un vibromasseur et le pose sur le clitoris de morgane. Celle-ci essaye de ne pas penser aux vibrations qui excitent son clitoris mais lorsque Cloé insère un gros gode et lui fait faire des va et vient morgane sent de la chaleur monter de ses reins contre toute attente. Son souffle devient plus fort et Cloé le remarque. Elle continue le travail et finalement morgane ne peut s’empêcher de succomber à un orgasme. Bien ma chérie tu me plais. Dit Cloé qui n’arrête pas pour autant de fouiller morgane. Celle-ci sent que ça repart. Puis après un temps infini pour morgane qui est en feu Cloé lui applique sur la bouche un bâillon qui possède un mini gode qui se met dans la bouche et un joli gode qui se dresse droit au-dessus du visage de morgane. Cloé scotche le vibro en fonctionnement sur la cuisse de morgane la tête du vibro bien positionnée sur le clitoris et vient chevaucher le gode sur la tête de morgane. Elle dit aujourd’hui tu n’as pas le droit de me brouter mais t’inquiètes pas tu te rattraperas. Après un bon moment Cloé se retire. Mais elle laisse le vibro agacer morgane qui sent qu’une nouvelle fois elle va partir. J’ai changé les piles ne t’inquiètes pas ça va tenir encore au moins une heure. A toute ma chérie et elle quitte le salon laissant Morgane le gode toujours érigé sur sa tête et le vibro en fonctionnement. Un peu plus tard Cloé revient. Bon tu es pas mal mais il faut que je te vois bien debout. Tu vas faire une belle statue dans l’entrée. Elle libère en partie morgane qui se retrouve bientôt les mains menottées dans le dos la laisse du collier accrochée à une rambarde d’escalier. Elle doit se tenir debout presque sur la pointe des pieds la tête face à l’entrée. Très bien lui dit Cloé tu feras sensation lorsque des invités viendront ici. Morgane est figée c’est quoi ce délire se demande-t-elle. Le repas du soir est plus tranquille. Morgane mange dans sa gamelle et Cloé n’a pas beaucoup d’occasions de manier le fouet. Il est l’heure de dormir dit Cloé. Elle met un deuxième collier à morgane. C’est un collier anti-aboiement très efficace et ne t’avises pas de parler ou crier car ça frite pas mal car il est programmé sur apprentissage dit Cloé. Elle emmène morgane toujours à quatre pattes dehors. Vers une grande niche à chien. Dans la niche il y a une couverture et Cloé attache le collier de morgane à une chaine reliée à un solide piquet elle sécurise le tout avec un cadenas. Bonne nuit ma chérie demain on commence le sport. Morgane est désespérée elle se demande comment elle va sortir de là. Elle finit par s’endormir après avoir pisser comme une chienne. Le lendemain morgane fait la connaissance de la carriole et aidée par des coups de fouets non simulés elle promène Cloé pendant plus d’une heure. Ensuite elle est promenée dans différents endroit de la maison et Cloé s’en sert comme déco. Debout, à genou, les jambes écartées à l’extrême dans des positions suggestives qui amusent Cloé au plus haut point. Le repas de midi se passe sans coups de fouet. L’après-midi morgane est amenée dans la salle de sport. Cloé lui explique. Je veux que tu gardes la forme et même que tu sois plus musclée. Pour ça j’ai programmé les matériels. Tu dois réaliser les nombre de répétitions qui sont programmées sur chaque appareil. Lorsque tu auras fini tu te mettras ici. Elle lui montre un point au centre de la pièce. Et tu te mettras ça. Elle montre un ensemble de quatre menottes qu’elle lui fixe aux poignets et chevilles. Elle défait le reste des liens sauf le collier anti aboiements. N’essaye pas de sortir la porte est blindée. Si tu fais bien tes exercices tu pourras manger ce soir sinon c’est un coup de fouet par répétition manquante sur chaque appareil. Si tu ne remets pas ça elle montre les menottes je ne t’ouvre pas la porte. Cloé lui souhaite un bon entrainement et quitte la pièce. Quelques secondes après un clic se fait entendre les quatre menottes se sont déverrouillées certainement pilotées à distance. Morgane est enfin libre. Elle se rue vers la porte pour tenter la résistance. Rien n’y fait. Alors elle décide de tout casser pour essayer de trouver une barre de fer ou quelque chose d’équivalent pour défoncer la porte. Elle va vers les appareils et détruit tout ce qu’elle peut. Pendant deux minutes elle massacre deux appareils et va vers le troisième quand la lumière s’éteint. Presqu’aussitôt le courant est coupé dans les appareils. Elle est dans le noir absolu. Elle cherche à tâtons les appareils suivants mais elle prend conscience de l’inutilité de ses actions. Elle s’assoit en tailleur et attend. Elle attend pendant des heures et aucun bruit ne se fait entendre. Elle commence à avoir soif et à être fatiguée .elle s’endort sur le sol. Elle dort mal et quand elle se réveille sa gorge est sèche comme un parchemin. Toujours aucun bruit. Elle crie pour se faire entendre et insulte autant qu’elle peut Cloé en lui promettant mille morts quand elle la rattrapera. Le temps passe très lentement elle a l’impression d’être là depuis des jours. Elle ne veut pas mourir de soif et appelle Cloé. Ok je me calme j’ai soif s’il te plait. Une voix se fait entendre derrière la porte. Tu boiras quand tu auras mis tes menottes. La lumière s’allume. Morgane va tambouriner à la porte et essaye vainement de la défoncer. Rien n’y fait. Elle veut bluffer et fait semblant de verrouiller les menottes et crie ça y est j’ai mis les menottes. Pas de réponses. Une bonne heure passe morgane ne tient plus de soif et de rage. Elle finit par fermer les menottes. Aussitôt la porte s’ouvre. Cloé entre le visage mauvais, le fouet à la main. Elle fouette longtemps morgane qui se tortille comme un ver pour essayer vainement d’esquiver les coups. La douleur est intense et des stries rouges et bleues sillonnent son corps. Piété dit-elle en pleurant. Cloé s’arrête et met la laisse à morgane. Elle la tire sans ménagement vers la sortie. Direction la cuisine. Cloé laisse morgane boire dans la gamelle. Elle lape consciencieusement pendant 10mn et à la langue en feu de faire ce geste inhabituel. Cloé lui donne un coup de fouet. Ça suffit crie t’elle et elle la tire vers le salon ou une croix de saint André a été installée. C’est pour toi dit Cloé. En quelque minutes morgane est écartelée sur la croix. Sa queue de cheval est accrochée en hauteur et morgane ne peut faire quasiment aucun mouvement à part bouger les yeux. Tu vas rester là jusqu’à la remise en état de la salle de sport. Ça devrait durer huit jours dit Cloé. Morgane est trop faible pour réagir. Elle n’est décrochée que pour une douche quotidienne et un passage aux toilettes. Cloé la nourrit à la main et lui donne à boire de la même façon. Au bout de trois jours morgane est désespérée elle a mal partout et Cloé la frappe chaque fois qu’elle passe par là. Alors que Cloé passe, morgane lui fait signe qu’elle veut lui parler. Cloé éteint le collier anti aboiements et lui dit tu as dix secondes. Morgane bredouille. C’est trop je t’en supplie arrête la croix je te promets de ne plus rien casser et de me taire même sans collier. Cloé a un sourire carnassier. Et qu’est ce qui me dit que tu vas tenir parole. Je le jure dit morgane. Cloé rallume le collier et s’en va morgane pleure de dépit elle n’en peut plus. Dix minutes plus tard Cloé repasse. On va faire un essai. Tu fais tout ce que je te dis et je réduis ta peine sur la croix. Morgane essaye de hocher la tête autant qu’elle peut. Cinq minutes plus tard elle est à quatre pattes avec les trois barres d’écartement limitant ses gestes. Cloé est assise en face d’elle sur le canapé. Pour commencer tu vas venir me bouffer la chatte dit Cloé. Morgane hésite une fraction de seconde mais se décide vite Cloé serait capable de changer d’avis. Elle essaye de bien faire même s’il elle n’a pas l’habitude. Cloé la flatte avec ses mains. Bonne petite esclave enfin tu te mets au travail. Après un long temps morgane doit maintenant embrasser les seins de Cloé qui s’est mis nue. Les pieds les fesses le cul tout y passe. Morgane fait de son mieux. Le repas du soir est calme alors qu’elle s’attend à rejoindre sa niche morgane est remmenée dans le salon par Cloé. Elle change de liens. Maintenant morgane a juste les mains menottées dans le dos. En plus du collier et de la laisse. Cloé met de la musique. Tu vas danser pour moi dit Cloé. Comme une danseuse de peep show. Ça ne dit rien à morgane. Danses comme si tu voulais baiser comme une grosse pute dit Cloé. Morgane essaie de faire une danse suggestive mais le résultat amuse plutôt Cloé. Au bout de 10 minutes celle-ci lui dit d’arrêter le massacre et la fait mettre à genou à ses pieds. Cloé appuie sur un bouton et un tableau mural se surélève pour laisser place à une télévision. Prend en de la graine dit Cloé et elle lance la lecture d’une prestation de gogo danseuses. Morgane regarde avec un maximum d’attention. Tous les soirs tu t’entraineras à ça et tu me feras une petite démo dit Cloé. Morgane opine du chef sans quitter l’écran des yeux. Les trémoussements s de la fille de la télé finissent par l’exciter. Cloé est aussi excitée. Cette nuit-là se passe dans le lit de Cloé. Morgane est écartelée sur le dos et Cloé la chevauche sauvagement. Alternant les facesitting avec des coups de gode ceinture. Les deux filles y trouvent leur compte. C’est la première fois depuis longtemps que morgane s’endort sans être malheureuse. Le lendemain les entrainements reprennent. Une heure de carriole une demi-heure de marche dans la piscine et les répétitions dans la salle de gym l’heure du repas est vite atteinte. Un soir sur deux se passe dans la chambre de Cloé. Les après-midis sont consacrées à l’éducation musicale de morgane et à des tests de bondage décoratifs qui passionne Cloé. Morgane prend toutes les positions jusqu’aux plus salaces sans rechigner. Elle en a pris son parti et attend sa chance de pouvoir renverser les choses. De 17 à 18h30 retour dans la salle de gym pour faire des séries. Petit à petit morgane se doute que Cloé lui fait ingérer des aliments qui donneraient une attaque à un contrôleur anti dopage. Elle prend du muscle partout et sa silhouette commence à ressembler à une body buldeuse. Ça ne lui déplaît pas forcement même si elle trouve que sa poitrine devient trop petite par rapport au reste. Malgré tout Cloé est très sévère et manie toujours le fouet à la moindre occasion. Cloé aussi trouve que la poitrine de morgane est le petit bémol de son corps d’amazone. Elle prend contact avec des connaissances peu recommandables et obtient ce qu’elle voulait. Un jour elle dit à morgane qu’elles vont sortir. Morgane est étonnée. On va dans une clinique pour te faire une poitrine de ouf dit Cloé. Morgane est effrayée. Je te préviens ils sont un peu roumains et ne poseront pas de questions s’ils te voient ligotées comme un saucisson. J’ai payé une blinde pour ton opération. Ne me fait pas regretter. En effet morgane voyage dans le coffre de Cloé et est prise en charge par des gens masqués qui ne posent aucune question. Un chirurgien vient la regarder et la palper il fait des croquis et montre des projections de la poitrine future à Cloé sans jamais adresser la parole à morgane ou lui montrer de croquis. L’opération se passe et le lendemain morgane est effarée de voir deux ballons de foot trôner sous des bandages à la place de sa poitrine. Elle passe quelques jours dans la clinique. Les bandages sont enlevé elle n’a pas de miroir et ne peut pas baisser la tête mais elle comprend qu’elle a une masse énorme sur ses pectoraux. Retour à la maison de Cloé. Cloé l’accompagne jusqu’à une chambre avec un grand lit à baldaquin. Cloé installe morgane sur le lit en prenant bien soin de lui attacher les quatre membres aux montants métalliques et solides du baldaquin. Pendant quelques jours Cloé est aux petits soins pour morgane. Au bout d’une bonne semaine Cloé décide que morgane est suffisamment rétablie pour reprendre leurs activités. Elle attache les mains dans le dos de morgane et avec la laisse reliée au collier elle la fait venir dans une salle de bain munie d’un miroir en pied. Morgane est sidérée et perplexe. Elle constate que sa nouvelle poitrine est énorme ferme très haute et ses tétons pointent directement vers l’avant. Elle se dit qu’elle pourrait poser deux verres de cocktail dessus sans que ça ne bouge. Lorsqu’elle marche les seins ballottent à peine. Elle est oblige de cambrer la poitrine pour pallier le déséquilibre nouveau ce qui fait encore plus jaillir sa poitrine agressive. Cloé est très contente. Tu vois encore un peu de muscle et tu seras parfaite. Les entrainements reprennent. Pour la promenade équestre Cloé doit lui mettre un soutien-gorge très renforce pour ne pas abimer son investissement dit-elle. Cloé multiplie les séances de poses dans toutes les positions et avec une imagination débordante sur les liens. A chaque fois elle prend des photos et bientôt les murs du salon sont ornés de nombreuses photos de grande taille en noir et blanc présentant morgane dans des positions de soumission ou de défi. Morgane est un peu fière même si elle cherche toujours le moyen d’échapper à cette furie. Mais Cloé est particulièrement vigilante et aucune occasion ne s’est présentée. Un tatoueur vient un matin et lui tatoue « trophée de chasse de Cloé » sur le pubis. Un matin en suivant Cloé dans le salon elle y voit une grande cage pour animaux dans laquelle Cloé la fait entrer . Une fois la porte de la cage refermée Cloé lui enlèves ses liens à travers les grillages. La cage mesure environ 1.20m de long 1 m de haut et 1 m de large. Elle tient tout juste à quatre patte ne peut pas se retourner ni s’allonger la position est assez pénible. Cloé accroche la gamelle d’eau à un support adapté. Et la laisse jusqu’au repas. L’après-midi Cloé lui annonce qu’elle va pouvoir la montrer en public.
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Par : le 09/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 21 : CLOÉ Extraits « … Cloé et les deux couples sont stupéfaits. Une magnifique jeune femme entièrement nue avec un collier de chien vient de se coller à leur copine Sophie. … Comment ça dit Sophie. Si je gagne tu es mon esclave jusqu’à la fin du weekend end dit Cloé sérieuse… Un lien de cuir et attaché à la queue de cheval et relié au dos du corset forçant Sophie à lever exagérément la tête. Son regard furibond et son corps athlétique mis en valeur sont magnifiques. Heureusement qu’elle est bien attachée se dit Cloé rêveuse. Un plug de bonne taille terminé par une queue de cheval lui est inséré…. Plus vite dit Cloé. Sophie accélère le pas. Le fouet claque Sophie trotte. Le fouet claque et Cloé incite Sophie giddap ! Sophie court le plus vite possible. La carriole est légère mais avec le poids de Cloé ce n’est pas si facile…» Samedi matin après le petit déjeuner Sophie que Vanessa colle toujours décide que les filles vont prendre une douche. Elles entrent ensemble dans la douche et Sophie se fait laver et lécher longuement par Vanessa. Puis après s’être habillée Sophie emmène Vanessa jusqu’au garage ou elle lui dit de monter à l’arrière de sa voiture et de se baisser. Vanessa panique. Elle va m’emmener où ? Mais elle obtempère craignant une raclée. Le voyage est court. Vanessa ne voit rien. Lorsque la voiture s’arrête Sophie ouvre une vitre et dit à Vanessa tu restes dans la voiture jusqu’à ce que je te siffle. Puis elle sort. Cloé accueille Sophie c’est une grande femme musclée très fliquée qui vit dans une magnifique villa isolée avec une grand piscine. Deux couples sont au bord de la piscine. Cloé voit que Sophie est radieuse. Alors c’est quoi ta surprise demande Cloé. Sophie lui dit : J’ai une petite chienne adorable. Ha : dit Cloé visiblement déçue et tu l’as ramenée. Sophie lui dit : oui. Tu vas la voir. Sophie siffle. Aussitôt Vanessa sort de la voiture et vient se positionner à moins d’un mètre de Sophie. Cloé et les deux couples sont stupéfaits. Une magnifique jeune femme entièrement nue avec un collier de chien vient de se coller à leur copine Sophie. Alors qu’est-ce que tu en penses demande Sophie. Je n’en reviens pas : Dit Cloé. Tu t’appelles comment demande telle à Vanessa. Vanessa regarde Sophie qui opine. Vanessa : répond-elle. Les deux couples se sont rapprochés. Les deux hommes ne peuvent cacher leur émotion avec leur maillot de bain. Cloé dit : hé bien Vanessa, tu fais de l’effet. Mais que fais-tu comme ça ? Je suis ma maitresse : répond Vanessa. Je ne dois pas la quitter de plus d’un mètre. Sophie exulte. Cloé est épatée. La journée se passe lentement. Finalement Sophie fait des jaloux. Surtout quand elle dit à Vanessa de la satisfaire sur un transat le long de la piscine. Cloé enrage à l’intérieur. Mais fait bonne figure. Après le repas du soir Cloé propose de faire un poker comme d’habitude mais propose que les mises soient relevées. Tout le monde acquiesce et ils se mettent autour de la table dans le salon dédié aux jeux. Après plus d’une heure il ne reste plus à la table que Sophie et Cloé. Les deux couples se sont installés sur les canapés et regardent les joueuses même si les regards sont attirés par la blonde nue qui se tient debout derrière Sophie. Cloé a un tas de billets devant elle alors que Sophie n’en possède plus qu’une petite poignée. Le dénouement est proche. Sophie retourne ses cartes. Elle a un full aux as par les rois. Cloé fait une petite grimace. Sophie fait tapis. Cloé hésite puis suit. Cloé demande à Sophie si elle veut miser plus. Sophie dit qu’elle n’a plus rien sur elle. Cloé lui dit à voix basse il te reste Vanessa. Tu peux me la jouer contre tout mon pot. Sophie ouvre de grands yeux et va pour dire non quand Cloé avance son tas de billets et rajoute une liasse sur le tout. Sophie se dit que l’occasion de faire un paquet de fric est trop bonne et dit : C’est quoi les conditions. Cloé répond. Tu me la laisse jusqu’à la fin du Weekend si je gagne. Si tu Gagnes tu empoches le tapis. Sophie accepte avec un sourire carnassier et abat ses cartes. Cloé hésite un peu et étale un carré de dix. Sophie est effarée. Cloé a un sourire carnassier et fait signe à Vanessa de venir derrière elle. Vanessa ne sait quoi faire et regarde Sophie. Celle-ci lui fait signe d’aller derrière Cloé. Sophie reste assise et se demande ce qui lui arrive. Les deux couples sont épatés de voir cette belle esclave changer de main. Mais Cloé n’en a pas fini. Tu peux te refaire si tu veux lui dit-elle. Sophie la regarde étonnée et montre ses mains vides. On peut faire quitte ou double. Je remets en jeu le fric et Vanessa et toi tu te mets en jeu. Comment ça dit Sophie. Si je gagne tu es mon esclave jusqu’à la fin du weekend end dit Cloé sérieuse. Les couples se lèvent et se rapprochent de la table. Si je gagne tu fais tout ce que je veux dit Cloé. Sophie ne digère pas d’avoir perdu Vanessa et veut se refaire. Jusqu’à la fin du weekend dit-elle. Oui dit Cloé. En un coup dit elle et elle brasse les cartes. Sophie distribue. Trois cartes demande Cloé Sophie respire elle a deux paires. Une carte dit-elle. La tension est à son comble. Les deux couple se sont rapprochés jusqu’au bord de la table. Tout le monde retient son souffle. Vanessa se demande comment ça va finir. Cloé étale ses cartes. Brelan de neufs dit-elle pas très heureuse. Sophie blanchit et montre se deux paires. Un long moment se passe .le temps que Sophie digère ce qui se passe. Debout lui dit Cloé Sophie hésite mais elle ne peut pas renier sa parole. Elle se lève. Approche esclave lui dit Cloé. Elle approche de Cloé. A poil lui dit-elle sèchement. Sophie regarde autour d’elle six paires d’yeux la dévisagent. Elle redresse la tête et se déshabille entièrement. Cloé lui dit attend là. Elle se lève et emmène Vanessa avec elle. Elle revient quelques instants plus tard avec une paire de menottes et un foulard. Tourne-toi dit-elle. Sophie se retourne et sent qu’on lui met les menottes dans le dos et le foulard est noué sur ses yeux. Elle ne voit plus rien La chaleur est montée en flèche dans le salon. Cloé s’adresse alors aux deux couples. Elle est à vous faites ce que vous voulez mais ne me l’abimez pas. D’abord interloquées les couples se rapprochent de Sophie. Une main se pose sur un sein de Sophie puis une autre puis une main fouille son entrejambe. On la force à baisser son torse vers l’avant. Elle sent un sexe érigé butter contre sa bouche. Elle suce la bite pendant qu’une deuxième bite se présente par derrière. Elle reçoit quelques petites claques sur les fesses et les seins pendant que les hommes la besogne. Elle entend Cloé lui dire. Tu nous avais dit que tu allais nous faire une surprise c’est réussi. Cloé s’assoit sur un canapé elle fait mettre Vanessa à genou et lui indique sa chatte. Vanessa s’exécute. Au moins celle-là ne tape pas se dit-elle. Pendant un temps infini Sophie est baisé par tous les bouts. Elle suce de la bite de la chatte et même du cul. Ses seins son douloureux à force d’être pincés pétris et malaxés. Elle entend une voix dire on va prendre un bain de minuit. Une main lui tint un téton et le pince en la faisant avancer. Elle est amenée au bord de la piscine. Puis on la laisse. Elle entend les rires et les bruits aquatiques. Après un temps qui lui parait infini elle sent que le bain est terminé. Elle entend une voix dire on la garde jusqu’à deux heures du mat et on vous l’amène. Top là répond une voix. La nuit de Sophie est mouvementée. Elle finit par s’endormir au pied d’un lit toujours avec son foulard autour des yeux. Vanessa s’acquitte avec conscience de sa tâche. Cloé est douce ce qui surprend avec son corps très musclé. Elle est très belle et totalement épilée. Vanessa est presque jalouse. Cloé finit par se lever et l’emmène à sa suite jusqu’à la chambre. Là les rôles s’inversent un peu et Vanessa sent que la dure Cloé du poker fait place à une femme docile qui se plie en quatre pour lui faire plaisir. Vanessa passe une super nuit en se disant que si elle devenait lesbienne se serait avec Cloé. Le lendemain matin les deux filles se réveillent dans les bras l’une de l’autre. Elles font l’amour gentiment comme deux chattes avides de caresses. Puis elles se décident à se lever et aller prendre un petit déjeuner. En arrivant dans la cuisine elles voient un papier sur la table. Les deux couples sont partis de bonne heure et ne voulaient pas les réveiller. Pour Cloé un petit PS précise que l’esclave est dans la salle de bains principale. Intriguées elles se rendent dans la salle de bain sou Sophie toujours les mains menottées dans le dos est attachée par une cordelette au radiateur sèche serviette. Cloé est la première à réagir. Bon esclave je vais te détacher et après t’être douchée tu viendras nous servir un petit déjeuner sur la table près de la piscine. Sophie a un œil noir mais ne dit rien. Cloé la libère et avec Vanessa elles se rendent près de la piscine. Là Cloé demande à Vanessa quel est le deal avec Sophie. Vanessa raconte tout depuis les coups jusqu’à la semaine qu’elles doivent passer ensemble. Cloé est choquée mais une lueur de tueuse passe dans ses yeux. Tu me dis qu’elle est libre toute la semaine. Oui répond Vanessa. Dommage que je ne possède pas d’autres accessoires que cette vieille paire de menottes dit Cloé songeuse. Vanessa lui dit la copine de mon amie vend de tels accessoires dommage. Cloé demande : tu crois qu’elle pourrait nous dépanner. Vanessa hésite puis à la pensée de voir le corps musclé de Sophie avec un bondage bien serré la chauffe un peu. D’accord je l’appelle. Elle appelle Anna qui promet d’appeler Magalie. Magalie est surprise par l’appel d’Anna mais se laisse convaincre. Elle promet de passer dans la matinée avec ce qu’elle a. Sophie apporte le petit déjeuner. Conformément aux ordres de Cloé elle assiste à genou au repas des deux filles. Puis la sonnette d’entrée retentit. Cloé va ouvrir à Magalie qui a le coffre plein de gadgets. Cloé est enthousiasmée et achète la quasi-totalité des accessoires de Magalie. Les accessoires sont amenés jusqu’à la table près de la piscine. Sophie qui n’a rien vu doit se coucher sur le ventre et écarter les bras et les jambes. Cloé et Vanessa se demandent par quoi commencer. Magalie et Anna sont venues avec elles pour les conseiller. Sur les conseils de Magalie Sophie reçoit un gros bâillon boule rouge qui lui distend la mâchoire rendant son air dur encore plus sauvage. Un corset de vinyle est ajusté à sa taille. Les lacets sont fortement serrés et la taille de Sophie est soulignée rendant son haut musclé encore plus impressionnant. Ses seins reposent sur le haut du corset et sont littéralement jetés en avant. Un lourd collier de cuir muni de plusieurs anneaux est mis autour de son cou. Vanessa fait une queue de cheval à Sophie. Un lien de cuir et attaché à la queue de cheval et relié au dos du corset forçant Sophie à lever exagérément la tête. Son regard furibond et son corps athlétique mis en valeur sont magnifiques. Heureusement qu’elle est bien attachée se dit Cloé rêveuse. Un plug de bonne taille terminé par une queue de cheval lui est inséré. Elle roule des yeux furibonds mais ne peut pas empêcher l’action. Les filles se reculent pour voir l’effet. Des pinces à tétons sont appliquées sur la poitrine déjà tendue de Sophie. Cloé enthousiasmée fait des photos souvenirs. Laissant Sophie piaffer dans sa tenue les filles consultent les catalogues de Magalie. Celle-ci propose une tenue de soubrette qui fait l’unanimité. Elle promet la livraison pour mercredi. Cloé cède. Puis les filles se lancent dans le shibari. Encordé de partout le corps puissant de Sophie se prête à merveilles aux cordes qui soulignent tous ses muscles. Il ne manque qu’un peu d’huile pour faire briller le corps de Sophie. Nouvelle séance photo. Puis Cloé se souvient qu’elle a dans une remise la carriole en osier que ses parents attelaient à un petit poney lorsqu’elle était petite. Laissant Sophie encordée et attachée à un lampadaire les quatre filles vont jusqu’à la remise. Magalie regarde dans ses catalogues les harnais de cuir qui pourraient être compatibles avec la carriole. Elle montre des équipements à Cloé qui commande immédiatement. Quelques autres gadgets son commandés. Magalie notant la plastique avantageuse de Vanessa qui est toujours nue propose quelques articles à Cloé qui interroge Vanessa du regard. Celle-ci impressionnée opine du chef et les accessoires sont achetés. Enfin Magalie et Anna se retirent laissant Cloé et Vanessa avec leur nouveau jouet humain. C’est l’heure du repas. Sophie toujours encordée et muni de son gros collier de cuir fait le service. Les filles mangent de bon cœur. Après le déjeuner c’est au tour de Vanessa d’être habillée. Sur les indications de Magalie Vanessa arbore un harnais en cuir qui souligne sa fine silhouette. Ses seins sont ornés d’anneaux dorés . Cloé lui fait une queue de cheval qui monte très haut derrière la tête. A ses poignets et ses chevilles des bracelets dorés sont en harmonie avec les anneaux de ses seins. Deux grandes créoles dorées pendent à ses oreilles. Cloé est soufflée par le sex-appeal de Vanessa. Sophie qui est à genou les bras menottés dans le dos est sidérée. Machinalement elle fait les va et vient verticaux que Cloé lui a ordonné sur un gode de bonne taille. Vanessa est aux anges. Elle voit l’effet qu’elle fait aux deux filles et est presque désolée qu’il n y ai pas plus de spectateurs. L’après-midi se passe autour de la piscine. Cloé et Vanessa se prélassent dans les transats alors que Sophie agenouillée et menottée passe de l’une à l’autre à leur demande pour prodiguer des caresses buccales sans se faire prier. Le repas du soir se termine. Sophie fait la vaisselle et vient s’agenouiller devant Cloé. Sophie demande à Cloé. Bon j’ai tenu ma parole j’ai été ton esclave ce weekend end. Tu peux me libérer maintenant. Cloé se penche vers elle et l’embrasse. Tu as été magnifique. Tu es née pour être esclave. C’est dommage de devoir habiller ton corps d’amazone tellement il est plus beau nu ou bondé. Sophie accepte le compliment mais regarde Cloé avec insistance. Cette dernière lui remet un bâillon boule bien serré et accroche une chaine au collier qui n’a pas quitté Sophie. Elle emmène Sophie dans le salon où Elle accroche l’extrémité de la chaine à un énorme radiateur en fonte. Tu es trop belle pour être libérée comme ça. J’ai décidé de te garder comme esclave plusieurs jours jusqu’à ce que je décide de te libérer. Sophie rue et se débat ses yeux furibonds lancent de éclairs elle émet des borborygmes à travers son bâillon. Cloé sort un petite cravache et donne un coup sur les fesses de Sophie qui sursaute mais revient à la charge. Cloé manie la cravache. Tant que tu ne te calmes pas tu en recevras dit-elle. Sophie revient plusieurs fois à la charge mais les coups maintenant bien portés commencent à lui rougir la peau. Voyant l’inutilité de ses ruades elle finit par se calmer. Cloé la félicite et lui dit de baiser ses pieds. Sophie hésite mais un coup de cravache la décide. Cloé lui dit maintenant je vais t’enlever le bâillon mais si tu dis un mot cravache et bâillon pour la nuit. Sophie lance un regard noir. Mais lorsque Cloé lui enlève le bâillon elle ne dit rien. Maintenant tu peux m’embrasser les pieds dit Cloé. Sophie hésite mais finit par embrasser les pieds de Cloé. Au bout de quelques minutes Cloé lui dit plus haut. Sophie lui lèche les mollets puis les cuisses. Puis s’enhardit vers l’entrejambe de Cloé. Qui s’ouvre un peu. Sophie passe sa frustration sur la chatte de Cloé qu’elle lèche avec avidité. Cette nui là les trois filles sont dans le même lit. Mercredi dans la matinée Magalie arrive avec des colis. Sophie attend auprès de la piscine. Elle est à genou un manche à balai dans le dos passe par la saignée des coudes qui sont solidement attachés au manche. Sa queue de cheval est liée au manche par un cordon en cuir très tendu qui l’oblige à tenir sa tête le plus en arrière possible. Un lien part du milieu du manche et est attaché à un anneau qui sert habituellement pour tenir la bâche hivernale de la piscine. Elle porte le bâillon boule rouge. Magalie apprécie le spectacle et facilite Cloé pour la présentation de Sophie. Sophie endure la posture douloureuse mais est très fière de plaire à la spécialiste. Elle s’efforce de rester complétement immobile. Les colis sont déballés et Vanessa va chercher la carriole qui a été dépoussiérée et graissée dans la remise. Sophie voit arriver la carriole avec un peu d’appréhension. Ce n’est quand même pas pour moi. Elles me prennent pour un cheval. Magalie et Cloé font lever Sophie et l’équipent du harnais de ponygirl. Les lanières de cuir sont ajustés sur tout son corps elle doit mettre des bottines noires qui lui semblent très confortable même si le talon très surélevé lui donne l’impression d’être sur la pointe des pieds. Un mors en cuir remplace le bâillon boule. Puis elle est attelée à la carriole. Là elle veut protester mais les trois filles utilisant les rênes et tirant sur les lanières finissent par l’atteler. Les brancards de la carriole sont ajustés au niveau de sa taille et désormais elle ne peut pas bouger sans bouger la carriole. Cloé tient les longues rênes à la main et les rênes son reliées aux deux côté du mors. Elle tire sur les rênes ce qui tire la tête de Sophie qui refuse de bouger. Cloé prend lors un fouet de cocher des mains de Magalie et lui fait claquer le fouet sur les fesses. La douleur est supportable mais Sophie sait que Cloé ne cèdera pas. Rechignant elle avance et la carriole s‘ébranle. C’est plus facile que prévu pour Sophie elle s’attendait à plus de résistance. La carriole n’a que deux roues comme un petit sulky et le siège double est en osier. Cloé passe les rênes au-dessus de la tête de Sophie et va s’installer sur le siège. Une fois installée elle dit aller hue ! Sophie ne bouge pas mais un claquement de fouet au-dessus de sa tête la force à avancer. Elle va tout droit ne sachant pas où aller. Au bout de quelques mètres le mors est tiré sur la gauche. Elle comprend et se dirige vers la gauche. Cloé jubile et lui fait faire des changements de direction pour finalement revenir devant Magalie et Vanessa qui sont impressionnées. C’est une bonne bête leur dit Cloé. Maintenant on va voir ce qu’elle a dans le ventre. Et elle fait repartir Sophie. Plus vite dit Cloé. Sophie accélère le pas. Le fouet claque Sophie trotte. Le fouet claque et Cloé incite Sophie giddap ! Sophie court le plus vite possible. La carriole est légère mais avec le poids de Cloé ce n’est pas si facile. Néanmoins elle fait de son mieux. Après quelques minutes de train d’enfer Cloé la fait ralentir. Maintenant Sophie trotte en maitrisant bien son souffle. Cloé l’arrête près des filles qui chacune leur tour font une promenade plus calme avec Sophie. Au bout de près d’une heure Sophie est harassée elle ruisselle de sueur et n’en peut plus. Cloé décide que la séance a assez duré et qu’elle recommencera chaque matin pour permettre à Sophie de garder la forme. Sophie est dételée ses lanières sont retirées mais elle garde les mains menottées dans son dos. Les filles la dirigent vers la piscine. Sophie reprend son souffle et attend alors que les filles déballent le costume de soubrette. Vanessa est presque vexée que le costume soit plus aux mensurations de Sophie qu’aux siennes. Elle aurait bien joué ce rôle mais ne dit rien. Cloé lui demande de doucher Sophie et Vanessa tirant Sophie par la laisse amène celle-ci sous la pomme de douche extérieure de la piscine et la lave consciencieusement. Sophie ronronne sous le lavage de Vanessa qui ressemble plus à des caresses qu’a autre chose. Elle se laisse faire docilement. Magalie montre alors à Cloé un carton contenant une tenue de soubrette à la taille de Vanessa. On ne sait jamais dit-elle. Cloé est ravie. Sophie séchée, les filles lui font essayer la tenue de soubrette. Ça lui va bien mais Sophie est trop musclée pour la tenue. Ses formes ne sont pas mises en valeur. Magalie sort alors un paquet qui fait bruit métallique. Un harnais de chaines de grosse maille avec des bracelets métalliques brillant est testé sur Sophie. Elle est splendide on dirait une combattante des arènes romaines. Les chaines sur son corps musclé font ressortir une impression de puissance contrôlée incroyable. Les filles sont admiratives. Deux petites chainettes partent des mamelons pour rejoindre le collier du cou en haut et deux autres vont jusqu’à l’entrejambe de Sophie ou elles sont tenus par des pinces aux grandes lèvres de Sophie. Elle se dresse fièrement devant les trois filles voyant l’effet qu’elle leur fait. Elle-même mouille abondamment et ça n’a pas échappé aux filles qui lui ont mis les pinces. Vanessa est remuée mais toujours un peu jalouse que Sophie attire tous les regards. Cloé se tourne vers elle et en souriant lui montre le paquet que Vanessa n’a pas encore vu. Elle va voir le paquet et comprend. Ce midi c’est toi qui fais le repas dit Cloé. Vanessa prend le paquet et file avec vers la cuisine. Magalie et Cloé tournent autour de Sophie qui se pavane inconsciemment. Sous prétexte de vérifier la bonne tenue des chaines les mains s’égarent de plus en plus sur la peau de Sophie. Quand Vanessa transformée revient avec un plateau contenant un apéritif et des accompagnements elle voit les deux filles autour de Sophie la pelotant et l’embrassant et Sophie qui ronronne de plaisir Magalie Cloé et Sophie regarde la nouvelle venue. Vanessa est superbe. Elle a un petit tablier qui ne cache que le nombril, un porte jarretelles auquel sont accrochés des bas résille du plus bel effet. Des escarpins avec de talons de 25 cm de haut qui la force à se tenir sur la pointe des pieds. Ses chevilles son menottées l’une à l’autre ne laissant que quelques centimètres de libres pour qu’elle fasse de tout petit pas. Un collier autour du cou duquel patent deux chainettes qui sont clipées sur les seins. Les poignets sont menottés l’un à l’autre et une barre passe dans son dos et passe dans la saignée de ses coudes ne lui laissant qu’une minuscule amplitude de mouvement. Elle tient un plateau sur lequel sont placés deux verres et entre les verres les clés de ses menottes. Elle ne peut s’empêcher d’avoir un regard envieux vers Sophie même si elle voit qu’elle-même fait de l’effet aux trois filles. Cloé lui dit approche ! Vanessa tout sourire approche. A genou ! ordonne Cloé. Le sourire disparait. Elle s’agenouille avec difficulté en tenant toujours le plateau devant elle. Cloé prend les clés et les jette dans la pelouse. Puis elle prend les deux verres et en donne un à Magalie. Pose ce plateau et embrasse mes pieds dit-elle. Vanessa rougit mais s’exécute immédiatement. Cloé s’empare du petit fouet de cocher et lui donne trois coups sur les fesses. Vanessa a les larmes aux yeux mais continue à lécher les pieds de Cloé. Tu vas nous servir à table et après la vaisselle tu reviendras ici et tu te mettras dans cette position jusqu’à mon retour. Vanessa opine en continuant à lécher. Aller lèves toi et vas-y. Vanessa se tortille pour se relever et part à tous petits pas vers la maison. Cloé et Magalie boivent leurs verres en devisant sur la grâce féline de Sophie. Celle-ci est aux anges. En plus la petite peste en a pris pour son grade. On y va finit par dire Cloé elle prend la laisse et entraine Sophie derrière elle. Le repas est bon. Vanessa les yeux rouges sert le mieux possible. Elle nourrit Sophie à la fourchette car Sophie est toujours menottées par derrière. A la fin du repas Vanessa fait la vaisselle puis sort de la maison pour se diriger vers la piscine. Magalie prend congé des filles en félicitant Cloé pour ses gouts et Sophie pour son superbe corps. Cloé remercie Magalie pour les accessoires et la raccompagne. Restée seule avec Sophie elle lui demande si elle ne lui en veut pas trop de l’avoir mise en esclave au-delà du pari. Sophie réfléchit et dit qu’elle lui en veut quand même. Cloé lui propose alors de la libérer. Sophie réfléchit et dit si tu veux on peut continuer encore un peu. Cloé reste silencieuse. Il lui semblait bien que Sophie kifait certains moments de sa situation mais au point t’en redemander. D’accord répond-elle. Tu vas manger sévère. Sophie fait sa bravache. Pourquoi tu as d’autres idées pour moi. Cloé réfléchit à toute allure. Oui mais ça va être plus hard. Sophie ne répond rien mais une grosse chaleur vient de son bas ventre. En attendant tu vas venir me brouter la chatte dit Cloé de but en blanc. Tu m’as bien chauffée tout à l’heure ma petite pouliche. Sophie vient lentement s’agenouiller la tête dans les cuisses de Cloé. Vanessa enrage. Elle n’a aucune idée du temps qu’elle a passé la tête contre le carrelage de la piscine. Cloé l’a oublié. Tout ça pour cette mastoc qui parade comme un cheval de cirque. Elle ne peut cependant pas s’empêcher de revoir le corps musclé de Sophie tirer avec ardeur la carriole et suivre ses mouvements de poignets sur les rênes. Dominer cette amazone lui a fait prendre un pied pas possible. Cloé arrive tranquillement. Vanessa ne bouge pas d’un iota. Cloé s’assoit sur un transat et regarde Vanessa qui ne bouge toujours pas et n’ose pas regarder de son côté. Viens là dit Cloé. Vanessa s’approche d’elle en restant sur ses genoux. Alors on est jalouse de Sophie dit Cloé. Vanessa ne répond pas. Une petite claque sur les fesses et Cloé dit j’attends ta réponse. Oui dit Cloé elle est trop belle et vous n’aviez d’yeux que pour elle. Je ne t’appartiens pas dit Cloé par contre toi tu m’appartiens. Vanessa ne répond rien Cloé dit .On dit oui maitresse. Oui maitresse répond Vanessa un peu soulagée d’intéresser enfin Cloé. Bon va chercher tes clés dans la pelouse. Après tu me rejoindras on a du travail pour faire le grand jeu à Sophie. Vanessa se demande ce que c’est que ce grand jeu mais va, toujours à genou, dans la pelouse vers l’endroit où se trouvent les clés. Quand Vanessa revient après avoir retrouvé les clés elle rencontre Cloé qui lui dit de la suivre. Elles descendent dans le sous-sol que Vanessa ne soupçonnait pas. Une porte dérobée s’ouvre sur un escalier qui mène à un couloir possédant plusieurs portes. Cloé ouvre l’une d’entre elle. Elle donne sur une salle de sport bien équipée. Tapis, rameurs, espaliers barres fixes etc. Mais elle ne jette pas un œil à tout ça car Sophie ruisselante de sueur est suspendue par les mains à une barre de traction. Elle touche le sol à l’extrême pointe de ses pieds mais ne peut pas se reposer dessus. Elle doit se maintenir à la seule force des bras. Deux pinces mordent ses tétons et une chainette est tendue entre les tétons et la barre. Sophie ne peut pas lâcher au risque de s’arracher les tétons déjà bien irrités par la tension extrême. Sophie est extrêmement concentrée et Vanessa ressent la douleur qu’elle doit supporter. Ca n’est plus soft mais là c’est difficile à voir. Cloé fait le tour de Sophie. Celle-ci n’a pas de bâillon. Cloé dit qui commande ici. Sophie répond c’est Cloé. Cloé lui donne un coup de cravache. Maitresse Cloé. Maitresse Cloé se reprend Sophie. Et qui est une esclave obéissante. C’est moi maitresse Cloé répond Sophie. Bien dit cette dernière. Maintenant on va jouer à un jeu toutes les trois. Elle enlève les pinces au grand soulagement de Sophie et de Vanessa qui est subjuguée. Puis Cloé menottes les mains de Sophie dans le dos et fait pareil avec Vanessa qui ne veut pas subir les foudres de Cloé et reste silencieuse. Cloé les met face à face sur le tapis central qui doit faire 10M2 voilà celle qui met l’autre hors du tapis a gagné. La perdante aura un gage qui durera tant que je l’aurai décidé. Vanessa est affolée. Sophie est bien plus costaude qu’elle. Sophie la regarde durement. A mon top. Allez ! Sophie se rue vers Vanessa qui parvient à esquiver le choc frontal. Pendant quelques secondes Vanessa parvient à éviter Sophie comme un toréador avec un taureau. Cependant Sophie finit par l’acculer dans un coin du tapis et l’éjecte durement. Vanessa tombe sans se faire mal. L’impact du corps de Sophie lancé l’a déjà bien meurtrie. Perdu lui lance Cloé. A partir de maintenant je veux que tu me broute le minou en permanence quoi que je fasse même si je bouge. Sinon c’est la cravache. Vanessa ne réfléchit pas et vient se mettre à genoux devant Cloé et lui embrasse goulûment la chatte. Bien dit Cloé. Et toi Sophie on n’en a pas fini. La soirée est difficile pour Sophie qui doit subir des écartèlements mises en tension et coups de fouets jusqu’à ce que Cloé soit fatiguée. Vanessa toujours à quatre pattes ou à genou se colle en permanence à Cloé pour la brouter. Finalement Cloé va se coucher. Sophie est attachée en croix face au lit de Cloé. Ça ne va pas être facile de dormir pourtant elle est rompue. Vanessa colle toujours Cloé et se couche sur le ventre la tête entre les cuisses de Cloé son gage n’étant toujours pas levé. Magalie a promis à Cloé de trouver une idée plus hard pour ses esclaves. Celle-ci l’a appelé hier soir entre deux séances. Malheureusement elle n’a pas vraiment d’idée. A ce moment-là elle jette un œil à Tristan qui lui fait sa gâterie orale du petit déj le sexe toujours dans sa cage. Claire se pointe à ce moment avec Frédérique. Un éclair traverse Magalie et si on lâchait nos deux bites ambulantes sur les esclaves bien entravées. Ça pourrait être valable. Elle en parle à claire qui est ok Tristan ne dit rien mais jubile ça fait 4 jours qu’il n’a pas pu ne serait-ce que bander il est prêt à tout. Cloé est ravie de l’appel de Magalie. Elle les attend à la maison. Joyeuse elle harnache Sophie qui a les yeux rougis par le manque de sommeil et la peau commence à être multicolore avec les coups qu’elle a reçu. Ses seins sont particulièrement sensibles après la torture d’hier soir. Vanessa les a accompagnées jusqu’à la remise car elle est toujours gagée. Cloé lui dit que le gage est suspendu pour la promenade mais attache la laisse qui équipe désormais Vanessa à la carriole. Elles partent en promenade équestre. Cloé est très dure avec Sophie. Elle la pousse à bout et les coups de fouets fusent. Après une demi-heure alors que Sophie peine à tenir debout la promenade s’arrête Sophie est dételée déharnachée et conduite à la pomme de douche ou elle est fixée pas la laisse le temps qu’elle arrête de suer avant d’être lavée. Vanessa a repris son gage. Magalie s’annonce et Cloé va à sa rencontre. Magalie descend de la voiture avec deux hommes ou plutôt un homme et une grande femme qui sont nus tous les deux. Cloé pensait que Magalie apporterait deux portes chibres bien montés. Elle est un peu déçue. Quand la grande fille se retourne vers Cloé celle-ci a un choc. Cette fille arbore un énorme chibre tendu qui contraste avec sa poitrine opulente. En plus des grands bijoux de seins et de nez sont son unique tenue. Cloé rêve de voir Sophie avec de tels bijoux. L’homme qui est aussi nu est un grand gaillard qui arbore aussi un chibre énorme. Tout cela laisse Cloé rêveuse. Elle n’aurait rien contre une partie à quatre avec les trois personnes qu’elle a en face d’elle. Alors qu’en penses-tu. dit Magalie. Cloé la félicite et s’approche pour voir les portes chibres de près. Formidable dit-elle. On va préparer les filles. Sophie est lavée séchée et emmenée dans le salon. Là Cloé l’attache à quatre pattes au milieu de la pièce. Les trois barres d’écartement aux pieds et mains et une reliant le tout l’empêchent de faire tout mouvement. Sa queue de cheval est tirée par un cordon qui l’oblige à se cambrer et la tête est à la verticale. Elle n’est pas bâillonnée mais a un écarteur de bouche qui l’oblige à avoir la bouche béante. Elle a une cagoule aveuglante. Vanessa est toujours dans l’entrejambe de Cloé. Une fois Sophie préparée les deux garçons font leur entrée .Ils ont pour ordre de ne pas être tendres avec Sophie. Soudain ils se déchainent. Sophie prend deux claques sur les joues et une énorme bite pénètre sa bouche. Suce la bien lui dit Cloé. Sophie s’exécute. Une claque sur les fesses la fait sursauter elle sent aussitôt un gourdin palpitant la prendre par derrière. Pendant une demi-heure elle est prise par devant derrière elle craint pour son cul mais elle sent qu’on lui insère du lubrifiant avant qu’elle soit littéralement défoncée par un des hommes. Vanessa entend mais ne peut pas voir ce qui se passe elle est toujours en train de brouter Cloé qui mouille come une fontaine. Puis à un moment Cloé repousse Vanessa et dit aux deux hommes c’est son tour maintenant. Vanessa se retourne et est effarée. Au début elle ne voit que les bites monstrueuses puis elle a le temps de voir que Frédérique a tous les attributs d’une femme avant d’être forcée dans la bouche et dans la chatte. Soit à la hauteur Vanessa di Cloé Vanessa y met tout son cœur même si les assauts sont incroyables. Elle ne sait plus si c’est la douleur ou le plaisir mais finalement elle ne peut plus compter ses orgasmes et le nombre de décharges des deux gaillards infatigables. Enfin la ruée se calme. Vanessa s’écroule par terre mais est rappelle à l’ordre par Cloé et elle retourne lui bouter la chatte à quatre pattes. Sophie est lessivée. Elle a mal partout mais en même temps elle n’a jamais sautant joui de sa vie. Et elle se sent bien attachée comme ça devant un paquet de monde. Cloé annonce la fin. Voilà les filles votre temps d’esclave est bientôt finit. Allez-vous laver et vous mettre en tenue pour nous faire un bon repas. La dernière épreuve sera après le repas. Vanessa détache Sophie et elles vont ensembles vers la salle de bains. Au passage Sophie voit enfin ses bourreaux. Elle est stupéfaite par l’apparence de Frédéric et ses bijoux de corps qui la font rêver. Le repas se passe dans la salle à manger. Vanessa à revêtue son costume de soubrette et Sophie ses chaines d’esclave gladiatrice. Tristan est subjugué par ce bel animal. Après le repas Magalie et ses deux acolytes se retirent après avoir promis à Cloé de se revoir plus souvent. Les trois filles se retrouvent seules. Cloé les invite à enlever leur tenue ce qu’elles font un peu à regret même si les dernières heures ont été particulièrement plus dures que ce qu’elles auraient pu penser. Cloé leur dit qu’une véritable esclave doit arborer en permanence les signes de sa condition. Et c’est le dernier test qu’elle veut leur faire passer si elles l’acceptent. Les deux filles se regardent sans comprendre. A ce moment-là Cloé va vers la porte de la maison et revient avec une femme qui tient une grosse mallette du genre mallette médicale. C’est une pro du piercing dit-elle en présentant la femme. Les filles commencent à comprendre. Alors une volontaire dit Cloé. Les filles hésitent se regardent. Dans leur tête elles voient le corps orné de Frédérique. Toujours bravache Sophie saute le pas et dit moi. La femme l’invite à se coucher sur une table. Sophie fait la fière mais se demande si c’est bien raisonnable. Le regard envieux de Vanessa la décide définitivement. Elle se couche. Une demi-heure plus tard elle a les seins et le nez percés. C’est douloureux mais elle en a vu d’autres. Elle va pour se relever mais la femme la retient et s’approche son sexe. Sophie panique un peu mais le regard de Vanessa suffit à la calmer. Son clitoris est maintenant percé et ses deux grandes lèvres aussi. Des bijoux provisoires sont insérés dans les piercings. Cloé est aux anges. Sophie se relève et toise Vanessa. Elle souffre mais ne veut pas le montrer. La femme regarde Vanessa qui semble se recroqueviller. La femme va refermer sa mallette quand Vanessa se jette à l’eau. Et sous le regard enjoué de Cloé monte sur la table. Elle possède maintenant les mêmes attributs que Sophie. Les larmes coulent de ses yeux mais elle reste fière. La femme donne alors les consignes pour les cicatrisations et se retire. Cloé est particulièrement fière de son dressage. Elle prend les filles dans ses bras et les félicite. Je fais une grande réception dans quinze jours. Il y aura un quinzaine d’invité. Je serais ravi de pouvoir montrer mes magnifiques esclaves ce jour-là. Sophie et Vanessa ne répondent pas. Elle s’imaginent parées de beaux bijoux en or et avec leur tenue préférée se pavane devant un parterre épaté. On en reparle leur dit Cloé et elle ouvre une bouteille de champagne pour clore cette semaine de folie.
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Par : le 06/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 17: claire se venge. Extrait » La tigresse le regarde d’un air carnassier. Elle lui dit voyons mon beau qu’est ce qu’on peut faire de toi. Il ne comprend pas. Tu ferais une parfaite soubrette lui dit la tigresse les choses ne plaisent plus à Fréderic qui veut traiter la tigresse de folle. Le premier mot qu’il tente de prononcer lui envoie une décharge électrique formidable. Ça vient du collier. ».. Fréderic s’est installé chez claire il devient de plus en plus ignoble et quand claire veut le menace de le virer de son appartement il la frappe violement. Maintenant il prend l’habitude de la frapper et Claire est dépassée par les évènements. Elle ne sait plus comment faire et se rend chez Magalie pour y raconter Son drame à chaudes larmes. Magalie voyant les bleus sur la peau de Claire est outrée et lui dit de porter plainte à la police. Claire lui dit qu’elle n’ose pas car il a menacé de faire de sa vie un enfer si elle portait plainte. En plus il a des copains d’un genre très douteux qui pourraient lui faire du mal si Fréderic était mis en tôle. Magalie réfléchit un bon moment et se rappelle des mots de la tigresse qui a affirmé qu’elle pourrait les aider avec les mecs. Elle propose à claire d’aller lui en parler. Le lendemain elles sont chez la tigresse qui les a invités dès qu’elle fut mise au courant de l’affaire. Elle se fait forte de ramener cette brute à la raison. Hésitante claire avec les encouragements de Magalie finit par accepter l’aide de la tigresse. Celle-ci leur dit qu’il suffit de lui amener Fréderic à la maison et quelle prendra les choses en main. Un rendez-vous est pris. Fréderic accepte tout se suite de venir avec claire prendre un verre chez un copine. Il est à l’affut de coups d’un soir et on ne sait jamais la fameuse hôtesse pourrait se révéler potable. Ce soir-là ils arrivent devant la belle maison et sont accueillis chaleureusement par la tigresse. Virginie ne paraitra pas ce jour-là. Fréderic, mufle, trouve la tigresse à son gout et pendant la conversation lui lance des allusions à peine dissimulées. Il s’enhardit voyant que la tigresse semble apprécier sa drague. Après quelques verres la tigresse propose de faire un petit jeu. Fréderic se dit que ça va se terminer en partie à trois et ça commence à l’échauffer sérieusement. La tigresse dit : Bon ça va commencer : Frédéric laisse-moi t’installer ça elle montre un collier épais à Frédéric. Il remarque avec un sourire le tutoiement il pense si ça peut lui faire plaisir pas de problèmes du moment que je la défonce tout à l’heure. Elle met le collier un clic se fait entendre. Le petit cadenas empêchant l’ouverture du collier est en place. La tigresse lui prend la main et l’emmène dans un endroit dégagé au centre du salon face au canapé sur lequel la tigresse va se rassoir aux cotés de claire qui est livide. Fréderic sent que ça va commencer par un strip devant les filles et il s’apprête à les satisfaire. La tigresse dit à claire alors on est d’accord. Claire hésite ; le regarde et laisse échapper un petit oui de sa bouche. Fréderic ne comprend pas. La tigresse le regarde d’un air carnassier. Elle lui dit voyons mon beau qu’est ce qu’on peut faire de toi. Il ne comprend pas. Tu ferais une parfaite soubrette lui dit la tigresse. Les choses ne plaisent plus à Fréderic qui veut traiter la tigresse de folle. Le premier mot qu’il tente de prononcer lui envoie une décharge électrique formidable. Ça vient du collier. Interdit il regarde les deux femmes. La tigresse lui dit à partir de maintenant tu n’as plus le droit de parler ça nous fera des vacances. Il retente de la traiter de folle mais ses mots restent dans sa gorge après une décharge qui le laisse sonné. Il reprend ses esprits et veut se précipiter vers la tigresse. Elle appuie sur une touche de la télécommande et aussitôt une violente décharge le foudroie. Il est sonné quelques secondes et veut repartir mais une nouvelle décharge lui coupe le souffle et il tombe par terre. Tu ne dois pas bouger tant que je ne t’autorise pas dit la tigresse montrant la télécommande. Maintenant relève toi elle fait mine d’appuyer sur la touche et il se lève prestement. Et reste sur place. Bien dit la tigresse tu commences à comprendre. Déshabille-toi que je puisse t’étudier dit-elle. Il la défie du regard. Nouvelle décharge. Il s’exécute. Sur les ordres de la tigresse il tourne sur lui-même elle le jauge et semble apprécier. La tigresse demande à claire de se déshabiller celle-ci s’exécute et le corps nu de sa copine commence à exciter Fréderic qui commence à bander. Claire va vers lui et lui fait une fellation le membre de Frédéric est désormais tendu. Claire se recule pour que la tigresse puisse jauger. Tu es bien monté comme promis dit-elle on devrait pouvoir faire quelque chose de toi. Il fulmine. La tigresse donne des menottes à Claire et lui dit de les passer à Fréderic. Il veut résister mais une décharge l’assomme de nouveau. Il se laisser menotter et bientôt une laisse est accrochée au collier et des menottes munies d’une courte chainette entre elles sont mises à se pieds. Il reste interdit sur place à se demande que faire. La tigresse s’approche de lui et lui montre une photo représentant une femme prosternée aux pieds d’une personne. Tu as bien vu. Désormais tu devras te prosterner comme ça quand tu seras en ma présence sauf lorsque je t’ordonnerai autre chose. Il la regarde en pensant tu rêves ma vielle. Elle le fixe quelques secondes et lui indique le sol de la main. Tu rêves pense-t-il quand un décharge le fait faire un cabriole involontaire. Putain ça secoue. il se met en position. La tigresse approche. Ta langue sur ma chaussure dit-elle il s’exécute. La tigresse se recule et va se rassoir près de Claire. Je sens qu’on va bien s’amuser. Elle ressert un verre à claire et à elle-même. Elles boivent silencieusement leur verre. Fréderic ne bouge pas d’un cil. Bien ma chère dit la tigresse tu peux y aller je m’occupe du reste et claire prend congé en jetant un dernier œil à Frédéric. La tigresse revient près de Fréderic avec une craie trace un cercle minuscule autour de lui. Il est tard je vais aller me coucher. Toi tu restes là. Garde la position et n’essaie pas de quitter ce cercle. Sinon le collier te rappela l’obéissance. Elle appuie sur un bouton de la télécommande et le collier émet une petite vibration. Bonne nuit ton chéri dit-elle. Elle quitte le salon et éteint la lumière. Il reprend ses esprits et relève la tête une décharge le foudroie il rebaisse la tête. Le collier se remet à ronronner doucement. Avec ses mains dans le dos il ne peut pas essayer d’ôter ce putain de collier. Rien à faire c’est quoi ce bordel et cette malade se dit il et cette salope de Claire est partie en le laissant avec cette dingue. Cette nuit-là il ne trouve pas le sommeil. Le jour se lève. La tigresse apparait dans le salon . Bien dormi mon petit esclave dit-elle. Il n’ose plus bouger. Debout dit-elle. Il se lève et la toise. Elle s’approche de lui et empoigne la laisse et le tire derrière elle. Elle a une petite cravache dans l’autre main il hésite à quitter le cercle. Un coup de cravache le fait avancer. Il la suit jusqu’au sous-sol. Elle le fait entrer dans une pièce basse de plafond. Au centre de la pièce une grand table avec aux quatre coins des menottes. Sous la table un pot de chambre et un bol rempli d’eau. Il a soif et faim. Elle lui montre du doigt le petit cercle. Il regard le cercle sans comprendre. Décharge. Il se précipite pour se mettre en position de soumission la tête baissée au sol elle vient derrière lu et ôte la laisse et les menottes dans son dos. Elle recule d’un pas hors du petit cercle. Il veut lui sauter dessus mais dès qu’il franchi la limite du cercle une décharge le foudroie. Il revient dans le cercle. Bien tu comprends lentement mais ça vient dit-elle. N’oublies pas quand je rentre dans cette pièce reprends bien ta position. Quand je serais partie tu pourras te déplacer dans ce cercle. Elle montre le cercle de trois mètres de diamètre. Au fait habitue-toi à manger et boire sans les mains. Sur ce elle quitte la pièce. Il se précipite vers le bol qu’il prend dans les mains et veut le lever. Décharge. Il lâche le bol qui ne s’est heureusement pas renversé. Il se met à quatre pattes et lape de l’eau. La faim le tenaille. Un moment après la porte s’entrebâille. Quelques secondes se passent il se demande pourquoi quand une illumination lui vient il va vite se mettre en position dans le petit cercle. La tigresse entre. Elle a une gamelle dans les mains et la pose dans le grand cercle. Bon appétit. Demain on attaque les choses sérieuses. Elle part et il se précipite vers la gamelle et mange à quatre pattes. Plus tard la lumière s’éteint il s’allonge sur la table et dort enfin. La lumière s’allume. Il se réveille. Doucement la porte s’entrouvre. Il se précipite dans le petit cercle. La tigresse entre. Elle lui dit de se relever et de s’installer sur la table. il s’exécute. Elle lui dit de verrouiller les menottes. Une courte hésitation elle approche son doigt de la télécommande. Il verrouille rapidement les menottes. Elle s’approche lui malaxe le sexe le prend par la mâchoire et inspecte son visage, pince sa peau pour voir s’il a de la graisse. Une vrai maquignonne. Elle sourit et dit une belle soubrette tu peux me croire. Elle s’en va. Une femme masquée entre dans la pièce elle a une grand mallette. Elle sort du matériel et commence une séance d’épilation définitive au laser. Une demi-heure après elle part. Elle reviendra dans l’après-midi. Le temps passe. Les portions de nourritures sont très réduites et Fréderic sent qu’il perd du poids. Bizarrement il sent que quelque chose cloche au niveau des seins. Ils sont sensibles et on dirait qu’ils grossissent. Maintenant Fréderic est intégralement imberbe. Seuls ses cheveux ont été épargnés. Ses seins continuent à pousser c’est quoi ce truc se demande t’il. Un matin la femme masquée revient et lui applique un piercing au nez aux seins et au sexe qui est maintenant orné d’un anneau identique à ceux des seins et du nez. La tigresse soigne ses cicatrices et peu à peu la douleur s’estompe. Les cicatrices sont guéries la tigresse lui met à la place des anneaux provisoires des lourds anneaux en or. Elle le félicite pour sa poitrine en lui disant que les hormones qu’il avale depuis le début font leur office. Un matin elle lui installe la laisse les menottes dans le dos et l’emmène à l’étage supérieur. Elle l’emmène dans la salle de bains ou il voit dans le miroir un être androgyne qui a sa tête. Très aminci arborant une petite paire de seins il a conservé son sexe qui parait énorme par rapport au reste du corps. Il apprend des tours avec sa maitresse ; s’exhiber, servir une boisson lui bouffer la chatte … Le soir il dort dans le lit de la maitresse les bras menottés dans le dos les jambes écartelées au bas du lit et le visage dans l’entrejambe de sa maitresse. Il la satisfait chaque nuit et la réveille chaque matin avec sa bouche qui peu à peu acquiert de la maitrise. Il porte en permanence un plug annal. Il a commencé avec un petit modèle et peu à peu a encaissé des gabarits supérieurs. Désormais il porte un plug qui fait cinq centimètres de diamètres. Il ne peut pas s’assoir mais n’en a jamais l’occasion. Ses cheveux ont poussés et la tigresse lui fait une queue de cheval chaque jour. Un matin elle lui annonce qu’ils vont faire un voyage en Roumanie. Le voyage en mini van se passe bien. Ils arrivent dans une clinique ou un homme les reçoit. Il étudie sa poitrine son visage et réalise des croquis avec la tigresse. Après plusieurs heures de palabres les deux semblent tomber d’accord. Fréderic est conduit en salle d’opération il se réveille avec des douleurs aux seins au visage et aux hanches. Il peut voir que sa poitrine a pris une dimension impressionnante. Quelques jours plus tard on lui enlève les pansements. Il ne peut pas voir son visage mais ses yeux lui semblent s’ouvrir différemment son nez et ses pommettes le font toujours souffrir. Ils quittent la clinique et rentrent en France. Arrivés dans la maison de la tigresse, elle le conduit dans la salle de bains ou elle le maquille consciencieusement. Puis elle le met face au miroir qui lui renvoie le visage et le corps d’un inconnue très mince belle avec les yeux en amandes un petit nez retroussé une belle poitrine et de longs cheveux blonds avec une queue de cheval qui lui donne un air d’ado. Des hanches épanouies et un gros sexe à la place du pubis. Il comprend que c’est bien lui cette bimbo. Désormais il porte un anneau aux couilles qui sont nettement détachées de sa bite. Un jour. Sa maitresse reçoit des amis hommes et femmes. Il est présenté et apprend à satisfaire autant les hommes que les femmes il apprend à sucer une bite et à se faire enculer. Le long apprentissage de port de plug lui permet d’encaisser des bites de toute taille. Un matin il reconnait claire parmi les invitées de sa maitresse. Claire est estomaquée elle n’arrive pas à croire que cette bimbo soumise avec une bite énorme soit bien le Fréderic qu’elle a amené un an plus tôt chez la tigresse pour que celle-ci lui donne une leçon. La tigresse demande à claire ce qu’elle en pense. Claire ne sait que dire. Félicitations vous êtes vraiment une reine dans le domaine. La tigresse reçoit avec grâce les compliments et fait une démonstration de ce qui peut être fait avec Frédérique. Il ou bien elle on ne sait plus exécute tous les ordres avec grâce célérité et adresse. Son chibre disproportionné fait fantasmer claire qui s’imagine faisant l’amour avec Frédérique dans toutes les positions. Elle se dit que Magalie et martine seraient jalouses d’elle si elle avait un esclave comme ça à la maison. La beauté et la grâce d’Anna avec une bite semblable à celle de Tristan et si ça n’a pas changé de ce côté-là une endurance à toute épreuve. Frédérique a repris la position de soumission sur un geste de la tigresse. Celle-ci explique maintenant les gestes à claire. Celle-ci se demande à quoi ça pourrait servir car Frédérique ne lui appartient plus. A la fin de la soirée elle va prendre congé de la tigresse quand celle-ci lui dit : maintenant on va passer aux choses sérieuses. Tu le récupères quand ? Le tutoiement et le ton effraient claire qui ne s’attendait pas à ça. Mais je ne pensais pas le récupérer répond-elle. La tigresse lui dit. Tu m’as demandé de le dresser c’est fait. J’ai même apporté des améliorations comme tu vois. Claire s’imagine maintenant avec son esclave et ça la chauffe dans le bas ventre. Je pense que tu peux la récupérer demain je l’habillerais et je te donnerai des consignes importantes. Claire voie qu’elle n’a pas trop le choix et opine. Le lendemain elle est reçue par la tigresse. Frédérique est en position de soumise mais ce coup-ci elle est habillée de façon outrageusement provocante. Claire est subjuguée et se demande ce qu’elle va pouvoir faire avec. La tigresse lui donne une boite contenant de pilules. Tient il faut qu’elle avale une pilule par jour c’est ce qui la maintien en asservissement. Claire comprend enfin comment fait la tigresse. Cette dernière lui dit que tant qu’elle prendra les pilules Frédérique restera comme elle est mais si les pilules s’arrêtent l’ancien Fréderic remontera à la surface et ça pourrait ne pas être bon. Claire prend les pilules. La tigresse lui dit je t’en fournirais deux fois par an c’est cher mais efficace. Claire la remercie. Maintenant dit la tigresse en la regardant fixement il faut penser au paiement car toute peine mérite salaire. Claire est paniquée. Elle n’aura jamais les moyens de payer il doit en avoir pour des dizaines de milliers d’euros. La tigresse lui sourit. Ne panique pas je ne demande pas d’argent. Claire se calme mais se demande comment veux la faire payer la tigresse. Cette dernière dit j’ai une commande d’un Client étranger. Il est jaloux de son voisin qui m’a racheté virginie. La panique de claire monte en flèche. Elle ne veut pas devenir l’esclave d’un étranger. La tigresse sourit. Tu ne feras pas l’affaire car il veut un male. La panique de claire ne retombe pas. La tigresse lui dit voilà il te suffit de me ramener un male comme Fréderic. Claire est livide. Elle se demande mais comment je vais trouver un mec comme ça. La tigresse lui dit. Tu as trois mois pour me le ramener si tu ne remplis pas ta part du contrat tu le regretteras amèrement je pense. Claire reste stupéfaite. La tigresse lui dit : bon je te souhaite un bon retour et beaucoup de bonheur avec Frédérique. Tu verras qu’elle n’a rien perdu avec sa queue. Puis elle fait se relever Frédérique et lui dit voici ta nouvelle maitresse. Maintenant tu seras son esclave. Frédérique vient se mettre en position de soumission devant claire. Celle-ci d’une voix blanche lui dit relève toi et suit moi. La tigresse lui fait un dernier geste de la main et rentre dans sa maison. Claire est paniquée.
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Par : le 23/02/21
CHAPITRE 14: Virginie et la Tigresse Petit à petit la froideur de Virginie envers Magalie disparait. D’abord uniquement dédiées au taf les conversations entre les deux filles sont devenues plus cordiales puis constate Magalie leur relation prennent une tournure amicale. Virginie n’aborde pas le sujet du pari mais Magalie devine qu’elle tourne autour du pot. Un jour enfin alors qu’elles sont seules dans la salle de repos Virginie lui demande si elle la vente d’accessoires de bondage n’est pas marginale. Magalie lui confirme qu’effectivement cette vente est plus marginale car souvent, même si ça les intéresse, les clientes n’osent pas commander devant leurs amies de tels accessoires. Magalie lui dit que bien souvent les clientes la rappellent au téléphone et Magalie va les voir spécifiquement avec le matériel concerné et promettant une discrétion totale elle réalise quand même pas mal de vente comme ça. Virginie semble intéressée. Et tu leur fait une démo comme à moi minaude-t-elle. Parfois j’ai l’impression que certaines n’attendent que ça. Mais ça reste très professionnel ajoute-t-elle. Virginie se lance : tu sais j’y ai repensé et je me demandais ce que ça ferait d’être de l’autre côté du jeu par rapport à notre rencontre . Magalie répond qu’une cliente lui a bien donné l’impression qu’elle apprécierait de tester coté soumise les accessoires. Virginie demande et alors tu as fait quoi. Rien dit Magalie je n’ai pas eu de nouvelles depuis. Virginie parait déçue. Si tu veux voir comment ça se passe je peux l’appeler pour lui proposer la nouvelle collection et tu feras la démonstratrice. Le regard de Virginie devient trouble. Tu crois que j’oserai dit-elle. Bah je crois que tu n’as pas froid aux yeux dit Magalie. Je vais l’appeler voir si elle est intéressée et si c’est le cas je te filerai les échantillons et tu feras le taf. Virginie hésite mais dit : banco visiblement excitée par cette aventure. La tigresse est reconnaissante envers Magalie qu’elle ne l’a pas oublié et quelques jours plus tard Virginie sonne à la porte de la tigresse. Impressionnée par la taille de la maison Virginie se dit que la tigresse doit être friquée. Cette dernière ouvre la porte et très affable invite Virginie à pénétrer jusqu’au salon. Elles boivent d’abord un café puis la tigresse dit : Passons aux choses sérieuses montrez-moi ce que vous avez. Virginie déballe les paquets sous l’œil brillant de la tigresse. Vous croyez que ça me va. Demande la tigresse. Si vous voulez on peut essayer dit Virginie. Mais ça se porte nue répond la tigresse l’air intimidé. Si vous voulez je n’y vois pas d’inconvénients dit Virginie la défiant du regard. La tigresse se déshabille ne gardant qu’une minuscule culotte. Virginie est impressionnée par la tigresse qui finalement n’est pas si vieille que ça. elle est canon. Elle n’a pas un pet de graisse, des seins visiblement refaits et arbore un anneau en or accroché par un piercing à chaque mamelon. La tigresse minaude. Je n’ai pas pu résister ça me donne l’impression d’être une esclave parfois. Virginie devient carrément excitée. La tigresse lui dit alors qu’elle avait follement apprécié la tenue de martine et Tristan lors de la séance hard et qu’elle fantasmait depuis la dessus. Elle explique à Virginie les accessoires nécessaires et Magalie ayant bien flairé le coup elle dispose justement de la panoplie idéale. Bientôt la tigresse est ligotée bâillonnée et arbore le collier munie d’un laisse. Virginie est excitée par ce tableau. La tigresse pousse des petits gémissements dans son bâillon. Virginie lui ôte à regret. La tigresse lui dit vous pourriez me faire faire un tour à la laisse dans la maison pour que je me rende compte. J’avais vraiment apprécié de voir martine tirée par la laisse et pelotée par toutes ces mains. Virginie lui remet le bâillon et la promène dans la maison elle hésite à peloter la tigresse Mais ça la démange furieusement. Enfin elle délivre la tigresse qui semble très reconnaissante. C’était super dit cette dernière. Très excitant. Virginie lui dit qu’elle aussi a apprécié. La tigresse se penche alors vers elle et dit si vous le voulez bien on pourrait reprendre rendez-vous et recommencer en allant beaucoup plus loin. Virginie exulte. Elle va pouvoir jouer le rôle de la maitresse et disposer d’une esclave pour elle toute seule. Elle accepte volontiers et elle repart de chez la tigresse. Elle n’a jamais été autant excitée à part peut-être lors de la séance chez Magalie. Le lendemain elle revoit Magalie et lui dit sobrement que ça c’est bien passé et que la tigresse a acheté le matériel mais elle ne parle pas du prochain rendez-vous. Quelques jours plus tard elle est de nouveau devant la porte de l’imposante maison. La tigresse lui ouvre tout sourire. Virginie trépigne mais elle doit prendre un café avec l’hôtesse comme les conventions l’obligent. Le café n’a pas tout à fait le même gout que la dernière fois mais c’est le cadet des soucis de Virginie. Après avoir devisé les femmes décident de commencer la séance. Virginie se sent toute flagada et ne comprend pas bien ce que lui dit la tigresse qui la prend par la main et l’emmène vers une chambre. Là, Virginie n‘arrivant plus à tenir debout est couchée sur le lit par une tigresse qui lui caresse la joue. Le trou noir. Virginie commence à revenir à elle j’ai dû faire un malaise se dit-elle. Elle veut porter sa main à sa tête mais se rend compte qu’elle ne peut pas bouger la main. Soudain paniquée elle se rend compte qu’elle est attachée écartelée par les quatre membres sur une espèce de table inconfortable et dans le noir. Elle veut crier mais un bâillon l’en empêche. Un néon s’allume au plafond bas de la pièce. Ça doit être une cave se dit-elle. Quelqu’un rentre dans la pièce. Au-dessus de sa tête elle voit la tigresse qui lui sourit. Bien dormi ma petite esclave. Virginie n’en crois pas ses oreilles. Tu es venu pour une séance de bondage. Tu vas être servie même si je crois que tu ne souhaitais pas cette place. Ne t’inquiète pas tu as tout le temps pour t’habituer. Bon désormais tu es devenue mon esclave. Félicitations . Virginie se dit que cette femme est folle. Laisse-moi t’expliquer le fonctionnement de ton collier. Elle touche le collier au cou de Virginie qui s’aperçoit de sa présence. Il a deux fonctions, la première c’est un anti aboiement qui marche très bien sur les humaines et la deuxième c’est comme les bracelets électroniques des condamnés mais beaucoup plus précis ça se règle au centimètre près. Dans la bonne zone tout va bien et dès que tu veux aller au-delà c’est le rappel à l’ordre. Maintenant je vais t’enlever le bâillon mais rappelle-toi ce que je viens de te dire. Le bâillon à peine ôté Virginie veut gueuler sur la tigresse mais avant qu’elle termine le premier mot une décharge inouïe la fait se cabrer sur la table et la laisse pantelante se demandant ce qui lui arrive. Bien dit la tigresse tu testes le matériel. Virginie veut protester une deuxième décharge le foudroie de nouveau. J’ai réglé le collier en mode apprentissage les décharges sont sévères n’en abuse pas. Virginie a compris et ferme sa bouche. Cette femme est folle se dit-elle. Maintenant deuxième point, chaque fois que tu me verras tu devras te mettre au milieu du cercle dessiné au sol dans cette position. Elle montre une photo à Virginie une femme se prosterne à genou le visage collée au sol et les mains présentées les paumes vers le ciel. Tu gardes cette position tant que je ne t’ordonne pas autre chose continue la tigresse. Maintenant dernière chose pour l’instant elle sort de son sac une tondeuse à batterie. Tu as vu sur la photo le crâne est rasé. Ça sera ta coiffure désormais. Et elle actionne la tondeuse et cinq minutes plus tard Virginie est tondue. La tigresse lui dit quand je reviens tu auras nettoyé tout ça. Et elle laisse Virginie. Un clic se fait entendre. Les quatre menottes se sont ouvertes simultanément. Elle saute au bas de la table et regarde autour d’elle. Elle voie le petit cercle près d’elle ce petit cercle est inclus dans un plus grand qui fait environ trois mètres de diamètre. Elle se dirige vers la porte bien décidée à se barrer. Au fur et à mesure qu’elle approche de la limite du grand cercle son collier se met à vibrer de plus en plus. Au moment de franchir la limite une puissante décharge la fait retomber en arrière. Putain de salope dit-elle en se rappelant les consignes de la tigresse. Elle retourne vers la table. Sous la table un pot de chambre une balayette et un ramasse poussière. Si elle croit que je vais obéir elle se trompe lourdement dit-elle. Le temps passe elle est assise au bord de la table et la faim commence à la tenailler. La porte s’entrouvre deux secondes se passent puis la tigresse pénètre dans la pièce. Elle regarde la tigresse d’un air de défi. Une puissante décharge la foudroie. J’avais oublié de te dire que je pouvais aussi déclencher le collier avec ça dit la tigresse en montrant la télécommande en indiquant le petit cercle de l’autre main. Virginie la toise. Nouvelle décharge Virginie est secouée et en pleurs rejoint le petit cercle ou elle se met dans la position souhaitée. Elle est honteuse de se soumettre ainsi mais elle ne pourra pas supporter une décharge de plus. C’est mieux comme ça dit la tigresse. Je vois que tu n’as pas nettoyé. Tu n’as donc pas besoin de diner ce soir dit-elle. Elle pose une gamelle pour chien remplie hors de portée de Virginie hors du deuxième cercle. Les bonnes nouvelles maintenant. Ta lettre de démission est partie et tu as rendez-vous avec Emmaüs pour vider ton appartement ce qu’ils ne prendront pas ira à la décharge. J’irais à ta place rassure toi. Tu n’as besoin de rien d’autre que ta maitresse ajoute * elle et ta garde-robe ne va plus t’aller car nous allons éliminer ces kilos superflus. Virginie est horrifiée mais n’ose ni bouger ni parler. Ha aussi ton portable est malencontreusement tombé dans l’insert de la cheminée il faudra songer à résilier l’abonnement. Virginie est désespérée. C’est tout pour ce soir à demain dit la tigresse et elle quitte la pièce. Virginie pleure à chaudes larmes maintenant. C’est trop pour elle. La lumière s’éteint. Elle se couche en pleurant sur la table et finit par s’endormir affamée et épuisée. Elle et réveillée par la lumière qui s’allume. Elle crève de faim. Rapidement elle nettoie la table et le sol faisant disparaitre toute trace de poussière. La porte s’entrouvre elle bondit dans le petit cercle et prendre la position de soumise. La tigresse entre. Bonjour ma chérie dit-elle je vois que ça rentre. Elle pose une gamelle odorante et un bol d’eau dans le grand cercle. Habitue-toi à manger sans les mains et à laper lui suggère la tigresse sinon je ne serais pas contente. Elle pose un rasoir une cuvette et de la mousse à raser sur le table. Ça c’est pour ton crane et ton sexe dit-elle. A tout à l’heure. Elle quitte la pièce. Virginie se précipite sur la gamelle méfiante elle regarde bien autour d’elle et voit qu’une caméra suit tous se mouvements. Elle se met à quatre pattes et commence à manger directement dans la gamelle. Ensuite elle fait ce que la tigresse a demandé et attend. Les jours passent Virginie sent qu’elle perd du poids elle se désespère de voir aussi sa poitrine maigrir et perdre un peu de sa superbe. Un matin la tigresse lui dit de se lever pour la première fois depuis le début. Elle se lève. La tigresse lui dit de se coucher et de verrouiller les menottes. Elle est inquiète mais obtempère. Une femme entre dans la pièce avec une grosse mallette. Elle porte un masque de chirurgien. Elle s’approche de Virginie et pulvérise un produit sur les mamelons de Virginie qui a l’impression que c’est un anesthésiant. La femme sort une espèce d’aiguille épaisse et du petit matériel. Virginie s’inquiète. Prenant un téton avec une pince trouée dans son milieu elle tire sur la pince et le mamelon est tendu. D’un coup adroit elle passe la grand aiguille dans le trou de la pince embrochant le téton de part en part Virginie se retient de crier malgré la douleur insoutenable. La femme passe un anneau dans trou et referme l’anneau en cliquant elle ôte la pince et entame le deuxième mamelon. Virginie panique elle avait déjà hésité à le faire mais là elle n’est pas vraiment volontaire. Le deuxième téton terminé la femme pulvérise le produit sur son sexe. La pince saisie le clitoris qui trois minutes plus tard possède son propre anneau. Puis c‘est au tour du nez et Virginie se retrouve avec quatre anneaux identiques sur le corps. Le dernier entre dans une narine et sort par l’autre comme pour un bœuf. La douleur est lancinante. La femme lui fait une piqure. La douleur reflue. La femme donne des consignes à la tigresse et s’éclipse. Pendant plusieurs jours la tigresse prodigue des soins à Virginie. Elle est délicate et tendre avec elle. Puis une fois les piercings bien cicatrisés elle enlève les anneaux provisoires et lui met à la place de magnifiques et lourds anneaux en or d’au moins cinq centimètres de diamètres.
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Par : le 23/02/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 13 ; Anna fait une bêtise Martine est décidée. Elle va rendre visite à sa tante âgée qui a fait une mauvaise chute il y a quelques jours. Elle est à l’hôpital très loin de là. Martine se dit qu’elle pourra passer la nuit là-bas dans la maison de sa tante pour aérer la maison et vérifier que tout va bien. Ce weekend Anna est de permanence à la pharmacie alors elle ne peut pas venir. Cependant une vague de cambriolages a lieu dans le quartier en ce moment et elle hésite vraiment à laisser la maison vide. Elle appelle une voisine pour lui demander si elle veut bien surveiller la maison et faire un tour de temps en temps devant. Martine lui a déjà rendu ce service. La voisine propose une solution plus fiable elle propose que son fils tom d’une vingtaine d’année qui est en fac de droit s’installe pour la durée de son absence dans la maison ça découragera les voleurs si la maison est occupée d’autant plus qu’un jeune se couchant tard et ne lésine pas sur l’éclairage. Martine est ravie elle a déjà vu ce jeune sympa poli et très gentil même si visiblement il est un peu trop sensible aux charmes de martine. Le samedi matin il se présente à la maison. Elle lui donne les clés quelques recommandations et lui assure que le frigo est copieusement rempli pour satisfaire un ou deux estomacs tout le weekend. Elle prend la route rassurée. Tom kiffe d’avoir la maison pour lui il appelle Kévin son meilleur pote qui ne tarde pas à la rejoindre. Le midi ils se font livrer une pizza. Le contenu du frigo peut attendre. Anna est ravie. Sa collègue l’a appelé pour lui demande d’échanger les tours de garde. Elle a accepté et compte bien faire une surprise à la grande perche. Vers 13h00 elle arrive devant la maison et comme elle possède un double des clés elle pénètre dans l’entrée elle entend la télé et se dit qu’il va y avoir un belle surprise. Elle ouvre le tiroir réservé, se déshabille et s’équipe. Le bâillon a avantageusement été remplacé par un collier anti aboiement que martine s’est procurée dans une animalerie. Elle met les menottes et les enclenche. Désormais elle est à la merci de martine et ça la chauffe déjà bien. Elle pénètre avec un grand sourire dans le salon. Au lieu de voir martine elle voit deux jeunots qui matent un porno à la télé. Ils se tournent vers elle et ont des yeux comme des soucoupes. Elle panique. Impossible de repartir en arrière elle ne peut pas enlever les menottes seule. Impossible d’expliquer la méprise le collier l’empêche de parler. Elle reste figée. Miracle dit un des jeunes en s’approchant d’elle. Il voit la laisse et prend la poignée. Il lit l’étiquette et dit à voix haute que martine cache bien son jeu. L’autre gars s’est approché. Bon martine nous a prêté sa maison et tout ce qu’il y a dedans. Comme elle appartient à martine c’est qu’elle nous la prête aussi. Surement pour nous remercier de garder la maison. Se contentant de ses explications ils amènent Anna au centre du salon. Ils la contemplent. Elle ne bouge pas. Une main puis deux puis quatre s’enhardissent à la toucher puis la caresser puis la palper furieusement des seins à la chatte. Malgré elle son corps apprécie les caresses et les garçons se rendent compte qu’elle mouille abondamment. Tom tire la laisse vers le bas et Anna doit se mettre à genou. Il déboutonne sa braguette et approche sa bite dressée de la bouche d’Anna. Elle hésite puis prend la bite dans sa bouche. C’est le début d’une longue journée de sexe pour Anna. Ils ne tardent pas à se mettre à poil tous les deux. La bouche d’Anna passe d’une bite à l’autre. Tom se couche sur le canapé et la fait le chevaucher elle prend son pied. Kevin se présente debout à côté d’Anna qui adroitement happe son sexe et tout en faisant des va et vient de haut en bas avec sa croupe fait la même chose mais horizontalement avec sa bouche. Un incident les tétanise Anna a voulu crier de plaisir mais le collier a fait son œuvre. Elle a sursauté violemment lorsque la décharge l’a foudroyée et les garçons se sont instantanément arrêtés. Tom lui demande si ça va elle lève la tête pour lui montrer le collier. Il comprend et ôte ce dernier. La partouse reprend. Anna toujours attachée. Un peu plus tard le trio se calme ils ont beau être jeune il faut parfois récupérer un peu. Ils s’installent l’un à côté de l’autre et allument la télé pour regarder un autre porno. Anna à genou entre les deux regarde aussi la télé. Elle est aux anges car quatre mains la caressent et deux bouches la couvrent de baisers. L’après-midi se passe ainsi alternant les périodes de rut et les temps de repos. Ils dinent dans la cuisine. Anna est assise entre les deux et ils lui donnent tour à tour la becquée. Ensuite nouveau déchainement dans le salon et très tard dans la nuit les garçons décident qu’il est temps de se mettre au lit. Ils emmènent Anna épuisée dans le grand lit de martine et se couchent de chaque côté d’elle radieuse. Elle s’endort collée de chaque côté par des corps chauds et caressant. Elle est réveillée le matin par un mouvement sur sa droite. Kevin s’est mis à genou près de sa tête. A quelques centimètres d’elle il exhibe une érection de bonne taille. Elle le prend délicatement dans sa bouche et lui fait une fellation lente et douce. Il tient le plus longtemps possible appréciant autant qu’elle se moment de béatitude. Il se laisse aller et elle avale consciencieusement le sperme jusqu’à la dernière goutte elle jette un regard à Kévin sui lui regarde derrière elle en souriant. Elle se retourne et voit Tom à genou comme Kévin arborant une bite dans le même état. Souriante elle le prend dans sa bouche. Le petit déjeuner se passe comme le repas d’hier. Le passage dans la salle de bains est épique. Ils se bagarrent presque pour la frotter et c’est avec des tonnes de caresses qu’ils la lavent intégralement. Ils l’emmènent dans le salon. Bizarrement ils se sont rhabillés. Ils la font mettre à genou sur la table du salon les genoux écartés. Puis tom reçoit un sms sur son portable et se dirige aussitôt vers la porte d’entrée Anna flaire un problème. Kévin tient la laisse fièrement dans la main. Tom revient mais il est accompagné de deux jeunes, surement leur copains qui restent bouche bée devant un si beau spectacle. Kévin et tom exultent fièrement. Elle est figée. Les deux jeunes s’approchent et tournent autour d’elle pour la voir sous toutes les coutures. Tom lui pétrit un sein et c’est le signal pour que huit mains puis quatre bouches et enfin autant de chibres viennent la besogner. Ce coup là pas de période de repos. Anna est remplie en permanence. Son cul jusque-là épargné prend aussi son content. Ils arrivent même à réaliser des positons ou ses trois orifices et ses mains sont investis en même temps par des sexes palpitants. Comme dans un rêve la matinée passe très rapidement. Anna est extenuée et ne compte plus les orgasmes car elle a depuis longtemps cessé de réfléchir et se lâche comme une tigresse. Midi arrive. Les copains de tom se rhabillent à contrecœur et les quittent. Celui-ci caresse encore un peu Anna qui s’est pelotonnée contre son épaule puis un dernier baiser et il la libère des menottes avec la clé qu’il a trouvée grâce aux précisions d’Anna. Elle se lève l’embrasse et après un rapide passage à la salle de bains retourne dans l’entrée ou elle redevient la Anna normale. Martine arrive vers 14h00. Tom lui assure que tout s’est super bien passé et qu’elle pouvait faire appel à lui quand elle voulait. Elle pense qu’il essaye de la dragouiller mais les pensées du jeune sont ailleurs. Il n’est pas près d’oublier ce weekend. Une fois le garçon parti martine aère la pièce car elle trouve que le salon sent le cul. Il ne devait pas être seul et a dû prendre du bon temps. Elle croie reconnaitre l’odeur fruitée du parfum d’Anna dans la pièce mais se dit qu’elle doit se faire des illusions.
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Par : le 22/02/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 12 : Magalie triomphe Le lendemain matin Magalie se lève et détache Tristan qui a l’air chiffonnée. Bien dormi chéri lui dit-elle. Pas du tout répondit-il je ne peux pas continuer comme ça. Tant pis se dit Magalie je perds un bon amant mais pas question de le laisser me cocufier. Donc ? dit-elle. Si je te jure de ne pas recommencer tu arrêtes tout ça. Un espoir gagne Magalie qui doit jouer serré. Ecoute moi bien je tiens à toi mais tu m’as trahi et je sais que ce n’est pas la première fois alors je ne peux pas faire autrement. Lorsque j’aurai de nouveau confiance en toi on en reparlera mais d’ici là tu dois te racheter. Elle libère la laisse du radiateur mais ne fit pas mine de la détacher. Il la regarde s’un air interrogatif. Elle dit : deux possibilité soit je te détache là et bye bye soit tu acceptes mes conditions. Tristan réfléchit. Elle est quand même canon avec elle je vis des aventures pas banales et bizarrement ça m’excite d’être attaché comme ça. Ok dit-il je marche. Pourvu que ça ne dure pas trop longtemps. Magalie exulte intérieurement. Bien allons prendre un petit dej. Heu j’ai envie de pisser dit Tristan. Elle saisit la laisse et l’accompagne aux toilettes ou elle tient sa queue à travers la cage. Il se résigne à pisser et finalement s’aperçoit que la cage n’est pas gênante pour ça. Sa queue commence à durcir dans les mains de Magalie mais dès que la douleur arrive il débande rapidement. Très bien dit Magalie. Bon je vais te détacher pour que tu déjeune et que tu te douche mais avant viens avec moi. Elle tire la laisse et Tristan suit le guide. Elle s’arrête dans le petit couloir qui symbolise l’entrée de son appartement. Tu vois dans cette zone tu es libre et tu peux te tenir habillé. Elle montre le petit couloir de 2 m2 qui va jusqu’à la porte et tout le reste de l’appartement tu es mon esclave et tu dois rester nu entièrement, à mes ordres et tu dois porter ça. Elle sort une étiquette qu’elle fixe à un mamelon de Tristan. Il ne peut pas lire l’étiquette mais ça ne doit pas le mettre en valeur. Et aussi tant que tu es dans la zone esclave tu ne parles que si je t’y autorise. Il prononce mais… elle l’arrête. Tu viens de gagner un jour de chasteté supplémentaire dit-elle. Je vais mettre un tableau ici et tu pourras voir quel jour sera celui de la délivrance. Tu désobéis ou tu me déplais un jour de plus. Tu es particulièrement obéissant tu gagnes peut être quelques heures dit-elle. Muet il opine du chef. Maintenant tu vas me faire une gâterie pour qu’on scelle le pacte. Elle reste sur place et écarte les cuisses. Il se met aussitôt à genou et entreprend de la satisfaire avec les seuls moyens qui lui restent. Pas de petit dej pour toi ce matin tu vas me regarder manger et ensuit je te détacherais pour ta toilette. N’oublies pas aucun habit sur toi avant la zone réservée et tu dois porter cette étiquette en permanence dans la zone esclave. Il ne pipe mot de toute façon il a la bouche et la langue trop occupée pour parler. Magalie décide que c’est bon et le détache pour qu’il se prépare pour le taf. Elle va prendre son petit dej. Arrivé dans la salle bain il peut enfin lire l’étiquette. « Esclave personnel de Magalie ». Elle est folle cette fille. Néanmoins il prend les consignes au sérieux en se disant qu’il fera le point une fois dehors. Comme convenu il amène se habits dans la zone autorisée et il s’habille sous le regard appréciateur de Magalie. Une fois qu’il est parti elle appelle martine qui la félicite. La journée se passe bien et le soir elle rentre après Tristan. Quand elle arrive il est là nu l’étiquette bien en place et lui adresse un petit sourire muet. Bonjour mon esclave dit-elle. C’est comme ça qu’on accueille sa maitresse et elle lui montre son entrejambe. Il réagit et vient de mettre à genou devant elle colle sa bouche au sexe de Magalie qui avait bien ôté sa culotte avant d’entrer. Repue elle lui dit de se retourner et lui mets les menottes dans le dos et le collier de cuir. Bon je ne dis rien pour aujourd’hui mais désormais quand je rentre après toi tu dois avoir ton collier et tes mains menottées dit-elle. Ils prennent l’apéro elle assise sur le canapé avec un verre à la main , lui à genou face à elle dans bouger. Elle kiffe. La petite cage a des effets magiques. Elle prend son repas dans la cuisine lui toujours à genou est à ses côtés et mange ce qu’elle veut bien lui donner directement dans la bouche. Sur les conseils de martine elle lui a mis un bol d’eau dans un coin de la cuisine. Après le repas elle se déshabille nue allongée sur le canapé et lui toujours ligoté à genou la lèche partout où il peut. Elle décide de regarder un film. Elle lui met un masque et lui donne l’ordre de ce tenir à genou face à elle et de lui lécher les pieds. Il s’exécute. Elle est aux anges. Pendant la pub elle va pisser et revient au salon. Sur ses ordres il baisse la tête jusqu’au sol et elle peut poser ses pieds sur le dos de Tristan. Fin du film elle prend la laisse en main et l’emmène jusqu’à la chambre bon tu as été sage tu as gagné une demi-journée. Elle lui montre le lit. Il exulte. Sa joie est vite refrénée. Sur les conseils de martine, mais ou va t elle cherche tout ça, il se retrouve sur le ventre les jambes écartées liées aux pieds du bas du lit et la tête dans l’entrejambe de Magalie. Elle s’endort heureuse alors qu’il continue à la brouter sans se poser de question. Le réveil sonne. Magalie tapote la tête de Tristan qui entreprend de la satisfaire ave sa langue. Quel pied pense t’elle. Le réveil se passe comme la veille. Une fois libéré Tristan va se laver et revient mettre ses habits dans la zone réservée. Il regarde le tableau. La libération est prévue dans quatre jours. Dans la journée Magalie appelle martine et lui fait part de ses réussites. Martine la félicite. Elle a le souffle un peu court puis Magalie se rappelle que c’est le jour de repos d’Anna elle l’imagine entre les jambes de martine sans savoir qu’effectivement les mains liées dans le dos Anna est à genou et suce martine . Elle arbore son étiquette et est saucissonnée par un shibari parfait. Magalie propose à martine de venir prendre l’apéro le soir. Tristan doit rentrer avant elle on verra bien. Martine accepte au déplaisir d’Anna qui arrête de la lécher. A petit voix martine lui dit tu vas le regretter petite peste. Anna imagine avec délice quelle punition pourrait lui administrer martine. Le soir même elles pénètrent ensemble dans l’appartement Tristan est là nu lié à genou et ignorant martine vient immédiatement lécher l’entrejambe de Magalie qui exulte. Bravo dit martine c’est un bon esclave que tu as là. Il fait des progrès avec sa bouche. Tu vas pouvoir constater toi-même dit Magalie. Elle tapote la tête de Tristan qui se précipite entre les jambes de martine. Elles vont vers le salon et Magalie dit à Tristan ce soir exceptionnellement je vais te libérer la bite. Mais interdiction de juter. De toute façon tu auras du mal. Elle le fait se coucher sur le dos sur la table du salon et l’attache consciencieusement. Elle lui libère le sexe qui aussitôt prend des proportions appréciables. Elle lui met un triple collier de sexe un collier lui serre la base des couilles le deuxième lui enserre le bas de la bite et le troisième enserre l’ensemble. Son sexe et ses couilles sont gonflés deviennent cramoisis et sa bite pointe droit vers le ciel. Martine et Magalie son impressionnée par le chibre et doivent faire des efforts pour ne pas en profiter. Tristan a la tête qui dépasse de la table il ne peut pas la reposer sur la table mais Magalie lui montre qu’il peut être utile en encerclant sa tête avec son entrejambes. Le corps de Tristan sert ensuite de table de salon et les coupelles contenant les cacahuètes ainsi que les verres sont posés sur lui. L’apéro terminé martine félicite Magalie et prend congé. Elle doit libérer sa petite furie doit fulminer dans la malle en osier qui lui serre de prison d’autant plus qu’elle a les mains liées et un magic wand bien scotché sur son petit clitoris. Maëva lui a donné pas mal d’idées géniales. Magalie va chercher des glaçons dans le freezer et entreprend de faire débander Tristan. Dix minutes plus tard sa cage est en place et ils partent pour une nuit identique à la précédente
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Par : le 18/02/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 11 : Magalie commande Cet après-midi-là Magalie ne travaille pas elle se promène dans la ville et au coin d’une rue elle voit Tristan sortir d’un hôtel miteux en tenant la main d’une inconnue. Prête à se jeter sur lui Magalie reprend son calme et prend une photo avec son portable. Malheureusement elle va devoir rompre avec Tristan qui est décidément bien trop volage. Rentrée chez elle en rage Magalie téléphone à la première personne qui lui vient à l’esprit, Martine. Elle lui explique tout. Martine la console en essayant de lui faire comprendre qu’elle trouvera surement mieux un jour mais qu’elle pourrait donner une dernière chance à Tristan en prenant des dispositions fermes lui interdisant de papillonner hors de la maison. Magalie est perplexe et je fais comment demande-t-elle ? Regarde sur ton catalogue de toys à la page 282 lui dit Martine. Propose lui ça ou la rupture. Magalie s’empare de son catalogue et page 282 il y a les cages de chasteté pour hommes. Martine lui dit poses lui l’ultimatum tu verras si il tient à toi. Profite en pour voir s’il ne serait pas sensible à un peu de domination féminine tu n’as rien à perdre. Martine réfléchit à la situation puis elle se décide. Elle commande une cage de chasteté qui peut être conservée toute la journée n’empêchant pas l’homme de faire son petit pipi et d’autres accessoires qui pourraient être utiles. Le soir même Tristan vient tout guilleret comme si tout était normal. Magalie est froide et ce soir-là c’est l’hôtel du cul tourné malgré les supplications de Tristan. Deux jours plus tard le paquet arrive. Magalie vérifie le fonctionnement et se prépare pour la soirée elle s’habille en véritable allumeuse maquillée à outrance avec juste une guêpière et des longs gants noirs. Tristan arrive il est subjugué et tout de suite excité comme un bouc. Magalie froide lui montre la photo. Tristan devient blême et tente d’expliquer que ça n’était qu’un coup de folie et que ça ne recommencera jamais. Bien sûr que ça ne recommencera pas car c’est fini entre nous dit Magalie. Tristan se jette à ses pieds en la suppliant de lui laisser une dernière chance. Magalie lui dit alors : Je te donne une dernière chance mais il faut que tu sois particulièrement obéissant à mes ordres désormais. Croyant s’en tirer à bon compte Tristan jure qu’il fera tout ce qu’elle lui demandera. On va voir dit-elle. Pour commencer à poil. Tristan se déshabille en un tournemain. Et apparait le sexe dressé au regard de Magalie. Retourne-toi. Il s’exécute. Elle lui met des menottes aux mains et un collier de cuir muni d’une laisse au cou. Tirant sur la chaine elle dit suis moi. Il fait un pas. Sur les genoux ordonne Magalie d’un air furieux. Il s’exécute. Dans le couloir de l’appartement Tristan a mis une barre de traction à quelques centimètres du plafond. Il s’en sert pour garder la forme même si Magalie ne l’a pas souvent vu faire. Elle a mis le pèse personne sous la barre. Elle lui dit de se lever et de monter sur la balance. Il monte en se demandant à quoi servira de voir son poids, mais il n’a pas l’intention d’énerver Magalie qui semble toujours furax. Montant sur une chaise, elle le fait mettre sur la pointe des pieds et tirant au maximum les menottes elle arrive à les accrocher à la barre. Tristan a les bras tirés au maximum vers le haut. Elle descend de la chaise et lui dit de se suspendre à la barre. Il s’exécute elle enlève le pèse personne il veut reposer les pieds par terre mais n’arrive qu’à s’appuyer sur l’extrême bout de la pointe des pieds. Il est tendu au maximum. Elle s’éloigne et revient avec des accessoires. Un bâillon un masque pour l’aveugler et des pinces à tetons. Maintenant Tristan toujours en érection est à la merci de Magalie. Elle lui empoigne fermement les couilles et serre bien fort. Il gémit. Elle lui met un anneau vibrant sur la bite et le met en branle. Aussitôt Tristan rue et se cabre. Voyant qu’il arrive à la limite de l’éjaculation elle coupe la vibration. Désormais tu ne jouiras que quand je le voudrais et comment je le voudrais. Tristan reprend son souffle. Je veux que tu me dises oui dit-elle. Il hoche la tête la bite toujours palpitante. Ce soir tu vas jouir mais pas tout de suite. D’abord je vais prendre l’apéro et un bon repas. Peut-être aussi que je vais inviter une copine pour voir ça. Tristan toujours sur la pointe des pieds se fige. Elle ne peut pas me laisser comme ça. Et j’aurai l’air con si ces copines me voient comme ça. Magalie quitte le couloir et appelle Martine. Elle lui explique que pour l’instant ça marche bien et qu’elle aimerait que Martine vienne l’aider pour la suite. Martine accepte un peu excitée par les choses. Quelques minutes plus tard elle sonne à l’entrée. Magalie la reçoit et l’emmène voir son prisonnier dont la bite commence à fléchir. Elle remet en route les vibrations en quelques secondes le membre est de nouveau tendu. Elle jubile et stoppe juste avant que Tristan n’éjacule. Bon on va se prendre un apéro et un petit quelque chose dit Magalie. Avec Martine elles boivent un cocktail et mangent quelques trucs plutôt intéressées par la suite que par le repas. Elles reviennent vers Tristan. Sa bite est redescendue. Magalie vient le peloter, lui tripoter la bite et les couilles et Tristan est de nouveau au garde à vous. Bon maintenant tu vas jouir comme ça dit Magalie en lui glissant une capote. Ça s’est pour que tu ne tâche pas mon couloir. Il rue mais s’arrête vite car il ne peut pas bouger sans tirer trop fort sur ses bras. C’est parti dit Magalie sous l’œil amusé de Martine. L’anneau se met à vibrer. Moins d’une minute après Tristan ne peut plus résister et décharge piteusement dans le vide. Sa bite se ramolli. Bien maintenant la prochaine fois que tu jouiras c’est quand je le voudrais à la condition que tu te comportes bien et que tu fasses tout ce que je te demanderai comme un bon petit esclave dit Magalie. Pour marquer le coup de ton infidélité tu vas avoir un gage que tu garderas toute la nuit et elle frotte un plug le long de la raie des fesses de Tristan qui serre les fesses le plus fort possible. A ta place je me détendrai bien sinon ça va faire très mal dit-elle. De toute façon ça finira dans ton cul. Elle enduit le plug de lubrifiant, lubrifie aussi le cul de Tristan en lui introduisant un puis deux puis trois doigt. Il mugit dans son bâillon. Du calme tu viens de gagner un jour de plus sans tirer ton coup dit-elle. Puis Tristan calmé elle introduit petit à petit le plug qui finit par orner le cul de Tristan. Ça c’était pour l’infidélité dit elle et ça c’est pour que tu sois bien chaste tant que je le voudrai. Elle retire la capote essuie sa bite avec un essuie tout et saisi sa bite quelle insère dans une petite cage métallique. Tristan se fige en se demandent ce que c’est puis une espèce de bracelet enserre ses couilles son pénis assez fort. Elle rapprocha la petite cage du bracelet et relit les deux parties un minuscule cadenas faire retentir son clic. Voilà mon chéri je sais que tu vas tenir parole maintenant dit Magalie. Qu’en penses-tu Martine. Impeccable dit cette dernière c’est joli comme tout. Il faut que tu vois ça mon chéri dit Magalie et elle lui ôte son bâillon. Hébété il regarde vers le bas et voie sa bite enfermée dans une petite cage courbée vers le bas. On va tester ça dit Magalie et devant Tristan elle se tourne vers Martine et commence à l’embrasser à pleine bouche. Tristan sent que sa queue reprend de la vigueur. Les filles se déshabillent mutuellement. La bite de Tristan rempli maintenant toute la cage mais ne peux aller plus loin. Impossible de bander. La douleur le rappelle à l’ordre et son début de bandaison s’arrête net. Hilares les filles commentent la chose. Pas cool lui dit Magalie Il va falloir que tu trouves autre chose pour me faire jouir ce soir dit elle et même en faire profiter Martine pour la remercier d’être venue m’aider. Tristan est perplexe. Magalie enlève le bâillon en lui disant te ne pas parler sans qu’on lui en donne l’autorisation. Il veut protester et Magalie dit tu viens de gagner un jour de chasteté en plus. Il se tait. Les mains menottées dans le dos il est ramené dans le salon tiré par sa laisse. Les filles s’assoient dans le canapé l’une à côté de l’autre. Au travail mon petit esclave dit Magalie en lui montrant sa chatte. Comprenant qu’il n’avait qu’un moyen de satisfaire Magalie il se met à genou et vient la brouter ce soir-là il passe un nombre incalculable de fois d’une chatte à l’autre recevant des petits coups de cravache dès qu’il ralenti. Tard dans la nuit martine prend congé. Magalie dit à Tristan qu’il est l’heure d’aller se coucher il se lève et la suit tiré par la laisse. Arrivée dans la chambre Magalie l’emmène près du radiateur et accroche la laisse à ce dernier avec un minimum de liberté de mouvement. Tu dors par terre ce soir. Je te dirais quand je t’accepterai de nouveau dans mon lit dit-elle. Bonne nuit mon esclave. Dans sa position inconfortable Tristan ne dort pas de la nuit. Son cul s’insurge contre la présence de l’objet qui le dilate au maximum. Sa bite et ses couilles sont enfermées dans une trop petite cage et il est dans une position très inconfortable les mains liées dans le dos et sans pouvoir bouger plus de quelques centimètres. Magalie se demande si demain quand elle le libérera il ne prendra pas ses cliques et ses claques pour toujours. Tant pis je n’accepte pas d’être cocue.
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Par : le 18/02/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 10 : le retour de Maëva A arrivant chez elle Maëva était encore complétement stressée. Martine avait dépassé les bornes. Même si elle devait s’avouer que la journée avait été particulièrement jouissive elle gardait une dent contre sa copine. Tu ne perds rien pour attendre pensait elle. Et elle essaya d’imaginer un plan pour rendre la monnaie de sa pièce à sa copine. Petit à petit l’idée faisait son chemin et l’obsédait de plus en plus. Enfin elle pensa avoir trouvé le moyen de se venger. Quelques jours furent nécessaires pour qu’elle se procure matériel. Puis elle téléphona à son amie celle-ci d’abord un peu gênée fut heureuse de voir que Maëva ne lui en tenait pas rigueur. Elle accepta de bon cœur une invitation à diner le samedi soir. Laurent le mari de Maëva étant en déplacement à l’étranger pour une semaine. Maeva lui demanda si elle prenait des vacances pour pâques et Martine lui répondit qu’elle devait rester tranquille seule à la maison pour se reposer d’évènements récents très fatigants. Ainsi le samedi soir munie d’une bouteille de champagne Martine se présenta chez Maëva qui l’accueilli avec joie. Les deux femmes se retrouvèrent autour de la bouteille de champagne qu’elles vidèrent assez rapidement, Martine ne s’apercevant pas que Maëva limitait ses propres doses pour charger le verre de Martine. Puis elles prirent des amuses gueules et Maëva proposa un cocktail à Martine. Celle-ci un peu embrumée mais contente de renouer avec Maëva accepta volontiers même si la tête commençait à tourner. Trois verres plus tard Martine avait un peu perdu le fil de la conversation alors que Maëva qui n’avait quasiment rien bu était bien consciente. Elle proposa un jeu à Martine qui accepta un peu pompette on va jouer au poker dit Maëva. Martine fut d’accord et quelques minutes après le jeu commença. Maeva proposa que ce soit sous forme de strip poker. Martine se souvenant de la belle plastique de Maëva accepta en se disant qu’elle aurait vite fait de se retrouver avec un Maeva à poil devant elle. Les choses ne se passèrent pas ainsi. Maeva trichait avec virtuosité, sans difficulté, Martine étant incapable de se concentrer sur les cartes. Après quelques minutes c’est elle qui se retrouva nue à table. Bon on va rajouter des gages dit Maëva Martine une double paire en main opina, la chance allait tourner. Maeva étala un brelan d’as au grand désespoir de Martine. Bon, premier gage dit-elle tu vas jouer avec une seule main car je vais menotter l’autre à ta chaise dit Maëva Martine tendit le bras et s’aperçu que ce n’était pas facile de jouer avec une seule main quelques minutes après la deuxième main était attachée à la chaise. Maintenant tu dois jouer avec ta bouche dit Maëva. Martine tant bien que mal retourna ses cartes installées sur la table et perdit encore. Maintenant il faut un gage plus sérieux dit Maëva elle est décrocha les menottes de Martine et entraina celle-ci dans une pièce meublée d’un lit et arrêta Martine au milieu de la pièce. Deux chainettes pendaient du plafond et Martine vit Maeva attacher ses poignets aux chainettes avec des bracelets de cuir. Elle reste interdite se disant que quelque chose clochait. Son enivrement disparait rapidement remplacé par une certaine angoisse. À un bout de la pièce Maëva actionne une manivelle Martine sent qu’un de ses bras est attiré vers le haut, la chainette passe par une poulie au plafond se raccourci par l’action de la manivelle. Le bras tendu Martine demande à Maëva d’arrêter celle-ci lui dit que le gage n’est pas terminé et s’empare de la manivelle située de l’autre côté. Le deuxième bras de martine est tiré vers le haut et rapidement elle se retrouve sur la pointe des pieds elle veut engueuler Maëva mais celle-ci surgissant par derrière lui insère avec force un bâillon boule énorme qui distend les mâchoires de Martine. Elle est incapable de remuer sa bouche ouverte au maximum même ses lèvres semblent tendues à l’extrême. Maëva se baisse et tranquillement installe une barre d’écartement reliées aux chevilles par d’autres bracelets de cuir. Ayant perdu quelques centimètres en écartant les jambes Martine est quasiment pendue par les bras. Heureusement les bracelets en cuir très larges et bien serrés repartissent la charge sur les poignets de Martine. Voilà maintenant je suis de l’autre côté de la cravache dit Maëva qui donne un puissant coup sur le fesses de Martine entrainant un gémissement étouffé. Maintenant Martine est complétement dégrisée. Maeva porte d’autres coups sur les cuisses les seins et le bas ventre de Martine qui ne peut pas bouger d’un pouce et encaisse les coups en pleurant. Je pense que tu es mure pour être une bonne esclave obéissante maintenant dit-elle. Martine hoche la tête elle ne veut plus recevoir de coups. Maeva s’active sur les manettes et la tension baisse. La barre d’écartement fixée au sol maintient Martine sur place. Maeva lui attache un collier de cuir autour du cou et attache ses bras derrière le dos. Une chainette est accrochée d’un côté aux bracelets de Martine et de l’autre cote à l’une des poulies du plafond. Une autre est accrochée au collier du cou. Maeva tire la chainette vers le bas obligeant Martine à se baisser en avant tout en restant pour soulager ses bras qui sont attirés par la plafond alors que le collier lui maintient la tête à moins d’un mètre du sol. Martine ne peut pas bouger d’un pouce. Maeva la contourne et entreprend d’enlever le bâillon. Le soulagement de Martine est de courte durée. Une espèce d’anneau est insérée de force entre les dents de la mâchoire du haut et du bas obligeant Martine à garder la bouche exagérément ouverte. Tu sais à quoi ça sert dit Maëva Martine se pose la question et essaye de répondre quand un puissant coup de cravache lui cingla les seins. Tu n’as pas droit à la parole tu te rappelles qu’une bonne esclave ne parle que sur ordre. Martine les larmes aux yeux complétement effarée se tait. Tu vas comprendre rapidement dit Maëva et elle sort de la pièce. Quelques minutes après Maëva réapparait dans la pièce mais elle n’est pas seule. Laurent, son mari et l’accompagne. Je t’avais promis un cadeau si tu aménageais cette pièce tu vois que j’ai tenu parole. Martine a perdu au strip poker et elle exécute son gage c’est mon esclave pour la semaine. Laurent à les yeux exorbités et s’approche de Martine. Salut Martine ne t’inquiètes pas tu ne vas pas t’ennuyer cette semaine et ses mains attrapent les seins opulents de Martine et commencent à la pétrir violemment. Humm ils sont aussi fermes que je l’imaginais. Voyons voir si tu suces aussi bien que dans mes rêves. Il enfourne son chibre dans la bouche béante de Martine qui comprend l’utilité de l’anneau elle ne peut pas fermer la bouche ni mordre l’intrus. Seule chose à faire, elle commence à utiliser sa langue experte pour lécher la bite de Laurent. Maëva passe derrière Martine et soudain celle-ci sent un objet oblong forcer la porte de son cul. Tu vas gouter au gode ceinture en même temps dit Maëva on ne va quand même pas te laisser te reposer. Le gode pénètre et Martine est embrochée de part en part. Après plusieurs minutes Martine est extenuée sucer, se tenir courbée pour ne pas blesser ses tétons prendre des coups de boutoirs dans le derrière ça fait beaucoup. Heureusement Laurent jouit et part dans de longs jets dans la bouche de Martine. Avale bien tout car tu n’auras que ça à manger ce soir dit-il. Malgré elle Martine doit avaler tout le sperme jusqu’à la dernière goutte. Bon on va passer au salon dit Maëva. Elle ôte la chaine des tétons et la chainette du plafond. Tirant Martine par la laisse elle l’emmène jusqu’au salon. A genou dit-elle Martine s’exécute avant le coup de cravache. Lèche-moi les pieds. Martine se penche en avant pour que sa bouche atteigne quasiment le sol afin d’embrasser les orteils de Maëva. Et relève moi cette croupe dit Maëva. Martine s’exécute. Laurent arrive et matte le cul de Martine. Maëva lui dit que ce cul est trop serré et qu’il faudrait l’assouplir avec un bon gros plug. Laurent part et revient avec un plug énorme et un flacon de lubrifiant. Quelques instants plus tard Martine est investie par le plug qui lui dilate l’anus. Maëva dit alors montre-moi comment tu te débrouille avec ta bouche. Elle tire sur la laisse et le visage de Martine se retrouve devant l’entrejambe. Elle colle sa bouche au sexe de Maëva avant de recevoir un coup de cravache elle se dit en elle-même qu’elle apprend plus vite qu’Anna. Après quelques minutes et visiblement quelques orgasmes de Maeva Martine est rincée. Laurent dit on devait mater un film ce soir sur canal. Maeva acquiesce. Elle fait se relever Martine et s’absente quelques instants. Elle revient avec un plateau qu’elle fixe par une ceinture à la taille de Martine et deux chainettes qu’elle fixe avec des pinces aux mamelons de Martine les chainettes maintiennent le plateau horizontal à condition que Martine jette ses épaules en arrière pour mettre en avant sa poitrine. Deux verres pleins sont posé sur le plateau. Martine doit encore plus se cambrer pour que le plateau reste horizontal ses mamelons son mis à rude épreuve et elle a l’impression qu’on va les arracher. Laurent et Maëva se mettent sur le canapé de chaque côté de Martine qui doit se mettre à genou face à eux tout en gardant la cambrure. Regarde devant toi dit Maëva Martine s’exécute. Le film commence. De temps en temps l’un ou l’autre prends son verre bois un petit peu et remet le verre sur le plateau. On va se faire un plateau télé dit Maëva suis moi Martine et elles se dirigent vers la cuisine. Là Maëva enlève les verres du plateau et enlève les chainettes qui martyrisaient les seins de Martine. Elle met à la place une plus grande chainette passant derrière le cou de Martine. Comme ça on va pouvoir charge plus le plateau dit Maëva. Des petites coupelles contenant de la charcuterie et des légumes sont posés sur le plateau. Quelques cures dents sont ajoutés et les deux femmes retournent vers le salon. Martine reprend sa place et l’estomac criant famine elle ne peut que voir la nourriture disparaitre petit à petit dans les bouches de Laurent et Maëva alors qu’elle n’a droit qu’à l’odeur. Enfin le film se termine Maëva montre une pièce à Laurent pile ou face dit-elle Laurent choisi la pièce est lancée et Maeva gagne. Ce soir elle est pour moi dit-elle. Bonne unit mon chéri. Sur ce elle empoigne la laisse et entraine Martine dans la cuisine pour enlever le plateau puis sous la douche ou Martine doit se laisser laver par Maëva qui semble kiffer ça. A peine sèches les femmes se dirigent, Martine se contentant de suivre la laisse qui la tire, vers la chambre de Maeva. Un lit King size trône dans la chambre. Bon on va te trouver une place idéale pour cette nuit dit Maëva elle couche Martine sur le ventre vers le bas du lit ses jambes sont attachées aux pieds du lit l’écartelant littéralement, Maëva se glisse dans le lit et écartant les jambes elle se retrouve avec le sexe à quelque centimètres du visage de Martine. Celle-ci comprend ne message et commence à lécher le sexe de sa maitresse provisoire. Elle ne peut s’empêcher de penser qu’elle devra essayer cette position avec Anna. Laurent passe la tête par l’entrebâillement de la porte et dit bonne nuit les filles tout en notant la position idéale de Martine. Celle-ci finit par s’endormir le visage toujours contre le sexe de Maëva. Au matin elle est réveillée par des mouvements légers venant de Maëva. Elle doit se réveiller se dit-elle. Afin de mettre Maëva dans de bonnes dispositions Martine commence à lécher délicatement les grandes lèvres de Maëva. Celle-ci ondule de la croupe et Martine approfondi son exploration. Maintenant Maëva gémit et se tortille sous les coups de bouche et de langue expertes de Martine. Après avoir bien joui Maëva décide qu’il est temps de se lever. Elle détache les jambes de Martine l’emmène aux toilettes et toujours l’une tirée par l’autre elles rentrent dans la cuisine où sur un geste de Maëva Martine se met à genoux à se pieds. Maeva se sert un café qui fait bien envie à Martine. Tu veux du café demande Maëva Martine hoche la tête. Maeva avale une grande gorgée de café et attire Martine vers elle pour l’embrasser sur la bouche. A la grande surprise de Martine Maëva lui fait couler la gorgée de café dans la bouche. Maeva répète plusieurs fois le geste et Martine a finalement pu boire un bon café. Une tartine dit Maëva Martine hoche la tête elle n’a eu droit à rien d’autre que du sperme de Laurent depuis hier midi. Maeva lui détache les mains et les rattache ensemble devant. Elle montre une bouchée de pain à Martine. Aller bon chien fait le beau si tu veux un tartine. Comprenant l’idée Martine se redresse sur ses genoux et mets les mains comme un bon chien. Je n’entends rien dit Maëva. Martine pousse alors des petits gémissements comme un petit chien à sa mémère. Une bouchée de pain lui est insérée directement dans la bouche par Maëva. Le petit manège est répété jusqu’à l’arrivée de Laurent en peignoir il embrasse Maëva pétrit les seins de Martine et lui flatte la croupe. Elle est bien dressée dit-il. Maëva demande alors à Martine si elle veut de la confiture. Martine opine et Maëva demande à Laurent de lui en donner Pas de problème dit il et ouvrant son peignoir il étale de la confiture sur son sexe turgescent et ses couilles. Martine doit lécher consciencieusement le sexe et les bourses de Laurent pour avaler jusqu’à la dernière goutte. Maintenant petite leçon de shibari annonce Maëva et elle emmène Martine dans la pièce donjon. Là Martine a de nouveau les mains attachées dans le dos. Maeva et Laurent munis d’une grande corde spécialement faite pour cela et d’une tablette avec un tuto entreprennent de faire un bondage shibari à Martine. Après quelques essais infructueux Martine finit par être entièrement saucissonnée. Ses seins autour desquels la corde fait plusieurs tours sont poussés en avant et prennent une couleur rose alors que les mamelons sont complétement érigés. Magnifique dit Maëva vient voir ce que ça donne elle prend la laisse et emmène Martine jusqu’à la salle de bains Martine peut se contempler dans le miroir. A sa grande surprise ça lui va superbement la corde souligne et mets en valeurs ses courbes opulentes et ses seins sont fièrement pointés vers l’avant. Mais oui tu es belle dit Maëva en lui assenant une légère claque sur la croupe. Martine tressaute mais ses pensées partent vers Anna. Il faudrait absolument essayer ça. Finalement Maëva fourmille d’idées. Bon on va voir si tu ferais un joli bibelot pour la déco du salon dit Maëva en l’entrainant derrière elle. Avec Laurent ils mettent en situation Martine comme une déco de salon. Debout contre un mur, à genou, en table de salon, en porte manteaux, en étagère avec un plateau porté à bout de bras par Martine agenouillée. Martine passe par toutes les positons. Pour la dernière Maëva lui fait une queue de cheval haut sur la tête et attache un cordon à la queue de cheval et tire sur le cordon pour l’attacher au shibari dans le dos de Martine elle est obligée de lever la tête complément vers le ciel. Maëva la fait s’agenouiller sur un gros gode fixé par sa ventouse au sol. Martine reçoit l’ordre de ne pas bouger et sert de statue humaine pendant dix minutes sous le regard ravi du couple qui tout à tour se fait prendre en photo à côté du trophée humain. Maeva souriante la fait se redresser pour ôter le gode et emmène ce dernier vers la salle de bains. Elle revient et tirant sur la laisse force Martine toujours fixant le plafond à la suivre en restant à genoux. Elles approchent du miroir en pied de la salle de bains Martine ne peut pas regarder vers le bas et Maëva la fait se mettre dos au miroir. Maeva défait le cordon et Martine peut baisser la tête. Maeva tire la laisse vers le bas Martine pose son visage par terre monte un peu ta croupe dit Maëva. Martine s’exécute. Recule doucement. Martine commence à reculer mais son postérieur bute sur le gode. Maëva lui dit de continuer et guide le gode qui pénètre dans la chatte de Martine. Remue toi maintenant dit-elle Martine commence à faire des mouvements d’avant en arrière Laurent les rejoint et pousse Maëva pour s’agenouiller en face de Martine le sexe bien érigé face à elle. Martine tout en continuant ses va et vient ouvre grand sa bouche et avale le membre de Laurent. Il finit par jouir et elle doit de nouveau prendre garde de bien tout avaler. L’heure du repas approche. Maeva entreprend de défaire le shibari qui laisse des traces rouges sur le corps de Martine on pourrait croire qu’elle est encore encordée. Une petite chainette est fixée entre les mains de Martine sur l’avant, même chose pour les pieds et une troisième chainette relie les deux autres par le milieu. Ainsi forcée de marcher quatre patte Martine est conduite dans la cuisine. Là, Maëva prépare des steaks frites et elle se met à table avec Laurent. Martine est poussée sous la table et de temps en temps une main compatissante lui donne un morceau de viande ou une frite. Martine n’hésite pas à accepter ce jeu car elle et affamée. Un bol rempli d’eau lui permet de se désaltérer en lapant. Le repas terminé Martine est de corvée de vaisselle la chainette reliant les deux autres est enlevée et Martine peut se lever faire des petits pas et des petits mouvements avec les mains. Maeva va lui chercher un tablier de soubrette et lui donne l’ordre de faire la vaisselle. Martine s’exécute au moins pendant ce temps-là ses trois orifices sont épargnés. Trop vite dit. Maeva lui impose un gros plug en lui disant qu’il fallait bien faire son éducation remémorant les termes utilisés par Martine quand Maeva avait vu le plug dans le cul d’Anna. Apres la vaisselle c’est le tour du ménage elle passe le plumeau l’aspirateur et le pliz sous les yeux amusés du couple. Au milieu du ménage elle doit cependant faire une pause en broutant la chatte de Maeva confortablement assise dans le canapé pendant que Laurent la besogne par derrière. Ses trois orifices sont mis à contribution. L’après-midi passe et le rituel du soir recommence comme la veille. Finalement Laurent dit cette nuit elle est à moi. Maeva opine et leur souhaite une bonne nuit. Laurent s’installe confortablement sur le canapé et Martine doit se coucher façon PLS sur le canapé perpendiculairement à Laurent. Sa tête est à quelques centimètres de la bite tendue qu’elle englouti et suce avec application. Après quelques minutes alors qu’il est au bord de l’explosion Laurent se retire et l’emmène derrière lui dans la chambre. C’est la même chambre qu’hier surement celle qui a le plus grand lit. Les mains attachées dans le dos Martine doit chevaucher Laurent qui s’est couché sur le dos. Elle sent l’orgasme arriver et est frustrée lorsque d’un coup menaçant lui aussi d’exploser il la fait culbuter sur le coté. Elle retrouve la position d’hier soir et sans se poser de question avale le membre de Laurent. Ce coup-ci il se laisse aller et éjacule finalement dans sa bouche. Elle avale tout consciencieusement et s’endort la bite ramollie de Laurent toujours dans la bouche. Au matin quelque chose la réveille c’est la bite de Laurent qui commence à gonfler dans sa bouche et prend des proportions sympathiques. Docile elle commence une fellation lente se disant que ça mettrait Laurent de bonne humeur. Elle doit de nouveau avaler. Le petit déjeuner se passe de la même façon que la veille. Puis Laurent et Maëva déclarent qu’ils doivent se rendre au taf. Maëva dit à Martine rassure toi on ne va pas te laisser comme ça. Et elle traine Martine jusqu’à la chambre ou elle la couche sur le dos écartelée les bras et jambes lies aux quatre coins du lit. Elle sort un engin et dit à Martine que c’est un magic-wand programmable qui va lui tenir compagnie. Utilisant un large rouleau d’adhésif elle fixe l’engin sur la cuisse de Martine, ce qui semble être la tête de l’engin collé fermement contre son clitoris. Maeva branche l’engin règle un petit boitier attenant embrasse Martine lui met un masque aveuglant et lui souhaite bonne journée ; au moment de franchir la porte elle appuie sur le bouton d’une petite télécommande et aussitôt une vibration provoquée par l’engin assaille son clitoris. Martine comprend vite que l’engin est diabolique la programmation alterne les temps morts et les longues séances de vibration. Après quelques minutes elle ne peut s’empêcher de se laisser aller et un puissant orgasme le transperce. Après quelques minutes de repos l’engin se remet à vibrer et Martine doit de nouveau renoncer à lutter contre l’orgasme. La matinée est interminable. Impossible de dormir son corps est brulant et elle ruisselle de sueur. Un Xème orgasme la foudroie et elle se tortille en gémissant sur le lit. La voix de Maeva la surprend. Alors il est sympa mon petit gadget lui dit-elle. Martine hoche la tête. Bon dit Maëva je pense que Laurent t’as un peu trop à la bonne et va finir par avoir des idées qui ne me plaisent pas. Je ne suis pas jalouse mais bon. De toute façon il mérite que je m’occupe de lui. Il ne le sait pas encore mais je me fais forte d’en faire mon esclave tout comme toi avec Anna. Je pense qu’on est quitte et que nous devons rester bonne amies comme avant et même plus maintenant qu’on se connait intimement. De toute façon il faudra bien que tu viennes voir un jour ce que je vais faire de Laurent. Martine répond qu’elle reste l’amie de Maëva et qu’elles sont vraiment quittes. Maëva détache Martine qui après un long passage dans la salle de bains quitte Maëva après un baiser sur la bouche.
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Par : le 08/02/21
Il arrive souvent que la vie séparent deux êtres chers. Pour une raison familiale ou professionnelle, les contacts physiques ne sont plus possibles et ce sur une période de temps variable mais toujours interminable. Ce guide va vous donner des pistes et des idées pour vous occuper et faire passer le temps plus vite. Afin de puiser au maximum dans le savoir accumulé sur ce site, j'ai décidé d'en faire un espace collaboratif et d'utiliser des outils modernes. N'hésitez pas à en parler à vos amis, chacun peut y apporter sa connaissance ou son ressenti. 1 - Les outils : a - Pour communiquer : On vit à l'ère du téléphone portable. Tout le monde est joignable 24/7. Et là, c'est une question de choix personnel. J'ai testé presque toutes les applications et au final, c'est une question de choix personnel : Skype, Messenger ou autre, elles fonctionnent toutes très bien et il n'y a pas vraiment de différence. D'un point de vue sécurité informatique, on dit que Signal est la plus populaire chez les terroristes. Comme c'est l'un des rares cas où ils peuvent vous faire une bonne publicité. b - Pour le plaisir : Herbert Léonard n'en a pas parlé dans sa chanson, mais il existe quelques jouets connectés qui en valent vraiment la peine. Je citerai sans hésiter "Lovesense" qui fait vibrer des milliers de camgirls tout autour du monde. Le principe est simple : un oeuf vibrant dont la télécommande est dans les mains de votre Maître, où qu'il soit sur la planète du moment qu'il y a internet. c - Pour soumettre : Des menottes, un collier, un bâillon, un sex-toy et c'est parti. Il n'en faut pas plus pour débuter. Ce n'est pas une relation en présentiel, on ne cherche pas à immobiliser la personne soumise ! Ici, la contrainte est dans la tête, on joue à se ligoter. Et heureusement d'ailleurs car le dominant n'est pas là pour détacher sa victime. Du coup, il faut pouvoir tout faire soi-même : s'attacher, se bâillonner, se libérer, etc. d - Pour contrôler : Il existe une multitude de systèmes de cadenas et cages de chasteté sur le web. Comme le fameux CellMate de Qiui. Pourquoi célèbre ? Parce qu'en janvier 2021, un pirate informatique a pris le contrôle de l'application et a demandé une rançon avec le message suivant : "Your cock is mine" ("Ton gland est à moi"). 0,02 BTC soit 600 € pour être libéré. Il a dû se faire des "couilles en or" ;-) e - Pour ne pas se ruiner : Le quotidien regorge d'objets tous plus utiles les uns que les autres. Les collants font de très bonnes cordes, les chaussettes et culottes de très bons bâillons. Régalez-vous avec des pinces à linge et mon accessoire préféré : un sac de riz ! Le riz, c'est magique ;-) On peut en faire compter une poignée, faire des carrés, des ronds, les peindre, les mettre dans sa culotte ou dans sa chatte, etc. Et bien entendu, on peut en faire deux petits tas et faire s'agenouiller sa soumise dessus.
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Par : le 06/02/21
Un bandeau sur les yeux Cache mon regard bleu Une porte fermée Mes poignets menottés Je Vous entends arriver Vous allez me dominer Je laisse mon corps exulter Et Vos mains me caresser Ivre de Vos baisers Mes désirs se laissent exaucés Je sens Votre glaive en mon corps Et j'en veux plus encore Je me livre à Vos instants Vous m'attirez tel un aimant J'aime être attachée Je me sens libérée Vous détachez mes poignets Et Vous m'enchainez Chaine reliée à mes pieds Mais la nuit est passée Et je réalise que j'ai rêvé Le 26 07 2011
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Par : le 03/02/21
"Elle se tordait avec une telle frénésie pour échapper aux morsures des lanières, si bien que le ventre et le devant des cuisses, avaient leurs part presque autant que les reins. Quand je t'aurai donnée aussi aux valets, je viendrai une nuit te faire fouetter jusqu'au sang. Une nuit, ils pénétrèrent dans sa chambre, saisirent chacun un long fouet et commencèrent à la flageller avec une vigueur qui lui fit mordre violemment les lèvres, jusqu'à ce que le goût de son propre sang l'eût empli la bouche." "Histoire d'O" de Dominique Aury. (1954) Comment le châtiment de la flagellation a pris sa place dans l'alchimie érotique de la partition des plaisirs ? De la naissance de la littérature "flagellante", à la multiplicité des études réalisées, en s'intéressant à la psychiatrie des perversions, le goût du fouet s'est imposé peu à peu, comme attirance spécifique, autonome de de la sexualité dans l'univers du sadomasochisme. La ritualisation attachée à ce châtiment, célébrant la beauté des sensations extrêmes, de la recherche de la cruauté et de la douleur, fait de lui, lors d'une séance S/M, dans cet art subtil et cérébral, une étape incontournable vers la jouissance sublimée. Défini comme un acte consistant à cingler le corps humain avec un fouet, des lanières, ou une tige souple, ou une cravache, le terme désigne une multiplicité de significations, religieuse, érotique, et disciplinaire, s'inscrivant dans un champ sémantique où sa compréhension sexuelle est pourvue de symboles, dans l'évocation imaginaire, de la verge au flagelle. Elle fut tout d'abord dans la religion une incarnation, utilisée comme un moyen de faire pénitence, telle une expiation de ses propres péchés, parfois même ceux des autres, et se pratique encore, aujourd'hui couramment dans certains ordres religieux ultra-catholiques. Dans l'histoire, la flagellation précédant la crucifixion était un préliminaire à la condamnation. Le nombre de coups portés très élevé pouvait alors conduire ni plus, ni moins, à la mort du supplicié. Elle fut utilisée par nombre de civilisations, encore employée aujourd'hui dans certains pays, comme ceux appliquant entre autres, la loi islamique, la charia. Les Romains l'employaient comme châtiment corporel. La fustigation était une peine appliquée aux citoyens ou aux émancipés jugée moins avilissante, que la la flagellation appliquée avec un fouet, le flagellum, réservée aux esclaves, dépourvus de citoyenneté, ayant commis des actes criminels, précédant dans la majorité des cas, la peine de mort. Aux XVIIIème et XIXème siècle, la bastonnade réalisée avec une longe calfatée, était une punition souvent pratiquée dans les pénitenciers avant l'arrêt de l'esclavage. La toute dernière flagellation publique, fut administrée, sous Louis XVI, en 1786 à l'encontre de la comtesse de La Motte, pour sa participation dans l'affaire retentissante du collier de la reine Marie-Antoinette. De nos jours, la flagellation demeure une sanction pénale encore appliquée en Iran et en Arabie Saoudite. En Littérature, l'œuvre de Sade, dans "Justine ou les Malheurs de la vertu" (1791) décrit, comme nous l'avons évoqué, au cours d'un précédent article, de nombreuses scènes de flagellation. "Thérèse philosophe", ouvrage moins réputé, attribué à Jean-Baptiste Boyer d'Argens (1748) y fait aussi largement écho. Sous l'Empire, l'actrice Émilie Contat, très courtisée à l'époque, vendait ses charmes en fouettant ses amants masochistes. Le sombre et intrigant ministre de la police de Napoléon, Joseph Fouché, fut le plus célèbre de ses clients, en fréquentant assidûment son boudoir. Dans la littérature érotique, ce sont les œuvres de Von Sacher-Masoch, et les études de Von Krafft-Ebing, fondateurs respectivement des concepts du "sadisme" et du "sadomasochisme" qui marquèrent les esprits. "La Vénus à la fourrure" de Leopold von Sacher-Masoch, parue en 1870 fait figure de roman novateur. les personnages Wanda et Séverin puisant dans la flagellation, leur source quotidienne de leurs jeux sexuels. De même, la flagellation chez Pierre Mac Orlan (1882-1970), auteur prolixe d'ouvrages érotiques, est largement présente. Dans "La Comtesse au fouet", "Belle et terrible", "Les Aventures amoureuses de Mademoiselle de Sommerange", ou "Mademoiselle de Mustelle et ses amies", enfin dans "Roman pervers d'une fillette élégante et vicieuse", récit de l'apprentissage de l'asservissement sexuel d'une très jeune fille. De même, on retrouve des scènes de flagellation, chez Apollinaire dans "Les Onze Mille Verges" (1907) et chez Pierre Louys en 1926, dans "Trois filles de leurs mère." Le roman "Histoire d'O" (1954), étudié précédemment, comporte de nombreuses scènes de flagellation. Plus proche de nous, la romancière, Eva Delambre, dans "Devenir Sienne" (2013), fait du fouet l'instrument de prédilection de Maître Hantz. Il en est de même dans "Turbulences." Un sombre voile de plaisir recouvre la flagellation depuis l'orée des temps. L'ancestral goûtait déjà du flagellum. Lors de processions rituelles, il l'employait pour implorer les dieux afin de fertiliser la femme. Ainsi, dans la Rome Antique, la dévotion pour Junon, tutélaire féminin, lui imposait alors la flagellation, afin de combattre l'infécondité. Lors des fêtes des Lupercales, après le sacrifice d'un bouc par les Luperques, prêtres de Faunus, deux jeunes pages le visage couvert du sang de l'animal, armés de lanières, fouettaient des femmes souhaitant devenir fécondes. Le culte de Diane chasseresse donnait lieu également à de véritables concours de fouettage. De même, la flagellation était prescrite par Hippocrate comme remède contre l'impuissance masculine. De nombreux textes anciens relatent avec lyrisme les liens étroits entre douleur et jouissance. Ainsi, Hérodote décrit, non sans poésie, des scènes de flagellations érotiques au cours des fêtes d'Isis, où tous les fidèles munis de fouet se frappaient jusqu'à l'extase. Pas de fêtes orgiaques sans rituels du fouet, lors des Dyonisies en Grèce ou des Bacchanales à Rome. Plus tard, de célèbres dévots éprouvèrent en se meurtrissant les effets stimulants du fouet. Henri III, dernier roi valoisien (1574 à 1589), grand pénitent mais aussi voluptueux raffiné, aimait se "tourmenter les chairs", en compagnie de ses mignons. Sade, étudié précédemment, en fit, dans l'intégralité de son œuvre, l'un de ses instruments de jouissance de prédilection. Comment alors, la pratique de la flagellation a-t-elle pris place dans l'art du jouir ? Chez Freud, le masochisme serait une perversion où le plaisir se lierait à une douleur recherchée, ou à l'avilissement voulu par l'individu soumis. Le désir de fouetter ou d'être fouetté proviendrait de la connexion directe entre plaisir et déplaisir. Plaisir de faire souffrir la soumise ou l'esclave sexuelle, ou de facto, à l'inverse, recherche de la douleur par la flagellée. L'envie de se faire souffrir, ou masochisme, serait la forme de perversion la plus répandue. L'attrait pour la flagellation, selon le psychanalyste, viendrait de la fixation, au cours de la petite enfance, d’une correction punitive mêlée à une jouissance. Le sadomasochisme représentant alors la satisfaction liée à la souffrance ou à l'humiliation subie par un sujet dépendant. Des comportements érotiques exacerbés conduiraient à une pratique sexuelle employant la douleur par la flagellation pour parvenir à la jouissance. Un sadique étant toujours un masochiste, selon le neurologue autrichien, le flagellant prend plaisir à fouetter, aurait pour partenaire, un flagellé recherchant l'extase sous le fouet. Dans une relation SM entre un dominant et un dominé, un Maître et un esclave, ou un masochiste et un sadique. La représentation religieuse de la flagellation l'associe à l'expiation d'une faute commise en vue de se punir de péchés. La mortification de la chair, dans une recherche mystique d'accaparation des douleurs du christ, permet de se rapprochant de Dieu. Quelles qu’en soient les origines, apparaît de façon sous-jacente l'union entre le corps et l'esprit. En punissant, on veut faire entendre raison, en meurtrissant le corps, on pousse l'esprit à s'élever en se surpassant. Tel est l'enjeu d'une séance de flagellation consentie. Car, on ne le répétera jamais assez, la flagellation est une pratique SM dangereuse si elle ne respecte pas des règles élémentaires de sécurité telles l'expérience du flagellant, l'écoute continue de la flagellée et l'existence d'un safeword. Les informations cérébro-dolorosives transmises au cerveau agissent comme des détonateurs forçant l'esprit. Celui-ci transmet à son tour au corps l'ordre d'endurer et de résister. Ce schéma synaptique neuromusculaire se produit lors d'une séance de flagellation. Plus clairement exprimé, la flagellation permet d'explorer le côté animal en transgressant les codes d'une sexualité classique. Elle confronte les partenaires, à la vulnérabilité ou à la puissance, au cours de jeux de rôles sexuels extrêmes, comme de puissants leviers d'excitation sexuelle. La ritualisation, en particulier, la mise à nu de la soumise exacerbe l'érotisation de la préparation à la séance de flagellation. Elle offre à son Maître, en signe d'offrande, le spectacle de sa nudité. Libre à lui, de se livrer à un examen approfondi des parties corporelles à travailler. Les yeux bandés, et bâillonnée, elle est attachée avec des menottes, ou des cordes, sur du mobilier, un carcan, un cheval d'arçon, le plus souvent à une croix de Saint-André. S'infligeant une souffrance physique, le masochiste produit des endorphines, hormones sécrétées en cas d'excitation et de douleur. Les endorphines ou endomorphines étant des composés opioïdes peptidiques endogènes secrétées par l'hypophyse et l'hypothalamus, lors d'activités physiques intenses, sportives ou sexuelles, d'excitation, de douleur, d'orgasme. Elles s'assimilent aux opiacés par leur capacité analgésique et procurent une sensation de bien-être. Lors d'une séance de flagellation, la douleur se transforme peu à peu en plaisir. Dès lors, elle occasionne un plaisir à la fois corporel et mental, pour le sadique ou dominateur, comme pour la ou le masochiste. Les impressions de brûlures, et de souffrance conduisent alors au plaisir, parfois à l'orgasme. La flagellée, par dévotion et par volonté de se dépasser, atteint peu à peu une forme relative de confort. Son cerveau exsudant des antalgiques ou euphorisants, elle supporte alors mieux la douleur quand approche le spasme. L'alchimie résidant dans l'expérience du Maître ou de la Maîtresse, dans sa technicité et sa maîtrise de l'art du fouet, du martinet, de la badine ou de la cravache. La caresse de la zone à fouetter, ou à pincer, au cours de la période d'échauffement, précède toujours la flagellation. Le dépassement de soi, en continuant à subir ou à frapper, plus longtemps et plus fort, s'acquiert avec le temps. À la douleur s'associe le fantasme de la domination. Véritable raffinement érotique, la flagellation, pratique fétiche, source de sensations corporelles voluptueuses, est véritablement au cœur de la littérature érotique. Plus de sept cents livres lui ont été consacrés entre 1890 et 1940. Gustave Le Rouge, Louis Malteste, Hector France ou Pierre Mac Orlan la vénèrent en déifiant ses rites. Citons "La Voluptueuse Souffrance" de Max des Vignons (1930), "Coups de fouet" de Lord Birchisgood, "Le magnétisme du fouet" de Jean de Villiot (1902), ou encore "Monsieur dresse sa bonne" (1996) de Georges Pailler, alias Esparbec. La flagellation, pratique autonome, est devenue aujourd'hui un symbole érotique incontournable de la domination. Rappelons que les séances de flagellation doivent être librement consenties entre des partenaires majeurs usant un safeword indispensable. Enfin, il est sage pour une novice en soumission de s'adresser à un Maître expérimenté. Bibliographie et références: - Marquis de Sade, "Justine ou les Malheurs de la vertu" - François Amédée Doppet, "Traité du fouet et de ses effets" - Leopold von Sacher-Masoch, "La Vénus à la fourrure" - Leopold von Sacher-Masoch, "Fouets et fourrures" - Bernard Valonnes, "Le règne de la cravache" - André Lorulot, "La flagellation et les perversions sexuelles" - Patrick Vandermeersch, "La chair de la passion" - Raymond-Josué Seckel, "La flagellation" - Guillaume Apollinaire, "Les Onze Mille Verges" - Eva Delambre, "Devenir Sienne" - Anne Cécile Desclos, dite Dominique Aury, "Histoire d'O" - Sigmund Freud, "Au-delà du principe de plaisir" - Sigmund Freud, "Trois essais sur la théorie sexuelle" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 27/01/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE trois : Virginie Extrait « Dix minutes indique Magalie. Elle prend un large collier de cuir et le passe au coup de Virginie. Finalement tu fais un beau cobaye dit-elle… Vingt minutes. Une cagoule sans trous pour les yeux met Virginie dans le noir. Pff j’aurais dû fermer ma grande gueule… C’est quoi ce truc se dit-elle alors qu’elle sent ses seins durcir encore plus qu’ils n’étaient les mamelons tendus à faire mal.En même temps elle sent une onde puissante venir du fond de son bas ventre et en quelques secondes un orgasme incontrôlable la secoue. Elle a définitivement cessé de chercher à se délivrer. Elle gémit dans son bâillon en essayant de reprendre son souffle mais déjà une deuxième vague s’annonce…. Vaincue Virginie ouvre les lèvres et tente d’avaler le dard palpitant. Elle n’a jamais sucé un si gros membre et sans en prendre conscience elle suce avec ardeur… » Ca y est Magalie est maintenant vendeuse de sex toys à domicile. Elle espère que cette petite activité annexe mettra du beurre dans ses épinards. Les premières séances s’étaient bien passées mais la dernière séance la laisse dans l’expectative. Elle s’était avancée sur la question de la belle tigresse et devait maintenant trouver une solution pour honorer sa parole. Elle y pense en rêvassant à sa caisse, il n’y a pas foule, quand Virginie la cheffe caisse l’invite à prendre sa pause. Elle se rend dans la salle de repos du centre où elle n’est pas surprise de se retrouver seule car peu de temps s’est écoulé depuis l’ouverture du magasin et elle doit être la première à prendre sa pause. Virginie la rejoint avec un air triomphant. Alors Magalie on arrondi ses fins de mois avec des drôles de Tupperware déclare-t-elle de but en blanc. Un peu plus âgée que Magalie mais très arrogante, le poste doit lui monter à la tête, Virginie est pas mal foutue avec peut-être un ou deux kilos de trop mais une poitrine exubérante qui fait souvent se retourner les clients males. Elle n’aime visiblement pas trop Magalie et c’est bizarre qu’elle l’aborde comme ça. Magalie se méfie. Oui répond-elle je fais ça le weekend end ou parfois le soir quand je ne suis pas au magasin mais cela ne gêne en rien mon taf ici. Bien sur rétorque Virginie. Tu comptes faire une petite vente au magasin pour tes collègues. Non répond Magalie je ne mélange pas les deux mondes. Ok répond Virginie. Dommage j’aurai bien aimé voir ça. Magalie se demande si c’est du lard ou du cochon. Un silence s’insinue entre les deux femmes. Peut-être que je devrai lui montrer la collection en dehors du taf elle me laissera peut être tranquille après ça. Elle s’enhardie. Si tu veux tu peux venir un soir à la maison je te montrerais de quoi il s’agit tu verras que ça reste coquin main soft. Virginie qui visiblement n’attendait que ça répond ok pourquoi pas ce soir, on finit toutes les deux de bonne heure. Tope là dit Magalie je t’attends chez moi à 18h00, mon compagnon n’arrive que vers 19h00 on aura le temps de jeter un œil avant qu’il n’arrive. A 18h00 pétante Virginie sonne à sa porte, Ponctuelle. Elle doit quand même être curieuse. Magalie la fait rentrer et elles se dirigent vers le salon où des boites et paquets sont déposés sur la table. Magalie invite Virginie à ouvrir délicatement les boites qui l’intéresse. Virginie commence par les toys donnant un avis blasé sur les godes et vibros et autres gadgets puis s’intéresse à la lingerie coquine. Elle flashe sur une guêpière rouge avec porte jarretelles et une culotte assortie. Magalie lui indique que c’est vraisemblablement sa taille. Virginie reste dubitative. Magalie lui propose alors d’essayer l’ensemble pour voir ce que ça donne. Après une courte hésitation Virginie se décide et Magalie lui propose d’aller l’essayer dans sa chambre. Virginie acquiesce et effectivement l’ensemble semble fait pour elle. Cependant le tarif est un peu élevé. Dommage. Elle veut demander à Magalie si elle a un miroir pour qu’elle puisse voir ce que ça donne. Dans un coin de la chambre plusieurs paquets sont entreposés. Surement le réassort en cas de vente se dit elle mais curieuse elle va quand même jeter un œil de près. En fait ce n’est pas un réassort mais des accessoires beaucoup plus hard. Menottes, baillons, colliers et autres. Certainement pour un public plus averti. Elle sort de la chambre et Magalie lui indiqua le chemin de la salle de bain pour qu’elle puisse contempler ses atours. Elle se trouve particulièrement sexy dans cet ensemble. Maugréant pour le tarif elle retourne dans le salon sans se changer et montre sa tenue à Magalie. Celle-ci est épatée par le rendu. La poitrine opulente de Virginie déborde des balconnets qui la rehaussent et Magalie se dit qu’avec ça elle ferait tourner des têtes. Elle la félicite pour le rendu et lui indique que la culotte est fendue pour les moments d’impatience. Virginie la remercie et lui dit innocemment qu’elle a cru voir d'autres paquets dans la chambre. Magalie lui répond qu’effectivement il y a d’autres gadgets mais plus destinés au BDSM en expliquant à Virginie ce que cela voulait dire. Intéressée cette dernière demande si elle peut jeter un coup d’œil. Magalie obtempère et quelques minutes après Virginie peut de nouveau ouvrir des paquets. Le contenu provoque sur elle un émoi inattendu. Il faut dire qu’imaginer ce que l’on peut faire avec était particulier. Elle s’intéresse aux bracelets qui avaient déjà été utilisés avec Anna par Martine. Pff ces gadgets ne doivent pas être très difficiles à ôter si on veut déclare Virginie. Humm Je pense que tu t’avances un peu dit Magalie sachant bien que ces accessoires sont diablement efficaces et impossible de s’en défaire sans une aide extérieure. Je parie que je me m’en défais en moins de cinq minutes claironne Virginie. Pari tenu, Si tu veux on peut essayer dit Magalie confiante. Vexée de cet aplomb Virginie dit banco et on pimente le pari si je m’en débarrasse en moins de cinq minutes je gagne l’ensemble que je porte. Humm dit Magalie malicieuse ok mais si tu n’y arrives pas toutes les cinq minutes je te mets un de ces gadgets en plus jusqu’à soit tu te délivres soit que je n’ai plus rien de dispo. Les yeux brillant d’excitation à l’idée de gagner si facilement cette guêpière Virginie tend ses poignets à Magalie. Consciencieusement celle-ci applique les bracelets en souriant en voyant que les courroies n’arrivent qu’à deux crans de ce qui avait été atteint par Anna. Puis elle fait se retourner Virginie et actionne la fermeture. Top départ indique-t-elle à Virginie en regardant la pendule du salon. Tu as cinq minutes. Aussitôt Virginie se met à l’œuvre. Elle se contorsionne autant qu’elle pouvait mais la fermeture résiste. C’est peut-être un peu plus compliqué que prévu mais je n’ai pas dit mon dernier mot. La laissant s’acharner Magalie se sert un cocktail en cherchant quel gadget serait le premier appliqué. Cinq minutes indique-t-elle. C’est l’heure du premier gadget. Elle se décide pour le bâillon boule rouge qui ira bien avec la guêpière et entreprend de museler Virginie. Cette dernière rétive se laisse cependant faire un pari est un pari. Dix minutes indique Magalie. Elle prend un large collier de cuir et le passe au coup de Virginie. Finalement tu fais un beau cobaye dit-elle .Virginie se demande comment elle put se sortir de là elle ne peut même pas parlementer avec Magalie le bâillon étant trop efficace pour lui faire dire autre chose que des borborygmes. Quinze minutes. Les pinces à tétons viennent s’appliquer sur les bouts tendus de Virginie. Ça ne fait pas vraiment mal mais quelque part ces gadgets l’excitent un peu sans qu’elle ne puisse s’en empêcher. Vingt minutes. Une cagoule sans trous pour les yeux met Virginie dans le noir. Pff j’aurais dû fermer ma grande gueule maintenant il va falloir que j’attende qu’elle finisse de m’appliquer sa collection. Et puis je commence à fatiguer debout en cherchant à garder mon équilibre sans repères. Vingt-cinq minutes dit Magalie. Tu dois commencer à fatiguer mets-toi à genou sur le tapis ça sera moins inconfortable. Elle accompagne Virginie jusqu’au sol et en profite pour lui appliquer deux bracelets aux chevilles. Si tu n’y arrives pas je vais t’aider en séparant un peu tes mains et joignant le geste à la parole elle crochète les bracelets des mains aux bracelets des chevilles en vis-à-vis. Ça doit être plus simple comme ça dit Magalie. Soudain un bruit se fait entendre dans le couloir. Magalie a complétement oublié que Tristan doit la rejoindre ce soir-là. Avant qu’elle ne réagisse Tristan pointe son nez à l’entrée du salon et surpris il dit mais tu fais des heures supplémentaires avec tes clientes ? Tu les fais essayer ta panoplie ? Je te présente Virginie répond-elle. Elle est venue voir ce que j’avais et a absolument voulu parier qu’elle se délivrerait des bracelets en cinq minutes ça fait une demi-heure maintenant. Intéressant dit-il en se rapprochant de Virginie qui glapissait dans son bâillon. Apparemment ton matériel est solide mais tu devais lui mettre tout ça ? Oui ça fait partie du pari dit-elle d’ailleurs il va être l’heure de passer au gadget suivant. Tu veux m’aider à le mettre. Virginie paniquée ne songe plus à ôter ses liens mais veut disparaitre dans un trou de souris. Offerte ainsi harnachée à la vue d’un inconnu lui fait une grande chaleur dans le ventre. A son grand désarroi cette chaleur est autant provoquée par la honte d’être ainsi exposée et vulnérable que par l’excitation de savoir qu’elle est soumise au regard d’un étranger. Mais qu’est-ce que Magalie peut encore lui mettre. Elle sent que Magalie lui ôtait les pinces à tétons ouf. Elle a terminé. Mais alors qu’elle pense son calvaire terminé elle sent de nouvelles pinces s’accrocher à ses tétons. Le poids suspendu aux pinces est plus important et elle sent que ces poids viennent des pinces. Magalie lui dit que ça ne compte pas car elle a enlevé un gadget et entreprend en même temps de lui appliquer quelque chose dans l’entrejambe. Elle sent un objet oblong la pénétrer pas trop gros visiblement pas un gode et en plus il s’affine vers la fin Magalie se relève et l’objet reste bien au chaud dans le vagin de Virginie. C’est quoi ce truc se dit-elle. Magalie lui donne la réponse en disant à Tristan tiens voici la télécommande. Amusé il clique sur le bouton aussitôt les seins et le vagin de Virginie se mettent à vibrer de concert. C’est quoi ce truc se dit-elle alors qu’elle sent ses seins durcir encore plus qu’ils n’étaient les mamelons tendus à faire mal. En même temps elle sent une onde puissante venir du fond de son bas ventre et en quelques secondes un orgasme incontrôlable la secoue. Elle a définitivement cessé de chercher à se délivrer. Elle gémit dans son bâillon en essayant de reprendre son souffle mais déjà une deuxième vague s’annonce. Elle ruisselle de sueur et son corps brillant est particulièrement excitant tant pour Tristan que pour Magalie. Ça a l’air de bien marcher dit Tristan. Souriante Magalie s’adresse à Virginie visiblement tu apprécies on va voir les différents réglages permis par la télécommande. Tristan clique de nouveau et les vibrations changent de rythme. Virginie suffoque c’est trop. Apres quelques minutes alors que Virginie ne peut plus compter ses orgasmes Magalie décide que c’est fini. Bon Virginie il me semble que tu renonces à te libérer et que tu as perdu ton pari. Virginie hoche la tête. Son calvaire va enfin se terminer. Elle sent Magalie lui ôter la cagoule et elle revoit le jour. Devant elle, elle voit un garçon qui la regarde avec un regard qui en dit long sur ses pensées. Magalie lui ôte le bâillon aussitôt Virginie se met à l’insulter en lui disant que ça ne se passerait pas comme ça et qu’elle allait se venger. Elle n’a pas le temps d’aller plus loin. Magalie lui flanque une paire de claques sur les seins déjà malmenés et lui réajuste le bâillon. Ecoute bien c’est toi qui a voulu voir et tester mon matériel. Maintenant tu ne vas pas en parler ailleurs sinon je me ferais un plaisir de mettre le petit film que j’ai fait avec mon portable. Tu avais l’air de profiter plutôt que subir. Interloquée Virginie se tait tout de suite et lorsque Magalie enlève le bâillon elle ne dit rien. Maintenant pour te faire pardonner de m’avoir menacée tu vas devoir faire quelque chose. Elle lui montre Tristan qui ne demande pas mieux baisse sa braguette et exhibe un gourdin comme Virginie n’a jamais vu. Elle ne peut détacher son regard du membre. Tristan s’approche. Elle veut détourner la tête mais Magalie tenant fermement le collier toujours en place remet sa tête dans la bonne direction. Vaincue Virginie ouvre les lèvres et tente d’avaler le dard palpitant. Elle n’a jamais sucé un si gros membre et sans en prendre conscience elle suce avec ardeur tout en se demandant ce que ça ferait d’avoir ce truc au fond de sa chatte. Au bout de quelques instants Magalie décide que c’était bon. Et Tristan se retire donnant presque des regrets à Virginie. En un tournemain Magalie achève de la détacher et de lui ôter les artifices qui l’ont mise dans un drôle d’état. Toujours muette Virginie reste là ne sachant pas que faire. Magalie lui propose d’aller prendre un douche dans la salle de bain ce qu’elle fait avec soulagement. Lorsqu’elle revient dans le salon piteuse Magalie la remercie de l’avoir aider à tester son matériel et lui offre la guêpière et la culotte en récompense. Susurrant un merci pitoyable Virginie récupère son nouveau bien et prend congé sans tarder. Tristan ayant toujours la gaule et Magalie étant quand même bien échauffée après cette soirée ils baisent comme des morts de faim dans le salon.
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Par : le 27/01/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 2 Anna Extrait « …Joignant le geste à la parole elle fixe une courte laisse au collier de cuir et elle traine Anna derrière elle jusqu’à la salle de bains. Etre ainsi promenée fait un effet incroyable à Anna. Son bas ventre irradie et elle doit commencer à mouiller sévère. Elle ne s’attendait pas ce que ça lui fasse tant d’effet.… Ainsi le sexe d’Anna est exposé à portée de main. Quelques secondes plus tard elle sent un objet se présenter à l’entrée de son sexe elle veut se débattre mais ses mouvements désordonnés accélèrent la pénétration et elle se sent remplie par une queue de bonne taille… » Maintenant qu’elle a franchi le pas Magalie commande un lot de toys destiné à sa première séance de vente. Elle a pris des godes, des vibros, quelques nuisettes et guêpières enfin un lot de toys sages et repensant à la soirée poker elle a aussi pris quelques accessoires de bondage destinés on ne sait jamais à Tristan pour lui rappeler qui commandait ici. En réfléchissant elle en a pris aussi destinés à une victime plus féminine, peut être que cela intéressera une de ses futures clients. Le colis est livré chez elle et avant de l’ouvrir elle souhaite faire la primeur de l’ouverture avec ses deux meilleures copines. Celles-ci sont ravies mais à la dernière minute Claire du se décommander car on a besoin d’elle au taf. Tant pis Magalie et Anna découvriront ensemble le contenu du colis. Ce soir-là Anna est fébrile elle n’a pas dormi le fameux soir et a pas mal fantasmé sur ce qu’elle a vu. Surtout les propos de Magalie au moment du départ l’ont profondément retournée. Elle se dit que ces mots ont été prononcés dans l’euphorie du moment et que Magalie les assurément oubliés. Néanmoins elle y pense au fond d’elle-même et par défi elle se décide à s’habiller de façon suggestive. Une petite jupe en cuir s’ouvrant sur le côté et un chemisier léger feront l’affaire. Pas besoin de culotte et pas besoin de soutien-gorge, ses petits seins haut perchés et durs comme de la bakélite rendent ce dernier superflu. Une simple veste cache ses formes dans la rue, elle ne veut pas se faire remarquer. Comme souvent ses cheveux courts sont décoiffés ce qui lui donne un air de lolita renforcé par sa petite taille, elle entre facilement dans du 36 et son ventre ultra plat rend jalouses toutes les femmes qu’elle croise. Arrivée chez Magalie elle sonne en se demandant ce qui arrivera quand elle pénétrera dans l’appartement. L’accueil de Magalie est enthousiaste et cette dernière la félicite pour sa tenue extrêmement sexy sans faire d’allusion à leur dernière soirée. Anna accepte timidement les compliments en se demandant si elle doit et heureuse ou vexée de la promesse oubliée. Elles se dirigent dans le salon et entreprennent d’ouvrir les paquets. D’abord les toys féminins classiques et les tenues suggestives. Malgré leur sérieux affiché elles sont quand même un peu émoustillées par ce qu’elles voient. Ensuite elles passent aux accessoires de bondage. La tension monte d’un cran car toutes les deux se remémorent Tristan et l’imaginent ligoté avec ces menottes, baillons, masque colliers et autres accessoires qui auraient été utiles ce soir-là. Magalie lui montre les accessoires dédiées aux femmes se demandant si s’était adapté aux petits poignets et chevilles d’une fille de la taille d’Anna. Celle-ci fait aussi part de ses doutes la dessus. Magalie lui propose alors de servir de cobaye pour tester le matériel. Anna hésite un peu mais accepte de bonne grâce, après tout c’est uniquement pour le boulot. Elle enlève ses chaussures et se laisse passer des bracelets en cuir noir aux poignets et chevilles. Les bracelets ferment avec des courroies crantées et Il est nécessaire d’aller jusqu’au dernier trou pour serrer suffisamment. Magalie lui propose un large collier en cuir muni d’un anneau brillant devant certainement destiné à accrocher une laisse ou quelque chose de similaire. Anna semble apprécier ces essais Magalie lui propose d’essayer un bâillon boule rouge souple maintenu par une lanière du cuir. Enfin Magalie la contourne et lui joint les bras en arrière elle fait agir le cliquet qui solidarise les deux bracelets. Ainsi menottée Anna ne peut s’empêcher d’ouvrir sa poitrine projetant en avant ses seins qui semblent défier le monde. Admirant l’œuvre Magalie lui propose d’aller contempler tout ça devant le miroir en pied de la salle de bains. Joignant le geste à la parole elle fixe une courte laisse au collier de cuir et elle traine Anna derrière elle jusqu’à la salle de bains. Etre ainsi promenée fait un effet incroyable à Anna. Son bas ventre irradie et elle doit commencer à mouiller sévère. Elle ne s’attendait pas ce que ça lui fasse tant d’effet. Arrivées devant le miroir elles contemplent le résultat et Magalie la félicite pour porter aussi bien ces accessoires. Anna ne peut rien dire, le bâillon l’en empêchant mais elle ouvre de grands yeux devant son image ainsi exhibée. Magalie ayant remarqué les seins pointés en avant lui indique qu’elles allaient essayer un truc en plus. Et fixant la laisse à la tringle du rideau elle laisse Anna seule ne pouvant pas faire plus d’un pas toujours face au miroir. Quelques instants après Magalie reparait avec dans la main une petite chainette avec une pince chromée à chaque extrémité. Intriguée Anna se demande ce que s’est quand Magalie entreprend de déboutonner son chemisier, puis écarte celui-ci et ne pouvant l’enlever complètement le repousse jusqu’aux poignets d’Anna. Anna peut voir ses seins pointant gaillardement vers le miroir. Magalie époustouflée admire les rondeurs en et lui déclare que ce sont les plus beaux seins qu’elle n’a jamais vu et qu’ils méritent un traitement de faveur. A la surprise d’Anna elle saisit un mamelon et le triture le rendant encore plus rouge et turgescent De l’autre main elle approche une pince qu’elle fixe au mamelon tendu à l’extrême. Forte mais pas vraiment douloureuse la morsure de la pince fait gémir Anna qui se demande elle-même si c’est de douleur ou de plaisir. Magalie angoissée lui demande si ça fait trop mal. Anna secoue négativement la tête et quelques secondes après elle est affublée d’une nouvelle parure allant d’un téton à l’autre tendant ceux-ci comme jamais. Satisfaite de son travail Magalie lui dit qu’elle est encore trop habillée pour qu’on puisse se rendre compte vraiment et sans laisser à Anna le temps d’objecter elle dégrafe la jupe qui tombe à ses pieds. Voyant le petit triangle duveteux sur son pubis Magalie se fait la réflexion que là Claire n’aurai pas besoin d’intervenir. Finalement Anna se retrouve nue et ligotée dans l’appartement de sa copine comme cette dernière avait dit même si le cheminement avait été indirect. Fier de son œuvre Magalie dit qu’elles devaient arroser ça et reprenant la laisse elle promène Anna dans l’appartement jusqu’au salon. Laissant Anna debout sur le tapis de elle se sert un cocktail et trinque à sa santé. Immobile, ne sachant pas quoi faire Anna regarde sa copine l’implorant du regard pour qu’elle la libère. Voyant ça Magalie lui met un masque en cuir identique aux masques faite pour dormir et Anna se retrouve dans le noir. Magalie lui dit alors qu’elle hésite à faire venir Tristan pour qu’à son tour il contemple une œuvre d’art dans le salon. Puis l’alcool aidant Magalie glissa sa main dans l’entrejambes d’Anna et sans surprise y rencontra un sexe ouvert mouillant à l’extrême. Ça a l’air de te plaire mes petits gadgets. Il va être temps de passer à autre chose. Anna glapi derrière son bâillon mais ne peut rien faire de plus. Magalie la fait mettre à genou et passant derrière désolidarise les bracelets entravant ses bras mais au lieu de les relâcher elle fixe chaque bracelet au bracelet de cheville adapté. Maintenant toujours aveugle et muette Anna est à genou, les poignets collés aux chevilles. Magalie lui fait écarter les genoux et glisse une main experte dans la fente ruisselante. Anna gémit. Bon maintenant on va essayer les godes. Je ne pense pas qu’il y a besoin de lubrifiant tu as fait le nécessaire toute seule. Anna veut se rebiffer et rue mais sans effort Magalie la fait basculer sur le dos. Ainsi le sexe d’Anna est exposé à portée de main. Quelques secondes plus tard elle sent un objet se présenter à l’entrée de son sexe elle veut se débattre mais ses mouvements désordonnés accélèrent la pénétration et elle se sent remplie par une queue de bonne taille, notant inconsciemment que l’effet est multiplié par la situation. Magalie fait faire quelques va et vient au gode ce qui fait de l’effet à Anna vaincue. Cette dernière râle presque lorsque l’objet la quitte d’un coup. Bon ça semble bien fonctionner note Magalie. Voyons maintenant une taille plus conséquente. Anna est inquiète elle plaisante, ce gode me fourrait déjà pleinement je ne peux pas prendre plus gros. Alors qu’elle se pose la question un deuxième objet se présente à l’entrée de la grotte T’inquiète pas je l’ai lubrifié celui-là annonça Magalie. Anna sent que le gode est plus gros que le précédant car il pèse à l’entrée du sexe et n’ira probablement pas plus loin. Magalie manipule d’une main experte le gourdin et millimètre par millimètre celui-ci se fraye un chemin dilatant le vagin et remplissant Anna comme jamais ce n’était arrivé. Elle n’ose pas bouger de peur de se faire mal mais en même temps son bassin veut onduler pour avaler ce monstre. Enfin après quelques va et vient légers mais insistants le gode s’enfonce complétement. Bien joué ma chérie dit Magalie tu es bien remplie avec ça. Je ne pense pas que le modèle XXL puisse te convenir. Voyons ce que tu en penses. Et elle entame une série de va et vient qui surprend à chaque fois Anna qu’elle sent l’engin revenir et la remplir comme pas possible. N’y pouvant rien elle est obligée de jouir plus d’une fois et lorsqu’enfin Magalie retire le gode elle est pantelante et rompue. Maintenant pour finir on va tester les vibros. Comme dans un rêve Anna est la cobaye de tous les vibros de la panoplie et croit qu’elle va s’évanouir tellement elle est rincée par ses jouissances répétées. Magalie décide enfin que les tests sont concluants et entreprend de détacher Anna. Cette dernière un peu honteuse ne pipe mot. Magalie lui propose de prendre une douche et de revenir arroser ça avec elle. Sans rien dire Anna se rend sous la douche ou elle reste longtemps. Ne trouvant pas ses fringues elle revient nue dans le salon et boit son verre tranquillement. Elle n’a plus rien à cacher à Magalie de son intimité. Voyant que visiblement elle était crevée Magalie lui propose de dormir chez elle et de partager son lit. Elle accepte et elles se rendent vers le lit. Alors qu’elle allait se coucher elle est rattrapée par Magalie qui lui dit qu’elle devait encore faire une ou deux petites choses et quelques instants plus tard le collier et les quatre bracelets sont remis et Anna se retrouve par terre couchée sur le dos sur une épaisse couverture les bras et jambes tendus attachés en croix et l’extrémité de la laisse dans la main de Magalie qui pend hors du lit. Trop crevée pour s’insurger Anna s’endort rapidement dans un sommeil peuplé de fantasmes. Le lendemain lorsqu’elle se réveille elle est complétement détachée et Magalie l’attend un peu perplexe avec un copieux petit déjeuner. Anna la salue et Magalie lui demande innocemment ce qu’elle pense du déballage des toys. Anna se surprend à lui répondre qu’elle ne devrait pas l’oublier lors de la prochaine livraison mais que cette fois c’est Magalie qui testera les toys. La conversation part vers d’autres sujets et le petit déjeuner entre fille est cordial. Après le départ d’Anna Magalie se demande ce qui l’a poussé à faire ce qu’elle avait fait dans la soirée. Elle n’est quand même pas devenue lesbienne. Rentrée chez elle Anna se remémore la soirée. Elle se dit bien qu’elle aurait dû refuser et que Magalie avait exagéré mais son bas ventre lui hurle le contraire. Quelle attitude devra-t-elle prendre lorsque les copines se retrouveront ?
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Par : le 19/01/21
J'ai revêtu mes plus beaux dessous pour que tout mes attraits apparaissent du mieux possible. J'ai posé devant moi, les menottes afin que mon Maître y est plus facilement accès s'il vient à décider de m'attacher les mains... Je suis positionnée sur le lit, comme il me l'a si bien demandée, je reste dans l'attente de son entrée dans la chambre, j'entends un léger bruit de porte qui s'ouvre, est-ce lui ou pas ? Mon loup posé sur mes yeux pourrait me permettre de voir si oui ou non, c'est bien lui, mais j'ai reçu l'ordre de fermer les yeux, pour découvrir par le biais de ses caresses si c'est bien mon Maître qui est enfin arrivé. Ses doigts effleurent mes cuisses, impossible de savoir, je n'ose pas ouvrir les yeux, de peur d'être punie, je sens son regard posé sur moi, et entend qu'il enlève ses vêtements. Mon rythme cardiaque s'accélère car ne sachant rien, c'est difficile de garder son calme et surtout d'être dans l'attente....Il se positionne délicatement derrière moi, commence à me caresser les cheveux, puis descendre légèrement le long de mon dos, je sens donc bien ses mains, et c'est effectivement bien mon Maître qui est présent avec moi, me voilà soulagée. Il continue donc à me caresser le dos, puis avec délicatesse, passe ses mains devant pour pouvoir prendre en pleines mains mes mamelles, et me faire pointer à souhait. Il descend ensuite le long de mon corps pour enfin atteindre mes hanches tout en m'embrassant dans le cou, afin de me faire frissonner de plaisir, je tiens donc sa tête afin qu'il ne s'arrête pas..c'est tellement bon et agréable, Rien que de sentir sa main sur ma hanche et d'être sous l'effet de ses baisers, tous mes sens se mettent en éveil.... il sent de plus en plus l'envie en moi, il décide donc de glisser sa main au niveau de ma chatte pour vérifier si je suis bien mouillée, et au vu de sa réaction, j'y suis comme lui adore, ses caresses se prolongent par des va et vient dans ma chatte, titiller mon clitoris, et enfin me pénétrer de 3 doigts pour me faire jouir et pouvoir recommencer au plus vite, car la satiété n'est pas encore là
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Par : le 28/12/20
Tous les soumis étaient réunis au pied de l’escalier monumental et nous écoutions sans broncher les directives de Maîtresse Adèle. « Vous allez être lâché dans le parc et vous devrez vous trouver une cachette. Nous vous laissons un quart d’heure d’avance et nous partons à votre recherche » Un quart d’heure, cela semblait beaucoup, pensais-je sur le moment. Sauf que nos Maîtresses nous attachèrent les chevilles avec une chaîne assez courte et les poignets avec des menottes dans le dos. Malgré cela, nous pensions naïvement que nos Maîtresses auraient les pires difficultés à nous retrouver. Maîtresse Adèle expliqua la hiérarchie des récompenses. Au moment où un soumis était retrouvé, sa Maîtresse décidait d’une épreuve. Le soumis suivant avait l’épreuve de sa Maîtresse et le soumis découvert précédemment subissait aussi le gage. Nous avons vite compris que nos Maîtresses n’avait pas l’intention de nous rechercher bien longtemps et que les gages les excitaient plus que la recherche quand elles nous ont équipé d’un tas de petites clochettes qui tintaient même quand l’on retenait notre souffle. Une autour du cou, une à chaque coude et genoux, une sur notre sexe et une accrochée à un plug qu’elles nous enfilèrent dans le cul. Lors de notre découverte, le plug avec la clochette était remplacé par un plug avec une belle queue de renard. Nous étions également affublé d’un masque de chien pour ressembler à ce que l’on était. Seule concession de nos Maîtresses, elles ne devaient pas regarder les directions que nous allions prendre. Sauf que même un aveugle n’aurait pas eu de problèmes pour le savoir. Nous n’avons pas traîné et sans se concerter, sommes partis dans trois directions différentes. Nous savions bien que la chance désignerait l’ordre de nos découvertes selon la direction que prendraient nos Maîtresses. En plus, avec la fraîcheur, nous avions tendance à grelotter et les clochettes nous trahissaient bien vite. Avec nos attaches, nous ne pouvions pas aller bien loin et les caches étaient limitées ; Pas question de grimper aux arbres ! Je trouvais assez rapidement une sorte de niche dans des rochers qui me semblait idéal. Je m’y blottis et j’attendais en essayant de bloquer mes clochettes. Pas de chances, j’entendis rapidement les Maîtresses se rapprocher et comblent de malheur, la fraîcheur de la nuit eu son effet en provoquant un éternuement qui fit sonner toutes mes clochettes comme les cloches d’une cathédrale ; enfin, la discrétion totale ! Si vous voyez ce que je veux dire. Donc je fut le premier soumis découvert. Maîtresse me réserva une épreuve gentillette. Je fus suspendu par une corde passée au-dessus d’une branche et toutes les Maîtresses devaient me chatouiller avec un plumeau. Ce fut un moment dur moi qui suis chatouilleux et les plumeaux s’attardèrent bien sûr longtemps sous mes pieds et mes bras. Après quelques minutes, on me détacha. Je devais suivre à quatre pattes derrière tout le monde et c’est Maîtresse Adeline qui me tenais en laisse sur mes couilles. Avec ma queue de renard et mon masque, je devais vraiment être le petit chien à sa Maîtresse. Au moins, mes mains avaient été libérées des menottes Le 2ème soumis a été assez vite repairé car il grelottais tellement que l’on avait l’impression d’entendre un orchestre philharmonique. Nous reçûmes tous les deux le gage qui lui était destiné. Nos Maîtresses avaient pris soin d’amener un bon paquet d’orties tout frais et nos fesses reçurent leur caresses urticantes et bien entendu interdiction de se soulager. Alors la torture était exquise pour nos Maîtresses car elles nous voyait essayer de se gratter en frottant nos fesses au sol profitant de notre position assise. Il restait un dernier soumis à découvrir et nos Maîtresses ne comptaient pas lui laisser le temps de s’assoupir. Bien que le parc ne soit pas immense, nos Maîtresses mirent un peu de temps à le retrouver et nous sentions bien que cela les énervais. Et oui une Maîtresse ne doit pas attendre ! Notre collègue avait profiter de nous pour se cacher dans un coin très éloigné du parc entre un mur et une belle haie de buis. En réussissant à faire taire ces clochettes, il avait fini par échapper à notre vigilance. Cela ne dura pas et, je sentis bien que nos Maîtresses sauraient se venger de cette résistance. L’un à côté de l’autre, nos avant bras furent réunis puis attaché aux arbres, les bras tendus vers le haut et nos fesses bien en vue. Pas de doute, nos Maîtresses avaient sorti les fouets. Les lanières claquaient et je les ressentis sur mes omoplates, puis sur mes reins. Impossible d’anticiper les impacts et je sentais bien la lanière dans ma chair. La douleur était forte mais je restais impassible pour que Maîtresse Adèle soit fière de moi. Mes amis soumis n’avaient pas la même motivation car ils ne retenaient plus leur cris de douleur. Je me consolais en pensant que je ne ressentais plus les orties. Cela doit être le théorème de la relativité selon Einstein, mais que fait-il là celui là ? Après cette belle punition, nous regagnâmes la maison. En meute bien entendu, le retour étant un peu pénible car les genoux commençaient à souffrir Je savais que Maîtresse Adèle ne souhaitait pas partir très tard car son travail la préoccupait beaucoup. Arrivé à la maison, j’avais la joie de constater que nos bagages avaient été chargés. j’aurais eu un peu de mal à jouer les brouettes tant le fouet m’avait labouré le dos. A suivre....
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Par : le 28/12/20
Retour du travail Dimanche 14 septembre 2014, 3h du matin. Je rentre après une longue journée de travail, commencée le samedi à midi. A travers la porte de l'appartement, j'entend encore des voix : Maîtresse n'est pas seule. Sa meilleure amie, M., est venu souper et passer une soirée entre filles. Un bon repas, quelques verres de blanc, papotage, ragots. Rien de bien inhabituel dans mon esprit légèrement embrumé, après mes 14h de boulot. Je franchis la porte : « Coucou chérie. » Je L'embrasse sur la bouche. Quand du monde est présent chez N/nous, je n'ai pas l'obligation de mettre mon collier et mes bracelets de poignets et de chevilles une fois entré dans l'appartement, de me mettre nu, puis de venir à quatre pattes devant Elle et Lui embrasser les pieds ; rituel obligatoire si Elle se trouve seule, ou si je rentre avant Elle, pour que Son chien soit prêt à L'accueillir. « Ca va bien, et toi ? Ca a été ? » « Oui oui, très bien. Salut M., tu vas bien ? » Trois bises, salutations classiques de deux amis qui se retrouvent. Je ne savais pas encore à ce moment là ce qui m'attendais plus tard dans la soirée. Je file dans la chambre me changer, enfiler quelque chose de plus confortable. Détour par la salle de bain. J'en sors au bout de 10 minutes, me sert un verre, et trinque avec les demoiselles. « Je vais sur le balcon fumer une cigarette ; je reviens. » « Prend ton temps, chéri », dit-Elle, avec Son sourire en coin, qui n'avait pas pour moi, à cet instant précis, de signification spécifique. Je n'imaginais pas encore ce qu'Elle avait prévu pour moi. Je prend mon temps à fumer ma clope, tout en voyageant dans mes pensées, par cette douce nuit de fin d'été. Un message sur WhatsApp : « Tu ne rentres pas avant que je ne t'en donne la permission. » « Bien, Maîtresse. » Du coup, je me rallume une deuxième cigarette. Mon téléphone en main, je vais faire un tour sur les réseaux sociaux, « like » quelques publications, vagabonde de pages en profils. Dix minutes passent. Nouveau message : « Rentre, tout de suite. » Je franchis la porte-fenêtre, et rentre dans le salon. Je fais quelques pas, commence à me diriger vers le canapé où sont assises les filles, quand Maîtresse se tourne vers moi avec Son regard strict, Ces yeux que je connais par coeur, ceux qui ne laissent aucune place au doute, et me dit d'une voix ferme : « A poil, maintenant ! » Le tournant inattendu Je reste figé. M., Sa meilleure amie, est bien là, assise sur le canapé, je ne suis pas fou ? Est-ce que mon esprit me joue des tours ? M. n'est en réalité pas là ? Ou j'ai mal entendu ce que Maîtresse m'a dis ? « Tu attends quoi ? A poil, j'ai dis ! » Apparement j'ai bien entendu. Je me décompose lentement. Il se passe une ou deux secondes, qui me semblent être une éternité, pendant lesquelles je me pose mille questions. Je n'ai pas le temps de répondre à la moindre de ces questions que je vois Maîtresse se lever, tandis que je La regarde toujours béatement, et se diriger vers moi. Elle me colle une gifle plus humiliante que douloureuse, sous le regard et le petit sourire amusé de M., que je perçois du coin de l'oeil, et m'attrape par les cheveux : « Troisième fois : met toi à poil ! Il n'y aura pas de quatrième, ce sera directement la cravache. Réfléchis vite, tu as trois secondes. » Elle me relâche les cheveux. Je dois tenter de sauver les meubles ; je viens de me faire gifler devant M. De toute évidence, le peu d'estime qu'elle avait pour le « mec » de sa meilleure amie vient de s'évaporer en une fraction de secondes. Alors je m'exécute. Automatiquement. A cet instant, je ne réfléchis plus. Je suis un robot. Mon cerveau d'humain à laissé place au cerveau du chien de Maîtresse que je suis. Je retire mes chaussures, mon pantalon, mes chaussettes, mon tee-shirt : « Garde ton string. » Mon string. Avec tout ça, je l'avais oublié, celui là. Au moins, je ne suis pas totalement nu. Le peu de dignité qu'il me reste va être sauf. Maîtresse m'interdisais de porter caleçons ou boxers. Uniquement strings masculins, slips qui laissent les fesses apparentes, ou jockstrap. D'un autre coté, ça empêche le bruit du cadenas qui tape contre le plastique ou le métal de ma cage de chasteté. Il faut toujours essayer de positiver les épreuves imposées par sa Maîtresse. Pendant le strip-tease imposé que j'exécute tout tremblotant, Maîtresse s'est rassise sur le canapé à côté de M. ; toutes deux m'observent, se délectant du spectacle. Une fois uniquement vêtu du bout de tissu qui me sert de sous-vêtements, Maîtresse me regarde fixement sans mot dire. Quelques secondes passent : « Tu attends quoi pour me saluer comme tu dois le faire ? » A ce moment précis, je comprend que rien ne me sera épargné, ce soir. Je suis donc le rituel : je me met à genoux, puis à quatre pattes, et j'embrasse Ses divins pieds, posés sur le tapis du salon : « Bonsoir, Maîtresse. » Le mot est lâché. Je me suis dévoilé devant M. La promesse d'une correction à la cravache a retiré tout amour propre en moi. Je la déteste de m'avoir fait ça. Mais bon sang, qu'est ce que je l'aime de m'avoir fait ça ! M., je l'aime pas, alors je m'en fiche qu'elle soit au courant. En fait si, je l'aime bien, alors c'est bien qu'elle sache pour N/nous. Une nuée de sentiments ambivalents me rongent l'esprit, tandis que je suis toujours front à terre, attendant la permission de me redresser : « A genoux. » J'obtempère, je me remet sur mes genoux. Maîtresse, s'adressant à M. : « Tu vois, je t'avais dis. » « Faut le voir pour le croire. J'aurais jamais imaginé ça de lui. Et encore moins de toi. Et il fait tout ce que tu lui demandes ? Tu donnes des ordres, et lui, il obéit ? » M. parle de moi à la troisième personne. Je ne suis devenu en quelques minutes qu'un objet à ses yeux. « Tout, oui. Et attend, tu n'as pas encore tout vu. » C'aurait été trop simple si ça s'était arrêté là. Au moment-même ou Maîtresse prononce la phrase, je me dis « non, pas ça, pitié » : « Baisse ton string. » Automate que je suis devenu, j'obéis. M. Découvre, effarée, qu'un tube de plastique enferme complètement mon pénis, retenu par un anneau, et fermé d'un cadenas sur le dessus : « Mais c'est quoi, ça ? », dit-elle dans un éclat de rire non dissimulé. « Sa cage de chasteté. Son pénis est ma propriété, il n'a plus le droit d'en avoir l'usage d'aucune manière que ce soit, sans mon autorisation, ou un ordre de ma part. Tu fermes bien ta maison quand tu sors ? Moi, je ferme mon pénis quand je n'en ai pas l'usage. » Eclats de rire de M. et de Maîtresse. J'entend tout ça comme si je n'étais pas là. J'ai les yeux au sol ; quand je suis à genoux, j'ai interdiction de regarder Maîtresse quand Elle ne s'adresse pas à moi. Revue de matériel et de comportement « Retire complètement ton string, et va nous resservir un verre. Et tu peux t'en prendre un. Par contre, tu vas et tu reviens à quatre pattes. Tu ramènes les verres un par un. » Un peu d'exercice ne peut pas faire de mal. Puis heureusement, le frigo est tout proche du canapé. J'amène le verre à M. - les invités d'abord -, puis à Maîtresse, et je fini par le mien. J'ai la permission de m'assoir par terre. Maîtresse prend soin de moi et de mes pauvres petits genoux, qui ne tiennent plus aussi longtemps qu'avant. J'écoute la conversation entre Maîtresse et M., tout en essayant par moment de réaliser ce qui m'arrive ce soir. Et je regarde aussi. Quand je suis assis par terre, j'ai la permission de regarder devant moi, ainsi que les interlocuteurs. Maîtresse répond aux nombreuses questions de M. Tout y passe : mes obligations de soumis, mes quelques droits et limites acceptées par Maîtresse, mon quotidien pour La servir, Ses nombreux avantages, comment je vis le fait d'être enfermé dans ma cage de chasteté... « Je pourrais te le prêter pour ton ménage, si tu as besoin, et si tu veux voir un mec récurer ta maison habillé seulement d'un collier et d'entraves aux poignets et aux chevilles. Et s'il ne va pas assez vite à ton goût, tu auras la cravache qu'il amènera avec lui ». Et Elle l'a fait : Maîtresse m'a prêté à M. pour un après-midi. Mais ça, c'est une autre histoire. Puis je suis interrogé, comme à chaque fois avec des non-initiés aux pratiques D/s, sur le plaisir que j'en retire. Comment expliquer à une novice que me prendre une gifle, et me faire rabaisser de la sorte devant des gens, me met dans un état au delà de l'orgasme psychique ? Et pourtant, M. Est une fille visiblement très ouverte, et le comprend parfaitement. Comme à Son habitude, Maîtresse sait choisir Son public. Une vingtaine de minutes se passe. Verres terminés, liste de questions achevée, Maîtresse et M. Se lèvent : « Maintenant, je vais te montrer la panoplie de dressage pour transformer ton homme en bon soumis obeissant. » Je me morfond de trouille ; là, M. va voir les instruments qui servent à m'éduquer. « Suis moi, chien. » De ma position assise, je me met à quatre pattes, et je La suis jusqu'à la chambre. « La caisse, sur le lit. » Je la précède, je sors la caisse de sous le lit, pour la mettre dessus, puis m'écarte d'un demi-mètre pour L/leur laisser la place : « Tu restes au pied », me lance-t-Elle, en claquant des doigts. Je me réavance donc au pied de Maîtresse, soupçonnant que ce n'était pas sans raison. Maîtresse commence l'inventaire par le collier. Bingo ! « Quand il est à la maison, dès qu'il franchit la porte, il doit se mettre nu, et enfiler son collier, et ses bracelets aux poignets et aux chevilles. Je veux pouvoir l'attacher à n'importe quel moment, si je dois le punir, ou juste si j'en ai envie. » Elle lui précise, si besoin était, que les chaînes qui descendent de la poutre au plafond sont juste à bonne hauteur pour que je sois suffisamment tendu, mais pas trop pour que ce ne soit pas trop inconfortable pour de la longue durée. C'est ce moment que Maîtresse choisi pour ajouter : « D'ailleurs, tu n'as pas encore tes entraves ce soir, du coup », et me passe le collier de cuir autour du cou, ainsi que les 4 bracelets. Aussitôt, Elle attrape la laisse, et l'accroche au gros anneau qui orne le collier. M. d'ajouter : « Pourquoi tu le tiens en laisse ? Tu as peur qu'il se sauve ? » Phrase maintes fois entendue, mais toujours aussi cinglante. « Non, c'est juste pour l'humilier un peu plus. Et un chien, ça se tient en laisse, c'est obligatoire. » Nouvel éclat de rire simultané de mes tortionnaires. Le passage en revue continue avec les instruments de dressage et de discipline : cravache, martinet, badine, et paddles. « Pourquoi de dressage ? C'est une forme de punition ? » « Non, quand il désobéit, ou qu'il commet une erreur, je le puni, durement, pour qu'il ai mal, et qu'il ne recommence pas son erreur. Mais une ou deux fois par semaine, je lui fait une piqure de rappel, pour qu'il se souvienne qui commande. Puis une bonne correction une fois de temps en temps, ça ne fait pas de mal. » Eclats de rire. Puis Elle passe aux objets « insérables » : « Ah, c'est un de tes godes ? » « Non, c'est un plug anal, pour lui. Plusieurs fois par semaine, il doit le mettre 1 ou 2 heures ; je veux qu'il tienne son cul prêt à recevoir mon gode-ceinture. » Nouveau regard à la fois surpris et intéressé de M., devant ce harnais, complété d'un long et large gode. « Mais ca sert à quoi ? Tu aimes ça, toi ? », demande M. « Oui bien sur que j'aime. Et c'est moi qui commande dans le couple ; normal que ce soit moi qui le prenne en levrette. Parfois en missionnaire, pour que je puisse voir son regard pendant que je l'encule. », répond Maîtresse, me regardant avec un large sourire. Même dans l'humiliation la plus totale, Maîtresse sait comment me faire rester complètement excité, pour que je vive ce moment de la manière la plus intense possible. Continuant de souffler le chaud et le froid, Elle continue Son descriptif de N/notre vie intime, et ajoute, pour mettre un coup de grâce à cette phase d'humiliation : « De temps en temps, je lui dis qu'il va être libéré de sa cage, et qu'on va faire l'amour ; mais à la place, je lui fait enfiler le gode-ceinture, et il doit me faire l'amour avec le gode, tout en restant enfermé en cage. C'est la frustration ultime pour lui, alors que je prend presque autant mon pied que quand on fait l'amour de manière classique, juste en voyant son air dépité ! » Je ne peux bien sûr qu’acquiescer. Et c'est reparti pour de grands éclats de rire. Puis vient le tour du baillon-gode, lui aussi classé dans le top 3 des instruments de frustration du soumis moyen. Puis les baillons classiques, les cagoules, et autres moyens de faire perdre un ou plusieurs de nos 5 sens. La démonstration se termine avec deux allers-retours, tel un mannequin dans un défilé de mode, paré des menottes aux poignets, des fers aux chevilles, le tout relié par une longue chaine qui part de mon collier pour descendre jusqu'à mes chevilles, en passant par la chainette des menottes, entravé comme un prisonnier dans une série policière américaine. Le point final reviendra aux chaines accrochées aux barreaux du lit, cachées jusqu'à présent par la couette, qui permettent de m'attacher au lit, des fois que je décide de me sauver en pleine nuit ; sait-on jamais. C'est à ce moment que se termine la séance de présentation de l'attirail de dressage du soumis. Une fois libéré de mes chaines, retour au salon, à quatre pattes pour moi, Maîtresse sur mon dos, M. qui nous suit, non sans un ricanement bien audible, Maîtresse montant fièrement son fidèle destrier. Arrivé vers le canapé, Maîtresse descend de mon dos, et s'assoit, suivi de M. Il est déjà presque 6 heures du matin « Ca nous ferait pas de mal, des croissants. J'ai un peu faim », dit Maîtresse. « Ah oui bonne idée. On va chercher ça à la boulangerie ? » « Non, IL va aller nous chercher ça à la boulangerie. » « Ah mais oui, tu as cette chance, toi », lance M., non sans un nouveau rictus, mêlé à un air d'envie. « Va t'habiller. » Je m'exécute. Je reviens au salon, me met à quatre pattes pour suivre le protocole, en déposant un baiser sur chaque pied de Maîtresse. Elle me dit alors, en me montrant M. du doigt : « Embrasse ses pieds, et file ! Tu as 15 minutes. »   Je suis dans un état second. Je suis proche du subspace. J'aime tellement cet état. Et Maîtresse le sait. Elle m'a poussé à me dépasser, ce soir : Elle sait jouer avec mon esprit, Elle a repoussé mes limites à l'extrême. Elle savait que cette humiliation extrême me ferait passer une des plus belles soirées de ma vie de soumis. Elle me connait, Elle à tout prévu. Je sais qu'Elle s'est assuré que ma réputation personnelle et professionnelle soient en sécurité avec Sa meilleure amie ; que tout ce qui se passe ce soir ne franchira pas les portes de N/notre appartement.
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Par : le 20/12/20
Nous ne conservons en mémoire que les prouesses marginales, les nuits d'excès, les scènes d'humiliations, les actes pervers et les situations paradoxales ou baroques. Aussi pour réveiller les souvenirs de notre mémoire érotique, il nous faut déambuler dans le grenier de notre cerveau pour y ouvrir de vieilles malles à la recherche de porte-jarretelles, de lettres coquines et délicieusement salées. Parfois nous retrouvons dans ce bric-à-brac des amours mortes une ceinture oubliée qui laissait sur la peau satinée d'une jeune fille des stries d'un rouge vif et provoquait chez elle une réaction vive où se mêlaient l'effroi, la pudeur offensée, la reconnaissance. Nous revoyons les menottes dont elle autre souhaitait qu'on lui attache ses gracieux poignets aux montants du lit. D'autres objets ou manigances du plaisir surnagent dans la mémoire, devenus tout aussi incongrus, obsolètes et poussiéreux que les anachroniques bicyclettes de l'arrière-grand-père. La ceinture est là, racornie, craquelée, mais que sont devenues la délicieuse croupe prête à recevoir son châtiment désiré, et la jeune femme aux airs de collégienne qui voulait être punie ? Elle est sans doute aujourd'hui, une mère de famille honnête, qui sait même, donne des leçons de catéchisme et qui se récrierait bien haut si on avait l'indélicatesse de lui rappeler ses anciens égarements et ses pâmoisons illicites. Chaque femme possède sa manière bien à elle de faire l'amour. Elle a son identité sexuelle, ses seins éprouvent des émotions particulières, son sexe est aussi singulier que son empreinte digitale. Au même titre que la teinte de ses cheveux, sa taille, la couleur de ses yeux. Le sexe de chacune a son rythme propre, sa palpitation, son émoi. Si on pose l'oreille sur sa vulve comme on procède aussi avec les grands coquillages pour écouter la mer, on entend une longue plainte distincte, un frisson venu des profondeurs de l'être qui sont la marque d'une personne unique. Cette identité sexuelle, doit-on la taire ou en révéler les expressions, les appétits, les fièvres ? Nul n'est besoin de la décrire. Dans la nuit noire, les yeux bandés, l'amante reconnaît le goût de sa bouche, de son sexe, avec leur rythme ardent ou paresseux, son haleine chaude, son parfum lourd ou opiacé, sa saveur acide ou âcre de tabac. Toute amoureuse possède sur se sujet un certain appétit. Mais il n'est pas certain qu'elle désire toujours être rassasiée. Au contraire, il peut lui être gré de ne rien imposer et de laisser libre cours à son imagination. Car c'est un paradoxe. Plus on décrit les gestes de l'amour, plus on les montre, plus la vision se brouille. En matière sexuelle, on ne voit bien que soi-même. Et la description sexuelle risque d'égarer la curiosité. C'est donc aux deux amantes de remplir avec leur imagination sentimentale ou érotique, les blancs, les points de suspension, les corsages dégrafés, les bas déchirés et les porte-jarretelles entrevus, que le désir leur offre afin qu'elles les agrémentent à leur guise. L'amour le plus beau, c'est celui qui nous donne un canevas pour reconstruire notre vie, nos rêves et nos fantasmes. Ce sexe crûment exposé, on l'emploie souvent comme cache-misère de l'indigence romanesque. Comme dans un rêve, on entendait le feulement de Charlotte monter peu à peu vers l'aigu et un parfum déjà familier s'exhala de sa chair sur laquelle les lèvres de Juliette étaient posées. La source qui filtrait de son ventre devenait fleuve au moment qui précède le plaisir et quand elle reprit la perle qui se cachait entre les nymphes roses qu'elle lui donnait. Elle se cambra alors de tous ses muscles. Sa main droite balaya inconsciemment la table de travail sur laquelle elle était allongée nue et plusieurs objets volèrent sur la moquette. Un instant, ses cuisses se resserrèrent autour de sa tête puis s'écartèrent dans un mouvement d'abandon très doux. Elle était délicieusement impudique, ainsi couchée devant Juliette, les seins dressés vers le plafond, les jambes ouvertes et repliées dans une position d'offrande totale qui lui livrait les moindres replis de son intimité la plus secrète. Quand elle commençait à trembler de tout son être, elle viola d'un doigt précis l'entrée de ses reins et l'orgasme s'abattit sur elle avec une violence inouïe. Pendant tout le temps que le feu coula dans ses veines, Juliette but les sucs délicieux que son plaisir libérait et quand la source en fut tarie, elle se releva lentement. Charlotte était inerte, les yeux clos, les bras en croix. Venant d'un autre monde, sa maîtresse entendit sa voix lui dire qu'elle était heureuse et qu'elle voulait que cela ne finisse jamais. Juliette s'agenouilla entre ses jambes et Charlotte voyait ses cheveux clairs onduler régulièrement au-dessus d'elle. Sa vulve était prisonnière du plus doux et du plus chaud des fourreaux qui lui prodiguait la plus divine des caresses. Un court instant, elle s'interrompit pour lui dire qu'elle n'aurait jamais cru que c'était aussi bon de se soumettre puis brusquement, adorablement savante, sa main vint se joindre à ses lèvres et à sa langue pour la combler. Mille flèches délicieuses s'enfoncèrent dans la chair de Charlotte . Elle sentit qu'elle allait exploser dans sa bouche. Elle voulut l'arrêter mais bientôt ses dents se resserrèrent sur la crête rosée. Un plaisir violent et doux s'abattit sur les deux amantes et le silence envahit la pièce. Le plafond était haut, les moulures riches, toutes dorées à la feuille. Juliette invita Charlotte à pénétrer dans la salle de bains où elle fit immédiatement couler l'eau dans une baignoire digne d'être présentée dans un musée, un bassin en marbre gris à veinures rouges, remontant à l'avant en volute, à la façon d'une barque. Un nuage de vapeur emplissait le monument. Elle se glissa dans l'eau, avant que la baignoire ne fut pleine. La chaleur est une étreinte délicieuse. Une impression d'aisance l'emplit. Voluptueuse, Charlotte s'abandonna à ce bien-être nouveau sans bouger. Le fond de la baignoire était modelé de façon à offrir un confort maximum, les bords comportaient des accoudoirs sculptés dans le marbre. Comment ne pas éprouver un plaisir sensuel ? L'eau montait sur ses flancs, recouvrait son ventre pour atteindre ses seins en une onde caressante. Juliette ferma les robinets, releva les manches de son tailleur et commença à lui masser les épaules avec vigueur, presque rudesse. Ses mains furent soudain moins douces sur son dos. Puis alors à nouveau, elle la massa avec force, bousculant son torse, ramollissant ses muscles. Ses doigts plongèrent jusqu'à la naissance de ses fesses, effleurant la pointe de ses seins. Charlotte ferma les yeux pour jouir du plaisir qui montait en elle. Animé par ces mains fines et caressantes qui jouaient à émouvoir sa sensibilité. Une émotion la parcourut. L'eau était tiède à présent. Juliette ouvrit le robinet d'eau chaude et posa ensuite sa main droite sur les doigts humides de Charlotte, l'obligeant à explorer les reliefs de son intimité en la poussant à des aventures plus audacieuses. Juliette perdit l'équilibre et bascula sur le bord de la baignoire. Son tailleur trempé devint une invitation à la découverte, et la soie blanche de son corsage fit un voile transparent révélant l'éclat de ses sous-vêtements. Elle dégrafa sa jupe et se débarassa de son corsage. Dessous, elle portait un charmant caraco et une culotte de soie, un porte-jarretelle assorti soutenant des bas fins qui, mouillés, lui faisaient une peau légèrement hâlée. Ses petits seins en forme de poire pointaient sous le caraco en soie. Elle le retira délicatement exposant ses formes divines. Bientôt, les mains de Charlotte se posèrent langoureusement sur ses épaules et glissèrent aussitôt sous les bras pour rencontrer les courbes fermes de la poitrine. Son ventre palpita contre les fesses de son amante. Elle aimait cette sensation. Peu à peu, ses doigts fins s'écartèrent du buste pour couler jusqu'à la ceinture élastique de la culotte. La caresse se prolongea sous le tissu. Juliette pencha la tête en arrière et s'abandonna au plaisir simple qui l'envahit. Alors, rien n'exista plus pour elle que ce bien-être animé par le voyage de ces doigts dans le velours de sa féminité. L'attouchement fut audacieux. Combien de temps restèrent-elles ainsi, à se caresser et à frissonner, ne fut-ce pas un songe, l'ombre d'un fantasme ? Elles n'oseraient sans doute jamais l'évoquer. Mais brusquement, revenue à la réalité, Juliette se rhabilla et abandonna Charlotte sans même la regarder. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 20/12/20
Pour ceux à qui la lecture ne fait pas peur, un maître en la matière d'histoire de chatouille :) Première d'une histoire nommé "la chapelle". Menu à bord : bondage, chatouille, fétichisme des pieds, orgasme, etc... Petite mise en garde : l'histoires présentent des aspects sexuels suscpetibles de heurter la sensibilité d'un public non averti même si nous sommes tous sensé être majeur :) Ne pas oublier également qu'il s'agit d'une fiction ! Il doit bien être deux heures du matin, se dit Virginie en jetant un regard sur sa montre. Celle-ci avouait largement deux heures et demie. La nuit sans lune conférait au campus endormi des allures inquiétantes. En bas sur le parking, deux phares s'allumèrent, immédiatement accompagnés du toussotement d'un moteur fatigué : Virginie reconnut aussitôt la 2CV de Vincent. Ce dernier lui avait proposé de l'emmener chez lui mais elle avait décliné son offre, prétextant qu'elle préférait prendre l'air avant d'aller se coucher. Ce soir, elle n'éprouvait aucune envie de relation sexuelle. Et puis elle devait se lever tôt car son premier cours avait été exceptionnellement avancé à huit heures. Heureusement, demain soir commençaient les vacances de Pâques. Virginie comptait en profiter pour se reposer tranquillement, n’ayant prévu aucune autre activité que de se la couler douce pendant deux semaines. Dans un vacarme effrayant, la 2CV s'éloigna vers la grand route, s'évanouissant bientôt dans la nuit. Virginie enfouit ses mains au fond de ses poches et s'éloigna dans l'allée sombre et silencieuse. Elle marchait d'un pas léger, laissant son allure se rythmer de l'alternance des zones d'ombre et de lumière laiteuse de l'éclairage public. Sa mémoire la ramena aux principaux événements de la soirée, surtout à ce gage que lui avait fait subir cette vipère de Sabine : - Et si nous lui chatouillions les plantes de pieds ? avait-elle proposé non sans malice. Malgré ses protestations, Virginie avait été forcée de se coucher sur le dos, à même le sol du salon. Quatre volontaires, dont elle ne se rappelait même plus les noms, lui avaient immobilisé les poignets et les chevilles. En revanche, elle se souvenait parfaitement de Sabine et Catherine qui s’étaient agenouillées chacune devant un de ses pieds immobilisés. Puis, avec des mouvements parfaitement synchronisés, elles lui avaient soigneusement dénoué les lacets de ses tennis avant de les lui retirer. Virginie se souvenait de ce regard complice qu’elles avaient alors échangé, tandis que d’un geste brusque elles arrachaient les chaussettes de leur prisonnière, découvrant ses deux pieds nus superbes aux formes parfaites. - Très mignons ! avait lancé Sabine. Voyons à présent s’ils sont aussi également très chatouilleux. Et tandis qu’elle prononçait ses derniers mots, ses doigts s’étaient mis à effleurer délicatement la peau nue et vulnérable qui s’offrait à eux, aussitôt imités par ceux de sa complice. Catherine s’était occupée de son pied gauche, assez maladroitement d’ailleurs, et lui avait chatouillé surtout la base des orteils. Virginie n’avait éprouvé aucune difficulté à soustraire par de petits mouvements vifs son pied nu des attouchements les plus réussis de son bourreau, apparemment néophyte en la matière. Sabine, en revanche, avait fait montre d’une adresse peu commune. Elle avait commencé par immobiliser d’une main ferme les orteils de son pied droit, avant de se mettre à lui chatouiller du bout des ongles le creux de sa plante de pied. Immédiatement, la sensation avait été quasi insoutenable et Virginie s’était abandonnée à des rires nerveux mêlés à quelques hurlements lorsque Sabine touchait un point particulièrement sensible. En se remémorant ces événements, Virginie ne pouvait empêcher une irrésistible excitation de monter en elle à nouveau. Car elle cultivait depuis de longues années et dans le secret le plus absolu des fantasmes de chatouilles où elle jouait invariablement le rôle de la victime de supplices les plus étonnants. De toutes les parties de son anatomie, ses pieds étaient sans conteste ce qu’elle possédait de plus parfait. Elle leur consacrait chaque jour plus de temps que nécessaire à leur prodiguer les soins qu’ils méritaient à ses yeux. Elle ne marchait presque jamais pieds nus et portait toujours des chaussettes afin de ne laisser aucune chance aux callosités qu’elle considérait comme le pire de ses ennemis. Le résultat était à la mesure de toutes ses attentions : à vingt et un ans, ses pieds étaient restés ceux d’une adolescente et le soir, en regardant négligemment la télévision, elle se plaisait à caresser parfois pendant des heures leur peau douce et satinée en nourrissant un étrange sentiment de fierté et de satisfaction. Le fantasme des chatouilles représentait déjà pour Virginie un vieux compagnon. Il lui était venu vers l’âge de douze ans. Sa tante possédait une résidence secondaire en province où sa famille se réunissait une dizaine de fois par an. C’est là, dans la chambre mansardée de ses deux cousines, Stéphanie et Gaëlle, qu’elle découvrit sa surprenante fascination pour les chatouilles et les pieds nus. Elle découvrit également assez rapidement qu’elle se montrait de très loin la plus vulnérable des trois à ce supplice. Ses cousines décidèrent alors qu’elle serait désormais la victime toute désignée de leurs petits jeux innocents. Vers quatorze ou quinze ans, Stéphanie proposa un jour de pimenter les supplices en attachant leur prisonnière avec des cordes et en la bâillonnant. Gaëlle et sa complice devinrent rapidement des expertes dans cet art dont Virginie apprit plus tard qu’il s’appelait bondage. Il est vrai que les lits à barreaux de cuivre qui ornaient la chambre se prêtaient tout particulièrement à ces pratiques. Ligotée et bâillonnée, Virginie vit alors ses séances de chatouilles à la fois s’intensifier et se prolonger. Durant ces quelques années, Gaëlle et Stéphanie explorèrent avec méthode tous les raffinements possibles des supplices des plantes de pieds. Elles appréciaient avec une délectation sadique découvrir progressivement les pieds nus de leur infortunée victime : Virginie était ainsi presque toujours attachée en tennis et en chaussettes blanches (un rituel presque imposé, auquel tout manquement était sévèrement puni), que ses deux bourreaux lui retiraient ensuite avec une délicate lenteur directement proportionnelle à leur excitation. Stéphanie avait depuis longtemps jeté son dévolu sur les creux des plantes des pieds de Virginie, où la peau plus blanche trahissait chez elle une sensibilité ahurissante. Elle en connaissait chaque millimètre carré et toutes les façons de les effleurer pour arracher à Virginie les hurlements étouffés les plus aboutis. Gaëlle n’était pas en reste et était devenue l’experte de la base des orteils où les chatouilles plongeaient Virginie dans un état quasi second. Puis, vers l’âge de dix-sept ans, les réunions familiales se firent moins nombreuses et les jeunes filles abandonnèrent leurs jeux érotiques. Virginie ne s’en plaignit pas car elle commençait à redouter le moment inévitable où leurs ébats prendraient un tour moins anodin. En fait, ce fut elle qui arrêta, ou du moins fit tout pour cela, à partir du jour où Stéphanie parla de faire intervenir un garçon dans un prochain supplice. C’était l’époque des découvertes amoureuses et ses cousines lui avaient confessé récemment leur première expérience sexuelle. Virginie, moins pressée, ne voulut prendre aucun risque car elle ne connaissait que trop bien la perversité de Gaëlle et surtout de Stéphanie. D’ailleurs, ce fut à cette époque que Virginie déménagea. Elle perdit de vue ses cousines et le souvenir des séances de chatouilles endiablées s’estompa peu à peu. Certes, elle continua de cultiver ses fantasmes avec une obstination que les années n’atténuaient pas, mais le rêve avait désormais tout entier prit la place de la réalité. Sur ces considérations, le temps avait passé sans que Virginie s’en aperçoive et elle approchait à présent de chez elle. Elle s'engouffra dans la ruelle voûtée qui donnait accès à son immeuble. Pressant le pas, elle gravit rapidement les quelques marches de l’entrée avant de sursauter brusquement : derrière elle, surgissant de nulle part, une silhouette venait de se précipiter à son tour dans l'allée. Elle s'en voulut aussitôt de se montrer aussi craintive. Elle pénétra résolument dans le hall étroit et ralentit par habitude en passant devant sa boîte aux lettres. - Mademoiselle ! S’il vous plaît… Virginie se retourna d'un seul geste : la silhouette mystérieuse accourait droit vers elle. C’était une femme. L'inconnue s'immobilisa à deux pas : - Excusez-moi, je cherche la rue Montfort, mais je pense m'être égarée. Pouvez-vous m'aider ? - Bien sûr, répondit Virginie. Mais c'est à l'autre bout du campus, près de la Faculté des Lettres. Il y en a pour au moins trente minutes à pied. - J'ai un plan dans ma voiture, garée au bout de l'allée. Pourriez-vous m’y indiquer le chemin à suivre pour m'y rendre. Il fait nuit et c’est la première fois que je viens par ici... - D'accord, fit Virginie. Allons-y ! - Merci beaucoup. Il y en a juste pour une minute. Virginie n’avait pas pour habitude de prendre le risque d’accompagner ainsi une inconnue à une heure aussi tardive, mais elle était encore plongée dans les souvenirs de ses fantasmes d’adolescente et elle avait répondu machinalement sans réfléchir. A présent, il était trop tard pour faire demi-tour et elle emboîta le pas de l’inconnue. Arrivée au bout de l'allée, la jeune femme indiqua l’extrémité du parking : - Venez, ma voiture est juste là. Elle entraîna Virginie avec elle, longeant la file des voitures immobiles. Au moment où Virginie arrivait à la hauteur d'une fourgonnette de couleur sombre aux vitres opaques, les portes arrières du véhicule s'ouvrirent brutalement. Quatre silhouettes surgirent de la camionnette et se précipitèrent sur Virginie. Celle-ci n'eut même pas le temps de pousser un cri, et encore moins d'esquisser un geste de défense, qu'elle se retrouva ceinturée par ses agresseurs déterminés auxquels l’inconnue avait prêté immédiatement main forte, une main plaquée sur la bouche et entraînée sans ménagement à l'arrière du véhicule dont les portes se refermèrent aussitôt. Dans le feu de l’action, elle sentit à peine la fourgonnette démarrer dans un hurlement rageur du moteur. L’affaire avait été soigneusement préparée et rondement menée, car malgré l'instabilité de la fourgonnette et ses tentatives désespérées pour se libérer, en quelques secondes, Virginie se retrouva les poignets menottés aux ridelles du plafond . On la bâillonna soigneusement et un bandeau noir fut posé sur les yeux. Malgré le vacarme du moteur lancé à plein régime, une voix féminine se fit entendre distinctement : - Et bien, qu’est-ce que vous attendez ? Déshabillez-la ! Virginie sursauta lorsqu’une autre voix, toujours féminine, lui murmura presque dans l’oreille : - J’ai parié avec elle que tu avais de petits mamelons bruns. Elle préfère les roses. Mais elle ignore que je suis une tricheuse et que je t’ai déjà vue nue sous la douche. Virginie connaissait cette voix, mais son esprit chahuté ne réussissait pas à se concentrer suffisamment pour mettre un nom sur le timbre familier. Elle n’eut d’ailleurs guère le loisir de poursuivre ses réflexions car les événements se précipitaient tout autour d’elle. Malgré ses protestations, étouffées par son bâillon, ses agresseurs commencèrent à lui retirer ses vêtements. Ses poignets étant attachés au plafond, sa blouse et son soutien-gorge lui furent déboutonnés puis découpés au ciseau. Deux petits seins ronds et fermes pointèrent fièrement deux mamelons bruns aux proportions quasi parfaites. - Tu as perdu, lança la voix familière à sa complice. - Je le vois, répondit la première voix. De toutes façon, elle aurait été à toi pour la première épreuve. Virginie n’osait en croire ses oreilles tant ces propos paraissaient irréels. La seule chose dont elle était persuadée à ce stade, était que le hasard n’était pour rien dans ces événements : tout avait été soigneusement préparé et cette voix familière sur laquelle son esprit ne parvenait pas encore à mettre un visage devait certainement être au centre des explications. Virginie cherchait désespérément dans ses souvenirs récents un indice, mais ses agresseurs ne lui laissaient guère le temps de se penser. - Allez, reprit la voix familière. Voyons si ce que tu nous caches encore est à la hauteur de ce que tu nous offres déjà ! Et pour la seconde fois de la soirée, mais à présent dans des conditions nettement plus inquiétantes, on retira à Virginie ses tennis et ses chaussettes. Son jean puis son slip glissèrent le long de ses jambes, et elle se retrouva complètement nue. Sa nudité soudaine la figea dans une immobilité quasi parfaite, tandis qu’elle poussait de petits gémissements nerveux à travers son bâillon. Après avoir négocié de nombreux virages, la fourgonnette semblait s'être à présent engagée sur une autoroute, ou une route nationale. Profitant de la stabilité relative et nouvelle du véhicule, les agresseurs poursuivirent leur entreprise. Virginie étouffa un cri de réprobation : deux mains venaient de se poser sur ses seins et s’étaient mises aussitôt à rouler entre leurs doigts le bout de ses mamelons. Malgré la peur panique qui lui enserrait le ventre dans un étau, elle ne resta pas longtemps insensible à l’adresse redoutable des doigts inconnus. Ses bouts de seins réagirent naturellement dans un réflexe irrépressible, pointant fièrement d'excitation une rigidité manifeste. Virginie sentit alors un corps se coller juste derrière elle. Deux bras enlacèrent ses hanches et deux mains froides vinrent se poser sur son ventre, juste à hauteur de son nombril. Sa peur monta encore d’un cran dans un tourbillon d'images terrifiantes, et en même temps, elle ne pouvait empêcher l’excitation de la submerger peu à peu. Elle serra les poings et tira sur ses menottes dont les chaînes se tendirent dans un cliquetis métallique. Les mains qui lui caressaient le ventre descendirent lentement et inexorablement vers son pubis. Virginie haletait de désir et d'effroi. Les mains glissèrent doucement sur les bords de son pubis, et vinrent s’arrêter sur l'intérieur de ses cuisses, les extrémités des doigts effleurant ce qu’elle avait de plus intime. L’humidité apparente de son sexe ne laissait aucune place au doute quant au résultat des caresses érotiques dont elle était l’objet. - On dirait qu’elle est déjà toute excitée, fit la voix derrière elle. Sa ravisseuse entreprenante s’adressa ensuite directement à elle avec une révélation étonnante qui atteignit Virginie plus violemment encore qu’un direct à l’estomac : " Alors, petite fille, on dirait que tes fantasmes se réalisent. Mais nous n’en sommes qu’aux préliminaires, et tu seras sans doute surprise de découvrir tout à l’heure ce que nous sommes capables de faire à tes mignons petits pieds nus qu’on dit si chatouilleux. " Virginie n’osait y croire. Mais comment avaient-elles pu savoir ? Soudain, la vérité lui apparut si simple et évidente, et un visage vint en même temps se poser sur la voix familière : Stéphanie, la cousine des jeux interdits. Stéphanie qui en savait assez sur son compte pour expliquer en partie tout au moins sa situation actuelle. Virginie ne pouvait en revanche pour l’instant dévoiler à ses agresseurs qu’elle avait reconnu l’une d’entre elles, son bâillon la forçant à un silence d’esclave soumise aux outrages les plus pervers. La voix derrière elle reprit à l’attention de ses complices : - Je vais y aller. Attrapez-lui les chevilles ! Plusieurs mains empoignèrent fermement les chevilles de la prisonnière pour lui immobiliser les jambes. Virginie tenta un instant de se débattre mais devant l'inutilité de ses efforts, elle abandonna presque aussitôt toute résistance. Comme elle s’y attendait, les doigts habiles de Stéphanie, pour la première fois, lui touchèrent directement le sexe. Ils lui écartèrent d’abord les lèvres avant de la pénétrer tout simplement. Virginie crut s'évanouir tant l'excitation était forte. Tandis que les doigts impudiques et audacieux avaient commencé un va-et-vient somme toute assez banal, Virginie sentit le pouce de Stéphanie s’approcher presque imperceptiblement de son clitoris. Lorsqu’il le toucha enfin, Virginie poussa un long gémissement, tandis que ses reins se cambraient irrésistiblement. Ses bourreaux éprouvaient à présent les plus grandes difficultés pour continuer à l’immobiliser. - Mes amies, exulta Stéphanie, voici la perle rare que je vous avais promise ! Mais je crois qu’elle est en train de surpasser nos espoirs les plus délirants… - Tu crois pouvoir la faire jouir ? interrogea la voix du devant qui semblait commander à tout le groupe. - Si je n’y arrive pas dans les minutes qui suivent, je veux bien prendre sa place, ironisa Stéphanie qui intensifia au même moment soudain ses caresses. Virginie haletait, alternant râles de plaisir et hurlements de dépit étouffés les uns comme les autres. Elle était tout à la fois emportée par l'excitation violente et révoltée par sa nudité violée sans restriction. Les pensées les plus folles se bousculaient dans sa tête, cherchant à comprendre, à expliquer le pourquoi de cette situation absurde qui la voyait attachée, nue dans un fourgon qui filait dans la nuit vers une destination mystérieuse et menaçante... Soudain, sans qu'elle l'eut pressentit, l'orgasme vint la frapper de plein fouet, lui arrachant un cri d'abandon que son bâillon étouffa à peine et qui provoqua chez ses bourreaux d'autres cris, de satisfaction, qui vinrent lui faire un étrange écho. Virginie jouit ainsi durant de longues secondes, interminables, rythmées par les vagues de plaisir qui déferlaient en elle et l'emportaient en un tourbillon insensé de chaleur et de violence. Enfin, les derniers spasmes lui arrachèrent un ultime gémissement, tandis que les doigts coupables se retiraient de son orifice le plus intime et qu’on lui relâchait les chevilles. Elle resta un instant pendue, inerte, comblée, imaginant sans peine les regards avides pour lesquels les moindres détails de son anatomie ne recelaient désormais plus guère de secrets. Près de l’oreille de Virginie, la voix de Stéphanie rompit le relatif silence qui avait suivi son orgasme : - J’espère pour toi que tu es toujours aussi chatouilleuse des pieds. Sinon, avec un sexe aussi sensible, tu ne résisteras pas longtemps à nos traitements. Mais à ce qu’on m’a dit, il paraîtrait que les années, loin d’émousser ta sensibilité, l’ont plutôt exacerbée. https://www.bdsm.fr/blog/4931/La-bo%C3%AEte-infernale---Petite-histoire-%C3%A0-ma-soumise-(6)/
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Par : le 09/12/20
Comme je pouvais le pressentir, je me retrouvais vite frigorifié. Je me recroquevillais le plus possible et me frottait énergiquement pour ressentir un semblant de chaleur. La nuit s’écoulait lentement, je trouvais le sommeil par instant en me posant déjà plein de questions. Serais-je à la hauteur ? n’ai je pas présumé de mes forces ? de ma réelle motivation ? Heureusement Maîtresse Adèle écourta mes souffrances et mes états d’âme en sonnant le réveil de très bonne heure. J’avais eu l’imprudence de me soulager dans ma gamelle sans oser la vider. Maîtresse le remarqua très vite et s’exclama : « Tu ne crois pas que je vais vider tes chiottes, alors boit et vite. Tiens pour ta punition , je vais faire le niveau. » Elle releva sa jupe, s’accroupit au-dessus de mon écuelle, écarta son string et expulsa un large filet de pisse. Mon écuelle était pleine et j’absorbais tant bien que mal ce « doux » mélange. Elle semblait contente de son effet et m’intima de rejoindre sans tarder la cuisine. « Et puis laves-toi la bouche ma salope » Il me fallu lui préparer un petit déjeuner copieux dont j’eu l’honneur de terminer les restes. C’était peu, mais, mon corps revivait déjà au contact de la chaleur de la pièce. Maîtresse m’intima l’ordre de transporter les bagages dans le coffre de la voiture. J’attendais patiemment que Maîtresse Adèle soit prête et me rejoigne. Elle m’avait interdit de monter dans la voiture avant elle. Mais, je savais que mon état d’esclave ne me l’autorisait pas. Enfin Maîtresse Adèle apparue sur le pas de la porte. Elle était resplendissante et j’étais fort impressionné. Je lui ouvrais la porte côté passager pour qu’elle monta en premier dans la voiture. Après avoir refermé la porte, j’allais prendre place au volant. Elle m’indiqua seulement la direction à prendre. Nous étions parti depuis quelque temps et je n’avais toujours aucune idée de notre destination finale. Après quelques dizaines de kilomètres, Maîtresse Adèle me demanda de m’arrêter sur un parking isolé. J’allais lui ouvrir la porte, elle sortit rapidement et m’indiquait l’arrière de la voiture. Je commençais à redouter ce qui allait suivre. Maîtresse Adèle me banda les yeux et m’entrava les mains et les jambes avec des menottes. Elle ouvra le coffre et me poussa sans ménagement à l’intérieur. Je comprenais maintenant pourquoi, elle m’avait demandé de réserver une place parmi les bagages. Le coffre refermé, j’entendis Maîtresse Adèle prendre place au volant et démarrer promptement. Aucune idée du temps écoulé avant que je ne revois la lumière mais cela m’a semblé une éternité. Enfin, nous semblons pénétrer dans une propriété car j’entends le bruit des pneus sur une allée gravillonnée avant que la voiture ne s’immobilise. Le claquement sec de la portière m’indique que Maîtresse Adèle est sortie, à ces pas j’entends qu’elle se dirige vers le coffre mais avant de me libérer, Maîtresse Adèle salue ses hôtes. Le coffre s’ouvre violemment et le jour m’éblouit même au travers de mon bandeau. Maitresse me le retire et Il me faut quelques minutes pour distinguer la façade d’une maison bourgeoise qui semble plantée au milieu d’un parc immense. Maîtresse Adèle m’intime de me mettre nu. J’entends notre hôte appeler un soumis. Il arrive sans perdre de temps seulement habillé d’un veston comme en porte les huissiers à l’entrée des grands hôtels. Les ordres de Maîtresse Adèle tombent rapidement, je ressens qu’il n’est pas le moment de la contredire. « Mets toi à genoux, les mains en avant et le dos bien plat, tu serviras de brouette pour mes bagages. » Le soumis me charge le dos avec deux valises, sangle le tout, puis me prend fermement les pieds pour diriger l’objet que je suis ; une brouette. J’avance précautionneusement pour que les valises ne tombent pas mais Maîtresse Adèle considérant mon rythme trop lent à son goût me fouette violemment les fesses et m’invective fermement : « Avance plus vite chienne et ne fait rien tomber car il en cuira pour tes petites fesses » Après un nouveau voyage aussi contraint que le premier, je me retrouvais dans un grand vestibule à côté des bagages, à genoux et la tête au sol entre mes mains. Je ne devais pas bouger et je ne percevais pas grand-chose de la situation. Maîtresse Adèle papotât quelques instants avec son hôte qui lui indiqua sans doute sa chambre. Nous reprenons alors notre manutention, moi en brouette et mon collègue soumis en brancardier. Il n’y avait pas d’ascenseur et atteindre l’étage comme cela ne fut pas une mince affaire. La seule chute arriva à la porte de la chambre de Maîtresse Adèle qui fulmina contre moi : « Imbécile, j’espère qu’il n’y aura rien de cassé car ce sont tes fesses que je vais te casser. Maintenant, tu vas ranger mes affaires au fur et à mesure que j’ouvre mes bagages et les ranger soigneusement où je te dirais.» Après cela, nous sommes redescendu au rez de chaussée. C’était une grande pièce équipée principalement en donjon. Une grande table trônait pas loin d’un coin cuisine qui indiquait que les convives pouvaient être nombreux. Dans un coin de la pièce étaient disposées des cages grillagées. L’une d’entre elle était occupée par le soumis porteur et une autre par un soumis que je n’avais pas encore vu. Une troisième me fut attribuée avec interdiction de parler à mes voisins de cages. Un bâillon boule m'aida en ce sens. Ce fut quand même pour moi un moment de décompression tant l’arrivée avait été intense. J’attendais maintenant la suite avec impatience… Toute ressemblance avec des faits réels n'est peut-être pas aussi fortuite que cela :smirk: A suivre
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Par : le 20/11/20
Patricia regagna sa chambre d'hôtel et s'octroya le luxe rare de faire une sieste. Étendue nue sur le lit, elle avait seulement oublié d'ôter ses lunettes après la lecture de son roman. Ce fut un coup frappé à la porte qui la réveilla, deux bonnes heures plus tard. Reposée, elle bondit hors du lit et alla jeter un coup d'œil par le judas. Un livreur attendait, tenant une corbeille de fleurs dans les bras. Lorsqu'elle ouvrit la porte, elle découvrit un superbe bouquet de lys, une bouteille de champagne et un cadeau très soigneusement enrubanné. C'était agréable et inattendu et elle ne put s'empêcher d'être émue par ce geste si romantique de la part sans doute de l'inconnu, celui qui l'avait soumise la veille, lors de cette soirée mémorable. Elle donna un pourboire au livreur, referma la porte et ouvrit avec joie le paquet. Patricia ne fut pas étonnée de découvrir son contenu, un déshabillé en soie noire, un loup en velours de la même couleur et une paire de menottes. Elle saisit la petite carte dont elle lut le message à voix haute: "Cette soirée vous appartient. Portez le bandeau pour moi. Je passerai vous prendre à dix-neuf heures". Un peu anxieuse, elle aima pourtant sa persévérance et sa fidélité dans le lien qui les unissait. La persévérance signifiait qu'il prenait très au sérieux les sentiments qu'il éprouvait pour elle. Mais en même temps, toutes les attentions qu'il lui prodiguait la déstabilisaient. Elles ne lui laissaient pas le temps de souffler et rendaient plus difficile encore la possibilité de lui résister. Patricia songea à s'enivrer avec le champagne. Ainsi elle n'aurait pas à réfléchir ni à prendre de décision. Elle porterait le bandeau. Tout ne lui serait pas infligé à la fois, elle aurait le loisir de crier, de se débattre, mais de jouir aussi, tant il prenait plaisir à lui arracher ces indubitables témoignages de son pouvoir. Il n'était pas dans ses habitudes de fuir les responsabilités. Elle avait découvert la subtilité et la délicatesse du jeu des relations entre le maître et son esclave. Elle devait savoir indiquer à l'inconnu les limites à ne pas franchir. L'autorité absolue est un savant jeu d'équilibre, le moindre faux pas romperait l'harmonie et au-delà briserait la considération qu'ils se porteraient l'un à l'autre. Toute femme a ses limites, elle a les siennes. Il ne pourrait aller au delà des limites acceptées, moralement ou physiquement. Toute dérogation à cette règle serait dangereuse. En cela, elle s'accorderait du plaisir et une nuit d'amour car il avait la générosité de ne pas la priver d'orgasme. Patricia devrait lui accorder les privilèges de sa fonction. Lui procurer le bonheur grisant de la dominer tout en se préservant quelque indépendance, car alors la punition qui s'ensuivrait serait source de plaisir pour l'un et l'autre. Se soumettre, endurer, désobéir et jouir dans la contrainte. Elle avait pris conscience de son pouvoir sur l'homme. Car c'est une évidence qu'ignorent les non-initiés à cet univers qu'elle pénétrait, marginal et si envoûtant. Il ne serait jamais celui que l'on croit. En réalité il serait en état de dépendance totale vis à vis d'elle. Il existerait et ne trouverait sa place ou sa justification que par rapport à elle. Par ce jeu subtil de rapports de force, elle serait certainement celle qui exercerait le véritable pouvoir dans leur relation. Même s'il la pousserait certainement au paroxysme de l'épuisement et de la souffrance physiques lors de séances très éprouvantes. Elle l'accepterait tout de lui pour autant qu'il n'abuse pas trop de la situation de dépendance engendrée par l'amour qu'elle lui portait en la forçant à accepter des épreuves trop humiliantes. Elle se pencha au-dessus des lys, huma leur parfum. Elle aimait les fleurs fraîches, le champagne, le déshabillé et le symbole des menottes. Mais qui ne les aimerait pas ? Cela ne signifiait pas qu'elle était prête à succomber à la requette de l'inconnu. Et toutes ces attentions. Elle ne savait pas ce qu'il pensait vraiment d'elle. Elle avait voulu le séduire, mais en réalité, il l'avait soumise. Sur la terrasse de la suite, elle avait désiré être sodomisée et elle avait joui mais ensuite dans le reflet de la lumière de la chambre, attachée, l'homme l'avait fouettée avec sa ceinture. Les traces sur son corps la rendaient fière. Elle souhaita seulement qu'il fut également heureux, si le le supplice était le prix à payer pour que son amant continuât à l'aimer. Pour s'engager plus avant, elle aurait besoin de savoir qu'il l'aimait. Mais comment pouvait-il le lui prouver ? Lui avait-elle, à dessein, assigné une tâche impossible ? Avait-elle aussi peur qu'il le pensait ? Patricia portait un collier de soumission mais elle n'avait pas les clefs, encore moins celles des chaînes de leur relation amoureuse. Les règles de leur jeu. Elle se sentait incapable de répondre à toutes ces questions. Elle prit la paire de menottes et le bandeau. Elle fit glisser ce dernier entre ses doigts. Devait-elle poursuivre leur relation et offrir une chance à ce lien si fort qui les unissait ? Elle n'aurait su le dire mais secrètement elle l'espèrait. Son corps l'exigeait. Alors que dix-neuf heures approchait, elle se doucha, et s'habilla. Une simple robe légère, et en dessous une paire de bas tenue par un porte-jarretelle; porter des sous-vêtements aurait été maladroit. Elle noua le bandeau sur ses yeux. Les cinq minutes passèrent trop vite et lorsqu'on frappa à la porte, elle se sentit la gorge sèche. Elle l'entendit rentrer. Sa voix profonde, sensuelle, fit courir un frisson le long de son dos et naître aussitôt le désir au creux de ses reins, de son ventre. Déjà, ses seins se dressaient, pressant la soie de son décolleté. Très vite, elle compris qu'elle avait pris la bonne décision. Et qu'importe ce qu'il adviendrait ensuite, elle était prête à vivre tous ses fantasmes. - Il y a une chose qu'il faut que vous sachiez si vous me prenez en charge ce soir. - De quoi s'agit-il ? - Je ne porte pas de lingerie. Par conséquent, je suis nue sous ma robe. - J'aimerais beaucoup voir. Les doigts tremblants, elle saisit l'ourlet et fit remonter le tissu le long de sa cuisse. Jamais elle ne s'était sentie aussi indécente et elle adorait cela. Elle écarta légèrement les cuisses. Elle se sentait déjà humide, prête pour lui. S'il ne la touchait pas très vite, elle allait s'évanouir. Il laissa un doigt glisser vers l'intérieur de son entrecuisse, puis il effleura son clitoris. Patricia frissonna, le corps parcouru de sensations délicieuses. - Nous n'allons pas faire l'amour ? - D'abord, nous allons poursuivre votre apprentissage. Avez-vous aimé la séance d'hier ? - Oui, je vous aime quand vous me dominez. Elle se sentait rassurée. Il lui ordonna de se déshabiller totalement et de se débarrasser de ses talons hauts. Il glissa quelque chose de doux et de soyeux autour de ses poignets et l'attacha. Elle testa ses liens. Elle pouvait bouger de quelques centimètres. Ce qu'elle fit, et dans la position où elle se trouvait, le désir crût soudain dans ses reins. Alors il décida de la contraindre, les bras maintenus dans le dos à l'aide de la paire de menottes métalliques. - Je voudrais vous fouetter, et cette fois, je vous le demande. Acceptez-vous ? - Vous connaissez la réponse, je vous aime. Il lui enchaîna les mains au dessus de sa tête, à l'anneau fixé au plafond qui soutenait le lustre de la chambre. Quand elle fut ainsi liée, il l'embrassa. Lorsqu'elle reçut le premier coup de fouet, elle comprit qu'il s'agissait d'un martinet souple utilisé de façon à lui chauffer le corps avant d'autres coups plus violents. Puis, du martinet, l'homme passa à la cravache. Elle en devina la morsure particulière au creux de ses reins. Cela devait être une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. Maniée avec précision et nuance, chaque coup reçu lui semblait différent, selon que la mèche de cuir la frappait à plat, ou au contraire sur toute la longueur de la tige. Patricia oublia toutes ses résolutions pour se mettre à crier sous la morsure intolérable des coups. Le tout avait duré une dizaine de minutes. Il s'arrêta. Elle ressentit un apaisement. L'inconnu lui ôta le bandeau qui la rendait aveugle. Un sourire sur son visage. Quand il la prit dans ses bras, le coton de sa chemise lui agaça la pointe des seins. Il l'embrassa, l'étendit sur le lit, se coucha contre elle, et lentement et tendrement, il la prit, allant et venant dans les deux voies qui lui étaient offertes, pour finalement se répandre dans sa bouche, qu'ensuite il embrassa encore. Elle trouva la force de lui répeter qu'elle l'aimait. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 15/09/20
Préambule: Je soumets ce texte après l'approbation de Maîtresse Lady Gabrielle. Il s'agit d'une énumération d'idées destinées à agrémenter vos réflexions et intentions d'organiser un tel événement. J'ai vécu de similaires situations qui avaient été couronnées de succès mais aussi, une fois, un malheureux "bide". Par ce préambule je veux aussi éviter de me faire accuser d'une quelconque demande, juste contribuer à la réflexion. C'est pour cette raison que j'ai demandé à ma divine Maîtresse l'autorisation de publier ce dernier. Quelques idées relatives au dîner protocolaire Rencontrer des amis autour d’une bonne table. Voilà qui ressert les liens d’amitiés ou de confraternité entre dominants et dominantes. L’occasion de réaliser un repas protocolaire permet d’associer les soumis et soumises aux libations de leur propriétaires. On désigne donc ces repas sous le vocable « dîner protocolaire » en ce sens que pour bien marquer la différence entre un repas copain-copain, on délimite la zone de la domination avec celle de la soumission. On la délimite selon des règles, un protocole dans lequel chacun occupe son rôle, le tout étant sous-tendu par la pratique BDSM. J’ai parfois eu le sentiment que la compréhension « protocole » signifiait des règles strictes de présentation de table, de place des verres et des couteaux. C’est à mon sens aller un peu trop loin. Le protocole veut plutôt dire, je suis Maître ou Maîtresse et toi mon soumis, mon esclave tu vas me servir et servir les invités. Servir à manger et à boire bien sûr mais aussi servir de toutes les façons que ces derniers veulent. A l’expérience, ces rencontres demandent que tous participent de façon active et volontaire pour animer le repas. Cela demande donc, de la part de chacun des dispositions, une inclination naturelle à des pratiques sadiques, humiliantes et aussi d’être ouvert à des comportements désinhibés. Alors, d’abord choisissons les invités. Des personnes que l’on connaît et dont on sait leur niveau de domination. Des personnes qui ont aussi leur self contrôle. Nous connaissons les gens qui s’enivrent et qui font transforment la soirée en une salle de bistrot qui n’a plus rien à voir avec la pratique originelle. Des gens qui ne craignent pas de se dévêtir pour satisfaire une de leur envie préférée. Des invités qui, de bonne humeur, aiment discuter entre eux, pincer le téton d’une soumise, piquer avec la fourchette le sexe d’un soumis, fourrager avec ses doigts la bouche d’un garçon, faire exprès de laisser tomber sa serviette pour gifler le servant inattentif, goûter un vin mais recracher dans la bouche de celui qui a servi. Parmi toutes ces belles choses qui agrémentent un « dîner protocolaire citons : • Le cadre, un salle à manger assez large pour permettre le mouvement de tous les participants, un salle attenante pour la préparation des plats. • Un salon pour l’apéritif d’entrée et éventuellement le café de la fin. • Marquer le personnel de service « préparé » avec des pinces, des attaches, des marquages ou des décorations sur la peau. • La haie d’honneur, à l’entrée des invités, avec les soumis/soumises nus, menottés ou « bondagés » ou décorés avec des aiguilles sur les seins ou sur la peau, une bougie dans la bouche, la tête étant renversée ou dans les mains. • Utiliser un ou deux soumis utilisés comme porte-manteaux à l’arrivée. • Au cas où la maison le permet, disposer une cage pour y mettre des soumis en cage pendant la phase d’arrivée des invités. • Aligner les soumis et soumises regroupés, nus enchaînés ou entravés avec un bâillon dans la bouche. • Disposer des statues vivantes emballées complètement dans du cellophane avec la queue dégagée et debout pendant une partie du repas. • Pendant l’apéro faire manger les soumis dans des écuelles par terre avec de la nourriture qui tache (spaghettis bolognese par exemple). Les soumis se nettoient mutuellement à la langue. • Mettre sur pied un petit spectacle genre fléchettes, ou flagellation. (Dans le cas où cette pratique est faite en attendant l’arrivée de tous les invités, le ou la soumis est ensuite utilisé pendant le repas comme tableau vivant avec une ou deux bougies en plus. • Disposer des soumis sur le sol, procéder à un petit cérémonial d’entrée de la personne qui préside en la faisant marcher sur des soumis couchés par terre, elle-même tenue par les mains par des soumises. • Disposer pour le repas une ou deux soumis/ses nus posés sur la table et recouverts de choses à manger. Changer le décors en faisant une pause et en ordonnant à d’autres soumis de les « laver » en léchant le reste collé au corps. • Disposer des soumis comme meubles pendant l’apéro comme tabourets, tables, comme servir-boy, avec un plateau accroché autour du torse. • Utiliser des soumis comme porte panier à pain avec une corbeille attachés par des pinces aux seins. • Bander les yeux de soumis qui sont chargés d’apporter les plats mais avec un autre soumis utilisé pour guider le premier pour servir. • Selon les envies du moment glisser un soumis ou soumise sous la table pour effectuer les cunis/turluttes avec le jeu, entre les invités de deviner qui est en train de jouir. • Chaque dominant ou dominante nourrit les soumis, à genoux derrière les invités assis et les invités, en « crachant » par terre ou dans la bouche des soumis/ses la nourriture pré-mâchée. • Faire boire dans une écuelle remplie d’eau ou d’urine selon les envies et le moment. • Prévoir un petit spectacle homosexuel (des hommes aiment voir deux lesbiennes faire l’amour ou les femmes deux homosexuels) lors du café. • Au cas où des servants ont été particulièrement maladroits, petite séance de kick-boxing (ça change des coups de cravache quoique ça peut aussi se faire évidemment). • Imaginer un jeu (tirage au sort) pour permettre à la gagnante ou au gagnant de faire quelque chose avec un soumis ou une soumise. Par exemple trouver sur un soumis ou une soumise une combinaison de numéros ou un mot qui aura été marqué sur la peau dans un endroit un peu difficile (genre sous les seins tombants, à côté des lèvres du sexe, sous le scrotum, près de l’anus, que sais-je encore. Le but étant évidemment de favoriser le « toucher » des soumis/soumises par les invités. A l’expérience aussi, il est préférable que quelqu’un préside le repas et s’il y a assez de monde un Majordome qui commande les divers « tableaux » ou phases du repas selon un programme ou un « protocole » de choses qui se feront tout au long du repas: 1. l’entrée des invités, 2. arrivée de la présidente, 3. apéro, 4. repas des soumis, 5. exposition des statues, 6. prise place autour de la table, 7. repas, etc. 8. le "fumoir », les invités affalés dans leurs fauteuils ou divans et les soumis/ses faire des cuni ou des fellations. 9. animation genre flagellation, joutes entre deux sujets, service des cafés, etc. Comme cela se fait lors de belles rencontres, il est souvent préférable au tout début de l’invitation de citer le code de conduite pour l’occasion, des règles de ce qui est permis et ce qui est défendu et autorisé, régler le problème de la prise de photographies et de vidéos. Si c’est possible désigner un dom ou une domina qui agit comme « bourreau » (attacher, détacher, enfermer, allumer, fouetter, etc., etc.) En ce qui concerne le repas, la succession de petits plats permet de provoquer des situations multiples qui exposent les soumis et soumises. Un bon traiteur permettant de libérer les organisateurs du souci de réussir un plat. Bon appétit alors… Kaji, soumis de Lady Gabrielle. (slnr: 386-312-138) Photo tirée du film "Sleeping Beauty"
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Par : le 23/08/20
J’ai cru un instant que notre malédiction sévissait à nouveau quand ta cheville a lâché en début de semaine. Par chance, à la énième entorse, tu t’en remets assez vite, en tout cas, suffisamment pour que nous puissions quand même profiter tous les deux de ces jours ensembles… Comme cela nous arrive quand nous avons un peu de temps devant nous, les « hostilités » commencent ce vendredi par un shooting photo. Et dire que tu n’aimais pas te faire photographier quand nous nous sommes rencontrés. La première fut épique … en milieu naturel, en plus ! Avec ce beau soleil sur fond de ciel bleu quasi pur, il eut été dommage de ne pas profiter du jardin pour mettre en avant ta dernière robe. Violette, lacée par un ruban sur la poitrine, vaporeuse à souhait, transparente juste ce qu’il faut pour suggérer sans tout dévoiler. Et pour rehausser le tout, tu optes même pour les plateformes noires, malgré ta cheville encore sensible. Pour le coup, aujourd’hui, c’est moi qui tourne autour de mon modèle obligé de rester immobile. L’appareil crépite jusqu’à partir en rafale à certains moments … Changement de tenue pour les escarpins suivants. Tu redescends avec une jupe longue et noire qui laisse apparaître au gré de tes pas la fameuse paire de Louboutin dont tu me parlais depuis des semaines. Elles sont discrètes mais il faut reconnaitre qu’elles sont jolies. Du coup, mon objectif se sent obligé de focaliser sur elles ;-) . Nous terminons avec une dernière tenue, toujours accordée avec ces talons noirs à semelle rouge, cette fois étendue sur le lit. Tu sembles préférer ce dernier cadre, des plus reposants et confortables. La séance se termine par l’idée que tu avais en tête depuis que tu as fait l’acquisition de talons quasi identiques à ceux que tu m’avais offert il y a quelques mois. Ainsi, mes bagages se sont vus lestés d’une boite à chaussures pour venir te rejoindre. Telles deux victimes de la mode, nous faisons toute une série de clichés avec nos talons respectifs, rouges pour les tiens, noirs pour les miens. Il était temps de faire une pause bien méritée avant de passer à la suite, une soirée placée sous le signe des essais. Ces derniers mois de confinement ont été propices à quelques achats de nouveaux jouets que tu voulais ardemment tester sans délai. Cela commence très classiquement par le collier à pointes que tu me tends. Une fois que je l’ai mis en place, tu me tends les bracelets que je boucle sur les chevilles et les poignets. Tu termines en me tendant le bâillon-pénis, qui fait son retour. Tu me fais bien rire en me faisant remarquer que j’ai mordu dedans la fois précédente : comment dire ? Pas vraiment le choix ? Alors seulement tu me fais mettre en place sur le lit, couché sur le dos, les jambes repliées au bord du matelas. J’ai l’impression que tu prends de plus en plus goût à cette disposition. Une fois n’est pas coutume, tu me laisses le bénéfice de la vue. Néanmoins, ainsi allongé, je ne peux guère voir que ton visage, sûrement pas tes mains, ce qu’elles attrapent et ce qu’elles font. Envie subite d’endosser le rôle de dentiste, tu t’amuses à me poser une question alors que je ne peux plus répondre de manière audible Tu extrais alors de ta valise à cordes deux cordelettes roses qui finissent par relier de près chevilles et poignets sans oublier quelques tours de cuisses. Pour être sûre de la solidité de tes liens, tu infliges quelques coups sur mon sexe avec ton mini paddle en cuir. Comme tu l’espérais, je me tortille immédiatement dès la première morsure. Visiblement tu es satisfaite de ton test : les contraintes ont résisté. Tu peux donc passer aux choses sérieuses. Il manquait tout de même une petite touche de nouveauté. Tu viens mettre en place ces nouvelles pinces faites d’une paire de fines baguettes métalliques dotées de petits anneaux permettant de moduler le mordant à ta guise. Inutile de les serrer beaucoup pour que leur effet se fasse sentir. Sur le moment, comme souvent avec les pinces, la douleur est « transperçante » avant que le corps, tout du moins les tétons s’habituent à cette présence. Les années passent mais je reste toujours aussi réactif aux morsures quelles que soit la nature des pinces. Ce nouveau modèle est presqu’aussi pinçant que les japonaises, sans même insister. C’est dire… Pour t’assurer de mon confort afin de profiter à fond de tes tourments du soir liés à tes essais, tu glisses un coussin sous ma tête avant de t’installer sur ton « trône » du jour, face à mon entrejambe, a priori juste à la bonne hauteur pour t’amuser et en profiter sans encombre, surtout que ton coffre aux trésors est juste à côté. Il suffit de piocher dedans en fonction de l’inspiration de l’instant. En entendant claquer les gants sur tes mains, je devine sans difficulté que tu te prépares à tester ta nouvelle sonde. J’ai beau ne plus être inquiet à ce sujet, je préfère ne pas essayer de regarder. Elle me semble bien bien longue par rapport à l’autre. J’ai la sensation que tu peines à faire pénétrer cette longue tige boursouflée toute en silicone. La suite va me prouver que mes sens m’ont largement égaré. Les seuls quelques centimètres que je pense être entrés font leur effet. J’ai rapidement le sentiment de ne plus rien contrôler. Par moments, je crois même que je suis en train de me vider. Mais a priori, il ne doit rien en être : tu ne fais pas le moindre commentaire sur le sujet. Quand tu déclenches les vibrations, mes couinements se poursuivent de plus belle, virant même aux gémissements … de plaisir ; le peu de maitrise que je pouvais encore penser avoir s’est évanoui. Impossible d’échapper à ce fin « serpent » vibrant qui s’est insinué en moi. En revanche, les différents modes de vibration ne changent pas réellement la sensation procurée. Ou alors je ne suis déjà plus en état de les distinguer ! Lorsque tu arrêtes cette divine torture, il me faut de longues minutes avant de revenir sur terre alors que je suis resté confortablement étendu sur le lit. Même la caresse raisonnable du petit martinet sur mon pénis et mes testicules ne suffit à pas me sortir de cette délicieuse torpeur. Toujours pourvue de tes gants, tu titilles mon pénis désormais calmé et apaisé : c’est a mi-chemin entre la griffure et le massage : pas désagréable du tout comme sensation. La présence des gants change totalement la sensation procurée : j’y goûte bien volontiers. Un bien agréable moment de simili-douceur. Après cet intermède tactile, tu passes à la suite. En sentant le contact du stylo sur mes cuisses, j’en conclus que tu as finis pas retrouver l’inspiration qui te fuyait il y a quelques jours encore pour écrire quelques mots à mon sujet … sur le-dit sujet ;-) Comme à chaque fois, il faudra que j’attende de voir les photos pour découvrir ce qui t’es passé par la tête. Toujours assez largement offert, il était trop tentant de ne pas abuser de la situation. Je devine le contact en cuir d’un petit paddle qui vient tourmenter mes couilles et mon pénis. Ma zone sensible par excellence. Impossible pour moi de retenir le moindre couinement et de ne pas me tortiller, du moins essayer. Les gants, une fois retirés, prolongent efficacement tes mains pour continuer dans le même esprit. Le tourment est simplement plus doux. D’ailleurs, je pense que je sursaute moins sous les impacts. C’est dire. En revanche, je redeviens extrêmement sensible lorsque tu dégaines la spatule en bois. Tout du moins c’est elle que je crois reconnaitre. De là, à prendre un pari …. C’est quand même terrible d’avoir les sens perturbés malgré le fait que tu m’aies laissé la vision libre … Toujours est-il que le plat rigide du bois sur mon intimité la plus chère est des plus « stimulant » ! Place au nouveau jouet suivant délicatement appelé « Anal Intruder » par son vendeur. On devine mieux sa forme lorsqu’on l’appelle cockring à double boules anales, tout en métal et pesant son poids selon tes dires ! Voici qui annonce une charmante parure pour ton soumis. Si l’anneau passe très bien autour du pénis, il en va bien différemment lorsque tu arrives à la base. Impossible de faire passer les testicules. Et mon excitation soudaine n’aide pas ! Qu’à cela ne tienne ! Tu ne vas pas te laisser arrêter par si peu. Quelques noix de lubrifiant sur la tige et tu poursuis la mise en place. J’ai l’impression que tu galères pour arriver à trouver le chemin. A croire que j’ai une anatomie hors normes. Après quelques efforts raisonnables, je sens se présenter la première boule qui semble pénétrer sans trop d’encombres, rapidement suivi de la seconde. Je sens que tu pousses sur l’ensemble pour t’assurer qu’il est bien en place. Je n’ai guère l’impression qu’il risque de s’échapper tout seul. Ainsi équipé, mon excitation est à son paroxysme. En plus, tu prends un malin plaisir à venir appuyer régulièrement sur cette pièce de métal qui m’envahit tout autant qu’elle me leste. Je n’ose imaginer l’effet que cela doit procurer une fois debout. Très, très efficace : l’adaptation n’a, semble-t-il, rien gâché ! Ainsi tendu, tes griffes sur ma tige sont des plus efficaces. Avant de l’enlever totalement, tu m’amuses un moment à faire coulisser la tige métallique et ses deux excroissances. Je reste aux anges ... C’est alors que tu me fais retirer le bâillon. Mais comble de sadisme, tu t’amuses immédiatement à me faire parler. Sauf que les premiers mots qui sortent sont tout bonnement inintelligibles. Cela déclenche un des fous rires dont tu as le secret, et, surtout, tu continues à m’interroger … Il reste tout de même le plus délicat à essayer. Je dois reconnaître que cela faisait longtemps que j’avais un œil sur cet engin diabolique qu’est le humbler. Et cela a fini par piquer ta curiosité aussi. Désormais, il faut passer à l’action. Plus facile à dire qu’à faire ! Mélange d’excitation et d’incompatibilité anatomique (encore une fois ! Décidément, je finis par croire que je suis totalement anormal !), il s’avère impossible de le mettre en place lorsque je suis à quatre pattes. Il en faut plus pour nous freiner. Je m’installe sur le dos, les cuisses les plus relevées possible. A quatre mains, cela devrait peut-être faciliter la mise en place. C’est un peu mieux mais encore pas le top. Mais tout de même suffisamment pour bien sentir la tension dès lors que je laisse redescendre très délicatement mes cuisses. A quatre pattes cela doit être terrible …. Restrictif à souhait. Il faut peut-être que nous trouvions un tuto ;-) Dimanche matin, nous remettons le couvert avec une deuxième séance photo. A défaut d’aller à l’église, tu as enfilé une vaporeuse petite robe noire toute en suggestion avec ses voiles, et surtout tes nouveaux escarpins noirs à semelle rouge. Le jardin représente une nouvelle fois un parfait écrin pour mon modèle et mon appareil photo à la limite de la surchauffe. Avec la climatisation, il fait meilleur dedans. D’ailleurs, la chambre se prête bien mieux à l’idée que je voulais développer : variations de menottes présentées avec les talons aiguilles. Je crois que nous avons fini par faire le tour de la question. Pour une raison que j’ignore, comme à peu près une fois par an, la séance dérape en délire peluche. L’ours en peluche est croqué à toutes les sauces … Nous essayons de finir plus sérieusement avec les plateformes rouges, mais pas question de se lever avec. Il est encore trop tôt pour celles-ci. La fin de la séance m’est consacrée : il fallait bien faire l’essayage des nouveaux boxers en vinyle. Comme cela tu m’auras vu dedans en direct. Une pause était plus que nécessaire avant la soirée. Il fallait bien se reposer un peu. Côté tenue, tu as prévu une légère variation. Le collier, incontournable, est le premier à prendre place, suivi de près par les bracelets de poignets. Enfin tu me tends la cagoule. Il devrait donc logiquement y avoir de longues lanières au programme. Une fois installé à genoux au milieu du lit, tu viens fixer mes poignets au niveau de l’anneau du collier. Nous avons la même idée au même instant : je t’entends dire que je ressemble à un chien ainsi présenté. Ni une ni deux, tu attrapes l’appareil pour immortaliser cette transformation d’un nounours en chien ! Je ne suis pas surpris que tu commences par essayer le dernier jouet à avoir rejoint ta panoplie. Déjà hier, alors que nous vérifions comment cela fonctionnait, tu étais impatiente de savoir l’effet que cela allait avoir ailleurs que sur ma cuisse. Dans la position que tu m’as fait prendre, tu as libre accès à ta cible favorite. Après avoir oint mon intimité du gel spécial électro, tu commences à promener ton stick électrique sur ma verge. Tout d’abord la sensation ressemble à une sorte de brûlure très localisée et très fugace. Elle est identique sur les testicules. Un peu plus tard, la sensation change totalement, peut-être as-tu changé les réglages. Cette fois, c’est totalement différent : l’électricité semble courir sous la peau quelques centimètres autour du stick. C’est un effet inattendu mais tout à fait plaisant, quoi que difficile à décrire précisément. Finalement, en s’y prenant correctement, cette nouvelle extension de ton kit d’électrostimulation pourrait trouver une bonne place dans ta panoplie. Après cette électrisante mise en bouche, je me roule en boule l’espace d’un instant. Il n’en faut pas plus pour dégainer tes griffes, enfin retrouvées avec une longueur conséquente. J’en suis toujours aussi friand, au point de ronronner dès lors que tu parcours mon échine, depuis les fesses jusqu’au cou, depuis les flans jusqu’au creux du dos, sans oublier le haut des bras. Je ne m’en lasserai jamais. A une phase de douceur succède une série de douleurs. Je pensais que tu voulais « traiter » ces vieilles ceintures avant de t’en servir. Finalement non ! C’est bien l’une d’entre elles que je sens claquer sur mon postérieur à plusieurs reprises. Visiblement, il va falloir s’y adapter : je crois deviner que tu as subi un dommage collatéral. Mes sens m’égarent encore une fois lorsque tu dégaines une baguette dont je n’ai pas souvenir d’y avoir déjà goutté. Trop flexible pour correspondre aux baguettes en bois que je connais. J’opte alors pour une cravache. Pourtant, jamais je ne ressens l’impact si spécifique de sa tête. Ce n’est qu’à la fin de la soirée, en jetant un œil sur le plancher que je comprends enfin ce qui était si mordant sur mes fesses : une simple tige de seringat (merci le jardin !). Moins lourd et plus fin mais au mordant certain. De quoi me revigorer, si c’était nécessaire et de continuer à faire monter la température. Mes capteurs sont toujours aussi déréglés quand je confonds le long strap clouté avec une des spatules en bois. Tu en uses longuement et j’imagine aisément que je dois commencer à virer au rouge et à chauffer l’atmosphère de la pièce. La situation est telle que j’en oublie même la petite cravache en forme de cœur qui l’a précédé. En guise d’apaisement, tout est relatif, tu laisses tes griffes acérées autour de mon sexe. Ma réaction est immédiate : je couine. J’hésite aussi entre « l’obligation » de garder la position et le réflexe de me tortiller pour tenter d’y échapper … en vain. De toute façon, ce serait mal te connaitre que de penser que cela t’arrêterait. Bien au contraire. Une courte fessée à mains nues marque ton retour dans mon dos. Cette fois, je n’ai pas de doute, c’est bien une cravache qui se promène entre mes cuisses, tantôt frôlant astucieusement mes couilles, tantôt claquant l’intérieur de mes jambes. On dirait que je résiste mieux à ce traitement que certains autres. Pourtant c’est toujours en zone hyper réactive ! Un flogger que je n’ai ni reconnu ni mémorisé prend le relais. Le lourd contact qui suit me rappelle immédiatement la « caresse » du martinet. Celui-ci procure un mélange très spécial de sensations, à la fois cet impact imposant et la fine et délicate morsure de chacune des lanières. J’aime beaucoup. Mais question morsure, rien ne vaut ce qui vient derrière. Tu dégaines un de tes fouets qui vient zébrer mon dos de belles marques rouges. Malgré les morsures provoquées, je dois reconnaitre que je ne regrette jamais ces moments-là. La cagoule avait donc bien son utilité : tu ne fais jamais rien au hasard. Pour conclure cette belle soirée, tu me refais pencher en avant, la tête plantée dans le couvre-lit et le postérieur bien tendu. Ainsi, tu peux allègrement y déposer de multiples gouttes de cire. J’aurais tendance à dire que tu cherches à en faire couler un peu partout sur cette zone des plus charnues. Tu finis même par empoigner mon sexe pour atteindre l’arrière de mes couilles avec ta cire chaude. Étonnamment, la sensation fugace de brûlure est moins importante à cet endroit précis que sur mes fesses. La cravache ne semblant pas être des plus efficaces pour assurer le « décirage », j’entends que tu quittes la pièce avant de revenir et de présenter sur mon corps une sorte de racloir qui fait sauter la plupart des gouttelettes solidifiées, en réalité la plus petite de tes spatules métalliques, pour une fois en mode délicatesse. Pour le coup, je dois reconnaitre que j’ai eu beaucoup moins de souci sous la douche pour finir le nettoyage. Presque épuisés, nous nous étendons côte à côte, moi libéré de mes contraintes et reprenant mes esprits, toi reprenant des forces. Néanmoins, tu me gratifies à nouveau de délicieuses et frissonnantes griffures qui me font ronronner de plus belle. Cela ressemble à un pêcher mignon. Lundi Pour conclure mon séjour à tes côtés, tu as imaginé une séance de shibari. Hier, tu m’as dessiné une esquisse de ce que tu avais en tête. Pourquoi ce thème des losanges ? Mystère ! Toujours est-il que c’est le motif central de ta réalisation du soir. Commençant par équiper mon buste avec une première série de losanges colorés et concentriques, tu poursuis sur mes membres, une fois étendu sur le lit. Bras et jambes doivent eux aussi former des losanges. De fait, la position devient petit à petit moins confortable. Pourtant il semblerait que la situation ne me laisse pas insensible. Difficile de le cacher… Le résultat est un mélange d’esthétique et de contrainte, car, malgré tout, les différentes cordes enserrent de près tout mon corps. Je n’ai pas vu le temps passer pourtant quand je me relève, libéré de tes cordes, je découvre que deux heures au moins se sont écoulées. Pas étonnant que tu sois épuisée …. Comment te remercier pour tout cela ?
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Par : le 19/08/20
Après 1 semaine de réflexion je me suis retrouver le mercredi à 12 heures à donner 2 petits coups de sonnettes. Madame m’ouvre, me regarde droit dans les yeux et me dit « Je vois que tu aimes ta destinée. Entre et Suis-moi ». Elle me désigne une porte je l’ouvre elle passe et je la suis, c’est une chambre avec un grand lit une table une armoire et un chevalet, une chaise, une jolie décoration sobre. Elle se plante devant moi et me dit « donc tu veux être ma soubrette », je réponds un oui hésitant 2 gifles sur les joues fusent « Ici c’est oui Madame » je dis Oui Madame. Bon maintenant tu seras Pat la soubrette ce sera ton prénom et ta qualification. Oui Madame, ouvre cette armoire Pat, oui Madame j’ouvre l’armoire possède une penderie et des étagères avec des vêtements suspendus et des blouses blanches et des tiroirs. Ouvre les tiroirs et dis-moi ce que tu vois, j’ouvre le premier il y a Madame des sous-vêtements noirs et blancs. J’ouvre le deuxième tiroir, il y a des bas Noirs et blancs Madame avec des portes-jarretières noirs et blancs. J’ouvre le troisième, il y a une cravache Madame, un fouet, des gods et divers ustensiles attaches menottes Madame. Madame me dit « Pat donne-moi la cravache » oui Madame en lui donnant. Me prenant la cravache et qu’y a-t-il encore. Dans la penderie Madame il y a des jupes blanche et noires ainsi que des blouses blanches et noires et en bas il y a 2 paires de souliers blancs et noirs. Voilà Madame l’inventaire. Bon Pat déshabilles-toi maintenant et prends la tenue, souliers noirs bas blancs jupe noire et blouse blanche allez, j’hésite un coup de fouet sur mes fesses me rappelle que je dois obéir. J’enlève mes souliers, chaussette, chemise et pantalons que je pose sur le lit Madame me donne un coup de cravache sur les fesses « Pat tu dois apprendre à ranger tes habits dans l’armoire ici rien ne traine ta compris, oui vlan un autre coup de cravache me rappelle à dire Oui Madame. Tu vas t’habiller en blanc et noir en variant ces 2 couleurs. Je choisis des bas blancs avec porte-jarretières, slip noir, blouse blanche jupe noire et souliers noir. C’était la première fois que je passais des bas et porte-jarretières, j’étais hésitant maladroit une fois prêt Madame m’indiqua une autre armoire je l’ouvris il y avait une grande glace et des perruques brunes, blondes courtes ou mis long. Elle m’indiqua la brune. Elle m’ajusta la perruque et m’indiqua un tiroir j’ouvris il y avait des petites tabliers Noirs et blancs Madame me le passa et tout en nouant le tablier me dit « tu vois Pat te voilà à mon service en tenue de soubrette tu es contente de ta tenue. Oui Madame toute troublée. Chaque fois que tu viendras chez moi tu t’habilleras comme cela en alternant les tenues tu as compris Pat, oui Madame. Bon maintenant tu vas me suivre je te fais voir ton lieu de travail. La cuisine et l’entrée tu connais ouvre-moi cette porte Oui Madame une autre chambre presque identique que la première. Une autre porte une salle de bain avec toilettes. Puis une autre porte une chambre plus grande c’est ma chambre à coucher tu devras y faire le lit le ménage Pat, oui Madame. Un couloir et au bout j’ouvre une porte un très grand salon salle à manger. Voilà tu vas me faire un café et me le servir ici Pat. Je file à la cuisine cherche trouve pour faire le café. Cafetière italienne pour 2 tasses. Je trouve café moulu, sucre crème et des petits chocolats. Pendant que le café se fait je mets tout cela sur un plateau. Puis le café étant fait je mets la cafetière sur le plateau et je pars servir Madame. Elle trouve mon attitude très stylée pendant que je verse le café dans la tasse elle passe sa main sous ma jupe et me caresse les fesses. Tout en sirotant son café sa main sous ma jupe me pelote les fesses. Je reste là immobile à sa merci. Un doigt caresse mon anus. Elle me fait signe de lui servir une deuxième tasse je sers, son doigt entre un peu plus dans mon anus. Madame me parle « ici tu es une femelle, tu n’as plus d’anus mais une chatte anale ton pénis est un clito compris » oui Madame, remue tes fesses Pat autour de mon doigt pour qu’il entre mieux montre-moi que tu aimes ça. Tu aimes Pat, Oui Madame, tu aimes être une soubrette. Oui Madame. Je vois que ta chatte n’est pas assez propre Pat tu vas aller à la salle de bain et tu vas utiliser le tuyau de douche dans la baignoire et te faire un lavement, quand tu seras propre tu reviendras me voir. Oui Madame. Je me dirige et je m’assois sur le bord de la baignoire après avoir enlevé jupe et slip et me mets le tuyau de douche dans ma chatte comme le dit Madame et ouvre l’eau, plusieurs fois de suite pour bien rincer. Après 15 minutes je reviens voir Madame et lui dit je suis propre Madame. Mets-toi à 4 pattes Pat et relève ta jupe que je vois tes fesses. Je m’exécute. Ainsi troussée Madame me passe une crème et m’introduit un god dans ma chatte. Aller Pat débarrasse le café fait la vaisselle puis tu passes l’aspirateur dans ma chambre et la chambre ou tu as tes habits. Je me relève avec ce god en moi et me dirige à la cuisine. Madame me suit « Pat marche comme une femme serre-bien tes fesses ». A la cuisine je fais la vaisselle, Madame passe une main sous ma jupe et pousse le god, » tu aimes ca Pat », Oui Madame tu aimes que ta chatte soit travaillée Oui Madame, Puis je passe l’aspirateur quand je le passe sous le lit a 4 pattes Madame relève ma jupe et me donnes des claques sur mes fesses en me félicitant de mon travail. Puis le travail fini Madame me présente le chevalet « Tu vois Pat ce chevalet ce sera ton éducation » elle me fait allonger dessus. M’attache aux 4 pieds du chevalet mes mains et pieds avec du velcro, et me dit, chaque fois après ton travail tu viendras à ce chevalet te soumettre à moi, je te mets un bandeau sur les yeux tu auras des écouteurs sur les oreilles. Tu ne verras rien et tu n’entendras rien. Tu subiras mon dressage Pat. Es-tu prête as-tu confiance en moi, je répondis « Oui Madame » elle me mit le bandeau et des écouteurs, une musique de SADE douce dans mes oreilles. Pendant 1 heure Madame fouille ma chatte anale gods doigts, plug, travailla mes tétons en les tirant pinçant, alternant des claques sur les fesses, puis des pauses m’offre à boire. Puis elle me mit un god vibrant et me caresse le clito, je jouis. Elle met un doigt dans ma bouche pour que je le lèche puis un à un je suce ses doigts avec mon sperme dessus. Elle enlève les écouteurs, le bandeau me détache « tu vois Pat comme tu jouis bien sous mes caresses regarde-moi dans les yeux Pat tu es à moi ma soubrette tu as aimé, oui Madame, tu es contente de me servir Oui Madame, tu aimes me lécher mes doigts pleins de ton jus Pat. Oui Madame. Bien tu vas te changer et tu reviens la semaine prochaine. Je commence à partir Madame me rappelle et me donne 2 gifles « tu dois me dire Merci Madame tu vois ton éducation n’est pas encore faites. » Merci Madame et je me change et quitte l’appartement. Dans la rue je suis perdue dans mes pensées.
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Par : le 18/08/20
« Tu as 5 minutes pour être à poil devant ma porte sale pute. Garde juste tes bas. » Ces mots résonnaient dans ma tête. Sonner. Monter. Me déshabiller. Frapper. Attendre. Je suis nu, ou presque. Je ne porte que mes bas et ma cage. Je suis anéanti. Incapable d’une pensée rationnelle. N’importe qui peut monter l’escalier. Un voisin, une voisine. Maîtresse Caroline le sait. Que vais-je faire si quelqu’un arrive ? Nul part où me cacher. Me rhabiller ? Même pas la peine d’y songer. Je suis juste là, sur le palier de ma Maîtresse. Terrorisé, soumis humilié, au bord des larmes. En ces quelques minutes, le bilan se dresse. Ce que j’ai trouvé, ce que j’ai perdu ou vais perdre. Le plaisir, la concrétisation de mes fantasmes les plus inavouables, Ennia et l’amour, Maîtresse Caroline et le désir insondable qu’elle m’inspire. En face, mon couple qui n’en était plus un, ma dignité – mais ne pourrais-je pas la retrouver, ou plutôt en trouver une autre dans la servitude de Maîtresse ? Et au fond, ma dignité a t-elle encore une importance ? Pour qui ? – je suis brisé et soulagé. Je crois que je n’arriverai jamais à expliquer ce sentiment ambivalent. Plus je m’enfonce plus je renais. Plus je me perds, plus je me trouve. Moins j’existe, plus je vis. Des pas qui montent. Je frappe de nouveau. J’entends du bruit derrière la porte. Un froissement. Maîtresse Caroline m’observe. Elle doit lire ma détresse sur mon visage. Suffisamment pour éprouver quelque pitié. Les pas montent et montent encore. Un palier de différence. Maîtresse ouvre et m’assène une gifle magistrale qui m’achève. Je me tombe à ses pieds et j’explose en larmes. -Maîtresse…. pitié…. Caroline… je t’en supplie ! Mais la fureur ne peut être apaisée par les jérémiades de la lope, du soumis humilié que je suis en cet instant. Caroline claque la porte, et hurle en me cravachant : -SALE PUTE !!!! SALE SOUS MERDE !!! MAIS COMMENT TU OSES ???? TU CROIS QUE T’ES QUOI PAUVRE CHIENNE DE MERDE, HEIN ???? TU CROIS QUE T’ES QUOI ??? Les coups pleuvent, je suis recroquevillé au sol. Je me protège comme je peux et j’encaisse, en criant à chaque coup. D’abord frappant au hasard, sa cravache se fait plus précise, mon cul, mon dos, mes cuisses. Maîtresse Caroline tourne autour de moi sans cesser de m’insulter. Je hurle lorsque le cuir rencontre mes couilles. Chloé, qui assiste à la scène depuis le début, sans broncher, retient le bras de Caroline. -Dis, tu y vas un peu fort non ? -Cette salope, cette truie n’a que ce qu’elle mérite !!!! Jamais, JAMAIS une pute ne m’a humiliée comme ça… Monsieur veut jouer le petit prof ??? Hein sale merde ??? Mais putain.. tu vas morfler, fais moi confiance. Je vais te passer l’envie de me faire une remarque, devant toute la classe. Tiens, j’ai une idée, je vais tous les inviter pour une petite projection privée. Un petit film bien trash, avec une truie qui se fait enculer… tu crois que ça leur plaira ??? -Pitié Sublime Maîtresse Caroline, pitié, pas ça ! Je ne le ferai plus, je ferai tout ce que vous voulez Maîtresse, mais pas ça je vous en supplie ! Je me jette à ses pieds et je les baise, je les embrasse comme si ma vie en dépendait. Maîtresse Caroline peut tout. Je ne suis que son soumis, sa pute, sa chienne ou tout ce qu’elle voudra. Je n’ai d’autre option que de m’humilier, me rabaisser, aussi bas qu’elle le désirera. Aller loin, aussi loin qu’elle l’exigera. Obéir, subir, me taire, m’offrir, accepter, progresser, me donner. Voilà me seules perspectives. Aux pieds de Maîtresse Caroline, je rends mes armes, moi le soumis humilié. Je pleure en suppliant, mais Caroline n’en a cure. Sans l’intervention de Chloé, je crois qu’elle m’aurait fait très mal tant sa fureur est intense. -Sale pute, debout au milieu du salon, mains dans le dos, cuisses écartés…. TOUT DE SUITE !!! Je m’exécute, sans broncher. Je prends la pause ordonnée, et je suis rapidement rejoint par Maîtresse Caroline. Elle me passe une paire de menottes et immobilise mes bras dans mon dos. Puis elle pose deux bracelets sur mes chevilles et y fixe une barre d’écartement. -Maintenant, je vais pouvoir te corriger tranquillement ma sous-merde. Tu vas bien prendre sale pute…. Tiens Chloé, voici la clé de sa cage. Libère le et…. tu veux bien le faire bander s’il te plaît ? Remarque, cette salope est tellement en chaleur, à mon avis, tu ne vas pas avoir grand chose à faire…. Tiens, qu’est-ce que je te disais ?!!! Il bande déjà comme un âne… En effet, à peine Chloé m’a t-elle libéré que je me mets à bander. Très dur. Maîtresse Caroline s’approche et empoigne mes couilles. Elle les presse et m’arrache un cri…. -TA GUEULE LA TRUIE !!!! TES COUILLES SONT A MOI ET J’EN FAIS CE QUE JE VEUX. T’AS PIGE SALOPE ? -Oui Maîtresse, je suis à vous. -Maintenant en position, sur la table basse… et t’as intérêt à bien offrir ton cul !!! Je me mets à genoux comme un bon soumis humilié puis pose mon torse sur la table. Mes cuisses sont maintenues ouvertes par la barre et je me cambre du mieux que je peux. -Tiens Chloé, prends ça et chauffe lui le cul pendant que je vais chercher quelques jouets…. Maîtresse Chloé s’empare du martinet et m’assène quelques coups, plutôt légers. Caroline revient sur ses pas…et lui arrache des mains. -Mais vas-y, t’as oublié ce que cette sale pute nous a fait ??? Elle nous a viré du cours je te rappelle… Elle doit payer. Alors vas-y, fais la bien chauffer. Je veux entendre le claquement des lanières sur son cul de salope en chaleur… Vas-y, ne te retiens pas, elle adore ça j’en suis sûr. Chloé frappe avec plus d’ardeur, je tente de contenir mes gémissements, mais j’ai de plus en plus de mal. Elle y prend goût et frappe de plus en plus fort. Lorsque des lanières touchent mes couilles, je ne peux retenir un cri de douleur. Loin de calmer Chloé, ce cri la galvanise… et elle se prend au jeu de la Dominatrice. -Sale chienne… t’aime ça hein ???? Hmmm si tu savais comme ça me fait mouiller de te dresser, je coule comme une folle… tout à l’heure tu vas bien me nettoyer ma petite lope. Hein ma pute… Tiens, prends ça… Elle frappe encore et encore.. . je ne sens plus mon cul, je gémis sans discontinuer lorsque Maîtresse Caroline fait son retour dans le salon. -Hmmm tu l’as bien chauffer. Bravo… cette truie n’a que ce qu’elle mérite. On va encore bien jouer avec, et bien la punir pour lui passer l’envie de recommencer…. Tiens, la salope ne bande plus…. Les coups m’ont fait débandé. Maîtresse Caroline qui a enfilé des gants de cuir s’empare de ma queue et commence à me branler sans ménagement. -Allez ma pute, bande pour tes Maîtresses, c’est un ordre. Chloé, je crois qu’il a besoin d’être dopé. Et je ne connais rien de mieux pour les putes dans son genre que la mouille de sa Maîtresse. Je t’ai entendu dire que tu étais trempée, t’as pas envie de te faire nettoyer en profondeur ? -Hmmm si, avec plaisir. Allez sale chienne, tu vas bien enfoncer ta langue, et me nettoyer la chatte. Lèche moi bien la pute, lèche ta Maîtresse… Chloé se met à genoux sur la table et empoigne mes cheveux pour fourrer mon visage entre ses cuisses. Elle ruisselle littéralement, et trempe mon visage. Je lèche, fouille, aspire, bois sa mouille…. Maîtresse Caroline avait raison, le parfum et le goût de Chloé me font bander immédiatement. Maîtresse Caroline est passé derrière moi et entreprend de lier mes couilles et ma queue avec une fine cordelette. Très serrées. Je deviens dur, je crois que je n’ai jamais bandé à ce point. Elle en profite pour me branler sans aucun ménagement, pendant que de son autre main elle presse et tord mes couilles. Je gémis de douleur, gémissements étouffés entre les cuisses de Chloé qui s’approche rapidement de l’orgasme. -Sale pute, fais jouir ta Maîtresse, allez lèche là encore mieux que ça… T’es juste bonne à nous lécher, et à te faire baiser le cul sale truie. Je fais faire de toi un sac à foutre… tu vas avaler des kilomètres de queues bien dures et juteuses crois-moi. Je vais te droguer à la queue et au foutre. Je vais te faire baiser par des blacks pendant qu’on se branlera en regardant…. Hmmmm allez fais jouir mon amie Chloé !!! Chloé explose de plaisir en inondant mon visage. Je la bois et je me régale, malgré la douleur que Maîtresse Caroline m’inflige en jouant durement avec mes couilles gonflées à exploser. J’ai entendu tout ce qu’elle vient de me dire… mais dans un état second, concentré sur le plaisir de Chloé. Je sais qu’elle est capable de me faire subir tout cela. Je sais aussi qu’au fond de moi, dans les méandres les plus sombres de ma perversité, je le désire. Je veux être tout cela pour Maîtresse Caroline. Je veux être son soumis humilié. Et elle le sait.
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Par : le 15/08/20
Patricia déverouilla avec peine les cadenas qui la retenaient encore prisonnière des chaînes, dénoua rageusement le bâillon et se coucha en chien de fusil, la tête enfouie sous les draps. Elle tremblait toujours, mais de froid cette fois. Tous ses muscles, raidis par la tension des menottes métalliques, lui faisaient mal. Elle aurait voulu remuer, se lever, s'habiller. Tout effort lui semblait insurmontable. Malgré elle, des ondes de plaisir la parcouraient encore, comme un orage qui ne s'éloigne que peu à peu, abandonnant ça et là d'ultimes grondements. Libérée de ses chaînes, elle se sentait plus impuissante que lorsqu'elles l'entravaient. Les larmes lui montèrent aux yeux comme un torrent. Elle se mit à pleurer fénétiquement, sans bruit mais les épaules secouées de spasmes, et cela dura assez longtemps. Elle dut dormir un peu. Lorsqu'elle s'éveilla, le silence dans la chambre était total. Ne pas ouvrir les yeux. Ne pas s'éveiller tout à fait encore. Profiter du demi-sommeil pour continuer à croire que tout cela n'était qu'un rêve, un fantasme trop fort, trop présent, qui raisonnait encore en bas de son ventre. Pourquoi m'avait-elle contrainte à une telle séance ? Avait-elle voulu me faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à m'imposer un tel jeu. Cela ressemblait plutôt à un passage obligé, une sorte de rituel auquel elle-même n'aurait pu échapper. Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Sarah. Patricia secoua la tête. Elle était folle de remuer de telles pensées. Elle ne devait pas avoir peur. Et si sa Maîtresse avait encore eu l'envie de l'offrir à une amie ? Patricia avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la taraudait et ne la lâchait plus. Sarah voulait l'offrir à une amie. Elle lui a donné l'adresse. Elle lui avait dit qu'elle trouverait là une jeune femme qui n'atteint le plaisir qu'en donnant vie à ses fantasmes. Elle mime la résistance mais c'est pour mieux en profiter. N'a-t-elle pas elle-même avoué qu'elle affectionnait particulièrement les fantasmes de viol ? Des pas dans le couloir. Les voilà qui approchent. Elle cessa de respirer. Elle les entendit s'arrêter devant la porte de la chambre. Une clé tourna dans la serrure. Bientôt la porte s'entrouvit. Patricia distingua dans l'embrasure une silhouette. La lumière l'aveugla. C'était Sarah mais elle n'était pas seule. Celle qui l'accompagnait la considérait d'un œil narquois. Elle se coucha en travers du lit, les mains derrière la nuque. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie mais mêlée d'une extrême élégance. Patricia la vit poser les mains bien tendues de part et d'autre de sa vulve avec une douceur inattendue. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu, du bout des doigts. Leur contact, même s'il demeurait ferme, n'avait plus du tout la violence d'auparavant. Elle ouvrit son sexe comme on ouvre une orange, avec soin, en faisant attention à ne pas en perdre le nectar. Patricia ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que la fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait réussir à jouir pour la satisfaire et pour qu'elle lui fiche la paix. Peut-être que, comme avec sa Maîtresse, si elle parvenait à se mettre en situation de spectatrice, parviendrait-elle à exciter ses sens. L'inconnue passa plusieurs fois sa langue sur le sexe de Patricia, de l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, aspirant la chair tendre des petites lèvres, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut, un peu plus bas. À l'instant même où l'inconnue mordilla son clitoris, Patricia se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait encore lorsque la jeune femme, s'étant tout à fait rhabillée, lui détacha les mains et lui donna des consignes pour leur prochaine rencontre. Ce soir-là, le sommeil ne vint pas. Bien sûr, elle avait eu peur, bien sûr elle avait eu honte. Elle m'attendait sur un canapé. Un bras étendu sur l'accoudoir en velours grenat. Jambes croisées, pieds nus, ongles lissés d'un vernis rouge. En dessous noirs. Autour de vingt heures, Patricia, en retard sonna à la porte. Trop facile, pas de punition, l'inconnue ne fut pas dupe. Anxieuse, elle poussa la porte entrouverte. À double tour, la referma. Accueillie dans la pénombre fraîche du salon par une jeune fille nue, complice des jeux. En fond sonore, les " Trois Gymnopédies" de Satie. Doucement le piano pour entendre le bruit de ses pas quand sur le parquet point de hongrie, elle se déshabilla lentement, une épaule après l'autre, sa robe glissa sur le sol doucement pour écouter le clapotis du sexe entre ses doigts. L'inconnue décroisa ses jambes, les paumes claquant sur ses cuisses, la pria d'avancer. La flamme des bougies lançant des lueurs dansantes sur leurs visages, semblait réveiller des ombres dans le haut plafond. Elle eut les caresses et la bouche de l'inconnue. Cette bouche alla jusqu'au secret de son corps, au plus secret de son être émotif dans la chaleur humide que le désir enfiévrait. Tout d'un coup, elles ressentirent, cette étrange douceur, cette paix heureuse des amantes. Mes yeux se retournent vers ton sourire. Le silence, nous l'avions décidé ainsi. Tu devras t'efforcer de ne pas hurler quand quand je te flagellerai jusqu'au sang. Tu n'as pas le choix. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible de la séance. Patricia ne sait plus ce qu'elle veut, le fouet, oui mais pas pour son plaisir. De l'amour des femmes, elle ne connaissait rien d'autres que quelques privautés, quelques complaisances accordées avec des camarades de classe, à la limite du jeu mais bientôt par dessus la nuque passe le harnais en cuir; son corps supplie; toujours nue, de dos sur mes genoux; bientôt mes doigts, à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de tes lèvres. Alors, les omoplates ont frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Le grain de ta peau sur ma langue; les lèvres de ton sexe sur la pulpe de mes doigts; ta joue sur mon épaule, mes mains à l'envers ont fermé les crochets; mon souffle effleurant le profil de tes seins dressés avec cette envie de toi qui tangue, cette envie de tout arrêter, cette envie de suspendre les gestes; je t'attrape par la nuque, te renverse sur le canapé, je te dévore; tu te débats, tu me supplies. Patricia n'a pas de honte à exposer son corps asséché de solitude; tout est évident. Tu es allongée, au-dessus de toi, la caresse est légère presque rêvée, précisant l'ondoiement sur l'entrecuisse à peine ouverte. Le désir est prégnant, ton sexe est brûlant, l'émergence de sa pointe, la moiteur de ses plis, les battements de sa matrice. Elle lui apprit et lui révéla son corps, par des caresses d'une insidieuse lenteur, par des baisers qui n'en finissaient plus d'éveiller en elle des ondes de plaisir presque intolérable. De la bouche venait alors calmer la fièvre qu'elle avait fait naître, s'abreuvant à la source même d'où jaillirait la jouissance. Tu te tais. Quand bien même le voudrais-tu que tu ne pourrais parler. Tes soupirs, les plaintes d'extase, les gémissements de volupté ont pris toute la place dans ta poitrine et dans ta gorge. Tu deviens muette d'un incomparable bonheur charnel. Nos cris meurent en un baiser brutal, comme la secousse qui bascule. La fleur sanguine laisse sourdre son suc aux mille parfums dans un mouvement de bacchanale déchaînée, sanglot de l'extériorisation extrême de ta sensualité fouaillée. Tu es ouverte, béante, les lèvres palpitantes, la vulve agitée de pulsions enflammées et suintante de son miel blanc et blond. Nous basculons, enroulées l'une à l'autre dans un enlacement tortueux qui nous emplit de joie enfantine. Cessant de lutter, désespérée, retrouvant la joie de vivre, honteuse et fière, tu t'abandonnes alors aux bras qui te meutrissaient hier. Aucune nuit pareille à nulle autre, jamais Patricia ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sans être battue. Elle semblait appartenir à un autre monde. Quelque chose d'indissoluble et de fatal, une puissance invisible les liait bien plus que dans le bonheur et l'euphorie, errant dans le pur illogisme de la réalité, ne rendant de comptes à personne, forme suprême de la liberté dont elles usaient dans le bien comme dans le mal. Leur idéal avait changé d'objet. Leur frénésie était un peu glacée. Se laisser toucher, se laisser fouetter, être docile et nue. Pour l'amour qui fait battre le cœur, on ne forçait personne. Patricia fut éblouissante de félicité. Tel l'envol gracieux d'un oiseau nocturne dans un jardin endormi, elle s'abandonna sans pâlir, corps et âme, à la bouleversante incantation sacrée du rite célébré du plaisir des chairs. Elle entendrait, encore une fois bientôt Sarah, étendue à coté d'elle, respirer dans la nuit. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 03/08/20
vous me faites patientez quelques secondes comme ca...privé de ma vue, j ecoute le moindre de vos mouvements. Le seul bruit que je capte est celui de vos talons, vous marchez autour de moi puls j entends le bruit de vos chaussures juste a cote de mes oreilles... puis quelques secondes apres, je sens le poids de votre corps sur mon visage, ma bouche au contact de votre petite culotte que je devine legerement humide...cela m excite terriblement d etre dans cette position j adore cela et j imagine la vue que je pourrai avoir si je n avais pas les yeux bandés.. Vous ondulez legerement votre corps, faites de petits va et vient puis vous caressez mon torse avec vos mains ...vous accentuez la pression sur ma tete, j embrasse votre sexe a travers ce bout de tissu, je suis attentif a chacun de vos mouvements, vous decollez quelques secondes vos mains, puis revenez les poser sur mon torse pour y plantez vos ongles et vous vous amusez a les faire parcourir sur ma poitrine autour de mes tetons... cela me plait beaucoup, j intensifie mes mouvements de bouche, puis d un coup vous attrappez mes 2 tetons et les serrez bien fort. je pousse un gemissement ettouffe par votre corps, je sursaute... vous tirez delicatement sur mes tetons, doucement mais fermement, je me laisse entierement faire, j adore souffrir sous vos doigts... vous les relachez, vous vous penchez en avant, je leve ma tete pour rester au contact de votre sexe, puis passez une de vos mains autour de mes testicules, vous les serrez progressivement au creux de vos mains, je gemis, je gigote... j aime quand vous me tenez par cet endroit... Vous relachez votre prise, puis je vous sens vous relever. Vous me dites alors de votre voix excitante et sensuelle " maintenant leve toi". Je m execute, me met en position assise, puis vous attrapez une de mes mains pour m aider a me relever. Une fois debout, vous tirez sur ma main, je comprends qu il faut que je vous suive. Je n ai aucun repere, je vous suis aveuglemment en me demandant bien ou vous allez me mener. Je marche doucement me fiant entierement a vous, en essayant de ne pas perdre l equilibre. Apres quelques metres, vous vous stoppez, puis posez ma main sur un objet que je devine etre une table. Vous prenez mon autre main que vous posez a son tour sur cette table, puis me dites d un ton plus autoritaire " laisse bien tes mains poser a plat, ne bouge pas , penche toi en avant et tends bien ton cul". En meme temps vous placez une de vos mains sur mes hanches et appuyez dessus en arriere pour m inciter a me mettre dans la position souhaitée. Je m execute, un sourire au coin des levres, penché en avant, les jambes tendues legerement ecartees et mes fesses bien tendues dans la position que vous souhaitez Vous commencez par caresser doucement, tendrement mon cul, passez bien votre main sur toute la surface de mes globes fermes, vous intensifiez vos caresses, votre main devient plus ferme, par moment vous compressez une de mes fesses au creux de vos mains... de mon cote je me laisse aller a vos caresses, j adore le contact de votre main sur ma peau, je ne bouge pas et garde mon cul bien tendu.... puis vous alternez petites claques et caresses, pour ensuite ne mettre que des claques... elles deviennent de plus en plus fortes, vous changez regulierement de zone de frappe, je sens mon cul chauffer lentement et devenir legerement rose, ce qui me ravi. De votre autre main vous attrappez un de mes tetons et tirez bien fort dessus ce qui m excite encore plus... Vous relachez un de mes tetons, je vous entends vous eloigner, chercher quelque chose dans votre sac puis revenir vers moi... soudain je sens un coup dur s abattre sur mes fesses, je gemis, sursaute, mais je reconnai instatannement cet instrument... un paddle en cuir... vous continuez a me fesser avec, en espacant chaque coup, en variant bien les intensites et les zones de contact.... ma douleur initiale se transforme petit a petit en plaisir, je garde bien mon cul tendu, j adore sentir mon cul rougir sous l effet de votre instrument... mon cul doit etre bien rouge la... une fois que ma peau a la couleur qui vous plait vous venez vous placer derriere moi, votre bassin contre mes fesses, le cuir de votre mini jupe contre ma peau puis deposez un long baiser dans mon cou... puis vous me dites " suis moi" vous attrapez une de mes mains, me guider vers un autre endroit, vous placez une chaise contre mes genoux. "assieds toi puis ecartes tes cuisses" je m execute, la chaise est en bois dur, ce qui me fait bien ressentir l effet de vos fessées, j ecarte mes cuisses, puis vous aggrippez mes poignets fermement dans vos mains, vous les placez derriere la chaise puis je sens que vous attachez mes poignets avec une paire de menottes. Me voila donc attaché, yeux bandés, le cul en feu, tres excité entierement a Vous.
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Par : le 20/07/20
Elle ne la comprenait pas très bien. Plus tard, seulement, elle avait imaginé ce qu'elle voulait dire. Ce n'était qu'un rêve. Ce qui était solide et vrai, c'était son visage qu'elle voyait très bien à cette heure-là. Il était plein de reflets, comme les eaux noires qui coulaient plus bas. Ce visage ne faisait qu'un avec le fleuve. Patricia sentait qu'elle serait entraînée assez loin. Ce fleuve puissant où elle entrait aux côtés de Sarah ne la lâcherait pas. Elle voyait sa bouche qui remuait dans la nuit, pour parler. Dans une autre nuit, elles pouvaient s'approcher et s'embrasser. Comme un être fiévreux, elle se perdait dans ses cheveux, dans son corps. Des lèvres, des mains, tels étaient les charmes qui servaient à la faire souffrir. Ils l'étendaient sur des plages inconnues et la recouvraient de plaisir. Patricia sentait ce plaisir dans son sang. Elle demeurait dans un désir qui lui faisait sentir chaque centimètre de son corps. Étendue, les jambes et les bras écartés pour tenir plus de place et mieux s'offrir à ce trouble, elle ne voyait plus que les fantômes qui l'entouraient. À chaque battement de paupière, quelque chose lui sautait au visage, sa propre main nue sous les rayons de lune, sa main immobile, et pourtant cette main occupait l'espace, elle s'étendait sur son corps et le faisait trembler, elle caressait un autre corps impossible, les yeux de Patricia voyaient tout cela. Presque tout ce qu'elle avait fait avec Sarah lui revenait avec une radieuse et atroce précision. Quand des détails venaient à lui manquaient, elle passait des heures à des reconstitutions minutieuses. Elle parvenait ainsi, avec des repères dérisoires qui lui renvoyaient l'un à l'autre et au prix d'efforts démesurés, à rétablir une chronologie complète de leur relation depuis Rome. C'est dans le désespoir de ces évocations enchantées qu'elle dormait en rêvant. La nuit entière se passa à dans cet engourdissement aigu et lourd. Pauvre Patricia. Elle aimait sa Maîtresse. Elles avaient toutes deux d'étranges relations. Rien de compliqué chez elle. Elle attendait. Elle était pleine d'illusions. Ce qui lui manquait n'était pas à proprement parler Sarah, mais l'usage d'un corps de jeune fille, dont elle pût faire ce qu'elle voulût. Chaque abandon lui serait le gage d'un autre abandon qui lui serait exigé. Il serait impossible qu'elle en fût comblée. On ne pouvait pas dire qu'elle se défendit, ni se méfiât. Quand elle cédait aux châtiments, elle cédait brusquement, et l'on aurait dit entièrement, devenant soudain quelqu'un d'autre, pendant une heure, pendant une nuit. Le reste du temps, elle était à la fois provocante et fuyante, d'une incroyable habileté à l'esquive, s'arrangeant sans jamais une faute pour ne donner prise ni à un geste, ni à un mot, ni même à un regard qui permît de faire coïncider cette triomphante avec cette vaincue, et de faire croire qu'il était si facile de la forcer à la soumission. Sarah avait cru ou voulait croire, pour se donner des excuses, que Patricia serait farouche. Elle fut détrompée aussitôt qu'elle voulut l'être. Patricia n'était pas sentimentale, pourtant elle aimait sa Maîtresse et ne s'en cachait pas. Elle ressentait déjà l'orgueil qu'éprouve celle qui est l'objet de sévices de la part de l'être aimé. Chaque coup pouvait alors s'interpréter comme une marque d'intérêt, voire d'amour. Elle ne s'était jamais résignée au sort qu'elle avait librement choisi. N'ayant pas la nature d'une guerrière, ne sachant opposer la violence à la cruauté, elle avait appris à dominer celles qui usaient d'elle en rendant mystique l'offrande de sa soumission. C'est ainsi que les esclaves vivent. Elles sont les seules à détenir les clefs des caves sombres où les fantasmes des Maîtres les hissent au rang de divinités. Patricia déverouilla avec peine les cadenas qui la retenaient encore prisonnière des chaînes, dénoua rageusement le bâillon et se coucha en chien de fusil, la tête enfouie sous les draps. Elle tremblait toujours, mais de froid cette fois. Tous ses muscles, raidis par la tension des menottes métalliques, lui faisaient mal. Elle aurait voulu remuer, se lever, s'habiller. Tout effort lui semblait insurmontable. Malgré elle, des ondes de plaisir la parcouraient encore, comme un orage qui ne s'éloigne que peu à peu, abandonnant ça et là d'ultimes grondements. Libérée de ses chaînes, elle se sentait plus impuissante que lorsqu'elles l'entravaient. Les larmes lui montèrent aux yeux comme un torrent. Elle se mit à pleurer fénétiquement, sans bruit mais les épaules secouées de spasmes, et cela dura assez longtemps. Elle dut dormir un peu. Lorsqu'elle s'éveilla, le silence dans la cave était total. Ne pas ouvrir les yeux. Ne pas s'éveiller tout à fait encore. Profiter du demi-sommeil pour continuer à croire que tout cela n'était qu'un rêve, un fantasme trop fort, trop présent, qui raisonnait encore en bas de son ventre. Pourquoi m'avait-elle contrainte à une telle séance ? Avait-elle voulu me faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à m'imposer un tel jeu. Cela ressemblait plutôt à un passage obligé, une sorte de rituel auquel elle-même n'aurait pu échapper. Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Sarah. Patricia secoua la tête. Elle était folle de remuer de telles pensées. Elle ne devait pas avoir peur. Et si sa Maîtresse avait encore eu l'envie de l'offrir à une amie ? Patricia avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la taraudait et ne la lâchait plus. Sarah voulait l'offrir à une amie. Elle lui a donné l'adresse. Elle lui avait dit qu'elle trouverait là une jeune femme qui n'atteint le plaisir qu'en donnant vie à ses fantasmes. Elle mime la résistance mais c'est pour mieux en profiter. N'a-t-elle pas elle-même avoué qu'elle affectionnait particulièrement les fantasmes de viol ? Des pas dans le couloir. Les voilà qui approchent. Elle cessa de respirer. Elle les entendit s'arrêter devant la porte de la cave. Une clé tourna dans la serrure. Bientôt la porte s'entrouvit. Patricia distingua dans l'embrasure une silhouette. La lumière l'aveugla. C'était Sarah mais elle n'était pas seule. Celle qui l'accompagnait la considérait d'un œil narquois. Elle se coucha en travers du lit, les mains derrière la nuque. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie mais mêlée d'une extrême élégance. Patricia la vit poser les mains bien tendues de part et d'autre de sa vulve avec une douceur innatendue. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu, du bout des doigts. Leur contact, même s'il demeurait ferme, n'avait plus du tout la violence d'auparavant. Elle ouvrit son sexe comme on ouvre une orange, avec soin, en faisant attention de ne pas en perdre le nectar. Patricia ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que la fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait réussir à jouir pour la satisfaire et pour qu'elle lui fiche la paix. Peut-être que, comme avec sa Maîtresse, si elle parvenait à se mettre en situation de spectatrice, parviendrait-elle à exciter ses sens. L'inconnue passa plusieurs fois sa langue sur le sexe de Patricia, de l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, aspirant la chair tendre des petites lèvres, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut, un peu plus bas. À l'instant même où l'inconnue mordilla son clitoris, Patricia se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait encore lorsque la jeune femme, s'étant tout à fait rhabillée, lui détacha les mains et lui donna des consignes pour leur prochaine rencontre. Ce soir-là, le sommeil ne vint pas. Bien sûr, elle avait eu peur, bien sûr elle avait eu honte. Mais aussi longtemps qu'on usait d'elle, elle n'était que pensée et désir pour Sarah. Elle l'aimait et c'est ce qu'elle voulait. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 17/07/20
C'était la première fois. Pour tout d'ailleurs, c'était la première fois. Quand il est passé derrière moi et qu'il m'a descendu le jean à mi-cuisse. Qu'il m'a ordonné de me pencher, la tête dans les mains, les fesses offertes. Quand il m'a pénétrée du bout des doigts, essayant la solidité de mon hymen, avant d'enfoncer ses doigts dans mon cul, trois doigts, d'un coup. C'était juste avant qu'il me sodomise, pas un instant, à ce moment-là, je n'ai pensé qu'il pourrait me prendre autrement. Et puis les mots. Quand il me disait de bien l'enrober avec la langue, de bien remonter jusqu'au gland avant de m'enfoncer encore. Quand il est sorti de ma bouche, il m'a dit que j'étais une incapable, incapable de le faire jouir. Il l'a redit en sortant de mon cul. Je me suis traînée à ses pieds, en lui disant que j'étais désolée, que j'allais le faire jouir, que je saurais le faire. Il est revenu dans ma bouche, sa verge avait un goût âcre que j'ai appris à connaître, mais là encore il n'a pas joui. Il le faisait exprès, bien sûr. Il a achevé de me déshabiller, il m'a fait marcher, de long en large. Nous sommes allés dans la cave, il m'a fait allonger sur une table de bois très froide et il m'a ordonné de me caresser. L'idée qu'il regardait mes doigts m'a fait jouir presque tout de suite. Il me l'a reproché, bien sûr, c'était tout le but du jeu. J'étais pantelante. J'ai joui si fort que j'en avais les cuisses inondées, il s'est inséré entre mes jambes, les a soulevées pour poser mes talons sur ses épaules, j'ai voulu le regarder mais j'ai refermé les yeux, et c'est là qu'il m'a dépucelée. Depuis tout ce temps que le connais, il a toujours aimé me baiser dans des lumières violentes, et glauques en même temps, des lampes dénudées, des néons, pendant au bout d'un fil. Et surtout sur des surfaces froides, des carrelages, des bois laqués. Une fois, une seule, nous avons fait l'amour dans sa chambre, mais il avait jeté par terre une paire de draps blancs, qu'il a soigneusement aspergés d'urine, avant de m'étendre sur le tissu souillé, il m'a roulé dedans, laissant juste émerger la partie de mon corps qu'il voulait utiliser. J'ai eu très mal, brièvement, j'ai senti le sang couler, du moins j'ai cru que c'était du sang, il m'a pincé les seins, durement, et j'ai joui aussitôt. Quand il est sorti de moi, il n'avait toujours pas éjaculé, et il m'a dit que j'étais incapable, une bonne à rien. Il a dégagé sa ceinture de son pantalon, et il m'a frappée plusieurs fois, en m'ordonnant de compter les coups, sur les seins et le ventre. J'ai glissé à genoux, et je l'ai repris dans ma bouche. Il n'a pas arrêté de me frapper, le dos et les fesses, de plus en plus fort, jusqu'au sang, et j'ai arrêté de le sucer parce que j'ai joui à nouveau. Je le regarde bien en face, avec attention. Je ne ne suis pas gênée par l'évocation des souvenirs, ni par l'usage des mots les plus précis. Il est même certain que je m'en délecte. Comme si ces aveux, si chirurgicaux et si cruels, faisaient partie d'un protocole imposé par le Maître, et loin de dire quelque chose sur ma névrose, ils en devaient la manifestation, la complaisance, devrais-je dire. Mais non, j'utilise ces mots parce que je pense qu'ils sont tout à fait adéquats. Il a dit me rhabiller, tout de suite, sans me laver, le string poisseux, le jean taché du sang qui gouttait encore. Et le reste. Je lui ai demandé où étaient les toilettes. Il m'y a amenée, il a laissé bien sûr la porte ouverte, me regardant avec intérêt, ravi, sans trop le montrer, de ma confusion quand le jet de pisse a frappé l'eau de la cuvette comme une fontaine drue. Le lendemain, j'avais passé la nuit à repenser à cela, à tenter de comprendre pourquoi, j'avais les nerfs à vif, comme après toutes les insomnies. J'avais longuement examiné mon corps. Ma peau était couverte de plaques rouges, la délimitation exacte du ceinturon avec lequel il m'avait châtiée. Châtiée de quelque faute, et chaque fois que j'en arrivais là, je me caressais, je jouissais, et la question disparaissait, ou plutôt, la réponse éventuelle, mais la question demeurait brûlante d'actualité, et je me caressais à nouveau. Il m'a fait entrer dans la salle de bain. Il m'a donné un coup juste à la pliure des genoux, et je me suis affalée sur le carrelage glacé. Il m'a saisie par les cheveux, m'a traînée dans un coin et m'a attachée avec des menottes à un radiateur. Il m'a frappée encore quatre ou cinq fois, je criais en me protégeant le visage. Puis il a jeté sa cravache, il a pris des ciseaux et s'est mis à me tailler les cheveux; je les portais mi-longs, il y a seulement quatre jours encore. Les mèches me tombaient sur les épaules, sur les seins. J'étais nue. Il coupait court dans la masse, presque à ras. Il m'a attachée, et il m'a laissée là, toute la nuit. Je n'ai pas entendu la voiture partir. Le soir est tombé, j'étais seule, j'ai fini par crier, par pleurer, il y avait juste le bruit du vent, et le froid, l'humidité. Toute la nuit. Il est revenu au matin, il m'a dit que je devais choisir, entre l'obéissance immédiate et la liberté. L'autre en moi, aurait aimé fuir, l'autre a dit qu'elle voulait lui appartenir, et qu'elle ferait tout ce qu'il voudrait, et qu'elle obéirait. Il m'a fait mettre à genoux, tout en me laissant attachée. Il a enfoncé sa queue dans ma bouche. Je l'ai sucé comme je pouvais. Quelque chose de chaud m'a coulé sur le dos, et j'ai compris qu'il me pissait dessus. Un peu plus tard, il a enfoncé deux doigts dans mon ventre, le cuir de ses gants était glacé, mais il les a enfoncés sans peine tellement j'étais ouverte et docile. L'abomination du récit ne doit pas entacher l'écoute. La cruauté est la clé du plaisir dans ce monde si particulier. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 16/07/20
L'ombre peu à peu avait envahi la chambre. Sarah n'arrivait plus à distinguer la fissure dans le plafond à laquelle elle avait fixé son regard. La position dans laquelle elle s'était elle-même figée depuis plus d'une heure commençait à la faire souffrir. Passent encore les fourmillements dans les jambes et les bras. Elle en avait l'habitude maintenant. En remuant les doigts, en bougeant les pieds, elle parvenait à relancer la circulation sanguine. Le plus insupportable, c'était cette douleur à l'articulation des cuisses. Elle avait fait preuve de trop de zèle, tendant les chaînes au maximum de ce que lui permettait l'écartement de ses jambes. De part et d'autres de son visage, ses genoux touchaient presque les barreaux. Elle avait aussi trop serré le bas. Il lui distendait les lèvres comme le mors d'un cheval. De temps à autre enfin, il lui fallait empoigner les barreaux pour soulager ses bras de la tension à laquelle ils étaient soumis. Que faisait Xavier ? Dans la rue, les lampadaires s'allumèrent les uns après les autres. Leur lueur orangée inonda la chambre. Le cœur de Sarah s'emballa: toute à son excitation. Et s'il avait décidé de ne pas venir en lui jouant un tour cruel, celui de charger le hasard de choisir celle ou celui qui la découvrirait ainsi harnachée, nue et enchaînée. Mais non, c'était impossible, il l'aimait. Sarah se sentait en danger constant, tant la curiosité des visages la dévorerait, et qu'elle serait fouettée par l'un ou par l'autre, non pas à la vérité qu'ils s'en aperçurent mais sans doute chaque fois qu'ils auraient eu envie de l'humilier ou de la posséder. Et si, il avait encore eu l'envie de l'offrir à des inconnus. Elle avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la tenaillait et ne la lâchait plus. C'était cela, Xavier voulait l'offrir. Il leur avait dit qu'ils trouveraient là une jeune femme, esclave sexuelle, qui n'atteignait le plaisir qu'en donnant vie à ses fantasmes. Elle mimait la résistance, mais c'était pour mieux en jouir. N'avait-elle pas elle-même avoué qu'elle affectionnait particulièrement l'idée du viol ? Des pas retentirent dans le couloir. Elle cessa de respirer. Une clé tourna dans la serrure. La porte s'ouvrit. Sarah distingua une silhouette dans l'embrasure, mais la lumière l'aveuglait. C'était Xavier mais il n'était pas seul. Celle qui l'accompagnait, la considéra d'un œil narquois et cruel. C'était une jolie fille élancée à la peau bronzée. Son bustier en lamé noir, son short ultracourt sur des bas résilles et des cuissardes à hauts talons ne laissaient planer aucun doute: une pute. Xavier avait amené une putain. Hébétée, Sarah portait alternativement son regard de l'un à l'autre. Il l'évitait avec soin. Lui tournant le dos, il alla jusqu'à la fenêtre de la cave et, les mains dans les poches, observa la jeune femme en attendant qu'elle se soit déshabillée. Toisant Sarah, à sa merci, nue et attachée, elle fit glisser son string le long de ses cuisses. Elle avait des jambes longues et musclées; en bas de son ventre, son pubis lisse se distinguait à peine, velours nacré sur la chair hâlée. Lorsqu'elle dégrafa son étroit bustier, ses seins comprimés en jaillirent comme des fauves. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie, d'animalité indomptée, jusqu'à sa mâchoire figée en un rictus menaçant contre laquelle dansaient des boucles d'oreilles en longs losanges effilés et cette queue-de-cheval haut placée sur la tête à la manière des Amazones d'autrefois. Elle se coucha en travers du lit, les mains derrière la nuque. - Tu viens, mon chéri ? minauda-t-elle. Xavier se débarrassa de ses vêtements. Lorsqu'il s'approcha du lit, Sarah remarqua qu'il ne bandait presque pas. - Fais ton job, dit-il à la putain. Elle empoigna le pénis d'une main, passa l'autre sous les testicules, comme pour évaluer leur poids. - Allez, je suis sûre que t'as là-dedans de quoi m'en foutre partout. Abasourdie de surprise, Sarah regardait sans réagir la main de la jeune femme solliciter avec adresse le sexe de Xavier dont l'érection se faisait de plus en plus puissante. Ses lèvres gobèrent le pénis tendu. Xavier, les yeux clos, serrait les dents. Pendant quelques instants, il n'y eut plus dans la cave que les bruits de succion de la fille et le cliquetis des chaînes dans lesquelles Sarah commençait à s'agiter. La prostituée prit la pose pendant que Xavier enfilait un préservatif. Lorsqu'il la pénétra, elle poussa alors un gémissement de plaisir. Même en se tordant le cou, Sarah ne pouvait pas les voir mais elle les imaginait aisément. Ondulations élastiques, mouvements synchrones, halètements convenus. Tout cela l'écœurait. Elle renversa la tête sur l'oreiller. Pourquoi Xavier lui avait-il seulement demandé de s'attacher et de se bâillonner ? Pourquoi ne lui avait-il pas également permis de se bander les yeux ? Quelle perversité était la sienne pour vouloir lui imposer un tel spectacle ? Elle tressaillit. Des doigts venaient de se poser sur son sexe. On voulait aussi qu'elle participe à la fête des sens avec une putain. Relevant la tête, elle distingua une main, qui commença à la fouiller entre ses cuisses. Déjà des doigts hargneux s'engageaient en elle. D'autres cherchèrent à écarter le passage de ses reins pour forcer son anus. Elle se débattit autant que lui permettaient ses liens, voulut crier mais ses cris s'étouffèrent dans sa gorge. Xavier ne voyait rien. Il n'entendait rien. Il continuait de défoncer la putain qui, gémissant fort pour couvrir les plaintes assourdies de sa prisonnière, répercutait chaque coup reçu au fond du ventre de Sarah. Elle était là, attachée sur un lit, à entendre l'homme qu'elle aimait s'acharner sur une inconnue qui lui faisait payer le prix de sa fureur. Xavier enfin donna les ultimes coups de reins. La putain abandonna aussitôt Sarah et feignit un orgasme démesuré. Il se releva et jeta sur le lit une pelote de ficelle et alla prendre une chaise qu'il disposa près du lit. "- Tu sais ce qu'il te reste à faire, tiens voilà les clés des menottes et des cadenas. Termine ton job et casse-toi." Le ton de la voix n'admettait aucune réplique. La prostituée se contenta de hausser les épaules tout en tassant ses seins dans son bustier. Sarah cherchait en vain à capter le regard de Xavier. Elle essayait de comprendre. Quel job la fille devait-elle donc terminer ? Pourquoi ne la détachait-il pas lui-même ? Mais il gardait les yeux fixes. Son visage marmoréen n'exprimait qu'une grave détermination. Elle le vit s'asseoir sur la chaise, de lui-même se passer les mains derrière le dos et, d'un léger mouvement de la tête, donner à la pute l'ordre de commencer. En soupirant, celle-ci déroula une longueur de ficelle et lui attacha les poignets qu'elle fixa ensuite solidement au dossier. De la même façon, elle lui entrava les bras, les chevilles, les jambes, le torse et la taille jusqu'à ce qu'il soit totalement immobilisé, le sexe lourd pendait entre les cuisses légèrement ouvertes. Sarah vit alors la fille s'approcher à nouveau, s'asseoir près d'elle et se pencher tout contre son visage. Bientôt, elle alla s'installer entre ses jambes en les maintenant écartées en hauteur. La façon dont elle se tenait lui donnait l'air d'un étrange gynécologue. Elle la vit poser les mains bien tendues de part et d'autres de sa vulve avec une douceur inattendue. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu du bout des doigts. Leur contact, même s'il demeurait ferme, n'avait plus du tout la sauvagerie d'auparavant. Elle ouvrit le sexe offert avec grand soin. Sarah ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que cette fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait à tout prix réussir à jouir. La putain passa plusieurs fois la langue sur ses lèvres et, tout en le maintenant ouvert, les approcha du sexe humide de Sarah. De l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, elle procéda à de longues succions. Étape par étape, elle aspira la chair tendre des petites lèvres, les caressant avec la langue, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut ou un peu plus bas. Sarah survolait la cave. Une fille, attachée et nue, était écartelée sur un lit. Une putain, également nue, la suçait. Un homme, bronzé et nu, liè à sa chaise les observait toutes les deux. De sa langue, large et souple, la pute enroba le clitoris de Sarah, l'excita pour l'éveiller, pour l'obliger, à se redresser et à prendre de l'ampleur sous sa caresse. La chair se gonfla alors. Simultanément, des pouces elle redessinait l'entrée du vagin, en soulignant les contours humides. Un doigt s'insinua dans son anus en le dilatant peu à peu. Le viol de ce territoire interdit fit naître dans le ventre de la captive d'irrésistibles ondes électriques. Sarah creusa alors les reins. La fille comprit l'invitation. Abandonnant la vulve, elle concentra ses caresses sur la voie étroite. Elle élargit des doigts l'anneau anal à travers lequel elle poussa profondément la langue. Lorsqu'elle eut suffisamment préparé le passage, la fille posa le pouce contre l'anus de Sarah et l'enfonça lentement, de toute sa longueur, jusqu'à la paume. Quand il fut bien planté au fond, s'en servant comme d'un axe, elle fit pivoter sa main de gauche à droite, les doigts repliés sur l'entrée du vagin. Sans cesser son mouvement de balancier, la putain plongea sa main plus profondément dans le sexe de Sarah, éprouvant entre pouce et doigts l'élasticité de la fragile cloison. De l'autre, elle écarta les petites lèvres pour dégager le clitoris. Puis elle se reconcentra à nouveau sur l'anus. Elle avait décidé de la pénétrer avec le poing. À l'instant même où le poignet atteignit le fond de ses entailles, Sarah se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait encore lorsque la fille, s'étant rhabillée, lui détacha les mains. Malgré elle, des ondes de plaisir la parcouraient encore, comme un orage qui ne s'éloigne que peu à peu, abandonnant ça et là d'ultimes grondements. Libérée de ses liens, elle se sentait plus impuissante encore que lorsque les chaînes l'entravaient. Les larmes lui montèrent aux yeux comme un torrent. Elle se mit à pleurer frénétiquement, sans bruit mais les épaules secouées de spasme, et cela dura longtemps. Elle dut dormir un peu. Xavier dormait-il lui aussi ? Elle n'osait se tourner vers lui. Son souffle était inaudible. Pourquoi l'avait-il contraint à une telle séance ? Avait-il voulu la faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à une situation si humiliante. Cela n'était donc pas un jeu, plutôt un passage obligé, un rituel auquel lui-même n'aurait pu échapper. Qu'avait-il donc voulu lui prouver ? Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Xavier. Elle se rappela à ce moment-là qu'il avait un bâillon. Elle se leva et se précipita vers lui. Il gardait les yeux clos mais il ne dormait pas. L'enjambant, elle s'assit sur lui, les bras autour de ses épaules, les lèvres contre les siennes. Il posa le front contre sa poitrine. Elle sentait au bout de ses seins la caresse de son menton mal rasé. Sarah sentit son pénis se dresser sous ses fesses. Elle le laissa la pénétrer là où elle avait déjà joui. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 03/07/20
Je me glissai le plus discrètement possible sous la couette, en scrutant le visage de Xavier, bien résolue à ne pas le réveiller. Il ne bougeait pas. J'éteignis la lampe de chevet, me retournant sur le flanc. Il ne bougeait toujours pas. Mais juste au moment où mon esprit commençait à s'apaiser, où mes membres se détendaient entre les draps frais, je sentis ses jambes se coller aux miennes. Son corps bien vivant. Xavier m'enlaça et écrasa son pelvis contre mes reins. Je demeurai sans réagir, en priant pour qu'il se rendorme, en me détestant de le souhaiter. Mais hélas, il se rapprocha et m'embrassa dans le cou. Je fus parcourue d'un frisson, que Xavier interpréta comme un signe de plaisir. Il effleura ma peau hérissée par la chair de poule, ce qu'il prit pour un symptôme prometteur et une invitation. Au tout début de notre relation, je pensais qu'il était l'homme qui embrassait le mieux de la terre. Je me souvenais encore de notre premier baiser, un instant de pure transcendance. Au terme d'une soirée agréable passée au restaurant et après un dernier verre dans un bar de nuit, il m'avait attirée contre lui pour le plus incroyablement doux baiser que je n'avais jamais reçu, une caresse subtile des lèvres et de la langue, avec une juste combinaison de passion et de sensualité. De toute évidence, Xavier avait eu tout le loisir de peaufiner sa technique, puisqu'il était un des hommes les plus connus et les plus sollicités que j'avais jamais rencontrés. Pourtant, depuis quelques mois, j'avais l'impression d'embrasser un inconnu, et cela n'avait rien d'un fantasme excitant. Cette bouche que je trouvais autrefois douce et sensuelle me semblait de plus en plus froide, humide et d'un contact déplaisant. C'est avec trop de voracité que sa langue cherchait la mienne désormais, que ses lèvres étaient engourdies ou trop charnues. Chaque caresse me faisait l'effet d'un viol. Autrefois, pourtant, le sexe avec lui avait été fantastique. Quand Xavier était moins disponible, plus assidu aux jeux de la séduction, moins collant, moins impatient de se caser avec une fille plus sérieuse que toutes celles, frivoles et inconstantes, qu'il avait fréquentées entre vingt et trente ans. Une époque qui semblait se perdre dans la nuit des temps. L'offensive me prit au dépourvu. Soudain, avant que j'ai pu comprendre ce qui se passait, il avait baissé mon shorty jusqu'aux genoux et s'était collé contre moi. Je voyais ses bras puissamment musclés saillir sous son menton et les appuyer sur ma gorge. Je lui demandé avec véhémence de desserrer son étreinte, par chance l'obscurité m'empêchait de voir son visage. Je finis par m'endormir peu avant six heures. Mais ce n'est que plusieurs heures plus tard, en pleine réunion, tandis que la fatigue m'embrumait l'esprit et rendait mon élocution laborieuse, que je me souvins de ma dernière pensée avant que le sommeil ne me happe. Je repensais à cette soirée au cours de laquelle mes amies s'étaient mises au défi de réformer leur vie. Florence allait élargir son champ d'expériences en collectionnant les aventures. Anne était résolue à s'essayer aux joies de la monogamie. Dix jours avaient passé, et je n'avais toujours pas trouvé comment m'associer à ce projet. Jusqu'à cet instant. Ne serait-ce pas opportun d'annoncer que j'allais mettre un terme à cette relation sentimentale insatisfaisante. Même si j'étais terrifiée à l'idée de me retrouver seule. Je m'efforçai de penser à autre chose, à mon prochain voyage. J'assistai à un cocktail pour un prix littéraire organisé par une prestigieuse maison d'édition parisienne. Si mes collègues ne se décidaient pas à remballer leur insupportable verbiage dans les dix minutes, je serai en retard pour un dîner. J'allais discrètement m'éclipser quand le visage radieux de Claire apparut. Elle était réellement lumineuse ce soir dans sa robe noire courte et moulante, glamour et sexy, avec une pointe d'élégance empruntée à Jackie Kennedy, un collier de perles ras du cou. Sa présence qui ne passait pas inaperçue dans l'assemblée me sauvait d'un ennui profond. - Bonjour, Claire, tu vas bien ? Tu es vraiment lumineuse. Il faudra que tu me donnes ton truc. Elle me regarda avec un regard encore tout chaviré de sa rencontre avec lui, mais cela je ne le savais pas. - J'ai une recette incroyable, que nous nous passons d'amies en amies, je t'en parlerai quand tu voudras. Notre conversation dériva sur notre domaine d'activité et la soirée fut un moment très agréable. Trois jours plus tard, au cours d'une réunion plus qu'ennuyeuse, le visage de Claire réapparut dans mes pensées vagabondes. Avec le recul, elle m'apparut encore plus resplendissante que jamais. Dès qu'un moment libre se présenta, je décidai de l'appeler. Après le bonjour rituel, j'osai aborder le sujet directement, mourant d'envie de connaître son truc. - Écoute, mon secret, c'est un homme, mais pas n'importe quel homme. Je ne le connais pas, il vient chez moi une fois par semaine. Je l'attends, les yeux bandés. Il a les clés et dès qu'il arrive, il mène le jeu. Il m'a fait découvrir un plaisir incroyable, basé uniquement sur le sexe. Il n'y a pas d'amour, pas de partage. Il ne parle pas. Ses mains, son corps, son pénis: il met tout en œuvre pour que je jouisse. Un homme que pour l'orgasme. - Tu te laisses baiser par un homme que tu ne connais même pas, mais tu es complètement folle. - Au début, j'étais comme toi. Plutôt prudente et méfiante. Mais l'idée a fait son chemin. Un jour, j'ai franchi le pas. J'ai donné mes clés. Le jour X est arrivé. J'éprouvais de l'appréhension. Je ne te parlerai pas de la suite, mais tout ce que je peux te dire, c'est qu'aujourd'hui, je ne peux plus m'en passer. Si tu veux profiter de ses visites, c'est très simple, tu m'envoies un trousseau de clés avec une étiquette où tu précises ton adresse, ton téléphone, et quel jour de la semaine tu veux baiser avec lui. Je reposai le combiné, troublée. Ouvrir ses cuisses, se laisser pénétrer par le sexe d'un homme que je verrai jamais: incroyable; moi si classique, si traditionnelle, j'ai un amant certes créatif mais dont je connais toutes les fantaisies. Baiser avec lui est un havre de bien-être, de complicité. Nos sexes se connaissent et se reconnaissent. Un passage aux toilettes me fit découvrir l'effet de cette conversation. Un jus clair, tiède s'écoulait de ma vulve, déjà en éveil à l'idée d'une telle rencontre. Je ne pus m'empêcher de me caresser pour apaiser d'un plaisir au singulier son attente. Me faire pénétrer par un homme que je ne connaîtrai jamais; le désir était né. Dès le soir, dans les bras de mon amant, je lui ai demandé de me bander les yeux; j'ai pensé à lui, lui que j'attends déjà. Tout mon corps, mon esprit se sont centrés sur son sexe, un membre superbe, tendu, turgescent, allant et venant. Le plaisir a envahi tout mon être. J'ai hurlé comme sous ses coups, j'ai joui avec une telle intensité jusqu'alors jamais ressentie. Le lendemain, l'envie était toujours là, pensée permanente trottant dans mon esprit. Toute la journée, j'ai essayé en vain de chasser ses fantasmes. Mais tous mes sens s'opposaient vivement. L'idée semée au cours de la soirée avait grandi et se défendait vigoureusement. Trois, quatre jours passèrent ainsi. Je restai dans une dualité qui ne m'apportait aucun répit. Un désir de plus en plus fort s'imposait au fil des jours, qui profitait à mon fiancé tout surpris de retrouver une dynamique dans notre couple. Xavier me demanda alors une explication, je lui répondis que je venais de remporter un très important contrat face à une agence concurrente. En réalité, je ne me sentais pas bien; j'avais rompu l'équilibre que j'avais si soigneusement réussi à construire. Le sixième jour, n'y tenant plus, je courus faire un double de mon trousseau de clé. Je mis le trousseau dans une enveloppe et l'envoyai à Juliette. Un frisson incroyable me parcourut quand je la glissai dans la fente de la boîte aux lettres, un avant-goût du plaisir animal qui prit place désormais dans ma vie. Je décidai le jour même de ne plus porter de sous-vêtements sous mes robes, délaissant ma lingerie La Perla. Ce soir-là, je fis l'amour avec un lâcher-prise qui laissa mon partenaire de jeu épuisé mais émerveillé. J'avais consenti à accepter l'un de ses plus grands fantasmes, un triolisme érotique avec une très jeune fille désirable et infatigable. Le premier jeudi arriva. Il fut au-delà de mes attentes; un moment rare. Depuis, ma vie a changé de couleurs: hier dans les couleurs pastel, aujourd'hui, jaune, rouge, verte: elle brille aux éclats comme un arc en ciel après la pluie. Je l'attends. Dès que je suis rentrée du bureau, j'ai pris une douche pour me détendre et chasser toute pensée professionnelle. Je me suis massée afin d'assouplir mon corps, le rendre plus animal, plus félin. Je l'ai parfumé délicatement, nappant mon intimité d'un voile odorant. Depuis que je le connais, j'ai rasé le duvet de mon pubis pour qu'il soit encore plus doux. Je suis là allongée sur le lit, mes sens en alerte. Le plaisir est là qui tient en éveil mon bas-ventre; les pointes de mes seins dardent dans l'attente de ses morsures. Mes yeux masqués ne voient plus le soleil ambiant. Soudain, j'entends la clé dans la serrure, qui la pénètre aussi efficacement que son sexe pénètre le mien. Il se déshabille sur le chemin qui mène à ma chambre, lançant ses chaussures sur son passage. Le frottement de sa chemise et de son jean sur sa peau est la plus douce musique, prélude à notre étreinte. Pour le reste, je suis incapable de savoir s'il porte un slip ou non. Il ne vient jamais directement dans le lit. Je sens son regard qui, centimètre après centimètre, prend possession de mon corps. Il ne me touche pas et pourtant déjà celui-ci se rend sous le coup de l'émotion. Qu'attend-il pour me prendre, je suis en manque de lui depuis une semaine. Il reste là à brûler ma peau. Je reste là à attendre, le sexe moite et impatient. Il se lève, rejoint le lit d'un pas tranquille et monte avec la souplesse d'un félin. Je ne peux toujours pas le toucher, car c'est lui qui mène le jeu. Il commence par mordiller les pointes de mes seins, en suçant les larges aréoles brunes, puis d'un coup me retourne exposant mes fesses à la lumière. Il attrape mes mains, et avec des menottes, me les attache dans le dos. Sa langue reprend sa douce promenade, découvre mollets, cuisses. Son trajet décrit des courbes ne pouvant me laisser prévoir aucune logique. Sa langue se glisse entre mes fesses, vient forcer mon intimité, ôtant lentement avec une délicatesse infinie le bijou anal qui lui interdisait l'accès à ma voie la plus étroite. Je dilate et je cambre pour mieux l'accompagner. Il la déflore avec un doigt, l'éveille d'un va-et-vient progressif, un deuxième, bientôt un troisième viennent rejoindre le premier. Je commence à partir, mes mains emprisonnées ne peuvent partir à sa découverte et me saisir de son sexe entre mes doigts. Il ose me prendre comme peu d'hommes ont osé. Il ne tient pas compte de mes cris, de mes suppliques: il fouille, prend, envahit, me fait mal, me libère pour mieux me reprendre. Quand il me sent au bord de l'extase, il me retourne. Sa langue reprend mon sexe, le suce avec avidité. Je hurle, j'aime sa douceur, sa force, sa violence, la chaleur de sa langue tonique. Je m'ouvre, impudique pour que ma chatte béante capte chacun de ses coups de langue, pour qu'il me pénètre au plus profond. J'ose lâcher tout l'animal qui est en moi, être pute, offerte, libre dans mon plaisir. À aucun moment, je ne me sens menacée ni jugée, je suis libre au pays d'Éros; une liberté qui me rend aussi dépendante de lui que d'une drogue. Je suis accro de sa peau, de sa bouche, de ses mains, de sa queue qui me délivre d'une attente d'être. Je le supplie de me pénétrer. Enfin, il répond à mon impatience et entreprend la découverte de mon sexe avec ses doigts. Quel plaisir de m'ouvrir, coulant sous le désir de ses caresses sur mon clitoris, mes petites et grandes lèvres. Mon corps se déchaîne; mes reins se cambrent pour mieux me livrer. Je brûle. Je perds toute pudeur. Mon vagin, mon anus, ma bouche, mes plis, ma chair veulent être pénétrés. Je le supplie. Esclave, je lâche prise. Son gland rosé, gonflé caresse le sillon de mes fesses. Il entre, je m'offre, je me laisse envahir, je suis pleine, je le guide, je rythme ses va-et-vient. Je suis lui, il est moi. J'aime d'être enfournée de sa queue si dure, campée, enfilée. Son plaisir est rapide, mais il se retient. Quand je le sens prêt, je l'appelle par mes parois et ma voix. Il crie, longtemps, au même rythme qu'il se vide en moi. Je happe ses jets, les suce, les conserve. Il s'effondre sur moi. Je suis dans l'entre-deux, espace intemporel, le voyage s'achève et la vie reprend. La trêve est terminée. Il me retire mes menottes. Il s'écarte de moi. Puis laisse ma peau abandonnée de son contact. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 02/07/20
Lorsqu'elle s'éveilla, le soleil déjà haut dans le ciel, s'était engouffré dans la chambre et la transformait peu à peu en étuve. Juliette rejeta les draps humides entortillés autour d'elle. Le radioréveil lui indiqua qu'il était plus de onze heures. Tout le monde avait dû partir au travail maintenant. Une journée comme les autres commençait dehors. Elle avait mal dormi. Elle se mit à trembler de façon nerveuse, elle savait qu'elle jouait gros maintenant, il lui aurait été facile de couper court à cette relation de soumission et de poursuivre sa vie de femme d'affaires à laquelle rien ne résistait, mais son estomac se serra, la chaleur du désir l'envahissait, l'irrésistible envie de découvrir un univers totalement inconnu pour elle, celui de l'abnégation. En s'habillant, toutes les bonnes résolutions de la nuit s'étaient envolées. Elle rendit les armes. Lorsqu'elle arriva à son bureau, Juliette portait un de ses tailleurs classiques qu'elle affectionnait particulièrement avant que Chloé ne lui impose des tenues provocantes; celui-ci, gris anthracite était composé d'une jupe droite lui arrivant juste au dessus des genoux et d'une veste croisée sur un chemisier blanc au col entrouvert, mettant en valeur un collier de perles fines; sous ce chemisier, un soutien-gorge balconnet transparent aux baleines rigides, rehaussant ses seins aux larges aréoles brunes; comme l'avait exigé sa nouvelle maîtresse, sous sa jupe, rien qu'une paire de bas fins noirs, un porte-jarretelle de la même couleur, et un plug anal destiné à l'élargir. Elle sentait l’étau se resserrer sur elle, et pourtant cet étau, c'est elle qui l'avait mis en place, elle une femme de pouvoir, fière et crainte de tous, une femme de décisions, froide en affaires, distante avec ses subordonnés. Laurence avait exigé d'elle qu'elle séduise Chloé, la jeune stagiaire que Juliette venait d'embaucher. Elle y parvint facilement car cette jeune fille, sous ses apparences innocentes, était en fait une jeune femme très libérée qui avait compris tout l'intérêt qu'elle pourrait tirer de la situation. Bien que n'étant pas lesbienne, elle accepta cette relation inédite, mais elle se rendit vite compte que Juliette, sous ses attitudes hautaines avait des comportements qui laissaient deviner qu'elle était d'une nature soumise, alors elle décida de la tester. Juliette se sentant prise à son propre piège, se retrouvait maintenant à quarante-deux ans à la merci de ces deux gamines de vingt-trois et dix-neuf ans, mais paradoxalement de ce piège démoniaque elle jouissait, son esprit rejetait cette situation mais son corps la demandait. C'était une femme qui avait beaucoup de classe, se tenant très droite, toujours habillée avec élégance, ses cheveux châtains souvent coiffés en chignon; sportive elle avait gardé un corps ferme et bien proportionné avec une poitrine superbe. Arrivant au bureau son sang se glaça quand elle vit Laurence souriante dans le hall qui discutait avec Chloé, un café à la main. - On va aller à ton bureau on a des choses à te dire. Tremblante elle les précéda, les deux jeunes femmes s'assirent, Juliette allait s'asseoir quand Laurence la stoppa. - Reste debout. - Ecoutez, j'en ai assez de tout ça, on est allé trop loin, je ne vous en veux pas mais restons en là, je vous prie, je reconnais que c'est un jeu excitant mais je ne veux pas que ça interfère dans ma vie professionnelle. - C'est justement de ça que nous discutions avec Laurence, ne t'inquiète pas, nous n'en voulons pas à ton argent, tout ce qui se passe et qui se passera entre nous est strictement privé, on veut juste te faire comprendre qu'une femme comme toi n'est qu'une femme ordinaire, tu te crois supérieure ? Alors on va te faire comprendre la vie, tu m'as souvent humiliée, traitée comme une moins que rien mais en vérité, tu es juste une salope. - Je t'avais prévenue, je t'ai demandé si tu savais à quoi tu t'engageais en acceptant de m'appartenir, tu as dis oui il me semble... Alors, tu es à moi, point final. - Tu es une salope, dis-le. - Je... Je suis une salope. - Voilà au moins c'est clair, alors écoute bien ce que je vais te dire. J'en ai mare de toi, j'ai plus envie de te voir, maintenant tu es devenue une vraie gouine et j'aime pas les gouines, je préfère les bites bien dures, alors je te donne à Laurence, c'est une brave fille mais elle a envie de s'amuser un peu avec toi, donc tu l'écouteras comme si c'était moi. Ok ? - À toi de jouer, Chloé. Le lendemain matin lorsqu'elle arriva à ses bureaux, Chloé étant à l'accueil, lui fit un clin d'oeil, Juliette détourna le regard faisant mine de n'avoir rien remarqué. Cinq minutes plus tard, on frappait à la porte de son bureau. - Oui entrez. Chloé entra et referma la porte. - Tu m'ignores ? - Non Chloé, mais nous sommes au bureau ici, c'est différent. - Différent de quoi ? Tu me prends pour une imbécile ? Tu veux que j'appelle Laurence ? - Non ne fais pas ça, je ne veux pas me facher avec elle et puis tu es une amie maintenant, je te prie de m'excuser, je ne voulais pas te vexer. - Ton amie ? Je vais te montrer si on est juste amies. Chloé s'approcha d'un pas vif et l'embrassa à pleine bouche fourrant sa langue au plus profond de sa gorge, puis lui mordit les lèvres. Juliette, les mains posées sur son bureau, crispa les papiers qu'elle avait sous les mains. Chloé lui lui saisit la main droite et la lui fourra entre ses cuisses. - Vas-y branle moi. Juliette était morte de peur et résista. - Tu veux que je te le dises plus fort ? Ça ferait mauvais effet non ? Juliette céda, Laurence jouissait de la situation, elle sentait que sa patronne cédait à ses caprices. - Plus vite, mieux que ça. Chloé, pendant ce temps malaxait la poitrine de Juliette, par dessus son chemisier puis elle lui saisit sa main et la fourra sous son string. - Tu sais très bien où il faut caresser, je n'ai plus envie de te le demander, je veux un orgasme. Elle s'appliqua sur son clitoris, puis au bout d'un moment, Chloé lui prit la main fermement et l'amena sur le canapé en cuir du bureau, elle la positionna la tête sur un accoudoir, puis elle écarta les cuisses et se positionna à cheval au dessus de sa tête. - Vas-y suce moi, et fais le bien. Juliette lui suça le clitoris, Chloé s'accroupit un peu plus de façon, à ce que sa patronne ait la bouche et le nez fourrés dans sa vulve, puis la jeune fille se retourna, se baissa et lui mit ses fesses au niveau de sa bouche puis elle écarta ses cuisses avec ses deux mains, sa position était inconfortable, mais ça valait le coup. - Suce moi le cul, Laurence m'a dit que tu le faisais bien. Pendant ce temps, Chloé se caressait le clitoris et Juliette, elle aussi se caressait le sien. Rapidement elles jouirent toutes les deux puis Chloé se releva et se retourna vers elle. - Laurence avait raison, tu es une vraie salope, mais avec moi tu vas l'être encore plus, d'abord quand on aura des relations, je ne veux plus que tu te caresses, tu te caresseras quand j'aurais fini et je te surveillerai. Ton but ce sera de me faire jouir, moi je m'en fous de toi, tu auras le droit de te caresser, après toute seule. C'est ok ? - Maintenant, enlève tout ce qui te reste. Mets-toi toute nue, couche-toi à plat ventre, croise les chevilles et mets les mains dans le dos. Allez. Exécution. Tandis que, s'étant agenouillée, Juliette obéissait en silence, elle entendit Chloé sortir de son sac un objet qui tintait de façon métallique. - J'ai acheté quelque chose pour toi. Un beau jouet. Tu vas adorer, j'en suis sûre. Donne-moi tes bras. Deux claquements secs et les poignets de Juliette furent pris dans les collets d'une paire de menottes. Chloé la poussa à plat ventre, lui plia les jambes à l'équerre et emprisonna ses chevilles de la même manière. - Ce ne sont pas des menottes ordinaires, espèce de chienne. Tu vois, il y a quatres bracelets accrochés au même anneau. Voilà ce qui s'appelle être pieds et poings liés. Cela te plait ? Si je voulais, je pourrais être vraiment cruelle avec toi, Juliette. Contrainte ainsi, je saurais bien te faire hurler en te fouettant jusqu'au sang. Mais tu aimerais trop. Dans le fond, ça t'excite beaucoup d'être soumise ainsi. C'est parfait, tu vas voir, on va bien s'amuser ensemble. Puis Chloé se dirigea vers la porte et avant de sortir se retourna pour contempler Juliette. Le lendemain matin, lorsque elle arriva au bureau, elle était vétue de son tailleur gris anthracite, classique, jupe très au dessus des genoux, chemisier blanc, chaussures à talons hauts. Chloé, quand elle la vit arriver lui fit un clin d'oeil, elle lui répondit par un petit sourire géné. Cinq minutes plus tard, on frappait à sa porte, sans attendre de réponse, Chloé entra et referma la porte puis vint s'asseoir sur une chaise en face de Juliette. - Bon, je suis contente de toi, je vois que tu commences à t'y faire, on va passer à l'étape suivante, tu vas aller chercher des cigarettes mais ensuite tu t’assiéras à une table et tu commanderas un café, je ne serais pas loin de toi mais on fera comme si on ne se connaissait pas, je vais t'appeler, tu mettras un écouteur à l'oreille, on sera en ligne et je te donnerai des instructions. Rassure-toi, on est dans ton quartier et je ne te demanderai pas des choses extravagantes. Juliette fit un geste de la tête pour montrer qu'elle avait compris. Elle arriva donc dans le bar-tabac et acheta les cigarettes puis elle alla s'asseoir au fond de la salle et commanda un café. Ce jour-là elle avait opté pour une jupe classique noire au dessus des genoux et une veste cintrée grise. Sous cette veste, elle portait un chemisier blanc en satin. Tenue tout à fait classique sauf que Chloé lui avait interdit de porter un soutien-gorge, la poitrine de Juliette était ferme de sorte qu'on devinait bien les pointes à travers le chemisier, vu la taille généreuse de cette poitrine, lorsqu'elle marchait, elle ne pouvait empêcher un balancement de ses seins. Cela ne dura pas longtemps, une habituée de la brasserie qui l'avait observée depuis le début se dirigea vers elle pour lui demander l'heure, puis lui demanda si elle pouvait s'asseoir à sa table. Accepte, entendit-elle dans l'écouteur. La femme qui devait avoir une trentaine d'années portait un jean et un tee-shirt, elle était séduisante, avec des cheveux coupés courts; elle commanda un café, puis souriante, commença à lui parler de tout et de rien, observant d'une manière très peu discrète sa poitrine entre sa veste entrouverte. Juliette rougit de cette situation, elle n'avait pas l'habitude de parler à une inconnue. Enlève ta veste, entendit-elle dans son écouteur. Hésitant un moment elle finit par obtempérer. Bientôt, l'inconnue sortit un mouchoir et s'essuya les lèvres, la poitrine de Juliette à travers ce léger chemisier satin était plus que devinable. Alors prenant cela pour une invitation, elle s'approcha d'elle et lui glissa à l'oreille: - J'habite à côté, tu viens ? Elle entendit dans son écouteur: - Accepte et surtout, céde à toutes ses exigences. Retire discrètement ton plug anal et donne le moi. Je crois deviner ses fantasmes. Tu vas passer un bon moment avec elle. Elle aime l'anal et l'urolagnie. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 30/06/20
On ne peut pas mesurer nos vies à nos dernières années. De cela, j'en étais certaine. J'aurais dû deviner ce qui m'attendait. Avec le recul, il me semble que c'était évident, mais les premiers temps, je trouvais que ces incohérences étaient compréhensibles et n'avaient rien d'unique. Elle oubliait où elle posait ses clés, mais à qui n'est-ce jamais arrivé ? Elle ne se rappelait pas non plus le nom d'un voisin, mais pas quand il s'agissait de quelqu'un que nous connaissions bien. Elle réprima un certain sentiment de tristesse, espèrant un jour, qu'il changerait. Il l'avait souvent promis et y parvenait en général quelques semaines avant de retomber dans la même routine. Elle n'aimait pas en discuter avec lui, essentiellement parce qu'elle savait qu'elle lui disait la vérité. Son travail était très prenant, aussi bien avant son agrégation de lettres. Elle longea une galerie d'art sans presque la remarquer tant elle était préoccupée, puis elle tourna les talons et revint sur ses pas. Elle s'arrêta une seconde devant la porte, étonnée en constatant qu'elle n'avait jamais mis les pieds dans une galerie d'art depuis une éternité. Au moins trois ans, peut-être plus. Pourquoi les avait-elle évitées ? Elle pénétra dans la boutique et déambula parmi les tableaux. Nombre des artistes étaient du pays, et on retrouvait la force présence de la mer dans leurs toiles. Des marines, des plages de sable, des pélicans, des vieux voiliers, des remorqueurs, des jetées et des mouettes. Et surtout des vagues. De toutes les formes, de toutes les tailles, de toutes les couleurs inimaginables. Au bout d'un moment, elle avait le sentiment qu'elles se ressemblaient toutes. Les artistes devaient manquer d'inspiration ou être paresseux. Sur un mur étaient accrochées quelques toiles qui lui plaisaient davantage. Elles étaient l'œuvre d'un artiste dont elle n'avait jamais entendu parler. La plupart semblait avoir été inspirées par l'architecture des îles grecques. Dans le tableau qu'elle préférait, l'artiste avait délibérément exagéré la scène avec des personnages à une petite échelle, de larges traits et de grands coups de pinceaux, comme si sa vision était un peu floue. Les couleurs étaient vives et fortes. Plus elle y pensait, plus elle l'aimait. Elle songeait à l'acheter quand elle se rendit compte que la toile lui plaisait parce qu'elle lui rappelait ses propres œuvres. Nous nous étions connus en khâgne au lycée Louis-le-Grand puis rencontrés par hasard sur la plage de Donant à Belle île en Mer un soir d'été. Il n'a pas dû beaucoup changer: il avait à présent vingt-trois ans, il venait de réussir comme elle l'agrégation de lettres classiques. Comme lui, j'avais conservé un air très juvénile, perpétuant mon adolescence; les visages en disent autant que les masques. Les yeux noisette, des cheveux noirs, coupés très courts, presque à ras, et la peau hâlée au soleil, épanouie, à moins de détecter quelques signes d'angoisse dans ce léger gonflement de veines sur les tempes, mais pourrait être aussi bien un signe de fatigue. Je l'ai appelé, le soir. Nous avions convenu d'un rendez-vous chez lui. Il m'a ouvert. "Tu es en retard" a-t-il dit. J'ai rougi, je m'en rappelle d'autant mieux que je n'en fais pas une habitude. Je ne comprenais pas pourquoi ses moindres propos me gênaient ainsi. Il m'a aidée à ôter mon imperméable; il pleuvait pour changer, mes cheveux étaient mouillés; il les a ébourriffés comme pour les sécher, et il les a pris à pleine main, il m'a attirée à lui, je me suis sentie soumise, sans volonté. Il ne m'a pas embrassée, d'ailleurs, il ne m'a jamais embrassée, depuis quatre ans. Ce serait hors propos. Il me tenait par les cheveux, il m'a fait agenouiller. Puis, il a retiré mon pull, mon chemisier et mon soutien gorge. J'étais à genoux, en jean, torse nu, j'avais froid; quand je pense à nos rapports, depuis, il y a toujours cette sensation de froid, il a le chic pour m'amener dans des endroits humides, peu chauffés. Il m'a ordonné de ne pas le regarder, de garder le visage baissé. D'ouvrir mon jean, de ne pas le descendre. Il est revenu vers moi. Il a défait sa ceinture, il m'a caressé la joue avec le cuir. C'est à ce moment-là que j'ai réalisé que j'étais littéralement trempée. Je dégoulinais, j'avais le ventre en fusion et j'étais terrorisée. Il a fini de défaire son pantalon, et il m'a giflé, plusieurs fois, avec sa queue, avant de me l'enfoncer dans sa bouche. Il était si loin, du premier coup, que j'en ai eu une nausée. Il avait un sexe robuste, rectiligne, large à la base, plus grosse que mon poignet. J'ai commencé à aller et venir de mon mieux. Je me suis dit que j'avais bien mérité de sucer ce membre épais. C'était comme un viol désiré. J'étouffais un peu. C'était la première fois. Pour tout d'ailleurs, c'était la première fois. Quand il est passé derrière moi et qu'il m'a descendu le jean à mi-cuisse. Qu'il m'a ordonné de me pencher, la tête dans les mains, les fesses offertes. Quand il m'a pénétrée du bout des doigts, essayant la solidité de mon hymen, avant d'enfoncer ses doigts dans mon anus, trois doigts, d'un coup, c'était juste avant qu'il me sodomise; pas un instant, à ce moment-là, je n'ai pensé qu'il pourrait me prendre autrement. Il est revenu dans ma bouche, sa verge avait un goût acre que j'ai appris à aimer, mais là encore, il n'a pas joui. Il le faisait exprès, bien sûr. Il a achevé de me déshabiller, il m'a fait marcher à quatre pattes, de long en large. Nous sommes allés dans la cave, où il m'a fait allonger sur une table en bois, très froide; il y avait une seule lampe au plafond et il m'a ordonné de me caresser, devant lui, en écartant bien les cuisses. La seule idée qu'il regardait mes doigts m'a fait jouir presque tout de suite. Il me l'a reproché bien sur, c'était le but du jeu. J'étais pantelante, j'avais joui si fort que j'en avais les cuisses innondées, bientôt, il s'est inséré entre mes jambes, les a soulevées pour poser mes talons sur ses épaules, j'ai voulu le regarder mais j'ai refermé les yeux, à cause de la lumière qui m'aveuglait, et il m'a dépucelée. J'ai eu très mal, très brièvement, j'ai senti le sang couler, du moins j'ai cru que c'était du sang, il a pincé la pointe de mes seins, durement, et j'ai rejoui aussitôt. Quand il est ressorti de moi, il n'avait toujours pas éjaculé, il m'a dit que j'étais une incapable, une bonne à rien. Il a dégagé sa ceinture de son pantalon, et il m'a frappée, plusieurs fois, sur le ventre et sur les seins. J'ai glissé à genoux, et je l'ai repris dans ma bouche, il n'a pas arrêté de me frapper, le dos, les fesses, de plus en plus fort, et j'ai arrêté de le sucer parce que j'ai joui à nouveau. C'était un affront pour lui. Il a saisi une tondeuse à cheveux et il m'a rasé la tête. Sanglottante, il m'a dit de me rhabiller, tout de suite, sans me laver, le jean taché du sang qui coulait encore, le slip souillé par son sperme. Je lui ai demandé où étaient les toilettes. Il m'y a amenée, il a laissé la porte ouverte, me regardant avec intérêt, sans trop le monter, ravi de ma confusion quand le jet de pisse frappa la cuvette comme une fontaine drue. Il m'a donné en détail, le protocole de nos rencontres. Les heures exactes, mes positions de soumission, le collier et la lingerie que je devrais porter et ne pas porter. Il m'a ordonné d'aller tout de suite chez un sellier acheter une cravache de dressage en précisant que le manche devait être métallique. - Qu'est-ce que tu es ? M'a-t-il demandé ? - Je ne suis rien. - Non, a-t-il précisé, tu es moins que rien, tu es mon esclave. - Je suis ton esclave, oui. Cinq jours plus tard, nouveau rendez-vous, juste après les cours. J'ai apporté la cravache. La porte était entrouverte, je suis entrée et je l'ai cherchée des yeux. Il ne paraissait pas être là. Je me suis déshabillée, et je me suis agenouillée, au milieu du salon, les mains à plat sur les genoux en cambrant les reins, devant un lourd guéridon bas où j'avais posé la cravache. Il m'a fait attendre un temps infini. Il était là, bien sûr, à scruter mon obéissance. Ce jour-là, il s'est contenté de me frapper sur les reins, les fesses et les cuisses, en stries parallèles bien nettes en m'ordonnant de compter un à un les coups. Ce fut tout ce qu'il dit. À dix, j'ai pensé que ça devait s'arrêter, qu'il faisait cela juste pour dessiner des lignes, et que je n'allais plus pouvoir me retenir longtemps de hurler. À trente, je me suis dit qu'il allait se lasser, que les lignes devaient se chevaucher, constituer un maillage, et que ça ne présentait plus d'intérêt, sur le plan esthétique. J'ai failli essayer de me relever mais il m'avait couchée sur le bois, et m'avait ligoté les poignets et les chevilles aux pieds de la table. Il s'est arrêté à soixante, et je n'étais plus que douleur, j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. Il s'est arrêté, il m'a caressée avec le pommeau métallique de la cravache, qu'il a insinué en moi, par une voie puis l'autre. J'ai compris qu'il voulait entendre les mots, et je l'ai supplié de me sodomiser au plus profond, de me déchirer. Mais il est d'abord venu dans ma bouche. J'avais les yeux brouillés de larmes, et je m'étouffais à moitié en le suçant. Me libérant la la bouche, il s'est décidé à m'enculer, sans préparation, pour me faire mal. Il se retira pour me frapper encore cinq ou six fois sur les seins en me meutrissant les pointes. Je me mordais les lèvres au sang pour ne pas hurler. Il m'a donné un coup juste à la pliure des genoux, et je me suis affalée sur le sol glacé. Il m'a traînée dans un coin, et il m'a attachée avec des menottes à une conduite d'eau qui suintait. En urinant sur ma tête rasé, il me promit de me marquer au fer lors de la prochaine séance. J'avais de longues traînées d'urines sur le visage et sur les seins. Au fond, c'était un pâle voyou qui avait fait des études supérieures. Et qui m'avait devinée dès le début. Il avait su lire en moi ce qu'aucun autre n'avait lu. J'ai fréquenté, un temps, certains cercles spécialisés, ou qui se prétendent tels. Des Maîtres, jouisseurs, toujours si affolés à l'idée que l'on puisse aimer la souffrance et les humiliations, capables d'élaborer un scénario d'obéissance, où toutes les infractions sont codifiées et punies mais sans s'interroger jamais sur la raison ou la déraison qui me pousse à accepter ces jeux. Car c'est alors que mon corps peut s'épanouir, se donnant à part entière. C'est l'extase, la jouissance exacerbée par des rites souvent inattendus, l'abnégation de soi. Il est peu probable que si j'avais su qu'un jour je devrais figurer nue dans un roman, j'aurais refusé de me déshabiller. J'aurais tout fait pour qu'on mentionne plutôt mon goût pour le théâtre de Tchekhov ou pour la peinture de Bonnard. Mais je ne le savais pas. J'allais absolument nue, avec mes fesses hautes, mes seins menus, mon sexe épilé, mes pieds un peu grands comme si je n'avais pas terminé ma croissance et une jeune femme qui s'était entiché de mes jambes. À cet instant, elle a les doigts serrés autour de ma nuque et la bouche collée sur mes lèvres. Comme si après une longue absence, je retrouvais enfin le fil de mon désir. De crainte que je le perde à nouveau. Nous restâmes toutes les deux aux aguets, tendues, haletantes, tandis que l'obscurité se répandait jusqu'au fond de la chambre. Elle voulut me dire autre chose à propos de la chasteté, mais ce ne fut pas le moment alors elle me prit la main et nous demeurèrent silencieuses. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 11/06/20
Ce fut un coup frappé à la porte qui la réveilla, deux heures plus tard. Déjà, le désir parcourait son corps. La persévérance signifiait qu'il prenait très au sérieux les sentiments qu'il éprouvait pour elle. Mais en même temps, toutes les attentions qu'il lui prodiguait la déstabilisaient. Elles ne lui laissaient pas le temps de souffler et rendaient plus difficile encore la possibilité de lui résister. Charlotte songea à s'enivrer avec le champagne. Ainsi elle n'aurait pas à réfléchir ni à prendre de décision. Elle porterait le bandeau. Tout ne lui serait pas infligé à la fois, elle aurait le loisir de crier, de se débattre, mais de jouir aussi, tant il prenait plaisir à lui arracher ces indubitables témoignages de son pouvoir. Il n'était pas dans ses habitudes de fuir les responsabilités. Elle avait découvert la subtilité et la délicatesse du jeu des relations entre le maître et son esclave. Elle devait savoir indiquer à l'inconnu les limites à ne pas franchir. L'autorité absolue est un savant jeu d'équilibre, le moindre faux pas romprait l'harmonie et au-delà briserait la considération qu'ils se porteraient l'un à l'autre. Toute femme a ses limites, elle a les siennes. Il ne pourrait aller au delà des limites acceptées, moralement ou physiquement. Toute dérogation à cette règle serait dangereuse. En cela, elle s'accorderait du plaisir et une nuit d'amour car il avait la générosité de ne pas la priver d'orgasme. Charlotte devrait lui accorder les privilèges de sa fonction. Lui procurer le bonheur grisant de la dominer tout en se préservant quelque indépendance, car alors la punition qui s'ensuivrait serait source de plaisir pour l'un et l'autre. Se soumettre, endurer, désobéir et jouir dans la contrainte. Elle avait pris conscience de son pouvoir sur l'homme. Car c'est une évidence qu'ignorent les non-initiés à cet univers qu'elle pénétrait, marginal et si envoûtant. Il ne serait jamais celui que l'on croit. En réalité il serait en état de dépendance totale vis à vis d'elle. Il existerait et ne trouverait sa place ou sa justification que par rapport à elle. Par ce jeu subtil de rapports de force, elle serait certainement celle qui exercerait le véritable pouvoir dans leur relation. Même s'il la pousserait certainement au paroxysme de l'épuisement et de la souffrance physiques lors de séances très éprouvantes. Elle l'accepterait tout de lui pour autant qu'il n'abuse pas trop de la situation de dépendance engendrée par l'amour qu'elle lui portait en la forçant à accepter des épreuves trop humiliantes. Elle se pencha au-dessus des lis, huma leur parfum. Elle aimait les fleurs fraîches, le champagne, le déshabillé et le symbole des menottes. Mais qui ne les aimerait pas ? Cela ne signifiait pas qu'elle était prête à succomber à la requête de l'inconnu. Et toutes ces attentions. Elle ne savait pas ce qu'il pensait vraiment d'elle. Elle avait voulu le séduire, mais en réalité, il l'avait soumise. Sur la terrasse de la suite, elle avait désiré être sodomisée et elle avait joui mais ensuite dans le reflet de la lumière de la chambre, attachée, l'homme l'avait fouettée avec sa ceinture. Les traces sur son corps la rendaient fière. Elle souhaita seulement qu'il fut également heureux, si le le supplice était le prix à payer pour que son amant continuât à l'aimer. Pour s'engager plus avant, elle aurait besoin de savoir qu'il l'aimait. Mais comment pouvait-il le lui prouver ? Lui avait-elle, à dessein, assigné une tâche impossible ? Avait-elle aussi peur qu'il le pensait ? Charlotte portait un collier de soumission mais elle n'avait pas les clefs, encore moins celles des chaînes de leur relation amoureuse. Elle se sentait incapable de répondre à toutes ces questions. Elle prit la paire de menottes et le bandeau. Elle fit glisser ce dernier entre ses doigts. Devait-elle poursuivre leur relation et offrir une chance à ce lien si fort qui les unissait ? Elle n'aurait su le dire mais secrètement elle l'espérait. Son corps l'exigeait. Alors que dix-neuf heures approchait, elle se doucha, et s'habilla. Une simple robe légère, et en dessous une paire de bas tenue par un porte-jarretelle; porter des sous-vêtements aurait été maladroit. Elle noua le bandeau sur ses yeux. Les cinq minutes passèrent trop vite et lorsqu'on frappa à la porte, elle se sentit la gorge sèche. Elle l'entendit rentrer. Sa voix profonde, sensuelle, fit courir un frisson le long de son dos et naître aussitôt le désir au creux de ses reins, de son ventre. Déjà, ses seins se dressaient, pressant la soie de son décolleté. Très vite, elle compris qu'elle avait pris la bonne décision. Et qu'importe ce qu'il adviendrait ensuite, elle était prête à vivre tous ses fantasmes. - Il y a une chose qu'il faut que vous sachiez si vous me prenez en charge ce soir. - De quoi s'agit-il ? - Je ne porte pas de lingerie. Par conséquent, je suis nue sous ma robe. - J'aimerais beaucoup voir. Les doigts tremblants, elle saisit l'ourlet et fit remonter le tissu le long de sa cuisse. Jamais elle ne s'était sentie aussi indécente et elle adorait cela. Elle écarta légèrement les cuisses. Elle se sentait déjà humide, prête pour lui. S'il ne la touchait pas très vite, elle allait s'évanouir. Il laissa un doigt glisser vers l'intérieur de son entrecuisse, puis il effleura son clitoris. Charlotte frissonna, le corps parcouru de sensations délicieuses. - Nous n'allons pas faire l'amour ? - D'abord, nous allons poursuivre votre apprentissage. Avez-vous aimé la séance d'hier ? - Oui, je vous aime quand vous me dominez. Elle se sentait rassurée. Il lui ordonna de se déshabiller totalement et de se débarrasser de ses talons hauts. Il glissa quelque chose de doux et de soyeux autour de ses poignets et l'attacha. Elle testa ses liens. Elle pouvait bouger de quelques centimètres. Ce qu'elle fit, et dans la position où elle se trouvait, le désir crût soudain dans ses reins. Alors il décida de la contraindre, les bras maintenus dans le dos à l'aide de la paire de menottes métalliques. - Je voudrais vous fouetter, et cette fois, je vous le demande. Acceptez-vous ? - Vous connaissez la réponse, je vous aime. Il lui enchaîna les mains au dessus de sa tête, à l'anneau fixé au plafond qui soutenait le lustre de la chambre. Quand elle fut ainsi liée, il l'embrassa. Lorsqu'elle reçut le premier coup de fouet, elle comprit qu'il s'agissait d'un martinet souple utilisé de façon à lui chauffer le corps avant d'autres coups plus violents. Puis, du martinet, l'homme passa à la cravache. Elle en devina la morsure particulière au creux de ses reins. Cela devait être une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. Maniée avec précision et nuance, chaque coup reçu lui semblait différent, selon que la mèche de cuir la frappait à plat, ou au contraire sur toute la longueur de la tige. Charlotte oublia toutes ses résolutions pour se mettre à crier sous la morsure intolérable des coups. Le tout avait duré une dizaine de minutes. Il s'arrêta. Elle ressentit un apaisement. L'inconnu lui ôta le bandeau qui la rendait aveugle. Quand il la prit dans ses bras, le coton de sa chemise lui agaça la pointe des seins. Il l'embrassa, l'étendit sur le lit, se coucha contre elle, et lentement et tendrement, il la prit, allant et venant dans les deux voies qui lui étaient offertes, pour finalement se répandre dans sa bouche, qu'ensuite il embrassa encore. Elle trouva la force de lui répéter qu'elle l'aimait. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 03/06/20
Lorsqu'elle s'éveilla, le soleil déjà haut dans le ciel, s'était engouffré dans la chambre et la transformait peu à peu en étuve. Juliette rejeta les draps humides entortillés autour d'elle. Le radioréveil lui indiqua qu'il était plus de onze heures. Tout le monde avait dû partir au travail maintenant. Une journée comme les autres commençait dehors. Elle avait mal dormi. Elle se mit à trembler de façon nerveuse, elle savait qu'elle jouait gros maintenant, il lui aurait été facile de couper court à cette relation de soumission et de poursuivre sa vie de femme d'affaires à laquelle rien ne résistait, mais son estomac se serra, la chaleur du désir l'envahissait, l'irrésistible envie de découvrir un univers totalement inconnu pour elle, celui de l'abnégation. En s'habillant, toutes les bonnes résolutions de la nuit s'étaient envolées. Elle rendit les armes. Lorsqu'elle arriva à son bureau, Juliette portait un de ses tailleurs classiques qu'elle affectionnait particulièrement avant que Chloé ne lui impose des tenues provocantes; celui-ci, gris anthracite était composé d'une jupe droite lui arrivant juste au dessus des genoux et d'une veste croisée sur un chemisier blanc au col entrouvert, mettant en valeur un collier de perles fines; sous ce chemisier, un soutien-gorge balconnet transparent aux baleines rigides, rehaussant ses seins aux larges aréoles brunes; comme l'avait exigé sa nouvelle maîtresse, sous sa jupe, rien qu'une paire de bas fins noirs, un porte-jarretelle de la même couleur, et un plug anal destiné à l'élargir. Elle sentait l’étau se resserrer sur elle, et pourtant cet étau, c'est elle qui l'avait mis en place, elle une femme de pouvoir, fière et crainte de tous, une femme de décisions, froide en affaires, distante avec ses subordonnés. Laurence avait exigé d'elle qu'elle séduise Chloé, la jeune stagiaire que Juliette venait d'embaucher. Elle y parvint facilement car cette jeune fille, sous ses apparences innocentes, était en fait une jeune femme très libérée qui avait compris tout l'intérêt qu'elle pourrait tirer de la situation. Bien que n'étant pas lesbienne, elle accepta cette relation inédite, mais elle se rendit vite compte que Juliette, sous ses attitudes hautaines avait des comportements qui laissaient deviner qu'elle était d'une nature soumise, alors elle décida de la tester. Juliette se sentant prise à son propre piège, se retrouvait maintenant à quarante-deux ans à la merci de ces deux gamines de vingt-trois et dix-neuf ans, mais paradoxalement de ce piège démoniaque elle jouissait, son esprit rejetait cette situation mais son corps la demandait. C'était une femme qui avait beaucoup de classe, se tenant très droite, toujours habillée avec élégance, ses cheveux châtains souvent coiffés en chignon; sportive elle avait gardé un corps ferme et bien proportionné avec une poitrine superbe. Arrivant au bureau son sang se glaça quand elle vit Laurence souriante dans le hall qui discutait avec Chloé, un café à la main. - On va aller à ton bureau on a des choses à te dire. Tremblante elle les précéda, les deux jeunes femmes s'assirent, Juliette allait s'asseoir quand Laurence la stoppa. - Reste debout. - Ecoutez, j'en ai assez de tout ça, on est allé trop loin, je ne vous en veux pas mais restons en là, je vous prie, je reconnais que c'est un jeu excitant mais je ne veux pas que ça interfère dans ma vie professionnelle. - C'est justement de ça que nous discutions avec Laurence, ne t'inquiète pas, nous n'en voulons pas à ton argent, tout ce qui se passe et qui se passera entre nous est strictement privé, on veut juste te faire comprendre qu'une femme comme toi n'est qu'une femme ordinaire, tu te crois supérieure ? Alors on va te faire comprendre la vie, tu m'as souvent humiliée, traitée comme une moins que rien mais en vérité, tu es juste une salope. - Je t'avais prévenue, je t'ai demandé si tu savais à quoi tu t'engageais en acceptant de m'appartenir, tu as dis oui il me semble... Alors, tu es à moi, point final. - Tu es une salope, dis-le. - Je... Je suis une salope. - Voilà au moins c'est clair, alors écoute bien ce que je vais te dire. J'en ai mare de toi, j'ai plus envie de te voir, maintenant tu es devenue une vraie gouine et j'aime pas les gouines, je préfère les bites bien dures, alors je te donne à Laurence, c'est une brave fille mais elle a envie de s'amuser un peu avec toi, donc tu l'écouteras comme si c'était moi. Ok ? - À toi de jouer, Chloé. Le lendemain matin lorsqu'elle arriva à ses bureaux, Chloé étant à l'accueil, lui fit un clin d'oeil, Juliette détourna le regard faisant mine de n'avoir rien remarqué. Cinq minutes plus tard, on frappait à la porte de son bureau. - Oui entrez. Chloé entra et referma la porte. - Tu m'ignores ? - Non Chloé, mais nous sommes au bureau ici, c'est différent. - Différent de quoi ? Tu me prends pour une imbécile ? Tu veux que j'appelle Laurence ? - Non ne fais pas ça, je ne veux pas me facher avec elle et puis tu es une amie maintenant, je te prie de m'excuser, je ne voulais pas te vexer. - Ton amie ? Je vais te montrer si on est juste amies. Chloé s'approcha d'un pas vif et l'embrassa à pleine bouche fourrant sa langue au plus profond de sa gorge, puis lui mordit les lèvres. Juliette, les mains posées sur son bureau, crispa les papiers qu'elle avait sous les mains. Chloé lui lui saisit la main droite et la lui fourra entre ses cuisses. - Vas-y branle moi. Juliette était morte de peur et résista. - Tu veux que je te le dises plus fort ? Ça ferait mauvais effet non ? Juliette céda, Laurence jouissait de la situation, elle sentait que sa patronne cédait à ses caprices. - Plus vite, mieux que ça. Chloé, pendant ce temps malaxait la poitrine de Juliette, par dessus son chemisier puis elle lui saisit sa main et la fourra sous son string. - Tu sais très bien où il faut caresser, je n'ai plus envie de te le demander, je veux un orgasme. Elle s'appliqua sur son clitoris, puis au bout d'un moment, Chloé lui prit la main fermement et l'amena sur le canapé en cuir du bureau, elle la positionna la tête sur un accoudoir, puis elle écarta les cuisses et se positionna à cheval au dessus de sa tête. - Vas-y suce moi, et fais le bien. Juliette lui suça le clitoris, Chloé s'accroupit un peu plus de façon, à ce que sa patronne ait la bouche et le nez fourrés dans sa vulve, puis la jeune fille se retourna, se baissa et lui mit ses fesses au niveau de sa bouche puis elle écarta ses cuisses avec ses deux mains, sa position était inconfortable, mais ça valait le coup. - Suce moi le cul, Laurence m'a dit que tu le faisais bien. Pendant ce temps, Chloé se caressait le clitoris et Juliette, elle aussi se caressait le sien. Rapidement elles jouirent toutes les deux puis Chloé se releva et se retourna vers elle. - Laurence avait raison, tu es une vraie salope, mais avec moi tu vas l'être encore plus, d'abord quand on aura des relations, je ne veux plus que tu te caresses, tu te caresseras quand j'aurais fini et je te surveillerai. Ton but ce sera de me faire jouir, moi je m'en fous de toi, tu auras le droit de te caresser, après toute seule. C'est ok ? - Maintenant, enlève tout ce qui te reste. Mets-toi toute nue, couche-toi à plat ventre, croise les chevilles et mets les mains dans le dos. Allez. Exécution. Tandis que, s'étant agenouillée, Juliette obéissait en silence, elle entendit Chloé sortir de son sac un objet qui tintait de façon métallique. - J'ai acheté quelque chose pour toi. Un beau jouet. Tu vas adorer, j'en suis sûre. Donne-moi tes bras. Deux claquements secs et les poignets de Juliette furent pris dans les collets d'une paire de menottes. Chloé la poussa à plat ventre, lui plia les jambes à l'équerre et emprisonna ses chevilles de la même manière. - Ce ne sont pas des menottes ordinaires, espèce de chienne. Tu vois, il y a quatres bracelets accrochés au même anneau. Voilà ce qui s'appelle être pieds et poings liés. Cela te plait ? Si je voulais, je pourrais être vraiment cruelle avec toi, Juliette. Contrainte ainsi, je saurais bien te faire hurler en te fouettant jusqu'au sang. Mais tu aimerais trop. Dans le fond, ça t'excite beaucoup d'être soumise ainsi. C'est parfait, tu vas voir, on va bien s'amuser ensemble. Puis Chloé se dirigea vers la porte et avant de sortir se retourna pour contempler Juliette. Le lendemain matin, lorsque elle arriva au bureau, elle était vétue de son tailleur gris anthracite, classique, jupe très au dessus des genoux, chemisier blanc, chaussures à talons hauts. Chloé, quand elle la vit arriver lui fit un clin d'oeil, elle lui répondit par un petit sourire géné. Cinq minutes plus tard, on frappait à sa porte, sans attendre de réponse, Chloé entra et referma la porte puis vint s'asseoir sur une chaise en face de Juliette. - Bon, je suis contente de toi, je vois que tu commences à t'y faire, on va passer à l'étape suivante, tu vas aller chercher des cigarettes mais ensuite tu t’assiéras à une table et tu commanderas un café, je ne serais pas loin de toi mais on fera comme si on ne se connaissait pas, je vais t'appeler, tu mettras un écouteur à l'oreille, on sera en ligne et je te donnerai des instructions. Rassure-toi, on est dans ton quartier et je ne te demanderai pas des choses extravagantes. Juliette fit un geste de la tête pour montrer qu'elle avait compris. Elle arriva donc dans le bar-tabac et acheta les cigarettes puis elle alla s'asseoir au fond de la salle et commanda un café. Ce jour-là elle avait opté pour une jupe classique noire au dessus des genoux et une veste cintrée grise. Sous cette veste, elle portait un chemisier blanc en satin. Tenue tout à fait classique sauf que Chloé lui avait interdit de porter un soutien-gorge, la poitrine de Juliette était ferme de sorte qu'on devinait bien les pointes à travers le chemisier, vu la taille généreuse de cette poitrine, lorsqu'elle marchait, elle ne pouvait empêcher un balancement de ses seins. Cela ne dura pas longtemps, une habituée de la brasserie qui l'avait observée depuis le début se dirigea vers elle pour lui demander l'heure, puis lui demanda si elle pouvait s'asseoir à sa table. Accepte, entendit-elle dans l'écouteur. La femme qui devait avoir une trentaine d'années portait un jean et un tee-shirt, elle était séduisante, avec des cheveux coupés courts; elle commanda un café, puis souriante, commença à lui parler de tout et de rien, observant d'une manière très peu discrète sa poitrine entre sa veste entrouverte. Juliette rougit de cette situation, elle n'avait pas l'habitude de parler à une inconnue. Enlève ta veste, entendit-elle dans son écouteur. Hésitant un moment elle finit par obtempérer. Bientôt, l'inconnue sortit un mouchoir et s'essuya les lèvres, la poitrine de Juliette à travers ce léger chemisier satin était plus que devinable. Alors prenant cela pour une invitation, elle s'approcha d'elle et lui glissa à l'oreille: - J'habite à côté, tu viens ? Elle entendit dans son écouteur: - Accepte et surtout, céde à toutes ses exigences. Retire discrètement ton plug anal et donne le moi. Je crois deviner ses fantasmes. Tu vas passer un bon moment avec elle. Elle aime l'anal et l'urolagnie. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 02/06/20
Olga s'est pris un jour une belle prune avec deux $&à$ de flics à moto. Manquait plus que cela, elle avait plus un kopec en poche et ces deux là qui se marraient, qui faisaient et refaisaient le tour de sa vespa pour voir comment lui en remettre d'autres. Olga s'est enervée: -Plutôt que de me mettre des prunes et des contredanses vous voulez pas plutôt me bourrer le minou? J'ai le feu au cul avec ces chaleurs . Les deux poulets ont accepté. C'est vrai qu'Olga a des arguments au balcon. -avant faut que je pisse a dit Olga et elle a fait devant eux pour bien leurs montrer sa chatte. Une hypnotisation par le minou vengeur. Les flics n'ont pas pu résister et ils ont embroché sur sa vespa la belle Olga toute humide. Et puis Olga a encore eu envie de pisser. Elle a dit aux deux poulets: -A genoux mes loulous et profitez bien de mon élixir doré. Ils ont été ravis de boire à la source. La chatte d'Olga sent si bon. Oublié les prunes et les contredanses, les képis et les menottes. Olga est une jolie nana qui aime les hommes en uniforme. Alors, elle sait où les trouver et comment les draguer avec sa petite vespa.
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Par : le 31/05/20
Ma vie de soumise Chapitre 8 : Dimanche 3 Dimanche après-midi. J’arrive devant chez monsieur Pierre. Il vient m’ouvrir. Il est très élégant, cheveux blancs, yeux bleus : - Je suis Pierre, Enchanté. - Enchantée, monsieur. Je n’ai pas le temps de refermer ma bouche, il m’enlace, ses lèvres rejoignent les miennes, sa langue force l’entrée de ma bouche. Nous échangeons un long baiser. Je suis surprise, mon Maître ne m’a jamais embrassée. Pierre me prend par la main et m’entraîne vers la salle à manger. Un homme se lève. Pierre me dit : - Je te présente Jacques. - Enchantée, monsieur. Jacques est plus petit sur Pierre, il est légèrement bedonnant, les cheveux grisonnants. Il s’approche de moi, il m’enlace et ses lèvres rejoignent les miennes. Nos langues se rencontrent. Décidément, c’est un accueil curieux mais agréable. La table est encore occupée par des bouteilles et différentes pâtisseries. Pierre s’adresse à moi : - Tu vois, on en était au dessert. On va le partager avec toi. Les hommes vont s’asseoir. Pierre m’attire sur ses genoux. - Que veux-tu, ma beauté ? Je choisis un chou à la crème. Pierre le prend en main et le présente devant la bouche. - Garde tes mains dans le dos. J’avance la bouche et commence à lécher la crème. J’en ai plein les lèvres que Pierre vient lécher. Puis je continue à manger mon chou et à chaque bouchée, Pierre vient lécher ce que je n’ai pas avalé. Il s’adresse à moi : - Jacques n’en a pas profité. Nous allons continuer notre dessert. Déshabille-toi et enlève ton collier de chienne. Pendant que je me déshabille les deux hommes dégagent un coin de table qu’il revêt d’une nappe en papier. Pierre me fait allonger, sur le dos, sur cette nappe improvisée. - Écarte bien tes cuisses ! Ils répandent de la crème sur ma figure, mes seins, mon ventre, mon sexe. Et ils commencent à me lécher, Jacques s’occupe de mon visage et de mes seins, Pierre de mon ventre et de mon sexe. J’ai de drôles de sensations. Ces messieurs me dégustent. Je sens leurs langues surtout celle de Pierre à l’entrée de mon vagin. J’ai un orgasme. Ils continuent de me lécher. Quand mon corps est débarrassé de ces friandises, Pierre s’adresse à moi : - Tu vas aller prendre une douche. Ensuite, tu débarrasseras la table. Enfin, tu viendras nous rejoindre dans le salon. - Bien, monsieur. Je vais donc me doucher. Ensuite, je retourne vers la table pour la débarrasser, mettre la vaisselle dans le lave-vaisselle et rejoins ces messieurs au salon. Ils sont assis face à face, absorbés par une partie d’échecs. Pierre me demande : - Chérie, tu connais les échecs ? - Non, monsieur. - Viens t’asseoir sur mes genoux. Je vais m’asseoir sur les genoux de Pierre, il me tend ses lèvres, j’ouvre la bouche pour accueillir sa langue et je passe mes bras autour de son cou. Je sens un frémissement de son sexe à travers son pantalon. Pierre décolle sa bouche de la mienne pour jouer un coup sur la table d’échecs et, aussitôt, reprend ma bouche. Notre baiser est donc interminable. Puis, Jacques annonce : - Échec et mat. Pierre s’adresse à moi : - Va rejoindre Jacques, il t’a gagnée. Je vais m’asseoir sur les genoux de Jacques. Nos bouches s’ouvrent et s’unissent. Je l’enlace. Les deux hommes ont des goûts similaires, ils savent tous les deux si bien embrasser. Pierre se met debout et vient me prendre par la main. Il m’emmène devant un lit : - Couches-toi, ma beauté. Les deux hommes se déshabillent. Je les regarde. Belle prestance de Pierre. Jacques a un petit bidon mais reste séduisant. Tous deux ont un sexe attirant. Je vais me régaler. Ils me rejoignent dans le lit. Je suis couchée sur le dos. Jacques me chevauche au niveau du cou. Il me présente sa queue que je commence à téter. Quant à Pierre, sa verge a pris possession de mon vagin. Ma bouche et mon sexe sont remplis. Je fais une gorge profonde à Jacques. J’ai une vue sur sa bedaine. Pierre est très actif. Puis ils changent de position. Jacques m’attire sur lui et sa queue pénètre mon vagin. Je devine Pierre derrière moi. Son sexe frôle la raie de mes fesses puis sa verge pénètre mon anus. Je suis prise en sandwich par les deux hommes. Je n’avais jamais été doublement pénétrée, c’est une nouvelle sensation très agréable. Jacques a sa bouche collée à la mienne et Pierre m’embrasse dans le cou. J’ai un orgasme. Je suis aux anges, je voudrais que cet instant dure une éternité. Les deux hommes jouissent en moi. Ils se couchent sur le dos. Avec ma langue je vais nettoyer le sexe de Pierre puis celui de Jacques. Les deux hommes récupèrent. Je suis entre les deux et chacun a une main dans la mienne. Nous savourons ce moment de bonheur partagé. Pierre se lève, il prend dans le placard un bâillon et un bandeau qu’il me met. - Lève-toi ! Pierre me prend la main et me guide. - Reste là et attends ! Un moment se passe dans le calme. Puis Pierre m’ordonne de lever les bras. Soudain, je reçois un coup sur les fesses puis presque simultanément un coup sur les seins. Et les coups commencent à pleuvoir, je sens les morsures sur mon corps. Pierre s’adresse à moi : - Baisse tes bras. Vas-tu partager notre dîner ? Réponds en hochant la tête. Je hoche la tête en signe d’assentiment. L’un des deux hommes m’attrape par les cheveux et m’entraîne. J’entends une porte s’ouvrir. - Mets-toi à quatre pattes et avance. Puis j’entends une porte se fermer. Je dois être dans un placard. Je parviens à m’asseoir. Je reste ainsi pendant un temps qui me paraît interminable. J’entends la porte s’ouvrir. Pierre me dit de sortir. Il m’enlève le bâillon, le bandeau et les menottes. Il me dit : - Tu te mets à quatre pattes. Tu ne te relèveras qu’avec ma permission. Tu es notre chienne. - Oui, monsieur. - Tais-toi, une chienne ne parle pas. Il me remet mon collier et m’introduit un plug anal prolongé d’une queue d’animal. Il me conduit dans la salle à manger. - Nous allons prendre l’apéritif. Tu te placeras à nos pieds que tu lècheras. Les deux hommes vont s’asseoir à la table. Je vais jusqu’aux pieds de Pierre que je me mets à lécher en n’oubliant pas de passer la langue entre les orteils. Puis je fais la même chose aux pieds de Jacques. Ils se penchent quelquefois pour me caresser la tête. Je lèche alors leurs mains. Je me comporte comme la chienne que je suis. Ils se lèvent tous deux. Pierre pose une écuelle remplie d’eau sur le sol. Jacques pose à terre une assiette remplie de nourriture pour chien. Pierre me déclare : - Interdiction d’utiliser tes mains. Je lape l’eau et attrape un morceau de nourriture. Ce n’est pas facile. J’essaie de m’appliquer. Quand mon repas est terminé je retourne au pieds de mes maîtres. Pierre m’appelle : - Viens. J’approche à quatre pattes. Il me tend un carré de chocolat que j’attrape avec les dents. Puis je lèche la main de Pierre. Les hommes finissent leur repas. Je suis toujours aux pieds de l’un ou de l’autre. Pierre s’adresse à moi : - Va dans la salle de bain. Essuie-toi la bouche, enlève ta queue et ton collier. Tu redeviens notre femme. Et rejoins-nous dans la chambre. Quand je les rejoins, les deux hommes sont couchés sur le dos. - Viens nous sucer. Je m’allonge entre les deux hommes. Je commence par téter le gland de Pierre puis de Jacques. Puis j’entame une gorge profonde en alternance sur les deux hommes. Je me délecte de leurs sexes qui grossissent dans ma bouche. Puis Jacques change de position. Il se place derrière moi et sa verge pénètre mon cul. Belle sensation d’avoir la bouche et le cul occupés. J’ai un orgasme. Les deux papys jouissant à leur tour. Jacques se recouche sur le dos. Ma langue part à la recherche de sa verge pour la nettoyer. Pierre me dit alors que je peux partir. Je leur dis au revoir, je remets mon collier, reprend ma laisse, je me rhabille m’en vais. J’ai passé une excellente journée avec les deux papys. J’ai connu la double pénétration. J’attends avec impatience samedi prochain. Quelle surprise mon Maître m’aura-t-il préparée ?
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Par : le 31/05/20
Dame Méphista est satisfaite. Julie a su dresser son p’tit soumis, il n’a eu qu’une seule séance et se débrouille plutôt bien pour un débutant. Voyons s il va continuer à endurer les sévices maintenant. Elle se saisit d’une des paires de menottes sélectionnées par Julie et s approche du jeune couple. La main tendue vers les cheveux légèrement humides de transpiration de Baptiste elle se penche un peu « bien ,bien, à genoux le chien, voyons si ces bracelets te vont bien et peuvent te rendre plus beau » et elle s empare brutalement du poignet droit du jeune homme pour l emprisonner dans l anneau de métal brillant. Déséquilibré, un cri de surprise échappe au p’tit soumis vite interrompu par une tape brutale sur la tête accompagnée d’un « silence le chien !» péremptoire. Les yeux humides de douleur et de honte, le nez coulant de morve, la bouche baveuse, juste vêtu de sa culotte de dentelle rouge, Baptiste n’a vraiment plus rien du cadre Supérieur dont il revêt le costume pour se rendre à son travail. Il est heureux maintenant, heureux d obéir, heureux de subir, heureux du plaisir qu’il offre à sa domina et à son amie. Il ressent de la honte aussi, mais cela lui procure du plaisir, plaisir intense de n être plus qu’un jouet, un sextoy , un corps dévoué au plaisir des dominants. Le contact du métal froid sur son poignet fait remonter un frisson tout le long du bras qui ensuite envahit son corps. Obéissant il se pose sur ses genoux et présente son poignet gauche pour qu’il soit inséré dans le deuxième anneau relié par une chaîne plutôt courte. Puis Dame Méphista tire un peu sur les bras du soumis pour qu’il se retrouve à quatre pattes. Elle se relève et regarde le résultat « Mmm, pas trop mal, voyons les pieds maintenant ». Elle se redresse et se saisit de la deuxième paire de menottes choisie par Julie ainsi que du rosebud qu’elle caresse avec un regard vicieux. Elle tourne autour de Baptiste dont Julie s’est un peu éloignée et le tapote du pied sur ses testicules emprisonnées. Un début d érection affole les sens de Baptiste, et Julie sourit derrière sa main. Elle suçote le rosebud métallique pour l humidifier. Le contact du métal sur sa langue lui rappelle l’époque pas si lointaine de sa soumission avec Maitre Trépuissant. Un petit sourire tendre étire ses lèvres. Son regard croise celui de son amie et elles s’enlacent tendrement, se bécotent et commencent à se caresser un peu. Baptiste ose encore moins bouger. Les deux dominas sont chacune d un côté de l’homme à quatre pattes. Leurs mollets le frôlent lorsqu’elles se rapprochent et il en frémit de plaisir. Puis il les sent s éloigner et une grande main fine appuie sur sa hanche au moment où il sent des doigts forcer avec une certaine douceur son anneau rectal. Il retient son souffle, il retient sa respiration, il retient un cri. Les doigts s éloignent, appuient sur sa raie et il sent un objet froid prendre leur place. Méphista crache sur ses fesses , et introduit le rosebud dans son trou. Le premier anneau se dilate, l’objet est enfoncé, le deuxième anneau se dilate et le sexe de Baptiste lui envoie un signal de douleur, douleur de ne pas pouvoir s’étirer de plaisir. Marc a bien serré les liens qui le retiennent en position de repos, Baptiste sent des larmes de frustration perler au coin de ses paupières, et son nez coule de plus belle. Julie se penche et insère une cheville dans un anneau métallique, puis la deuxième dans l anneau au bout de la chaine. Le froid du métal fait frissonner encore le pauvre soumis dont les sens s’affolent à cause de toutes ces sensations de froid : anus, chevilles, poignets, et une boule buccale introduite d’un seul coup dans la bouche qui a provoqué une sécrétion de bave intense. Les dominas se relèvent et il reste entre elles. Elles reculent pour l admirer et se moquer un peu « qu’est-ce donc que nous avons là ? – est ce ton p’tit soumis belle Julie ?—non non voyons, mon soumis n’est pas aussi sage ! – alors est-ce ton chien Julie jolie ? – mon chien ? Chère Méphista ? Non non, ce n’est pas mon chien, il est chez toi, il est a toi, ne t-a-t-il pas bien léché ? Les pieds ?la minette ?n’as-tu pas bien joué ?N’as-tu pas bien joui ? Non non il n’est pas à moi en cet instant. –Tu as raison, peu importe, l essentiel c’est qu’il soit sage ce p’tit soumis. » et un double éclat de rire joyeux éclate dans ce salon bourgeois de la banlieue de Versailles. Maître Trépuissant sourit tout en continuant à caresser la tête crépue de sa petite chienne. Puis sa main glisse le long du dos dans une ferme caresse non dénuée de tendresse. Ses doigts glissent vers la croupe cambrée et son majeur commence à jouer avec l’anus de la jeune femme imperturbable. Elle sait quelle ne doit surtout pas manifester la moindre émotion. C’est un calvaire car le plaisir irradie vers son sexe, mais elle se retient. Un long entraînement lui a été nécessaire, elle a reçu des fessées et des coups de martinet, elle a été privée de jouissance souvent, mais maintenant elle peut être fière de maitriser ses expressions et son plaisir. Son Maître l a félicitée une ou deux fois. Elle ne va pas le décevoir en présence de ce débutant ! Et peut-être aura-t-elle sa récompense ? Le droit de sucer le membre de son Maître ? De recueillir sa semence ?Ce jus sacré dont la pensée lui procure un frisson de plaisir mental qu’elle s empresse de censurer de peur que son corps ne la trahisse. Bianca rêve éveillée, essayant de contrôler encore et encore le plaisir que son Maitre a la bonté de lui octroyer. Maître Trépuissant connaît son pouvoir, et secrètement il admire le contrôle de la jeune soumise, bien que son statut l empêche de le montrer ! Le p’tit soumis de Julie ne se comporte pas si mal pour une deuxième séance. Sa bouche a été douce à son sexe, mais le plus jouissif, c’est quand même le regard peureux et plein de honte de ce jeune homme au moment de la gorge profonde ! Mais il a tenu le bougre !On en fera un bon jouet ! Saisi d’une envie subite, Trépuissant repousse la petite chienne , qui de surprise tombe sur le côté et s empresse de reprendre une position humble, le front au sol, les jambes bien pliées ,la croupe tendue vers le ciel et les mains croisées sur la nuque. Un imperceptible haussement de sourcil trahit seul sa surprise. Ce n’est pas dans les habitudes de son Maître ce type d attitude, il a toujours une profonde maîtrise de ses actes pendant les séances et sa spontanéité apparaît rarement. Trépuissant jaillit de son fauteuil tel le diablotin de sa boite et se dirige vers la table. Les deux femmes se sont immobilisées en silence de surprise : c’est sans doute la première fois qu’elles le voient s agiter ainsi. Il saisit entre ses mains musclées deux chaînes métalliques et les jette sur le dos de Baptiste. Celui-ci ne peut retenir un cri. Les chaînes ont atterri brusquement sur son dos, elles sont très lourdes et très froides. Elles glissent en partie au sol puis trouvent leurs places et se stabilisent. Un curieux silence s installe. Maître Trépuissant retourne vers son fauteuil, d’une petite tape sur le fessier de Bianca il la fait se relever et il recommence à lui masser son petit trou arrière comme si rien n avait eu lieu. Baptiste tremble de froid et de peur. Ce petit intermède rapide et violent l’a effrayé. Julie ressent son désarroi et se met à genoux près de lui. Elle prend sa tête dans ses bras et le presse contre ses seins si doux. Méphista lui donne une petite tape réconfortante sur la fesse et s éloigne. Julie ramasse les chaînes et les positionne de nouveau sur le dos de son p’tit soumis qui tremble encore : peur, froid, soulagement, frustration , tous ces sentiments se mêlent, il est perdu, il lâche prise, et , contre le sein de Julie, redevient petit garçon. Il se souvient des câlins de sa mère après ses chutes et se met à rêver. Il revoit son tablier en grosse toile bleue, ses mains rugueuses des travaux d aiguilles et son sourire si doux. Il ressent ses caresses dans les cheveux qu’il a porté longs toute son enfance, il respire de nouveau cette douce odeur d huile d olives dont elle nourrissait sa peau. Sur un geste du majeur de Maitre Trépuissant, Marc toujours agenouillé mains sur la tête dans sa tenue de soubrette se relève vivement pour servir un verre de jus de poires à son Maître. Et sur un deuxième geste il se faufile entre les jambes de la petite chienne Bianca, lui écarte les grandes lèvres cachées et commence un long et doux cuni. La jeune femme lève les yeux vers son Maître qui, dans un sourire ,l autorise à exprimer son plaisir. Celui-ci explose en petits cris ininterrompus. Julie continue de caresser Baptiste. C’est un instant de paix et de plaisir pour les soumis qui s emble s éterniser .
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Par : le 24/05/20
Aujourd'hui, dans les films érotiques, le BDSM sert de support à l'expression de fantasme de puissance. Sa mise en scène frise souvent le grand guignol. Pourtant, loin d'être une pratique fantaisiste, il traduit dans la sexualité une tendance du psychisme à osciller entre domination et soumission. Histoire d’O a certes défrayé la chronique de façon admirable, mais ce n’est qu’une œuvre littéraire, aucunement un manuel BDSM. Le SM dont nous abreuvent les médias n’existe pas ailleurs que dans l’imagination collective, sous la forme d’une pathologie hallucinatoire à laquelle aucun malade ne pourra jamais s’identifier. Et cette farce universelle, pour avoir le mérite d’alimenter les fantasmes populaires des deuxièmes parties de soirées télévisuelles, continuera longtemps à culpabiliser des individus normaux qui ressentent en eux un instinct proche de ce SM que les foules diabolisent. Loin de toute caricature, dans certains contextes, ce n’est pas tant la perception du statut immoral ou condamnable des pratiques BDSM qui est réprouvée ou qui serait perçue comme anormale, mais bien le fait d’étaler sa vie intime dans un contexte qui ne s’y prêterait pas. En somme, il est possible d’affirmer que le BDSM est plus acceptable qu’auparavant comme en témoigne son infiltration dans la culture populaire. Désormais ce n'est plus le caractère violent des pratiques qui est au cœur des débats mais bien plutôt la question du consentement. À l’intérieur de la culture BDSM, il semble que les discours se soient adaptés aux changements dans la normativité contemporaine où l’idéal de la communication, du consentement et du sujet libéral maître de ses choix se soit répandu. Dans cette optique, le SM est désormais pensé comme une activité sexuelle favorisant le bien-être des adeptes et l’atteinte du plaisir, ce qui entre dans la logique de la santé sexuelle. Cette vision s’appuie sur une conception libérale du sujet contemporain que l’on imagine capable de prendre conscience de son état ou de ses processus émotionnels dans le but d’exprimer ouvertement ses désirs sexuels pour les vivre avec un partenaire. L’accent mis par les protagonistes unis dans une relation sur la négociation des pratiques et la démonstration d’une compréhension raffinée du consentement qui demeure l’objet de perpétuelles réflexions, pourrait nous conduire à affirmer que les adeptes de BDSM se positionnent non pas dans le spectre de la déviance, mais dans celui d’une hypernormalité, au sens où ce sont bien eux qui correspondent à une figure avant-gardiste des idéaux contemporains de communication, de rationalisme et de quête de plaisir fondée sur les désirs réciproques de chacun. Le sexe sous tension libère du sexe. Douleur et plaisir sont des sensations. Elles s'incarnent et permettent très tôt dans l'enfance de donner un espace au corps. Celui-ci se construit comme espace sensible traversé de perceptions tantôt déplaisantes, tantôt plaisantes. Le corps que nous sommes est initialement délimité par ces expériences. Le plaisir est tiré de la satisfaction des besoins tandis que le déplaisir provient de leur frustration. Au départ, le plaisir est lié à la survie tandis que le déplaisir indique une situation de danger vital. Il précède une possible disparition du sujet. Il se rattache donc à la mort. Plaisir et déplaisir sont donc respectivement articulés aux pulsions de vie et pulsions de mort. Le plaisir lorsqu'il survient recouvre la sensation désagréable précédente. C'est l'expérience d'une tension déplaisante qui indique quel est le besoin à satisfaire. La résolution procure du plaisir. L'expérience désagréable est donc nécessaire à l'avènement du plaisir. Il est donc possible d'érotiser la douleur en prévision du plaisir qui viendra lors de son apaisement. De plus, le sentiment d'indignité à l'œuvre dans le masochisme rend possible l'émergence d'un partenaire qui viendra le contredire. Le masochiste appelle donc un objet qui, en l'avalisant dans cette position, lui permet de prendre du plaisir. C'est le masochiste qui crée le sadique, attirant sur lui ses foudres, le masochiste est en situation d'être porté et secouru. Ce secours peut prendre la forme d'une punition. L'autre, même s'il punit, s'occupe du masochiste, il répond à une tension. Cette structuration est explicite dans le troublant film de Michael Hanecke: " La Pianiste." Quel qu’en soient les origines, apparaît l'union entre le corps et l'esprit. En punissant, on veut faire entendre raison, en meurtrissant le corps, on pousse l'esprit à s'élever en se surpassant. Les informations cérébro-dolorosives transmises au cerveau agissent comme des détonateurs forçant l'esprit. Celui ci transmet à son tour au corps l'ordre d'endurer et de résister. Ce schéma synaptique neuromusculaire se produit lors d'une séance de flagellation. Clairement exprimé, la flagellation permet d'explorer le côté animal en transgressant les codes d'une sexualité classique. Elle confronte les partenaires, à la vulnérabilité ou à la puissance, au cours de jeux de rôles sexuels extrêmes, comme de puissants leviers d'excitation sexuelle. La ritualisation, en particulier, la mise à nu de la soumise exacerbe l'érotisation de la préparation à la séance de flagellation. Elle ou il offre à sa Maîtresse ou à son Maître, en signe d'offrande, le spectacle de sa nudité. Libre à elle ou à lui, de se livrer à un examen approfondi des parties corporelles à travailler. Les yeux bandés, et bâillonnée, elle est attachée avec des menottes, ou des cordes, sur un carcan, un cheval d'arçon, le plus souvent, une croix de Saint-André. S'infligeant une souffrance physique, le masochiste produit des endorphines, hormones sécrétées en cas d'excitation, et de douleur. Les endorphines ou endomorphines étant des composés opioïdes peptidiques endogènes secrétées par l'hypophyse et l'hypothalamus, lors d'activités physiques intenses, sportives ou sexuelles, d'excitation, de douleur, et d'orgasme. Posséder la douleur, c'est s'autoriser à la transformer, à la renverser en jouissance. Lors de pratiques SM, nous percevons un passage à l'acte sexuel des tendances psychiques. Elles renvoient à des représentations du corps qui touchent aux couples propre/sale, bien/mal. Certaines parties du corps sont ainsi honteuses et attirantes (sexe, anus). Toutes pratiques sexuelles oscillent alors entre attirance et dégoût, douleur et plaisir. L'anticipation, l'imagination, sont les portes de la volupté sexuelle. La soumise éprouve le bonheur d'être le centre d'intérêt, l’objet de tous les honneurs; félicité délicatement épicée par son imagination et l'appréhension qu'elle peut y puiser, tandis que l'excitation monte. Le dominant découvre avec surprise que ses pulsions sont finalement très complémentaires des attentes de sa compagne; les deux partenaires ont, en fin de compte, des goûts très en accord et des fantasmes communs. Le jeu BDSM a cela de libérateur qu'il crée un contexte où chaque protagoniste va pouvoir se décharger sans honte de ces tabous, pour jouir librement de sa libido, tout en se délectant du plaisir de l'autre. Le sexe, s’il ne rend pas aveugle, a cela en commun avec les occupations physiques intenses, comme les compétitions sportives, qu’il possède les facultés de désinhiber, et d’occulter magiquement l’environnement. Il en va de même en SM, lors d'une séance pour les partenaires. Ce sont des leviers connus dans la sexualité, qui décuplent l'excitation et le plaisir qui en découle. Pour quelles raisons ? Du côté du soumis (ou de la soumise), ces leviers jouent sur l'abandon à l'autre; il ou elle est à la merci de celui., celle qui pourrait tout lui infliger, et qui contrôle son plaisir. Un jeu qui simule l'exposition au danger. Du côté du (de) la dominant (e), il ou elle obtient la toute-puissance sur son (sa) partenaire, avec la possibilité de faire mal ou de faire jouir. En dehors du SM, il s'agit de fantasmes et d'imaginaire, pas de violence infligée chez la plupart des couples. Pour certain(e)s, c'est parfois tout simplement faire une fellation, assis (e) aux pieds de l'autre debout; qui est soumis(e) et qui domine ? Celui, celle qui est aux pieds de l'autre ? Ou celui, celle qui domine en étant maître ou maîtresse du plaisir de l'autre ? En psychiatrie, le sadomasochisme fait partie de ce que l'on appelle les paraphilies, baptisées autrefois les perversions, comme l'exhibitionnisme, le fétichisme, ou la zoophilie. Ce sont des pratiques qui n'utilisent pas les ressorts sexuels jugés "normaux" par la société. Le masochiste ne jouira que dans la souffrance et l'humilation ; il n'aura pas d'orgasme dans un rapport classique. Son cerveau produit des endorphines, des antidouleurs naturels, qui sont sécrétés lors du plaisir, de l'orgasme et de la souffrance. Celle-ci est transformée en plaisir sexuel dans le cadre du masochisme. Le sadique, lui, prendra un plaisir à la fois psychologique et physique dans la douleur qu'il impose. Il frappe ou humilie pour blesser son partenaire de jeux érotiques. Le pouvoir dont il dispose devant sa ou son partenaire, décuple son excitation et son plaisir. Il se confronte au pouvoir dont elle dispose sur un autre être humain et à sa toute-puissance. Les sadomasochistes utilisent exactement les mêmes ressorts que les adeptes de domination et de soumission, pour augmenter leur plaisir. Car le plaisir est mutuel et partagé, c'est là tout l'enjeu du rapport SM. Il apporte un apaisement et un épanouissement sexuel aux couples qui le pratiquent. La confiance, l'écoute, la discussion et la connaissance de l'autre sont les vrais points à rechercher dans toute relation, et c'est d'eux que naîtra, parmi mille autres plaisirs, ce doux sentiment d'abandon que d'aucun appelle allégoriquement le subspace. Le SM n'est pas une perversion mais l'expression dans la vie sexuelle de mouvements inconscients ordinaires. Dans une certaine mesure en mettant en jeu les désirs les plus profonds, ces pratiques pimentent la sexualité et ne posent généralement aucun souci puisqu'elles sont fondées sur un profond respect et une écoute soutenue de l'autre. Le SM sain et modéré actualise et réalise une part des désirs inconscients informulés des partenaires. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir
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Par : le 22/05/20
Maître Trépuissant n’a pas laissé très longtemps son sexe en érection au fond de la gorge de p’tit soumis, juste le temps pour lui de bien assimiler que son corps ne lui appartient plus. Baptiste, rouge de honte baisse les yeux devant le curieux regard de Maîtresse Julie, mais il en ressent la force sur son crâne baissé. Sa langue continue à pousser vers le fond de sa bouche la salive que sa domina a laissé couler à l’intérieur. C’est curieux, analyse le cerveau de Baptiste, sa salive n’a pas le même goût que l’autre jour quand elle m’a embrassé dans le salon. Je me demande quelle est cette boisson légèrement citronnée, sans alcool apparemment , dont elle a bu un verre ou deux. Je sens un petit quelque chose en plus, du sucre de canne probablement. « stop cerveau ! Arrête ! Pas besoin de savoir ! » et Baptiste relève les yeux légèrement. Julie a tourné la tête vers son amie Dame Méphista qui caresse distraitement la tête crépue de sa soumise. Elles échangent sourires et petits gestes affectueux dans une belle complicité. Les pinces sur ses testicules ne lui font plus mal, à peine une légère gêne quand il bouge un peu. Son entrainement avec sa compagne en province porte ses fruits, ou le temps s’étire à une autre vitesse lorsque ce n’est plus à lui de prendre des décisions. Peu importe les causes, p’tit soumis se sent bien aux pieds de sa domina. Méphista étire son bras jusqu’à lui et commence à lui frotter vigoureusement le crâne, comme lorsque son frère aîné lui passait un savon pour l’embêter. Des sensations étranges se mélangent, frissons de douleur et plaisir, relents d’odeurs qui remontent, sentiment de fraternité. Puis tout ces souvenirs sont chassés quand la domina tire très fort ses cheveux pour le faire se redresser. Tout son corps se tend dans l’espoir de réduire la douleur. C’est si brutal , mais où se croyait-il ce p’tit soumis ? Avec son grand frère ? Réveille toi ! Tu es adulte, et là, tout de suite, juste le bon toutou de ce trio , juste un jouet sexuel, juste un corps dont on usera et abusera, juste rien ! Les bras en arrière maintenus par la barre commencent à s’ankyloser et Baptiste ressent un fourmillement désagréable, mais il s’efforce de ne rien montrer. Pour atténuer la douleur, il relève un peu la tête. Mauvaise idée ! Une claque lui fait vite comprendre qu’il doit rester tête baissée. Maitresse Julie se penche un peu pour le libérer et l’aide à se lever, mais toujours tête baissée. Les deux femmes jouent à faire bouger les pinces en leur faisant des pichenettes, ce qui leur déclenche de petits rires heureux. Baptise sent des larmes de douleur lui monter aux yeux . Puis une par une chaque pince est desserrée et ôtée. Un courant de douleur parcourt tout le corps du soumis, mais il est de suite remplacé par une onde de plaisir. Quel phénomène étrange ce plaisir de douleur, cette douleur de plaisir, les sensations se mélangent, se succèdent ,et il sent son sexe essayer de se tendre, mais la soubrette Marc a bien serré les sangles, et la bandaison est entravée. De nouveau plaisir et douleur se mêlent, et le corps de Baptiste exulte. Le supplice est tel que les sources des sensations sont bien distinctes dans le temps et Baptiste comprend qu’il n’a pas affaire à des dominants débutants, une longue expérience est nécessaire pour maîtriser aussi bien le corps d’une autre personne. Ses yeux se tournent vers la jeune Bianca toujours à genoux, son jeune corps musclé ne tremble pas sous la tension du maintien de la position. Les yeux baissés, la bouche ouverte qui laisse couler la bave le long de la langue pendante jusqu’aux jeunes seins fermes dont les tétons se rient de la pesanteur, on dirait une statue. Elle attend les ordres et son visage reflète une grande sérénité. Baptiste envie ce calme et espère l’atteindre un jour lui aussi s’il se soumet bien à Julie. Un murmure arrive à son oreille. Il revient au présent inquiet de ne pas avoir tout saisi des ordres de Julie. Mais non , pas d’expression de contrariété sur son beau visage. « à quatre pattes le chien, tu vas venir rendre hommage à notre hôtesse à présent » . Baptiste pose ses mains aux sols, les bras bien tendus, les doigts repliés et il cambre bien son dos afin de faire ressortir son petit trou et ses testicules rougies sur lesquelles on peut voir les endroits où les pinces à linge ont été mises. Il baisse la tête et attend de sentir que sa domina tire sur la laisse qu’elle a fixé de nouveau au collier de cuir, symbole de sa soumission totale. La maîtresse des lieux s’est éloignée. Elle a pris la place de son époux sur la méridienne. Allongée sur le côté, sa tête légèrement appuyée sur sa main droite, elle tapote le bord du siège de la gauche d’un air impatient. Julie tire sur la laisse et Baptiste avance tête baissée d’une allure un peu rapide. Ses genoux et ses phalanges le brûlent un peu mais il ne dit rien, de crainte de recevoir une claque méritée. Arrivés au pied de Dame Méphista un coup sec le fait stopper net. Une haute botte noire de cuir à talon très fin de dix centimètres se précipite vers son visage et la semelle vient appuyer sur sa langue pendante luisante de salive. Sans attendre il lèche le cuir et enroule sa langue autour du fin talon. Une caresse ferme sur son dos lui fait comprendre qu’il a bien agi. Puis sa langue se dirige vers le dessus de la botte, contourne la boucle brillante et vient lécher le dessus de la botte. Il goûte le cuir, le suce, étale sa bave, en ressent toutes les petites aspérités. Sa langue le noie d’informations et il savoure cet instant, cette odeur lui fait encore remonter des souvenirs d’enfance, lorsqu’il regardait son père graisser les chaussures de cuir de toute la famille le samedi en fin de journée pour bien montrer que tout le monde était bien chaussé. Fierté d’ouvriers qui prend soin de ses enfants. « Enlève ma botte et lèche mon pied maintenant ! » l’ordre a claqué, très sec, d’une belle voix grave d’alto . P’tit soumis avance et se met à genoux afin de déchausser Dame Méphista. Il a peur que ses mains tremblent et se concentre sur ses mouvements car jamais il n’a eu entre les mains des bottes d’un cuir si fin d’une si belle qualité. Il fait délicatement glisser la fermeture éclair vers le bas, écarte les deux côtés et tire un peu, doucement. Aucun cri ne l’interrompt, il continue en silence avec beaucoup d’application et un grand respect de manipuler un si belle matière. La botte enlevée il hésite un instant, ne sachant où la poser. Julie lui enlève des mains en ricanant « Belle qualité n’est-ce pas le chien ?il doit y en avoir peu comme ça dans ta province de bouseux ! Allons lâche le chien, pas toucher ! Ce n’est pas un jouet ! » Ces mots sévères et méprisants lui font comme une caresse mentale, l’humiliation et l’injustice de ces propos l’excitent réellement. Curieuse sensation cérébrale d’être ainsi traite avec ce mépris manifeste ! Mais sa réflexion est interrompue par un deuxième talon qui s’enfonce dans sa joue. Il tourne un peu la tête et sa langue vient s’enrouler autour du cuir. Le même manège recommence et p’tit soumis prend un peu d’assurance, il a moins peur d’abîmer la botte, et la présente à sa domina qui ne laisse aucune expression modifier son visage hermétique. Baptiste est en admiration d’une telle maîtrise des muscles faciaux. Il ne voit plus les indices qui lui permettent habituellement de connaître l’humeur des personnes qu’il observe. Il comprend que c’est nécessaire pour que les soumis ne sachent pas s’ils ont donné satisfaction et soient dans un état d’incertitude permanent. Baptiste a enlevé les deux bottes de Dame Méphista. Il approche sa langue tendue vers le pied cambré de la femme allongée. Ce pied est fin, avec des orteils plutôt longs , mais le port continue de chaussures à talons hauts les a légèrement déformés et ils ont tendance à se chevaucher quelque peu. Un vernis sombre en fait briller les ongles. Baptiste avance ses lèvres vers le talon un peu rugueux qu’il se met à lécher délicatement du bout de la langue. Puis il remonte au milieu de la plante du pied et la glisse entre les orteils. Un mouvement brusque projette toute la largeur dans sa bouche. Le voilà à s’étouffer par le pied de Méphista et un haut le cœur le fait recracher de la salive. Julie éclate de rire et p’tit soumis rougit de honte, il n’a pas su se maîtriser, un filet de bave coule sur son menton. Julie tire sur la laisse pour l’éloigner de la méridienne qu’il est en train de tacher de sa bave. Il sent qu’il va être puni de sa maladresse. Et cette pensée a à peine le temps de parcourir son cerveau qu’une douleur cinglante traverse son dos : Maîtresse Julie lui a donné un coup de laisse sur les épaules. Puis elle pousse sa tête vers le pied tendu et Méphista enfourne de nouveau son pied dans sa bouche. Il recule légèrement sa tête et se met à téter tout en bavant copieusement. Il sent la jambe se détendre et continue de plus belle. Une caresse brusque le conforte dans son action, il suce et aspire encore et encore . Ses yeux se ferment et tout son esprit se concentre sur sa bouche, son corps n’existe plus, il se réduit à ses lèvres et à sa langue qui s’agitent, à son souffle qu’il contrôle. Il sent venir une profonde satisfaction à n’être plus rien qu’un objet sexuel dont on use à volonté. Dame Méphista sent un courant de bien-être remonter le long de son pied vers son mollet qui se détend. Sa cuisse tremble un peu, son bassin frémit, son sexe tremble, les battements de son cœur accélèrent, son souffle change de rythme, elle se sent si bien que ses paupières se baissent sur ses yeux brillants, sa bouche s’est légèrement ouverte et un petit bout de langue rose pointe, brillant de salive. Julie observe son amie se détendre et sourit, c’est son soumis qui est l’auteur de ce bien-être tant recherché. Assis dans un fauteuil Voltaire en face de son épouse Maître Trépuissant observe la scène. Il a rarement vu son épouse ainsi et il pense qu’il a bien fait d’inviter Julie et Baptiste. Il claque des doigts doucement pour que Bianca se précipite à ses pieds. Décidément cette petite esclave est bien dressée. Elle s’agenouille et pose servilement sa tête sur les genoux de son maître qui se met à jouer avec ses boucles. Son membre se raidit à ce contact, mais il préfère ne pas bouger pour ne pas troubler cet instant de quiétude exceptionnel. Marc toujours habillé en soubrette entre silencieusement dans le salon, surpris du silence qui y règne. Il dépose sur la table un plateau où reposent différents instruments bien alignés puis il s agenouille et croise ses mains sur sa nuque en baissant la tête. Ces quelques mouvements perçus par l’œil de Dame Méphista brise son état de béatitude. Elle sourit et repousse Baptiste du pied jusqu’à ce qu’il se mette à genoux au pied de Julie. Elle se relève un peu pour se mettre en position assise. Dun geste elle indique le plateau à Julie pour que celle-ci y choisisse un rosebud pour son soumis. Il en a de plusieurs formes et de plusieurs tailles mis à disposition. À côté, de petites pinces pour les seins peuvent être utilisées seules ou avec les chaînettes assorties. Julie choisit deux pinces et la chaînette pour les relier à l anneau du collier. Plusieurs paires de menottes sont aussi disponibles reliées par des chaines plus grosses. Julie en choisit pour maintenir les poignets et les chevilles de Baptiste lorsque cela sera nécessaire. En attendant elle voit Méphista se cambrer sur le bord de la méridienne et elle pousse Baptiste vers l’entrecuisses de son amie. Celui-ci comprend de suite qu’il va effectuer un cuni sur cette belle et grande femme qui a la bonté de le recevoir chez elle. Il avance sa tête, sort sa langue et commence à donner de petits coups sur le bouton dressé de la domina. Elle attrape ses cheveux des deux mains et appuie fort sur sa tête, visiblement elle préfère quelque chose de moins délicat. Il ouvre grand sa bouche et ses lèvres rejoignent la paire normalement cachée qui se présente à lui dans toute sa splendeur, elles sont larges et un peu épaisses, bien souples toutefois et s ajustent très bien à sa bouche. Il pousse son nez et souffle tout en introduisant sa langue dans le sexe béant. Le corps se cambre et il suit le mouvement. Ses doigts fouillent tout autour et , comme il constate que le plaisir monte chez la femme, il se permet une exploration du majeur vers l’arrière. Nulle réaction négative ne lui laisse penser qu’il doit cesser, aussi ose-t-il introduire son doigt bien humide dans le petit trou de la dame. Un mouvement d ondulation du bassin lui indique qu’il peut continuer. Sa langue et ses doigts s agitent, sa salive se mélangent à la cyprine qui coule, son index a rejoint le majeur et masse l’anneau. Il perçoit de petits gémissements de satisfaction et sent son sexe tenter de se dresser dans son étui de cuir. Soudain un jet lui jaillit dans la bouche et il comprend que Madame a joui. Il se recule un peu mais d’une forte pression les mains lui indiquent qu’il se doit de continuer. Il lèche, suce, absorbe tout le liquide qu’il perçoit. Puis il se sent repoussé et s’empresse de reculer pour se coller aux jambes de sa domina. -
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Par : le 21/05/20
Maître Trépuissant n’a pas laissé très longtemps son sexe en érection au fond de la gorge de p’tit soumis, juste le temps pour lui de bien assimiler que son corps ne lui appartient plus. Baptiste, rouge de honte baisse les yeux devant le curieux regard de Maîtresse Julie, mais il en ressent la force sur son crâne baissé. Sa langue continue à pousser vers le fond de sa bouche la salive que sa domina a laissé couler à l’intérieur. C’est curieux, analyse le cerveau de Baptiste, sa salive n’a pas le même goût que l’autre jour quand elle m’a embrassé dans le salon. Je me demande quelle est cette boisson légèrement citronnée, sans alcool apparemment , dont elle a bu un verre ou deux. Je sens un petit quelque chose en plus, du sucre de canne probablement. « stop cerveau ! Arrête ! Pas besoin de savoir ! » et Baptiste relève les yeux légèrement. Julie a tourné la tête vers son amie Dame Méphista qui caresse distraitement la tête crépue de sa soumise. Elles échangent sourires et petits gestes affectueux dans une belle complicité. Les pinces sur ses testicules ne lui font plus mal, à peine une légère gêne quand il bouge un peu. Son entrainement avec sa compagne en province porte ses fruits, ou le temps s’étire à une autre vitesse lorsque ce n’est plus à lui de prendre des décisions. Peu importe les causes, p’tit soumis se sent bien aux pieds de sa domina. Méphista étire son bras jusqu’à lui et commence à lui frotter vigoureusement le crâne, comme lorsque son frère aîné lui passait un savon pour l’embêter. Des sensations étranges se mélangent, frissons de douleur et plaisir, relents d’odeurs qui remontent, sentiment de fraternité. Puis tout ces souvenirs sont chassés quand la domina tire très fort ses cheveux pour le faire se redresser. Tout son corps se tend dans l’espoir de réduire la douleur. C’est si brutal , mais où se croyait-il ce p’tit soumis ? Avec son grand frère ? Réveille toi ! Tu es adulte, et là, tout de suite, juste le bon toutou de ce trio , juste un jouet sexuel, juste un corps dont on use et abuse, juste rien ! Les bras en arrière maintenus par la barre commencent à s’ankyloser et Baptiste ressent un fourmillement désagréable, mais il s’efforce de ne rien montrer. Pour atténuer la douleur, il relève un peu la tête. Mauvaise idée ! Une claque lui fait vite comprendre qu’il doit rester tête baissée. Maitresse Julie se penche un peu pour le libérer et l’aide à se lever, mais toujours tête baissée. Les deux femmes jouent à faire bouger les pinces en leur faisant des pichenettes, ce qui leur déclenche de petits rires heureux. Baptise sent des larmes de douleur lui monter aux yeux . Puis une par une chaque pince est desserrée et ôtée. Un courant de douleur parcourt tout le corps du soumis, mais il est de suite remplacé par une onde de plaisir. Quel phénomène étrange ce plaisir de douleur, cette douleur de plaisir, les sensations se mélangent, se succèdent ,et il sent sont sexe essayer de se tendre, mais la soubrette Marc a bien serré les sangles, et la bandaison est entravée. De nouveau plaisir et douleur se mêlent, et le corps de Baptiste exulte. Le supplice est tel que les sources des sensations sont bien distinctes dans le temps et Baptiste comprend qu’il n’a pas affaire à des dominants débutants, une longue expérience est nécessaire pour maîtriser aussi bien le corps d’une autre personne. Ses yeux se tournent vers la jeune Bianca toujours à genoux, son jeune corps musclé ne tremble pas sous la tension du maintien de la position. Les yeux baissés, la bouche ouverte qui laisse couler la bave le long de la langue pendante jusqu’aux jeunes seins fermes dont les tétons se rient de la pesanteur, on dirait une statue. Elle attend les ordres et son visage reflète une grande sérénité. Baptiste envie ce calme et espère l’atteindre un jour lui aussi s’il se soumet bien à Julie. Un murmure arrive à son oreille. Il revient au présent inquiet de ne pas avoir tout saisi des ordres de Julie. Mais non , pas d’expression de contrariété sur son beau visage. « à quatre pattes le chien, tu vas venir rendre hommage à notre hôtesse à présent » . Baptiste pose ses mains aux sols, les bras bien tendus, les doigts repliés et il cambre bien son dos afin de faire ressortir son petit trou et ses testicules rougies sur lesquelles on peut voir les endroits où les pinces à linge ont été mises. Il baisse la tête et attend de sentir que sa domina tire sur la laisse qu’elle a fixé de nouveau au collier de cuir, symbole de sa soumission totale. La maîtresse des lieux s’est éloignée. Elle a pris la place de son époux sur la méridienne. Allongée sur le côté, sa tête légèrement appuyée sur sa main droite, elle tapote le bord du siège de la gauche d’un air impatient. Julie tire sur la laisse et Baptiste avance tête baissée d’une allure un peu rapide. Ses genoux et ses phalanges le brûlent un peu mais il ne dit rien, de crainte de recevoir une claque méritée. Arrivés au pied de Dame Méphista un coup sec le fait stopper net. Une haute botte noire de cuir à talon très fin de dix centimètres se précipite vers son visage et la semelle vient appuyer sur sa langue pendante luisante de salive. Sans attendre il lèche le cuir et enroule sa langue autour du fin talon. Une caresse ferme sur son dos lui fait comprendre qu’il a bien agi. Puis sa langue se dirige vers le dessus de la botte, contourne la boucle brillante et vient lécher le dessus de la botte. Il goûte le cuir, le suce, étale sa bave, en ressent toutes les petites aspérités. Sa langue le noie d’informations et il savoure cet instant, cette odeur lui fait encore remonter des souvenirs d’enfance, lorsqu’il regardait son père graisser les chaussures de cuir de toute la famille le samedi en fin de journée pour bien montrer que tout le monde était bien chaussé. Fierté d’ouvriers qui prend soin de ses enfants. « Enlève ma botte et lèche mon pied maintenant ! » l’ordre a claqué, très sec, d’une belle voix grave d’alto . P’tit soumis avance et se met à genoux afin de déchausser Dame Méphista. Il a peur que ses mains tremblent et se concentre sur ses mouvements car jamais il n’a eu entre les mains des bottes d’un cuir si fin d’une si belle qualité. Il fait délicatement glisser la fermeture éclair vers le bas, écarte les deux côtés et tire un peu, doucement. Aucun cri ne l’interrompt, il continue en silence avec beaucoup d’application et un grand respect de manipuler un si belle matière. La botte enlevée il hésite un instant, ne sachant où la poser. Julie lui enlève des mains en ricanant « Belle qualité n’est-ce pas le chien ?il doit y en avoir peu comme ça dans ta province de bouseux ! Allons lâche le chien, pas toucher ! Ce n’est pas un jouet ! » Ces mots sévères et méprisants lui font comme une caresse mentale, l’humiliation et l’injustice de ces propos l’excitent réellement. Curieuse sensation cérébrale d’être ainsi traité avec ce mépris manifeste ! Mais sa réflexion est interrompue par un deuxième talon qui s’enfonce dans sa joue. Il tourne un peu la tête et sa langue vient s’enrouler autour du cuir. Le même manège recommence et p’tit soumis prend un peu d’assurance, il a moins peur d’abîmer la botte, et la présente à sa domina qui ne laisse aucune expression modifier son visage hermétique. Baptiste est en admiration d’une telle maîtrise des muscles faciaux. Il ne voit plus les indices qui lui permettent habituellement de connaître l’humeur des personnes qu’il observe. Il comprend que c’est nécessaire pour que les soumis ne sachent pas s’ils ont donné satisfaction et soient dans un état d’incertitude permanent. Baptiste a enlevé les deux bottes de Dame Méphista. Il approche sa langue tendue vers le pied cambré de la femme allongée. Ce pied est fin, avec des orteils plutôt longs , mais le port continue de chaussures à talons hauts les a légèrement déformés et ils ont tendance à se chevaucher quelque peu. Un vernis sombre en fait briller les ongles. Baptiste avance ses lèvres vers le talon un peu rugueux qu’il se met à lécher délicatement du bout de la langue. Puis il remonte au milieu de la plante du pied et la glisse entre les orteils. Un mouvement brusque projette toute la largeur dans sa bouche. Le voilà à s’étouffer par le pied de Méphista et un haut le cœur le fait recracher de la salive. Julie éclate de rire et p’tit soumis rougit de honte, il n’a pas su se maîtriser, un filet de bave coule sur son menton. Julie tire sur la laisse pour l’éloigner de la méridienne qu’il est en train de tacher de sa bave. Il sent qu’il va être puni de sa maladresse. Et cette pensée a à peine le temps de parcourir son cerveau qu’une douleur cinglante traverse son dos : Maîtresse Julie lui a donné un coup de laisse sur les épaules. Puis elle pousse sa tête vers le pied tendu et Méphista enfourne de nouveau son pied dans sa bouche. Il recule légèrement sa tête et se met à téter tout en bavant copieusement. Il sent la jambe se détendre et continue de plus belle. Une caresse brusque le conforte dans son action, il suce et aspire encore et encore . Ses yeux se ferment et tout son esprit se concentre sur sa bouche, son corps n’existe plus, il se réduit à ses lèvres et à sa langue qui s’agitent, à son souffle qu’il contrôle. Il sent venir une profonde satisfaction à n’être plus rien qu’un objet sexuel dont on use à volonté. Dame Méphista sent un courant de bien-être remonter le long de son pied vers son mollet qui se détend. Sa cuisse tremble un peu, son bassin frémit, son sexe tremble, les battements de son cœur accélèrent, son souffle change de rythme, elle se sent si bien que ses paupières se baissent sur ses yeux brillants, sa bouche s’est légèrement ouverte et un petit bout de langue rose pointe, brillant de salive. Julie observe son amie se détendre et sourit, c’est son soumis qui est l’auteur de ce bien-être tant recherché. Assis dans un fauteuil Voltaire en face de son épouse Maître Trépuissant observe la scène. Il a rarement vu son épouse ainsi et il pense qu’il a bien fait d’inviter Julie et Baptiste. Il claque des doigts doucement pour que Bianca se précipite à ses pieds. Décidément cette petite esclave est bien dressée. Elle s’agenouille et pose servilement sa tête sur les genoux de son maître qui se met à jouer avec ses boucles. Son membre se raidit à ce contact, mais il préfère ne pas bouger pour ne pas troubler cet instant de quiétude exceptionnel. Marc toujours habillé en soubrette entre silencieusement dans le salon, surpris du silence qui y règne. Il dépose sur la table un plateau où reposent différents instruments bien alignés puis il s agenouille et croise ses mains sur sa nuque en baissant la tête. Ces quelques mouvements perçus par l’œil de Dame Méphista brise son état de béatitude. Elle sourit et repousse Baptiste du pied jusqu’à ce qu’il se mette à genoux au pied de Julie. Elle se relève un peu pour se mettre en position assise. Dun geste elle indique le plateau à Julie pour que celle-ci y choisisse un rosebud pour son soumis. Il en a de plusieurs formes et de plusieurs tailles mis à disposition. À côté, de petites pinces pour les seins peuvent être utilisées seules ou avec les chaînettes assorties. Julie choisit deux pinces et la chaînette pour les relier à l anneau du collier. Plusieurs paires de menottes sont aussi disponibles reliées par des chaines plus grosses. Julie en choisit pour maintenir les poignets et les chevilles de Baptiste lorsque cela sera nécessaire. En attendant elle voit Méphista se cambrer sur le bord de la méridienne et elle pousse Baptiste vers l’entrecuisses de son amie. Celui-ci comprend de suite qu’il va effectuer un cuni sur cette belle et grande femme qui a la bonté de le recevoir chez elle. Il avance sa tête, sort sa langue et commence à donner de petits coups sur le bouton dressé de la domina. Elle attrape ses cheveux des deux mains et appuie fort sur sa tête, visiblement elle préfère quelque chose de moins délicat. Il ouvre grand sa bouche et ses lèvres rejoignent la paire normalement cachée qui se présente à lui dans toute sa splendeur, elles sont larges et un peu épaisses, bien souples toutefois et s ajustent très bien à sa bouche. Il pousse son nez et souffle tout en introduisant sa langue dans le sexe béant. Le corps se cambre et il suit le mouvement. Ses doigts fouillent tout autour et , comme il constate que le plaisir monte chez la femme, il se permet une exploration du majeur vers l’arrière. Nulle réaction négative ne lui laisse penser qu’il doit cesser, aussi ose-t-il introduire son doigt bien humide dans le petit trou de la dame. Un mouvement d ondulation du bassin lui indique qu’il peut continuer. Sa langue et ses doigts s agitent, sa salive se mélangent à la cyprine qui coule, son index a rejoint le majeur et masse l’anneau. Il perçoit de petits gémissements de satisfaction et sent son sexe tenter de se dresser dans son étui de cuir. Soudain un jet lui jaillit dans la bouche et il comprend que Madame a joui. Il se recule un peu mais d’une forte pression les mains lui indiquent qu’il se doit de continuer. Il lèche, suce, absorbe tout le liquide qu’il perçoit. Puis il se sent repoussé et s’empresse de reculer pour se coller aux jambes de sa domina.
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Par : le 13/05/20
Il fallait bien qu’un jour, le cours de notre vie simple et heureuse heurte un écueil. Au début de l’été, je reçus coup sur coups trois lettres recommandées de clients qui mettaient un terme à leurs contrats. Devant mes difficultés financières, Cléo prit l’initiative de rechercher un emploi. Grâce à mon carnet d’adresses, elle trouva vite à se faire embaucher comme serveuse dans un bar de nuit de Montparnasse. Elle ne s’absentait que trois nuits par semaine, du vendredi au dimanche, mais ce petit salaire supplémentaire arrangeait considérablement les choses. Un mois plus tard, au coeur de l’été, à la recherche de nouveau clients, je pris rendez-vous avec le patron de ce bar de nuit. Je connaissais ce garçon depuis le lycée et j’avais entièrement confiance en lui. Il hésitait à me confier sa comptabilité, en raison de la santé financière fragile de son établissement mais il était débordé par des contraintes bureaucratiques auxquelles il ne comprenait pas grand-chose. Je montais à Paris en milieu d’après-midi et nous passâmes deux bonnes heures, dans son bureau au dessus-du bar, à examiner ses comptes. Je lui proposais le forfait le plus ridiculement bas que j’étais en mesure de lui offrir sans perdre moi-même de l’argent. Paul - c’était son prénom - ne voulut pas s’engager sans consulter son associé mais il me laissa de bons espoirs. J’allais le saluer quand il m’arrêta. - Elle est mignonne, la petite que tu m’as envoyé… - Cléo ? Oui, elle est charmante. - Comment la connais-tu ? - C’est l’amie d’une amie… - Ah !… - Qu’y a-t-il ? - Rien de particulier sinon qu’elle a débauché mon autre serveuse et qu’à elles deux, elles forment un joli couple mais pas vraiment une équipe de collègues. Le travail s’en ressent. - Ah ! - Il est quelle heure ?… Elles doivent être arrivées pour préparer la salle. Tiens, regarde. Paul me fit signe de le suivre jusqu’à une ouverture qui donnait au-dessus de la salle du bar. Le temps que je m’accoutume à la pénombre et je distinguai, blotties dans un angle, deux jeunes femmes enlacées. Cléo était parfaitement reconnaissable, de dos, avec ses longs cheveux et ses jolies fesses bombées. L’autre serveuse, au style garçonne, était également délicieuse. Cléo avait une main glissée dans son jean’s et la besognait avec ardeur. L’effet de ses caresses se lisait dans l’attitude de son amie dont les yeux clos et les ondulations du bassin ne pouvaient faire illusion. - Moi, je m’en fiche, il n’y a pas encore de client, mais quand le bar est plein, j’aime bien que ça tourne ! maugréa Paul. - Je vais m’occuper du problème, fais-moi confiance, lui répondis-je en lui serrant a main. Le retour fut particulièrement pénible. Le dilemme qui m’attendait se posait en termes simples : raconter à Sarah ce que j’avais appris, ou ne pas le faire afin de préserver la paix de notre petit trio. Je pris le parti d’amener Cléo à se confesser plutôt que de la dénoncer. Je conservai donc mon secret jusqu’à tard, le lendemain matin. Sarah s’occupait des plantations, dans le jardin, lorsque je pus prendre à part la jolie cachottière, toute ensommeillée encore, qui sortait de sa chambre seulement vêtue d'un de mes vieux hauts de pyjama. - Cléo, pourrais-je te dire un mot ? - Bien sûr, monsieur. Elle me suivit dans mon bureau, une expression inquiète au visage. - Ah, Cléo. Dis-moi… quand comptais-tu parler à Sarah de ta petite amie ? - Comment cela ? - Je vous ai vues toutes les deux hier, vous embrasser. C’était dans le bar où tu travailles, avant l’ouverture. Son visage s’empourpra. Elle chercha ses mots, commença certainement à inventer un mensonge, je ne lui en laissai pas le temps : - Tu trompes Sarah. Je n’ai aucune raison de ne pas l'informer, mais je détesterai d’avoir à jouer ce rôle. Aussi, je te donne cinq minutes pour aller lui avouer toi-même ce que tu lui caches. - Merci, monsieur, fit Cléo en esquissant une génuflexion. Je la vis descendre dans le jardin et approcher sa maîtresse d’un pas mal assuré. Je devinai le début de la conversation à leurs gestes et leurs attitudes. Sarah était choquée, Cléo minorait vraisemblablement les faits ou les dépeignait d’une façon qui atténuait sa responsabilité. J’avais imaginé que Sarah se mettrait en colère. Cela n’arriva pas. À ma grande surprise, au contraire, elle caressa longuement les cheveux de Cléo et versa une larme. Puis repoussant Cléo qui voulait l’embrasser, elle la laissa sur place et se réfugia dans ma chambre. C’est là que je la retrouvai. - Cléo me trompe ! lança-t-elle avec rage. - Es-tu certaine ? - Elle vient de me l’avouer la petite catin ! - Viens là… Sarah se blottit dans mes bras et cacha son visage pour que je ne la voie pas pleurer. - Pourquoi a-t-elle fait cela ? - Il n’y a jamais de raison à ce genre de situation. Les choses arrivent parce qu’elles arrivent. - Que me conseillez-vous de faire, monsieur ? - Aime-la… et punis-la, pour elle, les deux vont de pair. Cléo s’était cloîtrée dans la chambre qu’elle partageait avec Sarah tandis que celle-ci vaquait dans le jardin. Je la vis démonter les deux balançoires pour ne conserver que les montants auquel elle fixa des chaînes. Lorsque cela fût en place, elle s’installa dans un transat pour admirer son oeuvre. Son calme laissait deviner sa détermination. Je n’avais aucune idée de ses projets mais elle n’en varierait pas. Le dîner achevé et sans dire le moindre mot, Sarah passa une laisse au collier de Cléo et l’entraîna dehors. Elle l’attacha par des menottes et des chevillères aux chaînes installées un peu plus tôt aux montants de l’ancienne balançoire, de façon à ce qu’elle y soit retenue, bras et les jambes largement écartés mais sans que la position soit immédiatement inconfortable. Elle lui banda les yeux et l’abandonna ainsi, sans un mot, à la nuit qui tombait. Je ne lui posai aucune question. Elle s’enferma à clef dans sa chambre. Avant de gagner la mienne je fis un tour le jardin. L’air était encore chaud. Le corps pâle de Cléo se découpait dans l’obscurité, à peine éclairé par la lueur de la véranda. Elle ne bougeait pas. Je contournais le portique pour observer son visage. Le yeux masqués par le bandeau, elle respirait doucement, ses lèvres entrouvertes semblaient dans l'attente d'un baiser. J’avais évidemment pitié d’elle mais ce sentiment ne se distinguait pas complètement de l’envie que provoquait ce corps si naturellement désirable et dont l’attrait était singulièrement accru par les entraves qui l’offraient sans résistance. - Monsieur ? demanda Cloé. - Oui ? - Pourriez-vous ne pas me regarder ? - Et pourquoi donc ? - Il faut que… que j’urine… - Si Sarah avait voulu préserver ton intimité, tu ne serais pas pendue là ! Une succession de râles et de froissements de broussailles attira mon attention vers le fond du jardin. Une bagarre de chats sans doute. Un filet d’urine claire jaillit du bas-ventre de Cléo. Elle fit des efforts inutiles pour contrôler le jet mais, en écartant les genoux, elle parvint à ne pas se trop se souiller. Cette situation, tout à fait humiliante pour elle, me parut au contraire touchante. Surmontant mon envie de la prendre, je rentrai aussitôt me coucher. Cléo passa ainsi toute la nuit à la clarté des étoiles. Ce furent ses petits cris qui me tirèrent du lit, au matin. Imaginant qu’elle devait être frigorifiée ou blessée d’une quelconque façon, je dégringolais l’escalier. Le spectacle qui m’attendait était bien loin de cela. Sarah était simplement en train d’asperger au jet d’eau froide une Cléo toujours solidement tenue écartée aux portique. Lasse de se tordre en tous sens pour éviter l’eau froide, Cléo finit par abandonner tout résistance et se livra à ce lavage rigoureux qui, bien évidement, s’attarda sur ses parties intimes. Sarah s’empara ensuite d’un gros savon de Marseille et d’une brosse de crin dont elle usa pour récurer sans ménagement la belle. Celle-ci se contorsionnait sous la rugosité du brossage et sa peau rougissait des griffures du crin. Sarah épargna néanmoins son entrejambe à laquelle elle se contenta d’administrer de solides claques qui arrachèrent des hoquets à sa victime. Lorsqu'elle se fut lassée, Sarah arracha le bandeau qui aveuglait Cloé et l’embrassa à pleine bouche avant de la délivrer. Plus tard, lorsque je lui demandais ce qu’elle comptait faire de Cloé, elle posa sur moi son regard le plus impassible pour me répondre d'un ton froid : - Je ne sais pas… la vendre, sans doute.
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Par : le 12/05/20
Je l'attends. Comme tous les jeudis, je l'attends. Un air doux remplit ma chambre. Comme je l'aime cette chambre. Elle est le lieu de toutes les libertés, de toutes les expressions. Spatieuse, blanche, elle abrite des meubles en bois naturel. Ceux-ci sont peu nombreux, limités au nécesaire: un grand lit au centre, encadré de voiles blancs qui accompagnent le moindre vent, une commode aux formes arrondies, deux grands fauteuils blancs au cadre en bois. Aujourd'hui, le temps est magnifique. Il est au même diapason de mon attente. Je l'attends et pourtant je ne l'ai jamais vu. Il vient tous les jeudis et je ne connais pas son visage. Ce mystère m'excite, m'enivre. Il change mon quotidien. À chaque rencontre, je me dis: c'est peut-être lui; je regarde chaque homme avec un regard particulier, essaie de retrouver dans ses gestes le souvenir de mon plaisir. Cet homme me fait voyager au-delà du possible. À chaque passage, il maquille ses repères, tantôt imberbe, tantôt mal rasé, tantôt barbu. Ses parfums ne sont jamais les mêmes. Il joue avec ses cheveux, emprunte perruques diverses pour me confronter au lisse, au crépu, au court, au long. Il fait de même avec ses poils qu'il épile. Il dessine ainsi sur son corps une véritable carte sensorielle. Je l'ai rencontré par le biais d'une amie, il y a trois mois. Nous étions à un cocktail pour les prix de communication destinées aux agences de publicité. Ne l'ayant pas vu depuis quelque temps, je lui trouvais un éclat particulier. - Bonjour, Juliette, tu vas bien ? Tu es vraiment lumineuse. Il faudra que tu me donnes ton truc. Elle me regarda avec un regard encore tout chaviré de sa rencontre avec lui, mais cela je ne le savais pas. - J'ai une recette incroyable, que nous nous passons d'amies en amies, je t'en parlerai quand tu voudras. Notre conversation dériva sur notre domaine d'activité et la soirée fut un moment très agréable. Deux jours plus tard, au cours d'une réunion plus qu'ennuyeuse, le visage de Juliette réapparut dans mes pensées vagabondes. Avec le recul, elle m'apparut encore lumineuse. Dès qu'un moment libre se présenta, je décidai de l'appeler. Après le bonjour rituel, j'osai aborder le sujet directement. - Écoute, ma recette, c'est un homme, mais pas n'importe quel homme. Je ne le connais pas, il vient chez moi une fois par semaine. Je l'attends, les yeux bandés. Il a les clès et dès qu'il arrive, il mène le jeu. Il m'a fait découvrir un plaisir incoyable, basé uniquement sur le sexe. Il n'y a pas d'amour, pas de partage. Il ne parle pas. Ses mains, son corps, son pénis: il met tout en œuvre pour que j'explose. Un homme que pour jouir. - Tu te laisses baiser par quelqu'un que tu ne connais pas, mais c'est fou. - Au départ, j'étais comme toi. Plutôt réservée et méfiante. Mais l'idée a fait son chemin. Un jour, j'ai franchi le pas. J'ai donné mes clés. Le jour X est arrivé. J'éprouvais de l'appréhension. Je ne te parlerai pas de la suite, mais tout ce que je peux te dire, c'est qu'aujourd'hui, je ne peux plus m'en passer. Si tu veux profiter de ses visites, c'est très simple, tu m'envoies un trousseau de clés avec une étiquette où tu précises ton adresse, ton téléphone, et quel jour de la semaine tu veux baiser avec lui. J'ai reposé le combiné, troublée. Ouvrir ses jambes, se laisser pénétrer par le sexe d'un homme que je verrai jamais: incroyable; moi si classique, si traditionnelle, j'ai un amant certes créatif mais dont je connais toutes les fantaisies. Baiser avec lui est un havre de bien-être, de complicité. Nos sexes se connaissent et se reconnaissent. Un passage au toilette m'a fait découvrir l'effet de cette conversation. Un jus clair, tiède s'écoulait de mon chatte, déjà en éveil à l'idée d'une telle rencontre. Je l'ai caressée doucement; je lui reconnaissais son attente. Je l'apaisai d'un plaisir au singulier, entraînant une délicieuse vague de chaleur partout dans mon corps. Me faire pénétrer par un homme que je ne connaîtrai jamai; le désir était né. Dès le soir, dans les bras de mon amant, je lui ai demandé de me bander les yeux; j'ai pensé à lui, lui que j'attends déjà. Tout mon corps, mon esprit se sont centrès sur son sexe, un membre superbe, tendu, turgescent, allant et venant. Le plaisir a envahi tout mon être. J'ai hurlé comme sous ses coups, j'a joui avec une telle intensité jusqu'alors jamais ressentie. Le lendemain, l'envie était toujours là, pensée permanente trottant dans mon esprit. Toute la journée, j'ai essayé en vain de chasser son désir. Mais tous mes sens s'opposaient vivement. L'idée semée au cours de la soirée avait grandi et elle se défendait vigoureusement. Trois, quatre jours passèrent ainsi. Je restais dans une dualité qui ne m'apportait aucun répit. Un désir de plus en plus fort s'imposait au fil des jours, qui profitait à mon fiancé tout surpris de retrouver une dynamique dans notre couple. Demandant une explication, je lui ai dit que je venais de gagner un très important contrat face à une agence concurrente. En réalité, je ne me sentais pas bien; j'avais rompu l'équilibre que j'avais si soigneusement réussi à construire. Le sixième jour, n'y tenant plus, je courus faire un double de mon trousseau de clé. Je mis le trousseau dans une enveloppe et l'envoyai à Juliette. Un frisson incroyable me parcourut quand je la glissai dans la fente de la boîte aux lettres, un avant-goût du plaisir animal qui prit place désormais dans ma vie. Je décidai le jour même de ne plus porter de sous-vêtements sous mes robes, délaissant ma lingerie La Perla. Ce soir-là, je fis l'amour avec un lâcher-prise qui laissa mon partenaire de jeu épuisé mais émerveillé. J'avais consenti à accepter l'un de ses plus grands fantasmes, un triolisme érotique avec une très jeune fille désirable et infatigable. Le premier jeudi arriva. Il fut au-delà de mes attentes; un moment rare. Depuis, ma vie a changé de couleurs: hier dans les couleurs pastel, aujourd'hui, jaune, rouge, verte: elle brille aux éclats comme un arc en ciel après la pluie. Je l'attends. Dès que je suis rentrée du bureau, j'ai pris une douche pour me détendre et chasser toute pensée professionnelle. Je me suis massée afin d'assouplir mon corps, le rendre plus animal, plus félin. Je l'ai parfumé délicatement, nappant mon sexe d'un voile odorant. Depuis que je le connais, j'ai rasé son duvet pour qu'il soit encore plus doux, pour que l'éclat de ma fleur ne soit aucunement ternie. Enfin, j'ai mis en place au creux de mes reins, le rosebud anal pour m'élargir et m'exciter. Je suis là allongée sur le lit, mes sens en alerte. Le plaisir est là qui tient en éveil mon bas-ventre; les pointes de mes seins dardent dans l'attente de ses morsures. Mes yeux masqués ne voient plus le soleil ambiant. Soudain, j'entends la clé dans la serrure, qui la pénètre aussi efficacement que son sexe pénètre le mien. Il se déshabille sur le chemin qui mène à ma chambre, lançant ses chaussures sur son passage. Le frottement de sa chemise et de son jean sur sa peau est la plus douce musique, prélude à notre étreinte. Pour le reste, je suis incapable de savoir s'il porte un slip ou non. Il ne vient jamais directement dans le lit. Je sens son regard qui, centimètre après centimètre, prend possession de mon corps. Il ne me touche pas et pourtant déjà celui-ci se rend sous le coup de l'émotion. Qu'attent-il pour me prendre, je suis en manque de lui depuis une semaine. Il reste là à brûler ma peau. Je reste là à attendre, le sexe moite et impatient. Il se lève, il rejoint le lit d'un pas tranquille et monte avec la souplesse d'un félin. Aujourd'hui, son odeur rapelle une ambiance boisée, presque un peu lourde par rapport à l'esprit printanier de la journée. Je ne peux toujours pas le toucher, car c'est lui qui mène le jeu. Il commence par mordiller les pointes de mes seins, en suçant les larges aréoles brunes, puis d'un coup me retourne exposant mes fesses à la lumière. Il attrape mes mains, et avec des menottes, me les attache dans le dos. Sa langue reprend sa douce promenade, découvre mollets, cuisses. Son trajet décrit des courbes ne pouvant me laisser prévoir aucune logique. Sa langue se glisse entre mes fesses, vient forcer mon intimité, ôtant lentement avec une délicatesse infinie le rosebud qui lui interdisait l'accès à ma voie la plus étroite. Je dilate et je cambre pour mieux l'accompagner. Il la déflore avec un doigt, l'éveille d'un va-et-vient progressif, un deuxième, bientôt un troisième viennent rejoindre le premier. Je commence à partir, mes mains emprisonnées ne peuvent partir à sa découverte et me saisir de son sexe entre mes doigts. Il ose me prendre comme peu d'hommes ont osé. Il ne tient pas compte de mes cris, de mes suplliques: il fouille, prend, envahit, me fait mal, me libère pour mieux me reprendre. Quand il me sent au bord de l'extase, il me retourne. Sa langue reprend mon sexe, le suce avec avidité. Je hurle, j'aime sa douceur, sa force, sa violence, la chaleur de sa langue tonique. Je m'ouvre, impudique pour que ma chatte béante capte chacun de ses coups de langue, pour qu'il me pénètre au plus profond. J'ose lâcher tout l'animal qui est en moi, être pute, offerte, libre dans mon plaisir. À aucun moment, je ne me sens menacée ni jugée, je suis libre au pays d'Éros; une liberté qui me rend aussi dépendante de lui que d'une drogue. Je suis accro de sa peau, de sa bouche, de ses mains, de sa queue qui me délivre d'une attente d'être. Je le supllie de me pénétrer. Enfin, il répond à mon impatience et entreprend la découverte de mon sexe avec ses doigts. Quel plaisir de m'ouvrir, coulant sous le désir de ses caresses sur mon clitoris, mes petites et grandes lèvres. Mon corps se déchaîne; mes reins se cambrent pour mieux me livrer. Je brûle. Je perds toute pudeur. Mon vagin, mon anus, ma bouche, mes plis, ma chair veulent être pénétrés. Je le supplie. Esclave, je lâche prise. Son gland rosé, gonflé caresse le sillon de mes fesses. Il entre, je m'offre, je me laisse envahir, je suis pleine, je le guide, je rythme ses va-et-vient. Je suis lui, il est moi. J'aime d'être enfournée de sa queue si dure, campée, enfilée. Son plaisir est rapide, mais il se retient. Quand je le sens prêt, je l'appelle par mes parois et ma voix. Il crie, longtemps, au même rythme qu'il se vide en moi. Je happe ses jets, les suce, les conserve. Il s'effondre sur moi. Je suis dans l'entre-deux, espace intemporel, le voyage s'achève et la vie reprend. La trêve est terminée. Il me retire mes menottes. Il s'écarte de moi. Puis laisse ma peau abandonnée de son contact. Je l'attends et pourtant, je ne le connais pas. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 12/05/20
Nous nous étions connus en khâgne au lycée Louis-le-Grand, me dit-elle. Je la regarde. Elle n'a pas dû beaucoup changer: elle a à présent vingt-trois ans, elle vient de réussir l'agrégation, sans doute enseignera-t-elle l'année prochaine. Mais elle a gardé un air très juvénile, ce n'est sans doute pas un hasard, elle perpétue son adolescence, les visages en disent autant que les masques. Les yeux noisette, des cheveux noirs, coupés très courts, presque à ras, et une peau mate: Juliette a beaucoup de charme. Elle parait épanouie, à moins de détecter quelques signes d'angoisse dans ce léger gonflement des veines sur les tempes, mais ce pourrait être aussi bien un signe de fatigue. Nous habitions Rouen, à l'époque, Sa cathédrale, ses cent clochers, Flaubert, et le ciel de Normandie. Même quand il fait beau, sauf pour Monet, quelque chose de gris traîne toujours dans l'air, tel des draps humides et froissés, au matin. Je l'ai appelé, le soir. Nous avions convenu d'un rendez-vous chez lui. Il m'a ouvert. "Tu es en retard" a-t-il dit. J'ai rougi comme la veille, je m'en rappelle d'autant mieux que je n'en fais pas une habitude, et que je ne comprenais pas pourquoi ses moindres propos me gênaient ainsi. Il m'a aidée à ôter mon imperméable; il pleuvait pour changer, mes cheveux étaient mouillés; il les a ébouriffés comme pour les sécher, et il les a pris à pleine main, il m'a attirée à lui, et je me suis sentie soumise, sans volonté. Il ne m'a pas embrassée, d'ailleurs, il ne m'a jamais embrassée, depuis quatre ans. Ce serait hors propos. Il me tenait par les cheveux, j'avais les jambes qui flageolaient, il m'a fait agenouiller. Puis, il a retiré mon pull, mon chemisier et mon soutien gorge. J'étais à genoux, en jean, torse nu, j'avais un peu froid; quand je pense à nos rapports, depuis, il y a toujours cette sensation de froid, il a le chic pour m'amener dans des endroits humides, peu chauffés. Il m'a ordonné de ne pas le regarder, de garder le visage baissé. D'ouvrir mon jean, de ne pas le descendre. Il est revenu vers moi. Il a défait sa ceinture, il m'a caressé la joue avec le cuir. Ce n'est qu'à ce moment-là que j'ai réalisé que j'étais littéralement trempée. Je dégoulinais, j'avais le ventre en fusion et j'étais terrorisée. Il a fini de défaire son pantalon, et il m'a giflé, plusieurs fois, avec sa queue, avant de me l'enfoncer dans sa bouche. Il était si loin, du premier coup, que j'en ai eu une nausée. Il avait un sexe robuste, rectiligne, large à la base, plus grosse que mon poignet. J'ai commencé à aller et venir de mon mieux. Je me suis dit que j'avais bien mérité de sucer ce membre épais. C'était comme un viol désiré. J'étouffais un peu. C'était la première fois. Pour tout d'ailleurs, c'était la première fois. Quand il est passé derrière moi et qu'il m'a descendu le jean à mi-cuisse. Qu'il m'a ordonné de me pencher, la tête dans les mains, les fesses offertes. Quand il m'a pénétrée du bout des doigts, essayant la solidité de mon hymen, avant d'enfoncer ses doigts dans mon anus, trois doigts, d'un coup, c'était juste avant qu'il me sodomise; pas un instant, à ce moment-là, je n'ai pensé qu'il pourrait me prendre autrement. Il est revenu dans ma bouche, sa verge avait un goût acre que j'ai appris à connaître et à aimer, mais là encore, il n'a pas joui. Il le faisait exprès, bien sûr. Il a achevé de me déshabiller, il m'a fait marcher à quatre pattes, de long en large. Nous sommes allés dans la cave, où il m'a fait allonger sur une table en bois, très froide; il y avait une seule lampe au plafond et il m'a ordonné de me caresser, devant lui, en écartant bien les cuisses. La seule idée qu'il regardait mes doigts m'a fait jouir presque tout de suite. Il me l'a reproché bien sur, c'était le but du jeu. J'étais pantelante, j'avais joui si fort que j'en avais les cuisses inondées, bientôt, il s'est inséré entre mes jambes, les a soulevées pour poser mes talons sur ses épaules, j'ai voulu le regarder mais j'ai refermé les yeux, à cause de la lumière qui m'aveuglait, et il m'a dépucelée. J'ai eu très mal, très brièvement, j'ai senti le sang couler, du moins j'ai cru que c'était du sang, il a pincé la pointe de mes seins, durement, et j'ai rejoui aussitôt. Quand il est ressorti de moi, il n'avait toujours pas éjaculé, il m'a dit que j'étais une incapable, une bonne à rien. Il a dégagé sa ceinture de son pantalon, et il m'a frappée, plusieurs fois, sur le ventre et sur les seins. J'ai glissé à genoux, et je l'ai repris dans ma bouche, il n'a pas arrêté de me frapper, le dos, les fesses, de plus en plus fort, et j'ai arrêté de le sucer parce que j'ai joui à nouveau. C'était inacceptable pour lui. Il a saisi une tondeuse à cheveux et il m'a rasé la tête. Sanglotante, il m'a dit de me rhabiller, tout de suite, sans me laver, le jean taché du sang qui coulait encore, le slip poisseux, souillé par son sperme. Je lui ai demandé où étaient les toilettes. Il m'y a amenée, il a laissé la porte ouverte, me regardant avec intérêt, sans trop le monter, ravi de ma confusion quand le jet de pisse frappa l'eau de la cuvette comme une fontaine drue. Il m'a donné en détail, le protocole de nos rencontres. Les heures exactes, mes positions de soumission, le collier et la lingerie que je devrais porter et ne pas porter surtout. Il m'a ordonné d'aller tout de suite chez un sellier acheter une cravache de dressage en précisant que le manche devait être métallique. - Qu'est-ce que tu es ? M'a-t-il demandé ? - Je ne suis rien. - Non, a-t-il précisé, tu es moins que rien, tu es mon esclave. - Je suis ton esclave, oui. Cinq jours plus tard, nouveau rendez-vous, juste après les cours. J'ai apporté la cravache. La porte était entrouverte, je suis entrée et je l'ai cherchée des yeux. Il ne paraissait pas être là. Je me suis déshabillée, et je me suis agenouillée, au milieu du salon, les mains à plat sur les genoux en cambrant les reins, devant un lourd guéridon bas où j'avais posé la cravache. Il m'a fait attendre un temps infini. Il était là, bien sûr, à scruter mon obéissance. Ce jour-là, il s'est contenté de me frapper sur les reins, les fesses et les cuisses, en stries parallèles bien nettes en m'ordonnant de compter un à un les coups. Ce fut tout ce qu'il dit. À dix, j'ai pensé que ça devait s'arrêter, qu'il faisait cela juste pour dessiner des lignes, et que je n'allais plus pouvoir me retenir longtemps de hurler. À trente, je me suis dit qu'il allait se lasser, que les lignes devaient se chevaucher, constituer un maillage, et que ça ne présentait plus d'intérêt, sur le plan esthétique. J'ai failli essayer de me relever mais il m'avait couchée sur le bois, et m'avait ligoté les poignets et les chevilles aux pieds de la table. Il s'est arrêté à soixante, et je n'étais plus que douleur, j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. Il s'est arrêté, il m'a caressée avec le pommeau métallique de la cravache, qu'il a insinué en moi, par une voie puis l'autre. J'ai compris qu'il voulait entendre les mots, et je l'ai supplié de me sodomiser au plus profond, de me déchirer. Mais il est d'abord venu dans ma bouche. J'avais les yeux brouillés de larmes, et je m'étouffais à moitié en le suçant. Me libérant la bouche, il s'est décidé à m'enculer, sans préparation, pour me faire mal. Il se retira pour me frapper encore cinq ou six fois sur les seins en me meurtrissant les pointes. Je me mordais les lèvres au sang pour ne pas hurler. Il m'a donné un coup juste à la pliure des genoux, et je me suis affalée sur le sol glacé. Il m'a traînée dans un coin, et il m'a attachée avec des menottes à une conduite d'eau qui suintait. En urinant sur ma tête rasé, il me promit de me marquer au fer lors de la prochaine séance. J'avais de longues traînées d'urines sur le visage et sur les seins. Au fond, c'était un pâle voyou qui avait fait des études supérieures. Et qui m'avait devinée dès le début. Il avait su lire en moi ce qu'aucun autre n'avait lu. J'ai fréquenté, un temps, certains cercles spécialisés, ou qui se prétendent tels. Des Maîtres, jouisseurs, toujours si affolés à l'idée que l'on puisse aimer la souffrance et les humiliations, capables d'élaborer un scénario d'obéissance, où toutes les infractions sont codifiées et punies mais sans s'interroger jamais sur la raison ou la déraison qui me pousse à accepter ces jeux. Car c'est alors que mon corps peut s'épanouir, en se donnant à part entière. C'est l'extase, la jouissance exacerbée par des rites souvent inattendus, l'abnégation de soi. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 06/05/20
Ma vie de soumise Chapitre 2 : Vendredi 1 Vendredi soir. Nous reprenons contact. Je suis fébrile. - Comment es-tu habillée ? - Jupe et teeshirt. - Déshabille-toi. À l’avenir, tu devras être nue pour me parler. - Oui. Je me déshabille. Il veut savoir si je me suis caressée. Je réponds par l’affirmative. Nous discutons de choses et d’autres. - J’aimerais te rencontrer. - Pourquoi pas ? - Tu es libre demain après-midi ? - Oui. - On va se rencontrer dans un café pour discuter. - Oui. Il m’indique le lieu et l’heure du rendez-vous. - Comment seras-tu habillée ? - Je ne sais pas. - Tu dois porter un teeshirt et une jupe. J’ai horreur des pantalons. - Très bien. - Alors, à demain. Nous nous disons au revoir. Chapitre 3 : Samedi 1 Samedi après-midi. J’arrive au café choisi par mon correspondant. Il est assis à une table, sur une banquette, je me dirige vers lui. Il me fait signe de m’asseoir sur la chaise en face de lui. Il est tel que je l’ai vu sur la photo. Il me dévisage. Sous son regard, j’ai l’impression d’être nue. Le garçon s’approche. Jérôme, sans me consulter, commande deux cafés. Il s’adresse à moi : - Enlève ton soutien-gorge. Je rougis. - Ici ? - Non, tu vas dans les toilettes. En revenant, tu porteras ton soutien-gorge dans la main et tu me l’apporteras. - Oui. - Oui, qui ? - ? - Maître. - Oui, Maître. Je me rends aux toilettes, retire mon soutien-gorge. L’épreuve commence, je traverse la salle mon soutien-gorge à la main et l’apporte à mon Maître qui le place sur la banquette à côté de lui. Je suis rouge de honte. Nous buvons notre café. - Tu portes une culotte ? - Oui, Maître. - Va l’enlever. - Oui, Maître. Et une seconde épreuve commence. Je vais aux toilettes, quitte ma culotte et revient l’apporter à mon Maître qui le dépose à côté de mon soutien-gorge. Je sens les regards des consommateurs converger vers moi, je suis honteuse. - Viens t’asseoir à côté de moi. - Oui, Maître. Je viens m’asseoir à côté de lui. Il relève ma jupe, me palpe les cuisses. Sa main vient se plaquer sur mon sexe, il doit s’apercevoir que je suis mouillée. Quand il retire sa main je rabats ma jupe et croise les jambes. Il rectifie aussitôt : - Tu ne dois jamais rabattre ta jupe et tu dois tenir tes cuisses écartées. - Mais on va voir que je n’ai pas de culotte. - Et alors ? Tu n’as pas à t’en préoccuper. - Oui, Maître. Il règle l’écartement de mes cuisses. Il m’ordonne de me pencher en avant, ce que je fais. - Tu as retenu ton teeshirt avec une main. Tu ne dois pas le faire. - Mais on va voir mes seins. - Et alors ? Tu dois perdre ta pudeur. - Oui, Maître. Mon Maître pose une main sur ma cuisse. Et il me donne ses instructions : - Tu ne dois plus porter de sous-vêtements. - Mais on va voir que je n’ai pas de soutien-gorge. - Tu assumeras. Tu dois porter une jupe ou une robe. S’il fait frais, tu pourras porter des bas à auto maintien. Tu dois retenir qu’en toute circonstance tu dois porter le moins d’habits possible. J’ai constaté que ton sexe porte des poils. Tu devras t’épiler ou te raser. - Oui, Maître. - Tu m’as dit que tu n’avales pas. Si je choisis une pipe, tu dois accepter que je jouisse dans ta bouche et tu dois avaler. Quand tu as avalé, tu dois me remercier. - Oui, Maître. - Tu dois m’être fidèle. Je garderai ma liberté. - Oui, Maître. - As-tu des tabous ? - Non, Maître. - Alors, je pourrai tout exiger de toi. - Oui, Maître. Mon Maître sort un contrat d’appartenance en deux exemplaires. Nous signons tous les deux. Ce contrat stipule les conditions de la relation Dominant / soumise. À la rubrique des restrictions que je pourrais émettre j’ai écrit "néant". J’appartiens donc à mon Maître, je n’ai plus aucune liberté de pensée, mon corps est sa propriété exclusive. J’accepterai toutes les pratiques même dégradantes ou humiliantes. Mon Maître me fixe rendez-vous chez lui pour demain dimanche à quinze heures. Il me rappelle que je ne devrai pas m’être maquillée, ne pas porter de bijou et ne pas m’être parfumée. - On va aller aux toilettes et tu me suceras. - Oui, Maître. Mon maître empoche mon soutien-gorge et ma culotte. Nous allons aux toilettes hommes. Mon Maître ouvre sa braguette et dégage la queue de son caleçon. Son sexe est complètement épilé. - Mets-toi à genoux. Tu commences par lécher et gober mes couilles. - Oui, Maître. Je m’agenouille et ma bouche s’occupe de ses bourses. Son sexe grossit. - Lèche-moi le gland. Ma langue va et vient sur le gland de mon Maître. Son sexe grossit encore. - Prend ma queue en bouche. J’ouvre ma bouche et absorbe sa queue. Ma bouche est remplie. Je manque d’étouffer, le sexe venant buter au fond de ma gorge. - Caresse-moi les couilles. Ma main commence une caresse. Mon Maître a une main derrière ma nuque m’obligeant à lui gober entièrement le sexe. Mon Maître est résistant. La pipe semble durer une éternité. Enfin, il éjacule dans ma gorge. - Ouvre ta bouche, je veux voir mon sperme sur ta langue. J’ouvre la bouche et tire la langue. - C’est bien. Fais tourner ma semence dans ta bouche, régale-toi et avale. Je garde le sperme dans ma bouche, c’est une première pour moi. J’en apprécie le goût et j’avale. Je vais me relever mais mon Maître arrête mon mouvement de la main gauche et m’administre une paire de gifles de sa main droite. Je suis étonnée. - Tu as oublié quelque chose. Et, soudain, je me rappelle une de ses instructions. - Merci, Maître. Je peux enfin me relever. Mon Maître s’adresse à moi. - Maintenant, dégage. À demain. Nous sortons des toilettes. J’ai encore le goût de sperme dans la bouche, je sens encore la paire de gifles. Mon Maître m’a humiliée. Mais c’est ce que j’étais venue chercher. Je vais me préparer pour demain. Je désire vraiment satisfaire pleinement mon Maître. Chapitre 4 : Dimanche 1 Dimanche après-midi. Je me rends chez mon Maître. J’espère ne rien avoir oublié dans ma préparation. Je me suis rasée la veille devant et derrière. Pas de parfum, pas de maquillage, pas de bijou. Je suis vêtue d’un teeshirt et d’une jupe, je n’ai pas de sous-vêtement. Quant aux chaussures, j’hésite, je n’ai pas d’instruction. Je sonne à la porte. Mon Maître vient m’ouvrir. Je ne sais quelle attitude adopter. Il s’adresse à moi : - Quand tu arrives tu me prends les mains, tu donnes un baiser dans chaque paume. Tu fais de même quand tu repars. - Bien, Maître. Je lui prends les mains et applique un baiser sur chaque paume. - Déshabille-toi. - Oui, Maître. Je m’exécute. Mon Maître tourne autour de moi. Il m’examine. - Belle bête. - Merci, Maître. Il me touche le bas-ventre puis écarte mes fesses. - Plus de poil, c’est bien. - Merci, Maître. Mon Maître me passe un collier autour du cou. Ce collier est prolongé par une laisse. - Voilà, tu es ma chienne. - Oui, Maître. Mon Maître m’indique ses dernières recommandations. Je n’ai le droit de parler que pour répondre à ses questions, décompter les coups et le remercier à chaque coup ou à chaque éjaculation ou jet d’urine. Mon Maître m’interdit tout orgasme sauf autorisation spéciale de sa part. Mon Maître prend la laisse dans sa main, il m’emmène et je le suis. Nous arrivons dans sa chambre. Une femme nue est allongée sur le lit. Mon Maître me fait asseoir sur le sol au pied du lit. Il saisit une chaîne qu’il passe autour du pied du lit. Les menottes qu’il me passe sont attachées à la chaine. Puis mon Maître me lie les chevilles. Je ne peux plus bouger. Mon Maître se déshabille et rejoint la femme sur le lit. Ils s’enlacent et d’embrassent. La main de la femme atteint le sexe de l’homme qu’elle commence à caresser puis sa bouche remplace sa main. Elle s’active, j’entends des bruits de succion. Mon Maître attrape la femme par les hanches et la fait le chevaucher sur ses épaules. Les lèvres de mon Maître atteignent le sexe de la femme et il commence un cunnilingus. La femme émet des gémissements, son corps est animé de soubresauts, elle a un orgasme puis un autre. Je suis humiliée, mon Maître fait l’amour avec une femme mais ne s’occupe pas de moi. J’étais venue pour qu’il m’accorde son attention et je n’ai rien. Mais les mouvements des deux amants à côté de moi me mettent en émoi. Je fais attention à ne faire aucun bruit et surtout à ne pas jouir. Mon sexe est trempé. Maintenant, mon Maître a placé la femme à califourchon sur lui, sa queue a investi le sexe de la femme. Celle-ci monte et descend autour de la verge qui l’investit. Mon Maître fait bien l’amour, j’imagine que je suis à la place de la femme. Je reviens à la réalité. Jusqu’à maintenant mon Maître ne s’est introduit que dans ma bouche. Quand me fera-t-il l’amour ? La femme a un orgasme. Je crois que mon Maître vient de jouir. La femme vient aussitôt placer sa bouche sur le sexe de mon Maître et l’engloutit. Mon Maître caresse les cheveux de la femme. Est-elle son épouse ? Mon Maître m’avait pourtant assuré être célibataire. Où est-ce une conquête ? Dans tous les cas, ils ont l’air de s’aimer, leurs gestes sont tendres, cette femme n’est pas sa soumise. Mon Maître s’approche de moi et vient me détacher. Il me fait mettre debout. Il passe sa main sur mon sexe et a l’air d’être satisfait de l’avoir trouvé trempé. La femme ne me quitte pas des yeux. Mon Maître ouvre le placard et en ressort une cravache. Il me fait appuyer les mains sur un montant du lit, je suis ainsi penchée. Il m’assène cinq coups sur les fesses. Je pense à compter chaque coup et à le remercier. J’ai ensuite cinq coups sur les cuisses puis cinq coups dans le dos. Je dois maintenant me tenir debout face à lui. Cinq coups sur les seins, cinq coups sur le ventre. J’ai donc compté jusqu’à vingt-cinq et autant de remerciements. Il m’a vraiment fait mal mais il s’est quand même occupé de moi. - Tu vas garder le collier et la laisse. - Tout le temps, Maître ? - Le plus souvent possible. Tu peux t’en dispenser au travail ou quand ça peut te gêner. Mais tu devras porter collier et laisse quand on aura rendez-vous. - Bien, Maître. - Maintenant tu te rhabilles et tu t’en vas. Je m’approche de mon Maître et dépose un baiser sur chacune de ses paumes. Je me rhabille et m’en vais. Mon Maître n’a encore honorée que ma bouche. Il s’intéresse à moi, sa cravache en est le témoin. Je suis quand même déçue puis je me souviens de ce qu’il m’avait dit, une soumise n’a rien à attendre de son Maître, un Maître peut tout exiger de sa soumise. La soumise doit penser uniquement au plaisir de son Maître. Alors, si cet après-midi, il a fait l’amour devant moi avec une autre femme et s’il m’a battue, c’était pour son plaisir et pour m’humilier. Je commence à comprendre les mécanismes de la soumission. Je suis soumise, je l’ai choisi, je dois donc assumer. En rentrant chez moi, je décide de garder le collier autour du cou et de rester nue. Je resterai ainsi fidèle à l’esprit de mon Maître. J’enlèverai le collier demain pour aller travailler. Quand je me couche je suis hantée par mon Maître. Je me caresse en pensant à lui. Je lui dédie mes orgasmes. mence à sucer le sexe, une main palpant les couilles. Je gobe de plus en plus profondément la queue de mon Maître, ma main descend vers ses fesses, il a compris ma manœuvre, il fait basculer son bassin. Mon majeur que j’ai pris le soin d’humifier prend position vers son cul. Puis j’enfonce progressivement mon doigt. J’ai envie de jouir mais je me retiens, je ne veux déplaire une fois de plus à mon Maître. Ma bouche est maintenant complètement investie. Je tiens doublement mon Maître, sa queue dans ma bouche et un doigt dans son cul. Mon Maître me caresse tendrement la tête, ça me donne des frissons ! Puis, dans une sorte de feulement, mon Maître se libère à longs jets tout au fond de ma gorge. Je retire mon doigt. Je fais naviguer le délicieux sperme dans ma bouche, je me régale puis j’avale. - Merci, Maître. Puis je porte le doigt qui a enculé mon Maître à la bouche pour en goûter toute la saveur. Je sais que mon Maître a été satisfait de ma prestation. Il m’a caressé les cheveux, c’est un signe ! - Maintenant, tu t’en vas. À samedi. - Oui, Maître. Je baise ses paumes, me relève, je me rhabille et m’en vais. Je pense à tout ce qui m’est arrivé ce weekend. Mon Maître a concocté un scénario sensationnel. J’ai cru être enlevée et violée mais il n’en était rien puisque mes pseudo-violeurs n’ont agi que pour le plaisir de mon Maître. Je me suis encore rapprochée de lui et suis plus que jamais prête à le servir. À suivre ….
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Par : le 02/05/20
À quatre pattes, Baptiste un peu inquiet, voit la porte s’ouvrir devant lui. Maitresse Julie , dans sa tenue de petite diablesse rouge qui met en valeur ses longues jambes , approche avec un petit sourire narquois aux lèvres. Ses talons compensés claquent sur le parquet de chêne ancien. Elle lui caresse la tête et s’empare de la poignée de la laisse que Marc lui présente avec déférence. Sans un regard pour la soubrette elle s’adresse à son soumis : « Nous sommes chez Madame Méphista et Monsieur Trépuissant. Tu vas venir leur rendre tes hommages. Marche fièrement et cambre toi bien, que tout le monde voit bien que tes parties sont bien retenues dans le cuir et que tu as un bel arrière-train .» Tout en écoutant sa domina, Baptiste sent la main libre de celle-ci se glisser à l’arrière et vérifier les sangles qui compriment son sexe d’une manière inconfortable. La culotte en dentelle rouge l’irrite et les sangles le compriment. Mais il relève la tête et tend fièrement son dos et ses fesses vers le haut. Julie le fait se diriger vers le côté droit du salon. Il aperçoit un homme en costume sombre allongé nonchalamment sur une superbe méridienne en velours bordeaux , devant lui Madame, une badine entre les doigts, est assise sur un tabouret de cuir ébène . En s’approchant Baptiste se rend compte de son erreur, ce qu’il a pris pour un tabouret est en fait une magnifique jeune femme métisse à quatre pattes, la tête baissée, qui sert de siège à sa domina. À la même hauteur qu’elle, il aperçoit un objet brillant qui lui écarte les fesses ainsi que des menottes reliées par des chaînes aux poignets et aux chevilles. Ses seins sont comprimés par plusieurs rangs d’une corde soigneusement tendue et de petits anneaux brillent au bout de ses tétons. Dans sa bouche une boule brillante maintenue par une lanière de cuir l’empêche de la refermer. De la bave coule au sol et forme une flaque à la verticale . Baptiste comprend que la boule l’empêche de déglutir et il se souvient en avoir porté une aussi. Vue sur cette jeune femme l’effet est saisissant. La salive fait luire la peau noire de son menton. Les yeux baissés la soumise glisse un regard en coin vers Baptiste. La laisse qui tire sur son collier et une claque sur les fesses interrompent ses observations. Il entend Maitresse Julie demander à ses amis d’être indulgent, c’est la première fois qu’il voit une femme-meuble. L’homme glisse son pied sous la laisse et relève le menton de Baptiste avec un petit sourire moqueur. « C’est bien parce que c’est vous chère Julie. » Puis il s’empare de la laisse tout au bord du collier et tire un coup sec « Regarde moi bien jeune soumis car ce sera la seule et unique fois où tu en auras le droit ! » Baptiste déséquilibré lève les yeux vers l’homme qui s’est redressé : de type méditerranéen, celui-ci est très brun de peau, bien rasé de près à l’exception d'une fine moustache qui met en valeur sa bouche sévère et souligne son nez grec , ses yeux très bleus ressortent derrière des lunettes à la fine monture dorée et rectangulaire . Il appuie sur la tête du jeune soumis jusqu’à ce que sa bouche se heurte à la fermeture éclair du pantalon du costume bleu nuit dont il est vêtu. La pression est très forte et Baptiste sent sa bouche s’ouvrir sous la douleur, honteux il sent de la bave couler sur l’entrejambe du dominant. Une rude main virile attrape ses cheveux et tire vivement sa tête vers le haut. Surpris Baptiste laisse échapper un gémissement vite interrompu par la claque que sa maîtresse lui assène sur la fesse droite. « Veuillez me pardonner cher ami, il a encore du mal à maitriser sa gueule de chien ! Je m’efforce de le dresser mais c’est seulement notre deuxième journée. Le bâillon va lui apprendre, du moins j’espère.. --- Oui je comprends, ne vous inquiétez pas jeune Dame, nous sommes là pour vous aider par notre expérience. --- Merci beaucoup, votre magnanimité vous honore », répond Julie d’une voix toute timide. Puis il voit Madame Méphista ouvrir délicatement la braguette de Monsieur, sortir le membre viril déjà légèrement dressé , et il sent sa tête poussée vers le sexe de cet inconnu. Un ordre claque :« Lèche chien ! Ou il t’en cuira ! Ici tu n’es qu’un animal à notre disposition ! Tu me dois obéissance ! » Et comme malgré lui, Baptiste sort sa langue et donne de petits coups timides sur le gland décalotté qui lui est présenté. Les trois dominants échangent un regard complice et un léger clin d’œil de Trépuissant à Julie la rassure sur son intégration à ce petit groupe bdsm dirigé par le couple propriétaire de cette demeure bourgeoise aménagée pour recevoir ces visiteurs si particuliers. Baptiste sent le sexe frémir sous la caresse buccale et en ressent curieusement une certaine fierté. Il a passé l’épreuve et semble bien être le soumis de Maîtresse Julie à partir de cet instant. Une vague de soulagement le traverse et sa bouche se tend pour saisir le gland de Trépuissant. Il entend rire Julie , les deux autres se joignent à elle « Beau p’tit soumis ça ! Bon chien ! Bon, Fini de jouer ! » Un coup de badine sec et puissant sur son dos, un coup vers l’arrière à hauteur du front et ses cheveux tirés en arrière par sa domina lui rappelle que son corps ne lui appartient plus. Un claquement de doigts lui enjoint de poser sa tête sur les pieds de l’homme assis pendant que celui-ci se réajuste, ses bras se plient et ses mains vont tout naturellement se nouer sur sa nuque. Il abaisse sa croupe et se replie du mieux possible dans une belle position de soumission totale. Il sent plus qu’il ne voit l’homme déplier ses longues jambes et se lever. Méphista dont les mains torturent impatiemment la badine se lève et se dirige vers la grande table rectangulaire en chêne massif et ses deux bancs. La jeune soumise ne bouge pas, sa salive continue à couler le long de son menton et la flaque entre ses bras tendus s’étale lentement . Julie joue machinalement avec la laisse que Trépuissant lui a rendue. Elle observe la femme-meuble et un petit sourire étire sa bouche à l’idée d’imposer cela à Baptiste bientôt. Des idées surgissent dans son esprit et un franc sourire éclaire son visage. « Julie, vous semblez rêveuse ? Des idées neuves ? -Oh oui chers amis, mais ce sera pour plus tard. Trépuissant claque des doigts et la jeune soumise s’étire lentement. Son Maître caresse ses cheveux presque crépus, et la fait se lever à genoux. P’tit soumis ne bouge pas, les yeux rivés au sol , seules ses oreilles lui donnent quelques informations sur ce qui se passe autour de lui. Toujours bâillonnée, les yeux baissés, la jeune Bianca ne bouge pas à l’exception de ses mains qui vont rapidement et sans ordre donné se nouer derrière sa nuque. Le Maître caresse distraitement la tête de sa soumise tout en prenant Julie par la taille. Baptiste ne bouge pas et malgré l’inconfort de sa joue sur les lacets du dominant il attend patiemment comme Maitresse Julie lui a expliqué dans la voiture. Puis il sent que l’on tire sur sa laisse, sa tête se redresse, ses membres se déplient et il se retrouve à quatre pattes, le dos bien cambré, le sexe coincé. De petits courants de douleur traversent son corps, mais il en ressent un plaisir sombre. Cette position humble le comble. Jamais ces collègues ne l’imagineraient dans cette tenue, ni dans cette position animale. Et surtout comment comprendraient-ils le plaisir qu’il ressent à ne plus penser, ne plus décider, juste obéir à cette si belle versaillaise ou à ses amis, lui, celui qui paraît si sûr de tout , lui dont l’expression est toujours si péremptoire, lui qui a toujours réponse à tout ? Mais voilà, c’est ce cerveau si dynamique qui le fatigue, ces décisions toujours à prendre qui l’épuisent, ces responsabilités qui le rongent. Il envie souvent ses subalternes qui le jalousent de sa mutation récente et qui vivent sans ces questions incessantes qui tournent dans sa tête depuis toujours. Il n’y a que depuis qu’il a découvert ces jeux de soumission avec son ancienne compagne qu’il arrive à se sentir mieux. Un coup sec de sa laisse le ramène à l’instant présent. Il suit le mouvement initié par sa domina et se retrouve au pied de la table en chêne. Ses poignets sont tirés brutalement par Madame Méphista qui est accroupie face à lui et, bien qu’il ait les yeux baissés, il ne peut s’empêcher d’apercevoir sa fente largement écartée par sa position. En effet sous la courte jupe en cuir, l’absence de sous-vêtement révèle au p’tit soumis toute l’intimité de la domina. Sa position légèrement déséquilibrée fait se mouvoir de haut en bas une charmante minette bien épilée. Une érection brutale à cette vue se bloque dans les nœuds de cuir que Marc a soigneusement serrés tout à l’heure et Baptiste a du mal à retenir un petit gémissement. Heureusement celui-ci est couvert par les bruits de la chaine et de la barre d’écartement que manipule Julie qui s’est baissée. Les yeux du soumis s’écarquillent à cette vue. Maitresse Julie se penche encore un peu et lui murmure à l’oreille : « c’est seulement pour tenir tes bras bien écartés et pour empêcher tes mains de venir te branler. Cela ne te fera pas mal, en principe », ajoute-t-elle avec un petit sourire narquois. Et pendant que la barre est glissée sur ses épaules et que ses poignets sont attachés à des anneaux, Méphista tire sur ses chevilles pour les attacher aux pieds de la table. Baptiste ainsi immobilisé ne peut plus guère bouger. La jeune soumise est de nouveau à quatre pattes. Baptiste voit bien son sexe épilé entre ses cuisses écartées et son membre tente encore une fois de se redresser dans sa prison de cuir. La petite soumise recule vers lui, et bien qu’il baisse les yeux, il ne rate aucun des roulements de ses grandes lèvres sombres. Il sent qu’il se met à baver mais il ne déglutit pas. Marc lui a bien expliqué que cela lui est interdit : un chien ça bave ! Il ne doit surtout pas avaler sa salive ni fermer sa bouche, ni rentrer sa langue : les chiens ont toujours la langue pendante. Il est un chien et doit se comporte comme tel ! Sinon ses fesse lui en cuiront ! Les maitres ont la badine facile, et pour preuve Marc a retroussé son tablier de soubrette pour exhiber les cicatrices sur ses propres fesses. Et même si l’accord entre Julie et Baptiste interdit les cicatrices, quelques marques provisoires sont acceptables. Baptiste vit seul et ne craint pas les regards indiscrets mais il ne tient pas à marquer son corps. Il l’entretient régulièrement à la salle de sport et en est fier. Julie approche alors sa main gauche de ses parties intimes, elle l’ouvre et des pinces à linge de bois apparaissent bien à plat sur ses doigts tendus. Baptiste sent son cœur accélérer de plaisir anticipé : son amie Marie lui en faisait mettre régulièrement. Le pincement au moment de la pose est désagréable, mais ce n’est rien par rapport au courant de plaisir douloureux qui le parcourt quand on les ôte ! Julie saisit une pince entre son pouce et son index droit, elle la fait s’ouvrir et vient la frotter sur la langue baveuse de son soumis. Puis elle la fait claquer et l’approche de son testicule droit dont elle saisit de la peau. Elle installe la pince et sourit de la grimace de son soumis. Elle prend une deuxième pince et recommence son manège mais cette fois elle l’installe sur le testicule gauche. Elle recommence plusieurs fois jusqu’à être satisfaite du résultat : quatre pinces de chaque côté qui forment un arc de cercle du plus bel effet. Puis en s’appuyant sur la tête de Baptiste elle se relève et la lui caresse doucement. Il se sent heureux du sourire satisfait qu’elle lui a accordé à chaque pince posée. Entretemps le dom s’est approché, il ouvre sa braguette et après avoir demandé à Julie l’autorisation, il force la bouche de Baptiste jusqu’au fond. Le pauvre soumis a un haut le cœur de surprise. Sa salive abondante coule en un jet au sol. Trépuissant maintient fermement sa nuque et il ne peut bouger. « Première gorge profonde on dirait chère Julia. Ce n’est pas toi qui peut faire cela ! » Julia rougit et Baptiste prend de nouveau conscience de la hiérarchie de ce petit groupe. Il ne connait pas la relation réelle entre les protagonistes mais il est clair que l’homme est un pur dominant qui a l’ascendant sur les deux femmes présentes. Madame Méphista s’est installée devant sa soumise et lui tire la tête en arrière. Le dos cambré, la bouche baveuse toujours obstruée par la boule brillante, la belle brune échange un long regard avec sa domina. Puis elle sent les mains de Julie ôter le bâillon mais sa bouche reste ouverte, et avec un curieux petit bruit Madame Méphista laisse couler un filet de salive dans sa bouche déjà bien pleine. La bave coule et d’un coup sec sous le menton la domina referme cette bouche béante. Heureusement ce n’est pas la première fois qu’elle se livre à ce petit jeu et Bianca sait quelle doit rentrer sa langue pour ne pas se mordre. Quelques morsures malencontreuses le lui ont appris et elle sait anticiper. L’ordre sec suit «Avale chiennasse ! ». Baptiste sursaute en entendant cette insulte et bien qu’elle ne soit pas à lui adressée, il rougit de honte par empathie. Alors Maitresse Julie se place devant lui et il pressent qu’il va avoir droit à un traitement identique. Effectivement Julie le regarde et laisse couler un filet de salive de sa bouche vers celle de Baptiste. Et pour être certaine que son but soit atteint elle maintient ouverte la mâchoire de Baptiste de sa petite main si forte. Puis elle lui referme la bouche et murmure « Avale petit chien ! »Il s’empresse d’obéir avec un certain dégoût qu’il n’arrive pas complètement à dissimuler aux yeux inquisiteurs de sa domina. Un regard sévère le scrute longuement et il commence à rougir de honte. -
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Par : le 01/05/20
L'ombre peu à peu avait envahit la cave. Charlotte n'arrivait plus à distinguer la fissure dans le plafond à laquelle elle avait fixé son regard. La position dans laquelle elle s'était elle-même figée depuis près d'une heure commençait à la faire souffrir. Passaient encore les fourmillements dans les jambes et les bras attachés. Elle en avait l'habitude maintenant. En remuant les doigts, en bougeant les pieds, elle arrivait toujours à relancer la circulation du sang. Le plus insupportable, c'était cette douleur, à l'articulation des cuisses. Elle avait fait preuve de trop de zèle, tendant les chaînes au maximum de ce que lui permettait l'écartement de se ses jambes. De part et d'autre de son visage, ses genoux touchaient presque les barreaux. Elle avait aussi trop serré le bas. Il lui distendait les lèvres comme le mors d'un cheval. De temps à autre enfin, il lui fallait empoigner les barreaux pour soulager ses bras de la tension dans laquelle ils étaient soumis. Que faisait donc Xavier ? Dans la rue, les lampadaires s'allumèrent les uns après les autres. Leur lueur orangée innonda la cave. Le cœur de Charlotte s'emballa: toute à son excitation. Et s'il avait décidé de ne pas venir en lui jouant un tour cruel, celui de charger le hasard de choisir celle ou celui qui la découvrirait ainsi harnachée, nue et enchaînée. Mais non, c'était impossible, il l'aimait. Charlotte se sentait en danger constant, tant la curiosité des visages la dévorerait, et qu'elle serait fouettée par l'un ou par l'autre, non pas à la vérité qu'ils s'en aperçurent mais sans doute chaque fois qu'ils auraient eu envie de l'humilier ou de la posséder. Et si, il avait encore eu l'envie de l'offrir à des inconnus. Charlotte avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la tenaillait et ne la lâchait plus. C'était cela, Xavier voulait l'offrir. Il leur avait dit qu'ils trouveraient là une jeune femme, esclave sexuelle, qui n'atteignait le plaisir qu'en donnant vie à ses fantasmes. Elle mimait la résistance, mais c'était pour mieux en jouir. N'avait-elle pas elle-même avoué qu'elle affectionnait particulièrement l'idée du viol ? Des pas retentirent dans le couloir. Elle cessa de respirer. Une clé tourna dans la serrure. La porte s'ouvrit. Charlotte distingua une silhouette dans l'ambrasure. La lumière l'aveuglait. C'était Xavier mais il n'était pas seul. Celle qui l'accompagnait, les mains sur las hanches, la considérait d'un oeil narquois. C'était une jolie fille élancée à la peau bronzée. Son bustier en lamé noir, son short ultracourt sur des bas résilles et des cuissardes à hauts talons ne laissaient planer aucun doute: une pute. Xavier avait amené une putain. Hébétée, Charlotte portait alternativement son regard de l'un à l'autre. Il l'évitait avac soin. Lui tournant le dos, il alla jusqu'à la fenêtre de la cave et, les mains dans les poches, observa la jeune femme en attendant qu'elle se soit déshabillée. Toisant Charlotte, à sa merci, nue et attachée, elle fit glisser son string le long de ses cuisses. Elle avait des jambes longues et musclées; en bas de son ventre, son pubis lisse se distinguait à peine, velours nacré sur la chair hâlée. Lorsqu'elle dégrafa son étroit bustier, ses seins comprimés en jaillirent comme des fauves. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie, d'animalité indomptée, jusqu'à sa machoire figée en un rictus menaçant contre laquelle dansaient des boucles d'oreilles en longs losanges effilés et cette queue-de-cheval haut placée sur la tête à la manière des Amazones d'autrefois. Elle se coucha en travers du lit, les mains derrière la nuque. - Tu viens, mon chéri ? minauda-t-elle. Xavier se débarassa de ses vêtements. Lorqu'il s'approcha du lit, Charlotte remarqua qu'il ne bandait presque pas. - Fais ton job, dit-il à la putain. Elle empoigna le pénis d'une main, passa l'autre sous les testicules, comme pour évaluer leur poids. - Allez, je suis sûre que t'as là-dedans de quoi m'en foutre partout. Abasoudie de surprise, Charlotte regardait sans réagir la main de la jeune femme solliciter avec adresse le sexe de Xavier dont l'érection se faisait de plus en plus puissante. Ses lèvres gobèrent le pénis tendu. Xavier, les yeux clos, serrait les dents. Pendant quelques instants, il n'y eut plus dans la cave que les bruits de succion de la fille et le cliquetis des chaînes dans lesquelles Charlotte commençait à s'agiter. La prostituée prit la pose pendant que Xavier enfilait un préservatif. Lorsqu'il la pénétra, elle poussa alors un gémissement de plaisir. Même en se tordant le cou, Charlotte ne pouvait pas les voir mais elle les imaginait aisément. Ondulations élastiques, mouvements synchrones, halètements convenus. Tout cela l'écoeurait. Elle renversa la tête sur l'oreiller. Pourquoi Xavier lui avait-il seulement demandé de s'attacher et de se bâillonner ? Pourquoi ne lui avait-il pas également permis de se bander les yeux ? Quelle perversité était la sienne pour vouloir lui imposer un tel spectacle ? Elle tressaillit. Des doigts venaient de se poser sur son sexe. On voulait aussi qu'elle participe à la fête des sens avec une putain. Relevant la tête, elle distingua une main, qui commença à la fouiller entre ses cuisses. Déjà des doigts hargneux s'engageaient en elle. D'autres cherchèrent à écarter le passage de ses reins pour forcer son anus. Elle se débattit autant que lui permettaient ses liens, voulut crier mais ses cris s'étouffèrent dans sa gorge. Xavier ne voyait rien. Il n'entendait rien. Il continuait de défoncer la putain qui, gémissant fort pour couvrir les plaintes assourdies de sa prisonnière, répercutait chaque coup reçu au fond du ventre de Charlotte. Elle était là, attachée sur un lit, à entendre l'homme qu'elle aimait s'acharner sur une inconnue qui lui faisait payer le prix de sa fureur. Xavier enfin donna les ultimes coups de reins. La putain abandonna aussitôt Charlotte et feignit un orgasme démesuré. Il se releva et jeta sur le lit une pelotte de ficelle et alla prendre une chaise qu'il disposa près du lit. - Tu sais ce qu'il te reste à faire, tiens voilà les clés des menottes et des cadenas. Termine ton job et casse-toi. Le ton de la voix n'admettait aucune réplique. La prostituée se contenta de hausser les épaules tout en tassant ses seins dans son bustier. Charlotte cherchait en vain à capter le regard de Xavier. Elle essayait de comprendre. Quel job la fille devait-elle donc terminer ? Pourquoi ne la détachait-il pas lui-même ? Mais il gardait les yeux fixes. Son visage marmoréen n'exprimait qu'une grave détermination. Elle le vit s'asseoir sur la chaise, de lui-même se passer les mains derrière le dos et, d'un léger mouvement de la tête, donner à la pute l'ordre de commencer. En soupirant, celle-ci déroula une longueur de ficelle et lui attacha les poignets qu'elle fixa ensuite solidement au dossier. De la même façon, elle lui entrava les bras, les chevilles, les jambes, le torse et la taille jusqu'à ce qu'il soit totalement immobilisé, comme soudé à la chaise, le sexe lourd pendait entre les cuisses légèrement ouvertes. Charlotte vit alors la fille s'approcher à nouveau, s'asseoir près d'elle et se pencher tout contre son visage. Bientôt, elle alla s'installer entre ses jambes en les maintenant écartées en hauteur. La façon dont elle se tenait lui donnait l'air d'un étrange gynécologue. Elle la vit poser les mains bien tendues de part et d'autres de sa vulve avec une douceur inattendue. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu du bout des doigts. Leur contact, même s'il demeurait ferme, n'avait plus du tout la sauvagerie d'auparavant. Elle ouvrit le sexe offert avec soin. Charlotte ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que cette fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait à tout prix réussir à jouir. La putain passa plusieurs fois la langue sur ses lèvres et, tout en le maintenant ouvert, les approcha du sexe humide de Charlotte. De l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, elle procèda à de longues succions. Étape par étape, elle aspira la chair tendre des petites lèvres, les caressant avec la langue, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut ou un peu plus bas. Charlotte survolait la cave. Une fille, attachée et nue, était écartelée sur un lit. Une putain, également nue, la suçait. Un homme, bronzé et nu, liè à sa chaise les observait toutes les deux. De sa langue, large et souple, la pute enroba le clitoris de Charlotte, l'excita pour l'éveiller, pour l'obliger, à se redresser et à prendre de l'ampleur sous sa caresse. La chair se gonfla alors. Simultanément, des pouces elle redessinait l'entrée du vagin, en soulignant les contours humides. Un doigt s'insinua dans son anus en le dilatant peu à peu. Le viol de ce territoire interdit fit naître dans le ventre de la captive d'irrésistibles ondes électriques. Charlotte creusa alors les reins. La fille comprit l'invitation. Abandonnant la vulve, elle concentra ses caresses sur la voie étroite. Elle élargit des doigts l'anneau anal à travers lequel elle poussa profondément la langue. Lorsqu'elle eut suffisamment préparé le passage, la fille posa le pouce contre l'anus de Charlotte et l'enfonça lentement, de toute sa longueur, jusqu'à la paume. Quand il fut bien planté au fond, s'en servant comme d'un axe, elle fit pivoter sa main de gauche à droite, les doigts repliés sur l'entrée du vagin. Sans cesser son mouvement de balancier, la putain plongea sa main plus profondément dans le sexe de Charlotte, éprouvant entre pouce et doigts l'élasticité de la fragile cloison. De l'autre, elle écarta les petites lèvres pour dégager le clitoris. Puis elle se reconcentra à nouveau sur l'anus. Elle avait décidé de la pénétrer avec le poing. À l'instant même où le poignet atteignit le fond de ses entailles, Charlotte se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait encore lorsque la fille, s'étant rhabillée, lui détacha les mains. Malgré elle, des ondes de plaisir la parcouraient encore, comme un orage qui ne s'éloigne que peu à peu, abandonnant ça et là d'ultimes grondements. Libérée de ses liens, elle se sentait plus impuissante encore que lorsque les chaînes l'entravaient. Les larmes lui montèrent aux yeux comme un torrent. Elle se mit à pleurer frénétiquement, sans bruit mais les épaules secouées de spasme, et cela dura longtemps. Elle dut dormir un peu. Xavier dormait-il lui aussi ? Elle n'osait se tourner vers lui. Son souffle était inaudible. Pourquoi l'avait-il contraint à une telle séance ? Avait-il voulu la faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à une situation si humilainte. Cela n'était donc pas un jeu, plutôt un passage obligé, un rituel auquel lui-même n'aurait pu échapper. Qu'avait-il donc voulu lui prouver ? Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Xavier. Elle se rappela à ce moment-là qu'il avait un bâillon. Elle se leva et se précipita vers lui. Il gardait les yeux clos mais il ne dormait pas. L'enjambant, elle s'assit sur lui, les bras autour de ses épaules, les lèvres contre les siennes. Il posa le front contre sa poitrine. Elle sentait au bout de ses seins la caresse de son menton mal rasé. Charlotte sentit son pénis se dresser sous ses fesses. Elle le laissa la pénétrer là où elle avait déjà joui. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 28/04/20
Les jours suivants se déroulèrent dans une atmosphère de joyeuse complicité. Cléo aimait s’amuser et jouissait d’un authentique talent d’actrice. Son entrain naturel faisait un opportun contrepoint à la gravité habituelle de Sarah. Sans doute cette dernière conservait-elle en elle trop de blessures secrètes pour se laisser aller facilement à la légèreté. Il me revanait désormais de les lui faire oublier. Observer les deux filles ensemble était un pur bonheur et chacun de leurs gestes amoureux me réchauffait l’âme. Et si je toussotais lorsque l’une glissait la main sous la robe de l’autre, ce n’était que par jeu. Il y avait aussi les baies à ramasser au fond du jardin, les fleurs à arroser, les repas à préparer, un peu de couture, de ménage ou de bricolage à faire. Il fallait aussi que je me remette au travail et que je consacre impérativement mes matinées à la comptabilité, sous peine de faillite. C’est pourquoi, tandis que je m’enfermais dans mon bureau sitôt après le petit déjeuner, les deux jeunes femmes avaient tout loisir de se livrer à la grande cérémonie de la toilette, à laquelle elles consacraient une bonne heure. Ensuite, si la toilette n’était pas suivie du rite sacré de l’épilation, Cléo allait chercher le journal, qu’elles lisaient ensemble, serrées l’une contre l’autre, sous la véranda, accompagné d’un troisième ou quatrième café. La lecture achevée, elles sortaient dans le jardin en tee-shirt et culottes sages pour s’adonner à leurs sports : badminton, gymnastique improvisée, lutte ou, plus calmement, yoga. Mais les jours d’épilation, plus rien ne comptait d’autre que la cire chaude et les bandelettes. Un temps suspendu par l’orage, le printemps retrouvait ses transparences. Une tiédeur s’installa, hachurée du bourdonnement des insectes. Une sorte de paresse sensuelle s’installa. Cléo préparait les repas et servait à table. Il arrivait que Sarah propose qu’elle nous rejoigne mais la plupart du temps, elle restait debout, à légère distance, mains sagement croisées dans le dos et prenait son repas plus tard, seule dans la cuisine. Est-il besoin de dire qu’elle n’était vêtue que du minimum ? Jupe courte à volants et simple bandeau de tulle sur la poitrine le midi, corset noir avec seins apparents et bas de la même couleur pour le dîner. Sarah, cependant, avait le souci d’agrémenter chaque jour cette semi-nudité d’un ornement différent, qu’il s’agisse de cristaux, de pierreries ou de chaînettes à ses anneaux, de façon à ce que le regard sur son corps en soit chaque jour renouvelé. Un soir sur trois, Cléo nous offrait une petite représentation ou une lecture, selon ce qu’elle avait préparé. Une tenture de velours rouge sang dénichée au grenier, une douzaine bougies, l’amplificateur de la chaîne stéréo… et le spectacle commençait. C’était pour des imitations de Liza Minnelli, de Marlène Dietrich ou de Greta Garbo, dans le style burlesque. Le maquillage et la coiffure étaient saisissants de véracité, la voix et les pauses d’une ressemblance parfaite, mais la tenue, bien évidement, s’affranchissait des pudeurs de l’époque. Pour ses simples lectures, Cléo s’étendait sur le canapé, appuyée sur un coude, les jambes rassemblées en fuseau, et aux lèvres un rouge si pétulant que le mouvement des mots prenait vie. Ses choix portaient sur des affaires scandaleuses comme celle du couvent de Sant’Ambrogio, dont les novices étaient contraintes au cunnilingus sur l’abbesse, laquelle sécrétait « une sainte liqueur » dont Dieu faisait « don » aux jeunes filles, ou celle de la criminelle Comtesse Bàthory. Ces saynètes ou ces contes pour grandes personnes mettaient chaque fois Sarah dans un état de fascination tel qu’elle semblait totalement s’abstraire de la réalité et que je surpris bien des fois sa main glisser sous le tissu jusqu’à ses seins. La représentation achevée, elle invitait notre artiste à venir l’embrasser. Ce baiser, qui n’était qu’un défi à mon égard, avait ses justifications. Je n’avais pas touché Sarah depuis le jour où je l’avais prise dans le jardin, juste avant l’averse. Son dépit était compréhensible, mais il n’était pas question que je la prenne tant qu’elle serait annelée au nom d’un autre. Rendez-vous avait été pris, je m’assurais que tout soit fait et bien fait. Les comptes seraient soldés ultérieurement. Il fallait encore un peu de temps. Sarah et Cléo partageaient le même lit mais Sarah avait fait le choix de laisser dorénavant leur porte grande ouverte. Dans son esprit, elle n’avait plus rien à me dissimuler de son intimité, puisque j’étais désormais son maître. Cléo avait bien protesté de cette intrusion dans leur vie amoureuse mais Sarah était restée ferme et lui avait promis de limiter ma présence de telle façon qu’elle ne s’en rendrait pas compte. C’est du moins ce que je les entendis négocier dans mon dos, Cléo concluant : « me faire baiser devant l’homme invisible, si je m’attendais à ça ! » Grimpant dans ma chambre beaucoup plus tard qu’elles, il m’arriva en effet de passer quelques minutes à les contempler endormies, enlacées l’une à l’autre, partageant leurs parfums et leurs sueurs. En son temps, Courbet sut traduire cette volupté… Et puisque l’on parle des nuits, il faut s’arrêter sur celles où elle regagnaient leur chambre en se donnant la main, geste de tendresse qui faisait comprendre que Sarah avait envie de profiter de son amie. Je ne les suivais qu’un peu plus tard, pour ne pas gâcher leurs préliminaires, et lorsque j’assistai à leurs ébats, c’était avec une parfaite discrétion, assis dans le coin le plus obscur. Elles me savaient là, quelque part, et j’imaginais qu’elles finissaient pas m’oublier. Sarah menait le bal sans qu’il y ait de règle ou de constance dans leurs ébats. La première nuit fut celle qui m’initia aux ressorts de leur relation. Sarah commença par bâillonner Cléo avant de lui attacher les mains dans les reins et les pieds aux montants du lit à l’aide de menottes de cuirs. Les cuisses largement ouvertes, Cléo était ainsi exposée sans défense à ses caprices et, accessoirement, à mon regard. Elle se laissa faire avec une docilité extrême. Sarah commença par lui mordiller longuement les seins, les pinçant, les étirant et les pressant aussi des doigts, avant de descendre tous ongles dehors jusqu’à sa chatte, où, remontant et descendant le sillon de ses doigts habiles, elle insista alternativement sur le clitoris et sur l’orée du vagin. Lorsque l’excitation de Cléo devint plus évidente, que son bassin commença à onduler, Sarah abandonna ses caresses pour s’agenouiller au dessus du visage de son amie. Avec une lenteur millimétrique, elle approcha sa vulve de la bouche de sa compagne. Tout n’est alors qu’un défilement d’images qui se superposent : lèvres intimes contre lèvres, baiser ardent, langue agaçante, dents mordillantes, fente avide, bouche dévorante, bouton tumescent, humeurs, nectar, jus, coulures, bavures, cyprine diluée de salive, puis dans un ultime coup de rein, ce petit éjaculat au visage tandis qu’elle basculait de son côté, la main pressée contre son sexe qu’elle l’apaisa à renfort de caresses. Cléo, abandonnée, ne cessait, elle, de se tortiller sur le draps, grognant au travers de la boule qui lui obstruant la bouche. J’eus pitié d’elle, de son sexe gonflé et luisant d’humidité. Le lendemain matin, Cléo apparut toute défaite. Pâle et les larmes aux yeux, elle traversa le salon à grandes enjambées pour se lover en boule dans l’un des fauteuils, sa robe de chambre rassemblée autour de ses jambes. Sarah arriva sur ces entrefaites, impeccablement maquillée, les yeux luisants de colère. Le martinet à longues lanières pendait à son poignet. D'un ton sec, elle intima à Cléo de se lever. Je voulus intervenir, mais pourquoi l’aurais-je fait ? Cléo ne m’appartenait pas. Sarah l’attrapa par les cheveux et la tira jusque sous la véranda. À cette heure, le soleil frappait droit au travers du toit vitré et la chaleur était déjà vive. Au travers de la fenêtre, je vis Sarah arracher sa robe de chambre de Cléo, basculer celle-ci contre la table, sur le ventre, puis, d’un large mouvement du bras, lui asséner un premier coup de martinet. Cléo ne hurla pas de douleur, à peine supplia-t-elle. Elle ne chercha pas à éviter la punition, elle s’agrippa seulement aux rebords de la table. Son corps luisant de sueur était plus désirable que jamais et ses larmes plus émouvantes encore. Un second puis un troisième coup s’abattirent sur ses fesses. Les marques rouges devinrent visibles. Quelques autres frappes sur le dos et Sarah la fit se retourner. Elle cingla les seins à coups redoublés puis le ventre, les cuisses et enfin, après lui voir ordonné d’ouvrir les jambes, elle visa son pubis. Cléo se contractait sous la morsure du cuir mais jamais elle ne chercha à se protéger et encore moins, à s'échapper. Ses yeux étaient clos, sa respiration haletante, ses lèvres entrouvertes, elle acceptait la souffrance, peut-être même comme un bienfait. Son corps, enfin se relâcha. Sarah, enfin, s’essuya le front, épuisée. Elle laissa tomber le martinet au sol, déposa un long baiser sur les lèvres de Cléo et revint au salon. - Pourquoi cette punition ? lui demandais-je aussitôt, bouleversé par la scène. - Auriez-vous un verre d’eau ? Il fait une chaleur sous la véranda… Je renouvelai ma question en lui rapportant son verre. - Cette petite vicieuse s’est masturbée une partie de la nuit. - Elle était restée insatisfaite, c’était un supplice… - Et alors ? Croyez-vous Monsieur qu’une simple fille doive être satisfaite ? répondit Sarah, laissez un seul interstice et elle vous échappera.
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Par : le 25/04/20
Lorsque je reçus le premier coup de fouet, je compris qu'il s'agissait d'un martinet souple utilisé de façon à me chauffer le corps avant d'autres impacts plus sévères. Du martinet, Juliette passa à la cravache. J'en reconnus la morsure particulière au creux de mes reins. C'était une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. Maniée avec nuance et précision, chaque coup reçu me semblait différent du précédent, selon que la mèche de cuir me frappait à plat, ou au contraire, sur toute la longueur de la tige. Juliette me flagellait avec une rigueur impitoyable et j'oubliais toutes mes bonnes résolutions pour me mettre à crier sous la morsure impitoyable du cuir. Mon corps se tendait en une supplication muette, mais éminemment éloquente. Bientôt, comme je le pressentais, la douleur qui me tenaillait se mua en plaisir, alors je ne pus me retenir davantage, mes reins se cambrèrent, propulsant mes cuisses et mon ventre en avant, dans un orgasme si violent que je crus défoncer la croix qui me retenait prisonnière. Honteuse et fière, j'avais joui des traitements infligés par la seule volonté de ma Maîtresse. Comme s'ils avaient deviné l'intensité de mon plaisir, que j'avais dissimulé de mon mieux sous des râles et des sursauts, Clothilde et Juliette accrochèrent soudain sur la pointe de mes seins et les petites lèvres de mon sexe, des pinces dont le poids entraînait la chair vers le sol. J'apprécie de porter des pinces aux seins, ma Maîtresse dit que je suis une jouisseuse des seins; me faire pincer les seins, parfois d'une façon très douloureuse me procure maintenant presque autant de plaisir que de me faire fouetter. En revanche, mes lèvres sont très sensibles et les pinces me font toujours beaucoup souffrir, et quels que soient mes efforts, j'ai bien du mal à surmonter ce genre de douleur. Lorsque Juliette installa l'une après l'autre les pinces dont le poids étirait douloureusement ma peau, je crus ne pouvoir jamais les supporter. Mais cette farouche volonté de ne décevoir ma Maîtresse, en aucun cas, m'a permis d'assumer bien des sévices. Je me concentrais de toutes mes forces sur un autre sujet susceptible de me faire oublier mes souffrances et je parvenais ainsi à oublier la douleur lorsque, brisant la tension nerveuse qui me faisait trembler au bout de mes chaînes, Juliette m'annonça la venue de Béatrice. Pendue aux menottes qui me sciaient les poignets, écartelée à en sentir les muscles de mes cuisses douloureuses, je ne pouvais faire un mouvement, ni tourner la tête pour contempler la belle femme qui était entrée dans la cave. Je sentis seulement sa présence, puis l'odeur envoutante de son parfum. Une main douce caressa mes fesses endolories et flatta mes seins meurtris par la flagellation. Je ressentis un apaisement qui n'était pas seulement dû aux caresses, mais à la présence de cette femme superbe que je n'avais pas le droit de regarder, même lorsque Juliette eut ôté le bandeau qui aveuglait mes yeux, puis libéré ma poitrine et mon sexe du carcan des pinces. Pour que je ne puisse avoir la tentation de me retourner vers la belle inconnue, Juliette plaça une cravache en travers de ma bouche, que je me mis à mordre instinctivement très fort entre mes dents. Je mourais d'envie de la voir; c'est un véritable supplice, de ne pas avoir le droit de regarder ceux qui vous frappent lors d'une séance de dressage. Cette frustration est à la fois blessante, car alors on a la preuve de ne pas exister, et terriblement excitante, car la curiosité est un trait dominant chez les esclaves. Enfin, elle fit le tour de mon corps écartelé et se plaça devant moi. Je la découvris, plus belle encore que je n'avais pu l'imaginer. Elle était grande, élancée, d'une finesse et d'une classe folle; la forme de ses lèvres sensuelles, la longueur de ses cuisses, la musculature de son corps de sportive. Béatrice semblait sûre d'elle et faisait preuve d'une tranquille détermination qui m'impressionnait. Juliette m'avait appris qu'elle avait été soumise, mais je ne décelai rien qui pût me conforter dans cette idée. Elle n'avait rien d'une esclave. Au contraire, elle avait le port du visage fier, comme celui d'une princesse dédaigneuse venue examiner ses sujets. Je ne pouvais l'imaginer agenouillée ou rampante, mais au contraire apte à dominer les femmes autant que les hommes. Ce soir-là, elle était nue, à part un mince string en voile noir qui mettait en valeur une chûte de reins magnifique et bronzée. Ses cheveux bouclés roux, son visage mince, ses yeux verts étincelants la métamorphosaient dans mon esprit d'esclave soumise en proie aux fantasmes d'une lionne qui allait me dévorer. Elle me détacha pour me placer face à un mur comportant un trou en son milieu de telle façon que ma tête dépasse d'un coté et mes reins de l'autre. J'allais être prise par l'arrière et contrainte par la bouche en même temps. La véritable humiliation était là: me montrer dans cette position dégradante, alors qu'exhibée ou fouettée, prise ou sodomisée, ma vanité pouvait se satisfaire de susciter le désir. Juliette commença à me flageller en insistant sur mes fesses, auxquelles elle vouait un véritable culte. Puis ce fut au tour de Clothilde et de Béatrice de me faire l'honneur de me battre. Je me tordis en gémissant sous le fouet, demandant grâce. Puis je sentis des doigts gainés de latex écarter mes lèvres, s'intoduire dans mon intimité, évaluer l'humidité involontaire que le contact de l'appareil avait suscité. Mes fesses furent écartées; je compris que j'étais inspectée plus intimement avec les doigts de latex, ensuite avec un speculum dont l'acier froid affola mon anus qui s'ouvrit lentement au gré de l'écartement de l'instrument qui le dilata jusqu'à la douleur. Comme je l'avais redouté, Juliette saisit un instrument de latex gonflable dont elle vérifia le fonctionnement sous mes yeux apeurés. Avec douceur et détermination, elle installa l'appareil en moi et commença à procéder au gonflage qui me dilatait inexorablement. La sensation devenait réellement insupportable. J'avais l'impression que mon anus se distendait sous l'envahissement de l'énorme cylindre conique qui semblait s'être fiché à jamais au plus profond de mes reins. Je ressentis un véritable dégoût à ne pouvoir contrôler l'orgasme lancinant qui montait en moi, me prouvant si besoin est que je devenais ce que Juliette voulait, un animal servile à la merci des jouissances les plus révoltantes. Après que Béatrice m'eut pénétrée les reins avec un nouvel objet plus épais mais très court, que l'on décida de laisser en place jusquà la fin de la soirée, une véritable terreur me submergea. Le feu crépitait dans la cheminée ancestrale, rendant l'atmosphère encore plus torride. Le supplice terminé, prise d'un besoin pressant, et ayant demandé à ma Maîtresse l'autorisation de me rendre aux toilettes, on m'opposa un refus bref et sévère. Confuse, je vis qu'on apportait au milieu de la cave une cuvette et je reçus de Juliette, l'ordre de satisfaire mon besoin devant les trois femmes. Une honte irrépressible me submergea. Autant j'étais prête à exhiber mon corps et à l'offrir à son bon vouloir, autant la perspective de me livrer à un besoin aussi intime me parut inacceptable. La véritable humiliation était là. L'impatience que je lus dans son regard parut agir sur ma vessie qui se libéra instinctivement. Lorsque j'eus fini d'uriner, ma Maîtresse m'ordonna de renifler mon urine, puis de la boire. N'osant me rebeller, je me mis à laper, comme une chienne, en avalant le liquide clair et encore tiède. Quelques instruments rituels étaient disposés à proximité de l'âtre: il s'agissait de véritables fers de marquage. Béatrice s'approcha de moi en brandissant un fer qui avait rougi dans les braises. Le regard de Juliette ne répondit pas à ma supplication. Béatrice se pencha sur mes reins offerts, que Clothilde maintenait immobiles. On me lia les mains et les pieds. Perdue dans mon épouvante, je sentais la main de Béatrice sur le bas de mon dos, qui indiquait où poser le fer. J'entendis un sifflement d'une flamme, et dans un silence total, une seule douleur abominable me transperça, me jetant hurlante et raidie dans mes liens. Je ne pus retenir un cri d'épouvante lorsque je crus sentir la brûlure sur ma chair. Je perçus une lègére pression, un pincement aigu très sec, et ce fut tout. J'étais bel et bien marquée, mais seulement à l'encre rouge. Le but était de provoquer ma peur, non de me marquer réellement. Je fus à la fois soulagée par ce dénouement inattendu, et secrètement déçue peut-être, de n'avoir pu donner ainsi une preuve d'amour définitive. Hommage à Charlotte. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 05/01/20
Sandra: " Il y a environ trois mois que je connais cet homme, il n'a fallu qu'un mois pour réorienter sa sexualité vers le plaisir de la soumission. L'érotisme du corps de la femme, la jouissance, la frustration, le transfert petit à petit de son plaisir pénien à un plaisir anal prostatique. Il faut du temps mais un homme bien dressé devient docile, découvre qu'il n'a pas les armes pour lutter contre une femme et fini par apprécier cette situation:" "Vous voulez un petit avant goût?" . Je frissonnais! "Baisse ta culotte!" j'obéis, baissant mon pantalon et ma petite culotte. La femme poussa un petit cri de surprise devant le spectacle. Il est vrai que voir un homme obéir ainsi peut surprendre, mais découvrir des sous vêtements féminin, a de quoi déstabiliser. "Vous voulez un petit aperçu de votre vengeance et de votre future puissance ?" la femme hocha la tête. Peu de temps après je me couchais sur ses genoux. Les claques étaient hésitantes mais fortes, Sandra m'avait fait garder la culotte à mi-cuisse pour le plus grand plaisir des deux femmes. J'avais de nouveau envie de jouir, ma bite voulait grossir, mon ventre me tirait. "Voyez, cette humiliation, mes paroles et son sexe coule déjà, il est en demande de soumission permanente. Je vous l'ai promis, " Je me préparais à mon hôtel pour ma soirée avec Sandra. Toujours un peu anxieux avant de sonner chez elle, soumis comme jamais, mis au pas par cette jolie femme, transformé en sissy, j'étais vraiment son esclave. Elle m'avait dressé, j'acceptais cette rédition sans condition. Sitôt dans son appartement, sans un seul ordre de sa part, je me mis à genoux, me déshabillais en restant en dessous féminin, pris le collier et la laisse et lui tendis. Ma tête à hauteur de son pubis pendant le passage autour du cou, mais je ne fis aucun geste pour toucher sa jupe fendue. A quatre patte elle m'amena dans la chambre d'amis où se trouvait un grand lit adapté à ses pratiques. A savoir un barreau en fer central qui partageait l'armature du lit en deux. "Allez, monte !" Les menottes m’enserrerent les poignets, la chaîne derrière le barreau. Mon corps et mon esprit tendu de désir, elle me mis une claque sur les fesses avec un petit sourire. "Tu sais ce que c'est ce soir?" Non, je ne savais pas. Tout ce que je voulais c'était qu'elle me fesse, qu'elle me mette ma tête entre ses cuisses, qu'elle me sodomise enfin et qu'elle me fasse jouir. "C'est ce que j'appelle la soirée de l'alalie. La fin du dressage d'un homme ? Dans ta tête, tout au fond il y a encore un bout de toi qui pense qu'un jour il reprendra sa vie d'avant, lorsqu'il aura exploré tout les recoins de la soumission! Je sais, tu vas me jurer que non et peut être, à ce moment, tu seras sincère. Mais ce n'est pas vrai! Je vais extirpé cet espoir, je vais le brûler devant toi et tes larmes ni changerons rien. Elle me fit un peu peur, je me rassurais en me disant qu'elle parlait de me sodomiser, de toute façon j'en mourais d'envie. Son téléphone en main, elle pianotait sur le tactile. Sa voix, pendant qu'elle m'exposait mon sort prochain, était compatissante, et encore plus flippante. "Ta vie va prendre un tournant auquel tu ne t'attendais pas et en même temps reprendre une direction qu'elle n'aurait jamais du quitter" Elle commençait vraiment à me faire avec ses propos sibyllins. Le son du carillon de la porte d'entrée déchira l'air. Je fis un bond. Sandra ne fut pas surprise, elle l'attendait donc, je fis de suite la relation avec le sms envoyé deux minutes avant. Des invités? Déguisé en fille et attaché au lit je n'en menait pas large. « Qui c'est Maîtresse? » Elle ne regarda pas, ne me répondit pas et sortie de la chambre vers la porte d'entrée que je ne pouvait pas voir. J'entendis la porte s'ouvrir, des pas passant l’entrebâillement, des chuchotements, plusieurs personnes. J'étais aux abois. La porte se referma. D'autres chuchotements. Le silence, angoissant, pétrifiant. Puis des talons qui claquent et se dirige vers ma chambre. Interminable, les yeux rivés à l'encadrement de la porte de la chambre, la chaîne de mes menottes tendue, j'écoutais les pas se rapprochaient. Les bottes s’arrêtèrent une fraction de seconde, comme si la femme hésitait, puis franchit le dernier espace la protégeant de mes yeux. Mon cœur s'arrêta une fraction de seconde, tout autour de moi l'air devient dense, sombre. Nathalie était là! Cuissardes jusqu'à mi cuisse, jupe courte en cuir, corset cuir lui remontant les seins, nombril et petit ventre nu, ses magnifiques cheveux blonds remontés en une splendide queue de cheval, un grand manteau noir descendant jusqu'aux chevilles et son visage d'ange orné de ses yeux bleus très clairs. L'archétype de la Dominatrice. Mon univers venait de se contracter en une singularité pour exploser la seconde d'après. Nathalie me voyait! Elle m'avait trahi, Sandra m'avait trahi! Le silence fut terrible, je ne bougeais pas elle non plus, le visage dur, des yeux de glace m'écrasant de sa hauteur, de ses vêtements moi qui était ridicule dans ceux qu'elle portais jadis pour me faire plaisir, pour faire plaisir à l'homme que j'étais avant. "Nathalie!" Stupide. Elle fit deux pas de plus touchant presque le lit. Le temps que je me retourne une autre personne était entrée. Cécile me regardait, les yeux ronds de surprise, surprise de ma présence car à sa tête je sus qu'elle ne savait pas que j'étais là, surprise de ma situation dégradante. J'avais repris mes esprits. Elle entra à son tour avec un homme, trente cinq ans environ qui se mit en retrait. "Pourquoi! Je te l'ai toujours dit, te dresser, te soumettre! Te rendre docile et soumis! Mais tu dois te sentir un peu seul devant nous dans ta tenue préférée de petite salope ! Elle se tourna, et alluma l'écran de télévision, chercha le canal de la clef USB et lança le fichier vidéo. Sandra, Julie et moi même étions sur l'écran. J'étais attéré. Cécile avait braqué son regard sur la scène, je sentis celui de Nathalie se poser sur moi, je n’eus pas le courage de la regarder.. Tout avait été filmé, mon déculottage devant Sandra et Julie, la fessée sur les genoux de Sandra. Même à poil, une fille est moins ridicule qu'un homme en sous vêtement féminin devant une maîtresse. Malheureusement ce n'était pas fini, la clef contenait d'autres vidéos. J'apparus de nouveau, à genoux devant Sandra et Julie. Puis la suite, la fessée par Julie, mon cuni à Sandra, et enfin mon éjaculation sur ses talons et enfin le léchage de mon sperme. La troisième vidéo était dans ce même appartement, ma soirée avec Sandra, je suçais son gode comme une pute, puis cul par dessus tête je jouissais du cul comme une fille mon sperme coulant directement dans ma bouche et sur ma figure. Sandra sortie et revint avec une caméra sur pieds et l'installa à côté du lit. "Je t'ai dit que ta première sodomie serait inoubliable, elle le sera." Elle donna à Nathalie son gode ceinture. Elle enleva son manteau, elle était d'une beauté à couper le souffle, elle me défia du regard pendant qu'elle installait le symbole de ma soumission. Après tout ce que la caméra avait filmée je ne pouvais plus rien dire, anéanti. durant toute la séance vidéo tandis que je m'enfonçait toujours plus loin dans les situations dégradantes, moi qui l'avait baisé dans toutes les positions; elle avait vu ce même homme s'avilir et devenir une lope. Nathalie s'approcha du lit, de moi. Elle me fixa les yeux dans les yeux. "Tourne toi et lève les fesses!" Nathalie! Non, c'était un cauchemar, j'allais me réveiller! "Non, Nath, je t'en pris, pas ça, pas ça, pas toi!" "Tu préfèrerai que ce soit une autre qui t'encule, Sandra m'a dit que tu en mourais d'envie. C'est juste que c'est moi qui te gêne. Il va falloir t'y faire parce que je vais te prendre régulièrement. Tourne toi et lève tes fesses!" Les derniers mots était plus sourd, plus lent, plus menaçant. J'obéis! Elle me fit baisser la tête dans l'oreiller, me fit tendre mon cul et ses douces mains touchèrent mes fesses pour baisser ma petite culotte. Je frissonnais! Le gland du gode, tout luisant de gel toucha mes fesses avant d'être guidé vers sa cible. Elle me saisit à deux mains et écarta un peu. L'engin se positionna, buta sur ma pastille et avec la plus grande douceur entra tout doucement. Il lui fallu plusieurs minutes pour me mettre jusqu'à la garde. Je râlais une ou deux fois. Quelle sensation, le cul totalement soumis, fiché sur cet engin raide qui dictait sa loi à mon postérieur. Sodomisé par ma maîtresse! C'était moins agréable que le point P mais symboliquement tellement plus fort. Les va et vient se firent plus intense et mon sexe ne pu résister à cette stimulation. Je le sentis grossir et commencer à couler. Sandra le fit remarquer aux deux femmes. Nathalie s'arrêta alors qu'elle me baisais à fond et s'approcha de mon oreille. Çà te plaît mon salaud. La plus salope de nous deux n'étais pas celle qu'on croyait hein?" Je ne répondis rien et je me concentrais au maximum pour ne pas jouir, mais j'aimais ça, oui j'aimais. Je commençais à lâcher, le plaisir menaçait de me submerger, seul une dernière parcelle de pudeur, de dignité m'empêchait de lui crier "plus vite, plus fort!!" Elle sortie entièrement, puis entra à nouveau, sorti attendit plusieurs secondes, et entra encore, elle répéta ce jeu à plusieurs reprises, me faisant croire que ma sodomie était finie. Deux, trois quatre secondes et elle me pénétrait de nouveau, l'engin de nouveau à fond, mais la butée fut différente, je ne compris vraiment que quand des mains viriles m'emprisonnèrent les hanches. J'hurlais de toutes mes forces "NNNOOOONNN!!!!". Je me débattis, mais sans les mains je n'avais aucune chance. Planté entre mes fesses la bite de l'homme ne bougeait plus, les bras venaient de passer autour de ma taille, le pubis collé à mes fesses, aucune chance de le désarçonner et d'expulser son pénis. Il me fit passer sur son ventre, lui le dos contre le lit, moi les quatre fers en l'air sur lui. J'avais beau jeter mes jambes en tout sens je ne pouvais plus rien faire, exposé aux yeux des trois femmes ainsi que la queue qui disparaissait à l’intérieur de mes fesses. Il commença à me pistonner. Je continuais à me débattre ne supportant pas cet outrage, pas devant Nathalie, Cécile et Sandra, pas moi, pas elles. Sandra s'approcha et me mis la main sur la tête: "calme toi c'est bientôt fini et tu aimes ça!" Toujours sa fausse tendresse, et pourtant malgré ce qu'elle m'avait fait ça marchait encore, cette femme était une ensorceleuse, son pouvoir sur les hommes était immense. L'homme resserra sa prise et recommença à me besogner comme une femelle. Mais je ne bougeais plus, tétanisé pas ce qui était en train de se passer. Une énorme érection gagna ma queue, turgescente, bouillonnante, mes couilles se reserrerent en même temps que naissait dans mon ventre le plaisir prostatique. Nathalie m'avait déjà stimulé, excité, par son contact, par sa sodomie, et mon cul comme doué d'une volonté propre fut incapable de faire la différence. Sa queue sortait et rentrait de mon cul, ses couilles butaient contre mes fesses et indépendamment de ma volonté mon plaisir grandissait. Je luttais, mais à chaque instant je perdais du terrain. En deux minutes ma bite coulait, des fourmillement courraient dans ma colonne vertébrale, de mes cuisses jusqu'à mes pieds des coups d'électricité m'agitaient. J'ouvrais les yeux, les trois femmes observaient le spectacle lubrique entre deux hommes, j'étais sûr que Sandra savait ce qu'il se passait. Elle m'avait imposé pour cet instant, portant les bas et les porte-jarretelles et jouissant comme une femme sous les assauts d'un mâle. Mes jambes bougeaient toutes seules, l'homme derrière moi respirait fort, je sentais qu'il prenait son pied, son plaisir par moi. Chaque seconde rendait encore plus irréversible la trahison de mon corps, mes jambes se serraient toutes seules, ma bite enflait, je perdis la notion du temps, mon esprit se brouilla en même temps que les préorgasmes m'emportaient. Je voulais jouir, jouir devant ma Maîtresse Sandra, devant la belle Nathalie, je voulais me soumettre à elle, qu'elle me fasse ce qu'elles voulaient, que Cécile me fesse devant les autres avec Julie, j'étais une salope, mon cul se baissait sur cette bite pour en prendre encore plus, objet sexuel je criais "OUI, OUI", l'homme de qui j'étais la salope m'ordonna de lui crier de m'enculer ce que je fis dans l'instant en gémissant et en levant les jambes le plus haut possible pour faciliter les mouvement de sa bite. Je sentis son plaisir monter, il allait éjaculer et il entraîna le mien avec, l'onde de plaisir m'emporta je me cambrais, le sperme jaillissant de ma bite m'inonda le torse et le visage tellement mes jambes étaient hautes, en même temps je jouissais du cul. Je restais plusieurs secondes tendu comme un arc contractant de moins en moins les jambes au fur à mesure que s'éloignait l'indigne plaisir. Je sentis la bite se retirer de mes fesses. Je repris mes esprits, je compris ce que je venais de montrer. Après le plaisir c'est la honte qui me submergea, dernière abjecte humiliation devant des femmes. Sandra s'approcha et défit les menottes. "C'est terminé, c'est dur et cruel mais tu devais en passer par là. A présent tu es vraiment une pute et je te ferais enculer quand j’en aurais envie. » Nathalie s'approcha, le contraste entre son doux visage et l'expression de ses yeux rendait le tout hypnotique: " Ta situation dégradante, ton avilissement devant nous est une juste punition. Elle m'envoya me doucher, je parti en titubant, groggy.
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Par : le 07/11/19
Jeudi Si attendu que j’ai cru que la malédiction qui plane au-dessus de nos têtes allait encore une fois faire mouche. Par chance, mon train a bien été maintenu et j’ai pu te retrouver comme prévu en m’évitant un trajet fatigant. Après une bonne nuit de sommeil, j’étais paré pour passer quatre jours agréables en ta délicieuse compagnie, d’aucuns diraient à ton service ;-) Après une matinée et un début d’après-midi purement « vanille », tu montes te changer pour commencer une longue et alléchante séance photos. J’ai bien l’impression que ça t’amuse tout autant que moi. J’avoue être chanceux de pouvoir profiter de ces moments où tu te livres sans retenue à mon objectif parfois envahissant, quoi que … Une fois que tu as quasi enfilé ta première tenue, parée d’un maquillage discret mais des plus efficaces, je monte te rejoindre. Je te découvre craquante à souhait. Par-dessus ta dernière parure rouge, tu as enfilé une paire de collants résilles dont la ligne de strass dessine à merveille l’arrière de chacune de tes jambes que deux escarpins terminent à merveille. Par-dessus ta jupe noire, je me délecte de la dentelle qui pare avantageusement ce corset que je ne t’avais encore jamais vu. Il te va à ravir tout en mettant en valeur tes « arguments ». Il faut que j’arrête vite de baver sinon je ne vais pas tenir longtemps derrière l’appareil. Je découvre aussi que tu as enfilé les gants noirs mi-longs que je viens de t’emmener. Enfin, de longues et belles mèches viennent tomber sur tes épaules tandis qu’une large capeline noire à liseré blanc vient délicatement masquer ton regard. Une pure réussite ! Tu as réussi ton coup. La canne à pommeau vient rajouter ce soupçon d’autorité aussi bien que le ferait la cerise sur le gâteau. Je peux alors me lancer dans un long shooting qui va nous mener jusque dehors avec une halte dans l’escalier que tu descends « en majesté ». Après cette mise en bouche, gastronomique, tu remontes te changer. Je te vois réapparaître dans une tenue cette fois totalement raccord avec la date du jour. Qui dit Halloween dit Démone. C’est donc vêtue d’une jupe longue rouge surmontée d’un haut fait du même tissu avec de très longues manches. Tu as aussi changé de perruque ; cette fois elle rappelle la fameuse Cruella. Tes talons rouges, peut-être mes préférés, un trident rouge et noir et des petites cornes diaboliques complètent parfaitement ta panoplie. Tu avais déjà tout d’une démone en « civil », alors ainsi parée, la sensation est décuplée. C’est reparti pour une nouvelle série de photos. J’essaie de t’immortaliser sous tous les angles. Comme tu es plus que généreuse avec ton nounours en ce début de week-end, tu as encore quelques « parures » en réserve. Cette fois tu reviens en policière tout à la fois charmeuse et un tantinet perverse. Ensemble robe bleu marine, petits gants blancs, lunettes noires et casquette qui va bien, menottes, matraque et talons noirs : tout ce qu’il faut pour faire obtempérer ton nounours. Comment résister à une telle représentante de l’ordre ? Je déclenche à tout va comme depuis une grosse heure déjà. J’adore quand tu te lâches complètement en léchant langoureusement ta matraque sous le regard de l’objectif. Je finis même menotté à ma policière préférée. Une fois libérée, tu émets le voeu de terminer par une série « charme ». Je découvre enfin ta nouvelle parure d’un rouge éclatant, complétée par tes escarpins rouges au brillant captivant. Tu as encore une fois un très bon goût. Nous nous amusons avec ce masque de chatte steampunk qui te va à ravir, ou encore avec ses crocs parfaitement d’actualité, ou encore avec ta paire d’ailes noires. Quand ma démone devient mon ange ! Et pourquoi pas une belle canne pour assoir ton personnage ? Quel privilège tu m’as offert de t’offrir ainsi à mon objectif sous de multiples visages. Je t’adore. Vendredi Journée de « repos ». Nous nous limitons à refaire une petite série de clichés toujours sur la thématique démoniaque mais façon chatte. Dracula et ses sœurs n’ont qu’à bien se tenir ! Samedi En fin d’après-midi, tu me rappelles que c’est mon tour de servir de modèle. J’ai vite l’impression d’être une poupée, ta poupée. Tu me tends tel ou tel élément à mettre. Parfois tu m’expliques même comment procéder. Je ne suis qu’un mâle après tout ;-) Tu me fais d’abord enfiler la nouvelle parure rouge, celle des sœurs jumelles (pour ceux qui suivent !) avant de me coiffer d’un chapeau bleu. Ainsi tu peux commencer ton mitraillage pendant que j’enfile précautionneusement une paire de bas. Jusque là je sais faire. En revanche, je suis moins calé pour enfiler la gaine que tu me tends. En plus faut serrer le ventre pour la passer. Heureusement que j’ai fait de gros progrès sur ce plan-là. Il faut ensuite y fixer les attaches pour tenir les bas. Ainsi parée, je dois tourner sur moi-même sous l’œil inquisiteur de ton appareil photo. J’ai l’impression d’être un morceau de pâte à modeler que tu formes selon ton humeur ou envie de l’instant. Et je dois reconnaitre que j’aime ça. En plus du côté transgressif d’enfiler ces vêtements féminins. Visiblement ravie de ta création, nous poursuivons par une tenue des plus légères. A commencer par la cage de chasteté qui ne rentre pas en place si facilement. Disons que les prémices m’ont émoustillé ! Ayant gardé les bas, il ne reste plus qu’à nouer le petit tablier blanc, suffisamment haut tout de même pour que tu puisses voir la cage remplir pleinement sa fonction. La culotte rouge refait son apparition en guise de masque des plus humiliants mais ô combien excitant aussi. La soubrette soumise ainsi équipée peut alors être exhibée sur le tabouret qui rutile grâce à tes efforts d’entretien. Je x sens impudiquement et perversement offert à ton regard. Encore une fois, tu n’en loupe pas une miette, allant même jusqu’à me dissimuler presque totalement derrière les lourds rideaux gris. Histoire de me montrer sous tous les angles, tu me demandes ensuite de mettre le gros rosebud, celui avec la pierre verte. Après quelques doutes initiaux quant au lubrifiant, il prend assez vite place en moi. Le tabouret se révèle encore une fois des plus utiles pour que je présente sans la moindre pudeur mon postérieur rehaussé de son bijou. Encagé et obturé, je m’exhibe volontiers devant toi. La scène se termine par un cours de révérence qui révèle que je suis loin d’être au point sur ce sujet. La policière fait son retour. C’est désormais le tour de son prisonnier d’être au centre des débats. Agenouillé sur le coffre et le torse appuyé sur le lit, mes fesses se retrouvent naturellement offertes, tendues qu’elles sont vers ma policière d’un jour. Evidemment, mes mains se retrouvent menottées dans le dos. Je n’ai plus guère de latitude pour bouger. Surtout pas pour m’opposer à sa matraque qui s’insinue entre mes fesses avant de parcourir une bonne partie de mon corps. Tu as peut-être manqué une vocation d’agent de police sadique ! Le dernier épisode de l’après-midi est une histoire de chaussures. Pour cela tu as réendossé ta belle tenue rouge qui s’assortit à merveille à tes escarpins rouges. Alors que je suis humblement agenouillé devant toi, tête baissée, tu présentes ta jambe à travers la fente de la jupe déposant ton pied gauche sur le coffre qui sert alors de parfait présentoir. Pour la première fois, tu me fais l’honneur de m’autoriser à rendre hommage à ton escarpin avec ma langue. Je suis touché et fier de ce geste. C’est peut-être un grand classique mais sa symbolique reste forte. Et tu n’en restes pas là en me présentant ensuite le talon. Je m’en délecte telle une sucette que je suce et tente d’avaler longuement pour faire durer ce moment unique. Après avoir usé de ma langue, il est bien temps d’assurer la corvée de lustrage sur tes quatre principales paires d’escarpins. Une vraie tâche de soubrette soumise ! Quelle formidable après-midi tu m’as offerte ! Je ne saurais comment t’en remercier à la hauteur de ce que tu m’as donné. Mais pour l’instant, il faut reprendre des forces pour la suite, dans la soirée. Je ne sais pas si c’est volontaire ou pure coïncidence, mais plus la journée avance et plus je suis au naturel. Désormais, je ne porte plus que ma cage et mon collier. Tu me surprends un peu en me demandant de venir m’assoir à tes côtés au bord du lit. Ce n’est pas vraiment dans tes habitudes mais je me vois mal ne pas « obéir ». Je comprends vite où tu veux en venir quand ta main gauche s’approche de ma cage, non pas pour me réchauffer mais pour taquiner son contenu du bout des griffes. Ta petite intervention fait vite ses effets et tu me sembles être ravie de la voir parfaitement remplie, pour ne pas dire « débordante ». Après cette mise en bouche stimulante, tu me tends la cagoule que j’enfile désormais avec une certaine facilité avant de m’enfiler et de verrouiller toi-même les moufles sur mes mains. Ceci fait, tu les relies dans mon dos avec un mousqueton. Je ne peux plus me défendre du moindre de tes assauts. Une fois n’est pas coutume, tu m’avais laissé entrevoir une partie de ta panoplie du soir. Il faut dire que tu n’avais pas caché ta volonté d’essayer tes dernières acquisitions. Je vais essayer de les reconnaître au contact à défaut de les distinguer. Tu me fais mettre debout face à toi, calé contre le lit. Commence alors un premier festival ! Je crois que tout ou presque fait un passage sur ma cage, ce qui a le don de garder son remplissage à un niveau optimal. Seul le petit martinet porte-clés ne semble flatter que mon sexe alors que les deux cravaches cœur et le paddle à pointes ont aussi eu l’occasion de venir réchauffer mes fesses. J’avoue ne pas avoir fait la différence entre la face pointue et la face lisse. Ce petit martinet cache bien son jeu : sa taille réduite ne présume en rien de son mordant, bien au contraire. J’imagine bien ton petit rictus de satisfaction lorsque tu l’as essayé. Quant au gros martinet au manche inspirant (plus si affinités une prochaine fois), je crois que tu ne l’as testé que sur mes fesses et mon dos jusque là. Après ce petit tour de chauffe, je crois distinguer le petit bruit métallique des pinces, les japonaises, les plus mordantes. Lorsque tu viens pincer le premier téton, mon doute se confirme. J’ai beau connaitre leur pouvoir de morsure, il semblerait que mon corps ait fini par oublier cette sensation fulgurante, qui, heureusement, s’adoucit très légèrement au bout de quelques secondes. Sans vraiment tirer sur la chainette, tu prends un malin plaisir à la soulever avant de la relâcher ce qui génère un effet de tension supplémentaire et renforce encore l’effet de morsure. Mes tétons sont ultra-sensibles avec cette décoration. C’est alors que survient l’inattendu, l’improbable, l’imprévisible ! Je me vide de mon jus sur le sol, sous l’effet d’une irrépressible éjaculation, sans pouvoir me contrôler, à croire que les pinces ont agi comme un interrupteur. Je crois deviner dans le ton de ta voix un mélange de mécontentement et de satisfaction, en tout cas c’est l’impression que cela me donne. Néanmoins, je reste confus d’avoir réagi ainsi. Ca ne va pas se passer ainsi. Après m’avoir libéré de tes appendices mordants, tu me surprends, mais d’un autre côté c’est presque normal en telle situation, en m’obligeant à me coucher sur le parquet pour lécher mes salissures. Sans la cagoule cela aurait été plus simple. Comme tu le dis, je peux simplement me guider à la saveur sous ma langue. Il n’y aucun doute quand j’atteins une tache et que j’essaie de la laper consciencieusement. C’est le moins que je puisse faire pour me faire pardonner. Désormais, tu juges que la cage ne sert plus à rien, tout comme tu me débarrasses des moufles. A posteriori, je me rends compte que la suite avait tout d’une punition. Faut quand même marquer le coup (euh le nounours) après cette sortie de route. Cette fois, je dois te tourner le dos pour recevoir mon châtiment. Assez rapidement je sens deux martinets agir de concert, probablement les jumeaux qui se font rapidement de plus en plus lourds sur toute la hauteur de mon dos. Je pense aussi que le nouveau refait son apparition. Mais je sens que c’est surtout mes fesses qui semblent pour l’instant être ta cible privilégiée. L’impact plus large sur les fesses est sans aucun doute l’œuvre du nouveau paddle, reste à savoir de quel côté. Impossible à dire de l’intérieur, mais te connaissant, tu as dû employer successivement les deux faces. Après le contact du cuir, je distingue celui du bois. Cette spatule de cuisine a définitivement trouvé une place privilégiée dans ta panoplie. Il faut dire que sous ses airs domestiques, elle cache un mordant des plus efficaces. Elle claque allègrement sur mon postérieur. C’est son et chaleur. D’ailleurs, pendant que tu t’éloignes quelques instants, la sensation de rayonnement est telle que je crois la rêver et j’approche une main pour être sûr que ce sont bien mes fesses qui sont en train de diffuser cette chaleur… Apparemment, la température idéale ne devait pas être atteinte. Tu reprends de plus belle avec la canne. Comme les fois précédentes, quelques coups suffisent pour bien la faire ressentir. Une dizaine tout au plus. Là tout de suite je pense que je ne pourrais pas m’asseoir et pourtant c’est loin d’être terminé. La longue baguette de la canne laisse place au court manche du plumeau. Encore un objet détourné contradictoire. Côté face, tu continues à me flageller, côté pile, tu uses délicatement des plumes pour adoucir temporairement les sensations qui me parcourent. On se demande pourquoi mais ce soir, tu insistes très régulièrement sur mon sexe … et quand ce n’est pas avec un accessoire, c’est directement avec tes griffes. Comme à chaque fois, dès que tu vises cette zone, quelle que soit la manière, je me plie en deux tentant instinctivement d’échapper à mes tourments. Quelques tapes sur ma poitrine sont suffisantes pour me rappeler à plus de raideur … Ca ne dure pas longtemps, et le manège se répète inlassablement étant donné que tu focalises ;-) Je vais me souvenir de mon manque de contrôle … De temps en temps tu sais te faire douce en passant tes mains chaleureuses pour apaiser la morsure précédente. Tu as un don inné pour alterner le chaud et le froid. Quand je pense qu’une douleur va succéder à une autre, c’est un instant de douceur qui me cueille par surprise. Une telle soirée ne serait pas complète sans la visite d’un des fouets, autant sur le dos qu’en enroulé autour de mon torse, histoire d’aller atteindre quelques zones sensibles de mon torse. Tu n’oublies pas de ménager quelques interludes à base de griffes pour me faire ronronner. JE n’y résiste pas, j’en suis totalement accro. Je ne peux m’empêcher de creuser comme si cela pouvait démultiplier la surface à griffer. Quel divin pêché mignon qui illustre à merveille ma condition de nounours maso. Apres une bonne série claquante, tu me diriges vers le coffre où tu me fais installer. Privé de la vue, j’ai un peu de mal, limite empoté. Tu es ainsi à portée en t’asseyant au sol devant moi pour déposer de la cire chaude sur ta cible préférée (la pauvre !), et visiblement il en faut sous toutes les coutures aujourd’hui. Je sens que tu soulèves ma queue pour aller déposer des coulées brûlantes dans les endroits les moins accessibles. Et pour retirer tout cela, quoi de mieux qu’une main en cuir terminant une cravache ? Cette « marquante » soirée devait se terminer par un dernier test. Après une première vaine tentative la fois précédente, tu disposes désormais d’une raquette électrique opérationnelle. Si le premier contact est simplement piquant, sûrement parce que tu y vas précautionneusement histoire de cerner les possibilités, quelques autres provoquent des picotements localisés plus ou moins intenses. Tu ne pouvais t’empêcher de voir ce que cela pouvait donner sur ma zone la plus sensible, ce qui n’a rien de surprenant quand on me connait. Là, les picotements se font plus efficacement intenses, m’arrachant un couinement, sûrement de satisfaction. Libéré de la cagoule, j’ai le sentiment en te voyant à nouveau que tu es satisfaite de tes nouveaux jouets et de ta soirée. Moi je suis ravi de son scénario partiellement imprévu, y compris malgré un fessier qui risque de rester sensible un certain temps. Dimanche Ce matin je me ressens encore de ton intense activité de la veille. J’appréhende un peu les quelques heures à venir dans le train. Au moins cela dure moins longtemps qu’un trajet en voiture. Toujours est-il que tu me proposes quelques derniers amusements pour terminer ce formidable week-end à tes côtés. En fin de matinée, tu me réserves un nouveau shibari, le premier avec ce genre de cordes. Le fameux tabouret qui nous inspirait depuis longtemps déjà, va désormais pouvoir nous être utile. Avant que je monte te rejoindre, tu l’as équipé de cordes en chanvre. Lorsque je me présente à toi, tu me pares d’une corde en chanvre. Une fois assis sur ce qui pourrait ressembler à mon trône de soumission, tu tisses ta toile. J’ai l’impression d’être une larve prise dans la toile d’une araignée. Plus tu avances, plus je me sens contraint, totalement solidaire du mobilier. Mes poignets finissent ficelés derrière le dossier. Je ne peux te cacher mes sentiments : mon baromètre est au beau fixe pendant quasiment tout le nouage ! Encore une pratique que j’adore. Je sais, il n’y a pas grand-chose qui me déplaise jusqu’à présent ! Libéré des mes liens, tu m’autorises une nouvelle fois à venir ramper à tes pieds pour honorer goulument un des talons aiguilles. Etait-ce un avant-goût pour me préparer à sucer un calibre plus important ? Car tu me présentes ensuite ton gode ceinture que j’essaie « d’honorer » du mieux que je peux dans toutes les positions possibles et imaginables, ou du moins toutes celles qui nous passent par la tête à ce moment-là. Un moment très plaisant à vivre, illustrant à merveille l’inversion des rôles. Pour cela et pour tout le reste, je ne sais comment te remercier pour tout ce bonheur que tu me procures. Quelques jours plus tard, certaines marques subsistent encore, de plus en plus atténuées, tout comme la sensibilité de mon postérieur qui se dissipe.
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Par : le 02/11/19
"On ne vous bandera les yeux que pour vous maltraiter, pour vous fouetter. À ce propos, s’il convient que vous vous accoutumiez à recevoir le fouet, comme tant que vous serez ici vous le recevrez chaque jour, ce n’est pas tant pour notre plaisir que pour votre instruction » Histoire d'O Un sombre voile de plaisir recouvre la flagellation depuis l'orée des temps. Les antiques raffolaient déjà du fouet. Lors de cérémonies rituelles, ils l'utilisaient pour invoquer les divinités afin de rendre les femmes fertiles. Dans la Rome Antique, le culte de Junon, protectrice des femmes, leur commandait le fouet, afin de lutter contre la stérilité. Lors de la fête des Lupercales, après le sacrifice d'un bouc par les Luperques, prêtres de Faunus, deux jeunes pages le visage couvert du sang de l'animal, armés de lanières, fouettaient des femmes souhaitant devenir fécondes. Le culte de Diane chasseresse donnait lieu également à de véritables concours de fouettage. De même, la flagellation était prescrite par Hippocrate comme remède contre l'impuissance masculine. De nombreux textes anciens relatent avec lyrisme les liens entre douleur et jouissance. Ainsi, Hérodote décrit, non sans poésie, des scènes de flagellations érotiques au cours des fêtes d'Isis, où tous les fidèles munis de fouet se frappaient jusqu'à l'extase. Pas de fêtes orgiaques sans rituels du fouet, lors des Dyonisies en Grèce ou des Bacchanales à Rome. Plus tard, de célèbres dévots éprouvèrent en se meurtrissant les effets stimulants du fouet. Henri III , dernier Roi valoisien (1574 à 1589) , grand pénitent mais aussi voluptueux raffiné, aimait à se "tourmenter les chairs", en compagnie de ses mignons. Sade, étudié précédemment, en fit, dans l'intégralité de son œuvre , l'un de ses instruments de jouissance de prédilection. Comment la flagellation a-t-elle pris place dans l'art du jouir ? Selon Freud, le masochisme, est une perversion sexuelle suivant laquelle la satisfaction est liée à la souffrance, ou à l'humiliation subie par le sujet soumis. L'envie de fouetter ou d'être fouetté proviendrait de la connexion directe entre plaisir et déplaisir. Désir de faire souffrir la (e) soumise (s) ou l'esclave sexuelle (el), ou le sentiment opposé, recherche de la douleur par la (e) flagellée (é) . L'envie de se faire souffrir, ou masochisme, serait la forme de perversion la plus répandue. L'attrait pour la flagellation, selon le psychanalyste, viendrait de la fixation, au cours de l'enfance, d’une correction punitive mêlée à une jouissance. Le sadomasochisme représentant alors la satisfaction liée à la souffrance ou à l'humiliation subie par un sujet dépendant. Des comportements érotiques exacerbés conduiraient à une pratique sexuelle employant la douleur par la flagellation pour parvenir à la jouissance. Un sadique étant toujours un masochiste, selon le neurologue autrichien, le flagellant prend plaisir à fouetter, aurait pour partenaire, un flagellé recherchant l'extase sous le fouet. Dans une relation D/S entre un dominant et un dominé, un Maître et un esclave, ou un masochiste et un sadique. La représentation religieuse de la flagellation l'associe à l'expiation d'une faute commise en vue de se punir de péchés. La mortification de la chair, dans une recherche mystique d'accaparation des douleurs du christ, permet de se rapprochant de Dieu. Quel qu’en soient les origines, apparaît de façon sous-jacente l'union entre le corps et l'esprit. En punissant, on veut faire entendre raison, en meurtrissant le corps, on pousse l'esprit à s'élever en se surpassant. Les informations cérébro-dolorosives transmises au cerveau agissent comme des détonateurs forçant l'esprit. Celui ci transmet à son tour au corps l'ordre d'endurer et de résister. Ce schéma synaptique neuromusculaire se produit lors d'une séance de flagellation. Plus clairement exprimé, la flagellation permet d'explorer le côté animal en transgressant les codes d'une sexualité classique. Elle confronte ,les partenaires, à la vulnérabilité ou à la puissance, au cours de jeux de rôles sexuels extrêmes, comme de puissants leviers d'excitation sexuelle. La ritualisation, en particulier, la mise à nu de la soumise exacerbe l'érotisation de la préparation à la séance de flagellation. Elle offre à son Maître, en signe d'offrande, le spectacle de sa nudité. Libre à lui, de se livrer à un examen approfondi des parties corporelles à travailler. Les yeux bandés et bâillonnée, elle est attachée avec des menottes, ou des cordes, sur du mobilier, un carcan, un cheval d'arçon, le plus souvent, une croix de Saint-André. S'infligeant une souffrance physique, le masochiste produit des endorphines, hormones sécrétées en cas d'excitation, et de douleur. Les endorphines ou endomorphines étant des composés opioïdes peptidiques endogènes secrétées par l'hypophyse et l'hypothalamus, lors d'activités physiques intenses, sportives ou sexuelles, d'excitation ,de douleur, et d'orgasme. Elles s'assimilent aux opiacés par leur capacité analgésique et procurent une sensation de bien-être. Lors d'une séance de flagellation, la douleur se transforme peu à peu en plaisir. Elle procure un plaisir à la fois corporel et mental, pour la (e) sadique ou dominatrice (eur),comme pour la (e) masochiste, ou soumise (e). Les sensations de morsures, brûlures, et de douleurs précèdent toujours plaisir et jouissance. La flagellée, par soumission et par volonté de se surpasser, atteint progressivement un état relatif de confort. Son corps mobilisé secrétant des analgésiques ou euphorisants, elle supporte alors mieux la douleur quand approche l'orgasme. Le secret de l'alchimie résidant dans l'expérience du Maître, dans sa technicité et sa maîtrise de l'art du fouet. La caresse de la zone à fouetter, ou à pincer, au cours de la période d'échauffement, précède toujours la flagellation. Le dépassement de soi, en continuant à subir ou à frapper, plus longtemps et plus fort, s'acquiert avec le temps. À la douleur, s'associe le fantasme de la domination. Véritable raffinement érotique, la flagellation, pratique fétiche, source de sensations corporelles voluptueuses, est véritablement au cœur de la littérature érotique: Plus de sept cents livres lui ont été consacrés entre 1890 et 1940. Gustave Le Rouge, Louis Malteste, Hector France ou Pierre Mac Orlan la vénèrent en déifiant sa ritualisation. Citons "La Voluptueuse Souffrance" de Max des Vignons (1930), "Coups de fouet" de Lord Birchisgood, "Le magnétisme du fouet" de Jean de Villiot (1902),ou encore "Monsieur dresse sa bonne" (1996) de Georges Pailler, dit Esparbec. La flagellation, pratique autonome, est devenue aujourd'hui un symbole érotique incontournable de la domination. Rappelons, avec force, que toute stimulation du corps par la flagellation, doit être librement consentie par des partenaires majeurs et de préférence expérimentés lors d'une séance de soumission avec toujours le recours possible d'un safeword . "Je porte les stigmates de la réalité de mon amour. J'aime contempler dans un miroir les traces que m'ont laissées les épreuves endurées lors des séances de soumission à l'être aimé. Je détaille les éraflures, et les stries qui zèbrent ma peau nacrée, et je revis les intenses moments d'abnégation. "Le lien" Vanessa Duriès. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 17/10/19
Pour mon article 50, par plaisir d'écrire, et pour rire, une petite étude sur les pratiques sexuelles cachées dans Tintin. Ce qui saute aux yeux, mais c'est pareil dans Asterix, peu ou pas de femmes et toujours caricaturées de façons grotesques. Normal, il faut en rire. Dans Tintin, Aussi bien la Castafiore que la femme d'Alcazar, sont des dominatrices. La Bianca est plus subtile que la mégère qui fait faire la vaisselle au général. Le professeur Tournesol est un soumis, une cage de chasteté lui irait fort bien. La Bianca peut tout faire avec lui. Avec Haddock c'est une relation dominant dominant mais elle a toujours le dessus au final. Le capitaine se débat mais la Bianca est plus dominante car plus élégante. Le capitaine Haddock et mademoiselle Tintin. Je vois bien ce dernier en travelo ou gay femelle avec un capitaine gay dominant. il est en couple gay avec le capitaine et tintin c'est la femme dans ce couple. Chang a tout d'une petite sissy, copine de mademoiselle Tintin. Abdallah a le feu au fesse et aimerait se faire mettre comme mademoiselle tintin par le capitaine Haddock. Les deux Dupond, sont gays, style cuir moustache , chaines, canes, menottes. Nestor le valet est assexué. Il bande plus ou peu. Il se paluche seul et obéis en tout et pour tout à son capitaine. Voilà, Tintin c'est des histoires gays. Rires On pourrait penser que Tintin, Astérix, Luky lucke et leurs sexualités soit un sujet ou une question qu'il ne faut pas se poser. Pourtant tout le monde ou presque a ri avec ces albums. Et derrière se cache (en mode subliminal?) des descriptifs de sexualités d'hommes célibataires. C'est amusant d'imaginer....
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Par : le 03/10/19
Je me tenais nu au milieu de la pièce. De chaque côté de moi, à environ deux mètres l'une de l'autre, se tenaient deux poutres de bois pleines qui montaient du sol au plafond, avec divers anneaux, poulies et crochets répartis de part et d'autre. J'avais reçu l'ordre d'attendre là, les yeux baissés, sans bouger, ni lever les yeux sous aucun prétexte. Je pouvais l'entendre bouger derrière moi. Je sentais qu’Elle préparait quelque chose, mais je ne savais pas quoi. Je devais me faire violence pour ne pas me retourner et regarder. J'avais déjà subi son mécontentement une ou deux fois par le passé et je n'avais aucune envie de répéter l'expérience. La pièce était chaude, confortable et sentait le cuir poli ; ce genre d'odeur confortable et rassurante que vous associez aux vieilles maisons de campagne et aux salons raffinés. Rien de tout cela pourtant ! L'odeur provenait des nombreux meubles recouverts de cuir qui remplissaient la pièce : des chaises, une tables, une croix, un banc. Tous équipés de contraintes et attendant la prochaine victime volontaire, moi ! Ma rêverie fut écourtée quand, sans prévenir, Elle me passa une cagoule en cuir par-dessus la tête. Rapidement, Elle tira et serra les lacets. Je réalisais que ce n'était pas ma cagoule ordinaire. Le col s'étendait jusqu'à mes épaules et était baleiné, immobilisant totalement ma tête. Alors que le cuir se tendait sur mon visage, j'ai également découvert le rembourrage, stratégiquement placé pour couvrir mes yeux et mes oreilles. J’étais sourd et aveugle. Ma bouche resta libre. C’est ce que je sentais pour l'instant du moins. En plus des fers métalliques de mes poignets et de mes chevilles que je portais déjà, ses mains commencèrent à boucler de fortes menottes autour de mes cuisses et de mes avant-bras. Avec maitrise, elle écarta en grand mes jambes et est cadenassa une barre d’écartèlement entre mes chevilles, empêchant toute tentative de ma part de refermer mes jambes. Ensuite, mes poignets furent également cadenassés à une longue barre d’écartèlement. Je sus immédiatement que je ne pouvais plus lui échapper. C'est à ce moment-là que je l'ai senti. Une traction ferme et solide tirant mes bras au-dessus de ma tête. Elle continua jusqu'à ce que je sois presque obligé de tenir sur la pointe de mes pieds. Elle s’arrêta, tenant fermement mes bras au-dessus de ma tête. Je pouvais sentir son corps contre le mien alors qu’Elle bougeait, passant des cordes au travers des fortes menottes de mes bras et de mes cuisse, les tirant vers contre les poutres. Mes bras et mes jambes furent non seulement écartés, mais aussi maintenus rigides par les barres d’écartèlement. Je réalisais soudainement que je ne pouvais plus me déplacer du tout. J’étais effectivement crucifié debout et complètement impuissant, à sa merci. Je n'avais aucune idée de ce qui m’attendait. Elle ne m'avait donné aucune information, aucun indice sur ce qu’il allait se passer. Tout ce qu’Elle avait dit était que je pouvais terminer la session à tout moment en disant « Stop », mais que si je le faisais, je passerais les trois prochains mois enfermé dans ma ceinture de chasteté avec absolument aucune libération. Comme cela ne faisait pas longtemps que je venais de passer deux semaines interminables de punition dans ma ceinture pour une question de masturbation sans autorisation, la seule pensée d’y passer trois mois entiers m'avait rempli d'horreur. Pas question de dire « Stop » ! C'est à ce moment que j'ai ressenti une succion étrange sur mon pénis. Quelque chose l’aspirait, le retenant prisonnier et forçant mon sang à le remplir avec force. Que je le veuille ou non, j’avais une érection digne de celles que j’avais expérimenté à mon adolescence. Puis, étonnamment, la chose a commencé à bouger. Comme la plus forte fellation du monde, elle commença à sucer et à relâcher de façon rythmée, entrant et sortant avec un mouvement lent et délibéré qui me fit haleter en quelques secondes. Je me perdais dans cette sensation, chaque succion plus exquise que la précédente, jusqu'à ce que mon cul explose d’une douleur ardente comme je n'avais jamais connu. Mes fesses furent en feu et ça ne s'arrêtait pas. Chaque fois que la succion s’effectuait, une douleur cuisante et agonisante explosait sur mon cul. Je pouvais deviner que c'était une sorte de battoir mais les coups étaient si puissants qu'il était difficile de penser à quoi que ce soit. Suce... douleur... suce... douleur... suce... douleur... et ainsi de suite. Je cherchais désespérément à débander pour arrêter ce tourment mais l'aspiration ne me laissait aucune chance. Elle gardait le sang dans mon pénis, me forçant à rester dur malgré l'agonie de mes fesses maltraitées. Je perdis la notion du temps. Je commençais à gémir, puis à gémir carrément et puis finalement à supplier. « S’il vous plaît Maîtresse… » Je ne pouvais rien entendre. Je ne pouvais rien voir. Je n'avais aucune idée de ce qu’Elle allait faire. Mes larmes commencèrent à se former derrière sous ma cagoule alors que le tourment continuait sans répit. Mes gémissements devinrent plus forts, la suppliant d'avoir pitié de moi, d’arrêter cette fessée automatique. Mon derrière était presque engourdi par la douleur, mon pénis palpitait dans sa prison vide quand, sans aucun avertissement, je sentis qu'elle entrait par derrière. D’une poussée puissante, profonde et dure et Elle remplit mon cul. J'étais choqué, surpris, désemparé alors qu'elle commençait à me baiser s’adaptant au rythme de la machine à sucer toujours attachée à mon pénis. Je perdis toute notion du temps. Je fus aspirer dans un tourbillon de sensations alors que j'étais baisé et sucé sans pitié jusqu'à ce que je ne puisse plus en supporter davantage et que mon corps se tordit dans les contraintes et que l'orgasme déferlait. Je jouissais encore et encore, mes couilles étant asséchées par la puissance de la machine, alors qu'elle me pilonnait profondément le cul. Je sentis mes genoux devenir faibles et ce fut la dernière sensation. Je m’étais évanoui. Quand je me suis réveillé, j'étais allongé sur le banc de cuir, encore nu, mais libéré de toutes mes menottes. Mes vêtements étaient poser sur le côté du banc et m'attendaient. Assise sur une chaise à l'autre bout de la pièce, Maîtresse, me regardait avec un sourire amusé. En me voyant réveillé, Elle dit. «Trop pour toi ?... Eh bien, tu auras quelques semaines pour récupérer avant ta prochaine session...» Je vis sa détermination dans ses yeux et du plomb pesa sur mon estomac. Un profond sentiment de peur me remplit s’étendant dans mon esprit. Je baissais la tête et les yeux et je découvris le métal luisant et scintillant de ma ceinture de chasteté fermement attachée à ma taille. A cette seconde je sus. Elle m'avait prévenu, il y a longtemps, quand je me suis soumis pour la première fois, qu'elle exigerait un contrôle absolu et que si j'essayais de lui résister, Elle le prendrait simplement... et Elle l'avait fait. « Bien », dit-Elle, « tu ne me remercies pas ? » Je me mis debout, nu à l'exception de cette ceinture de chasteté que je détestais et adorais. Je traversais la pièce et s'agenouillais devant elle. Les yeux baissés, je savais que j'étais exactement là où je devais être. « Merci Maîtresse »…
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Par : le 13/01/19
En ce dimanche après-midi, nous sommes invités à une séance d’initiation chez ce nouveau dominateur que nous avons rencontré récemment. Arrivés dans son donjon, il traîne une lourde caisse qui attise ma convoitise. Et il ouvre sa boîte de Pandore : je risque un œil et aperçoit plusieurs colliers et bracelets en fer. Le métal luit froidement et déjà ma peau frémit à l’idée de porter ces bijoux. Première surprise, le collier est lourd, glacial évidemment, il pèse sur ma nuque et j’entends le cliquetis du mécanisme se refermer sous mon menton. Puis Maître Pascal me demande de tendre mes bras et me pose les tout aussi lourdes menottes. Je suis fascinée par la brillance de ses objets, je n’en ai jamais vu de pareils. Il me demande de poser un pied sur le divan et menotte mes chevilles, reliées par une chaîne, je ne peux me déplacer qu’à pas très mesurés. Il place maintenant une ceinture de fer autour de ma taille et la cadenasse, sous le regard de mon Maître, je le sens très observateur. Hypérion s’approche de moi, pose un baiser de propriétaire sur mes lèvres et recouvre mes yeux d’un bandeau. Mon souffle ralentit. Je n’ai pas senti le coup arriver, presque une caresse. Cravache. Le cuir effleure mes bras, glisse sur mon dos et s’abat sur le rebondi de mes fesses. Je pince mes lèvres. Pas bouger Salomé. Deux doigts viennent agacer mon téton, le tordre, ma respiration devient plus courte. Les yeux bandés je ne sais qui effleure mon épiderme. Je ne sais quelle main tient telle badine ou tel fouet. Cette sensation d’inconnu me plonge dans un abîme de volupté. J’entends mes deux dresseurs comparer les jouets étalés devant eux, ils choisissent soigneusement, je ne suis déjà plus vraiment dans cette pièce, suspendue aux sensations, délice, douleur, je ne sais plus, mais j’en veux encore. Et plusieurs lanières lèchent ma peau , pas de répit le fouet claque et m’arrache un cri. La douleur, cuisante brûle ma cuisse, comme une épine, elle reste là, s’attarde, s’enfonce, pénètre … Maître Pascal me guide vers une de ses créations, il me place dos contre une barre. Mes bras sont tirés en arrière attachés et la corde se tend, je suis arc-boutée ,le métal des menottes mord ma peau, je laisse échapper un gémissement sourd. Mais une autre surprise m’attend : notre hôte dévisse un écrou et fait coulisser une pièce qu’il remonte entre mes cuisses, je touche à peine le sol, les pointes de mes pieds effleurent le plancher, ma vulve repose sur cette traverse. J’aimerais pouvoir adapter ma position, ma chair se coince et cela devient rapidement insupportable, l’air a du mal à arriver dans ma poitrine. Je ne sais pas combien de secondes il me reste avant de perdre connaissance. On me fait descendre,je reprends mes esprits. Maître Pascal disparaît dans une autre pièce avec Hypérion et ils reviennent poussant un étrange attirail. Sa dernière invention ,que je vais avoir l’honneur d’étrenner la première. Mon œil est immédiatement intrigué par un gode, en fer, de belle taille, dressé à l’horizontale comme une lance. Je suis mise en position, à plat ventre sur une planche montée sur roues. Le génial artisan de cet engin diabolique replie mes jambes et pousse mes chevilles dans des anneaux en acier. Je réalise que les deux autorités qui m’entourent me demandent de m’insérer dans cet appendice que j’appréhende. Comment ?! Je vais devoir …m’empaler ? Cela me semble impossible. Je suis toujours entravée, je me contorsionne comme je peux, repousse le sol avec mes mains et je sens le levier pénétrer ma chair, sous l’approbation de mes dompteurs. Mes bras sont maintenant tirés en arrière, je comprends qu’ils vont aussi être immobilisés ,enfilés dans les arceaux que j’ai aperçu tout à l’heure. Ils sont mes croupiers, je ne suis plus que la boule qu’ils jouent, jettent et font rouler dans une course folle sur la roulette lancée à vive allure. Et ils redoublent d’imagination : Maître Pascal fixe un deuxième gode puis il me fait doucement et fermement coulisser vers l’arrière pour présenter mon orifice anal vers l’instrument. Oh…My… God !!!! Mes deux douces cavités, humides, quel délicieux supplice ! Je suis stupéfaite par la maîtrise des ordonnateurs, alors que je suis dans un état d’excitation torride. Et ils font ainsi tourner cette planche ,m’exposant ,tour à tour côté face puis pile à chaque œil dominateur. Mais voilà qu’ils décident de changer de jeu. Je m’extirpe , mes chairs s’étaient resserrées autour de cette redoutable arme qui a pris la température de mon corps, j’ai presque du mal à m’arracher. Viens… me dit le Maître du donjon et nous montons encore un étage dans sa tour. Là-haut, au centre de la pièce m’attend un chevalet, il m’ enjoint de me mettre à quatre pattes ,coudes au sol, attache ma taille au support, incline ma gorge vers un étau. J’entends les pas d’ Hypérion dans l’ escalier et je sens son sourire approbateur lorsqu’ il découvre ma posture . Ma croupe est offerte à ses mains, à ses moindres désirs , à ses rêves pervers…. Je me délecte dans le miel de ce suave instant, sensualité féroce. Son compagnon de jeux fixe mes poignets à la barre au sol. Livrée……
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Par : le 26/12/18
Sur le trottoir Marchez du côté dangereux, celui des voitures  et laissez à votre Maîtresse le côté sûr. La plus précieuse, c'est elle, non ? Au café ou au restaurant Au restaurant Le restaurant est un lieu public. Autrement dit, prenez garde, on vous regarde. Si vous êtes accompagné par une femme, vous devez la précéder, ouvrir la porte, la guider jusqu’à la table choisie (n'oubliez pas de réserver au préalable) puis vous effacer. La légende raconte que du temps où les estaminets et les restaurants étaient peu sécurisés et où les rixes étaient donc fréquentes, l'homme devait passer en premier pour vérifier si l'endroit était sûr. De même, au retour, précédez votre invitée jusqu'à la porte et effacez-vous pour la laisser passer. C'est Maîtresse qui décide et qui passe commande. Si Maîtresse daigne vous faire partager sa table, ne dégustez pas votre plat ou votre verre comme si c'était la première nourriture comestible que vous mangiez de l'année. Si elle daigne vous laissez passer commande, enquérez-vous des souhaits de votre divine avant de commander les vôtres, puis commandez tout à la fois au serveur, en commençant par le sien. Il va de soi que c'est à vous de régler la note si vous invitez Maîtresse. Le repas ou le verre fini, laissez un pourboire d'au moins 10%. Si vous n'avez pas les moyens de rajouter 3 € après en avoir sorti 30, restez chez vous. Sur les pavés Offrez-lui votre bras (faites une anse et laissez-là glisser le sien). Si elle ne le remarque pas, arrêtez-vous quelques secondes et gardez la pose.....Ne profitez pas de la circonstance pour assouvir votre envie de la toucher partout, vous perdriez tout le bénéfice de vos efforts précédents. Chez Maîtresse Proposez de  lui baiser les pieds; que vous soyez fétichiste ou non. Les Maîtresses aiment avoir leur vassal à leurs pieds divins. N'arrivez jamais  les mains vides. Le vin est classique, voire convenu. Des fleurs, de la lingerie fine, un nouveau gode-ceinture, un nouveau fouet, une paire de menottes, des bas nylon, la liste est longue.  Dans un excès de folie, apportez un minuscule gâteau au chocolat avec deux cuillères. Savoir-écrire La lettre à une femme n'est jamais anodine et encore moins pour celle que vous servez. Elle est l'exercice le plus abouti de la correspondance et fut une des armes les plus aiguisées des dandys. Même si elle peut paraître improvisée ou écrite sous le coup d'une émotion forte, une lettre amoureuse ne l'est jamais. Rien ne doit être obscène et qu'il s'agisse d'idées, de sentiments ou de déclarations, tout doit être suggéré, jamais explicité. Savoir-Manger L'Homme mange; l'Homme d'esprit seul sait manger (Anselme Brillat-Savarin) Règles élémentaires C'est à table qu'on distingue les honnêtes hommes des goujats. Il s'agit donc en ce domaine de s'astreindre à une discipline de fer et de respecter au moins les règles élémentaires de la politesse. La première d'entre elles est la patience. Ne vous approchez pas de la table sans y être invité par la maîtresse de maison et une fois assis, attendez que tous les convives soient servis avant de commencer à manger. Peu importe si ce qu'il y a dans votre assiette refroidit, vous devez attendre que l'hôte d'honneur ou les maîtres de maison aient commencé. En ce qui nous concerne, le majordome ou serviteur assurant le service à table, sera toujours propre, correctement vêtu, rasé de frais, sentant bon (pas l'eau de Cologne bon marché) bien coiffé, chaussures cirées, en tous cas selon les désirs de sa Maîtresse et devra apporter beaucoup de soin au confort de sa propriétaire (à qui il devra faire honneur) ainsi qu'aux convives. Son service devra être impeccable. Sa Maîtresse lui aura prodigué auparavant quelques conseils ou fait suivre une formation de bonniche. Bien entendu, il est hors de question que la bonniche mange avec les invités. Son rôle est de servir, de débarrasser la table et d'exécuter les ordres de Maîtresse et de ses invités. La position correcte à table est la suivante : vous devez vous tenir droit sur votre chaise sans vous appuyer sur le dossier, vos bras doivent être le long du corps et vos poings sur la table, près du bord. Ne mettez pas vos coudes sur la table et n'adoptez pas cette attitude si déplaisante qui consiste à placer l'avant-bras parallèlement au bord de la table. La position correcte de la bonniche en titre est de se tenir derrière la chaise de sa Maîtresse ou être sous la table à ses pieds ou entre ses cuisses selon l'humeur de la Dame. Il va de soi que les bruits de bouche, les éclaboussures, les précipitations en tout genre sont à proscrire. Un fameux « code de la table » datant de 1642 édictait les règles élémentaires de la cour d'Autriche : " on ne doit pas se balancer sur sa chaise, ne pas se frotter contre son siège, boire la bouche pleine, mettre les mains dans les plats, jeter les os sous la table, lécher ses doigts, cracher dans les assiettes, se moucher dans la nappe, boire bestialement ‘’. On peut ajouter dans les attitudes bestiales à éviter absolument : manger la bouche ouverte et parler la bouche pleine. Si on vous interroge alors que vous avez la bouche pleine, avalez calmement et parlez après avoir vidé votre bouche. Vous devez donc, et cela est d'ailleurs beaucoup plus élégant, faire de petites bouchées. Tous les comportements qui tiennent du goinfre sont à éviter, vous passeriez pour un pique-assiette qui ne sait pas se tenir. Notre bonniche mange après que tous les invités soient partis ou seulement quand Maîtresse l'y autorise. Notre bonniche se contentera des restes- si restes il y a et ceux de sa Déesse seront sa récompense. Maîtresse peut le nourrir. Lui a genoux a coté de Maîtresse la gratifiant d"un " Merci Maîtresse" a chaque offrande de nourriture. Pour celles qui pratiquent le dog training, lui servir la nourriture dans une gamelle de chien. A ce titre, la bonniche sera nue seulement revêtue de son collier et de sa laisse. Et enfin, On ne lit jamais un document posé sur le bureau de la personne qui vous reçoit. On ne se laisse pas lourdement tomber dans le siège que l'on vous indique. Un homme précède toujours une femme dans un escalier, à la descente comme à la montée, et la précède toujours avant d'entrer ou de sortir d'un restaurant. Un homme est présenté à une femme et la personne la moins âgée à la plus âgée. Une femme assise ne se lève pas lorsqu'un homme vient la saluer mais une jeune fille se lève pour tout le monde. « Mes hommages, Madame » ou « Mes respects, Mademoiselle » sont les formules de rigueur pour une présentation, ce qui doit conduire à bannir de façon définitive le trop usé « enchanté ! » ou le très banal « ravi ! ». Maîtresse Zara, Bordeaux, 2004.
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Par : le 23/11/18
Noir C’était le jour J, qu’ils attendaient tous les deux depuis un moment. Le soir, ils arrivèrent comme convenu chez le couple d’amis qu’ils avaient contacté sur le site. Une fois les présentations faites, le maitre de maison lui dit "J'ai bien aimé ta première photo sur le site, où tu étais enchaînée. Donc, en attendant que t'arrives, je t'ai préparé une petite surprise". Elle chercha de l'aide dans le regard de son mari, mais celui-ci se contenta de dire "Vas-y, je sais que tu aimes ça. Pendant ce temps, je m'occuperai de Madame" dit-il en se rapprochant de la maîtresse de la maison. Cette dernière acquiesça avec un sourire complice. Avant qu'elle ne puisse protester, notre visiteuse fut menottée les mains dans le dos, à l'aide des hôtes et de son mari, et on lui passa ensuite un collier muni d'une laisse. "Suis-moi" ordonna le Maître d'une voix grave, mais à la fois douce et ferme. Il pris sa prisonnière par la laisse et la conduisit au sous-sol, dans une petite chambre où trônait un grand lit double, baigné dans une lumière rouge tamisée. "Assieds-toi" dit-il en indiquant le lit. "Je vais te préparer, n'aies pas peur. Tout ceci est conçu pour le plaisir et aucunement pour la souffrance". Il pris un foulard satiné et lui banda les yeux. Elle sentit les mains du Maître qui ôtaient ces menottes et son collier, la déshabillant ensuite complètement. "Je vais t'habiller différemment, laisse-toi faire s'il te plaît". Elle acquiesça de la tête et sentit un bâillon se loger dans sa bouche, fixé par une sangle élastique derrière la tête. Elle était dans le noir. Et réduite au silence.   Rouge Elle se sentit basculer sur le dos et, l'instant d'après, un petit gode en silicone se glissa dans son anus. Il avait été soigneusement lubrifié, et la sensation qu'il procurait était étrangement agréable. Ensuite, elle fut remise en position assise et ses jambes glissèrent dans un collant doux et soyeux. A la commande du Maître, elle se remit debout et le collant continua de remonter sur son corps; elle comprit qu'il s'agissait d'une combinaison intégrale en Lycra. Elle fût très excitée lorsque ses bras furent moulés de cette matière extraordinaire, jusqu'au bout des doigts, et que le zip remonta jusqu'à la nuque, serrant délicieusement son torse et ses seins. Le Maître lui enleva le foulard de ses yeux et elle découvrit que sa combinaison était rouge, comme la lumière de cette chambre. "Maintenant, je vais te mettre la cagoule, fermer le zip derrière ta tête, et le verrouiller avec ce petit cadenas". "Cagoule?? Cadenas?? Au secouuurs!!!!" ...mais le seul son qui sorti à travers son baillon fut "hhmmmppphh". Elle vu en effet la cagoule (intégrée à la combinaison) remonter, envelopper sa tête et sentit le zip se fermer vers le haut de son crâne, moulant sa tête et son cou d'une façon délicieuse; après quoi, elle entendit le clic du cadenas verrouillant la fermeture éclair. "Je suis scellée", pensa-t-elle sans espoir. On pouvait voir assez bien à travers le matériau, au moins pour distinguer les formes. Autour d'elle, l'univers était rouge, d'une nuance presque orgasmique.   Blanc Elle sentit qu'on lui passait des menottes en tissu autour des poignets et des chevilles, fermées par du velcro. Elle fut étendue sur le dos, et des sangles, attachées préalablement au sommier, furent attachées à ces menottes. En quelques secondes, elle se retrouva les bras et les jambes écartées, totalement immobilisée. "Ecartelée", pensa-t-elle. Les caresses se multipliaient sur son corps enveloppé, lui procurant des sensations délicieuses, se transformant en convulsions érotiques lorsque les doigts effleuraient les pointes de ses seins ou son clitoris. Cela faisait maintenant plusieurs dizaines de minutes qu'elle subissait en silence les caresses, étant emprisonnée dans sa combinaison et menottée au grand lit. Un grand vibromasseur à tête flexible faisait maintenant sentir sa présence, en insistant sur son clitoris et aussi sur l'extrémité plate du gode qui se trouvait toujours dans son anus, lui envoyant des effluves orgasmiques dans le cerveau, dans une explosion de sensations nouvelles. "Scellée. Menottée. Réduite au silence. Caressée. Sodomisée.". Ces pensées arrivèrent toutes ensemble au moment suprême, d'une durée impossible à déterminer. Sa cagoule et son bâillon une fois enlevés, elle laissa s'éclater de rire, un rire franc, joyeux, de pur bonheur, de délivrance. Elle prit le temps d'enlever délicatement sa combinaison (pas sans un certain regret...) et ils montèrent tous les deux à l'étage, où des coupes de champagne les attendaient. La soirée avait démarré bien. Elle se sentait au septième ciel, ses pensées baignaient dans une lumière blanche.  
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Par : le 08/10/18
Marius est entré dans la police tout jeune, juste après le service militaire. Dès le début, il a voulu profiter de sa jeunesse et voyager. Il a été volontaire pour tous les pays lointains. D'abord c'était mieux payé et puis avec le prestige de l'uniforme, il se tapait un nombre incroyable de meufs de toutes les couleurs. Pire qu'un collectionneur, un malade qui usait et abusait de sa situation. Et en bon dissimimulateur, il était bien noté. Il fit l'école des sous off et sorti parmi les premiers. Il demanda l'Afrique. Il aimait les "négresses", il adorait leurs plastiques parfois sublimes. Et il recommença a perforer des minous de façon compulsive. Le "perfo" c'était son surnom. Marius monta encore en grade et devint officier. Là il prit goût à un autre plaisir, dominer et faire régner la terreur dans ses brigades. Là, il n'avait plus personne au dessus. L'officier avec plus de galons était plus loin et pourvu que les brigades ou régnait Marius le perfo fassent leurs chiffres, ils ne venaient pas voir ce qui se passait vraiment, sauf en de rares occasions et sans chercher trop loin. Dans les administrations on ferme facilement les yeux. Pas de bruits, pas de vagues. C'est opaque. Rien ne doit sortir de "l'interne". Et Marius le pervers sévissait. Il adorait les jeunettes qui venaient en premières affectations ou en stage. Il se les faisait toutes. Il savait exercer la pression psychologique, il savait faire peur. Et les jeunettes baissaient la culotte et offraient leurs culs. C'est comme cela qu'il rencontra Lise, celle qui devint son épouse. Une jeunette vierge au cul somptueux, une qui su le faire attendre, une qui su négocier la redition de sa chatte. Marius marié se calma un peu. Lise savait le satisfaire. Mais au premier mome, il péta de nouveau un cable et se remit en chasse. Il s'apperçut qu'il aimait cocufier. Baiser la femme d'un mec et ensuite ne pas s'en cacher, affronter le mec. De l'adrénaline. Et ces cons de mecs qui se laissaient faire, qui laissaient leurs femmes se faire troncher par cet officier malade. Ah la lacheté. Et cela excitait Marius de plus en plus. IL cocufiait plus costaud que lui, il cocufiait plus puissant. De toute façon c'était facile. Les femmes mariées ouvrent facilement les cuisses quand leur couple bat de l'aile. Et Marius en bon pervers savait y faire. Tout cela finit par arriver aux oreilles de Lise qui décida de se venger. Elle ne prit pas un amant, mais une amante, son avocate, une dominatrice lesbienne, une castratrice qui ne supportait pas les pervers comme Marius. Elle prépara le divorce de lise de façon à ruiner le plus possible son époux. Elle le fit suivre, n'eut aucun mal à accumuler des preuves, des témoignages, un dossier béton. Marius sentait bien le danger, tous les pervers ont un sixième sens. Mais il cherchait un amant, il pensait lui même etre cocu. Le rival était une rivale, et il avait du mal à l'imaginer. Lise préferer une femme, lise une brouteuse de minous. Marius comme tous les crétins de machos pensait que seule sa bite pouvait donner des orgasmes à son épouse. Un matin, il fut réveillé par les girophares des voitures de police. Il pensait que c'était une urgence, qu'on venait le chercher, lui, l'irrenplaçable chef de service. On lui passa les menottes aux poignets. Une dizaine de femmes avaient porté plainte, sans compter celles qui viendraient après le faire aussi, une fois le voile de la peur disparu. Marius se fit enculer sans réserve derrière les barreaux. Un cul de flic, une aubaine pour tous ceux qui croupissaient derrière les murs des prisons. L'avocate de Lise veilla à ce qu'il soit mis dans les cellules les plus hards, avec les pires psychos. Au procès, Marius était méconnaissable. La terreur des jupons avait une peur bleue de l'avocate de Lise. Il n'osait pas la regarder en face. Elle jubilait. Elle savait combien la chatte anale de Marius était devenue un boulevard large et acceuillant. Julie obtint tout ce qu'elle demandait. Elle se mit en couple avec son avocate. De Marius, elle n'eut plus jamais de nouvelles.
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Par : le 18/09/18
Maîtresse avait accepté de me prêter pour 3 jours. C'était un type que je ne connaissais qu'en photos et discussions, mais Maîtresse et lui avaient assez discuté de ce qui allait m'arriver sans que je sois mise au courant des tenants et aboutissants. N'étant pas particulièrement attirée par les hommes, j'appréhendais... mais je ne pouvais également empêcher une certaine excitation de naître en moi, face à la contrainte de devoir servir, et être utilisée, même par quelqu'un qui ne m'attire pas particulièrement. Connaissant en partie ses goûts, je me doutais que mon séjour tournerait autour de l'humiliation, de l'avilissement, de la déshumanisation. Début de soirée. Une petite maison discrète. Je toquais avec la boule au ventre d'appréhension. J'amenais quelques affaires lubriques, mais surtout je venais cou nu, la mise de collier devant décider quand commencerait la session, et ma soumission à lui. La porte s'ouvrit, le type que je reconnaissais des photos me fit rentrer: brun, cheveux courts, yeux sombres, barbe naissante. Physique commun, et effectivement, je n'étais pas particulièrement attirée par lui. Il était plutôt froid mais sans être brutalement brusque ou insistant pour me faire rentrer, ce qui me rassura. Il me fit rentrer dans sa cuisine, et m'asseoir sur une chaise, face à lui, en toute simplicité. Se doutant que j'étais stressée, il entreprit d'abord à me rassurer sur ce qui allait se dérouler, mais aussi sur ce qu'il attendait de moi. Durant mon séjour chez lui, je serai traitée comme son animal. Je serai interdite de paroles, ne pouvant briser cette règle, bien sûr, que pour mon safeword, qui restait la dernière sécurité. Et si ma bouche était pleine, il me suffisait de taper 3 fois une surface, de la main, ou du pied, pour qu'il cesse ce qu'il faisait. Mis à part ces règles de sécurité élémentaires, je devais me plier à tout ce qu'il me ferait subir. Il s'était mis d'accord avec ma Maîtresse sur ce qu'il désirait me faire subir. Rassurée, mais aussi toujours un peu effrayée, et également curieuse, j'acquiesçais. Enfin, il me demanda une dernière fois si j'acceptais tout cela. Je hochais la tête, décidée à obéir à Maîtresse, et aussi pleine d'envies de l'inconnu qui s'offrait à moi ici. Hochant la tête à son tour, il me demanda de soulever mes cheveux. Je soulevai ma longue queue de cheval des deux mains, pour me montrer obéissante, et baissant la tête, il fit glisser un épais collier de cuir rapiécé noir autour de mon cou. Resserrant celui-ci à mon cou, plus que ce à quoi je pensais, mais moins que ce que je pouvais tolérer, je sentais qu'il s'agissait de cuir usé, mais pas cassant. Quatre anneaux l'ornaient, un devant, un à la nuque, et un de chaque côté, tandis qu'une épaisse plaque en métal se trouvait sous ma joue droite. Le jeu commençait enfin pour de vrai. "Déshabille-toi." Je retirais mon top, mon soutif, mon pantalon, ma culotte, mes chaussettes, mes lunettes, et me retrouvais nue, ne portant que ce collier. Je me tenais mains dans le dos, regard baissé, comme par habitude de montrer ma soumission. Il s'approcha de moi pour me tater le corps, les fesses d'abord; puis les seins, qu'il serra un peu, avant de finalement attacher une laisse à l'anneau sous mon menton. Tirant fortement sur celle-ci, il amena mon visage au niveau d'un miroir à maquillage sur sa table, pour mettre mon visage face à mon reflet. Tirant mes cheveux en arrière, il me força à lever le menton, exposant mon cou, et par extension mon collier. "C'est ton nom, maintenant." Sa main passa sur la plaque en métal à mon cou. Bien que le reflet renvoie une image renversée, je sus lire "truie" gravé sur le métal. Gardant le silence comme il m'était ordonné, je ne pus qu'acquiescer silencieusement. Lâchant mes cheveux mais tirant toujours sur la laisse, il me fit descendre des escaliers et avancer vers une petite pièce possédant des chaînes stratégiquement placées. Il saisit une paire de menottes en métal qu'il me passa aux poignets, avant de les lever vers le plafond et de les y cadenasser, me gardant exposée, les bras levés. Passant dans mon dos, il fit glisser quelque chose devant mon visage avant que je ne sente un baillon en forme de mors rentrer dans ma bouche. Fixant celui-ci à ma nuque, je sentais que le mord n'était pas le seul élément de ce qui semblait être un harnais de tête. Une seconde lanière passant sous le menton me confirma la chose, tandis que je sentais une lanière passer par le haut de mon crâne se reserrer, et enfin deux crochets venir se mettre dans mes narines, tandis qu'il réglait le tout pour m'enfermer la tête et me tirer fortement les narines vers le haut. "Une truie comme toi, ça a un groin." Cette sensation nouvelle de sentir un endroit très inhabituel ainsi forcé dans une position inconfortable, je dansais sur un pied pour tenter de me donner courage face à la situation. Le métal des menottes commençait déjà à me rentrer dans la chair des poignets, tandis qu'il s'agenouilla pour mettre une autre paire plus large de menottes à mes chevilles, cadenassant la chaîne centrale à même le sol. J'étais étirée vers le haut, et capable de peu de mouvements des jambes avec ces deux paires de menottes. Et déjà, je sentais la bave commencer à couler par le côté de ma bouche, que je tentais vainement de ravaler. Il le vit et eu un sourire moqueur. "Tu fais une jolie truie à baver ainsi." Baissant le regard d'humiliation, je ne pouvais également nier ce sentiment de plénitude qui montait en moi. Cette sensation que je n'avais aucun échappatoire, que j'étais à la merci de cet homme qui pouvait me torturer à loisir. Sentiment illusoire, bien sûr, pouvant toujours me libérer si je me sentais réellement en danger, mais l'illusion fonctionnait fort bien. J'étais terriblement excitée. Il le vit. "Oh, ça t'excite tout ça, truie ? C'est mignon... mais n'espère pas trop jouir, non plus." Clac! Surprise par le coup soudain, je laissais échapper un faible cri. J'identifiais un coup de cravache sur ma cuisse. Les coups suivants furent plus légers, mais montant petit à petit en intensité, jusqu'à me faire pousser des petits cris. Il reprit le même manège à plusieurs endroits, centrant ses coups sur mes hanches et mes cuisses. Les pires endroits, bien sûr. Allant plus fort à chaque petite session, je me mettais à gémir de plus en plus fort, la douleur devenant à chaque fois moins supportable. Posant la cravache, sa main saisit autre chose et il s'approcha. La caresse vive d'un martinet se fit sentir, directement sur mon cul. Mon jouet préféré ! Je cambrais le derrière autant que possible tandis qu'il se mettait à faire tourner les lanières de plus en plus vite et fort. La morsure douce me réconforta et je gémis sous ses coups de plus en plus forts. Je me concentrais sur la plaisir au rythme des frappes. Soudain, il s'arrêta, et je gémis de tristesse, manquant déjà la sensation sur mon cul pourtant endolori. "Tu aimes vraiment ça, truie, faudrait pas à ce que tu gicles et en mettes partout, quoique c'est déjà le cas." Il pointa le martinet vers la bave qui coulait en filet sur mes seins et glissait par terre. Honteuse, je baissais le regard, et ne vis pas qu'il prenait un autre instrument. Le fouet me frappa violemment le dos, laissant une brûlure vive, me faisant me courber violemment, avant que les menottes à mes chevilles ne m'empêchent de me débattre. Perdant l'équilibre, les menottes aux poignets m'empêchèrent de tomber et rentrèrent encore plus dans ma chair. Mes pieds retrouvèrent leur stabilité et je hoquetais de douleur et de surprise. La laisse toujours accrochée à mon collier se balançait sous mes yeux, la poignée frôlant mon entrejambe. "Oh, ça serait dommage de te blesser ici, pas vrai truie ?" Je gémis timidement en guise de réponse tandis qu'il rangeait son fouet et prenait d'autres affaires, hors de ma vue. S'approchant de moi, il se pencha vers ma taille et se met à toucher à mes organes génitaux. Je ne m'y attendais pas et eu un cri de surprise. Je compris rapidement qu'il me mettait une cage de chasteté. Le métal froid contre ma chair se serra, et un clac de cadenas m'informa qu'il n'y aurait pas d'issue. Sentant le poids supplémentaire sur mon entrejambe, je fus surprise à nouveau quand le fouet s'abattit sur mon dos. Les coups s'enchaînèrent. Les sensations me submergeaient tandis que je cherchais (vainement) à me débattre. Je sentais les lacérations sur ma peau et les coups laisser des zébrures douloureuses. Les coups n'étaient pas très forts, mais le rythme soutenu petit à petit me brisait. Je sentais ma résistance s'effacer, et m'abandonner enfin aux sensations contre lesquelles je ne pouvais pas lutter. Je poussais une sorte de cri à la limite du gémissement face à cet afflux de sensations. Enfin, il s'arrêta. Je n'avais aucune idée s'il était passé cinq minutes ou une heure. Il faisait assez sombre. Mes bras me faisaient mal. Je sortais de subspace. La réalité me revenait. Il s'approcha pour me caresser le dos, le derrière, les cuisses. Enfin, il me détacha les poignets et je manquais de tomber par terre. Il retira également les entraves à mes chevilles tandis que je me massais les poignets endoloris. Reprenant la laisse à mon cou, il tira fermement dessus en m'emmenant vers une autre pièce. "Suis-moi, truie." La bave continuant à couler, il m'amena dans une pièce plus petite. Une grande cage trônait en son centre. Il saisit des mitaines qu'il me cadenassa aux mains, empêchant l'usage de mes mains. Il retira le harnais de tête, et je sentais les commissures de mes lèvres endolories, et mon nez douloureux. "C'est ici que tu passeras la nuit, truie." Ouvrant la cage par un côté, il tira sur la laisse pour me guider, avant de détacher celle-ci de mon collier. Le sol de la cage était couvert de minces coussins, pas vraiment confortable, mais supportable. Attrapant une courte chaîne accrochée au sommet de la cage, il la cadenassa à l'anneau de ma nuque. Je me rendais compte que je ne pouvais pas me poser en me roulant en boule sans avoir cette chaîne qui m'étranglait. Je me tenais à quatre pattes, pas vraiment détendue, pas vraiment assise. La cage était trop petite pour m'étendre complètement de toute façon. Une position forcément inconfortable. "Je reviendrai peut-être plus tard. Passe une bonne soirée, truie." Il referma la cage et la cadenassa, tandis que je me retenais de paniquer de la situation. Et s'il me laissait dans cette position toute la nuit ? La porte se referma et j'entends un verrou se tourner. Il avait laissé la lumière allumée, sciemment je supposais. Regardant autour de moi, je vis une bouteille d'eau avec un bec à téter comme pour des animaux. La chaîne me laissait assez de mouvement pour me pencher et boire, mais la position était terriblement inconfortable. Je tentais de me tenir plus fermement sur mes pattes, mais la tension dans mes muscles ne me permettait pas de me reposer. Je sentais sur mon corps les lacérations du fouet, mes poignets et chevilles endoloris par les entraves. Je tentais de me détendre à nouveaux et de m'asseoir en gardant ma tête levée pour ne pas finir étranglée. Je me reposais enfin un peu, reprenant mes esprits et ma force physique. J'étais sonnée de cette entrée en matière violente, et me demandais s'il cherchait par cela à frapper fort, ou si l'intensité allait rester la même tout le long de ces trois jours. Perdant la notion du temps, l'ouverture du loquet de la porte me surprit. Il rentra dans la pièce, ouvrit la porte de la cage et détacha la fichue chaîne qui m'étranglait. Soupirant de soulagement, je fus surprise quand il me retourna sur le dos, toujours dans la cage. Il fit glisser quelque chose sous mon dos et se mit à entourer ma taille. Je compris enfin qu'il me mettait une couche. Je le regardais avec horreur commençant à comprendre ce que cela voulait dire, mais me retenant pourtant de dire quoi que ce soit par obéissance. Il me remit sur mes 4 pattes et heureusement ne remit pas la chaîne à ma nuque. Frappant fermement une fesse enfermée dans la couche avec sa main, il se retira pour fermer la cage. Je compris que j'allais sans doute rester un bon moment ici. "Bonne nuit, truie."
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Par : le 15/06/18
Je suis une partisane de la Suprématie Féminine, et j’aime utiliser mon savoir élaboré du dressage des esclaves afin d’aider d'autres femmes à apprendre comment transformer un mâle en un véritable Esclave. Totalement dévoués et vraiment très obéissants. Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles : la bisexualité forcée. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des bites est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise. Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine et de mentalité machiste Doit avoir été éliminée, et cette technique aide à le faire de même que de se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, j’aborderai aussi ce sujet une autre fois bien que ce soit très sympa avec de vraies queues. C’est l’essence même de la hiérarchie dominante. Alors, pour qu’un mâle se soumette complètement à une femme, il doit la voir comme plus puissante que lui, exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre. J’ai d'abord entrainé mes soumis à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture et après leur pénétrer l'anus. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de mes lopettes. C'est aussi un mâle soumis, mais il peut être actif avec d'autres mâles soumis, Il est grand, musclé, bien monté. Il n’est pas véritablement homo, mais bi et vraiment très cochon. Pour préparer mon Esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring (lanière de cuir autour du sexe) et lui attachais les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très humiliante et je l’utilise souvent sur mon soumis quand je désire m'occuper de lui. Je prépare ainsi mon esclave car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d'impuissance. Je lui ordonne de se mettre debout devant mon soumis. Il est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur ordre. Il se déshabille et présente son sexe à mon soumis. Je le prends en main et oblige mon esclave à le sucer et à lui lécher les couilles, puis sur mon ordre il le met entièrement dans sa bouche. et j’ordonne à mon soumis de sucer comme une bonne femelle puis je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Il reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi. Mon soumis trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sur et je suis la Maîtresse. Ce type d’entrainement est très utile en faire une vraie salope mâle lui dilater sa chatte anale, et obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon esclave.
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Par : le 19/02/18
. L'état fantasmatique prend le pas sur le descriptif, Linsoumise, je viole ton âme et ton corps s’essore à genoux, lovée, agrippée encore à lustrer mes pieds comme une chienne.. Tu trépanes mes repères.. ma folie pulsionnelle te parle en ces mots sombres: . Ma perte sublime, l'abandon de mon contrôle aux perversions sombres abyssales, sales et humiliantes: sadiques.. là où ta dignité ne réside qu'en l'absence du "Toi". Livrant ta carcasse désincarnée à ma nature profonde crépusculaire, sauvage, avilissante et habitée . L'usage même de paroles devient l'expression de dégoût, t'avilissant. Te retranchant au delà de ce que le seul sens non isolable pourra transmettre à tes oreilles. Sons perçus étouffés par tes tourments, tes maux, ton épuisement, MA possession. Asile psychologique certain, te réfugiant dans ton subspace bienveillant, salvateur, laissant libre le désinvestissement corporel que j'entreprendrai, méthodiquement sur toi. Devenant un corps mou duquel j'extrairai à coups de griffes le reflet cinglant des morsures du fouet de mes envies, m'exprimant sur ton corps et ton âme. Te soustraire ... te laisser quelques secondes de conscience, peut être d'éveil, marquer au fer rouge ce que tu es devenue entre mes mains. Hum ... images et émotions: langage subliminal. Marquage de l'inconscient, ton cerveau reptilien dans le panier de mon emprise, ondulations hypnotiques aux fréquences Dominantes.. Tu seras loin. Enfermée dedans. Ressentir paradoxalement à/a peine les assauts démoniaques, extrêmes et avilissants qu'un statut d'esclave t'aurait simplement épargné. Gardant possession psychologique d'une situation physique dont tu serais pourtant coupée. Laisse tomber , va, abandonne... Comprends bien, qu'Il me sera alors jouissif autant de te voir résister pour te contraindre un peu plus, que de te ramener en pleine conscience pour te révéler à toi-même ce statut de déchet sexuel: MON déchet sexuel. Perspective Jetable?... je salive d'anticipation.. Replongeant ensuite dans ta boîte crânienne, Subspace, salvateur/trice, me laissant pleinement exprimer en et sur toi, mes allégories passionnantes et expressives. Déversoir de ma folie sexuelle démente, réceptacle de mes fluides corporels avilissants et marquants. Perspective durable? Trace indélébile de l'incroyable et démesurée emprise que ma Domination exprime sur Toi : MON Objet sexuel. Tu ne seras ni la pire des salopes rêvées, Ni cette femelle fantasmatique à prendre comme une chienne, horizon salace; Ni même Esclave, statut seXuel permettant toutes les disponibilités... non, non, non, non , non...mon expression réside là où la dignité même de la personne est touchée; Là où la dilatation n'a plus de fin qu'en l'expression du vide, cercle sans objet, ni d'objets même à t'enfiler laissant béant tes orifices. Là où même les réflexes naturels de fermeture n'opéreront plus. Tu ruissèleras de liquides mélangés, ton souffle presque inconscient, catatonique, faisant mentir le cadavre sexuel gisant sans dignité que j'aurai créé, besogné, vidé de sa vie. Prisonnière de ton corps comateux, le déséquilibre manichéen basculera dans une monochromie sombre où tu ramperas à mes pieds pour obtenir le pardon du simple fait que j'en arrête avec ton corps et ton âme, forme de peur de l'abandon.... tu l'auras compris qu'ici, réside mon expression. En la perte temporaire et entière de ta résistance... quel paradoxe sans injonction, processus circulaire dans lequel l'énergie de la réponse est fournie par ta réaction et non pas par l'élément déclencheur... perversions, sublimes de tortures psychologiques par le vecteur de ton corps ... Alors... Me suppliant encore de te souiller de toutes les manières de mes perversions et mon sadisme mêlés, graal unique de mes quêtes fantasmatiques, de crainte que j'en ai fini avec Toi.. supplier... me supplier de te prendre sans limite, en tout cas m'abandonner les tiennes... concept si éloigné de ton orgueil... de ta fierté. Insoumise? Ainsi je t'exposerai aux hyènes impropres, essentiellement libidineuses, s'exprimant, de leur seule turgescence, assoifées de viande pas encore assez morte. Charognes. elles te baiseront aux limites de l'évanouissement jusqu'à ce qu'elles s'épuisent elles-mêmes, vidées autant que de leur pauvreté fantasmatique m'inspirant tant de dégoût ! Je les bannirai d'incompétence à t'user de baise, les humiliant pour ma satisfaction narcissique et par condescendance perverse. . Prête de ce préliminaire sexuel, essuyant tes larmes d'abandon, j'exercerai alors ma Domination sur Toi. . Mon déchet, déshumanisée, état subconscient , cloîtrée au fond de toi même, je saurai encore te ramener à la conscience pour te montrer ce que tu es. Pour moi... Objet.... mon objet, par delà tes limites: mon objet dans mes limites. Tes trous devront rester béants d'avoir servis et prêts à servir, et resservir .. sans quoi je n'aurai de cesse que de les éprouver jusqu'à ce que mon sperme entre ou sorte par simple gravité de tes bouche, vagin et anus suivant la position dans laquelle je te baiserai encore. Et encore. Et encore sans aucune attache, limite, résistance molle, pantin fantasmatique, receveur unique pour des heures indélébiles dans chacune de nos mémoires... de notre chair. Tes ultimes étincelles résistantes d'insoumission articuleront mes perversions à te faire lâcher ton contrôle par ma Domination systémique. Jeu des derniers soubresauts d'orgueil abattus par l'implacable détermination à te faire lâcher prise. Menottes, bracelets, Cordes, scotchs et strapps t'immobiliseront pour subir. Baillons, écharpes, scotchs, cordes ceintures étoufferont tes lamentations. Ceintures, martinet, canne, cravache, fouets et autres caresses éveilleront ta colère pour mon plus grand plaisir. Mais c'est Ton état passif et abandonné, qui transcendera enfin l'état dans lequel je cherche à exprimer ma jouissance. Tu ne pourras alors recevoir mon offrande en calice, qu'aux signes de ton abandon. Alors surement alors, performant de ma Domination sur la carcasse épuisée de ton corps, me redressant de toute ma taille pour jauger mon empire. Haletant et triomphant, dans un geste narcissique je te pisserais dessus ou plutôt dans un de mes trous béants ... afin de marquer d'avantage mon territoire, mon emprise, ma démesure. Souillant encore un peu plus mon Objet seXuel, t'entraînant sur les pentes obscures de ma volonté de te dépersonnaliser, te déshumaniser, pour t'imprimer sur le disque, alors formaté de ta conscience, les premières marques de ton appartenance définitive. Tu m'appartiendras à vie, quoi qu'il en soit, et j'opérerai sur ta volonté perdue pour un instant, l'étendue saline de ta dépendance envers moi, dans une forme de résignation absolue, indiscutable.. Assemblée à mes pieds, genoux cédant, prostrée à cette place qui est la tienne, mes mots anciens reviendront à Ta mémoire comme un soleil de T/ta nuit: "Prépares ton enveloppe insoumise, Tu n'as pas perdu ces heures à attendre. Patience, répends toi dans ton silence, oublie ces jours vides, enracinée que tu étais, à espérer t'évader à mes côtés, ivre de dépenses d'énergies, de maux torturés, attachés à mes pensées tourmentées.... Que feras-tu, après tel abandon? Le souffle court, jetée dans la masse, dans le mouvement, agissant jusqu'aux extrêmes Insoumise, ton doigt pointé se tordra suppliant, scrutant en moi la moindre faiblesse. Ici, tout le corps se donne. Cherchant à épuiser ses possibles. Ma main s'ouvre et se ferme, puissante étreinte au support de ta tête rebelle. Fou de Vie, et d'envies, îvre d'idées abissales, mon demon animal te ploiera par le col, jusqu'à ce que tu aies compris. Brassant et déchirant tes chairs, te voulant saisie, te soufflant ma divine amertume. M'abandonnant ton corps, et par toi, ainsi devenant celui que je veux être. Mon corps instrument de l'esprit, Cependant auteur de toutes tes idées. Alors, Soumise alors, tu saisiras de tes bras meurtris mes jambes dressées. Plongeant ta tête aimante, tu m'aimeras tel ton soleil. Tout s'éclairant alors pour moi Je serai celui par lequel Tu te soumets..." Dominée. . Parloire. .
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Par : le 02/02/18
:point_right:POURQUOI CE PROJET ? La communauté BDSM.FR met à disposition un espace d’expression gratuit et ne dispose d’aucun budget publicitaire pour se faire connaître. Les membres de la communauté la découvrent : - par le bouche à oreille - par les moteurs de recherche (Google, Bing …) Les menues recettes (Sexshop, webcam, …) servent à financer les infrastructures (deux serveurs haute capacité) et les licences des applications (et ponctuellement des developpements spécifiques) qui servent à faire tourner le site. Les organisateurs de BDSM.FR ne s’étaient pour le moment que peu intéressés aux vidéos. Il y a quelques mois, le projet de vidéothèque a été lancé avec l'aide de membres du site qui ont accepté de participer : le résultat est ici : http://www.photos-videos.com — Le projet de vidéothèque gratuite à deux objectifs : - Proposer un catalogue de vidéos gratuites pour tous (cela existe déjà) qui bénéficient d’une vraie description et d’un vrai classement par pratiques BDSM (plus rare !) - Faire de ces vidéos et surtout leur description un moyen toucher des utilisateurs sur Google pour faire découvrir la communauté à de nouveaux utilisateurs. Google favorise les sites proposant du contenu rédactionnel original ! — En donnant de votre temps, en devenant ainsi bienfaiteurs de la communauté, vous allez donc participer à l’élaboration d’un catalogue unique accessible à tous et vous allez surtout permettre à d’autres membres de découvrir à terme la communauté BDSM.FR :point_right: D’OÙ PROVIENNENT LES VIDÉOS ? Les vidéos viennent des sites de vidéos gratuits ou payants qui nous ont donné l’autorisation de les réexploiter. Ces sites donnent les autorisations, eux-même pour se faire connaître. Il se peut de temps à autres qu’en appuyant sur « Play » de la vidéo, un autre site s’ouvre. C’est la contrepartie de la mise à disposition gratuite de la vidéo par son éditeur original. Cette apparition est aléatoire et heureusement marginale. :point_right: COMMENT DECRIRE UNE VIDEO EFFICACEMENT ? Le traitement d’une vidéo repose sur trois « chapitres « distincts : - Le titre, - Le descriptif, - Les caractéristiques de classement sous forme de cases à cocher. # Proposition de méthode : - On lance la vidéo - On rédige le descriptif au fur à mesure que la video avance (contexte, physique et rôles des protagonistes puis récits des pratiques et accessoires) - Quand la vidéo est finie, on rédige le titre qui résume au mieux les actions qui dominent dans le scénarisation - Puis enfin on coche les pratiques/accessoires dans les catégories à cocher (qui nous font parfois nous rappeler qu’on a oublié une action avec un accessoire dans le récit) pour le classement par pratique. S’ils manquent des catégories dans la liste, ce n’est pas très grave. Vous pouvez signaler ce qui vous semble manquer dans le groupe ou par e-mail. Ce n’est qu’une proposition de méthode, chacun(e) joue comme il/elle aime;-). Le plus important sont le descriptif et le titre. * Titre de la vidéo Distillez autant que possible les mots clés importants dans le titre. Exemples de bons titres : « Humiliation et bondage pour cette soumise blonde» « Soumis possédé par une Domina en corset avec un gode ceinture », « Domina qui torture son soumis à la cire puis l’exhibe », « Homme soumis attaché à une chaise et humilié en public » Exemples de mauvais titres : « humiliation » « Soumise qui en bave » « Il mange grave » « Film de soumises » --- * Description : La bonne description permet au lecteur de savoir : - Qui sont les protagonistes : « Une maîtresse brune à gros seins avec un corset en cuir et un gode ceinture » « Un jeune soumis asiatique avec une cage de chasteté et une femme noire qui doit être sa Domina » « Une directrice sevère mature et un employé soumis en bleu de travail » - Le lieu « dans un donjon équipé de nombreux accessoires SM (Fouet, cravache, badine et chaine) » « la nuit dans la forêt dans une clairière éclairée par les phares de la voiture » « dans un club SM où sont déjà de nombreuses Maîtres, Dominas, Soumis et soumises » - La description de ce qui se passe dans la vidéo, les pratiques proposées et les accessoires utilisés. # Exemple : « Dans une demeure chic et cossue ressemblant à un manoir un Maître d’une cinquantaine d’années, habillés tout en cuir, va commencer par déshabiller sa soumise, une jeune femme rousse de 20/25 ans sans ménagement. Sa jupe et son corsage sont a moitié déchirés. Il demande à la jeune femme docile de se mettre à genoux puis de marcher à 4 pattes dans la salle à manger où se déroule la séance de soumission/domination. Le Dom fait s’arrêter la jeune femme devant la croix de Saint-André. On lit l’appréhension sur son visage. Il va l’attacher à l’aide des menottes sur la croix, puis lui mettre des pinces à seins, et des pinces à linge sur la chatte. Elle donne l’impression d’avoir peur. Il saisit ensuite une cravache et va lui fouetter les seins en insistant sur les pinces. La soumise a très chaud. Le maître va la détacher pour la faire se retourner. Il saisit un fouet et commence à la fouetter. Une autre femme entre dans la pièce et observe la scène. Elle se caresse à travers ses vêtements en observant la scène en voyeuse. Elle va se saisir d’un vibromasseur posé sur la table et commencer à se caresser avec, en l’humidifiant avec sa bouche régulièrement. La soumise attachée crie elle de plus en plus fort, et son dom alterne les caresses et les coups de canne anglaise. L’homme décide de lui mettre un bâillon boule pour la faire taire, puis une cagoule en cuir et un collier de chienne. Il va ensuite lui accrocher une laisse et la détacher de la croix pour aller la promener dans la maison, et la faire manger dans une écuelle. Il finira par abuser d’elle en la baisant puis en la sodomisant en levrette à même le sol. Les trois protagonistes finiront par jouir quasi simultanément. Le dominateur attachera la soumise avec une chaîne à un anneau fixé au mur, et quittera la pièce avec la femme voyeuse dont on découvre les hauts talons. » # Catégories Les catégories sont des cases à cocher. Vous pouvez en cocher autant que la scène de la vidéo le justifie. Par exemple, sur une vidéo avec 4 protagonistes : Domina, soumis, Maître, Soumise, il faut idéalement cocher les 4 cases correspondantes dans « Roles/Orientations ». Si en plus la Domina coquine avec la soumise, vous pouvez cocher bisexuelle (soit déjà 5 cases!). Il en va de même pour « Accessoires », « Pratiques », « Physique ». Il n’y a aucune obligation d’être exhaustif. Par exemple, l’accessoire « culotte » est surtout à cocher si la culotte est instrumentalisée (pour en faire un bailon par exemple). S’il y a une culotte « qui ne fait que passer » dans la vidéo, ce n’est pas la peine de cocher ;) ). Notez bien : Le plus important est d’expliciter les choses dans le titre et le descriptif. Les cases à cocher de catégories servent juste pour la navigation des utilisateurs d’une vidéo à l’autre (thème). # Signer ou pas sa rédaction ? Si vous cochez cette case, la description de cette vidéo sera signée de votre pseudonyme et un lien sera fait vers votre profil sur le site BDSM.FR. C'est un bon moyen de se faire connaître ;). Notez que la mention précisera que vous êtes rédacteurs de la description (pour ne pas qu'on croit que c'est vous dans la vidéo ;) ). *** PUBLICATION DE LA VIDEO ET DE VOTRE DESCRIPTIF Les vidéos que vous commentez ne sont pas accessibles directement sur le site. Elles sont validées au fil du temps (pour ne pas qu’il y ait trop de vidéos qui soit publié sur un temps court). Vous recevez un mail d’information quand votre participation sera publiée en ligne. Participer à ce projet, c’est faire preuve d’une véritable et très appréciée implication. Le site mémorise le nombre de mots que vous faites l’effort d’écrire lors de vos rédactions. L’objectif est de proposer des « avantages » pour les bienfaiteurs et bienfaitrices qui donnent de leur temps. Premier avantage d'ores et déjà en place, les beinfaiteurs sont mis a l'honneur sur le site lors d'affichage aléatoire (comme on le fait pour faire connaitre les "Groupes"). Les vidéos que vous avez traité (et qui ne correspondent pas forcément à vos pratiques) ne sont pas mentionnés. On indique juste que vous êtes membres bienfaiteurs. :point_right: QUE FAIRE SI LA VIDEO QU'ON ME DEMANDE DE COMMENTER EST DEFAILLANTE ? Il se peut que la vidéo ne se lance pas du tout (vidéo listée mais qui a disparue entre temps). Il se peut qu’une vidéo qui n’a rien à voir avec du BDSM (ce n’est pas deux tapes sur la fesse gauche qui transforme une vidéo X en vidéo BDSM;) ). Dans ces deux cas, vous avez un bouton, en haut de la page de saisie, pour signaler que la vidéo est défaillante. :point_right: QUAND EST-CE QUE JE COMMENCE ? Maintenant ? :) Connectez-vous à http://videos.bdsm.fr puis identifiez-vous avec votre adresse e-mail de votre compte BDSM. Et c'est parti ! :point_right: UN DERNIER MOT ... ... MERCI DE VOTRE PARTICIPATION A LA CAUSE ! :)
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Par : le 01/01/18
alors même que je me remet de mes émotions, j’ai encore cette sensation a l’intérieur de se cul qui es le sien ….. elle me retire les menottes, je reste nu bien sur, sans la cage, la cagoule toujours en place….. elle m’enlève le baillon qui était déjà partiellement enlevé… je sens sa présence devant moi car je ne vois rien du tout mais PAS BESOIN DE VOIRE …. !! elle me guide jusqu’a sa chatte déjà si chaude et ruisselante hummmm je comprends se que je doit faire ( hihiihiiii ) tout se que je vais faire est pour elle pour sont plaisir unique hummmmm… ma langue contre son vagin à la servire …. tel est aussi ma place hummmm je la lèche de longue en largue de haut en bas hummm, en cercle, j’entre même ma langue en elle, se n’est plus ma langue masi la sienne qu’elle dirige brillamment, j’entends alors « fait moi jouir petite salope !! « quel encouragement j’adore quand elle me le dit !!! elle sais m'excité aussi hummmm… au ton de sa voix de ses gémissements je sais que j’y suis presque …. mes mains à présent sur ses têtons durcie elle me contrôle à nouveau !!! du mieux que je peux, je lui pince les tétons hummmm qu’elle sentiment d’être au service de la jouissance de sa Maitresse quel fierté …. avec la place d’honneur … oui la langue entrain de léché la chatte de ma Maîtresse je me délecte même de son jus qui coule chaudement dans ma gorge!!! elle re sert la tête contre sa chatte j’entend alors « fait moi jouir ou tu ne hummm … ne fera pas …. pas l’amour à ta femme …. hoooooo pendant 1 mois « je réponds alors d’un geste sauvage un coup de langue plus vife au sein de sa chatte …. je m’étouffe mais c’est si bon … !!!! hummm je vais jusqu’au bout !!!! je m’applique alors je boie de plus en plus de son jus qui dégouline sur se visage de petite salope !!!! je ressert dans les doigt les tétons de ma Maîtresse …. plus fort en tirant dessus !!! hummmmm ouais elle vient !!!!! quel plaisir de la faire jouir !!!!! son crie me dit qu’elle y es !!! sentiment d’accomplie de fierté à nouveau !!!! suite a quoi elle guide la main de sa petite salope sur sa chatte encore hummm bien chaude …. hooooo se n’est pas fini !! encore une fois je comprends que je suis le pantin de ses plaisirs … j’enfonce directement 2 doigt …. hum je bouge dedans j’adore sa !!! elle aussi elle me guide la tête sur ses tétons que je suce délicatement…. ou pas je les mordille les tien entre mes dent et les lèche en meme temps avec la langue !!!!! hummmmm entre temps j’ai maintement 4 doigts en elle, bientôt viens le 5eme doigt … hummm je la sent très bien le fist n’est pas loin … j’essai de trouver la meilleur façon de rentré la main complet !!! mais je n’y arrive pas …. (pas encore hihihi ) mais je vais la faire jouir !!! hoooo ouiiiii je joue alors de tout les doigts qui sont en elle a la rendre folle tout de même !!! je la sens venir elle me le dit !!!! avec mon autre main je joue de ses tétons durcie. hummmm son souffle sa respiration augmente, la mienne aussi je ne comprends plus rien, à croire que son excitation me fait jouir aussi !!!! elle joui si forte, elle m’empoigne de ses griffes que j’aime sentir !!! elle appuie le corp de son petit soumis contre elle … le souffle chaud … je lui fais un bisous brûlant dans la nuque … hummm je luit dit Merci Maîtresse j’entends Merci à toi petit soumis !! je retire doucement la main de l’intérieur de sa chatte … elle me dit de me redressé chose que je fais … ensuite elle m’ordonne de lècher la main ... hummmmm oui Maîtresse chose que je fais avec plaisir ( est se qu’elle sait que j’aime sa ??? , je pense que oui ) je me délecte les doigts après doigts tous passe par un coup de langue … je suce tout les doigts … je ne sais même plus se que je fais le corps me répond plus je m’aperçoit que je suis partis loin très loin !!!! se plaisir que j’ai eux a lui faire plaisir c’était uniquement POUR ELLE !! Ma Maîtresse, et si sa lui a fait plaisir alors moi son petit soumis aussi !!!
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Par : le 01/01/18
tout commence par un ordre …. un seul ordre tellement simple, mais si poignant ! je la regarde l’aire de dire « ouiiiii Maitresse « ( je devais tout préparer pour qu’elle puissent jouet de moi ) j’ai commencer par présenté tout les jouet sur les commodes, cela parait bisard mais c’est extrêmement excitent de faire sa …. préparé les jouet sans même savoir avec les quel elle va jouet sur son petit soumis. J’allume toute les bougie dans la chambre, bougie après bougie l’éclairage se fait de plus en plus agréable, Hummmmm mon cerveau travail déjà a tout se qui pourrait arrivé. puit j’enlève mes vêtement chose qui m’emprisonne … sans mes vêtement je me sent plus libre, pret à servir ma Maitresse ou plutôt prêt à se que elle se serves de moi comme elle le veux !!! ouiiiii a se moment la je me dit « hummmm je luis appartient !! « je m’instale à 4 pates tel es ma place !!! je doit l’attendre. les chose s’accélère, mon coeur bat plus vite, j’ai des frisson, mon cerveau plane… pourquoi ?? car je sais que ma Maitresse va arrivé !! je l’entend arrivé, je ne la regarde pas … je n’ose même pas la regardé, elle dégage une énorme prestance, une force, une intimidation !!! elle se trouve alors assise devant moi, et même au vue de ceci je suis et je serait tout de même plus bas qu' elle !! puit vien cette phrase qui déclenche se mouvement qui fait venir sont chien a ses pied !!! hummmmmm je l’entend encore !!! « aller vien la « qu’elle me dit !!!! je me retrouve attire par elle, se corps qui lui appartient s’exécute tout seul, elle commence a caressée se même corps. j’aime telement sentir ses ongles hummmmmmm oui sa m’excite !!! elle pose sa tête me demande de me redresser, et la moment fort !! elle me fait signe de saisir la clef, oui la clef de Sa queue !! qui se trouve en cage et me dit « enlevé la cage ! » chose que je fait de suite … elle dit « maintenant je vais prendre ma douche tu reste ainsi et tu ne bouge pas !!! « wouaaaa je m’exécute bien que très difficile a résisté cette position fait mal a mes cheville, sa douche se passe bien je l’entend … se corp qui lui appartient, lui ne peut plus pour longtemps avent de s’effondre faiblement … mai nonnnnn je veux être fort pour ma Maitresse !!! elle fait une apparition d’une simplicité fulgurante elle me dit « Branle toi !! « hummmmm oui Maitresse. cette fierté que je ressent !! elle revient elle me voie … Sa queue toute dressée l’excitation monte … j’entend « arrete de te branlé « frustration, envie, chaleur, perte de toute notion ….. tout se bouscule dans ma tête !!!! elle me fait signe de monté sur le lit toujours a 4 pattes bien equipé !! bracelet menotte, bâillon boule, cagoule, rosebud dans le cul de son petit soumis. je suis la le cul bien cambré. et la elle me dit ….. « tu n’a pas été sage tu sais pourquoi et tu sais se qui t’attend !! « ( en effet la veille j’ai fait une bêtise qui l’a privé elle de ses envies ) gros sentiment …. par le marquage de ses fesse par la cravache se sont la les marque de ma bêtise qui seront « effacé « ouais car malgré tout au fond de moi j’ai aprit de cette erreur. elle prend les menotte en métal celle bien solide !!! les main relié au pied me voila en position, je doit compté avec elle CLAQUE …. 1 CLAQUE ….. haaaa 2 CLAQUE ….. 3!!!! CLAQUE ….. hooooo 4 CLAQUE ….. 5….. silence malgré moi me voila plongé dedans j’ai oublié de dire « merci Maitresse « CLAQUE …… 6 ( pour l’oublie ) Merci Maitresse hoooooooo hummmmm…. la je sent le martinée continué le travail !!!!! hummmmmm la douleur se transforme en excitation petit a petit j’entend « tu voulait jouet avec celui la « et la je sent son catonine fondre sur le cul de son petit soumis !!! hummmm je ne répond plus de se corp j’ai l’impression d’être l’instrument de son plaisir!! et l’intrument ne se doute de rien mais il va bien servir !!!!! je sent sa main sur le cul de son soumi se froid indique le lubrifiant !! elle m’enfonce des doigt !!! la tout va très vite non pas en réel mais mon cerveau se déconnecte je suis …… je suis un pantin d’ont elle tire les ficelle !!! elle me sent partir me demande si ça va … je répond que non plutôt moyen car j’ai la tete poser sur le coté elle me change de position … 4 pattes main toujours lié par les menottes en metal les cheville lié egallement…. je me cambre tout seul en me disent « aller y Maitresse faites se que vous souhaitez de votre soumis « !!!! hummmmmm quel excitation !!! je sent la le gode en moi je ne sais pas le quel je ne penses que au SENSATION !!!! ouiiiiii les SENSATION d’avoir le cul plein !! De sentir depuis l’interieur quelque chose touché les point de jouissance que je n’ai jamais senti !! cette queue qui essaye d’être a la hauteur de cette même excitation …. mais impossible cette sensation nouvelle es bien plus fortes Elle ENCULE bien fort son petit soumis elle le tien par les cheveux !!! elle me dit « vas’y joui !!!!!! « hum cette parole résonne en moi comme une goute qui fait débordé le vase …. elle ENCULE son soumis plus vite, plus fort hummmmmmm je vien !!!! je sais même plus parlez !!! je suis déconnecté de tout ceci !!! mon corp n’est plus mien il lui appartient ELLE CONTROLE TOUT !!!! hummmmmm jouissance total !!!! heuuuuuu hoooooo hummmmm ouiiiiiiiiiiiiii hohohohhoooooo elle se retire de moi …. je me sent tout legé tout chose !!!!!! je suis perdu de la realité mais je sais que se qui vient de se passer est simplement : hummmmmmmm très bon. elle le sais bien sur elle l’a lu …. interprété de se corp qui es le sien !!!!
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Par : le 15/11/17
C’était peut-être la chose la plus idiote à faire, se donner à un pote de l’université. Nous avons un rapport simple, amical, sans mystère. L’accueil, chez lui à Lyon avait été des plus normaux. Sans mise en scène, gentil, habituel à croire qu’on allait jamais oser. Une double bise fugace comme seul contact. L’appartement au rez de chaussée laissait entendre les bruits de la rue. Il se divisait en trois parties. Un salon de dalles blanches, assez froid, un petit coin d’eau fermé entre quatre murs et un mezzanine qui recouvrait tout, plus chaleureuse, avec des objets personnels. Rien d'un donjon travaillé. A cause de la moquette qu’il y avait, et peut-être par effet de la hauteur, il y avait sur ce perchoir une chaleur plus tendre, comme dans une chambre d’enfant. La visite ne dura même pas une minute et il m’invita tout de suite à m’asseoir dans son petit salon. Il disposa sur la table quatre verres dont il remplit le fond de crème fruitées différentes et termina par un vin blanc. Je goûtais les quatre et pris celui à la pêche. On discuta un peu, puis il y eu un silence. Je ne sais pas ce que c’était pour lui, mais je commençais à ressentir une première gène. Il recommença à me parler simplement des choses de la vie courante ; puis il y eu un second silence. Il me souriait gentiment mais je ne sais pas pourquoi je baissais les yeux. Alors il m’a demandé ce que j’avais amené. Ce fut comme une délivrance et je comprenais que ce petit discours, qui devait nous réhabituer l’un à l’autre était aussi pour lui un moyen de faire monter une pression en moi. Il a repoussé sur le côté de la table les verres et les bouteilles et m’a regardé ouvrir mon sac avec attention. J’ai posé les menottes sur la table, puis le bâillon à boule, un pénis en plastique et puis j’ai hésité. C’était très étrange de me dévoiler de cette façon devant un ami. Le lui dis simplement « jai aussi ça » en posant le crochet anal sur la table. Il regarda cette brève panoplie avec sérieux, puis, en me regardant dans les yeux, il me dit « maintenant tu vas me dire vous. Tu vas m’obéir et m’appeler Maitre. » C’était un contraste fort avec l’homme que je connaissais mais son sérieux me mis en confiance. Je lui répondit « oui maître » pour la première fois. Il alla baisser les stores et tandis que la pénombre envahissait tout, il alluma plusieurs bougies très épaisses qu’il monta en haut. L’espace, simple et presque enfantin s’était changé en un monde mystérieux. Il me demanda de retirer mes vêtements avant de venir le rejoindre avec mes outils. Je m’exécutait et ne gardait que mes bas, mon soutiens-gorge et ma culotte noire. Je les avais choisis pour l’occasion. Il me regarda monter vers lui dans l’escalier et me fit signe d’aller sur une large couette bleue qui faisait un tapis épais et qui devait au fil de notre jeu se froisser et ajouter une sensualité visuelle simple et magnifique dans la lumière instable des bougies. Je me mis à genoux au milieu et il passa derrière moi. Il me bâillonna, en serrant plus que je n’aurais pensé. Il caressa ma peau, me baisa dans le dos et passa un cordon autour de mon cou qu’il en roula comme une écharpe et la fit pendre. Puis les menottes dans le dos. Avec douceur, il me pris contre lui pour me coucher sur l’épaule, la joue et les genoux, les fesses vers le plafond. Je sentais son regard sur moi. Ses doigt qui effleuraient les dentelles de mes derniers vêtements. Puis quelque chose, son pouce sûrement, qui passait sous l’élastique de ma culotte. « Cambre toi » me demanda-t-il et je le fis. La culotte glissa avec son pouce et découvrit cette partie de mon corps. Sa main se posa sur mon sexe, comme une coquille pour le protéger. Il m’étudiait, caressait pour sentir mon excitation et cette main, à dire vrai, m’excita plus encore. Je sentis ses doigt sur ma vulve, et bientôt leur glissement facile montrait que je commençais à juter de désir. Il le senti puisqu’il ne s’y attarda pas. Sa main remonta vers mon anus, le caressa en l’imprégnant de la liqueur qu"il avait sur les doigts. Il pressa un milieu, sans jamais entrer en moi. Il fit le tour, se mit face à moi et me demanda si j’avais un regret. Je secouais la tête. Il dit « non maître » ; je répétais sa phrase sans pouvoir la dire à cause du baillon. Alors il posa sa bouche sur la boule. Contact indirect qui me donna une irrésistible envie de lui. Sa bouche, ses mains, quelque chose de vrai, un contact. Mais il repassa sur le côté et glissant sa main le long de mon dos, comme à son animal. Il prêtait une attention très particulière à mon anus. Il imprégnait ses doigts du jus de ma vulve pour le préparer, l’ouvrir doucement. Il commença à m’expliquer ses gestes, à me dire de cogner le sol « quand » j’aurais trop mal avec mon front. Je sentis un doigt entrer en moi, tailler une place pour le crochet que je sentis bientôt entrer à la place du doigt, mais beaucoup plus profondément ce qui me provoqua d’abord une gène, pénible à cause du froid du métal, puis plus douce. Il attrapa la corde autour de mon cou et la passa en symétrie sous mes bras, dans le dos, les croisant et me tissant un bustier. Il passa ensuite les ficelles derrière le baillon, m’ordonna de me cambrer plus et rattacha les deux bouts au crochet. Je ne pouvais plus bouger que des jambes et déjà je ressentais une envie de gémir de plaisir. J’avais aussi cette envie de lui, ce désir simple de la sexualité la plus innocente. Simplement sentir son sexe glisser en moi. Je me souviens de ce désir intense car j’ai cherché dans le noir, pendant une bonne minute, à deviner s’il était en érection sous ses vêtements. Je commençais à me tortiller, à onduler du bassin en soupirant, pour l’inviter à cet endroit. Il y eut un claquement qui me provoqua une douleur très vive et une surprise. Il avait fouetté mes fesses avec une cravache, fort, me provoquant un sursaut qui tira sur le crochet. « ‘Ne bouge pas » disait il. Je serrai des poings de douleur, mais à peine commençais-je à m’en remettre, je commençais à désirer qu’il me frappe encore. Il recommença deux fois et je me sentis jouir à la dernière. Il remonta ma culotte par-dessus le crochet et il y eut un répit pendant lequel il vint s’asseoir par terre devant moi. Sur la table en verre à côté il avait enroulé plusieurs choses dans une serviette. Il tira un opinel et commença, devant moi, à sculpter un morceau de gingembre. Il avait été attentif à ce qu’on s’était dit par messagerie. Il demandait, en taillant une large pointe, si je me sentais bien. Je répondit « oui maître » sans pouvoir parler vraiment. Alors il se rapproche de moi, repoussa le bâillon sur mon cou, et tandis que je me couchais sur le côté je posais la tête sur ses cuisses. Il tailla longtemps le gingembre, temps pendant lequel il me demanda d’exprimer mes désirs. Je lui dit que j’avais envie de son sexe, de le contempler nu dans cette lumière étrange. Que je voulais lui donner du plaisir moi aussi. Je ne sais pas si j’aurais du lui confier cela. Il n’a rien répondu, mais tandis que je cherchais de la joue à tâter son érection il eut un mouvement de recul. Il me remit en position, comme sa construction, remis le bâillon et passa derrière moi. Il baissa la culotte, retira le crochet et tirant progressivement sur le cordage, enfonça le bâillon dans ma bouche. Quand il fut complètement retiré, je sentis les ficelles se desserrer. Après quelques secondes je sentis les liens se resserrer encore et le fer chaud pénétrer mon vagin. Sa main rejoua brièvement avec mon sexe pour son jus, et le sentis le gingembre entrer à la place du crochet dans mon anus préparé. Je sentis une brûlure, elle vint rapidement et s’intensifia jusqu’à être insupportable. Je cognait le sol de ma tête en serrant les poings mais il sentit que je ne voulais pas arrêter. Il joua à le retirer, le faire rentrer à nouveau. La douleur, continue, me faisait m’habituer à elle alors qu’elle semblait s’intensifier. C’est à ce moment qu’il baisa vraiment mon corps et que je sentis qu’il se passait une chose pour lui. Ses lèvres, posées sur mon dos, sur mes fesses, mes mains menottées et ses mains me caressant, témoignaient d’une forme d’amour pur pour moi, telle qu’il m’avait rendue, totalement soumise dans une douleur délicieuse. Il me coucha sur le dos et le crochet me fit mal. Il retira ses habits pour n’être plus qu’en boxer. Il ^recommença à baiser mon corps. Sur le ventre cette fois, puis le sexe, et se coucha contre moi en me serrant à lui. Je me suis senti profondément heureuse à ce moment. La brûlure du désir, celle du gingembre, celle peut-être aussi d’une forme d’amour respectueux me prenait complètement. Il retira le bâillon à nouveau. Je voulu baiser sa bouche mais elle était trop loin. Nous sommes restés comme cela longtemps. Puis il a défait le cordage, retiré le crochet, retiré le gingembre et les menottes en dernier. Je suis restée couchée dans ce plaisir, près de lui et en l’appelant Maître, je lui ai demandé s’il ressentait du désir pour moi et s’il voulait me prendre. Il affirma, mais semblait avoir quelques réticences. Je crois que c'était une suprise pour lui que je le veuille de cette façon. Il adapta. Je le suppliais, baisant ses genoux et ses pieds. Il me demanda alors de me déshabiller complètement et il m’observa nue avant de retirer son dernier vêtement. Je pris son sexe dans ma main, il était dur. J’ai demandé « puis-je Maître ?» et il a hoché de la tête. La domination continuait, mais le rapport était devenu celui de la tendresse. J’ai joui très rapidement quand je l’ai reçu en moi, c’était finalement ce que j’attendais depuis des semaines. Il s’est alors mis sur le dos, allongé sur cette couette qui faisait comme les vagues d’un océan, et j’ai retiré le préservatif et pris son sexe dans ma bouche. J’en ai avalé la crème chaude. J’étais un peu confuse quand il m’a raccompagné dans la rue. Le rapport intime avait été merveilleux. Mais peut-être n’avais-je pas su choisir entre l’absolu tendresse et la douleur gradissante. J’ai embrassé ce maître dans le cou. Je ne savais plus comment lui parler. Tu ? Vous ? La seule chose certaine est que je n’oublierai jamais ce dimanche. Merci Delyb, maître adoré. Mille fois merci.
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Par : le 25/10/17
*** POURQUOI CE PROJET ? La communauté BDSM.FR met à disposition un espace d’expression gratuit et ne dispose d’aucun budget publicitaire pour se faire connaître. Les membres de la communauté la découvrent : - par le bouche à oreille - par les moteurs de recherche (Google, Bing …) Les menues recettes (Sexshop, webcam, …) servent à financer les infrastructures (deux serveurs haute capacité) et les licences des applications (et ponctuellement des developpements spécifiques) qui servent à faire tourner le site. Les organisateurs de BDSM.FR ne s’étaient pour le moment que peu intéressée aux vidéos. — Le projet de vidéothèque gratuite à deux objectifs : - Proposer un catalogue de vidéos gratuites pour tous (cela existe déjà) qui bénéficient d’une vraie description et d’un vrai classement par pratiques BDSM (plus rare !) - Faire de ces vidéos et surtout leur description un moyen toucher des utilisateurs sur Google pour faire découvrir la communauté à de nouveaux utilisateurs. Google favorise les sites proposant du contenu rédactionnel original ! — En donnant de votre temps, en devenant ainsi bienfaiteurs de la communauté, vous allez donc participer à l’élaboration d’un catalogue unique accessible à tous et vous allez surtout permettre à d’autres membres de découvrir à terme la communauté BDSM.FR *** D’OÙ PROVIENNENT LES VIDÉOS ? Les vidéos viennent des sites de vidéos gratuits ou payants qui nous ont donné l’autorisation de les réexploiter. Ces sites donnent les autorisations, eux-même pour se faire connaître. Il se peut de temps à autres qu’en appuyant sur « Play » de la vidéo, un autre site s’ouvre. C’est la contrepartie de la mise à disposition gratuite de la vidéo par son éditeur original. Cette apparition est aléatoire et heureusement marginale. *** COMMENT DECRIRE UNE VIDEO EFFICACEMENT ? Le traitement d’une vidéo repose sur trois « chapitres « distincts : - Le titre, - Le descriptif, - Les caractéristiques de classement sous forme de cases à cocher. # Proposition de méthode  : - On lance la vidéo - On rédige le descriptif au fur à mesure que la video avance (contexte, physique et rôles des protagonistes puis récits des pratiques et accessoires) - Quand la vidéo est finie, on rédige le titre qui résume au mieux les actions qui dominent dans le scénarisation - Puis enfin on coche les pratiques/accessoires dans les catégories à cocher (qui nous font parfois nous rappeler qu’on a oublié une action avec un accessoire dans le récit) pour le classement par pratique. S’ils manquent des catégories dans la liste, ce n’est pas très grave. Vous pouvez signaler ce qui vous semble manquer dans le groupe ou par e-mail. Ce n’est qu’une proposition de méthode, chacun(e) joue comme il/elle aime;-). Le plus important sont le descriptif et le titre. * Titre de la vidéo Distillez autant que possible les mots clés importants dans le titre. Exemples de bons titres : « Humiliation et bondage pour cette soumise blonde» « Soumis possédé par une Domina en corset avec un gode ceinture », « Domina qui torture son soumis à la cire puis l’exhibe », « Homme soumis attaché à une chaise et humilié en public » Exemples de mauvais titres : « humiliation » « Soumise qui en bave » « Il mange grave » « Film de soumises » --- * Description : La bonne description permet au lecteur de savoir : - Qui sont les protagonistes : « Une maîtresse brune à gros seins avec un corset en cuir et un gode ceinture » « Un jeune soumis asiatique avec une cage de chasteté et une femme noire qui doit être sa Domina » « Une directrice sevère mature et un employé soumis en bleu de travail » - Le lieu «  dans un donjon équipé de nombreux accessoires SM (Fouet, cravache, badine et chaine) » «  la nuit dans la forêt dans une clairière éclairée par les phares de la voiture » «  dans un club SM où sont déjà de nombreuses Maîtres, Dominas, Soumis et soumises » - La description de ce qui se passe dans la vidéo, les pratiques proposées et les accessoires utilisés. # Exemple : « Dans une demeure chic et cossue ressemblant à un manoir un Maître d’une cinquantaine d’années, habillés tout en cuir, va commencer par déshabiller sa soumise, une jeune femme rousse de 20/25 ans sans ménagement. Sa jupe et son corsage sont a moitié déchirés. Il demande à la jeune femme docile de se mettre à genoux puis de marcher à 4 pattes dans la salle à manger où se déroule la séance de soumission/domination. Le Dom fait s’arrêter la jeune femme devant la croix de Saint-André. On lit l’appréhension sur son visage. Il va l’attacher à l’aide des menottes sur la croix, puis lui mettre des pinces à seins, et des pinces à linge sur la chatte. Elle donne l’impression d’avoir peur. Il saisit ensuite une cravache et va lui fouetter les seins en insistant sur les pinces. La soumise a très chaud. Le maître va la détacher pour la faire se retourner. Il saisit un fouet et commence à la fouetter. Une autre femme entre dans la pièce et observe la scène. Elle se caresse à travers ses vêtements en observant la scène en voyeuse. Elle va se saisir d’un vibromasseur posé sur la table et commencer à se caresser avec, en l’humidifiant avec sa bouche régulièrement. La soumise attachée crie elle de plus en plus fort, et son dom alterne les caresses et les coups de canne anglaise. L’homme décide de lui mettre un bâillon boule pour la faire taire, puis une cagoule en cuir et un collier de chienne. Il va ensuite lui accrocher une laisse et la détacher de la croix pour aller la promener dans la maison, et la faire manger dans une écuelle. Il finira par abuser d’elle en la baisant puis en la sodomisant en levrette à même le sol. Les trois protagonistes finiront par jouir quasi simultanément. Le dominateur attachera la soumise avec une chaîne à un anneau fixé au mur, et quittera la pièce avec la femme voyeuse dont on découvre les hauts talons. » # Catégories Les catégories sont des cases à cocher. Vous pouvez en cocher autant que la scène de la vidéo le justifie. Par exemple, sur une vidéo avec 4 protagonistes : Domina, soumis, Maître, Soumise, il faut idéalement cocher les 4 cases correspondantes dans « Roles/Orientations ». Si en plus la Domina coquine avec la soumise, vous pouvez cocher bisexuelle (soit déjà 5 cases!). Il en va de même pour « Accessoires », « Pratiques », « Physique ». Il n’y a aucune obligation d’être exhaustif. Par exemple, l’accessoire « culotte » est surtout à cocher si la culotte est instrumentalisée (pour en faire un bailon par exemple). S’il y a une culotte « qui ne fait que passer » dans la vidéo, ce n’est pas la peine de cocher ;) ). Notez bien : Le plus important est d’expliciter les choses dans le titre et le descriptif. Les cases à cocher de catégories servent juste pour la navigation des utilisateurs d’une vidéo à l’autre (thème). # Signer ou pas sa rédaction ? Si vous cochez cette case, la description de cette vidéo sera signée de votre pseudonyme et un lien sera fait vers votre profil sur le site BDSM.FR. C'est un bon moyen de se faire connaître ;). Notez que la mention précisera que vous êtes rédacteurs de la description (pour ne pas qu'on croit que c'est vous dans la vidéo ;) ). *** PUBLICATION DE LA VIDEO ET DE VOTRE DESCRIPTIF Les vidéos que vous commentez ne sont pas accessibles directement sur le site. Elles sont validées au fil du temps (pour ne pas qu’il y ait trop de vidéos qui soit publié sur un temps court). Vous recevez un mail d’information quand votre participation sera publiée en ligne. Participer à ce projet, c’est faire preuve d’une véritable et très appréciée implication. Le site mémorise le nombre de mots que vous faites l’effort d’écrire lors de vos rédactions. L’objectif est de proposer des « avantages » pour les bienfaiteurs et bienfaitrices qui donnent de leur temps. Premier avantage d'ores et déjà en place, les beinfaiteurs sont mis a l'honneur sur le site lors d'affichage aléatoire (comme on le fait pour faire connaitre les "Groupes"). Les vidéos que vous avez traité (et qui ne correspondent pas forcément à vos pratiques) ne sont pas mentionnés. On indique juste que vous êtes membres bienfaiteurs. *** QUE FAIRE SI LA VIDEO QU'ON ME DEMANDE DE COMMENTER EST DEFAILLANTE ? Il se peut que la vidéo ne se lance pas du tout (vidéo listée mais qui a disparue entre temps). Il se peut qu’une vidéo qui n’a rien à voir avec du BDSM (ce n’est pas deux tapes sur la fesse gauche qui transforme une vidéo X en vidéo BDSM;) ). Dans ces deux cas, vous avez un bouton, en haut de la page de saisie, pour signaler que la vidéo est défaillante. *** QUAND EST-CE QUE JE COMMENCE ? Maintenant ? :) Pour participer, c'est ici : http://videos.bdsm.fr Pour vous identifier, tapez l'adresse e-mail de votre compte BDSM.FR ! *** DES QUESTIONS ? N'hésitez pas à les poser en public dans le groupe du projet : https://www.bdsm.fr/groups/406/ *** UN DERNIER MOT ... ... MERCI DE VOTRE PARTICIPATION A LA CAUSE ! :)
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Par : le 30/08/17
Samedi soir. Mon Maître me propose de faire une nouvelle séance de photos. Je prends une douche, me soigne, me parfume, me maquille et m’habille selon ses directives : un bustier, des bas et chaussures à talons aiguille. Lorsque je redescends, je découvre qu’une tout autre séance m’attend. Des cordes sont accrochées à une poutre, et pendent jusqu’au sol, un bâton de bois les relie à environ 1m80 du sol. Il a disposé des bougies, et fait le vide dans le milieu de la pièce. Je découvre sur la petite table l’appareil photo mais aussi la nouvelle badine, réalisée ensemble la veille (une baguette de noisetier ramassée ensemble, taillée, lissée, préparée pour l’occasion). De l’alcool à 70°. Le gel lubrifiant. Foulard. Menottes. Et mon collier. Le programme s’annonce « chargé ». J’attends sagement, assise, qu’il termine de peaufiner son installation, face le point avec l’appareil photo. J’ai du mal à regarder les cordes en face. Je sens la peur me gagner, plus forte que l’excitation ce soir. On a parlé des dizaines de fois d’être attachée, d’être en croix, et tout cela me faisait terriblement fantasmer. Mais ce soir, je franchis le fossé entre le fantasme et la réalité. Et je réalise ce que cela implique. Je serai bientôt attachée là, je ne sais pas encore tout à fait comment, mais je présume les bras en l’air et les yeux bandés. Je vais réellement, « pour de vrai », être immobilisée et totalement livrée à son bon plaisir. D’ordinaire, cela me rend folle de joie. Mais là, je ne vais pas me livrer de mon plein gré tout le long, cette fois, je serai réellement entravée et sans possibilité de faire machine arrière. Pour un temps et des sévices indéterminés. Il va me falloir franchir un pas de plus dans la confiance. J’ai un moment de panique : dans ma tête tourne en boucle « mais qu’est-ce que je fais là ??? Pourquoi j’accepte ça ? ». J’inspire profondément en me concentrant sur ma respiration, comme il me l’a appris. Est-ce que je ne fais tout ça que pour lui, pour être aimée de lui ? Est-ce que je veux vraiment tout ça ? La réponse tombe, calme, froide, implacable dans mon esprit soudain totalement vide et apaisé : « Non. Je le veux parce que j’aime ça. Parce que j’aime ce pouvoir de mon Maître sur moi, j’aime ce qu’il me fait subir, j’aime même la peur qui précède. ». Fais toi à cette idée, cocotte, t’aimes ça... Et tu l’aimes, lui. Je savoure cet apaisement et cette certitude. Je reste terrifiée par l’inconnu devant moi mais j’y prends plaisir. Cela fait déjà partie de ce « petit jeu » entre lui et moi. Il me demande de poser entre les cordes, pour choisir le cadrage et les paramètres de l’appareil photo. C’est en voyant les clichés plus tard que je réaliserai, amusée, mon visage tout de même passablement effrayé et ma posture « fermée ». Tout est prêt. Il me demande de venir et d’amener mon collier. Je sens une bouffée de chaleur rassurante m’envahir et m’agenouille devant lui. Il passe le collier autour de mon cou. Tout mon corps se détend d’un coup, je ressens une joie et une gratitude immense. Je suis à ma place. Soudain, tout devient simple : j’abandonne tout libre arbitre, toute responsabilité, tout questionnement, toute peur, un sentiment de lâcher prise total et d’abandon. Je m’en remets à lui, sans réserve. Je n’ai plus rien à craindre, à faire, à penser, je suis à ma place, je deviens son jouet, son chef d’œuvre, je lui appartiens entièrement et il va disposer de moi à son bon vouloir. Difficile d’expliquer ce sentiment, ce soulagement. Quelque chose peut-être proche de la foi quand on s’en remet à Dieu, ou d’un enfant qui retrouve enfin la main de son parent dans la foule. Une sécurité totale, une confiance absolue. Le frisson de peur reste présent mais devient excitant. Je baise sa main, la place contre mon front. Les secondes sont suspendues et s’étendent à l’infini, je ressens un vide total, un calme que l’hyperactive cérébrale que je suis ne goûte que trop rarement. Sur son injonction, je vais me placer entre les cordes. Il passe délicatement à chacun de mes poignets les bracelets menottes. Puis me bande les yeux. Soulève mon bras gauche et me fais saisir le bâton. Puis, pendant d’interminables secondes, rattache la menotte à la corde. Puis le bras droit. Le moment tant redouté est donc arrivé, me voilà enchaînée et aveugle. Je l’entends qui s’affaire. J’entends le bruit de l’appareil photo. Je me tiens bien droite, perchée sur mes talons très hauts. Je me dis que j’ai enfin l’opportunité de lui faire honneur. Je vais le rendre fier. Bon, ça part mal puisqu’il doit venir de son pied écarter les miens. M***, la position des jambes, pourtant je le sais ça ! Manifestement, le stress me l’a fait oublier :/ Arrive la badine. Pour une photo d’abord. Puis il parcourt tout mon corps très lentement avec. Je frissonne. Le contact est agréable et excitant mais je sais qu’il ne le sera plus très longtemps. Étrangement, j’ai peur d’avoir mal mais j’attends cela avec impatience. Je ne suis pas maso, je suis même du genre un peu douillette. Mais j’aime le plaisir d’éprouver mon corps, de le pousser dans ses limites. J’aime savoir le plaisir que mon Maître prend à me torturer. J’aime les caresses qui viennent me récompenser, me rassurer entre chaque série de souffrances. Et à la longue, mon corps a fini par imprimer au fond de moi l’association du plaisir et de la douleur. Les coups de badine commencent à pleuvoir. Pas trop appuyés d’abord, puis un plus fort, qui claque plus sèchement sur mes fesses. Je respire profondément, bloquant l’information « douleur » qui remonte à mon cerveau. Je reste concentrée, je tiens à être forte et à ne pas laisser échapper de cris ou m’effondrer trop rapidement. Je me tiens droite. J’essaye de ne pas trop anticiper ou appréhender où et quand tombera le prochain coup. La badine cesse, mon Maître fouille mon intimité, déjà très humide. Je me relâche sous ses caresses, le plaisir monte. Un coup de badine claque, je sursaute. Je ne m’y attendais pas. Les caresses reprennent. Je redoute le prochain passage de la badine. Il n’arrive pas, et le plaisir devient plus fort, je me laisse aller. Les caresses cessent brusquement. Un coup de nouveau. Les caresses reprennent. Je n’arrive plus à lâcher prise, trop inquiète. Je me demande si c’est juste pour me torturer qu’il fait cesser le plaisir et me cingle ou si c’est une leçon que je dois comprendre : ne gémis pas sous les coups et tiens toi bien, et idem sous les caresses ? Je ne sais que penser. Je ne peux plus pressentir le coup à venir, ils arrivent en même temps que les caresses. Je m’égare entre la jouissance, la douleur et l’appréhension. Le mélange est détonnant. Les interruptions fréquentes, pour faire des photos, contempler sa réalisation ou juste me faire peur, me rendent hyper attentive, supra vigilante. Sans le secours de la vue, tous les autres sens sont en éveil. Je n’ai plus aucune notion du temps. Il revient, promène de nouveau la badine. Cette fois, les coups sont plus secs. Il explore des zones nouvelles, frappant sous mes aisselles ou sous mes bras, mes cuisses aussi. C’est nettement plus douloureux que les fesses et je commence à fatiguer, j’ai plus de mal à contenir des cris de surprise ou de douleur. J’ai atrocement mal aux pieds, des fourmillements affreux. Je demande la permission de légèrement rapprocher mes pieds l’un de l’autre, et je bascule le poids de mon corps sur les talons pour soulager la pression. Mes mains, crispées sur le bâton, s’engourdissent. Il reprend les coups de badine, sur les fesses, et cette fois, les enchaîne sans interruption, à un rythme bien plus soutenu. C’est ce que je trouve le plus douloureux. Bizarrement, je suis plus trempée que jamais pourtant. Cette fois, je crie. Je sens que je perds le contrôle et que je suis épuisée, physiquement et moralement. Ses doigts s’aventurent de nouveau dans mon sexe. Comme chaque fois, et comme il l’avait fait après avoir caressé mon aisselle peu avant, il les porte à ma bouche ensuite. Étrange et voluptueux goût de son propre plaisir. Âcre et transgressif. Au beau milieu d’une caresse, sa main gifle sèchement mon sexe. Je fonds en larmes. Je ne sais pas si c’est la douleur, la surprise, l’épuisement : je suis submergée d’émotions, j’ai le sentiment de pleurer exactement comme on pleure quand on est petite fille. La peur, la frustration, le plaisir, l’épuisement, la gratitude, l’angoisse, l’amour inconditionnel, la fierté et l’envie de le rendre fier, tout se mélange et explose. Je n’ai plus les idées claires. Je me remémore mon safeword, comme une vérification. Je sens que cela me prend quelques longues secondes pour y parvenir. Je n’y ai jamais eu recours et je sais que cette fois non plus, je n’aurais sans doute aucun besoin de le faire. Mais cela m’aide à me replanter un peu dans la réalité. J’ai du mal à retrouver le fil, l’ordre de succession des événements, comme à chaque fois. J’entends régulièrement l’appareil photo, parfois alors même que mon Maître a ses mains sur moi. Il a du poser l’appareil sur le pied. Il saisit ma gorge, ou m’embrasse. Je n’arrive plus vraiment à suivre. Mes bras et mes pieds me faisaient souffrir mais je ne les sens plus. Je me sens exténuée, je peine à me tenir droite. À plusieurs reprises durant cette séance, mon Maître a pénétré mes fesses de ses doigts. Je sais que c’est la partie la plus intime de mon être, celle qu’il aime particulièrement posséder. Le tube de gel me revient en mémoire alors qu’il vient dans mon dos. J’appréhende toujours ce moment, terriblement douloureux au départ. J’ai l’impression que ce sera plus facile cette fois, mon corps est tellement ouvert et relâché. J’entends le bruit du tube, je sens la fraîcheur du gel. Je sens son corps contre le mien, son désir. Le mien explose, je me sens heureuse et fière. Ma récompense est là, dans cet instant, dans son envie de moi, dans le fait de sentir qu’il va prendre ce qui lui revient, qu’il va jouir de ce qu’il a construit. Je me sens fière et … complète. J’aime ce moment dans lequel je sens au plus profond de ma chair, dans la soumission totale qu’implique de lui abandonner cette part de mon corps la plus intime, ce moment où je lui appartiens, pleinement. Je mesure un petit mètre 60 et mon Maître 20 cm de plus. Techniquement, dans cette position, les choses s’avèrent en fait encore plus douloureuses qu’à l’ordinaire. Cette fois, j’ai l’impression d’avoir hurlé de douleur. Mais pas question de safe word, inconcevable de le priver de ce moment et de m’en priver par la même occasion. Je sais qu’après l’intense douleur viendra un plaisir puissant, aussi charnel que cérébral. Un moment de communion, intense, de plaisir violent. Je lui donne tout ce qu’il me reste d’énergie, je prends tout ce qu’il a à m’offrir. Je pends littéralement au bout de mes menottes, mes jambes tremblent. Mon Maître me décroche doucement et me soutient. Je ne tiens plus debout. Il retire le foulard, je n’arrive pas (et ne souhaite pas) ouvrir les yeux. Il me dépose doucement sur le canapé (heureusement à quelques centimètres, je n’aurais pas pu plus!). Je ne perds pas connaissance cette fois mais je sens que je suis complètement explosée. Caresses, verre d’eau (qu’il me fait boire à petites gorgées, mes mains sont si crispées que je ne peux le tenir moi-même), silence et apaisement. L’after care est comme toujours d’une grande douceur, un bain d’amour, de félicité et de partage. Les pensées s’enchaînent, me traversent, dans un grand et doux désordre. Je laisse filer, je ne cherche plus à avoir de prise sur quoi que ce soit, il y a déjà longtemps que je ne maîtrise plus rien. Je me laisse aller à ce moment qui s’étire à l’infini, avec cette impression d’avoir l’esprit vague et le corps qui flotte. Il m’a retiré mon collier, pour que je puisse mieux respirer, mais j’ai été prise de la panique de l’enfant à qui on retire son doudou. Je ne veux pas le retirer, pas comme ça, je refuse de le lâcher tout de suite. Je le garde serré contre moi, encore un peu. Juste le temps de revenir à moi. Progressivement, je me sens revenir, comme après une prise de drogues. Le cocktail chimique en moi des hormones de peur, de plaisir, de douleur, redescend peu à peu. Il s’écoule longtemps avant que je ne parvienne à parler. Mes premiers mots seront pour expliquer le fou rire aussi incoercible que quasi hystérique qui m’a soudain saisie : je désigne les cordes et explique tant bien que mal à mon Maître qu’il a là un étrange filet à papillons (et Chrysalides ;) ). Dès que mon corps l’a permis, je me suis jetée à ses pieds, emplie à ras bord d’amour, de gratitude, et je l’ai remercié. Jamais mots ne m’ont semblé aussi creux au regard de l’intensité du ressenti qui m’animait. Mais à cet instant, même si cette fois, il ne m’a pas imposé de faire face au miroir, je sais que l’éclat sauvage, animal au fond de mes yeux, ne mentait pas, ne trichait pas, ne transigeait pas. Le miroir brut de mon âme. Plus de filtre, je suis moi, face à lui. La Chrysalide de son Ombre.
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Par : le 23/08/17
C’était un mardi soir, comme tous les mardis soir, elle s’arrêtait au supermarché en rentrant du travail pour faire quelques courses. Elle ne l'avait pas remarquée lorsqu'elle s'était garée et qu'en descendant elle avait malencontreusement laissé tomber ses clés. Elle s'était penchée pour les ramasser. Sa petite jupe lui avait dévoilé un bien joli spectacle. Elle n'avait rien remarqué lorsqu'il s'était approché d'elle et qu'en souriant il lui avait juste demandé. "Bonsoir, je peux vous aider?". Elle avait sursauté et s'était relevé instinctivement, sans prendre même le temps de ramasser ses clés. Il l'avait fait pour elle et au moment de lui donner, avait juste précisé "Je pense que ceci vous appartient, comment pourriez-vous me remercier?". Elle avait rougit, lui disant juste merci, elle avait fermé sa voiture et était repartie chercher un caddie. Elle n'avait pas remarqué qu'il était resté et avait commencé à griffonné sur un morceau de papier quelques mots et avait glissé ce papier sur son pare-brise. Elle avait fait ses quelques courses et en revenant avait récupéré le morceau de papier. Elle l'avait lu, chiffonné et mis dans sa poche. Elle était rentrée et sous sa douche avait repensé à ces écrits interdits qui la mettait dans tous ces états. Elle s'était couchée, finissant les quelques chapitres de ce livre qu'elle avait commencé quelques jours seulement auparavant et s'était endormie, sans même le refermé. Sa nuit avait été agitée, entre rêves perturbants, réveils chaotiques, elle s'était surprise à ouvrir les yeux une main entre ses cuisses. Elle n'arrivait plus à se souvenir de la dernière fois ou ça lui était arrivé. Elle avait laissé cette main continuer ce qu'elle avait commencé. Elle était encore plus mouillée que d'ordinaire, comment ses rêves pouvaient il la mettre dans un tel état, et surtout que contenaient ils? Elle n'arrivait plus à s'en rappeler mais elle se laissa bercer par le souvenir de ces quelques mots. Ses doigts s'activèrent de plus en plus vite, elle s'écartait de plus en plus, se cambrait sous ses pensées. Elle avait envie de jouir, une envie nocturne et tenace qui ne lui était pas arrivée depuis si longtemps. Juste ces quelques mots la mettaient dans cet état et son imagination était partie comme un cheval au galop. Un galop que ses doigts suivaient en s'activant sur son petit bouton, s'enfonçant en elle. Elle imaginait la suite de ces mots, elle essayait de voir ce que tout ça lui apporterait. Et ce livre qu'elle lisait n'était pas là pour l'empêcher de laisser son esprit divaguer, bien au contraire. Elle jouit rapidement, trop rapidement à son gout, elle en voulait encore elle avait envie de plus. Elle se laissa redescendre quelques instants puis se leva et alla ouvrir un tiroir de sa commode. Elle regarda mais n'hésita pas longtemps sur son choix. Elle en sorti le dernier jouet qu'elle s'était offert. Un joli god vibrant violet. Elle ne l'avait pas depuis longtemps mais elle ne comptait plus les orgasmes qu'il lui avait déjà donnés. Elle s'allongea sur son lit mais sur le ventre cette fois ci. Elle avait envie de l'imaginer derrière elle, elle releva doucement ses fesses et glissa son jouet au plus profond de sa petite chatte encore trempée. Elle remuait doucement les fesses, les relevait, se cambrait doucement au rythme des poussées qu'elle se donnait. Les vibrations mélangées à ces mouvements la firent vite atteindre un point de non-retour. Elle voulait se retenir, non pas encore si vite, mais c'était tellement bon, elle avait la tête perdue dans son oreiller, gémissant et mordillant le tissu. Elle essayait de résister, de se garder encore du temps pour elle pour se sentir remplie et complétement à la mercie de ce petit morceau de plastique qui lui faisait tant de bien. Et elle ne put résister plus et se laissa entrainer dans une farandole qui éclata par son orgasme. Elle se laissa retomber sur le lit, retirant d'elle son amant infatigable, passa sa langue dessus et en retira les traces de son plaisir. Elle le posa sur sa table de nuit et le regardant s'endormit de nouveau. Elle se réveilla encore toute perturbée de ce que sa nuit lui avait réservée, mis un peu de temps à se l'admettre, mais finit par l'accepter en regardant son jouet posé sur la table de nuit. Le réveil n'avait pas encore sonné, le mercredi elle partait plus tard, elle avait moins de circulation pour aller travailler. Elle profita donc de ce petit moment pour repenser à tout ce qui lui était arrivé. Comment quelques simples mots avaient-ils pu la mettre dans cet état. C'est vrai que cela faisait quelques mois qu'elle n'avait pas eu d'homme avec elle, elle avait seulement partagé ses jouissances avec ses jouets, ses amis toujours présents pour elle lorsqu'elle en avait besoin, eux qui ne lui posaient jamais de question. Elle décida enfin à se lever, cette nuit l'avait vraiment perturbée. Petit déjeuné avalé, salle de bains visitée, elle retourna dans sa chambre pour s'habiller, choisit une petite robe bleue ciel, une petite paire de chaussures à talons, enfila sa veste noire qu'elle affectionnait particulièrement, prit les clés de sa voiture et sorti de l'appartement en claquant la porte pour la fermer. Elle passa sa journée au travail à moitié concentrée, à moitié dans ses pensées. Qui était-il pour lui avait laissé ce mot, et comment savait-il ce qu'il lui avait écrit ? Elle allait reprendre sa voiture pour rentrer chez elle et essayer d'oublier cette étrange journée. Elle remarqua de nouveau une enveloppe posée sous son essuie-glace. Elle la prit en pensant que c'était une nouvelle pub pour ce centre commercial qui avait ouvert récemment. Mais la texture n'était pas du tout la même et elle senti une petite bosse à l'intérieur. Elle s'assit au volant, hésita à l'ouvrir et déchira finalement le bord de l'enveloppe pour en sortir une feuille de papier. Il n'y avait que quelques mots. "Si vous avez aimé mon précédent message, je vous attends. L'adresse de l'hôtel est notée sur la clé qui est dans cette enveloppe. Le numéro de la chambre y figure aussi. Ce soir 19h, je vous attendrai." Rien d'autre, aucun nom, aucun signe de reconnaissance, elle savait pourtant qui lui avait remis cette lettre, il ne pouvait être plus clair. Elle regarda longuement cette clé, jouant avec elle entre ses doigts. Qu'allait-elle faire? Etre inconsciente au point de se rendre à ce rendez-vous avec cet homme qu'elle ne connaissait même pas. Elle réussit à rentrer chez elle, posa la clé sur la table et la regardant. Elle ressortit la première lettre, la relut, une fois, une seconde et fila dans la salle de bain prendre une douche. Il était déjà dix-huit heures et si elle ne se dépêchait pas, elle ne serait jamais à l'heure. Elle irait, elle l'avait décidé. Elle sorti de la douche, un peu de maquillage, passa sa brosse dans ses cheveux, retourna dans sa chambre et laissa tomber la serviette par terre. Elle sorti de sa commode ce petit porte jarretelles noir qu'elle s'était offert quelques mois avant, enfila une paire de bas noirs qu'elle y fixa. Elle hésita quelques instants et sorti une petite robe rouge assez moulante, l'enfila et se regarda dans le miroir de sa penderie. Elle avait l'impression d'être une adolescente excitée par son premier rendez-vous. Elle sorti de la chambre, enfila la paire de talons qu'elle trouvait la plus sexy pour aller avec sa robe, prit une veste blanche et sorti. A peine avait-elle claqué la porte, qu'elle fouilla dans son sac pour trouver la clé et rouvrir la porte de son appartement. Dans sa précipitation, elle en avait oublié la clé de la chambre. Elle entra l'adresse de l'hôtel dans son GPS et démarra. Elle avait juste le temps pour être à l'heure. Elle se gara sur le parking de l'hôtel, entra en trombe, chercha du regard les ascenseurs. Mais ou diable pouvaient-ils se trouver. Elle les remarqua enfin, là-bas au fond du hall d'entrée. Elle y couru presque, regarda sa montre, 18h57. Elle appuya sur le bouton du 3ieme étage. Elle espérait simplement que cet hôtel respecte les conventions en ayant mis la chambre 319 au 3ieme étage. Les portes s'ouvrir et elle s'engouffra dans le couloir de l'étage. Chambre 319, la voilà, elle y était. Elle ne réfléchit pas et ouvrit la porte et rentra dans la chambre. La chambre était spacieuse, un grand lit, il y avait même une petite mezzanine ou semble-t-il, il devait y avoir au moins un autre lit. Elle ouvrit machinalement la porte de la salle de bain et lâcha presque un waouh de surprise en découvrant la grande baignoire ainsi que la douche qui était à côté. Elle referma la porte et s'arrêta net. Il manquait quelque chose dans cette chambre. Elle regarda de nouveau sa montre 19h05. Non elle n'avait pas été en retard, elle était sure qu'elle avait franchi la porte de la chambre à 19h comme il avait été convenu dans la lettre. Elle fit le tour du lit, se demandant si elle allait attendre ou repartir. Elle avait une clé, elle avait une chambre, un parfait inconnu l'avait payée, et il n'était pas là pour en profiter. Était-il en retard ? Elle n'y croyait pas, vu le ton de la lettre, il avait dû attendre et repartir. Elle prit son téléphone, composa le numéro de l'horloge parlante, vérifia avec l'heure de sa montre. Elle était parfaitement à l'heure. Que s'était-il passé ? Elle s'assit sur le lit en se disant que de toute façon, s'il y avait personne d'ici dix minutes, elle repartirait chez elle. Elle fouilla dans son sac, ressortit les deux lettres, les relues plusieurs fois. Non, il devait vraiment y avoir quelque chose pour qu'il ne soit pas là. Elle n'avait pas encore fini le deuxième message, qu'on frappa à la porte. Elle hésita quelques instants, se leva et alla ouvrir. Elle s'attendait à voir son charmant admirateur, mais fut déçue en voyant un membre du personnel de l'hôtel. "Bonsoir, je suis désolé de vous déranger, mais la personne qui me l'a remise m'a dit que c'était très urgent, que vous comprendriez et que vous deviez absolument l'avoir avant 19h15" lui dit-il en lui tendant une enveloppe. Elle la prit en remerciant le garçon, referma la porte. Encore une enveloppe, encore une lettre, mais qu'est-ce que cela encore signifiait. Elle l'ouvrit précipitamment, sans prendre garde de ne pas la déchirée, sorti la feuille de papier et la lut presque à voix haute. "Bonsoir Véronique, vous pensiez me trouver dans cette chambre, ce n'est pas le cas. Je n'y serai que lorsque je saurai que vous m'attendrez, nue, juste avec la paire de bas que vous avez pris soin de mettre. Vous trouverez aussi dans le tiroir du bureau un foulard noir que vous passerez sur vos yeux. Attendez-moi à genoux, dos à la porte." Elle secoua la tête comme pour reprendre ses esprits et se dire qu'elle avait rêvé. Elle relut une nouvelle fois, mais le contenu n'avait pas changé. Elle s'assit de nouveau sur le lit, faisant crisser le papier entre ses doigts. Le ferait-elle ? Partirait-elle ? Rien ne l'obligeait, si ce n'est cette attirance et cette curiosité qu'il avait su éveiller dans la première lettre, si ce n'est qu'il connaissait beaucoup trop de choses sur elle. Comment connaissait-il son prénom, comme savait-il ce qu'elle portait ce soir ? Trop de questions, trop de curiosité et surtout trop d'excitation. Elle allait rester. Elle se releva, aller ouvrir le tiroir du bureau, et y trouva un foulard noir, comme il l'avait précisé. Elle se déshabilla, prenant soin de mettre ses affaires dans la penderie. Elle prit le foulard et hésita, regarda la porte, se demandant si elle devait vraiment continuer ou se rhabiller et se sauver. Après tout, c'était une folle histoire qui lui arrivait, et depuis combien de temps une folle histoire ne lui était-elle pas arrivée ? Et si elle ne faisait qu'une partie de ce qu'il lui avait demandé? Mauvaise idée, car vu les renseignements qu'il avait sur elle, elle était persuadée qu'il saurait si elle le faisait ou non. Elle se mit à genoux, dos à la porte, prit le foulard, le mit sur ses yeux, serra derrière sa tête et attendit. Elle ne sut pas combien de temps se passa, elle était perdue dans ses pensées, cherchant des explications, des solutions, des raisons, son imagination lui jouait des tours, son excitation grandissait parallèlement, lorsqu'elle entendit la porte s'ouvrir. Elle ne fut même pas surprise en pensant qu'il avait une deuxième clé. Elle entendit la porte se refermer. Etait-il seul ? Etait-il là ? Elle ne savait pas et avait envie d'enlever ce bandeau pour regarder. Elle se ressaisit. S'il était bien là, elle pouvait lui dire adieu si elle faisait cette erreur, et elle n'en avait plus du tout envie. Elle se résigna donc et attendit, quelques instants qui lui parurent interminable, jusqu'au moment ou elle sentit une main passer sur sa nuque, caresser ses cheveux et une voix qui accompagnait cette main, une voix douce et ferme à la fois "Bien véronique, je vois que tu as suivi mes premières instructions. Les suivantes ne seront pas beaucoup plus difficiles pour l'instant. Te connaissant, je pense que tu en connais déjà certaines, aux vues de tes lectures, tu dois être au fait des règles de base ?". Elle resta bouche bée. Il savait vraiment beaucoup de choses sur elle et en fut presque effrayée. Connaitre son nom était une chose, avoir surement vu comment elle s'était habillée, en avoir déduit qu'elle avait mis une paire de bas et pas des collants avait surement été facile, mais de là à connaitre ses lectures. Comment faisait-il?. Elle sentit sa main se raffermir sur sa nuque. "Me serais-je fait mal comprendre ou faut-il déjà que je te répète ma question?". Elle ne réfléchit pas et laissa échapper un timide "Oui Monsieur". Il lui pressa encore un peu plus fort la nuque. "J'ai cru entendre quelque chose mais ce n'était qu'un sombre murmure". "Oui Monsieur, quelles sont vos instructions?" lui demanda t'elle d'une voix un peu plus assurée. Il passa devant elle, elle le sentit au déplacement de sa main, au frottement de son pantalon sur ses cheveux et il prit sa tête entre ses mains, se mettant accroupie en face d'elle, relevant sa tête doucement pour qu'elle soit à la hauteur de la sienne. Il passa ses doigts sur ses lèvres, les écartant doucement. Elle se laissait faire. Elle avait tant lu depuis quelques mois qu'elle pensait savoir ce qu'il attendait d'elle. Elle frissonna lorsqu'une main passa sur un de ces tétons qui pointait, mélange de froid et d'excitation. Il ne faisait pourtant pas froid dans cette chambre, bien au contraire et plus le temps passait, plus elle avait l'impression que la température montait. Elle émit un petit cri lorsqu'il lui pinça le téton, elle eut même un mouvement de la main pour le repousser. Mouvement qui fut immédiatement stoppé par son autre main accompagné d'un "Qui t'as dit de bouger? Faudra-t-il que déjà je t'attache pour que tu ne bouges plus?". Elle retira sa main et la reposa sur sa cuisse en laissant échapper un "pfff non Monsieur". Le pfff avait été de trop et elle cria lorsqu'il pressa encore plus fort sur ce petit bout de chair qui pointait déjà plus qu'il n'aurait dû. Il tira dessus et elle esquissa un mouvement de recul qu'elle reprit vite. Il pinça l'autre et les tira vers le haut, la faisant se dresser sur ses cuisses. "Bien, bien, je vois que tu apprends vite". Il déposa un baiser sur sa bouche puis sur son front en la laissant redescendre sur ses talons. Ses mains quittèrent ses seins, elle soupira de se sentir délivrée. Elle avait eu mal, mais cette douleur était presque plus intense une fois qu'il l'avait lâchée, douleur mêlée de plaisir. Elle venait de comprendre qu'elle ne pourrait pas se passer de tout ce qui commençait à se dérouler. Elle l'avait trop lu et relu, elle en avait même fantasmé, elle s'était caressée et avait jouis en lisant certains passages, s'imaginant dans la situation, et là aujourd'hui, elle vivait ses livres. Elle sentit un pied essayer de s'immiscer entre ses genoux qu'elle avait serrés. Le bout assez pointu de cette chaussure lui écarta, elle ne résista pas et accompagna le mouvement. Ce pied lui écarta encore plus les cuisses, elle en eu presque mal, puis plus rien. Elle ne sentit plus rien, plus de contact. Où était-il passé, qu'était-il en train de faire ? Elle sentit son souffle sur son visage, sa bouche se posa sur la sienne, lui mordant les lèvres. Elle répondit à ce baiser. Elle sentait qu'il reculait en lui tirant les lèvres, elle l'accompagna en se relevant sur ses cuisses. Il choisit le moment où elle était le plus haut possible pour plaquer sa main sur sa chatte. Elle failli sursauter mais fut retenu par ces dents qui lui tenaient les lèvres. Un doigt lui écarta les lèvres, elle était trempée et il le sentit, et s'enfonça en elle puis ressortit et l'écarta doucement, remontant sur son clitoris, redescendant et pressant pour l'écarter. Elle commença à émettre quelques gémissements, relativement espacés mais assez audibles pour l'encourager. Il en enfonça un deuxième, la fit se dresser encore plus, elle était à la limite de ce qu'elle pouvait faire mais il continuait. Elle le sentait la fouiller puis ressortir lentement, juste un peu, elle n'osait pas redescendre pour accompagner ses doigts et les garder au fond d'elle. Il l'embrassait à pleine bouche, une main caressant sa nuque, passant dans ses cheveux, l'autre la tenant toujours par son intimité, la paume de sa main frottant contre son bouton qui durcissait de plus en plus. Elle se sentait couler sous ses doigts. Elle pensa un instant à la moquette qu'elle allait surement mouiller et qui garderait les traces de leur passage et chassa rapidement cette image pour se concentrer sur ces deux doigts, puis ce troisième qui la remplissait. Elle gémissait de plus en plus entre deux coups de langues qu'il lui donnait. Elle respirait plus vite. Elle avait envie de jouir, depuis combien de temps n'avait-elle pas connu une telle envie? Elle le voulait là, elle se sentait venir. Ses doigts qui allaient et venait, cette autre main qui lui pressait la nuque, cette bouche qui lui prenait la sienne et ses yeux qui ne voyaient rien, ses yeux qu'elle ne pouvait pas voir. Elle finit par se laisser aller sur sa main, l'inondant de son plaisir et retombant sur ses talons. Il accompagna son mouvement, retira doucement ses doigts et les lui fit lécher. Elle n'hésita pas. Ce n'était pas la première fois qu'elle goutait sa mouille, elle en aimait même le gout. Il passa sa bouche sur la sienne, l'embrassa à pleine bouche et toujours sans lui retirer le bandeau passa ses doigts sur ses yeux, puis prit sa main et la passa sur son sexe tout dur dans son pantalon. Elle le caressa doucement à travers le tissu. Elle le sentait frémir sous ses caresses, glissa un doigt entre les boutons pour essayer de le toucher. Il ne dit rien et elle continua en les défaisant doucement, caressant le dernier rempart de tissu qui la privait de ce contact charnel. Elle fit sauter le dernier bouton et le pantalon tomba un peu sur ses jambes. Elle en profita pour glisser une main à l'intérieur et sentir enfin sa queue toute dure. Elle passa son autre main et fit glisser le caleçon le plus bas qu'elle pouvait. Sa queue se dressait devant lui et elle ne pouvait qu'imaginer sa taille. Elle le caressa doucement faisant aller et venir ses mains lentement sur cette colonne de chair qui frémissait, se tendait encore plus sous ses doigts. Elle essayait de l'imaginer. Elle sentait ses mains qui la poussaient lentement mais fermement pour que sa bouche vienne contre son gland. Elle se laissa aller et posa ses lèvres sur le bout du gland, les écartant légèrement pour sortir sa langue et la glisser ensuite sur toute la longueur, descendant jusqu'à ces boules qui pendaient, passa la langue dessus et remonta jusque sur le gland pour ouvrir ses lèvres et le glisser entre. Elle lui prit juste le gland, le branlant doucement d'une main, caressant ses couilles de l'autre, les pressant doucement. Elle titillait le gland avec sa langue, le pressant entre ses lèvres. Il lui poussait lentement la tête, elle ne résistait pas, le prenant de plus en plus, de plus en plus loin dans sa bouche. Elle calait sa respiration pour ne pas avoir à ressortir sa queue et il s'enfonçait en elle lentement, de plus en plus. Elle avait l'impression qu'il n'en finissait jamais, qu'il s'enfonçait encore et encore sans jamais s'arrêter, mais c'était plus cette lenteur qui lui procurait cette sensation, le fait de le garder comme ça au fond de sa bouche. Il poussa encore un peu et son nez buta contre son ventre. Elle savait qu'elle ne pourrait pas aller tellement plus loin et elle fut soulager de cette sensation. Il attrapa ses cheveux et la tira un peu en arrière juste pour la laisser reprendre son souffle, en gardant juste son gland dans sa bouche puis la repoussa plus rapidement sur sa queue. Il la fit aller et venir, lui imprimant son rythme en la poussant sur la nuque, la retirant par les cheveux, la faisant aller plus loin, plus vite, moins loin, restant planté au fond d'elle puis juste au bord. Elle caressait toujours ses couilles, elle voulait qu'elles se vident dans sa bouche, sur elle, elle en voulait, elle voulait son sperme pour elle, suprême récompense de ce qu'elle lui aurait donné. Il continua de lui baiser la bouche un long moment, elle le sentait se crisper par moment, bloquant ses mouvements, puis repartir de plus belle et alors qu'il était bien au fond d'elle, il se laissa aller, elle le sentit se contracter, son sperme couler au fond de sa bouche, elle faillit s'étouffer en le sentant mais ne bougea pas. Elle avait tellement peur de sa réaction. Elle avala tout ce jus qu'il lui déversait par saccades. Il se retira juste un peu, la gardant sur sa queue encore quelques instants avant de se retirer doucement. Elle passa sa langue sur le bout du gland pour récupérer les dernières gouttes qui perlaient. Il se recula, se pencha vers elle et lui dit simplement. "Très bien véronique. Ce sera tout pour aujourd'hui. Je vais m'en aller. Une fois que j'aurai passé la porte, tu pourras retirer le foulard, te rhabiller et rentrer chez toi, ou dormir ici. La chambre est réservée jusqu'à demain matin. Si tu ne te sens pas la force ou l'humeur de rentrer chez toi, tu peux y passer la nuit. Je ne t'oublierai pas, soit en sure et tu auras rapidement de mes nouvelles". Il l'embrassa sur le front et sorti rapidement de la chambre sans lui laisser le temps de réagir, encore sous le choc de ce qu'il venait de lui dire. Lorsqu'elle entendit le clac de la porte qui se refermait, elle retira vite son foulard, espérant qu'il était toujours là. Mais il était bel et bien parti. Elle se releva et s'assit sur le lit. Elle avait encore le gout de son sperme sur le bord des lèvres et une furieuse envie de jouir de nouveau. Elle voulait qu'il la prenne, là, maintenant, sur ce lit, elle en avait rêvé lorsqu'il l'avait caressée, lorsqu'elle l'avait sucé. Elle avait espéré qu'il la soulève et l'entraine sur le lit pour lui glisser son sexe dans le sien. Mais il n'était plus là, et seule son envie de jouir était présente. Elle ne savait pas s'il reviendrait dormir ici, elle ne savait rien au fond de lui. Elle regarda sa montre, et décida d'attendre pour voir s'il allait revenir. Elle s'étendit sur le lit en pensant à tout ce qui s'était passé. Elle se caressait machinalement, la main entre les cuisses, plus par habitude. Elle voulait cette queue et elle ne l'avait pas. Elle attendait, pensive, et finit par s'endormir sur la couette. Sa nuit sembla agitée, elle se réveilla plusieurs fois, elle passait la main machinalement sur la place qui restait désespérément vide à côté d'elle. Elle n'avait pas le courage de partir, s'habiller et reprendre la voiture en pleine nuit, même si à chaque réveil, elle essayait de se motiver pour partir. Elle se rendormi une dernière fois et fut réveillée par une étrange sensation. Elle ouvrit les yeux, il faisait noir dans la chambre, et voulu passer machinalement sa main à la place vide mais elle ne put le faire. Elle cria de surprise, elle avait les mains menottées. Elle essaya de se relever mais son mouvement fut stoppé au milieu de sa course. Non seulement elle avait les mains menottées, mais elles étaient reliées au montant du lit semblait-il. Elle ne voyait rien, aucune lumière, aucun son, juste sa peur qui grandissait. Elle essaya de se calmer comme elle put, essayant de respirer calmement, voilà ou son inconscience l'avait entrainé. Personne ne savait ou elle était et qu'allait-elle devenir. Elle espérait au moins qu'une femme de ménage passe dans la matinée, mais elle n'allait pas rester la toute la matinée. Toute la matinée, heureusement que l'on était samedi et qu'elle n'avait pas à se rendre à son travail. Comment aurait pu elle trouver une excuse à son retard? Elle se perdait en conjonctures complétement inutiles, espérant quelque part que ces pensées l'aideraient à trouver une solution pour se débarrasser de ces liens. Elle essaya de défaire les menottes. Elle n'y parvint pas. Contrairement à ce qu'elle s'imaginait, elles étaient recouverte de fourrure, juste une petite chaine en métal les maintenaient l'une à l'autre, et à cette chaine était accrochée ce qui semblait être une autre chaine fine. Elle aurait pu surement la briser si elle l'avait voulu, mais elle tira juste un coup sec dessus pour sentir qu'elle ne se briserait pas comme cela. Fine, mais dure, elle sourit à cette pensée, fine et dure, elle pensa tout de suite à autre chose et se mit à rire nerveusement repensant au contraste que tout cela provoquait avec ses pensées. Ce qui lui avait rempli la bouche quelques heures auparavant n'était pas du tout fine, mais bel et bien dure. Ses pensées la calmèrent un peu et elle l'allongea pour réfléchir à sa situation. Il ne fallut pas longtemps avant qu'elle entende et aperçoive la flamme d'un briquet et le bout rougeoyant d'une cigarette. Elle frémit. Elle n'était pas toute seule. Depuis combien de temps ce fumeur était-il là ? Elle ne distinguait que le bout rouge qui variait d'intensité au gré de son propriétaire. Elle laissa échappé un "S'il vous plait, détachez moi, il faut que je rentre, vous avez eu ce que vous vouliez je pense? S'il vous plait." Pour toute réponse, elle vit juste la cigarette s'écraser dans ce qu'elle pensait être un cendrier et le bruit de tissu qui se défroisse. Il s'était levé. Elle espérait simplement qu'il n'allait pas la laisser ainsi. Avait-elle été assez convaincante ? Elle ne le savait pas et n'osait pas réitérer sa demande. La lumière de la table de nuit s'alluma soudain et quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle découvrit que ce n'était pas son mystérieux inconnu qui se trouvait devant elle mais sa voisine de palier. Elle laissa échapper un "mais, mais, mais" de surprise en la découvrant. Elle n'y avait jamais prêté trop attention. C'était une femme d'une quarantaine d'années, un peu plus petite qu'elle, assez jolie. Elle ne savait pratiquement rien d'elle, elle se faisait assez discrète, semblait vivre seule, jamais un mot plus haut que l'autre lorsqu'elles se croisaient, toujours polie. Elle la découvrait là devant elle totalement différente, elle portait une petite robe de cuir assez serrée, sans doute une paire de bas et une paire de talons vertigineux. Elle contrastait avec l'image qu'elle avait d'elle, souvent en jean et pull ample, elle ne l'aurait jamais imaginé ainsi. Elle était partie dans ses pensées et fut rattrapée rapidement par un "Alors véronique, se serait on mise dans une situation embarrassante ?". Elle avait passé ses mains devant elle et tapotait doucement le bout d'une cravache dans sa main. Elle ne réfléchit même pas à la réponse qu'elle allait donner et un "Oui Madame, je pense, mais sans doute pourrez-vous être assez aimable pour m'aider à m'en sortir?". Sa voisine lui sourit alors qu'elle finissait sa tirade tout en passant le bout de sa cravache sur son ventre. Elle eut un mouvement de recul, mais se ressaisit bien vite, les menottes lui rappelant dans quelle position elle se trouvait. Sa voisine la regarda. "Eric m'a dit que tu avais semblé apprécier sa petite mise en bouche" lui dit-elle en remontant le bout de la cravache sur sa bouche. "Il va falloir me montrer tout cela, Eric ne fait que ce que je lui demande". Elle réalisa alors comment il avait pu savoir tous ces détails sur elle, comment il avait pu sans jamais la croiser. Elle hésita un timide "Et que pourrais-je faire pour vous être agréable Madame et me sortir de cette situation embarrassante?". Une petite tape sur le bout d'un de ses seins la fit sursauter. "Beaucoup de choses à vrai dire véronique, beaucoup de choses, mais pour le moment il va falloir écouter et te laisser faire". Elle fit descendre le bout de sa cravache le long de son ventre jusque sur son pubis, passa sur le haut de ses cuisses, se glissant à l'intérieur et en tapotant doucement lui fit les ouvrir. Elle écarta naturellement ses jambes, en y réfléchissant elle fut même surprise de pouvoir le faire et de ne pas être attachée aux chevilles. Elle sentit le bout de la cravache caresser ses lèvres, elle frémit, eu une envie contradictoire de les refermer et de les ouvrir encore plus. Elle commençait à être excitée par cette situation. Quand elle y repensait, sa voisine qu'elle croyait si coincée était encore plus vicieuse qu'elle, plus délurée et surtout elle avait su deviner, analyser et voir ce qu'elle était au plus profond d'elle, qu'elle était soumise et qu'il ne lui manquait plus que ce Maitre ou cette Maitresse, oh, elle avait rêvé d'un maitre, mais une maitresse, elle n'y avait même jamais songé. Elle avait bien eu quelques relations avec des femmes, mais aimais trop les hommes pour devenir lesbienne. Les petites tapes sur ses lèvres l'excitaient et elle commençait à mouiller terriblement tandis que Cathy, s'est ainsi qu'elle croyait qu'elle s'appelait, pour l'avoir lu sur la boite aux lettres continuait de lui parler doucement, mais d'une voix sure et décidée. Elle lui relatait en détails ce qu'elle savait d'elle, de ses penchants et elle buvait ses paroles cherchant de moins en moins à se rebeller. L'effet de la tapette se faisait sentir de plus en plus si bien qu'à un moment Cathy la retira et lui mis devant la bouche en lui disant "Je crois que tu as salis ma cravache, il va falloir la nettoyer non?" et elle sorti sa langue pour la passer sur le bout de la cravache et la lécher doucement, sentir le gout de sa mouille sur le cuir chauffé. Elle avait toujours aimé son odeur, et encore plus lorsqu'on lui faisait lécher. Ses dernières quarante-huit heures avaient été tout sauf reposantes, mais elles avaient été ce qu'elle connut de plus intense depuis qu'elle n'était plus vierge. Elle écarta encore plus les jambes, avala le bout de la cravache alors que Cathy s'approchait encore plus d'elle, frottant sa jambe contre la sienne. Elle lui demanda simplement "Vas-tu m'obéir en tout point, devenir mon jouet, ma chose ? Etre ma soumise, la mienne ?". Elle ne réfléchit même pas et laissa échapper "Oui Madame, je le ferai, je serai Votre soumise si tel est Votre désir." Elle ravala sa salive rapidement en réfléchissant à ce qu'elle venait de dire. Mais il était trop tard. Cathy releva sa robe et vint se placer au-dessus de sa tête, accroupie sur elle, elle avait sa chatte juste au-dessus de sa bouche. "Lèche moi, fais-moi jouir avec ta langue, j'en rêve depuis longtemps, alors ne te prive pas". Elle sortit la langue, ce n'était pas la première petite chatte qu'elle léchait, elle aimait bien à vrai dire, surtout sentir l'autre se trémousser et la sentir venir, jusqu'à jouir pour elle. Mais cette fois c'était différent, elle savait qu'elle n'avait pas droit à l'erreur, alors elle s'appliqua encore plus que d'habitude, passa sa langue entre les lèvres, les écartant, remontant sur ce petit bouton qui pointait, elle repassait sa langue entre les lèvres et sentait qu'elle mouillait. Ce doux liquide l'encouragea encore plus et elle s'activa, tétant, mordillant. Cathy ondulait de plus en plus, elle avait pris sa tête entre ses mains et la poussait encore plus, la retenait la plaquait contre sa chatte pour qu'elle ne s'arrête pas. Elle respirait de plus en plus vite et se laissa aller dans un orgasme qui fut accompagné de tous les noms qu'elle put la traiter. Elle resta quelques instants comme cela, se releva et s'assit au bord du lit. "Il y a des règles que tu vas devoir observée ma petite". Véronique secoua juste la tête en signe d'acquiescement. "Tu vas reprendre ta vie, je vais reprendre la mienne, si nous sommes amenées à nous croiser, tu devras agir comme avant, sans tenir compte de notre nouvelle relation. Tu devrais néanmoins rester à ma disposition et si tu suis ces simples petites règles je saurai te récompenser comme il se doit. Je vais te détacher, sortir de cette chambre et ce sera tout pour cette nuit. Ne sois pas inquiète tu auras de nos nouvelles rapidement". Elle l'embrassa sur le front en défaisant les menottes, détachant la chaine qui la tenait au lit et sans un mot de plus sorti de la chambre, la laissant perdue dans ses pensées et revivant ce qui venait de se passer. Elle s'endormit difficilement mais réussi à trouver le sommeil et se réveilla peu avant midi, encore toute perturbée par ce qui venait de lui arriver. Elle passa à la salle de bain, prit rapidement une douche, elle avait envie de rentrer chez elle, oublier peut-être ce qui s'était passé ou au contraire, attendre des nouvelles de sa nouvelle Maitresse. Elle ne savait plus au fond d'elle ce qui prenait le dessus. Elle avait souvent rêvé d'une telle situation, même si c'était avec un homme qu'elle la voyait alors tout cela la perturbait, mais lui faisait envie aussi. Cette femme qui avait tout fait pour l'avoir, qui la désirait l'excitait profondément. Elle rentra chez elle, s'allongea sur le canapé et commença à regarder ses messages sur sa tablette. De la pub, de la pub, tiens une adresse inconnue. Elle ouvrit le mail. "Retrouve-moi ce soir, chez moi. Tu viendras me retrouver vêtue juste d'une paire de bas et de talons. Rien d'autre tu as bien compris. Tu sonneras et on t'ouvrira la porte. Aussitôt que tu seras à l'intérieur, je veux que tu te mettes à quatre pattes et que tu suives celui ou celle qui t'auras ouvert, que tu obéisses à toutes ces demandes, même si elle te semble les plus incongrues. Si tu désobéis, je le saurai et bien sûr, tu seras punie. Si tu souhaites rompre les vœux que tu m'as fait cette nuit, il suffira simplement que tu viennes habillée et je saurai que je ne peux plus te faire confiance pour la suite. Ta Maitresse Cathy". Véronique, relut le mail, passant ses doigts sur l'écran de sa tablette comme pour y toucher les mots, passa et repassa sur cette signature, pensive, rêveuse et inquiète. Elle avait encore la l'après-midi pour réfléchir à ce qu'elle allait faire. Mais au fond d'elle, elle savait déjà. Il n'y avait que le couloir à traverser. Cathy ne lui avait pas donné d'heure. Elle attendrait donc qu'il fasse nuit, que ses autres voisins soient théoriquement endormis. Elle ne pensait pas que des personnes âgées restent éveillées bien tard. Elle ne risquerait pas d'être surprise. Elle relut pour être bien sûr qu'elle n'avait pas manqué un mot qui lui indiquait une heure. Elle n'en trouva pas. Elle passa l'après-midi à pianoter sur la tablette, recherchant des informations sur ce qu'une Maitresse pouvait faire à sa soumise, trouva de tout et de rien, certains choses qui la dégoutèrent et lui donnèrent envie de ne pas y aller. Mais elle n'imaginait pas Cathy lui faire subir cela. D'autres sites, d'autres récits et photos l'avaient totalement excitée et lui avaient donné envie de courir presque tout de suite à sa porte. Elle finit par se lever du canapé. Elle avait pris sa décision, elle irait ce soir, elle irait parce que c'est ce qu'elle voulait au plus profond d'elle-même, et elle n'allait pas décevoir Cathy. Elle passa donc dans la salle de bains. Il était presque dix-huit heures, elle avait encore un peu de temps pour se préparer.
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Par : le 25/06/17
Je vous invite pour cette nouvelle à écouter : https://www.youtube.com/watch?v=Np_Y740aReI J Je caresse mes pieds contre les draps de satin de mon lit. Je suis emprise d'un désir qui me saisit le ventre, à me faire perdre l'esprit. Il me hante Je ferme les yeux, tout en me cambrant, j'ai envie de sentir ses mains sur mon corps, sur mon sexe, me serrer la gorge et qu'il m'oblige à le regarder et qu'il me fasse ressentir cette chienne qui est en moi. Mes mains s'aventurent sur mon sexe lisse. Voila plusieurs jours que je suis si trempée, comme une fontaine. Mes tétons se dressent fièrement. Mes doigts effleurent ma peau frissonnante, comme si c'était les siens. Ils saisissent mes seins avec rudesse me surprenant... Arrivant dans le couloir de son immeuble, je suis habillée d'une façon provocante. Durant tout le trajet qui me mena à lui, j'ai éxecuté ses ordres, celui de ne jamais croisé les jambes, de les entre-ouvrir, et de remonter ma robe légèrement sur mes cuisses. Je lui appartiens et cela me rend terriblement humide. C'est comme si je sentais ses mains remontées ma robe. Je me tortille de désir sur le fauteuil de mon train. C'est comme si il me parlait avec télépathie.. "Bonne petite chienne". Je pénètre son antre. Je ne dis plus un seul mot. Je n'écoute que sa voix. Il m'ôte la vue.. Ma respiration s'accélère. Que va t il se passer? Je suis là de mon plein gré avec cette peur de ne pas savoir ce qui va se produire. Je sens son parfum atteindre mes narines, je suis envoutée à l'idée de lui obéir, d'être sa poupée. Je devine au son de ses pas qu'il me scrute. D'un seul coup je sursaute, il empoigne mes cheveux et me murmure à l'oreille. Prête à passer de la princesse à la chienne, à être ma putain, à faire ce que je veux?. - Oui Maître. Il m'envoute l'esprit tel un vampire. Il descend lentement la fermeture éclair de ma robe en satin bordeaux, il fait tomber une à une les bretelles. Elle tombe à mes pieds. Il me félicité sur le choix audacieux de ma tenue. Il en est fier. Il découvre ma culotte ouverte montrant outrageusement mes fesses et lui laissant un accès à mon petit trou. Le serre taille affinant ma taille, et ce soutien gorge de chez Cadoll rehaussant mes seins nus. Il passe ses doigts sur mon épaule, mon cou. - Ecarte tes jambes. Je m'exécute. A ce moment là je suis si trempée, que j'en ai presque honte. - Relève tes cheveux. Prenant ma main gauche, je les rehausse avec élégance. - Avec les deux mains! Il m'orne de mon collier et le serre si fort qu'il maintient ma tête si droite. - Donne moi ta main. Je sens l'acier des menottes m'encercler le poignet. Puis il attache la seconde. Il remonte mes mains vers mon collier, les attachants à celui ci. Puis il s'attarde à mes chevilles. Il les enchaine. A ce moment là je me sens prise au piège de ce désir qui me consume. Que va t il se passer? Je perd mes repères. Ma poitrine se soulève, mes lèvres sont gonflées par le désir. - Il te manque une chose ma putain. - Ma Laisse, Maître. - Oui tout à fait. Ainsi parée et entravée, il me baîllonne si fortement que ma mâchoire en est douloureuse. Il me demande si je le supporte. je hoche de la tête à l'affirmative. Je ne veux pas le décevoir. Là il tire sur ma laisse. C'est la première fois que je suis ainsi entravée. J'avance sur mes hauts talons noirs, avec une perte de l'équilibre provoquée par la privation de ma vue. J'en perd ma démarche de femme sûre d'elle et m'agrippe à ma laisse. Je ne sais pas où nous allons. Il m'a parlé de sa pièce secrète, celle que je ne verrai jamais mais où je serai enfermée. J'avance avec difficulté. Il me rassure que je ne tomberai pas, qu'il est mon guide. Arrivée à destination, il me fait assoir sur un lit, puis me bouscule sur celui ci. J'entend des chaines. Il se saisit de mon collier, enlève ma laisse. Là il me fait mettre sur le flanc gauche et m'enchaine très court à un pied ou à un tube de cette pièce . Je ne peux que supposer. Mon coeur s'affole. Ma mâchoire est endolorie. Puis il m'attache les pieds au lit, mais me laissant un peu de mou. Puis il part, me laissant ainsi. Dans mon esprit, je me pose mille questions. Je sens ses pas sur le parquet. Que fait il? Ses mots raisonnent en moi. Il connaît ce désir noir qui m'envoûte. Je ne connais pas encore mes limites. Je ne suis que novice. Saurai je à la hauteur de ses attentes, des miennes? Je n'arrive plus à ressentir le temps. Je suis devenue sa chose. Il fait de moi ce qu'il veut. Cela m'excite tellement. De lâcher prise. Je sais qu'il va arriver à me pousser dans des limites que je ne connais pas encore. Puis je sens un courant d'air. Je devine sa respiration. Il est là à m'observer, à observer son oeuvre. J'essaie de me défaire de cette chaine si courte qui me maintient. Puis Il m'attache les jambes avec une grosse chaine et repars. Il aime que je perde la notion du temps. Il revient et me demande si je me suis calmée.Je hoche la tête par l'affirmative. Là, j'entend son pantalon qu'il retire sa ceinture. Ma respiration s'accélère. Je sais ce qui va m'arriver., mais quand? Je suis certaine qu'il aime voir ma poitrine se soulever à cette idée, de me voir me trémousser avant que le coup ne soit porter sur ma croupe. Il me caresse les jambes, les seins, les fesses. Dans mes pensées.. quand va t il frapper? Les coups furent d'intensité différentes. Il toucha mes fesses en me disant qu'il ne sont que légèrement rougissantes. Puis repartit à nouveau. Mes yeux se ferment quand je sens soudainement qu'il enlève mon baîllon. Je n'ai pas le temps de m'y faire qu'il a placé sa queue dans ma bouche. J'aime le sentir en moi, l'honorer avec ma langue, ma bouche. Puis il se retire et me re-baillonne à nouveau. - Quelle bonne petite chienne tu fais me raille t il. Et il me laissa ainsi. Je n'avais envie que d'une chose, enlever ce baillon qui me faisait mal. De la bave coulaient de ma bouche. Je ne voulais qu'une chose, déglutir, mais impossible. Mais que se passerait il si je l'enlevais? Je devine alors la punition qui en ressortirai. Le temps passe, mon esprit se demande ce qu'il va m'arriver. Il entre et ressert à nouveau plus la chaine de mes jambes, puis en position de foetus, me fait sortir le cul. Il me sodomise sans ménagement. Je sens son sexe dur en moi me pilonner avec force, comme une bonne chienne le mérite. - Ton trou du cul est mon exclusivité. Je le prend quand je veux où je veux. Est ce bien clair? - Je hoche de la tête à l'affirmative. Il me culbuta ainsi avec violence, tirant mes cheveux en arrière. J'ai mal, mais mal de plaisir. Cette sensation m'excite terriblement. Je sens ma chatte dégouilline de désir. Il se retira et reparti... J'ai compris que je n'étais que l'objet de son plaisir. J'ai confiance en lui. Il fait de moi une chienne, sa chienne. Il est le premier à me faire vivre ces moments là. Mes pensées s'égarent car il vampirise mon désir. J'ai peur d'en être consumée. Je veux souffler mon désir, le sortir. Je veux jouir. Mes doigts s'accélèrent sur mon clitoris. Mon entrejambe est si chaud, si humide. Ma mémoire se remémore sa voix, son parfum, ses mots, mes maux.. je soupire. je crie.. humm cette vague m'envahit. Je jouis si fort que des larmes coulent sur ma joue. J'aurai tant aimé qu'il me fasse jouir ainsi. Une question me hante depuis. Pourquoi ne s'occupe t il pas de ma jouissance?
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Par : le 23/06/17
-Jusque là Madame tout me semble cohérent et consensuel. -En effet Flynn rien ne te sera fait si tu ne le veux pas, je souhaites te corrompre mais pas sans ton autorisation. Maintenant veux tu connaitre la liste des pratiques que j'affectionne? -Avec plaisir et anxiété Madame mais je le souhaite. J'ai une question, puis je? -Bien sûr. -Tout ceci est très factuel mais dans la réalité y a t-il de la place à l'amour? -Assurément! Il n'est pas rare Flynn que les protagonistes d'une relation BDsM tombent amoureux. Les sentiments ne sont pas proscrits! Ils se mettent en place ou ne se mettent pas cela est affaire de Cupidon. A la base, il y a l'attirance de l'inconnu, l'exploration de contrées encore vierges puis une attraction cérébrale qui peut entraîner des sensations puissantes. Donc l'amour peut surgir... -Cela me rassure Madame, car pendant un moment je me demandais où l'humain intervenait... -Mais tout ceci est très humain, de tout temps à jamais il existe des dominés et des dominants. Le BDsM n'est qu'un moyen de mettre en lumière nos côtés obscures de ce fait la clarté de nos existences enfin se dévoile. "Liste des pratiques: -Sodomie masculine: plugs, doigts, godes, gode ceinture, sex toys, anulingus. -Bondage: bondage tape, spankies, menottes, liens, autres... -Fessée: mains, cravache, martinet, fouet, autres... -Contraintes: anneau pénien, liens, entraves, cires, bâillon, bandeau, autres... -Asphyxie érotique: face sitting La pratique la plus estimée de Smooth est le câlin tendre d'après empirisme... (Rayez les mentions inutiles pouvant être utilisées ultérieurement suivant évolution) La Maitresse pourra donc utiliser les pratiques non rayées à son bon vouloir en veillant à ce l'inconfort de son soumis n'aille pas au delà de ses limites personnelles. Pour se faire, elle ordonne que le mot "presque" soit prononcé par son soumis lorsqu'il sentira qu'il n'est pas à la lisière de sa possibilité mais assez près pour ne plus pouvoir endurer la douleur/plaisir ressentie. Ainsi la Maitresse pourra arrêter sa pratique, se renseigner sur l'état de son homme et prendre la décision de poursuivre ou d'arrêter complétement l'action entreprise. Il existe un mot de résolution pour mettre fin à ce contrat et donc à la relation. Il pourra être émis par le soumis lorsqu'il ne voudra plus que la relation perdure et y mettre un terme définitif, ce mot est "oméga". Lors de son affirmation Smooth n'exercera plus son emprise et se verra dans l'impossibilité de poursuivre la relation. De mon plein gré et mû par le désir de servir Smooth, de lui prouver ma dévotion et d'exprimer ma confiance en elle. Moi -----Flynn---- je lui offre ma soumission à compter de ce jour le --28-- du mois ---mars-- de l'année --2015-- et se terminant au gré de nos envies respectives. En retour Smooth accepte la soumission de ------Flynn----- à compter de ce jour où elle s'engage à respecter le desiderata de cet homme lui témoignant la confiance nécessaire pour la réalisation de cette liaison. Signatures: ------Flynn------, Smooth." Eva range alors le contrat puisqu'il a été discuté, expliqué et accepté en toute connaissance de cause. C'est alors que Flynn remarque qu'une lueur différente brille dans ses pupilles dorées, il se sent alors estimé peut être adoré allez donc savoir ce qui peut se tramer sous cette crinière brune. Ce dont il est sûr c'est que jamais encore il n'avait rencontré une femme si déterminée, certaine de ce qu'elle désire vivre et cela lui parait alors comme une évidence, c'est ce genre d'alter ego qui lui a fait défaut, conscient depuis longtemps que ce ne peut être que dans une relation asymétrique qu'il pourra se réaliser. L'aider à devenir plus fort dans sa position de mâle à dominance professionnelle enfin il aller pouvoir lâcher prise, s'oxygéner. -Viens là mon tout beau! Flynn sort alors de ses réflexions personnelles se lève, en contournant le bureau se place face à elle et attend. -Mets toi à genou! -Oui Maitresse. Alors qu'il est là encore un peu abasourdi par la lecture de ce contrat il se sent excité comme jamais car il ne sait pas ce qu'Eva lui réserve et cela l'apaise aussi par la même occasion. Alors en un geste tendre, elle prend sa tête à deux mains et l'embrasse langoureusement à bouche que veux tu. Puis place sa tête sur sa cuisse. Enfin elle va pouvoir profiter des cheveux soyeux de Flynn, mettre sa main dans ses reflets roux, se délecter de son abandon. Alors ils restent là dans le silence de la tour d'ivoire, dans cette position de réelle soumission, lui à ses pieds, près à agir à sa guise. -Je suis lucide Flynn que tout ceci est nouveau pour toi, je n'ai rien contre ton noviciat mais je peux t'assurer que j'irais progressivement. Je souhaite que tu te révèles, que tu explores le plaisir différent qui allie douleur et jouissance. Je te veux dans un bien être absolu et discordant. -Je vous en suis reconnaissant! -Alors maintenant allonges toi! Une fois effectué, Eva se positionne au dessus de ses yeux, debout les pieds encadrant son visage. -Regardes! Comme tu peux le constater je ne porte jamais de culotte... Flynn saoul de désir pour elle ne peut s'empêcher de poser ses mains sur les chevilles d'Eva espérant pouvoir la toucher comme il en rêve depuis lui semble t-il une éternité. Il a envie de sentir le grain de sa peau sous la sienne, besoin de découvrir les moindres recoins secrets de cette sublime femme. A ce geste, Eva lui donne un coup de talons de son escarpin. -T'ai je dis de me toucher? Je t'ai dis de regarder! Les effluves de son parfum mêlé à celles de ses odeurs corporelles font basculer Flynn qui sent que sa queue lui fait mal tant elle est dure! Sans oublier qu'il sent que son pénis perle et qu'il ressent en cet instant une excitation encore jamais éprouvée. -Ne bouge pas! Eva se rend alors dans l'armoire encastrée de son bureau. Des bruits inconnus se font jour dans l'audition de Flynn, froissement de papier, bruit métallique il n'est pas très sûr de ce qu'il entend. Elle revient, se place de nouveau au dessus de sa tête, elle a retiré son tailleur. Il peut ainsi constater qu'elle porte des bas, et un soutien gorge bustier noir. C'est alors qu'elle entreprend de se mettre à genou pour placer son sexe juste au dessus de la bouche charnue de Flynn. Lui n'en peux plus, il sent sa queue se contracter de désir, cette queue qui supplie maintenant que d'être soulagée. Alors qu'Eva est quasi assise au dessus de lui mais dans le sens où elle peut à loisir sortir sa queue pour s'en occuper, elle la délivre. Sortie du pantalon est gorgée de cet appétit dévorant cette queue sent tout de même que son heure n'est pas arrivée, Flynn sent alors les mains expertes enserrer sa protubérance ainsi que ses testicules, comme un lien se resserrant sur son intimité. Mais alors que les mains d'Eva se positionnent sur sa poitrine il ressent encore cette pression et comprendre alors que quelque chose s'enroule sur son pénis et ses testicules péniens! Etrange sensation jamais perçue encore... A ce moment d'intensité, elle lui dit: "Sors ta langue!" puis commence alors la danse de son clitoris sur sa langue, il s'en délecte, se réjouit même de pouvoir sentir qu'il donne ainsi du plaisir à Eva. Oh, comme il veut la satisfaire! Eva place l'entrée de son vagin sur l'appendice nasale de Flynn et ainsi alterne clitoris et vagin sur le visage de ce Flynn qui ne sait plus où il se trouve, qui se retrouve propulser loin très loin de la réalité. Elle joue avec ses tétons aussi, elle les serrent, les pincent, les étirent sans cesser sa danse érotique. Puis il commence à masturber Flynn surprit de ne pas ressentir l'éjaculation poindre alors que son excitation est à son paroxysme, il semble que le lien posé sur sa queue et ses couilles jouent un rôle retardant mais du coup c'est douloureux et plaisant. Comment peut on ressentir les deux en même temps? Eva se tord de plaisir en un gémissement sourd, elle s'immobilise. Flynn ressent alors le manque d'oxygène... Elle se relève légèrement lui permettant de reprendre son souffle. Un petit bruit sec... Il sent alors qu'elle lui pose un préservatif sur sa verge qui implore maintenant à être libérée. Cependant Eva bouge, gravite le long du corps de Flynn: "Tu ne bouges pas! Tu ne me touches pas! Restes ainsi!". Il obtempère pourtant il aimerait tant la toucher... Elle s'empale à ce moment précis sur sa queue, l'engouffrant complètement en elle. Ils ne font plus qu'un... Flynn est au bord du gouffre, il a envie d'éjaculer mais rien ne se produit. Eva quant à elle monte, redescend son vagin sur cette queue à l'agonie. Puis elle fond, elle jouit, elle s'éparpille en mille morceaux autour de Flynn, ses jambes sont prises de tremblements, elle ne touche plus terre, elle vient d'atteindre le point culminant de sa jouissance. Elle reste ainsi immobile sur la verge gonflée de désir. Elle en sort, défait le lien enserrant et masturbe Flynn qui explose en un volcan de jets chauds lui extorquant un râle de satisfaction qu'Eva emprisonne de sa main pour que ce cri de délivrance ne reste qu'entre eux deux.
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Par : le 27/02/17
Into BDSM Une évolution psychologique Episode 1 : Jade J'avais 25 ans la première fois qu'une femme a touché mon pénis pour me faire jouir. C'était une masseuse chinoise d'un quartier animé de Tokyo, Roppongi. Cette femme était venue à moi dans la rue pour me proposer, à la base, un simple massage qui fut finalement très érotique et se boucla par un "happy ending". Mais ce qui devait être très banal pour elle, était loin de l'être pour moi. En effet, elle venait, sans le savoir, d'ouvrir la boîte de Pandore, déverouillant ainsi un énorme blocage que j'avais vis à vis du sexe et des femmes. Suite à cette expérience, j'avais pris plus de confiance en moi et avait décidé d'explorer pleinement ma sexualité, sans aucune limite et sans aucun taboo. J'avais été jusqu'à présent un nerd associal névrosé, ingénieur en informatique célibataire, qui n'avait jamais eu de copine et encore moins d'expériences sexuelles, pas même un baiser. Dans une telle situation, j'aurais pu commencer soft, mais pourtant, je n'avais qu'une seule envie, c'était de m'attaquer directement au monde du BDSM ! J'étais fasciné par le bondage depuis tout petit. Je m'amusais seul et en secret à m'attacher car cela me stimulait sexuellement à seulement 5-6 ans. A l'adolescence, je devins fétichiste des combinaisons moulantes féminines, particulièrement celles en latex et en cuir. Mais je n'en resterait qu'aux fantasmes véhiculés par les pornos, pendant des années. Quand je suis rentré dans le monde professionnel, j'ai commencé à avoir des pulsions masochistes, incluant des jeux de douleurs dans mes pratiques solitaires. Le besoin de vénérer les pieds d'une dominatrice devint de plus en plus grand. Mais développer des fantasmes de plus en plus élaborés sans jamais pouvoir les réaliser, devint de plus en plus frustrant. C'est pourquoi je me suis naturellement tourné vers internet afin de trouver de vraies Maîtresses avec qui pratiquer concrètement. Mais ceci aller être plus difficile que ce que je pensais, car l'argent était partout. Je me refusais de payer pour une prestation dont j'ignorais l'issu. Mais suite à mon expérience japonaise, je finis par me convaincre qu'en payant, j'allais pouvoir accéder à ce monde plus facilement, au moins pour me faire une première expérience. J'ai donc décidé de commencer simplement en scrutant les diverses annonces qui pullulent le net et d'envoyer des mails à toutes les Dominatrices qui attiraient mon attention. Aucune réponse, malgré de nombreuses tentatives, ne venaient à moi. C'est à ce moment là que j'ai du changer de stratégie et me suis mis à téléphoner directement. Je me souviens encore de la longue hésitation qui a précédé mon premier appel, je tenais fébrilement le téléphone en ayant peur de tomber sur un canular ou ne pas savoir quoi dire. J'étais déjà très timide et encore plus au téléphone, donc dans ce cas de figure, mon corps tremblait. Mais il y avait une part d'excitation non négligeable en moi qui fit pencher la balance. J'avais trouvé une annonce d'une certaine Jade et tentais ma chance avec elle. Je saisi le numéro, la tonalité s'enclencha, un moment d'intense suspense pour moi, mon coeur battait très fort..."Allo ?". Elle avait répondu ! Il allait falloir assumer jusqu'au bout à présent, pas question de se dégonfler : "Bonjour...vous êtes bien Jade ? - Oui ! C'est pour massage ? répondit elle avec un fort accent étranger. - Heu...non...j'aimerais savoir comment se passait une séance de domination avec vous ? - No massage ? Domination ? 150€ ! - Heu...OK... répondis je perplexe devant la somme élevée inattendue. - Vous rappeler avant séance et moi vous dire quoi faire ! Quand vous vouloir ? - Samedi, c'est possible ? - Si ! Samedi possible ! Mais vous appeler avant venir pour confirmer ! Moi donner adresse à ce moment ! Quelle heure ? - Disons 13h, est ce possible ? - Si 13h possible, mais vous appeler avant pour être sûr ! - C'est d'accord, merci beaucoup madame. Puis je vous demander d'où vous vient votre accent ? - De Bolivia ! - Oh la Bolivie ! Gracias ! Passez une bonne soirée madame et à samedi ! - Gracias ! Buenas noches !" Une escort girl bolivienne qui s'improvisait Dominatrice, voilà la sensation que j'avais suite à cet appel. Je n'avais en plus aucune garantie d'avoir une séance au vu de sa façon de procéder. Je n'avais aucune adresse et n'étais pas sûr de savoir ce qui m'attendait et surtout je restais abasourdi par le prix de 150€. J'étais néophyte à ce moment là et étais loin de me douter que ce tarif n'était en fait pas si élevé. Le samedi arriva, j'étais impatient. Le matin, je téléphonais à Jade pour confirmer notre rendez vous. Elle me demanda d'aller à une place en ville et de la rappeler à ce moment là. Je n'avais donc toujours pas d'adresse. Une fois en ville, je la rappelle : "Oui, c'est encore moi, je suis en ville, où dois je aller à présent ? - Vous aller dans petite rue à côté de fontaine ! - OK, j'y vais ! - Vous vouloir massage n'est ce pas ? - Non non...Domination...dis je doucement de peur d'être entendu en pleine rue. - OK ! Vous arriver ? - Je suis dans la rue oui ! Que dois je faire à présent ? - Vous marcher jusqu'à porte en bois ! - Très bien je la vois, je suis devant ! Je dois sonner ? - No ! Vous prendre la porte en face et ouvrir puis monter escalier, moi attendre vous ! - Merci, à tout de suite !" Ce jeu de piste bien mystérieux lui avait permis de m'épier par la fenêtre de son appartement et de décider si elle allait me recevoir ou non. Si elle avait eu un doute, j'imagine qu'elle aurait coupé la communication. Je commençais à me demander s'il était très malin de continuer, javais l'impression d'être mené en bateau. Je montais néanmoins l'escalier et vis une porte ouverte. Jade était là en peignoir. Une autre femme occupait l'appartement, mais elle ne me prêtait aucune attention. Jade m'accompagna dans une chambre surchauffée avec un lit double en son centre, le rideau de la fenêtre tiré et avec une atmosphère très érotique. Elle enleva son peignoir et révéla un très beau corps dans une tenue sexy rouge. Pas de cuir ou de latex contrairement à ce que la photo de son annonce montrait. Une première déception m'envahit et une seconde quand elle se mis à parler : "Toi donner 150€ maintenant ! - Heu...vraiment ? Mais...enfin...nous n'avons encore rien fait... - Toi pas discuter ! Toi donner argent ! - Heu...oui madame...pardon madame..." Je lui donne l'argent et ensuite elle m'ordonne de me mettre nu. Je m'exécute et elle me demande ensuite de me mettre face au mur en position de croix, les jambes écartées et les bras en V. Elle commença à me tripoter les tétons et les testicules et me fouetta au martinet. J'étais très ému de passer enfin à l'acte et cela, malgré ce début étrange. Mais disons que tout cela faisait partie de la séance. Elle me mit ensuite des menottes et me demanda de m'agenouiller afin de lui lécher les cuisses. Elle poussait de faux cris de jouissance, ce qui me gêna. Puis nous sommes passés sur le lit où elle m'ordonna de me mettre à quatre pattes. Elle sortie des godes ceintures de différentes tailles et me sodomisa avec, du plus petit au plus grand. C'était la première fois que je me faisais prendre et j'étais partagé entre l'excitation et une envie de déféquer ! J'étais toujours menotté et elle me redemanda si je voulais un massage. Ayant déjà testé le massage érotique au Japon, j'ai donc refusé, préférant me concentrer sur la domination. Mais je comprenais de plus en plus que la domination n'était pas son activité principale. Sans avoir la moindre expérience réelle avant ce jour, je constatais malgré tout que cette femme était une opportuniste s'adaptant à une clientèle et profitant d'une vague de mode du BDSM. Il n'y avait aucune conviction dans sa façon de dominer et j'en fus définitivement convaincu lorsqu'elle me demanda de m'allonger sur le dos, qu'elle se positionna sur moi, ses fesses au niveau de mon visage, en continuant à pousser ses cris simulés et en me masturbant pendant que je lui léchais l'arrière train. Ceci faisait suite à mon refus du "massage" et faisait office de conclusion de la séance après seulement une vingtaine de minutes...assez scandaleux vu le prix. Son but était de me faire jouir le plus vite possible afin que je m'en aille aussi vite. Mais cela n'allait pas se passer comme cela ! Elle me fit effectivement jouir mais je refusais d'en rester là ! Elle se mit à me fouetter mais je ne ressentais pas de douleur car elle n'y allait pas assez fort. Elle frappa de plus en plus et de plus en plus fort jusqu'à en suer puis s'arrêta me demandant si j'étais satisfait. La réponse était non et puisqu'elle me laissait choisir la prochaine pratique, je choisis de lui lécher les pieds, ce qui fut plaisant mais une fois de plus très court et expédié sans conviction par cette dame. On en était arrivé à un mode où je choisisais mon plat sur un menu et elle s'exécutait, je me demandais donc qui était en train de dominer l'autre. Elle mit fin à la seance, par lassitude après une grosse demi heure au totale ce qui ne m'avait bien entendu pas comblé. J'étais néanmoins très heureux de cette expérience qui m'avait malgré tout permis de tenter mes premières expériences SM partagées, mais aussi de découvrir un monde corrompu par l'argent et l'opportunisme et plein de charlatans. J'allais donc devenir plus méfiant et sélectif grâce à cette charmante Bolivienne, que je ne manquais pas de remercier courtoisement avant de quitter les lieux. En rentrant chez moi, je fus envahit par de multiples pensées et émotions comme la satisfaction d'avoir assouvi une part de mes fantasmes, mais aussi la sensation de m'être débarassé d'un gros poids et que je n'aurai pas besoin de séances de domination avant longtemps. Pourtant, une énorme surprise m'attendait une fois chez moi, puisque j'eus le bonheur de constater qu'une des Dominas à qui j'avais écrit, m'avait répondu ! Elle me disait qu'elle était prête à me recevoir et me donna son numéro de téléphone en précisant qu'il fallait que je la contacte vite avant qu'elle ne change d'avis. J'adorais le ton autoritaire qu'elle mettait dans son message et mon désir augmenta très vite, oubliant ainsi la pensée que j'avais eu quelques heures plus tôt. L'aventure ne faisait que commencer ! A suivre...
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Par : le 30/01/17
"Trois malfrats braquent une banque. Prise d'otages. Retranchés dans l'agence, les bandits sont contactés par un négociateur qui cette fois ...est une femme. Les pourparlers débutent. Exigences des otages. Refus de la négociatrice, personne au caractère bien trempé. La situation s'enlise. Les bandits demandent à être approvisionnés en nourriture. Accord de la négociatrice qui envoie un policier poussant un chariot avec des plateaux repas. Au téléphone les bandits refusent l'entrée au policier, disant se méfier de cet homme qui a l’air bien athlétique. Ils exigent que ce soit une femme qui apporte les repas. Il n'y a qu'une jeune policière sur place, très jolie, une novice. Elle accepte bravement. Arrivée sur place, on la laisse entrer. Mais on ne la laissera pas ressortir. Elle est molestée, ses vêtements sont déchirés, et on l'utilise pour faire plier la police en l'exhibant au travers de la baie vitrée de l'agence, mains attachées dans le dos par ses propres menottes, poitrine et sexe dénudés, empoignée par les cheveux et caressée impudiquement sur tout le corps, sexe pénétré par les doigts de ses abjects tourmenteurs. Bien entendu toutes les télévisions sont rapidement là et abreuvent les chaînes privées et publiques du spectacle obscène de cette jeune policière impuissante et abusée en public. La négociatrice enrage !..." ...ET vous ?
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Par : le 26/01/17
Je suis allongée dans mon lit, la pluie joue de la musique contre la fenêtre de ma chambre. Je me prélasse telle une chatte sur mon lit. Je me dis souvent que dans une de mes vies antérieures j’ai dû être une chatte, indépendante mais dépendante à la fois. Je ne peux bouger de mon lit, mon maître m’y retient, et je ne vais pas me plaindre, il sait parfaitement ce qui est bon pour moi. Mes jambes sont habillées de bas résille couture où sur mes chevilles, les cordes serrées m’obligent à avoir les jambes écartées. Mes mains elles sont attachées au lit par des menottes où le bruit métallique me rappelle que je suis sa captive. J’aime me sentir à lui, à sa disposition, à l’attendre, ne sachant quand il va venir. Il s’est assurée de mon confort afin que je sois bien et que je ne meurs pas de froid. Il aime me savoir à sa merci, ouverte et à pouvoir abuser de chaque parcelle de mon corps. Il est si bon de se sentir ainsi, ne de plus avoir à penser, à ce que l’on s’occupe de moi. Ce moment de lâcher prise, où se mèle douceur, sensualité, caresse, fessée et jeux. Ces moments qui nous appartiennent, rien qu’à nous, ces moments où il me connaît intimement jusqu’à comprendre mes envies et mes désirs. Ce lien est si fort car pouvoir partager ce que l’on est est si précieux, si rare, si unique. En femme totalement indépendante, il a réussi à me faire basculer dans ce monde, notre univers où juste un regard, un geste permet de comprendre si nous jouons ou non. J’entend son pas dans les escaliers. Je suis presque endormie, je garde les yeux fermés. Je sens les battements dans ma poitrine s’accélérer, mon corps frissonne. Il se rapproche de moi, tel un félin, son parfum m’envoûte. Son pouce caresse ma lèvre inférieure avec une telle délicatesse. Naturellement j’ouvre ma bouche pour le prendre et le savourer. Il se retire et me dit : Chut, ne bouge pas, et ne fais rien. Il passe sa main sur ma joue et naturellement je caresse mon visage contre sa main, comme la tête d'un chat cherchant la caresse de la main que vous tendez. Je sens ensuite sa main descendre le long de ma jugulaire avec une certaine pression. J’adore sentir ce sentiment d’étranglement léger qui me fait sentir sienne. Puis en continuant sa route, il fait glisser le drap en satin sur ma peau jusqu’au sol. Je suis là, exposée à ses yeux, à ses mains. Il caresse une de mes chevilles, me masse le pied puis se met à resserrer l’étau et m’écarteler davantage, il faut de même avec l’autre jambe, Puis il continue sa route sur mes jambes, mes cuisses. Il prend soin de passer deux doigts sous mon bas pour le remettre en place. Il joue avec mes nerfs, je sens presque sa main sur mon entrecuisse sans presque me toucher. Je suis complètement frustrée. Il se relève et revient avec mon éventail en plumes noires que j’avais laissé sur la commode, puis il commence à m’effleurer, le bas du ventre, puis il remonte et passe les plumes juste sur le bout de mes seins. Mes tétons se dressent et pointent avec une telle force. J’ouvre les yeux, et je souris tellement c’est agréable. Il joue ainsi en parcourant mon cou, mes aisselles, mon épaules. Il connaît chacune des mes zones où je suis chatouilleuse. Je ne peux m’empêcher de gesticuler. C’est tellement bon mais j’aimerai pouvoir aussi m'échapper car c’est presque intenable. Me voyant trop gesticuler, il se relève et m’écartèle, cette fois ci davantage les bras. Je suis ainsi au milieu du lit, les jambes écartés laissant libre accès à ma chatte et à mon cul. Il s’empare de la bougie et à une certaine hauteur laisse couler la cire sur mon ventre. La sensation du chaud et du froid me saisit. Je sais qu’il a pris soin, comme c’est la première fois pour moi, à veiller à ne pas être trop proche. Puis il le fait sur mes seins, mes cuisses. Il a l’art à la fois d’être intransigeant tout en gardant ensuite cette douceur. Je me sens en confiance. Il se relève et me regarde ensuite. -Quelle belle petite chatte d’intérieur tu fais. Ainsi attachée, je ne risque pas d’être griffé, ni que tu puisses t’enfuir. Il est tellement bon de te voir docile, soumise et à ma merci. J’ai envie de protester mais au vu de ma situation, je ne me peux que me soumettre pour son plaisir mais aussi le mien. Il se saisit d’un fouet, dont il passe les lanières sur mon corps tout en me donnant quelques coups, il continue de titiller mon sexe, cela m’excite encore plus. Je le regarde en réclamant, en quémandant. Mais rien n’y fait. Il me regarde et me dit que je ne suis bonne qu’à miauler pour me faire prendre. Il se saisit alors du baîllon avec l’anneau qu’il m’avait offert (voir ma nouvelle sur un plateau d’argent). Il me force la bouche. - Voila, plus de miaulement, une vraie chatte en chaleur ma parole, se félicite t il. - Je vais apprendre à te contenir. Il ôta son pantalon, son boxer et en sorta son sexe en erection. Il se positionna debout au dessus de moi, chaque pied à coté de ma tête, puis il s’agenouilla. Il plongea directement son gland dans ma bouche. -Hum qu’il faut chaud là dedans, me dit il. Il posa ses mains sur ma tête pour ne me laisser aucune liberté juste celle de sentir sa queue au fond de ma gorge et de me faire baiser. Il se stoppa brutalement : - Mais c’est qu’elle est gourmande ma petite chatte, suffit maintenant. Rentre ta langue, m'ordonna t-il. Il se releva et se dirigea vers mon intimité. Il y passe sa main sans aucune douceur. Ma mouille recouvre ses doigts… - Tu es trempée, tu es vraiment en chaleur, en même temps tu es juste faite pour ça quand je te vois ainsi. Ne t’inquiète pas je vais m’occuper de toi. Il me détacha et me retourna. Il mis sur mon ventre un cousin spécialement étudié et destiné à surélever mon fessier pour mieux lui donner accès à mes orifices. Il mis une barre d’écartement entre mes chevilles, me joignit mes mains pour les attacher vers l’avant. Il serra autours de ma taille une corde afin de m’immobiliser pour que je ne puisse pas bouger. Il partit, sans que je vois ce qu’il se passe. Il revient, se mit face à moi. - Voila une belle position de soumise, agenouiller, le cul en l’air, prête à utilisation. Il me prît à nouveau par la bouche et me baisa sans ménagement en me tenant toujours pas la tête. Puis il releva mes cheveux et les attacha en une queue de cheval. Puis il pris en main ce qu’il avait placé sur le lit sans que je puisse le voir : un crochet anal. Il le mit devant mes yeux. Il me vit frémi. Il ôta mon baîllon et me demanda de la sucer comme si c’était sa queue. Il se place derrière moi et pénètre ma chatte avec trois doigts. Un filet de mouille s’échappe, Puis il la pénètre avec la boule du crochet, crache sur mon anus. Il y met un doigt puis deux… Il adore ça. Il me tire la queue de cheval, me redresse : - Si j’entends un seul cri quand je te l’enfonce sans ménagement dans ton cul de salope, je vais te punir très très sévèrement. As-tu compris? - Oui Maître. Il commence à introduire la boule dans mon cul, puis force le passage de mon petit trou étroit jusqu’à ce qu’il cède. J’ai mal mais je me retiens de ne pas crier. C’est très difficile et douloureux. Il me dit, voila ce qui se passe pour les chattes qui se pavanent le cul à l’air. Puis il attache le crochet à ma queue de cheval. Il me bande les yeux et me laisse ainsi, en me couvrant, pour ne pas que j’ai froid Je suis complètement frustrée sans savoir quand il va revenir Je n’arrive pas à savoir qu’elle heure il est. Il revient, mais je sens qu’il n’est pas seul. Il m’ordonne d’ouvrir la bouche, il me donne à boire. Il retire le drap qu’il a mis sur moi. J’ai un cadeau pour toi ma petite chatte. Ta patience va être récompensée. J’entend une voix d’homme à coté de lui, qui donne des ordres, à une autre soumise, à qui il a dit : " Au pied, pas bougé". Je sens que sa voix est rude et me fait presque frémir. Il présente mon cul et ma chatte à ce maître. Il en profite pour vérifier par lui-même mes orifices. Il joue avec le crochets dans mon cul et introduit quelques doigts pour vérifier que je sois humide comme il se doit. Puis il me claque les fesses avec une force que j’ai un cri qui s’échappe. " Une belle chatte d’intérieur que vous avez là Monsieur" dit - il. Mon maitre me redonne une autre fessée au même endroit. Je le sens furieux. - " Alors on ne remercie pas Monsieur de vous complimenter ?" - Je.. pardon Monsieur, je vous remercie de votre remarque à mon sujet, remerciai-je. Monsieur demande à sa soumise de monter sur le lit et de me lécher la chatte. Je ne suis pas bisexuelle, je n’ai jamais eu aucun rapport avec une femme, bien que cela m’attire. Mon maître le sait. Elle me lèche, aspire mon clitoris, me pénètre avec sa langue. Monsieur la force à maintenir sa tête dans ma chatte. Mon maître ordonne à cette soumise de jouer avec la corde pour que je gesticule mon cul de salope. Je sens qu’elle prend plaisir à me violenter de la sorte. Monsieur lui se met face à moi pendant que la soumise me redresse la tête et s’empare de mes seins, qu’il prend de pleine main. Il demande à mon maître s’il peut me baiser par la bouche. - Oui bien sur Monsieur, elle est faîte pour ça. Vous verrez comme sa gorge est profonde et chaude. Je sens sa queue grandir sous ma langue. Puis il immobilise son gland dans ma bouche. - Tout doux , quelle bonne suceuse tu es.Monsieur, que diriez vous d’écarteler la chatte de ma putain ? -Ma chienne est tout à votre disposition pour cela rétorque t il. Il demande alors à la soumise d’enfiler un gant et de me fister. Elle se met face à moi et introduit sa main gantée dans ma bouche. On voit qu’elle semble savoir y faire. Sa main est toute petite. Elle commence tout doucement par un doigt, puis un second avec des va et des vient, tout en me tenant le cul. Puis elle rentre un troisième doigt. Cela rentre comme dans du beurre. Un quatrième : ça rentre ça sort, ça rentre ça sort avec une certaine vitesse que je risque de gicler à tout moment. Puis elle met le cinquième. C'est beaucoup plus difficile. Puis je sens ma chatte lacher, elle est entrain de me fister. Mon maître s’amuse avec le crochet anal. Mon maitre me caresse la croupe, Monsieur tire sur mes cheveux pour que je me cambre et me dit: -Sois sage et docile, sois la fierté de ton Maître. Puis Elle s’immobilisa le temps que je me calme. Monsieur lui ordonna de me défoncer la chatte. Elle commenca des va et des vient pour me défoncer. Mes jambes tremblent, je me sens défaillir. Je n’ai plus aucune force. Je ressens des émotions jamais ressentis jusqu’à présent entre douleurs et plaisirs. Je mouille tellement que j’ai peur d’être irritée. Puis Monsieur ordonna à sa soumise de se stopper et de le sucer. - Je vais te remplir de mes doigts et tu vas glicler, tu as la permission. Je me mis à hurler, n'arrivant plus à me retenir. Je me sens honteuse, c'est tout nouveau pour moi. Epuisée, mon maître ota le crochet de mon petit fion et dit à Monsieur : prêt à utilisation immédiate. Il me détacha complètement les pieds, les mains et la taille. Je suis plus docile que jamais. Nos maitres respectifs nous ordonne de nous mettre en positions 69 afin de profiter de la vue de leur queue en train de prendre l’autre soumise et d’être prêt également à être baiser par la bouche. C’est ainsi que je me retrouvai sur le dos, une femme sur moi, ses lèvres sur mon sexe. De mon coté j’étais bien plus réservée et certainement pas prête à vivre cela. Je n’étais vraiment pas à l’aise. Il m’ordonna de sortir ma langue de chatte, et de lécher comme il se doit cette chienne. Je m’exécuta, je sentie Monsieur me besogner comme un putain et mon maître en profiter pour enculer l’autre soumise sans aucune préparation. Elle semblait avoir bien plus d’expérience que moi. Un sentiment presque de jalousie s’empara de moi. - Vous n’êtes bonnes qu’à baiser, dit Monsieur et mon Maitre. De sacrées putains, regardez- vous. Elle s’était relevé à la demande de mon maitre afin que nous changions de position. Son maitre lui mis un gode ceinture et il lui demanda de me baiser le fion et de parfaire un peu mon éducation anale. Soumise à une soumise. Je ne savais comment réagir. Elle me tira par les cheveux sans aucun ménagement et me gifla. - Ouvre ta bouche salope et suce. J’étais complètement interdite. Voyant que je résistai mon maitre me cravacha jusqu’à coopération et soumission totale. Elle me baiser par le bouche, puis me releva et pinca les tétons, puis malaxa mes seins. - Retourne toi que je t’élargisse ton fion, prend une belle position de salope. Je relevais mon cul, et placa mon visage au sol, comme une vraie chatte en chaleur montrant son cul pour être prise. Puis elle me pilonna sans ménagement, me fessa. Je rougis honteusement. Puis mon maitre me releva et me baisa à nouveau la bouche. Quand à elle, Monsieur la cravacha pendant qu’elle me prenais par le cul. Mon maitre éjaculera sur mes seins, quand à Monsieur, dans la bouche de sa soumise. Nous finirons la soirée elle au pied de son maitre et moi sur les genoux de mon maitre comme la chatte d’intérieur que je suis
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Par : le 26/10/16
C’est une magnifique journée d’automne, je décide de partir en forêt, seule, histoire de me vider la tête. Je prend mon cabriolet, et admire le champ ouvert au dessus de ma tête, les arbres colorés de mille feux, comparable à un coucher de soleil. Je respire. Je laisse la route m’emporter jusqu’à ce que je trouve un lieu qui me plaise, et je me souviens de ma conversation de cette homme qui me courtise, et qui m'avait parlé d'un lieu ce matin non loin de col du Donon. Et me voila parti, chaussures de randonnées, un T shirt assez moulant et un pantalon adapté à la situation. Je m’empare de mon sac à dos, et c’est parti. Je suis le chemin de randonnée indiqué, je devrais traverser des tourbières. J’adore. J’aime les paysages avec l’eau. Je ne croise personne, quel pied ! Il fait si bon. Cela fait presque 2h15 que je marche et j’espère que le chemin se termine bientôt car il était indiqué 2h30 pour faire cette balade. Le temps passe, et cela fait 3h que je marche, je commence à m’inquiéter, aurai je rater un panneau ? Et je constate à mon grand dam que la batterie de mon téléphone est HS. Mais quelle nouille, combien de fois, je me suis dit.. il faut que je la change ! Cela m’apprendra. Je commence à m’inquiéter. Je me stoppe dans une petite clairière et j’entend le craquement de branchages. Mon cœur s’accèlère. Je reprend la route, et toujours ce bruit, je me sens comme observer. Et je commence à courir et d’un seul coup je me retrouve prisonnière dans un filet qui s’est rabbatu sur moi. Je crie, je crie. La nuit commence à tomber, j’ai froid. Plus aucun son sort de ma gorge. J’essaie de sortir de là mais impossible. Je m’endors fatiguée dans cette position inconfortable. C’est alors que je tombe brutalement au sol, et cela me réveille brutalement, complètement désorientée. - Ah la princesse aux bois dormant est réveillée, me dit cet homme Je le remercie de m’avoir libérée. Je suis complètement gelée, courbaturée par l’inconfort de ma position durant la nuit, sans parler du fait que je suis affamée !. Cet homme me regarde bizzarement il me sourit, n’appelle personne… je lui demande comment retrouver mon chemin.. IL m’indique la route à prendre mais sans que je puisse faire quoi que ce soit, il me prend par-dessus son épaule comme un vulgaire paquet. Je lui donne des coups de poings dans le dos, mais il est si fort, et je n’ai plus de force. - ca ne sert à rien de crier ma belle, personne ne peut entendre. Quand on se prend pour le chaperon rouge, on risque de croiser le grand méchant loup. Il me dépose sans ménagement et me cache le visage. Il m’attache les mains, me met un collier et me tient par la laisse. J’avance sans savoir où aller. Je tire sur ce lien, mais je sais qu’il est trop fort pour moi. Je sens le loquet d’une porte s’ouvrir. Il me demande d’avancer mes poignets, il me les libère. - Ne bouge pas ma jolie, me dit il. Et là j’entends le bruit de chaines.. mais que fait il ! j’hallucine, il est en train de m’enchainer. La porte se referme. J’ote cette cagoule de mon visage. La pièce est éclairée à la bougie, Un lit, des couvertures, une armoire, une douche… La première chose que fait est de me soulager sur les toilettes. Au travers cette porte, il y a un trou , j’essaie de voir à travers, mais l’ouverture se fait par l’extérieur. De là, mon ravisseur me parle et ouvre ce loquet. - Tu vois, tu es bien traitée. Tu auras tout ce que dont tu as besoin. J’aime les femmes élégantes, belles, intelligentes et à mes pieds. Si tu écoutes tout ce que je te demande, ta vie n’en sera que plus agréable, sinon tu me verras dans l’obligation de sévir. As-tu bien compris ? - Je dis oui. - déjà tu vas me changer de tenue, tu trouveras dans cette armoire tout ce qu’il te faut pour te faire belle pour moi. D’ailleurs ce soir, tu dineras avec moi. Fais toi belle et ne me décoit pas. J’en suis déconcertée avec ses manières alors qu’il a été si bourru avant. J’ouvre l’armoire et y découvre des tenues si féminines que je n’en crois pas mes yeux. Je me dis que c’est une hallucination… De même sur la coiffeuse, des produits de maquillage de rouge à lèvres. Je doute que je sois la première femme à être ici. Il m’est très difficile de m’habiller avec ce collier autours dont la chaine est attachée au mur. Il ouvre ma porte en grand et j’y découvre un homme élégant se dirigeant vers moi. A l’opposé de l’homme qui m’a amenée ici, et pourtant c’est bien le même homme. Il s’approche vers moi, fais le tour de moi et me félicite de mon choix et de ma présentation. Il détache de mon collier cette chaine et m’invite à passer devant lui. Nous empruntons un tunnel dont le sol est pavé. Les murs sont humides. Quel lieu étrange. Je découvre cette grande salle tout en pierre et complètement aménagé, Fauteuils, un magnifique lit, puis plus au loin j’y aperçois une grande croix, et des fouets, et autres choses accrochées contre la parois. Je me retourne et décide de courir, mais je me heurte à sa stature. Il me prend dans ses bras et m’etreint. - Tout doux, je ne te ferais aucun mal sans ton consentement. Me dit il au creux de l’oreille. Il lève mon menton avec ses doigts et me caresse la joue. Il m’invite à aller m’asseoir, en toute civilité sur cette magnifique chaise tout en velours rouge, et me sert un vin rouge, un bordeau, un château Le Puy. - A notre rencontre et aux plaisirs qui en viendront. Nous buvons, et dégustons les belles agapes. Il me regardent avec une telle insistence qu’il me trouble. Tu m’appelleras Monsieur. Tu seras Sabrina pour le moment. Eh oui, je me suis permis de fouiller tes affaires.. Je fronce les sourcils pour commencer à parler : Il me dit.. non.. ce n’est pas le moment pour une complainte, profitons de ce moment. La soirée est tellement agréable que j’en oublis presque ce qui m’arrive et où je suis. Il me reconduit à ma chambre, m’enchaine à nouveau et repars. Je découvre que sur mon lit « Un contrat ». je me demande ce que c’est que cela. Mais qu’est ce que cela fait sur mon lit. Je commence à lire... Exécution des ordres. Je me demande à quoi rime ces questions avec le choix : Refuse de le faire, jamais essayé, déjà fait et une échelle d’intérêt entre 1 et 5 * Suivre et respecter les ordres ? * S’agenouiller devant son maitre ? * Être mise au coin ? * Être mise en cage, * Être mise en cellule * Être mise dans le coffre d’une voiture * Être mise nue devant un public * Le contrôle de la respiration …. Ces questions me font sourire.. car s’il croit que je suis ce genre de femme ! N’empêche elle traverse mon esprit. La seconde page me fait grossir les yeux : Pratique Sexuelle * Boules de geisha * Glace sur le clitoris, * Glace dans le vagin ou l’anus * Donner un cunnilungus * Recevoir un cunnilungus * Dilatation vaginale, * Dilatation anale * Porter un plug anal, * Porter un didlo télécommandé par Monsieur * Etre exhibée à un public en étant prise par Monsieur * Se faire prendre à la chaine * Double pénétration * Gang Bang * Bisexualité Mon esprit se trouve davantage… Vêtements et accessoires * Porter les vêtements choisis par Monsieur * Porter un bâillon en tissu * Porter un bâillon mord de cheval * Porter un bâillon en ruban adhésif * Bandeau sur les yeux * Porter une ceinture de chasteté, * Porter un collier en privé * Porter un corset * Bondage plusieurs heures * Shibari * Être enchainée * Être ficelée * Être entravées * Etre suspendue debout. * Être surspendue à l’horizontal * Harnais * Immobilisation * Momification * Menottes et fer * Dormir attachée * Cire en général * Cire sur les seins * Cire sur le sexe * Cire sur les fesses * Lavement pour nettoyer * Lavement pour rétention d’eau vaginal * Lavement pour rétention d’eau anal * Pinces aux seins * Pinces au sexee * Attachée sur une croix * Pince à linge…. Ce questionnaire me laisse complètement abasourdie. Je devine ce qu’il attend de moi mais souhaite m’en rendre complice. Je dois reconnaître que je suis passée pour tous mes états et que cet homme me fait de l’effet. Certains mots de la liste me font apparaître des images obsènes dans le tête alors que je suis captive. Je jette de colère tout ça sur le sol. Et me réfugie sur le lit. Le lendemain matin, il m’apporte un petit déjeuner avec tout ce que j’aime.. Mais quel homme attentionné et à mes soins. Je me laisse avoir par ce comportement car i ll ne m’a fait aucun mal. Il me demande de ramasser ce que j’ai jeté par terre, et que ce n’est pas le comportement d’une femme civilisée. Il dispose le petit déjeuner à distance où je ne peux l’atteindre avec mes mains. Il m’ordonne de me mettre à genou. Allez.. à genou me dit il d’une voix douce.. où alors je deviendrais plus méchant. Je m’execute. Il me demande de formuler des excuses immédiatement. - Je suis désolée de mon comportement et d’avoir jeté ce contrat par terre. - non.. mieux que ça… soit plus sincère et n’oublie pas de finir ta phrase par Monsieur. - Je suis sincèrement désolée d’avoir jeter ce contrat par terre, tout ceci est nouveau pour moi,Monsieur. - Bien, j’accepte ton ignorance mais pas ton comportement. Tu seras priver de déjeuner. Le temps passe, j’ai faim. La porte s’ouvre à nouveau. Allez, à genoux ! tu dois m’accueillir à chaque fois ainsi. Je m’execute. - Que tu apprends vite ma belle. Tu vois ce n’est pas compliqué. Tu baisseras toujours le regard en ma présence. Il me détache et me conduit à nouveau dans cette pièce. Il m’attache à cette croix. Sa voix est si rassurante et pourtant il m’attache. Je me sens paradoxalement en sécurité. Sais tu ce qui arrive aux vilaines filles qui ne sont pas obéissantes ? - Je commence à répondre et je lui dis que je ne suis pas une vilaine fille. Et là il découpe avec un ciseau le t shirt que j’avais décidé de porter pour la nuit. Il découpe aussi mon soutien gorge. Je me sens honteuse ainsi. Il admire mes seins. Il les prend dans sa main et les cajolent avec une telle tendresse. Que tu as de beaux seins, je vais en prendre le plus grand soin, je te le promet. Il les prend en bouche, les mordille, les lèches, les pétris. -Alors ma belle, n’aimes tu pas cela ? me retorque t il Il ne peut que constater que mes tétons pointent, signe de mon excitation et de ce moment érotique que je suis en train de vivre, le plus érotique de ma vie. Il me laisse ainsi les seins à l’air. Je m’habitue à sa présence, et je sens qu’il ne va rien faire contre mon gré. Il me dit que ce soir, je dois avoir répondu à son questionnaire. Il me renferme à nouveau. Je n’arrive plus à savoir si nous sommes le matin, l’après midi ou le soir. Je n’ai toujours pas vu la lumière. Il me dit, tu as deux choix ma belle : * Accepter ce contrat et le remplir * Ou je te laisse repartir et nous ne nous reverrons jamais. Je suis si intriguée, aucun homme ne m’a jamais fait cet effet… son regard se plonge dans le main.. et j’ai décidé de baisser les armes… Oui Monsieur, je souhaite remplir ce contrat et le signer.
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Par : le 28/08/16
Je ne sais plus comment, ni quand... je la vois étendu devant moi, ne sachant pas ma volonté profonde.Ne voulant seulement prendre du plaisir a la voir en prendre elle même.Je m'approche lentement et commence a l'embrasser tendrement, la caresse et joue de mes doigts sur sa douce peau d'ignorante frêle.Laissant petit a petit son plaisir gravir un a un les etages de notre ascenseur sensoriel.Je marque une courte pause afin de me saisir de mes menottes et d'un foulard épais ; je m'empresse de lui bander les yeux et de la menotter les bras en l'air.Elle est a ma merci, je peux lui faire tout ce dont mon imagination m'autorise.Mais rien ne me viens, juste l'envie de la pousser dans ses derniers retranchements.Viens alors un jeu de touché sensuel et timide, me dirigeant peu a peu vers le coeur de mes intentions.Son souffle s'intensifie petit à petit, et je patiente en attendant le moment opportun.Un moment un râle plus fort me donna le départ! Je précipite mes doigts forts en elle, démarrant un va et viens de plus en plus intense.La jeune nymphe s'emporte peu a peu vers un plaisir toujours plus fort, toujours plus haut dans les étages.Je pose mon autre main sur sa bouche humide et ouverte pour l'empecher de pousser ses gémissement qui la rassure tant.Elle perd de plus en plus pied, le manque de vision lui donne des vertiges, les mains attachés l'empêche de se débattre et la voix bloqué l'empêche de me dire stop, de me supplier.Je continu mon jeu pervers, toujours plus fort, toujours plus profond ; mes doigts sont trempés et fatigués, mais je me dois de tenir!J'entend des râles du fond de la gorge de ma tendre victime, mon excitation monte de plus en plus ; plus ses limites approche, plus ma satisfaction est complète!Je vois des perles de sueur qui se forme sur tout son corps, cette entrevue est si humide et chaude!Son corps se met a se debattre gentiment, et ma nymphe se transforme en furie.Je la sent jouir intensément sur mes doigts mais je me dois de continuer mes aller retour encore plus fort!Minutes après minutes la jouissance laisse place a la confusion chez elle, le plaisir est si fort que l'esprit ne sais plus si c'est bon ou mal et son corps demande à se proteger de cet état qu'il ne connait pas.Les jambes commencent alors a se débattre violemment et son corps a trembler ; dans cet état de transe je n'ai pas d'autre choix que d'enlever ma main couvrant sa bouche afin de retenir ses jambes pendant que mon autre main continu sa douce entreprise.A peine ma main sorti de sa bouche que les cri de plaisir mélangé a ceux d'une sorte de douleur mentale me submerge!Il ne faut pas que je lache! Car je sais ce qui se trouve après cet état instable.Mon plaisir de la voir dépasser des limites qu'elle n'imaginait pas est immense, Intense et jouissif!Ça coule encore et encore! Ça cri toujours plus fort! Elle m'est complètement soumise.Et tout d'un coup elle hurle! Un jet continu sort de son sexe et m'arrose le corps et le visage.Je suis trempé de ce pur liquide divin qui continu de m'inonder abondamment, et complètement excité.Je retire alors ma main de son sexe car il ne sert plus a rien de continuer.Le cri s'arrêta et le jet aussi.Et étendu devant moi, cette fontaine vivante, épuisé mais orgasmiquement satisfaite, a atteint notre dernier étage du plaisir.Ma frêle nymphe ingnorante est devenu la plus belle des sirènes des temps modernes...Suite dans une prochaine histoire...
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Par : le 24/08/16
Petite histoire à lire au chaud... de votre serviteur. +++ Noémie ne comprit pas, tout d'abord, ce qui lui arriva. Elle avait à peine ouvert la porte de sa maison sur cet inconnu, et n'eut pas le temps de lui dire bonjour : la main de l'homme s'était plaquée sur sa bouche. Elle fut saisie, et se retrouva couchée au sol, fermement maintenue sur son ventre par les mains de l'intrus tenant ses bras, et par le poids de son corps assis sur son fessier... incapable d'appeller à l'aide : une bande adhésive était maintenant fixée sur ses lévres. Comme elle se tortillait dans sa panique, son assaillant rit, et accompagna ses mouvements frénétiques ; elle luttait avec l'énergie du désespoir, mais l'homme lui ne faisait que jouer avec sa proie... il la laissa donc lutter, tout en appréciant de la voir gesticuler ainsi. Cela dura un certain temps, jusqu'à ce que Noémie ne s'épuise. Entre sa peur, sa respiration limitée à son nez et l'effort physique, elle ne pût continuer longtemps sa vaine lutte, et s'effondra sur elle-même, le souffle court. Bien qu'il fut amusé, l'homme avait vu venir cet abandon, et ses mains toujours serrées sur ses avants-bras, l'accompagna doucement pour qu'elle ne se fit pas mal au crâne. Puis il sortit comme de nulle part deux paires de menottes ; il commença par refermer la première paire sur les poignets frêles de sa proie, avant d'en faire de même pour la deuxième sur les chevilles... tout en appréciant le gémissement désespéré de cette dernière. Puis il se retira de sur Noémie, s'assit au sol non loin d'elle, et admira sa prise. La pauvrette pour sa part roula sur le flanc, n'osant point essayer de se relever. Noémie, prise par surprise, n'avait guère eu le temps de maintenir sa tenue. Uniquement vêtue d'un short court et d'un débardeur, maintenant couverte de sueur du fait de la peur et de l'effort, elle offrait une vision tout à fait exquise, et ses jolis yeux lançaient des appels à l'aide, emplis de frayeur, tandis que ses lèvres tremblotaient sous le scotch. L'homme sourit à cette vision, et poussa plus loin son examen... il voyait tout le corps de sa proie en état de choc frémir et frissonner dans l'expectative, et cela fit se dresser sa queue. Il se releva soudain, faisant sursauter Noémie, et se coula au-dessus d'elle, comme un scorpion sur le point de frapper... mais son dard attendrait pourtant. Il promena une main ferme sur les courbes de la fille couchée sur son flanc, flattant sa hanche, appréciant la chair. Puis sans prévenir il la fit de nouveau basculer sur le ventre, dans un cri étouffé. Là, il se porta son visage juste au-dessus du sien, et elle put voir son cruel rictus. Soudain, il avança une main... Noémie ferma les yeux et se crispa, mais il ne fit que gentiment bouger une méche de cheveux détrempée derrière son oreille, frôlant sa joue. Le geste fut doux, presque aimant... et Noémie, en dépit de sa situation, se prit à rougir. Cela n'échappa pas non plus à son assaillant, et le fit rire. Comme en récompense, il pinça son oreille. Noémie gémit encore, mais cette fois laissa faire ; qu'aurait-elle pu, de toutes façons ? Alors l'homme placa cette même main sur la fesse droite de sa proie. Ce geste non plus fut sans violence, mais Noémie cria, à travers son baillon sommaire. Une claque ferme sur cette chair tendre la fit taire immédiatement ; la surprise l'avait fait réagir, mais ce dernier acte n'avait rien d'ambigu : l'homme lui intimait le silence. Elle se tint donc coite, ne voulant pas l'énerver, bien que cette claque fut moins un coup qu'un simple avertissement. L'homme hocha la tête. "brave fille", lui dit-il, et elle réalisa que c'était là les premiers mots qu'elle entendait de lui. Il replaca donc sa main sur la courbe de cette fesse qui, désormais, lui appartenait comme son bien propre. Un geste d'appréciation, de propriétaire, sans excès, mais sans retenue. Il la tâta, la palpa comme un écuyer flatte la croupe d'un cheval. Puis il la fit vibrer un peu de petites claques, tout en pinçant de son autre main la fesse gauche... Noémie, de tout ce temps-là, tenta vainement de faire croire qu'elle ne ressentait rien ; il pouvait la voir frémir, battre des paupières, et virer au rouge. Ce fut lorsqu'elle s'y attendait le moins qu'il la releva brusquement, la soulevant par les avants-bras et le ventre l'ayant enlacée... il la fit glisser d'à plat ventre jusqu'à genoux, restant lui-même dans son dos et légérement au-dessus d'elle car posté sur un genou, l'autre jambe en arc, afin de mieux la maintenir, eut-elle tenté quoi que ce soit. Mais la malheureuse n'en était déjà plus là ; terrifiée autant que résignée, elle commençait aussi à ressentir comme une étrange sensation, d'être ainsi contrainte et maniée contre son gré... Son ravisseur le vit bien, lui qui n'avait pas choisi sa victime au hasard. Il esquissa un bref sourire, et se mit en devoir d'apprécier plus avant la qualité de sa proie. Le bras gauche toujours maintenant ceux de la fille dans son dos en dépit des menottes, il glissa le droit sur la taille de cette dernière. Noémie cria de nouveau lorsque la main scélérate empoigna la chair de son ventre, palpant et pinçant son nombril. Cette fois l'intrus la laissa aller, et se sentant libre de toute menace de représailles immédiates, elle se tortilla furieusement ! Mais lui n'en avait pas fini avec elle... Il lui saisit un sein, laissant échapper un soupir rauque et satisfait. Même à travers le tissu pouvait-il sentir la chair douce, et un détail le fit rire de nouveau. Bien que Noémie tentât de le cacher, ses larmes inondant maintenant ses joues furieusement rougies, l'homme put sentir sous ses doigts un petit point raffermi... il l'agaça, elle gémit, et son téton durcit encore. Ce ne fut rien comparé au véritable coup de foudre qui saisit tout son corps, lorsque délaissant son dos le bras gauche de son assaillant plongea par la taille, et que sa main s'empara de son entrecuisse. Désormais conquise, Noémie rua vainement une dernière fois, mais un bref quoique rude pincement dudit téton la mit en garde, et elle s'abandonna, arquée contre le corps qui à présent possédait le sien. L'intrus poursuivit son examen, palpant d'ici un muscle au ventre, tâtant de-là une cuisse dénudée... il laissa pour l'instant sauves les chairs les plus intimes de sa captive - car elle était désormais sa captive - et se mit en devoir de pétrir sous ses mains chaque autre part de son corps, pour lui signifier que rien de ses charmes ne lui était privé... et qu'il ne s'en prendrait à ses plus douces parts qu'en temps et en heure, bien qu'elle n'y pourrait rien le moment venu. Elle gémit, pleura doucement, mais en son for intérieur elle se surprit à apprécier son terrible péril, car privée de toute volonté la voici maintenant sans plus guère de faux-semblants. Et parce qu'il l'aimait déjà, lui la laissa glisser sur ses cuisses, lovée contre son poitrail et les jambes repliées sous elle, afin que sa position ne lui blesse point les genoux. Lorsqu'il en eut fini, l'homme se releva, et elle crut - et elle... craint ? - qu'il ne la quitte pour de bon, ayant eu son soûl. Mais cela bien sûr ne devait pas être. Il sortit une lame, et elle cria de frayeur. Une claque en pleine joue, plus ferme que douloureuse, lui intima le calme. Elle se raidit, et vit que ladite lame n'était qu'une grande paire de ciseaux. Pour cependant la rassurer, l'homme passa tendrement une main sur sa joue meurtrie, puis la fit glisser sur sa tempe pour lui caresser la tête, et finalement retomber au versant de sa nuque. Son regard fit comprendre à sa prisonnière qu'il ne la blesserait pas, et sa ferme caresse lui assura l'obéissance. Elle baissa les yeux, puis la tête, sous une dernière caresse réconfortante, et laissa faire. Il commença par son short, ouvrant le tissu et libérant son aine de ce carcan, ne lui laissant qu'une culotte de ficelle pour orner ses jambes à présent totalement nues. Puis son débardeur y passa, et il vit avec amusement que son soutien-gorge avait d'ores et déjà quelque peu glissé. Il en disposa. Ses jolis seins à l'air, il fit une pose pour admirer l'ouvrage. Flambée de honte, sa captive n'osait le regarder, désormais étendue sur le sol afin qu'il puisse tout voir d'elle. Entre sa chair et son ravisseur ne se dressaient plus que deux paires de menottes, un bâillon de scotch... et un string au demeurant charmant. Si elle s'attendait à ce qu'il lui ôte également ce dernier, elle en fut pour ses frais. L'homme, qui n'avait toujours pas pipé mot, produisit deux pans de soie, puis encore deux autres. Il se pencha sur elle, et la fit frémir. Mais il n'avait pas l'air de vouloir lui faire du mal, car il passa une main douce sur son petit ventre. Il parla : "tiens-toi tranquille, compris ?" mais ce n'était une question que pour la forme, car elle n'oserait plus le défier, du moins pas dans le but d'une évasion. Elle n'en hocha pas moins la tête, et osa le regarder, tandis qu'il déployait la soie. Puis il se mit en devoir de la lier de plus belle et confortable manière, selon un ordre minutieux qui, soupçonna-t'elle, ne devait rien au hasard. Il la fit se rassoir sur ses fesses, afin d'accéder à ses mains. Ôtant les menottes, il lia ses poignets d'un nœud de ce doux tissu, et elle lui en fut reconnaissante, tant les menottes dures et anguleuses pouvaient faire mal. Il la laissa se maintenir le buste droit, en appui sur ses mains, puis il fit de même avec ses pieds, ne résistant pas à la tentation de glisser ses doigts sur leur plante. A son petit sursaut, à la crispation soudaine des orteils, il sut qu'elle était chatouilleuse... et s'en réjouit cruellement. Elle fut effectivement plus belle ainsi, mais il n'en avait pas terminé. Arrachant le scotch de sa bouche, il la laissa reprendre un peu de souffle, bien qu'elle n'osât pas fixer ses yeux, ni émettre le moindre mot. Ainsi assuré de sa docilité, il lui sourit, puis noua le grand pan de soie tel un bâillon, et lui clôt la bouche avant que de la couvrir d'un deuxième tour, qu'un dernier nœud fixa sur sa nuque. Comme récompense, il y déposa un baiser qui la fit frissonner de tout son corps ; elle lui appartenait. Elle se demandait naïvement à quoi servirait l'ultime pan de soie, et le vit bientôt... ou plutôt ne le vit point, lorsqu'il serra le bandeau sur ses yeux. Ainsi ligotée, elle n'avait plus aucune liberté de mouvement, ni plus aucun sens actif ; privée de ses bras comme de ses jambes, de sa vue jusqu'à sa parole, elle ne pouvait qu'entendre, entendre et ressentir plus fort qu'à l'ordinaire ce qui l'entourait, pour le peu qu'elle en recevait. Le froid du sol sous ses pieds, ses fesses et ses mains... les pas de son ravisseur, et son odeur... et sa propre odeur, mélange de sueur, de peur et... et d'excitation - et à cette pensée elle manqua de mourir de honte ! Mais c'était pourtant bien ainsi : elle était désormais la captive d'un inconnu, bon gré mal gré, et en retirait bien moins d'angoisse qu'elle ne l'aurait cru. Elle n'eut cependant pas le temps de s'étendre sur la question, car l'homme était revenu. Elle le sentit se pencher sur elle, puis ses doigts frôler sa gorge... Doucement - délicieusement ? - effrayée, elle résolut de bien se conduire, et lova son corps, pencha subtilement sa tête pour lui présenter son cou, telle une proie vaincue s'offre aux crocs du prédateur ! Mais bien sûr elle ne le faisait là encore que pour échapper à sa colère, n'est-ce pas... ce n'était pas, voulut-elle se convaincre, comme si elle appréciait d'être ainsi traitée ! Alors l'homme, sans doute un peu surpris, marqua un temps d'arrêt, puis rit gentiment et lui pinça l'oreille une fois de plus, la massa aimablement entre ses doigts jusqu'à ce qu'elle gémisse et devienne plus rouge encore. Puis il acheva son œuvre : elle sentit glisser autour de son cou une chose à la fois rude et douce, souple et ferme... ce ne fut que lorsqu'il le referma qu'elle comprit : telle une bête, le chasseur venait de coiffer sa proie d'un collier ! Tous deux restèrent ainsi un moment, pour qu'elle sache ce qui venait d'être accompli, et qu'elle en prenne la pleine mesure. S'il n'avait, en toute connaissance de cause, demeuré juste là à son côté, admirant ses formes et son port, elle aurait sans doute versé dans mille bouleversements, ou quelque panique soudaine... mais de le sentir juste là, et de savoir son regard sur elle, focalisait son esprit et l'obligeait à admettre la réalite : il n'y aurait nul sauvetage pour elle, ni déni de sa part : elle était captive... et elle adorait ça. Il se releva, et la laissa glisser de nouveau au sol, étendue sur le dos, dans un étrange état de plénitude. Nul choix, nulle voix au chapitre ne lui était plus autorisée, et bien qu'elle fut toujours apeurée, elle ne put que reconnaître que ce terrible sort ne lui déplaisait pas... serait-elle devenue folle ? Toute considération psychologique fut cependant chassée un instant plus tard, lorsqu'elle entendit revenir son ravisseur qu'elle n'avait pas entendu s'éloigner, trop concentrée sur elle-même pour prêter attention à ce qui l'entourait. Ce fut donc une surprise totale, et un certain choc, lorsqu'il déversa sur elle le contenu d'une bouteille d'eau glacée. Elle rua, cria sous la frayeur subite, mais cela ne dura qu'un instant. Elle se retrouva trempée des pieds à la tête, baignant dans l'eau sur le sol même, respirant à grandes goulées d'air par le nez, revenue de sa frayeur... et incroyablement excitée par la pure adrénaline de ce moment. "bien" l'entendit-t'elle le dire. "ces liens sont donc solides... parfait" Elle frissonnait, tremblait, sous le choc autant que sous l'effet de l'excitation. Mais il lui sembla confusément qu'elle avait aimé ça... Une main se posa sur son front, y chassa quelques mèches en bataille, et la caressa gentiment. L'eau et sa peau tendue accroissaient la sensation, et elle se prit à vouloir que cette même main descende le long de son corps ; plus bas bien plus bas dans sa chair offerte... Mais il n'en fit rien, car il savait la force d'un plaisir refusé. Tout au plus promena-t'il ses doigts sur le visage captif, lié par ses soins. Il testa le bandeau, chatouilla doucement sa joue et l'arête de son nez en y passant ses ongles, et les fit reposer à l'endroit de ces lèvres sous le bâillon... Abandonnée, elle y porta un baiser, qu'il fut satisfait de sentir malgré le tissu. "as-tu froid, petite femelle ?" Dans son état de transe, il lui fallut un petit moment pour comprendre qu'il s'adressait à elle. Elle hocha timidement la tête, et ne put voir son sourire. "tâchons donc de te réchauffer..." Elle se sentit saisie, portée telle une princesse captive dans les mains d'un rude geôlier, et emportée vers ce qu'elle savait être sa chambre. Plus jamais, ni maintenant ni plus tard, ne devait-elle protester. Jegesh
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Par : le 22/06/16
Ce jour là, en me préparant je repensais à l'échange que j'ai eu avec Sandrine, cette plantureuse travesti soumise qui m'écrivait combien elle était troublée en regardant mes photos et combien elle se réjouissait d'être dominée par une transgenre, un fantasme qui l'obsédait depuis si longtemps. En mettant des bas résilles, j'entendis Sandrine arriver et entrer dans la pièce semi indépendante de mon donjon. J'avais encore un peu de temps devant moi, elle devait se préparer et se maquiller. En glissant mon top en cuir, je sentis l'excitation de la séance commencer à monter, c'est vrai que je suis craquante avec le cuir qui moule mon torse et ma poitrine. Pour terminer, j'enfile une jupe en cuir avec une couleur oscillant en l'or et l'argent. Un bijou qui me met mes fesses au bout d'interminables jambes, j'adore porter une mini et faire ressortir mes 120 cm de jambes et porter juste des bottines en cuir noir. L'heure passait et dans 3 minutes Sandrine a rendez-vous avec moi. En regardant la pendule de mon donjon, je pris l'escalier pour aller chercher la soumise dans la pièce qui se trouve sous le donjon. J'aime descendre avec deux minutes d'avance car en général la soumise est toujours en retard et se fait surprendre entrain de finir sa préparation, la pression monte d'un cran et Sandrine me regarda, regarda sa montre et me dit: "Bonsoir Madame" ! "Bonsoir soumise, tu es en retard..." La soumise regarda a nouveau sa montre, me regarda et hésita avant de pencher da tête en avant et me demanda "permettez-vous que je termine ma préparation, il me reste mes hauts talons à enfiler..." Quand enfin elle est prête je la fais tourner sur elle-même pour admirer sa plastique, avec ses 185 cm et 72 kilos, elle est super craquante d'autant plus que son corps est pris dans une robe moulante en vinyle noir, des bas coutures et hauts-talon. Son maquillage est léger comme demandé et sa longue chevelure vient caresser ses reins... Lorsque je la fis passer devant moi pour monter l'escalier, elle me regarda avec un air interrogateur ne sachant pas si c'est de la courtoisie ou si c'est intéressé. "Allez soumise, on n'est pas là pour prendre racines, monte !" Dès la 4ème marches, je passai ma main dans son entre-jambes et remonte jusqu'à sont entre jambes. "Tu as désobéi soumise !" elle se retourna surprise et ne comprenant pas ce qui lui arrive déjà... "Oui, tu as mis un string et jamais une soumise ou in soumis vient se présenter à moi avec un sous-vêtement, la seule exception ce sont tes bas. Enlève -moi ce string !" elle se tord autant bien que mal pour pas perdre l'équilibre sur ces marches vertigineuses et me donna son string que je lance en bas de l'escalier. Ma main visite son entre-jambes et vient soupeser ses testicules et serrer son pénis. Sa féminité est trahie par une super érection qui créa une belle bosse sur le bas de sa robe. "Allez on monte et tu te mets à genoux sur le tapis rouge, le corps bien droit et la tête penchée. En passant devant elle, je lui administre une bonne paire de claque en la réprimandant: "c'est quoi cette érection ? Ici, c'est moi qui décide si tu peux bander ou pas, As-tu compris cette première règle ?" Mais, Madame ... et hop la 2ème paire de gifles part toute seule avant qu'elle termine sa phrase.. "Mets-toi debout, relève ta robe jusqu'aux hanches et ensuite penche-toi en avant en faisant ressortir tes fesses sur l'arrière. "Bien, c'est comme cela que je te préfère... Alors règle no2, si tu cries ou tu gémis, lors d'une punition comme par exemple la fessée que je vais te donner pour te punir pour ton érection alors, tu auras en plus des pinces aux tétons. Oui la première fois tu feras certainement exprès de crier pour avoir des pinces et je te promets que je te les laisserai jusqu'à la fin et que tu regretteras bien vite de me tester, je gagne toujours et durant les jours qui viendront tu penseras à moi tant les douleurs des tétons sera violente... La première volée de ma main tombe sur sa fesse, tout le corps tremble, la soumise retient ses premiers gémissement avec peine, je mets plus d'énergie à la fessée et j'utilise mes deux mains pour fesser des deux côtés avec du rythme. La rougeur remplace rapidement le blanc des fesses, elles deviennent chaudes et les premiers gémissement se font entendre (enfin...). "Alors soumise, il te manque de courage, tu vas vite en avoir besoin, tu vois ces pinces reliées entre elles par cette chaîne ? Si tu gémis, je tire sur la chaine et les pinces se resserrent, as-tu bien compris ?" "oui" "Alors, redresses-toi et ouvre ta le haut de ta robe qui laissa voir des tétons déjà bien excités, ils sont dressés et prêt à recevoir les pinces. Lorsque la pince se referma sur le premier téton, un cri retenti et hop je tire sur la chaîne et j'entends un hurlement..."Tu vois ce qui va t'arriver si tu gémis ou crie ! Alors maintenant tu vas faire preuve de courage ou, personnellement je préfère que tu cries ainsi je peux m'amuser plus..." " Vous êtes une sadique Maîtresse !" Une magnifique claque rougit la joue droite.. "Apprends la politesse soumise !" La 2ème pince est posée dans une grimace qui transforme son visage. "Bien maintenant tu vas reprendre ta position penchée avec les fesses en arrière et tu vas m'attendre, j'entends ma soumise sous collier arriver plus tôt que prévu. C'est une grande jalouse et sachant que je suis avec toi elle devait venir me retrouver qu'en fin de soirée et elle désobéit. En revenant au donjon avec ma soumise nue, elle regarda avec intérêt Sandrine et me dit "je vois que Maîtresse Galliane s'en bête pas ce soir" une nouvelle claque retenti et c'est la joue de la nouvelle soumise qui devint écarlate... Suite à cette entrée remarquée, je la fais entrer dans la cage, la tête en avant pour qu'elle puisse voir que le mur tout en entendant tout ce qui se passe. "Et si tu dis un mot, je te mettrai un baillons et je sais que tu détestes les baillons encore plus que la mise en cage. Ceci te permettra de penser à venir à l'heure la prochaine fois et pas faire la curieuse !" "Mais ..." une fessée vient s'abattre sur ces fesses qui la projette au fond de la cage. "Voilà soumise, maintenant que je peux à nouveau être avec toi, je vais continuer ta punition avec le fouet et je commence avec celui-ci "et lui montre un fouet avec des chaînes en lieu et place des liens de cuir. Le chant des gémissements crée une ambiance devenant de plus en plus excitante, en changeant de fouet pour choisir le rouge avec des lanières tranchantes, je profite pour bien tirer sur la chaîne des pinces et un cri résonna dans la pièce, je sentais l'angoisse de ma soumise dans sa cage monter.... En enfonçant un plug entre les fesses de Sandrine, cette soumise réagit comme un jeune soldat avec son sexe qui se met au garde à vous ... "Oh soumise, ainsi tu as pas appris que tu peux bander que sur commande !" "Allez à plat ventre sur la table gynécologique !" Je prends un paddle et lui administre une première série des fessées ponctuées par des gémissements suivis par des cris lorsque je saisis la chaîne entre ses seins et tira dessus. "Relève -toi maintenant", ses jambes trembles sous l'excitation mais aussi par rapport à la position qu'elle a eu sur la table. "Mets tes mains derrière-le dos" j'en profite pour les mettre une paire de menottes et avec les mains derrière son dos, je lui caresse son bas ventre et son garde à vous se redressa instinctivement, la chaîne retira les pinces et un nouveau cri raisonna dans le donjon. Ayant envie d'une pause, je m'assieds sur mon trône en admirant mes soumises, Sandrine est un penaude avec ses fesses rouges écarlates, ses mains entravées dans le dos et ses haut-talons deviennent bien inconfortable en restant debout au milieu de la pièce quant à la soumise en cage, elle commence à comprendre que la séance que je lui réserve lorsque j'en aurai fini avec Sandrine va être terrible, elle va vite regretter sa jalousie et d'être venue si tôt. "Bien soumise, tu vas me démontrer que tu sais marcher avec tes talons, les mains dans le dos et le plug restant entre tes fesses !" après lui avoir passer un collier de chien et une chaîne, je la promène dans la pièce et profite d'en faire profiter la soumise en cage en disant " comme tu es mignonne soumise, tu marches comme une reine avec tes talons, je sens que tu vas devenir une habituée de mon donjon... je pourrais même imaginer te faire porter un autre collier de soumise personnelle..." la cage commençait à beaucoup bouger, la jalousie fait son chemin et plouc le plug tombe sur le carrelage. "Alors soumise, tu sers pas assez les fesses ? " "viens par là " couche-toi sur le dos. là sur le tapis pour qu'elle puisse juste pas te voir mais imaginer ce que je vais te faire... La position est très inconfortable avec les mains derrière le dos, le corps qui écrase les bras. "Allonge bien tes jambes !" et en caressant son sexe, un nouveau garde-à-vous fait remonter le vinyle. "Alors tu as encore pas compris que c'est moi qui te permet ou pas de bander alors, on va voir si tu sais résister à la tentation ou pas. !" en relevant le pan de sa robe, je caresse son sexe et lui passe un préservatif qui accentue son excitation, son sexe tremble de désir et en m'empalant sur son pénis qui entre lentement dans mon anus, j'en profite pour lui apporter le coup que j'attendais depuis un moment "si tu éjacules sans que je te l'ordonne, je te ferai boire ton sperme !" je sens son excitation monter et son corps se contacter pour éviter le pire. En lui souriant, je retire la première pince, un cri déchira l'endroit, à la 2ème pince enlevée, son corps se mit à trembler comme une feuille, dans un râle de plaisir je sens sa queue vibrer de plaisir, ses fesses se soulèvent tant sa jouissance est forte, son corps vibre de partout, le plaisir fait bientôt place à la plénitude, le corps se calme, j'entends la cage remuer et je sors de ma torpeur en imaginant ma soumise folle de jalousie, que c'était bon... "Alors soumise, osais-tu éjaculer sans mon ordre ?" oh son visage devient bien vite grave, tout de suite elle a compris ce qui va lui arriver... "Comme promis, tu vas pouvoir boire ton sperme encore tout chaud..." en me retirant avec délicatesse et en tenant la base du préservatif, je fais attention de pas perdre une seule goutte de son importante éjaculation "Ouvre bien grand la bouche soumise pour déguster ton dessert... sous une grimace, ses lèvres s'ouvrirent "Déguste ma belle...." Juin 2016 Maîtresse Galliane
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Par : le 18/06/16
50 vérités que MademoiselleLilith va payer. 1 ) – Je n’ai jamais voulu faire ce jeu, j’ai simplement liké les aveux d’une personne qui m’est chère parce que j’ai aimé son partage, je n’avais pas réfléchis au fait que cela impliquait que je devait y participer… j’en ai pris pour 50 réponses… Ma soumise est une sadique… 2 ) – Je me suis fais bouffer ma carte bleue par un DAB il y a peu en tapant le code d’entrée de chez moi au lieu de celui de ma CB. Je ne l’avais pas oublié, je n’ai juste pas la tête sur les épaules depuis 10 jours… J’aime cet état. 3 ) – Il y a quelques années, j’ai passé une soirée dans un pub avec un ami, j’étais assis a coté de Claude Nougaro, au bout de deux heures de conversation passionnée, je lui ai demandé s’il s’y connaissait en musique… J’étais le seul, à la table, à ne l’avoir pas reconnu… Vous avez dit gaffeur ? 4 ) – Entre mes 20 et 21 ans j’ai été un homme battu, par une femme, quand je suis allé chercher de l’aide dans une association de « femmes battues » on m’a « gentiment » demandé de quitter les lieux, parce que ma présence, celle d’un homme, dans les locaux, indisposait les dames qui étaient là. 5 ) – A 22 ans, je suis tombé fou amoureux d’une femme de 1m50 qui devait peser 22 kilos, anorexique, elle a mit sa main dans la mienne pendant les 6 derniers mois de sa vie, une des plus belle âme que j’ai croisé. 6 ) – En 1990 j’ai découvert Thomas Harris avec 2 de ses romans « Dragon rouge » et « Le silence des agneaux », complètement subjugué par le personnage d’Hannibal Lecter, j’ai eu pendant des années le fantasme de goûter de la chair humaine… Fantasme assouvi un jour de manière spontanée et involontaire de ma part. 7 ) – Je n’ai jamais su aimer de manière conventionnelle, je verse toujours dans les extrêmes ou la passion… Malgré moi. 8 ) – En 2006 un abrutit m’a diagnostiqué bipolaire et m’a foutu sous traitement pendant 6 mois… Il s’averre que je ne l’ai jamais été, j’ai juste une hypersensibilité extrême qui me fait connaître des phases euphoriques et à l’inverse des phases mélancoliques extrêmes, proches et ressemblantes à des phases hystériques et dépressives que peuvent connaître les bipolaires. 9 ) – Je suis capable de basculer dans mes rêves ou pensées en une fraction de seconde en pleine journée, alors que je suis occupée, de manière si intense que je ne vois plus, ni n’entend plus ce qu’il se passe autour de moi. 10 ) – J’aime l’art sous toutes ses formes, pas forcément les oeuvres… Les artistes, ou ceux qui se prétendent l’être, beaucoup moins… Et leur discours sur l’art me répugne généralement. 11 ) – J’ai découvert le BDSM à l’âge de 17 ans, avec une femme de 30 ans… A vrai dire elle m’a tout apprit ou presque, le libertinage, l’amour, le lâché-prise, le triolisme, etc… 12 ) – A 23 ans, j’ai été confronté à un chien, type berger malinois, non dressé, agressif, babines retroussées, qui montrait les dents en grognant. Sur un claquement de doigts, un geste de la main et un « Ho » l’animal s’est couché au sol, oreilles rabattues. J’ai avancé dessus, il a roulé sur le dos. Son propriétaire m’a demandé comment j’avais fait… 22 ans plus tard je n,’ai toujours pas de réponse satisfaisante à cette question. C’est sans doute ce jour là que j’ai réalisé mon coté dominant. 13 ) – Un de mes plus grand regret est d’avoir hésité avant d’intervenir un jour où un homme a agressé une femme à quelques mètres de moi, je suis intervenu une seconde trop tard, ce n’est JAMAIS plus arrivé. 14 ) – Il y a quelques années une amie a perdu sa fille de 13 ans dans un accident, j’ai pris le train dans la nuit pour être présent à ses cotés dans cette épreuve… Il y a quelques mois elle ma avoué que cette gamine était peut-être bien la mienne… ET MERDE !!! 15 ) – J’ai vécu une très belle histoire d’amour vanille à 4, deux hommes, deux femmes, tous les 4 bisexuels, nous vivions ensemble, un superbe souvenir qui a durée un an. 16 ) - J’ai eu une peur panique de la mort jusqu’à la naissance de ma fille, au point de s’en réveiller la nuit. Depuis cette peur m’a quitté, mais j’aime ma vie, je transcende tous les petits moments, mais ça me fait vraiment chier que cela doive s’arrêter un jour. 17 ) – Je suis exigeant envers les gens que j’aime et intransigeant envers moi-même… Conclusion je dois m’aimer encore plus… 18 ) -. Ma confiance et mon assurance en moi m’ont apporté beaucoup de plaisirs, mais aucun n’est au dessus de la confiance que m’ont accordé les gens que j’aime et de leurs confidences les plus intimes. 19 ) - Un jour en regardant une mappemonde je me suis aperçu que de frontières en frontières j’ai fais le tour du monde… Dans mon lit. 20 ) – Mon premier souvenir de masturbation date de l’âge de 6 ans. Je me disais qu’il n’était pas normal de ressentir un tel plaisir. Du coup je suis allé voir mon père, quequette toute raide, pour lui montrer que « ce geste » faisait beaucoup de bien, il a éclaté de rire en me disant que c’était normal mais de faire ça en privé… J’étais déçu, je me croyais exceptionnel. 21 ) – J’ai connu une vraie nymphomane, six fois par jour minimum, les premiers jours c’est normal, au bout de 6 mois ça l’est moins, au bout d’un an c’est usant, quand elle est partit j’avais perdu 10 kilos, je n’ai pas eu envie de sexe pendant presque un an. Comme dirait Serge Lama : « Quand je pense qu’il y a des cinglés qui paient pour voir ça au ciné… » 22 ) – Véritable sapiosexuel, je peux bander devant un homme ou une femme qui me toise intellectuellement, même si je les trouve repoussant physiquement. J’aime bien cela, mais c’est rare et ça n’arrive jamais devant ceux qui se veulent et/ou se réclament intellos, même et surtout dans le cadre d’aveux, l’intelligence va de pair avec la modestie et l’humilité. 23 ) – Je suis bisexuel à forte tendance hétérosexuel, comme disait William, un de mes amants homo. 24 ) – J’aime beaucoup la part de féminité qui est en moi. Je l’exprime, beaucoup d’hommes me prennent pour un homo et se moque de moi… Jusqu’à ce que je couche avec leurs femmes… Bizarrement ça les fait beaucoup moins rigoler… Moi, beaucoup plus. 25 ) – J’aime beaucoup les machos… Leurs femmes viennent se consoler dans mes bras. 26 ) – J’aime beaucoup le foot, la coupe du monde et tous les tournois possible… Les messieurs sont devant leur télés et leur femmes dehors, bien souvent seules. 27 ) – Le plus beau compliment qu’une femme m’ai fait est : « Je regrette de t’avoir connu car depuis tous les hommes me semble bien fades ». … C’était 15 ans après notre rupture. 29 ) – J’ai le loup dans la peau, un véritable totem, au propre comme au figuré. 30 ) – Vers mes 24 ans j’ai couché avec une prostitué sans le savoir. Au matin quand nous avons pris un café, elle m’a avoué sa profession, gêné, je ne savais pas si je devais ou pas lui proposer une rétribution. Elle a rigolé et m’a dit que « non », elle me voulait. Puis elle m’a dit qu’elle avait adoré la manière dont je l’avais sodomisée et m’a demandé si j’étais bi et si j’avais déjà subit une sodomie, je lui ai dis que « oui », elle a ajouté « ha… C’est pour ça alors. » Depuis c’est une règle d’or, chaque fois que j’apprends ou me teste à une nouvelle « technique », je passe d’abord « à la casserole »… Merci Christine de m’avoir fait réaliser cela. 31 ) – J’ai « épousé » la pensée zététique il y a presque 20 ans. 32 ) – Le mensonge m’est insupportable, c’est la pire torture que l’on puisse m’infliger. 33 ) – J’ai perdu ma virginité à 13 ans avec une fille de mon âge qui était vierge aussi, c’était comique, catastrophique et pataud au possible. Lorsque cela fut « fait », elle s’est allongée à plat ventre sur le lit et a écarté ses fesses en disant « Autant tout faire d’un coup »… Ca par contre je ne m’y attendais pas. 34 ) – En 1993 une femme a appelé chez moi en pleur, suite à une erreur de numéro,elle cherchait à joindre son « amant » qui l’avait largué parce qu’elle était frigide. Nous avons passé la nuit à parler au téléphone, pour la rassurer et la calmer. Quelques jours plus tard nous avons fini dans le même lit, je ne sais pas si je suis un bon amant ou pas, mais une chose est certaine… Elle n’était pas frigide du tout…. Quand je vous dis que j’aime les machos. 35 ) – J’ai plus d’amies que d’amis, j’ai couché avec toutes sauf une, je ne sais pas qui a dit que coucher avec un(e) ami(e) brisait l’amitié mais dans mon cas c’est absolument faux. 36 ) – J’ai pleuré il y a peu pour une des plus belles déclaration d’amour que l’ont m’ai faite. La dernière fois ce fut pour la naissance de ma fille. 37 ) – Une femme m’a fait une fellation dans un pub bourré de monde, une fois la chose faite, en essuyant ses lèvres, elle m’a dit : « Je m’appelle Stéphanie, ravie de faire ta connaissance »… Et moi donc !!! 38 ) – En 3eme j’ai obtenu le 2eme record d’heure de colle d’un lycée, 365 heures en une année, le recordman est mon meilleur ami, forcément on était toujours ensemble en colle, 366 heures… Je le surnomme « Bissextile ». 39 ) – Les blagues nulles me font rire aux éclats, car elles n’ont aucune prétention, même pas celle de faire rire. 40 ) – J’aime les gens humbles, ils ne peuvent que surprendre alors que les prétentieux ne peuvent que décevoir. 41 ) – J’aime me lever tôt, voir le soleil se lever au calme en silence en sirotant un thé, pendant de très longues minutes ou des heures. 42 ) – J’aime m’endormir extrêmement fatigué, éreinté, les sensations sur la peau sont merveilleuses et cela me provoque des secousses hypniques, sensations que j’adore. 43 ) – J’ai eu un serpent, un boa arc-en-ciel, j’ignorais que c’était une espèces protégée à l’époque, que j’avais baptisé « Saphir ». Un animal tout à fait fascinant quand on étudie son mode de vie. 44 ) – J’aime les livres, les films, les œuvres d’art qui soulèvent des questions, pas ceux qui apportent, ou tentent d’apporter, des réponses. 45 ) – La première fois que j’ai joué avec de vraies menottes, nous nous sommes endormis avec l’un attaché au poignet de l’autre. Au petit matin nous n’avons jamais retrouvé les clés. Nous étions nus et dans une chambre d’hôtel. 46 ) – J’ai touché à un peu toutes les drogues possibles, des plus douces au plus dure, la plus insidieuse de toute est réellement l’alcool. 47 ) – C’est la 8eme fois de la journée qu’elle m’appelle pour me faire entendre ses orgasmes, il n’est que 15h30… La journée va être longue. 48 ) – Le dormeur du val. 49 ) – Smoke get in your eyes. 50 ) – J’aime une femme comme il y en a peu. 51 ) – J’ai triché il n’y a pas de N° 28…Donc ce 51 est le 50eme. RAPPEL DES REGLES DU JEU : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur "j'aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné 2) me dédicacer le titre de la manière suivante " x choses sur moi pour Ombre" 3) le publier dans la section " articles" 4) me le faire savoir Vous devez indiquer la même règle du jeu avec le texte et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur "j'aime" pour votre texte. À vos Liiiiike... Prêt... Feu... CliquezzZ!
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Par : le 24/05/16
Peine et Tration Février 2006 A cette époque je portais, tout juste, le collier de considération, le BLEU, le premier qu’une soumise porte. J et moi avions convenu d’une date, 3 mois à l’avance, et j’avais choisis mon nom de « baptême » seule, mais en en parlant avec lui, « seule » signifiant ici qu’il m’avait dit que le mot de la fin me revenait. Ce nom m’était venu tout naturellement en pensant à cette phrase qu’il me disait et que j’adorais, surtout quand je le mettais en colère, matière dans laquelle j’excellais… Une « attachiante » _____________________________________ Toujours à abuser de la patience des gens, surtout la sienne, cherchant la punition à tout prix. Pas heureuse tant que ce n’est pas tombé. Parfois quand j’abusais vraiment, ça gueulait... - « S. TU ME FAIS CHIER !!!! » Alors je plongeais sur mon coussin, à genoux, repentante. Je réalisais que j'avais abusé. - « Tu m'empoisonne la vie... » Je pleure... - « Mais c'est un délice. » Je l'aime… (Depuis je me suis assagie, étant bien plus « Délice »… Mais « Poison » est toujours là dans l’Ombre, prête à lui rappeler à tout moment, avec mes désobéissances, qui est le Maître… Lui, bien sur.) _____________________________________ Ça c'était imposé naturellement, "Poison-Délice". Je l’avais regardé en souriant et lui demanda : - « Que penses-tu de Poison-Délice ? » Il éclatât de rire. - « Penses y bien… Mais je ne crois pas que tu puisses trouver mieux. » Pour le reste, j’étais frustrée, il se chargeait de tout organiser et je n’étais au courant de rien. Il estime, à juste titre je pense, qu’une Soumise n’a qu’une chose à faire et à assumer à la perfection, le bonheur de son Maître, ce qu’il estime être une tâche pointue et extrême, aussi tout le reste il l’assume lui-même. J’étais donc frustrée… Et inquiète. Qu’allait-il se passer ? On me plongerait dans une baignoire ? Et la robe ? Je ne l’essayais pas ? Me plairait-elle ? Ce sera où ? Y aura des invités ? Qui officie ? Un curé ???? Un pope ? Un diacre ? Un pasteur ?... Une nonne ????? Ho mon dieu !!!! Le nombre de questions que je me suis posée…. Vous n’imaginez même pas. Durant les 3 mois qui suivirent je passais énormément de temps à genoux sur mon coussin… Ma forteresse… Là où je suis parfaitement protégée… Mon havre de paix…. Je cogitais comme une malade à ce qu’il allait se passer. (La soit distante passivité de la soumise… Hum !!!! Rien n’est moins passif qu’une soumise à genoux sur son coussin.) Bref je stressais comme une malade et le lui faisais « payer » par mon comportement, les punitions pleuvaient presque tous les jours. _____________________________________________________ Le jour venu J me retira mon collier le matin, nouveau stress (bon sang le con !!!), et me dit que j’étais libre jusqu’à ce soir 17h00. Libre ? A quel point ? Il déconne là ? - « Libre je fais ce que je veux ? » - « Oui. » - « Libre,… Je sors et je me tape un mec ? » Dis-je en le provocant. Il fouille dans le tiroir de la table basse de la chambre et me tend une poignée de capotes. Ah non, il ne déconne pas… Je suis libre, je fais ce que je veux. Je passe la journée à flâner en ville, essayant de ne pas penser, me détendre, dans un jardin public, un musé, je prends le soleil, lit un bouquin à la terrasse d’un café, appelle une amie pour me rejoindre…. Elle vient. J’éprouve le besoin de me confier, je n’ai jamais parlé à personne du type de relation que je vis avec J. Je lui explique ce que je vis et ce qu’il se passera ce soir (malgré le fait que je n’en sache rien)… Elle hallucine. - « Tu déconnes là, S ? » - « Non. » - « Tu vis ça avec J ? » -« Heu… Oui… Ça te choque ? » - « Non… Je t’envie… » Nous éclatons de rire, ce qui a pour effet de faire reculer deux types qui venaient vers nous, peut-être pour nous draguer… Tant mieux, je n’avais vraiment pas envie de ça aujourd’hui. 17H00. Je tourne la clé dans la serrure, mon cœur bat à tout rompre… Est-ce maintenant ? Non l’appartement est calme, il est là, à son bureau, j’enlève mon blouson et me dirige vers mon coussin… Il m’arrête d’un claquement de doigt sans même lever les yeux sur moi. -« Tu as quoi à ton cou ? » Bon sang !!! Il est con ou quoi… Il m’a enlevé mon collier ce matin. - « Ben… Rien… ». - « Alors fout la paix à ce coussin, t’es pas une Soumise… Ton bain t’attend. » Merde, j’ai plus droit à mon coussin… M’en fout, je me vengerais dans le bain… L’eau est chaude, un peu trop, je dois avoir quelques minutes d’avance... Pas grave c’est supportable. Parfumé aux essences d’Ylang et d’Orange, comme j’aime. Quelques bougies, ça et là dans la salle de bain. Je cogite… Non, je ne cogite pas… La chaleur du bain a raison de moi… Je me laisse aller. Je mijote… Je cuis… Je me ramollis… Comme un ravioli chinois… Toc… Toc… Toc… Il tape à la porte… Il tape à la porte ? IL TAPE A LA PORTE ?????? Ah oui j’oubliais, j’ai plus mon collier… Mais bordel il fait comment pour passer de l’un à l’autre comme ça ? Il est le Maître… Il maitrise… Après que j’ai dis « oui », il entre, s’agenouille prés de la baignoire et s’inquiète de savoir si tout va bien. Il me dit de me faire belle et que mes vêtement m’attendront dans la chambre puis sors. Plus tard, je sors du bain… passe de la crème… réajuste mon épilation … Me maquille. Il pousse la porte de la salle de bain pour voir où j’en suis, j’en suis au mascara, je m’arrête et le regarde dans le miroir. Il referme la porte en s’excusant… Je l’aime pour ça, il a cette délicatesse de savoir quand une femme ne veut pas être vue, un moment intime, le maquillage. Je n’avais jamais rencontré d’homme avant ayant cette délicatesse et cette compréhension de l’esprit féminin. J’entre dans la chambre et regarde les vêtements qu’il a préparés… Je ne sais pas où cela va se passer mais j’espère que ce sera chauffé. Sur le lit s’étalent une paire de bas nylon, un porte-jarretelle et un soutien gorge, tous noirs. Au pied du lit trônent mes escarpins à brides. Je prends le temps de m’habiller, un bas, puis l’autre, le porte-jarretelles, le soutien gorge, mes escarpins. Ne sachant pas quoi faire je m’assois sur le lit et attend – fallait pas m’enlever mon coussin, non mais – il ouvre la porte au bout de quelque minutes, me tend la main, j’ai le reflexe de vouloir m’agenouiller et d’embrasser sa main, il tire fermement pour me forcer à me lever, puis me contemple. Après avoir glissé à mon oreille un mot de félicitation il m’entraine dans le couloir, sort de la penderie mon grand manteau, en laine, noir et m’aide à l’enfiler. _____________________________________________________________ Nous arrivons presque une heure plus tard devant un pavillon, il ouvre la porte de la cour et nous empruntons un escalier qui descend à la cave. Nous nous arrêtons devant la porte. J’entends des voix derrière, trois personnes au moins, je me mets à trembler, pourvu que je sois à la hauteur. La sacro-sainte peur de ne pas être à la hauteur, de décevoir. Il serre ma main, ce qui a pour effet de stopper mes tremblements. - « Ça va ? » Demande t-il, en souriant ? Je secoue la tête affirmativement. Il continue. - « Écoute, c’est très simple, nous allons entrer, je t’enlève ton manteau et tu te présentes à ces gens comme tu sais le faire. » - « C’est tout ? » Il sourit à nouveau… Ok, compris, c’est après que ça va se « gâter ». Mais qu’est ce qu’il m’arrive ? Je mouille… On vient juste de me dire que je vais m’exhiber devant des inconnus et moi… Je mouille. Il ouvre la porte, j’inspire profondément et le suis, je me remets à trembler… Ils ne sont pas trois… Mais dix, sans nous compter, trois Maîtres et leur soumises en laisse, une Maîtresse et son esclave, deux autres hommes seuls plus au fond dans la pièce, dont mon Mentor, ça me rassure un peu. C’est un véritable donjon, une croix de Saint-André, un carcan, deux tables, dont une est garnie d’objets divers, martinets, chaines, poids, masque, menottes, etc… Certains qu’à l’époque je ne connaissais même pas… Présentation issue directement de l’inquisition, on montre les instruments de torture aux futurs suppliciés. J’inspire profondément, il m’aide à retirer mon manteau, me voila presque nue devant eux. Je fais trois pas, me place au centre de la pièce, leur tourne le dos, puis me penche en avant, mains sur les genoux et me cambre. J’ai l’impression que mon cœur va exploser dans ma poitrine. J s’approche de moi, une ceinture en cuir à la main. Il se penche et me parle doucement. -« A qui appartiens tu ? » - « A toi. »… Merde !!! C’est sortit tout seul. La ceinture claque sur mon cul. J’étouffe un cri. Il répète -« A qui appartiens tu ? » - « A vous. » dis-je dans un soupir. Sa main caresse ma fesse, à l’endroit même où la ceinture a claqué. J’entends les gens se lever derrière moi. J se place devant moi, il n’a plus la ceinture dans les mains. -« Tu diras ‘merci’ à chaque coups. » Et ça commence, chacun y va de son coup de ceinture, plus ou moins fort, plus ou moins leste, plus ou moins sèchement. Les « mercis » sortent naturellement les uns derrière les autres. Il ne me quitte pas des yeux, j’ai planté mes yeux dans les siens, c’est en lui que je puise la force nécessaire à cela. Son regard noir qui peut être si dur est doux là, plein d’amour, de fierté et de compassion. Tel un vampire je puise avidement dans son océan de confiance, la force dont j’ai besoin. Un océan, profond, insondable, calme, apaisant, mais capable de déclencher des raz de marée, une force de la nature qui fascine et que l’on craint. Mes fesses me cuisent. Je n’ai pris que huit coups, quatre sur chaque fesses, apparemment les deux hommes du fond n’ont pas du se joindre aux « fesses-tivités »… Mon Mentor c’est normal… Mais l’autre type… Il fait quoi là ? J me tend la main et m’aide à me redresser. On jette un coussin à mes pieds, réflexe, je plonge, vite, à genoux dessus, mon refuge, mon panier, là où je me sens bien. Je baise le dos de sa main et pose le front dessus. J’entends une femme glousser derrière moi, surement la Maîtresse. - « Bien dressée… » Je n’entends pas la fin de la phrase. Et hop !!! Mon petit égo qui gonfle… Bien sur que je suis bien dressée, je ne suis pas la soumise de n’importe qui. On passe un masque sur mes yeux, désormais je ne verrais plus rien. D’un coté cela me terrifie… D’un autre cela m’apaise. Je ne pourrais plus voir ce qu’il va m’arriver, mes yeux seront les siens, je sais qu’il veille sur moi et que rien ne peu m’arriver. Il a prit le relais… On me colle un objet sous le nez… Instinctivement je renifle… C’est du cuir… Du moins, je crois. On soulève mes cheveux, je baisse la tête, on me passe un collier. Je me prosterne… On me relève, un cliquetis… Une laisse… Dieu que je me sens bien, je redresse le cou, fière et droite. On m’enlève mon soutien-gorge, des pinces sont placées sur mes tétons, me faisant haleter. On me promène dans la pièce, on ? Qui on ? Lui surement, qui d’autre ? Il me promène, m’exhibe, cul à l’air, surement rougit, la femme s’efface, pour laisser la catin à sa place. Je prends confiance, mes pas se font déliés, une pouliche. J’entends des mots, je ne comprends pas tout, on me touche, me caresse doucement, pudiquement, parfois moins. On a du me faire faire le tour de la pièce, on m’attache de face sur la croix. On me donne encore de la ceinture, du martinet, de la règle, de la corde (le plus désagréable), tous, les un après les autres, j’exulte, une main fouille mon sexe ruisselant, ce n’est pas celle de Mon Maître, c’est certain, la même main vient sur ma bouche et m’abreuve de ma cyprine. Je suis godée, plugée, tripotée, pincée… et bien d’autres « ée ». Je sens des picotements sur ma cheville droite… Légers au début ils se font de plus en plus forts et remontent à une vitesse fulgurante le long de ma jambe, ma fesse, mon dos, mon corps se cambre violemment, je tire sur mes liens, je hurle… Je n’ai jamais connu cela… J’apprendrais plus tard que c’est une roulette de Wartenberg (depuis j’en suis folle). Ca recommence sur ma cheville gauche, cette fois ci je connais la sensation… Mon corps réagit quand même violemment malgré moi, moins que la première fois. Puis on me laisse sur ma croix… J’entends d’autres coups, d’autres cris, d’autres plaintes, d’autres soupirs, d’autres halètement, de peaux qui claquent l’une contre l’autre, des odeurs de cuirs, de sexe, de sueurs, des phéromones qui me font saliver, les autres soumis ont surement droit à des faveurs aussi… J’en ai le ventre qui se tortille. Peu à peu les sons s’estompent… J’entends des pas, des talons qui claquent, je sens une main saisir la mienne, c’est celle de mon Maître… Un silence de cathédrale s’impose… J’angoisse un peu. J’entends un long sifflement immédiatement suivit d’un claquement qui résonne dans la pièce. J’ai peur, je serre la main de mon Maître, nouveau sifflement, nouveau claquement… Je vais être fouettée. Les images de martyres romaines de mon enfance défilent dans ma tête. Celles qui, petite fille, me rendaient honteuse parce qu’elles provoquaient en moi une excitation que je ne comprenais pas, je la comprendrais plus tard avec mes premières fessées données par mon père. J’avale ma salive et tente de me détendre. Celui ou celle qui manie le fouet le fait siffler inlassablement… Cette attente est atroce, ne sachant pas quand ça va tomber… Un premier coup tombe sur ma fesse droite. Je me crispe, l’impression d’avoir été coupée en deux par ce serpent de cuir à la morsure brulante. Puis la lanière se retire en glissant, occasionnant une caresse furtive … Je souffle pour évacuer la douleur, ça cuit, l’impression de sentir ma chair gonfler, une chaleur qui m’enivre, j’ai la tête qui tourne, je suis bien. Je repense à cette litanie : « Il faut souffrir pour être belle. ». J’en veux encore, ce soir je suis la plus belle, c’est certain, merci Maître. Ma fesse gauche a le droit au même traitement, pas de jalouses les filles, chacune sa morsure. Je ne sais pas si c’est un hasard ou si la personne qui manie le fouet est précise (j’apprendrai bien plus tard qu’il est diablement précis). Les sifflements s’estompent… Pour la première fois je n’aurai droit qu’à deux coups. On fera subir à ma chatte et à mon cul bien d’autres outrages qui me laisseront dégoulinante… Puis on me détache, me tourne et me rattache, face au « public ». On retire mes pinces, mes tétons sont tellement douloureux que je les sens à peine, dur comme du bois… Je les sens à peine ? Ah non… Je ne sais pas ce qu’on fait à mon téton gauche, mais la sensation est horrible, on me passe quelque chose dessus, je suis incapable de dire ce que c’est mais c’est douloureux, j’ai l’impression qu’on me l’arrache avec une tenaille. Puis je sens ruisseler de l’eau froide sur mon sein… C’est un simple glaçon… Du coup je n’ai plus mal du tout… C’est dingue comme une douleur peut disparaitre lorsqu’on analyse la sensation. On passe une matière douce sur mon sein… Une odeur bizarre monte à mes narines… Je connais cette odeur mais je suis incapable de dire ce que c’est. On me retire mon masque… Je cligne plusieurs fois des yeux, me réhabituant à la lumière, les quatre Maîtres sont autour de moi avec leur soumis en laisse à leur pieds. Dans le fond de la pièce mon Mentor qui n’a pas bougé, il me sourit. Mon Maître me caresse la joue tendrement. L’homme qui se tenait à coté de mon Mentor s’approche de moi, il porte des gants en latex et a une longue aiguille, dans la main, qui m’horrifie, je tire sur mes liens par réflexe en réalisant ce qu’il va faire, j’étouffe un cri dans ma gorge, je suis terrorisée. - « Couleur ? » Demande mon Maître. Je tremble, je ne sais pas, ma bouche échappe à mon contrôle. - « Couleur ? » cette fois il a ordonné. Ma réponse claque. - « Vert !!! » Il regarde l’homme et acquiesce du regard. L’homme saisit mon sein, je lève les yeux et fixe le plafond en inspirant. Je sens un choc, une brûlure fugace, un frottement. Au bout de quelques secondes il recule. Je baisse les yeux, un anneau orne mon sein… Je n’ai quasiment pas eu mal. On passe une chainette dorée dans cet anneau qu’on relie à mon collier. Puis on me détache, mes jambes flageolent, je manque de m’écrouler, elles ne me portent plus les traitresses, Mon Maître me prend dans ses bras et me porte jusqu’à un grand fauteuil en cuir dans lequel il m’installe doucement, puis il déploie une couverture sur moi... Je maudis tout haut, mes jambes qui m’ont trahie, les garces, et ne m’ont pas permise de m’agenouiller. Mon Maître regarde sa montre, puis me sourit. -« Ca a duré 6h00 presque… » Ah !!! Le temps a filé… Il tient ma main dans la sienne et me caresse les cheveux. Une douce torpeur m’envahit, je ferme doucement les yeux… Les sensations s’emmêlent… Les douleurs, les excitations, les orgasmes, et bien d’autres… J’entends des voix autour de moi, elles résonnent, je ne comprends pas ce qui se dit. Je ré-ouvre les yeux quelques minutes plus tard, ils sont tous autour de moi, un verre à la main, on m’en tend un, on trinque, on me félicite, Mon Maître et mon Mentor surtout, on prononce mon nouveau nom de Soumise. Mon Maître me fera l’amour dans ce fauteuil, faisant de moi son calice, répandant ses liqueurs au plus profond de mon ventre, aux yeux de tous. Quelque chose de doux, de tendre, de sensuel, avec un orgasme commun où pendant quelques secondes nous ne formons plus qu’un… Nous devenons « Luimoi ». « Poison-Délice » venait de faire son entrée dans ce monde de luxure et de raffinement. ________________________________________________ Une intronisation est un moment merveilleux dans vie d’une soumise, un baptême, une naissance dans ce monde plein de codes et de traditions. La mienne avait durée six heures, fut fabuleuse et troublante et a réellement changée ma vie. Certaines choses vous marquent. Il y avait moi avant et… Il y a aura moi après… Plus jamais la même. ________________________________________________ Plusieurs minutes ou heures sont passées, j’ai récupéré, il est temps de rentrer. Je me lève, Mon Maître me remet mon manteau sur les épaules… J’oublierai mon soutien-gorge. Il me sourit… Je connais ce regard… Il a encore un truc derrière la tête. - « Ton collier te plait ? » Je n’en sais rien, on me l’a mis j’avais les yeux bandés, je réalise que je ne l’ai pas vu. Je ne m’en souvenais même plus. Il y a un miroir à coté de la porte d’entrée, j’écarte le col de mon manteau et le regarde… Les larmes me montent aux yeux… Il me prend dans ses bras, j’éclate en sanglots… Il est… ROUGE.
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Par : le 03/02/16
1. Je me suis déjà pliée à cette exercice, sous un ancien profil alors je réitère ici. 2. J'ai 25 ans, je suis maman d'une petite fille de 6ans qui est ma fierté, mon petit bonheur quotidien. 3. Mon Amour en a 2, nous formons une belle famille recomposées, c'est un travail quotidien pour arriver à ce que cela fonctionne et que chacun trouve sa place, mais on s'en sort très bien au final 4. Je commence ce portrait en parlant de ma famille parsque celle ci est mon piliers, ma force, la chose qui as le plus de valeurs à mes yeux. 5. Je suis une catastrophe ambulante, j'ai deux mains gauches et la tête dans les étoiles, ce qui ne doit pas être évident à gérer tout les jours pour les gens qui m'entoure, rire. 6. Je suis une personne créative, avec tout ce que cela implique, rêveuse et désordonnée, impulsive et passionnée. 7. J'ai toujours eu le sentiments de ne pas être à ma place, je me suis souvent sentie "de trop" sûrement du à un grand manque de confience. 8. Je suis une ancienne "toxico", j'ai écumé les raves à partir de 13ans, en avalant toute sorte de pilules et poudres diverse.. Quand je vois ce que sont devenu certaines de mes connaissance de cette époques de ma vie, je me dit que j'ai eu de la chance et que je peut être fière de mon changement de cap! 9. Je suis borderline, toujours en constante recherche de limite, même si avec l'âge je devient plus réfléchi maintenant. 10. Du plus loin que je me souvienne j'ai toujours eu des fantasme bizarre, dont la moitié me sont toujours inavouable ^^ 11.j'ai une sainte horreur de parler de moi, l'exercice devient difficile la pour le coup.. 12.je suis une personne très emphatique, amoureuse de l'autre, je veux croire que les gens ne sont pas si mauvais, et je vit en suivant mon coeur, même si cela m'a valu quelque claques, les expériences positives me force à ne pas changer ma perception de l'autre. 13. Je m'intéresse énormément au religions en général, car même si je ne suis pas croyante, je pense qu'il y a quand même une force, un truc qui nous échappe et qu régi quelque part notre univers. 14.je suis un fan des romans d'amour. J'ai des bouquins dans tout les coins de la maison! Même si j'aime lire des chose plus.. Intelligente, ce genre d'histoire me fait rêver,rire, sourire.. Bref me permettent de m'évader. 15. Je suis très éclectique en musique, dans ma playlist on retrouve en vrac du Louise attaque, Émilie Simon,lauryn hill,orelsan,soad,bachar Ma-kalifé... 16. Je vais faire une pause, la je ne sais plus quoi raconter pour le coup ^^ 17. Reprenons: je suis une emerdeuse, demandai à Bailons, il pourra vous dire à quel point je peut devenir insupportable 18. Je suis une Salope. Une vrai. J'aime le cul comme pas possible, une vrai chienne en chaleur, toujours exciter. 19. Pendant une période de ma vie j'ai eu un nombre pas possible d'amants.. Impossible pour moi de les compter, je suis sur que j'en oublierai la moitié. 20. J'ai eu ma première expérience sexuel avant mes 14ans. 21. J'ai eu ma première aventure bisexuel à 14ans 22. Ma premières expérience à 3 à même pas 15ans et ce fut aussi ma première approche plus ou moins bdsm, même si à ce moment là je n'en avait pas conscience. 23. Pour moi le Bdsm est une chose inextricablement rattacher au sexe.. 24. Je suis maso mais ne l'assume pas. 25. Je suis sadique mais cela est nouveau pour moi. 26. Je l'ai déjà dit, mais, la première fois que l'on m'a mis des menottes j'ai fait une attaque de panique. 27. J'adore danser, même si je ne sais pas le faire (et oui, deux mains gauche, deux pieds gauche^^) 28. En plus d'être une Salope, je suis une allumeuses. 29. Je n'ai jamais pris l'avion. 30. J'adore, le thé, je peut en boire des litres à longueur de journee. 31. J'ai actuellement les cheveux Hyper court. Mais je les est eu long, tressée, rose,violet,bleu, raser à moitié ou entièrement.. J'aime changer de tête et me réinventer au gré de mes envies. 32.je me suis faite percée une 15 de fois mais il ne m'en reste plus que 3. 33. J'espère cette année faire plus de rencontre avec les gens d'ici. Mettre des visages sur les pseudo avec lesquels je discutés, voir si cela match autant en vrai que derrière l'ecran.. 34. J'adore les dessins animée! 35. Enfin au bout de ce satanée portrait, ça tombe bien je ne savais plus quoi vous dire! RAPPEL DES REGLES DU JEU : ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur "j'aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1)écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné 2)me dédicacer le titre de la manière suivante " x choses sur moi pour lilirose" 3)le publier dans la section " articles" 4)me le faire savoir Vous devez indiquer la même règle du jeu avec le texte et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur "j'aime" pour votre texte
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Par : le 10/01/16
Le fouet clac A genoux devant son MaÏtre Le maître lui pose doucement la cagoule Les poignets menottés L'attache à leur arbre. Le fouet clac. Dévêtue elle est là.. Ses fermes fesses offertes. Reins cambré Le fouet clac. Sans plus voir, Les sens ouverts L'ouïe à l'extrême L’odorat en éveille Elle cherche le Maître Son Maître. Le fouet clac L'herbe se froisse Les feuilles les branches craquent Sous les pas du Maître Le fouet clac Les mains du Maître se posent, Sur ses reins, Ses fesses ferme et craintive pour " une fessée " pense t elle..! Le fouet clac. Attentif au frémissement Le Maître fait silence Le vent vient caresser ses reins Comme il fait frissonner les feuilles Le corps de soumise ce cabre Le fouet clac L'embout mord la peau Effleure les chaires Embrasse les fesses En de vif mouvement du poignet du Maître Le fouet clac Rougie la blanche peau Les gémissements sont doux N'expriment que le plaisir qui naît La jouissance monte Et remplace que qui fut morsures En une douce douleur Le fouet clac Le Maître attentif, écoute, Les petits râles Les petits gémissements Les petites suppliques De jouissance qui sortent Du fond corps de soumise Le fouet clac La peur La crainte L'angoisse Remplacés pas le désir Le corps ce cabre Se tend vers le fouet Cherche et attend ce dernier Avec désirs Avec envie. Le fouet clac Maître de son poignet Maîtrise son fouet Pour le faire aimer Soumise à découvert Comment vaincre ses peurs Le fouet clac Né maintenant la confiance En son Maître Le fouet se tait Les mains entour Les belles fesses rondes Rougie, rosie Un doux et ferme massage Repartie la chaleur Les rougeurs Le membre du Maître se pose Sur la fente humide Les Mains du Maître S’accrochent aux hanches de Soumise Le Maître tire fortement Soumise à LUI Et s'enfonce dans les Abysses Chaudes et trempés de Soumise Le Maître possède Soumise maintenant Longue est la saillie Le Maître ensemence Soumise Le Maître est satisfait Soumise libéré viens ce blottir contre son Maître Le corps tremblant De plaisir du solde de sa jouissance Le Maître s'inquiète de la douleur Soumise le rassure de son plaisir reçu le maître tendre calme la jouissance de soumise le fouet est rangé il sommeil maintenant. Première séance de fouet de ma soumise en foret . Maître-C78
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Par : le 15/11/15
Un de mes textes publiés ailleurs Une femme n'est pas qu'une petite chose gentille, tendre, ronronnant et ondulant comme un chaton pour plaire ! Et une femme dominante, quand elle ne se montre pas franchement autoritaire, est souvent sexy, désirable, et représente un défi, souvent la réalisation d'un fantasme lors d'un moment exceptionnel. La séduction : Une femme marche souvent aux coups de cœur. Mais parfois le gibier se fait rare. En période de disette, si elle découvre un homme qui peut être intéressant, faute de mieux, et dans le doute, elle ira l'étudier avec l'acuité d'un entomologiste passionné par son sujet. Les tests : Se montrer impolie, désagréable : (donc tester les limites), ou essayer de le mettre en colère Poser un lapin Tenter de rendre jaloux Elle parle de sexe directement, histoire de déstabiliser l'homme (eh non, chez une femme, parler sexe ce n'est pas faire des avances) Lui demander combien il gagne, quel auto il conduit : tester vos valeurs et/ou son porte-monnaie Lui demander s'il est gay : façon de découvrir si vous êtes à l'aise avec vous-même. Bon, le Monsieur a réussi les tests... Mais peut-être faut-il rajouter le fameux "je ne couche pas le 1er soir", délicate merveille de perversité féminine emballée sous un papier de soie de convenances ? La femme un chouia dominante a une caractéristique : elle prend le contrôle des choses, fermement, mais avec assez de subtilités que vous n'y verrez que du feu. C'est ce qui la différencie de la femme autoritaire. Elle prend les initiatives, elle sait ce qu'elle veut ! Mais enfin, ça y est, MONSIEUR est dans la place, enfin, dans la chambre de Madame (Enfin, ça, c'est s’il ne s'est pas fait violer avant !!!) Donc, assis du bout des fesses sur une courtepointe de boutis rose, un peu interloqué, il voit la dame de ses pensées présentes, câline mais déterminée, lui retirer ses vêtements. Détail significatif : elle laisse la cravate. Et voilà l'homme toutou d'un soir, assez décontenancé. Elle-même se charge de retirer ses vêtements, langoureusement. Vous tentez de la toucher, elle esquive gracieusement. L'homme se rend assez vite compte qu'il n'a plus qu'à abdiquer. Quel homme n'a pas rêvé, au moins une fois dans sa vie, de s'abandonner ? Et l'important, l'essentiel, le primordial, pour un homme, est de faire l'amour. Et tant que la femme n'essuie pas ses escarpins sur sa fierté comme sur un vulgaire paillasson, aucun risque qu'il se rebiffe! D'autant que la dame, sous ses façons autoritaires, ne lui veut que du bien : lui faire l'amour. Elle prend les initiatives des caresses, des baisers. Peut-être lui passera-elle des menottes fourrées aux poignets, pour le lier aux barres de cuivres de son lit, réalisant ainsi un de ses fantasmes secrets ? Ou pourquoi pas, prendra-t-elle peut-être l'initiative de le masser, jouant avec ses sens et ses zones érogènes ? Lui bandera-t’elle les yeux, vous faisant picorer des douceurs, avant d'offrir sa propre intimité à déguster dans un face-sitting ? Au terme des préliminaires, où Madame, par de savantes manipulations, de caresses avisées en fellations raffinées a mis en forme sa monture impatiente, dont le vit turgescent vibrant comme un ludion supplie désespérément qu'on daigne lui offrir un nid douillet ou une délivrance à son heureux calvaire, vient enfin l'instant T des chevauchées coquines. Une femme dominante, c'est une femme qui se place au dessus, et qui s'y maintient. Si elle est parvenue à attacher l'homme, aucun risque qu'il ne retourne la situation, au propre ou au figuré. Cela dit, sa situation à lui reste toutefois enviable! Nombreuses sont les positions possibles et délicieuses. Elles offrent également moins de risques d'éjaculations prématurées, et la possibilité pour la femme de stimuler à loisir son clitoris. Les inconvénients : Le risque un poil accru de fracture pénienne, incident toutefois rare, mais qui vous enverra derechef finir la soirée aux urgences. Mais revenons plutôt à nos amants ! Puisque Monsieur est sans défense, Madame peut décider d'explorer plus en avant. Un mini vibro posé sur des boules à l'écoute ou la rose de Monsieur peut être une sensation terriblement excitante! Madame peut aussi se révéler sacrément délurée, et profiter de son état de faiblesse momentané pour tenter des privautés parfaitement inconvenantes, et aller taquiner du doigt votre prostate. L'orgasme prostatique est souvent intense, et peut être multiple. Le 1er set joué, comment et pourquoi ne pas tenter d'enchaîner sur un second ? Ce qui est parfaitement possible si le Monsieur est en verve et spécialement excité. Il suffit parfois de discuter un peu d'inflation, pour que le tour soit joué...
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Par : le 28/10/15
Faits Divers - Boulogne En pleine journée, étrange mésaventure pour un jogger du bois de Boulogne (Extrait du quotidien "le libertin libéré") Hier matin un incident inédit est venu perturber le jogging d’un (malheureux ?) jeune homme. L’aventure nous a été rapportée par mademoiselle B. que nous avons pu rencontrer suite à sa déposition, certainement sans suite d’ailleurs, qu’elle fit au commissariat de la ville de Boulogne en périphérie immédiate de Paris. « Hier matin, je courrais comme chaque Dimanche autour du lac du bois de Boulogne. J’entretiens ma forme car je suis volleyeuse. J’ai d'abord dépassé un groupe de trois femmes, elles parlaient beaucoup et plutôt fort pour bien pouvoir courir, puis j’ai croisé un jeune homme en sens inverse, je me souviens m’être dit qu’il avait belle allure, je crois même que l’on a échangé un bref sourire. J’ai continué sur quelques foulées, et puis j’ai eu envie de le voir de dos, sans penser à plus, alors je me suis retourné au moment ou il croisait le groupe de femmes. Et alors que je m’attardais, je fus surprise de voir que les trois femmes, après avoir bien détaillé l’homme, se sont regardées et ont fait demi-tour en riant. Je pense qu’elles l’ont interpellé car il a ralenti et il s’est arrêté. L’ayant rejoint elles l’ont entouré et tout en continuant à rire elles l’ont poussé à l’eau ! Il a été bien surpris, mais elles l’ont aidé à sortir de l’eau et il n’avait pas l’air rancunier. Il semblait si doux le pauvre. Il aurait dû se méfier car alors qu’il tendait les mains pour remonter au bord l’une des femmes a sorti quelque chose de sa poche pendant que les deux autres lui ont saisi les poignets pour les lui tordre dans le dos. Un instant plus tard il était menotté ! » « Et vous ne vous êtes pas enfuie ? » « Ben non, elles ne s’occupaient pas du tout de moi et je m’étais mise derrière un arbre. Ensuite, heu… vous savez, si j’ai regardé c’est pour faire une déposition complète au commissariat hein ? » « Oui, oui, bien sûr, et ensuite ? » « Bon ensuite elles l’ont attaché à un arbre. Je ne sais pas d’où elles ont sorti la corde. Elles avaient l’air plutôt organisées, je crois » « C’était d’après vous une sorte de bande de malfaiteurs féminins ? » « Non, non, enfin oui peut-être. Mais elles avaient l’air de bien s’amuser surtout. Alors que lui s’inquiétait de plus en plus. Après elles ont commencé à le caresser de partout et à l’embrasser. Et elles le caressaient entre les jambes aussi. Elles se sont plus ou moins déshabillées, l’une d’elle s’est mise tout à fait nue, et elles l’ont déshabillé complètement. Elles ont arraché son tee-shirt et on baissé son pantalon. Et le plus étrange c’est que le jeune homme heu… avait une érection. Une belle érection même. Ensuite elles lui ont fait plein de choses incroyables, avec une branche qu’elles ont coupé d’un arbre à côté, puis elles ont utilisé son sexe à plein de choses. Enfin ça me gêne de dire tout cela. » « Je comprends très bien mademoiselle, mais encore ? Comprenez bien que nos lecteurs doivent être bien avertis de ce à quoi ils doivent échapper s’il leur arrivait pareille mésaventure. » « Oui bien sûr. Et bien elles l’ont fouetté sur tout le corps et sur le sexe aussi. Il aurait dû ne plus bander alors non ? Mais non, j’ai eu l’impression que c’était le contraire. Alors elles l’ont sucé longtemps et après elles ont placé leurs fesses face à son sexe et elles ...s’en sont servi. Enfin vous voyez ce que je veux dire. Elles continuaient à rire souvent et à commenter ce qu’elles faisaient. C’étaient certainement des folles vous comprenez ? » « Et comment tout cela c’est fini ? » « Et bien, je suis gênée… » « Vous pouvez parler sans crainte Mademoiselle, votre nom ne sera pas cité. » « Ah ! Et bien, à la fin, elles m’ont repéré bien sûr. Il faut dire que j’avais cherché à m’approcher un peu. Elles sont venues et m’ont tiré par le bras. J’ai eu très peur alors. Elles m’ont emmené auprès du malheureux et m’ont demandé si je voulais m’amuser un peu avec lui. J’étais horrifiée. Alors elles ont pris ma main et l’ont placée sur son sexe toujours dur et m’ont obligée à imprimer des mouvements. Il gémissait le pauvre. Et alors… heu… j’ai été obligée à commencer à embrasser son sexe. » « Elles vous ont forcé ? » « Non pas vraiment… Heu oui, oui, bien sûr ! Enfin, je me suis sentie obligée… moralement si je puis dire. Elles étaient autour de moi, et puis ce joli petit sexe, enfin pas si petit tout de même, il avait l’air de réclamer mes attentions, vous comprenez, et puisque j’y étais, autant faire de mon mieux non ? » « Oui, oui, bien sûr. Et ensuite ? » « Ensuite , je l’ai léché, délicatement. Alors qu’il était bien dur, sa peau était toute douce, je m’en souviens très bien. Il gémissait de plus en plus, alors je l’ai doucement pris dans ma bouche. J’étais à genou devant lui, alors cela m’a paru naturel. Puis j’ai imprimé des mouvements qui ont encore fait augmenter le volume de son sexe. Il bougeait pas mal parmi ses liens, ce qui fait qu’au bout d’un moment, il est sorti de ma bouche, mais je le tenais fermement de ma main. C’est alors qu’il a répandu plein de sperme sur mon tee-shirt. Je n’en avais jamais vu une telle quantité ! J’étais complètement trempée ! Alors elles ont eu l’air satisfaites et elles ont repris leurs menottes et sont reparties en courant. Je l’ai rapidement détaché, et lui ai proposé d’aller au commissariat. Mais il était bien trop timide et m’a dit que ce n’était pas la peine et qu’il était trop confus de ce qu’il lui était arrivé et du spectacle qu’il m’avait infligé. Il est parti sans en dire plus et je n’ai pu le retenir. Voilà c’est tout. » Aventure incroyable, ne trouvez-vous pas ? Si près de nos villes ! Reflet de notre civilisation décadente bannissant le respect des honnêtes gens. On ne soupçonne décidément pas la diversité des dangers qui menacent de simples adeptes de la course à pied ! De notre envoyé spécial Romain Leste lundi 26 octobre
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Par : le 23/08/15
A nouvelle désobéissance de ta part égal nouvelle punition c est ainsi que je te l annonce car je te soupçonne une fois de plus de chercher à te faire punir , ton amour de la fessée n y est sans doute pas étranger. Pourtant tu sais très bien que tu n as pas besoin de me désobéir pour en obtenir une mais il est vrai que ça fait bien une semaine que tu n en as pas reçu. Tu es là dans la chambre à genoux nue devant moi la tête et les yeux baissés me demandant de te punir pour ta faute , et comme je ne réponds rien tu insistes en prenant une petite voix presque enfantine , tu sais que cela me fait craquer mais non pas ce soir car je suis vraiment fâché contre toi , tu insistes de nouveau et je te coupe sèchement d un tais toi et ne bouge pas . Puis d une voix calme mais dure je t ai dis qu une punition oui tu vas en avoir une car tu la mérite vraiment mais ce ne sera pas forcément celle a laquelle tu penses et c est toi même qui va la choisir ... petit silence puis jai continué ... ne t emballe surtout pas trop vite attends moi je reviens te chercher mais avant je vais te bander les yeux et t attacher . Je me suis saisi de menottes et cordes et t ai attaché les mains dans le dos que jai relié à tes pieds le tout bien serré que tu ne puisses esquisser le moindre mouvement puis tai bandé les yeux et tai mis le baillon avec la boule dans la bouche , je sais ta position inconfortable au possible mais c est aussi le but et avant de sortir de la chambre jai pris tous les objets et autres ustensiles servant à nos petits jeux et toujours sans un mot j ai quitté la pièce en refermant fermement la porte derrière moi. Une fois dans le salon j ai déposé tous nos objets de plaisir sur la table les alignant les uns a coté des autres , c est fou comme on en a c est bien là que je m en rends compte , entre les martinets , fouets , badines , paddles , pinces en tout genre , plus ceux que j ai bricolé moi même , la table ne suffirait pas si je devais y ajouter tous tes godes et autres vibro , mais non pas de ça ce soir car c est bien une punition et non un moment de plaisir que je vais t infliger. Puis j ai pris des feuilles de papier que j ai découpé en petits carrés sur lesquels j ai écrit des numéros .... vu notre attirail le dernier chiffre a été le 19 , et ensuite j ai déposé chaque numéro devant chaque objet . Je n ai pu m empêcher de prendre des photos , sourire bien accroché aux lèvres , oui j étais content de mon imagination. Puis en faisant un maximum de bruit afin que tu t en rende compte je suis sorti faire un tour te laissant seule et sûrement déjà cogitant sur ce qui t attendait je le savais que trop bien , ton supplice commençait déjà. Une heure plus tard et de retour je suis venu te chercher et après t avoir détaché et enlevé ton baillon mais te laissant ton bandeau je t ai relevé sans ménagement t ai de nouveau attaché les mains dans le dos et t ai ordonné de ne parler que lorsque je te le demanderai. Tu avais du mal à marcher car tes muscles étaient encore ankylosés à cause de la position dans laquelle je t avais laissé si longtemps mais je n en ai pas fais cas et te saisissant par le bras t ai obligé a avancer. Une fois dans le salon et après de longues minutes de silence je t ai demandé de choisir un numéro entre 1 et 19 , rien de plus. Tu as choisis le 5 , très bon choix t ai je dit avec un rire moqueur , tu viens de choisir sans le savoir l un des objets que tu déteste le plus , je n ai eu de ta part qu un petit gémissement comme réponse. Tu ne pouvais le savoir mais c était la cravache que j avais bricolé et qui à chaque coup te faisait sursauter et gémir de douleur . Puis je t ai demandé de choisir un nombre entre 50 et 100. Tu as mis une longue minute avant de me dire 69 , hum petite coquine si tu savais ce qui t attend ... J ai moi aussi pris mon temps , de longues minutes avant de te dire que tu venais de choisir la cravache que tu déteste tant et que tu allais recevoir 69 coups de celle-ci mais qu en plus tu allais en même temps devoir compter les coups à voix haute et me remercier de ceux-ci et que si jamais tu te trompais ou oubliais de me remercier le compteur repartirait à zéro. Après t avoir fait mettre en position et t avoir posé une barre d écartement ouverte au maximum entre tes jambes j ai commencé a porter mes coups ne les espaçant que de quelques trente secondes entre chaque afin que tu puisses bien en ressentir l intensité mais aussi l appréhension de celui qui allait suivre . Tu as beaucoup gémis , pleuré et même crié de douleur mais jamais tu n as jamais utilisé ton safeword ni même m implorer alors que je te le demandais. Une fois ta punition finie je t ai détachée et prise dans mes bras et ce n est qu après quelques baisers que je t ai dit avoir été fier de ta force de caractère de n avoir point cédé et que tu étais pardonné mais que la prochaine fois se serait pire encore. Tu m as remercié de t avoir puni de cette façon qui bien que très dure et très douloureuse t avais bien fait comprendre qu il y avait certaines limites que tu ne dépasserait plus désormais , tu as ajouté savoir l avoir bien mérité et t excusais encore une fois d avoir fauté si gravement ...
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Par : le 18/07/15
Le bondage en pratique Bras, jambes, seins... On s'encorde chaque partie du corps de manière à accroître le désir et exacerber le plaisir. Les experts du genre vont jusqu'à rendre la chose esthétique en se ligotant minutieusement, avec soin et selon une technique particulière. La manière de nouer est réfléchie et s'inspire des noeuds marins. Pas de saucissonnage, donc. Le but ? Sublimer le corps. On se noue sensuellement. À savoir : les liens maintiennent simplement le corps dans la position voulue. Pas question d'avoir mal. J'utilise quoi? Corde traditionnelle, lanières de cuir, menottes, ruban adhésif... ou pourquoi pas, recycler la corde à linge. Attention tout de même à ne pas se retrouver dans les pages "faits divers" ! Les novices, on se calme ! Avant de courir s'inscrire à la BDSM (association "Bondage Discipline Soumission Masochisme"), il est important de prendre conscience des dangers que peut comporter ce jeu sexuel. Sous certaines formes, le bondage présente un vrai danger pour qui le pratique n'importe comment. Ainsi, ne vous adonnez pas au "Breath play" (on s'étrangle avec une corde pour suspendre la respiration et décupler ainsi le plaisir), sans maîtriser parfaitement. Car le bondage a déjà fait des victimes. Même si cette pratique nécessite avant tout d'avoir une confiance totale en son partenaire, on y va doucement et on prend soin d'instaurer un code, un mot, qui commandera l'arrêt immédiat de l'acte.
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Par : le 09/07/15
Je l'ai enfin trouvé! Nous discutions ensemble depuis quelques temps, surtout le soir, lorsque la nuit est bien tombé. Aujourd'hui, vers quatorze heures, nous devons nous rencontrer en tout bien tout honneur, un premier contact autre que virtuel, la seule chose quelle m’aie demandée, c'est de prendre ma ceinture de chasteté. Je dois passer la prendre en voiture devant chez elle, et ensemble, nous allons faire du shopping, n'ayant pas de véhicule, je vais lui servir de chauffeur. A l'heure dite, je suis devant chez elle, la voilà qui sort de son logement, je descends et lui ouvre galamment la porte arrière coté trottoir, la laisse s'installer et referme la porte précautionneusement, sans la claquer, puis, je m'installe au volant. Avant que je puisse lui demander où, elle désirait se rendre, elle me pose cette question: «As tu pris ta ceinture?» Je lui réponds: «oui, Madame, elle se trouve dans le sac qui se trouve a vos coté sur le siège». Elle récupère le sac, l'ouvre: «Bien!, tu vas m'accompagner chez ma coiffeuse esthéticienne, c'est une amie, aujourd'hui, elle ouvre que pour moi, voici l'adresse». «Bien Madame», je démarre et tout en douceur me glisse dans le flot de la circulation, subrepticement, je jette de petits coup d’œil dans le rétroviseur intérieur, afin d'essayer de voir comme elle est vêtue, car la seule chose que j'ai pu voir, lorsque elle est sortie de chez elle, c'est, ses magnifique bottes noire verni, à talon vertigineux. Le reste de sa tenue étant caché par un magnifique manteau de fourrure, la seule chose que me reflète le miroir, c'est son visage, là aussi, je n'arrive pas a vraiment distinguer ses traits, une paire de lunette noire cache ses yeux et une longue chevelure ondulée, d'un noir jais, qui descendent jusque sur ses épaule, dont certaine boucle, reviennent sur son visage, je sais que c'est une adepte des perruques, dont très peu de chance que ce soit sa couleur naturelle. Arrivé à destination, elle me guide, afin que je me gare à un emplacement réservé, une fois cela fait, je descends de la voiture, pour lui ouvrir la portière, afin quelle puisse descendre. «Plutôt que de m'attendre dans la voiture, tu vas m'accompagner et tu patientera à l'intérieur, ainsi, je suis sure, que tu ne te tripotera pas en fantasmant sur moi». «Bien Madame», une fois descendu, je referme la porte de ma voiture et verrouille celle-ci, ceci fait, je lui emboîte le pas. Nous arrivons devant un petit salon de beauté, dont les rideaux sont baissés, Madame tape à la porte et quelques instant plus tard, celle-ci s'ouvre, afin que nous puissions pénétrer à l'intérieur. La lumière dans cette pièce est faible, je distingue a peine l'endroit. «Bonjour Nathalie, me voici comme prévue, toi, me dit elle, tu reste ici!» «Bien Madame» Les deux femmes, se dirigent vers le fond du salon ou l'on distingue une lumière plus vive, me préparant, à une longue attente, je m'installe sur un des sièges qui sert afin que les clientes puissent attendre leur tour. Je ne sais depuis combien de temps, je suis là, dans, cette semi pénombre, lorsque tout à coup, la lumière jaillit, un éclairage si vif, que j'en suis un instant ébloui. Un voix m'ordonne alors de me mettre à genoux, je tarde un peu, ne comprenant pas trop ce qu'il se passe, mais aussitôt, l'ordre est renouvelé «A genoux». Je m'exécute en levant les yeux, une magistrale gifle m'atteint, «Baisse les yeux chien», j’obéis, mais, j'ai eu le temps de l’entre-percevoir. Elle est divine dans sa tenue de cuir!, elle s'avance vers moi et me passe une sorte de nœud coulant autour du cou. «Suis moi, a quatre patte» dit elle en tirant sur la laisse improvisée. Elle me conduit vers la lumière, Nathalie est là, en blouse blanche. «Debout, déshabille toi complètement, je te veut nu comme un ver !» Je exécutante, me voilà dans le plus simple appareil, mon petit asticot, se redressant fièrement. «Voilà, cela fait maintenant un certain temps que nous nous connaissons, au cours de nos discutions, j'ai appris à te connaître et aujourd'hui, j'ai décidé que tu devais franchir un cap, je connais pratiquement toutes tes envies, mais celle là, c'est la mienne! Tu as donc le choix, accepter ce qui va arriver sans vraiment savoir ce qui va se passer, ou alors, te rhabiller, faire demi tour et partir sans te retourner, je te laisse quelques instant de réflexion». Pour moi, le choix est vite fait, «j'accepte!» «Bien, alors, Nathalie va s’occuper de toi! Elle va t'épiler complètement, je n'aime pas les poils, ensuite, tu passera dans la partie esthétique, puis coiffure.» Sur les ordres de Nathalie, je m'installe sur la table et la séance d'épilation à la cire commence, un vrai supplice, lorsque celle-ci est retiré d'un coup sec, mais en bonne professionnelle Nathalie use de crème à l'Aloévera, pour atténuer l'inflammation, la séance dura je ne sais combien de temps, puis on me conduit dans une petite salle de bain attenante et on me fit prendre un bain parfumé, pendant que Nathalie, terminé de me sécher. Madame est alors arrivé, avec ma ceinture de chasteté, que je croyais dans ma voiture, et avec l'aide de Nathalie me l'a ceint à la taille, puis la cadenassa. «voilà une chose de faite, ton oiseau est enfermé, seul mon bon vouloir, pourra le libérer». Elles me conduisirent ensuite dans la partie esthétique du salon, où Nathalie entrepris mon visage, épilation des sourcils, fond de teint, maquillage de mes yeux, rouge à lèvre, au fur et à mesure, je ne me reconnaissais pas dans la glace qui se trouvais en face de moi, un essaye de perruque termina la séance, jusqu'à que la plus approprié me coiffe. Madame et Nathalie contemplèrent le chef d’œuvre, Madame s’avança vers moi et referma sur mon cou, un collier, un genre de jonc métallique fermant à clé, auquel elle attacha une laisse, elle me fit mettre debout et m'ordonna de mettre les mains dans le dos, sur lesquelles se refermèrent une paire de menottes. Madame remercia Nathalie pour son excellent travail et me tenant pas la laisse, me fit sortir du salon, et me conduisit jusqu'à une petite voiture, dans laquelle, elle me fit asseoir, avant de prendre le volant. «Ta journée, n'est pas fini ma belle, nous avons encore quelques emplettes à faire». Le trajet dura bien deux bonne heure, car elle nous fit quitter la ville où nous vivions pour une autre, je me taisais tout le long du trajet, réfléchissant à ce que Madame, pouvait bien encore avoir prévue. Une fois arrivé, elle gara la voiture, détacha ma ceinture de sécurité et prenant la laisse, me tira hors de la voiture, referma la porte et m’entraîna dans un centre commercial, les gens que nous croisions, nous regardait, drôle de couple que cette magnifique femme, tenant en laisse une femme habillé en homme, j'entendais dans mon dos le ricanement ou les commentaires de certains, la honte le gagné. Madame me conduisit chez une corsetière, et expliqua à la vendeuse ce quelle désirait pour moi, je fus débarrasser de mes menottes et je dus me déshabiller devant la vendeuse, qui fut très intéressée par ma ceinture de chasteté, disant à Madame, que cela serait bien pratique pour son copain coureur de jupon. La vendeuse me prit certaine mesure, s'absenta un moment et revient avec une pile de carton, l'essaye commença, madame, lui avait demandé, de me trouver un corset, afin d'enserrer ma taille, pour faire disparaître mon ventre, après plusieurs essai, une pièce lui convient, un corset porte-jarretelle de satin blanc, un string, et une paire de bas blanc vinrent compléter cela, une fois cela mis, je du me rhabiller et les menottes reprirent leur place sur mes poignets, après que j’eus régler mes achats. Madame, tenant toujours ma laisse, m’entraîna dans un autre magasin, ou là aussi, je continuais à consommer ma honte, ce fut un magasin de vêtement féminin, où, là aussi, ce fut maint essayage, jusqu'à ce que Madame me trouva à son goût, elle opta pour une petite robe, coupe trapèze, haut en maille unie noir, jupe portefeuille, en maille jacquard, finition façon peau, que je dus garder et bien entendu payer, avant d'à nouveau me retrouver les mains entravé dans le dos, pour être à nouveau tiré vers un autre magasin. Ce fut ce coup-ci un magasin de chaussure, normal, la femme que j'étais devenue, ne pouvais se promener en chaussure d'homme, ce fut aussi maint essayage, faisant une pointure quarante deux, il n'est pas si facile que cela de trouver chaussure à son pied, le choix de Madame fut une paire d'escarpin de couleur rouge à pointe vernis, avec une hauteur de talon de dix centimètres de haut. Une fois chaussée, Madame, m'a demandée de déambuler dans le magasin, comme pour un défilé de mode, afin de juger de ma complète transformation. Je ne suis pas habituer à marcher avec des talons haut, mais afin de plaire à Madame, j'essaye de marcher, comme je l'ai vu faire les mannequins à la télévision, et ce qui devait arriver arriva, je me pris les pieds et chuta lourdement sur le sol, m'assommant un peu. Je me relevais et là, je m’aperçus que je venais de tomber de mon lit, ce n'étais qu'un rêve.
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Par : le 16/06/15
Mon Maître est passé Comme chaque fois ,il me prévient la veille afin que je puisse me préparer je me dois d'avoir une hygiène irréprochable donc longue douche intime quelque retouche d’épilation ,maquillage ,parfum je m'habille comme il le souhaite bas résille, escarpins ,corset a baleines acier noir bien serré, seins nus , les accessoires imposés cage de chasteté, plug et mon collier de chienne avec sa laisse,j'attend son arrivé Il sonne ,j'ouvre la porte ,j'entends "bonsoir Stefanie, es tu une bonne Chienne ?" je lui tend la laisse et me met a quatre pattes, nous allons au salon ,tout est prêt les boisons ,le martinet a longues lanières les menottes chaines et godes .s je suis accroupie a ses pieds les jambes bien écartées comme il aime ,je déboutonne son pantalon caresse son sexe ,et le met en bouche ,je le suce longuement ,mes doigts travaillent son anus ,il se retourne et, me tend ses fesses ,je le lèche et ma langue s'introduit le plus profondément possible ,il aime cela ,je le sais car son sexe devient très gros et dur ,moi aussi j'aime cela ,il m'appel sa petite femelle dépravée ,mon clito comme il le nome grossi dans sa cage ,et c'est assez douloureux . Il prend le martinet et,me fait mettre a quatre pattes ,il aime que mes fesses soient bien zébrées avant de me baiser ,puis il enlève le Plug et me demande si ma chatte est prête a le recevoir . j’écarte bien mes fesses ,je suis toute humide ,je suis lui demande "Maître prenez moi s'il vous plais " ,il m'encule d'un coup et me besogne longuement ,il tire par moment sur ma laisse afin que je me cambre bien puis je jouis dans ma cage il me fait lécher le résidu sur le sol ,enfin je vais pouvoir le sucer car j'adore lécher son sexe qui sort de ma chatte ,je le branle et le doigte jusqu’à ce qu'il décharge dans ma bouche a long jets . Il choisi alors un Plug de bonne taille me l'enfile en me disant que cette "Chatte " lui appartient il me pose aussi sur les seins une paire de pinces japonaise avec chaîne et ,tire dessus,je suis une vrai chienne soumise , dépravée et maso,e'il m'annonce t j'aime vraiment cela.je suis a ses pieds et nous discutons lorsqu'il m'annonce q'un couple de ses amis doit passer. la soirée ne fait que commencer. la suite au prochain episode Soumise Stefanie
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Par : le 02/06/15
...Ou la petite liste des situations horripilantes vécues. 1. Dom dépité : Oui je vous pointe du doigt, vous, Dom mâle en manque qui se rabat sur un soumis parce qu'il ne trouve rien d'autre. Votre recherche est claire, vous voulez de la femme soumise ! Mais les jours passent ... "Anne, ma soeur Anne, ne vois-tu rien venir ? - Je ne vois que le soleil qui poudroie, et l'herbe qui verdoie"... Alors pour soulager cette cravache qui vous démange, vous êtes prêt à la pire des bassesses, UN HOMME SOUMIS ! Quelle horreur, quel dégoût... Mais bon... Ça devrait faire l'affaire.. Avoir des préférences, c'est tout a fait normal, mais si l'idée d'avoir un soumis ne vous a jamais effleurée l'esprit avant cette "traversée du desert", par pitié, laissez ce pauvre soumis tranquille. Le coeur n'y sera pas. Depuis quand le BDSM se pratique sans un minimum de passion ? Dans tous les cas, je refuse d’être un choix par défaut. 2. Dom voyageur : Vous habitez sur Paris et moi en Dordogne " Ce n'est pas important, je me déplace facilement", redescendez sur terre ! Allons... ce n'est pas faisable. Ouvrez les yeux ! Vous savez très bien qu'il vous arrive très souvent d'avoir la flemme de descendre vos poubelles en bas de chez vous !!!!!!! Alors traverser la moitié de la France pour un soumis, que vous ne connaissez pas ou alors si peu ? 3. Dom SMS : "Slt t rech ?" Economie de lettre, économie de réponse... Oubliez moi comme vous le faites avec vos voyelles. Vous ne vendez pas un solex dans un journal de petites annonces, vous ne payerez pas plus cher en faisant un petit effort. Pour les fautes, passons (ce récit en étant truffé, j'aurais bon dos de dire le contraire), mais ce gloubiboulga de lettres... Très peu pour moi ! 3 bis. Dominator vulgaris : "Salut lope/chienne/pute, t'es une bonne suceuse ?" Avant d’être un soumis, je suis un homme. Je demande un peu de respect, et une certaine correction lorsqu'on s'adresse a moi. Pas de respect = pas de confiance= pas d’abandon = pas intéressant = pas la peine = je vous ai demandé de ne pas insister = mais c'est terrible a la fin ! = stop ! = arrêtez ou j'appelle la police !!! 4. Dom à risque : Sans vouloir une personne ultra-expérimentée, j'aimerais au moins quelqu'un qui sait ce qu'il fait, ou alors tout a fait conscient qu'il est novice ! Je vous offre mon corps après tout et nous "jouons" parfois a des jeux qui peuvent être dangereux... N'est pas Félindra, ou Indiana Jones, qui veut et ce n'est pas parce que vous avez un fouet dans la main que vous savez vous en servir ! Je ne veux pas finir a l’hôpital, j'ai une trèèèèèès mauvaise mutuelle... 5. Dom bout de ficelle : Pour moi, le BDSM c'est jouer avec le corps et l'esprit. Avec de l'imagination et un peu de systeme D, on peut faire des merveilles, mais si vous souhaitez user et abuser du corps de votre soumis autant le faire dans de bonne condition et avec le matériel adéquat... Non, toutes les cordes ne sont pas utilisables pour attacher, non la laisse avec enrouleur de votre défunt youki/medor/sultan n'est pas forcement une bonne idée, non ces menottes cheap offertes par un ami potache ne seront pas du tout "safe"... Et rangez moi cette boite à outils, vous allez blesser quelqu'un... 6. Dom prétexte : Je ne suis pas votre bonniche. Si vous avez JUSTE besoin de quelqu'un pour faire le ménage chez vous, inutile d'utiliser le BDSM comme excuse pour faire récurer gratuitement votre maison, les chèques emplois services sont faits pour vous ! J'en ai déjà bien assez a faire chez moi...
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Par : le 17/05/15
Il est à son travail depuis ce matin, quand elle se lève. Il ne devrait plus tarder, ayant pris son après-midi. Tout en se réveillant, elle se dirige vers la cuisine. Elle s'arrête. Par terre, un papier, écrit, l'attend.... Ce n'est pas ainsi qu'elle avait prévu sa journée... Enfin sur la piste cyclable, Il envoie à toute allure son vélo sans risque de faire une mauvaise rencontre avec une voiture. Il y a toujours les autres cyclistes ou des lapins qui peuvent traverser, mais Il peut rouler à sa guise. Dans une heure, Il saura …. Dans l'appartement, le cœur battant par son cyclisme de retour de bureau, Il écoute. Pas un bruit … Aurait-elle...? Peut-être … Cette fois, c'est l'excitation qui Lui fait battre le cœur … Aurait-elle…..? Peut-être … Après avoir jeté un œil dans tout l'appartement, Il la trouve, couchée sur le lit. L'éclat de sa peau est resplendissant sous ce soleil d'été qui passe par la fenêtre. Elle est chaude.... la caresse de Sa main la fait tressaillir, mais seul le tintement de ses menottes perce ce silence si étrange, paradoxal.... Sa main remonte vers son cou, entravé par son collier et la lanière en cuir du bâillon qu'Il lui avait ordonné de mettre pour L'attendre. Il termine sa caresse sur sa tête, serrée par un bandeau au doux tissus. Fixant la laisse à son collier, Il la fait descendre du lit et mettre à genoux sur un coussin au sol. Puis, Il s'assied face à elle. «N'es-tu pas fière de M'appartenir? « Un signe de le tête Lui répond. «Alors, redresse-toi» fait-Il en faisant remonter ses seins avec Sa cravache. «Je te félicite, tu as respecté mes consignes.» dit-Il en contemplant sa soumise. «J'espère que tu as passé un bon moment à te préparer, m'attendre ainsi....» Elle fait à nouveau signe de tête, tout en bombant d'avantage sa poitrine, exigé par une claque de la cravache. «J'ai prévu une surprise pour ce soir, récompense de ta journée. Mais pour le moment, je vais te donner celle de m'avoir fait cette agréable surprise.» A ces mots, Il s'approche de la bouche de sa soumise, membre tendu. C'était une première. La première fois qu'elle L'attendait ainsi et qu'Il assouvissant ce fantasme. Il n'attendait pas mieux que sa soumise s'offre à Lui, en se faisant désirer. Sans attendre, elle prit sa queue juste après avoir perdu son bâillon. «Doucement... déguste». Il la regarde faire, faire des va-et-vient, doucement.... «L'attente n'a pas été trop longue?… Pas trop vite, j'ai dit.... Ne sois pas pressée, tu vas avoir toute l'après-midi...» Il prend sa tête entre ses mains pour la forcer à ralentir. Elle en voulait plus, le jeu de la frustration bat son plein. «Suffit!»Il se retire, la bâillonne et empoigne la laisse. Se dirigeant vers le salon, Il la fait asseoir sur le divan et lui met ses talons. «Ma soumise va me servir, et mangera aussi à Mes côtés.» Sur ces mots, Il l'abandonne pour la cuisine. Il aime cuisiner; le temps passe. Aveuglée par le bandeau, seul le tintement de casseroles lui dit que son Maître ne sera pas la tout de suite... Peut-être prend-Il tout son temps … Les menottes sont défaites et le bandeau retiré. «Tout est dans la cuisine. Sois fière de me servir, et Je serai peut-être plus rapide pour la suite».Acquiesçant de la tête, elle ne manque pas le petit sourire qu'Il a au coin de la bouche. Tout était prêt dans la cuisine; son Maître avait disposé tout le menu dans les assiettes, il ne restait plus qu'à servir. Elle dépose l'assiette devant son Homme, qui lui indique aussitôt de s'asseoir à côte de Lui. «Pas toujours facile, la patience, n'est-ce-pas? Non, Maître, vous avez pris votre temps en plus. Je ne t'ai pas réveillé ce matin, et tu savais à quelle heure j'allais arriver. Je ne parlais pas de ce moment, Maître Ha? A vous attendre sur le divan, c'était très long... Il n'a pas à m'attendre, tu t'offres à Moi. Cette après-midi, je fais ce que je veux de toi et la seule chose que j'attends de toi, c'est que tu me sois constamment offerte – et disponible, évidemment. Je le suis, Maître Je sais, ma Fierté, je sais. Et c'est bien pour cela que j'avais décidé de consacrer cette journée exclusivement à nous 2. A présent, mange et maintiens le bon niveau de Service». A ces mots, elle s'exécute et ne tarde pas à rapporter la suite du repas. Ils ne parlent presque pas, mais des regards sont échangés, Il la caresse à différents endroits du corps, du bout des seins jusqu'à son sexe, bien humide. Elle lui dépose un baiser dans son cou, Il frissonne. Brutalement, Il la saisit par la nuque, colle sa bouche à la sienne et la remplit de sa langue. Emporté par la fougue, se lève, la plaque contre le mur, soulève sa jambe tandis que l'autre main fouille son intimité. «Tu sais ce que ça peut te coûter cela? Oui, Maître Tu serais trop contente que je continue cette punition ... Oui, Maître! Ce n'est pas le dessert Je suis votre dessert C'est trop simple» La relâchant, Il lui remet les menottes et la fait rasseoir. «Je veux un dessert à point, tu comprends ce que Je veux dire?» C'est sur ce clin d’œil qu'Il revient avec 2 religieuses au chocolat, son dessert favori. Elle l'apprécie de la Main de son Maître, qui prend plaisir à lui offrir ces choux fourrés. Quand elle eut fini, Il lui remet le bandeau sur les yeux et la prend par son collier. Il l'installe sur la table basse, à genoux, face au divan. Prenant son temps, Il menotte ses mains dans son dos et l'embrasse, avant de la bâillonner avec une boule. «Tiens-toi droite et fière», dit-il en entamant son dessert, assis face à elle. «Je t'aime, ma soumise». <Fin de la première partie>
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Par : le 11/05/15
Jeudi la sonnerie de la messagerie me fait sursauter. «Frédéric comme prévu nous nous verrons ce week-end! Toutefois ne prévoyez rien en nourriture nous n'irons pas chez vous, prenez avec vous un nécessaire de toilette, serviette, et des affaires de rechange. Vous porterez un slip. Et vous serez à 15heures 30 vendredi à notre rendez vous. J'ai une surprise pour vous!» «bien Madame» ____________ Je suis à genoux. Nu. La salle voûtée est chaude, mais je frissonne, les murs de pierres sont parfois vides, parfois couvert d'ustensiles. Fouets, cravaches, chaînes et menottes pendouillent en ordre. Je dois attendre ici, à genoux et nu. je dois garder mes yeux au sol, si quelqu'un se trouve dans la pièce. J'entends des pas dans l'escalier. Je baisse les yeux. Une paire de chaussures d'homme arrive devant moi, elles tournent autour de moi, un frisson me parcourt quand une main ferme se pose sur ma tête. -en tant que soumis tu doit apprendre à être disponible pour quiconque entrera dans cette pièce. homme ou femme tu te dois d'être performant dans ce que l'on te demandera. Aujourd'hui je vais voir si tu peux satisfaire un homme. Tu vas me sucer et me donner du plaisir. -Oui Monsieur. Déclarais je d'une voix mal assurée. Monsieur se met devant moi. Je me redresse légèrement, je défais la ceinture de cuir, déboutonne le pantalon, mes doigts fébriles descendent la fermeture éclair. Le pantalon glisse sur deux jambes musclées,et découvre un boxer noir tendu d'une belle bosse. Je glisse mes doigts entre l'élastique et la peau. En tirant doucement apparaît le pubis légèrement poilu, puis une verge énorme se présente devant mon visage, les testicules de belles tailles sont rasée ainsi que la base de la verge. Monsieur est excité mais ne bande pas, son sexe est lourd, j'approche mes lèvres, avec deux doigts je décalotte doucement le gland et ma bouche épouse la peau douce. Ma langue repousse le prépuce. J'humecte ma bouche pour glisser au mieux autour du membre épais qui grossi à m'emplir. Il est énorme et j'ai du mal à passer après le gland je vais et je viens avec mes lèvres et de la langue je caresse la peau douce du gland. La main puissante de Monsieur plaque ma tête et me force a ne plus reculer mais à avancer sur sa bite. Je salive énormément, j'étouffe et j’essaye de me concentrer sur ma tache, pour ne pas vomir, mais des hoquets me prennent, la main relâche la pression, je recule un peu et puis je revient à fond je touche presque les testicules de mes lèvres, ma glotte caresse le gland. Je suce maintenant sur tout la longueur ce sexe d'homme qui plonge dans la moiteur de ma bouche, quand le sexe est pris de soubresauts. Monsieur recule ma tête d'un coup sec. J'ai juste le temps de fermer la bouche que le sperme atteint mon visage et m’inonde... _______________ au rendez vous de vendredi 15h30, je viens vers vous, je m'agenouille devant vous et vous baise les mains. Les passants froncent les sourcils, en secouant la tête. Vos affaires installés au coté des miennes nous prenons la route, vous me pilotez sur un itinéraire que je ne connais pas. J'inspire et me vide doucement pour me calmer. La nationale se déroule devant nous, le paysage se fait agricole. La lumière est intense, nous roulons vers le sud. Vous m'annoncez soudain qu'il ne reste que deux kilomètres pour notre destination. _________ je réajuste Monsieur dans ses vêtements. Un doigt passe sur mon visage maculé, étale la semence. -C'est très bien. -Merci Monsieur. -Tu ne t'essuie pas tu reste ainsi. C'est ta condition de soumis ne l'oublie pas. -Oui Monsieur. Monsieur s'en va me laissant là. Ses pas résonnent dans l'escalier. Autour de moi le silence se fait. Je sens couler sur mon visage l'intimité de Monsieur, le temps passe, mes genoux commence à me faire souffrir. des pas résonnent dans l'escalier. Une paire de talon aiguille arrive devant moi. Les chevilles et les mollets de la dame sont recouvert de nylon noir. -Frédéric? -Oui Madame. -Monsieur est satisfait vous sucez très bien parait-il. -Merci Madame. Vous vous accroupissez devant moi, votre jupe très courte remonte sur vos cuisses. Je respire très fort. Vous prenez ma tête entre vos mains. Vous étalez un peu plus ce liquide qui s'écoule. -Vous êtes souillé Frédéric! Vous riez. Comme une souillon! … -Frédéric? -Oui Madame. -Allongez vous sur le ventre et fermez les yeux. Je m'exécute. Vos talons résonnent dans la pièce vous vous éloignez. Doucement. Je ne sais pas ce que vous faîtes. Je vous entend, vous, Madame. Je sais que vous êtes là. Cela me réconforte. Vos pas reviennent en claquant. J'ai une érection. Vous disposez des choses autour de mon corps. Un foulard vient bander mes yeux. Je les ouvres, mais je suis aveugle. Vous mettez mes bras en croix. Écartez mes jambes au maximum. Vous glissez votre main sous mon ventre et tirez mon sexe dur en arrière. Je gémis. -voyons Frédéric, ce n'est rien, cela ne fait que commencer. Vous vous pencher à mon oreille et murmurez. -Frédéric? Désirez vous m'appartenir? Vous savez cela me fait tellement plaisir, d'entendre votre souffrance. -Je suis à vous Madame. Je murmure. Je vous appartient. -Hum! Hou! Vos doigts trempés de votre intimité viole ma bouche. Je les sucent à chaque fois que vous les remettez. Vous vous relevez. Votre escarpin joue avec mes testicules, écrase un peu le gland. J'étouffe mes petits couinements. Puis soudain la première goutte tombe. Je sursaute. Puis une autre et encore et encore. J'endure ce plaisir en essayant de faire le moins de bruit possible. Le dos me semble t il se couvre de taches de cire. D'abord les épaules, puis cela descend inexorablement. Vous faîtes des pauses de temps à autre. Ou vous me caressez la tête, ou bien vos doigts effleurent cette queue gonflée pour vous. ____________ Vous me demandez d’arrêter la voiture sur le bas coté. -Frédéric? -Oui Madame. -Portez vous un slip comme je vous l'ai demandé? -Oui Madame. Déjà je défais la ceinture de mon pantalon et déboutonne mon jeans. Vous passez votre main sur le tissu qui enfle à vue d’œil. -Hum! Très bien Frédéric! Votre main ouvre ma chemise, vos doigts glissent sur ma peau jusqu'au premier téton que vous titillez doucement. Une onde de plaisir me parcourt. À votre souffle je sent qu'il en est de même pour vous. Le pantalon baissé à mi cuisses, vous tirez l'étoffe de la culotte, que vous coincez derrière les bourses. Celles ci remontent tendant la peau que vous pincez légèrement. -Allez Frédéric. Vous murmurez à mon oreille. donnez vous du plaisir, je vous veut détendu. Là ou nous allons, c'est moi, qui prendrait du plaisir. Je vais jouer avec votre corps. Et votre esprit sera mien! Êtes vous d'accord Frédéric? -Oui Madame. Ma bouche est sèche. Mon ventre se noue. Mais oui Madame je vous suivrais. -Nous allons découvrir ensemble jusqu’où vous me suivrez. Masturbez vous, hélas vous ne pouvez pas me faire jouir avec votre queue. Donc il me faut un homme. Pas un qui éjacule au bout de trois va et vient comme vous le faîtes. Pendant que je glisse mes doigts le long de la verge, vous pincez mes seins violemment. Au bout de très peu de temps, je vous déclare dans un souffle. -Je vais jouir Madame. -Stop. Vous tirez l'étoffe qui recouvre le pénis brûlant d'envie. Vous me considérez d'un regard étrange, oui Madame, je suis heureux de vous appartenir. Vous me souriez, la tension baisse d'un cran. -Avez vous envie de jouir vraiment pour moi Frédéric? - … -bien sur! Vous êtes gêné de me le dire. Vous avez honte de dire à une femme, toute la jouissance que vous voulez lui donnez? -Oui Madame, un peu honte. Vous caressez ma joue. -Pauvre petite chose. Je vais vous aider. Vous caressez mon sexe au travers du tissu. Dites moi que vous avez envie d'être masturbé. -Madame pouvez vous me masturber s'il vous plaît... -hum! Avec joie. ______________ Vous tournez autour de mon corps en croix allongé sur le sol, les gouttes de cire pleuvent sur mes fesses, sur mon dos les myriades de gouttes figent en tirant ma peau. Le fessier est bientôt recouvert de cire, je ne peut plus retenir mes gémissements. Vous m'encouragez. Tandis qu'une pluie chaude s'écoule inlassablement, vous me parlez, tour à tour, moqueuse, tendre, dure ce qui à pour effet de me déconcentrer et de m'arracher de petits cris. De longues traînées de cire coule soudainement sur mes cuisses. Je hurle. -Criez Frédéric mais ne bougez pas! Oui Frédéric hurlez tant que vous le voulez, cela m'excite... je me retiens au maximum de ne pas bouger. Je sens la chaleur mordre la peau, de ses petits crochets elle tire dessus à n'en plus finir. Après une courte pause, vous passez au parties génitales. Vous vérifiez, mais vous le saviez déjà! je pleure à chaude larmes. Vous ne me prenez pas dans vos bras comme d'habitude. Vous continuez, je dois tenir, je veux que vous soyez fière de votre soumis. Quand le supplice s'arrête enfin, je respire fortement, j'aspire l'air saturé d'odeur de cire à grande goulée. Des pas résonnent dans l'escalier, Je sens Monsieur venir à nos cotés. -Frédéric levez vous? Monsieur me soutient et m'aide à marcher, toujours aveugle je ne sais ou je vais. Des morceaux de cire se détache de ma peau, J'ai l'impression de me perdre. Vous êtes tous les deux à mes cotés, deux bracelets viennent enserrer mes poignets. Je me retrouve les bras en l'air immobilisés, face a un mur. La pierre fraîche contraste avec mon derrière brûlant. Mais déjà un claquement se fait entendre. Deux bracelets maintiennent mes chevilles maintenant. -Frédéric? Murmurez vous à mes cotés. -Oui Madame! Je réponds avec une voix blanche morte de trouille. -Je sais que vous avez peur! Mais tout se passera bien. La surprise c'est que je vais apprendre le fouet avec Monsieur, écoutez sa voix... ____________ mon sexe tend le slip, le frisson des doigts est infernal, les ongles se mettent dans la danse. L'excitation est à son comble, vos ongles s'enfoncent à travers le lycra, les bourses, la verge, le gland, rien n'est épargné. Câlins tout doux, pincements, frottements, ultime sévices un ongle voudrait trouer la culotte pour rentrer dans le méat. L'éjaculation est violente elle me surprend moi même. Du sperme s'écoule, abondant. Je me souille, me répand, dans mon boxer. Vous me laisser respirer quelques minutes. -Frédéric restez comme ceci et reprenez la route. -Je remonte mon pantalon Madame? -Non, vous ne fermez pas votre chemise non plus. Je démarre la voiture, et continue à rouler sur les indication de Madame. Nous arrivons dans la cour du vieille ferme, très bien retapé, sur un vaste terrain, perdue au milieu de cultures. Un homme nous attends sur un perron, quand nous rentrons dans la cour fermée. Il m'indique ou me garer. Sur le coté gauche du corps de ferme. Je n'ai pas le temps de me poser de questions sur ma tenue, l'homme est déjà entrain d'ouvrir la portière de Madame. Et la salue par son prénom. Oups! Ce n'est pas un soumis. Je ne bouge pas, et souri bêtement, je ne vais pas sortir comme ça tout de même. Après quelques civilités avec Madame. L'homme se penche à l'intérieur du véhicule et déclare à mon attention. -Bonjour Frédéric vous ne sortez pas? -Eh bien... c'est à dire que... -Voyez vous Monsieur. Frédéric, mon soumis avait tellement envie de jouir en route que je l'ai aidé. Et je trouvais plus amusant qu'il prenne du plaisir dans son slip. -Et après tout vous avez bien fait! Répond Monsieur. Quand pensez vous Frédéric? - … Monsieur secoua la tête. -Et oui comme d'habitude. Dit il. Dès que l'on pose une question claire LE soumis, ne répond plus. Puisque il faut tout vous dire sortez donc de cette voiture. Je sors. Honteux. Monsieur vient vers moi et se présente, dit être le maître des lieux, et avoir invité Madame et son soumis pour un petit stage en cette ferme. Que pendant ce week-end, je suis invité à être ce que je suis, un soumis! de l’appeler Monsieur et d'obéir en toutes choses qui me sera demandé. -avez vous compris Frédéric? -Oui Monsieur. -Désirez vous être soumis ici dans cette ferme! Et n'avoir plus aucun droit? -Oui Monsieur. Ma voix tremble, je tremble, je suis ridicule. -Alors déshabillez vous. Vous vivrez nu ici. Et lavez vous à la fontaine et lavez le slip aussi. Je me déshabille devant vous deux, je met mon pantalon dans l'auto ainsi que la chemise. Je traverse la cour nu. Je me baigne au bassin dans le jour finissant. Une serviette est là propre pendue qui m'attend. Et bien pour un surprise c'est une surpris
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Par : le 13/04/15
Nous ne pensions pas, après notre première rencontre, qu'il y en aurait d'autres, comme si, d'une certaine manière, notre intense relation dans un minable hôtel de passe avait épuisé le sujet de notre érotisme, ou tout du moins qu'un seul écart dans nos vies biens rangées ne constituait pas, en soi, un adultère intégralement consommé. D'ailleurs, lorsque nous nous quittâmes ce soir là, ce fut sans un mot, et sans contact pendant presqu'un mois. Le temps sûrement de digérer, pour moi le profond sentiment de culpabilité qui me rongeait à chaque fois que je pensais à elle et d'assumer la présence d'un priapisme violent à la seule pensée de celle qui était en train de devenir mon fantasme absolu. Pourtant, bien souvent, la réalité n'est jamais à la hauteur du fantasme... Mais dans ce cas là, ce fut clairement le contraire. La charge érotique était telle que 4 semaines plus tard, j'en arrivais à me demander si je n'avais tout simplement pas rêvé cette nuit torride passée avec Layla. Bref, un mois plus tard, je rongeais mon frein, partagé entre l'envie folle de la recontacter et la peur viscérale que la même action provoquait en moi. C'est elle qui brisa ce silence tacitement imposé entre nous. Un simple "Je vous appartiens Maître" reçu dans un mail sans objet, me plongea dans des abîmes de désirs insoutenables. Elle avait été ma chose, et l'avoir traité de la sorte me faisait m'interroger sur moi, ma sexualité, mes valeurs. Bon, j'étais paumé quoi. Le concept même d'adultère avec elle m'excitait... Mais la "dominer", faire d'elle une poupée de chaire acceptant par avance tout ce que je pourrais lui faire "subir", dépassaient dans le désir et l'excitation tout ce que j'avais pu vivre jusque là. Je *voulais* abuser d’elle. La domination et la soumission, le sadomasochisme, relevaient avant elle d'une tendance très théorique sans réelle et profonde signification. J'avais peut-être trop lu "fifty shades of grey" sans vraiment comprendre... (Je préférais néanmoins le marquis de Sade). Mais maintenant je comprenais. Je comprenais que ma vie venait de changer et qu'elle en ferait à jamais parti, d'une manière ou d'une autre. Je comprenais qu'elle était *à moi* et qu'elle s'offrait entièrement sans demander aucune contre partie que celle de mon propre plaisir. Je comprenais aussi et surtout que ma sexualité venait de changer sans possibilité de retour en arrière. Je lui ais donc donné rendez-vous devant la même gare de l'Est. Même heure, même endroit. Le distributeur était toujours là, encore plus sale et plus minable qu'un mois plus tôt. Une éternité. La gare elle même était d'un terne révoltant, terne encore accentué par un ciel gris et des odeurs nauséabondes de désinfectants sous une chaleur étouffante. J'avais été très clair dans mes directives, elles avaient été données de manière très laconiques et sans aucune chaleur. J'essayais très maladroitement de rentrer dans mon rôle de "dominant", avec la conscience aiguë que je m'y prenais mal... Mais qu'elle ne m'en tenait pas rigueur pour autant, trop heureuse d’enfin appartenir à quelqu’un. J'avais en bandoulière un sac contenant un petit "équipement" de jeu... Je voulais lui faire une surprise, mais sans aller "trop loin"... enfin... Je lui avais demandé de venir nue sous son trench-coat. Quoi ? On a bien le droit de se taper son petit fantasme personnel non ? Et puis le trench coat c'est comme les bas avec porte-jarretelle, ça fait parti de l'inconscient fantasmatique collectif. Bon, ok, c'était aussi une preuve de mon manque d'imagination... Je lui avais aussi imposé une "pute-attitude", laissant à sa discrétion le choix de l'interprétation du concept, flou, même pour moi. J'étais dans ma demande très loin de l'image très érotiquement polissée que nous avions décidés la foi précédente, et je savais que ça allait indirectement contre ses propres goûts. Une manière encore une fois de m'imposer... Et, j'en étais certain, de la contenter dans son désire masochiste de m'appartenir coûte que coûte. Ca pour une "pute-attitude", je ne fus pas déçu. Une fois encore, je la vis s'approcher comme au ralenti, subjugué par sa beauté et sa vulgarité contenue. Elle portait bien évidemment de hautes cuissardes. Cette femme avait la classe, et quoi qu'elle fasse, elle ne pourrait pas avoir l'air *vraiment* vulgaire. Même le chewing-gum qu'elle avait dans la bouche, pour faire "plus vrai", était mâché avec féminité et élégance. Ce fut bien simple, tous les mâles présents à cette heure devant l'entrée de la gare se tournèrent vers elle, bouche entre-ouverte, tandis-que les femmes la dévisageaient, mi-intriguées, mi-scandalisées, mi-envieuses (...). J'éprouvais à la voyant arriver, un sentiment d'orgueil et de propriété vaniteuse que je ne me connaissais pas et qui me surpris tout autant qu’il me scandalisa et m’excita. Elle fusilla tout le monde du regard et tous les visages se détournèrent d’elle, mais ses magnifiques yeux s'adoucirent immédiatement lorsque nos regards se croisèrent. Elle était à moi et elle le savait. Tout son caractère, toute son intelligence, tout son être se mettaient au service de mon plaisir et se donnaient à moi sans retenue, acceptant tout par avance. Je la pris par la main et la guidais vers l'hôtel voisin où je sentais que nous allions avoir, in fine, nos habitudes. Entrés dans la chambre je lui dis "met toi nue" et elle fit tout simplement glisser son trench coat, révélant son corps superbe et tout dévoué à mon plaisir. « Tiens toi bien droite et ne bouge pas… quoi qu’il arrive… ». J’avais changé le ton de ma voix en prononçant ces dernières paroles, et j’espérais qu’elle y avait bien lu une forme de sadisme latent des plus inquiétants. Un frisson la parcourut… pour ma plus grande satisfaction tandis-qu’une ombre indéfinissable passait dans son regard. Que se disait-elle ? Avait-elle peur de moi ? Peur de ce rendre compte que j’allais *vraiment* abuser d’elle et que je n’étais peut-être pas celui qu’elle pensait, mais un monstre sadique digne des faits divers les plus vils ? A moins qu’elle n’ait *envi* que j’use et abuse d’elle comme bon me semble... Cette ombre n’était peut-être finalement que de l’impatience contenue. Dans la chambre mitoyenne, quelqu’un écoutait la radio, et la scène en prenait une allure des plus surréalistes. Elle ne bougeait pas, acceptant sans broncher, pour le moment, ce rôle activement passif que je lui imposais. Moi, je prenais mon temps, faisant glisser mes mains, mes doigts sur son corps, l’inspectant comme un esclavagiste inspecterait un futur esclave. Son visage, son coup, son dos, le bas de ses reins, ses fesses, ses jambes puis ses seins, son sexe, sa bouche… J’allais partout de la manière la plus impudique qui soit, lui faisant bien comprendre qu’elle n’était rien d’autre qu’un mannequin manipulé et habillé par mon désir. Mes doigts venaient flatter son sexe et la pénétraient sans ménagement de plus en plus. Elle, en retour, ne bougeait pas, restait immobile, et mouillait abondamment… Mes doigts étaient trempés de ses sécrétions intimes, et je les lui faisais lécher régulièrement sans qu’elle n’émette le moindre son. Après un bon quart d’heure de ce traitement, j’avais suffisamment dilaté son sexe pour pouvoir y introduire presqu’intégralement ma main. Elle jouit brutalement, tout son corps se raidissant et vibrant d’une manière incontrôlée… Elle ne réussit pas à retenir un râle guttural des plus excitants et je ne lui permis pas de s’allonger… Elle devait rester debout parce que tel était mon désir, et ces yeux noirs exprimaient un mélange d’extase absolue mêlée à quelque chose d’autre, totalement indéfinissable… De la colère ? de la haine ? De l’abandon peut-être. « Retourne toi et reste bien droite ». Elle resta là, sans bouger, me tournant le dos et moi je ne disais rien, ne bougeais pas, au point même qu’elle devait se demander si j’étais encore là. Puis, très lentement, j’ouvris mon sac, faisant jouer la fermeture éclaire avec le plus de bruit possible. Je sortis un tube de lubrifiant et je lui enduis l’anus avec une infinie douceur. Elle ne s’attendait pas à mon contact, et elle tressaillit de surprise. « Ne bouge pas ! » lui entonnais-je et immédiatement elle se ressaisit. Je sortis aussi de mon sac un énorme godemichet que je posais ostensiblement dans son champ de vision de même qu’une paire de menottes, une bougie et une cravache… Elle se mit à trembler de manière visible, l’angoisse montant au creux de son ventre, tout comme l’excitation qui atteignait des sommets, son jus intime dégoulinant maintenant abondamment entre ses cuisses et le long de ses jambes, son bassin ondulant légèrement au rythme d’un amant invisible. Dans la pièce d’à côté, Balavoine chantait « on nous prend pour des fous… ce qu’on peut penser de nous on s’en fout… »… Toujours ce côté surréaliste… L’univers entier fomentait un complot et nous faisait un clin d’œil. Je me mis enfin nu, et c’est sans ménagement que je me mis à la sodomiser, avec une brutalité à peine contenue et un plaisir évident. Je voulais voir jusqu’où elle était capable d’aller, et je commençais à craindre, que ses limites ne soient plus lointaines encore que les miennes. Son corps était secoué par mes coups de boutoir mais elle tenait bon et ne bougeait pas, même si je sentais qu’elle contractait périodiquement les muscles de son vagin… La petite câtin arrivait à se masturber sans se toucher et cette simple constatation augmenta encore mon érection. Je mis ma main dans sa chatte pour mieux sentir son plaisir. Malgré elle, elle se mit à gémir autant de plaisir que de douleur et je n’intervins pas. Je jouis en elle abondamment, mon sperme inondant largement hors de sa grotte interdite et glissant le long de ses fesses. Elle avait mal, je le savais, je le *voulais*, et de cette douleur même elle tirait de la satisfaction… celle de porter dans sa chaire la douleur de mon plaisir. Elle s’oubliait elle-même, s’abandonnant à mes envies. Je la poussais à genoux et mon sexe à nouveau turgescent pénétra sa bouche tandis- que je me saisissais de la cravache. Elle hésita, frémissant de crainte et d’envie mêlées et son regard clairement angoissé maintenant se fondit dans le mien. Et pourtant, elle continuer à silencieusement se masturber… Je lui souris et contre toute attente lui dit « un mot de toi et je m’arrête ma Layla ». Elle ne dit rien et je la fis se relever, accompagnant son mouvement de mes doigts dans son sexe trempé. Elle me regardait, clairement partagée entre le plaisir, le désir et l’appréhension. Je sortis alors de mon sac une magnifique corde de lin qui finit à côté de la bougie et du godemichet… Elle me lança un regard d’une perversion absolue, jouissant par avance de ce qu’elle allait me laisser faire… Notre nuit ne faisait que commencer… et moi je me mis à me demander qui de nous deux dominait l’autre finalement…
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Par : le 07/04/15
La soirée battait son plein, les tintements des verres se confondaient dans les rires et les exclamations de gaieté. L'ambiance était légère et chaleureuse, quelques blagues fusaient par-ci par-là dans un nuage de bonheur. La repas touchait à sa fin. Elle riait avec son amie, venue pour l'occasion de la soirée tandis qu'Il alla chercher le dessert, qu'Il avait fait quelques heures plus tôt, une mousse au chocolat. Il en profita également pour ouvrir une bouteille de Clairette. «Pourquoi tu l'ouvres? - Il n'y a pas de raison particulière, j'ai envie, et les bulles sont une bonne façon de terminer une soirée agréable, non?» Elles acquiescent, tout en sachant, comme Lui, que fin du repas ne rime pas forcément avec fin de soirée... Un sujet n'avait pas encore été abordé... … un sujet à cordes … «Hestia me disait que c'était quelque chose qui t'attirait? - Oui, ça ne me laisse pas indifférente - Tu as déjà eu l'occasion d'essayer? - Quand j'étais petite, on s'amusait avec mon frère, mais du bondage, jamais. Jamais essayé» Elle avait partagé, quelques jours plus tôt, cette envie, cet intérêt pour ces jeux de corde, avec Hestia, sa confidente. Ce fantasme l'intriguait d'autant plus qu'il lui paraissait malsain. Elle se posait des tas de questions à ce sujet, mais à qui en parler pour avoir une réponse droite, sans jugement. L'approche du sujet s'était faite progressivement. D'abord, le corset avait été essayé avec grand plaisir, puis des petites blagues et plaisanteries sur des fouets ou des martinets avaient été sorties. «Étrangement», le sourire n'avait pas été le même quand l'objet de supplice avait été sorti, en vrai! De petits détails en petites mimiques, Hestia avait remarqué l'intérêt de son amie pour le BDSM; c'est ainsi qu'elle a pu la mettre en confiance sur ce sujet et qu'elle l'a invitée pour en discuter autour d'un repas, avec son Maître. Jusqu'à présent, c'était des personnes rencontrées lors de munchs qui étaient venues; certaines avaient même tenté l'expérience des cordes; mais il est difficile de parler d'amis …. aucun ne leur a renvoyé l'ascenseur. Veroso n'a jamais bien apprécié cette attitude. Organiser des munchs est une chose; inviter des inconnus dans leur maison personnelle en est une autre.... Mais ce soir, c'était différent. Il l'avait déjà rencontrée, la connaissait un peu et elle était très amie avec Hestia. De plus, elle avait une réelle curiosité portée sur le BDSM. Ce n'était donc pas qu'une simple curieuse de passage qui était assise à leur table, mais une autre réelle passionnée, comme eux. «Pour une première, je te propose de te faire un petit cordage tout simple, pour ressentir les premiéres sensations. Est-ce que tu acceptes? - Oui - Ok, je vais chercher les cordes» Tandis qu'Il s'éloigne, Il entend les 2 amies discuter entre elles à voix basse. Un mélange d'excitation, d'appréhension et de rassurance transpire de cette petite messe basse. Ce n'est pas la première fois qu'Il encorde une autre personne que sa soumise. Il s'agissait d'invitées au munch. Cela lui faisait un peu bizarre, mais ça n'allait pas plus loin. Mais là, c'est différent... C'est son amie … Etrange malaise qu'Il ressent. Enjoué de lui faire cette démonstration, mais appréhendant un peu en même temps, pour une raison qu'Il a un peu de mal à cerner. Si... Est-ce à cause du «programme» qu'Il veut lui proposer? Il verra bien … Il a confiance en Lui et sait que, sans prétention, Il sait parfaitement se tenir et que sa soumise va également assister. Est-ce que c'est parce qu'Il va faire des gestes qu'Il fait toujours, par habitude, dans un contexte intime qu'Il le rend nerveux? Les 2 amies sont dans la pièce, souriantes, quand Il réapparait, ses sacs à la main. «Pour le premier cordage, il suffit de t'asseoir dans le canapé. Hestia, tu te mets où tu veux pour regarder». Alors qu'Il prépare sa corde, Il ressent, à contrario, une sorte de fierté et de confiance de savoir que sa soumise va le regarder faire. D'habitude, elle «subit» sans trop vraiment voir le résultat; là, elle est aux premières loges... «Tends tes jambes, cale-toi bien dans le canapé... et détends-toi» Sur ces mots, elle obéit à ses instructions tandis que Hestia s'assied à côté d'elle, l'oeil curieux et ravi de voir son Maître faire le bondage. Il lui passe une boucle autour des 2 pieds, les reliant entre eux; puis la corde remonte derrière les mollets. A mi-hauteur, un de ses doigts bloque la corde, tandis que le reste du brin fait le tour et repasse prendre, en boucle la corde coincée par le doigt. Enfin, la corde poursuite sa course jusqu'à la base du genou et refait le même tour derrière la jambe. Il fait courir la corde ainsi jusqu'en haut des cuisses où il serre le nœud final. «Alors? - C'est …. spécial …. - C'est une sensation agréable que de sentir son corps se faire enfermer progressivement, ajoute Hestia. - Oui, ça....ça fait quelque chose, sourit son amie» La découverte, la première fois, c'est toujours particulier et puissant en sensation... Il laisse afficher un sourire de satisfaction. Elles ont toutes les 2 aimé son cordage. Elle a des sensations, elle est enthousiaste de l'avoir vu manipuler les cordes correctement. Peut-être Hestia voit en son amie ce qu'elle ressent, quand elle est, elle, ligotée... «Veux-tu un autre cordage? - Oui, enfin, si tu veux» Il sourit; ce n'est pas Lui, un passionnée des cordes qui va refuser. Même si, de plus en plus, Il a envie d'avoir Sa soumise à la place.... «Mets-toi debout» Dés qu'elle est levée, Il fait passer 2 brins de cordes derrière son cou, qu'Il laisse pendre. Il noue ensemble les 2 brins tous les 15 cm environ Puis, Il fait passer une autre corde dans les maillons de la première puis dans le dos en emprisonnant les bras. La figure est esthétique, mais Il ne se souvient plus du nom japonais exact. En fait, Il s'en tape. Ce qui l'intéresse, c'est de voir qu'elle prend du plaisir évident à s'enfermer dans ses cordes. Elle regarde les brins passer ici et apparaître là; son regard n'en perd pas une miette, elle est passionnée. Tout comme Hestia qui profite à fond du spectacle. Ils partagent ainsi tous 2 leur passion; l'un partage son expérience d'encordeur, tandis qu'elle partage les sensations qu'elle ressent quand elle est prisonnière. Le nœud final est serrée. La voilà totalement ligotée. «A partir de ce moment, tu es à la merci de celui, ou celle, qui t'a attachée. Tu ne peux rien faire que subir» C'est non sans plaisir sadique qu'Il prononce cette phrase provocatrice envers cette novice; elle dont les sensations sont exacerbées par le mélange d'appréhension, d'excitation. Hestia rajoute: «imagine avec le martinet que je t'ai montré l'autre jour». Il lui sourit, elle est toute aussi sadique que Lui. Finalement, Il va le sortir, le martinet …. Entravée, elle ne sait quoi répondre. Mais son regard et sa voix balbutiante trahissent une satisfaction sincère d’assouvir un fantasme, de concrétiser un rêve. «Un autre? Demande-t-Il en la détachant» - Heuu ...». Elle manque d'éclater de rire de honte, d'envie et d'excitation à la fois. - Je te propose un bondage un peu plus... coquin? Ou je fais dans le même registre? - C'est-à-dire? - Les cordes vont passer dans des endroits un peu plus sensibles, comme les seins, par exemple. Ne t'inquiète pas, tu n'as pas à te déshabiller. C'est juste que les cordes vont passer par là. - Ok, ca va alors.» Pour sa démonstration de bondage et, surtout, pour partager les sensations fortes que cela procure, Il a besoin de surprendre. Il ne peut pas dire où les cordes vont toutes passer.... Mais manipuler les cordes à ces endroits-là ne sont pas fait pour le mettre tout à son aise. Encore une fois, ce sont des choses qu'Il ne fait qu'à sa soumise. Mais le plaisir de partager une Passion est plus fort que le reste. Et encore une fois, Il sait maîtriser ses doigts. «Si quelque chose ne va pas, n'hésite surtout pas à le dire. On est là pour passer une agréable soirée.» Il entame un nouveau bondage en passant une boucle de corde autour du buste, enfermant ses bras. Puis, Il fait passer la corde au-dessus et en de-dessous des seins les comprimant en tournant autour du buste. Une autre corde est fixée dans le dos avec la première, passe au-dessus des épaules et s'enroule 2 fois autour des 2 brins qui emprisonnent les seins. Puis, le reste de la corde passe sous un sein et s'enroule à nouveau autour des 2 brins précédents côté bras. Il fait de même de l'autre côté. Malgré le t-shirt, on voit très bien que toutes les formes sont mises en valeur... Le reste de la corde descend le long du ventre, passe sur l'intimité et remonte pour se nouer finalement dans le dos. «Hestia, va me chercher le sac qui est sur le lit» Sa soumise s’exécute et le lui rapporte. Il en sort une paire de menottes. «Tu aimes les menottes? - Heuuuu oui, répond-elle, hésitante» Il lui attache aussitôt les mains dans le dos. «Hestia, approche» Etonnée, sa soumise s'avance vers Lui tandis qu'Il sort son collier. Il le lui pose sans lui dire un mot et ordonne à son amie de se coucher à plat ventre sur le canapé. «Je parlais d'être à la merci, tout à l'heure.... Voici un cas un peu plus concret.» Un bandeau est aussitôt posé sur ses yeux. Puis, il noue ses chevilles ensemble qu'il rabat sur le dos. Là, avec le reste de corde, Il les attache au reste du cordage, l'immobilisant. «Voilà, avec quelques cordes, une paire de menottes et un bandeau tout ce qu'il est possible de faire et, surtout, de ressentir... Tu te sens bien, demande-t-il en souriant? - Heuu , je crois que oui, fait-elle d'un rire nerveusement enthousiaste. - C'est bien! Quel autre matériel t'intéresse? Ou t'interroge? - Hmm, je ne sais pas, répond-elle mal à l'aise, mais excitée à la fois - Tu connais le baillon-boule? - Non, c'est quoi? - Regarde» Retirant un bâillon de son sac, Il le lui met dans la bouche et le fixe légèrement derrière la tête. «Le mieux est d'essayer, n'est-ce pas?» Des gémissements lui répondent mais Il se tourne vers Hestia. «A présent, à nous deux, ma soumise» Il avait besoin de ce moment. Même si ce n'est qu'une démonstration voulue et organisée et même si elle avait pris plaisir à assister à ce moment, Il n'aimait pas s'occuper d'une autre personne que sa soumise. Bander ou bâillonner une personne autre que sa soumise le mettait mal à l'aise, mais l'excitait vis-à-vis de sa soumise, en même temps, étrangement. Est-ce que parce qu'elle Le voit faire? Qu'elle partage elle aussi ce qu'Il voit et peut donc ressentir? Ou parce qu'Il vit, et va faire vivre une nouvelle expérience? Difficile de répondre, d'autant plus qu'Il a sorti une corde. Il lui fait le même bondage que son amie, en plus serré, lui bande les yeux et la bâillonne aussi. Il lui caresse la poitrine et ses doigts titillent ses tétonsà travers le t-shirt; les effets ne se font pas attendre; l'excitation monte en Lui..... Il sait que tout peut aller très vite. Cette situation, paradoxalement, l'excite. Des cordes enlacent une amie, ligotent Sa soumise, des bandeaux sont posés, des bouches sont bâillonnées, la paire de menotte brille, le collier est resplendissant au cou de sa soumise, elle-même magnifique ainsi offerte. Il y a tous les ingrédients pour une ambiance BDSM qu'Il affectionne, avec sa soumise. La dernière soirée en club BDSM remonte à longtemps … Le téléphone sonne..... La sonnerie le fait sortir de sa rêverie. Il est quelle heure? 15H45... Il faut partir.... Quel étrange rêve.... Pure fantasme? Une envie? Il y avait du déjà vécu dans ce songe.... mais tout était resté soft. Que penser de ce dernier fantasme que son esprit a rapporté de son vagabondage? Il aime partager son expérience, expliquer, démontrer... mais agir d'office ainsi? C'est une façon de démontrer assez radical, mais elle est à double tranchant … Enfin, créer ainsi une ambiance BDSM comme celle-là lui a plu, lui plaît. C'est peut-être ça, au final, le fantasme de son songe: vivre aussi le BDSM ailleurs que dans la chambre à mot chuchoté (même s'il est déjà bien puissant....) La porte claque derrière lui. Rêver, fantasmer n'a jamais fait de mal à personne. Et puis, ce n'est pas le première fois que son esprit vagabonde ainsi. Il en rapporte parfois de bonnes idées. Mais ce qu'Il a en tête, surtout, c'est qu'Il va retrouver sa soumise très bientôt, après quelques jours, trop longs comme toujours quand ils sont séparés...Il va de nouveau honorer, à sa manière, son Joyau, sa Fierté, Sa Soumise.
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Par : le 05/04/15
C'était un samedi, je me suis assise sur mon canapé, j’avais déjà envoyé trois message à mon Maître, mais il ne répondait pas, je commençais sérieusement à m'inquiéter de ne pas avoir de ses nouvelles. -qu'ai-je donc pu faire pour ne pas avoir de réponse ? Pensais-je … Il devait sûrement être contrarié, vu qu’ hier soir il m’avait demandé une obligation que je me devais d’exécuter en rentrant soirée avec mes amies. Mais en rentrant de ma soirée j'étais tellement fatigué que j'ai exécuté mon obligation pas très sérieusement... Je reçu enfin un message sur Skype, c'était lui … -es-tu dispos -oui Maître -explique à ton Maître qu'est-ce que c'est cette obligation que tu as remplie hier soir? Tu étais bourrée pour oublier de le faire correctement? Quand on met 0 ça veut dire qu'on ne veut pas le faire, donc vu qu'il n'y a que des 0 ou des 5 j'en déduis que tu ne veux pas faire grand-chose... Tu devrais savoir que l'on met ses préférences de 0 à 5, 0 je veux jamais le faire, 1 si mon Maître me l'ordonne, je le fait, 2 pourquoi pas, 3 j'aimerais bien essayer, 4 j'aime et 5 j'adore.... J'en étais sûr, c'est donc bien pour cela que je n'ai pas eu de nouvelles de lui jusqu'à présent...il était vraiment contrarier, je fais vraiment une piètre Soumise, mes début dans ce monde commence vraiment très mal. J'avais déjà une autre punition au compteur, mon Maître est vraiment exigeant.... mais j'aime ça, et je sais qu'il veut faire de moi une bonne soumise. Mon Maître m’as donné 10 minute pour rectifier mon obligation, j'ai mis 11 min de plus, et il ne manquât pas de le relever, ce qui ne faisait qu’augmenter mon carnet d’une nouvelle punition. Je démarrais vraiment mal … -bien ma Soumise on en reparle tout à l'heure, maintenant tu vas aller te préparer et voilà tes obligations: Ton sexe doit être épilée ou rasée et je vérifiais, attention je serais sévère la dessus, et N’oublie pas de prendre tes sex-toys que tu as… pour la tenue pas de collant, je tolère des bas et bien entendu rien sous ta jupe. Est-ce que tu as un grand manteau d'hiver ou de printemps assez léger? oui Maître j'ai ce qu'il faut très bien alors sois prête dans une heure je viens te chercher Mon sang bouillonnais dans tout mon corps … je crois que j'ai jamais été autant stressée, excitée, sachant qu’il n’était pas content de moi, et que j’allais être puni, cela me mettais dans un sacré état, je sentais ma culotte s'humidifier de plus en plus … Une fois prête, j'étais habillée d'un simple pantalon noir et pull rose avec un débardeur noir en dessous. Mon Maître était bien présent à l’heure pour le rendez-vous. Une fois dans sa voiture, il me donna un petit baiser doux et remplis de promesses, j’étais fébrile assise dans sa voiture, il démarrât, et une fois sur l'autoroute il me demanda de me changer... Je sentis au moment de cette ordre, une gêne et d'un coup une montée de chaleur et d’adrénaline, je serai nu dans sa voiture, et il y a de la circulation, j'avais le cœur qui battais a cent a l’heure, cette montée d'adrénaline me submergea avec la peur qu'on me voie nu dans la voiture. Je pris alors mon courage à deux mains, ne voulant surtout pas le décevoir et en rajouter aux erreurs que j'avais déjà faites. Je gardai ma veste, et enlevai mes chaussures, chaussettes et pantalon, jetais nue, j'enfilais assez rapidement ma mini-jupe … je m'attaquai maintenant au haut, ce qui étais moins évident, il voyait bien que je n’étais pas trop à l’aise, il ralenti sa vitesse et ce mis sur la voie de droite, afin que je continue à me déshabiller tranquillement, voyant mon regard sur les voiture qui nous doublais, il me dit - ne fait pas attention aux voitures, me dit-il d'une voix rassurante. J'enlevais lentement ma veste, suivi de mon haut, mon soutiens gorge, et remis ma veste et la ferma... je me sentie mieux, et aussi fière d'avoir réussi. maintenant que tu écartes les jambes afin que je puisse voir ton sexe et reste comme cela jusqu'à notre arrivée à destination. Je sentais que j’étais en train de tremper le siège de son véhicule, j'étais fébrile, mais ne dis rien.. Une fois arrivé à destination, et la voiture garée sur le parking de l’hôtel, la peur commençais à m'envahir de nouveau, j'étais dans une tenue très provoquante, je me sentais nue malgré mon manteau fermé, ma mini-jupe en talon haut et sans rien de plus.... - Maitre, il va y avoir quelqu'un a l'entrée, Lui dis-je anxieuse -oui surement, tu me suis et t'occupe pas d’eux, compris ? -oui Maitre Malgré ses recommandations, je n'étais vraiment pas rassurée. Une fois dans le hall de l’hôtel, je vis une jeune femme blonde à l’accueil, elle était occupée et ne prêtais pas vraiment attention à nous… « Ouf » mon Maître avance en direction de l'ascenseur, je le suis tète baissé. Arrivé à l'étage ou étais notre chambre, il s’avança me laissant devant l’ascenseur, et vérifia que personne n'étais dans le couloir, il me fixa et me lança : Enlève ta veste et met toi à quatre pattes, Au moment où il finassât de prononcer cette phrase, tout mon corps se liquéfiât … mon regard croisa le sien , un regard remplis de complicité et de malice… un ordre étant un ordre j'enlevai donc ma veste , laissant mes sein a l'aire libre.... mon cœur battais a mille a l'heure , j’étais prise de frisson , et d’une excitation rarement connue qui affluai abondement. J'eu l'impression que mon âme flottais au-dessus de mon corps, ce qui me donna une vue magnifique, je me voyais en train de marcher a 4 pattes en direction de notre chambre … c'était érotique et excitant à la fois. Mon Maître pris tout son temps pour taper le code de notre chambre… une fois dedans je restais là sans bouger, attendant sagement ses ordres, et qu'il me guide. tu te sens bien ma Soumise ? oui Maitre bien.... Il m’amena au bord du lit. met toi a genou la face au lit Je m’installais et ne bougeais pas.... j'attendais, que va t il me faire ? il s'approcha de moi et me regarda d'un aire provocant, il m'attrapa les cheveux et susurra dans le creux de mon oreille … - alors ma Soumise, il me semble que tu as fait quelque bêtise ? - oui Maitre, je n’ai pas été une bonne Soumise -Monte sur le lit et met toi a genou ! Je ne le fis pas attendre une seconde plus, une fois sur le lit, la tête baissée et les mains dans le dos, je ne bronchais... Il apparut à mes côté avec un petit carnet en main - tu sais ce que c'est ? - oui Maitre c'est mon carnet de punitions... - lit ce qu'il y a marqué sur la première page me dit-il d'un aire autoritaire. Je pris le petit carnet et l’ouvrit, - Une fois la lecture faite, mon Maitre me repris, - A ton avis ma Soumise, ça mérite quoi comme punition ? - je ne sais pas Maître, je me plierai à votre décision Maître Que va-t-il décider ? Que va-t-il faire ? Un léger petit sourire envahi mes lèvres, il m'ordonna de ne pas bouger et pris dans son sac un bandeau et une paire de menotte en cuir… lève les mains, et pose-les sur la rambarde au-dessus du lit Il passa les menottes en cuir entre les barreaux et m'attacha les poignets, me mis le bandeau sur les yeux, je ne voyais plus rien, j’étais dans le noir total... Cette obscurité rendit la punition encore plus intense, d'autant plus que je ne savais pas du tout ce qu'il allait m'arriver.... 10 coups de cravache sa suffira comme punition Merci mon Maitre c'est tout ce que je mérite tu vas compter et gare à toi si tu te trompes, je recommencerai à zéro Aie, ça va être ma fête..... Je sens que je vais avoir de sacré marque sur les fesses. Il me cingla d'un 1er coup -un ! Le 1er coup me fit mal, il n'y va pas de main morte … Deux, trois, quatre, ….sept, huit... huit... euh non neuf ! Mince je me suis trompé Tu as dit quoi petite chienne ? Neuf ! Maitre excusé moi ah j'ai cru que tu t'étais trompé... Je crois qu’il ne pris pas en compte ma faute car il ne voulait pas être trop dur avec moi pour une première fois... et de dix ! J'avais les fesses en feu... j'en pouvais plus, mes jambe en tremblais, je tremblais tellement et étant très crispée et tendu que les menottes se cassèrent.... Je me confondu en excuses auprès de mon Maître, il me rassura, que ce n’était pas grave qu'il ne m'en voulait pas car ces menottes de cuir était de piètre qualité. Il remplaça les menottes par des liens de cordes. Je le senti descendre du lit, il prit autre chose dans son sac, ma tête bouillonnais et mon corps …. Je ne sais plus, je n’ai jamais ressenti de telle sensation … Il remonta sur le lit et la quelque chose pinça mes seins, il mit deux pinces sur chacun de mes tétons … Waouh mais qu'es ce qu'il se passe dans mon corps ? Il me tira subitement les cheveux et m’embrassa langoureusement, ce fut un moment intense, un de plus … - alors comme sa tu veux être une bonne Soumise ? Tu te rends compte des erreurs que tu as déjà faites ? Tu ne commences vraiment pas bien …. - oui Maitre je sais, veuillez me pardonnez, la femme vanille en moi a du mal à partir même si c'est ce que je désire - hum, oui c'est ce que je constate... Il redoubla d’ardeur et continua à me tourmenter, il malmenait mes seins, mes tétons, ainsi que mes cheveux … Je ne savais plus ou j’étais, prise dans ce tourbillon, une forte sensation commença à apparaitre dans ma poitrine, je là sentie montée et ce fut une explosion de plaisir ! Je n’avais jamais eu d'orgasme à ce niveau-là, je n’aurais même pas osé l’imaginer, et ça venait d’arriver, les larmes commençais à couler sur mes joues, je ne comprenais plus rien à ce que je vivais à cette instant, mon corps n'avait jamais, ni connu, ni ressenti de telles plaisir. J'étais comme perdu dans cet océan de plaisir. Mon Maître souleva mon bandeau et vit mes larmes, je n’osais le regarder dans les yeux, je ne voulais pas qu'il voie mes larmes. regarde-moi ma Soumise je me forçais a tourner la tête pour que nos yeux ce croise, et je vis à mon regard, un léger sourire se former sur ses lèvres. - je ne comprends pas pourquoi je pleure Maitre... j'ai senti comme une explosion dans ma tête quand vous vous occupiez de mes seins et de mes tétons. - c'est un orgasme cérébral que tu viens d'avoir ma soumise, c'est très fort effectivement, une petite pause s'impose, tu l'as bien méritée ma Soumise. Il détacha les liens des barreaux, doucement et délicatement, afin que je me détende... Je repris ma place au pied du lit, j’étais vidée. Nous discutâmes de ce qui venait d'arriver et de bien d'autres sujets, cela me faisait le plus grand bien de me détendre et me reposer à ses pieds après tant d’émotion, ce qui me permit de reprendre des forces au cas où mon Maître voudrait continuer. - Maitre, mes sein sont très sensible... - oui ma Soumise, je m'en doute bien, je crois que pour ce soir tu en as eu assez, je vais les laisser tranquille Merci Maître, dans l’état ou vous les avez mis, et vu le plaisir que j’en ai retiré, je suis soulager car je pense que ça m'aurai fait plus de mal que de bien, vue dans l'état ou ils sont. Nous avons fait une séance de Shibari par la suite, c'était très excitant caresse toi ma Soumise, le temps que je t’attache, mais interdiction de jouir. Mes doigts descend lentement le long de mon corps qui étais remplis d’électricité, une fois ma main sur mon sexe, je m’exécutai, je n'avais jamais été autant humide … dans ma vie vanille je n'avais connu que sècheresse, ce n’était vraiment pas pratique … Mon Maître s’affaira pendant un petit moment, je ne voyais rien, tout en me caressant… une fois qu’il eut fini, il souleva mon bandeau afin que je puisse voir, c'était magnifique, je me sentais belle avec ces liens … Il me remit le bandeau et je ne bougeais plus, je senti le bruit d’un briquet, tiens mon Maître se fume une cigarette en admirant son œuvre me disais-je…. Soudain, Pendant une fraction de seconde je sentis une brulure sur mon sein encore endolorie de ce qu’il venait de subir auparavant, je me tordis dans tous les sens sur le moment, et une fois la sensation fut -elle passée que j'éclatai de rire, il continua sur l'autre sein , continuant à me torture, à me tourmenter, et je riais de plus belle , sauf quand il descendit sur mon ventre et arrivant à la naissance de mon intimité , là je ne riais plus, c’est tout mon corps qui se crispait et je dirai que la sensation n'était pas agréable , me voyant me tordre il versa de la cire sur mon intimité mais remonta vite voyant que je ne goutais pas forcément à cela, il m'en versais dans le nombril , continua partout sur le ventre et encore sur mes sein , j'étais de nouveau en feu... mes rires avait laisser place à une concentration bien plus forte pour pas que mon corps se torde dans tous les sens , mais c'était trop bon …. Quel merveilleuse sensation et découverte…. Cela faisait maintenant bien une vingtaine de minute que j'étais attaché, des douleurs se faisait naissantes sur mes membres, et mon Maître me détacha lentement en veillant à ne pas faire plus mal, et une fois libérée de mes liens, je restais là un instant un peu hagarde en reprenant le contrôle sur mes membres. -tu peux aller prendre une douche ma soumise, pour enlever la cire sur ton corps de petite chienne… Maître enleva mon bandeau, je fus surprise par toute la cire étalée sur mon corps, ce qui me fit éclater de rire. L'eau chaude coula sur mon corps, je me détendais et reprenais petit à petit mes esprits … Ce n’était pas facile d'enlever toute cette cire, je n'aurai jamais cru …. Dix minute plus tard je sortais enfin de la douche, proprette comme un sous neuf. Je repris ma place au bord du lit et nous parlâmes avec Maître de tout et de rien, après un débriefing de l'ensemble de la soirée. Cette première séance fut pour moi une des expériences des plus intenses que j’ai eu à vivre, je sais désormais que ma place est et restera dans ce monde-là. Maître continua à jouer avec moi, jusqu’à l’ultime orgasme que nous primes ensemble… nous nous allongeâmes ensuite bien au chaud sous la couette, et il ne nous fallut peu de temps pour rejoindre les bras de Morphée, la soirée avais été épuisante autant pour lui que pour moi. Je plongeai dans un sommeil profond heureuse avec un sourire dessiné sur mes lêvres... Ma toute 1ere séance à mon arrivé dans le milieux avec celui qui a été mon mentor et qui à l'heure d'aujourd'hui est un ami précieux. Je voulais partager ça avec vous. Merci de m'avoir lu
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Par : le 24/03/15
Noter de 0 à 5 : 0 : pas du tout ! 1 : pas mon truc mais envisageable, à voir 2 : à l’occasion, avec réserves 3 : ça peut me plaire 4 : oui j’aime 5 : j’adore ! Chatouilles Contrôle d’orgasme Répétition rapprochée d’orgasmes Masturbation forcée Masturbation à autrui Baillon Yeux bandés Attachement, immobilisation, menottes Attachement bondage Suspension Position inconfortable forcée Pénétration vaginale Pénétration vaginale avec objets & toys Dilatation vaginale Pénétration anale (sodomie) Pénétration anale avec objets & toys Dilatation anale Fist vaginal Fist anal Excitation au vibro Exhibitionnisme Suggestion mots seuls sans aucun acte Mots crus entendus Obligation à dire des mots crus Insulte Humiliation (position, situation) Ordres sévères Punition Corvées Se faire offrir à des inconnus Tenues fetish - cuir - look - travestissement Fétichisme spécifique (préciser) Pinces seins Pinces vulve Pinces corps Ventouses Coupures, aiguilles, piercing Jeux de cire/bougie Brûlures Orties Torture, sévices Fessée Giffle au visage Flagellation fesses Flagellation dos Flagellation seins Flagellation cuisses Marques 1 jour Marques 1 semaine Fellation profonde forcée Etouffement/étranglement Vomissement Lavement Jeux uro (receveur) Jeux uro (émetteur contrôlé) Ingestion uro Jeux scato (receveur) Jeux scato (émetteur contrôlé) Ingestion scato Jeux de sperme Ingestion de sperme Switch Si désir de switch (inversion des rôles) : reprendre le questionnaire en tant qu’acteur
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Par : le 11/03/15
La nouvelle suivante (ou plutôt les deux nouvelles suivantes) sont en cours de travail. Elles n'ont pas pour but de fantasmer, mais de tenter de faire une présentation romancée du BDSM, et pour cette raison sont soft. Je les propose ici pour recevoir des conseils à lur sujet pour mieux les finaliser et donner la meilleure image possible du BDSM. Théoriquement, elles sont sous licence Creative Commons BY-NC-SA : en gros, si elles vous plaisent, vous pouvez les partager sur votre blog, si ce n'est pas dans un but lucratif, et si vous me faites une petite publicité au passage en citant au moins le nom de l'auteur. Toutefois, si elles vous plaisent et que vous voulez les partager, je vous conseille d'attendre d'éventuelles améliorations avant de le faire. Voici donc les nouvelles, en espérant qu'elles vous plaisent. Dialogue avec un Ange Suivi de Dialogue avec un Dieu La caisse bipait, article après article. J'attendais un peu en retrait que mon interlocuteur range ses courses dans ses deux sacs, le regardait faire son travail avec efficacité. Quand il en eut terminé, il paya par carte bancaire, remercia poliment la caissière, et se retourna vers moi, en soulevant un sac de chaque main. Je ne pus m'empêcher de jeter un autre coup d'oeil au collier de cuir encerclant son cou. Quand il parvint à ma hauteur, je lui emboitais le pas, et repris la conversation. - Et vous n'avez pas peur d'en mourir ? - Pourquoi aurais-je peur d'en mourir ? - Vous m'avez bien dit que votre Maître a tous les droits sur vous. Il a donc le droit de vous tuer, non ? L'esclave esquissa un léger sourire et me répondit. - En fait, je me suis trompé tout à l'heure, quand je vous ait dit cela. Mon Maître a en effet tous les droits sur moi, mais en échange d'une condition : il doit veiller à mon bonheur et à mon épanouissement dans l'esclavage. Ce qui inclut le fait de me garder en vie et en bonne santé. Et mon Maître consent volontiers à cette restriction, par amour pour moi. - Et en échange de cette condition, vous lui offrez donc une soumission et une obéissance totales ? - Totales... Ou non. Presque totales. Si le Maître me donne un ordre irréfléchi, et que je sais pertinemment qu'il regrettera de me l'avoir donné, je dois être capable de lui désobéir sur cet ordre. - Au risque qu'il vous punisse ? - Au risque qu'il me punisse. - Ce n'est pas injuste ? - Non. Mon Maître n'est, hélas, qu'un homme, et comme tout homme, il peut faire des erreurs. S'il me donne un mauvais ordre, et qu'il me punit pour ne pas lui obéir, je lui pardonne volontiers cette erreur. Et quand au final, il s'excuse de m'avoir puni injustement et me remercie de lui avoir désobéi, je suis l'esclave le plus heureux du monde, car je sais que j'ai servi mon Maître de la meilleure manière possible. Et mon Maître aussi est heureux, car il constate qu'il possède un esclave auquel il peut réellement faire confiance. - Et si c'est vous qui être en tort ? - Et si c'est moi qui est en tort, ce qui peut arriver aussi bien sûr, alors je demande le pardon à mon Maître, et lui explique pourquoi je pensais avoir raison jusque là. A ce moment, il décide si je mérite une autre punition ou non, et me pardonne après m'avoir puni et/ou sermonné. A partir du moment où le Maître m'a pardonné, je sais que je peux me pardonner moi-même, car je pourrai alors essayer d'être un meilleur esclave, et car je saurai que j'ai donné tout ce que je peux donner à mon Maître pour qu'il m'aide à mieux le servir. - Et ce n'est pas injuste envers vous ? - Si je suis heureux dans ces conditions, pourquoi est-ce que cela serait injuste envers moi ? - Vous êtes tout de même privé de liberté, et à la merci des décisions, peut-être parfois mauvaises, de votre Maître, je me trompe ? Nous étions dans la rue à ce moment-là. Les passants nous entouraient, allant de-ci de-là, nous ignorant. L'esclave avec qui je conversais garda le silence un moment pour réfléchir. Nous passâmes devant une mendiante, qui tendit un gobelet dans notre direction. L'esclave s'arrêta, posa ses sacs au sol, sorti le portefeuille de la poche de son manteau, et déposa quelques pièces au fond du gobelet. - Voici madame. Et bonne journée à vous. L'esclave souleva ses sacs, et nous reprîmes notre chemin. - Je sais, reprit-il à mon intention, que c'est difficile, pour quelqu'un d'extérieur, de concevoir qu'un être puisse être heureux et épanoui dans la servitude. Honnêtement, il fut un temps, quand j'étais encore un homme libre, j'avais moi aussi du mal à le concevoir. Mais c'est ainsi. Nous sommes les masochistes, et notre bonheur se trouve dans l'esclavage ou dans la torture. Certains n'apprécient que l'un ou l'autre. Personnellement, j'aime les deux. Dans cette vie, nous perdons de nombreux droits, et de nombreuses libertés. Mais ce que nous perdons en droit et en liberté, nous le gagnons en bonheur, en sérénité, en dévouement, en bonté et en altruisme. - C'était l'argent de votre Maître, pourtant, que vous avez donné, non ? - Oui, c'était l'argent de mon Maître. - Il ne vous punira pas quand il se saura ? - Il le saura, car je le lui dirai. Et je connais mon Maître : quand il le saura, il me dira probablement "c'est bien". Tout simplement. Mon Maître est un homme bon. - Pourtant, il a fait de vous un esclave. L'esclave esquissa à nouveau un sourire. - Oui, mon Maître a fait de moi un esclave, et il aime avoir un esclave à son service. Il aime aussi torturer son esclave. - Votre Maître est un sadique, et pourtant c'est un homme bon ? - Oui. C'est un sadique et un homme bon en même temps. Un sadique parce qu'il prendrait beaucoup de plaisir et de bonheur à torturer et à soumettre n'importe qui qui lui tomberait entre les mains. Un homme bon parce qu'il sait que c'est mal de faire cela à quelqu'un qui ne le désire pas. Alors il se contraint à ne le faire qu'avec des masochistes, en veillant à ce que ces masochistes-là y puisent eux aussi du plaisir et du bonheur. Ce doit être un lourd fardeau pour lui que de donner ces restrictions à ses pulsions, mais il se les donne par bonté envers les autres. - Je comprend. Mais comment savez-vous que votre Maître ne craquera pas ? A ces mots, l'esclave s'arrêta, et se tourna vers moi pour me regarder droit dans les yeux. - Le Maître est bon. C'est parce qu'il est bon que je l'aime. C'est parce que je l'aime que je lui ait demandé de faire de moi son esclave. - Alors c'est vous qui le lui avez demandé ? - Oui, c'est moi qui le lui ai demandé. Et c'est lui qui m'a fait l'honneur d'accepter de me prendre pour esclave. En retour, je ferai tout pour éviter qu'il ne lui arrive malheur. Pour éviter qu'il ne craque. Peut-être est-ce la raison de l'existence des masochistes, aider les sadiques à ne pas craquer. Nous reprîmes alors notre route. - Et vous ne faites que cela de votre vie ? Servir votre Maître ? - Presque. Techniquement, je suis aussi écrivain. J'ai déjà un petit groupe de lecteurs assidus. Alors j'écris chaque jour. Je lis souvent aussi, cela fait partie de mon travail d'écrivain, d'autant plus que mon Maître préfère avoir un esclave cultivé et avec qui il peut avoir des discussions intéressantes. Mon Maître préfère aussi regarder ses films en ma compagnie. Et puis, quand j'ai fini toutes mes tâches, il m'autorise parfois à aller sur Internet ou à jouer aux jeux vidéos, pour m'occuper. Finalement, il y a aussi les séances de torture et les relations sexuelles avec mon Maître. - Et l'argent que vous gagnez, avec les livres que vous vendez ? - Tous mes bénéfices appartiennent au Maître. Je suis sa possession, de même que tout ce qui est sensé m'appartenir. - Vous savez, fis-je remarquer, je pense que votre Maître vous a fait tout un lavage de cerveau. L'esclave se mit à rire. - Oui, bien sûr ! Bien plus encore que vous ne le pensez ! Mais cela a fait de moi un homme meilleur. Quand j'étais libre, j'étais triste, paresseux, et pour vous dire la vérité, assez égoïste. Maintenant, je suis heureux, efficace dans tout ce que je fais, et je suis plus altruiste que jamais. Cela grâce à mon Maître, et pour faire honneur à mon Maître. - Je me demandais – étant croyant moi-même – vous pensez que vous irez au Paradis ou en Enfer ? L'esclave leva les sourcils, hésita un instant, puis me répondit : - En supposant que cela existe – de mon côté, je ne suis pas croyant – je ne sais pas. Mais si je suis assez bon pour le Paradis, j'espère que l'esclavage consenti y est autorisé, pour que je puisse continuer à servir mon Maître là-bas. - Vous pensez que Dieu accepterait cela chez lui ? Les anges sont les esclaves de Dieu, au final. Dieu est bon, et ses esclaves, heureux de le servir, le secondent dans sa bonté. Je pense que si Dieu existe, il sait qu'il peut y avoir de la bonté dans l'esclavage. Pour peu que l'esclavage soit aussi le désir de l'esclave. - Et si Dieu existe, qui serait plus important ? Dieu, ou votre Maître ? - Ce n'est pas la même chose. Dieu n'a pas besoin que je lui fasse la lessive, le ménage ou la vaisselle. Dieu serait sûrement plus important, puisqu'il serait aussi supérieur à mon Maître, mais je pense que Dieu ne nous demanderait pas grand chose au final. Il nous demanderait d'être bon avec les autres, et mon Maître et moi, nous essayons déjà de l'être, même sans croire en lui. Un silence. - Je pensais, dis-je, que vous me diriez rêver aller en Enfer pour y être torturé. - Hé non. En vérité, vous savez, un peu d'imagination et de psychologie suffit pour réussir à torturer un masochiste sans lui donner de plaisir en même temps, alors l'Enfer sait sûrement comment s'y prendre pour ça. - Mais sinon, quelque part, vous pensez que l'esclavage devrait être légal, s'il peut être bon ? L'esclave hocha la tête. - L'asservissement de personnes ne désirant pas être esclave doit rester un crime. Un crime grave, car c'est bien ce que c'est. Par contre, oui, je pense que l'asservissement de personnes désirant être esclave devrait être légal, ou tout du moins, toléré. - Comment faire la différence ? - Cela, je vous l'accorde, c'est tout le problème. Je... L'esclave s'arrêta de parler d'un coup sec, et tomba à genoux, au sol. - Ca va ? Demandais-je. Ca ne va pas ? - Ne vous inquiétez pas, monsieur, me répondit une autre voix. Il ne fait que me montrer son respect. Je me retournais vers cette autre voix, et trouvait un homme plutôt petit. En fait, à première vue, l'esclave pourrait certainement surpasser physiquement son Maître. - Vous êtes son Maître ? - Oui, je suis son Maître. Enchanté. Je suis Jack. Le Maître me tendit la main. Par réflexe de politesse, je la serrais. - François. Enchanté. En fait, nous parlions de votre relation à vous deux. - Je vois. Si cela vous intéresse, nous pouvons en parler plus en détail chez moi, un de ces jours. Vous êtes le bienvenu. Il me tendit sa carte de visite, que je pris entre mes doigts. - J'espère que la discussion avec Arthur, mon esclave, a été bonne. - Oui, très intéressante. Le Maître porta sa main vers la tête de son esclave, et la caressa. - C'est bien. - Merci, Maître. - Cela a été un plaisir de vous rencontrer, François. Mais je vous prie de m'excuser, j'ai du travail qui m'attend, et Arthur devra m'assister pour cela. Je vous souhaite une bonne journée. - Juste une seconde, s'il vous plait, demandais-je rapidement. Si vous avez du travail en cours, pourquoi êtes-vous sorti nous rencontrer ? - Simplement pour vérifier si Arthur n'aurait aucune hésitation à s'agenouiller devant moi en public pour me montrer son respect. Bonne journée. Debout. Jack se retourna, et Arthur se leva aussitôt. Il se tourna vers moi, et s'inclina légèrement. - Au revoir, monsieur, me dit-il. Puis il emboita le pas à son Maître, portant toujours les deux sacs de course lui-même. - Bizarre, concluais-je. Dialogue avec un Dieu Il y avait quelques jours de cela, j'avais eu une discussion intéressante avec un homme, qui disait vivre comme un esclave. Il m'avait décrit son bonheur, éprouvé grâce à la servitude et à la torture, son amour pour son Maître, l'amour que celui-ci ressentait pour lui. Ayant pu voir quelques instants cet être vénéré, et ayant reçu de ses mains sa carte de visite, ma curiosité m'a poussé à appeler au numéro de téléphone indiqué. Cet appel s'était conclu par la prise d'un rendez-vous pour une rencontre amicale, dans la demeure de ce Maître. Le jour prévu, je me retrouvai donc au pied de leur immeuble. Je sonnai à l'interphone, et j'entendis la voix d'Arthur, l'esclave, me répondre. - Oui, bonsoir ? - Bonsoir, c'est François. - Je vous ouvre. C'est au quatrième étage, appartement 42. L'entrée émit un signal sonore. Je montai au bon étage pour sonner au bon appartement. Quand Arthur ouvrit en grand la porte de chez son Maître, il dut aussitôt remarquer mon air surpris, car il me dit tout de suite : - Le Maître a décidé de me faire porter mes chaînes ce soir. En effet, outre le short et le T-shirt qui le recouvraient, l'esclave portait un collier de cuir, et des fixations similaires à chaque poignet et cheville. Il avait les pieds nus. Du cou pendait une longue chaîne, attachée en son milieu à une seconde chaîne tendue entre ses poignet, et en son bas à une troisième tendue entre ses chevilles. Le tout devait gêner en partie ses mouvements, mais mes observations ultérieures me laisseraient penser qu'il était habitué à les porter régulièrement. - Vous pouvez entrer, continua-t-il. Le Maître vous attend dans son salon. - Le bruit des chaînes sur le sol, demandais-je en entrant, cela ne dérange pas les voisins en-dessous ? - C'est une des raisons pour lesquelles nous avons principalement de la moquette ici. Je vous en prie. Je laissai mon manteau dans les mains d'Arthur, qui m'indiqua le salon. Celui-ci était assez grand, pour un simple appartement. Meublé avec goût, mais sans signe de grande richesse. Je constatais que, même s'ils n'étaient pas sans le sou, ce couple ne devait pas non plus avoir une fortune cachée sous un matelas ou dans un compte en banque. Jack, en me voyant, se leva de son fauteuil pour m'accueillir dans la pièce. - Soyez le bienvenu, François. Je vous en prie, prenez un fauteuil. Vous aimez le vin, j'espère ? - Le vin ? Oui, j'apprécie. - Très bien. Arthur, tu peux ouvrir la bouteille. - Tout de suite, Maître. L'esclave s'éclipsa dans la cuisine, et revint avec la bouteille, pendant que moi et son Maître nous asseyons dans des fauteuils. La petite table basse proposait déjà deux verres à pied et quelques petits biscuits apéritifs. - Je dois avouer que les chaînes d'Arthur m'ont... surpris. - Je sais, c'était un peu le but. Comme vous êtes curieux à propos de notre façon de vivre, je pensais vous donner quelques petits exemples ce soir. En restant pudique, bien entendu. - Bien entendu... Arthur avait débouché la bouteille, et servit un peu de vin à son Maître. Celui-ci goûta, approuva, puis l'esclave remplit mon verre et celui de Jack. Je n'étais pas un grand connaisseur en vin, mais celui-là, sans paraître très cher, me semblait rester un choix pertinent pour un apéritif. - Seulement deux verres ? Fis-je remarquer. - Bien sûr. Arthur n'a le droit au vin que quand je le lui autorise. La seule boisson qu'il a le droit de boire sans avoir à demander ma permission d'abord, c'est l'eau, qu'il peut boire à volonté. - Je comprend. Je jetai un regard sur l'esclave. Il était debout, les mains jointes devant lui, dans une position indiquant clairement l'attente patiente et la soumission. Il attendait le moment où il servirait à nouveau. - Je me demandais : comment prenez-vous le fait que l'un de vous soit l'esclave de l'autre ? Je veux dire, au yeux de bien des gens, ce serait une situation dégradante. Vous en pensez quoi ? - Je pense, commença Jack, qu'il n'y a rien de dégradant à être esclave. Dans le cas d'un esclavage non désiré, c'est plutôt l'esclavagiste qui devrait voir son image être dégradée. Et dans le cas d'un esclavage consenti, c'est juste la preuve d'un amour partagé, entre une personne qui désire se mettre entièrement au service d'une autre, et cette dernière qui aide la première à s'épanouir dans la réalisation de ce désir. Arthur n'a pas à avoir honte d'être un esclave : la décision qu'il a prise d'en devenir un est preuve d'un grand altruisme et d'un grand dévouement, et ce sont des qualités dont il peut être fier. - Et du côté de l'esclavagiste ? - Du côté du Maître, c'est un peu plus complexe. Je suis celui qui profite de la situation. Je suis le bourreau, le tortionnaire, le méchant, vu de l'extérieur. Et je suis obligé de l'admettre, j'aime beaucoup ce rôle. Si je ne l'aimais pas, je n'aurais pas d'esclave. Croyez-le ou non, dresser un esclave, cela requiert beaucoup de temps. - Vous en avez eu d'autres ? - D'autres ? Oui, et non. Arthur est mon premier. J'ai débuté en tant que Maître en même temps que lui a débuté en tant qu'esclave. Pour obtenir de l'expérience dans le domaine, j'ai demandé conseil à d'autres Dominants. Ils nous ont aidé, moi et Arthur, à faire nos premiers pas. Et quand je suis devenu quelqu'un d'expérimenté, j'ai commencé à accueillir de temps en temps des débutants, Dominants comme soumis, pour les aider à mon tour à faire leurs premiers pas. J'ai eu plusieurs soumis sous mon fouet, mais en véritable esclave permanent, je n'ai jamais eu qu'Arthur à mon service. Jack prit une petite poignée de biscuits et la présenta à Arthur. Ce dernier s'avança, se mit à quatre pattes, remercia son Maître, et commença à manger dans la main de celui-ci. - C'est la principale chose qu'il faut comprendre, continua Jack. Arthur n'est pas esclave sous la contrainte. Il l'est parce qu'il désire l'être. Il mange dans ma main parce qu'il aime se sentir dominé par autrui. De la même manière, il aime être asservi, humilié, et torturé. Il prend beaucoup de plaisir à manger dans ma main car il montre ainsi à quel point il est inférieur à nous et soumis à nous. Il mangerait dans votre main aussi, si vous lui tendiez des biscuits à votre tour, et il aimerait ça. Arthur était en train de lécher délicatement le sel sur la main de son Maître. Ce dernier prit une deuxième poignée de biscuits, et la laissa tomber au sol. Arthur remercia son Maître, et se mit à quatre pattes pour manger à même la moquette. - C'est comme ça, poursuivit Jack. Cela peut paraître insensé, mais c'est comme ça. Arthur est masochiste. De la même manière, j'aime asservir, humilier et torturer. Je suis un sadique. Si je le faisais à quelqu'un qui ne souhaite pas l'être, je ne sais pas si j'y prendrais plaisir ou non. Un conflit entre mes pulsions et ma morale. Je ne l'ai jamais fait avec quelqu'un de non-consentant, et je ne compte pas m'y mettre un jour, par morale. Mais le faire avec quelqu'un de consentant, qui aime ça, cela me fait beaucoup de bien et beaucoup de plaisir. C'est pour lui comme pour moi un exutoire, un moyen d'apaiser nos pulsions dans un espace contrôlé, afin d'éviter qu'elles ne nous frustrent ou ne s'apaisent d'elles-même en nous faisant faire quelque chose de regrettable. On a déjà entendu parler de beaucoup de criminels sadiques, dans les journaux, on parle des sadiques qui torturent moralement leurs subordonnés et collègues dans les bureaux, mais on parle beaucoup moins de masochistes qui se mettent d'eux-même dans des situations sociales impossibles pour apaiser des pulsions dont ils n'ont parfois pas même conscience. Jack tendit son verre vide au-dessus de son accoudoir. - Par l'asservissement d'Arthur, nous joignons ainsi l'utile à l'agréable, pour lui, comme pour moi, ainsi que pour la société qui nous entoure. Arthur ? Arthur releva la tête et vit le verre vide de son Maître. - Je suis désolé, Maître. Il se releva, prit la bouteille de vin, et en versa dans le verre. Comme je lui tendais le mien, il le remplit aussi à son tour. Il retourna alors à ses derniers biscuits au sol, et revint rapidement à sa place, en position d'attente patiente. - Je comprend, dis-je. Mais quand vous dites «inférieur» à nous ?... - Socialement, bien entendu. Arthur reste un homme, et sa vie vaut tout autant que celle de n'importe qui d'autre. Même plus à mes yeux, puisque je l'aime. Je dis «inférieur» uniquement parce qu'il obéit, et que nous, on ordonne. Parce qu'il sert et que nous sommes servis par lui. Je hochai la tête, pensivement, face à toutes ces informations. Je levai un instant les sourcils, but d'une traite mon verre pour faire passer le tout, et vit Jack faire de même. Arthur remplit alors à nouveau nos deux verres. - Maître ? - Oui Arthur ? - Puis-je me retirer pour finir de préparer le diner ? - Combien reste-t-il dans la bouteille ? - Un peu moins d'un verre, Maître. - En voudriez-vous, François. - Non merci, cela suffira pour moi. - Dans ce cas, tu peux finir la bouteille si tu veux, Arthur. - Merci, Maître. Je vais la finir. L'esclave commença à se retourner. - Attend une minute, dit Jack. Arthur se tourna vers lui, et le vit indiquer le sol du doigt, à côté de son fauteuil. L'esclave se dirigea vers le point indiqué, et s'y agenouilla. Le Maître commença alors à caresser la tête de sa possession. Puis il dit en me regardant : - Arthur ne veut pas être traité à égalité avec nous. A ses yeux, ce serait contraire à mon statut de Maître, à votre statut d'Homme Libre, et à son statut d'esclave. Il ne nous en veut absolument pas d'avoir bu quasiment toute la bouteille à nous deux. Au contraire, ce fond est un cadeau que nous lui faisons. N'ai-je pas raison ? - Si, Maître. Vous avez tout à fait raison. - Mon gentil soumis, bien dressé, bien docile, bien obéissant. - Mon Maître adoré. Jack passa un doigt dans l'anneau du collier d'Arthur, et le tira à lui pour l'embrasser. Après leur baiser, je les regardais se lancer des yeux doux, aussi intenses que ceux de n'importe quel couple amoureux. Le Maître caressait la tête de son esclave, et dernier lui répondait avec toute son admiration. - Tu es vraiment trop mignon. François, accepteriez-vous que je donne une fessée à mon esclave ? - Je vous en prie, répondis-je, faites. - Merci. Garde ton slip et installe-toi, Arthur. - Merci Maître ! L'esclave baissa son short et posa délicatement son ventre sur les genoux de son Maître. Ce dernier sortit un gant en cuir de sa poche et l'enfila, ce qui me laissa suspecter la force avec laquelle il comptait frapper. - Donc, demandais-je, il y a en quelque sorte trois castes à vos yeux : les Maîtres, les Hommes Libres, et les esclaves. - Deux, en fait, dit Jack, ce serait plus exact. Les Hommes Libres et les Maîtres naissent et demeurent libres et égaux en droit et en devoir et cætera. La seule différence, c'est que les Maîtres ont des esclaves, et les Hommes Libres non. - Et les esclaves ? - Et les esclaves sont... des esclaves. Bien entendu, dans un monde idéal, seuls ceux qui désirent réellement être des esclaves rejoignent cette "caste". Il est hors de question d'imposer cette vie à quelqu'un qui ne la désire pas. Arthur aurait aimé être esclave dès la naissance, mais il sait aussi bien que moi que cela impliquerait l'existence d'esclaves ne désirant pas l'être, et lui comme moi, nous ne désirons pas que cela arrive à qui que ce soit. - Seuls deviennent esclaves ceux qui désirent être esclaves donc. - Exactement. Je rajouterais aussi que, souvent, l'esclave choisit son Maître autant que le Maître choisit l'esclave, et qu'il est préférable qu'ils définissent clairement les règles et limites de cet esclavage avant de le mettre en application. Vous avez peut-être déjà entendu parler de contrat BDSM, et c'est pour cette raison que ces contrats existent. Par exemple, Arthur a spécifié clairement ne pas vouloir être vendu ou donné à quelqu'un d'autre, alors il restera toute sa vie ma propriété à moi. Et la fessée commença. Le Maître frappa fort, très fort, plusieurs fois. A chaque fois, Arthur gémissait en même temps de douleur et de plaisir. J'imaginais parfaitement, au bruit que les coups faisaient, la teinte écarlate qu'avaient dû rapidement prendre les fesses de l'esclave. Quand cela fut fini, Jack lui dit de se relever, et d'aller finir de préparer le diner. Arthur remercia son Maître, et s'en alla, visiblement heureux, dans la cuisine. Je bus mon deuxième verre de vin d'une traite lui aussi. - En fait, repris-je après cet épisode, c'est un peu l'esclave qui dicte les règles, au final, non ? - C'est plus compliqué, mais je crois que j'ai une métaphore pour m'aider à expliquer. Pendant la rédaction du contrat, le soumis met en place les limites qu'il ne désire pas dépasser. C'est un peu comme s'il dessinait un polygone sur une feuille de papier. Ce qui est à l'intérieur du polygone, c'est ce que le Maître à le droit de faire. Ce qui est à l'extérieur, ce qu'il n'a pas le droit de faire. Le soumis dessine donc un polygone, puis le Maître peut librement s'exprimer dans la surface qui lui est ainsi laissée. Certains soumis dessinent un polygone petit et complexe, ceux-là veulent souvent des scénarios temporaires tournant exclusivement autour de un ou deux fétichismes. Personnellement, je n'aime pas ce genre de contrat, mais c'est le choix et la préférence d'autres adeptes du BDSM, et je le respecte. De mon côté, j'ai de la chance, Arthur m'a dessiné un polygone très large, et il m'a laissé beaucoup d'espace de manière permanente pour développer mon imagination et pour le surprendre. - C'est là qu'intervient le fameux «safeword» ? Pour dire au Maître «vous sortez du polygone» ? - En quelque sorte. Quand je torture mon esclave – pour son plaisir et pour le mien – il lui arrive souvent de me supplier d'arrêter. C'est un réflexe d'autodéfense, et je sais qu'en vérité, au fond de lui, il souhaite que je continue. Mais le safeword est volontairement un mot bizarre, qui n'a rien à faire dans une séance de torture. Le nôtre, c'est «colimaçon». Quand Arthur est torturé par moi, il peut crier autant qu'il veut, cela ne m'arrêtera pas. Au contraire, ça me donnera envie de continuer. Mais s'il dit «colimaçon», je sais que ce n'est pas un réflexe d'autodéfense : il me prévient que quelque chose ne va pas et qu'il faut réellement que ça s'arrête. - Et vous respectez toujours le safeword ? - Toujours. A mes yeux, et aux yeux de beaucoup, un Maître qui ne respecte pas le safeword ne mérite pas d'être un Maître. Arthur l'a déjà prononcé quelques fois, et j'ai toujours mis fin au jeu quand il l'a prononcé. De notre côté, on va aussi un peu plus loin, et on a mit aussi au point un signe de la main en guise de safeword, pour les jeux où Arthur est bâillonné. - Ce qui implique que s'il est bâillonné, il doit pouvoir faire le signe de la main. - C'est un défaut, mais c'est préférable au fait de le torturer sans sécurité derrière. Pendant ce temps, Arthur avait mis la table, et Jack m'invita à m'y asseoir. Le diner était simple, des pâtes à la carbonara, mais l'esclave les avait préparé avec dévouement. Ce dernier nous les servit dans nos assiettes, remplit nos verres d'eau, et reprit sa position d'attente patiente. Nous mangions, le Maître et moi, de bon appétit, et en discutant. - Je me demandais, dis-je à un moment. Votre esclave fait donc tout pour vous ? - Beaucoup de choses, mais pas tout. Quand une tâche de la maison a besoin de quatre mains, je l'aide, bien sûr, et je fais parfois quelques travaux domestiques moi-même. Il m'arrive de cuisiner par exemple, c'est une activité que j'apprécie. - Mais quand vous n'avez pas envie de cuisiner ? - C'est Arthur qui s'en charge, bien sûr. Il y a aussi l'argent. Arthur est écrivain. Un bon écrivain, si vous voulez mon avis, et ses ventes de livres se rajoutent à mon salaire. Le Maître passa alors une bonne partie du repas à parler de son travail en tant qu'informaticien, et surtout à faire les louanges du talent littéraire de son esclave. En jetant quelques coups d'oeil à celui-ci, je vis sur son visage la fierté qu'il ressentait à entendre son Maître parler de lui en ces termes. Elle ne fit que s'accroître quand Jack mêla à l'hommage pour son don de la plume celui de son don pour la servitude. Comme il me l'avait dit plus tôt, il ne considérait pas son domestique avec mépris, mais au contraire avec beaucoup de respect, et beaucoup d'affection. Au lieu de l'abaisser, on aurait au contraire cru qu'il mettait son esclave sur un piédestal. Paradoxalement, le Maître se révélait aussi humble dans sa position dominante que l'esclave dans sa position de soumission, et vénérait son soumis tout autant que ce dernier vénérait son Dominant. Quand il eut fini sa tirade, il ordonna à Arthur de ramener sa gamelle dans le salon, en lui annonçant qu'il mangerait ici. Arthur revint avec une gamelle pour chien parfaitement propre, et la présenta servilement à son Maître. Ce dernier s'empara des ustensiles, et servit des pâtes dans le récipient. - Voilà. Est-ce que cela te suffit ? - Oui Maître. - Très bien. Tu peux commencer à manger. - Merci Maître. L'esclave se mit à genoux, déplia une serviette au sol pour ne pas tâcher la moquette, posa le récipient au milieu de la serviette, et commença à manger à quatre pattes, à même la gamelle. - Venez, me dit alors Jack. Allons nous installer dans les fauteuils. Je le suivis, en regardant à moitié Arthur manger de la même manière qu'un chien, à côté de la table où nous avions diné. - Mais... Mais et tout ce que vous m'avez dit ? Toutes les louanges que vous avez faites à propos d'Arthur ? - Elles tiennent toujours. Je crois toujours tout ce que je vous ai dit. Si je le fais manger à quatre pattes après nous, plutôt qu'à table en notre compagnie, c'est parce que c'est le statut qu'il aime avoir, et le statut que j'aime lui donner. Cela l'humilie, bien sûr, puisque vous êtes là à le regarder manger ainsi, mais il aime être ainsi humilié. Il n'y a rien de dégradant, ni de méprisant, ni d'insultant dans ce que je lui fait faire et dans ce qu'il fait. C'est juste l'expression de nos désirs. Arthur désire être inférieur à nous, et il l'est. Inférieur non pas parce qu'il vaut moins que nous, ce n'est pas vrai. Inférieur parce qu'il obéit et que j'ordonne. C'est comme ça que nous aimons vivre, et c'est comme ça que nous sommes heureux. Nous étions alors assis dans les fauteuils, et Arthur releva la tête de sa gamelle. Tout le pourtour de sa bouche était maculé de sauce à la carbonara. - Arthur, si tu as fini de manger, nettoie ton visage, débarrasse la table, et prépare-nous trois cafés. Ensuite, tu pourras venir discuter avec nous. - Bien Maître. - Excusez-moi, se reprit Jack. Vous voulez un café, François ? - Oui. Oui, volontiers. - Trois cafés, Arthur. - Oui Maître. L'esclave était dans la cuisine et devait certainement se débarbouiller. On entendait déjà la cafetière se mettre en route. Très vite, le bruit des couverts débarrassés s'y ajoutèrent. - Je vous sens tendu, François, me dit Jack. - Oui, c'est vrai. C'est que... tout est bizarre ce soir. - C'est normal. Vous êtes entré dans un univers qui n'est pas le vôtre. Mais je vous rassure, nous ne sommes pas méchants, et nous ne vous voulons aucun mal. - Oui, d'accord. - J'arrive ! Annonça Arthur. Me voilà. Arthur déposa trois cafés sur la table et s'assit sur une chaise en notre compagnie. - J'ai manqué quelque chose ? Continua Arthur. Je me mis à rire un peu, nerveusement. - Qu'y a-t-il ? Me demanda poliment Jack. - Rien, c'est juste le fait qu'Arthur puisse discuter avec nous. L'ambiance me paraît tout d'un coup moins... Moins... - Protocolaire ? - Oui, voilà. - C'est normal, m'expliqua Jack. C'est comme ça dans un couple Maître/esclave : il y a des moments protocolaires, comme celui que je viens de vous faire vivre, et d'autres plus détendus. Attention, Arthur et moi, nous sommes dans une relation d'esclavage permanent : les règles sont plus souples pour lui, mais elles n'ont pas totalement disparues. - Je dois toujours respect et obéissance à mon Maître, par exemple, ajouta l'esclave. - Tiens, à ce propos, viens là. Jack fit signe d'approcher à Arthur, et il commença à détacher ses chaînes avec efficacité. - On va enlever ça maintenant. Ramène tes chaînes dans la salle de torture et reviens. - Tout de suite, Maître. - La salle de torture ? Risquais-je pendant qu'Arthur y allait. - La salle de torture, me répondit-Jack. On a choisi cet appartement principalement parce qu'il y avait trois chambres. La première, c'est la mienne, où dort aussi Arthur la plupart du temps ; la seconde est une chambre d'ami ; et la troisième, nous en avons fait une salle de torture. Pas de dame de fer ou d'outils tranchants bien entendu, le but est d'y trouver du plaisir, pas de faire parler. - Oui, évidement. - Je suis de retour ! annonça joyeusement Arthur. Il se rassit sur sa chaise en notre compagnie, et but une gorgée de café. Il ne lui restait plus que son collier et ses fixations aux poignets et aux chevilles, en plus de ses vêtements. - Euh, je m'excuse, pour la bouteille de vin, en profitai-je. - Oh, ce n'est pas grave : mon Maître vous l'a dit, je ne vous en veux pas. C'est même gentil de m'avoir laissé le fond. - Oui, mais du coup, j'ai l'impression que vous n'avez pas profité de la soirée. - C'est gentil de vous inquiéter pour moi, merci, répondit Arthur en souriant. Mais ne vous inquiétez pas : j'en ai profité, à ma manière. Je suis très content de vous avoir servi, mon Maître et vous. - Oui, c'est un peu ça que j'ai du mal à comprendre. - C'est normal. Je crois qu'il faut être un peu comme moi pour vraiment comprendre. - C'est un peu comme un enfant content de ramener une bonne note, dit Jack. - Donc j'ai reçu une bonne note ? - Disons... A-. - Seulement A-, Maître ? - Oui, parce que tu n'as pas fait attention à mon verre quand tu mangeais les biscuits par terre. - Ah oui, c'est vrai. Désolé Maître. - Ce n'est pas grave. Jack se pencha vers son esclave, et se dernier le rejoignit pour lui faire un bisou. - Mais donc, demandais-je, tout ce que vous m'avez dit est bien vrai ? - C'est notre point de vue en tout cas, me répondit Jack. Après, d'autres adeptes du BDSM ne seront pas forcément d'accord avec tout ce qu'on a dit. - Y compris l'autre jour, dans la rue ? demandais-je à Arthur. - Oui, dit-il. Avec un peu de mise en scène. - Un peu de mise en scène ? Poursuivit son Maître. - Je joue très bien le fanatique dont on a lavé le cerveau. - Mais tu es un fanatique, Arthur. Et je t'ai lavé le cerveau. - Je préfère le terme «dressage», Maître. - Mais pourquoi avoir fait ça ? Demandais-je. - Je ne sais pas, admit l'esclave. Vous étiez un inconnu, et vous me posiez plein de questions. Mettez-vous à ma place : c'est vous qui étiez bizarre à mes yeux. Alors j'ai essayé de vous faire peur. Je crois. Un peu. Je souris un instant à l'idée que j'ai pu paraître bizarre aux yeux d'un esclave masochiste. - Vous ne m'en voulez pas ? Demanda Arthur. - Non, non, je ne vous en veux pas. - Pour être honnête, admit Jack à son tour, je ne pensais pas que vous nous appelleriez pour nous revoir. Mais quand vous l'avez fait, on s'est senti obligé de tenir notre engagement et de vous inviter. Et au final, tout est bien qui finit bien : je pense qu'on peut dire qu'on est ami maintenant. - Je pense que vous avez raison, acquiesçais-je. - Si on est ami, je pense aussi qu'on peut se tutoyer. - D'accord. - Et moi ? Demanda Arthur. Je dois tutoyer ou vouvoyer ? - Eh bien... C'est comme tu veux, lui répondis-je. - Alors je crois que je vais continuer à vous vouvoyer, Monsieur. C'est à ce moment, je pense, que j'ai vraiment compris qu'Arthur aimait son statut d'esclave. Il n'y avait pas de mépris, ni de fausse modestie, ni même d'auto-dénigrement dans cette phrase. Juste une sereine acceptation d'un fait : il était un esclave, nous étions des hommes libres, et c'était très bien pour lui comme ça. La soirée continua tranquillement tout compte fait. Après les cafés, Arthur nous ramena de l'eau pour nous désaltérer. Ils me racontèrent tour à tour des anecdotes de leur relation, et j'ai eu le plaisir de les voir à plusieurs reprises rire ensemble de leur histoire commune. J'ai ris aussi avec eux, une fois ou deux. - Au début, me dit Jack, on s'est rencontré sur Internet, sur un site BDSM. Je voulais commencer en tant que Dominant, et Arthur voulait commencer en tant que soumis. Nous avons fini par tomber amoureux. On s'est retrouvé en vrai dans un bar, sur un terrain neutre, puis on s'est fait visiter nos appartements respectifs. Très vite, on a emménagé ensemble et j'ai commencé à le soumettre. - Les premiers mois, poursuivit Arthur, c'était irrégulier. On se couchait en Dominant et soumis et on se réveillait en égal à égal, ou vice versa. Au final, j'en ai eu assez de ça et je me suis mis à genoux devant mon Maître. Il se mit à genoux devant lui, pour mimer la scène. - Maître, souhaitez-vous prendre votre soumis pour esclave permanent, et le dresser à obéir et à servir, pour le meilleur et pour le pire, jusqu'à ce que la Mort nous sépare ? Jack souriait en revoyant la scène, et en caressant la tête de son esclave. Je demandais : - Tu lui as répondu quoi ? - Je lui ai répondu «Embrasse mes orteils un par un et je te répondrai oui». - Jamais de ma vie je n'ai embrassé aussi vite des orteils, avoua Arthur en se rasseyant sur sa chaise. - Et depuis, Arthur est ton esclave, donc ? - Oui. Environ un an après cette déclaration d'amour, je lui ai demandé s'il voulait toujours être mon esclave à vie, et il m'a répondu «plus que jamais, Maître». C'est depuis ce jour que je considère qu'Arthur est irrévocablement devenu mon esclave. - Pour le meilleur et pour le pire, Maître. - Pour le meilleur et pour le pire, répondit le Maître. - Il y en a eu beaucoup, du pire ? Demandais-je. - Pas beaucoup, heureusement, dit Jack. Surtout des bêtises d'esclave. - Beaucoup de bêtises ? - Oh oui ! Ça prend du temps à les dresser, ces bêtes-là, et il m'en a fait des belles. Heureusement quelque part, la vie serait plus monotone sans. - En fait... Commença Arthur. En même temps, il attrapait la poignée de la carafe d'eau pour resservir son Maître, mais il renversa son propre verre dans le même mouvement. Nous eûmes tous trois un mouvement de recul, puis tous trois nous nous jetâmes sur les serviettes pour essuyer au plus vite. - Arthur ! Gronda le Maître. Quand on parle de bêtises, ce n'est pas la peine de nous en donner un exemple ! - Maître, je... - Ça suffit. Tu essuies, puis tu vas au coin. L'esclave poussa un soupir. - Oui, Maître. Il essuya rapidement, porta les serviettes trempées à la cuisine, puis se positionna debout, face à un coin du mur. Je comprenais, de ce fait, pourquoi ledit coin n'était pas meublé. - Ce n'était pas une grosse bêtise, hasardais-je. - Non, c'est vrai. C'est pour ça que cela n'ira pas plus loin qu'une petite mise au coin, je pense. Ceci dit, voyons le bon côté des choses, cela nous permet d'aborder un autre point de notre relation : la punition. Une erreur que font beaucoup de gens extérieurs au BDSM, et même certaines personnes y posant un pied, c'est de considérer la douleur physique comme une punition. Dans le cas où le soumis aime la douleur physique, ça ne marche pas. - Parce qu'il aimerait ça ? - Non, c'est plus vicieux que ça. Si je donnais une fessée à Arthur pour le punir d'avoir renversé son verre, il n'aimerait pas, car il saurait qu'il la prend parce que je suis mécontent de lui. Ça briserait son plaisir, en quelque sorte. Mais quelque part dans son inconscient, il associerait la fessée que je lui ai donnée tout à l'heure avec celle que je lui donnerais maintenant, et au fur et à mesure, en utilisant la douleur à la fois comme un jeu ou une récompense, et à la fois comme une punition, cela brouille tous les repères du soumis. Il finira par avoir l'impression d'être puni quand on joue, et par avoir l'impression de jouer quand il est puni. Pour cela, quand le soumis aime la douleur, il vaut mieux ne pas punir avec la douleur. - Comment alors ? - La meilleure manière à mon avis, c'est ainsi, dit Jack en montrant Arthur dans son coin. Avec son point faible. Toute sa vie tourne autour du fait de me servir, alors je lui interdis momentanément de me servir. Pas besoin de coups de fouet, il retient bien mieux la leçon en sachant que par sa faute, son Maître est obligé de se servir son verre d'eau lui-même. Et Jack versa de l'eau dans son verre, en prenant soin de faire autant de bruit que possible. - Je pense comprendre, dis-je. - C'est bon Arthur, tu peux revenir. Je vais être gentil aujourd'hui. - Merci Maître. L'esclave revint s'asseoir parmi nous. Il y eut un instant de silence quand il se rassit. - Bon, dis-je pour le rompre et en me levant, il se fait tard, je pense que je vais rentrer. - On se reverra ? demanda Arthur. J'eus un instant d'hésitation. - Oui, je pense. Au final, j'ai passé une bonne soirée, et vous m'avez paru sympathique. Quoiqu'un peu bizarre. - Beaucoup bizarre. - Oui, c'est vrai, beaucoup bizarre. Surtout toi, Arthur. - Alors c'est entendu, conclu Jack en se levant à son tour, suivi de son esclave. Tu peux nous appeler quand tu voudras, ma porte est ouverte. - Entendu. Merci, Jack. - Juste une dernière question : pourquoi t'es-tu intéressé à nous, à la base ? - Je ne sais pas. C'est parce que le sadomasochisme, c'est un peu à la mode en ce moment. On en voit un peu partout. Alors quand j'ai vu Arthur, avec son collier, j'ai voulu poser la question. Pour savoir. Pour comprendre. - Il n'y a rien de plus que cela à comprendre. C'est simplement la vie que nous aimons, Arthur et moi. C'est vrai que le BDSM est un peu à la mode en ce moment, et en fait, ce n'est pas une si bonne chose qu'il le soit. Ce n'est pas un truc à faire n'importe comment, encore moins avec n'importe qui, et surtout pas juste parce que c'est tendance. A notre niveau, à Arthur et moi, c'est parce qu'on le veut, au fond de nous. Tu peux toujours utiliser un bandeau ou des menottes une fois de temps en temps pour pimenter une relation, mais tu ne dois pas te sentir obligé d'en faire autant que nous, juste parce qu'on voit ça à la télé aujourd'hui. Je t'ai vu pendant tout l'apéritif et pendant le repas, tu étais mal à l'aise face à tout ça. Je ne pense pas que ce soit fait pour toi. J'eus un petit rire. - Non, je ne pense pas moi non plus. - Et ce n'est pas grave. On reste des amis. - Oui, tu as raison, Jack. On reste amis. Je les saluais alors tous deux, et Arthur me raccompagna à la porte d'entrée. Il ne me resta plus qu'à rentrer chez moi. J'étais assez content, car je m'étais fait deux nouveaux amis. Des amis bizarres, mais des amis quand même.
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Par : le 10/03/15
Cela fait un petit moment que nous discutons ensemble, de ce que l'on aime ou pas... déjà plusieurs rencontres, pour prendre un verre... Aujourd hui c est shopping, je sens qu'on va bien s'amuser, j espère que le plaisir sera partagé... On se retrouve tu es belle malgré ton manque parfois de féminité... on va arranger ça... J opte pour un magasin avec un peu de tout côté vestimentaire... " va dans la cabine, je vais choisir..." Un tailleur, quelque top un peu sexy, une robe, une guêpière... humm.... Je reviens avec mes trouvailles... j'entre et te montre.. tu hesites... ce n'est que pour essayer.... pour voir, pour me faire plaisir... je te laisse faire ton premier essai tranquillement. Tu n'oses pas sortir, c'est trop provocant, trop décolleté? Je rentre dans la cabine pour te rassurer, tu es très joli comme ça... nos regards se croisent dans le miroir, je suis juste derrière toi, je pose mes mains sur tes épaules, caresse tes bras, pour te réconforter, prend ta main et t attire en dehors de la cabine... regarde comme tu es belle dans le grand miroir... Un sourire timide apparait sur ton visage, et tes joues rougissent un peu... je me penche à ton oreille pour te murmurer que je te trouve très désirable... tu files essayer la suite... le tailleur te rends très chic et sexy à la fois, et me permet de voir tes jambes... je note que tu ne te sens pas à l'aise aussi à l étroit... reste une chose à essayer, rassure toi je ne te demanderais pas sortir avec... j'entre dans cabine tandis que tu te dévêtis... j en profite.... pour t'admirer.. et dégraffer ton soutien gorge, libérant ainsi ta poitrine.... tu hésites... tu es troublée... je me penche et dépose de petits baisers sur ton épaule...lentement les bretelles glissent sur tes bras... tes mains cachent encore tes seins.... mes mains viennent les remplacer...ils sont fermes et moelleux... je mordille ton oreilles, tu penches ta tête et semble apprécier, je te retourne et te plaque dos au mur, pour d'embrasser... Une vendeuse passe et nous demande si tout vas bien? "Oui,oui!" J' attrape la guêpière et t'aide à l essayer, lentement j' attache les petits crochets dans ton dos... encore une fois nos regards se croisent dans le miroir, tu mordilles ta lèvre... j'en profite pour caresser tes fesses au dessus de tes vêtements...."Il y a le string d'assorti, si tu veux?" Tu rougis et baisse les yeux... " cela te va a ravir..." Je pense qu on va la prendre.... non? "Tu crois ??" , je degraffe et te murmure un oui pleins de promesses.... avant de te laisset te rhabiller tranquillement... La vendeuse semble un peu étonné, moi un grand sourire, " la fermeture éclair était coincé? " Tu ressors avec les articles... "tu souhaites garder certaines choses? " , "non" Je prends la guêpière, et file chercher le bas, tu me suis... "Je te passerai des bas...", " ok"... On ressort du magasin avec nos achats, tu sembles un peu ailleurs.... Je t'attire dans un coin avec moins de monde... te regarde dans les yeux... "je vais trop vite? ", "non"..."on va chez toi?" , un sourire "oui"... On arrive chez toi, je referme la porte et t attire vers moi pour t embrasser... "je serais douce, et ferme, fais moi confiance, on ira à ton rythme...." On s'installe sur le canapé, je te prends dans mes bras..."j ai envie de t attacher et de m occuper de toi..." , "j ai pas de menottes?..." " un foulard fera l affaire, on arrête dès que tu veux...", "euh, ok" On va dans ta chambre, tu sors un foulard et me le tend timidement... un premier pas pour toi...ma main attrape ta main pour t attirer, mon autre main agrippe ton cou, te colle a moi, poitrine contre poitrine, ton souffle s'emballe...ta main dans ma main, dans ton dos, tu me laisse faire... juste un oui murmuré entre tes lèvres...."déshabille toi..." Je me mets à l aise et t'attends sur le lit, le foulard entre mes mains, tu attends en culotte et n ose approcher. Je te tends une main que tu attrapes et te guide à moi... je pose ta main sur un de mes seins...que tu caresses, "n'ai pas peur..." J entoure le foulard autour de tes poignets, place tes bras au dessus de ta tête.... t embrasse dans le cou... descend sur tes seins que je léchouille, avant de poursuivre sur ton ventre... je sens ta respiration qui s' appaise tranquillement.... j'arrive à ta culotte que je fais glisser le long de tes jambes... j'ecarte tes cuisses, malgré ta résistance....tu m'observes en fesant non de la tête... ta respiration s emballe un peu....je caresse ta chatte, tes poils tout doux et courts... mon pouce glisse entre tes lèvres....tes yeux se ferment tu mords ta lèvre inférieure.... Doucement de haut en bas, c est chaud, humide...je m'enfonce en toi, te caresse de l'intérieur... tu apprecies, te détends sous mes caresses, ton bassin accompagne mes mouvements...je glisse un autre doigt en toi, tu l'accueilles d'un oui, pleins de plaisir... de desir.... mes doigts vont et viennent en toi, tu t'ouvres un peu plus, tes cuisses bien ouvertes pour mieux m accueillir.... " encore.... continue.... ah..... oui....." Un troisième doigts se fraye un chemin, tu jouis.... je poursuis....mes doigts s'enfoncent en toi... un peu plus... c est si bon chaud, moelleux en toi... C'est un 4 ème doigts que je glisse en t'embrassant tendrement... je glisse en toi... tu es si mouillé... si chaude.... mon pouce s attarde sur ton renflement, dressé de désir.... tu sembles en transe.... ma mains glisse en toi, mes doigts se serrent pour mieux sentir ton corps l entouré ... serré en toi... tu mouilles délicieusement sur moi....
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Par : le 01/02/15
Le réveil avait sonnée voila plus de 14H quand il monte enfin dans le train. Lequel train était en retard. Récit imaginé pendant une après-midi, au lieu de faire la sieste, pendant que la neige tombe dehors.... Récit dédicacé à ma Femme et soumise, que j'aime plus que tout. ############################################## Le quai était noir de monde, monde impatient, fatigué, résigné sous la forte pluie qui n'avait pas cessée de la journée ... La journée était terminée, reste l'épreuve du retour à la maison. Grimpant dans le train, poussant implicitement ses voisins avec son vélo, il se fraye un chemin jusqu'à un strapontin, mais étant trempé jusqu'aux os, il préfère rester debout. Après tout, il avait passé la journée assis, et cela le soulait déjà bien. Le train était bondé. Il se mit aussitôt en branle dés que le contrôleur eut annoncé son départ. Un moment de répit pour lui, avant l’autre partie de la journée. Malgré le monde, l'ambiance est calme, presque reposante... Comment va être la soirée ? Trop courte, comme trop souvent ? Le Temps est compté et précieux, leurs journées sont très chargées et l'ami réveil sonne toujours trop et très tôt. Même Lui a du mal à tenir certains soirs. Du travail en pagaille, mais c'est certainement le prix à payer pour se construire l'avenir dont Ils rêvent tous les 2 ... Mais il est vrai qu'il ne rend pas évident la possibilité de vivre le BDSM comme ils le voudraient. En attendant, rythme du tac-tac ferroviaire, son esprit s'évade... Elle arrive après Lui, le repas est prêt, il n'y plus qu'à passer à table. "Non, ne t'assieds pas : je te veux en tenue." - Aprés manger ? - Non, maintenant. C'est maintenant que Je suis ton Maitre et toi ma soumise." Elle s'exécute. Pendant qu'elle se change, Il en profite pour sortir quelques sacs, et mettre le parfum qui envoute la femme avec qui Il partage Sa Vie. Il revient à table, et elle le rejoint. Magnifiquement vêtue d'un corset (un de plus) et d'un bas léger. Impossible de rester indifférent quand On sait tout ce que peut / va se passer ce soir-là. Il est presque envouté, même s'Il connait déjà bien cette tenue; mais malgré tout, c'est toujours la même magie qui opère, avec le même délice. Elle penche sa tête vers Lui afin qu'Il lui pose son collier, un tout fin. Puis, Il lui ordonne de le servir. Enfin, Il la fait mettre à genoux, à sa gauche, côté Cœur. "Bon appétit, ma soumise - Bon appétit, Maitre" Elle déguste son repas à genoux sur des coussins, l'assiette sur une chaise. Le main de son Maitre la caresse. Elle passe dans ses cheveux, le cou, effleure la joue. Quand elle s'approche trop prés, sa soumise lui laisse un baiser. Aucun bruit Silence Un moment de partage et de profonde tendresse se joue. Instant magique où tout se dit par le toucher, les caresses et le regard. Tous ces regards qu'elle Lui lance ... Des regardes qui L'ont charmé au tout début de leur histoire. Il déguste ces Yeux de toute leur beauté, sans en lâcher une miette, sans être rassasié. Elle est là, à ses pieds, pour Lui. Il est là, prenant l'offrande de son corps et de son âme comme un cadeau unique, précieux et fragile et tellement puissant à la fois. Cette caresse qu'Il lui fait sur la joue et une caresse d'Amour, de tendresse, mais également d'appartenance et de propriété. Elle est à Lui. Les assiettes vides (elles ont failli être froides), Il se lève pour débarrasser. Mais au moment où elle voulut le suivre, Il la prit par le cou pour l'agenouiller à nouveau. " Mon joyau me sert, m'attend, mais n'est pas la boniche". Il joint la parole au geste en l'attachant à la table d'une simple corde passant dans son collier. Il aime cuisiner, et c'est aussi un plaisir pour Lui d'apporter ses "oeuvres" à table. Il revint avec le dessert maison, une créme chocolat (qui n'a failli jamais voir le jour, s'il n'avait pas épargné la tablette ...). "Sers-moi", en détachant le corde... Elle alla prendre la cuillère quand elle recula. Surpris, Il allait ouvrir la bouche, quand Il comprit ce qu'elle était en train de faire. La crème allait attendre ... Elle passa sous la table (pas pratique, le corset) et se mit face à Lui. Ses mains Lui massa son pantalon déjà très gonflé. Il ne retint pas ce premier soupir. Puis, elle passa la main vers Son intimité pour la ressortir. Raide, dure. Un doigt "innocent" vint titiller le bout, mais rapidement elle est aspirée dans une ambiance chaude et humide. Prenant les choses en main, Il laisse sa soumise réaliser cette divine fellation qu'Il n'a jamais demandé, mais O combien sublime.... Il se laisse faire, laissant le Plaisir monter progressivement. Ce massage est tout simplement exceptionnel. A chaque fois, il est unique. Sa queue disparait pratiquement dans ce Paradis pendant qu'une main caresse vigoureusement la verge et les boules. Aucune zone est épargnée, la moindre partie reçoit sa dose de Plaisir. Il aime ça. Elle aime ça. La soirée ne fait que débuter et risque de s'écouter trop vite s'Il ne la fait pas arrêter. Il recule et la fait lever. Prenant sa tête entre Ses mains, Il plonge sa langue dans sa bouche pour fouiller le moindre recoin. A son tour, elle pousse des gémissements, fermant les yeux de Plaisir. Sortant une paire de menottes de sa poche, Il lui attache les mains dans le dos et reprend la corde qui était restée accrochée au collier. "Viens", fit-il. Tirant la corde, elle Le suit. Le corset est rapidement retiré, ainsi que tous les autres tissus. Il ne reste plus que les talons aux pieds, mais Il est trop fétichiste de ces objets pour les retirer. "Tourne-toi". Elle Lui tourne le dos, offrant son Corps pour la suite de la soirée. Ce corps ... Il a décidé de le sublimer avec un mélange de cordes blanches et noires. Elles enlacent fortement sa poitrine, emprisonnant ses bras. Les seins ressortent d'entre ces cordes, les mettant en valeur sans égal. Chaque serrage lâche un léger soupir d'elle. Puis, Il pose sa tête sur son épaule, caressant sa joue contre la sienne. Un nouveau moment de tendresse et de câlin s'installe. Elle s'abandonne le temps de ces caresses... Quand Il eut terminé avec les cordes, Il la fit mettre à genoux sur le lit chevilles écartées et attachées. " Tu m'as offert un dessert tout à l'heure. Voici le mien". Joignant le geste à la parole, il claqua sa main sur une de ses fesses. Puis, l'autre prit sa fessée dans la foulée. Il lui donne ainsi la fessée pendant un moment, dosant chacune ses claques. Suffisamment fortes pour faire rougir la peau et faire monter le plaisir. Mais pas trop pour que la douleur ne soit pas trop forte. Les claques se suivent et sa soumise lâche des soupires, son corps ondule à mesure que le Plaisir monte. Une autre claque s'abat, c'est la cravache qui entre en scène, puis le martinet. Le voilà à jouer avec 3 objets, les sensations sont multiples. Il se délecte de ce spectacle, de cette peau qui rougit, de ce corps qui n'en peut plus d'onduler, de sursauter à chaque claque, de ses gémissements qui en appellent d'autres. Ce corps offert, ses mains qui procurent le plaisir ... Cette fois, Il lui pose un bandeau et place un bâillon. "Tu veux crier, fais-toi plaisir". Ses gémissements ont un effet étonnamment mais puissamment érotique. Cela faut partie de son Plaisir qu'Il s'offre. Il aime ce son, mêlé aux claques de la fessée, de la cravache ou du martinet, nouvellement entré en scène. Jouer de ce corps, ouvrir les vannes de Sensations et voir sa soumise se laisser emporter par ce flot est un spectacle unique qu'Il aime produire et dont Il ne se lasse jamais. "Laisse-toi aller, et crie si tu veux" La vague de Plaisir est gigantesque quand Il prend possession de sa soumise après une dernière fessée. Le gémissement ainsi arraché quand Il rentre en elle manque de le finir prématurément. L'excitation est déjà tellement puissante ... Mais Il n'a pas l'intention d'en rester là et prenant sa soumise en main, lui largue une autre vague de sensations via ses va-et-vients. Rien n'est épargné. La peau claque, l'odeur érotique des 2 corps en fusion envoute la pièce. Il saisit la corde qui maintient la poitrine de sa soumise prisonnière et tire violemment, afin de profiter au maximum du sexe de sa soumise. Des gémissements sont à nouveau arrachés; ils s'intensifient, ils sont de plus en plus nombreux et difficilement contrôlables. Quant à Lui ... Dans un ultime accoups sur la corde, Il s'emporte dans un tourbillon de Plaisirs se laissant totalement envahir par l'extase. ... Le temps semble s'être arrêté ... Petit à petit, les mains qui avaient claqué auparavant détachent les liens. Les mêmes caressent ce Corps qu'elles ont eu sous elles pendant ces instants magiques. Les mêmes caressent ce visage, ce visage de sa soumise revenant, elle aussi, d'un voyage quelque part dans le 7ème ciel. Les cordes sont entassées, trainent sous leurs corps, enlacés l'un dans l'autre pour cet autres moment de tendresse. ... "Notre train arrive en gare, terminus ! " Retour sur Terre, la vraie, le train, la fin de journée, longue journée, réveil qui sonne tôt.... A très vite, ma soumise Je t'aime Ton Maitre / Homme
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Par : le 04/11/14
“On ne peut pas rester là sans rien faire, marmonnait Dom en s'habillant précipitamment, allant et venant dans la chambre où ils avaient passé la journée en joutes érotiques. - Mais où tu veux aller comme ça ? Elle est morte, elle est morte, et c'est marre ! Et le mec est parti... - On n'en est pas sûr, elle vit peut-être, il y a une mince chance pour qu'on puisse encore la sauver et que toute cette merde n'en soit pas une à ce point. - Pourquoi ne pas dénoncer ce type en appelant la police ? Pourquoi prendre le risque d'aller là-bas ? T'es cinglé ! Dom brandit son téléphone portable : - Si j'appelle la police, il vont savoir à qui appartient ce téléphone, je serai obligé d'expliquer comment nous avons été témoins de la scène, et adieu le secret de mon appartement ! - Et alors ? Tu fais passer ce secret au dessus de... - OUI ! Au dessus de tout ! C'est le dernier no man's land de cette ville, de ce pays, de l'univers entier, tu comprends ? La moindre parcelle de terrain appartient à quelqu'un et est fiché, sur cette fichue planète, mais cet appartement échappe à la loi de la société humaine. Il n'existe pas. C'est mon bien le plus précieux, parce que j'ai la chance d'en être le gardien, et je n'ai rien d'autre à moi dans la vie, même pas une famille ou un ami. Et en plus j'ai la vue privilégiée sur cette chambre 321 de l'hôtel, pour moi elle est plus importante que la putain de vue sur le lac ! - Une femme peut mourir, ton appartement-sacré est plus important, c'est ça ? - Justement, je vais voir si elle peut encore être sauvée. En plus... elle est vraiment ...charmante. - Dom, tu ne sais plus où tu en es, hein ? Ta petite routine quotidienne est très bouleversée, hein ? Mais je crois que sur ce coup-là, tu ne réfléchis pas assez. - Reste là, je reviens." Dom quitta d'un pas décidé la chambre en s’habillant précipitamment, puis il traversa l'appartement et sortit par le cagibi de la cuisine. Dominique vint s'asseoir sur le lit de la chambre en soupirant. Elle était toujours nue. Puis elle vit le téléphone portable de Dom, oublié sur le lit. Puis elle réfléchit. Puis elle sourit. Elle attrapa un bout du drap et en enveloppa le portable, en pensant au faux John Malkovich en train d'essuyer ses empreintes sur la poignée de la porte. Puis elle composa le numéro de la police. "Je vous appelle parce que je viens de commettre un meurtre sur une inconnue dans sa chambre d'hôtel : Hôtel du Lac d'Annecy, chambre 321 !" déclara-t-elle d'une voix grave et tremblée. Elle ouvrit la fenêtre et laissa tomber le portable, puis retourna au judas du placard. Dom avait dû attendre un moment propice pour se faufiler vers les ascenseurs et pour trouver la chambre, car il n'arriva dans la chambre que dix minutes plus tard. Elle le regarda, affolé, en sueur, prendre la poignée de la porte à pleine main, oubliant ce genre de détails. Quel con, mais quel con ! se dit-elle en secouant la tête, c'est trop facile. Il regarda du côté de la femme, et aussitôt trouva le trou au dessus du radiateur, planqué dans les motifs de la tapisserie. "Dominique ? T'es là ?" Elle se retira, elle ne voulait plus... Elle ne pouvait plus. Au bout d'une minute elle regarda à nouveau, Dom était penché sur le corps, avec une expression désespérée. "Merde elle est morte, merde !" C'est alors que la police surgit dans la chambre. Elle vit tout : comment les hommes maîtrisèrent leur prisonnier, comment ils le fouillèrent, trouvèrent ses papiers, et lui passèrent les menottes, comment ils se penchèrent sur le corps. Elle entendit vaguement ce qui se disait, notamment Dom qui niait : "Non ce n'est pas moi, je vous jure !", puis qui l'appelait : "Dominique, Dominique ! Qu'as-tu fait ?" Et les hommes qui le tenaient concluaient évidemment que ce nommé Dominique était schizo... Puis elle alla à la salle de bains et fit couler de l'eau chaude dans la baignoire. Elle avait besoin de se détendre. Elle retourna dans la chambre et s'allongea sur le grand lit en attendant le remplissage. Sa route était donc terminée, une nouvelle vie allait commencer pour elle, elle qui n'avait jusqu'ici rien dans la vie, ni famille, ni ami... elle devenait désormais la nouvelle gardienne de l'appartement. Et se ferait appeler Dom. FIN
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Par : le 30/10/14
Il y a deux semaines de cela, elle arrivait sur le site. La première chose qu'il fit, c'est lui souhaiter la bienvenue, rien d'autre.Sur son profil, Elle avait écrit: «Je déclinerais toutes demande d'amitié, sans avoir un minimum discuté et toute offre de soumission, en guise de premier contact.»Elle lui répondit pour le remercier de son accueil.Quelques jours plus tard, elle lui envoya un message, pour lui faire savoir qu'elle aimait la justesse de ses commentaires sur les posts.Lui, la remercia et osa dire: «Peut être aurais je l'honneur de vous rencontrer un jour»Une semaine plus tard, suite à des commentaires qu'il fit sur les textes qu'elle déposa, un nouveau message lui parvint «aurais je trouvé un fan de plus?»Il y répondit, et ensuite s'ensuivit une discussion sur le petit chat, ils parlèrent, de tout et de rien, de l'écriture, au cours de celle-ci, il lui indiqua un texte qu'il avait écrit.Le lendemain, un petit mail «j'ai lu ton texte et trouvé cela fort plaisant»Là, les mails et les petits chat s’enchaînèrent, jusqu'au moment, où, elle lui dit quelle aimerait bien le rencontrer, il répondit de même, et tout naturellement, ils s'échangèrent leur numéro de téléphone et lui ses disponibilité, puisque elle était en congé, rendez-vous fut pris aussitôt pour une rencontre.Elle choisit le jour, étant libre trois jours consécutif, il lui offrit ces jours comme une offrande, précisant, «Je me présenterais à vous et après m'avoir testé la décision sera vôtre ou vous me jetterez dehors le soir même ou vous me garderez». Elle accepta.Elle lui téléphona, il entendit sa voix, une vois ensorceleuse, ils discutèrent et elle décida de garder le mystère sur elle, jusqu'au moment de la rencontre, comme il avait écrit sur son texte «Fantasmes», pour pigmenter le jour de la rencontre, elle décida qu'un petit jeu de piste serait de mise, la seule chose qu'il sait à ce jour, c'est qu'il doit lui envoyer un message, lorsqu'il partira de chez lui et ensuite arrivé au premier lieu la contacter par téléphone.Tous les jours, avant la date de ce rendez-vous, ils parlent par mail ou petit chat, même un soir sur «skype», il lui décrit son excitation, la fébrilité qui l'étreint.Il a préparé tous «ses jouets», dans sa valise, ils prennent plus de place que le reste de ses affaires, normal, pas besoin de grand chose lorsque l'on s'offre en pâture à une prédatrice.Aujourd'hui, 5 Août 2014, à quinze heures, il reste à peu prêt vingt quatre heures avant cette rencontre, il veut être à la hauteur, pour qu'elle ne le jette point dehors et qu'une relation se tisse.La tension monte, comment vous dire ce qu'il ressent, son corps réagit, d'une drôle de manière, mais son esprit est clair, il a l'impression de ne pas être lui même, sain d'esprit, mais pas de corps, il a l'impression que celui-ci est parcouru de mille frissons, du chaud, du froid, l'estomac se noue et se dénoue et il reste vingt quatre heures. Que va être demain?Dans trois heures, il part travailler, pour ne rentrer que douze heures plus tard, avant de se coucher, pour dormir un peu, raison pour laquelle, il ne la rencontra que dans l'après-midi, s’il arrive a dormir, vu déjà dans l'état où il se trouve actuellement, pourtant, ce n'est pas la première fois qu'il rencontre quelqu'un, mais jamais, il ne s'est senti dans un tel état, fébrile, fiévreux, anxieux.Mercredi 6 AoûtAprès sa nuit de travail, il n'arriva pas a dormir, il pris donc un bon bain et se nettoya les entrailles, avec le tuyau de la douchette, revérifia sa valise, vu qu'il n'avait pas d'heure précise pour se présenter à elle, il décida de prendre la route, après avoir pris la peine d'acheter un bouquet de fleurs un duo de roses rouge et blanche, car un gentleman, ne se présente jamais les mains vide à la porte d'une Dame, même si c'est pour se faire martyriser. Au moment de vraiment partir, il envoya un sms, «je démarre pour chez vous dans quelques instants.»Le trajet se fit sans encombres, il arriva donc à la sortie d’autoroute convenue, il se gara et jeta un œil, sur tous les véhicules garés, avant de prendre son téléphone et de l'appeler.«Bonjour Madame, je suis à la sortie d'autoroute»«Tu as vite fait, si pressé de me rencontrer?»«Non Madame, j'ai roulé à une moyenne de 110 kh, et oui je suis assez press黫 Bon, alors, tu vas prendre la direction de …..., puis la première à droite, toujours en suivant la direction de …....., tu passeras deux giratoires, et ensuite lorsque tu arriveras à …..., tu me rappelleras.»Allez, il démarre et en même temps, il regarda son rétroviseur, afin de vérifier si aucun véhicule ne le suit (car il a pensé que sachant approximativement le temps qu'il allait mettre, elle s'est peut être postée à l'endroit d'où elle lui a dit d’appeler pour le suivre et le guider au fur et à mesure des appels qu'il va lui passer, mais aucun véhicule ne fut repéré.Pourtant au bout d'un moment un sms arriva sur son portable. «Tu as du te perdre, tu aurais du déjà appeler» En effet, je me suis perdu, suite à une mauvaise indication, sur un panneau et pas de mon interlocutrice, il revint donc sur ses pas et pris la bonne direction. Étrange, toujours aucun véhicule derrière lui et pourtant, il avait l'impression qu'on l'épiait, puisque elle savait.Il arriva donc au deuxième point de rendez vous, et appela à nouveau «Madame, je suis arriv黫Oui, je sais, tu vois le panneau d'arrêt de bus?»Il descendit de la voiture et vit le panneau derrière lui «Oui Madame»«Tu vas donc faire demi tour, puis prendre à gauche, passer devant de garages, t'engager sur la voie réservé aux riverains et tu te gareras, il y a un bâtiment repeint de neuf, tu cherches l'entrée et descend de deux étages, là tu n'auras pas de mal à trouver ma porte.»Il suivit donc les instructions, trouva la porte sans difficultés, un masque de sommeil y était scotché, il le prit et le plaça sur ses yeux, puis frappa à la porte.«Ah, tu as trouvé, tu a mis le masque?»«Oui Madame, la porte s'ouvrit «Entre, pose tes affaires, suis-moi»Il posa ses affaire, lui tendit malhabilement le bouquet, ne sachant où elle se trouvait vraiment, elle prit le bouquet et sa main et le guida dans le noir, il suivit a petit pas.«Voilà, ne bouge pas!», il sentit des mains, lui retirer le masque. Le temps de retrouver sa vue, elle était là devant lui, légèrement plus grande que lui, de long cheveux noir, retenu en un genre de chignon, des yeux malicieux de noisettes foncés et un sourire carnassier.«Alors déçu?»«Non Madame, je désirais être entre vos mains avant de vous voir et non, je ne suis pas déçu.»Il est là devant elle intimidé, elle se rendit compte de son trouble. «Intimidé?, tu ne parle pas beaucoup!»«Oui Madame»Elle ouvrit le sac quelle avait préparé et lui menotta les poignets, puis entreprit de déboutonner sa chemise, laissant courir ses doigts sur son torse, ventre et bas ventre, sortant ses griffes de temps en autres, pour les planter dans sa chair et y tracer des sillons. Tout en continuant de parler. «Tu n'es pas un peu fou, de te jeter ainsi dans les griffes d'une inconnue?»Ça, pour les griffes, c'est sûr! «Oui, peut être un peu Madame, je suis en votre entier pouvoir, mais quelque chose depuis notre premier contact, me dit que je peux avoir confiance.» Elle lui posa la chemise et lui défit son pantalon, le laissant en string.«Va chercher ta valise et montre moi, ce que tu as apporté»Il alla donc chercher sa valise et l'ouvrit en face d'elle, en sortit une barre d’écartement, une boite contenant des bracelets de cuir, une autres des cadenas, une troisième, contenant des chaînes et autres objets, trois colliers, une chaîne laisse, elle en choisi un et lui passa au cou, il continua a sortir ses affaires, une perruque, une jupe écossaise style kilt, un chemisier, un soutien gorge et une culotte en dentelle blanche, deux paires de chaussure.Elle lui posa des questions, pour savoir comment et où, il avait acheté les affaires féminine, il lui répondit, dans un super marché pour la culotte et le soutien-gorge, un magasin de chaussure, pour les chaussures et sur le net pour le kilt.A son tour, elle lui présenta ses jouets, trois cravaches deux gentilles et une méchante, deux minis martinet, un whip (pas sur du nom), des menottes, des chaînes et des cordes.Elle prit des cordes et lui fit un shibari et une fois lié, elle l'aida à s'allonger à terre pour continuer, elle lui fit ainsi prendre plusieurs positions, plus ou moins sympathique, usant aussi du whip et de la cravache, en plus de ses griffes, l'après midi passa ainsi, pour le soir elle avait en tête d'aller au «Clair Obscur», car il y avait une démonstration de shibari, elle se tâtait encore, puis enfin se décida, il fallu donc se préparer, elle lui avait demandé s'il avait des vêtements noir et si c'était le cas de les prendre, ce qui lui avait immédiatement pensé a une soirée dress code, avant de se vêtir, il lui tendit un sachet, «Cela va peut être de rigueur!» et il en sortit une cage prison en silicone, acheté quelques jour plus tôt sur ABC, la boutique de Fessestivités.La bataille, fut un peut rude pour arriver à y enfermer la bête, ils durent faire cela à quatre mains, elle put enfin y passer le cadenas, dont elle garda les clés. Une fois habillé, et après avoir préparé un sac de matériels, ils se mirent en route. Arrivé sur place et après qu'il eut payé l'entrée, elle lui fit poser sa chemise et ses chaussures au vestiaire, garda juste son pantalon, ils se sont assis un moment, elle lui dit «Prend le collier et les bracelets dans le sac»Il prit le sac mais ne les trouva pas, ils sont restés sur la table du salon, pas grave, il est un soumis sans collier. Vu qu'ils étaient en avance, elle lui fit faire la visite des lieux et surtout un petit cachot, où se trouve un instrument, quelle aime bien, après l'avoir installé dessus et attaché, ses griffes sont de nouveau entrées en action, labourant délicatement les chairs, pour y laisser des stigmateset le faire râler sous elles, ensuite, ils retournèrent en salle et prirent une petite collation, attendant le début de la soirée et la démonstration, le club se remplit peu à peu, assis côte à côte, ils se susurrent des commentaires sur les tenues et autres des arrivants, comme deux personnes qui se connaissent depuis toujours.En changeant de salle, ils se rendirent comptent, qu'ils n'étaient pas dans la bonne et assistèrent a une ou deux démonstrations, ensuite, elle se leva et il la suivit, dans une nouvelle alcôve où, elle l'attacha, face au mur et entreprit de s'occuper de son dos et de ses fesses, avec le whip et la cravache, avant de le détacher et d'aller s'installer dans un petit recoin, ou, ils avaient une vue d'ensemble sur plusieurs alcôves, là, elle posa sa jambe sur ses cuisses et il se mit à la lui masser, sans quelle ne lui ai rien demander, puis elle changea de jambe, ils retournèrent à la salle de démonstration et virent encore quelques situations, Elle enregistrait au fur et à mesure, les éléments qui lui manquait dans l'art du shibari, quelle maîtrise déjà bien. L'heure de rentrer étant arrivé, ils reprirent la voiture.Arrivé dans l'aire de la Dame, elle le fit déshabiller, lui passa les bracelets aux chevilles et aux poignets, qu’elle cadenassa, et relia par une chaîne, le fit se coucher et attacha une chaîne au sommier quelle fixa a l'un des bracelets des chevilles et fit de même pour les poignets, elle le laissa ainsi pour la nuit.Il était heureux, la première partie de la rencontre s'était bien passé, puisque, elle ne l'avait point jeté dehors, comme il était convenu, s'il ne lui convenait pas.Jeudi 7 AoûtLorsqu'elle décida, qu'il était l'heure de se lever, elle vint le détacher, ils déjeunèrent, Il vu qu'elle avait l'air d'avoir mal au dos et il lui proposa un petit massage, qu'elle accepta aussitôt, cela lui fit du bien, ensuite elle joua un peu avec lui, avant de lui demander d'allumer le barbecue pour le repas du midi, qu'ils prirent en commun, après celui-ci, il fit la vaisselle et ensuite, il fut à sa disposition.Elle le fit agenouiller devant la table basse, lui lia chacun de ses poignets par une corde, quelle attacha aux pieds de la table, puis fit de même avec ses chevilles, la whip, et la cravache entrèrent en action, sur ses fesses et son dos, puis, elle s'occupa de sa petite rosette, quelle lubrifia, pour y faire pénétrer un petit plug, qui vilain, ne voulait point rester en place, elle le remplaça par un rosebud, qui lui aussi au bout d'un moment s'échappa.Après cela, elle le détacha et reproduit sur lui, exactement le même shibari que vu la veille, puis, lui dit d'ouvrir sa valise et se vêtir en fille, d'abord, la culotte, puis le soutien gorge, suivie du kilt et du chemisier, dont il dut boutonner les premier bouton et ensuite faire une nœud, avec le bas de celui-ci au niveau de son ventre, il mit ensuite les chaussures et se coiffa de la perruque, elle le trouva joli et le laissa ainsi toute la soirée, qui passa avec quelques jeux.Ils préparèrent le repas du soir ensemble et lorsque l'heure de se coucher arriva, le même scénario que la veille se reproduit, il fut enchaîné pour la nuit.Vendredi 8 AoûtAu lever petit déjeuner et vaisselle, il fit cela avec les entraves aux chevilles et au poignets, en suite quelques petites séances de griffure et de cravache, le repas de midi fut préparé et pris en commun, comme les autres jours, puis à nouveau un peu de shibari, là, elle s’aperçut, qu'il avait du mal a garder quelques positions et comme, il a de l’embonpoint, elle décida de s’improviser coach, avec des exercices au sol, qui firent la joie des deux, car en ces quelques jours, un complicité les a réuni, souvent, il la regarde droit dans les yeux, elle aime cela être regarder, alors souvent une question fuse, «A quoi tu penses?»La réponse est souvent « A rien Madame, je vous regarde, c'est tout» même si ce n'est pas toujours la vérité, elle le sait bien et le regardant toujours avec son sourire, dont elle ne se défait jamais lorsqu'elle le regarde, elle réitère sa question, la réponse et toujours la même.Il sait très bien et a compris, quelle ne veut pas d'une simple larve à ses pieds, il joue donc de cela avec des réponses à la normande, du style, je ne sais, aucune idée Madame, à certaine question après un shibari, du style «comment tu te sest?» la réponse et «comme un rôti, prêt à passer au four!» mais les réponses, même si elles sont données sur un ton un peu ironique le sont toujours dans le respect.Dans l'après midi, il était après un shibari, couché à ses pieds, elle joua un peu de la cravache, puis se réoccupa de sa petite rosette, quelle lubrifia et où, elle fit pénétrer un plug plus gros que la veille, ce qui occasionna, un petit déchirement des hémorroïdes et un peu de sang, il resta longtemps ensuite à ses pieds, les caressant.Après une nouvelle préparation du repas et la prise de celui-ci, elle décida de l'emballer, elle le fit donc asseoir, sur une chaise au milieu de la pièce et entreprit de le lier à la chaise avec du film plastique, une fois qu'elle eut fini, elle posa la question «Comment te sens-tu?» la réponse fut «Comme un steak, dans sa barquette, prêt à être mis sur le marché»La maligne, avait toutefois laissé deux accès au fondamentaux pour pouvoir jouer un peu, pendant, qu'il fondait un peu sous son emballage de plastique, à savoir une accès sur l'arrière pour la cravache et un sur le devant pour jouer avec ses griffes, la cage et ce qui en dépassent, puis elle le détacha et il passèrent le reste de la soirée côte à côte ou, il lui massant les mollets et les chevilles, à un certain moment, il aurait aimer faire quelques chose, mais il ne le fit pas de peur que cela fut mal interpréteé, (il sait que lorsque elle va lire cela, il va recevoir un message, lui disant «dit moi, ce que tu voulais faire?»), l'heure du coucher arriva et où se reproduit le même rituel que les soirs précédents.Samedi 9 AoûtÇa tire a sa fin, le lever est comme les autres jours, sauf que là, il va falloir ranger tout ce qui traîne partout depuis plusieurs jours, car, il va devoir prendre la route du retour, il travaille cette nuit.Avant de partir, il lui demanda de lui laisser une clé de la cage et un cadenas sans clé, qu’elle mit dans une enveloppe qu’elle scella, cela pour lui permettre de poser la cage en cas d'extrême besoin et de pouvoir la remettre et la refermer, avec l'autre cadenas, une chose qu’elle fit aussi, c'est de le peser, pour le cas d'une nouvelle rencontre dans son antre où, il aura intérêt a avoir perdu du poids, pour risque de se faire tanner le cuir.Pourtant, à l'heure qu'il écrit, il ne sait toujours pas si elle va le prendre comme soumis, il a un petit espoir, puisque il sait de sa bouche, qu'il a forcé quelques verrous, lui ouvrant l'antre de la belle, et qu'ils doivent aussi se retrouver d'ici quelques jours sur Vauvert.Je puis vous dire, que tout ce qui est décrit est véridique, il manque peut-être des choses, mais ces quatre jours, furent intense pour moi, et un très grand bonheur aussi, bien sûr, il y a des choses que je garde que pour moi.Ce fut les quatre jours, les plus merveilleux de ma vie, je pense que seul ce qui le vivent ou l'on vécu savent de quoi je parle et j'espère de tout cœur, que cela va continuer, que quelques verrous lâcheront encore, et que la Dame de mon cœur, accepte ce que je suis prêt à lui donner, mais que la chaîne avec laquelle elle m'enchaînera sera solide.Après la première rencontre, vu qu'ils devaient se retrouver au week-end Fessestivités du 16 et 17 Août, il s'était promis de ne pas accourir à ses pieds étant donné que seulement deux personnes étaient au courant de la première, sauf les petits génies qui avait su lire entre les lignes des textes publiés par les deux complices.Mais, arrivé sur place, après avoir salué toutes les personnes présentes, il s'assit d'office au coté de la belle Lady.Au cours de ce week-end, les liens se sont encore plus tissés et noués, normal, pour une adepte des cordes, qui ne sont pas les seules à son arc. D'ailleurs, les participants qui connaissaient Sacherm, virent en lui un changement évident. On lui fit savoir qu'il était rayonnant, étonnant, lui, qui n'a jamais été une lumière.Après le repas pris en commun, les jeux commencèrent entre les participants, à qui malmènerait le plus le dos ou les fesses des soumis, soumises ou adeptes de la fessée, les premiers, à coups de cravache, fouet ou martinet, les autres à mains nues. L'après midi passa ainsi. La Dame s'occupant aussi des autres soumis, avec une petite préférence pour Sacherm. Vint le moment où chacun commença à monter le bivouac pour la nuit. Le fond du jardin se transformait petit à petit en un mini camping.Sacherm, pour sa part, n'avait point de tente à monter, car lors de ces Week-ends, il avait pris l'habitude de dormir dans son break. Il aida donc la Dame à transporter son matériel et à monter sa tente, lui gonflant le matelas pneumatique. Ensemble, ils retournèrent ensuite vers les voitures, car, elle avait oubliée quelques chose dans la sienne pendant qu'il commençait à préparer son couchage. Elle revint alors, le plaqua dos à son véhicule et elle lui dit, après quelques échanges à jouer à deviner ce qu'elle pensait : « Je veux que tu dormes dans ma tente ce soir ». Agréablement surpris, il prit donc ses affaires et la suivit, pour les déposer sous la tente. La dame qui avait déposé sur le coté du matelas pneumatique, un tapis de plage lui indiqua alors : «Ce sera ta place».Il fut temps de rejoindre les autres, pour l'apéritif et le repas. Pendant la soirée, chacun reprit un peu les jeux pour le plaisir de tous. Quelques temps plus tard, certains partirent se coucher et d'autres restèrent pour discuter. Le maître des céans, demanda à chacun s'il avait de quoi coucher. Il posa la question à la Dame, qui lui répondit «J’ai ma tente pars là» en désignant le jardin. Puis, il se tourna vers Sacherm «Et toi?», la réponse fusa « J’ai ma tente par là». Celui-ci eut un regard surpris, ce qui fit ensuite bien rire les deux compères lorsqu'ils eurent gagné leur abri pour la nuit (Désolé Monsieur TSM, mais je ne pouvais éviter ce passage, qui nous fait encore rire lorsque l'on en parle).Une bonne partie de la nuit fut rythmé au son d'un concerto des animaux de Brème. Bon, je saute du coq à l’âne pour poursuivre mon récit. Les deux compères continuèrent à faire connaissance à voix basse et ajoutèrent quelques fous rires étouffé à chaque reprise de vocalises des artistes de la nuit. La nuit fut donc très courte pour eux deux.Le week-end passa très vite. Entre les discussions et les jeux, de nouvelles amitiés s’étaient noués, comme toujours lors de ces rencontres, et certains, repartirent, avec des souvenirs cuisants, comme de belles marques de cravache.Le moment de se séparer arriva et les deux complices décidèrent de se revoir, la semaine suivante pour quelques jours.Le samedi arriva assez vite. Il travaillait toute la journée, la veille, il avait préparé tout ce dont il aurait besoin et qui attendait sagement dans la voiture. À vingt heures, il prendrait la route. Une heure plus tard, arrivé à bon port, il sonna à la porte de l'antre de la Dame, elle lui ouvra. Il la salua, d'un «Bonsoir Madame» en lui baisant la main, puis ramassant ses sacs, il pénétra dans celui-ci, posa ses affaires.Elle lui dit «Tu as besoin d'une bonne douche ». Il se déshabilla, rangea ses vêtements, dans le dressing et se dirigea vers la salle d’eau, elle le suivit. «Avant, un petit contrôle» lui dit-elle en désignant la balance. En effet, le jour de son départ, lors de sa première visite, elle l'avait pesé, avec promesse de punition, s'il prenait des kilos.Il monta sur la balance confiant, n'ayant pas fait d'excès, mais la traîtresse, afficha un kilo quatre cent de plus, (je ne suis pas sur de la fiabilité de la balance). Elle dit «un kilo quatre cent, égale 1400 grammes, dix coups de cravache, par cent grammes, égale 140 coups (vous avez remarqué, elle sait super bien compter). Maintenant, allez hop, sous la douche!Ensuite tu me rejoindras nu».Il fit ce quelle lui ordonna et se présenta devant elle en tenue d'Adam, de son index, elle lui indiqua le tapis, lui intimant du doigt de se mettre à genoux devant elle.Après, lui avoir caressé la joue, du même doigt, elle lui indiqua un des tiroirs de la table basse «ouvre le et donne moi le paquet qui est à l'intérieur»Il s’exécuta, tendit à la Dame, le paquet, qu’elle défit et il découvrit le contenu. Surpris, il lui dit incrédule «si tôt». Elle lui répondit, je n'ai pas envie d'attendre». Et elle le para du collier et finit simplement par «Maintenant, tu peux m’appeler Maîtresse».Son cœur battait dans sa poitrine, zébrée, des griffures du dernier week-end, en quelques jours, le Graal, tant recherché et convoité depuis tant d'années, était la, rivé à son cou.Il s'était offert et le miracle avait eut lieu. Il n'aurait jamais cru cela possible, des années de quêtes et, en quelques jours, tous ses rêves ou presque étaient réalisés.Cette fois encore, il se donnait pour quelques jours, à celle qui était dorénavant sa Maîtresse, quel mot sublime à prononcer!Après la pose de son collier, sa Maîtresse lui dit: «j'ai acheté de nouveaux jouets, pour te torturer », elle se leva, partit un instant et revint avec un martinet en crin de cheval (Pauvre bête qui a du sacrifier les poils de sa queue pour mon tourment) et unfouet.Elle le fit se retourner et commença à le fouetter avec le martinet. Le pauvre y perdit quelques poils en se frottant au dos de Sacherm. Ensuite, elle prit le fouet, le regardant, le manipulant et le caressant, mais sans l'utiliser, pour des raisons, qui lui sont propres. Vint l'heure de se coucher, elle cadenassa donc une chaîne à son collier, et l'enchaîna ainsi pour la nuit, le laissant ressentir le collier et sa chaine comme ce nouveau lien entre eux. Le dimanche matin, après l'avoir détaché, ils prirent un petit déjeuner en commun, avant la correction à la cravache du matin. Ils partirent ensuite faire quelques emplettes, sur le marché de la ville, elle l'aurait bien féminisé pour l'occasion, mais étant assez connu, au vu de son métier, elle préféra n'en rien faire (dommage). Lors de cette sortie, il réussit, après de vives négociations, à ce que les cent quarante coups de cravache soient donnés en trois fois.Ils rentrèrent, déjeunèrent et elle reprit les jeux. Ce fut shibari.Ensuite, elle le fit se diriger vers sa chambre, où elle le fit agenouiller sur le lit, pour lui lier chaque chevilles à deux pieds du lit de manière à lui écarter les jambes. Elle lui attacha ensuite les poignets et, les lui tira entre les cuisses, avant d'attacher la corde.Il était donc là, le nez dans le matelas, les fesses en l'air pour sa vraie première correction. Elle lui dit: «Tu comptes et tu dis merci Maîtresse».Le premier coup, s’abattit sur ses fesses, il compta «un, merci Maîtresse!». Trente-neuf coups suivirent, elle le détacha et ils retournèrent dans la pièce principale, la soirée se poursuivit, par du shibari, jusqu'au coucher, où il fut enchaîné pour la nuit. Contrairement à la veille, il eut les chevilles entravées ainsi que les poignets, par une chaîne de trente centimètres, qui eux, furent relié à une chaîne attachée à son collier et au couchage. Ce qui contrairement à la nuit précédente, lui laissais beaucoup moins de liberté.Lundi, même scénario que la veille. Puis, ce fut une séance de fouet (je ne sais si c'est le fait d'avoir retrouvé un soumis ou le goût de manier cet engin qui lui était revenu). Quelques photos furent prises, pour immortaliser les traces qui disparaissent comme par enchantement en même pas une heure (cela la contrarie beaucoup d'ailleurs). La journée passa entrecoupée de coups de cravache et de fouet. Le soir, elle le fit appuyer sur la table et lui lia les poignets à deux pieds de celle-ci. Puis, elle lui glissa un chiffon dans la bouche, avant de compléter par un foulard. Il était ainsi muselé et ne pouvait crier afin de lui administrer cinquante coups de cravache, suite de la punition, sans être dérangée par ses plaintes. Après le repas du soir, la soirée continua avec divers supplices. Pour la nuit, ce fut comme la veille.Le lever se répéta à l’identique mardi. Ensuite, elle le fit asseoir à table et vint poser devant lui, un verre et une carafe d'eau, lui disant «Bois tout!», une fois la carafe vidée, elle en ramena une pleine qu'il dut aussi boire, un total de deux litre d'eau en un minimum de temps. Satisfaite, elle le fit lever, et entreprit, de le momifier avec du film noir d'emballage. Une fois sa tâche terminée, elle le fit basculer en douceur, contre le clic clac, avant de le laisser rouler à terre pour qu'il se retrouve sur le dos. Elle prit soin de lui mettre un coussin sous la tête, avant de lui poser un masque sommeil, pour lui occulter la vue et le priver de toute notion de temps qui passe. Elle partit, le laissant ainsi. Elle revint le torturer un peu, en lui pressant sur le ventre et la vessie, lui parlant, à plusieurs reprises.Lui, couché sur le dos, commençait à fondre, sous ce cocon de plastique, avec une vessie pleine, qui, suite aux petites misères qui lui furent infligées, ne put que se libérer par de longues saccades d'urine chaude qui remplirent la ganse de plastique. Il macéra ainsi, encore un moment, avant quelle ne vienne le libérer. (il passa plus de deux heures trente ainsi). Délivré de sa prison, elle le conduisit dans la salle d'eau, pour le doucher. Elle le frotta vigoureusement et méticuleusement. C’en était humiliant. L'après midi, elle lui fit ensuite, mettre la nouvelle perruque, qu'il avait amené, ainsi que sa jupe écossaise laissant ses fesses nues. Elle pu s’occuper de ces dernières ses fesses à coups de fouet, après la lui avoir fait relever. La journée passa en jeux divers, le coucher fut le même que précédemment.Mercredi, même scénario pour le lever, mais, avec une petite différence lors de la fessée à la cravache du matin. Contrairement aux autres jours, il en redemanda et au bout d'un certain temps, il éclata de rire, ce qui la déconcentra un moment. Plus elle tapait, plus, il riait. Elle refit l'expérience dans l'après midi, avec le fouet et le résultat fut le même. Elle filma même cet instant.Elle récidiva plus tard, avec les derniers cinquante coups de cravache de la punition, qu’elle filma aussi, bien qu'ayant pris le soin de le bâillonner, le résultat fut le même.La soirée continua, comme toujours avec divers jeux et le rituel du coucher termina la soirée.Jeudi, jour du départ, le lever traditionnel. Quelques jeux de fouet, puis, il fut temps de se séparer à contre cœur, mais maintenant, ils sont liés. L'histoire de Sacherm, va donc continuer, toutefois ses aventures se termine là pour le moment.
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Par : le 08/09/14
Après une soirée, chez des amis, assez ennuyeuse. Je décida de rentrer et comme souvent, quand une personne se lève pour partir, d'autre en profite pour en faire de même. Après avoir saluer pour rentrer chez moi, je ferme la porte derriere mon amie, qui me dit "Tu rentre chez toi ou tu sors?""Non je rentre, je m'ennuie un peu. Je vais surement me coller devant la télé""Tu veux venir chez moi, j'ai une bouteille de vin" Aussitôt j'accepte l'invitation, pas forcement envie de dormir. Les heures défillèrent tellement vite, que je m'aperçu que la bouteille etait vide. On avait parlé de beaucoup choses, de nos ex, mais surtout de nos expériences et fantasmes. Tout cela devenait excitant et tentant, le plus marrant c'est qu'on aurait beaucoup de mal à s'entendre, 2 dominateurs et aucun soumis, dommage.Une fois couché sur le canapé, bien evidement je dormais sur place, trois verres mon suffit à ne prendre le volant, je ne tardis pas à m'endormir.Mon rêve devenait très interessant, mon amie sortie de la chambres en fine lingerie et moi je n'avais plus de boxerune demi érection et elle se pencha pour me mettra mon sexe dans sa bouche...hmmm... cependant je ne pouvais pas les bras, comme cloué. Elle fit clisse ses levres et sa langue, le long de ma verge, jusqu'à la resortir et me masturber en chuchotant "reveille toi" au bout de 2 ou 3 fois j'était tellement excité mais un peu dans le coltar et ouvrit les yeux, elle etait nue et moi les mains attachées au pied du canapé, elle mit ma tête dans son entre jambe. Ce parfum et ce goût me donna envie de la dévorer à fond. Je lechais, mordillait et passait ma langue entre ses levres pour l'enfoncer dans son vagin. C'est agaçant de servir d'objet quand on refuse de l'être à la base. Elle me dit " doucement, sort ta langue". Je m'executa et elle frotta son clito sur la pointre de ma.langue. Ces gemissements m'excitait et me frustrait. Attaché et ne rien pouvoir faire ma vengance sera aussi agrèable pour moi. Je sentais qu'elle venait et "ne t'arrete pas, tu vas me faire venir, hmmoui" Elle se tordi dans un jouissement, un rale de plaisir. Je sentais ses petits jets de qui me giclait en bouche. J'esperait que les menottes ne soit pas solide pour me detacher, mauvaise sirprise, elle retourna se coucher et moi toujours attaché.
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Par : le 20/08/14
Il n’était pas de ma région, je ne le connaissais pas … pourtant depuis plusieurs jours nous dialoguions sur internet et il m’avait entrainée dans un fantasme érotique que nous écrivions à quatre mains. Celui-ci se déroulait ainsi … Je devais le rejoindre dans une petite ruelle où il m’avait fixé rendez-vous. Et oui, à force d’arguments, il avait fini par me convaincre de le rencontrer. Approchant du lieu du rendez-vous, je l’ai aperçu au loin assis sur sa Harley. Il était vêtu de cuir comme le sont souvent les motards, et avait conservé à dessein son casque sur la tête de sorte que je ne pouvais distinguer ses traits. Comme il me l’avait demandé je me suis approchée, non sans une certaine appréhension, et timidement je me suis adressé à lui pour m’assurer qu’il était bien celui qui m’avait convaincu de le rejoindre ; il a acquiescé d’un hochement de tête. Suivant ses instructions, pour cette rencontre j’avais passé une courte robe d'été, très féminine, qui épousait littéralement les contours de mon corps. Le port d’un string m’avait aussi été autorisé. Sans plus de préambule, il m’a ordonné de me retourner et de m’appuyer au mur de la façade, tout en sortant un plug de sa poche. Il a glissé doucement ses mains sous ma robe, parcourant mes jambes de bas en haut et m’a ordonné de les ouvrir. Son exploration est douce mais précise et rapidement il est remonté jusqu’à mes fesses qu’il a écartées sensuellement avant d'y introduire le plug en douceur ... La peur d’être surprise, la honte d’être ainsi explorée par un inconnu et le plaisir d’être exhibée et fouillée s’entrechoquent alors dans ma tête. Sans plus de paroles inutiles, Il m’a tendu un casque intégral, m’a enjoint d’enfourcher la moto derrière lui et nous avons commencé à rouler dans la ville. Ne pouvant ni la tenir, ni la coincer le vent de la course faisait flotter ma robe autour de mes anches, découvrant largement mes cuisses et parfois bien plus. A chaque feu rouge, il se portait malicieusement à hauteur des conducteurs de sorte que quelques uns nous ont klaxonnés et parfois nous ont interpellés vertement, agrémentant leurs discours de quelques propos obscènes et de propositions sans équivoque. Nous avons roulé ainsi quelques minutes, ne négligeant aucun des endroits les plus fréquentés. Je n’avais pas l’autorisation de tirer sur ma robe et j’offrais ainsi mes jambes et parfois fugitivement mon dos à la vue de tous. Heureusement pour moi, dissimulée par le casque intégral, nul ne pouvait me reconnaître ni deviner la honte qui colorait de pourpre mes joues. Après plusieurs minutes de ce petit jeu d’exhibition, il a décidé de sortir de la ville. Manifestement il savait où il allait, car, après quelques km, il emprunta une route secondaire puis un chemin qui longeait un petit bois et pénétra dans une clairière au centre de laquelle trônait un arbre majestueux aux racines émergeantes du sol et aux branches basses. Toujours silencieux, il a coupé le moteur et m’a invité d’un geste à descendre de la moto, puis il m’a attirée près du vieil arbre. Pour la première fois j’ai pu l’entendre parler et d’une voix male il me dit : - Madame, constatez vous-même ! vous avez laissé une trace humide sur la selle de ma moto ! c’est indigne d’une femme telle que vous, vous méritez d’être punie … enlevez votre robe ! Puis sortant une paire de menotte, une corde et un collier de cuir des sacoches de l’engin, il enchaina (si je puis dire) … - Et mettez ce collier de cuir autour de votre cou ! Docilement et en silence, je mis le collier et enlevais ma robe qui tomba a terre … Puis il m’ordonna de me retourner et saisissant mes poignet il me posa les menottes si bien que les mains attachées dans le dos je me retrouvais a présent a sa disposition et sans la moindre possibilité de me soustraire. D’autres auraient profité de la situation pour caresser, voire explorer la proie que j’étais, lui non, il semblait n’avoir pas encore terminé sa mise en scène, et très concentré il commença par faire passer la corde au dessus d’une branche basse, puis il en fixa le mousqueton aux menottes. Doucement, mais fermement il tira sur la corde si bien que pour suivre le mouvement sans douleur je du me pencher en avant. Lorsque mes bras furent, à son gout, suffisamment dressés vers le ciel ; il passa la corde sous une racine et fixa l’autre extrémité à l’anneau de mon collier. La position de contrainte, l’humiliation de l’exposition devant cet homme presqu’inconnu m’excitait au plus haut point si bien que je sentais ma petite chatte ruisseler et tout mon être réclamer la caresse de ses mains et de son corps. Insensible à mes pulsions érotiques, mon jeune motard s’était éloigné de quelques pas et je l’entendis qui téléphonait sans toutefois comprendre ce qu’il disait. Ce n’est que lorsqu’il revint près de moi que je fus instruite de ses perverses pensées : - Madame, vous êtes une chienne, c’est pourquoi j’ai décidé de vous traiter comme une chienne et de vous offrir ainsi présentée, à quelques-uns de mes amis motards ! Préparez vous à les accueillir et a leur donner le meilleur de vous même … naturellement il vous est interdit de prendre du plaisir … et si vous désobéissez vous serez punie à la hauteur de vos fautes !! - Monsieur, non, je vous en prie … - Taisez-vous ! Puis il s’approcha de moi, et descendit mon string plus qu’humide à la hauteur de mes genoux. C’est dans cette posture humiliante, la culotte baissée et le plug au creux des reins que me découvrir les trois motards qui nous rejoignirent dans la clairière. - Messieurs, elle est à votre disposition, faites en bon usage, et hésitez pas à l’humilier un peu ! - Avec plaisirs, nous allons déjà tester son degré d’humidité ! Je sentis les trois hommes s’approcher. Deux d’entre eux m’encadrèrent ; d’une main ils saisirent mes tétons qu’ils commencèrent à étirer et de l’autre ils m’écartèrent les fesses sans ménagement. Constatant qu’en plus ils avaient conservé leur gants de moto, je laissais échapper un cri de surprise et d’effroi ; peine perdue, mes bourreaux n’étaient pas décider à tenir compte de mes objections. Le troisième s’était placé derrière moi et il m’arracha le plug de mon petit trou ce qui me fit sursauter ; puis il commença à enfiler ses doigts gantés dans ma chatte ruisselante. Durant quelques secondes il fit des mouvements de va et vient. Enfin j’étais remplie après tant d’attente, aussi j’accompagnais de mes reins son mouvement afin de m’empaler autant qu’il m’était possible. Toujours tenue par mes deux cerbères, et fouillée par le troisième je ne mis pas longtemps à lui jouir sur les doigts dans un long gémissement de plaisir.
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Par : le 03/06/14
Cela fait un petit moment que nous discutons ensemble, de ce que l'on aime ou pas... déjà plusieurs rencontres, pour prendre un verre... Aujourd hui c est shopping, je sens qu'on va bien s'amuser, j espère que le plaisir sera partagé... On se retrouve tu es belle malgré ton manque parfois de féminité... on va arranger ça... J opte pour un magasin avec un peu de tout côté vestimentaire... " va dans la cabine, je vais choisir..." Un tailleur, quelque top un peu sexy, une robe, une guêpière... humm.... Je reviens avec mes trouvailles... j'entre et te montre.. tu hesites... ce n'est que pour essayer.... pour voir, pour me faire plaisir... je te laisse faire ton premier essai tranquillement. Tu n'oses pas sortir, c'est trop provocant, trop décolleté? Je rentre dans la cabine pour te rassurer, tu es très joli comme ça... nos regards se croisent dans le miroir, je suis juste derrière toi, je pose mes mains sur tes épaules, caresse tes bras, pour te réconforter, prend ta main et t attire en dehors de la cabine... regarde comme tu es belle dans le grand miroir... Un sourire timide apparait sur ton visage, et tes joues rougissent un peu... je me penche à ton oreille pour te murmurer que je te trouve très désirable... tu files essayer la suite... le tailleur te rends très chic et sexy à la fois, et me permet de voir tes jambes... je note que tu ne te sens pas à l'aise aussi à l étroit... reste une chose à essayer, rassure toi je ne te demanderais pas sortir avec... j'entre dans cabine tandis que tu te dévêtis... j en profite.... pour t'admirer.. et dégraffer ton soutien gorge, libérant ainsi ta poitrine.... tu hésites... tu es troublée... je me penche et dépose de petits baisers sur ton épaule...lentement les bretelles glissent sur tes bras... tes mains cachent encore tes seins.... mes mains viennent les remplacer...ils sont fermes et moelleux... je mordille ton oreilles, tu penches ta tête et semble apprécier, je te retourne et te plaque dos au mur, pour d'embrasser... Une vendeuse passe et nous demande si tout vas bien? "Oui,oui!" J' attrape la guêpière et t'aide à l essayer, lentement j' attache les petits crochets dans ton dos... encore une fois nos regards se croisent dans le miroir, tu mordilles ta lèvre... j'en profite pour caresser tes fesses au dessus de tes vêtements...."Il y a le string d'assorti, si tu veux?" Tu rougis et baisse les yeux... " cela te va a ravir..." Je pense qu on va la prendre.... non? "Tu crois ??" , je degraffe et te murmure un oui pleins de promesses.... avant de te laisset te rhabiller tranquillement... La vendeuse semble un peu étonné, moi un grand sourire, " la fermeture éclair était coincé? " Tu ressors avec les articles... "tu souhaites garder certaines choses? " , "non" Je prends la guêpière, et file chercher le bas, tu me suis... "Je te passerai des bas...", " ok"... On ressort du magasin avec nos achats, tu sembles un peu ailleurs.... Je t'attire dans un coin avec moins de monde... te regarde dans les yeux... "je vais trop vite? ", "non"..."on va chez toi?" , un sourire "oui"... On arrive chez toi, je referme la porte et t attire vers moi pour t embrasser... "je serais douce, et ferme, fais moi confiance, on ira à ton rythme...." On s'installe sur le canapé, je te prends dans mes bras..."j ai envie de t attacher et de m occuper de toi..." , "j ai pas de menottes?..." " un foulard fera l affaire, on arrête dès que tu veux...", "euh, ok" On va dans ta chambre, tu sors un foulard et me le tend timidement... un premier pas pour toi...ma main attrape ta main pour t attirer, mon autre main agrippe ton cou, te colle a moi, poitrine contre poitrine, ton souffle s'emballe...ta main dans ma main, dans ton dos, tu me laisse faire... juste un oui murmuré entre tes lèvres...."déshabille toi..." Je me mets à l aise et t'attends sur le lit, le foulard entre mes mains, tu attends en culotte et n ose approcher. Je te tends une main que tu attrapes et te guide à moi... je pose ta main sur un de mes seins...que tu caresses, "n'ai pas peur..." J entoure le foulard autour de tes poignets, place tes bras au dessus de ta tête.... t embrasse dans le cou... descend sur tes seins que je léchouille, avant de poursuivre sur ton ventre... je sens ta respiration qui s' appaise tranquillement.... j'arrive à ta culotte que je fais glisser le long de tes jambes... j'ecarte tes cuisses, malgré ta résistance....tu m'observes en fesant non de la tête... ta respiration s emballe un peu....je caresse ta chatte, tes poils tout doux et courts... mon pouce glisse entre tes lèvres....tes yeux se ferment tu mords ta lèvre inférieure.... Doucement de haut en bas, c est chaud, humide...je m'enfonce en toi, te caresse de l'intérieur... tu apprecies, te détends sous mes caresses, ton bassin accompagne mes mouvements...je glisse un autre doigt en toi, tu l'accueilles d'un oui, pleins de plaisir... de desir.... mes doigts vont et viennent en toi, tu t'ouvres un peu plus, tes cuisses bien ouvertes pour mieux m accueillir.... " encore.... continue.... ah..... oui....." Un troisième doigts se fraye un chemin, tu jouis.... je poursuis....mes doigts s'enfoncent en toi... un peu plus... c est si bon chaud, moelleux en toi... C'est un 4 ème doigts que je glisse en t'embrassant tendrement... je glisse en toi... tu es si mouillé... si chaude.... mon pouce s attarde sur ton renflement, dressé de désir.... tu sembles en transe.... ma mains glisse en toi, mes doigts se serrent pour mieux sentir ton corps l entouré ... serré en toi... tu mouilles délicieusement sur moi....
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Par : le 14/04/14
Je quittais le restaurant, fière d'avoir la carte de visite de cet homme qui m'avait observée dans les toilettes,lors de ma prise de ma prestation avec Raphaël. Un contact de plus dans mon répertoire ne peut pas me faire de mal. Je décidais de ne pas en parler à mon Maître. C'était la première fois que s' agissait ainsi de ma propre initiative.Je m'étonnaitmoi-même. En revanche, je décidais de parler du Légionnaire et de sa demande bizarre avec son chien, il vaut mieux tout prévoir avec certains déviants sexuels pas question de s'y rendre seule, on ne sait jamais.Dehors sur le trottoir Pierre et Raphaël m'attendaient.Avant de partir Pierre me demanda de passer à Pigalle, chez Laurent, le propriétaire d'un sex-shop où Pierre avait l'habitude de se fournir en matériel.En fait il avait organisé un "essayage" devant des clients voyeurs et payants. C'était le cas aujourd'hui, le rendez vous était fixé à 16 heures. Pierre demanda à Raphaël de m'accompagner pour cet "essayage " prévu de longue date.Pierre me prit à part et m'ordonna de m'occuper du canadien pour la soirée et la nuitRaymond ton mari est absent pour plusieurs jours,tu es libre cela ne te pose pas de problème me dit-il Je tentais de répondre.Il n'y a pas de mais, tu dois obéir, ce Monsieur à des projets intéressants pour toi.- Bien Maître, il sera fait selon vos désirs.Pierre adressa un clin d'oeil à Raphaël comme pour signifier que tout était sous contrôle et prit congé de nous sans oublier de m'adresser une petite claque sur mes fesses rebondies.J'invitais Raphaël à prendre place dans ma Mini sans oublier de lui donner mon ticket de parking pour qu'il paye, ce qu'il fit sans problème. Normal après le plaisir que je lui avais prodigué dans les W.C. il me devait bien ça. Je composais aussi le numéro de téléphone de Laurent.- Bonjour Laurent ça va ? C'est Safi.Ah c'est répondit Laurent. Où es-tu ? J'ai cinq mecs qui s'impatientent, tu es en retard ma belle.- Fais les patienter avec ma cassette porno, je ne suis pas loin j'arrive dans quinze minutes pour l'essayage.Avant de démarrer, je mis un CD du chanteur Baba Maal, un compatriote sénégalais, originaire comme moi de Louga au Sénégal.Pendant que je conduisais rapidement dans les rues de Paris pour me rendre au sex-shop, Raphaël commença à me caresser les cuisses remontant ma mini-robe jusqu'à la taille.Il était heureux de découvrir ainsi Paris de façon insolite avec une vue imprenable sur mon Mont de Vénus.L'éditeur juif de Montréal devenait de plus entreprenant, réussissant même à introduire un doigt dans ma fente.Surprise, la voiture fit une embardée et je m'immobilisais sur le trottoir.- Je sais bien qu'en tant qu'esclave je n'ai pas de droit de refuser quoi que ce soit de la part d'un invité de mon Maître, mais je vous en prie nous risquons d'avoir un accident et je ne veux pas de problème de ce genre avec mon mari et en plus nous sommes en retard.En terminant sa phrase, Safi posa sa main sur celle de Raphaël dont le doigt était toujours en elle.O.K! tu as raison dit-il en retirant son doigt du vagin de la négresse, mais tu me rends barge avec ton côté étrange et ta cambrure inouïe. Allez roule dit-il en posant son doigt sur les lèvre de la conductrice de charme qu'il avait à sa disposition.Le reste du parcours se passa sans incident jusqu'à Pigalle, Safi se fit guide touristique pour Raphaël, lui expliquant les monuments au passage.Laurent le propriétaire du sex-shop fut soulagé en voyant arriver Safi dans sa boutique. Il attrapa la jeune femme par la taille et la déposa sur le comptoir en l'embrassant dans le cou. Safi présenta Raphaël. Dans le magasin cinq hommes, cinq clients triés sur le volet par Laurent attendaient.C'était une vente privée. L'essayage pouvait commencer.Laurent était un habitué des salles de musculation. Grand, musclé, toujours vêtu d'un T-shirt laissant apercevoir des tatouages sur ces biceps gonflés et d'un Jean's hyper moulant qui montrait que là aussi il était très musclé.Pour l'essayage, les gadgets étaient disposés sur un présentoir notamment une mini-robe en latex rouge avec deux ouvertures à l'emplacement des seins, un porte-jarretelles rouge également.Les godes étaient de couleur chair, pour quelques euros dont un noir moulé directement sur un acteur porno américain, la dernière nouveauté en la matière, le Gode Bélier à piles de 28cm qui ne se contente pas de vibrer comme l'explique Laurent aux clients, mais tel un bélier il se contracte et se rétracte de 5cm en permettant de simuler le coup de rein d'un homme en action.Il y a aussi pour mon essayage un gode gonflable en latex qui caresse le vagin de la femme grâce à l'action de la poire, il peut grossir à volonté. 21cm de long et 4 cm de diamètre qui peut grossir jusqu'à 6cm. Le fin du fin, l'anus-picket, un objet conçu pour des pénétrations extrêmes, confortables et efficaces pour les adeptes de pénétrations anales comme moi. C'est un gode que l'on peut porter toute la journée sous une robe ou un pantalon car il est invisible.Rien que du plaisir en perspective pour Safi qui va devoir essayer en direct ces objets, en faire la démonstration en réel.Messieurs dit Laurent, je vous présente Safi, notre mannequin, certains d'entre-vous la connaisse déjà, pour d'autres c'est la première fois, elle est à votre disposition pour essayer les articles que vous avez sélectionné. A présent me dit Laurent va te déshabiller.Moins de cinq minutes plus tard, j'étais nue en hauts-talons au milieu de cinq hommes plus Laurent et Raphaël, j'avançais vers eux.- Je vous suis très reconnaissante dis-je de m'avoir choisie pour ces essayages. Avant même d'avoir terminé ma phrase, plusieurs mains se promenaient et s'insinuaient en moi.C'est Laurent en tant que Maitre des lieux qui prit l'initiative, il me demanda de me placer, les jambes écartées de façon que ma chatte soit bien ouverte, mes cuisses reposaient sur les accoudoirs.En face moi un homme d'une soixantaine d'années jouait avec la poire de l'anus-picket.J'étais là contre rémunération pour assurer démonstration et la promotion de nouveaux produits de la boutique de Laurent. Ce dernier assurait également la couverture photographique de la vente-privée avec des photos numériques et des polaroïds, souvenirs de leur participation. Les acheteurs avaient droit également en bonus à des pipes complètes, doigtage . Je venais deux fois par mois chez Laurent pour ce genre de prestation selon un accord entre lui et mon Maitre Pierre.Une fois bien installée dans le fauteuil, j'écartais mes grosses lèvres pour laisser voir mon clito turgescent.Mon regard fixait un à un les acheteurs participants. Un regard qui était plus une supplique et une invitation à la pénétration. Un regard qui recelait tous les vices du Monde. Ma bouche pulpeuse et molle, bien dessinée légèrement ouverte laissait apparaître le bout de ma langue.Laurent commença ses explications sur l'utilisation de l'énorme gode anus-picket en gélatinex.Ce gode dilate énormément il faut l'introduire avec beaucoup de précautions,il dilate les cavités les plus étroite, d'ailleurs vous aurez l'occasion de l'expérimenter sur Safi qui est très étroite de partout.Emotions fortes garanties. Un gode dont le diamètre passe de 5 à 10cm, soit la taille d'une petite bouteille de Perrier dans le cul. Une fois bien place, les muscles anaux se resserrent à la base du gadget et le maintiennent dans le fondement de la soumise ou du soumis, ensuite il faut une certaine habitude pour marcher avec.- Bonjour Messieurs, dit Safi avec une voix à peine audible de petite fille. Safi plongea dans les yeux de l'homme qui tenait le gode gonflable, laissant deviner ce qu'elle attendait de lui.Le regard tétanisé de la négresse dégageait une sensialité primitive, sauvage.Baisse les yeux dit l'homme au gode d'un ton autoritaire, ne sois pas insolente;Malgré le désir de punir la salope black, il ne pouvait détacher son regard de la chatte lisse de Safi, se demandant quels mobiles poussait cette magnifique femme noire à accepter les pires perversions.Raphaël en retrait ne perdait rien du spectacle.Les yeux baissés, Safi continuait à masturber son clito qui prenait des proportions volumineuses. De son autre main Safi se caressait les seins. Sa longue tresse noire de sa coiffure pendait devant sa petite poitrine. Pour attiser les mecs elle plongeait ses doigts dans son vagin avant de les porter à sa bouche et de les lécher. Cela faisait partie de son contrat avec Laurent.Assez de salamalecs dit un autre homme, si tu crois que tu vas nous amadouer avec tes simagrées de pute de bas étage, tu es venue pour te faire goder le trou du cul et tu seras godée.Dans la position où elle se trouvait, Laurent n'eut aucun mal de lui menotter les poignets aux chevilles sur les accoudoirs. Raphaël assistait silencieux.Sur l'écran géant, Matalana, la sculpturale congolaise star du X aux seins énormes et Xandra une autre black très fine taillaient une pipe à Roberto Malone.L'homme au gode, s'installa à genoux entre les cuisses de la sénégalaise. Des deux mains il écarté la fente de la petite africaine à la recherche du clito. Du bout de sa langue il humecta ses doigts avant de pénétrer l'intimité de Safi qui poussa un petit cri rauque.C'est plus intéressant de la fister maintenant quand elle est encore serrée,dit l'homme à genoux, après on pourra s'amuser avec les gadgets.Laurent penché sur Safi lui administra un patin tout en lui triturant les tétons. Les choses sérieuses commençaient.La participation de Safi aux essayages de Laurent était digne de figurer au Guinness des Records comme meilleure salope catégorie amateur.L'éclairage tamisé de la boutique adoucissait les traits fins de Safi. Elle n'avait pas besoin de cela. Avec son regard provocant de splendide allumeuse, sa longue tresse tombant au creux de ses reins, l'allumeuse black fit comprendre à l'homme à genoux qu'elle avait enregistré.Malgré les menottes, fébrilement, elle glissa ses doigts en direction de la braguette d'un participant et se mit en devoir d'améliorer son érection déjà convenable.- Tu bandes bien dit Safi à l'adresse du jeune arabe, d'un geste leste, elle administra à son compagnon du moment une fellation digne d'une professionnelle du X et lorsqu'elle le sentit sur le point de jouir, elle enfonça la bite de l'arabe si loin qu'il heurta son gosier avant de s'y déverser en saccades.Raphaël dans un coin se branlait.Laurent remplaça le jeune arabe dans la bouche de Safi, le sexe enveloppé par les lèvres souillées de la pute black. Safi lui administrait une autre fellation très efficace.Tranquillement Laurent sentit le plaisir monter de ses reins. Il explosa lui aussi dans la bouche de la belle black avec un gémissement ravi. Elle l'y garda longtemps pour qu'il s'apaise. Il essuya sa queue sur le visage de la soumise de Pierre.L'homme qui était installé à genoux entre les cuisses de la sénégalaise plongea son visage vers la fente imberbe de la négresse qui sentait le musc et Chanel N° 5 de Nina Ricci, écarta sans ménagement les lèvres vaginales de Safi qui poussa un râle rauque. L'homme faisait courir sa langue sur le clito et dans la fente de la salope comme s'il dégustait un fruit tropical, une mangue, tellement la fille était juteuse comme un fruit parfumé et bien mûr. Il savourait.De brefs sursauts agitaient le bassin de Safi. L'homme chauve remonta lentement le long de la fente, jusqu'au nombril de la négresse soumise, puis lentement il lécha les seins de Safi maculés du sperme de l'arabe et de Laurent. Tout le corps de Safi était parfumé. Il mordilla les tétons dressés, lui arrachant de petits cris au moment même où il fit pénétrer plusieurs doigts dans sa chatte d'un seul coup.Les yeux de Safi se révulsèrent, elle commença à onduler au rYthme du va-et-vient, il enfonça toute sa main dans fourreau chaud et onctueux.Le regard noyé des spermes mélangés, Safi tenta de se redresser, l'homme continuait à la marteler provoquant chez elle plusieurs orgasmes.Elle semblait pouvoir ne jamais s'arrêter de jouir, elle avait une extraordinaire disponibilité sexuelle.Elle s'anima au moment où un homme placé derrière le fauteuil lui replia les jambes sur sa petite poitrine de manière à ce que l'on puisse la pénétrer avec plus de violence. Elle était entièrement ouverte vagin et anus.Un autre client debout, à cheval sur les accoudoirs se branlait près du visage de Safi, il éjacula dans la bouche de la négresse déjà souillée. Elle avala jusqu'à la dernière goutte avant d'entreprendre un nettoyage soigné.A cet instant Safi est un compromis entre une femme Bcbg respectueuse et une chienne.... une bête de sexe. Un charme et une innocence qui cache une perversité extrême. Un tel niveau de soumission, ce n'est plus de l'obéissance mais bel et bien de rage qu'il s'agit pour son Maître, une acceptation de se soumettre ainsi ; une parfaite esclave.Raphaël était troublé par la belle négresse, il la connaissait à peine depuis quelques heures seulement.Il savait qu'elle allait être à sa disposition gratuitement toute une nuit. Il était à la fois attiré et dégouté par cette femelle. Comment une si belle femme pouvait accepter cette dépravation. Il était profondément ébranlé. Jusqu'à présent un seul homme n'avait pas participé aux ébats de pipes et de fistage.Il attendait dans son coin l'anus-picket gonflable à la main, celui qui une fois gonflé pouvait grossir jusqu'à 10cm. Il attendait patiemment que les autres terminent.Il la voulait pour lui tout seul. Il avait un accord avec Laurent. Il avait négocié un supplément.Laurent détacha Safi de sa position inconfortable.La sublime salope debout attendit devant les clients voyeurs que Laurent l'autorise à se retirer. Les quatre hommes réglèrent la prestation de la mannequin africaine et leurs achats de gadgets. L'homme à l'anus-picket attendait toujours dans son coin.Le visage et le corps de Safi étaient barbouillés de sperme.Elle était dans un drôle d'état. Fatiguée mais fière de ce qu'elle avait accompli. Des marbrures de sperme séché parsemaient son corps frêle. Son parfait maquillage avait totalement disparu. Le rimmel mélangé aux différents spermes et à la sueur avait coulé sur son visage, sa tresse et ses cheveux étaient en bataille, elle ressemblait à une pute de gang-bang. Raphaël ne reconnait pas la sublime femme qu'il avait rencontré dans le restaurant. Il l'avait un peu malmenée dans les toilettes mais elle avait encore de l'allure et beaucoup de classe quant ils étaient ressortis tous les deux.Sa chatte était largement ouverte depuis l'intervention de l'homme chauve, les aréoles de ses petits seins avaient triplé de largeur et les gros bouts de ses tétons ressemblaient à des boutons de sonnette.Je n'aime pas les salopes crades dit l'homme à l'anus-picket. Va te nettoyer, tu te présentera à moi maquillée et coiffée. Tu enfileras la robe rouge en latex. Avant de te goder, nous étudierons toi et moi cet objet de plaisir qui sera gonflé au maximum dans ton cul de pute.Compris salope ? - Oui Monsieur, tout ce que vous voudrez dit Safi qui regarda Raphaël du coin de l'oeil. L'homme avait raison de dire qu'elle était crade, avec ce qui l'attendait, il valait mieux qu'elle soit clean pour affronter la nouvelle épreuve d'humiliation sexuelle, l'introduction d'un gode de la taille et de la largeur d'une petite bouteille de Perrier dans le trou du cul.Un élargissement progressif grâce à l'action de la poire, une dilatation extrême. Elle ne savait même pas si elle pourrait supporter cette torture. Elle avait effectué le matin même un lavement en prévision de la journée.Elle aimait qu'on l'introduise quand elle était propre, elle avait horreur de sucer les bites ou les godes maculés de matières fécales. Le sperme elle adorait. Elle était en train de se remaquiller lorsque le jeune arabe fit irruption dans la salle de bains. Visiblement le jeune homme avait apprécié la bouche de Safi.Salut dit-il à l'adresse de la sénégalaise, est-ce qu'on peut prendre un verre ensemble ce soir ou un autre jour. Tu es superbe et j'ai très envie de te revoir pour quelque chose de mieux;- Quoi par exemple dit Safi ? Une double sodo avec un pote à moi à Barbès, ça t'intéresse ? - Oui pourquoi pas il suffit de me louer auprès de mon Maître ou de Laurent, j'ai bien aimé ta bite dit Safi avant de repousser le jeune arabe hors de la salle de bain.Safi avait enfilé la robe de latex laissant apercevoir ses deux petits seins dont les bouts étaient droits, tendus, elle était comme dans un écrin, les fesses rebondies, elle fit son apparition à nouveau dans la boutique.Il n'y avait plus que Laurent, Raphaël et l'homme à l'anus-picket qui était assis dans le fauteuil. Il portait des gants de chirurgien.Viens te présenter dit l'homme, tu sais ce que je veux entendre n'est-ce pas ! - Oui Monsieur.Qui es tu ?- Une salope pour vous servir répondit Safi.Tu sais ce que je veux ? Tu sais pourquoi je paye ? - Oui Monsieur, vous voulez m'humilier par le cul.Parfait répliqua l'homme, vas te mettre à genoux sur le fauteuil sans oublier de remonter ta robe jusqu'à la taille, je veux voir ta petite pastille que je vais élargir.L'homme demanda à Laurent de menotter Safi pour l'empêcher de bouger pendant la durée de la dilatation. Elle était maintenant entravée aux poignets et aux chevilles. L'homme s'approcha du cul de Safi et l'enduisit de vaseline à l'aide de ses doigts. Safi se laissait faire, un petit sourire en coin, elle avait l'habitude de se faire enculer par des déviants de toutes origines sociales et culturelles confondues sans pudeur et sans complexe. Leurs fantasmes étaient souvent extravagants. L'homme au gode était sans doute de ceux là. Dans ce milieu tout le monde y trouvait son compte, il y la demande et l'offre.L'homme fit une photo du cul de Safi la vaseline débordait de son anus serré. Il pointa le gode vers l'orifice de la fille à la peau ébène. Il s'amusa un instant à faire glisser le gadget le long de la fente de Safi avec un mouvement lent. Il écarta légèrement les grosses lèvres. Safi frissonna.Elle savait que l'homme irait jusqu'au bout. Laurent lui avait assuré que Safi pouvait prendre des grosses tailles en elle. Pour l'en convaincre, il avait montré une photo de Safi avec la bite monstrueuse de Turgut dans le cul.L'homme prenait son temps. Tranquillement il planta le bout du gode dans l'anus huilé de Safi. La pénétration fut facile pour l'instant le gode avait une taille normale.Safi aimait ce genre de pénétration et puis il y avait Raphaël, elle devait prouver au canadien ami de son Maître sa totale soumission.Sans prêter attention à l'assistance, l'homme vrilla le gode dans l'anus de la jeune femme qui commençait à haleter faiblement.J'aime mieux te prévenir tout de suite, souffla-t-il avec une haleine fétide au visage de Safi, si tu pousses le moindre cri, je te casse le cul. As-tu compris salope ! Instinctivement elle se cabra pour dégager le sillon de sa croupe, aussitôt, l'homme se plaça derrière elle et lui assena une forte claque sur les fesses.Avec un han de bûcheron il enfonça entièrement le gode de toute sa longueur. Safi se cabra à nouveau, sa bouche s'ouvrit sur un son muet. Pétrifiée, ses beaux traits se déformaient sous l'effet de la souffrance, elle se mordit les lèvres pour ne pas hurler de douleur. Safi poussait des gémissements étouffés, elle ne devait crier sous aucun prétexte, elle était payée pour ça. L'homme s'arrêta un instant et fit une nouvelle photos de Safi avec le gode planté dans son anus jusqu'à la collerette de protection. Il ajusta la poire.Il appuya à plusieurs reprises sur la poire. L'anneau de chair étroit de la prostituée occasionnelle se crispait sous l'effet de la tension. Le gode se gonflait et les chairs de Safi s'élargissaient. Il injecta trois autres pressions dans le cul de sa victime consentante.Cette fois, Safi ne put retenir un hurlement de fauve blessé. L'homme écrasa sa main sur la bouche de Safi sans cesser de gonfler le gode anal.Safi s'effondra dans le fauteuil en sanglotant, de grosses larmes coulaient le long de ses joues.Avec un mauvais sourire aux lèvres, l'homme fit une nouvelle photo de Safi dilatée à l'extrême par l'anus-picket.Encore une qui ne sait pas apprécier les bonnes choses remarqua son violeur d'un ton calme, ajoutant aussitôt : je crois que cette petite salope a quand même pris son pied.Malgré ses entraves Safi se tordait dans tous les sens, le gode avait atteint la taille d'une petite bouteille de Perrier. Elle tentait d'échapper à la morsure de la dilatation;My God, dit-elle, j'en veux encore, j'en veux plus, ça fait mail mais c'est bon d'être enculée ainsi.Espèce de putain gronda l'homme, tu en veux encore.... Tu veux que je gonfle le gode ? - Oui haleta Safi, enculez moi !A ces mots, l'homme félicité Safi : C'est comme ça que j'aime les vraie putes soumises. Il accentua une nouvelle fois la pression sur la poire qui dilatait les parois rectales de la jeune salope qui hurlait maintenant à la fois de douleur et de plaisir sous les coups sauvages de la poire.Safi jeta sa tête en arrière en poussant des couinements aigus d'une truie qu'on égorge, son visage ruisselait de larmes et de sueur à cause aussi de sa robe en latex.Son corps fut pris de violents soubresauts.L'homme demanda à Laurent et à Raphaël d'écarter les jambes de Safi pour une dernière photo. Elle fut prise en gros plan. Il était 19 heures la séance venait de prendre fin.L'homme aida Safi à se relever. Elle avait du mal à se tenir droite, ses jambes se dérobaient sous elle. Elle essaya de faire quelques pas avec ses hauts talons, sa robe toujours relevée jusqu'à la taille. Sa démarche était gauche, elle marchait toujours les pieds en canard, le gode était toujours en elle.Il dégonfla le gode qui reprit sa taille normale.L'homme régla la séance à Laurent et il demanda qu'une chose en baisant la main de Safi. Je veux que vous gardiez cet admirable objet en vous ma chère, en quittant cette boutique pour aller jusqu'à votre voiture. Il employait le vouvoiement à l'adresse de Safi. Votre compagnon pourra vous l'enlever ensuite. Je pense que l'on se reverra très bientôt, vous êtes une magnifique salope Madame. Mes hommages respectueux.Les désirs des clients sont des ordres dit Laurent, vous pouvez me faire confiance, elle va garde ce bel objet pour rentrer chez elle, je vais m'occuper de cela personnellement cher ami.Une fois seuls dans la boutique Laurent et Raphaël aidèrent Safi à enlever sa robe de latex, elle était en nage. Elle passa sous la douche une nouvelle fois. Le gode était vraiment monstrueux comme un petit balle de tennis entre les deux fesses de la négresse.Rhabillé, Safi tenta de faire quelques pas, Il lui était difficile d'avoir une démarche normale, il fallait qu'elle s'habitue à marcher avec l'anus-picket ainsi placé dans son fondement.Avant de quitter le sex-shop, Laurent tendit à Safi une enveloppe avec ses gains durement gagnés plus sa commission sur les articles vendus. Heureusement que la voiture n'était pas garée trop loin. Avec ses talons-aiguilles en plus du gode, sa démarche était chaloupée, les gens dans la rue regardaient cette belle jeune femme qui marchait d'une drôle de façon, les fesses tendues vers l'arrière.Une fois dans la voiture elle prit la parole immédiatement.- Je sais dit-elle à Raphaël, vous devez penser que je suis une belle salope, une bonne pute, c'est vrai vous avez entièrement raison mais je suis comme ça, je suis entière, j'aime donner du plaisir aux hommes, ma devise " Servir le plaisir", mais de grâce enlevez moi cette horrible chose.Raphaël ne se fit pas prier pour s'exécuter.- Ouf ça va mieux, je n'ai pas l'habitude de marcher avec une telle énormité en moi.En bonne professionnelle elle tira de son sac un tube de crème Xylocaïne et en étale un peu sur ses chairs élargies par l'anus-picket.Avant de démarrer, voilà ce que je vous propose dit-elle, je vous dépose à votre hôtel où vous pourrez m'offrir un verre, je crois que je le mérite bien. Ensuite je passe chez moi pour prendre un bon bain j'attends un coup de fil de mon mari. Vers 21 heures je passe vous prendre à l'hôtel pour le dîner. Bien entendu selon le souhait de mon Maître je passe la nuit avec vous.- Est-ce que cela vous convient Monsieur Raphaël ? Cela me va parfaitement répondit Raphaël, repose toi bien car je pense que la soirée sera longue et torride.A suivre.....
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Par : le 11/03/14
Hier soir une fois la nuit tombée et bien avancée je t ai dit de t habiller d une vielle robe et d un manteau , juste ça. Tu m as regardé d un oeil curieux mais sans rien dire , à quoi bon de toute façon je ne t aurai rien dit. Une fois dans la voiture je t ai bandé les yeux et t ai demandé le silence absolu. Durant le trajet je t ai caresser légèrement le sexe, juste histoire de te faire mouiller et te maintenir dans cet état. Arrivés sur place et après t avoir aidé à descendre de la voiture je t ai enlevé ton manteau , oh qu il faisait froid et devant cette évidence je t ai longuement embrassé laissant libre cours à mes mains te caressant ici et là comme pour te chauffer, réchauffer un peu. Puis te guidant avec ma voix je t ai amené devant un révèbère éclairé. J avais choisi pour l occasion un joki petit village de Haute-Savoie (non je ne vous dirai pas le nom de ce village) désert à cette heure-ci , pas une âme qui vive à l horizon, l endroit idéal pour une nouvelle expérience. Tu étais là en petite robe d été devant ce révèrbère, je t ai demandé d allonger les bras devant toi, de toucher le métal froid de celui-ci et de t appuyer tout contre et de passer les bras de chaque coté, les mains tendues puis je t ai menotté. Et soudain alors que tu ne t y attendais pas du tout je t ai déchiré ta robe, la mettant en lambeaux, te laissant nue.... Toute nue. Après un < ne bouges pas je reviens > je suis aller chercher dans la voiture quelques objets. A mon retour tu étais là, grelottant en silence. Aussi comme pour te donner du courage je t ai dit que j allais te réchauffer sous peu.... Je me saisis d une fine branche de noisetier et sans même t en avertir je te donnais un coup vif qui vu ta surprise t arrachais un petit cri de douleur. < ne t ais-je point dit de respecter un silence absolu > t ais-je demandé. Tu hochas de la tête en signe d acquiessement. Je répètais ce geste une douzaine de fois en attendant une trentaine de secondes entre chaque afin que la douleur se diffuse bien. Tes fesses étaient bien marquées , des stries rouges les décoraient. Marrant mais tu ne grelottais plus .. Je me suis approché de toi , t ai enlacé tout en te caressant un long moment. Et après t avoir enlevé les menottes je t ai demandé de te retourner et de tendre les bras en arrière puis je t ai de nouveau menotté. Puis suis venu me plaquer contre toi pour t embrasser encore et encore. Puis m écartant légèrement je t ai masturbé tout en te pinçant les tétons, et alors que tu m annonçais ton orgasme imminent j ai tout arrêté provoquant un râle de deception de ta part. < pas encore > t ai-je dit puis je me suis retiré vers un buisson ou éclairé d une lampe j ai cueilli quelques orties , et revenant vers toi qui de nouveau grelottais et cette fois-ci t avertissant que ce petit supplice allait te réchauffer pour de bon je t assainnais un premier coup qui te fît sursauter, suivi d une bonne quinzaine d autres mais sur tout le corps. Fière et orgueulleuse comme tu es tu n as pas laisser échapper le moindre cri de douleur, tu m épates chaque jour un peu plus. Après avoir jeté les orties je t ai de nouveau enlacé te remerciant de ta bravoure, et pour t en remercier je t ai couvert de baisers et t ai embrasser longuement, passionément puis je me suis agenouillé et t ai prodigué un cunni , un de ceux dont tu raffoles. Ma langue experte te fouillais doucement d abord puis plus vigoureusement lorsque tu m annonçais ton orgasme. Tu as laissé ėchapper un long et puissant cri, de plaisir cette fois-ci suivi de spasmes incontrôlés. Je me suis relevé et t ai embrassé de nouveau tout en te détachant et t enlevant ton bandeau et t aidant à remettre ton manteau. Un regard mutuel vers les lambeaux de ta robe qui gisaient à terre nous fît éclater de rire... Tout en m enlaçant tu me dis < vous avez bien fait de la mettre en pièce, je ne l aurai pas remise de toute façon.. Merci pour ce merveilleux et délicieux moment > De retour dans la voiture, le chauffage à fond et alors que tu te penchais avec l intention de me sucer, je t ai retenu te disant que rien ne presse...... Que la soirée ne fait que commencer !
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Par : le 09/02/14
Ma compagne est assise la sur le canapé en train de regarder la télévision en pyjama. D’habitude elle est ma petite chienne, mon objet, ma chose, mon dévidoir, mon sac a sperme, mais pas ce soir. Ce soir elle n’en a pas envie, mais moi je suis pris d’une pulsion de domination, de violence. Ce soir c’est une autre qui va subir ma domination. Nous en avons discuté et avons décidé d’un commun accord que je pouvais me livrer à une séance avec une autre. Un de mes autres objets avec lequel nous avons déjà joué. Qui n’est là que pour subir ma domination. Elle n’est en rien un désir sexuel. Notre séance ne comporte pas de relation sexuelle directe d’un commun accord. Bien sur chaque séance a un côté sexuel à des degrés divers mais elles sont plutôt cérébral que physique. De temps en temps si, avec l’accord et/ou la participation de ma compagne mais pas ce soir. Ce soir je veux juste assouvir ma perversion sadique de domination. Et faire plaisir à une dominée qui elle ne recherche qu’à assouvir sa perversion masochiste de dominance. Ainsi donc ma compagne regarde la télé en mode détente et elle a accepté que je mène une séance a côté avec une autre. Ma soumise d’un soir est arrivé il y a quelques minutes et est en train de se déshabiller dans la chambre d’à côté. Je fini de préparé mon côté du salon pour recevoir ma séance. Puis fait un bisou à ma compagne sur le front et lui demande une dernière fois si elle ne veut pas participer. Elle me dit que non, qu’elle n’en a pas envie ce soir et qu’elle regarde une émission super intéressante. Je n’insiste pas. Puis ma soumise du jour arrive. Elle rentre nu dans le salon, les rideaux sont tiré, et viens s’agenouiller devant moi. Je lui ordonne de baiser mes pieds à travers mes chaussures. Ce qu’elle fait de suite. Ma compagne continue de regarder la télévision, je lui demande d’éteindre la lumière du plafond. Notre salon étant coupé en deux cela ne la gêne pas pour regarder sa télé. Je passe le collier autour du coup de ma chose, lui signifiant ainsi qu’elle est ma chienne ce soir et qu’elle m’appartient totalement tout le temps qu’elle portera se collier. Je lui mets ça laisse et la balade à quatre pattes dans la deuxième partie du salon. Là, mon matériel nous attend. Je lui demande de se relever puis je lui passe des menottes au bras et aux jambes. Ensuite avec les anneaux accroché à chaque côté du mur de notre partie du salon, je l’attache bras et jambes écarté. Elle est donc la, nue, à ma merci, moi dans la pénombre et son dos éclairée par la lumière blafarde et changeante venant de la télé de l’autre côté du salon. L’ambiance est en place. Une sorte de moment irréel ou se côtoie deux monde. Un monde commun avec une femme en train de regarder la télévision sur un canapé, les fenêtres sans rideau laissant rentrer les lumières extérieur et un monde caché, avec une femme attaché nu, les rideaux fermés loin des regards. J’allume quelques bougies pour nous éclairer mieux. Je commence par bâillonner ma chose du soir, puis lui attache le corps avec « la pointe de diamant », une pratique shibari des plus simples qui consiste à « revêtir » le corps de sa « prisonnière » avec une corde. Enfin à mon sens. Au moment où je passe la corde entre les jambes de ma chose, je sens que cela lui plait. Une fois fini, je lui explique ce qu’il va se passé. Elle le sait bien sûr mais j’aime a l’exposer à mes objets. Je vais commencer doucement. Je lui assène quelques claques tout en tournant autour d’elle. Sur son visage, ses seins, ses fesses, ses cuisses, tapant quelque fois son sexe. Puis je m’arrête et lui annonce que ça va devenir pire. Alors je lui mets un bandeau sur les yeux. Je pars quelque minutes la laissant la, nue, tremblant, ne sachant pas ou je suis, ni quand je vais revenir, privé de parole et de vision. Elle n’a plus que le son, le son de la télé à côté d’elle et le silence. Puis des bruits de pas, ce que je fais en revenant un martinet à la main, sans prévenir je lui fouette le dos, elle hurle dans son bâillon. Plus de surprise que de douleur, j’y suis allez doucement. Je lui chuchote a l’oreille ce que je vais lui faire, elle frémit. Un autre coup vient zébrer son dos. Elle m’entend tourner autour d’elle et tremble ne sachant pas quand le prochain coup va venir. Un autre sur ses fesses, elle retient son souffle, ses muscles tendus dans l’attente du prochain. Il semble qu’une éternité passe ainsi, et au moment où elle se détend, croyant que j’étais passé à autre chose, un autre coup vient bruler ses fesses. Un autre cri étouffé. Du coin de l’œil je regarde ma compagne sur le canapé, elle se tortille, feignant ne pas regarder. Mais je la connais, même si ce n’est pour l’instant qu’inconscient, mon travail l’intéresse. Elle se tend et se tiens droite. Quelques coups de plus puis j’arrête et détache le bandeau autour des yeux de ma soumise. Elle me regarde la détacher, du coin de l’œil je voie ma compagne se calmer sur le canapé et retrouvé une position moins « tendu ». Je dis à ma chose que je vais la détaché mais que ce n’est pas fini. Je l’attrape par les cheveux et la jette au sol. Ma compagne sur son canapé se « retend » discrètement, toujours intéressé par la télé. Je souris. Je l’attache avec des cordes dans une autre composition de shibari, les mains attachées au cuisse, la tête au sol, et le cul tendu en arrière. Un autre classique qui a l’avantage d’être simple a réalisé, humiliant et de mon point de vue excitant. je lui explique alors que les bougie ne sont pas là que pour le décorum. Je lis dans ses yeux qu’elle comprend. Je me dirige vers une bougie violette et la prend avec moi. Doucement je tourne autour de ma chose prostré au sol lui chuchotant ce qu’il l’attend. Je verse donc de la cire sur ses fesses, sur la partie charnue d’abord, doucement, puis partout et de plus en plus vite et d’un seul coup je m’arrête. Je reviens dans le champ de vision de ma chose et lui demande si ça va. Elle me signifie de la tête que oui. Ce à quoi je rétorque en refaisant coulé quelque goutte de cire sur son cul. Puis je lui explique que la ca va faire mal. Elle ne comprend pas. Je lui verse alors quelques gouttes sur ses cuisses proches de son sexe lui donnant l’impression que je déverse la chaleur sur ce dernier justement. Elle cri dans son baillons. Je lui dit que c’est bientôt fini et que l’on vas passer a plus dur. Je pose la bougie devant elle pour lui faire voir que je ne l’ai plus et que son imagination fasse grandir sa peur quand à la suite. Alors je la fouette avec une cravache sous ses pieds. Elle hurle dans son bandeau. Puis encore une autre fois, puis une autre. Se pieds sont zébré de mes coups. Alors je m’approche d’elle et lui susurre a l’oreille que maintenant cela va faire mal et récupère la bougie. Je verse alors la cire sur ses pieds à l’endroit où je lui ai mis les coups pour qu’elle en sente encore plus la douleur. Elle se tord de douleur et moi j’aime ça. Je la détache doucement. Elle se laisse faire. Puis je la relève, elle a du mal a marché à cause des coups reçu sous ses pieds. Je l’aide et la rattache au anneau du mur, jambes et bras écartés. Rien que la position lui fait mal. Je lui enlève son bâillon et lui remet son bandeau sur les yeux. De plus je rajoute une attache supplémentaire, en attachant son collier au plafond ce qu’il l’étrangle légèrement. Je me mets ensuite dans son dos, tournant le dos à ma compagne sur son canapé que je sens changé de position de temps en temps. Je souris car je sais que cela la démange et l’excite même si elle continue de feindre l’intérêt pour son émission. Je commence alors à fouetté proprement le dos de ma soumise. Lui arrachant des cris à chaque coup qui ne sont plus retenue par un bâillon. Je prends mon temps. Je savoure cette instant ou ma soumise coupe sa respiration et tend ses muscle dans l’attente du prochain coup. J’adore la voir sursauté quand elle le reçoit et se détendre en lâchant un cri dans un souffle une fois reçu. Puis je repasse devant elle. Bien sûr elle ne me voit pas, je récupère la bougie et sans attendre lui verse quelques gouttes de cire sur les seins. Elle cris. Ma compagne continue de « gigoter » sur le canapé, je sais qu’elle ne suit plus du tout son émission. Puis j’alterne entre coup de cravache doux, fort, coulé de cire et claques. Un coup sur ses seins, puis un autre sur ses fesses, sur son dos, ses cuisses. Son visage lui ne subit que des claques. Au bout d’un moment je regarde ma compagne du coin de l’œil elle ne regarde plus du tout son émission et ne fait que nous observer. Alors j’enlève son bandeau des yeux de ma soumise, lui détache les bras et les attachent avec ses jambes, debout. L’obligeant à me regarder je sors mon sexe. Elle s’étonne, notre séance ne devait pas comporté d’acte sexuel direct, c’était notre contrat. Mais je la rassure bien vite car cet appel ne la concerne pas. D’un signe de la main j’appelle ma compagne à venir à quatre pattes me rejoindre. Ce qu’elle s’empresse de faire dans son pyjama. Elle avale goulument mon sexe. Me suçant comme seule elle sait si bien le faire sous le regard de ma soumise du jour. Je glisse ma main dans le pantalon de ma compagne et en ressort des doigts dégoulinant de mouille. Comme j’aime cela. Je les donne a lécher a ma soumisse attaché, ce qu’elle s’empresse de faire. Les y remet, doigte un peu ma femme et les ressorts charger de cyprine afin de les essuyer sur le visage de ma soumisse. Puis me penche vers elle pour lui chuchoter a l’oreille quelque chose. Je lui demande sa permission pour un truc qui n’était pas prévu ce soir. Elle me la donne. Ma compagne suit l’échange les yeux levé vers nous tout en me suçant. Je lui dis de ne pas quitter mon sexe de sa bouche et me déplace pour détacher ma soumise et la rattacher bras écartés vers le haut. Puis j’ordonne à ma femme de venir se mettre dans mon dos et de me caresser d’une main, de me branler de l’autre et de m’embrasser dans le coup. Elle s’exécute, intrigué, puis je lui dit de me faire jouir sur ma soumisse attaché, de la recouvrir de mon sperme. Elle a un moment de flottement étonné car elle sait que la séance ne doit pas comporter d’acte sexuel directe et sais que je ne ferai jamais rien sans l’accord préalable de ma dominé du moment. Puis elle comprend que c’est ce que je lui ai demandé tout à l’heure chuchotant a son oreille. Elle hésite, mon sperme n’est que pour elle d’habitude, elle est mon sac a sperme, mon dévidoir. Même a plusieurs mon sperme lui est réservé sauf si elle me demande l’inverse bien sûr. Mais en bonne petite chienne que j’ai bien dressé elle me branle quand même. je jouis alors, mon sperme sous la pression giclant jusqu’au sein de ma soumise du jour, dégoulinant sur son ventre. J’ordonne alors à ma compagne de me lâcher, lui prend les cheveux l’oblige à se mettre à quatre pattes et lui ordonne de lécher le corps de la soumise afin de ne laisser aucune goutte de mon sperme tout chaud sur elle. Ma compagne me sourit d’un air amoureux et ravi. Mon sperme n’est bien que pour elle. Elle lèche goulûment le sperme arrachant quelque soupir a la soumise. Puis reviens à mes pieds pour lécher les gouttes qui perlent sur mon sexe. Comblé je détache ma soumise qui tremble de fatigue après cette éprouvante séance. La remercie, on débriefe pour savoir ce qu’il lui a plu, les choses a amélioré, les choses à revoir puis d’un sourire je l’invite à se rhabiller dans la chambre pendant que moi je rejoins ma compagne sur le canapé qui essaye de comprendre la fin de son émission en aillant loupé une bonne partie. Elle me prend dans ses bras et me dit qu’elle m’aime. Ma soumise du jour reviens dans le salon habillé, nous sourit, nous embrasse et prend congé de nous en nous disant au revoir et a très vite.
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Par : le 28/01/14
Elle est nue devant moi, à genoux, les yeux baissés car telle est sa place et elle le sait. Elle est ma chienne, mon objet, ma chose depuis longtemps déjà et connait ça place. Je viens me placer devant elle, temps un de mes pieds quel s’empresse d’embrasser. Je l’attrape par les cheveux, lui remonte la tête l’arrachant à son devoir de force. Met ma main sous son menton, serre, et la force à me regarder dans les yeux. Elle sait ce qui lui reste à faire, elle défait ma braguette, sort mon sexe et le met dans sa bouche, timidement d’abord, en me regardant cherchant une approbation du regard. Que je le lui donne par un hochement de tête. Alors elle continue goulûment. Je sais qu’elle adore ça, je glisse ma main doucement sur son sexe et sens son envie dégouliner sur mes doigts. Je l’oblige à arrêter de force, ce qui la frustre mais l’excite également. Pendant tout ce temps nos deux « assistantes » sont elle aussi nue chacune dans un coin de la pièce, elles sont restées stoïque et silencieuse depuis le début. Telle des statues elles ne bougeront que lorsque je leur en donnerai l’ordre. Car elles ne sont que des objets, des choses, des extensions de ma pensée, elles ne sont là pour me servir, elles ne sont que des instruments qui prolonge ma volonté lors de cette séance. Elles ne sont que mon bras exécutant ma domination sur ma chienne à genoux lorsque je le décide. Lorsqu’elles ne sont pas cela, elles ne sont que simple observatrice. Leurs plaisir passe par le miens. Ici je suis le Maitre, celui qui décide de la jouissance ou de la douleur de tous les êtres rassemblée dans cette pièce. Mais ses assistantes ne m’intéressent pas, d’ailleurs elles changent à chaque séance, ce ne sont que des femmes du monde BDSM qui ne cherchent qu’à être des objets et que j’utilise seulement une fois pour mon plaisir. Certaine ce révèlent alors, et de temps en temps revienne à mon service mais seule celle qui accepte de n’être que des objets le font. Elles savent qu’à mes yeux elles ne sont rien. À partir du moment où elles sont entrée dans cette pièces, elles sont devenue des choses, des larves, moins que cela encore, plus rien de vivant, seulement des objets que je manipule sans rechercher leurs approbation, ni leurs désir. Seule ma chienne, par mon bon vouloir aujourd’hui, c’est élevée au-dessus du rang d’objet banal et anonyme, de chose usuelle. Elle est maintenant MA chose, mon objet a moi, elle m’appartient, elle reste un objet mais MON objet et je m’efforce de la dresser pour qu’elle devienne une bonne chienne. Là où est sa place, sa vraie place. Elle est donc là la bouche ouverte, mon sexe dur devant son visage, elle a envie de le mettre dans sa bouche mais elle sait qu’elle n’en a pas le droit. Seulement quand et si je le décide. Je souris et lui met une claque sur le visage. Elle me remercie comme elle se doit. Je regarde alors mes assistantes, d’un signe de tête je leur fait signe de s’approcher. Elles viennent vers moi les yeux baissés, lentement. Je tends les bras sur les côtés et leur ordonne de me déshabillé. Ce qu’elles s’empressent de faire. Je n’y mets pas du miens, elles doivent se débrouillée pour que cela soit sensuelle et me soit le moins désagréable possible. Pour renforcer la pression qu’elles ont, je leur lâche un regard noir à chaque soubresaut, un regard qui promet douleur et tourment si elle ne s’applique pas. Ma chienne attend sagement qu’elles finissent, assise et sans un bruit. Une fois nue, d’un geste je les renvoie à leurs postes, prend ma chienne par le menton lui soulève la tête. Fait signe à mes choses de prendre le collier de cuir noir près d’elle ainsi que la laisse en chaine argenté qui va avec. Elle s’approche de ma chienne, et sous mon autorité, l’une lui soulève les cheveux pendants que l’autre lui passe son collier autour du cou. Puis lui mettent la laisse, me la remette en main propre et rejoigne leur poste d’observation. Je tire sur la chaine pour l’obliger à se déplacer à quatre pattes comme j’aime. Puis je la soulève pour qu’elle soit debout. Cela l’étonne car d’habitude flanqué de mes assistantes, je l’attache au anneau dans le mur, m’assoit nue sur mon fauteuil en face d’elle et commence la séance de domination, de douleur et de plaisir infligé par mes objets selon mes ordres et mon bon plaisir. Mais pas aujourd’hui, elle a était une bonne petite chienne pendant les dernières séances, j’ai envie de la récompenser. Je le lui dis, elle me remercie et me dit qu’elle m’aime et qu’elle est à moi, mais ça je le sais déjà, je lui souris de nouveau. Puis je la prends par les cheveux, la jette au sol et l’oblige à me suivre a quatre patte Jusqu’au lit au milieu de la pièce. Je m’allonge alors, et elle attend au pied du lit. Elle sait que les petites chiennes ne montent pas sur les lits sans que leur maitre ne leur en donne l’ordre. Je souris. C’était un test, elle a bien réagit. Dommage, Je comptais la punir un peu, je le pourrais si je le voulais, après tout je suis le maitre et je n’ai pas à me justifier quand à mon comportement, je n’ai pas à être juste, je décide, je suis arbitraire, pervers et dur. Mais ça bonne réaction mérite une récompense. Je suis content de son dressage. Je lui fais donc signe de venir s’allonger dans mon dos. De me serrer contre elle. Plus fort, plus fort encore lui dis-je. Je lui dis de caressé mon corps avec ses mains, elle s’exécute, puis lui dit d’embrasser mon corps partout, de me lécher. Elle commence doucement, tendrement puis ne met pas longtemps avant de se laisser allez a ce petit plaisir. Elle commence à y allez plus frénétiquement, plus sauvagement. Je sens que cela l’excite, qu’elle monte. Alors je la coupe dans son élan, lui rappelant ainsi que c’est moi qui décide de sa jouissance et de son plaisir. Je lui donne l’ordre de se frotter contre moi, je veux sentir sa mouille contre mes jambes, contre mes fesses pendant que ses mains et ses lèvres parcours mon corps. D’une intonation j’ordonne à mes deux assistantes de se rapprocher de nous et leur dit de laisser glisser leurs mains sur nos corps. Une pour moi, une pour ma chienne. Elle s’exécute avec un plaisir non dissimulé. Le faite de sentir ses caresses en plus redonne de l’ardeur à ma chienne, elle mouille de plus en plus je le sens. Elle caresse mon torse d’une main et me branle de l’autre. Je prends la main d’une de mes assistantes et lui ordonne de caresser mes couilles en même temps. Elle vient et lèche à son tour mon corps. J’incite la deuxième, celle qui s’occupe de ma chienne, à caresser son sexe et de la lécher. Pendant que ma chienne me branle, l’assistante qui s’occupe de moi, n’en pouvant plus, approche sa bouche vers mon sexe afin de me sucer. D’un regard noir je l’arrête. Elle oublie qui décide. Je leur dit à toute d’arrêter. Me lève devant le regard apeuré de mon assistante rebelle. La prend par les cheveux et la met à quatre patte. Ensuite je dis à l’autre assistante de relever légèrement le buste de ma chienne afin qu’elle soit dans une position allongé, mais assez relevé pour faire face à la punie et la voir. Je lui dis de continuer à la caresser, de la lécher tout en me regardant toute les deux punir l’impudente. Cette dernière, à quatre pattes, me montre son cul mais fait face aux deux autres. Je vais chercher mes menottes, lui attache les mains ensemble devant elle, les deux jambes entre elle et lui met une boule de soumission dans la bouche. Elle tremble, j’adore ça. Je prends ma cravache puis change d’avis, prend une badine en roseau et me dirige vers elle. Ma chienne et l’autre assistante on tout suivit du regard, en continuant leurs attouchements. La puni ne me voit pas, elle ne peut que deviner ce qu’il l’attend par rapport au regard des deux autres. Je m’en vais lui expliquer sa punition quand les bruits et râle de jouissance de ma chienne ainsi que les succions bruyante de ses seins par mon assistante, m’oblige à élever la voie pour leur dire de se taire. A partir de maintenant je ne veux plus rien entendre, elles se doivent de ne plus faire de bruit tout en continuant. Ma chienne ferme les yeux et se mord les lèvres pour ne pas lâcher de bruit de plaisir pendant que l’autre lui fait du bien, une main sur son sexe et la langue sur ses seins, la léchant sans bruit en me regardant. Elles savent que si elles font du bruit elles le payeront très cher. J’oblige d’un ordre ma chienne à ouvrir les yeux et à regarder. Elle s’exécute et se mord plus fort pour contrôler ses bruits. Bien, j’adore lui imposer ma volonté, même sur sa jouissance, et elle aussi car elle sait qu’elle m’appartient. Je peux enfin reprendre ou j’en étais. Je me penche alors vers l’oreille de la punie et lui explique pourquoi elle va être punie. Elle hoche la tête pour me signifier qu’elle comprend. De la bave coule à la commissure de ses lèvres, la boule l’obligeant à garder la bouche ouverte. Je me positionne derrière elle et lui donne un coup de badine fort qui zèbre ses fesses blanches de rouge. Elle sursaute sous le premier coup, puis sous le deuxième, et le troisième, lui arrachant des cris étouffé par la boule à chaque fois. Les deux autres aussi sursautent à chaque coup. Comme la punie elle tende tout leur muscle, arrêtant leur respiration, attendant le prochain coup puis une fois reçu se relâche totalement dans un cri étouffé. Au bout du dixième, j’arrête, et examine ma puni. Tout son corps tremble de douleur et de plaisir, son sexe dégouline de mouille et de ses lèvres part un fil de bave. Je lui enlève la boule doucement sans me presser. Elle me remercie, une larme roulant sur sa joue. Je prends ses cheveux dans ma main et l’oblige à avancer à quatre pattes, toujours attaché, vers le sexe de ma chienne. Puis je lui ordonne de lécher. Elle s’exécute, ma chienne se retient toujours de faire du bruit malgré le plaisir clairement affiché par son visage. Mes deux assistantes lèchent et caressent ma chienne sous mes ordre, la punie bougeant son beau cul blanc zébré de rouge sous mon nez, mes ardeurs reprennent. Je m’assois sur mon fauteuil en face du lit. Et ordonne a toute de se lâcher, leur permettant de faire autant de bruit qu’elles le désirent, les libérant ainsi de ma soumission sur leur jouissance. Ce qu’elle s’empresse de faire. Très bien. Au bout de quelques minutes je leur donne l’ordre de s’arrêter et de venir se présenter devant moi. Elles viennent toute les trois à mes pieds. J’ordonne à ma chienne de me mettre dans sa bouche, a la première assistante, celle attaché de me toucher les couilles, et a la dernière de venir se placer derrière moi pour me caresser pendant ce temps. Là je profite pleinement de ma domination et me laisse allez a la jouissance. Me laisse allez au plaisir qu’elles me donnent. Non ! Je me reprends. JE suis le dominant, JE donne la jouissance, C’est moi qui décide où et quand. Je me relève vivement les surprenant toute les trois. Ma petite chienne, mon sexe encore dans sa bouche, a suivi le mouvement. C’est très bien. C’est ce que j’attends d’elle. J’ordonne à ma deuxième assistante de l’attaché et de la mettre à quatre pattes, le cul tendu, prêt à me recevoir. Elle s’exécute. Une fois sans défense, prête a me recevoir, je viens dans le sexe de ma petite chienne, la labourant de mes coups de reins sans retenue, comme elle le mérite. A savoir durement et sauvagement. L’une de mes assistantes, celle encore attaché, sous mon ordre viens se placer sous nous et alterne avec sa langue entre mes couilles et le sexe de ma petite chienne. La deuxième se place devant ma chienne et lui donne des claques quand je le lui dis. A chaque coup de mon sexe en elle, ma chienne me remercie. Je la défonce ainsi jusqu’à ce qu’elle me cri qu’elle n’en peut plus. A ce moment-là je sors mon sexe et ordonne à celle en dessous de doigter ma chienne. Puis me lève, passe devant elle et tend mes pieds à ma chienne. Elle baisse la tête pour les lécher. L’assistante, sous mon ordre prend le martinet qui est à côté et fouette le dos de ma chienne à un rythme que j’impose. Au bout de quelques coups je lui prends le martinet des mains et lui ordonne a elle aussi de lécher mes pieds. Elle s’exécute. Je lui donne des coups de martinets dans son dos, alternant un coup pour ma chienne, un coup pour elle. Au bout d’un moment, j’arrête le tout sans prévenir et repasse derrière ma chienne pour la saillie. Et nous reprenons là où nous en étions, elle cris de plaisir et les gifles reprennent sous mon contrôle. Au moment où Je sens qu’elle monte, J’ordonne à mon assistante devant elle de la forcer à me regarder, elle met sa main sur son visage et l’oblige à regarder dans ma direction. C’est alors que je lui crache au visage. Elle jouit de plaisir et me dit qu’elle va avoir un orgasme. Je le lui accorde, elle se lâche en criant, tremblant et serrant les points. Quand elle se calme, je continue à lui mettre quelques coups de reins, je sais qu’une fois qu’elle a jouie elle est plus sensible et que cela lui fait mal, très mal, mais je sais aussi qu’elle adore ça. Je continue donc de plus en plus doucement presque jusqu’à l’arrêt. Alors je me retire. Mes deux assistantes se relèvent la laissant la tremblante a même le sol. Elle lève ses yeux vers nous trois qui la contemplons d’en haut et cette image la frappe, elle sait au fond d’elle que ça place est là. Je savoure l’instant mais je n’en ai pas encore fini avec elle. J’ordonne à mon assistante de détacher sa collègue, puis lui dit de relever en position assise ma chienne. Pendant ce temps je dis à ma deuxième assistante de venir ce placer derrière moi, de blottir son corps contre moi et de prendre mon sexe dans sa main. Puis leur dit de mettre mon sexe dans la bouche de ma chienne, de me faire bouger dans sa bouche à la première et de faire des vas et viens avec la tête à ma chienne à la deuxième. Elles s’exécutent, doucement d’abord puis prenant manifestement du plaisir à cela, de plus en plus vite. Ma chienne bave et s’étouffe sous leurs assauts. Comme j’aime cela. Je dis à ma deuxième assistante d’arrêter les vas et viens, et a la première de me branler sans autre explication. Sans prévenir, je jouis enfin sur ma chienne, mon sperme aspergeant son visage et ses seins par à-coup. Elle pousse un petit cri de surprise puis tire la langue les yeux fermés pour me recevoir. Mon sperme coule entre ses seins, sur ses joues. Elle adore cela et moi, j’adore la voir recouverte de mon sperme chaud. J’ordonne à ma deuxième assistante d’étaler le tout pour que ma petite chienne brille pour moi. Une fois fait, je demande à mes assistantes de détacher ma petite chienne et part m’allonger sur le lit. Une fois détachée cette dernière coure me rejoindre et se blottir dans mes bras. Et la séance se finit par des câlins, elle l’a bien mérité et puis j’en avais envie ce soir.
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Par : le 15/11/13
Chapitre IV suite. Mes rencontres de la demi journée, n'étaient que de mises en bouche selon Maître Henry. Je n'ai qu'une heure pour me préparer,pour installer le buffet, puisque ce soir en plus du dressage je dois aussi faire le service pour ces Messieurs avant d'être livrée aux invités. Maître Henry me donne ses dernières consignes une dernière fois. Ce que je dois faire, comment je dois me comporter. Au niveau habillement il choisit finalement le string et le soutien gorge en perles que j'ai amené avec moi, une fabrication 100% sénégalaise. Les petits fours et les canapés sont disposés sur la grande table, les boissons aussi. Toute la vaisselle et les ustensiles sont rangés dans la même pièce afin que je ne disparaisse pas aux regards des invités. En principe ce soir les invités ne se connaissent pas, c'est à moi en quelque sorte de les mettre à l'aise, je dois aussi répondre au téléphone et à l'interphone de l'appartement, je n'ai ni le droit de boire, ni le droit de manger sans l'autorisation du Maître. Maître Henry demande à mon mari Raymond s'il souhaite participer au dressage et s'il doit le présenter comme le mari de la soumise. Raymond décline l'offre de participation mais accepte d'être présenté comme le mari de la salope à punir. Je suis fébrile. Je vais être baisée,dressée, battue, devant l'homme que j'aime par des inconnus. Pour mieux m'humilier, Maître Henry m'ordonne de lui sucer la queue. La cravache à la main il s'installe dans le fauteuil et sort sa grosses bite violacée. A genoux aux pieds du Maître, j'entreprends une magistrale fellation sous les yeux de mon mari. Mes deux bras sont posés sur les cuisses de Maître Henry, mes lèvres décalottent le gros gland de mon Maître jusqu'à la naissance des couilles. J'étouffe, je suffoque. Maître Henry me parle pendant que je le suce, me demandant d'aller plus loin en me tenant fermement le cou. Je n'ai pas le droit de me servir de mes mains. Je fais ce que je peux. D'une main il me cravache les fesses. Je crie sous la brûlure du cuir sans pour autant pouvoir lâcher la belle grosse bite de mon Maître. Ce dernier me force à aller plus loin en m'insultant. Tu as intérêt à travailler mieux que ça tout à l'heure sur mes invités si tu ne veux pas recevoir le fouet. Sa bite cogne à l'intérieur de mes joues. Son gland prend des proportions considérables sous ma succion, ma bouche travaille très vite, ma salive coule le long du pénis de mon Maître. Maître Henry m'inonde le palais et la luette d'un jet chaud et épais. Je m'empresse d'avaler le tout et de nettoyer la grosse tige de chair souillée de sperme et de salive sous peine d'un coup de cravache. Il ne laisse pas de trace mais il sait faire mal. Juste au moment où le travail de nettoyage de bite est terminé,la sonnerie de l'interphone retentit, c'est le premier invité qui arrive.... Debout rapidement, je décroche l'interphone en disant : Oui bonsoir, résidence de Maître Henry. A l'autre bout de l'appareil une personne me répond : Bonsoir , je suis Manu, je viens pour la soirée. Oui Monsieur, vous êtes attendu fis-je d'une voix suave en indiquant l'étage et le numéro d'appartement avant d'actionner l'ouvre-porte et de raccrocher l'interphone. A toi de jouer maintenant dit Maître Henry. Mon coeur bat très fort, mes petits seins se soulèvent à un rythme saccadé, le soutien gorge en perles ne cache rien, je regarde mon mari qui me sourit et qui m'envoie un baiser du bout des doigts. La sonnette du palier retentit, je suis derrière la porte ainsi vêtue presque nue pour recevoir les invités. Après une légère hésitation j'ouvre enfin la porte, toute souriante comme si de rien n'était, comme si j'étais habillée pour recevoir des amis. En ouvrant la porte, je découvre sur le palier un homme de grande stature, brun, frisé, une petite moustache, bien habillé. Il est visiblement étonné de me voir presque nue. Je l'invite à entrer. Il se présente : Bonsoir, je suis Manu, je viens de Carcassonne et je suis l'invité d'Henry me dit-il. Bonsoir Monsieur, soyez le bienvenu, je suis Safi, je suis ici pour vous servir et accéder à tous vos désirs, même les plus secrets. J'ajoute la phrase rituelle, n'hésitez pas à user et abuser de moi. Puis-je vous débarrasser de votre veste ? Asseyez vous. Puis-je vous offrir à boire ? Whisky, Ricard, Martini, gin, Porto, Bière,Jus de fruits ? Une bière s'il-vous-plait ! Tu es prévenue me dit Henry, si tu fais trop de mousse, tu auras une punition au choix de notre invité. Tremblante, je présente à Manu sa bière sur un plateau, je sers la bière en faisant attention de ne pas faire de bêtises. Raymond dans son coin me regarde avec tendresse. Une fois la collation servie, je vais m'asseoir aux pieds de mon Maître. Les trois hommes discutent de tout et de rien, je reste à genoux les mains derrière le dos la tête baissée. Maître Henry parcours mon corps avec sa cravache comme pour montrer à l'invité ma docilité au bout de quelques minutes, mon punisseur m'invite à me lever et à me présenter. Je commence à égrener ma ritournelle. Je m'appelle Safi, je suis en dressage Chez Maître Henry pour trois jours avec l'accord de mon mari ici présent, pendant ces trois je serai sa chienne sa soumise, sa salope sa pute et si vous le voulez bien la vôtre. Henry me pousse vers Manu en disant : Montre-lui ce que tu as à offrir. Je me place debout en face de Manu qui est assis. Son visage est juste à la hauteur de mon ventre. Il me regarde avec intensité et me pose une question. C'est toi la salope de service ce soir ? Oui Monsieur. Il me fait pivoter sur moi même,de sorte à avoir mes fesses devant son visage, mon ensemble de perles ne cache rien de mon corps. Manu me demande de me baisser et d'écarter au maximum mon cul. En bon connaisseur de salope, il soupèse les deux globes de mes fesses comme s'il s'agissait de deux melons bien mûrs. Il écarte brusquement mes fesses pour mieux apprécier l'oeillet de mon anus qui frémit sous son regard. Il tâte ensuite mon sexe lisse et les plis de mes lèvres. Il fouille profondément à l'intérieur m'obligeant à lâcher un petit cri. Tout en m'examinant il continue à parler avec Henry, le félicitant d'avoir un beau petit bijou pareil à sa disposition. Il s'adresse également à Raymond en lui disant que je suis un bel animal sauvage. De nouveau face à lui il me demande si j'aime avoir mal. Oui Monsieur dis-je, j'aime ça, je suis ici pour ça pour vous donner et vous faire plaisir. Tu es bien rasée, j'aime les femmes lisses. Sans attendre, il commence à me couvrir le ventre de baisers avant de descendre plus bas à la naissance de mes lèvres. A genoux, les jambes écartées, les mains derrière le dos, Manu examine ma poitrine. C'est tout ce que tu as à m'offrir comme nichons salope ! Subitement il m'administre une énorme claque sur un sein. Surprise je crie de douleur. Aussitôt il tire le tétons droit vers lui. Je croyais que tu aimais avoir mal me dit-il Oui Monsieur j'aime ça, tirez plus fort, je vous en prie dis-je d'une voix faible. Il n'attendit pas deux fois pour se satisfaire. Tu sais sucer aussi parait-il ? Oui Monsieur, mon mari dit que je suis la meilleure suceuse black de Paris répondis-je effrontément. Il me regarda étonné la bouche ouverte : Tu ne crois tout de de même pas que c'est moi qui vais sortir ma queue tout seul, c'est toi la salope de service.... c'est ce que tu m'as dit tout à l'heure. Oui Monsieur excusez moi. Immédiatement j'entreprends de lui ouvrir sa braguette et de défaire sa ceinture. Ma main cherche sa bite; à mon contact son énorme braquemart se dresse comme un diable à ressorts qui sort de sa boite. Manu est fort bien pourvu. Surprise par la taille je saisis la bite à deux mains en le décalottant au maximum avant de l'enfouir dans ma petite bouche. L'homme m'attire à lui et s'installe confortablement pour sa première fellation. Visiblement Manu apprécie ma prestation en félicitant mon mari. Sa bite est grosse et lui bouge sans arrêt à tel point qu'elle glisse souvent hors de mes lèvres. J'espère dit-il que tu aimes le jus d'homme car il n'est pas question pour moi de jouir hors de ta bouche. Sa phrase à peine achevée qu'il décharge sa jouissance au fond de ma gorge. Surprise par le flot de sa semence, j'ai failli m'étouffer. Manu s'adresse alors à Raymond pendant que je nettoie sa bite : Avec une petite pute comme ça, tu ne dois pas t'ennuyer tous les jours, elle est très bonne, c'est une super pipeuse, il faut l'essayer pour s'en rendre compte. J'ai à peine le temps de me nettoyer le visage que l'interphone sonne à nouveau. En ouvrant la porte palière, je suis surprise de voir deux hommes. Ils ne se connaissent pas mais ils sont arrivés en même temps. Ils s'installent dans le salon. Il y a Daniel le plus jeune et Jean-Louis qui est aussi fort que Manu. Je suis là nue devant les nouveaux arrivants. Toute cette faune mâle examine la marchandise que je suis devenue. Je dois prendre des poses plus ou moins humiliantes selon les directives de l'un et des autres. Chacun y va de son commentaire plus ou moins salace. Chacun m'examine de près écartant les chairs de mon sexe et de mon anus. On s'intéresse aussi à ma bouche que l'on me fait ouvrir en grand. On me fait sucer des doigts qui l'instant auparavant étaient plantés en moi, je dois déguster sur les conseil de mon Maître ordonnateur et sous les yeux de mon mari. Messieurs dit Henry, nous allons passer aux choses sérieuses, nous allons dresser cette chienne qui en meurt d'envie. Elle a fait plus de 800 kilomètres pour être baisée et dressée. Les quatre hommes plus mon mari s'installent dans la pièce d'à côté où une crois de St-André est fixée au mur. Tout autour sur des étagères divers instruments : chaînes, cordes,godes de toutes les tailles, poids, pinces, cravaches, martinets, masques, menottes, bougies et plein de choses encore. A quatre pattes tenue en laisse, je passe devant chaque invité dont certains ont déjà la bite dehors et se branlent. Je passe une fois, on me flatte la croupe comme un gentil toutou. Henry me demande de faire la belle, je dois me redresser sur les genoux les mains à hauteur du visage, en tirant la langue comme une chienne qui attend son sucre. Henry me donne sa main à lécher, puis tout d'un coup, il sort son sexe que je suis obligée d'engloutir devant tout le monde. C'est bien me dit Henry. Qu'est-ce qu'on dit : Merci Maître. C'est bien tu es une bonne chienne, va dire bonjour à mes amis maintenant. Toujours à quatre pattes je me dirige vers le premier, c'est Daniel, il a un bel engin très long, que je lape à plusieurs reprises. Je le quitte pour aller faire la même chose à Manu qui m'attend avec impatience, il connait déjà la douceur de ma bouche. Je passe ensuite à Jean-Louis qui à mon grand étonnement à une très petite bite pointue comme celle d'un chien, je m'attarde sur lui aussi longtemps que sur les autres. Je termine mes salutations en suçant mon mari sur lequel je m'applique. Les présentations d'usage terminées, Henry me place sur la croix de St-André bras et jambes écartés, maintenus par des mousquetons et des chaînes. Je suis ainsi offerte aux regards des invités d'Henry, cet attirail me métamorphose en une sublime putain. Mes seins sont libres, simplement rehaussés d'un support métallique,une armature de soutien gorge dépourvu de tissu, comme si deux mains d'hommes les soutenaient. Les pointes sont droites et excitées. Avec des mots orduriers, Henry prend mes tétons et les pincent avec rage. Tu mérites une dérouillée salope dit -il en me fixant droit dans les yeux. A suivre.
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Par : le 15/11/13
Le p’tit contrôleur C’est un p’tit contrôleur Frustré et sans saveur Arrogant et rouspéteur Avec une tronche de percepteur Il aurait bien voulu être enquêteur Savant, Inspecteur, ou Docteur Se rêvait bourreau des coeurs Mais il n’est qu’un médiocre poinçonneur ….de billets, Elle a bien son billet la Dame Mais elle s’est trompée d’heure Intraitable le contrôleur….. Il verbalise toujours avec bonheur On voit que ça lui réjouit le cœur Ça met du baume sur ses rancoeurs De médiocre contrôleur…. D’un regard brillant et prometteur La Dame l’invite chez sa « Sœur » Absente prétend-elle pour affaire de cœur. Persuadé que son charme de contrôleur Lui permettra de poinçonner cette dame d’honneur Sans même avoir à lui offrir des fleurs Il en oublie de verbaliser, le contrôleur…. La dame a conçu quelque rancœur Contre ce misérable contrôleur Racketteur, misogyne et dragueur Elle en a parlé à sa consoeur Et les deux diablesses la rage au coeur Vont s’occuper de ce crétin de contrôleur Les deux Garces au sourire moqueur Et aux bustiers provocateurs Vont lui faire passer quelques sales quarts d’heure Leur regard inquisiteur Sous la menace d’un extincteur Elles lui passent les menottes comme à un malfaiteur Le voici menotté Attaché, à poil, au radiateur Sous leur regard accusateur Ça se voit qu’il a peur Il en pue la sueur Sur son visage l’angoisse et la stupeur Voilà la Dame devenue procureur « Chienne de garde » avant l’heure Sous le regard désapprobateur De sa complice, sa soi disant « sœur » Elle fait le récit des méfaits du contrôleur L’empoignant fermement par les « éjecteurs » Elles se mettent à le gifler en chœur Puisant dans leur juste colère, une invincible ardeur Ecrasant sa limace sous un talon vengeur Elles lui crachent au visage toute leurs rancoeurs … Le giflant, l’injuriant, avec un vrai bonheur Ce ne sont plus des mains qui giflent, mais un ventilateur C’est qu’il commence à prendre de belles couleurs Il en a même le feu aux joues, Notre p’tit contrôleur Mais, c’est qu’il voudrait se rebeller le contrôleur Il n’est au fond pas très joueur Certainement mauvais coucheur Le voilà qui insulte les deux « sœurs » Avec une telle rage au coeur Que ça déclenche une terrible fureur Chez nos deux « sœurs » Qu’elles lui assènent avec vigueur Des coups de pied dans le récepteur En plein dans ses bidules de procréateur Des coups de ceinture sur le valseur Il se tord de douleurs, Il en a les yeux en pleurs Mais plus que tout c’est la terreur Les boules qu’il a , la trouille pour ses choses de géniteur Qui fait ricaner les deux Femmes, et redoubler de vigueur Elles lui font bouffer sans douceur Elles lui font avaler sa carte d’électeur Et son badge de contrôleur Menaçant de poinçonner sa bite de contrôleur De leurs talons en fureur Tellement elles lui tordent ses carburateurs Avant de lui rincer la gorge de leur liqueur Lâchant sur lui, au fond de sa gorge un flot libérateur Qu’elles lui font avaler sans douceur….
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Par : le 13/11/13
Chapitre III, suite. Je suis toujours suspendue dans l'obscurité. Au bout d'une demi heure environ, les trois hommes viennent me détacher retirant sans ménagement le gode en bois que j'ai dans mon petit oeillet. Mon cul est maintenant dilaté à l'extrême. J'ai toujours des résidus de fruits dans la chatte. A peine remise sur pieds, ils me poussent fortement vers le salon, mes mains sont toujours prises dans les menottes dans le dos. C'est Jean qui mène à nouveau les opérations. Il me force à me mettre à genoux devant ses camarades de jeu. Après avoir caressé mes seins de ses grosses pattes, il poursuit ses attouchements jusqu'au bas de mon ventre. Mon clito dilaté compressé par le noeud d'une chaînette en or qu'il avait placé avec l'aval de Pierre, le noeud le fait sortir hors de mes lèvres vaginales. Une simple caresse d'une langue ou d'un doigt sur la pointe décapuchonnée suffit à me faire bondir de jouissance. Son index a déjà fouillé la jonction de mes grandes lèvres humides souillées par la mixture fruits-oeufs, cela provoque chez moi des gémissement. Son action est si bonne que je tortille frénétiquement mon pelvis. Jean marque des pauses. Je suis en son pouvoir. Il a tout le loisir de nettoyer de mon entrecuisse les traces de jus de fruits, d'abord sur la face externe, puis sensuellement à l'intérieur, là où la peau et les chairs sont particulièrement douces. Je gémis en sentant monté l'orgasme. Les deux autres soudards rigolent et continuent à se branler dans le verre en de moi. Cette situation décuple mes envies de sodomies sauvages. Vicieusement j'ai écarté mes cuisses au maximum afin d'offrir ma chatte entrebâillée et dégoulinante et mon anus dilaté à leur concupiscence. Robert a maté mon anatomie intime en souriant. J'ai cru un moment qu'il voulait me lécher la chatte ou peut-être me baiser. Il n'en manifeste pas l'intention, je l'implore d'avoir une bite dans ma fente. Il menace de me bâillonner. Je suis en transes. Le fait d'être entravée par les menottes m'émoustille, mon vagin et mon anus palpitent, j'ai conscience de ma condition. De salope sauvage, je suis devenue une salope d'élevage.... en un rien de temps, ma simple rencontre avec Pierre dans ce café a transformé ma vie. Robert lâchant enfin sa queue qu'il branle depuis son arrivée dans le salon, se pose entre mes cuisses. Sa langue bienfaisante prend possession de ma vulve béante, c'est délicieux, il cherche les restes de fruits au fond de ma chatte. Après avoir ramoné, asséché, nettoyé ma chatte à grands coups de langue, Robert s'est agenouillé entre mes cuisses pour déposer sa queue entre mes mains menottées tout en titillant le bout de mes seins sans oublier de me faire très mal. Son gland frotte à la fois mes doigts et la face interne de mes fesses en un mouvement continu. Je l'implore : Défoncez moi je vous en supplie, je n'en peu plus dis-je. Je le supplie de mettre sa pine bien au fond. Enervé par ma demande, il demande à Jean de me faire taire une fois pour toutes. Jean enfonce sa grosse queue dans ma bouche à la limite de l'étouffement. Comme une éponge saturée ma chatte ruisselle de sueur. Robert plonge brutalement sa longue et fine queue dans mon oeillet dilaté et me pistonne le rectum. Ainsi prise Jean se laisse glisser sous moi pour s'installer dans le tendre fourreau de mon minou. J'ai mes deux orifices limés sans relâche. D'un mouvement brusque, Pierre m'agrippe par ma tresse pour me faire relever la tête et m'enfonce sa pine excitée dans ma bouche. Pour la première fois de ma vie et ce ne sera pas la dernière, je suis pénétrée par trois hommes blancs en même temps. Je n'en reviens pas moi même d'être arrivée à ce stade de perversion sexuelle, moi la petite femme timide, musulmane. Peu après j'ai joui par vagues successives de plaisir. Ils se sont mis à gicler dans mes entrailles et dans ma bouche pratiquement ensemble. Tu voulais être défoncée salope me dit Robert, tu vas être servie comme il se doit ma belle, on en a pas terminé avec toi, nous allons tous profiter de ton petit trou, cela t'apprendra à vouloir jouer à la pute occasionnelle. Tu n'es qu'un trou à bites. Je dois me rendre à l'évidence à ce moment précis, je n'ai plus rien à voir avec la petite documentaliste bcbg. Je suis souillée de sperme de partout. Ma coiffure est défaite, mon maquillage a disparu, mes bas pendant sur mes chevilles, je suis vraiment à cet instant qu'un trou à bites, Robert n'a pas tort. Robert m'enlève les menottes pour que je me repose un peu. Allongée dans un canapé, je ferme les yeux et je pense à Raymond. Mon mari ne sait pas où je suis. Pierre m'a conseillé de venir au rendez-vous et d'en parler à mon mari après. Très excité d'être sollicité par des hommes mûrs, j'ai accepté tout de suite ce rendez-vous parce que je l'avais initié , je n'ai pas mesuré les conséquence. J'aurais voulu lui demander son avis et surtout son autorisation pour les sodomies. Sera-t-il content d'apprendre ça ? Va-t-il m'interdire de continuer de fréquenter Pierre pour ce genre de rencontre. Ma tête est pleine d'interrogations. Raymond sait-il que j'aime être traitée de la sorte ? C'est pour moi aussi une révélation. Pierre a été un déclencheur, il a osé me faire prendre conscience de ce que je suis : Une salope. Je n'ai pas le temps de plonger plus loin dans mes réflexions intimes. Je suis happée par les bras et les jambes. Jean est en train d'ouvrir une bouteille de champagne millésimé Cristal Roëderer. Oui chérie dit Jean en me regardant, tu l'auras dans le cul cette bouteille. Je commence à être fatiguée, cela fait près de cinq heures que je suis ici. Soulevée du sol par Jean, je suis placée à genoux sur les bords du canapé, la tête enfoncée dans les coussins. Il m'écarte bien les fesses, cherche ma fente et mon petit trou, il hésite entre les deux? Depuis plusieurs heures, tous mes orifices sont mis à rude épreuve. D'un seul coup il se plante dans mon anus jusqu'au couilles. Je gueule à mort comme une chienne blessée. Ca fait mal, mais c'est bon, finalement j'aime être enculée. Jean a la bite la plus courte mais aussi la plus épaisse des trois, il s'active en moi en me tenant fortement par la taille et me demande de bouger mon cul et de m'empaler moi même. Il me fesse pour que je lui obéisse immédiatement. Je suis bien lubrifiée mais sa bite est trop grosse pour mon petit trou déjà bien dilaté. J'ai peur de la faire sortir, je ne veux pas qu'il me l'enfonce une nouvelle fois jusqu'aux bourses? Comme il est circoncis, son gland se décalotte jusqu'aux burnes sous la pression de mon anneau anal. Il me tient le cou avec ses deux énormes mains tout en me martelant le cul avec son énorme bâton de chair raide. Je suffoque, j'étouffe, je ne peux plus respirer jusqu'au moment il décharge dans mon petit boyau. C'est tellement brusque et fort que j'ai l'impression qu'il décharge dans ma cavité anale des litres de sperme. Il faudra que j'ai une discussion avec Pierre, il doit exiger dorénavant le port du préservatif, par respect pour mon mari, mais aussi par sécurité. Avec la quantité de liquide qu'il vient de déverser en moi, la grosse bite de Jean agit comme une ventouse vu l'étroitesse de mon anus. Il a du mal à se retirer? En a t-il vraiment envie ? Je suis maintenant collée à lui, il m'embrasse le cou, les joues, la bouche en m'enfonçant sa langue, me tire les seins en les écartant fortement avec ses grosses mains rugueuses. Il est toujours planté en moi, je n'ai pas envie qu'il se retire, son dard est gros mais j'en veux encore, je veux être enculée, déformée par d'énormes queues animales. Sans me lâcher, il prend la bouteille de champagne, boit directement au goulot, me tend sa bouche pour que je lape quelques gouttes du liquide. J'exulte lorsqu'il fait couler le champagne sur mon corps. Il se retire doucement, mon anneau de chair est libéré de la bite du rugbyman mais pas pour longtemps. C'est au tour de Pierre de s'introduire dans mon petit trou qui n'est plus si petit que ça après la sodo de Jean. Je suis toujours à genoux sur le canapé, Pierre monte à pieds joints sur le rebord. Dans cette position sa bite rentre directement dans mon rectum sans effort. Il me pilonne le cul, me ramone durant près de cinq minutes. Jean s'amuse à enfoncer le goulot de la bouteille de champagne dans ma chatte ouverte. pierre éjacule à son tour dans mon cul qui ressemble plus à une bonde d'évier engorgée tellement il déborde de sperme. Pierre fut le seul à me demander de sucer sa bite, elle est souillée de sperme de ses prédécesseurs et du sien. J'hésite à le faire. Voyant cela, Pierre m'enfonce directement sa queue dans ma bouche en forçant mes lèvres. Je suis obligée de capituler devant les exigences de mon Maître. Je me souviens qu'il avait fait la promesse de ne pas m'enculer sans l'accord de mon mari. C'est un salaud, mais je ne lui en veut pas. L'occasion fait le larron comme on dit. J'ai un peu honte de moi d'être ainsi traitée, mais cela en vaut la peine Une triple pénétration. Repus et fatigués, nous sommes tous les quatre affalés dans les différents canapés du salon. Cela fait plus de six heures que l'on baise. Robert, le maitre de maison se lève et va chercher les coupes de champagne. Je suis étonnée de le voir revenir avec seulement trois coupes. Et moi dis-je,j'ai soif! Toi grosse cochonne ton verre est posé sur le buffet, c'est celle pleine de foutre que tu vas boire devant nous comme une bonne esclave obéissante que tu es. J'avais oublié cela, le verre dans lequel ils ont éjaculés tous les trois à plusieurs reprises. A l'aide d'une paille, Robert mélange les trois spermes avant de me tendre le verre. J'ouvre la bouche et laisse couler le liquide assez constant et visqueux sur ma langue au goût indéfinissable , ma langue et mon palais sont entièrement barbouillés par ce breuvage assez spécial, je fais des gargouillis. En fermant les yeux je m'exécute en prenant le temps de savourer cet élixir de jus d'hommes. Ils sont ravis de ma prestation. Je gagne ainsi le droit de trinquer au champagne avec eux. Il est deux heures du matin quand je sors de la douche. Une douche bien méritée.J'ai pris congé de Robert en le remerciant pour cette magnifique soirée. Il a commandé un taxi. A suivre....
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Par : le 13/11/13
Chapitre III. Au contact de Pierre et sous son impulsion, je pris de plus en plus confiance en moi et consciente de l'intérêt que je suscitait auprès des hommes européens. A un point tel que Pierre m'ordonna dorénavant de prendre des contacts moi-même. Quelques semaines après ma séance à Villeneuve-sur-Lot, j'étais seule à mon bureau. Il est presque 16 heures, je tapote sur mon ordinateur sur un site où Pierre m'a ouvert une b.a.l. Au bout de quelques minutes, j'accroche un pseudo intéressant : Deux hommes cherchent une esclave motivée. Je saute sur l'occasion afin de prouver à Pierre que je suis une bonne soumise obéissante je réponds tout de suite au message des deux inconnus. Jeune femme noire soumise dispo. Ils sont o.k pour me rencontrer. Ils me demandent de me décrire en détail et si je suis disponible pour la soirée. Je fais savoir que oui mais qu'il faut auparavant prendre contact avec mon Maitre pour connaitre les conditions du rendez-vous. Moins d'une demi heure plus tard, Pierre me téléphone. Le rendez-vous est fixé à 19h00 dans un café.Rejoins-nous au Sarah Bernhart et sois sexy me dit Pierre à la sortie du métro Châtelet. Lorsque j'arrive sur place, Pierre est déjà là. Il est attablé avec deux hommes, la cinquantaine grisonnante. Pierre me présente en me faisant remarquer que je suis en retard et qu'il ne le tolère pas. Je suis encore debout devant eux car je n'ai pas encore eu l'autorisation de Pierre pour m'asseoir. Un des deux hommes, le plus grand et le plus gros avec une carrure de rugbyman, possède une moustache qui lui barre le visage me dit en me fixant droit dans les yeux : Tu seras punie poufiasse pour ton retard, je n'aime pas attendre lorsque je commande les services d'une soumise, tout en passant une main sous ma minijupe au vu et au su de tous les consommateurs du café. L'homme se nomme Jean, il vient de Nice, l'autre Robert est parisien. Pierre m'ordonne de m'asseoir entre les deux hommes sur la banquette en face de lui. Je suis assez sexy, je porte une minijupe noire en nylon mousse qui épouse toutes mes lignes de mon corps, surtout de mes fesses. Je porte également un blouson Perfecto en cuir rouge, mon collier de cuir avec ma médaille S autour du cou et des talons aiguilles noirs assez hauts. Coiffée comme Sade, les cheveux tirés en arrière avec une longue tresse qui tombe sur mon dos. Un maquillage discret sur une bouche gourmande bien dessinée d'un rouge vif. Après une nouvelle consommation et une discussion sur mon utilisation de la soirée, mes loueurs n'ont qu'une hâte, celle de me prendre par tous les côtés disponibles. Ils ne veulent pas perdre de temps. Dans la voiture qui nous mène chez Robert, Jean le niçois m'a déjà prise en main dès la sortie du café. Ses mains se font de plus en plus pressantes sous ma micro-jupe en nylon mousse. Elle n'a que 27 centimètres entre ma taille et le bas de mes cuisses. Robert conduit, Pierre est devant avec lui. Moi je suis à l'arrière avec le rugbyman de Nice. La turgescence de mon clito le met dans tous ses états. Robert habite un hôtel particulier à Neuilly. La nuit est tiède, ce qui favorise le rapprochement des couples. En guise de rapprochement je vais être le jouet de trois hommes, car, comme à son habitude, Pierre est de la fête sa présence me rassure. J'appris par Jean dans la voiture qu'il me connaissait de réputation. Dans ce milieu les choses vont vite. Dès que l'on apprend qu'il y a une excellente soumise, la nouvelle fait vote le tour des habitués et des amateurs de séances SM. Et selon Pierre qui vantait mes qualités auprès des deux hommes, j'étais le meilleur coup de Paris L'alcool que j'ai bu au café commence à faire son effet, je suis toute excité à l'idée d'être prise par trois hommes en même temps. Ce sera une première pour moi. Comme à chaque sortie avec Pierre, je suis tenue en laisse avec mon collier de chienne obéissante. Dans la cour de l'hôtel particulier sans vis-à-vis, Pierre m'ordonne de me foutre à poil. Je suis seulement vêtue des mes bas, de mon collier, des mes escarpins très hauts. La maison est superbement meublée. Le salon est très grand avec une multitude de canapés de cuir, avec au centre une table basse en plexiglass. En un rien de temps les trois hommes se retrouvent entièrement nus avec leurs bites au garde-à-vous. Moi je suis nue à genoux au milieu de la pièce. Jean s'approche de moi. Il est grand et fort avec un ventre assez volumineux, une bite courte mais grosse, il est circoncis. Jean se plante devant moi, j'ouvre ma bouche fardée que je referme immédiatement sur son gland mauve et épais. Je le suce tranquillement, sans hâte. Sa queue se raidit,grandit, je l'avale presque entièrement jusqu'aux bourses vu qu'elle n'est pas longue. Pendant ce temps il se fait servir un whisky par son ami. Excité par ma caresse buccale, la pine de Jean glisse hors de ma bouche et son gland s'accroche à mes dents. Cet incident le met dans une fureur indescriptible. En colère il s'enfonce dans ma gorge d'un mouvement brusque jusqu'au fond de mon palais. J'ai honte pour l'erreur commise. Ma tête me fait mal, elle sous l'effet de l'alcool quand une seconde bite, celle de Robert, longue et large droite, plantée comme un arbre, remplace celle de Jean qui se branle devant moi furieux. Débarrassée de tout sentiment de culpabilité, j'absorbe la queue de Robert en prenant soin de la décalotter avec mes lèvres. Centimètre par centimètre, j'arrive jusqu'aux couilles du maître de maison, remontant pour redescendre dans un va-et-vient régulier. Je lâche cette superbe queue pour celle de Pierre déjà mouillée de sperme. Pendant dix minutes, ils restent tous les trois silencieux, on n'entend que le bruit de ma bouche, ils apprécient avec délectation mes gâteries particulières. Ma main enlace la plus grosse des trois, celle de Jean, je la branle lentement, je vais de bite en bite, de l'une à l'autre, fermement accrochée à ces pieux comme une noyée à sa bouée de sauvetage. Je n'ai plus de rouge à lèvres, je bave beaucoup car je n'ai pas le temps d'évacuer ma salive, ma bouche n'est pas libre un seul instant. Pendant que je le suce, Robert me caresse la joue tendrement : Tu veux boire quelque chose me dit-il, un whisky ? Avec de la glace s'il-vous-plait Monsieur, comme ça ma bouche sera froide ! Robert se retire pour aller au bar, aussitôt Jean prend sa place. Sa grosse bite me déforme le visage. On va alterner fit une voix derrière moi. C'était Robert qui revenait avec un verre à la main en me tendant la boisson alcoolisée. L'alcool glacé coula dans ma gorge. Tu pourras boire à nouveau quand ta bouche sera redevenue chaude dit l'un des trois hommes. Je crois que je commence à être soûle, c'est bon dis-je. Les trois hommes se branlaient devant moi en parlant. Je gobe la queue de Robert, d'abord son gland, il a remarqué que j'ai un petit faible pour lui. En un mouvement gracieux, je fais glisser sa bite jusqu'au fond de ma gorge, puis je commence à le pomper avec une certaine maladresse au début, car de ma main droite je branle le pénis de Jean. Cela ne dure pas longtemps, Robert commence à s'agiter, à souffler très fort, à trembler de tout son corps pour enfin se cabrer avant d'expédier une longue giclée de sperme que j'avale délicieusement. Entre mes doigts agile ,la pine énorme de Jean palpite à son tour. Vite je quitte la queue de Robert pour coiffer le dard du rugbyman. A peine enfoui dans ma bouche encore barbouillée du sperme de Robert, il décharge à son tour en m'étouffant. Pour ne pas être en reste, Pierre mon Maître qui se branlait en nous regardant décharge lui aussi ses munitions sur mon visage défait, prenant soin d'étaler sa semence partout. Malgré ces décharges successives, mes partenaires sont toujours en érection, Jean et Robert se collent ventre contre ventre, je prends les deux pines en même temps, je bave, je dégouline de sperme. Ma tête est en feu,je tente d'avaler la double épaisseur, ce n'est pas facile, de son pouce Jean écarte mes lèvres pour que je puisse faire une double pipe, le sperme coule à flots, je suce ainsi mes trois partenaires à deux reprises. Sauvée par le gong. Le téléphone sonne, hésitant, Robert s'enfonça à nouveau dans ma bouche puis se retira. Je suis en train de m'étrangler avec la grosse masse de chair de Jean sans oublier les nombreuses décharges de sperme qui s'y engouffrent. Je vais répondre, toi ne bouges pas me dit Robert autoritairement. Je cherche à reprendre mon souffle quand à nouveau Jean s'introduit dans ma bouche ouverte, le gland tout d'abord, le reste de sa courte pine ensuite. Le rugbyman tenait fermement ma tête de ses deux mains. Je pressentais l'instant. Le foutre jaillit. Il me sembla que Jean déchargeait durant plusieurs minutes tant il y en avait. Comme toute bonne soumise que je suis, j'avalais une nouvelle fois la semence onctueuse de Jean giclée après giclée. L'un après l'autre ils se branlèrent dans ma petite bouche. J'avalais les trois bites, j'avalais les trois décharges chaudes et demandai un autre whisky pour faire descendre le tout. C'était la première fois qu'on me baisait par la bouche de cette façon et nous n'en étions qu'aux préliminaires. Pierre m'invita à prendre un peu de repos, ma mâchoire me faisait mal à force d'avoir la bouche ouverte, j'avais mal aux genoux aussi. Sans vouloir l'avouer, les mecs aussi avaient besoin de recharger leur batterie génitale. Je n'en revenais pas moi même de mon endurance d'avoir subi ce que je venais de subir, c'était la première fois que j'avais trois queues à ma disposition, je ne sais pas si mon mari me reconnaitrait s'il m'avait vu ainsi prise. Affalée dans le canapé en cuir blanc, lovée dans les bras de Jean. Ce dernier me caresse le bout des seins qu'il trouve trop petits. Il tire aussi sur mon clito qui dépasse de mes lèvres. Bien que musulmane, je n'ai jamais été excisée. Jean n'est comme Robert, il n'a pas de délicatesse envers moi, un humour lourd à la limite de l'obscénité mais je suis obligée d'obéir et de faire ce qu'il me demande, je dois faire plaisir aux gens que je rencontre. Jean m'interroge sur mon passé, je reste dans des généralités , il n'a pas besoin de savoir qui je suis. Pour lui je ne suis qu'une salope louée par Pierre; Jean me demande pourquoi mon sexe est lisse comme celui d'une petite fille. Je lui raconte n'importe quoi, je dis que je suis Peule et que chez les Peules c'est une tradition. Tous les matins je me rase la chatte comme lui rase sa barbe. Il me demande aussi pourquoi je fais la pute... Je ne suis pas une prostituée répondis-je outragée, je suis une femme soumise qui obéit à son Maitre, c'est différent. Je sais que mon Maitre demande des offrandes lors de mes rencontres, je ne m'occupe pas de ça. Pour Jean je suis une pute, une poufiasse. Sur ces dernières paroles, il m'empoigne par la taille en me retournant dans la position d'un 69 et me gobe le clito avec ses lèvres, sa moustache drue me chatouille, il parcourt mon intimité de long en large, pendant ce temps je le suce, j'ai la tête en bas la grosse queue de Jean dans la bouche. Je me cramponne à ses cuisses. Il m'insulte tout en me léchant la chatte et le cul. Il rappelle à tout le monde que je suis arrivée en retard au rendez-vous et que je dois être punie comme il se doit. J'avais complètement oublié ça. Je vais l'enculer dit-il à l'adresse de Pierre et de Robert, je vais lui défoncer le cul à cette pute noire, tu vas voir poufiasse, tu vas te souvenir de moi et de ma bite. Jean continue à m'insulter. Je vais t'enculer à sec salope, je vais t'écarter l'oeillet. Je regarde Pierre, ce dernier esquive mon regard Pierre ne m'a rien dit de sa transaction avec les deux hommes, il ne m'a rien dit au sujet d'une éventuelle sodomie. Je commence à avoir peur. Ma petite porte c'est privé, c'est réservé à mon mari Raymond. Il est le seul à avoir le droit de passer par là. Les trois hommes parlent de moi comme si je n'étais qu'un objet sexuel dont ils vont se servir à leur guise.Je suis manipulée comme une poupée gonflable Quand je tente de dire quelque une seule réponse fuse de la part de Jean. Ta gueule salope. Subitement Jean me prend sous le bras vigoureusement, pour lui je ne suis qu'une plume avec mes 45 kilos. J'ai toujours la tête en bas, je me retrouve avec lui dans une pièce entièrement tapissée de miroirs du sol au plafond. Il y a aussi une potence suspendue aux poutres, des chaînes, des cordes pendent avec des fermoirs en cuir. Aidé par Pierre, Jean me suspend par les chevilles.Pierre m'attache les mains dans le dos avec des menottes. Mon corps est suspendu et je repose sur les épaules. Je suis très écartée. Ma fente est offerte. Je suis à la hauteur de bouche de mes loueurs. Ils ont chacun un gode énorme dans la main? Jean insinue sa langue dans le repli de mon sexe. Robert qui avait été sympa avec moi jusque là commence à m'introduire un gode en bois habillé d'un préservatif. En fait ce n'est pas un gode mais un pied de lit lisse et très gros bombé au centre. Je ne sais pas si mes orifices accepteront cette énorme chose. Déjà quand mon mari Raymond me sodomise, j'ai très mal, pourtant Raymond possède un sexe de taille normale. Les deux hommes parlent à voix basse : Ils interrogent Pierre à mon sujet : Qu'est-ce qu'elle peut prendre ta pute comme taille dit Jean. Tu crois que c'est assez gros ? On a qu'à essayer répond simplement mon Maitre, c'est sa punition, cela lui apprendra d'être à l'heure ricane Jean. Sur la table il y des fruits, des grosses fraises, des bananes, des oeufs, de la crème chantilly. Je me sens mal,le sang me monte à la tête, les jambes écartées, le mélange de whisky-sperme fait son effet, j'ai envie de vomir.Je suis euphorique. Jean et Robert dégustent des fruits à pleines dents avant de me les introduire dans le vagin. D'abord deux grosses fraises et des tranches de bananes. D'un seul coup, Jean m'enfonce son gode comme un pilon et écrase les fruits dans mon sexe avec un bruit de succion, je sens dégouliner le liquide sur mon entre et sur mes seins pour finir sur le sol. Jean demande à Robert de m'écarter les parois du vagin avant d'y casser un oeuf, le premier oeuf tombe à terre. Jean s'exécute une seconde fois. Robert écarte de ses deux mais on orifice. L'oeuf disparaît en moi, l'introduction du gode fait déborder mon orifice, le jaune et le blanc de l'oeuf sont expulsés par ce piston. Il tient le gode à deux mains et me l'enfonce sans ménagement. Des morceaux de fruits tombent sur moi. Je crie, je supplie, mes mains sont entravées par les menottes d'acier. Putain dit Jean, elle est petite, mais elle est profonde cette négresse, il faut tout un régiment de tirailleurs sénégalais pour la remplir à ras bord. Les trois hommes éclatent de rire. Une banane entière est plantée en moi, elle tient droite avec la crème chantilly qui déborde. Les trois compères sont satisfaits du spectacle. Tout mon corps et mes cheveux sont barbouillés par cette mélasse. Je ne savais qu'en acceptant cette invitation , que je pouvais être humiliée de la sorte. Après tout je n'ai que ce que je mérite.... C'est moi qui ai accroché Jean et Robert. Tranquillement Robert force mon anus avec son gros gode en bois. Je demande qu'on m'accorde un peu de pitié et que l'on ne me sodomise pas avec ça, c'est trop gros, cela va déchirer mon anus. Je dis aussi que cet endroit est réservé au seul usage de mon mari. J'ai dis ce qu'il ne fallait pas. Cette simple phrase met Robert dans une colère incroyable. Lui qui était doux avec moi depuis le début de la séance, m'enfonce d'un trait ses deux pouces dans le cul en prenant soins de bien écarter les chairs de ma pastille fripée. Je gueule comme une perdue. Furieux il reprend son engin de bois et tente de me l'enfoncer dans l'anus, le bout du gode est là planté là en moi comme un obus dans la terre. Les trois hommes rient, plaisantent et applaudissent l'exploit de Robert. Moi je ne compte pas, je ne suis qu'un objet que l'on loue. Pierre, Jean et Robert se branlent, ils ne tardent pas à jouir dans un verre. Rassasiés, ils me laissent pendue par les chevilles et quittent la pièce en éteignant la lumière. Laissons cette salope mijoter dans son jus dit Jean. Avant de partir j'entends Robert dire à Jean : Tu as vu elle a le trou du cul très étroit, elle ça va vachement nous comprimer la bite lorsqu'on va l'enculer tout à l'heure. La débauche anale ne fait que commencer A suivre....
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Par : le 02/11/13
Ma Fouetteuse et Fesseuse préférée Celle qui désormais manie la canne Ma tourmenteuse dont je n'aurais jamais osé rêver Ma Griffeuse irremplaçable Ma Noueuse en progrès permanents Mon Enfileuse à ses heures Ma sadique Cireuse Mon Emballeuse en devenir Mon unique Travestisseuse La Reine de mes froides chaines La seule Electrifieuse que j'accepte La Propriétaire de mon collier et de mes menottes En résumé ma Maitresse Adorée
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Par : le 10/10/13
(suite de cette partie http://www.bdsm.fr/blog/872/jouir-de-sa-douleur-partie-2/) Chloé se laisse faire et reste docile, consciente du fait qu’elle ne ferait qu’aggraver sa peine. Louis prend ses poignets et les emprisonne avec deux menottes en tissu auxquelles des courts et solides câbles sont attachés. Il se saisit des câbles et les fixe sous le matelas. Chloé est désormais amarrée au lit, écartelée du haut, sa capacité de mouvement étant plus que réduite. Il fixe doucement les pinces, prend le temps de voir la douleur s’installer dans le regard de sa soumise. Il aime voir cette expression contrainte sur son visage, ses yeux qui se plissent et sa bouche qui se tord. Il aime savoir que sa demoiselle a mal et qu’en plus c’est grâce à lui. Tout ça l’excite bien trop. Si ça ne tenait qu’à lui, il l’aurait déjà « honorée » depuis belle lurette. Louis respire un grand coup et recommence à la câliner, à la caresser, à lui faire des petits bisous pour l’habituer à la douleur grandissante que connaissent ses tétons. Sa langue frôle ses seins, pendant que ses grandes mains caressent ses côtes et entourent ses hanches. Sa bouche descend inexorablement, et c’est sur le sexe de Chloé qu’elle finit par atterrir. L’homme caresse légèrement le clitoris gonflé de sa belle, qui est tendue comme un arc. Elle a la tête renversée, et Louis distingue clairement du plaisir sur son visage. En continuant à caresser son clitoris, il ré-approche son visage et pose sa langue sur l’entrée de son vagin. Il la pénètre lentement de sa langue dure, pour l’ouvrir d’avantage et pour ne pas la blesser. Chloé est, comme l’avait préconisé Louis, détendue. Elle accepte tranquillement la douleur. Elle arrive à la rendre acceptable. Elle arrive à la supporter. Il faut dire qu’elle est aidée par le plaisir que lui procure Louis. Maintenant qu’elle est bien ouverte, Louis inverse sa langue et ses doigts. Il la pénètre avec son index pendant que sa langue passe sur son clitoris. Alors que sa bouche s’engage dans un duo effréné avec le sexe de Chloé, sa main remonte tout doucement le long de son ventre pour tirer un coup sur la chaîne. Chloé lâche un petit cri de plaisir. Elle se sent bien, et est déjà proche de la jouissance. Sa respiration s’est accélérée d’elle-même, et elle halète. Louis, habile marionnettiste sachant jouer avec les ficelles de son plaisir, accélère la cadence de sa langue et y ajoute progressivement son majeur et son annulaire. --- Il tire alors rapidement et d’un coup fort sur la longue chaîne qui relie les pinces à seins. Chloé se cambre encore. Elle a les yeux fermés, sous l’emprise des assauts répétés de la langue et de doigts de Louis - qui provoquent chez elle des gémissements de plus en plus élevés . Il sort une pince à linge de sous le lit (il avait tout prévu, le bougre), en la fixant au milieu de la chaîne. Chloé sent ses tétons qui se tiiiiirent comme jamais ils n’ont été tirés, et en même temps son sexe très sollicité par les doigts de Louis. Elle qui a les yeux fermés ne se doute pas que dans quelques secondes, Louis va fixer une pince à linge sur son clitoris ressorti, faisant également travailler encore plus ses tétons grâce à la chaîne fixée à la pince à linge. Il la pose rapidement. Elle ne s’en était effectivement pas doutée… Elle hurle, dans cocktail alliant plaisir, douleur, et début de jouissance. La cadence des doigts de Louis dans son sexe s’accélère, et Louis la pénètre de plus en plus rapidement et fermement. - « Viens, viieeeeens…. Viens, ma belle… » Elle ne s’est sûrement jamais sentie aussi bien dans sa vie, tous ses sens sont exacerbés, son corps est en ébullition, cocotte-minute dont la soupape sera son proche orgasme. Sa mâchoire et ses membres se crispent, son vagin se contracte, et c’est dans un râle de plaisir que Chloé jouit, explosion salvatrice et délivrante. Tout son corps se confond en tremblements. Quelques minutes plus tard, Louis retire doucement ses doigts d’elle, enlève les pinces pour immédiatement couvrir ses seins de baisers, et entoure son corps du sien, la laissant « redescendre » et s’apaiser, en prenant son temps. Ils sont serrés l’un contre l’autre, en » petite cuillère », Chloé a la bouche de Louis dans son cou. Elle lui chuchote à l’oreille un « merci, mon ange… » en lui expliquant combien elle a aimé ce moment avec lui et combien elle lui en est reconnaissante. Elle se rend compte qu’à aucun moment il ne s’est déshabillé ou qu’elle l’a stimulé physiquement. Comme si il devinait ses pensées, il lui sourit tendrement, les yeux entrouverts, pour s’endormir paisiblement sur elle. « Cette nuit, Louis jouira. Et fort. Il va voir ce qu’il va voir » se dit-elle… Après tout, la nuit leur appartient…
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Par : le 05/10/13
Nous y étions enfin !! Je dis enfin car la veille, de part votre déclaration oui vous vous êtes fait mienne, acceptant de fait ma domination sur vous . Le mot Maître que vous refusiez de dire jusqu à présent est sorti de votre bouche spontanément alors que vous étiez prosternée , nue face à moi, geste symbolique s il en est un pour l un comme pour l autre, de par cette action et de vos mots prononcés vous m avez offert ainsi votre soumission totale envers moi et je l ai accepté ,confiant quand à vos capacités et vos réelles envies de progresser dans ce domaine. Pour vous remercier de votre confiance, cette nuit je vous ai envoyé un mail ne détaillant que le début de notre rencontre de ce jour, vous permettant ainsi de vous imaginer mille façons dont se pouvait se dérouler le reste de cette journée. Vous connaissant je sais oh combien cela vous met en émoi et voir même vous stresse dans le bon sens du terme bien sur. Maintenant que vous étiez mienne je vous avais prévenue que je vous voulais également chienne, il n y a rien qui m excite plus qu une bonne chienne soumise vous avais-je dit ce a quoi vous m avez répondu que l idée était non seulement séduisante mais aussi et surtout très très excitante.... Mais le sujet de ce jour, de ton premier jour avec moi serait basé sur la confiance, totale, oui totale voir aveugle car c est seulement celle-ci qui t aideras à progresser voir te surpasser . sans elle aucune relation quelle qu elle soit ne peut être envisagée sur le long terme. Je suis arrivé avec un peu d avance, restant dans ma voiture car il pleuvait très légèrement. Cet endroit habituellement agité était ce matin bien désert, quel dommage , du coup je regrettais un peu mon choix du lieu , j aurai tant aimé pour votre 1er jour de soumise vous mettre à l épreuve dans ce genre d exercice, a voir si un peu plus tard il y aura un peu plus d animation je me suis dit. Pourtant l endroit est très touristique en été , ce que ne rend pas ce grand parking si vide, mais en observant l entourage je voyais bien que la veille il avait du y avoir du passage car il restait quelques immondices au pieds de certaines tables de picnic disséminées ici et là. 10:00 tapantes et j apperçois ta voiture entrant sur le parking, tu me dépasse et part te garer dix mètres plus loin coupant de suite le moteur. Je te devine t affairant à te préparer telle que je te l ai demandé, cela dure quelques minutes puis enfin tu sors de ta voiture.. De suite je saisis mon appareil photo et te mitraille, tu es resplendissante avec ton côté chienne bien mis en avant, la vision que tu m offres ainsi est super excitante... Tu es vêtue d une robe moulante blanche avec un décolleté à la base très échancré mais aujourd hui et comme je te l avais exigé tu as sorti tes beaux et gros seins lourds écartant de fait au maximum ce décolleté, tu avances doucement mais même ainsi à chacun de tes pas tes gros seins exposés ainsi à l air libre ballottent gentiment de droite à gauche, Tu marches la tête haute le dos bien droit mettant bien en avant et en valeur ta belle poitrine, la pluie si fine de mon arrivée laisse la place à une autre plus drue mais en aucun cas tu ne te dévies de ton devoir , ta robe déjà bien imbibée d eau se fait à chacun de tes pas de plus en plus transparente, maintenant on voit plus qu on ne devine que tu es bien nue sous ta robe qui laisse bien voir clairement ton dos et surtout tes fesses... Tu traverses ainsi ce grand parking jusqu à aller te poster devant une de ces table de picnic et tu m y attend totalement immobile. Après avoir pris un petit sac ou j avais placé quelques affaires et objets je me suis dirigé vers toi et une fois arrivé juste derrière toi, presque collé à toi je t ai dis : Penche toi en avant sur cette table, et mets tes bras le plus loin et en avant possible aussi. Une fois fait, d un coup sans te prévenir je t ai remonté ta robe jusqu à la taille puis te l ai retirer complêtement laissant tes fesses nues à ma vue. La pluie ne les recouvraient pas et l eau ruisselait sur celles-ci allant jusqu à s écouler dans ton intimité , vision super excitante que celle-ci, j adore ... Je t ai ordonner d écarter un maximum les cuisses et t ai posé des menottes aux chevilles . De celles avec une chaine en métal entre chaque extrémités , puis de mon petit sac j ai sorti un plus anal taille moyenne que je n ai eu aucune difficulté à t introduire , doucement quand même ,vu l écartement de tes fesses, ensuite j ai pris tes mains et je les ai nouée dans ton dos et pour finir je t ai bandé les yeux et t ai aidé à te redresser. Le temps semblait jouer au yoyo avec nous car il ne pleuvait presque plus, juste quelques fines gouttes tombaient encore , et les températures malgré ce temps étaient encore très douce en cette saison. Je t ai pris par le bras te guidant ainsi durant quelques mètres ,jusqu à que tu te trouves en plein milieu du parking puis t ai fait faire un tour sur toi même avant de dire qu à partir de cet instant il faudra que tu te fies à moi voix et à ma voix seule , je te demandais de ne pas bouger et de ne réagir et agir seulement que sur mes ordres. Ensuite je me suis éloigné d un pas rapide te laissant seule et désemparée Je me suis posté à une bonne quinzaine de mètre de toi t observant, de sereine au début, ton angoisse se faisait plus présente au fil des minutes qui passaient. J ai laisser filer le temps une bonne dizaine de minutes ainsi avant de te demander de faire à nouveau un tour sur toi-même , seule sans aide les chevilles entravées et les mains nouées dans le dos, et sans un appui quelconque tu as peiné manquant de peu de tomber à plusieurs reprises puis tu as stoppé. Alors d une voix forte je t ai demandé de venir me rejoindre en t aidant de ma voix comme guide et qu il fallait que tu me fasses complètement confiance et que j allais t aider à passer et surmonter certains obstacles voir même certaines peurs bien ancrées en toi. Ce petit jeu a duré pendant presque une demie-heure et finalement, fatiguée à la limite des larmes tu es arrivée à mes pieds. Je t ai enlevé tes entraves , des pieds, des mains ainsi que ton bandeau puis je t ai pris dans mes bras tout en te félicitant chaleureusement et en t embrassant et te frictionnant un peu. Je suis fier de toi, vraiment très fier , cette épreuve oh combien difficile tu l as passé haut la main et je sais aujourd hui qu à partir de maintenant, nous allons toi et moi allez très loin dans cet univers que nous avons choisi t ai-je dit en te regardant droit dans les yeux. Tu as mérité ta récompense , une très bonne récompense même, viens ... Je t ai pris par la main et nous sommes retournés vers les tables, je t ai demandé de t allongé sur une table ,sur le ventre ,de bien écarter tes bras et tes cuisses, et surtout de ne rien dire, pas un mot , pas un cri . Quel spectacle c était de te voir ainsi toute nue sur cette table, je t ai remercier de cela, hum que j aime te voir ainsi... J ai sorti de mon sac un petit fouet et t ai demandé combien de coup de fouet tu estimais avoir mériter pour ta prestation de tout à l heure , Le nombre qu il vous plaira Maître m as tu répondu. J ai bien insisté sur le fait que c était ta récompense et que donc en gage de remerciements aujourd hui et seulement ce jour tu aurai le droit de choisir . Tu m as répondu par un merci Maître, alors svp j en voudrai 30. D accord mais c est toi qui va les compter, je vais aller de doucement à de plus en plus fort , mais si jamais tu avais trop mal dis le moi et je stopperai tout car il est hors de question que je te blesse. Les cinq premiers à peine appuyés ne t ont même pas fait effets mais à partir du sixième et ce jusqu au trentième ton corps n a cessé de sursauter de plus en plus haut et fort mais jamais tu n as laissé échapper un cri , pourtant je t ai vu parfois agripper très fortement la table tu en avais les muscles tendus à l extrême , surtout sur la fin. Quand je me suis approché de ton visage pour t embrasser j y ai vu couler des larmes , que j ai prises pour des larmes de douleur m empressant de te prendre dans mes bras tout en te disant que je ne comprenais pourquoi tu ne m avais pas demandé d arrêter ? Et là esquissant un petit sourire au travers de tes larmes tu m as répondu de ta petite voix toute douce , non mon Maître, je ne pleure pas de douleur , je pleure de bonheur , celui d être à vous....totalement à vous , je vous aime . Aujourd 'hui grâce à vous j ai réussi a surmonter tant d épreuves ,tant de blocages que j avais enfouis au plus profondément de moi-même et en plus j y ai ai pris énormément de plaisir, et je vous en remercie beaucoup... Je suis à vous pour toujours... Maître .
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Par : le 05/10/13
En week-end prolongé nous avions décidé d aller nous balader dans ce beau jura que nous apprécions tant. Sans but précis ni lieu bien définis nous allions au gré des panneaux qui parsemaient la route afin de visiter les villages et autres endroits touristiques que nous ne connaissions pas. Et c' est ainsi que nous avons atteri dans un tout petit village surmonté d un grand et beau château. Après nous être garés dans le bas du village , j ai pris le sac à dos et nous en avons sillonné chaque recoin et finit par emprunter un petit chemin qui menait à une petite église , une longue allée bordée de marronniers menait jusqu à elle et étrangement la porte de celle-ci était grande ouverte et personne à l horizon ni aucune voiture garée aux alentours. Nous en avons fait tout d abord le tour, puis arrivés de nouveau devant l entrée je t ai pris par la taille afin de te coller à moi et embrasser doucement. Après ce long et doux baiser je me suis approché au plus près de ton oreille afin de te chuchotter < aujourd hui une occasion peut-être unique nous est donné, stp ne bouge pas et ferme les yeux et surtout ne dis rien> Tu es restée silencieuse , immobile, je t ai observé un moment puis t ai demandé d ouvrir les yeux et d avancer jusqu à la première rangée de sièges et de stopper une fois arrivée à hauteur de celle-ci , je me plaçais derrière toi et d une voix sans appel t ai ordonné de te déshabiller et te mettre nue...toute nue et de déposer tes habits sur une chaise, puis une fois nue d avancer doucement jusqu à l autel, je te suivais lentement me laissant guider par tes jolies petites fesses hummm. Une fois devant l autel je te demandais de monter dessus t aidant même à y acceder car il était haut , puis de t allonger sur le ventre les bras et jambes en croix. Tu me fît remarquer que c était froid car il était en pierre mais d un geste appuyé je t ai fait signe de t executer. Là je t ai demandé de fermer les yeux et de ne surtout pas bouger, j ai sorti du sac à dos une paire de menottes avec lesquelles je t ai attaché les mains dans le dos, puis un foulard pour te bandé les yeux et enfin une paire de boules quies que je t ai mises. Puis je suis sorti de longues minutes dehors afin de vérifier que personne n approchait. Rassuré je suis revenu vers toi à pas de loup sans faire de bruit, je percevais chez toi une certaine apréhension voir inquiétude, ta respiration se faisant plus rapide. Au bout de quelques minutes ton impatience se transforma en début d angoisse , tu laissas échapper quelques petits cris tout en m interpellant, plus pour savoir si j étais bien toujours dans le coin, pour te rassurer je t ai caresser doucement, effleurant d un doigt ton corps qui tressaillit de surprise. D un doigt je suis passé à ma main et je continuais à te caresser ainsi passant de tes pieds et remontant jusqu à ta nuque en veillant bien à éviter ton sexe. Puis d une voix ferme, après t avoir retirer tes boules quies, je t ai fait part de mon mécontentement face à tes petits cris alors que je t avais demandé le silence le plus total te disant que je n étais pas content du tout que tu transgresses ainsi mes règles et que cela changeait la donne. Je suis ressorti dehors ,cette fois-ci en faisant exprès de bien marquer mes pas qui résonnaient sur le sol de pierre , toujours pour vérifier que nous étions bien seuls. Nous l étions , et en revenant vers toi j ai pris tes habits de la chaise sur laquelle ils se trouvaient afin de les poser sur une des chaises du 1er rang, sait-on jamais.... Ensuite je me suis approché tout près de ton visage et je t ai dit qu avant de te faire l amour sur cet autel comme initialement prévu j allais d abord te punir pour m avoir désobéïs, j enlevais donc la ceinture de mon pantalon que j enroulais autour de ma main droite et de l autre commençais à t administrer des claques de plus en plus appuyées sur tes fesses afin de les préparer à plus fort encore. Au bout de quelques minute de ce traitement tes fesses ont commencé à prendre de la couleur, jolie couleur rouge pâle, trop pâle à mon gout. Tu ne disais toujours rien et j ai vite compris pourquoi en mettant ma main sur ton sexe, il était déjà bien trempé, humm que j aime quand tu mouilles ainsi, je te l ai carressé allant jusqu à y introduire un, puis deux doigts, te fouillant de plus en plus profondément , puis les retirait brusquement et revenait te branler cette fois-ci sans retenue, ta mouille commençait à couler abondament , tu gémissais de plus en plus fort allant même jusqu à me demander l autorisation de jouir tant cette situation t excitait... Et là, alors que tu étais presque sur le point de jouir, d un coup j ai retiré ma main ce qui t as fais réagir par un Noon, oh non Maître pas ça , qui eut comme réponse un <tais toi, ta vraie punition va commencer, prépare toi bien mentalement car je ne veux aucun cri de ta part> De nouveau je suis sorti dehors puis re-rentré car nous étions bien seuls. Arrivé à ta hauteur , toujours sans bruit et sans même te prévenir je t ai assainé le 1 er coup de ceinture, suivi d un deuxième et ainsi de suite jusqu à dix , au 1er tu n a pu t empêcher de lâcher un cri, plus de surprise car mon coup n était pas appuyé, les suivants oui de plus en plus même mais aucun autre cri n est venu troubler la quiétude de ces lieux et je t en ai remercié . Puis je suis sorti une toute dernière fois et complêtement rassuré je suis revenu vers toi et suis monté moi aussi sur l autel, te demandant de te retourner te mettant ainsi sur le dos et tout en écartant délicatement les cuisses je t ai prodigué un cunni dont j ai le secret qui t as très vite apporté ta jouissance tant attendue, puis t aidant à te mettre en levrette je t ai pénétré et t ai pilonné sans ménagement jusqu à ta jouissance puis la mienne.... A peine quelques minutes pour récuperer et nous sommes descendus puis tu t es rabillée et après un long, très long baiser nous sommes sortis de cette jolie petite église où nous venions de commettre notre plus gros pêché.... L endroit était toujours aussi désert qu à notre arrivée...... Vraiment étrange ou était-ce un signe, voir une invitation masquée du Maître des lieux ??
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Par : le 08/09/13
J étais dans mon bureau classant des papiers lorsque tu es rentrée. Après t être débarrasée de tes affaires tu es venue me voir, et tu es restée devant la porte du bureau pourtant grande ouverte. Tu me regardais fixement , sans bouger, je levais donc la tête vers toi et te dis un bonjour petite, ton voyage s est bien passé, tu n as pas eu de soucis sur la route, tu as bien fais "tes devoirs" ? Elle venait de rentrer d un séminaire de trois jours. Toujours immobile elle ne répondait rien, aussi devant son mutisme je l invitais a entrer et a venir s assoir près de moi, mais rien, pas un geste, pas une parole. Du coup je me suis levé de mon fauteuil et suis allé vers elle et droit dans les yeux je lui ai demandé ce qu il se passait ? Elle me fixait elle aussi du regard, nous sommes restés ainsi face à face plusieurs minutes avant qu elle se décide enfin à prendre la parole. D une voix légèrement tremblante elle me dit: maître je vous ai désobéî , je n ai pas fait ce que vous m aviez demandé. Je la regardais sans mot dire, ses yeux fixant les miens comme par défi, comme par provocation ! Je ne disais toujours rien , nouveau silence, cette fois-ci il se faisait pesant, et dura bien trop longtemps à mon goút. Elle prit de nouveau la parole et me redit les mêmes propos, mot pour moi que précédement s attendant , je le voyais bien à une réaction de ma part . Mais non je ne disais rien , mon regard se faisant plus sévère elle fini par baisser les yeux et d une petite voix presque enfantine me dit : Maître de vous avoir désobéî je mérite une punition je le sais. Nouveau silence de ma part tout en continuant de la fixer du regard et là je commençais à la voir perdre l assurance qu elle avait eu en arrivant. De nouveau elle me redit mériter une punition sévère et qu à on avis une féssée digne de ce nom suivi de nombreux coups de fouet devrait lui être infligé sans plus tarder. Mais toujours aucune réaction de ma part , je venais de repenser aux deux jours précedant son départ ou elle me faisait remarquer qu il y avait déjà un certain temps que je ne l avais pas féssée et fouéttée et que cela lui manquait, voilà la vraie raison de sa déobéissance.... Mon silence si prolongé la troublait de plus en plus et elle en perdait non seulement son assurance mais aussi ses moyens je le voyais bien. Elle me dit : Allez y Maître punissez moi et surtout ne soyez pas tendre avec moi je mérite amplement que vous passiez votre colère ainsi contre moi , je le mérite tant !! Je pris une grande inspiration et je suis retourné m assoir dans mon fauteuil lui tournant ainsi le dos tout en continuant à faire comme si j étais seul dans la pièce. Du coup elle avança dans la pièce pour se poster debout juste à mes cotés et d une voix cette fois-ci suppliante me dit: Maître je sais que vous êtes très en colère contre moi, je le sais , désolée de vous avoir décue , punissez moi oh mon Maître et surtout qu aucune indulgenge ne votre part vienne troubler cette punition que je mérite tant, elle continuait de nouveau ses suppliques cette fois-ci à genoux les mains tendues en avant comme faisant une prière tout en me demandant d être totalement intraitable avec elle de que je fasse de cette féssée celle dont elle se souviendra toute sa vie !! Je me suis touné vers elle ce qui a eu le mérite de faire stopper le débit intenable de ses paroles. Elle sanglottait et tremblait en même temps. Toujours sans un mot je la dévisageait lentement faisant durer le , mon plaisir plus que de raison . De ses yeux larmoyant elle m implorait , me demandant pardon et qu il fallait vraiment que je la punisse, que c était mon devoir de Maître et qu il n y avait pas un seul Maître au monde qui ne punirait pas sévèrement de tels agissements. Je lui fît un signe du regard et aussitôt elle se mît en position de proternation devant moi tout en me disant qu elle savait qu elle la méritait sa pinition suivi d un merci, merci Maître... D un tiroir du bureau je sortais des menottes et des cordes ,puis lui demandais de se lever et de me suivre jusqu au jardin sans mot dire. Une fois dans le jardin je m arrêtais devant le beau marronnier qui l ornait, là je lui ordonnais de se mettre complêtement nue et apres je lui dit : Approche toi lui dis-je et colle toi face en avant contre le tronc d arbre , je vais t attacher à celui-ci Je lui ordonnais d une voix sévère, dure ,de ne surtout pas bouger , elle me répondît par un oui spontanné qui eut comme réponse : tais toi je ne veux pas t entendre . Je l attachait donc au marronnier puis d une voux douce mais trés ferme lui dit : La seule punition que tu aimerais tant avoir n est pas celle que tu auras, tu vas rester ainsi aussi longtemps que je le déciderai et cela peut prendre des heures, voir plus d une journée si tel est mon désir et plus tard, oui tu recevras une féssée digne de ce nom et je te fais la promesse que ce jour là tu ne pourras plus t assoir pendant plusieurs jours. Sans même me retourner je suis rentré dans la maison directement dans le salon d où l on voyait si bien le marronnier qui n était au plus qu à 10 mètres de la baie vitrée que j ai ouverte en grand et après m être servi une petite Chartreuse et avoir mis de la musique je me suis installé dans un fauteuil que j ai tourné face à la baie vitrée pour t avoir en ligne de mire collée à ce si beau marronnier .......
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Par : le 29/08/13
Tu te trouvais là au beau milieu de ce chemin, Qui tu t en doutais n étais pas sans fin Allongée, nue , ventre à terre De mes chaussures tu en sentais le fer A tes cotés debout je me tenais La laisse qui nous unissaient pendait De ramper à même le sol je t ordonnais Quelques dizaines de mètres suffisaient Dans la douleur et dans la boue Ta volonté ne se joue Au détour d un virage apparut Mon choix voulu De sa verte couleur On n en voyait pas la douceur Un coin remplit de hautes orties Qui allaient , je le savais te redonner vie Ton regard effrayé touné vers moi N en fût pas récompensé comme il se doit De tirer sur la laisse en cette direction Plaisir je me fît d attirer ton attention Et d une voix autoritaire et sans appel T ordonnais d y aller sans querelle Afin de te faciliter la tâche Je t enlevais ton attache Et dans un élan d extrème bonté Tu te plias à ma volonté Ne voulant pas l exercice trop facile Te bander les yeux je donnais dans le mille A 4 pattres te fît mettre Afin que les morsures enfin pénètrent Chaque centimètre de ton corps rétif Pour que tu le sentes plus actif De douleur tu poussas un cri Lorsque le premier mètre tu fîs De te protéger ,les mains en avant tu essayas De te passer les menottes me motiva Tes larmes ,à flots coulaient Mais fermé à tes suppliques, je te retenais Ton corps se couvrait de piqures Qui ressemblaient presque à des morsures Plus que cinq mètres te dis-je Juste encore quelques tiges Au sortir de ce douloureux parcours Tu me dis dis que tu m aimeras toujours Après tant de souffrances Tu voulais ta récompense De te prendre dans mes bras ne me fîs prier Telle était ta volonté Fier de toi Je te le dois
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Par : le 31/07/13
Par une belle journée ensoleillée je vous invitais à aller faire un tour en voiture, a peine installée je vous bandais les yeux et vous demandais de ne poser aucune question. Bien entendu , au fil des minutes votre impatience se fît remarquer par quelques questions aussi innocentes qu inutiles . D une voix douce je vous répondis par un chuttt Patience Je vous sentais légèrement nerveuse et cela m amusa beaucoup. A l approche du lieu inconnu de vous je vous pris la main en vous sussurant que nous arrivions et vous demandais de bien vouloir rester dans la voiture et de ne surtout pas enlever votre bandeau. Une fois garé je descendis et fît le tour de la voiture afin de vous ouvrir la porte et vous aider à descendre , puis doucement, tout doucement , alternant petits baisers et caresses soft sur votre doux visage j entrepris de vous déshabiller vous laissant au final aussi nue qu un vers ne vous laissant même pas vos chaussures. Je vous fît tourner sur vous-même afin d apprécier une fois encore vos contours, puis je vous ordonnais de vous mettre à genoux devant moi. Une fois à genoux, je vous mis votre collier puis vous pris par la taille afin de vous relever et vous tournais et vous demandais de mettre vos mains derriere le dos pour vous passer les menottes. Enfin pour finir j attachais la laisse à votre collier. Vous étiez là, immobile me demandant qu elle allait être la suite et surtout ou nous étions, ce que à quoi je répondis par un on y va sans plus d explications. A peine passés quelques mètre que déja vous rouspétiez et rechignais a avancer davantage sous pretexte que de marcher pieds nus vous faisait mal, je vous priais d arrêter de gémir que nous allions arriver sur de l herbe et vous pinçait fortement les tétons afin de dissiper vos douleurs de pieds en changeant votre centre de douleur. La suite au prochain épisode
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Par : le 25/07/13
e l'ai rèvé si souvent, si longtemps...j'en ai eu mal, physiquement, moralement...j'ai prié (si, on ne sait jamais, ya quelqu'un là haut, au bout du fil...). Mais aujourd'hui, je suis le plus heureux des hommes quand je gare ma voiture au parking de la gare.Car Elle arrive, là, dans le train de 8h19... Alors , pour Lui plaire , j'ai fait le grand jeu..j'ai mis un jean un peu long, chemise, veste de costume...La longueur du jean me sert à cacher mes talons aiguille...). J'ai complété par des bas dim up en lycra, bien gainants, un peu foncés, avec une couture derrière... Et là, je suis sur le quai, tordu par l'angoisse...je guette chaque voyageur..... Je La voit, enfin, un étau se desserre autour de ma poitrine...Je Lui embrasse respectueusement la main et prends rapidement son sac, pour qu'Elle ne se fatigue pas.. Je vole, plane, suis dans un monde parallèle...Elle sourit, Elle sait que je suis le plus heureux du monde...Pas besoin de discours, de paroles, juste nos regards on suffit. Le sac est dans le coffre, je lui ai ouvert la porte de la voiture..je me suis allongé par terre , Elle est montée dans la voiture en se servant de moi comme marchepied .... Rien à faire du regard des autres..qui s'en soucie??? Au volant je l'épie du coin de l'oeil.J'aime sa jupe de cuir, ses bottes et son imperméable de vinyl noir sanglé à la taille.Elle me raconte son voyage...Je plane..Elle est là, à coté de moi... Arrivés à destination, je me précipite.Avant toute chose, une coupe de champagne pour lui permettre de se détendre... Ses yeux rieurs m'observent..je sais qu'elle sait... Dans le fauteuil, son index me fait un signe, celui de me mettre à genoux devant Elle...J'ai tellement attendu ce moment.Imperieusement, elle me fait signe de tomber mon jean , ce que je fait.Je suis devant Elle , maintenant, en chaussures à talons aiguille, bas autofixants, et avec ma petite culotte de vinyl noir, celle qui a des sangles sur les cuisses...Un regard m'oblige à baisser les yeux.Sa botte se tends vers moi, je n'entends qu'un mot : " Leche".... Ma langue s'enroule autour de sa botte, de son talon, pendant que ses doigts se perdent dans mes cheveux... Doucement elle se lève, me domine du haut de ses talons.Je la voit prendre son sac, en sortir un ballgag rouge et des cordes. D'un petit geste du doigt, Elle me fait signe de me relever...Pas besoin de mots, pas besoin de sons...Elle est là, je suis noyé dans ses yeux.Délicatement, elle m'enfile l'imperméable translucide que j'ai négligemment laissé trainer là...Le boutonne , lentement, tendrement, amoureusement...Ses mains caressent mes épaules, ma poitrine.j'ai fermé les yeux...Je vis chaque minute, chaque seconde comme si c'était la dernière de ma vie.Ses mains remontent ma capuche , en resserre le cordon, bien tendu.Je suis un peu aveuglé par le plastique qui tombe sous mes yeux...Que m'importe de voir?...tout mon corps est sensation. Elle se colle derrière moi, je sens sa tete sur mon épaule, je sens les petits bisous tendre dont Elle m'enveloppe.Une main caresse mes fesses, collant le plastique de l'imper. Mes mains me sont ramenées dans le dos, une corde les entoure.Sans précipitation, Elle me ligote les mains, serrées, impitoyablement.Je la sens qui passe devant moi, sa main effleure ma joue..Elle pose sa tète contre ma poitrine, me serre contre Elle. Le ballgag arrive, rouge , large.Ses doigts le forcent entre mes lèvres.Je sens la sangle se refermer.encore , encore ,encore.Inconsciemment je voudrais que cela ne soit pas si serré, enfin si, mais pas tant...Mais c'est Sa volonté qui s'applique, moi je ne peut que subir. Se mettant à genoux devant moi, Elle saisit une corde, entrave une de mes cheville, passant la corde sous le talon de ma chaussure.Se relevant, Elle m'oblige à relever la cheville ligotée et attache celle ci fermement à ma cuisse.Me voici en équilibre sur un seul talon...Moi qui ai déja du mal à me déplacer sur deux... Tout en ferme tendresse, ses mains courent sur moi, sur mon ciré qui me colle à la peau, moite, torride....Elle passe alors une corde sur la poutre au dessus de nous et y relie mes poignets, qui remontent, remontent.Je suis obligé de me pencher en avant,pour ce strappado en équilibre.. Elle rit....S'amuse de me voir dans mon infortune si totalement consentie...Elle explore toutes les parties de mon corps, caresse , pince, lèche, embrasse, cajole... Je la sent fouiller dans son sac, elle en sort quelque chose, reviens vers moi...Sa main se pose sur mes fesses, relevant délicatement les pans de l'imperméable...Douces caressses....Une chose dure, en cuir, se promène sur mon dos............ Ses talons, si magnifiques, claquent sur le plancher....Bruit divin, incarnation de la puissance de la Femme.Elle passe devant moi, s'arrète.je relève un peu la tète.Elle est là, devant moi, Impératrice de plaisir et de fermeté...Elle se tiens jambes légèrement écartées, toujours sanglée dans son ciré noir qui crisse...Un son qui fait des ravages dans mon crane.Dans ses main, une petite cravache noire, courte, avec une petite spatule en cuir.La passant sous mon menton, Elle me force à relever la tète un peu plus haut, dépose un coquin baiser sur le bout de mon nez...Elle est espiègle quand Elle m'annonce que les séries seront de 10 coups....pas pour me punir,non, mais parcequ'Elle aime ça et que je l'adore aussi. Toujours en équilibre instable sur mes talons, je sens ses mains divine caresser ma peau, mon dos, mes épaules, ma nuque...Un frisson s'empare de moi.Sa chose est au paradis..Je suis surpris quand tombe le premier coup, sec, rond, net, impitoyable.La douleur est tres supportable.Les autres suivent , rapprochés, espacés, entrecoupés de caresses si douces sur les fesses qui me brulent.Tendrement entrecoupés de bisous dans le cou, de tendres caresses sur le dos, les cuisses. Je me tortille dans mes liens, dans ma précaire verticalité...Les coups se font plus secs, les caresses plus appuyées..L'arrière de mes cuisses me chauffe aussi.Je suis dans un monde inconnu, les yeux fermés..Est ce bien ma voix qui murmure " encore" à travers le baillon?? Sa main s'est insinuées entre mes cuisses, sous ma culotte de vinyl toujours soigneusement bouclée...Ses doigts ont joué avec mon sexe, pendant que la cravache entretenait la rougeur de mon posterieur...Elle m'a "trait", là debout dans mes liens et mon ciré...Le hurlement que j'ai poussé a dépassé l'efficacité du baillon.Un hurlement primal, animal.Une perte de conscience totale.Nos anciens disaient de l'orgasme " une petite mort".. Je ne suis plus rien, qu'une pauvre chose qu'Elle délie tendrement.Je retrouve mes deux pieds, un semblant d'équilibre.Je suis dans Ses bras.Sur le canapé, Elle me berce, ciré contre ciré, sa langue et ses baisers sont comme une maman lionne qui cajole ses petits...Je reviens petit à petit à un degré acceptable de conscience...Elle me sourit... Il va falloir te préparer pour le restaurant me dit elle, avec son sourire qui me désarme tant. Son visage d'ange est illuminé.Elle rayonne de joie et j'ose penser que j'y suis un peu pour quelque chose, tant moi aussi je vole... Elle sait pourtant que je ne suis pas à l'aise en public...Mais la caresse qu'elle me pose sur la joue efface mes craintes...Misericorde, quelle tendresse...c'est comme si le coeur s'ouvrait pour laisser passer des flots de bonheur.. Elle m'ote mon imper, me met nu et me conduit à la salle de bain..Après la douche, Elle me bouchonne avec la serviette, frottant fort, faisant rougir la peau...Elle rit...son rire est cristallin comme l'air de Fevrier...Pur.. Elle me force à me pencher contre le rebord de la baignoire.Ses mains caressent mes fesses, aériennes, les écarte doucement.Le plug entre, millimetre par millimetre, la sensation est....bizzarre, de se sentir rempli, distendu.Je suis déstabilisé un moment mais son regard, envouté, moqueur, rieur, me transporte. Elle me redresse, me fait tourner, me serre contre elle.Son baiser est long , profond , torride. Viens maintenant le temps de poser la cage, en inox , rigide, fermée par le petit cadenas dont Elle récupère la clé.Sensation divine de contrainte..Mon émotion est maintenant complètement bloquée..Prenant une cordelette, Elle me fait rapidement une ceinture avec deux brins qui passent entre mes fesses.Le pug est dans l'impossibilité de ressortir. Bas, porte jarretelle, culotte noire en dentelle..Elle se moque, me traite de demoiselle...Mais ajuste fermement les bas...jean, chemise, veste;Mes chaussures a talon de 7.5 cm, heureusement cachés par la longueur du pantalon... Mon petit collier de chien???? Non, cela va se voir...Mais Elle me le boucle autoritairement autour du cou.Un foulard sorti de son sac va cacher tout ça...Me voilà pret, à son gout, vraiment pret???? Son index s'agite, son sourire irradie, je me rapproche.Elle me fixe une petite laisse en chaine à mon collier..Nous pouvons partir..Fermement maintenu, je reste derrière Elle, respectueusement. Le trajet dans la rue, jusqu'a la voiture est un calvaire de sensations érotiques... Mes pas sont calqués sur les Siens, légèrement à coté d' Elle. Je sent imperceptiblement aux crispations de sa main sur la laisse, qu 'Elle me regarde du coin de l'oeil, moqueuse... Je sais que son sourire, qui me désarme tant, transfigure son visage. La voiture est là...Elle lache la laisse, déverouille le coffre, l'ouvre.....Elle ne va pas..... Oh si, son index me fait signe d'avancer, et indique sans ambiguités ou je dois me placer. Je ne peux m'empecher de jeter un coup d'oeil alentour pour voir si... Sa tete bouge négativement ,ironique, sa main reprend la laisse et tire fermement. Je m'allonge sur le coté , plié en chien de fusil. Elle attrape mes poignets, les tire dans mon dos... Une paire de menotte viens se refermer dessus, le coffre claque, nous partons. Les sensations se bousculent en moi, je perd pied. Trop, c'est trop.Pourquoi moi? Comment tant de bonheur peut il arriver, comme ça, d'un coup, venu d' une déesse si tendre,mais si ferme, si... Elle a mis de la musique, je l'entend en sourdine, perdu dans mes rèves. Je suis à l'etroit, je me sens rempli par le plug, mes mains sont impuissantes, ma cage me serre...Je suis bien, en paix avec moi mème. Ici j'ai trouve ma place.. Le moteur se coupe, nous devons etre arrivés. Le stress monte d'un coup. Comment vais je sortir du coffre devant les gens? La lumière d'un réverbère m'aveugle. Elle me retire les menottes et m'aide à me relever. Le regard angoissé que je promène la met en joie. Ouf, nous sommes à l'écart sur le parking. La laisse m'est remise. Elle ne va pas entre au restaurant comme ça... Non, pitié Maitresse...Je vous en supplie... Je l'entend rire, des notes d'eau qui tombent d'une cascade cristalline, onde pure de plaisir... En marchant vers l'entrée, me vient un éblouissement, une bouffée, une révélation. Pourquoi stresser? Je me sens fier, tout à coup, fier de cette situation, fier d'etre au bout de la laisse de ma sublime Reine. Tout est à sa place. Le garçon à ouvert des yeux grands comme des soucoupes, et je dois dire que cela m'a réjouit. Une fois à notre table, au milieu des visages suspicieux, le long échange de regard que nous échangeons contient mille années de tendresse , d'amour, de douce compréhension. Jamais je ne pourrais oublier cet instant, cette paix. Le garçon arrive pour prendre la commande et romp le charme. Au moment ou je vais lui annoncer nos désirs, une intense vibration m'envahi, me faisant bégayer...Elle affiche un visage si innocent, si pur. Nos regards se croisent . Le plug vibrant a une commande à distance, Elle est machiavélique. Péniblement j'arrive à faire le tour de la commande . Le repas se passe, enchanteur... Entre les coups de vibration , le talon de Sa botte qui vient frotter l'intérieur de ma cuisse, j'ai beaucoup de mal à avaler. Surtout que ma cage empèche toute velleité de prise d'envol de mon " oiseau". Le " tout s'est bien passé ?" ironique du garçon en partant est délectable, surtout qu'Elle n'a pas laché la laisse le temps que je fasse le chèque. Car , innocemment, Elle a décidé que ce serait mieux que la CB. Le coffre encore, menottes, ma place.... De retour, sans les enlever , Elle m'emmène directement dans la chambre, accroche la laisse à la poignée du placard.Son doigt mutin se place en travers de mes lèvres, me faisant signe de l'attendre. Ses talons résonnent . Ma bouche se fait sèche quand elle entre, vétue de son ciré noir. Son visage à changé, plus grave, plus concentré, mème si ses yeux pétillent... Les menottes tombent, je suis mis à nu, sauf mes bas et mes talons.Elle retire mon plug, mais pas la cage. Pourtant, j'aimerais bien, Maitresse, s'il vous plait... Elle me pousse sur le lit, je dois m'allonger au milieu, sur le dos, les cordes entrent dans la danse, précises, efficaces, redoutables . Ecartelé, nu, en bas , porte jarretelles, talons et cage de chasteté, je ne suis plus qu'une pauvre chose.Pourtant , Elle s'avance sur le lit, un instant j'entrevois qu'elle est nue sous son ciré.Ses lèvres se collent contre mon oreille, son ciré froid se colle contre ma peau.Sa main gantée se pose sur mon sein. J'entends sa voix qui sussure, frémissante de désir, qu'il va bien falloir le traire ce petit oiseau encagé... Mais là, je vais garder la suite dans mon petit jardin aux secrets. Car il y a trop de choses précieuses que je ne puis vous narrer...
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Par : le 08/07/13
Oui, je sais... j'aime les cordes et les cirés... C'est une histoire vécue que j'avais postée sur un autre forum. Moins " sensible" que les autres textes, ( on ne peut pas etre toujours au niveau "international"...LOL), j'ètais en relation avec une Dame que j'avais branché sur les imperméables. Miraculeusement, elle avait aimé ça, et nous passions des soirées au téléphone, tout les deux habillés de cirés. Elle n'avait pas de webcam mais ses soupirs dans le combiné étaient prometteurs. Surtout qu'elle m'avait avoué posséder une paire de menottes...qu'elle utilisait en plus pour nos soirées délire. La dame étant de Besançon, je l'ai rejoint plusieurs fois. Et nos jeux de coquins furent rapidement détournés sur des journées de ligotages poussés, tout les deux vêtus de nos chers imperméables.. Un samedi pluvieux, elle a décidé de me faire découvrir la campagne des alentours...Nous nous sommes donc équipés pour la promenade , à vrai dire, elle s'est vêtue de bottes en caoutchouc noires, d'un pantalon en cuir, et d'un long ciré jaune, brillant, magnifique, fermé par de petits brandebourgs en cuir ...Moi je la regardais sagement s'habiller, obéissant à son ordre d'attendre qu'elle ait fini. Une fois qu'elle fut convenablement vêtue, elle s'occupa de moi. A vrai dire, elle pris une cordelette qu'elle entoura à ma taille,passant deux brins entre mes cuisses, pour les rattacher derrière le dos. Puis avec une ficelle fine, fit un " paquet " de mon pauvre appendice, qui devint de ce fait un joli rôti.. Elle me fit enfiler ma combinaison en plastique, me fit mettre mes bottes en caoutchouc. Puis me ligota sévèrement les mains croisées dans le dos. Elle passa ensuite une forte sangle par dessus mes bras qu'elle serra dans le dos, me plaquant les bras au corps. Je la vis fouiller dans son armoire et revenir avec une cape en ciré bleu nuit, assez longue, qu'elle me posa sur les épaules. Une fois boutonnée, elle me ramena la capuche sur la tête.. Nous descendîmes alors dans son garage ou elle me fit monter dans sa voiture, sur le siège arrière. Et avec une longue corde, attacha mes bottes.. Jetant un sac à coté d'elle , nous partîmes en ballade, moi complètement impuissant... Arrivés dans un chemin perdu au milieu de nulle part, elle arrêta la voiture, sortit et vint m'ouvrir la porte, me fit mettre debout. Je sentit sa main se poser entre mes jambes et caresser mon "paquet" qui répondit allègrement...Détachant mes pieds, elle reposa la corde au niveau de mes genoux, en faisant deux sortes de boucles. Le lien me laissait quelques centimètres d'espace me permettant de faire de tout petits pas , tout en étant invisibles sous la cape. Prenant son sac, elle me passât une cordelette autour du cou, en une sorte de collier, et m'emmena promener. Nous n 'allâmes pas loin, une clairière semblait nous attendre. Choisissant avec soin un fourré un peu épais, elle me plaqua contre un arbre. La pluie commençait à tomber dru, je voyais,les gouttes ruisseler sur sa capuche. Et le crépitement sur la mienne, mon impuissance qui allait encore s' aggraver me mettait dans un état chargé d'érotisme. Dénouant mes genoux, elle les rattacha très serrés. Puis prenant dans son sac une longue corde, elle commença à me ficeler contre le tronc, en commençant par les épaules. Une fois le haut du corps bien fixé, elle pris une autre corde et me ligota les chevilles. Voir cette magnifique Dame baissée devant moi, la pluie tombant à seau sur son ciré, pendant que la corde serrait mes chevilles me fait frémir encore aujourd'hui. Une autre corde fut serrée sur mes genoux et mes cuisses, les plaquant au tronc. Puis prenant un gros bâillon boule noir, avec une courroie souple, elle me l'enfonça fortement dans la bouche, avant de boucler la lanière au dernier cran. Violemment. Totalement impuissant. Un rouleau se scotch noir à la main, elle entrepris de me coller littéralement la tête contre le tronc, passant par dessus mon bâillon, recouvrant celui ci de plusieurs tours. Le plastique de la capuche se plaquait contre mes joues, la pluie dégoulinait sur mes yeux.. L'odeur de terre mouillée nous enivrait . J'essayais bien de remuer un peu, rigoureusement impossible. Je vis alors ma belle dominatrice se reculer un peu. Somptueusement belle dans son ciré tout luisant de pluie. Je vis ses mains dénouer les fermetures de l'imperméable, l'écarter. Ses doigts ouvrir le haut de son pantalon de cuir, et sa main s'insinuer dessous. Jambes légèrement écartées, elle commença à faire aller et venir ses doigts, jusqu 'a un spasme violent qui la secoua , là, devant moi, sous la pluie. Tenaillé par un désir tellement violent, je remuais un peu, je la vis se rapprocher de moi, venir se coller tout contre ma cape. Sa main caressant mon sexe..... La pluie tombait toujours.......................
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Par : le 24/05/13
Par un soir d'été, rien au programme nous buvons notre café, il fait chaud un regard, un sourire, la dernière à l'eau à un gage piscine a 27°, l'eau tiède sur notre peau tu as perdu, trop de temps avec tout tes froufrous ma tunique en deux temps j'ai enlevé nue enfin j'ai plongé le gage pour une fois que je le gagne pour plus tard te dis-je en souriant, je le veux drôle histoire que l'on rigole encore plus fort...... enfin détendu on sort mais la fraicheur nous surprend vite grelottante nous filons à la salle de bains tu frissonne toi qui vient du soleil je te frotte le dos, essuie chaque goutte un désir me surprend, celui de te toucher comme on touche une statue légèrement, lentement, ma main quitte la serviette, caresse ton dos tu ne bouge plus, ton sourire bloqué, les yeux fermés ma main descend lentement sur tes reins, je me colle à toi «tu n'as qu'une chose à faire obéir, » et te voilà prette à te retourner, mais pas assez rapidement je te bloque saisi tes poignets de mes mains, te plaque contre le mur, mon corps pousse le tien ma voix te murmure à l'oreille «tu savais que l'on y arriverait un jour» «maintenant tu vas filer sur le lit allonge toi sur le dos et attend» tu veux lutter, tu te retourne, me défie du regard mais là je comprend aussitôt ma main se dirige vers ton sexe, mes doigts te touche tu mouille abondamment je retire mes doigts, les lèches lentement «file maintenant» mon cœur tape dans mon corps, une vague de plaisir m’envahit l'envie de te soumettre me fais gémir j'arrive dans la chambre, tu es là ton corps couleur sable, encore humide, tes seins que je connais tu ferme les yeux....je sais c'est plus facile tu entends le son du coffre que j'ouvre, tu sais ce qu'il y a dedans je te sens fébrile, ton souffle est cours, tu as peur, cette peur qui fait du bien qui te fait vivre je sors quelques babioles, les disposent sur la commode en ligne mes mains commence par te toucher, les pieds je suis à genoux fasse à toi, lentement j'écarte tes cuisses tu résiste un peu, pour la forme mes mains remontent, caresse ta chatte si lisse, un doigt te pénètre lentement profondément, tu t'écarte, je continue un doigts, deux doigts, trois doigts tu résiste j'insiste, te maintiens avec mon autre main ma langue vient titiller ton clito, je te leche encore je sens tes muscle se relâcher sous mes doigts je te pénètre encore plus, tu gémis mais tu ne résiste plus je te laboure le vagin de ma main, il ne reste que le pouce à l'extérieur je me retire et écarte tes cuisses, je te contemple ouverte face à moi lentement je me saisis des menottes et t'attache les poignets sur la barre en tête de lit ma main caresse ta bouche, ma bouche la recouvre, ma langue te caresse les dents ton palais, je te mordille les lèvres «tu vas jouir , mais seulement quand je te le dirai» mes doigts pincent tes seins, j'y met les deux crochets, je tiens la laisse et je tire petits coups secs, tu te tortille «ne bouge plus» tu reste immobile là devant moi et je te contemple tes jambes se ressèrent petits à petits une claque retentis sur tes cuisses «écarte» une autre «encore plus» tes genoux pliés tu m'offre une vue de tes orifices luisant d’excitation je te caresse au passage, tire sur les pinces tu gémis de douleurs je te masse les seins, laissant tes bouts à la douleurs de l'acier encore un peu, mais je ne peux résister à l'envie de lécher tes auréoles si brunes si congestionnées, j'en profite ma langue, fait bouger les pinces ma main sur ton sexe, mon index qui presse ton clito, qui le tapote, le triture doucement, tu alterne gémissement de plaisir et petits cris je me remets face à toi a genoux sur le lit.......
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Par : le 16/05/13
Ou ma vision d'une relation D/s (Navré pour les fautes la syntaxe, grammaire, tout ça tout ça, j'écris comme je parle et bien entendu c'est incomplet, ce ne pourrait être autrement) Je ne vais pas faire dans la Théorie, parce qu'en Théorie tout le monde aimerai y vivre, on le sait tous, tout ce passe bien en Théorie. Je ne peut établir une théorie sur une relation basé sur le schéma 1+1=3 (merci Mr Werber) je ne le ferais donc pas car c'est ainsi que je vois cela. Changez l'une des 1 et vous aurez un autre 3. Je vais me contenter donc de vous narrer quelques tranches de vie, la vraie, pas la Théorie, à vous d'en tirer vos conclusions, vous ne croyez tout de même pas que je vais vous mâcher tout le travail et régurgiter ?! Moi plus Vous égale Trois, à chacun sa part. Royo de son prénom Luis, pour ceux qui connaissent, il a évolué au fil du temps en même temps que moi ou moi de lui. Un Maître dans son art. Je ne le site pas sans intérêt. Adolescent j'étais cul et chemise avec une jolie blonde, nous passions nos été à nous affronter épée de bois d'une main bouclier de l'autre, nous finissions invariablement au sol, elle sur le dos mes mains sur ses clavicules. Ce n'est jamais allé au delà, nous n'avions pas eu le courage de nous exprimer, de parler, se confier. Il y a quelques années, les nouvelles technologies aidant nous avons discouru de tout cela, évoqué le passé, il y a eu des silences ... et tu m'as avoué avoir éprouver ton premier réel émois alors que d'une plume prolongeant ma main parcourant ton dos nu des épaules à la bordure du jeans, que je n'ai jamais vu plus bas que la naissance de tes fesses, je dessinai mes pensés. Elle est mariée, ne le quittera pas. Je ne veux pas d'une femme engagée, et ne suis pas briseur de ménage. Quoi que, j'ai conduit une amie très proche à divorcer d'un mari qu'elle n'aimai pas et à qui elle se sentait redevable, liée. Elle est remariée, maman et heureuse. Elle m'a assis par terre en m'annonçant que tout cela était de mon fait. J'ai appris l'impact des mots. Si je jette un regard en arrière sur mes différentes relations, peu en importe la durée, que ces femmes soient plus jeunes ou plus âgée que moi, je ne fais pas une fixation sur la jeunesse elle a ses promesses d'avenir, l'age à l'expérience et je suis assez souple en ce qui concerne l'écart dans un sens ou dans l'autre. Je peux noter une constante, elles on toutes (sauf une) un penchant D/s plus ou moins affirmé, mais toujours croissant en affirmation, en besoins de ... Et moi même telle les œuvres de Royo j'ai fais mon chemin, allant de même toujours plus loin, j'ai commencé par forger des menottes sans verrou, de simples bracelets, ouverts mais liés entre eux, et je continuerai, celles que vous avez pu voir sur mon mur sont une commande. Ou le choix d'être entravé reste au libre arbitre de la personne qui les porte. De sa Volonté. Celles sur fond blanc sont visibles sur mon site pro (pour diverse raisons, j'ai du fermer) Elles m'ont fait vivre de savoureux instants lors de foires et marchés, présentes sur ma table, et noter les différence de perception des chalands, jusqu'au sourires de connivences ... J'ai trainé mes basques sur des sites de rencontre vanille, rien d’extraordinaire. Un jour une miss passe en silence sur mon profil. Je vais voir, des photos ordinaires mais parmi elles une qui passerai pour quelconque à la majeure frange de la population, m'interpella, j'interpellai donc la miss. Moins de deux heures plus tard nous parlions D/s ... quelques semaine plus tard, un samedi rentrant du taf, une voiture venue d'un département non limitrophe stationnait chez moi. Ses fringues négligemment laissé tomber au sol tel que le petit Poucet l'aurait fait me laissait présager un futur agréable moment de partage. Je la trouvais donc allongées nue sur mon canapé, couverte de ma cape de polaire noire par mes mains cousus et usée par les médiévales. Couchée sur le flanc droit à ma demande de sorte qu'elle ne me vois pas arriver, elle ne m'a pas entendu non plus, surprise elle déposa le Prohibited de Royo qu'elle avait pioché dans la bibliothèque, j'ai levé son menton d'une main, baisé ses lèvres, défait ma boucle de ceinture. Je garde la suite pour moi. Nous n'avons à ce moment là pas échangé un mot. Nous avons cessez de nous voir quand je lui ai parlé de relation continue, elle souhaitait "une bulle", des séance quoi ... nous en avions parlé, j'ai fauté, je l'ai perdu. En fait non, nous ne cherchions pas la même chose, mais j'ai malgré tout voulu tenter les coup. J'ai compris que j'ai besoins d'une relation continue. Puis en vint une autre, rencontré ici, au passage cela fera dans moins d'un mois un an que je traine de manière irrégulière parmi vous, discrètement, à pas de loup, un peu plus assidument dernièrement, un peu plus mordant aussi. Une rencontre en un an, on me dit il y à peu ce propos "cela reflète il une médiocrité du site" je répondis que non, je suis simplement, pas pressé et pas grand consommateur, plutôt, fin gourmet. Belle, cultivée, intelligente, hautes responsabilité, une vrai D cette s là, et c'est la que le bas à blessé. J'ai pris une première claque quand elle c'est faite silencieuse, qu'à cela ne tienne, pour la première fois j'offrais une seconde chance, elle y répondit et je pris ma deuxièmes baffe quand elle se fit de nouveau muette. J'ai compris que je ne suis pas fait pour la soumination. Et il y a Toi. Et là, je vais vous confier ce Trois de nous Deux. Avec son accord bien entendu (merci de la respecter). Les noms sont remplacés, je ne vais pas vous faire l'outrecuidance de vous expliquer pourquoi. Elle lira certainement, commentera ou pas. Vous vous demanderai peut être ce que cet échange vient faire là, pourtant, cherchez bien, il contient sa part de vision. Parce ce que je partage très largement la sienne. Début de citation. Moi 4 mai (Il y a 10 jours) à Epona Bonsoir doux rêve! J'ai le sentiment que tu t'éloigne depuis quelques jours ... mon ascendant sagittaire optimiste met ça sur le compte de ta vie très occupée mais mon capricorne de base s'inquiète et oui le feu sous la glace ...et ce capricorne imagine que dans la rude concurrence de bdsm quelqu'un de plus proche lui a volé la place. Certes il n'y a rien mais il pourrait encore peu être ... alors je me raccroche à ces petites chose comme le soleil que tu m'as envoyé hier, l'ajout à tes cercle sur G+, des petits rien quoi, qui peuvent très bien n'être qu'une simple marque d'amitié pour ne pas perdre le contact ... bref je garde espoir et espère encore t'entendre et pourquoi pas que nous discutions de cette distance ... Te souhaite une belle soirée et un doux dimanche Bisou Epona 6 mai (Il y a 8 jours) à moi Bonjour Je te l'accorde j'ai été très lointaine ces derniers jours, j'avais besoin de faire le point d'une part, sur ce que je voulais vraiment d'une relation BDSM, et d'une relation en général, de ce que j'étais prête à y perdre aussi. D'autre part, j'ai également été très occupée, avec un gros coup d'accélérateur côté boulot, et pas mal de choses à faire pour mon voyage pro de cette semaine. Et bien que j'adore True Blood et sa BO, encore un point commun visiblement, je ne pense pas que notre relation ira plus loin qu'une amitié. Nous avons beaucoup de points communs, beaucoup de goûts communs, mais une distance bien trop grande. J'ai eu suffisamment de relations compliquées, longue distance ou autre, que l'on vit par épisode. Cela a son charme, on mène son quotidien comme on l'entend, on ne partage que les bons moments. Mais c'est lassant, en tous cas pour l'heure j'en ai fait le tour. J'ai envie d'autres choses, j'ai envie de partager plus qu'un week end ou une semaine de vacances. Et c'est encore plus vrai pour une relation BDSM. Nous en avions parlé, les jeux ce n'est pas mon truc. Vivre ma soumission quelques jours par ci par là non plus. Tu me diras qu'il est toujours possible de déménager. Ce à quoi j'ai deux objections. La première ce sont nos situations respectives : tu ne déménageras pas, et je le comprends, tu as tes attaches, ta famille, ton héritage, tes responsabilités électorales, ton fils. Je ne déménagerai pas. Je n'ai que peu de tout ce que tu as, mais je touche enfin à la réalisation d'un rêve qui m'a coûté tant de sacrifices, à tous les plans, que je ne le remettrai pas en jeu. J'ai tout perdu une fois déjà, ou presque, j'arrive enfin à un embryon de stabilité, mon ciel s'éclaircit et je commence à respirer. Et ça cela n'a pas de prix. La seconde objection porte sur le fait même de déménager pour une relation. Bien évidemment cela ne se fait pas du jour au lendemain. Sauf que vu la distance qui nous sépare, si un jour le sujet vient sur le tapis, ce sera alors que l'on n'aura partagé en réel que très peu de choses. Donc un énorme pari sur le fait que cela puisse fonctionner de manière plus continue. De plus, cela met une énorme pression sur la relation, de la part de celui qui déménage comme pour l'autre, l'investissement aura été tel qu'on ne veut pas qu'il ait été inutile. on se comporte différemment, on étouffe un peu, et cela risque fort d'exploser. Avec un coût immense. Je ne me laisse peut être pas assez de possibilités, je suis peut être rigide sur mes principes, mais j'ai déjà trop perdu une fois, je connais trop bien le prix. Tu me demanderas sans doute pourquoi j'ai discuté avec toi. Parce que c'était agréable, parce que quand tu m'as ajoutée en contact je ne pensais pas que c'était dans un but de relation, mais plus sur le plaisir de la discussion, la curiosité, en gros le fait de pouvoir discuter virtuellement de manière bien plus large qu'IRL. Une bonne surprise que cette rencontre virtuelle, et j'aimerais beaucoup que nous restions en contact, voir à l'occasion se rencontrer si je viens en vacances dans ma famille. Mais point de BDSM entre nous, à part en discussion. Je t'apprécie beaucoup, but we'll never do bad things together. Bises Elle Moi 6 mai (Il y a 8 jours) à Epona Bonsoir ! Je pourrait me battre, objecter, argumenter, mais j'ai moi même tout investi et beaucoup perdu pour ma passion jusqu'à finir à l'hôpital, aussi je comprend parfaitement ton point vue, et ne vois rien contre ce que tu avance. Et si un jour en vacances ou non tu voulais t'essayer au damas c'est avec grand plaisir que je t'enseignerai ce que je sais mais tu trouvera certainement plus proche en cherchant un peu. Il n'y a aucune raisons que nous ne restions amis, tu es une perle rare que je compte bien garder parmi mes contacts ! Si en plus tu me fait l'honneur de la primeur de tes shooting "osés" ... mais ça je ne peut l'exiger ... tu ne me doit rien. Si tu as besoins d'un regard extérieur masculin sur tes histoires bdsm n'hésite pas, ne fuit pas non plus le site où l'on s'est découvert sous prétexte que j'y suis, je ne t'y ferai pas d'ombre même si je garderai toujours un œil discret sur ce qui s'y passe mais sans intervention au delà du conventionnel. Vole haut belle forgeronne et réalise tes rêves, c'est tout ce que je te souhaite ! Farewell ! Bisous Epona 7 mai (Il y a 7 jours) à moi Bonsoir Mon délai de réponse reste long comme tu le vois, et mon voyage à venir en (somewhere) ne va guère l'améliorer dans les prochains jours. Je te remercie pour ce mail. Je n'ai pas l'intention de déserter BDSM à cause de toi, mais j'ai assez peu de temps en ce moment pour cela. J'ai quelques discussions en cours, hors du site, on verra bien. Pour les shootings... peut être pas la primeur, si un jour je trouve mon Maître, il en aura la primeur, mais je ne vois a priori aucun problème pour les partager avec toi. Pour se voir quand je passerai par (là bas), ce sera avec plaisir. Vraiment, j'ai vraiment envie de te rencontrer dans la vraie vie, et de laisser la conversation dériver et perdre la notion du temps. Bises Elle Moi 7 mai (Il y a 7 jours) à Epona Bonsoir Y a aucuns soucis, ma porte te sera toujours ouverte, je te souhaite de le trouver Ce Maître et je doute qu'il aura la primeur, ça me parait normal ! Enfin si jamais tu ne trouvais pas :p ok j'arrête :D Courage pour le taf et bonne de shooting Bises Moi 12 mai (Il y a 2 jours) à Epona http://www.youtube.com/watch?v=nS5Qn4ntV3E Beaucoup de petites choses étranges ces derniers temps, surtout depuis que tu t'es faite distante. Et bah voila tu me manque ... Je me suis battu toute ma vie depuis très jeune, pour moi, pour ma famille, mes rêves. J'y ai laissé mes économies, failli y laisser ma peau. Dans ces petites choses de ces derniers jours il y a pas mal d'échanges écrits ou verbaux, avec des personnes parfois sans rapport avec le milieu qui nous a mis en contact, et non moi non plus je ne m'attendais pas à trouver quelqu'un comme toi en engageant la discussion. Je me suis donc, toujours battu, pourquoi cesserais je ? Le risque d'un échec ... ils font grandir. Et si le jeux en valait la chandelle ? Le lien d'intro je l'ai posté hier soir sur bdsm suite à une intéressante discussion avec une miss un peu dans le même soucis que moi, quel choix faire, parler ou ne pas parler ... je lui souhaitais donc bonne nuit, après l'avoir un peu motivé à prendre son destin en main et lui parler à "son rêve", mais c'est en pensant à toi que je l'ai fait, au mien de rêve. Je crois qu'elle a un peu bouclé cette boucle, c'est toujours instructif de ce voir écrire à quelqu'un d'autre ce que l'on pourrait s'appliquer à soi même. Beaucoup voient leur soumise en soubrette, moi je la vois comme ça http://www.youtube.com/watch?v=euiykCwVvM0 Prête à tout pour son maître y compris se battre et mourir. Oui je suis exigeant et mes rêves peut être trop grands, inaccessibles, certains. Je ne veux rien moins qu'une guerrière, une reine, une déesse à mes pieds (et non je ne fais une crise d'égo ) T'en sentirai tu l'âme ? Arriverai tu à me faire bouger? Ouvrir un nouveau cycle. Là son mes réflexions. Baiser de braise d'un forgeron illuminé ! Epona 12 mai (Il y a 2 jours) à moi P...... Tu te trompes, je ne suis pas une guerrière, je n'aspire qu'à déposer les armes. Je suis une survivante, je vis au domaine de Marche ou Crève. J'ai choisis de vivre, et de faire un pas après l'autre quel que soit le prix. J'ai appris à endurer, à enfermer les mauvais souvenirs, à supporter la déception, la douleur, la souffrance. Et je rêve de trouver auprès de Mon Maître l'apaisement, cet endroit où je pourrai me défaire de cette armure rationnelle qui m'empêche de vivre, de respirer. Celle qu'on ne cesse de me dire de retirer, mais c'est impossible, si je l'enlève je tombe. Et aujourd'hui nul ne me retiendra et je me briserai. Alors je serre les dents et j'avance. Je serre les dents et je demeure écorchée sous ma carapace, j'encaisse mais je saigne longtemps après, je fais mine de rien mais un rien peut me transpercer, sans même le vouloir. Tu connais Royo, alors tu vois ces femmes à la fois guerrière et saignant des épines qui les transpercent. C'est moi, une armure extérieure, une impression de force, mais qui recouvre simplement une plaie à vif, ravivée sans cesse. L'armure en elle même est similaire à ces cages de tortures hérissées de piques intérieures. Je rêve sans trop d'espoir de celui qui l'enlèvera, qui guérira la blessure en m'apaisant de sa main, qui n'aura pas peur de mes démons, qui saura me protéger de lui pour que je puisse enfin me livrer totalement. Mais je doute fort de le trouver un jour... En attendant, j'arrive enfin à un embryon de sécurité, un petit noyau, un semblant de vie normale. Et quelque soit mon aspiration à me soumettre, elle sera toujours moins forte que l'instinct de protéger cela, de garder ma base de repli. Je ne pourrai même me soumettre qu'en ayant cette certitude d'être indépendante par ailleurs. Je crains d'ailleurs que cela ne rende impossible ma soumission, car je ne quitterai pas ce que je bâtis et qui prend enfin forme. Et comme je te l'ai dit, je n'accepterai pas non plus que quelqu'un joue sa vie sur un coup de dés, car c'est cela croire en une relation à distance au point de déménager. Je n'accepterai pas cela d'une personne que j'apprécie car je refuse de la voir malheureuse. Je n'accepterai pas cela pour ma relation car elle sera à coup sûr ou presque condamnée par excès d'attente d'un côté, excès de culpabilité de l'autre. Je l'accepterai d'autant moins que je l'ai déjà vécu, il a renoncé à sa stabilité, et nous avons tous deux tout perdu. Il a renoncé à sa vie bien rangé et il a failli m'ôter la mienne de bien des manières, il l'a ôtée de bien des manières. Et j'ai accepté car il avait tant sacrifié. Et jamais je ne veux ressentir cela, accepter, continuer parce qu'il a tant sacrifié. Ma soumission, et même toute relation ne peut exister que dans le respect des individualités, sans les détruire. Et c'est effectivement plus dur quand on a une vie plus installée, quand on a déjà construit, et quand les personnes qui partagent nos goûts sont rares. Je ne te ferai pas bouger, pas ainsi. Dans nos échanges, nos discussions, avec joie. Mais pas ainsi. Avec toute mon amitié Elle Moi 12 mai (Il y a 2 jours) Epona Si j'aime royo c'est justement pour ce que tu en décris, il a choisi les femmes pour thème mais Ô combien ça me touche ... c'est dans l'esprit que je cherche quelqu'un de farouche, oui ton besoins d'indépendance pourrait rendre ta soumission difficile, vois tu je disais à Paradoxal que je ne pourrais prendre de soumise qui ne soit indépendante qui soit capable de l'être et d'entreprendre comme tu le fait. Tu l'est guerrière, et comme moi qui suis me continuellement battu tu aspire à la poser cette armure, la mienne est tellement fissurée que j'ai de plus en plus de mal à la garder sur le dos les réparations sont souvent plus longues, parce qu'à la longue elle c'est quand même renforcé et que lorsque ça passe au travers ... J'arriverai à vivre en te sachant loin, convenant que trouver le mix de ce que nous sommes relève de l'improbable .... il fallait que je le dise, quitte à ce tu me répète des arguments que j'ai déjà reçus pour justes. Demain est un autre jour, cette Lune va bien finir par finir de tourner. Nous nous verrons à tes vacances ici Prends soins de toi avant tout ! Et merci pour cette amitié ! P...... Moi 12 mai (Il y a 2 jours) à Epona Et plus terre à terre quand tu auras les photos du shooting penses à moi Bonne soirée! Fin de citation. Avant hier matin je recevais buvant mon café une photo de ce shooting, agréable surprise. Ce matin encore à mon levé, une bien belle image... Un peu plus tard je t'ai demandé par sms l'accord au partage de ce fil, tu me l'as donné, puis j'ai entendu ta voix, ... J'espère que mes paroles ton aidé à faire un point sur tes tourments, en tout cas à te lire en cette fin d'après midi il semble que tu ai fait le tri dans les chemins qui s'offraient à toi. Merci d'exister. Hier j'ai forgé, la faim au ventre, c'est ainsi, ça passe par là, parfois, et principalement voir en fait toujours quand il s'agit d'un article bdsm. La paire de menottes que vous avez pu voir est incomplète, j'ai pour principe de recycler, partir d'une pièce usée par son vécu et en extraire ce qu'elle voudra bien révéler, à contrario de l'école conventionnelle qui veux que l'on parte d'une matière prédéfinie pour en obtenir un résultat parfaitement Maitrisé. L'axe était un long loquet de porte, combien de mains l'on poussé, tiré, malmené? Qu'a t il surpris que cachait à la vue sa porte ? Du chocolat, de la vanille ? Ou de la farine qui sait ? La pièce manquante la voici. Je n'ai retravaillé que les oreilles, supprimant le surplus inutile, le délestant de se qui l'encombrait. Visiblement il voulait parler, cette partie devait faire office de poignée, cet acier est vieux, de type puddley, il se travaille avec délicatesse et toujours à la bonne température, j'ai manqué d'attention, il c'est fendu, j'ai bien tenté de recoller les morceau, mais en pure perte, l'animal était vexé, il est tombé. Parallèlement dans le temps voici ce que j'ai écrit à l'une d'entre vous S. "Et que ce soit xxxx ou moi nous ne cherchons pas l'autorité pour l'autorité. Ce n'est qu'un moyen pour une fin. Tirer le meilleur de ceux qui veulent s'en donner la peine, sur les chemins que l'on a choisi d'arpenter" Ceci dit on me reconnait volontiers une certaine autorité naturelle. Autant la mettre à profit et si ça aide autrui. Lisez, commentez, mais n'attendais pas de retour de moi. Au mieux vous aurez un like, au pire un dislike, probablement ... rien. Il y a dans tout ceci des choses qui pourraient avec un peu de doigté, me révéler à mes pairs, proches voisins, et ? Certains savent, nombreux sont ceux qui soupçonnent, je suis qui je suis, je l'assume, n'en fais pas étalage par convenance et parce qu'il faut parfois se plier au politiquement correct de notre société. Quand la caissière de ma papèterie favorite m'a envoyé un sms me disant que je donnais trop de fessé je lui répondu, "ou pas assez". On se fait la bise, mais n'avons jamais pris même un café, on se croise très souvent, je me fou qu'elle sache et qu'elle puisse raconter. Et elle en vois, du monde que je connais. Quand à toi, oui toi, toi qui m'a ouvert cette porte à mon ouverture, m'a réveillé, je ne puis que t'en remercier. c'est chose si rare chez moi que wouaaa ça fait du bien! Mais de grâce, à m'insulter, ai le courage de le faire en face sans perturber celles qui me sont chère à coup d'sms nocturne pour te servir de messager, épargnes leur ta vilénie respecte au moins leur vie et leur choix. Mais pour qui te prends tu ? Dieu le père ? toi oui toi, regarde moi dans les yeux et dis toi... que je te vois. A tous, je vous souhaite de réaliser vos rêves. A vaincre sans périls on triomphe sans gloire. Un loup.
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Par : le 26/03/13
New York. le 7 janvierNoel et le Jour de l’An sont passés. Ce sont des fêtes que je n’apprécie pas forcement. Pour Noël, mes parents sont venus, et j’ai réussit à faire venir mon frère avec sa femme et ses deux enfants. Il a convaincu sa femme d’enterrer la hache de guerre avec sa belle mère, un événement. De son côté seule la mère de John était présente, ses parents étant divorcés et John en veut à son père de s’être conduit avec sa mère comme un beau salaud. Bruno était resté au grand plaisir de Justine, Melissa et Joé étaient repartis pour passer les fêtes en famille Joé à Saint Barth et Mélissa à la Guadeloupe où habite sa famille.John m’a fait un superbe cadeau, une voiture de sport de marque allemande. Il s’est beaucoup amusé en me voyant descendre de la voiture pour la première fois, il a eu droit à une vue imprenable sur mon entre-jambes nu. Il va falloir que je m’habitue à ne pas écarter les jambes pour descendre de cette voiture. Enfin c’est un détail après tout si ça fait plaisir à ceux qui regarde, moi ça ne me dérange pas, c’est mon côté exhibitionniste.Tout ce petit monde est reparti, à l’exception de Bruno à qui John a proposé un job intéressant dans sa boite d’import-export avec pas mal de voyages en vue, ce qu’il a accepté avec joie. Et la vie à retrouvé un peu de calme.Un soir, en rentrant de ses bureaux, John nous annonça que nous étions invitez à une soirée. Je vous avais parlé de ce magnat du pétrole qui organisait, des soirées échanges de partenaires pour subvenir aux besoins financiers de son association. Et bien il s’agissait de cela.Justine et Bruno faisaient partie de la fête s’ils le voulaient. Un peu inquiet quand même, ne sachant pas sur qui le sort leur ferait partager une nuit d’ébats sexuels car il ne s’agissait que de sexe, les sentiments restant aux vestiaires. Il pouvait s’agir d’un jeune homme ou d’un homme plus âgé, idem pour les hommes.Le jour en question, en fin d’après midi, J’ai pris la Porsche avec John et Bruno empruntât la limousine de John avec Justine pour nous rendre à la résidence d’Aaron. Car il fallait obligatoirement avoir une voiture pour ramener l’heureuse élue au domicile du Monsieur. Aaron possédait une superbe propriété à Mamaroneck, située à quelques kilomètres de New York, ce petit village à la campagne offre un cadre de vie idyllique avec ses plages et son port ou sont amarrés de superbes bateaux de plaisance. Arrivé à la propriété, Aaron nous accueilli en nous remerciant d’être venu tous la quatre à sa petite « sauterie ». Content surtout de récolter 2 fois 10 000$ pour notre participation et celle de Justine et Bruno.l y avait une bonne trentaine de couples, de tout âges, des jeunes mariés comme des couples n’ayant plus grands choses à se dire et qui trouvaient dans ces soirées le moyen de renouer avec leur jeunesse pourvu qu’ils aient la chance de tomber sur des hommes et des femmes plus jeunes qu’eux.Après quelques coupes de champagne et amuse-gueules, le tirage au sort commença.Tous les participants mâles avaient mis dans un petit sac de velours leurs clefs de voiture ainsi que leur noms le tout mis dans une grande vasque en verre. Je tenais serrée la main de John car ayant remarqué quelques hommes d’un âge plus que dépassé, j’avais une peur bleue de tomber sur eux. Justine partageait mon angoisse.Nous avions reçu en entrant un numéro qui déterminait l’ordre de passage. La première sur la liste tira le premier sac, et annonça le nom de l’heureux gagnant. Cette femme d’une quarantaine d’année n’était pas très belle physiquement mais il se dégageait d’elle une superbe prestance doublée d’un rien d’érotisme. L’homme choisit fut un homme nettement plus jeune qu’elle. Elle en parue très heureuse et tant à lui il avait l’air content du choix.Les femmes se succédaient les unes derrière les autres, et puis vient le tour de Justine, elle prit le sac, retira la clef et lu le nom de l’homme avec qui elle allait passer la nuit jusqu’au lendemain midi. Un homme d’une cinquantaine d’année se présenta, vêtu d’un élégant costume sombre, les cheveux grisonnants coupés courts et des yeux d’un bleu soutenu. Justine soupirait, j’étais content pour elle. Il s’approcha d’elle, lui fit un baise main et se présentât. Puis il prit Justine par le bras et l’entrainât après avoir dit à Bruno qu’il ne s’inquiète pas, qu’il prendrait bien soin d’elle. Puis ils partirent tous les deux, sa femme ayant déjà choisi son cavalier.Puis vint le tour d’une femme d’une vingtaine d’année, elle tira un sac et annonçât : « John Steven». Je regardais John et lui disait à l’oreille, « salaud, moi qui voulait que tu te tapes une vieille, c’est raté et tu ne la baises pas dans notre lit OK ? ». John hocha la tête en souriant pour me dire qu’il avait compris le message, me dit au revoir et se dirigea vers la fille. Blonde aux yeux verts, elle avait une poitrine « à l’américaine », et était assez jolie avec un air de salope très prononcé. Bruno s’impatientait quand il entendit son nom, Il regarda qui l’avait appelé et découvrit une fille d’une trentaine d’année, de type asiatique, grande et belle avec des cheveux jusqu’au fesses. Je lui disais «Et bien tu ne vas pas t’embêter ». Il m’embrassât et partit rejoindre la fille. Et vint mon tour. Il restait dans l’assistance une dizaine de couples dont une majorité d’hommes visiblement de plus de cinquante ans. Je tirais un sac et annonçait le nom, l’homme tiré au sort leva la main et je découvris ce que je redoutais, mon partenaire devait avoir au moins soixante ans. Il portait beau, soigné dans son apparence, les cheveux blancs assez longs, mais vieux. Je me disais que peut être, comme il participait à ces soirées il devait être un pas trop mauvais coup au lit, enfin on verra bien.Il me prit par le bras et m’emmena aussitôt vers sa voiture, Son chauffeur attendait, il nous ouvrit la portière et nous sommes installés dans cette limousine grande comme un wagon de chemin de fer, avec télévision grand écran, bar chaine Hi-Fi. Enfin toute la panoplie des gadgets indispensables pour montrer aux autres sa réussite sociale. Il se présenta, il se prénommait Darren, il était retraité de la banque, il avait 65 ans ! Il se mit à rire en me disant que sa femme était parti avec une petit jeune, et que lui avait le bonheur d’être choisit par une femme jeune. Il y avait dans son propos une certaine philosophie.Nous sommes arrivés à son appartement donnant sur Central Park. Dernier étage avec une grande terrasse. Et une vue magnifique sur cet air de verdure en plein milieu des immeubles. Je me débarrassais de mon manteau de fourrure, Il me proposât un verre, que j’acceptais, et au moment de trinquer à notre nuit à venir, il m’embrassât dans le coup, mais sans empressement.Il me dit alors qu’il avait prévu de diner ici, un traiteur devant apporter à 20 heures le repas, et que si je voulais utiliser la salle de bain, elle était à ma disposition. Il se dégageait de cet homme un curieux sentiment, je n’arrivais pas à le cerner. Je luis demandais si il pouvait me faire visiter l’appartement, « bien sûr » me dit’ il « suivez moi ». Derrière le salon il y avait une salle à manger donnant sur une cuisine immense, puis un couloir qui conduisait aux 6 chambres toutes avec salles de bains.Je m’apprêtais à ouvrir la dernière dans ce couloir, quand il me prit la main, la porta à sa bouche et après un baiser, me dit : « non pas celle là ». Je me disais peut-être est’ elle en travaux ou je ne sais quoi. Je lui demandais de me rendre dans une salle de bain pour me refaire un peu de maquillage.Revenu au salon je le trouvais assis dans un canapé buvant une coupe de champagne. Il m’invitât à m’assoir à coté de lui, je me disais que les choses sérieuses allaient commencées. Il m’offrit une coupe, je trempais mes lèvres et reposais le verre. Il s’était mis de côté et me regardais. Je portais pour l’occasion une robe en soie, très décoltée dans le dos, et pour une fois un porte-jarretelles et des bas, mais ne pouvais concevoir de porter une culotte, n’ayant jamais mis de sous-vêtements depuis mon enfance.Il se rapprochât de moi, posa sa main sur ma jambe et remontant le long de ma jambe elle atteint ma cuisse qu’il caressât doucement, puis continuât son ascension. Il eu moment d’hésitation quand il s’aperçut que mon sexe était libre de tout obstacle, sa main alors se posa sur mon sexe, le majeur en avant, j’ouvrais les jambes pour lui permette une caresse plus profonde. Sa main allait et venait sur mon clitoris, il était très adroit, et il ne tarda pas à réveiller chez moi les prémisses d’un orgasme. Il s’en aperçu et appuya encore plus sa caresse qui débouchât sur un orgasme. Je me penchais alors sur lui, dans le but de lui rendre sa caresse, mais il m’arrêtât immédiatement en disant pas tout de suite.Puis il me demandât de me déshabiller entièrement ne gardant uniquement porte jarretelles bas et chaussures. Je luis faisais remarquer qu’il était presque vingt heures et que le traiteur n’allait pas tarder. Il balaya ma remarque d’un geste de la main et posant ses mains sur mes épaules il fit glisser ma robe jusqu’à terre. Je me retrouvais nue dans ce salon, et dans l’attente du traiteur. Quelle tête il fera en me voyant, il détournera les yeux où au contraire me regardera fixement ?. J’avoue que cette situation ne manquait pas de piments et m’excitais plutôt.A vingt heures, sonnerie de l’interphone, c’était le traiteur, Darren me demandât de me mettre debout, et de regarder par la baie vitrée. Pourquoi pas. Cinq minutes plus tard on sonnait à la porte de l’appartement, Darren alla ouvrir et j’entendis plusieurs voix dont celle d’une femme. Je restais impassible quand ils entrèrent dans le salon pour se diriger vers la cuisine. Je devinais leurs regards posés sur moi. Darren vint vers moi et me dis que nous passerons à table dans un quart d’heure. Il était derrière moi, ses mains posées sur mes seins, je sentais le souffle de sa bouche dans mon coup, Il descendit sa main sur mon corps jusqu’à atteindre mon sexe, qu’il recommençât à caresser. Je m’offusquais en prétextant la présence du traiteur et de la femme, mais il continua son travail de sape sur mon clitoris, déjà mis en forme par la séance précédente, je tenais debout à peine, il était très doué. Je n’en pouvais plus, c’est alors qu’en entendis venant de la salle à manger, « Madame est servie ». Darren retira sa main avec regret, et nous nous sommes dirigés vers la salle à manger.Et là énorme surprise, il n’y avait pas une femme et un homme, mais une femme et deux hommes, qui ne portaient pour simple vêtements, pour les hommes un nœud papillons et pour la femme un mini tablier blanc qui ne cachait rien de son anatomie. Ils étaient tous les trois jeunes. Ils restaient donc pour nous servir le repas. Ca c’est typique Etats Unis, on peut faire tout et n’importe quoi, même se faire servir un repas par des hommes et des femmes à poils dans son appartement.Le repas se déroula très bien, Quand un des hommes me servait, j’avais son sexe à vingt centimètres de mon visage, ça ne m’étais encore jamais arrivé. Puis vint le dessert et la fin du repas. Darren m’invita à le suivre au salon pendant que le « personnel » débarrassait la table et rangeais tout dans la cuisine. Darren debout, il me demanda de me mettre à genoux, je compris tout de suite son souhait, j’obéissais, et descendais sa braguette, en me demandant ce que j’allais trouver.Je sortais son sexe avec difficulté en m’apercevant qu’il était dans une bonne forme, je ne devrais pas trop regretter ma soirée et ma nuit. Je prenais son sexe dans ma bouche et commençais une fellation profonde comme je les aime. Darren soupirait, je m’activais de plus en plus vite et de plus en plus loin, jusqu’au moment où n’y tenant plus, il déchargeât au fond de ma gorge en longs jets épais et chauds. C’était incroyable la quantité de sperme que j’ai du avaler. A mon avis il devait y avoir un moment que sa femme ne l’avait pas sucé, pour avoir une telle éjaculation. Quel dessert !Pendant ce temps les serveurs avaient finis de tout ranger, Je pensais alors qu’ils allaient partir, mais pas du tout, ils vinrent nous rejoindre tous les trois dans le salon, la fille avait retiré son tablier ce qui laissât apparaître un sexe complètement épilé et qui commençait très haut. Je me tournais vers Darren en lui témoignant mon étonnement, il me répondit que la suite était comprise dans le service. Un des deux s’approchât de moi me pris par la taille et me fit m’allonger sur une table basse. Il ouvrit mes jambes et posa sa langue sur mon clito. La soirée commençait plus que bien. Il était doué et sentant que j’allais jouir, il vint s’allonger sur moi et me pénétra d’un cou après avoir mis un préservatif..Il fit durer le plaisir un bon moment et n’y tenant plus il joui en même temps que moi. En me remettant de mes émotions, je constatais que Darren était à son tour entièrement nu, que la fille léchait les couilles de serveur pendant que ce dernier sodomisait Darren. Ce beau monsieur marchait à voile et à vapeur.Une partie de la soirée continua jusqu’au moment ou Darren proposa de changer de pièce pour continuer nos ébats. Sur le moment je ne compris pas quand il me mit un bandeau sur les yeux, puis il me prit pas la main et m’entraina dans le couloir. Je l’entendis ouvrir une porte, puis eux bras me soulevèrent et je me sentis posé sur une table. Sans que j’ai eu le temps de comprendre ce qu’il m’arrivait, je me suis retrouvée les pieds et les mains liés aux quatre coins de la table, une sangle passant sur mon ventre complétait mon immobilisation. Les yeux toujours bandés, j’ai été pris de panique, et pour étouffer mes cris ils me mirent dans la bouche une balle en caoutchouc attachées derrière la tête.Dans quel merdier j’étais, qu’allaient-ils me faire ? Tout tournait dans ma tête. Ils me retirèrent mon bandeau et je vis ou je me trouvais. Sans doute dans la pièce qu’il n’avait pas voulu me montrer. Elle était entièrement tapissée de noir, pendaient aux murs des tas d’ustensiles, des fouets de toutes sortes, des pinces, des cordes, des menottes, sur une table était disposés des bougies dans des verres, une boite en métal contenant des aiguilles hypodermiques, des pinces de chirurgie etc.. il y avait aussi une armoire à pharmacie ! Darren s’approcha de moi, me caressant les seins il me dit : « maintenant les choses sérieuses vont commencées. » et ça ne tarda pas.Je ne suis pas une adepte de sado masochisme, et j’ai même une certaine aversion à participer à ces séances, la douleur physique qu’elle soit pour moi ou pour les autres m’a toujours fait peur, mais là on ne m’a pas laissé le choix. Le plus grands des deux hommes, celui qui avait sodomisé Darren, s’approcha de moi, Il avait dans la main un petit objet doré comme un petit tube, d’un centimètre de diamètre. Il l’ouvrit en deux, dans le sens de la longueur ce qui le fit ressembler à une sorte de pince longue de cinq centimètres environ dont les bords étaient munis de petites dents. A l’intérieur il y avait un piston sur un ressort muni à son extrémité d’une aiguille fine et longue d’un bon centimètre. Le piston sortait à l’extrémité du tube. Il m’expliqua alors son fonctionnement. Il allait poser cette pince sur mon clitoris le piston vers le bas et qu’ensuite quand il me baisera, son ventre appuyant sur le piston, l’aiguille rentrera de toute sa longueur dans la partie le plus sensible de mon sexe.Il prit ensuite un tube de crème et m’enduisis mon clito en le massant bien avec cette pommade. Trente secondes plus tard un froid intense suivit d’une forte chaleur fit que mon clitoris avait triplé de volume. Il plaça alors la pince avec le piston à la base de mon clito. Les petites dents mordirent mes chaires et je sentis une forte douleur. Grimpant sur la table je le vis s’allonger sur moi et il me pénétra d’une seule poussée. C’est quand son ventre toucha mon sexe qu’une douleur fulgurante m’irradia mon sexe provoquant comme une décharge électrique. J’étais chez les fous !L’aiguille venait de pénétrer mon clito de toute sa longueur, et la douleur recommença à chaque fois que le ventre de mon bourreau touchait mon ventre. L’aiguille entrait et sortait en permanence. Ce supplice dura jusqu’au moment et il éjacula et grognant comme un cochon, et en s’appuyant de toutes ses forces sur mon sexe. Il se retira, descendit de la table, me regarda puis pour mieux voir ma réaction appuya plusieurs fois sur le piston. Il semblait jouir de me voir torturer de la sorte puis il retira l’engin de torture de mon sexe. Mon supplice avait mis tout tous leurs états ses comparses car les deux hommes se masturbaient et la fille avait pratiquement enfoncée sa main dans son vagin et se tordant de plaisir.Je me demandais comment Aaron avait pu inviter à cette soirée un tel individu. Je pensais avoir fini avec ça, mais j’étais loin du compte. Ils me nettoyèrent mon sexe ensanglanté, puis jugeant que j’étais remise en forme, Darren demanda à la fille de posé sur mes lèvres intimes une pince de chaque côté. Les deux mâchoires de ces pinces mordirent mes chaires sensibles, puis ils attachèrent chaque pince avec un gros élastique à mes cuisses, ouvrant ainsi mon sexe. Puis prenant un sexe en plastique de grande taille, sans aucune précaution, elle le fit entrer jusqu’au fond. De ce que pouvait voir en me tordant dans mes liens, deux fils sortaient de sa base. Ils fixèrent ensuite sur les pinces deux fils électriques. Ils relièrent ensuite le tout à un petit boitier, muni de boutons et de voyants. Darren s’empara du boitier et alluma le boitier, aussitôt, une décharge électrique m’envahi le bas ventre, il jouait avec les boutons augmentant et diminuant l’intensité. Je ne sais pas combien ça a duré, mais il me paru interminable.Ils retirèrent le tout et sans attendre que je récupère, Darren alla chercher trois verres contenant les bougies allumées. La bougie fondue tremblait au dessus du verre. Il donna un verre a chacun des deux hommes et en gardant un pour lui. Ils approchèrent deux verres au dessus de mes seins et l’autre au dessus de mon sexe, et ils versèrent doucement le contenue des bougies fondues. La douleur la plus forte fut celle sur mon sexe, ouvert comme il était par les pinces et les élastiques, la bougie avait coulée profondément dans mon vagin. Je hurlais dans mon bâillon, mais ils semblaient complètement insensible, car ils se masturbaient de plus belle. Le contenu vide, ils attendirent que la bougie ai refroidie et ils la retirèrent de mes seins et mon sexe.Darren dans un état d’excitation extrême monta sur la table et m’introduisit son sexe, dans mon vagin meurtri. Un des deux hommes se mit derrière Darren et il l’encula, la fille ne resta pas inactive, me retira mon bâillon, et monta également sur cette table elle vint s’assoir sur ma bouche, la tête vers la bas de mon corps, son sexe collé à mes lèvres, le second homme la sodomisant.Comment allait se terminer cette séance de torture, ils devaient bien se douter que sortant d’ici, je porterais plainte, ce qui accentua encore ma panique. Je n’avais plus aucun repaire de temps, lorsqu’on entendit la sonnerie de la porte de l’appartement. Darren grogna mais continua ses vas et vient. C’est après une nouvelle série de sonneries et de coups dans la porte qu’il se décida à aller ouvrir. Il enfila un peignoir et se dirigea vers l’entrée de l’appartement. Puis tout se passa très vite, il y eu des cris, j’entendis le mot « police », et un policier en uniforme entra brusquement dans la pièce, Il braqua les trois acolytes, qui furent immédiatement immobilisés.Puis j’ai vu John arrivé, il se précipita sur moi, me détacha de mes liens et me prit dans ses bras. Je me suis mise à pleurer en gros sanglots incapables de dire un mot. Sur un appel des policiers, deux infirmiers arrivèrent un peu plus tard, on m’a mis sur une civière et direction l’hôpital. Ils me gardèrent deux bonnes heures, le temps de constater que mes blessures étaient plus douloureuses que graves. John me ramena à l’appartement. En chemin, je lui demandais comment il avait su ce qu’il pouvait se passer au domicile de ce fou.C’est assez simple, c’est lorsque tout le monde est parti de la résidence d’Aaron après avoir diné, qu’en regardant les chèques, il s’aperçut qu’un chèque comportait un nom qui n’était pas sur sa liste d’invité. Il ne connaissait pas visuellement toutes les personnes inscrites. Pensant que ça pouvait être un chèque volé, et dans le doute il téléphona à un de ses amis chef de police qui lui promis de le rappeler après s’être renseigné. Il lui confirma vers onze heures, que ce nom correspondait à un homme déjà arrêté il y a quelques années pour séquestration, viol et torture. Il avait échappé à la prison par on ne sait quels connivences. Riche à millions il était passé au travers de l’emprisonnement. Ayant son adresse, ils décidèrent d’intervenir immédiatement.Vers midi, Justine puis Bruno sont revenus au domicile, Justine me voyant dans un état pitoyable, me demanda ce qu’il c’était passé, je lui expliquais alors mes séances de torture. Bruno fou de rage frappait les murs de ses poings en traitant mon bourreau de tous les noms.Pour Justine, son amant d’un jour, malgré son âge avait été formidable, et la maitresse de Bruno lui avait fait découvert l’exotisme de certaines positions propre à ses origines. Tant qu’à John, la nuit qu’il devait passée avec sa jeunette, écourtée par mon aventure, il avait promis à la belle de se revoir à notre domicile pour terminer ce qui avait très bien commencé. Il ne perd jamais le nord.Dans l’après midi je me rendais au poste de Police pour déposer plainte en souhaitant que cette fois-ci, il ne s’en sorte pas aussi facilement.Tant qu’à Aaron il fut interroger par la police, mais aucun chef d’inculpation ne fut retenu contre lui, toutes les personnes présentes étant majeures et consentantes. Il décida de prendre plus de précautions dans la sélection de ses invités mais il ne renonça pas à subvenir à son association caritative par ce moyen pas très moral mais très lucratif.A suivre…
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Par : le 12/03/13
Il est 14h30 en ce beau jours de février, je fais du shopping et flâne dans les rues à la recherche de bonnes affaires. Un dom me voit déambuler avec mon petit tailleur et mon foulard, je donnant un air de bourgeoise. J'entrez dans un magasin de lingerie, et en ressors une vingtaine de minutes plus tard un petit sac à la main. Vous prenez une petite ruelle afin de me rendre à ma voiture lorsqu'il, J'approche de moi par derrière et attrape les mains par derrière, me passe une paire de menottes, et passe sa main sur ma bouche pour empêcher de crier. Me vous prends fermement par les bras et oblige à le suivre jusqu'à un van. Ouvre la porte et me jette à l'intérieur, je commence à crier, ils attrapent mon foulard qui me passe en guise bâillon. Me passe alors une corde autour des chevilles, qu'il sert assez fort pour m' immobiliser totalement. Il finit par me mettre un sac sur la tête pour que ne puissiez rien voir et démarre le van. Nous roulons durant une vingtaine de minutes pendant lesquelles ils entendent me débattre et pousser de petits cris étouffés. Lorsque le véhicule s'arrête, je me sors du van en me portant et me porte, je ne vois toujours rien et cessez de me débattre, mais les liens étant fort, je ne peux que subir. Ils me posent, et m' enlèvent le sac qu'avez sur la tête, j' ouvre les yeux et découvre une chambre sombre. Ils passent alors un collier, puis une laisse qu'ils attachent à un crochet présent au sol. Cela ne sert plus à rien que je débatte, je suis maintenant dans mon nouveau domicile... Ce mot me fait tressaillir et je me vois me débattre, de plus, belle pour essayer de défaire de ces liens. À partir de maintenant, je suis à lui, sa petite bonne personnelle et espère que je vais m'acquitter de ta tâche avec le respect que je lui dois!!! Je le regarde l'air implorant, mais rien n'y fait. Ils apportent un sac, je l'ouvre et me montre une tenue de soubrette. Tu vas enfiler ça, ce sera dorénavant ta tenue officielle, pas question que tu portes autre chose sans ma permission. Ils sortent alors un fouet du sac, et me le montre en effleurant délicatement mon visage, mes seins et le faisant claquer doucement sur mes fesses. Si tu désobéis, tu seras punie comme il se doit, est-ce bien compris ? Le regarder, mais je ne bouge pas. Ils claquent alors une fois le fouet un peu plus fort sur mes fesses et je fais un hochement de tête en signe d'approbation. Maintenant, je vais ôter ton bâillon, je vais t'expliquer quelques règles, cela ne sert à rien de crier, personne ne t'entendra ! S'exécute et enlève mon foulard de ma bouche et me prend le visage pour me forcer de le regarder. Que me voulez-vous ? Laissez moi partir ! Tu es maintenant ma bonne personnelle, et rien de ce que tu pourras dire ou faire n'y changera, et tu dois dorénavant m'appeler Monsieur Non, laissez-moi partir, s'il vous plaisent Ils fait claquer le fouet une nouvelle fois sur mes fesses, un peu plus fort encore et ajoute. Appelle-moi Monsieur, je viens de te dire ! Et je ne veux t'entendre dire que : oui Monsieur ! Oui Monsieur, je finie par ajouter dépitée et prenante conscience que je viens de perdre ma liberté. Je vous détache alors les liens de vos jambes et prends en main la laisse. Je vous fais lever et accroche la laisse à un crochet que je fais monter. Vous voila maintenant prisonnière, le collier montant et attirant votre corps avec. Je, vous lièvre ensuite de vos menottes et m'assois sur un tabouret face à vous. Maintenant, j'enfiler cette tenue de soubrette. Puis je devrai faire tout ce qu'ils m'ordonnent, sans hésiter et la seule réponse possible est Oui Monsieur, sauf s'ils me posent une question, oui, J'ai compris Monsieur s'approche de moi et me passe un bracelet en cuir à chaque poignet. En profite pour ouvrir la fermeture éclair de ma jupe qui tombe instantanément à terre, laissant découvrir mes dessous, des collants sous lesquels on peut distinguer un string noir. Arrache mes collants et vous demande d'ôter votre string, vous hésitez une seconde, puis regardant le fouet d'un coin de l'œil vous l'enlever difficilement, car le collier vous tire vers le haut et provoque pour vous un équilibre précaire. Lèche ta culotte ! Vous me regardez une nouvelle fois l'air implorant, mais vous voyez bien que rien n'y fera et vous portez lentement votre culotte à la bouche et commencer à sortir votre langue très doucement. Mieux que ça ! Hésitante, vous lapé petit à petit chaque morceau de votre sous-vêtement, sentant votre sexe. - Bien, maintenant enfile la tenue de soubrette ! Me la tends et je commence à enfiler les bas blancs, un porte-jarretelle et un string de la même couleur. Ensuite, je descends, la laisse et la prends à la main pour que je puisse enfiler la robe après avoir complètement arraché ma veste, chemisière et soutien gorge. Je l'enfile et ils finirent d'ajuster les derniers détails, le petit tablier devant et le bandeau dans les cheveux, vous voilèrent maintenant prête. Je passe une chainette d'une dizaine de centimètres dans les liens à vos poignets et l'attache au collier, vous laissant dans l'impossibilité d'utiliser vos mains. Ensuite, je finis par mettre un bracelet en cuir à chacune de vos chevilles, que je relie par une chaîne d'une trentaine de centimètres. Vient me baiser les pieds ! Quelques secondes d'hésitations et voila qu'un nouveau coup de fouet arrive sur mon postérieur. Oui Monsieur, je dis agenouillée et je commence à embrasser ses pieds. Bien, très bien voila qui est mieux ! À partir de maintenant, tu t'appelles Morticia et tu ne répondras qu'à moi, est-ce clair ? Oui Monsieur. Ils fait claquer le fouet une fois délicatement sur mes fesses puis me dirigent vers une table ou sont poser différents objets. Ils posent le fouet et reviennent vers moi avec une cravache à la main. Tu sembles avoir besoin d'un peu d'éducation Naty, cela tombe bien, je n'avais plus d'élève en ce moment ! Oui Monsieur, mais que voulez-vous faire de moi ? C'est moi qui pose les questions morticia ! Vous dis-je en faisant claquer la cravache sur vos fesses. Oui Monsieur, pardon Monsieur - Bien, je vois que ça commence à rentrer dans ton esprit. Pour répondre à ta question, je vais t'éduquer pour que tu sois une bonne soumise, faisant le ménage, obéissant aux ordres de son maitre, car c'est ainsi que tu dois te comporter. Je vous fais vous relever, et vous demande de faire un tour sur vous-même. Vous vous exécutez et tournez sous mon regard bienveillant. Ils commencent à soulever délicatement ma robe avec la cravache et me tapotent tour à tour mes fesses, mes cuisses, puis remonte vers mes seins et mes mains toujours prisonnières. Ils attrapent la laisse et me fesses avec une main assez fortement. On dirait que tu aimes bien ça Morticia, tu n'en as peut-être pas reçu assez jusqu'à maintenant. Penche-toi en avant que je voie ta croupe. J'obéis dans un timide oui Monsieur et me penché en avant laissant découvrir mon joli fessier légèrement rougi. Ils commencent à me donner des séries de 10 coups de cravaches sur chaque fesse, vous poussez de petit cri et ne voulant plus vous entendre, je vous mets votre string noir dans la bouche et vous remets le foulard par-dessus. Ils continuent alors ses séries de 10 coups de cravache par fesse, et je vois votre derrière rougir au fur et à mesure. Ils découvrent maintenant mes seins qui subissent le même traitement, vos petits cris étouffés laissant deviner que vous être très sensible de cette partie. Oui Monsieur. C'est très bien Morticia, tu as même l'air d'y prendre goût. Je vais t'enlever le bâillon, tu seras plus à l'aise pour la suite. M'ôte le foulard et sors le string de ma bouche et va chercher un anneau qui me place dans la bouche et m'attache derrière la tête. En profite pour remettre mon string à l'intérieur de l'anneau. N'est-ce pas plus agréable Morticia. Je hoche de la tête en signe d'acquiescement.À genou, maintenant on va voir si tu sais te servir de ta langue!!! Vous semblez effrayé, mais obtempérez et vous vous poser devant moi à genou. Je sors alors mon sexe de mon pantalon et le laisse tomber devant votre visage. Avec la laisse, je vous tire vers lui afin qu'il touche votre visage, ce qui semble vous déplaire fortement. Je vous assène alors un coup de cravache sec sur les fesses, vous semblez avoir compris et laissez maintenant mon sexe caresser votre visage sans sourciller. Ils ôtent le string de ma bouche, me le fais sentir, et me demande maintenant de lui montrer mes talents de bouche. Quelque peu résigné, vous avancé vers mon sexe que je pose sur l'entrée de votre bouche, vous léché délicatement mon gland, votre langue est le seul membre que vous maitrisez encore. Ils enfoncent alors profondément son sexe dans ma bouche ce qui me fait hoqueter, et commence à me laisser aller à de doux va et vient. Tu t'y prends très bien Morticia, tu as l'habitude, on dirait. Ils accélèrent le rythme et en quelques minutes durant lesquelles ils prennent soin de faire claquer la cravache sur mes fesses chaque fois que votre détermination semble fléchir, je jouis a fond sur ma poitrine d'un jet puissant. Ils sortent sont sexe et le laisse trainer sur ma poitrine, étalant sa semence sur mes saints. Je vous félicite pour ce premier test auquel vous avez brillamment réussi. Me dirige alors vers la table et rapporte une ceinture de chasteté, qui me passe sous mon regard apeuré. Je l'enfile malgré moi et ils ferment à clé, cela semble vous gêner horriblement, mais vous ne dites rien de peur de représailles. Oui Monsieur. M'emmène ensuite dans une cage dans laquelle ils me faire entrer à quatre pattes, puis une fois à l'intérieur, m'attache chaque cheville d'un coté de la cage ce qui me laisse les jambes légèrement écartées. Ils ensuite mon foulard qu'ils placent sur ma bouche après avoir enlevé préalablement l'anneau. Ils enlèvent enfin les chainettes reliant mes poignets au collier pour me passer une paire de menottes dans le dos. Vous voilâtes prête pour votre seconde étape. Pour finir, place mon string sur ma tête, l'emplacement de mon entrejambe soigneusement positionné sur mon nez afin que je puisse humer au maximum ma propre intimité. - Tu vas passer la nuit ici Morticia, je passerai te voir en me couchant. Ils éteignent la lumière, et sortent de la pièce vous laissant prisonnière, dans le noir avec rien d'autre à attendre que mon retour. Fin
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Par : le 10/04/12
Le bondage qu’est ce que c’est ?(du verbe anglais to bind, lier).... Il s’agit d’une pratique érotique qui consiste à contraindre ses partenaires en leur liant le corps dans sa totalité ou en partie, le plus souvent à l'aide de cordes, ainsi que de scotch spécifique, lanières de cuir ou de plastique, chaînes, foulards, bandes de tissu …  aptent à exercer une immobilisation de la ou des partie(s) concernée(s). L'immobilisation totale n’est pas forcément la finalité de cette pratique. Le bondage ce n’est pas obligatoirement du SM, même si pour certains pratiquants il s’agit bel et bien d’un moyen plus que d’un but. Le bondage pratiqué par les puristes n’engage pas de postures de dominant/dominé mais est l’expression d’un art érotique en tant que tel. Au Japon, la pratique du bondage se nomme Shibari ou Kinbaku  et procède de traditions historiques et artistiques. Etre attaché peut être très agréable, on ne sent plus le poids de son corps, on se laisse aller entre les mains de l’autre et oubliant inhibitions et responsabilités on s’abandonne au plaisir de la contrainte. Pour l’attachant il y’a le plaisir de créer une sculpture humaine, de positionner l’autre pour un usage sexuel sans refus possible etc etc… Une séance peut durer quelques minutes ou plusieurs heures, question d’expérience et de tolérance . N’abusez pas, cela doit rester un jeu surtout si vous n’avez pas ou peu d’expérience. Comme tout bon artisan il est d’usage d’avoir les bons outils pour pratiquer correctement l’art du bondage. Pour un débutant le « bondage tape » peut s’avérer un bon début. Et si l’envie d’aller plus loin vous prend, achetez les bonnes cordes. Celles vendus dans les magasins de sport pour faire de l’escalade ou de l’alpinisme ne sont pas adaptées du tout. Elles peuvent même blesser et brûler si vous vous en servez!!! Pour le bondage il existe aujourd’hui de très bonnes cordes synthétiques assez douces et dans de multiples coloris. Pour le shibari ou bondage avec suspension, utilisez de préférence des cordes en matières naturelles : chanvre ou coton et si vous en trouvez des cordes de soie.  Quelques précautions d'usage incontournables : Le bondage doit être basé sur une forte relation de confiance entre la personne qui attache et la personne attachée. C’est une énorme responsabilité pour l’attachant, on lui fait confiance pour que tout se passe bien, à lui de mettre tout en œuvre pour honorer cette confiance et ne pas mettre la vie de l’attaché en péril. Ne jamais laissé seule une personne attachée et/ou baillonnée; Il ne faut jamais mettre une corde autours du cou de l’attaché, même sous surveillance, un accident arrive très vite et la mort accidentelle par étouffement encore plus ; Il faut toujours garder un ciseau opérationnel spécifique ou un couteau à portée de main ; Attention aux chutes ; Ne suspendez vos partenaires que si vous maitrisez l’art de la suspension ; Suspendre et attaché c’est bien si c’est fait avec de bonnes cordes : naturelles de préférence pour les suspensions ; N'utilisez jamais de nœuds coulants ; L’attaché a mal ? Les membres deviennent violets ? DETACHEZ le ou la, restez vigilant et soyez à l’écoute. Le B A BA : On a détaillé pour vous les 6 étapes de la fabrication de menottes en corde. La corde est en chanvre et d’un diamètre pas trop petit pour ne pas couper la peau. Les liens sont lâches. Regardez bien la photo 1 et les suivantes, les poignets de l’attachée ne se touchent pas laissant ainsi de la marge pour permettre de glisser les cordes entre eux dans les étapes suivantes.   Amusez vous bien !!! Lady Boudoir  
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